Gustave de Beaumont et la critique radicale de la démocratie américaine

Par Nicolas Bonnal

Comme je le dis parfois, nous vivons dans un présent permanent depuis environ deux siècles. Les années 1830 sont déjà notre société et nous ne les quitterons qu’à la prochaine comète qui s’écrasera sur notre vieille planète. Ce n’est pas un hasard. Le progrès et la blafarde modernité ont paralysé l’histoire de l’humanité. Pronostiquée par Hegel en 1806, la Fin de l’Histoire n’en finit pas de prendre son congé.

Gustave de Beaumont est le célèbre accompagnateur de Tocqueville en Amérique. Ils allaient y étudier les établissements pénitentiaires (c’est prémonitoire, il y a trois millions de détenus là-bas, et les matons forment le premier syndicat dans une dizaine d’États). Je n’avais jamais pensé à le lire, mais c’est Karl Marx qui le cite ! Ma curiosité éveillée, je trouve sur un site québécois son très beau livre (avec une partie romanesque un peu niaise et trop copiée sur Manon Lescaut) sur Marie et l’esclavage, où Gustave de Beaumont révèle une lucidité française bien digne de Tocqueville et un style d’exception digne de Chateaubriand, du Lamartine de Graziella (texte préféré de Joyce en français) et plus généralement de l’aristocrate qu’il était — après ce sera fini avec Balzac ; après la prose sentira la roture, je le dis comme je le pense.

Les jugements de Beaumont sont encore plus durs que ceux de Tocqueville. Il ne digère pas l’hypocrisie éhontée de l’esclavage dans une nation libre et donneuse de leçons, et aussi beaucoup d’autres choses. J’ai picoré ces réflexions çà et là dans son si beau texte :

Les Américains des États-Unis sont peut-être la seule de toutes les nations qui n’a point eu d’enfance mystérieuse.

Là, on est bien d’accord. Le prosaïsme américain a écœuré toutes les grandes âmes yankees, Poe (Colloque entre Monos et Una), Melville (Pierre), Hawthorne (lisez l’admirable Petite fille de neige) entre autres. Encore qu’en analysant mieux le caractère Illuminati du dollar qui continue de fasciner l’humanité alors que l’Amérique est en faillite…

Il est clair en tout cas que pour Beaumont l’argent fait le bonheur des Américains, qui réifient tout, comme disent aussi les marxistes : la nature c’est de l’environnement, et l’environnement ça sert d’abord à faire de l’argent.

Absorbé par des calculs, l’habitant des campagnes, aux États-Unis, ne perd point de temps en plaisirs ; les champs ne disent rien à son cœur ; le soleil qui féconde ses coteaux n’échauffe point son âme. Il prend la terre comme une matière industrielle ; il vit dans sa chaumière comme dans une fabrique.

Vrai Saroumane, l’Américain déteste la nature et en particulier la forêt (on se souvient du film Délivrance où un retour à la nature vire au cauchemar) :

Les Américains considèrent la forêt comme le type de la nature sauvage (wilderness), et partant de la barbarie ; aussi c’est contre le bois que se dirigent toutes leurs attaques. Chez nous, on le coupe pour s’en servir ; en Amérique, pour le détruire. L’habitant des campagnes passe la moitié de sa vie à combattre son ennemi naturel, la forêt ; il le poursuit sans relâche ; ses enfants en bas âge apprennent déjà l’usage de la serpe et de la hache… l’absence de bois est, à leurs yeux, le signe de la civilisation, comme les arbres sont l’annonce de la barbarie.

Beaumont comprend comme Baudelaire et aussi Edgar Poe qu’avec l’Amérique on entre dans un nouvel âge du monde : l’âge de l’intérêt matériel, du conformisme moral (la tyrannie de la majorité) et de la standardisation industrielle. Et comme Chateaubriand et avant Nietzsche, il pense que :

Tout d’ailleurs s’était rapetissé dans le monde, les choses comme les hommes. On voyait des instruments de pouvoir, faits pour des géants, et maniés par des pygmées, des traditions de force exploitées par des infirmes, et des essais de gloire tentés par des médiocrités.

Beaumont a raison : le monde moderne c’est Lilliput.

La force d’imprégnation américaine est telle qu’elle uniformise toutes les nations immigrées chez elles. Cela est intéressant, car cela se passe bien avant la machine à broyer hollywoodienne ou l’irruption de la télévision. L’Amérique c’est l’anti-Babel, le système à tuer les différences que la chrétienté avait si bien su préservé… Chose étrange ! La nation américaine se recrute chez tous les peuples de la terre, et nul ne présente dans son ensemble une pareille uniformité de traits et de caractères.

Le rapport sacré à la terre n’existe bien sûr pas. On n’y connaît pas le paysan de Heidegger (Beaumont explique que le Tasse et Homère ne seraient pas riches, alors…). Tout n’est qu’investissement immobilier au paradis du déracinement libéral :

L’Américain de race anglaise ne subit d’autre penchant que celui de l’intérêt ; rien ne l’enchaîne au lieu qu’il habite, ni liens de famille, ni tendres affections… Toujours prêt à quitter sa demeure pour une autre, il la vend à qui lui donne un dollar de profit.

Une des grandes victimes de la civilisation américaine est alors la femme (avec les noirs et les Indiens dont Beaumont parle très bien, et objectivement). Ce n’est pas pour rien que toutes les cultures du ressentiment au sens nietzschéen, l’antiracisme, la théorie du genre, le féminisme, le sectarisme sont nés aux USA au dix-neuvième siècle et après. La femme US est dangereuse et Beaumont explique le premier pourquoi :

Sa vie est intellectuelle. Ce jeune homme et cette jeune fille si dissemblables s’unissent un jour par le mariage. Le premier, suivant le cours de ses habitudes, passe son temps à la banque ou dans son magasin ; la seconde, qui tombe dans l’isolement le jour où elle prend un époux, compare la vie réelle qui lui est échue à l’existence qu’elle avait rêvée. Comme rien dans ce monde nouveau qui s’offre à elle ne parle à son cœur, elle se nourrit de chimères, et lit des romans. Ayant peu de bonheur, elle est très religieuse, et lit des sermons.

On dirait notre bonne vieille Emma ! Tout cela ne fait pas le bonheur des femmes, qui n’ont pas encore le féminisme et la pension alimentaire pour bien se rattraper. L’Amérique invente madame Bovary plus vite que Flaubert (l’adaptation de Minnelli avec Jennifer Jones est éblouissante d’ailleurs) et le couple qui n’a rien à se dire — sauf devant l’avocat ou le psy, comme Mr and Mrs Smith (ils veulent bien se parler, mais il faut qu’ils paient !). La famille US est déjà telle que nous la connaissons aujourd’hui : quand elle n’est pas recomposée ou divisée, elle n’est pas ; Et cela sans qu’il y ait eu besoin de la télévision, du frigidaire et du portable pour abrutir et isoler tout le monde. Beaumont ajoute qu’il n’y a aucune affection, c’est cela le plus moderne — et donc choquant.

Ainsi se passent ses jours. Le soir, l’Américain rentre chez lui, soucieux, inquiet, accablé de fatigue ; il apporte à sa femme le fruit de son travail, et rêve déjà aux spéculations du lendemain. Il demande le dîner, et ne profère plus une seule parole ; sa femme ne sait rien des affaires qui le préoccupent ; en présence de son mari, elle ne cesse pas d’être isolée. L’aspect de sa femme et de ses enfants n’arrache point l’Américain au monde positif, et il est si rare qu’il leur donne une marque de tendresse et d’affection, qu’on donne un sobriquet aux ménages dans lesquels le mari, après une absence, embrasse sa femme et ses enfants ; on les appelle the kissing families.

L’obsession de l’argent qui crée des crises et de banqueroutes continuelles est continuelle : on n’a pas attendu Greenspan, Bernanke et les bulles de la Fed pour se ruiner — ou refaire fortune.

Le spectacle des fortunes rapides enivre les spéculateurs, et on court en aveugle vers le but : c’est là la cause de ruine. Ainsi tous les Américains sont commerçants, parce que tous voient dans le négoce un moyen de s’enrichir ; tous font banqueroute, parce qu’ils veulent s’enrichir trop vite.

Voyons la religion dont on a fait si grand cas là-bas. Si la femme est une « associée », un partner, comme on dit là-bas, l’homme religieux est un homme d’affaires. Beaumont est ici excellent dans son observation (c’est le passage que cite Marx dans un fameux petit essai sur la question juive) :

Le ministère religieux devient une carrière dans laquelle on entre à tout âge, dans toute position et selon les circonstances. Tel que vous voyez à la tête d’une congrégation respectable a commencé par être marchand ; son commerce étant tombé, il s’est fait ministre ; cet autre a débuté par le sacerdoce, mais dès qu’il a eu quelque somme d’argent à sa disposition, il a laissé la chaire pour le négoce. Aux yeux d’un grand nombre, le ministère religieux est une véritable carrière industrielle. Le ministre protestant n’offre aucun trait de ressemblance avec le curé catholique.

On s’en serait douté ! La religion évangélique comme business et comme programmation mentale malheureusement a un beau futur devant elle. Revoyez l’épisode de Columbo Le Chant du Cygne sur cette question.

Beaumont n’a pas vu de western (voyez mon livre ici), mais on va voir qu’il aurait pu en écrire les scénarios. Il parle du duel US en des termes peu amènes :

En Amérique, le duel a toujours une cause grave, et le plus souvent une issue funeste ; ce n’est pas une mode, un préjugé, c’est un moyen de prendre la vie de son ennemi. Chez nous, le duel le plus sérieux s’arrête en général au premier sang ; rarement il cesse en Amérique autrement que par la mort de l’un des combattants.
Il y a dans le caractère de l’Américain un mélange de violence et de froideur qui répand sur ses passions une teinte sombre et cruelle… On trouve, dans l’Ouest, des États demi-sauvages où le duel, par ses formes barbares, se rapproche de l’assassinat.

Il ne manque plus que Liberty Valance, que Wayne abat d’ailleurs comme un chien dans le classique postmoderne de Ford. Comme on voit, la situation réelle est aussi sinistre que celle décrite dans bien des films (contrairement à ce qu’une histoire révisionniste — il y en a pour tous les genres — a voulu nous faire croire).
Venons-en au thème de son ouvrage.

Scandalisé par l’esclavage et par le préjugé autoentretenu qui lui sert de base, Beaumont comprend très bien le rôle du capitalisme — et surtout du christianisme — mal digéré :

L’exploitation de sa terre est une entreprise industrielle ; ses esclaves sont des instruments de culture. Il a soin de chacun d’eux comme un fabricant a soin des machines qu’il emploie ; il les nourrit et les soigne comme on conserve une usine en bon état ; il calcule la force de chacun, fait mouvoir sans relâche les plus forts et laisse reposer ceux qu’un plus long usage briserait. Ce n’est pas là une tyrannie de sang et de supplices, c’est la tyrannie la plus froide et la plus intelligente qui jamais ait été exercée par le maître sur l’esclave.

Voir Tocqueville et son analyse de l’extermination légale et philanthropique des Indiens (« On ne saurait détruire les hommes en respectant mieux les lois de l’humanité »). S’il n’y a vite eu plus d’Indiens, il y avait en tout cas 700 000 Africains en 1799, quatre millions lors de la Guerre civile (qui tue 3 % de la population, ruine puis pille le Sud, et endette le pays), 40 millions aujourd’hui ! L’esclavage est un beau calcul !

Beaumont constate que le racisme finit par découler de l’esclavage ce qui n’était pas le cas avant. Cela aura des conséquences importantes dans les années vingt du siècle, quand les Allemands décréteront que les Ukrainiens sont bons à leur servir d’esclaves ou que les Polonais peuvent être remplacés parce que moins techniques et moins universitaires (comme on sait, l’antisémitisme a d’autres fondements). Ils avaient moins de « lumières », comme disait Washington à propos des Indiens ou Ferry à propos des « races inférieures » — on en dit quoi dans les loges du mariage pour tous ?

Faudrait-il, parce qu’on reconnaîtrait à l’homme d’Europe un degré d’intelligence de plus qu’à l’Africain, en conclure que le second est destiné par la nature à servir le premier ? Mais où mènerait une pareille théorie ?
Il y a aussi parmi les blancs des intelligences inégales : tout être moins éclairé sera-t-il l’esclave de celui qui aura plus de lumières ? Et qui déterminera le degré des intelligences ?

Demandez à Harari…

Le grand ennemi spirituel des sectes protestantes souvent athées ou folles (les quakers par exemple : « rien dans cette cérémonie burlesque ne fait rire, parce que tout fait pitié ») qui se partagent le pays est bien sûr le catholicisme. Ici Beaumont va aussi plus loin que Tocqueville :

Au milieu des sectes innombrables qui existent aux États-Unis, le catholicisme est le seul culte dont le principe soit contraire à celui des autres.

On dirait du Chesterton. L’Église fait enrager tout le monde, et cela n’a pas changé jusqu’à ce que Bergoglio soit imposé par les USA.

L’unité du catholicisme, le principe de l’autorité dont il procède, l’immobilité de ses doctrines au milieu des sectes protestantes qui se divisent, et de leurs théories qui sont contraires entre elles, quoique partant d’un principe commun, qui est le droit de discussion et d’examen ; toutes ces causes tendent à exciter parmi les protestants quelques sentiments hostiles envers les catholiques.

La haine du catholicisme devient alors le seul commun dénominateur (on se doutait que ce n’était pas Jésus !) du discours américain, comme de tout discours moderne en général (c’est ce que disait notre ami Muray et il avait bien raison !) :

Il paraît bien constant qu’aux États-Unis le catholicisme est en progrès, et que sans cesse il grossit ses rangs, tandis que les autres communions tendent à se diviser. Aussi est-il vrai de dire que, si les sectes protestantes se jalousent entre elles, toutes haïssent le catholicisme, leur ennemi commun.

L’État américain n’est bien sûr pas chrétien, il l’a dit du reste aux Marocains dès le début, il est comme dit Marx judaïque — on dira vétérotestamentaire (on jure sur la Bible, on ignore toujours l’Évangile ; vous avez déjà vu une allusion à la naissance du Christ pour la fête de Noël en Amérique ?), et il a même inventé la laïcité, aujourd’hui battue en brèche par le ressentiment communautariste venu aussi d’Amérique.

Ainsi il n’existe aux États-Unis ni religion de l’État, ni religion déclarée celle de la majorité, ni prééminence d’un culte sur un autre. L’État est étranger à tous les cultes.

Enfin Beaumont trouve que les Américains deviendront dangereux avec leur orgueil :

Je blâme cet aveuglement de l’orgueil national des Américains, qui leur fait admirer tout ce qui se passe dans leur pays.

Nicolas Bonnal sur Amazon.fr




Paul Virilio et l’ère de la dissuasion globale

Par Nicolas Bonnal — Septembre 2019 — Source nicolasbonnal.wordpress.com

Jamais nous n’avons tant eu l’impression que notre planète, comme dit Hamlet (ou plus exactement Rosencrantz) est devenue une prison, prison dotée d’une foule de geôles, d’interdits, de flics de la pensée. La France est un camp de concentration médiatique, culturel et politique dont on ne s’échappe que par l’exode virtuel, ce qui est une faible consolation, puisque les responsabilités de l’aliénation sont imputables à cette même omniprésente et addictive technologie. Nous prétendons retourner contre l’ennemi les armes qu’il utilise pour nous emprisonner. Comme si nous n’avions pas compris Tolkien et la menace protéiforme et polyfacétique de son anneau…

Un des plus brillants penseurs de notre époque aura été l’urbaniste et théologien Paul Virilio qui dans un langage particulièrement inspiré a expliqué cet anéantissement de l’espace par la dromocratie (la dictature de la vitesse). Virilio évoque les grands bonds de cette vitesse depuis la renaissance ou l’épouvantable Napoléon, mais René Guénon parlait déjà d’Abel, de Caïn, et du temps dévoré par l’espace ; puis de l’espace dévoré à son tour.

Dans un passionnant entretien avec Jean-Luc Evard, Virilio nous éclaire :

Ce qui est en cause dans le progrès, c’est une accélération sans décélération, c’est-à-dire une hubris, une démesure.

On relira Eschyle sur ce point (car on oublie que pour Eschyle le fou dans Prométhée n’est pas le titan enchaîné, mais le néo-dieu usurpateur Zeus). Et on continue sur notre incarcération du monde :

À côté de la pollution des substances (dont traite l’écologie « verte »), il y a une pollution des distances : le progrès réduit à rien l’étendue du monde. Il y a là une perte insupportable, qui sera bien plus rapide que la pollution des substances. Et qui aura des conséquences autrement plus drastiques que celles relevées par Foucault à la suite du grand enfermement — la réalisation du grand enfermement, de l’incarcération du monde, dans un monde réduit par l’accélération des transports et des transmissions. Pour moi, l’écologie grise remet en cause la grandeur nature.

Et Virilio d’indiquer :

Projetons-nous en imagination deux générations devant nous : vivre sur terre sera insupportable, de par le phénomène d’incarcération dans un espace réduit à rien.

Quant à la « fin » (de la géographie, ou de l’histoire), il s’y agit de la finitude — non d’un terminal.

Virilio nous met en garde contre la farce scientifique (l’expression est de moi), qui, bâtie sur le mensonge éhonté de la conquête spatiale, nous fit miroiter d’autres mondes :

Face à ces phénomènes d’incarcération, d’enfermement, on est en train de chercher un outre-monde (des terraformations, par géo-ingénierie). Les astrophysiciens sont déjà en train de nous préparer une autre Terre promise. En Europe, il y a déjà des gens qui vivent enfermés dans des containers pour expérimenter les voyages vers Mars, la vie en exil aux limites de l’extrême. Toutes ces choses-là sont des signes pathologiques de l’exil à venir, ou de l’exode. Derrière l’écologie et la préservation de l’environnement, pour beaucoup de scientifiques, c’est déjà fichu. On est déjà en train d’anticiper une outre-Terre.

Lisez et relisez les lignes de Guénon sur cette capacité hallucinatoire du monde moderne. Puis pensez à ces jeunes du métro ou du train, logés dans six mètres carrés, et qui passent leur espace/temps sur les centimètres carrés des écrans lumineux de leur smartphone… puis pensez aux enfants de trois ans déjà hypnotisés et aliénés par une techno-addiction qui les rendra obèses, asexués, déracinés, humainement invertébrés et politiquement esclaves. Le système, et ses élites devenues folles ou simplement achetées, exulte.

On sait que notre monde moderne s’est bâti sur les grandes découvertes et les colonies. Virilio observe que le virtuel repose sur les mêmes préceptes et illusions :

Autre exemple de cette recolonisation, de cette quête d’une terre promise, ce sont les cyber-continents, l’espace virtuel.

Le sixième continent est une colonie virtuelle.

On nous dit que les gens s’y amusent, que c’est pour leur bien, pour la communication. En réalité, l’aventure coloniale recommence. Aussi bien chez ceux qui recherchent d’autres planètes que chez ceux qui peuplent l’outre — monde du sixième (cyber) continent qui vient supplanter — je dis bien : supplanter — les cinq autres, ceux de la géologie et de la géographie. L’idée de la colonie est très importante.

C’est que la colonie nous enferme :

Pour l’instant, la globalisation est un phénomène d’endo-colonisation. Et le colonisateur, c’est la vitesse, engendrée par le progrès de la technique (transports, transmissions, etc.). C’est le pouvoir de la vitesse, qui nous enferme, nous conditionne. C’est en ce sens que c’est une musicologie, un envoûtement.

Roland Barthes remarque du reste dans ses Mythologies si peu lues que les héros soi-disant aventuriers de Jules Verne aiment vivre enfermés dans des machines ou des décors de théâtre.

Virilio rappelle qu’enfant il vécut mal la guerre entre les occupants et les alliés :

Les Allemands dans la rue et les amis qui nous bombardaient. Eh bien j’ai de nouveau le sentiment d’être occupé. La mondialisation nous occupe, elle nous enferme. D’où mon intérêt pour le Mur de l’Atlantique (sur lequel j’ai travaillé dix ans). La clôture. La forclusion du monde.

Il rappelle l’illusion de la mobilité qui est une mobilité formelle et factice (aéroports, queues, embouteillages, salles d’attente, avions, trains, bagnoles) :

Qui sont les sédentaires ? Ceux qui ne quittent jamais leur siège d’avion, d’automobile, ceux qui sont partout chez eux, grâce au téléphone portable. Qui sont les nomades ? Ceux qui ne sont nulle part chez eux sauf sur les trottoirs, sous les tentes des sans-abri. C’est pourquoi je dis : « Ne me parlez pas de la périphérie. »

Oui, le nomade au sens actuel n’est pas le milliardaire d’Attali qui s’y connaît en bible comme Bocuse en Panzani. Le nomade c’est le pauvre hère sous une tente.

Et basculons. Le procès du transport moderne devient le procès des camps d’extermination :

On va là vers une révolution de l’emport, pas du transport, de l’emport, je veux dire : la quantité déplacée. Il y a là quelque chose qui a été vécu dans la déportation et l’extermination nazie. Il ne faut jamais oublier — et là je suis d’accord avec R. Hillberg — que la déportation est plus importante que l’extermination. C’est la déportation qui a mené à l’extermination. Le mouvement de déplacement de population a été l’origine de l’extermination.

Et de conclure sur cette question épineuse (jusqu’où peut-on incriminer notre usage de la technique ?) :

Là encore, quand on met l’accent sur les camps et que par ailleurs on demande à la Deutsche Bahn de faire son mea culpa, on a raison. Sur la photo la plus connue du camp d’Auschwitz, on voit les rails et le portail. Il faut la regarder en sens inverse : les rails sont plus importants, sans les rails, il n’y aurait pas eu Auschwitz.

Une belle réponse de chrétien, inspiré par notre Thérèse de Lisieux, serait la pauvreté :

Je me sens franciscain : la pauvreté, « Dame Pauvreté », cela nous ramène à la théologie de la pauvreté. À la théologie de la vitesse.

À la théologie de la pauvreté de la vitesse. Quelle est la pauvreté de la décélération par rapport à la richesse de l’accélération ? C’est une des grandes questions de l’humilité chrétienne.

Thérèse : « L’humilité c’est la vérité. ». Phrase théologique, bien sûr, mais aussi scientifique (et que les scientifiques n’ont pas comprise).

On peut toujours rêver chrétiennement, surtout avec un Vatican comme ça. Mais on sait que « le destin du spectacle n’est pas de finir en despotisme éclairé (Debord). »

Virilio établit une définition importante sur les charlatans (Debord toujours) postmodernes que sont devenus les savants et autres experts en réchauffements, soucoupes, nanotechnologies, racismes :

Jean-Luc Evard. Quelle différence fais-tu entre scientifiques et technoscientifiques ?

Paul Virilio. Comme disait un scientifique récemment : « Nous appliquons au monde que nous ne connaissons pas la physique que nous connaissons. » Là, de fait, on est devant l’illusionnisme scientifique.

Et puis vient la cerise sur le gâteau. Le système nous fait peur, le système nous persécute, le système nous dissuade. C’est la fin des grandes évasions de nos jeunesses. Virilio rappelle la mésaventure du cinéaste Éric Rohmer…

Je considère qu’après la dissuasion militaire (Est-Ouest), qui a duré une quarantaine d’années, nous sommes entrés, avec la mondialisation, dans l’ère d’une dissuasion civile, c’est-à-dire globale. D’où les interdits si nombreux qui se multiplient aujourd’hui (exemples : un des acteurs de La Cage aux folles déclarant qu’aujourd’hui on ne pourrait plus tourner ce film ; ou mon ami Éric Rohmer à qui son film, L’Astrée, a valu un procès, un président de conseil régional l’attaquant pour avoir déclaré que L’Astrée — le film — n’a pu être tourné sur les lieux du récit, engloutis par l’urbanisation, tu te rends compte ?). Donc je suis très sensible au fait que nous sommes des Dissuadés.

C’est bien en effet la prison sans barreaux dont nous a déjà parlé Aldous Huxley ; elle est en voie non plus de réalisation mais d’achèvement. Et cette expression de dissuadés a du génie et ô combien de justesse : nous sommes en effet dissuadés d’agir, puisque c’est la prison ; de parler, puisque c’est les amendes ; de penser, puisque c’est inutile ; et de vivre, puisque cela pollue.




La vie, la mort et la réincarnation dans la tradition juive

[Source : Torah-Box]




Archéologie en Terre d’Israël — Les 10 tribus retrouvées

[Source : imineo Documentaires via michelledastier.com]

Les 10 tribus retrouvées (68’42)
La Torah et le Sermon sur la montagne (52’35)




La Quinta Columna : « nous sommes confrontés à un parasitisme d’une autre espèce sur l’être humain… »

[Source : Brunolelosq via santeglobale.world]

Le docteur SEVILLANO montre que le but des dirigeants du monde est le NEUROMODULATION des êtres humains par les 5G et le graphène des injections et des chemtrails (entre autres…) pour en faire des NEUROESCLAVES.

[Voir aussi :
Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ?
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
et plus généralement les dossier Implants numériques et Vaccins et virus]

Note de TAL : Cette vidéo est importante pour vraiment comprendre comment les génocidaires fous qui sont aux commandes agissent… Il faut en être conscients pour sortir de leur dictature.

[Note de Joseph : ces autres espèces évoquées sont probablement ce que les anciennes traditions appelaient les dieux serpents, la Bible les démons, la gnose chrétienne les Archontes, et l’ufologie moderne les races reptiliennes, dracos et petits gris. Ces entités possèdent et manipulent les élites mondiales psychopathes qui sous cette gouvernance depuis d’autres plans d’existence sont en train de finaliser le Nouvel Ordre Mondial, alias « Babylone » ou le règne de la Bête. Simple élucubration ? Ou réalité occultée ? L’avenir le dira.]






Mgr Viganò : « Pour ou contre Notre-Seigneur Jésus-Christ »

[Source : medias-presse.info]

Par Carlo Maria Viganò, Archevêque

Et inimici hominis domestici ejus
[Et les ennemis de l’homme seront ceux de sa maison.]

Conférence de S. Exc. Mgr Carlo Maria Viganò

Université d’été organisée par le mouvement politique Civitas

Combattre le satanisme du Nouvel Ordre : Les clés de la victoire

– Version de cette conférence en anglais
– Version de cette conférence en espagnol
– Version de cette conférence en italien
– Vidéo de la conférence en français

Pontmain, samedi 29 juillet 2023

34 Ne croyez pas que Je sois venu apporter la paix sur la terre ;
Je ne suis pas venu apporter la paix, mais une épée.
35 Car je suis venu séparer le fils du père,
la fille de la mère, la belle-fille de la belle-mère :
36 et les ennemis de l’homme seront ceux de sa maison.

(Mt 10, 34-36)

Permettez-moi, chers Amis, d’adresser mon salut à tous les organisateurs de cette nouvelle édition de l’Université d’été de Civitas, en particulier au Président Alain Escada ; aux conférenciers qui, par leurs interventions, clarifient les différents aspects de la crise civile et ecclésiale actuelle ; aux participants qui, par leur présence, confirment la détermination des bons Catholiques à mener le bonum certamen — le bon combat — sous la bannière du Christ-Roi. Ces rencontres de formation doctrinale, culturelle et sociale sont le signe d’un réveil des consciences et des cœurs : Quia hora est jam nos de somno surgere. Nunc enim propior est nostra salus, quam credidimus ; il est maintenant temps de nous réveiller du sommeil, car notre salut est plus proche maintenant que lorsque nous sommes devenus croyants (Rm 13, 11).

La cohérence du Bien

Comme il y a une cohérence du Bien, il y a aussi une cohérence du Mal. Le Bien, attribut substantiel de Dieu, a sa propre cohérence aussi en ce qui y participe : est cohérent avec le Bien l’amour de la mère qui prépare le goûter pour ses enfants ; la sollicitude du chef d’entreprise envers ses employés ; la préparation des leçons par le professeur ; le dévouement du médecin envers ses patients ; la disponibilité du prêtre dans le soin des âmes qui lui sont confiées. Même repasser une chemise, cultiver le jardin, organiser une conférence, célébrer un anniversaire avec des êtres chers devient cohérent avec ce que nous sommes, car nous nous comportons selon ce que nous sommes : Agere sequitur esse (l’agir suit l’être).

Ceux qui vivent dans le Bien et donc dans le Vrai ; ceux qui « respirent » le Bien — des célébrations à l’église aux fréquentations de personnes partageant les mêmes idées et à l’éducation en famille — n’ont pas besoin de vouloir faire le Bien, parce que cela vient spontanément dans une âme bonne. Et c’est exactement ce que la Grâce accomplit en nous, en rendant des actions en elles-mêmes moralement neutres — ou seulement humainement bonnes — des œuvres vertueuses, où l’habitude dans le Bien devient Vertu et imprègne toute notre vie ; et en ajoutant aux actions qui sont bonnes dans l’ordre naturel ce quid, ce quelque chose qui les élève dans l’ordre surnaturel en les dirigeant vers un but supérieur.

D’un autre côté, quand on aime le Seigneur, que peut-on désirer de plus beau et de plus épanouissant que de faire Sa Volonté ? Et quoi de plus motivant, dans nos relations avec le prochain, que de lui faire connaître ce Saint Vrai, qui est aussi suprêmement Bon et Juste ? Bonum diffusivum sui, selon l’adage scolastique : le bien est diffusif de soi, enclin à se répandre. Cela nous est démontré par l’œuvre du Créateur, qui à partir de rien fait naître toutes choses visibles et invisibles ; cela nous est confirmé par l’œuvre du Rédempteur, qui retire de l’abîme de l’offense à la Majesté divine l’homme rebelle en Adam, par le Sacrifice de l’Homme-Dieu.

La cohérence du Mal

Mais comme il y a une cohérence dans le Bien, il y a une cohérence dans le Mal. Et ces actions que nous jugeons apparemment sans gravité — si nous ne les contextualisons pas — se révèlent être les rouages d’un engrenage, peut-être insignifiants, mais qui lui permettent de fonctionner, et sans lesquels la machine se bloquerait.

C’est pourquoi le Mal – qui ontologiquement est un non-être, une absence de Bien — cherche à s’infiltrer dans nos âmes par petits pas, provoquant des chutes progressives, en s’assurant qu’il ne suscite en nous aucune inquiétude ni aucun remords ; puis il grandit et se développe comme un cancer. Et là où le Bien apporte plus de bien, le Mal appelle plus de mal, nous accoutumant à lui, et à tout ce vers quoi il nous entraîne.

Les plans infernaux de l’élite mondialiste — dont nous avons découvert la malice intrinsèque — sont eux aussi cohérents les uns avec les autres, parce qu’ils sont mus par la haine de l’Adversaire envers le Christ. Le projet de Bill Gates d’obscurcir le soleil et vacciner la population mondiale ; celui de George Soros de faire envahir les pays occidentaux par des hordes de musulmans et saper la famille naturelle en finançant les mouvements woke et LGBTQ ; le plan de Klaus Schwab pour nous forcer à manger des insectes ou à nous confiner dans les smart city de 15 minutes ; celui de Harari d’effacer l’idée d’un Dieu transcendant et réécrire une Bible « politiquement correcte » ; le projet de l’état profond de centraliser le contrôle des citoyens avec l’identité numérique, la monnaie électronique et la manipulation du vote ; celui de Bergoglio de transformer l’Église en une agence de l’ONU et du Forum Économique Mondial de Davos, ne sont pas des plans autonomes mis en œuvre sans aucun lien les uns avec les autres.

Dans tout ce qui s’est passé au cours des dernières décennies sous une forme plus souterraine et plus récemment de manière beaucoup plus évidente, nous pouvons reconnaître un esprit, une intelligence capable de donner une organisation apparemment infaillible et implacable. Car il nous faut l’admettre : ceux qui ont construit cette machine infernale, dans laquelle tous les engrenages semblent tourner parfaitement, font preuve d’une intelligence supérieure, angélique, voire : satanique.

La victoire apparente des méchants

Le constat de l’efficacité organisationnelle des méchants ne doit pas nous effrayer, ni nous faire renoncer à combattre leurs plans. En effet, je crois que c’est précisément cette « perfection », presque mécanique, sans âme, dans le camp ennemi qui finira par constituer sa propre condamnation : Simul stabunt, simul cadent [Ils se tiendront ensemble, ils tomberont ensemble], récite l’adage latin. Et il en sera exactement ainsi, car le triomphe du Mal est une fiction, une simulation, une mise en scène basée — comme tout ce qui vient de Satan — sur l’apparence et le mensonge.

Revenons un instant à Pâques de l’an 33. Plaçons-nous parmi ceux qui, à Jérusalem, furent témoins de la crucifixion de Jésus, après L’avoir vu accomplir miracles et guérisons. Même sur le Golgotha, en l’absence des Apôtres, la mise en scène de Lucifer devait marquer la défaite du Messie, la dispersion de Ses disciples, l’oubli de Son enseignement, le désaveu de Sa divinité. Mais précisément sur la Croix, instrument de mort et d’infamie, le destin de l’humanité est inversé par Celui qui, avec la mort du corps, a restauré la vie de l’âme, et qui, Se laissant clouer à ce bois, y clouait l’enfer. O mors, ero mors tua. Notre nature, blessée par le péché originel, ne se résigne pas à comprendre que la victoire du Christ s’accomplit selon la logique de la Charité et non de la haine, et qu’elle est d’autant plus inexorable et définitive qu’une plus grande marge d’action est laissée à Dieu, et combien moindre de la part de Ses enfants la confiance dans les moyens humains.

Satan l’illusionniste

Ne jugeons donc pas l’apparent « viver lieto de’ maligni » [la vie apparemment heureuse des méchants] du Psaume 36 comme un signe de défaite inévitable. Ce déploiement impressionnant de forces, cette scénographie si réaliste, ces chorégraphies impressionnantes constituent la seule ressource dans laquelle le grand Menteur peut puiser, et le seul moyen pour nous faire croire qu’il est puissant et invincible. Un grand magicien, c’est certain : mais en tant que tel, il peut nous étonner en tant qu’illusionniste, nous tromper avec ses tours, qui en dehors de la scène et à la lumière du soleil se montrent dans leur inconsistance pathétique. Le jeu du lapin extrait du chapeau — à savoir : le respect de l’environnement, la santé des citoyens, la fraternité universelle — ou le spectacle de la femme sciée en deux fonctionnent tant que le public reste à distance et se laisse tromper par la pénombre et les gestes théâtraux du magicien. En revanche, qui parmi les spectateurs d’un spectacle de « magie » ou parmi les passants qui s’attardent dans les couloirs du métro pour observer le jeu des trois boîtes pourrait croire que c’est la réalité ? Qui donnerait crédit à un Dr Dulcamara qui propose, comme dans l’œuvre de Donizetti, une drogue « odontalgique, liqueur admirable, puissant destructeur de souris et de punaises de lit ? » (Felice Romani, L’elisir d’amore, scène V, Dulcamara).

La fiction — ou plus précisément : la fraude à la vente, parce qu’il s’agit d’une vente frauduleuse — est la marque de fabrique du commerce de Satan. Achetez mon spécimen, je vous en fais presque cadeau. Ce marchand de pacotille, cet escroc — et avec lui tous ses serviteurs, non moins occupés à vendre leurs concoctions — fait penser à certains personnages qui, jusqu’à il y a quelque temps, sur les parkings des restaurants autoroutiers, offraient aux imprudents un magnétoscope pour quelques euros, qui s’avérait être un boîtier alourdi par une brique ; ou ceux qui, en échange d’une somme pour l’instruction notariale, promettent par courriel l’héritage d’un millionnaire africain à peine décédé. Mais si nous savons tous parfaitement que derrière ces promesses ronflantes ne se cache qu’une fraude contre nous, pourquoi y en a-t-il encore pour y croire ? L’efficacité du sérum expérimental à ARNm inoculé en vrac n’était-elle pas tout aussi manifestement fausse ? Le récit de la crise énergétique, obtenue en imposant des sanctions au plus grand exportateur européen de gaz naturel, n’est-il pas tout aussi ridicule ? La fraude environnementale n’est-elle pas grotesquement infondée ? Pourtant, en regardant autour de soi, il semble que beaucoup, voir une large majorité soit plus que disposée à croire les mensonges de ces Dulcamara [Doux-amers], de ces bonimenteurs qui du Forum Économique Mondial ou de la Bill & Melinda Gates Foundation, de l’Union Européenne ou de l’Organisation Mondiale de la Santé vantent les vertus de leurs filtres miraculeux : revenu universel, abolition de la pauvreté, défaite des maladies, paix mondiale. Pour ensuite découvrir que nous devons payer ce revenu universel en nous endettant et en renonçant à la propriété privée, que leur « abolition de la pauvreté » conduit à la misère des individus et des Nations, que Big Pharma veut que nous soyons des patients chroniques, que la paix du Nouvel Ordre Mondial signifie la guerre perpétuelle.

Comment cela a-t-il été possible ?

Beaucoup, ces dernières années, se sont demandés : Comment a-t-il été possible qu’une si grande partie de l’humanité ait pu consentir à tout cela ? Si nous regardons en arrière – en remontant aux années Quatre-vingt, par exemple, avant que la haute finance ne décide d’attaquer les nations européennes avec la privatisation des biens de l’État et avec la destruction définitive de la société et de la famille, déjà commencée bien avant – il nous semble presque impossible qu’en si peu de temps l’Ennemi ait pu avancer de façon aussi impressionnante sans susciter de réactions et de résistances significatives. Et si nous écoutons les paroles de ceux que Roncalli appelait prophètes de malheur, qui, dès les premières sessions de Vatican II, ont annoncé l’apostasie à laquelle le Concile conduirait, il semble impensable que leurs avertissements faisant autorité aient pu être ignorés et aient même mérité la condamnation et l’ostracisme de ceux qui les ont lancés, de la part des Pasteurs suprêmes.

Et nous revenons ici à la fraude, à l’adultération de la Foi, de la Morale, de la Liturgie, à la tromperie coupable de ceux qui, constitués en autorité, se révèlent les ennemis de ceux qu’ils devraient plutôt protéger, et les amis de ceux qu’ils devraient combattre ou convertir. Tromperie que la chimère d’une fraternité dépourvue de la paternité commune de Dieu ; tromperie que l’actuosa participatio qui a détruit le culte public en le protestantisant ; tromperie que le sacerdoce commun des fidèles, insinué frauduleusement au Concile pour affaiblir le Sacerdoce hiérarchique ; tromperie que la prétendue démocratisation de l’Église, que le divin Fondateur a voulu monarchique et qu’aucune autorité humaine ne pourra jamais changer ; tromperie que l’œcuménisme par lequel la divine Majesté est humiliée au niveau des prostitutions, comme l’Écriture appelle éloquemment les fausses religions. Tous les dieux des païens sont des démons (Ps 96, 5) et les sacrifices des païens sont offerts aux démons et non à Dieu (1 Co 10, 20).

La bonne question

Essayons de reformuler la question plus clairement : Comment a-t-il été possible que des peuples qui ont grandi dans l’héritage de la pensée grecque et romaine, à la lumière de la Révélation chrétienne et de la civilisation que celle-ci a engendrée, aient décidé de croire à un mensonge manifeste, à savoir que la paix, la concorde, la prospérité et le bonheur sont possible loin de Dieu, plus encore en se rangeant ouvertement du côté d’un Ennemi que le Christ a déjà défait et vaincu ?

En y regardant de plus près, nous aurions pu poser cette question aussi à Adam et Ève : Vous étiez dans le Paradis terrestre ; vous jouissiez de la familiarité du Seigneur et vous conversiez avec Lui ; vous ne souffriez ni la maladie ni la mort ; vous aviez une intelligence agile dans l’apprentissage et la compréhension ; vous n’étiez pas soumis à la convoitise de la chair… vous aviez tout, parce que vous aviez Dieu. Eh bien, comment avez-vous pu croire le Serpent, vous promettant qu’en désobéissant au commandement du Seigneur vous obtiendriez ce que vous aviez déjà ? quand il était évident qu’une créature rampante n’aurait jamais pu rivaliser avec la toute-puissance du Créateur ?

Nous trouvons des promesses similaires dans les tentations auxquelles Notre-Seigneur a voulu Se soumettre au désert : même dans ce cas, Satan offre au Maître de toutes choses les domaines de la terre qui Lui appartiennent déjà, osant Lui demander en échange un acte idolâtre d’adoration aussi absurde qu’impossible. Tout cela sera à toi, si en te prosternant tu m’adores (Lc 4, 7). A ces absurdités dictées par un esprit dévoyé et obstiné dans une volonté pervertie, le Seigneur répond en citant l’Écriture, sans même daigner argumenter leur fausseté. Parce qu’avec le diable il n’y a pas de discussion : c’est du temps perdu. Satan doit être chassé et tenu à l’écart.

Le péché de l’homme moderne et contemporain

La fraude colossale qui a été ourdie contre l’homme moderne n’est en rien différente de celle qui a marqué la chute de nos premiers parents : croire au mensonge en tant que tel, subvertissant l’ordre divin. Nous-mêmes n’avons pas vraiment été trompés, car la tromperie était évidente dès le début : devenir sicut dii — comme des dieux — en mangeant l’arbre de la connaissance du Bien et du Mal ou prétendre que les amputations chirurgicales peuvent transformer un homme en femme ; offrir les premiers-nés à Baal ou les tuer dans le ventre de leur mère pour ne pas augmenter l’empreinte carbone est pratiquement identique. Ce que Satan nous demande, ce n’est pas tant d’accomplir une action répréhensible, mais de nous la faire faire en acceptant comme vrai que cela n’a pas de conséquences : jetez-vous de cette tour, et vos anges viendront vous soutenir. Faites-vous vacciner avec ce sérum expérimental, et vous ferez un geste d’amour. Achetez un enfant avec la gestation pour autrui, et vous serez parent. Renoncez à votre liberté, et vous serez libre. Achetez ce que vous ne pouvez pas vous permettre : cela vous endettera pour toujours, et vous serez heureux. Enfermez votre mère âgée dans un hospice, et elle sera prise en charge par le personnel qui la fera se sentir bien. Laissez votre enfant changer de sexe et il sera comblé. Laissez que l’État soit laïc et légifère sans conditionnements de la part de l’Église, et l’harmonie régnera entre les fidèles de toutes les religions.

Aucune de ces promesses n’a même un semblant de vérité : ce sont toutes des mensonges, et en tant que tels, le Prince du mensonge veut que nous les acceptions, parce qu’avec elles nous acceptons la subversion de l’ordre divin. C’est pourquoi ce n’est pas une erreur, mais un péché dont nous sommes moralement responsables.

Les conséquences de l’acceptation du mensonge

Le concept de tolérance du mal – qui, dans les sociétés encore chrétiennes, pouvait en quelque sorte permettre des exceptions limitées en vue d’un bien supérieur — a été effacé par la société civile et par l’Église quand, ayant perdu la référence transcendante du Bien suprême et de la Vérité absolue — le Seigneur Dieu — il n’y a plus de mal à tolérer, ni aucun bien à protéger. Parce que l’acceptation simultanée de la Vérité et de sa négation — le mensonge — sont une contradiction logique, avant même que théologique. Et c’est le résultat d’un processus qui, je crois, mérite d’être analysé très attentivement.

La subversion par le moyen de l’autorité

Le processus auquel je me réfère est cette séquence d’événements liés entre eux qui a conduit l’Église Catholique — et avec elle les Nations dans lesquelles les Catholiques sont présents et socialement influents — à personnaliser la relation des fidèles avec Dieu là où elle était publique (le culte, la liturgie) et à collectiviser, pour ainsi dire, la relation des fidèles avec Dieu, là où elle était personnelle (conversion, prière, méditation, expérience ascétique et mystique). Cette inversion — empruntée aux Protestants — fait en sorte que l’action du culte public de l’Église devient un moment d’autocélébration des individus et des groupes, et non la voix chorale de l’Épouse ; et en même temps elle annule l’union intime de l’âme avec son Seigneur — qui s’accomplit seulement dans le recueillement individuel — pour exalter une « communauté », pour lui donner consistance et attractivité en raison d’un « marcher ensemble », sans but.

La normalité hiératique, au-dessus du temps et de l’espace, cède la place au caractère temporaire de l’expérience, à l’inconnu du résultat, à la créativité pathétique ou à l’improvisation sacrilège. Et cela, nécessairement, s’étend à la vie civile, où le témoignage du Catholique non seulement n’est pas nécessaire, mais doit même être déploré ; et où les hommes politiques, même s’ils sont nominalement catholiques, peuvent légiférer contrairement à la Loi de Dieu et de l’Église. Parce que chacun d’eux est convaincu qu’il peut penser d’une manière et agir dans le sens opposé, alors qu’en réalité il finit par penser sur la base de la façon dont il agit.

Le rôle de l’« église profonde »

Tant que la Hiérarchie de l’Église a été fidèle à son mandat, chaque persécution des gouvernements anticatholiques et révolutionnaires a été affrontée avec honneur et fermeté, souvent même avec l’héroïsme du martyre, comme en Vendée, au Mexique, en Espagne, en Union Soviétique, en Chine… Mais dès que Vatican II a « réinitialisé » la Hiérarchie dans un sens libéral et progressiste, c’est elle-même qui a promu la sécularisation de la société et l’exclusion volontaire de l’Église et de la Religion de toute sphère de la vie civile, allant jusqu’à appeler à la révision des Concordats. En l’espace de quelques générations, la civilisation chrétienne construite grâce à l’Église Catholique a été reniée et oubliée, jusqu’à saper les fondements du pacte social. Il ne s’agit pas de statistiques ou de chiffres — qui peuvent néanmoins être documentés — mais d’un changement radical dans la société, dans les principes qui animent ses citoyens, dans l’espérance que nourrissent les grands-parents et les parents pour les générations futures. Je parle de la capacité de nos grands-parents et de nos parents à renoncer à tant de conforts pour garantir les études ou un foyer à leurs enfants ; je parle de la désintégration de la famille avec le divorce, avec la création délibérée d’une crise économique qui rend impossible d’être autonome, de pouvoir se marier et d’éduquer les enfants, de savoir que les autorités civiles et religieuses sont amies et non hostiles et opposées l’une à l’autre.

Cela a également conduit les générations à perdre progressivement, mais inexorablement tout cet héritage de comportements quotidiens, d’idiomes, d’habitudes qui étaient la traduction pratique de la manière d’être d’un Catholique ; un abandon qui a été encouragé par ceux qui ont instillé chez les citoyens et dans les fidèles un sentiment de honte pour leur passé, pour leur Histoire, leurs traditions, leur Foi. Il est déconcertant que cette trahison ait été consommée sans réaction, après avoir été imposée d’en haut à la fois dans le domaine civil et — chose inouïe — dans la sphère ecclésiale.

La laïcité de l’État, avec laquelle les Nations se débarrassent de la Seigneurie du Christ, constitue la base philosophique et théologique sur laquelle la dissolution de la société chrétienne a pu être théorisée. Sans le principe de la laïcité de l’État, le divorce, l’avortement, l’euthanasie, la sodomie, la manipulation génétique et le transhumanisme n’auraient jamais pu être introduits dans les législations nationales. Et cela s’est produit avec le soutien décisif de l’Église profonde depuis les années Soixante, et plus récemment avec l’asservissement total de la hiérarchie catholique à l’Agenda 2030 : même Mgr Hector Aguer, ancien archevêque de La Plata en Argentine l’a reconnu lui aussi (ici).

La désagrégation de la famille

Tout cela a disparu : aucun jeune membre d’une famille moderne n’a jamais entendu parler de comment on vivait autrefois, de ce que l’on croyait, de ce que l’on espérait. D’autre part, où sont les grands-parents, qui jadis s’occupaient de leurs petits-enfants et leur transmettaient les souvenirs de leurs ancêtres, leur sagesse, leur simple religiosité ? C’étaient les grands-parents qui emmenaient leurs petits-enfants prier devant l’image de Notre-Dame, leur enseignaient les prières, comment faire l’examen de conscience, comment réciter un Requiem en passant devant le cimetière, leur enseignant la signification de l’obéissance aux parents, de l’honnêteté, de la parole donnée. La Franc-Maçonnerie a éliminé les personnes âgées, les transformant en marchandises pour l’activité des cliniques ou en les exterminant avec un sérum génique ou par la ventilation forcée. Leur absence, depuis des décennies, s’est accompagnée d’une attaque frontale contre la femme, dans son rôle d’épouse et de mère : un autre élément de cohésion de la famille démoli, un autre rempart abattu. L’attaque contre la figure paternelle — jusque-là calquée sur l’autorité et la bonté de Dieu le Père — a été menée avec la corruption des mœurs, avec la pornographie, avec la promiscuité et enfin — ayant rompu le cordon ombilical qui lie la sexualité à la relation conjugale visant à la procréation — l’homme, le mari, le père, le citoyen a été davantage détruit, en stigmatisant sa masculinité comme « toxique », en l’efféminant, en le castrant dans la volonté et l’intellect ; en plaçant le moyen (le plaisir légitime de l’acte conjugal) avant la fin naturelle (la procréation), puis en substituant le moyen à la fin. Et les enfants, séparés de leurs parents qui travaillent, trouvent à la télévision, sur Internet, sur les réseaux sociaux, ou des applications, à l’école et partout un nouvel oracle, une entité qui les décharge de la responsabilité de choisir en leur disant quoi penser, quoi vouloir et contre qui diriger leurs frustrations. Et inimici domini domestici ejus [Et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison.] (Mt 10, 36). Cette entité — à laquelle le pouvoir voudrait reconnaître des caractéristiques presque divines, simulant les facultés de l’intelligence humaine — propose un nouveau credo écologiste, exalte de nouvelles vertus green et woke, désigne de nouveaux maîtres, célèbre ses liturgies. Parce qu’elle se présente comme une religion et en tant que telle elle exige l’assentiment de ses fidèles et l’obéissance à ses ministres.

La religion d’État

Le système d’endoctrinement est expérimenté, et tout au long de l’Histoire, il n’a changé que quelques détails en raison de l’époque ou du progrès technologique, mais il a toujours préservé le schéma original. Et c’est ce schéma qu’il faut connaître, si l’on veut s’y opposer sous toutes ses formes : sanitaire, énergétique, climatique, militaire, financière, religieuse. Un schéma qui s’inspire indéniablement non seulement de l’abolition de la seule vraie Religion, mais aussi de son remplacement par la religion luciférienne du progrès, de l’humanité, de la fraternité, de la Terre Mère. Ne soyons donc pas surpris si le prétexte initial avec lequel la Franc-Maçonnerie a sapé l’autorité de l’Église Catholique au nom de la liberté religieuse échoue, pour laisser la domination incontestée — également reconnue au niveau institutionnel — à la seule religion compatible avec l’idéologie du Nouvel Ordre Mondial : le culte de Satan. Qui, après s’être caché pendant deux siècles derrière Prométhée et la déesse Raison, se manifeste aujourd’hui publiquement au grand jour et revendique pour lui-même cette exclusivité qu’il avait reprochée et niée à la véritable Église, au point de devenir « religion d’État », pour imposer ses dogmes absurdes et ses fausses croyances à la communauté internationale, pour endoctriner les enfants et les jeunes dans les écoles, pour obliger les citoyens à se conformer à ses préceptes.

Il semble qu’on assiste à un renouveau mondial du paganisme comme sous le règne de Julien l’Apostat : une sorte de revanche des cultes idolâtres sur la Religion du Christ, une revanche des ténèbres sur la Lumière. Mais cela, comme nous le savons, est ontologiquement impossible.

Un site web a été activé — exsurgedomine.org — sur lequel il est possible de suivre et de soutenir les projets en cours.

« Exsurge Domine » defende Ecclesiam Tuam
[« Lève-toi, Seigneur », défends Ton Église]

Face à l’abdication de l’autorité civile, de nombreux groupes à travers le monde s’organisent pour s’opposer aux violations des libertés fondamentales, les dénoncer là où c’est possible, coordonner l’aide à ceux qui sont ostracisés en raison de leur résistance. Ce n’est pas une substitution du pouvoir, ni une forme de sédition : c’est la réponse nécessaire — en attendant des temps meilleurs — de ceux qui voient menacés leur avenir, leurs biens, leur vie même.

J’ai considéré qu’il était de mon devoir de Pasteur de prendre une initiative similaire dans le domaine ecclésial, en donnant vie à l’Association Exsurge Domine, pour contrer la persécution que les prêtres et les religieux traditionnels souffrent aux mains de la secte bergoglienne en raison de leur fidélité à l’Église du Christ, aujourd’hui infestée de traîtres, de corrompus et de mercenaires. Exsurge Domine, sous mon patronage et mon contrôle personnels, veut aider les clercs, les religieux, les moines et les moniales privés de moyens de subsistance, expulsés de leur monastère, persécutés par les supérieurs parce qu’ils sont liés à la Liturgie apostolique ou parce qu’ils ne veulent pas renier le charisme de leur Ordre. Curés qui, du jour au lendemain, sont écartés de leur paroisse ; moniales auxquelles Rome impose une abbesse moderniste ; clercs réduits à l’état laïc sans procédure régulière et avec des accusations infamantes : toutes ces bonnes âmes, amoureuses du Seigneur et fidèles à l’Église, ont besoin d’aide matérielle, de soutien spirituel, d’assistance juridique et canonique.

Je demande à tous d’être les promoteurs de cette initiative auprès de vos connaissances et amis, et de contribuer selon vos possibilités au financement de notre premier projet : la construction d’un village monastique dans la province de Viterbe, où accueillir la communauté de moniales bénédictines de Pienza, lourdement persécutée par le Saint-Siège et leur Évêque. Votre soutien, également par la prière, permettra à tant de bons prêtres et religieux de ne pas succomber aux purges bergogliennes et de pouvoir exercer le ministère ou suivre le charisme qu’ils ont généreusement choisi selon la volonté de Dieu.

www.exsurgedomine.org

Banque : Banca di Credito Cooperativo di Roma, Via Sabotino 612 – Roma
Titulaire : Associazione Exsurge Domine
IBAN: IT19I0832703399000000026930
SWIFT/BIC: ICRAITRRROM

Banque : Poste Italiane Spa, Piazza Matteotti, 37 – Siena
Titulaire : Associazione Exsurge Domine
IBAN: IT31V0760114200001065628511
SWIFT/BIC : BPPIITRRXXX

Conclusion

Je voudrais conclure mon intervention en me référant précisément à ce lieu, Pontmain, où apparut le 17 janvier 1871 la Vierge Marie, invoquée sous le titre de Notre-Dame de France.

Peu de temps après, le 18 mars, la guerre franco-prussienne allait se terminer, avec la défaite de Napoléon, et les émeutes du mois de mars suivant donneront naissance à la Commune de Paris. Dans cette circonstance, la Franc-Maçonnerie française (d’inspiration socialiste et liée aux centres du pouvoir culturels) a organisé une révolution (ici) qui fut cependant noyée dans le sang au mois de mai suivant par l’intervention du gouvernement de Versailles, sur ordre de la Franc-Maçonnerie anglaise (qui est plutôt libérale et liée au pouvoir institutionnel). Aujourd’hui, ce fossé entre les différentes franc-maçonneries a été surmonté par un pactum sceleris qui les unit — concilium fecerunt in unum (Ps 70, 10) — dans le but commun de mener à bien l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, prémisse nécessaire au règne de l’Antéchrist.

La Sainte Vierge, lors de l’apparition à Pontmain, n’a rien dit. À ses pieds se déploie un rouleau en lettres d’or : Priez, mes enfants. Dieu vous répondra très bientôt. Mon Fils se laisse toucher le Cœur. Eh bien, aujourd’hui encore, ces paroles de réconfort restent valables et vraies : le Seigneur répondra très bientôt, parce qu’il y a beaucoup de bonnes âmes qui, dans cette phase d’apostasie et de crise de l’autorité, se réveillent de la torpeur dans laquelle elles sont restées trop longtemps.

La fraude infernale du mondialisme est vouée à l’échec total : il n’y a pas le moindre doute là-dessus. La Babel du Nouvel Ordre Mondial sombrera sous le poids de ses mensonges, marque indubitable de l’œuvre du diable. Il est de notre devoir de proclamer la Vérité, de rappeler au monde que le seul salut vient du Christ, Prince de la Paix, à qui doit être restituée la Seigneurie sur les Nations et sur l’Église qui Lui a été usurpée par une autorité rebelle et corrompue. Que la Très Sainte Vierge, Reine des Victoires et Médiatrice de toutes les Grâces, hâte la fin de cette tribulation, afin que ses paroles prononcées à Fatima en 1917 s’accomplissent : À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò




Autrefois psychopathe et athée, il trouve la guérison en Christ

[Source : infochretienne.com]

David wood souffrait de psychopathie depuis son enfance et a grandi comme un athée. Il attentera à la vie de son père et se retrouvera en prison. Il y fera la connaissance d’un chrétien, commencera à lire la Bible, et finira par trouver sa guérison en Christ.

[Voir aussi :
https://www.scienceshumaines.com/guerir-apres-freud-psychoses-et-psychopathie_fr_3846.html
et
https://www.cairn.info/revue-topique-2007-2-page-61.htm (spécialement la partie 4)]

David est un psychopathe athée. Il ne ressent aucune empathie envers qui que ce soit et pense que c’est normal. Alors qu’il étudie la biologie à l’école secondaire, David est exposé à la théorie de l’évolution. Se basant sur cette théorie, le jeune homme justifie son manque d’émotion comme une sorte d’évolution.

« J’ai donc conclu que j’avais probablement atteint un stade humain plus élevé dans lequel je n’étais pas soumis aux émotions. »

Il commence alors à enfreindre les lois et règlements : il entre par effraction dans certains endroits, commet des vols…

« J’avais le sentiment de démembrer ces séries de règles que les gens m’avaient imposées tout au long de ma vie, et c’était un sentiment extraordinaire. »

Puis un jour il décide de tuer son père, afin de se libérer de tout ce dont on l’avait ‘endoctriné’.

« J’avais décidé de le faire d’une manière brutale… J’avais un marteau à la main et je l’ai frappé à la tête 7 ou 8 fois. »

Les faits accomplis, le jeune homme quitte les lieux. C’est un ami de son père qui fera la découverte macabre. Alors que son père est transporté d’urgence à l’hôpital, David avoue son crime à sa mère. Il est aussitôt admis à l’hôpital psychiatrique. Le diagnostic des médecins : une personnalité antisociale.

David sera par la suite transféré en prison. Comme son père survit à cette agression, David n’écope que de 10 ans de prison.

En prison il fait la connaissance de Randy, un chrétien. Un jours alors que le chrétien lit sa Bible, David lui fait part de ses opinions.

« Hey, sais-tu pourquoi tu lis ta Bible ? Tu lis ta Bible parce que tu es né aux États-Unis. Si tu étais né en Chine, tu aurais été bouddhiste. Si tu étais né en Inde, tu aurais été hindou. Si tu étais né en Arabie Saoudite, tu aurais été musulman. Parce que les gens comme toi croient ce qu’on leur dit de croire. »

Mais les réponses de Randy étaient poignantes. Les deux hommes avaient souvent des débats au sujet de la Bible versus les philosophies du monde selon David. Et Randy remportait à chaque fois le débat.

C’est alors que David décide de lire la Bible afin de pouvoir battre Randy.

« Je devais étudier la bible afin de pouvoir lui répondre. Je voyais cela comme ma faiblesse. »

Mais il n’atteindra pas son objectif.

« J’ai été impressionné par Jésus. Alors que je croyais être la meilleure personne au monde, je me suis rendu compte que j’étais la pire personne au monde. »

David prend conscience que seul Jésus peut accomplir un miracle dans sa vie et le délivrer de cette psychopathie. Il adresse alors une prière à Dieu.

« Seigneur je ne sais pas si je croirai en toi demain, mais je crois en toi à l’heure actuelle. Si tu peux faire quoi que ce soit pour moi, tu es le bienvenu. »

Il fera également une prière de repentance qu’il avait entendu en prison.

« L’ensemble du monde m’a semblé différent, comme si j’étais dans un endroit différent, comme si toutes les choses étaient de différentes couleurs… Je ne voulais plus faire de mal à qui que ce soit. »

David décide alors d’écrire une lettre à son père pour lui avouer ce qu’il avait fait. En effet son père n’avait aucun souvenir. Un jour son père lui a rendu visite en prison et lui a accordé son pardon.

À sa sortie de prison en 2000, David rejoint immédiatement le collège d’où il fera la rencontre de sa charmante épouse.  Aujourd’hui David est marié et père de 4 enfants et pour lui c’est une bénédiction de pouvoir avoir une telle vie, compte tenu des choses qu’il a faites.

« Jésus est ressuscité des morts et cela démontre qu’il y a un but à toute chose, qu’il y a un créateur et qu’il prend soin de nous. »




Restaurer le noyau spirituel de l’Église

Informations pour les évêques des cinq continents

Par Patriarcat Catholique Byzantin

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Par Patriarcat Catholique Byzantin

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Dans la seconde moitié du XIXsiècle, sous l’influence des Lumières, du darwinisme athée et de courants philosophiques négatifs, un courant hérétique appelé Modernisme s’est introduit dans l’Église. Les mots « science » et « démarche scientifique » deviennent magiques, mais le Dieu vivant n’a pas sa place dans le modernisme. En 1907, le pape saint Pie X a été contraint d’expulser près de la moitié des séminaristes et des professeurs. Bien que le modernisme ait été interdit, les crypto-modernistes ont réussi, en l’espace d’un demi-siècle, à promouvoir Jean XXIII comme pape, en collaboration avec les francs-maçons. Jean XXIII a convoqué un concile et a choisi ces mêmes personnes comme modérateurs du concile, qui a complètement ouvert l’Église au monde. Aujourd’hui, le fruit de cette tendance hérétique est le pseudo-pape Bergoglio, qui a même légalisé le péché d’homosexualité et intronisé le paganisme par un rituel public avec le démon Pachamama.

Sous le couvert de la méthode historico-critique, le modernisme a nié l’inspiration divine des Écritures. Après le Concile de Vatican II, ces hérésies cachées ont pénétré dans toutes les facultés de théologie.

S’adressant aux théologiens libéraux, le cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI, a déclaré :

« … Je m’étonne de l’habileté des théologiens qui parviennent à représenter l’exact opposé de ce qui est écrit dans des documents clairs du Magistère pour ensuite présenter cette inversion, avec d’habiles procédés dialectiques, comme le “véritable” sens des documents en question ».

Après sa conversion, le professeur Linnemann, élève de Bultmann, a commenté cette pseudo-science comme suit :

« La théologie historico-critique (THC) est basée sur un mensonge. La science n’est donc pas synonyme de vérité, mais une rébellion contre Dieu qui supprime injustement la vérité. Si quelqu’un veut servir Dieu (et étudie la théologie hérétique contemporaine), son esprit doit s’abandonner à l’athéisme. Les sentiments pieux lui sont gracieusement permis, mais son esprit doit accepter l’axiome athée essentiel selon lequel Dieu n’existe pratiquement pas. C’est une perversion ».

En résumé, ces experts théologiques autoproclamés ne connaissent pas du tout l’essence spirituelle des Saintes Écritures et n’admettent pas que l’auteur principal de la Bible soit le Saint-Esprit. Ils n’ont pas été et ne sont pas d’humbles hommes de foi et de prière. Ils n’expliquent pas la Bible, mais détournent les croyants de son essence par des hérésies cachées. Ils ont créé de fausses théories sur le Christ de l’histoire et le Christ du mythe. La motivation de leur soi-disant recherche est l’effort consistant à adapter les Écritures à l’esprit du monde.

« Une exégèse dans laquelle la Bible ne vit plus et n’est plus comprise dans l’organisme vivant de l’Église devient de l’archéologie : les morts enterrent leurs morts »

(Card. Ratzinger, 1984).

Où cette soi-disant théologie scientifique allemande a-t-elle abouti ? Dans le parcours synodal allemand qui promeut le mariage gay et queer. Cette théologie a été publiquement condamnée par le Card. Müller :

« Tout cet établissement de l’ecclésiologie catholique allemande est trompeur et suicidaire ».

La racine de la soi-disant science historico-critique doit être clairement identifiée comme étant empoisonnée :

« Il a été décidé de s’opposer à la parole de Dieu en tant que vérité révélée… Cette méthode n’est pas scientifique, mais démagogique »

(Prof. Eta Linnemann).

Prétendre que les Évangiles sont nés longtemps après le Christ est une manipulation évidente. Une personne raisonnable qui transmet un enseignement important à d’autres, et qui veut que ceux-ci le transmettent avec exactitude, utilise toujours une base écrite. Il existe d’ailleurs un dicton bien connu :

« La lettre écrite demeure ».

3 000 Juifs se sont convertis le jour de la Pentecôte. Ils ont été baptisés et remplis du Saint-Esprit. Beaucoup d’entre eux étaient des pèlerins de différentes nations (Actes 2). Afin d’éviter les contradictions, il fallait donner un fondement écrit clair, sur lequel ils avaient déjà construit pendant la mission et à l’autorité duquel ils faisaient appel. Deux évangiles ont été rédigés immédiatement après la Pentecôte. L’apôtre Jean et l’apôtre Matthieu furent chargés de cette tâche. Quelque temps plus tard, Marc a abrégé l’Évangile de Matthieu, et Luc a omis quelque chose et ajouté quelque chose. Mais avant tout, il est nécessaire de comprendre que c’est le Saint-Esprit qui est l’auteur des Saintes Écritures. L’Écriture est la parole de Dieu qui nous est donnée pour notre vie, afin que nous suivions le Christ dans le but d’obtenir la vie éternelle.

Aujourd’hui encore, pour que la parole de Dieu soit une véritable nourriture spirituelle et qu’elle soit interprétée correctement, le prédicateur a besoin de l’inspiration de l’Esprit de Dieu : le don de prophétie. Sans cet Esprit de vérité, le ministère de la parole de Dieu ne serait qu’un discours creux. Une telle prédication n’amènerait personne à la conversion et ne donnerait à personne la force de lutter contre le péché. C’est pourquoi le serviteur de la parole de Dieu doit être une personne qui a un contact avec Dieu dans la prière personnelle, et qui s’efforce de vivre ce qu’il prêche. Une telle personne reçoit alors une force spirituelle pour prêcher la parole.

La période de crise que traverse actuellement l’Église exige une nouvelle formation du futur sacerdoce. Les principes de base suivants sont nécessaires :

1) Le premier principe est de passer par des exercices spirituels

Dès le début, les étudiants doivent être conduits à une profonde conversion personnelle et à une relation avec le Christ. Il est également nécessaire qu’ils reçoivent spirituellement la Mère de Jésus, comme le disciple près de la croix. En outre, ils doivent s’ouvrir à l’Esprit de vérité et renoncer aux fausses voies. Ces fausses voies sont les hérésies et la pseudo-spiritualité New Age avec l’ésotérisme, l’occultisme et la vénération du paganisme. Cette purification spirituelle est tout à fait d’actualité.

2) Le deuxième principe est la théologie à genoux.

Les étudiants ont besoin d’être enracinés dans le Christ. Mais cela demande beaucoup d’efforts. Cela signifie que les étudiants doivent devenir des hommes de prière. Dans la prière intérieure, la vraie sagesse de Dieu leur sera révélée pour la connaissance des Écritures, mais aussi pour l’orientation dans le combat spirituel de la vie pour le salut de l’âme.

3) Le troisième principe spirituel est la fraternité (koinonia)

Une fraternité vivante nous aide à nous purifier de l’orgueil incarné par notre ego. Saint Basile explique que le moyen le plus efficace de se purifier de notre égoïsme caché et profond n’est pas l’ascèse hermétique, mais plutôt une petite communauté.

Si cette base est construite, il suffit de connaître quelques principes pour commencer à étudier la Bible. Tout d’abord, les étudiants doivent connaître les Saintes Écritures, c’est-à-dire qu’ils doivent les lire. Ensuite, ils doivent être initiés à la profondeur de la parole de Dieu. La prière intérieure, la volonté de suivre le Christ et une véritable autocritique, c’est-à-dire l’humilité, jouent ici un rôle important. Ensuite, c’est l’auteur des Écritures Lui-même, le Saint-Esprit, qui les introduira dans cette profondeur (de la parole de Dieu). Il est également important de consacrer du temps ensemble, après la prière, à l’interprétation, avec la participation d’autres personnes, afin de se préparer au ministère de la parole.

Les cellules bibliques et de prière doivent être composées de quatre à sept séminaristes. Ils doivent y faire l’expérience personnelle de Dieu et se former personnellement à la parole de Dieu dans le vrai repentir, c’est-à-dire dans la purification spirituelle. Les saints parlent du chemin de la purification, de l’illumination et de l’union. Après une telle étude de la théologie, les séminaristes seront capables de prêcher des principes sains, une dogmatique et une doctrine solides, ainsi qu’une foi vivante qui les rendra prêts à affronter le martyre pour l’amour du Christ. Ils transmettront alors la vie spirituelle et renforceront plus tard d’autres cellules saines et renaissantes de l’Église. Par la force de la parole et de l’Esprit, ils transformeront les chrétiens tièdes en disciples du Christ, en martyrs (Mt 28,19). Ils poursuivront eux-mêmes leur formation sacerdotale dans les cellules vivantes des communautés sacerdotales.

Cela signifie que les prêtres mèneront une vie semi-religieuse. Deux jours par semaine, ils se réuniront pour prier, se consacrer à la parole de Dieu et à la communion fraternelle, afin de puiser lumière et force pour les jours suivants de leur ministère. Là où ils se trouvent, ils feront des hommes des disciples pour construire leur église d’origine. Les disciples et leurs épouses pourront alors témoigner du Christ de manière authentique au contact des autres. Les familles converties se réuniront et s’encourageront mutuellement dans la fidélité au Christ face à la forme moderne de la persécution. Elles partageront leur expérience de l’éducation des enfants et de leur protection contre la pression extrêmement destructrice de l’esprit de ce monde. Elles se donneront mutuellement l’exemple de la suite du Christ.

