La stratégie globale de BlackRock

29/10/2022 (2022-10-29)

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

[Suite de D’ici 2028, BlackRock et Vanguard posséderont « presque tout »]

« COVID-19 – La lettre de Spartacus » ! Une lettre étrange circule sur Internet d’un endroit à l’autre au gré des censures qui la poursuivent. Cette lettre dit : « Mon nom est Spartacus, et j’en ai assez » !

« Nous regardons l’establishment médical injecter un véritable poison à des millions de nos concitoyens sans même nous battre. On nous a dit que nous serions licenciés et privés de nos moyens de subsistance si nous refusions de nous faire vacciner. C’était la goutte d’eau qui a fait déborder le vase ».

Ce qui suit est une compilation de données montrant que la fausse pandémie de COVID-19 était une attaque de guerre biologique qui a été initiée en utilisant des tactiques de PSYOPS. Il passe également en revue les dangers des injections contre la COVID-19, notant que le virus à l’origine de cette maladie ainsi que les « vaccins » ont été fabriqués par les mêmes entités…

[NDLR : en guise de « virus », compte tenu du caractère fallacieux, voire carrément frauduleux, de la théorie virale (cf. les nombreux articles du dossier Vaccins et virus sur cette question), il s’agirait plutôt de ce qui est évoqué dans l’article suivant : Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?]

« Ils croient qu’ils peuvent s’en tirer en utilisant la stigmatisation sociale du refus du vaccin, dit la lettre. Ils ont tort. Leurs motivations sont claires et évidentes pour quiconque a prêté attention. 

Ces mégalomanes ont pillé les fonds de pension du monde libre. Wall Street est insolvable et connaît une crise de liquidité permanente depuis la fin de l’année 2019. L’objectif est maintenant d’exercer un contrôle physique, mental et financier total et à spectre complet sur l’humanité avant que nous ne réalisions à quel point nous avons été extorqués par ces maniaques. La pandémie et sa réponse ont servi de multiples objectifs pour l’élite : 

Dissimuler une dépression provoquée par le pillage usuraire de nos économies par des capitalistes rentiers et des propriétaires absents qui ne produisent absolument rien qui ait une quelconque valeur pour la société…

Détruire les petites entreprises et éroder la classe moyenne. 

Transférer des milliers de milliards de dollars de richesse du public dans les poches de milliardaires et d’intérêts particuliers.

Se livrer à des délits d’initiés, acheter des actions de sociétés de biotechnologie et vendre à découvert des commerces de proximité et des agences de voyage, dans le but de faire disparaître le commerce et le tourisme en face à face et de les remplacer par le commerce électronique et la servilité. 

Créer un casus belli pour une guerre avec la Russie et la Chine, nous encourager à les attaquer, gaspiller des vies et des trésors d’énergie en nous conduisant au bord de l’Armageddon nucléaire.

Établir des cadres technologiques et de biosécurité pour le contrôle de la population et des « villes intelligentes » technocratiques et socialistes où les mouvements de chacun sont suivis de façon despotique, tout cela en prévision d’une automatisation généralisée, du chômage et des pénuries alimentaires, en utilisant le faux prétexte d’un faux vaccin pour obliger à la coopération. 

… Les élites tentent de tirer vers le haut l’échelle, d’effacer la mobilité ascendante pour de larges segments de la population, d’éliminer les opposants politiques et autres « indésirables », et de mettre le reste de l’humanité en laisse serrée, en rationnant notre accès à certains biens et services qu’ils ont jugés « à fort impact », comme l’utilisation de l’automobile, le tourisme, la consommation de viande, et ainsi de suite. 

Naturellement, ils continueront à avoir leur propre luxe, dans le cadre d’un système de castes, semblable au féodalisme. Pourquoi font-ils cela ? C’est simple. Les élites sont néo-malthusiennes et croient que nous sommes surpeuplés et que l’épuisement des ressources fera s’effondrer la civilisation en quelques décennies. 

Ils ne sont pas nécessairement dans l’erreur. Nous sommes surpeuplés et nous consommons trop de ressources. Cependant, orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en réponse à une crise imminente démontre qu’ils n’ont que le plus grand mépris pour leurs semblables. 

À ceux qui participent à cette farce dégoûtante sans comprendre ce qu’ils font, nous n’avons qu’un mot à dire. Arrêtez. Vous causez un tort irréparable à votre pays et à vos concitoyens. 

