06/07/2023 (2023-07-06)
[Source : nationaljusticeparty.com]
Par Joseph Jordan
[NDLR Le texte suivant est diffusé à titre informatif d’un point de vue américain particulier sur la situation française.]
Au cours de la semaine écoulée, les banlieues entourant les grandes villes françaises ont été le théâtre d’incendies et d’actes d’anarchie, faisant au moins un mort confirmé, des centaines de blessés et près d’un milliard d’euros de dégâts. De violentes batailles de rue continuent de faire rage dans tout le pays, opposant les descendants d’immigrés noirs et algériens à la police et aux citoyens gallo-romains. La plupart des violences ont eu lieu autour des magasins de produits de consommation de luxe que les minorités supposées politiquement lésées ont pillés à un rythme alarmant. Les forces de l’ordre sont sur la défensive, leur syndicat national dénonçant publiquement leur incapacité à maîtriser la « sauvagerie ».
Le catalyseur présumé de cet épisode européen de chaos racial anti-blanc à l’américaine a été la mort d’un criminel maghrébin de 17 ans, Nahel Merzouk, abattu par la police après avoir tenté de s’enfuir dans sa voiture lors d’une arrestation. Bien que n’ayant pas l’âge légal pour conduire une automobile, Merzouk roulait dans une voiture de sport Mercedes Benz et a été abattu alors qu’il tentait de s’enfuir pendant que les policiers luttaient pour l’arrêter. En vertu d’une loi de 2017, la police française a pour instruction de tirer sur les conducteurs imprudents qui tentent d’échapper à l’arrestation, mais le policier blanc en question, Floriant M., est néanmoins accusé d’homicide involontaire afin d’apaiser la mafia, les élites économiques et les militants raciaux professionnels.
Si la situation rappelle les émeutes raciales de 2020 qui ont secoué les États-Unis après la mort de George Floyd, ce n’est pas une coïncidence.
Les médias français se sont d’abord rangés du côté de la police dans cette affaire. Ils ont changé d’avis après qu’un court extrait hors contexte de l’incident a été repris par des agents locaux de Washington, formés par le département d’État américain, comme Rokhaya Diallo, qui se sont adressés à des médias britanniques et américains amis pour bafouer les lois françaises strictes en matière d’incitation et approuver ouvertement la violence criminelle tout en diffamant les Français de race blanche sans aucun contre-argument.
Ces émeutes sont le produit d’une malveillance délibérée, fruit de plus d’une décennie d’opérations d’influence secrètes et manifestes visant à transformer la population criminelle noire et brune de France en un point d’appui impérial juif américain permanent.
L’une des premières traces de cette opération de renseignement est une série de câbles classifiés de l’ambassade américaine datant de 2010 et rendus publics par Wikileaks. Dans ces mémos, le magnat juif d’Hollywood Charles Rivkin, alors nommé ambassadeur en France par l’administration Obama, expose un plan en sept points pour mobiliser les Noirs et les Maghrébins en France comme une arme politique contre leurs hôtes.
[Les sept points étaient les suivants :
1- TENIR UN DISCOURS POSITIF (envers la démocratie, les minorités, etc.) ;
2- DONNER UN EXEMPLE FORT (en étant inclusifs, pour faire tomber les barrières, faciliter la communication et étendre les réseaux) ;
3- LANCER UNE ACTION AGRESSIVE DE SENSIBILISATION DES JEUNES ;
4- ENCOURAGER LES VOIX MODÉRÉES (en travaillant notamment avec les sites musulmans français oumma.fr et saphirnews.com) ;
5- DIFFUSER LES MEILLEURES PRATIQUES ;
6- APPROFONDIR NOTRE COMPRÉHENSION DU PROBLÈME ;
7- INTÉGRER, CIBLER ET ÉVALUER NOS EFFORTS.
]
Dans ce mémo infâme, Rivkin déplore que les institutions françaises soient « très majoritairement blanches » et élabore un plan visant à créer des médias parallèles, des ONG et des entités éducatives soutenus par le Département d’État, afin de saper et de remplacer l’ordre établi. Dans le but de déseuropéaniser la France, l’ambassadeur juif appelle à mobiliser l’influence américaine pour « intensifier notre travail avec les musées et les éducateurs français afin de réformer le programme d’histoire enseigné dans les écoles françaises », en utilisant les « nouveaux médias » pour endoctriner les jeunes non blancs en France, et « soutenir, former et engager les médias et les activistes politiques qui partagent nos valeurs ». Le câble résume l’ordre du jour en demandant aux agents de Washington de « s’appuyer sur les vastes programmes de diplomatie publique déjà en place dans les postes et de développer des moyens créatifs et supplémentaires pour influencer la jeunesse française, en utilisant les nouveaux médias, les partenariats avec les entreprises, les concours nationaux, les événements de sensibilisation ciblés, en particulier les invités américains » pour « identifier » et « influencer les futurs dirigeants français ».