Les prêtres qui auront aussi leur fraternité sacerdotale transmettront leur expérience aux communautés laïques : comment lutter contre l’orgueil de son propre égoïsme, comment s’humilier, comment se priver, comment vaincre l’esprit de mensonge, comment unir sa douleur au Christ crucifié dans la prière intérieure. Ce ferment spirituel imprégnera alors toute la chrétienté. Le christianisme redeviendra le pilier de la vérité et le sel du monde.

L’Église chrétienne primitive de Jérusalem avait quatre principes de base : la prière, l’enseignement des apôtres, la communion fraternelle et l’eucharistie (cf. Ac 2,42). Si les communautés vivantes sont construites sur ce fondement, tous feront l’expérience de la promesse de Jésus :

« Si vous demeurez dans Ma parole, vous êtes vraiment mes disciples. Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres »

(Jn 8,31s).

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 30 juin 2023

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Les promoteurs du « grand réveil » : des loups déguisés en brebis ?

[Source : MédiainfocitéTV2]

Par Isabelle

Le « great awakening » (« le grand réveil) se décrit comme un mouvement de rédemption par la politique qui est menée par des groupes concertés qui se disent « mandatés par Dieu » pour combattre l’État profond, pour détruire les pédosatanistes et ainsi faire échec aux ténèbres. Au nom du patriotisme, de la sauvegarde de nos droits et libertés, et au nom de Dieu, ce gigantesque phénomène prend énormément d’ampleur à travers l’Amérique et ailleurs. Mais qu’en est-il vraiment des véritables allégeances de ces « bergers », de ces promoteurs qui se disent investis d’une mission divine ?

[NDLR Certains des intervenants de cette courte vidéo peuvent sans doute assez facilement passer pour des possédés, au moins pour un regard européen.]

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus,
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur]




Seuls les barbares brûlent les livres, les bibliothèques ou les écoles

Par Gérard Delépine

Les livres conservent les savoirs de l’humanité et permettent leur transmission.

Les écoles en facilitent la diffusion. La destruction de la bibliothèque d’Alexandrie est partout considérée comme une perte inestimable pour l’humanité. Seuls les nazis et les barbares qu’ils ont imités étaient très fiers de réaliser des autodafés de livres.

LA BIBLIOTHÈQUE D’ALEXANDRIE : un antécédent lourd et tragique

Et voici qu’en France de 2023, qui offre des écoles et des bibliothèques gratuites à tous pour le bénéfice prioritaire des plus défavorisés, de nouveaux barbares dans une rage aveugle s’en prennent aux symboles du savoir et de la civilisation qui pourrait leur apporter ce qui leur manque.

Soixante-dix bibliothèques ont été incendiées en France entre 1996 et 2013, principalement dans des quartiers populaires. Sont-ils comme l’incendiaire d’une bibliothèque au cours des révoltes de la Commune de Paris qui ne savait pas lire1 ?

On peut comprendre l’insatisfaction de jeunes qui n’ont pas su ou voulu s’instruire à l’école et se retrouvent angoissés par leur avenir et les difficultés d’ascension sociale difficilement réalisables. Mais on ne scie pas une branche sur laquelle on peut s’asseoir. Réalisent-ils qu’ils sont de grands privilégiés si on les compare aux parents et enfants africains qui souffrent d’en manquer se battent pour obtenir des livres et aller à l’école ?

Rien, sinon l’ignorance et l’expression d’une rage qui se trompe totalement de cible peuvent expliquer des actes aussi stupides qui témoignent dramatiquement de la totale faillite de l’enseignement scolaire depuis plus de vingt ans.

Comme lieux de culte, les écoles, les bibliothèques et les hôpitaux constituent les symboles et les outils de la civilisation. Ne pas les respecter c’est refuser son humanité. Il faut à nouveau lutter et ramener à la raison les barbares !

Rappelons le poème de Victor Hugo écrit en 1872 :

À qui la faute
Tu viens d’incendier la Bibliothèque ?
– Oui. J’ai mis le feu là.

– Mais c’est un crime inouï !
Crime commis par toi contre toi-même, infâme !
Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme !
C’est ton propre flambeau que tu viens de souffler !
Ce que ta rage impie et folle ose brûler,
C’est ton bien, ton trésor, ta dot, ton héritage
Le livre, hostile au maître, est à ton avantage.
Le livre a toujours pris fait et cause pour toi.
Une bibliothèque est un acte de foi
Des générations ténébreuses encore
Qui rendent dans la nuit témoignage à l’aurore.
Quoi ! dans ce vénérable amas des vérités,
Dans ces chefs-d’œuvre pleins de foudre et de clartés,
Dans ce tombeau des temps devenu répertoire,
Dans les siècles, dans l’homme antique, dans l’histoire,
Dans le passé, leçon qu’épelle l’avenir,
Dans ce qui commença pour ne jamais finir,
Dans les poètes ! quoi, dans ce gouffre des bibles,
Dans le divin monceau des Eschyles terribles,
Des Homères, des jobs, debout sur l’horizon,
Dans Molière, Voltaire et Kant, dans la raison,
Tu jettes, misérable, une torche enflammée !
De tout l’esprit humain tu fais de la fumée !
As-tu donc oublié que ton libérateur,
C’est le livre ? Le livre est là sur la hauteur ;
Il luit ; parce qu’il brille et qu’il les illumine,
Il détruit l’échafaud, la guerre, la famine
Il parle, plus d’esclave et plus de paria.
Ouvre un livre. Platon, Milton, Beccaria.
Lis ces prophètes, Dante, ou Shakespeare, ou Corneille
L’âme immense qu’ils ont en eux, en toi s’éveille ;
Ébloui, tu te sens le même homme qu’eux tous ;
Tu deviens en lisant grave, pensif et doux ;
Tu sens dans ton esprit tous ces grands hommes croître,
Ils t’enseignent ainsi que l’aube éclaire un cloître
À mesure qu’il plonge en ton cœur plus avant,
Leur chaud rayon t’apaise et te fait plus vivant ;
Ton âme interrogée est prête à leur répondre ;
Tu te reconnais bon, puis meilleur ; tu sens fondre,
Comme la neige au feu, ton orgueil, tes fureurs,
Le mal, les préjugés, les rois, les empereurs !
Car la science en l’homme arrive la première.
Puis vient la liberté. Toute cette lumière,
C’est à toi comprends donc, et c’est toi qui l’éteins !
Les buts rêvés par toi sont par le livre atteints.
Le livre en ta pensée entre, il défait en elle
Les liens que l’erreur à la vérité mêle,
Car toute conscience est un nœud gordien.
Il est ton médecin, ton guide, ton gardien.
Ta haine, il la guérit ; ta démence, il te l’ôte.
Voilà ce que tu perds, hélas, et par ta faute !
Le livre est ta richesse à toi ! c’est le savoir,
Le droit, la vérité, la vertu, le devoir,
Le progrès, la raison dissipant tout délire.
Et tu détruis cela, toi !

Je ne sais pas lire. »

1 Poème de Victor Hugo : « “À qui la faute ?” écrit en1872 sur l’incendie de la bibliothèque » des Tuileries.




La dénazification de l’Occident

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Batiushka − Le 18 juin 2023 − Source Global South

Le contexte

Sous la contrainte du despotisme américain, des politiciens occidentaux veules ont accepté de militariser l’Ukraine. Ce qui aurait dû se terminer en mars/avril 2022 a été prolongé par les armes occidentales jusqu’à la fin de 2023 et peut-être plus — avec des conséquences dévastatrices pour l’Ukraine et pour l’Occident. En effet, la guerre actuelle visant à décoloniser l’Ukraine ou à la libérer de l’occupation américaine a atteint une phase critique. L’offensive (dite « contre-offensive ») du régime de Kiev contre la libération de l’Ukraine menée par la Russie est le dernier coup de dés du régime de Kiev. Cependant, elle a été un désastre pour la chair à canon ukrainienne entraînée par les États-Unis et pour les mercenaires payés par les États-Unis, dont le bavardage électronique en polonais, en anglais et en français est constamment capté par les services russes.

L’offensive ratée actuelle sera tôt ou tard suivie de la mise à l’écart de la marionnette américaine Zelensky, tout comme les Américains ont mis à l’écart leurs « alliés » afghans il y a deux ans. L’excuse ? Nous avons fait de notre mieux, nous les avons entraînés et leur avons donné tout l’équipement dont ils avaient besoin, mais ils n’étaient tout simplement pas à la hauteur. De toute évidence, personne à la Maison-Blanche ne prendra la responsabilité d’un nouvel échec américain. Ils ne l’ont jamais fait. Pendant ce temps, les gangsters de la Maison-Blanche continuent à intimider le monde non occidental, qui refuse de se plier à leurs menaces absurdes. Bien qu’ils essaient d’intimider l’Afrique, l’Inde, le Brésil, la Turquie, l’Arabie Saoudite, tous sont unis contre leurs menaces et ne se laissent pas décourager. Personnellement, je ne pensais pas vivre assez longtemps pour voir cela.

Le désarmement de l’Occident

Le 13 juin, le président Poutine a déclaré que l’offensive avait coûté au régime de Kiev, en seulement neuf jours, 160 chars et 360 véhicules blindés, soit environ 25 à 30 % des véhicules donnés à Kiev par l’Occident. Toutefois, lors du Forum économique mondial de Saint-Pétersbourg, le 16 juin, il a revu ces chiffres à la hausse, les portant à 186 chars et 418 véhicules blindés. Le 18 juin, 33 chars et 65 véhicules blindés supplémentaires avaient été détruits. Les chiffres concernant les pertes des troupes de Kiev et des mercenaires semblent s’élever à au moins 10 000 morts, sans compter ceux qui ont été anéantis avec leur équipement par des missiles russes à longue portée. Dès le 13 juin, Berlin a déclaré qu’elle ne serait pas en mesure de remplacer les nombreux chars Leopard perdus, dont au moins un a été capturé par les combattants russes de la liberté. Bien que d’autres chars étrangers, tant français que soviétiques, aient été détruits, aucune nouvelle n’a été donnée jusqu’à présent sur les pertes de chars britanniques Challenger, qui sont aussi démodés que les Léopards. En ce qui concerne les pertes russes, le Président a déclaré qu’elles représentaient un dixième des pertes de Kiev.

En effet, le 16 juin, la BBC, notoirement russophobe, l’a confirmé en déclarant que depuis février 2022, les forces pro-russes avaient subi au moins 25 000 pertes (dont 13 000 ex-détenus qui s’étaient battus dans le groupe Wagner). Ces pertes, données par une source notoirement anti-russe et ses journalistes censeurs, sont très faibles par rapport aux pertes de la KIA [killed in action, NdT] de Kiev, estimées par des sources fiables entre 250 000 et 350 000 — bien que, naturellement, ces pertes ne soient jamais mentionnées par la BBC. Cela suggère que le rapport entre les pertes russes et kiéviennes pourrait même être de 1:14 au lieu de 1:10. Le 16 juin, le président Poutine a également souligné que Varsovie avait caché les pertes très élevées des mercenaires polonais, qui se comptent par milliers. Nous voyons maintenant clairement que l’un des trois objectifs russes, la démilitarisation de l’Ukraine, est devenu la démilitarisation ou la désarmement de l’Occident. Et c’est ce qui se passe actuellement en Ukraine.

La dénazification de l’Occident

La désarmement de l’Ukraine, transformée par l’intransigeance occidentale (appelée « incapacité de passer un accord » en russe) en désarmement de l’Occident, n’est cependant que le deuxième des trois objectifs de la Russie, le premier étant la libération de l’Est russe de l’Ukraine. En effet, les armes de l’Occident ne consistent pas seulement en un équipement militaire, mais aussi en un « équipement » financier. En d’autres termes, son « équipement » se compose également de ses sanctions illégales et de l’économie mondiale du dollar. Ces deux éléments ont été contournés par la Russie grâce à l’énorme soutien qu’elle a reçu du monde non occidental avec son économie croissante sans dollar et l’évolution prochaine vers le pétroyuan comme monnaie de réserve mondiale. Cependant, pour atteindre son troisième objectif, la dénazification de l’Ukraine, la Russie est désormais obligée de dénazifier l’Occident, car le régime de Kiev a avalé en bloc l’appât nazi occidental. En quoi consiste cette « dénazification » ?

L’idéologie nazie n’a rien à voir avec le racisme allemand d’antan. Le nazisme est bien plus vaste que cela. Le nazisme, c’est toute l’idéologie de la supériorité occidentale, le concept selon lequel le monde occidental est le seul qui compte et que, puisque les autres lui sont inférieurs, l’Occident a le droit tyrannique — et la fierté illusoire — de détruire toutes les autres civilisations et valeurs culturelles en leur imposant les siennes, par la violence organisée, l’arrogance raciale, le chantage économique et l’intimidation culturelle. Comment en est-on arrivé là ? D’où vient tout cela ? Quiconque connaît l’Occident sait qu’il existe une grande diversité parmi ses peuples et que de très nombreux Occidentaux ne partagent pas cette arrogance. Dans la culture occidentale classique, qui appellerait Dante et Michel-Ange, Shakespeare et Molière, Cervantès et Goethe, Heine et Dickens, Chopin et Liszt, Puccini et Verdi, Bach et Strauss, Hugo et Renoir, Dvorak et Grieg, Yeats et Joyce, Sibelius et Elgar, des nazis ? Personne. D’où vient donc cette culture occidentale du nazisme ?

La perte de l’identité spirituelle occidentale

Toute civilisation dépend de ses valeurs spirituelles, philosophiques et culturelles essentielles. Le christianisme, l’islam, l’hindouisme et le bouddhisme sont les quatre systèmes de croyances les plus importants au monde et représentent environ 75 % de la population mondiale, bien qu’il existe également de nombreux systèmes plus petits, tels que le taoïsme, le sikhisme et le très petit judaïsme. Bien qu’il ait ensuite dévié vers les formes confessionnelles du catholicisme et du protestantisme, le monde occidental a commencé par faire partie de la civilisation chrétienne. Néanmoins, bien que les deux confessions aient fait des ajouts et des retraits, elles partagent toujours plusieurs valeurs chrétiennes fondamentales. Au cours des cent dernières années et plus, sans doute depuis 1914, lorsque les élites occidentales ont massacré la fleur de leur propre jeunesse dans les tranchées, bien que d’autres diraient avant cela et d’autres encore plus récemment, le monde occidental a renié même ces valeurs chrétiennes fondamentales, les piliers sur lesquels il avait construit sa civilisation.

Tout d’abord, le monde occidental a perdu, ou plutôt renoncé, à sa propre identité spirituelle et civilisationnelle, c’est-à-dire à sa croyance dans le Christ. Il a perdu la foi en sa propre pierre angulaire. En le niant comme le Fils ressuscité de Dieu, en le rejetant comme un simple homme et même parfois en rejetant qu’il ait jamais existé, il a détruit toute foi en sa propre raison d’être. Pourquoi existait-elle encore ? Par exemple, elle a vendu ses bibles aux Amérindiens et aux Africains, mais a ensuite volé leurs terres et leurs ressources. Quel exemple ces peuples ont-ils vu dans l’Occident ? Que valait l’idéologie occidentale ? Il est apparu clairement que l’Occident n’était pas chrétien, mais capitaliste, que son seul intérêt était le profit financier et que ses formes réductrices de christianisme n’étaient qu’un camouflage. Il n’avait donc plus de fondement spirituel et idéologique.

La perte des identités nationales et familiales

Deuxièmement, les différentes nations occidentales ont perdu leur identité nationale, c’est-à-dire leur souveraineté. Elles ont commencé à se fondre non seulement les unes dans les autres, mais aussi dans un monde américain anonyme et homogène. Aujourd’hui, vous pouvez visiter des villes, des aéroports et des magasins en Europe occidentale sans savoir où vous vous trouvez. Ils se ressemblent tous, ils ont tous la même apparence et le même contenu transnationaux et transcorporels. De plus en plus, les Européens de l’Ouest mangent, boivent et s’habillent exactement comme les Américains et regardent des films et des émissions de télévision américains. L’exemple le plus frappant est l’Union européenne, qui est censée être les États-Unis d’Europe, une partie unique et soumise des États-Unis avec la même monnaie indexée sur le dollar, en d’autres termes, rien de plus qu’un ensemble de républiques bananières clientes.

Troisièmement, le monde occidental est en train de détruire l’identité familiale par le transgendérisme. En sapant et en détruisant l’élément de base de toute civilisation, la famille, et en proclamant qu’il n’y a plus deux sexes, masculin et féminin, tels que Dieu les a créés, il assure sa propre mort. D’où viendront les hommes qui fourniront les semences ? D’où viendront les femmes pour porter les enfants et les mettre au monde ? Le transgendérisme est la dernière étape de la fin de la civilisation occidentale. Il est suicidaire, comme le montrent les remplacements massifs de population par des immigrants qui ont eu lieu en Europe occidentale et se sont accélérés au cours des cinquante dernières années.

Le rôle de la civilisation russe dans une éventuelle restauration européenne

Au XXe siècle, la civilisation russe a été presque entièrement détruite par le renversement, orchestré par l’Occident, des vestiges de sa civilisation chrétienne orthodoxe traditionnelle, non occidentale et non réductionniste. Cette dernière a ensuite été renversée par l’idéologie occidentale du marxisme, un morceau d’idéalisme idéologique qui a complètement échoué parce qu’il n’a jamais pris en compte la nature humaine, c’est-à-dire la réalité, en particulier l’identité spirituelle, l’identité nationale et l’identité familiale. Au cours des trente dernières années, cependant, les vestiges de la civilisation russe ont lentement et péniblement retrouvé leurs racines spirituelles dans l’orthodoxie russe. Ce très lent retour au christianisme orthodoxe signifie que la Russie retrouve les mêmes racines que celles que le monde occidental a jadis possédées, bien qu’il y ait longtemps. Cela signifie qu’elle revient de ce terminus vers lequel l’Occident se dirige aujourd’hui.

En d’autres termes, la Russie et l’Occident sont aujourd’hui comme deux trains qui se croisent, mais qui vont dans deux directions différentes. Le train russe revient de son terminus et se dirige vers la restauration de son identité spirituelle et civilisationnelle, de son identité et de sa souveraineté nationales et de son identité familiale, toutes choses qu’il a presque perdues au cours des années de marxisme. Après avoir connu la déviation occidentale du marxisme, la Russie d’aujourd’hui est totalement opposée aux élites LGBT narcissiques du Nouvel Occident, mais totalement favorable aux peuples de l’Ancien Occident et à leur retour potentiel à leurs racines spirituelles dans une chrétienté intacte. Le symbole de ce nouvel Occident est son chef, le président Biden. Il ne devrait pas être à la Maison-Blanche, élu président uniquement parce que sa sénilité garantit qu’il peut être manipulé par ceux qui sont derrière lui. Il devrait plutôt se trouver dans une maison de retraite avec des soins de santé mentale. Il devrait en être de même pour tous les dirigeants occidentaux, car ils souffrent tous de la même aberration mentale, connue sous le nom de nazisme — le complexe de supériorité occidental.

Batiushka
Recteur orthodoxe russe d’une très grande paroisse en Europe, il a servi dans de nombreux pays d’Europe occidentale et j’ai vécu en Russie et en Ukraine. Il a également travaillé comme conférencier en histoire et en politique russes et européennes.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Sortir la France du Nouvel Ordre Mondial

[Source : profession-gendarme.com]

Par Virginie Dornier

Dossier de présentation

[Illustration : Land Art « LIBERTE » — Franck Bonneau — Land Art & Co]

Ce Dossier est la présentation de l’ensemble du travail d’enquête réparti sur 7 Tomes où chacun d’entre eux vise à mettre en lumière la gouvernance de la franc-maçonnerie exercée insidieusement par l’ensemble des présidents de la Ve République (Constitution, Lois, symboles nationaux…). Il donne également diverses représentations anatomiques du cartel du Nouvel Ordre Mondial en se basant sur de nombreuses déclinaisons allant des mythes les plus connus à des organismes biologiques et parasitaires tels que le Mérule ou le Blob. Ce dernier, dont les diverses recherches scientifiques, l’engouement médiatique qui en fait la promotion notamment auprès du jeune public (vente libre) couplé avec les différentes données liées aux conséquences des injections nous interpellent.

[Note de Joseph : on connaît d’autant mieux un individu que l’on plonge dans son univers. Celui des élites mondialistes est largement imprégné d’occultisme et d’ésotérisme (kabbale, hermétisme, gnose, alchimie, astrologie, cartomancie, géomancie, divination, numérologie, symbolisme, sorcellerie, thaumaturgie, etc.]

Article 2

Version en vigueur depuis le 05 août 1995
Modifié par Loi constitutionnelle n° 95-880 du 4 août 1995 — art. 8

La langue de la République est le français.
L’emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.
L’hymne national est la « Marseillaise ».
La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité ».
Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple

Il est certains esprits dont les sombres pensées
Sont d’un nuage épais toujours embarrassées ;
Avant donc que d’écrire apprenez à penser.
Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Surtout, qu’en vos écrits la langue révérée
Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
En vain vous me frappez d’un son mélodieux,
Si le terme est impropre, ou le tour vicieux ;
Mon esprit n’admet pour un pompeux barbarisme,
Ni d’un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme.
Sans la langue, en un mot, l’auteur le plus divin
Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain.
Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse,
Et ne vous piquez point d’une folle vitesse ;
Un style si rapide, et qui court en rimant,
Marque moins trop d’esprit, que peu de jugement.
J’aime mieux un ruisseau qui sur la molle arène
Dans un pré plein de fleurs lentement se promène,
Qu’un torrent débordé qui, d’un cours orageux,
Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Hâtez-vous lentement ; et, sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage :
Polissez-le sans cesse et le repolissez ;
Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
C’est peu qu’en un ouvrage où les fautes fourmillent,
Des traits d’esprit semés de temps en temps pétillent.
Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu ;
Que le début, la fin répondent au milieu
Que d’un art délicat les pièces assorties
N’y forment qu’un seul tout de diverses parties ;
Que jamais du sujet le discours s’écartant
N’aille chercher trop loin quelque mot éclatant.
Craignez-vous pour vos vers la censure publique ?
Soyez-vous à vous-même un sévère critique.
L’ignorance toujours est prête à s’admirer.
Faites-vous des amis prompts à vous censurer ;
Qu’ils soient de vos écrits les confidents sincères,
Et de tous vos défauts les zélés adversaires.
Dépouillez devant eux l’arrogance d’auteur ;
Mais sachez de l’ami discerner le flatteur :
Tel vous semble applaudir, qui vous raille et vous joue.
Aimez qu’on vous conseille et non pas qu’on vous loue.
Un flatteur aussitôt cherche à se récrier :
Chaque vers qu’il entend le fait extasier.
Tout est charmant, divin : aucun mot ne le blesse ;
Il trépigne de joie, il pleure de tendresse ;
Il vous comble partout d’éloges fastueux : impétueux.
La vérité n’a point cet air
Un sage ami, toujours rigoureux, inflexible,
Sur vos fautes jamais ne vous laisse paisible :
Il ne pardonne point les endroits négligés,
Il renvoie en leur lieu les vers mal arrangés,
Il réprime des mots l’ambitieuse emphase ;
Ici le sens le choque, et plus loin c’est la phrase.
Votre construction semble un peu s’obscurcir ;
Ce terme est équivoque, il le faut éclaircir.
C’est ainsi que vous parle un ami véritable.

Boileau, Art poétique, Chant I, v. 147-207

SOMMAIRE

  • NOTE AUX LECTEURS
  • REMERCIEMENTS
  • AVERTISSEMENT AUX DÉTRACTEURS
  • GUIDE POUR ABORDER L’ENSEMBLE DU DOSSIER

    • AVANT-PROPOS
    • COMMENT S’ARTICULE LE DOSSIER

      • Dossier de Présentation
      • Dossier 1
      • Dossier 2
      • Dossier 3
      • Dossier 4
      • Dossier 5
      • Dossier 6
      • Dossier 7
      • Dossier « annexes »

    • Les références
    • Bibliographie

  • MIEUX CONNAÎTRE SON ADVERSAIRE

    • INTRODUCTION
    • QUELQUES REPÈRES
    • LE NOUVEL ORDRE MONDIAL, LEUR ATTRAIT POUR LA NUMÉROLOGIE
    • LE NOUVEL ORDRE MONDIAL ET LEURS DIFFÉRENTES RÉFÉRENCES

  • L’ANATOMIE DU N.OM : DU LÉVIATHAN À LA BÊTE DE L’APOCALYPSE (VISION

    • INTERNATIONALE)
    • LE N.OM : LÉVIATHAN OU BÊTE DE L’APOCALYPSE
    • LE N.OM : UN SYSTÈME « FLUIDE »
    • LE N.OM : MONSTRE À 7 TÊTES

      • a) Les 7 Merveilles du Monde du N.OM
      • b) L’alliance : 7 Nouvelles Merveilles du monde moderne

    • LE N.OM : MONSTRE À 10 CORNES

      • a) Les 10 empires économiques mondiaux
      • b) Les 10 secteurs économiques mondiaux
      • c) Les diadèmes ou couronnes

    • CONCLUSION

  • SPÉCIFICITÉ FRANÇAISE : DE LA TARASQUE GASCONNE À LA PROSTITUÉE BIBLIQUE (LA VE RÉPUBLIQUE)

    • INTRODUCTION

      • a) La boîte de Pandore
      • b) La « fille » du Léviathan ou la Tarasque gasconne
      • c) La prostituée biblique : la France sur le trottoir depuis 1958

  • LE NOM SELON LE PRINCIPE BIOLOGIQUE DE LA SERPULA LACRYMANS (MÉRULE) ET DU BLOB

    • QUELQUES INFORMATIONS SUR LA SERPULA LACRYMANS OU MÉRULES

      • a) Phase 1 : « infestation exogène »
      • b) Phase 2 : « cycle de réplication » ou clonage du N.O.M selon le principe de la Mérule
      • c) Phase3 : Expansion du NOM selon exogène du NO.OM selon le principe de la Mérule

    • LE BLOB

      • a) Sommaire du Vikidia
      • b) Définition
      • c) Reproduction et cycle de vie
      • d) Sommaire du Vikidia

    • CONCLUSION
    • SYNTHÈSE

Note aux lecteurs

Vous venez de recevoir « Les dossiers » en version papier, par clé USB ou en dématérialisée. Avant toute chose, il est important de vous en expliquer la Genèse et son articulation puisque nous avons choisi de ne pas traiter le sujet crise sanitaire et le mandat actuel directement.

Pour bien comprendre la démarche, il faut expliquer qui nous sommes, pourquoi nous avons mis du temps à rédiger nos dossiers qui n’ont absolument rien à voir avec ce que nous avions envisagé initialement.

Nous sommes deux anciens salariés de l’industrie pharmaceutique. Me concernant, j’ai travaillé 17 ans dans le secteur du médicament. J’ai eu la chance de commencer ma carrière — avant l’an 2000, détail important — comme administrative au siège de ce qui était le premier groupe français de prestation de services. « Etait », puisque le consortium a fait les frais du système mondialiste et a littéralement « servi d’exemple » à l’ensemble des prestataires du secteur. Justement au moment où en coulisses les pouvoirs publics, les laboratoires, mais surtout le système dit globaliste et mondialiste mettaient en place l’ensemble des paramètres pour nous amener à la situation sanitaire et accessoirement politique actuelle. Tout ce qui est relatif au secteur de la Santé est traité dans le dossier conjoint.

Sur les conseils de ma hiérarchie et de mon mari, j’ai obtenu le Diplôme Universitaire de Visiteur Médical après un passage à la faculté de Pharmacie de Châtenay-Malabry. J’ai poursuivi ma carrière tant que déléguée médicale ville, d’abord prestataire multi produits (c’est-à-dire que dans mon portefeuille produits pour le compte de plusieurs laboratoires) puis j’ai fini par être intégrée dans un laboratoire français. Ce qui m’a valu une fin de carrière brutale et compliquée puisque j’ai directement fait les frais de la franc-maçonnerie. Je n’en dirai pas plus, à une exception près : mon expérience m’aidera tout au long de mon enquête. J’ai également une certification propre aux métiers de la recherche clinique qui m’aurait permis d’exercer le métier d’attachée de recherche clinique.

Bien que sortie du circuit depuis 2011, j’ai toujours gardé un œil sur le secteur. Partagée entre l’envie de « reprendre la sacoche » et la route pour exercer mon métier, tel que ma première entreprise le véhiculait (avec éthique et déontologie), et la défiance à l’encontre d’un milieu en totale mutation spécifiquement depuis les années 2000. Finalement, je n’ai pas réintégré l’industrie pharmaceutique, pour diverses raisons. Cependant j’ai toujours maintenu un intérêt certain pour ce secteur en continuant à me tenir informée et parfois même en envisageant un retour sur le terrain.

Depuis mars 2020, je n’ai jamais autant renoué avec la pharmacie ; mais pour la dénoncer. Quant à mon mari, il est de nous deux le plus expérimenté, et de très loin un exemple que j’aurai aimé suivre si ma carrière n’avait pas été empêchée.

Ce que je peux en dire d’un point de vue professionnel : 30 ans d’expérience en santé, trois ans d’études en médecine puis la rencontre avec l’industrie pharmaceutique. Une carrière exclusivement dédiée à l’information médicale. Ancien cadre sénior terrain pour un block Buster de l’industrie. Un homme pour qui l’éthique, la déontologie, la médecine faisaient sens. Un professionnel respecté par nos homologues et en qui les prescripteurs généralistes et spécialistes plaçaient leur confiance puisqu’il « parlait le même langage » : le patient avant tout.

Un homme qui a su se remettre en question et quitter le secteur du médicament pour le matériel médical et a eu le courage de faire valoir son droit de retrait dans son entreprise en refusant de se plier au dictat de l’état (pass et injection). Alerter sa hiérarchie en interne lui a valu la perte de son emploi. Il est de nous deux le plus expérimenté, un exemple que j’aurai aimé suivre si ma carrière n’avait pas été empêchée. Aucun regret, assurément.

Nous avons décidé de dédier nos compétences, nos connaissances du secteur de l’industrie pharmaceutique « de l’intérieur » et une bonne partie de notre temps pour dénoncer l’infamie que nous subissons sans exception.

Pour ma part, cela fait bientôt 24 mois. Étant désormais thérapeute en auto entreprise, autant dire que j’ai totalement remisé mon activité, y compris les emplois d’appoint que j’ai exercé le temps de remplir mon agenda.

L’ironie est bien entendu que les ¾ de nos proches sont parmi les plus radicaux. Masques, gel hydroalcoolique, poly injectés et injecteurs. Dialogue impossible, même — voir surtout — chez les soignants en exercice ou retraités qui ont perdu pied qu’ils soient de notre famille, ou d’anciens prescripteurs avec lesquels nous avons travaillé et qui pour certains étaient devenus nos amis.

Forts de ce constat, nous avons alors décidé d’enquêter et d’alerter avec une approche différente. Je me suis centrée sur ma commune et mon département. Recueillant les données de la préfecture, de l’ARS, communiquant sur les réseaux sociaux et surtout en allant directement confronter les représentants de l’état, en l’occurrence la mairie.

J’ai fini par porter plainte de façon nominative contre la maire de ma commune et certains adjoints ainsi que la police municipale. Plainte enregistrée et validée en trois semaines par le tribunal d’instance puisque mes arguments sont factuels.et locaux. Ayant déjà eu recours à la justice lorsque j’ai porté plainte contre mon dernier employeur, et compte tenu des éléments que j’ai mis à disposition du juge, c’est donc en qualité de Lanceuse d’alerte conformément à la Loi n° 2016-1691 du 09/12/2016 dite Sapin 2 ainsi que la Directive (EU) 2019/1937 du Parlement Européen et du Conseil du 23/10/2019 ma plainte a été enregistrée et que cela est mentionné dans le cadre des auditions avec la gendarmerie. Je vous donnerai plus de détails dans une partie du dossier.

Mais ce qui nous a motivés à enquêter et est à l’origine de cette compilation d’éléments à charge, ce sont les enfants. Et plus particulièrement le fait qu’il y ait eu une translation de nos compétences professionnelles dans le milieu scolaire. Translation non seulement de nos compétences auprès d’un public mineur qui deviennent des prospecteurs auprès de

leur famille et entourage, mais également incitation à l’exercice de la formation médicale qui est destinée aux adultes enseignants et encadrants. La formation médicale étant du ressort de professionnels laboratoires (médecins ou pharmaciens par exemple) qui forment les équipes terrain. Le tout validé par l’ensemble des acteurs concernés : ministères, les entreprises du médicament (LEEM) qui auraient dû réagir et empêcher cela.

Ce fut le point de non-retour pour nous, et nous sommes partis en quête d’informations complémentaires à toutes celles déjà conséquentes réunies par l’ensemble des alerteurs, connus ou non. Professionnels de la santé ou non, avec une audience ou non.

Notre unique volonté, apporter une nouvelle approche, un autre « angle d’attaque » qui permettra de créer des passerelles entre toutes les informations déjà partagées.

Remerciements

Je remercie chaleureusement les personnes qui nous ont soutenus. Franck Bonneau, qui nous a généreusement autorisés à utiliser l’une de ses créations pour illustrer les dossiers. Un grand merci à Mariannick et son fils Frédéric qui font partie de notre famille depuis 9 ans désormais ainsi qu’à ma belle-mère qui a toujours cru en nous. Merci à Lucie, Marie-Lou, Laurent, Sissi et tant d’autres qui nous ont encouragés pendant des semaines qui se sont transformées en mois.

Je remercie également, et vous comprendrez pourquoi dans la partie « Reine Blanche de l’échiquier », les gendarmes de ma commune ainsi que le Juge du Tribunal d’Instance qui a validé ma plainte à l’encontre de l’équipe municipale et la police municipale.

Nous remercions et saluons grandement l’ensemble des alerteurs qui ont su créer un élan de Résistance. Par leur engagement, leur ingéniosité, leur générosité, ces hommes et ces femmes nous ont maintenus hors de l’eau et continuent de le faire. Ils ont fait un travail colossal qui vous a apporté les éléments factuels sur la situation actuelle. J’ai eu le privilège d’échanger avec certains d’entre eux, et je salue leur courage, car pour ma part je n’aurai jamais pu. Je pense notamment à toutes les chaînes résistantes.

À titre personnel, je remercie — contre attente — toutes les personnes de mon entourage (famille, amis, collègues) qui à l’inverse nous auront tournés le dos parfois de façon extrêmement violente, tant dans les mots que dans les actes. Ainsi « dégagée » de tout affect, j’ai pu me concentrer exclusivement à l’enquête et la rédaction de ce dossier, puisque je le rappelle ici les ¾ de nos proches suivent la narrative et sont poly injectés. C’est là que « majeurs et vaccinés » prend hélas tout son sens… Nous sommes parents.

Enfin, j’ai une pensée particulière pour le Professeur Luc Montagnier et tous ceux qui nous ont quittés parfois prématurément (y compris parmi nos collègues à l’international).

Avertissement aux détracteurs

Dans ces travaux je vais aborder des sujets tabous, notamment la religion au sens large et pas seulement. Si d’aventure quelques « esprits » mal tournés avaient pour velléité de nous accoler des étiquettes telles que : racistes, antisémites, antimusulmans, antichrétiens, antihomo ou tout autre non-arguments, je préfère les prévenir :

• Pour les esprits mal tournés qui imagineraient que les trois hexagones qui ponctuent l’ensemble des dossiers soient en lien avec les sociétés hermétiques de type franc-maçonnique et que par conséquent je serai une opposante contrôlée : j’ai simplement choisi l’hexagone pour rappeler la forme de la France. Il ne s’agit en aucun cas d’une référence de près ou de loin avec les « 3 points » maçonniques avec lesquels j’ai eu maille à partir.

• « Racisme » : non recevable. Notre famille est Black-Blanc-Beur (Noirs, Blancs, métis, quarterons).

• « Antireligieux (juifs, chrétiens, musulmans…) » : non recevable. Notre famille est pluricultuelle : juifs, catholiques, musulmans, témoins de Jéhova, Bouddhistes, Athées… Et la plupart de nos amis médecins sont juifs. L’antisémitisme est non compatible avec le métier que nous exercions et les secteurs que nous prospections. CQFD. En revanche, toutes les informations liées aux religions sont argumentées et illustrées.

• « Homophobes ou apparentés » : non recevable, toujours pour les mêmes raisons.

• « Anti médecin/pharmacien » : non recevable pour toujours les mêmes raisons. Premièrement, des « blouses blanches » dans notre famille il y en a… beaucoup (en activité ou retraités) des aides-soignants aux médecins spécialistes. Deuxièmement, ni mon mari ni moi ne « crachons dans la soupe ». Nous défendons la pratique de la médecine et la pharmacie propre contre le système mérulaire.

Dans notre famille, jamais une croyance religieuse, la couleur de peau, ni même les « couleurs » politiques ou le statut social n’ont été des problèmes. Et si toutefois nous sommes en désaccord avec certains proches (famille, amis, ex-collègues) ce n’est pas pour ces « non arguments », mais bel et bien pour et à cause de « la crise sanitaire » qui aura emporté dans une psychose généralisée certains proches.

Quoi que me concernant, je le reconnais, être praticienne en hypnose et médium de surcroît, et ne pas avoir réintégré l’industrie pharmaceutique ou un schéma professionnel normatif en a dérangé quelques-uns parmi ces mêmes proches aujourd’hui poly injectés. Ajoutez à cela le fait qu’avec Jean-Pierre, mon binôme de mari, nous soyons Lanceurs d’alerte… C’est leur problème, pas le nôtre.

La vérité est non négociable. L’incorruptibilité aussi. Nous avons été formés au respect de l’éthique et de la déontologie, nous entendons bien continuer ainsi. Notre seul objectif : que nos travaux, nous le souhaitons de tout cœur, apportent des points d’appui pour les professionnels du droit, des gardiens de la paix, des enseignants, des professionnels de la Santé, des politiques non corrompus et à vous tous… y compris ceux qui sont encore dans le déni.

GUIDE POUR ABORDER L’ENSEMBLE DU DOSSIER

Avant-propos

Ce dossier dans son ensemble a pour but d’apporter un autre regard sur la situation que nous subissons. Il est le fruit de nombreuses recherches et enquêtes transversales puisqu’il n’aborde pas directement la crise sanitaire ni même le quinquennat qui s’achève.

L’objectif était de trouver des arguments et des « faisceaux d’indices » mettant en lumière l’orchestration de l’ensemble des acteurs et spécifiquement ceux de la Ve République pour dilapider la France et créer un terreau propice à la mise en place d’une gouvernance mondiale scientiste. Débusquer des informations complémentaires qui pourraient aider non seulement les personnes conscientes de la prise de pouvoir tyrannique, mais aussi, et peut être même surtout les personnes qui refusent tout dialogue concernant l’actualité.

L’élaboration du dossier n’a pas été chose facile dans le sens où nous avons dû à maintes reprises en repenser le fond et surtout la forme. Il fallait trouver une articulation logique pour ordonner l’ensemble des informations que nous avons recueillies et, autant faire se peut, aborder les événements actuels d’une manière différente et cohérente.

À mesure que nos recherches progressaient, il a fallu nous adapter d’autant plus que sont abordés des sujets peu connus, voir totalement abstraits pour nombre de personnes et même tabous. Considérez chaque partie qui constitue l’ensemble de nos travaux comme des pièces d’un puzzle. Affirmer que la franc-maçonnerie et apparentés sont les réels dirigeants de la France est une chose. Trouver les faisceaux d’indices pour le démontrer en est une autre. Toutes nos investigations n’ont visé qu’à démontrer cela et pour ce faire, rien de mieux que de partir de leurs croyances, symbolisme et culte.

Comment s’articule le Dossier ?

Il s’agit d’un Dossier « à tiroirs ». D’un côté, vous avez le fruit des enquêtes menées par mon mari : « Santé Publique, Bien commun, nanomédecine ; La servitude érigée en raison d’état ». Son travail est exclusivement basé sur la Santé. Il a exhumé des Avis, des textes, des lois, une chronologie et mis en lumière l’ensemble du système mafieux où Politique et laboratoires pharmaceutiques œuvrent de concert pour mettre en place le Nouvel Ordre Mondial. Si l’approche plus vaste mettant en évidence les pratiques occultes de la franc-maçonnerie et autres sociétés hermétiques, rites sacrificiels politiques ne vous est pas familière, je vous encourage vivement à commencer par cet opus.

De mon côté, je me suis concentrée sur le système parasitaire de type Serpula Lacrymans — ou mérule — pour cerner initialement « l’Organisation » et l’orchestration de la crise sanitaire. La plus grande difficulté a été de trouver un titre pour le dossier. Nous l’avions intitulé ce « Projet FFMOS » pour Fédération Française Métropolitaine et Outremer Souveraine. Somme toute, nous n’étions pas convaincus et surtout nous ne voulions pas être confondus avec d’autres mouvements plus politisés alors que notre objectif est tout sauf de cet ordre.

Et puis, au fil de nos enquêtes, ce qui est ressorti c’est la perte ou plutôt le vol et l’inversion de valeurs communes à tous et toutes quel que soit l’époque où le lieu de vie. Depuis nos plus lointains ancêtres jusqu’à notre époque et pour les siècles à venir sur tous les continents. Des valeurs qui devraient être non négociables que sont la Dignité, l’Équité, l’Universalité et la Solidarité. Il s’avère que l’acronyme donne DéUS.

Après, FFMOS « trop politisé » et DéUS « trop religieux », ou « sortir de la matrice » trop filmographie ; j’ai opté pour les valeurs. Après tout, le camp d’en face utilise et nous fait utiliser à mauvais escient les mots Liberté, Égalité, Fraternité ; nous faisant croire en des principes et valeurs humainement recevables alors qu’il n’en est rien.

Je ne pensais pas que ce dossier serait aussi vaste et conséquent. À maintes reprises j’ai dû en modifier son « squelette », pour finalement aboutir à la version finale. Notez que, vous aurez beaucoup de sujets divers voir de prime abord « non congruents ». J’ai dû chercher un maximum de faits, de faisceaux d’indices qui attestent de la mainmise des sociétés occultes sur notre pays depuis des décennies et même des siècles.

Mon approche est donc pluridisciplinaire. Je m’appuie avant toute chose sur « leurs croyances, leurs rites » en cherchant des preuves matérielles qui attestent de la véracité de l’enquête. C’est triste à admettre, mais nous sommes immergés dans un système occulte. L’affirmer est une chose, le démontrer c’est indispensable, je le répète, mais c’est indispensable. C’est la raison pour laquelle j’ai tenu à apporter un maximum d’illustrations (schémas, photos, dates, références politiques, historiques, religieuses et évidemment des éléments scientifiques puisque nous avons par recoupement défini une chronologie pour les années à venir).

Ont été traduit et décrypté un nombre conséquent de textes : des passages de la Bible, des discours et allocutions de politiques, des peintures maçonniques et autres symboles. J’ai dû également étudier de près certaines lois (loi 1901 et loi 1905) et bien sûr notre Constitution. Mais pas que.

Ce dossier a pour vocation de vous démontrer que c’est l’ensemble des politiques de la Ve République qui est à dénoncer ; pas uniquement « cette présidence ». Si des plus anciens il ne reste plus grand monde, nous avons encore suffisamment d’acteurs majeurs en exercice ou sortis du circuit pour les traduire en justice. En réalité, vous le constaterez c’est bien plus vaste, cependant il me fallait faire des choix.

Ne soyez pas étonnés si je n’aborde que très peu le Sarscov2 ou la « crise sanitaire ». Mon enquête étant axée sur ce qui a mené notre situation actuelle, je ne traite de ce sujet — y compris le gouvernement actuel — que sur la base d’un système plus vaste.

Ne soyez pas non plus offusqués si je dénonce l’ensemble des religions en m’appuyant sur des comparaisons factuelles comme notamment « le Nouvel Ordre du Monde » de la Genèse versus le « Nouvel Ordre Mondial » actuel puisqu’en réalité les élites n’en sont pas à leur premier coup d’essai.

Tout étant intriqué, la difficulté a été pour moi de donner une couleur, un thème spécifique à chaque partie du dossier, le challenge étant d’aborder le modus operandi des sociétés hermétiques en restant centrée sur le factuel, le démontrable et ainsi éviter de ne définir que l’aspect rituel, l’occultisme qui pour nombre de personnes s’apparente à des fantasmes.

Ainsi, chaque chapitre — devenu dossier à part entière — aborde un sujet particulier. Ils sont autonomes et peuvent se lire indépendamment. Cependant, il existe une certaine logique dans l’organisation et la mise en place des informations. Logique résumée en pages suivantes.

Dossier de présentation :

Celui que vous avez entre les mains vous donne la physionomie, l’anatomie du « Nouvel Ordre Mondial 2 .0 ». Il ne s’agit pas ici de reprendre les études faites et partagées par des experts, mais de vous présenter les mondialistes sous un prisme différent.

Si historiquement, il est coutumier de les comparer à une pieuvre, je me suis vite rendu compte que cela n’était pas exactement le reflet de la réalité. Trop restrictif. Et surtout, la « base 8 » n’est pas suffisamment et directement présente pour être significative et le reflet de la réalité. Néanmoins, cette base 8 existe et est non négligeable (les octets en informatique en sont un exemple) et vous verrez dans le déroulé du dossier ce qui se cache derrière ce chiffre « concrètement ».

J’ai donc été amenée à rapprocher le système mondialiste d’organismes vivants bien différents d’octopussy. Une fois que l’on connaît le système parasitaire comparable, il est plus facile ensuite d’aborder son mécanisme d’action.

Parallèlement, conformément au fil rouge décrit précédemment, je me suis penchée sur des analogies plus mythiques, voir mystiques et religieux et qui reprennent les rituels et le culte commun à l’ensemble des mondialistes.

Dossier 1 :

Aborde le système parasitaire ou mérulaire franco-français. Pour ce faire, j’ai défini les contours historiques et politiques en axant sur le système félon et spécifiquement en montrant le mécanisme « unicellulaire » de la Ve République. Dans ce dossier je tire des liens entre le rôle de chaque président de notre République actuelle, et chaque phase du mérule.

Mais, j’y développe également des similitudes avec un passage biblique : l’Apocalypse de Jean, non pas de façon théologique, mais clairement géopolitique. C’est troublant et pertinent. L’ensemble des gouvernements qui se sont succédé depuis Pompidou jusqu’à nos jours sera remis en exergue afin de commencer à démontrer « le système mondialiste » et la préparation minutieuse de l’ensemble des présidences pour démanteler notre pays.

Dossier 2 :

Une fois le cycle du mérule intégré, j’ai pris le pli de placer la chronologie des événements marquants en France et à l’international selon un principe de comptage des mondialistes (francs-maçons et apparentés). Il s’agit d’un découpage en 7 ans. Ces 7 années étant elles-mêmes scindées en 2 phases. Ce dossier est répétitif dans la présentation, puisque je le débute le 1er janvier 2000 jusqu’au 31 décembre 2021. Cependant, il a le mérite de rafraîchir la mémoire et de m’avoir permis d’y incorporer des informations « à charge », toujours en lien avec les sociétés hermétiques de type franc-maçonnique : des liens avec les attentats en France et à l’étranger, les implications réelles des politiques français dans les actes terroristes notamment l’intrication avec le Mali bien d’autres informations somme toutes que nous avons choisi pour mettre en avant les rites maçonniques couverts par des événements officiels tels que des inaugurations ; mais qui sont en réalité des actes cultuels et des mystifications à la vue de tous.

Dossier 3 :

Dans la continuité des dossiers précédents, sont amenés des éléments et informations complémentaires qui devraient donner des sueurs froides aux mondialistes français « tout corps d’état ». Parmi les éléments, par exemple, je vous donne des informations qui attestent du fait que le Consortium République Française a été cédé à l’OMS en mars 2020 et est devenue un Dominion de l’Organisation Mondiale de la Santé. Que le VRP première classe n’est nul autre que Jean Yves le Drian qui en échange de ses bons et loyaux services à obtenu le fief Bretagne. Mais aussi que la gestion de la crise sanitaire a été calquée sur le « Plan France Ebola » commandé par Emmanuel Walls à Jean-François Delfraissy en 2014, alors qu’il existe un autre plan d’action visant à prendre en charge des épidémies de type coronavirus ou d’autres catastrophes sorti la même année. D’autres informations « à charge » sont présentes dans ce dossier, comme le rôle des « immortels », à savoir l’Académie de la Morale et de la Politique et bien d’autres choses encore. Je mettrai en lumière ces autres « acteurs » — bien discrets — qui ont largement contribués à la mise en place d’un régime autoritaire de type Dominat Romain, cette Académie de la morale et de la politique » qui a travaillé durant l’année 2020, à la demande d’Emmanuel Macron, sur un seul thème : « le pouvoir ». Enfin je vous donnerai également des pistes pour identifier, trouver et apporter des éléments à charges.

Il s’agit ici de la partie la plus chronologique quant à la mise en place de la politique d’Emmanuel Macron, version coulisses. Celle qui devrait donner des pistes de recherches complémentaires pour les professionnels du droit, mais aussi les acteurs politiques qui s’opposent au « gouvernement de façade » actuel et à toutes personnes qui ont besoin d’arguments tangibles pour démontrer l’orchestration des décisions.

Je vous donnerai et partagerai également d’autres informations concrètes et retours d’expériences sur le terrain comme, par exemple, le fait que ma plainte auprès du tribunal d’instance n’ait pas été déboutée.

Dossier 4 :

Il traite de l’un des idéaux maçonniques : la ruche et le système pyramidal qui en découle et réciproquement. Dans ce dossier je vous apporte des éléments de compréhension sur le principe de l’Eusocialité (mode sociétal des insectes de type hyménoptère comme les abeilles, les fourmis et a fortiori les « guêpes maçonnes »). Pour mener à bien cette partie, j’ai dû remonter plus loin dans notre Histoire, au siècle des Lumières, puis revenir à notre actualité et le modelage social ou sociétal auquel depuis des siècles les francs-maçons se sont attelés pour préparer le Nouvel Ordre Mondial.

Dossier 5 :

En écho aux propos tenus par Emmanuel Macron, ce dossier ou chapitre aborde le Système Jupitérien. Cette partie est complexe. Y sont abordées des informations mythologiques et mythiques, historiques, et politiques (entre autres). Et vous verrez que la Loi 1905 de séparation de l’église et du pouvoir politique a largement été remaniée, y compris depuis l’investiture d’Emmanuel Macron.

Dossier 6 :

Ce chapitre quant à lui est centré sur la parèdre (jumelle et épouse) de Jupiter selon la mythologie grecque. Le thème est simple : rechercher les symboles cachés francs-maçons et significations réelles de nos emblèmes nationaux. Sujet passionnant puisque je décrypte le Grand Sceau de France, l’hymne national — entre autres — mais depuis les coulisses. Et l’envers de décors et révoltant.

Dossier 7 :

Il s’agit essentiellement de mettre en avant la signification de certains symboles franc-maçonniques et/ou religieux. Mais aussi de donner des informations vérifiables évidemment sur certaines réalités telles que : ce qui se cache dans les textes dits sacrés.

Je préfère vous avertir, dans ce dernier dossier, très conséquent tant sur les thèmes que les nombres d’éléments traités, j’y aborde des sujets difficiles. À la fois par le biais des liens philosophiques, religieux, scientifiques.

Je vous décrypte en partie seulement la réalité de certaines peintures maçonniques, le sens des piliers Boaz et Jaquin (mais pas la version édulcorée et rabatteuse en vue de se faire une virginité et recruter des apprentis), j’y ajoute même des perspectives scientistes sur l’une des volontés cachées des injections biochimiques avec bien entendu des démonstrations.

Dossier « annexes » :

Nous avons complété nos enquêtes avec un dossier annexe. Étant donné le nombre de ressources que nous avons eu à traiter, vous apporter des éléments autrement qu’en citant les références nous a semblé opportun. En effet, il faut comprendre que par références nous parlons de plusieurs centaines, de diverses natures et sous divers formats.

Les références

Vous constaterez que les dossiers sont riches d’illustrations. J’ai opté pour ce format pour appuyer les informations que partagés. Elles sont de natures très variées (photos, schémas, tableaux…), mais permettent une meilleure compréhension, surtout lorsque des sujets touchant au symbolisme, à l’ésotérisme (ou occultisme) des mondialistes sont mis en avant.

Cela explique le volume de l’ensemble de l’enquête.

Il y a également de nombreux apartés étymologiques puisque l’une des « armes » de manipulation massive utilisées par les mondialistes est justement l’écart-type entre leur manière de communiquer et l’appauvrissement de connaissances en vocabulaire de plus en plus généralisé. Vous constaterez qu’ils manipulent les mots avec autant d’aisance que des chercheurs les tubes à essai.

Quant aux références — proprement dites — il m’a été compliqué de les inscrire de façon académique et conventionnelle. Comme c’est le cas pour le Dossier conjoint. La plupart figurent en fin de pages, mais il faut bien comprendre que pour un seul sujet donné, il a été nécessaire de chercher parfois sur diverses ressources, divers articles de journaux (français et étrangers).

Prenons l’exemple de la Constitution de la Ve République : pour l’aborder, il aura fallu travailler sur la version initiale de 1958, en faire une analyse point à point (article/alinéa), en traduire la signification « au réel » dans le contexte de l’époque tant sur l’intrinsèque (la France géopolitique avec ses territoires et ses colonies) que sur l’extrinsèque (relations internationales). D’emblée il en ressort de VRAIES ANOMALIES.

Ensuite, comme pour les lois, chaque articulation du squelette de la Constitution a été prise individuellement pour comparer les modifications (ajout/retrait) par alinéa, en prenant soin d’en préciser le contexte politique (quel président, quel gouvernement, et que penser des modifications).

Conjointement, on a pris en compte des attributs importants qui représentent la France comme le grand Sceau de France et les remarques faites par des spécialistes tels que le Président des Sceaux (à ne pas confondre avec le Garde des Sceaux), là encore : ANOMALIE.

Sans compter les comparaisons entre les différentes autres Constitutions qui ont précédé, et les différentes ressources ayant permis de comprendre le scénario écrit de toute pièce par le cartel français maçonnique.

On peut dès lors comprendre qu’inscrire l’ensemble des ressources en références a été matériellement impossible, autant mettre l’ensemble de la toile, livres d’histoire, archives INA et vos bibliothèques communales. Multiplié par l’intégralité des sujets abordés, bien entendu.

Cependant, ajouter une bibliographie permet de donner du corps, c’est la raison pour laquelle elle a été inscrite ici dans le déroulé du « Tome 0 » puisqu’elle est commune a tous les dossiers. La liste n’est qu’indicative, comme pour le reste des ressources sur lequel on a travaillé.

Bibliographie

• « Trésors d’Égypte. Les merveilles du Musée égyptien du Caire » (sous la direction de Francesco Tiradritti, photographies de Araldo de Luca. Édition Gründ).

• « La vie quotidienne de Mayas et des Aztèques » (Eric Taladoire. Édition Hachette).

• « Secret maçonnique ou vérité catholique » (Serge Abad-Gallardo. Édition Artège).

• « Traité de la couleur thérapie pratique » (Pierre Van Obberghen. Guy Trédaniel éditeur).

• « Mayas, Incas, Aztèques… L’histoire des empires précolombiens. Les dernières découvertes » (Géohistoire — hors-série).

• « Créatures et autres monstres… Une histoire des peurs ancestrales » (Toutes les mythologies/ n° 7 Sept.Oct.Nov. 2021).

• « De la démocratie en Amérique. Tome II, partie IV » (Toqueville.Edition Flammarion).

• « La Bible de Jérusalem » (Édition Cerf)

• « La République » (Platon. Edition Garnier Flammarion).

• « Le Banquet » (Platon. Edition Garnier Flammarion).

• « Discours de la méthode » (Descartes. Edition Garnier Flammarion)

• « De la démocratie en Amérique Tome II » (Tocqueville. Edition Garnier Flammarion).

• L’ensemble des Constitutions depuis la Révolution française,

• Loi 1901

• Loi 1905 de séparation de l’église et de l’état.

• Le Livre Blanc de la Sécurité intérieure et son annexe (Préfacés par Gérard Darmanin).

• Dossier Ebola France (Commandé par Manuel Walls à Jean-François Delfraissy).

• Dispositif ORSAN.

• Atlas 2000 (Édition Nathan, 1990 versus 2021)

• 20 ans d’archives professionnelles (comme la revue spécialisée « Visite actuelle », les cours de faculté de pharmacie),

• « Anat, Physio, Bio » (Arne Schäffler, Sabine Schmidt. Édition Maloine).

• « Visiteur médical, un vrai métier » (Karen Weic-Ennedam. Édition Heures de France)

• « Le métier de médecin » (Georges Tchobroutsky et Oliver Wong. Édition PUF/ collection Que sais-je ?)

• « L’industrie pharmaceutique » (Jean-Paul Juès. Édition PUF/ collection Que sais-je ?)

Divers ouvrages en apiculture, des références en égyptologie (newsletter Academia.EU), en histoire gréco-romaine, en mythologies diverses, en symbolisme, en pharmacie et médecine également, en peinture, sculpture, ainsi que de nombreuses ressources étrangères et les ouvrages traitant d’occultisme et de franc-maçonnerie….

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne lecture.

MIEUX CONNAÎTRE SON ADVERSAIRE

Introduction

Dans ce chapitre, l’objectif est de définir le Nouvel Ordre mondial, mais avec une approche quelque peu différente de ce qui est couramment partagé et fait consensus. Reprendre les travaux expliquant le rôle des Khazars, de la City du Londres, du Vatican ou autres sujets d’actualité n’auraient eu aucune pertinence. Ici, il s’agit de donner une anatomie à ce système, en quelque sorte.

De plus en plus de personnes sont conscientes des influences de la franc-maçonnerie, des mondialistes, des Global Goals ou tout autre groupe tel que les nazis. Les noms associés à ces « influenceurs » sont connus internationalement, qu’ils soient en lien avec le monde des finances, de la politique, de la religion, de l’industrie ou du divertissement. Mais il fallait, pour donner un canevas au dossier, décrire une anatomie compatible avec le mode de fonctionnement de l’ensemble des différents corpus.

Le challenge a été de rapprocher l’ensemble des éléments et de trouver un ou des équivalents pouvant correspondre. Et comme expliqué en présentation, la pieuvre est par trop restrictive. Il aura fallu comprendre que ce que nous appelons aujourd’hui le Nouvel Ordre Mondial est un système polymorphe décrit depuis des millénaires, de façon mythique, mystique, historique et politique sur tous les continents et dans toutes les cultures.

Ce qui suit n’est qu’un aperçu de ce que peut être cette entité en commençant par une vision mythique-religieuse puisqu’il s’agit du Léviathan, pour établir des analogies plus concrètes et proches de nous dans la mesure où l’on fera des parallèles avec des organismes de type parasite.

Quelques repères

Pour commencer, il est important de rattacher les mondialistes à leur calendrier. Si les dossiers ont commencé à être rédigés et les informations compilées à partir du mois d’octobre 2021 ; pour les francs-maçons et affiliés, nous étions en 6021.

Ce décalage de 4000 ans atteste du fait que ce mouvement est bien antérieur aux dates officielles de création des loges maçonniques. Le fait est qu’il ne portait pas le même nom tout en ayant le même mode opératoire. Le fonctionnement des mondialistes contemporains étant identique à leurs prédécesseurs (c’est la seule chose immuable les concernant), pour définir des « planches anatomiques » les dépeignant, il aura fallu remonter dans le temps.

Il existe un nombre conséquent de calendriers, qu’ils soient solaires, lunaires, semi-lunaire, chaque civilisation a créé son outil de calcul des cycles du temps pour des raisons diverses et variées. Sur le même principe de l’astronomie : sur deux critères majeurs, le premier absolument « terrestre » ou exotérique et le second étant ésotérique et donc « céleste ».

Pour les premiers, il s’agissait de prévoir les cycles strictement liés à la nature pour des raisons pragmatiques et tangibles visant à ce que l’humanité devenant de plus en plus sédentaire et agricole puisse anticiper les semences et récoltes. C’est de façon schématisée le principe de l’almanach.

Les seconds quant à eux, sont destinés à des pratiques plus ésotériques. Par ésotérisme, il ne faut pas entendre « pratiques occultes », bien que pour les mondialistes ce soit l’essence de leurs rituels et cultes. Ici, il s’agit des connexions avec ce qui s’apparente à l’intangible de la façon la plus large possible. Dans ce cas, ce comptage calendaire s’apparente plus à de l’astronomie ou de l’astrologie et fait appel à des mythes et croyances propres à chaque civilisation.

Dans certaines contrées plusieurs calendriers cohabitaient comme par exemple, chez les méso-américains, comme les Aztèques et les May as. En effet, ils utilisaient deux « échelles de temps » ou calendriers. L’un rituel et religieux (le calendrier Tzolk’in est basé sur un cycle de 13 × 20 = 260 jours à caractère divinatoire et religieux du calendrier maya) et le second, civil généralement appelé « cycle long » en opposition au cycle court et au calendrier cosmique (solaire et vénusien).

Le fonctionnement concomitant de plusieurs « temporalité » est finalement le schéma qui est le nôtre : le calendrier des initiés, celui des francs-maçons par exemple et celui des sociétés civiles. Concernant les francs-maçons, leurs calendriers au nombre de 4 sont basés sur la création du monde dite symbolique ou « Anno Lucis » (traduit par le maçon en « Année de la Lumière ») à différencier de l’Anno Mundi (traduit par « année du monde »). Une année franc-maçonne Anno Lucis début le 1er mars1. On trouve l’Anno Ordinis en soustrayant 1118 de la date actuelle.

L’Anno Ordinis est utilisé par les Chevaliers Templiers du Rite d’York. Le dernier calendrier étant Anno Inventionis : l’année de la découverte directement liée au Roi Salomon. Le calendrier maçonnique utilisé par l’Arche Royale (qui regroupe les degrés 4 à 7 du Rite d’York) date de l’année où Zorobabel a fait construire le second temple de Jérusalem, en 530 avant notre ère. On trouve donc l’Anno Inventionis en ajoutant 530 ans à la date actuelle.

Le fait qu’il soit dit que les francs-maçons soient lucifériens provient très probablement de l’Anno Lucis.

Par principe, tout ce qui est partagé par les mondialistes — d’où qu’ils viennent — n’est pas à prendre au pied de la lettre. Ainsi, la version officielle accessible de tous justifiant le choix d’ajouter 4000 ans à notre calendrier civil et internationalement reconnu n’est pas satisfaisante.

Il faut chercher d’autres motivations, et voici une hypothèse qui peut tout à fait expliquer le chiffre « rond » des 4000 ans et le 1er Mars comme premier jour de l’année maçonnique. Il ne faut pas oublier que les mondialistes ont pour obligation de toujours communiquer sur leurs projets et actions, et toutes les informations sont présentes dans leur communication. Seule « coquetterie », si le fond doit être présent ; la forme est libre.

  • Si l’on part du principe qu’Anno Lucis ne veut pas dire « année de la lumière », mais « Année Lumière », dans ce cas les francs-maçons font référence à une distance astronomique et absolument pas symbolique comme ils s’entendent à le faire savoir. Il se trouve que de plus en plus régulièrement dans le milieu des astronomes, des découvertes sont faites justement à l’échelle des 4000 années-lumière.2
  • Il y a d’abord une exoplanète diamantine baptisée « 55 Cancri e »,3 car située dans l’ère du Cancer. Son nom commun est Janssen, comme le laboratoire. Il existe différentes versions concernant cette exoplanète dotée d’une sœur jumelle Galileo. Cependant, les points de convergence avec le calendrier franc-maçon sont suffisamment présents pour vous le mentionner.
  • Ensuite, depuis ces dernières années et plus particulièrement ces derniers mois, le milieu de l’astronomie communique de plus en plus souvent sur les phénomènes provenant de cette distance (pas nécessairement en lien avec la planète Janssen). Il s’agit ici de « pulsation radio »4.
  • En cherchant de façon plus large, il s’est avéré que le site de vente par correspondance « Ali express » avait comme thème justement « 4000 années-lumière »5. Ce détail pourrait sembler insignifiant ou totalement décalé. Dans ce cas, il est bon de rappeler quelques points sur Jack Ma qui fut PDG de cette entreprise. En 2001, Jack Ma6 a été nommé « Young Global Leader » par le World Economic Forum. Il a reçu la distinction de « Chevalier de la Légion d’Honneur en 2016 (remis par Laurent Fabius7). Notez que le Journal du Dimanche indiquait dans son article que Jack Ma avait également rencontré le « ministre le plus en vue du gouvernement » de l’époque : Emmanuel Macron. Fait intéressant : la disparition du PDG chinois plusieurs en 2020 (en pleine turpitude covidienne) et son retrait du monde des affaires officialisé par vidéo en 2021.
  • Retour en arrière : à cette époque en mai 2016, il est toujours ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. Emmanuel Macron lance samedi 28 mai une « grande marche » des adhérents de son propre mouvement politique, « En marche ! » créé le 6 avril à Amiens (Somme)8 (7). Aujourd’hui, Emmanuel Macron est président de la République, Laurent Fabius9 est Président du Conseil constitutionnel français, en fonction depuis le 8 mars 2016 (8) et accessoirement l’un de ses fils, Victor Fabius10, est directeur associé du Cabinet Mc Kinsey. Notez tout de même que sur la biographie du fils il est notifié qu’il est « Membre du pôle d’activité Consommation et Distribution de McKinsey, Victor Fabius est le chef de file en France du pôle de compétences Marketing et Ventes. »(9)
  • Autre indicateur à prendre en compte : le premier jour de l’année maçonnique, soit le 1er Mars. Il faut relier ce mois au dieu Mars11 du panthéon romain (10). Dans la mythologie romaine, Mars est le dieu des guerriers, de la jeunesse et de la violence, dieu de première importance dans la Rome antique en tant que père de Romulus et Rémus, fondateur et protecteur de la cité. Associé à deux autres Dieux majeurs comme Jupiter (Dieu du ciel et de la terre) et secondaire (Quirinus communément définit comme le Dieu des hommes). Ce dernier sera par la suite assimilé à Romulus l’un des jumeaux.
  • Nous avons donc pour le calendrier maçonnique le mois de mars faisant référence au dieu guerrier appartenant à la triade précapitoline, terme qui dans sa version contemporaine fait entre autres écho à des organisations criminelles (Triade de Hong Kong), mais aussi d’un point de vue strictement religieux à la Trinité et d’un point de vue géométrique au triangle. Et en l’occurrence, le triangle est l’un des symboles les plus connus de cette organisation.
    La triade capitoline formée par Jupiter-Junon (sa parèdre et jumelle) et Minerve sera détaillée ultérieurement.
  • À noter que, pour appuyer le fait que deux calendriers coexistent à notre époque sur les modèles méso-américains (l’un cultuel, le second civil), le premier jour de l’année en janvier aux temps antiques romains correspond à la vie politique de type républicaine : plus précisément au début d’exercice et nomination des magistrats. En ce temps-là, il n’était pas question de Saint-Sylvestre — fête romaine visant à chasser les mauvais esprits — ou de fête religieuse honorant le Pape Sylvestre 1er.

Il va de soi, que l’ajout de 4000 ans, un chiffre rond, a contrario du calendrier juif qui régit l’anno mundi largement expliqué par les francs-maçons eux-mêmes. Ici, n’ont été apportées que des remarques permettant d’élargir la compréhension du mécanisme des loges. Elles sont la résultante de recherches se voulant justement en dehors des sentiers battus ou consensuelles.

Cependant, l’ouverture sur des sujets connexes aura permis de trouver un nombre incalculable d’éléments congruents qui seront étayés tout au long des 7 dossiers ou tomes résumant l’ensemble des recherches.

Après une prise en main qui d’emblée montre que le monde vit sur des temporalités différentes — un monde à deux vitesses et plus — il est temps de décrire ce nouvel ordre mondial selon différents modèles ou facettes. Par commodité, l’acronyme NOM sera utilisé.

Le Nouvel Ordre Mondial, leur attrait pour la numérologie

Faire le lien entre le NOM et le symbolisme des chiffres est un passage obligé. Dès lors que l’on intègre que tous — sans exception — sont initiés aux pratiques occultes au sens le plus large qui nous soit donné de connaître. Par « sens le plus large », il faut entendre les diverses sources de connaissances et savoirs des pratiques occultes.

Là encore, il ne fait plus aucun doute qu’au fil des siècles les apports cultuels et rituels distribués sur l’ensemble des continents ont abouti à ce que l’on pourrait résumer en un patchwork d’influence… ou la « mondialisation occulte » qui n’est pas non plus exclusivement destinée à être pratiquée dans les bas-fonds des loges ou autres temples voués à leurs « divinités »

Si le chiffre 666 est celui qui est le plus médiatisé de part et d’autre de l’échiquier, le constat fait par nos enquêtes a mis à jour l’importance d’un autre chiffre, qu’il soit pris en solo ou démultiplié.

Comme énoncé précédemment, la difficulté que j’ai rencontrée pour cerner « la physionomie » du Nouvel Ordre Mondial est de ne pas rester campée sur les seules informations qui circulent, à juste titre — sur les points d’accroche des « 1 % ». Puisque nous sommes dans un monde dual, ou polarisé à la manière d’une simple pile.

Ainsi, le rôle ou la polarité du chiffre 7 n’a pas la même signification si l’on est le joueur d’échecs aux pièces blanches ou l’adversaire.

Pour les biologistes ou experts de la faune ou la flore, le 7 est présent dans de nombreux domaines : le cycle de vie ou les 7 « métiers » des insectes comme les abeilles ou guêpes qui sera repris dans un dossier dédié pour décrypter l’idéal sociétal maçonnique. La gamétogénèse ou le cycle des cellules reproductives (ovulation répartie par cycle de 7 jours), également analysés par analogie avec le mythe de la Caverne de Platon dans le dossier 7… Justement.

