06/07/2022 (2022-07-06)
[Source : lemediaen442.fr]
Après des études à Sciences Po, Claire Séverac a fait une carrière dans la musique aux États-Unis. Particulièrement sensible aux scandales liés à la santé et à l’environnement (vaccination, virus H1N1, pesticides, affaire du sang contaminé…), elle décide d’enquêter. Elle découvre que les maux dont nous souffrons ne sont pas dus au hasard ni à la fatalité, mais plutôt à un plan organisé par une poignée de « banksters » prêts à tout pour contrôler le monde.
Claire Séverac rassemble en 2011, dans Complot Mondial contre la santé, les preuves de tous les dommages causés à notre santé avec la nourriture, les médicaments, les pesticides, avec les noms des coupables, leurs méthodes. En 2012, elle écrit, avec Sylvie Simon, La coupe est pleine (nos enfants sont plus précieux que le CAC 40) sur la manipulation et la désobéissance civique.
Son dernier ouvrage, La guerre secrète contre les peuples (préface de Pierre Hillard, éditions Kontre Kulture), sort en 2015. Pendant trois ans, Claire Séverac a décrypté des centaines de documents, recoupé des discours, fouillé dans les archives et les sites d’organisations internationales, d’ONG ou encore d’institutions gouvernementales. Trois ans d’enquête qui prouvent l’existence des chemtrails, le danger des ondes, les mensonges du réchauffement climatique qui est une guerre climatique, le transhumanisme…
Plus ou moins tenus secrets, des projets mondiaux revêtent un alibi humanitaire : la faim dans le monde, le réchauffement climatique, la santé, l’écologie, la sécurité… Nul doute que tout ce qui se trame autour du covid-19 l’aurait intéressée au plus haut point, elle qui s’était scandalisée de l’attitude des grands laboratoires, leur reprochant de nous pourrir l’existence avec des médicaments loin d’être efficaces, dont les effets secondaires laissent toujours à désirer. Les ouvrages qu’elle a laissés témoignent de ses combats et aussi des oppositions qui se manifestaient autour d’elle. Pourtant Claire Séverac ne manquait pas de soutiens comme Pierre Hillard et la cancérologue Nicole Delepine, qui fut responsable de la pédiatrie à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches avant que le service soit fermé par la ministre Marisol Touraine. Déjà, en 2015, l’État décidait à notre place de notre santé (vidéo ci-dessous).
Claire Séverac est décédée le jour de Noël 2016, après trois mois de maladie. Elle gênait beaucoup trop de monde et son décès assez rapide est difficilement explicable. Elle était certaine d’avoir ingéré un poison à l’occasion des conférences qu’elle donnait dans toute la France depuis la sortie en septembre 2015 de son livre sur les chemtrails (abréviation de chemical trailers). Elle pensait au polonium, un poison indétectable même au compteur Geiger, et à un cancer digestif aussi fulgurant qui avait effectivement peu de chances d’être naturel. Sa mort a été aussi rapide que celle d’un autre gêneur, François-Xavier Verschave, qui, lui, contrariait les intérêts de la Françafrique dans ses livres-enquêtes Noir silence, Noir procès et Noir Chirac (éditions Les Arènes).
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