L’enterrement de la théorie virale

08/06/2024 (2022-02-01)

Par Joseph Stroberg

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.

1)- La démarche scientifique

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective, présentée schématiquement ici.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

La démonstration d’un lien de causalité

De manière rigoureuse, pour établir l’existence d’une relation de cause à effet entre un phénomène ou élément A et un phénomène ou élément B, il est nécessaire et suffisant de vérifier les conditions exposées ci-après.

(Voir https://nouveau-monde.ca/leffondrement-de-lhypothese-virale/)

La démonstration scientifique s’appuie sur la logique. En logique pure, pour qu’un phénomène, un événement, un objet ou un être vivant soit la cause unique d’un autre phénomène, événement, objet ou être vivant, il doit respecter les conditions logiques suivantes :
Il est suffisant que la présence de la cause entraîne la présence de la conséquence prévue
ou inversement que l’absence de la conséquence implique l’absence de la cause.
Si la cause est effectivement unique, il n’y a bien sûr aucune autre cause systématiquement présente.

Il est par contre nécessaire que l’absence de la cause entraîne l’absence de la conséquence prévue, ou qu’inversement la présence du phénomène prévu implique la présence de la cause.

Exemple en climatologie :

Si les nuages étaient la cause unique de la pluie, il serait suffisant que la présence de nuages entraîne celle de la pluie et inversement l’absence de pluie impliquerait l’absence de nuages.

Or, on observe assez souvent la présence de nuages sans qu’il y ait de pluie du tout et dans certains cas, au lieu de pluie, on a plutôt de la neige ou de la grêle.

De plus, il serait nécessaire que l’absence de nuages entraîne l’absence de la pluie
ou inversement que la présence de la pluie implique celle des nuages.

Mais dans la pratique, on a pu pourtant observer de la pluie fine en certains lieux et circonstances sans nuages visibles, par phénomène de condensation localisée de vapeur d’eau.

Donc, tout cela montre logiquement que les nuages ne sont pas la cause unique de la pluie et que d’autres facteurs (ou éléments causaux) interviennent, comme la température et la pression de l’atmosphère.

Exemple en virologie :

Si un virus donné (comme le supposé SRAS-CoV-2 pourtant jamais physiquement isolé) était la cause unique de la maladie Covid-19 qu’on lui attribue, alors il serait suffisant que sa présence entraîne la maladie associée, et inversement l’absence de la maladie impliquerait l’absence du virus.

Or, on observe assez souvent que des personnes auraient prétendument le SRAS-CoV-2 dans leur organisme alors qu’elles ne sont pas malades et n’ont aucun symptôme, au point qu’on les appelle « malades asymptomatiques ».

De plus, il serait nécessaire que l’absence du virus entraîne l’absence de la maladie ou qu’inversement la présence de la maladie entraîne celle du virus.
Or, comme les symptômes de cette maladie couvrent d’autres maladies ou phénomènes (comme les symptômes de la grippe ou comme les effets sur la santé d’ondes électromagnétiques pulsées) et que l’on a pu les observer sans le moindre lien avec le SRAS-CoV-2, on peut dire que l’on a des personnes qui aujourd’hui seraient diagnostiquées Covid-19 sans pour autant que l’on y détecte de SRAS-CoV-2.

Donc tout cela montre qu’au mieux le SRAS-CoV-2 n’est pas la cause unique de la Covid-19, mais que d’autres facteurs doivent logiquement intervenir s’il a quelque chose à y voir (et si par hasard il existe vraiment, mais n’est pas un simple artefact virtuel produit d’une méthodologie qui n’a rien de scientifique).

Exemple en électricité :

Si le courant électrique est la cause unique de la lumière d’une lampe, il est suffisant que la présence du courant dans le filament de l’ampoule entraîne son éclairage et inversement, l’absence de courant implique l’absence de lumière.

Ceci est effectivement observé à partir du moment où le courant est d’intensité suffisante. (En toute rigueur, on pourrait toutefois ici invoquer une cause secondaire, à savoir l’existence d’une résistance électrique au passage du courant dans le filament. Et donc en toute rigueur le courant électrique est la cause principale, mais pas unique de l’éclairage de la lampe.)

De plus, il est nécessaire que l’absence de courant entraîne l’absence de lumière dans l’ampoule
ou inversement que la présence de lumière implique celle du courant.

