Les acteurs mondiaux peuvent utiliser le coronavirus pour remodeler le monde sans guerre — Président de Biélorussie

[Source anglaise : agence TASS]

Loukachenko a rappelé la proposition de l’ONU d’imprimer 10% du PIB mondial pour lutter contre les ramifications économiques du coronavirus

Belarusian President Alexander Lukashenko  Mikhail Klimentyev/Russian Presidential Press and Information Office/TASSLe Président de Biélorussie Alexandre Lukashenko
© Mikhail Klimentyev/Russian Presidential Press and Information Office/TASS

MINSK, 2 avril 2020. /TASS/.

Le président biélorusse Alexandre Lukashenko estime que les acteurs mondiaux pourraient utiliser le coronavirus pour remodeler le monde sans guerre, comme il a déclaré jeudi dans une interview accordée à la société de radio diffusion Mir.

Selon le président, de nombreuses personnes posent déjà la question principale : que sera [le monde] après la pandémie? « N’avez-vous pas l’impression que les pouvoirs en place (…) voudraient remodeler le monde sans guerre à travers cette soi-disant psychose des coronavirus, l’infodémique? » a demandé le président, ajoutant que le président français Emmanuel Macron avait déjà qualifié la pandémie de guerre.

Il a rappelé la proposition de l’ONU d’imprimer 10% du PIB mondial pour lutter contre les conséquences économiques du coronavirus. « Il s’agit d’argent vide. Le dollar américain continue de dévaluer tel quel, et cette [impression] déclenchera un raz de marée d’inflation. Il est clair où [la Biélorussie] se retrouvera avec son rouble », a noté Loukachenko.

« Encore plus : qui obtiendra ces billions de dollars, où finiront-ils ? Cela ne conduirait-il pas les riches à devenir encore plus riches et les pauvres à devenir encore plus pauvres ? Ce serait le cas. »

Selon Loukachenko, les nations du monde, y compris la Biélorussie, sont obligées de « s’arrêter, s’asseoir et manger à travers leurs modestes réserves de devises ».

« Nous ne pouvons pas dire que même la Russie possède d’énormes réserves. Nous non plus. Ensuite, après avoir imprimé 10% du PIB, ceux qui resteront debout viendront vous dire : voici un petit peu, mais, en échange, vous ferez comme on vous le dit. C’est ainsi que le monde pourrait être remodelé »,

estime le président.

Loukachenko a souligné qu’il était inquiet pour l’avenir de son pays, et c’est pourquoi il essaie de regarder vers l’avenir. « Tout le monde dit : après la pandémie, le monde sera différent, et je suis d’accord avec cela », a-t-il déclaré.

« Mais où sera notre place dans ce nouveau monde ? C’est la question principale pour moi, pas cette coronapsychose, pas l’infodémie. »

Selon le président, cette question deviendra bientôt urgente pour tout le monde. « [Cela deviendra urgent] pour le Kazakhstan, le Turkménistan, le Tadjikistan, riches en ressources naturelles; encore plus – pour l’Arménie, le Kirghizistan, l’Ukraine et [le président lituanien Gitanas] Nauseda, qui cherche à douter de la politique du président biélorusse. J’ai bien peur que nous devenions tous divisés sans guerre « , a poursuivi Loukachenko.

Il a expliqué pourquoi il insiste sur le fait que l’industrie biélorusse continue de travailler au milieu de la pandémie. « Parce que je peux imaginer ce qui nous arrivera après cette pandémie, si nous nous arrêtons, comme beaucoup : les Lituaniens, les Lettons et autres », a déclaré Loukachenko. » Ils perdureront. La Russie a du pétrole et du gaz dont le monde entier a besoin aujourd’hui. La Chine a d’énormes capacités économiques. Les États-Unis ont une imprimante d’argent : ils y injectent deux mille milliards et deux autres sont déjà en projet ».




Renaissance de la France par la Monarchie ?

Diverses prophéties évoquent le retour de la Monarchie en France grâce à un Grand Monarque qui restaurerait sa grandeur et lui fait retrouver son rôle traditionnel de Corps mystique du Christ.

Certains membres de la Noblesse française (il en existe encore, oui) considèrent que ce grand roi est l’actuel Louis XX, descendant de Louis XIV par la branche espagnole.

Voici la lettre qu’il a adressée aux Français à Pâques de cette année :

[Source : UCLF]

Message de Louis XX pour la fête de Pâques 2020

12 avril 2020

Chers compatriotes,
Chers Français,

Rappelons-nous : Pâques 2019 et la France pétrifiée par l’incendie qui venait de ravager la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Pâques 2020, une épreuve d’une toute autre nature dans un domaine où l’on ne l’attendait pas, atteint la France qui, avec l’Italie et l’Espagne, se partage le record des décès en Europe. Tous les continents sont frappés. Une mondialisation du risque !

Hier c’était l’âme du pays qui était touchée, et aujourd’hui ce sont les hommes et les femmes ; les enfants et les vieillards. Selon les mots forts prononcés par le Saint-Père dans son homélie du 27 mars, « nous avons été pris au dépourvu par une tempête inattendue et furieuse ». Devant le danger saurons-nous réagir et à l’ombre de cette cruelle épreuve, refonder nos actions sur plus de bon sens et redonner du sens à nos vies ?
Réagir, au-delà de la compassion que l’on a vis-à-vis des milliers de victimes et de leurs familles affrontant la mort souvent en grande solitude et sans secours spirituel; au-delà de l’admiration vis-à-vis des soignants aux moyens parfois si dérisoires et de tous ceux qui se dévouent souvent en prenant des risques pour que le pays continue à vivre ; au-delà des encouragements adressés à ceux qui, confinés, doivent assumer une vie familiale bouleversée et exercer leurs activités dans des conditions précaires ; au-delà de l’angoisse face aux situations désespérées que nombre d’artisans, de commerçants, d’entrepreneurs auront à affronter après le brusque arrêt de la vie économique.

Les Français courageux et fidèles à l’image de l’idée qu’ils ont de leur pays — celui du baptême de Clovis, celui de la justice de Saint-Louis, celui des quinze siècles de gloire et d’honneur —, doivent faire front animés d’une énergie à toute épreuve. Ils doivent résister pour sauver leur pays, retrouver l’esprit de Bouvines. Si l’oriflamme de saint Denis n’est plus élevée pour précéder les combattants, son esprit doit être là. Vivant.

L’actuelle situation dramatique doit ouvrir sur une période de sursaut qui soignera après les corps, les âmes et l’esprit public. En effet, au-delà de la crise sanitaire n’est-ce pas toute notre société qui est malade depuis des années et qui a besoin de se retrouver à travers un grand dessein partagé par tous et des valeurs essentielles.

En France, déjà, plus de vingt-cinq évêques ont placé leur diocèse sous la protection divine par l’intercession du Sacré-Cœur, de la Vierge Marie, de Saint-Joseph ou encore de saints locaux ayant déjà été invoqués lors d‘épidémies plus anciennes. Je me plais à songer au poids qu’aurait une consécration solennelle de la France effectuée par l’ensemble de son épiscopat à laquelle s’associerait le maximum de fidèles. Pâques, la fête de la résurrection, pourrait en être l’occasion. En tant que successeur légitime des rois de France qui ont toujours compris leur fonction dans sa double dimension terrestre et divine, ce serait de mon devoir de m’y associer et je le ferais en mon âme et conscience.

Demandons, en cette fête de la Résurrection, le secours de saint Louis, de sainte Geneviève et de sainte Jeanne d’Arc et leur protection sur la France.




L’illusion du COVID-19 et la remise à zéro de la monnaie

[Source : Le Saker Francophone]


La réinitialisation : pas tout d’un coup ; pas à pas


Par Jon Rappoport – Le 6 avril 2020 – Source No More Fake News

Lorsque cette farce hautement destructrice sera terminée, il y a plusieurs façons de procéder. Dans cet article, je décris une de ces voies. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Banque mondiale (BM) sont fortement liées. En 2018, elles ont noué de forts liens en formant un partenariat pour surveiller les épidémies avant qu’elles ne se propagent.

En gros, en coulisses, l’accord se présente comme suit : l’OMS crée l’illusion d’épidémies mondiales ; la BM intervient ensuite pour ramasser les morceaux des économies nationales fragilisées par les résultats – en octroyant des prêts aux gouvernements.

Ces prêts sont toujours assortis de conditions. La première condition est la suivante : laisser entrer des investisseurs privés, itinérants, étrangers, prédateurs, privés, afin qu’ils puissent prendre en charge les secteurs vitaux d’une nation : énergie, agriculture, eau, etc.

Mais cette fois-ci, l’OMS, agissant comme prévu, a fait preuve de bêtise. Les confinements sont en train de détruire les économies. Ce ne sera pas « juste une question de prêt ». C’est plutôt de l’ordre de : nous devons renflouer tout le monde.

Comment faire ?

Étape par étape, en échangeant un type d’argent illusoire contre un autre type d’argent illusoire.

Nous avons inventé un type d’argent à partir de rien, et il est arrivé au bout du rouleau. Maintenant, nous devons inventer une autre sorte de nouvel argent à partir de rien.

Le revenu de base universel (RBU). A terme, pour tous. Il est lui aussi assorti de conditions, mises en œuvre progressivement. En gros, l’accord est : « nous vous payons, et vous nous obéissez ».

L’aspect comportemental du modèle est celui du régime chinois, qui travaille l’obéissance par le biais d’un « crédit social ». Les infractions font baisser le score. Dans ce cas, le contrevenant ne peut pas voyager en avion, ni envoyer ses enfants dans certaines écoles, ni séjourner dans certains hôtels, ni créer une entreprise. Il existe plusieurs niveaux de sanctions.

Les infractions comprennent le fait de promener un chien sans laisse, de diffuser de fausses nouvelles, de franchir un feu rouge, de ne pas séparer correctement les ordures, de commettre une fraude commerciale – des petites ou des grosses infractions.

Dans le cadre d’un RBU global, ce serait : « Voici votre chèque numérique mensuel, suivez maintenant les ordres, ou votre argent pourrait être réduit. Soyez un bon citoyen ». Bien sûr, un tel système nécessite une surveillance complète et totale, publique et privée, dans tous les sens du terme.

Le Saint Graal, ce sont les quotas d’énergie pour chaque personne. « M. Smith, c’est votre mur qui parle à travers le glorieux Internet des choses. Votre consommation d’énergie pour le mois atteint sa limite. Je veux vous aider à éviter cette limite et les pénalités de crédit social qui seraient appliquées. Je vais initier des baisses de tension et des baisses d’intensité dans votre maison pour les deux prochaines semaines. Votre Internet sera coupé – sauf de minuit à trois heures du matin. Cuisinez tous vos repas pour la journée entre quatre et cinq heures du matin… »

Contrôle du comportement. Ce qui se passe maintenant est une mise au point pour l’avenir. Maintenant, on vous dit : restez à l’intérieur, ne laissez pas entrer les visiteurs. Faites la queue devant les magasins, en gardant une distance d’un mètre. Signalez les personnes qui semblent malades. Faites-vous tester. Lavez-vous les mains une douzaine de fois par jour. À l’avenir, la liste des règles et des règlements sera différente, mais le thème général sera le même : être un bon citoyen et contribuer à un monde meilleur. Soyez sincère, sérieux et serviable. Ne vous rebellez pas.

Et tout comme maintenant, beaucoup, beaucoup de gens réagiront : « Oui, merci. J’aime le droit chemin. J’aime le sentiment de contribuer à quelque chose de plus grand que moi. J’aime le collectif. J’aime le fait que nous soyons tous dans le même bateau ».

Une sous-population de ces personnes voudra en faire plus. Ils voudront rejoindre le gouvernement. Ils voudront aider le gouvernement à faire respecter les règles. Ils voudront « exprimer leur énergie ». Si on le leur demandait, ils défileraient volontiers en colonnes par 4 dans les rues, salueraient, distribueraient des sommations, procéderaient à des arrestations et commettraient même des actes violents sur ordre.

Ils porteraient des uniformes impeccables et prêteraient serment. Ils voudraient des grades et des sceaux. Ils voudraient qu’on les appelle élite. Parce que l’histoire ne signifie rien pour ces gens, ils ne connaîtront jamais ces noms : SS, Garde rouge ou Stasi. Mais c’est ce qu’ils seront.

A moins que le projet d’un Meilleur des Mondes technocratique ne soit exposé et ne s’écroule, parce que suffisamment de gens se souviennent d’un autre nom et savent ce qu’il signifie : Liberté.

Lorsque cette fausse crise pandémique sera déclarée « terminée », plusieurs thèmes émergeront. Ils seront promus de diverses manières, en utilisant de nombreux messages. Je parle de la propagande officielle du gouvernement et des médias.

Tout d’abord, la « pandémie » sera décrite comme un tournant majeur dans l’histoire de l’humanité, un grand choc pour le système. Toutes sortes de mensonges seront proférés et des menteurs professionnels parleront de AvP et d’ApP (avant la pandémie et après la pandémie).

On nous dira : « On ne peut pas revenir à ce qui était avant. »

Le premier grand thème de propagande sera : Aidez nous à construire un monde meilleur. Ce message s’adresse aux personnes sincères qui veulent s’engager et faire le bien, au sens collectif du terme. « Construisons un monde meilleur où nous pourrons éviter ces pandémies, ou alors les voir venir de loin. Formons une civilisation où l’égalité et la justice pour tous sont la priorité absolue. Partageons tous et prenons soin des autres… » Si vous y cherchez une logique, oubliez. Quoi qu’il en soit, les propagandistes laisseront entendre que la pandémie était en quelque sorte le signal que nous devons « faire mieux ». Nous devons « passer au travers ensemble » comme nous l’avons fait pendant la crise. L’amour que nous avons montré alors doit être l’amour que nous montrons maintenant. Un appel aux idéalistes du monde entier qui tombent sous le charme de vagues généralités comme les chats tombent dans l’herbe à chat.

Le deuxième grand thème, destiné à la classe instruite et aux classes techniques, ainsi qu’aux scientifiques et aux « penseurs », sera : organisation. « Nous devons organiser la civilisation mondiale de manière plus efficace ». Parce que, d’une certaine manière, c’était le problème avant la pandémie. Le manque d’organisation a permis aux choses d’échapper à tout contrôle. Nous ne pouvons plus être des groupes et des nations séparés qui suivent des voies différentes. Trop de désordre. Nous avons besoin de meilleures structures dans toutes les phases de la vie. Nous avons besoin de plus d’interconnexion et de coordination. La classe instruite aime ces choses. Cela correspond à son image de la réussite. Si la société fonctionne comme une machine, les problèmes seront résolus.

Le troisième grand thème de propagande s’adressera à toutes sortes de personnes qui seront sorties de leur enfermement et de leur auto-isolement, se seront promenées dans un parc un jour de printemps et se seront soudain souvenues de ce qui leur manquait. Leur soulagement atteindra presque un point d’hystérie, comme à la fin d’une guerre mondiale. Le thème sera : jamais plus. « Nous ne voulons en aucun cas retourner à ces jours sombres, et quoi qu’il en coûte, nous sommes avec vous. Dites-nous ce qu’il faut faire ».

Avec ces thèmes en main, la technocratie pourra être promulguée. Nous sommes tous pour la construction d’un monde meilleur. Nous devons l’organiser avec des barres sur les « t » et des points sur les « i ». Et nous ne devons jamais retourner dans l’obscurité.

A moins que les gens ne se souviennent de ce qui a été laissé de côté. L’Individu. Et la Liberté.

Les opérateurs technocratiques comptent sur nous pour oublier. Ils comptent sur les nombreuses personnes qui valorisent la liberté pour dire : « Tout est sans espoir. Je sais ce qu’est la liberté, mais trop d’autres ne le savent pas. Alors pourquoi se donner la peine. Je vais juste me rendre et flotter avec la marée. »

Flotter est une illusion. La marée se déplace dans une direction planifiée. Vers un rivage qui n’est pas joli.

Est-ce que les choses sont jolies maintenant ?

C’est ce qu’on appelle un indice.

Jon Rappoport




Des parlementaires s’élèvent contre la mascarade pandémique

[Source : Face à face — Silvano Trotta]

https://www.youtube.com/watch?v=AWnjUZfdVdM



La globalisation du capitalisme, le « gouvernement mondial » et la crise du coronavirus.

[Source : Mondialisation.ca]

Quand le mensonge devient la vérité, il n’y a pas de retour en arrière

Par Prof Michel Chossudovsky

Dans les conseils de gouvernement, nous devons nous prémunir contre l’acquisition d’une influence injustifiée, recherchée ou non, par le complexe militaro-industriel.
Le risque d’une montée désastreuse d’un pouvoir mal placé existe et persistera.

(Président Dwight D. Eisenhower, 17 janvier 1961)


Le monde est trompé sur les causes et les conséquences de la crise du coronavirus.

La crise COVID-19 est marquée par une « urgence » de santé publique sous les auspices de l’OMS qui sert de prétexte et de justification au déclenchement d’un processus mondial de restructuration économique, sociale et politique.

L’ingénierie sociale est appliquée. Les gouvernements sont poussés à prolonger le verrouillage, malgré ses conséquences économiques et sociales dévastatrices.

Ce qui se passe est sans précédent dans l’histoire du monde.

D’éminents scientifiques soutiennent le verrouillage sans sourciller, comme une « solution » à une urgence sanitaire mondiale.

Amplement documentées, les estimations de la maladie COVID-19, y compris la mortalité, sont grossièrement manipulées.

En retour, les gens obéissent à leurs gouvernements. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur ?

Causes contre solutions ?

La fermeture des économies nationales appliquée dans le monde entier entraînera inévitablement la pauvreté, le chômage de masse et une augmentation de la mortalité. C’est un acte de guerre économique.

Première étape : la guerre commerciale contre la Chine

Le 30 janvier 2020, le directeur général de l’OMS a déterminé que l’épidémie de coronavirus constituait une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC). La décision a été prise sur la base de 150 cas confirmés en dehors de la Chine. Premiers cas de transmission de personne à personne : 6 cas aux États-Unis, 3 cas au Canada, 2 au Royaume-Uni.

Le directeur général de l’OMS a reçu le soutien de la Fondation Bill et Melinda Gates, de Big Pharma et du Forum économique mondial (FEM). La décision de l’OMS de déclarer une urgence mondiale a été prise en marge du Forum économique mondial (WEF) de Davos, en Suisse (21-24 janvier).

Un jour plus tard (le 31 janvier), après le lancement de l’urgence mondiale de l’OMS, l’administration Trump a annoncé qu’elle refuserait l’entrée aux ressortissants étrangers « qui ont voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours ». Cela a immédiatement déclenché une crise dans le transport aérien, le commerce entre la Chine et les États-Unis ainsi que l’industrie du tourisme. L’Italie a suivi le mouvement, annulant tous les vols vers la Chine le 31 janvier.

La première étape s’est accompagnée de la rupture des relations commerciales avec la Chine ainsi que d’une fermeture partielle du secteur manufacturier d’exportation.

Une campagne a immédiatement été lancée contre la Chine et les Chinois. The Economist a rapporté que :

« Le coronavirus répand le racisme envers les Chinois et parmi les personnes d’origine chinoise »

« La communauté chinoise de Grande-Bretagne est confrontée au racisme en raison de l’épidémie de coronavirus »

Selon le PCSM :

« Les communautés chinoises d’outre-mer sont de plus en plus confrontées à des abus et à des discriminations racistes dans le contexte de l’épidémie de coronavirus. Certains Chinois de souche vivant au Royaume-Uni disent avoir été victimes d’une hostilité croissante à cause du virus mortel originaire de Chine ».

Et ce phénomène se produit partout aux États-Unis.

Deuxième étape : le krach financier provoqué par la peur et la manipulation des marchés boursiers

Une crise financière mondiale s’est déroulée au cours du mois de février et a culminé avec un effondrement spectaculaire des valeurs boursières ainsi qu’une baisse importante de la valeur du pétrole brut.

Cet effondrement a été manipulé. Il a fait l’objet d’un délit d’initié (« insider trading ») et d’une connaissance préalable. La campagne de peur a joué un rôle clé dans la mise en œuvre du krach boursier. En février, environ 6 000 milliards de dollars ont été effacés de la valeur des marchés boursiers dans le monde. Des pertes massives d’épargne personnelle (par exemple des Étasuniens de la classe moyenne) ont eu lieu, sans parler des faillites et des banqueroutes d’entreprises. Ce fut une véritable aubaine pour les spéculateurs institutionnels, y compris les fonds spéculatifs des entreprises. L’effondrement financier a entraîné des transferts importants de richesses monétaires dans les poches d’une poignée d’institutions financières.

Troisième étape : Verrouillage, confinement, fermeture de l’économie mondiale

Le krach financier de février a été immédiatement suivi d’un blocage au début du mois de mars. Le verrouillage et l’enfermement soutenus par l’ingénierie sociale ont contribué à la restructuration de l’économie mondiale. Appliqué presque simultanément dans un grand nombre de pays, le verrouillage a déclenché la fermeture de l’économie nationale et la déstabilisation des activités de commerce, de transport et d’investissement.

La pandémie constitue un acte de guerre économique contre l’humanité qui a entraîné une pauvreté et un chômage de masse à l’échelle mondiale.

Les politiciens mentent. Ni le verrouillage ni la fermeture des économies nationales ne constituent une solution à la crise de santé publique.

Qui contrôle les politiciens?

Pourquoi les politiciens mentent-ils ?

Ils sont les instruments politiques de l’establishment financier, y compris les « philanthropes ultra-riches ». Leur tâche est de mener à bien le projet de restructuration économique mondiale qui consiste à geler l’activité économique dans le monde entier.

Dans le cas des démocrates aux États-Unis, ils s’opposent en grande partie à la réouverture de l’économie étasunienne dans le cadre de la campagne électorale de 2020. Cette opposition à la réouverture des économies nationale et mondiale est soutenue par les grands intérêts financiers (« Big Money »).

S’agit-il d’opportunisme ou de stupidité. Dans toutes les grandes régions du monde, les politiciens ont reçu l’ordre de puissants intérêts financiers de maintenir le verrouillage et d’empêcher la réouverture de l’économie nationale.

La campagne de la peur prévaut. La distanciation sociale est appliquée. L’économie est fermée.  Des mesures totalitaires sont imposées. Selon le Dr Pascal Sacré :

… dans certains pays, des malades peuvent sortir de l’hôpital en acceptant de porter un bracelet électronique [10]. Ceci n’est qu’un échantillon de toutes les mesures totalitaires envisagées voire déjà décidées par nos gouvernements à la faveur de la crise du coronavirus. Cela va beaucoup plus loin, c’est sans limites [11] et cela touche une bonne partie du monde, sinon le monde entier.

Les « instincts de gérer les troupeaux » des hommes politiques

Les gouvernements corrompus agissent comme des « chiens bergers » avec l’ »instinct de gérer les troupeaux » de moutons.

Le « troupeau » a-t-il trop peur pour s’en prendre à son « gouvernement » ?

L’analogie peut être simpliste, mais néanmoins considérée comme pertinente par les psychologues.

« Certaines races de chiens [les politiciens corrompus] ont des instincts grégaires qui peuvent être mis en évidence par un entraînement approprié et des encouragements [des pots-de-vin]. …. apprenez à votre chien [mandataire politique] les bases de l’obéissance et voyez s’il [il, elle] montre des tendances de gardien de troupeau. … Cherchez toujours un dresseur qui utilise des méthodes de dressage basées sur la récompense [pots-de-vin, gains personnels, soutien politique, accession à de hautes fonctions] »

(Comment apprendre à votre chien à garder le troupeau)

Mais il y a une autre dimension. Les politiciens de haut niveau chargés de « convaincre leur troupeau » croient en fait aux mensonges qui leur sont imposés par une autorité supérieure.

Le mensonge devient la vérité. Les politiciens approuvent le consensus, ils appliquent l’ »ingénierie sociale », ils croient en leurs propres mensonges.

Ce n’est pas une épidémie, c’est une opération

Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo (lapsus) admet tacitement, dans une déclaration quelque peu contradictoire, que le COVID-19 est un « Live exercice », une « opération » :

« Il ne s’agit pas de représailles,… Cette affaire va de l’avant – nous sommes ici dans un exercice en direct pour obtenir ce droit. »

Ce à quoi le président Trump a rétorqué « vous auriez dû nous le dire ».

Ces mots resteront dans l’histoire.



Géopolitique

Ne nous faisons pas d’illusions, il s’agit d’une opération soigneusement planifiée. Il n’y a rien de spontané ou d’accidentel. La récession économique est provoquée aux niveaux national et mondial. À son tour, cette crise est également intégrée dans la planification militaire et de renseignement des États-Unis et de l’OTAN. Elle vise non seulement à affaiblir la Chine, la Russie et l’Iran, mais elle consiste également à déstabiliser le tissu économique de l’Union européenne (UE).

« Gouvernance mondiale »

Une nouvelle étape dans l’évolution du capitalisme mondial est en train de se dérouler. Un système de « gouvernance mondiale » contrôlé par de puissants intérêts financiers, dont des fondations d’entreprises et des think tanks de Washington, supervise la prise de décision au niveau national et mondial. Les gouvernements nationaux deviennent subordonnés à la « gouvernance mondiale ». Le concept de gouvernement mondial a été soulevé par David Rockefeller (décédé en 2017) lors de la réunion de Bilderberger, Baden Allemagne, en juin 1991 :
.

«Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et à d’autres grandes publications dont les directeurs ont participé à nos réunions et ont respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible d’élaborer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux yeux de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés. »

(cité par Aspen Times, 15 août 2011, je souligne)

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète qui va à l’encontre des intérêts des États-Unis, que ma famille et moi sommes des « internationalistes » et que nous conspirons avec d’autres dans le monde entier pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée, un seul monde si vous voulez. Si telle est l’accusation, je suis coupable, et j’en suis fier ».

(Ibid)

Les gens ne remettent pas en cause le consensus, un consensus qui frôle l’absurde.

La globalisation du capitalisme et le « paysage économique »

La crise redéfinit la structure du paysage économique mondial. Elle déstabilise les petites et moyennes entreprises dans le monde entier, elle précipite des secteurs entiers de l’économie mondiale, notamment le transport aérien, le tourisme, le commerce de détail, l’industrie manufacturière, etc. dans la faillite.  Le confinement crée la famine dans les pays en développement. Il a des implications géopolitiques.

Le Pentagone et les services de renseignement étasuniens sont impliqués. La crise du coronavirus affecte la conduite des guerres menées par les États-Unis et l’OTAN au Moyen-Orient, notamment en Syrie, en Irak, en Afghanistan et au Yémen. Elle est également utilisée pour cibler des pays spécifiques, dont l’Iran et le Venezuela.

Cette crise provoquée est sans précédent dans l’histoire du monde. Il s’agit d’un acte de guerre.

Le verrouillage déclenche un processus de désengagement des ressources humaines et matérielles du processus de production. L’économie réelle est paralysée. La réduction de l’activité économique compromet la « reproduction de la vie réelle ». Cela ne concerne pas seulement la production réelle des « nécessités de la vie » (alimentation, santé, éducation, logement), mais aussi la « reproduction » des relations sociales, des institutions politiques, de la culture, de l’identité nationale. Au moment où nous écrivons ces lignes, le verrouillage ne déclenche pas seulement une crise économique, il mine et détruit également le tissu même de la société civile, sans parler de la nature du gouvernement et des institutions de l’État (paralysés par l’accumulation des dettes), qui seront finalement privatisés sous la supervision des créanciers du « pouvoir de l‘argent » (Big Money).

Il y a des conflits au sein du système capitaliste qui sont rarement abordés par les grands médias. Les milliardaires, les puissantes institutions bancaires et financières (qui sont créanciers à la fois des gouvernements et des entreprises) mènent une guerre non déclarée contre l’économie réelle. Alors que les établissements financiers et bancaires du « pouvoir de l‘argent » (Big Money) sont des « créanciers », les entreprises de l’économie réelle qui sont déstabilisées et conduites à la faillite sont des « débiteurs ».

Faillites

Ce processus diabolique ne se limite pas à l’anéantissement des petites et moyennes entreprises. Le « pouvoir de l’argent» est également le créancier des grandes entreprises (notamment les compagnies aériennes, les chaînes d’hôtels, les laboratoires de haute technologie, les détaillants, les entreprises d’import-export, etc.

L’establishment financier mondial n’est pas monolithique. Il est marqué par des divisions et des rivalités. La faction dominante du « pouvoir de l’argent» (Big Money) cherche à déstabiliser ses concurrents de l’intérieur. Il en résulterait une série de faillites d’institutions bancaires régionales et nationales ainsi qu’un processus de consolidation financière mondiale.

Aux États-Unis, de nombreux détaillants, compagnies aériennes, chaînes de restaurants et d’hôtels ont demandé en février d’être placé sous la protection du Chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Mais ce n’est que le début. La grande vague de faillites se produira dans le sillage du verrouillage (« The New Normal »). Et à l’heure où nous écrivons ces lignes, l’établissement financier fait sans cesse pression sur les gouvernements nationaux (corrompus) pour qu’ils reportent la levée du confinement. Et les gouvernements nous disent que c’est pour « protéger les gens contre le virus ».

La province canadienne de l’Alberta, qui dépend largement des revenus du pétrole, est en faillite.

« Des pays qui représentent plus de 50 % du PIB mondial sont fermés aux entreprises. Les économistes à la recherche de comparaisons historiques mentionnent le krach boursier de 1929, la crise économique de 1974 ou la récession de 2008. Mais ils admettent que tous ces événements ne sont pas à la hauteur du bilan que cette pandémie pourrait avoir ».

(Wired News UK, 29 avril 2020

En Grande-Bretagne, des rapports récents affirment (c’est très britannique) « nous ne savons pas combien ont fait faillite ».

Une partie du paysage économique britannique a peut-être déjà été définitivement effacée, puisque quelque 21 000 entreprises britanniques de plus se sont effondrées rien qu’en mars par rapport au même mois de l’année précédente, selon les données recueillies par l’Enterprise Research Centre, un groupe de chercheurs universitaires.

Ce que ces rapports omettent de mentionner, ce sont les causes non-avouées : une campagne de peur au nom des créanciers, les instructions de gouvernements corrompus de fermer l’économie, prétendument pour « sauver des vies », ce qui est un gros mensonge. Des vies ne sont pas sauvées, et ils le savent.

La crise du coronavirus « a paralysé les affaires américaines ». Les économies nationales sont déstabilisées. L’objectif du « pouvoir de l’argent’ (Big Money) est d’affaiblir leurs concurrents, de « ramasser les morceaux » et, à la longue, de racheter ou d’éliminer les entreprises en banqueroute. Et le choix est vaste.

Capitalisme financier mondial

Les intérêts du « pouvoir financier » (Big Money) (intérêts financiers mondiaux) se recoupent avec ceux des Big Pharma, Big Oil (les supermajors du pétrole), les entrepreneurs de la Défense, etc. Les grandes institutions bancaires étasuniennes, dont JP Morgan Chase, Bank of America, Citigroup, Wells Fargo, State Street Co. et Goldman Sachs, investissent dans l’économie de guerre, notamment dans le développement d’armes nucléaires dans le cadre du programme d’armement nucléaire de Trump, d’un montant de 1,2 trillion de dollars (mis en place sous Obama).

L’objectif ultime du « pouvoir de l’argent » (« Big Money ») est de transformer les États nationaux (avec leurs propres institutions et une économie nationale) en « territoires économiques ouverts ». C’est le sort de l’Irak et de l’Afghanistan. Mais maintenant, vous pouvez le faire sans envoyer de troupes, en ordonnant simplement à des gouvernements par procuration (proxy government) asservis par des politiciens corrompus de fermer leur économie pour des raisons humanitaires, ce qu’on appelle la « responsabilité de protéger » (R2P) sans qu’il soit nécessaire d’intervenir militairement.

Impossible à estimer ou à évaluer. Plus de la moitié de l’économie mondiale est perturbée ou au point mort.

Soyons clairs. Il s’agit d’un programme impérial (imperial agenda). Que veulent les élites financières mondiales ? Privatiser l’État ? Posséder et privatiser la planète entière ?

La tendance est à la centralisation et à la concentration du pouvoir économique. Les gouvernements nationaux lourdement endettés sont les instruments du « pouvoir de l’argent » (Big Money). Ils sont des mandataires. Les principales nominations politiques sont contrôlées par des groupes de pression représentant Wall Street, le complexe militaro-industriel, les grandes sociétés pharmaceutiques, les grandes sociétés pétrolières, les médias d’entreprise et les géants de la communication numérique, etc.

En Europe et en Amérique, le « pouvoir de l’argent » (« Big Money« ) (par l’intermédiaire des groupes de pression de Washington) cherche à contrôler les gouvernements nationaux.

Dans quelle direction allons-nous ? Quel est l’avenir de l’humanité ? La crise actuelle du coronavirus est un projet impérial sophistiqué, qui consiste en une domination mondiale par une poignée de conglomérats de plusieurs milliards de dollars. Est-ce la troisième guerre mondiale ? Le capitalisme mondial détruit le capitalisme national.

L’intention tacite du capitalisme mondial est la destruction de l’État-nation et de ses institutions, ce qui conduit à une pauvreté mondiale d’une ampleur sans précédent.

La citation suivante de Lénine, datée de décembre 1915 au plus fort de la Première Guerre mondiale, a mis en évidence avec clairvoyance certaines des contradictions auxquelles nous sommes actuellement confrontés. D’autre part, nous devons comprendre qu’il n’y a pas de solutions faciles et que cette crise vise à renforcer l’impérialisme et l’emprise du capitalisme mondial :

« Il ne fait aucun doute que le développement va dans le sens d’un monopole corporatif mondial (single World trust ) qui engloutira toutes les entreprises et tous les États sans exception. Mais le développement dans cette direction se fait sous une telle pression, avec un tel rythme, avec de telles contradictions, conflits et convulsions non seulement économiques, mais aussi politiques, nationales, etc. etc. – qu’avant qu’un monopole corporatif mondial ne soit atteint, avant que les capitales financières nationales respectives n’aient formé une « Union mondiale » d’ultra-impérialisme, l’impérialisme explosera et le capitalisme deviendra son contraire.»

(V. I. Lénine, Introduction to Imperialism and World Economy by N, Bukharin, Martin Lawrence, Londres, imprimé aux États-Unis, édition russe, novembre 1917)

Comment inverser la tendance. La première priorité est d’abroger le mensonge.

À cet égard, il est regrettable que de nombreuses personnes « progressistes » (y compris des intellectuels de gauche éminents) soient – malgré les mensonges – favorables au verrouillage et à la fermeture de l’économie comme solution à l’urgence de santé publique. C’est la position du parti démocrate aux États-Unis, qui va à l’encontre du bon sens.

La vérité est une arme puissante pour abroger les mensonges des médias corporatifs et des gouvernements.

Quand le mensonge devient la vérité, il n’y a pas de retour en arrière

Sans la campagne de peur et la propagande médiatique, les actions entreprises par nos gouvernements n’auraient pas de fondement.

La « distanciation sociale » n’empêche pas les élites financières de donner des instructions à des politiciens corrompus.

D’autre part, la « distanciation sociale » combinée au confinement est utilisée comme un moyen de subordination sociale. Elle empêche les gens de se réunir et de protester contre ce soi-disant nouvel ordre mondial.

L’organisation, la vérité et la solidarité sont essentielles pour renverser la tendance. La première étape d’un mouvement mondial est la « contre-propagande ».

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

Global Capitalism, “World Government” and the Corona Crisis

Traduit par Maya pour Mondialisation
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2020




Obama Gate : Histoire d’un coup d’Etat Foireux.

[Source : Institut des Libertés via Sott.net]

[Auteur :] Charles Gave

Novembre 2016, Donald Trump est élu Président des Etats-Unis à la surprise de tous les gens bien informés. De nombreuses tentatives de déstabilisation de sa campagne avaient eu lieu avant l’élection (Carter-Page, Papadopoulos, Malafort etc..), dont je ne vais pas parler, faute de place. En fait, je vais m’intéresser presque exclusivement au cas du général Flynn tant il me parait évident qu’il est l’homme qui devait être détruit car sans doute aucun il en savait trop.

Avant de présenter les faits et uniquement les faits, il me faut d’abord, comme dans une pièce de théâtre, répertorier les principaux acteurs ainsi que les fonctions qu’ils occupaient.

Tout le monde connait Obama et Trump, mais dans ce cas-là, les personnages secondaires sont tout aussi intéressants et je vais commencer par la constellation de ceux qui entouraient Obama.

En voici la liste, avec leurs fonctions. Jo Biden, Vice-Président des USA et candidat en 2020 contre Trump. Loretta Lynch, ministre de la Justice, secondée dans ses fonctions par Sally Yates, numéro deux du même ministère (le DOJ) qui a la tutelle sur le FBI, la police fédérale US, dont le patron était James Comey. La conseillère pour les affaires de sécurité (Nationale Security Advisor) était Susan Rice tandis que le chef de la CIA était John Brennan et le patron des organisations de sécurité James Clapper.

Venons-en au général Michael T Flynn. Démocrate, issu d’une famille démocrate, grand soldat s’il en fût, spécialiste du renseignement et de l’action psychologique, Lieutenant Général, c’est-à-dire général trois étoiles, il est nommé à la tête des services de renseignement de l’armée en Juillet 2012 par le Président Obama et donnera sa démission en Avril 2014, le pouvoir en place n’aimant guère ses discours sur les dangers que représentaient l’Islam militant ainsi que son apparente indifférence au danger Russe.

Il rejoint la campagne de Trump pour être nommé, après l’élection au poste prestigieux de « National Security Advisor », celui qui murmure à l’oreille du Président pour toutes les questions relatives à la défense et à la sécurité des USA. Inutile de dire qu’en tant que chef du service de renseignement de l’armée, il devait être au courant de l’endroit où tous les cadavres étaient enterrés en Lybie (Benghazi), en Ukraine, au Moyen-Orient, en Syrie avec le financement d’Isis par Hilary Clinton pour faire tomber Assad et que sais-je encore. Il était donc l’homme à abattre, car ses révélations auraient pu mettre en cause tout l’appareil du parti démocrate et en conduire un certain nombre en prison, pour corruption (voir le fils de Jo Biden en Ukraine et en Chine).

Et abattu, il le fut très vite, et voici la façon dont cela s’est passé.

Commençons par la version officielle.

  • En Décembre 2016, le parti Démocrate aux USA se rend compte que son ordinateur central a été « hacké « et fait savoir que les coupables sont les services secrets Russes, qui ont transmis les informations ensuite à Wikileaks, qui les publient, ce qui est bien sûr une preuve que les Russes cherchaient à faire élire Donald Trump. Notons que le FBI n’a jamais eu accès à cette machine pour vérifier ces affirmations, ce qui est …étonnant et sans précédent.
  • Le 12 Janvier 2017, après l’élection de Trump, Ignatius, grand reporter au New-York Times, sort un dossier extrêmement compromettant sur le futur Président Trump, qui, lors d’une visite antérieure en Russie, se serait livré à quelques fantaisies sexuelles à Moscou. Le message est clair. Poutine a suffisamment d’informations de ce type sur Trump pour forcer le nouveau Président des USA à faire ce qu’il lui dira de faire.
  • Le 24 Janvier, le général Flynn, qui a pris ses fonctions à la maison blanche le 20 janvier précèdent prend un coup de téléphone du numéro trois du FBI, Peter Stzrock lui demandant si lui et l’un de ses collègues peuvent passer le voir pour faire connaissance, ce qu’il accepte. Les deux compères arrivent et lui posent quelques questions sur un coup de téléphone qu’il a donné à l’ambassadeur Russe (sous écoute bien entendu, et dont le personnel du FBI avait les minutes), et dans lequel il demandait à l’ambassadeur de faire passer le message que Trump voulait revenir à de meilleures relations avec la Russie. Le général dit qu’il ne se souvient pas très bien, refusant ainsi de répondre aux questions du FBI, et tout le monde se sépare bons amis. Coup de tonnerre : Dans les jours qui suivent, le FBI met en accusation le général pour avoir refusé de répondre au FBI lors de son interview et notre homme est obligé de démissionner, pour être ensuite trainé devant les tribunaux, forcé de vendre sa maison pour payer sa défense et finir par se reconnaitre coupable d’un crime qu’il n’a pas commis lorsque le FBI lui dit que s’il continue à se défendre, ils vont s’en prendre à son fils.

Le cas Trump semble clos : Pénétration de l’ordinateur du parti Démocrate par des Russes, dossier salace prouvant que Trump était susceptible d’être la victime d’un chantage de la part de Moscou et principal conseiller faisant des offres d’apaisement à l’ambassadeur de Russie avant même d’être au pouvoir à Washington. La messe était dite, Trump était un agent au service de la Russie.

Une commission d’enquête est demandée contre Trump par les démocrates. Le ministre de la Justice de l’époque, choisi par Trump, monsieur Session, ancien Sénateur du Sud qui avait pris un verre avec l’ambassadeur Russe un an avant et dont nul ne saura jamais s’il était idiot, complice ou les deux à la fois, se désiste et confie le dossier au numéro deux du DOJ de l’époque, un monsieur Rosenstein, homme de l’état profond s’il en fut qui enclenche les mécanismes légaux qui mèneront à la création de la commission d’enquête dite de « Muller », ancien patron du FBI et grand copain de Comey où ne figureront que des juristes démocrates. Cette commission va empoisonner la vie de Trump pendant deux ans avant de rendre ses conclusions en 2020 en concluant qu’ils n’ont rien trouvé et qu’il n’y a rien dans le dossier, ce que tout le monde savait au bout de trois mois.

Premier coup dur pour les démocrates. Mais ce n’est que le début. Le général Flynn change d’avocat, car le FBI, loin de le laisser tranquille après ses « aveux », veut lui faire faire six mois de prison. Il demande à un avocat absolument remarquable, une femme, Sydney Powell, de le défendre, virant la grande firme d’avocats qui l’avaient for mal défendu jusque-là. Et cette femme fait découverte stupéfiante après découverte stupéfiante et je vais les citer non pas dans l’ordre où elle les a faites, mais dans leur chronologie

1. Elle découvre que le FBI avait mis sous surveillance et sous écoute le général Flynn dès qu’il avait rejoint la campagne de Trump, en Mars 2016, ce qui était strictement illégal. Elle découvre de plus que le FBI, après neuf mois d’écoutes, concluait le 4 Janvier 2017 que rien ne pouvait être reproché au général et qu’il fallait fermer le dossier. Ce à quoi, Peter Stzrock s’oppose sur ordre de Comey et le général reste sous surveillance.

2. Elle découvre que le 5 Janvier, Obama demande à Comey de ne pas dire à Trump que le général est sous surveillance parce qu’Obama ne serait pas sûr que Trump ne soit pas un agent Russe, ce à quoi Comey acquiesce, alors que ni lui ni Obama n’ont la moindre preuve de quoi que ce soit contre Trump ou Flynn. En fait, Comey continuera à obéir à Obama et à trahir Trump ce qui est une forfaiture, jusqu’à ce qu’il soit viré par Trump.

3. Elle découvre que le même 5 Janvier 2017, une réunion a eu lieu à la Maison Blanche où sont présents Obama, Biden, Clapper, Susan Rice, Sally Yates, Brennan, Comey… et que la décision est prise à la fin de la réunion de tout faire pour faire tomber notre général. Et l’ordre est donné (par qui ?) de monter un piège pour faire tomber Flynn. Ce qui fut fait lors de la visite à Flynn du 24 Janvier. On a retrouvé les notes manuscrites de l’agent qui accompagnait Stzrock lors de la visite et il voulait savoir si le but était 1) de le faire virer,2) de le mettre en prison ou 3) de discréditer l’administration Trump. Et l’ordre, parfaitement illégal de faire cette visite, fut donné par Comey qui s’en est vanté dans une réunion publique dans laquelle ses propos ont été enregistrés. Et c’est pendant cette visite que les deux mafieux ont piégé le général en créant un crime (refus de répondre aux questions du FBI), là où il n’y en avait pas alors que le général pensait que c’était une visite amicale. Par exemple, ils n’ont pas précisé au général quels étaient ses droits (Miranda), qu’il pouvait se faire aider d’un avocat. Qui plus est, il est parfaitement légal de mentir au FBI si cela porte sur question pour laquelle ils ne sont pas mandatés. Or ils n’étaient mandatés pour rien du tout, ayant été envoyés par James Comey « au culot ». On pense à la phrase de Beria à Staline : « Désignez- moi le criminel, je me charge de trouver le crime ».

4. Elle découvre que James Comey avait montré le dossier crapuleux le 6 Janvier 2017, le lendemain de la réunion avec Obama à la maison blanche à Trump et Flynn en sachant qu’il était faux de bout en bout (ce que les notes internes du FBI prouvent) et que ce dossier monté par un agent secret anglais en poste en Russie pendant des années a été payé par le Democratic National Congress (DNC) pour 50 % et par la campagne d’Hillary Clinton pour les 50 % restant, ce que savait parfaitement Comey. Or le code électoral américain interdit de faire travailler un non-citoyen lors d’une campagne, ce qu’ont fait le DNC et Hillary Clinton.

5. Par d’autres sources, on apprend que Comey, Clapper, Brennan & Co ont demandé la mise sous écoutes d’une grande partie des équipes de Donald Trump avant et après le 20 Janvier, en utilisant ce faux dossier comme justification, ce qui fût fait, en sachant qu’il était faux et sans en prévenir les juges qui délivraient les autorisations, ce qui est crime passible de la prison à vie.

6. La chambre des représentants, conduite par monsieur Schiff, un fanatique anti Trump, a fait passer de nombreuses auditions à tous ces gens, Comey, Brennan, Claper, Sally Yates, Susan Rice qui passaient ensuite sur NBC, CBS, CNN ou donnaient des articles au Washington Post ou au New York Times etc. en assurant qu’ils avaient vu, de leurs yeux vu les preuves de la culpabilité de Trump. Les minutes officielles de ces auditions viennent d’être publiées par Richard Grenelle, le haut fonctionnaire en charge de la conservation de ce genre de dossiers à la grande fureur de monsieur Schiff, des démocrates et des media. Aucune de ces personnes n’indique avoir jamais vu la moindre preuve d’une quelconque culpabilité de Trump, car cette fois- là, chacun était sous serment et risquait la prison à vie en cas de parjure. Ce qui ne les empêchait pas continuer de mentir dès qu’ils étaient sortis. Le plus étonnant est cependant la réalité suivante : pourquoi donc les Républicains présents lors de ces auditions n’ont-ils pas fait « fuiter » ces informations à leurs amis dans la presse ? D’où j’en déduis que Trump n’a pas que des amis au parti Républicain et que l’état profond a soigneusement noyauté le parti républicain aussi… (Le Sénateur Graham vient à l’esprit, je ne sais pas pourquoi.).

7. Dans ces auditions – et sous serment-le patron de CrowdStrike, la firme qui gérait l’ordinateur soi-disant hacké du parti démocrate, a dit qu’il n’avait aucune preuve que l’ordinateur ait été attaqué et encore moins par les Russes. Il est donc probable que cela aussi était un mensonge, mais alors pourquoi Julien Assange est-il encore en prison en Grande-Bretagne pour avoir été complice du viol de l’ordinateur du DNC, qui n’a probablement jamais eu lieu, et cela à la demande du ministère de la Justice des USA, ce repaire de brigands ? Assange doit être libéré tout de suite.

8. On vient d’apprendre- vendredi dernier- que Jo Biden avait demandé et obtenu la mise sur écoutes non pas des ennemis des USA mais de ses adversaires politiques américains, ce qui est un autre crime. Et de même pour Sally Yates, Susan Rice, Clapper Brennan qui tous, et en particulier à la fin du deuxième mandat d’Obama, voulaient absolument savoir ce que préparait Trump. Et toutes ces écoutes étaient illégales. Déjà, le Sénateur Républicain Rand Paul va les convoquer tous pour qu’ils répondent à ses questions sous serment, y compris monsieur Biden, qui ne semble pas avoir un respect très élevé pour la Loi et va devoir venir s’expliquer avant les élections, au Sénat et devant des Républicains. A mon avis la carrière de Biden va connaitre un arrêt brutal et il va peut-être devoir passer par la case « prison » où il risque d’être entouré de camarades du parti. Qui sera le candidat Démocrate et comment ce candidat sera t’il désigné ? … est donc la question suivante.

9. Et pour finir, cerise sur le gâteau, le DOJ, à la demande de Sidney Powell, a retiré toutes les charges contre notre général, ce qui n’empêche pas le Juge Sullivan, grand copain d’Éric Holder, lui-même ex-ministre de la Justice d’Obama pendant quelques années, de vouloir continuer à le juger pour un parjure qui n’a jamais eu lieu. Ce doit être le premier cas dans l’histoire des USA où le parquet dit que le prévenu est complètement innocent et qu’il a été victime d’une tentative d’assassinat judiciaire abominable et que le juge entend continuer à le juger. A mon avis la Cour Supreme va devoir intervenir.

Je m’arrête ici non faute de matériel, je pourrais écrire le double de ce que j’ai déjà écrit mais je suis arrivé au point « CQFD », où il n’y a plus rien à prouver tant les faits sont accablants. Rajoutons que maintenant que Flynn a été innocenté, il va pouvoir parler…

Résumons.

Cette affaire est infiniment plus grave que le Watergate, où Nixon avait simplement essayé de couvrir maladroitement quelques bras cassés qui avaient tenté de cambrioler les locaux du DNC sans en avoir reçu l’ordre. Là, il s’agit d’une tentative de coup d’état, préparé avec soin par un groupe criminel, qui avait pris le contrôle des services secrets, du FBI et du Ministère de la Justice, tous noyautés à mort avant le changement d’administration, pour se débarrasser d’un homme qui avait gagné les élections à la loyale.

Et cette action a été totalement couverte par ce qu’il est convenu d’appeler les media officiels (CNN, NBC, CBS. NYT, Washington Post) qui, pour l’instant, refusent de mentionner ce qui est sans doute le plus grand scandale politique de l’histoire des Etats-Unis, en parlant d’une manœuvre de diversion. Seuls Fox et Breitbart se sont battus pour soutenir le Président élu sous les lazzis des bien-pensants.

Et voici ma conclusion : je crois que depuis Watergate, les journalistes du monde entier se sont dits que leur rôle était de faire tomber les régimes « de droite » et que pour cela, puisque la droite était dans son essence mauvaise, tous les moyens étaient bons, y compris criminels. Pour beaucoup de journalistes, aujourd’hui, la fin -détruire la droite-justifie les moyens. Et c’est comme cela que l’état de droit disparait.

Et comme toujours, cette maladie est arrivée chez nous quelques années après et nous souffrons donc du même mal. Le but de nombre de journalistes français est aujourd’hui purement et simplement de détruire les gens de droite, en les empêchant de s’exprimer par tous les moyens. Conclusion : A quoi donc aujourd’hui reconnait -on un journaliste de gauche (pléonasme) ? Au fait qu’il est favorable à la censure…

Il faut donc que ces criminels et leurs complices dans les media passent en jugement et aillent en prison et pour tres longtemps. Je fais confiance à messieurs Barr (le nouveau ministre de la Justice, qui ressemble beaucoup à Droopy le basset et qui a l’air d’en avoir la ténacité) et Durham (le procureur spécial choisi par monsieur Barr, qui lui ressemble à un furet) pour terminer leurs enquêtes avant la prochaine élection présidentielle, car si Trump était battu, tout cela resterait impuni. L’été va être chaud, voire caniculaire à Washington et va durer jusqu’au début Novembre, date des élections présidentielles.

Et ma dernière remarque sera pour dire que le Président Trump a fait preuve d’une incroyable force et d’une résistance stupéfiante pendant toute cette période. N’importe qui d’autre y aurait laissé sa peau et sa santé mentale, ce qui lui vaut toute mon admiration. S’il est réélu, je ne doute pas que les Clinton et en particulier madame Clinton, rejoindront en prison tous les autres criminels qui se sont essayés à fomenter un coup d’état aux USA. Reste la question de ce qui arrivera à Obama, le comploteur en chef. Peut-être Trump le graciera-t-il par respect pour la fonction Présidentielle ? Voilà qui serait un coup mortel pour la vanité immense de ce tartuffe sanctimonieux.

Si tout cela est suivi de condamnations, alors l’atmosphère dans le monde deviendra à nouveau respirable et le danger de guerre reculera partout, l’état profond américain ayant été détruit, ce qui, après tout, était la première promesse électorale du Président Trump. Souhaitons que la même chose arrive en France !


Écoutez l’intervention de Charles Gave sur Sud Radio, le 20/05/20 :



Auteur : Charles Gave

Economiste et financier, Charles Gave s’est fait connaitre du grand public en publiant un essai pamphlétaire en 2001 “ Des Lions menés par des ânes “(Éditions Robert Laffont) où il dénonçait l’Euro et ses fonctionnements monétaires. Son dernier ouvrage “Sire, surtout ne faites rien” aux Editions Jean-Cyrille Godefroy (2016) rassemble les meilleurs chroniques de l’IDL écrites ces dernières années. Il est fondateur et président de Gavekal Research (www.gavekal.com).




Du confinement à la Grande réinitialisation

[Source en anglais : ZeroHedge]

[Traduction : Conscience du peuple]

[Auteur:] Anthony Mueller

Le confinement à la suite de la pandémie de coronavirus a accéléré la mise en œuvre de plans de longue date visant à établir un soi-disant nouvel ordre mondial. Sous les auspices du Forum économique mondial (WEF), les décideurs mondiaux plaident en faveur d’une « grande réinitialisation » dans le but de créer une technocratie mondiale. Ce n’est pas par hasard que le 18 octobre 2019, à New York, le WEF a participé à «l’événement 201 » lors de l’exercice de pandémie de «haut niveau» organisé par le John Hopkins Center for Health Security .

Cette technocratie à venir implique une coopération étroite entre les responsables de l’industrie numérique et les gouvernements. Avec des programmes tels que le revenu minimum garanti et la santé pour tous, le nouveau type de gouvernance combine un contrôle sociétal strict avec la promesse d’une justice sociale globale.

La vérité, cependant, est que ce nouvel ordre mondial de tyrannie numérique s’accompagne d’un système complet de crédit social. La République populaire de Chine est le pionnier de cette méthode de surveillance et de contrôle des individus, des entreprises et des entités sociopolitiques.

Pour l’individu, son identité se réduit à une application ou une puce qui enregistre presque toutes ses activités personnelles. Afin d’obtenir quelques droits individuels, et que ce soit uniquement pour se rendre à un certain endroit, une personne doit équilibrer ces privilèges apparents avec sa soumission à un réseau de réglementations qui définissent en détail ce qu’est un « bon comportement » et considéré comme bénéfique pour l’humanité et l’environnement.

Par exemple, lors d’une pandémie, ce type de contrôle s’étendrait de l’obligation de porter un masque et de pratiquer la distanciation sociale à des vaccinations spécifiques pour postuler à un emploi ou pour voyager.

