Comment les Rockefeller ont mis la main sur l’écologie et le green business

[Source ; Cercle Aristote – Pierre Yves Rougeyron]

Nous avons tous entendu parler des grandes compagnies pétrolières et de leur rôle présumé dans la politique de lutte contre le changement climatique. Mais vous seriez surpris si vous saviez ce qui se passe en coulisses. Jacob Nordangård est un chercheur indépendant et un auteur suédois qui a étudié et écrit sur la complexité de la politique mondiale, la gouvernance mondiale, la création de problèmes et de solutions. Dans cette conférence, il donne des informations sur l’influence des Rockefeller dans la recherche et les politiques climatiques.




Identification du Machiah des juifs

[Source : Le Messie est à la porte]

Israël a reconnu son Messie, donc l’Antéchrist, mais celui-ci ne s’est pas encore dévoilé publiquement en tant que ce grand personnage redoutable que les prophéties nous ont fait comme description de lui. Cette vidéo montre pourquoi cela aurait été difficile que ce soit quelqu’un d’autre.

Les temps que nous vivons sont historiques, prophétiques ! L’enlèvement de l’Église c’est pour très bientôt. Et rien ne sera jamais plus comme avant. L’heure doit être à la repentance, car tout est fin prêt pour le jour du Seigneur Jésus.

[NDLR L’hypothèse de l’enlèvement de l’Église est basée sur une interprétation de certains passages de la Bible et est contestable.]

Une grande partie d’Israël est en extase devant le Yénouka. Rabbins et sages d’Israël sont presque tous d’accord face à la consécration de cet homme dont ils voient leur sauveur.

La vidéo met l’accent sur le côté hors du commun du personnage devant lequel tous sont en admiration. Tout porte à croire que c’est lui. Ce n’est qu’une piste. L’avenir nous en dira plus.


Interview exclusive du « Yenouka »

[Source : Torah-Box]

Une partie de l’équipe Torah-Box s’est récemment rendue chez Rabbi Chlomo Yéhouda Bééri, surnommé le « Yénouka », jeune géant de la Torah, à Richon Létsion, afin de lui poser des questions et de recevoir ses bénédictions pour le « Am Israël ».

Au cours de cet entretien de grande qualité, le Rav a beaucoup insisté sur quelques notions du judaïsme, essentielles à la pérennité du peuple juif et à la transmission de la Torah à nos enfants. Chemirat Halachone, bénédictions avant et après le repas, pureté familiale et privilégier l’amour des enfants sur l’apprentissage intensif sont les quelques grandes lignes soulignées par le Rav.

Un entretien mené par Rav Daniel Scemama que nous vous invitons à écouter en intégralité : puisse-t-il vous inspirer pour toute votre vie !

En savoir plus sur le Rav : https://torahbox.com/UG3X

[NDLR Ce supposé Mechiah a ici besoin d’un masque. Peur des méchants virus ?]




La fin de la célébration chrétienne

[Source : paulcraigroberts.org via Guy Boulianne]

Par Paul Craig Roberts

Je me souviens de l’époque où Pâques était une fête religieuse importante. Aujourd’hui, c’est la « Journée de la visibilité des transgenres ». Le président Biden nous a dit qu’« aujourd’hui », en ce dimanche de Pâques :

« Nous envoyons un message à tous les Américains transgenres : vous êtes l’Amérique, et l’ensemble de mon administration et moi-même vous soutenons ».

https://www.theepochtimes.com/us/biden-proclaims-this-easter-sunday-as-transgender-day-of-visibility-sparking-backlash-5618641

La résurrection du Christ a été remplacée par une célébration de la perversion sexuelle qui inclut « tous les Américains LGBTQI+ », a déclaré le président Biden.

Pâques se déplace dans le calendrier entre mars et avril. Cette année, la date de Pâques est le 31 mars. M. Biden a peut-être voulu dire que notre jour de célébration de la perversion sexuelle est désormais le 31 mars, ou bien il pense que Pâques est toujours le 31 mars. Quoi qu’il en soit, il n’était pas très fédérateur d’identifier le dimanche de Pâques 2024 avec la célébration des LGBT, etc.

Pâques, comme Noël, a été sécularisé par les gentils et les juifs agnostiques. Noël, c’est le Père Noël qui apporte des cadeaux aux enfants, et Pâques, c’est un lapin qui leur apporte des paniers de bonbons. La destruction de la signification des deux principales fêtes chrétiennes semble être achevée.

La conséquence de ce coup d’État réussi contre le christianisme est que les États-Unis sont aujourd’hui une combinaison de Sodome et Gomorrhe et d’une tour de Babel. Il faudra bien plus que Donald Trump pour ressusciter les États-Unis d’Amérique.




Immoralité et consumérisme

[Extrait de 01 — Tradition : Echapper à la catastrophe sociale, écologique et migratoire.]

Par Sylvain Marcelli

Ce que cette histoire nous révèle est capital. Edward Bernays savait que lorsque la morale s’efface, le consumérisme se propage. Il a donc entrepris de briser un tabou tenace : celui du tabagisme féminin, afin que les investisseurs puissent accroître leurs profits.

Tout comme les fabricants de cigarettes de cette époque, notre société est soumise à l’impératif de croissance économique : il faut vendre et produire toujours plus de richesses, et pour ce faire, le monde occidental n’a pas d’autre choix que de « déconstruire » son propre héritage moral, dans l’espoir de créer de nouveaux comportements consuméristes qui n’existaient pas auparavant.

Origine et sens de la morale

Le problème, c’est que la morale est nécessaire à l’équilibre d’une société. Elle est apparue dans un but précis : émanciper l’individu de ses propres pulsions, afin qu’il vive en harmonie avec les siens. C’est ainsi que sont apparus les commandements bibliques tel « tu ne tueras point ». De nos jours, cette leçon nous semble évidente, mais il n’en a pas toujours été ainsi. Il reste possible à cet égard que cette tentation vous gagne, fût-ce inconsciemment, sous le coup d’une colère passagère ou d’une jalousie intense. C’est humain, et pourtant nous ne cédons pas à cette envie, parce que nous avons appris à modérer nos instincts.

D’autres commandements, tels que « tu ne voleras point » ou « tu ne commettras pas d’adultère », ont également contribué à façonner notre civilisation, en dépit des tentations qui peuvent nous inciter à commettre ces péchés. Il est donc crucial de souligner ce qui suit : la modération des comportements n’est pas quelque chose d’inné. Elle s’acquiert dans le cadre d’un processus éducatif particulièrement long et rigoureux, « car la chair, dit la Bible, a des désirs contraires à l’esprit, et l’esprit en a de contraires à la chair ».

Parmi les œuvres de la chair figurent, selon les Saintes Écritures, « l’adultère, la fornication, les querelles, la jalousie, les disputes, le meurtre, les ivrogneries, la débauche et toutes les choses semblables. Ceux qui commettent de telles choses, conclut ce passage, n’hériteront pas du Royaume des cieux, car les fruits de l’Esprit sont la charité, la joie, la paix, la patience, la bonté, l’amour, le bien, la fidélité, la tempérance ».

Société de consommation

La morale chrétienne est certes l’une des expressions les plus connues de l’enseignement traditionnel, mais elle n’en est pour autant pas la seule. Fort longtemps avant elle, le philosophe Aristote mettait déjà en garde contre les dérives induites par nos propres sentiments, ainsi que nos émotions et nos tentations, qui « privent l’homme de sa faculté à raisonner ».

Le problème, c’est que cet enseignement est incompatible avec l’impératif de croissance qui caractérise notre société. Car le consumérisme n’a pas besoin de sages ni de philosophes qui se gardent de céder à leurs tentations, mais bien au contraire de gens « qui se lâchent » sans aucune forme de retenue. Le consumérisme implique à cet égard de consentir à l’excès. Il suppose de se soumettre à toutes les pulsions qui traversent nos corps. Par conséquent, l’humanité nouvelle dont le monde moderne a besoin est plus que jamais émotive, impulsive et compulsive. C’est pourquoi notre société promeut tant que faire se peut les comportements les plus débridés qui soient : YOLO et carpe diem ! Au nom du profit, personne ne doit plus entendre parler de retenue comportementale. Il s’agit de délaisser notre morale et nos traditions. Alors au diable nos vieux enseignements de modération. On disqualifiera socialement ceux qui persisteront à s’en réclamer. On dira d’eux qu’ils sont ringards, « réacs » et parfois même « fascistes ». N’essayez pas de comprendre. Contentez-vous de consommer. Soumettez-vous aux désirs que les communicants stimulent dans votre inconscient, et surtout prenez du plaisir, encore et encore, jusqu’à ce que vous deveniez accros à ce mode de vie.

Soumission consentie

Indéniablement, l’idéologie du Progrès est séduisante. Car même le plus sage d’entre nous ne cessera jamais d’être tenté. Nous apprenons certes à dominer nos pulsions, mais il n’est pas possible de s’en défaire totalement. Elles continuent de vivre en nous. Le Système se consacre donc à les solliciter, beaucoup plus qu’elles ne sont naturellement censées l’être, jusqu’à ce qu’on y cède.

Alors on cède. Cela peut arriver n’importe quand, dans un moment de faiblesse par exemple. Ce n’est pas quelque chose de grave, car on se contente généralement de céder avec modération. Et puis, à force, cela devient une habitude. Il faut dire que nos vies ne sont pas toujours simples. Le travail et le stress nous incitent à relâcher la pression. C’est ainsi que, peu à peu, la soumission consentie aux pulsions qui nous traversent devient un véritable mode de vie, et nous devenons ainsi les esclaves du monde moderne.

Ainsi, et afin de ne nous laisser aucune chance d’y échapper, nos sociétés modernes sont devenues progressivement le lieu d’une hypersexualisation du désir. Ce n’est pas surprenant, car le plaisir charnel est de toutes nos tentations la plus puissante et incontrôlable qui soit. C’est elle qui plus que toute autre est susceptible de nous convaincre de nous « laisser aller », au point de renoncer peu à peu à toutes les frontières morales que l’on s’était précédemment imposées. C’est elle qui plus que toute autre nous conditionne au diktat de nos propres émotions. C’est elle qui plus que toute autre peut nous convaincre de renoncer aux limites qui jadis garantissaient notre liberté. Le système est malin. Il sait que nul n’est plus esclave que celui qui chérit ses chaînes : celles du désir, celles de l’envie, celles du plaisir.

Il n’est pas surprenant, dans de telles conditions, que notre société soit devenue le vecteur de tout un tas de revendications d’apparence « libertaires », à l’instar des discours ultra-déconstructivistes que revendiquent les LGBT. Le but est ici inchangé : inciter les peuples à l’abandon progressif de leurs anciennes frontières morales. Célébrer l’exubérance individuelle et l’impulsivité sexuelle au profit d’une société nouvelle et outrancièrement consumériste.

Déconstruction et éducation

L’enseignement public français contribue largement au conditionnement mental de notre jeunesse, comme en témoigne le propos suivant de Vincent Peillon, ami revendiqué des francs-maçons et ancien ministre de l’Education nationale, dans un ouvrage intitulé La Révolution française n’est pas terminée.

L’auteur y déclare sans détour que la morale laïque — c’est-à-dire déconstruite — « doit permettre à tout un chacun de s’émanciper dans le respect des libertés ». Mais de quoi précisément les progressistes voudraient-ils nous émanciper ? La réponse est donnée plus loin : « Il faut être capable d’arracher l’enfant à tous ses déterminismes : familial, ethnique et culturel… » Il s’agit donc ici d’une « libération » dans la déconstruction cognitive totale. Cette méthode devrait nous inciter à la plus grande méfiance. Notons que Vincent Peillon n’a pas jugé utile d’en appliquer le principe à ses propres enfants, dont les prénoms ne révèlent aucun souhait apparent d’éducation « déconstruite ». Il serait donc légitime de demander pourquoi les progressistes ont si souvent tendance à prôner pour les autres enfants presque tout l’inverse de ce qu’ils réservent aux leurs. Le lecteur trouvera sans doute « par lui-même » l’explication qui lui semblera la plus juste.




Testament philosophique d’un médecin de campagne

[Source : dr.moulinier.fr]

Par Dr Didier Moulinier

Chers amis et affiliés,

Repose parmi nous maintenant dans la place centrale de cette église, Édith Moulinier, notre mère, grand-mère et arrière grand-mère.

Elle allait avoir 90 ans.

Notre mère était un personnage haut en couleur de notre village.

Malheureusement, il m’a fallu attendre les derniers jours de sa vie pour commencer à la comprendre complètement.

Je viens de prendre conscience en préparant ce discours que nous avions été victimes dans notre famille d’un grave problème de communication dans les deux sens.

Notre mère avait beaucoup d’amour vis-à-vis de sa famille, mais toute sa vie elle n’a jamais su ou pu trouver le bon moyen de nous le témoigner !

De par mon métier j’ai bien conscience que nous approchons de plus en plus de la mort et de ce fait j’ai décidé de vous présenter :

« Mon testament philosophique »

Je donnerai à tous les membres de ma famille une copie de ce texte et ainsi le jour où je viendrai jouer mon dernier rôle au pied de l’autel de cette église cela leur évitera d’écrire un nouveau texte !

Pour mieux comprendre mes propos, il faut nous replonger dans l’histoire de notre commune et donc reprendre rapidement l’historique de notre village.

Dès notre enfance, comme nos parents, grands-parents et arrière-grands-parents, nous avons, pour la majorité des habitants, connu et subi les difficultés de la pauvreté.

D’ailleurs comme j’ai pu le vérifier sur les photos d’école très anciennes qui remontaient jusqu’à notre grand-père maternel Lolo, la seule différence par rapport à celle de notre enfance était la qualité des photos, mais nous avions peu ou prou les mêmes apparences. Pour reprendre les propos du « grand philosophe » de Braud et Saint Louis, Raymond Urquiola Dit Youle :

« o l’était tous des Bestiards et des sotiards y comprenant reune à reune »… en parlant des gens du village (patois charentais)…

Nous avons eu, avec mon frère, la joie de voir arriver dans notre village, l’eau courante qui nous a permis de découvrir les douches individuelles après n’avoir connu que les douches collectives du village sous la surveillance du garde champêtre.

Et enfin de se débarrasser des cabanes au fond du jardin avec tous leurs inconvénients…

Le chauffage au mazout qui nous a permis d’avoir des maisons moins froides l’hiver, la machine à laver le linge et le frigo qui ont considérablement changé la qualité de vie des femmes du village.

La télévision, en noir et blanc dans un premier temps, qui nous permettait de nous réunir à plusieurs chez les rares voisins qui disposaient d’un téléviseur. De même que le téléphone qui au début n’était présent que chez une seule habitante de Bouinot, le deuxième se trouvant au bar café de notre ami à tous, Mr C.

Pour s’en sortir, les habitants de Braud n’avaient pas d’autres alternatives que de travailler durement dans les fermes et de s’entraider.

La vie du village était rythmée par les 3 fondamentaux : l’école, le bistrot + chai de Lolo, mon grand-père maternel et de ses copains ; la pierre angulaire était constituée par l’église du village en binôme avec la mairie.

Je suis sur la photo, à vous de me trouver…

De mon côté, j’avais compris rapidement que le seul moyen de m’en sortir c’était d’accumuler un maximum de connaissances à l’école. Ce fut un bonheur extraordinaire dès que j’ai su lire et écrire grâce à de vraies institutrices comme Mme Joubert et Mme Salzat qui savaient exercer avec efficacité leur autorité et dispenser un enseignement intelligent et efficace bien éloigné de la théorie du genre et autres conneries… Je me suis débrouillé très rapidement à récupérer chez nos voisins et amis un maximum de livres que je dévorais avec passion.

Tout le village vivait au rythme du diapason mis en place par l’église avec ses cloches et des coups de gueule de notre grand-père pour commander son cheval dans les travaux des champs. À l’époque, nous n’avions pas conscience de l’espace de liberté dans lequel nous vivions enfants. Nos parents nous laissez aller dans les bois et les marais sans aucune crainte, car ils savaient qu’il y avait toujours un voisin qui pouvait nous porter assistance, aucune maison n’était fermée à clé, nous n’entendions jamais parler comme maintenant de harcèlement dans les cours de récréation et s’il y avait un contentieux cela se réglait entre nous par quelques coups de poings et de pieds sans conséquences graves.

La majorité des enfants du village comme mon frère et moi se sont retrouvés d’ailleurs dans cette église de Braud et saint Louis comme enfants de chœur. Nous nous retrouvions ainsi tous aux cours de catéchisme avec l’abbé Rale, qui portait bien son nom et savait nous faire rêver en évoquant avec sa fougue habituelle le passage de David terrassant Goliath avec sa fronde. D’ailleurs, nous possédions tous des frondes de fabrication maison.

Ainsi s’écoulait le temps, au rythme des saisons et du tambour du garde champêtre local, Mr Gourde…

qui portait bien son nom comme nous pouvions le constater quand il avait fait un passage trop prolongé dans le chai de Lolo dans notre village et qu’il en repartait le béret de travers et le vélo zigzagant dangereusement.

Quand on regarde les photos d’école et celles de notre mère et de notre oncle, on voit finalement peu de différence avec celles de mon frère ou moi.

Quand j’étais enfant de chœur, nous nous retrouvions au moment de la messe derrière le curé et l’autel.

De notre position, nous avions ainsi une vue plongeante sur la quasi-totalité du village présente pour la messe dominicale. À chaque fois, nous assistions toujours au même rituel pendant la messe : au moment de l’élévation, venait se retrouver toujours le même groupe d’hommes au fond de l’église, debout le béret à la main avec notre grand père Lolo qui occupait la place centrale. À la fin de l’élévation, tous ces hommes sortaient ensemble de l’église pour se retrouver séance tenante au bistrot en face de l’église.

C’était la bande à Lolo, à savoir Turco, Titi l’oncle Acier et d’autres qui se revendiquaient « libres penseurs ». Malheureusement beaucoup d’eux revenaient à bon port dans un triste état, car ils avaient souvent eu beaucoup trop soif !

Pour tout le monde, la vie était dure moralement et physiquement et rendait obligatoire la solidarité, avec quelques difficultés inhérentes à cette promiscuité qui faisait que tout un chacun connaissait parfaitement ce qui se passait dans chaque famille du village. C’est ainsi que tout le monde savait qui couchait avec qui, mais tout le monde s’arrangeait à sa guise, voire en plaisantait. Nous avions eu la chance d’avoir notre grand-mère « Mamie Charron » qui portait très bien son prénom de Marie, car elle était une championne de l’amour et de la tendresse. Finalement, notre mère a peut-être été prise de vitesse avec sa propre mère et dans le domaine de la tendresse elle s’est contentée de laisser faire à sa place notre Mamie Charron.

Dans ce milieu de vie où les conditions étaient dures, avec le recul je comprends mieux maintenant le cours des évènements familiaux. J’étais à ce moment-là un « parfait rat des champs », mais dès que j’ai pu, je me suis vite transformé en rat des villes. Passons sans tarder à mon testament philosophique : Par 7 fois dans ma vie, j’ai loupé mon examen de passage vers la mort suite à des accidents de sport puis de santé. Sachez que depuis de nombreuses années je n’ai plus peur de cette vieille compagne qu’est la mort, car j’ai compris et accepté qu’elle faisait totalement partie de la vie.

Je suis devenu comme mon grand père Lolo à savoir que je crois toujours en Dieu, mais je ne crois pas en la robe noire, robe noire qui est de plus en plus rare maintenant. Durant ces épreuves, j’ai eu la chance de vivre 3 expériences mystiques après avoir eu par 3 fois des contacts bien réels de l’Esprit saint ou de la vierge Marie ou de Dieu. Je souhaite à chacun de connaître un jour cette bouffée d’amour intense, difficilement descriptible et qui vous apporte instantanément une immense sérénité. Ce serait trop long de vous narrer ces évènements dans le détail. Je suis convaincu que la mort est une nouvelle naissance, mais dans une autre dimension. La suite je ne la connais pas pour l’instant, mais j’espère malgré tout, pouvoir garder toute ma personnalité.

C’est en fait la grande inconnue !

Toute ma vie j’ai essayé de respecter ces différentes règles :

  • quand tu te lèves le matin, vérifie si tu peux te regarder sans honte dans la glace ;
  • refuse l’inacceptable, quel que soit le prix à payer ;
  • si ta cause est juste, mène ta quête jusqu’au bout et quand on te ferme la porte trouve par tous les moyens un autre moyen de passer quand même !

Avec le recul, je dois reconnaître que j’ai dû piquer ce comportement à ma mère qui l’air de rien a été une sacrée communicante !

En tout cas malgré nos différences manifestes entre mon frère, le maître de la technique comportementale de l’huître qui lui permet de se sortir de toutes les difficultés et de réussir à résoudre tous les problèmes en se refermant sur lui-même, et moi qui ferraille en permanence pour surmonter les obstacles, je suis fier de pouvoir vous certifier ce jour que nous avons pu mener ce combat pour soulager les souffrances de notre mère sans aucun conflit et si tant est que cela soit possible de se souder encore plus qu’avant. Je tiens à préciser que le plus dur à supporter pour nous dans cette évolution vers la déchéance de notre mère a été de constater la déshumanisation de notre société !

En tant que médecin, j’ai pu constater l’ampleur du désastre.

En effet, l’ensemble du système de santé vient de tomber sous un régime sataniste commandé par I.A., la soi-disant intelligence artificielle.

C’est ainsi que maintenant quand quelqu’un est hospitalisé, l’I.A. détermine combien de fric cette personne va pouvoir rapporter au système. Si l’hospitalisation se prolonge, intervient à ce moment-là la courbe Excel, et si le bilan comptable montre que les dépenses dépassent les profits espérés, alors le système s’arrange pour vous expulser en urgence de l’hôpital ou la clinique et vous renvoyer chez vous. Ceci est rendu possible, car la majorité des médecins reste derrière leur écran d’ordinateur, n’examinent jamais ou rarement leur patient et délègue ce job aux infirmières qui elles aussi délèguent leurs taches aux balayeurs et autres, car les infirmières restent, elles aussi trop souvent bloquées derrière leur ordinateur pour faire les commandes de produits et prendre des rendez-vous.

Finalement, ce sont les cadres administratifs qui gèrent le côté médical, et tout ce petit monde s’arrange à truquer les rapports informatiques pour faire plaisir à l’ARS. Ce système continue aussi pour les infirmières à domicile recrutées, car avant de prendre la moindre initiative elles se réfèrent systématiquement et uniquement aux données informatiques transmises par l’hôpital et pour éviter de se fâcher avec leur agent payeur, à savoir le nouveau Satan, l’ARS, elles truquent elles-mêmes leur rapport écrit sur leur cahier de liaison.

C’est ainsi que le jour de son décès j’ai pu retrouver ma mère en état de pré agonie, complètement déshydratée, incapable de déglutir, alors que le rapport de l’infirmière locale faisait une description tout autre puisque selon elle, ma mère l’aurait reconnue, aurait pu boire au verre sans problème ce jour-là. Ces propos ne pouvaient être que mensongers, car j’étais arrivé quasiment en même temps que cette infirmière, le matin du jour de son décès.

La veille de ce jour, j’avais avec fermeté demandé à l’infirmière de réhydrater ma mère et j’avais envoyé une ordonnance pour officialiser ma prescription. Sans rentrer dans les détails techniques qui confirment la bêtise du système, l’infirmière incompétente et dangereuse avait refusé de poser la réhydratation prescrite, car la pharmacie n’avait pas pu lui délivrer la totalité des produits prescrits. Comme cela allait, dixit la même incapable, à l’encontre des fameuses recommandations à la con de l’ARS, l’infirmière s’y était refusée et avait donc passé outre ma prescription alors que la pose de ce type de perfusion était pratiquée sans risque depuis plus de 40 ans. Elle a donc préféré laisser notre mère crever de soif toute une nuit, ce qui explique l’état catastrophique dans lequel je l’avais trouvée le mardi matin 27 juin 2023 et qui n’avait rien à voir avec la prose angélique du cahier de liaison de la journée. La meilleure preuve que mon diagnostic du matin était fondé c’est que 5 heures après mon arrivée notre mère décédait le 27 juin 2023 à 15 h 20 en présence de toute sa famille. Bien évidemment, mon frère a en sa possession toutes les preuves de ce que je dénonce en ce jour ! Je ne supporte pas tous ces mensonges et ce manque d’humanité. Sur le plan médical, je savais depuis 1 mois que nous étions arrivés à une issue qui ne pouvait être que fatale pour ma mère. Notre société s’effondre dans ses fondamentaux à cause de la lâcheté de 80 % de la population mondiale et de la majorité du monde médical.

Alors de grâce, arrêtez d’écouter les merdias. Vous êtes revenus à une situation similaire à celle de l’occupation allemande en 1940 en étant prêts à dénoncer vos voisins, prêts à envoyer les rebelles à la DOXA dans des camps de concentration.

Vous avez accepté l’inacceptable. Vous avez laissé tuer vos parents hospitalisés qui sont morts euthanasiés ou en leur brûlant les poumons en leur faisant respirer de manière criminelle de l’Oxygène à un débit mortel de 40 et 60 litres par minute ou en acceptant de ne plus aller les voir dans les EPAHD.

Vous avez accepté de vous laisser fermer vos gueules par le port d’un masque totalement inefficace et inutile face à un virus. Vous avez refusé d’écouter les vrais médecins qui vous ont expliqué que pour visualiser un virus il faut un microscope électronique, car un virus est si petit qu’il ne peut pas être visible en microscopie optique et passe de par sa taille obligatoirement à travers un masque en papier et que par conséquent un masque en papier se trouve dans l’impossibilité technique de vous protéger contre un virus.

Je tiens à vous préciser que notre mère à toujours refusé de se faire injecter ce traitement expérimental présenté de manière mensongère comme un vaccin protecteur contre le covid et dont les effets secondaires gravissimes et meurtriers continuent à rester cachés par les autorités officielles malgré tous les témoignages indiscutables.

Comme beaucoup d’autres et comme ma belle-mère qui vient de décéder à l’âge de 97 ans, elles n’ont jamais eu le covid ni reçu le pseudo vaccin. Alors, réveillez-vous, si c’est possible encore, car la majorité d’entre vous a été lobotomisée et préfère traiter les lanceurs d’alertes de complotistes. On vous a menti en permanence, car les statistiques démontrent que le covid n’a pas tué plus de gens que la grippe.

Par contre nous avons les preuves que les effets secondaires du pseudo vaccin covid sont en train de tuer plus ou moins vite, plus de gens que le covid n’en a tués !

Arrêtez d’avoir peur de votre ombre !

À l’époque de vos pères et grands-parents, tous les villages auraient pris les faux, les fourches et les fusils pour aller libérer nos vieux dans les EHPAD.

Pour conclure, relisez les évangiles, la Bible, et le Coran si comme moi vous êtes curieux et vous y trouverez des réponses à vos angoisses existentielles.

Oubliez ces conneries abominables de distanciations, de masques et de lavages de mains.

Débarrassons-nous des normes européennes mises en place par des dirigeants corrompus qui nous empêchent de plus en plus de vivre normalement.

Buvons un bon coup à l’amitié (avec modération…), mais avec beaucoup de convivialité.

Dr Didier Moulinier




Sur quel rocher le Christ a-t-il bâti son Église ?

Par Joseph Stroberg

Mention préliminaire

Cet article pourrait choquer certains croyants, surtout s’ils se comportent comme les pharisiens du temps du Christ au lieu de s’efforcer de suivre quotidiennement son enseignement dont les piliers sont l’Amour, le Pardon, la Charité et l’Humilité.

La question de la pierre fondatrice

Tout part de la petite phrase traduite le plus souvent en français par :

« Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église. »

Matthieu 16:18

[Source : gotquestions.org]

La question de savoir si le « rocher » sur lequel Christ construira son église est Pierre, ou s’il s’agit de la confession que Jésus est « le Messie, le Fils du Dieu vivant » (Matthieu 16.16), fait débat. En toute honnêteté, il est impossible de savoir avec certitude qui a raison. La construction grammaticale permet les deux possibilités.

Le premier point de vue est que Jésus déclare que Pierre serait le « rocher » sur lequel il construirait son Église. Il semble s’agir d’un jeu de mots : « Tu es Pierre (petros) et sur ce rocher (petra) je construirai mon Église », Christ faisant le lien entre le nom de Pierre, qui signifie « rocher », et son Église qu’il construira sur un rocher. Dieu a beaucoup utilisé Pierre au moment de la naissance de l’Église : il a été le premier à annoncer l’Évangile au jour de la Pentecôte (Actes 2.14-47), était présent quand les Samaritains ont reçu le Saint-Esprit (Actes 8.14-17) et a annoncé le premier l’Évangile aux non-juifs (Actes 10.1-48). En un sens, Pierre était la « pierre fondatrice » de l’Église.

L’autre interprétation courante du rocher est que Jésus ne se référait pas à Pierre, mais à sa confession de foi de Pierre au verset 16 : « Tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant. » Jésus, qui n’avait jamais pleinement dévoilé son identité à Pierre et aux autres disciples, a reconnu que Dieu, dans sa souveraineté, lui avait ouvert les yeux et révélé qui il était réellement. Sa confession de Jésus comme le Fils de Dieu émanait de lui et était une affirmation sincère de sa foi personnelle en Christ, qui caractérise le chrétien authentique. Tous ceux qui, comme Pierre, ont mis leur foi en Christ constituent l’Église. Pierre exprime cette vérité en 1 Pierre 2.4 : « Approchez-vous de Christ, la pierre vivante rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu, et vous-mêmes, en tant que pierres vivantes, laissez-vous édifier pour former une maison spirituelle, un groupe de prêtres saints, afin d’offrir des sacrifices spirituels que Dieu peut accepter par Jésus-Christ. »

Après la confession de Pierre, Jésus lui dit que c’est Dieu qui lui a révélé la vérité. Le terme « Pierre », Petros, signifie « petite pierre » (voir Jean 1.42). Jésus a ensuite employé un mot apparenté, petra, qui signifie « pierre fondatrice ». Le même mot est employé en Matthieu 7.24,25, pour le roc sur lequel le sage bâtit sa maison. Pierre lui-même emploie la même image dans sa première Épître : l’Église est constituée de nombreux petits petros, des « pierres vivantes » (1 Pierre 2.5) qui partagent la confession de Pierre que Jésus est le Christ, le Fils du Dieu vivant. Ces confessions de foi sont le fondement de l’Église.

De plus, le Nouveau Testament montre clairement que Christ est le fondement de l’Église (Actes 4,11, 12, 1 Corinthiens 3.11). C’est une erreur de penser que Jésus a donné ce privilège à Pierre. En un sens, tous les apôtres ont joué un rôle fondamental dans la construction de l’Église (Éphésiens 2.20), mais la primauté est réservée à Christ seul, la « pierre angulaire » (1 Pierre 2.6, 7, Éphésiens 2.20, Luc 20.17 et Actes 4.11). Si Christ est la pierre angulaire, comment Pierre peut-il être le rocher sur lequel l’Église est construite ?

La meilleure interprétation des paroles de Jésus en Matthieu 16.18 est donc qu’il s’agit d’un simple jeu de mots. Pour paraphraser : « Pierre, tu t’appelles “petite pierre”, mais ta bouche a confessé une vérité bien plus grande qui deviendra la pierre fondatrice de l’Église ».

L’Église catholique soutient que Pierre est le rocher à laquelle Jésus fait référence et se fonde sur cette interprétation pour revendiquer le titre de seule véritable Église, mais, comme nous l’avons vu, ce n’est pas la seule interprétation possible. Même si Pierre est le rocher en Matthieu 16.18, cela ne donnerait aucune autorité à l’Église catholique. Les Écritures ne mentionnent pas que Pierre a été à Rome, ne le décrivent pas comme ayant autorité sur les autres apôtres ou comme le principal responsable de l’Église primitive. Il n’était pas le premier pape. Les origines de l’Église catholique ne sont pas fondées sur les enseignements de Pierre ou d’aucun autre apôtre.

Comment accéder au Père ?

« Je suis, moi, le chemin, répondit Jésus, la vérité et la vie. Personne ne va au Père sans passer par moi. »

Jean 14:6

« Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ? Ce que je vous dis, je ne le dis pas de moi-même : le Père demeure en moi et c’est lui qui accomplit ainsi ses propres œuvres. Croyez-moi : Je suis dans le Père et le Père est en moi. Sinon, croyez au moins à cause des œuvres que vous m’avez vu accomplir. Vraiment, je vous l’assure : celui qui croit en moi accomplira les œuvres que je fais. Il en fera même de plus grandes parce que je vais auprès du Père. »

Jean 14:10-12

Le Christ ne dit pas que pour atteindre le Père il faut passer par Pierre, ni même par son Église. Il faut simplement passer par lui, avoir foi en lui, reconnaître et appliquer son enseignement.

Et s’il mentionne qu’ainsi nous pouvons aussi à notre tour faire même de plus grandes œuvres que lui, c’est parce que, comme lui nous sommes tous fils de Dieu et fils de l’Homme. Si nous comprenons intimement son enseignement, nous réalisons que nous aussi nous sommes en Dieu (par sa dimension transcendante et sa Création) et Dieu est en nous (par sa dimension immanente).

Quid de l’Église de pierres (celle dite « catholique ») ?

Cette église qui a fait de Rome (le cœur de l’Empire romain) son siège ? Cette église assise ainsi sur la ville aux sept collines ? Cette église qui s’est parée de pourpre (les évêques), d’écarlate (les cardinaux), d’or et de pierres précieuses (les richesses du Vatican) ?

Cette église est née en 538, grâce au général romain Bélisaire qui en instaura le cadre juridique. Elle a été blessée mortellement en 1798 par Napoléon qui s’approprie les terres de cette église et emprisonne le pape de l’époque. Elle a miraculeusement ressuscité en 1929 grâce à Mussolini qui lui donne le royaume du Vatican, une enclave dans Rome.

1798 – 538 = 1260 ans

« … et il lui fut donné le pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois [1260 jours1] »

Apocalypse 13:5

« … la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. »

Apocalypse 13:12

« Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. »

Apocalypse 17:4

« Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. »

Apocalypse 17:9

L’Église catholique romaine correspond très probablement à la Bête de la mer.2

La Bête de la terre

« Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon. Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. Elle opérait de grands prodiges, même jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l’épée et qui vivait. Et il lui fut donné d’animer l’image de la bête, afin que l’image de la bête parlât, et qu’elle fît que tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête fussent tués.
Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. »

Apocalypse 13:11-18

L’élément chimique le plus abondant de la croûte terrestre en dehors de l’oxygène est le silicium, base des transistors composant les microprocesseurs au cœur des ordinateurs et autres technologies informatiques.

L’informatique, avec ses deux cornes que sont le hardware (le matériel) et le software (les logiciels) est ce qui a permis les nombreux « miracles » technologiques modernes : communication visuelle quasi instantanée d’un bout à l’autre de la planète, robotique, fusées, satellites, technologie médicale, etc.

L’image parlante de la bête adorée par presque tous est celle donnée par le téléphone cellulaire et les autres écrans.

Bientôt, par le biais de l’informatique et de la technologie dérivée, la conjugaison des CBDC, de la nanotechnologie graphénisée dans les vaxins (dont l’adresse MAC perçue comme code Bluetooth et qui représente un identifiant universel) et du crédit social à la chinoise, la marque de la Bête sera fonctionnelle et obligatoire pour acheter et vendre des produits et des services.

Sous le pseudopape actuel, la Bête de la mer fonctionne de pair avec celle de la terre pour établir le Nouvel Ordre Mondial, le règne de la triple bête, la troisième étant le Dragon/Satan.

Conclusion

Le christianisme originel a été attaqué par Satan dès sa fondation, car le Christ n’a pas vaincu ce dernier il y a deux mille ans, même s’il n’a pas lui-même succombé à ses tentations. En 538, avait lieu une première phase cruciale dans ce long processus de dégradation, celui de la transformation d’une Église3 faite d’Hommes en une église matérialiste faite de pierres. Les nombreux saints et martyrs qui ont jalonné heureusement par ailleurs cette période, même au sein de cette déviation, ont cependant contribué à maintenir vivant l’enseignement du Christ.

Au moment de la Révolution française, la blessure mortelle de la Bête de la mer s’est accompagnée de la décapitation du lieutenant du Christ dans le pays représentant la fille aînée de l’Église — la France. Ce pays se voyait alors coupé du lien vertical avec le divin et ramené à une dimension purement horizontale, de plus en plus matérialiste. Le reste du monde en a rapidement subi les conséquences.

L’étape finale de la déchéance chrétienne est vécue depuis 1929, avec l’infiltration maçonnique (les maçons pas francs du tout achevant le processus de transformation en pierres) et la transformation de l’Église en royaume terrestre (celui du Vatican) au lieu de sa préoccupation pour le royaume des cieux.

Avec le pseudopape actuel, qui ne peut être pape du fait qu’il est jésuite, nous assistons à l’apothéose de la corruption de l’esprit chrétien. L’Église de pierres a laissé entrer les marchands du temple dans son univers, alors que le Christ les avait chassés. Elle valide la technologie d’inspiration satanique au lieu de guider les êtres humains vers la libération de la matière et l’épanouissement de leur spiritualité et de leurs aptitudes naturelles.

« Voici, je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille, et qui garde ses vêtements, afin qu’il ne marche pas nu et qu’on ne voie pas sa honte ! »

Apocalypse 16:15

Est-ce qu’un chrétien qui ne suit pas les enseignements du Christ, un chrétien pharisien qui a remplacé l’esprit par la lettre se prépare pour un éventuel retour de celui en lequel il dit croire ? Il y a deux mille ans, le Christ reprochait aux hypocrites et aux religieux matérialistes de l’époque d’avoir pour père Satan. Que dirait-il aujourd’hui ? Dirait-il qu’il faut s’accrocher aux propos et interprétations de Paul ou de Pierre ? Ou de retenir la substance de ses propres paroles ? Dirait-il qu’il faut s’en remettre à un pape ou à un prêtre ? Ou qu’il suffit de croire en lui et d’agir en conséquence ? Chasserait-il les juifs, les musulmans, les bouddhistes… ou lirait-il dans leur cœur pour en connaître le véritable contenu et les accueillir en son royaume s’ils le méritent par les fruits qu’ils ont produits ?

Quand tout semblera perdu pour les Hommes, à cause de l’emprise satanique sur le monde, cette fois il a annoncé qu’il reviendrait pour vaincre l’Adversaire et pour libérer l’Humanité par la Vérité. Un chrétien dans l’âme peut-il y prêter foi ? Un non-chrétien spirituel le peut-il aussi ?


1 En matière de prophétie, un jour prophétique est égal à une année littérale [Ezéchiel 4:6].

2 La mer représente à la fois des foules nombreuses ou des peuples, et la mer méditerranée autour de laquelle l’Empire romain était fondé.

« Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues. »

(Apocalypse 17:16)

3 « église » signifie « assemblée de fidèles ».




Mort de Dieu ou de l’homme ?

[Source : arretsurinfo.ch]

Par Elias Zahlaoui

Behind the #Wall, 2013 Old Jerusalem Scene By Nabil Anani | Palestine …

Le grand romancier russe, Dostoïevski, a écrit un jour :

« Si Dieu meurt, tout est permis ».

Peu de temps après, le philosophe allemand, Nietzsche, déclarait :

« Dieu est bel et bien mort ! »

Peut-on nier que tous deux voyaient loin ? Aussi, faut-il être ignorant, et même aveugle, pour ne pas reconnaître, en toute objectivité, que les dynamiques et les réalisations déterminantes dans le monde contemporain, tant sur terre qu’en mer et dans les airs, se sont magistralement passées non seulement de Dieu, mais aussi de toute référence religieuse, éthique et, pour finir, humaine ! Que notre monde contemporain se trouve donc, en sa totalité, au bord d’un précipice, au point de menacer la survie même de notre splendide planète, n’étonne plus personne.

Je laisse à toutes sortes de spécialistes, en histoire, en pensée, en religion, en sciences, en économie, en politique, en informatique, en stratégie sur terre, en mer et dans les airs, le soin et le devoir d’expliquer et de justifier un monde si riche, devenu plus que fragile…

Pour ma part, je juge de mon devoir de prêtre arabe catholique de Syrie, de poser incessamment la question que j’ai choisie pour titre de cette approche.

Est-ce à dire qu’il faille tout simplement revenir à Dieu, pour sauver et l’espèce humaine et notre planète ?

Ce serait naïf de le penser. Mais il ne me semble pas du tout naïf, de se rappeler que la voix de Dieu s’est fait entendre, d’une façon ou d’une autre, sous tous les cieux, mais plus particulièrement pour les chrétiens, ainsi que pour nos frères juifs avant eux, et pour nos frères musulmans par la suite. Il n’est donc pas inutile de nous rappeler, en ces temps tragiques, l’une ou l’autre de ces manifestations, à partir de ces trois grandes religions.

Pour ce qui concerne les juifs, qu’il me suffise de rappeler un fait, un seul, mais hautement symbolique, relaté dans le chapitre 21, du Premier Livre des Rois.

C’est l’histoire de la vigne d’un paysan juif, dernier survivant de sa famille, du nom de Naboth. Le roi de Samarie, Achab, régnant vers la fin du 9e siècle av. J.-C., voulut s’approprier sa vigne, pour agrandir ses terres, déjà immenses. Naboth refusa de la lui céder. La reine Jézabel fait tuer Naboth, et engage le roi à s’offrir, en compagnie de son entourage, le luxe d’occuper le terrain. Sur ce, arrive, sur ordre de Yahvé, le Prophète Elie. Celui-ci lance à la face du roi Achab, en présence de tout son entourage, une prophétie terrible, lui annonçant sa mort ignoble et imminente, sur le terrain même de Naboth, ainsi que celle de sa femme Jézabel, au pied de leur palais.

Peu de temps après, cette double prophétie s’accomplit comme annoncée !

Quiconque médite l’histoire de la vigne de Naboth, à la lumière de l’histoire humaine, sous tous les cieux, il se rend à l’évidence qu’elle est devenue un symbole aux dimensions du monde, mais qui se concrétise depuis 75 ans en Palestine, et depuis 5 mois, d’une façon plus cruelle, à Gaza même ! Cependant, en dépit de l’universalisation de ce symbole, il nous faut reconnaître qu’un élément capital lui a presque toujours fait défaut : une voix prophétique, dénonçant les crimes qui se suivent en s’amplifiant en dimensions et horreurs, au détriment du monde arabe ! 2

Pour ce qui est des chrétiens, notre foi nous dit que c’est Dieu Lui-même qui s’est fait homme, par amour pour toute l’humanité, passée, présente et future. Il a choisi de vivre en Palestine de Syrie, pauvre au milieu des plus pauvres, mais riche d’un amour incommensurable, qu’Il voulait étendre à tout jamais, sur la terre entière. Il a aussi maintes fois déclaré, avec une clarté éblouissante, qu’Il s’identifiait à tout être humain, et plus particulièrement aux plus pauvres, aux plus démunis, aux laissés-pour-compte. Il a même poussé les déclarations de son identification totale avec cette catégorie de gens, jusqu’à en faire l’unique critère du jugement éternel qu’Il portera, lors du jugement dernier, sur chaque être humain !

En dépit de tout cela, Il a fini sur la Croix, mais en pardonnant à tous ses bourreaux, dont, bien sûr, les juifs !

Ici, je ne trouve pas inutile de rappeler certaines de ses recommandations, qui semblent avoir totalement disparu de l’horizon surtout des « Puissants » de ce monde, et de leurs nombreux acolytes en toute religion, dont, hélas, les si nombreux responsables des Églises d’Occident, le Vatican en tête !

Jésus a dit, entre autres :

– « Il n’y a pas de plus grand amour, que celui de donner sa vie pour ceux qu’on aime »

(Jean 15 : 13)

— « Le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir »

(Mat. 20 : 28)

– « Bienheureux les artisans de paix, car ils seront appelés enfants de Dieu »

(Mat. 5 : 9)

— « Nul ne peut servir deux maîtres : vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent »

(Mat. 6 : 24)

– « Tout ce que vous ferez à ces petits, au moindre de ces petits, c’est à Moi que vous le faites »

(Mat. 25 : 40)

Nous savons tous que la vie des premiers chrétiens n’a pas du tout été facile. Ils furent en Palestine même, puis au niveau de tout l’Empire romain, à commencer par Damas, soumis à une persécution continuelle et féroce, menée à la fois par les Pouvoirs romains et les Juifs.

Or seul, oui seul, le témoignage de leur foi héroïque a fini par vaincre l’invincible haine des païens, sans pour autant désarmer les juifs. L’Édit de Milan, proclamé en 313 par l’Empereur Constantin, leur reconnaissait enfin le droit de vivre en toute liberté, à l’instar des adeptes des autres religions…

Hélas, c’est de cette date fatidique (313), que commença la chute lente, mais continue. Jusqu’à ce jour, de toute l’Église du Christ Jésus, dans la troisième tentation que Jésus avait violemment rejetée au désert, face au démon ! (Mat. 4 : 8-11)

Un tel diagnostic peut paraître excessif. Qu’il me suffise, d’abord en prêtre catholique, d’inviter tout récalcitrant à lire un livre tout récent, publié en 1997, en trois langues à la fois, l’italien, l’anglais et le français, sur l’initiative du Pape Jean-Paul II, par son ami, le journaliste italien, Luigi Accattoli, sous le titre étonnant : « Quand le Pape demande pardon ». En effet, ce livre reproduit 94 déclarations officielles, faites par le Pape lui-même, un peu partout dans le monde, en des circonstances solennelles. Le Pape y demandait pardon à Dieu et aux hommes, pour, entre autres, les terribles méfaits de l’antisémitisme, de l’embourgeoisement galopant de la hiérarchie ecclésiastique, de l’esclavagisme, des entreprises coloniales appelées Croisades, de l’Inquisition, des génocides perpétrés dans le continent américain, après sa découverte, et plus tard en Australie et en Extrême-Orient, ainsi qu’en Afrique, de la traite des noirs, de l’autoritarisme de l’Église romaine vis-à-vis des pouvoirs politiques, ainsi que des mouvements de la

Réforme, des guerres de Religion, des schismes dans l’Église, tant en Orient qu’en Occident, ainsi que des multiples compromissions avec les dictatures, et des légitimations de toutes sortes d’injustices…

En somme, c’est tout le passé sombre du Catholicisme que le Pape Jean-Paul II a voulu au grand dam de certains cardinaux très haut placés, passer au crible des exigences de l’Évangile, dans un esprit de totale honnêteté intellectuelle et spirituelle.

En outre, en ma qualité de prêtre arabe catholique de Syrie, je trouve de mon devoir de relever le comportement plus que suspect de toute l’Église Catholique d’Occident, vis-à-vis des drames atroces qui ne cessent de ravager de fond en comble, tout le monde arabe surtout, depuis la fameuse déclaration Balfour, faite en (1917), concernant la création en Palestine, de ce qui a été appelé innocemment « le foyer national juif », avec l’ironique précision : « sans aucun préjudice aux habitants autochtones du pays » !…

Est-il donc permis d’ignorer les multiples catastrophes qu’a provoquées, depuis lors, la création de ce prétendu « foyer national juif », non seulement en Palestine même, mais bien au niveau du monde arabe en sa totalité ?

Pour plus d’objectivité, j’invite quiconque à lire l’un ou l’autre des livres d’histoires, écrits à ce sujet, par des écrivains juifs, voire israéliens. J’en cite :

  • — Dominique Vidal, en son livre « Le Péché originel d’Israël » (Paris 1997)
  • — Israël Shahak, en son livre « Le Racisme de l’État d’Israël » (1966)
  • — Gilad Atzmon, en son livre « La Parabole d’Esther » (2012)
  • — Ilan Halévy, en son livre « Sous Israël, la Palestine » (1978)
  • — Ilan Pappé, en son livre « La Propagande d’Israël » (2016)
  • — Israël Shamir, en son livre « Les fleurs de Galilée » (2004)
  • — Charles Enderlin, en son livre « Par le feu et par le sang » (2008)

Mais aussi, pour plus de crédibilité, je cite rapidement les dates des guerres successives : 1948, 1956, 1967, 1973…, la création entre-temps en Israël, par la France et l’Angleterre, du Centre Atomique Dimona, en (1955-1956), les multiples invasions du Liban, à partir surtout de (1982), jusqu’à la guerre au Sud-Liban (2006)… Peut-on aussi passer sous silence, la guerre civile au Liban (1973-1990), la guerre entre l’Irak et l’Iran (1980-1988), l’invasion « programmée » par les États-Unis, du Kuwait par l’Irak (1990), suivie de la guerre interminable menée par la Coalition internationale contre l’Irak (1991-2003…), la soi-disant révolution en Tunisie (fin 2010), puis en Égypte (début 2011), enfin en Lybie (2011), pour couronner le tout par le fameux « Printemps arabe » en Syrie, à la mi-mars 2011 ?

Or, au cours de tous ces enfers successifs, déchaînés contre le Monde arabe, par l’État Criminel par excellence, les États-Unis, pour les beaux yeux d’Israël, jamais, au grand jamais, aucun reproche n’a été fait par l’Église d’Occident, ni aux pays occidentaux responsables, ni à Israël !

Même la récente guerre, déclenchée à Gaza, le 7/10/2023, par la Résistance palestinienne, à laquelle a riposté Israël par un génocide, bel et bien programmé et continu jusqu’à ce jour du 26/2/2024, n’a pas réussi à arracher toute l’Église d’Occident, le Vatican en tête, à son silence de mort. Pourtant l’opinion publique en Occident, jusqu’ici plus qu’anesthésiée par une propagande maniée de main de maître, a rapidement réagi. Les gens déferlent sans relâche depuis des mois, dans les grandes villes, au niveau du monde, proclamant leur solidarité avec les Palestiniens… Même la Cour Internationale de Justice à Lahaye a fini par condamner Israël ! Mais le silence ahurissant de toute l’Église d’Occident se maintient, à l’encontre des exigences les plus évidentes de l’Évangile… et de la simple morale humaine ! 4

D’ailleurs même les réactions tardives du Pape François, face à ce qui se passe à Gaza, restent absolument incompréhensibles. Les évènements de Gaza datent du 7/10/2023. Or la première déclaration du Pape, touchant Gaza, remonte au 16/12/2023, à la suite de la mort de deux femmes chrétiennes, dans l’une des deux églises de Gaza…

Quant à sa seconde déclaration, il la fit début janvier 2024, rien que pour stigmatiser ce qu’il a appelé « le risque de recrudescence de l’antisémitisme » !

Hélas, Sainteté, laissez-moi vous rappeler que l’Antisémitisme a été une pure création de l’Église Post-Constantinienne, qui a fini, en fait, par envahir toute la société occidentale, durant des siècles, pour ne s’arrêter, hélas encore une fois, qu’avec Hitler ! Que tout cela ait laissé au cœur de tout l’Occident, Église et Société, un complexe de culpabilité vraiment morbide, qui ose en douter ? Et qu’il ait nourri chez les juifs en général — déjà « assurés » de leur supériorité sur tous les humains, par suite de leur prétendue « élection divine »… — une haine féroce contre les chrétiens, et par ricochet, contre le genre humain, semble être une évidence…

Faut-il pour autant que l’Église ferme pour de bon, et les yeux et la bouche, sur les crimes innombrables, commis en Palestine et dans le Monde arabe, par « Israël » depuis 75 ans ? Pourtant ces crimes dépassent toute horreur à Gaza. Ils ne sont rien moins qu’une négation radicale de tout ce qui est humain chez l’israélien, et dénient du coup, toute humanité au Palestinien. Est-ce ainsi que l’Église espère se faire pardonner cet autre crime séculaire, qui s’appelle l’Antisémitisme ?

Sainteté, n’est-il pas temps pour l’Église occidentale, de comprendre une fois pour toutes, qu’un crime ne peut aucunement se réparer par un crime pire ! Ne faut-il donc pas crier haut et fort, que si l’Église Post-Constantinienne avait tout simplement imité Jésus en Croix, en pardonnant aux Juifs de l’Empire romain, au lieu de faire édicter des lois anti-juives, dans l’espoir illusoire de les forcer à adopter le christianisme, ce maudit antisémitisme n’aurait jamais existé, et le cours de l’histoire humaine aurait été radicalement différent ?

Enfin, il me faut essayer d’entrevoir l’apport de l’Islam à la civilisation humaine, sous le regard de Dieu.

Face à l’islamophobie qui ne cesse de croître au niveau du monde, particulièrement en Occident, je trouve de mon devoir de prêtre catholique et arabe de Syrie, de rappeler deux vérités historiques sans lesquelles, toute approche risque d’être faussée. La première est récente, et comprend deux volets, la seconde remonte à l’origine de l’Islam, et l’a exceptionnellement accompagné tout au long de l’histoire jusqu’à ce jour.

Le premier de ces deux volets, remonte à la période qui a suivi la 2e guerre mondiale, au cours de laquelle des dizaines de milliers d’Arabes Nord-Africains ont émigré en Europe, surtout en France, dont un bon nombre avait servi dans l’armée française au cours de la guerre. Alléchés par toutes sortes de promesses et d’espoirs, ils ont fini par se faire embaucher dans les travaux routiers et de construction, que les Européens répugnaient à faire… Installés dans les banlieues des grandes villes de France et d’Europe, par suite des mesures discriminatoires prises par les différents gouvernements, la majorité d’entre eux et de leurs nombreuses descendances n’a pas eu la possibilité de s’intégrer pour de bon, dans les différentes sociétés européennes. Ils ont fini par constituer des agglomérations à part, quasi séparées de l’ensemble de la population. En somme, leurs réactions périodiques, massives et violentes, laissent toujours présager des jours sombres à l’avenir, pour quiconque cherche à les « utiliser », ou même à les exaspérer !

Le second volet est tout simplement « l’Islam Djihadiste », créé de toute pièce, au vu et au su du monde entier, par les États-Unis et leurs innombrables valets à travers le monde, dans le but « d’instaurer » dans les pays récalcitrants et opposés à leur Mondialisme féroce, « la Démocratie, la Liberté et les Droits de l’homme » !

Quant à la première vérité historique touchant l’Islam, elle est, comme la seconde, de l’ordre des faits, non de l’ordre de la foi.

Nul n’ignore que les conquêtes musulmanes furent les plus fulgurantes de l’histoire. Mais rares sont, me semble-t-il, ceux qui savent que les conquérants musulmans furent parmi les plus intelligents. Ils en donnèrent la preuve, lors de la conquête de Damas, en 635, et c’est par la suite, lors de la prise de Jérusalem en 639, de l’Égypte en 641, et surtout de Cordoue en Espagne, entre 711 et 1492, qu’ils en donnèrent toute la mesure.

Bref, ils surent respecter leurs engagements auprès des peuples conquis, quant aux habitations, travaux, administration civile, lieux de culte, en échange d’un tribut, qui s’avéra à Damas même, inférieur à celui que les chrétiens de cette ville payaient à leurs anciens maîtres, les chrétiens de Byzance. En outre, à Damas aussi, les musulmans, n’ayant pas de lieux de prière, s’entendirent avec les autorités religieuses pour s’acquitter de leurs prières dans la grandiose Basilique St Jean-Baptiste, qui occupait le cœur de la ville. En toutes ces conquêtes, les musulmans surent collaborer avec les administrations locales, au point de confier certains de leurs postes les plus importants, à des chrétiens ou à des juifs à la fois.

En somme, ce fut une période de collaboration et de convivialité, entre musulmans, chrétiens et juifs, propre aux sociétés musulmanes, telle que l’Occident n’en a jamais connue. Et pour qui a l’ombre d’un doute à ce sujet, je conseille la lecture des historiens juifs, et même israéliens. J’en cite surtout :

  • — Le diplomate israélien Aba Eban, en son livre « Mon Peuple », paru en France en 1975.
  • — Le rabbin juif français, Josy Eisenberg, en son livre « Une Histoire des Juifs », paru en France en 1970.
  • — L’historien juif américain, Abram Léon Zakhar, en son livre monumental « Histoire des Juifs », paru en France en 1973.

Toute cette politique de tolérance, pratiquée par les musulmans dans la plupart des pays conquis, au départ, semble avoir été appliquée aussi partout où l’Islam s’est répandu. Cela n’exclut sûrement pas les explosions de violences et d’injustices, dues, entre autres, à l’ivresse du Pouvoir, ainsi qu’aux humeurs personnelles de l’un ou l’autre des Califes, ou de leurs nombreux représentants… dans leurs immenses empires !

Reste ouverte cependant, la grande question de savoir où ces grands conquérants de l’Islam, ont puisé cet esprit de tolérance et de collaboration, pour avoir créé cette convivialité exceptionnelle, tout au cours de l’histoire, avec les chrétiens et les juifs !

Serait-ce cela le grand défi que notre monde attend, face à une guerre dévastatrice, planifiée par le sionisme international et ses agents secrets, et exécutée par ses valets féroces, dans le but de mettre un terme à l’Islam tolérant, maintenant qu’il a presque anéanti le Christianisme en Occident, tandis qu’il est en train — comme il croit — de le détruire dans tout l’Orient arabe ? C’est alors qu’il pourra proclamer la mort de Dieu, après avoir tué l’homme !

C’est bien le cas de dire : qui vivra verra !

Pr. Elias Zahlaoui

Damas, le 26/2/2024




Le monde dans le filet de la franc-maçonnerie

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Seuls ceux qui reconnaissent à quel point notre beau monde est pris dans le filet des loges maçonniques peuvent comprendre pourquoi tout fonctionne comme on le voit fonctionner. Dans ce discours, le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, explique en détail qui a tissé ce réseau maçonnique et quelles associations en font activement partie. La conclusion de cette découverte passionnante est claire : que tous les États sortent de ce réseau criminel, ou que ce réseau criminel sorte de nos États, à commencer par l’OMS.

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  • 00:00:00 : 1. Introduction d’Ivo Sasek
  • 00:07:26 : 2. L’ONU
  • 00:21:22 : 3. L’OMS
  • 00:27:15 : 4. L’UE
  • 00:31:50 : 5. Le FEM
  • 00:36:34 : 6. Le flux d’argent va toujours dans les mêmes poches !
  • 00:42:10 : 7. City of London
  • 00:45:11 : 8. Federal Reserve (FED)
  • 00:47:18 : 9. La BRI
  • 00:52:39 : 10. Résumé
  • 01:21:10 : 11. @ Vérificateur de faits

Approfondir le sujet :

Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?
https://www.kla.tv/27892

Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme
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Danger mondial — Franc-maçonnerie de haut grade
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La Chine — ce système de domination nous menace tous !
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Des updates pour Greta ! Les vrais tueurs du climat
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Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ?
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Le dossier Tedros – Le chef de l’OMS va-t-il devenir l’homme le plus puissant du monde ?
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Transcription

Avec ce discours, je résume ce que nous avons déjà démontré dans des milliers d’émissions avec des centaines de milliers de sources solides. Je vous en prie, transmettez au plus vite ces informations à vos députés, à tous vos représentants du peuple, à vos politiciens et à vos responsables, car chacun d’entre nous est confronté à une menace existentielle. Et ce qui est valable pour la plus petite entité de notre société doit naturellement l’être aussi pour le grand tout, l’État.

