Il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables même s’il nie lui-même avoir jamais été impliqué avec elles

[Source : Anguille sous roche]

Et si je vous disais qu’il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables, même s’il dit lui-même n’avoir jamais été impliqué dans une sorte de « micropuce » ?

Bien que Bill Gates ait dit exactement cela en juin, un sondage a révélé que 25 % des Américains pensent qu’il n’est pas seulement impliqué dans les micropuces, mais qu’il travaille sur un projet d’implantation de micropuces dans les vaccins COVID.

C’est tellement tiré par les cheveux que cela me rappelle la suggestion que Gates était impliqué dans un plan visant à implanter des micropuces dans les femmes qui dureraient presque toute leur vie reproductive et ces micropuces pourraient être accessibles à distance et donc avoir le potentiel de stériliser efficacement les femmes même contre leur volonté.https://www.anguillesousroche.com/wp-content/plugins/complianz-gdpr/assets/video/youtube-placeholder.mp4?cmplz=1Cliquez pour accepter les cookies de marketing et activer ce contenu

Oh, mais attendez, c’est la réalité !

Au cours des derniers mois, Bill Gates est devenu une cible majeure des soi-disant « théories du complot » concernant le COVID. Gates a déclenché une controverse durable lors d’une séance de questions et réponses en ligne le 18 mars dernier, lorsqu’il a déclaré : 

« Nous aurons un jour des certificats numériques pour montrer qui a récupéré ou a été testé récemment ou quand nous aurons un vaccin qui l’a reçu. »

Ses remarques ont rapidement attiré l’attention, y compris celle du procureur général Barr. Lorsqu’on l’a interrogé sur la proposition de certificat numérique de Gates, M. Barr a déclaré qu’il était « très préoccupé par la pente glissante en termes d’empiètements continus sur la liberté individuelle ».

En avril, M. Gates est devenu le principal sujet de la spéculation en ligne sur le COVID, qui s’est articulée autour d’une théorie selon laquelle il implanterait d’une manière ou d’une autre des micropuces dans les vaccins du COVID. Cette affirmation a d’abord été popularisée par un site web pro-Gates et a fait l’objet d’une promotion importante sur les médias sociaux. Selon un sondage réalisé par YouGov, plus de 25 % des Américains y croyaient en mai.

En réponse à ces préoccupations, M. Gates a déclaré le 5 juin : « Je n’ai jamais été impliqué dans un projet de type micropuce. »

Cependant, M. Gates a en fait été largement impliqué dans un programme de micropuces très invasif. En fait, il a directement commandé un tel programme à une société appelée Microchips Biotech qui est spécialisée dans les micropuces implantables.

Contrairement à sa déclaration de juin, Bill Gates a personnellement commandé un programme de micropuces contraceptives en 2012, dirigé par la société Microchips Biotech. Les subventions pour ce projet sont facilement accessibles sur le site web de la Fondation Gates.

Microchips Biotech, anciennement connue sous le nom de MicroCHIPS, Inc. travaille sur des puces implantables pour l’administration de médicaments depuis 1999. Elle a été fondée par des scientifiques du MIT qui ont inventé la technologie des puces dans les années 1990, en partenariat avec le fonds spéculatif Polaris Ventures. La société a attiré l’attention de la Fondation Gates après avoir annoncé les résultats positifs d’un essai clinique en février 2012.

Le projet de contraception de M. Gates a vu le jour à la suite d’une rencontre entre M. Gates et le professeur du MIT Robert Langer, co-fondateur de MicroCHIPS et inventeur de tous les brevets de la société. M. Langer est un collaborateur fréquent de M. Gates, qui a également supervisé un projet controversé d’enregistrement de vaccin « quantum dot » – une autre « demande directe » de M. Gates lui-même.

Selon MIT Technology Review, Bill Gates et certains de ses associés sont venus chez Langer en 2012 pour s’enquérir des implants contraceptifs à distance et à long terme.

En décembre 2012, la Fondation Gates a accordé un montant initial de 1,5 million de dollars à Microchips Biotech pour développer des puces contraceptives. La fondation s’est engagée à verser 20,5 millions de dollars supplémentaires en 2014.

Les micropuces contraceptives délivrent du lévonorgestrel, la pilule du lendemain, aux utilisateurs pendant une période pouvant aller jusqu’à seize ans et peuvent être contrôlées sans fil par les médecins.

La Fondation Gates est toujours financièrement engagée dans le projet, ayant déboursé un million de dollars supplémentaires en septembre. Elle a participé au rachat de Microchips Biotech par la société pharmaceutique Daré Bioscience en 2019. En fait, le 15 juin, dix jours après que Gates ait totalement nié toute connexion de micropuces, Daré a annoncé une autre subvention de 1,5 million de dollars de la Fondation Gates.

Non seulement le programme des micropuces a des liens avec Gates, mais il a également des liens avec les vaccins contre le coronavirus. Outre le lancement de MicroCHIPS, Robert Langer a cofondé Moderna, un important fabricant de vaccins COVID. Il s’agit du grand fabricant auquel le gouvernement américain a pré-commandé 100 millions de doses en août. M. Langer siège actuellement au conseil d’administration et au conseil consultatif scientifique de Moderna.

Bill Gates a également financé Moderna, en déboursant 20 millions de dollars à ce jour, avec la possibilité d’un futur 80 millions de dollars.

Bien que cela ne vérifie pas les théories selon lesquelles Gates mettra des micropuces dans les vaccins contre le coronavirus, cela rend ses affirmations du genre « Il n’y a aucun lien entre ces vaccins et un quelconque type de suivi », un peu hypocrite.

https://player.acast.com/the-john-henry-westen-show/episodes/bill-gates-falsehood-ive-never-been-involved-in-any-sort-of-#?secret=NlfKb2gKB3

Lire aussi : Bill Gates avertit que les États-Unis doivent trouver des moyens de « réduire l’hésitation à se faire vacciner »

Source : LifeSiteNews – Traduit par Anguille sous roche


[Voir aussi :




La vaccination pionnière de l’identification numérique mondiale

[Source : kla.tv via Bilal Al Gharib]


{Voir aussi :




Énigme du Covid-19 : Jusqu’où cela va-t-il aller ?

[Source : UPR]

IMPORTANT : toutes les affirmations de cette vidéo sont accompagnées de sources irréfutables qui apparaissent à l’écran.


Cette vidéo commence par des scènes vues dans une petite ville au centre de « l’Absurdistan » (cette dénomination de la France adoptée par le magazine allemand Die Zeit pour décrire notre pays sous le régime Macron).

Alors que la France s’enfonce dans des réglementations de plus en plus absurdes et que plus personne ne comprend vraiment, l’annonce en cascade de vaccins plus mirobolants les uns que les autres laisse entrevoir un espoir de fin de crise.

Mais à quel prix ?

Les médias commencent à préparer l’opinion publique en invoquant des vaccins permettant de vérifier si les personnes ont été vaccinées ou non. Il est maintenant question de carnet de vaccination intégré sous cutané via des puces RFID ou des nanoparticules.

Va-t-on nous faire accepter un flicage généralisé sous couvert d’assurer notre santé ?

Face à cette menace, François Asselineau avait déjà répondu NON en 2011 dans son programme présidentiel. Hors de question pour le président de l’UPR d’accepter le puçage des êtres humains sous toutes ses formes. Si vaccin il doit y avoir, il doit être de composition sûre et exempte de tout composant servant d’autres intérêts que celui de la santé.

Il est grand temps de se mobiliser pour ne pas accepter l’inacceptable, c’est à dire offrir nos libertés publiques aux puissances d’argent et aux gouvernements qui ont amplement montré que leur préoccupations n’est pas l’intérêt commun ni les libertés publiques.


[Voir aussi :




Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible

[Source en italien : Maurizio Blondet]

[Traduction automatique corrigée]

« Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible »

Maurizio Blondet   18 novembre 2020  

La rumeur circulait depuis des mois dans le monde médical français. Le Monde avait écrit un article pour dire qu’ils étaient sans fondement, faux, intoxiqués. Maintenant, un titre apparaît où un médecin dit : « Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus tôt possible » . Elle s’est déroulée dans des maisons de retraite pour non autosuffisantes (EPHAD en France, comme nous avons RSA [en Italie]). Et cela est confirmé sur la chaîne France 3 par la diffusion le 18 novembre à 21h05 de l’enquête « Covid-19: que se passe-t-il vraiment dans les maisons de retraite? ». Le site Internet de la chaîne consacre un article et une vidéo à cette enquête, dont le thème principal est le tristement célèbre « décret Rivotril » du 29 mars et ses conséquences pour les professionnels de santé et leurs patients.

Rivotril sous forme injectable est mortel pour les patients souffrant d’insuffisance respiratoire. Le gouvernement a autorisé l’utilisation du Rivotril, par ce décret, au motif que l’Hypnovel manquait, ce qui était nécessaire pour les soins palliatifs de fin de vie; ces vieillards devaient être tenus à l’écart des unités de soins intensifs…

« Au milieu de la première vague de l’épidémie de Covid-19, au printemps 2020, le gouvernement a autorisé l’utilisation de médicaments palliatifs qui sont généralement interdits » , indique désormais le rapport sur France 3. Le programme s’intitule « Evidence against » ( Pièces à conviction), et a recueilli des témoignages d’agents de santé scandalisés par cette décision. « Lorsque nous avons reçu ces directives, nous avons été stupéfaits », raconte Sandra Rotureau, directrice de la santé. « Lorsqu’une personne âgée n’est pas hospitalisée [faute de lits] et que ce qui lui est proposé, c’est une sédation dès qu’elle a des difficultés à respirer… ma première réaction est de me souvenir : « Comment, on nous demande de pratiquer une euthanasie passive avec nos résidents ? » ». […] Notez la formulation. « Euthanasie » est le moment où le patient a demandé à être activement aidé à mourir. « L’euthanasie passive » n’existe pas. Ça s’appelle un meurtre.

Dans une autre résidence publique non identifiée, un médecin EPHAD, le visage couvert, avoue « un sentiment d’horreur ». « Je ne suis pas autorisé à prescrire quelque chose qui guérirait les gens [fait allusion à l’hydroxychloroquine] s’ils étaient affectés, mais je suis autorisé « à les faire partir… doucement » ».

« Nous avons raccourci la souffrance des gens? J’appelle ça de l’euthanasie », poursuit-elle, extrêmement bouleversée. « Que nous ayons osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite est insupportable.[…] ».

Il a également été constaté que les médecins qui travaillaient pour les EHPAD avaient demandé aux infirmières d’injecter [le contenu de] la seringue mortelle, les chargeant ainsi d’un sentiment de culpabilité qui n’aurait pas dû leur peser. Ceci ressort d’une audition de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale.

La bassesse et la lâcheté. Et le silence complice, le silence des médias alors que le nombre de décès dans les maisons de retraite assistées augmentait de façon spectaculaire grâce au décret Rivotril. « Certains soignants ont déclaré qu’ils ne faisaient que soulager les malades, mais ils se taisent sur le fait que sur le certificat de décès, ils ont pu écrire la « cause du décès: Covid » sans aucune preuve ni test », utilisant également une euthanasie passive pour augmenter le nombre de décès par Covid, ce qui rapporte aussi en France aux hôpitaux, même si ce n’est pas les 2 mille euros par jour de l’Italie [NdNM : la subvention reçue par l’hôpital en cas de décès par la covid-19 est plus importante que pour d’autres causes déclarées de décès. Même chose au Canada].

« Covid: attitudes criminelles? ». Gérard Maudrux, chirurgien urologue, demande à voix haute dans un magazine du domaine [l’urologie], de raconter comment [les membres de] sa famille ([qui travaillent] tous dans le secteur hospitalier) ont été malades de la Covid, assez gravement, avec comme seule thérapie recommandée par les autorités : « Le paracétamol. L’utilisation d’antibiotiques n’est expressément pas recommandée. Pour mes trente premiers patients traités de cette manière j’ai eu 3 problèmes : un décès à domicile, une fibrillation auriculaire le deuxième et une hospitalisation de réanimation de trois semaines le troisième ». Puis, en étudiant, le médecin découvre dans un journal australien les effets de la vermectine (un anti-helminthes!)  « Je connais bien le traitement de deux épidémies de gale dans la maison de retraite; les résultats après 48 heures sont stupéfiants : la disparition des signes cliniques pour tous. Trop heureux de partager ces résultats, je pense que je fais une faveur, j’en parle, ce qui m’a valu de sévères critiques de la part de collègues et d’un pharmacien. Et l’ avertissement de l’Ordre ».

Et il cite « les confrères de StopCovid19, qui ont collecté plus de 700 cas traités [à la chloroquine et aux antibiotiques] et qui ne publient pas en raison des menaces reçues. N’oublions pas qu’au 19 avril, contre la Covid, 100 000 patients avaient reçu de l’azithromycine, 41 000 de la chloroquine et 10 000 les deux (source Assurance Maladie). Combien de vies avez-vous sauvées? Combien d’hospitalisations évitées? L’observation sur le terrain a-t-elle encore une valeur? ».

Un autre médecin parle de la mort sur ordonnance. Et il écrit: « En d’autres temps, des procédures judiciaires auraient été mises en place et la justice pénale aurait été adressée pour se prononcer sur l’éventuel caractère pénal du décret Rivotril, adopté en contradiction avec tous les textes et la jurisprudence en matière de fin de vie. Aujourd’hui, le virus a le dos large pour permettre des actes injustifiables, susciter la peur et l’angoisse généralisées, établir une dictature que nos ploutocrates réclament depuis des années »; et expose le nombre de flacons de Rivotril (« remboursé par le service de santé », précise-t-il) énormément augmenté pendant la « pandémie », et en relation directe avec la surmortalité dans les maisons de retraite ces semaines-là.

Tribunaux vers lesquels il est inutile de se tourner pour dénoncer ces crimes et cette imposture, le paracétamol comme seule thérapie « recommandée » par les comités technico-scientifiques, menaces aux médecins qui découvrent des remèdes efficaces, interdiction de l’hydroxychloroquine. Et, à la place, Rivotril en ampoules pour injection létale. Il est impressionnant de découvrir que les directives sont identiques en Italie et en France.