Pour les praticiens en numérologie, cartomancie ou toute autre approche spirituelles/ésotérique « positive », la symbolique est abordée selon un seul prisme qui confère un sens lui aussi bénéfique et divin.

Pour les croyants (juifs ou chrétiens par exemple), il leur est enseigné que le 7 est le chiffre de la perfection divine. Les références dans les textes sacrés sont pléthores.12 Le 7e jour, les 7 péchés capitaux, les 7 cavaliers de l’Apocalypse, les 7 orifices de la tête…

Certaines de ces références en lien avec les textes dits sacrés seront — elles aussi — abordées sous un prisme, un regard totalement différent, dès ce dossier puisque nous rapprocherons le nouvel ordre mondial avec le monstre mythique et ou mystique le Léviathan. Quant aux 7 cavaliers de l’Apocalypse, démonstrations à l’appui, ils seront mis en relation avec chaque président de la Ve République française.

Prenons deux exemples bien concrets à la fois anatomiques et chromatiques qui sont également présents dans les religions monothéistes actuelles ainsi que dans les cultures notamment au Congo13 :

  • Les 7 orifices de la tête
  • Les 7 couleurs dites de l’arc-en-ciel.

Nous démontrerons qu’à l’instar d’une médaille, le chiffre 7 a son avers (de polarité positive) et son revers (ce qui nous est caché ou nous formate et induit en erreur). Il ne faut pas oublier que l’objet de ce chapitre est de définir les raisons qui poussent les mondialistes à accorder une importance particulière à ce chiffre 7. Rien que leur attrait doit susciter une interrogation de type « qu’est-ce que cela cache ? »

• Les 7 orifices de la tête :

2 yeux, 2 oreilles, 2 narines, 1 bouche. Rien de plus basique. Sauf que, si les six premiers orifices fonctionnent par paires et n’ont qu’une fonction rattachée à un sens pour faire simple. La bouche quant à elle est bien plus complexe dans son fonctionnement. Il est vrai que les narines servent à la respiration (inspire, expire et à l’olfaction) cependant les fonctions sont très proches et liées.

Alors que la bouche sert à s’abreuver et s’alimenter, à parler, également à respirer dès lors que le nez ne peut plus jouer son rôle. Jusque-là rien de nouveau. Pourtant, la bouche est le seul orifice qui voit chacune de ses fonctions doublées en quelque sorte ou polarisées.
Ainsi, pour l’alimentation liquide et solide : soit on ingère, soit on vomit.
Pour les paroles : même principe, soit on parle avec bienveillance, soit on s’exprime avec malveillance.
De la même manière, soit on embrasse, soit on mord.

Il est clair qu’ici les points abordés seront indicatifs. Il ne s’agit pas de détailler ou de faire une thèse sur le sujet. Mais cela permet d’aborder la signification du 7 d’une manière moins partiale. Ici, le 7e orifice de la tête (ou cap pour reprendre un terme désuet) voit donc chacune de ses fonctions multipliées par deux et il est certes plus agréable de recevoir des mots doux plutôt que du vomi.

• Les 7 couleurs dites de l’arc-en-ciel :

Ici aussi, nous sommes face à concept « faux ami ». S’il est courant de lire que le prisme chromatique est composé de 6 couleurs distinctes — les trois couleurs primaires alternées avec les secondaires — parler de 7 couleurs est un raccourci à plus d’un égard.
Première erreur : ne pas prendre en considération le fait qu’il existe deux types de couleurs. La couleur lumière et la couleur objet14. L’immatériel et le matériel. L’intangible et le tangible.

Ainsi, dire que le blanc est une couleur est faux. C’est la résultante du mélange des 6 couleurs contenues dans l’arc-en-ciel et perceptibles par nous. D’autres espèces ne distinguant pas les mêmes prismes chromatiques que l’humain.
Dire que les 6 couleurs précitées donnent la couleur blanche est partiellement vrai, et donc partiellement faux. C’est le cas si l’on considère « la couleur lumière », mais il est bien de le spécifier.
Ce n’est pas le cas si l’on évoque « la couleur objet ». Généralement, on est plus proche du noir que du blanc lorsque l’on mélange les gouaches.

Si l’on reprend le sujet « chiffre 7 ». Par la démonstration très schématique des couleurs, on voit que pour un même sujet — le mélange des teintes — le résultat obtenu diffère en fonction de la source : immatériel d’un côté et matériel de l’autre. Blanc versus noir. Le principe de la polarité ou du damier de l’échiquier a fortiori maçonnique.
D’où l’importance de véritablement remonter à la source ou du moins de s’en approcher et de veiller à ce que les termes de l’énoncé soient impartiaux en quelque sorte et le plus exhaustif possible.

Le schéma suivant donne une vision du processus. Bien qu’il s’agisse ici de mélange de couleur à partir de même source, ce qu’il est intéressant de noter c’est l’aspect « addictif ou soustractif ». Par extension cela nous ramène à la symbolique du 7 selon les mondialistes. Rappelez-vous que l’objectif est de borner le système de ces derniers en donnant des arguments synthétiques justement.

Une chose est certaine, c’est que sur toute la planète le 7 suscite bien des interrogations et des croyances. À la fois craint et vénéré. Il suffit de regarder sur internet pour se rendre compte de l’envergure des informations relatives à ce chiffre.

Voici la « version officielle » maçonnique extraite du site en référence 17.

• Les francs-maçons et le chiffre 715 16 17

Voici ce que les maçons présentent à propos du symbolisme du chiffre 7 :

Le Sept

L’origine du sept remonte aux sept fonctions de Dieu émanées dans tout l’univers. Le sept le plus connu est celui des jours de la Genèse.

En Franc-Maçonnerie, il correspond au chandelier à sept branches avec l’ordre d’allumage des bougies :

Il représente ainsi la transmutation de l’homme qui part du cœur (soleil).

Cette idée est souvent retrouvée dans la théosophie chrétienne notamment dans la lignée de Jacob Boehme. Par exemple, dans la théosophia practica nous trouvons l’image suivante :

Sur cette image on constate que le feu central immergé dans le cœur de l’homme est entouré d’un serpent qui ferme et empêche la propagation de la lumière. Une fois cet obstacle franchi le feu va pouvoir se propager dans tout le corps par sept centres qui sont eux-mêmes à déboucher.

• Les 7 devoirs des francs-maçons18

  1. Combattre pour la liberté absolue de conscience
  2. N’imposer aucun livre sacré en loge
  3. Accepter le dialogue sur tous les sujets
  4. Placer le Bien de l’humain en référence de la morale
  5. Œuvrer au progrès de l’humanité
  6. Soutenir la laïcité
  7. Défendre la République

Remarque :

Si l’on considère ce chiffre 7 exclusivement selon la version altérée ou négative propre aux sociétés secrètes ou hermétiques ou simplement l’occultisme voici ce qui ressort :

Concernant le 7e devoir des FM. Il faut comprendre que République ne signifie pas Démocratie. En réalité, c’est tout le contraire, dans le sens où le modèle auquel se réfèrent les francs-maçons — et apparentés — relève du modèle antique romain fondé sur l’esclavage généralisé. Ce sujet sera détaillé dans les dossiers suivants.

La Laïcité, autre hypocrisie maçonnique. Comment une organisation qui se réfère à des cultes aux origines multiples peut-elle « soutenir la laïcité » ? De plus en décryptant la loi 1905 de séparation de l’église et de la politique, vous constaterez que la France est littéralement sous la coupe des hermétiques mondialistes.

Quant aux autres « devoirs », ils sont à mettre sur le même registre.

Tout au long des 7 dossiers — à prendre comme un pied de nez à l’égard des mondialistes — seront mis en avant les liens avec le chiffre 7. Que ce soit sur les années clés, le mois de juillet, les jours ou tout autre événement ou support.

L’intérêt porté à ce « numéro magique » nous a été soufflé en quelque sorte en écoutant un discours de Christine Lagarde tenu le 15 janvier 2014 à Washington DC au « the National Press Club ».

Dans son intervention Christine Lagarde, alors Directrice générale du Fonds monétaire international, ne s’est pas contentée de rappeler l’importance des calendriers maçonniques « anno mundis » et « anno Lucis » (dès 1 minute 40 dans les vidéos accessibles sur YouTube). Elle a littéralement donné un cours de numérologie à l’ensemble des personnes présentes ainsi que toutes celles qui regarderaient des retransmissions. Elle a décrit ce chiffre comme « magique », et donne des méthodes de calcul numérologique comme « la compression » ; c’est-à-dire réduire les numéros de telle sorte que l’on obtienne un chiffre compris entre 1 et 9.

• 12345 : 1 +2 +3 +4 +5 = 15, 15= 1 +5= 6. 6 est le résultat numérologique compressé.

Ensuite, Christine Lagarde explique que le zéro n’existe pas en numérologie en s’appuyant sur un exemple concret :

• 2014. Il ne faut tenir compte que des 2, 1 et 4 qu’elle additionne pour obtenir 7. Parenthèse, le zéro ayant été apporté par les érudits arabes, il est probable que cette pratique ésotérique soit antérieure à la création dudit zéro.

S’ensuit une succession de « dates anniversaires » qu’elle corrobore avec la numérologie.

Il faut reconnaître que cette information nous a été d’une grande aide dans nos recherches, à commencer par le tri et la priorité que l’on devait accorder à l’ensemble de nos archives, sur le choix des années à étudier, les mois de juillet, les jours 7, 14, 21, 28 entre autres puisque cela peut tout aussi bien concerner des distances, des références de tout type.

Par exemple le célébrissime James Bond, agent 007. En faisant des recherches sur le patronyme Bååt19 pour les besoins de nos enquêtes. Il se trouve que l’un des noms de famille dérivés est Bond(e). Ajoutez à cela le 007, vous obtenez des informations qui prises individuellement semblent peu importantes, mais qui mises dans un ensemble donnent un canevas plus que pertinent.

Plus proche de nous et bien moins fictif : le 14 juillet. Le jour de la fête nationale est incontestablement une date maçonnique. Le mode de calcul est quelque peu différent. Ainsi, il ne faut pas additionner les chiffres comme précédemment, mais raisonner en multiple de 7.

  • 14 donne 2X7 et mieux encore 7 +7
  • 07 donne 7.

La résultante est que le 14 juillet correspond à une suite de trois 7 ou 777

Là encore ce n’est pas à mettre sous le tapis. En effet, tout comme le 666 a une signification particulière, il en est de même pour 777.

Cette suite entre dans le giron de la Kabbale20 (Les Qliphoth — en hébreu, תופילק, parfois orthographié Klipoth ou qelipoth — qui signifient « écorces » ou « coquilles » se réfèrent aux forces du mal ou aux impuretés de la matière dans le cadre de la Création) et la kabbale hermétique21 « 777 et autres écrits kabbalistiques » d’Aleister Crowley est une collection d’articles écrits par Aleister Crowley. Il a été édité et présenté par le Dr Israel Regardie.

Ce qui ressort des articles mis en référence, c’est le côté pratique démoniaque et hermétisme lié à certains chiffres bien particuliers. Et si l’on reprend la citation d’Albert Camus, selon cette lecture, on comprend alors pourquoi le « XXIe doit être spirituel ou ne sera pas. »

• XXI donnant 21, soit 3X7 ou 777…. Comme l’année 2021 qui double la mise en quelque sorte.

Par hermétisme, il faut bien sûr faire le lien avec le lien avec Hermès le Dieu Grec des voleurs, du commerce et de la négociation)2223. La fourberie, le mensonge font également partie des qualificatifs de ce dieu, pourtant « messager des Dieux ».

Si l’on considère que les mondialistes se prennent pour des individus supérieurs ; dans ce cas les médias sont la transposition d’Hermès. On comprend mieux le mensonge. L’hermétisme définit également le secret. Enfin, et ce n’est pas des moindres, l’un des attributs de ce dieu (hormis le casque ailé d’Astérix) est un caducée.

Ce caducée est différent de celui d’Asklépios (ou Esculape)24. Asklépios25 étant l’ancêtre des médecins Asclépiades, une dynastie exerçant à Cos et Cnide, dont Hippocrate est le plus illustre membre.

Avec la crise sanitaire et l’apparition des « médecins de plateaux » accompagnés de chroniqueurs et autres « messagers des dieux », nous assistons à l’émergence d’un troisième caducée. Un hybride pourvu non pas d’un ou de deux serpents, mais plutôt de trois.

L’une des armes utilisées par les mondialistes depuis des millénaires c’est la programmation mentale, et désormais lorsque les termes « spiritualités » ou « spirituel » sont utilisés, ils suscitent des réactions antagonistes : le côté totalement perché, n’ayons pas peur des mots, et le rejet justement lié à l’image galvaudée ou véhiculée par manque de connaissance. Or la spiritualité n’a rien de tout cela.

Pour ne pas induire d’erreur d’appréciation, en lieu et place de la spiritualité ; pour celles et ceux qui se sont pas à l’aise avec ce mot et en méconnaissent le sens, il est conseillé de changer le terme par « esprit ou mental » voire « réflexion » ou « pensée ».

Si l’on reprend la citation d’Albert Camus et que l’on en change le mot clé, cela donne une approche plus proche de notre réalité et du langage courant. Dire que le XXIe Siècle sera celui de la réflexion ou ne sera vue notre actualité prend tout son sens puisque nous sommes véritablement confrontés à une « guerre » de schémas de pensées où la réflexion, ou son absence, détermine au quotidien les choix de tout à chacun.

Puisque le nouvel ordre mondial agit contre l’ensemble du vivant, humanité incluse depuis ce que l’on va appeler la nuit « de leur temps », soit au moins 6021 années ; tout ce qui est à notre disposition en matière de ressources historiques, mythologiques, religieuses… peut et doit servir à trouver des indicateurs ou indices pouvant les mettre devant des faits avérés.

Par exemple, que ce soit le XXIe Siècle — qui n’en est pas encore à son premier quart — qui connaisse de tels mouvements, de tels chaos, n’est pas un hasard. Dès lors que toute l’histoire qui nous a précédés a été orchestrée selon leurs scénarii avec en point d’orgue des rites, des fréquences, bien spécifiques ; au fil des dossiers l’importance de la numérologie pour les mondialistes et — entre autres — les francs-maçons sera une évidence.

Et si nous résistons aux divers assauts des mondialistes, il faut s’attendre à ce que 2025 soit une année particulièrement tendue puisque Christine Lagarde dans son discours de 2014, expliquait que les 25 ans de la chute du mur de Berlin était une date clé en base 7 (2 +5= 7).

Les chapitres suivants vont définir le nouvel ordre mondial selon d’autres critères, d’autres paramètres et d’autres références. Après la signification du chiffre 7, il va s’agir de définir des critères récurrents utilisés par les mondialistes, peu importe leur nom d’emprunt. Par la suite seront abordés quelques repères anatomiques et physionomiques du nouvel ordre mondial.

Partant du principe que ce cartel est millénaire (nouvel ordre mondial actuel = « nouvel ordre du monde » de la Genèse) et polymorphe ; les sources de comparaisons seront diverses et variées, alliant mythes, mythologies, histoire des civilisations… Bien entendu dans le dossier de présentation, il n’est pas question de détailler, mais de donner des points d’accroche à la manière des murs de varappe.

Le Nouvel Ordre Mondial et ses différentes références

Tel qu’énoncé précédemment, on va dresser une liste non exhaustive des éléments incontournables qu’utilise le nouvel ordre mondial. Certains sont très anciens, mais pas désuets pour autant. Bien au contraire, ils n’ont jamais autant été présents dans nos environnements… jusque dans nos placards.

Parmi les piliers des francs-maçons et consorts, l’on trouve :

  • Les mythes
  • Les panthéons des Dieux, peu importe qu’ils soient égyptiens, gréco-romains, méso-américains…
  • Les jeux de société comme, par exemple, « les échecs »
  • Le système politique romain (la République)
  • Le modèle social des ruches (ne pensez pas qu’il s’agisse des abeilles, puisqu’il s’agit en réalité des guêpes)
  • L’ésotérisme occulte et démonologie de toute sorte : tribal, religieux, païen…
  • L’alchimie occulte
  • L’ensemble des religions majeures (en grande partie leur création)
  • L’astronomie et autres arts et sciences passés sous silence
  • La philosophie, ou plutôt le sophisme et la maîtrise des discours et méthode (pour reprendre le titre d’un ouvrage de Descartes)26
  • La maîtrise des fragmentations cognitives que l’on retrouve dès l’enseignement religieux (catéchisme catholique, mais pas que), donc très ancienne et ayant évoluée au fil des temps pour aboutir au MK-Ultra, aux messages subliminaux visuels, olfactifs, auditifs, tactiles. Tout ce qui est en lien avec les sens primaires et physiques (5 sens), ainsi que les sens adjacents. On touche alors à la perte du sens de l’orientation, sens de l’humour, précognition, etc.
  • Etc.

Tous ces éléments sont détaillés de la manière la plus andragogique possible dans chaque sous-dossier qui constitue l’ensemble de l’enquête. L’objectif étant de démontrer combien le nouvel ordre mondial a imprégné chaque pan de nos vies. J’ai donc cherché à débusquer les informations qui permettent de les confronter à leur vrai dessein. Il s’en suit non pas une série d’accusations sur le modèle de Victor Hugo, mais un recueil de faisceaux d’indices qui permettent d’affirmer que les francs-maçons et analogues sont plus que présents, que la France aurait pu devenir une réelle démocratie en 1848, mais en a été empêchée de l’intérieur. Que depuis lors nous sommes effectivement dans un sous-régime rétrograde et esclavagiste de type République Romaine.

En définitive, l’intégralité des recherches vise à lever le voile de l’hypnose collective au-delà même de l’épisode Covid et de la mandature d’Emmanuel Macron.

L’ANATOMIE DU N.OM :
DU LÉVIATHAN À LA BÊTE DE L’APOCALYPSE
(VISION INTERNATIONALE)

Le N.OM : Léviathan27 28 ou Bête de l’Apocalypse

Première analogie permettant d’établir un portrait-robot du cartel mondialiste : Le Léviathan et la Bête de l’Apocalypse. Partir des mythes pour définir l’anatomie du nouvel ordre mondial permet d’illustrer au réel ce qu’est cette organisation dans sa version internationale et mondiale. De la même manière que le lien entre la Ve République française et l’alter ego terrestre du serpent marin sera faite par la suite.

S’il est une représentation universelle, c’est bien celle du Mal incarné. Dans toutes les civilisations, le côté obscur est représenté sous la forme ovidienne ou reptilienne. Serpent marin, par excellence c’est le cas du Léviathan.

Léviathan : « Le Léviathan est un monstre colossal, dragon, serpent et crocodile, dont la forme n’est pas précisée ; il peut être considéré comme l’évocation d’un cataclysme terrifiant capable de modifier la planète, et d’en bousculer l’ordre et la géographie, sinon d’anéantir le monde. Sa description évoque par périphrase le redoutable crocodile du Nil qui abondait alors au pays des pharaons. »

Cette description est un extrait de la page Wikipédia mise en référence.

Bête de l’Apocalypse : selon la tradition chrétienne « La Bête de l’Apocalypse (τὸ Θηρίον (tò thēríon) en grec ancien) est une figure de l’eschatologie chrétienne qui apparaît dans le chapitre 13 de l’Apocalypse de Jean, en écho à la Vision des quatre bêtes du Livre de Daniel. »

Il existe de nombreuses interprétations concernant ce monstre allant de sa création jusqu’à sa mise à mort. Ce qui semble faire consensus c’est que :

  • La bête aurait été créée par Dieu — lequel ? Celui en qui les religions nous font croire ou celui qui considère l’humanité comme du bétail (agneaux/moutons/caprins) que les bergers (religieux) sacrifient quotidiennement (deux fois par jour : holocauste) sur les autels des temples…
  • Créature marine ayant reçu les pouvoirs de Satan ne meure [que] sous la lame de l’Archange Mickael.
  • Créature terrestre, alter ego de la première.29

Une fois les présentations faites, on va désormais ajouter une autre façon de comprendre ce que peut être dédoublée de l’Apocalypse conjointement au Léviathan qui lui aussi est affublé d’un alter terrestre : le Béhémot30.

Le principe du polymorphisme ayant été évoqué d’emblée, vont s’ajouter d’autres concepts à prendre en considération, comme :

  • la personnalité multiple ou fractionnée
  • le principe de la fractale
  • et plus que la dualité, on va introduire une notion que les chimistes et professionnels de l’industrie pharmaceutique connaissent bien puisqu’il s’agit de l’énantiomère (explicité dans le dossier 7).
  • Vision systémique, politique, etc.

Ainsi, dégagé de toute approche dogmatique et religieuse, il a été plus facile de faire nos recherches en s’appliquant à trouver des arguments probants. C’est donc en partant du descriptif mythique du monstre aquatique à 7 têtes et 10 cornes couronnées que les passerelles et translations avec le cartel mondial a été fait.

Les éléments exposés sont évidemment peu de choses, comparés à l’étendue du système, néanmoins ils peuvent donner une « assise » ou un début de représentation physique. Puisqu’il s’agit d’un « Guide » exposant le cartel version 2.0, l’illustration ci-après est la plus pertinente trouvée sur le net.

31

Illustration extraite du dessin animé Digimon.

Par ailleurs, il n’a pas été pertinent de reprendre des illustrations plus anciennes. Vu les mutations qu’à subit l’Organisation mondialiste au fil des siècles le plus simple a été d’en créer une qui reprend le descriptif au sens le plus strict.

Figure 1
Léviathan selon les écrits historiques, mythologique et religieux/
Virginie Dornier. 10/2021

Version reprenant les écrits : monstre aquatique, 7 têtes, 10 cornes couronnées. Avec un rappel sur Poséidon : trident présent également sur les symboles et iconographies liés à la psychologie (Symbole des psychologues avant modifications, mais aussi symbole Héraldiques et lié à Shiva)

Vous remarquerez ici que les 10 cornes couronnées sont placées sur le corps du Léviathan et non sur la partie antérieure (les 7 têtes).

C’est un postulat volontaire pour faciliter la compréhension du N.O.M

Les paragraphes suivants vont définir le cartel auquel nous sommes confrontés :

  • Le monde aquatique
  • Les 7 têtes et la traduction au réel.
  • Les 10 cornes au réel
  • Les diadèmes/couronnes au réel

Le NOM : un système « fluide »

Le monde marin est encore inexploré. Il fait l’objet de spéculations multiples. L’eau se trouve partout sur la planète, plus encore que les terres et continents en termes de surfaces et avec des profondeurs abyssales qui de tout temps sont synonymes de mystères. L’eau est en élément pouvant se présenter sous trois formes : gazeux, liquide, solide. Dans les airs, sur terre, sous terre, et bien sûr du ruisseau aux océans.

Par extension, le Léviathan est partout et nulle part à la fois. Indispensable pour toute forme de vie l’eau devient alors source de méfiance, voire de danger.

Au réel, le Nouvel Ordre Mondial apparaît comme un élément présent dans tous les secteurs de nos vies.
De la conception à la mort : Cycle des 3 états de l’eau. Gaz/vapeur, liquide et solide.
De l’individu à l’Humanité : de la goutte à l’océan.
Du plus abstrait des éléments ou plus concret.

Des lois aux actes du quotidien : C’est pourquoi des « idées » émanant de personnes en responsabilité accordée par le Peuple, mais totalement dédiées désormais au Nouvel Ordre Mondial rendant le quotidien de chacun invivable.

Depuis le 4 octobre 1958, les « Vassaux » félons ont prêté allégeance au N.O.M amenant le chaos, la perte de nos richesses individuelles et collectives.
Vendant au plus offrant, nos savoirs, nos héritages, nos existences… que les acquéreurs soient du Parti Communiste Chinois, de l’OMS, de l’OTAN ou tout autre « empire couronné » du Léviathan.

La fluidité du système ressemble trait pour trait aux principes de l’eau.

Sans oublier le continent qu’ils se sont créé bien qu’ils s’en défendent (date de fin d’une ère selon le calendrier maya) : TerraMar Project créé par Guislaine Maxwell officiellement en 2012 (date de fin d’une ère selon le calendrier maya) et dissout en 2019.

Un concept ? Un véritable continent ? Quoi qu’il en soit, Guislaine Maxwell en fait la promotion avec en première ligne la famille Gates.32 33

Loin d’être une théorie le « Terra Mar Project »34 était présenté comme une « organisation à but non lucratif » à visée écologique. Le cœur de leurs actions étant « la préservation des Océans ». En étudiant de près les divers gouvernements français de la Ve République, ainsi que les enjeux économiques, politiques et militaires rattachés au domaine maritime, il ne fait aucun doute que cette organisation est bien plus que ce qu’elle prétendait être. Et le fait qu’elle soit dissoute suite au scandale sexuel ne signifie pas pour autant que l’activité rattachée à cette organisation se soit arrêtée. C’est un avis.

• Le projet TerraMar
• TerraMar (Royaume-Uni)
Le logo du projet TerraMar
Formation septembre 2012 ; il y a 9 ans
Dissous décembre 2019 ; il y a 2 ans
Taper Environnement
Statut légal • Organisation à but non lucratif
But • charité
Lieu New York (2012-2015)
Woburn, Massachusetts (2016-2019)
Salisbury, Royaume-Uni (2013-2019)
Région desservie Global

Il est intéressant de se pencher sur le logo et la fiche d’identité consultable sur Wikipédia.

  • « Charité » ou « charité/caritative » est un moyen détourné de faire référence à l’un des 3 piliers de l’arbre de vie de la Kabbale. Celui-ci sera abordé sur différents aspects registre dans le dernier dossier. En cherchant des informations en lien avec TerraMar Project et l’arbre des Séphiroth en sont ressortis les points suivants !
  • Il est un consensus disant que le Yin37 correspond à l’aspect féminin en toute chose. De façon réductrice ce symbole asiatique, présent notamment en médecine chinoise, est associé aux émotions. Les émotions sont associées à l’eau. C’est la raison pour laquelle l’on a fait le lien entre TerraMar et le pilier yin de l’arbre kabbalistique.
  • On avait déjà évoqué le principe de la polarité. Avec ces deux illustrations complémentaires, cela est plus flagrant.
  • L’hypothèse sous-jacente est que derrière les activités « caritatives » et vertueuses de TerraMar Project (ainsi que des autres organisations mondiales) un pouvoir impérialiste cultivant le secret. Ce qui correspond en tout point à Binah, Géburah et Hod du pilier Jugement.
  • Évidemment ce principe est applicable à toutes les fondations dirigées par des mondialistes patentés comme Bill et Melinda Gates, George Soros, pour ne citer qu’eux.

Autre point intéressant : le logo de TerraMar Project. Tout comme pour Gmail, TerraMar Project reprend les codes de certains tabliers maçonniques.

Ci-après, en l’inversant versus les symboles de Poséidon et Neptune.

Il s’agit ici, d’une vue d’ensemble du cartel mondialiste selon la matrice du Léviathan ou de la Bête de l’Apocalypse. Ce secteur maritime sera argumenté dans d’autres dossiers en fonction du thème. Il n’est donc pas utile de développer plus ici, le système « fluide ».

Le NOM : monstre à 7 têtes :

Il n’est pas utile de revenir sur l’explication relative au symbolisme de ce chiffre. Cependant, et pour faire le lien avec le chapitre précédent, il est probable que pour le cartel du nouvel ordre mondial le domaine maritime soit considéré comme un territoire à part entière, objet de convoitises, et de pressions politiques diverses. Un territoire convoité et marqué par les courses impérialistes diverses selon les époques ; pour finalement aboutir à une seule entité mondiale. Ce qui ferait du monde marin et maritime le 7e Continent.

Voyons si les têtes du monstre mondialiste peuvent être identifiées autrement (polymorphe). On n’ira pas chercher du côté des sept péchés capitaux bien que la citation suivante soit plutôt appropriée.

« Ce sont l’orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, liée à la tristesse spirituelle), la luxure, l’avarice, la colère et l’envie. Ils sont capitaux au sens où ils sont à la tête d’autres péchés ; ce sont des mobiles pour commettre tous les crimes comme l’assassinat. » (Définition extraite de Wikipédia)

Par contre, ce qui découle de ces péchés permet de donner une orientation dans les recherches. Quoi de mieux que les « 7 merveilles du Monde » pour sceller un peu plus le pouvoir des mondialistes ?

C’est donc en toute logique que l’on a pris des informations sur ces listes des sites et leurs méthodes de sélection.

Fait étonnant, mais à la réflexion, peu surprenant : il existe depuis peu 2 listes distinctes de sites remarquables qui se font concurrence. On tentera de donner les motivations de cette coexistence, bien que le principe en soit simplissime : d’un côté, vous avez les mondialistes et leurs 7 merveilles du Monde. De l’autre leurs opposants. Nous sommes bien engagés dans une partie d’échecs.

Explication en pages suivantes.

a) Les 7 Merveilles du Monde du N.O.M :

« Les Sept Merveilles du monde moderne »38 est une liste, établie par l’American Society of Civil Engineers, consacrant les monuments du XXe siècle. Elle fait directement référence aux Sept Merveilles du monde antique39. » (Wikipédia).

À noter que peu d’informations sont présentes sur la page Wikipédia dédiée.
La liste des pays est : France, Royaume Unis, Canada, USA (Deep State), Brésil (Deep State), Paraguay, Pays-Bas, et Panama.
Ici, les 7 Merveilles du Monde Moderne — 7MMM — sont des ouvrages stratégiques, tous en lien avec les trafics de toutes natures (échanges commerciaux, trafics humains, armes, drogues). Les pays concernés sont la plaque tournante de ces trafics.

Nous attirons votre attention sur les sites classés « Merveilles de leur Monde Moderne ». Ils sont tous en lien avec le secteur maritime et fluvial (d’où le code couleur bleu). Ils sont potentiellement voués à auto –destruction/ attentat de la part du Nouvel Ordre Mondial. Notamment le Tunnel sous la Manche. Ce que l’on appelle communément des actes sous « faux drapeaux ». Pour compléter ce volet il existe une série docufiction intitulée « les 7 merveilles du monde industriel ». (Diffusée sur BBC en 2003)40.

b) L’alliance : 7 Nouvelles Merveilles du monde moderne41,

« Les sept nouvelles merveilles du monde ont été désignées à la suite d’un vote organisé par la New Seven Wonders Foundation, liée à la New Open World Corporation, et dont les résultats ont été dévoilés le 7 juillet 2007 à Lisbonne. » (Notez la date : 07/07/2007).

Ici, il est important de noter que cette nouvelle liste a fait l’objet de controverses.

Au-delà de la date significative du 07/07/07, il faut rapprocher les 7 sites de la nouvelle liste des « 7 Nouvelles Merveilles du Monde Moderne » (7NMMM) du Chapitre 2 de l’Apocalypse de Jean.

En effet, chaque site de cette liste correspond à chacune des sept églises du texte biblique. Comprenez que l’étude des textes sacrés a été faite de façon géopolitique voir stratégique et non de façon théologique ou religieux au sens dogmatique.

Ainsi, l’église d’Éphèse correspond à la Jordanie, l’église de Pergame à l’Italie, l’église de Thyatire au Brésil, etc.

Pour des raisons évidentes de sécurité et de confidentialité, nous ne pourrons expliciter plus en détail les éléments. Ceci étant, ce qu’il faut comprendre c’est que l’Alliance a travaillé depuis longtemps pour faire des sept pays ici sur ce schéma des états satellites de l’alliance. Notez également que seules « les 7 têtes » du Léviathan ont été abordées tout en ne compromettant pas les aspects purement stratégiques. Mais, vous en conviendrez, en comparant avec l’actualité géopolitique, ces merveilles sont bien sympathiques.

Le NOM : monstre à 10 cornes :

Dans l’illustration du Léviathan, les Cornes couronnées ont délibérément été placées sur le corps et non la partie supérieure du Léviathan.
Ce postulat permet de bien scinder les deux organes majeurs du Nouvel Ordre Mondial.

Ainsi, de tout temps, et quelques soient les continents ou les noms attribués aux 10 cornes couronnées, le système est reproductible. Seule la translation en fonction des « progrès et avancées » technologiques en a modifié la forme, mais elles ont toujours été 10 actives simultanément.

Ce sont les EMPIRES. Ayant subi diverses mutations depuis des millénaires, passant des empires géographiques (Incas/ Sumériens/ Britannique, français…) à des formes plus diffuses comme, par exemple, l’empire cinématographique, médiatique, pharmaceutique… qui ne connaissent ni frontière, ni problème pour franchir les océans. Chaque corne en est l’une des représentations et toujours sur le même principe polymorphique. Cela signifie qu’au fil du temps les empires changent de formes.

De nos jours, on y retrouve notamment :

a) Les 10 empires économiques mondiaux qui correspondent aux pays (qui varient depuis plus de 6000 ans)

b) Les 10 secteurs économiques (évoluant en fonction des avancées technologiques et du programme des mondialistes)

En page suivante, vous trouverez quelques exemples chiffrés

a) Les 10 empires économiques mondiaux (source libanaise 2018) :

  • 10— Canada, produit intérieur brut estimé à 1763 milliards de dollars (plus de 987 000 milliards de FCFA).
  • 9 — Italie, produit intérieur brut estimé à 2048 milliards de dollars (plus de 1 146 000 milliards de FCFA).
  • 8 — Brésil, produit intérieur brut estimé à 2199 milliards de dollars (plus de 1. 231 000 milliards de FCFA).
  • 7 — Inde, produit intérieur brut estimé à 2654 milliards de dollars (plus 1. 485 000 milliards de FCFA).
  • 6 — Royaume-Uni, produit intérieur brut estimé à 2661 milliards de dollars (1. 489 000 milliards de FCFA).
  • 5 — France, produit intérieur brut estimé à 2765 milliards de dollars (1. 547 000 milliards de FCFA).
  • 4— Allemagne, produit intérieur brut estimé à 3934 milliards de dollars (2. 201 000 milliards FCFA).
  • 3— Japon, produit intérieur brut estimé à 5063 milliards de dollars (2. 833 000 milliards de FCFA).
  • 2— Chine, produit intérieur brut estimé à 13 118 milliards de dollars (7. 342 000 milliards de FCFA).
  • 1— États-Unis, produit intérieur brut estimé à 20 199 milliards de dollars (11 305 000 milliards de FCFA).

Ci-après l’illustration montre qu’en réalité l’adversaire de l’Humanité, le N.0.M ou cartel, utilise toujours une base chiffrée en lien avec les spécificités de « la Bête de l’Apocalypse » ou Léviathan.

Si pour les 7 têtes nous retrouvons les mêmes organisations : politiques, religions, pour les 10 cornes vous remarquerez une variation. Ainsi, peu importe l’ordre des pays, des secteurs économiques. Le palmarès n’est qu’un paravent puisque nous avons toujours 10 critères.

Source : financial Afrique. Com

Il est intéressant ici de noter les points suivants :

  • Entre 1992 et 2008, on constate des mouvements dans l’ordonnancement des pays. Si l’on reprend « la règle de calcul » mise en avant par les acteurs majeurs du N.O.M, alors l’an 2000 en est la ligne d’horizon. En retranchant 7 ans, on arrive à 1993 qui, semble-t-il, marque le début de la décroissance régulière de la France. Il serait intéressant d’avoir d’autres chiffres antérieurs afin de préciser et affiner ce propos.
  • Le « Bug de l’an 2000 » n’avait rien à voir avec un quelconque chamboulement dans les horodateurs des systèmes informatiques, mais une permutation de l’ordre « des choses ». Une inversion de polarité non pas magnétique (pôle Nord/ pôle Sud), mais des valeurs humaines, des systèmes économiques, politiques, sociétaux. En résumé : on passe à la dernière phase d’inversion.
  • Le projectif est éloquent : la France devenant 10e du classement en 2024, les pays occidentaux perdant au moins une place au classement, la Russie également le tout au profit des pays « émergeants » des pays orientaux et de l’Empire du Soleil Levant.

Vous remarquerez une variation. Ainsi, peu importe l’ordre des pays, des secteurs économiques. Le palmarès n’est qu’un paravent puisque nous avons toujours 10 critères.

Lorsque seront abordées les « 10 couronnes », vous verrez pourquoi aujourd’hui il semble quasiment insoluble de faire tomber le système mondialiste. Pourtant, près 6 mois après début de nos recherches et de la rédaction des dossiers, le colosse apparaît de plus en plus fragilisé. Les peuples se lèvent, la France bouge malgré un enkystement dont on a — pour partie — identifié des raisons plus que possibles. Raisons qui sont largement détaillées point par point dans les dossiers 5 et 6 et spécifiques à notre histoire. Mais si l’on devait donner une ligne directrice, elle serait la suivante : si l’on devait comparer la France « contemporaine » à un insecte pour décrire sa situation, ce serait la chenille bloquée dans sa chrysalide par des influences extérieures.

Cette mue, en comparant les diverses Constitutions, correspond à la Seconde République de 1848 sabordée de l’intérieur. Depuis, de génération en génération nous sommes dans un système matriciel visant à nous réduire en esclavage jusqu’au coup de grâce. Du moins selon le cartel maçonnique. Rendez-vous aux dossiers traitant de Jupiter et sa parèdre pour découvrir une partie de l’envers du décor.

b) Les 10 secteurs économiques mondiaux :

  1. Les startups investies dans les clean Tech, l’intelligence artificielle, la Food Tech, etc.)
  2. La santé
  3. La cybersécurité
  4. Les industries culturelles et créatives : écoles d’excellence, art, design, festivals, musique électronique, jeux vidéo, films d’animation…
  5. L’art de vivre : gastronomie, vin, mode, loisirs et tourisme
  6. L’eau, l’économie maritime et les énergies
  7. L’industrie du futur ou Tech (armement, Quantique…)
  8. Les transports et la mobilité
  9. Le secteur du luxe
  10. L’agriculture et l’agroalimentaire

Selon le descriptif fait du monstre marin, il est dit que les 10 cornes sont pourvues de couronnes. Pour compléter la présentation, il va s’agir d’en donner une interprétation permettant de visualiser le cartel différemment.

c) Les diadèmes ou couronnes.

Là aussi il faut se détacher de la symbolique collective qui veut que les couronnes soient des royautés.
En d’autres termes, il faut les appréhender non plus comme des ornementations du type couronne royale posée sur la tête de personnes de pouvoirs, mais comme la couronne en dentisterie qui recouvre la dent.

Par exemple : la Couronne qui chapeaute l’empire ou corne « Santé » est l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

Ce qui vaut pour l’un des 10 secteurs ou empires actuels vaut pour l’ensemble. Ainsi, le secteur de l’alimentation est couronné par la FAO42 (Organisation Mondiale pour l’agriculture et l’alimentation) et ainsi de suite.

Comparer le cartel mondialiste avec le Léviathan n’est pas une nouveauté. En revanche, décortiquer l’anatomie de la Bête biblique en envisageant les diadèmes non plus comme des attributs royaux, mais comme une structure recouvrant chaque corne est peut-être novateur. C’est pourquoi nous mettrons une illustration dentaire pour mieux expliciter le propos.

Il est important de comprendre ici que si des personnes « tombent » dans l’un des 10 systèmes, la couronne protège l’ensemble. C’est pourquoi par exemple des scandales comme celui de la représentante australienne de l’OMS n’ébranleront pas le système. Du moins si l’on exclut l’exception française, le levier de force (ou talon d’Achille).

La couronne dentaire appliquée à la corne du Léviathan :
Ici l’illustration aura été adaptée au secteur qui nous préoccupe tous : la santé et la Dictature mondiale.
Notez que ceci est valable pour toute forme « d’empire » (OTAN et défense, cinéma…).

Figure 2
Couronne dentaire appliquée à la corne du Léviathan

Pour « couronner le tout », et apporter d’autres illustrations : dans le langage courant, il est des mots et des expressions qui apportent des compléments d’information. Si, l’accent a été mis sur la symbolique du chiffre 7 très utilisée par les mondialistes (mais également pour des « vertus » positives) ; le chiffre 5 n’est pas en reste.

Le cinq représente le côté naturel en quelque sorte. Et contrairement à ce que l’on peut lire, il est ce qui par essence définit la création. Lorsque l’on observe la nature, voici ce que l’on constate :

• En coupe sagittale, les fruits sont dotés de 5 alvéoles contenant des pépins.

• Nous sommes pourvus de 5 doigts par main et 5 orteils par pied, au cas où les scientistes nous feraient croire le contraire. Sait-on jamais.

• Deux mains apparemment identiques et pourtant non superposables ce qui est le principe des énantiomères en chimie et pharmacie. (développé dans le dossier 7). Le paradoxe étant que la main gauche — dite la main du cœur pour certains — est aussi considérée comme « la main du diable » par ces mêmes personnes.
Effectivement, l’alliance se porte à l’index gauche et il n’y a pas si longtemps les enfants gauchers devaient apprendre à écrire de la main droite pour des raisons dogmatiques… y compris dans les écoles publiques. Les années 50, ce n’est pas si lointain.

Il n’est pas question de décliner les exemples, simplement de rebondir sur quelques mots clés qu’utilisent volontiers les mondialistes, depuis toujours. Parmi ces mots, l’on trouve bien entendu la main et ses déclinaisons et le chapeau.

  • Faire main basse
  • Avoir la mainmise
  • Manipuler
  • Chapoter
  • Capoter
  • Capitole
  • Capituler…

Le sujet est tellement vaste, qu’il est difficile de faire un tri dans les informations à mettre dans le dossier. Ne soyez pas étonnés si d’aventure les exemples de toutes natures sont mis ici.
On comprend mieux l’ampleur du Nouvel Ordre Mondial/Léviathan avec ce schéma qui reprend le Global Compact (ou Pacte Mondial) des Nations Unies43. Voir illustration en page suivante.

De ce schéma très explicite, on retiendra ici :

• que les Nations Unies et particulièrement le « Global compact » correspondent à l’anatomie de la Bête de l’Apocalypse. Ce qui n’amoindrit nullement les implications de factions ou familles telles que les Rothschild puisqu’ils sont dans la boucle.
« phrases d’accroche ».

• les accroches des items « Les entreprises sont invitées à ». Si de prime abord, il est légitime de penser que cela ne concerne que les entreprises privées ; en réalité cela inclut également les pays. Du moins ceux qui sont officiellement des sociétés comme c’est le cas de la France44. Ce volet « entreprise » est développé en dossier 3.

Conclusion :

Le fait de comparer le cartel mondialiste au Léviathan ou à la Bête de l’Apocalypse n’est pas une nouveauté. D’autres l’on fait bien avant. De même pour la numérologie et l’ensemble des symboles et rituels propres aux sociétés hermétiques (alchimie, culte égyptien…).

Ici, l’objectif a été de trouver de quoi apporter des éléments pouvant répondre à ces questions

  • À quoi pourrait ressembler le cartel mondialiste ?
  • En quoi le cartel mondialiste peut-il être comparé à la bête de l’Apocalypse ?
  • Quels indices ou informations peut-on chercher pour les « débusquer » ?

Si la démonstration est parfois maladroite, il ne faut pas perdre de vue que je ne suis ni politologue, ni économiste, ni écrivain et surtout que je n’ai pas eu la possibilité de peaufiner le style. La priorité est de pouvoir diffuser le fruit de mes enquêtes. De proposer, de la façon la plus argumentée possible, un panel d’éléments qui posent question et méritent d’être investigués cette fois-ci par des experts et professionnels.

Pour conclure ce chapitre, voici une ultime interprétation liant numérologie, dualité, et culte égyptien. Il s’agit de Jeu d’échecs.

• Numérologie : de part et d’autre de l’échiquier, on a 17 pièces (16 sur le damier + le joueur).

• « Echec et Mat » est une déformation de noms de Divinités égyptiennes. Il existe plusieurs combinaisons possibles, mais « Seth et Maât » est la plus probable puisque Seth rappelle le chiffre 7). D’ailleurs au tennis on retrouve le même principe avec « Jeu/Set et Match » que l’on doit transposer en J45 (10e lettre de l’alphabet et 7e consonne)/Seth et Maât.

• Lettre J que l’on retrouve également sur les cartes à jouer pour le Joker ou Jack ou le Mat (Maât) dans le tarot.

• Jack ou Jacques que l’on retrouve dans la bible46 (notamment l’un des demi-frères de Jésus Christ)

SPÉCIFICITÉ FRANÇAISE : DE LA TARASQUE GASCONNE À LA PROSTITUÉE BIBLIQUE (LA VRÉPUBLIQUE)

Introduction

Dès le début de ce dossier ou guide ont été abordés des points qui permettait de définir le système du cartel ou consortium selon la vision internationale. Ce qui nous a amenés à faire le parallèle avec le Léviathan et la Bête de l’Apocalypse.

Cependant, ce qui nous importe c’est la situation française. Il se trouve qu’à bien des égards la France (non pas le peuple) est la représentation alter de ces deux mythes.

Si l’on considère la version biblique, dans ce cas notre République serait la variation terrestre de la bête aquatique et sa morphologie (tête de lion et pattes d’ours) est expliquée dans le dossier X, tout comme l’alter du Léviathan — ou Tarasque Gasconne — le sera.

Si le système international mondialiste est polymorphe, change d’identité et de forme comme des reptiles peuvent muer ; c’est également le cas pour la France. Et pour être au plus proche de notre réalité, l’idée de comparer la République française à la prostituée biblique est également valable.

Ce qui peut différencier l’une ou l’autre des comparaisons est la période ou l’époque. Sur le principe de la géochronologie qui permet d’ordonner et classifier les étapes de vie de la terre47, l’influence du cartel sur la France pourrait ressembler à ceci :

Terre France analogie
Éonothèmes Éons Antérieure à la monarchie X
Érathèmes Ère Apparition de la Monarchie48 X
Systèmes Période De 1789 à nos jours Boîte de Pandore
Séries Époque VRépublique Tarasque
Étages Âge Dictature Sanitaire/Dominat/Mandat Emmanuel Macron Prostitué /Babylone

Ce tableau est très schématique, voire réducteur, mais il pose le décor. Sur le principe de la fractale qui reproduit un même modèle partant de l’infiniment petit à l’infiniment grand, l’inverse existe. De même que la boîte de Pandore et la Tarasque pourraient être interverties. Ici, il ne s’agit pas de jouer la carte de la « quadrature du cercle », simplement de fournir des aides visuelles pour mieux appréhender l’ensemble du dossier.

a) La boîte de Pandore 49 50:

Sur le modèle des ovidiens la France a subi différentes mues. La question de savoir si elles ont été initiées pour de réelles bonnes intentions ou a contrario pour réinitialiser le système des élites ne se posera pas ici, du moins pas dans cette partie présentation.
Il est un fait entendu : la Révolution française n’est pas à l’initiative du peuple, mais a été orchestrée par les francs-maçons. Sachant que la franc-maçonnerie de cette époque n’est que la version « actualisée » de factions préexistante. Il y eut auparavant les templiers, la rose croix, les jésuites ; tout comme il y eut en des temps plus reculés d’autres influenceurs politiques, religieux, économiques qui tous puisent leur modèle 4000 ans avant notre ère.

Pointer du doigt la franc-maçonnerie demande une clarification. Lorsque l’on dénonce les actions des sociétés hermétiques, que l’on mentionne et spécifie la maçonnerie, la kabbale, les illuminati, ne sont visés QUE le haut du pavé. Le gratin, les hauts gradés, voire même au-delà : les inaccessibles.
Ceux « du bas » n’imaginent pas en entrant en loge qu’ils financent et alimentent un système mafieux.

De la même manière qu’en travaillant pour l’industrie pharmaceutique, la majorité d’entre nous ignoraient tout de l’envers du décor, de ce qui se trame en coulisse. Et c’est valable pour quasiment tous les secteurs, y compris les religions.

Pandore dépeinte comme étant la première femme de l’humanité par le poète Hésiode ouvre une jarre ou boîte contenant tous les maux et les vices de la terre qui s’en échappent… Il est dit que dans cette jarre se trouve également l’Espoir (véritable antidote). Seulement ce dernier, plus lent à se mouvoir, n’a pu empêcher les malheurs de s’abattre sur le monde et les hommes.
Transposer à l’histoire de France ; Pandore la jeune femme prend les traits de la Révolution française de 1789.
L’ouverture de la jarre ou de la boîte, nous la situons à l’époque napoléonienne et particulièrement la période des campagnes d’Égypte et Champollion. Cette période marque un tournant dans notre histoire puisque les cultes et rituels égyptiens seront implémentés dans les pratiques maçonniques d’origines indo-européennes.

À partir de ce moment, la franc-maçonnerie va durcir ses actions à l’égard du peuple, tout en étant secouée en interne par des jeux de pouvoirs et d’influence. Aujourd’hui le modèle politique français est calqué sur la République Romaine (héritage de la maçonnerie intracontinentale), en revanche les moyens utilisés pour faire appliquer et perdurer la République romaine — vantée à tort — comme vertueuse sont pour l’essentiel importés de la civilisation pharaonique.

Précision : les influences trans méditerranéennes sont antérieures à Napoléon Bonaparte puisque Paris — la capitale — doit son nom à un clan qui vouait un culte à Isis. (Parisis).
À force de lectures, l’hypothèse que les campagnes d’Égypte aient permis de réactiver des cultes et pratiques occultes perdus et plus que probable. Ce qui explique en partie, la mainmise et l’influence de la capitale, sans cesse croissante, sur le reste des territoires français (sont comptabilisées les colonies de l’époque).

Si d’aventure, certains ont cru pouvoir utiliser des pratiques et rituels occultes en se considérant plus forts et dans la maîtrise, sur le principe du Roi Salomon auquel les francs-maçons se réfèrent, il est clair que le résultat escompté est le strict opposé.
Cela nous ramène à la boîte de Pandore, car depuis lors la France n’a cessé d’être secouée par des conflits internes et externes, subi des mutations quasi génétiques dans ses us et coutumes, ses valeurs, ses mœurs.

Si toutefois le parallèle entre le vécu commun de la France et Pandore n’est pas convaincant, il existe bien d’autres confrontations possibles.
Entre autres le Conte « Aladin et la lampe merveilleuse »51. Si l’on considère que les francs-maçons et apparentés de l’époque se sont servis de pratiques occultes (et c’est le cas) à la manière d’Aladin frottant la lampe magique ; dans ce cas le génie qui en est sorti correspond aux vices de la boîte de Pandore.

Ce qui fait que la France a ouvert le bal d’une nouvelle ère : l’époque contemporaine par excellence. À force de recherches, d’enquêtes et de recoupements, notre conviction est que c’est depuis notre pays que c’est « échappé » le génie ; il est donc normal que celui-ci réintègre sa lampe au bout de 3 vœux. En l’occurrence, par vœux il faut entendre catastrophes. Et le compte y est.

Si l’on rapproche les fléaux qui se sont échappés de la jarre aux 3 vœux du génie et qu’on les transpose à l’Histoire de la France nationale et internationale :

• La 3e guerre mondiale que le médium patenté Jacques Attali ne cesse de claironner ne peut pas être déclarée. En effet, si l’on reprend l’ensemble de la géopolitique depuis la Révolution française, il se trouve que le premier conflit international partant du vieux continent européen est la guerre de 1870.52 Bien qu’à tort appelée « Guerre franco-allemande » ; le conflit en coulisse a été mondial et occulte.

Par « occulte », il faut véritablement entendre « occultisme ». Ce point est d’une importance capitale et fait le lien avec le dossier dans lequel sont décryptés les attributs officiels et surtout officieux de la France. En l’occurrence le Grand Sceau de France.

Pour faire simple, pour que les rites maçonniques soient efficaces, il fallait donner à notre pays une forme hexagonale qui reprend les célèbres sceaux attribués au roi Salomon.

• La guerre de 14-18 devient alors le second conflit international de l’ère contemporaine et par conséquent, à partir de 1939 débute l’ultime conflit mondial. N’en déplaise à certains, mais depuis 1939 le monde n’a jamais plus connu la paix et par le système des vases communicants et surtout de l’OTAN ; nous avons toujours été en guerre. Nos soldats ont toujours mené des combats. Ceux des autres nations également. Seuls la géographie et les sites des conflits ont évolué au gré des intérêts du cartel mondialiste.

• Les bonnes nouvelles — car il y en a — sont que nous sommes à l’aube de voir cette 3e guerre mondiale se terminer. Jacques Attali et son prédécesseur Aleister Crowley53 et tant d’autres prédicateurs ayant mis tellement d’énergie à nous endoctriner, nous faisant croire en une paix retrouvée alors que cela n’a jamais été le cas doivent « l’avoir mauvaise », et certains même [doivent] se retourner dans leurs tombes. Les autres tentent autant que faire se peut de maintenir la chape de plomb sur nos têtes et dans esprits.

• Quant aux autres fléaux, fonctionnant par 3 eux aussi, le principe est le même lorsque l’on considère exclusivement « l’ère moderne » depuis la Révolution française, ou le XXIe siècle. Les crises sanitaires, le cycle amorce son déclin (crise covid) ; les crises économiques qui fonctionnent par séquence de sept ; nous sommes dedans…

En revanche, si l’on a pris le pli de comparer la situation de la France au mythe de Pandore et au conte des mille et une nuits ; il faut comprendre également que la France est l’équivalent de la jarre/boîte et de la lampe. Fléaux et génie doivent donc rentrer au bercail. Ce qui signifie que notre pays sera très probablement celui qui sortira de l’emprise en dernier lieu.

b) La « fille » du Léviathan ou la Tarasque gasconne54 55

Dans la mythologie, dans les ouvrages religieux et plus proche de nous à travers l’ensemble de l’histoire de France nous pouvons attester du fait que celle-ci représente l’alter ego terrestre de la bête de l’Apocalypse version française et occitane. La légende la décrit comme une bête s’apparentant au dragon, au crocodile et au serpent. Une description proche donc du monstre biblique.

Cet animal chimérique est fêté en pays gascon depuis le moyen-âge. Semant la terreur dans la région — comme d’autres légendes sur le territoire — elle fut vaincue par une jeune femme. Cette allégorie est d’emblée a rapprocher d’une lame des jeux du tarot d’inspiration maçonnique : La Force.
Cette légende appuyée par la lame du tarot est à mettre en miroir avec notre actualité… qui ne fait que se répéter depuis des centaines d’années, où la bête serait la personnalisation du système mondialiste franco-français (le cartel) et la jeune femme présente sur les deux supports (la légende et le jeu de cartes divinatoire maçonnique) incarnerait la France. Mais attention, il s’agit ici du peuple français, pas de la République. Doit-on rappeler que la Ve République EST la tarasque ? Du moins c’est ainsi que nous la décrivons.

Si l’on s’appuie sur des références mythologiques ou mythiques, ce n’est pas un hasard. Elles ont traversé les époques et sont connues de tous sinon du plus grand nombre et permettent de faciliter la rédaction du dossier. Ainsi donc Pandora et la bête gasconne ne font elles qu’une. La boîte renfermant quant à elle les fléaux qui nous accablent depuis la révolution et surtout on le répète depuis la campagne d’Égypte.

Seulement, c’est avec la Ve République que cela s’est amplifié et accéléré jusqu’à son paroxysme en 2017 où d’un système félon nous sommes passés à une réelle dictature. Ce qui rapporté aux systèmes politiques de la Rome Antique revient à emporter sciemment le pays d’un « principat »56 à un « dominat »57. Autrement dit d’un système de République romaine (non démocratique, mais qui se désigne comme telle) à une tyrannie basée sur le culte de la personnalité, toujours sous la bannière de la République ce qui est le cas à l’heure actuelle.

c) La prostituée biblique : La France sur le trottoir depuis 1958

Lévitique 19:29
Concept des Versets
« Tu ne profaneras point ta fille en la livrant à la prostitution, de peur que le pays ne se prostitue et ne se remplisse de crimes. »58

Et ce quinquennat, c’est tout naturellement qu’on le compare à la prostituée de la bible. Chaque notion abordée dans ce dossier de présentation fait l’objet d’approfondissements que l’on a autant que faire se peut regroupés dans des dossiers spécifiques. Les chapitres suivants abordent le mode de fonctionnement du cartel mondialiste et français selon deux modèles vivants bien réels cette fois-ci.

Dans les faits — on l’abordera dans le dossier 3 — la fille en question est la France. Et, le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle a été livrée aux proxénètes du cartel mondialiste dès l’entrée en vigueur de la VRépublique.
Passant d’Escort girl pour clients argentés au trottoir depuis le quinquennat d’Emmanuel Macron.

LE N.OM SELON LE PRINCIPE BIOLOGIQUE
DE LA SERPULA LACRYMANS (MÉRULE) ET DU BLOB

Quelques informations sur la Serpula lacrymans ou Mérule :

La Serpula Lacrymans est une moisissure ou un champignon de la famille des Mérules59. Connue depuis des millénaires pour les ravages qu’elle peut provoquer, elle est même citée dans la Bible.
Ce champignon dévoreur de cellulose peut « digérer » l’intégralité d’un bâtiment selon un mode bien particulier.
La Serpula lacrymans s’implante sur des sites et structures créés par l’homme, c’est pour cela qu’elle est peu répandue en pleine nature. Il existe cependant des variétés « cousines » de cette moisissure.

Lorsque le champignon investit un lieu, il commence par s’attaquer in situ à la cellulose des structures en bois (plinthes, poutres, charpente…).
Rapporté au Nouvel Ordre Mondial cela correspond à la « l’épisode d’infestation endogène » que nous développerons ultérieurement.

Arrivée à maturation sur site, la Serpula lacrymans va développer des spores qui se propageront facilement du fait de leur légèreté. C’est l’équivalent de la « Phase 2 » ou Réplication » pour le Nouvel Ordre Mondial.

Une autre particularité de la moisissure pour se propager de proche en proche cette fois-ci est qu’elle développe des cordons mycéliens (rhizophores), sorte de filaments qui permettent au-delà de l’expansion à partir du site primaire d’infestation de transporter de l’eau.
Ce principe qu’extension par filaments est celui que nous développerons en « Phase 3 » ou expansion exogène.

À noter, la Serpula lacrymans s’attaque également à d’autres matériaux tels que ciment, plastique fragilisant encore plus les structures. Les traitements existent, notamment un champignon antagoniste Trichoderma ou va jusqu’à la destruction pure et simple du bâtiment.

Dans les paragraphes suivants, nous allons créer des passerelles entre le mode d’implantation et de développement de cette moisissure et les méthodes du Nouvel Ordre Mondial pour infester, se cloner et enfin se répandre de proche en proche jusque dans les foyers.

Nous nous appuierons sur des exemples concrets, et nous en varierons les secteurs pour vous permettre de mieux en cerner l’ampleur.

Cette carte de la métropole indique les zones à risques et les zones particulièrement sensibles voir infestées par ce champignon. Il est intéressant de voir quelles sont celles qui figurent en rouge : Paris et la pointe Bretagne. L’ironie est que cela est proche de la réalité de l’implantation du nouvel ordre mondial actuel.
En effet, si pour Paris cela ne fait aucun doute, puisqu’il s’agit de la capitale, pour la Bretagne c’est tout autant le cas. Il se trouve que c’est le fief de Jean-Yves le Drian — l’un des personnages les plus impliqués et assurément des plus compris de la Ve République qui a pour ainsi dire récupéré « en sous-marin » l’ensemble des territoires bretons en 2020 pour service rendu au Nouvel Ordre Mondial.

Si l’on se permet d’écrire ceci, c’est évidemment que l’on a trouvé des éléments plus qu’intriguant le concernant. Et lorsque l’on fait un regroupement d’informations concernant les activités et la carrière de ce ministre au gouvernement actuel, cela laisse peu de place au doute. (Voir dossier 3)

a) Phase 1 : « Infestation exogène » du N.O.M selon le principe de la Mérule

Lorsque l’ennemi de l’Humanité agit, il commence par s’implanter in vivo dans un secteur, un système politique, religieux… dans tous les secteurs en réalité.

Ce qui est valable pour chaque individu est valable pour des « organismes » bien plus étendus, puisque c’est un mode « Fractal ».

Historiquement et depuis des millénaires, ce modus operandi n’a jamais changé. Seule la forme a évolué avec son temps, mais le schéma est identique et reproductible.
C’est par exemple, pour notre histoire de France le cas de traître qui tirent les ficelles du pouvoir politique royal ou présidentiel. Les illustres et fameux « conseillers ». Mazarin, Pompidou, Attali pour ne citer qu’eux.

Des femmes également interviennent bien plus souvent qu’il n’y paraît.

Dès lors que l’EMPRISE (anagramme d’empire) opère, le Léviathan ou la mérule sont derrière. Ce qui est valable de nos jours existait donc chez peuples d’Asie (Attila et sa politique de la Terre Brûlée), en Amérique du Sud (anciennes civilisations toltèques et mayas) en Europe.

Cette EMPRISE est la Phase 1 de l’implantation du Nouvel Ordre Mondial, puisque c’est son nom désormais.

« Des spores » ou émissaires du système mondialistes vont s’implanter dans un secteur de préférence solide et porteur. Un secteur ayant pignon sur rue ou ayant l’approbation de la population, voir la confiance.

Ainsi, des grandes religions, des secteurs tels que les syndicats, les industries, la politique se voient infestés par des porteurs d’idées, de concepts du N.O.M. Ce fut probablement le cas de la franc-maçonnerie qui s’est vue elle aussi infestée et dupliquée pour donner ce système à double vitesse : celui du bas de la pyramide maçonnique et celui des hauts initiés (parfois non connus des hauts gradés eux-mêmes).

Si l’on prend l’exemple d’une entreprise florissante : elle se verra sans le savoir initialement embaucher des personnes dont l’objectif correspond au développement de type moisissure.

« Porteurs d’idées novatrices et ambitieuses », ces émissaires vont radicalement changer le sens premier de l’entreprise jusqu’à la rendre méconnaissable par les premières personnes concernées : les salariés et ceux qui sont les créateurs initiaux de ses grandes sociétés. Développement à croissance exagérée, et artificielle (avec la complicité des systèmes bancaires).

Se faisant, l’infestation se développe. En général, il faut compter des périodes de 7 ans, rarement 7 mois entre la primo-infestation et la ruine du secteur ou entreprise (notons ici que la durée des mandats présidentiels était de sept années).

C’est exactement ce qui s’est passé dans mon entreprise. Celle où j’ai débuté ma carrière dans le secteur de « industrie pharmaceutique, sans m’étendre sur le sujet. Une entreprise phare qui a intégré dans son équipe dirigeante à la maison mère un ancien Rothschild (et accessoirement ayant été membre du Savour Club60) désormais PDG d’une structure exclusivement Biotech. Une « spore » en quelque sorte n’agissant pas seul évidemment.

Une croissance anormalement rapide en 7 ans (notez la base 7) boostée par 7 banques, pour finalement aboutir à un démantèlement total du groupe et des milliers de salariés et cadres sur le carreau. Certains s’en sortiront mieux que d’autres d’autant que le dépôt de bilan et la cessation du groupe intervenaient exactement au moment où les mesures prises par Pierre Bérégovoy commençaient à être appliquées, entraînant une refonte totale du paysage de l’industrie pharmaceutique : réduction des effectifs terrain, Charte des bonnes pratiques, obligation de diplômes pour l’information médicale auprès des prescripteurs…
Avec du recul et surtout en faisant le lien avec l’ensemble des éléments récoltés, je suis convaincue que mon entreprise a servi d’exemple pour l’ensemble du secteur de la prestation.

Le fait que le groupe ait été placé en liquidation judiciaire le 17/01/2007 compte tenu de l’importance qu’accordent les francs-maçons, la kabbale et l’ensemble de ces formations hermétiques ne fait que me convaincre plus encore.

Et si l’on compare avec d’autres secteurs, comme l’informatique, l’industrie textile… c’est exactement la même chose, le même schéma. D’un autre côté, c’est le seul que le cartel reproduit depuis plus de 6000 ans.

Pour faire simple, parmi les « spores » nous retrouvons des personnes issues de la sphère Rothschild (banque et Savour — ex Savour Club — qui en cherchant plus d’informations posent plus que des interrogations sur la réalité de cette société très en lien avec la Chine depuis l’accord passé entre la France et ce pays par Monsieur Raffarin alors Premier ministre, Christine Lagarde entre autres. Ce sujet sera abordé en annexe), mais aussi des personnes désormais — en 2021 — en affaire avec Hong Kong.

b) Phase 2 : « Cycle de Réplication » ou clonage du N.O.M selon le principe de la Mérule

Cette deuxième Phase de processus de la Serpula Lacrymans rapporté au Nouvel Ordre Mondial intervient lorsque le site d’infestation n’a plus de nourriture à apporter. Techniquement cela se résume en deux principes :

  • l’ensemble de l’édifice ou société (ou secteur public/privé) est exsangue de savoirs et compétences. Le NOM n’a plus rien à apprendre du site infesté.
  • Les spores ont proliféré et pour survivre la Serpula lacrymans va alors se répliquer ou dupliquer au moyen de ses spores initiales et de ceux qui se seront développés au sein même de la structure.

Rapporté à l’exemple vécu : cela revient à après liquidation judiciaire du groupe à voir l’ensemble des salariés disséminé. Que ce soient ceux qui étaient « du bon côté » du secteur de l’industrie pharmaceutique, mais aussi « les Spores » initiales et les jeunes pousses.

En toute logique, ces spores vont intégrer d’autres structures et procéder de la même manière. Infester le milieu en « ingérant les savoirs et compétences » intrinsèques de chaque entreprise (publique ou privée). Se les approprier pour ensuite les cloner tout en sabordant à nouveau. On constater généralement des liquidations rapides après n « sauvetage artificiel » pour les entreprises en difficulté. Ce qui est l’autre versant de l’infiltration du système mérulaire après celui de la croissance anormale (que l’on peut comparer à la fable de « la grenouille et le bœuf » de la Fontaine). Ce qui nous amène à la « phase 3 » du système d’expansion du nouvel ordre mondial selon le modèle de la serpula lacrymans.

c) Phase3 : “Expansion exogène du N.O.M selon le principe de la Mérule

Le système d’expansion de proche en proche étant de manière préférentielle celle des initiés aux arcanes du Nouvel Ordre Mondial. On parlera ici des « Spores » initiales qui elles resteront sur le même segment d’exercice, mais sur le mode « Phase 3 » du développement de la Mérule.

Ces individus, une fois le « sale boulot » effectué ne seront pas inquiétés. Au contraire, ils feront comme pour tous les autres secteurs économiques et a fortiori en politique « un crochet » dans leur carrière.

Entendez par là qu’ils trouveront un poste similaire dans des structures proches de celles qu’ils ont mises à sac. Cependant, les enjeux ne seront pas tant de viser des entreprises ayant pignon sur rue comme le consortium français. Disons plutôt que la nuance réside dans le fait que les structures « tampon » permettent de ne pas avoir de rupture sur les C.V. tout en maintenant la « philosophie » du NOM : fragiliser des entreprises, soit pour les détruire, soit pour les faire absorber par de faux concurrents… ou enfin pour permettre le clonage des structures initialement allopathiques (voir homéopathiques) en laboratoires orientés biotechnologie chapeautés par un cabinet-conseil américain l’ERDYN61 62 63

Nous mettrons l’accent sur ce cabinet-conseil ayant des succursales à Paris, Rennes et Lyon dans notre troisième partie du Guide Stratégique. Et également dans le dossier conjoint puisque dans le volet « Littératie appliquée à l’éducation nationale », le rôle de ce cabinet-conseil auprès du ministère de l’Éducation nationale est expliqué

En effet, cet élément fait partie des Biais que nous avons trouvés au cours de nos enquêtes, notamment pour ce qui concerne un sujet qui nous touche particulièrement : les jeunes et la pression mise sur eux dans le cadre du système scolaire.

Particularité de ces personnes généralement placées en haut de l’organigramme : elles ont toutes des activités annexes en lien avec des actions philanthropiques ou de promotion du « savoir-vivre à la française » qui d’une façon ou d’une autre nous ramène au groupe Rothschild. Certaines déposent même des « noms de marques » à l’INPI (sujet troublant qui si nous en avons l’occasion fera l’objet d’une annexe).

Quoi qu’il en soit, tous et toutes gravitent de près ou de loin avec la Chine et le commerce lié au secteur viticole via le Savour Club. Ce club nous interpellant lui aussi, vu les noms importants et leur influence dans le secteur des fonds de dotations comme le Thôt.64 Dont on a placé en références un document extrait du Journal Officiel (Rapport du commissaire aux comptes sur les comptes annuels 2010) Détail pour le moins intéressant : la page Wikipédia « Fond de dotation Thot » a disparu. Ce qui n’est pas dramatique puisqu’elle avait été archivée et sera mise en annexe. Sachant que les dirigeants de cette structure franco-suisse ont dirigé les regroupements de mutuelles comme MMA et ont été également occupés des postes clés au Savour Club plus d’autres informations pour le moins incontournables de nos jours, il y a fort à parier que de plus en plus d’informations vont disparaître de la toile. Il est d’autant plus intéressant d’aller y voir de plus près sur ce qu’est un fond de dotation65.

Sur le principe de la mérule, lorsque plusieurs après le début des enquêtes nous essayons de trouver des informations sur ce désormais mystérieux fond, on trouve ceci :

• L’école THOT66 pour « Transmettre un Horizon à Tous ». Par principe, tout ce qui est d’inspiration ancienne Égypte, gréco-romaine et spécifiquement les dieux, le domaine apicole, vinicole sont liés au nouvel ordre mondial. Concernant cette école, on ne saurait que trop vous conseiller d’aller sur le site et de bien regarder ce qu’il en est. En veillant à bien lire chaque page sans oublier les rubriques qui se trouvent tout en bas et qu’on ne lit jamais.

Ici a été reproduit le plus fidèlement possible le processus de la Serpula lacrymans ou Mérule rapporté à notre société au sens large. Cela implique tous les secteurs économiques, politiques, religieux en France comme à l’international. Et pour donner un autre visage à cette organisation criminelle, c’est avec le BLOB que nous terminerons de définir l’anatomie du Nouvel Ordre Mondial.

