26/06/2021 (2021-06-26)
[Source : francesoir.fr]
[Photo : Protestations des supporters de Donald Trump à Washington, le 14 novembre 2020
OLIVIER DOULIERY/AFP]
Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir
Comme l’affirmait l’auteur du Meilleur des Mondes Aldous Huxley, « les faits ne cessent pas d’exister parce qu’on les ignore ». Dans son ouvrage prémonitoire, l’enseignement de l’histoire a disparu, jugée inutile tant le conditionnement des masses via les présélections, les traitements embryonnaires et les drogues est abouti. Nous n’en sommes pas encore là, même si les révélations actuelles attestent que le contrôle global est en route via cette politique mondiale de vaccination généralisée et la mise en place d’un pass sanitaire avec un QR code individuel.
Nouvelles du 6 janvier
Au beau milieu de cette crise sanitaire déclenchée par un virus modifié par gain de fonction échappé du laboratoire de Wuhan — les faits désormais établis grâce à la divulgation des mails du docteur Anthony Fauci début juin — la vérité se fait jour, en prenant les escaliers certes, mais elle progresse sur tous les fronts. Aux États-Unis, la dimension politique de cette crise se révèle six mois après les évènements du 6 janvier 2021, date à laquelle allait se jouer devant les chambres du Congrès la dernière étape du processus de validation des résultats de l’élection présidentielle. Le choix n’était pas aussi patent que le laissaient croire les représentants de l’État profond, élus démocrates et médias dominants en tête.
Nous l’avions évoqué sur France Soir : plusieurs États-clés avaient déposé des listes de choix alternatifs de leurs grands électeurs au vu des soupçons de fraudes rapportés via les témoignages publics organisés dans ces différents États dès la fin novembre, et une centaine de représentants du Congrès et de sénateurs avaient affirmé publiquement vouloir contester ces résultats. Le processus démocratique prévu par la Constitution américaine allait engendrer des débats houleux sous la direction du vice-président Mike Pence qui auraient pu s’étendre sur plusieurs jours et peser sur les résultats. Mais voilà : ce même jour, un assaut a bouleversé le calendrier, forçant l’évacuation des élus suite à l’envahissement du Capitole par des émeutiers. Tard dans la nuit, les résultats de l’élection ont été hâtivement entérinés sans qu’aucun débat n’ait lieu.
Grâce au travail remarquable du journaliste Darren Beattie, il semble de plus en plus avéré que le FBI ait largement contribué à organiser cet assaut opportun. Alors que la propagande médiatique poussait des cris d’orfraie face à cette intrusion immédiatement attribuée aux supporters de Donald Trump, la qualifiant d’assaut contre la démocratie, les soupçons étaient déjà patents d’une manifestation orchestrée pour garantir la mise sur le devant de la scène politique du duo Biden-Harris. Le 15 juin, Tucker Carlson, journaliste phare de Fox News, a été un des rares à interviewer D. Beattie à propos de son article expliquant l’infiltration par des agents du FBI des groupes extrémistes « antifa » et BLM (Black Lives Matter) ayant participé à l’effraction — et ce n’est pas la première fois —, des forces de l’ordre cagoulées incitant les manifestants à pénétrer dans le Capitole, corroborée par la non-divulgation de l’identité de ces agents. Christopher Wray, directeur du FBI, a esquivé la question lors de son audition au Sénat, alors que 14 000 heures d’enregistrement vidéo durant l’assaut sont en possession du FBI et n’ont pas été rendues publiques. Dans le langage du renseignement militaire, on qualifie cette tactique d’opération sous faux drapeau, menée en l’occurrence contre le choix électoral du peuple américain.
Avancée des audits
Le sondage du 23 juin effectué par Rasmussen, un des rares instituts indépendants, atteste que 55 % des Américains souhaitent des audits judiciaires complets pour vérifier la validité des résultats électoraux, tandis que 41 % pensent que Biden est un président illégitime.
Les coups bas du Deep State pour tenter par tous les moyens de faire cesser ces vérifications ne connaissent plus de limites. L’avocat Rudy Giuliani, figure publique américaine très appréciée, ancien procureur général associé et qui a gagné sa réputation d’incorruptible lorsqu’il était maire de New York, vient de voir sa licence suspendue par la cour, procédure normalement utilisée contre les avocats ayant négligé les affaires de leurs clients ou leur ayant extorqué des fonds. À nouveau les faits invoqués concernent les élections, la cour assurant que Rudy Giuliani aurait évoqué de faux témoignages dans sa mission de représentation du Président Trump pour démontrer les fraudes dans les États clés. Une procédure humiliante pour l’avocat, visiblement harcelé par une justice politisée qui utilise tous les moyens pour lui imposer le silence, et par ce biais attaquer Donald Trump. Le 28 avril dernier, des agents du FBI munis d’un mandat avaient déjà débarqué chez lui à 6 h du matin et saisi ses ordinateurs, smartphones et disques durs. Interviewé sur NewsMax, Rudy Giuliani a confirmé qu’il lui est en fait reproché d’avoir défendu son client Donald Trump. En près de 50 ans de carrière, il a ajouté n’avoir jamais connu un système judiciaire aussi biaisé et rappelé que les audits sont parfaitement légaux. Son avocat John Leventhal, ancien juge de la Cour suprême de New York, va faire appel.