Mais plus encore, voir à quelle vitesse la dictature de la ploutocratie totale est tombée, dans son Grand Reset, au niveau qu’on nous apprend depuis 50 ans à considérer comme un mal absolu : l’attitude génocidaire du nazisme, l’euthanasie des bouches inutiles à grande échelle, l’injection mortelle par décret, l’asservissement volontaire des juges et le silence total des médias dans ce qui se profile comme le plus gigantesque crime contre l’humanité jamais commis. Des décennies de cours moralisateurs dans les écoles, des documentaires sur l’Holocauste, des journées de mémoire répétées de manière obsessionnelle, des visites d’écoliers à Auschwitz, des appels à la vigilance : prenez garde que le nazisme ne revienne pas ! Regardez ! Le voici, et les journaux télévisés appellent des « négationnistes » les foules qui, dans toute l’Europe, se rebellent contre l’esclavage et contre cette barbarie indescriptible, Le titre de la République

[Voir des vidéos sur le site originale en italien, en fin d’article.]




Attestation de Vivre

[Source de l’image : inconnue]




Vague de mort par le vaccin : le gouvernement britannique publie une demande pour un système d’IA analysant les effets secondaires du vaccin COVID-19 décrits comme une « menace directe pour la vie des patients »

[Source en anglais : Natural News]

Alors que les médias grand public mensongers et traîtres nous disent à tous que les vaccins covid-19 sont parfaitement sûrs et « efficaces à 95% » — et ce mensonge est répété par PJ Media, Breitbart et d’autres éditeurs de presse dits « conservateurs » — au Royaume-Uni, le gouvernement a publié une soumission et un avis d’attribution de contrat pour la recherche d’un système d’intelligence artificielle (IA) capable de traiter [l’information sur] le déluge attendu de préjudices et d’effets secondaires du vaccin covid-19.

Intitulé simplement « Fournitures – 506291-2020 » et trouvé à ce lien sur Tenders Electronic Daily, cet avis d’attribution de contrat que nous avons initialement publié le 19 octobre 2020 et qui se résume comme suit :

La MHRA recherche d’urgence un outil logiciel d’intelligence artificielle (IA) pour traiter le volume élevé attendu d’effets indésirables (EI) du vaccin Covid-19 et s’assurer qu’aucun détail du texte des EI ne soit oublié.

La demande du système d’IA pour traiter les réactions vaccinales covid-19 provient de la Medicines & Healthcare Products Regulatory Agency du Royaume-Uni, la MHRA.

Plus loin dans le document, la MHRA décrit une « urgence extrême en vertu du règlement 32 (2) (c) liée à la libération d’un vaccin Covid-19 » et dit que le déluge attendu de réactions indésirables au vaccin covid-19 submergera son actuel « vieux système ».

« Si la MHRA ne met pas en œuvre l’outil d’IA », explique la MHRA, « elle ne pourra pas traiter efficacement ces EI. Cela entravera sa capacité à identifier rapidement tout problème de sécurité potentiel relatif au vaccin Covid-19 et représente une menace directe pour la vie des patients et la santé publique. »

Le statut d’extrême urgence de cette offre est expliqué plus en détail :

Raisons d’extrême urgence la MHRA reconnaît que son processus d’acquisition prévu pour le programme SafetyConnect, y compris l’outil d’IA, ne se serait pas terminé par le lancement du vaccin. Ceci conduit à une incapacité à surveiller efficacement les effets indésirables d’un vaccin Covid-19.

Événements imprévisibles la crise de Covid-19 est nouvelle et les développements dans la recherche d’un vaccin Covid-19 n’ont pas suivi jusqu’à présent de modèle prévisible.

Cela ressemble-t-il à une agence qui s’attend à ce que le vaccin contre le covid-19 soit sûr et efficace?

Il ressort clairement de la description figurant dans le document d’attribution que :

  1. La MHRA s’attend à ce que les vaccins covid-19 provoquent une vague d’événements indésirables / d’effets secondaires.
  2. La MHRA est pleinement consciente que ces événements indésirables vont nuire et tuer de nombreux patients. Elle met spécifiquement en garde contre « une menace directe pour la vie du patient ».
  3. Les vieux systèmes de la MHRA sont incapables de gérer le volume attendu de rapports entrants concernant les préjudices causés par le vaccin contre le covid-19, ce qui signifie que le volume attendu de ces rapports sera très important et sans précédent.
  4. La MHRA reconnaît « l’extrême urgence » de mettre en place un nouveau système pour identifier les effets indésirables des vaccins covid-19.
  5. La MHRA déclare que si un nouveau système d’IA n’est pas installé de toute urgence, elle sera incapable d’identifier un grand nombre des effets indésirables résultant du vaccin covid-19, et que cet échec aura un impact négatif sur la santé publique. (C’est-à-dire que les gens mourront.)

Ce que cela montre, c’est l’honnêteté brutale de la MHRA dans les coulisses, dans leur processus d’appel d’offres pour les systèmes d’IA. Pourtant, publiquement, presque toutes les agences gouvernementales de réglementation du monde entier y compris celles du Royaume-Uni et des États-Unis ne partagent pas ces détails avec le public et décrivent à tort que les vaccins covid-19 sont presque 100% sûrs et efficaces.

Nous savons maintenant que même la MHRA du Royaume-Uni se rend compte que les vaccins covid-19 vont être extrêmement dangereux pour le public, générant une vague catastrophique de réactions indésirables et d’effets secondaires mortels.

Cela pose la question suivante : pourquoi la MHRA ne dit-elle rien de tout cela publiquement ?

(source initiale : la vidéo suivante sur Brighteon.com, qui a d’abord attiré mon attention sur cette bombe.)



https://www.brighteon.com/embed/036c92ca-027b-413a-8ae9-1c17eeb091c6

Liquider la population humaine avec des armes biologiques mortelles et des vaccins toxiques : la « grande réinitialisation » est la tyrannie médicale et le communisme économique

Il ne fait aucun doute que le CDC sait tout cela aussi, et il ne diffuse rien qui alerterait le public sur cette réalité.

De toute évidence, le public est délibérément tenu dans l’ignorance des dangers des vaccins contre le covid-19, et malheureusement, même les médias conservateurs pro-Trump aux États-Unis répètent la propagande de l’industrie des vaccins pour essayer de faire croire aux gens que les vaccins contre le covid-19 vont sauver le monde.

Gardez à l’esprit que les géants traîtres de la technologie ont tous conspiré au cours des dernières années pour censurer quiconque remettrait en question la sécurité de l’efficacité des vaccins. Cela signifie que pendant que les gens mourront du vaccin contre le covid-19, personne ne sera autorisé à en parler ou à sonner l’alarme. Tous les décès dus au vaccin covid-19 seront cachés et tenus à l’écart du public. Les médias, bien sûr, feront tout pour protéger Big Pharma, tout comme ils ont fait des heures supplémentaires pour empêcher des divulgations choquantes sur Joe Biden et la famille criminelle Biden à propos du contrôle de la Chine communiste sur Hunter Biden.

En substance, Big Pharma et les contrôleurs mondialistes s’attendent à ce que l’humanité s’aligne, reçoive le coup et meure en silence alors que tout nous est volé par les méchants collaborateurs mondialistes de la « grande réinitialisation ». Les vaccins qui atteignent leur objectif de génocide de masse et de dépeuplement ne sont qu’une couche de leur grand plan qui implique également le vol coordonné et mondial de tous les actifs privés via un effondrement de la monnaie fiduciaire qui rend toutes les économies et tous les actifs libellés en devises instantanément sans valeur.

[NdNM : il est pratiquement impossible de démontrer que les élites mondiales envisagent (éventuellement) le génocide de 90 ou 95% de l’Humanité par divers moyens, dont l’utilisation de vaccins. Et donc, on peut parfaitement en douter. Cependant, si par hasard c’était effectivement le cas…
Ce qui est par contre démontré et notamment visible sur le site officiel du Forum Économique Mondial, c’est la volonté d’une partie de ces élites de produire leur fameuse Grande Réinitialisation.]

Non seulement les personnes qui prennent les coups de feu finiront par être blessées ou tuées; [mais en plus] tout ce qu’ils possédaient autrefois leur sera confisqué et volé par les mêmes mondialistes qui poussent pour les vaccins et la censure.

Ce sont les mêmes mondialistes qui viennent de voler les élections de 2020 aux États-Unis, bien sûr, en truquant les machines à voter de Dominion et en enflammant le pays entier avec leurs faux médias d’information.

La solution finale contre l’humanité est une combinaison d’une réinitialisation économique mondiale, d’un génocide de masse via des vaccins, d’une famine artificielle via un effondrement contrôlé de l’approvisionnement alimentaire, et du contrôle total de la parole et des pensées via la censure des Big Tech et les programmes d’ingénierie sociale. Pour les mondialistes, vous n’êtes qu’un animal d’élevage et ils croient qu’il est temps de rassembler tous les animaux à abattre.

D’où la nécessité du coronavirus SRAS-cov-2 dès le début : il a permis aux mondialistes de libérer tous leurs programmes pour asservir l’humanité et détruire la liberté humaine, tout en prétendant vous « protéger » de la même arme biologique qu’ils ont créée et relâchée dans le lieu initial [Wuhan].

Si vous voulez survivre à ce qui va arriver, téléchargez gratuitement mes deux nouveaux livres audio : The Global Reset Survival Guide [Le guide de survie à la Grande Réinitialisation] est sur GlobalReset.news et vous pouvez acheter Survival Nutrition [Alimentation de survie] (également gratuit) sur SurvivalNutrition.com.




Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19

[Source : https://complosphere.com]




[Source : Thana TV]

https://youtu.be/iJHNRwmPkUg

[Source : AgoraVox]

Ariane Bilheran est normalienne (Ulm), psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, chargée de cours à l’Université, auteur, conférencière, consultante.

Auteur de plus de vingt-cinq ouvrages, ses domaines d’expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel.

Voir sa fiche wikipédia pour plus de détails

Quelques principes fondamentaux

Au cours de l’Histoire, les marionnettes visibles que l’on vous présente comme vos « gouvernants » (pire, « ministres » lesquels, étymologiquement, sont les « serviteurs » du peuple !) ont très souvent été manipulées par des puissants invisibles, de fins stratèges, qui ont eu le temps d’affiner plusieurs disciplines lors des siècles derniers : la stratégie, l’art de la guerre, la manipulation de masse (émotion, énergie, symboles, hypnose), l’ésotérisme, l’occultisme. Par exemple, Mazarin (et, à travers lui, les Jésuites) gouvernait dans l’ombre de Louis XIII puis de Louis XIV.

Tout est bon pour conquérir le pouvoir et le conserver. Ces puissants vous connaissent souvent beaucoup mieux que vous-mêmes vous ne vous connaissez. Ils savent comment faire réagir les masses. De génération en génération, le savoir se transmet au sein de l’oligarchie qui entend conserver le pouvoir.

Quelques principes sont pourtant célèbres :

– Diviser pour mieux régner
L’ennemi du peuple est alors celui qui opère cette manipulation, et non celui qui est officiellement désigné comme son ennemi.

 Unir contre un bouc émissaire
L’idéal est le bouc émissaire intérieur, celui qui permettra d’asseoir un total contrôle de la population.

 Créer artificiellement le sauveur et le persécuteur
Celui qui vient vous sauver est en réalité à l’origine du problème, et vous sauver lui permet de gagner un surcroît de pouvoir.

Source du texte : [Conscience sans objet]

Le pouvoir et le complot 

Par Ariane Bilheran, le 29 décembre 2015 – Ariane Bilheran 
Auteur de : L’autorité, Psychologie et pathologie, éd. Armand Colin, 2016, et Psychologie de la paranoïa, éd. Armand Colin, 2016

Aujourd’hui, il existe une mode, un clivage, une idéologie, celle des « complotistes » et des « anticomplotistes ».
Les complotistes seraient « ceux qui voient des complots partout », et les anticomplotistes, ceux qui dénoncent les complotistes.
Voilà encore une manière de clôturer tout débat et surtout d’empêcher au peuple de penser l’évidence.

L’exercice malade du pouvoir a, de tout temps, fonctionné par complots.

  • Lorsque Néron programma l’incendie de Rome et fit accuser les chrétiens d’en être les auteurs.
  • Lorsque les Nazis incendièrent le Reichstag et accusèrent les communistes d’en être les auteurs.
  • Lorsque les généraux de l’Armée Française complotèrent un putsch contre De Gaulle.
  • Lorsque Mitterrand programma l’attentat de l’Observatoire contre lui-même pour rehausser son crédit public.

Voici quelques exemples bien connus, mais tant d’autres abondent de façon massive dans l’Histoire de la politique mondiale !

L’essence du pouvoir pathogène est paranoïaque.

Je l’ai suffisamment étudié dans mes travaux depuis des années, pour rappeler que le pouvoir injuste et arbitraire est harceleur, d’essence paranoïaque, tandis que le pouvoir juste se fonde sur l’autorité et l’accès à la triangulation (au tiers).
La perversion quant à elle se met volontiers au service de la paranoïa, dont elle exécute, avec jouissance, technique et savoir-faire, les desiderata.

En d’autres termes, le pouvoir déviant qui fonctionne sur un mode paranoïaque, dit le contraire de ce qu’il fait, énonce des idéaux qu’il souille jour après jour, crée des boucs émissaires (intérieurs et/ou extérieurs), manipule par la terreur et l’empathie, traumatise et harcèle son propre peuple, parfois à l’insu de ce dernier, clive la pensée en “bons” et “méchants”, exerce une propagande idéologique quotidienne, assure le contrôle de l’information de masse et renforce son désir d’extension par la guerre.

Tout ceci est plus ou moins visible et subtil, mais ce type de pouvoir ne gouverne que par complots.
Est paranoïaque, non pas celui qui dénonce cela, mais celui qui exerce ce type de pouvoir.

Le pouvoir pathogène se repère par ses injonctions paradoxales.

Il dit quelque chose et fait le contraire.
Il dit quelque chose et le lendemain, dit le contraire.
Il dit surtout, qu’au nom de la persécution qu’il subirait (et que, souvent, il met lui-même en scène), il doit persécuter.

N’y a t-t-il pas, en outre, une immense injonction paradoxale lorsque le pouvoir vous dit que, pour votre liberté, il va supprimer vos libertés ?
Enfin, le pouvoir paranoïaque persécute ceux qui s’opposent aux guerres, au nom de la « préservation de l’intérêt de la nation », nation dont il aura lui-même, de façon directe ou indirecte, organisé la persécution.

“La privation de l’intime”

(d’après le titre d’un excellent livre de Michaël Foessel)

Pour le bien et la sécurité de tous, le système paranoïaque s’arroge le droit de priver d’intime le groupe ou le peuple qu’il dirige.
Tout est espionné, contrôlé, surveillé, au nom d’idéaux dévoyés.
Lorsque des professionnels de santé ne sont plus en mesure de protéger les données de leurs patients puisqu’ils ne font pas partie des professions « protégées » des perquisitions arbitraires du pouvoir, la privation de l’intime devient très évidente. Est-ce pour votre sécurité ? Ou cela vous expose-t-il ?