Le Blob

De tous les articles que j’ai lus sur cet organisme vivant de la famille des amibes, c’est celui du site « Vikidia »67 qui est le plus intéressant et riche d’informations. Terminer la description du nouvel ordre mondial en le comparant au Blob permet de véritablement se représenter ce cartel aussi bien sur le fond que sur la forme.

Il est plus que conseillé d’aller consulter le site mis en référence bas de page ; vous y trouverez beaucoup de schémas, des vidéos pédagogiques et si l’on remplace le terme Blob par « Nouvel Ordre Mondial », nul doute qu’il sera plus facile de cheminer tout au long de l’enquête.

Anecdote, c’est l’engouement des sites médiatiques mainstream qui a attiré notre attention. « Trop de tapage » en quelques sortes, et surtout un schéma récurrent du discours unique qui occulte totalement le fait que ce blob n’ait pas tout dit de lui. La force avec laquelle les scientifiques — notamment du CNRS — promeuvent cette « chose » ; le fait qu’elle soit commercialisée et en vente libre, et spécifiquement sous forme de « Kit laboratoires » à destination des jeunes, n’a fait que nous alerter… Une fois de plus.

Ce qui suit sont des extraits du site Vikidia, la seule modification apportée sera l’ajout des termes « Nouvel Ordre Mondial », « cartel » ou tout autre déterminant.

a) Sommaire du site Vikidia

b) Définition

‘Physarum polycephalum (Nouvel Ordre Mondial), plus communément appelé blob, est une espèce de myxomycète faisant partie de la famille des Physaraceae et du règne des Amoebozoaires (comme l’amibe). Ce curieux organisme est composé d’une seule et unique cellule géante. Bien que dépourvu de cerveau ou de système nerveux, cet organisme vivant est tout de même capable d’apprendre. Ce n’est ni un animal, ni une plante, ni un champignon. Il vit dans les sous-bois depuis plus d’un milliard d’années. À l’état naturel, il se nourrit de bactéries et de moisissures (champignons). En laboratoire, les scientifiques leur donnent des flocons d’avoine, mais ils se nourrissent en fait des bactéries présentes sur l’avoine. Il existe plus de 1 000 espèces différentes de blobs.’

c) Reproduction et cycle de vie

Reproduction

“Le blob (Nouvel Ordre Mondial) est, comme nous, issu de la fusion de deux cellules sexuées. Elles ne sont pas appelées ovules ou spermatozoïdes, car le blob possède 720 sexes différents (équivalant au principe du polymorphisme énoncé ultérieurement). Une fois dans un milieu humide, ces cellules sexuées (appelées spores — individu infiltrant un système publique/privé ; une entreprise, une association, un mouvement populaire. Principe déjà évoqué par l’analogie avec la serpula larcymnans…) comme pour les champignons) partent en quête d’une cellule de type sexe différent. Avec plus de 720 possibilités, la tâche est plutôt facile. Lorsque deux cellules de sexes différents (appelés gamètes) se rencontrent, elles fusionnent pour devenir une cellule unique (œuf). Mais là, contrairement à nous, la cellule ne va pas se diviser, seul son noyau va le faire (phénomène de duplication ou clonage du nouvel ordre mondial. Par exemple, l’industrie pharmaceutique allopathique a été dupliquée ou clonée. Ils gardent “leur apparence initiale”, conservent le même nom ; la même vitrine, les mêmes axes de communication puis le remplacement se fait progressivement pour migrer vers la biotech exclusivement. C’est le cas pour tous les laboratoires y compris ceux dont on n’entend plus parler comme Servier) Le blob grandira donc au gré des divisions de ses noyaux jusqu’à atteindre des tailles record”. (C’est le principe de la phase 3 expliqué avec la mérule)

Plasmode

La principale phase du blob (du cartel) est le plasmode, ou plasmodium. Ce plasmode est constitué de réseaux de veines qui assurent la distribution des nutriments (par nutriments il faut comprendre systèmes bancaires, prosélytismes idéologiques, informations/désinformations au moyen des supports adaptés à l’époque. Manuscrits, imprimerie, télévisuelle, audiovisuelle…), et de nombreux noyaux (par exemple : si les Nations unies sont le « noyau source » ; les « nombreux noyaux » dans le descriptif correspondent à l’ONU, l’OTAN, l’OMS…) C’est au cours de cette étape que l’organisme cherche de la nourriture (nous, en individuel et/ou collectif). Le blob (Nouvel Ordre Mondial/ la franc-maçonnerie…) entoure sa nourriture (toujours nous) et sécrète des enzymes pour la digérer (guerre, épidémie, famine, Traffic en tout genre, atteintes à la dignité touchant tout le monde vivant : faune/flore/humanité…). Ce procédé est appelé phagocytose. Si les conditions environnementales entraînent la déshydratation du blob lors de l’alimentation ou de migration, il se formera alors un sclérote. Le sclérote est constitué de tissus très renforcés servant de stade de dormance, assurant ainsi la protection du blob pendant de longues années. Une fois les conditions favorables revenues, le blob réapparaît pour poursuivre sa quête de nourriture (c’est comme cela que ce cartel a traversé les temps, alternant des périodes actives et des périodes de sommeil). D’un point de vue historique, on peut rapprocher ces périodes de « dormance » — façon Hibernatus (ou cryogénie chère à Laurent Alexandre) — aux disparitions subites des civilisations majeures et de leurs cultes. Mésoaméricains/Egyptiens/Grèce antique/Sumériens… Un détail, lorsque cette « organisation » se réveille, elle reprend son cycle, mais adapté à l’époque. C’est pourquoi on passe du « nouvel ordre du monde » dans la Genèse au « Nouvel Ordre du Monde » au XXIe siècle).

Sporification

« Quand les réserves alimentaires sont épuisées et qu’il a atteint une taille suffisante, le blob (l’organisation, les 1 %) entre en phase de reproduction. Des poches contenant les spores (sporocystes) se forment dans le plasmode (voir le chapitre serpula lacrymans). Elles se forment habituellement à l’air libre pour que les spores soient dispersées par le vent (entendez par là que tout est fait à la vue de tous, comme, par exemple, l’ensemble de la politique d’Emmanuel Macron qui finit de saccager la France. Annoncé en amont par Jacques Attali qui “habitue” les gens à vivre des catastrophes. Cela concerne également les entreprises qui essaiment à tout vent…) Les spores peuvent rester viables pendant des années. Lorsque les conditions environnementales sont favorables à la croissance, les spores germent et libèrent des cellules flagellées. Les cellules fusionnent ensuite pour former un nouveau plasmode ». (C’est le cas actuellement avec le mouvement néonazi qui de groupuscules épars « insignifiants » a fusionné avec une autre cellule pour donner le gouvernement actuel en Ukraine)

Schéma décrivant le cycle de vie du blob.

Il ne s’agit pas de décliner l’ensemble de l’article ici. Simplement de vous donner un aperçu de la transposition qui peut être faite entre cet organisme particulier et les élites mondialistes.

Concernant le chapitre « La personnalité chez les blobs », il est intéressant de noter que selon les continents le mécanisme d’un organisme à un autre diffère. Par exemple, dans l’article en s’appuyant sur les travaux d’Audrey Dussutour68 et David Vogel, on apprend que certains blobs sont cannibales.
De la même manière, il apparaît que les surfaces d’infestation diffèrent selon le type d’amibes.

Les volets « Apprentissage et mémoire » et « Anticipation » ne peuvent pas être mis de côté. Sur le même principe, ils seront recopiés intégralement et des translations en lien avec le Nouvel Ordre Mondial seront ajoutées.

Apprentissage et mémoire

L’expérience de Toshiyaki69 sur l’optimisation d’un réseau.
Le blob apprend en l’absence de cerveau. Dans un article publié par l’équipe d’Audrey Dussutour dans une revue scientifique internationale. « Le segment de la mémoire du blob est la substance elle-même, résume la chercheuse. C’est un peu comme si pour apprendre ses devoirs, un élève devait les manger ». Malgré sa simplicité apparente, le blob démontre une forme d’intelligence primitive. Il est ainsi capable de trouver le chemin le plus court dans un labyrinthe, de former des réseaux optimisés ou d’équilibrer son régime alimentaire. Une étude réalisée par le professeur japonais Toshiyaki Nagakaki démontre que le blob est capable d’optimisation. Il disposa des flocons d’avoine sur une surface de manière à reproduire le réseau ferroviaire japonais. Il y plaça un blob et observa la façon dont celui-ci relie les différentes sources de nourriture. Le résultat fut surprenant : le blob avait créé un réseau mieux optimisé et plus efficace que le réseau japonais en seulement 24h, alors que des ingénieurs avaient passé plus de 50 ans à le concevoir ! Et même si une rame était inutilisable, il était quand même possible de relier le tout.

Anticipation

En générant de façon répétée des stimuli de chaud et de froid au blob et ce avec 60 minutes d’intervalle, des biophysiciens de l’Université d’Hokkaidō (dont le professeur Toshiyaki Nagakaki) ont découvert que le blob peut anticiper ces stimuli en y réagissant même quand ceux-ci étaient absents. Ils ont également montré que ces résultats pouvaient être obtenus en appliquant les stimuli avec un intervalle de 30 ou 90 minutes.
Ce paragraphe est intéressant si l’on considère que par anticipation et mémorisation les élites mondialistes connaissent mieux la nature humaine que nous. Ce qui permet par exemple de savoir exactement « où, quand, comment » procéder pour mener l’humanité exactement comme elles l’entendent.
En agissant sur les instincts primaires (survie), rien de plus facile en effet que de provoquer des psychoses généralisées (pandémie/guerre/écologie…). Si en plus cet organisme a développé des outils pour absorber les mémoires collectives en quelque sorte, l’exercice est enfantin.

L’expérience de Toshiyaki sur l’optimisation d’un réseau.

Parmi les éléments mis à disposition du public visé dans l’article (les 8-13 ans), il en est qui ne doivent pas être mis de côté :

  • Sont référencés plus de 1000 espèces de blobs à travers le monde.
  • Ils sont présents sur tous les continents, mais aussi dans le milieu aquatique et dans des zones où les températures sont extrêmes (déserts/glaciers).
  • Des recherches sont faites en robotique pour « coupler » ces organismes primitifs à des robots. Voir page suivante.

« À Bristol, le professeur Andrew Adamatzky7071 utilise l’activité électrique du blob pour créer de nouveaux protocoles pour les robots. En greffant un blob à un robot, celui-ci se déplace en fonction des impulsions électriques du blob. Cette découverte permettrait à l’avenir de créer des robots capables de s’adapter constamment à leur environnement et de réagir et en conséquence, à la manière du blob. »

Ci-dessus quelques couvertures d’ouvrages d’Andrew Adamastzky. Lorsque l’on s’attarde sur ses recherches, et ses centres d’intérêt, que l’on met en parallèle les produits biotechnologiques (Pfizer, Moderna…) et que l’on regroupe l’ensemble des informations, émettre l’hypothèse que des savants fous puissent inoculer des spores en plus du graphène et autres HIV, semble être une piste sérieuse à explorer.

Pourquoi cette remarque ?
Si l’on en juge les propos tenus par Laurent Alexandre72, l’avenir de ces « privilégiés » est la cryogénisation. Sa crainte : que les générateurs et sources d’énergie tombent en panne.
Ce qui reviendrait à les transformer — lui et les autres — en momie dans son sarcophage high-tech façon Toutankhamon. Pourquoi ne pas imaginer que des scientifiques planchent sur le moyen de générer de l’énergie autrement et d’éviter la panne électrique comme le mentionne Laurent Alexandre ?

À force de récolter une somme conséquente d’informations (y compris scientifiques), cette projection qui consiste à préparer nos organismes à devenir des piles Duracell n’est pas à mettre de côté. Loin s’en faut. Et opérer à un switch du fer dans l’Hème (contenu dans l’hémoglobine) par du cuivre n’a rien d’une utopie.

Étudier ce personnage qu’est Laurent Alexandre73 a permis d’ouvrir des pistes d’investigations connexes — certes glaçantes — mais très efficaces. Rendez-vous dans le dossier « Reine Blanche » pour avoir plus d’informations.

Conclusion

En rapprochant le Nouvel Ordre Mondial d’organismes vivants comme la serpula lacrymans et plus encore le blob, on peut désormais avoir une projection physique et anatomique de ce cartel millénaire.

Il faut bien comprendre que les recherches nous amènent à explorer des vecteurs d’informations réellement disparates. Ainsi, lorsque l’on a visité les sites en lien avec l’informaticien Andrew (ou Andy) Adamastzky, sont ressortis des éléments récurrents et qui posent interrogations, avec entre autres cette volonté d’attribuer des termes dont l’usage entre dans le registre des sciences du vivant à des secteurs manufacturés (architecture, urbanisme, informatique). De la même manière, et sur le même site internet, on découvre que des termes propres à des insectes de la famille des hyménoptères (abeilles, guêpes…) aux humains, voire des rapprochements mnémotechniques qui font assimiler technologie et génétique. La capture écran de ce site catalan (Iaac : Institut d’architecture avancée catalan74) donne qu’un aperçu.

Une chose est certaine, on assiste à une réelle infestation de tous les secteurs selon le principe « mérule/blob » avec en plus des hybridations illimitées : où l’on mélange règne animal ou des insectes avec l’humain (selon l’idéal maçonnique) ; ou technologie et amibes sont couplées… il n’y a plus de limites. Le monde des chimères, des hybrides de tout type.

Pour les cinéphiles et les plus anciens d’entre nous, le Blob est un film d’horreur des années 50 avec l’acteur Steve Mc Queen où il est question d’un « monstre gélatineux dévorant tout sur son passage ». Film faisant écho à un livre de science-fiction « Invasion of the Body Snatchers » (l’invasion des voleurs de corps75). Il va de soi que l’on fait le lien avec cet ouvrage, plusieurs fois adapté au cinéma, non pas pour le côté « invasion extra-terrestre, même végétale » — bien que parfois il est à se demander si nos élites vivent sur la même planète — mais sur le modèle de clonage-réplication vu également avec la serpula lacrymans. À méditer.

Synthèse

Dans ce dossier de présentation, ont été placés des éléments de natures diverses qui tous sont en lien avec les pratiques du Nouvel Ordre Mondial sans exception. On a travaillé exclusivement à débusquer « les empreintes » laissées par le cartel français, pour ensuite les regrouper par thèmes.

Le reste du document réparti en dossiers à thématique vise, non seulement à en faire la démonstration, mais aussi, et surtout : donne des faisceaux d’indices, des hypothèses de travaux complémentaires et outils pour donner à tous ceux qui le souhaitent — experts, professionnels ou simplement des personnes désireuses de changer de paradigme — des moyens, des arguments permettant de les confronter.

L’objectif étant de comprendre « comment nous en sommes arrivés là ». Si l’ensemble des fichiers apporte des décryptages et une sélection d’éléments « à charge », l’un d’entre eux — a contrario — est une succession d’informations irréfutables qui donnera l’articulation, la chronologie ou le squelette du Plan français pour céder la France aux mondialistes.

Rapporté au jeu de stratégie des Échecs, cela revient en définitive à considérer ce dossier comme la « Reine Blanche » sur le damier ou à la lame de la Force dans le jeu des Tarots de Marseille ou Besançon (qui, on le rappelle ici étaient maçonniques pour l’un et dissident pour l’autre).
Plutôt que de rester focus sur notre actualité politique, sanitaire, économique ; ce dossier tout comme celui qui analyse le secteur de la Santé traitent les informations de façon panoramique sans distinction de temporalité ni de thème. En réalité, on a enquêté de façon globale, terme emprunté aux mondialistes du cartel.

Rappel :

• Si vous ne croyez pas en l’occultisme EUX si.

• Le système du cartel millénaire est millénaire et les informations sont disséminées sur toutes sortes supports : religieux, artistiques, politiques sans distinction d’époque, de culture ou de géographie (de tout temps et sur l’ensemble des continents) d’où la variété de références et illustrations.

« À cœur vaillant, rien d’impossible ».

On a mis nos vies entre parenthèses pour mener nos recherches et tout notre cœur pour monter ces dossiers. Ne reste plus qu’à vous souhaiter le meilleur et surtout de commencer à entrevoir des pistes de solutions.

[Voir aussi :
500 millions
La France et les pays de l’Union Européenne sont-ils des pays « test » pour l’agenda 2030 ?
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste
Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins
La synagogue de Satan]





Histoire juive, religion juive : le poids de trois millénaires, par Israël Shahak

[Source : lecridespeuples.fr via arretsurinfo.ch]

Histoire juive, religion juive: le poids de trois millénaires”, du Professeur Israël Shahak, est un ouvrage majeur consacré au judaïsme et plus particulièrement aux lois talmudiques. Il apporte un éclairage saisissant sur le dogme religieux et l’histoire des communautés juives, ou encore le traitement des non-juifs par les juifs, dont seuls les lecteurs de l’hébreu sont familiers.

Publié en anglais en 1994, il reste une lecture incontournable pour comprendre les fondements idéologiques de la politique israélienne et l’action des lobbys pro-israéliens dans le monde, en particulier aux Etats-Unis et en France : comme le montre l’auteur, « ni le sionisme, y compris sa partie apparemment laïque, ni la politique israélienne depuis la création de l’État d’Israël, ni en particulier la politique des partisans juifs d’Israël dans la diaspora, ne peuvent être compris sans prendre en compte l’influence plus profonde de ces lois talmudiques, et la vision du monde qu’elles créent et expriment…

Si les politiques israéliennes restent incompréhensibles pour les observateurs étrangers, c’est précisément parce qu’ils ne daignent pas s’intéresser au judaïsme tel qu’il est pratiqué et à ‘l’idéologie juive’, dont ils ne connaissent souvent rien d’autre que de grossières apologies. » 

Avec l’adoption de la loi fondamentale faisant d’Israël l’Etat-nation du peuple juif en 2018, l’avènement de l’ultra-droite nationaliste et religieuse au pouvoir en Israël début 2019, la censure et la répression de plus en plus sévère de toute action de dénonciation et de boycott d’Israël au nom de la prétendue lutte contre l’antisémitisme et la judéophobie, et le projet d’Accord du Siècle qui doit définitivement liquider la cause palestinienne, tant de développements qui confirment les craintes et prédictions d’Israël Shahak, ce livre est même plus indispensable que jamais.

Israël Shahak espérait que son ouvrage, destiné au public occidental, serait un précurseur à des écrits authentiques sur l’histoire et les réalités du judaïsme talmudique contemporain (surtout celui qu’incarnent Israël et ses partisans de la diaspora), dépourvus de mensonges par omission et de falsifications. Malheureusement, mais de manière prévisible, ce livre a été soumis à une véritable omerta médiatique. Aujourd’hui encore, on continue à rattacher spontanément l’Etat d’Israël à l’Ancien Testament alors que c’est le Talmud qui en compose le cœur.

Comme le souligne Israël Shahak, « Israël en tant qu’État juif constitue un danger non seulement pour lui-même et ses habitants, mais pour tous les Juifs et pour tous les autres peuples et États du Moyen-Orient et au-delà. Je considère également que d’autres États ou entités du Moyen-Orient qui se définissent comme ‘arabes’ ou ‘musulmans’, tout comme Israël se définit en tant que ‘juif’, constituent également un danger. Cependant, bien que le danger d’origine arabo-musulmane soit largement discuté, le danger inhérent au caractère juif de l’État d’Israël ne l’est pas. »

Cette traduction vise à remédier à ce manque, en rendant aisément accessible au public français cette analyse objective et documentée du talmudisme, et de son rôle dans le fondement et la politique d’Israël, tout à fait assimilables au wahhabisme et à l’Arabie Saoudite.

Sayed Hasan

HISTOIRE JUIVE, RELIGION JUIVE : LE POIDS DE TROIS MILLÉNAIRES

Par ISRAËL SHAHAK

Traduction : lecridespeuples.fr

Israël Shahak, né en 1933 à Varsovie, et mort à Jérusalem en 2001, était un Professeur de chimie à l’Université hébraïque de Jérusalem. Il fut le Président de la Ligue israélienne pour les droits humains et civils de 1970 à 1990. Rescapé des camps de concentration nazis, il fut un ardent militant pour la paix, extrêmement critique des gouvernements israéliens et de la société israélienne.

Chapitre I

Une utopie close ?

Je rapporte ici ce que j’estime être vrai, car les histoires des Grecs sont nombreuses et à mon avis ridicules. (Hécatée de Milet, cité par Hérodote)

Amicus Plato sed magis amica veritas – Platon est mon ami, mais la vérité l’est davantage. (Paraphrase traditionnelle d’un passage de l’Ethique d’Aristote)

Dans un État libre, tout homme peut penser ce qu’il veut et dire ce qu’il pense. (Spinoza)

Ce livre, bien que rédigé en anglais et destiné à des personnes vivant en dehors de l’État d’Israël, est en quelque sorte une continuation de mes activités politiques en tant que Juif israélien. Ces activités ont commencé en 1965-66 par une manifestation qui avait provoqué un scandale considérable à l’époque. J’avais personnellement été témoin de la scène suivante : un Juif ultra-religieux a refusé d’autoriser l’utilisation de son téléphone le jour du Sabbat afin d’appeler une ambulance pour un non-juif qui s’était effondré dans son quartier de Jérusalem, victime d’une crise cardiaque. Au lieu de me contenter de publier l’incident dans la presse, j’ai demandé à rencontrer les membres du tribunal rabbinique de Jérusalem, composé de rabbins nommés par l’État d’Israël. Je leur ai demandé si un tel comportement était conforme à leur interprétation de la religion juive. Ils ont répondu que le Juif en question s’était comporté correctement, voire pieusement, et ont appuyé leur déclaration en me renvoyant à un passage d’un recueil de lois talmudiques faisant autorité, et rédigé au cours de ce siècle. J’ai rapporté l’incident au principal quotidien hébreu, Ha’aretz, dont la publication provoqua un scandale médiatique.

Les résultats du scandale ont été plutôt négatifs à mes yeux. Ni les autorités rabbiniques israéliennes, ni celles de la diaspora ne sont jamais revenues sur ce verdict selon lequel un Juif ne devait pas violer le Sabbat afin de sauver la vie d’un gentil (non-juif/goy). Elles y ont adjoint tout un chapelet d’âneries moralisatrices byzantines selon lesquelles si la conséquence d’un tel acte met les Juifs en danger, la violation du Sabbat est permise, pour leur bien. En m’appuyant sur les connaissances acquises dans ma jeunesse, j’ai commencé à étudier les lois talmudiques régissant les relations entre Juifs et non-juifs, et il est devenu clair à mes yeux que ni le sionisme, y compris sa partie apparemment laïque, ni la politique israélienne depuis la création de l’État d’Israël, ni en particulier la politique des partisans juifs d’Israël dans la diaspora, ne peuvent être compris sans prendre en compte l’influence plus profonde de ces lois talmudiques, et la vision du monde qu’elles créent et expriment. Les politiques suivies par Israël après la guerre des Six Jours, et en particulier le caractère d’Apartheid du régime israélien dans les territoires occupés et l’attitude de la majorité des Juifs à l’égard de la question des droits des Palestiniens, même dans l’abstrait, n’ont fait que renforcer cette conviction.

En faisant cette déclaration, je n’essaie pas d’écarter les considérations politiques ou stratégiques qui ont également pu influencer les dirigeants d’Israël. Je dis simplement que la politique réellement appliquée est une interaction entre des considérations réalistes (qu’elles soient à mes yeux valables ou erronées, morales ou immorales) et des influences idéologiques. Ces dernières ont tendance à être d’autant plus influentes lorsqu’elles sont moins discutées et « traînées à la lumière du jour ». Toute forme de racisme, de discrimination et de xénophobie devient plus puissante et plus influente sur le plan politique si elle est considérée comme allant de soi par la société qui s’y adonne. Cela est particulièrement vrai s’il est interdit d’en discuter, que cet interdit soit formel ou tacite. Lorsque le racisme, la discrimination et la xénophobie sont répandus parmi les Juifs et dirigés contre des non-juifs, alimentés par des motivations religieuses, cela ressemble à son cas opposé, celui de l’antisémitisme et de ses motivations religieuses. Aujourd’hui, cependant, alors que l’antisémitisme est largement discuté, l’existence même du racisme juif contre les goym est généralement ignorée, plus en dehors d’Israël qu’à l’intérieur de l’État juif.

Définir l’État juif

Sans une discussion sur le comportement quotidien des Juifs vis-à-vis des non-juifs, même le concept d’Israël comme « État juif », tel qu’Israël se définit formellement, ne peut être compris. L’idée fausse, mais couramment répandue, selon laquelle Israël, même sans tenir compte de son régime dans les territoires occupés, est une véritable démocratie, découle du refus de se confronter à la signification du terme « État juif » pour les non-juifs. À mon avis, Israël en tant qu’État juif constitue un danger non seulement pour lui-même et ses habitants, mais pour tous les Juifs et pour tous les autres peuples et États du Moyen-Orient et au-delà. Je considère également que d’autres États ou entités du Moyen-Orient qui se définissent comme « arabes » ou « musulmans », tout comme Israël se définit en tant que « juif », constituent également un danger. Cependant, bien que le danger d’origine arabo-musulmane soit largement discuté, le danger inhérent au caractère juif de l’État d’Israël ne l’est pas.

Le principe d’Israël en tant qu’« État juif » a revêtu une importance primordiale pour les politiciens israéliens dès la création de l’État, et fut inculqué à la population juive de toutes les manières imaginables. Lorsque, au début des années 1980, une infime minorité de Juifs israéliens s’opposant à ce concept est apparue, une loi constitutionnelle (c’est-à-dire une loi prévalant sur les dispositions des autres lois, et qui ne peut être révoquée, sinon par le biais d’une procédure spéciale) a été adoptée en 1985 par une énorme majorité de la Knesset. En vertu de cette loi, aucun parti dont le programme s’oppose ouvertement au principe d’« État juif », ou proposant de le modifier par des moyens démocratiques, n’est autorisé à participer aux élections à la Knesset. Je suis moi-même fermement opposé à ce principe constitutionnel. La conséquence juridique pour moi est que je ne peux pas appartenir, dans l’État dont je suis citoyen, à un parti ayant des principes avec lesquels je serais d’accord et qui serait autorisé à participer aux élections à la Knesset. Cet exemple même montre que l’État d’Israël n’est pas une démocratie, en raison de l’application d’une idéologie juive dirigée contre tous les non-juifs, et contre les Juifs qui s’opposent à cette idéologie. Mais le danger que représente cette idéologie dominante ne se limite pas aux affaires intérieures. Ce suprématisme influence également la politique étrangère israélienne. Ce danger continuera de croître tant que deux développements actuellement en cours continueront à être renforcés, à savoir l’insistance sur le caractère juif d’Israël, et l’augmentation de sa puissance, en particulier de sa puissance nucléaire. Un autre facteur inquiétant est que l’influence israélienne au sein de l’establishment politique américain augmente également. Par conséquent, des informations précises sur le judaïsme, et en particulier sur le traitement réservé aux non-juifs par Israël, sont désormais non seulement importantes, mais également vitales sur le plan politique.

Permettez-moi de commencer par la définition officielle israélienne du terme « Juif », illustrant la différence cruciale entre Israël en tant qu’« État juif » et la majorité des autres États. Selon cette définition officielle, Israël « appartient » aux personnes que les autorités israéliennes définissent comme « juives », quel que soit leur lieu de résidence, et à elles seules. D’un autre côté, Israël n’appartient officiellement pas à ses citoyens non juifs, dont le statut est considéré même officiellement comme inférieur. Cela signifie en pratique que si les membres d’une tribu péruvienne se convertissent au judaïsme et sont donc considérés comme Juifs, ils ont immédiatement le droit de devenir citoyens israéliens et de bénéficier des quelque 70 % des terres de la Cisjordanie (et des 92 % d’Israël proprement dit), officiellement décrétés comme étant au bénéfice exclusif des Juifs. Il est interdit à tous les non-juifs (et pas seulement aux Palestiniens) de tirer profit de ces terres. (L’interdiction s’applique même aux Arabes israéliens qui ont servi dans l’armée israélienne et y ont atteint un grade élevé.) L’affaire impliquant des convertis péruviens au judaïsme s’est effectivement produite il y a quelques années. Les Juifs nouvellement créés ont été installés en Cisjordanie, près de Naplouse, sur des terres dont les non-juifs sont officiellement exclus. Tous les gouvernements israéliens prennent d’énormes risques politiques, y compris le risque de guerre, pour faire en sorte que de telles colonies, composées exclusivement de personnes définies comme « juives » (et non « israéliennes » comme le prétendent fallacieusement la plupart des médias) ne soient soumises qu’à une autorité « juive ».

Je soupçonne fortement que les Juifs des États-Unis ou de Grande-Bretagne considéreraient comme antisémite que des chrétiens proposent que les États-Unis ou le Royaume-Uni deviennent un « État chrétien », n’appartenant qu’à des citoyens officiellement qualifiés de « chrétiens ». La conséquence d’une telle doctrine est que les Juifs qui se convertissent au christianisme deviendraient des citoyens à part entière à cause de leur conversion. Il convient de rappeler que les avantages des conversions sont bien connus des Juifs par leur propre histoire. Quand les États chrétiens et l’islamiques pratiquaient la discrimination à l’encontre de toutes les personnes n’appartenant pas à la religion de l’État, y compris les Juifs, la discrimination à l’égard des Juifs était immédiatement supprimée par leur conversion. De même, un non-juif discriminé par l’État d’Israël cessera d’être traité ainsi dès qu’il se convertira au judaïsme — si sa conversion est acceptée par les autorités rabbiniques. Cela montre simplement que le même genre d’exclusivisme que la majorité des Juifs de la diaspora considèrent comme antisémite lorsque les Juifs en sont victimes est considéré par la majorité des Juifs comme proprement juif et donc tout à fait normal lorsque ce sont seulement les non-juifs qui en sont victimes. Mais s’opposer à la fois à l’antisémitisme et au chauvinisme juif est considéré par la majorité des Juifs comme de la « haine de soi », un concept que je considère absurde.

La signification du terme « Juif » et de ses mots apparentés, y compris « judaïsme », devient donc aussi importante, dans le contexte de la politique israélienne, que la signification du terme « islamique » utilisé officiellement par l’Iran, ou du terme « communiste » lorsqu’il était officiellement utilisé par l’URSS. Cependant, le sens du terme « Juif » tel qu’il est couramment utilisé n’est pas clair, que ce soit en hébreu ou lorsqu’il est traduit dans d’autres langues, si bien que ce terme a dû être défini officiellement.

Selon la loi israélienne, une personne est considérée comme « juive » 1/si sa mère, sa grand-mère, son arrière-grand-mère et son arrière-arrière-grand-mère étaient juives de religion ; ou 2/si la personne a été convertie au judaïsme d’une manière satisfaisante pour les autorités israéliennes, et 3/à condition qu’elle ne se soit pas convertie du judaïsme à une autre religion, auquel cas Israël cesse de les considérer comme « Juifs ». Parmi les trois conditions, la première représente la définition talmudique de « Qui est juif », définition suivie par l’orthodoxie juive. Le Talmud et la loi rabbinique post-talmudique reconnaissent également la conversion d’un non-juif au judaïsme (ainsi que l’achat d’un esclave non-juif par un Juif suivi d’un type de conversion différent) comme une méthode pour devenir juifs, à condition que la conversion soit effectuée de manière appropriée par des rabbins autorisés. Cette « manière convenable » implique, pour les femmes, leur inspection par trois rabbins dans un « bain de purification » où elles doivent être totalement nues, rituel qui, bien que notoire pour tous les lecteurs de la presse hébraïque, n’est pas souvent mentionné par les médias anglophones [ni par les médias francophones, si soucieux de défendre la « dignité de la femme » lorsqu’il s’agit de pourfendre l’Islam] malgré son intérêt incontestable pour certains lecteurs. J’espère que ce livre marquera le début d’un processus visant à rectifier cette contradiction [le moins qu’on puisse dire, est que ces espoirs ont été déçus].

Mais un autre motif impérieux nécessite une définition officielle de qui est et qui n’est pas « Juif ». L’État d’Israël discrimine officiellement en faveur des Juifs et contre les non-juifs dans de nombreux domaines de la vie, dont je considère trois comme étant les plus importants : le droit de résidence, le droit au travail et le droit à l’égalité devant la loi. La discrimination en matière de résidence est fondée sur le fait qu’environ 92 % des terres israéliennes sont la propriété de l’État et sont administrées par l’Autorité foncière israélienne conformément aux règles édictées par le Fonds national juif (FNJ), affilié à l’Organisation sioniste mondiale. Dans ses règlements, le FNJ refuse le droit de résider, d’ouvrir une entreprise et souvent aussi de travailler à quiconque n’est pas juif, uniquement parce qu’il n’est pas juif. Dans le même temps, il n’y a aucun endroit d’Israël où il soit interdit aux Juifs de s’installer ou d’ouvrir des entreprises. Si elle était appliquée dans un autre État contre les Juifs, une telle pratique discriminatoire serait immédiatement qualifiée d’antisémitisme et susciterait sans aucun doute des manifestations populaires massives. Mais lorsque de telles lois sont appliquées par Israël dans le cadre de son « idéologie juive », elles sont en général pieusement ignorées ou, dans les rares cas où elles sont mentionnées, excusées.

Le déni du droit au travail signifie qu’il est officiellement interdit aux non-juifs de travailler sur des terres administrées par l’Autorité foncière israélienne, conformément à la réglementation du FNJ. Nul doute que ces réglementations ne sont pas toujours appliquées, voire même sont souvent contournées, mais elles existent. De temps à autre, Israël tente de lancer des campagnes d’application de la loi via les autorités de l’État, comme par exemple lorsque le ministère de l’Agriculture s’attaque à « la peste qui consiste à laisser les vergers fruitiers appartenant à des Juifs et situés sur des terres nationales [c’est-à-dire des terres appartenant à l’État d’Israël] être récoltés par des ouvriers arabes », même si les ouvriers en question sont des citoyens d’Israël. En outre, Israël interdit formellement aux Juifs installés sur un « territoire national » de sous-louer ne serait-ce qu’une partie de leur territoire à des Arabes, même pour une courte période ; et ceux qui le font sont punis, généralement par de lourdes amendes. Mais il n’est pas interdit aux non-juifs de louer leurs terres à des Juifs. Cela signifie, dans mon cas, qu’en tant que juif, j’ai le droit de louer un verger à un autre Juif pour récolter son produit, mais un non-juif, citoyen israélien ou étranger résidant, n’a pas ce droit.

Les citoyens non juifs d’Israël n’ont pas droit à l’égalité devant la loi. Cette discrimination est exprimée dans de nombreuses lois israéliennes dans lesquelles, sans doute pour éviter tout embarras, les termes « Juif » et « non-Juif » ne sont généralement pas explicitement énoncés, alors qu’ils le sont dans la loi fondamentale du retour. Selon celle-ci, seules les personnes officiellement reconnues comme « juives » ont automatiquement le droit d’entrer en Israël et de s’y établir. Ils reçoivent automatiquement un « certificat d’immigration » qui leur fournit à leur arrivée « la citoyenneté en vertu de leur retour dans la patrie juive », ainsi que le droit à de nombreux avantages financiers, qui varient quelque peu en fonction du pays d’où ils ont émigré. Les Juifs qui émigrent des États de l’ex-URSS reçoivent « une allocation d’absorption » de plus de 20 000 dollars par famille. Tous les Juifs qui immigrent en Israël au titre de cette loi acquièrent immédiatement le droit de voter aux élections et d’être élus à la Knesset, même s’ils ne parlent pas un mot d’hébreu.

D’autres lois israéliennes substituent aux mots « Juif » et « non-Juif » les expressions plus obtuses « quiconque peut immigrer conformément à la loi du retour » et « quiconque n’est pas autorisé à immigrer conformément à la loi du retour ». Selon la loi considérée, les avantages sont ensuite accordés à la première catégorie et systématiquement refusés à la seconde. Le moyen habituel de faire respecter la discrimination au quotidien est la carte d’identité, que tout le monde est obligé de porter à tout moment. Les cartes d’identité indiquent la « nationalité » officielle d’une personne, qui peut être « juive », « arabe », « druze », etc., mais jamais « israélienne ». Toutes les tentatives visant à forcer le ministère de l’Intérieur à autoriser les Israéliens à se faire qualifier officiellement d’« Israéliens », voire même de « Juifs israéliens » sur leurs cartes d’identité ont échoué. Ceux qui ont tenté de le faire ont reçu une lettre du ministère de l’Intérieur indiquant qu’« il avait été décidé de ne pas reconnaître une nationalité israélienne ». La lettre ne précise pas qui a pris cette décision ni quand.

Il y a tellement de lois et de règlements en Israël qui discriminent en faveur des personnes définies comme « ceux qui peuvent immigrer conformément à la loi du retour » que le sujet exigerait un livre à part. Nous pouvons considérer un exemple, apparemment trivial par rapport aux restrictions de résidence, mais néanmoins importantes, car il révèle les véritables intentions du législateur israélien. Les citoyens israéliens qui ont quitté le pays pour un certain temps, mais qui sont définis comme ceux qui « peuvent immigrer conformément à la loi du retour » sont éligibles, à leur retour, à des avantages douaniers généreux, à recevoir une subvention pour les études secondaires de leurs enfants, et à recevoir une subvention ou un prêt à des conditions très avantageuses pour l’achat d’un appartement, ainsi que d’autres avantages. Les citoyens qui ne peuvent pas être ainsi définis, en d’autres termes, les citoyens non juifs d’Israël, ne bénéficient d’aucun de ces avantages. L’intention évidente de telles mesures discriminatoires est de réduire le nombre de citoyens israéliens non-juifs, afin de faire d’Israël un État plus « juif ».

L’idéologie de la « Rédemption » des Terres

Israël propage également parmi ses citoyens juifs l’idéologie exclusiviste de la Rédemption des Terres. Son objectif officiel de minimiser le nombre de non-juifs peut clairement être perçu dans cette idéologie inculquée aux écoliers juifs en Israël. On leur enseigne que cet « irrédentisme » israélien s’applique à l’ensemble de l’État d’Israël, ou, après 1967, à ce qu’on appelle la Terre d’Israël. Selon cette idéologie, la terre « rachetée » (ou terre « sauvée ») est celle qui est passée des mains de non-juifs aux mains des Juifs. La propriété peut être soit privée, soit appartenir au FNJ ou à l’État juif. Les terres appartenant à des non-juifs sont au contraire considérées comme « non rachetées » (en quelque sorte « occupées », « souillées »). Ainsi, si un Juif qui a commis les crimes les plus noirs que l’on puisse imaginer achète un morceau de terre à un non-juif vertueux, la terre « non rachetée » devient « rachetée » par une telle transaction. Cependant, si un homme vertueux non-juif achète une terre au pire des Juifs, la terre qui était pure et « rachetée » redevient « non rachetée ». La conclusion logique d’une telle idéologie est l’expulsion, appelée « transfert », de tous les non-juifs de la Terre qui doit être « rachetée ». Par conséquent, l’utopie de « l’idéologie juive » adoptée par l’État d’Israël est celle d’une Terre qui aurait été entièrement « rachetée », où aucun lopin ne serait possédé ou exploité par des non-juifs. Les dirigeants du mouvement travailliste sioniste ont exprimé cette idée abjecte avec la plus grande clarté. Walter Laquer, un sioniste dévoué, raconte dans son Histoire du sionisme1 comment l’un de ces pères spirituels, A.D. Gordon, décédé en 1919, « s’est par principe opposé à la violence et n’a justifié la légitime défense que dans des circonstances extrêmes. Mais lui et ses amis souhaitaient que chaque arbre et chaque buisson de la patrie juive ne soient plantés par personne d’autre que par des pionniers juifs. » Cela signifie qu’ils voulaient que tous les autres habitants de la terre de Palestine s’en aillent et laissent la terre être « rachetée » par des Juifs. Les successeurs de Gordon ont déployé plus de violence que prévu, mais le principe de « rédemption » et ses conséquences sont restés.

De la même façon, le kibboutz, largement salué comme une tentative de créer une utopie, était et reste une utopie exclusiviste ; même s’il est composé d’athées, il n’accepte pas les membres arabes par principe et exige que les membres potentiels d’autres nationalités soient d’abord convertis au judaïsme. Il n’est pas étonnant que les hommes du kibboutz puissent être considérés comme le segment le plus militariste de la société juive israélienne.

C’est cette idéologie exclusiviste, plutôt que tous les « besoins de sécurité » allégués par la propagande israélienne, qui détermine l’accaparement de territoires par Israël dans les années 1950, puis au milieu des années 1960 et dans les territoires occupés après 1967. Cette idéologie dicta également des plans israéliens officiels pour la « judaïsation de la Galilée ». Ce terme curieux signifie l’encouragement des Juifs à s’installer en Galilée en leur apportant des avantages financiers. (Je me demande quelle serait la réaction des Juifs américains si un projet de « christianisation de New York », ou même de Brooklyn, était proposé dans leur pays.) Mais la rédemption de la Terre suppose plus qu’une « judaïsation » régionale. Dans toute la région d’Israël, le FNJ, vigoureusement soutenu par les agences de l’État israélien (en particulier par la police secrète), dépense de grosses sommes d’argent public pour « racheter » toutes les terres que les non-juifs sont disposés à vendre, et pour préempter toute tentative d’un Juif de vendre sa terre à un non-juif (en l’achetant à un prix plus élevé).

Expansionnisme israélien

Le principal danger qu’Israël, en tant qu’« État juif », fait courir à son propre peuple, aux autres Juifs et à ses voisins, réside dans sa quête idéologique d’expansion territoriale et dans la série inévitable des guerres résultant de cet objectif. Plus Israël devient juif, ou, comme on le dit en hébreu, plus Israël « retourne au judaïsme » (un processus en cours au moins depuis 1967), plus sa politique réelle est guidée par des considérations idéologiques juives, et de moins en moins par des considérations rationnelles. Mon utilisation du terme « rationnel » ne fait pas référence à une évaluation morale de la politique israélienne, ni aux prétendus besoins de défense ou de sécurité d’Israël — et encore moins aux supposés besoins de la « survie d’Israël ». Je parle ici de la politique impériale israélienne fondée sur ses intérêts présumés. Si immoral et politiquement grossier que soit cet impérialisme, j’estime que l’adoption de politiques fondées sur « l’idéologie juive », dans toutes ses versions, est encore pire. Les défenses idéologiques de la politique israélienne reposent généralement sur les croyances religieuses juives ou, dans le cas des Juifs laïques, sur les « droits historiques » des Juifs, qui découlent de ces croyances et conservent le caractère dogmatique de la foi religieuse.

Ma propre conversion politique précoce du statut d’admirateur de Ben Gourion à celui de son adversaire acharné a justement commencé avec un tel problème. En 1956, j’ai avalé avec enthousiasme toutes les raisons politiques et militaires avancées par Ben Gourion pour justifier le déclenchement de la guerre de Suez par Israël, jusqu’à ce que celui-ci (bien qu’athée et affichant fièrement son mépris à l’égard des commandements de la religion juive) affirme à la Knesset, le troisième jour de cette guerre, que le véritable objectif de celle-ci était « la restauration du royaume de David et de Salomon » sur ses frontières bibliques. À ce moment de son discours, presque tous les membres de la Knesset se sont spontanément levés et ont chanté l’hymne national israélien. À ma connaissance, aucun politicien sioniste n’a jamais répudié l’idée de Ben Gourion selon laquelle les politiques israéliennes doivent être fondées (dans les limites des considérations pragmatiques) sur la restauration des frontières bibliques en tant que frontières de l’État juif. En effet, une analyse minutieuse des grandes stratégies israéliennes et des principes réels de la politique étrangère, tels qu’ils sont exprimés en hébreu, montre clairement que c’est « l’idéologie juive », plus que tout autre facteur, qui détermine la politique réelle d’Israël. Si les politiques israéliennes restent incompréhensibles pour les observateurs étrangers, c’est précisément parce qu’ils dédaignent de s’intéresser au judaïsme tel qu’il est pratiqué et à « l’idéologie juive », dont ils ne connaissent souvent rien d’autre que de grossières apologies.

Laissez-moi vous donner une illustration plus récente de la différence essentielle qui existe entre les projets impériaux les plus ambitieux d’Israël (mais d’inspiration laïque), et les principes de « l’idéologie juive ». L’idéologie juive stipule que toute terre qui était soit dirigée par un dirigeant juif dans les temps anciens, soit qui fut promise par Dieu aux Juifs, que ce soit dans la Bible, ou, ce qui est en réalité plus important politiquement, selon une interprétation rabbinique de la Bible et du Talmud, doit nécessairement appartenir à Israël, puisqu’il s’agit d’un État juif. Nul doute que beaucoup de « colombes » parmi les dirigeants juifs sont d’avis qu’une telle conquête devrait être reportée à un moment où Israël sera plus fort qu’aujourd’hui, ou qu’il y aura, espèrent-ils, « une conquête pacifique », c’est-à-dire que les dirigeants ou les peuples arabes seraient « persuadés » de céder les terres en question en échange d’avantages que l’État juif leur conférerait ensuite.

Plusieurs versions divergentes des frontières bibliques de la Terre d’Israël, que les autorités rabbiniques considèrent comme appartenant idéalement à l’État juif, sont en circulation. Les plus étendues d’entre elles incluent les zones suivantes à l’intérieur de ses frontières : au sud, tout le Sinaï et une partie du nord de l’Égypte jusqu’aux environs du Caire ; à l’est, toute la Jordanie et une grande partie de l’Arabie saoudite, tout le Koweït et une partie de l’Irak au sud de l’Euphrate ; au nord, tout le Liban et toute la Syrie ainsi qu’une grande partie de la Turquie (jusqu’au lac de Van) ; et à l’ouest, Chypre. Un énorme corpus de recherches et de discussions savantes basées sur ces frontières, matérialisées dans des atlas, des livres, des articles et des formes de propagande plus populaires, est publié en Israël, souvent avec des subventions de l’État ou d’autres formes de soutien. Certes, le défunt Kahane et ses partisans, ainsi que des organismes influents tels que Goush Emounim [mouvement politique et messianique israélien prônant la colonisation de tous les territoires bibliques d’Israël], souhaitent non seulement la conquête de ces territoires par Israël, mais la considèrent comme un acte ordonné par Dieu, et sûr de réussir, car il jouira d’un secours divin. En fait, d’importantes personnalités religieuses juives considèrent le refus d’Israël d’entreprendre une telle guerre sainte, voire pire, la restitution du Sinaï à l’Égypte, comme un grand péché national que Dieu a châtié à juste titre. L’un des rabbins les plus influents de Goush Emunim, Dov Lior, rabbin des colonies juives de Kiryat Arba et de Hébron, a répété à plusieurs reprises que l’échec israélien dans la conquête du Liban en 1982-1952 était une punition divine bien méritée pour le péché d’avoir « donné une partie du pays d’Israël », à savoir le Sinaï, à l’Égypte.

Bien que j’aie choisi un exemple extrême des frontières bibliques de la Terre d’Israël qui « appartiennent » à « l’État juif », ces frontières sont très populaires dans les cercles religieux et nationalistes. Il existe des versions moins extrêmes des frontières bibliques, parfois également appelées « frontières historiques ». Il convient toutefois de souligner qu’au sein d’Israël et de la communauté de ses partisans juifs de la diaspora, la validité du concept de frontières bibliques ou de frontières historiques comme délimitant les frontières d’une terre qui appartient de droit aux Juifs n’est pas rejetée pour des raisons de principe, sauf par la minuscule minorité qui s’oppose au concept d’État juif. Autrement, les objections à la réalisation de telles frontières par une guerre sont purement pragmatiques. On peut dire qu’Israël est actuellement trop faible pour conquérir toute la terre qui « appartient » aux Juifs, ou que la perte de vies juives (mais pas de vies arabes !) qu’entraînerait une guerre de conquête d’une telle ampleur serait plus importante que la conquête de la terre, mais dans le judaïsme normatif, on ne peut pas soutenir que « la Terre d’Israël », quelles que soient ses frontières, n’appartient pas à tous les Juifs. En mai 1993, Ariel Sharon a formellement proposé à la Convention du Likoud qu’Israël adopte le concept de « frontières bibliques » comme sa politique officielle. Il y eut assez peu d’objections à cette proposition, que ce soit au sein du Likoud ou en dehors de celui-ci, et toutes étaient fondées sur des considérations pragmatiques. Personne n’a pris la peine de demander à Sharon où se trouvaient exactement les frontières bibliques qu’il exhortait instamment Israël â atteindre. Rappelons que parmi ceux qui se désignaient comme léninistes, il ne faisait aucun doute que l’histoire suivait les principes énoncés par Marx et Lénine. Ce n’est pas seulement la croyance elle-même, si dogmatique qu’elle soit, mais bien le refus de la mettre en doute à quelque moment que ce soit, en empêchant toute discussion ouverte, qui crée un état d’esprit totalitaire. On peut donc dire que la société juive israélienne et les Juifs de la diaspora qui mènent une « vie juive » et sont organisés en organisations exclusivement juives ont une forte tendance au totalitarisme.

Cependant, une grande stratégie israélienne, non basée sur les principes de « l’idéologie juive », mais sur des considérations purement stratégiques ou impériales, s’est également développée dès la création de l’État d’Israël. Une description lucide et faisant autorité des principes qui régissent une telle stratégie a été donnée par le général réserviste Shiomo Gazit, un ancien commandant du renseignement militaire2. Selon Gazit,

La tâche principale d’Israël n’a pas du tout changé [depuis l’effondrement de l’URSS] et elle revêt toujours une importance cruciale. La situation géographique d’Israël au centre du Moyen-Orient arabo-musulman prédestinait Israël à être un gardien dévoué de la stabilité dans tous les pays qui l’entourent. Son rôle est de protéger les régimes existants : d’empêcher ou d’arrêter les processus de radicalisation, et de bloquer l’expansion du fanatisme fondamentaliste.

À cette fin, tout changement qui se produirait hors de nos frontières, mais qui serait jugé intolérable pour Israël sera empêché à tout prix, au point de se sentir obligés d’utiliser toute notre puissance militaire pour prévenir ou éliminer ces phénomènes.

En d’autres termes, Israël vise à imposer son hégémonie à tous les autres États du Moyen-Orient. Inutile de dire que selon Gazit, Israël a une préoccupation bienveillante pour la stabilité des régimes arabes. De l’avis de Gazit, en protégeant les régimes du Moyen-Orient, Israël rend un service vital aux « États industriellement avancés, qui sont tous soucieux de garantir la stabilité au Moyen-Orient ». Il fait valoir que sans Israël, les régimes existants de la région se seraient effondrés il y a longtemps, et qu’ils ne subsisteraient que grâce aux menaces israéliennes. Bien que ce point de vue puisse être hypocrite, il convient de rappeler, dans de tels contextes, la maxime de La Rochefoucauld selon laquelle « L’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu ». La Rédemption de la Terre est une tentative d’éviter de s’acquitter d’un tel tribut.

Il va sans dire que je suis également totalement opposé aux politiques non idéologiques israéliennes telles qu’elles sont expliquées de manière si lucide et adéquate par Gazit. En même temps, je reconnais que les dangers de la politique de Ben Gourion ou de Sharon, motivée par « l’idéologie juive », sont bien pires que de simples politiques impériales, si criminelles que soient ces dernières. Les résultats des politiques d’autres régimes motivés par des considérations idéologiques vont dans le même sens. L’existence d’une composante importante de la politique israélienne, qui repose sur « l’idéologie juive », rend son analyse politiquement impérative. Cette idéologie est, quant à elle, basée sur les attitudes du judaïsme historique à l’égard des non-juifs, l’un des thèmes principaux de ce livre. Ces attitudes influencent nécessairement beaucoup de Juifs, consciemment ou inconsciemment. La tâche que nous nous fixons dans cet ouvrage est de discuter du judaïsme historique en termes réels

L’influence de « l’idéologie juive » sur de nombreux Juifs sera d’autant plus forte qu’elle sera plus écartée du débat public. Nous espérons qu’un tel débat amènera le public à adopter la même attitude envers le chauvinisme juif et le mépris manifesté par tant de Juifs envers les non-juifs (qui sera documenté plus bas) que celle qui est communément adoptée contre l’antisémitisme et toutes les autres formes de xénophobie, de chauvinisme et de racisme. On suppose à juste titre que seul un exposé complet, non seulement de l’antisémitisme, mais également de ses racines historiques, qui doit être révélé au grand public, peut constituer la base de la lutte contre la haine des Juifs. De même, je considère que seul le fait de mettre au grand jour le chauvinisme juif et le fanatisme religieux en Israël peut constituer la base de la lutte contre ces phénomènes. Cela est particulièrement vrai aujourd’hui où, contrairement à la situation qui prévalait il y a cinquante ou soixante ans, l’influence politique du chauvinisme juif et du fanatisme religieux est beaucoup plus grande que celle de l’antisémitisme. Mais il y a aussi une autre considération importante. Je crois fermement que l’antisémitisme et le suprématisme juif ne peuvent être combattus que simultanément.

Une utopie close ?

Tant que de telles attitudes ne seront pas largement adoptées, le danger réel des politiques israéliennes fondées sur « l’idéologie juive » restera plus grand que le danger des politiques fondées sur des considérations purement stratégiques. Hugh Trevor-Roper a bien exprimé la différence entre les deux types de politiques dans son essai Sir Thomas More et l’Utopie3, dans lequel il les a appelées platonicienne et machiavélique :

Machiavel s’est du moins excusé des méthodes qu’il jugeait nécessaires en politique. Il a déploré la nécessité du recours à la force et à la supercherie, et ne les a pas appelées autrement. Mais Platon et More les ont sanctifiées, à condition qu’elles soient utilisées pour soutenir leurs propres Républiques utopiques.

De la même manière, les vrais croyants dans cette utopie appelée « État juif », qui s’efforceront d’atteindre les « frontières bibliques », sont plus dangereux que les grands stratèges à la Gazit, car leurs politiques sont sanctifiées soit par l’usage de la religion, soit, pire encore, par le recours à des principes religieux sécularisés qui conservent une validité absolue. Alors que Gazit estime au moins nécessaire de soutenir que le diktat israélien profite aux régimes arabes, Ben Gourion n’a pas prétendu que le rétablissement du royaume de David et de Salomon profiterait à quiconque, si ce n’est à l’État juif.

Utiliser les concepts du platonisme pour analyser les politiques israéliennes fondées sur « l’idéologie juive » ne devrait pas sembler étrange. Plusieurs érudits, dont le plus important était Moïse Hadas, y ont recouru, affirmant que les fondements du « judaïsme classique », c’est-à-dire du judaïsme tel qu’il avait été établi par les sages talmudiques, reposent sur des influences platoniques, et en particulier sur l’image de Sparte telle qu’elle apparaît dans Platon4. Selon Hadas, une caractéristique essentielle du système politique platonicien, adoptée par le judaïsme dès la période maccabéenne (163-142 av. J.-C.), était que « tous les aspects du comportement humain doivent être soumis à des sanctions religieuses qui doivent en réalité être manipulées par les dirigeants ». Il n’existe pas de meilleure définition du « judaïsme classique » et de la façon dont les rabbins l’ont manipulé que cette définition platonicienne. Hadas affirme que le judaïsme a adopté ce que « Platon a lui-même résumé [comme] les objectifs de son programme », dans le fameux passage suivant :

L’essentiel est que personne, homme ou femme, ne doit jamais être sans un officier placé au-dessus de lui et chargé de sa direction, et que personne ne doit prendre l’habitude mentale de prendre quelque initiative, que ce soit sincèrement ou en plaisantant, sous sa responsabilité individuelle. En temps de paix comme en temps de guerre, chaque individu doit toujours avoir les yeux rivés sur son officier supérieur. En un mot, nous devons façonner les esprits de sorte qu’ils n’envisagent même pas d’agir en tant qu’individus, ni ne sachent le faire. (Lois, 942 ab)

Si on remplace le mot « officier » par « rabbin », nous aurons une image parfaite du judaïsme classique. Celui-ci influence encore profondément la société juive israélienne et détermine dans une large mesure la politique israélienne.

C’est le passage cité ci-dessus qui a été choisi par Karl Popper dans La société ouverte et ses ennemis pour décrire l’essence d’une « société close ». Le judaïsme historique et ses deux successeurs, l’orthodoxie juive et le sionisme, sont tous deux des ennemis jurés du concept de société ouverte appliqué à Israël. Un État juif, qu’il soit fondé sur son idéologie juive actuelle ou, si son caractère juif devient encore plus prononcé qu’il ne l’est aujourd’hui, sur les principes de l’orthodoxie juive, ne pourra jamais être une société ouverte. La société israélo-juive fait face à deux choix. Elle peut devenir un ghetto totalement fermé et belliqueux, une Sparte juive, soutenue par le travail des Hilotes arabes, dont l’existence est maintenue par son influence sur l’establishment politique américain et par les menaces d’utiliser son énergie nucléaire, ou bien elle peut tenter de devenir une société ouverte. Le second choix dépend d’un examen honnête de son passé juif, de l’admission de l’existence du chauvinisme et de l’exclusivisme juifs et d’un examen honnête des attitudes du judaïsme à l’égard des non-juifs.

Chapitre II — Préjugés et supercherie

La première difficulté qui se présente lorsqu’on veut parler du judaïsme est que le terme « Juif » a été utilisé au cours des 150 dernières années avec deux significations assez différentes. Pour comprendre cela, imaginons-nous en 1780. À l’époque, le sens universellement accepté du terme « Juif » coïncidait essentiellement avec ce que les Juifs eux-mêmes comprenaient comme constituant leur propre identité. Cette identité était avant tout religieuse, mais les préceptes de la religion régissaient tous les détails de la vie quotidienne dans tous ses aspects, à la fois sociaux et privés, chez les Juifs eux-mêmes ainsi que dans leurs relations avec les non-juifs. Il était alors littéralement vrai qu’un Juif ne pouvait même pas boire un verre d’eau chez un non-juif. Et les mêmes lois fondamentales de comportement envers les non-juifs étaient également valables du Yémen à New York. Quel que soit le terme utilisé pour décrire les Juifs de 1780 — et je ne souhaite pas entrer dans une querelle métaphysique concernant des termes tels que « nation » et « peuple5 » —, il est clair que toutes les communautés juives de cette époque étaient séparées des sociétés non juives au sein desquelles elles vivaient.

Cependant, tout cela a été modifié par deux processus parallèles qui ont commencé en Hollande et en Angleterre, se sont poursuivis dans la France révolutionnaire et dans des pays qui ont suivi l’exemple de la Révolution française, puis dans les monarchies modernes du XIXe siècle : les Juifs ont acquis un niveau significatif de droits individuels (dans certains cas, une pleine égalité juridique) et le pouvoir juridique de la communauté juive sur ses membres a été détruit. Il convient de noter que les deux développements ont été simultanés et que le dernier est encore plus important, bien que moins connu, que le premier.

Depuis la fin de l’Empire romain, les communautés juives disposaient de pouvoirs juridiques considérables sur leurs membres. Non seulement des pouvoirs résultant de la mobilisation volontaire de pressions sociales (par exemple, le refus de traiter de quelque manière que ce soit avec un Juif excommunié ou même d’enterrer son corps), mais également un pouvoir de coercition absolu : flageller, emprisonner, expulser — tout cela pouvait être infligé à n’importe quel Juif en toute légalité par les tribunaux rabbiniques pour des infractions de toutes sortes. Dans de nombreux pays — l’Espagne et la Pologne en sont des exemples notables —, même la peine capitale pouvait être et était infligée, en utilisant parfois des méthodes particulièrement cruelles telles que la flagellation à mort. Tout cela était non seulement autorisé, mais clairement encouragé par les autorités des pays tant chrétiens que musulmans, qui, outre leur intérêt général à préserver « la loi et l’ordre public », avaient aussi parfois un intérêt financier plus direct. Par exemple, dans les archives espagnoles datant des XIIIe et XIVe siècles, de nombreux ordres détaillés émanant des très fervents Rois Catholiques de Castille et d’Aragon recommandaient à leurs responsables non moins dévoués de coopérer avec les rabbins pour faire respecter le sabbat par les Juifs. Pourquoi ? Parce que chaque fois qu’un Juif se voyait infliger une amende par un tribunal rabbinique pour avoir violé le sabbat, les rabbins devaient en remettre les neuf dixièmes au roi — un arrangement très rentable et très efficace. De même, on peut citer les responsa rédigées peu avant 1832 par le célèbre rabbin Moshe Sofer de Pressburg (aujourd’hui Bratislava), dans l’ancien royaume hongrois autonome de l’Empire autrichien, et adressées à Vienne, en Autriche même, où les Juifs s’étaient déjà vus accorder des droits individuels considérables6. Celui-ci y déplore le fait que depuis que la congrégation juive de Vienne a perdu son pouvoir de punir les coupables, les Juifs y sont devenus laxistes en matière d’observance religieuse, et il ajoute : « Ici, à Pressburg, lorsqu’on me dit qu’un commerçant juif a osé ouvrir son magasin pendant les fêtes religieuses mineures, j’envoie immédiatement un policier pour l’emprisonner. »

C’était le fait social le plus important de l’existence juive avant l’avènement de l’État moderne : l’observance des lois religieuses du judaïsme, ainsi que leur inculcation par l’éducation, étaient imposées aux Juifs par la contrainte physique, à laquelle ils ne pouvaient échapper que par la conversion à la religion de la majorité, ce qui équivalait alors à une rupture sociale totale avec toute leur communauté — et même leur famille —, et pour cette raison était très peu faisable en pratique, sauf en cas de crise religieuse. Tout cela est généralement omis dans l’historiographie juive traditionnelle, afin de propager le mythe selon lequel les Juifs ont préservé leur religion par miracle ou grâce à une force mystique particulière.

Cependant, une fois que l’État moderne a été créé, la communauté juive a perdu le pouvoir de punir ou d’intimider les individus juifs. Les liens de l’une des « sociétés closes » les plus fermées, de l’une des sociétés les plus totalitaires de l’histoire de l’humanité, ont été rompus. Cet acte de libération est venu principalement de l’extérieur ; bien que certains Juifs l’aient aidé de l’intérieur, ils étaient au début très peu nombreux. Cette forme de libération a eu des conséquences très graves pour l’avenir. Tout comme pour le cas de l’Allemagne (d’après l’analyse magistrale d’A. J. P. Taylor), il était facile d’allier la cause de la réaction au patriotisme, car dans les faits, les droits individuels et l’égalité devant la loi avaient été introduits en Allemagne par les armées de la Révolution et de Napoléon, et on pouvait donc qualifier la liberté de « non-germanique » ou « anti-germanique », car imposée par la force de l’envahisseur. Il était donc très facile pour les Juifs, en particulier en Israël, de lancer une attaque très efficace contre toutes les notions et idéaux de l’humanisme et de l’état de droit (pour ne pas dire de la démocratie) comme quelque chose de « non-juif » ou « anti-juif » — comme ils le sont effectivement au sens historique des termes —, et en tant que principes pouvant certes être instrumentalisés dans « l’intérêt des Juifs » (tel que déterminé par les rabbins), mais qui n’ont aucune validité contre « l’intérêt des Juifs », par exemple lorsque les Arabes invoquent ces mêmes principes. Cela a également conduit — encore une fois, tout comme en Allemagne et dans d’autres pays d’Europe centrale — à une historiographie juive trompeuse, sentimentale et ultra-romantique, de laquelle tous les faits gênants ont été expurgés.

C’est pourquoi on ne trouvera pas, dans les écrits volumineux d’Hannah Arendt, que ce soit au sujet du totalitarisme ou des Juifs, ou des deux à la fois7, le moindre indice de ce à quoi ressemblait réellement la société juive allemande au XVIIIe siècle : autodafés de livres « hérétiques », persécution d’écrivains, querelles sur les pouvoirs magiques des amulettes, interdiction de l’éducation « non juive » la plus élémentaire, telle que l’enseignement de l’allemand correct ou même de l’allemand écrit en alphabet latin8. On ne trouve pas non plus dans les nombreuses « Histoires du judaïsme » en langue anglaise les faits élémentaires concernant l’attitude du mysticisme juif (tellement en vogue actuellement dans certains milieux) envers les non-juifs, à savoir qu’ils sont considérés, littéralement, comme des membres du corps de Satan, et que les quelques individus non sataniques parmi eux (c’est-à-dire ceux qui se convertissent au judaïsme) sont en réalité des « âmes juives » qui se sont perdues lorsque Satan a violé la Sainte Dame (Shekhinah ou Matronit, l’une des composantes féminines de la déité, sœur et épouse du jeune Dieu mâle selon la cabale) dans sa demeure céleste. Les grandes autorités juives, telles que Gershom Scholem, ont prêté leur autorité à un système de supercherie et de falsifications dans tous les domaines « sensibles », les plus populaires étant les plus emplis de malhonnêteté et de falsifications, ce afin que les non-juifs ne sachent rien de la manière infamante dont ils sont considérés par les Juifs.

Mais la conséquence sociale de ce processus de libéralisation fut que, pour la première fois depuis les alentours de l’an 200 de notre ère9, un Juif pouvait être libre de faire ce qu’il souhaitait, dans les limites du Code civil de son pays, sans avoir à payer pour cette liberté en se convertissant à une autre religion. La liberté d’apprendre et de lire des livres dans les langues modernes, la liberté de lire et d’écrire des livres en hébreu non approuvés par les rabbins (tout livre en hébreu ou en yiddish devait auparavant obtenir un tel accord), la liberté de manger des aliments non casher, la liberté d’ignorer les nombreux tabous absurdes qui régissent la vie sexuelle, même la liberté de penser — car les « pensées interdites » font partie des péchés les plus graves —, tous ces droits ont été accordés aux Juifs d’Europe (et par la suite à ceux d’autres pays) par des régimes européens modernes, voire absolutistes, bien que ces derniers soient à la fois antisémites et oppresseurs. Nicolas Ier de Russie était un antisémite notoire et avait promulgué de nombreuses lois contre les Juifs de son État. Mais il a également renforcé les forces de maintien de l’ordre en Russie — non seulement la police secrète, mais également la police régulière et la gendarmerie — avec pour conséquence qu’il devenait difficile d’assassiner des Juifs sur l’ordre de leurs rabbins, alors que dans la Pologne d’avant 1795, cela était assez facile. L’histoire juive « officielle » le condamne donc pour ces deux chefs d’accusation. Par exemple, à la fin des années 1830, le « rabbin saint » (Tzadik) d’une petite ville juive d’Ukraine avait ordonné qu’un hérétique soit assassiné en étant jeté dans l’eau bouillante des bains de la ville, mais les sources juives contemporaines notaient avec étonnement et horreur que la corruption n’était « plus efficace », et que non seulement les auteurs du meurtre, mais également le Saint-Homme, furent sévèrement châtiés. Le régime de Metternich de l’Autriche d’avant 1848 était notoirement réactionnaire et assez hostile aux Juifs, mais il ne permettait pas que quiconque, même des rabbins juifs libéraux, soit empoisonné. En 1848, lorsque le pouvoir du régime fut temporairement affaibli, la première chose que firent les dirigeants de la communauté juive de la ville galicienne de Lemberg (aujourd’hui Lvov) avec leur liberté retrouvée fut d’empoisonner le rabbin libéral de la ville, que le minuscule groupe juif local non-orthodoxe avait importé d’Allemagne. L’une de ses plus grandes hérésies avait d’ailleurs été de défendre et de célébrer la cérémonie de la Bar Mitzvah, qui venait d’être récemment inventée — et qui est aujourd’hui centrale dans le judaïsme.

Libération depuis l’extérieur

Au cours des 150 dernières années, le terme « Juif » a donc pris un double sens, à la grande confusion de certaines personnes bien intentionnées, notamment dans les pays anglophones, qui s’imaginent que les Juifs qu’elles rencontrent socialement sont « représentatifs » des Juifs « en général ». Dans les pays d’Europe de l’Est ainsi que dans le monde arabe, les Juifs ont été libérés de la tyrannie de leur propre religion et de leurs propres communautés par des forces extérieures, trop tard et dans des conditions trop défavorables pour permettre un véritable changement social intériorisé. Dans la plupart des cas, et en particulier en Israël, l’ancien concept de société, la même idéologie — en particulier vis-à-vis des non-juifs — et la même conception totalement fausse de l’histoire ont été préservés. Cela s’applique même à certains Juifs qui ont rejoint les mouvements « progressistes » ou de gauche. Un examen des partis radicaux, socialistes et communistes peut fournir de nombreux exemples de chauvinistes et de racistes juifs déguisés, qui ont adhéré à ces partis simplement pour des raisons « d’intérêt juif », et qui sont, en Israël, de fervents partisans d’une discrimination « anti-Goys ». Il suffit de vérifier combien de « socialistes » juifs ont réussi à publier des milliers de pages sur le kibboutz sans se soucier de mentionner qu’il s’agit d’une institution raciste dont les citoyens non-juifs d’Israël sont rigoureusement exclus, pour voir que le phénomène auquel nous faisons allusion n’est pas du tout rare10.

En évitant les étiquettes basées sur l’ignorance ou l’hypocrisie, nous voyons donc que le mot « Juif » et les mots apparentés désignent deux groupes sociaux différents et même opposés, et du fait de la politique israélienne actuelle, leur contiguïté est en train de disparaître rapidement. D’une part, il y a la signification totalitaire traditionnelle évoquée ci-dessus ; d’autre part, il y a des Juifs par descendance qui ont intériorisé le complexe d’idées que Karl Popper a appelé « la société ouverte ». (Il y a également certains Juifs, en particulier aux États-Unis, qui n’ont pas intégré ces idées, mais s’efforcent de les afficher ostensiblement.)