On n’observe effectivement pas de lampes électriques allumées sans qu’elles soient parcourues par un courant électrique

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Exemple :

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluations pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire afin de réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Appelées aussi expériences de contrôle ou encore expériences témoins, elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

2)- La théorie virale

Cette théorie suppose depuis 1954 que des virus de taille nettement plus petite que celle des bactéries et des cellules végétales, animales ou humaines sont susceptibles d’y pénétrer pour s’y multiplier en utilisant leur matériel génétique, puis d’en sortir pour aller infecter d’autres individus de même espèce, voire d’autres espèces, alors qu’ils ne sont pas eux-mêmes vivants. L’effet d’une telle invasion parasitaire serait alors l’apparition subséquente des maladies non bactériennes telles que la grippe, la variole et la polio. Le lien de causalité supposé est le suivant : la cause est le virus et l’effet automatique est alors une maladie virale spécifique aux symptômes caractéristiques. Le gros problème est que l’existence d’un tel lien causal n’a jamais été établie pour aucun des supposés virus, comme nous allons le voir, et que l’existence même de telles particules (non vivantes qui seraient externes aux organismes vivants végétaux, animaux et humains, mais guère capables de survivre hors d’eux plus de quelques heures) n’est pas non plus scientifiquement et rigoureusement démontrée.

Que font les virologues lorsqu’ils prétendent isoler un virus ?

« Les virologistes croient aux virus parce qu’ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés infectés — après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est alors tuée par les virus. »

Dr Stefan Lanka, qui ne revendique plus le titre de « virologue », dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

« Les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. »

Dr Andrew Kaufman, dans https://nouveau-monde.ca/declaration-sur-lisolement-des-virus/

« La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”. Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes… pourrait être associée au virus de la rougeole.”

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai — en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique. »

Docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith dans https://nouveau-monde.ca/la-fraude-du-covid-19-et-la-guerre-contre-lhumanite/

Pour simplifier, les étapes du processus qui prétend isoler un virus et le caractériser sont les suivantes :

  1. récolte de matériel biologique infecté (sang, morve, peau, etc. selon le cas) ;
  2. prétendue « culture » des virus dans une préparation qui mélange le matériel infecté, des cellules prétendument propices à la culture virale, des antibiotiques et des antifongiques toxiques et des substances susceptibles de favoriser la multiplication virale ;
  3. après la mort des cellules de culture, centrifugation de la soupe résultante pour séparer les composants par densité et recueillir la couche supposée contenir les virus reproduits ;
  4. séquençage par logiciel informatique qui découpe d’abord en morceaux le matériel génétique recueilli avant de reconstituer virtuellement la supposée séquence génétique complète du supposé virus d’après un modèle de base supposé être celui du virus ou très proche de lui.

3)- Confrontation de la théorie virale à la rigueur scientifique

Avant même de chercher à déterminer la réalité ou non d’un lien causal entre virus et maladies qualifiées de virales, si au moins l’une des quatre étapes qui viennent d’être évoquées est démontrée sans fondement scientifique, alors c’est déjà suffisant pour faire s’effondrer la théorie puisqu’alors cela confirmerait qu’aucun virus ne peut être véritablement isolé en suivant une telle procédure. Et s’il ne peut pas être isolé, il devient impossible de démontrer ensuite qu’il provoque bien une maladie.

À notre connaissance, un seul scientifique s’est jusqu’à maintenant donné la peine d’effectuer des expériences de contrôle pour vérifier ou pour infirmer la validité du supposé processus d’isolement, de purification et de caractérisation d’un virus donné. Il s’agit de Stefan Lanka (Voir en particulier :
https://nouveau-monde.ca/stefan-lanka-conduit-les-experiences-temoins-refutant-la-virologie/
https://nouveau-monde.ca/la-verite-sur-la-rage-le-virus-de-la-mosaique-du-tabac-le-graphene-et-les-resultats-de-la-2e-phase-des-experiences-temoins/
https://nouveau-monde.ca/la-fin-de-la-virologie-la-3e-phase-des-experiences-temoins-du-sars-cov-2/)

Lors de la première phase, en plus des cellules humaines récoltées, on trouve au minimum le matériel génétique des cellules de cultures, mais aussi possiblement des cellules de chien, de chat ou de quoi que soit d’autre qui se trouve dans l’environnement de l’individu malade ou supposément infecté d’un virus.