Quant à ceux qui crient, face au système paranoïaque, que l’on peut bien les espionner, car ils n’ont rien à cacher… ils méconnaissent gravement les intentions du pouvoir paranoïaque qui sont de dévier l’intime pour le subvertir et le retourner contre toute forme d’opposition.
Quiconque a à cacher son intimité. L’intimité n’est pas uniquement sexuelle, elle est aussi émotionnelle, psychique etc.
Je dois pouvoir dans l’intime ressentir, réfléchir, écrire, débattre librement, sans un « œil de Moscou » – lequel est désormais transféré à Paris – qui surveille, tel un Surmoi archaïque prêt à condamner toute pensée personnelle et vivante, toute différence et toute créativité.

Peu importe que cette surveillance soit réelle, puisqu’elle est désormais ancrée dans le fantasme. Il en est de même pour la censure.
Elle est plus performante d’ailleurs lorsqu’elle est ancrée dans le fantasme.
Il est alors interdit d’exister dans sa subjectivité et chaque individu deviendra lui-même son propre gardien de prison.
Or, l’intime, c’est sacré. L’on protège ce qui est sacré.
Si l’on accepte qu’autrui intruse sa propre intimité, viole son intimité, qui est sacrée, l’on consent à tout profaner, à tout souiller.
Et c’est très grave.

Un pouvoir bienveillant effectivement ne vous fera pas de mal.
Mais un pouvoir bienveillant jamais ne s’autoriserait à venir fouiller chez vous, à vous espionner etc.
Un pouvoir qui espionne son propre peuple relève d’un pouvoir totalitaire, quelle que soit sa dénomination.
Car il faut soi-même ne pas avoir de barrières psychiques ni morales pour oser intruser l’espace intime de l’autre.

Quelques principes fondamentaux

Au cours de l’Histoire, les marionnettes visibles que l’on vous présente comme vos « gouvernants » (pire, « ministres » lesquels, étymologiquement, sont les « serviteurs » du peuple !) ont très souvent été manipulées par des puissants invisibles, de fins stratèges, qui ont eu le temps d’affiner plusieurs disciplines lors des siècles derniers : la stratégie, l’art de la guerre, la manipulation de masse (émotion, énergie, symboles, hypnose), l’ésotérisme, l’occultisme. Par exemple, Mazarin (et, à travers lui, les Jésuites) gouvernait dans l’ombre de Louis XIII puis de Louis XIV.

Tout est bon pour conquérir le pouvoir et le conserver.
Ces puissants vous connaissent souvent beaucoup mieux que vous-mêmes vous ne vous connaissez.
Ils savent comment faire réagir les masses.
De génération en génération, le savoir se transmet au sein de l’oligarchie qui entend conserver le pouvoir.

Quelques principes sont pourtant célèbres :

  • Diviser pour mieux régner
    L’ennemi du peuple est alors celui qui opère cette manipulation, et non celui qui est officiellement désigné comme son ennemi.
  • Unir contre un bouc émissaire
    L’idéal est le bouc émissaire intérieur, celui qui permettra d’asseoir un total contrôle de la population.
  • Créer artificiellement le sauveur et le persécuteur
    Celui qui vient vous sauver est en réalité à l’origine du problème, et vous sauver lui permet de gagner un surcroît de pouvoir.

La manipulation par la crainte et la pitié

L’humain produit comme émotions les plus puissantes ce que les Grecs anciens nommaient « la pitié » (entendre, l’empathie) et « la crainte » (la terreur).

S’il n’y a pas de théâtre pour les expulser, alors nous les expulserons dans le théâtre de la « vraie vie » et les masses seront manipulées de cette façon.
Car le théâtre c’est le jeu, et le jeu permet de créer des frontières entre le dedans et le dehors, et, précisément de ne pas jouer dans le réel la scène fantasmée.

C’est pour cela que le théâtre, chez les Athéniens, était un devoir citoyen : assister à une tragédie d’Eschyle ou d’Euripide revêtait la fonction citoyenne d’expulser ce trop-plein d’émotion d’empathie et de terreur, par identification au héros, dont Racine nous disait qu’il devait, pour que l’identification opère correctement, être « mi-coupable, mi innocent » (préface de Phèdre).

Les Anciens l’avaient parfaitement théorisé, sous l’angle de la « catharsis » conceptualisée par Aristote.

Ne nous étonnons pas que les Lettres Classiques soient désormais reléguées au rang d’enseignement pauvre de la « République » (le CAPES de lettres classiques ayant été supprimé, il était donc bien dans le projet de supprimer l’enseignement du latin et du grec) : il y a, dans le savoir des Anciens, dans la philosophie antique, des trésors de compréhension et d’entendement qu’il est désormais malvenu d’enseigner, de transmettre et de connaître.

De tout temps, ceux qui ont désiré exercer un pouvoir sur les peuples n’ont jamais été de gentils agneaux. Et jamais le loup ne vous avertira qu’il est un loup !

L’acculturation des masses fait partie du projet d’aliénation, et les individus doivent être conscients de cela.
Tout ce qui concourt à développer la subjectivité, l’imaginaire, la symbolisation, l’art, la culture, la pensée sera honni des pouvoirs d’essence totalitaire.

Parfois, il existe des gouvernants intègres, qui servent l’idéal plutôt que leurs ambitions personnelles, mais ceci est extrêmement rare.
Rare, parce que ceux qui désirent exercer un pouvoir pathogène sur les peuples ne leur permettent pas d’exercer longtemps le pouvoir (assassinats, meurtres déguisés en suicides, disqualification médiatique…).

Rare aussi, car, comme le disait Platon, ceux qui seraient les plus compétents et les plus sages pour exercer le pouvoir ne désirent précisément pas cette fonction.

Vigilance

Alors, plus que jamais, soyez vigilants face à la manipulation.
Elle se repère notamment par les paradoxes :

  • Au nom de la liberté d’expression, museler des citoyens et procéder à des perquisitions arbitraires, à des assignations à résidence qui empêchent le droit de manifester.
  • Au nom de la liberté et des droits, supprimer des libertés et des droits.
  • Au nom de la lutte contre le terrorisme, semer soi-même la terreur.
  • Au nom de la lutte contre la haine, cultiver et orienter le projet politique vers la haine.

Je rappelle sans cesse Staline et sa « constitution la plus démocratique du monde » en 1936, au même moment où il liquidait ses généraux…

Les interdits de penser

Le pouvoir d’essence paranoïaque censure, prohibe et stigmatise toute pensée différenciée.

Toute pensée qui sort des sentiers battus du dogme commun, sera rejetée, et exposera celui qui l’émet à la moquerie, à l’ostracisme, au bannissement.
Le véritable ennemi n’est pas l’enfant qui a été arraché à sa famille, traumatisé à maintes reprises pour être dissocié en plusieurs personnalités compartimentées manipulables, hypnotisé, endoctriné, et drogué, et qui, en zombie, commettra un attentat à la fleur de l’âge dans lequel lui-même mourra.

Le véritable ennemi est un système mortifère où s’invitent des psychopathes du pouvoir qui auront créé ce robot tueur.

Ne nous trompons pas d’ennemis en désignant des boucs émissaires. Soyons aujourd’hui, plus qu’hier, centrés, surtout si d’autres événements surviennent pour nous déstabiliser.

Travaillons plus que jamais notre sentiment de sécurité intérieure, ne nous laissons ni conseiller ni guider par et vers la peur.

Revenons simplement à l’analyse de ce que nous servons.

Servons-nous des énergies positives de construction, de vie, ou servons-nous désormais des énergies de mort ?

Il existe deux vérités universelles, qu’il est bon de rappeler :

  • La peur engendre toujours la violence (et vice-versa)
  • La haine engendre toujours la haine.

La réalité est systémique, tout fonctionne en miroir et par des processus.
Ainsi, en toute chose qui nous arrive, il est préférable de nous demander “comment ai-je pu y participer ?”

Lorsque j’étais en khâgne, j’avais eu pour sujet de dissertation philosophique « Pourquoi les religions opposent-elles les hommes ? », et j’en avais tiré une conclusion que je ne dénierai pas aujourd’hui : ce ne sont pas les religions qui opposent les hommes, c’est l’instrumentalisation politique et cachée qui les infiltre.

Je connais beaucoup de musulmans meurtris qui ne demandent qu’à pratiquer leur religion en paix, dans la quiétude spirituelle du rapport de l’humain à l’infini qui le dépasse.

Le reste est intégriste, inquisitorial, fanatique et n’a rien à voir avec des Prophètes de paix, comme l’Inquisition en son temps n’avait rien à voir avec le Christ.

Que les textes religieux soient trafiqués a posteriori, pour servir des intérêts de manipulation politique, ce n’est pas nouveau non plus !
Nous voilà face au même scenario, en inversé, que celui qui avait été monté de toutes pièces lors des croisades en infiltrant la religion chrétienne. Ne soyons pas dupes.

Comme si les religions pouvaient s’exporter par la guerre, surtout qu’elles demandent l’adhésion libre du croyant, ceci est un parfait non-sens. Comme si la foi pouvait s’imposer par la force !

En revanche, le pouvoir pathogène, quant à lui, s’exporte bien par la guerre et exulte dans ces rapports de force et de domination.
Et la soumission au dogme unique comporte bien la marque de la paranoïa.

Toute vie humaine est courte sur terre, et nous venons y apprendre à aimer, à vivre, à goûter de la joie et de la beauté, à rencontrer l’harmonie.

  • Ne nourrissez pas la guerre,
  • N’appelez pas la guerre,
  • Ne désirez pas la guerre,
  • Refusez de payer la guerre,

Cette guerre dans laquelle d’autres veulent nous emmener pour leur propre intérêt et leur propre jouissance sadique.

Je suis bien triste aujourd’hui d’avoir à écrire tout cela.

Je vous souhaite de passer d’excellentes fêtes de fin d’année, dans la chaleur, le partage et la communion fraternelle.

Le 29 décembre 2015.
Ariane Bilheran, psychologue, et auteur de Manipulation. La repérer, s’en protéger (Paris, Armand Colin, 2013), de Se sentir en sécurité (Paris, Payot, 2013), et de Soyez solaire ! (Paris, Payot, 2015).


Voir aussi : Hold-Up




Danemark : la loi sur la vaccination forcée abandonnée après des manifestations publiques

[Source en anglais : InfoWars]

Au Danemark, une loi qui aurait donné aux autorités le pouvoir d’injecter de force un vaccin contre le coronavirus a été abandonnée après neuf jours de manifestations publiques.

La «loi sur l’épidémie» aurait donné au gouvernement danois le pouvoir de promulguer des mesures de quarantaine obligatoires contre toute personne infectée par une maladie dangereuse, mais c’est la partie concernant les vaccinations qui a provoqué le plus grand tollé.

Au Danemark, le gouvernement national a proposé une nouvelle loi sur les épidémies qui inclut le droit de procéder à des examens physiques forcés, oblige l’isolement et autorise la vaccination sous contrainte physique dirigée par la police.
Les gens ont résisté.
La proposition a été abandonnée.
Bravo, Danemark.

« L’autorité sanitaire danoise serait en mesure de définir des groupes de personnes qui doivent être vaccinées afin de contenir et d’éliminer une maladie dangereuse », rapporte la section locale.

« Les personnes qui refusent ce qui précède peuvent — dans certaines situations — être contraintes par la détention physique, avec l’autorisation du recours à la police. »

Cependant, après neuf jours consécutifs de protestations contre la nouvelle loi, elle a maintenant été abandonnée.

https://twitter.com/robinmonotti/status/1327588831659483137
DANEMARK : 9 jours de manifestations contre une nouvelle loi qui « permettrait de définir les groupes de personnes qui doivent être vaccinés. Les personnes qui refusent ce qui précède peuvent être contraintes par la détention physique, avec l’autorisation du recours à la police. »

Avec un vaccin contre le coronavirus en vue, les gouvernements du monde entier réfléchissent aux mesures punitives à prendre contre ceux qui refusent de le prendre.

La semaine dernière, nous avons souligné comment Ticketmaster et les compagnies aériennes envisagent d’interdire aux gens d’entrer sur les sites et de voler s’ils ne peuvent pas prouver qu’ils ont pris le vaccin.

Ainsi, [même] si les manifestations publiques peuvent empêcher les autorités de procéder à des vaccinations forcées, les personnes qui refusent de se faire vacciner peuvent trouver quasiment impossible de profiter de tout type de vie sociale, d’utiliser les transports publics ou même de trouver un emploi.




100 mauvaises raisons de ne pas agir

[Source : http://polemique.roman-livre.com/les-reponses-en-direct-a-vos-questions/#reponses1]

Extrait des réponses de Rémy aux diverses questions qui lui sont posées :

« Vous n’avez pas l’air très sérieux » ou les 100 bonnes raisons de ne pas bouger le petit doigt

Vous avez remarqué le nombre de personnes qui ont toutes sortes de choses à dire pour ne surtout rien faire ?

Rémy a relevé pour vous, depuis des années, leurs bonnes raisons de ne pas agir. C’est une jolie litanie qui, avec le recul, a quelque chose de touchant. Et de drôle, naturellement.

Il écrit:

« Le grand dissident russe Boukovsky (qu’il a eu l’honneur de rencontrer totalement par hasard) avait joliment listé les raisons de ne surtout pas bouger le petit doigt qu’on avait pu lui opposer, auxquelles il avait eu le temps de réfléchir, en prison, pendant que ses « camarades » étaient dehors, planqués.
Ces camarades, c’est ceux qui critiquent et glosent encore, cette fois-ci, alors qu’on leur propose de faire le boulot à leur place.

On me dit « vous n’êtes pas sérieux, c’est manipulateur, ça ne marchera pas etc. » Il y a ainsi des tas de raisons pour disqualifier d’avance tout effort, que les circonstance en fait rendent absolument obligées: alors qu’il FAUT agir et qu’il n’y a AUCUN MOYEN d’y échapper, vous avez encore des gens qui en causent… et critiquent cette conclusion; et vous en même temps.

Hommage donc aux pleutres qui se refusent à entrer dans l’action. Ils sont ulcérés par les événements, scandalisés, hors d’eux, mais dès qu’on leur dit: « engage-toi avec nous », ils discutent et cherchent par mille moyens de se tirer d’affaire sans une égratignure :

– « vous n’êtes pas sérieux »:

si, parfaitement, pourquoi ?