Aujourd’hui, nous allons nous exercer à la pensée fractale. Nos États sont en effet soumis aux mêmes lois que nos arbres et nos plantes. Si nous suivons des yeux les grosses branches principales d’un arbre, nous constaterons que l’intégralité de l’arbre se répète dans chacune d’entre elles. Ainsi, l’image de l’arbre entier est toujours nouvelle même dans ses subdivisions — et pourtant c’est la même image. L’arbre dans son ensemble est en quelque sorte notre pays, ou notre État dans son ensemble. Chaque grosse branche est notre département ou notre canton. En comparaison les branches de plus en plus fines sont nos communautés locales. Chaque fractale est un modèle réduit dans lequel l’ensemble se reflète réellement dans ses parties. Dans les ramifications extrêmes, nous pouvons donc voir notre voisinage et, tout au bout de la branche, les différentes cellules de vie ou familles. Et de telles réalités fractales s’étendent maintenant comme principe d’ordre à travers toute la création, et elles ne s’arrêtent pas à la forme matérielle, mais elles s’étendent comme une loi à tous les domaines immatériels de la vie. De ce point de vue, nous considérons également le fait que tout ce qui est valable pour le petit arbre fractal le plus extérieur doit et est toujours inévitablement valable pour l’arbre entier. Ainsi, tout ce qui nuit à la petite branche nuit également à la branche, et nuit également à l’arbre entier — et tout ce qui nuit à l’arbre entier nuit également à chaque branche et petite branche individuelle. Vous comprenez ? Et avec cette constatation, nous passons maintenant à un événement qui reflète cette loi dans une dimension purement quotidienne. Supposons qu’il nous arrive, là où nous vivons, exactement ce qui est arrivé à de nombreuses familles sans méfiance, du Soudan à l’Ouganda en passant par la République centrafricaine. Il y a là-bas un certain Joseph Kony, c’est son nom, qui promet de n’appliquer que ce qui est écrit dans la Bible ; donc un mouvement religieux. Son mouvement s’appelle l’Armée de résistance du Seigneur, ou LRA. Or, de nombreux membres de familles crédules ont rejoint ce mouvement, pensant qu’il s’agissait d’un mouvement de résistance chrétien qui les autorisait en quelque sorte à lutter contre des forces diaboliques. Mais très vite, ils ont malheureusement dû constater qu’il s’agissait simplement d’un groupe terroriste déguisé en groupe chrétien, et qui attaquait des villages et des villes entières. Qui oblige aussi les gens à le suivre. Donc, au lieu d’une communauté remplie d’esprit, ils ont trouvé un royaume terroriste avec ses propres règles strictes, qui attirent de sérieux problèmes à ceux qui ne les respectaient pas. Mais ce n’est pas tout. Ils ont même recruté des enfants-soldats et des petites filles sont contraintes à la prostitution. Ils attaquent des villages entiers, commettent des attentats contre des institutions gouvernementales, etc. La LRA s’est donc révélée être une organisation extrêmement brutale. Ils ont dix mille meurtres à leur actif. Et ils continuent de tuer. Et maintenant, comme je l’ai dit, appliquons de manière cohérente ces lois fractales : que peut attendre l’arbre entier, c’est-à-dire l’État, de ses fractales les plus petites, si elles sont tombées dans un piège tel que celui tendu par les hommes avec ce Joseph. Oui, s’ils ont rejoint — sans le savoir et sans le vouloir — un groupe terroriste déguisé en groupe chrétien ? Qu’attend papa État ? Oui, tu as raison : du point de vue de l’État, le simple fait d’être membre d’un groupe terroriste suffirait à ce que vous soyez dénoncé, poursuivi, emprisonné et condamné à une lourde amende. Mais comment réagirait tout célibataire sincère, tout couple honnête ou toute famille saine s’il remarquait la moindre tendance à de telles dérives terroristes ? Encore une fois, aucun d’entre nous ne voudrait maintenir une telle relation ne serait-ce qu’une heure de plus. Et vous voyez, ce qui vaut pour la plus petite unité de notre société doit aussi valoir pour l’ensemble, vous comprenez ? Si un système étatique entier s’est trompé en s’associant à une organisation supranationale criminelle, il doit d’autant plus agir de la sorte. Bien sûr, même si ce système étatique a déjà conclu toutes sortes de contrats commerciaux avec cette association terroriste supranationale, et s’est peut-être engagé à effectuer des paiements réguliers de quelque nature que ce soit. Le citoyen individuel ne pourrait pas non plus rester dans un groupe terroriste à cause de tels engagements, vous comprenez ? Tout engagement pris le rendrait d’autant plus coupable s’il retardait pour cette raison sa séparation. Ce qui est très surprenant, c’est que nos systèmes étatiques, en tant qu’arbre entier, ne renoncent pas immédiatement de la même manière à toute association supranationale, chaque fois qu’il s’avère que celle-ci s’est alliée par erreur ou peut-être même consciemment à des organisations terroristes. C’est pourquoi nous examinons aujourd’hui de plus près 12 associations terroristes hautement criminelles dont nos États se sont rendu membres par toutes sortes d’alliances et de traités. Tu demandes si une telle chose existe, n’est-ce pas ? Commençons par l’adhésion à l’ONU, fondée en 1945. Qu’est-ce que l’ONU ?

[1. L’ONU (1945)]

L’ONU est une organisation supranationale qui, lors de sa création et de sa candidature à l’adhésion, s’était vantée de servir ou de vouloir servir uniquement le maintien de la paix mondiale, la sécurité internationale ainsi que la bonne coopération entre les pays, et bien sûr de servir les droits de l’homme, les pauvres, les faibles, même les enfants, de servir tout le monde, cela avait été hautement loué. Et pour entrer dans cette organisation, tous les États membres ont dû depuis lors renoncer volontairement à une bonne partie de leur liberté, de leurs droits souverains et de leur indépendance. La Suisse est également membre de l’ONU, sans aucune connaissance de ce que vous entendez aujourd’hui, et elle y a adhéré le 10 septembre 2002. Mais entre-temps, il s’est avéré que l’ONU ne faisait que simuler toutes ces bonnes intentions. Vous savez, outre d’innombrables témoins, un ancien fonctionnaire haut placé de l’ONU, Calin Georgescu, devenu lanceur d’alerte, a vraiment mis en lumière les secrets les plus sombres, les atrocités et la corruption extrême de l’ONU. Il révèle désormais dans les moindres détails comment les Nations unies sont contrôlées par des oligarques criminels qui ne se contentent pas de truquer les élections pour s’enrichir et asservir l’humanité, mais qui comme nous allons le voir maintenant, se livrent à des actes encore plus cruels. Et il n’y a rien d’étonnant à ce que l’ONU ait été fondée pendant la Seconde Guerre mondiale par deux francs-maçons de haut rang : le président américain Franklin D. Roosevelt de la « Loge Marion N° 70 » et le Premier ministre britannique Winston Churchill qui appartenait à trois loges maçonniques se réclamant de Satan : la « United Studholme Loge N° 1591 », la « Loge Rosemary N° 2851 », mais aussi la « Loge Albion », de l’ancien ordre druidique. Vous voyez, et dès 1948 ces pères fondateurs maçonniques ont désigné très officiellement cette Société des Nations comme leur Loge mondiale. Mais l’ex-fonctionnaire de l’ONU qui témoigne a lui-même été pendant deux ans président international du club maçonnique de Rome. Donc, après plus de 18 ans de service à plein temps, il sait de quoi il parle et relate aujourd’hui devant les caméras comment l’ONU commet en permanence d’innombrables violations imprescriptibles et des crimes contre les droits de l’homme. Selon un vieux dicton « Si on marche avec, on est pris avec ». Pas vrai ?

Selon le lanceur d’alerte de l’ONU Calin Georgescu, les essais nucléaires qui ont détruit la plupart des archipels des Maldives et des îles Marshall entre 1946 et 1958 sont directement imputables à l’ONU. Cela signifie qu’au nom de la sécurité internationale, l’irradiation nucléaire a non seulement détruit toute la population de thons, mais aussi l’espérance de vie des habitants des îles Marshall. Imaginez que ceux-ci vivaient en moyenne 180-200 ans avant le bombardement — cela a été prouvé. Par la suite, l’espérance de vie de ces personnes, qui auparavant ne connaissaient même pas la maladie ou les médecins, a chuté à 35-45 ans en moyenne. Et vous comprenez, ces gens adorables, ne savaient même pas qu’il y avait eu une guerre mondiale. Alors, s’il vous plaît, dites-moi quelle est la différence avec le groupe terroriste de ce Joseph Kony, à part le fait que l’ONU a commis un terrorisme incomparablement plus grave. Mais ce n’est pas tout. Tout comme la bande terroriste de Joseph Kony, les employés de l’ONU violent réellement des femmes et des enfants à grande échelle, et ce de manière répétée. En 2017 déjà, il a été révélé qu’ils avaient violé environ 60 000 enfants rien qu’en Haïti. Mais c’est seulement ce qui est révélé, vous voyez ? L’ex-fonctionnaire de l’ONU et lanceur d’alerte Calin Georgescu témoigne avec force qu’il existe aussi à l’ONU un réseau mondial de trafic d’enfants, d’abus d’enfants et même de sacrifices d’enfants. Et ce n’est que grâce à de tels témoignages que la communauté internationale peut enfin comprendre pourquoi c’est justement l’ONU qui a créé, avec de nombreuses sous-organisations, le Fonds mondial pour l’enfance (UNICEF), qui est censé « s’occuper » de manière si touchante de tous les enfants du monde… Vous voyez ce que je veux dire ?

L’ONU, en collaboration avec l’OMS, demande aux autorités scolaires du monde entier d’apprendre aux enfants en bas âge et aux jeunes enfants à se masturber. Ils recommandent à nos enfants d’utiliser des films pornographiques, ce qui était encore un délit il y a quelque temps, vous vous souvenez ? Ils recommandent différentes techniques sexuelles, comme l’apprentissage de la fellation, aux jeunes enfants, et d’avoir des relations homosexuelles, et tout ce genre de choses. L’ONU et l’OMS demandent donc aux éducateurs d’encourager les enfants à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible et d’aider tous les enfants à trouver des partenaires sexuels. Il existe également des preuves que cela fait partie d’une opération mondiale de normalisation de la pédophilie. Rien d’étonnant à cela. Et maintenant, je répète : montrez-moi la différence avec la secte terroriste de Joseph Kony… sauf que l’ONU et l’OMS, dont nous parlerons plus tard, font des millions de fois pire, dans le monde entier. Vous voyez, le simple fait d’adhérer à l’ONU sans se douter de quelque chose ne devrait pas être considéré comme un crime par un État membre bien intentionné. Mais dès que de telles atrocités de l’ONU comme on vient de l’entendre, sont révélées au grand jour, aucun État membre ne doit avoir la moindre raison de ne pas se retirer immédiatement de cette association terroriste hautement criminelle ! C’est clair ?

Et surtout, aucun État ne doit se taire lorsque de telles choses se produisent, ou s’arroger le droit de rester dans cette organisation criminelle au nom d’un quelconque contrat ou même privilège. C’est exactement le contraire : tout État non coupable doit agir immédiatement, traîner les crimes révélés au grand jour les plus graves devant un tribunal équitable, pour éviter que l’arbre étatique tout entier ne tombe dans la complicité de crimes internationaux. Et si des États membres trompés et maintenant éclairés devaient avoir l’idée de maintenir cette organisation criminelle en vie, de la réformer en quelque sorte, au nom de son beau nom ou des innombrables contrats signés, il faudrait alors, en pensant en termes fractals, accorder le même droit à toutes les associations terroristes bien plus inoffensives, comme celle de Joseph Kony, par exemple, n’est-ce pas ? Elles aussi ont des noms et des contrats prometteurs. Il ne viendrait à l’idée de personne sous ce ciel de maintenir une organisation terroriste après avoir simplement changé la tête et quelques-uns des complices de cette bande d’assassins, vous comprenez ? Seuls des esprits dérangés, qui ont déjà incité des États entiers à devenir membres de réseaux terroristes dominant le monde, peuvent avoir des idées aussi perverses. Mais ceux-ci, pensés de manière fractale, devraient être punis d’autant plus sévèrement que l’arbre entier est plus lourd que sa branche fractale extrême, et même que sa plus petite représentation. Il convient de mentionner que c’est la même organisation secrète maçonnique qui a fondé l’ONU en 1945, puis l’État d’Israël trois ans plus tard et la Communauté européenne (CE) en 1957. Or, comme vous le savez, chaque franc-maçon du plus haut grade se réclame de Lucifer ; c’est son dieu. En d’autres termes, il s’agit d’adorateurs du diable, vous saisissez ? Des adorateurs du diable qui ont fondé non seulement les institutions que je viens de mentionner, mais aussi toutes ces institutions et bien d’autres encore. En effet, ils ont fondé la FED (Federal Reserve), l’OMS, l’OTAN, la NASA, le FEM, l’UE, l’œcuménisme, mais aussi l’ensemble du système éducatif avec toutes ses universités. Ils ont également créé l’ensemble du secteur de la presse et l’industrie de l’édition, mais aussi les plus grandes maisons d’édition de livres, l’ensemble de toute la machine télévisuelle et hollywoodienne avec son contrôle FSK et je ne sais quels autres organismes de contrôle. Il ne faut pas non plus oublier ces sociétés secrètes maçonniques, fondatrices de toutes les principales agences de presse du monde, qui alimentent jour après jour leurs médias mainstream, je dis bien leurs médias mainstream, avec leurs trucs. Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont également fondé de nombreux services secrets, et même la recherche sociale comme l’École de Francfort et bien d’autres choses encore. Mais nous allons d’abord nous pencher sur d’autres machinations hautement criminelles issues de toutes les fondations maçonniques que nous venons de mentionner, et plus tard, nous nous pencherons encore sur les coûts que l’ONU maçonnique à elle seule nous fait supporter chaque année. Les peuples, enfermés et généralement déjà intégrés dans les autres constructions de sociétés secrètes que nous venons de mentionner, livrent sans cesse leurs impôts durement gagnés aux mêmes oligarques. C’est ce qu’il faut comprendre aujourd’hui.

Comme nous le verrons par la suite, dans le monde entier une seule et même société secrète luciférienne s’est infiltrée depuis des siècles dans tous les postes importants de notre société. Et leurs méthodes sont toujours les mêmes : mensonges, tromperies, et ce par principe. En règle générale, ils font exactement le contraire de ce qu’ils promettent. Et pour eux, les êtres humains ne sont rien de plus, rien de moins que du bétail ou des machines, ce sont simplement des marchandises qu’il faudrait réduire à 500 millions d’entre nous. C’est ce qu’ils disent ouvertement. Et cette secte luciférienne, qui s’est formée depuis des siècles dans des structures de sociétés secrètes, domine vraiment tous les peuples du monde. Certes, ils mettent constamment en avant des slogans qui parlent de démocratie, de tolérance, de fraternité, voire de liberté. Mais ils manipulent nos politiciens et toutes les structures devenues imaginables par des méthodes astucieuses. Les paroles et les actes ne concordent pas, mes chers amis. Et ce ne sont pas les peuples qui les contrôlent, mais eux qui contrôlent les peuples. C’est ce qui est le plus grave ! Et tout cela se fait à l’insu du grand public, au mépris de tout droit ou de toute constitution en vigueur. Et tout ce qu’ils font, ils le font soit sans aucun mandat politique, soit sans mandat des peuples, soit au moins par la méthode déjà mentionnée qui consiste à obtenir hypocritement l’adhésion d’États de bonne foi et sans méfiance. Tout ce qu’ils font et manipulent passe complètement à côté de la conception qu’a le peuple de la justice. J’ai dit le peuple ! Ils nous imposent sans cesse de nouvelles lois, sans tenir compte des principes démocratiques. Ils exercent une influence toujours plus grande sur nos écoles, sur nos enfants — et ce, de manière conséquente, en ignorant tous les parents, les enseignants et les représentants légaux.

Il s’agit donc d’une conspiration solide qui passe outre tous nos responsables et toute responsabilité. Dans d’innombrables émissions de Kla.TV, nous avons démontré que les institutions suivantes ont toutes été fondées par cette société secrète de la franc-maçonnerie de haut niveau, organisée de manière luciférienne. Et comme nous allons le voir, ces associations secrètes se comportent les unes comme les autres, de manière hautement criminelle, et c’est le cas de l’OMS. C’est à elle que nous allons nous intéresser maintenant.

[2. L’OMS]

L’Organisation mondiale de la santé est une organisation spéciale de l’ONU fondée en 1948, dont nous venons de prouver l’origine maçonnique. Et ces mêmes 193 États membres de l’ONU sont également les membres de l’OMS, qui doivent payer chaque année des cotisations fixées. Et ce secteur maçonnique engloutit lui aussi plusieurs milliards de dollars par an. Mais passons maintenant au côté criminel : l’actuel directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a été pendant de nombreuses années un dirigeant d’une organisation terroriste communiste. Celle-ci porte le sigle TPLF, et elle est même officiellement répertoriée comme organisation terroriste dans la base de données mondiale des terroristes. Le TPLF est une organisation violente qui a provoqué ou participé à de nombreux enlèvements, prises d’otages et massacres. Ses membres ont vraiment commis les plus graves violations des droits de l’homme au cours de leurs presque 30 années de règne. Et maintenant, que l’OMS nous explique quelle est la différence par rapport à l’organisation terroriste de Joseph Kony en Afrique centrale !

Avant même l’expérience du Covid-19, explicitement soutenue par l’OMS, qui a fait des millions de victimes et des centaines de milliers de morts, c’est l’OMS qui a rendu stériles des millions de femmes au Kenya et dans d’autres pays en ajoutant des substances nocives pour la grossesse dans les vaccins antitétaniques. C’était l’OMS !

L’OMS a également tenté de dissimuler ses vaccins nocifs contre le paludisme en violant gravement les normes éthiques internationales lors de l’évaluation de l’étude. Et en collaboration avec l’organisation maçonnique GAVI, fondée au FEM, l’OMS tente en ce moment même d’inonder littéralement l’Afrique avec un vaccin contre le paludisme.

Le cheval de bataille de GAVI est d’ailleurs l’ID 2020, dont l’objectif est de doter chaque personne dans le monde d’une identité numérique propre — autrement dit, de la rendre transparente à 100 %. Pour moi, ce n’est rien d’autre qu’une sorte de voyeurisme politico-économique, vous comprenez ! Mais revenons maintenant aux crimes vaccinaux de l’OMS et de GAVI : car une fois de plus, des études à ce sujet ont pu démontrer que les personnes vaccinées par l’OMS présentent un risque dix fois plus élevé de méningite ou de malaria cérébrale et un risque de mortalité deux fois plus élevé. Que des juges et des procureurs compétents montrent aux peuples la différence avec les dizaines de milliers de personnes assassinées par la bande terroriste de Joseph et qu’ils nous expliquent pourquoi ils n’ont pas demandé des comptes à ceux qui ont causé des dommages et des assassinats X fois plus nombreux ! Mais l’OMS n’est pas seulement couverte par ses amis francs-maçons, c’est-à-dire par toutes les organisations maçonniques environnantes, l’OMS elle-même couvre à son tour ses amis de Big Pharma, c’est-à-dire les fabricants de vaccins. En effet, l’OMS a exempté les fabricants de vaccins du paiement de dommages et intérêts en cas de dommages causés par des vaccins défectueux. Vous voyez comment ça marche ? Comme toujours, une main maçonnique en lave une autre, vous voyez ? Et en ce moment même, cette OMS criminelle est en train de concocter un traité international sur les pandémies avec tous ses copains de la société secrète. Ils essaient de faire de leur chef terroriste de l’OMS, Ghebreyesus, le seul et unique souverain du monde par ce biais. C’est une voie intelligemment conçue vers la dictature de la santé. Vous devez le comprendre. Ces nouvelles lois, qui sont une fois de plus concoctées derrière des portes closes en ignorant totalement chaque peuple, doivent avoir force de loi pour le monde entier dans quelques mois. C’est ce qu’elles essaient de faire. Mais ils ne pourront le faire que si nous, les peuples trompés, ne nous opposons pas de toutes nos forces. Et la seule chose correcte que tous les éléments fractals de cet arbre mondial doivent faire maintenant, c’est exactement ce que chaque État du monde exigerait d’un allié terroriste de Joseph Kony : comme pour l’ONU, nous devons nous retirer immédiatement de cette organisation terroriste qu’est l’OMS ! C’est comme ça que ça marche ! Et en même temps, nous devons mettre les criminels qui la dirigent sous les verrous. Il ne suffit pas d’expulser l’OMS de tous nos pays, car même les plus petits terroristes sont traités avec beaucoup plus de sévérité. Nous devons exproprier totalement l’OMS et y mettre un terme. Tout le reste serait totalement inapproprié, je le dis. Nous ne l’accepterions jamais, ne serait-ce que pour un Joseph Kony et son organisation terroriste. Mais nous allons maintenant faire un pas de plus vers l’UE.

[3. L’UE (01.11.1993)]

Au fait, qui a fondé l’UE ?

C’était en 1993. Tout d’abord, tout le développement de l’UE était basé sur le plan Coudenhove-Kalergi, qui était un membre de la loge maçonnique Humanitas de Vienne. Et c’est avec sa proposition de créer une Paneurope que la presse maçonnique mainstream a attiré l’attention internationale dès 1922, alors que Kalergi n’avait que 28 ans. Et vous voyez, ils font la même chose aujourd’hui avec tous les Young Global Leaders formés en secret.

Puis, des francs-maçons de haut niveau comme les Français Robert Schuman et Jean Monnet sont entrés en scène. Et c’est de ce dernier que vient la fameuse méthode Monnet. Il s’agit de cette politique d’intégration progressive et délibérément insidieuse, qui a finalement conduit à la naissance de l’UE. Je n’ai pas le temps de parler ici des cofondateurs, Paul-Henri Spaak de Belgique, et Altiero Spinelli d’Italie.

Comme c’est typiquement le cas pour ces sociétés maçonniques, elles ont introduit en 2012 le Mécanisme européen de stabilité en abrégé MES, afin de maximiser leurs profits et leur pouvoir. Mais celui-ci s’est avéré être une mine d’or pour leurs banques, et non pour le peuple : les banques ont d’abord pu prêter de l’argent à la Grèce via le MES. Et lorsque la Grèce n’a plus pu payer, ce qui était prévisible, les autres États de l’UE ont dû intervenir via le MES, donc PAS les banques maçonniques ! Comprenez-vous cela ? Dans le cadre du sauvetage de la Grèce, les États de la zone euro et le FMI ont transféré 207 milliards d’euros, dont 170 milliards ont été versés, comme on pouvait s’y attendre, au secteur financier.

L’UE commet en outre des crimes très graves contre la population civile. Et au plus tard avec ses sanctions sévères, l’UE s’est déjà révélée être une association terroriste en Syrie en 2011, et une association qui déclenche des catastrophes humanitaires. Pourquoi ? Les biens médicaux n’étaient tout simplement plus disponibles en quantité suffisante pour la population innocente à cause de l’UE. De nombreuses installations d’électricité et d’eau ainsi que des hôpitaux ont dû fermer faute de composants et d’essence, l’approvisionnement en nourriture n’était plus suffisant, de nombreuses personnes ont perdu leur emploi parce que les marchandises/produits nécessaires n’étaient plus disponibles, même l’eau potable et l’électricité ont dû être rationnées. Tout cela à cause de l’UE. Vous comprenez ?

Et aujourd’hui, l’UE participe à nouveau à la guerre en Ukraine, en injectant pas moins de 50 milliards dans cette guerre depuis le début. Mais l’UE a également participé directement à la livraison d’armes. Peu après le lancement de l’offensive militaire russe en Ukraine, l’UE a pris la décision historique d’utiliser l’argent d’un fonds relativement nouveau, le Fonds européen pour la paix, FEP, pour soutenir l’Ukraine. Pour la première fois, ce fonds a été utilisé pour fournir des armes létales, c’est-à-dire des armes potentiellement mortelles, à un pays tiers. En a-t-elle le droit ? Non, elle n’en a pas le droit.

L’UE se révèle de plus en plus clairement être un instrument maçonnique de démantèlement de la démocratie et de la souveraineté dans ses pays membres. C’est ainsi. Environ 80 % des lois de ses pays membres sont désormais dictées par l’UE, c’est-à-dire par sa commission non élue par le peuple. Les pays membres qui s’en écartent sont soumis à de lourdes sanctions. Je dis qu’on ne peut pas faire plus sectaire. Comprenons-le enfin.

[4. FEM (24.01.1971)]

Nous allons maintenant faire un pas de plus vers le FEM, qui a été créé le 24 janvier 1971.

Le Forum Économique Mondial, ou FEM, est une plate-forme de dirigeants d’entreprises et de stratèges mondiaux, fondée par l’élite financière franc-maçonne de haut niveau, comme les Rothschild ou la dynastie Rockefeller. La société secrète du FEM souhaite mettre en place une société technocratique. Mais elle travaille aussi avec acharnement à un objectif, qui s’appelle Great Reset, et ce avec toute l’humanité. Et maintenant, tout le monde connaît le livre Great Reset de Klaus Schwab. Mais presque personne ne sait qu’un frère de loge satanique notoire et franc-maçon de haut rang a publié en même temps un ouvrage presque identique. Une simple coïncidence, bien sûr. Non, l’Italien Giuliano Di Bernardo est un franc-tireur invétéré. Et en tant que Grand Maître de plusieurs associations maçonniques, comme le Grand Orient d’Italie et la Grande Loge Régulière d’Italie, il a notamment créé l’Académie des Illuminati et le soi-disant Ordre de la Dignité. En accord avec ses objectifs, le FEM annonce maintenant ouvertement le transhumanisme luciférien et nous assure à tous : Vous ne posséderez rien, vous devrez vous en contenter et en être satisfaits. De telles déclarations viennent de là. Le FEM a également dévoilé ouvertement ses objectifs pour 2030 — je les répète ici en quelques mots : la création d’un gouvernement mondial unique — très démocratique — une monnaie mondiale contrôlée sans argent liquide — la fin de toutes les souverainetés nationales, encore une fois très démocratique, non ? — la fin des élections régulières, car elles devraient être remplacées par l’intelligence artificielle, super, non ? — la fin de toute propriété privée — l’abolition des transports privés — un système mondial de crédit social — comme en Chine — le contrôle de la croissance démographique, c’est-à-dire la dépopulation — l’identité numérique de chaque être humain, j’en ai déjà parlé, ID 2020 — la souveraineté absolue du mainstream par la censure des médias indépendants, tout cela ouvertement documenté — la création d’un nouvel être humain par la fusion de l’homme et de l’IA, c’est-à-dire l’intelligence artificielle et le transhumanisme. Les autres objectifs du FEM sont la mise en place d’une technocratie — le Green Deal pour imposer une économie planifiée centralisée, nous aimons tous ce mot, qui équivaut au socialisme pour la gestion étatique de tous les domaines ; le prétexte est bien sûr la folie climatique qu’ils ont eux-mêmes attisée. Regardez à nouveau les émissions très instructives et bien documentées qui apparaissent à l’écran. Vous trouverez également les liens à ce sujet sous l’émission.

Il est donc prouvé que le Forum économique mondial (FEM), tout comme le Club de Rome, la Commission trilatérale ou le Bilderberg, etc. est un véritable bastion de la franc-maçonnerie par excellence. Et c’est pourquoi le FEM est protégé par une immunité et des privilèges à Genève, en Suisse, c’est clair. Selon leur accord avec le gouvernement suisse, leurs archives semblent inviolables, ce qui leur permet bien sûr de planifier et d’organiser sans transparence le mouvement des fonds au sein de leur réseau.

Selon l’expert financier Ernst Wolff, le FEM profite aussi particulièrement du droit moderne des fondations. Selon lui, ce système a été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. De plus, il est possible d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires — là encore, c’est très démocratique, vous entendez ?

Le flux d’argent va toujours dans les mêmes poches !

Cela veut dire, chers amis, qu’il est urgent que nous comprenions qu’il existe des dizaines d’institutions maçonniques au total, qui ponctionnent vraiment la population mondiale de tous les côtés, avec une préférence pour l’argent de nos impôts, par le biais de taxes directes, mais aussi de plus en plus indirectes, comme actuellement par exemple dans le commerce de l’énergie.

Celui-ci s’étend de plus en plus sous nos yeux, passant par exemple du commerce du mazout et des carburants au commerce des émissions — c’est-à-dire les taxes environnementales, les impôts sur le CO₂, les pénalités climatiques, etc. Mais avant de nous pencher sur les méthodes d’arnaque à grande échelle, totalement invisibles à l’œil nu, je vais résumer les coûts des constructions maçonniques supranationales mentionnées jusqu’à présent, juste ce que nous avons déjà entendu :

[Coûts de ONU]

Les coûts de l’ONU par exemple. Les coûts de fonctionnement interne de l’ONU s’élèvent à environ 3,47 milliards de dollars en 2024. Pour les 193 États membres, cela représente une moyenne de 18 millions par an. Or, l’Allemagne paie chaque année dix fois la moyenne, soit 200 millions ! Seulement le fonctionnement interne. La Suisse paie 40 millions par an rien que pour le budget de l’ONU ! Mais c’est maintenant que les chiffres et les coûts réels apparaissent.

Pour financer l’Agenda 2030 de l’ONU, ils ont l’intention, selon leurs propres dires, de nous soutirer 5 à 7 billions de dollars supplémentaires par an. C’est en moyenne un 6 suivi de 12 zéros, vous comprenez ? Et l’article 17 de la Charte des Nations unies stipule que les dépenses de l’organisation sont à la charge des États membres, c’est-à-dire de nous, les contribuables. Calculons ce que cela nous coûte chaque année :

7 billions divisé par 193 donne « selon Adam Riese » 36 milliards de dollars en moyenne. Comme nous venons de le voir avec la répartition inégale des coûts internes des ménages, certains contribuables, comme les Allemands, devraient être un peu plus « privilégiés »… Mais même avec une consommation annuelle moyenne de « seulement » 36 milliards, l’Agenda 2030 prélèverait 430 dollars par an et par personne sur le contribuable allemand ! Pour une famille avec trois enfants, cela représenterait 2 150 dollars par an… Donc chaque année, rien que pour ces deux postes financiers de l’ONU, de très bonnes vacances seraient tout simplement supprimées… Vous comprenez cela ?

[Coûts de l’UE]

Nous en venons maintenant aux coûts de l’UE. Les dépenses de l’UE pour la période 2021-2027 s’élèvent au total à, écoutez bien : 1 824,3 milliards d’euros. La traduction de documents dans les 24 langues officielles de l’UE coûte donc à elle seule 100 millions d’euros par an. Si ces « philanthropes », comme ils aiment à se présenter, distribuaient ces presque 2 billions d’euros, ainsi que les 6 billions annuels pour l’Agenda 2030, directement aux bouches affamées du monde, vous savez que nous n’aurions plus de famine pendant des décennies, le croyez-vous ? Sur toute la planète. Vous comprenez ?

Mais même nos contribuables suisses, qui ne sont même pas encore membres de l’UE, se voient prélever par ces suceurs de sang une contribution à la cohésion de 2 milliards au total.

Et celle-ci nous ponctionne déjà 229 CHF par an et par personne, et même par nourrisson ! Pour ma famille nombreuse avec petits-enfants, cela représente 6 870 CHF par an…

[Coûts du FEM]

Venons-en maintenant aux coûts du FEM. Environ 2 500 personnes ont participé au FEM 2024. Ces dernières années, l’armée suisse a mis à disposition 20 à 30 millions de francs suisses par an pour cet événement. Mais à cela s’ajoutent 9 millions de francs supplémentaires pour couvrir les services de police et autres frais de sécurité. Pour cette secte, vous comprenez ? Maintenant, passons directement à autre chose.

[Coûts de l’UNESCO]

L’UNESCO est principalement financée par les contributions obligatoires de ses États membres. Pour les années 2022 et 2023, l’UNESCO disposait de 1,5 milliard de dollars américains. Vous voyez ces chiffres ? Toujours dans les mêmes poches.

Et maintenant, comme promis, nous en venons aux quatre plus grandes structures de pouvoir de cette société secrète maçonnique, qui sont en même temps les plus invisibles pour nous tous, et ce, avec les tributs gigantesques qu’elles exigent de nous en permanence :

[5. La City of London (43 apr. J.-C.)]

[Centre financier de la pieuvre]

Nous parlons maintenant de la City of London. Vous connaissez ? La City of London a été fondée, tenez-vous bien, par les Romains en 43 après J.-C. et s’appelait alors Londinium. Je ne me suis pas trompé. 43 ans après Jésus-Christ. Alors, il ne faut jamais oublier que quelques années plus tard, Rome est tombée. Il s’agissait déjà d’un mouvement clandestin. C’est en 1140 après J.-C. que le précurseur de la City of London Corporation a été créé, qui gère encore aujourd’hui la City of London. Et cette City est un État à part entière, comme le Vatican par exemple, et ne doit donc pas être confondue avec l’Angleterre ou la Grande-Bretagne que nous connaissons. Le wiki maçonnique — le lexique — révèle cette compagnie à la première ligne avec ces mots. Je cite : « Vénérable compagnie des francs-maçons ». Bien compris ? Pas étonnant, puisque la City of London est contrôlée par les Rothschild. Et là encore, on en revient à l’aspect criminel. En effet, depuis 1815, les Rothschild et leur cartel bancaire ont pratiquement toujours financé les deux camps de chaque guerre. Donc, rien que cela a coûté la vie à plus de 85 millions de personnes pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale. D’autres victimes sont à déplorer dans les guerres financées par Rothschild : guerres ottomanes, 9 millions de morts ; Révolution russe : 14 millions de morts ; Seconde Guerre mondiale : plus de 70 millions de morts, auxquels s’ajoutent 7 millions de viols ; Guerre du Golfe : 100 000 morts ; Vietnam : 3 millions de morts, 7 millions de blessés… Je pourrais en citer d’autres.

Mais parlons maintenant de la City of London elle-même, contrôlée par les Rothschild : Je dis qu’elle est leur premier centre financier mondial. Et plus de 500 banques font des affaires dans le Square Mile, la City of London. Cela veut dire que la City of London est un aimant pour l’argent de l’évasion fiscale du monde entier. A la City of London, des milliers de comptables et d’avocats sont exclusivement occupés à ouvrir de nouvelles brèches aux super-riches. En d’autres termes, les multinationales, à l’aide des spécialistes londoniens, mettent leurs bénéfices à l’abri dans ce qu’on appelle des paradis fiscaux. Et cela coûte chaque année aux pays pauvres, je dirais — et c’est un euphémisme — 170 milliards de dollars. Ce chiffre n’est probablement pas exact, il doit être revu à la hausse.

[6. FED (23.12.1913)]

Nous arrivons maintenant à la Réserve fédérale, la FED.

Et maintenant, en ce qui concerne les pertes financières, c’est encore plus frappant :

La Réserve fédérale, fondée en 1913, était déjà la troisième banque centrale des francs-maçons Rothschild en Amérique. Pour obtenir le soutien de l’opinion publique, ils ont alors affirmé de manière mensongère que seule une banque centrale pourrait résoudre les problèmes d’inflation et de déflation. En principe, il n’y a rien de mal dans cette phrase, elle est juste entre de mauvaises mains. Mais les francs-maçons, c’est bien connu, racontent toujours en public l’exact contraire de ce qu’ils ont réellement l’intention de faire. Il faut le comprendre. Car l’idée derrière les banques centrales de Rothschild était justement, dès le début, de pouvoir manipuler le flux monétaire de telle sorte que ces banques puissent elles-mêmes générer de l’inflation et de la déflation à volonté. Vous comprenez ? Avec leur système de réserves fédérales, ils se sont également arrogé le droit attesté de créer de l’argent à partir de rien, pour le prêter ensuite à des intérêts et des intérêts composés coûteux… vous connaissez l’histoire. Lors de la promulgation de la loi sur la Réserve fédérale le 23 décembre, le membre du Congrès Charles Lindbergh a déclaré, je cite : « Un pouvoir monétaire invisible est ici légalisé, le plus grand crime de tous les temps est exercé par ces législateurs bancaires et monétaires. » Fin de citation.

Il avait raison, car la FED est immédiatement devenue la mère de toutes les inflations. Entre de mauvaises mains, comme je l’ai dit. Elle avait déjà provoqué la Grande Dépression dans les années 1930, c’est-à-dire la pire crise économique du XXe siècle. En raison de cet effondrement délibéré, des millions de personnes se sont retrouvées sans emploi et ont perdu leur fortune. Ce n’est que le sommet de l’iceberg.

On avance, on passe à la BRI et à ses crimes.

La Banque des règlements internationaux, ou BRI, a été fondée en 1930 à Bâle, en Suisse. Et pourquoi cela ? Pour s’assurer que l’Allemagne paierait ses réparations aux superpuissances de la Première Guerre mondiale. Mais écoutez bien : cette même BRI avait auparavant contribué à financer les préparatifs de guerre du Troisième Reich par des crédits et avait soutenu les raids nazis en amont. Vous comprenez ? En recevant par exemple l’or qu’ils avaient volé et en le transformant en devises. Et comme nous l’avons déjà mentionné, les banques Rothschild ont toujours financé les deux camps de la guerre, — et nous voyons ici comment elles le font après la guerre. Aujourd’hui, il n’y a plus que deux ou trois pays dans le monde dont la banque centrale est restée indépendante de la propriété ou du moins du fort contrôle des Rothschild. La BRI a donc contribué, dans le dos du public, à l’organisation de la Seconde Guerre mondiale, au cours de laquelle plus de 70 millions de personnes ont d’ailleurs perdu la vie, et elle n’a pas manqué une occasion de s’enrichir elle-même.

Plus tard, la BRI a joué un rôle décisif dans la création de la Banque centrale européenne, la BCE, et a contribué à poser les jalons de la crise de 2007/2008 et de la crise de l’euro qui a suivi, en faisant en sorte que les conséquences de ces deux crises ne soient pas répercutées sur leurs responsables, à savoir les grandes banques et les fonds spéculatifs, mais sur la population active. Sur toi et moi.

Et ainsi, nous pourrions encore citer beaucoup d’autres institutions maçonniques avec leurs crimes, car nous n’avons pas encore dit un mot, par exemple, des trois plus grandes agences de presse, l’AP, Reuters et l’AFP avec leur système mainstream interconnecté au niveau mondial. Nous n’avons pas non plus parlé de tout le système de téléphonie mobile avec ses technologies Wifi, Smart et de surveillance, ni du bastion maçonnique de Washington DC ; pas un mot non plus sur le WWF, Amnesty International (il y aurait aussi beaucoup à dire), et encore moins sur le Vatican, qui est soutenu par toute l’infrastructure maçonnique mentionnée ici et qui, en tant que chef non négligeable de toute l’histoire, influence toute la construction mondiale du point de vue religieux. Il a pour mission de faire entrer le tout dans le culte de Lucifer. Retenez bien cette phrase !

Il y aurait également beaucoup à dire sur l’UNESCO maçonnique, car elle sacrifie dans notre dos d’immenses surfaces, par exemple des réserves naturelles, pour des mines d’uranium. L’UNESCO a par exemple approuvé une modification des frontières d’une réserve naturelle en Tanzanie, de sorte que l’uranium peut désormais être extrait dans la réserve pour approvisionner les centrales nucléaires, etc.

Ou encore le Pentagone. Le Pentagone, il faut l’appeler une loge maçonnique militaire. En arrière-fond, vous voyez le bilan de quelques guerres du Pentagone. Toutes des œuvres maçonniques. Cette autorité, la plus puissante du monde, a en effet tué lors de bombardements près de 14 millions de personnes depuis 1945. Et maintenant, ça continue. Même Hollywood, une autre fondation maçonnique, travaille pour le compte du Pentagone. Des documents nous révèlent comment Hollywood encourage les guerres pour le compte du Pentagone, mais aussi de la CIA, de la NSA, etc. Les services secrets militaires américains ont directement influencé pas moins de 1 800 films et émissions de télévision. Les scénarios, tout. L’institution du Pentagone coûte vraiment cher au monde, et en particulier aux États-Unis. Car juste un jour (voici un exemple en gras) un jour avant le 11 septembre, avant la catastrophe des tours, le secrétaire américain à la Défense de l’époque, Donald Rumsfeld, a déclaré lors d’une conférence de presse que 2,3 billions de dollars américains avaient disparu sans laisser de trace au Pentagone — écoutez bien —. Donc 2 300 × 1 milliard de perdu, ou en d’autres termes encore une fois : 2 300 × 1 000 millions. Nous ne pouvons pas saisir ces chiffres. Un jour plus tard seulement, les tours jumelles, y compris le WTC 7, ont été englouties dans la poussière nucléaire — et avec elles toutes les preuves, ou du moins d’innombrables preuves.

[Résumé simplifié]

Bien que cela prenne un peu plus de temps, j’aimerais résumer l’ensemble en mots plus simples.

Tout ce que cette secte de sociétés secrètes a construit pendant des siècles détermine aujourd’hui notre politique, notre science, notre religion, notre système de santé, notre système d’éducation, et même tout notre système de sécurité, et ce jusqu’à la justice, jusqu’à l’armée, etc. Et tout ce que fait cette secte luciférienne, comme j’aime l’appeler, complètement à l’insu du peuple. Mais ça va également à l’encontre de tout droit en vigueur, de toute constitution en vigueur. Elle ignore tout mandat politique donné, elle ignore toute compréhension de la justice par le peuple, j’ai dit « le peuple ». « Le peuple » cherche la justice pour lui-même, il ne la cherche, pas pour des oligarques, à l’encontre de tous les principes démocratiques. En Suisse, cela a été particulièrement clair avec le refus… c’est-à-dire lorsque le Conseil fédéral a tout simplement refusé de mettre en œuvre l’expulsion du flot d’étrangers, etc., alors qu’il avait été habilité à mettre en œuvre les initiatives populaires, ce Conseil fédéral. Il ne met pas en œuvre les décisions populaires, vous comprenez, et au lieu de destituer l’ensemble du Conseil fédéral, de le révoquer immédiatement ou, mieux encore, de le traduire en justice pour haute trahison, mais au moins de le révoquer sur-le-champ, nous, les Suisses, nous nous sommes laissés entraîner à lancer une initiative dite de mise en œuvre, nous en sommes encore là. Récolter à nouveau 100 000 signatures signifie donc dire une fois de plus au Conseil fédéral, qui y est légalement tenu, que les décisions fermes du peuple, les décisions démocratiques, doivent maintenant être réellement mises en œuvre. Vous voyez comment ça se passe, rien n’a changé depuis. J’en ai suffisamment expliqué la raison. Comme vous le voyez, ils passent outre à tout principe démocratique, mais aussi à tous les parents, même aux enseignants et aux chargés de cours ou aux délégués, quels qu’ils soient. Ces têtes maçonniques passent outre et manipulent tous les responsables, contournent toute responsabilité. Et c’est pourquoi de nouvelles décisions populaires sont d’urgence nécessaires et inévitables. Je dis : finissons-en avec l’immunité, finissons-en avec l’invisibilité de ces éléments dirigeants qui corrompent le peuple. Avant que ces vicieux de la domination mondiale ne déclarent définitivement le citoyen transparent, je dis que les peuples doivent déclarer une visibilité obligatoire de toutes ces structures sectaires. Il faut rendre visible qui appartient exactement à quel club, à quel parti, à quelle religion ou à quelle secte. Je dis que le peuple doit déclarer une interdiction totale des sociétés secrètes. Il faut qu’on voie clairement avec qui de nos responsables légaux les personnes influentes de ces lobbyistes lucifériens entretiennent des contacts, vous comprenez.

Ces personnes doivent rendre transparents tous les flux financiers. Où vont par exemple toutes nos taxes sur l’alcool, le tabac, le climat, etc. Est-ce qu’elles atterrissent vraiment dans nos caisses de maladie, en premier, oui ? Les lanceurs d’alerte de l’ONU ont clairement déclaré que des milliards sont constamment utilisés pour renforcer le pouvoir de cette secte et jamais pour lutter contre la pauvreté, la faim ou quoi que ce soit d’autre, les choses qui ont été mentionnées précédemment. Tous les peuples doivent donc savoir combien de milliards de leurs impôts vont dans la construction maçonnique de haut niveau, par exemple l’ONU et ses bâtiments. Les peuples doivent déclarer une année de rémission en raison du pillage des oligarques. Des référendums qui déterminent que toutes les dettes des États, qu’ils ont contractées par ignorance, qu’ils ont envers les 1 % les plus riches de ces oligarques, soient tout simplement effacées. Voilà, fini, vous comprenez ? Il faut travailler à de telles décisions populaires dans le monde entier. C’est pourquoi nous devons informer l’humanité de ce qui se passe ici pour des milliers de milliards de vols permanents, j’ai dit des milliers de milliards, pas des milliards. Et avant qu’ils ne puissent nous dépouiller de tous nos biens lors du Great Reset, il faut que les peuples récupèrent toutes les terres de ces grands profiteurs de la crise. Exemple : Bill Gates est devenu le plus grand propriétaire terrien privé des États-Unis avec plus de 108 000 hectares de terre. D’autres sources parlent même de bien plus depuis le Covid. Mais la couronne britannique en possède beaucoup plus, à savoir environ 2,5 milliards d’hectares, cette maison royale maçonnique qui a toujours usurpé tous les pays. Ce sont les têtes, vous comprenez. Mais il faut aussi, par des décisions des peuples, déclarer un arrêt total de toute géo-ingénierie. Il faut rendre public l’ensemble des épandages qui ont eu lieu, avec par exemple des données précises sur les millions de tonnes et des indications sur le contenu exact de ce qui a été pulvérisé sur nous. Sur les peuples ignorants. Les peuples doivent destituer toutes les ONG et organisations supranationales qui ont acheté nos gouvernements et ainsi trompé le peuple. Il faut une sortie totalement cohérente de toutes ces structures et organisations secrètes lucifériennes. Tout le baratin sur le sauvetage du climat mondial provient du même milieu luciférien, orchestré par les mêmes sociétés secrètes, qui se réunissent chaque année à Davos, en Suisse, avec leurs marionnettes et leurs pions. La Suisse ne doit plus jamais financer cette secte, ni même l’admettre sur son territoire.

Je continue à résumer, avec des mots plus simples encore une fois. Je vous prie, je vous en conjure, portez ces témoignages aussi vite que possible à tous vos députés, à tous les politiciens et partis que vous pouvez trouver, à toutes les personnes encore ignorantes que vous pouvez trouver, car le temps presse. Avec des centaines de milliers de sources fiables à l’appui, nous avons pu démontrer avec Kla.TV que tous ces oligarques qui proclament aujourd’hui ouvertement leur nouvel ordre mondial, c’est-à-dire leur gouvernement mondial, sont également issus de la tradition ancestrale d’une conspiration mondiale secrète et en font partie. Je le répète : une secte luciférienne s’est infiltrée au fil des siècles dans presque tous les postes importants de notre société. Leurs méthodes sont par principe le mensonge et la tromperie. Ils font presque toujours exactement le contraire de ce qu’ils nous promettent. Pour eux, les êtres humains n’ont pas plus de valeur que le bétail ou les machines. Ils ne sont que des marchandises utiles à leurs yeux et leur objectif est de réduire cette marchandise utile à environ 500 millions dans le monde. Et à la tête de cette conspiration mondiale se trouvent quelques milliers d’oligarques, c’est-à-dire de multimilliardaires, voire de milliardaires, qui, secrètement reliés entre eux, dominent chaque domaine des institutions humaines. En d’autres termes, ils sont directement impliqués dans les abus d’enfants, le trafic d’enfants, mais aussi le trafic de femmes, et sont responsables de la disparition d’environ huit millions d’enfants par an dans le monde. C’est ce qu’a révélé un spécialiste de l’ONU. C’est de ces oligarques pédocriminels et richissimes que viennent simultanément les slogans tant cités, comme démocratie, liberté, égalité, fraternité. Mais en réalité, ils manipulent toute la politique mondiale et tentent ces jours-ci de contraindre l’ensemble de la population mondiale à leur propre domination mondiale. Finie la démocratie, ils ne font qu’en parler, ils font le contraire. Le traité de pandémie de l’OMS qu’ils ont élaboré n’est que la possibilité qu’ils ont prévue de gouverner le monde via une dictature de la santé. De la même manière, ils cherchent à diriger leur domination mondiale par le biais de leur dictature militaire ou de l’éducation, de leur dictature de l’environnement, de leur dictature de l’œcuménisme dans le domaine religieux ; de leur dictature scientifique, de leur dictature pharmaceutique, de leur dictature des services secrets ; ils essaient de nous dominer davantage par le biais de leur dictature des médias et bien d’autres choses encore. Et ils font tout cela sans avoir jamais été élus par aucun peuple. Sans siéger directement dans nos parlements ou dans nos cabinets gouvernementaux.

Non, ils manipulent tout cela de l’extérieur depuis des siècles par le moyen des ONG — c’est-à-dire des organisations non gouvernementales, qu’ils ont créées dans ce but. Et il est complètement faux de penser que ces ONG ont été créées par des personnes bien intentionnées et qu’elles ont ensuite été reprises par les oligarques. Peut-être que cela a existé auparavant. Mais en général, c’est le contraire. Les oligarques entre eux, organisés en structures de sociétés secrètes, ont créé ces ONG spécialement pour exercer à travers elles une influence directe et pourtant cachée sur la politique et sur chacun de nos systèmes étatiques. C’est ce qu’ils ont toujours fait, en se faisant passer pour des bienfaiteurs, des philanthropes, des défenseurs de l’environnement, des défenseurs des droits des femmes, des défenseurs des enfants, et même pour des organisations d’intérêt général. Mais en réalité, il a toujours été prouvé qu’ils faisaient exactement le contraire de ce que leurs objectifs de bienfaisance prétendaient. Et maintenant, je nomme encore une fois les plus importantes de ces ONG par leur nom et je répète encore une fois avec force que toutes ces institutions sont un réseau d’une secte se réclamant de Lucifer, c’est-à-dire de Satan. Le monde est tombé à son insu dans ce réseau de satanistes de haut niveau — et il perd encore de nos jours ce qui lui reste de biens durement acquis, parce que la population mondiale n’a toujours pas réalisé et compris que toutes ces institutions, que je vais à nouveau appeler par leur nom, n’ont jamais été là pour leur bien, mais pour leur plus grand mal. Car tous ces clubs, dans leurs aspirations juridiques, politiques, économiques ou scientifiques, mais aussi militaires, sont toujours enracinés dans l’esprit antique de la tyrannie romaine. Et ce mouvement souterrain aspire depuis des millénaires à la gouvernance mondiale. C’est la réalité. Et par leurs racines médicales ou spirituelles-idéologiques, elles remontent même à l’époque de la Grèce antique. Et ce qui est le plus grave, c’est qu’elles remontent à l’ancien culte occulte et barbare de Moloch, avec toutes ses adorations du diable, ses perversités et ses sacrifices d’enfants qui n’ont jamais cessé depuis l’époque de la Babylonie ancienne, voire de l’Égypte ancienne, vous comprenez. Et ce sont justement les dirigeants mondiaux suprêmes, totalement inconnus des peuples spoliés, qui sont derrière toutes les créations citées. Je le rappelle : la CE en 1957, l’ONU en 1945, puis l’OTAN, l’UE, l’œcuménisme, le Conseil mondial des Églises, la FED, la BRI, et même la création de l’État d’Israël en 1948, etc. Ils sont en effet aussi les pères fondateurs d’Hollywood, nous l’avons vu, de toute l’industrie cinématographique, de toute la presse et de l’édition, mais aussi de nos universités, les pères fondateurs. Ils sont les pères fondateurs de tous les médias principaux avec leurs instances de recours comme l’UBI, la FSK avec leur soi-disant protection des mineurs. Et ce sont les mêmes francs-maçons de haut niveau, dont les plus hauts grades professent ouvertement le culte de Lucifer, c’est-à-dire le culte de Satan, qui ont également fondé la recherche sociale, comme l’École de Francfort, etc., ont apporté le Talmud babylonien, la Kabbale, etc. Et ce sont les mêmes fondateurs de sectes qui sont à l’origine de la NASA, du Pentagone, de toutes les sciences renommées. Ils sont les pères fondateurs de Big Pharma, du système d’assurance, du système de santé tel que nous le connaissons. Ils ne sont pas seulement les fondateurs du Club de Rome de 1968, mais aussi de l’UNESCO en 1945, ils sont aussi les fondateurs de chaque commission de la concurrence, pour ainsi dire. Et ces derniers ont justement pour seule mission de protéger les alliances maçonniques de leurs rivaux industriels indépendants. Vous voyez comment la classe moyenne est maintenant détruite, c’est comme ça que ça marche. Et de même que l’autocontrôle responsable de l’industrie du cinéma (FSK) ne sert pas en premier lieu à la protection des mineurs, comme ils le prétendent, mais à la protection des rivaux, de même les instances de plainte des médias et les commissions de la concurrence servent à éliminer tous les rivaux de ce réseau maçonnique. Mais entre eux, ils sont partout reliés par des communautés d’intérêts. Ces autorités de surveillance font le même travail que les services secrets, qui ont été créés dans la plupart des cas par cette secte secrète. Ils ne sont là que pour protéger les intérêts de cette société secrète, rien d’autre. Il est donc prouvé que l’OTAN n’est rien d’autre que, je dirais, l’armée privée de la famille d’oligarques Rothschild. D’ailleurs, presque tout ce qui vient d’être mentionné est à mettre au compte de cette dynastie Rothschild.

Et justement, il est important de ne jamais confondre avec le judaïsme les Rothschild et l’ensemble du sionisme qui se cache derrière toutes ces institutions. C’est vraiment important pour moi. La population juive a toujours souffert depuis des siècles du mélange de ces familles qui se déguisent en juifs. Cela a conduit à des diffamations répétées de la population juive. Mais en réalité, il n’y a que quelques juifs de sang dans cette secte, qui se sert et s’est déjà servie de multiples mensonges historiques et de propagande. Mais les Rothschild sont aussi apparentés aux familles royales d’Europe qui prétendent avoir des origines juives messianiques. Ces familles sont connues sous le nom d’Illuminati. Parmi eux, les plus connus sont la famille Collins, les Freeman, Astor, Bundi, Morgan, Rockefeller, Oppenheimer, Sassoon, Schiff, Taft, Van Duyn, etc. Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Et ils utilisent la religion comme moyen de dissimulation pour s’assurer et construire leur propre État au Moyen-Orient en tant que peuple élu de Dieu. Comme nous l’avons dit, les vrais juifs ont toujours été attaqués dans le passé, y compris pour les atrocités commises par ces familles. Cela en particulier parce que la famille Rothschild a toujours financé des guerres des deux côtés. Et pour ceux qui se demandent comment ils ont pu acquérir une telle influence dans le monde entier, il faut comprendre ceci : cela n’a été possible que parce que ces familles puissantes ont pu mettre en place ce népotisme familial de plus en plus puissant grâce à l’inceste et au mariage au sein de la famille elle-même et aux mariages avec les cousins du premier et du deuxième degré, etc. Et tout cela avec la mise en place de divers clubs secrets, loges, services secrets et même de l’armée. Et c’est ainsi que depuis des siècles, la franc-maçonnerie, la mafia et Mammon forment vraiment un pacte de malheur contre l’humanité. C’est pourquoi il n’existe pratiquement plus aucun pays sans banque centrale contrôlée par Rothschild. Car dans le domaine de la monnaie, ils sont parvenus dès le début à ce pouvoir par la plus grande ruse possible. La création de la FED (Federal Reserve System), une institution monétaire entièrement privée, qui a su habilement obtenir le droit de créer de l’argent à partir de rien, a posé la première pierre de tous ces assujettissements mondiaux de tous les États et pays. Avez-vous bien compris ce qui a été dit jusqu’ici ?

Donc, ni une démocratie, ni aucune autre forme de politique ou de supervision humaine n’exerce de contrôle sur les institutions mentionnées ci-dessus. C’est exactement le contraire. Sans aucune connaissance ni compréhension de l’humanité, ces systèmes fondés par les oligarques lucifériens se sont imposés sur notre politique, sur nos droits de l’homme, voire sur l’humanité tout entière. Et ils exercent un pouvoir presque total. Si nous ne reconnaissons pas ensemble leur joug et ne le secouons pas, ce monde et nous-mêmes irons vraiment mal. Il ne peut donc y avoir qu’une seule réponse correcte à tous ces développements horribles, et elle est la suivante :

Peuples de cette Terre, détournez-vous, renoncez à toute relation et à tout soutien — actuellement surtout à l’OMS ! Car c’est par le biais de ce tentacule luciférien que cette secte est en train de s’assurer une position de domination mondiale avec son Tedros Ghebreyesus, dont nous avons suffisamment entendu dire qu’il était un horrible terroriste. Ne l’oubliez jamais. Alors, sortez tous les peuples de l’OMS ! Sortez l’OMS de tous les pays ! C’est la seule chose qui compte. Tout le reste serait faux. Je dis : Peuples, défendez-vous contre toutes ces institutions maçonniques ! Détournez-vous d’elles et ne les financez plus ! Détournez-vous de l’ONU ! Détournez-vous de l’OTAN ! Détournez-vous du FEM, du Forum Économiques Mondial ! Détournez-vous de l’UE, mais aussi de toute la soupe de mensonges du mainstream ! Ils détruisent nos démocraties. Vous, les pieux du monde entier, je vous le dis : Détournez-vous de tout Conseil œcuménique mondial des Églises. Ils ont été créés par les francs-maçons et la secte des Illuminati — et ce, dans le but d’éliminer, c’est le but, toute religion non luciférienne. Retenez bien cette phrase, vous la comprendrez mieux plus tard. Mais je ne mets pas seulement en garde les personnes pieuses contre un simple acte extérieur ou une sortie. Se détourner et quitter des dénominations, des partis (appelez cela comme vous voulez) ou des églises et des associations œcuméniques, cela ne sert absolument à rien tant qu’on n’a pas aussi échappé par essence au poison idéologique et mal orienté. Comprenez-vous cela ? Tant qu’on se comporte, qu’on pense, qu’on ressent et qu’on sent encore de manière ecclésiastique, sortir de l’église ou de la paroisse ne sert à rien. Car toute cette pensée religieuse qu’on nous a inculquée est et reste une doctrine maçonnique – d’ailleurs instillée spécialement pour nous, les pieux, afin que nous les suivions docilement et que nous fonctionnions comme leurs marionnettes. On ne ferait donc que former une autre métastase de ce cancer luciférien si on quittait ces cercles seulement extérieurement, mais que l’on conservait intérieurement les anciennes pensées, les anciens sentiments, les anciennes volontés, etc. Mais la communauté mondiale doit aussi se débarrasser des objectifs mal orientés de notre système judiciaire, car c’est partout la même chose.

L’ensemble du système judiciaire est désormais infiltré par la franc-maçonnerie de haut niveau, tout comme notre système financier. Car l’ensemble du système judiciaire défend de plus en plus les intérêts financiers et de pouvoir de la haute finance, c’est-à-dire des oligarques, mais en comparaison, il ne défend guère les droits des gens du peuple. Les peuples doivent organiser des élections et des décisions démocratiques afin de créer, par cette voie légale, de nouveaux tribunaux et d’habiliter ceux qui sont réellement à nouveau là pour défendre les intérêts du peuple, des petites gens. C’est l’appel que je lance à tous. Nous avons besoin de tribunaux qui soient également là pour nous, lorsque des politiciens, et Big Pharma commettent des actes hautement criminels et nuisent à des peuples entiers et tentent ensuite de s’immuniser par des lois qu’ils ont eux-mêmes élaborées et qui sont totalement injustes. Comme c’est le cas maintenant avec le Covid, etc. Nous devons percer ce système. Il ne doit donc plus y avoir d’immunité pour tous ces gens qui exercent le plus grand pouvoir, mais qui en abusent systématiquement et qui causent les plus grands dommages à nos peuples. Fini, l’immunité.