Il est important de noter que toutes les prétendues « caractéristiques juives » — par lesquelles j’entends les traits que les pseudo- intellectuels en Occident attribuent aux « Juifs » — sont des caractéristiques modernes, inconnues durant la plus grande partie de l’histoire des Juifs, et sont apparues seulement lorsque la communauté juive totalitaire a commencé à perdre son pouvoir. Prenez, par exemple, le fameux sens de l’humour juif. Non seulement l’humour est-il très rare dans la littérature hébraïque avant le XIXème siècle (et ne se trouve que pendant quelques périodes, dans les pays où la classe supérieure juive était relativement libre du joug rabbinique, comme l’Italie entre le XIVe et le XVIIe siècle ou l’Espagne musulmane), mais l’humour et les plaisanteries sont strictement interdits par la religion juive – sauf, de manière significative, les railleries contre les autres religions. La satire contre les rabbins et les dirigeants de la communauté n’a jamais été intériorisée par le judaïsme, pas même dans une faible mesure, contrairement à ce qu’on peut observer pour le christianisme latin. Il n’y avait pas de comédies juives, tout comme il n’y avait pas de comédies à Sparte, et ce pour une raison similaire11. Ou prenez l’amour du savoir et de l’apprentissage. À l’exception d’un savoir purement religieux, qui était lui-même dans un état dégradé et dégénéré, les Juifs d’Europe (et dans une moindre mesure également ceux des pays arabes) étaient dominés, avant 1780 environ, par un mépris et une haine absolus pour toute connaissance ou apprentissage (à l’exclusion du Talmud et du mysticisme juif). De grandes parties de l’Ancien Testament, toute la poésie hébraïque non liturgique, et la plupart des ouvrages sur la philosophie juive n’étaient pas lus, et leurs noms mêmes ont souvent fait l’objet d’anathèmes. L’étude de toutes les langues était strictement interdite, de même que l’étude des mathématiques et des sciences. La géographie12 et l’histoire — même l’histoire juive — étaient complètement inconnues. Le sens critique, qui est censé être si caractéristique des Juifs, était totalement absent, et rien n’était plus interdit, craint et donc persécuté que l’innovation la plus modeste ou la critique la plus innocente.

C’était un monde plongé dans les superstitions les plus abjectes, le fanatisme et l’ignorance, un monde dans lequel la préface du premier ouvrage de géographie en hébreu (publié en 1803 en Russie) pouvait se plaindre du fait que de nombreux rabbins de tout premier plan niaient l’existence du continent américain en disant que c’était « impossible ». Entre ce monde et ce que l’on prend souvent en Occident pour « caractériser » les Juifs, il n’y a rien de commun, à part un malentendu sur la dénomination.

Cependant, un grand nombre de Juifs d’aujourd’hui sont nostalgiques de ce monde, de leur paradis perdu, de la société fermée et confortable dont ils n’ont pas tant été libérés qu’expulsés. Une grande partie du mouvement sioniste a toujours voulu le restaurer — et cette partie a pris le dessus. La plupart des motivations de la politique israélienne, qui, en Occident, déconcertent tant les malheureux et confus « amis d’Israël », s’expliquent parfaitement dès lors qu’elles sont considérées simplement comme une réaction, une réaction au sens politique que ce mot a depuis deux cents ans : un retour forcé, et à bien des égards novateur, et donc illusoire, à la société close du passé juif.

Obstacles à la compréhension

Historiquement, il est possible de démontrer qu’une société close n’est pas intéressée par une description d’elle-même, sans doute parce que toute description est en partie une forme d’analyse critique et peut donc encourager des « pensées interdites » critiques. Plus une société devient ouverte, plus elle est intéressée à réfléchir, d’abord de manière descriptive, puis de manière critique, sur elle-même, sur son fonctionnement présent et sur son passé. Mais que se passe-t-il lorsqu’une faction d’intellectuels désire ramener une société, qui s’est déjà considérablement ouverte sur l’extérieur, à son ancienne condition totalitaire et close ? Alors, les moyens mêmes du progrès et des avancées effectuées — la philosophie, les sciences, l’histoire et surtout la sociologie — deviennent les instruments les plus efficaces de la « trahison des clercs ». Ils sont pervertis afin de servir de dispositifs de mystification, et ils dégénèrent dans ce processus.

Le judaïsme classique13 avait peu d’intérêt à se décrire ou à s’expliquer lui-même auprès des membres de sa propre communauté, qu’ils soient instruits (aux études talmudiques) ou pas14. Il est significatif que l’écriture de l’histoire juive, même dans le style annalistique le plus sec, a complètement cessé depuis l’époque de Flavius ​​ Josèphe (fin du Ier siècle) et jusqu’à la Renaissance, où elle a été relancée pour une courte période en Italie et dans d’autres pays où les Juifs étaient soumis à une forte influence italienne15. De manière caractéristique, les rabbins craignaient l’histoire juive encore plus que l’histoire générale, et le premier livre d’histoire moderne publié en hébreu (au XVIe siècle) était intitulé Histoire des rois de France et des rois ottomans. Il a été suivi de quelques recueils d’histoire traitant uniquement des persécutions subies par les Juifs. Le premier livre sur l’histoire juive proprement dite16 (traitant des temps anciens) fut promptement interdit et réprimé par les plus hautes autorités rabbiniques, et ne reparut pas avant le XIXème siècle. En outre, les autorités rabbiniques de l’Europe de l’Est décrétèrent que toutes les études non talmudiques devaient être interdites, même quand on ne trouvait rien de particulier en elles qui méritât un anathème, car elles empiétaient sur le temps qu’il faudrait consacrer à l’étude du Talmud ou à gagner de l’argent… qui devrait être employé à subventionner les autorités talmudiques. La seule exception à la règle concernait le temps que même un Juif pieux doit obligatoirement passer dans les lieux d’aisance — WC. Dans cet endroit impur, les études sacrées sont interdites, et il était donc permis d’y lire des livres d’histoire, à condition qu’ils soient rédigés en hébreu et parfaitement séculiers, ce qui signifiait dans les faits qu’ils devaient être exclusivement consacrés à des sujets non-juifs. (On peut imaginer que les quelques Juifs de cette époque qui — sans doute tentés par Satan — ont développé un intérêt pour l’histoire des rois de France se plaignaient constamment à leurs voisins de la constipation dont ils souffraient…). En conséquence, il y a deux cents ans, la grande majorité des Juifs était dans l’ignorance la plus noire non seulement quant à l’existence de l’Amérique, mais également quant à l’histoire juive et à l’état contemporain de la communauté juive ; et ils étaient pleinement satisfaits de leur condition.

Une histoire totalitaire

Il y avait cependant un domaine dans lequel ils n’étaient pas autorisés à rester dans l’autosatisfaction : le domaine des attaques chrétiennes contre ces passages du Talmud et de la littérature talmudique qui sont spécifiquement antichrétiens ou plus généralement anti-Goys. Il est important de noter que ce défi est apparu relativement tard dans l’histoire des relations entre chrétiens et Juifs, à partir du XIIIe siècle. (Avant cette époque, les autorités chrétiennes attaquaient le judaïsme en utilisant soit des arguments bibliques, soit des arguments généraux, mais semblaient absolument ignorants du contenu du Talmud.) La campagne chrétienne contre le Talmud a apparemment été provoquée par la conversion au christianisme de Juifs qui étaient bien versés dans le Talmud, et qui furent souvent attirés par le développement de la philosophie chrétienne, avec son fort caractère aristotélicien (et donc universel)17.

Il faut admettre d’emblée que le Talmud et la littérature talmudique — indépendamment de la tendance générale anti-goym qui les traverse, et qui sera examinée plus en détail au chapitre 5 de cet ouvrage — contiennent des déclarations et des préceptes très choquants visant spécifiquement le christianisme. Par exemple, en plus d’une série d’allégations sexuelles calomnieuses et infâmes contre Jésus, le Talmud déclare que sa punition en enfer sera d’être plongé dans des excréments bouillants — une déclaration qui n’est pas exactement de nature à attacher les chrétiens dévots au Talmud. On peut aussi citer le précepte selon lequel les Juifs ont le devoir de brûler, si possible publiquement, toute copie du Nouveau Testament qui tombe entre leurs mains. (Non seulement ce précepte est-il toujours en vigueur, mais il est encore pratiqué aujourd’hui. Ainsi, le 23 mars 1980, des centaines d’exemplaires du Nouveau Testament ont été brûlés publiquement et cérémonieusement à Jérusalem sous les auspices de Yad Le’akhim, une organisation religieuse juive subventionnée par le ministère israélien des cultes.)

Quoi qu’il en soit, une attaque puissante, et pertinente sur de nombreux points, contre le judaïsme talmudique s’est développée en Europe à partir du XIIIe siècle. Nous ne nous référons pas ici à des calomnies ignorantes, telles que les accusations de meurtres rituels contre les Juifs, propagées par des moines incultes dans des petites villes de province, mais à des discussions et débats contradictoires publics tenus devant les meilleures universités européennes de l’époque et menées dans l’ensemble de la manière la plus équitable qui puisse être en contexte médiéval18.

Quelle fut la réponse juive — ou plutôt rabbinique ? La plus simple était l’ancienne arme de la corruption et des manigances de toutes sortes. Dans la plupart des pays européens, à toutes les époques ou presque, il n’y avait pas de problème qui ne pût être résolu par un pot-de-vin. Nulle part cette maxime n’a été aussi vraie que dans la Rome des Papes de la Renaissance. L’édition originale de la version intégrale du Code de loi talmudique, le Mishneh Torah de Maïmonide, regorge non seulement des préceptes les plus offensants contre tous les non-juifs, mais également d’attaques explicites contre le christianisme et Jésus (chaque fois que l’auteur cite ce nom, il ajoute pieusement : « périsse le nom de l’infâme ») —, a été publié dans une version non expurgée à Rome en 1480 sous Sixte IV, un pape très actif politiquement qui avait un besoin constant et urgent d’argent. (Quelques années auparavant, l’unique édition ancienne de L’âne d’or d’Apulée, d’où l’attaque violente contre le christianisme n’avait pas été expurgée, avait également été publiée à Rome.) Alexandre VI Borgia était également très libéral à cet égard.

Même au cours de cette période, comme avant celle-ci, il y avait toujours des pays dans lesquels une vague de persécutions anti-Talmud déferlait çà et là. Mais un assaut général et bien plus conséquent contre le Talmud prit forme avec la Réforme et la Contre-Réforme, qui amenèrent les lettrés chrétiens à des critères d’honnêteté intellectuelle plus rigoureux, et à une meilleure connaissance de l’hébreu. À partir du XVIe siècle, toute la littérature talmudique, y compris le Talmud lui-même, fut soumise à la censure chrétienne dans divers pays. En Russie, cela a duré jusqu’en 1917. Certains censeurs, comme en Hollande, étaient plus laxistes, d’autres plus sévères ; et les passages offensants étaient supprimés ou modifiés.

Toutes les études modernes sur le judaïsme, en particulier celles effectuées par des Juifs, ont évolué à partir de ce conflit et portent à ce jour les marques indiscutables de leur origine : la tromperie, la polémique apologétique ou hostile, l’indifférence ou même l’hostilité active pour la recherche de la vérité. Presque toutes les soi-disant Études juives sur le judaïsme, depuis cette époque jusqu’à nos jours, sont une polémique contre un ennemi extérieur plutôt qu’un débat interne.

Il est important de noter que c’était initialement le caractère de l’historiographie dans toutes les sociétés connues (à l’exception de la Grèce antique, dont les premiers historiens libéraux ont été attaqués par des sophistes ultérieurs pour leur manque de patriotisme !). C’était le cas des premiers historiens catholiques et protestants, qui ont polémiqué les uns contre les autres. De même, les premières histoires nationales européennes sont imprégnées du nationalisme le plus grossier et d’un véritable mépris pour tous les autres pays ou nations voisins. Mais tôt ou tard, il y a un moment où l’on tente de comprendre son adversaire national ou religieux et en même temps de critiquer certains aspects profonds et importants de l’histoire de son propre groupe ; et ces deux développements vont de pair. Ce n’est que lorsque l’historiographie devient — comme l’a si bien dit Pieter Geyl — un « débat sans fin » plutôt que la continuation de la guerre par des moyens historiographiques, qu’une historiographie humaine, qui vise à la fois l’exactitude et l’équité, devient possible ; et elle se transforme alors en l’un des instruments les plus puissants de l’humanisme et de l’autoéducation.

C’est pour cette raison que les régimes totalitaires modernes réécrivent l’histoire ou punissent les historiens. Les exemples staliniens et chinois sont suffisamment connus. Cependant, en ce qui concerne le totalitarisme nazi, il convient de mentionner que la persécution d’historiens allemands honnêtes a commencé très tôt19. La situation en Israël est analogue : les pires attaques contre moi ont été provoquées non pas par les termes violents que j’emploie dans mes condamnations du sionisme et de l’oppression des Palestiniens, mais par un de mes articles précoces sur le rôle des Juifs dans le commerce des esclaves, dans lequel la dernière affaire citée datait de 1870. Cet article a été publié avant la guerre de 1967 ; aujourd’hui, sa publication serait impossible. Quand une société entière tente de revenir au totalitarisme, une histoire totalitaire s’écrit, non pas sous l’effet d’une coercition venue d’en haut, mais sous une pression venue d’en bas, ce qui est beaucoup plus efficace. C’est ce qui s’est passé dans l’histoire juive, et c’est le premier obstacle qu’il nous faut surmonter.

Mécanismes de défense

Quels étaient précisément les mécanismes (autres que la corruption) employés par les communautés juives, en coopération avec des forces extérieures, afin de parer aux attaques contre le Talmud et contre le reste de la littérature religieuse juive ? Plusieurs méthodes peuvent être distinguées, toutes ayant des conséquences politiques importantes reflétées dans les politiques israéliennes actuelles. Il serait fastidieux de fournir dans chaque cas le parallèle chez Menahem Begin ou chez le Parti Travailliste sioniste, mais je suis sûr que les lecteurs qui connaissent un peu les détails de la politique au Moyen-Orient pourront eux-mêmes remarquer la ressemblance.

Le premier mécanisme que je vais aborder est celui de la défiance sournoise, combinée à une conformité extérieure. Comme expliqué ci-dessus, les passages talmudiques dirigés contre le christianisme ou contre les non-juifs20 devaient être modifiés ou supprimés — la pression était trop forte. C’est ce qui a été fait : quelques-uns des passages les plus choquants ont été physiquement supprimés de toutes les éditions imprimées en Europe après le milieu du XVIe siècle. Dans tous les autres passages, les expressions « Gentil » (goy), « non-Juif » (einoyehudi) ou « étranger » (nokhri) — qui apparaissent dans tous les plus anciens manuscrits et imprimés ainsi que dans toutes les éditions publiées dans les pays islamiques — ont été remplacées par des termes tels qu’« idolâtre », « païen » ou même « cananéen » ou « samaritain », termes pouvant être justifiés aux yeux des profanes, mais qu’un lecteur juif reconnaissait aisément comme des euphémismes pour les anciennes expressions.

Au fur et à mesure que l’attaque montait, la défense devenait plus élaborée, avec parfois des résultats tragiques et durables. Pendant certaines périodes, la censure tsariste russe devenait plus stricte, et ayant percé à jour les euphémismes susmentionnés, elle les interdisait également. Les autorités rabbiniques leur ont alors substitué les termes « arabe » ou « musulman » (en hébreu, Yishma’éli – qui a les deux sens) ou occasionnellement « égyptien », en calculant à juste titre que les autorités tsaristes ne s’opposeraient pas à ce genre d’abus. Dans le même temps, des listes d’Omissions talmudiques ont été distribuées sous forme de manuscrit, expliquant tous les nouveaux termes et signalant toutes les omissions et tous les passages supprimés. Parfois, un démenti général était imprimé devant la page de titre de chaque volume de littérature talmudique, déclarant solennellement, parfois sous serment, que toutes les expressions hostiles de ce volume ne visaient que les idolâtres de l’Antiquité, voire les Cananéens disparus de longue date, plutôt que « les peuples sur les terres desquels nous vivons ». Après la conquête de l’Inde par les Britanniques, certains rabbins ont recouru au subterfuge de prétendre que toute expression particulièrement désobligeante ou outrageante qu’ils utilisaient était uniquement destinée aux Indiens. De temps en temps, les aborigènes d’Australie ont également été ajoutés à la liste des boucs émissaires.

Inutile de dire que tout ceci était un mensonge calculé du début à la fin ; et après la création de l’État d’Israël, une fois que les rabbins se sont sentis en sécurité, tous les passages et expressions offensants ont été restaurés sans hésitation dans toutes les nouvelles éditions. (En raison du coût énorme qu’implique une nouvelle édition, une grande partie de la littérature talmudique, y compris le Talmud lui-même, est encore réimprimé à partir d’anciennes éditions. C’est pour cette raison que les omissions talmudiques susmentionnées ont maintenant été publiées en Israël dans une édition imprimée bon marché, sous le titre Hesronot Shas.) Ainsi, maintenant, on peut lire assez librement — et on l’enseigne effectivement aux enfants juifs — des passages comme celui qui21 commande à chaque Juif, lorsqu’il passe près d’un cimetière, de prononcer une bénédiction si le cimetière est juif, mais de maudire les mères des morts22 s’il n’est pas juif. Dans les anciennes éditions, la malédiction était omise, ou l’un des euphémismes était substitué à « non-Juif ». Mais dans la nouvelle édition israélienne du rabbin Adin Steinsalz (pourvue de notes explicatives et de la traduction interlinéaire en hébreu des passages araméens de l’original, afin que les écoliers n’aient aucun doute sur ce qu’ils sont censés dire), les mots sans équivoque « non-Juifs » et « étrangers » ont été restaurés.

Sous des pressions extérieures, les rabbins ont éliminé ou modifié de manière trompeuse certains passages — mais pas les pratiques réelles qui y sont prescrites. Il faut savoir, et en particulier les Juifs eux-mêmes doivent savoir que depuis des siècles, notre société juive totalitaire utilise des coutumes barbares et inhumaines pour empoisonner l’esprit de ses membres, et qu’elle le fait toujours. Ces coutumes inhumaines ne peuvent pas être expliquées comme une simple réaction à l’antisémitisme ou à la persécution des Juifs ; elles constituent une barbarie gratuite dirigée contre chaque être humain. Un Juif pieux arrivant pour la première fois en Australie, par exemple, et pouvant passer près d’un cimetière aborigène, doit — comme acte d’adoration de « Dieu » — maudire les mères des morts qui y sont enterrées. Sans affronter ce fait social réel, nous devenons tous partie prenante de la tromperie, et complices du processus d’empoisonnement des générations présentes et futures, avec toutes les conséquences que cela entraîne.

La supercherie continue

Les savants modernes du judaïsme ont non seulement poursuivi la supercherie, mais ils ont encore amélioré les anciennes méthodes rabbiniques, à la fois dans l’impudence et dans le mensonge. Je laisse ici de côté les diverses histoires de l’antisémitisme, indignes de considération sérieuse, et ne donnerai que trois exemples particuliers et un exemple général des tromperies « savantes » plus modernes.

En 1962, une partie du Code de Maïmonide susmentionné, le « Livre de la connaissance », qui contient les règles les plus élémentaires de la foi et de la pratique juives, a été publiée à Jérusalem dans une édition bilingue, la traduction anglaise faisant face au texte hébreu23. La version en hébreu a été restaurée dans sa pureté d’origine, et le commandement d’exterminer les Juifs infidèles y figure dans son intégralité : « C’est un devoir de les exterminer de ses propres mains. » Dans la traduction anglaise, ce propos est adouci comme suit : « C’est un devoir que de prendre des mesures actives pour les détruire. » Mais ensuite, le texte hébreu précise les principaux exemples d’« infidèles » qui doivent être exterminés : « Comme Jésus de Nazareth et ses disciples, Tzadoq et Baitos24 et leurs disciples, périsse le nom des infâmes. » Pas un mot de cela n’apparaît dans le texte anglais de la page en regard (78a). Et, ce qui est encore plus significatif, en dépit de la large diffusion de ce livre parmi les érudits des pays anglophones, aucun d’entre eux n’a, à ma connaissance, protesté contre cette supercherie flagrante.

Le deuxième exemple vient des États-Unis, encore d’une traduction anglaise d’un livre de Maimonide. En plus de son travail sur la codification du Talmud, il était également philosophe, et son Guide des égarés est considéré à juste titre comme la plus grande œuvre de la philosophie religieuse juive, et est largement lu et utilisé même de nos jours. Malheureusement, en plus de son attitude envers les non-juifs en général et les chrétiens en particulier, Maïmonide était également un raciste anti-noir. Vers la fin du Guide, dans un chapitre crucial (livre III, chapitre 51), il explique comment diverses parties de l’humanité peuvent atteindre la valeur religieuse suprême, le véritable culte de Dieu. Parmi celles qui sont incapables de s’en approcher, on trouve :

Certains Turcs [c.-à-d. la race mongole] et les nomades du Nord, les Noirs et les nomades du Sud, ainsi que ceux qui leur ressemblent dans nos climats. Et leur nature est semblable à la nature des animaux muets et, à mon avis, ils ne sont pas au niveau des êtres humains ; leur niveau parmi les choses existantes est inférieur à celui de l’homme et supérieur à celui du singe, car ils ont davantage l’image et la ressemblance de l’homme que le singe.

Maintenant, que fait-on avec un tel passage dans un ouvrage du judaïsme extrêmement important et incontournable ? Allons-nous faire face à la vérité et à ses conséquences ? À Dieu ne plaise ! Allons-nous admettre (comme l’ont fait tant de savants chrétiens, par exemple, dans des circonstances similaires) qu’une autorité juive très importante avait également des vues anti-Noirs farouches, et par cet aveu, s’efforcer de s’éduquer à une véritable humanité ? Qu’une telle pensée périsse ! Je peux presque imaginer les autorités juives aux États-Unis se consulter à ce sujet : « Que faire ? » Car ce livre devait absolument être traduit en raison du déclin de la connaissance de l’hébreu chez les Juifs américains. Que ce soit par consultation ou par inspiration individuelle, une « solution » heureuse a été trouvée : dans la traduction américaine populaire du Guide écrite par un certain Friedlander, publiée pour la première fois en 1925 et reproduite depuis dans de nombreuses éditions, dont plusieurs en format de poche, le mot hébreu Koushim, qui signifie « Noirs », a simplement été transcrit par « Koushites », un mot qui n’avait aucun sens pour ceux qui ne connaissaient pas l’hébreu, ou à qui un rabbin obligeant ne donnerait aucune explication orale25. Pendant toutes ces années, pas un mot n’a dénoncé la supercherie initiale ou les faits sociaux sous-jacents à sa perpétuation — et cela tout au long de la période exaltée des campagnes de Martin Luther King, qui ont été soutenues par tant de rabbins, sans parler d’autres personnalités juives, dont certaines devaient bien avoir conscience de l’attitude raciste anti-Noirs qui fait partie de leur héritage juif.

On peut supposer que bon nombre des partisans rabbiniques de Martin Luther King étaient soit des racistes anti-Noirs qui le soutenaient pour des raisons tactiques d’« intérêt juif » (visant à obtenir le soutien des Noirs pour le judaïsme américain et la politique d’Israël), soit des hypocrites accomplis, jusqu’à la schizophrénie, capables de passer très rapidement des jouissances secrètes d’un racisme forcené à un attachement proclamé à une lutte antiraciste — et vice-versa.

Entre parenthèses, un fait supplémentaire peut être mentionné à cet égard. Il était parfaitement possible, et apparemment respectable, pour un spécialiste juif de l’Islam, Bernard Lewis (qui enseignait autrefois à Londres et enseigne maintenant aux Etats-Unis) de publier un article dans Encounter, où il souligne de nombreux passages de la littérature islamique qui sont anti-Noirs à ses yeux, mais dont aucun n’est ne serait-ce que lointainement comparable en gravité au passage cité ci-dessus. Il serait tout à fait impossible pour quiconque, maintenant ou dans les trente dernières années, de discuter dans toute publication américaine réputée ce passage ouvertement raciste du Talmud ou les nombreux autres passages talmudiques anti-Noirs. Mais sans la critique de toutes les parties, l’attaque contre l’Islam seul se réduit à de la simple diffamation.

Le troisième exemple provient d’un travail qui n’a pas de si hautes prétentions — mais qui en est d’autant plus populaire : Les joies du yiddish de Leo Rosten. Cet ouvrage léger — publié pour la première fois aux États-Unis en 1968 et reproduit dans de nombreuses éditions, y compris à plusieurs reprises sous forme de livre de poche de la collection Penguin — est une sorte de glossaire de mots yiddish souvent utilisés par les Juifs ou même les non-juifs dans les pays anglophones. Pour chaque entrée, outre une définition détaillée et des anecdotes plus ou moins amusantes illustrant son utilisation, il existe également une étymologie énonçant (de manière assez exacte dans l’ensemble) la langue d’origine de ce mot, avant son entrée dans le yiddish, et sa signification dans cette langue. L’entrée Shaygets — dont la signification principale est « un enfant ou jeune homme Goy » — fait exception : l’étymologie y énonce de manière cryptique « origine hébraïque », sans donner la forme ou la signification du mot hébreu original. Cependant, sous l’entrée Shiksa — la forme féminine de Shaygets —, l’auteur donne le mot hébreu original, sheqetz (ou, dans sa translittération, sheques) et définit sa signification en hébreu comme « souillure, imperfection ». C’est un mensonge éhonté, comme le sait quiconque parle l’hébreu. Le Megiddo Modern Hebrew-English Dictionary, publié en Israël, traduit correctement sheqetz comme suit : « Animal impur. Créature répugnante, abomination. Fam. (prononcé shaygets) : misérable, jeune indiscipliné. Jeune goy. »

Mon dernier exemple, plus général, est, si possible, encore plus choquant que les autres. Il concerne l’attitude du mouvement hassidique envers les non-juifs. Le hassidisme — une continuation (et un avilissement !) du mysticisme juif — est toujours un mouvement vivant, avec des centaines de milliers d’adhérents actifs qui sont fanatiquement dévoués à leurs « rabbins sacrés », dont certains ont acquis une influence politique tout à fait considérable en Israël, parmi les dirigeants de la plupart des partis et plus encore dans les échelons supérieurs de l’armée.

Quelles sont donc les vues de ce mouvement au sujet des non-juifs ? À titre d’exemple, prenons le célèbre Hatanya, livre fondamental du mouvement Habbad, l’une des branches les plus importantes de l’Hassidisme. D’après ce livre, tous les non-juifs sont des créatures totalement sataniques « dans lesquelles il n’y a absolument rien de bon ». Même un embryon non-juif est qualitativement différent d’un embryon juif. L’existence même d’un non-juif est « non essentielle », alors que toute la Création a été créée uniquement dans l’intérêt des Juifs.

Ce livre est diffusé dans d’innombrables éditions et ses idées sont également propagées dans les nombreux « discours » du Führer héréditaire actuel de Habbad, le soi-disant rabbin Loubavitch, M. M. Schneurssohn, qui dirige cette puissante organisation mondiale depuis son siège à New York. En Israël, ces idées sont largement diffusées auprès du grand public, dans les écoles et au sein de l’armée. (Selon le témoignage de Shulamit Aloni, membre de la Knesset, cette propagande d’Habbad a été particulièrement renforcée avant l’invasion du Liban par Israël en mars 1978, afin d’inciter les médecins et les infirmiers militaires à refuser l’aide médicale aux « non-juifs blessés ». Ce conseil digne des nazis ne se référait pas spécifiquement aux Arabes ou aux Palestiniens, mais simplement aux « non-Juifs », les Goyim.) Un ancien Président israélien, Shazar, était un ardent adepte de Habbad, et de nombreux hauts responsables politiques israéliens et américains — dirigés par le Premier ministre Begin — l’ont publiquement courtisé et soutenu. Et tout cela malgré l’impopularité considérable du rabbin Loubavitch — il est largement critiqué en Israël parce qu’il refuse de venir en Terre Sainte même pour une simple visite, et se maintient à New York pour des raisons messianiques obscures, alors qu’à New York, son attitude anti-Noirs est notoire.

Le fait que, malgré ces difficultés pragmatiques, Habbad puisse être publiquement soutenu par tant de personnalités politiques de premier plan, doit beaucoup au traitement totalement mensonger et trompeur de presque tous les érudits qui ont écrit sur le mouvement hassidique et sa branche Habbad. Ceci s’applique particulièrement à tous ceux qui ont écrit ou écrivent à ce sujet en anglais. Ils suppriment les preuves flagrantes des anciens textes hassidiques ainsi que leurs implications politiques d’aujourd’hui, qui crèvent les yeux de n’importe quel lecteur occasionnel de la presse israélienne hébraïque, où le rabbin Loubavitch et d’autres dirigeants hassidiques publient constamment les déclarations et exhortations sanguinaires les plus enragées contre tous les Arabes.

À ce propos, Martin Buber fut l’un des plus grands artisans du mensonge, et un bon exemple de la puissance de la supercherie. Ses nombreuses œuvres faisant l’éloge de l’ensemble du mouvement hassidique (y compris Habbad) ne font à aucun moment ne serait-ce qu’une allusion aux véritables doctrines du hassidisme concernant les non-juifs. Sa supercherie est d’autant plus criminelle que les ouvrages de Buber faisant l’apologie de l’Hassidisme ont été publiés pour la première fois en allemand au cours de la période de la montée du nationalisme allemand et de l’accession du nazisme au pouvoir. Mais tout en s’opposant ostensiblement au nazisme, Buber glorifia un mouvement qui enseignait et professait des doctrines sur les non-juifs similaires aux doctrines nazies sur les Juifs. On pourrait évidemment soutenir que les Juifs hassidiques d’il y a soixante-dix ou cinquante ans étaient les victimes et qu’un « pieux mensonge » en faveur d’une victime est excusable. Mais les conséquences de cette supercherie sont incalculables. Les œuvres de Buber ont été traduites en hébreu, sont devenues un élément puissant de l’éducation hébraïque en Israël, ont considérablement augmenté le pouvoir des leaders hassidiques assoiffés de sang, et ont ainsi été un facteur important dans la montée du chauvinisme israélien et la haine de tous les non-juifs. Si nous pensons aux nombreux êtres humains morts de leurs blessures parce que les infirmiers de l’armée israélienne, incités par la propagande hassidique, ont refusé de les soigner, une lourde part de responsabilité en incombe à Martin Buber.

Je dois préciser ici que, dans son adulation du hassidisme, Buber dépassait de loin les autres érudits juifs, en particulier ceux qui écrivaient en hébreu (ou, autrefois, en yiddish) ou même dans les langues européennes, mais exclusivement pour un public juif. Dans les questions internes d’intérêt juif, il y avait eu jadis beaucoup de critiques justifiées contre le mouvement hassidique. Leur misogynie (bien plus extrême que celle commune à tous les orthodoxes juifs), le fait qu’ils s’adonnent à l’alcool, leur culte fanatique de leurs « rabbins sacrés » héréditaires qui leur extorquaient de l’argent, les nombreuses superstitions qui leur sont propres — ces spécificités et bien d’autres traits négatifs ont été commentés de façon critique. Mais le romantisme sentimental et trompeur de Buber a triomphé, en particulier aux États-Unis et en Israël, car il était en accord avec l’admiration totalitaire de tout ce qui était « véritablement juif », et parce que certains cercles « de gauche » dans lesquels Buber avait une influence particulièrement grande ont adopté cette position.

Buber n’était pas seul dans son attitude, bien qu’à mon avis il soit de loin le pire dans le mal qu’il a propagé et l’influence qu’il a laissée derrière lui. Il y avait le très influent sociologue et érudit de la Bible, Yehezkiel Kaufman, qui préconisait un génocide sur le modèle du Livre de Josué, le philosophe idéaliste Hugo Shmuel Bergman, qui, dès les années 1914-15, prônait déjà l’expulsion de tous les Palestiniens vers l’Irak, et bien d’autres encore. Tous étaient extérieurement des « colombes », mais utilisaient des formules qui pouvaient être interprétées dans le sens anti-arabe le plus extrême, ils avaient tous tendance à ce mysticisme religieux qui encourage la propagation de supercheries, et ils semblaient tous être des personnes douces qui, même lorsqu’elles préconisaient l’expulsion, le racisme et le génocide, semblaient incapables de faire du mal à une mouche — et justement pour cette raison, l’effet de leurs manipulations était d’autant plus grand.

C’est contre la glorification de l’inhumanité, proclamée non seulement par les rabbins, mais par ceux qui sont supposés être les plus grandes et certainement les plus influentes autorités du judaïsme, que nous devons lutter ; et c’est contre ces successeurs modernes des faux prophètes et des prêtres malhonnêtes que nous devons répéter — même face à une opinion presque unanime en Israël et au sein de la majorité des Juifs de pays comme les États-Unis — la mise en garde de Lucrèce contre le désir de soumettre son jugement aux déclamations des chefs religieux : Tantum religio potuit suadere malorum — « La religion peut mener les hommes à commettre les plus grandes atrocités. » La religion n’est pas toujours (comme l’a dit Marx) l’opium du peuple, mais elle peut souvent l’être, et quand elle est utilisée dans ce sens en tergiversant et en représentant de manière erronée sa vraie nature, les autorités et les intellectuels qui accomplissent cette tâche deviennent effectivement assimilables à des trafiquants d’opium.

Mais nous pouvons déduire de cette analyse une autre conclusion, plus générale, au sujet des moyens les plus efficaces et les plus horribles pour contraindre à faire le mal, à tricher et à tromper, et, tout en gardant soi-même les mains propres, à corrompre des peuples entiers et à les entraîner à l’oppression et au meurtre. (Car il ne peut plus y avoir le moindre doute sur le fait que les actes d’oppression les plus horribles qui sont commis en Cisjordanie soient motivés par le fanatisme religieux juif.) La plupart des gens semblent supposer que le pire totalitarisme emploie la contrainte physique, et feraient référence à l’imagerie de 1984 d’Orwell pour un modèle illustrant un tel régime. Mais il me semble que cette vue, quoique répandue, est grandement erronée, et que l’intuition d’Isaac Asimov, dont les ouvrages de science-fiction présentent toujours la pire oppression de manière intériorisée, est plus fidèle aux dangers inhérents à la nature humaine. Contrairement aux intellectuels dociles de Staline, les rabbins — et plus encore les érudits que j’attaque ici, et avec eux toute la basse-cour également silencieuse des écrivains, des journalistes et des personnalités publiques qui mentent et trompent encore plus qu’elles — ne font pas face au danger de mort ou d’internement en camp de concentration, mais seulement à une pression sociale ; ils mentent par patriotisme parce qu’ils croient que c’est leur devoir de mentir pour ce qu’ils conçoivent être l’intérêt juif. Ce sont des menteurs patriotiques, et c’est le même patriotisme qui les réduit au silence face à la discrimination et à l’oppression infligées aux Palestiniens.

Dans le cas présent, nous sommes également confrontés à une autre loyauté de groupe, mais qui vient de l’extérieur du groupe et qui est parfois même plus malfaisante. Un grand nombre de non-juifs (parmi lesquels des chrétiens, qu’il s’agisse du clergé ou de simples pratiquants, ainsi que certains marxistes de toutes appartenances) adoptent l’opinion curieuse qu’une manière de « racheter » la persécution des Juifs, c’est de ne pas dénoncer le mal perpétré par les Juifs, mais de participer aux « pieux mensonges » à leur sujet. L’accusation grossière d’antisémitisme (ou, dans le cas de Juifs, de « haine de soi ») contre quiconque proteste contre la discrimination des Palestiniens ou qui souligne tout fait sur la religion juive ou le passé juif qui est en conflit avec la « version approuvée » s’accompagne d’une hostilité et d’une force plus grandes de la part des non-juifs « amis des Juifs » que des Juifs eux-mêmes. C’est l’existence et la grande influence de ce groupe dans tous les pays occidentaux, et en particulier aux Etats-Unis [et en France] (ainsi que dans les autres pays anglophones) qui a permis aux rabbins et aux autorités du judaïsme de propager leurs mensonges non seulement sans opposition, mais avec une aide considérable.

En fait, beaucoup d’« antistaliniens » autoproclamés ont simplement substitué une autre idole à leur culte, et ont tendance à soutenir le racisme et le fanatisme juifs avec une ardeur et une malhonnêteté encore plus grandes que celles des staliniens les plus dévoués du passé. Bien que ce phénomène de soutien aveugle et stalinien à tout mal, tant que celui-ci est « juif », soit particulièrement marqué à partir de 1945, lorsque la vérité sur l’extermination de la communauté juive européenne est devenue connue, c’est une erreur de supposer que cela a commencé seulement à ce moment-là. Au contraire, cela remonte très loin, en particulier dans les milieux sociaux-démocrates. L’un des premiers amis de Marx, Moses Hess, largement reconnu et respecté comme l’un des premiers socialistes en Allemagne, s’est révélé par la suite comme un raciste et extrémiste juif, dont les idées sur la « race juive pure » publiées en 1858 ne sont pas sans comparaison avec les billevesées sur la « race aryenne pure ». Mais les socialistes allemands, qui ont lutté contre le racisme allemand, sont restés silencieux sur leur racisme juif.

En 1944, au cœur de la lutte contre Hitler, le parti travailliste britannique approuva un plan d’expulsion des Palestiniens de Palestine, similaire aux premiers projets d’Hitler (jusqu’à environ 1941) concernant les Juifs. Ce plan a été approuvé sous la pression exercée par des membres juifs de la direction du parti, dont beaucoup ont ouvertement adopté, envers toutes les politiques israéliennes, le principe de solidarité clanique, et cela dans une plus grande mesure que leurs homologues conservateurs partisans de Ian Smith l’ont jamais fait. Mais les tabous staliniens à gauche sont plus forts en Grande-Bretagne qu’à droite, et il n’y a pratiquement pas de discussion sur le soutien des travaillistes à Israël, même lorsqu’il s’agit de soutenir le gouvernement de Begin.

Aux États-Unis, une situation similaire prévaut et, encore une fois, les libéraux américains sont les pires. [On peut dire la même chose pour les socialistes français, bien que la soumission à Israël soit solidement ancrée de l’extrême droite à la pseudo-extrême gauche].

Ce n’est pas le lieu d’explorer toutes les conséquences politiques de cette situation, mais nous devons faire face à la réalité : dans notre lutte contre le racisme et le fanatisme de la religion juive, nos plus grands ennemis ne seront pas seulement les racistes juifs (et les thuriféraires du racisme), mais aussi les non-juifs qui, dans d’autres domaines, sont réputés — à tort selon moi — comme des « progressistes ».

Chapitre III — Orthodoxie et interprétation

Ce chapitre est consacré à une description plus détaillée de la structure théologico-juridique du judaïsme classique26. Cependant, avant de s’engager dans cette description, il est nécessaire de dissiper au moins certaines des idées fausses répandues dans presque tous les ouvrages en langue étrangère (c’est-à-dire autre que l’hébreu) consacrés au judaïsme, en particulier ceux qui propagent des expressions aussi à la mode que « Tradition judéo-chrétienne » ou « les valeurs communes des religions monothéistes ».

Pour ne pas être trop long, je ne traiterai en détail que de la plus importante de ces illusions populaires, à savoir que la religion juive est et a toujours été monothéiste. En réalité, comme le savent de nombreux érudits bibliques, et comme le révèle aisément une lecture attentive de l’Ancien Testament, ce point de vue anhistorique est totalement faux. Dans beaucoup, sinon la plupart des livres de l’Ancien Testament, l’existence et le pouvoir d’« autres Dieux » sont clairement reconnus, mais Yahweh (Jéhovah), qui est le Dieu le plus puissant27, est également très jaloux de ses rivaux et interdit à son peuple de les vénérer28. Ce n’est que très tard dans la Bible, chez certains des derniers prophètes, que l’existence de tous les dieux autres que Yahweh est niée29.

Ce qui nous concerne, cependant, n’est pas le judaïsme biblique, mais classique ; et il est tout à fait clair, bien que beaucoup moins largement compris, que durant les derniers siècles ce dernier était, pour la plus grande partie, très loin du monothéisme pur. On peut en dire autant des véritables doctrines dominantes dans le judaïsme orthodoxe actuel, qui est une continuation directe du judaïsme classique. Le déclin du monothéisme est dû à la propagation du mysticisme juif (la kabbale) qui s’est développé aux XIIe et XIIIe siècles et qui, à la fin du XVIe siècle, avait remporté une victoire presque complète dans presque tous les centres du judaïsme. Les Lumières juives, issues de la crise du judaïsme classique, ont dû lutter avant tout contre ce mysticisme et son influence, mais dans l’orthodoxie juive moderne, en particulier chez les rabbins, l’influence de la kabbale est restée prédominante30. Par exemple, le mouvement Gush Emunim est largement inspiré par des idées kabbalistiques.

La connaissance et la compréhension de ces idées sont donc importantes pour deux raisons. Premièrement, sans cela, on ne peut pas comprendre les vraies croyances du judaïsme à la fin de sa période classique. Deuxièmement, ces idées jouent un rôle politique contemporain important dans la mesure où elles font partie du système de croyances explicite de nombreux mouvements politiques religieux, y compris la plupart des dirigeants de Gush Emunim, et exercent une influence indirecte sur de nombreux dirigeants sionistes de tous les partis, y compris les partis de la gauche sioniste.

Selon la Kabbale, l’univers n’est pas gouverné par un Dieu, mais par plusieurs divinités, de personnalités et d’influences variés, émanant d’une Cause Première ténue et lointaine. En omettant plusieurs détails, on peut résumer le système comme suit. De la Première Cause, ont émané ou sont nés un Dieu masculin appelé Sagesse ou Père puis une Déesse féminine appelée Connaissance ou Mère. Du mariage de ces deux-là, une paire de Dieux plus jeunes sont nés : Fils, également appelé par de nombreux autres noms tels que « Petit Visage » ou « Le Saint Béni » ; et Fille, également appelée « Dame » (ou « Matronit », un mot dérivé du latin), « Shekhinah », « Reine », etc. Ces deux Dieux plus jeunes devraient s’unir, mais leur union est empêchée par les machinations de Satan, qui dans ce système est un personnage très important et indépendant. La Création a été entreprise par la Première Cause pour leur permettre de s’unir, mais à cause de la Chute, ils sont devenus plus désunis que jamais. Et de fait, Satan a réussi à se rapprocher de la Fille divine et même à la violer (en apparence ou en réalité, les opinions diffèrent à ce sujet). La création du peuple juif a été entreprise afin de réparer la rupture causée par Adam et Ève, ce qui a été réalisé momentanément sous le mont Sinaï : le dieu mâle Fils, incarné par Moïse, a été uni à la déesse Shekhinah. Malheureusement, le péché du veau d’or a de nouveau causé la désunion de la divinité ; mais le repentir du peuple juif y a quelque peu remédié. De même, selon la croyance, chaque incident de l’histoire biblique juive est associé à l’union ou à la désunion du couple divin. La conquête juive de la Palestine face aux Cananéens et la construction du Premier et du Deuxième Temples sont particulièrement propices à leur union, tandis que la destruction des Temples et l’exil des Juifs de la Terre Sainte ne sont que des signes extérieurs non seulement de la désunion divine, mais également d’une véritable « prostitution après des dieux étrangers » : Fille tombe étroitement sous l’emprise de Satan, tandis que Fils copule avec divers personnages sataniques féminins qu’il prend dans son lit à la place de sa propre femme.

Le devoir des Juifs pieux est de restaurer, par leurs prières et leurs actes religieux, l’unité divine parfaite, sous forme d’union sexuelle entre les divinités masculine et féminine31. Ainsi, avant la plupart des actes rituels que tout Juif dévot doit accomplir plusieurs fois par jour, la formule kabbalistique suivante est récitée : « Pour l’union32 [sexuelle] du Saint Béni et de sa Shekhinah… » Les prières matinales juives sont également organisées afin de promouvoir cette union sexuelle, ne serait-ce que temporairement. Les parties successives de la prière correspondent mystiquement aux étapes successives de l’union : à un moment donné, la Déesse s’approche avec ses servantes, à un autre moment, le Dieu lui passe le bras autour du cou et lui caresse la poitrine, puis l’acte sexuel est censé avoir lieu.

D’autres prières ou actes religieux, tels qu’interprétés par les kabbalistes, sont conçus pour tromper divers anges (imaginés comme des divinités mineures avec un certain degré d’indépendance) ou pour concilier Satan. À un certain moment de la prière du matin, certains versets sont prononcés en araméen33 (plutôt qu’en hébreu plus courant). Ceci est censé être un moyen de tromper les anges qui opèrent les portes par lesquelles les prières entrent au ciel, et qui ont le pouvoir de bloquer les prières des pieux. Les anges ne comprennent que l’hébreu et sont déconcertés par les versets araméens ; étant un peu simples d’esprit (ils sont présumés beaucoup moins intelligents que les kabbalistes), ils ouvrent les portes, et à ce moment, toutes les prières, y compris celles en hébreu, passent. Ou prenons un autre exemple : à la fois avant et après un repas, un Juif dévot se lave rituellement les mains, prononçant une bénédiction spéciale. À l’une de ces deux occasions, il adore Dieu, en promouvant l’union divine du Fils et de la Fille ; mais à l’autre occasion, il vénère Satan, qui aime tellement les prières et les rituels juifs que, quand on lui en offre quelques-uns, cela le tient occupé pendant un moment et il oublie de harceler la divine Fille. En effet, les kabbalistes pensent que certains des sacrifices brûlés dans le Temple étaient destinés à Satan. Par exemple, les soixante-dix bœufs sacrifiés pendant les sept jours de la fête des Tabernacles34 auraient été offerts à Satan en sa qualité de dirigeant de tous les Gentils35 (non-juifs), afin de le tenir trop occupé pour intervenir le huitième jour, lorsque le sacrifice est fait à Dieu. De nombreux autres exemples du même type peuvent être donnés.

Plusieurs points doivent être soulevés concernant ce système et son importance pour une bonne compréhension du judaïsme, à la fois dans sa période classique et dans son implication politique actuelle dans la pratique sioniste.

Premièrement, quoi que l’on puisse dire de ce système kabbalistique, il ne peut être considéré comme monothéiste, à moins d’être également disposé à considérer l’hindouisme, la religion gréco-romaine tardive ou même la religion de l’Égypte ancienne comme « monothéiste ».

Deuxièmement, la nature réelle du judaïsme classique est illustrée par la facilité avec laquelle ce système a été adopté. La foi et les croyances (à l’exception des croyances nationalistes) jouent un rôle extrêmement mineur dans le judaïsme classique. Ce qui est d’une importance primordiale, c’est l’acte rituel et non la signification que cet acte est censé avoir ou la croyance qui y est attachée. C’est pourquoi, aux époques où une minorité de Juifs religieux refusait d’accepter la Kabbale (comme c’est le cas aujourd’hui), on pouvait voir quelques Juifs accomplir un rituel religieux donné en croyant qu’il s’agissait d’un acte d’adoration de Dieu, tandis que d’autres faisaient exactement la même chose avec l’intention de gagner les faveurs de Satan ; mais tant que l’acte est le même, ils priaient ensemble et restaient membres de la même congrégation, quelle que soit l’antipathie qu’ils puissent éprouver l’un pour l’autre. Mais si au lieu de l’intention attachée au lavage rituel des mains, quelqu’un osait introduire une innovation dans la manière de se laver36, un véritable schisme s’ensuivrait.

On peut en dire autant de toutes les formules sacrées du judaïsme. Si la forme est laissée intacte, la signification est au mieux une question secondaire. Par exemple, la formule juive la plus sacrée peut-être, « Écoute Israël, le Seigneur est notre Dieu, le Seigneur est un », récitée plusieurs fois par jour par chaque Juif dévot, peut aujourd’hui signifier deux choses opposées. Cela peut vouloir dire que le Seigneur est vraiment « un » ; mais cela peut aussi signifier qu’une certaine étape dans l’union des divinités masculine et féminine a été atteinte ou est encouragée par la récitation appropriée de cette formule. Cependant, lorsque les Juifs d’une congrégation réformée récitent cette formule dans une langue autre que l’hébreu, tous les rabbins orthodoxes, qu’ils croient en l’unité ou en l’union sexuelle divine, sont extrêmement fâchés.

Enfin, tout cela revêt une importance considérable en Israël (et dans d’autres centres juifs), même à l’heure actuelle. L’énorme signification attachée à de simples formules (telles que la « loi de Jérusalem ») ; les idées et les motivations de Gush Emunim ; l’insistance derrière la haine des non-juifs vivant actuellement en Palestine ; l’attitude fataliste à l’égard de toutes les tentatives de paix des États arabes — tout cela et bien d’autres traits de la politique sioniste, qui déconcertent tant de gens bien intentionnés qui ont une fausse conception du judaïsme classique, devient plus intelligible dans ce contexte religieux et mystique. Je dois toutefois mettre en garde contre le fait de tomber dans l’autre extrême et d’essayer d’expliquer toutes les politiques sionistes par rapport à ce contexte. De toute évidence, les influences de celui-ci varient en étendue. Ben Gourion était maitre dans l’art de les manipuler de manière contrôlée à des fins spécifiques. Sous [Menahem] Begin, le passé exerce une influence beaucoup plus grande sur le présent. Mais ce qu’il ne faut jamais faire, c’est ignorer le passé et ses influences, car ce n’est qu’en le connaissant qu’on peut transcender son pouvoir aveugle.

Interprétation de la Bible

Les exemples qui suivent montreront que ce que la plupart des personnes supposément bien informées pensent connaître du judaïsme peut être très trompeur, à moins qu’elles lisent l’hébreu. Tous les détails mentionnés ci-dessus peuvent être trouvés dans les textes originaux ou, dans certains cas, dans des livres modernes écrits en hébreu pour un lectorat plutôt spécialisé. En anglais on les chercherait vainement, même lorsque l’omission de faits aussi importants sur le plan social déforme l’ensemble du tableau.

Une autre idée fausse à propos du judaïsme est particulièrement répandue parmi les chrétiens ou les personnes fortement influencées par la tradition et la culture chrétiennes. C’est l’idée trompeuse que le judaïsme est une « religion biblique » ; que l’Ancien Testament a pour le judaïsme la même place centrale et la même autorité légale que la Bible pour le christianisme protestant ou même catholique.

Encore une fois, cela est lié à la question de l’interprétation. Nous avons vu qu’en matière de conviction, il y avait une grande latitude. C’est exactement le contraire qui se produit en ce qui concerne l’interprétation juridique des textes sacrés. Ici, l’interprétation est fixée de manière rigide — mais par le Talmud plutôt que par la Bible elle-même37. De nombreux, peut-être la plupart des versets bibliques prescrivant des actes et obligations religieux sont « compris » par le judaïsme classique et par l’orthodoxie actuelle dans un sens est tout à fait distinct de, ou même contraire à, leur sens littéral tel que l’entendent les lecteurs chrétiens ou autres de l’Ancien Testament, qui ne voient que le texte littéral. La même division existe actuellement en Israël entre ceux qui sont éduqués dans des écoles religieuses juives et ceux qui sont éduqués dans des écoles hébraïques « laïques », où, dans l’ensemble, le sens manifeste de l’Ancien Testament est enseigné.

Ce point important ne peut être compris que par des exemples. On notera que les changements de signification ne vont pas tous dans le même sens du point de vue de l’éthique telle qu’on la conçoit aujourd’hui. Les apologétiques du judaïsme prétendent que l’interprétation de la Bible, qui trouve son origine chez les Pharisiens et qui est fixée dans le Talmud, est toujours plus libérale que le sens littéral. Mais certains des exemples ci-dessous montrent que c’est loin d’être le cas.

1. Commençons par le Décalogue lui-même. Le huitième commandement, « Tu ne voleras pas » (Exode, 20:15), est interprété comme une interdiction de « voler » (c’est-à-dire de kidnapper) un Juif. La raison en est que, selon le Talmud, tous les actes interdits par le Décalogue sont des infractions capitales. Voler des biens n’est pas une infraction capitale (tandis que la loi talmudique autorise le kidnapping de Gentils par des Juifs), d’où son interprétation. Une phrase pratiquement identique — « Vous ne volerez pas » (Lévitique, 19:11) — est toutefois autorisée à avoir son sens littéral.

2. Le fameux verset « Œil pour œil, dent pour dent », etc. (Exode, 21:24) signifie « amende-œil pour œil », c’est-à-dire le paiement d’une amende compensatrice équivalente à la valeur attribuée à la perte d’un œil plutôt que la mutilation physique.

3. Voici un cas notoire de transformation du sens littéral en son exact opposé. Le texte biblique met clairement en garde contre le fait de suivre la foule dans une cause injuste : « Tu ne suivras point la multitude pour faire le mal ; et tu ne déposeras point dans un procès en te mettant du côté du grand nombre, pour violer la justice. » (Exode, 23 : 2). Les derniers mots de cette phrase — « en te mettant du côté du grand nombre, pour violer la justice » — sont dissociés de leur contexte et interprétés comme une injonction de suivre la majorité et ainsi de violer la justice !

4. Le verset « Tu ne feras point cuire un chevreau dans le lait de sa mère. » (Exode, 23:19) est interprété comme une interdiction de mélanger tout type de viande avec du lait ou un produit laitier. Étant donné que le même verset est répété dans deux autres endroits du Pentateuque, la simple répétition est considérée comme une interdiction triple, interdisant à un Juif (1) de consommer une telle mixture, (2) de la cuire à des fins quelconques et (3) d’en bénéficier ou d’en tirer profit de quelque manière que ce soit.38

5. Dans de nombreux cas, les termes généraux tels que « ton semblable », « étranger » ou même « homme » ont une signification chauvine exclusiviste. Le judaïsme classique (et orthodoxe actuel) interprète le fameux verset « Tu aimeras ton prochain39 comme toi-même » (Lévitique, 19:18) comme une injonction à aimer son coreligionnaire juif, et non n’importe quel autre être humain. De même, le verset « Tu ne t’élèveras point contre le sang de ton prochain. » (ibid., 16) signifierait qu’il ne faut pas rester inactif quand la vie (le « sang ») d’un Juif est en danger ; mais, comme on le verra au chapitre 5, il est en général interdit aux Juifs de sauver la vie d’un non-juif, car « il n’est pas ton semblable ». L’injonction généreuse de laisser le glanage de son champ et de son vignoble « au pauvre et à l’étranger » (ibid., 9-10) est interprétée comme se référant exclusivement aux pauvres Juifs et aux convertis au judaïsme. Les lois taboues relatives aux cadavres commencent par le verset suivant : « Voici la loi. Lorsqu’un homme mourra dans une tente, quiconque entrera dans la tente, et quiconque se trouvera dans la tente, sera impur pendant sept jours. » (Nombres, 19:14). Mais le mot « homme » (adam) signifie « Juif », de sorte que seul un cadavre juif est tabou (c’est-à-dire à la fois « impur » et sacré). Sur la base de cette interprétation, les Juifs pieux ont un grand respect magique envers les cadavres et les cimetières juifs, mais n’ont aucun respect pour les cadavres et les cimetières non-juifs. Ainsi, des centaines de cimetières musulmans ont été complètement détruits en Israël (dans un cas, afin de faire de la place pour l’hôtel Hilton de Tel-Aviv), mais le fait que le cimetière juif du mont des Oliviers ait été endommagé sous l’autorité jordanienne (avant 1967) a suscité un tollé général. Les exemples de ce genre sont trop nombreux pour être cités. Certaines des conséquences inhumaines de ce type d’interprétation seront examinées au chapitre 5.

6. Enfin, considérons l’un des plus beaux passages prophétiques, la magnifique condamnation par Esaïe de l’hypocrisie et des rituels vides de sens, et l’exhortation à la décence commune. Un verset (Esaïe, 1:15) de ce passage est le suivant : « Quand vous étendez vos mains, je détourne de vous mes yeux. Quand vous multipliez les prières, je n’écoute pas : vos mains sont pleines de sang. » Étant donné que les prêtres juifs « étendent leurs mains » lorsqu’ils bénissent le peuple pendant leur office, ce verset est censé signifier qu’un prêtre qui commet un homicide accidentel ne peut plus « étendre ses mains » durant une bénédiction (même s’il s’est repenti) parce qu’elles sont « pleines de sang ».

Même à partir de ces seuls exemples, il apparait clairement que, lorsque les Juifs orthodoxes aujourd’hui (ou tous les Juifs avant 1780 environ) lisent la Bible, ils lisent un livre très différent, ayant un sens totalement différent de la Bible lue par des non-juifs ou des Juifs non orthodoxes. Cette distinction s’applique même en Israël, bien que les deux parties y lisent le texte en hébreu. L’expérience, particulièrement depuis 1967, l’a corroboré à plusieurs reprises. De nombreux Juifs en Israël (et ailleurs), qui ne sont pas orthodoxes et ont une connaissance limitée des arcanes de la religion juive, ont essayé de faire honte aux Israéliens orthodoxes (ou aux membres de la droite fortement influencés par la religion) par leur attitude inhumaine envers les Palestiniens, en leur citant des versets de la Bible dans leur sens le plus manifeste (humaniste et sans exclusivisme juif). Cependant, il a toujours été constaté que de tels arguments n’ont aucun effet sur ceux qui suivent le judaïsme classique : ils ne comprennent tout simplement pas ce qui leur est dit, car pour eux le texte biblique signifie quelque chose de très différent du sens commun.

Si un tel fossé de communication existe en Israël, où les gens lisent l’hébreu et peuvent facilement obtenir des informations correctes s’ils le souhaitent, on peut imaginer à quel point le malentendu à l’étranger est profond, par exemple chez les personnes éduquées dans la tradition chrétienne. En fait, plus une telle personne lit la Bible, moins elle en sait sur le judaïsme orthodoxe. Car celui-ci considère l’Ancien Testament comme un texte de formules sacrées immuables, dont la récitation est un acte de grand mérite, mais dont la signification est entièrement déterminée ailleurs. Et, comme Humpty Dumpty (le Gros Coco) l’a dit à Alice, derrière le problème de la détermination du sens des mots, se trouve la vraie question : « Qui sera le maître ? »

Structure du Talmud

Il faut donc clairement comprendre que c’est le Talmud, ou, plus précisément, le soi-disant Talmud de Babylone, qui est la source d’autorité de toutes les pratiques du judaïsme classique (et orthodoxe actuel), la base déterminante de sa structure juridique ; tandis que le reste de la littérature talmudique (y compris le soi-disant Talmud de Jérusalem ou Talmud palestinien) fait office d’autorité complémentaire.

Nous ne pouvons pas entrer ici dans une description détaillée du Talmud et de la littérature talmudique, mais nous nous limiterons à quelques points principaux nécessaires à notre argumentation. Fondamentalement, le Talmud se compose de deux parties. La première partie est la Mishna, un code juridique succinct composé de six volumes, chacun subdivisé en plusieurs traités écrits en hébreu, rédigés en Palestine autour de l’an 200 après J.-C. sur une base juridique beaucoup plus étendue (et en grande partie orale) composée au cours des deux siècles précédents. La deuxième partie, de loin prédominante, est la Gémara, un volumineux compte rendu de discussions sur et autour de la Mishna. Il existe deux ensembles de Gémara, à peu près parallèles : l’un composé en Mésopotamie (« Babylone ») entre 200 et 500 de notre ère environ, l’autre en Palestine entre environ 200 et une date inconnue bien antérieure à l’an 500. Le Talmud de Babylone (c’est-à-dire, la Mishna plus la Gémara mésopotamienne) est beaucoup plus long et mieux organisé que le Talmud Palestinien, et c’est le seul à être considéré comme définitif et faisant autorité. Le Talmud de Jérusalem (Palestinien) bénéficie d’un statut nettement inférieur en tant qu’autorité légale, de même que de nombreuses compilations connues collectivement comme la « littérature talmudique », contenant des documents que les éditeurs des deux Talmuds avaient omis.

Contrairement à la Mishna, le reste de la littérature talmudique est écrit en un mélange d’hébreu et d’araméen, cette dernière langue étant prédominante dans le Talmud Babylonien. En outre, il ne se limite pas aux questions juridiques. Sans ordre ni raison apparents, la discussion juridique peut être soudainement interrompue par ce que l’on appelle le « récit narratif » (Aggadah), un mélange de contes et d’anecdotes impliquant des rabbins ou des gens ordinaires, des personnages bibliques, des anges, des démons, de la sorcellerie et des miracles40. Ces passages narratifs, bien que de grande influence populaire dans le judaïsme à travers les âges, ont toujours été considérés (même par le Talmud) comme ayant une valeur secondaire. Ce sont les parties juridiques du texte qui revêtent une importance primordiale pour le judaïsme classique, en particulier la discussion des cas considérés comme problématiques. Le Talmud lui-même définit les différentes catégories de Juifs, par ordre croissant, comme suit : la plus basse catégorie est composée de ceux qui sont totalement ignorants ; puis viennent ceux qui ne connaissent que la Bible ; puis ceux qui connaissent la Mishna ou Aggadah ; et enfin la classe supérieure, composée de ceux qui ont étudié et qui sont capables de discuter de la partie légale du Gémara. Seuls ces derniers sont aptes à diriger leurs semblables Juifs en toutes choses.

Le système juridique du Talmud peut être décrit comme totalement exhaustif, rigoureusement autoritaire, et pourtant capable d’un développement infini, sans toutefois changer sa base dogmatique. Tous les aspects de la vie juive, tant individuels que sociaux, sont abordés et régis, généralement de manière très détaillée, avec des sanctions et des peines prévues pour tout péché ou infraction aux règles qui se puissent concevoir. Les règles de base pour chaque problème sont énoncées de manière dogmatique et ne peuvent être remises en question. Ce qui peut l’être et qui est discuté très longuement est l’élaboration et la définition pratique de ces règles. Permettez-moi de donner quelques exemples.

« Ne réaliser aucun travail » durant le sabbat. Le concept de travail est défini comme comprenant exactement 39 types de travaux, ni plus ni moins. Le critère d’inclusion dans cette liste n’a rien à voir avec la pénibilité d’une tâche donnée ; c’est simplement une question de définition dogmatique. Un type de « travail » interdit est l’écriture. La question se pose alors : combien de caractères faut-il écrire pour avoir commis le péché d’écrire durant le sabbat ? Réponse : deux caractères. Le péché est-il le même en fonction de la main qui est utilisée (droite ou gauche) ? Réponse : non. Cependant, afin d’éviter de tomber dans le péché, la principale interdiction d’écrire est renforcée par une interdiction secondaire de toucher à tout instrument d’écriture pendant le sabbat.

Un autre type de travail interdit durant le sabbat est de moudre le grain. On en déduit par analogie que tout type de meulage est interdit. Et cela est à son tour renforcé par une interdiction d’exercer la médecine le jour du sabbat (sauf en cas de danger pour une vie juive), afin d’éviter de tomber dans le péché de moudre un médicament. Il est vain de souligner que, dans les temps modernes, un tel danger n’existe pas (il n’existait d’ailleurs pas dans de nombreux cas, même à l’époque talmudique) ; car, en tant que mesure de précaution autour de la mesure de précaution, le Talmud interdit explicitement les médicaments liquides et les boissons réparatrices pendant le sabbat. Ce qui a été déterminé reste à jamais déterminé, aussi absurde que cela puisse être. Tertullien, l’un des premiers pères de l’Église, avait écrit : « Je crois parce que c’est absurde ». Cela peut servir de devise à la majorité des règles talmudiques, « Je crois » étant remplacé par « Je le pratique ».

L’exemple suivant illustre encore mieux le niveau d’absurdité atteint par ce système de croyance. Un des types de travail interdit durant le sabbat est la récolte. Par analogie, cela s’étend à l’interdiction de casser la branche d’un arbre. Par conséquent, il est interdit de monter à cheval (ou tout autre animal), en guise de mesure de sécurité contre la tentation de casser la branche d’un arbre pour fouetter la bête. Il est inutile d’argumenter que vous avez un fouet prêt à l’emploi, ou que vous avez l’intention de chevaucher dans un endroit dénué d’arbres. Ce qui est interdit reste interdit pour toujours. Cela peut cependant être étendu et rendu plus strict : à l’époque moderne, il est interdit de faire du vélo le jour du sabbat, car c’est comme faire du cheval.

Mon dernier exemple montre comment les mêmes méthodes sont également utilisées dans des cas purement théoriques, n’ayant aucune application concevable dans la réalité. Pendant l’existence du Temple, le Grand Prêtre n’était autorisé à épouser qu’une vierge. Bien que pendant la quasi-totalité de la période talmudique il n’y ait plus eu de Temple ou de Grand Prêtre, le Talmud consacre l’une de ses discussions les plus animées (et les plus bizarres) à la définition précise du terme « vierge » pouvant épouser un Grand Prêtre. Qu’en est-il d’une femme dont l’hymen a été rompu par accident ? Est-ce que cela fait une différence que l’accident se soit produit avant ou après l’âge de trois ans ? Par l’impact du métal ou du bois ? Grimpait-elle à un arbre lorsque l’accident est arrivé ? Et si oui, est-ce qu’elle montait ou descendait ? Est-ce arrivé naturellement ou anormalement ? Tout cela et bien d’autres choses sont discutées en détail. Et tous les érudits du judaïsme classique devaient maîtriser sur le bout des doigts des centaines de problèmes de ce genre. Les grands érudits se distinguaient par leur capacité à développer davantage ces problèmes, car, comme le montrent les exemples, il est toujours possible de poursuivre le développement — même si c’est dans un seul sens, celui de davantage de sévérité —, et ce développement s’est effectivement poursuivi après la rédaction finale du Talmud.

Cependant, il existe deux grandes différences entre la période talmudique (se terminant vers 500 ap. J.-C.) et la période du judaïsme classique (à partir d’environ 800 ap. J.-C.). 1) Le Talmud est le produit d’une aire géographique limitée, et 2) La société juive qui y est décrite est une société « complète », fondée sur l’agriculture. (Ceci est vrai pour la Mésopotamie ainsi que pour la Palestine.) Bien qu’à cette époque, des Juifs vivaient dans tout l’empire romain et dans de nombreuses régions de l’empire sassanide, il ressort clairement du texte talmudique que sa composition — durant plus d’un demi-millénaire — était une affaire strictement locale. Aucun érudit de contrées autres que la Mésopotamie et la Palestine n’y a pris part, et le texte ne reflète pas non plus les conditions sociales extérieures à ces deux régions.

On sait très peu de choses sur les conditions sociales et religieuses des Juifs au cours des trois siècles qui se sont écoulés entre les deux périodes (de l’an 500 à l’an 800). Mais à partir de l’an 800 de notre ère, lorsque des informations historiques plus détaillées sont à nouveau disponibles, nous constatons que les deux caractéristiques mentionnées ci-dessus ont été inversées. Le Talmud babylonien (et dans une bien moindre mesure le reste de la littérature talmudique) est reconnu comme faisant autorité, étudié et développé dans toutes les communautés juives. Dans le même temps, la société juive avait subi un profond changement : peu importe où elle se trouve et ce qu’elle est, elle ne comprend plus de paysans.

Le système social résultant de ce changement sera discuté au chapitre 4. Nous allons décrire ici comment le Talmud a été adapté aux conditions — géographiquement beaucoup plus larges et socialement beaucoup plus étroites, et de toute façon radicalement différentes — du judaïsme classique.

Nous allons nous concentrer sur ce qui est à mon avis la méthode d’adaptation la plus importante, à savoir les dispenses ou exemptions.

Les dispenses

Comme indiqué ci-dessus, le système talmudique est très dogmatique et ne permet aucun assouplissement de ses règles, même si celles-ci sont réduites à l’absurde par un changement de circonstances. Et dans le cas du Talmud — contrairement à celui de la Bible —, le sens littéral du texte est contraignant et il n’est pas permis de l’interpréter pour actualiser ou rationaliser son sens. Mais à l’époque du judaïsme classique, diverses lois talmudiques devinrent intenables pour les classes dirigeantes juives — les rabbins et les riches. Dans l’intérêt de ces classes dirigeantes, une méthode de tromperie systématique a été mise au point pour respecter la lettre de la loi, tout en violant son esprit et son intention. C’est ce système hypocrite de « dispenses » (heterim, signifiant exemption ou dérogation) qui, à mon sens, a été la cause la plus importante de la dégradation du judaïsme à son époque classique. (La deuxième cause est le mysticisme juif, qui a cependant opéré pendant une période beaucoup plus courte.) Encore une fois, quelques exemples sont nécessaires pour illustrer le fonctionnement du système.

1. Le prêt à intérêt. Le Talmud interdit formellement à un Juif, sous peine d’un châtiment sévère, de percevoir des intérêts sur un prêt consenti à un autre Juif. (Selon la majorité des autorités talmudiques, c’est un devoir religieux que de fixer le taux d’intérêt le plus élevé possible à un emprunt consenti à un non-juif.) Des règles très détaillées interdisent même les formes les plus tirées par les cheveux par lesquelles un créditeur juif pourrait tirer profit d’un débiteur juif. Tous les complices juifs d’une telle transaction illicite, y compris le scribe et les témoins, sont qualifiés d’infâmes par le Talmud, et interdits de témoigner devant un tribunal, car en participant à un tel acte, un Juif déclare pour ainsi dire « qu’il n’a aucune part dans le Dieu d’Israël ». Il est évident que cette loi est bien adaptée aux besoins des paysans et artisans juifs, ou des petites communautés juives qui utilisent leur argent pour prêter à des non-juifs. Mais la situation était très différente en Europe de l’Est (principalement en Pologne) au XVIe siècle. Il y avait une communauté juive relativement importante, qui constituait la majorité dans de nombreuses villes. Les paysans, soumis à un servage strict proche de l’esclavage, n’étaient guère en mesure d’emprunter, tandis que prêter à la noblesse était l’affaire de quelques très riches Juifs. Beaucoup de Juifs faisaient des affaires les uns avec les autres.

