Les abolitionnistes de frontières sont des nihilistes néonazis

22/05/2023 (2023-05-22)

Par Lucien SA Oulahbib

Pour injecter mortellement votre chien dites qu’il a la rage. Pour masquer votre nihilisme et votre adoration paganisée du chaos en défendant mordicus l’abolition des frontières au profit (voilé) du Reich Global, dites que « les racistes de l’extrême droite instrumentalisent l’immigration ». Vous aurez alors toute l’attention de la propagande nihiliste néonazie au pouvoir visant à détruire nations et individualités en ce sens où ce néonazisme en absorbant le léninisme et le néoléninisme (le queerisme déconstructiviste des feus soixante-huitards) est devenu non plus « national » mais « international », celui du socialisme étatiste sans frontiéristes dirigé par une technocratie globaliste nihiliste sans foi ni loi (tout en affichant un visage d’ange, celui de « la Bête de l’événement ») à la solde d’une Secte richissime et activiste (Soros, Gates, et consorts…). Celle-ci a mis sur pied une machine de guerre pire que l’Inquisition (qui était modératrice en réalité, tant les dénonciations pullulaient…), celle d’une traque implacable et tragique contre les nouveaux hérétiques (nommés « complotistes », parce qu’ils la dénoncent justement). Elle cherche ainsi à épurer le « sang impur » en vue de rebâtir enfin une nouvelle stratification pyramidale planétaire (les « rien » et « sans dents » en bas et les « éveillés » en haut), tout en le niant bien sûr farouchement avec des mines de vierge effarouchée : ainsi en France telle animatrice sur France-Inter ou telle dirigeante de la NUPES ; aux USA telle dirigeante démocrate niant les dernières révélations du rapport Durham lui-même édulcoré par ailleurs

Cette propagande nihiliste néonazie va par exemple monter en épingle, d’un côté, telle mise en exergue d’un assassinat crapuleux, celui de la très jeune Lola en France, effectuée pourtant par une personne non française et illégalement installée en France qui avait de ce fait bel et bien eu une injonction, formelle, de quitter le territoire, tandis que, de l’autre côté, cette propagande, putride, mettra en avant tel incendie comme l’habitation d’un maire qui voulait se substituer à l’ONU en installant sans en demander la permission aux habitants un centre de migrants alors que ces deux faits, l’incendie et l’installation, ont des causes distinctes, quand bien même existerait-il une corrélation que l’enquête n’a cependant pas encore établie d’ailleurs…

Or, en amalgamant, d’entrée de jeu, de manière vulgaire même, la stupeur horrifiée envers un assassinat tellement sordide, et l’incendie en effet inqualifiable d’un élu comme « preuves » ultimes de la « montée de l’extrême droite » cela revient seulement à détourner l’attention pour mieux noyer le fait que la meurtrière de Lola (assassinée avec préméditation) n’avait rien à faire en France depuis longtemps d’une part, et que l’incendie en question, d’autre part, n’enlève rien au fait que certains militent bel et bien pour une abolition des frontières, ce qui est également criminel même insidieusement opéré.

Ce qui fait que ce sont des créatures obscènes en ce sens où elles mettent en scène ce qui n’a pas lieu d’être, détruisant la scène constitutionnelle de la souveraineté nationale française garantie pourtant par les articles, irréfragables, du Bloc de constitutionnalité, en niant de fait l’existence de frontières et de lois sommant au départ lorsqu’il y a lieu, noyant ainsi le poisson en tentant de faire croire qu’au fond l’assassinat de Lola et l’installation forcée de centres à migration (véritables têtes de pont sans frontiéristes) seraient principalement des « inventions de l’extrême droite »…

« Cachez ce sein que je ne saurais voir ». Le meurtre odieux et sordide de Lola violée et découpée ne serait plus qu’un fait divers (ou d’été) et l’installation de centres à migrants ferait seulement preuve de générosité envers une population ayant été « dominée » autrefois, d’où la nécessité d’une repentance… permanente, alors que tout ceci est faux après plus de soixante ans de décolonisation. Il suffit d’ailleurs de comparer deux pays ayant eu des conditions bien difficiles au départ (et pour une part liée à des déchirures internes multiformes et toujours vivaces), la Corée du Sud et l’Algérie, pour bien comprendre que d’autres facteurs sont bien plus en jeu que « la » seule colonisation quant au développement de l’une et la régression avancée de l’autre…