– « ça ne marchera pas » :

  1. – avez-vous travaillé autant la question que nous ?
  2. – il faut faire quelque chose et ceci est le plus sûr d’y arriver, avez-vous une autre option ?
  3. – avez-vous évalué scientifiquement les probabilités d’échec ? En fait, vous dites cela sans savoir.

– « C’est manipulateur »:

recruter, mobiliser, ça  fait bouger des gens. C’est ce que vous appelez « manipuler » ?

« Qui êtes-vous et qui représentez-vous ? »

(comme si un réseau allait balancer son organigramme)

– « Quels sont vos moyens ? »

(sous-entendu « si je ne touche pas un énorme armement, je ne ferai rien » : on pense aux soldats allemands qui sur le Front de l’Est ont été des lions sans presque plus de munitions)

– « Quel serait mon grade ? »

(ceux-là, ils ne se mouchent pas du pied)

– « ce genre d’action ne contribuera pas à la victoire »

(assertion gratuite mais qui marque bien son lâche).

– « Les pouvoirs publics se feront un plaisir de reconstruire voire de poursuivre leur propagande ailleurs »

(autrement dit laissez tout faire car sinon l’ennemi recommencera, c’est l’argument de la soumission).

– « Faites-les tomber et d’autres seront plus sévères, évitons donc de bouger »

(argument qu’on trouvait fréquemment en Chine, quand la population protégeait un tyran de crainte qu’un autre arrivant soit pis).

– « Les actions éventuelles seront instrumentalisées pour faire passer leurs auteurs pour des brutes assoiffées de sang »

(là, c’est le demi-portion qui craint pour sa réputation tandis que le pays est à feu et à sang).

– « Le public ne sachant pas suffisamment de quoi il retourne ne pourra pas comprendre les motivations réelles »

(comme si le public avait jamais eu quelconque participation au succès d’une révolution ou d’une contre-révolution, et qu’il importait réellement sur le plan tactique; le public a toujours suivi le gros des événements sans sourciller, quoiqu’en maugréant – ce qui n’a strictement aucune importance en fait).

– « Il y aura répression : ils ne se gêneront pas pour ajouter des caméras et fliquer la population encore plus ! »

(sans blague, et ce n’est pas le cas ? il y en a déjà et chacun est en résidence surveillée, mais celui-ci pense que ça peut être pire ; et comme ça peut toujours être pire, il a toujours un argument pour que ça n’aille pas plus loin. Chaque année, tandis que ça se dégrade, il répète : « ça pourrait être pire. » Pendant la guerre, un couple de paysans gardait un jambon de côté, « au cas où ce serait pire ». Naturellement, les mois passant et les choses empirant, il ne l’a jamais mangé ; c’est un voisin qui l’a volé)

– « Il faudrait une sacrée organisation derrière »

(c’est faux, Trotsky a renversé le régime avec 50 hommes, mais c’est sous-entendu « en aucun cas je n’ai l’intention de m’y mettre, ne serait-ce que de commencer, c’est trop fatigant. »)

– « Imaginons qu’un drame se déroule au cours de l’action, : ce serait catastrophique par rapport à la population »

(la population est déjà persécutée, arrêtée, éborgnée, avortée, rackettée, violée, assassinée, décapitée, génocidée plus qu’en temps de guerre mais pour celui-ci, un incident serait épouvantable. On est admiratif du niveau de confort moral de certains…).

– Idée répandue que la révolution intellectuelle précède toujours la révolution physique, c’est presque un théorème; qui d’ailleurs donne à penser qu’on a affaire à un haut niveau de doctrine.

Hélas, c’est faux et Trotsky, comme beaucoup d’autres, Garibaldi par exemple, a montré que l’action et les faits étaient bien plus puissants que « la pensée » ou la conquête intellectuelle, et qu’en plus, le monde intellectuel penchait toujours systématiquement du côté du plus puissant, étant conformé ainsi, on l’a vu sous le joug anglais, sous les Prussiens, sous les Cosaques, sous les Huguenots, sous les Allemands, et bien avant encore au temps des Mérovingiens, des invasions barbares, de Rome, etc.)

– « Je peux t’affirmer que tant que tu n’auras ni le pouvoir, ni les moyens financiers de leur offrir une alternative sécurisante concrète (travail-activité, maison, nourriture, divertissement, locomotion), les gens ne rejoindront pas notre camp ».

Comment ça « notre camp » ? tu refuses de t’engager et tu parles de « notre camp » ? Mais tu es dehors, pour l’instant, tu es un gars de l’arrière. Cela dit, on a bien entendu. Tu es le gars qui avoue carrément à quel point il est vénal.

– « Pourquoi vous ne feriez pas (telle chose) ? »

Réponse: « Très bien, c’est d’accord, nous vous confions la tâche de le faire ». Hop, le gars disparaît.

– « Pour un blanc massacré, il en faut 100 dans le caniveau ! » Quelques déclarations guerrières semblables. Réponse : « D’une part, ce n’est pas vraiment ce qui arrangera nos affaires car ça ne changera pas le mouvement des choses, c’est au sommet qu’il faut agir. Mais d’autre part, si vous tenez à cette option, vous commencez quand ? »

(bien sûr, cette charmante personne ne répond ni sur le premier, ni sur le deuxième point).

– « Il m’est impossible d’engager ma vie entière sur la base d’un échange de messages sans savoir qui est qui »

(personne n’a demandé une telle chose, et cependant toutes les résistances sérieuses ont commencé par un premier contact).

« Personne de sérieux ne va s’engager dans une telle démarche » :

en réalité, c’est encore la trouille qui domine ces arguties.

Mais Boukovsky ajoutait d’autres motifs (et il en a entendu des centaines) :

– Que puis-je faire seul?

(Si tout le monde s’y mettait, alors moi aussi…)

– Si ce n’est pas moi, ce sera un autre

(et moi, cela vaut mieux, je ferai moins de mal).

– Pour sauvegarder l’essentiel, il faut faire des compromis, des concessions et des sacrifices

(C’est ainsi que l’Eglise orthodoxe considère qu’elle doit faire des concessions pour se conserver elle-même. Et ces concessions ont été sans fin, à telle enseigne que maintenant c’est le K.G.B. qui nomme les prêtres et que ceux-ci, du haut de l’ambon, font des suppliques pour la santé des dirigeants soviétiques. C’est ainsi également que l’écrivain désireux de voir publier son œuvre, si nécessaire aux lecteurs, accepte de rayer une petite ligne par-ci, d’ajouter un paragraphe par-là, de changer la fin, de retirer un personnage, de modifier son titre, moyennant quoi l’essentiel a disparu ! Ça m’est égal, dit fièrement notre écrivain, à telle page, il y a une allusion et mon héros négatif dit TOUT, à peu près ouvertement ; ensuite, c’est vrai, il se rééduque et dit exactement le contraire.)

– Il faut servir la Russie. Les communistes disparaîtront d’eux-mêmes, un jour ou l’autre

(ces propos sont particulièrement répandus chez les savants et les militaires).

– Il faut servir les valeurs éternelles, créer les valeurs impérissables de la science et de la culture, et toutes ces protestations (ce remue-ménage de souris) ne font que vous écarter de ce service.

On a là une hauteur de vue qui écarte en même temps du moindre danger…

  • – Il ne faut, en aucun cas, protester ouvertement c’est de la provocation, cela ne fait qu’irriter les autorités et cela retombe ensuite sur les innocents.
  • – Les protestations publiques font le jeu des partisans de la ligne dure du Politburo et empêchent les colombes de procéder à la libéralisation.
  • – Les protestations publiques entravent les progrès de la libéralisation que l’on ne peut réaliser qu’à l’aide d’une grande politique et d’une diplomatie secrète.
  • – Protester pour des vétilles, c’est seulement se démasquer. Il faut se cacher. Quand viendra le moment décisif, alors oui. Mais, en attendant, camouflons-nous.
  • – Oui, mais pas maintenant, maintenant, c’est le plus mauvais moment ma femme est enceinte, mes enfants sont malades, il faut d’abord que je soutienne ma thèse, mon fils doit entrer à l’université…

(Et ainsi de suite… jusqu’à la fin de la vie.)

  • – Plus ça ira mal, mieux ce sera. Il faut pousser sciemment toutes les inepties du régime jusqu’à l’absurde. Tant que la coupe ne débordera pas, le peuple ne comprendra pas ce qui se passe.
  • – La Russie est un pays d’esclaves. Jamais les Russes n’ont eu de démocratie, et ils n’en auront jamais. Ils n’en sont pas capables. Ce n’est même pas la peine d’essayer. Avec notre peuple, on ne peut pas faire autrement.
  • – Le peuple garde le silence. De quel droit une poignée de mécontents s’expriment-ils ainsi ? Qui représentent-ils ? Ils expriment l’opinion de qui?

J’ai même entendu ce raisonnement:

  • – Vos protestations induisent en erreur l’opinion mondiale. Les Occidentaux peuvent penser que nous avons la possibilité de nous exprimer ouvertement ou de changer quoi que ce soit, vous faites donc le jeu de la propagande soviétique.
  • – Il faut faire carrière tranquillement, parvenir jusqu’au sommet et, de là, d’en haut, tenter de faire quelque chose d’en bas, on ne fera jamais rien.
  • – Il faut gagner la confiance des conseillers et des dirigeants, les éduquer et les instruire discrètement. C’est seulement ainsi que l’on pourra influer sur la marche de l’Etat.
  • – Vous protestez mais, moi, je ne le ferai pas. Il faut bien que quelqu’un reste en vie pour témoigner (j’ai entendu cela au camp, avant une grève de la faim.)
  • – S’il y avait une nouvelle théorie, à la place du marxisme, pour entraîner les gens, alors oui… Mais sur le seul refus, on ne construira rien.
  • – C’est le ciel qui a envoyé le communisme à la Russie pour la punir de ses péchés, et ce serait pécher que de s’opposer au châtiment divin.

Et ainsi tout le monde, depuis les membres du Politburo, les académiciens et les écrivains jusqu’aux ouvriers et aux kolkhoziens, se trouve une justification. D’ailleurs, le plus souvent, les gens croient sincèrement exprimer leurs véritables sentiments. Rares sont ceux qui reconnaissent qu’ils ne font qu’alléguer un prétexte pour se justifier et qui avouent honnêtement qu’ils ont tout simplement peur des mesures répressives. Je n’ai rencontré dans ma vie qu’une seule personne qui m’ait dit que l’Etat communiste faisait parfaitement son affaire : il lui permettait de gagner de l’argent en écrivant toutes sortes de boniments démagogiques dans les journaux. « Dans un Etat normal, on ne me permettrait pas d’approcher de la presse, même à une portée de canon ! Alors, qu’est-ce que je ferais ? Je serais débardeur en forêt ? »

Pour finir, seuls les Vrais-Orthodoxes (membres d’une secte qui s’est séparée de l’Eglise officielle et ne reconnaît pas l’Etat soviétique qu’elle considère comme une émanation du diable) ne soutiennent en aucune façon notre système d’oppression. Mais ils sont peu nombreux, et ils sont tous en prison…




Élections US. Trump est-il un piège ?

[Source : Rémy Daillet-Wiedemann]

https://youtu.be/7bpdysEz6cU



Questions à Monsieur Rémy Daillet-Wiedemann

[Source : Éric Perroud]

TOP INFO Questions à Monsieur Rémy Daillet Wiedemann


[Note de Joseph : j’ai pour ma part demandé, le 29 octobre, par courriel et sur le site même de Rémy Daillet-Wiedemann ce qu’il répondra à la vidéo suivante : 
https://www.youtube.com/watch?v=AWafr8-rZtU.
Je n’ai pour l’instant reçu aucune réponse.

Pour autant, « Faut-il se fier outre mesure à la réaction émotive de ce type de vidéo qui juge de manière superficielle sur la base de réponses antérieures de l’individu à des problèmes spécifiques, alors que depuis lors il peut avoir adopté une nouvelle approche et avoir mûri ? »

Nous ne sommes pas dans les bottes d’une autre personne. Nous ne pouvons guère évaluer son degré d’honnêteté, de sincérité, de transparence, de courage, etc. que par ses actions.]




Les confinements n’ont pas réduit la mortalité due au COVID, mais ils ont tué des millions d’emplois

[Source : Anguille sous roche]

Au début du covid-19, au printemps, les responsables gouvernementaux de tout l’éventail politique ont largement reconnu que l’intervention du gouvernement et la fermeture forcée de nombreuses entreprises étaient nécessaires pour protéger la santé publique.

Cette approche a clairement échoué aux États-Unis car elle a entraîné une dévastation économique généralisée, notamment des millions d’emplois perdus, des faillites et des pertes de rentabilité extrêmement graves. De même, les États qui ont imposé un confinement strict n’ont pas réussi à faire baisser le nombre de décès par million par rapport aux États qui étaient moins stricts.

Par conséquent, quelques mois après le début de la pandémie, certains gouverneurs ont pesé les coûts économiques concurrents avec l’endiguement du covid-19 et ont lentement rouvert leurs économies. Bien entendu, ces gouverneurs n’ont pas imposé la réouverture des entreprises, mais ils leur ont donné la possibilité de le faire.

L’hystérie s’ensuivit, car beaucoup considéraient l’assouplissement des restrictions comme une sorte de meurtre de masseThe Atlantic a qualifié l’assouplissement des restrictions du gouverneur géorgien Brian Kemp de « sacrifice humain » et a fait référence aux Géorgiens comme étant dans une « étude de cas d’exception pandémique ». Nous devrions plutôt considérer les confinements comme une étude de cas de l’échec d’approches musclées pour contenir un virus hautement infectieux.

Maintenant que nous sommes à neuf mois de cette pandémie, nous avons une image plus claire de la grande diversité des approches des gouvernements des États. Il est clair que les économies « réouvertes » se portent globalement beaucoup mieux que les économies moins « réouvertes ». « Grâce à une réouverture plus large et plus rapide des économies après l’éruption initiale du coronavirus, les États rouges à tendance conservatrice sont dans l’ensemble bien plus efficaces que les États bleus à tendance libérale pour ce qui est de remettre les gens au travail »écrit Carrie Sheffield. Cela est logique, surtout si l’on considère que les êtres humains apprennent à s’adapter très rapidement. Nous en avons maintenant appris beaucoup plus sur le traitement de ce virus et sur les personnes les plus exposées au risque d’infection.