Dans ces circonstances, le dispositif suivant (appelé heter’isqa — « dispense commerciale ») a été conçu pour un emprunt portant intérêt entre Juifs, ce qui ne constitue pas une violation de la lettre de la loi, car il ne s’agit pas formellement d’un emprunt. Le prêteur « investit » son argent dans les affaires de l’emprunteur, stipulant deux conditions. Premièrement, l’emprunteur versera au prêteur à une date ultérieure convenue une somme d’argent indiquée (en réalité, l’intérêt du prêt) à titre de « part (du prêteur) sur les bénéfices » (allégués) du débiteur. Deuxièmement, l’emprunteur sera présumé avoir réalisé un bénéfice suffisant pour donner sa part au prêteur, à moins que l’affirmation contraire ne soit corroborée par le témoignage du rabbin ou du juge rabbinique de la ville — qui, par arrangement, refusaient de témoigner dans ces cas. En pratique, tout ce qui est requis est de prendre un texte de cette dispense, rédigé en araméen et tout à fait incompréhensible pour la grande majorité, et de le placer sur un mur de la pièce où la transaction est effectuée (une copie de ce texte est aujourd’hui affichée dans toutes les succursales des banques israéliennes) ou même de le garder dans un coffre — et le prêt portant intérêt entre Juifs devient parfaitement légal et irréprochable.

2. L’année sabbatique. Selon la loi talmudique (basée sur Lévitique, 25), les terres détenues par des Juifs en Palestine41 « doivent être laissées en jachère tous les sept ans » (année sabbatique), lorsque tout travail agricole (y compris la récolte) y est interdit. Il est clairement établi que cette loi a été rigoureusement observée pendant environ mille ans, à partir du Ve siècle avant notre ère jusqu’à la disparition de l’agriculture juive en Palestine. Puis, lorsqu’il n’y eut aucune occasion d’appliquer la loi dans la pratique, elle fut maintenue théoriquement intacte. Cependant, dans les années 1880, avec l’établissement des premières colonies juives agricoles en Palestine, la question devint une préoccupation pratique. Des rabbins, qui soutenaient les colons élaborèrent avec bienveillance une dispense, qui fut ensuite perfectionnée par leurs successeurs au sein des partis religieux sionistes, et qui est devenue une pratique israélienne bien établie.

Voilà comment cela fonctionne. Peu de temps avant une année sabbatique, le ministre israélien des Affaires Intérieures remet au Grand Rabbin un document le rendant propriétaire légal de toutes les terres israéliennes, privées et publiques. Armé de ce papier, le Grand Rabbin se rend chez un non-juif et lui vend toute la terre d’Israël (et, depuis 1967, les territoires occupés) pour une somme symbolique. Un document séparé stipule que « l’acquéreur » « revendra » le terrain au Rabbin une fois l’année écoulée. Et cette transaction se répète tous les sept ans, généralement avec le même « acquéreur ».

Les rabbins non-sionistes ne reconnaissent pas la validité de cette dispense42, affirmant à juste titre que, puisque la loi religieuse interdit aux Juifs de vendre des terres de Palestine à des non-juifs, l’ensemble de la transaction est basée sur un péché et donc nulle et non avenue. Les rabbins sionistes répondent cependant que ce qui est interdit est une vente réelle et non fictive !

3. Traire les vaches durant le sabbat. Cela a été interdit à l’époque post-talmudique, par le processus de sévérité religieuse croissante mentionné ci-dessus. L’interdiction pouvait facilement être maintenue dans la diaspora, car les Juifs qui possédaient des vaches étaient généralement assez riches pour avoir des serviteurs non-juifs, à qui on pouvait demander (en utilisant l’un des subterfuges décrits ci-dessous) d’effectuer la traite. Les premiers colons juifs en Palestine employaient des Arabes pour cela et d’autres choses, mais l’imposition forcée de la politique sioniste de travail exclusif des Juifs nécessitait une dispense. (Cela était particulièrement important avant l’introduction de la traite mécanisée à la fin des années 1950.) Là aussi, il y avait une différence entre les rabbins sionistes et les rabbins non-sionistes.

Selon les rabbins sionistes, la traite interdite devient autorisée à condition que le lait ne soit pas blanc, mais coloré en bleu. Ce lait bleu du samedi est donc utilisé exclusivement pour la fabrication du fromage, et le colorant est ensuite éliminé par lavage dans le lactosérum. Les rabbins non-sionistes ont mis au point un système beaucoup plus subtil (dont j’ai personnellement été témoin dans un kibboutz religieux en 1952). Ils ont découvert une vieille disposition qui permet de vider les mamelles d’une vache durant le sabbat, uniquement pour soulager les souffrances causées à l’animal par des mamelles gonflées, et à la stricte condition que le lait soit déversé au sol pour ne pas être consommé. Voilà ce qui se passe réellement : samedi matin, un pieux kibboutznik se rend à l’étable et place des seaux sous les vaches. (Un tel travail n’est pas interdit dans l’ensemble de la littérature talmudique.) Il se rend ensuite à la synagogue pour prier. Vient ensuite son collègue, qui a pour « intention sincère » de soulager la douleur des animaux et de laisser leur lait couler au sol. Mais si, par hasard, un seau se trouvait sous leurs mamelles, est-il obligé de l’enlever ? Bien sûr que non. Il « ignore » simplement les seaux, remplit sa mission de miséricorde et se rend à la synagogue. Finalement, un troisième collègue pieux entre dans l’étable et découvre, à sa grande surprise, les seaux pleins de lait. Alors il les met dans une chambre froide et suit ses camarades à la synagogue. Maintenant, tout va bien, et il n’y a pas besoin de gaspiller de l’argent en colorant bleu.

4. Cultures mixtes. Des dispenses similaires ont été émises par les rabbins sionistes en ce qui concerne l’interdiction (basée sur Lévitique, 19:19) de semer deux espèces de cultures différentes dans le même champ. L’agronomie moderne a cependant montré que dans certains cas (notamment dans la culture du fourrage), les semis en mélange sont les plus rentables. Les rabbins ont inventé une dispense selon laquelle un homme sème le champ dans le sens de la longueur avec une sorte de graine et, plus tard dans la journée, son camarade, qui « ne sait pas » ce qu’a fait l’autre, sème un autre type de graine de manière transversale. Cependant, cette méthode était perçue comme un gaspillage de main-d’œuvre, et une meilleure fut conçue : un homme entasse un type de graines dans un lieu public et le recouvre soigneusement d’un sac ou d’une planche. Le second type de graines est ensuite placé par-dessus. Plus tard, un autre homme arrive et s’exclame devant des témoins : « J’ai besoin de ce sac (ou de cette planche) » et l’enlève, pour que les graines se mélangent « naturellement » et fortuitement. Enfin, un troisième homme arrive et on lui dit : « Prends ces graines et sème le champ », ce qu’il fait ensuite43.

5. Le pain au levain (et autres produits de fermentation) ne doivent pas être consommés ni même gardés en possession d’un Juif pendant les sept (ou, en dehors de la Palestine, huit) jours de Pâque. Le concept de « substances levée » a été continuellement élargi et l’aversion de les voir pendant la fête a approché l’hystérie. Ils comprennent toutes sortes de farines et même de grains non moulus. Dans la société talmudique d’origine, cela était supportable, car le pain (levé ou non) était généralement cuit une fois par semaine ; une famille paysanne utiliserait le dernier grain de l’année précédente pour cuire du pain sans levain à l’occasion de la fête, qui inaugurerait la nouvelle saison des récoltes. Cependant, dans les conditions du judaïsme européen post-talmudique, l’observance de cet interdit était très difficile pour une famille juive de la classe moyenne et encore plus pour un marchand de maïs. Une dispense a donc été conçue, par laquelle toutes ces substances sont vendues fictivement à un non-juif avant Pâque et rachetées automatiquement après. Ce qu’il faut faire, c’est enfermer les substances taboues pendant toute la durée de la fête. En Israël, cette vente fictive a été rendue plus efficace. Les Juifs religieux « vendent » leurs substances levées à leurs rabbins locaux, qui les « vendent » à leur tour aux Grands Rabbins ; ces derniers les vendent à un non-juif, et, par dérogation spéciale, cette vente est présumée inclure également les substances au levain de Juifs non pratiquants.

6. Le goy du Sabbat. Les dispenses les plus élaborées concernent probablement le « Goy (gentil/non-juif) du sabbat ». Comme mentionné ci-dessus, l’éventail des tâches interdites durant le sabbat s’est élargi continuellement ; mais l’éventail des tâches qui doivent être effectuées ou supervisées pour satisfaire les besoins ou augmenter le confort ne cesse de s’élargir lui aussi. Ceci est particulièrement vrai à l’époque moderne, mais l’effet du changement technologique a commencé à se faire sentir il y a longtemps. L’interdiction de moudre du grain pendant le sabbat était une affaire relativement légère pour un paysan ou un artisan juif, par exemple en Palestine au IIe siècle, qui utilisait un moulin à main à des fins domestiques. Il en va tout autrement pour le locataire d’un moulin à eau ou d’un moulin à vent — l’une des occupations juives les plus courantes en Europe orientale. Mais même un « problème » humain aussi simple que le désir de prendre une tasse de thé chaud le samedi après-midi devient bien plus grand avec le samovar tentant présent dans la salle, utilisé régulièrement en semaine, mais interdit le samedi. Ce ne sont que deux exemples parmi un très grand nombre de problèmes dits de « respect du sabbat ». Et on peut affirmer avec certitude que, pour une communauté composée exclusivement de Juifs orthodoxes, ces problèmes étaient parfaitement insolubles, du moins au cours des huit ou dix derniers siècles, sans « l’aide » de non-juifs. C’est encore plus vrai aujourd’hui dans « l’État juif », car de nombreux services publics, tels que l’eau, le gaz et l’électricité, entrent dans cette catégorie. Le judaïsme classique ne pourrait pas exister durant une semaine sans faire appel à des non-juifs.

Mais sans dispenses spéciales, il est très difficile d’employer des non-juifs pour ces travaux du samedi ; car les règlements talmudiques interdisent aux Juifs de demander à un non-juif de faire durant le sabbat tout travail qui leur est interdit44. Je décrirai deux des nombreux types de dispenses utilisées à cette fin.

Premièrement, il y a la méthode de « l’allusion », qui dépend de la logique casuistique selon laquelle une demande pécheresse devient irréprochable si elle est exprimée de manière déviée. En règle générale, l’indication doit être « obscure », mais dans les cas d’extrême nécessité, une indication « claire » est autorisée. Par exemple, dans une brochure récente sur l’observance religieuse à l’usage des soldats israéliens, ces derniers apprennent à parler aux travailleurs arabes employés par l’armée en tant que « Goys de sabbat ». Dans des cas urgents, par exemple lorsqu’il fait très froid et qu’un feu doit être allumé, ou lorsque la lumière est nécessaire pour un service religieux, un soldat juif pieux peut utiliser une allusion « claire » et dire à l’arabe : « Il fait froid (ou sombre) ici. » Mais normalement une allusion « obscure » doit suffire, par exemple : « Ce serait plus agréable s’il faisait plus chaud ici45. » Cette méthode d’« allusion » est d’autant plus répugnante et dégradante qu’elle est normalement utilisée sur des non-juifs qui, en raison de leur pauvreté ou de leur position sociale subordonnée, sont entièrement au pouvoir de leur employeur juif. Un serviteur non-juif (ou employé de l’armée israélienne) qui ne s’entraîne pas à interpréter les « allusions obscures » comme des ordres sera impitoyablement renvoyé.

La deuxième méthode est utilisée dans les cas où ce que le non-juif est tenu de faire le samedi n’est pas une tâche occasionnelle ou un service personnel, qui peut être « suggéré » au besoin par une « allusion », mais un travail routinier ou régulier sans supervision juive constante. Selon cette méthode — appelée « inclusion implicite » (havla’ah) du sabbat entre les jours de semaine —, les Gentils sont embauchés « pour toute la semaine (ou l’année) », sans que le sabbat ne soit ne serait-ce que mentionné dans le contrat. Mais en réalité, le travail n’est accompli quedurant le sabbat. Cette méthode a été utilisée dans le passé pour embaucher des non-juifs pour éteindre les bougies dans la synagogue après la prière de la veille du sabbat (plutôt que de les laisser se consumer, ce qui serait du gaspillage). Les exemples israéliens modernes sont la régulation de l’approvisionnement en eau ou la surveillance des réservoirs d’eau le samedi46.

Une idée similaire est également utilisée dans le cas des Juifs, mais dans un but différent. Il est interdit aux Juifs de recevoir un paiement pour le travail accompli durant le sabbat, même si ce travail lui-même est autorisé. Le principal exemple concerne les professions sacrées : le rabbin ou savant talmudique qui prêchent ou enseignent le jour du sabbat, le chantre qui chante uniquement le samedi et les autres jours saints (pendant lesquels des interdictions similaires s’appliquent), le sacristain et d’autres offices analogues. À l’époque talmudique, et dans certains pays, même plusieurs siècles après, ces emplois étaient non rémunérés. Mais plus tard, lorsque ces professions sont devenues salariées, la dispense de « l’inclusion implicite » a été utilisée et ils ont été embauchés sur une base « mensuelle » ou « annuelle ». Dans le cas des rabbins et des talmudistes, le problème est particulièrement compliqué, car le Talmud leur interdit de recevoir tout paiement pour prêcher, enseigner ou étudier le Talmud, même en semaine47. Pour eux, une dérogation supplémentaire stipule que leur salaire n’est pas du tout un salaire réel, mais une « allocation de chômage » (dmey batalah). En tant que résultat combiné de ces deux fictions, ce qui est en réalité un paiement pour un travail effectué principalement, voire exclusivement, le jour du sabbat, est transformé en un paiement pour chômage pendant les autres jours de la semaine.

Aspects sociaux des dispensations

Deux caractéristiques sociales de ces pratiques et de nombreuses autres pratiques similaires méritent une mention spéciale.

Premièrement, une caractéristique dominante de ce système de dispensations, et du judaïsme classique dans la mesure où il s’appuie sur elles, est la tromperie, en premier lieu la tromperie de Dieu, si ce mot peut être utilisé pour un être imaginaire si facilement trompé par les rabbins, qui se considèrent plus intelligents que lui. On ne peut concevoir un plus grand contraste que celui qui existe entre le Dieu de la Bible (en particulier celui des plus grands prophètes) et le Dieu du judaïsme classique. Ce dernier ressemble plus au Jupiter romain primitif, qui était lui aussi facilement berné par ses adorateurs, ou aux dieux décrits dans Le Rameau d’or de Frazer (ouvrage consacré à la mythologie antique).

Du point de vue éthique, le judaïsme classique représente un processus de dégénérescence qui se poursuit encore ; et cette dégénérescence en une collection tribale de rituels vides et de superstitions magiques a des conséquences sociales et politiques très importantes. Car il faut se rappeler que ce sont précisément les superstitions du judaïsme classique qui ont la plus grande emprise sur les masses juives, plutôt que ces parties de la Bible ou même du Talmud qui ont une réelle valeur religieuse et éthique. (On peut observer la même chose dans d’autres religions qui connaissent actuellement un renouveau.) Qu’est-ce qui est généralement considéré comme l’occasion la plus « sainte » et la plus solennelle de l’année liturgique juive, à laquelle même de très nombreux Juifs par ailleurs loin de la religion participent ? C’est la prière de Kol Nidré à la veille de Yom Kippour — la psalmodie d’une dispense particulièrement absurde et trompeuse, par laquelle tous les vœux privés faits à Dieu l’année suivante sont déclarés par avance nuls et non avenus48 (« Tous les vœux que nous pourrions faire depuis ce jour de Kippour jusqu’à celui de l’année prochaine — qu’il nous soit propice —, toute interdiction ou sentence d’anathème que nous prononcerions contre nous-mêmes, toute privation ou renonciation que, par simple parole, par vœu ou par serment nous pourrions nous imposer, nous les rétractons d’avance ; qu’ils soient tous déclarés non valides, annulés, dissous, nuls et non avenus ; qu’ils n’aient ni force ni valeur ; que nos vœux ne soient pas regardés comme vœux, ni nos serments comme serments. »). Ou, dans le domaine de la religion personnelle, la prière Kaddish, récitée durant les jours de deuil des Fils pour leurs parents défunts afin d’élever leurs âmes disparues au paradis — une récitation d’un texte araméen, incompréhensible pour la grande majorité. De toute évidence, le respect accordé par les masses juives à ces éléments, les plus superstitieux de la religion juive, n’est pas accordé aux éléments plus valorisants et plus dignes.

La tromperie de Dieu va de pair avec la tromperie des autres Juifs, principalement dans l’intérêt de la classe dirigeante juive. Il est caractéristique qu’aucune dérogation n’ait été autorisée dans l’intérêt spécifique des Juifs pauvres. Par exemple, les rabbins (qui n’avaient pas souvent faim eux-mêmes) ne permettaient jamais aux Juifs accablés par la famine, mais qui n’étaient pas sur le point de mourir, de manger la moindre nourriture interdite, bien que la nourriture casher soit généralement plus chère.

La deuxième caractéristique dominante des dispenses est qu’elles sont en grande partie manifestement motivées par l’esprit de lucre. Et c’est cette combinaison d’hypocrisie et de quête du profit qui a dominé de plus en plus le judaïsme classique. En Israël, où le processus se poursuit, l’opinion publique le perçoit faiblement, malgré tout le lavage de cerveau officiel prôné par le système éducatif et les médias. Les institutions religieuses — les rabbins et les partis religieux — et, par association, dans une certaine mesure, la communauté orthodoxe dans son ensemble, sont assez impopulaires en Israël. Une des raisons les plus importantes en est précisément leur réputation de duplicité et de vénalité. Bien entendu, l’opinion populaire (qui peut souvent avoir des préjugés) n’est pas la même chose que l’analyse sociale ; mais dans ce cas particulier, il est vrai que les autorités religieuses juives ont une forte tendance à la chicane et à la corruption, en raison de l’influence corruptrice de la religion juive orthodoxe. Parce que dans la vie sociale en général, la religion n’est que l’une des influences sociales, son impact sur la masse des croyants n’est pas aussi important que son impact sur les rabbins et les chefs des partis religieux. Les Juifs religieux en Israël qui sont honnêtes, comme le sont sans doute la majorité d’entre eux, ne le sont pas à cause de l’influence de leur religion et des rabbins, mais malgré elle. D’un autre côté, dans les quelques domaines de la vie publique en Israël qui sont entièrement dominés par les cercles religieux, le niveau de chicane, de vénalité et de corruption est notoire, dépassant de loin le niveau « moyen » toléré par la société israélienne généralement non-religieuse.

Au chapitre 4, nous verrons comment la prédominance de la recherche du profit dans le judaïsme classique est liée à la structure de la société juive et à son articulation avec la société générale au milieu de laquelle les Juifs vivaient à l’époque « classique ». Ici, je veux simplement faire remarquer que le motif du profit n’est pas caractéristique du judaïsme à toutes les périodes de son histoire. Seule la confusion platonicienne qui cherche « l’essence » métaphysique intemporelle du judaïsme, au lieu d’observer les changements historiques de la société juive, a obscurci ce fait. (Et cette confusion a été grandement encouragée par le sionisme, qui s’appuie sur des « droits historiques » tirés de la Bible au mépris de l’Histoire.) Ainsi, les apologistes du judaïsme prétendent, à juste titre, que la Bible est hostile à la quête du profit, tandis que le Talmud y est indifférent. Mais cela était dû aux conditions sociales très différentes dans lesquelles ces écrits furent composés. Comme indiqué ci-dessus, le Talmud a été composé dans deux régions bien définies, à une époque où les Juifs qui y vivaient constituaient une société basée sur l’agriculture et composée principalement de paysans, ce qui est très différent de la société du judaïsme classique.

Dans le chapitre 5, nous traiterons en détail des attitudes hostiles et des tromperies pratiquées par le judaïsme classique contre les non-juifs. Mais la tromperie à but lucratif pratiquée par les Juifs riches contre leurs compatriotes juifs pauvres est plus importante en tant que caractéristique sociale (comme la dispense concernant les intérêts sur les emprunts). Je dois dire ici, malgré mon opposition au marxisme tant en tant que philosophie que comme théorie sociale, que Marx avait tout à fait raison lorsque, dans ses deux articles sur le judaïsme, il le décrivait comme étant dominé par la recherche du profit — à condition que ce propos soit limité au judaïsme tel qu’il le connaissait, c’est-à-dire au judaïsme classique qui, dans sa jeunesse, était déjà entré dans sa période de dissolution. Certes, il a déclaré cela de manière arbitraire, anhistorique et sans preuve. Évidemment, il en arriva à sa conclusion par intuition ; mais son intuition dans ce cas — et dans les limites historiques appropriées — était juste.

À venir :

Chapitre IV – Le poids de l’histoire

Chapitre V – Les lois contre les non-juifs

Chapitre VI — Conséquences politiques

NOTES

1 Walter Laquer, Histoire du sionisme, Schocken Publishers, Tel-Aviv, 1974, en hébreu.

2 Voir Yedioth Ahronot, 27 avril 1992.

3 In Hugh Trevor-Roper, Essais sur la Renaissance, Fontana Press, Londres, 1985.

4 Voir Moses Hadas, Culture hellénique, fusion et diffusion, Columbia University Press, New York, 1959, en particulier les chapitres VII et XX.

5 Les Juifs eux-mêmes se sont universellement décrits comme une communauté religieuse ou, pour être plus précis, une nation religieuse. « Notre peuple n’est un peuple qu’à cause de la Torah (loi religieuse) ». Ce dicton de l’une des plus hautes autorités juives, le rabbin Sa’adia Hagga’on, qui vivait au Xème siècle, est devenu proverbial.

6 Par l’Empereur Joseph II en 1782.

7 Par exemple dans ses Origines du totalitarisme, dont une partie considérable est consacrée aux Juifs.

8 Avant la fin du XVIIIème siècle, les Juifs allemands n’étaient autorisés par leurs rabbins à écrire en allemand qu’en lettres hébraïques, sous peine d’être excommuniés, flagellés, etc.

9 Quand par un accord entre l’Empire romain et les dirigeants juifs (la dynastie des Nesi’im) tous les Juifs de l’Empire ont été soumis à l’autorité fiscale et disciplinaire de ces dirigeants et de leurs tribunaux rabbiniques, qui de leur côté s’engagèrent à faire régner l’ordre chez les Juifs..

10 Je ne suis pas socialiste. Mais j’honore et respecte les personnes qui ont des principes avec lesquels je suis en désaccord, si elles font un effort honnête pour être fidèle à leurs principes. En revanche, il n’y a rien de plus abject que l’utilisation malhonnête de principes universels, vrais ou faux, pour les fins égoïstes d’un individu ou, pire encore, d’un groupe.

11 En fait, de nombreux aspects du judaïsme orthodoxe ont apparemment été dérivés de Sparte, à travers l’influence politique funeste de Platon. Sur ce sujet, voir les excellents commentaires de Moses Hadas, Hellenistic Culture, Fusion and Diffusion, Columbia University Press, New York, 1959.

12 Y compris la géographie de la Palestine et son emplacement même. C’est ce que montre l’orientation de toutes les synagogues dans des pays tels que la Pologne et la Russie : les Juifs sont censés prier face à Jérusalem, et les Juifs européens, qui n’avaient qu’une vague idée de l’endroit où se trouvait Jérusalem, ont toujours supposé qu’elle était plein Est, alors que pour eux, elle était plutôt au Sud.

13 Tout au long de ce chapitre, j’utilise la formule « judaïsme classique » pour désigner le judaïsme rabbinique tel qu’il est apparu après environ l’an 800 et a duré jusqu’à la fin du XVIIIème siècle. J’évite de parler de « judaïsme normatif », formule que beaucoup d’auteurs utilisent avec à peu près le même sens, car à mon avis, elle a des connotations injustifiées.

14 Les œuvres de juifs hellénistiques, comme Philon d’Alexandrie, constituent une exception. Ils ont été écrits avant que le judaïsme classique ait atteint une position d’hégémonie exclusive. En effet, ils ont été subséquemment réprimés et censurés chez les Juifs, et ont survécu uniquement parce que les moines chrétiens les ont trouvés plaisants.

15 Pendant toute la période allant de l’an 100 à 1500, les lettrés juifs n’ont produit que deux ouvrages (de ce type) : un livre de voyage et une histoire des études talmudiques — un livre court, inexact et aride, composé en outre par un philosophe méprisé (Abraham ben-David, Espagne, 1170).

16 Me’or « Eynayim par » Azarya de Rossi de Ferrare, Italie, 1574.

17 Les cas de conversion les plus connus eurent lieu en Espagne ; par exemple (pour utiliser les noms chrétiens qu’ils ont adopté) Maître Alfonso de Valladolid, converti en 1320, et Paul de Santa Maria, converti en 1390 et nommé évêque de Burgos en 1415. Mais de nombreux autres cas peuvent être cités partout en Europe occidentale.

18 Le ton de ces disputes, et leurs conséquences, étaient assurément largement préférables à ce qui se passait dans le cas des chrétiens accusés d’hérésie ; voir, par exemple, les controverses qui aboutirent à la condamnation d’Abélard ou des franciscains de stricte observance.

19 En 1874, H. Ewald, un professeur à Göttingen, a été emprisonné pour avoir exprimé des vues « incorrectes » sur les conquêtes de Frédéric II cent ans plus tôt.

20 En fin de compte, quelques autres passages ont également dû être supprimés, tels que ceux qui semblaient théologiquement absurdes (par exemple, où Dieu est décrit comme s’adressant des prières à lui-même, ou pratiquant physiquement certaines des pratiques requises du Juif individuel) ou ceux qui ont célébré trop librement les frasques sexuelles d’anciens rabbins.

21 Tractate Berakhot, p. 58 b.

22 « Ta mère sera couverte de confusion, Celle qui vous a enfantés rougira de honte… », Jérémie, 50:12.

23 Publié par Boys Town, Jérusalem et édité par Moses Hyamson, l’un des savants les plus réputés du judaïsme en Grande-Bretagne.

24 Les supposés fondateurs de la secte sadducéenne.

25 Je suis heureux d’annoncer que, dans une traduction récente (Chicago University Press), le mot « Noirs » apparaît, mais ce volume très lourd et très coûteux risque peu, pour l’instant, de tomber en de « mauvaises » mains. De même, en Angleterre au début du XIXe siècle, les livres radicaux (tels que ceux de l’anarchiste William Godwin) étaient autorisés à paraître, à condition qu’ils soient publiés dans des éditions très onéreuses.

26 Comme au chapitre 2, j’utilise l’expression « judaïsme classique » pour désigner le judaïsme rabbinique de la période allant de l’an 800 environ jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Cette période coïncide généralement avec le Moyen Âge juif, car pour la plupart des communautés juives, les conditions médiévales persistèrent beaucoup plus longtemps que pour les nations de l’Europe occidentale, notamment jusqu’à la période de la Révolution française. Ainsi, ce que j’appelle le « judaïsme classique » peut être considéré comme le judaïsme médiéval.

27 Exode, 15:11.

28 Ibid., 20:3-6.

29 Jérémie, 10 ; le même thème est repris plus tard par la deuxième Esaïe, voir Esaïe, 44.

30 La Kabbale est bien sûr une doctrine ésotérique, et son étude détaillée était réservée aux érudits. En Europe, surtout après 1750 environ, des mesures extrêmes ont été prises pour la garder secrète et interdire son étude, sauf pour des savants juifs expérimentés et sous un contrôle strict. Les masses juives non éduquées d’Europe orientale n’avaient aucune connaissance réelle de la doctrine kabbalistique ; mais la Kabbale les a percolés sous forme de superstition et de pratiques magiques.

31 De nombreux mystiques juifs contemporains pensent que le même but peut être atteint plus rapidement par la guerre contre les Arabes, par l’expulsion des Palestiniens ou même par l’établissement de nombreuses colonies de peuplement juives en Cisjordanie. Le mouvement croissant pour la construction du Troisième Temple est également basé sur de telles idées.

32 Le terme hébreu utilisé ici – yihud, signifiant littéralement « union dans l’isolement » — est le même que celui employé dans les textes juridiques (concernant le mariage, etc.) pour désigner les rapports sexuels

33 La soi-disant Qedushah Shlishit (Troisième Sainteté), insérée dans la prière Uva Letzion vers la fin du service matinal.

34 Nombres, 29.

35 Le pouvoir de Satan, et ses relations avec les non-juifs sont illustrés par une coutume répandue, établie sous l’influence kabbalistique dans de nombreuses communautés juives à partir du 17ème siècle. Une femme juive revenant de son bain de purification rituel mensuel (après lequel des rapports sexuels avec son mari sont obligatoires) doit se garder de rencontrer l’une des quatre créatures sataniques : le non-juif, le cochon, le chien ou l’âne. Si elle rencontre l’un d’entre eux, elle doit prendre un autre bain. Shevet Musar, l’un des ouvrages les plus populaires parmi les Juifs d’Europe orientale et des pays islamiques jusqu’au début du siècle, a prôné cette coutume (entre autres) en 1712. Il est encore largement lu dans certains milieux orthodoxes.

36 Cela est prescrit dans les moindres détails. Par exemple, le lavage rituel des mains ne doit pas se faire sous un robinet ; chaque main doit être lavée séparément dans l’eau d’une tasse (de la taille minimale prescrite) tenue dans l’autre main. Si nos mains sont vraiment sales, il est tout à fait impossible de les nettoyer de cette façon, mais de telles considérations pragmatiques sont évidemment hors de propos. Le judaïsme classique prescrit un grand nombre de tels rituels détaillés, auxquels la Kabbale attache une signification profonde. Il existe, par exemple, de nombreuses règles précises concernant le comportement dans les toilettes. Un Juif qui fait ses besoins naturels dans un espace ouvert ne doit pas le faire dans une direction nord-sud, car le nord est associé à Satan.

37 « Interprétation » est ma propre expression. Le point de vue classique (et orthodoxe actuel) est que le sens talmudique, même opposé au sens littéral, était toujours celui qui était appliqué.

38 Selon une histoire apocryphe, un célèbre hérétique juif du XIXe siècle aurait observé à cet égard que le verset « Tu ne commettras pas d’adultère » ne se répète que deux fois. « Il est donc vraisemblablement interdit de manger l’adultère ou de le cuisiner, mais en tirer jouissance est tout à fait acceptable. »

39 Le mot hébreu re’akha est traduit de façon assez imprécise par la version King James de la Bible (et la plupart des autres traductions anglaises) en tant que « ton voisin » (ou « ton prochain » en français). Voir cependant Samuel, II, 16:17, où exactement le même mot est rendu par la version King James, plus exactement par « ton ami ».

40 La Mishna est remarquablement libre de tout cela, et en particulier la croyance aux démons et à la sorcellerie y est relativement rare. Le Talmud Babylonien, en revanche, regorge de superstitions grossières.

41 Ou, pour être précis, dans de nombreuses régions de la Palestine. Apparemment, les domaines d’application de la loi sont ceux où la prédominance démographique juive était prédominante autour des années 150-200 de notre ère.

42 C’est pourquoi les Juifs orthodoxes non sionistes en Israël prévoient des magasins spéciaux pendant les années sabbatiques, qui vendent des fruits et des légumes cultivés par des Arabes sur des terres arabes.

43 À l’hiver 1945-1961, moi-même, alors un garçon de moins de 13 ans, participai à de telles procédures. La personne en charge du travail agricole de l’école d’agriculture religieuse que je fréquentais à l’époque était un Juif particulièrement dévot et estimait qu’il serait prudent que l’acte crucial, qui consiste à retirer la planche, soit exécuté par un orphelin de moins de 13 ans, incapable d’être, ou de rendre quelqu’un d’autre coupable d’un péché. (Un garçon de moins de 13 ans ne peut pas être coupable d’un péché ; son père, s’il en a un, est considéré comme responsable.) Tout m’a soigneusement été expliqué à l’avance, y compris le devoir de dire : « J’ai besoin de cette planche », alors qu’en fait personne n’en avait aucun besoin.

44 Par exemple, le Talmud interdit à un Juif de profiter de la lumière d’une bougie allumée par un non-juif durant le sabbat, à moins que ce dernier ne l’ait allumée pour son propre compte avant que le Juif n’entre dans la pièce.

45 Un de mes oncles qui vivant à Varsovie avant 1939 utilisait une méthode plus subtile. Il employait une femme de chambre non-juive appelée Marysia et sa coutume était, en se levant de sa sieste du samedi, de dire, d’abord à voix basse : « Ce serait bien que… » Et puis, élevant la voix jusqu’à crier, « … Marysia nous apporte une tasse de thé ! » Il était tenu pour très pieux et craignant Dieu, et ne rêverait jamais de boire une goutte de lait avant d’avoir laissé écouler six heures complètes après avoir mangé de la viande. Dans sa cuisine, il avait deux lavabos, un pour la vaisselle utilisée pour manger de la viande, l’autre pour les plats contenant du lait.

46 Des erreurs parfois regrettables sont commises, car certains de ces emplois sont assez confortables, laissant à l’employé six jours de congé par semaine. La ville de Bney Braq (près de Tel-Aviv), habitée presque exclusivement

par les Juifs orthodoxes, a été secoué dans les années 1960 par un horrible scandale. À la mort du « sabbat-Goy » qu’ils avaient employé plus de vingt ans pour veiller à leur approvisionnement en eau le samedi, il fut découvert qu’il n’était pas vraiment chrétien, mais juif ! Donc quand son successeur, un Druze, a été embauché, la ville a exigé et obtenu du gouvernement un document certifiant que le nouvel employé était un gentil de pure ascendance Gentille. Selon des rumeurs fiables, la police secrète a été invitée à faire des recherches à ce sujet.

47 En revanche, l’enseignement élémentaire des Écritures peut être effectué moyennant un paiement. Cela a toujours été considéré comme un travail peu qualifié et mal payé.

48 Un autre rituel « extrêmement important » est de souffler dans une corne de bélier à Roch Hachana, afin de déconcerter Satan.




Des personnalités connues ont refusé l’injection

[Source : Ciel Voilé]






Humeurs vaticanes pour un Nouvel Ordre Mondial

[Source : resistance71]

[NDLR L’article suivant réunit des éléments dispersés, plus ou moins sourcés, et tente d’en faire un récit cohérent. Cependant, il appartient au lecteur de juger si le tout lui paraît suffisamment réaliste et démontré ou s’il ne s’agit pas seulement d’une théorie infondée de plus, au besoin par des recherches complémentaires, et pas seulement sur Internet.]

Vatican, finance, armement et doctrine de la domination planétaire

Par Anonyme
Reçu par courriel
1er mai 2023

La Banque du Vatican est le principal actionnaire des armes « Pietro Beretta »

Peu de gens savent peut-être que l’usine d’armes Pietro Beretta Ltd. (la plus grande industrie d’armement au monde) et est contrôlée par le Holding SpA Beretta et l’actionnaire majoritaire du Holding Beretta SpA après Gussalli Ugo Beretta, est l’IOR (Institut pour les œuvres de religion [communément appelé la Banque du Vatican]) institution privée fondée en 1942 par le Pape Pie XII et dont le siège se trouve dans la Cité du Vatican.(([1] https://usahitman.com/vbmsipb/))

La Fabbrica d’Armi Pietro Beretta est une des principales fabriques d’armes italiennes. Ses armes sont utilisées par les civils, les policiers et les militaires du monde entier.

Beretta fait partie des entreprises les plus anciennes du monde et appartient à la même famille depuis près de 500 ans. La société s’est établie en 1526 quand un armurier de Gardone Val Trompia (province de Brescia), Mastro Bartolomeo Beretta reçut 296 ducats en paiement de 185 canons d’arquebuses vendus à l’Arsenal de Venise. Le bon de commande est encore conservé dans les archives de la compagnie.

Beretta est également célèbre pour le pistolet Beretta 92 FS chambré 9 mm Parabellum. Il a été adopté par un grand nombre de forces armées de premier plan, à commencer par l’armée américaine en 1985.

Elle dispose d’une filiale en France, Humbert (47 salariés, 30 millions d’euros de CA), implantée à Veauche dans la Loire.

En 2014, cette filiale française produit 1 500 armes militaires et civiles par jour.(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Beretta))

En 2021, Fabbrica d’Armi Pietro Beretta a réalisé un chiffre d’affaires net de 250,5 millions d’euros, répartis comme suit : 88,4 millions Amérique du Nord, 56,1 millions Italie, 38,8 millions Europe, 67,2 millions reste du monde pour un total de 90 pays desservis par le réseau commercial. Les actions quotidiennes des personnes impliquées dans l’Entreprise sont basées sur une profonde éthique du travail, sur des valeurs morales transmises et sur des relations profondes avec le territoire et les personnes qui y vivent. C’est sur ces piliers que Beretta parvient à s’adapter, année après année, à un monde qui évolue rapidement, dans lequel les normes et les règles imposées par le marché et la communauté internationale sont toujours plus nombreuses et strictes. C’est pourquoi un modèle de gouvernance a été organisé et mis au point pour apporter des réponses immédiates et efficaces aux attentes des parties prenantes. De bonnes pratiques qui font de Beretta une entreprise attrayante pour accueillir de nouvelles figures professionnelles qualifiées dans tous les domaines. Fin juin 2022, l’effectif de l’entreprise s’élevait à 826 personnes. « Chez Beretta, nous regardons l’avenir avec enthousiasme », déclare le président Franco Gussalli Beretta.(([3] https://www.beretta.com/fr-fr/company/fabbrica-d-armi-pietro-beretta/entreprise))

le Vatican est donc propriétaire de la mafia italienne et des opérations Gladio terroristes en Europe :

« le Premier ministre italien, Giulio Andreotti, interrogé par une commission d’enquête spéciale, a révélé l’existence de caches d’armes cachées dans tout le pays et qui étaient à la disposition d’une organisation qui a ensuite été identifiée comme “Gladio”. »

Les membres de ce groupe comprenaient non seulement des centaines de personnalités d’extrême droite des secteurs du renseignement, de l’armée, du gouvernement, des médias, de l’Église et des entreprises, mais aussi un assortiment hétéroclite de fascistes, de psychopathes et de criminels du monde souterrain de la Deuxième Guerre mondiale. Et malgré les tentatives d’Andreotti de présenter le groupe comme des « patriotes », il est apparu évident à la plupart des autres membres de la politique italienne qu’il s’agissait plutôt de gens assez malfaisants. Des recherches menées par des personnes comme Daniele Ganser, Claudio Celani, Jurgen Roth et Henrik Kruger ont permis d’établir des liens avec des groupes similaires disséminés dans toute l’Europe, qui sont tous des organisations terroristes d’État profondes et qui, en définitive, sont tous soumis aux structures de commandement les plus hautes de la CIA et de l’OTAN.

Le surnom de « Gladio » (d’après le glaive, l’épée à deux tranchants utilisée dans la Rome antique) a finalement été élargi pour inclure une foule déconcertante de structures terroristes d’État profondes connexes, notamment : la « Loge P2 » en Italie, « P26 » en Suisse, « Sveaborg » en Suède, « Counter-Guerrilla » en Turquie et « Sheepskin » en Grèce. Cette liste européenne (à peu près définitive) s’est ensuite révélée avoir des liens non seulement avec pratiquement toutes les organisations terroristes d’État secrètes parrainées par les États-Unis dans le monde entier (y compris l’opération Condor en Amérique latine), mais aussi avec de nombreux cartels mondiaux de la drogue qui fournissent la richesse secrète nécessaire pour financer toute cette mécanique corrompue.(([4] https://exoportail.com/operation-gladio-lalliance-entre-le-vatican-la-cia-et-la-mafia/))

La Banque du Vatican, officiellement connue sous le nom d’Institutum pro Operibus Religionis (« Institut pour les œuvres de religion ») ou IOR, est un organisme financier criblé de scandales. La principale institution financière de l’Église catholique a été mêlée à tant de scandales depuis sa création en 1942 que Business Insider a pu dresser une petite liste de cinq personnes en se basant sur le livre God’s Bankers (Les banquiers de Dieu) publié en 2015. La banque a été créée pendant la Seconde Guerre mondiale pour éviter les restrictions imposées par les Alliés sur les transactions financières, ce qui a permis à la Banque du Vatican de devenir la « meilleure banque offshore du monde ». Depuis lors, la banque du Vatican est devenue tristement célèbre pour ses liens avec le crime organisé, qui utilise la souveraineté du Vatican pour échapper à la surveillance des banques mondiales. Dans les années 1970, le Vatican aurait tenté d’acheter pour 900 millions de dollars d’obligations et de titres contrefaits à une organisation liée à la mafia. En 2013, un prêtre a été arrêté pour avoir tenté d’utiliser la banque du Vatican pour faire passer des millions d’euros à la mafia.

Le plus célèbre des scandales entre le Vatican et la mafia est cependant la faillite de la Banco Ambrosiano, une banque italienne dont le Vatican était le principal actionnaire et qu’il utilisait pour blanchir de l’argent pour le compte de la mafia.

De nombreux fugitifs nazis ont été aidés en toute connaissance de cause par le Vatican.

M. Steinacher affirme que le Vatican a choisi d’aider les nazis parce qu’il espérait un renouveau de la chrétienté européenne.

En plus de faire sortir clandestinement de véritables nazis d’Europe pour les emmener en Amérique du Sud, il ne fait aucun doute que le Vatican a également utilisé sa souveraineté privilégiée pour aider à faire passer clandestinement de l’or, des objets d’art et d’autres biens pillés par les nazis et appartenant à des familles juives et à d’autres victimes de l’Holocauste. Comme l’explique Gerald Posner dans un article d’opinion paru dans le Washington Post, les efforts déployés par le Vatican pour s’impliquer dans les efforts de restitution ou même pour ouvrir ses archives de l’époque de la guerre ont été rejetés depuis au moins l’administration Clinton.

Posner étudie la possibilité que le Vatican de l’époque de la guerre ait été impliqué dans quelque chose qui était — de manière choquante, impossible, en quelque sorte — encore plus grossier que d’aider les nazis à conserver les objets de famille pillés qu’ils avaient volés à leurs victimes assassinées. Le conseiller financier du Vatican, Bernardino Nogara, fondateur de la Banque du Vatican, aurait été l’un des espions du Troisième Reich au Vatican et — bien que la destruction des archives de guerre ne permette pas de connaître toute l’étendue de son plan — il aurait mis en place avec les nazis un système dans lequel le Vatican investissait dans des compagnies d’assurance italiennes qui conservaient tous les actifs des plans d’assurance-vie des juifs européens assassinés. Le Vatican n’étant qu’un investisseur et non l’assureur direct, il n’a pas eu à rembourser l’argent gagné dans le cadre de cette opération. Si vous pensez que jouer sur la vie des Juifs, voler leurs héritiers et profiter directement de l’Holocauste est la chose la plus macabre à laquelle vous puissiez penser… eh bien, vous avez raison.

À la lumière des allégations d’aide et d’encouragement au Troisième Reich, de blanchiment d’argent pour le crime organisé, de contrebande d’or pour aider à renverser des régimes et d’innombrables scandales d’abus, l’idée de détourner des dizaines de millions de dollars semble positivement pittoresque en comparaison. Néanmoins, un scandale et l’étouffement qui s’en est suivi concernant quelques moines dépensiers dans les années 1970 se sont avérés très coûteux pour le Vatican, tant en termes d’argent que de réputation.

Les membres d’un ordre monastique de Philadelphie connu sous le nom de Paulines ont collecté de l’argent — en fait des millions de dollars — pour des projets religieux tels que la célébration de messes, la construction de sanctuaires et la rénovation d’un cimetière, mais n’ont en réalité rien fait de tout cela. Au lieu de cela, ces moines ont utilisé ces fonds pour acheter des voitures, des télévisions, des chaînes stéréo et d’autres articles de luxe qu’une bande de gars ayant fait vœu de pauvreté n’aurait probablement pas dû avoir. Le vicaire général a utilisé des dons détournés pour entretenir une maîtresse, ce qui est au moins doublement interdit (c’est-à-dire interdit), et a volé la moitié des salaires d’amis qu’il avait nommés à des postes dans le monastère. Une bande de frères Tucks IRL, ces garçons.

Bien qu’ils aient volé plus de 20 millions de dollars de dons, les Pauline ont tout de même réussi à ne pas rembourser plus de 4 millions de dollars d’obligations de l’église. Ils n’ont pu éviter les poursuites judiciaires, la faillite et les poursuites pénales que grâce à l’intervention du pape et de l’archevêque de Philadelphie, qui ont déboursé plus de 5 millions de dollars pour calmer les créanciers des Paulines et rembourser leurs prêts frauduleux.

Des personnes extérieures au Vatican faisaient chanter un « réseau clandestin de prélats homosexuels du Vatican » qui auraient organisé des orgies homosexuelles dans des villas, des salons de beauté et des saunas à Rome et dans les environs. Nombreux sont ceux, y compris le frère du pape Benoît, qui pensent que le stress provoqué par l’accumulation de ces scandales a contribué à la décision de Benoît de démissionner de la papauté. Cette conclusion semble… tout à fait raisonnable.

Une deuxième série de fuites — connue, naturellement, sous le nom de Vatileaks 2 — a eu lieu en 2015, toujours avec un livre de Nuzzi au centre de l’affaire, mais comme l’affirme le New Yorker, la suite n’a pas eu la même excitation piquante que la première série. Alors que le premier Vatileaks montrait Benoît comme dépassé et incapable de contrôler le cyclone de corruption qui l’entourait, la deuxième série de documents se concentre sur François comme un réformateur audacieux essayant de faire le ménage au sein de la bureaucratie du Vatican. Malheureusement, il n’y a pas non plus d’orgies dans ce document.

La Pénitencerie apostolique, également connue sous le nom de « tribunal de conscience », a été fondée par le pape Alexandre III en 1179 et est restée pratiquement secrète jusqu’en 2009. Le tribunal entend les affaires concernant des péchés si graves que seul le pape peut accorder l’absolution (ce qui n’empêche pas le criminel de recommencer avec toujours l’absolution bénédiction du pape). Étant donné que des prêtres et des évêques normaux peuvent apparemment traiter des confessions de génocide, on peut se demander quel genre de méga péchés sont portés devant ce tribunal secret. Les exemples incluent la tentative d’assassinat du pape, un prêtre brisant le sceau du confessionnal en exposant l’identité ou le péché d’un confesseur, un prêtre ayant des relations sexuelles avec quelqu’un et lui pardonnant ensuite le péché de l’avoir fait avec un prêtre (oups), pratiquant ou payant un avortement et essayant ensuite de devenir prêtre, ou crachant une hostie de communion. Oui, cela est considéré comme pire qu’un génocide. Le pape, agissant par l’intermédiaire de ce tribunal et de son chef, connu sous le nom de Pénitencier majeur, accorde ensuite l’absolution à la personne qui demande la miséricorde ou laisse subsister l’excommunication automatique qui accompagne des péchés aussi graves. Ces affaires sont traitées en privé et sous le couvert de l’anonymat, car elles sont considérées comme une affaire de conscience et non comme une affaire publique, ce qui est certainement une conclusion à laquelle on peut arriver. (donc voilà pourquoi les criminels du Vatican ne sont jamais punis, ils ont un tribunal secret où le Pape soit bénit leurs crimes avec l’absolution, soit garde secrets leurs crimes au public et ne fait que les débaptiser)

La page officielle du Vatican consacrée au tourisme admet que les immenses foules de touristes font du Vatican une cible facile pour les pickpockets, les voleurs de sacs à main et les voleurs à l’étalage, et que les foules et les coins de rue peuvent faciliter les crimes sexuels. Le Vatican ne possède qu’une seule prison, qui est généralement destinée à la détention préventive, mais qui est apparemment plus souvent utilisée comme entrepôt, et la plupart des actions judiciaires pour les crimes violents sont en fait menées par les autorités italiennes.

Selon The Independent, les habitants du Vatican consomment plus de vin par habitant que ceux de n’importe quel autre pays du monde. En fait, le résident moyen du Vatican consomme 74 litres de vin par an. C’est deux fois plus que la moyenne des pays œnophiles comme l’Italie et la France, trois fois plus que le citoyen moyen du Royaume-Uni et plus de six fois plus que l’Américain moyen. On peut supposer que c’est parce que nous sommes trop occupés à boire des White Claws ou des Tide Pods ou tout ce qui est à la mode en ce moment pour nous préoccuper du vin.

La consommation fréquente de vin sacramentel lors de la communion affecte ces chiffres (mais devrait-elle le faire, puisqu’il s’agit alors techniquement de sang ?), mais la population du Vatican présente un certain nombre d’anomalies démographiques qui rendent ses citoyens plus susceptibles de se goinfrer de vin. En règle générale, le vaticaniste moyen est un homme d’âge mûr, appartenant à la classe supérieure et éduquée. En outre, les habitants du Vatican ont tendance à manger en groupe. Chacun de ces éléments contribue à lui seul à une plus grande consommation de vin, et si vous les réunissez, vous obtenez une personne qui se brosse probablement les dents avec du Merlot. Le fait que le seul supermarché du Vatican vende du vin hors taxes n’a probablement pas nui aux ventes non plus.

Pour en savoir plus : https://www.grunge.com/166673/dark-secrets-of-the-vatican-revealed/

L’histoire est la suivante : « Rome ne s’est pas faite en un jour » :

Rome ne s’est pas construite en un jour, ni le Vatican, et encore moins son opulence actuelle. Elle trouve ses racines au quatrième siècle de l’ère chrétienne, lorsque l’empereur Constantin se convertit au christianisme et met à la disposition du pape Sylvestre Ier une fortune colossale, qui deviendra d’ailleurs le premier pape de l’histoire.

L’Église catholique est la seule organisation religieuse au monde qui possède un siège d’État indépendant : La Cité du Vatican. Avec ses 2 km2, le Vatican est bien plus petit que de nombreux terrains de golf dans le monde, et le parcourir sans se presser ne prend pas plus d’une heure ; compter ses richesses, en revanche, prend beaucoup plus de temps.

L’opulence moderne du Vatican repose sur la générosité de Benito Mussolini qui, grâce à la signature du traité du Latran entre son gouvernement et le Vatican, a donné à l’Église catholique un certain nombre de garanties et de mesures de sécurité. Le « Saint-Siège » obtient la reconnaissance d’un État souverain, le bénéfice de l’exonération fiscale de ses biens au profit de ses citoyens, qui doivent payer des droits de douane pour les biens importés de l’étranger. L’immunité diplomatique lui est accordée et ses diplomates commencent à jouir des privilèges de la profession, de même que les diplomates étrangers accrédités auprès du Saint-Siège. Mussolini promet d’introduire l’enseignement de la religion catholique dans toutes les écoles du pays et de laisser l’institution du mariage sous le patronage du droit canonique, qui n’admet pas le divorce. Les avantages étaient énormes étant donné que le Vatican, y compris les avantages fiscaux, étaient prédominants.

En 1933, le Vatican a une nouvelle fois démontré sa capacité à conclure des accords lucratifs avec les gouvernements fascistes. Le pacte de 1929, signé avec Mussolini, est suivi d’un autre entre le Saint-Siège et le IIIe Reich d’Hitler. Le directeur Francesco Pacelli était l’une des figures clés du pacte avec Mussolini, son frère le cardinal Eugenio Pacelli, le futur pape Pie XII était chargé de négocier en tant que secrétaire d’État du Vatican, signant un traité avec l’Allemagne hitlérienne. Pie XII connaissait l’Allemagne. Il était nonce à Berlin pendant la Première Guerre mondiale puis, en tant que secrétaire d’État de Pie XI, avait eu de nombreux exposés sur le cours qu’il donnait à la politique allemande. À ce titre, il est intervenu de manière décisive dans l’encyclique de Pie XI, connue sous le nom de « Mit brennender Sorge » (que l’on peut traduire par « Avec une ardente préoccupation »). L’initiative de l’encyclique revient, contrairement à ce que l’on croit, aux évêques allemands, la première version ayant été rédigée à Rome par le cardinal Faulhaber. Malgré les pressions constantes et le grand monde, le pape Pie XII a toujours refusé d’excommunier Hitler et Mussolini, son pontificat a été marqué par l’adoption d’une fausse pose de neutralité. Lorsque les nazis ont envahi la Pologne, Pie XII a refusé de condamner l’invasion ; L’un des plus grands avantages que le Vatican tirerait de l’accord très lucratif qu’il avait conclu avec Hitler était la confirmation du Kirchensteuer, ou impôt ecclésiastique, est un impôt d’État que doivent encore aujourd’hui payer les croyants allemands, et auquel ils ne peuvent échapper que s’ils renoncent à leur religion. Dans la pratique, rares sont ceux qui y renoncent. Cet impôt représente à lui seul entre 8 et 10 % du total des impôts collectés par le gouvernement allemand.(([5] https://usahitman.com/vbmsipb/))

Vatican et violence coloniale…

Le point commun entre Klaus Schwab et le Vatican. Ils veulent contrôler le corps et l’âme de chaque individu et leurs biens sur terre.

LE VATICAN POSSÈDE TOUT

Le Vatican est propriétaire de tout.

Le 18 novembre 1302, le pape Boniface VIII a publié la bulle papale intitulée « Unum Sanctum ».

Outre tout ce qui est écrit, la bulle se termine par la déclaration suivante :

« En outre, nous déclarons, nous proclamons, nous définissons qu’il est absolument nécessaire pour le salut que toute créature humaine soit soumise au Pontife romain. »

Puisque la bulle déclare que le Pontife romain a le contrôle suprême sur le monde matériel, il affirme que le corps (notre corps) est gouverné par l’âme et que l’âme est gouvernée par le chef du spirituel, donc — le Pontife romain est le gouverneur à la fois de l’âme et du corps.

En gros, ce qu’il dit, c’est que toutes les âmes du monde appartiennent à l’Église catholique romaine et apparemment, du moins en théorie, c’est le cas… car personne n’a osé remettre en question cette affirmation. Votre certificat de naissance est le titre de l’âme qu’ils possèdent dans leurs registres. Ils vous ont enregistré et c’est le titre de votre âme. C’est comme si la banque détenait le titre de votre voiture parce que vous lui êtes redevable. En fait, votre carte de sécurité sociale vous est délivrée avec votre nom en lettres capitales… ce qui indique que vous êtes un bien mobilier pour une société. Nous sommes des stocks.

« Comme on ne paie pas d’impôts au Vatican, les juges ont de forts soupçons d’évasion fiscale. »(([6] https://www.capital.fr/economie-politique/le-vatican-un-paradis-financier-dans-la-tourmente-594435))

Cela explique pourquoi les crimes commis par les hommes du Vatican dans le monde sont facilement étouffés, avec des pots-de-vin aux juges dans le monde et l’offre de pouvoir placer leur pot-de-vin dans un compte bancaire au Vatican, pays exempté d’impôts et donc un paradis fiscal avec 5 % d’intérêt en plus.

https://www.midilibre.fr/2021/10/05/pedocriminalite-dans-leglise-30-000-victimes-en-france-depuis-1950-pres-de-3-200-pretes-impliques-9832334.php

Un père catholique relâché après avoir commis des crimes génocidaires au Rwanda.(([7] https://www.la-croix.com/Religion/Genocide-Rwanda-pere-franco-rwandais-relache-2021-05-06-1201154479))

L’État français complice l’a extradé et mis dans une prison d’île de France, et l’a relâché ensuite.

Il ne faut pas s’étonner vu que les présidents de France ont le titre de chanoine de Latran du Vatican et donc peuvent être considérés comme des citoyens du Vatican, avec l’exemption d’impôt et un compte de 5 % d’intérêt dans une banque du Vatican.

les mafieux utilisent leur compte au Vatican pour financer leur réseau et blanchir leur argent sale :

« Il utilise la banque du Vatican pour recycler l’argent des revenus du trafic d’héroïne de Cosa Nostra. »

Le Vatican protège les mafieux, et empêche les gouvernements de consulter les comptes de la banque du Vatican, y compris les non catholiques qui ont des comptes au Vatican :

« le mafieux sicilien Vincenzo Bonaccorsi a recyclé 300 000 euros à travers un compte de l’IOR (un compte du Vatican) ouvert par son neveu, Don Orazio. Gotti Tedeschi est à son tour mis en examen à la suite de deux virements d’un montant de 23 millions d’euros où n’apparaissent ni l’origine ni le bénéficiaire des opérations. Et le 24 mai, Gotti Tedeschi est limogé par son conseil d’administration. J’ai demandé la liste des comptes des laïques. On a refusé de me la communiquer »(([8] https://www.lepoint.fr/monde/vatican-l-ior-banque-de-tous-les-scandales-29-06-2013-1687274_24.php))

L’Église catholique romaine a une très longue histoire de tyrannie et d’oppression qui remonte au tout début de son organisation. En raison de son désir de contrôle par le biais de ses croisades et de ses inquisitions, elle a décidé de créer le premier Express Trust, appelé « Unam Sanctum », qui a été inscrit sur une bulle papale et placé dans son coffre-fort. N’oubliez pas que ce coffre-fort contient 66 miles d’étagères, enfermées sous le sol du Vatican.

La bulle papale dit que toutes les âmes du monde appartiennent à l’Église catholique romaine et c’est techniquement le cas, car personne n’a contesté ses prétentions. Votre certificat de naissance est essentiellement le titre de l’âme qu’ils possèdent dans leurs registres. Ils vous ont enregistré et c’est le titre de votre âme. Étant donné qu’il existe un petit groupe d’élite mondiale qui contrôle toutes les finances, l’armée et les ressources ecclésiastiques du monde, il n’est pas difficile de le croire.

L’Inquisition a commencé parce que de nombreuses personnes s’éveillaient à la tyrannie et à l’oppression de l’Église catholique romaine au début des années 1300. L’Église catholique romaine a tué ces personnes en raison de son besoin de contrôler l’humanité. Et ils ont tué. On estime qu’ils ont tué des millions de personnes. Et ce n’était pas beau à voir. Même Stephen King n’aurait pas pu imaginer certaines des méthodes utilisées pour « torturer et éliminer » les personnes qui s’opposaient à eux. 200 ans plus tard, à la Renaissance, l’Hermetica (basé sur la sagesse antique et les enseignements d’Hermès) était disponible, et c’est de là que la Bible tire toute son inspiration, ainsi que les civilisations précédentes, leurs rituels et leurs croyances. Ces connaissances ont également été supprimées par l’Église catholique romaine… pendant des siècles.

Les familles de l’élite mondiale contrôlent le Vatican et la Corporation (l’incorporation de l’apôtre Pierre). Elles contrôlent également l’armée américaine et le district financier de Londres, qui sont tous trois des villes/États indépendants. Le centre de contrôle est le Crown Temple Syndicate. La société privée Federal Estate de Washington DC est en fait détenue et contrôlée par le Crown Temple Syndicate de Londres. Le Syndicat, par l’intermédiaire de la Maison de Windsor, possède environ 1/6 de la surface terrestre. Mais je m’éloigne du sujet…

En 325 de notre ère, l’empereur Constantin le Grand a fait une donation à son pape Sylvestre en disant : « Saint Pierre est l’apôtre de Jésus à qui Jésus a donné ce royaume de la Terre, c’est pourquoi nous allons réclamer des impôts ». Nous payons des impôts à Rome, aux familles d’élite de la noblesse noire khazarienne et vénitienne, sur la base d’un document fictif de Constantin publié l’année du premier concile de Nicée et de la création de ce qui est devenu le christianisme moderne.

[Voir aussi :
https://www.histoire-fr.com/mensonges_histoire_donation_constantin.htm
https://libresavoir.org/index.php?title=Donation_de_Constantin
http://y-a-s.over-blog.fr/article-la-donation-de-constatin-123439101.html]

En vertu d’un décret rédigé par le pape Nicolas V en 1455, l’Église catholique possède tout, même ce que vous pensez posséder, comme votre voiture, votre maison ou même la paire de chaussures que vous portez, appartient à l’Église catholique (dans leur esprit tordu). Cette histoire de 4 juillet ? N’y pensez plus. Les bons vieux États-Unis sont une filiale à part entière de la Couronne et une société à part entière. Ils ont débuté sous le nom de « The Virginia Company », avant de devenir « The United States of America Corporation ».

Nous pouvons également remercier le pape Grégoire pour le calendrier grégorien actuel, qui a réorganisé le calendrier julien précédent pour correspondre aux fêtes païennes que l’Église catholique romaine revendique aujourd’hui comme des fêtes chrétiennes. Faites vos recherches, mes amis. Les choses ne sont pas ce qu’elles semblent être. Il s’agit d’un jeu de passe-passe, et ils peuvent placer la balle là où ils veulent qu’elle apparaisse… comme par magie. Cachez-la sous notre nez et nous ne la verrons même pas. Une pièce de monnaie a toujours deux faces… et personne ne prête jamais attention au côté/à l’arête qui lie les deux. Remettez tout en question… tout.

Ce n’est qu’une idée…(([9] https://werdsmith.com/genesology/i97KFbseh))

La Mafia criminelle italienne avoue que le Vatican les finance.(([10] https://www.pbs.org/newshour/show/what-the-mafia-has-in-common-with-protecting-the-vatican-from-terror-attacks))

La mafia tue des innocents et s’en tire sans prison.(([11] https://www.blick.ch/fr/news/monde/la-compensation-60000-euros-et-un-appartement-la-mafia-tue-le-mauvais-homme-et-le-dissout-dans-lacide-id18504849.html))

Macron est catho par intérêt financier.
Il a même été nommé chanoine de Latran par le Vatican tout comme françois Hollande, Sarkozy, jusqu’au roi Henri 4 cathos comme lui.
Le chef de l’État, baptisé à 12 ans à sa demande et élevé chez les Jésuites, avec la religion.

Deux mois et demi après avoir formulé son souhait de « réparer » le « lien entre l’Église et l’État », Emmanuel Macron se rend au Vatican pour y rencontrer le pape François, non sans faire un détour par la basilique Saint-Jean de Latran, où il se verra remettre le titre de chanoine de Latran. Un signal donné aux croyants catholiques, »(([12] https://www.tf1info.fr/politique/quel-catholique-est-emmanuel-macron-conference-eveques-france-2084148.html
https://www.nouvelobs.com/politique/20180625.OBS8719/d-henri-iv-a-macron-qu-est-ce-que-le-chanoine-de-latran.html))

La raison pour laquelle nos élites sont cathos, c’est parce que les entreprises catholiques au Vatican et dans certains pays sont exonérées d’impôts.

Le Vatican est exonéré aussi d’impôts. Tous ceux qui ont des business au Vatican n’ont donc pas à déclarer leurs entreprises qui sont au Vatican, je comprends maintenant pourquoi les faux résistants ayant secrètement des intérêts financiers avec le Vatican sont aussi agressifs envers ceux qui critiquent le Vatican et son arnaque de catholicisme.

Le titre honorifique de chanoine de Latran revient de droit aux chefs d’État français depuis Henri IV
Les chanoines du Latran sont des chanoines réguliers de droit pontifical.(([13] https://fr.wikipedia.org/wiki/Chanoines_r%C3%A9guliers_du_Latran))

Donc la République française est en fait une monarchie catholique de droit divin avec chacun de leurs présidents catholiques avec le titre de chanoine de Latran donné par le Vatican tout comme les anciens rois de France.


Lire aussi :

François 1er/Bergoglio
et Jorge Videla, le boucher argentin




Franc-maçonnerie et révolution

[Source : medias-presse.info]

Franc-maçonnerie et révolution : les liens rappelés par Alain Pascal

[La conférence elle-même démarre à partir de 7 min 30]






L’Arche d’Alliance a-t-elle été trouvée ?

[Source : Ark Files via michelledastier.com]

L’archéologue américain Ron Wyatt a prétendu avoir découvert l’Arche et la tables de la Loi en 1982. Voir la découverte spéciale et ce que Dieu a l’intention [selon Wyatt] de faire à notre époque devant le monde entier.

[Voir aussi :

1)- L’hypothèse alternative de l’Arche de Gabriel qui serait l’Arche d’Alliance retrouvée par les musulmans ou en serait un genre de copie.
2)- Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial :

Érection du monument le 22 Mars 1980 [peu de temps avant la découverte de Ron Wyatt].

Les dix commandements pour un nouvel âge de raison sont :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature.
2. Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.
3. Unir l’humanité avec une nouvelle langue mondiale.
4. Traiter de la passion, la foi, la tradition et toutes les autres choses avec modération.
5. Protéger les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
6. Laisser toutes les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial.
7. Éviter les lois et les fonctionnaires inutiles.
8. Équilibrer les droits personnels et les devoirs sociaux.
9. Faire primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini.
10. Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature.

3)- L’hypothèse la marque de la Bête par la vaxination et les cryptomonnaies de banque centrale (CBDC) :

Nanotechnologie et « vaccins » (et liens inclus)
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée
La secrétaire de presse de la Maison Blanche qualifie les vaccinés de « personnes marquées » — La marque de la bête !
CBDC : Comment le COVID est devenu la voie de la surveillance financière mondiale
Les monnaies numériques des banques centrales arrivent — Quelles en seront les conséquences ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
L’état de contrôle – Le film
Les « villes intelligentes » du Forum Économique Mondial sont des « camps de concentration ouverts »]






L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton

[Source : medias-presse.info]

Tribune de Stanislas Berton

« Il viendra beaucoup de faux prophètes, et ils séduiront beaucoup de gens. »

Matthieu 24 : 11

Dans le cadre de cette guerre hors limites fondée sur l’infiltration plutôt que l’invasion et qui vise à détruire les nations occidentales de l’intérieur, il est nécessaire de présenter un des outils les plus redoutables utilisé par le système mondialiste pour maintenir son pouvoir : l’opposition contrôlée.

Comme nous l’avons expliqué dans notre essai consacré au mondialisme, le système économique, financier et politique mondial se trouve contrôlé par de puissantes dynasties familiales dissimulant leur pouvoir derrière des institutions présentées comme neutres ou philanthropiques, telles que le Forum Économique Mondial (WEF), le Council on Foreign Relations (CFR) ou encore l’Open Society Foundation de George Soros, chargées en réalité de mettre en application le projet mondialiste ainsi que de placer ses agents à des postes clés.

Considérant appartenir à une caste « d’élus » chargés de diriger une humanité assimilée à du bétail, cette oligarchie a développé au fil des siècles une véritable science du contrôle et de la manipulation des masses afin de développer son influence et conserver son pouvoir. Sachant que toute puissance visible finit toujours par être contestée ou attaquée, la meilleure protection ne consisterait-elle pas à dissimuler la source réelle du pouvoir et de prétendre que celui-ci se trouve détenu par des individus qui n’en posséderaient qu’un simulacre ?

Le meilleur moyen d’empêcher toute révolte ne serait-il pas, d’une part, de « fixer » l’attention du public sur le jeu électoral et de l’autre, de créer une opposition destinée à canaliser la colère populaire pour mieux la neutraliser ? Pour être sûr de gagner à tous les coups, la meilleure méthode ne serait-elle pas d’avoir plusieurs chevaux dans la course ? Grâce travaux de l’historien Anthony Sutton, nous savons par exemple aujourd’hui que les grandes sociétés financières de Wall Street participèrent au financement du mouvement bolchevique aussi bien qu’à celui du parti nazi…

Au sein des démocraties occidentales, la première forme de contrôle utilisée par l’oligarchie consiste à placer à la tête des formations politiques de premier plan, et donc en position d’éligibilité, des candidats sélectionnés en amont par les instances mondialistes, mis en avant par les médias qu’elles contrôlent et placés face à une « opposition » chargée d’entretenir la fiction du pluralisme ou de l’alternance.

Pour satisfaire chaque « segment de marché électoral », l’offre politique se trouve ainsi déclinée entre mondialistes d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite et d’extrême droite qui, malgré d’apparentes divergences de façade se rejoindront en réalité sur l’essentiel, c’est-à-dire la disparition des peuples, des cultures, des nations historiques et l’adhésion à une modernité qui place l’Homme au centre de toute chose et prétend faire de lui l’égal de Dieu. Pour obtenir la preuve de l’existence d’un tel système, il suffit de s’intéresser aux programmes de recrutement ou de formation mondialistes tels que les Young Global Leaders de la French-American Foundation et de constater que la totalité des dirigeants politiques européens et français des dernières décennies, de Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron à François Hollande ou Arnaud Montebourg sont passés par ceux-ci. Une preuve supplémentaire de cette collusion pourra être apportée par la progression imperturbable de l’agenda mondialiste, indépendamment de la « couleur » politique du parti au pouvoir ou encore le ralliement systématique des candidats ou partis « d’opposition » autour du candidat « progressiste ». Ce contrôle total du champ politique institutionnel a ainsi permis d’éviter toute contestation réelle du projet mondialiste et contribué à structurer la pensée et le discours autour de ses postulats philosophiques et politiques fondamentaux.

La deuxième forme de contrôle politique exercée par les mondialistes est moins connue, mais bien plus dangereuse. Elle consiste à créer une fausse opposition située, en apparence, hors du système et chargée de canaliser la colère du peuple tout en étant capable de servir comme « roue de secours » au cas où une trop forte pression populaire imposerait une « remise à plat » des institutions ou une « rénovation » de la classe politique.

Les méthodes qui président à la création d’une opposition contrôlée sont toujours à peu près les mêmes : un leader d’opposition est créé de toutes pièces ou habilement « retourné » ; il est attaqué par le système, parfois emprisonné ou traduit en justice ce qui lui permet de gagner en crédibilité et de renforcer son statut d’opposant. Il va ensuite créer une organisation « dissidente » à but politique ou engagée sur un sujet particulier. Cette organisation aura pour objectif de repérer les résistants, de contrôler l’accès à l’information et de tuer dans l’œuf toute initiative pouvant représenter une menace réelle pour l’oligarchie mondialiste. L’opposition contrôlée occupe toujours le terrain, dénonce, s’agite, manifeste, mais son activité ne débouche jamais sur une prise réelle du pouvoir ou une remise en cause profonde du statu quo.

