20/09/2024 (2024-09-20)
[Source : Eric Montana]
[Note de Joseph : l’intérêt de la vidéo présentée plus bas réside surtout dans l’exposition d’un brevet US particulier démontrant la capacité technologique de créer des symptômes de maladies uniquement par l’utilisation d’ondes électromagnétiques artificielles. Patrick Jaulent, expert en cybersécurité (un domaine de l’informatique), se trompe cependant quelque peu sur les ondes ionisantes et non ionisantes. Contrairement à ce qu’il dit, la différence ne provient pas du tout de l’Homme qui fabriquerait les secondes alors que la nature créerait les secondes. En réalité la nature émet des ondes aussi bien dans le domaine ionisant (rayons cosmiques, rayons gamma, rayons X et une partie des UV) que dans le domaine non ionisant (les fréquences plus basses, dont les UV de plus basse fréquence, la lumière visible, les infrarouges et les micro-ondes).
On considère qu’une onde est ionisante lorsqu’elle a une énergie suffisante (et donc une fréquence suffisante, du fait de la relation directe entre énergie (E) et fréquence (ν) : E = h × ν) pour ioniser des atomes en leur arrachant des électrons.
Et l’Homme est capable de créer aussi bien des ondes (artificielles) dans le domaine non ionisant que dans le domaine ionisant. Dans ce dernier, il crée notamment des rayons X, ne serait-ce que ceux à usage médical.
Des milliers d’études ont déjà démontré les multiples effets nocifs des rayonnements électromagnétiques artificiels créés par l’Homme, même lorsqu’ils sont non ionisants (comme les micro-ondes). Voir le dossier 5G et ondes pulsées, dont Paquet d’ondes radio.
D’un autre côté, la médecine moderne a voulu accuser des entités minuscules (plus petites que les bactéries et qu’elle ne pouvait pas observer au départ), pour de nombreuses maladies ou des symptômes qu’elle ne parvenait pas à croire expliquer par les bactéries. Elle les a appelés « virus » (mot latin signifiant « poison »), mais n’est jamais parvenue à isoler et caractériser scientifiquement une seule de ces entités supposées pathogènes (génératrices de maladie). Depuis 1954, elle a mis au point une méthode fallacieuse et pseudoscientifique en croyant ainsi isoler et faire se répliquer des virus, à partir d’une supposée « culture virale ». Voir notamment Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie et Les sophismes logiques de la virologie dans le dossier Vaccins et virus.
Ces supposés « virus » pathogènes sont bien utiles pour les diverses industries fabriquant des ondes artificielles (dont celles liées aux télécommunications) pour se dédouaner d’affecter la santé humaine, et pour l’industrie pharmaceutique pour fourguer ses prétendus antiviraux (qui peinent à soulager des symptômes, mais n’éliminent aucun « virus ») et des vaccins qui se révèlent en fait chargés de substances toxiques, même si c’est à faible dose (en cumulant les vaccinations, on multiple les effets néfastes de ces substances).
Ce que l’on a pu montrer en respectant quelque peu cette fois la méthode scientifique, c’est que des cellules agressées d’une manière ou d’une autre (notamment par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) émettent des « exosomes » ou divers déchets qui ont comme par hasard la même apparence visuelle que les supposés virus pathogènes.
Lorsque les apprentis sorciers travaillant dans les labos P4 croient augmenter des « virus » et en créer de plus mortels, ce qu’ils font en réalité est une mixture empoisonnée, et en guise de tests de propagation épidémique d’un virus, ils injectent cette mixture directement dans les animaux cobayes et les euthanasient dès que les signes de baisse de santé sont notables (voir C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !). Comment ces pauvres animaux pourraient-ils rester en santé après injection de tels poisons ?
Le corps se débarrasse quotidiennement de ses divers déchets par ses émonctoires, mais si le niveau d’intoxication ou d’agression devient trop intense, il peut entrer dans des phases plus aiguës de rétablissement et c’est là que les symptômes faussement attribués à des virus apparaissent : fièvre, éruptions cutanées, diarrhées, vomissements, toux, rhume, maux de gorge, tremblements, etc. selon les cas. Voir La nature et le but de la maladie et Épidémies et contagions pour une vision plus cohérente, simple et saine de la santé que celle proposée par l’industrie pharmaceutique et le système médical qu’elle contrôle.]
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