C’est, en somme, un type d’ingénierie sociale qui est à l’opposé d’un ordre spontané ou de développement. Comme l’ingénieur en mécanique avec une machine, l’ingénieur social – ou technocrate – traite la société comme un objet. Différent des suppressions brutales par le totalitarisme des temps anciens, l’ingénieur social moderne tentera de faire fonctionner la machine sociale toute seule selon sa conception. Pour ce faire, l’ingénieur social doit appliquer les lois de la société comme l’ingénieur en mécanique suit les lois de la nature. La théorie comportementale a atteint un stade de connaissance qui rend possible les rêves d’ingénierie sociale. Les machinations de l’ingénierie sociale n’opèrent pas par la force brute, mais subtilement par coup de coude .

Dans l’ordre envisagé par la « Grande Réinitialisation », l’avancement de la technologie ne vise pas à servir l’amélioration des conditions du peuple mais à soumettre l’individu à la tyrannie d’un État technocratique.

«Les experts savent mieux» est la justification.

Le programme

Le plan pour une refonte du monde est l’idée originale d’un groupe d’élite d’hommes d’affaires, de politiciens et de leur entourage intellectuel qui se réunissaient à Davos, en Suisse, en janvier de chaque année. Créé en 1971, le Forum économique mondial est depuis lors devenu un événement méga-mondial. Plus de trois mille dirigeants du monde entier ont assisté à la réunion en 2020.

Sous la direction du WEF, le programme de la grande réinitialisation indique que l’achèvement de la transformation industrielle actuelle nécessite une refonte complète de l’économie, de la politique et de la société. Une telle transformation globale nécessite la modification du comportement humain et, par conséquent, le « transhumanisme » fait partie du programme.

« La grande réinitialisation » sera le thème de la cinquante et unième réunion du Forum économique mondial de Davos en 2021. Son programme est l’engagement à faire avancer l’économie mondiale vers «un avenir plus juste, durable et résilient».

Le programme appelle à «un nouveau contrat social» centré sur l’égalité raciale, la justice sociale et la protection de la nature. Le changement climatique nous oblige à «décarboner l’économie» et à mettre la pensée et le comportement humains «en harmonie avec la nature». Le but est de construire «des économies plus égalitaires, inclusives et durables».

Ce nouvel ordre mondial doit être mis en œuvre «d’urgence», affirment les promoteurs du WEF, et ils soulignent que la pandémie «a mis à nu la non-durabilité de notre système», qui manque de «cohésion sociale».

Le grand projet de réinitialisation du WEF est l’ingénierie sociale au plus haut niveau. Les partisans de la réinitialisation soutiennent que l’ONU n’a pas réussi à rétablir l’ordre dans le monde et n’a pas pu faire avancer avec force son programme de développement durable – connu sous le nom d’ Agenda 2030 – en raison de sa manière bureaucratique, lente et contradictoire de travailler. En revanche, les actions du comité d’organisation du Forum économique mondial sont rapides et intelligentes. Lorsqu’un consensus s’est formé, il peut être mis en œuvre par l’élite mondiale partout dans le monde .

Ingénierie sociale

L’idéologie du Forum économique mondial n’est ni de gauche ni de droite, ni progressiste ou conservatrice, elle n’est pas non plus fasciste ou communiste, mais purement technocratique . En tant que tel, il comprend de nombreux éléments des idéologies collectivistes antérieures.

Au cours des dernières décennies, le consensus s’est dégagé lors des réunions annuelles de Davos selon lequel le monde a besoin d’une révolution et que les réformes ont pris trop de temps. Les membres du WEF envisagent un bouleversement profond à court terme. Le laps de temps devrait être si bref que la plupart des gens se rendront à peine compte qu’une révolution est en cours. 👉Le changement doit être si rapide et dramatique que ceux qui reconnaissent qu’une révolution est en train de se produire n’ont pas le temps de se mobiliser contre elle.

L’idée de base de la « Grande Réinitialisation » est le même principe qui a guidé les transformations radicales des révolutions française aux révolutions russe et chinoise. C’est l’idée du rationalisme constructiviste incorporé dans l’État. Mais des projets comme la « Grande réinitialisation » laissent sans réponse la question de savoir qui dirige l’État.

Les régimes totalitaires antérieurs avaient besoin d’exécutions massives et de camps de concentration pour maintenir leur pouvoir. 👉Maintenant, avec l’aide des nouvelles technologies, on pense que les dissidents peuvent facilement être identifiés et marginalisés. Les non-conformistes seront réduits au silence en disqualifiant les opinions divergentes comme étant moralement méprisables.

Les confinements de 2020 offrent peut-être un aperçu du fonctionnement de ce système. Le confinement a fonctionné comme s’il avait été orchestré – et peut-être l’était-il. Comme s’ils suivaient un seul commandement, les dirigeants des grandes et des petites nations – et à différents stades de développement économique – ont mis en œuvre des mesures presque identiques. Non seulement de nombreux gouvernements ont agi à l’unisson, mais ils ont également appliqué ces mesures sans se soucier des conséquences horribles d’un confinement mondial.

Des mois de stabilité économique ont détruit la base économique de millions de familles. Avec la distanciation sociale, le confinement a produit une masse de personnes incapables de prendre soin d’elles-mêmes. Premièrement, les gouvernements ont détruit les moyens de subsistance, puis les politiciens se sont présentés comme le sauveur. La demande d’assistance sociale n’est plus limitée à des groupes spécifiques, mais est devenue un besoin des masses.

Autrefois, la guerre était la santé de l’État. Maintenant, c’est la peur de la maladie. Ce qui nous attend, ce n’est pas l’apparente convivialité d’un État-providence bienveillant complet avec un revenu minimum garanti et des soins de santé et une éducation pour tous.

Le confinement et ses conséquences ont apporté un avant-goût de ce qui est à venir : un état de peur permanent, un contrôle comportemental strict, des pertes massives d’emplois et une dépendance croissante à l’égard de l’État.

Avec les mesures prises à la suite de la pandémie de coronavirus, un grand pas en avant pour réinitialiser l’économie mondiale a été franchi. Sans résistance populaire, la fin de la pandémie ne signifiera pas la fin du confinement et de la distanciation sociale. Pour le moment, cependant, les opposants au nouvel ordre mondial et à la tyrannie numérique ont toujours accès aux médias et aux plates-formes pour s’opposer. Pourtant, le temps presse. Les auteurs du nouvel ordre mondial ont senti le sang. Déclarer le coronavirus une pandémie s’est avéré utile pour promouvoir le programme de leur grande réinitialisation. Seule une opposition massive peut ralentir et arrêter finalement l’extension de la prise de pouvoir de la technocratie tyrannique en plein essor.




MILLIÈRE : Donald Trump ne va nulle part à cause de sa gestion de la COVID-19, vraiment ?

[Source : Québec Nouvelles]

Entrevue avec Guy Millière, distinguished Senior Fellow, Gatestone Institute, New York

Q : Les experts estiment que la campagne de Donald Trump ne va nulle part à cause de sa gestion de la COVID-19. Que pensez-vous de cela ?

Cela fait partie des éléments de désinformation constants énoncés contre Donald Trump. Jamais un président des États-Unis n’a été à ce point traîné dans la boue, diffamé, insulté. Quasiment tout ce qui se dit ou s’écrit sur Donald Trump est un exercice de haine aveugle et d’incitation à la haine. J’ai écrit récemment que Donald Trump était traité dans les grands médias de gauche, autrement dit dans quatre-vingts pour cent des médias américains, et dans quatre-vingt-dix-neuf pour cent des médias français ou canadiens comme l’est le personnage d’Emmanuel Goldstein dans le 1984 de George Orwell, avec la différence que dans 1984, le personnage d’Emmanuel Goldstein subit deux minutes de haine, alors que pour Trump, les deux minutes durent vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Donald Trump a laissé la gestion de la pandémie aux gouverneurs de chacun des cinquante États du pays, et nul ne rappelle que c’est ce qu’exige la Constitution : les États-Unis sont une fédération d’États. Certains États ont bien géré la situation, d’autres l’ont très mal géré, et les chiffres montrent que la gestion a été désastreuse dans l’État de New York et le New Jersey. Donald Trump a tenu d’un bout à l’autre de la pandémie un discours destiné à donner du courage au peuple américain : les diffamateurs disent qu’il a sous-estimé la pandémie, ce qui est faux et odieux, et auraient préféré sans doute qu’il se terre dans un sous-sol et dise aux Américains qu’ils allaient tous mourir, ce qui aurait été indigne d’un chef d’État. Donald Trump a suivi les recommandations des plus grands experts américains en matière d’infection, et les recommandations n’ont pas toujours été optimales, mais ce sont les experts qui sont fautifs, pas Donald Trump. J’ajouterai que Donald Trump a fait produire tests, respirateurs, équipements, en un temps record, grâce à son expérience de grand chef d’entreprise. La gauche américaine, sans aucun scrupule, a utilisé la pandémie comme un moyen de diffamer davantage encore Donald Trump. Elle l’a utilisée aussi pour s’efforcer d’infliger autant de dommages que possible à l’économie américaine, en pensant qu’une économie en ruine desservirait Donald Trump. Quand l’économie américaine a commencé à se redresser, la gauche américaine a eu recours aux émeutes et au pillage. Toutes les grandes villes démocrates ont été ravagées. Des services de police entiers ont été démantelés. À force de répétitions incessantes par les grands médias de gauche, la désinformation a laissé des traces dans les têtes, et une partie de la population américaine pense que Donald Trump a mal géré les choses : cela montre que ce que dit la vieille phrase: « calomniez, il en restera toujours quelque chose » est toujours pertinente.

Q : Malgré les sondages qui donne une bonne avance à Biden, estimez-vous que Donald Trump sera réélu le 3 novembre et pourquoi ?

Je pense que les sondages ne reflètent pas la réalité. Il est possible que le résultat soit serré et se joue à quelques dizaines de milliers de voix près. La population américaine a changé et continue à changer. Des millions de jeunes gens ont le cerveau lavé par leurs professeurs au lycée et à l’université et rêvent de socialisme, sans savoir de quoi il s’agit. Les minorités ethniques se font plus nombreuses et votent pour le parti qui leur promet de faire payer les riches et de redistribuer davantage. Mais les États-Unis n’en sont pas au point où une immense majorité pourrait voter pour un vieillard sénile et corrompu et pour une gauchiste sentimentale, sans rien savoir du programme qu’ils portent, et qu’ils cachent sous des mensonges constants. La population américaine étant ce qu’elle est aujourd’hui, le risque d’une victoire de Biden existe, mais les sondages donnant 12 ou 14 points d’avance à Biden me semblent biaisés et destinés à tenter de démoraliser les électeurs de Trump. Si Biden avait cette avance, il devrait logiquement remporter 50 états sur 50, et c’est une perspective ridicule. Je parle de risque en évoquant l’élection de Biden, car le programme du parti démocrate est un programme d’extrême gauche qui, s’il était mis en œuvre, briserait la reprise économique qui s’opère actuellement aux États-Unis, détruirait la Cour Suprême, donc les institutions américaines dont la Cour Suprême est la clé de voûte, et sur un plan international laisserait le champ libre à la Chine qui cherche l’hégémonie mondiale et à l’Iran des mollahs qui cherche l’hégémonie régionale au Proche-Orient. Pour l’heure, partout dans le pays, des centaines de milliers de gens soutenant Trump et comprenant ce qui est en jeu se mobilisent. Biden n’attire personne. Des gens voteront contre Trump, pas pour Biden. Tout est possible. La réélection de Trump, l’élection de Biden, des résultats contestés. Il est possible qu’on ne sache pas le résultat le 3 novembre au soir. Des fraudes sont en cours. Des bulletins de vote par correspondance disparaissent ou sont détruits. La gauche américaine est dans une logique de prise de pouvoir par tous les moyens.

Q : Selon vous, qui a remporté le débat des candidats à la vice-présidence ?

Je n’accorde pas une importance excessive aux débats. Cela dit, sur le plan du comportement, une grande majorité d’Américains ont trouvé les mimiques et grimaces de Kamala Harris désagréables et déplacées. Kamala Harris a aussi beaucoup menti, refuse de répondre à des questions essentielles, telles celles concernant la Cour suprême, et reprise à son compte des propos diffamatoires dont il a été démontré qu’ils étaient sans fondements. Mike Pence a été calme, courtois et a réfuté les mensonges de Kamala Harris en s’appuyant sur des faits, ce tout en énonçant les positions de principe de l’administration Trump de manière claire et nette, et il a donc remporté le débat. Les commentateurs de gauche ne s’y sont pas trompés et ont tenté de faire diversion en accusant Pence d’avoir été machiste en réfutant les mensonges de Kamala Harris, et en insistant beaucoup sur une mouche qui s’est posée sur la tête de Mike Pence. La modératrice était démocrate, et ses questions étaient très orientées, mais elle a été moins outrancière que Chris Wallace (lui aussi démocrate) lors du débat Trump-Biden, et Pence n’a pas eu à prendre la parole par effraction.

Q : Quel bilan faites-vous du premier mandat de Donald Trump ?

Donald Trump a accompli immensément en moins de quatre ans. L’économie américaine en mars 2020 ne s’était jamais aussi bien portée depuis plus de cinquante ans. Il y avait de la croissance, des investissements et le plein emploi. La sécurité mise à mal sous Obama revenait dans tout le pays, sauf dans les villes démocrates. L’immigration clandestine était largement jugulée. À l’étranger, Donald Trump a détruit l’État islamique et, privant le terrorisme islamique de bases d’entraînement, a réduit à quasiment rien les risques d’attentats terroristes sur la planète. Il a asphyxié le régime iranien, ce qui a stabilisé le Proche-Orient. Il a commencé à endiguer la Chine, en faisant face au danger représenté par celle-ci. Il a posé les jalons d’une paix entre Israël et le monde arabe sunnite. S’il est réélu, il rentrera dans l’histoire comme l’un des très grands présidents des États-Unis. Il a fait ce qu’il a fait en étant l’objet d’une campagne de déstabilisation incessante de la part d’une gauche déchaînée qui a mené contre lui un coup d’État rampant. L’utilisation politique de la pandémie par la gauche américaine devrait invalider moralement celle-ci : on ne joue pas avec la vie des gens pour des motifs politiques. Le recours aux émeutes ensuite devrait invalider moralement la gauche américaine davantage encore : les émeutes ont fait cent morts et occasionné des milliards de dollars de dégâts. Les démocrates se sont faits complices des émeutiers et ne les ont jusqu’à présent jamais dénoncés. Les médias du monde entier n’ont cessé de mentir sur tous les sujets abordés dans cet entretien. C’est pour rétablir la vérité, pour remettre les faits à leur place que j’ai écrit un livre qui vient de paraître en France. J’y explique ce qu’est devenu le parti démocrate, comment la gauche s’est emparée des médias et de la culture aux États-Unis, comment s’est déroulé le coup d’État rampant contre Trump, ce qu’a accompli Trump en politique intérieure et en politique étrangère, qui sont Joe Biden et Kamala Harris et ce que sont les enjeux de l’élection du 3 novembre. Quiconque veut comprendre doit lire le livre. Qui veut rester dans la haine et l’ignorance peut s’abstenir. J’ai appelé le livre « Après Trump ? » Et je dis : après Trump, il y aura Trump encore et ce qu’il lui reste à accomplir, ou il y aura la gauche américaine, et ce sera très différent.




Sasek met en garde les manifestants : « Pas d’agissements précoces »

[Source : kla.tv]

Ce monde a déjà vu assez de guerres. La discipline innovante de la façon véritable de faire la guerre, la discipline royale pour ainsi dire, c’est de vivre des victoires fondées uniquement sur la puissance de la lumière. Mais les plus beaux potentiels peuvent aussi être détruits par des actions rapides et irréfléchies. Ivo Sasek met en garde ceux qui manifestent à propos du coronavirus contre le danger d’être infiltrés, et surtout contre les actions intempestives et les agissements précoces égo-individualistes.


L’humanité n’est plus qu’à quelques pas de l’abîme de ce nouveau monde, tel qu’il a été méticuleusement planifié et réalisé par les sociétés secrètes depuis des siècles. La finale, en quelque sorte la porte d’entrée de ce nouveau monde, est un chaos mondial planifié. Ce qui prouve clairement que ce chaos orchestré ne se situe pas dans un avenir lointain, mais qu’il est en marche depuis longtemps, c’est le printemps arabe qui se trouve derrière nous, et toute l’histoire depuis le 11 septembre, et maintenant l’humanité est, pour ainsi dire, à un pas de l’introduction de la surveillance totale, de l’abolition de l’argent liquide, mais aussi de l’abolition de tous les biens et possessions privés.

Le confinement que nous venons de passer n’était que le premier acte d’un nouveau processus d’expropriation. Nous devons comprendre cela. Vous, les communistes, vous vous réjouissez bien sûr maintenant, comme les anciens juifs de Rome, que votre domination communiste mondiale tant attendue est enfin à portée de main. Mais croyez-le donc, vous tous, communistes et socialistes, qui êtes là : ce n’est pas vos partisans qui sont sur le point de prendre la domination mondiale ici, pas vos partisans qui veulent aussi vous obliger à vous faire vacciner et vous faire implanter une puce électronique.

Au plus tard maintenant, vous devriez enfin vous en rendre compte. Dès que vos prétendus partisans commenceront à crucifier vos idéaux communistes, votre erreur tombera de vos yeux comme des écailles! Parce que vous, et Karl Marx le premier, vous n’avez jamais vraiment compris que votre idéologie de la justice a été infiltrée et instrumentalisée dès le début par des tireurs de ficelles stratégiques du plus haut capitalisme. Jusqu’à aujourd’hui, ils ont constamment orienté votre lutte contre la classe moyenne et la bourgeoisie, afin que vous ne puissiez jamais les atteindre, eux, et les prendre au collet. Mais les créateurs d’intérêts, les spéculateurs et les demandeurs d’intérêts et d’intérêts composés… ils ont toujours été les véritables racines vénéneuses qui ont poussé toute classe moyenne dans la course compulsive à des revenus de plus en plus importants. Vous, les communistes bien intentionnés, vous avez été instrumentalisés par les mêmes pouvoirs et de la même manière que nous, les chrétiens. Nous, mais aussi toutes les religions, idéologies et orientations politiques, etc. sommes tombés dans leurs pièges. Comment cela a-t-il été possible ? Parce qu’ils ont toujours opéré dans le secret.

Les considérations fondamentales, tant du communisme que du christianisme et de toutes les religions, n’ont jamais été erronées dans leur principe. Mais ce qu’ils n’ont jamais compris dès le début, c’est qu’ils ont été infiltrés, manipulés et instrumentalisés sournoisement. En général, les mouvements d’amélioration du monde placent donc toujours leurs leviers beaucoup trop bas. Et c’est exactement là qu’est évidente la manipulation venant de tout en-haut. Celui qui a toujours été incapable de voir clair dans ce jeu diabolique, malgré les meilleures motivations, s’est même laissé instrumentaliser pour le contraire de ses propres intentions. Oui, c’est le même problème pour tous. Ainsi, jusqu’à présent, les véritables dirigeants et ennemis de l’humanité n’ont pas seulement été épargnés, mais ils ont aussi instrumentalisé tout et tous pour faire avancer leur programme de domination du monde, leurs objectifs de domination du monde.

Je l’explique une fois de plus en utilisant l’exemple de la lutte communiste : le cancer du faux capitalisme qui se répand ne pourra jamais être vaincu par la petite bourgeoisie, la bourgeoisie ou la classe moyenne, impossible ! Ce fléau de vol et de pillage ne peut être vaincu qu’en appliquant les leviers de façon suffisamment conséquente à l’élite supérieure. Personne n’a vraiment fait cela jusqu’à aujourd’hui. Néanmoins, seul le capitalisme d’intérêts et d’intérêts composés se trouve à la racine de tous les maux sociaux.

Malheureusement, vous, les communistes, vous n’avez toujours pas compris que l’expropriation de la population mondiale, qui vient de commencer, ne vous offre pas les compensations tant attendues. Le premier processus de dépossession de l’ensemble de la population mondiale, qui vient de commencer avec le confinement, n’apportera malheureusement pas à tous les prolétaires trahis la distribution équitable des biens tant attendue – et que vous attendez toujours. Vous vous rendrez compte trop tard, même vous les communiste que les requins qui dépossèdent sans pitié sont ceux que vous n’avez jamais vraiment combattus de manière conséquente. Mais maintenant, ils ne vous épargneront pas non plus, je vous le promets, car ils veulent aussi vous réduire en esclavage.

Au lieu de la répartition équitable du capitalisme promise, il en résultera un statut d’esclave pour tous les peuples – sans propriété privée, sans aucun luxe ; un luxe pour lequel, soit dit en passant, la classe moyenne et la bourgeoisie ont travaillé sans cesse et que vous avez toujours été heureux d’utiliser bien que vous le méprisiez.

Mais vous n’êtes pas les seuls à avoir tort, vous les communistes ; nous avons tous tort, chaque religion à sa manière, chaque secteur économique à sa manière, chaque parti politique à sa manière. Aucun d’entre nous n’a réalisé que les vrais cerveaux sont bien au-dessus des dirigeants qui se sont montrés à nous à maintes reprises.

Et non seulement vous, les communistes, vous avez été infiltrés, à commencer par Marx, Lénine et Engels, mais nous aussi, les chrétiens, et aussi les musulmans, y compris les partis de droite, du centre et de la bourgeoisie. Nous, les chrétiens, par exemple, nous avons été infiltrés par les mêmes conspirateurs du monde qui ont modifié nos enseignements pour nous faire croire que Jésus descendra du ciel comme un super-héro avec ses accompagnateurs volants – oui, c’est ce que nous croyons aujourd’hui – et que ce sera pour mettre lui-même de l’ordre ici-bas.

Et nous, les chrétiens, nous nous tenons passivement à côté, pour ainsi dire comme des spectateurs soumis. Mais de même que Marx ne voulait pas réaliser sa vision tout seul, Jésus non plus ne voulait pas faire cela. Ainsi, si la mission du communisme originel et celle du christianisme originel ont toutes deux échoué, c’est à cause de leurs manipulations délibérées vers la passivité. Malheureusement, il faut dire la même chose des musulmans et de toutes les religions, mais aussi de toutes les idéologies et autres. Des musulmans aux ésotériques, tous jusqu’à aujourd’hui attendent d’une manière ou d’une autre un puissant sauveur venant du ciel. Le voyez-vous aussi ?

Mais nous souffrons tous d’une seule et même conséquence de cette infiltration sournoise et cela s’appelle la passivité ! Tous, nous investissons trop peu de nous-mêmes dans le jeu : Le Mahdī Sauveur des musulmans veut venir par les musulmans eux-mêmes, tout comme Jésus veut venir par ses chrétiens ou Maitreya par ses bouddhistes, etc. De même, tous les autres grands maîtres n’ont jamais pensé à descendre du ciel à la place de leurs ésotériques et autres – ni avec ni sans ovnis.

Faites face à cela. Mais nous avons tous été attirés dans la passivité, dans la distraction par les mêmes stratèges de la domination mondiale. Vous pouvez le voir dans le fait que tous les bienfaiteurs potentiels espèrent d’une manière ou d’une autre une libération venant de l’extérieur. Seulement, ils ne se mettent pas assez eux-mêmes dans la brèche. Mais de cette façon, nos problèmes mondiaux ne seront jamais résolus. Et pourquoi ? Parce que cette attitude passive manque de la force nécessaire pour imposer le monde nouveau, elle a été brisée. Ainsi, ni le communisme, ni le christianisme, ni l’islam, ni aucune autre religion ni aucun parti n’a jamais pu réellement imposer ses bonnes intentions. Pourquoi ? Parce que le véritable agresseur a toujours réussi à paralyser tout le monde avec des attentes soumises, c’est-à-dire passives. C’est notre problème. L’ennemi mondial a empêtré et distrait notre attention dans toutes sortes de détails et de questions secondaires. Pourquoi fait-il cela ? Sans autre raison que de tout prendre en charge, tous ensemble et ce, sans être reconnu.

Un seul groupe, sous ce ciel, connaît le véritable jeu, à savoir les soi-disant « francs-maçons satanistes » qui se glissent habituellement dans les vêtements de toutes les religions et philosophies, de toutes les tendances politiques, etc. pour les stériliser habilement de l’intérieur, c’est-à-dire pour les rendre inefficaces. Et cette sinistre procédure a malheureusement réussi jusqu’à présent, il faut bien l’admettre.

Ce sont malheureusement leurs plans, et ceux de nul autre, qui sont actuellement en cours de réalisation et ne sont qu’à un pas de leur achèvement définitif. C’est la prise de pouvoir complète, dès maintenant, par le biais d’une crise de Coronavirus délibérément mise en scène, d’un confinement et autres ; mais aussi, comme prévu, par une appropriation totale de notre argent, un contrôle numérique total ; c’est leur programme. Ainsi, ils peuvent exproprier d’un simple clic tous ceux qui ne se soumettent pas volontairement à leur vision du monde, ils peuvent les expulser, leur imposer des sanctions totales et bien d’autres choses encore. Mais ni le communisme, ni le christianisme, ni l’islam, l’hindouisme ou toute autre idéologie ne définiront ce qui décide de cette pression sur un bouton. Mais quoi alors ?

Ce qui décidera du OUI ou du NON en appuyant sur un bouton, ce sera seulement si on accepte ou non de capituler sous le satanisme en train de prendre sa forme ultime. Ce satanisme sera le seul à fixer les critères. C’est le problème que nous avons ici. La vaccination obligatoire, qui est sur toutes les lèvres en ce moment, qui doit être administrée à sept milliards de prétendus volontaires, n’est que la force motrice qui est censée nous pousser vers le dispositif du véritable système de contrôle et de gestion. Qu’est-ce donc ? La surveillance numérique forcée, avec laquelle chaque citoyen du monde peut être allumé et éteint en appuyant sur un bouton, ainsi que surveillé localement. Ce sera le sceptre de fer de la nouvelle domination mondiale, si nous ne le dénonçons pas maintenant et si nous ne l’empêchons pas par un dévoilement conséquent. Que cette surveillance totale de chaque citoyen individuel se fasse au moyen d’une puce implantée, ou d’un tatouage ou d’autre chose, cela reste secondaire – mais le fait est que cette technologie est exactement à un pas de son introduction forcée !

Il y a 2 000 ans déjà la Bible avait mis en garde contre cette heure. Elle a ordonné avec toute la sévérité nécessaire ce qui doit maintenant être fait dans le monde entier. Elle ne donne à la communauté mondiale que ce seul ordre, si elle ne veut pas périr misérablement dans l’état d’esclavage. C’est le refus total de toute vaccination obligatoire ! Refus total de toute implantation de puce ! Refus total de tous les moyens de paiement autres que l’argent liquide ! Refus de tout trait de caractère de ces dirigeants de force du soi-disant « nouvel ordre mondial ».

Le fait que des millions de personnes se réveillent en ce moment même et protestent dans le monde entier, c’est certainement une bonne nouvelle, un nouvel évènement que j’appellerais un véritable espoir. Mais cet espoir, cet espoir même, peut être brisé du jour au lendemain si ceux qui se réveillent ne comprennent pas maintenant où se trouvent les plus grands dangers. La spécialité absolue de ceux qui s’infiltrent, les dirigeants autoproclamés du monde, réside dans la division de tout contre-pouvoir qui se présente, dans la création de la confusion, dans l’incitation à la lutte et à la haine les uns contre les autres et malheureusement – écoutez bien – aussi dans le fait de s’activer trop tôt et à tort !

Je vais maintenant me concentrer sur le dernier point : des millions sont mobilisés, ils vont en pèlerinage à Berlin et dans le monde entier dans tous les lieux où des manifestations aussi importantes ont encore lieu et sont encore autorisées. Mais la pire erreur qui puisse arriver maintenant, c’est que l’agresseur invisible réussisse à envoyer ses loups déguisés en moutons parmi les moutons, afin d’inciter ces foules, dans leur état immature, à agir de façon extrême et les faire tomber ainsi dans le chaos. Et le chaos est précisément le principal moyen prévu pour imposer leur propre pouvoir. Souvenez-vous bien de cela.

Si maintenant le processus de dévoilement, le processus d’éveil et de lumière des peuples est interrompu par des actions révolutionnaires trop précoces, tout ça va s’effondrer. Malheur, si des émeutes se produisent, éventuellement avec une prise d’assaut du Reichstag et autres ; ou des agressions contre un responsable, contre des politiciens, des présidents ou qui que ce soit. Alors, je vous assure, tout cela va dégénérer en chaos et les forces de l’ordre armées devront intervenir avec des chars et toutes les armes imaginables. Du jour au lendemain, ils feront alors comprendre au grand public encore aveuglé pourquoi une surveillance numérique absolue est désormais nécessaire, et ce de façon immédiate. Ils vont donc venir avec la numérisation et, du jour au lendemain, ils vont tout superviser. C’est ce que signifie la dictature absolue.

Mais comment est-ce possible ? Seulement parce que plus de 80 % des gens ne savent pas encore vraiment ce qui se passe. En d’autres termes, la phase de la venue de la lumière n’est pas encore terminée. Alors ne vous laissez pas fanatiser pour les renversements violents de gouvernements et de telles choses. Retenez ceux qui incitent à de telles choses ; distanciez-vous clairement des taupes qui se sont introduites et qui sont en mission terroriste. Lorsqu’elles franchissent vos rangs et passent à l’attaque, filmez-les avec vos propres caméras. Et si elles se révoltent, condamnez cela. Condamnez leur extrémisme devant vos caméras. Mais attention aussi aux mesures de sécurité irréfléchies, qui ne visent alors qu’à sauver votre propre ventre et vous détournent du véritable but visé. Quel est le vrai but ? Un dévoilement non-stop, rien d’autre n’est à l’ordre du jour pour le moment. Toute forme d’auto-sauvetage privé ne fonctionnera malheureusement pas ! Il y aurait beaucoup à dire à ce sujet.

Seule une chose peut fonctionner avec un peu de persévérance, si vraiment vous tous, les millions de personnes qui se sont réveillées et qui ont reconnu les véritables tireurs de ficelle et les dangers, si vous n’arrêtez pas d’être la lumière, si vous allez sur le terrain et dévoilez ce qui se passe – avec ou sans Internet. Si Internet est censuré ou même bloqué pour nous, alors s’il vous plaît, accélérez dix fois plus, gagnez constamment 2-3 nouveaux, informez-les et donnez-leur la mission de gagner à leur tour au moins trois nouveaux, qui gagneront à leur tour trois nouvelles personnes éclairées, etc. Ensuite, gardez un œil sur vos contacts éclairés et motivez-les à nouer de nouveaux contacts, afin que la multiplication de la lumière se poursuive de manière infreinable. Mais mettez-vous aussi en réseau physiquement, c’est-à-dire en échangeant mutuellement vos adresses, et mettez en place un réseau d’information qui fonctionne de main à main – cela au cas où Internet serait complètement bloqué. Ainsi, tant que la population mondiale ne peut pas voir clairement dans sa majorité absolue quels sont les personnages et les agresseurs à l’œuvre, qui sont aussi les plus grands seigneurs qui ont une ferme emprise sur la science, les voyages dans l’espace, l’éducation, nos grands hommes politiques et surtout nos grands médias, toute action précoce est vouée à l’échec. Je vous le garantis.

C’est seulement quand la lumière du jour se sera levée sur la communauté mondiale, de sorte qu’elle ne puisse plus être aveuglée par des hérésies confuses ou des tromperies médiatiques, que d’autres avancées concrètes auront un sens. Ce n’est que lorsque, disons, une nette majorité de la population mondiale sera parfaitement au courant de la situation qu’un nouveau départ sera possible sans guerres civiles, effusions de sang ou d’autres guerres. Pourquoi ? Car alors, la proportion de cette petite minorité élitiste sera également dévoilée publiquement. Alors, des milliards de citoyens de la terre ne seront plus confrontés à des dirigeants lourdement armés, mais seulement à quelques milliers de conspirateurs. Et même s’il s’agissait de dizaines de milliers de personnes, un peuple suffisamment éclairé n’a alors qu’à changer de cap, et l’affaire est réglée. Mais tant que toutes les forces militaires et les forces de sécurité sincères, y compris l’appareil judiciaire restant, etc., tant que tous les partis, religions, idéologies, etc. trompés, n’auront pas bien compris ce qui se passe réellement, chaque coup de pédale, chaque tentative de changement radical conduira à une défaite certaine. C’est mon pronostic.

Ce serait comme si un enfant essayait d’avoir le dessus sur un cambrioleur armé, un cambrioleur dangereux. Il aurait besoin de renfort pour accomplir une telle chose. Comprenez-vous cela ? Tant que plus de 90 % de l’humanité est encore aveuglée par le mainstream et la télé, nous n’avons aucune chance de changer le système ! La devise prioritaire reste donc « Que la lumière soit ! » C’est le but. La lumière et l’amour mutuel entre vous, une reconnaissance, une interconnexion et la certitude absolue de notre unité organique : c’est la base indispensable du nouveau monde, qui, soit dit en passant, est en train de se créer en ce moment même, à travers toutes ces contractions d’accouchement pour sortir de l’ancien monde. Mais elle ne peut être préservée de façon permanente et être adaptée à la vie que si chacun vit dans ce nouvel esprit.

Par conséquent, évitez tout coup de pédale dynamique individuel, qui veut changer et faire passer quelque chose rapidement, pour ainsi dire, sans égard au corps dans son ensemble. Les défaillances ou les actions intempestives doivent malheureusement toujours être payées par l’ensemble du mouvement, même si celui-ci n’a pas donné de mandat pour de telles actions trop précoces égo-individualistes. Concentrez-vous donc uniquement sur la diffusion de la lumière, sur le dévoilement, jusqu’à ce que le moment soit venu de prendre d’autres mesures.

Mais fortifiez toujours votre résistance à tout moment en tendant vers le refus total, lorsqu’il s’agit par exemple de l’abolition de l’argent liquide. Payez en espèces partout où vous le pouvez. Refusez tous également toute forme de vaccination forcée et aussi toute forme d’implantation de puce ou de tatouage de tout numéro d’identification, de code et autres. Refusez partout l’introduction de la 5G, la 6G et toutes ces technologies, parce qu’elles vous pousseront en position OFF totale. En particulier, contredisez toute autre revendication de pouvoir de la part des médias grand public. Dévoilez leurs tromperies et leurs mensonges partout où vous le pouvez. Ils vous en donnent des occasions suffisantes chaque jour. Mais utilisez aussi nos émissions et diffusez-les autant que vous pouvez. La priorité constante et absolue est la mise à la lumière des médias de masse qui ont déraillé. Par eux, tout se diffuse dans le monde. Les grands médias sont tombés sous le contrôle de tireurs de ficelle hautement criminels qui doivent être impitoyablement dévoilés. Mais tant que les médias de masse pourront encore jeter la confusion dans l’esprit de plus de 90 % des gens, les salir et les programmer incorrectement, les grandes masses continueront à se laisser séduire aveuglément et sans méfiance par leurs tromperies. C’est notre problème. Les médias tiennent toujours en otage la grande masse, et sans qu’elle le sache ils abusent d’elle comme d’esclaves sans défense.

Je résume. Lorsque vous tous, qui êtes maintenant des millions et qui comprenez exactement ce qui se passe ici, lorsque tous vous diffusez les fils rouges du dévoilement, qui viennent d’être nommés, lorsque chacun d’entre vous gagne constamment et éclaire trois autres et que ces trois-là font de même, alors on peut catapulter très rapidement toute la population mondiale à la lumière de la vérité. Vous comprenez, ça se produira très rapidement si nous travaillons fidèlement dès maintenant. La lumière de la vérité doit surmonter les sombres tromperies jusqu’à ce que la lumière du jour vienne complètement. Et ce n’est que lorsque ce sera devenu suffisamment lumineux dans l’ensemble de l’humanité et lorsque la majorité nécessaire verra clairement ce qui se passe ici, qu’il sera facile et rapide d’entamer un nouveau processus significatif et prometteur. Mais tant que les militaires, les forces de sécurité, les politiciens, mais aussi les chefs religieux, etc., qui sont aveuglés par les médias, ne pourront pas voir ce qui se passe exactement ici à travers ce jeu sournois et méchant, toutes les tentatives d’application de la loi, à l’exception de celles qui viennent d’être mentionnées, ne feront que mener à un énorme chaos. Et le chaos est exactement ce que ces puissances de l’ombre ont toujours voulu. Lorsque le chaos est créé, elles peuvent asservir le monde entier en un clin d’œil. C’est leur plan.

Ainsi, lorsque l’œuvre de la lumière aura fait son travail et que le moment sera venu, il y aura une sortie de crise rapide et facile : toutes ces élites sinistres seront alors traitées de la même manière qu’elles avaient traité auparavant l’ensemble de la communauté mondiale. Elles seront en quelque sorte poussées dans les propres fosses qu’elles ont creusées auparavant pour les peuples sans méfiance. Au lieu d’enlever au monde entier le dernier 1 % des richesses qui restent dans l’antichambre des processus d’expropriation, on expropriera simplement les élites super-riches et sataniques de la franc-maçonnerie, et tous ceux qui, par des spéculations sournoises et embrouillées, ont pris aussi les richesses des nations. Les sociétés pharmaceutiques frauduleuses, etc., devront alors recracher tous les profits de leurs stratégies qui nous gardent malades et mettre fin… elles devront mettre fin à leur jeu diabolique.

Une fois que toutes leurs richesses et leur argent acquis injustement auront été rendus à la population mondiale trompée, je dirais que les difficultés financières les plus urgentes seront déjà résolues. Cette élite relativement restreinte de dirigeants mondiaux en échec sera alors enchaînée comme on l’a toujours fait pour les terroristes. Ils recevront une punition adaptée à leur genre, puisqu’ils voulaient, en quelque sorte, emprisonner sans pitié toute la communauté mondiale, l’enfermer et l’humilier comme leur esclave. Que sur la voie proposée, le revirement vers le monde nouveau, le monde vraiment nouveau, commence, et tout le reste je pense suivra ensuite de lui-même.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 43 ans.




Trump sera réélu. Voici pourquoi

[Source : Réseau International]

par Serge Charbonneau.

Oui, Donald Trump sera réélu haut la main.

Il n’y a aucun doute possible.

Voici pourquoi.

Donald Trump n’est pas un politicien et c’est pourquoi l’une des principales raisons de sa réélection n’est pas du tout politique.

Il sera réélu parce que « le peuple l’aime[1] » ! 

Eh ! Oui ! La principale raison pourquoi Trump sera réélu c’est qu’il est aimé ![2] Une raison absolument non politique.

Il est aimé comme une « rock star » peut être aimée. Il remplit les tarmacs[3] partout où il atterrit avec son Air Force 1Voyez ces nombreuses foulespartoutpartout[4].

Les cinq années de vomi sur Donald Trump de la part de tout l’establishment oligarchique mondialiste aidé de leurs gros canons médiatiques a eu un effet passionnel tant vers la haine que vers l’amour.

On a eu beau vomir copieusement chaque jour, chaque heure, et même chaque minute sur Donald Trump, et ce, de façon terriblement soutenue et constante partout, sur toutes les grandes chaines et sur toutes les plateformes, télé, radio, internet et sur toutes les émissions, de l’information à la culture en passant par les émissions de cuisine et de rénovation qu’on n’a pas réussi à le faire haïr par tous.

Ceux qui le haïssent viscéralement, comme atteint d’une maladie mentale sérieuse et inexplicable, ne le connaissent pas, ne le suivent pas et ne veulent surtout pas le connaître.

Par contre ceux et celles qui le suivent et qui sont touchés par ses nombreuses politiques mises en place pour le peuple, l’adorent et le bénissent[5].

Eh ! Oui ! C’est la passion des deux côtés.

Mais outre la passion, il y a aussi le résultat politique et économique de son administration.

Jamais un président n’aura tenu ses promesses aussi solidement. Voilà une autre des raisons majeures de sa réélection.

Tous ceux et celles qui ont voté pour lui en 2016 vont revoter pour lui avec un enthousiasme décuplé parce qu’absolument personne n’a été déçu. 

Plusieurs ont voté pour lui en 2016 par dépit. Ces gens écœurés des guerres et des mensonges classiques répétés ont opté pour cet individu sans expérience politique et qui avait des allures de clown de carnaval. Les gens jouaient le tout pour le tout et prenaient la chance d’élire ce bouffon télévisuel animateur-promoteur de match de lutte[6].

Quatre années plus tard, le bouffon a fait ses preuves. Sa sincérité s’est avérée. Il n’a pas déçu et a rempli une à une absolument toutes ses promesses.

La réussite économique est notable. Les cotes boursières fracassent constamment de nouveaux sommets. Le niveau d’emploi, jusqu’à la fermeture de l’économie due à cette politique mondiale imposée par la stratégie mondialiste du covid, atteignait des maximums inégalés, et ce, en particulier dans les milieux indigents, entre autres les banlieues des communautés ethniques défavorisées.

L’une des principales promesses de Donald Trump fut tenue. Il a mis fin aux traités de libre-échange qui dévastaient l’économie locale américaine. Par des mesures douanières nationalistes, il a récupéré les emplois que plusieurs entreprises américaines avaient délocalisés afin de maximiser leurs profits au détriment des travailleurs américains. Finie la production de produits américains « Made in China ». C’est le retour du « beautifull » « Made in the USA ».

Si les compagnies américaines veulent produire à l’étranger, ils ne pourront plus vendre leurs produits faits ailleurs sans une taxe d’importation élevée. Une politique efficace pour donner aux compagnies américaines « le goût du patriotisme ». Trump, comme un bon lutteur, a su leur tordre le bras pour leur faire comprendre où ils trouveraient dorénavant leur profit.   Leur profit n’est plus en Chine ou au Mexique ou même au Canada, mais bien aux USA.

Jobs ! Jobs ! Jobs ! 

Un résultat spectaculaire !

Surtout pour les communautés délaissées.

Les « Opportunity Zones »[7] 

Par des mesures fiscales assouplies et de l’investissement ciblé[8], ce programme met en place des structures favorisant l’entreprise dans des zones longtemps défavorisées.

57 pour cent des zones ciblées sont des zones où il y a des communautés noires ou hispaniques. Des zones où la pauvreté sévit depuis des lustres[9]. Des zones où le chômage est chronique, la scolarité peu élevée et la violence qu’entraine ce désœuvrement est bien présente.

Les « Opportunity Zones »[10] ont été un souffle d’espoir et dans bien des cas une marche vers la réussite.  Donald Trump a su ainsi montrer à ces minorités sa sincère volonté à améliorer leurs conditions de vie. Cette réussite[11] lui a fait gagner beaucoup de votes du côté des minorités afro-américaines et hispaniques.

Cette politique a été aussi soutenue par plusieurs gouverneurs démocrates, entre autres, Phil Murphy du New Jersey et par le sénateur démocrate Cory Booker[12].

Autre politique lui faisant gagner les cœurs de la communauté noire est le « Criminal Justice Reform »[13].

Un programme qui touche surtout les communautés noires et hispaniques défavorisées. Une bonne partie de la population carcérale est composée par les citoyens de ces communautés. Des gens devant purger des sentences interminables pour des délits souvent mineurs comme pour exemple la simple possession de drogue.

Le programme révise les sentences et gracie les prisonniers exemplaires ayant suffisamment purgé leur peine. Donald Trump accorde ainsi à plusieurs individus une seconde chance.

Le 1er avril 2019, Donald Trump recevait à la Maison-Blanche quelques-uns de ces prisonniers pouvant bénéficier d’une deuxième chance.  Il leur donnait même la parole[14].

Cette réforme fut un projet bipartisan auquel les démocrates ont participé à la grande satisfaction de Donald Trump[15].

Toujours pour montrer sa volonté sincère à améliorer la condition de vie des Afro-Américains, Donald Trump décrète un budget permanent pour les collèges et universités noires[16].

Donald Trump que l’on dit raciste et même suprématiste blanc donne plusieurs chaleureuses conférences dans les universités et collèges noirs[17].

Il est évident que le vote des communautés délaissées sera plus considérable qu’en 2016. Ces gens ont réellement bénéficié d’une écoute notable du Président[18] ainsi que des politiques de l’administration Trump. Le mouvement « Black for Trump » met toute son énergie pour accorder à Donald Trump « Four more years ».

L’administration Trump comprend plusieurs grands représentants noirs, l’un d’eux est le Docteur Ben Carson. Celui-ci avec son charisme sympathique et craquant et son sens de l’humour fin et pointu est un allié solide et un atout notable pour Donald Trump-dit-le-raciste. Il faut vraiment écouter la présentation que Ben Carson offre à Donald Trump lors de sa rencontre avec la communauté noire d’Atlanta. M. Carson attaque en disant qu’il faut du courage aux Noirs pour oser montrer qu’ils appuient ce « raciste » (sic) qu’est Donald Trump.  Prenez le temps de l’écouter ici[19].

À ces votes s’ajoute le vote religieux. Ces communautés noires sont passablement religieuses et plusieurs pasteurs convaincus et surtout convaincants travaillent ardemment à la réélection de Donald Trump[20].

Non seulement les Noirs, mais toute l’Amérique croyante est derrière Donald Trump. Ce filon électoral n’est pas négligeable.

Autre lobby important, le lobby juif. Le coup du transfert de l’ambassade US à Jérusalem et la déclaration concernant le Golan est important et assure la fidélité de ces puissantes gens.

La reconnaissance de Jérusalem comme étant la Capitale d’Israël[21] par le transfert de l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem est une promesse faite par tous les présidents précédents[22].

Le rapatriement des GIs qui faisaient des guerres sans fin au loin est un autre excellent coup de Donald Trump pour s’assurer du vote des Vétérans et des familles de militaires.  En plus de ce retour réjouissant des valeureux guerriers, les dépenses pour leur offrir le dernier cri des armes modernes toutes faites «Made in USA» plaisent aux militaires. Des armes que Trump dit vouloir ne jamais être obligé de les employer.

Autre point majeur en faveur de Donald Trump est la faiblesse incroyable de son opposant.

Creepy Joe[23] est clairement sénile et a une feuille de route loin de la virginité. Les démocrates ne pouvaient choisir pire. Biden, en plus d’être le politicien classique le plus nul qui soit, n’a pas fait campagne. La stratégie démocrate est absolument renversante.  Une stratégie tellement incroyable qu’elle engendre les théories les plus folles, comme celle de voir au dernier moment Biden déclaré incapable suite à un accident ou une faiblesse soudaine et remplacé au pied levé par la pétillante Michelle Obama.

Autre volet très important dans cette campagne électorale, la folie dictatoriale du covid.

On ne peut dissocier les deux dossiers. Cette folie du covid est venue mêler les cartes lors de cette campagne. Tout allait trop bien pour Donald Trump, le covid est arrivé comme une bénédiction pour ses opposants.

Par ce virus, on a pu mettre fin aux rallyes de Trump qui faisaient littéralement boule de neige.

Par ce virus, on a pu remettre à zéro le succès économique de l’administration Trump. Le niveau des emplois qui atteignait des sommets a été réduit à néant. La fermeture carabinée des entreprises et des commerces a détruit en un claquement de doigts la réussite économique des trois années de Trump.

Et on maintient toujours cette menace virale bien active pour tenter de persister à démolir le succès de Trump et briser son élan de campagne.

Mais cette stratégie se tourne contre les démocrates et j’oserais dire contre ce « Deep State » mondialiste contre lequel Donald Trump se bat depuis cinq ans. Les gens en ont marre de cette folie et veulent retrouver la vie normale. Et Donald Trump, du haut de ses 74 ans et ayant fièrement vaincu le terrible virus dit « mortel », se retrouve maintenant en position de force. Il a démontré de sa personne qu’on pouvait vaincre facilement ce terrible virus dit « mortel ». Des MÉDICAMENTS EFFICACES EXISTENT ! Même une cure régénératrice est disponible et Trump la met GRATUITEMENT à la disposition de tous ceux qui pourraient en avoir besoin.

Donald Trump se retrouve donc avec un autre vote sérieux. Celui des gens qui en ont assez et qui veulent LE RETOUR À LA VIE NORMALE.

Donald Trump en plus d’être un président ayant un bilan exemplaire est devenu le candidat de l’espoir du retour à la normalité.    

En conclusion, si on additionne, tous ces points indéniables et véritables en faveur d’une réélection de Donald Trump il en résulte que Donald Trump sera réélu haut la main. La seule façon que les démocrates pourraient remporter cette élection est par la fraude.

Bien entendu, on peut prévoir des coups fourrés.

Le dernier débat aura-t-il lieu ?

Si oui, aura-t-il lieu en personne et non à la caméra (et télésouffleur pour Biden) ?

Biden va-t-il rester en santé pour être présent pour l’élection ? Devra-t-on le remplacer au dernier moment ?

Les bulletins postaux vont-ils favoriser une fraude massive pouvant renverser la vapeur ?

Si tout se déroule démocratiquement et dans les règles du savoir-vivre démocratique, il faut prévoir, non pas une deuxième vague du covid, mais bien une deuxième vague électorale rouge.

Oui, le 3 novembre, il y aura une énorme vague rouge, a big red wave !

En complément à ce survol, je vous invite à lire mon analyse de la situation il y a quatre ans afin de vous rappeler pourquoi on votait pour Trump en 2016[24].

Vous verrez à quel point les électeurs ne peuvent pas avoir été déçus. Jamais un président n’a autant tenu de promesses.

En 2016, les électeurs avaient fait un énorme doigt d’honneur à ces manipulateurs de conscience qui mettaient tout en œuvre pour faire détester Donald Trump. Je vous invite aussi à lire avec attention le texte publié au lendemain de l’élection de 2016 intitulé « Le plus grand Fuck You ! »[25]. Vous y retrouverez une description détaillée du travail des ordures médiatiques à qui la population américaine a fait un doigt d’honneur. Je crois qu’il est important de se rappeler ce travail et de bien voir qu’il se poursuit toujours sur différent plan.

Salutations,

Serge Charbonneau 

Québec

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[1] Trump supporters in Michigan chant « We Love You!… TRUMP: « Don’t say that, I’ll start to cry… »

[2] Trump supporters in Michigan chant « We Love You!… TRUMP: « Don’t say that, I’ll start to cry… »

[3] Trump Rally Crowd in Ocala, FL 10/16/20

[4] The Cameras Pan At Donald Trump Rally In Florida President Trump Signs the HBCU Executive Order

Trump Rally Crowd is UNBELIEVABLE in Swanton, Ohio

21 septembre 2020

Trump Asks Media to Show Full Crowd in Reno, Nevada.

12 septembre 2020

[5] Crowd Erupts in « We Love You » Chant to Trump

[6] The Battle of the Billionaires takes place at WrestleMania 23

[7] President Trump Participates in a Signing Event for an Executive Order

[8] Senator Tim Scott: We’re bringing job creators to the worse economic areas of the country

[9] Opportunity Zones: Will Tax Break for Investors Benefit Communities Too?

[10] Opportunity Zones

A new national community investment program that connects private capital with low-income communities across America

[11] Making Opportunity Zones Work for Black Communities

[12] Senator Booker and Governor Murphy on Opportunity Zones

[13] President Donald Trump Signs Historic Criminal Justice Reform Law | NBC Nightly News

[14] President Trump Remarks at White House Prison Reform Summit

[15] President Trump Makes Remarks On Criminal Justice Reform From The White House

[16] President Trump Signs the HBCU Executive Order

[17] President Trump speaks at historically black colleges and universities conference – 09/10/2019

[18] President Trump’s Platinum Plan for Black communities!

[19] Ben Carson introduces President Trump at ‘Black Voices for Trump’ rally in Atlantahttps://www.youtube.com/embed/U2XO-gpv6xE?enablejsapi=1&autoplay=0&cc_load_policy=0&iv_load_policy=1&loop=0&modestbranding=0&rel=1&fs=1&playsinline=0&autohide=2&theme=dark&color=red&controls=1&

[20] « NOT A RACIST » Black Pastors PRAY and DEFEND President Trump In Atlanta

[21] Reminder: U.S. Presidents Have Promised to Move the U.S. Embassy to Jerusalem For Decades

Obama: Jerusalem Will Be Israel’s Capital

[22] Montage: Past Presidents Promise to Move U.S. Embassy to Jerusalem

[23] Watch Joe Biden give an endless hug to Hillary Clinton

[24] Texte publié quelques semaines avant l’élection de 2016 :

Pourquoi on vote pour Trump ?

[25] Le plus grand « FUCK YOU »  (publié en le 10 novembre 2016)




POUR UN COUP D’ÉTAT PACIFIQUE ET LÉGITIME

[Source : https://polemique.roman-livre.com/]

[Comme complément à l’article Annonce du renversement du gouvernement français.]

POUR UN COUP D’ETAT PACIFIQUE ET LÉGITIME

SELON LE JUSTE DROIT

84 MESURES

dont

15 à prise d’effet immédiat

suivies de la

Déclaration du Peuple de France


ATTENDU qu’il est prescrit en cas d’invasion ou de tyrannie que le peuple a non seulement le droit, mais le devoir de se révolter et de repousser ses envahisseurs et tyrans

ATTENDU que s’il n’agit pas, il sera coupable de trahison et perdra de ce fait tout droit à revendiquer ce qui lui appartient

ATTENDU que la Résolution 37/43 de l’Assemblée générale des Nations Unies, adoptée le 3 décembre 1982 : « Réaffirme la légitimité de la lutte des peuples pour l’indépendance, l’intégrité territoriale, l’unité nationale et la libération de la domination étrangère et coloniale et de l’occupation étrangère par tous les moyens disponibles, incluant la lutte armée » (voir aussi les Résolutions de l’Assemblée générale des Nations Unies 1514, 3070, 3103, 3246, 3328, 3382, 3421, 3481, 31/91, 32/42 et 32/154), le droit à la résistance est établi, et non seulement, mais encore conforté, légitimé par l’article 1er §4 du premier protocole additionnel de Genève du 08 juin 1977 qui précise que, parmi les conflits armés internationaux, figurent ceux « dans lesquels les peuples luttent contre la domination coloniale et l’occupation étrangère et contre les régimes racistes dans l’exercice du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes… « 

ATTENDU que les peuples occidentaux sont occupés illégalement, d’une part du fait d’envahisseurs importés qui font régner une terreur dans les rues, d’autre part du fait d’une élite apatride inversée parfaitement identifiée, qui ne fait pas mystère de ses vœux et fait venir ces envahisseurs aux fins de détruire les dits peuples, qui a subverti à son profit tous les rouages de l’État ainsi que les médias de propagande, agissant sous couvert laïc mais en réalité confessionnelle, sectaire, suprémaciste et racialiste, la libération est rendue absolument impérative et juste, par quelque moyen que ce soit

ATTENDU que les peuples déplacés par ces migrations subventionnées occasionnent à leur pays d’origine déchéance, pauvreté, perte de souveraineté et défaut de développement

ATTENDU que les gouvernants successifs de la « République française » se sont montrés incapables de maintenir la paix, la Justice, l’instruction, la santé, la vie privée, la liberté, l’économie, la sécurité et a fortiori la prospérité, et tout ce qui découle des précédentes

ATTENDU que non seulement ils n’ont pas été compétents en ce sens mais se sont montrés particulièrement zélés à détruire tout cela, qu’ils ont par ailleurs profité de moult avantages par produisant l’enrichissement personnel, l’amnistie systématique, l’immunité judiciaire, la reconduite aux postes via diverses manipulations de la loi électrorale et des scrutins eux-mêmes, tandis qu’ils étaient souvent majoritairement condamnables en maintes affaires où leurs concitoyens ont été lésés, qu’ils ont multiplié pillages, crimes, viols, déprédations de toutes sortes y compris de sortes qui ne sont pas prévues par la loi, famines, meurtres de masse y compris de petits enfants, maladies et épidémies, concussion, corruption, prévarication, népotisme, manipulations successives des lois et des institutions, dilapidation des ressources publiques et privées, privatisations indues, qu’ils ont engagé le peuple par des signatures contre lesquelles il s’opposait formellement, quand, encore, il était consulté

et pour bien d’autres motifs encore, déclarons solennellement :


Françaises, Français,

Notre pays a connu l’équivalent d’une guerre. Non seulement notre pays, mais une bonne partie de l’Europe, et bien d’autres pays dans le monde. Tout a été saccagé. Etat, santé, justice, éducation, économie, autorité publique, armées, patrimoine, tout est à terre.