À titre d’exemple, aux États-Unis, de nombreuses organisations « patriotes » furent créées pour prouver la fraude électorale suite à la « victoire » de Joe Biden à l’élection présidentielle de 2020. Ces organisations mobilisèrent des milliers de citoyens, multiplièrent les actions en justice et récoltèrent des millions de dollars pour réaliser des audits comme celui du comté de Maricopa. Dans ce cas précis, après de nombreuses annonces, le rapport final ne fut jamais présenté au public et l’équipe de « cyber ninjas » chargée de l’organisation finit tout simplement par disparaître dans la nature avec les données de l’audit… De la même manière, nous savons aujourd’hui que parmi les personnes ayant participé à la marche du 6 janvier sur le Capitole se trouvaient des membres de groupes radicaux officiellement « pro-Trump » dont les chefs étaient en même temps informateurs pour le FBI…

En France, Emmanuel Macron et Assa Traoré, égérie indigéniste, ont en commun d’avoir été tous les deux salariés des Rothschild, le premier par la banque et la seconde via la fondation du même nom. Dans un autre registre, des échanges de SMS et des enregistrements téléphoniques ont révélé une coordination et une collusion entre des dirigeants de la France « Insoumise » et Emmanuel Macron dans le cadre de ce « théâtre » démocratique précédemment évoqué. Plus récemment, l’affaire, totalement passée sous silence, du fiasco français des « convois de la liberté » porte toutes les marques d’un sabotage mené par une opposition contrôlée, selon le même schéma ayant contribué en 2018-2019 au noyautage et à la neutralisation du mouvement des Gilets Jaunes.

Ces quelques exemples permettent de comprendre la réalité de l’opposition contrôlée et du danger que ce stratagème représente dans le cadre de la guerre contre le totalitarisme mondialiste. Ceci étant dit, comment détecter et lutter contre les personnes ou les organisations susceptibles de faire partie de l’opposition contrôlée ?

Commençons tout d’abord par rappeler que le contrôle d’une organisation s’exerce toujours via son chef ou le premier cercle de ses dirigeants. Une structure d’opposition contrôlée peut être ainsi dirigée par des traîtres tout en étant peuplée de militants sincères croyant de bonne foi lutter contre le système ou défendre la cause que l’organisation est supposée défendre. Ceci étant dit, l’appartenance à l’opposition contrôlée peut être détectée par les réponses aux questions suivantes :

  • — Le mondialisme et son contrôle des institutions est-il publiquement mentionné ou son existence est-elle rejetée comme une théorie du complot ? Des sujets majeurs comme la fraude électorale, la pédophilie d’élite ou le trafic d’êtres humains sont-ils publiquement évoqués ? Les restrictions liées au Covid sont-elles dénoncées comme des attaques sans précédent sur nos libertés et rattachées au projet de Great Reset du Nouvel Ordre Mondial ?
  • — D’où proviennent les fonds qui financent le mouvement ou l’organisation ? Quelle est la source des revenus du dirigeant ? Celui-ci manifeste-t-il un amour excessif de l’argent ou des biens matériels ? Son engagement ou ses prises de paroles sont-elles toujours conditionnées à des paiements ou à des rémunérations ? Pourquoi la Bible dit-elle que « l’amour de l’argent est la source de tous les maux » ? (1 Timothée 6 : 10)
  • — Le dirigeant ou chef politique possède-t-il par son histoire familiale, ses amis, ses études ou ses réseaux professionnels des liens avec l’État profond ou des structures du pouvoir mondialiste ? A-t-il participé à des programmes comme celui des Young Leaders ? A-t-il bénéficié de financements ou de bourses d’études émanant d’institutions mondialistes ? Qui est son conjoint ? Quel rôle joue-t-il ? La médiatisation de l’homme ne sert-elle pas à cacher le pouvoir de la « femme » ? Pourquoi Q nous invite-t-il à « suivre les femmes » (follow the wives) ?
  • — Les mœurs du dirigeant sont-elles saines ? Mène-t-il une vie dissolue ? Est-il un déviant sexuel ? A-t-il défendu la pédophilie ? Est-il un consommateur régulier de drogues ? A-t-il une histoire d’abus sexuels ou de violences faites aux femmes ?
  • — Le dirigeant ou l’organisation rejettent-ils la foi catholique, jusqu’à contester l’apport objectif de la religion chrétienne en Occident ? Sont-ils liés à des sociétés secrètes ou à des puissances étrangères ? Font-ils référence à des croyances occultes ou à des spiritualités « alternatives » ? Si le dirigeant se prétend catholique, exprime-t-il des positions tranchées sur l’avortement ou l’euthanasie ou refuse-t-il d’être « clivant », prône la synthèse ou « l’adaptation aux réalités de notre époque » ?

[Note de Joseph : quand on voit au moins ce qu’est devenue l’Église Catholique Romaine de nos jours, avec notamment un faux pape (puisqu’étant jésuite, il n’a pas le droit de l’être. Voir aussi : Rien que la vérité sur la « démission » de Benoît XVI), mais vrai mondialiste à sa tête, et ses nombreux scandales de pédophilie, on peut probablement éliminer le critère du catholicisme comme indicateur de virginité. Voir aussi :
À la vitesse de la lumière Bergoglio entraîne l’Église catholique dans sa chute.
L’Église du Christ était faite d’Hommes et non de pierres, le terme signifiant « assemblée de fidèles ».
Les piliers de l’Enseignement du Christ sont : Amour, Pardon, Charité et Humilité. Si de nombreux saints ont basé leur vie sur cet enseignement, qu’en est-il de la hiérarchie catholique romaine avec son luxe ostentatoire ?]

Pour résumer, peut être considéré comme suspect :

  • — toute défense du supranationalisme, sous toutes ses formes, contre le fait national
  • — tout financement ou lien professionnel/privé avec des structures mondialistes
  • — tout rejet violent du catholicisme et de l’héritage chrétien de la France
  • — toute défense des postulats philosophiques de la modernité contre la Tradition

Pour finir, s’il convient de faire preuve de lucidité sur l’existence de l’opposition contrôlée, cette prise de conscience ne doit pas conduire à la paranoïa, au refus de l’engagement et à l’interprétation du moindre élément concordant comme une preuve absolue. D’une part, parce que l’erreur, la bêtise et l’incompétence demeurent toujours des explications possibles. D’autre part, parce que certaines personnes peuvent changer de camp ou « retourner leur veste », pour sauver leur peau. Et enfin, parce même identifiée comme telle, l’opposition contrôlée peut être utilisée, jusqu’à un certain point, dans la guerre contre le mondialisme.

Dans cette guerre de l’ombre, la prudence doit être la règle et pour espérer triompher, les patriotes et les dissidents doivent faire preuve de discernement, se poser les bonnes questions et développer, pour eux-mêmes ou leurs organisations, une véritable culture du renseignement.

Pour le reste, Dieu seul connaît le secret du cœur de chaque homme. Dans Son infinie miséricorde, il a néanmoins envoyé un avertissement extrêmement clair à ceux qui servent le « prince du mensonge » et cherchent ainsi à tromper le peuple :

« Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. C’est pourquoi tout ce que vous aurez dit dans les ténèbres sera entendu en pleine lumière, et ce que vous aurez dit à l’oreille dans le secret de vos chambres sera prêché sur tous les toits. »

(Luc 12 : 2)



Pour aller plus loin :




Un an plus tard : ce que nous avons appris du Convoi de la liberté du Canada

[Source : latrompette.fr via Guy Boulianne]

[Illustration : DES MANIFESTANTS LANCENT DES FUSÉES FUMIGÈNES LE 5 FÉVRIER 2022, À OTTAWA, AU CANADA.
(GETTY IMAGES)]

Pourquoi tout semble brisé au Canada ?

[NDLR L’analyse sociale présentée dans cet article vaut aussi probablement pour la France et la plupart des nations occidentalisées.]

Par Abraham Blondeau

Il y a un an, le monde était saisi par des scènes de gros camions stationnés en plein centre-ville d’Ottawa, de gens protestant et dansant sur la colline du Parlement, et la capitale nationale était assiégée de châteaux gonflables et de jacuzzis. Des milliers de Canadiens manifestaient contre la réponse à la COVID-19 et les mandats de vaccination dans un mouvement qui ne se produit qu’une fois par génération.

Pourtant, après trois semaines de manifestations contre les politiques destructrices du Premier ministre Justin Trudeau, le gouvernement canadien a invoqué la Loi sur les mesures d’urgence, jamais utilisée auparavant, qui lui a donné le pouvoir de geler les comptes bancaires des manifestants, de les arrêter et de disperser brutalement les manifestations dans la capitale. C’était un moment controversé, regardé par le monde entier.

Un an plus tard, la Commission sur l’état d’urgence, dirigée par le juge Paul Rouleau et chargée d’enquêter sur le recours à la Loi sur les mesures d’urgence et sur d’autres questions connexes, a publié son rapport complet le 17 février. « Le rapport de 2 092 pages en cinq volumes déposé au Parlement vendredi », a rapporté la CBC, « est probablement le compte rendu le plus complet qui sera jamais produit sur les troubles de l’année dernière, et il fournit un verdict objectif qui fait autorité sur la décision historique de Justin Trudeau d’invoquer la Loi sur les mesures d’urgence. “La décision d’invoquer la loi était appropriée,” écrit Rouleau. »

Après avoir entendu 76 témoins et 50 experts, et vu plus de 8 900 pièces à conviction, l’enquête officielle du gouvernement a conclu qu’il était justifié que Trudeau se donne des pouvoirs extraordinaires pour saisir des biens sans procédure régulière, pour permettre la brutalité policière et pour intimider les Canadiens qui manifestaient pacifiquement contre son gouvernement. Bien que le rapport de la commission n’absout pas le gouvernement fédéral ou provincial d’erreurs, il conclut avec autorité que le seuil légal pour suspendre les libertés civiles avait été atteint.

Est-ce vraiment ce qui s’est passé ? Qu’est-ce que cela signifie pour l’avenir du Canada ?

Vous pourriez être d’accord avec la commission, ou furieux du verdict. Quoi qu’il en soit, la seule façon d’expliquer ce qui se passe au Canada est de comprendre ce que la Bible dit de ces événements modernes.

Beaucoup de choses se sont passées au cours de la dernière année. Regardez la vidéo ci-dessous pour vous rappeler les scènes d’Ottawa.

Bien que les manifestations aient certainement perturbé la vie quotidienne à Ottawa, il n’y a eu aucun cas de crime ou de violence. Tous les responsables du maintien de l’ordre public et les représentants du gouvernement ont admis, sous serment devant la commission, qu’il n’y a pas eu de cas de violence, mais seulement que cela « avait l’air violent ». La Loi sur les mesures d’urgence ne peut être promulguée que s’il existe une menace existentielle pour le Canada. Regardez cette vidéo et demandez-vous si cette manifestation ressemble à une menace existentielle pour le Canada.

Les politiques du gouvernement Trudeau ont été bien plus dommageables pour le Canada que la manifestation du Convoi de la liberté.

Maintenant, rappelez-vous comment le gouvernement Trudeau a sévi contre les manifestants, qui étaient perturbateurs, mais qui n’ont commis aucune violence, aucun crime, et qui coopéraient avec la police.

En outre, les banques canadiennes ont gelé jusqu’à 210 comptes bancaires suite à l’ordre du gouvernement, bloquant un total de 7,8 millions de dollars. Certaines institutions financières ont dressé des listes noires de personnes ayant effectué des transactions « suspectes ». Cela a provoqué une ruée sur les banques, poussant certaines d’entre elles à fermer leurs services de guichet automatique. Imaginez vivre dans un pays où vous ne commettez aucun crime, mais où le gouvernement gèle votre argent sans décision de justice.

Mais cela ne s’est pas arrêté là. Plusieurs politiciens du Cabinet étaient favorables à l’envoi de l’armée pour disperser les manifestants.

L’un des principaux problèmes est que les gouvernements fédéral et provinciaux et les forces de l’ordre n’ont pas respecté les procédures légales dans la gestion du Convoi de la liberté. La police disposait déjà d’outils dans le code juridique pour dégager les véhicules et les personnes si elle le souhaitait, mais elle ne les a pas utilisés. Pas une fois la loi antiémeute n’a été lue aux manifestants, ce qui est nécessaire pour déclarer une manifestation illégale. En utilisant la Loi sur les mesures d’urgence, le pouvoir judiciaire a été retiré de l’équation. Le gouvernement et la police n’avaient pas besoin de s’adresser à un tribunal pour approuver leurs actions, et les individus ne pouvaient pas demander l’aide d’un juge. Cela équivaut à un contournement de l’État de droit. L’avocat Keith Wilson a expliqué certains de ces problèmes dans une interview sur CPAC :



Avec le rapport officiel du juge Rouleau, un précédent a été créé qui permet au gouvernement de s’octroyer des pouvoirs de temps de guerre pour arrêter une manifestation politique. Ce précédent juridique est un moment dangereux pour le pays, et il a légalisé la direction dictatoriale du gouvernement de Trudeau.

Mais vous ne devriez pas être surpris par ce résultat. En fait, la Trompette a prédit en mai de l’année dernière que l’enquête du gouvernement allait dissimuler la corruption, pas l’exposer. La Trompette a écrit :

« Cette enquête est une commission politique visant à cibler et à attaquer ceux qui contestent le gouvernement Trudeau. Pire encore, Paul Rouleau a travaillé pour le Parti libéral en tant que conseiller au bureau du Premier ministre dans les années 1980, et il est un donateur du Parti libéral. Comment l’enquête peut-elle être “indépendante” et équitable avec un conflit d’intérêt aussi évident ? »

Comme le commente le Hill Times, le rapport Rouleau est une « grande victoire » pour les libéraux :

« La publication du rapport de la commission Rouleau sur l’utilisation de la Loi d’urgence représente “un jour de grande victoire pour les libéraux,” qui leur permet de dire : “C’est ce que nous vous avons dit depuis le début,” disent les observateurs. »

Comme la Trompette l’a décrit, il s’agit de la plus grande dissimulation de l’histoire du Canada.

Bien que certaines contestations juridiques soient toujours en cours devant les tribunaux, il est extrêmement improbable qu’elles aient une quelconque portée juridique maintenant qu’il est « officiellement officiel » que Trudeau s’est comporté correctement.

Le Convoi de la liberté et son soutien à travers le pays étaient une manifestation de colère, de frustration et de consternation face à l’ingérence excessive du gouvernement dans la vie des gens pendant la pandémie. Lorsque je suis allé voir moi-même la manifestation, alors que le Convoi de la liberté se rendait à Ottawa, des Canadiens de tous âges se tenaient dans le froid glacial pendant des heures pour faire passer un message. Un an plus tard, un rapport officiel peut blanchir le gouvernement, mais la colère et la frustration demeurent.

Cela apparaît clairement lorsque l’on voit les manifestants en colère qui se présentent partout où M. Trudeau se rend dans le pays. Les gens sont en colère, mais ils ne voient pas de solutions claires. Il ne semble pas y avoir de responsabilité pour les personnes qui mènent le pays à sa perte.

Vous êtes peut-être frustré par la direction que prend le pays. Vous êtes peut-être frustré par le coût élevé de la vie, l’effondrement des services publics, la hausse de la criminalité, les problèmes endémiques de drogue, les scandales gouvernementaux et l’ineptie des dirigeants. Tout semble aller de mal en pis. Où que vous regardiez, le pays est en panne. Une manifestation massive, qui ne se produit qu’une fois par génération n’a pas fonctionné. Les dernières élections n’ont rien changé. Que peut-on faire pour changer la direction désastreuse que prend le pays ?

Tous ces événements obligent les Canadiens à faire face à une dure vérité : seul Dieu peut sauver le Canada.

La trajectoire descendante du Canada est due à la convergence de plusieurs différentes forces. Premièrement, il y a le sabotage délibéré du pays par ses propres dirigeants. Comme l’a prophétisé le regretté Herbert W. Armstrong dans les années 1950 et 1960, les États-Unis et les pays du Commonwealth britannique ont subi une infiltration communiste de l’éducation et des institutions clés, qui cherchait à effectuer une révolution idéologique à partir de l’intérieur. Une génération plus tard, presque tous les postes de direction dans ces pays sont occupés par des idéologues communistes comme Trudeau. Cela provoque une affliction amère, comme l’a prophétisé 2 Rois 14 : 26. (Vous pouvez en lire plus sur cette prophétie dans le livre gratuit de Gerald Flurry, rédacteur en chef de la Trompette, intitulé L’Amérique sous attaque).

Une deuxième force est la faute des gens de ces nations. Alors qu’elles souffrent de politiques destructrices, des générations successives de Canadiens se sont rebellées et ont rejeté l’obéissance aux lois de Dieu. Au lieu d’adopter les Dix Commandements, nos sociétés ont adopté un style de vie à la Sodome et Gomorrhe, favorisant la transsexualité, la consommation de drogues, la promiscuité, la pornographie, l’athéisme et les familles brisées. M. Armstrong a expliqué dans Les Anglo-Saxons selon la prophétie que ces nations descendent de l’ancien Israël, et que Dieu a catapulté nos nations vers la grandeur en raison de Sa promesse au patriarche Abraham, donnant une grande richesse et une grande sécurité. Mais en désobéissant à Ses lois, nous avons attiré des malédictions sur nous. Lévitique 26, Deutéronome 28, Ésaïe 3 et de nombreuses autres prophéties expliquent les malédictions dont souffre le Canada.

Le gouvernement Trudeau a été une malédiction pour le peuple canadien pendant huit longues années, et il a causé beaucoup de malheur et de souffrance. Pourtant, la Bible souligne que le peuple canadien en est également responsable à cause de sa propre désobéissance à Dieu. Et la solution pour tous les deux est la même : se tourner vers le grand Dieu de la Bible.

Les événements dramatiques du Convoi de la liberté et la dissimulation qui s’en est suivi sont tous destinés à nous apprendre la leçon de la repentance envers Dieu. Aucun homme ou mouvement politique ne peut réparer le pays. Seul Dieu peut sauver nos nations d’afflictions amères et pardonner nos péchés contre Lui. Regardez ce que Dieu promet en 2 Chroniques 7 : 14 :

« Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies, je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays. »

Vous pouvez revendiquer cette promesse. Vous pouvez changer la direction de votre vie et échapper aux malédictions dont souffre le pays, mais c’est nécessaire d’agir. Pour nous, c’est l’une des leçons les plus difficiles à apprendre, mais c’est le seul chemin vers un avenir meilleur.

Pour en savoir plus sur ce moment important de l’histoire du Canada, veuillez lire notre livre Les Anglo-Saxons selon la prophétie. 




Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives

[Source : leblogdelotfihadjiat.unblog.fr via LLP]

Par Lotfi Hadjiat

[Voir aussi :
Coup de gueule de la journaliste Myriam Palomba face à Laurent Alexandre, au sujet des non-vaccinés, du vaccin et du pass vaccinal
et Témoignage de la journaliste Myriam Palomba un an après son Coup de gueule face à Laurent Alexandre]

Cette vive polémique, survenant après l’affaire Palmade — qui n’est toujours pas en taule —, sur le sang des enfants sacrifiés, polémique dont vous avez été particulièrement victime, Myriam Palomba, vous qui précisément appelez à enquêter et à faire toute la lumière sur les crimes commis sur les enfants, crimes que vous dénoncez, cette polémique où certains laissent entendre que de tels sacrifices sont pratiqués par des Juifs, cette polémique est tellement sensible que, si vous me le permettez, je vais y mettre mon grain de sel, pour tenter d’y voir clair.

Dans l’Ancien Testament, la Bible juive donc, il est dit dans le Livre de Jérémie (32, 35) que les anciens israélites jetaient au feu des enfants en sacrifice à Baal-Moloch (Satan). Et le prophète Jérémie condamnait fermement ces holocaustes, c’est-à-dire ces sacrifices. Il est dit aussi, toujours dans l’Ancien Testament que le royaume d’Israël vouait un culte au Veau d’or (Premier Livre des rois, chapitre 12). On voit donc déjà ici se dessiner la religion du royaume d’Israël : Veau d’or et sacrifice humain, sacrifice d’enfants particulièrement. Voilà la religion de la maison d’Israël, la religion d’Israël.

Le royaume d’Israël était en guerre contre le royaume de Juda. Ces deux royaumes unifiés par le roi David furent en effet séparés à la mort de Salomon, fils de David, et entrèrent dans un conflit irréductible. Quelle était donc la religion du royaume de Juda ?

La religion du royaume de Juda, elle, se conformait simplement aux commandements moraux du prophète Moïse, les fameux Dix commandements gravés sur des tablettes en pierre avant l’épisode du Veau d’or. Voilà la religion de la maison de Juda, la religion de Juda.

Ainsi donc, il y a deux religions juives : la religion de Juda et la religion d’Israël. Après la séparation d’avec le royaume de Juda, le premier roi d’Israël, Jéroboam, s’empressa de bâtir dans son royaume, à Dan et Bethel, deux monumentaux Veau d’or ! Revenant ainsi à la religion propre à Israël. La maison d’Israël finit par corrompre la maison de Juda restée fidèle au monothéisme mosaïque, et par la détruire, en particulier par le biais de la perfide Athalie, fille d’Omri, roi d’Israël. Au point que les Judéens furent finalement assimilés aux israélites (sous la direction d’Esdras, de retour de Babylone). Puis vint un homme issu de la maison de Juda, Jésus-Christ, qui s’attacha à restaurer la religion de Juda, le message de Moïse et le lien de l’homme à Dieu. Mais Jésus fut crucifié, sacrifié à l’instigation de la maison d’Israël. Pour autant, les disciples du Christ firent renaître le message de Moïse qui insistait sur la circoncision du cœur (prescription éminemment christique), et on appela cette renaissance « christianisme ». Les tout premiers chrétiens étaient évidemment tous juifs.

Après la chute de Jérusalem, en 70 après Jésus-Christ, la religion d’Israël s’affirma à travers le Talmud puis à travers des sectes gnostiques (sectes caïnites et ophites, adoratrice du Serpent) puis un peu plus tard à travers la kabbale juive. L’historien israélien Gershom Sholem, grand spécialiste mondialement reconnu de la kabbale juive, affirmait que cette kabbale était truffée « d’éléments gnostiques étrangers au judaïsme ». Gershom avait raison, dans la Torah le Serpent et sa connaissance sont condamnés, alors que dans la kabbale la connaissance du Serpent est glorifiée, le chemin vers la lumière est même appelé « le sentier du Serpent » ! Ce sentier du Serpent aboutit précisément à Kether, la couronne, le pouvoir suprême ici-bas (Malkhut), étant entendu que le pouvoir suprême ici-bas est détenu par Lucifer déchu, le Prince de ce monde… Et je parle bien ici du Serpent biblique qui fit à Adam la promesse d’immortalité par le fruit de la connaissance empirique, promesse d’immortalité qui revient aujourd’hui avec le transhumanisme… la boucle du Serpent est bouclée. Mais j’irais plus loin que Gershom, le judaïsme lui-même contient des éléments étrangers au message originel authentique de Moïse. Par exemple, la deuxième version des Dix commandements. En effet, les premiers Dix commandements d’avant l’épisode du Veau d’or sont très différents des seconds dix commandements établis après l’épisode du Veau d’or. Dans cette seconde version du Décalogue, il n’y a plus du tout de « tu ne tueras point », « tu ne mentiras point », etc., mais bien plutôt du « tu ne viendras pas à mon temple les mains vides », « tu rachèteras au temple tous tes premiers-nés (enfant ou troupeau) », « tu prendras possession du pays de Canaan »…, c’est-à-dire l’appât du gain et du pouvoir ici-bas, le Veau d’or… et c’est ceci qui fut déposé dans l’Arche d’Alliance, et qui fut donc sanctifié… ! Au sens strict, le judaïsme c’est la religion de Juda, pas d’Israël, mais avec les manipulations politiques israélites le judaïsme a fini par englober et la religion de Juda et la religion d’Israël. Bien sûr, il reste encore des judéens fidèles à Moïse, qui n’ont pas rejoint le christianisme. Mais je crains qu’il en reste très peu. Ce sont des juifs humbles, se posant des questions sur eux-mêmes, sur leur communauté, des juifs courageux, indignés par les injustices et les crimes commis par les israélites. Cette religion du Veau d’or est originaire de Babylone. Plusieurs millénaires avant Moïse, on célébrait le Veau d’or à Babylone. On trouve précisément sur la porte d’Ishtar un Veau d’or en bas-relief, la porte d’Ishtar — que l’on peut voir au musée Pergame de Berlin — était une des portes de Babylone. Marduk était la principale divinité de Babylone. Marduk était le fils du dieu-Serpent Enki… qui prit à son service le sage Adapa (Adama/Adam ?). Selon toute apparence, ce dieu-Serpent Enki n’était nul autre que le Serpent biblique. Cette religion d’Israël s’origine donc dans la religion du dieu-Serpent Enki, déchu de l’assemblée des dieux vers la Terre, comme Lucifer déchu, dont le Serpent biblique serait la manifestation… La religion d’Enki c’est donc la doctrine du Serpent (la connaissance du Serpent), doctrine que l’on trouve dans les sectes gnostiques et dans la kabbale juive. Enki fut le premier roi de Sumer, fondateur de la première ville. Dans la Bible, c’est Caïn qui fonda la première ville (après avoir tué son frère cadet Abel, par jalousie). On peut donc penser que Caïn fonda Sumer. Le Talmud dit exactement que Caïn est issu de la semence du Serpent. Enki serait donc à la fois le nom du Serpent et de son fils spirituel : Caïn. D’autant que Enki était jaloux de son frère cadet Enlil… Je pense pour ma part que cette semence du Serpent est spirituelle, la postérité du Serpent n’est pas une postérité de sang, mais d’esprit, d’esprit bestial. Cette postérité d’esprit ne se manifeste donc pas seulement chez les Juifs. Jésus disait aux israélites : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement… » (Jean 8, 44). Dès le commencement avec le meurtre de Caïn donc. Caïn serait donc l’ancêtre des israélites ; et Caïn serait le véritable nom d’Israël, ou plutôt, Israël serait le véritable nom de Caïn (Isra-ël, « en lutte contre Dieu », ce qu’était précisément Caïn).

La religion de Juda originelle a donc été écrasée par la religion d’Israël et son dieu jaloux, religion qui s’est par ailleurs imposée en Occident (le dieu de Moïse n’était pas jaloux, c’était « le dieu des hommes de tous les temps », Exode 3, 14-15). En effet, le Veau d’or triomphe en Occident, quant aux sacrifice d’enfants… L’historien israélien Ariel Toaff étudia particulièrement ce sujet et écrivit un livre qui déclencha une vive polémique : Pâques de sang : Juifs d’Europe et meurtres rituels (publié en 2007). Un livre ou Ariel nous dévoile les meurtres rituels d’enfants pratiqués par certains Juifs en Italie au XVe siècle, rituels où le sang d’enfant était récupéré. La polémique déclenchée par ce livre fut telle que Ariel, sous la pression, dut supprimer certains passages dans le texte et remplacer par endroits l’indicatif par du conditionnel.

Est-ce que ces sacrifices d’enfants sont pratiqués encore aujourd’hui ? Par des sociétés secrètes ? Enquêter là-dessus et diffuser l’information est devenu une mission quasi impossible, car ceux qui pratiquent ces crimes en sacrifice au Prince de ce monde, sont précisément les maîtres de ce monde, maîtres de la finance, maîtres des médias et de la politique. Ces meurtres rituels pratiqués dans le plus grand secret ne resteront pas pour autant éternellement cachés. Tout récemment, le meurtre abominable de la petite Lola, dont on avait découvert le corps sur lequel avaient été inscrits des signes kabbalistiques, est un signe que la vérité va enfin éclater au grand jour. Le nombre « 10 » avait été inscrit sous les pieds de Lola, or 10 représente précisément la Sephira Malkhut dans la kabbale juive !…




Les deux armes de la Macronie pour naufrager la résistance

[Source : Le Courrier des Stratèges]




REVUE DE PRESSE DU 13 MARS 2023

Par MF

ÉDITO
TOUJOURS SUSPENDUS

Depuis plus de 540 jours sans AUCUNE rémunération d’aucune sorte, soignants, pompiers et autres personnels se sont réunis à Lyon le 11 mars, nombreux et solidaires, tandis que Monaco va réintégrer les suspendus le 27 mars, que tout le discours sur le Covid s’effondre avec la mise en évidence de la fraude scientifique et de la manipulation des gouvernements et des médias et que les scandales éclatent au sujet du refus de repositionner les molécules anciennes et sûres comme l’Ivermectine. Le Covid ne faisant plus recette, la France mise maintenant sur le Gardasil, ce vaccin qui a déjà montré son extrême toxicité, mais pas son efficacité, mettant en danger les vies des enfants à travers une obligation à peine déguisée.

Et comme le diable se cache dans les détails, il faut écouter l’intervention de Jarnac, qui nous apprend que « LES CONSULTATIONS SONT INUTILES ». Que celui qui a des oreilles pour entendre entende (Bible, Matthieu 13.9).

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La HAS persiste et signe

Plus de primo-vaccination, mais maintien des rappels dont on sait à quel point ils sont inefficaces et dangereux, et promotion d’une double injection anticovid/grippe dont on ignore les possibles effets indésirables et l’efficacité.

Le quotidien des soignants suspendus

https://actu.fr/normandie/avranches_50025/avranches-soignants-suspendus-ces-professionnels-de-sante-temoignent-de-leur-quotidien_57857630.html

« Cécile, aide-soignante suspendue : “Aujourd’hui, j’ai dû vendre ma maison. On prend du retard pour les factures. Heureusement, j’ai trouvé quelqu’un qui me loge gracieusement avec mes deux enfants”. »

Mais Monaco réintègre ses soignants suspendus !

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/menton/monaco-suspend-l-obligation-vaccinale-et-reintegre-ses-soignants-non-vaccines-contre-le-covid-2728798.html

« La décision à partir du lundi 27 mars. Le gouvernement monégasque a aussi allégé les exigences sanitaires comme l’isolement des personnes positives et les tests PCR pour les cas contacts. »

ET

https://www.francesoir.fr/societe-sante/monaco-reintegre-les-soignants-suspendus

« Excellente nouvelle pour les 53 personnels concernés, mais trop tard pour réintégrer les soignants qui ont déjà démissionné ou qui ont été licenciés ».

ÉTRANGER

ÉQUATEUR — Victoire contre le ministère de la Santé

https://uncutnews.ch/in-ecuador-geschieht-etwas-wunderbares/

« Les combattants de la liberté en Équateur ont gagné une importante victoire contre le ministère de la Santé, qui doit désormais rendre publics les contrats passés avec les fabricants de vaccins »

Royaume-Uni — Comment les autorités ont terrorisé la population

« Les “Lockdown files” publiés par The Telegraph secouent l’opinion publique, mettant en cause l’ex-ministre Matt Hancock qui terrorisait exagérément la population pour obtenir sa docilité. »

Et

https://www.mondialisation.ca/confinement-fermetures-des-ecoles-port-du-masque-the-daily-telegraph-devoile-des-messages-whatsapp-compromettants-des-responsables-britanniques/5675624

« Les échanges démontrent que plusieurs décisions concernant différents aspects de la lutte contre la pandémie ont été prises sans raison suffisante, parfois de manière contradictoire. »

USA — Manipulations des autorités pendant la crise sanitaire

« La nouveauté, c’est en fait que Newsweek, un magazine leader d’opinion dans le monde, publie le point de vue d’un chercheur réputé en santé publique à la Hoover Institution de Stanford, Scott W. Atlas, sous le titre : la réponse américaine au Covid a été basée sur des mensonges. »

USA — Rebondissement dans l’affaire des « Fauci mails »

https://www.francesoir.fr/societe/etats-unis-un-article-scientifique-majeur-sur-l-origine-du-covid-fausse-par-anthony-fauci

« Le 26 février, le quotidien économique américain The Wall Street Journal a annoncé que le Département de l’Énergie des États-Unis considère désormais la fuite de laboratoire comme l’origine du Covid-19la plus probable. La commission parlementaire dirigée par Brad Wenstrup tiendra sa première audience sur la question ce mercredi 8 mars. »

COVID

La vraie létalité du Covid chez les moins de 70 ans

On avait annoncé 3 à 4 %, c’est 0,095 % et même 0,034 % pour les moins de 60 ans

Le meilleur vaccin au monde contre la Covid c’est… Omicron !

« Il a vacciné 70 à 90 % de la population. Le même scénario qu’en 1890 ! »

TRAITEMENTS ET STRATÉGIES

IVERMECTINE, le plus gros scandale sanitaire de l’histoire

https://www.covid-factuel.fr/2023/02/24/ivermectine-andrew-hill-le-plus-gros-scandale-sanitaire-de-lhistoire/

Combien de morts auraient pu être évitées si on avait soigné précocement les malades avec un médicament qui avait fait la preuve de son efficacité et de son absence de dangerosité ?

Les masques, une preuve supplémentaire de leur inefficacité

https://www.libre-media.com/article/les-masques-completement-inutiles-selon-une-nouvelle-etude

Quelle que soit la catégorie, les masques sont aussi inutiles qu’inefficaces (étude Cochrane, Oxford, janvier 2023)

INJECTIONS

Le collectif américain Réseau d’actions accuse Pfizer d’avoir menti

https://www.francesoir.fr/societe/un-collectif-accuse-pfizer-d-avoir-menti-sur-les-resultats-d-une-etude

« Certains rongeurs utilisés dans une étude précoce de Pfizer auraient développé des effets secondaires à court terme, ou seraient même décédés, ce que le laboratoire a caché »

Les victimes oubliées de l’essai Pfizer et l’étude cachée du gouvernement israélien

« Naomi Wolf écrit dans la préface de son livre “Pfizer Documents Analysis Report” que la vaccination contre le Covid-19 “a probablement commis un crime contre l’humanité d’une ampleur sans précédent”. L’étude israélienne montre que le vaccin augmente progressivement le risque de décès au fil du temps, avec un pic 4 mois après la vaccination. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Les vaccins à ARNm ne sont ni sûrs ni efficaces, mais dangereux

https://reinfocovid.ca/les-vaccins-a-arnm-ne-sont-ni-surs-ni-efficaces-mais-carrement-dangereux/

« Les vaccins COVID-19 provoquent plus d’effets secondaires que n’importe quel autre vaccin. Non seulement la protéine de pointe produit des effets secondaires indésirables, mais l’ARNm et les nanoparticules en produisent également. »

Effets secondaires des injections

« Le poison tue et personne ne bouge en France, pire des citoyens sont privés de statut social pour avoir refusé de se faire injecter, et pourtant les articles se multiplient décrivant syndrome de Guillain-Barré, syncopes, thromboses, maladies auto-immunes, etc.. »

Explosion de turbo-cancers

https://reseauinternational.net/explosion-de-turbo-cancers-apres-la-vaccination-covid-observations-dune-pathologiste/

Dr Krüger, hôpital de Kalmar en Suède, spécialiste du cancer du sein :

« Les cas de tumeurs cancéreuses à croissance rapide, les “turbo-cancers”, se sont multipliés, en particulier chez les jeunes femmes qui étaient moins touchées par de telles tumeurs auparavant. La taille des tumeurs a également changé. Auparavant, il était inhabituel pour le Dr Krüger de trouver une tumeur de 3 cm. Maintenant, elle voit régulièrement des tumeurs de 4 cm, 8 cm, 10 cm et parfois même 12° cm, et même une tumeur de 16 cm qui remplissait tout un sein. Elle a également observé des cas de tumeurs multiples, c’est-à-dire des tumeurs qui se développaient dans plusieurs organes de la même personne. Dans les mois qui ont suivi la vaccination, une patiente a développé des tumeurs dans le sein, le pancréas et les poumons. »

Responsabilité des vaccins anticovid dans l’apparition de maladies neurodégénératives

Pronostic glaçant :

« Nous supposons que l’âge d’apparition des maladies neurodégénératives au niveau de la population diminuera à l’avenir dans les pays où la couverture vaccinale a été élevée »

APRÈS COVID

Le Gardasil, la nouvelle aubaine des laboratoires… et un nouveau scandale en marche

« Nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus » 

Et

https://www.aimsib.org/2023/03/12/gardasil-episode-6-aucune-preuve-quil-previenne-le-cancer-du-col-de-luterus-au-contraire/

« La principale cause de cette augmentation continue semble être l’augmentation des cancers associés aux souches non vaccinales. En effet, de nouvelles preuves suggèrent que la vaccination contre le PVH rend les femmes plus sensibles que leurs homologues non vaccinées aux génotypes de PVH non couverts par le vaccin. »

Épisodes précédents :

https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin/

https://www.aimsib.org/2023/02/12/gardasil-episode-2-de-vioxx-a-gardasil-comment-faire-confiance-a-merck/

https://www.aimsib.org/2023/02/19/gardasil-episode-3-devastateur-et-pourtant-17-ans-sans-proces-pourquoi/

https://www.aimsib.org/2023/02/26/gardasil-episode-4-mais-au-fait-le-gardasil-cest-fait-avec-quoi/

https://www.aimsib.org/2023/03/05/episode-5-gardasil-des-essais-cliniques-truques/

Le covid ne fait plus recette, qu’importe, on dégaine en hâte un nouveau fléau qui menace nos préados et pourrait, quel hasard, permettre à certains industriels d’engranger de belles recettes…

L’occasion pour un dirigeant de signer l’arrêt de mort de la médecine : discours de Jarnac (deuxième vidéo) à 2 min 55 s :

« Pour supprimer les consultations/les consultations sont inutiles »

https://www.charentelibre.fr/politique/macron-a-jarnac-une-quarantaine-d-opposants-a-la-reforme-des-retraites-presents-live-et-video-14237319.php

ou (à 2 min 48 s, son de meilleure qualité) :

RÉSISTANCES

CSI n° 94 du 9 mars 2023

https://crowdbunker.com/v/LCJaHZfB

Invité : Pr Jean-Paul Bourdineaud, docteur en biologie cellulaire et microbiologie.
Sujet : Critique définitive de l’article du Lancet prétendant que les vaccins génétiques auraient évité jusqu’à 20 millions de décès.



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Rien que la vérité sur la « démission » de Benoît XVI

[Source : Andrea Cionci – Codice Ratzinger]

[Voir aussi la version écrite de la même révélation :
Mort de Benoît XVI : du siège empêché au siège vacant. Le Pape François n’existe pas (mais l’antipape oui)]




Le Temple sera-t-il reconstruit de nos jours ?

[Source : michelledastier.com]

Par le pasteur Jean-Marc Thobois

Depuis des dizaines d’années maintenant (soit, grosso modo depuis l’indépendance d’Israël), des rumeurs circulent, au sein du monde évangélique, selon lesquelles, les juifs s’apprêtent à reconstruire le 3e temple, et que sa reconstruction est imminente.

[Voir aussi :
Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent]

Le fait que 70 ans se soient passés sans que cette « imminence » se soit matérialisée ne semble pas être un problème pour le public évangélique. C’est ainsi que, selon ces rumeurs, les pierres du temple seraient déjà taillées et stockées aux États-Unis, en attendant d’être embarquées à destination d’Israël pour la reconstruction du sanctuaire. On fait, notamment, grand cas d’une organisation appelée « Les fidèles du Temple » qui seraient les promoteurs de cette entreprise et qui auraient préparé tout ce qui est nécessaire à la concrétisation de cette entreprise. La reconstruction du 3e Temple est un dogme incontournable pour beaucoup d’évangéliques adeptes de la théorie dispensationaliste. Un des éléments de cette théorie affirme que le Temple doit être reconstruit avant la parousie, à seule fin que l’antichrist s’y asseye, séduise Israël et se fasse adorer par lui comme Dieu.

Ce dogme est basé sur les prophéties de Daniel concernant la profanation du Temple par le roi grec Antiochus IV Epiphanès qui, à la demande d’une minorité de juifs apostats, membres du parti hellénisant qui prit le pouvoir à Jérusalem dans les années 60 du Ile siècle avant notre ère, profana le Temple et établit une statue de lui-même dans le Lieu Très-Saint, sous forme de Zeus, interdisant toute forme de religion juive et imposant l’adoration des idoles de la part du peuple d’Israël. Cette « abomination » provoqua une révolte des « Hassidim », c’est-à-dire des fidèles à l’Éternel, connue sous le nom de « révolte des Macchabées » qui, après 3 ans et demi d’une lutte inégale chassèrent les Grecs, purifièrent le Temple et rétablirent le culte divin.

Dans la Ile épître aux Thessaloniciens, au chapitre 2, Paul semble faire allusion à ces événements, en invoquant l’impie, l’adversaire qui s’élève contre tout ce que l’on appelle Dieu et qui va s’asseoir jusque dans le Temple de Dieu et se faire lui-même adorer comme Dieu. Notons que cette parole de l’apôtre suit une tentative de profanation du Temple par l’empereur fou Caligula, qui avait médité de dresser une statue de lui-même dans le Temple de Jérusalem. Fort heureusement, il mourut avant de pouvoir réaliser son projet, mais pour les juifs, l’alerte avait été chaude…

Cet incident eut lieu quelques années avant que Paul n’écrive son épître et peut-être l’apôtre y pensait-il en écrivant ces versets.

Le dispensationalisme en conclut que ce qui s’est passé en 167 avant Jésus-Christ se reproduira lors de la venue de l’antichrist, dont Antiochus Epiphane serait alors le type.

Il faut donc qu’un temple existe quand viendra l’antichrist et par conséquent, on attend avec impatience, dans ces milieux, « que les juifs reconstruisent le Temple », d’où l’intérêt que l’on prête aux « fidèles du Temple ».

La critique que l’on peut adresser à cette théorie est double : s’il est vrai que les prophéties de Daniel entrent dans la catégorie des « cycles prophétiques », cela ne veut pas dire forcément que les événements se reproduiront au détail près. Il faut plutôt y voir un schéma général. En ce qui concerne II Thess. 2, nous avons à faire à une prophétie obscure. Il est question d’un mystérieux personnage qui retient la manifestation de l’impie et d’un enseignement que Paul a diffusé oralement aux Thessaloniciens, mais qu’il ne répète pas, de sorte que nous en sommes réduits à des spéculations. En outre, à quoi Paul fait-il allusion quand, dans ce texte, il parle de « s’asseoir dans le Temple de Dieu. » ? De quel Temple s’agit-il ? Dans d’autres textes, Paul fait allusion à un Temple composé de « pierres vivantes » à l’instar de ce que l’on rencontre à Qumran, où il est aussi question d’un « Temple spirituel. ».

Que dit la Bible au sujet du Temple ?

De très nombreux textes qui évoquent la destruction du Temple annoncent aussi sa reconstruction, dans le contexte du grand retour au pays de la Bible et dans la perspective du rétablissement du Royaume messianique. Il est donc indiscutable qu’il y aura bel et bien un Sème Temple, mais la question est : quand ?

Les prophètes annoncent que cet événement sera contemporain de profonds bouleversements dans la nature elle-même. Ainsi, Ésaïe 2 et Michée 4 déclarent : « La montagne du Temple s’élèvera au-dessus de toutes les montagnes environnantes. », ce qui laisse présager de profonds bouleversements géologiques. Selon Ézéchiel, Joël et Zacharie, une source sortira alors de cette montagne et coulera en direction de l’est, par une faille qui se sera produite d’ouest en est, à travers le Mont des Oliviers. C’est un phénomène géologique difficilement concevable, dans la mesure où les montagnes d’Israël sont orientées Nord-Sud. Or, depuis 1937, à la suite d’un petit tremblement de terre qui eut lieu à Jérusalem, une faille est apparue dans la montagne des oliviers, précisément d’ouest en est… En outre, il y aurait à très grande profondeur, dans toute cette région, une énorme masse d’eau souterraine. Selon les prophéties, ce fleuve se jettera dans la Mer Morte, qui sera purifiée et deviendra un lac poissonneux à l’instar de la mer de Galilée, tandis que, tout le long de son cours, le désert de Juda deviendra fertile. On le voit, on est encore loin de cette situation qui, selon les prophètes, ne sera réalisée que lors de l’avènement messianique. Le Temple reconstruit alors, deviendra un lieu de pèlerinage obligé, non seulement pour le peuple d’Israël, mais pour toutes les nations qui, désarmées et pacifiées, se convertiront au Dieu d’Israël, en sorte que comme le dit le prophète : « Ma maison sera appelée une maison de prières pour tous les peuples ».

Où en sommes-nous aujourd’hui ?

Le gouvernement d’Israël est un gouvernement laïc qui n’envisage absolument pas la reconstruction du Temple. En 1967, lors de la Guerre des 6 jours, le ministre de la Défense, monsieur Moshé Dayan restitua aux Arabes le Mont du Temple qui venait de tomber aux mains des troupes israéliennes. Par ce geste, il signifiait qu’il était hors de question pour Israël de reconstruire le Temple.

De ce fait, le Temple, aujourd’hui, jouit d’une sorte de statut d’extra-territorialité au sein de l’État d’Israël et constitue une sorte de « Vatican arabe » administré par le Wakf (conseil religieux musulman) qui d’ailleurs, interdit à tout « infidèle » de venir prier à cet endroit et même d’y introduire des livres saints non musulmans… Toute remise en question de ce statu quo provoquerait une explosion sans précédent dans l’ensemble du monde musulman. On l’a vu d’ailleurs en l’an 2000, lors de la visite du Général Ariel Sharon sur le Mont du Temple et qui provoqua « l’intifada des mosquées » et plus récemment, lors de l’établissement de portiques de sécurité à l’entrée de l’esplanade. Auparavant, l’ouverture du « tunnel hasmonéen » le long du mur ouest de l’esplanade avait provoqué un véritable bain de sang et un incident international. Pour toutes ces raisons, le gouvernement israélien s’oppose farouchement à toute tentative de reconstruction du Temple.

Les fidèles du Temple

Il s’agit d’une organisation privée non officielle qui se propose essentiellement de préparer tout ce qui est nécessaire pour la reconstruction du Temple, lorsque l’heure viendra. Son porte-parole, Monsieur Jean-Marc Rosenfeld est formel : il est hors de question de reconstruire le Temple dans les conditions actuelles. Pour la majorité des rabbins, en effet, le Temple ne peut être reconstruit que par le Messie lui-même. C’est ce qu’affirme, notamment, le prophète Zacharie, qui déclare que Dieu fera approcher un homme du nom de Tsemah (la branche) et qui reconstruira le Temple de l’Éternel. La tradition juive voit dans cette expression un des noms du Messie. On en conclut donc que seul le Messie sera habilité à reconstruire le Temple. Le but des fidèles du Temple est de fournir au Messie tout ce qui lui sera nécessaire pour cette reconstruction du sanctuaire : les ustensiles, les vêtements des prêtres, les généalogies de ces derniers, l’huile d’onction et l’encens et même la vache rousse.

Jean-Marc Rosenfeld cite Maïmonide (célèbre rabbin du Moyen-âge), pour qui le Messie devra donner deux signes pour prouver qu’il est le Messie véritable. Israël a connu dans son histoire de nombreux faux messies. On n’en a crucifié aucun, car ce n’est pas un crime de se proclamer le messie… Par contre, il faut le prouver et pour cela donner deux signes : ressusciter les morts (ce qui, il faut l’avouer n’est pas à la portée du premier venu…) et reconstruire le Temple. Il est vrai que quelques rabbins sont beaucoup plus expéditifs et envisageraient une reconstruction du Temple dans des délais plus brefs, mais il s’agit d’une petite minorité sans réelle influence et qui font beaucoup parler d’eux ; chaque année, lors des fêtes d’automne, ils effectuent une cérémonie qui consiste à poser la première pierre du nouveau Temple. Souvent, des échauffourées s’ensuivent, notamment avec les Arabes, et la police intervient et disperse ces activistes. Il y a un certain nombre d’années, certains de ces extrémistes avaient même envisagé de faire sauter les mosquées pour faire place nette à la reconstruction du Temple !

On imagine sans peine ce qu’aurait été le résultat d’une telle profanation. Fort heureusement, les services de police israéliens eurent vent du complot avant l’irréparable et arrêtèrent leurs auteurs.

Pour Jean-Marc Rosenfeld, il existe une autre raison pour laquelle les hommes ne peuvent reconstruire le Temple :

C’est qu’il s’agit d’un lieu de paix, symbole de La paix.

Ainsi, David ne fut pas autorisé par Dieu à construire le Temple comme il le souhaitait parce qu’il avait été un homme de guerre et qu’il avait versé trop de sang. C’est son fils Salomon, dont le nom signifie le Pacifique, à qui est échu ce privilège. Le règne de Salomon fut un temps de paix, contrairement à celui de David.

Or, il est clair aujourd’hui qu’Israël n’est pas en paix ; ce ne peut donc être l’heure de la reconstruction du Temple.

Enfin, Jean-Marc Rosenfeld souligne que, dans ce nouveau Temple, contrairement aux deux premiers, il n’y aura pas de sacrifice sanglant. En effet, pendant le temps messianique, la nature pécheresse de l’homme aura disparu et par conséquent, les sacrifices d’expiation ne seront plus nécessaires.

D’autres rabbins, se basant sur les derniers chapitres d’Ézéchiel, sont d’un avis contraire et l’Institut du Temple fabrique des instruments en relation avec les sacrifices. Or, le Temple de la vision d’Ézéchiel est peut-être une vision idéalisée du 2e Temple et non du 3e. Beaucoup de détails de cette vision, en effet, ne sont pas réalisables concrètement. Il est donc difficile d’en tirer des conclusions certaines dans un sens ou dans un autre.

En résumé, même si le 3e Temple doit être reconstruit un jour, c’est loin d’être pour l’heure la priorité de la majorité du peuple d’Israël.

Il faut donc cesser de fantasmer à ce sujet, à cause d’une théorie qui est loin d’être prouvée. Se polariser sur ce sujet encore environné de mystère risque de nous détourner de l’essentiel. Dans l’état présent des choses, nul ne peut prédire avec précision ce qui va se passer et comment les choses vont se passer.

L’évolution globale du monde devrait être un souci infiniment plus préoccupant et il ne faudrait pas passer à côté de l’essentiel. Jésus lui-même s’est refusé à toute spéculation sur ce genre de sujet, ramenant ses interlocuteurs qui lui posaient des questions trop précises sur ce qui, pour Lui, était le plus important :

« SOYEZ PRÊTS EN TOUT TEMPS, PUISQUE VOUS NE CONNAISSEZ NI LE JOUR NI L’HEURE ! »


[À propos de l’auteur]

Jean-Marc Thobois est issu d’une longue lignée de pasteurs huguenots du Poitou, en France.

Il a étudié la Bible à Londres, puis l’histoire d’Israël et l’archéologie biblique à l’Université hébraïque de Jérusalem (1965-1967).

Spécialiste de l’hébreu, il a participé à la traduction de la « Bible à la Colombe ». Il a travaillé sur une nouvelle traduction intégrale de la Bible.

Jean-Marc Thobois a été pasteur de 1967 à 2004, principalement en Bretagne. Après 2004, il a exercé un ministère itinérant en France et à l’étranger, donnant des conférences, des séminaires et des enseignements sur la Bible, sur Israël et la prophétie.

Il était marié, père de trois enfants et grand-père de onze petits-enfants.

Le pasteur Jean-Marc Thobois est décédé dans la nuit du 13 au 14 mars 2020 au cours de la période où l’épidémie de Covid-19 s’est déclarée en France.

@tout le monde

https://www.associationkeren.com/




Sur la stupidité

[Source : numidia-liberum]

La théorie de Dietrich Bonhoeffer explique une grande partie de la politique et de la culture contemporaines.

Peter A. McCullough

Par John Leake

En 1943, le pasteur luthérien et membre de la résistance allemande, Dietrich Bonhoeffer, est arrêté et incarcéré à la prison de Tegel. Là, il a médité sur la question de savoir pourquoi le peuple allemand — malgré sa vaste éducation, sa culture et ses réalisations intellectuelles — était tombé si loin de la raison et de la moralité. Il a conclu qu’en tant que peuple, ils avaient été affligés de stupidité collective (allemand : Dummheit).

Il n’était pas désinvolte ou sarcastique, et il a précisé que la stupidité n’est pas le contraire de l’intellect natif. Au contraire, les événements d’Allemagne entre 1933 et 1943 lui avaient montré que des personnes parfaitement intelligentes étaient, sous la pression du pouvoir politique et de la propagande, rendues stupides, c’est-à-dire incapables de raisonnement critique. Comme il l’a dit :

La stupidité est un ennemi du bien plus dangereux que la méchanceté. On peut protester contre le mal, le dénoncer et, si nécessaire, l’empêcher par la force. Le mal recèle toujours le germe de l’autodestruction en induisant au moins un certain malaise chez les gens. Nous sommes sans défense contre la bêtise. Rien ne peut être fait pour s’y opposer, ni par des protestations ni par la violence. Les raisons ne peuvent prévaloir. Les faits qui contredisent ses préjugés n’ont tout simplement pas besoin d’être crus, et lorsqu’ils sont inévitables, ils peuvent simplement être écartés comme des cas isolés sans signification.

Contrairement au mal, la personne stupide est complètement satisfaite d’elle-même. Lorsqu’elle est irritée, elle devient dangereuse et peut même passer à l’attaque. Il faut donc plus de prudence lorsqu’on est en face des stupides qu’en face des méchants. N’essayez jamais de convaincre le stupide avec des raisons ; c’est inutile et dangereux.

Pour comprendre comment faire face à la stupidité, nous devons essayer de comprendre sa nature. Ceci est certain : ce n’est pas essentiellement un défaut intellectuel, mais un défaut humain. Il y a des gens intellectuellement vifs qui sont stupides, alors que des gens intellectuellement incompétents peuvent être tout sauf stupides. Nous le découvrons à notre grande surprise dans certaines situations.

On a l’impression que la stupidité n’est souvent pas un défaut inné, mais un défaut qui apparaît dans certaines circonstances où les gens sont rendus stupides ou se laissent devenir stupides. Nous observons également que les personnes isolées et solitaires présentent moins fréquemment ce défaut que les groupes de personnes socialisantes. Ainsi, peut-être que la bêtise est moins un problème psychologique que sociologique. C’est une manifestation spéciale de l’influence des circonstances historiques sur l’homme, un effet secondaire psychologique de certaines conditions extérieures.

À y regarder de plus près, on s’aperçoit que le fort effort du pouvoir extérieur, qu’il soit politique ou religieux, frappe de stupidité une grande partie du peuple. Oui, il semble que ce soit une loi sociologique et psychologique. Le pouvoir des uns exige la bêtise des autres. Sous cette influence, les capacités humaines se flétrissent ou échouent soudainement, privant les gens de leur indépendance intérieure, à laquelle ils renoncent — plus ou moins inconsciemment — pour adapter leur comportement à la situation qui prévaut.

Le fait que les imbéciles soient souvent têtus ne doit pas cacher le fait qu’ils ne sont pas indépendants. Quand on lui parle, on sent qu’on n’a pas affaire à lui personnellement, mais à des accroches, slogans, etc. qui se sont emparés de lui. Il est sous un charme ; il est aveuglé ; il est maltraité dans son être.

Devenu un instrument sans volonté indépendante, le sot sera aussi capable de tout mal, et en même temps, incapable de le reconnaître comme mal. C’est là que réside le danger d’abus diaboliques. Par cela, un peuple peut être ruiné à jamais.

Mais il est aussi bien clair ici qu’il ne s’agit pas d’un acte d’instruction, mais seulement d’un acte de libération qui peut vaincre la bêtise. Ce faisant, il faudra accepter le fait que, dans la plupart des cas, la véritable libération intérieure n’est possible qu’après que la libération extérieure a eu lieu. D’ici là, il faudra s’abstenir de toute tentative de convaincre les imbéciles. Dans cet état de choses, on essaie en vain de savoir ce que « le peuple » pense réellement ».

La Bible déclare que la crainte de Dieu est le commencement de la sagesse. Ainsi, la libération intérieure de l’homme commence par une vie responsable devant Dieu. Ce n’est qu’alors que la bêtise peut être vaincue.

Par JOHN LEAKE
Source




Il raconte sa vision extraordinaire de Jésus en croix

[Source : petit christ]

Témoignage de Michel Barbez [par ailleurs pasteur. Voir https://www.youtube.com/watch?v=CdKUVwh00CI], qui relate l’expérience extraordinaire qu’il a faite : se retrouver en temps réel face à Jésus, à 35 centimètres de son visage, durant les six heures qui ont précédé sa mort en martyr sur la croix.




Mgr Athanasius Schneider : Comment transmettre la foi à vos enfants ?

[Source : Féd. Pro Europa Christiana]

Voilà le sujet brûlant qu’a abordé Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de Notre-Dame d’Astana, au Kazakhstan, lors d’une conférence en direct le 29 septembre 2020 à 19 h 30.

Il s’y connaît : né dans la défunte URSS, il a vécu toute son enfance dans une « Église des catacombes » qui assurait la transmission de la foi par la catéchèse familiale.

Ayant reçu la vocation sacerdotale à travers le bon exemple de prêtres clandestins, il est très sensible à tout ce qui touche à la sacralité et au ministère, depuis le maintien de la règle du célibat ecclésiastique jusqu’à la révérence due au Saint Sacrement dans la réception de la sainte Communion, thème auquel il a consacré deux livres.

Son dernier ouvrage — Christus vincit — est un cri d’espérance dans la proche restauration de l’Église et de la civilisation chrétienne dans toute leur splendeur, grâce à la fidélité des « petits », comme lors de la crise arienne du IVe siècle.




Le transhumanisme et l’image de Dieu

[Source : https://creation.com]

Par Andrew Sibley

[Illustration : Pixabay
Les partisans du transhumanisme rejettent ce qu’est l’être humain créé à l’image de Dieu. Au lieu de cela, ils cherchent à déifier la science et l’humanité.]

Le transhumanisme est un mouvement qui soutient que les avancées scientifiques et technologiques peuvent être utilisées pour améliorer l’humanité. Par exemple, pour augmenter la durée de vie, pour se débarrasser des maladies par la modification des gènes, pour implanter des micropuces électroniques à des fins de sécurité, ou pour surveiller l’emplacement, les achats et les mouvements d’une personne. Certains de ces éléments peuvent sembler vaguement pertinents pour l’apologétique de la science créationniste. Cependant, au fond, c’est un mouvement athée et, en fin de compte, il se justifie par la croyance en l’évolution. Creation Ministries International a abordé pour la première fois la question du transhumanisme en 2011. Avance rapide jusqu’en 2023 et il est promu plus que jamais par des universitaires de renom et des forums de premier plan, ainsi que par des subventions de recherche bien financées, comme celle du gouvernement du président Biden.1

[Voir aussi :
François-Xavier Bellamy : « Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain »
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle]

Origines et objectifs du transhumanisme

« Au fond, [le transhumanisme] est un mouvement athée et, en fin de compte, il se justifie par la croyance en l’évolution. »

Les membres du mouvement transhumaniste cherchent à accroître les capacités mentales, sensorielles et physiques de l’homme, mais cela témoigne d’une incapacité à comprendre pleinement ce qu’est l’être humain.2 Ses partisans cherchent à utiliser les technologies actuelles, telles que la technologie de modification des gènes embryonnaires (qu’est-ce que CRISPR ?),3 et les technologies de l’information, ainsi que les technologies émergentes telles que la nanotechnologie moléculaire et l’intelligence artificielle4 (ces technologies ne sont pas nécessairement mauvaises en soi, mais la manière dont elles sont utilisées soulève des questions éthiques pour la société). Xiao Liu écrit que « nous entrons dans l’ère de l’ » Internet des corps » : la collecte de nos données physiques par le biais d’une série de dispositifs qui peuvent être implantés, avalés ou portés »5. Cette utilisation des nouvelles technologies découle de la croyance évolutionniste selon laquelle l’humanité n’est qu’un chantier en cours, conformément aux croyances transhumanistes :

« Les transhumanistes considèrent la nature humaine comme un travail en cours, un début à moitié cuit que nous pouvons apprendre à remodeler de manière souhaitable. L’humanité actuelle ne doit pas nécessairement être le point final de l’évolution. Les transhumanistes espèrent que, grâce à une utilisation responsable de la science, de la technologie et d’autres moyens rationnels, nous parviendrons un jour à devenir des posthumains, des êtres dotés de capacités bien supérieures à celles des êtres humains d’aujourd’hui. »6

« Bien qu’à certains égards, le transhumanisme ne soit pas clairement défini, il s’agit en fait de la croyance que l’évolution a besoin d’un coup de pouce, ce qui, quand on y pense, est plutôt ironique, car il s’agit d’un coup de pouce intelligemment conçu ! »

Cette perspective remet directement en question la façon dont nous nous comprenons en tant qu’êtres humains, créés à l’image de Dieu. Bien qu’à certains égards, le transhumanisme ne soit pas clairement défini, il s’agit en fait de la conviction que l’évolution a besoin d’un coup de pouce, ce qui, quand on y pense, est plutôt ironique, car il s’agit d’un coup de pouce intelligemment conçu ! L’objectif déclaré des transhumanistes est de faire évoluer l’humanité vers « le niveau suivant », afin que les êtres humains puissent prétendument transcender les limites naturelles et créer eux-mêmes l’humanité 2.07 (Max Tegmark l’appelle la vie 3.0). On parle parfois de l’émergence d’une espèce « post-humaine ». En fait, les liens étroits entre le transhumanisme et l’évolution indiquent qu’il s’agit d’un prolongement de l’eugénisme. Le biologiste évolutionniste et eugéniste Julian Huxley a proposé l’expression transhumanisme dans un essai en 1957, et a déclaré ce qui suit :

« … lorsqu’il y aura suffisamment de personnes qui pourront vraiment dire qu’elles [croient au transhumanisme], l’espèce humaine sera au seuil d’un nouveau type d’existence, aussi différente de la nôtre que la nôtre l’est de celle de l’homme de Pékin [sic]. »8

Ce type de pensée utopique se poursuit aujourd’hui, mais au lieu d’être une idée marginale, les successeurs de Huxley ont l’oreille d’hommes politiques de premier plan et peuvent propager librement leurs opinions dans les forums mondialistes. Yuval Noah Harari est professeur d’histoire à l’Université hébraïque de Jérusalem et conseiller auprès du Forum économique mondial. Il présente la situation comme suit dans un livre intitulé Homo Deus (homme-dieu) :

« Au lieu de cela, les bio-ingénieurs prendront le vieux corps de Sapiens, et réécriront intentionnellement son code génétique, reconnecteront ses circuits cérébraux, modifieront son équilibre biochimique, et feront même pousser des membres entièrement nouveaux. Ils créeront ainsi de nouveaux enfants-dieux, qui pourraient être aussi différents de nous, Sapiens, que nous sommes différents de l’Homo erectus. »9

Harari rejette la croyance dans le Dieu de la Bible, mais souhaite plutôt déifier l’humanité. Il estime que les humanistes des Lumières, avec leur croyance en l’évolution, ont supprimé la foi en Dieu et l’ont placée dans les autres.

Autres problèmes du transhumanisme

CCA 2.0 generic — wikipedia
Est-ce là l’avenir de l’humanité que propose le transhumanisme ?Reconstruction d’une unité Borg de science-fiction dans une station d’accueil de régénération (Hollywood Entertainment Museum)
Marcin Wichary, 5 janvier 2006

Un autre problème est le manque de connaissances sur la véritable nature de l’humanité. La science naturaliste en sait-elle assez sur ce qu’est l’être humain en premier lieu ? Joanna Kavenna soulève cette question (notamment dans le New Scientist) : « Elle pose la question en sachant que la majorité des gens dans le monde ont une forme de croyance religieuse ou spirituelle. Dans ce contexte, la plupart croient que les êtres humains possèdent une âme non matérielle qui anime le corps physique. En outre, le concept de conscience dépasse le cadre de la science naturaliste et, à bien des égards, il reste mystérieux dans la philosophie des sciences, malgré les efforts des chercheurs :

« … la conscience — cette chose mystérieuse que tout être humain possède ou se sent posséder — reste “le problème difficile” de la philosophie. Il nous manque une théorie unifiée de la conscience. Nous ne comprenons pas comment la conscience est “générée” par le cerveau, ni même si c’est la bonne métaphore à utiliser »10.

Kavenna souligne que la science naturaliste n’a pas progressé dans l’approfondissement de cette compréhension au fil des ans, et qu’elle ne sait même pas qui étaient les premiers humains. Elle écrit :

« Nous ne savons pas qui étaient les premiers humains : cette quête fascinante nous conduit également tout droit vers un grand vide d’inconnaissance »10.

Bien sûr, les créationnistes chrétiens à l’esprit biblique ont l’avantage de savoir que les premiers humains étaient Adam et Ève. Mais l’adhésion des transhumanistes à la science naturaliste, et leur croyance en l’évolution, signifie qu’ils ont une compréhension inadéquate de l’humanité.

Malgré les formidables progrès de la science, notre compréhension de la complexité du code génétique reste incomplète, les nouvelles avancées ne faisant que découvrir des niveaux de plus en plus élevés de fonctionnalités interdépendantes. Par exemple, pendant de nombreuses années, les spécialistes de l’évolution ont considéré qu’une grande partie du code génétique était « inutile », mais des découvertes récentes ont démontré qu’elle jouait un rôle important dans la cellule (voir Les idées sur l’ADN poubelle ont entravé les progrès de la science médicale), ce qui a entravé les progrès de la science médicale. Malheureusement, malgré tous les merveilleux avantages de la science biomédicale, elle a aussi un catalogue d’erreurs dues à l’introduction de produits qui se sont avérés nocifs par la suite, comme le médicament thalidomide.

Pixabay
Le transhumanisme offre un avenir dystopique

Il y a aussi le problème du pouvoir et du contrôle. Qui décide de ce qui est le mieux pour l’humanité ? Devons-nous laisser une technocratie de politiciens, de riches industriels et d’élites scientifiques décider ? Un précédent article de CMI avait déjà illustré ce problème avec l’exemple du collectif Borg dans Star Trek.11

Dans la série, les Borgs étaient un réseau d’êtres organiques et sensibles (humains et autres extraterrestres) qui avaient été modifiés par la cybernétique et la nanotechnologie — d’où les cyborgs. La technologie transhumaniste a été utilisée pour contrôler complètement les êtres et supprimer leur individualité, en subsumant leur esprit et leur conscience en un seul collectif social. Ce collectif obscur, comparable à une ruche d’abeilles surveillée par la reine, était également extrêmement puissant et avait pour objectif d’assimiler tous les autres dans son système. D’autre part, la Fédération des planètes unies, technologiquement avancée (sous la direction de sa directive première non interférente), utilisait son savoir-faire pour maximiser la liberté et les capacités personnelles de la communauté (humaine et celle des autres espèces extraterrestres fictives).

Cette illustration fictive, qui peut paraître fantaisiste, soulève néanmoins un point pertinent (en tant que métaphore) sur l’avenir de l’humanité. Est-il juste qu’une technocratie d’élite développe et utilise les progrès de la science pour contrôler les gens, que ce soit dans une forme de collectif social d’êtres post-humains ou dans une autre structure sociale ? Ou devrions-nous utiliser la science et la technologie pour maximiser la liberté et l’épanouissement humain ? Comme le dit le proverbe, l’enfer est pavé de bonnes intentions, et les États socialistes et technocratiques idéalistes n’ont historiquement fait qu’appauvrir le peuple, comme on peut le voir avec l’ancienne Union soviétique. Peter Hitchens met en garde contre les souffrances causées par les rêveurs athées et utopistes : « L’utopie ne peut être approchée qu’à travers une mer de sang ».12 Cela nous amène à envisager une vision centrée sur le Christ (en laissant de côté l’eschatologie).

La vision chrétienne

Bien sûr, les êtres humains ont utilisé les progrès technologiques pendant des centaines d’années pour améliorer la vie des gens — alors, qu’y a-t-il de mal avec le transhumanisme ? Le professeur de sociologie Steve Fuller, qui a déjà apporté son soutien au mouvement du Dessein Intelligent, affirme que le transhumanisme n’a rien à craindre et qu’il n’est que la continuation des progrès technologiques réalisés depuis plusieurs centaines d’années.13

« Il y a… quelque chose de sacré dans les êtres humains, créés à l’image de Dieu, c’est pourquoi la modification de ce que signifie être humain pose des problèmes éthiques. »

Cependant, il existe une différence fondamentale entre les croyances judéo-chrétiennes et les croyances évolutionnistes athées en ce qui concerne la manière dont les êtres humains peuvent utiliser la technologie pour façonner l’avenir de l’humanité. Les chrétiens soutiennent que les êtres humains sont créés à l’image de Dieu, mais que nous souffrons des séquelles de la Chute, ce qui explique que nous soyons malades et que nous mourions. Dans cette vie, nous souhaitons vivre le plus sainement possible, et nous faisons ce que nous pouvons pour les autres aussi ; de cette façon, nous espérons améliorer l’espérance de vie, tout en maintenant la qualité de vie. Mais en fin de compte, il faut affronter la mort (Hébreux 9:27), qui est la dure réalité. Aucune technologie que l’homme pourrait inventer ne peut éviter la mort. La bonne nouvelle est que le pardon des péchés et le salut peuvent être obtenus spirituellement grâce à l’œuvre du Christ sur la croix ; les chrétiens qui ont mis leur confiance dans le Christ attendent la résurrection et la vie éternelle.

Il y a aussi quelque chose de sacré dans les êtres humains, créés à l’image de Dieu, c’est pourquoi la modification de ce que signifie être humain pose des problèmes éthiques. D’un autre côté, les philosophes athées considèrent que l’homme n’est qu’un produit de l’évolution par sélection naturelle et qu’il peut donc être modifié selon les caprices des scientifiques et des riches technocrates. Ces deux visions du monde ont un impact sur la façon dont nous percevons l’humanité.

Les chrétiens croient que nous pouvons utiliser la technologie au profit des hommes et ainsi surmonter les effets de la Chute. Certaines technologies qui peuvent sembler relever du transhumanisme peuvent être bénéfiques à certains humains en termes de guérison. Une personne peut prendre des médicaments pour guérir d’une maladie, ou porter des lunettes ou un appareil auditif pour surmonter sa fragilité. La perte d’un membre peut amener une personne à utiliser une prothèse pour faciliter sa mobilité. La technologie peut donc contribuer au bien-être et à l’épanouissement de l’homme, ou chercher à optimiser les capacités des personnes brisées par la maladie ou le handicap ; ces utilisations ne cherchent pas à créer une post-humanité. Le transhumanisme, quant à lui, fondé sur la croyance en une évolution sans Dieu, étend ce principe pour affirmer que l’humanité doit être améliorée par l’utilisation d’outils tels que le génie génétique et les micropuces. L’objectif est de créer une humanité « meilleure », mais sans vraiment savoir ce qu’est un être humain à part entière.