Ce sont précisément ces parasites haut placés qui, jusqu’à présent, sont les mieux protégés de toute poursuite judiciaire. Vous devez le savoir et le reconnaître. Mais cela n’est possible que parce que la franc-maçonnerie luciférienne a modifié nos constitutions et nos lois de manière à ce que cela soit possible. C’est pourquoi des décisions populaires doivent être prises dans le monde entier, afin de dissoudre toute fausse immunité, et d’en finir avec elle. Autre chose, il n’est bien sûr pas non plus possible que tous les hommes politiques nouvellement élus soient constamment poursuivis en justice par des personnes mal intentionnées, de sorte qu’ils ne puissent plus faire leur travail correctement. La solution : pendant un mandat, seuls les avocats de nos politiciens devraient venir à bout d’éventuelles querelles. Mais chaque fois que des politiciens commettent un crime, comme c’était et c’est encore le cas massivement avec le Covid, ils doivent être immédiatement destitués et sanctionnés. Pour cela, nous avons besoin de nouveaux tribunaux. Mais au plus tard après la fin d’un mandat, un tribunal équitable doit exiger des comptes pour tout ce que ces personnes ont détruit. Des décisions populaires doivent être prises afin de restituer au peuple les milliards de bénéfices de crise réalisés par Big Pharma. Car Big Pharma est entièrement entre les mains de ces oligarques lucifériens. Tout notre système de santé est entre leurs mains, comprenez-le enfin. C’est pourquoi, depuis des siècles, nous ne sommes pas guéris par ce système, mais plutôt maintenus malades. Goethe le savait déjà. La preuve, c’est que les frais d’assurance maladie ne cessent d’augmenter. Vous savez quoi ? Je dis que nous pouvons aussi être malades sans tous ces systèmes, n’est-ce pas ? C’est pourquoi les peuples du monde doivent s’opposer à ces groupes et institutions maçonniques, s’en détacher radicalement et se réorienter complètement. Toute cette aberration satanique selon laquelle nos systèmes de santé visent toujours les symptômes et non les causes doit être mise au jour et abolie. C’est là que réside le grand mal.

Tout l’agenda du genre est également issu de cette secte maçonnique de haut niveau. Ils sont responsables de toute la sexualisation précoce de nos enfants, de l’initiation à la pornographie, de nombreuses drogues, et de manière générale de presque toutes les nouvelles dérives sur Internet et maintenant, de plus en plus, dans nos écoles. C’est la pure vérité. Toutes ces expériences nihilistes et contre nature, jusqu’aux rapports sexuels avec des animaux et des démons, mais aussi le changement de sexe et bien d’autres choses encore, sont à mettre sur leur compte. C’est une secte secrète luciférienne qui tient le monde entier dans son étau. Et tout ce qu’ils font eux-mêmes, ils nous le reprochent en même temps ou préalablement. Tout ce qu’on devrait faire légalement, c’est-à-dire avec eux, ils cherchent à le faire d’avance avec nous, les peuples. Et c’est pourquoi, avant que le citoyen transparent n’arrive, les citoyens du monde doivent d’urgence décider, dans le monde entier, et exiger que le politicien transparent soit d’abord créé, vous comprenez ? L’oligarque transparent doit venir en premier. La communauté mondiale doit décider que la science transparente doit être mise en place en premier, pour au moins 20 ans ou plus. Nous avons un droit de regard partout. Chaque projet individuel doit d’abord devenir transparent avant que nous, en tant que citoyens, ne le devenions. De HAARP en passant par la géo-ingénierie jusqu’au plus petit laboratoire de biochimie, tout doit devenir transparent. Chaque brevet doit être transparent. Même les flux financiers des plus grands doivent être d’abord transparents, vous comprenez ? Avec les technologies qu’ils ont maintenant élaborées pour nous. Les peuples ne doivent plus dépenser inutilement un centime d’argent des contribuables dans des projets opaques. Et tout ce que Great Reset prévoit pour les peuples, les peuples doivent le mettre en œuvre avec les alliés du FEM, avec tous ces clubs dont nous parlons ici. Il faut qu’on sache clairement qui paie combien d’impôts parmi ces multinationales, et qu’on examine également toutes les grandes entreprises comme Microsoft ou Google ou Amazon, BlackRock, Vanguard, jusqu’à Ikea, Aldi, Lidl, Migros, Coop, etc. Nous avons besoin de nouvelles institutions de surveillance et de compétences, d’instances et de comités vraiment neutres, nous avons besoin de nouveaux tribunaux qui défendent désormais aussi le peuple et pas seulement les finances publiques ou les intérêts des élites. Il faut en finir avec toute déshumanisation par l’État ou toute déshumanisation par la médecine, par la pharmacie, par la justice, par l’éducation, la déshumanisation par la politique, ou par la science. Il faut en finir avec la déshumanisation par le satanisme, par tout le nihilisme et le népotisme, dont nous parlons tout le temps ici.

Une dernière chose pour vous, les vérificateurs de faits : Nous sommes conscients qu’il n’est pas exclu qu’avec une telle quantité d’informations, une déclaration doive être quelque peu reformulée ou complétée. Faites quand même en sorte d’attester publiquement tous les faits cités ici qui sont corrects, avant d’ignorer, comme d’habitude, des centaines de faits hautement explosifs et de les jeter par-dessus bord pour ensuite dénoncer, faire une montagne du cheveu recherché et trouvé dans la soupe. Par ce comportement extrêmement inconvenant, vous, les vérificateurs de faits, vous êtes soupçonnés d’être les complices de toutes ces atrocités dont nous nous plaignons ici. Je vous conseille donc de sortir à temps votre tête de l’ornière, en commençant toujours par confirmer publiquement tout ce qui est juste, afin de ne pas avoir à vous justifier un jour devant la justice comme complices de tous ces grands escrocs et génocidaires dénoncés.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

de i.s.

Sources/Liens :




Le ministre de l’Économie visé par une enquête préliminaire pour faux en écriture publique, et autres nouvelles d’une France en décomposition

[Source : Louis de Dreslincourt]

Autoroutes : B. Le Maire, accusé de faux en écriture ! Dilaté comme jamais pour couvrir Macron ?

Macron le chaos en marche, les analyses des entretiens enfin reprises par l’opposition.

Pourquoi Macron a-t-il précipité son annonce d’envois de soldats en Ukraine ?

Analyse de Tremolet de Villers sur Macron, enfin de l’information ?

Olaf en fureur !

Pustula et Klaus en soutien de Macron ?

La polémique Attal-Le Pen, le complotisme comme seule défense ?

Macron et son regard, enfin un débat !

Bruno Lemaire et le scandale inouï des autoroutes ! Des faux en écriture ?

Salon de l’agriculture, la ligne rouge !

Florian au salon.

Rubrique humour : Béchu et le PMU !

Mary Poppins effacée !




Superstitions de fin des temps : où en sont-ils ?

[Source : Jérémie Mercier]

Lors de nos deux derniers entretiens, Icaros nous a expliqué que les planificateurs centraux suivent un script eschatologique. Nous revenons dans cet entretien sur les prédictions déjà faites, et sur les prochains événements à attendre.

[Voir aussi, en relation avec le contenu de la vidéo :
►dossier Vaccins et virus (sur l’inexistence des virus) ;
►dossier Climat (sur le prétendu réchauffement climatique anthropique) ;
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus ;
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires ;
Troisième temple.]

[En cas de censure YouTube :]






La fusion BAAL-YAHVÉ

[Source : Allan Arsmann]

Atteint du syndrome d’Asperger, Allan Arsmann a développé un « intérêt particulier » pour la Bible et l’archéologie. À l’âge de vingt-cinq ans, il va commencer à lire la Bible de manière compulsive. Il va la lire à plusieurs centaines de reprises, quasiment sans s’arrêter, pendant plus de quatre ans. Y ajoutant la lecture de milliers de textes anciens et d’analyses modernes, il va emmagasiner en son esprit un ensemble de connaissances totalement inédit. Fort de cet assemblage de données, son cerveau Asperger va lui permettre de solutionner quelques-unes des plus grandes énigmes de l’Histoire. Son analyse offre une vision rationnelle unique qui réconcilie complètement les données historiques et bibliques, permet le recoupement avec plusieurs milliers de preuves archéologiques et rend sa cohérence au Livre.

[NDLR : Nous pouvons relever au passage la similitude de procédés entre l’invasion Hyksos de l’Égypte et l’invasion de l’Occident (UE, Canada, USA…) par les élites mondialistes.]

[Voir aussi :
La Bible lue par un Asperger (livres et vidéos)
et
Le vrai NOM de MOÏSE élucidé ? (Vidéo)]




Abraham Lincoln et la mystérieuse barbarie américaine

[Publication initiale : lesakerfrancophone.fr]

Par Nicolas Bonnal

Deux choses frappaient toujours le nouvel arrivant en Amérique (voyez Céline) : la brutalité du pays, de sa population et de ses mœurs, la brutalité du terrain en fait ; la cruauté ensuite des contrôles et de cette police qui arrive à tuer 1200 citoyens par an tout en en contrôlant six millions (l’expression de camp de concentration électronique n’est plus métaphorique). C’est la brutalité de la matrice US qui se répand dans le monde, en particulier en Europe. Enfin l’Amérique enferme 2,3 millions de prisonniers, soit la plus grande population carcérale du monde (43 % du total). Les chiffres sont comparables en pour cent à ceux de la dépense militaire US dans le monde (42 %), et ce n’est certainement pas par hasard.


Comment en est-on arrivé là ? J’ai déjà évoqué les historiens libertariens : Thomas di Lorenzo, auteur du vrai livre sur Lincoln (The Real Lincoln) Raph Raico, auteur du si pertinent Libertarian rebuttal (si vous voulez devenir un grand président, faites la guerre, et même — dans le cas du Donald — faites le guignol) ; et deux recueils exceptionnels : Americas’ pyrrhic victories et Perpetual war for perpetual peace, tous disponibles gratuitement sur le site Mises.org. On ajoutera les Wizards of Ozymandia de Butler, qui montre (The Hitler Test) que les étudiants d’aujourd’hui préfèrent Hitler à Jefferson. Écolo, végétarien, européiste, réglementateur, interventionniste, antitabac, obsédé de contrôle routier et de safe-sex, Hitler reste le modèle à suivre, y compris dans sa rage antirusse.

On va citer Lincoln. Lui incarne la barbarie juridique américaine, la rage de gagner n’importe quelle guerre, y compris civile, à n’importe quel prix. Les rebelles furent écrasés, car ils n’obéissaient pas assez à l’Union et aux lois.
Mais voici pourquoi Lincoln est devenu fou du droit : l’état de nature aux USA consiste à exterminer rouges, blancs et noirs. Dans sa fameuse Lyceum Address, si souvent citée par Philippe Grasset à propos du « suicide US », voici ce qu’il écrit des folles vagues de lynchages :

« Il serait fastidieux et inutile de raconter toutes ces horreurs. Celles qui se passent dans l’État du Mississippi et à Saint-Louis sont peut-être les plus dangereuses par leur exemple et révoltantes pour l’humanité. Dans l’affaire du Mississippi, ils ont d’abord commencé par pendre les joueurs réguliers ; un ensemble d’hommes, n’ayant pas, pour se nourrir, une profession très utile ou très honnête, mais qui, loin d’être interdits par les lois, sont en fait autorisés à agir ainsi par un acte de l’Assemblée législative, passé il y a un an seulement. Ensuite, des nègres, soupçonnés de conspirer pour fomenter une insurrection, furent pris et pendus dans tous les coins de l’État ; puis des hommes blancs, supposés être liés aux nègres. Et, finalement, des étrangers, venant des États voisins, y allant pour affaires, ont, dans de nombreux cas, subi le même sort. Ainsi, se déroula ce processus de pendaison, des joueurs aux nègres, des nègres aux citoyens blancs, et des blancs aux étrangers. Jusqu’à ce que les hommes morts soient visibles partout, pendus aux branches des arbres de chaque côté de la route, et en un nombre presque suffisant pour rivaliser avec la mousse espagnole native du pays, comme drapant la forêt. »

Et on se plaint de la violence à la télé…

Le problème est celui-ci, la populace américaine :

Les récits d’outrages commis par les foules constituent les nouvelles quotidiennes des temps. Ils ont pénétré le pays, de la Nouvelle-Angleterre à la Louisiane — ils ne sont ni propres aux neiges éternelles de la Nouvelle-Angleterre, ni aux soleils brûlants de la Louisiane —, — ils ne sont pas la créature du climat — ils ne se limitent pas aux États promouvant l’esclavage, ni aux autres. De la même manière, ils apparaissent parmi les maîtres du Sud, chasseurs d’esclaves pour le plaisir et parmi les citoyens du Nord aimant l’ordre sur des terres aux habitudes régulières. Quelle que soit leur cause, ils sont communs à tout le pays.

Si on se met à lyncher aussi les Blancs…

Nous sommes en 1850, douze ans après le discours de Springfield. On va laisser la parole à un certain Charles Dickens qui écrit dans ses si belles American notes, les petites annonces à l’américaine. Et cela donne :

« Voici quelques spécimens de petites annonces publiées dans les journaux publics. Il n’y a que quatre ans que la plus ancienne d’entre elles est apparue, et d’autres de même nature continuent à être publiées tous les jours, par pages entières.

En fuite, Négresse Caroline.
Avait un collier avec un clou retourné.
En fuite, Femme noire, Betsy.
Avait une barre de fer sur sa jambe droite.
En fuite, Nègre Manuel.
Très marqué par les fers.
En fuite, Négresse Fanny.
Avait un collier de fer autour de son cou. »

Quatre pages comme ça… Dickens conclut, aussi pince-sans-rire que Philippe Grasset quand il parle des porte-avions US situés à trois mille milles de leur cible :

« Je devrais dire, peut-être, pour expliquer cette dernière description que, parmi les autres bénédictions que l’opinion publique assure aux Noirs, il y a la pratique courante de frapper leurs dents violemment, de leur faire porter des colliers de fer de jour comme de nuit et de les harceler avec des chiens, des pratiques presque trop ordinaires pour mériter d’être mentionnées. »

Quel humour… noir ! Et comme on sait aussi, le « collier électronique » a remplacé le « collier de fer » pour un sixième des jeunes Noirs.

Lincoln rend ensuite compte de l’atrocité suivante :

« Pensez donc à cette scène horrible à Saint-Louis. Une seule victime a été sacrifiée là-bas. Son histoire est très courte et elle est peut-être la plus tragique, si quelque chose d’aussi horrible a jamais pu exister dans la vie réelle. Un homme mulâtre, nommé McIntosh, a été saisi dans la rue, traîné dans la banlieue de la ville, enchaîné à un arbre, et effectivement brûlé jusqu’à la mort. Le tout en une seule heure à partir du moment où il était encore un homme libre, s’occupait de ses affaires et était en paix avec le monde. »

Revoyez le film Furie de Fritz Lang ou La Nuit du chasseur de Laughton ; ils évoquent aussi ces comportements, sans oublier l’incident d’Ox-Bow de William Wellmann.

Or tout cela permet à mon sens de bien comprendre le fonctionnement de la diplomatie impériale américaine. La diplomatie de Trump-Tillerson ou de Bush-Clinton repose aussi sur le lynchage, lynchage collectif des présumés « rogue states » isolés, avec les vassaux européens et les Zabulon de l’OTAN. Le Tillerson prétend aujourd’hui lancer le monde contre l’Iran après la Corée.
Donc on lynche l’Amérique centrale, l’Irak, la Libye, la Syrie, la Corée en attendant l’Iran, la Chine et la Russie, même si nos missionnaires ont ici tendance à faire du surplace… Mais la logique est celle de la foule des lyncheurs qui accusent sans preuve, se chauffent les uns les autres à coups de Bible et de whisky, et ensuite exterminent.

Malheureusement la réponse de Lincoln me fait peur. On l’écoute :

Que la révérence aux lois soit murmurée par chaque mère américaine à son petit qui zézaye et babille sur ses genoux ; qu’elle soit enseignée dans les écoles, les séminaires, les universités ; qu’elle soit écrite dans les premiers livres, les livres d’orthographe, les almanachs ; qu’elle soit prêchée depuis la chaire, proclamée dans les assemblées législatives, et imposée par les cours de justice. Et en bref, qu’elle devienne la religion politique de la nation ; que vieux et jeunes, riches et pauvres, graves et joyeux, de tous sexes et de toutes langues, couleurs et conditions, se sacrifient sans relâche sur ses autels.

On ne devrait pas avoir besoin de loi contre le lynchage, non ?

C’est au nom de cette religion politique que Sherman va exterminer les sudistes, leurs femmes, leurs enfants, ravager et ruiner leurs terres. Et qu’on va emprisonner trente-quatre millions d’Américains, pour des durées indéterminées, au cours des deux derniers siècles.

Après notre barbu père fondateur va diviniser la loi :

« Quand je réclame avec tant de pressions un strict respect de toutes les lois, ne pensez pas que je veuille dire qu’il n’y a pas de mauvaise loi, ni que des problèmes ne se posent pas, pour lesquels aucune disposition légale n’a été prise — pour ne dire que cela. Je veux dire que de mauvaises lois, si elles existent, devraient être abrogées le plus tôt possible, mais si elles restent en vigueur, pour des raisons d’exemple, elles devraient être observées religieusement. »

Nous vivons dans un monde gnostique d’inspiration américaine farci de lois, monde contre lequel nous mettait un garde un certain chinois nommé Lao Tseu il y a plus de deux mille ans.

« Plus le roi multiplie les prohibitions et les défenses, et plus le peuple s’appauvrit ;
Plus le peuple a d’instruments de lucre, et plus le royaume se trouble ;
Plus le peuple a d’adresse et d’habileté, et plus on le voit fabriquer des objets bizarres ;
Plus les lois se manifestent, et plus les voleurs s’accroissent. »

L’Amérique avant la guerre de Sécession était un pays flanqué par la violence brute d’un côté (qu’on ne limitera certainement pas à l’esclavage) et la démence juridique qui allait devenir une des manifestations de l’effrayante époque où nous vivons, marquée par le camp de concentration évoqué plus haut et le présent permanent annoncé par Kojève.

Lincoln est contemporain de Beaumont, qui souligne ici :

« Il y a dans le caractère de l’Américain un mélange de violence et de froideur qui répand sur ses passions une teinte sombre et cruelle ; il ne cède point, quand il se bat en duel, à l’entraînement d’un premier mouvement ; il calcule sa haine, il délibère ses inimitiés, et réfléchit ses vengeances.

On trouve, dans l’Ouest, des États demi-sauvages où le duel, par ses formes barbares, se rapproche de l’assassinat ; et même dans les États du Sud, où les mœurs sont plus polies, on se bat bien moins pour l’honneur que pour se tuer. »

Sur les Noirs et les Blancs, Beaumont ajoutait :

« C’est assurément un fait étrange de voir tant de servitude au milieu de tant de liberté : mais ce qui est peut-être plus extraordinaire encore, c’est la violence du préjugé qui sépare la race des esclaves de celle des hommes libres, c’est-à-dire les nègres des blancs. La société des États-Unis fournit, pour l’étude de ce préjugé, un double élément qu’on trouverait difficilement ailleurs. La servitude règne au sud de ce pays, dont le nord n’a plus d’esclaves. On voit dans les États méridionaux les plaies que fait l’esclavage pendant qu’il est en vigueur, et, dans le Nord, les conséquences de la servitude après qu’elle a cessé d’exister. Esclaves ou libres, les nègres forment partout un autre peuple que les blancs. »

Laissons les Noirs… Car sur la barbarie juridique américaine, Gustave de Beaumont n’était pas en reste avec son compagnon Tocqueville :

« Voyant qu’ils n’obtenaient rien par l’adresse et la ruse, les Américains ont eu recours à la violence. Non à la violence des armes, mais à celle des décrets ; car ce peuple, faiseur de lois, placé en face de sauvages ignorants, leur livre une guerre de procureur ; et, comme pour couvrir son iniquité d’un simulacre de justice, les expulse des lieux par acte en bonne forme. »

Tocqueville disait lui :

« Les Espagnols… n’ont pu parvenir à exterminer la race indienne, ni même à l’empêcher de partager leurs droits ; les Américains des États-Unis ont atteint ce double résultat avec une merveilleuse facilité, tranquillement, légalement, sans répandre de sang, sans violer un seul des grands principes de la morale aux yeux du monde. »

Au nom de cette morale, on sait ce qui se prépare.

Nicolas Bonnal

Bibliographie

Gustave de Beaumont — Marie (abu.cnam.fr)
Nicolas Bonnal — Chroniques sur la fin de l’Histoire ; Céline, le pacifiste enragé (Kindle)
Charles Dickens — American notes (archive.org)
Lao Tse — Tao Te King, §57
Abraham Lincoln, the Lyceum Address — The Perpetuation of Our Political Institutions — Address before the Young Men’s Lyceum of Springfield, Illinois
January 27, 1838
Tocqueville, de la démocratie en Amérique I – 2e partie, chapitre X (races)




Un projet de loi canadien pourrait emprisonner les chrétiens qui citent la Bible

[Source : medias-presse.info]

Par Léo Kersauzie

Si le projet de loi C-367(([1] capture PDF)) du Bloc Québécois est adopté, les exemptions religieuses en vertu de l’article sur les « discours haineux » du Code criminel seront supprimées, ce qui pourrait entraîner l’arrestation de chrétiens qui citent les Écritures ou expriment publiquement leur opposition au péché.

Les chrétiens devraient-ils être arrêtés pour avoir cité des extraits de la Bible en public ? Les prêtres devraient-ils être accusés de « crime haineux » lorsqu’ils prêchent contre certains péchés ? Les églises devraient-elles être fermées si le gouvernement n’approuve pas leurs croyances ?

Vous pourriez penser que ce sont des questions ridicules. Après tout, on vous parle ici du Canada — le « vrai Nord fort et libre » dont la devise nationale est « a mari usque ad mare », tirée du Psaume 72 : 8, qui dit que le Christ dominera « d’une mer à l’autre ». Ce n’est pas la Chine communiste !

Or, avec le dépôt du projet de loi C-367, toutes ces questions sont sur la table. C’est un projet de loi pour mettre les chrétiens au placard. Sous la menace d’une peine de prison, il fera taire les croyants qui s’opposent à l’idéologie révolutionnaire arc-en-ciel.

Cette proposition répressive et christianophobe du chef du Bloc québécois Yves-François Blanchet est actuellement devant le Parlement et pourrait être votée prochainement. Si les libéraux de Trudeau appuient ce projet de loi, il sera très certainement adopté, ce qui portera un coup fatal à la liberté de religion et à la liberté d’expression dans ce Dominion.

Pour certaines personnes au Canada, le message de la Bible est un affront à leur style de vie et à leur fierté. Ils ne veulent pas l’entendre, leur conscience ne peut le tolérer et ils essaieront de faire taire ceux qui le proclament.

Par exemple, les militants LGBT s’en prennent depuis de nombreuses années à un chrétien canadien courageux nommé Bill Whatcott, qu’ils accusent de « crimes haineux » contre les homosexuels. Lorsqu’il a distribué des dépliants mettant en garde contre les dangers médicaux et spirituels des pratiques LGBT lors du « défilé de la fierté » de Toronto en 2016, ces militants LGBT étaient furieux. Ils ont réclamé son arrestation en 2018 sous le gouvernement de Kathleen Wynne, alors Première ministre de l’Ontario et lesbienne notoire.

M. Whatcott a été jugé deux ans plus tard et a finalement été déclaré non coupable en décembre 2021. Cependant, le gouvernement de Doug Ford a fait appel de son acquittement et continue de poursuivre M. Whatcott pour avoir partagé ce que dit la Bible sur le péché sexuel.

Un certain nombre de pasteurs canadiens ont également été accusés de « crime haineux » pour leur témoignage public contre l’immoralité sexuelle et la sexualisation des enfants.

Jusqu’à présent, les accusations de « crime haineux » portées contre des chrétiens ont été très difficiles à prouver en raison d’une protection importante dans le Code criminel canadien. Il existe une « exemption religieuse » dans l’article 319 qui stipule : « Nul ne sera reconnu coupable d’un délit [de crime de haine]… si, de bonne foi, la personne a exprimé ou tenté d’établir par un argument une opinion sur un sujet religieux ou une opinion fondée sur une croyance en un texte religieux. »

En d’autres termes, si vous dites ce que dit la Bible à propos de la sexualité, du genre, du mariage, de la famille ou de quoi que ce soit — aussi impopulaire, offensant ou « haineux » que cela puisse paraître à quelqu’un d’autre, vous avez la liberté de vous exprimer en vertu de l’actuelle loi canadienne. Les chrétiens ont le droit de citer la Bible au Canada.

Mais si le projet de loi C-367 est adopté, cette protection sera supprimée du Code criminel. Et il faut s’attendre alors à une vague d’accusations contre les prêtres, les églises, les organisations chrétiennes et les croyants ordinaires qui osent dire la vérité avec amour sur la place publique.

Les Canadiens ne seront plus autorisés à partager en public le dessein de Dieu concernant la sexualité humaine et le mariage. Ils ne pourront plus citer la Bible contre les spectacles de drag-queens pour enfants ou les « changements de sexe » des enfants. Tout cela pourrait être interprété à tort comme un « discours de haine » contre la communauté LGBT. Même le message pro-vie pourrait être présenté comme un « crime haineux » contre les femmes.

Le prétexte de l’antisémitisme

La raison apparente du projet de loi C-367 est la prétendue augmentation des manifestations antisémites au Canada. Mais en réalité, ce n’est qu’un prétexte pour une attaque opportuniste contre la liberté religieuse des chrétiens.

Si le gouvernement croit réellement que quelqu’un prône ou favorise l’anéantissement des Juifs, ne devrait-il pas appliquer les lois existantes qui rendent déjà cela illégal ? De toute évidence, cette proposition n’est qu’une attaque cynique contre les croyants de la part du chef antireligieux du Bloc québécois.

Le projet de loi C-367 ne fera que servir le programme néfaste des militants pro-LGBT et des politiciens christianophobes qui veulent imposer leur idéologie révolutionnaire arc-en-ciel et faire taire toute opposition.




Pour en finir avec la Terre plate — Et s’instruire un peu

[Livre]

https://www.babelio.com/livres/Langlet-Pour-en-finir-avec-la-Terre-plate-Et-sintruire-u/939894

[NDLR Pour ceux qui n’auront pas la curiosité ou la patience de lire jusqu’au bout la présentation du livre (ou qui s’attarderaient sur la mention inutile et contre-productive du 11 septembre par son auteur, notamment parce que cet événement n’a aucun rapport avec la question de la forme de notre planète et que même l’explication officielle est « complotiste ») pour voir la seconde partie de l’article, voici la reprise de cette dernière :
Expérience à deux pour démontrer que la Terre ne peut pas être plate]

Par André Langlet

Depuis quelques années, un des acquis fondamentaux de la science commence à être remis en question : la forme de la Terre et sa place dans l’Univers. Elle serait comme l’imaginaient comme les anciens mythes : plate et recouverte d’un dôme tenant lieu de ciel.

Comment est-ce possible en 2017 ? Il semble bien que le fanatisme religieux soit responsable. Ce mouvement de pensée vient des USA, où des fondamentalistes tiennent à imposer une vision du monde strictement conforme à la Bible. Presque tous les acquis de la science sont niés. N’y échappe que ce qui est utile à ces gens, notamment à leur propagande sur Internet. Celle-ci se fait avec l’appui du complotisme, selon lequel nous vivons dans un mensonge généralisé. Les gouvernements font tout pour nous cacher que la Terre est plate. Les agences spatiales n’ont lancé aucun satellite et n’ont envoyé personne sur la Lune, ce qui rejoint une vieille thèse complotiste.

Les nombreux arguments avancés sont capables de convaincre des personnes crédules et très peu informées. C’est l’astronomie qui a appris à l’Humanité quelle était la forme de la Terre. Or si les découvertes les plus récentes sont rapportées par les médias, les bases de cette discipline restent mal connues. Ce livre donne les informations qui permettent de réfuter la théorie de la Terre plate en insistant sur le rôle des mathématiques, indispensables en astronomie. Il permet de saisir pleinement le caractère pseudo-scientifique des arguments des « platistes ». C’est le même type d’argument que les créationnistes utilisent, toujours en se basant sur la Bible, mais il est plus difficile de trouver les failles de leur raisonnement et ils n’ont pas besoin de s’appuyer sur les théories du complot.

Extrait

Il y a peu de temps, j’ai découvert avec stupéfaction qu’une théorie commence à se répandre en France, selon laquelle la Terre n’est pas sphérique, mais plate. Comment est-ce possible en 2017, après tant de progrès scientifiques ? En ce moment, les théories dites complotistes ou conspirationnistes se répandent grâce au Web, en particulier aux réseaux sociaux. Un grand classique du genre, ce sont les attentats du 11 septembre 2001, qui auraient été perpétrés par les autorités américaines selon la plus radicale des versions. On nous explique qu’aucun avion ne s’est écrasé contre les tours du World Trade Center ni sur le Pentagone. Tout cela, pour je ne sais quelle raison, mais peu importe… L’essentiel est de comprendre que les gouvernements nous mentent. Loin de moi l’idée que cela ne se produit jamais. Nous savons tous que Georges W. Bush a commandé l’invasion de l’Irak sous le prétexte que le régime de Saddam Hussein détenait des armes de destruction massive. Armes qui n’ont jamais existé. On pourrait sûrement établir une liste très longue des mensonges d’État.

Mais faire croire aux peuples du monde entier que la Terre est sphérique, alors qu’en réalité, elle est plate ? Ça m’en bouche un coin. Les adeptes de cette théorie, que l’on qualifie le plus souvent de platistes, s’efforcent de l’imposer en nous faisant croire que c’est encore un complot. Ils surfent sur la vague du complotisme. En réalité, leur théorie a commencé à se répandre aux USA avec la fondation de la Flat Earth Society, c’est-à-dire la Société de la Terre Plate, en 1956. Cette société a failli mourir en 2001 en même temps que son fondateur, mais elle a repris vie en 2009 avec la création d’un forum. Un Français très actif, dont personne ne connaît le vrai nom, a sous-titré un grand nombre de vidéos américaines pour les diffuser chez nous. Il a déclaré cesser son activité en fin 2016, estimant qu’il en avait assez fait et que la graine de la « vérité » était plantée. De fait, on assiste maintenant à un véritable matraquage sur le Web. Un fait notable est que cette personne se présente ouvertement comme chrétienne. D’après les informations dont je dispose, la Flath Earh Society est issue d’une secte évangélique, le Christian Flat Earth Ministry. Ses membres sont également des créationnistes : des personnes pensant que toutes les espèces d’animaux ont été créées telles quelles par Dieu et n’ont jamais évolué. Ce sont des gens qui abhorrent Darwin. Accessoirement, ils affirment que la Terre a été créée il y a 6 000 ans et que les dinosaures ont côtoyé les hommes. On ne doit pas les sous-estimer, car en ce moment, un créationniste est vice-président des USA. Le platisme apparaît alors, au moins au début, comme une forme extrême de rejet de la science au nom de la foi chrétienne. Ses adeptes ont une vision du monde strictement conforme à la Bible, y compris du point de vue cosmologique : la Terre est plate, immobile et au centre de l’Univers. Les étoiles sont des luminaires placés sur un dôme qui la recouvre. J’ai trouvé des musulmans qui se sont ralliés à cette idée. Mais il existe des platistes non-croyants, qui sont guidés par le conspirationnisme. Ils sont convaincus de vivre dans un mensonge permanent et cherchent la vérité en regardant des vidéos sur YouTube — les gens qui les mettent en ligne devant gagner une certaine quantité d’argent.

Faut-il craindre que cette idée puisse se répandre en France ? Honnêtement, je ne crois pas que le phénomène prendra une grande ampleur. Penser que la Terre est plate, qu’aucun satellite artificiel ne tourne autour d’elle et que l’Antarctique n’existe pas, ça va vraiment très loin. Néanmoins, j’ai pensé qu’il ne serait pas inutile d’écrire ce petit livre.

Je veux d’abord illustrer l’utilité des mathématiques. Les arguments des platistes sont en apparence bien structurés et ils n’hésitent pas à faire des raisonnements géométriques, mais si l’on regarde attentivement ce qu’ils affirment, on arrive à voir que leurs arguments ne tiennent pas. Le plus simple est l’absence de courbure visible de la Terre. Quand l’horizon est dégagé autour de nous et qu’il n’y a pas de relief, nous avons l’impression d’être sur un plan et non sur une sphère. Dans ce livre, je vais expliquer, chiffres à l’appui, pourquoi la courbure est trop faible pour être visible. J’utiliserai la trigonométrie et je vous conseille d’aller à l’annexe pour revoir la définition du sinus, du cosinus et de la tangente d’un angle. Les mathématiques sont l’arme ultime contre le platisme, mais il faut faire des démonstrations et des calculs corrects, ce qui demande un certain effort.

L’astronomie n’est pas réellement enseignée à l’école. S’il existe de nombreuses personnes qui s’y intéressent, achètent des télescopes pour regarder les astres et s’efforcent de s’informer d’une manière ou d’une autre, on ne peut pas dire que les bases en soient connues de tout le monde. Il paraît qu’en Europe, une personne sur trois ne sait pas que la Terre tourne autour du Soleil.

Le paradoxe est que tout le monde a entendu parler des trous noirs, une des grandes réussites de la vulgarisation scientifique avec les dinosaures, ainsi que des missions de la NASA, alors que les bases de l’astronomie restent très mal connues. Mais c’est ainsi : les médias parlent des découvertes les plus spectaculaires, et les romanciers et les cinéastes s’en emparent, tandis que les connaissances basiques, parfois rébarbatives ou difficiles à comprendre, restent dans l’ombre. Le résultat est que notre conception de l’Univers est bâtie sur du sable.

Pour prouver que la Terre est sphérique, on pense avant tout aux photos prises depuis l’espace. Mais la voie la plus facile n’est pas forcément la meilleure. Je vais montrer comment des hommes ont eu cette idée, il y a plus de deux millénaires. C’étaient des Grecs. Ils ont effectué des observations que tout le monde peut faire et il serait bien surprenant que l’on ne puisse pas en tirer les mêmes conclusions que dans l’Antiquité. Je montrerai ensuite comment Copernic, Kepler et Newton ont prouvé que la Terre et les autres planètes tournent autour du Soleil. Cela donne une petite idée de ce qu’est une démarche scientifique avec la précision et la rigueur requises. Ces hommes ont jeté les bases du raisonnement scientifique qui a conduit à tous les progrès que nous constatons aujourd’hui. Il est important d’avoir connaissance de leur œuvre : cela devrait faire partie de la culture générale.

1. Le mouvement des étoiles

Imaginez que vous vous trouvez au milieu des champs par une nuit sans nuage. Il ne faut pas que les lumières d’une ville ou d’un village viennent masquer le faible éclat des étoiles. En France, malheureusement, c’est une condition quasiment impossible à remplir. Les lumières d’une agglomération forment toujours un halo autour d’elle. Si vous vous éloignez de votre ville pour y échapper, vous allez vous rapprocher d’une autre ville. Cette pollution lumineuse est bien regrettable, car c’est le ciel nocturne qui nous donne une idée de ce qu’est l’Univers. Je ne l’ai vu clairement qu’à une seule occasion jusqu’à présent : dans les steppes mongoles, à des centaines de kilomètres de tout lieu habité. Je peux vous dire que c’est une expérience marquante.

Il ne faut pas non plus que la Lune soit visible, car de même que la lumière des villes, elle masque l’éclat des étoiles.

Le ciel vous apparaît comme une sphère au centre de laquelle vous vous trouvez. Les étoiles y forment des figures qu’on peut relier en imagination par des traits et qu’on appelle des constellations. Je précise dès maintenant que les étoiles d’une même constellation ne se trouvent pas à égale distance de la Terre. Dire qu’elles sont réparties sur une sphère, c’est juste une impression. Certaines peuvent être loin de la Terre tandis que d’autres sont proches. Vous pouvez également contempler une sorte de fleuve de lumière, la Voie Lactée.


Par Joseph Stroberg

Pour ceux qui veulent faire l’économie de lire un livre entier, la simple observation illustrée suivante et la connaissance de la géométrie de base suffit à démonter l’idée d’une Terre plate.

Voici ce que l’on devrait avoir si la Terre était plate avec un observateur regardant le Soleil descendre sous l’horizon en soirée en France, en comparaison avec un autre observateur situé dans la région de Montréal au Québec :

L’observateur français, représenté par le X rouge (sous le centre de la figure), voit le Soleil en train de descendre sous l’horizon vers l’Ouest, à gauche de la carte. Et donc l’observateur de Montréal (représenté par le X pourpre) devrait voir le Soleil se coucher aussi approximativement vers l’Ouest, et donc être aussi en train de descendre sous l’horizon.

Or, ce qu’il voit au même moment est représenté sur la figure suivante avec le Soleil en position 2, encore haut dans le ciel, en direction approximative du Sud, puisque pour lui le moment correspondant de la journée n’est qu’environ midi (à une ou deux heures près selon la saison) :

Le point 1 est la position du Soleil pour l’observateur français en soirée locale. Le point 2 est la position qu’aurait le Soleil au même moment vers midi pour un observateur québécois si la Terre était plate. L’angle de la direction du Soleil par rapport au plan horizontal serait d’environ 40 degrés vers midi local au printemps, mais plus grand en été et plus faible en hiver. Cependant, quelle que soit la saison, il serait nettement différent du zéro degré représenté par l’angle du soleil couchant, descendant sous l’horizon. Le point 3 est en direction du sud de Montréal.

Il est bien évident que le Soleil ne pouvant pas se trouver simultanément en deux positions distinctes, la géométrie d’une Terre plate est totalement incompatible avec l’observation. Par contre, la géométrie d’un globe terrestre reste totalement compatible avec l’observation du Soleil quel que soit le lieu terrestre considéré et quel que soit le moment de la journée, ceci pour n’importe quelle saison. Les astronomes amateurs et professionnels peuvent prévoir et repérer précisément la position des astres et leurs heures de lever et de coucher, grâce au modèle sphérique conforme aux faits observés, alors qu’aucun modèle de Terre plate n’a pu faire l’équivalent.

Avec Internet et la téléphonie vidéo, il est maintenant facile pour deux observateurs vivant en deux lieux distants de vérifier cela par jour ensoleillé aux deux endroits.

[Voir aussi :
La « vérité révélée », la Terre est plate et j’en aurais la preuve ?]




Sur Israël, les prémonitions au vitriol de Raymond Aron

[Source : orientxxi.info]

[Illustration : Portrait daté du 17 juin 1983 du philosophe français Raymond Aron avant un débat à Draguignan.
Raph GATTI/AFP]

Il était plus facile il y a quelques décennies de critiquer en France la politique de Tel-Aviv qu’aujourd’hui. Les analyses de Raymond Aron, chroniqueur à L’Express et au Figaro, incisives et dénuées de tout sentimentalisme vis-à-vis de sa judaïté, tranchent avec le tropisme pro-israélien actuel des médias dominants.

Par Pierre Prier

Raymond Aron est à la mode. Le penseur libéral, l’universitaire doublé d’un éditorialiste influent par ses éditoriaux dans Le Figaro puis dans L’Express, des années 1950 à 1980, a été convoqué à l’occasion du quarantième anniversaire de sa disparition par des médias de droite à la recherche des références intellectuelles qui leur manquent dans la production actuelle : « un maître pour comprendre les défis d’aujourd’hui », « un horizon intellectuel », « un libéral atypique ».

Curieusement, les prises de position les plus incisives de son œuvre journalistique, à savoir celles consacrées à Israël et à la Palestine, sont absentes des injonctions à « relire Raymond Aron ». Elles n’en restent pas moins d’une actualité brûlante.

On comprend cette gêne si on les relit, effectivement. Certaines de ces idées, exprimées dans une presse de droite par un homme de droite d’origine juive, le feraient classer en 2024 comme « antisioniste » (voire pire) par des médias et des « philosophes » de plateaux télé qui se contentent de paraphraser le narratif Israélien.

C’est une véritable réflexion qui se déclenche le 27 novembre 1967, à la suite de la célèbre conférence de presse du général de Gaulle dénonçant, après la victoire éclair d’Israël et l’occupation des territoires palestiniens : « les Juifs (…) qui étaient restés ce qu’ils avaient été de tout temps, c’est-à-dire un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur ». Chaque mot de cette déclaration « aberrante » choque Raymond Aron. En accusant « les Juifs » éternels et non l’État d’Israël, de Gaulle réhabilite, écrit-il, un antisémitisme bien français : « Ce style, ces adjectifs, nous les connaissons tous, ils appartiennent à Drumont, à Maurras, non pas à Hitler et aux siens ».

INTERROGATIONS SUR LE CONCEPT DE « PEUPLE JUIF »

Mais Aron, en vrai philosophe, ne saurait s’arrêter là : « Et maintenant, puisqu’il faut discuter, discutons », écrit-il dans Le Figaro. Il se lance alors dans une étude sociohistorique, adossée à une auto-analyse inquiète qui n’a pas vieilli. Quel rapport entre ses origines et l’État d’Israël ? L’obligent-elles à un soutien inconditionnel ? Et d’ailleurs qu’est-ce qu’être juif ? Ces questions parfois sans réponse définitive, on les trouve dans un ouvrage qui rassemble ses articles du Figaro1 puis, plus tard, dans ses Mémoires2 publiées l’année de sa mort, en 1983, et enfin dans un livre paru récemment qui comporte, lui, tous ses éditoriaux de L’Express3. Les citations de cet article sont extraites de ces trois livres.

Et d’abord, qu’est-ce que ce « peuple » juif comme le dit le président de la République, commence par se demander Raymond Aron. Il n’existe pas comme l’entend le sens commun, répond-il, puisque « ceux qu’on appelle les Juifs ne sont pas biologiquement, pour la plupart, les descendants des tribus sémites » de la Bible. « Je ne pense pas que l’on puisse affirmer l’existence objective du “peuple juif” comme celle du peuple français. Le peuple juif existe par et pour ceux qui veulent qu’il soit, les uns pour des raisons métahistoriques, les autres pour des raisons politiques ». Sur un plan plus personnel, Aron se rapproche, sans y adhérer complètement, de la fameuse théorie de son camarade de l’École normale supérieure, Jean-Paul Sartre, qui estimait qu’on n’était juif que dans le regard des autres. L’identité n’est pas une chose en soi, estime-t-il, avec un brin de provocation :

Sociologue, je ne refuse évidemment pas les distinctions inscrites par des siècles d’histoire dans la conscience des hommes et des groupes. Je me sens moins éloigné d’un Français antisémite que d’un Juif marocain qui ne parle pas d’autre langue que l’arabe…

Mais c’est pour ajouter aussitôt : « Du jour où un souverain décrète que les Juifs dispersés forment un peuple “sûr de lui et dominateur”, je n’ai pas le choix ». Cette identité en creux ne l’oblige surtout pas à soutenir une politique. Aron dénonce « les tenants de l’Algérie française ou les nostalgiques de l’expédition de Suez qui poursuivent leur guerre contre les Arabes par Israël interposé ». Il se dit également gêné par les manifestations pro-israéliennes qui ont eu lieu en France en juin 1967 : « Je n’aimais ni les bandes de jeunes qui remontaient les Champs-Élysées en criant : “Israël vaincra”, ni les foules devant l’ambassade d’Israël ». Dans ses Mémoires, il va plus loin en réaffirmant son opposition à une double allégeance :

Les Juifs d’aujourd’hui ne sauraient éluder leur problème : se définir eux-mêmes Israéliens ou Français ; Juifs et Français, oui. Français et Israéliens, non — ce qui ne leur interdit pas, pour Israël, une dilection particulière.

Cette « dilection », il la ressent émotionnellement. Lui qui en 1948 considérait la création de l’État d’Israël comme un « épisode du retrait britannique » qui « n’avait pas éveillé en lui la moindre émotion », lui qui n’a « jamais été sioniste, d’abord et avant tout parce que je ne m’éprouve pas juif », se sentirait « blessé jusqu’au fond de l’âme » par la destruction d’Israël. Il confesse toutefois : « En ce sens, un Juif n’atteindra jamais à la parfaite objectivité quand il s’agit d’Israël ». Sur le fond, il continue de s’interroger. Son introspection ne le prive pas d’une critique sévère de la politique israélienne, puisqu’Aron ne se sent aucune affinité avec les gouvernements israéliens : « Je ne consens pas plus aujourd’hui qu’hier à soutenir inconditionnellement la politique de quelques hommes ».

LE REFUS D’UN SOUTIEN « INCONDITIONNEL »

Cette politique va jusqu’à le révulser. Il raconte comment il s’emporte, au cours d’un séminaire, contre un participant qui clame : « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Le digne professeur explose : « Contre mon habitude, je fis de la morale avec passion, avec colère. Cette formule… un Juif devrait avoir honte de la prendre à son compte ». Mais en général, le philosophe-journaliste reste attaché à une analyse froide des réalités du moment. Raymond Aron n’oublie pas qu’Israël est aussi un pion dans la géopolitique de la guerre froide : « S’il existe un “camp impérialiste” [face à l’URSS], comment nier qu’Israël en fasse partie ? » Puis : « Dans le poker de la diplomatie mondiale, comment le nier ? Israël, bon gré mal gré, est une carte américaine ».

Il pousse loin le principe de la « déontologie » intellectuelle. S’il juge qu’en 1967, Israël a été obligé d’attaquer, il peut être bon, pour le bien de la paix régionale, qu’il perde quelques batailles : « Je jugeai normale l’attaque syro-égyptienne de 1973 », écrit-il, ajoutant même : « Je me réjouis des succès remportés par les Égyptiens au cours des premiers jours », car ils permettraient au président Anour El-Sadate de faire la paix.

Mais Aron reste tout de même sceptique devant l’accord de 1978 entre Menahem Begin et Sadate à Camp David, simple « procédure » qu’il « soutient sans illusion », car il lui manque le principal : elle ne tient pas compte du problème « des colonies implantées en Cisjordanie ». En 1967 (rejoignant, cette fois, les prémonitions du général de Gaulle, dans la même conférence), il décrit l’alternative à laquelle Israël fait face : « Ou bien évacuer les territoires conquis… ou bien devenir ce que leurs ennemis depuis des années les accusent d’être, les derniers colonisateurs, la dernière vague de l’impérialisme occidental ». L’impasse est totale, selon lui : « Les deux termes semblent presque également inacceptables » pour Tel-Aviv.

Ce pessimisme foncier s’exprime dans ses articles écrits pour L’Express dans les dernières années de sa vie. En 1982, il salue la portée « symbolique » et la « diplomatie précise » de François Mitterrand, qui demande devant le parlement israélien un État pour les Palestiniens, en échange de leur reconnaissance d’Israël. Tout en restant lucide : « Mitterrand ne convaincra pas Begin, Reagan non plus ». Selon lui, écrit-il toujours en 1982, Israël n’acceptera jamais de reconnaître l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) comme seul représentant des Palestiniens. Dix ans plus tard, les accords d’Oslo connaîtront finalement l’échec que l’on sait, et Israël facilitera la montée du Hamas, dans le but d’affaiblir l’OLP.

L’invasion du Liban par Israël en 1982, le départ de Yasser Arafat et de ses combattants protégés par l’armée française donnent encore l’occasion à Raymond Aron de jouer les prophètes : même si l’OLP devient « exclusivement civile (…), d’autres groupements reprendront l’arme du terrorisme (…). L’idée d’un État palestinien ne disparaîtra pas, quel que soit le sort de l’OLP ».

En septembre, il commente ainsi les massacres des camps palestiniens de Sabra et Chatila par les phalangistes libanais, protégés par l’armée israélienne :

Israël ne peut rejeter sa responsabilité dans les massacres de Palestiniens (…). Pendant les trente-trois heures de la tuerie, des officiers de Tsahal ne pouvaient ignorer ce qui se passait dans les camps.

Et les prédictions d’Aron, en décembre de la même année, résonnent singulièrement aujourd’hui. À l’époque, le terme d’apartheid est encore réservé à l’Afrique du Sud. Le philosophe évoque un autre mot et une autre époque :

D’ici à la fin du siècle, il y aura autant d’Arabes que de Juifs à l’intérieur des frontières militaires du pays. Les Juifs porteront les armes, non les Arabes. Les cités grecques connaissaient cette dualité des citoyens et des métèques. Faut-il croire au succès de la reconstitution d’une cité de ce type au XXe siècle ?

Oui, il faut relire Raymond Aron.


1 De Gaulle, Israël et les Juifs, Plon, 1968.

2 Mémoires, tome 2, Julliard, 1983.

3 De Giscard à Mitterrand, 1977-1983, Calmann-Lévy, 2023.




Le pape François, un hérétique

[Source : @Cielvoile]

[Voir aussi :
Mgr Viganò : L’intention de Bergoglio est de nuire aux âmes, de discréditer l’Église et d’offenser Dieu
PCB : L’histoire de l’Église et le Synode suicidaire sur la synodalité de Bergoglio
Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
La crise dans l’Église Catholique
François, est-il le pape du Great Reset ?
François, pape des pauvres et de l’écologie ? Ou pape de l’élite globale ?
Rien que la vérité sur la « démission » de Benoît XVI
Mort de Benoît XVI : du siège empêché au siège vacant. Le Pape François n’existe pas (mais l’antipape oui)]






PLAN DE MARQUAGE DE L’HUMANITÉ

[Source : michelledastier.com]

Voici un article de Serge Monast dévoilant le projet des dirigeants de ce monde d’offrir tous les hommes et femmes de la planète à Lucifer au travers d’un système de contrôle que la Bible appelle « La marque de la bête ». Ce texte écrit au début des années 90 quand la puce électronique était quasi-inconnue, est d’actualité aujourd’hui. En moins de 30 années seulement, ce qui semblait être de la science-fiction est devenue réalité.

Dévoilement du complot relatif au plan de marquage de l’humanité

Par Serge Monast

Serge Monast, Journaliste d’investigation avait révélé dès 1993, le projet secret des Illuminati-Reptiliens de pucer le monde. Comme tous les gens qui disent la vérité, il a été assassiné !

Révélations de M. Monast (Un des derniers documents présentés par l’auteur avant son assassinat)

« Le 15 décembre 1993, à Montréal, Serge Monast, de l’Agence Internationale de la Presse Libre, dont les activités étaient uniquement axées sur le journalisme d’enquête internationale aux niveaux économique, politique, militaire et médical, dévoilait des informations si stupéfiantes qu’elles lui coûtèrent la vie. Neuf ans après, ses informations se confirment les unes après les autres. Il est vrai qu’il était informé par des politiciens repentis, des agents des services secrets écœurés ; il recevait également des documents classifiés, ultra confidentiels, souvent anonymement ou transmis par des confrères situés aux quatre coins du monde »

(Jacques Delacroix,Naufrage d’un système,Tome 1, Collection L.I.E.S.I., Éditions Delacroix, B.P. 18, 35430 Châteauneuf, 2003, page 70.)

Introduction

Depuis plusieurs années il existe des projets sérieux visant le marquage des individus par laser, sur le front ou sur le poignet. Mais aujourd’hui les tireurs de ficelles du Nouvel Ordre Mondial sont allés plus loin : Ils sont à même de réaliser leur rêve de contrôle complet du cheptel humain. Comment ? Par l’injection d’une puce électronique à chaque être vivant. Tout est quasiment au point ! Ce sera l’objet de la première partie de ce document. Ensuite, nous verrons pourquoi nos écoles ont produit une jeunesse qui, dans sa grande majorité, est — malgré elle — : pourrie, viciée, sans Foi, sans valeurs morales, sans esprit de discernement, sans vie intérieure, ayant pour unique perspective celle de servir le Système selon une morale Antichrétienne et Humaniste.

Nous nous pencherons ainsi sur les formes policières et militaires constituées par les cadres du Gouvernement Mondial. Cadres choisis parmi les brillants promus des écoles sans Dieu. Des jeunes formés selon une idéologie particulière. Ce Gouvernement Mondial au service de l’Enfer doit asseoir le fils de perdition — l’Antéchrist. Il a besoin d’une force d’action multinationale omniprésente. Elle ne peut se constituer qu’à partir d’éléments nationaux !

Concept de monnaie électronique avant le marquage de l’humanité. Une condition préliminaire :

L’instauration de la monnaie unique.

Depuis une trentaine d’années, les dirigeants des banques américaines et mondiales commencent à envisager un autre échange monétaire que celui du chèque. Le premier vice-président de la FED déclarait en 1975 : « Il faut absolument développer un nouveau système électronique d’échange sous peine de voir le système bancaire des États-Unis s’étouffer sous une avalanche de chèques ».

On mit alors en route un transfert électronique de fonds au niveau international, la SWIFT — Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications, — établit à Bruxelles et comptant, enjanvier 1975 déjà 246 banques pourvues d’un système privé de communications pour la transmission de paiements et d’autres messages associés aux transactions bancaires internationales.

Une femme d’affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d’élaboration. Elle écrivait :

« Quand le système monétaire tombera… ce sera le 666 System…Bruxelles, le quartier général de l’économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l’ambition d’étendre ce transfert de fonds au niveau international, c’est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l’immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C’est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d’attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres. »

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu’un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette « marque internationale » pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l’attribution d’une marque chiffrée…

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l’ont appelé « The Beast » (la Bête)… Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d’argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d’une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d’argent effectué, tous les changements d’adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d’imposition.

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d’ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L’idée initiale était d’établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80, on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu’on le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l’œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d’une marque à l’ordinateur. L’apparition il y a quelques années du code-barres informatique s’est étendue rapidement sur la quasi-totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d’asservissement monétaire en cours. Tout ceci s’est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. À l’époque, la marque sur la main ou sur le front devait s’effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires. On trouve des explications aux États-Unis :

  • Dans les grands centres de loisirs où l’on pratique perfidement cette parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits-enfants »… À l’entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l’enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l’enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l’aire de jeux.

  • Dans les grands centres de distribution… Les clients n’ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s’y trouve incorporé. À l’intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l’épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, son prix est enregistré. Le paiement s’opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n’a plus qu’à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994…

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot, le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé — comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné ou s’il n’est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l’identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c’est fini. Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire…

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l’évidence : la carte de crédit par exemple n’était pas à la hauteur du plan monétaire d’asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose. Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d’un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.

Plusieurs individus travaillant en solitaire pour la divulgation de la vérité sur des sujets variés, inconnus du public, dangereux, ont décidé de se réunir et d’organiser à l’échelle nationale et internationale un réseau parallèle d’informations et d’échanges de tout ordre. Ce, afin de freiner l’anéantissement des valeurs occidentales et de témoigner du complot qui s’abat contre notre monde chrétien.

Dangereux, parce que les informations vérifiables à l’Agence Internationale de la Presse libre, démontrent la perspective pas très lointaine de notre condamnation et d’une volonté des ennemis de Jésus-Christ Fils de Dieu, de nous pourchasser pour notre foi, notre refus de la société antéchristique actuelle, et finalement du désir de marquer du signe de la Bête tous les individus de la planète comme vous le verrez par la suite.

Les activités de l’Agence Internationale de la Presse libre au Canada sont accès uniquement sur le journalisme d’enquête internationale au niveau économique, politique, militaire, médical, et vérifiables. Leurs dirigeants ne peuvent pour l’instant pas être contactés pour des raisons que chacun devine. D’où la décision prise de diffuser ce que vous allez connaître. Même les informations qui seront portées à votre connaissance ont été obtenues avec beaucoup de difficultés de la part de certains journalistes [néanmoins la cohérence de ces informations rend celles-ci fort vraisemblables, pour ne pas dire certaines, compte tenu de ce qui s’est déjà réalisé]. Plusieurs ont risqué leur emploi, leur sécurité et pour quelques-uns, leur vie.

Partie I
MARQUAGE DE L’HUMANITÉ
Le microchip biologique d’identification internationale

Depuis l’apparition des Codabars en 1977 — approuvé par l’ONU dès 1972 — il y a une accélération foudroyante du Plan de la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, II, 9] prophétisé par l’Apocalypse aux chapitres XIII, versets 8 et 15 à 18 :

« La Bête réussit à leur faire mettre à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une empreinte sur la main ou sur le front ; et elle fit en sorte que nul ne pût acheter ou vendre, qu’il n’eût l’empreinte, le nom de la Bête ou le nombre de son Nom. Ici réside la Sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la Bête. C’est un nombre d’homme. Ce nombre est Six cent Soixante-Six »
[www = 666].

Ces Codabars de type « Ean » intégraient le nombre « 666 » au moyen de trois groupes de deux barres plus longues que les autres (au début, au milieu et à la fin). Chacun des groupes est lu au laser comme un « 6 ». Ainsi obtient-on le chiffre « 666 » qui se surimpose sur chaque code-barres. Ces trois chiffres identiques s’ajoutent aux treize chiffres fonctionnels (le choix de ce nombre fut volontaire afin de dévoiler la réalisation de l’Apocalypse, précisément son chapitre XIII !).

Le code de treize chiffres s’explique ainsi : 3 pour le pays et la région d’origine, 5 pour les producteurs (usine, atelier, etc.), et 5 pour le produit (prix, date, etc.). Chaque chiffre est lui-même réalisé par une juxtaposition de 7 modules blancs ou noirs. Comme le nombre d’arrangements de 7 modules est très supérieur à 10, ce procédé permet d’utiliser simultanément 3 codes dits A, B et C.

B est identique à A, mais à l’envers. C s’obtient en inversant les couleurs de A. Le code A n’est utilisé que pour les 6 premiers chiffres de chaque étiquetage, ce qui permet de déchiffrer le code, quel que soit le sens dans lequel les caissières des supermarchés présentent les paquets devant l’appareil de lecture optique. Afin d’éviter les « doubles », tous ces codes sont attribués, dans chaque pays par un diffuseur unique qui a fait du secret sa règle d’or : « Gen Code », filiale du diffuseur américain.

En 1988, la ville de Singapour — en Malaisie — a testé ce système de marquage sur une population de dix mille personnes. Pendant trois mois on a testé dans cette mégapole le remplacement des cartes de paiement par un Code-Barres individuel lisible au laser. Le code était gravé pour moitié sur le poignet et pour moitié sur le front !

Ron Steele démontrera que la technologie pour marquer, enregistrer et surveiller des gens existe par exemple aux États-Unis avec des prisonniers et même certaines prostituées séropositives.

Le sujet que je développe à ce jour est basé sur des informations fournies essentiellement par Ladite Agence ; il est très important. Même les journalistes initiés ne pouvaient pas penser que l’information qui fait l’objet de cet article puisse exister. Il s’agit de quelque chose d’excessivement sérieux, qui, du jour au lendemain, non seulement permettrait l’instauration d’un Gouvernement mondial, d’un ORDRE MONDIAL, mais rend possible le contrôle individuel, direct, de chaque individu sur la planète.

Cette information concerne le microchip biologique d’identification internationale. Dans la nouvelle technologie de pointe qui va être utilisée et l’est déjà pour arriver à un contrôle absolu de toutes les populations de la planète, les architectes du Nouvel Ordre Mondial ont admis dans des réunions privées que sans l’avènement de l’ordinateur et de la haute technologie, la réalisation d’un Gouvernement Mondial n’aurait jamais pu être si proche. Parmi ces nouvelles technologies les plus effrayantes qui soient, il y a le microchip biologique d’identification internationale.

Qu’est-ce que c’est ? Des confrères américains [et non français] ont réussi à obtenir des informations vérifiables grâce à des documents audio, des photographies, un dossier de presse complet provenant de publications produites par des journaux officiels et religieux depuis 1990. Ces informations démontrent l’existence d’un contrôle électronique direct de tous les individus sur toute la planète.