Tout le monde ne peut pas ##RestezChezVous

Malgré cela, de nombreux partisans du confinement affirment toujours que chaque infection de Covid est un échec de la politique publique. Mais cette position est en grande partie un luxe pour les cols blancs qui peuvent se permettre de travailler à domicile. Les confinements ont été décrits comme « la pire agression contre la classe ouvrière depuis un demi-siècle ». Martin Kulldorff, un biostatisticien, déclare que « la classe des cols bleus est dehors en train de travailler, y compris les personnes à haut risque dans la soixantaine ». Le collègue de Kulldorff, Jay Bhattacharya, note que l’une des raisons pour lesquelles « les populations minoritaires ont eu une mortalité plus élevée aux États-Unis à cause de l’épidémie est qu’elles n’ont pas souvent la possibilité… de rester chez elles ». En effet, les politiques descendantes de confinement sont « régressives » et reflètent une « monomanie », dit le Dr Bhattacharya. En gardant cela à l’esprit, on comprend aisément pourquoi les Américains les plus riches ont tendance à considérer les mesures restrictives comme la réponse appropriée.

Pour de nombreux Américains, les périodes prolongées sans emploi rémunéré, sans revenu ou sans interaction sociale sont non seulement impossibles mais potentiellement mortelles. Martin Kulldorff note que les restrictions liées au covid-19 ne tiennent pas compte des questions de santé publique plus larges et créent des dommages collatéraux ; parmi ces dommages collatéraux, on trouve « une aggravation de l’incidence des maladies cardiovasculaires et du cancer et un déclin alarmant de l’immunisation ». Le Dr. Bhattacharya note à juste titre que la société « comptera les dommages à la santé causés par ces restrictions pendant très longtemps ».

Messages contradictoires

Bhattacharya a souligné la politisation de ces restrictions :

« Lorsque les manifestations de Black Lives Matter ont éclaté au printemps, “1 300 épidémiologistes ont signé une lettre disant que les rassemblements étaient conformes aux bonnes pratiques de santé publique” », alors que ces mêmes épidémiologistes ont affirmé que « nous devrions essentiellement mettre en place une quarantaine ».

Une telle contradiction défie la logique et contredit les arguments sur la létalité de ce virus. Si ce nouveau virus était vraiment aussi dévastateur pour le grand public qu’on l’annonce, alors les dirigeants politiques qui soutiennent les protestations et les émeutes de masse pendant une pandémie semblent mal fondés. Cette contradiction a été citée dans d’innombrables procès contestant la validité et la constitutionnalité des restrictions relatives au covid-19.

Par ailleurs, ces restrictions souvent sévères ont visé des droits protégés par la Constitution, comme la liberté de religion. Le juge de la Cour suprême Samuel Alito a critiqué les restrictions du gouverneur du Nevada en déclarant : « que le Nevada fasse une discrimination en faveur de la puissante industrie du jeu et de ses employés n’est peut-être pas une surprise… Nous avons le devoir de défendre la Constitution, et même une urgence de santé publique ne nous dispense pas de cette responsabilité. » Cette critique cinglante n’a cependant pas obtenu le soutien de la Cour suprême, car une majorité de 5-4 s’est reportée sur la « responsabilité du gouverneur de protéger le public en cas de pandémie ».

Les pires délinquants de l’État et de la région

Une telle déférence peut être politiquement bénéfique pour la Cour suprême, mais elle pose un problème beaucoup plus important pour les libertés fondamentales. D’une part, nombre de ces restrictions ont été imposées par des gouverneurs d’État ou des organismes administratifs plutôt que par des moyens démocratiques. Le gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer, a été pris pour cible en raison de son contournement continu des canaux démocratiques et de son approche descendante.

Ces restrictions sont quelque peu insignifiantes si elles ne sont pas appliquées et si elles ne bénéficient pas de ressources suffisantes. C’est pourquoi de nombreuses grandes villes américaines ont créé des groupes de travail pour faire appliquer ces restrictions. Par exemple, le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a menacé de fermer les services publics pour ceux qui organisent de grandes fêtes à domicile. Garcetti veut traiter les rassemblements privés de la même manière que les bars et les boîtes de nuit qu’il a fait fermer de force. Non seulement c’est ridicule, mais c’est aussi autoritaire ; il y a eu peu de contrôles sur sa capacité à armer les services publics de cette façon. Le bureau du shérif de la ville de New York a récemment « arrêté une fête de plus de 200 personnes qui bafouaient les restrictions sur le coronavirus ». Leur crime ? Les députés ont trouvé environ deux cents individus sans masque « dansant, buvant et fumant du narguilé à l’intérieur ». Le propriétaire de l’endroit a « reçu cinq citations à comparaître… pour violation d’ordonnances d’urgence, vente d’alcool sans licence et entreposage d’alcool sans licence »Que ferions-nous sans le gouvernement ?

Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a longtemps participé à cet effort de restriction des libertés sous couvert de santé publique. Le gouverneur Newsom et le ministère californien de la santé publique ont publié de nouvelles directives de « sécurité » pour tous les rassemblements privés pendant les vacances de Thanksgiving. Selon Newsweek« tous les rassemblements ne doivent pas inclure plus de trois ménages, y compris les hôtes et les invités, et doivent se dérouler en plein air, pendant deux heures ou moins ». Étant donné les tendances interventionnistes de Newsom, il est probable que ces restrictions seront appliquées. Comment le gouvernement déterminera-t-il le nombre de ménages participant à un repas de Thanksgiving et qui fera respecter la fenêtre de deux heures ? Ce sont des questions que les journalistes devraient se poser.

En attendant, les différents niveaux de reprise économique entre les États rouges et les États bleus montrent à quel point la politique descendante peut être un échec. Des confinements stricts ont dévasté les revenus de millions de familles tout en ne parvenant pas à supprimer la mortalité due aux maladies infectieuses. Il faut mettre fin à cette expérience ratée.




Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe

[Source : Minurne Résistance]

[Auteur :] L’Imprécateur

[NdNM : un texte qui date de 2015, mais conserve un intérêt informatif.]

François Hollande déclare que nous sommes en guerre au cœur même de la France (depuis longtemps, mais il ne s’en était pas encore aperçu). Il décide de fermer les frontières, annonce des ripostes implacables, réunit le Congrès à Versailles pour lui dire que sa riposte implacable consiste en une révision de la Constitution que tous les juristes en droit constitutionnel estiment inutile et irréaliste (une idée de l’un des énarques qui  conseillent l’Élysée, sans doute).

On se dit qu’il a enfin compris qu’en ouvrant grand les portes de l’immigration il a aussi ouvert la France aux terroristes islamistes, on se réjouit de le voir en général des Armées. C’était mal le connaître. À peine sorti du Congrès, il annonce que la France accueillera 30.000 « réfugiés » de plus d’ici la fin de son quinquennat ! Comme le disait le général Dourakine, « Un âne à deux pieds peut devenir général et demeurer un âne ».

Il est faux de croire que cette persévérance de François Hollande dans l’erreur est gratuite ou le résultat de l’auto-adoration de son intelligence qu’il croit très grande. En fait, il n’est que le grouillot d’institutions supranationales peu voyantes, souvent partiellement noyautées par la Franc-maçonnerie, comme Nouvel Ordre Mondial, Trilatérale, Bilderberg, FAF*, etc. Elles ont en commun, outre le contrôle de la finance mondiale, l’application du Plan Kalergi pour l’Europe.

FirefoxSchermSnapz002

Quand on connait ce plan, toute la politique sociétale, misérabiliphore (délibérément porteuse de misère) et immigrationniste des deux gouvernements Hollande s’explique. La presse européenne ne vous en parlera pas, c’est un secret d’États européo-germano-français dont Angela Merkel est le maître d’œuvre en Europe, avec ses secrétaires l’ex-président de la Commission européenne Van Rompuy et son successeur Jean-Claude Juncker. D’ailleurs, en 2010, c’est à Mme Merkel qu’est revenu le premier prix de la Société Européenne Coudenhove-Kalergi, puis en 2012 à Von Rompuy et en 2014 à Juncker.
Un prix très recherché par la super-élite mondialisée. Mais de quoi s’agit-il ?

Le comte Richard Nikolaus Enjiro von Coudenhove-Kalergi est un métis de père autrichien et de mère japonaise, né à Tokyo en 1894, qui a fait de brillantes études et conçu, dès les années 1920, l’idée de l’Europe des Nations. C’est le véritable père fondateur de l’Europe, bien avant Jean Monnet, Robert Schumann et leurs successeurs. Ils ont repris quasiment in extenso les idées qu’il a publiées dans ses livres : marché commun, politique agricole commune, monnaie unique… promettant mais oubliant celles qui les gênaient : fiscalité commune, harmonisation sociale, Communauté Européenne de Défense, entre autres, dont ils craignaient qu’elles leur fassent perdre une partie de leur pouvoir sur les peuples et freinent leur enrichissement personnel.

Oublié aujourd’hui, Coudenhove-Kalergi fut autrefois très célèbre et écouté de nombreux Chefs d’État. Il fut même proposé à plusieurs reprises pour le Prix Nobel de la Paix. En 1939 il proposa un projet d’Europe dont les grandes lignes sont : une Europe où les peuples seraient à égalité ; suffisamment soudés pour pouvoir tenir tête aux trois autres blocs, USA, URSS et Chine ; allant au-delà de la simple union économique et monétaire ; avec une forte armée commune qui aurait facilité la mixité culturelle des peuples européens blancs, chrétiens de culture gréco-romaine ; garantissant l’indépendance et l’intégrité de tous les États associés (Europe des Nations) ; développant une mystique européenne fondée sur : a) la culture classique européenne, b) la foi chrétienne, c) la conception de l’honneur des chevaliers médiévaux. « De même que dans tout être vivant le corps est façonné par l’âme, de même le corps de l’Europe ne naîtra que sous l’impulsion d’un esprit européen ».

Et il insiste : l’Europe doit être une Europe majoritairement blanche, chrétienne : tendance sociale et humanitaire chrétienne, foi chrétienne portée par un esprit héroïque et chevaleresque, afin qu’elle reprenne son rôle à la tête de la planète (L’Europe de demain, Conférence du 17 mai 1939 à l’hôtel Ambassadeur à Paris). Cette définition d’une Europe des Nations, réunissant les peuples européens, blancs, de civilisation chrétienne, excluant les pays communistes et musulmans, a mis les gauches européennes en fureur. Elles ont haï Coudenhove-Kalergi jusqu’au moment ou elles ont trouvé le moyen de récupérer son projet pour une faire un plan totalement détourné de l’original, un plan effroyablement raciste que l’on attribue à tort à Kalergi. Elles l’ont même accusé de nazisme, alors qu’il était marié à une juive, détesté de Hitler, et qu’il a fui le régime hitlérien en fin d’année 1939 en se réfugiant aux États-Unis jusqu’à son retour en France en fin d’année 1945.

En 1966, au Xème Congrès paneuropéen à Vienne, il se déclare déçu par l’orientation prise par l’Europe naissante, la fonctionnarisation du Conseil de l’Europe et du Parlement européen, demande une politique étrangère commune afin de tenir tête aux États-Unis pour pouvoir arrêter d’être toujours à la remorque des États-Unis et de l’OTAN dont il demande la restructuration, et un renforcement de la coopération technologique intra-européenne afin de faire de l’Europe la première puissance économique du monde. Il meurt peu de temps après en 1972.

paneuropa

Souvenons-nous que c’est l’époque de “l’Europe des Six” à laquelle les peuples étaient très favorables dans cette version proposée par Coudenhove-Kalergi qui avait eu pour résultat la prospérité inégalée des Trente Glorieuses (1946-1976) et la paix, ou l’absence de guerres, dans cette Europe non-communiste (pas d’Europe de l’Est) et non-musulmane (pas de Macédoine, Albanie, Croatie, Kosovo). De plus, Coudenhove-Kalergi avoue douter de la volonté des dirigeants de l’époque d’aller vers l’Europe des Nations.

À peine Kalergi mort (en 1972), la Commission Européenne entreprit, dès 1973, d’élargir l’Europe des Six (qui fonctionnait si bien), en recrutant de nouveaux pays, jusqu’à arriver aux 28 d’aujourd’hui, et cette Europe qui fonctionne si mal qu’une majorité d’Européens n’en veut plus.

C’est peu après, en 1978, six ans après la mort de Coudenhove-Kalergi, qu’apparaît le Plan Kalergi que certains tentent de faire remonter à 1922, alors que le premier livre de Coudenhove-Kalergi, Paneuropa a été publié en 1923. On lui attribue le Plan Kalergi. Il porte son nom, mais il est permis de penser qu’il s’agit d’un faux et que les auteurs ont cherché à utiliser sa notoriété pour dissimuler leur projet néo-nazi. En effet, les rédacteurs du Plan s’appuient surtout sur son livre Praktisher idealismus, mais quand on a lu ce livre, on s’aperçoit vite que l’on ne retrouve dans le Plan Kalergi que des bouts de citations tronquées, sorties de leur contexte, sans références directes et qu’il va totalement à l’encontre de la philosophie du père de l’Europe des Nations.

En effet, selon le prétendu Plan Kalergi, l’Europe ne serait que le premier pas vers un gouvernement mondial sous autorité américaine, exactement l’inverse de ce que voulait Kalergi . Pour réaliser ce “Nouvel Ordre Mondial”, il faut une super-élite et des peuples-bétails soumis par la pauvreté et disciplinés par la contrainte (du pur Orwell) encore exactement le contraire de ce qu’a enseigné toute sa vie Kalergi qui vantait le modèle démocratique et économique suisse. Et c’est là, dans ce projet de nouvel ordre mondial, que l’on retrouve le modèle d’Europe que veut construire avec obstination Angela Merkel, avec le renfort de la Commission européenne présidée par Juncker, et la collaboration de Hollande.

Les dernières moutures du Plan Kalergi en font carrément le Plan du Nouvel Ordre Mondial qui veut la disparition des races jusqu’à effacer le mot même (c’est fait, au moins dans le Larousse !) pour arriver à une espèce unique, monochrome, métisse et abâtardie, dominée par la super-élite, celle-ci étant réduite aux socialistes et aux juifs qui auraient seuls la nationalité de la Nouvelle République Mondiale, le peuple restant apatride pour qu’il oublie à la longue  le mot « Patrie ».

img443

Dans le Plan Kalergi dernière version, il faudrait, pour soumettre les peuples européens, un binôme germano-français qui imposerait sa volonté aux autres pays. Il faudrait remplacer les peuples originaires du Vieux Continent par une sorte de sous-humanité issue de mélanges raciaux en croisant les peuples européens avec des Asiatiques, des Arabes et des Noirs, pour créer un troupeau multiethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour l’élite au pouvoir. « L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Égyptiens, remplacera la multiplicité des peuples ». Et encore : « abolir le droit à l’autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes et l’immigration allogène de masse <…> favoriser les sexualités déviantes, homosexualité (mariage pour tous) et pédophilie (via les enseignants), et détruire la famille traditionnelle (nuire à la Manif Pour Tous) <…> prendre le contrôle et acheter la docilité de la presse en rachetant les titres (Bergé, Niel, Pigasse, etc.) et en les subventionnant <…> jouer sur la fibre humanitaire pour augmenter les impôts, ruiner les classes conservatrices et justifier les restrictions des libertés (Loi sur le Renseignement) », etc.