À ceux qui lisent cet avertissement et qui savent parfaitement ce qu’ils font et comment cela va injustement nuire à des millions d’innocents … vous n’aurez pas votre Nouvel Ordre Mondial !»

Depuis la crise des subprimes de 2008, l’argent du contribuable ne peut plus décemment servir à sauver des banques et des fonds spéculatifs. Les gouvernements ont ainsi mis en place des régulations fortes sur les établissements bancaires. Or, comme BlackRock n’accorde pas de crédits, puisqu’il investit l’argent de ses clients, le groupe n’est quasi pas contrôlé. Une marge de manœuvre qui lui aura non seulement permis de reprendre le flambeau de banques comme Goldman Sachs, mais de faire prospérer le modèle capitaliste sans commune mesure.

Au-delà de sa philosophie d’entreprise qui se résume à rendre les riches encore plus riches, un autre problème se pose et se nomme “Aladdin”.

Ce programme d’analyse, développé en interne, est une intelligence artificielle capable d’effectuer de la gestion de risques et de prendre de nombreuses décisions financières en parfaite autonomie. Ce dernier brasse 18 000 milliards de dollars quotidiennement, soit 80% du PIB annuel de l’Union Européenne ! Quand il s’agit de faire du profit, BlackRock est au premier rang des manœuvres les moins éthiques, en témoigne le documentaire d’Arte (2020) : « Ces Financiers qui Dirigent le Monde ».

Si un gouvernement diminue les cotisations pour la retraite et donc les sommes versées aux personnes concernées, il incite les épargnants des classes supérieures à se tourner vers des fonds de placements privés et BlackRock l’a bien compris.

“Depuis plusieurs années, BlackRock se montre intéressé pour mettre la main sur une partie de l’épargne des actifs français les mieux payés, afin de l’orienter vers l’épargne retraite”, rappelle France Info dans son article de vulgarisation : “On vous explique la polémique sur BlackRock, ce fonds d’investissement soupçonné de vouloir imposer la retraite par capitalisation en France”.

Et de rappeler en priorité que : « le 6 juin, Larry Fink [PDG de BlackRock] a été discrètement reçu par Emmanuel Macron, selon L’Obs » et qu’« en octobre 2017, le gouvernement a demandé au Comité action publique 2022 de plancher sur la réforme de l’Etat. Un groupe d’experts où siège… Jean-François Cirelli, le patron de la branche française de BlackRock ».

Les rencontres (connues) au sommet ne s’arrêtent pas là poursuit France Info : « On retrouve encore Larry Fink à l’Élysée en juillet 2019,à l’invitation d’Emmanuel Macron, lors d’une réunion sur le climat et l’investissement ». Cette mainmise, aussi discrète que d’envergure, dépasse les frontières, celles des pays comme des sphères du pouvoir.

Larry Fink, le PDG de BlackRock, se présente, dans les courriers envoyés à ses partenaires, comme un visionnaire et un philanthrope, porteur d’une forme moderne du capitalisme, le capitalisme inclusif vendu au pape comme une chance pour les pauvres, comme on l’a vu dans un article précédent…

« … les contribuables américains ont renfloué les grandes banques lorsqu’elles ont fait s’effondrer l’économie mondiale en 2007-2008… 

Les grandes banques ont travaillé avec la Réserve fédérale (privée), le gouvernement américain et BlackRock et ont détruit leurs concurrents (le secteur des caisses d’épargne et des prêts), les petites entreprises dans tout le pays, et ont décimé les finances des propriétaires qui avaient été incités à de multiples cycles de refinancement. »

Pendant ce temps, ces mêmes grandes banques qui étaient en grande partie responsables de la catastrophe économique ont essentiellement reçu de l’argent gratuit, de la monnaie fiduciaire en papier imprimée par la Réserve fédérale et injectée dans l’économie via les grandes banques, ce qui n’est en fait qu’une autre forme d’imposition – par la Réserve fédérale privée !

Ces grandes banques et fonds d’investissement (Larry Fink/BlackRock, State Street, Vanguard, etc.) semblent croire que s’ils disposent de toutes ces données et capacités de suivi au niveau individuel sur chacun d’entre nous, ainsi que d’une monnaie numérique mondiale centralisée, alors ils seront en mesure de nous gérer correctement.