On pourrait croire avoir affaire à de la science-fiction, mais la présence de documents écrits, de références à ces documents et des documents vidéo provenant des compagnies qui ont mission de fabriquer ce produit-là, ne laissent aucune alternative quant aux conclusions.

Selon Terry L. Cook — journaliste chrétien d’investigation sur la côte ouest américaine, — celui-ci se référant à Tem Wellord, la technologie cachée derrière le nouveau MICRO CHIP n’est pas très compliquée. Avec un peu de raffinement, il pourrait faire l’objet d’une grande variété d’applications humaines.

D’une manière plus que concevable, un numéro pourra être assigné à chacun dès la naissance et faire partie de la vie intégrante de celui-ci jusqu’à sa mort.

Vraisemblablement cette puce électronique pourra être implantée sur le revers de la main, et celle-ci pourrait servir de carte d’identification universelle, ce qui remplacerait les cartes de crédit, les passeports, les permis de conduire, etc.

À la fin de l’année 1993, une compagnie américaine : la Destron Idi Colorado, fabrique et annonce ces puces électroniques d’identification IDI CHIP globalement via « Infopet » et d’autres distributeurs américains et internationaux.

Pour l’instant, ces puces sont utilisées pour retracer, contrôler et identifier les animaux de ferme, les animaux domestiques, les oiseaux, les poissons et tous produits manufacturés. Actuellement ce nouveau système se répand à la vitesse de l’éclair sur toute la planète. Un exemple : celui de l’implantation du MICRO CHIP sur les grands oiseaux coureurs d’Australie.

Autruches, émeus et nandous sont l’objet d’un élevage commercial aux États-Unis. Zoan Parker, un spécialiste des ratistes ou oiseaux coureurs du Penn State Cooperative Extension à Lancaster, déclare que l’élevage de ces oiseaux reflète aujourd’hui les mêmes tendances que l’élevage du bétail dans les années 1800, qui commença également comme un marché limité à quelques éleveurs. Ces premiers fermiers savaient que les voleurs de bétail étaient un véritable problème. Plutôt que de marquer le bétail au fer chaud, ce stock d’oiseaux vivants est muni d’un MICRO CHIP individuel d’identification qui émet un signal. Zoan Parker dit que « c’est comme un numéro de sécurité sociale ».

Cet article est la 2e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Ce MICRO CHIP est si petit qu’il peut être facilement introduit dans une aiguille hypodermique ! Il s’agit d’un minuscule tube de verre, microprocesseur passif, de 2 mm de diamètre, et dont la taille mesure entre 10 et 12 mm.

Peu après la naissance de l’oiseau, le MICRO CHIP est injecté dans les tissus adipeux ou musclés de l’animal, « ne causant aucun mal ou inconvénient à l’animal », selon Parker. L’oiseau peut alors être identifié par un lecteur de MICRO CHIP portable.

Parker ajoute : « Chaque oiseau doit être muni d’un MICRO CHIP pour être transporté à travers les frontières des États, ou être assurés. Il vous faudrait littéralement déchirer l’oiseau en morceaux pour arriver à ôter le MICRO CHIP ».

En 1995, comme la plupart des gens le savent, le numéro d’assurance sociale se compose d’une série de neuf chiffres. Selon d’autres informations reçues tout récemment à l’Agence, ce système sera tout prochainement remplacé avec l’aide de nouveaux ordinateurs, par une série internationale de dix-huit chiffres numériques, à cristaux liquides, connus sous le nom de MESH-BLOCK. Une configuration internationale qui permettra d’identifier n’importe qui sur la planète. Cette nouvelle série de dix-huit chiffres sera divisée en trois parties, c’est-à-dire trois séries de six chiffres chacun.

Tout début 1994, ces implants de puces électroniques aussi appelés TRANSPONDER ont été partout répandus sur la planète pour le contrôle de l’industrie animale. Afin d’identifier l’animal (numéro précis attribué à chacun, comportant le nom et l’adresse des propriétaires) un lecteur manuel envoie une impulsion radio de 125 kHz (signal). Le transponder implanté renvoie le numéro attribué par retour (réponse en écho), au lecteur (scanner). Le scanner affiche aussitôt le nombre digital sur son écran à cristaux liquides.

Un TRANSPONDER, c’est un récepteur-émetteur radio ou radar, activé pour la transmission, par la réception d’un signal prédéterminé qui peut provenir d’un lecteur au laser ou d’un équipement sophistiqué : émetteur ordinateur ou même par satellite. Selon le journaliste L. Cook (« Implantable Biochip Tenchnology 666 ») le nom complet de ce « grain de riz » est : Destron Idi Transponder TX 1400 LX. Dans son livre il nous apprend que le coût d’un de ces « grains de riz » est d’environ $4,5(US). Il cite dans cet ouvrage un article de « San Diego Union » du 9 novembre 1991 dans lequel un journaliste révèle que la ville de Los Angeles aurait voté un crédit de $ 123 000 par an, pour fabriquer des « implants » sur les animaux familiers et inciter les propriétaires à en faire autant. L’objectif consisterait à réduire par ce système le nombre des animaux perdus, qui coûtent cher aux villes…

Dans un autre article, tiré du « Arizona Republic » du 20 juillet 1989, on apprend qu’un certain Jack Dunlap proposerait d’implanter des puces électroniques aux… jeunes enfants afin que leurs parents puissent les retrouver en toute occasion, par l’intermédiaire des ordinateurs de la police ! … [Et le pas est franchi, car l’escalade coulait logiquement et inéluctablement de source.]

Ce journaliste américain précise : « La technologie cachée derrière ce nouveau “microchip” n’est pas très compliquée et, avec un peu de raffinement, pourrait être utilisée dans une grande variété d’applications pour les humains » [bien sûr, c’était cousu de fil blanc]. À cet effet, en 1995, une nouvelle version est en phase d’expérimentation sur l’être humain. Vraisemblablement cette puce d’identification a de grandes chances de devenir le marquage électronique attendu puisqu’elle pourrait être implantée sur le front ou le revers de la main et de venir la « carte d’identité universelle ». Par exemple, dans les magasins, il suffirait de passer le poignet au-dessus ou dans un « scanner » pour effectuer ainsi un débit direct sur un compte bancaire… [et le tour est joué !].

Selon la C.E. Ouranos « des expériences ont été faites aux États-Unis pour graver sous forme de tatouage invisible à l’œil, le code-barres sur la main de certaines personnes. Une nouvelle carte identité infalsifiable comportant une puce électronique permettra, une fois passée dans un lecteur, de connaître tous les renseignements sur la personne. Elle fera office de carte universelle d’ici l’an 2000. Déjà la nouvelle forme de pointage électronique remplaçant le ticket de métro et de bus dans certaines villes préfigure le nouveau système de contrôle magnétique infalsifiable qui sera utilisé d’une manière universelle ».

On sait que de tels projets sont testés en ce moment même dans les « bureaux d’études » constitués et financés par la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, 2:9] (Haute Finance internationale). Cela paraît peut-être invraisemblable, mais il est aujourd’hui possible « techniquement » de contrôler directement et individuellement chaque individu sur la planète. Chacun d’entre nous, avec ce système, serait enregistré. Et d’après les documents reçus, il est évident que ceux qui comptent l’implanter d’une manière obligatoire au niveau des populations sont en train de structurer les nouveaux paramètres internationaux, la nouvelle télémétrie économique, de manière à ce que tout individu qui n’aurait pas cet implant électronique ne puisse ni acheter ni vendre quoi que ce soit sur toute l’étendue de la planète.

Pour mieux comprendre ce que peut être le microchip biologique d’identification internationale on peut chercher une définition d’après les compagnies qui ont reçu mission de la créer [terme impropre : Dieu seul crée].

Après avoir évoqué la Destron Idi Colorado on pourrait aussi citer la multinationale Texas Instrument, la Tarovan, qui est la compagnie du système d’identification électronique aux États-Unis, mais aussi la compagnie Avidqui fabrique un « tag », c’est-à-dire une espèce de médaille d’identité qui est remplacée par la puce électronique et fait partie des sociétés construisant des appareils d’identification pour le monde vétérinaire aux États-Unis.

La définition transmise par ces sociétés est la suivante : l’implant microchip d’identification est un appareil d’indiscrétion, d’abus de la vie privée, inséré avec une unité — un module — dans une petite région de la peau au moyen d’air comprimé.

En d’autres termes, cette puce électronique — pas plus grosse qu’un grain de riz — doit être injectée à l’aide d’une seringue à air comprimé. L’inclinaison de cet appareil d’implantation est comme une aiguille hypodermique, n’ayant qu’une pénétration limitée, et elle ne pourrait aucunement opérer si l’angle ou la quantité de peau n’était pas approprié. Cette unité émet un signal qui est digital et qui consiste en des jaillissements de 85 datas Bits.

Cette puce produit donc un signal digital à des intervalles spécifiques. C’est un signal de localisation. La technologie de cet appareil est hautement sophistiquée, classifiée (donc c’est une information technologique non publiée), et elle n’est pas soumise aux transmissions digitales normales et analogues. Cet appareil fournit des informations vitales, de même qu’il sert de moyen de localisation ; c’est-à-dire que l’appareil peut être codé, programmé, pour fournir des informations complètes avec un numéro d’identification. De plus il permet aux individus qui le manipulent de vous repérer où que vous soyez par un service de détection. Il y a ainsi, par l’implantation du MICRO CHIP sous la peau, possibilité de localiser tout individu grâce à l’émission du signal émis par la puce, et capté par des satellites. Ces derniers retransmettraient l’information à un écran d’ordinateur aux quartiers généraux des corps de police au service de ce Gouvernement Mondial [peut-on imaginer la puissance d’un tel Gouvernement ?] (Nous verrons plus loin que ces corps de police existent déjà).

Une carte géographique intégrée dans le programme de l’ordinateur permettrait alors de localiser immédiatement l’individu recherché et de programmer une opération pour le trouver.

C’est essentiellement dans cette perspective que sont lancés à foison les satellites aujourd’hui.

Penchons-nous précisément sur la question des satellites au regard d’autres informations reçues par la Commission d’Études Ouranos. L’objectif s’intitule : « Une autoroute de données par satellites ».

Il y a chez les mondialistes de l’ONU et les financiers de l’Ordre Mondial [car, dans cet ordre-là, rien ne peut être réalisé sans argent], une volonté délibérée de faire de la planète un grand « village ». Il est pour eux un impératif que les endroits les plus reculés du monde soient reliés à une infrastructure mondiale, grâce à un gigantesque réseau de 840 satellites. Ce projet est proposé par Bill Gates [Monsieur Gates, attention au boomerang !], le fondateur de Microsoft, et par Craig Mc Caw, le roi du téléphone cellulaire (tous ces téléphones ont déjà une puce intégrée qui permet de suivre à la trace leur possesseur, d’où une publicité effrénée pour leur diffusion).

On sait que l’américain Loral Corp et neuf partenaires étrangers, dont le puissant groupe français Alcatel Alstom, viennent de donner le coup d’envoi d’un système mondial de téléphonie et de radiolocalisation par satellite Globalstar, qui s’associera avec Bill Gates. Pour découvrir 98 % de la population mondiale, la « constellation Globalstar » comprendra 48 satellites sur six plans orbitaux à l’altitude de 2390 km.

Bill Gates prévoit ainsi un réseau gigantesque de 840 satellites gravitant sur 21 orbites différentes, à une altitude de 700 km, de manière à couvrir 95 % de la planète.

On relèvera outre le projet « Globalstar », plusieurs « concourrents » dont le projet « Irridium », fondé sur 66 satellites, pour 1988. Projet qui présente la particularité d’être en avance sur les autres dans la réalisation technologique.

D’après les documents en possession de certains journalistes canadiens et américains [les journalistes français s’étant éclipsés] et fournis à l’Agence Internationale de la Presse libre, le MICRO CHIP a déjà été expérimenté et implanté dans des organismes de bébés, de militaires, de messagers du gouvernement et sur du personnel travaillant à la Maison-Blanche dans des sections de haute sécurité. On rapporte aussi qu’il fut autorisé pendant la guerre du Golfe et fut montré publiquement à l’émission très connue de « Twani and Twani » aux États-Unis, en août 1991 [en France, on se couche, comme le disait déjà l’extraordinaire Mélanie de la Salette, Sœur Marie de la Croix, la sainte Bergère].

Relevons parmi les projets diaboliques celui d’implanter dans le corps de nouveau-nés une « puce électronique » devant faire de cet individu un robot soumis au pouvoir de l’ordinateur avec lequel il sera branché. « Bonum Certanem » de l’abbé Mouraux dévoile que « le malheureux contrôlé jour et nuit deviendra un esclave électronique. Commandé électroniquement cet esclave pourra sur l’ordre de ses maîtres, commettre tous les crimes qu’on lui imposera ».

Il apparaît donc qu’à l’heure actuelle, avec une technologie de cette trempe, on arrive à une possibilité du contrôle complet des individus sur la planète, qui permet l’instauration d’un Gouvernement Mondial sous l’égide des Nations-Unis.

Mais il y a pire… On sait aujourd’hui que des personnes travaillent au remplacement, dans la prochaine décade, du MICRO CHIP par un BIO CHIP : une puce fabriquée à partir de protéines vivantes. À l’heure actuelle, le projet est déjà en stade d’expérimentation. Cette puce sera infiniment plus petite que le MICRO CHIP : elle aura la capacité de renfermer une foule d’informations. Elle aurait le potentiel de pouvoir agir sur la mémoire ou la pensée d’un individu. D’où le spectre du contrôle mental.

Est-il possible aujourd’hui d’agir sur l’être humain à son insu par la manipulation des états de conscience ? On peut facilement à cette question en se référant aux états de haute suggestibilité sur le conscient qui permet l’action de l’hypnose sur l’inconscient. À titre d’exemple, la télévision devient un outil efficace pour ce genre de manipulation au moyen du sublimal. D’ailleurs la CIA qui travaille actuellement à l’installation de son propre « canal de télé » aura la capacité de transmettre — à partir de transmetteurs aériens puissants — pour interrompre toute programmation dans n’importe quel pays. Nous avons là la réalisation matérielle de ce verset biblique : la Bête aura le pouvoir de « faire parler les images » (Apocalypse, 13:15).

Pour les initiés qui financent des chercheurs sur des projets aussi macabres, une telle puce présente d’autres avantages : tout pourrait y être inclus. Cette puce d’identification électronique humaine pourrait rendre réalisable une centralisation globale par un ordinateur central. D’où possibilité de ne jamais perdre la trace d’un individu et de remplacer le système monétaire actuel. L’argent ne serait alors plus nécessaire : plus besoin de chèque, de cartes de crédit, etc. Tout fonctionnerait à partir de cet implant électronique sur l’individu. Ce serait un moyen fantastique de réduire les dépenses de l’État, des banques et de neutraliser une fois pour toutes l’ensemble des marchés de la mafia, du marché noir, le marché de la drogue, et toutes formes de transferts illégaux d’argent.

Or à la conférence annuelle du Groupe Bilderberg de 1992, à Évian, en France (peu de temps après les émeutes de Los Angeles) Henry Kissinger a déclaré :

« Aujourd’hui les Américains seraient scandalisés de voir des troupes de l’ONU rentrer dans les rues de Los Angeles afin de restaurer l’ordre. Demain, ces mêmes populations vont nous remercier à genoux pour un tel acte. Il est spécialement vrai que si l’on dit aux populations : “écoutez, il y a un danger extérieur énorme qui existe”, et que l’on vote des lois en fonction de ce danger : que ce danger soit réel ou non, on sera capable de faire passer n’importe quoi, et les gens l’accepteront pour le bien-être de leur sécurité. »

De la même façon, d’autres politiciens américains ont imaginé qu’à partir du moment où il y aurait un scandale sans précédent d’argent, ou une terrible crise économique fabriquée de pures pièces qui jetterait toutes les valeurs monétaires à terre, le meilleur système de remplacement du système actuel et la meilleure parade pour empêcher un autre chaos, serait l’utilisation d’une puce électronique d’identification. Selon eux, par cette puce passeraient toutes les formes de transactions, d’échanges nationaux et internationaux, entre les individus.

Des informations récentes confidentielles, vérifiées par un ex-officier de la CIA, dévoilent différentes données que le TRANSPONDER pourrait fournir si cette puce électronique était implantée dans la peau : le nom et la photo de la personne, le numéro d’assurance sociale internationale composé de trois séries de 6 chiffres — chacun pour un numéro international de dix-huit chiffres, — des données au niveau des empreintes digitales, la description physique de la personne, l’adresse, l’histoire familiale (arbre généalogique) [cf. les Mormons], des informations relatives au travail et aux revenus de la personne, des informations concernant l’impôt et un éventuel casier judiciaire. Cette technologie déjà utilisée sur la planète dévoile une volonté d’exercer une dictature sur tous les individus.

Il y a là une perspective de totalitarisme dont entend faire montre le futur Gouvernement Mondial à travers l’Ordre Mondial actuellement en cours.

Il existe d’autres informations dans un rapport spécial sur la nouvelle technologie pour la surveillance par satellites. La sophistication, le raffinement des satellites est tel qu’il permet de repérer des imperfections souterraines, même de voir des verres sous le gazon. En utilisant des tours cellulaires et des satellites, l’animal domestique doté d’un MICRO CHIP ou l’individu qui en a reçu un peut être repéré par satellite au moins à dix pieds de l’endroit où il se trouve.

Par ordinateur et un système de scanner, la police de l’Ordre Mondial — qui est déjà la police actuelle — sera, grâce à un tel équipement, capable de retracer un individu sur toute la planète.

On devine qu’un individu catholique, par sa seule Foi au Christ, constitue un obstacle aux idées antéchristiques de l’Ordre Mondial : il sera « classé » comme un dangereux terroriste par l’ONU. Cet individu-là n’aura aucun moyen de se cacher sur toute l’étendue de la planète. Voilà pourquoi les Saintes Écritures nous préviennent de refuser le marquage. Par des renseignements complémentaires, on sait que les hommes au service de l’Ordre Mondial peuvent suivre par satellite un milliard d’animaux domestiques à qui on a injecté la puce. Qui, d’après vous, seront les suivants sinon nous, les hommes ?

Fin 1993, il y avait vingt-quatre « navstar » satellites pouvant repérer n’importe quoi de l’ordre d’un centimètre dans un rayon d’un kilomètre. Vous pourrez trouver ces informations dans le magazine Forbes du mois d’octobre 1991. Mais le document ne développe qu’une parcelle de tout ce qu’ilssont capables de faire à ce jour avec une technologie secrète, financée par des investissements de multinationales ou de banques centrales. (Vous comprenez ici l’objectif de Jean Conrad du « Complot contre l’homme ».)

Parmi les dossiers constitués à partir de fuites ou de révélations privées, on sait qu’un contrôle accru de l’humanité s’effectue au moyen de : la surveillance au laser, les nouveaux permis de conduire, la nouvelle carte d’assurance maladie aux États-Unis et au Québec, le nouvel espionnage électronique par le téléphone, le téléphone sans fil, les dossiers d’appel téléphonique, le micro clandestin, les répondeurs téléphoniques et les boîtes vocales, le système électronique pour porte de garage, les enquêtes sondages téléphoniques, les disquettes d’ordinateur, les services des postes, les caméras vidéo, les dossiers d’impôts, dossiers scolaires, dossiers médicaux et de service social.

Par une crise économique, ils sont en train d’engendrer une crise sociale qui oblige déjà les gens à se diriger malgré eux, vers une aide sociale. C’est un moyen légal qui ne paraît pas [un prétexte] pour aller chercher une information complète sur tous les individus.

Ce n’est pas tout. Citons le contrôle technologique du cerveau à distance, champ électromagnétique, terminaux de vidéo et jeux vidéo, micro-onde, désinformation militaire et civile, le contrôle par micro-onde basse intensité et complication biologique, les nouvelles armes électromagnétiques.

Des informations ont été obtenues sur la Banque Mondiale de la Conservation de l’Énergie. David Rockfeller et d’autres ont établi, au cours d’une réunion du 13 septembre 1987, le découpage géographique du Canada au profit du Nouvel Ordre Mondial avec carte géographique du plan mondial. Il y a aussi le plan technologique pour la chute de l’économie mondiale et l’anéantissement des fortunes individuelles ; le nouveau papier-monnaie avec barres magnétiques invisibles, la disparition des classes moyennes et la nouvelle télématique internationale au niveau du contrôle de l’économie mondiale. On vient d’ailleurs de finaliser en décembre 1993 les accords qui permettront d’arriver à un contrôle semblable.

Cet article est la 3e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

On pourrait aussi parler de la nouvelle surveillance électronique automobile qui s’installe sur les autoroutes et qui fait que les nouvelles voitures renferment des systèmes de repérage électronique de détection, sans que les acheteurs en soient conscients. Si bien qu’un système militaire se met lentement en place et rend possible tout repérage de véhicules et d’individus par rapprochement avec le fichier central détenu par la police au quartier général où repose l’ordinateur.

Les systèmes de détection sont si précis que l’on peut même savoir qui conduisait telle voiture à une heure précise, en tel lieu. Il y avait, fin 1993, des mises en pratique sur certaines autoroutes en Californie.

On met donc, à l’heure actuelle, sur l’ensemble de la planète, un des réseaux les plus sophistiqués de détection qui permettra un système de surveillance sans précédent de tous ceux qui auront reçu ce nouvel implant technologique, mais également de distinguer parmi les populations ceux qui l’ont refusé.

Avec ce nouveau micro chip biologique d’identification internationale il sera possible d’imposer un Nouvel Ordre Mondial à l’intérieur duquel tous ceux qui n’auront pas reçu, ou auront refusé cette marque d’identité, n’auront aucun droit ni d’acheter ni de vendre [cf. Apocalypse, 13:16-17], c’est-à-dire aucune possibilité de travailler, de recevoir un salaire, d’acheter un appartement ou de vivre comme locataire, de vendre des biens, etc.

Qui va accepter d’échanger des biens dans un régime de peur où tous les moyens d’échange seront bannis ? Voilà pourquoi il a été décidé de rendre public ce genre d’information. Parce que le plan est si avancé que se taire c’est être coupable comme les hommes politiques qui eux-mêmes sont au courant. N’oubliez pas que ces hommes politiques dépendent des prébendes des multinationales, lesquelles financent les programmes d’investissement de recherche qui ont abouti à la création de cette technologie de mort !

Pourquoi ne disent-ils rien ? Parce qu’ils n’ont plus de formation chrétienne et « croient » (je suis gentil !) que ce système est pour le bien des populations.

A été mis au point un MICRO CHIP de traduction. Il s’agit d’une puce électronique qui permettra la traduction instantanée et simultanée d’une langue dans toute autre langue. Soit, au moins dans soixante et une autres langues et dialectes qui, par satellite, pourront être diffusés partout sur la planète en même temps. Ainsi un dictateur mondial pourra s’adresser à toute l’humanité en même temps par le biais de ce nouveau produit de la technologie au service du Nouvel Ordre Mondial.

Pour ceux qui se souviennent de certains textes remontant il y a fort longtemps, vous trouverez des correspondances avec l’anti-Babel ! La Babel antéchristique du Nouvel Ordre Mondial entend suppléer aux conséquences de la première Babel [et parodier la Pentecôte ou le Saint-Esprit – cf. Genèse, 11:1-9; Actes des Apôtres, 2:1-12].

Il existe aussi un autre système de contrôle de la population : la surveillance au laser. Un nouveau laser d’écoute électronique a été vérifié et mis au point comme outil très spécial par les départements enclins à la surveillance : la CIA, le FBI et le Revenu de l’Impôt aux États-Unis. Ces nouveaux dispositifs peuvent, en utilisant une fenêtre comme diaphragme (comme un écran de télévision), suivre et enregistrer toute conversation à plus de vingt mille de distance.

Au niveau biologique, le D.N.A. est utilisé comme mémoire pour les ordinateurs et les implants de mémorisation. Ceci devient de la biotechnologie. Or la source de cette nouvelle biotechnologie — nous sommes rendus là dans les développements actuels, — provient du tissu de bébés avortés.

Ces tissus et les protéines de mémoire sont des systèmes majeurs pour l’intelligence artificielle dans le marché actuel des ordinateurs.

Voici ce qui est rapporté par le Winache World du 26 juillet 1991 :

« Le gouvernement finance à l’heure actuelle des expérimentations sur des bébés morts ou vivants. Les bébés avortés dans le troisième trimestre, âgés entre six et neuf mois, survivent habituellement au processus d’avortement. Ceci est d’autant plus important que les tissus utilisés pour les expérimentations doivent provenir de bébés vivants. » Voici quelques moyens utilisés lors de ces expériences. On peut trouver cela dans un article du Docteur Bernard Nathasen, publié dans l’édition du New York Garden de novembre 1991 : « En Suède, une procédure a été suivie par laquelle une femme enceinte est placée dans un état de sommeil. Le bébé localisé est amené jusqu’à l’utérus afin de permettre au docteur de percer le crâne du bébé vivant [c’est atroce !] et y aspirer du cerveau des tissus devant servir au système de maladie de Parkinson. Cette même procédure est pratiquée sur des bébés vivants pour leur pancréas, leur peau devant servir aux victimes qu’on appelle les grands brûlés. Ces bébés sont écorchés vivants. L’industrie de la recherche sur les tissus de bébés est une industrie mondiale générant des revenus de l’ordre de huit milliards de dollars. »
[Et nos hommes politiques osent parler d’humanisme !]

On sait aussi que depuis mi-1993, la clinique Sansun de Santa Barbara, en Californie, est sur le point d’importer de larges quantités de tissus fœtaux. La peau des bébés avortés [assassinés] provenant de Russie où les femmes avortent en grand nombre quand le fœtus est arrivé au stade de sept à neuf mois !

Ces fœtus sont ceux qui aujourd’hui fournissent le plus de tissus humains…

Les experts nous assurent que ces tissus sont utilisés pour traiter les diabétiques.

De quelle façon les architectes de l’Ordre Mondial comptent-ils s’y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l’implantation du microchip biologique d’identification internationale ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l’économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant lesnations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unies.

Des journalistes américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : « Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement ».

L’auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d’affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d’un manuel de planification financière. C’est également unancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d’investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte :

« Les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. Des termes de l’ONU tels qu’autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nouvel ordre mondial, sont des noms de code qu’emploie l’Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du Sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait : “Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire-trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant : ‘Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique. Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

Monsieur Frence continue : ‘L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale’. En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen…). On oblige (ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminati.

En effet, ce programme extrait d’une revue financière rejoint l’article 4 du code des Illuminati :

«… afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.

C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminati il y a quelques centaines d’années. L’article 6 du code des Illuminati disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales — actions, valeurs, fonds mutuels, rentes — sur lesquels des fortunes encore plus grandes — celles des masses — vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU — les plus grands banquiers de la planète, l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un microchip biologique d’identification internationale, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c’est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale [c’est la lutte finale de l’internationale !…] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.

Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts remboursés [cf. Charles Gave, ‘Des lions menés par des ânes’, chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront — avant l’implosion — qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système seront condamnés à se tourner vers l’ONU [et le tour est joué !], à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995… Ces élus multiplieront et augmenteront la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures au niveau social. S’ensuivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

Les élus nationaux devront admettre l’ouverture de leurs frontières à l’immigration, la mobilité de la main-d’œuvre. Ce sera l’aboutissement des conséquences du libre-échange à tous les niveaux : la disparition des frontières nationales !

L’objectif étant, bien sûr ! D’augmenter les tensions intérieures entre les différentes ethnies et religions, de sorte que les pays en viennent à perdre le contrôle de leur sécurité intérieure. L’exemple chirurgical récemment dévoilé par l’ONU en Yougoslavie accrédite la réalisation de ce scénario dans quelques pays qui soient.

Finalement les populations se retourneront vers l’ONU. Elles supplieront de faire quelque chose au niveau international. D’ailleurs, tout a été fait au cours des dernières années pour inciter les gens à reconnaître que l’intervention de l’ONU évitait aux nations d’entrer elles-mêmes dans des guerres terribles. La fabrication de toutes pièces de conflits en augmentant les tensions sociales, a rendu les gens serviles à ce genre de démarches et d’aveuglement sur les intentions réelles des tireurs de ficelles de la secte onusienne. Cela fait partie d’une stratégie dialectique développée par des philosophes au XVIIIsiècle.

Il y a là aussi une autre démarche visant à affranchir les États encore christianisés sur le plan de leur sécurité intérieure.

En effet, pendant que les États sont affaiblis économiquement, socialement et sur le plan ethnique, les conflits créés géostratégiquement [sic] en différents points du globe — mais toujours loin des pays occidentaux, — ont permis à l’ONU d’envoyer des forces multinationales composées des soldats appartenant aux pays visés selon le plan exposé plus haut.

L’avancée du plan est d’ailleurs effectuée en parallèle avec la multiplication des conflits exigeant l’envoi de troupes multinationales. Vous remarquerez ainsi que la situation sociale se désagrège en France alors que nos troupes d’élite sont envoyées en Somalie, au Rwanda, en Yougoslavie…

Évoquant la Somalie, on relèvera que la situation a été rendue explosive maintenant grâce à la complicité des organisations supranationales, telle l’OMS. Depuis la guerre du Golfe, les conflits éclatent les uns après les autres, requérant la présence de troupes sans cesse renouvelées, tandis que le plan suit son cours et que les pays occidentaux sont vidés de leurs forces militaires… C’est pourquoi j’avais employé l’expression d’” Étincelle » dans mon premier ouvrage.

Il est aussi à remarquer que les forces américaines sont dispersées un peu partout dans le monde, faisant partie de la nouvelle force de police planétaire sous le contrôle de l’ONU.

Les grandes lignes de ce transfert des forces militaires américaines et européennes se trouvent dans le programme « Freedom from War » qui démontre ce qui se passe.

Le programme des États-Unis pour un désarmement complet et général dans un monde pacifique établi par le président Kennedy — publication 72/77 du Département d’État qui devait s’effectuer en trois phases — propose en phase deux : « La force de paix de l’ONU sera établie et renforcée progressivement à partir du matériel militaire américain ».

Cette phase deux est précisément le stade où nous nous trouvions en 1994. C’est-à-dire sans que personne s’en rende compte, la majeure partie des forces militaires et des installations militaires américaines sont en train de passer lentement sous le contrôle des Nations Unies au niveau international — comme des bases militaires, — et non plus comme c’était le cas auparavant au profit d’une seule nation qui était les États-Unis. Soyez assurés que le désarmement militaire progressif contrôlé continuera jusqu’au point où aucun État — incluant les États-Unis — ne possédera la force militaire nécessaire pour s’opposer et défier l’autorité progressivement renforcée de l’ONU. Au train actuel, c’est un fait que les forces militaires placées sous le contrôle de l’ONU — même les États-Unis en tant que nation — n’auront plus de force militaire propre pour s’opposer à l’ONU. Le résultat est que chaque pays subira et exécutera les ukases de l’ONU par crainte des forces multinationales. La dispersion planifiée des forces américaines aux quatre coins du monde et les coupures dans le budget de la défense rendant ce plan quasiment achevé.

En même temps qu’est organisée internationalement la chute de l’économie, on constitue une nouvelle force de police nationale à travers l’Amérique et une nouvelle force de police militaire internationale.

Cet article est la 4e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Partie II
LA POLICE DU NEW AGE

Dans un tel scénario, il est programmé que les forces policières seront impuissantes à résoudre les violences provoquées par une immigration massive et une crise sociale. Elles feront appel à une force militaire… décimée pour les raisons qui viennent d’être évoquées. On devra bien faire appel à des formes multinationales sous l’égide de l’ONU, afin d’établir la paix et la sécurité dans les nations en guerre civile. Toutes les nations se dirigent à ce jour vers un éclatement intérieur.

C’est précisément dans une perspective de troubles sociaux mondiaux qu’a été mis au point par le président Clinton, sur ordre de supérieurs « inconnus », une force de police de cent mille hommes pour s’attaquer à la criminalité : la nouvelle force de police nationale de l’Amérique du Nord. Cette force est en train de se mettre sur pied à la vitesse de l’éclair. L’intervention de cette police dans le drame de la secte de Wacco a été une expérience menée pour constituer un exercice. Le choix de cette secte religieuse fut fait par hasard, dans l’objectif de contraindre des groupes religieux plus importants à accepter un nouvel ordre et… un nouveau chef spirituel !

Le vrai but de ce raid raté était de permettre à l’Establishment de présenter cette force de police comme quelque chose de bien. L’objectif était de faire accepter un tel élément aux yeux du public comme efficace pour la sécurité.

En réalité cette nouvelle force de police nationale aux États-Unis est une consolidation d’agents de la CIA, du FBI, du DEA et autres agences policières et gouvernementales.

D’après un officier des services secrets de l’armée américaine que nous appellerons Mark, ces forces sont maintenant appelées « la police MJTF ». C’est le détachement spécial multijuridictionnel de l’ONU. D’après Mark et un rapport complet fourni à l’Agence Internationale de la Presse Libre, leur mission est : d’effectuer des fouilles et des saisies maison par maison ; la séparation et le tri des hommes, femmes et enfants en grand nombre ; le tri et le transfert dans des centres de détention ; et le bon fonctionnement de tels établissements.

Il existe dans cette même veine d’informations un rapport qui touche au programme pour l’établissement des camps de concentration aux États-Unis. Ces camps n’ont rien à voir avec ceux de la Seconde Guerre mondiale. Un rapport de cinquante pages existe à l’Agence avec les emplacements géographiques des camps en question, destinés à recevoir les ennemis du futur ordre mondial.

Sous le président Reagan on avait déjà commencé à mettre en place onze centres de détentions fédéraux en Floride, en Virginie, en Georgie, dans l’État de New York, dans l’Arkansas, dans l’Arizona, en Californie. Mark expliqua aussi comment le MJTF travaille en conjonction avec le FENC (Federal Emergency National Center) qui est le nouveau stade de force de police de l’ONU. L’une des particularités des membres du FENC est que tous leurs uniformes sont noirs avec aucun signe extérieur d’identification. Les jeeps, les hélicoptères, les camions militaires sont noirs.

Le FENC est composé de polices militaires et secrètes dont le nombre se chiffre à trois cent mille aux États-Unis. Leur uniforme est l’habit de combat classique noir. Ils portent une armure anti-balles noire et un casque spécial en noir. Un suivi des événements du drame de Wacco aura permis de remarquer que les forces du MJTF ont été épaulées pour finalement être remplacées par les forces du FENC.

En novembre 1990, le président Bush a signé un ordre exécutif qui transférait un tiers des véhicules de la réserve aérienne stratégique des États-Unis au FENC, à un coût de 12,8 milliards de dollars pour le contribuable américain. Ils ont été peints en noir et ne portent aucune identification.

D’après cet officier appelé Mark, le niveau final des forces militaires qui a été structuré en 1993, sont les groupes de combat de l’ONU à l’intérieur des États-Unis.

Ces troupes sont situées à la frontière de la Californie et de la Virginie. Ils ont des groupes de combat équivalent à trente-quatre mille hommes. Dans la région de Sacramento se trouve une autre force de quarante mille hommes. Au sud de Los Angeles, un contingent de vingt-deux mille soldats de l’ONU. Mark ajoute que du Montana jusque dans le territoire canadien, existe un groupe de combat de trente-sept mille hommes qui est divisé en deux brigades d’infanterie mécanique EEC, deux brigades d’infanterie mécanisée standard, la première division d’armée canadienne et une brigade de sécurité légère japonaise.

La présence des troupes de l’ONU russes, yougoslaves, roumaines et coréennes sur le sol américain et canadien a été rapportée par plusieurs sources. Où garde-t-on ces troupes ? Dans les bases militaires qui sont supposément [sic] en train de fermer !

Par exemple, avant de quitter la présidence, alors qu’il était à l’ONU, le président Bush transféra la gare de Fort Dix aux autorités de l’ONU pour servir de camp d’entraînement.

Voyons maintenant quelle est l’idéologie qui forme ces nouveaux corps d’élite internationale, mais aussi les membres des services secrets.

Autrement dit : qu’y a-t-il derrière l’émergence d’un Nouvel Ordre Mondial, d’un nouveau corps de policiers ?

Un policier travaillant depuis vingt ans dans la police américaine a — sous un pseudonyme — fait parvenir le texte complet d’une conférence de très haut niveau, prononcée dans les années 90 pour la formation des cadres du Gouvernement Mondial de l’Amérique du Nord.

Le policier fait également part de son expérience personnelle afin de sensibiliser l’opinion — par l’intermédiaire des journalistes d’investigation — sur l’Ordre Mondial ; de ce qui est imperceptible à l’œil nu à moins de faire partie de ces différents corps-là.

La question que pose ce policier qui a volontairement changé son nom pour des raisons de sécurité personnelle est tout d’abord celle-ci : Y a-t-il des juges, des procureurs et des policiers qui aujourd’hui commettent des actes malhonnêtes pour incarcérer des individus ? À cette question, il dit : « Je réponds sans équivoque que oui ». Puis il explique pourquoi. Toutefois il écrit : « … mais il est permis d’espérer que ce n’est pas fait sans une juste cause. La véritable immoralité existe quand la cause n’est pas juste » [faux ! Cf. Romains, 3 : 8]. Afin de mieux comprendre les réponses qu’ilapportera, rappelons que jusqu’ici le droit, l’organisation des États en Occident étaient basés sur une idéologie chrétienne.

Au nom de cette idéologie [disons plutôt doctrine] chrétienne, on faisait passer le bien et la protection de l’État en priorité. Cette idéologie qui s’est transformée à l’heure actuelle sans que les populations s’en aperçoivent. La nouvelle idéologie qui justifie le Nouvel Ordre Mondial [bien retenir ce grand principe de SPARTACUS WEISHAUPT, le fondateur de l’Illuminisme : « Tout ce qui est utile est un acte de vertu. »] doit passer avant n’importe quoi. Au nom de cette idéologie, n’importe qui faisant partie du pouvoir judiciaire et militaire peut perpétuer quelque acte criminel que ce soit parce que le but visé est juste [et à plus forte raison s’il est injuste !].

« Après plus de vingt ans de service auprès de mes compatriotes américains, j’ai réalisé ce qui était la réalité. La vérité est qu’aujourd’hui plusieurs juges, avocats et officiers de police sont des dévots de la religion de l’humanisme séculier. »

Or la base idéologique de tout ce qui va composer le Nouvel Ordre Mondial est justement assise sur un humanisme centré sur le culte de l’homme [cf. S. Matthieu, 4:10]. C’est la déification de l’homme en tant que centre de l’univers, placé au-dessus de toute loi. C’est la philosophie de base de l’humanisme séculier.

Le texte de la conférence faite en privé en 1990 et adressée par le policier précise :

« … certains de nos membres, la plupart à cause de la peur, n’admettront pas que ce nouvel humanisme est une religion. Ils ont peur d’être traités comme ces soi-disant chrétiens le furent sous la doctrine de la séparation de l’Église et de l’État. Une telle peur eût été fondée si nous étions en 1970. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. La raison étant que les membres des corps policiers et militaires sont pour la plupart sous le contrôle des agences et organisations principales. »

Il y a quinze ou vingt ans, l’idéologie chrétienne aux États-Unis était dominante. Ceux qui contrôlaient les différents postes du gouvernement, du militaire, du judiciaire, de la police, des différents ministères gouvernementaux, avaient une formation chrétienne. Aujourd’hui les choses ont changé : l’humanisme triomphe et les postes cités précédemment sont occupés par des membres du New Âge et du Nouvel Ordre.

Le conférencier continue et dévoile la suffisance des ténors officieux de cette secte humaniste :

« Mon sentiment est qu’en ce moment, nous les bergers, nous devons ouvrir les yeux de nos troupeaux et choisir plus en profondeur ceux que nous pouvons amener au XXIsiècle. »

« Tous ceux qui nieraient que notre religion n’est pas une religion valide devraient retourner voir leurs devoirs. La Cour suprême des États-Unis a décidé que c’était une religion. Il y a quelques années, dans des causes célèbres, la Cour a statué que la croyance en l’humanisme, le rejet de l’idéologie chrétienne était aussi une religion acceptable. La croyance fait référence à une certaine vision universelle de la vie, du monde et de l’humanité. Dans son ensemble la Cour suprême des États-Unis a décidé qu’une religion peut être n’importe quelle vision du monde avec ou sans référence à Dieu… J’espère que ceci aidera les autres à comprendre notre foi. »

« Néanmoins, ceci n’est, bien sûr, pas le point principal de ma conférence. Je souhaite traiter des abus auxquels font face les policiers qui souscrivent consciemment ou non aux tenants moraux de notre religion ; de ce qui a trait à l’éthique ou à la morale. Partout dans notre société, nos dévots endurent d’horribles discriminations de la part de chrétiens constituant aujourd’hui une faction très petite de la société. Cette discrimination contre nous, humanistes, survient quand nous exerçons notre pratique religieuse et appliquons notre morale dans notre activité professionnelle. Pourtant des autres le font sans aucune discrimination, parce qu’ils sont chrétiens. »

« Heureusement, notre religion humaniste affiche le plus haut taux de croissance dans toute l’histoire, et la nouvelle génération à l’intérieur du système judiciaire, incluant les policiers qui souscrivent à de saints principes, sont maintenant à des postes administratifs, ce qui profite à tous. Ceci nous donne du pouvoir, même s’il existe beaucoup trop de discrimination contre un principe les plus importants de notre religion : l’éthique de situation. »

L’éthique est en principe un code de morale, de valeurs chrétiennes délimitant des frontières à ne pas dépasser. Avec la formation de cette nouvelle idéologie qui pénètre toutes les couches sociales des États-Unis, mais surtout aux postes décisionnels de chaque corps de métier, qu’entendent-ils par ce principe d’éthique de situation ? La suite de la conférence nous éclaire :

« … Le principe de l’éthique de situation ou de morale permet à l’individu de se concentrer correctement sur le but qu’il veut atteindre. Moralement parlant, peu ou pas d’importance ne doit être accordée à la méthode et aux moyens puisque rien ne surpasse le but en importance. »

C’est en d’autres mots l’application du principe connu : la fin justifie les moyens !

« Je pense que le principe de la morale de situation est le mieux décrit en examinant la définition légale de la morale et de l’éthique telle que donnée par nos compatriotes communistes. »

On entrevoit le lien ténu entre les idéologies communistes, maçonniques du XVIIIsiècle, et celle de l’Allemagne hitlérienne. Il s’agit d’une même idéologie présentée de trois manières différentes.

Le même personnage qui occupa un poste très important dans l’administration gouvernementale américaine poursuit :

« Nous pouvons apprendre beaucoup de la dévotion des communistes. Les marxistes ont par nécessité pragmatique épuré plus de 90 millions de gens dans la poursuite de la mission la plus noble de l’homme : la paix mondiale. »

Quand on entend cela enseigné à l’élite des corps de la police et de l’armée multinationale, on imagine jusqu’où ces gens sont capables d’aller pour imposer le Nouvel Ordre Mondial !

« Quelle personne intelligente pourrait appeler “immoral” quelque moyen utilisé pour parvenir au plus important des buts. Il n’y a rien d’immoral d’éliminer des gens si on le fait au nom d’une paix mondiale. »

« Dans nos grands manifestes humanistes signés en 1963 et 1973, nous appliquons nos principes moraux qui sont les mêmes que les principes marxistes, mais mis de l’avant de manière beaucoup plus concrète. Voici un bref sommaire de nos croyances sur l’éthique et la vérité. L’éthique, les valeurs morales, tirent leur source de l’expérience humaine. L’éthique est autonome et situationnelle [sic], ne nécessitant aucune sanction idéologique ou théologique. Nier ceci équivaut à nier la base même de la vie. »

Ce sont exactement les mêmes définitions que l’on trouve dans les textes de Weishaupt de 1740 — fondateur des Illuminés de Bavière — ainsi que dans les revues du Grand Orient de France.

« Nous vivons une bonne vie et maintenant.

Autorité et vérité : Nous rejetons les caractéristiques de la morale religieuse traditionnelle qui nie aux êtres humains la totale appréciation de leur potentiel et responsabilité.

Les religions traditionnelles offrent souvent du réconfort aux humains, mais souvent elles les empêchent de s’aider eux-mêmes ou de vivre leur plein potentiel.

Nous ne pouvons découvrir aucun but divin ni aucune Providence pour l’existence humaine. Les humains sont responsables de ce que nous sommes et de ce que nous allons devenir. Aucun Dieu ne va nous sauver, nous devons nous sauver nous-mêmes. »

On comprend pourquoi les Initiés ont choisi les États-Unis. C’était la nation la mieux structurée, la plus apte à imposer l’Ordre Mondial à l’humanité.

« Ceux d’entre vous qui pratiquent le christianisme sélectif sont plus près de notre foi que des superstitions des secoueurs de Bible d’Antan. Le christianisme sélectif sont ceux qui étant catholique choisissent les bonnes paroles avec lesquelles nous sommes d’accord et rejettent celles qui condamnent le plaisir terrestre et les enseignements [traditionnels] de l’Église catholique. Ne croyez-vous pas que sous cet aspect nous sommes identiques ? Votre foi est basée sur ce qui est bien selon le désir de l’homme.

La foi est valable, la religion chrétienne est valable, si vous croyez à votre système que nous vous imposons depuis vingt ans. Si vous ne nous combattez pas, c’est que vous croyez à nos valeurs parce qu’il n’existe aucun milieu !

Nous humanistes, admettons qu’il n’y apas de Dieu, que seuls lesdésirsde l’homme sont importants. Vous, dirigeants de ces chrétiens sélectifs, prêchez que votre foi est basée sur certaines parties de la Foi de Dieu, mais en réalité la majorité de votre foi est basée sur ce qui estagréableou faitvotre affaire. Finalement, en intégrant ce que nous, humanistes, voulions réaliser depuis dix-huit siècles, vous êtes arrivés à vous fabriquer une nouvelle religion centrée sur les désirs de l’homme. Vos chefs religieux prêchent les droits de l’homme et par là même cautionnent notre Ordre Mondial !

Il est évident que le gouvernement américain fonctionne selon les principes dirigeants de l’humanisme. Quels sont ces principes ? La ruse, le mensonge, la tricherie, le vol, le meurtre, l’hypocrisie, les tournures de pensée. Tous ces moyens sont moraux s’ils nous permettent d’atteindre nos buts essentiels. Voilà la vraie vertu. »

Quel est le but essentiel ? L’établissement du Gouvernement Mondial !

« Un récent exemple a été donné dans la guerre de l’Irak contre le Koweït. Plus de 250.000 individus ont déjà perdu leur vie et plus encore meurent chaque jour afin d’atteindre un but supérieur. Le but de tous les grands leaders humanistes est la paix mondiale à travers le Gouvernement Mondial.

On peut éliminer des nations, des peuples entiers si c’est le bien de tous selon nos vues. Cet enseignement du Nouvel Âge est la raison pour laquelle par exemple, il est possible qu’un officier de police d’allégeance humaniste risque sa vie pour sauver un membre de la société un jour, et que le jour suivant, le même policier mente lors d’un procès afin de remporter une affaire importante. Ceci ne doit pas être considéré comme immoral étant donné les standards éthiques sur lesquels le policier base sa moralité en ce que la fin justifie les moyens. Bien des gens ne comprennent pas que c’est la raison pour laquelle les présidents et leur état-major, les membres du Congrès et autres tenants des postes leadership mentent et trichent pour le plus grand bien de la société et donc du système. »

D’après cet initié ceux qui sont à la tête des gouvernements mentent d’une façon ouverte et concertée aux populations en vue de faire passer le bien suprême du système à venir du Gouvernement Mondial, mais aussi en vue d’excuser la disparition de dissidents ou de groupes radicaux ! Il existe en effet une différence entre les nouvelles données par les médias et ce qui se passe réellement dans les coulisses. Les versions rapportées officiellement ont été pensées, structurées, afin de nous donner une apparence de la réalité qui n’est jamais la réalité. Par une manipulation aussi ouverte de l’information nationale et internationale, on réussit à justifier la disparition d’un individu ou d’un groupe d’individus en les faisant passer pour des radicaux, des terroristes, alors que très souvent le seul danger que représentent ces personnes est uniquement en fonction de leur impact sur les populations par rapport à ce que ces gens veulent imposer comme Nouvel Ordre Mondial.

Cet article est la 5e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

« Vous êtes conscients que la grande majorité des Américains ne cherche que la paix et la sécurité. Ils ne se rendent même pas compte qu’ils ont virtuellement fait de leur gouvernement un nouveau Dieu vers qui ils se tournent pour subvenir à leurs besoins. Nos leaders du Nouvel Âge et nous leurs soldats, leurs bras et jambes — c’est-à-dire les policiers et les militaires, — se tiennent prêts à donner aux masses ce pour quoi ils prient.

Notre rôle à l’intérieur du système judiciaire d’aujourd’hui est de protéger le plan du système de la mise sur pied du Gouvernement Mondial, et de punir ceux que nos leaders identifient comme les ennemis du système. »

Ainsi a-t-on transformé le droit et la culpabilité. L’homme qui combattra pour la vérité sera considéré comme un ennemi à détruire. La conspiration de l’Âge du Verseau et du Gouvernement Mondial apparaît comme l’établissement d’une dictature à l’échelle mondiale dont l’idéologie est basée sur l’humanisme.

Dans une dictature semblable, l’individu qui, au nom de ses principes religieux, de sa conscience ou de sa foi, s’opposerait au complot contre l’homme et Dieu sera considéré et identifié comme étant un criminel. On retrouve là ce qui se passait il y a deux mille ans sous l’Empire romain. C’est le même schéma : est criminel celui qui s’élève contre l’idéologie gouvernementale établie pour la majorité des gens. Qui étaient ces criminels il y a deux mille ans ? C’étaient les chrétiens. Qui étaient les ennemis sous le régime communiste ? Les chrétiens. Cette fois-ci, le cadre change et devient international.

« Tout comme nos collègues soviétiques, sous l’éthique de situation de notre Nouvel Ordre humaniste, nous ne sommes pas limités dans les méthodes que nous pouvons appliquer pour gagner.

Nous pouvons procéder à pacifier et sécuriser les masses, donc se débarrasser de tous ceux qui vont représenter un danger pour l’instauration de ce Nouvel Ordre.

Si certains d’entre vous sont encore surpris par ceci, c’est que vous n’avez pas encore compris ce que j’essaie d’expliquer. Vous n’avez pas non plus compris ce que vos enfants ont si bien appris à travers vingt ans de système d’éducation de notre gouvernement. “Nous vivons l’ère où les hommes ont placé leur conscience dans le gouvernement au lieu de quelques superstitions appelées divin ou Dieu. Ce sont les anciennes morales religieuses qui ont causé tous nos problèmes [c’est ce que pense actuellement la quasi-totalité du monde moderne déjà prêt à accepter le Gouvernement Mondial]. Un Nouvel Âge appelle un nouveau système de croyances, un nouveau code moral, une nouvelle religion. Il est agréable de voir presque toutes les religions du monde se regrouper gentiment et unies en se préparant à servir le Nouvel Ordre Mondial.”

Je voudrai vous présenter le Docteur Sidney Saymon. Un homme très efficace, qui mérite une grande reconnaissance pour son travail de rééducation de l’humanité. Il parle simplement et ce qu’il dit est sans équivoque. Il explique aux éducateurs d’enfants à qui il s’adresse que la clarification des valeurs est une méthode pour les professeurs dechanger les valeurs de leurs élèves sans se faire prendre. Cela veut dire que sous des nouveaux déguisements, sous un nouveaudialogue, on enseigne de nouvelles valeurs sans que les enfants et les parents s’en rendent compte, et sans que les éducateurs puissent être accusés de quoi que ce soit [on parle des valeurs en général sans en préciser la nature]. Le résultat est garanti : un affrontement entre les enfants et les parents. Donc la clarification des valeurs est un autre terme pour éthique de situation. L’enseignement doit faire comprendre que l’important n’est pas les valeurs que l’on choisit, mais de les choisir librement par vous-même [leur nature est sans importance], sans pression des parents, prêtres, amis, ou société religieuse.

Les architectes du programme d’enseignement du nouvel humanisme dans les écoles du gouvernement doivent être remerciés pour avoir remodelé les valeurs de ces futures générations. Quand la loi nationale des garderies sera adoptée, ce sera un grand jour pour les humanistes et les proposants [sic] de la paix mondiale. Nous pourrons accomplir notre objectif une fois pour toutes lorsque nous aurons l’attention des enfants en âge préscolaire de six à neuf heures par jour. Regardez ce que nous avons entrepris avec les groupes plus âgés de la jeunesse américaine.

Ces garderies auront pour mission de préparer la jeunesse intérieurement à l’acceptation du Gouvernement Mondial.

C’est ainsi que les émissions dites populaires et niaiseries, de jeux basés sur l’argent, sont appréciées d’un public conditionné qui apprécie l’émission en fonction des nouvelles valeurs antichrétiennes et humanistes auxquelles il adhère inconsciemment [la télévision française, quant à elle, avec sa publicité impudique, primaire et stupide, offre des émissions qui constituent une incitation permanente aux mauvaises mœurs et à la violence sous toutes ses formes].

Les gens ainsi conditionnés fuiront la réalité et la vérité ; ils auront peur. Nous aboutirons à une armée de schizophrènes !

Il va de soi qu’une telle société exigera une nouvelle forme de police.

Un de nos éducateurs de l’humanité m’a dit il y a quelques semaines, que les religieux américains d’antan n’en croiraient pas de leurs yeux de voir les changements que nous nous sommes permis. Cette personne avait raison parce que nous avons mis le futur non pas sur le gouvernement, mais sur la capacité de tous et chacun de nous gouverner nous-mêmes, de nous soutenir nous-mêmes et ainsi de suite. C’est pourquoi le Gouvernement Mondial est bon pour tous.

Les Américains ne désirent plus assumer les responsabilités de ce gouvernement actuel. Heureusement pour eux, il y a une toute nouvelle génération de leaders et de gens au gouvernement, soucieux de s’occuper d’eux malgré leur consentement.

S’agissant de la main-d’œuvre policière : comme les citoyens abandonnent par peur de plus en plus de leurs droits, de plus en plus de policiers sont nécessaires afin de superviser les activités de cette population afin qu’elle demeure en sécurité [en cage !].

La construction de l’État Providence engendre des troubles dans la société, d’où un renforcement des membres de la police.

Qui aurait pensé il y a cent ans que l’intégration de la peur de tout serait la réponse à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Le mérite de ces innovations revient aux libres penseurs de la dernière génération d’avoir réussi le coup de maître de faire en sorte que la peur serve de mécanisme de base pour permettre n’importe quoi au plan des populations.

La vieille génération n’aurait pas accepté ce nouvel ordre des choses, ces nouvelles valeurs. Heureusement cela n’a pas posé trop de problèmes parce qu’ils sont rapidement remplacés par la mort ou la retraite. Il n’en restera plus aucun d’ici sept à huit ans, soit 1997/98. Nous avons l’assurance que tous ceux qui avaient des valeurs morales chrétiennes n’auront plus aucun poste clé dans le gouvernement dans les domaines exécutif, judiciaire et militaire.

Donc à ce moment-là, l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial ne trouvera plus aucun obstacle. Au même moment, les agences de police essaient par nécessité de filtrer les individus qui croient aux anciennes valeurs traditionnelles et de ne pas les engager.

C’est pourquoi on a changé les valeurs du système d’éducation. Afin que les jeunes qui entrent dans la vie active soient imbus de principes humanistes et aient rejeté toutes les valeurs et superstitions chrétiennes. Ceci doit être fait parce que nous savons que les religieux ne feront pas les choses qui leur seront demandées sous le nouveau système. Pour ceux qui restent attachés au fondamentalisme religieux de l’ancien monde, ils sont tranquillement mis de côté sous toute forme de prétexte de la part des nouveaux dirigeants.

Certains des officiers de l’ancien temps se plaignent et font valoir que ce type de discrimination est anticonstitutionnel et immoral. Mais nous savons qu’ils ont tort. Sous l’éthique de situation, toutes les choses sont morales du moment qu’elles avancent vers Le but. Ainsi ces officiers ne sont pas retirés pour une cause diabolique mais parce qu’ils sont jugés non fonctionnels pour accomplir les tâches qui seront exigées d’eux.

L’ancien monde avait compris que c’était le plus grand des péchés que de mentir à leur Dieu. Les générations de dévots qui vont rentrer dans le Nouvel Ordre Mondial doivent comprendre que le plus grave des péchés est de mentir à leur nouveau Dieu, le Gouvernement. L’individu n’existe pas ! Seul compte l’intérêt du Gouvernement Mondial.

Toute déloyauté de la sorte viendrait à l’encontre de la marche vers le progrès engagé par ceux qui mènent la gloire du Nouvel Ordre Mondial. Nous ne sommes pas préoccupés avec quelques résistances au Nouvel Ordre, car par nécessité pratique leur destin a déjà été simplement établi dans le Plan.

Nous avons parlé de ce Plan en développant le Micro Chip et le programme des camps de concentration mis sur pied en Amérique du Nord avec une technologie extrêmement avancée.

Ce qui nous préoccupe le plus en ce moment est que les masses obéissantes comprennent qu’il est néfaste pour le progrès de suggérer que leurs superviseurs — les membres des gouvernements, des Nations Unis — se complaisent sous la pression et la futilité de ces superstitions d’ordre et morale désuète.

Il y aura des changements difficiles pour ceux qui auront à faire face et entrent dans cette nouvelle société. Sur ce sujet nous pouvons assurer aux peuples qu’il n’y aura aucun compromis.

Merci de m’avoir écouté. Que la bénédiction du Nouvel Ordre vienne rapidement sur vous. »

Cette entité que l’on appelle l’Ordre Mondial, la Force, le Grand Architecte, etc. s’appelle l’Antéchrist !

Conclusion : Il est évident que les architectes de l’Ordre Mondial entendent nous imposer un Gouvernement Mondial par la force pour l’été 1999.

L’article 1 des Illuminati dit ceci : « Notre mot d’ordre est : forcez et faire semblant. Seule la force triomphe en matière politique, spécialement si elle est cachée dans les talents des hommes d’État. La violence doit être le principe ; la ruse et le faire semblant, la règle pour les gouvernements ».

En d’autres termes, on revient aux mêmes lignes de conduite utilisées en 1917 pour instaurer le communisme.

À propos de l’avenir de la Russie et de Jirinovski dont l’ascension politique est fulgurante, on a pu remarquer qu’au cours de ses déplacements en Europe fin 1993, il portait des roses et des fleurs rouges à la main gauche. C’est un symbole de reconnaissance internationale connu que de certains initiés. Fidel Castro en portait, le président Mitterrand également. Les grands hommes politiques identifiés aux groupes internationalistes se sont servis de ce symbole de reconnaissance une fois qu’ils ont été portés au pouvoir.

Ici on peut donc entrevoir l’avenir qui attend la Russie.

Cette force nationale soumis à l’ONU se constitue au même moment où apparaissent les conséquences d’une crise économique sans précédent. Les problèmes sociaux vont augmenter. Les coupes budgétaires vont étrangler les peuples. Les gouvernements vont se voir dans l’incapacité d’apporter la moindre solution parce que celles-ci sont rejetées par le FMI.

Les sociétés vont se retrouver dans un état de crise politique, sociale, et les avoirs des peuples vont disparaître dans une crise financière terrible qui commencera au Japon — peut-être par un tremblement de terre aux conséquences incalculables.