Pis encore: une véritable entreprise de destruction vise non plus seulement vos biens, mais vous-mêmes et votre descendance.

Tout est violé aussi, jusqu’aux textes fondateurs [1].

Nous devons donc agir.

Le coup d’Etat se fera dans l’ordre, dans le respect des personnes et, au cas où quiconque serait atteint dans son intégrité par les nécessités de l’action physique, dans le respect de la loi morale supérieure.

Le gouvernement provisoire prendra les premières décisions suivantes, immédiatement applicables[2].

  1. Suspension immédiate de tout épandage par voie aérienne ou autre; l’épandage de produit non naturel est considéré comme empoisonnement de masse, dorénavant formellement interdit, et passible de la peine maximale encourue
  2. Arrêt de toute installation du réseau 5G. Toute tentative est considérée comme dans art. précédent
  3. Suspension de l’activité, jusqu’à nouvel ordre et hormis les forces de maintien de la sécurité, de toutes les institutions, Ministères, Chambres, Ordres, Conseils, Agences, Bureaux, Observatoires, en bref toute organisation étatique ou para-étatique qui se comptent dans ce pays par millions, certaines pour une durée très courte afin de ne point permettre le chaos, d’autres définitivement, pour le faire cesser
  4. Suspension de toute activité des organisations étatiques ou para-étatiques notamment d’autorité ou de surveillance publique, policières et militaires ou non, clandestines ou déclarées, sauf en ce qui concerne le maintien de l’ordre public strictement compris [39]; suspension de tout vol militaire jusqu’à nouvel ordre
  5. Interdiction de toute vaccination de masse, et rétablissement de la responsabilité des laboratoires pharmaceutiques
  6. Annulation de toute amende (y compris contractée lors des dernières manifestations populaires non-syndicales, hors actes de déprédation et agressions, ou pour défaut de port du masque, interdiction renouvelée du masque)
  7. Suspension de l’impôt ou tout autre prélèvement direct, jusqu’à nouvel ordre
  8. Désengagement des Traités de Lisbonne, Maastricht, Schengen et rétablissement des frontières
  9. Défiscalisation totale et déréglementation massive à prise d’effet immédiat pour les métiers de productions naturelles (agriculture, pêche, maraîchage) [10] sous condition de production à bilan kilocalorique positif [10bis]. Suppression des contraintes sur les métiers (administratives, réglementaires, sécuritaires etc.) au niveau de 1950 (sauf exceptions spécifiques)
  10. Défiscalisation totale et déréglementation des métiers à revenu précaire
  11. Rétablissement des libertés publiques et privées. Suppression des lois sur l’opinion [11] et modification constitutionnelle en faveur de la liberté d’expression intangible, libération des prisonniers politiques, amnistie totale et indemnisation maximale, réhabilitation des chercheurs et/ou lanceurs d’alerte persécutés pour le motif de leur travaux, de leur expression écrite ou orale; poursuite et condamnation de leurs persécuteurs, juges y compris
  12. Mise en panne de tous les radars routiers automatiques, démantèlement partiel du parc, abrogation de l’écotaxe; suspension et suppression de tous les compteurs télécommandés, rétablissement de l’obligation du contact direct entre fournisseur et client [42]
  13. Mise en examen immédiate de tous les ministres, secrétaires d’État ou conseillers divers ayant participé aux derniers gouvernements depuis 1981, saisie de leurs biens en attendant leur comparution
  14. Suspension et mise en examen de tout juge appartenant à une maçonnerie ou organisation secrète antinationale, en attendant jugement et saisie universelle des biens
  15. Mise à pied de tout policier ayant commis des violences ou procédé à des arrestations abusives sur manifestants dans les 5 dernières années, en attente de leur jugement

Viennent ensuite les décisions suivantes :

  1. Suppression de 580 taxes, impôts, droits, prélèvements, contributions, versements et autres ou redevances (sur les environ 600), avec effet immédiat et rétroactif sur les 5 exercices précédents (dont suppression immédiate de la TVA, de la CSG, de toutes taxes sur la production d’énergie, de la Redevance audiovisuelle, de la Taxe d’habitation, de la Taxe Foncière, des Droits de succession. Baisse de la TIPP [4] — prix à la pompe). Création d’une TVA sociale (appliquée aux seuls produits d’importation)
  2. Pénalisation maximale de toute traite humaine
  3. Rétablissement immédiat de la sécurité [44] sur l’ensemble du territoire, selon les directives édictées par le gouvernement provisoire, notamment dans les quartiers et villes perdus. La force publique, qui agira à bon escient, selon directives et instructions nettes et avec des moyens nouveaux, aura carte blanche et ne saurait être inquiétée judiciairement durant la période considérée
  4. Baisse immédiate de l’impôt sur le revenu des particuliers, baisse drastique de l’impôt sur les sociétés dont plus de la moitié du capital est détenu par de vrais Français [5]
  5. Augmentation provisoire de toutes les retraites à un niveau minimal net de 875€, abaissement provisoire de toutes les retraites du public à un niveau maximal (à déterminer) [7]
  6. Dissolution de 29 ministères ou missions de l’État (parmi liste) [8]. Le Ministère de l’Éducation nationale redevient, très justement, le Ministère de l’Instruction publique [9]. La dissolution des ministères entraîne la disparition des normes et obligations qu’ils édictent
  7. Refonte de tous Codes (du travail, etc.) voire abolition (Code dit de l’Éducation etc.) [43]
  8. Sortie de l’Europe dans les meilleurs délais (non-négociables par l’Europe), Frexit. Retour du franc
  9. Restauration immédiate du statut du peuple souverain [38]. Le peuple gouverne directement, extinction du système politique. Généralisation du système référendaire, participation directe à l’exercice législatif et judiciaire. Consultation nationale étendue et de droit
  10. Dissolution des deux Chambres parlementaires et refonte de la représentation nationale selon de nouveaux postulats intégrant l’expertise; remplacement du Sénat par une assemblée de Sages maîtres en leurs domaines, en nombre réduit, engagés sur leur vie, dont le rôle est le conseil de la Nation, qui exerce directement le pouvoir. Abolition de la fonction du politicien (qui ne sait que faire de la politique en tant que telle)
  11. Abolition de la maçonnerie, des sectes satanistes et diverses organisations délinquantes ou criminelles (Dissolution formelle de la franc-maçonnerie du CRIF, de la LICRA, de SOS-Racisme, du Betar, des ligues Antifa etc., coupables de menées antinationales, violences, subversion, violation des droits du peuple et Haute trahison), interdiction d’y appartenir; pénalisation de toute participation, pour un fonctionnaire à une organisation privée (hors clubs associatifs, sportifs etc.). Mise à pied et mise en examen immédiates, avec privation de liberté, saisie des biens et déchéance de nationalité, de tout fonctionnaire maçon du 33ème degré et supérieurs
  12. Annulation de la dette nationale pour toute la part de l’intérêt, moratoire sur le principal [3]. L’État ne peut plus emprunter sur un terme dépassant 7 ans
  13. Remplacement systématique de tous les documents d’identité biométrique par des documents papier [40]. On abandonnera à terme le passeport, qui n’existait pas avant 1914
  14. Séparation de l’État et des banques commerciales, restauration du statut de la Banque de France dont les membres, absolus (i.e. ab soluta: libres de tout lien) seront garants sur leurs biens. Les premières banques privées par l’importance sont nationalisées et confiées à des organismes indépendants [41] [45]
  15. Rétablissement des Droits et Devoirs régaliens de l’État et budgets attachés : Défense, Justice, Finances (et émission de la monnaie), Droit de Grâce, Aménagement du Territoire, Diplomatie
  16. Refonte des attributions et pouvoir des mairies selon les meilleures propositions des Cahiers de doléances
  17. Annulation des déficits personnels pour raison d’endettement passif des particuliers
  18. Rétablissement du droit de poursuites des laboratoires en cas d’effets secondaires indésirables ou délétères pour l’un quelconque de leurs produits. Plus de 70 cas jugés conduisent à l’interdiction dudit produit
  19. Dissolution des « ordres » (de médecins etc.), rétablissement de la liberté médicale
  20. Rétablissement de l’herboristerie, interdiction des brevets sur le vivant. Le système de santé s’orientera vers les plantes et le monde naturel, il s’éloignera de la médecine lucrative
  21. Prohibition du remboursement de l’avortement et de toute organisation ou communication qui y serait favorable. Interdiction formelle sous peine des sanctions les plus sévères, de toute vente ou achat de tout organe ou élément extrait, sous quelque forme que ce soit, d’un embryon ou d’un corps, né ou à naître. Dissolution du Planning familial et organisations associées, comparution des dirigeants pour crime contre l’Humanité, saisie universelle des biens des dites organisations et des personnels, à quelque degré qu’ils appartiennent
  22. Interdiction de la PMA et de la GPA, de l’adoption par les couples homosexuels [46]
  23. Abolition de l’appariage homosexuel et du PACS. Être homosexuel est une affaire privée, la population n’a pas à financer les mœurs. L’État quant à lui se doit constitutionnellement de ne financer que ce qui assure la perpétuation de la vie
  24. Déchéance de la nationalité pour tout Français « de papier » (c’est-à-dire ayant obtenu la nationalité étant né à l’étranger ou enfant, ou petit-enfant d’étranger) commettant tout acte délictueux sanctionné par une condamnation à une peine de prison excédant un mois de prison avec sursis, et expulsion dans le pays d’origine, ou à défaut de reconnaissance d’une quelconque origine nationale, en territoire d’outre-mer aménagé à cet effet
  25. Renforcement des peines prévues pour outrage à la pudeur, aux bonnes mœurs et à la dignité. Interdiction des manifestations de rue sexualistes, de la débauche publique, fermeture de tout établissement atteignant à la morale publique, de tout débit de drogue, de tout club décadent, de toute publication ou affichage similaire ou promouvant la subversion morale ou politique, de tout site internet similaire, avec peines de prison fermes en cas de récidive
  26. Reconduite immédiate à la frontière des délinquants étrangers au premier délit sans possibilité de retour avant 5 ans [30], après paiement au-delà des seules réparations. Peine d’intérêt général en cas de faillite personnelle 
  27. Tout signe public offensant à caractère sexuel ou injure invoquant la sexualité ou mettant en cause une quelconque parenté de la victime [41] est sanctionné par une mise en examen
  28. Toute injure prononcée par un étranger envers un national conduit à l’expulsion immédiate, à ses frais, ainsi que tout désordre public ou atteinte à la tranquillité publique
  29. Détricotage législatif et mise à terme de la surenchère parlementaire et législative [12]. Abrogation des circulaires, et ordonnances, suppression de tout décret n’étant pas circonscrit dans l’application stricte de la loi qu’il est censé illustrer. Assainissement et simplification : accessibilité, égalité devant la loi. Réduction à un corpus législatif et légal accessible par le citoyen [13]. Toutes les lois, obligations (vaccinale par exemple) ou interdits votés et édictés depuis 1789 repassent devant le consentement populaire et la chambre législative, l’une après l’autre
  30. Établissement d’une politique agricole fondée sur la restauration immédiate de la biologie des sols, interdiction des productions dites intensives, retour aux méthodes naturelles
  31. Diminution drastique du nombre d’élus [14], maintien du nombre à parité fixe avec le nombre d’habitants [15]
  32. Diminution du nombre de fonctionnaires administratifs d’État et territoriaux à parité fixe avec le nombre d’habitants [16], engagements déontologiques stricts. Quasi-suppression des personnels des institutions centrales (chambres parlementaires, cours etc.)S
  33. Instauration d’une juridiction populaire jugeant les fonctionnaires sur saisine des citoyens, avec perte du statut après deux condamnations prononcées. Fin, de ce fait, de « l’emploi à vie »
  34. Indexation des revenus du politique sur ses activités réelles et la croissance
  35. Proclamation de l’inutilité des politiques, création d’un régime populaire à exercice direct, référendaire, législatif, judiciaire, sous contrôle de l’assemblée nouvelle
  36. Pénalisation de toute chirurgie-charcuterie visant à changer de sexe, avec peines de 10 années de réclusion incompressibles
  37. Limitation du cumul et des renouvellements des mandats
  38. Augmentation des salaires de fonctionnaires des premiers échelons [17] (catégorie C) et des libéraux dépendants du domaine public (santé notamment)
  39. Établissement de nouveaux modes de scrutin (sauf Europe) [18]
  40. Suppression du département
  41. Suppression des mots faux et maçonniques « Égalité, fraternité » dans la devise nationale. Création d’une nouvelle devise
  42. Allègement draconien des documents administratifs, épuration des fiches salariales [19]. La production d’un document administratif par l’administration sera rendu difficile et il sera rappelé qu’aucun n’est opposable au citoyen s’il n’en passe par la loi
  43. La loi et la loi seule: abolition des divers codes de l’Éducation, de Santé etc.
  44. Contingentement de l’impôt territorial et national [6]
  45. Abolition des zones et banques défiscalisées de Polynésie ou d’ailleurs (où les politiciens français possèdent des comptes qui leur permettent de voir leurs chèques jamais encaissés par le Trésor public)
  46. Rétablissement d’un droit conforme à l’esprit des textes [20]. Rétablissement de la Justice selon l’esprit de la loi. Réhabilitation des juges d’instruction. Refonte du Code pénal et des divers autres textes. Extinction du droit procédural : on en revient à l’intention première. Introduction de la responsabilisation des juges, qui sont élus tous les 3 ans et leurs revenus personnels corrélés à leurs résultats, selon votation des personnes qu’ils ont eues à juger
  47. Sortie de l’Europe légale [21]
  48. Modification de la Constitution, restauration des principes sacrés
  49. Recherche d’un accord mondial pour l’éviction de la spéculation pure et le jeu bancaire [22]. Taxation sur le sol national de la dite spéculation boursière et bancaire. Abaissement des montants circulant à maximum 4 fois les actifs détenus. Désengagement des marchés de la part de l’Etat et collectivités. Prohibition de l’emprunt public sur les marchés : l’Etat seul prête à ses institutions, sous contrôle populaire
  50. Défiscalisation des échanges locaux libres
  51. Dissolution des centaines de milliers d’officines, agences, bureaux, dont Pôle-Emploi, le RSI, les CMPP, la DPJ, la MDPH, l’ASE, la PMI et autres organisations para-étatique plus ou moins légales, légitimes ou même mafieuses [23]. Fin effective du monopole de la Sécurité sociale [24]. Condamnation de l’organisme pour chaque empêchement constaté, et mise à pied des juges qui auraient voté en ce sens dans les 3 dernières décennies
  52. Interdiction pour les organisations para-étatiques de prétendre agir pour l’Etat, abandon de toutes les délégations usurpées
  53. Nettoyage et contrôle strict des subventions publiques. Interdiction de subvention d’associations cultuelles, voire culturelles [25]
  54. Arrêt des subventions aux associations non reconnues d’utilité publique [26] par consultation populaire (ne seront maintenues que les organisations recueillant plus de 80% d’avis favorables) ou par type d’activité, arrêt des subventions à la presse [27]
  55. Législation sur les syndicats et les organisations : obligation de publier des comptes
  56. Politique migratoire cohérente sur la base de compétences en fonction des besoins réels (contrats réels) et de l’asile politique exclusivement [28]. Abolition de la décapitation migratoire, rejet des envahisseurs à la mer
  57. Suppression des dépenses sociales en faveur des étrangers en situation irrégulière [29] ou vivant à l’étranger
  58. Réduction et lisibilité du Code pénal (déclaration solennelle : la loi est faite pour l’homme et non l’homme pour la loi)
  59. Raccourcissement des délais de justice et introduction de procédures à échéance fixe, sous peine de nullité [31]. Création de l’infraction d’outre-délai, sanction des personnels judiciaires en ce cas, perte de la fonction à la troisième récidive. Budgets adéquats du domaine judiciaire
  60. Facilitation du droit d’investigation et d’enquête de l’autorité publique [32]
  61. Prohibition sur les produits phytosanitaires et de consommation dangereux [33], interdiction de production, stockage et transit de ces produits
  62. Relance de la production d’énergies libres(défiscalisation), abandon de l’éolien et du photovoltaïque et autres opérations de pure spéculation [34]
  63. Démantèlement intégral du réseau 5G et prohibition de toute technologie de communication anti-biologique
  64. Allégement du droit du travail, épuration du Code du Travail. Suppression de l’intervention du juge dans les procédures de licenciement [35], renouvellement de la liberté de création d’entreprise, suppression de déclarations, etc. [36]
  65. Rétablissement du statut du médecin, du notaire, suppression des réglementations des métiers de la gynécologie,
  66. Retrait général de l’État dans ses fonctions régaliennes
  67. Rétablissement du délai de réflexion de 7 jours pour l’avortement, interdiction de l’avortement au-delà de 4 semaines de la conception. Référendum sur l’avortement
  68. Désengagement des conflits non stratégiques pour l’intérêt national
  69. Libération de l’initiative entrepreneuriale nationale par la suppression de tout impôt ou démarche avant d’atteindre un seuil de revenu bénéficiaire déterminé [37]
  70. Réforme totale de l’enseignement : liberté des universités et grandes écoles, liberté de fondation d’établissement, suppression de la carte scolaire, établissement de grilles de résultats, promotion au mérite, management, libéralisation
  71. Grands travaux pour le transport à très grande vitesse individuel porte-à-porte en vue du développement de l’intégralité des territoires et connexion aux pays voisins
  72. Grands travaux de restauration et reconstruction des monuments, châteaux, monastères et autres ayant été détruits par la révolution, les périodes de trouble, la fiscalité ou les politiques et révolutions urbaines
  73. Suppression du changement d’heure (été-hiver)
  74. Fin des « monopoles publics » (Fondation de France, attribution des droits d’émission audiovisuelle par le CSA etc.)
  75. Suppression du droit d’auto-amnistie parlementaire, révisions des amnisties précédentes, lancements des procédures de réparation
  76. Interdiction de la discipline des partis, suppression des quorums pour la constitution des groupes
  77. Établissement d’un monarque, représentant la souveraineté populaire et assurant la perpétuation des éléments fondateurs sacrés  la Nation, ayant pouvoir de s’opposer à une loi au nom des principes sacrés de la Nation, disposant d’un pouvoir judiciaire étendu et régalien, capable de dissoudre des organisations non-institutionnelles ou de dessaisir des personnes, quelles qu’elles soient, sans procédure, au nom des mêmes principes. Il est ab-soluta, absolu, c’est-à-dire sans lien à aucun lobby ou contre-pouvoir, il est libre. Nulle chambre n’a préséance sur lui
  78. Le peuple a le pouvoir de déposer le monarque s’il le demande à concurrence de 80% des voix
  79. Le monarque est issu d’une assemblée de gens formés dès le jeune âge à tous les métiers du peuple, par les métiers et choisi en son sein par l’ensemble des institutions et du peuple, à concurrence de 75% de voix du peuple et le reste aux institutions. Le monarque ne peut en aucun cas appartenir à quelque organisation politique ou assimilée que ce soit, il n’a le droit d’assister à aucune assemblée secrète à l’étranger, toutes ses dépenses se font sur ses fonds propres, il ne dispose pas de budget, sauf exception
  80. Rétablissement d’une vraie Assemblée nationale, à nombre de parlementaires réduits (50 représentants maximum), en charge des lois décidées par le peuple
  81. Établissement de l’Assemblée des Sages (400p) désignés par les corporations (organisations des métiers) veillant à amender, conseiller, recomposer les lois décidées par le peuple et les mises en œuvre de l’Assemblée nationale
  82. Rétablissement des Corporations qui protègent les citoyens, dirigées directement par eux et présidées par leurs représentants, qui ne peuvent être membre du Conseil des Sages
  83. Abolition des subventions aux « mémoires » racialistes ou idéologiques. Démantèlement des monuments idolâtres « mémoriels » de la pensée officielle abolie, destruction de tout signe, ouvrage, œuvre, support quelconque ou bâtiment créé avec l’argent public à ces fins scélérates
  84. Retour à l’heure naturelle

Ces mesures ne sont pas exhaustives et la nécessité dictera les urgences éventuelles

Déclaration du Peuple de France

À vous, le Peuple :

à l’origine, la démocratie devait assurer votre existence sous la protection des institutions. Vous en avez été chassés.

Les politiques ont détruit le pays, en transformant progressivement des principes démocratiques en un système inique et privé. Armés de principes inadaptés et pauvres, ils ne pouvaient assumer un devoir qui dépassait leurs capacités. Ils ont ainsi failli à leur tâche et à leurs obligations. En revanche, ils ont apporté zèle et efforts à la destruction universelle du pays.

Vous restez devoir obéir aux lois, ils s’en sont dispensés.

La pauvreté ronge lentement vos revenus, la loi diminue inéluctablement vos droits, votre santé est sabotée, votre éducation dépouillée, la justice partisane, vos administrations laminées, votre sécurité n’est plus assurée et, pour finir, les subsides publics ont acheté vos libertés.

¨Par des épandages aériens, votre intégrité, votre santé sont directement menacés.

Par le port du masque en dépit des résultats incontestables de pays qui n’en ont pas fait usage, on a diminué votre immunité, augmenté votre stress oxydatif, intoxiqué par votre propre gaz carbonique. Par la « distanciation sociale », on vous a soumis à des comportements contrôlés.

Tout cela, et pas même le dixième, nos ancêtres ne l’auraient jamais accepté. Jamais nos enfants ne pourront vivre avec ce que nous leur laissons — si vivre est un mot qui a encore un sens demain.

Jusqu’ici, en votant pour les partis et en croyant en d’éventuels changements perpétuellement retardés, vous y avez consenti.

Or, depuis le niveau de prospérité jusqu’à la place de la France dans le monde, l’essentiel n’a été que recul. La France, en trois décennies, a vieilli de cinquante.

Et s’il fallait se contenter de peu, le Français avait les moyens matériels, privilégiés à la surface de la Terre, de vivre heureux. La logique de son système moderne, révolutionnaire, portait en germe sa mort lente. L’argent qui lui est volé par le fisc et les tribunaux finance sa perte.

Voici l’odieuse réalité : vous payez pour mourir.

On prétend souvent que c’est le paysan « accablé sous le poids de l’impôt » qui a fait la Révolution. Or, il ne payait l’équivalent que de 18 jours de travail en impôts (gabelle, taille, vingtième, etc.) alors qu’aujourd’hui, vous n’êtes libéré qu’après 208 jours, soit onze fois plus. Libéré, le mot n’est pas trop fort : le peu qu’il vous reste de droit à vivre est prisonnier.

Il n’y a pas de salut dans le système, il est entre ces mains-là qui détiennent richesses et pouvoirs, et jamais ces mains n’ont été à la fois aussi peu nombreuses et aussi puissantes. La menace totalitaire est universelle.

Si bien que l’inconséquence des gouvernements n’a été que le relais de la spéculation mondialiste. Mais il y a eu aussi, ayons le courage de le reconnaître, à notre niveau quotidien, des relais locaux, presse, syndicats ou associations, qui se chargeaient de votre assentiment. Vous avez vécu une paresse et une léthargie qui n’ont abouti qu’à plus de dépendance, plus de droits coûteux et sans avantages, à plus de désespérance, de conservatisme. En prenant d’une main, et sans penser aux générations à venir, le confort, les avantages et la protection, vous rétrocédiez de l’autre la liberté, la prospérité et la solidarité.

Nous avons laissé tuer l’exception, l’originalité, la créativité qui étaient justement parmi nos plus précieux trésors, qui en réalité étaient le génie français.

On vous a servi du mensonge et vous avez voulu y croire.

Il est l’heure de renoncer à vos chaînes, et de reprendre le pouvoir qui vous a été enlevé.

Pendant que vous auriez besoin de quelques centaines d’euros par an pour mieux vivre, des milliards sont consacrés à des causes scandaleuses. On renfloue des banques qui spéculent sur le désastre et engrangent, en pleine crise, d’énormes dividendes. On fiance des gay-pride, des entreprises criminelles même.

Vous travaillez d’arrache-pied alors que l’oisiveté rapporte souvent davantage.

Les services publics, abandonnés, sont dépourvus de moyens.

Vous êtes submergés de paperasses, de normes, de directives, qui font qu’au lieu de vous consacrer à votre métier, vous donnez votre vie au néant.

Pendant que vous craignez pour votre emploi, on favorise les délocalisations.

Alors que tous les progrès sont possibles, on vous maintient dans la contrainte de systèmes caduques.

Vous ne trouvez pas à vous loger, pendant que les collectivités possèdent les plus monstrueux parcs immobiliers de l’Histoire et que les trusts engrangent les plus fabuleuses fortunes de tous les temps.

Votre bonne volonté et votre bénévolat suppléent aux carences de l’Etat, tandis qu’il ne craint pas de vous appliquer des sanctions et des amendes, de faire valoir des lois que vous seuls respectez.

On fait mine de consacrer quelques dépenses à une écologie purement de façade, et on maintient des structures polluantes depuis la production jusqu’à la consommation.

Vous risquez votre vie dans une société investie par la violence.

On a livré au marché vos terres, votre travail, votre maison et maintenant on vous livre, vous.

Mais il y a plus grave : une nouvelle guerre est déclarée, s’attaquant non plus seulement aux biens de l’homme ou à sa liberté, mais cette fois à sa nature même.

Tout cela, maintenant, vous le savez. Vous avez fait ces constats et un million d’autres.

Ce qui se passe n’est pas seulement vrai en France, c’est vrai dans bien d’autres pays.

Les fausses élites se connaissent toutes et s’arrangent entre elles, elles signent en votre nom, par-dessus vos têtes, des traités qui vous engagent sans que vous ayez été consultés, d’autres même que, parfois, vous avez rejetés.

Qui tient la dette tient les nations. Les politiques, qui ne sont rien sans l’argent de la finance, ont creusé les déficits et accru le chômage, pendant qu’ils se votaient des avantages et des amnisties. Mais voyez, ils ne sont rien : ni légitimes, ni compétents. Ils n’ont jamais recueilli de véritables majorités, ils ne comptent ni l’absentéisme électoral ni les votes blancs, qui sont majorité.

Ils n’aiment pas le territoire, d’un côté ils en abandonnent des parts entières à des mafias et des trafiquants, de l’autre ils cèdent tout à l’Europe, cette Europe dont les chefs exécutifs sont désignés et non élus. Ils n’ont pas spécialement besoin de votre santé. Ils n’aiment pas votre liberté, ils votent chaque semaine de nouveaux interdits et de nouvelles obligations. Ils n’aiment pas votre travail, ils bradent vos emplois.

Ils n’aiment rien en fait de ce qui constitue le corps et l’âme du pays.

En un mot : tout marche à l’envers. Nous sommes dans un système inversé. Ce qui était bon est rejeté, ce qui est mauvais est institutionnalisé. La politique ne sert plus l’homme, c’est l’homme qui sert la politique. L’homme a disparu de la politique, en réalité, et les discours mentent.

N’en parlons plus. Agissons.

Nous ferons notre devoir, parce que nous refusons que ne s’imposent, soit la guerre civile, soit des partis dangereux. Car tout n’est pas fini. La France peut renaître, parce qu’il y a encore les Français.

Nous n’attendrons pas le départ des politiques, nous prenons le pouvoir.

Nous sommes le peuple.

Nous n’allons pas réformer le système, nous allons en changer.

Nous allons refonder une légitimité. Nous développerons un pays de notre siècle et des siècles prochains, en lien avec le monde, pour une prospérité universelle.

Craignez-vous la loi ? Mais, Français, votre volonté prime sur la loi ou les institutions, car la seule légitimité réelle, celle dont parlent les textes fondateurs est, en fait, la vôtre ! Vous pouvez tout puisque le droit, c’est d’abord la nation. Qu’elle s’exprime enfin !

A présent, vous vous révoltez. Il était temps.

Alors, prenons le pouvoir, dans une démarche conforme à l’esprit de la vraie civilisation !

Voici donc notre appel solennel. En ce jour, nous délions les Français de leurs engagements vis-à-vis d’un système politique qui ne les représente plus, nous répudions les traités que nous n’avons pas signés, nous rejetons les contrats faits sans nous.

Nous choisirons ce qui doit être conservé, et ce qui doit être enlevé. Nous séparerons le bon grain de l’ivraie.

Il n’y a pas de problème que le génie humain ne puisse résoudre, si on lui en laisse la liberté. C’est cette liberté que nous reprenons.

La société française sera désormais consacrée à l’Homme et non plus aux institutions, aux groupes d’intérêts ou à la spéculation.

Le mouvement de civilisation qui partait de l’homme individualiste, sans lien à autrui, et qui le distrayait vers les ensembles continentaux et universels, anonymes et déracinés, reviendra puiser à un universel qui nourrit l’individu. Le sens de l’homme est dans sa proximité, dans son incarnation, l’homme se justifie par son prochain. L’homme n’est pas gouvernable à distance, il n’est pas fait pour les quêtes éthérées, sans lien, ni pour les spéculations sans fondements réels. L’idée qui ne surgit pas du réel tue l’homme. En ce sens, nous tournons le dos aux deux derniers siècles qui ont été les siècles des idéologies.

Nous réconcilierons l’homme et le réel. Le vivant contient les réponses. Le réel est vie.

Nous voulons une civilisation de la vie. Nous la déclarons sacrée, alpha et oméga de la civilisation renouvelée.

Tous les Français de bonne volonté sont conviés à défendre le renouvellement national, puisqu’ils sont les seuls légitimes à gouverner, en tant que souverains de leur pays.

Les effectifs de police, de gendarmerie et les divers services de sécurité seront solennellement appelées à se mettre en situation de maintenir la paix et l’ordre en tous lieux du territoire, sans attendre ni accepter aucun ordre des responsables qui les ont trahis.

Nous assumerons l’entière responsabilité du destin national jusqu’à ce qu’un nouveau régime stable, garant des libertés, de la prospérité, de l’intégrité nationale, du respect dû aux personnes, soit offert à vos vœux. Nous mettrons en effet en place toutes les circonstances favorables à des élections, les premières véritables élections libres et universelles de France.

Les zones non contrôlées seront rendues à la nation. Nous libérerons les captifs, les endettés, les sans-abris, d’une situation qu’ils n’ont jamais méritée.

A bas la République, vive la vraie France !




Renversement, 1ère sommation. Appel aux militaires

[Source : https://polemique.roman-livre.com/]

https://youtu.be/CLja8Pfx914

[Voir aussi, pour plus de renseignements :




Annonce du renversement du gouvernement français

[Source : Rémy Daillet-Wiedemann]

[NdNM : l’hypothèse d’un doux rêve n’enlève pas nécessairement l’intérêt de la plupart des mesures proposées, mesures qui ont des chances d’emporter l’adhésion d’une (grande ?) majorité des Français. Ne serait-ce que par le gain d’un (fort ?) consensus possible et probable, elles méritent attention, étude, débat posé et réflexion.]

Cet homme [Rémy Daillet-Wiedemann] va renverser le gouvernement français. Le renversement du gouvernement se fera pacifiquement ou avec effusion de sang, cela dépendra de la réaction de Macron et de ses acolytes, mais il aura lieu, la date sera fixée bientôt, voici celui qui offre l’union de toutes les forces combattantes. #renversementdugouvernementfrancais

Pour nous rejoindre et découvrir les mesures : http://polemique.roman-livre.com/pour-un-coup-detat-pacifique-et-legitime/

Voilà 20 ans que les constats du naufrage national se suivent. Les propos politiques de l’opposition au système se contentent de constat. Or, il ne s’agit pas de ne faire que parler de la décadence en cours et de la mise en place de la dictature. Ne faire qu’en parler désespère. Il s’agit d’y mettre un terme. Le peuple souverain a besoin de mesures fortes. Celles-ci ne peuvent relever de la simple réforme: c’est le régime qu’il faut changer, car c’est lui qui génère depuis l’origine, avec sa mécanique révolutionnaire commencée jadis par la mort de centaines de milliers de concitoyens, une logique d’anéantissement.

Maintenant, il s’agit d’agir

Merci de faire circuler cette déclaration solennelle.

Voir aussi

Quand la vidéo sera censurée: https://gab.com/Thibaut_la_Croisade/posts/105057754716285273
ou plus directement: https://lbry.tv/Annonce-renversement-du-gouvernement-fran%C3%A7ais:5
Version italienne : http://www.vitamelior.com/Dub/DiscorsoAllaNazione%20QT_dD%20dub.m4v

https://youtu.be/VL6ZFUQ62Mw

Présentation rapide de Rémy Daillet Wiedemann

https://youtu.be/zzx5ds_VtjY

Coup d’État : réponse aux citoyens !




L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »

[Sources : Guy Boulianne et Le blog de Jeanne Smits]


[Le blog de Jeanne Smits]
Vous trouverez ci-dessous la lettre que vient d’envoyer Mgr Carlo Maria Viganò au président des Etats-Unis, Donald Trump, pour l’encourager à tenir bon face aux forces du mal qui se déploient pour mettre en place le Great Reset, la Grande réinitialisation, au moyen d’une dictature sanitaire inédite. Je remercie le lecteur de mon blog qui a bien voulu me transmettre sa traduction française du texte d’abord publié en anglais par LifeSiteNews. Il s’agit pour l’heure d’une traduction non officielle de cet appel à l’espérance. – J.S.


[Guy Boulianne]
[Traduction Benoît & Moi]  À la veille de l’élection présidentielle américaine, et au moment où la pandémie du covid a permis l’imposition de mesures liberticides qui auraient été impensables il y a encore quelques mois, il devient moins facile de liquider comme complotistes ceux qui dénoncent le plan global de « Great reset » (Grande Réinitialisation) contre Dieu et l’homme dont les différentes formes de confinement en cours sont les prémisses sous les yeux de tous. L’ex-nonce à Washington s’adresse solennellement à l’homme en qui il voit – peut-être contre toute attente – celui que la Providence a choisi pour être le Katechon, empêchant l’accomplissement du « mystère d’iniquité ».

L’archevêque Carlo Maria Viganò s’est fait connaître sur la scène internationale en 2018 en tant que dénonciateur du Vatican, appelant le pape François à démissionner et l’accusant de couvrir des accusations d’abus sexuels contre des religieux de premier plan, dont le cardinal Theodore McCarrick, et de promouvoir un « courant homosexuel » dans la curie du Vatican.

En 2009, Carlo Maria Viganò fut nommé secrétaire général pour le gouvernorat du Vatican. À ce titre, il mit en place des procédures comptables, ce qui permit de dégager un déficit de 10,5 millions de dollars pour le Vatican et un excédent de 44 millions de dollars en un an. En 2010, Viganò proposa que la Cité du Vatican sorte de l’euro afin d’éviter de nouvelles réglementations bancaires. Le Vatican rejeta sa proposition et accepta les contrôles exigés ainsi que des réglementations bancaires plus strictes.

Au Vatican, il lutta contre la corruption et le népotisme, jusqu’à remettre en cause le cardinal Tarcisio Bertone, alors secrétaire d’État. Des documents confidentiels et des correspondances sont révélés aux yeux de tous, c’est le scandale du vatileaks. Dans certains de ces courriers, Viganò se plaint d’avoir été muté en 2011 comme nonce apostolique à Washington pour, selon ses dires, avoir révélé l’existence d’affaires de corruption, népotisme et favoritisme entre le Vatican et des partenaires italiens. D’autres pièces évoquent des conflits internes concernant la supervision de l’Institut pour les œuvres de religion, dont le président Ettore Gotti Tedeschi, accusé de « mauvaise gouvernance », a été limogé.

En janvier 2016, à 75 ans, il présenta sa démission en raison de son âge au pape François qui le 12 avril 2016 l’accepta. Mgr Christophe Pierre lui succéda à la tête de la nonciature.


« Jusqu’à il y a quelques mois, il était facile de réduire au rang de “conspirationnistes” ceux qui dénonçaient ces terribles plans, que nous voyons maintenant réalisés dans les moindres détails. » — Mgr Carlo Maria Viganò




Lettre ouverte au président des États-Unis Donald Trump

Dimanche, 25 octobre 2020
Solennité du Christ-Roi

Monsieur le Président,

Mgr Carlo Maria Viganò (blason)
« Je sais en Qui j’ai cru »

Permettez-moi de m’adresser à vous, en cette heure où le sort du monde entier est menacé par une conspiration mondiale contre Dieu et l’humanité. Je vous écris en tant qu’archevêque, en tant que successeur des apôtres, en tant qu’ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique. Je vous écris dans le silence des autorités civiles et religieuses: puissiez-vous accueillir mes paroles comme la « voix de celui qui crie dans le désert » (Jean 1:23).

Comme j’ai eu l’occasion de vous l’écrire dans ma Lettre en juin dernier, ce moment historique voit les forces du Mal déployées dans une bataille sans merci contre les forces du Bien; des forces du Mal qui semblent puissantes et organisées face aux enfants de la Lumière, désorientés et désorganisés, abandonnés par leurs chefs temporels et spirituels.

Nous entendons se multiplier les attaques de ceux qui veulent démolir les fondements mêmes de la société : la famille naturelle, le respect de la vie humaine, l’amour de la patrie, la liberté d’éducation et d’entreprise. Nous voyons les dirigeants des nations et les chefs religieux soutenir ce suicide de la culture occidentale et de son âme chrétienne, tandis que les citoyens et les croyants sont privés de leurs droits fondamentaux, au nom d’une urgence sanitaire qui se révèle de plus en plus une instrumentalisation pour l’instauration d’une tyrannie inhumaine sans visage.

Un plan global, appelé Great Reset, est en voie de réalisation. Les artisans en sont une élite qui veut soumettre l’ensemble de l’humanité, en imposant des mesures coercitives qui limitent drastiquement les libertés des personnes et des peuples. Dans certains pays, ce projet a déjà été approuvé et financé ; dans d’autres, il en est encore à ses débuts. Derrière les dirigeants mondiaux, les complices et les exécutants de ce projet infernal, il y a des gens sans scrupules qui financent le World Economic Forum et l’Event 201 [ndt: exercice de simulation de pandémie, mené en partenariat avec la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial, qui a eu lieu en octobre 2019], en faisant la promotion de son programme.

Le but du Great Reset est l’imposition d’une dictature sanitaire visant à imposer des mesures liberticides, cachées derrière des promesses attrayantes d’assurer un revenu universel et d’annuler la dette des individus. Le prix de ces concessions du Fonds monétaire international devrait être la renonciation à la propriété privée et l’adhésion à un programme de vaccination contre les infections Covid-19 et Covid-21 promu par Bill Gates avec la collaboration de grands groupes pharmaceutiques. Au-delà des énormes intérêts économiques qui animent les promoteurs du Great Reset, l’imposition de la vaccination sera accompagnée de l’obligation d’un passeport sanitaire et d’une carte d’identité numérique, avec pour conséquence le suivi des contacts de toute la population mondiale. Toute personne qui n’accepte pas de se soumettre à ces mesures sera confinée dans des camps de détention ou assignée à résidence, et tous ses biens seront confisqués.

Monsieur le Président, j’imagine que cette nouvelle vous est déjà connue : dans certains pays, le Great Reset devrait être activé entre la fin de cette année et le premier trimestre de 2021. À cette fin, d’autres mesures de confinement sont prévues, officiellement justifiées par une deuxième et une troisième vague présumées de la pandémie. Vous savez quels moyens ont été déployés pour semer la panique et légitimer des restrictions draconiennes des libertés individuelles, provoquant habilement une crise économique mondiale. Dans les intentions de ses créateurs, cette crise sert à rendre irréversible le recours des États au Great Reset, donnant le coup de grâce à un monde dont on veut effacer complètement l’existence et la mémoire. Mais ce monde, Monsieur le Président, porte avec lui personnes, affections, institutions, foi, culture, traditions, idéaux : des personnes et des valeurs qui n’agissent pas comme des automates, qui n’obéissent pas comme des machines, parce qu’elles ont une âme et un cœur, parce qu’elles sont liées entre elles par un lien spirituel qui tire sa force d’en haut, de ce Dieu que nos adversaires veulent défier, comme Lucifer l’a fait au début des temps avec son « non serviam » (Je ne servirai pas).

Beaucoup – nous le savons bien – considèrent avec agacement cet appel au choc entre le Bien et le Mal, l’utilisation de tons « apocalyptiques », qui selon eux exaspèrent les âmes et aiguisent les divisions. Il n’est pas surprenant que l’ennemi se sente découvert au moment même où il croit avoir atteint sans être dérangé la citadelle à conquérir. Il est toutefois surprenant qu’il n’y ait personne pour tirer la sonnette d’alarme. La réaction du Deep State à ceux qui dénoncent son plan est incohérente, mais compréhensible. Juste au moment où la complicité des médias mainstream a réussi à rendre la transition vers le nouvel ordre mondial presque indolore et inaperçue, des tromperies, des scandales et des crimes sont mis au jour.

Jusqu’à il y a quelques mois, il était facile de réduire au rang de « conspirationnistes » ceux qui dénonçaient ces terribles plans, que nous voyons maintenant réalisés dans les moindres détails. Personne, jusqu’en février dernier, n’aurait jamais pensé qu’on en viendrait, dans toutes nos villes, à arrêter des citoyens pour le seul fait de vouloir marcher dans la rue, de respirer, de vouloir garder son négoce ouvert, d’aller à la messe le dimanche. Pourtant, cela se passe partout dans le monde, même dans cette Italie de carte postale que beaucoup d’Américains considèrent comme un petit pays enchanté, avec ses monuments anciens, ses églises, ses villes enchanteresses, ses villages caractéristiques. Et tandis que les politiciens sont barricadés dans leurs palais pour promulguer des décrets comme les satrapes persans, les activités font faillite, les magasins ferment, les gens sont empêchés de vivre, de se déplacer, de travailler, de prier. Les conséquences psychologiques désastreuses de cette opération sont déjà visibles, à commencer par les suicides d’entrepreneurs désespérés, et par nos enfants, séparés de leurs amis et de leurs camarades pour suivre leurs cours devant un ordinateur.

Dans l’Écriture Sainte, saint Paul nous parle de « celui qui s’oppose » à la manifestation du mystère d’iniquité, le kathèkon (2 Th 2:6-7). Dans le domaine religieux, cet obstacle est l’Église et en particulier la papauté; dans le domaine politique, c’est lui qui empêche l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Comme c’est désormais évident, celui qui occupe le siège de Pierre a, dès le début, trahi son propre rôle, pour défendre et promouvoir l’idéologie mondialiste, en suivant l’agenda de la Deep Church, qui l’a choisi dans son sein.

Monsieur le Président, vous avez clairement déclaré que vous vouliez défendre la nation – One Nation under God -, les libertés fondamentales, les valeurs non négociables qui sont niées et combattues aujourd’hui. C’est vous, cher Président, « celui qui s’oppose » au Deep State, à l’assaut final des enfants des ténèbres.

C’est pourquoi toutes les personnes de bonne volonté doivent être persuadées de l’importance capitale des prochaines élections : non pas tant à cause de tel ou tel point du programme politique, mais plutôt parce que c’est l’inspiration générale de votre action qui incarne le mieux – dans ce contexte historique particulier – ce monde, notre monde, que l’on voudrait effacer par le lockdown. Votre adversaire est aussi le nôtre : il est l’Ennemi de l’humanité, celui qui est « meurtrier dès le commencement » (Jean 8:44).

Autour de vous se rassemblent avec confiance et courage ceux qui vous considèrent comme l’ultime garnison contre la dictature mondiale. L’alternative est de voter pour un personnage manipulé par le Deep Stategravement compromis dans les scandales et la corruption, qui fera aux États-Unis ce que Jorge Mario Bergoglio fait à l’Église, le Premier ministre Conte à l’Italie, le président Macron à la France, le Premier ministre Sanchez à l’Espagne, etc. La possibilité de faire chanter Joe Biden – comme les prélats du « cercle magique » vatican – permettra de l’utiliser sans scrupules, consentant à des pouvoirs illégitimes de s’immiscer dans la politique intérieure et les équilibres internationaux. Il est clair que ceux qui le manœuvrent ont déjà quelqu’un de pire que lui prêt à le remplacer dès que l’occasion se présente.

Pourtant, dans ce tableau désolant, dans cette avancée apparemment inexorable de « l’Ennemi invisible », un élément d’espoir émerge. L’adversaire ne sait pas aimer, et ne comprend pas qu’il ne suffit pas d’assurer un revenu universel ou d’annuler les hypothèques pour assujettir les masses et les convaincre de se faire marquer comme du bétail. Ce peuple, qui a trop longtemps subi les abus d’un pouvoir haineux et tyrannique, redécouvre qu’il a une âme; il comprend qu’il n’est pas disposé à troquer sa liberté contre l’uniformisation et l’effacement de son identité; il commence à comprendre la valeur des liens familiaux et sociaux, des liens de foi et de culture qui unissent les honnêtes gens. Ce Great Reset est voué à l’échec parce que ceux qui l’ont planifié ne comprennent pas qu’il y a encore des gens qui sont prêts à descendre dans la rue pour défendre leurs droits, protéger leurs proches, donner un avenir à leurs enfants. L’inhumanité nivelante du projet mondialiste sera misérablement brisée face à l’opposition ferme et courageuse des enfants de la Lumière. L’ennemi a Satan à ses côtés, qui ne sait que haïr. Nous avons à nos côtés le Seigneur tout-puissant, le Dieu des armées déployées dans la bataille, et la Très Sainte Vierge, qui écrasera la tête de l’ancien Serpent. « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » (Romains 8:31).

Monsieur le Président, vous savez parfaitement combien les États-Unis d’Amérique, en cette heure cruciale, sont considérés comme le rempart contre lequel s’est déchaînée la guerre déclarée par les partisans du mondialisme. Mettez votre confiance dans le Seigneur, renforcé par les paroles de l’Apôtre : « Je peux tout en celui qui me donne la force » (Philippiens 4:13). Être un instrument de la divine Providence est une grande responsabilité, à laquelle correspondront certainement les grâces d’état nécessaires, ardemment implorées par les nombreux qui vous soutiennent par leurs prières.

Avec ce souhait céleste et l’assurance de ma prière pour vous, pour la Première Dame et pour vos collaborateurs, de tout cœur je vous adresse ma bénédiction

Que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique!

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò
Archevêque titulaire d’Ulpiana
Ancien Nonce Apostolique aux États-Unis d’Amérique


[Voir aussi : LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires]




Guerre de religion possible en France ?

[Source : Éric Perroud]

2021 GUERRE DE RELIGION ALFI GLADIO STAN MAILLAUD

Lettre ouverte de l’ancien archevêque Carlo Maria Vigano au Président Trump :
https://youtu.be/Z9v3Tr7LnwY
ou L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »

85 STAN MAILLAUD GUERRE CIVILE, RÉVÉLATIONS FRACASSANTES(2)
https://www.youtube.com/watch?v=X0JODxKd3d8




Fraude électorale massive aux États-Unis

[Source : Strategika]

Contrairement à ce qu’affirme CNN, la chaîne d’information en continu basée à Atlanta, selon laquelle il est « impossible de truquer une élection américaine » et « qu’il n’y a jamais eu de preuve d’allégations similaires » en dépit de quatre années consécutives de matraquage sur l’influence russe, les présidentielles US de 2020 connaissent une fraude massive dépassant celles de 2000 (un cas d’école de référence jusqu’ici).

Le monde entier assiste à ce spectacle fort désolant et beaucoup d’observateurs estiment que le système politique US rouillé et périmé n’a jamais eu de fonctionnement démocratique même formel. L’usage de nouvelles techniques pour améliorer la fraude et la rendre indétectable n’a par contre jamais cessé de se perfectionner, notamment dans son volet relatif à l’ingénierie sociale.

La fraude du vote par voie postale est établie. Certains États permettent le vote par correspondance jusqu’au 12 novembre 2020 dans ce qui s’apparente comme une moquerie de la démocratie rappelant les faux tessons de vote de la Grèce antique (on y pratiquait la fraude électorale déjà à cette époque). D’autres suspendent le décompte des voix tandis que d’autres modifient les procès-verbaux à la dernière minute comme dans un pays caricatural du Tiers-monde. Cerise sur la gâteau, les médias coupent le président Donald Trump lorsqu’il tente de dénoncer ce simulacre d’élection, prouvant une fois de plus que le président des États-Unis d’Amérique n’est qu’un figurant d’un pouvoir réel caché qui ne s’embarrasse jamais à le rappeler à l’ordre, à lui montrer les limites de ses prérogatives fictives ou même à le liquider physiquement en cas de force majeure.

Les États-Unis ne sont pas une démocratie mais une ploutocratie oligarchique. Le système politique US bipartisan est aussi fermé que ne le furent les systèmes autocratiques les plus extrêmes. Quel que soient les défauts de Trump, on ne peut lui en vouloir d’avoir eu le mérite de dévoiler le système tel qu’il est en réalité et cette réalité est loin d’être confortable.

Les États-Unis sont le centre de l’Empire et cet empire s’effondre. Les néo-conservateurs et leurs alliés d’Europe se trompent lourdement s’ils croient que la désignation de Biden/Harris et du clan Obama/Clinton va redresser la barre ou remédier à une situation issue d’une dynamique historique irréversible. Le retour à la langue de bois et à la dictature du politiquement correct ne peuvent plus se substituer en tant qu’illusions à une réalité qui risque d’être fort fâcheuse : l’Empire s’effondre et cet effondrement risque de se traduire par une guerre civile d’une violence inouïe dont l’impact sur le reste du monde sera dévastateur.

La manipulation du COVID-19 était donc un des outils de cette lutte acharnée au sommet de l’Empire et ce n’est point un hasard si depuis quelques jours, un nouveau ayant pathogène tueur ayant des similitudes troublante avec la grippe espagnole et celle de Hong Kong est en train de faire des ravages en termes de vies humaines (tous les décès sont systématiquement attribués au COVID-19).

L’une des grandes leçons de cette élection est que sans ce que l’on appelle la « pandémie » du COVID-19, Donald Trump aurait facilement assuré sa réélection pour un second mandat.

Les médias, les géants US de l’internet comme Twitter et même la très ridicule Greta Thunberg (la manipulation du réchauffement climatique et la fraude au CO2) tentent rebâtir l’Empire du mensonge et l’image parfaite d’une chimère au milieu des ruines fumantes et de débris. Le mal est fait. Les populations ne sont plus aussi endormies qu’en 2000. Quel que soit l’aboutissement de cette mascarade électorale US, le Trumpisme continuera.

Pour les autres puissances dite « révisionnistes », le système politique US demeure l’un des plus pourris et corrompus de la planète terre. Les médias chinois soulignent que le spectacle des élections présidentielles US a toujours été d’un niveau comparable à ceux des scrutins de pays sous-developpés minés par la violence et la corruption. Du côté de Moscou, peu importe qui sera le vainqueur, le pouvoir réel ou l’État profond US ne changera pas et sera toujours hostile à la Russie.

Cependant cet électrochoc aura des conséquences inattendues sur les populations des États-Unis. Une partie de l’opinion US est déjà convaincue de la nécessité de se battre contre un système prédateur et usurpateur qui n’a rien d’américain. Le choix de la gérontocratie (Joe Biden est biologiquement usé et pourrait être remplacé par Kamala Harris, ce qui est planifié) en dit long sur les plans à court terme de L’État profond. Ironie du sort, la CIA et les autres agences du renseignement US ont appliqué aux États-Unis ce qu’ils avaient coutume de faire aux autres pays classés comme hostiles. Un retour de boomerang rappelant une lointaine malédiction mésopotamienne.

R.I.P USA

(1776-2020)




États-Unis : la CIA sur le dossier électoral ?

[Source : Perroud Eric]

keopi cat :

https://youtu.be/ZRvNAivKjpI



Piratage et virus intellectuel : l’anti-trumpisme conditionné

[Source : plumenclume.org]

[Auteur :] Sébastien Renault

« Avouer qu’on s’était trompé, c’est rendre le plus éclatant hommage à la perspicacité de son esprit. » 

(Gaston Bachelard)

Les enjeux de la nouvelle guerre civile étasunienne

À la suite de remarques de personnes peu informées quant à la réalité américaine et à l’étendue des fraudes électorales survenues outre-Atlantique pour éconduire à tous prix Donald Trump lors des dernières présidentielles, nous voudrions ici apporter quelques brefs éléments de contradiction face aux mantras de la haine anti-trumpienne conditionnée et à la chape de plomb de censure médiatique qui continue de peser sur nombre d’esprits. De fait, le véritable virus qui affecte aujourd’hui l’humanité est bien de type intellectuel en ce qu’il s’attaque à la pensée rationnelle, pour en contrecarrer d’abord les défenses naturelles, pour l’assommer ensuite à coups de mensonges stupéfiants et systématiques, et finalement la faire disparaître

Le vol de l’élection américaine, perpétré au milieu de la nuit dans plusieurs États décisifs au Collège électoral, ne s’est pas seulement produit avec le concours direct de milliers de tricheurs sur le terrain et de machines à voter piratées via internet, depuis l’étranger. En amont de ces activités criminelles aujourd’hui attestées[1], cela n’a pu effectivement se produire qu’avec l’assistance acharnée du covidisme médiatique, sous le contrôle de l’influence presque infrangible des technocrates de la désinformation numérique et de leurs toujours fidèles laquais médiatiques.

Les classes dirigeantes et leurs alliés médiatiques américains (la « Pravda » du parti démocrate) savent pertinemment qu’il ne faut pas tant « diviser » que divertir pour mieux régner. Divertir et par-là néantiser toute réflexion, faciliter la manipulation psycho-subliminale de l’opinion et s’assurer un contrôle mental en fin de compte très efficace des masses subjuguées à leur insu—par distillation programmée de divertissements conçus pour capter l’attention des gens, encore plus aujourd’hui sous régime covidique à peu près universel de confinements prolongés. 