Pour ce qui concerne la seconde phase, Lanka a effectué des expériences témoin qui démontrent que l’on parvient à faire mourir les cellules de culture sans ajouter aucun tissu biologique infecté, mais par le seul fait du processus lui-même. En d’autres termes, il a démontré ainsi que ce sont les conditions expérimentales seules qui produisent l’effet de mort cellulaire et de supposée multiplication virale qui en découle, ceci à cause des produits chimiques toxiques ajoutés et de l’insuffisance ou de l’inadéquation des nutriments reçus par les cellules de culture.

Lors de la troisième phase, en raison de la mixture présente dans l’étape 1, et compte tenu de l’absence à ce stade d’expériences de contrôle, il n’y a aucune assurance que le matériel génétique récolté après centrifugation et purification correspond uniquement à celui du malade ou de la personne soi-disant viralement infectée.

Et concernant la dernière phase, Lanka a démontré qu’il pouvait obtenir n’importe quelle séquence génétique virale, puisqu’au cours du processus, on commence par découper les brins d’ADN en petites séquences de nucléotides avant de les soumettre à un complexe processus de reconstitution logicielle lors duquel on élimine des éléments indésirables qui ne cadrent pas avec le modèle viral supposé et pour lequel on comble les trous en fonction de ce modèle, ceci à volonté. De plus et au final et le plus souvent, le puzzle ainsi reconstitué ne correspond même pas à 100 % du génome supposé. Pour donner une idée de la « valeur » scientifique d’une telle procédure qui n’est nullement expérimentale, mais purement informatique, ce procédé est similaire à celui qui consisterait à découper en petits morceaux les feuilles d’un millier de romans, à les mélanger au hasard, puis à s’efforcer de reconstituer un roman donné (par exemple Les trois mousquetaires) sans même être certain que ce roman faisait partie du lot des romans découpés en morceaux. Si les morceaux de feuilles sont suffisamment petits, après moult ajustements, rabotage de mots dans certains bouts de phrases, ou ajout de termes dans d’autres morceaux, on pourra presque sûrement à un moment donné s’approcher du roman voulu, disons avec le même pourcentage de précision que pour la séquençage génétique, à savoir quelque chose comme 99,7 %. Si le pourcentage descend trop bas, on parlera alors d’un roman « variant » : Omicron ou Delta, ou quoi que ce soit d’autre. Et si on est plus proche d’un des variants déjà trouvés que du roman original, on dira alors qu’on a affaire à un sous-variant. Quoi qu’il en soit, on ne reconstitue ainsi quasiment jamais le roman cherché et d’autre part, rien ne permet de s’assurer que ce roman viral était bien présent dans la mixture initiale.

Aucune des quatre étapes n’est scientifiquement rigoureuse, et lorsque Lanka a effectué les expériences témoins indispensables pour une telle rigueur, il a tout simplement démontré qu’il pouvait obtenir tout et n’importe quoi en matière de prétendus virus. Lui et quelques autres chercheurs ou médecins se sont penchés sur la littérature existante en matière d’isolement de virus et ont pu constater qu’aucun texte ne démontre scientifiquement et rigoureusement l’existence d’un virus avec un code génétique bien déterminé et qui aurait pu être simultanément observé par microscopie. La totalité du processus relève essentiellement de scientisme, voire de fraude involontaire ou intentionnelle, mais ne démontre scientifiquement rien et surtout pas l’existence de virus pathogènes non vivants, mais parasites qui se multiplieraient dans des cellules vivantes.

« La mort des tissus/cellules est également considérée comme l’isolation d’un virus parce qu’ils prétendent que quelque chose de l’extérieur, d’un autre organisme, a été apporté dans le laboratoire, bien qu’un virus n’ait jamais été isolé au sens du mot isolation, et n’ait jamais été photographié et caractérisé biochimiquement en tant que structure unique entière. Les micrographies électroniques des supposés virus montrent en réalité des particules cellulaires assez normales provenant de tissus et cellules en train de mourir, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI — computer generated images — images générées par ordinateur ou images de synthèse — NdT). Parce que les parties impliquées CROIENT également que les tissus et cellules en train de mourir deviennent eux-mêmes des virus, leur mort est également considérée comme la propagation du virus. Les parties impliquées croient toujours ceci parce que le découvreur de cette méthode a reçu le Prix Nobel et ses articles sur les « virus » restent des articles de référence. »