Dans un tel contexte, il est prévu que les peuples se tournent vers les Nations-Unis. Cet appel serait le prétexte pour établir le Gouvernement Mondial ! C’est précisément à ce moment propice où les peuples seront mis à genoux malgré eux que tout le mécanisme de la haute technologie et du microchip biologique d’identification internationale serait imposé.

Avant, tout doit être prêt de manière à ce que les gens l’acceptent pour la sécurité, la stabilité et pour la paix : d’où le chaos qui prend forme…

Mais l’homme exerce sa liberté dans la liberté de Dieu ! Aussi, cher lecteur, ayez l’assurance que ce système APPAREMMENT parfait ne se réalisera pas aux dates prévues. L’étude relative aux prophéties y répondra…

Nous vivons déjà visiblement les manipulations du Pouvoir Occulte. Elles aboutiront aux guerres civiles, à la Troisième Guerre mondiale selon le plan que je vous ai exposé. Mais Dieu interviendra souverainement et les hérauts de l’Ordre Mondial seront châtiés, même s’ils se sont réfugiés en Australie, persuadés d’être à l’abri du conflit qu’ils ont allumé depuis 1991 au Golfe Persique.

La Micro-Puce et la « Marque de la Bête »

Par le Dr Carl W. Sanders

Voici la traduction d’extraits d’un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue NEXUS (P.O. Box, Mapleton, Queensland, 4560, Australie). C’est le témoignage du Dr Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micropuce électronique. Le Dr Sanders est un ingénieur électronicien, inventeur et expert, conseiller auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnie telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn.

J’ai consacré trente-deux années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micropuces dans le domaine biomédical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l’épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir relier les nerfs moteurs, etc.

C’était un projet qui nous emballait tous. Il y avait cent personnes d’impliquées, et j’étais le principal ingénieur en charge du projet. Le projet aboutit à la micropuce dont nous parlons maintenant — une micropuce que je crois être la « Marque de la Bête ».

Cette micropuce est rechargée par les changements de température du corps humain. Évidemment, vous ne pouvez pas aller à l’intérieur de votre corps et changer vos piles de temps en temps ; alors la micropuce a un circuit de rechargement qui fonctionne selon les changements de température du corps. Plus d’un million et demi de dollars furent dépensés pour trouver les deux endroits sur le corps humain où la température change le plus rapidement : le front (premier choix), tout juste en bas de la naissance des cheveux, et le revers de la main (position de rechange) (1).

Travaillant sur cette micropuce, nous n’avions aucune idée qu’elle deviendrait un moyen d’identifier les gens. Nous considérions ce projet comme étant une chose très humanitaire. Notre équipe était composée de gens provenant de l’Université de San Jose, des compagnies Motorola, General Electric, du Centre Médical de Boston ; en fait, c’était tout un groupe de compétences…

Comme le projet de micropuce commençait à évoluer vint un temps où on nous dit que les pontages à la colonne vertébrale étaient une chose qui ne rapportait pas assez financièrement pour qu’on s’en occupe, et qu’on devait donc considérer d’autres utilisations pour cette puce. Nous avions remarqué que la fréquence de la micropuce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micropuce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu’il résulta à installer une micropuce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu’on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micropuce.

Un de ces projets sur le comportement fut appelé le « Projet Phoenix », concernant les vétérans de la guerre du Vietnam. Nous avions une micropuce que nous appelions la « micropuce Rambo ». Cette micropuce pouvait causer un flux supplémentaire d’adrénaline…

Il y a 250.000 pièces dans la micropuce, y compris une petite pile au lithium. Je me suis battu contre l’usage du lithium en tant que source d’énergie pour ces piles dans le corps humain, mais la NASA se servait beaucoup de lithium en ce temps-là ; c’était la chose en vogue. J’ai demandé à un docteur du Centre Médical quel effet cette concentration de lithium dans le corps humain pouvait avoir si la micropuce se brisait. Il me répondit que cela produirait une grave plaie, douloureuse et remplie de pus.

J’étais présent à une réunion où la question suivante fut posée : « Comment pouvez-vous contrôler un peuple si vous ne pouvez pas les identifier ? » Des gens comme Henry Kissinger et des personnes dela CIA assistaient à ces réunions.

Comme nous développions la micropuce, et que la question principale était de se servir de cette micropuce comme « carte d’identité », ou moyen d’établir l’identité des gens, plusieurs choses nous furent demandées. On voulait que soit compris sur la micropuce le nom et le visage de la personne, son numéro de sécurité sociale (incluant les codes internationaux), ses empreintes digitales, sa description physique, la généalogie de sa famille, son adresse, son occupation, des informations concernant ses rapports d’impôt, et son dossier criminel (2)

Cet article est la 6e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

J’ai assisté à dix-sept réunions à travers le monde, à Bruxelles, au Luxembourg, etc., où ces sujets furent discutés, dans l’esprit d’un gouvernement mondial, et d’une monnaie mondiale. Il existe présentement des projets de loi devant le Congrès américain qui permettront d’injecter la micropuce à votre enfant dès sa naissance, pour des fins d’identification.

Le Président des États-Unis, selon l’article 100 de la loi sur le contrôle de l’émigration de 1986, a le pouvoir de décider toute forme d’identification qu’il juge nécessaire — que ce soit une marque invisible tatouée, ou une micropuce insérée sous la peau. Alors je pense que vous devez regarder les faits en face, les amis : cette micropuce ou la « Marque de la Bête » n’est pas quelque chose qui vient d’apparaître tout d’un coup. Ça fait des années que c’est en préparation !

1) Apocalypse, XIII, 15-17 :

« La Bête qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne put acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la Bête ou le nombre de son nom [666]. »

2) Nous ne sommes donc pas très loin du carnet de santé à puce.

L’HEURE APPROCHE…
Des gesticulations qui annoncent l’imminence d’un conflit mondial !

par Jacques Delacroix (Éditions Delacroix)

« Si le veilleur voit venir l’épée contre le pays, il sonne de la trompette avertit le peuple. »

Ézéchiel 33:3, 6

L’exécution d’un plan

L’étude des menées souterraines des sociétés secrètes à travers l’Histoire montre que notre société est dirigée par une petite clique d’individus au service de Satan.

Ces derniers travaillent à la damnation des âmes (1) et arrivent au terme de leur complot puisqu’ils sont parvenus, suite à l’infiltration des structures ecclésiales, « jusqu’au plus haut sommet » de l’Église — La Salette — (cf. « L’Église Éclipsée ! »)

Leur mainmise sur le monde peut être prouvée. Citons le commentaire que fit l’officier W. Carr, après qu’il eut copié un document de la British Museum Library à Londres : la lettre écrite en 1871 par l’Illuminati (2) Albert Pike, fondateur du rite palladique luciférien, Mazzini (chef révolutionnaire de la Haute-Vente, branche armée de la Maçonnerie).

«… La Première Guerre mondiale devait être livrée afin de permettre aux Illuminés de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de faire de ce pays une forteresse du Communisme athée. Les divergences suscitées par “l’agentur” (médias des Illuminés) entre les Empires britannique et allemand devaient servir à fomenter cette guerre. À la fin, le Communisme devait être édifié et utilisé pour détruire les autres gouvernements et pour affaiblir les religions.

La Seconde Guerre mondiale devait être fomentée en profitant des divergences entre les Fascistes et les Sionistes politiques. Cette guerre devait être livrée de telle sorte que le Nazisme soit détruit et que le Sionisme politique soit assez fort pour instaurer l’État souverain d’Israël en Palestine. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Internationale Communiste devait devenir assez forte pour équilibrer la Chrétienté. Elle serait alors contenue et tenue en échec jusqu’au moment où l’on aurait recours à elle pour le cataclysme social final (3).

La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en profitant des divergences suscitées par “L’agentur” des “Illuminés” entre les Sionistes politiques et les dirigeants du Monde Islamique. Elle doit être menée de telle manière que l’islam (le Monde arabe musulman) et le Sionisme politique se détruisent mutuellement (4). Tandis que les autres nations, une fois de plus divisées sur cette affaire seront contraintes à se combattre jusqu’à complet épuisement physique, moral, spirituel et économique. »

Le 15 août 1871, Albert Pike dit à Mazzini qu’à la fin de la Troisième Guerre mondiale ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes (empruntés à sa lettre de la British Museum Library à Londres) :

« Nous allons lâcher les Nihilistes et les Athées et provoquer un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Alors, tous les citoyens, obligés de se défendre contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation et les masses déçues par le Christianisme, dont l’esprit déiste, laissé à partir de ce moment sans boussole à la recherche d’une idéologie, sans savoir vers qui tourner son adoration, recevra la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer (au Sinaï n. d. r.) (5), enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme, simultanément soumis et détruits. »

À la lecture de ces lignes, un constat s’impose : reste l’exécution de la phase finale du plan ; à savoir une guerre mondiale et une révolution universelle dont les prémices sont visibles ! En effet l’examen du comportement des « maîtres du monde », architectes des conflits majeurs de ce siècle, confirme l’imminence d’un conflit universel.

Partie III
Troisième conflagration mondiale en vue !
Les élites financières quittent le territoire américain

Voici sous forme de communiqué l’avertissement adressé par Marcel Renoulet, directeur de l’Homme Libre :

« La rédaction de L’Homme Libre a reçu dernièrement d’un ami correspondant possédant une grande connaissance des puissances d’argent et des oligarchies financières maîtresses de la planète, l’avertissement suivant : “J’ignore si la guerre va éclater. Un fait m’inquiète beaucoup. C’est que Rockefeller et une dizaine des plus grands milliardaires américains ont acheté un territoire aussi grand que la Belgique en plein centre du désert d’Australie et s’y font construire des palaces de survie en majeure partie enterrés. Le territoire est cerné de barbelés et surveillé par une armée privée. Très mauvais ; très mauvais signe… ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident” »

(10.11.1994).

« Ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident »

Qui sont ces gens ? Les mêmes qui ont mis en œuvre la guerre de 1914/18 après avoir créé la Réserve Fédérale (banque centrale américaine de droit PRIVE) ; les mêmes qui ont permis la guerre de 1939/45 en finançant Hitler et son parti, le NSDAP.

Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, cette petite clique d’individus (6) a dessiné les contours de la future géopolitique européenne dans la perspective du « plan Pike » programmant les trois guerres mondiales.

C’est ainsi que la guerre de Yougoslavie sera la conséquence directe du découpage chirurgical d’après-guerre. Pourquoi avoir en effet donné la totalité de l’armée fédérale aux communistes serbes ?

Qu’y a-t-il entre la Russie et la France ? La Roumanie et… précisément la Yougoslavie !

Ces manipulations touchent également la géopolitique russe. Gorbatchev n’a-t-il pas permis la création d’un gouvernement secret russe en Occident à la tête d’une fortune de plus de huit cents milliards de dollars! Demandez des explications à monsieur Elstine (7) ; sa chute est sans appel à cause du terrain volontairement miné par son prédécesseur dont les rentes sont payées par les mêmes milliardaires — via différentes fondations — évoqués plus haut.

Jusqu’ici les « maîtres du monde » avaient choisi le territoire américain pour s’y protéger et y accumuler des fortunes. En effet, en 1914, en 1939, ces milliardaires se sont repliés aux États-Unis. Ils se savaient y être en sécurité ! Architectes des deux Guerres mondiales ils connaissaient les espaces géographiques qui seraient concernés par celles-ci.

Aujourd’hui, ils quittent les États-Unis… et l’opération qui les voit « déménager » a été appelée « Operation Arche de Noe » (8). Ce départ ne signifie-t-il pas que le monde entier va être touché, y compris les États-Unis ?

Le fait de se protéger dans le désert australien confirme donc, non seulement l’existence d’un Plan, mais encore l’achèvement de ce plan pour nos temps !

L’Opération Arche de Noé (9)

Suite à l’information diffusée par « L’Homme Libre », M. Jacques Monnot a adressé les lignes suivantes :

« II n’est pas étonnant que des milliardaires américains se fassent bâtir des abris au centre de l’Australie. » En 1978, Stan Deyo écrivait : « The Cosmic Conspiracy », publié en français en 1988 sous le titre « La conspiration cosmique », par Louise Courteau, Montréal, Québec. L’auteur explique que les États-Unis financent des bases ultra-secrètes, dont l’une des trois plus importantes serait en Australie, « Pine Gap », près du mont Liebig, à 23° 48’S et 133°43’E. Les principaux entrepreneurs auraient été Collins radio et Ling Pemco-Vought (Texas), Mac Mahon Constructeur et IBM. Stan Deyo s’interroge :

« Se pourrait-il que Pine Gap soit aussi ce qu’il est convenu d’appeler un abri destiné à recevoir le personnel clé des États-Unis en cas de catastrophe météorologique naturelle ou d’attaque nucléaire à l’échelle mondiale, dont le nom de code serait “Noah’s Ark” (Arche de Noé) ? » (p. 44).

U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), 1400 Wilson Boulevard, Arlington, Virginie 22209, Architect Building, serait le responsable de Pine Gap, créée en 1966. La base est installée sur un puits d’eau foré jusqu’à au moins 8535 m. et, au fond du puits, reposeraient des super systèmes informatiques IBM, sur une plateforme. Ce puits pourrait servir d’antenne souterraine pour la diffusion d’électricité à très basse fréquence (TBF).

« Il est probable que l’antenne du puits serve à synthoniser un énorme champ d’ondes stationnaires autour de la planète ! Un système de ce genre pourrait être synthonisé sur des fréquences allant de 9.000 à 14.336 cycles par seconde, soit suffisamment pour produire un champ de résonance électrique à une altitude de 400 km ». (P. 43).

Ces ondes à Très Basse Fréquence (Extremely ou Extra Low Frequence, 1 à 100 Hertz, ou Very Low Frequency, 10 à 30 kilohertz) ont un autre émetteur-récepteur près de la baie d’Exmouth, au nord du Cap Nord-Ouest (West Cape, 22°23’S,114°07E).

Le ministère des Transports enregistre Pine Gap comme R 233 sur les cartes de navigation. R233 est un espace aérien limité, réservé à la recherche spatiale. Il constitue un cercle de 5 milles marins, dont le centre est Pine Gap. Les États-Unis y mènent des recherches sur la propulsion électromagnétique, qui est celle des « soucoupes volantes » (10). La base possède des accélérateurs à plasma à haute tension et à haute énergie, utilisés probablement pour de nouvelles méthodes de production d’énergie, et un canon à plasma.

Dans un livre intitulé « Les gens les plus heureux de la terre », Demos Shakarian raconte comment, au début du siècle, quelques familles arméniennes pentecôtistes du village de Kara Kala, au pied du mont Ararat, quittèrent leur pays pour la côte ouest des États-Unis, à la suite d’une révélation privée faite à un « enfant prophète » de onze ans, d’origine russe, en 1853. Ces Arméniens échappèrent ainsi au génocide perpétré par les Turcs de 1915 à 1922 ! Le nom de l’enfant était Efim Gerasimovitch Klubniken. Dans le même ouvrage, Demos Shakarian raconte comment, au cours d’une réunion des « Hommes d’affaires du plein Évangile », quelqu’un avait annoncé qu’une grande persécution contre les chrétiens allait avoir bientôt lieu dans de nombreuses parties du monde, y compris les États-Unis d’Amérique (p. 17, diffusion Librairie chrétienne, 48, rue de Lille, Paris 7).

Ceci correspond aux prophéties de La Fraudais, de Marie-Julie Jahenny (11).

Se pourrait-il que ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie (12) ? (L’Homme Libre 10.11.1994)

Monsieur Monnot écrit :

« Ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie ».

Mais quel était donc le plan dévoilé par le grand prêtreluciférien Albert Pike en 1871, sinon une guerre civile antichrétienne ?

Partie IV
La collusion entre la Haute Finance et les cercles satanistes

Australie… que s’y passait-il au dernier trimestre 1993 ?

Un projet d’offensive satanique, préparé depuis longtemps, fut dévoilé à des religieuses australiennes qui s’occupent d’anciens satanistes.

Ces personnes qui ont décidé de fuir l’église de Satan ont révélé que « l’élite de Satan se réunit en ce moment en Australie ».

Il y eut en effet un « Grand rassemblement des Esprits » du 21 octobre au 9 novembre 1993 à Wollongong sur la côte orientale d’Australie, près de Sidney. Les témoignages d’ex-satanistes ont révélé que l’élite des chefs de culte satanique du monde entier était déjà sur place. Leur nombre se comptait par centaines et ils ont tout fait pour mobiliser leurs adeptes à aider aux préparatifs et à prendre part eux-mêmes à cette rencontre.

Cette rencontre projetée depuis plusieurs années s’est tenue dans les montagnes au-dessus de la ville, dans la brousse épaisse. Là, de nombreux rituels ont été pratiqués. La préparation de leur rencontre comprenait aussi bien la « programmation » de leurs adeptes que des sévices sadiques, sexuels et corporels. Ils invoquent des esprits démoniaques et les esprits de morts pour recevoir d’eux la puissance ; ils n’hésitent même pas à faire des sacrifices humains pour amplifier par là leur pouvoir. Le but de ce rassemblement à Wollongong était de faire participer tous les adeptes à « l’anéantissement de l’ange de la mort ». Qui est ce personnage ? À leurs yeux il s’agit d’’une personnalité chrétienne que Dieu a appelé pour les combattre ».

Cette réunion d’une importance mondiale et décisive pour ses architectes a pu se réaliser grâce à un noyautage d’adeptes installés dans la ville de Wollongong depuis une centaine d’années.

Des groupes de religieux offrent une assistance constante à toute personne désirant sortir de ces cercles sataniques. Grâce aux transfuges on a pu connaître ces informations. Parmi les personnes protégées une femme révéla dans une interview que « dès la naissance elle avait été préparée à devenir reine des sorcières et qu’elle aurait dû maintenant être intronisée par un rituel de sang ». Elle a demandé la protection de la police pour son mari et ses enfants, car les satanistes voulaient récupérer toute la famille et ils ne lui laissaient qu’un choix : « Reviens ou meurs ! »

Pourquoi les architectes de la Secte sataniste ont-ils choisi la ville de Wollongong ? La réponse fut donnée par un « transfuge » à la Directrice de la Communauté Évangélique des Sœurs de Marie :

« parce qu’ici siègent de fortes armées des ténèbres ! »

Où se trouve la ville de Wollongong ? Pas bien loin d’une grande zone désertique… Dans la perspective de la guerre antichrétienne enclenchée, la collusion entre la Haute Finance maçonnique luciférienne et les cercles sataniques est établie. (Informations données par un lecteur australien)

Pourquoi ce choix de l’Australie par les maîtres du monde ?

Outre des considérations géopolitiques naturelles, motivées par un conflit nucléaire, l’une des raisons qui justifieraient ce « refuge » des « maîtres du monde » en Australie pourrait avoir un rapport avec l’approche d’une comète gigantesque (13).

Comme par hasard, la Nasa s’intéresse de plus en plus au moyen de détourner la trajectoire d’éventuelles comètes. Le sous-sol du désert australien constitue-t-il un lieu de refuge privilégié ?

Et pourtant ?

Voici un communiqué de presse diffusé au début du mois de juillet 1994 dans le journal Ouest France :

« La chute d’une météorite a provoqué un tremblement de terre près de Broken Hill, dans l’ouest des Nouvelles Galles du Sud, en Australie. Il était 20h45, heure locale, quand plusieurs centaines d’habitants ont aperçu une énorme traînée de lumière laiteuse glissant vers la terre et senti leur maison trembler. »

Le bouclage de la région

Pour résider sur son territoire, le gouvernement de Nouvelle-Zélande exige une caution de deux millions et demi de francs ainsi que l’obligation de trouver un emploi dans les six mois.

La Nouvelle-Zélande est formée de deux grandes îles montagneuses, à deux mille kilomètres au sud-est de l’Australie !




Comment les experts occidentaux peuvent être une arme de destruction massive

[Source : english.pravda.ru]

Par Nicolas Bonnal

Pharaon dit à Joseph : J’ai eu un songe. Personne ne peut l’expliquer ; et j’ai appris que tu expliques un songe, après l’avoir entendu.

Genèse 41:15

Le monde moderne est plein de mathématiques, de chiffres, de machines étranges et d’illusions magiques ; il vacille sous les données. Malgré son arrogance, ce monde inquiet a besoin d’un nouveau type de mages et de « prévisionnistes scientifiques », que l’on appelle des experts. Environ 6000 chaînes de télévision dans le monde appellent à tout moment les experts pour étudier avec eux des événements complexes ou prévoir un avenir meilleur. Ils sont consultés à tout moment : lorsqu’il y a un attentat, une nouvelle petite menace, un problème global concernant le climat, la croissance, la dette et bien sûr maintenant le football et l’art. Les experts prolifèrent désormais comme les virus ou les moustiques en été. Certains appellent cela le syndrome du magicien d’Oz. Mais c’est surtout un syndrome biblique, le syndrome des prophètes, ou de Daniel.

Car cet homme, Daniel, que le roi a nommé Beltshatsar, possède un esprit extraordinaire, de la connaissance et de l’intelligence pour interpréter les rêves, trouver la solution des énigmes et résoudre les problèmes difficiles. Que l’on appelle donc Daniel et il donnera l’interprétation.

Daniel 5:12

Récemment, un excellent écrivain, M. John Freed, qui se trouve être l’expert d’un expert, a révélé dans son livre que ces experts se trompent souvent, qu’ils sont souvent dangereux et qu’ils sont surestimés et trop consultés. Pensez aux données suivantes fournies par le livre de M. Freed : Il commence par écrire qu’environ deux tiers des résultats publiés dans les meilleures revues médicales sont réfutés en l’espace de quelques années. Et c’est encore pire ! Pas moins de 90 % des connaissances médicales des médecins se sont révélées substantiellement ou complètement erronées. Il y a une chance sur douze que le diagnostic d’un médecin soit si erroné qu’il cause un préjudice important au patient. Et il n’y a pas que la médecine. Les économistes ont constaté que toutes les études publiées dans les revues économiques sont susceptibles d’être erronées.

La nouvelle obsession mondiale pour les experts provient également d’un excès d’études ou de données : or ces études sont financées par des personnes non innocentes et peuvent révéler n’importe quoi, par exemple que manger tous les jours dans un MacDonald peut être bon pour la santé (un doute à ce sujet ?). M. Freed affirme ici qu’il y a des études qui sortent et qui disent que l’obésité est bonne pour la santé et d’autres qui disent que l’exercice physique n’est pas bon pour la santé !

Bien sûr, il y a toujours eu des experts dans l’histoire et un élément fondamental de la force des anciens Hébreux dans la Bible réside dans le fait qu’ils sont d’excellents experts (et pas seulement des prévisionnistes) : ils peuvent lire les rêves comme le professeur Freud et déchiffrer l’avenir économique et agricole d’un pays. Les meilleurs livres sur les experts sont : la Genèse, avec la figure très respectée et prestigieuse de Joseph, qui devient le favori du pharaon ; et Daniel, jeté dans la fosse aux lions, qui devient plus tard un conseiller privilégié (qui envoie ses ennemis à la mort, et avec leur famille).

John Freed affirme ensuite que l’interprétation des experts peut empêcher des actions politiques :

« lorsqu’on nous donne l’avis d’un expert, nous perdons en fait notre capacité à prendre nos propres décisions […]. Le cerveau s’arrête un peu face à l’avis d’un expert. Lorsque nous entendons un expert, nous renonçons à notre propre jugement. »

Je pense qu’il a partiellement tort ; à cause des experts, nous prenons souvent de mauvaises décisions. Plus c’est faux, mieux c’est ! Par exemple, nous décidons d’aider Wall Street, les banques et les fonds spéculatifs afin de ruiner les nations américaines et européennes, puis nous décidons de réduire les aides sociales. Par exemple, nous décidons d’attaquer l’Irak, de bombarder la Libye, de déstabiliser l’Égypte et d’atomiser l’Iran. L’expert est là pour dissiper le doute. C’est ce que dit la Bible (Daniel, 5, 16) :

On m’a dit que toi, tu peux donner des interprétations et résoudre les problèmes difficiles. Si donc tu es capable de lire cette inscription et de m’en faire connaître l’interprétation, tu seras revêtu de pourpre, tu porteras une chaîne d’or au cou et tu partageras le gouvernement du royaume avec deux autres hauts fonctionnaires.

Si un expert comme M. Hans Blix ne convient pas, il est rapidement rejeté : L’ennemi de papa doit être tué et un expert doit bien sûr être politiquement et économiquement correct, adapté à l’ère du « capitalisme du désastre ». L’expert néocon doit être engagé contre tous les ennemis occidentaux — ou supposés tels — avec son mélange post-moderne de messianisme et de jargon scientifique.

Bien sûr, M. Freed confirme et prouve que « les experts éditent et donc manipulent les données ». Cette expression me rappelle la périphrase du Dr Reich, ancien secrétaire au travail de l’administration Clinton : les manipulateurs de symboles. Ces personnes sont les nouvelles professions nées avec la dictature de l’informatique et la nouvelle société de contrôle. Leur expertise altère et manipule continuellement la réalité. Comment faire la différence avec un film de terreur hollywoodien et une scène d’attentat à la bombe surcommentée comme à Boston ? Demandez à un expert !

L’immédiateté et l’irréfutabilité sont les caractéristiques de la vérité qui nous parvient par le biais des ordinateurs : oui, il y a un réchauffement global ; oui, Saddam Hussein possède des armes de destruction massive ; oui, la crise est terminée grâce à l’assouplissement quantitatif de la Fed ; oui, il y a assez de pétrole de schiste pour mille ans et plus dans le Colorado.

Un point très important souligné par Freed est le suivant : nous sommes noyés sous des flux d’informations et de nouvelles qui altèrent notre compréhension ou produisent une désensibilisation :

« Les journaux, les magazines, la télévision et l’internet nous obligent à rapporter constamment ce qui se passe. Nous sommes confrontés à cette mer de conseils en permanence. Où se trouve donc l’aiguille dans la botte de foin ? »

Qui veut trouver une aiguille ? L’important, c’est la botte de foin ; c’est eux qui mettront l’aiguille.

Les agents sont là pour agir, les experts pour réagir.

Mais les données les plus importantes concernent la recherche sur les animaux : Freed écrit en substance que ce n’est pas bon parce que nous ne sommes tout simplement pas des souris !

« La majorité des recherches sur les animaux ne se transposent pas bien aux êtres humains, et malgré le fait que les scientifiques aiment souligner que nous partageons entre 90 et 99 % de nos gènes avec différents types de mammifères, nous savons que nous sommes vraiment différents des souris et que nous sommes même vraiment différents des singes. »

Cette bonne nouvelle est à la fois bonne et inquiétante : elle est bonne parce que les experts occidentaux (où sont les experts ailleurs ?) se trompent en caricaturant le darwinisme ; elle est inquiétante parce que leur vision s’impose finalement, malgré ou grâce à son caractère erroné.




Dossier : « On a marché sur le Nevada… mais sur la Lune ? »

Par Alain Tortosa

Préambule

L’être humain a-t-il déjà mis les pieds sur cet astre ou l’Humanité tout entière est victime d’une vaste escroquerie depuis des décennies ?

Pourquoi écrire sur ce sujet qui ne peut qu’entraîner ricanements de la part d’honnêtes gens qui vivent sur une planète décrite par le journal Le Monde, BFM et autres médias mainstream.

Et bien c’est exactement la raison pour laquelle j’ai choisi ce sujet et non le 11 septembre ou la crise Covid parce que cela évoque une loufoquerie plus ou moins sympathique et non un grave désordre mental qui serait répandu par des extrémistes d’extrême-droite.

L’évocation de la plupart des sujets « complotistes » va immédiatement braquer le citoyen lambda qui va refuser écouter et encore plus toute discussion qui pourrait le placer dans une situation délicate vis-à-vis d’autrui, mais surtout vis-à-vis de lui-même.

Bref, écouter un gars qui vous dirait que nous ne sommes jamais allés sur la Lune c’est un peu comme avoir en face de soi un individu vous expliquant que la Terre est plate (je précise pour les « vérificateurs de l’information » qui voudraient s’engouffrer dans cette brèche pour me ridiculiser, « Non la Terre n’est PAS plate, j’ai étudié le sujet »).

« Nous sommes allés sur la Lune ! »

Les personnes qui sont nées avant 1960 l’ont « vu » de leurs propres yeux1 et les autres en entendent parler depuis leur naissance comme un fait aussi réel que l’eau mouille et le feu brûle.

Toutes les « preuves » sont là ! Photos, vidéos, témoignages, échantillons de sol, mais aussi débunkage quand cela devient nécessaire pour calmer toute velléité « complotiste » potentiellement contagieuse, mais néanmoins « délirante ».

Un autre point en faveur de la croyance repose sur l’énormité du mensonge s’il était avéré et le pourquoi.

« Comment auraient-ils pu nous cacher ces faits si longtemps et pourquoi personne n’a-t-il révélé la vérité ? »

Pourquoi un tel mensonge ?

Le fait de ne pas connaître son auteur sur une scène du crime n’est pas de nature à balayer la réalité de l’acte.

Ici encore tout n’est qu’hypothèses. Parmi celles-ci je pourrais vous citer :

  • Ils ont peut-être cru de bonne foi que c’était possible. Nous étions dans les années soixante, on faisait des fusées, des avions supersoniques, des bombes nucléaires, tout devenait possible. Il fallait battre les Soviétiques, leur prouver la supériorité de l’Amérique. Puis, pour ne pas perdre la face, voyant qu’ils n’y arriveraient jamais, ils se seraient rabattus sur le mensonge et le tournage dans le Nevada par Stanley Kubrick.
  • Les astronautes eux-mêmes ont peut-être été convaincus que c’était un mensonge de courte durée, le temps de résoudre les problèmes techniques et d’y aller vraiment. Quand ils auraient compris qu’ils n’iraient jamais sur la Lune, cela aurait été un enfer pour eux.
  • Ils ont voulu ruiner l’URSS, l’obligeant à se lancer aussi dans la conquête de la Lune.
  • Etc.

La technologie de l’époque

Celles et ceux qui sont nés avec Internet ne peuvent imaginer la réalité de l’âge de Pierre technologique qu’étaient les années 60.

La télévision était encore en noir et blanc et l’ordinateur était plus un projet qu’une réalité. Ceux-ci prenaient la place d’un bâtiment entier pour une puissance de calcul totalement ridicule.

Une époque où même la calculatrice n’existait pas (vraiment). Attention je ne parle pas de la calculatrice programmable graphique des lycéens dont la puissance est infiniment supérieure aux ordinateurs de l’époque, mais de la simple calculatrice pouvant faire des additions, des soustractions, des multiplications et des divisions.

Mon premier ordinateur dans les années 80 aurait fait rêver les ingénieurs de la NASA.

À l’époque on utilisait principalement le stylo, le papier et des règles à calcul !

Ici on parle de construire une fusée qui permettrait d’envoyer des humains sur la Lune et de les faire revenir sains et saufs !

Un peu de bon sens

Pour parvenir à cet exploit, il était impératif de respecter toutes les étapes du lancement de la fusée pour pouvoir faire les calculs. Rappelez-vous que nous sommes à la préhistoire, pas même au début de l’histoire de l’informatique.

Une fusée titanesque décolle sans exploser (pas évident à l’époque), arrive en orbite, tourne autour de la Terre puis quitte l’orbite terrestre au bon moment, se dirige vers la Lune sans la rater, tourne autour, envoie le module lunaire vers le sol, se pose, les gars font leur job, puis redécolle sans encombre avec son unique moteur, tourne autour de la Lune pour rejoindre une orbite circulaire, rejoint la fusée restée en orbite sans la rater, quitte l’orbite lunaire, retourne vers la Terre et amerrit comme il se doit juste à côté du porte-avions qui l’attend gentiment à l’endroit prévu.

Rien qu’en écrivant ces lignes, je ne peux que sourire.

Illustrons l’épopée du LEM qui quitte la Lune pour rejoindre la capsule Apollo en orbite autour de la Lune.

  • Imaginez que vous habitiez Lille et moi Marseille.
  • Imaginez que l’on se donne rendez-vous à l’échangeur d’Artigues-près-Bordeaux. Respectivement à 644 km de Marseille et 801 km de Lille.

Quelle est la probabilité que nous sortions tous deux de l’autoroute à la même seconde et que nous échangions une bouteille d’eau par la fenêtre à la vitesse de 130 km/h ?

Si nous voulons que ce miracle se produise il va non seulement falloir que nous calculions nos heures de départ, mais aussi actualiser en permanence nos calculs, vitesses et temps d’arrêt en fonction de la météo, des embouteillages, de la consommation des véhicules pour le plein de carburant, des pauses pipi, café, manger et ce, en espérant une absence de panne ou d’accident.

Là je vous parle d’un truc qui est environ à 400 000 km de la Terre, qui orbite autour de la Lune à 5920 km/h2 soit 1,67 km en une seconde et que vous ne pouvez pas rater, car vous n’avez qu’un essai.

Pour que la capsule Apollo vous récupère, il vous faudra donc calculer et recalculer :

  • Le moment où vous allez rattraper la capsule en orbite. Un seul essai possible (une première mondiale) pour l’amarrage, car si le Lem et Apollo se ratent ou rebondissent au moment de l’arrimage, alors adieu les astronautes du Lem.
  • La vitesse exacte de l’ascension et de la direction depuis le sol lunaire pour ne pas rater Apollo qui orbite à 6 000 km/h.
  • La fenêtre de décollage de la surface de la Lune pour ne pas rater Apollo au retour. Selon l’IA de Google, le LEM devait se placer sur une trajectoire qui l’amène à moins de 10 km de la capsule Apollo (tout cela avec des commandes manuelles et un ordinateur primitif). Notons qu’Apollo a une orbite circulaire et le Lem une orbite elliptique qu’il doit corriger petit à petit pour rejoindre Apollo au point exact de rendez-vous.
  • La position où vous êtes sur la Lune et la position d’Apollo au moment du décollage qui détermineront quand décoller. Selon l’IA de Google, l’erreur au moment de l’alunissage n’était que de 400 m.
  • La durée de la promenade sur la Lune.
  • La durée du temps de descente sur la Lune.
  • Le moment où le Lem devra quitter la capsule Apollo pour arriver sur le lieu choisi.
  • La durée et le nombre d’orbites autour de la Lune.
  • Le kilométrage et la durée du voyage Terre-Lune sachant notamment que la distance Terre-Lune change.
  • Le nombre et la durée de tours de la Terre (1,5) avant de partir vers la Lune.
  • Le moment de l’arrivée en orbite terrestre de la fusée.
  • Et enfin le moment du décollage de la Terre.

Car n’oublions pas, les réserves d’air et de carburant sont limitées, faire une orbite de plus peut conduire à la mort.

Et pour revenir sur Terre, vous devez calculer :

  • La vitesse et le moment exact pour quitter l’orbite lunaire et le retour vers la Terre.
  • Le moment, l’angle et la vitesse pour entrer en orbite terrestre et ne pas rebondir vers l’espace. La capsule a fait 14 orbites terrestres avant de plonger pour amerrir.
  • La durée de la descente sur Terre et la position du point d’impact dans l’eau sinon la capsule va couler avant que l’on ait pu vous récupérer. Selon l’IA de Google, il restait 4 heures d’air aux astronautes et 15 minutes de combustion. Sachant aussi que le point d’amerrissage ne pouvait être calculé à l’avance notamment du fait de l’incertitude météo. Précisons que les astronautes pilotaient manuellement la position, l’angle et la vitesse de la capsule avec des capteurs internes. (Point de logiciels de calculs ou de feuille de tableur dans laquelle il vous suffit de changer une valeur pour que tous les calculs soient mis à jour instantanément.)

Vous commencez à me suivre ?

Cela veut dire que vous ne pouvez PAS faire l’ensemble de ces calculs avant le départ. Comme pour le voyage Lille-Bordeaux et Marseille-Bordeaux vous allez devoir reprendre les calculs régulièrement, calculs qui doivent avoir un nombre de paramètres délirants pour une mission lunaire.

Je me répète, mais quant au décollage de la Lune, imaginez-le. Apollo est en orbite circulaire et vous vous allez avoir une orbite elliptique au moment de votre mise en orbite autour de la lune. Ne croyez pas que la capsule va vous attendre sur l’échangeur de l’orbite lunaire ! Sans compter que vous avez droit à un seul essai, si vous vous présentez trop tôt trop tard, trop vite, trop lentement, avec un angle trop ou pas assez important.

La réussite de l’opération tiendrait du miracle et de l’absence totale de grains de sable dans le timing. Une simple fermeture éclair coincée ou un éternuement au moment de la rencontre aurait été de nature suffisante à entraîner une catastrophe.

Quelques points problématiques

Nous avons vu que l’opération est loin d’être gagnée d’autant plus en 1969 sans les ordinateurs actuels. Ne vous inquiétez pas, il n’est pas nécessaire d’être un ingénieur pour comprendre et se forger une opinion.

Le lieu de l’amerrissage :

IA :

« Les parachutes d’Apollo ont été déployés à deux altitudes différentes :

* Les parachutes extracteurs ont été déployés à une altitude de 7 010,40 mètres. Ils ont pour fonction de stabiliser le module de commande et de service (CSM) et de le ralentir de 480 à 280 km/h.

* Les parachutes principaux ont été déployés à une altitude de 3 000 mètres. Ils ont pour fonction de ralentir le CSM encore plus, jusqu’à une vitesse de 35 km/h.

Les astronautes n’avaient plus la possibilité de diriger leur capsule dès lors que les parachutes étaient déployés. Un vent fort aurait eu un impact significatif sur le point d’atterrissage d’Apollo. Le vent aurait pu faire dériver la capsule de sa trajectoire prévue, ce qui aurait pu entraîner un atterrissage dans une zone inattendue.

Si le lieu d’amerrissage d’Apollo avait subi un ouragan, les options des astronautes étaient limitées.

* La première option était de reporter l’atterrissage. Cela aurait permis aux conditions météorologiques de s’améliorer. Cependant, cela aurait également signifié que les astronautes devaient rester dans l’espace plus longtemps, ce qui aurait pu entraîner des problèmes d’approvisionnement en oxygène et en nourriture.

* La deuxième option était de tenter un atterrissage dans des conditions météorologiques défavorables. Cela aurait été une décision risquée, car il y avait une forte probabilité que l’atterrissage se passe mal. »

    Les ceintures de van Allen :

    La Terre est protégée des radiations solaires mortelles par un champ magnétique. À de nombreuses reprises, des spécialistes de la NASA ont affirmé que ces radiations posaient un problème que nous devrions résoudre si nous voulions « retourner » ou aller sur la Lune.

    Notez que cela explique l’orbite ultra basse, environ 400 km, de la station internationale. Pour rappel les satellites géostationnaires sont à 36 000 km et la lune à 400 000 km. Des astronautes3 affirment qu’un jour nous pourrons quitter l’orbite basse. Les débunkers disent que ce n’était pas un problème dans les années 60 alors que cela en est un aujourd’hui. Leur argument principal se base sur « ils l’ont fait donc c’est possible ».

    Google IA  :

    « Les ceintures de Van Allen constituent un danger pour les astronautes et les satellites. Les particules chargées peuvent endommager les équipements électroniques et provoquer des lésions aux tissus biologiques.  

    Au-delà de la ceinture de Van Allen, les dangers pour les astronautes et les satellites sont principalement causés par les rayonnements cosmiques.

    Les rayonnements cosmiques sont des particules chargées qui proviennent de l’espace lointain.

    Ils comprennent des protons, des électrons, des neutrons et des noyaux atomiques. 

    Les rayonnements cosmiques peuvent endommager les équipements électroniques et provoquer des lésions aux tissus biologiques. Ils peuvent également provoquer des mutations génétiques, qui peuvent conduire à des cancers et à d’autres problèmes de santé. »

    Notons qu’aucun astronaute parti sur la Lune n’aurait eu de graves maladies suite à son expédition.

    L’ingénieur de la NASA Kelly Smith4 à propos de la mission Orion expliquait en 2014 :

    « En nous éloignant de la Terre, nous traverserons les ceintures de Van Allen, une zone de radiation dangereuse. De telles radiations pourraient endommager les systèmes de guidage, les ordinateurs de bord ou d’autres composants électroniques d’Orion. Naturellement, nous devons traverser cette zone dangereuse deux fois : une fois à l’aller et une fois au retour.

    Mais Orion dispose d’une protection, le blindage sera mis à l’épreuve lorsque le véhicule traversera les vagues de radiations. Des capteurs à bord enregistreront les niveaux de radiation pour que les scientifiques puissent les étudier. Nous devons résoudre ces problèmes avant d’envoyer des personnes dans cette région de l’espace. ».

    Le site Futura-science5 affirme :

    « Un cosmonaute exposé, sans protection, aux radiations des ceintures de Van Allen subirait plusieurs millions de rads par heure (or 500 rads sont généralement mortels). »

    Le débunkage du Parisien précise :

    « La NASA affirme que les combinaisons spatiales portées par les astronautes « les protégeaient parfaitement des radiations qu’ils auraient pu subir en traversant les ceintures de Van Allen. D’autant que la traversée en question a été relativement rapide ».

    IA :

    « Les astronautes d’Apollo 11 ont passé environ 90 minutes dans les ceintures de Van Allen à l’aller et au retour, soit un total de 180 minutes. »

    « La combinaison spatiale et la coque du module de commande permettaient de réduire la dose de radiations reçue par les astronautes d’Apollo 11 de 90 à 95 %. Cela signifie que les astronautes ont reçu environ 5 à 10 % de la dose de radiations qu’ils auraient reçue s’ils n’avaient pas été protégés. »

    Deux millions de rads, 5 %, 3 heures, cela nous fait 300000 rads (dose mortelle à 500). Supposons que Futura Science dise n’importe quoi et se trompe d’un facteur 500 !!!! La dose reçue serait encore de 600 rads. Bien entendu il est possible de dire tout et son contraire. On peut tout autant affirmer que la dose dans les ceintures de Van Allen est de 10 rads par heure, ou même de 1 rad par heure. Cela peut être aussi vrai ou faux que de dire que le bouclier filtre 95 % des radiations.

    Les liquidateurs de la centrale de Tchernobyl auraient reçu entre 1000 et 10 000 rads.

    Si nous sommes allés maintes fois sur la Lune alors il est possible que ces radiations ne soient pas si mortelles que ça. Si en revanche c’est un fake alors il est évident que toutes les données fournies sur les niveaux réels de radiations sont fausses.

    De plus, la NASA n’a peut-être pas choisi la meilleure période pour les missions Apollo.

    « Les pics d’activité solaire dans les années 1960 et 1970 ont été importants. Le maximum d’activité du cycle solaire 19 a eu lieu en 1968, avec une amplitude de 165. Ces pics d’activité solaire ont eu un impact sur la Terre.

    Ils ont provoqué des perturbations dans les communications radio, des pannes d’électricité et des aurores boréales plus intenses. Voici quelques exemples de ces perturbations :

    * En 1968, une tempête solaire a provoqué des perturbations dans les communications radio dans le monde entier.

    * En 1972, une panne d’électricité a touché une grande partie de l’Amérique du Nord. »

    En 1962 les USA ont fait exploser une bombe nucléaire dans l’espace de 1,4 mégatonne, 500 fois plus puissante que celle lâchée sur Hiroshima6, à une altitude de 400 km.

    IA :

    « Les radiations de Starfish Prime ont été coincées dans les ceintures de Van Allen. L’explosion a créé une onde de choc qui a ionisé les atomes et les molécules de l’atmosphère terrestre. Ces ions ont été attirés par le champ magnétique terrestre et ont formé de nouvelles ceintures de radiation autour de la Terre. Les études scientifiques ont montré que la ceinture artificielle s’est dissipée au fil des ans. En 2023, le niveau de radiations dans la ceinture artificielle est comparable à celui des ceintures naturelles. Les radiations dans la ceinture artificielle sont encore dangereuses pour les astronautes et les satellites en orbite. Cependant, elles ne sont plus aussi intenses qu’elles l’étaient au moment de l’explosion de la bombe Starfish Prime. »

    Imaginez donc en 1969, sept ans après l’explosion !

    Certains avancent la thèse que cette bombe aurait été lancée pour faire un « trou » dans la ceinture de radiations et permettre aux astronautes de la franchir sans danger. Au final cela a juste créé une nouvelle ceinture encore plus dangereuse. C’est dire le niveau de folie de ces apprentis sorciers.

    Il est donc intéressant de constater qu’il existe encore des problèmes avec les ceintures de Van Allen naturelles ET artificielles7 qui étaient pourtant « totalement résolus » dans les années 1960-70 avec les multiples missions lunaires.

    Et tout aussi intéressant de rappeler que la station spatiale est en orbite basse.

    ChatGPT rappelle :

    « Safety considerations: The ISS is still within the Earth’s protective magnetosphere in its current orbit, which helps shield it from harmful radiation. Placing it in a higher orbit would expose the station and its crew to increased radiation levels, which could pose health risks and require additional shielding measures. »…
    [« Considérations de sécurité : Sur son orbite actuelle, l’ISS se trouve toujours dans la magnétosphère protectrice de la Terre, ce qui la protège des rayonnements nocifs. En la plaçant sur une orbite plus élevée, la station et son équipage seraient exposés à des niveaux de radiation plus élevés, ce qui pourrait présenter des risques pour la santé et nécessiter des mesures de protection supplémentaires. »]

    Plus de 500 km exposerait l’équipage à des radiations.

    Les photos et films truqués :

    L’intelligence artificielle de Google aurait confirmé à Poutine que les photos sont des faux (problèmes de lumières, d’ombres, etc.), renforçant la thèse d’un tournage en studio dans le Nevada. Stanley Kubrick8 aurait lui-même confessé avoir fait ce fake dans une interview dont j’ai fourni le lien.

    Notons que les débunkers disent que ce n’est pas une preuve, il était tout à fait possible de faire les deux, un vrai alunissage ET une vraie fiction.

    Nous pouvons aussi nous demander comment ils ont pu faire de si belles photos alors même que leur appareil était à réglage manuel de la luminosité, mais aussi qu’ils ne pouvaient pas voir ce qu’ils photographiaient, l’appareil étant fixé sur le torse. De plus ils étaient obligés de retourner dans le module pour changer d’objectif ou de pellicule.

    Par exemple sur la photo ci-dessous nous voyons clairement que les ombres ne sont pas parallèles, ce qui est impossible lorsque la source de lumière est unique, en l’occurrence le soleil.

    Autre photo d’ombres non parallèles :

    Que dire de cette photo sur laquelle nous voyons parfaitement l’astronaute alors même qu’il est dans l’ombre du LEM ET qu’aucun flash n’était utilisé9 ? Il aurait dû être aussi sombre que l’ombre au sol.

    Les appareils photo avaient des croix :

    IA :

    « Les croix sur les photos prises sur la Lune sont des réticules, c’est-à-dire des grilles utilisées pour mesurer les distances et les angles sur les photos. Ils sont généralement composés de deux lignes verticales et de deux lignes horizontales.

    Les réticules sont utilisés par les astronautes pour mesurer la taille des objets sur la Lune, ainsi que les distances entre les objets. Ils sont également utilisés pour déterminer l’orientation des objets. Les réticules sont placés devant l’objectif de l’appareil photo. Ils sont généralement imprimés sur une plaque de verre ou de plastique. Les réticules sont utilisés sur les photos prises sur la Lune depuis les années 1960. Ils sont devenus un élément incontournable des photos lunaires. »

    De fait les réticules sont obligatoirement au premier plan et les objets photographiés au second plan. Il ne saurait exister un objet masquant un réticule à moins d’avoir truqué une photo et rajouté l’objet par la suite.

    Exemple d’objet se trouvant devant le réticule :

    Le journal le Parisien10 confirme qu’il y a bien eu tournage en studio, mais pour un « entraînement ».

    « Aucune preuve ni témoignage faisant état de ce tournage n’ont jamais été révélés. En revanche, la NASA a elle-même diffusé des photographies montrant l’équipe d’astronautes en studio. Mais celles-ci ont été prises trois mois auparavant, en avril 1969 à Houston. Il s’agissait en réalité d’un entraînement visant à préparer la mission d’exploration des astronautes. »

    Il est intéressant de noter que l’IA de Google l’ignore.

    IA :

    « Non, je n’ai pas de photos d’Armstrong et d’Aldrin en avril 1969 simulant dans un studio. Il n’y a aucune preuve que les premiers pas sur la Lune aient été simulés, et il est très peu probable qu’il existe des photos de telles simulations. Les photos et les vidéos de la mission Apollo 11 ont été prises par les astronautes eux-mêmes, et elles ont été diffusées en direct à la télévision dans le monde entier. Ces images ont été largement examinées par des scientifiques et des experts, et il n’y a aucune preuve qu’elles aient été falsifiées ».

    De fait Le Parisien serait-il colporteur de fakenews ??!!

    Notons que la NASA a « perdu » tous les originaux et que les bandes magnétiques auraient été jetées ou recyclées pour faire des économies. Cela ne s’invente pas.

    IA :

    « En 2006, la NASA a reconnu avoir perdu la trace de ces films, qui contenaient des images historiques des premiers pas de l’Homme sur la Lune. En 2006, la NASA a lancé une enquête pour retrouver les films originaux. L’enquête a duré plusieurs années, mais elle n’a pas permis de les retrouver. La perte des films originaux de la mission Apollo 11 a été un incident embarrassant pour la NASA. L’agence spatiale a mis en place des mesures pour éviter que cela ne se reproduise ».

    Je vous rappelle que nous parlons du plus grand exploit de tous les temps et les gars ont perdu les films !

    Les audios truquées

    L’absence de décalage dans des conversations avec la Terre.

    Il serait impossible que la Terre puisse communiquer avec les astronautes sans délai. Le délai de transmission radio entre la lune et la Terre est de 1,3 seconde auxquels il faut rajouter les délais « électroniques » de transmission du signal soit un total d’environ 2 secondes. Dans les documentaires diffusés11, nous entendons des conversations en direct entre les astronautes et la Terre sans le moindre délai. Ici encore les débunkers affirmeront que c’était un montage pour rendre l’enregistrement plus agréable.

    L’absence de bruit de propulsion lors de la descente du Lem ni de cratère d’impact.

    Comment est-il possible que les vibrations n’entraînent pas un bruit à minima audible dans les conversations entre les astronautes et la Terre ? Les astronautes étaient factuellement assis sur le moteur du LEM qui crache des gaz à 100 bars et ils subissent une décélération d’environ 3 G.

    IA :

    « Les astronautes ont décrit ces vibrations comme étant fortes, mais pas insupportables. Ils ont déclaré qu’elles étaient similaires aux vibrations ressenties lors d’un décollage ou d’un atterrissage terrestre. »

    Il est aussi étrange que la zone d’alunissage ne montre aucune trace de cratère de souffle sous la tuyère, et ce pour l’ensemble des alunissages, toutes missions confondues.

    Ci-dessous une photo montrant l’absence de cratère.

    Ci-dessous une photo du booster de Space-X lors d’un retour sur Terre.

    IA :

    « Les températures et pressions du moteur du LEM en phase d’alunissage sont les suivantes : Température en sortie de tuyère : environ 2 600 °C. Pression en sortie de tuyère : environ 100 bars12. Ces valeurs sont similaires à celles des boosters SpaceX Falcon 9 en phase d’atterrissage. La température du sol peut atteindre 2 500 °C lors de l’atterrissage d’un booster Falcon 9. »

    « Grâce à ces facteurs, la température du sol sous la tuyère du LEM peut atteindre 2 600 °C. Cette température est suffisante pour faire fondre le régolithe et créer un cratère d’impact. Voici quelques exemples de températures du sol lunaire mesurées sous la tuyère du LEM lors des missions Apollo :

    Apollo 11 : 2 600 °C

    Apollo 12 : 2 600 °C

    Apollo 14 : 2 500 °C. »

    Une vidéo de la NASA13 simule l’effet du souffle du Lem en fonction du diamètre des poussières sur laquelle nous pouvons voir la création de cratères (je vous invite à réduire la vitesse de lecture à 0,25 pour mieux voir).

    Photo de la simulation sur laquelle nous voyons bien le cratère :

    Un autre facteur étrange est qu’au pied du Lem il y ait énormément d’empreintes de pas suggérant que le souffle du moteur n’a pas balayé la poussière de la zone en sortie de tuyère.

    L’absence de poussières et de lumière au décollage du LM.

    Google IA :

    « Le LEM a soulevé d’énormes quantités de poussière lors des alunissages. La poussière lunaire est très fine et légère, et elle est facilement soulevée par le vent ou par un choc. Lorsque le LEM a touché la surface de la Lune, il a créé une onde de choc qui a soulevé une énorme quantité de poussière. Cette poussière a formé un nuage qui a obscurci la vue des astronautes et de la caméra. Les astronautes ont dû attendre que la poussière se dissipe avant de pouvoir sortir du LEM. »

    Il serait intéressant de savoir comment ils ont pu se poser sans visibilité.

    IA :

    « La zone n’avait pas moins de poussière après l’alunissage. La poussière soulevée par le LEM a recouvert toute la zone environnante. »

    J’ai alors demandé à l’IA de me fournir des photos des Lems avec poussière, mais « étrangement » les photos ne sont pas apparues14. Insistant il m’a dit qu’il me passait des liens, or les titres n’avaient aucun lien, puis je lui ai demandé de m’afficher directement le lien sous la forme https://xxx et il m’a répondu qu’il n’était pas programmé pour pouvoir faire cela.

    Bizarrement les photos du LEM sur le net sont toutes rutilantes. 

    La photo ci-dessus montre un LEM sans la moindre poussière.

    Voici une photo d’un des pieds sans poussière.

    Mais qu’en est-il du décollage, voici les réponses de l’IA :

    « Lors du décollage, le LEM a également soulevé de la poussière. Cela est dû à la poussée des moteurs. La poussière a été soulevée de la surface de la Lune et s’est dispersée dans l’atmosphère lunaire. Cependant, la quantité de poussière soulevée lors du décollage était généralement moindre que celle soulevée lors de l’alunissage. Cela est dû au fait que le LEM s’élevait plus lentement lors du décollage. La poussière soulevée par le LEM lors de son alunissage et de son décollage a eu un impact sur les missions Apollo. Elle a obscurci la vue des astronautes et a rendu difficile la navigation du LEM. »

    Pourtant le film du décollage15 de Apollo 17 que vous pouvez visionner ne montre pas de poussière, ce que l’IA ne nie pas.

    L’IA ne se « démonte » pas et trouve des explications pour le moins « pittoresques » :

    « Le film du décollage d’Apollo 17 ne montre pas de poussière pour plusieurs raisons.

    Premièrement, le LEM s’élevait plus lentement lors du décollage que lors de l’alunissage. Cela signifie que la quantité de poussière soulevée était moindre.

    Deuxièmement, le LEM était équipé d’un système de nettoyage de la poussière. Ce système utilisait des jets d’air pour souffler la poussière de la surface du LEM.

    Troisièmement, le film du décollage a été tourné avec une caméra à haute vitesse. Cela signifie que la poussière était plus difficile à voir sur le film.

    En plus de ces raisons, il est également possible que la poussière ait été soulevée par les vents lunaires avant que le LEM ne décolle. (Un petit Mistral dans le vide spatial…) Si c’est le cas, la poussière aurait été dispersée dans l’atmosphère lunaire avant que le film ne soit tourné. »

    À propos de la combustion et du panache qu’il devrait y avoir sous le Lem lors du décollage.

    Voici les réponses de l’IA :

    « Il y avait un panache de gaz incandescent lors du décollage du LEM. Le panache était causé par la chaleur extrême des gaz de combustion qui étaient expulsés par la tuyère du moteur.

    Les gaz de combustion étaient tellement chauds qu’ils étaient incandescents, c’est-à-dire qu’ils émettent de la lumière. Le panache de gaz incandescent était visible de loin, et il était un signe clair que le LEM décollait. Il était également un danger potentiel pour les astronautes, car il pouvait les brûler. Pour cette raison, les astronautes devaient porter des combinaisons spatiales spéciales qui les protégeaient de la chaleur. Le panache de gaz incandescent était un spectacle impressionnant, et il est un rappel de la puissance des moteurs à propergol solide. »

    « La longueur du panache incandescent lors du décollage du LEM variait en fonction de la vitesse d’ascension du LEM. Plus la vitesse d’ascension était élevée, plus le panache était long. En moyenne, la longueur du panache incandescent était d’environ 100 mètres. Le panache pouvait atteindre une longueur de 200 mètres lors des décollages les plus rapides.

    Voici quelques exemples de la longueur du panache incandescent lors du décollage du LEM : lors du décollage d’Apollo 11, le panache était long d’environ 150 mètres.

    Lors du décollage d’Apollo 17, le panache était long d’environ 200 mètres. »

    « Le panache incandescent du LEM a pu brûler et endommager la partie du LEM restée au sol. Cependant, les dommages étaient généralement mineurs. Dans certains cas, le panache incandescent a pu causer des dommages plus graves au MLD. Par exemple, il a pu faire fondre des composants électroniques ou endommager des structures métalliques. Lors du décollage d’Apollo 17, le bouclier thermique du MLD a été fondu et endommagé. »

    Rappelons que sur la vidéo de décollage du LEM de Apollo 17, il n’y a strictement aucune lumière en sortie de tuyère.

    Cela ne démonte toujours pas l’IA qui devrait faire une carrière d’acteur comique :

    « La vidéo du décollage du LEM d’Apollo 17 ne montre ni panache ni même une petite lumière sous le LEM qui s’élève pour plusieurs raisons.

    Premièrement, la vidéo a été tournée avec une caméra à haute vitesse. Cela signifie que chaque image est capturée en 4,16 millisecondes. La poussière et les gaz chauds du panache incandescent se déplacent rapidement, et ils peuvent donc être difficiles à voir sur une vidéo tournée à une vitesse aussi élevée.

    Deuxièmement, le LEM était équipé d’un système de nettoyage de la poussière. Ce système utilisait des jets d’air pour souffler la poussière de la surface du LEM. Cela a contribué à réduire la quantité de poussière soulevée lors du décollage.

    Troisièmement, le LEM était orienté de manière à ce que le panache incandescent soit dirigé vers le bas. Cela a également contribué à réduire la quantité de poussière et de gaz chauds visibles sur la vidéo. »

    Je lui ai alors demandé s’il avait une photo du décollage de Saturn V prise avec une caméra haute vitesse (pour voir si effectivement cela pouvait masquer les gaz).

    « Oui, il existe des photos du décollage de Saturn V depuis la Terre pour la mission Apollo 17 prises avec des caméras haute vitesse. Ces photos ont été prises par une caméra cinématographique Panavision Panaflex, qui pouvait filmer à une vitesse de 240 images par seconde. Les photos prises avec des caméras haute vitesse ont permis de capturer des détails qui ne seraient pas visibles avec des caméras standard. Elles nous donnent une vision plus claire du décollage de Saturn V et de la puissance de ce lanceur historique. »

    Et là il est censé me montrer « [Image de la fumée et la flamme du moteur de la fusée Saturn V décollant depuis la Terre pour la mission Apollo 17, prise avec une caméra haute vitesse] »

    Et « bizarrement », la 2e fois depuis le début de mon échange avec l’IA, encore à un moment « critique », cette photo n’apparaît pas. J’insiste et voici sa réponse.

    « Je suis désolé, je n’arrive pas à trouver cette image. Je l’ai recherchée dans le catalogue de la NASA et je ne l’ai pas trouvée. »

    « Il est possible que cette image n’existe pas ou qu’elle ne soit pas accessible au public.