La peur covidique a donc été parfaitement exploitée aux États-Unis comme arme de campagne électorale tirée du carquois des grands médias dominants, en vue d’en finir avec Trump. Des millions de voix américaines ont en conséquence été supprimées… Le leurre du suffrage universel en démocratie électoraliste, avec l’assistance opportune de la grippe chinoise mondialiste, ne pouvait certes que l’emporter sur la raison, le droit, et le pauvre peuple américain. Impossible d’empêcher Trump d’être réélu sans réunir tous les ingrédients de l’appareil de parti et de pensée unique washingtonien. Il ne restait plus aux associations criminelles de lobbystes, d’acteurs privés et internationaux à la solde de l’anti-trumpisme institutionnel, qu’à former une coalition idéologique et financière pour arranger et garantir la défaite de leur ennemi public numéro un (« l’abominable homme orange »). À en rester à la surface strictement médiatique des choses, ils ont d’abord gagné la bataille (du moins l’une des batailles). Mais ils n’ont certainement pas gagné la guerre. D’où l’accumulation d’audiences et de témoignages assermentés, pour ouvrir la voie à des procédures légales constitutionnelles, à commencer par la dé-certification des résultats officiels au niveau des Assemblées législatives, compte tenu de l’abondance des preuves d’activités criminelles et de bulletins de vote falsifiés dans tous les États litigieux.

Ce qu’ils n’ont certainement pas vu venir, dans leur obsession haineuse envers Trump, c’est l’ampleur du soulèvement d’un mouvement de contestation populaire aussi informé que déterminé à démanteler leur usurpation par la triche électorale en faveur de Joe Biden et de « Kabbalah » Harris. L’élan croissant de ce mouvement repose sur la cohérence interne de sa résistance patriotique, laquelle s’organise en ligne, sous forme de rassemblements publics, et devant les organes judiciaires et législatifs institués par la Constitution américaine.

On peut simplifier l’antagonisme fondamental de la nouvelle guerre civile psycho-civilisationnelle qui sévit aujourd’hui aux États-Unis sur la base du schéma conventionnel  « droite/gauche » :

–        D’un côté, la gauche libérale et « sociale-globaliste » de Biden caractérisée par une idéologie écologique exorbitante (selon le projet d’investissement et de refonte globale connu sous le nom de « nouvelle donne verte »), par la lutte identitaire ethno-genrée, par l’immigration sauvage et l’abolissement progressif des forces policières, par la dénaturation LGBTQ-iste de l’ordre sociétal-familial, et par le Veau d’Or du matérialisme financier adoré à Wall Street…

–        De l’autre, la droite conservatrice et « populiste » de Trump caractérisée par la réinstauration d’un ordre sociétal fondé sur la loi naturelle, par l’indépendance énergétique, par une philosophie de contre-ingérence militaro-industrielle, par son engagement à sécuriser les frontières étasuniennes (contre l’immigration clandestine, le trafic de drogue et d’êtres humains), par la résistance à la libre-circulation illimitée des capitaux, des marchandises (y compris humaines, vivantes et/ou en pièces détachées[2]) et des travailleurs en fonction des dictats des marchés transatlantique et transpacifique…

Fort de ces quelques attributs en guise d’arrière-plan de confrontation idéologique bien définie, les dernières élections américaines ont offert au monde une véritable démonstration de collusion de ploutocrates sans scrupules (Big Tech), de propagandistes médiatiques spécialisés dans le mensonge éhonté (Big Media), de groupes et lobbies sorosiens (BLM-istes, ANTIFA-istes), de l’empire médico-technocratique (Big Pharma), et de traîtres en tous genres—notamment ces acteurs politiques qu’on appelle « républicains de nom uniquement », ou « RINO » selon l’acronyme anglais. C’est un fait objectif, vérifiable, que les colporteurs habituels de fausses nouvelles ne peuvent bien sûr que feindre d’ignorer (ce qui va être de moins en moins possible). L’ordre établi par les élites washingtoniennes tente d’écraser le mouvement populiste initié en 2016 par l’accession d’un non-politicien à la présidence des États-Unis. Le canular de la « collusion » entre Trump et la Russie sert toujours de fondation à l’effort médiatique dirigé jour et nuit contre lui depuis plus de 4 ans. Le dinosaure Biden, politicien professionnel depuis 47 ans et soi-disant « catholique », est soutenu par le parti communiste génocidaire chinois. Corrompu jusqu’à la moelle, il n’est qu’une marionnette du système et un caméléon sans substance. Il menace, entre autres fléaux socio-économiques, de reconduire le confinement criminel s’il est élu.

Tout le monde, ou presque, comprend bien que Biden est l’incarnation politique inodore et incolore de la bourgeoisie marchande globaliste, le candidat de l’empire bancaire par excellence. Par conséquent Wall Street, Bill Gates et Jeff Bezos, entre autres milliardaires sans foi ni loi, soutiennent naturellement Biden et haïssent Trump.

La fausse « victoire » électorale de Biden sert donc désormais de vecteur à la violence oligarchique de la globalisation libérale, que le populisme trumpiste était parvenu à endiguer, ne serait-ce que partiellement.

À l’encontre des prédictions superficielles de certains observateurs enclins à analyser les enjeux des évolutions géopolitiques d’un point de vue a priori anti-américain, Trump est parvenu à freiner, neutraliser, et finalement enrayer au moins trois guerres potentielles en quatre ans de mandat—contre la Corée du nord, la Russie et le Venezuela. La persistance d’une idéologie messianique et guerrière sur fond de culture judéo-protestante en Amérique n’a pu avoir raison du magnat newyorkais, un « street fighter » de l’immobilier et des débats houleux, mais certainement pas le « va-t-en-guerre » inculte, irréfléchi et impulsif de l’imaginaire européen s’inspirant de clichés grossiers du libéralisme progressiste à l’américaine. Trump est en réalité un personnage très intelligent et stratégiquement rusé, tout-à-fait conscient des dangers de l’influence néoconservatrice, particulièrement en termes d’ingérence et d’invasion militaire.

Sans chercher l’exhaustivité, rappelons simplement, en toute objectivité factuelle, quelques hauts faits du premier mandat du 45e président américain, pour bannir les inepties populaires de l’anti-trumpisme conditionné.  

Des réussites économiques

D’un point de vue économique, l’honnêteté intellectuelle nous force à reconnaître les progrès significatifs accomplis par l’administration Trump.

Comme il l’avait annoncé durant sa campagne électorale en 2016, Trump a décidé judicieusement, dès 2017,  de  retirer les États-Unis de l’Accord de Paris, cette fédération internationaliste dispendieuse vouée à la promotion d’ « actions climatiques menées au niveau mondial ». Cet Accord aurait porté un coup particulièrement ruineux à l’économie étasunienne en entraînant la perte de millions d’emplois… Tout cela pour du vent idéologique s’appuyant sur une conception défectueuse de l’atmosphère et de son CO2 (voir ici notre article préconisant quelques repères non-exhaustifs pour s’extraire de la confusion et du fondamentalisme climato-alarmiste) et donnant lieu à une espèce de complexe néo-messianique vis-à-vis de la Natura naturans idolâtrée (une erreur théologique des plus funestes, sur laquelle nous ne pouvons revenir ici). Comme si les gouvernements de ce triste monde pouvaient contrôler le climat…  

Les États-Unis ont recouvré leur indépendance énergétique courant 2018, pour devenir le premier producteur mondial de pétrole brut—devant la Russie et l’Arabie saoudite. L’administration Trump a depuis conclu un accord avec l’Union européenne pour augmenter les exportations d’énergie étasunienne vers l’Europe. Elle a en outre signé plusieurs permis pour assurer l’exportation des produits pétroliers étasuniens vers le Mexique.

Des réussites sociales

Le fait d’enregistrer un taux de chômage national inférieur à 4 % à plusieurs reprises au cours de l’année 2019 a donné le signe d’une résurrection économique particulièrement spectaculaire à l’approche de la dernière année du premier mandat de Trump.

Début 2020, avant la mise en œuvre complète du covidisme, le taux de chômage national aux États-Unis était de 3,5 %, le plus bas depuis 1969. Celui des femmes adultes était tombé à 3,2 %, le taux le plus bas en 65 ans (pour un « phallocrate » présumé, ce n’est pas un si mauvais bilan) ! Le nombre de chômeurs par groupe ethnique (noirs, hispaniques et américains d’origine asiatique) a lui aussi été un des plus bas de ces derniers 50 ans. Au total, les États-Unis ont vu, début 2020, près de 261 000 000 de ses citoyens occuper un emploi, le plus grand nombre jamais atteint.

En 2019, plus de 6 millions de travailleurs étasuniens ont bénéficié de réductions fiscales, de primes et de compensations financières…

Trump est régulièrement qualifié de « raciste ». Mais les faits contredisent cette invective stéréotypée de l’ultra-gauche anti-Trump (et de ses chambres d’écho pavloviennes aux quatre coins du monde).

Avant l’instauration de la grande réinitialisation covidique début 2020, le chômage des citoyens noirs américains était à son niveau le plus bas de l’histoire étasunienne.

Les réformes trumpiennes de la loi First Step Act (FSA), entérinées en décembre 2018, ont permis de remédier aux inégalités persistantes dans l’administration de peines disproportionnées appliquées aux citoyens américains noirs de peau. Les principaux bénéficiaires de réductions de peine en vertu de la FSA sont des noirs américains. L’administration Obama n’avait rien fait qui puisse favoriser la réforme du système judiciaire américain et améliorer la vie des noirs incarcérés, à commencer par l’application de peines équitables dépourvues de discrimination ethnique. Les médias ont choisi de ne pas souligner l’engagement de Trump à réparer ces injustices contre les noirs en prenant des mesures concrètes. Par conséquent, la plupart des gens en Europe et ailleurs considèrent injustement Trump comme un chef de file de la « suprématie blanche », déterminé à ramener l’Amérique au temps des plantations… Aucun exemple ne pourrait mieux illustrer à quel point nous sommes devenus inintelligents, en raison de la tyrannie intellectuelle à laquelle nous nous soumettons nous-mêmes en donnant notre assentiment quotidien plus ou moins complet aux grands médias.

Les affaires étrangères

L’approche de Trump en matière de politique étrangère est fortement influencée par son expérience aguerrie d’homme d’affaires, particulièrement en qualité de magnat de l’immobilier. Cela s’avère être significatif, et l’on a les preuves de son efficacité géopolitique iconoclaste. Trump refuse résolument de s’aligner sur les manières de faire des politiciens professionnels qui l’ont devancé à la Maison Blanche. Et dès lors de gaspiller sa présidence dans des objectifs militaristes s’inspirant des philosophies géopolitiques à tendances impérialistes des administrations précédentes. Ses nombreux détracteurs semblent l’oublier, pour justifier leur paresse malveillante à son égard et se contenter d’en faire un guignol « expansionniste » et « guerrier » à l’étranger—« raciste », « homophobe » et « xénophobe » de retour en territoire étasunien…   

Trump a participé à plusieurs sommets historiques avec le « dirigeant suprême » nord-coréen Kim Jong-un, en vue de promouvoir la dénucléarisation de la péninsule coréenne. Nous soulignons à dessein l’importance de ces rencontres entre les deux chefs d’États, pour faire de nouveau ressortir le contraste entre la réalité de l’approche trumpienne des relations internationales et l’imaginaire anti-trumpiste réactionnaire (conditionné par une haine et une sottise aveuglante).

Plus que toute autre administration américaine, l’administration Trump a favorisé le développement de relations ouvertes d’investissements et de partenariats nouveaux avec le monde indopacifique. Nous pourrions continuer…

La liberté religieuse

Trump s’est engagé à plusieurs reprises en faveur de la protection de la liberté religieuse. L’un des points forts à cet égard aura été sa décision de mettre fin aux poursuites juridiques particulièrement abjectes de l’administration Obama à l’encontre de la Congrégation des Petites Sœurs des Pauvres[3], forcées par le gouvernement précédent à souscrire aux plans d’assurance maladie de la Loi sur la Protection des Patients et les Soins Abordables (la fameuse « Obamacare ») couvrant l’utilisation de contraceptifs, dont certains abortifs.

Il a en outre signé de nombreuses mesures en faveur de la protection du caractère sacré de la vie humaine in utero. Son administration a promulgué de nouvelles régulations visant à restreindre les fonds fédéraux alloués au programme de planning familial Title X et à s’assurer qu’ils ne soient plus impartis à quelques programmes corrélatifs ou à des initiatives qui faciliteraient en pratique ou encourageraient de quelque manière l’avortement. Elle a encore promulgué de nouvelles réglementations destinées à étendre les exemptions des travailleurs dans le domaine de la santé et par-là les protéger du mandat contraceptif imposé par l’Obamacare, sous couvert (auto-contradictoire) de soins de santé publique et « reproductive ».

Depuis son accession au pouvoir en novembre 2016, Trump est notamment parvenu à améliorer l’économie et à faire reculer les stratégies géopolitiques traditionnelles du complexe militaro-industriel étasunien. Mais non sans devoir faire face à de nombreuses attaques fomentées contre lui en coulisse par ses ennemis les plus acharnés au sein de l’administration Obama, assistés du département de la Justice des États-Unis et du FBI : une enquête bidon menée par l’équipe du procureur spécial Robert Mueller sous prétexte d’abord d’intrusion russe dans les élections américaines de 2016, puis d’ « obstruction à la justice » par Trump ; l’hostilité constante d’une cabale journalistique unanime dans sa haine déclarée contre lui ; une tentative de destitution sous prétexte de faux quid pro quo[4] ; et, pour finir en cette année 2020 des plus chargées, une fausse pandémie orchestrée par le Parti communiste chinois et les élites mondiales…

Avec la nouvelle guerre civile étasunienne organisée sur fond de double tricherie, covidique et électorale, on discerne sans grande difficulté les intentions du système de domination globaliste vaccinale : l’heure est venue d’implanter un nouveau programme, un virus comportemental fonctionnel pour une humanité déjà masquée et mentalement algorithmisée par ses maîtres à penser. Le message des tricheurs démocrates est clair : bouchez cette trompette « trumpienne » qui nous casse les oreilles ! Car elle pourrait certes encore en réveiller quelques-uns.       

Cinquante États de fraude : un « thriller » américain en temps réel…  

Nous jouons ici sur les mots, à partir du titre original du navet érotique hollywoodien Fifty Shades of Grey | »Cinquante nuances de Grey« , titre comportant déjà un jeu de mots],film obscène s’il en est, mais malheureusement populaire et clairement destiné à la corruption des mœurs, particulièrement des adolescents. Le film américain nauséabond auquel nous assistons en temps réel est d’une autre nature, il porte involontairement témoignage de la corruption par trop réelle des mécanismes électoraux sur lesquels repose l’archétype de la démocratie occidentale moderne— vaste supercherie s’il en est.

Le film du plus grand piratage de l’histoire des élections étasuniennes, mettant en vedette les oligarques de la Silicon Valley et la classe dirigeante illégitime (entre autres « stars » de connivence que nous énumérerons en conclusion), peut s’expliquer selon deux objectifs diamétralement opposés : 1) destituer criminellement Donald Trump de son poste légitime de président américain (une entreprise d’envergure globaliste) ; 2) mettre en lumière, sur le terrain de la constitutionalité américaine, l’étendue de la conjuration anti-trumpienne. À ce jour, ses auteurs persistent  à rabâcher leur mantra préféré, à savoir qu’ « il n’existe aucune preuve de fraude électorale », jouant ici sur le terrain subliminal de la répétition stratégique d’un mensonge en soi criant.

Le dévoilement en direct de l’intrigue du film auquel nous assistons, Cinquante États de fraude, permet de faire apparaître au quotidien l’étendue de plus en plus vaste des preuves incontestables de la réélection de Trump. Si les dernières élections outre-Atlantique avaient été menées dans le respect des lois étasuniennes en vigueur, donc en soustrayant la prise en compte frauduleuse de millions de votes illégaux fabriqués électroniquement et physiquement par les démocrates, le résultat serait sans équivoque.

Avec la multiplication des preuves manifestes d’un coup monté impliquant les réseaux sociaux, des ingénieurs informatiques à l’étranger, les élus démocrates de haut rang, et bien sûr une foule de bénévoles chargés sur le terrain de collecter les bulletins de vote et de faire le dépouillement, les forces de la censure s’organisent pour passer à la vitesse supérieure. Prétexte : les « opinions dissidentes » portent atteinte à la « légitimité » du colportage journalistique officiel, que tous sont tenus de croire.

Le mercredi 9 décembre, la chaîne YouTube a annoncé qu’elle était en train de retirer des milliers de vidéos qui mettent en doute, sans fondement, la « victoire » électorale de Biden[5]L’opération réprimande de tout contenu susceptible de promouvoir la notion de « fraude généralisée » lors des dernières élections étasuniennes a donc commencé. La prétention d’une société où règne la « liberté d’expression » est donc désormais ouvertement congédiée. Sous le régime de la gouvernance mondiale covidisée et covidisante, faire taire la dissidence est désormais la nouvelle norme de ce que nous appelons encore, pour faire joli, « nos sociétés libres ».

Pour autant, malgré les efforts médiatiques habituels de détournement cognitif, signalons que les contre-efforts de la lutte sur le plan de la légalité constitutionnelle s’organisent et se consolident de plus en plus. L’État du Texas est désormais en train d’entreprendre une action en justice, au nom des États-Unis eux-mêmes, contre quatre des cinq États impliqués dans des activités attestées de fraude électorale à grande échelle.

Rappelons en outre que la Constitution américaine donne à la Cour suprême une compétence exclusive sur les actions intentées par les États contre d’autres États en cas de violation du droit et de fraude électorale corroborée. Les comportements illégaux mis en évidence ces dernières semaines en Pennsylvanie, en Géorgie, dans le Michigan et dans le Wisconsin justifient amplement les poursuites judiciaires désormais intentées par le Texas contre ces États[6].

Le rapt de l’élection présidentielle

Revenons maintenant sommairement sur quelques-unes des principales caractéristiques du rapt électoral du mois dernier, telles qu’elles ressortent clairement des litiges en cours dans les États concernés—l’Arizona, la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan, et le Wisconsin.

La « victoire » électorale de Joe Biden repose sur un processus de comptage frauduleux survenu au beau milieu de la nuit, ce que confirment des centaines d’affidavits ainsi que la résultante statistique des analyses numériques dans tous les États susmentionnés.

Les systèmes électoraux du Dominion Voting System ont été mis en place pour permettre la tricherie électorale à très grande échelle. Certaines clés USB volées et utilisées pour pirater les machines à voter ont dernièrement été récupérées. Elles vont permettre de faire la lumière sur un certain nombre d’anomalies inexplicables, telles que la détection de votes préchargés pour Biden avant le début des élections, d’après les dates indiquées sur les serveurs reliés en ligne au machines du Dominion— même si l’accès direct à ces machines s’avère toujours difficile en raison de leur statut prétendument « privé » (ce qui constitue bien sûr une atteinte des plus flagrantes à la transparence et au fair-play théorique de tout système électoral démocratique, dont le fonctionnement, par définition public, repose sur l’argent des contribuables). Les responsables du groupe Dominion opèrent donc à la fois en tant que juge et partie. La gestion digitale des votes leur appartient entièrement. Et ils sont encore les seuls à pouvoir examiner, après les élections, leur logiciel de « tabulation ».

La manipulation électronique est d’autant plus évidente que les algorithmes du Smartmatic utilisés par les machines du Dominion dans tous les États disputés ont calculé les votes au moyen de nombres fractionnaires décimalisés. La tabulation des votes n’a donc jamais eu lieu en tant que telle, car cela impliquerait à juste titre le comptage de nombres entiers. Le calcul algorithmique a remplacé la comptabilisation, pour augmenter ou diminuer les votes de tel ou tel candidat…

Outre l’altération de la chaîne de contrôle dans le traitement des votes par correspondance depuis déjà plusieurs mois et la tricherie algorithmique « dominionique » le soir des élections, des centaines de milliers de bulletins ont été illégalement déposés dans toutes les circonscriptions importantes de toutes les villes d’obédience démocrate. Des millions de votes frauduleux, électroniques ou autres, ont dès lors été comptés en faveur de Biden. Sans la mise en œuvre d’une telle opération de dépouillement et de décompte truqué sur le terrain, Trump aurait pu facilement récolter près de 100 millions de votes !

Le segment vidéo suivant, tiré de l’audience électorale qui s’est tenue la semaine dernière en Géorgie, n’est qu’un exemple parmi d’autres du type de fraude physique qui a eu lieu dans la nuit du 3 au 4 novembre dans d’innombrables circonscriptions américaines. Pendant deux heures, les tricheurs ont fait transiter des bulletins de vote illégaux, assurant un gain frauduleux de quelques 24 000 voix pour Biden, suffisamment pour faire pencher la Géorgie en sa faveur :

https://www.youtube.com/watch?v=keANzinHWUA [Audience sur l’intégrité des élections en Géorgie, jeudi 3 décembre 2020 | NTD]

Contre toute attente statistique justifiable, Biden a soudainement dépassé Trump dans tous les États clés de la course 2020 à la Maison Blanche. Au final, sa marge d’avance, par exemple dans l’État du Wisconsin aujourd’hui au centre d’un procès crucial devant la Cour suprême, ne peut statistiquement survenir qu’avec l’entremise de la mise à jour frauduleusement verticalisée de sa courbe de votes totaux aux premières heures du matin du 4 novembre.

Restons dans le Wisconsin pour illustrer visuellement, au moyen du graphique ci-dessous, ce que représente exactement un tel pic statistique injustifiable : la mise à jour du décompte des voixs au matin du 4 novembre a fait passer Biden, encore en retard à minuit de plus de 100 000 voix, en tête de la course. L’axe des abscisses (x) représente le temps (en heures) ; l’axe des ordonnées (y) celui de la valeur brute de votes (en millions) à telle heure donnée :

[On observe (en jaune sur le graphique) un décrochement brutal,
en marche d’escalier, le 4 novembre 2020 à 4h.
]

À 3 h 42 du matin le 4 novembre 2020, Trump était encore en tête, jusqu’à ce qu’une énorme décharge de votes « Biden » apparaisse sans explication, entraînant la mise à jour arithmétique survenue vers 4 h du matin, comme l’indique le graphique ci-dessus.   

On observe un phénomène identique dans tous les États disputés. Par exemple dans le Michigan où, à 6 h 31 du matin le 4 novembre 2020, 149 778 bulletins sont soudainement apparus, tous pour Biden…

Dans tous les États litigieux, le décompte a été interrompu pour couvrir la fraude électorale à l’échelle de centaines de milliers de bulletins de papier livrés au milieu de la nuit. Les « pics » de courbes statistiques donnant leur forme aux valeurs maximales officialisées en faveur de Biden se sont tous produits au cours de la même période d’environ quatre heures. En Pennsylvanie et en Géorgie, le décompte a duré plusieurs jours. Le décompte des nouveaux bulletins apportés par le « miracle » de l’opération de « mise à jour » nocturne dans le Wisconsin et le Michigan n’a quant à lui duré que quelques heures.

En l’état actuel des choses, le thriller américain Cinquante États de fraude n’implique qu’une poignée d’États litigieux. Ce qui est suffisant pour obtenir l’annulation des résultats frauduleux revendiqués par les bidenistes.

Il suffirait, par exemple, de légiférer sur le fait avéré qu’il y a plus de 500 000 morts sur les listes électorales des États en question et près de deux millions d’« électeurs fantômes ». Les listes électorales démocrates sont en effet truffées d’électeurs décédés, ayant déménagé, de mineurs, et même d’étrangers… 

Dans certains États, comme en Pennsylvanie, les tribunaux et diverses véroles politicardes d’obédience démocrate et républicaine ont procédé à divers changements des systèmes électoraux en contournant les Assemblées législatives. Il s’agit d’une infraction. Les Assemblées législatives sont seules habilitées par la Constitution des États-Unis à intervenir dans de tels amendements des réglements en vigueur.

En Pennsylvanie toujours, le secrétaire d’État (un démocrate) et la Cour suprême ont « aboli », là aussi de manière inconstitutionnelle, les exigences de vérification des signatures.

Les démocrates se sont battus mordicus en 2020 pour amoindrir autant que possible, sous couvert de « pandémie », les procédures de vérification légale d’identité des électeurs.

On a par ailleurs expliqué à de nombreux électeurs trumpiens qu’ils avaient « déjà voté » par courrier, à leur insu… Quelques 250 000 électeurs du Wisconsin ont été classés comme « gravement handicapés » pour éviter de procéder à quelque forme de vérification postale des signatures. Des milliers de bulletins portant le nom de « Biden » ont été comptés plusieurs fois… Des centaines de milliers de bulletins de vote par correspondance sont arrivés par vagues et sans enveloppes… Dans le Wisconsin encore, quelques 70 000 bulletins de vote notés « absents » ont été générés comme par magie (sans correspondre à la moindre requête d’abstention des titulaires inscrits sur les listes électorales de cet État). Dans le Nevada, les machines à voter ont été réglées de manière à ce qu’il ne soit pas nécessaire de faire correspondre signatures et électeurs.

L’équipe juridique de Trump a tenu une audience des plus explosives devant la législature républicaine du ministère de la Justice de l’Arizona au cours de laquelle une douzaine de témoins et de spécialistes en cybersécurité ont rendu compte des différentes formes d’activités digitales frauduleuses identifiées dans différentes circonscriptions de l’Arizona.

Les machines à voter étaient connectées via internet et gérées depuis l’étranger par des employés du Dominion, sans aucune chaîne de contrôle, pour modifier en temps réel le « comptage » des scrutins électroniques. Cette supercherie digitale a notamment été financée par le milliardaire juif américain Mark Zuckerberg, cofondateur de Fakebook.

Plus de 400 000 bulletins illégaux ont été convoyés dans les comtés arizoniens de Maricopa (le plus vaste de l’Arizona) et de Pima. En outre, quelques 1,9 millions de votes en Arizona ont été comptabilisés, sans surveillance ni vérification de signature des électeurs. Des témoins ont certifié avoir assisté aux allées et venues de nombreux camions chargés de cartons de bulletins pendant une bonne partie de la nuit, jusqu’aux premières lueurs du jour. À l’heure d’aujourd’hui, le différentiel entre Trump et Biden en Arizona, à l’avantage de ce dernier, est de quelques 10 000 voix…

Nous pourrions continuer, mais cela n’est pas nécessaire ici. Le film Cinquante États de fraude continue en direct, et la tricherie va devenir encore plus criante aux yeux du monde. Faisons quant à nous, pour finir, le point sur les tricheurs impliqués. Bas les masques !

Remarques conclusives : les tricheurs sont démasqués

Voici, pour le moment, la somme des forces collusoires impliquées dans l’élaboration du résultat officiel, , des élections présidentielles américaines de 2020 :

Les concepteurs et auteurs humains de la SRAS-CoV-2 (dans différents laboratoires de biologie moléculaire mondialistes, pour finir à Wuhan, l’ « épicentre » officiel)

+ COVID-19 lui-même, résultante épidémique de SRAS-CoV-2 (-> donnant lieu à la gigantesque logistique de la tricherie électorale « à l’ancienne » moyennant la fabrication, la falsification et le convoyage de millions de bulletins de vote par correspondance)

+ le Parti communiste chinois (PCC) et la famille Biden[7]

+ Google, Facebook, Twitter

+ l’argent privé des principaux milliardaires contrôlant les médias sociaux, Mark Zuckerberg et George Soros (NB : Zuckerberg et Soros ont également injecté leurs ressources privées dans le système judiciaire, ce qui constitue bien entendu un crime)

+ les démocrates du totalitarisme libéraliste, de l’identitarisme ethnique, de l’émasculation des hommes, et de la grande finance internationaliste

+ les « républicains de nom uniquement » (ou « RINOS »)

+ le vote « dominionisé » (phase électronique de l’opération « grande triche 2020 »), en gardant à l’esprit le lien qui existe entre le développement de programmes de modification de scrutins alternatifs, tels que Hammer & Scorecard, et la CIA (la CIA les a en effet exploités pour interférer avec certaines élections à l’étranger[8])

+ …

En l’état actuel des choses, les politiciens et bureaucrates professionnels du Parti républicain se contentent des résultats officiels issus du rapt des élections et s’inclinent honteusement devant les groupes de pression organisés et parrainés par l’ultra-gauche globaliste. Ses principales voix « conservatrices », complices du statu quo washingtonien, veulent en effet revenir au Parti des Bush, John McCain, Mit Romney et Goldman Sachs. Ils forment un Parti en mal de « business as usual… » 

De leur côté, les démocrates sont déterminés à dénaturer autant qu’il leur sera possible les règles en place, voire à réécrire la Constitution des États-Unis—le but avoué étant de s’assurer que les républicains n’aient plus jamais la possibilité électorale de reprendre le contrôle de l’une ou l’autre des branches du gouvernement étasunien.

Tels sont les enjeux à la fois domestiques et méta-américains de cette nouvelle guerre civile outre-Atlantique. La grande opération « étatico-covidique » universelle de restrictions des libertés ne pouvait espérer se prolonger aussi drastiquement que prévu par ses architectes mondialistes, avec la reconduction de Donald Trump pour un second mandat présidentiel. Démocrates et « républicains de nom uniquement » devaient donc l’arrêter à tout prix, ce qui ne pouvait s’accomplir sans la mise en place (préparée de longue date) de l’opération « grande triche 2020 ».

Mais cette bataille ne se limite pas à la sauvegarde de la République américaine[9], aussi imparfaits que soient ses principes fondateurs (déistes-maçonniques). Si la raison et la désobéissance civile ne s’unissent pas sans plus tarder pour résister aux fraudes covidiennes[10] et électorales, les confinements, les masques et la censure à tire-larigot deviendront la norme universelle en vigueur des « démocraties » contemporaines.

Trump est le vainqueur légitime indéniable de la derrière élection présidentielle étasunienne en date. Il incombe désormais aux législateurs républicains des États litigieux du Michigan, du Wisconsin et de la Géorgie d’utiliser pleinement leur pouvoir constitutionnel (cela vaut également en Pennsylvanie et dans l’Arizona), où la résistance des « républicains de nom uniquement » continue malheureusement à contrecarrer les efforts de justice déployés aussi bien par les avocats de l’équipe juridique de Trump que par des millions d’électeurs américains, résidents de ces États). Une session extraordinaire des Assemblés législatives des dits États s’impose donc désormais, et il va falloir les convoquer sans plus tarder, en vue de  porter l’affaire devant la Cour suprême des États-Unis, dernière étape.  

Pour finir, revenons brièvement sur le spectre du virus des élites globalistes malthusiennes élaboré en laboratoire, avant d’être imputé aux Chinois. Comme continuent de le démontrer les modèles des CDC, SRAS-CoV-2 n’est pas plus mortel que d’autres maladies respiratoires saisonnières. Une analyse de John Hopkins a été récemment publiée en ligne (avant d’être immédiatement censurée) montrant que la COVID-19 n’a aucun effet significatif sur le nombre total de décès aux États-Unis[11]. En ce moment, en pleine période pré-hivernale de retour saisonnier de la grippe, les cas et les décès naturellement imputables à celle-ci sont recensés comme des cas et des décès covidiques, afin bien sûr de faire de nouveau grimper les statistiques et de maintenir ainsi les populations dans la peur et sous contrôle inexorable.

En revanche le covidisme s’avère extrêmement dangereux, capable, en l’espace de tout juste quelques semaines, de soumettre une civilisation tout entière au despotisme d’un nouvel ordre mondial sanitaire. L’intelligence en prend un coup terrible, au point de céder à toutes sortes de folies, de mesures arbitraires (port obligatoire de masque et distanciation sociale sans justification scientifique), de répression et de représailles policières, d’irrationnalités et de peurs diverses et variées… Rappelons par ailleurs que la transmission de la « COVID-19 » se fait principalement par la diffusion répétée de fausses nouvelles, phénomène aujourd’hui omniprésent sous l’empire numérique du nouvel ordre mondial dés-informationnel.

Les gens qui réfléchissent un tant soit peu savent très bien qu’il n’y a donc aucune légitimité (scientifique ou autre) à toutes ces mesures qui constituent le phénomène que nous appelons le covidisme ». La distanciation sociale, les masques, les tests, les restrictions imposées aux églises, les confinements massifs, le développement de vaccins… Toute cette mascarade n’est pas un seul instant destinée à la protection des peuples, que les élites malthusiennes « écolos » ne cherchent en effet qu’à subjuguer, à soumettre et à réduire autant que possible. Il s’agit de nous conditionner à accepter, « pour notre bien », davantage de contrôle gouvernemental, c’est-à-dire davantage de régulations arbitraires—avec, comme étape ultime du mensonge « pandémique » universel, la vaccination (obligatoire) pour tous…

Projet cher aux élites financières et technocratiques, la vaccination obligatoire de masse est en cours de réalisation depuis des lustres (bien avant la conception de Bill Gates et consorts dans le sein maternel). Dans le cadre de la fausse pandémie covidique, il va de toute façon s’agir de faux « vaccins » à ARN et munis de nanomatériaux manufacturés, tels qu’ils sont aujourd’hui développés par différentes sociétés pharmaceutiques et de biotechnologies[12]. Derrière des façades humanitaires d’apparence toujours salutaires, les véritables intentions de la « bonne nouvelle » vaccinale se résument à deux grands objectifs corrélatifs de fond : la réduction de la population mondiale et son contrôle globalisé.

Ce qui est d’autant plus clairement luciférien derrière le grand mensonge du « vaccin salvateur », c’est de promouvoir un « antidote » anti-covidique dont la composition contient en outre des dérivés de lignées cellulaires de fœtus mâles avortés—merci à la Chine abortive-génocidaire (un leader mondial en la matière) ; mais plus encore, comme toujours, dû aux globalistes malthusiens les plus répugnants (basés en France, aux États-Unis et ailleurs).

En tant qu’entités organisatrices de révolutions colorées, les États-Unis washingtoniens et la Chine du PCC ne peuvent se concevoir sans le concours des banques centrales juives (Rothschild & Co.), qui en sont donc les véritables propriétaires…

L’empire de la fausseté systématique joue aujourd’hui sur tous les terrains. Le seul remède à la folie totalitaire qu’il incite chez les gouvernants comme chez les gouvernés, est de continuer à se battre résolument avec les armes du courage (intellectuel et moral) et de la saine rationalité, pour présenter des preuves raisonnées et intelligentes, à temps et à contretemps[13].   

« Avouer qu’on s’était trompé, » comme le disait si bien Gaston Bachelard, serait certes ici une marque d’intelligence… Mais, sans la raison illuminée par la syndérèse[14], l’intelligence fait ici défaut, comme le dictent ces temps de suffisance aveugle, de désorientation morale, et de bêtise journalistique profondément inoculée en l’homme contemporain (par ailleurs « covidisé » à souhait). Les Pères du désert disaient quant à eux que « le cœur est cette tombe où nos pensées et notre intellect sont enterrés »[15]. Le Christ ressuscité y descend, comme il est descendu aux Enfers, pour libérer les facultés de l’âme, en particulier notre intellect, « de sa prison sans lumière ». C’est Lui qui, soulevant la lourde pierre du faux totalitaire qui opprime l’âme spirituellement nécrosée, ouvre le tombeau de l’ignorance et de la mystification théâtrale mondaine.  

En dépit de l’avertissement d’Alan Turing selon lequel « si une machine est censée être infaillible, elle ne peut pas en même temps être intelligente », nous voici socialement conditionnés pour nous comporter comme des machines (mais sans être infaillibles à quelque égard que ce soit), par ceux qui programment notre comportement. Si, au contraire, nous écoutions la voix du Christ pour que l’intelligence syndérétique soit restaurée en nous, sous serions du même coup libérés du pouvoir qu’exerce sur nous le piratage intellectuel induit en nous par la pensée dominante. Non, nous ne sommes pas des machines programmables entre les mains de nos faux maîtres à penser !

Notes

[1] https://www.battleswarmblog.com/?p=46562
https://hereistheevidence.com/.
Jour après jour, on découvre un nombre croissant d’illégalités de vote, d’exemples d’activités frauduleuses d’une ampleur telle qu’elles ne peuvent être simplement niées, sauf par ceux qui le font et choisiront délibérément de continuer à nier la réalité des faits.

[2] Voir Marchandiser la vie humaine (nouvelle édition revue et augmentée), un ouvrage collectif séminal et approfondi « parcourant les connexions entre business de la stérilité, trafic de fœtus et d’organes, réseaux mafieux pour recruter des “femmes gisements” dans le monde entier… »

[3] Les Petites Sœurs des Pauvres ont remporté une victoire importante à la Cour suprême des États-Unis au début de l’année sur la prestation du programme contraceptif forcé de l’Obamacare : https://pregnancyhelpnews.com/little-sisters-of-the-poor-get-big-supreme-court-victory-in-obamacare-contraception-mandate-case.

[4] Pour mieux saisir le sens et les implications de ce « quid pro quo » à l’américaine, il sera utile au lecteur de suivre au lien suivant l’analyse comme de coutume avisée d’Israël Shamir, Trump Woos Jews, Jews Impeach Trump, article traduit par Maria Poumier sous le titre de Le quiproquo : https://plumenclume.org/blog/515-le-quiproquo.

[5] https://blog.youtube/news-and-events/supporting-the-2020-us-election/.

[6] Voir ici l’acte de plainte officiel soumis le 9 décembre 2020 à la Cour suprême : State of Texas v. Commonwealth of Pennsylvania, State of Georgia, State of Michigan, and State of Wisconsin.

[7] https://nypost.com/2020/10/15/emails-reveal-how-hunter-biden-tried-to-cash-in-big-with-chinese-firm/.

[8] Le lieutenant général, retraité de l’armée de l’air américaine, Thomas McInerny, explique encore que ce programme a été mis en place par l’administration Obama (dont Biden lui-même alors vice-président) pour modifier les votes lors des élections américaines de 2012. Il a de même été utilisé à l’encontre de Bernie Sanders en 2016, pour l’empêcher de vaincre Hillary dans le cadre des primaires démocrates. Il indique par ailleurs que l’administration Obama a encore tenté de l’utiliser lors des élections présidentielles de 2016, mais sans succès cette fois, ce qui a bien sûr donné la victoire surprise de Trump (voir l’interview complète ici).

[9] Pour le lecteur qui souhaiterait approfondir sa compréhension des tenants et des aboutissants de la situation étasunienne, surtout en ce qui concerne l’architecture multidimensionnelle et les résultats officiels des élections de 2020, nous recommandons ici la lecture de la Lettre du Général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis, le 14 novembre dernier, publiée sur Réseau International.

[10] Nous faisons varier à dessein notre terminologie, ici l’adjectif « covidiennes » au lieu de notre « covidiques » plus usité, pour être à la fois créatif et alternatif dans l’usage de nos concepts néologisés.

[11] https://www.jhunewsletter.com/article/2020/11/a-closer-look-at-u-s-deaths-due-to-covid-19.

[12] Principalement Pfizer et Moderna.

[13] Selon l’exhortation de saint Paul à Timothée (2 Tim 4, 2) de « dénoncer le mal, faire des reproches, encourager, mais avec une grande patience et le souci d’instruire, à temps et à contretemps. »

[14] Du grec συνείδησις -> συν-είδησις, qui au sens littéral connote bien l’idée d’union, « con- [συν- = avec] -science [-είδησις, c’est-à-dire ce qui est « raconté » pour être connu] ». En ce sens, la syndérèse est cette conscience morale, ou science du bien reconnu (par l’intelligence) et choisi (par la volonté) comme tel. Les grands auteurs scolastiques, tels que saint Thomas d’Aquin, décriront plus tard la syndérèse comme scintilla conscientiae (« l’étincelle de la conscience »), car c’est aussi une lumière brillant dans les ténèbres de la conscience de l’homme déchu (c’est-à-dire marqué par les conséquences du péché originel).

[15] Dans Les homélies spirituelles de saint Macaire. Saint Macaire le Grand, IVe siècle, disciple de saint Antoine et abbé du monastère de Scété en Égypte.

Articles liés




Un conseil secret gouverne la France

[Source : Réseau International]

par Jean-Luc Mélanchon.

Dorénavant, les Conseils des ministres sont précédés d’un Conseil de défense.

Nous sommes nombreux à nous demander pourquoi une invention pareille a fini par se substituer à pratiquement tous les organes constitutionnels de prise des décisions.




Élections aux USA – Lettre du Général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis

[Source : Réseau International]

par Dominique Delawarde.

Mes chers amis,

Nombre d’entre vous m’ont demandé quelle était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l’élection présidentielle américaine. Ma double casquette d’expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m’a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :

1 – Y-a-t-il eu fraude électorale et l’hypothèse d’un coup d’état visant à inverser le résultat  de l’élection est -elle crédible ?

2 – Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.

Je vais m’efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.


Conflits d’intérêt de l’auteur ?

Il est important pour chacun d’entre vous de savoir, avant d’entamer la lecture de ma lettre, si son auteur a un quelconque conflit d’intérêt pouvant orienter son propos sur le sujet traité.

Ma réponse est non. J’ai bien vécu aux USA, dans le Kansas, sous administration démocrate (Clinton) entre 1995 et 1998,  époque dont je garde un excellent souvenir. J’ai effectué de multiples autres séjours aux USA, avant et après cet épisode professionnel, pour rendre visite à ma nombreuse famille proche qui compte 3 de mes sœurs et 48 de leurs descendants directs, tous  citoyens américains et résidant dans divers états gouvernés tant par les démocrates que par les républicains. J’ai visité 46 des 50 états de l’Union. La « Meritorius Service Medal » US m’a été remise à l’été 1998 dans un pays sous leadership démocrate. Je ne suis membre d’aucun des principaux partis politiques français (LR, PS, RN, Insoumis, LREM-Modem, EELV).

Si ma sévérité s’exerce parfois avec véhémence sur les «gouvernances» américaines, démocrates ou républicaines, elle ne s’adresse jamais au peuple américain qui, comme beaucoup d’autres peuples, est plutôt généreux et sincère, mais naïf et manipulé.

Je suis devenu très réservé, voire hostile à l’OTAN, ayant constaté ses dérives depuis 1990, dans le cadre de mes fonctions :

Mon expérience du renseignement m’a conduit à n’accorder qu’une crédibilité de plus en plus faible à l’énorme majorité des agences de presse et des médias mainstream, occidentaux en particulier.

Je n’apprécie pas l’action et/ou « l’influence puissante et nocive des lobbies » transnationaux sur la marche du monde, que ces lobbies soient financiers, médiatiques, communautaires, ou de toute autre nature.

L’auteur ayant mis les choses au clair, passons au vif du sujet.


Contexte pré-electoral de la présidentielle américaine

Depuis l’échec de Hillary Clinton à l’élection de 2016, les USA se sont profondément divisés en 2 camps irréconciliables, qui se détestent et sont désormais engagés dans un combat « à mort ». Contrairement à ce que les gens pensent en France ou en Europe, ces deux camps ne sont pas les camps républicain et démocrate qui ne constituent que les parties émergées de l’iceberg. Ces deux camps sont les tenants de deux conceptions du monde opposées : les « souverainistes » et les « mondialistes ». On retrouve les représentants des « mondialistes » majoritairement chez les démocrates, mais on en trouve aussi, en  moindre proportion, chez les républicains.

A la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, le 24 septembre 2019, Donald Trump a clairement choisi son camp, exprimé sa vision du monde et déclaré la guerre aux mondialistes en déclarant : « Comme mon pays bien-aimé, toutes les nations présentes dans cette enceinte  ont une histoire, une culture et un héritage qu’elles chérissent et qui méritent d’être défendus et célébrés, et qui nous donnent une force et un potentiel particulier. Le monde libre doit embrasser ses fondations « nationales ». Il ne doit pas chercher à en faire table rase et à les remplacer… »

Il a ajouté quelques secondes après : « Si vous voulez la liberté, soyez fiers de votre pays, si vous voulez la démocratie, accrochez vous à votre souveraineté, si vous voulez la paix, aimez votre nation. Les chefs d’état avisés font toujours passer l’intérêt de leur propre pays en premier. L’avenir n’appartient pas aux mondialistes, l’avenir appartient aux patriotes. L’avenir appartient aux nations indépendantes et souveraines qui protègent leurs citoyens, respectent leurs voisins et acceptent les différences qui rendent chaque pays spécial et unique ».

Chacun peut comprendre qu’un tel discours puisse susciter l’adhésion d’une large part de la population américaine : plus de 73 millions de votes « Trump » comptabilisés en novembre 2020 soit 10 millions de plus qu’en 2016 où il avait obtenu moins de 63 millions de suffrages)….. Pour tous ceux qui croyaient que Trump était en perte de vitesse, ce +15% est une immense surprise, comme en 2016.

Le camp des mondialistes ne peut évidemment pas accepter un tel « discours-programme ». Il va donc faire tout ce qui est en son pouvoir pour barrer la route de la ré-élection au président sortant. Majoritaire dans « l’état profond US » (deep state), contrôlant la finance et les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazone, Microsoft et Tweeter), contrôlant aussi la quasi-totalité des médias mainstream et des agences de presse anglo-saxonnes et européennes, le camp des mondialistes va coordonner l’action de ses « bras armés » pour tenter de sortir Donald Trump de la présidence des USA.

Le président Trump, de son côté, n’est ni stupide, ni seul. Il dispose d’un très fort soutien populaire, d’une majorité au Sénat, à la Cour Suprême et 27 des 50 gouverneurs des États de l’Union sont républicains. A la chambre des représentants, il vient de réduire l’écart qui séparait son camp républicain du camp démocrate de 12 sièges (pour l’instant…) Il a mis en place une administration fédérale qui lui est majoritairement fidèle (pas totalement …). Il a changé une majorité des juges fédéraux. Il a résisté victorieusement à deux tentatives de l’état profond et des démocrates de le destituer (L’affaire du Russiagate montée de toute pièce dès 2016 et qui a fait flop ….. parce qu’elle était « bidon » et que les enquêteurs, les juges et l’opinion publique US ont fini par s’en apercevoir, et la tentative de destitution par la Chambre des représentants qui a tourné court au Sénat en 2019…..

Par ailleurs Trump est lucide lorsqu’il dit dans son dernier discours électoral du 2 novembre 2020, en Caroline du Nord : « S’il y a une chose que j’ai faite au cours de mon mandat, c’est de mettre en évidence la malhonnêteté des médias ». Les médias mainstream US ont toujours suscité et soutenu les actions anti-Trump.

C’est donc dans ce contexte de tensions extrêmes et au terme d’une campagne électorale au cours de laquelle tous les coups les plus tordus ont été observés, de part et d’autre, que survient le scrutin du 3 novembre 2020.

Les médias et les instituts de sondage américains ont-ils été honnêtes, lors de la campagne électorale ou ont-ils cherché à manipuler l’opinion ?

Les médias mainstream US, tout comme les médias européens d’ailleurs, ne brillent pas par leur honnêteté, leur pluralité et leur impartialité. Contrôlés par une poignée de milliardaires, ces médias défendent les causes et les intérêts qui sont ceux de leurs « patrons », membres actifs ou simples collaborateurs de l’état profond. Tous les moyens sont bons, y compris, les mensonges les plus éhontés. On met en évidence tout ce qui porte préjudice à l’adversaire (Trump), on occulte tout ce qui pourrait porter préjudice au camp que l’on défend (Biden). Les journalistes ne peuvent faire carrière que s’ils se soumettent et/ou s’autocensurent. On se trouve aujourd’hui dans une situation de « guerre de l’information » électorale :

Le commun des mortels a beaucoup de difficultés à s’informer correctement.

Depuis 4 ans déjà, ces médias US, parfaitement relayés par les médias « frères » européens n’ont eu de cesse, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, de noircir l’image du président Trump dans l’opinion publique US, occidentale et mondiale. Dans les mois précédant l’élection, ils se sont appuyés sur des sondages largement biaisés pour faire croire au peuple américain et au monde, comme en 2016, que l’élection était « pliée » et qu’une grande vague démocrate allait submerger le pays. Pour ne donner que l’exemple de la Floride, une forte majorité des sondages dans les 4 jours précédant le scrutin donnait Biden gagnant de 1 à 5 points. C’est Trump qui l’a emporté de 3,4 points. Les écarts constatés entre ces derniers sondages et le résultat du scrutin sont tels qu’ils ne relevaient pas de la marge d’erreur, mais du mensonge manipulateur, intéressé, et … éhonté. Ces sondages et articles mensongers ont été appliqués à la quasi totalité des états de l’Union. Les scores de Trump et du parti républicain, au jour de l’élection, ont révélé l’ampleur de ces « mensonges-manipulateurs » médiatiques et sondagiers pré-électoraux.

L’Hypothèse d’une fraude importante appliquée à quelques états clefs le jour du scrutin est-elle crédible ?

Mon intime conviction me dit que oui car il y a, à mes yeux, trop d’indices concordants pour permettre à la meute « médiatique » occidentale, dont nous savons qui la contrôle, de me convaincre du contraire. Les présidents chinois et russes ne s’y sont pas trompés en attendant la proclamation du résultats officiels, qui n’interviendra que le 8 décembre, avant de féliciter le vainqueur, lorsqu’il sera vraiment connu.

Voici les éléments qui me font douter de l’honnêteté du scrutin.

1 – Il y a eu cette précipitation curieuse, voire suspecte de la meute médiatique US, suivie par la meute « sœur » de l’UE dont nous savons qui la contrôle, à vouloir imposer un vainqueur alors que les résultats officiels de 5 ou 6 états ne sont pas encore connus. Nous savons tous que ces médias US sont « partisans » et qu’ils sont les plus farouches adversaires de Trump. Nous connaissons leur habitude récurrente à vouloir critiquer, contester, modifier, ne pas reconnaître, remettre en cause tous les résultats électoraux qui ne leur conviennent pas sur la planète (Syrie 2014, Venezuela 2018, Bolivie 2019, Biélorussie 2020 pour n’en citer que quatre). Nous connaissons aussi leur propension à vouloir promouvoir, voire imposer le candidat qui leur convient même lorsque celui ci est très minoritaire dans le pays (France 2017, Bolivie 2019, Biélorussie 2020, Navalny qui ne représente strictement rien en Russie, mais qui nous est « vendu », par nos médias, comme le challenger numéro un de Poutine.)

2 – Il y a ces actions très inhabituelles de Google, Facebook, You tube, Twitter censurant purement et simplement le Président en exercice des États-Unis, en agissant de concert et simultanément. Cette collusion évidente de ces grandes sociétés de service, dont nous savons qui les contrôle, n’est tout simplement pas « naturelle », ni démocratique ….

3 – Pour la première fois dans l’histoire des USA, le vote par correspondance a été massivement utilisé puisque plus de 42% des électeurs qui se sont exprimés l’ont fait par correspondance (plus de 64 millions). Il est mondialement reconnu que ce type de vote favorise la fraude électorale.

Le vote par correspondance a d’ailleurs été supprimé en France en 1975 parce qu’il était jugé propice à la fraude électorale.

Il est, soit dit en passant, étrange que des députés de la majorité LREM cherchent aujourd’hui à rétablir, en France, le vote par correspondance, en profitant de l’opportunité « Covid ».

Auraient-ils l’intention, eux aussi, de rouvrir plus largement les possibilités de fraude en France et de faire bourrer les urnes de leur circonscription pour se faire réélire au prochain scrutin ?…

Prétendre aujourd’hui qu’il n’y a pas eu la moindre fraude électorale aux USA avec 64 millions de votes par correspondance n’est tout simplement pas crédible.

Sans reprendre à mon compte l’ensemble des fraudes dénoncées par les républicains,  et énumérées dans cet article :

je retiendrai, tout de même, un seul exemple, reconnu par les deux partis, démocrate et républicain, et qui est donc ni contestable, ni contesté.

Selon son propre aveu au New York Times, Abigail Bowen, la greffière des élections du comté de Shiawassee dans le Michigan a ajouté, par erreur selon elle, un zéro en trop au décompte des voix de Joe Biden. Au lieu d’entrer 15 371 voix en faveur du démocrate, son équipe a ajouté 150 371. La touche 0 n’étant pas, sur un clavier d’ordinateur, voisine de la touche 5 ou de la touche 3, plaider l’erreur involontaire paraît bien étrange …. Elle ajoute avoir été notifiée de l’erreur 20 minutes plus tard et l’avoir corrigée ensuite. (Heureusement que quelqu’un s’est aperçu de cette erreur dont tout semble indiquer qu’elle était volontaire…..)

C’est très bien que cette erreur ait été rectifiée, mais cela pose tout de même questions :

Combien « d’erreurs » de 0 de ce genre ont-elles été commises, volontairement ou non ? …..

Combien « d’erreurs » de ce genre ont elles été repérées, notifiées et corrigées ? …..

Combien de ces « erreurs » ont-elles été validées dans le décompte final ?

Un candidat, démocrate ou républicain, est-il fondé ou non à demander un recomptage lorsque l’écart dans le résultat est dans la marge des 1% dans un des États de l’Union ? Cela ne se fait-il pas dans toutes les démocraties dignes de ce nom ? Est ce aux médias de proclamer un vainqueur sans disposer de résultats validés ?

J’observe que, dans cette marge de 1%, se trouvent les résultats de 5 états qualifiés de swing states : L’Arizona, la Georgie, le Wisconsin, la Pensylvanie et le Nevada.

Dans ces 5 états, Trump était en tête mais Biden aurait repris l’avantage de quelques milliers de voix dans tous ces états grâce à l’arrivée opportune, miraculeuse, massive et soudaine, en fin de dépouillement du scrutin, de votes par correspondance qui lui auraient été très, très, très favorables.

Vous l’aurez compris le vote par correspondance est, pour moi, la porte ouverte à la fraude. Lorsque ce vote par correspondance est massif, la fraude peut être importante et largement suffisante pour inverser un résultat dans la marge des 1%. Il est infiniment peu probable qu’il n’y ait pas eu de fraudes. Je me garderai bien de dire à qui cette fraude a profité et je ne suis pas sûr qu’on puisse en avoir un jour toutes les preuves. Je dis simplement que les médias mainstream « bisounours » US et européens qui aimeraient refuser à Trump le droit aux recomptages, aux enquêtes et aux vérifications mais qui, lorsqu’il s’agit d’autres pays, sont très regardants sur les comptages, et crient facilement « à la fraude électorale » ne se grandissent pas. Nous savions que la France et ses journalistes qui se moquent du perdant présumé, parce qu’il s’appelle Trump, donnaient l’image d’une « médiocre’atie », mais doit-elle devenir aussi une média’cratie qui tente de nous imposer nos Présidents et tout ce qu’il faut penser, sur tous les sujets ?


Abordons maintenant le deuxième objet de ma lettre.

Si le « mondialiste » Biden devait être élu le 8 décembre et intronisé le 20 janvier 2021 quelle évolution peut-on en attendre pour la planète, l’Europe et la France ?