Stefan Lanka dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

4)- Véritable cause des maladies et des apparentes contagions

La théorie virale s’avérant bidon, Lanka et quelques autres pionniers ont redécouvert les anciennes théories abandonnées à cause d’intérêts pharmaceutiques puissants et les ont améliorées à la lumière des dernières découvertes, notamment celle de l’existence scientifiquement démontrée elle des exosomes. Ces composants sont produits par les cellules organiques lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre par des toxines, par le froid, par des ondes électromagnétiques, par des champs électriques, par des émotions négatives ou par d’autres facteurs stressants. Ils ont la même apparence que celle attribuée à certains modèles de virus, parce que notamment le scientisme moderne de base matérialiste tend trop souvent à inverser causes et effets.

« Toutes les affirmations qui disent que les virus sont des agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des erreurs d’interprétation facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables. Les vraies causes des maladies et phénomènes qui sont imputées aux virus ont déjà été découvertes et recherchées : cette connaissance est désormais disponible. Tous les scientifiques qui pensent qu’ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et tissus infectés étaient en train de mourir parce qu’ils étaient affamés et empoisonnés suite aux expériences dans le laboratoire. »

Stefan Lanka dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

Par ailleurs, des expériences assez récentes tendent à démontrer que le corps humain, de nature électrique et magnétique, est également sensible à distance à la condition vitale des autres. Les phénomènes physiques de résonance et d’induction magnétique peuvent en partie expliquer l’influence contagieuse de la bonne ou au contraire de la mauvaise santé des uns sur les autres, en plus du fait que bien des prétendues « épidémies » ne résultent le plus souvent que de l’exposition à des facteurs communs à une région donnée, voire dans certains cas à la planète entière. Et dans pratiquement tous les cas d’épidémies historiques, on a pu trouver des explications alternatives à celle de bactéries ou de virus.

(Voir :
https://nouveau-monde.ca/la-contagion-quelques-elements-de-reponse-a-contrario-de-la-funeste-doxa-actuelle/

https://nouveau-monde.ca/le-mythe-de-la-contagion-virale-pourquoi-les-virus-incluant-les-%e2%80%89coronavirus%e2%80%89-ne-sont-pas-la-cause-des-maladies/
https://nouveau-monde.ca/epidemies-et-contagions/
https://nouveau-monde.ca/la-microbiophobie-ambiante-est-hors-de-controle-de-nouvelles-perspectives-sur-la-veritable-nature-des-virus/
https://nouveau-monde.ca/larc-en-ciel-invisible-une-histoire-de-lelectricite-et-de-la-vie)

Dans le cas particulier de la maladie Covid-19 qui regroupe de multiples symptômes (grippaux, cardio-vasculaires, etc.), il se trouve que ces symptômes ont été démontrés comme pouvant être causés par diverses ondes électromagnétiques, surtout sous forme artificielle pulsée et particulièrement dans la bande des micro-ondes. C’est comme par hasard le cas des ondes Wi-Fi, 3G, 4G, 4G+ et 5G. Et il apparaît que les lieux d’apparition de la Covid coïncident temporellement et géographiquement de manière plutôt précise avec celle de l’implantation de la 5G à laquelle le corps humain n’a pas encore eu le temps de s’adapter. Il apparaît également que des facteurs additionnels tels que la quantité de métaux, notamment lourds, dans le corps sont susceptibles d’aggraver les symptômes, car alors les cellules du corps éprouvent davantage de difficulté pour se purifier de l’agression subie. Le corps humain est de nature électrique et magnétique très sensible et l’existence des électrocardiogrammes et des électroencéphalogrammes en est une des preuves. Les ondes électromagnétiques pulsées évoquées ci-dessus sont fortement susceptibles de perturber les délicats équilibres et mécanismes biologiques qui reposent sur cette nature électrique et magnétique, comme le cycle énergétique de Krebs, les influx nerveux et les processus neuronaux. Chercher à ridiculiser la probable ou au moins possible causalité entre 5G et Covid ne relève pas de science, mais d’obscurantisme scientiste et de fermeture d’esprit ou au mieux de soumission à des intérêts financiers liés à l’industrie pharmaceutique et/ou à celle des télécommunications, secteurs particulièrement influents de nos jours.

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