    La NASA conserve de nombreuses images et vidéos de ses missions spatiales, mais certaines sont classifiées ou réservées à un usage interne. »

    Bref, vraiment la faute à pas de chance !

    Voici une photo capturée sur le film du décollage16 de Apollo 17 dont j’ignore si la caméra était à haute vitesse ou pas.

    Capture film décollage Apollo 11 à 500 images par seconde17.

    No comment!

    La vidéo du décollage du Lem de la mission Apollo 17 montre clairement une espèce de petit « prout » qui permet au LEM de se détacher de la partie basse. Cela fait un peu de lumière, un peu de poussière, puis le Lem semble quitter la Lune sans propulsion comme s’il était lui-même un ascenseur sans pesanteur. À se demander s’il n’était pas tiré par un câble.

    De plus, la lumière que nous voyons pendant les 13 premières secondes est clairement sur le côté du Lem et non en dessous sous les tuyères, cette lumière serait donc l’éclairage du soleil. Il n’y a donc aucune lumière créée par un moteur dont les gaz sont à « 2600 degrés et 100 bars » (IA).

    Or Google IA dit :

    « La vitesse de satellisation (vitesse minimale pour mise en orbite) du LEM lors de la mission Apollo était de 1,67 km/s à une altitude de 110 km »

    « La durée totale d’utilisation du moteur du LEM depuis le décollage de la Lune jusqu’à la vitesse de satellisation a été de 5 minutes et 42 secondes. »

    « Le moteur de descente du LEM a été allumé en trois étapes, chacune d’une durée de 2 minutes et 21 secondes. Entre le décollage de la Lune et la première extinction du moteur, il s’est passé 2 minutes et 21 secondes de poussée. Cette poussée a permis au LEM de s’élever de la surface de la Lune et d’atteindre une altitude de 10 km ».

    « La vitesse du LEM était d’abord nulle au moment du décollage.

    La poussée du moteur a ensuite donné au LEM une accélération constante de 2,9 m/s². En 2 minutes et 21 secondes, l’accélération constante a permis au LEM d’atteindre une vitesse de 1,2 km/s (4320 km/h). »

    Il est donc bien confirmé que le moteur était allumé constamment depuis le décollage et il devrait donc provoquer un panache lumineux de plus de 100m, ce qui n’est pas le cas sur la vidéo. La conclusion s’impose donc.

    Comment a été tourné le film du décollage du Lem ?

    Certains complotistes se demandent si le cameraman est encore sur place.

    Selon Google IA :

    « La caméra a enregistré le décollage du LEM de la mission Apollo 17 le 14 décembre 1972. Les images du décollage du LEM sont les seules images du décollage de la Lune filmées depuis la surface de la Lune. »

    « La caméra était contrôlée à distance depuis le module de commande et de service (CSM) (module en orbite). »

    « La caméra était équipée d’un système de télécommande qui permettait aux astronautes du CSM de contrôler la caméra depuis leur poste de pilotage. Les astronautes pouvaient utiliser le système de télécommande pour déplacer la caméra, zoomer et ajuster la luminosité. »

    « Le module de commande et de service (CSM) était en orbite autour de la Lune pendant que le module lunaire (LM) était sur la surface de la Lune. »

    « La durée durant laquelle le LEM pouvait voir le CSM en orbite était d’environ 1 heure et 10 minutes. Cette durée était déterminée par la période orbitale du LEM, qui était d’environ 1 heure et 10 minutes. »

    « En effet, le CSM était en orbite polaire autour de la Lune, ce qui signifie qu’il passait au-dessus de tous les points de la surface de la Lune. Il est donc possible que le CSM se trouvât sur la longitude opposée à la longitude du LEM au moment du décollage. »

    Si le Lem avait une fenêtre de tir d’environ 4 heures, il demeure totalement crédible de choisir une heure de décollage compatible avec la vidéo.

    En tous les cas un bel exploit technique. Une capsule Apollo à 110 km au-dessus de la Lune qui se déplace à 5000 km/h et qui arrive à capter pendant au moins 34 min (durée du film18 disponible, donc un déplacement de plus de 2500 km) et sans brouillage du signal, la vidéo d’une caméra au sol et renvoyer en temps réel des ordres de commande de la caméra (position, zoom, etc) le tout sans subir de perturbations radio du Lem en train de décoller. Il est bien entendu que l’antenne doit être réorientée vers les sites d’alunissage pour ne pas perdre le signal.

    L’absence de radiations sur les films et les photos.

    Comment serait-il possible d’avoir des photos aussi nettes et contrastées alors que les films argentiques auraient dû être impactés par les radiations aussi bien durant la prise de vue que durant leur retrait, leur mise à l’abri, voir même leur transport ?

    Exemple de pellicule altérée par des rayons X dans un aéroport, on voit bien une bande horizontale plus claire :

    Les fact-checkers affirment que les appareils et les films étaient protégés. Il est intéressant de voir que des photos prises à Tchernobyl sont marquées par les radiations.

    L’IA nous dit qu’ils avaient des appareils photo et des films spéciaux qui réduisaient les risques de 50 %, mais cela est en contradiction avec des données diffusées sur Internet. Alors que ces pellicules résistaient aux températures extrêmes aussi bien froides que chaudes, il semblerait que Kodak n’en ait pas fait un argument publicitaire.

    Là où ça tient du miracle, est que le temps de pose19 de certaines photos était très long20.

    IA :

    « D’autres photos, telles que des paysages lunaires ou des photos de la Terre depuis la Lune, ont également nécessité des temps de pose plus longs. Dans certains cas, les temps de pose pouvaient atteindre plusieurs minutes. » Temps durant lequel les films étaient bombardés de radiations. Je vous rappelle que tous les originaux ont été égarés.

    Pourquoi la capsule qui touche l’eau au retour sur Terre ne dégage-t-elle pas de la vapeur ou ne brûle pas les mains des techniciens qui font sortir les astronautes ?

    Et ce alors qu’elle était à quelques milliers de degrés Celsius quelques minutes avant durant la rentrée dans l’atmosphère. Comment les techniciens font-ils pour la toucher avec leur main sans se brûler après l’amerrissage ?

    Selon IA Google :

    « La température de la capsule Apollo durant la descente était extrêmement élevée. La capsule pénétrait dans l’atmosphère terrestre à une vitesse de 40 000 km/h. L’air de l’atmosphère était comprimé et chauffé par la vitesse de la capsule, atteignant des températures de 3 000 à 4 000 degrés Celsius ».

    La répétition

    Nous n’avons toujours pas réussi à retourner sur la Lune, prouvant ainsi l’extrême difficulté de l’opération.

    Si l’on se place en 1969 alors le succès de la mission relèverait du miracle. Dans ces conditions il eût été délirant de prendre le risque d’autres missions. Ce simple constat de la répétition affirme que nous étions dans une technologie totalement éprouvée et maîtrisée, ce qui est un peu ridicule quand on pense que l’on a « perdu » cette technologie (selon la NASA).

    Pérégrine devait se poser sur la Lune et redécoller il y a quelques jours et la mission s’est soldée par un échec.

    De plus la technologie du Falcon9 de Space-X qui permet aux boosters de retourner atterrir sur Terre à la verticale, exactement comme les LEMS, est présentée comme une « nouvelle technologie » innovante alors que c’était quasi routinier au début des années 1970.

    Falcon 9 a d’ailleurs connu de nombreux déboires.

    Voici une photo tirée d’un petit film présentant le Falcon 9 se poser21

    Que faire des témoignages d’astronautes qui disent qu’un jour on pourra quitter l’orbite terrestre ?

    « Leur langue a fourché, ce n’était pas ce qu’ils voulaient dire ? »

    La pierre lunaire du musée d’Amsterdam22.

    Il y a quelques années une expertise a été faite pour des motifs d’assurance qui est arrivée à la conclusion que c’était non pas une roche lunaire, mais du bois pétrifié. Notons que de nombreux États ont « perdu » leur pierre lunaire23. Nous parlons ici d’objets uniques et extraordinaires témoins du plus grand succès de l’humanité. « Oui, mais c’est peut-être juste des erreurs ! »

    Il est possible de trouver des roches lunaires en Antarctique et la NASA y est allée en 1966 et 1967.

    Expédition CNRS24 : « 25/01/2018. On a trouvé une météorite lunaire ! ».

    Futura-sciences25 :

    « Dans une nouvelle étude portant sur des météorites lunaires retrouvées en Antarctique, des chercheurs de l’ETH Zurich apportent la preuve que la Lune s’est bien formée à la suite d’un impact géant entre un corps planétaire et la Terre ».

    Voici ce qu’affirme l’IA de Google26 :

    « Les météorites lunaires sont très rares, mais on en a trouvé plus de 300 à ce jour. La plupart des météorites lunaires ont été trouvées en Antarctique, car la glace et la neige de ce continent ont aidé à préserver ces météorites rares. »

    « Il y a eu plusieurs expéditions menées conjointement par la National Science Foundation (NSF) et la NASA en Antarctique dans les années 1960 »

    « Wernher von Braun a participé à une expédition en Antarctique en 1966-1967. Il était accompagné de plusieurs autres membres de la NASA, dont Ernst Stuhlinger, Robert Gilruth et Maxime Faget. L’objectif de l’expédition était d’étudier les conditions de vie et de travail en Antarctique, dans le cadre de la préparation des missions Apollo. L’expédition a duré deux mois et a permis aux participants de collecter des données précieuses sur la météo, la géologie et la biologie de l’Antarctique. »

    « Wernher von Braun était le directeur du développement des lanceurs pour la NASA. Il a été responsable de la conception et de la construction de la fusée Saturn V, qui a permis aux missions Apollo d’atteindre la Lune. »

    La NASA affirme que nous ne pouvons pas retourner sur la lune parce que nous avons perdu la technologie et le savoir de 1969 !

    En premier lieu comment serait-il possible de perdre les données de l’événement le plus extraordinaire de l’humanité et nous aurions besoin d’une technologie totalement dépassée pour y parvenir aujourd’hui ?! C’est comme si nous avions besoin de la technologie du train à vapeur pour construire un TGV.

    L’astronaute de la NASA Dan Pettit27 l’a affirmé.

    Google IA :

    « Don Pettit est un astronaute américain de la National Aeronautics and Space Administration (NASA). Pettit est un pionnier de l’exploration spatiale.

    Il est un exemple de l’excellence scientifique et technique de la NASA. »

    « Don Pettit a affirmé que nous avions perdu la technologie pour aller sur la Lune.

    Il a fait cette affirmation dans une interview accordée au magazine Wired en 2013.

    Pettit a déclaré que la technologie utilisée pour les missions Apollo n’est plus disponible aujourd’hui. Les usines qui produisaient les composants de ces missions ont été fermées, et les connaissances et les compétences nécessaires pour les fabriquer ont été perdues. »

    « Si l’on considère que la technologie est simplement les composants physiques nécessaires à un voyage sur la Lune, alors il est possible que la technologie nécessaire soit encore disponible. Cependant, si l’on considère que la technologie comprend également les connaissances et les compétences nécessaires pour fabriquer et utiliser ces composants, alors il est plus probable que nous ayons perdu cette technologie. »

    Pourquoi ne voit-on aucune étoile dans les photos prises depuis la Lune ?

    Petite remarque « complotiste » : S’il y avait des étoiles sur les photos, nous aurions la possibilité actuelle de calculer le lieu et la date de la prise de vue.

    Les fact-checkers expliquent que les astronautes étaient présents de jour sur la face éclairée de la Lune et que la lumière du soleil masquait les étoiles comme sur Terre. Aux astronautes à qui l’on avait posé cette question, ceux-ci disaient ne pas se rappeler. Rappel : Il n’y a pas d’atmosphère sur la Lune.

    Question posée à l’IA de Google28 :

    « Puis-je voir les étoiles dans l’espace si le soleil est dans ma direction ? »

    Réponse :

    « Si vous regardez dans la direction du Soleil, vous ne verrez que la lumière du Soleil. Les étoiles seront cachées par la lumière du Soleil.

    Cependant, il est possible de voir les étoiles dans l’espace si le soleil est dans une autre direction. Par exemple, si vous êtes dans l’espace et que vous regardez dans la direction opposée au Soleil, vous pourrez voir les étoiles ».

    Alors pourquoi les astronautes n’ont-ils fait aucune photo avec le Soleil dans le dos ?

    Pourquoi sur les photos, même avec un temps de pose important et avec le soleil dans le dos ne voyons-nous pas les étoiles ?

    Selon l’IA :

    « Dans une interview accordée à la télévision américaine le 24 juillet 1969, Neil Armstrong a déclaré : “Nous n’avons pas pu voir les étoiles. La luminosité du soleil était telle que nous n’avons pas pu les distinguer”. Buzz Aldrin a également déclaré dans la même interview : “Nous n’avons pas pu voir les étoiles. La lumière du soleil était trop brillante.” »

    Le journal Le Parisien29 a débunké l’absence d’étoiles visibles sur la Lune :

    « En outre, en raison de l’absence d’atmosphère, le ciel reste noir de jour comme de nuit. Sur une photographie prise en 1968 par Apollo 8, “le premier lever de terre” ne montre pas d’étoiles. À notre échelle, c’est un peu le même phénomène dans un stade de foot la nuit. Vous voyez les joueurs, la pelouse, mais pas d’étoile ? C’est normal : il y a tellement de lumière pour éclairer le terrain qu’on ne perçoit plus le ciel étoilé. »

    Voici donc, selon le Parisien, une photo sans étoile « prouvant » que l’on ne peut pas les voir dans l’espace (et que les photographes n’auraient pas pu prendre une photo en visant plus haut) :

    Pourtant cette photo30 ci-dessous prouverait que l’on peut prendre en photo les étoiles depuis l’espace qui plus est avec un temps de pose très court (sinon les étoiles seraient en forme de traits du fait de la vitesse de l’ISS.)

    L’IA résume ainsi :

    « Si vous regardiez le Soleil directement dans l’espace, vous seriez immédiatement aveuglé. »

    « Si vous êtes dans l’espace, dos au soleil et qu’il y a un objet ou même la Lune ou la Terre qui sont éclairés par le Soleil, vous ne verrez pas des étoiles, car votre champ de vision recevra trop de lumière. »

    « Si vous êtes dans l’espace dos au Soleil et qu’il n’y a dans votre champ de vision ni objet proche, ni la Terre, ni la Lune, alors vous pourrez voir les étoiles encore plus brillantes que sur Terre »

    « Si vous êtes dans l’espace face au Soleil et que vous placez entre le Soleil et vous un cache qui masque tout le diamètre du Soleil, alors vous pourrez voir les étoiles. La raison en est que le cache bloquera la lumière du Soleil31, ce qui vous permettra de voir les étoiles qui sont derrière le Soleil. Cependant, il est important de noter que le cache doit être suffisamment grand pour masquer tout le diamètre du Soleil. Avec un peu de planification, vous pourrez voir les étoiles dans leur pleine splendeur dans l’espace, même si vous êtes face au Soleil. »

    Nous voici donc avec une IA « complotiste ».

    Pour le site Quora32, la réponse est encore plus drôle, il n’auraient pas eu le temps ?!

    Rappelons que si nous faisons la somme de toutes les missions spatiales c’est plus de 305 heures sur le sol lunaire, soit plus de 12 jours, et y’a pas un gars qui s’est dit que ce serait cool d’avoir une image des étoiles depuis la lune et d’autant que cela prouverait leur présence ?!

    Il va donc falloir m’expliquer pourquoi il n’y a AUCUNE étoile sur les photos prises sur la Lune, mais aussi pourquoi nombre de débunkers affirment qu’il est techniquement IMPOSSIBLE de les voir du fait de la lumière du soleil !

    Comment ont-ils climatisé la température de leur combinaison spatiale et comment ne sont-ils pas tombés malades en respirant de l’oxygène pur ?

    120 degrés sur la face exposée au soleil et moins 150 à l’ombre ? Des batteries au plomb très lourdes, très grosses et peu performantes existaient à l’époque.

    À ce propos Aldrin aurait déclaré qu’il faisait un peu froid dans le LEM la nuit alors même que cela aurait dû être l’inverse, les astronautes étant présents durant la période de jour et donc tout le temps au soleil.

    Un autre point, les astronautes respiraient de l’oxygène quasi pur pendant toute la durée du voyage.

    IA :

    «  les astronautes d’Apollo 11 respiraient le même mélange d’oxygène et d’azote dans le LEM et dans Apollo. Le mélange était composé de 99,5 % d’oxygène et de 0,5 % d’azote. »

    Chatgpt :

    « L’exposition prolongée à des concentrations élevées d’oxygène peut causer des dommages pulmonaires, des lésions oculaires, des problèmes respiratoires, des convulsions et d’autres complications potentiellement graves. »

    « Pour un individu de corpulence moyenne en bonne santé, respirer un mélange à 99,5 % d’oxygène et 0,5 % d’azote pendant une période allant jusqu’à quelques heures ne devrait normalement pas causer de symptômes significatifs. »

    « L’inhalation prolongée d’un tel mélange peut entraîner une diminution du niveau de dioxyde de carbone (CO2) dans le corps, car l’azote, qui est normalement présent dans l’air, dilue l’oxygène et permet l’élimination du CO2. Une baisse excessive du CO2 dans le sang peut entraîner des symptômes tels que la sensation de vertige, l’essoufflement, l’engourdissement des extrémités et l’altération de la conscience. »

    « Respirer un mélange à 99,5 % d’oxygène et 0,5 % d’azote pendant une période prolongée de 3 jours peut entraîner des risques et des symptômes potentiellement graves. L’exposition prolongée à des concentrations élevées d’oxygène peut causer des dommages aux tissus pulmonaires, des lésions oculaires, des problèmes respiratoires, des convulsions, des étourdissements, des troubles de la coordination et d’autres complications potentiellement graves. De plus, une exposition prolongée à de l’oxygène à des concentrations élevées peut perturber l’équilibre normal des gaz dans le corps, ce qui peut avoir des effets néfastes sur le système nerveux central. Cela peut entraîner des symptômes tels que des convulsions, des étourdissements, des troubles de la coordination, des maux de tête, une altération de la conscience et, dans des cas graves, des lésions cérébrales. »

    Ça m’intéresse33 :

    « Au-delà d’une centaine d’heures, des lésions se forment dans les couches internes des vaisseaux sanguins et dans les alvéoles pulmonaires, provoquant la mort. Avant cette échéance, l’hyperoxie (excès d’oxygène) peut provoquer des dégradations de la rétine, du foie, des reins et des intestins. »

    IA google :

    « Apollo 11 : 192 heures sous oxygène. Apollo 14 : 240 heures sous oxygène. Apollo 15 : 301 heures sous oxygène quasi pur. »

    Précisons que les astronautes étaient sous une pression de 0,3 bar.

    ChatGpt :

    « La réduction de la pression en oxygène à 0,3 bar (ou 0,3 fois la pression atmosphérique terrestre) présente certains avantages potentiels, mais elle comporte également des risques et des considérations importantes. Cependant, une pression en oxygène réduite peut également entraîner des effets néfastes sur le corps humain. À des pressions en oxygène plus basses, il peut devenir plus difficile pour les poumons de diffuser suffisamment d’oxygène dans le sang. Cela peut entraîner une hypoxie, c’est-à-dire une diminution de l’apport en oxygène dans les tissus corporels, ce qui peut avoir des conséquences graves pour la santé et le fonctionnement du corps. Une pression en oxygène réduite peut également augmenter le risque de développer le mal de décompression, qui survient lorsque la pression ambiante diminue rapidement, entraînant la formation de bulles d’azote dans le sang et les tissus. C’est un risque important lorsqu’il s’agit d’activités spatiales ou de plongée sous-marine. »

    Sur la bible ?

    Que dire de tous les astronautes qui sont allés sur la Lune et ont tous refusé de jurer sur la Bible qu’ils y étaient allés ? Et ce d’autant plus que les journalistes ajoutaient qu’ils donneraient alors des milliers de dollars à des associations caritatives ?

    Je vous rappelle qu’aux USA, il est extrêmement grave de mentir sur la Bible. « Cela ne prouve rien, rien ne les obligeait à jurer ! »

    Une mort bien étrange

    IA :

    « Un inspecteur de sécurité a mis en lumière les problèmes techniques entourant la mission Apollo 1. Thomas Ronald Baron était un inspecteur de contrôle qualité et de sécurité pour la NAA qui a été très critique à l’égard de la NASA et de son protocole pendant le projet Apollo. Baron a publié un rapport de 55 pages détaillant les lacunes et le désarroi dans lequel se trouvait le programme.

    Le rapport de Baron a été jugé trop critique et disproportionné, peu de ses affirmations ayant une réelle crédibilité. À un moment donné, il a témoigné devant le Congrès, affirmant que, dans les circonstances actuelles de la NASA, nous n’atteindrions jamais la Lune. Cependant, beaucoup n’ont pas prêté attention à Baron et pensaient qu’il était potentiellement utilisé comme un pion dans la campagne du sénateur Walter Mondale visant à dénoncer et à démanteler la NASA pour ses dépenses inutiles.

    Baron a été licencié par la NAA pour avoir divulgué son rapport à la presse, tandis que sa société a nié la majorité de ses critiques. Il est apparu plus tard que de hauts responsables avaient vérifié la crédibilité d’au moins la moitié de ses affirmations.

    Quelques semaines plus tard, la catastrophe d’Apollo 1 s’est produite et Baron a commencé à transformer son rapport de 55 pages en un rapport de 500 pages condamnant la NASA et la NAA pour les échecs qui ont conduit à la tragédie. Curieusement, une semaine plus tard, Baron et sa famille furent tués lorsque leur voiture fut heurtée par un train. La cause du décès a été jugée accidentelle et aucune autopsie n’a été pratiquée. Le rapport de 500 pages de Baron a été détruit (a disparu) et n’a jamais été publié. »

    « À la page 280 du livre de Mike Gray Angle of Attack : Harrison Storms and the Race to the Moon34 (1992), Gene Kranz, directeur de vol de la NASA dans les missions Gemini et Apollo, aurait déclaré : “C’était comme un camp d’entraînement. Nous avons pris nos meilleurs contrôleurs et en avons fait des instructeurs. Ils ont martelé les maillons faibles jusqu’à ce qu’ils se brisent. […] Certains gars sont morts d’une crise cardiaque. D’autres se sont suicidés.” »

    Comment garder un tel secret ?

    Un argument de taille des débunkers consiste à dire qu’il eut été impossible de garder une telle supercherie secrète.

    À cela nous pouvons répondre : « Projet Manhattan ».

    IA :

    « Le nombre de personnes impliquées dans le programme qui a permis de créer la première bombe nucléaire est estimé à environ 130 000. Ce chiffre comprend les scientifiques, les ingénieurs, les ouvriers, les militaires et les autres personnes qui ont travaillé sur le projet Manhattan, le nom de code du programme.

    Le projet Manhattan a été lancé en 1941 par le gouvernement américain. Le projet Manhattan a été un effort colossal, qui a nécessité des ressources considérables. Le gouvernement américain a investi plus de 2 milliards de dollars (37 milliards de dollars d’aujourd’hui) dans le projet, et des milliers de personnes ont travaillé sur le projet dans des laboratoires et des installations dispersés aux États-Unis et au Royaume-Uni. Le grand public a été informé de l’existence du projet Manhattan le 16 juillet 1945, le jour du test de la première bombe nucléaire à Alamogordo, au Nouveau-Mexique. »

    Ceci est la preuve qu’il est possible de garder un secret pendant des années notamment grâce au cloisonnement des tâches. Chacun travaille dans son coin, dispose d’une partie du projet en ignorant la totalité.

    IA :

    « On estime que seulement environ 10 % des personnes impliquées, soit environ 13 000 personnes, connaissaient l’objectif global du projet. »

    Si votre objectif était de mettre en place un faux voyage vers la Lune, il suffirait de très peu de personnels dès lors que tous les autres croiraient que tout ceci est réel. En tous les cas largement moins que pour le projet Manhattan.

    Si vous deviez mener cette opération secrète

    • La NASA était la seule source d’informations au même titre que Pfizer était la seule source de données sur « l’efficacité vaccinale ».
    • Au niveau politique et administrateurs de la NASA, il suffirait d’une poignée de personnes.
    • La fabrication du faux studio et des effets spéciaux simulant l’absence de pesanteur se justifierait pour des entraînements, il ne serait pas nécessaire de divulguer le secret à ce personnel.
    • La fabrication d’un centre de contrôle bis se justifierait pour des raisons de sécurité et redondance.
    • Le seul personnel au courant serait donc l’équipe du centre de contrôle bis qui gérerait le vol spatial en orbite autour de la Terre pendant 3 jours pendant que les astronautes seraient censés quitter l’orbite terrestre, voyager ver la Lune, orbiter, se poser, redécoller et revenir vers la Terre. (La fusée peut aussi fonctionner à vide, sans astronautes.)
    • Une autre partie du personnel bis se chargerait de la communication avec le centre de contrôle principal. Ils fourniraient les faux échanges avec les acteurs et les fausses données censées venir de l’espace et de la Lune.
    • Le centre de contrôle principal croirait de bonne foi qu’il communiquerait avec des astronautes et une fusée à 400000 km de la Terre.
    • L’équipe de tournage se chargerait de filmer le vol vers la Lune et les phases lunaires en temps réel comme si c’était une émission en direct. Quoi de mieux que choisir un metteur en scène qui aurait tourné « 2001, l’odyssée de l’espace », sorti en avril 1968 ?
    • Les acteurs seraient connus, il n’y en a que trois.

    Les phases de préparation, de décollage de la fusée, de mise en orbite, de descente vers la Terre, de récupération des astronautes dans le pacifique demeureraient réelles et gérées par le personnel de la NASA et du centre de contrôle principal qui ignorerait tout de la supercherie.

    De fait la quasi intégralité des membres de la NASA et des militaires ne serait pas informé de l’escroquerie et le nombre de personnes dans le secret des dieux serait largement inférieur aux 13 000 du projet Manhattan, quelques centaines à tout casser.

    Bref rien de bien compliqué lorsque l’on a réussi à cacher pendant des années la mise au point de la première bombe atomique.

    Faits en vrac et non exhaustifs

    • Que dire des confessions qu’aurait faites Stanley Kubrick35 peu de temps avant son décès ? Kubrick qui, sans le moindre doute, fait de fortes allusions à Apollo 11 dans son film Shining36 alors même que Stephen King n’en parle pas dans son livre.
    • Que dire de Buzz Aldrin37 qui avoue à une petite fille que nous ne sommes jamais allés sur la Lune ?
    • Que dire de Thomas Pesquet38 qui s’emmêle les pinceaux et qui dit que c’est un endroit où nous ne sommes jamais allés ? Il a fait plusieurs interviews,39 dont une se demandant si c’est humainement possible d’aller, « aussi loin qu’un être humain s’est jamais éloigné de la terre ».
    • Que dire de toutes les pertes de la NASA,40 dont le film original des premiers pas d’Armstrong, sur la Lune ?
    • Que dire de l’IA de Google qui énonce à Poutine41 que les films de l’alunissage sont des faux ?

    Il existe bien sûr des dizaines d’autres sujets qui questionnent la « vérité » officielle et j’invite les lecteurs curieux à regarder le documentaire de 3 h 30, « American Moon42 ». ou « Que s’est-il passé sur la Lune43 » de 1 h 58.

    Des preuves pour affirmer que la Lune est un fake ?

    Non, je n’ai pas la moindre preuve hormis des faisceaux d’indices.

    • Quand bien même des scientifiques et des astronautes, même de la NASA, affirment que l’on ne peut pas traverser la ceinture de radiation de Van Allen ou supporter les rayons cosmiques, cela n’apporte pas la preuve que personne ne l’ait fait.
    • Le fait que l’ISS soit en orbite basse protégée par le magnétisme de la Terre n’est pas une preuve. Ce fait m’a questionné depuis l’enfance « pourquoi un truc aussi nul ? ».
    • Le fait que la technologie de l’époque fut plus que rudimentaire au regard des difficultés n’est pas une preuve.
    • Le fait que les astronautes aient respiré de l’oxygène pur pendant une période longue sans développer de symptômes plus ou moins graves n’est pas une preuve.
    • Le fait que des astronautes contemporains disent que l’on n’a jamais quitté l’orbite de la Terre n’est pas une preuve.
    • Le fait qu’il n’y ait aucun cratère d’impact sous le Lem et qu’en plus la zone ait de nombreuses traces de pas, la poussière étant restée ne serait pas une preuve.
    • Le fait qu’aucun astronaute qui est allé sur la Lune n’ait accepté de jurer sur la Bible y être allé n’est pas une preuve.
    • Le fait que sur des images de la Terre prises par les astronautes on voit un nuage immense qui parcourt tout le globe n’est pas une preuve. IA : « Le nuage le plus grand jamais photographié est un nuage lenticulaire, également connu sous le nom de nuage d’onde, qui a été photographié au-dessus des montagnes de l’Himalaya en 2009. Le nuage mesurait environ 1 000 kilomètres de long et 500 kilomètres de large. »

    Ici nous voyons un nuage d’environ 9000 km.

    • Le fait que Buzz Aldrin ait dit que nous n’étions jamais allés sur la Lune n’est pas une preuve.
    • Le fait que la seule mission Apollo qui n’ait pas réussi à se poser sur la Lune fut Apollo 13, treize, cela ne s’invente pas, n’est pas une preuve.
    • Le fait que (toutes ?) les photos, films, audios, vidéos soient des faux n’est pas une preuve.
    • Le fait que de nombreuses pierres lunaires aient été perdues et qu’une fut du bois pétrifié n’est pas une preuve.
    • Le fait que l’on puisse trouver des roches lunaires en Antarctique et que la NASA y ait fait une expédition en 1966 et 1967 avec von Braun n’est pas une preuve.
    • Le fait que Stanley Kubrick eut tourné un faux alunissage et qu’il eut avoué à la fin de sa vie n’est pas une preuve.
    • Le fait que de nombreuses personnes critiques soient mortes dans des circonstances pour le moins étranges n’est pas une preuve.
    • Le fait que la NASA ait perdu les originaux des films et des photos n’est pas une preuve.
    • Le fait que l’on ne soit toujours pas capable d’y retourner avec une technologie infiniment supérieure, que la NASA ait « perdue » la technologie des années 60 n’est pas une preuve. (Nous ne savons toujours pas construire les pyramides et pourtant elles existent.)
    • Le fait que les Soviétiques aient renoncé n’est pas une preuve.
    • Le fait est qu’il eut été impossible de reculer. Tout allait mal en 1968, la guerre au Vietnam, l’assassinat de Martin Luther King, l’assassinat de Robert Kennedy, etc. Et que l’astronaute Jim Lowell Apollo 8 déclarait44 « L’année 68 a été une année désastreuse, les choses allaient mal ; on avait besoin de quelque chose de positif pour donner au peuple américain un sentiment de réussite. » n’est pas une preuve.
    • Le fait que cela coûtait une fortune, 288 milliards actuels, que le succès tenait du miracle et qu’il eut été dingue et irresponsable de retenter sa chance et de prendre le risque d’un échec retentissant, et qui plus est plusieurs fois de suite, n’est pas une preuve.
    • La fusée Atlas au début des années 60 avait eu 7 échecs. À propos du câblage défectueux de Apollo 1, Gus Grissom « je ne peux rien dire sinon je me fais virer ». IA « Le 27 janvier 1967, une tragédie a frappé le programme spatial américain. Trois astronautes, Virgil Grissom, Edward White et Roger Chaffee, ont été tués dans l’incendie de la capsule Apollo 1 lors d’une répétition générale avant lancement » soit 2 ans et demi avant le lancement de Apollo11. Il aurait aussi déclaré « Comment pouvons-nous aller sur la Lune si nous ne sommes pas capables de parler entre deux bâtiments ? » Notons que la famille Grissom et notamment son fils Scott45 auraient suggéré que son père avait été assassiné pour le faire taire parce qu’il en savait trop. Le 6 mai 1968, Armstrong46 s’est éjecté du module d’essai simulant l’alunissage du LEM qui s’est écrasé au sol. « Le 6 mars 1969, lors du vol d’essai non habité du module lunaire Spider (LEM-3) pour la mission Apollo 9. Lors de ce vol d’essai, le module lunaire Spider s’est séparé du module de commande et de service (CSM) en orbite terrestre basse. Cependant, lors de la manœuvre de réallumage du moteur du module lunaire pour revenir vers l’orbite du CSM, une défaillance du moteur s’est produite. Cette défaillance a rendu le réallumage du moteur impossible, ce qui a entraîné l’incapacité du module lunaire à rejoindre le CSM et à effectuer un rendez-vous spatial. » Ces événements (il y en a d’autres) montrant que cela n’allait pas si bien ne sont pas pour autant des preuves de la supercherie.
    • Le fait que Collins ait dit dans le documentaire d’Arte « Le jour du lancement, c’était un peu bizarre… mais quand on est arrivé au pied de cette tour de montage gigantesque tout était vide, il n’y avait personne c’était le désert, d’habitude il y avait des dizaines de techniciens, ça grouillait comme une fourmilière, on était au milieu d’une foule de gens, mais tout à coup il n’y avait plus un chat, et je me suis dit bon sang ils savent peut-être quelque chose que j’ignore » n’est pas une preuve.

    Tout ceci, et bien d’autres, ne sont pas des preuves formelles !

    Et si ce qui suit était la « preuve » ?

    Les premiers astronautes qui sont allés sur la Lune sont sans doute ceux qui « prouveraient » le mieux la supercherie.

    • Imaginez-vous revenir du premier voyage sur la Lune.
    • Imaginez-vous être encore vivant, ce qui relève du miracle quand on pense à toutes les premières mondiales et au nombre d’événements dramatiques qui auraient pu conduire à la catastrophe.
    • Imaginez-vous être le premier être humain à avoir accompli le plus grand exploit de l’humanité.
    • Imaginez-vous être considéré comme le plus grand héros adulé de tous les temps !
    • Imaginez votre état d’esprit, quand bien même vous seriez épuisé, comme un vainqueur de marathon peut l’être.
    • Imaginez votre état d’esprit même si vous aviez perdu une main ou vos 2 jambes.
    • Imaginez même que 30 secondes avant de pénétrer dans la salle vous vous étiez fait engueuler comme du poisson pourri par le directeur de la NASA.

    Maintenant rappelez-vous lorsque vous gagnez un match de tennis contre votre cousin ou des photos des premiers hommes qui ont vaincu l’Everest47.

    Disons-le franchement, le superbowl à côté c’est de la merde !

    Vous pourriez même pisser dans le bureau ovale du Président des USA que l’on ne vous dirait rien !

    Et là, lors de cette interview de retour victorieux sur le plancher des vaches, vous faites quoi48 ?

    Je vous rappelle que la salle est en délire et que :

    VOUS AVEZ MARCHÉ SUR LA LUNE !!

    Vous, les trois astronautes, pas un, pas deux, mais tous les trois, vous faites une tête d’enterrement et pas qu’un peu.

    Le moins que l’on puisse dire est que vous n’êtes visiblement pas heureux et extrêmement gênés d’être présents.

    Alors voyez-vous sur la vidéo de la conférence de presse des astronautes triomphants qui reviennent de la Lune ou des complices, bien malgré eux, d’une vaste escroquerie dont ils ne sont pas fiers ?

    Ils sont à ce point mal à l’aise qu’ils n’arrivent même pas à faire semblant alors qu’ils ont dû être briefés auparavant.

    Photo en janvier 1969 lors de leur sélection

    Photo de retour de la Lune en septembre 1969

    J’ai beau triturer mon cerveau, je ne vois aucune raison autre que le faux alunissage pour expliquer leur comportement et leur attitude.

    Une fois de plus, les défenseurs de l’Église de la Vérité lunaire pourront vous montrer des dizaines de vidéos (réelles) dans lesquelles les astronautes sont extrêmement joyeux et vont balayer cette réalité.

    Je vais rappeler une dernière fois le contexte.

    • Un Président fait une annonce folle, qui plus est, avec une date butoir (avant 1970).
    • Les plus grands scientifiques se lancent avec enthousiasme et innocence.
    • Des astronautes, d’anciens militaires patriotes comme il se doit, sont recrutés.
    • Plus le temps passe et plus les catastrophes s’enchaînent, on s’approche dangereusement de 1969.
    • L’année 68 est horrible pour l’Amérique qui ne peut se permettre ni un renoncement ni un échec retentissant de plus.
    • Il ne reste que l’année 1969 pour tout mettre au point, mais ils sont confrontés au mur de la réalité qui est toujours présent en 2024 avec l’échec de l’atterrisseur Pérégrine qui devait alunir et redécoller et qui au final a terminé son existence en brûlant dans l’atmosphère terrestre.
    • La seule possibilité qui reste est donc la tromperie.
    • Une poignée de personnes est informée de l’opération « Fake Moon ».
    • Même ceux qui tournent les fausses images ignorent qu’elles seront diffusées comme des vraies. On leur fait croire que c’est un entraînement et à certains on explique qu’en cas de problèmes techniques de communications avec la Lune, nous diffuserons ces images de Terre (ce qui se pratique toujours à la NASA).
    • Même le personnel du centre de contrôle ignore échanger et recevoir des images d’un studio et croit sincèrement être en relation avec ces hommes sur la Lune. Il n’est donc pas nécessaire de prévenir grand monde. Plus il y a de personnes qui croient que c’est possible et qui croient ce qu’ils voient, plus le mensonge sera crédible et moins il y aura de risques de fuites.
    • Rappelons qu’une dizaine de personnes seraient décédées dans des circonstances mystérieuses49. Précisons que le documentaire « Conspiracy Theory » présenté par la Fox (chaîne nationale) en 2001 est bien caché sur le net.
    • Les astronautes sont d’anciens militaires et des patriotes. Une fois mis dans la confidence ils ne peuvent qu’accepter POUR LES USA !
    • Paradoxalement leur mensonge leur permet d’être réellement des héros, ils sont des sauveurs des USA même si ce n’est qu’une fiction. Rappelez-vous les militaires qui tournaient des films totalement bidon durant la 2e guerre mondiale et qui permettaient de susciter des vocations d’engagement, des récoltes de fonds, mais surtout une adhésion du peuple à la guerre. Leurs mensonges ont permis la « victoire du bien ». On peut donc voir ces astronautes comme des héros de l’Amérique qui peuvent donc se prendre au jeu d’autant plus qu’ils agissent pour le bien de leur nation.
    • Dans ces circonstances, les astronautes n’ont de choix que de se mentir à eux-mêmes, se prendre au jeu ou se suicider.
    • Leur tête d’enterrement lors de la conférence ne serait qu’un retour de conscience du type « Moi l’homme intègre, moi l’homme de foi je suis complice et acteur du plus gros mensonge de tous les temps ».

    Analogie de l’escroquerie

    Si j’étais un explorateur et je vous demandais une énorme somme d’argent pour faire un voyage dans un coin reculé du Sahara, au-delà d’un champ de lave, pour planter un drapeau et qu’au « retour » :

    • Je vous rapporte du sable que j’aurais pu collecter chez moi grâce au sirocco.
    • Je vous dis que je n’ai aucun témoin (sur la Lune cela va être difficile).
    • Je n’ai aucune photo ni film avec des étoiles en fond pour prouver ma position.
    • Je n’ai pas eu le moindre problème pour traverser un champ de lave réputé infranchissable dont certains affirment qu’il est extrêmement dangereux.
    • Je vous rapporte des photos et des films qui sont peut-être tous des faux et en plus j’ai perdu les originaux qui pourraient éventuellement me dédouaner.
    • Je n’avais aucun GPS (cela n’existait pas) qui aurait pu prouver mes déplacements.
    • Les photos satellites (en direct) sont incapables de montrer mon bivouac et le drapeau.
    • Un échec eût été inenvisageable pour mes sponsors (gouvernement, NASA, etc.).
    • C’est un exploit tellement extraordinaire que 50 ans plus tard, les spécialistes disent que personne ne sait faire ce voyage et qu’ils y travaillent pour pouvoir y parvenir.

    Me croyez-vous ?

    Les éléments constitutifs du crime pourraient être :

    • Le mobile principal serait de cacher l’échec des USA à envoyer des hommes sur la Lune et les mobiles secondaires seraient nombreux : vénaux, politiques, humilier les Russes, grandeur de l’Amérique, survie de la NASA, survie d’un programme spatial, etc. Tout faire pour que le monde ignore l’échec du projet.
    • L’élément matériel : faux documents, faux films, faux enregistrements, fausses roches lunaires, fausses déclarations, dissimulation de preuves potentiellement compromettantes (documents originaux, données de vols « perdues »), etc.
    • L’infraction qui consiste à mentir, manipuler, tromper, escroquer l’argent des contribuables et peut-être même tuer pour cacher le crime.
    • Le caractère prémédité intentionnel et préparé. Nous ne sommes pas dans « l’accidentel ».
    • Pour les circonstances aggravantes, nous avons la réitération du crime avec les missions Apollo suivantes.

    Autant il est difficile de prouver que l’on est allé sur la Lune, même la possession de roches lunaires ne constituant pas une preuve, autant les indices de l’inverse ne manquent pas.

    Soit et alors ?

    La théorie qui affirmerait que le programme lunaire est un fake ne reposerait pas sur UNE preuve, mais sur un ensemble impressionnant de faisceaux d’indices, de mensonges avérés, de témoignages d’astronautes et de mobiles du crime.

    Quand bien même vous ne seriez pas convaincu, cela mérite à minima enquête et ne peut être rejeté par le simple argument « complotiste ».

    Nous connaissons les méthodes des débunkers :

    • Interroger des « spécialistes » qui à coup de sophismes confirment.
    • Ne surtout pas enquêter ni donner la parole aux contradicteurs ou permettre le débat.
    • Se placer non pas au centre de l’échiquier, mais uniquement en gardien de la Foi.
    • Discréditer tout « blasphème ».
    • Faire de la conclusion et de la doxa une preuve que c’est possible, « Affirmer c’est prouver ».
    • Ne jamais chercher la vérité, mais démontrer, même jusqu’à l’absurde, que le scénario s’est déroulé tel que décrit.

    Cette méthode est utilisée pour toutes les thèses « complotistes ».

    Imaginons donc, très très difficile pour le commun des mortels biberonné aux mensonges depuis l’enfance qui n’a pas pris la pilule rouge, imaginons-donc que l’Homme ne soit jamais allé sur la Lune.

    Vous pourriez vous dire qu’il y a prescription que c’était une autre époque, la guerre froide.

    Ajoutons que la NASA a réitéré le mensonge avec les missions Apollo suivantes alors qu’elle aurait pu se faire discrète.

    Pour qu’il y eût prescription, il eût fallu que le crime fût avoué et que la NASA cessât de mentir sur d’autres sujets, ce qu’elle continue de faire à une échelle que je ne maîtrise pas.

    Nous voyons par exemple certaines vidéos50 de l’ISS51 dans lesquelles des objets tombent au sol alors qu’il n’y a pas de gravité ou des bulles d’air se forment dans l’espace. Ceci pour dire que les mensonges n’ont pas (totalement) cessé depuis.

    Il faut dire que si le crime était révélé, ce serait potentiellement l’arrêt de mort de la NASA.

    Pour l’IA de Google

    « En plus de leurs carrières et de leurs vies personnelles, les trois premiers astronautes sur la Lune ont également eu un impact durable sur la culture populaire. Ils sont devenus des icônes de l’exploration spatiale et leur histoire continue d’inspirer les gens du monde entier. »

    On dirait une pub pour un film hollywoodien.

    Si comme je le pense du fait de la quantité énorme d’indices et de faits, nous ne sommes jamais allés sur la Lune52 alors, dit en termes simples, c’est quand même dégueulasse de nous l’avoir fait croire (et continuer) alors que nous ne serions même pas capables de quitter l’orbite terrestre.

    Au-delà de…

    Découvrir la vérité sur les missions spatiales ouvre la boîte de Pandore. Dès lors que vous avez la conviction qu’ils peuvent nous mentir à ce point, dès lors que vous savez qu’ils sont prêts à vous décrédibiliser, vous ridiculiser, détruire votre carrière ou pire pour vous faire taire, alors vous savez qu’ils sont capables de tout et le peuvent sur tous les sujets dits « complotistes ».

    Si le fake lunaire est une réalité alors cela devrait clore l’usage du mot « complotiste », mais en revanche crédibiliser le mot « comploteur ».

    Je ne vais pas reprendre pour la énième fois la liste de tous les complots potentiels dont nous sommes les victimes directes ou indirectes, JFK, 11 septembre, Covid, vaccins, guerre en Ukraine, etc. Toute personne lucide sur « l’homme qui a marché dans le Nevada » se devrait de ne plus balayer les théories discréditées d’un simple revers de main avec mépris ou sourire narquois.

    Les médias, les politiques, les scientifiques

    Bien entendu le mensonge sur les missions lunaires décrédibilise totalement la parole des médias mainstream qui continuent de se moquer ou dénigrer ceux qu’ils appellent « complotistes ».

    Je crois en l’effet domino, si nous faisions tomber l’escroquerie lunaire, alors les autres pourraient suivre.

    Merci

    Alain Tortosa53
    22 janvier 2024
    https://7milliards.fr/tortosa20240122-on-a-marche-sur-le-nevada-ou-sur-la-lune.pdf





    Le christianisme comme bouclier à une modernité débridée

    [Source : lesmoutonsenrages.fr]

    Par Franck Pengam

    Le christianisme peut-il nous protéger des dérives progressistes ?

    À l’ère de Tiktok, notre monde occidental semble perdre toute notion de bon sens.

    Avant de voir comment le christianisme est un bouclier face à ce désastre, il va être important de comprendre l’impact même du christianisme dans la formation du monde moderne.

    L’Europe, depuis le début du XVIIIe siècle, a connu une transformation radicale, passant d’un ordre dominé par le religieux à une logique d’autonomie marquée par la subjectivation, la différenciation et la rationalisation. Ce changement a déplacé le principe d’hétéronomie, où tout était lié à la loi de Dieu, vers un monde où l’autonomie prévaut.

    Cette transition a été caractérisée par une nouvelle conception du sujet, où l’Homme, autrefois perçu comme une créature dépendante de Dieu, est devenu un « moi plein », libre de toute soumission à un ordre extérieur.

    Cela a conduit à un changement dans la nature du politique, où le rôle du prince, autrefois perçu comme un instrument de la Providence, a été réduit à assurer la coexistence paisible de ses sujets, reléguant la religion au domaine privé.

    Contrairement à la thèse de la modernisation/liquidation, le christianisme a non seulement survécu, mais a activement influencé la formation de la modernité européenne. Les Lumières, souvent créditées de l’avènement de la modernité, ont été significativement influencées par les idées chrétiennes avec notamment sa branche protestante.

    Le christianisme a offert des concepts clés tels que l’égalité et la liberté des personnes, préparant le terrain pour les idées modernes de droits de l’homme et de démocratie. De plus, la distinction entre les sphères temporelle et spirituelle, un concept central dans le christianisme, a été essentielle pour le développement de la séparation entre le politique et le religieux, une pierre angulaire de la modernité.

    Pourtant la modernité semble souvent nous éloigner de nos racines et de nos valeurs fondamentales, surtout quand celle-ci devient complètement débridée. Le christianisme émerge encore une fois comme source de stabilité et de sens. Alors que la société moderne est marquée par une quête incessante de progrès matériel, technologique et idéologique, la vision plus holistique et centrée sur l’homme dans sa relation à Dieu fait sens.

    Nous observons un renouveau du christianisme et d’autres religions, réagissant aux déficits moraux et existentiels de notre époque. Ce renouveau religieux n’est pas un simple retour au passé. Au contraire, il représente une intégration consciente des valeurs spirituelles dans notre vie quotidienne, offrant un équilibre nécessaire à l’individualisme et au matérialisme prédominants dans la culture moderne. Le christianisme, en particulier, avec son message d’amour, de pardon et de communauté, propose une alternative rafraîchissante et profondément nécessaire à la société contemporaine.

    GÉOPOLITIQUE-PROFONDE




    « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique

    FORUM CHISINAU 2023 — « L’Agenda 21 de l’ONU et la grande remise à zéro. La chute du libéralisme vers la technocratie et le transhumanisme »

    « Connaître son ennemi — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère de la technocratie
    Remarques finales de Youry Roshka

    Par Iurie Rosca

    Chers amis,

    Ces dernières années, nous nous sommes tous engagés dans la lutte contre le sinistre canular de Covid-19 et contre toutes les mesures tyranniques imposées par le centre de commandement unique mondial par l’intermédiaire de gouvernements fantoches. Nous avons risqué notre carrière et notre liberté, et certains d’entre nous ont perdu la vie dans cette confrontation avec le régime technocratique mondialiste. Nous avons pu enquêter de manière approfondie sur l’agenda caché du pouvoir de l’ombre qui préfère s’adresser à nous par l’intermédiaire de ses hommes de paille comme António Guterres, Tedros Adhanom Ghebreyesus, Klaus Schwab, Bill Gates ou même par l’intermédiaire de ceux qui sont officiellement nos monarques nationaux, présidents, Premiers ministres, commissaires de l’UE et autres.

    Mais plus souvent que sur des individus, nos critiques argumentées et justifiées en sont venues à identifier la motivation principale de ces entités privées qui tirent les ficelles comme étant la cupidité et l’obsession du pouvoir absolu. Oui, il est vrai que ces péchés fondamentaux caractérisent les serviteurs des puissances de l’ombre comme aucun autre signe révélateur ne le fait. Mais il faut aller plus loin pour pouvoir identifier la véritable nature des maîtres de ce jeu sinistre.

    Comment définir la nature des forces motrices qui se cachent derrière le rideau ?

    Récemment, nous avons qualifié les mondialistes de psychopathes, de fous, de maniaques et même d’êtres dépourvus de raison. En réalité, nous avons affaire à des êtres parfaitement rationnels. Ils imposent méthodiquement leur stratégie, axée sur la dépopulation, la déshumanisation, la perversion morale et l’emprisonnement des survivants de cet holocauste mondial dans la prison numérique, guidés en cela par une sorte de force supérieure qui dépasse nos capacités d’interprétation schématique.

    En d’autres termes, pour parvenir à une définition correcte de nos oppresseurs, nous devons nous armer de la règle d’or de l’art de la guerre. Et nous sommes en guerre ; une guerre inopinée, rusée, perverse, mais totale et dévastatrice. Je veux parler du vieux principe énoncé par l’ancien stratège chinois Sun Tzu, « Connais ton ennemi ».

    À cet égard, je pense que nous commettons une très grave erreur lorsque nous cherchons à décrire définitivement le profil collectif des forces qui opèrent une agression totale contre l’humanité. Normalement, nous nous battons contre des personnalités politiques et des dignitaires d’État, contre des bureaucrates internationaux, des banquiers et des propriétaires de Big Pharma — et nous devons le faire, bien sûr. Mais en même temps, à mon avis, nous devons comprendre que ces personnalités ne sont que les exécutants d’ordres émanant d’une entité cachée derrière elles.

    Et là, je voudrais m’excuser auprès de mes amis qui ont des opinions différentes à cet égard. Je pense que nous pouvons convenir en toute maturité que sur certains points, nous ne sommes pas d’accord. À mon avis, le plus grand problème de notre camp aujourd’hui est une erreur de perspective. C’est-à-dire que, sans revenir à la source première du mal, aux origines du scientisme et de la technocratie, nous risquons de nous limiter à une interprétation partielle ou parcellaire de la réalité. Il faut revoir toute l’aventure de la Modernité, à commencer par l’absurdité du Big Bang et tout le récit de l’évolutionnisme.

    Depuis l’imposition de la tyrannie d’État comme politique courante dans les conditions de la « nouvelle normalité », nos ennemis ont enlevé le masque libéral. Il est maintenant temps pour nous de faire ce qu’ils ont déjà fait et de nous débarrasser de l’illusion libérale. De tous les peuples, nous, intellectuels, sommes les plus touchés et les plus infectés par ces maladies mortelles induites, conçues pour tromper et dominer l’humanité. Pour certains d’entre nous, abandonner ce système de référence est un effort très difficile ; c’est comme si l’on renonçait à sa propre identité intime.

    La chaîne conceptuelle fatale matérialisme-évolutionnisme-anthropocentrisme-scientisme-positivisme-nihilisme, et les conséquences logiques de cette chaîne, comme la technocratie et le transhumanisme, doivent être comprises dans leur totalité. Sinon, nous resterons les otages d’une vision réductrice incapable de nous guider vers la vérité. Plus encore, en restant prisonniers du paradigme libéral induit dans l’esprit collectif par nos ennemis, non seulement nous n’avons aucune chance de définir correctement et profondément les réalités qui nous entourent, mais nous devenons même les idiots utiles du système auquel nous prétendons nous opposer.

    Notre esprit partiel, notre pensée tronquée, prend les formes splendides de doctrines philosophiques, de courants sociologiques, d’écoles économiques ou d’idéologies politiques. Mais quelle que soit la manière dont elles se manifestent, les fausses dichotomies donnent naissance à de fausses oppositions et maintiennent la pensée de la dissidence antisystème sous le contrôle de l’ennemi. C’est pourquoi, pour sortir de ce cercle vicieux, nous avons besoin d’un énorme changement de paradigme.

    À cet égard, le cerveau maléfique du FÉM(([1] Forum Économique Mondial)), Yuval Noah Harari, peut être très instructif pour nous. Le titre même de son livre, qui est une sorte de bible des mondialistes, Homo Deus, ainsi que ses interminables péroraisons sur la fusion de l’homme et de la machine et la perpétuation de la vie terrestre de l’homme sont extrêmement instructifs.

    Vous souvenez-vous de cette histoire ?

    Mais le serpent dit à la femme :

    « Tu ne mourras pas, car Dieu sait que, lorsque tu en mangeras, tes yeux s’ouvriront et que tu seras comme Dieu, connaissant le bien et le mal ».

    (Genèse, chapitre 3, versets 4 et 5).

    Cela vous rappelle quelque chose, n’est-ce pas ? « Vous ne mourrez pas… vous serez comme Dieu ». La distance entre le message du tentateur biblique et le discours de Harari est précisément nulle. C’est le même message, avec le même but : tromper l’homme et le faire plier pour qu’il suive un but suicidaire.

    Yuval Noah Harari

    Une autre citation du même faux prophète, Harari, complète le profil identitaire des forces dont il se fait le porte-parole :

    « Je veux dire, toute cette histoire de Jésus ressuscitant des morts et étant le Fils de Dieu est — c’est une fausse nouvelle [«fake news», en anglais] »1.

    Ainsi, les mondialistes rejettent et nient la résurrection du Christ et le fait qu’il soit le Fils de Dieu. Et nous, les antimondialistes, qu’avons-nous à répondre ? Ou bien le poison du nihilisme, de l’anthropocentrisme opaque et autosuffisant a irrémédiablement paralysé jusqu’à notre perception de la réalité transcendante ? Si c’est le cas, nous ne pouvons pas nous opposer efficacement aux forces qui nous ont trompés et qui nous retiennent dans leur prison mentale.

    Ainsi, si nous refusons l’agenda mondialiste, avant de lancer aux citoyens l’appel « Réveillez-vous ! », nous devons nous demander si nous, les dissidents, avons été capables de surmonter notre propre état de léthargie. Une fois de plus, rester le prisonnier aveugle de l’ennemi, c’est servir sa cause.

    Ces dernières années, des personnalités très diverses de notre camp ont désigné nos ennemis mondialistes comme des forces sataniques. Qu’il s’agisse de l’arnaque à la pandémie, des injections obligatoires, de la guerre climatique, du transgendérisme ou de la pédocriminalité, la terminologie religieuse est de plus en plus présente dans nos médias alternatifs. Mais typiquement, nous utilisons cette notion comme une métaphore, comme une figure de style. Pourtant, ma conviction est que nous devons utiliser ces notions au pied de la lettre, car il s’agit de forces spirituelles maléfiques, d’entités infernales, d’êtres non humains.

    Je plaide pour l’abandon des divagations modernes et le retour à la tradition, seule chance de survie pour l’humanité. Ce n’est pas une question de préférence, mais une nécessité vitale. La redécouverte de la vérité mystique, de la métaphysique, de la dimension transcendantale nous conduira directement à la définition exacte de notre ennemi. Et de là à la religion comme expérience personnelle, il n’y a qu’un pas.

    Nos ennemis mondialistes ont fait leur choix. Ils ont pactisé avec le diable, tandis que nous restons seuls face à un ennemi infiniment plus fort. Ainsi, nous nous condamnons à la position d’éternels et irrémédiables perdants.

    Nos ennemis ont donc réussi leur coup en s’alliant avec Satan. Sommes-nous capables de reconnaître cette réalité choquante ? Et si oui, sommes-nous capables de rechercher l’alliance et la protection de notre Dieu tout-puissant et invincible ? Ou préférerons-nous cultiver nos préjugés et notre inertie de pensée et habiter la niche psychologique qui crée une illusion de cohérence conceptuelle ?

    Chers amis et camarades de notre lutte commune, il s’agit d’une guerre de religion, d’une agression spirituelle totale contre l’ensemble de l’humanité. Et si c’est le cas, notre réaction doit être adéquate. Nous devons comprendre que nous n’avons pas la moindre chance de survivre en utilisant uniquement les canaux politiques, académiques et médiatiques. Nous sommes dans un moment très critique de l’histoire et nous n’avons pas de temps à perdre en faisant des gestes aveugles contre le mal absolu. Notre stratégie de défense doit être avant tout spirituelle. Nous ne pouvons pas avoir une Résistance efficace sans cette façon de penser et d’agir.

    Notre ennemi a empoisonné toute l’humanité avec le sophisme de la primauté de l’économie, avec le scientisme et la technolâtrie. Et cette vieille et dévastatrice stratégie démoniaque exige une réévaluation immédiate et profonde de notre système de référence.

    Satan, en tant qu’incarnation politique concrète, est entré sur la scène mondiale dans toute sa stature, accélérant l’arrivée de la phase terminale de l’Humanité. Dans cette situation d’une gravité sans précédent, nous devons nous interroger : sommes-nous capables de déterminer un changement radical de cette trajectoire mortelle ? Nous ne sommes pas en mesure de nous soustraire à cette grave auto-interrogation, qu’elle corresponde ou non à notre paradigme conceptuel.

    Je suis convaincu que notre chance de laisser derrière nous notre statut d’objet de manipulation, de domination et de meurtre de masse réside dans la voie suivante. Nous devons nous débarrasser de l’état humiliant d’objets de manipulation extérieure et devenir les sujets de notre propre destin. Pour surmonter la condition d’infériorité stratégique insurmontable, nous n’avons qu’un seul moyen. Nous devons nous allier à celui qui est infiniment supérieur à sa propre création déchue.

    Nous ne savons pas et ne pouvons pas savoir si nous vivons la fin du monde ou même la fin de ce monde. Mais que ce soit le cas ou non, nous devons de toute urgence trouver la source de notre pouvoir et même de notre invincibilité. Et cette source ne vient que d’en haut. Nous devons être prêts à affronter aussi bien la mort du capitalisme par démolition contrôlée que la fin de l’histoire. Mais dans les deux cas, nous devons nous équiper d’outils ou d’armes spirituelles en adoptant une approche eschatologique.

    L’année 2020 a marqué le début d’une décennie qui pourrait être fatale, voire mortelle, pour toute l’humanité. Ce n’est pas une coïncidence si elle a commencé sous une fausse pandémie et si elle se déroule sous la terreur de l’Agenda 2030 des Nations Unies.