Aujourd’hui on pourrait ajouter « jouer sur la fibre écolo pour augmenter les impôts » !

Ne cherchez pas d’autres explications aux déclarations de JC Juncker, nouveau président de la Commission européenne qui se dit « déçu » de ce que les peuples refusent d’accueillir et de financer le torrent des “réfugiés”…

« Il ne faut pas se laisser aveugler par la pensée populiste <…> C’est notre devoir de les accueillir » 

(Hollande) ;

« Nous avons le défi du métissage à relever et nous le relèverons » 

(Sarkozy) ;

« Nous pouvons accueillir 800 000 réfugiés dès cette année » 

(Merkel) ;

« Je suis déterminé à trouver des solutions collectives pour relever cet immense défi » 

(Valls) ;

« J’ai décidé d’en accueillir 30.000 de plus » 

(Hollande) ;

« La véritable question est de savoir si oui ou non nous sommes prêts à continuer à assurer notre tradition d’accueil et en particulier vis-à-vis de la communauté musulmane. Moi, naturellement, je réponds oui à cette question » 

(Juppé) ;

« Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (interraciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale » 

(G.Brock Chisholm, ex-directeur de lOMS, Islamic Organization for Medical Sciences).

image006

Maintenant, qui a eu l’idée de ce Plan Kalergi dont Covenhove-Kalergi n’est pas l’auteur et qu’il aurait rejeté avec horreur ? Au départ, il y a Sigrid Hunke, militante néo-nazie, ex-maîtresse de Himmler et amie du grand mufti nazi de Jéusalem. Elle épousa Walter Hallstein. Le professeur de droit W. Hallstein était membre de plusieurs organisations nazies du Reich, mais pas membre du parti nazi, ce qui lui permit de s’en tirer sans trop de dommages après la guerre. Il deviendra le premier président de la Commission européenne en 1958. En 1960, Sigrid Hunke-Hallstein écrit un livre Le soleil d’Allah illumine l’Occident qui sert de référence à tous les gogos comme Jack Lang qui soutiennent que l’Europe doit énormément à la civilisation arabo-musulmane. Dans ce livre, elle suggère de réintroduire en Europe un maximum d’Arabes musulmans pour métisser les peuples européens.

Ce n’est pas encore le Plan Kalergi, mais on y vient.

Sigrid et son mari font dans les milieux européens une intense promotion des idées qui deviendront plus tard le Plan Kalergi que l’on trouve déjà esquissé dans le Plan Hallstein pour une Europe Fédérale (1965) que Kalergi, partisan de l’Europe des Nations chrétiennes, dénonça, et qui fit bondir Charles De Gaulle. Les politiciens socialistes européens acquis au Plan attendirent la mort de Kalergi en 1972 pour recruter parmi l’élite européenne, récupérant en la noyautant la Société européenne Coudenhove-Kalergi et créant en 1978 le fameux Prix Coudenhove-Kalergi que Raymond Barre a été le premier à recevoir, puis des gens comme Helmut Kohl l’ami de Mitterrand, Ronald Reagan, et finalement Angel Merkel, van Rompuy et Jean-Claude Juncker. Ils ont fait appel aux compétences rédactionnelles de plusieurs énarques pour finaliser les modalités d’action.

François Hollande est un farouche partisan du Plan, ainsi que Valls et Macron qui ont reçu à Bilderberg instruction de le soutenir. Si Sarkozy le soutien aussi, c’est que le club Le Siècle dont il est membre, ainsi que beaucoup de personnes de son entourage à l’UMP-LR, l’ont convaincu que c’était son intérêt.

Il est dit sur de nombreux sites Internet tellement semblables les uns aux autres (même celui de Dieudonné !) que l’on dirait que les copiés-collés ont fonctionné à tours de bras, que le Plan Kalergi visant au déclin de l’Europe par le remplacement et par le métissage de sa population, a été préparé par des think-tanks (réservoirs de réflexion) basés aux États-Unis. C’est complètement faux, une simple manœuvre de dissimulation, c’est une coproduction de l’élite franco-germanique séduite à l’idée de conserver héréditairement le pouvoir par la soumission à la manière musulmane des peuples d’Europe, masse métissée de travailleurs**.

Le plan américain est plutôt de profiter des effets secondaires de ce plan, car il aide, par la migration massive de populations arabes qu’il provoque vers l’Europe, à déstabiliser les États du monde arabo-musulman, déstabilisation sur laquelle les États-Unis comptent pour prendre le contrôle direct ou indirect, via l’Iran et l’Arabie Saoudite, de ses richesses énergétiques.

Les Américains sont peu favorables à un métissage forcé des peuples européens qui, pensent-ils affaiblira leur capacité productive et d’échanges économiques, échanges dont ils espèrent être les gagnants. De plus, comme ils ne sont pas certains du succès du Plan Kalergi porté par Merkel-Hollande, dont ils sentent qu’il est quelque peu néo-nazi et pourrait provoquer une révolte des peuples, ils préfèrent en cas d’échec les laisser en porter la responsabilité.

* François Hollande est young leader de la French American Foundation.
** lire 2084 de Boualem Sansal

L’Imprécateur




Situation française chaotique – Gendarmes, Policiers, Militaires, un des vôtres vous parle

[Source : Profession Gendarme]

[Photo : Christophe Ena/AP]

L’un de nos lecteurs nous adresse le message suivant accompagné de la vidéo ci-dessous.

Il appartient à chacun de faire son propre jugement et son examen de conscience :

Bonjour, je suis vos publications de façon régulière. Pendant que nous vivons un cauchemar quasi dictatorial sous prétexte de COVID19, nous ne voyons aucune réaction de la part de ceux qui ont reçu mandat pour protéger la population.

Pire encore, le ministère de tutelle des forces de police et de gendarmerie a été laissé aux main d’un individu suspecté plusieurs fois de viol ayant reconnu également avoir abusé de son pouvoir en tant que maire dans le but d’obtenir des faveurs sexuelles d’une administrée.

Les comportements quasi criminels de certains membres des forces de l’ordre envers les gilets jaunes avaient déjà abîmé les liens avec la population.

La répression ordonnée pour sanctionner les gens qui veulent vivre et respirer devient insupportable.

Voici le message lucide d’un citoyen que tous les fonctionnaires de police et les militaires honnêtes doivent entendre.

Merci de le transmettre largement.

Respectueusement.

https://www.youtube.com/embed/NTusXs6_fhc

Vivre sur le Fil 1,32 k abonnés

Je suis militaire à la retraite, mais mon cerveau ne l’est pas …La fainéantise et la lâcheté intellectuelle, pas pour moi..

Pour votre ré!information et vous permettre de comprendre qui vous servez:
http://www.profession-gendarme.com
http://www.verite-covid19.fr
et tant et tant d’autres…

Source : Youtube




Conséquences psychologiques du port du masque chez les enfants de 6 à 10 ans

[Source : Réseau International]

Interview de Patrick Ange Raoult psychologue clinicien, psychothérapeute, criminologue, maître de Conférences en psychologie clinique et pathologique, membre du Bureau national du Syndicat national des psychologues et rédacteur en chef de la revue Psychologues et Psychologies


par Candice Vacle.

Le Président de la République, dans une allocution du 28 octobre 2020, a annoncé un reconfinement pour une durée d’au moins un mois. Suite à quoi, le décret n° 2020-1310, « prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire » a été édicté le 29 octobre 2020. Parmi ces mesures, les enfants dès 6 ans, doivent porter un masque à l’école, pour une durée d’au moins un mois, depuis le 30 octobre 2020[1],[2].

Déjà, depuis la rentrée scolaire 2020-2021, les enseignants portent le masque à l’école, dans le cadre du « Protocole sanitaire des écoles et établissements scolaires de l’année scolaire 2020-2022 » édicté suite à la crise sanitaire due au Covid-19.

À l’école primaire, les enfants de 6 à 10 ans et leurs enseignants doivent donc porter le masque. Tous sont masqués. L’enfant ne peut, donc, plus voir les mimiques du bas du visage d’autrui (enfant ou adulte) à l’école. Et, ses propres mimiques du bas du visage ne sont plus vues par autrui, à l’école. Cette situation est inédite.

Quelles conséquences peut avoir ce port du masque à l’école sur la psychologie des enfants entre 6 et 10 ans, sachant que les enseignants eux-mêmes portent le masque ? Ce port du masque, peut-il avoir des conséquences sur le développement relationnel de ces enfants ?

Patrick Ange Raoult :

« Le masque a pour caractéristique de cacher une bonne part du visage gommant les expressions mimiques. L’expression du visage permet la régulation des émotions et affects dans l’interaction avec autrui. Elle est un temps d’apprentissage dans la relation et le constituant d’un lien avec autrui. Le fait de ne pas voir le visage de l’autre a pour risque l’incompréhension de l’expression de l’autre, le mauvais décodage des mimiques, un certain trouble dans la relation. Seuls les yeux vont se trouver porteurs de l’affect ainsi que l’intonation de la voix.

Le deuxième aspect est l’apprentissage et le contrôle de ses propres mimiques dans le lien à l’autre. Celui-ci risque d’être empêché. Il majore la distorsion entre l’expression mimique et l’affect ou le propos tenu.

Pour autant, les enfants savent trouver des systèmes compensatoires, même s’ils sont potentiellement perturbés. Les enfants les plus fragiles vont se trouver plus désorientés. La plupart des enfants à cet âge sont conciliants à la demande des adultes et beaucoup s’y plieront quoi qu’ils leur en coûtent. Ceux qui ont pu bénéficier de relations sécurisantes, affectivement investies ne vivront qu’une contrainte normative; d’autres en proie à des problématiques de séparation mal régulées risquent de vivre ces mesures sanitaires comme des formes de rejet et d’abandon. Les plus fragiles, enfin, tenteront peut-être à se sentir persécuter par ces regards sans expression mimique.

Le risque principal perçu est non seulement la distorsion de la construction des relations avec autruiune certaine distanciation dans le lien avec l’adulte pouvant devenir un objet étranger et peu appréhendable. Les mesures sanitaires accélèrent l’effacement de la corporéité et de la sensualité. Elles induisent le principe d’une dangerosité potentielle de l’autre, nous inscrivant dans une dimension paranoïaque de la relation. La personnalité peut être affectée par ces mesures.

En d’autres cas, elles [les mesures sanitaires] auront la fonction d’un apprentissage de nouvelles normes distanciées et hygiénistes dans le rapport à l’autreCeci modifiera probablement les modes d’implication dans le lien et le mode de manifestation de l’attachement. Le mode d’interaction précoce et dans l’enfance façonne aussi le style de personnalité »[3].

Ces enfants de 6 à 10 ans, ont-ils l’autonomie nécessaire pour être capables, toute la journée scolaire, de porter le masque, selon les règles d’hygiène nécessaires au bon port du masque ?[4]

Patrick Ange Raoult :

« La capacité à maintenir le masque sur le visage ne sera pas forcément aisée. Ceux qui s’y prêteront le plus sont soit les plus dépendants à l’autorité d’adultes, soit les plus anxieux ayant des craintes de contamination, de maladie ou de mort. De plus, l’obligation sanitaire formulée a deux effetsaccroître les mesures de contraintes, de rappels et de punitions favorisant la dimension de contrainte de l’espace scolaire défaisant le registre d’accueil [de l’école]; favoriser l’entretien d’une angoisse permanente construisant une personnalité anxieuse »[3].

Ce masque risque-t-il de rappeler constamment aux enfants la présence du virus, et de ce fait, leur créer des obsessions, des peurs, de la culpabilité de mal porter le masque et de contaminer les autres ?

Patrick Ange Raoult :

« Autour du masque vont se déployer de multiples attitudes : opposition à l’adulte ou au système scolaire, honte de soi, culpabilité de ne pas l’avoir porté, mal-être chronique dans un contexte anxiogène. Le risque est celui d’une double culture de la soumission et de l’anxiété »[3].

Si les enfants comprennent qu’on les oblige à porter un masque alors que le Covid-19 « n’est pas vectorisé par les enfants », que « les enfants ne meurent pas de coronavirus » (comme le dit Pr Raoult)[5] et que l’OMS considère « qu’un masque non médical n’est ni un dispositif médical ni un équipement de protection individuelle »[6] quel effet cela aura-t-il sur leur psychologie ? Que penseront ces enfants des adultes, de l’État, de la loi ?

Patrick Ange Raoult :

« Ils ne sont pas sans saisir que la pertinence du port du masque est l’objet de discordes ou d’opinions divergentes entre adultes. Cela renvoie à l’incertitude et l’incohérence de la position de pouvoir à un âge où ils sont plutôt en attente de sécurité, dans la croyance de la justesse de l’autorité parentale et sociale, très dépendant des consignes de l’autorité avec un sens moral conformiste »[3].

Si ces enfants de 6 à 10 ans voient leurs parents faire le dos rond et accepter cette mesure imposée par l’État, qu’est-ce que cela peut créer dans leur psychologie ?

N’est-ce pas une expérience de soumission à l’autorité qui pourrait durablement « formater » l’enfant et en faire un futur adulte soumis ? N’est-ce pas une expérience « insécure » car même leurs parents ne peuvent y mettre un terme ?

Patrick Ange Raoult :

« L’obligation sanitaire peut être perçue comme une adhésion à la loi par les parents (confortant ainsi l’acceptation des règles sans les discuter) ou comme une soumission des parents les destituant d’une capacité d’autorité.

A propos de ces aspects, effectivement, on trouve un sentiment d’insécurité générant des troubles anxieux […]. Une inquiétude permanente qui oblige à se soumettre à des obligations […] contradictoires et peu cohérentes. Cela limite les possibilités de libre choix […]. Le sanitaire vient servir un sécuritaire sur un mode dictatorial, non discutable, au nom de la science, qui peut être perçu ainsi par certains enfants comme un empêchement à avoir une liberté quelconque. Ils perçoivent dans les faits la contradiction entre l’affirmation d’une liberté d’expression comme mythe idéologique et l’impossibilité de la vivre sur certains registres. Cela renforce la dimension de normalisation du cadre scolaire et social. La liberté d’expression est limitée aux propos admis, selon un code spécifique dans une expression cadrée et normée »[3].