Biden est un homme âgé, dont chacun sait qu’il n’a plus toute sa tête (Il sera dans sa 79 ème année le 20 janvier prochain). Pour cette seule raison, s’il devait être élu, il serait sous influence et ne prendrait ses décisions que sur les conseils et  le « contrôle étroit » de son entourage proche, émanation du « Deep State » et composé de « mondialistes » purs et durs. C’est d’ailleurs cet entourage qui l’aura aidé à l’emporter,  c’est cet entourage qui gouvernerait, en fait, les USA.

Parce qu’il est d’obédience « néoconservatrice », cet entourage est résolument pro-Israël et pour le maintien d’une hégémonie absolue des USA sur la planète. L’étude approfondie de cet entourage (Biographies, ascendances, réseaux et communauté d’appartenance) serait très révélateur mais, hélas, peu surprenant. Nous avons les mêmes chez nous. Il faudrait donc s’attendre à une multiplication des ingérences agressives US aux Proche et Moyen-Orients (Liban, Syrie, Irak, Iran), au profit d’Israël bien sûr, mais aussi aux frontières de la Russie, en Mer de Chine et en Amérique du Sud. Cette nouvelle équipe de gouvernement, bras armé du « Deep State », créera les prétextes s’ils n’existent pas et instrumentalisera la nébuleuse terroriste, comme elle l’a toujours fait dans le passé, pour l’aider à justifier ses ingérences.

Trump a réussi à réduire graduellement et considérablement les bombardements US sur la planète (47 000 bombes en 2017, 16 000 en 2018, 12 000 en 2019 et 928 en janvier + février 2020 (dernières données connues).

Il a rapatrié dans son pays nombre de ses soldats déployés, notamment aux Proche et Moyen-Orients. Sous son premier mandat, la coalition occidentale a tué beaucoup moins de monde que sous les mandats de son prédécesseur. Si une équipe mondialiste s’empare de la maison blanche,  des tendances  inverses pourraient se remettre en place dès le printemps 2021….et le sang se remettre à couler ….. L’OTAN n’a toujours pas compris qu’elle devrait et aurait intérêt à mettre un terme à ses dérives.

La mauvaise nouvelle est qu’une administration Biden chercherait aussi à impliquer l’OTAN, le Royaume Uni, la France et l’Union Européenne dans tous les coups tordus que ses stratèges néoconservateurs pourront imaginer.

La mauvaise nouvelle pour la France est que sa dépendance économique (dette et CAC40) et la servilité grandissante à l’égard des USA de ses élites, formées pour ça, ne lui permettront pas de refuser toutes les invitations US à se joindre à ses coalitions de circonstance pour des causes douteuses.

La bonne nouvelle tient dans le fait que, de part et d’autre de l’Atlantique, les peuples commencent à ouvrir les yeux. Que ça plaise ou non à nos médias, à nos politiques et à notre opinion publique manipulée, le « souverainiste » Trump a obtenu 15% de voix de plus qu’en 2016 (73 millions). Ses partisans tiennent la Cour Suprême, le Sénat, une majorité d’États et s’approchent de la parité à la Chambre des représentants. Ses partisans tiennent aussi les campagnes états-uniennes. Les démocrates ne tiennent vraiment que les grandes villes…

carte du vote 2020 (vote Trump en rouge), (vote Biden en bleu).

Il ne sera donc pas simple de gouverner les USA et de faire n’importe quoi dans ces conditions d’autant que l’économie US est en berne et la dette  abyssal

Il ne sera pas simple non plus de gouverner une UE de l’Ouest en faillite, avec des populations au bord de la révolte, des PIB en recul et des budgets de défense qui seront, qu’on le veuille ou non, sinistrés.

Dans ces conditions, la sagesse devrait consister à s’occuper correctement de ses affaires avant de vouloir jouer les shérifs sur la planète. Elle devrait aussi consister à ne pas vouloir s’ingérer partout dans les affaires d’états souverains sous le prétexte fallacieux de la lutte contre un terrorisme que nous avons largement contribué à créer et à entretenir par une politique étrangère calamiteuse (Libye, Syrie, Irak, Yemen, Iran, Russie, Biélorussie, Venezuela, Brésil, Bolivie entre autres) et par des prises de position officielles irresponsables « perçues » comme insultantes par des dizaines de pays sur la planète (caricature).

Tôt ou tard, une coalition occidentale gouvernée par des mondialistes agressifs, se prendra un grand coup sur le museau, s’étonnera, redescendra de son piédestal, et fera moins la fière. Ses populations multiplieront les marches blanches, les cérémonies de funérailles, les manifestations bruyantes et ostentatoires contre un ennemi qu’on aura provoqué. Elles compteront et pleureront leurs morts. Il suffit d’observer la brillante campagne conduite par les gouvernances des pays membres de cette coalition dans « la guerre contre le coronavirus », pour pressentir que nous ne gagnerons pas non plus la prochaine…

Dominique Delawarde 




Renversement, Seconde Sommation, Au Peuple

[Source : https://remy-daillet-wiedemann.fr/je-joins-mes-forces-a-cet-effort/]

https://youtu.be/GqAEekCBq8c
Rémy Daillet-Wiedemann

Voir aussi :




Élections américaines : l’identité du « kraken » révélée et le raid de la CIA en Allemagne pour saisir les serveurs de l’élection – interview du général Flynn et du général Mc Inerney

[Source : Politikus]

Natural News ) Brannon Howse de World View Report a diffusé une interview mettant en vedette le général Michael Flynn avec ses premiers commentaires publics depuis qu’il a été gracié par le président Trump. Vous pouvez consulter l’interview complète sur le site Web WorldViewWeekend.com .

Cette même interview présente également le général Thomas McInerney, expert en cyberguerre, ainsi que Mary Fanning de TheAmericanReport.org et auteur du livre: THE HAMMER is the Key to the Coup «The Political Crime of the Century»: How Obama , Brennan, Clapper et la CIA ont espionné le président Trump, le général Flynn… et tout le monde .

Dans cette interview, vous découvrirez la véritable identité du Kraken, ainsi que la confirmation que du personnel militaire américain a été tué lors de la fusillade pour s’emparer de la ferme de serveurs de la CIA à Francfort, qui est la clé pour prouver le trucage délibéré des élections via une modification à distance des tableaux de vote.

Ci-dessous, vous trouverez la transcription complète de l’entretien.

Tout d’abord, voici quelques-uns des faits saillants du Général McInerney que nous avons pensé particulièrement importants.

  • HAMMER et diverses cyberarmes étaient auparavant utilisées par les États-Unis contre d’autres pays, maintenant les armes sont déployées contre nous. Obama est derrière tout.
  • Le créateur de HAMMER et de Scorecard est Denis Montgomery, ancien analyste de la CIA.
  • Fox s’est retourné contre l’Amérique, les coordinateurs du coup d’État profond ont recruté l’ensemble des médias américains et Big Tech pour vaincre la République et renverser la Constitution américaine.
  • La date limite du 14 décembre n’a pas d’importance. Le président Trump ne devrait pas quitter ses fonctions tant que tous les faits entourant le vol des élections n’ont pas été analysés, y compris les distributions de dépouillement «causées par la manipulation électronique frauduleuse de machines à voter ciblées».
  • Le fait que les 5 États du champ de bataille aient cessé de compter en même temps, «démontre une coordination préalable des responsables électoraux dans cinq États du champ de bataille.» Ensuite, ils ont utilisé HAMMER et Scorecard, plus Dominion, pour amener Joe Biden en tête. C’est une «impossibilité mathématique» la façon dont les votes sont arrivés. Un algorithme a été utilisé.
  • En PA, 1,8 million de bulletins de vote ont été envoyés aux gens. 2,5 millions sont revenus. Quelqu’un avait une presse à imprimer et les imprimait.
  • Le renseignement militaire du 305e bataillon est «Kraken».
  • La Chine, l’Iran, la Russie étaient tous impliqués dans la manipulation des votes.
  • Confirmé que le US Special Forces Command a saisi des serveurs de la ferme de serveurs de la CIA à Francfort.
  • Confirmé qu’il y avait des soldats américains tués lors du raid sur la ferme de serveurs de la CIA à Francfort.
  • Chris Miller est secrétaire à la Défense en raison du 305e bataillon. Considérez pourquoi…
  • Chris Krebs de CISA a commis une trahison et fait partie du coup d’État.
  • Ce qui s’est passé pendant les élections, c’est la trahison au plus haut niveau, pas seulement la politique.
  • Trump peut garder le contrôle de la Maison Blanche, sous serment, jusqu’à ce qu’une enquête complète soit terminée, et il n’y a pas de délais artificiels qui peuvent l’arrêter.
  • Le président a prêté serment qui l’oblige à défendre le pays contre tous les ennemis, étrangers et nationaux. C’est pourquoi il ne peut pas livrer la Maison Blanche à des marionnettes politiques (Biden) contrôlées par les ennemis de l’Amérique (Chine, Iran).
  • La grande preuve des serveurs saisis va sortir à SCOTUS, pas avant.
  • Une fois capturés, des acteurs traîtres de niveau intermédiaire pointeront du doigt Biden et Obama, affirmant qu’ils avaient reçu l’ordre de commettre les actes de trahison.
  • Le second tour du scrutin en Géorgie est déjà volé par les démocrates à moins que nous arrêtions le vol de votes. C’est juste un vol numérique pour eux. Cela signifie que le Sénat sera perdu pour les démocrates à moins que cette infrastructure de fraude électorale ne soit exposée et vaincue.
  • Une grande instabilité survient si nous permettons que le gouvernement soit saisi par les communistes.
  • Tout cela va jusqu’au sommet, impliquant Joe Biden, Adam Schiff, Barack Obama et d’autres.
  • Trump savait que tout cela allait arriver et l’avait prévu.

Maintenant, voici la transcription complète

Brannon Howse: le lieutenant-général Michael Flynn et son ami de longue date, le lieutenant-général Thomas McInerney, et la chercheuse et auteure du renseignement national Mary Fanning.

Oui, le général Flynn se joint à nous ce soir. Son premier entretien depuis sa grâce du président Trump. Il parle pendant 30 minutes directement au peuple américain de ce qu’il voit venir, de ce que nous devons faire et de ce qui s’est passé, puis le général McInerney interviendra  avec les dernières nouvelles sur le kraken, ce que c’est vraiment, vous allez être choqué, puis nous entendrons la dame qui a tout cassé, Mary Fanning avec son co-auteur Alan Jones. Ils ont cassé l’histoire en décembre 2015. Les gens se rassemblent tous, et nous obtenons cette exclusivité ce soir ici à WVW Broadcast Network. L’heure du week-end Worldview commence maintenant.

Bonsoir et bienvenue à l’émission. Merci de nous avoir rejoint. Un vendredi soir très spécial, le 27 novembre, diffusé avec le général McInerney, Mary Fanning, et nous serons rejoints plus tard par Alan Jones. Nous allons couvrir de nombreux sujets très importants ce soir.

Attendez juste une seconde. Voyons si cet appel est… Bonjour, Brannon Howse. Merci général de vous joindre à nous. Nous venons de passer à l’antenne. Permettez-moi d’annoncer, en fait, laissez-moi entendre le général McInerney.

Général McInerney, nous venons d’être rejoints par un de vos amis. Souhaitez-vous présenter notre ami au public de l’émission ce soir?

Général McInerney: Oui, je voudrais Brannon, pour faire savoir à tout le monde que le général Mike Flynn va se joindre à nous ce soir,  quelques jours après avoir  été gracié par le président des États-Unis. C’est un grand honneur pour nous de l’avoir. Lui et moi parlerons avec Mary et Alan de la trahison qui a été commise contre cette administration, ce pays et ce président, et le général Flynn a été un élément clé de cette menace à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui. C’est un grand honneur de vous avoir avec ce Mike et nous devons faire savoir à l’Amérique ce qui se passe.

Brannon Howse: Absolument, avec cela général, je vais simplement vous donner la parole. Je sais que vous êtes sur un téléphone portable, mais je vais juste vous donner la parole et vous laisser parler au peuple américain. Merci de vous joindre à nous ce soir.

Michael Flynn: Tout d’abord, je veux juste dire merci Tom pour m’avoir contacté et me demander de venir ce soir, et Brannon apprécie que vous vous joigniez à moi.

Je ne sais pas quel est votre public ou à qui nous parlons ce soir, mais je vous dirais que ce qui se passe dans ce pays ne devrait jamais arriver, et nous traversons, il n’y a aucun doute dans mon esprit, nous traversons un crise historique. Si nous ne corrigeons pas ce qui se passe actuellement au cours des prochaines semaines, je déteste vraiment penser à ce qui se passera dans notre pays à la fin de décembre et certainement le mois prochain.
Je ne crois pas une seconde que le pays acceptera le vice-président Biden comme prochain président, sur la base de ce que nous savons être probablement la plus grande fraude que notre pays ait jamais connue dans son histoire.

Ce que nous voyons,  je suis en plein dedans en ce moment, et je vais vous dire que, tout d’abord, le président a des chemins clairs vers la victoire. Des chemins clairs vers la victoire qui ne nécessitent en fait pas beaucoup d’action en salle d’audience. Ce qui est nécessaire, c’est que cela exige beaucoup d’honnêteté de la part des élus et, franchement, de beaucoup d’Américains qui se manifestent et nous racontent leur témoignage.

Les centaines et les centaines d’Américains à travers le pays dans différents États, pas seulement les États en ballotage mais de nombreux autres États qui se présentent avec leurs témoignages et les déposent sur des affidavits en tant que témoins. Nous avons probablement reçu 10 ou 12 affidavits d’un État particulier aujourd’hui, et comme il y a eu un certain nombre de menaces contre des gens, des patriotes en particulier, ils ont envoyé leurs photos avec leur affidavit et ont dit: «Mettez la mienne en haut de la page liste parce que je veux que les gens sachent que je ne vais pas avoir peur de ces personnes qui menacent notre pays et notre mode de vie. »

Je dis tout cela  d’une part et d’autre part, comme je viens de le décrire, nous avons des chemins clairs vers la victoire pour ce président. Franchement, il va gagner la Pennsylvanie. Il va gagner l’Arizona. Il va gagner la Géorgie. Il va gagner le Nevada. Il va gagner le Michigan. L’autre qu’il va probablement retirer est le Wisconsin aussi, car il y a un écart dans le Wisconsin de 130 000 bulletins de vote vigilants qu’ils viennent de trouver, qu’ils viennent de découvrir. Il se passe beaucoup de choses et  pour moi, tout est positif. On m’a demandé aujourd’hui sur une échelle de 1 à 10, qui sera le prochain président, et j’ai dit, 10 ce sera Donald Trump. Ce sera le président Trump. Il ne fait aucun doute dans mon esprit qu’il a remporté cette élection haut la main dans un glissement de terrain, probablement entre 350 et 400 votes dans les collèges électoraux.

Ce que nous avons vu est terminé, et je le sais, au cours des deux dernières décennies probablement et probablement plus longtemps, je peux vous donner une petite leçon d’histoire à ce sujet, mais je ne le ferai pas. Mais au cours des deux dernières décennies, ce que nous avons vu est un changement complet dans la rapidité avec laquelle la Chine communiste dans son plan à long terme a décidé de faire progresser ses plans pour devenir la superpuissance mondiale, la seule superpuissance mondiale sur la planète. Leur  plan date du milieu de ce siècle dans lequel nous sommes en ce moment, quand lors des dernières élections de 2016, ils n’ont pas obtenu le candidat dont ils avaient besoin pour leur idéologie de l’Amérique. Voyant cela, ils n’allaient pas permettre qu’en 2020 cela se produise et donc maintenant, ce que nous avons, c’est ce vol avec le vote par correspondance. Le vol avec ce logiciel, le logiciel Smartmatic et Dominion, ces systèmes de domination.

Ce sont des systèmes qui n’appartiennent pas à notre pays. Ils appartiennent à d’autres – ils ont été introduits dans ce pays. Comment pouvons-nous dire en tant qu’États-Unis d’Amérique, comment pouvons-nous dire que nous acceptons un système qui n’est pas fait dans ce pays et, dans bien des cas, les bulletins de vote ne sont même pas comptés dans ce pays? Comment pouvons-nous dire qu’ici, dans ce pays, nous acceptons cela?

La seule chose et pour vous tous et pour tous vos auditeurs, la chose la plus précieuse qui fait de moi la même chose que le gars ou la fille le plus riche de la planète ou la personne la plus pauvre d’Amérique, qu’est-ce qui nous rend égaux? Ce qui nous rend égaux, c’est lorsque nous nous rendons dans un isoloir et que nous fermons le rideau, ou nous y entrons et nous nous penchons pour voter. Mon vote compte autant que le gars, qui est le gars le plus riche d’Amérique. C’est exactement la même chose. C’est là où nous sommes égaux, et c’est pourquoi cela doit être juste et gratuit, et ce ne l’était pas. Nous savons probablement, en fait, que nous avons des preuves d’élections précédentes où cela s’est produit également, mais nous nous concentrons maintenant sur celle-ci. Je vais vous dire que nous ne sommes pas là pour perdre. Nous ne sommes pas là pour perdre ces batailles, nous sommes là pour gagner ces batailles et je crois que nous allons le faire. Je crois que nous allons gagner,et je suis convaincu que nous le sommes parce que nous avons les bonnes personnes, nous avons le bon plan et la bonne stratégie, un peu direct et un peu indirect, et les gens parlent tout le temps à chacun.

Je suis anxieux et vous entendez probablement dans ma voix que je suis un peu anxieux parce que je ne peux tout simplement pas croire les médias et la censure qui existe. Regardez simplement ce qu’ils font au président des États-Unis d’Amérique. Regardez ce que Twitter fait au président des États-Unis d’Amérique. C’est exaspérant pour moi. C’est un attentat. C’est une abomination du premier amendement, notre liberté d’expression. Franchement, pour le président des États-Unis d’Amérique, le seul moyen qu’il a pour pouvoir communiquer, c’est quand il marche dehors, ou il va devant un groupe de personnes, ou il marche dehors et parle à la presse, ou il utilise les médias sociaux pour communiquer parce que les médias ne lui permettront pas de faire passer son message.

La grande presse, pas la conférence de presse, mais l’audience qu’il y a eu en Pennsylvanie l’autre jour, et si quelqu’un avait la chance de la regarder. Ce fut une audition extraordinaire avec des politiciens de Pennsylvanie centrés sur un panel, et le seul sénateur qui dirigeait le panel pour l’état de Pennsylvanie, qui a écouté l’audience, écouté un groupe de témoins, écouté Rudy, écouté Jenna Ellis, et d’autres membres de leur équipe. L’individu qui l’a dirigé était un colonel militaire à la retraite, et il est maintenant sénateur de l’État de Pennsylvanie, et il a prononcé, à la toute fin, un très bon bref discours de synthèse, et c’était réconfortant parce que c’était une sorte de maman et tarte aux pommes: «Hé, nous ne pouvons pas permettre que cela se produise dans notre pays. Nous ne pouvons pas nous présenter au monde comme une nation du tiers monde ». C’était un très, très bon discours de clôture,et qu’a fait Twitter? Twitter l’a immédiatement mis hors ligne. Ils ont complètement supprimé son compte Twitter pour que les gens ne puissent pas suivre ce type. C’est juste scandaleux, c’est scandaleux. C’est une entreprise de médias sociaux qui fait partie de la place publique. Ils profitent de ce qui leur a été donné, ce qui est un véritable privilège et ils en abusent. Je pourrais continuer encore et encore, je vais m’arrêter et voir si vous avez des questions sur quoi que ce soit ou si vous voulez intervenir sur tout ce que j’ai dit, mais je suis bouleversé, je suis déterminé, je vais être résilient, et je crois que je suis le reflet de millions et de millions de millions de personnes à travers le pays qui ressentent exactement la même chose que moi. C’est une entreprise de médias sociaux qui fait partie de la place publique. Ils profitent de ce qui leur a été donné, ce qui est un véritable privilège et ils en abusent. Je pourrais continuer encore et encore, je vais m’arrêter et voir si vous avez des questions sur quoi que ce soit ou si vous voulez intervenir sur tout ce que j’ai dit, mais je suis bouleversé, je suis déterminé, je vais être résilient, et je crois que je suis le reflet de millions et de millions de millions de personnes à travers le pays qui ressentent exactement la même chose que moi.

Brannon Howse: Absolument. Général, vous avez mentionné dans votre déclaration que vous avez faite l’autre jour pour remercier le président des États-Unis et vous avez utilisé le mot coup d’État, vous avez mentionné que nous ne devrions plus jamais permettre que cela arrive au peuple américain. Vous utilisez le mot déraciné, sous-coupé, usurpé ou retenu en otage par un coup d’État contre notre nation. Voudriez-vous développer le mot coup d’État parce que je sais que le général McInerney l’a utilisé à maintes reprises. Je sais que vous n’êtes pas un homme enclin à l’hyperbole, alors je sais que ce mot n’a pas été utilisé dans votre déclaration que vous avez publiée sans raison. Voudriez-vous développer l’utilisation de ce mot?

Michael Flynn: Bien sûr. Je veux dire, je pense que ce que nous avons vécu au cours des quatre dernières années, et certainement à la fin de 2016, très à la fin de 2016 et au début de 2017, a été un effort très important pour renverser un président dûment élu, et vraiment essayer de destituer Donald Trump par juste pression politique, par pression technologique, par pression financière au début de son mandat. Peut-être pour lui faire dire simplement: «Vous savez quoi? Je ne vais pas – je n’ai pas besoin de ça. Je ne vais pas le supporter »et m’en aller. Je pense qu’il y avait un sentiment, je sais qu’il y avait un sentiment que peut-être il va juste – c’est le gars de New York, pas un politicien. Il va juste dire, tu sais quoi, je n’ai pas besoin de ce truc. J’ai mieux à faire et à partir. Remerciez Dieu qu’il ne l’a pas fait, et cela a duré quand il l’a fait, cela a continué, cet effort a continué à le poursuivre de toutes les manières possibles pour l’éliminer par certains moyens, que ce soit le faux Russiagate, le Spygate, ou que ce soit la fausse mise en accusation ou une autre du genre de choses que nous voyons avec cela, cette situation COVID à laquelle nous devons faire face maintenant. C’est la première phase si vous voulez. C’est quelque chose qui dure depuis des années.

Maintenant, nous entrons dans quelque chose de différent. Pas différent en termes de cela, c’est toujours un coup d’État en cours, mais maintenant c’est un peu différent et c’est en fait – c’est en quelque sorte qu’ils ont amélioré leur jeu lorsqu’ils ont perdu en 2016. Je pense qu’il y avait une décision et je crois que c’est , mais il y avait une sorte de décision de dire: «Nous n’allons pas permettre que cela se reproduise».

Tout ce que vous avez à faire est de revenir en arrière et d’écouter certains des commentaires de l’été dernier de certains des hauts dirigeants qui font partie de ce parti démocratique, n’est-ce pas? Je veux dire, Hillary Clinton, je pense que c’était en juillet ou certainement au milieu de l’été où elle a dit, peu importe ce que Joe Biden ne devrait pas concevoir. De quoi parle-t-on là? Je veux dire, pourquoi dirait-elle cela au milieu de l’été, trois, peut-être quatre mois avant une élection? Une des choses que je sais de mon expérience dans l’armée et dans différents endroits du monde, c’est que lorsque votre ennemi vous dit qu’il va faire quelque chose, vous feriez mieux de prêter attention à ce qu’il a dit, et vous feriez mieux d’avoir certains plans, et vous feriez mieux d’avoir des idées sur la façon de faire face à cela si cela se concrétise. Eh bien, dans ce cas,nous avons des camps opposés et dans nos camps opposés de nos partis politiques, et nous savons que le parti politique de gauche est vraiment bien, bien plus à gauche.

J’ai du mal à l’appeler ou à appeler quelqu’un un démocrate ou un parti démocratique. C’est un nom que les gens, parce que c’est vraiment le parti socialiste démocratique d’Amérique qui a usurpé pour prendre le contrôle de cet élément, et ils sont une voix très forte. Donc, ils ont en quelque sorte barré la porte à l’assaut contre nous, contre notre pays et notre mode de vie, et ils font tout ce qu’ils peuvent en ce moment pour essayer de faire semblant comme, OK, rien à voir ici, et Joe va être notre prochain président ici. Je vous dis simplement, le niveau d’activité frauduleuse, ce que je décrirais certainement comme ce que nous avons vu et ce qui nous a été signalé, comme certainement un comportement criminel, mais cela reste à voir parce que c’est quelque chose qui devrait faire l’objet d’une enquête plus approfondie, mais du côté civil de ce dans quoi je sais que les gens sont impliqués, il y en a certainement des milliers et des milliers,des dizaines de milliers de bulletins de vote. Ce qui s’est passé de manière très stratégique, c’est que le vote électronique n’a pas obtenu le résultat dont ils avaient besoin le 3 novembre. Le mardi 3 novembre, le vote électronique n’a pas abouti au résultat dont ils avaient besoin pour être en mesure d’obtenir, de les dépasser et d’obtenir les votes dont ils avaient besoin, car essentiellement les systèmes n’étaient pas mis en place de manière à amener le décompte des voix là où il devait être, tout en cachant en quelque sorte comment ils le faisaient. Mélanger les nombres et autres et le faire de différentes manières dans différents états. Quand cela s’est produit, ils ont réalisé: «D’accord, nous devons arrêter, nous devons arrêter». Inouï, sans précédent, puis le vice-président Biden se couche et ils ferment.

Cinq états cette nuit là ont fermé, arrêté. Comment pouvons-nous permettre que cela se produise? Ensuite, bien sûr, au cours des deux jours suivants, du 4 au 7 novembre, nous commençons à voir le bulletin de vote par correspondance. Tout le cas de fraude par correspondance, et il y a tout un tas de preuves et tout un tas de gens qui se sont manifestés. Il y en a probablement deux cents, je ne sais pas trop, des affidavits. Des gens qui se sont levés et ont dit: «J’en ai marre». Ce sont des démocrates et des républicains.

Nous venons de recevoir un autre article ce soir dans une autre partie du pays d’un démocrate, une femme qui est tout simplement absolument malade et fatiguée de ce qu’elle a vu, et elle ne savait tout simplement pas quoi faire, et elle a finalement dit: «Je dois y aller en avant, et je dois le signaler. Je ne peux pas vivre avec moi-même ». C’est ce qui se passe avec les gens qui ressentent dans leur cœur ce sentiment de patriotisme de dire encore: «Écoutez, je ne veux pas que mon pays se transforme en autre chose parce que c’est ce que ces gens veulent». Ils ne veulent pas que notre pays soit la République qu’il est. Ils veulent que ce soit autre chose et le changer. Comme nous l’avons entendu, un président dit, nous voulons changer fondamentalement l’Amérique, et ce n’est pas ce que les gens veulent. Les gens veulent vivre la vie qu’ils ont avec les libertés et les libertés que nous avons sous cette grande république constitutionnelle que nous avons.C’est un peu là où nous en sommes et c’est ce que je veux dire par là.

C’est un effort continu. Ce n’est pas d’aller prendre la capitale, d’aller prendre la radio comme nous l’avons fait dans le passé, dans notre propre histoire, il y a des années en Amérique centrale ou dans les Caraïbes, ou dans certains de ces autres pays. Nous avons participé, ou nous avons soutenu certaines de ces choses là où nous l’avons certainement regardée dans un autre pays du tiers monde. Maintenant, ce qui se passe dans notre pays, nous ne pouvons pas le supporter.

Brannon Howse: C’est une nouvelle façon de faire la guerre, n’est-ce pas général? C’est ce que vous dites? C’est en quelque sorte la nouvelle façon de faire la guerre et c’est la cyberguerre. C’est ce que vous dites?

Michael Flynn: C’est cyber, c’est une combinaison de choses. C’est certainement de l’information. C’est la façon dont vous tirez parti de l’information, comment vous tirez parti de tout ce qui concerne les opérations psychologiques, c’est que vous devez vous assurer de choisir la cible, puis la répétition du message encore et encore et encore et encore et encore. La seule façon de le faire dans un pays de notre taille, avec toutes les façons dont nous communiquons, c’est de mettre les médias de votre côté. Cela a pris un certain nombre d’années, mais je ne peux pas rester ici et vous dire que ce n’est pas le cas parce que c’est le cas, tout le monde le sait.

Tout le monde connaît les «médias grand public», qui sont un groupe d’organisations assez solides et qui comprend les entreprises technologiques, n’est-ce pas? Je dis les entreprises de technologie, les entreprises de technologie des médias sociaux, tout de Facebook à Instagram, bien sûr, Twitter que j’ai mentionné. Toutes ces choses, ils essaient de contrôler un récit et de dire au peuple américain ce qu’il devrait savoir au lieu de permettre au peuple américain des informations et de laisser chacun de nous décider de ce qui est important ou non.

Brannon Howse: Donc, c’est le lavage de cerveau, c’est la guerre de l’information, c’est le lavage de cerveau, une opération psychologique. Ce sont ces choses que vous avez étudiées et d’autres études quand  on passe par l’école SERE. Correct?

Michael Flynn: C’est plus que ça mais oui, c’est un peu le type de guerre. En fait, si vous étudiez la doctrine chinoise, la doctrine chinoise comporte six phases. Les cinq premières phases ont toutes à voir avec l’information. La dernière partie serait si celles ci échouaient ou si vous aviez besoin d’un « umph » supplémentaire. C’est alors que vous pouvez voir quelque chose de cinétique. Nous sommes dans ce genre de guerre de l’information sans précédent. Je vais me tenir sur ma boîte ici et dire que le président des États-Unis d’Amérique est censuré par les entreprises américaines. Pensez-y, je suis parfois perdu quand j’en parle et j’en parle plusieurs fois par jour à différentes personnes dans différents groupes, et j’essaie de dire: «D’accord, à un moment donné, cela doit cesser d’être autorisé ». Lorsqu’une entreprise dit: «Ce que vous venez de dire, M.Le président n’est pas totalement la vérité, où y a t-il de la fraude, ou, la fraude n’a pas été prouvée ». Comment osent-ils faire ça au président des États-Unis, de ne pas pouvoir se faire une place dans la foule des médias grand public. Regardez l’entretien qu’il a fait hier, où nous avons eu, quelqu’un qui parle au président des États-Unis dans son bureau là-bas, et il a dû conseiller la personne. «Ne leur parlez pas. Ne me parle pas comme ça. Ne parlez pas comme ça au président des États-Unis ». C’est comme une bande de punks  dans une cour d’école. Nous ne pouvons pas avoir cela dans ce pays.

Débat et questions pointues, mais pas totalement, totalement irrespectueux, pas seulement le président. Vous ne l’aimez peut-être pas, très bien, mais il représente la présidence des États-Unis d’Amérique. Il représente notre drapeau, notre constitution, notre pays. Tout ce que nous vivons actuellement est en fait plus qu’une simple agression contre le président Trump. Il s’agit d’un assaut contre la République américaine, contre ce grand pays que nous avons et contre les habitants du pays. Je sais qu’ils en ont assez et qu’ils ne vont pas le supporter. Ce qu’ils attendent de voir, c’est qu’ils attendent de voir le résultat de leurs propres élus dans les États faire leur travail.

Juste parce que CNN ou Fox News ou un gouverneur ou un secrétaire d’État certifie une élection, si la législature de l’État n’a pas certifié l’élection, elle n’est pas certifiée dans un État particulier. S’il y a une contestation et une contestation juridique légitime, ils ne peuvent pas s’asseoir là et le certifier pendant qu’une contestation judiciaire est en cours, ce n’est tout simplement pas la façon dont cela fonctionne. Les médias ne couvriront rien de tout cela pour vous. Les grands médias, ils ne vont tout simplement pas le couvrir, et c’est triste parce qu’ils essaient de nous enfoncer cela dans la gorge, et le public américain, ils voient à travers.

Brannon Howse: Et nous sommes reconnaissants que vous soyez venu chez nous, l’un des sites de médias alternatifs, et ceux-ci se développent tous rapidement, et lorsqu’ils sont tous ajoutés ensemble, vous atteignez des millions et des millions de personnes grâce aux nouveaux médias. Je ne veux pas vous garder général plus longtemps que vous ne voulez rester. Vous avez été très généreux. Je voudrais vous poser encore quelques questions. Nous avons des gens dont je sais qu’ils sont frustrés. Ils arpentent le sol. Ils sont vraiment contrariés pour eux de voir ce que les médias disent et comment ils découragent les gens, mais vous leur dites de rester là-dedans pour que tout se passe bien. Je ne sais pas si vous pouvez en parler ou non, si vous ne pouvez pas simplement le dire, mais je sais que Sidney Powell a parlé de beaucoup d’informations qui seront publiées. Elle veut aller au tribunal,pas dans les médias pour l’essayer, mais devant le tribunal. Mais pouvez-vous, ou ne pouvez-vous parler d’aucune des preuves tangibles liées au serveur en Allemagne?

Michael Flynn: Oui, je ne veux pas en parler pour le moment. Elle l’a mentionné et elle a en fait de très bons documents. Ils viennent de déposer un autre amendement, je crois, en Géorgie. Ils ont déposé en Géorgie. Ils ont déposé au Michigan aujourd’hui, juste aujourd’hui, et probablement au cours de la dernière heure ou deux, ils ont simplement déposé un autre amendement à ceux de la Géorgie, et de nouveau au Michigan. Je pense que les prochaines priorités, vous savez, concernent certains de ces autres États où il y a de grands défis. Il faut vraiment aller fouiller dans les documents au lieu de lire un extrait sonore ici ou là, parce que c’est notre vie, c’est notre pays. C’est le moment de notre histoire où si nous ne réussissons pas, ce pays est fini, ce sera fini comme nous le connaissons. Alors que je me tiens ici à vous parler, je ne me tiens pas ici de moi, je me tiens ici de mes enfants,mes petits-enfants, et franchement, la lueur d’espoir que nous sommes en tant que pays. Je dirais, je vais juste conclure parce que je vais devoir interrompre ici. Il y a des chemins vers la victoire, c’est clair. Les principaux États sont la Géorgie, le Michigan, l’Arizona, le Wisconsin et le Nevada. Il y a des moyens que le président peut atteindre, et son équipe peut l’amener à la marge dont il a besoin pour gagner sans la Pennsylvanie, mais il va aussi gagner la Pennsylvanie.

Je vous laisse et je laisse le public avec ça parce que je ne veux pas que mon ton soit si fort là où vous ressentez une frustration. Je ne suis vraiment pas frustré, je suis déterminé, et je vais rester résilient face à cette agression que nous avons en cours par des éléments de notre pays qui essaient de nous dire: « Ne regardez pas ici, tout ira bien » . Ce ne sera pas, nous ne pouvons pas avoir cela. Nous ne pouvons pas permettre cela. Nous allons clarifier les choses. Nous allons le redresser. Cela va être fait correctement. Cela se fera légalement. Cela va être fait correctement. Cela va être fait avec les patriotes américains qui aiment ce pays et qui se battent comme des guerriers dans une sorte de champ de bataille juridique, c’est sûr. Avec des gens comme Sidney Powell, comme Rudy Giuliani et son équipe, comme des gens comme Linwood, qui se bat bec et ongles.La plupart des gens ne le savent même pas, son cas selon lequel il se déroule en Géorgie vient d’être repris par le 11e circuit, en Géorgie, et c’est un bon signe, car cela signifie que le seul juge là-bas qui pensait qu’il allait classer son dossier, le 11e circuit l’a retiré de lui et l’a porté à son niveau, à un niveau d’appel, car ils ont vu qu’il y avait suffisamment de preuves. Donc, je crois que nous allons voir un certain élan changer ici. Il y a déjà un courant sous-jacent de changement d’élan pour le président, et je crois qu’en fin de compte, nous allons découvrir qu’il a gagné par un glissement de terrain massif, et il sera inauguré en janvier.

Brannon Howse: Général, merci beaucoup pour votre temps. Merci pour votre service à notre pays. Vous nous avez honorés de vos paroles ce soir et de votre temps, et nous apprécions que vous preniez le temps de vous joindre à nous et de parler au peuple américain. Non seulement nous sommes en direct, mais bien sûr, nous publierons ensuite cela comme une émission qui ira très loin. Donc, vous encouragerez énormément de gens en prenant le temps ce soir, alors général, merci d’avoir fait cela.

Michael Flynn: Super ami, et Tom, merci de m’avoir invité. Dieu bénisse l’amérique. Merci. Merci.

Brannon Howse: Merci général. Maintenant, nous allons être rejoints par le lieutenant général McInerney, Mary Fanning. Hou la la! Je ne sais pas ce que vous pouvez entendre les gars parce que je dois éteindre le téléphone portable, mais pouvez-vous l’entendre?

Général Mclnerney et Mary Fanning: Oui.

Brannon Howse: Eh bien, général McInerney, aimeriez-vous commenter ce que votre ami avait à dire? Et merci d’avoir aidé à mettre cela en place.

Général Mclnerney:Eh bien, c’est absolument vital parce que c’était la première fois que je crois que le général Flynn a pu parler publiquement et dans un tel environnement, et je tiens donc à vous remercier d’avoir mis en place cela, et je sais que Mary vous a parlé et c’est très important ce que vous avez fait ce soir parce que c’est un train en mouvement rapide, et c’est pourquoi je voulais que vous le fassiez parce que nous assistons à la situation la plus sans précédent de l’histoire de l’Amérique. C’est la situation la plus dangereuse depuis la guerre civile pour garder cette nation unie, et pourquoi est-ce que je dis cela? La guerre civile, ce n’était que la guerre, le jour où vous et le général Flynn avez parlé de cyberguerre. La cyber-guerre est cachée, elle est mystique. Vous ne le voyez pas venir, cela arrive. Tout à coup, 138 000 votes ou 150 000 votes, tout d’un coup ils se présentent, et parce que nous regardons les ordinateurs,nous supposons qu’ils sont tous légitimes, mais dans ce cas particulier, ils ne sont pas légitimes, et à cause de ce que Sidney Powell a fait avec l’avocat du général Flynn et de ce qu’elle a soumis dans l’état de Géorgie et du Michigan un mercredi soir, la nuit. avant Thanksgiving, nous avons un document dans ce journal, dans ces poursuites d’un médecin.

Navid Keshavarez-Nia, qui est un résident de 59 ans en Californie, qui a passé 40 ans presque dans la métropole de DC en tant qu’expert de la communauté du renseignement de carrière. Je n’entrerai pas beaucoup dans son histoire, mais à cause de cette déclaration qu’il a faite dans laquelle je suis cité et confirmant indépendamment qu’il utilise mon nom. Kurt Weeby, qui était un ancien responsable de la NSA, un bon ami à nous, et qui travaillait avec Mary et moi, et Dennis Montgomery, un ancien analyste de la CIA qui était vraiment le créateur, l’inventeur des capacités d’HAMMER et du tableau de bord, et que nous avons cassé, et nous l’avons cassé dimanche et lundi avant les élections en disant que cela allait être une action qui se produirait, et ce qui s’est passé s’est en fait produit. Mary a grandement contribué à m’informer de cette information, et tout d’un coup, deux jours avant,deux jours et demi avant le début du vote le 3 novembre, c’était le 1er novembre, je me suis impliqué dans la porte de vote.

Je suis analyste militaire et pendant 16 ans et demi, j’ai été sur Fox News en tant qu’analyste militaire. J’ai été le numéro trois du personnel aérien de l’armée de l’air, et j’avais donc une excellente expérience, mais ce qui a rendu cela si facile pour moi Brannon, c’est que je dirige une société de cloud computing, une société de périphériques de cloud. Je connais intimement ce genre de technologie et ce qu’elle fait et j’en vis à l’époque militaire. Tout le monde se souvient quand nous avons attaqué Tripoli en 1986. J’étais le commandant et ils ont lancé depuis mes bases en Angleterre.

Maintenant, j’ai obtenu ces informations des sources britanniques et d’autres sources, mais toute ma vie a été basée sur cela, et ce que je vois maintenant, c’est que ces technologies sont maintenant utilisées contre le peuple américain. Ils essaient de prendre le contrôle de cette nation grâce à la technologie et à la cyberguerre. Ils se sont enrôlés pour inclure Fox News qui nous a retournés. Ils ont été répertoriés dans les médias grand public et le premier amendement pour essayer de se mettre de leur côté et le général Flynn a parlé de la censure. Par exemple, c’est Twitter qui fait et détermine ce que le président Trump peut dire. C’est ridicule. Cela doit cesser, mais à cause de tous ces atouts  qu’ils utilisent, ils abusent de la constitution des États-Unis, ils nous ont mis dans une position où nos ancêtres n’étaient pas au courant de la cyberguerre, et donc quand ils ont énoncé dans la constitution, le processus de notre élection qui passe par le collège électoral, la réunion des électeurs le 14 décembre, annonçant qui sera le président, puis en passant le 20 novembre, l’inauguration, qui n’était pas basée sur la cyberguerre, et ainsi nous avons un calendrier et j’en parle à nos auditeurs.

Nous avons un timing et nous devons passer par le système juridique. Cela n’a pas été conçu pour fonctionner dans le cyber-monde, et nous avons donc eu de nombreux juges qui ont refusé et ne reconnaissaient pas ce qui s’était passé. C’est le défi auquel nous sommes confrontés et ce que je voulais faire comprendre ce soir. Peu importe que nous ayons verrouillé et scellé ce processus de décision avant le 14 décembre, le président ne devrait pas quitter ses fonctions tant qu’il n’a pas été correctement entendu.

Nous, les Américains, exigerons que ces faits soient analysés et examinés, et je vais couvrir certains de ces faits qui les ont rendus si convaincants que cela ne fait aucun doute. Commençons par la distribution du décompte des voix en Pennsylvanie, au Wisconsin, au Michigan, en Arizona, au Nevada et en Géorgie ne sont pas basées sur le fonctionnement normal du système à cause d’une manipulation électronique frauduleuse ciblée sur des machines à voter . Par exemple, à 2h30 du matin le 4 novembre, une émission de télévision a rapporté que la Pennsylvanie, le Wisconsin, l’Arizona, le Nevada et la Géorgie ont décidé d’arrêter les opérations de dépouillement et continueront le lendemain. Cette décision unanime d’arrêter initialement et intentionnellement le comptage par les cinq États du champ de bataille est très inhabituelle. En fait, c’est sans précédent,cet cela démontre une coordination préalable des responsables électoraux dans les États du champ de bataille. Ce sont les cinq états que le général Flynn a mentionnés à cause de cette grande lumière clignotante pour quiconque comprend le processus de vote.

Nous commençions à regarder chacun de ces états parce qu’ils n’arrêtaient pas de compter. Tout d’un coup dans le Michigan à quatre heures du matin, 138 000 votes se manifestent, tous pour Biden. Il était en retard dans tous les États où ils ont décidé de cesser de voter, et c’est là qu’ils ont utilisé la cyberguerre, Hammer et Scorecard, les machines à voter du dominion et les logiciels qu’ils contiennent. C’est là qu’ils ont installé ces applications, comme votre iPhone, et ils ont obtenu un vote fluide.

Maintenant, lorsque les chiffres sont arrivés, ont commencé à revenir dans ces cinq États, ils étaient des chiffres différents. 138 000 au Michigan, 90 000 en Arizona, c’est théorique. Le différent au Nevada et en Géorgie et en Pennsylvanie. Le point important était qu’ils étaient exactement au même pourcentage. C’est une impossibilité mathématique que cela ait pu se produire, et cela signifie que l’algorithme a été utilisé, et cet algorithme a été conçu pour rester dans les limites, et lorsque les nombres assemblés ont été rassemblés, il n’était pas évident que ces nombres de votes soient insérés. Il s’agit d’une énorme lumière rouge clignotante, et il est important que les gens comprennent  ce genre de données que nous voyons.

Sidney a souligné en Géorgie, qu’il y a 96 000 votes absents qui n’ont pas été pris en compte dans le comté de Fulton, ils avaient une fuite d’eau. La Pennsylvanie, l’État de Pennsylvanie, a envoyé 1,8 million de voix à ses citoyens. L’État l’a fait, ce ne sont pas des votes par correspondance. Celles-ci étaient équilibrées sans chaîne de contrôle, et voici Brannon, 2,5 millions de personnes sont revenues. Si quelqu’un devait avoir une presse à imprimer et que nous la lançons, ce n’est que le test de reniflement pur. Il n’est pas nécessaire d’être un génie pour comprendre que si vous envoyez 1.8 et obtenez 2,5 millions de bulletins de vote, quelque chose ne va pas.

Maintenant, Sidney et l’équipe du président, je crois que le général Flynn, ont eu la chance de s’organiser. Le 305ème bataillon du renseignement militaire travaille avec eux parce que dans tout cela, nous n’avons vu aucun signe du DOJ du FBI, ni de la CIA du côté des amis.

Brannon Howse: Permettez-moi de vous arrêter ici, général parce que vous venez de dire quelque chose de très intéressant. Vous venez de dire  qui vient d’ouvrir le kraken, puis vous venez de décrire ce qu’était le kraken. Nous connaissons tous le terme à cause d’un Sydney Powell qui l’utilise, mais vous venez de dire ce que c’est. Pouvez-vous revenir là-dessus?
Général Mclnerney: Oui. Sidney a obtenu le terme kraken. C’était en fait le surnom du 305e bataillon du renseignement militaire, et cela a été sa source avec d’autres sources que Mary et moi connaissons, mais dont nous ne voulons pas parler. Nous obtenons les différentes sources qui relaient cela, mais l’important est qu’ils ont identifié, maintenant compris, ils ont identifié la Chine, l’Iran et la Russie comme étant impliqués dans cela et manipulant le vote.

En outre, le commandement des forces spéciales américaines a saisi une ferme de serveurs à Francfort, en Allemagne, car ils envoyaient ces données de ces six États via Internet vers l’Espagne, puis vers Francfort, en Allemagne. Les forces d’opérations spéciales se sont emparés de ces installations pour qu’elles aient ces serveurs et connaissent toutes ces données qu’elles fournissent.

Brannon Howse: Cela s’est-il passé sans incident? cette saisie s’est-elle déroulée sans incident?

Général Mclnerney: Eh bien, j’ai entendu dire que cela ne s’était pas passé sans incident, et je n’ai pas été en mesure de le vérifier. Je veux faire attention à cela. Il vient juste de sortir, mais je crois comprendre que mon rapport initial est qu’il y a eu des soldats américains tués dans cette opération. Maintenant, c’était une opération de la CIA, et c’est donc la chose très inquiétante. Cela s’est-il produit à cause de ce que Mary, moi et Allen avons notifié le dimanche et le lundi sur différents réseaux que cela allait se produire, qu’ils utilisaient Hammer et Scorecard, et qu’ils ont donc décidé de le faire rebondir à l’étranger, alors les serveurs se sont fermés et Hammer et Scorecard que nous utilisons dans la zone continentale des États-Unis ne pouvaient pas être utilisés? Je ne sais pas ça. Dans tous les cas, cela les rend plus vulnérables car lorsque vous commencez à déplacer ce type de données à l’étranger, d’autres personnes les regardent,

Brannon Howse: Mais vous dites que c’était une installation de la CIA, et que c’est là que le serveur a été pris par ces forces spéciales,  une installation de la CIA en Allemagne.

Général Mclnerney: C’est exact. Francfort, Allemagne. Nous avons toutes ces informations, le général Flynn bien sûr, les gens le savaient le plus, était l’officier supérieur du renseignement militaire des commandements américains en tant qu’agence de renseignement de défense. C’est un officier du renseignement de carrière, qui connaît ce genre de choses, en amont et en aval. D’après mon expérience dans le secteur du cloud, il s’agissait d’une opération insignifiante, relativement parlant, mais importante, car tant de personnes étaient impliquées. Beaucoup de personnes comme le général Flynn l’ont mentionné, la personne démocratique a vu que cela se présentait, mais ce que nous faisons, nous sommes en concurrence avec la constitution et la date du 14 décembre pour le collège électoral. Pourquoi? Parce que nous avons ces informations et que nous savons que non seulement nous avons l’État profond et l’exécutif que le président Trump a dû combattre,nous l’avons également eue à l’Assemblée législative où vous avez Adam Schiff, Nancy Pelosi, Schumer, toutes ces personnes ont participé à cela. Ils étaient impliqués dans le canular russe. Ils ont été impliqués dans ce coup d’État, mais nous avons aussi eu le pouvoir judiciaire, le juge Sullivan, qui était le juge du général Flynn, qui s’est surpassé sur ce point. Vous aviez le compromis là-bas, et c’est pourquoi le 305e, les krakens ont été choisis et sélectionnés, je crois, parce que le président pouvait leur faire confiance.  C’est pourquoi Chris Miller, ancien héros des opérations spéciales,  est maintenant le secrétaire par intérim de la Défense.

Brannon Howse: Qu’en est-il de son discours qui est devenu viral en lui demandant à toutes les forces d’opérations spéciales de lui répondre directement?
Général Mclnerney: Eh bien, cela vous dit quelque chose. Cela vous dit que nous avons resserré les choses parce qu’il y a des gens qui font partie de cette conspiration. C’est de la trahison dont nous parlons. Certaines personnes peuvent simplement penser: «Oh, c’est juste de la politique». Non, d’accord.

Ainsi, le président Obama l’a utilisé en 2012 pour gagner, Biden l’a utilisé pour gagner la Floride. Les démocrates l’ont utilisé pendant la primaire pour que Bernie Sanders perde et que Biden gagne. Vous savez que c’est de la politique, nous avons triché. Non, ce n’est pas de la politique, c’est une trahison. Darnold a-t-il cédé West Point ou tenté de le faire dans la guerre révolutionnaire. Nous n’avons jamais vu de trahison d’une telle ampleur dans notre histoire, et ces politiciens, ces gens comme Chris Krebs, qui était à la tête de l’agence de sécurité des infrastructures de cyberguerre. Il l’était jusqu’à ce qu’il soit renvoyé il y a quelques semaines par le président parce que c’était une élection parfaite. Il est coupable de trahison. Il devait être complice, et les gens doivent comprendre cela.

Vous qui avez fait cela, vous êtes coupables de trahison contre les États-Unis, et nous allons exiger ce président. Insistez pour que ce président ne quitte pas ses fonctions tant que le peuple américain n’a pas eu une divulgation complète de ce qui se passe.

Brannon Howse: Ce que vous dites, c’est que le président Trump doit remplir son serment, qu’il a prêté pour défendre l’Amérique contre des ennemis, à la fois étrangers et nationaux, et il ne doit pas laisser les délais l’empêcher de remplir ce serment. Est-ce ce que je vous entends dire?

Général Mclnerney: C’est exactement ce que vous m’avez entendu dire Brannon. Le président a dans son serment à la constitution de défendre le pays contre tous les ennemis, étrangers et nationaux, et nous ne devrions pas laisser un calendrier dont nous savons qu’il est si manifestement imparfait que n’importe qui peut comprendre qu’avec juste les articles que j’ai donnés à notre auditeurs ce soir. Lorsque vous avez des centaines de milliers de votes qui ont été falsifiés, et que nous savons qu’ils sont falsifiés. Je crois que ces serveurs vont le montrer, et je crois qu’il va le montrer. Il faudra probablement que cela se fasse à la Cour suprême parce qu’il y a des juges comme certains d’entre eux qui vont essayer de se protéger parce que les doigts vont commencer à pointer vers tout le monde. «Eh bien, je ne savais pas cela, je ne savais pas cela», ils vont utiliser le procès de Nuremberg.

«Eh bien, la peur m’a dit de faire ça». Ils vont dire: «Eh bien, le président Obama savait ce que je faisais parce qu’il m’a dit de le faire», ou le vice-président Biden. «Biden était le coureur ici. Il m’a dit de le faire ». Ils vont pointer du doigt. Lorsque vous avez des gens qui conduisent des voitures avec des voitures pleines de bulletins de vote, certains même pas pliés, et qui les conduisent dans ces cinq ou six états du champ de bataille, ils vont parler. Ils ne veulent pas être impliqués dans la trahison, et les gens vont donc parler de l’ampleur de cela, parce que je pense que le président a remporté un vote si écrasant. Eh bien, je sais qu’il l’a fait, qu’ils ont dû faire ces choses, et qu’il n’y a aucun expert dans l’artisanat et ce qu’ils essayaient de faire.

Ils essayaient de faire correspondre les bulletins de vote avec les chiffres qu’ils avaient trouvés et jugés nécessaires, et ce, en temps réel. Vous aviez un chiffre et un analogue pour essayer d’obtenir des bulletins de vote, alors le numérique était facile. Vous pouvez simplement changer les chiffres, et je ne donnerai pas le nom, mais quelqu’un, un républicain à la télévision hier soir, disait, pourquoi serait-il si important pour les républicains de sortir en Géorgie? Peu importe le nombre de personnes que nous sortons en Géorgie Brannon; ils arrêteront simplement le numéro. C’est un numéro numérique pour eux. Nous ne pouvons pas les laisser utiliser Hammer et Scorecard, et à mon avis, nous ne pouvons pas avoir ces bulletins de vote par correspondance en Géorgie. Ils devraient laisser les bureaux de vote ouverts, mais ils doivent obtenir une chaîne de contrôle. Nous ne pouvons pas avoir ce mépris absolu des lois du pays et  les juges,  par les législatures,  doivent s’en saisir.Il y a un chemin, mais je crois que les démocrates vont penser que c’est de la politique, et ils vont essayer de mettre un terme à cela. Eh bien, s’ils le font, alors le peuple américain doit exiger que le président reste en fonction jusqu’à ce que cela soit éclairci parce que c’est une trahison. C’est un coup d’État contre le gouvernement des États-Unis, et nous ne pouvons l’accepter.

Brannon Howse: C’est le général McInerney trois étoiles. Allez chercher sa biographie, je n’ai pas le temps de m’y intéresser ce soir parce que nous l’avons répétée encore et encore. Le général trois étoiles Thomas McInerney, recherchez sa biographie. Ce n’est pas un homme enclin à l’hyperbole.

Encore une fois, Mary Fanning et Alan Jones ont cassé cette histoire en décembre 2015. Le général McInerney en a parlé en mars 2017 dans le programme de Dave. Dave, quel est son nom encore Mary?

Général Mclnerney: Dave Janda

Brannon Howse: Dave Janda, son émission, puis le lendemain le canular de la Russie arrive par Comey, je suppose un écran de fumée, non? Donc, ils sont là-dessus depuis longtemps. En général, j’ai reçu trois appels téléphoniques de trois personnes différentes, liées à l’arène du renseignement il y a quelques semaines, essayant de me dire que j’allais me mettre dans l’embarras. Si je n’arrêtais pas de parler de ça, que c’était du complot et du faux, et il est maintenant révélé que ceux-là, je suppose, étaient des appels pour essayer de me faire cesser d’utiliser notre réseau, notre plateforme, pour informer le peuple américain, parce que maintenant nous commençons juste à comprendre ce que signifient beaucoup de ces mots comme kraken et d’autres choses. Tout est en train de sortir. Il y a ceux à l’intérieur de l’arène du renseignement qui essayaient d’arrêter cela. Maintenant,Je pense qu’il y en a dans l’arène du renseignement qui essaient de prendre l’histoire et de la contrôler. N’est-ce pas?