Qui a mis ces banquiers en charge du monde ? 

Nous devons faire face à la vérité qui a été cachée derrière tout cela… Les Gouvernements ont permis à des mondialistes comme Bill Gates et aux monopoles financiers, de s’emparer de beaucoup trop de pouvoir et de contrôle. Il n’est plus possible d’aller encore plus loin sans provoquer l’extinction de l’humanité.

La fausse pandémie de la COVID-19 a mis en évidence la stratégie utilisée par la cabale mondialiste. 

Le secret de cette obésité financière

BlackRock a fait beaucoup d’acquisitions : elle a englouti de nombreux concurrents sur son chemin au cours des années. La société a acheté des entreprises héritées et des startups fintech, cherchant à garder l’avantage.

En 2020, BlackRock déclarait qu’elle allait acquérir un fournisseur d’investissement basé en Californie : Aperio, pour environ 1 milliard de dollars en espèces. En 2019, BlackRock faisait l’acquisition de eFront, une startup française qui exploite un logiciel de gestion des investissements alternatifs, pour 1,3 milliard de dollars. 

En 2009, BlackRock devenait propriétaire de Barclays Global Investors dans le cadre d’une transaction qui incluait l’activité ETF iShares de Barclays. Trois ans auparavant, la société avait acquis Merrill Lynch Investment Management.

Ces personnes n’ont pas créé la Terre, de quel droit devraient-ils la posséder ? De plus, si vous étudiez la véritable histoire de la propriété, ces gens n’ont rien acheté. Ils l’ont pris, ce qui n’est pas du tout la même chose. 

Vous et moi n’avons pas le pouvoir d’arrêter les BlackRock/Vanguard et Cie, puisqu’ils possèdent tout, y compris les armées. Mais disons-nous qu’à un moment donné de l’histoire, ces gens-là réaliseront que l’obésité de la possession du monde n’a pas de sens… Ils laisseront la propriété de la Terre à la Terre et reprendront la vie telle qu’elle devait être vécue. Il fallait sans doute qu’ils gagnent le monde entier avant de pouvoir le perdre. La pleine propriété du monde et de toutes ses parties débouche fatalement sur le néant. 

Celui qui veut tout posséder finit par être lui-même possédé par ce qu’il possède et de possédant il devient possédé : il perd toute liberté, il n’a plus aucun libre arbitre… Toute obésité atteint un seuil fatidique provoquant la mort si rien n’est fait pour l’arrêter !

9 500 milliards de dollars, c’est beaucoup d’argent en jeu, et cela fait de BlackRock une entreprise considérablement plus grande que la plus grande banque du monde (la Banque industrielle et commerciale de Chine). 

Comment cela est-il arrivé ? Les meilleures explications ne se trouvent pas sur Fox ou CNN ou CBS ou ABC ou NBC ou USA Today ou Sixty Minutes, mais dans les revues universitaires. Depuis la secousse de 2008, de plus en plus d’investisseurs se sont tournés vers les fonds passifs plutôt que de choisir des actions particulières. Il s’agit d’un changement sans précédent, qui pourrait même menacer le capitalisme. 

« Quelque 11 000 milliards de dollars sont désormais investis dans des fonds indiciels, contre 2 000 milliards il y a dix ans », rapporte Annie Lowrey dans The Atlantic. Cela a « fait évoluer le monde vers un type particulier d’oligarchie financière », diminuant la concurrence parce que « les méga-gestionnaires d’actifs contrôlent des participations importantes dans plusieurs concurrents du même secteur. » (Comme les médias.) 

Mais toute entité de cette taille contient des contradictions. BlackRock vient de recevoir l’autorisation de la Chine de créer son premier fonds commun de placement à capitaux étrangers. Pendant ce temps, des militants protestent contre l’investissement de BlackRock dans deux entreprises chinoises figurant sur une liste noire, toutes deux interdites de commerce avec les États-Unis…

Cette évolution s’est produite au fur et à mesure que les entreprises fusionnaient et fusionnent pour créer de vastes conglomérats. Dans le monde d’aujourd’hui, les petits investisseurs appartiennent à de plus gros investisseurs, et les plus gros investisseurs appartiennent à leur tour à des investisseurs encore plus gros. 

À suivre…. 

Jean-Yves Jézéquel

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022

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