EN RÉSUMÉ,

Le port du masque par les enfants de 6 à 10 ans, et les personnes qui les entourent, masque les mimiques du bas du visage. Cela risque de nuire aux capacités d’expression et de communication des enfants, par les mimiques du visage. Ceci peut aller jusqu’à une distorsion dans leur relation avec d’autres personnes. Suivant le développement plus ou moins harmonieux et sécurisé de l’enfant, l’enfant de cet âge parviendra plus ou moins, à mettre en place une stratégie pour compenser ces problèmes. Le risque majeur étant qu’autrui puisse être perçu par l’enfant comme potentiellement dangereux. Donc, l’apprentissage du port du masque (et des nouvelles normes distanciées hygiénistes) pourrait modifier les modes relationnels de ces enfants. Tout ceci pourrait durablement modeler leur personnalité. Au quotidien, il ne sera pas facile pour l’enfant de conserver un masque sur le visage. Alors, l’enfant vivra davantage l’école comme une contrainte. Ceci favorisera, chez l’enfant, l’entretien d’une angoisse permanente pouvant construire une personnalité anxieuse. Alors, ce port du masque risque d’inscrire l’enfant dans une culture à la fois de soumission et d’anxiété.

En somme, le port du masque, chez les enfants, entre 6 et 10 ans peut créer des troubles de la communication et de la relation; modifier la manière dont les enfants développent leur attachement aux autres ; il peut aussi générer des angoisses, de la soumission, façonner la personnalité des enfants et renforcer leur apprentissage des normes.

Est-ce que la balance bénéfice risque concernant les conséquences psychologiques du port du masque à l’école par des enfants de 6 à 10 ans a bien été pesée par le gouvernement ? Les effets psychologiques du port du masque seront-ils renforcés si ces mesures perdurent dans le temps (mois, année) ?

Candice Vacle

_____________________________________________________________

[1] https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14405

[2] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042475143 (Article 36)

[3] Mail Patrick Ange Raoult du 5 novembre 2020

[4] https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

L’orientation de l’OMS sur le bon usage des masques consiste à :

  • pratiquer l’hygiène des mains avant de mettre le masque ;
  • placer soigneusement le masque en veillant à ce qu’il couvre la bouche et le nez, qu’il épouse l’arête du nez et qu’il soit bien fixé pour réduire le plus possible les espaces éventuels entre le visage et le masque ;
  • éviter de toucher le masque en le portant ;
  • enlever le masque correctement, sans toucher l’avant du masque, en le détachant depuis l’arrière ;
  • après avoir ôté le masque, ou après avoir touché par inadvertance un masque usagé, se frotter les mains avec une solution hydroalcoolique, ou les laver avec de l’eau et du savon si les mains sont visiblement sales ;
  • remplacer un masque dès qu’il devient humide par un nouveau masque propre et sec ;
  • ne jamais réutiliser un masque à usage unique ;
  • jeter le masque à usage unique après l’utilisation et l’éliminer immédiatement après l’avoir enlevé. »

[5] https://reseauinternational.net/lobeissance-de-ceux-qui-imposent-a-lecole-le-port-du-masque-aux-enfants-ca-nous-mene-ou/ Le 14 septembre 2020, Pr. Raoult infectiologue dit, à propos du covid-19 : « Le coronavirus n’est pas vectorisé par les enfants. Les enfants ne le font pas circuler. Et les enfants ne meurent pas de coronavirus ».

[6] https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf L’OMS écrit, le 5 juin 2020 :

« Un masque non médical n’est ni un dispositif médical ni un équipement de protection individuelle. » page 10

« Dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants :

  • risque potentiellement accru d’autocontamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées. » page 9



Les agences de renseignement américaines et britanniques déclarent la cyberguerre contre les médias indépendants

[Source : Réseau International]

par Whitney Webb.

Les services de renseignement britanniques et américains sont en train de « militariser la vérité » pour mettre fin aux hésitations concernant les vaccins, alors que les deux pays se préparent à des inoculations massives. Une « cyberguerre » récemment annoncée, qui sera commandée par des arbitres de la vérité utilisant l’IA, contre des sources d’information qui contestent les récits officiels.

La semaine dernière, les États de sécurité nationale des États-Unis et du Royaume-Uni ont discrètement laissé entendre que les cyber-outils et les tactiques en ligne précédemment conçus pour être utilisés dans la « guerre contre le terrorisme » de l’après-11 septembre sont maintenant reconvertis pour être utilisés contre les sources d’information qui encouragent « l’hésitation à se vacciner » et les informations relatives à la Covid-19 qui vont à l’encontre des déclarations de l’État.

Une nouvelle cyber-offensive a été lancée lundi par l’agence britannique de renseignement sur les signaux, le Quartier Général des Communications du Gouvernement (GCHQ), qui cherche à cibler les sites web qui publient des contenus considérés comme de la « propagande » qui suscite des inquiétudes concernant le développement du vaccin contre la Covid-19 commandité par l’État et les multinationales pharmaceutiques impliquées.

Des efforts similaires sont en cours aux États-Unis, l’armée américaine ayant récemment financé une entreprise parrainée par la CIA – composée d’anciens responsables de la lutte antiterroriste qui étaient derrière l’occupation de l’Irak et la montée de l’État Islamique – pour développer un algorithme basé sur l’IA visant spécifiquement les nouveaux sites web promouvant la désinformation « suspecte » liée à la crise de la Covid-19 et l’effort de vaccination contre la Covid-19 mené par l’armée américaine, connu sous le nom d’Opération Warp Speed.

Les deux pays s’apprêtent à réduire au silence les journalistes indépendants qui expriment des inquiétudes légitimes quant à la corruption de l’industrie pharmaceutique ou à l’extrême secret qui entoure les efforts de vaccination contre la Covid-19 menés par l’État, maintenant que le vaccin candidat de Pfizer doit être approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) américaine d’ici la fin du mois.

L’histoire de Pfizer, qui s’est vu infliger des milliards d’amendes pour commercialisation illégale et corruption de fonctionnaires pour les aider à couvrir un essai de médicament illégal qui a tué onze enfants (entre autres crimes), n’a pas été mentionnée par la plupart des médias, qui ont au contraire célébré l’approbation apparemment imminente du vaccin contre la Covid-19 de la société sans s’interroger sur l’histoire de la société ou sur le fait que la technologie ARNm utilisée dans le vaccin a suivi les protocoles normaux des essais de sécurité et n’a jamais été approuvée pour un usage humain. Il n’est pas non plus mentionné que la Directrice du Centre d’Évaluation et de Recherche sur les Médicaments de la FDA, Patrizia Cavazzoni, est l’ancienne Vice-Présidente de Pfizer pour la sécurité des produits, qui a dissimulé le lien entre l’un de ses produits et des anomalies congénitales.

Des piétons passent devant le siège mondial de Pfizer à New York, le lundi 9 novembre 2020. Pfizer affirme qu’un premier coup d’œil à ses données sur les vaccins suggère que les injections pourraient être efficaces à 90% pour prévenir la COVID-19, mais cela ne signifie pas qu’un vaccin est imminent. (AP Photo/Bebeto Matthews)

Le pouvoir de l’État est exercé comme jamais auparavant pour contrôler les discours en ligne et retirer des plateformes les sites d’information afin de protéger les intérêts de puissantes entreprises comme Pfizer et d’autres géants pharmaceutiques à scandales, ainsi que les intérêts des États de sécurité nationale des États-Unis et du Royaume-Uni, qui sont eux-mêmes intimement impliqués dans le projet de vaccination contre la Covid-19.

La nouvelle cyberguerre des services secrets britanniques contre la « propagande anti-vaccinale »

Lundi, le journal britannique The Times a rapporté que le GCHQ du Royaume-Uni « a lancé une cyber-opération offensive pour stopper la propagande anti-vaccins diffusée par des États hostiles » et « utilise pour ce faire une boîte à outils mise au point pour s’attaquer au matériel de désinformation et de recrutement colporté par l’État Islamique ». En outre, le gouvernement britannique a ordonné à la 77ème brigade de l’armée britannique, spécialisée dans la « guerre de l’information », de lancer une campagne en ligne pour contrer les « récits trompeurs » sur les vaccins candidats contre la Covid-19.

La « cyberguerre » récemment annoncée par le GCHQ ne se contentera pas de faire disparaître la « propagande anti-vaccins », mais cherchera également à « mettre fin aux opérations des cyberacteurs qui en sont responsables, notamment en cryptant leurs données pour qu’ils ne puissent pas y accéder et en bloquant les communications entre eux ». L’effort consistera également pour le GCHQ à contacter d’autres pays de l’alliance « Five Eyes » (États-Unis, Australie, Nouvelle-Zélande et Canada) pour alerter leurs agences partenaires dans ces pays afin qu’elles ciblent ces sites de « propagande » hébergés à l’intérieur de leurs frontières.

Le Times a déclaré que « le gouvernement considère la lutte contre les fausses informations sur l’inoculation comme une priorité croissante à mesure que la perspective d’un vaccin fiable contre le coronavirus se rapproche », ce qui laisse entendre que les efforts continueront à s’intensifier à mesure qu’un vaccin candidat se rapproche de l’approbation.

Il semble que, du point de vue de l’État de sécurité nationale britannique, ceux qui remettent en question la corruption dans l’industrie pharmaceutique et son impact possible sur les principaux vaccins candidats expérimentaux contre la Covid-19 (qui utilisent tous des technologies vaccinales expérimentales qui n’ont jamais été approuvées auparavant pour un usage humain) devraient être ciblés avec des outils conçus à l’origine pour lutter contre la propagande terroriste.

Alors que le Times a affirmé que l’effort viserait le contenu « qui provient uniquement des adversaires de l’État » et ne ciblerait pas les sites de « citoyens ordinaires », le journal a suggéré que l’effort s’appuierait sur le gouvernement américain pour déterminer si un site fait partie ou non d’une opération de « désinformation étrangère ».

Ceci est très troublant étant donné que les États-Unis ont récemment saisi les domaines de nombreux sites, dont l’American Herald Tribune, qu’ils ont erronément qualifié de « propagande iranienne », bien que son rédacteur en chef, Anthony Hall, soit basé au Canada. Le gouvernement américain a fait cette déclaration au sujet de l’American Herald Tribune après que la société de cybersécurité FireEye, un sous-traitant du gouvernement américain, ait déclaré qu’il avait une « confiance modérée » dans le fait que le site ait été « fondé en Iran ».

En outre, le fait que le GCHQ ait affirmé que la plupart des sites qu’il prévoit de cibler sont « liés à Moscou » est d’autant plus préoccupant que le gouvernement britannique a été impliqué dans le financement de l’Initiative pour l’Intégrité du groupe de réflexion Institute for Statecraft, qui a faussement qualifié les critiques des actions du gouvernement britannique ainsi que ses récits concernant le conflit en Syrie de campagnes de « désinformation russe ».

Compte tenu de ce précédent, il est certainement plausible que le GCHQ puisse croire la parole d’un gouvernement allié, d’un sous-traitant du gouvernement, ou peut-être même d’une organisation médiatique alliée comme Bellingcat ou le DFRLab du Conseil Atlantique, affirmant qu’un site donné est de la « propagande étrangère », afin de lancer une cyber-offensive contre lui. Ces préoccupations ne sont qu’amplifiées lorsque l’une des principales sources gouvernementales pour l’article du Times déclare sans ambages que « le GCHQ a reçu l’ordre de retirer les « antivaccins » [sic] d’Internet et des médias sociaux. Des moyens ont été utilisés pour surveiller et perturber la propagande terroriste », ce qui suggère que les cibles de la nouvelle cyberguerre du GCHQ seront, en fait, déterminées par le contenu lui-même plutôt que par leur origine « étrangère » présumée. L’aspect « étranger » semble plutôt être un moyen d’échapper à l’interdiction du mandat opérationnel du GCHQ de cibler les discours ou les sites web de citoyens ordinaires.

Ce pivot plus large visant à traiter les prétendus « antivaccins » comme des « menaces pour la sécurité nationale » s’est poursuivi pendant une grande partie de cette année, sous l’impulsion notamment d’Imran Ahmed, le PDG du Centre pour la Lutte contre la Haine Numérique basé au Royaume-Uni, membre du Comité Directeur pour la Lutte contre l’Extrémisme du gouvernement britannique.

Ahmed a déclaré au journal britannique The Independent en juillet : « J’irais au-delà du fait d’appeler les antivaccins des théoriciens du complot pour dire qu’ils sont un groupe extrémiste qui pose un risque pour la sécurité nationale ». Il a ensuite déclaré : « Une fois que quelqu’un a été exposé à un type de conspiration, il est facile de le conduire sur une voie où il adopte des visions du monde plus radicales qui peuvent conduire à un extrémisme violent », ce qui implique que les « antivaccins » pourraient se livrer à des actes d’extrémisme violent. Parmi les sites web cités par l’organisation d’Ahmed comme promouvant ce genre « d’extrémisme » qui pose un « risque pour la sécurité nationale » figurent Children’s Health Defense, le National Vaccine Information Center, Informed Consent Action Network et Mercola.com, entre autres.

De même, un groupe de réflexion lié aux services de renseignement américains – dont l’équivalent du GCHQ, la National Security Agency, participera à la « cyberguerre » récemment annoncée – a affirmé dans un document de recherche publié quelques mois à peine avant le début de la crise de la Covid-19 que « le mouvement des ‘antivaccins’ américain constituerait une menace pour la sécurité nationale en cas de ‘pandémie avec un nouvel organisme’ ».

InfraGard, « un partenariat entre le Bureau Fédéral d’Investigation (FBI) et des membres du secteur privé », a averti dans le document publié en juin dernier que « le mouvement des antivaccins américain serait également lié aux « campagnes de désinformation et de propagande sur les médias sociaux » orchestrées par le gouvernement russe », comme le cite The Guardian. Le document d’InfraGard affirme en outre que les principaux « antivaccins » sont alignés « sur d’autres mouvements de conspiration, notamment l’extrême droite … et sur les campagnes de désinformation et de propagande des médias sociaux menées par de nombreux acteurs étrangers et nationaux ». Parmi ces acteurs figure l’Internet Research Agency, l’organisation alignée au gouvernement russe ».