Général Mclnerney: Oui, et ils sont coupables de trahison.

Brannon Howse: Mary, voudriez-vous commenter. Marie? Vous avez été calme. Je dois vous faire entrer ici parce que vous et Alan Jones avez rompu cela en décembre 2015, et wow, vous, les gars méritez une sorte d’énorme prix littéraire et de recherche, mais s’il vous plaît, dites ce que vous avez entendu ce soir.

Mary Fanning: Nous avons des leaders incroyables dans ce pays qu’il n’y en a pas de meilleur que le général McInerney et le général Mike Flynn. Je vais vous dire que les mauvais acteurs, tant étrangers que nationaux, utilisent cet homme au milieu des mandataires pour couvrir leurs traces. Il y a eu une tentative non seulement de voler les élections, mais de voler l’Amérique. Les pères fondateurs ne connaissaient peut-être pas la cyberguerre, mais ils reconnaissent certainement la tyrannie quand ils y réfléchissent. Le président Trump ne peut pas quitter ses fonctions. Lorsque la Chine et l’Iran auront accès à nos élections, nous ne pouvons pas les laisser voler l’Amérique par leurs actes illégaux de trahison et de guerre contre ce pays.

Brannon Howse: Acte de guerre, et je pense que c’est exactement ce que c’est. Nous avons l’Iran, la Chine et la Russie impliqués. Général, nous avons maintenant la Russie qui menace les missiles. Nous les avons en train de parler des navires bélier. Nous avons l’Iran qui parle de représailles. Nous voyons que leur père de leur programme nucléaire a maintenant été éliminé au cours des dernières 24 heures. Nous voyons que l’Iran se vante d’avoir installé des lance-missiles sur ses cargos. Qu’est-ce que tout cela?

Général Mclnerney: Eh bien, cela signifie une grande instabilité si nous laissons le gouvernement américain être saisi par des gens qui commettent des trahisons et des tricheurs. Ils savaient exactement ce qu’ils étaient entrain de faire. Regardez, tout le monde pense que le modèle de victoire des démocrates à l’avenir n’est pas une conférence de presse majeure avec des questions difficiles. Le plus grand rallye qu’il a eu était de 14 personnes dans 14 voitures klaxonnant et restant au sous-sol. Est-ce là le modèle d’une réussite (inaudible) pour le président des États-Unis? Non, mais il savait quelque chose.

Tous ces gens savaient que le numéro allait sortir. Les gens qui parient à Las Vegas, il y a un excellent article à ce sujet, et les gens des casinos devraient regarder ces gagnants parce qu’ils avaient des informations privilégiées et qu’ils sont coupables de trahison parce qu’ils n’en ont pas informé les autorités compétentes. Quiconque était complice, Fox News à mon avis, certaines de ces personnes sont coupables de trahison. Que ce soit le président, qui que ce soit parce qu’ils ont basculé et qu’ils savaient ce qu’ils faisaient et ils ont fait ces premières annonces, et donc quiconque est impliqué dans cela en est complice. S’ils ne l’ont pas dit et alerté le président des États-Unis et leurs agents immobiliers.

Brannon Howse: Pensez-vous que cela remonte à Nancy Pelosi, à Adam Schiff, à Barack Obama, à Joe Biden?

Général Mclnerney: Oui, il le fallait. La façon dont ils agissent, la façon dont ils ont fait les choses, tout ce qu’ils ont fait, le canular russe. Maintenant nous devons savoir si John Durham, quel est le statut de John Durham et du procureur général? Quel est le statut de leur travail? Qu’ont-ils fait?

Brannon Howse: Général Mclnerney avant que nous ne manquions de temps, nous allons passer environ 10 minutes parce que c’est à ce moment-là que nos cartes sont également épuisées, et nous voulons préserver tout cela pour sortir dans une duplication au peuple américain. nous ne voulons pas aller là où nos cartes sont épuisées. Nous passerons encore huit ou neuf minutes, mais le décret du 12 septembre 2018 sur l’imposition de certaines sanctions en cas d’ingérence étrangère dans une élection aux États-Unis, dans quelle mesure ce décret du président Trump jouera-t-il là-dedans et comment?

Général Mclnerney: Eh bien, je pense que je vais demander à Mary d’en parler également, mais je pense que cela jouera un rôle majeur. Cela me dit Brannon, que le président savait que quelque chose se passait et que cela allait arriver, et donc je pense que Mary, vous pouvez entrer dans les détails.

Mary Fanning: Eh bien, il existe de nombreuses preuves que l’élection présidentielle de 2020 a été volée au président Trump au nom de Joe Biden, avec l’aide de Joe Biden, car Joe Biden a déclaré qu’il avait le plus grand groupe de fraude électorale de l’histoire mis en place. Nous ne pouvons pas laisser cela tenir. Ce sera le vol de l’Amérique. Le peuple américain doit se lever.

Brannon Howse: Mary, j’ai devant moi un article daté du 7 juin 2017. Vous écrivez ici à propos d’un programme, je crois que ça s’appelait Turquie ou quelque chose comme ça? Dinde sauvage ou quelque chose?
Mary Fanning: Wild Turkey ou certains des exploits qui fonctionnent avec Hammer et Scorecard, et ainsi que Medusa. Ce sont des exploits qui ont été créés alors que Turkey n’a pas été créée par Dennis Montgomery, mais que Medusa et le scorecard du hammer ont fonctionné

Brannon Howse: Vous voilà en 2017, en train d’écrire à ce sujet. Encore une fois, vous et Alan Jones, votre co-auteur. Leur livre, en passant, peut être trouvé sur Amazon, The Hammer is the Key to the Coup, qui sont quelques-uns des derniers mots de l’amiral quatre étoiles Lyons à son ami, le général McInerney, parce qu’ils faisaient des recherches et en parlaient .

Rappelez-vous qu’eux, l’amiral Lyons, quatre étoiles, le général McInerney, trois étoiles ont fait une émission de radio ensemble en 2017 pour en avertir, et c’est alors que les choses ont vraiment commencé à s’ouvrir. Mais encore une fois, nous sommes en 2015, puis Mary Fanning et Alan Jones font toutes les recherches et commencent à publier les informations sur TheAmericanReport.org.

Mary, maintenant nous avons trois personnes liées à la communauté du renseignement qui voulaient m’arrêter de faire de la radio et de la télévision à ce sujet. Je ne le ferais pas parce que je crois en vous, Alan et le général. Je n’allais tout simplement pas reculer. J’avais vu suffisamment d’informations et suffisamment de preuves. Je connaissais la longue crédibilité du général et je n’allais pas reculer.

J’ai reçu trois appels téléphoniques quand les gens ont lié l’arène du renseignement et ont arrêté de parler de ce genre de choses, vous allez avoir l’air stupide et stupide. Maintenant, tout est en cours de confirmation, mais ce qui est intéressant Mary, c’est vous et j’ai parlé, je suppose, d’un type qui écrit maintenant qui, je suppose, fait caca une partie de cela, et maintenant il veut essayer de contrôler le récit et donnez des interviews à ce sujet. J’ai remarqué que dans l’une de ses interviews, il semble essayer de défendre le chef de la CIA et le chef du FBI, alors dois-je croire que ces gens qui faisaient caca comme je n’en parle pas, Eh bien, maintenant votre recherche a été confirmée à maintes reprises, et maintenant ils vont essayer de contrôler le récit, et vont-ils essayer maintenant certaines de ces mêmes personnes pour défendre le chef de la CIA et du FBI. C’est assez intéressant de regarder ce comportement,N’est-ce pas? Ai-je raison ou tort dans mon hypothèse ici?

Mary Fanning: Je pense que vous avez tout à fait raison en tant qu’ancien agent de la CIA Larry, c’est en première page, les gens peuvent lire à ce sujet, mais le fait qu’il vienne dire que Gina n’avait rien à voir avec cela, ni Wray soupçonné de dire qu’il aimerait laisser ces personnes en place.

Quiconque est impliqué dans cela et est du côté et se tient avec la trahison contre ce pays. Quelle que soit l’agence avec laquelle ils travaillent, ils devraient réfléchir à deux fois avant de commencer à essayer de s’insinuer dans cette activité de trahison qui durait depuis trop longtemps.

Cela est venu directement de l’administration Obama lorsque John Brennan et James clapper ont illégalement réquisitionné l’outil de surveillance étrangère connu sous le nom de marteau.

Brannon Howse: Il a été conçu par Genesis Montgomery en 2003, pour protéger l’Amérique pendant que vous écrivez. Commande par eux environ deux semaines après qu’Obama a été assermenté et mis sur des serveurs. Vous écrivez sur l’honneur du FBI, le directeur de Mueller, n’est-ce pas?
Mary Fanning: C’est exact. Selon Dennis Montgomery, Robert Mueller a fourni les ordinateurs pour le marteau.

Brannon Howse: et bien sûr, ils ont essayé de discréditer Dennis Montgomery parce que vous pouvez voir pourquoi maintenant, mais comme nous en avons discuté dans les programmes précédents, vous avez obtenu deux accords d’immunité après avoir été interviewé et enregistré. Donc, apparemment, il n’a pas menti, sinon il serait en prison. Il l’a gardé; il a obtenu ses accords d’immunité et certaines de ses autorisations de sécurité ne sont pas en prison, ce qui devrait nous en dire long sur les gens qui essaient de salir le gars.

Mary, vous croyez, je crois toute cette idée que Donald Trump doit aller de l’avant et concéder. Je pense que celui qui devrait concéder est Joe Biden. Je pense que le peuple américain devrait se lever en masse. Je pense que les conservateurs devraient se lever en masse, tweeter, Facebook, e-mail, et ont commencé à exiger que Joe Biden concède. Ce que vous dites?

Mary Fanning: Vous ne pouvez pas attribuer le pays à Joe Biden quand il a triché pour voler une élection. C’est vraiment aussi simple que cela.

Brannon Howse: Pensez-vous que le peuple américain va exiger que certaines de ces personnes soient effectivement accusées de trahison? Et à quelle hauteur pensez-vous que cela pourrait aller? Ou est-ce que ce sera le vieux jeu de brossage pour finir de blâmer quelqu’un au niveau inférieur?

Mary Fanning: C’est au-delà des élections. C’est au-delà des votes volés. Vous devez regarder Joe Biden et sa famille. Des milliards de dollars à son fils, Hunter, son fils toxicomane. Des milliards de dollars de la Chine et des milliards de l’Ukraine à Hunter Biden. Pouvez-vous même imaginer ceci et un autre jour? Le fait que les médias soient restés silencieux et que la Chine, l’Iran et la Russie achètent nos fonctionnaires pour vous dire tout ce que vous devez savoir sur les médias Mockingbird.

Brannon Howse: Sans parler de Mary, comme vous le rapportez dans votre excellent rapport, la tempête parfaite, la famille Jafar, la famille Gulftainer, le docteur Jafar, comme vous le rapportez, était autrefois le chef du programme nucléaire de Saddam Hussein, créant la plage nucléaire. boule comme dispositif nucléaire miniaturisé. Je pense qu’il était sur la liste des victimes pendant la guerre, puis sa famille et son entreprise obtiennent un contrat pour gérer Port Canaveral en Floride et à Wilmington, Delaware, des conteneurs de fret, et pourtant il y a une sorte d’accords commerciaux avec le 100%. Exportation détenue par la Russie du Club K Cargo qui a quatre silos de missiles de croisière qui apparaissent et peuvent livrer des missiles de croisière, des armes biologiques, des armes nucléaires, et il pourrait facilement être planté ici aux États-Unis comme vous avez traduit les manuels russes pour Pearl Harbor 2.0 en anglais,ils appellent à une stratégie russe pour faire exactement cela. Comme vous le savez, en direct de notre émission il y a quelques années, Phil Haney, ancien dénonciateur du Département de la sécurité intérieure, a révélé directement dans cette émission: «Hé, Brannon, vous voulez une autre information intéressante pour aller avec ça?» Regardez Citco appartenant au Venezuela, ils sont en crise financière avec une inflation massive. Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.

Maintenant, la Russie peut faire entrer par les terminaux pétroliers, les terminaux de fret peuvent intégrer le système de lancement de missiles Club K Cargo dans cette relation avec le Dr Jafar et Gulftainer, les ont maintenant amenés à les déplacer aux États-Unis et à les faire tomber dans tous les raffineurs. le long de la côte Est se trouve un cheval de Troie, et c’est votre parfait Pearl Harbor 2.0 dont vous avez mis en garde, et Phil Haney l’a déposé directement sur le bureau de presse de notre émission en direct, et vous regardez ce soir-là. Donc, il y a bien plus que les élections. Nous parlons d’eux étant à l’intérieur du fil et beaucoup de ces gens, les Bidens, les Obama, Hillary liés à certains de ces acteurs, n’est-ce pas?

Mary Fanning: Eh bien, c’est exact. Au-delà de quoi les Jafar ont été mis sur la liste noire du Pentagone signifiait qu’ils étaient recherchés pour capturer ou tuer dr. Jafar, et c’est le cerveau du nucléaire ou Saddam Hussein. Afin de reprendre notre pays, nous devons reprendre cette élection que Donald Trump a remportée juste et carrément avant de commencer à tricher avec les acteurs étrangers, la Russie, la Chine, l’Iran, que leur main est ici pour le vol de cette élection. C’est pourquoi le peuple américain doit se lever, et c’est comme si le président Donald Trump doit respecter son serment de protéger ce pays. Il ne peut pas démissionner tant que ces élections ne sont pas équitablement réglées légalement.

Brannon Howse: La raison pour laquelle j’évoque tout cela Mary est, comme vous le savez, en tant que chercheur auteur du renseignement et du renseignement de sécurité nationale, tout cela implique d’énormes implications en matière de renseignement national.

Mary Fanning: Absolument

Brannon Howse: Permettez-moi de répéter très rapidement. La nouvelle de ce soir, le général Flynn appelant, nous venons également d’apprendre par le général McInerney que le kraken est en fait une division militaire. Avez-vous dit le 305e connu sous le nom de kraken? C’est une division militaire, c’est le kraken?

Général Mclnerney: Non, c’est un bataillon, un bataillon très intelligent. Brannon, puis-je dire une autre chose en terminant?

Brannon Howse: Oui.

Général Mclnerney: Maintenant, cela va directement à ceux qui veulent s’emparer de ce pays parce qu’ils ont piraté mon téléphone portable, et donc tout ce que je dis sur ce canal ouvert en particulier, ils arrivent. Ils sont sérieux. Ils sont profondément impliqués dans cela, et ils savent maintenant qu’à cause de ce que vous avez fait et de ce que nous avons fait ce soir, ils ont encore plus de problèmes. Nous venons contre après que vous et le peuple américain allez venir après vous et ce président a remporté cette élection, et il allait être le président pendant les quatre prochaines années, mais nous sommes après vous. Vous ne vous emparerez pas de ce pays parce que ce serait la dernière réélection que nous ayons jamais eue, et je suis d’accord avec vous et Mary, que Joe Biden devrait démissionner tout de suite.

Brannon Howse: Joe Biden doit concéder. Les gens, ce sont les héros américains, le général Flynn, le général McInerney, Mary Fanning. Je suis désolé, nous n’avons pas pu avoir un autre héros ici. Alan Jones, qui a écrit le livre avec elle. Ce sont de grands Américains qui se sont opposés à une pression inimaginable pour ne pas en parler, mais ici, tout est ouvert maintenant. N’est-il pas intéressant que les médias alternatifs aient dû le faire ce soir?

Je tiens à les remercier tous de se joindre à nous. Je tiens à vous remercier de vous joindre à nous. Nous ferons immédiatement éditer cet article en HD pour que le peuple américain le diffuse. Et encore une fois, nous le faisons grâce à votre soutien sur WVWFoundation.com. Merci pour votre soutien. Merci, général McInerney, merci général Flynn, merci Mary Fanning et merci à tous d’avoir regardé. Jusqu’à la prochaine fois, je suis Brennan Howse. Prends soin de toi.

source [en anglais] : https://www.naturalnews.com/2020-11-29-full-transcript-interview-gen-michael-flynn-gen-thomas-mcinerney.html

LE RAID DE LA CIA SUR FRANCFORT

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Avec sous-titres en Français :




la traduction intégrale du discours historique de Trump sur les fraudes !

[Source : Riposte Laïque]

Le mercredi 2 décembre, le Président Trump s’est adressé au peuple américain depuis la Maison-Blanche, dans une allocution enregistrée.

Il a longuement dénoncé les fraudes massives commises par les Démocrates lors de l’élection présidentielle, graphiques à l’appui, passant en revue les 6 États toujours contestés (Pennsylvanie, Géorgie, Michigan, Wisconsin, Nevada, Arizona), dans lesquels de nombreux recours, procès et auditions devant les législatures ont lieu.

Malgré la censure par CNN et par la majorité des grands médias américains, ce discours a déjà été vu plus de 10 millions de fois sur YouTube, Facebook et Twitter, et il a été largement rediffusé par les réseaux conservateurs (Newsmax, One American Network, NTD…).

Nous vous proposons ci-dessous la traduction intégrale de ce discours historique du Président Trump. Nous avons seulement supprimé quelques redites.


Ceci est peut-être le discours le plus important que j’ai jamais prononcé.

Je veux faire le point sur nos efforts actuels pour révéler l’énorme fraude électorale et les énormes irrégularités qui ont eu lieu pendant les élections ridiculement longues du 3 novembre. Nous avions auparavant ce qu’on appelait le jour des élections. Nous avons maintenant des jours, des semaines et des mois d’élections, et beaucoup de mauvaises choses se sont produites pendant cette période ridiculement longue, parce que vous n’avez presque rien à prouver [concernant votre identité] pour exercer notre plus grand privilège, le droit de vote.

En tant que Président, je n’ai pas de devoir plus élevé que de défendre les lois et la Constitution des États-Unis. C’est pourquoi je suis déterminé à protéger notre système électoral, qui est aujourd’hui l’objet d’une attaque coordonnée.

Pendant des mois, avant l’élection présidentielle, nous avons été avertis qu’il ne faudrait pas déclarer une victoire prématurée. On nous a répété à maintes reprises qu’il faudrait des semaines, voire des mois, pour déterminer le vainqueur, pour compter les bulletins de vote par correspondance et vérifier les résultats. On a dit à mon adversaire de ne pas participer aux élections, de ne pas faire campagne. « Nous n’avons pas besoin de vous. Nous avons tout planifié. Cette élection est terminée. » En fait, ils agissaient comme s’ils savaient déjà quel allait être le résultat. Tout cela était très, très étrange. Quelques jours après l’élection, nous avons assisté à un effort orchestré pour désigner le vainqueur alors même que les votes étaient encore comptés dans de nombreux États clefs.

Le processus constitutionnel doit pouvoir se poursuivre. Nous allons défendre l’honnêteté du vote en veillant à ce que chaque bulletin légal soit compté et qu’aucun bulletin illégal ne soit compté. Il ne s’agit pas seulement d’honorer les votes de 74 millions d’Américains qui ont voté pour moi, il s’agit de faire en sorte que les Américains puissent avoir confiance en cette élection et en toutes les élections futures.

Aujourd’hui, je vais détailler certaines des irrégularités choquantes, des abus et des fraudes qui ont été révélés ces dernières semaines, mais avant de présenter juste une petite partie des preuves que nous avons découvertes – et nous avons tellement de preuves – je veux expliquer le complot corrompu que les Démocrates ont systématiquement mis en place pour le vote par correspondance, qui a permis que les résultats soient modifiés, en particulier dans les Swing States, qu’ils devaient gagner. Mais ils ne se doutaient pas que cela allait être si difficile, car nous étions nettement en tête dans tous les Swing States, bien plus qu’ils ne l’auraient jamais cru possible.

Alors qu’il est connu depuis longtemps que la machine politique Démocrate pratique la fraude électorale, de Detroit à Philadelphie, en passant par Milwaukee et Atlanta, et dans tant d’autres endroits, ce qui a changé cette année, c’est la lutte incessante du parti Démocrate pour imprimer et envoyer par la poste des dizaines de millions de bulletins de vote à des destinataires inconnus, sans aucune garantie d’aucune sorte. Cela a permis à la fraude et aux abus de se produire sur une échelle jamais vue auparavant. Utilisant la pandémie comme prétexte, les politiciens et les juges Démocrates ont radicalement changé les procédures électorales quelques mois et, dans certains cas, quelques semaines seulement avant l’élection du 3 novembre.

Les législatures ont très rarement été impliquées alors qu’elles auraient dû l’être selon la Constitution, et vous verrez que, alors que nous continuons à déposer nos plaintes, ce qui s’est passé est totalement incorrect d’un point de vue constitutionnel et juridique.

De nombreux États, comme le Nevada et la Californie, ont envoyé des millions de bulletins de vote à toutes les personnes inscrites sur leurs listes électorales. Que ces personnes aient demandé des bulletins de vote ou non, qu’elles soient mortes ou vivantes, elles en ont reçus.

D’autres États, comme le Minnesota, le Michigan et le Wisconsin, ont institué le scrutin universel par correspondance en plein milieu d’une année électorale, envoyant des formulaires de demande de vote par correspondance à tous les électeurs inscrits sur les listes électorales, sans se préoccuper de savoir qui ils étaient. Cet accroissement colossal du vote par correspondance a ouvert les portes à la fraude massive. C’est un fait bien connu que les listes électorales sont remplies de personnes qui ne sont pas légalement habilitées à voter, y compris celles qui sont décédées, celles ont déménagé hors de l’État, et même les non-citoyens de notre pays.

En plus de cela, les listes électorales sont truffées d’erreurs, d’adresses erronées, de doublons et de nombreux autres problèmes. Ce fait n’est pas contesté et n’a jamais été contesté. Des dizaines de comtés, dans les principaux Swing States, ont plus d’électeurs inscrits sur les listes électorales que de citoyens en âge de voter, comme c’est le cas dans 67 comtés du Michigan. Tout cela est prouvé.

Dans le Wisconsin, le Bureau des élections de l’État n’a pas pu confirmer la résidence [dans l’État] de plus de 100.000 personnes, mais a refusé à plusieurs reprises de retirer ces noms de ses listes électorales avant les élections. Nous savons pourquoi ils ont agi ainsi : parce que c’étaient des électeurs illégaux. Il est grotesque qu’en 2020, nous n’ayons aucun moyen de vérifier l’éligibilité de ceux qui votent lors d’une élection – et cette élection était la plus importante qui soit – ou de déterminer qui ils sont, s’ils vivent dans l’État ou même s’ils sont ou non des citoyens américains.

Nous avons trouvé dans tous les Swing States des infractions majeures ou une fraude caractérisée, portant sur un nombre de votes bien plus important que ce qui nous est nécessaire pour faire annuler les résultats de l’État.

Par exemple, dans le Wisconsin, où nous étions largement en tête le soir des élections, ils nous ont finalement fait perdre miraculeusement de 20.000 voix. Nous étions nettement en tête, puis à 3h42 du matin [dans la nuit du 3 au 4 novembre], il y a eu un énorme déversement de votes, quasiment tous pour Biden. Depuis, tout le monde essaie de comprendre d’où viennent ces votes. Ainsi, à 3h42 du matin, alors que j’étais gagnant de loin, je suis devenu perdant de peu. Telle est la chose terrible qui a eu lieu dans le Wisconsin. Mais nous aurons bien plus que les 20.000 voix nécessaires pour inverser le résultat de l’élection dans cet État.

Si nous avons raison sur la fraude, Joe Biden ne peut pas être président. Nous parlons de centaines de milliers de votes illégaux. Nous parlons de nombres que personne n’a jamais vus auparavant. Cela inclut les bulletins de vote qui ont été enregistrés sans que les observateurs Républicains puissent les vérifier, parce qu’ils avaient été expulsés hors des salles de dépouillement.

Cela inclut aussi les gens qui sont venus voter innocemment le 3 novembre, tout excités à l’idée de voter, fiers d’être citoyens des États-Unis d’Amérique, mais quand ils ont dit « je voudrais voter », on leur a répondu qu’ils ne pouvaient pas voter. « Je suis désolé », leur a-t-on dit, « vous avez déjà voté par correspondance. Nous avons reçu un bulletin de vote à votre nom, vous ne pouvez donc plus voter. »

Ils ne savaient pas quoi faire, et comme ils n’avaient personne à qui se plaindre, la plupart sont simplement repartis en trouvant cela étrange. Mais beaucoup d’autres se sont plaints avec véhémence, et dans la majorité des cas, ils avaient l’intention de voter pour Trump. En d’autres termes, ils sont allés voter et on leur a dit qu’ils avaient déjà voté. Ils sont repartis et maintenant ils sont horrifiés et ils ont perdu tout respect pour notre système électoral. Cela s’est produit des dizaines de milliers de fois à travers tout le pays. C’est dire à quel point les Démocrates étaient désespérés. Ils ont rempli des milliers de faux bulletins de vote pour des électeurs, en ne sachant même pas si ces électeurs allaient se présenter pour voter en personne. Lorsqu’ils se sont présentés, ils leur ont dit : « Désolé, vous avez déjà voté. »

En plus de tout cela, il y a une entreprise qui est très suspecte. Son nom est Dominion, et si vous avez accédé au processeur des machines à voter de cette entreprise, quand vous appuyez sur le bouton pour Trump, le vote va à Biden. Qu’est-ce que ce système ? Nous devons revenir aux bulletins de vote en papier. Peut-être que cela prend plus de temps, mais le seul système sécurisé est le papier.

Par exemple, dans un comté du Michigan [Antrim], qui utilisait les machines Dominion, ils ont trouvé que près de 6000 votes avaient été transférés à tort de Trump à Biden – et ce n’est que le sommet de l’iceberg. Nous les avons pris sur le fait dans ce cas, mais combien d’autres cas ont eu lieu ? Y en a-t-il des centaines d’autres dans tout le pays ? Y en a-t-il des milliers ? Ils ont prétendu que ce n’était qu’un “pépin”, mais nous avons trouvé de nombreux “pépins” ce soir-là.

96% des dons faits à un parti politique par cette entreprise Dominion sont allés aux Démocrates, ce n’est pas une surprise. Et où les votes sont-ils comptés ? Il semble qu’ils sont comptés dans des pays étrangers, pas aux États-Unis. Dominion est un désastre. Les autorités électorales du Texas ont interdit à plusieurs reprises le déploiement des machines Dominion dans leur État, en raison de leurs failles de sécurité et de leur absence de protection contre les erreurs et les fraudes. Chaque district qui utilise les machines Dominion doit être soigneusement surveillé et des investigations poussées doivent y être menées, et pas seulement pour l’avenir.

Pour le moment, nous nous inquiétons du présent et de ce qui s’est passé lors de cette élection que nous avons gagnée sans conteste. Sous ma direction, les Républicains ont remporté 16 sièges de plus à la Chambre des Représentants des États-Unis, ce qu’ils n’étaient pas censés faire [selon les sondages]. Nous étions censés perdre de nombreux sièges, et au lieu de cela, nous avons remporté 16 sièges à la Chambre des Représentants, et une élection très importante à venir [en Géorgie] déterminera si nous gardons le contrôle du Sénat. Personne, dans tout le pays et même à Washington, ne s’attendait à l’énorme succès que nous avons eu à la Chambre des Représentants ni à l’énorme succès que nous avons eu jusqu’ici au Sénat.

Il est statistiquement impossible que la personne – moi – qui a mené la campagne à l’échelle des États-Unis, ait perdu [alors qu’à l’échelle locale les Républicains ont gagné]. Les plus grands sondeurs – pas ceux qui annonçaient mensongèrement que nous allions perdre le Wisconsin par 17 points – les seuls vrais sondeurs qui sont justes et honnêtes, nous ont dit : « Nous ne pouvons pas comprendre ce qui s’est passé. Cela n’est jamais arrivé auparavant. Vous avez mené votre parti à la victoire et vous êtes le seul à avoir perdu. Cela n’est pas possible. »

Le président de la Chambre des Représentants d’un certain État m’a dit : « Monsieur, je m’attendais à perdre mon siège, et à la place, grâce à vous, grâce à votre incroyable campagne et à tous vos meetings électoraux avec des dizaines de milliers de participants, nous avons remporté une énorme victoire. Mais bien que vous soyez beaucoup plus populaire que moi, j’ai obtenu beaucoup plus de votes que vous [dans ma circonscription] et il est impossible que cela se produise. Il y a quelque chose qui cloche. »

Je vais vous dire ce qui cloche : c’est la fraude électorale. Regardez par exemple le Michigan : à 6h31 du matin [dans la nuit du 3 au 4 novembre], il y a eu subitement un déversement de 149.772 votes. Je gagnais de beaucoup, puis tout d’un coup, boum, je passe de nettement gagnant à perdant de peu. Detroit [la plus grande ville du Michigan] est corrompue. J’ai beaucoup d’amis à Detroit, ils savent que Detroit est totalement corrompue.

En Géorgie, le récent recomptage ne sert à rien, parce qu’ils ne veulent pas nous laisser vérifier les signatures [sur les enveloppes de vote par correspondance], et si vous ne pouvez pas vérifier les signatures, vous ne trouverez pas la fraude. Mais nous avons en Géorgie un Secrétaire d’État et un Gouverneur qui se sont opposés à la vérification des signatures. Demandez-leur pourquoi ils agissent ainsi. Si vous ne vérifiez par les signatures, vous vous contentez simplement de recompter les mêmes bulletins de vote [dont tous les bulletins frauduleux], et cela ne sert à rien. Quand nous pourrons examiner les signatures sur les enveloppes, nous constaterons que plusieurs milliers de personnes ont voté illégalement.

Les Démocrates ont truqué cette élection dès le début. Ils ont utilisé la pandémie du virus chinois [coronavirus], comme prétexte pour envoyer des dizaines de millions de bulletins de vote dans tout le pays, ce qui est à l’origine de la majorité de la fraude, une fraude que le monde entier peut voir – et personne n’est plus heureux en ce moment que la Chine.

De nombreuses personnes ont reçu deux, trois voire quatre bulletins de vote. Des bulletins de vote ont été envoyés par milliers à des morts. En fait, de nombreuses personnes décédées ont rempli des demandes de bulletins de vote, puis ont voté, ce qui est encore pire. Et certaines de ces personnes sont mortes depuis 25 ans.

Des millions de votes ont été enregistrés illégalement rien que dans les Swing States, donc les résultats de chaque Swing State doivent être annulés immédiatement. Certains disent que c’est une sanction trop sévère. Eh bien, cela signifie-t-il que nous devrions créer un précédent, et que nous devrions être satisfaits d’élire un président dont les voix étaient frauduleuses ?

Non, cela signifie qu’il faut inverser l’élection, et tout le monde le sait. Les [médias] ont vu les preuves, mais ils ne veulent pas parler de la catastrophe qu’a été cette élection, une catastrophe totale. Mais nous allons prouver tout cela, et j’espère que les tribunaux, et en particulier la Cour Suprême des États-Unis, reconnaîtront que nous avons raison et, espérons-le, feront ce qui est juste pour notre pays, car notre pays ne peut pas accepter ce type d’élection. Nous pourrions dire, passons à l’élection suivante, mais ce n’est pas acceptable, nous devons aussi regarder notre passé.

J’ai gagné facilement chacun des 6 États contestés, très facilement, le soir de l’élection. Nous avons trouvé des centaines de milliers de votes frauduleux, bien plus que ce dont nous avons besoin pour gagner [chacun de ces États], bien plus que ce que la loi exige. Les médias le savent, mais ils ne veulent pas en parler. En fait, ils refusent carrément de couvrir [ces fraudes], car ils connaissent le résultat s’ils le font. Même ce que je dis maintenant sera dénigré et calomnié, mais ce n’est pas grave. Je continue d’avancer, car je représente 74 millions de personnes et, en fait, je représente également toutes les personnes qui n’ont pas voté pour moi.

L’escroquerie du vote par correspondance est la dernière manigance des Démocrates, qui depuis quatre ans tentent d’inverser les résultats de l’élection de 2016. Nos adversaires ont prouvé à maintes reprises qu’ils sont prêts à dire et faire n’importe quoi pour revenir au pouvoir.

Les forces corrompues qui enregistrent les votes d’électeurs morts et bourrent les urnes sont les mêmes qui, depuis quatre ans, ont perpétré contre moi des machinations frauduleuses l’une après l’autre. Ces gens s’opposent à notre mouvement, car nous accordons la priorité à l’Amérique. Ils ne donnent pas la priorité à l’Amérique, alors que nous redonnons le pouvoir au peuple américain. Ces gens ne veulent pas d’America First [L’Amérique d’abord], ils ne veulent du pouvoir que pour eux-mêmes. Ils veulent s’enrichir, c’est pourquoi ils ne veulent pas de moi comme président. Ils veulent non pas m’abattre moi, mais nous abattre nous tous. Nous ne pouvons pas les laisser faire ça.

Depuis que j’ai annoncé [en 2015] que j’étais candidat à la présidence, j’ai fait l’objet d’enquêtes et elles ne se sont jamais arrêtées. Elles ont continué pendant quatre ans, et je les ai toutes gagnées, je les ai tous battus. Il y a eu le mensonge sur la collusion avec la Russie, le canular de la destitution [impeachment], et bien plus encore.

Robert Mueller a dépensé 48 millions de dollars de l’argent des contribuables pour enquêter sur moi pendant deux ans et demi, a émis plus de 2800 citations à comparaître, exécuté près de 500 mandats de perquisition, émis 230 ordonnances pour obtenir la communication de documents et mené 500 entretiens avec des témoins, tout cela pour tenter de me faire tomber, et à la fin il n’a trouvé aucune collusion, absolument aucune.

Tout a été examiné. Un de mes amis, qui est très intelligent, a déclaré : « Vous avez été l’objet de plus d’investigations que quiconque au monde. Et le fait que vous en soyez sorti totalement blanchi signifie que vous êtes probablement la personne la plus propre de ce pays. »

Certains membres de cette administration, mais heureusement pas tous, ont été attaqués et calomniés. Et maintenant ils ont simplement disparu. Personne ne sait ce qui leur est arrivé. Pourquoi ne sont-ils pas actifs ? Pourquoi ne sont-ils pas impliqués ? La corruption est si endémique. Mais ils n’en pouvaient plus. Ils ont été menacés par les Démocrates et des choses horribles ont été dites à leur sujet alors que ce sont de bonnes personnes.

Si vous regardez tous les mensonges et tous les actes illégaux commis par tant de gens dans leur désir de détruire le Président des États-Unis, vous vous dites qu’il devrait y avoir une sanction. La chose la plus difficile que j’ai à faire est d’expliquer pourquoi toutes ces personnes qui ont été attrapées en train d’espionner ma campagne [en 2016 et 2017] n’ont pas été sanctionnées. Cela n’est jamais arrivé auparavant et cela ne devrait plus jamais arriver à un Président des États-Unis.

La fraude électorale que nous avons découverte ces dernières semaines est écrasante. Quand ils voient les preuves, tous les gens disent : « bigre, les preuves sont accablantes, mais il est trop tard pour changer le cours d’une élection, il est trop tard pour changer le résultat. »

En réalité, il reste encore beaucoup de temps pour certifier le vrai vainqueur de cette élection et c’est pour cela que nous nous battons. Quand vous voyez toutes ces fraudes, quand vous voyez tous ces faux votes, vous ne pouvez pas laisser une autre personne vous voler cette élection. Partout dans le pays, les gens sont descendus dans la rue en brandissant des pancartes “Arrêtez le vol” [Stop the Steal].

Pour comprendre comment nous allons contester cette fraude, il est important de connaître les problèmes liés au vote par correspondance. La Pennsylvanie, le Michigan, le Nevada, la Géorgie, l’Arizona et la plupart des autres États ont permis à tout le monde d’obtenir un bulletin de vote par correspondance et de voter sans présenter de pièce d’identité.

La plupart des Américains seraient également choqués d’apprendre qu’aucun État du pays ne vérifie que les électeurs ont la citoyenneté américaine pour voter aux élections fédérales. C’est une honte nationale. Aucun autre pays avancé ne procède à des élections de cette manière. De nombreux pays européens ont institué des restrictions majeures au vote par correspondance, parce qu’ils ont reconnu son potentiel presque illimité de fraude. Sur 42 pays européens, tous sauf deux interdisent entièrement le vote par correspondance pour les personnes résidant à l’intérieur du pays, ou exigent que ceux qui ont besoin de bulletins de vote par correspondance présentent une pièce d’identité authentique.

Tout au long des tentatives des Démocrates pour accroître dramatiquement le vote par correspondance, les dirigeants du parti Démocrate ont également travaillé avec fébrilité pour supprimer toutes les mesures de protection contre la fraude, telles que la vérification de la signature, la vérification de l’adresse et la vérification de l’identité de l’électeur.

Ce ne sont pas des actions de personnes qui veulent des élections justes, ce sont les actions de personnes qui veulent voler une élection, et qui font tout pour créer de la fraude. La seule raison concevable pour laquelle vous vous opposez aux mesures de bon sens pour vérifier la légalité du vote, c’est que vous essayez d’encourager, de faciliter, de solliciter ou de commettre des fraudes.

Il est important que les Américains comprennent que ces changements destructeurs apportés à nos lois électorales n’étaient pas une réponse nécessaire à la pandémie. La pandémie a simplement donné aux Démocrates une excuse pour faire ce qu’ils essayaient de faire depuis de très nombreuses années. En fait, le tout premier projet de loi que les Démocrates ont présenté lorsque Nancy Pelosi est devenue présidente de la Chambre des Représentants [un an avant le coronavirus], était une tentative de rendre obligatoire le vote par correspondance universel et d’éliminer les mesures de contrôle telles que la vérification de l’identité des électeurs, qui est si nécessaire.

Détruire l’intégrité de nos élections était la priorité numéro un des Démocrates pour une raison simple : ils voulaient voler l’élection présidentielle de 2020. Tous les efforts des Démocrates pour étendre le vote par correspondance ont permis la fraude systématique et omniprésente qui s’est produite lors de cette élection.

En Pennsylvanie, de grandes quantités de bulletins de vote par correspondance ont été enregistrées illégalement, sans la présence de nos observateurs. Ils ont été expulsés hors du bâtiment et ils ont tenté de regarder ce qui se passait à l’intérieur, mais ils n’avaient aucun moyen de voir, car les fenêtres avaient été obturées. Il n’y a qu’une seule raison possible pour laquelle les Démocrates corrompus se sont opposés à la transparence lors du dépouillement : c’est parce qu’ils voulaient cacher des activités illégales.

C’est un phénomène flagrant et inexcusable. Et c’est un préjudice irréversible qui entache toute l’élection. Cette manière sans précédent d’exclure nos observateurs s’est produite dans les villes dirigées par les Démocrates et dans tous les Swing States du pays.

Voici quelques-uns des faits supplémentaires que nous avons découverts. De nombreux électeurs de toute la Pennsylvanie ont reçu deux bulletins de vote par la poste, et de nombreux autres ont reçu des bulletins de vote par la poste qu’ils n’avaient jamais demandé. Et ils se sont avérés être, pour la plupart, des Démocrates.

Dans le comté de Fayette, en Pennsylvanie, plusieurs électeurs ont reçu des bulletins de vote déjà remplis. Ils ne savaient pas ce qui s’était passé. Dans le comté de Montgomery, en Pennsylvanie, un observateur du scrutin a entendu des employés électoraux dire à des électeurs non-inscrits de revenir plus tard pour essayer de voter sous un autre nom.

Dans le Michigan, des employés électoraux de la ville de Detroit incitaient les électeurs à voter Démocrate, tout en les accompagnant dans l’isoloir pour voir pour qui ils votaient, violant ainsi la loi et le caractère sacré du scrutin secret. Une employée électorale [lanceuse d’alerte] a révélé qu’elle a reçu pour instruction de ne demander aucune pièce d’identité et de ne pas vérifier les signatures. On lui a également dit d’antidater illégalement de très nombreux bulletins de vote reçus après la date limite. Elle estime que des milliers et des milliers de bulletins de vote ont été indûment antidatés par elle et beaucoup d’autres employés.

D’autres témoins à Detroit ont également vu les employés électoraux compter plusieurs fois les mêmes bulletins de vote, et dupliquer illégalement des bulletins de vote. Un observateur a témoigné avoir vu des boîtes entières de bulletins de vote portant tous la même signature.

Un autre observateur à Detroit a témoigné sous serment qu’il a vu d’innombrables bulletins de vote qui portaient des noms qui ne figuraient pas sur les listes électorales, puis qu’il a vu des employés électoraux entrer de fausses dates de naissance dans le système, afin de les compter illégalement.

Un autre témoin a certifié sous serment que, après que les responsables électoraux ont annoncé que les derniers votes par correspondance avaient été enregistrés, un nouveau lot de dizaines de milliers de bulletins de vote est arrivé, beaucoup sans enveloppe, tous pour les Démocrates.

Toujours à Detroit, dans de nombreux districts, il y a eu plus de votes enregistrés que d’électeurs inscrits.

Dans le Wisconsin, un nombre record d’électeurs ont été classés comme “confinés indéfiniment”, un statut réservé aux personnes gravement handicapées et aux personnes âgées, qui leur permet de voter sans présenter aucune pièce d’identité. L’année dernière, cette catégorie comprenait 70.000 personnes dans tout l’État. Cette année, le nombre est miraculeusement monté à 250.000 personnes, après que les responsables électoraux de Milwaukee et du comté de Dane – qui sont parmi les endroits les plus corrompus de notre pays – aient exhorté les citoyens à s’inscrire de manière incorrecte sous ce statut.

En Géorgie, neuf observateurs ont témoigné avoir vu d’innombrables bulletins de vote par correspondance sans aucun pli, ce qui prouve que ces bulletins de vote ne sont pas arrivés dans des enveloppes comme requis. Une observatrice du scrutin, dans le comté de Fulton, a estimé qu’environ 98% du grand nombre de bulletins de vote sans pli qu’elle a vus étaient pour Biden. En outre, des milliers de bulletins de vote non comptés ont été découverts [dans des clés USB “égarées”] dans les comtés de Floyd, Fayette et Walton des semaines après l’élection, et ces bulletins provenaient majoritairement d’électeurs de Trump.

En Arizona, le procureur général a annoncé que des bulletins de vote avaient été volés dans les boîtes aux lettres et jetés dans la nature.

Dans le Nevada, dans le comté de Clark [Las Vegas], où résident la plupart des électeurs de l’État, la machine à vérifier les signatures avait été trafiquée, afin de permettre le décompte d’un grand nombre de bulletins de vote qui, autrement, n’auraient jamais été acceptés. Cette machine avait été réglée au niveau de détection le plus bas. Selon un rapport, afin de tester [le mauvais fonctionnement de] cette machine, neuf électeurs du comté de Clark ont voté avec des signatures intentionnellement incorrectes, et huit des neuf bulletins de vote ont été acceptés et comptés.

L’un des signes les plus significatifs d’une fraude généralisée est le taux de rejet extrêmement bas des bulletins de vote par correspondance dans de nombreux États. Dans tous les Swing States, le nombre de bulletins de vote rejetés a été considérablement inférieur à ce qu’il avait été lors des élections précédentes. En Géorgie, à peine 0,2% des bulletins de vote par correspondance ont été rejetés. En d’autres termes, presque aucun bulletin de vote n’a été rejeté, alors que 6,4% des bulletins de vote avaient été rejetés en 2016.

Nous avons constaté des baisses similaires en Pennsylvanie, au Nevada et dans le Michigan. Les bulletins de vote n’ont pas été rejetés, surtout dans les régions contrôlées par les Démocrates. Ces irrégularités sont inexplicables à moins qu’il n’y ait un effort délibéré pour accepter des bulletins de vote illégaux ou frauduleux.

En Pennsylvanie, le secrétaire d’État et la Cour suprême de l’État ont essentiellement aboli les exigences de vérification des signatures quelques semaines seulement avant les élections, en violation de la loi de l’État. La raison en est claire : les Démocrates ne voulaient pas vérifier les signatures parce qu’ils savaient que les bulletins de vote n’avaient pas été remplis par les électeurs au nom desquels ils avaient été déposés. En d’autres termes, les gens qui les ont remplis n’avaient rien à voir avec les noms inscrits sur le bulletin de vote.

Dans ces circonstances, un simple recomptage des bulletins de vote ne permet pas de détecter la fraude. La seule façon de déterminer s’il y a eu un vote honnête est de procéder à un examen complet des enveloppes dans les États concernés. Vous constaterez que bon nombre d’entre elles, des dizaines de milliers, ont des signatures frauduleuses. Un audit légal complet est nécessaire pour s’assurer que seuls les bulletins légaux d’électeurs légalement inscrits qui ont été correctement déposés sont inclus dans le décompte final.

Cette élection a donné lieu à une énorme fraude électorale, comme on n’en a jamais vu auparavant. Cette élection a été truquée. Tout le monde le sait. Cela ne me dérange pas de perdre une élection, à condition que cela ait été une élection juste et équitable. Ce que je refuse, c’est qu’une élection soit volée au peuple américain. C’est pour cela que nous nous battons. Nous n’avons pas le choix, nous sommes obligés de nous battre.

Nous avons déjà les preuves, et c’est très clair. Beaucoup de personnes dans les médias, et même des juges, ont jusqu’à présent refusé de le reconnaître, alors qu’ils savent que c’est vrai. Ils savent qui a remporté les élections, mais ils refusent de dire : « Vous avez raison ». Notre pays a besoin que quelqu’un dise : « Vous avez raison ».

Pour conclure, je suis prêt à accepter tout résultat électoral exact, et j’espère que Joe Biden l’est également. Nous avons déjà trouvé des dizaines de milliers de bulletins de vote frauduleux de plus qu’il n’en faut pour inverser les résultats dans tous les États dont nous parlons.

Il s’agit de l’élection pour la plus haute fonction dans le plus remarquable pays de toute l’Histoire du monde. Tout Américain raisonnable devrait pouvoir convenir, sur la base de ce que nous avons déjà révélé, que nous avons besoin d’une analyse systématique des bulletins de vote par correspondance. C’est le minimum absolu que nous devons exiger.

Il ne s’agit pas uniquement de ma campagne, même si cela a beaucoup à voir avec qui sera votre prochain président. Il s’agit de restaurer la foi et la confiance dans les élections américaines. Il s’agit de notre démocratie et des droits sacrés pour lesquels des générations d’Américains se sont battus, ont été blessés et sont morts. Rien n’est plus urgent ni plus important.

Les seuls bulletins de vote qui devraient compter dans cette élection sont ceux des électeurs éligibles qui sont citoyens de notre pays, qui résident dans les États dans lesquels ils ont voté, et qui ont voté de manière légale avant la date limite légale. De plus, nous ne devons plus jamais avoir d’élection dans laquelle il n’y a pas de système fiable et transparent pour vérifier l’éligibilité, l’identité et l’adresse de chaque personne qui dépose un bulletin de vote.

De nombreuses personnes très intelligentes m’ont félicité pour tout ce que nous avons fait : les plus importantes réductions d’impôts de l’Histoire ; les plus importantes suppressions de réglementations de l’Histoire ; nous avons reconstruit notre armée ; nous avons pris soin de nos vétérans militaires comme personne ne l’avait fait auparavant ; nous avons créé la Space Force ; et bien plus encore. Mais ces personnes ont ajouté : « aussi grandes et aussi importantes que soient ces réalisations, la plus grande réalisation de votre présidence sera précisément ce que vous faites en ce moment : rétablir l’intégrité des élections dans notre nation. »

C’est ce qui est le plus important. Si nous n’éliminons pas la fraude, la terrible et horrible fraude qui a eu lieu lors de l’élection de 2020, nous n’aurons plus de pays.

Avec la détermination et le soutien du peuple américain, nous rétablirons l’honnêteté et l’intégrité de nos élections. Nous rétablirons la confiance dans notre système de gouvernement.

Merci. God bless you. God bless America.

Maxime Lépante


N’oubliez pas de lire nos 13 articles sur les fraudes électorales massives dont les Démocrates se sont rendus coupables aux États-Unis, articles remplis d’informations que vous ne trouverez nulle part dans les médias français :

1) États-Unis : les fraudes électorales, spécialité des Démocrates !

2) États-Unis : la plus énorme fraude électorale de l’Histoire !

3) États-Unis : 32 infos capitales sur la fraude électorale !

4) États-Unis : Trump ne doute pas de la victoire !

5) États-Unis : 18 nouvelles infos capitales sur les fraudes électorales !

6) États-Unis : la contre-attaque judiciaire de Trump contre les fraudes électorales !

7) Fraudes US : incroyables révélations sur les machines à voter Dominion !

8) États-Unis : 27 infos supplémentaires sur les fraudes électorales massives !

9) Les médias français mentent : Trump n’a pas reconnu la “victoire” de Biden !

10) Révélations sur la stratégie de Trump pour être réélu !

11) Exclusif : toute la conférence de presse de Trump que les médias ont censurée !

12) Fraudes US : les auditions explosives du Sénat de Pennsylvanie !

13) Avancées capitales de Trump en Pennsylvanie, Arizona et Michigan !




A chacun ses « droits de l’homme » !

[Source : Librairie Tropiques]

par Bruno Guigue

Dans son ouvrage intitulé Le Piège de Thucydide,
l’universitaire américain Graham Allison se demande comment les
Etats-Unis vont pouvoir enrayer la montée de la Chine. Ce ne sera pas en
lui faisant la guerre, reconnaît cet auteur, car la puissance militaire
chinoise est dissuasive, et en cas d’affrontement, les dommages causés
aux uns et aux autres seraient insupportables. Ce ne sera pas non plus
sur le terrain économique, car sur ce terrain, estime Graham Allison,
les Chinois ont déjà détrôné l’ex-première puissance planétaire et il y a
tout lieu de penser qu’ils vont confirmer cet avantage dans les années à
venir.

Faut-il
donc que les Etats-Unis se résignent à la victoire de leur nouvel
adversaire systémique au moment où Mike Pompeo, le chef de la diplomatie
américaine, désigne le parti communiste chinois comme le « principal
ennemi » de son pays ? Graham Allison répond alors par la négative. Si
l’on ne peut rien attendre d’un conflit armé parce qu’il serait
suicidaire, ni d’une compétition économique perdue d’avance, il reste
toutefois un domaine où Washington peut compenser son infériorité,
dit-il, et ce domaine est celui des « droits de l’homme ».

Comme
jadis face à l’Union soviétique, la litanie des « droits de l’homme »
est le carburant idéologique de la nouvelle guerre froide. Si l’on en
croit les dirigeants américains, et ce discours est relayé par une
presse occidentale servile, les Chinois commettraient des horreurs sans
nom contre leur propre population. Au Xinjiang, région autonome du
Nord-Ouest de la Chine, « des millions » de Ouïghours seraient enfermés
et torturés dans des camps de concentration. Or cette accusation
grotesque a été démentie par Pékin et par des dizaines de pays musulmans
qui se félicitent de la politique préventive et répressive menée par la
Chine contre le terrorisme d’importation made in CIA.

A
Hong Kong, lors des manifestations populaires qui ont secoué l’ancienne
colonie britannique, la presse occidentale prophétisait un bain de sang
analogue au « massacre » de la Place Tiananmen. Malgré les provocations
d’agitateurs extrémistes ouvertement soutenus par les Etats-Unis, le
maintien de l’ordre par la police de Hong Kong s’est caractérisé au
contraire par sa retenue, offrant un contraste saisissant avec la
violence déchaînée en France, au même moment, contre les Gilets Jaunes,
avec ces dizaines de milliers d’arrestations, ces 200 blessés graves et
ces 25 mutilés qui portent l’empreinte de notre belle « démocratie » et
dont il n’y a aucun équivalent en Chine, un pays pourtant qualifié par
l’Occident de « dictature totalitaire ».

Ainsi
la propagande invente un monde imaginaire où la conscience occidentale
vierge de toute impureté, en croyant dénoncer les turpitudes commises
par les autres, ne chasse que des fantômes. Elle excelle dans l’art de
fabriquer des faits inexistants, d’anticiper des événements
invraisemblables et de substituer à la réalité des faits une réalité
fantasmée. Et à chaque fois, à chaque mensonge, cette propagande brandit
les « droits de l’homme » comme Moïse brandissait les Tables de la Loi.
Et à chaque fois, l’Occident dopé à la moraline distribue les
châtiments et les récompenses, comme s’il était le dépositaire universel
de ces « droits de l’homme » qui coïncident si aisément avec ses
propres intérêts.

On
se demande bien, pourtant, à quel titre un pays comme les Etats-Unis
serait fondé à juger la politique intérieure des autres pays à l’aune de
principes humanistes. Fondé par des colons esclavagistes et
génocidaires qui se prenaient pour le peuple élu, cet Etat a surtout
brillé durant sa brève histoire par sa capacité à violer les droits de
l’homme non-américain et de l’homme non-blanc, quitte à massacrer des
populations entières lorsqu’elles se montraient peu réceptives au
message salvateur. Comme les autres, la doctrine des droits de l’homme
ne vaut rien s’il s’avère que son application justifie des horreurs. Et
si les droits de l’homme sont « universels et imprescriptibles », ceux
qui les ont constamment à la bouche ont surtout fait la démonstration
qu’ils n’étaient ni l’un ni l’autre.

Il
est légitime, en tout cas, de se demander pourquoi la doctrine des
droits de l’homme est un instrument de propagande si commode. On
pourrait répondre, bien sûr, par la thèse du détournement pervers. Si la
doctrine justifie ce qu’elle paraît condamner, c’est que les puissants
l’ont « détournée » de son sens originel. La doctrine serait pure,
certes, mais son usage, lui, serait impur. C’est ce que dit Rousseau à
propos des lois. Idéalement, elles sont l’expression de la volonté
générale, elles visent l’intérêt commun. Mais « dans les faits, dit-il,
les lois sont utiles à ceux qui possèdent et nuisibles à ceux qui n’ont
rien ». Car dans le monde réel ce sont les puissants qui font les lois,
et dans une société injuste, les lois ne peuvent être justes.

Or
on ne peut faire le même raisonnement à propos des droits de l’homme.
On ne peut pas se contenter de dire, par exemple : les droits de l’homme
sont une chose excellente, mais les Etats-Unis les détournent de leur
véritable signification, ils les utilisent pour justifier l’ingérence
dans les affaires des autres nations et couvrir leur impérialisme des
oripeaux de l’humanisme. Naturellement cette proposition est vraie :
oui, les Etats-Unis instrumentalisent la doctrine des droits de l’homme.
Mais il ne suffit pas de faire ce constat. Car si cette
instrumentalisation est possible, c’est qu’il y a quelque chose dans la
doctrine des droits de l’homme qui se prête à cette instrumentalisation.

Pour
saisir cette relation, Il faut se pencher sur la fameuse « Déclaration
des droits de l’Homme et du Citoyen » de 1789. Elle énonce à l’article 1
que « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ».
Puis son article 2 précise que « les droits naturels et imprescriptibles
de l’homme sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à
l’oppression ». On notera aussitôt que l’égalité ne fait pas partie explicitement
des droits de l’homme, que la propriété vient immédiatement après la
liberté et que la sûreté, qui garantit la liberté et la propriété,
occupe la troisième place.