    La pression du temps et l’urgence d’identifier des solutions pour sauver des vies nous obligent à agir rapidement. Sinon, demain risque de ne pas arriver du tout. Notre réalité disruptive exige des changements non moins disruptifs dans notre vision. Ce séisme d’événements, dont l’impact sur l’humanité est énorme, exige une réponse proportionnée, qui s’écarte de notre perception antérieure.

    Et c’est exactement ce que je veux vous dire en tant qu’optimiste chrétien.

    Je vous remercie.

    roscaiurieppcd@gmail.com

    https://t.me/iurierosca


    1 21 May 2022, YouTube, « Covid est essentiel, car c’est la raison pour laquelle les gens acceptent une surveillance biométrique totale ».




    Gougenot et l’avènement apocalyptique du mondialisme totalitaire (1865)

    Par Nicolas Bonnal

    La mise en place du mondialisme technologique évoque bien sûr l’Apocalypse. Même sans être de culture juive ou chrétienne, on peut comprendre (même le chien Ran-Tan-Plan) qu’il se passe quelque chose d’abominable en ce moment à mi-chemin entre le contrôle et l’extermination.

    Le penseur Gougenot des Mousseaux publie en 1865 un livre sur les démons. Ce fanatique chrétien comme on dirait aujourd’hui se rapproche du Dostoïevski théologien de la Fin que j’ai évoqué dans plusieurs textes et pour finir dans mon livre sur lui et la modernité occidentale (voyez les Démons, les Karamazov et le fastueux rêve final de Raskolnikoff). Une minorité folle va terrasser, réduire et dominer un troupeau sans âme et sans défense. Nous y sommes.

    Dans son dernier chapitre, Gougenot (ancien camérier de Charles X, dernier roi sacré) évoque l’avènement antéchristique qu’il relie aux temps modernes : socialisme, industrie, presse, fin des religions, mondialisation. Voyez aussi sur cette question mon texte sur Chateaubriand et la mondialisation. Gougenot :

    « Le premier, le plus inconcevable de tous les miracles, ce serait que tant de peuples ennemis, que tant de nations acharnées de si longue date les unes contre les autres, ouvrissent enfin leur âme, pour la laisser pacifiquement s’épanouir aux rayons d’une même et nouvelle religion, représentée par un seul et même monarque. »

    Gougenot évoque même comme le dément Stolz une fédération mondiale à venir :

    « Existe-t-il, peut-il exister un moyen de rallier et d’unir en un seul corps politique, en une seule et unique fédération la grande et immense masse des peuples ; une masse qui, par elle-même et par son irrésistible prépondérance, entraînerait en quelque sorte la totalité du genre humain ? »

    Il évoque un catholicisme à l’envers :

    « Mais où chercher encore, où trouver la cause puissante, la cause génératrice de cette même et unique croyance, de ce catholicisme à l’envers, par lequel il s’agit de révolutionner et de passionner, en le propageant d’un bout à l’autre du monde social, le cœur de nos semblables ? Où donc ? »

    L’Antéchrist se rapproche ; l’homme moderne arrive, celui des réseaux et de l’électricité, celui des « fluides » comme dit Gougenot (Nerval y fait allusion aussi dans Aurélia, voyez mon livre sur Internet) :

    « Dans ces conditions si simples, et auxquelles les prophéties, d’accord avec les événements, semblent nous préparer, l’Antéchrist, « l’homme des fluides », selon l’expression prophétique de l’hérésiarque Vintras, serait tout uniment l’Homme-RévoIution et pouvoir, l’homme spirite ou pythonisé, l’Homme-Démon, le Verbe de l’Enfer, celui qui briserait et charmerait les peuples, en donnant à la pensée de propagande qui doit réaliser ses plans l’unité nécessaire pour en assurer le règne sur la terre. »

    Gougenot évoque une conspiration révolutionnaire, machine à détruire régimes (sauf républicains…) et nations. Le monde multipolaire n’est pour demain (lisez Laurence Guillon pour comprendre ce qui se passe en Russie — quant à ceux qui voient dans la Chine une alternative…) :

    « La conspiration pousse encore à la destruction des divers empires et royaumes par les principes nouveaux qu’elle proclame et qu’elle travaille de toutes ses forces à faire prévaloir partout. Déjà elle a mis le trouble dans plusieurs ; elle y a excité des révoltes et des révolutions… »

    Le mythe de la fraternité crée le totalitarisme global :

    « Et comme ce caractère de fraternité ou d’humanité est identique partout et pour tous les hommes, il s’en suit qu’une seule et même législation, un seul et même gouvernement, doivent être à la fin admis pour répondre aux droits de la fraternité et de l’humanité. »

    Comme Joly dans un texte célèbre, notre auteur évoque le rôle des sociétés secrètes (en fait elles ne l’ont jamais été) :

    « sur quoi, il faut savoir que les sociétés secrètes, organisées depuis un siècle dans toutes les parties de l’Europe, ou plutôt dans le monde entier, sous divers noms et sous diverses formes sont le vrai foyer où fermentent tous ces projets détestables, et d’où part le mouvement, la force d’agression qui s’attaque ensemble et à l’Église et aux puissances temporelles… »

    Gougenot précise ensuite les actions de l’Antéchrist — il est lié au monstre froid de Nietzsche, j’ai nommé l’État :

    « Le socialisme, aboutissant au communisme, est la doctrine antisociale qui tend et aboutit à faire de l’État le maître absolu de toutes choses, c’est-à-dire des personnes et des biens, des corps et des âmes. Or, l’Antéchrist se présentant comme l’apôtre et le chef de cette œuvre de fausse et détestable charité, comme le propagateur et le soutien de ce plan de fraternité cosmopolite et démoniaque, il deviendra la personnification parfaite de ce régime, dont la réalisation se complétera sous son sceptre. Préparé de longue main déjà par les essais révolutionnaires, par l’énormité croissante des charges, par ce principe monstrueux dont retentirent, sous le dernier règne, les échos de la tribune législative… »

    Cet antéchrist est séducteur et comédien :

    « Et personne ne se rencontrera qui se hasarde à contester à ce bateleur couronné, à ce terrible et prodigieux comédien, à ce séducteur des foules, ces excès de bon plaisir sévissant sous la Corme hypocrite des droits et des intérêts de tous ! »

    On a droit comme avec Schwab et Davos à l’abolition de la propriété privée :

    « Les propriétaires, graduellement courbés et accablés sous un joug impitoyable et intolérable de charges et d’impôts, solliciteront alors, comme un moyen de s’exonérer et de vivre en paix, la faveur de passer à l’état de fermiers ou de tenanciers. Et selon son caprice ou ses intérêts, il expulsera les uns et acceptera les autres, tenant à la fois les hommes par la terre et la terre par les hommes.

    Le nom de propriétaire aura péri ; il n’y aura, dès lors, ni classes élevées ni classes inférieures ; il n’y aura ni pauvres ni riches, ni petits ni grands, si ce n’est ceux qu’il lui plaira de combler et d’élever autant que durera son caprice. »

    Comme s’il prévoyait l’ordinateur et son clavier, Gougenot voit un « clavecin révolutionnaire » qui sera l’expression et l’instrument (cf. Thalès, Microsoft, Cisco, Google, Apple, etc.) de cette monstruosité totalitaire — et il cite le fameux passage de Saint-Jean :

    « Un clavier du plus implacable niveau représentera la société tout entière, chaque touche de ce clavecin révolutionnaire, s’élevant et s’abaissant au gré du maître, et sous le mouvement de ses doigts. C’est ce degré d’égalité dans l’abaissement que nous peignent, avec une prophétique énergie, les paroles littéralement véridiques de Saint-Jean : « Nul ne pourra plus acheter ni vendre sans la permission de la bête, et sans l’exhibition de son signe ! »

    Les religions seront tuées. On le voit maintenant (cf. les « grands travaux » de Notre-Dame) avec l’indifférence du troupeau hébété :

    « Tenant à la fois en main tous les fils de sa trame, l’Antéchrist détruira, chemin faisant, toute religion, tout culte, excepté celui de sa personne… »

    Les résistants seront liquidés :

    « Car ses images, universalisant sa présence, sueront le miracle, et le dragon de l’abîme, le démon du spiritisme les animant, elles parleront, elles feront entendre la parole de celui qu’elles représentent. Et qui ne leur obéira point, qui ne les adorera point sera mis à mort !… Et quiconque n’observera point sa loi, quiconque ne s’assujettira pas à tenir pour bon et pour mauvais ce que ce monstre aura décrété bon ou mauvais sera coupable, et devra mourir. »

    L’humanité deviendra le troupeau dont rêve Platon, troupeau que voit arriver Vance Packard étudié ici :

    « Les mariages ne seront, sous sa loi, que des unions de passage entre individus de sexes différents. Il en imposera le devoir, afin de pourvoir à la conservation de l’espèce ; mais il les dissoudra selon son caprice, selon le vœu de quelque nouvel intérêt. Seul maître et seul éducateur des enfants procréés sous le jeu de ce vaste système de prostitution, il se proposera pour but d’anéantir toutes les traditions de la famille ; et sa république réalisera, quant aux mariages, mais en les dépassant, les cyniques beautés de la république de Platon. »

    Le troupeau sera marqué au signe de la bête (au code QR donc) en attendant mieux)  :

    « Et ne nous récrions point contre cette expression d’éleveur qui doit nous sembler si grossière ; car les hommes, sous ce néfaste empire, ne formeront, à la lettre, qu’un immense troupeau dont chaque tête se verra marquer au signe de la bête2. »

    Tout cela est lié au progrès de la technologie de la communication. À l’époque on a le télégraphe pour créer la Babel mondialiste :

    « Voyez le fil électrisé du télégraphe s’emparant de la pensée pour lui donner le vol de l’éclair ! Chaque jour donc, les relations de peuple à peuple, en se multipliant, se simplifient !… et, déjà, deux ou trois langues, élevées à la hauteur de langues universelles par le vœu de la littérature et des affaires commerciales, offrent au prix de faciles études les clefs de toute intelligence humaine ! Le libre-échange de la pensée, que Babel avait interrompu, et qui prépare l’unisson de la pensée, semble donc poindre et précéder le libre-échange de toits les biens de la terre, ce principe devant lequel, poussé par l’esprit aventurier du commerce, l’économiste moderne veut que s’effacent toute frontière et toute nationalité. »

    Le patriotisme sera à exterminer :

    «  Car le patriotisme, déjà, n’est plus qu’insigne étroitesse d’esprit et de cœur pour les vrais libéraux du progrès, pour ceux que décore le titre de cosmopolites, ces prochains dominateurs de l’opinion… »

    Pauvres Zemmour, Marine, Florian et Asselineau ! Ils ont face à eux l’Antéchrist en personne, le tueur des nations !

    On aura un César mondial :

    « … et bientôt, du fond de son palais, un seul maître, un César, dieu, pontife et monarque, la main sur le fil électrique, pourra dater ses décrets, je ne sais d’où, sera-ce de Paris, de Moscou, je veux dire de Constantinople, de Rome ou d’ailleurs ? »

    Sa Majesté du Pouvoir Humanitaire (belle expression) poursuivra de sa haine tous les résistants :

    « Faites périr, effacez de la liste des vivants tel homme, telle famille, ou telle secte, qui semble méconnaître en ma personne la Majesté du Pouvoir humanitaire. Quelques minutes après, le fil du télégraphe ? obéissant, apportera cette réponse : Sire, vous avez dit, et votre parole, — ainsi que doit être — a fait la loi ! bénie soit-elle : l’ordre règne. »

    À la même époque (simple rappel), le frère Jules Verne et le frère Ulysse S. Grant célèbrent cette rapide unification électrique et politique du monde.

    Frères qui nous présentent aujourd’hui l’addition salée…

    Sources :

    https://archive.org/details/mursetpratiquesd00goug_0

    https://reseauinternational.net/le-president-grant-et-la-republique-universelle-en-1873/

    https://reseauinternational.net/dostoievski-et-la-prophetie-du-nouvel-ordre-mondial/

    https://www.dedefensa.org/article/maurice-joly-et-le-gouvernement-par-le-chaos-vers-1864

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Gougenot_des_Mousseaux


    [Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]




    Réconcilions-nous pour reforger l’alliance éternelle

    [Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]




    L’organisation ésotérique qui gouverne le monde : le projet Gaza

    Une association inattendue entre les hypothétiques délibérations secrètes du Sommet de la franc-maçonnerie britannique (et de la haute finance internationale) et les choix génocidaires de Netanhyahu

    [Source : theinteldrop.org via numidia-liberum]

    Par Claudio Resta

    Préambule

    Nous ne devons jamais oublier que l’auteur des story-boards des premiers films de 007 était le véritable agent secret de la Seconde Guerre mondiale Ian Lancaster Fleming (1908-1964), qui est devenu par la suite un écrivain britannique, surtout connu pour sa série de romans d’espionnage d’après-guerre James Bond.

    Fleming est issu d’une famille aisée liée à la banque d’affaires Robert Fleming & Co. et son père fut député de Henley de 1910 jusqu’à sa mort sur le front occidental en 1917. Éduqué à Eton, Sandhurst et, brièvement, aux universités de Munich et de Genève, Fleming occupe plusieurs emplois avant de commencer à écrire.

    Alors qu’il travaille pour la division britannique du renseignement naval pendant la Seconde Guerre mondiale, Fleming participe à la planification de l’opération Goldeneye ainsi qu’à la planification et à la supervision de deux unités de renseignement : 30 Assault Unit et T-Force. Fleming travaille également avec le colonel « Wild Bill » Donovan, représentant spécial du président Franklin Delano Roosevelt pour le renseignement et créateur de l’OSS (Office of Strategic Services), le service de renseignement américain qui, après la guerre, deviendra la CIA. En 1941-42, l’amiral Godfrey charge Fleming de superviser la préparation de Goldeneye, un plan visant à préserver un réseau de renseignements en Espagne en cas d’invasion allemande.

    Le projet comprend également la mise en œuvre d’opérations de sabotage. Fleming a puisé dans son service en temps de guerre et dans sa carrière de journaliste une grande partie du contexte, des détails et de la profondeur de son roman James Bond.

    Il y a une certaine vérité intérieure au cœur de ses fictions (comme l’existence à l’époque d’une organisation secrète fictive telle qu’un Spectre derrière lequel on peut voir la maçonnerie) et, plus récemment, d’un concept secret similaire comme l’État profond ou le gouvernement de l’ombre.

    La déclaration Balfour est une déclaration publique publiée par le gouvernement britannique en 1917, pendant la Première Guerre mondiale, annonçant son soutien à l’établissement d’un « foyer national pour le peuple juif » en Palestine, qui était alors une région ottomane avec une petite minorité de population juive.

    La déclaration était contenue dans une lettre datée du 2 novembre 1917, adressée par le ministre des Affaires étrangères du Royaume-Uni, Arthur Balfour, à Lord Rothschild, un dirigeant de la communauté juive britannique, pour qu’il la transmette à la Fédération sioniste de Grande-Bretagne et d’Irlande. Le texte de la déclaration a été publié dans la presse le 9 novembre 1917.

    Immédiatement après la déclaration de guerre à l’Empire ottoman en novembre 1914, le cabinet de guerre britannique a commencé à réfléchir à l’avenir de la Palestine ; dans les deux mois qui ont suivi, un membre sioniste du cabinet, Herbert Samuel, a fait circuler au sein du cabinet un mémorandum proposant de soutenir les ambitions sionistes afin d’obtenir l’appui des Juifs dans la guerre au sens large.

    En avril 1915, le Premier ministre britannique H. H. Asquith crée une commission chargée de déterminer la politique à suivre à l’égard de l’Empire ottoman, y compris la Palestine. Asquith, qui était favorable à une réforme de l’Empire ottoman après la guerre, a démissionné en décembre 1916 ; son remplaçant, David Lloyd George, était favorable à la partition de l’Empire. Les premières négociations entre les Britanniques et les sionistes ont eu lieu lors d’une conférence le 7 février 1917, à laquelle participaient Sir Mark Sykes et les dirigeants sionistes.

    Les discussions qui ont suivi ont conduit Balfour à demander, le 19 juin, à Rothschild et à Chaim Weizmann de soumettre un projet de déclaration publique. D’autres projets ont été examinés par le cabinet britannique en septembre et octobre, avec la participation de juifs sionistes et antisionistes, mais sans représentation de la population locale en Palestine.

    Lionel Walter Rothschild, 2e baron Rothschild, magnat de la banque juif récipiendaire de la déclaration Balfour, avec son célèbre carrosse zébré

    Article

    Je ne suis ni franc-maçon ni expert en arts occultes.

    Mais il y a quelques jours, alors que j’enquêtais sur le symbolisme complexe de la mise en scène de la mort d’un éminent banquier italien, Roberto Calvi, mort mystérieusement à Londres en 1982, je suis tombé sur un symbole qui pourrait être lié non seulement à ce meurtre, mais aussi à ce qui se passe à Gaza aujourd’hui. À mon avis, il s’agit sans aucun doute d’un symbole maçonnique. C’est vraiment la sérendipité à son meilleur !

    Permettez-moi de mentionner brièvement l’importance extrême de cette affaire non résolue, qui pourrait sembler insignifiante aux jeunes lecteurs. Alors que l’action de Calvi a été la base financière du mouvement Solidarność et du changement de régime en Pologne en 1982/89, de la chute du mur de Berlin et de la fin de l’Union soviétique, si cela ne vous semble pas suffisamment important, c’est uniquement parce que cela a été rapidement oublié par le mainstream et ses célébrations d’anniversaire inopportunes…

    Avec 1,3 milliard de dollars américains de 1982 disparaissant on ne sait où, peut-être dans les poches de la mafia et provenant des fonds de l’Église catholique et offerts par le pape lui-même, alors le Polonais Jean-Paul II, pour libérer la Pologne du joug soviétique, par l’intermédiaire du cardinal Paul Casimir Marcinkus, né aux États-Unis, ce qui a également provoqué la faillite de l’une des plus grandes banques italiennes ! Pour l’histoire du monde, je crois que c’était un meurtre bien plus important que celui de JFK, à mon avis. Dès que je le pourrai, j’écrirai également un article sur la mise en scène de la mort de Calvi.

    Cependant, désolé, ce n’est pas ce que je voulais écrire maintenant, mais ce qui se passe aujourd’hui à Gaza, qui curieusement a quelques liens avec le symbolisme mis en scène à l’occasion de la mort de Roberto Calvi, dont je n’ai pris connaissance que maintenant.
    Je ne suis pas un habitué des choses occultes, néanmoins ce que j’ai découvert est trop important pour être gardé sous silence, que sa véracité pour le monde du secret maçonnique soit admise ou non.
    Alors si je me trompe, vous en jugerez par vous-même…
    Pardonnez-moi si je m’exprime de manière aussi alambiquée, mais ces vérités occultes sont très ambiguës et troubles, en cours d’élaboration et toujours prêtes à être démenties et/ou confirmées juste au coin de la rue.

    Le River Passage [Le passage de la rivière] (également appelé Bridge Passage [Le passage du pont]) est l’un des points clés de la spiritualité maçonnique britannique.

    Pour éviter toute erreur, je vais maintenant citer textuellement des passages d’un érudit occulte italien faisant autorité, Daniele Mansuino : https://www.riflessioni.it/esoterismo/simbolo-massonico-passaggio-del-fiume_01.htm

    La Torche de la Liberté, un totem maçonnique

    Citation d’un érudit

    « Comme beaucoup d’autres symboles que nous avons abordés, mais peut-être plus clairement que d’autres, il peut se référer à la fois au projet de transformation sociale dont la franc-maçonnerie a été le protagoniste au cours des siècles, et au discours de l’évolution intérieure du franc-maçon…

    La traversée du fleuve est un épisode survenu lors du retour des Juifs de la captivité babylonienne, c’est-à-dire de leur déportation massive à Babylone, qui a eu lieu en 597 av. C. à l’époque de Nabuchodonosor II et s’est achevée en 539 avec Cyrus le Grand (il en est question dans II Rois et II Chroniques, dans les livres d’Esdras et de Néhémie, dans divers Psaumes et dans divers livres prophétiques). Un mythe corollaire important est celui des Tribus perdues [auquel Daniele Mansuino a consacré un article spécifique], observant entre autres qu’en réalité, aujourd’hui, les Juifs qui se reconnaissent comme tels déclarent qu’ils descendent des douze Tribus, et donc qu’aucune ne semble avoir été perdue ; cependant, la supposition que la quasi-totalité du peuple juif a disparu mystérieusement, à l’exception d’un petit reste, a une forte valeur symbolique — elle implique, entre autres, une forte concentration d’énergie dans les personnes des survivants, et donc leur possibilité d’avoir un impact plus profond sur l’histoire du monde.

    La première chose que firent les vétérans de la captivité, dès leur retour en Terre sainte, fut de reconstruire le temple de Salomon, que les ennemis avaient détruit ; dans le contexte de l’exégèse chrétienne, cette seconde édification était associée à la seconde révélation, celle apportée par Jésus pour corriger et compléter la loi de Moïse.

    Par la suite, on a également fait correspondre la seconde édification à la seconde venue du Christ, qui devait avoir lieu à la fin des temps — et comme une édification est un processus qui se déroule progressivement, les exégètes du texte biblique ont commencé à y entrevoir des indications sur les faits historiques qui auraient dû se produire pour la préparer, exerçant ainsi une puissante influence subliminale sur la politique européenne (nous avons rapporté ailleurs comment une contribution importante et généralement méconnue à ce débat a même été apportée par Christophe Colomb, avec son Livre des Prophéties). Plus ou moins dans les mêmes années, c’est-à-dire au début du XVIe siècle, Luther a identifié la captivité babylonienne dans le joug que les chrétiens devaient subir de la part de l’Église catholique dévoyée, et la seconde édification dans la Réforme ; et toujours à la même époque, diverses hypothèses concernant la signification des deux édifices se sont également répandues dans la spiritualité juive.

    Dans l’exégèse juive comme dans l’exégèse chrétienne, le second avènement du Messie (quel qu’il soit) devra se manifester en présence d’un immense rassemblement : ce sera pour les juifs le Rassemblement des Exilés — ou la réapparition des Dix Tribus perdues — et pour les chrétiens le Jugement dernier. Note : sur la base du projet de l’organisation ésotérique qui domine le monde [dont Mansuino a longuement parlé dans ses articles et ses livres], ces deux images peuvent être considérées comme des préfigurations de l’Amalgame.

    À cet égard, il convient de noter que, sauf exception, les diverses interprétations sur le sens de la Seconde Édification ne se sont pas contredites : en effet, chrétiens et juifs partageaient l’idée que les Écritures contenaient les modèles (ou types, ou figures) de la manière dont l’action divine se manifeste dans l’histoire humaine, et que ces modalités pouvaient s’appliquer à un grand nombre d’événements différents. Ainsi, par exemple, la captivité à Babylone était une figure de la captivité en Égypte, qui était à son tour une figure de la chute d’Adam dans le monde des formes, dominé par les démons : ce n’est pas un hasard si l’un des épithètes par lesquels Samaël, le Diable de la Qabbale, était désigné était Pharaon.

    Sur la base de cette mentalité, les différentes interprétations de la Seconde Édification, au lieu de se contredire, se sont influencées mutuellement ; il y a également eu une grande osmose de symboles de l’une à l’autre, ce qui a fortement contribué à créer une vision syncrétique (au moins sur certains concepts principaux) de ce qui allait arriver au monde dans les derniers temps.

    À partir de 1717, la franc-maçonnerie britannique a hérité de l’immense masse d’Améliorations au degré de Fellow Craft que la tradition fait naître de la rencontre entre les Templiers et les francs-maçons dans l’Écosse du XIVe siècle. Elles étaient basées principalement sur la lecture de pages importantes de l’Ancien Testament, revisitées dans une clé gnostique et appliquées au symbolisme de la maçonnerie opérative.

    Dans divers livres et articles, nous avons illustré comment cet héritage représentait à la fois un trésor précieux et une source d’embarras pour la franc-maçonnerie. En effet, les Améliorations constituaient sans aucun doute un instrument puissant pour diriger (tant au niveau politique et culturel qu’au niveau des opérations magiques) l’action de la franc-maçonnerie dans le monde ; mais c’est précisément pour cette raison qu’il était nécessaire que leur contenu soit contrôlé par une autorité centralisée et que leur pratique ne soit pas laissée à la discrétion des Loges individuelles. La Grande Loge Unie d’Angleterre ?

    S’agit-il des vraies armes sur la bague du méchant 007 ?

    D’innombrables et complexes événements se sont développés à partir de ce problème — et nous les avons également discutés, en opposant une interprétation plus profonde de l’histoire de la franc-maçonnerie à celle (encore répandue) qui ne voit dans ses vicissitudes qu’un reflet de l’histoire profane.

    Cette dernière, lorsqu’elle parle de la franc-maçonnerie, aurait intérêt à prendre en compte toutes ses composantes — au lieu de cela, par exemple, dans l’historiographie maçonnique telle que nous l’avons connue jusqu’à présent, nous constatons que les composantes économiques sont complètement ignorées, contribuant à alimenter la légende qui voit dans la franc-maçonnerie une émanation du pouvoir bourgeois (nous ne pensons pas qu’il soit de notre ressort de corriger cette erreur assez absurde, et d’ailleurs nous n’aurions ni l’autorité ni les moyens de le faire. Espérons simplement que le XXIe siècle nous fera le cadeau d’une génération de meilleurs historiens de la franc-maçonnerie).

    Mais ce n’est pas seulement la composante économique qui est négligée : plus encore, et de façon beaucoup plus inexplicable, la composante ésotérique est minimisée…

    Voyez-vous une analogie entre les deux événements, le biblique et l’américain ?

    Parmi les événements qui entourent la Seconde Édification, la Traversée du Fleuve représente un point crucial, car c’est le moment où les futurs reconstructeurs du Temple retournent en Terre sainte : en d’autres termes, elle configure leur reconnexion aux courants que le Premier Temple (c’est-à-dire la Seconde Loge) a développés, et qu’ils auront la tâche de traduire en un nouveau courant, dont les caractéristiques seront adaptées à l’interaction avec le monde profane.

    Description par Daniel du rêve du roi et de sa résolution (extrait de Daniel : 2)

    il n’est pas important de savoir si le pont en question passe entre un quai et un navire, ou d’une rive à l’autre d’un fleuve : c’était un pont, et (les enfants d’Israël) devaient le traverser pour continuer leur voyage de retour. Certains pensent qu’il s’agissait d’un gué de pierres, que l’on traversait en sautant de l’une à l’autre.

    Selon le rituel des Harodim, à partir du pont utilisé par les Juifs pour traverser le fleuve, les enfants d’Ephraïm prenaient ensuite douze pierres pour fabriquer deux piliers : l’un était placé le long d’un ruisseau, l’autre dans un champ de maïs.

    L’explication traditionnelle de ce conte étrange part de l’idée que le retour des Juifs en Terre sainte avait créé les conditions de la naissance de la Franc-maçonnerie ; les Piliers y sont idéalement assimilés aux Deux Colonnes, qui représenteraient dans ce cas l’une la subsistance de l’institution maçonnique au-delà du flux de l’espace-temps, l’autre l’émergence de la Franc-maçonnerie dans le Champ du Seigneur, c’est-à-dire au centre de la spiritualité chrétienne. Le rêve du Roi n’est pas celui rapporté par la Bible, mais — comme Daniel parvient à le deviner — un grand Lion tapi devant votre lit, prêt à vous dévorer, vous et votre maison.

    Lorsque Daniel le lui décrit, le roi se lève brusquement de son canapé ; il admet avec stupéfaction que c’était bien son rêve et demande ce qu’il signifiait.

    Le Camerlengo (c’est-à-dire l’Officier de la Loge qui parle au nom de Daniel/Candidat, comme c’est généralement le cas dans les passages aux améliorations britanniques) lui dit alors qu’il s’agit du Lion de la Tribu de Juda, qui le dévorera s’il ne permet pas aux Enfants d’Israël de retourner à Jérusalem.

    Il faut donc que le roi livre cet homme à Tatnaï, gouverneur de cette rive du fleuve, et que Tatnaï le transmette à Shethar Boznaï et à ses compagnons de l’autre rive du fleuve, et que Shethar Boznaï le ramène à Jérusalem pour qu’il lui fasse miroiter la promesse d’un ouvrier de marque.

    Le roi approuve la demande de Daniel, ajoutant qu’il aura des céréales, du vin, de l’huile et du sel pour sa subsistance lorsqu’il aidera à reconstruire le temple et la ville sainte qui sont maintenant en ruines, et qu’il fera comme ses ancêtres l’ont fait avant lui.

    Ailleurs, ce n’est pas Daniel qui joue le rôle de Daniel, mais un personnage appelé Gobraim, qui fait partie d’un groupe de prisonniers attachés par des cordes très serrées, qui appartiennent à la tribu de Juda.

    Peut-être parce qu’ils sont attachés, ils n’osent pas intimider le roi par une menace : leur explication du rêve est simplement que les enfants d’Israël doivent retourner chez eux à Jérusalem, pour reconstruire le Temple et les tombes saintes qui gisent maintenant en ruines.

    Le roi avait promis que celui qui serait capable d’interpréter le rêve serait vêtu de pourpre et d’écarlate, recevrait un bracelet d’or et serait hissé sur le cheval du roi, il serait conduit dans les rues et les hérauts annonceraient son nom ; les prisonniers, eux, refusent ces honneurs et préfèrent partir tout de suite pour la Terre sainte. »

    Pour étayer mon hypothèse d’un exode forcé par Tsahal de Palestiniens aux pires mauvaises manières, soutenu par le Royaume-Uni, peut-être par la City de Londres… depuis le 7 octobre, l’action du Hamas au sein du gouvernement britannique a donné lieu à une activité militaire secrète massive (opérations spéciales). En tant que bras armé de la Grande Loge d’Angleterre, je suppose :

    https://new.thecradle.co/articles/secrecy-shrouds-british-military-actions-in-lebanon

    « Il faut vivre de manière dangereuse »

    (Friedrich Nietzsche)

    Enfin si quelque chose de désagréable m’arrivait, au moins vous sauriez qui l’a commandité ! Claudio Resta

    Bien évidemment l’article ci-dessus ne remplace pas celui ci-dessous, mais le complète avec une vision à plus large spectre :

    https://www.vtforeignpolicy.com/2023/12/the-true-Purposes-of-the-state-terrorism-of-israel-against-the-gaza-strip-people/embed/#?secret=fAdZSpDmnn#?secret=jVBzcTXJUh

    https://www.vtforeignpolicy.com/2023/12/eyes-wide-shut/embed/#?secret=EVYk3JN4VY#?secret=9VuijxXrwr

    Claudio Resta est né à Gênes, en Italie, en 1958, il est un citoyen du monde (Spinoza), un philosophe non conformiste et un expert interdisciplinaire, et un artiste aussi.

    Il a grandi dans une famille de scientifiques où de nombreuses sciences étaient représentées, de la philosophie à la psychanalyse, de l’économie à l’histoire, des mathématiques à la physique, et où ces sciences étaient exposées publiquement par les membres de la famille experts en la matière, et où tous ceux qui en faisaient partie pouvaient participer à un dialogue/débat familial public sur ces sujets s’ils le souhaitaient. Lire la bio complète




    Philippe de Villiers : « Si j’avais à raconter un conte de Noël, je dirais ceci… »

    [Source : Philippe de Villiers]




    Dix choses qui changent sans les combustibles fossiles

    [Source : ourfiniteworld.com]

    Par Gail Tverberg

    Il est aujourd’hui courant de parler de l’abandon des combustibles fossiles pour prévenir le changement climatique. C’est à peu près le même résultat qui se produit si nous manquons de combustibles fossiles : nous perdons des combustibles fossiles, mais c’est parce que nous ne pouvons pas les extraire. Pratiquement personne ne nous dit à quel point le système actuel dépend des combustibles fossiles.

    [Voir aussi :
    Sans pétrole, pas d’électricité !]

    L’économie est extraordinairement dépendante des combustibles fossiles. S’il n’y a pas assez de combustibles fossiles pour tout le monde, il est probable que l’on se batte pour obtenir ce qui est disponible. Certains pays risquent d’obtenir bien plus que leur juste part, tandis que le reste de la population mondiale ne disposera que de très peu de combustibles fossiles, voire d’aucun.

    Si la perte totale ou quasi totale des combustibles fossiles représente un risque pour une partie de la population mondiale, il pourrait être utile de réfléchir à certaines des choses qui pourraient mal tourner. Voici quelques-unes de mes idées sur les choses qui changent, principalement pour le pire, dans une économie privée de combustibles fossiles.

    [1] Les banques, telles que nous les connaissons, vont probablement faire faillite

    Avant que les banques ne fassent faillite dans les régions pratiquement dépourvues de combustibles fossiles, je pense que nous assisterons généralement à une hyperinflation. Les gouvernements augmenteront considérablement la masse monétaire dans une vaine tentative de faire croire aux gens qu’ils produisent davantage de biens et de services. Cette approche sera utilisée parce que les gens assimilent le fait d’avoir plus d’argent à la capacité d’acheter plus de biens et de services. Malheureusement, sans les combustibles fossiles, il sera très difficile de produire beaucoup de biens.

    Plus d’argent entraînera simplement plus d’inflation parce qu’il faut des ressources physiques, y compris les types d’énergie appropriés, pour faire fonctionner toutes sortes de machines afin de produire des biens. La création de services nécessite également de l’énergie fossile, mais généralement dans une moindre mesure que la création de biens. Par exemple, la paire de ciseaux utilisée pour couper les cheveux est fabriquée à l’aide d’énergie fossile. La personne qui coupe les cheveux doit être payée ; son salaire doit être suffisamment élevé pour couvrir les coûts liés à l’énergie, tels que l’achat et la cuisson des aliments. Le magasin où l’on coupe les cheveux devra également payer l’énergie fossile nécessaire au chauffage et à l’éclairage, à supposer que cette énergie soit disponible.

    Les banques feront faillite parce qu’une part trop importante des dettes ne pourra pas être remboursée avec des intérêts. Une partie du problème résidera dans le fait qu’alors que les salaires augmenteront, les prix des biens et des services augmenteront encore plus rapidement, rendant les biens inabordables. Une autre partie du problème est que les économies de services, telles que celles des États-Unis et de la zone euro, seront affectées de manière disproportionnée par une économie en déclin. Dans une telle économie, les gens se feront couper les cheveux moins souvent. Ils dépenseront plutôt leur argent dans des produits de première nécessité, tels que la nourriture, l’eau et les ustensiles de cuisine. Les entreprises de services, telles que les salons de coiffure et les restaurants, feront faillite par manque de clients, ce qui entraînera des défauts de paiement.

    [2] Les gouvernements actuels feront faillite

    Si les banques font faillite, les gouvernements d’aujourd’hui feront également faillite. Ils échoueront en partie à cause des tentatives de renflouement des banques. Un autre problème sera la baisse des recettes fiscales en raison de la diminution de la production de biens et de services. Les programmes de retraite deviendront de plus en plus difficiles à financer. Toutes ces questions conduiront à des politiques de plus en plus conflictuelles. Dans certains cas, les gouvernements centraux peuvent se dissoudre, laissant les États et d’autres unités plus petites, comme les provinces d’aujourd’hui, continuer à fonctionner seuls.

    Les organisations intergouvernementales, telles que les Nations unies et l’OTAN, seront de moins en moins écoutées avant de disparaître. L’obtention d’un financement suffisant de la part des États membres deviendra un problème de plus en plus important.

    Les dictatures dirigées par des chefs au pouvoir absolu et les aristocraties dirigées par des chefs aux droits héréditaires sont les types de gouvernements les moins gourmands en énergie. Ils sont susceptibles de devenir plus courants sans les combustibles fossiles.

    [3] Presque toutes les entreprises d’aujourd’hui feront faillite

    Les combustibles fossiles sont essentiels pour tous les types d’entreprises. Ils sont utilisés pour l’extraction des matières premières et le transport des marchandises. Nous utilisons des combustibles fossiles pour paver les routes et construire la quasi-totalité des bâtiments actuels. Sans combustibles fossiles, même de simples réparations de l’infrastructure existante deviennent impossibles. Sans combustibles fossiles adéquats, les entreprises internationales risquent tout particulièrement de se diviser en unités plus petites. Il leur sera impossible d’opérer dans des régions du monde où l’approvisionnement en combustibles fossiles est pratiquement inexistant.

    Les combustibles fossiles sont même utilisés pour fabriquer des panneaux solaires, des éoliennes et des pièces de rechange pour les véhicules électriques. Parler de l’énergie solaire et de l’énergie éolienne comme de « sources d’énergie renouvelables » est dans une large mesure trompeur. Au mieux, on peut les décrire comme des « prolongateurs » de combustibles fossiles. Elles peuvent aider à résoudre un problème d’approvisionnement en combustibles fossiles légèrement insuffisant, mais elles sont loin d’être des substituts adéquats.

    [4] Les réseaux électriques et l’Internet disparaîtront

    Les combustibles fossiles sont importants pour maintenir le système de transmission électrique. Par exemple, le rétablissement des lignes électriques tombées en panne après une tempête nécessite des combustibles fossiles. Le raccordement de panneaux solaires ou de turbines éoliennes au réseau électrique nécessite des combustibles fossiles. Les systèmes de panneaux solaires domestiques peuvent fonctionner jusqu’à ce que leurs onduleurs tombent en panne. Une fois que les onduleurs tombent en panne, leur utilité se dégrade considérablement. Les combustibles fossiles sont nécessaires pour fabriquer de nouveaux onduleurs.

    Les combustibles fossiles sont également importants pour l’entretien de toutes les parties du système Internet. En outre, sans réseau électrique, il devient impossible d’utiliser des ordinateurs pour se connecter à l’Internet.

    [5] Le commerce international sera fortement réduit

    À cette époque de l’année, beaucoup d’entre nous se souviennent de l’histoire des trois rois d’Orient venus rendre visite à l’Enfant Jésus avec de précieux cadeaux. Nous nous souvenons également des récits bibliques où Paul se rend dans des pays lointains. Grâce à ces exemples et à bien d’autres, nous savons que le commerce et les voyages internationaux peuvent se poursuivre sans combustibles fossiles.

    Le problème, c’est que sans les combustibles fossiles, certaines régions du monde n’auront pas grand-chose à offrir en échange de produits fabriqués avec des combustibles fossiles. Les pays utilisant des combustibles fossiles se rendront rapidement compte que la dette publique des pays sans combustibles fossiles ne représente pas grand-chose lorsqu’il s’agit de payer des biens et des services. Par conséquent, les échanges commerciaux seront réduits pour correspondre aux exportations disponibles. Les exportations de biens seront probablement très limitées pour les régions du monde qui fonctionnent sans combustibles fossiles.

    [6] L’agriculture deviendra beaucoup moins efficace

    L’agriculture d’aujourd’hui a été rendue incroyablement efficace grâce à l’utilisation de gros équipements mécaniques, généralement alimentés par du diesel, et d’un grand nombre de produits chimiques, notamment des herbicides, des insecticides et des engrais. En outre, des clôtures et des filets fabriqués à l’aide de combustibles fossiles sont utilisés pour éloigner les animaux nuisibles indésirables. Dans certains cas, des serres sont utilisées pour fournir un climat contrôlé aux plantes. Les combustibles fossiles permettent de mettre au point des semences hybrides spécialisées qui mettent l’accent sur les caractéristiques que les agriculteurs jugent souhaitables. Toutes ces « aides » sont appelées à disparaître.

    Sans ces aides, l’agriculture deviendra beaucoup moins efficace. La figure 1 montre que même avec la faible réduction de l’utilisation des combustibles fossiles en 2020, la part de l’emploi fournie par l’agriculture a augmenté.

    Figure 1. Emploi mondial dans l’agriculture en pourcentage de l’emploi total, tel que compilé par la Banque mondiale.

    L’emploi dans l’agriculture est essentiel. Ces travailleurs n’ont pas été licenciés, même si les travailleurs du tourisme et de la confection ont perdu leur emploi, de sorte que la part des emplois agricoles dans l’emploi total a augmenté.

    [7] Les besoins futurs en main-d’œuvre seront probablement disproportionnés dans le secteur agricole

    Les gens ont besoin de manger. Même si l’économie fonctionne de manière très inefficace, les gens auront besoin de nourriture. On peut s’attendre à ce que la part des personnes travaillant dans l’agriculture (y compris la chasse et la cueillette) augmente considérablement.

    Certains espèrent que le passage à la permaculture résoudra le problème de la dépendance de l’agriculture à l’égard des combustibles fossiles. Je considère la permaculture comme un moyen de prolonger l’utilisation des combustibles fossiles plutôt que comme une solution permettant de s’en passer, car elle suppose l’utilisation de nombreux dispositifs basés sur les combustibles fossiles, tels que les clôtures modernes et les outils d’aujourd’hui. En outre, dans le meilleur des cas, la permaculture ne résout que partiellement le problème de l’inefficacité, car elle nécessite une énorme quantité de travail manuel.

    [NDLR La permaculture sur de petites surfaces sera probablement toujours possible, car certaines de ses approches déjà démontrées se passent de technologie et de machines, en recherchant au contraire une symbiose avec la nature. Celle-ci peut subsister sans industries.]

    Figure 2. Comparaison de la part de l’emploi agricole aux États-Unis par rapport à l’emploi total, avec un ratio similaire pour les pays les moins avancés des Nations unies, sur la base des données de la Banque mondiale.

    Aujourd’hui, il existe un large fossé entre la part de l’emploi dans l’agriculture aux États-Unis et la même statistique pour le groupe des pays les moins avancés des Nations unies. La plupart de ces pays se trouvent en Afrique subsaharienne. Ils utilisent très peu de combustibles fossiles.

    La part de l’emploi agricole aux États-Unis a récemment été d’environ 1,7 %. Dans la partie de l’Europe qui utilise l’euro, la part de l’emploi dans l’agriculture a récemment atteint une moyenne d’environ 3,0 %. Que ce soit aux États-Unis ou en Europe, il faudrait un énorme changement dans l’emploi pour atteindre 70 % d’emplois agricoles (comme on l’a vu au début des années 1990 pour le groupe le moins développé des Nations unies), ou même 55 % (comme on l’a vu récemment pour le même groupe).

    [8] Le chauffage domestique deviendra un produit de luxe réservé aux riches

    En l’absence de combustibles fossiles, le bois fera l’objet d’une forte demande pour son pouvoir calorifique. Le bois sera nécessaire pour la cuisson des aliments ; il est très difficile de subsister avec un régime composé uniquement d’aliments crus. Le bois sera également demandé pour fabriquer du charbon de bois, qui peut à son tour être utilisé pour fondre certains métaux. Compte tenu de ces besoins en bois, la déforestation risque de devenir un problème majeur dans de nombreuses régions du monde. Le bois en général sera assez cher, étant donné le coût considérable de sa récolte et de son transport sur de longues distances sans l’avantage des combustibles fossiles.

    Les personnes vivant dans des régions boisées peu peuplées pourront peut-être ramasser leur propre bois pour se chauffer. Pour les autres, le chauffage domestique deviendra probablement un luxe, accessible uniquement aux personnes très riches

    [9] Vivre seul deviendra une chose du passé

    Sans chauffage suffisant et avec à peine assez de bois pour cuisiner, les gens (et leurs animaux) devront se serrer davantage les uns contre les autres. Les maisons abritant plusieurs générations, construites sur un lieu d’élevage d’animaux de ferme, pourraient redevenir populaires. Il sera plus efficace de cuisiner pour de grands groupes que pour une seule personne à la fois. Dans les régions froides, les gens se serreront les uns contre les autres dans leur lit pour se réchauffer. Ou bien ils se blottissent contre leurs chiens, comme dans le dicton « three dog night », qui signifie une nuit suffisamment froide pour que trois chiens soient nécessaires pour garder une personne au chaud.

    Même dans les régions chaudes du monde, les gens vivront en groupe, tout simplement parce qu’entretenir un foyer pour une personne seule devient impossible. La nourriture et le combustible pour cuisiner absorberont une grande partie des revenus d’une famille. Il ne restera plus grand-chose pour les autres dépenses.

    [10] Les gouvernements et leurs lois perdront de leur importance

    Au lieu de cela, de nouvelles traditions et de nouvelles religions joueront un rôle plus important dans le maintien de l’ordre.

    Les gouvernements ont fait des dizaines de promesses, mais sans un approvisionnement croissant en combustibles fossiles (ou un substitut adéquat), ils ne seront pas en mesure de les tenir. Les retraites disparaîtront. La capacité des gouvernements à faire respecter les lois sur la propriété disparaîtra probablement. En l’absence d’un bon substitut aux combustibles fossiles, on peut s’attendre à un désordre généralisé.

    Les gens ont besoin d’ordre. Sans ordre, il est impossible de faire des affaires. L’expérience récente nous a appris que les « groupes de durabilité », constitués par des personnes ayant un intérêt commun pour la durabilité, ne fonctionnent pas suffisamment bien pour assurer l’ordre. Ils ont tendance à s’effondrer dès que des obstacles surgissent.

    Ce qui a semblé fonctionner pour assurer l’ordre dans le passé, c’est une certaine combinaison de traditions et de religions. Dans un monde en mutation, les traditions et les religions sont susceptibles de devoir changer. Dans le livre Communities that Abide, de Dmitry Orlov et coll. les auteurs soulignent que le fait d’avoir un leader fort (non élu) et un ensemble de croyances religieuses partagées aide à maintenir la cohésion d’un groupe. En fait, le fait que le groupe soit quelque peu persécuté est un atout. La lutte pour une cause commune fait partie de ce qui maintient la cohésion du groupe.

    Les dix commandements de la Bible sont interprétés d’une manière qui suggère fortement qu’il s’agit de règles de comportement au sein du groupe, et non de comportement en général. Par exemple, « Tu ne tueras point » s’applique aux autres membres du groupe ; les guerres contre d’autres groupes étaient très attendues. Dans ces guerres, on s’attendait à ce que des membres d’un autre groupe soient tués. Cela semble autoriser Israël à tuer des membres du Hamas aujourd’hui. Faute de combustibles fossiles en quantité suffisante, les combats deviennent plus fréquents.

    Conclusion

    À mon avis, le problème auquel le monde est confronté aujourd’hui est le même que celui auquel les petites économies ont été confrontées, à maintes reprises, par le passé : la population est devenue trop importante pour la base de ressources de l’économie, qui comprend désormais les combustibles fossiles. Pour rendre la situation moins effrayante, les dirigeants d’aujourd’hui reformulent le problème en disant qu’il faut volontairement abandonner les combustibles fossiles pour prévenir le changement climatique.

    Selon moi, le monde doit réduire son utilisation des combustibles fossiles car, en fin de compte, ce sont les lois de la physique qui déterminent les prix de vente des combustibles fossiles. Nous extrayons d’abord les combustibles fossiles peu coûteux à produire. Le problème est que les prix de vente des combustibles fossiles ne peuvent pas augmenter arbitrairement. Les prix doivent être à la fois :

    • — Suffisamment élevés pour que les producteurs fassent des bénéfices et qu’il leur reste des fonds à réinvestir et des taxes adéquates pour leurs gouvernements ;
    • — suffisamment bas pour que les consommateurs puissent se permettre d’acheter de la nourriture et d’autres biens de consommation produits à partir de ces combustibles fossiles.

    Si nous supposons que tous les combustibles fossiles qui semblent se trouver sous le sol peuvent réellement être extraits, le changement climatique dû à leur combustion pourrait effectivement constituer un problème. Mais il est difficile d’imaginer qu’ils puissent réellement être extraits, étant donné la question de l’accessibilité financière. Les hommes politiques maintiendront les prix à la baisse pour inciter les électeurs à voter pour eux, ne serait-ce que pour cela.

    Les chercheurs ont travaillé avec diligence pour trouver des solutions, mais jusqu’à présent, ils n’ont pas eu beaucoup de succès. Toutes les solutions supposées nécessitent un recours important aux combustibles fossiles. Nous devons donc réfléchir à ce qui pourrait se passer si nous étions contraints de nous passer des combustibles fossiles et si nous ne disposions pas d’un substitut adéquat.

    À propos de Gail Tverberg

    Je m’appelle Gail Tverberg. Je suis actuaire et je m’intéresse aux problèmes du monde fini — épuisement du pétrole, épuisement du gaz naturel, pénuries d’eau et changement climatique. Les limites du pétrole sont très différentes de ce que la plupart des gens pensent, avec des prix élevés menant à la récession, et des prix bas menant à des problèmes financiers pour les producteurs de pétrole et pour les pays exportateurs de pétrole. Il s’agit en fait d’un problème physique qui touche simultanément de nombreux secteurs de l’économie, y compris les salaires et le système financier. J’essaie d’examiner le problème dans son ensemble.




    Zemmour pour l’Église et contre le Christ

    [Source : lemediaen442.fr]

    Voici une déclaration du Président de « Reconquête ! » passée totalement inaperçue. Nous sommes le samedi 15 septembre 2018, dans l’émission de France Inter « Le Grand face-à-face » qui oppose Raphaël Glucksmann à Éric Zemmour. Lors de cet échange houleux entre les deux hommes, Raphaël Glucksmann rappelle les écrits de Zemmour : « Vous écrivez dans votre livre quelque chose d’intéressant. Vous dites clairement : Je suis pour l’Église et contre le Christ ! » Ce à quoi Éric Zemmour répond avec affirmation :

    « Oui ! Oui, je le dis clairement ! […] Le Christ c’est pas la liberté, c’est la mort ! »



    Les chrétiens pro-Zemmour vont en prendre un coup ! Comment être pour l’Église et contre le Christ ? La Bible dit dans Colossiens 1.18 : « Il est la tête du corps de l’Église ; Il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier. » Sans le Christ il n’y a pas d’Église, car l’Église est le Corps de Christ.

    C’est l’occasion pour nos lecteurs de revenir sur l’analyse de Éric Zemmour que fait Marcel D. :




    Le noachisme, la religion mondiale qui vient

    [Source : bouddhanar]

    [Illustration : source]

    Par Bouddhanar (12/07/2022)

    Il y a quelques années, sur Meta TV, Pierre Hillard révéla l’existence d’une « opposition acharnée, fanatique, continue, de la Synagogue, du judaïsme talmudique, à l’égard de l’Église catholique, et du monde humain ». L’objectif, selon Pierre Hillard, « c’est la volonté d’établir une religion universelle ».

    [Voir aussi :
    Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
    Trump et la kabbale]

    La stratégie pour établir cette religion mondiale, « c’est, dit Pierre Hillard, de créer d’abord le chaos. Et ça, c’est une pensée directement issue de ces courants juifs talmudiques de rabbins qui s’appellent Isaac Louria, aux XVe et XVIe siècles, de Sabbataï Tsevi, au XVIe siècle, et au XVIIIe, de Jacob Frank. Celui qui a lancé cette idée de la rédemption par le péché — c’est l’expression… »

    La rédemption par le péché ?

    C’est l’expression, toujours d’après Pierre Hillard, « Erlösung durch Sünde ». C’est d’abord une perversion. C’est l’idée tordue, vicieuse, tout ce que vous voulez, de créer le malheur en vue d’un bien. Plus le mal est profond, plus la reconnaissance divine sera grande.

    Alors, dans l’Ancien Testament, quand vous avez des sacrifices faits à Yahvé, à un moment donné vous avez cet ordre apparemment fou, donné à Abraham, qui doit sacrifier son fils. Et Abraham est sur le point de le faire. Il est avec son poignard, il est prêt à transpercer son fils. Et on lui retient le poignet, en gros, « non ça se fait pas, on ne tue pas son fils. » Et en échange, il va immoler un bélier… […] Pourquoi ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Cela veut dire que c’était l’offrande la plus belle, la plus agréable aux narines de Dieu, si je puis dire… Car on faisait un méchoui, en gros, après l’avoir poignardé. Parce que c’était son fils, il n’y avait pas d’élément plus proche.

    Bon ! Donc, bien comprendre que plus l’offrande est sacrée, raffinée, haute, plus c’est une offrande agréable à Dieu. Alors évidemment il y a une loi morale, naturelle, qui fait qu’il y a des choses qu’on ne peut pas faire.

    Mais eux, ces gens-là, qui se sont rebellés au sein du judaïsme et qui sont issus du judaïsme talmudique, considèrent que c’est une rédemption qui peut se faire par le mal. Plus le mal est grand, profond, subtil, délicat, plus la récompense divine sera grande.

    Et j’ai toujours pensé que les massacres commis par les nazis à l’égard des juifs en Europe durant la Seconde Guerre mondiale étaient un sacrifice — dans leur théorie folle, tordue, tout ce que vous voulez — utile pour obtenir un bien, car la mort de ces juifs en Europe — en Pologne, en Union Soviétique, etc… aux Pays-Bas, mais eux ont dégommé — eh bien, cette destruction permet d’avoir une offrande qui permet d’obtenir un bien. C’est tordu, c’est malsain.

    C’est Isaac Louria, XVIe siècle, je crois, qui a lancé cette idée. […] C’est un génie cet homme, mais un génie au service du mal — et je dirais à titre personnel, possédé… possédé par le démon, ça c’est sûr, avec ses idées tordues. Mais ses principes ont été repris par deux courants.

    Au XVIIe siècle, par un rabbin qui s’appelait Sabbataï Tsevi, et lui s’est présenté comme le Messie. Les juifs attendent le Messie. […] Ils reconnaissent le Christ comme un personnage humain, historique, mais ils ne le reconnaissent pas comme le Messie — eux l’attendent toujours. Et Sabbataï Tsevi — on est en Europe du Sud, en Europe balkanique — s’est présenté comme le Messie et a eu… sa garde prétorienne. Et, suite à différentes pressions, il s’est faussement converti à l’Islam. Et ce courant faussement converti à l’Islam, tout en conservant en secret des rites judaïques, ça s’appelle les Domne. Et on trouve des traces dans le mouvement avec Atatürk.

    Aussi on comprend pourquoi on trouve des éléments tellement proches de la frange jacobine dans les réformes d’Atatürk. Alors qu’il était officiellement musulman. Comprenez… Il y a des moments où il faut faire le mal, mais voilé… de l’apparence du bien. Et certains même « laissent entendre »… mais c’est à vérifier… enfin, je mets des guillemets, j’ironise, mais je n’irais pas plus loin — que la famille Saoud a des liens judaïques. Il y a des spécialistes qui ont étudié le truc… J’ai lu quelques trucs effectivement… Voilà ; ça, c’est pour la branche musulmane.

    Et puis vous avez une branche catholique chrétienne au XVIIIe siècle qui est Jacob Frank, en Pologne. Lui aussi, pareil, « rédemption par le péché », c’est-à-dire on fait le mal mieux c’est, donc des partouzes, des trucs de sexe, des crimes, tout ce que vous voulez. Tout ce qui peut avilir, c’est bien. « Rédemption par le péché », c’est l’expression officielle.

    Et Jacob Frank et ses amis se sont faussement convertis au catholicisme. Il y a eu quand même des personnes en Pologne à dire — on est au XVIIIe siècle, quand même — il y a des choses pas nettes… Mais il a quand même réussi, lui et ses amis, à se convertir. Et chose très intéressante, quand ils se convertissaient, ils étaient parrainés, ils avaient un parrain. Et Jacob Frank, en tant que meneur dans l’histoire, a eu le plus haut parrain de l’époque, le roi de Pologne, Auguste III. Et chose très intéressante, très souvent ils ont été anoblis, après leur conversion. Très souvent, ils ont eu des avantages financiers qui leur ont permis, à ces juifs faussement convertis au catholicisme, d’obtenir des postes clés au sein de la société polonaise, mais aussi, parce qu’il y a eu des frontières mouvantes, ça a touché aussi des familles allemandes, des familles de Bohème et de Moravie, des familles roturières devenues aristocratiques, et étant donné que la Russie des tsars avait des liens très profonds avec « les Allemagnes » — puisqu’il n’y avait pas d’État allemand — vous avez aussi beaucoup de serviteurs et de nobles allemands à la cour de Russie qui étaient en fait des juifs faussement convertis au catholicisme, on les appelle des frankistes. Comme pour Sabbataï Tsevi, on les appelle les sabbatéens.

    Et donc c’est une manière subtile de véroler ; et parmi ceux qui se sont convertis faussement au catholicisme, il y a eu, avec les générations qui ont passées, certains qui sont revenus à l’état du judaïsme pur — qui ont donc fait marche arrière — puis ceux qui ont maintenu aussi une zone transitoire bizarroïde. Ce qui fait que quand vous vous intéressez à certaines familles, entre autres de la noblesse polonaise, qui se sont faussement converties au catholicisme et qui ont ensuite occupés des postes, vous avez un lointain rejeton qui a la nationalité américaine, qui a travaillé pour le président Carter, et qui est au service du président Obama, qui est officiellement catholique — mais moi à l’époque, il y a des années et des années je me suis disais, il y a un truc qui cloche — Brzeziński !

    Officiellement il (Brzeziński) est catholique, et issu d’une noblesse catholique polonaise, mais en fait il fait partie de cette branche frankiste. Comme aussi vous avez une famille très proche de la famille royale d’Angleterre, et d’ailleurs le mari de la Reine d’Angleterre, le prince Philippe, fait partie de cette famille, c’est la famille Mountbatten.

    En fait, ce sont des frankistes de langue allemande, qui s’appelaient les Battenberg, et les Battenberg sont venus ensuite en Angleterre, et ils ont pris le nom de Mountbatten.

    J’invite les personnes intéressées par le frankisme — parce que là, on touche au cœur — à lire deux ouvrages… l’un de Charles Novak, qui est sorti aux éditions L’Harmattan, vous allez sur Amazon, il y est, sauf s’il est épuisé, et vous avez… c’est une couverture marron avec de profil Jacob Frank.

    Et l’ouvrage par excellence, extraordinaire, qui est un pavé, sur Sabbataï Tsevi, écrit par un historien israélien qui est mort depuis, qui s’appelait Gershom Scholem. Et là vraiment chaque page est un concentré d’informations. D’ailleurs Charles Novak s’appuie beaucoup sur les travaux de Gershom Scholem. Mais si vous voulez commencer en douceur, commencez par Charles Novak sur Jacob Frank.