L’audit en cours dans le comté de Maricopa représente de ce fait un enjeu majeur et là aussi les attaques pour empêcher son déroulement se sont multipliées : que ce soit de la part du shérif local ou de l’équipe des fonctionnaires en charge de l’organisation des élections. Les représentants de l’État de l’Arizona ont annoncé que l’audit devrait se terminer fin juin. Les auditeurs, conscients que leur travail doit être incontestable, prennent le temps nécessaire. Une fois le processus terminé, d’autres travaux concernant la vérification des machines de vote et des tabulateurs seront effectués en juillet et un rapport final publié courant août. D’après différentes sources, le nombre de bulletins frauduleux, invalides ou manquants est colossal. Une fois publié le rapport d’audit de l’Arizona dont plusieurs élus crédibles ont validé la qualité et la pertinence, il sera difficile de ne pas dé-certifier l’élection.
Michael McDonald, chef du parti républicain du Nevada, un autre État-clé, a rendu visite au site de l’audit à Phoenix le 8 juin et annoncé à la presse que son État devrait mener un audit similaire des résultats à Las Vegas, comté le plus peuplé, alors que Biden a remporté le Nevada avec une marge de 33 000 votes. La demande de McDonald a cependant peu de chances d’aboutir, le Sénat étant à majorité démocrate.
Simultanément dans l’État du Michigan, les patriotes réclament avec insistance un audit judiciaire complet, après celui conduit par l’avocat Matthew Deperno et son équipe dans le comté d’Antrim et qui a renversé les résultats. Un de leurs experts a examiné les machines de vote, leur software et les tabulateurs qui scannent les bulletins de vote. Il a montré devant les caméras d’OAN comment les votes sont intervertis de Trump à Biden par la machine. Mais les représentants de l’État n’ont visiblement pas envie de répondre favorablement à la demande des citoyens. Les élus républicains ont produit un rapport affirmant qu’ils n’avaient pas trouvé de bulletins illégitimes, rapport bâclé qualifié de honteux par les commentateurs.
L’État de Géorgie est une fois de plus sur la sellette après la publication d’un nouveau rapport par Carter Jones, contractuel ayant observé les fonctionnaires du bureau électoral du comté de Fulton scannant les mêmes bulletins de vote deux à trois fois de suite. Ces manœuvres ont eu lieu après 22 heures, après avoir sommé les observateurs de quitter les lieux, prétendant suspendre la validation des bulletins jusqu’au lendemain matin. Ce rapport vient entériner les enregistrements vidéo en temps réel déjà présentés lors des auditions publiques du mois de décembre 2020. Il est incompréhensible que les autorités n’aient pas dé certifié les résultats avec de telles preuves. Dans cet État aussi, une campagne d’intimidation se déroule via les médias locaux. L’enjeu est d’autant plus important que l’élection présidentielle a été suivie d’une élection sénatoriale le 5 janvier qui a donné une courte victoire aux candidats démocrates, faisant perdre la majorité au Sénat aux républicains.
L’ancien commissaire de police de New York Bernie Kerik, spécialiste de la surveillance des casinos, a comparé l’excellence de l’audit mené en Arizona au degré d’expertise appliqué dans sa profession pour confondre les tricheurs. Il appelle à des audits judiciaires similaires en Géorgie et en Pennsylvanie où les fraudes ont été massives. Il a déclaré d’une part que le gouverneur Brian Kemp et Brad Raffensperger le secrétaire d’État ont certifié les élections en Géorgie alors qu’ils savaient fort bien que ces résultats étaient erronés, ce qui est criminel. Quant à la Pennsylvanie, d’après ses informations, Trump a gagné de plus d’un million de voix. Et les évidences font le prouver.
Prochain événement organisé par Mike Lindell
A ce stade des enquêtes, il est possible d’affirmer que Trump a remporté largement les 5 États clés et aurait dû gagner l’élection présidentielle. Les faits ne vont pas disparaître parce que les médias les ignorent, les travestissent ou même les combattent. Les audits judiciaires prennent du temps, mais vont le prouver. Mike Lindell, l’entrepreneur moqué par la presse et ignoré des commentateurs de la vie politique, organise courant juillet une journée ouverte aux spécialistes, du moment qu’ils prouvent leur habilitation, pour leur exposer les analyses des cyberattaques et les résultats qu’il a présentés dans ses documentaires. Ces experts pourront examiner en direct les fameux pcaps ou packet captures retraçant dans le détail les attaques informatiques menées le 3 novembre et les deux jours suivants et qui ont converti les votes de Trump vers Biden. La conférence sera retransmise en vidéo.
Trump a affirmé à plusieurs reprises qu’il fallait « assécher le marais » : manifestement, les protagonistes résistent de toutes leurs forces. Ces vérités vont ébranler les fondements mêmes de la démocratie américaine. Alors, conséquences objectives de la véracité des faits ou contrôle accru des masses : l’avenir nous le dira.
Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir
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