On
relèvera aussi la définition de la liberté, à l’article 4, comme «  le
pouvoir de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui ». Or,
comme dit Marx, cette liberté est celle de « l’homme considéré comme une
monade isolée, repliée sur elle-même ». Purement individuelle, cette
liberté a des limites qui sont « marquées par la loi, de même que la
limite de deux champs est déterminée par un piquet ». Fort logiquement
cette liberté de l’individu s’épanouit avec la propriété, ce droit de
« jouir de sa fortune et d’en disposer à son gré, sans se soucier des
autres hommes, indépendamment de la société ».

Au
fond, conclut Marx, « aucun des prétendus droits de l’homme ne dépasse
l’homme égoïste, l’homme en tant que membre de la société bourgeoise,
c’est-à-dire un individu séparé de la communauté, replié sur lui-même,
uniquement préoccupé de son intérêt personnel et obéissant a son
arbitraire privé. L’homme est loin d’y être considéré comme un être
générique ; tout au contraire, la vie générique elle-même, la société,
apparaît comme un cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de
son indépendance originelle » (Sur la Question juive, 1843).

Autrement
dit, les droits affirmés par la déclaration de 1789 sont des droits
abstraits qui ne correspondent à aucune réalité concrète hormis
l’exercice par les propriétaires de leur droit de propriété et la
garantie solennelle que leur offre la société bourgeoise. Elle a beau
proclamer le caractère universel et imprescriptible de la « liberté »,
par exemple, ce ne sont que des mots. Séparée du cadre social
susceptible de lui donner un contenu, cette universalité présumée est
une universalité abstraite, et non une universalité concrète. Si l’on
veut prendre au sérieux la liberté, il faut en faire un droit concret,
et non un droit abstrait. Et pour qu’elle accède à cette réalité
concrète, pour qu’elle ait un contenu, il faut la penser autrement que
comme la liberté de l’individu.

Il
fallait faire ce bref détour par l’analyse théorique pour saisir la
véritable portée de l’idéologie des droits de l’homme. Le texte de 1789
est un manifeste dont la fonction est de rendre légitime le transfert du
pouvoir, sous toutes ses formes, à la bourgeoisie montante. Il entend
justifier la rupture avec la société féodale et ses hiérarchies
héréditaires. Mais il n’affirme l’égalité en droits que pour justifier
les inégalités de fortune. Son principal rédacteur, l’abbé Sieyès, est
l’inventeur de la fameuse distinction entre « citoyens actifs » et
« citoyens passifs » : seuls les premiers, parce qu’ils sont
propriétaires, sont appelés à voter car ils sont « les véritables
actionnaires de la grande entreprise sociale ».

Lorsqu’on
entend certains Etats invoquer les droits de l’homme pour stigmatiser
leurs adversaires, il n’est pas inutile de se rappeler que la
déclaration des droits dont se réclament les premiers n’est que la
déclaration des droits de la bourgeoisie. Lors des débats
parlementaires, Robespierre dénonçait déjà le caractère de classe du
futur texte : « Vous avez multiplié les articles pour assurer la plus
grande liberté à l’exercice de la propriété, et vous n’avez pas dit un
seul mot pour en déterminer le caractère légitime ; de manière que votre
déclaration paraît faite, non pour les hommes, mais pour les riches,
pour les accapareurs, les agioteurs et les tyrans ».

On
comprend mieux, dès lors, que la compassion humaniste de nos
merveilleuses « démocraties » soit à géométrie variable. Les Etats-Unis
n’ont jamais émis la moindre réserve à l’égard de leur ami, le dictateur
cubain Fulgencio Batista, et de ses pratiques répressives, mais ils ont
déchaîné leur propagande contre Cuba le jour où le gouvernement
révolutionnaire de Fidel Castro a décidé de nationaliser les actifs des
compagnies américaines installées sur le sol national. La « liberté »,
pour Washington, c’est le droit de ses propres compagnies à encaisser
indéfiniment les profits de l’exploitation économique d’un petit pays de
la Caraïbe. Manifestement, la « liberté » n’est pas le droit d’une
nation à défendre sa souveraineté et à promouvoir son développement.

Si
les dirigeants des Etats-Unis, aujourd’hui, tentent de déstabiliser la
Chine, ce n’est pas parce qu’il y a des « millions de Ouïghours » dans
des camps de concentration. Ils savent très bien que c’est une fable
grotesque, analogue à l’attaque des vedettes nord-vietnamiennes, aux
armes de destruction massive de Saddam Hussein, aux couveuses de
Koweit-City, aux tueries imaginaires de Kadhafi et aux crimes chimiques
de Bachar Al-Assad. Le droit-de-l’hommisme made in CIA est une
formidable usine à mensonges, acharnée à occuper le quantum de cerveau
disponible des téléspectateurs occidentaux pour justifier ses opérations
prédatrices, avec le concours d’ONG trop heureuses d’apporter leurs
boules de neige à cette avalanche de calomnies qui s’abat sur les pays
qui osent résister à l’hégémonisme occidental.

Si
Washington veut en découdre avec la Chine, donc, ce n’est pas parce que
les Chinois sont opprimés par une abominable dictature et qu’ils rêvent
secrètement de connaître le bonheur de vivre à l’américaine, avec
fusillades dans les collèges, discrimination raciale, mafias en tout
genre et soupes populaires. C’est, tout simplement, parce que ce pays
est attaché à sa souveraineté, qu’il est doté d’un système performant,
que ses dirigeants en ont fait la première puissance de la planète et
que les perspectives de profit de l’oligarchie financière mondialisée
dont le quartier général est à Wall Street, dans ces conditions, tendent
sérieusement à s’amenuiser au même rythme que l’espoir, pour les
Etats-Unis, de préserver une hégémonie vacillante.

On
ne s’en étonnera pas, bien sûr, mais que les Chinois aient sorti de la
pauvreté 700 millions de personnes en 20 ans n’intéresse guère les
belles âmes du droit-de-l’hommisme occidental. Brillant théoricien du
néolibéralisme, Friedrich Hayek estimait que les droits sociaux inscrits
dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 étaient
une abomination. Ces droits à la vie, au travail, à la santé ou à
l’éducation ont pourtant le double mérite d’être véritablement
universels dans leur définition et de correspondre à des possibilités
concrètes dès lors que les Etats leur offrent un contenu. Contrairement à
la Déclaration de 1789, celle de 1948 traduisait en effet un rapport de
forces entre bourgeoisie et classes populaires issu du pacte social
scellé à la Libération et favorisé par l’effondrement du libéralisme.

Au
vu des résultats, certains pays semblent avoir pris au sérieux les
droits sociaux proclamés en 1948. Ces pays n’ont rien de libéral, et
c’est pourquoi ils se sont dotés, au profit du grand nombre, d’un
système éducatif et d’un système sanitaire qui fonctionnent. Malgré le
blocus, Cuba a créé un système de santé récompensé par l’OMS, et
l’espérance de vie à Cuba (80 ans) a dépassé celle des Etats-Unis (79
ans). Lors de la dernière évaluation internationale des systèmes
éducatifs (PISA), qui a porté sur un échantillon de 600 000 lycéens dans
50 pays au cours de l’année 2018, la République populaire de Chine est
arrivée en tête à égalité avec Singapour. Ces résultats obtenus
aujourd’hui par un pays qui comptait 80% d’analphabètes en 1949
devraient faire réfléchir tous ceux qui s’intéressent à la
transformation effective des droits formels en droits réels.

Mais
le droit-de-l’hommisme ordinaire, celui des ONG, ne s’intéresse qu’aux
droits individuels et délaisse les droits collectifs. Sa compassion pour
l’humanité souffrante est sélective. Il ne se mobilise que pour des
minorités ou des individus isolés, agissant au cas par cas en
sélectionnant ceux qu’il juge dignes de son attention. Il veut combattre
la discrimination et non l’exploitation, l’exclusion et non la
pauvreté, la privation de liberté infligée à quelques-uns et non la
misère imposée au grand nombre. Il ne connaît que des individus porteurs
de droits et se soucie peu de savoir s’il y a parmi eux des riches et
des pauvres. Le seul combat qui compte à ses yeux vise à aligner des
individus abstraits sur un standard restreint aux libertés formelles.

En
réalité, le droit-de-l’hommisme ordinaire occulte le fait que les
libertés ne sont effectives que si les droits collectifs sont garantis
par certaines structures sociales. Il tend à masquer le fait que les
droits sont réels si les individus sont correctement nourris, logés,
éduqués et soignés, et ces conditions ne sont réunies à leur tour que si
l’État prend les choses en main et les inscrit dans la durée. Bref, ces
belles âmes oublient tout simplement que les individus ne sont rien
sans la société et que les droits dont on réclame l’application ne sont
que du vent si la société, délibérément, ne leur donne pas un contenu
concret au lieu de s’en remettre aux mirifiques lois du marché vantées
par un libéralisme frelaté.

Cultivant
cet oubli, et participant de cette occultation, les ONG pétries
d’humanisme réduisent alors l’humanité souffrante à un agrégat
indistinct d’individus abstraits, atomisés, dont le sort n’est
intéressant que s’il témoigne d’une violation réelle ou imaginaire de
leurs droits individuels, de préférence dans un pays exotique qui se
trouve dans le collimateur de Washington. C’est sans doute pourquoi le
principal événement sociologique planétaire des deux dernières
décennies, à savoir l’éradication de la pauvreté en République populaire
de Chine, les intéresse beaucoup moins que les camps de concentration
imaginaires du Xinjiang et les poubelles renversées par de jeunes
imbéciles dans le métro de Hong Kong.

Bruno Guigue
 

Pour en savoir plus…

La Question Juive

(où Marx traite la question de l’émancipation politique)

K. Marx
1843

Extrait

D’après
Bauer, l’homme doit sacrifier le « privilège de la foi », pour pouvoir
recevoir les droits généraux de l’homme. Considérons un instant ce qu’on
appelle les droits de l’homme, considérons les droits de l’homme sous
leur forme authentique, sous la forme qu’ils ont chez leurs inventeurs,
les Américains du Nord et les Français ! Ces droits de l’homme sont,
pour une partie, des droits politiques, des droits qui ne peuvent être exercés que si l’on est membre d’une communauté. La participation à l’essence générale, à la vie politique commune à la vie de l’État, voilà leur contenu. Ils rentrent dans la catégorie de la liberté politique, dans la catégorie des droits civiques qui,
ainsi que nous l’avons vu, ne supposent nullement la suppression
absolue et positive de la religion, ni, par suite, du judaïsme. Il nous
reste à considérer l’autre partie, c’est-à-dire les « droits de l’homme », en ce qu’ils diffèrent des droits du citoyen.

« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions même religieuses.
» (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 1791, art. 10.) Au
titre de la Constitution de 1791 il est garanti, comme droit de l’homme :
« La liberté à tout homme d’exercer le culte religieux auquel il est
attaché. »

La
Déclaration des droits de l’homme, 1793, énumère parmi les droits de
l’homme, art. 7 : « Le libre exercice des cultes. » Bien plus, à propos
du droit d’énoncer ses idées et ses opinions, de se réunir, d’exercer
son culte, il est même dit : « La nécessité d’énoncer ces » (Voir la
Constitution de 1795, titre XIV, art. 345.)

«
Tous les hommes ont reçu de la nature le droit imprescriptible d’adorer
le Tout-Puissant selon les inspirations de leur conscience, et nul ne
peut légalement être contraint de suivre, instituer ou soutenir contre
son gré aucun culte ou ministère religieux. Nulle autorité humaine ne
peut, dans aucun cas, intervenir dans les questions de conscience et
contrôler les pouvoirs de l’âme. » (Constitution de Pennsylvanie, art.
9, § 3.)

«
Au nombre des droits naturels, quelques-uns sont inaliénables de leur
nature, parce que rien ne peut en être l’équivalent. De ce nombre sont
les droits de conscience. » (Constitution de New-Hampshire, art. 5 et 6.) (Beaumont, pp. 213-214.)

L’incompatibilité de la religion et des droits de l’homme réside si peu dans le concept des droits de l’homme, que le droit d’être
religieux, et de l’être à son gré, d’exercer le culte de sa religion
particulière, est même compté expressément au nombre des droits de
l’homme. Le privilège de la foi est un droit général de l’homme.

On fait une distinction entre les « droits de l’homme » et les « droits du citoyen ». Quel est cet « homme » distinct du citoyen ? Personne d’autre que le membre de la société bourgeoise. Pourquoi
le membre de la société bourgeoise est-il appelé « homme », homme tout
court, et pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l’homme ?
Qu’est-ce qui explique ce fait ? Par le rapport de l’État politique à la
société bourgeoise, par l’essence de l’émancipation politique.

Constatons
avant tout le fait que les « droits de l’homme », distincts des «
droits du citoyen, » ne sont rien d’autre que les droits du membre de la
société bourgeoise, c’est-à-dire de l’homme égoïste, de l’homme séparé
de l’homme et de la communauté. La Constitution la plus radicale, celle
de 1793, a beau dire : Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. «
Art. 2. Ces droits (les droits naturels et imprescriptibles) sont :
l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété. »

En
quoi consiste la « liberté » ? « Art. 6. La liberté est le pouvoir qui
appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits
d’autrui. » Ou encore, d’après la Déclaration des droits de l’homme de
1791 : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à
autrui. »

La liberté est donc le droit de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Les limites dans lesquelles chacun peut se mouvoir sans nuire à
autrui sont marquées par la loi, de même que la limite de deux champs
est déterminée par un piquet. Il s’agit de la liberté de l’homme
considéré comme monade isolée, repliée sur elle-même. Pourquoi, d’après
Bauer, le Juif est-il inapte à recevoir les droits de l’homme ? « Tant
qu’il sera juif, l’essence bornée qui fait de lui un Juif l’emportera
forcément sur l’essen­ce humaine qui devrait, comme homme, le rattacher
aux autres hommes; et elle l’isolera de ce qui n’est pas Juif. » Mais le
droit de l’homme, la liberté, ne repose pas sur les relations de
l’homme avec l’homme mais plutôt sur la séparation de l’homme d’avec
l’homme. C’est le droit de cette séparation, le droit de l’individu
limité à lui-même.

L’application pratique du droit de liberté, c’est le droit de propriété privée. Mais en quoi consiste ce dernier droit ?

«
Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir
et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son
travail et de son industrie. » (Constitution de 1793, art. 16.)

Le
droit de propriété est donc le droit de jouir de sa fortune et d’en
disposer « à son gré », sans se soucier des autres hommes,
indépendamment de la société; c’est le droit de l’égoïsme. C’est cette
liberté individuelle, avec son application, qui forme la base de la
société bourgeoise. Elle fait voir à chaque homme, dans un autre homme,
non pas la réalisation, mais plutôt la limitation de sa liberté. Elle
proclame avant tout le droit « de jouir et de disposer à son gré de ses
biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie ».

Restent les autres droits de l’homme, l’égalité et la sûreté.

Le
mot « égalité » n’a pas ici de signification politique; ce n’est que
l’égalité de la liberté définie ci-dessus : tout homme est également
considéré comme une telle monade basée sur elle-même. La Constitution de
1795 détermine le sens de cette égalité : « Art. 5. L’égalité consiste
en ce que la loi est la même pour tous, soit qu’elle protège, soit
qu’elle punisse. »

Et
la sûreté ? La Constitution de 1793 dit : « Art. 8. La sûreté consiste
dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour
la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés. »

La
sûreté est la notion sociale la plus haute de la société bourgeoise, la
notion de la police : toute la société n’existe que pour garantir à
chacun de ses membres la conservation de sa personne, de ses droits et
de ses propriétés. C’est dans ce sens que Hegel appelle la société
bourgeoise « l’État de la détresse et de l’entendement ».

La
notion de sûreté ne suffit pas encore pour que la société bourgeoise
s’élève au-dessus de son égoïsme. La sûreté est plutôt l’assurance
(Versicherung) de l’égoïsme.

Aucun
des prétendus droits de l’homme ne dépasse donc l’homme égoïste,
l’homme en tant que membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire un
individu séparé de la communauté, replié sur lui-même, uniquement
préoccupé de son intérêt personnel et obéissant a son arbitraire privé.
L’homme est loin d’y être considéré comme un être générique; tout au
contraire, la vie générique elle-même, la société, apparaît comme un
cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de son indépendance
originelle. Le seul lien qui les unisse, c’est la nécessité naturelle,
le besoin et l’intérêt privé, la conservation de leurs propriétés et de
leur personne égoïste.

Il
est assez énigmatique qu’un peuple, qui commence tout juste à
s’affranchir, à faire tomber toutes les barrières entre les différents
membres du peuple, à fonder une communauté politique, proclame
solennellement (1791) le droit de l’homme égoïste, séparé de son
semblable et de la communauté, et reprenne même cette proclamation à un
moment où le dévouement le plus héroïque peut seul sauver la nation et
se trouve réclamé impérieusement, à un moment où le sacrifice de tous
les intérêts de la société bourgeoise est mis à l’ordre du jour et où
l’égoïsme doit être puni comme un crime (1793). La chose devient plus
énigmatique encore quand nous constatons que l’émancipation politique
fait de la communauté politique, de la communauté civique, un simple moyen devant
servir à la conservation de ces soi-disant droits de l’homme, que le
citoyen est donc déclaré le serviteur de l’ « homme » égoïste, que la
sphère, où l’homme se comporte en qualité d’être générique, est ravalée
au-dessous de la sphère, où il fonctionne en qualité d’être partiel, et
qu’enfin c’est l’homme en tant que bourgeois, et non pas l’homme en tant
que citoyen, qui est considéré comme l’homme vrai et authentique.

Le « but » de toute « association politique » est la « conservation des droits naturels et imprescriptible de l’homme ». (Déclar., 1791, art. 2.) – « Le gouvernement est
institué pour garantir à l’homme la jouissance de ses droits naturels
et imprescriptibles. » (Déclar., 1791, art. 1.) Donc, même aux époques
de son enthousiasme encore fraîchement éclos et poussé à l’extrême par
la force même des circonstances, la vie politique déclare n’être qu’un
simple moyen, dont le but est la vie de la société bourgeoise. Il est
vrai que sa pratique révolutionnaire est en contradiction flagrante avec
sa théorie. Tandis que, par exemple, la sûreté est déclarée l’un des
droits de l’homme, la violation du secret de la correspondance est mise à
l’ordre du jour. Tandis que la « liberté indéfinie de la presse » est
garantie (Déclar. de 1793, art. 122) comme là conséquence du droit de la
liberté individuelle, elle est complètement anéantie, car « la liberté
de la presse ne doit pas être permise lorsqu’elle compromet la liberté
publique ». (Robespierre jeune; Histoire parlementaire de la Révolution française, par
Buchez et Roux, tome XXVIII, p. 159.) Ce qui revient à dire : le droit
de liberté cesse d’être un droit, dès qu’il entre en conflit avec la vie
politique, alors que, en théorie, la vie politique n’est que la
garantie des droits de l’homme, des droits de l’homme individuel, et
doit donc être suspendue, dès qu’elle se trouve en contradiction avec son but, ces
droits de l’homme. Mais la pratique n’est que l’exception, et la
théorie est la règle. Et quand même on voudrait considérer la pratique
révolutionnaire comme la position exacte du rapport, il resterait
toujours à résoudre cette énigme : pourquoi, dans l’esprit des
émancipateurs politiques, ce rapport est-il inversé, le but apparaissant
comme le moyen, et le moyen comme but ? Cette illusion d’optique de
leur conscience resterait toujours la même énigme mais d’ordre
psychologique et théorique.

La solution de ce problème est simple.

L’émancipation politique est en même temps la désagrégation de
la vieille société sur laquelle repose l’État où le peuple ne joue plus
aucun rôle, c’est-à-dire la puissance du souverain. La révolution
politique c’est la révolution de la société bourgeoise. Quel était le
caractère de la vieille société ? Un seul mot la caractérise. La
féodalité. L’ancienne société bourgeoise avait immédiatement un
caractère politique, c’est-à-dire les éléments de la vie bourgeoise,
comme par exemple la propriété, ou la famille, ou le mode de travail,
étaient, sous la forme de la seigneurie, de la caste et de la
corporation, devenus des éléments de la vie de l’État. Ils
déterminaient, sous cette forme, le rapport de l’individu isolé à
l’ensemble de l’État, c’est-à-dire sa situation politique, par laquelle
il était exclu et séparé des autres éléments de la société. En effet,
cette organisation de la vie populaire n’éleva pas la propriété. et le
travail au rang d’éléments sociaux; elle acheva plutôt de les séparer du corps de l’État et d’en faire des sociétés particulières dans
la société. Mais de la sorte, les fonctions vitales et les conditions
vitales de la société bourgeoise restaient politiques au sens de la
féodalité; autrement dit, elles séparaient l’individu du corps de
l’État; et le rapport particulier qui existait entre sa corporation et
le corps de l’État, elles le transformaient en un rapport général entre
l’individu et la vie populaire, de même qu’elles faisaient de son
activité et de sa situation bourgeoises déterminées une activité et une
situation générales. Comme conséquence de cette organisation, l’unité de
l’État, aussi bien que la conscience, la volonté et l’activité de
l’unité de l’État, le pouvoir politique général, apparaissent également
comme l’affaire particulière d’un souverain, séparé du peuple et de ses serviteurs.

La
révolution politique qui renversa ce pouvoir de souverain et fit des
affaires de l’État les affaires du peuple, qui constitua l’État
politique en affaire générale, c’est-à-dire en État réel, brisa
nécessairement tous les états, corporations, jurandes, privilèges, qui
ne servaient qu’à indiquer que le peuple était séparé de la communauté.
La révolution politique abolit donc le caractère politique de la société bourgeoise. Elle brisa la société bourgeoise en ses éléments simples, d’une part les individus, d’autre part les éléments matériels et spirituels qui
forment le contenu de la vie et la situation bourgeoise de ces
individus. Elle déchaîna l’esprit politique, qui s’était en quelque
sorte décomposé, émietté, perdu dans les impasses de la société féodale;
elle en réunit les bribes éparses, le libéra de son mélange avec la vie
bourgeoise et en fit la sphère de la communauté, de l’affaire générale du peuple, théoriquement indépendante de ces éléments particuliers de la vie bourgeoise. L’activité déterminée et
la situation déterminée de la vie n’eurent plus qu’une importance
individuelle. Elles ne formèrent plus le rapport général entre
l’individu et le corps d’État. L’affaire publique, comme telle, devint
plutôt l’affaire générale de chaque individu, et la fonction politique
devint une fonction générale.

Mais
la perfection de l’idéalisme de l’État fut en même temps la perfection
du matérialisme de la société bourgeoise. En même temps que le joug
politique, les liens qui entravaient l’esprit égoïste de la société
bourgeoise furent ébranlés. L’émancipation politique fut en même temps
l’émancipation de la société bourgeoise de la politique, et même de
l’apparence d’un contenu d’ordre général.

La
société féodale se trouva décomposée en son fond, l’homme, mais l’homme
tel qu’il en était réellement le fond, l’homme égoïste.

Or, cet homme, membre de la société bourgeoise, est la base, la condition de l’État politique. L’État l’a reconnu à ce titre dans les droits de l’homme.

Mais la liberté de l’homme égoïste et la reconnaissance de cette liberté est plutôt la reconnaissance du mouvement effréné des éléments spirituels et matériels, qui en constituent la vie.

L’homme
ne fut donc pas émancipé de la religion; il reçut la liberté
religieuse. Il ne fut pas émancipé de la propriété; il reçut la liberté
de la propriété. Il ne fut pas émancipé de l’égoïsme de l’industrie; il
reçut la liberté de l’industrie.

La constitution de l’État politique et
la décomposition de la société bourgeoise en individus indépendants,
dont les rapports sont régis par le droit, comme les rapports des hommes
des corporations et des jurandes étaient régis par le privilège, s’accomplissent par un seul et même acte. L’homme tel qu’il est membre de la société bourgeoise, l’homme non politique, apparaît nécessairement comme l’homme naturel. Les
« droits de l’homme » prennent l’apparence des « droits naturels », car
l’activité consciente se concentre sur l’acte politique. L’homme
égoïste est le résultat passif, simplement donné, de la société
décomposée, objet de la certitude immédiate, donc objet naturel.
La révolution politique décompose la vie bourgeoise en ses éléments,
sans révolutionner ces éléments eux-mêmes et les soumettre à la
critique. Elle est à la société bourgeoise, au monde des besoins, du
travail, des intérêts privés, du droit privé, comme à la base de son existence, comme
à une hypothèse qui n’a pas besoin d’être fondée, donc, comme à sa base
naturelle. Enfin, l’homme tel qu’il est, membre de la société
bourgeoise, est considéré comme l’homme proprement dit, l’homme par opposition au citoyen, parce que c’est l’homme dans son existence immédiate, sensible et individuelle, tandis que l’homme politique n’est que l’homme abstrait, artificiel, l’homme en tant que personne allégorique, morale. L’homme
véritable, on ne le reconnaît d’abord que sous la forme de l’individu
égoïste, et l’homme réel sous la forme du citoyen abstrait.

Cette
abstraction de l’homme politique, Rousseau nous la dépeint excellemment
: « Celui qui ose entreprendre d’instituer un peuple doit se sentir en
état de changer, pour ainsi dire, la nature humaine, de transformer
chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solidaire en
partie d’un plus grand tout, dont cet individu reçoive, en quelque
sorte, sa vie et son être, de substituer une existence partielle et
morale à l’existence physique et indépendante. Il faut qu’il ôte à
l’homme ses forces propres pour lui en donner qui lui soient étrangères
et dont il ne puisse faire usage sans le secours d’autrui. » (Contrat social, livre II.)

Toute émancipation n’est que la réduction, du monde humain, des rapports, à l’homme lui-même.

L’émancipation politique, c’est la réduction de l’homme d’une part au membre de la société bourgeoise, à l’individu égoïste et indépendant, et d’autre part au citoyen, à la personne morale.

L’émancipation
humaine n’est réalisée que lorsque l’homme a reconnu et organisé ses
forces propres comme forces sociales et ne sépare donc plus de lui la
force sociale sous la forme de la force politique.

Karl Marx

1843




Élections US. Trump est-il un piège ?

[Source : Rémy Daillet-Wiedemann]

https://youtu.be/7bpdysEz6cU



Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe

[Source : Minurne Résistance]

[Auteur :] L’Imprécateur

[NdNM : un texte qui date de 2015, mais conserve un intérêt informatif.]

François Hollande déclare que nous sommes en guerre au cœur même de la France (depuis longtemps, mais il ne s’en était pas encore aperçu). Il décide de fermer les frontières, annonce des ripostes implacables, réunit le Congrès à Versailles pour lui dire que sa riposte implacable consiste en une révision de la Constitution que tous les juristes en droit constitutionnel estiment inutile et irréaliste (une idée de l’un des énarques qui  conseillent l’Élysée, sans doute).

On se dit qu’il a enfin compris qu’en ouvrant grand les portes de l’immigration il a aussi ouvert la France aux terroristes islamistes, on se réjouit de le voir en général des Armées. C’était mal le connaître. À peine sorti du Congrès, il annonce que la France accueillera 30.000 « réfugiés » de plus d’ici la fin de son quinquennat ! Comme le disait le général Dourakine, « Un âne à deux pieds peut devenir général et demeurer un âne ».

Il est faux de croire que cette persévérance de François Hollande dans l’erreur est gratuite ou le résultat de l’auto-adoration de son intelligence qu’il croit très grande. En fait, il n’est que le grouillot d’institutions supranationales peu voyantes, souvent partiellement noyautées par la Franc-maçonnerie, comme Nouvel Ordre Mondial, Trilatérale, Bilderberg, FAF*, etc. Elles ont en commun, outre le contrôle de la finance mondiale, l’application du Plan Kalergi pour l’Europe.

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Quand on connait ce plan, toute la politique sociétale, misérabiliphore (délibérément porteuse de misère) et immigrationniste des deux gouvernements Hollande s’explique. La presse européenne ne vous en parlera pas, c’est un secret d’États européo-germano-français dont Angela Merkel est le maître d’œuvre en Europe, avec ses secrétaires l’ex-président de la Commission européenne Van Rompuy et son successeur Jean-Claude Juncker. D’ailleurs, en 2010, c’est à Mme Merkel qu’est revenu le premier prix de la Société Européenne Coudenhove-Kalergi, puis en 2012 à Von Rompuy et en 2014 à Juncker.
Un prix très recherché par la super-élite mondialisée. Mais de quoi s’agit-il ?

Le comte Richard Nikolaus Enjiro von Coudenhove-Kalergi est un métis de père autrichien et de mère japonaise, né à Tokyo en 1894, qui a fait de brillantes études et conçu, dès les années 1920, l’idée de l’Europe des Nations. C’est le véritable père fondateur de l’Europe, bien avant Jean Monnet, Robert Schumann et leurs successeurs. Ils ont repris quasiment in extenso les idées qu’il a publiées dans ses livres : marché commun, politique agricole commune, monnaie unique… promettant mais oubliant celles qui les gênaient : fiscalité commune, harmonisation sociale, Communauté Européenne de Défense, entre autres, dont ils craignaient qu’elles leur fassent perdre une partie de leur pouvoir sur les peuples et freinent leur enrichissement personnel.

Oublié aujourd’hui, Coudenhove-Kalergi fut autrefois très célèbre et écouté de nombreux Chefs d’État. Il fut même proposé à plusieurs reprises pour le Prix Nobel de la Paix. En 1939 il proposa un projet d’Europe dont les grandes lignes sont : une Europe où les peuples seraient à égalité ; suffisamment soudés pour pouvoir tenir tête aux trois autres blocs, USA, URSS et Chine ; allant au-delà de la simple union économique et monétaire ; avec une forte armée commune qui aurait facilité la mixité culturelle des peuples européens blancs, chrétiens de culture gréco-romaine ; garantissant l’indépendance et l’intégrité de tous les États associés (Europe des Nations) ; développant une mystique européenne fondée sur : a) la culture classique européenne, b) la foi chrétienne, c) la conception de l’honneur des chevaliers médiévaux. « De même que dans tout être vivant le corps est façonné par l’âme, de même le corps de l’Europe ne naîtra que sous l’impulsion d’un esprit européen ».

Et il insiste : l’Europe doit être une Europe majoritairement blanche, chrétienne : tendance sociale et humanitaire chrétienne, foi chrétienne portée par un esprit héroïque et chevaleresque, afin qu’elle reprenne son rôle à la tête de la planète (L’Europe de demain, Conférence du 17 mai 1939 à l’hôtel Ambassadeur à Paris). Cette définition d’une Europe des Nations, réunissant les peuples européens, blancs, de civilisation chrétienne, excluant les pays communistes et musulmans, a mis les gauches européennes en fureur. Elles ont haï Coudenhove-Kalergi jusqu’au moment ou elles ont trouvé le moyen de récupérer son projet pour une faire un plan totalement détourné de l’original, un plan effroyablement raciste que l’on attribue à tort à Kalergi. Elles l’ont même accusé de nazisme, alors qu’il était marié à une juive, détesté de Hitler, et qu’il a fui le régime hitlérien en fin d’année 1939 en se réfugiant aux États-Unis jusqu’à son retour en France en fin d’année 1945.

En 1966, au Xème Congrès paneuropéen à Vienne, il se déclare déçu par l’orientation prise par l’Europe naissante, la fonctionnarisation du Conseil de l’Europe et du Parlement européen, demande une politique étrangère commune afin de tenir tête aux États-Unis pour pouvoir arrêter d’être toujours à la remorque des États-Unis et de l’OTAN dont il demande la restructuration, et un renforcement de la coopération technologique intra-européenne afin de faire de l’Europe la première puissance économique du monde. Il meurt peu de temps après en 1972.

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Souvenons-nous que c’est l’époque de “l’Europe des Six” à laquelle les peuples étaient très favorables dans cette version proposée par Coudenhove-Kalergi qui avait eu pour résultat la prospérité inégalée des Trente Glorieuses (1946-1976) et la paix, ou l’absence de guerres, dans cette Europe non-communiste (pas d’Europe de l’Est) et non-musulmane (pas de Macédoine, Albanie, Croatie, Kosovo). De plus, Coudenhove-Kalergi avoue douter de la volonté des dirigeants de l’époque d’aller vers l’Europe des Nations.

À peine Kalergi mort (en 1972), la Commission Européenne entreprit, dès 1973, d’élargir l’Europe des Six (qui fonctionnait si bien), en recrutant de nouveaux pays, jusqu’à arriver aux 28 d’aujourd’hui, et cette Europe qui fonctionne si mal qu’une majorité d’Européens n’en veut plus.

C’est peu après, en 1978, six ans après la mort de Coudenhove-Kalergi, qu’apparaît le Plan Kalergi que certains tentent de faire remonter à 1922, alors que le premier livre de Coudenhove-Kalergi, Paneuropa a été publié en 1923. On lui attribue le Plan Kalergi. Il porte son nom, mais il est permis de penser qu’il s’agit d’un faux et que les auteurs ont cherché à utiliser sa notoriété pour dissimuler leur projet néo-nazi. En effet, les rédacteurs du Plan s’appuient surtout sur son livre Praktisher idealismus, mais quand on a lu ce livre, on s’aperçoit vite que l’on ne retrouve dans le Plan Kalergi que des bouts de citations tronquées, sorties de leur contexte, sans références directes et qu’il va totalement à l’encontre de la philosophie du père de l’Europe des Nations.

En effet, selon le prétendu Plan Kalergi, l’Europe ne serait que le premier pas vers un gouvernement mondial sous autorité américaine, exactement l’inverse de ce que voulait Kalergi . Pour réaliser ce “Nouvel Ordre Mondial”, il faut une super-élite et des peuples-bétails soumis par la pauvreté et disciplinés par la contrainte (du pur Orwell) encore exactement le contraire de ce qu’a enseigné toute sa vie Kalergi qui vantait le modèle démocratique et économique suisse. Et c’est là, dans ce projet de nouvel ordre mondial, que l’on retrouve le modèle d’Europe que veut construire avec obstination Angela Merkel, avec le renfort de la Commission européenne présidée par Juncker, et la collaboration de Hollande.

Les dernières moutures du Plan Kalergi en font carrément le Plan du Nouvel Ordre Mondial qui veut la disparition des races jusqu’à effacer le mot même (c’est fait, au moins dans le Larousse !) pour arriver à une espèce unique, monochrome, métisse et abâtardie, dominée par la super-élite, celle-ci étant réduite aux socialistes et aux juifs qui auraient seuls la nationalité de la Nouvelle République Mondiale, le peuple restant apatride pour qu’il oublie à la longue  le mot « Patrie ».

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Dans le Plan Kalergi dernière version, il faudrait, pour soumettre les peuples européens, un binôme germano-français qui imposerait sa volonté aux autres pays. Il faudrait remplacer les peuples originaires du Vieux Continent par une sorte de sous-humanité issue de mélanges raciaux en croisant les peuples européens avec des Asiatiques, des Arabes et des Noirs, pour créer un troupeau multiethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour l’élite au pouvoir. « L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Égyptiens, remplacera la multiplicité des peuples ». Et encore : « abolir le droit à l’autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes et l’immigration allogène de masse <…> favoriser les sexualités déviantes, homosexualité (mariage pour tous) et pédophilie (via les enseignants), et détruire la famille traditionnelle (nuire à la Manif Pour Tous) <…> prendre le contrôle et acheter la docilité de la presse en rachetant les titres (Bergé, Niel, Pigasse, etc.) et en les subventionnant <…> jouer sur la fibre humanitaire pour augmenter les impôts, ruiner les classes conservatrices et justifier les restrictions des libertés (Loi sur le Renseignement) », etc.

Aujourd’hui on pourrait ajouter « jouer sur la fibre écolo pour augmenter les impôts » !

Ne cherchez pas d’autres explications aux déclarations de JC Juncker, nouveau président de la Commission européenne qui se dit « déçu » de ce que les peuples refusent d’accueillir et de financer le torrent des “réfugiés”…

« Il ne faut pas se laisser aveugler par la pensée populiste <…> C’est notre devoir de les accueillir » 

(Hollande) ;

« Nous avons le défi du métissage à relever et nous le relèverons » 

(Sarkozy) ;

« Nous pouvons accueillir 800 000 réfugiés dès cette année » 

(Merkel) ;

« Je suis déterminé à trouver des solutions collectives pour relever cet immense défi » 

(Valls) ;

« J’ai décidé d’en accueillir 30.000 de plus » 

(Hollande) ;

« La véritable question est de savoir si oui ou non nous sommes prêts à continuer à assurer notre tradition d’accueil et en particulier vis-à-vis de la communauté musulmane. Moi, naturellement, je réponds oui à cette question » 

(Juppé) ;

« Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (interraciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale » 

(G.Brock Chisholm, ex-directeur de lOMS, Islamic Organization for Medical Sciences).

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Maintenant, qui a eu l’idée de ce Plan Kalergi dont Covenhove-Kalergi n’est pas l’auteur et qu’il aurait rejeté avec horreur ? Au départ, il y a Sigrid Hunke, militante néo-nazie, ex-maîtresse de Himmler et amie du grand mufti nazi de Jéusalem. Elle épousa Walter Hallstein. Le professeur de droit W. Hallstein était membre de plusieurs organisations nazies du Reich, mais pas membre du parti nazi, ce qui lui permit de s’en tirer sans trop de dommages après la guerre. Il deviendra le premier président de la Commission européenne en 1958. En 1960, Sigrid Hunke-Hallstein écrit un livre Le soleil d’Allah illumine l’Occident qui sert de référence à tous les gogos comme Jack Lang qui soutiennent que l’Europe doit énormément à la civilisation arabo-musulmane. Dans ce livre, elle suggère de réintroduire en Europe un maximum d’Arabes musulmans pour métisser les peuples européens.

Ce n’est pas encore le Plan Kalergi, mais on y vient.

Sigrid et son mari font dans les milieux européens une intense promotion des idées qui deviendront plus tard le Plan Kalergi que l’on trouve déjà esquissé dans le Plan Hallstein pour une Europe Fédérale (1965) que Kalergi, partisan de l’Europe des Nations chrétiennes, dénonça, et qui fit bondir Charles De Gaulle. Les politiciens socialistes européens acquis au Plan attendirent la mort de Kalergi en 1972 pour recruter parmi l’élite européenne, récupérant en la noyautant la Société européenne Coudenhove-Kalergi et créant en 1978 le fameux Prix Coudenhove-Kalergi que Raymond Barre a été le premier à recevoir, puis des gens comme Helmut Kohl l’ami de Mitterrand, Ronald Reagan, et finalement Angel Merkel, van Rompuy et Jean-Claude Juncker. Ils ont fait appel aux compétences rédactionnelles de plusieurs énarques pour finaliser les modalités d’action.

François Hollande est un farouche partisan du Plan, ainsi que Valls et Macron qui ont reçu à Bilderberg instruction de le soutenir. Si Sarkozy le soutien aussi, c’est que le club Le Siècle dont il est membre, ainsi que beaucoup de personnes de son entourage à l’UMP-LR, l’ont convaincu que c’était son intérêt.

Il est dit sur de nombreux sites Internet tellement semblables les uns aux autres (même celui de Dieudonné !) que l’on dirait que les copiés-collés ont fonctionné à tours de bras, que le Plan Kalergi visant au déclin de l’Europe par le remplacement et par le métissage de sa population, a été préparé par des think-tanks (réservoirs de réflexion) basés aux États-Unis. C’est complètement faux, une simple manœuvre de dissimulation, c’est une coproduction de l’élite franco-germanique séduite à l’idée de conserver héréditairement le pouvoir par la soumission à la manière musulmane des peuples d’Europe, masse métissée de travailleurs**.

Le plan américain est plutôt de profiter des effets secondaires de ce plan, car il aide, par la migration massive de populations arabes qu’il provoque vers l’Europe, à déstabiliser les États du monde arabo-musulman, déstabilisation sur laquelle les États-Unis comptent pour prendre le contrôle direct ou indirect, via l’Iran et l’Arabie Saoudite, de ses richesses énergétiques.

Les Américains sont peu favorables à un métissage forcé des peuples européens qui, pensent-ils affaiblira leur capacité productive et d’échanges économiques, échanges dont ils espèrent être les gagnants. De plus, comme ils ne sont pas certains du succès du Plan Kalergi porté par Merkel-Hollande, dont ils sentent qu’il est quelque peu néo-nazi et pourrait provoquer une révolte des peuples, ils préfèrent en cas d’échec les laisser en porter la responsabilité.

* François Hollande est young leader de la French American Foundation.
** lire 2084 de Boualem Sansal

L’Imprécateur




Biden président ? La réaction de François Asselineau

[Source : Union Populaire Républicaine]




La prise de contrôle communiste du Canada

[Source : Guy Boulianne]

Message alarmant de Andrew Rouchotas : La prise de contrôle communiste de notre pays

[Guy Boulianne :]
Voici un article très important de Andrew Rouchotas. Cet article est à prendre en considération puisqu’il rejoint parfaitement mes plus récentes publications concernant les relations Chine/Canada/États-Unis. Andrew Rouchotas est le fondateur et PDG de Cartika Inc., un fournisseur de solutions cloud et de services gérés, ainsi que le fondateur de CH1.ca.

[Par Andrew Rouchotas]  J’ai retardé la rédaction de cet article depuis un certain temps. Je ne m’excuse pas pour la longueur de ce post. Je pourrais littéralement écrire un livre sur ce sujet. Je l’ai donc filtré autant que possible sans sacrifier le strict minimum dont vous auriez besoin pour comprendre la situation dans laquelle nous, Canadiens, nous trouvons aujourd’hui. Vous pouvez prendre le temps de le lire ou vous pouvez l’ignorer. C’est mon travail, apparemment, d’être le seul à publier ceci. C’est à vous de décider ce que vous voulez faire, le cas échéant.

Cependant, je ne peux pas rester les bras croisés et regarder ce qui se passe actuellement dans notre pays. C’est le CANADA. Comment pourrais-je regarder ma fille dans les yeux plus tard dans la vie sans savoir que j’ai fait tout mon possible pour lutter et arrêter cette absurdité.

Le Canada est attaqué. Vous devez vous en rendre compte maintenant. Nous avons été infiltrés aux plus hauts niveaux du gouvernement. Tout le monde qui vous parle à la télévision est payé par notre gouvernement infiltré et / ou corrompu. On vous dit ce qu’il faut penser et on vous dit ce qu’il faut croire et on vous dit comment agir — et vous obéissez.

Nortel était la société Internet la plus puissante au monde, gérant 70% du trafic Internet mondial. Ils étaient le joyau du monde de la technologie et ils étaient canadiens. À partir de 2004, Nortel a commencé à être infiltré par le gouvernement communiste chinois. En utilisant toute la propriété intellectuelle volée à Nortel, Huawei est né. Hauwei a procédé à une offre contre chaque opportunité de Nortel et, en utilisant sa propre technologie, en 2009, Nortel était en faillite. Le Canada était le chef de file mondial de la technologie. Maintenant, ces milliards de dollars et, finalement, des centaines de milliers d’employés hautement qualifiés et bien payés, ainsi que la technologie canadienne de pointe au monde, appartenaient maintenant à la Chine. [1]

Peu de temps après la faillite de Nortel, en 2010, le directeur du SCRS, IL Y A DIX ANS, dans un geste sans précédent, est venu sur CBC News et nous a averti que notre gouvernement était infiltré par des nations étrangères hostiles.

Du sommet, notre gouvernement a été complètement infiltré par le gouvernement communiste chinois. Ces hauts fonctionnaires sont soit directement complices des motivations de la Chine, soit sont des agents directs du gouvernement chinois et du Parti communiste.

Justin Trudeau a envoyé 100 millions de dollars en Chine. Sous couvert de « changement climatique » et de « santé des femmes ». Lorsque les États-Unis ont renoncé à leur adhésion à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Justin Trudeau s’est intensifié et a engagé les États-Unis à près d’un milliard de dollars. L’OMS est une organisation contrôlée par la Chine communiste. [2]

Trudeau a engagé notre contrat d’infrastructure et de réseau 5G avec Hauwei. Oui, le même Hauwei qui a infiltré et mis en faillite Nortel. Trudeau paie et récompense littéralement la Chine pour avoir volé la technologie canadienne, volé des milliards de dollars à notre économie, volé des centaines de milliers d’emplois bien rémunérés à notre pays. Il sous-marinage également d’autres entreprises technologiques canadiennes dotées de capacités 5G (par exemple Telus ou Rogers) et remet ces contrats et ces emplois ainsi que le développement technologique ultérieur, sur le dos des contribuables canadiens — à la Chine communiste.

Comme si cela ne suffisait pas, Trudeau nous éloigne de nos alliés. Nous sommes les seuls « pays à 5 yeux » (coopérative de partage de données de sécurité) à autoriser Hauwei à entrer dans notre pays et à permettre à la Chine communiste d’accéder à toutes nos données. [3]

En conséquence, cela a incité le président américain à menacer de doubler nos frontières avec l’armée américaine. Même si le président américain a renoncé à cette menace pour le moment, vous devez comprendre que le reste du monde est très conscient que le Canada tombe aux mains de la Chine communiste. Personne ne va nous aider si nous permettons que cela se produise. [4]

Tout le monde insiste sur le fait que malgré toute la science, malgré toute logique et raison, nous devons écouter les experts. Ok, mais, quels experts devrions-nous écouter ? Dr Theresa Tam ? Eh bien, comment se fait-il que les deux derniers experts qui ont occupé le rôle du Dr Tam au Canada, tous deux en désaccord avec elle ? [5]

Alors, quel « expert » devons-nous écouter ? Le Dr Tam est-elle plus qualifié que ses deux précédents prédécesseurs ? La réponse est bien sûr non. Quiconque a suivi mes messages, depuis le tout premier jour des verrouillages COVID, comprend que j’ai parlé haut et fort contre ces mesures. La science ne le soutient tout simplement pas. Ce sont des actions à motivation politique. Ces politiques de santé publique sont des politiques de santé publique communiste en Chine. Ces politiques de santé publique visent à contrôler une population et à permettre à un gouvernement tyrannique de prendre le contrôle de l’économie. Ce ne sont PAS des politiques canadiennes de santé publique.

Un candidat à la direction du Parti conservateur canadien a exprimé publiquement ces préoccupations au sujet du Dr Tam. Pour ses efforts, il a été qualifié de « raciste » et a failli être expulsé du parti. Bien qu’il ait refusé de s’excuser, il a ensuite renoncé à sa position et a indiqué qu’il ne remettait pas en question la loyauté du Dr Tam envers le Canada. [6]

Eh bien, je ne suis pas Derek Sloan. Je vais le dire fort. Le Dr Tam est un traître et le Dr Tam travaille directement pour la Chine communiste. Je ne dis pas cela parce qu’elle est d’origine asiatique. Je dis cela, parce qu’elle est une traître. J’aime et je respecte tous les Canadiens d’origine chinoise fidèles au Canada. Je suis moi-même issu d’une famille d’immigrants hors du bateau. Je suis fidèle au Canada. Si quelqu’un de mon pays d’origine était un haut fonctionnaire du gouvernement et agissait comme un traître, je l’appellerais aussi un traître. Je ne serais pas raciste contre moi-même pour le dire. Tous les Canadiens chinois que je connais sont des gens extraordinaires. Ce sont mes amis et mes voisins. Je ne connais pas le Dr Tam et je ne veux pas la connaître. Elle doit démissionner immédiatement.

https://youtu.be/VRTw77Ioy-Y
Theresa Tam plaide pour une rafle de ceux qui refusent les vaccinations. Dans un documentaire de 2010, l’ONF détaille les plans du gouvernement du Canada pour une future épidémie et comment il prendra soin de ceux qui refusent la vaccination contre le virus… en les rassemblant et en les mettant dans des centres de détention.

De la même manière, Chrystia Freeland est aussi manifestement une partisane de la politique et des politiques communistes. Elle a été choisie et placée comme vice-première ministre au Canada, et lorsque notre ministre des Finances actuel a démissionné en raison de la corruption au sein de notre gouvernement fédéral, elle a également été nommée nouvelle ministre des Finances du Canada. Elle est sur le DOSSIER PUBLIC, déclarant que l’économie ne peut pas être reprise, à moins qu’elle ne soit reprise dans le cadre de son idéologie environnementaliste radicale. Suis-je le seul à demander ce que les verrouillages COVID de santé publique ont à voir avec son idéologie environnementale ? Suis-je le seul à me demander pourquoi les petites entreprises et le secteur privé doivent être détruits à cause du COVID et des politiques de santé publique, mais ne peuvent pas être repris tant que son économie socialiste flagrante, à peine voilée sous une idéologie environnementaliste radicale, ne sera pas mise en œuvre ?

Chrystia Freeland est l’auteur en 2012 d’un livre intitulé « Plutocrats: The Rise of the New Global Super-Rich and the Fall of Everyone Else » (Ploutocrates: la montée des nouveaux super-riches mondiaux et la chute de tous les autres). [7]

Il est ironique que ses politiques détruisent directement « tout le monde ». Les propriétaires de petites entreprises, le secteur privé, etc. Les SEULS qui prospèrent sous les politiques de Dr Tam et Chrystia Freeland sont les nouveaux « Global Super-Rich ». Si vous lisiez le livre de Chrystia Freeland, vous comprendriez. C’est de la pure rhétorique marxiste. Prolétariat vs Bourgeois. Elle est une communiste ouverte et, selon toute vraisemblance, soit directement un agent de la Chine communiste, soit volontairement complice des politiques de la Chine communiste.

Nous voyons l’impossible se produire au Canada. Nous pratiquons la politique identitaire aux plus hauts niveaux de nos gouvernements. On nous dit que nous sommes « systématiquement racistes », justifiant ainsi le démantèlement de tout notre système. On nous dit que certains d’entre nous ont un « privilège » inhérent. Nous sommes divisés en groupes et ces groupes sont retournés les uns contre les autres. Nous avons été enfermés dans nos maisons, nous avons été forcés de porter des masques, nous avons été forcés de masquer nos enfants. Notre secteur des petites entreprises est en train d’être anéanti et les barrières à l’entrée pour démarrer une nouvelle entreprise ont été massivement élargies. Un pourcentage important de la population a été transféré à l’aide gouvernementale permanente. Le chômage monte en flèche, la dette monte en flèche et notre taux de mortalité monte en flèche (et non à cause du COVID). Les seules personnes qui en profitent sont les fonctionnaires de notre gouvernement et les plus grandes entreprises (qui réalisent toutes des profits records) — et bien sûr — le gouvernement communiste chinois. On nous dit que c’est une question d’« équité » et de « justice », mais, comme ces pratiques malveillantes l’ont toujours fait, partout où elles ont été mises en œuvre, la richesse sort toujours des mains des citoyens et revient entre les mains de quelques-uns. Personne ne se bat contre cela au Canada. De nos plus hauts responsables politiques à nos médias, ils battent tous le même tambour.

Pour le bien de Pete, Chrystia Freeland déclare ouvertement son intention de couler le segment énergétique canadien et refuse de rouvrir notre économie des verrouillages COVID, jusqu’à ce que nous mettions en œuvre sa stratégie environnementaliste. Et qui, selon vous, fournira toute cette énergie et cette infrastructure pour sa nouvelle économie « verte ». La Chine communiste bien sûr. [8]

Nous observons la prise de contrôle communiste de notre pays — et ce n’est pas subtil. Le monde nous regarde. Tout le monde sait très bien ce qui se passe au Canada.

Le chercheur australien Clive Hamilton a récemment publié un livre intitulé « Hidden Hand », qui raconte comment Pékin utilise les élites dans les pays cibles pour étendre son influence et son contrôle. Il dit, et je cite : « La promotion de Beijing des candidats aux élections qu’elle contrôle les plus avancés au Canada ». J’ai cherché LA REVUE LA PLUS CRITIQUE du livre de Clive Hamilton que j’ai pu trouver. Vous ne pouvez tout simplement rien accepter de moins que ce qui est conclu dans cet examen.

Du directeur des avertissements publics du SCRS il y a 10 ans, aux travaux de renommée mondiale de Clive Hamilton publiés aujourd’hui, à tout ce que vous regardez autour de vous.

Peut-être devriez-vous vous demander pourquoi les médias ne font rien d’autre que de parler des taux d’infection et des politiques identitaires qui divisent. Ils ne peuvent même plus discuter des taux de mortalité, car personne ne meurt — du moins pas de COVID. Donc, ils ont changé le récit pour « arrêter la propagation » pour vous garder effrayé et conforme. Pourquoi ne connaissez-vous pas l’infiltration massive de la Chine communiste dans notre gouvernement, alors que le reste du monde en est bien conscient et déclare que c’est important ?

Le gouvernement communiste chinois possède soit par l’intermédiaire de filiales, soit par influence, d’énormes portions de nos médias. Les mêmes médias qui sont financés par nos impôts. Les mêmes médias qui conduisent des politiques de santé publique horribles, vous ont masqué vos enfants et nous font jouer les idéologies de la politique identitaire marxiste et communiste les unes contre les autres. [9]

Demandez-vous comment le Canada est arrivé ici, et si rapidement. Demandez-vous pourquoi le Canada met en œuvre des politiques de santé publique communistes chinoises. Demandez-vous pourquoi le Canada sous-traite toute notre technologie et l’infrastructure et les déploiements du réseau 5G à venir vers Hauwei et la Chine communiste. La technologie 5G est merveilleuse et est désespérément nécessaire dans un pays aussi massif et éloigné que le Canada. Vous pensiez que la vente de données par Facebook aux annonceurs était inacceptable ? Que pensez-vous que la Chine fera de TOUTES vos données ? Demandez-vous comment le Canada est devenu une dette de 1,2 billion de dollars — détenue par, vous l’avez deviné, la Chine communiste. Demandez-vous pourquoi une part importante de cette dette de 1,2 T $ a été envoyée à la Chine sous couvert de « changement climatique » ou de « santé des femmes », et maintenant nous devons aussi à la Chine cet argent, plus les intérêts, au sein de notre dette. [10]

Maintenant, demandez-vous ce qui est arrivé à Hong Kong ? La première chose que le gouvernement communiste de Chine a faite a été d’infiltrer Hong Kong au plus haut niveau. Vous vous souvenez de leur rhétorique ? « 2 systèmes, 1 pays ». [11]

Ils ont ensuite commercialisé, via leurs médias de masse contrôlés par le gouvernement, les justifications de la présence de leur armée sur le sol de Hong Kong. Ironiquement, Justin Trudeau, en vertu de la FIPA (Foreign Investment Protection Act), signée à l’origine par le gouvernement conservateur Harper, a été ratifiée en 2019 par Justin Trudeau. L’accord FIPA ratifié a approuvé le gouvernement communiste chinois à déployer des forces de sécurité sur le sol canadien sans exiger la “connaissance ou le consentement” des CANADIENS. La « validation » vise à protéger les actifs appartenant au gouvernement chinois. Ce qui veut dire, leurs actifs Hauwei, au Canada. Donc, effectivement, nous avons permis à Hauwei de voler la technologie Nortel, de les mettre en faillite, de nous revendre cette technologie et maintenant de protéger ces actifs sur notre propre sol avec leurs militaires. [12]

Rappelez-vous tous les guerriers courageux et puissants et vertueux signalant Facebook ? Rappelez-vous que tout le monde publie des mèmes « Hong Kong gratuits » partout sur Facebook ? Eh bien, Hong Kong a effectivement disparu. Tous les dirigeants de Hong Kong Free Press qui ne voulaient pas se plier, sont partis. Ils ont disparu. Tous les organisateurs des manifestations sont partis. Ils ont disparu. C’est ce qui se passe au Canada, MAINTENANT. Nous serons le prochain État communiste de Chine, pas différent de Hong Kong — et tout le monde le sait, sauf nous.