Rivkin a fini par utiliser ses contacts à Hollywood pour recruter des célébrités américaines comme Samuel L. Jackson pour l’accompagner dans les ghettos français afin de l’aider à recruter des agents potentiels.
Plusieurs activistes anti-blancs et des institutions dédiées à l’incitation des non-blancs contre la police et la société française dans laquelle ils ont choisi de vivre ont depuis émergé de cette conspiration. Des personnalités telles que la susmentionnée Diallo — qui est aujourd’hui sans doute l’activiste française la plus en vue de la planète grâce à la tribune qui lui a été accordée par les médias américains — et la juive Tara Dickman du « Collectif contre le profilage racial » (un groupe anti-police) ont été amenées aux États-Unis par l’ambassade américaine et les ONG atlantistes affiliées pour être formées aux techniques d’agitation bolchévique dans des villes telles que Chicago.
À la suite de cette action, Mme Dickman a indiqué qu’elle avait appliqué les stratégies américaines en France pour mener une avalanche de procès pour « profilage racial » contre la police dans l’espoir d’entraver sa capacité à appliquer la loi contre les criminels africains et algériens — en fait, elle a voulu faire naître un problème qui n’existait pas auparavant. En conséquence, les policiers français ont été neutralisés en ce qui concerne la criminalité non blanche, sous l’effet d’une immense pression juridique, médiatique et politique mondiale coordonnée. Cette nation européenne, autrefois relativement sûre, est aujourd’hui rongée par la violence ethnique et interraciale, comme en témoignent les vidéos choquantes montrant des enfants en bas âge et leurs grands-mères brutalisés dans la rue par des noirs et les récits de jeunes filles blanches de 12 ans enlevées et torturées à mort par des Algériens. À l’heure où nous écrivons ces lignes, la France est plus dangereuse que le Mexique.
Certains hommes politiques français, comme le député Nicolas Dupont-Aignan, ont ouvertement condamné la main visible et secrète de l’Amérique derrière la montée des récits de « culpabilité blanche », de la violence anti-blanche et de l’agitation corrosive bien financée dans le pays. Même Emmanuel Macron, la forme platonique d’un néolibéral, a condamné le rôle du « wokeisme » judéoaméricain dans la déstabilisation de la nation et l’exacerbation des conflits raciaux.
Bien que les Français soient très conscients de ce qui se passe, peu de choses sont faites pour contrer l’influence de leur « allié » de l’OTAN, qui espionne agressivement ses dirigeants politiques sans aucune conséquence diplomatique. Plusieurs personnalités et dirigeants français influents, tels que les anciens présidents François Hollande et Nicolas Sarkozy (qui est juif) sont d’anciens élèves des opérations d’influence et de recrutement d’actifs de Washington, y compris le programme de leadership des visiteurs internationaux du département d’État. Les élites françaises sont fortement compromises par les États-Unis, ce qui a empêché la formation d’une solidarité significative contre l’ingérence de Washington.
Alors que Macron tente apparemment de convaincre l’Europe de suivre une voie plus indépendante en matière de politique étrangère, loin des États-Unis, Washington pourrait considérer que le fait de forcer davantage de non-Blancs « américanisés » sans racines à occuper des postes de pouvoir en France, par le biais de la menace d’émeutes raciales soutenues par le département d’État et de programmes accélérés de discrimination positive, constitue la solution permanente à une tendance gaulliste autochtone. L’idée parfois antiaméricaine d’une France souveraine anime à la fois la gauche et la droite autochtones, mais les Juifs perçoivent ce consensus comme une menace pour l’effort mondialiste-atlantiste qui cherche à empêcher l’Europe d’émerger en tant que puissance indépendante dans un monde multipolaire.
Le cauchemar sans fin auquel les dirigeants juifs de l’Amérique nous soumettent chez nous est destiné à l’exportation, comme l’a écrit l’actuel secrétaire d’État Antony Blinken avec son complice juif Robert Kagan en 2019. Blinken explique clairement que toute nation se trouvant dans la sphère d’influence économique et militaire de Washington verra sa culture et son peuple d’origine attaqués, et que ceux qui résistent doivent être écrasés. Si ces personnes sont blanches, la politique prendra une forme particulièrement cruelle et féroce.
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