    Voyez-vous, quand on s’adresse à quelqu’un, il faut toujours voir ses origines sociales, et voir en particulier ce qui a structuré sa mentalité, sa tournure religieuse, philosophique, etc. — et le roi Louis XVI, m’a toujours sidéré — homme très intelligent, le jeune Louis XVI, par bien des aspects très intelligent, cultivé, un homme bon, intègre, des qualités — à titre personnel, j’ai participé le 21 janvier 1993, au bicentenaire de sa mort parce que c’est un innocent qu’on a condamné à mort. Donc je défends sa mémoire, etc. Il n’empêche que je reproche sa mentalité, et les faiblesses entre autres quand il a interdit aux gardes suisses en août 1792 de se battre… eh bien les pauvres gardes suisses se sont fait tués et certains châtrés d’une manière atroce — on aurait dû dire à Louis XVI… Bon ! Mais, j’ai de la sympathie pour cet homme qui avait des qualités humaines — il faut savoir apprécier ça surtout que les chefs d’État ayant des qualités humaines ne courent pas les rues. Mais quand vous avez, par exemple, durant le règne de Louis XVI, le fait qu’il a… — par exemple durant le sacre, un roi de France doit jurer solennellement qu’il doit combattre les hérésies, protestantes et juives ; il a plus ou moins bafouillé lors de ce passage, donc il a mal prononcé. On s’étonne aussi — et c’est absolument anormal pour un roi de France, lieutenant du Christ, n’oubliez pas que dans la monarchie française depuis Clovis, le vrai roi de France c’est le Christ, on est toujours en monarchie en fait, on a toujours un roi, c’est le Christ, et le roi de France n’est que le lieutenant — eh bien, ce lieutenant, qui doit donc suivre les préceptes lancés et avancés par Clovis, et rappelés par Sainte Jeanne d’Arc — je rappelle que lorsque Clovis s’est converti au catholicisme, c’est par l’évêque Saint Rémi — « Courbe la tête, fier Sicambre, brûle ce que tu as adoré, adore ce que tu as brûlé », c’est là que Saint Rémi a rappelé à Clovis la mission qu’avait cet « embryon de France », et c’est Sainte Jeanne d’Arc qui rappelle cette mission au dauphin Charles… je rappelle le pied de nez de la providence, Sainte Jeanne d’Arc est née un 6 janvier, 6 janvier c’est les rois mages, qui rendent hommage au Christ Roi, au roi des nations — et Sainte Jeanne d’Arc… on ne dit pas Jeanne d’Arc, on dit Sainte Jeanne d’Arc, mais ça l’Église conciliaire supprime le « saint », enfin il faut toujours mettre au niveau terrestre, ça, c’est typiquement judaïque aussi…

    Autre remarque, Sainte Jeanne d’Arc est née à Domrémy. Dom, c’est l’abréviation de Domus, la maison de Rémi, par rapport à l’évêque Saint Rémi qui a baptisé Clovis. C’est un rappel… un petit pied de nez de la providence. Il y a ces signes de la providence de la providence, c’est comme — là je vais faire très rapide — quand le tiers État se déclare assemblée constituante le 17 juin 1789, c’est le peuple officiellement qui prend le pouvoir — en fait une oligarchie — c’est une rupture avec le baptême de Clovis, parce que le pouvoir ne vient plus du roi lieutenant du Christ, mais « officiellement » du peuple, en fait d’une oligarchie — eh bien, cent ans auparavant, le 17 juin 1689, le Christ apparut à une religieuse qui s’appelait Sainte Marguerite-Marie, et il lui a dit en gros, que Louis XIV devait faire attention, parce qu’un jour, ce qu’il faisait, et pour ses successeurs, ça tournerait mal, parce que c’est une politique païenne que Louis XIV commençait à faire, quand on prend l’emblème du soleil, c’est l’emblème païen des Incas. Donc le mal est ancien, et le Christ annonce à Sainte Marguerite-Marie que c’est une menace qui se profile… qu’en gros le système monarchique va sauter — eh bien il apparaît le 17 juin 1689, exactement cent ans jour pour jour, mois pour mois, de la date fatidique qui conduit à la rupture de la France monarchique le 17 juin 1789. Il y a des pieds de nez de la providence. Je ferme ce chapitre, mais ce n’est jamais le hasard. Dieu voyage souvent incognito, mais quelquefois il y a des traces…

    Alors, je parlais donc de Jacob Frank, et donc du frankisme, et de Louis XVI… et Louis XVI, il a entre autres violé les paroles du sacre, parce qu’il a, sur sa cassette personnelle, payé les réparations de la Synagogue de Metz. La Synagogue de Metz avait besoin de réparations et Louis XVI a apporté de l’argent. Et vous avez même des fleurs de lys sur la Synagogue de Metz. En tant que roi de France défenseur du catholicisme et luttant contre le judaïsme et le protestantisme, mais ça va ensemble, parce que le protestantisme c’est du christianisme judaïsé, et que les pasteurs sont des rabbins déguisés… — la version communiste : ce sont les commissaires politiques.

    Comment peut-on comprendre une telle tournure d’esprit ? Eh bien, il faut regarder par la mère. C’est souvent la femme qui apporte l’âme du foyer, les idées… L’importance de la femme. Je vous ai dit qu’Auguste III était le parrain de Jacob Frank. La cour royale de Pologne était infestée par ces idées frankistes, et les enfants d’Auguste III étaient imprégnés de ces idées. Auguste III avait une fille, qui s’appelait Marie-Josèphe de Saxe. C’était la mère de Louis XVI, et de Louis XVIII et de Charles X. Donc on voit la filiation… Louis XVI était le petit-fils d’Auguste III de Pologne, parrain de Jacob Frank, faussement converti au catholicisme… Rédemption par le péché. Et là vous comprenez plein de choses…

    En fait, il faut voir les choses matérielles, c’est sûr on est sur Terre — mais voyez ce qui forme « l’âme », la tournure d’esprit, l’origine sociale… quand on s’intéresse…, quand on veut se marier, on n’épouse pas uniquement un tas de viande — et heureusement — on épouse une origine sociale, quand des parents sont pervers et tordus, il y a de grandes chances que les enfants le seront aussi. Donc il faut voir la personne avec qui on veut se marier, mais il faut voir aussi les parents et les grands-parents, parce qu’on est les héritiers à la fois… biologiques, mais aussi les héritiers d’un courant de pensée, d’une spiritualité, d’une « odeur », voilà ! […]

    Donc on voit cette marque. Et puis… je vous citais donc Isaac Louria, Sabbataï Tsevi et Jacob Frank, cette volonté de pervertir… et ça marche, parce que la réussite, en fait, elle s’est produite par… comment dire — avec les générations et le développement du poison, avec Vatican II.

    En fait, après avoir mis à bas la monarchie française, il fallait mettre à bas l’Église catholique. Et Vatican II, c’est une forme de protestantisation humaine, et même plus, c’est une forme de remise de l’Église sous les ordres de la Synagogue. Alors il faut lire — je citais tout à l’heure Gerhart Riegner, qui était le second auprès du Congrès juif mondial, auprès de Nahum Goldmann — et qui a été un des meneurs au sein du Vatican II en liaison avec le cardinal Bea pour reconnaître le judaïsme, d’où les relations entre le catholicisme et le judaïsme — et actuellement il y a une judaïsation complète de l’église conciliaire, car je rappelle que lorsque le pape François est élu Pape le 13 mars 2013, il a quand même reçu les félicitations de la franc-maçonnerie juive d’Argentine, les B’nai B’rith, vous allez sur leur site, c’est officiel. Il a participé aussi aux fêtes Hanouka quand il était cardinal en Argentine, chose absolument anormale. »

    Dans le cadre de la religion universelle qui se met en place, le pape a reçu un étrange cadeau de la part président Nazarbaïev du Kazakhstan.

    Vous avez au Kazakhstan un centre avec toutes les religions — juifs, catholiques, protestants, et musulmans — et pour la représentation catholique vous avez le cardinal Tauran. C’est lui qui a annoncé l’élection du Pape le 13 mars. Donc c’est une représentation archi-officielle. Eh bien, le bâtiment qui représente toutes ces religions au Kazakhstan, c’est quoi ? C’est une pyramide. Et l’ironie c’est que cette pyramide se trouve dans un lieu qui s’appelle Astana, qui est l’anagramme de Satana. Eh bien c’est la pyramide que le président Nazarbaïev du Kazakhstan a offert en cadeau à Benoît XVI. Et d’ailleurs, sur ces bonnes paroles, je vais rappeler les paroles de l’ami Benoît XVI — message de Noël 2005, sur le site du Vatican — on voit que l’Église catholique, les dirigeants de l’Église catholique… conciliaire… sont totalement vérolés — écoutez ce message du pape Benoît XVI, qui disait, je cite :

    « Homme moderne, adulte pourtant parfois faible dans sa pensée et dans sa volonté, laisse-toi prendre par la main par l’Enfant de Bethléem ; ne crains pas, aie confiance en Lui ! La force vivifiante de sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un nouvel ordre mondial, fondé sur de justes relations éthiques et économiques. »

    Il aurait dit, prends la main de l’Enfant de Bethléem, afin de combattre le Nouvel Ordre Mondial et de restaurer la royauté du Christ, j’aurais dit, « Chapeau ! », mais évidemment, issu de Vatican II il ne fallait pas s’attendre à du merveilleux.

    C’est révélateur parce qu’en fait on voit que les papes, depuis Jean XXIII jusqu’à aujourd’hui, sont imprégnés de ce modèle finalement propre à la Synagogue — et pour information, il y a quelques semaines de ça, le pape François a reçu les représentants du Congrès juif mondial, et les représentants ont dit au pape François que les relations entre les juifs et les chrétiens s’étaient vraiment améliorées depuis 5 décennies, donc en fait depuis Vatican II.

    Je rappelle aussi qu’il y a quelques semaines de ça, le cardinal Schönborn, cardinal autrichien, a reçu de la part des B’nai B’rith Europe, un cadeau, une ménorah. C’est le chandelier à sept branches, et vous allez sur le site du B’nai B’rith Europe, à la rubrique news, je crois que c’est du 23 octobre 2013, c’est tout récent. Et à propos de ménorah — et là je vous demande, chers auditeurs de Meta TV, de retenir ceci, en particulier aux Parisiens — ces emblèmes juifs, quand je dis la reprise de la Synagogue sur la société chrétienne, ce n’est pas pour faire peur, c’est la réalité. Et vous avez un élément facteur, vous allez à l’Hôtel de Ville de Paris et vous vous mettez en face avec comme point de référence l’horloge murale. Et vous regardez sur le sol. Sur le sol, gravé sur le sol, sur une longueur de 4, 5 ou 6 mètres, 3 mètres de large, vous avez une représentation stylisée du bateau de la ville de Paris, avec des petits traits qui représentent les vagues… (C’était le symbole de Paris, les bateliers, etc.)

    Un truc joli, je n’ai rien contre au contraire. Donc, les petites vagues, le bateau, avec la coque, et puis je vous dis, c’est un bateau stylisé, le mât et les cordages. Bon. Eh bien je vous demande… Vous regardez bien ça, vous faites le tour, et vous regardez ça à l’envers. C’est-à-dire que vous avez la mairie dans le dos. Eh bien vous regardez sur le sol, à l’envers, c’est une ménorah, le chandelier à 7 branches. Vous avez là la signature sur le sol, une marque juive, sur la ville de Paris. On a envie de dire, « mais pourquoi n’avez-vous pas mis le sacré cœur, par exemple ?… » Après tout, c’est une chose qui a été demandée par le Christ à Sainte Marguerite-Marie en 1689. Non, c’est une ménorah. En fait, c’est comme les chiens qui mettent leur odeur, eux aussi, ont leurs odeurs à eux, mais là c’est une… comment dire, une marque physique…

    [Source]

    En fait, ce n’est même pas caché, c’est le bateau stylisé, avec le mat et les cordages, c’est en ligne droite… et donc quand on regarde à l’envers, ce sont les branches de la ménorah qu’on voit.

    On a envie de dire, « mais pourquoi ?… », Mais en fait, cela rentre dans le cadre planétaire. Car je vous dis, blocs gouvernementaux, gouvernance mondiale, régie par une tournure d’esprit, une religion universelle.

    C’est quoi ? C’est le noachisme.

    Noachisme… Noé. D’ailleurs pour information, il y a un film qui sort dans quelques mois sur Noé… avril 2014, dans ces eaux là, j’ai vu la bande-annonce et j’ai envie de dire « mais pourquoi font-ils un film sur Noé ?… » Alors on voit, avec le Déluge, donc… Là aussi, ayez le coup d’œil.

    Je vais vous citer un exemple très concret, très rapidement, avant de reprendre le coup du noachisme, vous avez un film qui est sorti il y a quelques mois, je crois que c’est un film canadien, « Assault on Wall Street ». Il raconte l’histoire d’un américain, une trentaine d’années, marié, qui appartient à la classe moyenne, et est convoyeur de fonds. Il a souscrit à différentes assurances, et puis il boursicote un peu via des traders de la finance. Le problème pour cet homme, c’est que sa femme est atteinte d’un cancer, et ça coûte une fortune. Et normalement les assurances sont là pour couvrir ; et manque de pot, il y a écrit en tout petit, que pour les maladies très graves… eh bien… non. Alors le pauvre homme va tout dépenser à l’insu de sa femme, il ne veut pas lui faire peur et l’inquiéter… mais peu à peu il perd tout. Et puis l’argent qu’il avait mis de côté et qu’il voulait utiliser, et qui a donc été… — il avait boursicoté… — cet argent a été — pour lui et pour tant d’autres — rincé par des requins de la finance, ce qui fait que cet homme a financièrement tout perdu, et même son métier il le perd, parce qu’il est convoyeur de fonds, et étant donné qu’il perd beaucoup d’argent, qu’il en a besoin, eh bien on le fout à la porte, on le licencie, parce qu’en tant que convoyeur de fonds il aurait peut-être des tentations. Donc il perd son métier. Et sa femme, elle, se suicide, parce qu’elle ne veut pas, je vais dire, amener à un gouffre financier. En fait elle ne se rend même pas compte à quel point la situation est désastreuse. Ce convoyeur de fonds en a marre, et va se venger. C’est un ancien militaire. Il va récupérer des armes, et va buter les requins de la finance. Et à mon avis, plus d’un Américain et d’un Canadien qui a vu le film a dû se frotter les mains — il les butte ! — mais il en butte, pas deux/trois, il les butte ! Et l’agence financière, composée de requins, qui vraiment l’ont plumé lui et d’autres. L’agence s’appelle… L’agence Huxley.

    C’est comme le film « Elysium », avec Matt Damon et l’actrice américaine qui parle très bien le français, Jodie Foster… L’histoire c’est quoi ? C’est une humanité qui est réduite à l’état de pauvreté… Vous avez toutes les langues, l’anglais, l’espagnol, puis un sabir moitié anglais, moitié espagnol, puis vous avez la minorité ultra-riche qui vit dans un vaisseau spatial au-dessus de la Terre, qu’on voit d’ailleurs de la Terre. (Vaisseau qui a l’aspect d’un pentagramme.)

    Un pentagramme dirigé par Foster qui est une sorte de grand secrétaire… Dans la version américaine, comment s’appelle le secrétaire ? Rhodes ! Ces gens-là, qui font ces films ont une véritable culture politique, historique… Ils n’ont pas mis Smith, non, ils ont mis Rhodes, comme l’agence Huxley. Voilà, ils ont une envie perverse, tordue, de savourer, en rappelant les noms. Voilà. Alors c’est comme la ménorah et le bateau de la ville de Paris à l’envers. Alors cette religion qu’ils veulent mettre en place, c’est le noachisme.

    Le noachisme — c’est donc Noé — obéit à ces critères. Ce sont en fait des magistrats — des commissaires politiques — pour vérifier la bonne application des 7 lois, contre le vol, contre l’inceste, bon des choses bonnes, et là où ça va coincer… contre le polythéisme. Alors, le judaïsme, c’est le dieu unique, pas de problème, l’islam, c’est le dieu unique, pas de problème, pour les catholiques, pour les chrétiens, le catholicisme est une religion monothéiste. Mais pour les juifs, comme pour les musulmans, ils considèrent le catholicisme comme un polythéisme en raison de la Sainte Trinité, Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit. Donc, on est ce qu’ils appellent des trithéistes — trois dieux. Donc des idolâtres, et donc il faut que ça soit supprimé. Donc il faut procéder à une réforme du catholicisme, faire en sorte que la Sainte Trinité — qui est un dogme, donné par le Christ, le Messie pour les catholiques — eh bien, il faut supprimer ça, et en plus supprimer le côté messianique du Christ… le reconnaître comme un être historique, officiel, mais humain. Et mettre en place ce qu’ils appellent — et c’est le rabbin Benamozegh dans son livre « Israël et l’humanité » — qui dit qu’il faut mettre en place un, je cite, « catholicisme d’Israël ». Un catholicisme judaïsé aux normes talmudiques. Je ne fais que reprendre… C’est factuel. On aime, on n’aime pas, c’est comme ça, et on s’y plie. Et donc ça doit gérer tout ça.

    Et Vatican II, c’est une judaïsation aux normes du noachisme, pour peu à peu procéder à une mutation — oh, progressive, pas étalée sur un an, deux ans, mais sur des dizaines d’années — donc peu à peu on observe une mutation profonde qui va très loin puisque vous avez déjà un État, les États-Unis — et vous pouvez tout à fait le vérifier — dans un document du Congrès des États-Unis du 26 mars 1991, a reconnu le noachisme comme socle de la société américaine. Le terme en anglais c’est « bedrock » ; c’est les lois noachides.

    En fait, le noachisme, c’est quoi ?

    En plus des 7 lois… je vous en ai cité quelques-unes… contre l’inceste, le vol, mais surtout contre le polythéisme ; et des magistrats / commissaires politiques pour verrouiller tout ça… C’est une hiérarchisation de l’humanité, avec, de haut en bas, un dieu unique ; tout en bas, ce qu’on appelle les gentils, c’est-à-dire les non-juifs, c’est-à-dire les noirs, les blancs, les Asiatiques, les métisses, tout ce que vous voulez, et entre les deux, un peuple prêtre, le peuple juif, qui n’obéit pas aux lois du noachisme. Il est l’intermédiaire, le prêtre sacrificateur entre le dieu unique et l’humanité, régie par cette religion universelle, non juive. C’est ça la finalité… Donc toute la mutation en cours, c’est pour aboutir à une humanité nomade, comme dit si bien Jacques Attali, qui dit comme par hasard que Jérusalem doit être la capitale. […]

    Je veux dire par là… que ça fasse un peu réfléchir les gens. « Pourquoi Jérusalem ? » Et donc, les blocs continentaux avec des populations mélangées, déracinées, d’où la construction, la mise en place, d’entités administratives artificielles… — qu’on voit avec la Révolution française — mais qu’on remarque à travers les générations… via l’Union Européenne, etc. Donc des gens déboussolés, déracinés, coupés de leurs traditions, avec en plus la théorie du genre — on est pas homme on est pas femme on le devient, on est du Vincent Mc Doom à tous les coins de rue, enfin je ne devrais pas dire ça parce que c’est une victime, cet homme, — et une religion donc, gérant tout cela, et un peuple au-dessus de tout cela, le peuple juif. Mais je ne fais que reprendre les travaux du rabbin Benamozegh, qui ne fait que reprendre les travaux, je vais dire, bimillénaires. Donc la tentative de remise en place de la Synagogue sur l’Église catholique. D’où l’excellente expression de — je le citais — Monseigneur Delassus, « La conjuration antichrétienne, le temple maçonnique voulant s’élever sur les ruines de l’Église catholique », le maçonnisme n’étant qu’une extension du bras du judaïsme talmudique. Donc c’est ça…

    Et très intéressant dans le judaïsme talmudique et le noachisme en particulier, c’est cette volonté de supprimer les intermédiaires. Parce que ce qu’ils disent, en particulier le catholicisme, qui est à abattre pour eux, concerne des intermédiaires. Il est impossible de faire revenir le roi des juifs. Il faut — je ne fais que prendre ce qu’ils disent — il faut effacer les intermédiaires. Le premier intermédiaire qu’il fallait effacer, c’était le roi de France, lieutenant du Christ, intermédiaire entre le Christ et le peuple français. Donc il fallait le détruire ; 21 janvier 1793… c’est bon. C’est un intermédiaire qui disparaît.

    L’autre intermédiaire qu’il faut faire disparaître c’est le pape, vicaire du Christ, intermédiaire entre le dieu trinitaire et l’humanité, qu’elle soit catholique ou non catholique, car par définition, le catholicisme est universel.

    Donc quand on aura fait disparaître les intermédiaires, la place sera libre pour finalement laisser cette humanité non-juive avec une vision purement horizontale — non plus verticale avec des intermédiaires, le roi de France et le pape — vision horizontale, terrestre, plaisirs matériels et charnels… et un autre intermédiaire prendra la place pour assurer la soudure : le peuple prêtre, le peuple juif.

    C’est ça, le mondialisme est un messianisme. Retenez cette expression, « le mondialisme est un messianisme ». D’où la prière du 23 septembre 2012 où toutes les communautés juives du monde — et c’est sur Dailymotion ou YouTube, vous avez l’embarras du choix — ont récité une courte prière pour le retour du messie, sous-entendu le roi des juifs, le Mashia’h, car s’ils l’ont fait, cela veut dire que leur colonisation matérielle et spirituelle du monde est suffisamment avancée pour laisser la place à leur messie, roi des juifs, roi matériel et charnel, pour établir la primauté d’Israël. C’est une prière qui a été dite par toutes les communautés juives officielles, en France, aux États-Unis… Et donc, ça veut dire, quand j’ai appris ça, à l’époque, je me suis dit qu’ils estiment que leur colonisation planétaire est presque arrivée…

    C’est-à-dire que depuis des générations, ils ont réussi à mettre les éléments temporels et spirituels permettant l’édification de l’édifice [Pierre Hillard dessine une pyramide avec ses mains] permettant d’être couronné ensuite, par le roi des juifs, qui va régner sur le peuple prêtre, l’intermédiaire entre le dieu unique et les gentils…


    Vidéo :


    Jakob Frank, le faux messie

    de Charles Novak

    Le frankisme, un révélateur des déchirements de la vie juive au XVIIIe siècle. Nous souhaitons tout d’abord souligner la fulgurante ascension sociale des membres de la secte après leur conversion, dans les hautes sphères de l’aristocratie, de la politique, de l’art ou de la culture européens.

    De par cette conversion collective, mystique et messianique, il nous apparaît que le mouvement frankiste fut révélateur des soubresauts et des déchirements de la vie juive dans le monde ashkénaze, au cours du XVIIIe siècle : pogroms, communautés décimées, tentation de l’assimilation ou de la résistance face au monde chrétien, misère sociale, non-partage du savoir rabbinique ou orthodoxie, tous ces facteurs prouveraient un désir immédiat d’un sauveur, d’un Messie.

    Ce désir du Messie sauveur immédiat ou futur montrerait selon nous, à quel point le monde juif européen de l’époque est tourmenté et divisé.

    Le hassidisme et le frankisme naissent à quelques années d’intervalle et dans la même zone géographique. Ils sont « une vulgarisation de la Kabbale ». L’opposition apparente de ces deux mouvements peut laisser entrevoir que les choix pour survivre en tant que juifs furent extrêmes pour les Juifs d’Europe de l’Est.

    Depuis le XIXe siècle, de nombreuses études ont été réalisées sur le hassidisme du Baal Chem Tov, mais probablement pas assez sur le mouvement frankiste, l’autre facette des déchirements de la vie juive ashkénaze de l’époque, dont les sources sont rares.

    Le mouvement frankiste nous paraît fondamental dans l’histoire juive : si d’une part l’assimilation face à une ferveur et d’autre part une attente messianique représentent les deux faces d’une même crise, le frankisme nous semble symboliser l’ensemble de ces facteurs.

    Depuis la connaissance de l’existence du mouvement frankiste, beaucoup de chercheurs ont eu grand-peine à l’étudier. Tout d’abord, il me semble capital de me libérer de l’opinion de Graetz, qui a vu le mouvement de Jacob Frank comme étant le mouvement hérétique, le plus nauséabond de l’histoire juive. Ceci a largement orienté les opinions futures. Ensuite, Kraushar, l’historien polonais du frankisme de la fin du XIXe siècle, s’est converti subitement au catholicisme, ce qui provoqua un choc dans le monde juif. Ces deux faits, à quelque soixante années d’intervalle, ont terni, aux yeux de la recherche, l’image de ce mouvement. Depuis, ce n’est qu’avec recul et restriction que les chercheurs actuels se penchent sur ce sujet, voire ne s’y penchent pas du tout, comme Moshe Idel, spécialiste de la mystique juive, du hassidisme, et du sabbataïsme, jusqu’en 1750 ; ou encore, Gershom Scholem au début de ses recherches sur la mystique juive. Et il n’y a, à notre connaissance, aucun chercheur sur le frankisme en France. Il me semble pourtant que ce sujet est un vaste champ de recherches pas assez approfondi, qui a considérablement marqué le monde juif d’une part, et le monde chrétien de l’autre. Il pose sous un nouvel éclairage les problématiques du converti, de la mystique juive, du messianisme et de la transmission de la Kabbale vers d’autres religions…




    César, Mammon et Dieu, quel choix ferons-nous ?

    [Source : chisinauforum ou @chisinauforum]

    Par Dimitri Mottier






    Pourquoi le christianisme et l’Occident seront exterminés — une histoire de Jacob (Israël) et d’Ésaü (Rome)

    [Source : martinvrijland.nl]

    Par Martin Vrijland

    La raison pour laquelle l’Amérique et l’Europe seront mises à terre se trouve dans la généalogie de Noé et de son descendant Abraham. Vous vous souvenez des accords d’Abraham ? Il s’agissait d’un traité organisé par le gendre de Donald Trump, Jared Kushner (sur ordre de Trump), pour unir les Arabes et les Juifs. En fait, nous pouvons faire remonter tout ce qui se passe sur la scène mondiale à la généalogie de Noé (et donc d’Abraham), ce qui explique aussi pourquoi des lois noahites seront bientôt introduites dans le monde entier.

    Les accords d’Abraham jouent un rôle important dans la reconnaissance et la compréhension de ce qui se passe à Gaza et en Israël. La position défendue ici est que la paix a été signée depuis longtemps entre les Palestiniens (Arabes) et les Juifs, à l’époque des accords d’Abraham. Les bases de ces accords auraient déjà été jetées sous Bill Clinton, lors des négociations de Camp David en 2000. La thèse est que les descendants d’Abraham (selon l’arbre généalogique ci-dessous) ont fait la paix et ont décidé de s’entraider.

    Si vous regardez l’arbre généalogique ci-dessous (tiré de Wikipédia), vous pouvez garder deux choses à l’esprit. La première est que le géniteur de tout cela est Noé et la seconde est que, selon la tradition, un géniteur donne sa bénédiction à un fils (de préférence l’aîné).

    Noé, c’est la personne après le fameux déluge mythologique. Dans les 3 livres que j’ai écrits en 2023, on découvre que la généalogie a tout à voir avec l’histoire cyclique et la rematérialisation des codes lignagers sauvegardés, mais aussi qu’il existe un scénario directeur selon lequel le monde est gouverné. Et ce scénario directeur est basé sur les croyances religieuses de tous les peuples qui semblent aujourd’hui s’opposer sur la scène mondiale.

    Dans cette croyance, il y a une sorte de croyance selon laquelle le peuple juif est le descendant de Jacob. Jacob aurait changé son nom en Israël après s’être disputé avec un « être divin ». Jacob aurait reçu la bénédiction généalogique de Dieu par tromperie. En effet, son père, Isaac (le fils aîné et béni d’Abraham), est devenu aveugle plus tard dans sa vie et a voulu donner sa bénédiction à Ésaü (au lieu de Jacob). Jacob et Ésaü étaient deux frères jumeaux. Jacob a volé la bénédiction divine à Ésaü parce que sa mère l’a vêtu d’une toison d’agneau pour imiter la sensation des bras poilus de Jacob pendant qu’Ésaü chassait. C’est ainsi que l’aveugle Isaac a pris Jacob pour le poilu Ésaü.

    En d’autres termes, Jacob/Israël a volé la bénédiction divine (la préférence divine) à Ésaü et c’est pour cette raison que les Juifs s’appellent eux-mêmes le peuple élu de Dieu. Après tout, leur géniteur est Israël (Jacob, qui a changé son nom en Israël) et le père Isaac a peut-être découvert la tromperie, mais n’a pas pu inverser la bénédiction. Il a donc institué la règle selon laquelle Ésaü devait désormais servir Jacob. Jetez un coup d’œil à l’arbre généalogique et lisez la suite ci-dessous.

    Ce qui est intéressant, c’est que Jacob (Israël) et Ésaü étaient deux frères jumeaux. Ésaü était poilu et le premier-né des deux. On dit que Jacob a tenu le talon d’Ésaü pendant la naissance. C’est l’origine du nom Jacob, qui signifierait « qui tient le talon ». Or, certains mouvements juifs affirment que ce talon fait référence à la botte que l’on peut reconnaître sur la carte de l’Italie. Si Jacob (Israël) a tenu le talon d’Ésaü, l’Italie (et donc Rome) représente Ésaü. Et puisque Rome (l’Église romaine) serait le fondateur du christianisme, ils en concluent que le christianisme appartiendrait à la tribu d’Ésaü.

    [Note de Joseph : en toute logique, si Jacob a volé la bénédiction, il ne peut en découler qu’une suite contraire au dessein divin ou cosmique pour la Terre. Et, en toute justice, ceci devra alors être réparé, ce qui semble être annoncé par le texte de l’Apocalypse de Jean et les prophéties du Christ. Il n’est pas non plus à chercher loin quelle est l’entité inspiratrice du vol. Voir aussi :
    Coïncidences concernant Trump et Israël
    Trump et la kabbale
    La synagogue de Satan
    Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
    Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent]

    C’est maintenant que cela se passe. Parce que Jacob (c’est-à-dire Israël) est censé avoir reçu la bénédiction de son père Isaac (fils d’Abraham), les Juifs (les Israélites, les descendants d’Israël) pensent que les descendants d’Ésaü (l’Occident chrétien) devraient les servir. Cela n’est peut-être pas proclamé publiquement, mais si vous consultez les présentations du rabbin Mendel Kessin, vous trouverez cette pensée. Les caractéristiques d’Ésaü sont qu’il est fort et violent. L’Occident fort et violent (en particulier les États-Unis, la nouvelle Rome) soutient Israël à la fois financièrement et militairement sur tous les fronts en raison de la simple mission du géniteur Isaac (fils d’Abraham — petit-fils de Noé) : Israël a reçu la bénédiction et Ésaü a dû servir Israël.

    On pourrait donc dire que tout ce que fait Ésaü (tout ce que fait l’Occidental) sert Israël, parce que c’est ainsi que cela est dit dans l’histoire religieuse et parce que les dirigeants du monde tissent ces scénarios religieux comme des principes directeurs dans tous leurs choix et leurs actions. Ainsi, la richesse gagnée dans l’Occident chrétien (Europe et États-Unis) doit aller d’Ésaü (l’Occident chrétien) à Jacob (Israël).

    Cependant, il semble aujourd’hui que les accords d’Abraham remontent un peu plus loin dans l’arbre généalogique. En effet, Israël (Jacob) était un fils d’Isaac, qui était lui-même un fils d’Abraham. Mais Abraham avait d’autres fils. Et c’est là qu’intervient Ismaël (en anglais : Ishmael). Ismaël est considéré par les Arabes comme leur géniteur. Ismaël est considéré comme le fils premier-né du prophète Ibrahim (Ibrahim = Abraham dans la tradition judéo-chrétienne) et de sa femme Agar. Selon le Coran, Dieu a béni Ismaël et sa mère, et Ismaël est considéré comme un prophète dans l’islam. Le prophète Mahomet est considéré comme un descendant d’Ismaël.

    Si donc, avec les accords d’Abraham (Ibrahim pour les musulmans), il a été décidé que les descendants d’Ismaël et les descendants d’Israël représentent les mêmes droits et si les musulmans sont considérés comme les descendants d’Ismaël et les juifs comme les descendants d’Israël, alors les descendants d’Ésaü (doivent servir Rome, le talon, la botte, le christianisme, l’Occident) doivent servir Ismaël et Israël.

    Et lorsque vous comprenez cela, vous comprenez pourquoi l’Occident chrétien sera complètement démoli et miné dans les temps à venir. Cependant, tout cela est censé finir par prendre la forme du scénario prophétique de la fin des temps, où un descendant de la lignée de David (qui remonte également au géniteur Abraham, et donc à Noé) s’avérera être le grand pacificateur et prendra la place du temple reconstruit de Salomon. Dans ce scénario, ce pacificateur semble être Donald Trump. C’est ce que je soutiens, et bien d’autres choses encore, dans le livre Le Phénix se lèvera bientôt et nous avons déjà vu la première indication dans le couronnement de Trump en tant que roi d’Israël le 10 juillet 2023.

    Plongez-vous dans l’arbre généalogique, plongez-vous dans le scénario (tel qu’il est expliqué dans le livre), puis regardez la vidéo ci-dessous et laissez-vous imprégner.

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    Le lobby de l’Armageddon. Comment les sionistes chrétiens influencent la politique américaine

    [Source : geopolitika.ru via strategika.fr]

    Par Leonid Savin

    Bien que les bombardements de la bande de Gaza par les troupes israéliennes aient détruit non seulement des hôpitaux et des mosquées, mais aussi des temples chrétiens, de nombreuses personnes qui se disent chrétiennes et ne sont pas juives de souche soutiennent activement les actions d’Israël. D’où vient ce phénomène ?

    Le fait est que le sionisme, en tant que mouvement politique juif, est apparu à la fin du 19e siècle, mais des idées similaires sont apparues bien plus tôt. Et, paradoxalement, elles sont nées dans un environnement chrétien.

    La naissance du sionisme puritain

    Les premiers partisans notoires de l’immigration des Juifs d’Europe en Palestine ont été les puritains. Cette secte protestante est apparue à la fin du 16e siècle et est devenue très influente en Angleterre et, plus tard, dans les colonies américaines. Ils ont manifesté un intérêt considérable pour le rôle des Juifs dans l’eschatologie, ou, en d’autres termes, la théologie de la fin des temps.

    Par exemple, John Owen, théologien du 17e siècle, membre du Parlement et administrateur à Oxford, enseignait que le retour physique des Juifs en Palestine était nécessaire à l’accomplissement des prophéties de la fin des temps. En 1621, Sir Henry Finch a écrit un sermon appelant au soutien du peuple juif et à son retour dans sa patrie biblique.

    L’un des courants les plus influents du sionisme chrétien est le dispensationalisme, un système d’interprétation qui utilise les informations de la Bible pour diviser l’histoire en différentes périodes d’administration ou dispensations et qui considère que le terme biblique « Israël » fait référence à la nation ethnique juive établie en Palestine.

    Le dispensationalisme a été développé à l’origine par le prédicateur anglo-irlandais John Nelson Darby au dix-neuvième siècle. Darby (photo, ci-dessus) croyait que les destinées d’Israël et de l’Église chrétienne, ordonnées par Dieu, étaient complètement séparées, cette dernière devant être physiquement « enlevée » — élevée à la rencontre de Jésus — avant la période de bouleversements prédite dans l’Apocalypse, appelée la Grande Tribulation.

    Selon Darby, la Grande Tribulation commencera après la construction du troisième Temple juif sur le Mont du Temple à Jérusalem. Pendant la Grande Tribulation, selon cet enseignement, 144 000 Juifs se convertiront au christianisme, ce qui leur révélera les véritables intentions de l’Antéchrist. Ils deviendront ainsi l’épicentre de la conversion à la foi chrétienne de tous les incroyants qui n’auront pas été enlevés.

    Ce sont ces 144 000 juifs convertis qui rencontreront l’Antichrist lors de la bataille finale appelée Armageddon et qui vaincront l’Antichrist. Après cette bataille, les sept années de tribulation prendront fin et Jésus reviendra pour emprisonner Satan et établir un royaume messianique de mille ans sur la Terre.

    Malgré son absurdité et l’absence de toute référence dans la Bible, le concept de transfert physique des chrétiens au ciel à la veille de l’Armageddon a été adopté avec enthousiasme par certaines églises en Angleterre et surtout aux États-Unis.

    L’approche de Darby en matière d’eschatologie chrétienne coïncide avec des développements similaires dans le domaine de l’eschatologie juive, à savoir les idées du rabbin Zvi Hirsch Kalisher (illustration ci-dessus) et la création d’une nouvelle branche du messianisme juif. Ses représentants estimaient que les Juifs devaient œuvrer activement pour hâter la venue de leur messie en immigrant en Israël et en construisant le troisième temple sur le site du mont du Temple à Jérusalem, où se trouve la mosquée Al-Aqsa.

    Darby lui-même a voyagé à travers l’Amérique du Nord et plusieurs autres pays pour populariser ses idées, rencontrant plusieurs pasteurs influents dans le monde anglophone. Parmi eux, James Brooks, le futur mentor de Cyrus Scofield (photo, ci-dessus), qui diffusera plus tard le concept, et dont l’interprétation sera publiée à grand tirage aux États-Unis et connue sous le nom de Scofield Bible.

    Un autre personnage influencé par la doctrine de Darby fut le prédicateur américain Charles Taze Russell (photo, ci-dessus), dont l’église donna plus tard naissance à plusieurs sectes différentes, y compris les Témoins de Jéhovah (une organisation dont les activités sont interdites dans la Fédération de Russie). Des décennies avant la fondation du sionisme politique moderne, Russell a commencé à prêcher — non seulement aux chrétiens, mais aussi aux juifs des États-Unis et d’ailleurs — la nécessité d’une immigration juive massive en Palestine.

    En 1891, Russell a écrit une lettre à Edmond de Rothschild, membre de la famille bancaire Rothschild, ainsi qu’à Maurice von Hirsch, riche financier allemand d’origine juive, pour leur faire part de son projet de colonisation de la Palestine. Il décrit son projet comme suit : « Ma proposition est que de riches Juifs achètent à la Turquie, à une juste valeur, tous ses droits de propriété sur ces terres, c’est-à-dire toutes les terres publiques (terres n’appartenant pas à des propriétaires privés), à condition que la Syrie et la Palestine soient constituées en États libres ».

    Le livre « L’État juif » de Theodor Herzl, considéré comme le fondateur du sionisme, n’a été publié qu’en 1896.

    Le prédicateur américain William E. Blackstone, fortement influencé par Darby et d’autres dispensationalistes de l’époque, a également passé des décennies à promouvoir l’immigration juive en Palestine comme moyen d’accomplir les prophéties bibliques. Ses efforts ont abouti à la Blackstone Memorial Petition, qui appelait le président des États-Unis de l’époque, Benjamin Harrison, et son secrétaire d’État, James Blaine, à prendre des mesures « en faveur du retour de la Palestine aux Juifs ».

    Parmi les signataires de la pétition figuraient les banquiers J. D. Rockefeller et J. P. Morgan, le futur président des États-Unis William McKinley, le président de la Chambre des représentants Thomas Brackett Reed, le juge en chef Melville Fuller, les maires de New York, Philadelphie, Baltimore, Boston et Chicago, les rédacteurs en chef du Boston Globe, du New York Times, du Washington Post et du Chicago Tribune, ainsi que des membres du Congrès, des hommes d’affaires influents et des membres du clergé.

    Bien que certains rabbins figurent parmi les signataires, la plupart des communautés juives américaines s’opposent au contenu de la pétition. En d’autres termes, l’objectif premier du sionisme, avant même qu’il ne devienne un mouvement, était largement soutenu par l’élite chrétienne américaine.

    L’essor moderne

    Pourtant, pendant la première moitié du 20e siècle, le sionisme chrétien n’était pas très répandu ni très influent aux États-Unis.

    Cependant, le prédicateur Billy Graham, qui entretenait des relations étroites avec plusieurs présidents, dont Dwight Eisenhower, Lyndon Johnson et Richard Nixon, est entré dans l’arène. Enfin, le dispensationalisme entre dans le courant dominant du discours politique américain avec le prédicateur évangélique Jerry Falwell (photo, ci-dessous), qui fonde la Moral Majority en 1979.

    Hal Lindsey est un autre dispensationaliste de premier plan qui exerce une grande influence politique et littéraire. Ronald Reagan a été tellement touché par ses livres qu’il l’a invité à prendre la parole lors d’une réunion du Conseil de sécurité nationale sur les plans de guerre nucléaire et en a fait un conseiller influent auprès de plusieurs membres du Congrès et de responsables du Pentagone.

    Aujourd’hui encore, le parti républicain s’appuie fortement sur les sionistes chrétiens pour obtenir de l’argent et des votes. Ils exercent une profonde influence sur l’idéologie du parti.

    Aujourd’hui, les sionistes chrétiens aux États-Unis ont plusieurs noms. Certains les appellent le « lobby de l’Armageddon », d’autres l’« AIPAC chrétien » (American Israel Public Affairs Committee).

    Les sionistes chrétiens eux-mêmes sont environ 20 millions aux États-Unis, et ils parrainent la migration des Juifs vers Israël depuis l’Éthiopie, la Russie, l’Ukraine et d’autres pays. Ils sont en fait plus nombreux que les Juifs ethniques dans le monde, bien que tous les Juifs ne soutiennent pas le sionisme.

    Sous l’administration de George W. Bush Jr. et surtout à la veille de l’invasion américaine de l’Irak en 2003, l’administration a également été fortement influencée par les sionistes chrétiens sous la forme de néoconservateurs. Lors d’une interview accordée à 60 Minutes en octobre 2002, Jerry Falwell a même déclaré : « Je pense que nous pouvons désormais compter sur le président Bush pour faire ce qu’il faut pour Israël à chaque fois ».

    Falwell faisait référence aux actions du président Bush en avril 2002, lorsqu’il a fermé les yeux sur les actions israéliennes en Cisjordanie lors de l’opération « Mur de protection ». Falwell a rencontré le président Bush à plusieurs reprises au cours de son premier mandat, notamment pour discuter du soutien des États-Unis à Israël. Selon lui, les opinions du président sur Israël correspondaient aux siennes.

    Les sionistes chrétiens ont également contribué à l’éviction du député démocrate Jim Moran, qui a laissé entendre que le lobby juif l’avait fait au profit d’Israël. Enfin, le Congrès apostolique et le groupe Americans for a Secure Israel ont fait échouer le plan de Bush visant à résoudre le conflit entre Israël et les Palestiniens en inondant la Maison Blanche de pétitions.

    Il existe également aux États-Unis une organisation appelée United Christians for Israel, fondée en 2006 par le pasteur John Hagee (photo, ci-dessus) et qui compte plus de sept millions de membres. Elle compte parmi ses membres l’ancien chef de la CIA et secrétaire d’État Mike Pompeo, l’ancien vice-président Mike Pence et le faucon bien connu John Bolton. Tous ont été très actifs pendant la présidence de Donald Trump.

    Lors d’un discours au Kansas en 2015, Pompeo a ouvertement déclaré qu’il croyait à « l’enlèvement des chrétiens » et a déclaré dans une interview qu’en tant que chrétien, il pensait que « Dieu a choisi Trump pour aider à sauver les juifs de la menace de l’Iran. »

    Ce sont les sionistes chrétiens qui ont fait pression sur Donald Trump pour qu’il reconnaisse Jérusalem comme capitale d’Israël et sa souveraineté sur le plateau du Golan occupé. Le pasteur Robert Jeffress, de la First Baptist Church de Dallas et partisan de Trump, a dirigé une prière pour la paix à Jérusalem lors du déménagement de l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv le 14 mai 2018. Il a qualifié cet événement de « capital dans la vie de votre nation et dans l’histoire de notre monde ».

    Une autre entité américaine, Proclaiming Justice for the Peoples, défend également les intérêts d’Israël. Fin octobre 2023, elle a commencé à demander la démission du Secrétaire général de l’ONU pour avoir critiqué les actions d’Israël à l’égard des Palestiniens.

    Comme on peut le voir, la question du soutien à Israël a une histoire plus longue et plus complexe que sa création en 1948.

    Alors que de nombreux juifs nient l’existence même de l’État d’Israël, qu’ils considèrent comme une violation des commandements talmudiques (par exemple, le mouvement hassidique Naturei Karta), les adeptes des confessions chrétiennes soutiennent ardemment Israël et justifient toutes les actions de son gouvernement, y compris la répression des Palestiniens.

    Les protestants américains, qui lient le sort d’Israël à leur vision eschatologique du monde, jouent bien entendu un rôle considérable à cet égard. Et parmi eux se trouvent des personnalités politiques influentes qui prennent des décisions sur la politique étrangère des États-Unis.

    Traduction par Robert Steuckers




    Truman et le procès de la CIA

    [Publication initiale : dedefensa.org]

    Par Nicolas Bonnal

    Le 21 décembre 1963, un mois après un inopiné accident de voiture, l’ex-président Truman, célèbre pour sa doctrine éponyme, sa Guerre Froide, sa bombe d’Hiroshima, sa guerre de Corée, sa bombe de Nagasaki, son OTAN et autres merveilles rédige une maladroite lettre publiée le matin et censurée le soir même.

    Il s’interroge sur le destin de son enfant terrible, la CIA. Et sans le vouloir, il nous révèle (confesse ?) plus de choses que dix imaginatifs articles conspirateurs. Cochin et Tocqueville nous le disaient déjà (lisez mon livre sur Littérature et conspiration) : pourquoi en effet avoir recours aux conspirations quand il s’agit le plus souvent de pratiquer la théorie de la constatation dans les textes officiels ? Le système est en effet sûr de lui : il ne cesse de confesser ses crimes et ses erreurs, préférant se fier à notre ineptie !

    Truman regrette donc le détournement et la détérioration de la CIA (pour notre ami Ralph Raico, la CIA est dès le début «comiquement inepte », inspiratrice de coups pourris et des pires scénarios hollywoodiens — voyez et revoyez le génial film germano-américain Red avec Bruce Willis). Et cela donnait ceci : Truman rappelle que l’on avait besoin d’intelligence et d’informations pour mieux agir. Son efficacité, écrit-il avec pompe, dépend de la qualité de ses informations. Or cette information, toute cette intelligence s’entasse et devient encombrante. Il y a tant d’agences et de sous-branches qui en collectent… Truman précise alors qu’il en résulte des conclusions conflictuelles. Cela lui rappelle cet ordinateur qui pronostiquait la victoire au Vietnam pour 1965. On était en 1967. Le temps passe, surtout si on ne sait pas le remonter.

    Conclusions conflictuelles, Monsieur le Président ? Les uns prônent le bombardement, les autres l’extermination ?

    Enfin, une belle cerise sur le gâteau : l’ex-mandataire de la plus grande puissance du monde (et de tous les temps d’ailleurs) rappelle que l’on accumulerait des rapports orientés pour renforcer des décisions déjà prises (l’Irak et les ADM ; la Russie et ses invasions ; la Syrie et ses armements chimiques ; l’Iran et le terrorisme).

    C’est à croire que les sévices secrets travaillent comme notre presse aux ordres. Comme les courtisans du roi nu d’Andersen ils s’aveuglent pour mieux servir les desiderata du nouveau pion élu ! Iran, prends garde.

    De toute manière un président ça sert d’abord (comme la géographie de notre Yves Lacoste) à faire la guerre. Que lui importe l’intelligence alors ? À creuser un peu plus le déficit budgétaire alimenté par une dette immonde infinie. Mon vieux maître John Flynn se plaignait de la dette à 46 milliards, de la dette à 252 milliards, on a maintenant la dette à vingt mille milliards, demain à trois millions de milliards.

    Les mécontents et les Iraniens iront se faire voir sous le futur tapis persan de bombes avec la bénédiction de nos rédactions.

    On continue avec notre lyrique ex-président (un ex-président est souvent converti en clown, revoyez l’émouvant film Point Break). Il voulait une organisation spéciale pour synthétiser les rapports de toute source disponible. Truman voulait une information sûre et à l’état pur (natural raw) comme le pétrole texan.

    Les années passent et le jouet coûteux et comiquement inepte s’enraye très vite : l’ex-président explique que la CIA a été détournée de ses objectifs premiers, que cela pose problème et accroît les difficultés dans des zones explosives ! Truman ajoute qu’il n’avait pas pensé qu’en temps de paix (les USA en temps de paix ?) la CIA serait projetée dans des opérations cape et poignard (cloak and dagger !) Revoyez les meilleurs Gary Cooper. Truman ajoute que cela ne fait pas une bonne publicité à la vieille maison. La CIA est alors considérée comme un «symbole d’intrigue étrangère sinistre et mystérieuse, et un sujet pour la propagande ennemie de la guerre froide. »

    Comme on sait, tout s’est bien terminé, une grande partie des anciens bureaucrates communistes ayant fait de leur pays une «plantation coloniale » (Eric Zuesse) pour les capitaux américains : Chine, Vietnam, la Russie sous Eltsine.

    Truman se sent un peu plus en position de faiblesse : il rappelle que la propagande communiste et anticoloniale insiste beaucoup sur la violence des opérations US. Donc il faudrait éviter que la CIA soit considérée comme opérant une influence subversive dans les affaires des autres peuples. À transmettre à Sarkozy et à Hollande.

    Je serai bien d’accord avec la vieille propagande communiste et anti-impérialiste de l’époque : le capitalisme exploiteur, les fauteurs de guerre (war-monger), les monopoles, l’impérialisme yankee, tout cela ne me semble pas du tout un non-sens…

    Après cette confession au Grand Architecte de cet Univers, le vœu pieux, toujours dans un anglais d’opérette : il faut restaurer la CIA dans ses objectifs originaux de bras de l’intelligence du président.

    Tu parles comme ils t’ont écouté, Harry. Le soir même, l’article de l’ancien président était censuré partout. On le retrouve aujourd’hui, mais comme nous sommes peu à le lire, peu à lire !

    Une autre cerise sur le gâteau :

    Nous avons grandi comme une nation respectée pour ses institutions libres et notre capacité à maintenir une société libre etouverte (free and open society).

    Open society, notre société ouverte ? On croyait que c’était Soros. Il faudra d’ailleurs qu’un jour j’explique ce que cela veut dire à la lumière de Bergson.

    En tout cas, on n’est pas sortis de leur auberge américaine !

    Terminons. Sur la CIA et l’intelligence, on oublie le pauvre Jean et on rappellera ces fortes paroles de Job, 28 :

    « Se retirer du mal, c’est l’intelligence»

    Bibliographie

    Bergson – Les deux sources de la morale et de la religion.
    La Bible – Job, 28
    Nicolas Bonnal — Littérature et conspiration ; les grands auteurs à l’âge des complots (Dualpha)
    John T. Flynn — Forgotten lessons (Mises.org)
    Ralph Raico — Great leaders, a libertarian rebuttal (Mises.org)




    L’Exorcisme avec Jarred Neil et le déclin de la société occidentale

    Quatre heures d’émission québécoise avec l’exorciste, médium et auteur Jarred Neil qui discute notamment de l’Apocalypse, de l’exorcisme et de la société occidentale possédée de tous les démons imaginables. (Enregistré en avril 2023.)

    Jarred Neil se présente comme un juif qui pratique des exorcismes grâce à Jésus Christ, ce qui n’est pas banal.
    Son site Internet : https://www.jarredheavensmessenger.com/accueil/

    [Source : En toute franchise]




    Trump et la kabbale

    [Source : Conscience du peuple]

    Par Isabelle

    Trump, Kushner, Loubavitch, kabbale, paix mondiale et Machia’h !

    Ce texte, très sommaire, est une clé de compréhension concernant le rôle déterminant de Donald Trump, des hommes politiques et des célébrités, qui vouent un culte à la kabbale, sur les événements mondiaux. Il n’est nullement question ici de propager une idéologie haineuse envers les Juifs, mais il est question d’une réalité spirituelle/mystique et eschatologique qui s’accomplit devant nos yeux dans le monde politique, dans l’industrie du cinéma, de la musique et du sport.

    Jared Kushner et Ivanka Trump, la fille de Donald Trump, adhèrent au hassidisme loubavitch (Chabad), une forme de judaïsme qui pratique le mysticisme juif appelé Kabbale.

    Les Kushner/Trump sont fortement investis dans Chabad, tant financièrement que spirituellement. Le « Forward Magazine » a écrit sur leur financement de ce mouvement et sur le financement du criminel condamné, 👉le rabbin David Pinto :

    « Les associations caritatives de la famille de Jared Kushner ont donné des centaines de milliers de dollars à un rabbin marocain mystique qui, selon certains adeptes, possède des pouvoirs miraculeux. »

    https://forward.com/news/361035/jared-kushner-and-the-white-haired-mystic-whose-dad-got-a-ride-from-a-dead/

    Pinto est le fondateur de la Yeshiva Shuva Israel et un rabbin bien connu en Israël et aux États-Unis. Il est également un descendant de deux dynasties rabbiniques séfarades, Pinto et Abuhatzeira. Forbes l’a déjà classé comme le septième rabbin le plus riche d’Israël.

    👉Rabbi David Pinto est celui que l’on voit aux côtés du nouveau président d’Argentine, Javier Milei, en train de l’initier à un rituel kabbalistique :

    https://t.me/mediainfocitetv/3840?single

    Ivanka Trump s’est convertie au Chabad Loubavitch avant son mariage avec Jared Kushner. Elle a été aperçue à plusieurs reprises arborant un fin fil rouge noué autour de son poignet. Le fil rouge, à 7 nœuds, est un ancien talisman magique porté par les praticiens de la Kabbale comme moyen de conjurer le mal et la malchance. 👉Tucker Carlson porte le même « bracelet de la kabbale ».

    Des célébrités comme Madonna, LeBron James, Lindsey Lohan, Britney Spears, Roseanne Barr, Ashton Kutcher, Demi Moore, etc. arborent toutes le fil rouge en signe de leur allégeance à la Kabbale. Elles recherchent souvent des enseignants tels que le rabbin Pinto ou le rabbin américain aujourd’hui décédé, Philip Berg, fondateur du Kabbalah Center, afin de mieux comprendre cette tradition magique.

    Le Kabbalah Center est une organisation mondiale principalement chargée d’enseigner la Kabbale aux célébrités américaines.

    Le lien qu’entretient toutes les célébrités et les hommes politiques qui adhèrent à la Kabbale est la préparation à l’arrivée du Messie juif, le Machia’h. L’Antéchrist pour les Chrétiens.

    Le fondateur du Centre de Kabbale, le rabbin Philip Berg, a déclaré ceci avant sa mort 👉à propos de la Kabbale et du Messie à venir :

    « Le Centre de la Kabbale s’efforce de fournir la méthodologie, la discipline et les enseignements qui peuvent 👉connecter un individu à sa conscience messianique. Une fois que nous avons atteint l’unité avec cette conscience, nous sommes nous-mêmes remplis de la Lumière du Messie. Le chaos est supprimé et éliminé de nos vies. »

    « Nous, de cette génération, avons la chance de participer à cette ère du Verseau. Contrairement aux générations précédentes, nous avons désormais conscience de la véritable signification du Messie. Maintenant que nous pouvons nous considérer comme partie intégrante de cet événement cosmique, la tâche consistant à atteindre une conscience messianique est beaucoup plus facile à réaliser. En effet, le cosmos lui-même nous soutient et nous assiste désormais dans cet effort visant à atteindre notre propre conscience messianique. »

    Il poursuit en disant :

    « Conséquence directe de la nouvelle ère dans laquelle nous entrons, le vieux pessimisme concernant la capacité de l’humanité à mettre fin au chaos — et l’idée connexe selon laquelle cette tâche devrait être confiée à Dieu seul — perd une grande partie de sa force. Nous supprimons véritablement les chaînes qui nous maintiennent emprisonnés depuis tant de millénaires.

    Ce qui s’est produit au cours de cet incroyable 20e siècle — un événement plus important que tout autre dans l’histoire — c’est 👉le dévoilement de la sagesse de la Kabbale au-delà de quelques privilégiés, à tous les peuples du monde. Cette discipline et cet enseignement vieux de 4 000 ans, enfermés depuis des siècles dans des voûtes antiques, ont enfin été restitués à leurs légitimes propriétaires ».

    Hollywood, Kushner, Trump et plusieurs hommes politiques, ainsi que la franc-maçonnerie, préparent en réalité l’arrivée du Messie juif. Ils croient que nous vivons à l’époque du Messie juif. Il s’agit véritablement d’un culte messianique imprégné d’enseignements religieux mystiques, se préparant à une nouvelle ère de « PAIX ET SÉCURITÉ ».

    💥Comprenez bien que quiconque, c’est-à-dire les chrétiens, cherche à renverser ce mouvement est et sera perçu comme « le Satan ».

    👉D’où la guerre et la persécution à venir des Chrétiens dans le monde entier.

    Le livre sacré vénéré de la Kabbale, le Zohar, prédit une époque où tout le monde sera exposé à l’illumination de la Kabbale, et que cette ère sera précédée de miracles de toutes sortes.

    Trump est un proche de cette secte Chabad Loubavitch comme aucun président ne l’a jamais été auparavant. Il a été à de très nombreuses reprises décoré par la communauté juive.

    Le fait que le président Trump soit lié aux néocons et aux sionistes chrétiens rend son rôle déterminant pour la suite des choses.

    Trump n’a absolument rien d’un Chrétien : il est un facilitateur, et prestigitateur, pour que s’accomplisse la révélation kabbalistique, soit la manifestation de l’Antéchrist.

    Trump, étudiant de la kabbale

    Dans son livre « Le chemin vers le sommet : les meilleurs conseils commerciaux que j’ai jamais reçus », Donald Trump écrit à la page 188 qu’il est un étudiant de la kabbale et que son enseignant est Eitan Yardeni :

    https://www.kabbalah.com/en/people/eitan-yardeni/

    La corde rouge…

    Trump et les lois noahides

    Les lois Noahides risquent de devenir le dénominateur commun de la religion mondiale de l’Antéchrist, le cœur commun entre les 3 grandes religions abrahamiques (Juifs, Musulmans, Chrétiens).

    Les lois noahides sont le continuum des « Accords d’Abraham » signés par Donald Trump et de la « Maison Abrahamique » célébrant les prémisses de la future religion mondiale.

    Le conservatisme et le traditionalisme de Trump, tout comme celui de Poutine, est l’expression modérée des lois Noahides.

    « Le rabbin Yoel Shwartz, membre du Sanhédrin, a développé la décision, soulignant l’importance du rôle de Trump. “Nous nous sommes tournés vers le président Trump parce que l’Amérique fonctionne aujourd’hui comme un leader mondial dans de nombreux domaines”, a-t-il déclaré àBreaking Israel News. “C’est pourquoi nous nous sommes adressés au nouveau président, lui demandant de réparer les dégâts causés par Barack Obama, de ramener les valeurs familiales et de mener la guerre contre le terrorisme islamique radical.”

    “Il a déjà fait des progrès dans la bonne direction, et nous le bénissons, car il continuera à ramener les valeurs qui ont fait la grandeur de l’Amérique”, a félicité le rabbin Shwartz. 👉“Nous espérons qu’il fera progresser les lois noahides qui s’imposent à tous les hommes.” »

    Le Sanhédrin appelle ensuite le président Trump à suivre les sept lois de Noahide, données par Dieu comme 👉un ensemble de lois contraignantes pour toute l’humanité. Le Sanhédrin a décrit les lois comme un cadre qui bénéficiera à toute l’humanité.

    « Il est essentiel de revenir à l’ordre divin qui a été donné au Mont Sinaï à l’Homme tout entier, au principe fondamental qui est la courtoisie et le bon sens précédant tout », souligne la lettre. 👉« Il est important de revenir aux sept lignes directrices données à Noé et à sa progéniture qui protègent toutes les obligations humaines et morales. »

    Le Sanhédrin exhorte également le président 👉à respecter sa promesse de campagne d’un soutien renouvelé à Israël, notamment en déplaçant l’ambassade américaine à Jérusalem, afin qu’Israël puisse remplir son rôle biblique de lumière pour les nations.

    « En tant qu’honorable président, vous êtes conscient de l’importance d’Israël en tant qu’allié, notamment culturel, des États-Unis. Le monde entier attend l’inculcation des valeurs bibliques—la moralité de Dieu donnée sur le mont Sinaï au monde entier. »

    « Nous devons travailler ensemble pour que ces valeurs soient la propriété inaliénable de toute l’humanité », propose le corps rabbinique.

    https://www.israel365news.com/313462/sanhedrin-blesses-trump-calls-president-uphold-seven-noahide-laws/

    Les lois juives de Noahide, ou « 7 lois de Noé », sont 7 commandements qui risquent de devenir la loi ou la morale universelle du règne de Machia’h.

    Comprenez bien ici que les commandements noahides ne permettent pas la religion chrétienne puisque Jésus est considéré comme une idole et que Dieu/Jésus/Esprit saint est considéré comme du polythéisme, donc condamné par les tribunaux noachides…

    https://t.me/mediainfocitetv/3735