Un dilemme pour les humanistes

Cela crée toutefois un dilemme pour les humanistes. L’humanisme a traditionnellement enseigné qu’il est possible d’être éthique et de valoriser les personnes sans se référer aux textes bibliques. Andrew Copson et A.C. Grayling écrivent que « l’éthique humaniste se distingue également par le fait qu’elle place la finalité de l’action morale dans le bien-être de l’humanité plutôt que dans l’accomplissement de la volonté de Dieu ».14 D’une certaine manière (mais pas toujours)15, cette approche est similaire à la notion judéo-chrétienne de la morale et des valeurs, qui est objectivement fondée (l’humanisme est issu de l’unitarisme déiste et a été connu pendant un certain temps sous le nom de Société éthique). Mais l’adhésion de l’humanisme à l’évolution conduit finalement à une direction morale différente et soulève la perspective du transhumanisme, où l’humanité a « besoin » de s’améliorer. Si l’on croit que les êtres humains ont évolué par des processus accidentels, et par la survie du plus fort, alors pourquoi ne pas permettre à une élite riche et puissante de guider l’évolution avec l’intelligence humaine ?

Ainsi, les croyances humanistes, parce qu’elles sont subjectives ou basées sur l’évolution, peuvent conduire à une dévalorisation des êtres humains, et non à leur élévation. Nous pouvons voir ici que l’humanisme mène finalement au post-humanisme, en fait à l’abandon de l’humanisme — à l’idée de créer des post-humains. L’humanisme se retrouve donc face à un dilemme : doit-il embrasser le transhumanisme et rejeter les idéaux humanistes, ou doit-il vraiment rester attaché à l’humanité telle qu’elle est comprise depuis des millénaires ?

Résumé

Le transhumanisme continue d’être promu par les gouvernements, les entreprises mondiales et les technocrates d’élite, avec peu de compréhension de la véritable nature de l’humanité. Une compréhension complète doit inclure la dimension spirituelle, c’est-à-dire l’humanité créée à l’image de Dieu, mais déchue de la grâce. La justification du transhumanisme découle de la faiblesse fondamentale de l’humanisme athée, avec sa croyance en l’évolution. Le raisonnement de ses partisans est le suivant : si l’humanité a évolué par des processus aléatoires, alors pourquoi ne pas améliorer les hommes ? Comme nous l’avons vu, l’ironie profonde est que les projets transhumanistes impliquent un dessein intelligent, mais la plupart des concepteurs transhumanistes ont nié l’existence de leur propre Concepteur ! Malheureusement, l’histoire est jonchée de preuves d’échec, où la science n’a pas apporté le bien, mais une plus grande souffrance.


1 The White House, Fact Sheet: The United States announces new investments and resources to advance President Biden’s National Biotechnology and Biomanufacturing Initiative, whitehouse.gov, 14 Sept 2022.

2 Ostberg, R., Transhumanism, Encyclopedia Britannica, britannica.com/topic/transhumanism, 3 Nov 2022;accessed 19 Dec 2022.

3 CRISPR = Clustered Regularly Interspaced Short Palindromic Repeats. See: Le Page, M., What is CRISPR? A technology that can be used to edit genes, newscientist.com, (no date).

4 Mek, A., Transhumanism Horror: Elites want to genetically alter children in the womb, High-Bred Globalist Kids (Video), Rairfoundation.com, 15 Dec 2022.

5 Liu, X., Tracking how our bodies work could change our lives, weforum.org, 4 June 2020.

6 Bostrom, N., Transhumanist values, in: Frederick Adams (ed.), Ethical Issues for the 21st Century, Philosophical Documentation Center Press, 2003.

7 Fuller, S., Humanity 2.0: What it Means to be Human, Past, Present and Future, Palgrave Macmillan, 2011.

8 Huxley, J., Transhumanism, In New Bottles for New Wine, Chatto & Windus, London, pp. 13–17, 1957. (Sinanthropus, reclassified to Homo erectus).

9 Harari Y.N., Homo Deus: A brief history of tomorrow, Harper Collins, Ch. 1, 2016.

10 Kavenna, J., Who do we think we are? newscientist.com, 5 July 2017.

11 Smith, C., Transhumanism—mankind’s next step forward? Will mankind evolve into a perfect being?, creation.com, 3 Feb 2011.

12 Hitchens, P., The Rage Against God, Continuum Int. Publ., London, p. 113, 2011.

13 “We need to be always reminding ourselves that we have always been enhancing ourselves, that science has always been enhancing the human condition, that we have been trusting machines over our own bodies for at least 300-400 years now. We’ve already broken through that barrier—we do live in a very artificial world. Even though the stuff on the horizon may amplify our powers tremendously, it is nevertheless part of the same process. It is a step change but it’s the same story, the story of scientific progress.” As reported by Tucker, I., Steve Fuller: it’s time for Humanity 2.0, theguardian.com, 25 Sept 2011.

14 Copson, A. & Grayling, A.C., (eds.), The Wiley Blackwell Handbook of Humanism, John Wiley & Sons Ltd., Chichester, p. 19, 2015.

15 For example, consider humanism’s advocation of such practices as abortion and euthanasia.




Quand les théories du complot font partie du complot

[Source : Jérémie Mercier]

Dans cet entretien avec Icaros, auteur du blog https://coronacircus.com/ et contributeur d’une « freedom cell » (cellule de liberté) dans les montagnes suisses, nous explorerons la piste selon laquelle certains « complotistes » et certaines « théories du complot » peuvent parfois sans le savoir participer à une subversion permettant à terme la mise en place d’un « nouvel ordre mondial ».

[NDLR Les points de vue exposés sont bien sûr largement discutables, puisque pour la plupart ils relèvent d’hypothèses ou de théories.]






Il faut arrêter le Léviathan

[Source : epochtimes.fr]

Par JEFFREY A. TUCKER

Depuis trois ans nous assistons à la démonstration d’une tyrannie actuellement en projet. Une puissance dominatrice contrôle la plupart des nations, ralliant les gouvernements, les médias, les entreprises technologiques et l’élite médicale. Elle outrepasse la loi, les traditions et les rituels civiques de milliards de personnes. À la suite de cette grande expérience, partout où nous posons les yeux, nous ne voyons que des calamités.

Toutefois, « eux » ne le voient pas ainsi. Il s’agit davantage, pour eux, d’une opportunité et d’un chemin vers le futur. Voilà pourquoi nous n’obtiendrons ni excuses, ni réformes, ni commun accord. Seules quelques déclarations superficielles (toujours plus rares) sur le fait que tout ne s’est pas toujours passé comme prévu.

D’un point de vue historique, les trois dernières années ont été un véritable succès pour le pouvoir mondial centralisé. Par « succès », nous entendons l’intensification drastique du transfert de richesse des agriculteurs vers les élites et le déploiement en un temps record d’une surveillance mondiale des populations.

La panique provoquée face au Covid a été plus efficace que toutes les chasses aux sorcières du Moyen Âge, que toutes les purges d’opposants du début de l’ère moderne, et que toutes les guerres de notre époque. C’était brillant et d’une prodigieuse efficacité. C’est pourquoi, bien sûr, ils vont réessayer, en s’appuyant sur ce « succès » pour en faire toujours plus. Quelles que soient les victoires que nous croyons remporter ici ou là – le retrait de l’obligation vaccinale, quelques procès en notre faveur, des sondages d’opinion confirmant notre colère – il faut les remettre en contexte.

Nous allons vivre d’autres événements de ce type et ils seront tous cautionnés par les institutions. L’Organisation mondiale de la santé travaille en ce moment même à codifier des confinements et des décrets plus terribles soutenus par une technologie de surveillance mondiale ciblant prétendument les maladies. Les grandes banques centrales développent une monnaie numérique dont l’unique but est de surveiller mondialement toute l’économie, la moindre transaction financière. Le Forum économique mondial, une conspiration ouverte, travaille à démanteler les progrès réalisés au cours des derniers siècles pour les substituer par une forme de despotisme universel dystopique.

Par conséquent, jamais nous n’avons connu un écart aussi grand entre « leur » vision et la nôtre. À l’époque du mouvement Occupy Wall Street, les manifestants attiraient l’attention sur le fait que la plupart des richesses mondiales étaient contrôlées par 1% de la population. L’intuition était juste, mais en pratique, le problème ciblé n’était pas le bon. Le problème n’est pas la richesse en soi. Le problème, c’est le pouvoir qu’on octroie aux très grosses fortunes sur nos vies. Les individus et les institutions qui cherchent actuellement à contrôler le monde en monopolisant nos vies et toutes nos libertés, voilà le 1% problématique.

Pendant ce temps, les victimes, c’est-à-dire la grande majorité de l’humanité, ne savent pas par où aller ni encore moins comment y aller. C’est pourquoi Jordan Peterson crée actuellement une nouvelle institution ouvrant une nouvelle voie basée sur des valeurs humaines et l’éternelle idée de la liberté. Cela semble prometteur. Souhaitons-lui d’avancer à grands pas.

En cela, il rallie le Brownstone InstituteEpoch Times, de nombreuses organisations de médecins, et des scientifiques et journalistes dissidents du monde entier. Nous sommes une infime minorité et pratiquement sans moyens financiers en comparaison à la machine à laquelle nous faisons face. Toutefois, la cause n’est pas désespérée. Nous avons l’avantage d’être moins naïfs que par passé et animés de valeurs forgées par la résistance déployée lors de moments difficiles.

Les institutions sur lesquelles nous comptions pour défendre nos droits et libertés – associations, tribunaux, intellectuels, universités, technologies et médias – ont échoué de manière spectaculaire. Nous n’avions aucune idée du fait qu’elles étaient déviantes en si grand nombre depuis si longtemps. Nous ne savions pas que les agences de renseignement étaient si profondément établies chez Facebook, Instagram, Twitter et LinkedIn. Nous ne savions pas qu’ils étaient derrière certaines pages d’information des plus grands journaux. Nous pensions simplement que ces institutions étaient idéologiquement biaisées. Nous ne savions pas qu’elles étaient devenues les outils d’un pouvoir mondial centralisé.

Lorsque les intellectuels et les organisations à but non lucratif se sont tus au moment des confinements, du port obligatoire du masque et des obligations vaccinales, nous avons pensé qu’ils avaient simplement peur de parler. Nous ne nous doutions pas que leur silence était la preuve d’une corruption bien plus profonde. Soit ils étaient payés pour garder le silence, soit ils étaient soumis à du chantage. En conséquence, nous avons dû nous débrouiller seuls et travailler à la construction de nouvelles institutions préservant certains principes, comme Epoch Times ou le Brownstone Institute.

Malheureusement, pour l’heure, les ambitions de ces institutions alternatives dépassent largement leur portée et leur capacité. Mais c’est un début. Et, vraiment, nous ne sommes qu’au commencement. L’ordre social déployé avant les confinements a complètement échoué. Cela met en évidence la nécessité d’innover si nous voulons faire perdurer la « civilisation » dans le sens originel du terme : « Ce qui rend les individus plus sociables. » [Dictionnaire de Trévoux, 1757]

L’idée de la liberté en tant que mère de ce que nous appelons la civilisation remonte loin dans notre histoire. En Occident, le XIIIe siècle fut un tournant avec la Magna Carta. Le message était clair : il existe des droits, des droits de l’homme. Les gouvernements ne peuvent les abroger, peu importe leurs motifs. Ce principe est fondamentalement remis en question depuis trois ans.

Plus incroyable encore le fait que les églises et autres lieux de culte ont été fermés par décret gouvernemental. Presque immédiatement, les médias ont fait leurs choux gras contre les chorales. À ce moment, nous aurions dû comprendre tout ce qu’il y avait à comprendre. Le chant a une profonde signification métaphorique. L’histoire de la création rappelle que Dieu a « insufflé » son propre « souffle » dans les narines d’Adam pour qu’il prenne vie. Voilà ce qu’est le « souffle de vie ». Chanter pour Dieu est une façon de lui rendre grâce, en utilisant le souffle pour Le louer. Un gouvernement et une machine médiatique qui font la guerre au chant de louange font la guerre à la vie elle-même.

Pensons également aux communautés qui ont résisté. Il ne s’agissait pas des élites laïques, encore moins des universités ou des entreprises. Il s’agissait des communautés religieuses : les Hassidim, les Amish, les Mormons, les catholiques traditionalistes et, plus tard, les évangéliques. Il s’avère, et les faits le prouvent, qu’avoir profondément la foi et vivre dans une communauté de personnes de même confession offre la meilleure protection, mentale et intellectuelle, contre l’infection des mythes diffusés quotidiennement par le Léviathan.

Le Léviathan (de l’hébreu : לִוְיָתָן, liviyatan) est, dans la Bible, un animal marin qui apparaît dans les PsaumesLe livre d’Isaïe, et Le livre de Job. Le Talmud y fait aussi référence, évoquant des animaux révoltés contre le Créateur et que celui-ci détruit.

Que pouvons-nous apprendre de cela ? Cela suggère que si nous voulons résister au Great Reset, une vision du monde profondément ancrée dans les cœurs et les âmes, une conviction allant bien au-delà du simple fait de gagner de l’argent et de consommer, est nécessaire. Je suggère donc humblement, à ceux qui n’ont pas la foi, de la développer au plus vite. Elle est indispensable pour se protéger des mensonges des élites laïques qui essayent de mettre en place une fausse religiosité.

Au-delà de cela, nous avons désespérément besoin d’une réforme (voire d’une révolution) institutionnelle. Certains parlent de réformer telle ou telle administration. Oubliez cela. Ces institutions doivent être complètement démantelées et défaites. Elles sont corrompues jusqu’à la moelle, il n’y a plus d’espoir. En outre, nous avons besoin d’une refonte totale du système judiciaire. Le pouvoir de décréter des confinements doit disparaître. L’économie doit être réformée et éloignée des mains des banques centrales. L’éducation doit revenir aux familles et non aux gouvernements.

Nous faisons vraiment face à la situation urgente qu’aucun d’entre nous ne souhaitait. Mais nous y sommes, c’est maintenant. Et nous devons agir. Si vous en doutez, prenez le temps de réfléchir aux événements de ces trois dernières années. Il ne s’agissait ni d’un accident ni d’une erreur. Il a s’agit d’une tentative délibérée de démoraliser et de démanteler tout ce que nous aimons. Pouvoir le voir et le comprendre est la première étape pour inspirer l’action et stopper cet élan visant à détruire la prospérité.




Corruption des élites : la guerre des mondialistes

[Source : Chaîne officielle TVL]

C’est une guerre hors limite ! Une guerre par infiltration plutôt que par invasion, une guerre révélée par les événements en Ukraine : la subversion de nos institutions par les élites mondialistes se déploie dans tous les domaines. Leur objectif consiste à établir une gouvernance mondiale de nature religieuse, totalitaire et technocratique, fondée sur les ruines des nations et des peuples. Pour y parvenir, la manipulation mentale et des techniques d’ingénierie sociale neutralisent toute volonté de résistance. Mais pour l’analyste économique, Stanislas Berton, le règne des mondialistes touche à sa fin. Une théorie qu’il développe dans son dernier ouvrage : « L’Homme et la Cité » tome III. Pour éviter leur victoire, il invite les Français à la prise de conscience des réalités et cela commence par ouvrir les yeux ! Comme le disait Georges Bernanos :

« Les Français ne peuvent pas être sauvés, car ils passent leur temps à se mentir à eux-mêmes ».

[Voir aussi :
Un choix déterminant
Humanisme Nouvel-Âge vs Christianisme
Une emprise sur l’Humanité
Réenchanter le monde
France, relève-toi !
L’épée, le bon grain et l’ivraie
Vers l’IA ou vers l’Humanité
Mourir libre ou vivre esclave
La fin de la mondialisation
Manifeste pour un nouveau monde]




Les rois David et Salomon ont-ils existé ?

[Source : ARKEOS]

[Illustration : Le Tel de Khirbet Qeiyafa – CC BY-SA 3.0 Photo Avram Graicer]

Roi David

Roi Salomon




Le partage chez les premiers chrétiens

[Source : rebellion-sre.fr]

« Les chrétiens des origines nous enseignent indéniablement la prévalence du Commun sur le Privé »

Quelques jours avant Noël, Paris Vox donnait la parole à Camille Mordelynch pour revenir sur le message que Jésus-Christ est venu porter aux hommes. Nous remercions l’équipe de ce média d’information francilien pour cette occasion de faire découvrir le travail de notre rédactrice.

PARIS VOX : La communauté des biens semble être la règle chez les premiers chrétiens. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ?

Concrètement, la mise en commun des biens devait se passer comme l’indiquent les Actes des Apôtres :

« Tous les croyants ensemble mettaient tout en commun. Ils vendaient leurs propriétés et leurs biens et en partageaient le prix entre tous selon les besoins de chacun. »,

(Ac. 2, 44-45)

ou encore :

« Tous ceux qui possédaient des terres et des maisons, les vendaient, apportaient le prix de la vente, et le déposaient aux pieds des apôtres. On distribuait alors à chacun selon ses besoins. »

(Ac. 4, 34-35).

Il semble donc que les croyants vendaient leurs biens, et que l’argent qu’ils en tiraient était remis aux apôtres pour être redistribué entre tous, suggérant l’existence d’une caisse commune. Le récit des Actes illustre cette règle communautaire avec l’exemple de Barnabé : « Barnabé ce qui veut dire fils d’encouragement, lévite originaire de Chypre, possédait un champ ; il le vendit, apporta l’argent et le déposa aux pieds des apôtres. », et son contre-exemple, celui d’« Ananie et Saphire » (Ac. 5, 1-11), qui retiennent une part des bénéfices de la vente de leurs biens pour leur propre compte, et qui paieront de leur vie cet affront.

La mise en commun des biens pratiquée par les premiers chrétiens est corroborée par des textes extra-canoniques du 1er siècle comme celui de la Didaché, l’enseignement des apôtres, qui ordonne la dépossession des ressources matérielles au profit d’un usage commun : « Ne repousse pas l’indigent, mets tout en commun avec ton frère et tu ne diras pas que cela est à toi, car si vous êtes en communion pour ce qui est immortel combien plus pour les biens périssables ? » ; mais également par des sources grecques qui relèvent et raillent ce trait distinctif, comme dans le récit de Lucien de Samosate, auteur du Iième siècle : « Aussi méprisaient-ils pareillement tous les biens et les tiennent-ils pour communs à tous, acceptant avec fou une telle doctrine sans exiger une quelconque preuve » (Lucien de Samosate, Sur la mort de Peregrinus, 13). Concrètement donc, la communauté de biens de l’Église primitive se fondait sur le refus de la propriété privée, la pauvreté volontaire, et l’usage collectif des biens

PV : Est-ce que le refus de l’enrichissement et de la possession est encore possible aujourd’hui ?

Il faut, de toute évidence, s’écarter de cette irrémédiable logique d’appropriation intéressée de tout ce qui nous entoure, avant que nous ne finissions nous-mêmes complètement réifiés sous cette détermination. Notre quête obsessionnelle de pouvoir, sur les choses et sur les autres, et cette poursuite constance de la jouissance consumériste n’a accouché que d’un homme dés-idéalisé, dénaturalisé, même déshumanisé. À vouloir tout posséder, à désirer l’accumulation illimitée, nous avons fini creux et atomisés ; et pourtant, on sent que quelque chose en nous va mal, comme un vestige indomptable qui résiste : une flamme d’humanité qui veut un jouir véritablement humain, débarrassé de toutes ces pathologies de l’avoir. Cette humanité, qui veut se reconnecter à l’autre par l’amour, à l’absolu par la foi (et on voit nettement ce retour à la spiritualité aujourd’hui), qui a soif d’immatériel, d’inconditionnel, de vivant, est notre espoir : elle est le signe que le capitalisme n’a pas tout aspiré, n’a pas tout rendu inerte. Elle nous prouve qu’on peut aller à rebours de cette tyrannie de l’intérêt égoïste marchand, et qu’il est même nécessaire de le faire, autant que faire se peut concrètement

PV : Vous rappelez que les pauvres sont les « favoris » de l’Église. Les Gilets Jaunes, pas assez pauvres pour être soutenus par l’Église et ses fidèles ?

Malheureusement, les catholiques ont depuis un moment abandonné tout sentiment de lutte. J’ai pu rencontrer durant les premiers actes, un prêtre, ainsi que certains chrétiens affichés comme tels ; mais il est clair que globalement l’Église s’est acoquinée avec une spiritualité aux antipodes de celle des premiers chrétiens, adoptée par des fidèles partisans d’une aristocratie libérale et conservatrice. De fait, toute cette frange du catholicisme n’a cessé de s’éloigner du peuple et de ses revendications, jusqu’à en être définitivement séparée par un abyme sociologique. Une grande partie des catholiques se sont tenus à l’écart à la fois de la violence réelle subie par les travailleurs de la classe moyenne, puis de celle qui, en réponse, s’est exprimée dans le cadre de l’affrontement et qu’ils ont fustigée presque par réflexe, insondable pour eux. Les murs des églises sont devenus des murailles étanches, et comme celles des palais de nos élites, sourdes aux cris des classes populaires (bien que paradoxalement elles laissent une place aux miséreux, comme les migrants), hermétiques aux enjeux sociaux actuels. Cela dit, qu’importe ce qu’en pense l’Église ou la bourgeoisie catholique tant qu’on a l’assurance, auprès du peuple, de se faire disciples du Christ en poursuivant un combat qu’il avait lui-même initié.

PV : En pleine période de l’Avent et à l’approche de Noël, quelles leçons tirer de l’observation des Chrétiens des origines et de leur mode de vie ?

Pour les chrétiens, la leçon qui me paraît essentielle, et la plus exigeante de nos jours, et celle qui rappelle que le message des Évangiles n’est pas simplement une spiritualité, mais un acte de foi destiné à être vécu. C’est ce que les premiers chrétiens nous ont appris : on doit vivre l’Évangile. À leur époque, les Écritures ne sont pas rédigées : il ne s’agit donc pas seulement d’être disciples du Christ en esprit, se contentant d’une foi doctrinale, mais de l’être en foi effective et concrète, en appliquant son enseignement, en imitant son exemple. Il faut rappeler ce que les premiers chrétiens avaient parfaitement compris : l’Évangile est un don, une grâce, mais qui est du même coup exigence, et charge de témoignage. C’est l’injonction du Christ s’adressant au jeune homme riche qui veut le suivre : « Une seule chose te manque : va, vends ce que tu as et donne-le aux pauvres ; alors tu auras un trésor au ciel. Puis viens, suis-moi. » ; ce n’est pas seulement en parole qu’il faut suivre le Christ, mais en actes ! Plus globalement, les chrétiens des origines nous enseignent indéniablement la prévalence du commun sur le privé. Faire communauté le plus unitairement possible, c’est faire communion fraternellement, par le don de soi, l’abandon des pulsions névrotiques d’appropriation matérielle, au profit de l’amour de tous en Dieu.

PV : Nous vous laissons conclure librement…

Jésus a dit « Je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée », celle qui tranche le monde en deux factions antagonistes : celle de l’avoir et de la soumission à Mammon, commandée par la course à l’intérêt individuel, au pouvoir, à la domination des êtres entre eux et sur l’ensemble de la Création chosifiée ; et celle, incompatible avec la première, qui est rayonnement de lêtre, chemin de Vérité vers l’avènement de la Vie, puissance d’amour gratuit et désintéressé. La pratique communautaire de l’Église primitive, suspendue à la spiritualité du christianisme primitif, est une réponse contestataire apportée au monde de l’avoir dans lequel baignent nos sociétés, et nous invite à suivre la voie initiée il y a près de 2000 ans : avoir moins, pour être davantage.

[Voir aussi :
L’épée, le bon grain et l’ivraie]

Retrouvez Paris Vox en ligne : https://www.parisvox.info/




Danger mondial — Franc-maçonnerie de haut grade

[Source : Kla.tv]

[ou sur YouTube :]

https://youtu.be/hOoMvApEtYw

Dans cette émission, les énergies criminelles et les magouilles de la franc-maçonnerie de haut niveau sont mises en lumière. Il ne s’agit toutefois pas de remettre en question leur bienfaisance dans les trois grades symboliques de base.

Mais ces grades d’apprentis et compagnons, etc., incarnés par les petits frères des loges johanniques, du Rotary, du Lions Club, etc. remplissent, pour la franc-maçonnerie de haut niveau le même but que celui de la farine et de la craie pour le loup dans le conte avec les sept chevreaux.

Les explications suivantes sont nées en réponse à un cri de détresse des francs-maçons de haut niveau. Ceux-ci ont rompu leur secret, poussés par l’extrême urgence, pour lancer un avertissement urgent à la population mondiale. Avant de se retirer, ils ont compilé pendant des années, des milliers de documents explosifs comme preuves. Cela doit démontrer que ce qui n’était jusqu’à présent qu’une thèse pour les lanceurs d’alerte indépendants, n’est absolument pas qu’une thèse. Ils demandent donc à la communauté mondiale de stopper à temps les groupes secrets qu’ils ont dévoilés, car ils ont compris trop tard que ceux-ci travaillaient à une catastrophe mondiale cruelle et délibérément orchestrée, qui ne pourrait pas être plus sanglante.

Le but de cette catastrophe mondiale serait l’établissement d’une dictature mondiale extrêmement draconienne, qui convoite pour elle-même un reste de sujets humains complètement privés de droits et de pouvoir. Ce n’est qu’après d’extrêmes querelles internes, des divisions et des luttes de pouvoir, lorsque les repentis ont réalisé que l’aile du plus haut grade, sujette à un extrémisme malveillant, disposait désormais de tous les moyens nécessaires pour mettre en œuvre ce plan odieux, qu’ils ont commencé leur travail de dénonciation impitoyable. Ces francs-maçons de haut niveau qui se sont retirés garantissent à la communauté mondiale qu’il ne s’agit pas de simples théories du complot, mais bien de véritables faits de conspiration, qu’il faut absolument dévoiler en unissant nos forces – et des projets inimaginables, dangereux pour la société, omniprésents, à l’échelle mondiale ! Pour protéger leur recueil de faits, fruit de plusieurs années de travail, ils l’ont fait sceller partout dans le monde sous contrôle juridique et notarial. Aussi au cas où ils seraient poursuivis juridiquement pour leurs témoignages, ce qui n’est pas encore arrivé.

En clair, si on tatouait le symbole de la franc-maçonnerie sur le front de chaque franc-maçon qui se trouve à un levier de commande quelconque, oui, on pourrait rendre visibles les francs-maçons qui se sont infiltrés dans les hautes sphères de notre société. Les peuples seraient choqués alors de constater qu’ils se sont emparés de presque tous les leviers de commande. Ils ne maîtrisent pas seulement l’ensemble du système d’information, de communication et des finances, nos services secrets, nos armées et nos politiciens ; ils dominent également l’économie mondiale, le système de santé mondial, Big-Pharma ; les autorités de surveillance de toutes sortes, l’immense majorité des médias grand public, une grande partie de la culture, en particulier le cinéma, la musique et l’audiovisuel, la télévision, l’espace, etc. Grâce à leurs réseaux secrets et d’entraide mutuelle, ils ont pu s’enrichir en échappant à tous les services fiscaux et acquérir ainsi une telle position de toute-puissance qu’ils ont réussi à s’emparer de la totalité du complexe numérico-financier, c’est-à-dire des principaux flux du capital mondial, et à les soumettre à leur contrôle de fer. Par le biais d’innombrables crises financières manipulées, de dangers de toutes sortes dans un climat de panique simulé, de grands projets bidons et de milliers d’agissements hypocrites et apparemment désintéressés, ils ont pu engranger des bénéfices de crise insoupçonnés, se hisser à la tête de toutes les conquêtes techniques, scientifiques, militaires, etc. Comme les métastases mortelles d’un cancer, ils ont pu s’introduire jusqu’au plus profond des juridictions et de tout ce qui peut être appelé système de sécurité, etc., s’insinuer partout, sans failles !

L’infiltration est tellement avancée qu’il faut partir du principe que toutes les menaces récemment esquissées dans la panique ne sont qu’un jeu de dupes de ces frères de la loge mondiale, qui souhaitent par ce biais imposer leur nouvel ordre mondial, c’est-à-dire leur propre domination du monde. Pour ce faire, ils utilisent notamment les armes météorologiques désormais bien connues, ou les substances cultivées dans leurs propres laboratoires, qui sont à l’origine de toutes les épidémies. La peste porcine, la grippe aviaire, la maladie de la vache folle, la maladie de la langue bleue, la plandémie des chauves-souris appelée SARS-CoV-2 et la variole du singe, etc.

Cette étude fournit des preuves dramatiques qui appuient la thèse selon laquelle les hauts fonctionnaires de presque tous les pays du monde sont tous des membres de la même loge, d’un seul et même réseau de sociétés secrètes et qu’ils doivent donc obéir aux diktats de leurs maîtres suprêmes. Ce documentaire nous fait d’abord traverser les siècles pour que nous réalisions que la plupart de ce que nous avons compris jusqu’à présent comme l’histoire fatidique du monde, n’était probablement qu’un calcul planifié de bout en bout. De nos jours, la logique veut que le printemps arabe, qui vient de se terminer, ainsi que toutes les révolutions de couleur, les épidémies, etc., jusqu’à la guerre actuelle entre la Russie et l’Ukraine, ne sont au fond qu’un seul et même scénario. Il s’agit d’un spectacle stratégique visant à réaliser des objectifs bien plus ambitieux par le biais de tous ces scénarios d’horreur orientés. Quels sont ces objectifs ?

Par exemple, la réalisation, planifiée depuis des siècles, d’une expropriation et d’une soumission totales de toute l’humanité. Par exemple, la réalisation du chaos total planifié depuis longtemps, en vue de l’élimination stratégique de toutes les nationalités. Nous parlons actuellement de la mise en œuvre ciblée d’un plan de plus de 300 ans qui vise à éliminer toutes les monnaies, les religions, les idéologies, les libertés, etc. – un plan ancestral qui, à travers la crise totale, doit permettre son propre nouvel ordre mondial ou domination draconienne du monde. Mais une telle solution ne serait pas acceptée par les peuples sans méfiance, à moins que les menaces les plus fatales, telles que le terrorisme imprévisible, les épidémies, les pandémies, les catastrophes climatiques, les crises financières mondiales, les guerres, les guerres mondiales, etc. ne puissent apparemment être surmontées que par l’établissement d’une domination mondiale draconienne. Ce que le monde ne devrait évidemment jamais savoir, c’est que la quasi-totalité de la terreur a été organisée par ceux qui se présentent soudain comme la seule issue et le sauveur du monde. Parmi les innombrables mensonges et les sacrifices impitoyables, qui sont d’ailleurs monnaie courante dans la franc-maçonnerie de haut niveau, ce grand spectacle doit donc servir un seul grand but final : l’établissement de la domination mondiale de cette même société secrète qui, d’une main invisible, dirige tout depuis longtemps. Cette tactique de la direction politique des peuples par une seule main pour ainsi dire cachée, est d’ailleurs retenue symboliquement, comme nous le verrons abondamment par la suite, dans la franc-maçonnerie depuis Napoléon 1er. D’innombrables hommes d’État et hauts fonctionnaires se sont en effet fait dessiner, peindre ou photographier comme Napoléon, avec une main dans le gilet.

Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple – un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués. Il est nécessaire de proclamer une annulation mondiale de la dette pour les peuples trompés. Toutes les dettes causées par cette injustice peuvent facilement être payées par les biens volés de ces pilleurs. Si les peuples ne le font pas très rapidement à leur encontre, ces conspirateurs le feront certainement encore de nos jours à l’encontre de tous les peuples !

Depuis que les milieux de l’information libre ont commencé à dévoiler ces réseaux maçonniques qui infiltrent tout sur la toile mondiale, d’innombrables preuves pertinentes sont constamment bannies d’Internet, effacées, censurées ! Il faut signaler ici que tous ces censeurs se rendent ainsi coupables de complicité de génocide. Ils seront certainement accusés de complicité lors des prochains procès Nuremberg 2.0.

En effet, chaque jour, des milliers d’informations pertinentes disparaissent de la toile à cause d’eux, et au lieu de preuves vitales sur ce complot réel, on trouve maintenant des textes et des vidéos qui minimisent systématiquement la franc-maçonnerie, la protègent, la justifient, et même la glorifient. Jetons donc un coup d’œil à quelques-uns de ces titres qui apparaissent en premier sur Google. Si on demande par exemple : « Quel est le danger de la franc-maçonnerie ? » Que se passe-t-il alors ?

Aussitôt, la Deutschlandfunk titre de manière extrêmement rassurante : « Les francs-maçons – des pierres pour un monde meilleur » – et puis cette même Deutschlandfunk associe intelligemment, dès le sous-titre, tout critique de la franc-maçonnerie aux nazis antisémites : « Donc, il a toujours été clair pour les nazis : les juifs et les francs-maçons, ils sont de mèche… »

Le magazine GEO Plus réhabilite lui aussi les sociétés secrètes dès son titre :
« Francs-maçons : une société secrète sans un seul secret »

Les francs-maçons pratiquants préfèrent s’auto-présenter avec ce slogan :
« Francs-maçons : le sens et le but est l’amélioration de soi »

Même les soi-disant experts en religion, qui stigmatisent habituellement toutes les sectes d’arrière-cour, même les plus inoffensives, enlèvent leur mise en garde contre la franc-maçonnerie en tant que secte et la minimisent considérablement dès le titre – et les experts en religion doivent bien le savoir.
« La franc-maçonnerie a perdu de son importance »

Le Centre fédéral pour l’éducation politique condamne également, dès son surtitre, toute référence à un réseau maçonnique influent comme un simple mythe. « Les francs-maçons – le mythe d’un réseau influent »

Et c’est avec cette petite sélection parmi d’innombrables autres dénigrements sur le web que nous nous lançons maintenant, dans la réalité ! Nous vérifions notamment si les réseaux maçonniques ne sont en fait qu’un mythe sans influence significative.
Nous nous intéressons tout particulièrement à la question de savoir si l’intérêt des francs-maçons pour la politique est vraiment aussi faible que ce qui est affirmé avec insistance sur toutes sortes de sites web maçonniques originaux comme celui qui suit – également dans son surtitre :
« La franc-maçonnerie n’est pas un mouvement politique et n’est pas un groupe de pression »
« Les loges et les grandes loges ne formulent pas de programmes et ne prennent pas part aux débats politiques partisans »

En outre, les francs-maçons de haut niveau aiment dissimuler la vérité en disant par exemple : « En fait, nous ne sommes pas des« loups déguisés en moutons », mais plutôt des « moutons déguisés en loups », dont la dangerosité est bien en deçà de l’image qu’en donnent la littérature et les médias.

Mais il est bien connu que l’on reconnaît chaque arbre à son fruit. La question est donc la suivante : Quels sont les fruits de la franc-maçonnerie ? En d’autres termes, quels francs-maçons ont incarné quelles œuvres dans l’histoire mondiale passée et présente ? Cela seul compte et est important !

Nous avons commencé nos recherches à partir du 18e siècle : Nous nous sommes d’abord intéressés à la question de savoir si les francs-maçons n’étaient effectivement pas actifs sur le plan politique, comme ils le prétendent toujours solennellement. Mais les premières enquêtes nous ont déjà prouvé le contraire : où que l’on cherche parmi les hauts fonctionnaires : francs-maçons, francs-maçons, francs-maçons ! Des francs-maçons sur tous les fronts politiques, militaires et juridiques : Ils ont mené de leurs propres mains des révolutions en première ligne, infiltrant les plus hauts postes politiques dans tous les pays que nous avons examinés. Voici quelques exemples pratiques :

Les renversements politiques suivants entre le 18e et le 20e siècle ont été directement inspirés et initiés par les francs-maçons :
1789: en France, par Mirabeau, Robespierre, Danton.
1812: Au Venezuela par Miranda
1821: En Colombie par Simón Bolívar. Bolívar est même surnommé aujourd’hui le « George Washington d’Amérique du Sud ».
Il faisait par exemple partie de la « Loge n°2 » au Pérou, appelée « Order and Liberty ».
1850: Renversement au Portugal par Magalhaes.
1860: En Italie par Mazzini et Garibaldi.
1896: Aux Philippines par José Rizal.
1918: En Hongrie par Bela Kun et Kossuth.
1923: En Turquie par Kemal Pacha Atatürk.
1926: Renversement au Portugal par Magalhaes.

Tous les subversifs que je viens de citer étaient effectivement des frères de loge !

Ce documentaire prouve que l’influence politique et générale de la franc-maçonnerie est très ancienne, qu’elle a déjà traversé nos siècles de manière atroce et qu’elle commence à porter ses fruits les plus meurtriers à l’heure actuelle. Avant de nous pencher sur leurs dérives récentes, regardons encore un peu autour de nous, du 17e au 19e siècle : par exemple, il est prouvé qu’au moins tous ces présidents américains étaient francs-maçons. Et comme on le sait, les présidents américains ont mené pas moins de 219 guerres d’agression et l’un deux – un franc-maçon – a largué les premières bombes atomiques du franc-maçon Alfred Einstein sur Hiroshima et Nagasaki.

Voir www.kla.tv/9250, 219 guerres américaines en comparaison de celles de la Russie, de la Chine, de l’Iran et de l’Allemagne

Sous leur photo, leur appartenance à une loge est chaque fois affichée – remarquez toujours la main cachée :

Des présidents des États-Unis francs-maçons

George Washington (1732-1799),
1er président des États-Unis
Maître de chaire de la « Alexandria Lodge ».
Il a prêté serment à la Constitution  sur la Bible de la « St. Johns Loge N° 1 » de New York.

James Monroe (1758-1831),
5e président des États-Unis
« Williamsburg Lodge n° 6 » en Virginie
Colonel pendant la guerre d’indépendance, ami de Jefferson, ambassadeur à Paris, Londres et Madrid

Andrew Jackson (1767-1845),
7e président des États-Unis
Grand Maître de la « Grande Loge du Tennessee »
Il a combattu les Anglais, les Indiens et les Espagnols
Il a soutenu le déplacement forcé des Indiens d’Amérique (en particulier des Cherokees) de leur pays d’origine.

James Knox Polk (1795-1849),
11e président des États-Unis
« Columbia Lodge n° 31” » à Columbia, Tennessee
Avocat
Il avait approuvé la guerre entre les États-Unis et le Mexique (1846-1848).

Pierce Franklin (1804-1869),
14e président des États-Unis
avec signe de la main d’appartenance à une loge maçonnique

James Buchanan (1791-1868),
15e président des États-Unis
« Lodge n° 23 » à Lancaster, Pennsylvanie
Avocat, sénateur

Andrew Johnson (1808-1875),
17e président des États-Unis
Franc-maçon 32e grade: il a été admis à l’âge de 43 ans dans la « Greenville Lodge n° 11 » au Tennessee
Membre honoraire de la Grande Loge de Floride
Il a gracié Albert Pike, le chef du rite maçonnique écossais, qui était recherché par le gouvernement américain pour haute trahison.

Rutherford B. Hayes (1822-1893),
19e président des États-Unis
Signe de main d’appartenance à la loge

James A. Garfield (1831-1881),
20e président des États-Unis
Franc-maçon 14e grade : membre de la « Magnolia Losge n° 20 » à Columbia (Ohio)
Général de division, avocat, sénateur, victime d’une tentative d’assassinat.

William McKinley (1843-1901),
25e président des États-Unis ‚Hiram Loge Nr. 21‘ in Winchester, Virginia
« Hiram Lodge n° 21 » à Winchester, Virginie
Avocat
Il a encouragé une politique qui a conduit l’Amérique à la guerre impérialiste hispano-américaine.

Theodore Roosevelt (1858-1919),
26e président des États-Unis
En tenue de franc-maçon
« Matinecock Lodge n° 806 » à Oyster Bay dans l’État de New York
Architecte de l’expansionnisme impérial américain.
Il a encouragé l’expansion japonaise en Asie.

William Howard Taft (1857-1930),
27e président des États-Unis
Membre de la « Kilwinning Lodge n° 356 » à Cincinnati
Il a joué un rôle important dans la militarisation et l’expansion du Japon impérial.

Warren G. Harding (1865-1923),
29e président des États-Unis
Membre de la « Marion Lodge n° 70 » à Marion (Ohio)

Franklin Delano Roosevelt (1882-1945),
32e président des États-Unis
Membre de la « Holland-Lodge n° 8 » à New York
Il a menti pour entraîner l’Amérique dans la Seconde Guerre mondiale.

Harry S. Truman (1884-1972),
33e président des États-Unis
Responsabilité du largage de la première bombe atomique en 1945
Membre de la « Belton Lodge no 450 » dans le Missouri
Fonda plus tard la « Grandview Lodge n°618 ».
Il a été promu Grand Maître du Missouri en 1940.
C’est la deuxième fois dans l’histoire des États-Unis qu’un ancien Grand Maître devient prési-dent ; le premier était Andrew Jackson plus d’un siècle auparavant.

Lyndon B. Johnson (1908-1973),
36e président des États-Unis
Johnson a été admis dans une loge au Texas en 1937.
Il a participé à la dissimulation des faits concernant « l’incident » de l’USS Liberty (1967).
Il a été impliqué dans l’assassinat de John F. Kennedy.

Gerald R. Ford (1913-2006),
38e président des États-Unis
« Malta Lodge no 465 » à Grand Rapids.
En 1975, il a été nommé Grand Maître honoraire de « l’Ordre maçonnique de Molay ».
Enseignant, député, sénateur
Il a joué un rôle crucial dans la dissimulation (des faits réels) de l’assassinat de John F. Ken-nedy.
En 1970, Newsweek a appelé Gerald Ford au Congrès « l’homme de la CIA »

George H. W. Bush (1924-2018),
41e président des États-Unis
Membre des super-loges HATHOR PENTALPHA et THREE EYES
Il a été directeur de la CIA de 1976 à 1977.
Il a armé Saddam Hussein jusqu’aux dents avec des armes chimiques qui ont été déversées en grande quantité sur le peuple iranien pendant la guerre imposée par les États-Unis dans les années 1980 (guerre Iran-Irak).

Bush a répété au moins cinq fois le mensonge des couveuses, qui a eu une grande influence sur l’opinion publique américaine et a conduit à ce que les Américains soutiennent largement la participation à la première guerre en Irak (également appelée deuxième guerre du Golfe).

Après ces preuves à peine effleurées « du peu d’influence directe des francs-maçons sur la politique », selon ce qu’ils affirment, on pourrait prétendre que ce n’est le cas qu’aux Etats-Unis et nulle part ailleurs.
Pour répondre à cette objection éventuelle, nous allons tout de suite faire un tour d’horizon international et constater depuis combien de temps des francs-maçons de haut niveau sont présidents d’autres pays. Ces constatations sont d’ailleurs importantes pour que nous puissions comprendre par la suite le sens et le but de cette divulgation. Depuis des siècles, un réseau international de chefs d’État issus de la franc-maçonnerie de haut niveau a pu se former, dont l’un des objectifs déclarés dès le début était le gouvernement mondial unique et donc l’abolition de tous les États-nations, mais aussi l’abolition de l’argent liquide, l’abolition de toutes les religions afin d’amener le monde à sa religion mondiale unique et bien d’autres choses encore. Mais revenons-en à la question :

Y a-t-il eu ou y a-t-il des francs-maçons de haut niveau en tant qu’hommes d’État, c’est-à-dire avec une influence politique directe, dans d’autres pays ?

Les hommes d’Etat francs-maçons dans d’autres pays :

Yat-sen Sun, de son vrai nom Sun Wen (1866-1925),médecin et homme d’État, leader de la révolution chinoise de 1911, 1er président de la République chinoise, fondateur et leader du Kuomintang (Parti du peuple). Membre de la société secrète « Hong » (Triade) et d’une loge maçonnique. (probablement américaine).

Chiang Kai-shek ou Jiang Jieshi (1887-1975)
dirigeant chinois du parti Kuomintang. S’est enfui à Taiwan avec le trésor national après sa défaite et y a gouverné la république de manière dictatoriale dans le but de reconquérir toute la Chine. Membre de la « Pagoda Lodge » dans le Massachusetts.

Sir Arthur Wellesley de Wellington (1769-1852), Premier ministre britannique, maréchal de camp, vainqueur à Waterloo (avec Blücher). A été admis dans une loge en Irlande, mais a ensuite renié son appartenance.

Jérôme Bonaparte (1784-1860),
roi de Westphalie.
Membre de la loge « La Paix » à Toulon.

Joseph Bonaparte, (1768-1844),
roi d’Espagne, frère de Napoléon Ier.
Grand Maître du Grand Orient.

Louis Bonaparte, (1778-1846), roi de Hollande.
Deuxième Grand Maître assigné du Grand Orient.

Joseph Jacques Césaire Joffre, (1852-1931), commandant en chef français pendant la Première Guerre mondiale, maréchal de France.
Membre de la loge « Alsace-Lorraine » à Paris.
Marquis de La Fayette (1757-1834), général français pendant la guerre d’indépendance américaine.
Membre d’une loge militaire à Morristown et de la loge « Contrat Social » en France.

Élie Decazes (1780-1860), Premier ministre de la France sous Louis XVIII, pair de France.
Il était grand commandeur de l’ordre maçonnique des hauts grades AASR.

Léon Victor Auguste Bourgeois (1851-1925), Premier ministre français, homme d’État, pacifiste, membre permanent de la Cour d’arbitrage de La Haye, premier président de la Société des Nations. Prix Nobel de la paix en 1920,
Membre de la loge « Sincérité » à Reims.

Manuel Valls, Premier ministre en France de 2012 à 2016.
Membre des loges« Grand Orient de France », « Edmund Burke », « CompassStar-Rose/Rosa-Stella Ventorum », « Der Ring ».

Alexandre Vassilievitch Souvorov (1729-1800), comte de Rimnikski, prince Italiski, généralissime russe (position de commandant en chef), a vaincu les Français en Italie du Nord, passage des Alpes avec des pertes, commémoré par le monument près du pont du Diable.
Membre de loges à Saint-Pétersbourg et Königsberg.

Abdelkader ibn Muhieddine (1808-1883), prince kabyle d’Algérie, émir arabe qui s’est distingué par son esprit chevaleresque lors des guerres coloniales contre la France et a sauvé des milliers de personnes lors des massacres de chrétiens à Damas.
Membre de la loge parisienne « Henri IV » et de la loge « Les Pyramides d’Egypte ».

Salvador Allende (1908-1973), président du Chili, il s’est suicidé lors du coup d’État du général Pinochet.

Emmanuel Grouchy, marquis de Grouchy (1766-1847), maréchal de France. Napoléon l’a rendu responsable de la défaite de Waterloo.

Eduard Beneš (1884-1948), cofondateur et ministre des Affaires étrangères de la République tchécoslovaque, Premier ministre, président de la République. A organisé la résistance contre l’Autriche avec Masaryk.
Membre de la loge « Pravda Vítezí ».

Joseph-Ignace Guillotin (1738-1814), médecin, inventeur de la guillotine.
Henri Lafontaine (1854-1943), vice-président du Sénat belge, l’un des fondateurs et président du Bureau international de la paix, prix Nobel de la paix en 1913.
Membre de la loge bruxelloise « Les Amis Philanthropes ». (1778-1846)

Henri Lafontaine (1854-1943), vice-président du Sénat belge, l’un des fondateurs et président du Bureau international de la paix, prix Nobel de la paix en 1913.
Membre de la loge bruxelloise « Les Amis Philanthropes ».

Jakob Friedrich Fritsch (1731-1814), ministre d’État et président du Conseil privé à Weimar.
Commandeur de la maison (maître de chaire) de la loge « Amalia » sous la « Stricte Obser-vance ».
Frédéric II le Grand, roi de Prusse (1712-1786).
Il est devenu franc-maçon alors qu’il était prince héritier.

John Edgar Hoover (1895-1972), directeur du FBI.
Membre de la « Federal Lodge n° 1 » et de la « Justice Lodge n° 46 » à Washington D.C.

Sir Winston Churchill (1874-1965), homme d’État anglais, Premier ministre.

Richard Coudenhove-Kalergi (1894-1972), fondateur du mouvement Paneurope visant à la création d’une confédération européenne, a été admis dans une loge à Vienne en 1922.

Aleister Crowley de son vrai nom Edward Alexander. Sataniste suprême avoué, successeur de Reuss Chef de l’OTO, se faisait appeler « Baphomet », a écrit la « Messe gnostique » et de nombreux livres sur l’ésotérisme maçonnique, spiritualiste et magique.

Albert Pike (1809-1891), général de brigade des États du Sud pendant la guerre civile américaine.
Franc-maçon 33e grade et sataniste avoué. Grand commandant de la juridiction du sud. Chef de l’Ordre de haut rang AASR.

Giuseppe Garibaldi (1807-1882), homme d’État et révolutionnaire italien.
1er Grand Maître du rite de Memphis-Misraïm.

Giuseppe Mazzini (1805-1872), avocat, combattant italien de la liberté.
Co-compagnon d’armes de Garibaldi et destinataire de la lettre d’Albert Pike, dans laquelle ce dernier, en tant que Général d’armée, planifiait exactement trois guerres mondiales. Les deux premières guerres mondiales se sont déroulées exactement selon sa planification.
Mazzini était à la tête de l’Ordre des Illuminati depuis 1834, membre et membre d’honneur de nombreuses loges.
Lors de ses funérailles, des drapeaux maçonniques ont été portés pour la première fois dans les rues de Rome.

Camillo Benso, comte de Cavour (1810-1861), homme d’État italien, a soutenu le combat de Garibaldi, véritable créateur d’une Italie unie.
Francs-maçons, comme beaucoup de ses compagnons d’armes.

Enrico Fermi (1901-1954), physicien italien, co-développeur de la bombe atomique en Amérique, prix Nobel de physique en 1938.

Alexandre Gustave Eiffel (1832-1923), ingénieur français, constructeur de la Tour Eiffel (forme = obélisque maçonnique).

C’est par de telles sociétés secrètes que la communauté mondiale a été dominée en tout depuis des siècles, bien qu’elles prétendent dur comme fer que :
la franc-maçonnerie aurait fait son temps, n’existerait pour ainsi dire plus que sur le papier.

De plus, les francs-maçons et les médias publics affirment que l’ordre secret Skull & Bones n’est qu’une petite blague d’étudiants sans importance et que quiconque prétend le contraire est un dangereux complotiste. Voyons donc maintenant qui se trouve à peu près dans cette société secrète tout à fait inoffensive – par manque de temps, nous ne citons que quelques petits exemples représentatifs. Ces exemples suffisent toutefois amplement à démontrer le mensonge sous-jacent, toujours minimisé.

Membres avérés de la société secrète Skull & Bones

William Howard Taft
Entré en fonction en tant que président en 1909. 27e président des États-Unis,
Juge en chef des États-Unis, (Entré en fonction en 1921)
Secrétaire d’État américain à la guerre.

George Herbert Walker Bush
Entré en fonction en tant que président en 1989. 41e président des États-Unis,
Directeur de la CIA, (Entré en fonction en 1976)
Ambassadeur de l’ONU,
Ambassadeur des États-Unis en Chine.

George W. Bush
Entré en fonction en 2001. 43e président des États-Unis.

William M. Evarts
Entré en fonction en 1868. Ministre de la Justice des États-Unis, secrétaire d’État des États-Unis, sénateur des États-Unis.

Potter Stewart
Entré en fonction en1958. Juge à la Cour suprême des États-Unis.

Morrison R. Waite
Entré en fonction en 1874. Président de la Cour suprême des États-Unis.

Simeon Eben Baldwin
Entré en fonction en 1907. Juge en chef de l’État du Connecticut et gouverneur.

F. Trubee Davison
Entré en fonction en 1951. Directeur du personnel de la CIA.

Henry L. Stimson
Entré en fonction en 1911. Secrétaire d’État américain à la guerre, secrétaire d’État américain.

William Collins Whitney
Entré en fonction en 1885. Secrétaire de la marine américaine et financier de la ville de New York.

Prescott Bush
Entré en fonction en 1952. Sénateur américain du Connecticut et banquier.

John Kerry
Entrée en fonction en 1985. Sénateur américain et candidat du parti démocrate à la présidence des États-Unis en 2004.

John Sherman Cooper
Entré en fonction en 1946. Sénateur américain et membre de la Commission Warren.

Jonathan Brewster Bingham
Entré en fonction en 1965. Sénateur américain.

James L. Buckley
Entré en fonction en 1970. Sénateur américain.

John Chafee
Entré en fonction en tant que sénateur en 1976. Sénateur américain, Secrétaire à la Marine et gouverneur de Rhode Island ; père du sénateur américain Lincoln Chafee.

David Boren
Entré en fonction en 1979. Sénateur américain.

Timothy Dwight V
Entré en fonction en 1886. Président de l’Université de Yale.

Lord Winston
Entré en fonction en 1977. Président du Council on Foreign Relations.
Ambassadeur des États-Unis en Chine et assistant du secrétaire d’État américain.

Percy Avery Rockefeller
Débuts d’homme d’affaire en 1900. Directeur de Brown Brothers Harriman (Banque privée),
Standard Oil et Remington Arms.

Averell Harriman
Entré en fonction en1943. Ambassadeur des États-Unis et secrétaire américain au Commerce, gouverneur de New York, président et président du conseil d’administration de l’Union Pacific Railroad, de Brown Brothers Harriman et de la Southern Pacific Railroad.

Franklin MacVeagh
Entré en fonction en 1909. Secrétaire au Trésor américain sous la présidence de William Howard Taft.

Ce que peu de gens savent, c’est l’appartenance aux loges des révolutionnaires et assassins de masse suivants :

Napoleon Bonaparte (1769-1821)
Entré en 1798 dans la « Loge Philadelphe de l’Armée ».
Ses frères Joseph, Lucian, Louis et Jérôme étaient également francs-maçons. Cinq des six membres du Conseil suprême de l’Empire de Napoléon étaient francs-maçons, tout comme six des neuf officiers impériaux et 22 des 30 maréchaux de France. Les liens de Bonaparte avec la franc-maçonnerie ont toujours été minimisés dans les documents historiques.

Napoleon III (1808-1873)
Franc-maçon et empereur de France, 1852-70. Membre du Rite Écossais Ancien et Accepté de France.
Note : également connu sous le nom de Louis-Napoléon Bonaparte

Karl Marx (1818-1883)
Karl Marx, le fondateur du com¬munisme, était un franc-maçon 32e grade Grand Orient. Il a causé la mort de plus de 100 millions de personnes.

Josef Stalin (1878-1953),
Véritable nom : Joseph Vissarionovitch Djougachvili
Le règne de terreur de Staline à travers les « purges » a coûté la vie à plus de 20 millions de ses propres compatriotes. Il est souvent représenté sur les photos avec le geste de la main cachée. Aucun document officiel n’a pu être trouvé prouvant l’initiation de Staline à la franc-maçonnerie. Bien sûr, les dictateurs comme Staline contrôlaient strictement toutes les informations le concernant et concernant ses affaires, ce qui rend difficile de prouver quoi que ce soit.
Staline et Washington – deux idéologies opposées, un même geste de la main.

Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924)
Précurseur de la sanglante révolution communiste russe de 1917. Selon l’historien Sergueï Volkov, les bolcheviks ont assassiné jusqu’à deux millions d’opposants après l’attentat manqué contre Lénine.
Loge : Joseph de Maistre, Art et Travail, Der Ring

Léon Trotski (1879-1940)
De son vrai nom = Leo Davidovich Bronstein : stratège de la guerre civile, criminel de guerre et meurtrier de masse.
Loge : Art et Travail

Tournons-nous encore un peu vers les temps modernes et examinons quelques noms connus de la politique de pointe. Pour chaque nom, il y aurait un registre de crimes si long qu’il n’y aurait pas assez de temps au monde pour en décrire tous les détails. Dans ce documentaire, il s’agit uniquement de prouver que la franc-maçonnerie n’est en aucun cas une société secrète sans intérêt politique et sans secret :

Francs-maçons à la tête des décennies passées jusqu’à aujourd’hui :

Gustav Walter Heinemann (1899-1976)
1969 Il était un franc-maçon actif
3e président de la République fédérale d’Allemagne.
Heinemann était également ministre de la Justice et exerçait en tant que tel une influence extrêmement pernicieuse : Il a par exemple aboli le paragraphe sur la pornographie dans sa forme existante et a ainsi libéralisé l’ensemble du droit pénal en matière sexuelle.Une vague d’impureté d’une ampleur sans précédent s’est alors déversée sur nos pays. Des centaines de millions de personnes ont perdu en peu de temps leur capacité naturelle à aimer, des dizaines de millions de relations amoureuses précieuses, de mariages et de familles ont volé en éclats. Des désirs animaux ont remplacé des relations auparavant pleines d’amour – une insensibilité inconcevable, la froideur, la haine ont remplacé une humanité responsable. Aujourd’hui, des centaines de millions d’enfants vulnérables de moins de 12 ans s’ébattent déjà régulièrement sur des sites pornographiques pernicieux sur Internet. Le bénéfice financier tiré par les exploitants de ces sites se chiffre chaque année en milliards de dollars. Il ne s’agit là que de la partie émergée de ce gigantesque iceberg. Les dommages réels causés dans le monde entier par ce seul franc-maçon ne pourraient pas être décrits de manière exhaustive pendant des jours.

Harry S. Truman, (1884-1972)
33e président des États-Unis, de 1945 à 1953.Il a porté la responsabilité du largage de la première bombe atomique en 1945. Rien qu’à cause de ce seul acte de ce franc-maçon de haut rang, des dizaines de milliers de civils sans défense ont été détruits instantanément. Il a détruit de façon définitive et impitoyable des centaines de milliers de familles sans défense. Dans les décennies qui ont suivi, des dizaines de milliers d’autres innocents ont été victimes de la contamination nucléaire.
Et tout cela après que les militaires américains et le président Truman avaient déjà été informés de l’incapacité de combattre du Japon et de sa volonté de capituler.
En effet, 60% des grandes villes japonaises étaient déjà détruites, de même que la majeure partie de la flotte et des forces aériennes. C’est pourquoi les Japonais ont demandé des négociations de paix. Les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki étaient donc totalement inutiles d’un point de vue militaire. Cela a également été confirmé par le général américain Curtis Le May, le commandant responsable des bombardements. Lors d’une conférence de presse le 20 septembre 1945, il a déclaré textuellement : « La guerre aurait pris fin en deux semaines, sans l’invasion des Russes et sans les bombes atomiques. Les bombes atomiques n’ont absolument rien à voir avec la fin de la guerre. » (https://www/kla.tv/13009)
Et voici d’autres exemples du passé récent.

Nicolas Sarkozy,
Président français (2007-2012)
Appartenance aux loges « Edmund Burke », « Geburah », « Atlantis-Aletheia », « Pan-Europa »,« Hathor Pentalpha ».

Wladimir Putin, Président russe
Appartenance à la Super-loge « Golden EURASIA »

Angela Merkel,
Chancelière allemande (2005-2021)
Appartenance aux loges « Golden EURASIA », « Valhalla », « Parsifal »

Condoleezza Rice,
Secrétaire d’État des États-Unis (1997-2001)
Appartenance aux loges « Three Eyes », « Hathor Pentalpha »

Madeleine Albright,
Premier ministre du Royaume-Uni (1997-2007)
Appartenance aux loges « Three Eyes », « Leviathan » (SUPER-LOGE OLIGARCHIQUE)

Tony Blair,
Premier ministre du Royaume-Uni (1997-2007)
Appartenance aux loges « Edmund Burke », « Hathor Pentalpha »

David Cameron,
Premier ministre du Royaume-Uni (2010-2016) Appartenance aux loges « Edmund Burke », « Geburah ».

Abu Bakr al-Baghdadi – un chef de l’EI,
Appartenance à la loge « Hathor Pentalpha ».

Mariano Rajoy,
Premier ministre d’Espagne (2011-2018)
Appartenance aux loges « Pan-Europa », « Valhalla », « Parsifal ».

Antonis Samaras,
Premier ministre de la Grèce (2012-2015). Appartenance à la loge « Three Eyes »

Wolfgang Schäuble,
Ministre allemand des Finances (2009-2017). Appartenance à la loge Joseph de Maistre, fondée par Lénine, DER RING

Barack Obama, Président des États-Unis (2009-2017)
Appartenance à la loge « Maat » = Super-Loge de Zbiegniew Brzezinski fondée en tant que compromis entre les conservateurs et les progressistes francs-maçons.

Christine Lagarde,
Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) et ancienne directrice du FMI Appartenance aux loges « Three Eyes », « Pan-Europa »

George W. Bush, jr.
Président des États-Unis (2001-2009)
Appartenance à la loge « Hathor Pentalpha »

Michael Ledeen,
Journaliste américain
Appartenance aux loges « Three Eyes », « Pan-Europa »

Bill Gates
Fondateur de Microsoft et de la Fondation Bill & Melinda Gates
Appartenance aux loges « White Eagle », « Hathor Pentalpha »

D’autres politiciens et personnalités de premier plan avec leur appartenance à des loges

David Rockefeller
THREE ARCHITECTS / THREE EYES

Henry Kissinger
THREE ARCHITECTS / THREE EYES

Zbigniew Brzeziński
LUX AD ORIENTEM
THREE ARCHITECTS / THREE EYES
Super-Loge fondée en tant que compromis entre les conservateurs et les progressistes francs-maçons.

Edmond Adolphe de Rothschild (1926-1997)
THREE EYES

Bill Clinton
MAAT
COMPASS STAR-ROSE

Gerhard Schröder
HATHOR PENTHALPHA
GOLDEN EURASIA
PARSIFAL
FERDINAND LASALLE

Max Warburg
PAN-EUROPA

Albert Einstein
PAN-EUROPA

Friedrich von Hayek
THREE EYES
EDMUND BURKE
WHITE EAGLE

William Egan Colby
THREE EYES

Alexander Meigs jr. Haig
THREE EYES
WHITE EAGLE

Paul Volcker
THREE EYES

William Hedgcock Webster
THREE EYES

Martin Winterkorn
THREE EYES
VALHALLA

Alexander Dubček (1921-1992)
GOLDEN EURASIA

Neil Armstrong
JANUS
THREE EYES

Helmut Schmidt
FERDINAND LASSALLE

Otto Graf Lambsdorff
THREE EYES

Helmut Schmidt
FERDINAND LASSALLE

Olaf Scholz (*1958)
PARSIFAL
ATLANTIS-ALETHEIA

Philipp Rösler (*1973)
THREE EYES
PARSIFAL

Mario Draghi
DER RING

Dr. Jens Weidmann
DER RING

Bruno Bauer
Appartenant au communisme maçonnique.

Nikita Sergueïevitch Khrouchtchev
GOLDEN EURASIA

Václav Havel
GOLDEN EURASIA

Mikhaïl Gorbatchev
GOLDEN EURASIA

Helmut Kohl
Frère de haut rang
Konrad Adenauer
Frère de haut rang

Eduard Shevardnadze
GOLDEN EURASIA

Boris Eltsine
LUX AT ORIENTEM

Jegor Gaidar
LUX AD ORIENTEM
Oussama ben Laden
THREE EYES

Margaret Thatcher (1925-2013)
EDMUND BURKE

Philipp Hildebrand
HATHOR PENTALPHA

Jacques Chirac
SUPER-LOGE OLIGARCHIQUE

Robert Rubin
SUPER-LOGE OLIGARCHIQUE

Edward Kennedy
SUPER-LOGE PROGRESSIVE

Yitzhak Rabin
SUPER-LOGE PROGRESSIVE

François Mitterrand
SUPER-LOGE DÉMOCRATIQUE

Raúl Alfonsín
SUPER-LOGE DÉMOCRATIQUE

Jacques Delors
SUPER-LOGE DÉMOCRATIQUE

Robert S. McNamara
JANUS

Lyndon B. Johnson
JANUS

Sultan d’Oman
HATHOR PENTALPHA

Emir de Bahrain
HATHOR PENTALPHA

Des princes saoudiens, membres de HATHOR PENTALPHA
Abd Allah bin Abdulaziz Al Saud
Salman bin Abdulaziz Al Saud
Muqrin bin Abdulaziz Al Saud
Khalid al Faisal Al Saud
Nawwaf bin Abdulaziz Al Saud
Muhammad bin Nayef bin Abdulaziz Al Saud

D’Iran, membres de HATHOR PENTALPHA
Ali Akbar Hāschemi Rafsandschāni
Mohammad Momen
Gholam-Hossein Mohseni-Ejei
Heydar Moslehi
Mahmoud Alavi
Valiollah Seif
Hamad bin Khalifa Al Thani, Emir von Qatar
HATHOR PENTALPHA
Tamim bin Hamad Al Thani, Sohn des Emirs von Qatar
HATHOR PENTALPHA
COMPASS STAR-ROSE

D’Israël, membres de HATHOR PENTALPHA
Ariel Sharon
David Klein
Stanley Fischer
Moshe Ya’alon

Jan Peter Balkenende
HATHOR PENTALPHA

José María Aznar
HATHOR PENTALPHA

Aleksander Kwaśniewski
HATHOR PENTALPHA

Marcello Pera
HATHOR PENTALPHA

Antonio Martino
HATHOR PENTALPHA

Recep Tayyip Erdogan
HATHOR PENTALPHA

Michael W. R. Dobson (*1952)
DER RING

Jean-Claude Trichet (*1942)
DER RING

Josef Ackermann (*1948)
DER RING

Ben van Beurden (*1958)
DER RING

Laurence (Larry) D. Fink (*1952)
DER RING
HATHOR PENTALPHA

Lloyd Blankfein (*1954)
DER RING

Alexandre Lamfalussy (*1929)
DER RING

Robert Zoellick (*1953)
DER RING

Étienne Davignon (*1932)
DER RING

Irene Rosenfeld (*1953)
DER RING

Peter Mandelson (*1953)
DER RING

Lord Jacob Rothschild
DER RING
EDMUND BURKE

Nathaniel Philip Rothschild (*1971)
DER RING
EDMUND BURKE

Nathan Mayer Rothschild
EDMUND BURKE

Premier groupe non officiel de la future Loge HATHOR PENTALPHA :
George H. W. Bush
Jeb Bush
Samuel P. Huntington
Donald Kagan
Robert Kagan
Douglas Feith
Richard «Dick» Cheney
Donald Rumsfeld
Irving Kristol
William Kristol
Dan Quayle
Paul Wolfowitz
Richard Perle
Karl Rove
Bill Bennett

Astronautes francs-maçons

Enfin, il convient également de constater que pas moins de 10 astronautes de renommée mondiale étaient des francs-maçons de haut niveau et des frères de loge.

Buzz Aldrin, Edwin E. (*1930), franc-maçon 32e grade
Astronaute américain (Gemini 12, Apollo 11, pilote de la capsule lunaire «Eagle»), premier homme a marché sur la Lune avec Neil Armstrong.
« Avant son vol sur la lune, Aldrin était déjà devenu franc-maçon, comme de nombreux astronautes américains avant lui, à la Montclair Lodge n° 144 dans le New Jersey. Plus tard, il s’est affilié à la Clear Lake Lodge n° 1417 à Seabrook, Texas ».

Glenn, John (*1921),
Astronaute (Mercury 6, 6, Première orbite autour de la Terre), Senator, STS-95
Concord Loge No. 688. New Concord, Ohio

Schirra, Walter M. (*1923),
Astronaute (Mercury 8, Gemini 6, Kdt. Apollo 7)
Canaveral Loge n°. 339 Cocoa Beach, Florida

Grissom, Virgil I. (1926-1967),
Astronaute (Mercury 4, Liberty Bell 7, Gemini 3)
Mitchell Lodge n°. 228 Mitchell, Indiana

Cooper, L. Gordon Jr. (*1927),
Astronaute (Mercury 9, Faith 7, Gemini V)
Membre de la «Carbondale Loge» n°.82 Colorado

Eisele, Donn F. (1930-1987),
Astronaute (Apollo 7)
Luthor B. Turner Loge n°. 732. Columbus, Ohio

Irwin, James B., (1930-1991),
Astronaute (Apollo 15)
Tejon Lodge n°. 104, Colorado Springs

Mitchell, Edgar Dean (*1930),
Astronaute Apollo 14)
Artesia Loge n°. 28 Artesia, New Mexico

Stafford, Thomas P. (*1930),
Astronaute (Gemini VII, Gemini IX-A, Apollo 10 + 18)
Western Star Loge n°. 138 Waterford, Oklahoma

Weitz, Paul J. (*1932),
Astronaute (Skylab 2, Challenger -STS-6)
Lawrence Lodge n°. 708 Erie, Pennsylvania

Sur la base de ce qui a déjà été dit et démontré, le thème de l’alunissage – a-t-il réellement eu lieu ? – et l’explosion de la navette spatiale Challenger 23 revêtent une toute nouvelle acuité. Car au moins six des sept membres de l’équipage de Challenger sont encore en vie, selon le documentaire de Kla.TV « Est-ce que la NASA nous tromperait ? », quatre d’entre eux sous le même nom. Enfin, nous recommandons de visionner les documentaires suivants de Kla.TV. Les peuples sont appelés à participer à des recherches continues sur le thème du complot maçonnique ici et maintenant. Nous vous remercions d’avance pour toute information.

Vidéos conseillées :

https://www.kla.tv/9095 Est-ce que la NASA nous tromperait ? – Quand des astronautes morts ressuscitent
https://www.kla.tv/14599 Mythos oder Wirklichkeit? – Vortrag von Jo Conrad (4. AZK – 27.06.2009) Mythe ou réalité ? – Conférence de Jo Conrad (4e AZK – 27.06.2009) (seulement en allemand)

de is.