Toute cette propagande, déjà nihiliste à la base (avec le queerisme comme seul mode d’accès à tout désir possible) s’avère être à la solde des affairistes de la Secte globaliste néonazie (SHAA) avides d’une main-d’œuvre bon marché et sexuellement exploitable (jeunes éphèbes et autres nymphes colorés) sans parler de la prostitution et du trafic d’organes, alors que cette question migratoire EST une affaire d’abord mondiale qui ne peut donc être traitée qu’au niveau des institutions onusiennes et même pas au sein de l’UE…

D’où la confirmation de plus en plus affirmée, démontrée par les faits, qu’il ne sert somme toute à rien de se mettre sur une position défensive avec un ton quelque peu justificatif et teinté d’agressivité blessée comme le font certains dont Éric Zemmour (récemment sur RTL le 21/05/23) alors qu’il s’agit surtout, d’abord, de souligner que la France ne peut pas résoudre la question à elle seule de « la misère du monde » et qu’il faut donc instamment, quitte à opérer la politique dite de « la chaise vide », sommer TOUTES les instances mondiales de prendre en charge cette question, jusqu’à exclure de l’ONU les États qui refuseraient d’opérer les réformes adéquates permettant que leur population reste dans le pays pour le développer au lieu de s’enfuir ainsi…

Et la fuite en avant visant à les « aider » en permanence, tout en effaçant leurs dettes au fur et à mesure ne sert à rien sinon à reculer comme mieux sauter, à l’instar de cette monumentale dette publique et privée qui un jour ou l’autre va exploser, au fur et à mesure que nous allons entrer dans la quatrième guerre mondiale (la 3e ayant été la guerre froide). Celle-ci a d’ailleurs déjà entamé son amorce avec l’injonction sanitaire, puis les préliminaires de la guerre contre ces anti-queeristes que sont devenus les Russes et derrière eux le reste du monde, avec en arrière fond l’injonction climatique visant à forcer les individus à ne plus être aussi autonomes, aussi mobiles, à les drainer peu à peu et de plus en plus vers le seul monde de la virtualité (déjà par la drogue des séries déconstructivistes), tandis que l’élite de la Secte peut vaquer avec morgue à ses occupations globales, le tout « au nom » de la « Transition » (ou le triomphe sur le tard de Trotski avec son « Programme de Transition »).

Le plus regrettable dans cette histoire de plus en plus sordide est que les réels défenseurs de la souveraineté nationale à la française (la Nation comme communauté de sol et non pas seulement de sang) sont bien loin de s’unir, au-delà de leur singularité, pour empêcher que puisse continuer à nuire ainsi cette absolue infamie de type hygiéniste, eugéniste, racialiste, affairiste ou le réel néonazisme en marche (décrit également par Arièle Bilheran) qui n’a plus rien à voir avec le pseudo néonazisme des adorateurs actuels du feu palefrenier wagnérien paganisé qui ne savent quoi faire d’ailleurs de l’épée de Charlemagne tant il n’a pas compris ce qu’elle signifie.

Seulement, face à cela, seule la division prévaut, et aussi l’opportunisme confondant surface médiatique et profondeur analytique, et qui découvre ici et là le nihilisme, là-bas l’affairisme (appelé faussement « néo-libéralisme » alors que la financiarisation a toujours été présente, lire le 18 Brumaire… de Marx), plus loin le scientisme hygiéniste, et le tout appelé pompeusement « wokisme » alors que cela fait depuis des décennies qu’une poignée de penseurs (dont je suis) tentent (vainement) d’alerter sur les racines idéologiques multiformes de ce « tout » et son instrumentalisation accélérée par la technostructure standardisée et élevée désormais en secte globale ayant comme visée la reconstitution d’une ligue dissoute, celle du retour vers la barbarie assumée ou la servitude comme structure sociale, colonne vertébrale, quand bien même l’adhésion à son émergence serait-elle « volontaire », effaçant ainsi des siècles d’humanisme, comme le désirait Foucault, leur maître en queerisme, lorsqu’il disait dans les Mots et les choses que le visage de l’Homme s’effacera sur le sable de l’Histoire comme s’il n’avait jamais existé (admirez d’ailleurs la tentative de voiler cet aveu)

Mais celui-ci sera défendu par un Finkielkraut, une Hélène Banoun, un Vincent Pavan (du CSI) sans se rendre compte des conséquences pour la « cause » qu’ils mettent en avant, alourdissant encore plus, s’il en est, la division (mais un pas positif a été franchi à Saintes récemment lors d’une réunion importante des dénonciateurs de la Secte qui ont pu s’expliquer longuement sur son injonction hygiéniste)…

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