La Chine communiste ne tolère pas la liberté. Et, bien que les communistes pénètrent toujours avec un verbiage comme « privilège » ou « racisme systémique » ou « diversité et inclusion », vous devez comprendre que ce ne sont que des armes pour semer la division, la peur et la haine. Une fois qu’ils prennent le contrôle, la première chose qu’ils font est d’emprisonner ou de tuer les groupes et les ethnies qu’ils n’aiment pas. À l’heure actuelle, en Chine, environ 1 million d’Uygars musulmans ont été emprisonnés dans des camps d’internement et sont utilisés comme esclaves. Je suis prêt à parier qu’une fois qu’ils auront mis en œuvre de telles atrocités au Canada, toutes les victimes professionnelles, les idiots de la politique identitaire qui courent dans notre pays, qui font des ravages aujourd’hui, se rendront soudainement compte qu’ils n’étaient pas aussi opprimés qu’ils le pensaient. Je parie qu’ils donneraient n’importe quoi pour retrouver leurs anciennes vies et leurs anciennes libertés.

Maintenant, demandez-vous, malgré toute rime ou raison, malgré toute la science, malgré tout ce que le Canada représente, pourquoi prenez-vous des ordres de personnes et d’organisations qui sont détenues et contrôlées par la Chine communiste ? Ils n’ont aucun pouvoir réel aujourd’hui. Même avec des médias infiltrés, même avec des hauts fonctionnaires infiltrés. Ils n’ont aucun pouvoir aujourd’hui. C’est pourquoi les médias ne cessent de nous pomper la peur et la division 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Faites exactement le contraire de tout ce que les médias vous disent de faire. Exigez des élections et éliminez ces traîtres infiltrés de notre gouvernement. Insistez sur le fait que le nouveau gouvernement tient tête à la Chine. Insistons pour que le nouveau gouvernement fasse preuve de loyauté envers nos alliés et se rallie à nos alliés. Veiller à ce que notre nouveau gouvernement expulse Hauwei du Canada et s’efforce de renforcer Telus et Rogers pour leur faire concurrence. Veiller à ce que le nouveau gouvernement mette fin à l’accord FIPA que nous avons signé avec la Chine. Ou pensez-vous honnêtement que les États-Unis nous protégeront une fois que la Chine aura des soldats partout dans notre pays et une fois qu’ils nous auront occupés et détruits comme ils l’ont fait à Hong Kong?

Enfin — Insistez pour que le nouveau gouvernement cesse de financer nos médias avec nos impôts. Insistez sur le fait que notre gouvernement finance les médias canadiens indépendants, qui fonctionneront encore une fois comme la « presse libre » et dilueront la propagande flagrante que la Chine communiste vous nourrit. Pourquoi nos médias financés par les impôts passent-ils autant de temps à nous retourner contre nos alliés américains ? Vous ne vous êtes jamais posé cette question ? pas même une fois ? Pourquoi nos médias poussent-ils autant la politique identitaire ? Pourquoi nos médias poussent-ils si fortement les politiques de santé publique communistes chinoises ? Pourquoi poussent-ils autant Hauwei ? Le gouvernement communiste chinois a infiltré de nombreux pays, chaque pays est confronté à cela et se bat à sa manière et à des degrés divers. Personne ne vient nous aider. Nous sommes seuls. D’autres pays ripostent. Le Canada ne l’est pas.

Enlevez vos masques. Vous avez l’air ridicule. Arrêtez de vivre votre vie dans la peur, car bientôt, vous vivrez votre vie enchaînée. De nombreux héros courageux ont tout sacrifié pour vous permettre, à vous et à vos enfants, de vivre librement.

https://youtu.be/3BvbmWFGst4
Laura Lynn Tyler Thompson en entrevue avec Andrew Rouchotas (à partir de 12:45 minutes).

CORRECTION — un commentaire dans ce fil est correct. Le FIPA a été signé à l’origine par Stephen Harper et le gouvernement conservateur en 2012. La présomption dans ce billet est que le FIPA a été ratifié en 2019 par le gouvernement Trudeau pour être plus expansif et offrir des privilèges à la Chine, qui n’existaient pas auparavant.

INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES :
  • Brad Johnson : China seems to have infiltrated Canada’s highest intelligence agency – and it’s not the first time. American Military News, May 13, 2020. — Un événement majeur a eu lieu en septembre 2019 qui a disparu de tout avis public et la profonde signification laissée sous-estimée. Un espion chinois potentiel a infiltré les plus hauts niveaux du service de renseignement canadien qui fait partie de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).
  • Chris Kutz : Building a Western Union. Berkeley News, November 18, 2016. — Pourquoi tous les violents révolutionnaires ANTIFA-BLM sortent de Seattle, Portland et Los Angeles? Parce que Washington, l’Oregon et la Californie sont tous devenus des États communistes grâce à la triche universelle par courrier et ont formé un pacte des États occidentaux. De nombreux experts pensent que la Chine communiste a l’intention d’envahir et d’occuper ces trois États et de se séparer de l’union. C’est ce qu’était la zone d’occupation CHAZ / CHOP. Nous pensons qu’ils ont raison. Ils sont déjà à mi-chemin. Les communistes contrôlent déjà Hollywood et la Silicon Valley, Bill Gates et le propre État de Washington de l’OMS, ANTIFA est basé dans l’Oregon et les communistes sont au bord du Pacifique au moment même où nous parlons.
  • Dave Hodges : More Reports Confirm that the CHICOMS Are Amassing Thousands of Troops on the Canadian-US Border. The Common Sense Show, August 31, 2020. — Dave Hodges a récemment interviewé Sarah Westall à l’émission télévisée, The Common Sense Show. Par coïncidence, un jour après notre entrevue, Sarah a rapporté avec Kevin Annett que le Canada a maintenant des troupes chinoises cachées dans les réserves autochtones du Canada. Les troupes du CHICOM prennent et protègent les ressources des réserves sous l’autorité de Trudeau et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Les troupes du CHICOM se déplacent maintenant librement au Canada sous le couvert des verrouillages COVID-19 ainsi que de la législation du gouvernement canadien qui permet aux CHICOM d’utiliser leur armée pour « protéger » les actifs de CHICOM au Canada. L’histoire de CHICOMS étant situé à la limite de notre frontière norvégienne avec le Canada se développe depuis que Sarah Westall a publié son entrevue avec Kevin Annett. La seule différence dans le rapport est le nombre de soldats du CHICOM qui attendent. Le 30 août 2020, Paul Martin a contacté Dave Hodges sur le même sujet. Sa source, bien connue de lui, affirme que 6 000 soldats du CHICOM sont prêts à attaquer depuis le nord. Vous pouvez écouter l’entrevue de Paul Martin en cliquant sur ce lien.
  • Tom Blackwell : Academic who blew the whistle on China’s influence on Australia says Canada is in even worse trouble. National Post, April 15, 2019. — « Quand je regarde l’influence subtile mais intense de la Chine sur les institutions canadiennes … cela m’inquiète mortellement », dit Clive Hamilton.
  • Anthony Murdoch : Canada’s top doctor leading pandemic response also works for China-controlled World Health Organization. LifeSiteNews, April 17, 2020. — La Dre Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique au Canada, fait également partie du comité de surveillance de l’OMS pour les urgences sanitaires. Elle dirige la riposte à la pandémie du Canada et travaille également pour l’Organisation mondiale de la santé sous contrôle chinois.
  • The GenX Report : Theresa Tam plaide pour une rafle de ceux qui refusent les vaccinations. Youtube, 28 avril 2020. — Dans un documentaire de 2010, l’Office national du film du Canada détaille les plans du gouvernement du Canada pour une future épidémie et comment il prendra soin de ceux qui refusent la vaccination contre le virus… en les rassemblant et en les mettant dans des centres de détention.
  • The David Knight Show : Canadian Whistleblower: Enslavement Begins in 2 Months. Banned.Video, October 19, 2020. — Lanceur d’alerte du Parti libéral du Canada (LPC) du Comité de planification stratégique du parti, qui est sous le contrôle du Bureau du Premier ministre du Canada (PMO) : « Plusieurs membres du comité se sont également demandé ce qui arriverait aux individus s’ils refusaient de participer au monde Programme de réinitialisation de la dette, ou HealthPass, ou calendrier de vaccination, et la réponse que nous avons obtenue était très troublante. Voici la feuille de route du prochain Lockdown 2.0 et le plan mondial d’asservissement ».
  • Jane George : Inuit org silent as feds review sale of Nunavut gold mine to Chinese company. Nunatsiaq News, 13 August 2020. — Une société minière aurifère chinoise souhaite racheter TMAC Resources Inc., propriétaire du champ aurifère Hope Bay, situé à 150 km au sud-ouest de Cambridge Bay. Un examen par Investissement Canada est en cours.

♦ The Real Truth Network (Alternative Health and Healing).

NOTES :
  1. Sam Cooper : Inside the Chinese military attack on Nortel. Global News, August 25, 2020.
  2. Rachel Aiello : ‘A global challenge’: PM Trudeau commits $850 million to global fight against COVID-19. CTV News, May 4, 2020.
  3. Robert Fife, Alexandra Posadzki, Paul Waldie, Adrian Morrow : Canada is now the only Five Eyes member to not ban or restrict use of Huawei 5G equipment. The Globe and Mail, July 14, 2020.
  4. Mercedes Stephenson, James Armstrong & Amanda Connolly : Trump looking to put troops near Canadian border amid coronavirus fears. Global News, March 26, 2020.
  5. Cormac Macsweeney : Health experts call for shift in COVID strategy, say current track is ‘a fool’s errand’. 660 News, July 9, 2020.
  6. Amanda Connolly : Ontario Tory MPs pressed Sloan to apologize for questioning top doctor’s loyalties. Instead, he defended himself. Global News, April 29, 2020.
  7. Chrystia Freeland : « Plutocrats: The Rise of the New Global Super-Rich and the Fall of Everyone Else ». The Penguin Press, 2012.
  8. Kait Bolongaro : Justin Trudeau Plots Canada’s Sharpest Turn Left in Economic Policy in Decades. Bloomberg, 26 août 2020.
  9. Terry Glavin : Canada’s media is in thrall to China. Maclean’s, May 18, 2018.
  10. Vipal Monga : China’s Move to Buy Arctic Gold Mine Draws Fire in Canada. The Wall Street Journal, July 26, 2020.
  11. Felix Tam, Clare Jim : ‘One country, two systems’ can continue beyond 2047: Hong Kong leader. Reuters, January 16, 2020.
  12. Guy Boulianne : Révélations Choc — Le Parti communiste chinois déploie les troupes de l’Armée populaire de libération (APL) en Colombie-Britannique. Publié le 16 octobre 2020.



Covid : le crime était presque parfait…

[Source : La MédiaZOne]

Comme nous l’avons révélé dans notre article « Tyrannie au Canada », ce plan machiavélique mis en application dans le bloc OTAN, concocté par les cartels bancaires, les grands groupes financiers et le lobby pharmaceutique et imposé aux gouvernements occidentaux qui en assurent la mise en oeuvre, a des objectifs financiers et politiques. Le Covid sert juste de couverture à cette opération criminelle.

Pour mettre un terme à cette fausse pandémie, la destitution de Macron est le seul remède…

Soyons clairs. Cette fausse pandémie concerne essentiellement les pays de l’OTAN, et accessoirement les pays sous influence occidentale. En Russie, en Chine, en Inde et ailleurs dans le monde, les peuples sont passés à autre chose car leurs gouvernements n’utilisent pas le Covid comme arme de manipulation de l’opinion publique.

Comme nous l’avons révélé dans notre article « Tyrannie au Canada« , ce plan machiavélique mis en application dans le bloc OTAN, concocté par les cartels bancaires, les grands groupes financiers et le lobby pharmaceutique et imposé aux gouvernements occidentaux qui en assurent la mise en oeuvre, a des objectifs financiers et politiques. Le Covid sert juste de couverture à cette opération criminelle.

Macron est une des marionnettes qui ne fait qu’obéir aux ordres de ses maîtres : le groupe Bilderberg, la Banque Mondiale, le FMI, Bill Gates et à toute l’équipe de malfaiteurs qui a conçu le plan.

Voilà pourquoi, sur la base de tests bidons, de chiffres truqués ne correspondant à aucune réalité médicale et sanitaire, notre Président continue à jouer la comédie, à mentir aux Français, jouant sur la peur pour parvenir à imposer un nouveau confinement strict qui va avoir des conséquences dramatiques sur le plan social et économique.

Si on voulait détruire le pays on ne procéderait pas autrement. Mais pour retarder le plus possible la chute de ce pouvoir corrompu et criminel, il faut aveugler le peuple pour conjurer la destitution et le procès de Macron et de son gouvernement complice.

On voit l’ampleur du danger qui pèse sur l’Élysée si le peuple réagit et décide de mettre un terme à cette imposture.

Si cette salutaire prise de conscience, rendue possible par la fin de l’épidémie, avait lieu, dès lors Macron s’exposerait à être non seulement destitué, mais aussi et surtout traduit en justice pour haute trahison. Car, il est bon de le rappeler, en cas de haute trahison, l’immunité du président de la République peut se trouver constitutionnellement levée. Dans la foulée, les nombreux complices de Macron entreraient à leur tour dans le collimateur de la justice. Un séisme politique cyclopéen, dont une bonne partie des collaborateurs du Système qui règne sur la France pourraient bien sortir broyés.

Or cette prise de conscience, tellement périlleuse pour lui, Macron le sait, ne peut venir que du peuple. Et seulement du peuple.

En effet, tous les dirigeants politiques, de Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon en passant par tous les autres, ont approuvé le confinement général. La plupart d’entre eux ont même souvent joué la surenchère. Les uns et les autres ne peuvent donc aujourd’hui dénoncer rétrospectivement le confinement général, puisqu’ils en ont été les complices plus ou moins empressés.

De même, la quasi-totalité des médias, en particulier les médias subventionnés, et les journalistes domestiqués, se sont comportés tout au long du confinement général en auxiliaires de la terreur.

Sans parler de nos brillants intellectuels français, qui sont tous tombés, pour ainsi dire sans exception, dans le panneau. Même les rares voix discordantes, de Michel Onfray à André Comte-Sponville, n’ont jamais sérieusement contesté la pertinence du confinement général qui paralysa le pays de mars à mai 2020.

Au contraire, tous y ont peu ou prou souscrit. Comme nous l’avons souligné à l’époque, ceux qui, dans les médias et le monde intellectuel, dénoncèrent le confinement général, se comptent sur les doigts d’une main.

Faillite de la classe politique et de la corporation journalistique, le scandale du confinement fut aussi la faillite des intellectuels français, qui se sont ainsi inscrits, il est vrai, dans une longue et lamentable tradition.

Résumons-nous

Au-delà du confinement général, du couvre-feu et toutes les mesures désastreuses attenantes, c’est l’imposture d’Emmanuel Macron qui doit enfin être comprise et dénoncée. Une imposture qui consista et consiste toujours à prendre prétexte d’une maladie dont le taux de létalité oscille selon les études entre 0,1 % et 0,6 %, pour justifier des mesures qui ruinent le pays tout entier, dans le but inavoué mais évident de mettre la France à genoux et d’appliquer enfin une politique qu’une majorité de Français rejettent absolument.

En d’autres termes, ce qu’il convient d’appeler « l’affaire du Covid-19 » est un vaste complot, une machination machiavélique à visées antidémocratiques et antirépublicaines fomenté par les plus hautes autorités de l’État, en particulier par le président de la République.

Or, répétons-le, la dénonciation de ce crime contre la France que furent le criminel confinement général en ses sidérantes métamorphoses, cette dénonciation, si elle doit venir, ne pourra venir que du peuple. Un peuple toujours tétanisé et rendu incapable de penser, à cette heure, par la peur de la maladie.

On comprend, à partir de là, que l’épidémie de Covid-19 ne soit pas près, du moins officiellement, de prendre fin

Mais aujourd’hui beaucoup ont compris que le seul moyen de lutter contre le Covid, c’est de destituer Macron et son gouvernement. Fin de ce régime d’imposteurs et fin miraculeuse de la « pandémie ».

Séance d’hypnose à 20h






Le gouvernement de Justin Trudeau a financé l’Armée populaire de libération chinoise pour développer le vaccin COVID-19 au Canada

[Source : Guy Boulianne]

[PHOTO: JOE CHAN, ARCHIVES REUTERS]

[RebelNews] — Justin Trudeau ferme le Parlement avec l’aide de ses amis néo-démocrates. Il organise ses conférences de presse du matin et la seule façon de lui poser une question est lors de ses brèves sorties publiques. RebelNews a profité de l’occasion pour interroger Trudeau sur son gouvernement qui a financé l’Armée populaire de libération (APL) en Chine. Ce n’est pas un embellissement — cela s’est produit réellement. Pour aggraver les choses, Trudeau espérait que les Canadiens pourraient être les cobayes de la recherche sur les vaccins dès septembre.

RebelNews a également posé des questions aux députés du PCC, qui étaient sidérés par l’idée que les contribuables financent en espèces l’Armée populaire de libération chinoise. C’était le projet parfait de Justin Trudeau : l’argent des contribuables canadiens finançant la recherche de l’armée chinoise sur un vaccin COVID-19 développé à partir d’une lignée cellulaire prélevée sur un bébé avorté.

RebelNews a récemment reçu plus de 800 pages de documents du ministère de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique sur leurs relations avec l’organisme de bienfaisance de la famille Trudeau.

La Fondation Pierre Elliott Trudeau — d’hier et d’aujourd’hui — regorge de médias grand public et de journalistes de la SRC, comme Chantal Hébert, John Stackhouse, Susan Delacourt, Marie Wilson, Denise Bombardier, Rosemary Thompson, Daniel Lessard et, bien sûr, le frère bien-aimé de l’Iran de Justin, Sacha Trudeau. C’est pourquoi il incombe aux médias indépendants, et non achetés et payés, de creuser dans la Fondation Trudeau.

Les résultats de ces 800 pages de documents et plus sont explosifs et incluent l’organisme de bienfaisance qui utilise l’argent du gouvernement pour payer les bénévoles de la Fondation Trudeau avec des cartes-cadeaux et d’autres dépenses inutiles. Il faudra plusieurs histoires pour tout déployer.

Sheila Gunn Reid nous montre les relations avec ce milliardaire chinois pour une exposition favorable à la Chine, en utilisant la Fondation Trudeau comme véhicule pour légitimer le régime autoritaire. Tout est ici dans les courriels internes des fondations et les communications avec le gouvernement libéral.

https://youtu.be/ZmLZSmPv8vk

Le Conseil national de recherches conclut un accord avec la Chine pour développer le vaccin COVID-19 au Canada

[The Globe and Mail, 12 mai 2020] — Des chercheurs canadiens se joignent à l’effort pour développer un vaccin chinois contre le coronavirus mortel, avec des plans pour commencer des essais humains au Canada d’une défense potentielle contre le COVID-19 qui utilise la technologie génétique du Conseil national de recherches. Les essais amèneront sur le sol canadien Ad5-nCoV, un vaccin candidat en cours de développement conjoint par une entreprise chinoise et l’armée du pays.

Soutenu par un État qui a recherché de toute urgence un vaccin d’importance mondiale, l’Ad5-nCoV a été parmi les nombreux candidats les plus rapidement développés dans le monde.

Le CNRC a maintenant conclu un accord pour soutenir son développement au Canada en fabriquant des doses qui peuvent être administrées dans des tests sur l’homme et pour une utilisation en cas de pandémie d’urgence. « Nous allons pouvoir l’évaluer en termes d’innocuité et d’efficacité au Canada, comme cela se fait déjà en Chine, et le Canada fera désormais partie de l’histoire des pionniers », a déclaré Roman Szumski, vice-président des sciences de la vie pour le NRC. Si les tests réussissent, le candidat vaccin pourrait demander l’approbation de Santé Canada pour une utilisation d’urgence dès cet automne, a déclaré M. Szumski. Il fait déjà l’objet d’essais humains simultanés de première et deuxième phases en Chine.

Ad5-nCoV est soutenu par CanSino Biologics Inc., basé à Tianjin, et par l’Institut de biotechnologie de l’Académie des sciences médicales militaires de l’Armée populaire de libération chinoise, situé dans le district de Haidian à Pékin. Il s’agit d’un vaccin recombinant, qui utilise un type de virus différent — dans ce cas un adénovirus — génétiquement modifié pour inclure une protéine de pointe qui est une signature du coronavirus mortel. L’adénovirus est lui-même modifié pour l’empêcher de se répliquer. Ce qu’il fait à la place, c’est d’introduire la protéine de pointe dans le corps humain, en préparant le système immunitaire à identifier et à détruire le coronavirus.

CanSino et le NRC ont une relation qui remonte au développement par la société chinoise d’un vaccin contre Ebola, dont l’utilisation a été approuvée par Pékin en 2017. Le vaccin Ebola et le candidat coronavirus peuvent être fabriqués avec HEK293, une lignée cellulaire dérivée d’un embryon avorté en 1973 mais modifiée par le NRC il y a près de dix ans pour devenir un producteur plus prolifique de vaccins. HEK293 sert d ‘« usine de cellules vivantes, dans laquelle nous pourrions produire n’importe quel nombre de types de produits vaccinaux », a déclaré Lakshmi Krishnan, directeur général du Centre de recherche thérapeutique en santé humaine du CNRC. La modification du conseil permet à HEK293 de se développer dans de grands réservoirs de fermentation remplis de liquide, ce qui permet la production en vrac d’un vaccin.

Le CNRC a signé une licence non exclusive permettant à CanSino d’utiliser la lignée cellulaire en 2014. Par conséquent, le conseil « ne prévoit aucun revenu » provenant de l’utilisation par CanSino de la technologie canadienne pour fabriquer Ad5-nCoV, a déclaré le porte-parole du CNRC, Vance Chow. Le CNRC a refusé de répondre aux questions sur les modalités de son contrat de licence avec CanSino.

Le gouvernement fédéral a accordé au CNRC 44 millions de dollars depuis la fin mars pour moderniser ses installations à Montréal afin qu’elles puissent être utilisées pour produire des vaccins sans danger pour l’homme en dehors des essais cliniques. Des essais cliniques sont peut-être déjà en cours au Canada. CanSino, qui a refusé les demandes d’entrevue, se prépare à demander l’autorisation de Santé Canada pour mener des essais sur l’homme en partenariat avec le Centre canadien de vaccination (CCfV) de l’Université Dalhousie. « La conception de notre étude, si elle est approuvée, est de passer aussi rapidement que possible en toute sécurité des études de phase 1 à phase 2 et de nous positionner pour passer aux études de phase 3 aussi rapidement que les données le permettent », a déclaré le directeur du CCfV Scott Halperin, le chercheur principal de l’étude.

La propriété intellectuelle « pour le vaccin est celle de CanSino, et où ils fournissent le vaccin serait leur décision », a-t-il dit. Mais la participation du CNRC à la fabrication de « vaccins au Canada faciliterait la garantie de l’approvisionnement au Canada ». En Chine, les études de première phase sur l’Ad5-nCoV ont débuté en mars, avec 108 personnes prenant trois doses différentes. Ceux qui ont reçu la dose la plus élevée ont signalé des fièvres et des douleurs articulaires, selon Science and Technology Daily, un média chinois géré par l’État. Dans une étape inhabituelle conçue pour accélérer le processus, CanSino a commencé les tests de deuxième phase début avril avec 500 personnes, même si la première phase ne sera pas terminée avant le 20 décembre. Une troisième phase pourrait impliquer un nombre beaucoup plus important de personnes, peut-être jusqu’à 10 000.

Au Canada, la programmation des différentes phases sera probablement accélérée de la même manière, bien que la première, qui est prévue pour Halifax, pourrait éliminer la dose la plus élevée.

La participation du Canada aux développeurs de vaccins chinois remonte à la signature en 2007 d’un accord de coopération scientifique et technologique. En 2011, les deux pays ont convenu de collaborer au développement de vaccins. Le directeur général de CanSino, Xuefeng Yu, a également passé de nombreuses années à étudier au Canada et à travailler comme cadre chez Sanofi Pasteur Inc.. Il était auparavant basé à Toronto.

Le Dr Krishnan a décrit l’Ad5-nCoV comme « l’un des plus avancés » parmi plus d’une centaine de candidats vaccins COVID-19 dans le monde, dont moins de 10 sont entrés dans des essais cliniques. Un vaccin qui réussit les tests est généralement approuvé pour une utilisation générale après la troisième phase des tests. « Avec le développement de vaccins, il n’y a jamais aucune garantie de succès. La sécurité est toujours une priorité », a déclaré M. Szumski. Mais, a-t-il dit, Ad5-nCoV « ressemble à un vaccin candidat qui mérite d’être développé plus avant ».

[Lire la suite sur guyboulianne.com]




Soros, Gates, Covid-19 : la répression commence ! Entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent

[Sources : Strategika et Médias-Presse.Info]

Pierre-Antoine Plaquevent, observateur attentif du rôle de différents milliardaires mondialistes dans l’évolution géopolitique des différents continents, fait le point pour MPI TV sur l’actualité de George Soros, Bill Gates et de leurs fondations respectives dans le contexte de l’épidémie de Covid-19 qui sert parfaitement la mise en place d’un système totalitaire mondial.

La répression commence en différents endroits de l’Europe…

Parmi les thématiques abordées :

  • L’enrichissement colossal des milliardaires globalistes pendant le confinement.
  • La répartition des domaines d’influence métapolitique au sein de la gouvernance mondiale entre milliardaires (Soros, Gates, Buffet etc).
  • L’affrontement global entre paléo-capitalisme (personnifié par Trump) et néo-capitalisme (Gates, Soros, Buffet, Bézos etc).
  • Les objectifs et les buts de l’opération Covid : vaccination de masse, reset économique, passage à la digitalisation totale, télé-travail généralisé, robotisation, salaire universel, décroissance démographique etc..
  • Répression des nationalistes-révolutionnaires à la faveur de l’état d’urgence sanitaire : Ryssen, Soral, Aube dorée etc..
  • Contours du paysage politique de l’avenir après répression des nationalistes-révolutionnaires : globalistes vs néo-conservateurs.
  • Récupération et utilisation du Covid par les différents léviathans nationaux.
  • France : l’état d’exception permanent depuis 2015. Utilisation des menaces terroriste et sanitaire pour soumettre la population majoritaire malgré la déréliction de l’État que génère la soumission de nos politiques à l’agenda globaliste. Le séparatisme vient d’abord d’en-haut. Passage du politique à la cybernétique et à l’ingénierie sociale pure.
  • République actuelle = GOG – Gouvernement d’Occupation Globaliste.
  • Cause réelle de la crise globale actuelle : USA de Trump se découplent de la gouvernance globale.
  • L’affrontement interne au sein de la gouvernance globale entre judéo-protestantisme pro-vie et globalitarisme trans / post-humaniste.
  • USA vs gouvernance globale + Chine.
  • USA : les démocrates accepteraient-ils de perdre les élections ? Le “Transition Integrity Project” démontre que non.
  • Gouvernance globale et guerre civile planétaire.
https://youtu.be/A2UxVfYVRWw



Le Dr Arruda, la Covid-19 et le développement durable

[Source : Archives.org]

Mini-documentaire qui expose l’infiltration au Québec des mondialistes non élus aux Nations Unies ainsi que leur agenda de contrôle totalitaire.

[Voir aussi :




La conspiration mondiale selon le Père Régimbal, Québécois décédé en 1988

[Source : Guy Boulianne]

[Extrait de La Fondation Père Jean-Paul Regimbal]

Le Père Jean-Paul Régimbal est un prêtre catholique né le 4 juillet 1931 à North Bay, en Ontario. Il était rattaché à la communauté des Pères Trinitaires (o.s.s.t.).

Prédicateur attirant les foules, il a fondé un centre de retraite à Granby et a contribué à la croissance du mouvement catholique charismatique. Il fut l’instigateur de quelques congrès qui ont attiré des milliers de personnes. Il est aussi un auteur du Québec connu pour ses opinions conspirationnistes, antimaçonniques et son opposition à la musique rock en général à cause des messages subliminaux qui se trouveraient d’après lui dissimulés dans la musique ou les paroles. Le Père Regimbal, parmi les grands leaders charismatiques québécois, fut un des premiers courageux à dénoncer le Plan et la Structure mondiale des Illuminati : les 33, les 13, les Bilderbergers, La franc-maçonnerie, les sectes satanistes, le projet du nouvel ordre mondial, etc. Benoît Domergue a repris une partie de sa thématique.

Au cours d’émissions télévisées le Père Regimbal dénonçait le pouvoir des illuminati, une secte gnostique manichéenne issue du 33e degré de la franc-maçonnerie qui veut faire émerger un nouvel ordre mondial sous le règne de Satan. Son influence s’exercerait sur le plan économique et bancaire, politico-militaire, socio-culturel et religieux aux États-Unis et en Europe. Le Père Regimbal dénonçait le capitalisme, le libre-échange illustré par les théories de Milton Friedman, les placements boursiers, et l’émission des « dollars fantômes » qui induit les crises économiques ; et annonce la mise en place de la puce sous-cutanée.

Le Père Jean-Paul Régimbal serait décédé dans des circonstances nébuleuses au Vatican où il aurait été rappelé pour désobéissance. Par conséquent, il ne se doutait peut-être pas encore à ce moment-là (n’oubliez pas qu’il était dans les années 80-90) que le Vatican était aussi un siège mondial des illuminés. Il est l’auteur de plusieurs livres dont « Rock’n roll. Viol de la conscience par les messages subliminaux », paru en 1983 (vous pouvez le télécharger ici).




À propos de Trump

[Source : Réseau International]

par Sylvain Laforest.

Le moment est venu de comprendre ce que fait Donald Trump et de
décrypter l’ambigüité de la manière dont il le fait. Le controversé
président a un agenda beaucoup plus clair qu’on ne peut l’imaginer sur
la politique étrangère et les affaires intérieures, mais puisqu’il doit
rester au pouvoir ou même en vie pour atteindre ses objectifs, sa
stratégie est si raffinée et subtile que presque personne ne la
comprend. Son objectif global est si ambitieux qu’il emprunte des
courbes elliptiques aléatoires pour aller du point A au point B, en
utilisant des méthodes qui déconcertent les gens sur leur compréhension
de l’homme. Cela inclut la plupart des journalistes indépendants et les
analystes alternatifs, comme les grands médias occidentaux propagateurs
de fausses nouvelles et une grande majorité de la population.

En ce qui concerne sa stratégie, je pourrais faire une analogie
rapide et précise avec les médicaments : la plupart des pilules sont
destinées à guérir un problème, mais elles sont accompagnées de toute
une série d’effets secondaires. Eh bien, Trump utilise ces médicaments
uniquement pour leurs effets secondaires, alors que la première
intention de la pilule est ce qui le maintient au pouvoir et en vie. À
la fin de cet article, vous verrez que cette métaphore s’applique à
presque toutes les décisions, actions ou déclarations qu’il a faites. À
partir du moment où vous comprendrez Trump, vous serez en mesure
d’apprécier l’extraordinaire mandat présidentiel qu’il accomplit, comme
aucun prédécesseur n’a jamais été proche de le faire.

Pour commencer, clarifions le seul aspect de sa mission qui est sans
détour et terriblement direct : il est le premier et seul président US à
s’être jamais attaqué au pire défaut collectif de l’humanité, soit son
ignorance totale de la réalité. Parce que les médias et l’éducation sont
tous deux contrôlés par la poignée de milliardaires qui dirigent la
planète, nous ne savons rien de notre histoire qui a été tordue à sec
par les vainqueurs, et nous ne savons absolument rien sur notre monde
actuel. En entrant dans l’arène politique, Donald a popularisé
l’expression « fake news » (fausses nouvelles) pour convaincre les
citoyens US, tout comme la population mondiale, que les médias mentent
toujours. L’expression est maintenant devenue banale, mais réalisez-vous
à quel point il est choquant de constater que presque tout ce que vous
pensez savoir est totalement faux ? Les mensonges médiatiques ne
couvrent pas seulement l’histoire et la politique, mais ils ont façonné
votre fausse perception sur des sujets comme l’économie, l’alimentation,
le climat, la santé; sur tout. Et si je vous disais que nous savons
exactement qui a tiré sur JFK depuis le monticule herbeux, que la
connaissance préalable de Pearl Harbor a été prouvée en cour, que
l’effet de serre du CO2 est scientifiquement absurde, que notre argent
est créé par des prêts de banques qui n’ont même pas les fonds, ou que
la science démontre avec une certitude absolue que le 11 septembre fut
une opération interne américaine ? Avez-vous déjà entendu parler d’un
journaliste mainstream, d’un documentaire de PBS ou d’un professeur
d’université parlant de tout cela ? 44 présidents se sont succédés sans
jamais soulever un mot de cet énorme problème, avant que le 45ème
n’arrive. Trump comprend que la libération des gens de cette profonde
ignorance est le premier pas vers la liberté totale, or il a
immédiatement commencé à appeler les journalistes mainstream par ce
qu’ils sont : des menteurs pathologiques.

« Des milliers de professionnels de la santé mentale sont d’accord avec Woodward et l’auteur de l’article d’opinion du New York Times : Trump est dangereux »

Bandy X. Lee, The Conversation 2018

« La question n’est pas de savoir si le Président est fou, mais s’il est fou comme un renard ou fou comme un fou »

Masha Gessen, The New Yorker 2017

Soyons clairs : pour l’establishment, Trump n’est nullement
déficient, mais il est plutôt considéré comme le destructeur potentiel
de leur monde. Depuis qu’il a emménagé à la Maison-Blanche, Trump a été
dépeint comme un narcissique, un raciste, un sexiste et un
climato-sceptique, chargé d’un passé louche et affublé de troubles
mentaux. Même si environ 60% des Américains ne font plus confiance aux
médias, plusieurs ont avalé l’histoire que Trump pourrait être cinglé ou
inapte à diriger, et les statistiques sont encore plus élevées à
l’extérieur des États-Unis. Bien sûr, Donald ne fait rien de spécial
pour changer la perception profondément négative que tant de
journalistes et de gens ont de lui. Il est ouvertement scandaleux et
provocateur sur Twitter, il apparait impulsif et même stupide la plupart
du temps, agit de façon irrationnelle, ment tous les jours, et
distribue des sanctions et des menaces comme si c’était des bonbons
sortis de la hotte d’un elfe dans un centre commercial en décembre.
D’emblée, on peut détruire un mythe médiatique persistant : l’image que
projette Trump est autodestructrice, et c’est exactement le contraire
dont les pervers narcissiques agissent, puisqu’ils veulent être aimés et
admirés par tous. Donald ne se soucie tout simplement pas que vous
l’aimiez ou non, ce qui fait de lui l’ultime anti narcissique, par sa
définition psychologique de base. Et ce n’est même pas ouvert aux
opinions, c’est un fait tout simple et indéniable.

Son plan général se dégage d’une de ses devises préférées : « Nous redonnerons le pouvoir au peuple
» , parce que les États-Unis et leur toile impérialiste tissée à
travers le monde ont été entre les mains de quelques banquiers
mondialistes, industriels militaires et des multinationales depuis plus
d’un siècle. Pour accomplir sa mission, il doit mettre fin aux guerres à
l’étranger, ramener les soldats à la maison, démanteler l’OTAN et la
CIA, prendre le contrôle de la Réserve Fédérale, couper tout lien avec
les alliés étrangers, abolir le système financier Swift, démolir le
pouvoir de propagande des médias, drainer le marais de l’État Profond
qui dirige les agences d’espionnage et neutraliser le gouvernement
parallèle qui se tapis dans les bureaux du Conseil des Relations
Étrangères et de la Commission Trilatérale. Bref, il doit détruire le
Nouvel Ordre Mondial et son idéologie mondialiste. La tâche est immense
et dangereuse, c’est le moins qu’on puisse dire. Heureusement, il n’est
pas seul.

Avant d’aborder ses tactiques et techniques, nous devons en savoir un peu plus sur ce qui se passe réellement dans le monde.

La puissante Russie

Depuis Pierre le Grand, toute l’histoire de la Russie est une
démonstration permanente de sa volonté de maintenir son indépendance
politique et économique vis-à-vis des banques internationales et de
l’impérialisme, poussant cette grande nation à aider de nombreux autres
pays à conserver leur propre indépendance. Par deux fois, la Russie a
aidé les États-Unis contre l’Empire britannique/Rothschild, d’abord en
les soutenant ouvertement pendant la guerre d’Indépendance, puis encore
pendant la guerre civile, alors que Rothschild finançait les Confédérés
pour démanteler la nation et la ramener sous la coupe de l’Empire
colonial Britannique. La Russie a également détruit Napoléon et les
Nazis, tous deux financés par des banques internationales comme outils
pour écraser des nations économiquement indépendantes. L’indépendance
est dans l’ADN russe. Au terme de presque une décennie d’oligarchie
occidentale ayant pris le contrôle de l’économie russe après la chute de
l’URSS en 1991, Poutine a pris le pouvoir et a immédiatement drainé le
marais russe. Depuis lors, chacune de ses actions vise à détruire
l’Empire US, ou l’entité qui a remplacé l’Empire Britannique en 1944,
qui est aussi la dénomination non-associée aux théories de la
conspiration du Nouvel Ordre Mondial. Ce nouvel empire est
fondamentalement le même modèle des banques centrales, avec juste un
groupe légèrement différent de propriétaires qui ont changé l’Armée
royale Britannique pour l’OTAN, comme Gestapo mondiale.

Jusqu’à l’arrivée de Trump, Poutine luttait seul contre le Nouvel
Ordre Mondial dont l’obsession séculaire est le contrôle du marché
mondial du pétrole, puisque le pétrole est le sang qui coule dans les
veines de toute l’économie mondiale. Le pétrole a mille fois plus de
valeur que l’or. Les cargos, les avions et les armées ne fonctionnent
pas avec des batteries. Par conséquent, pour contrer les mondialistes,
Poutine a mis au point les meilleurs systèmes de missiles offensifs et
défensifs, de sorte que la Russie peut désormais protéger tous les
producteurs de pétrole indépendants comme la Syrie, le Venezuela et
l’Iran. Les banquiers centraux et le gouvernement de l’ombre US
s’accrochent toujours à leur plan mourant, car sans une victoire en
Syrie, il n’y a pas d’élargissement d’Israël, mettant ainsi fin au
fantasme centenaire d’unir la production pétrolière du Moyen-Orient
entre les mains du Nouvel Ordre Mondial. Demandez à Lord Balfour si vous
avez le moindre doute. C’est ça le véritable enjeu de la guerre de
Syrie, il ne s’agit rien de moins que d’y arriver ou de mourir.

Un siècle de mensonges

Maintenant, parce qu’un gouvernement de l’ombre commande directement
la CIA et l’OTAN au nom des banques et des industries, Trump n’a aucun
contrôle sur l’appareil militaire. L’État Profond est un chapelet de
fonctionnaires permanents gouvernant Washington et le Pentagone qui ne
répondent qu’à leurs ordres. Si vous croyez toujours que c’est le
« Commandant en chef » qui commande, expliquez pourquoi chaque fois que
Trump ordonne de se retirer de Syrie et d’Afghanistan, des troupes
supplémentaires arrivent ? Au moment où j’écris ce texte, les troupes US
et de l’OTAN se sont retirées des zones kurdes, se sont rendues en Irak
et sont revenues avec du matériel plus lourd autour des réserves
pétrolières de la Syrie. Donald doit encore drainer le marais avant que
le Pentagone n’écoute ce qu’il dit. Trump devrait être outré et dénoncer
à haute voix que le commandement militaire ne se soucie pas de ce qu’il
pense, mais cela déclencherait un chaos inimaginable, et peut-être même
une guerre civile aux États-Unis, si les citoyens qui possèdent environ
393 millions d’armes dans leurs maisons apprenaient que des intérêts
privés sont en charge de l’armée. Cela soulèverait également une
question très simple, mais dramatique : « Quel est exactement le but de
la démocratie ? » Ces armes domestiques sont les barrières de titane qui
protègent la population d’un Big Brother totalitaire.

Il faut se rendre compte à quel point l’armée US et les agences
d’espionnage se donnent du mal pour créer des opérations sous
faux-drapeau (false flags) depuis plus d’un siècle, de sorte que leurs
interventions semblent toujours justes, au nom de la promotion de la
démocratie, des droits humains et de la justice sur la planète. Ils ont
fait sauter le navire Maine en 1898 pour entrer dans la guerre
hispano-étasunienne, puis le Lusitania en 1915 pour entrer dans la
Première guerre mondiale. Ils ont poussé le Japon à attaquer Pearl
Harbor en 1941, étaient au courant de l’attaque 10 jours à l’avance et
n’ont rien dit à la base hawaïenne. Ils ont inventé une agression de
torpilles nord-vietnamiennes contre leurs navires dans la baie du Tonkin
pour justifier l’envoi de soldats sur le sol vietnamien. Ils ont
inventé une histoire de soldats irakiens détruisant des pouponnières
pour envahir le Koweït en 1991. Ils ont inventé des armes de destruction
massive pour attaquer de nouveau l’Irak en 2003 et ont organisé
l’opération du 11 septembre 2001 pour déchirer la Constitution de 1789,
attaquer l’Afghanistan et lancer une guerre interminable contre le
terrorisme. Ce masque de vertu totalement factice doit être préservé
pour contrôler l’opinion des citoyens US et leur arsenal domestique, qui
doivent croire qu’ils portent les chapeaux blancs des cowboys de la
démocratie.

Or, comment Trump a-t-il réagi quand il a appris que les troupes US
revenaient en Syrie ? Il a répété encore et encore dans chaque interview
et déclaration que « nous avons sécurisé les champs pétroliers de Syrie », et a même ajouté « je pense envoyer Exxon dans la région pour s’occuper du pétrole syrien
Les néoconservateurs, les sionistes et les banques étaient ravis, mais
le reste du monde est outré, car la grande majorité ne comprend pas que
Trump avale cette pilule uniquement pour ses effets secondaires. Sur le
flacon est écrit en petits caractères que « l’utilisation de cette
drogue pourrait forcer les troupes US-OTAN à quitter la Syrie sous la
pression de la communauté mondiale unie et de la population US ahurie ».
Trump a rendu la situation insoutenable pour l’OTAN de rester en Syrie,
et la façon dont il a répété cette position profondément choquante et
politiquement incorrecte dévoile clairement sa véritable intention. Il a
détruit plus d’un siècle de fausses vertus en une seule phrase.

Trump est une anomalie historique

Trump n’est que le quatrième président dans l’histoire des États-Unis
à se battre pour le peuple, contrairement aux 41 autres qui ont
principalement canalisé l’argent du peuple dans un pipeline de dollars
aboutissant dans des banques privées. Il y a d’abord eu Andrew Jackson
qui fut tiré à bout pourtant après avoir détruit la Second Bank des
États-Unis, qu’il accusait ouvertement d’être contrôlée par les
Rothschild et la City de Londres. Puis, Abraham Lincoln fut assassiné
après avoir imprimé ses « greenbacks » (billets verts), monnaie
nationale que l’État a émise pour payer les soldats parce que Lincoln
refusait d’emprunter des Rothschild à 24% d’intérêt. Ensuite, il y a eu JFK, qui a été tué pour
une douzaine de raisons qui allaient toutes à l’encontre des profits
des banques et de l’industrie militaire, et maintenant Donald Trump qui
vocifère qu’il va « rendre l’Amérique au peuple ».

Comme la plupart des hommes d’affaires, Trump déteste les banques,
pour le pouvoir formidable qu’elles ont sur l’économie. Il suffit de
jeter un coup d’œil au livre unique d’Henry Ford, « The International Jew
», pour découvrir sa méfiance et sa haine profondes envers les banques
internationales. Les entreprises de Trump ont beaucoup souffert à cause
de ces institutions qui vous vendent un parapluie, pour le reprendre dès
qu’il se met à pleuvoir. Le contrôle des banques privées sur la
création monétaire et les taux d’intérêt, à travers chaque banque
centrale de presque tous les pays, est un pouvoir permanent sur les
nations, bien au-delà du cycle éphémère des politiciens. En l’an 2000,
ces pillards de nations n’étaient plus qu’à quelques pas de leur rêve
totalitaire planétaire, mais deux détails subsitaient : Vladimir Poutine
et 393 millions d’armes US. Puis est arrivé Donald au visage orange, la
dernière pièce du puzzle dont nous, le peuple, avions besoin pour
mettre fin à 250 ans de l’empire des banques.

Techniques et tactiques

Au début de son mandat, Trump a naïvement tenté l’approche directe,
en s’entourant de rebelles de l’establishment comme Michael Flynn et
Steve Bannon, puis en aliénant chacun de ses alliés étrangers, déchirant
leurs traités de libre-échange, imposant des taxes sur les importations
et les insultant en pleine face lors des rencontres du G7 de 2017 et de
2018. La réaction fut forte et tout le monde s’est mis à focaliser sur
l’absurdité du Russiagate, qui semblait la seule option pour arrêter
l’homme sur son chemin de la destruction du mondialisme. Comme on
pouvait s’y attendre, l’approche directe n’a mené nulle part ; Flynn et
Bannon ont dû partir, et Trump fut emmêlé dans une poignée d’enquêtes
lui faisant réaliser qu’il n’obtiendrait rien avec la transparence. Il
devait trouver un moyen d’anéantir les personnes les plus dangereuses de
la planète, mais en même temps, rester au pouvoir et en vie. Il fallait
devenir plus malin.

C’est à ce moment que son génie a explosé sur le monde. Il a
complètement changé sa stratégie et son approche, a commencé à prendre
des décisions absurdes et à tweeter des déclarations scandaleuses. Aussi
menaçantes et dangereuses que certains d’entre elles puissent paraitre,
Trump ne les a pas verbalisées pour leur signification au premier
degré, mais visait plutôt leurs effets secondaires. Et sans se soucier
de ce que les gens pensaient de lui, car seuls les résultats comptent à
la fin. Il a même joué au bouffon sur Twitter, avait l’air naïf, fou ou
carrément idiot, peut-être dans l’espoir de faire croire qu’il ne savait
pas ce qu’il faisait, et qu’il ne pouvait pas être si dangereux. Trump
qui était déjà politiquement incorrect, a poussé beaucoup plus loin pour
montrer l’horrible visage que les États-Unis cachent derrière leur
masque.

Le premier test de sa nouvelle approche fut d’arrêter le danger
croissant d’une attaque et d’une invasion de la Corée du Nord par
l’OTAN. Trump a insulté Kim Jung-Un sur Twitter, l’a appelé Rocket Man
et a menacé de nucléariser la Corée du Nord au ras du sol. Son ire s’est
déchainée pendant des semaines, jusqu’à ce que tout le monde
s’aperçoive que ce n’étaient pas là de bonnes raisons pour attaquer un
pays. Il a paralysé l’OTAN. Trump a ensuite rencontré Rocket Man, et ils
ont marché dans le parc avec la naissance d’une belle amitié, riant
ensemble, tout en n’accomplissant absolument rien dans leurs
négociations, car ils n’ont rien à négocier. Beaucoup parlaient du prix
Nobel de la paix, parce que beaucoup ne savent pas qu’il est
généralement remis pour blanchir des criminels de guerre comme Obama ou
Kissinger.

Puis ce fut le tour du Venezuela. Trump a poussé sa tactique un peu
plus loin, pour s’assurer que personne ne puisse soutenir une attaque
contre le pays libre. Il a mis les pires néoconservateurs disponibles
sur l’affaire: Elliott Abrams, anciennement condamné pour conspiration
dans l’affaire Iran-Contras dans les années ’80 et John Bolton, célèbre
belliciste au premier degré. Trump a ensuite confirmé Juan Guaido comme
son choix personnel pour la présidence du Venezuela; une marionnette
vide si stupide qu’il ne peut même pas comprendre à quel point on
l’utilise. Une fois de plus, Trump a menacé de réduire le pays en
cendres, tandis que la communauté mondiale désapprouvait le manque total
de subtilité et de diplomatie dans le comportement de Trump, avec pour
résultat final que le Brésil et la Colombie ont reculé en déclarant
qu’ils ne voulaient rien avoir à faire avec une attaque sur le
Venezuela. La prescription de Trump n’a laissé que 40 pays satellites
dans le monde, avec des présidents et des premiers ministres
suffisamment dénués de cervelle pour soutenir timidement Guaido le
bouffon. Donald a coché la case à côté du Venezuela sur sa liste, et a
continué de défiler vers le bas.

Puis vinrent les deux cadeaux à Israël : Jérusalem en tant que
capitale, et le plateau du Golan syrien en tant que possession
confirmée. Netanyahou qui n’est pas le crayon le plus aiguisé dans le
coffre a sauté de joie, et tout le monde criait que Trump était un
sioniste. Le véritable résultat fut que l’ensemble du Moyen-Orient s’est
uni contre Israël, que plus personne ne peut soutenir. Même leur
complice historique, l’Arabie Saoudite, a dû désapprouver ouvertement
cette lourde gifle à l’Islam. Les cadeaux jumeaux de Trump étaient en
fait des coups de poignard dans le dos de l’État d’Israël, dont l’avenir
ne semble pas très prometteur, puisque l’OTAN devra bientôt quitter la
région. Case cochée à nouveau.

Alors que la réalité s’installe

Mais ce n’est pas tout ! Avec son absence de contrôle sur l’OTAN et
l’armée, Trump est très limité dans ses actions. À première vue, la
multiplication des sanctions économiques contre des pays comme la
Russie, la Turquie, la Chine, l’Iran, le Venezuela et d’autres pays
semble dure et impitoyable, mais la réalité de ces sanctions a poussé
ces pays hors du système financier Swift conçu pour maintenir les pays
esclaves dans l’hégémonie du dollar, et ils glissent tous entre les
mains des banques internationales. Elles ont forcé la Russie, la Chine
et l’Inde à créer un système alternatif de paiements commerciaux basé
sur les monnaies nationales, au lieu du dollar tout-puissant. La réalité
bipolaire du monde est maintenant officielle, et avec ses prochaines
sanctions à venir, Trump poussera encore plus de pays hors du système
Swift pour rejoindre l’autre camp, au moment où d’importantes banques
commencent à tomber en Europe.

Même dans l’ouragan politique entourant Trump, il trouve encore le
temps d’afficher son humour arrogant presque enfantin. Regardez sa
dernière moquerie grandiose d’Hillary Clinton et de Barrack Obama, alors
qu’il s’est assis avec des généraux aux traits tendus, pour prendre une
photo dans une « salle de situation » alors qu’ils simulaient la
surveillance de la mort de Baghdadi quelque part où il ne pouvait pas
être, exactement comme ses prédécesseurs criminels l’ont fait il y a
longtemps avec le faux assassinat de Ben Laden. Il a même poussé la
blague jusqu’à ajouter les détails d’un chien reconnaissant le faux
calife de Daesh en reniflant ses sous-vêtements. Maintenant que vous
comprenez qui est vraiment Trump, vous serez également en mesure
d’apprécier le spectacle, dans toute sa splendeur et sa vraie
signification.

« Nous avons sécurisé les champs de pétrole de Syrie.» Avec
cette courte phrase, Trump joint sa voix à celle du Général Smedley
Butler qui fit vibrer le monde il y a 80 ans avec un petit livre
intitulé « La Guerre est un racket.» Piller et voler du pétrole
n’est certainement pas aussi vertueux que de promouvoir la démocratie
et la justice. Ce qui m’étonne, ce sont ces nombreux journalistes et
analystes « alternatifs », qui connaissent sur le bout des doigts tous
les problèmes techniques dans l’histoire officielle du 11 septembre, ou
la réalité scientifique de l’absurde réchauffement climatique
anthropique, mais qui n’ont toujours aucune idée de ce que fait Trump, 3
ans après le début de son mandat, car ils ont été convaincus par les
grands médias que Trump était un malade mental.

Pour ceux qui doutent encore du programme de Trump, croyez-vous
vraiment que l’implosion évidente de l’impérialisme US sur la planète
soit une coïncidence ? Croyez-vous toujours que c’est à cause de
l’influence russe sur les élections de 2016 que la CIA, le FBI, tous les
médias, le Congrès US, la Réserve Fédérale, le Parti Démocrate et la
moitié belliciste des républicains travaillent contre lui et tentent
même de le destituer ? Comme la plupart de ce qui sort des médias, la
réalité est exactement le contraire de ce que l’on vous dit : Trump est
peut-être l’homme le plus dévoué qui ait jamais mis les pieds dans le
bureau ovale. Et certainement le plus ambitieux et politiquement
incorrect.

Conclusion

Le monde changera radicalement entre 2020 et 2024. Le deuxième et
dernier mandat de Trump coïncide avec le dernier mandat de Poutine en
tant que Président de la Russie. Il se peut qu’il n’y ait pas une autre
coïncidence comme celle-ci avant très longtemps, et les deux savent que
c’est maintenant, ou peut-être jamais. Ensemble, ils doivent mettre fin à
l’OTAN, à Swift, et l’Union Européenne devrait s’effondrer. Le
terrorisme et le réchauffement climatique anthropique sauteront dans le
tourbillon et disparaitront avec leurs créateurs. Trump devra drainer le
marais de la CIA et du Pentagone et nationaliser la Réserve Fédérale.
Avec Xi et Modi, ils pourraient mettre un terme définitif de l’ingérence
des banques privées dans les affaires publiques, en refusant de payer
un seul sou de leurs dettes, et refonder l’économie mondiale en se
tournant vers les monnaies nationales produites par les gouvernements,
et les banques privées tomberont comme des dominos, sans plus de
serviteurs comme Obama pour les sauver à vos frais. Après, une paix et
une prospérité insupportables pourraient errer sur la planète, car nos
impôts paieront pour le développement de nos pays au lieu d’acheter du
matériel militaire inutile et payer des intérêts sur les prêts des
banquiers qui n’avaient même pas ces fonds en premier lieu.

Si vous ne comprenez toujours pas Donald Trump après avoir lu ce qui
précède, vous êtes sans espoir. Ou vous êtes peut-être Trudeau, Macron,
Guaido, ou tout autre idiot utile, ignorant que le tapis sous vos pieds a
déjà glissé.

Source : About Trump

traduit par Réseau International