Un article publié le mois dernier par le Washington Post affirmait que « l’hésitation sur les vaccins se mélange avec la négation du coronavirus et se confond avec les théories de conspiration américaines d’extrême droite, notamment Qanon », que le FBI a qualifié l’année dernière de menace potentielle de terrorisme intérieur. L’article cite Peter Hotez, doyen de l’école de médecine tropicale du Baylor College of Medicine à Houston, qui a déclaré : « Le mouvement anti-vaccination américain se mondialise et va vers des tendances plus extrémistes ».

Simone Warstat, de Louisville (Colorado), brandit une pancarte lors d’un rassemblement contre un projet de loi visant à rendre plus difficile aux parents de se soustraire à la vaccination de leurs enfants pour des raisons non médicales, dimanche 7 juin 2020, à Denver.

Il convient de souligner que de nombreux « antivaccins » sont en fait des critiques de l’industrie pharmaceutique et ne sont pas nécessairement opposés aux vaccins en soi, ce qui rend les étiquettes « antivaccins » et « antivaccination » trompeuses. Étant donné que de nombreux géants pharmaceutiques impliqués dans la fabrication des vaccins contre la Covid-19 font des dons importants aux politiciens des deux pays et ont été impliqués dans de nombreux scandales liés à la sécurité, utiliser les agences de renseignement de l’État pour mener une cyberguerre contre des sites qui enquêtent sur de telles préoccupations est non seulement troublant pour l’avenir du journalisme, mais cela suggère que le Royaume-Uni fait un pas dangereux pour devenir un pays qui utilise ses pouvoirs d’État pour traiter les ennemis des entreprises comme des ennemis de l’État.

L’entreprise parrainée par la CIA qui « militarise la vérité » avec l’IA

Début octobre, l’Armée de l’Air des États-Unis et le Commandement des Opérations Spéciales des États-Unis ont annoncé qu’ils avaient attribué un contrat de plusieurs millions de dollars à la société américaine de « renseignement machine » Primer. Selon le communiqué de presse, « Primer va développer la toute première plateforme d’apprentissage automatique pour identifier et évaluer automatiquement la désinformation suspecte. Primer améliorera également sa plateforme de traitement du langage naturel pour analyser automatiquement les événements tactiques afin de fournir aux commandants une vision sans précédent des événements en temps quasi réel ».

Selon Primer, la société « construit des logiciels qui lisent et écrivent en anglais, en russe et en chinois pour découvrir automatiquement des tendances et des modèles dans de grands volumes de données », et leur travail « soutient la mission de la communauté du renseignement et du Département de la Défense en général en automatisant les tâches de lecture et de recherche pour améliorer la rapidité et la qualité de la prise de décision ». En d’autres termes, Primer développe un algorithme qui permettrait à l’État de sécurité nationale d’externaliser de nombreux postes d’analystes militaires et de renseignement vers l’IA. En fait, la société l’admet ouvertement, en déclarant que ses efforts actuels « vont automatiser le travail généralement effectué par des dizaines d’analystes dans un centre d’opérations de sécurité pour ingérer toutes les données pertinentes à un événement au fur et à mesure qu’il se produit et les canaliser dans une interface utilisateur unifiée ».

L’objectif ultime de Primer est d’utiliser son IA pour automatiser entièrement le façonnage des perceptions du public et devenir l’arbitre de la « vérité », telle que définie par l’État. Le fondateur de Primer, Sean Gourley, qui a précédemment créé des programmes basés sur l’IA pour l’armée afin de traquer « l’insurrection » dans l’Irak post-invasion, a affirmé dans un article en avril que « la guerre informatique et les campagnes de désinformation deviendront, en 2020, une menace plus sérieuse que la guerre physique, et nous devrons repenser les armes que nous déployons pour les combattre ».

Dans ce même article, Gourley a plaidé pour la création d’un « Projet Manhattan pour la vérité » qui créerait une base de données de type Wikipédia accessible au public, construite à partir de « bases de connaissances qui existent déjà dans les agences de renseignement de nombreux pays à des fins de sécurité nationale ». Gourley a ensuite écrit que « cet effort consisterait en fin de compte à construire et à améliorer notre intelligence collective et à établir une base de référence pour ce qui est vrai ou non » comme l’ont établi les agences de renseignement. Il conclut son article en déclarant « qu’en 2020, nous commencerons à militariser la vérité ».

Notamment, le 9 novembre, le jour même où le GCHQ a annoncé ses plans pour cibler la « propagande anti-vaccins », le site web américain NextGov a rapporté que l’effort de Primer financé par le Pentagone avait tourné son attention spécifiquement vers la « désinformation liée à la Covid-19 ». Selon le directeur scientifique de Primer, John Bohannon, « Primer va intégrer des capacités de détection de bot, de détection de texte synthétique et d’analyse de revendications textuelles non structurées dans notre plateforme d’intelligence artificielle existante actuellement utilisée par le Département de la Défense … Cela permettra de créer la première plateforme unifiée prête pour la mission afin de contrer efficacement la désinformation liée à la Covid-19 quasiment en temps réel ».

Bohannon, qui travaillait auparavant comme journaliste de premier plan intégré aux forces de l’OTAN en Afghanistan, a également déclaré à NextGov que le nouvel effort de Primer axé sur la Covid-19 « classe automatiquement les documents dans l’une des 10 catégories pour permettre la détection de l’impact de la COVID » sur des domaines tels que « les affaires, la science et la technologie, l’emploi, l’économie mondiale et les élections ». Le produit final devrait être livré au Pentagone au cours du deuxième trimestre de l’année prochaine.

Bien qu’il s’agisse d’une société dite privée, Primer est profondément liée à l’État de sécurité nationale qu’elle est censée protéger en « militarisant la vérité ». Primer est fière de se présenter comme une entreprise dont plus de 15% du personnel est issu de la communauté des services de renseignement ou de l’armée américaine. Le Directeur du Groupe de Sécurité Nationale de la société est Brian Raymond, un ancien officier de renseignement de la CIA qui a occupé le poste de Directeur pour l’Irak au Conseil de Sécurité Nationale des États-Unis après avoir quitté l’agence.

L’entreprise a également récemment ajouté à son conseil d’administration plusieurs hauts responsables de la sécurité nationale, dont :

• Le Général Raymond Thomas (à la retraite), qui a dirigé le commandement de toutes les Forces d’Opérations Spéciales des États-Unis et de l’OTAN en Afghanistan et est l’ancien Commandant du Commandement des Opérations Spéciales des États-Unis et du Commandement des Opérations Spéciales Conjointes (JSOC).

• Le Lieutenant Général VeraLinn Jamieson (retraitée), ancienne Chef d’État-Major Adjoint pour le Renseignement, la Surveillance et la Reconnaissance de l’Armée de l’Air, qui a dirigé les forces de renseignement et les cyberforces de l’Armée de l’Air. Elle a également personnellement développé des « partenariats stratégiques » entre l’Armée de l’Air et Microsoft, Amazon, Google et IBM afin « d’accélérer la transformation numérique de l’Armée de l’Air ».

• Brett McGurk, l’un des « architectes en chef » de la « poussée » de la guerre en Irak, aux côtés de la célèbre famille Kagan, en tant que Directeur du NSC pour l’Irak, puis comme assistant spécial du Président et Directeur Principal pour l’Irak et l’Afghanistan sous l’administration Bush. Sous Obama et pendant une partie de l’administration Trump, McGurk a été l’envoyé spécial du Président pour la Coalition Mondiale pour vaincre l’État Islamique au Département d’État, aidant à gérer la « sale guerre » menée par les États-Unis, le Royaume-Uni et d’autres alliés contre la Syrie.

En plus de ces récentes embauches au sein du conseil d’administration, Primer a fait appel à Sue Gordon, l’ancienne Directrice Adjointe Principale du Renseignement National, en tant que conseillère stratégique. Gordon avait auparavant « dirigé des partenariats au sein de la communauté du renseignement américain et fourni des conseils au Conseil National de Sécurité dans son rôle de Directrice Adjointe du Renseignement National » et avait eu une carrière de vingt-sept ans à la CIA. Ces liens profonds ne sont pas surprenants, étant donné que Primer est financièrement soutenu par la branche de capital-risque de la CIA, In-Q-Tel, et par la branche de capital-risque du milliardaire Mike Bloomberg, Bloomberg Beta.

La blitzkrieg contre la désinformation de l’Opération Warp Speed   

L’intérêt croissant des États-Unis et du Royaume-Uni pour la « désinformation » sur la Covid-19, en particulier en ce qui concerne les prochaines campagnes de vaccination, est étroitement lié à la stratégie d’engagement médiatique de l’Opération Warp Speed du gouvernement américain.

Officiellement un « partenariat public-privé », l’Opération Warp Speed, qui a pour objectif de vacciner 300 millions d’Américains d’ici janvier prochain, est dominée par l’armée américaine et implique également plusieurs agences de renseignement américaines, dont l’Agence de Sécurité Nationale (NSA) et le Département de la Sécurité Intérieure (DHS), ainsi que les géants technologiques liés au renseignement que sont Google, Oracle et Palantir. Plusieurs de mes rapports publiés dans The Last American Vagabond et du journaliste Derrick Broze ont révélé l’extrême secret de l’opération, ses nombreux conflits d’intérêts et ses liens profonds avec la Silicon Valley et les initiatives technocratiques orwelliennes.

Les directives officielles de Warp Speed discutent longuement de son plan par étapes pour engager le public et traiter les questions de « l’hésitation sur les vaccins ». Selon le document de Warp Speed intitulé « De l’usine aux premières lignes », « les communications stratégiques et les messages publics sont essentiels pour assurer une acceptation maximale des vaccins, ce qui nécessite une saturation des messages dans les médias nationaux ». Il indique également que « la collaboration avec des partenaires établis – en particulier ceux qui sont des sources fiables pour les publics cibles – est essentielle pour faire progresser la compréhension, l’accès et l’acceptation des vaccins éventuels par le public » et que « pour obtenir une couverture élevée, il faudra identifier les bons messages pour promouvoir la confiance dans les vaccins, contrer la désinformation et cibler la sensibilisation des populations vulnérables et à risque ».

Le document note également que Warp Speed utilisera le cadre stratégique à trois volets du CDC pour son effort de communication. Le troisième pilier de cette stratégie est intitulé « Stop aux mythes » et a pour objectif principal « d’établir des partenariats pour contenir la propagation de la désinformation » ainsi que de « travailler avec des partenaires locaux et des messagers de confiance pour améliorer la confiance dans les vaccins ».

Bien que ce document particulier de Warp Speed soit court sur les détails, le guide provisoire du Programme de Vaccination contre la Covid-19 du CDC contient des informations supplémentaires. Il indique que l’Opération Warp Speed « fera appel à un large éventail de partenaires, de collaborations et de canaux de communication et d’information pour atteindre les objectifs de communication, sachant que les préférences en matière de canaux et les sources crédibles varient selon les publics et les personnes à haut risque de maladie grave et les populations critiques, et que les canaux n’ont pas tous la même capacité à atteindre les différents objectifs de communication ». Elle déclare qu’elle concentrera ses efforts à cet égard sur les « canaux médiatiques traditionnels » (presse écrite, radio et télévision) ainsi que sur les « médias numériques » (Internet, médias sociaux et SMS).

Le document du CDC révèle en outre que la campagne de « messages publics » visant à « promouvoir l’adoption du vaccin » et à répondre aux « hésitations concernant le vaccin » est divisée en quatre phases et ajoute que la stratégie de communication globale de Warp Speed « devrait être opportune et applicable pour la phase actuelle du programme de vaccination contre la Covid-19 ».

Ces phases sont :

  • Avant qu’un vaccin ne soit disponible.
  • Le vaccin est disponible en quantité limitée pour certaines populations prioritaires.
  • Le vaccin est de plus en plus disponible pour d’autres populations critiques et pour le grand public.
  • Le vaccin est largement disponible.

Étant donné que le vaccin candidat contre la Covid-19 produit par Pfizer devrait être approuvé d’ici à la fin novembre, il semble que l’État de sécurité nationale américain, qui mène actuellement l’Opération Warp Speed, avec des « messagers de confiance » dans les médias, se prépare à entrer dans la deuxième phase de sa stratégie de communication, dans laquelle les organisations de presse et les journalistes qui expriment des préoccupations légitimes au sujet de Warp Speed seront retirés des plateformes pour faire place à la saturation « nécessaire » des messages pro-vaccins dans le paysage médiatique anglophone.

source : https://unlimitedhangout.com

traduit par Réseau International




Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

« La manipulation consciente, intelligente des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays. »

Edward Bernays, Propaganda, 1928

Si la théorie du conditionnement d’Ivan Pavlov est bien connue, celle de la réflexologie élaborée par son rival, Vladimir Mikhailovic Bekhterev, l’est moins. Elle n’est cependant pas moins pertinente, surtout au cœur d’une crise sanitaire de plus en plus douteuse, exploitée par une élite dont l’un des buts affichés consiste à imposer une « nouvelle normalité » et à vacciner la planète.

Les méthodes employées pour nous faire accepter cette « nouvelle normalité » sont pratiquement identiques à celles employées par certaines sectes et remontent à Bekhterev.

Avant d’explorer les principaux éléments de cette théorie et les tactiques manipulatrices des sectes, observons ce à quoi nous sommes soumis quotidiennement. Nous mettrons l’accent sur le gouvernement du Québec, même s’il n’est pas à l’origine des tactiques employées depuis le début de la crise et ne fait que suivre un certain courant.

Depuis des mois le gouvernement du Québec nous présente régulièrement des points de presse, où l’on nous répète qu’il faut « continuer de se protéger », que le monde ne sera plus jamais pareil « tant et aussi longtemps que nous n’aurons pas un vaccin » et qu’il faut « suivre les consignes », sinon on sera puni.

Comme si ce n’était pas assez, et puisque notre bon gouvernement a notre santé à cœur, on passe en boucle des annonces COVID à la télé, à la radio et dans les commerces, nous rappelant de nous laver les mains, de garder nos distances, de porter le masque, etc.

On nous infantilise.

Ajoutons à cela des articles quotidiens sur les points de presse avec la photo du PM devant le slogan « on continue de se protéger », d’autres innombrables articles sur la COVID, le décompte des morts, des cas et des hospitalisations à la une de nombreux médias, les articles et topos presque quotidiens sur « les complotistes », auxquels sont associés tous les discours qui détonnent, ainsi que l’absence presque totale de points de vue dissidents, et l’on a tous les ingrédients pour procéder à un bon lavage de cerveau.

Ah, n’oublions pas un élément capital : le confinement.

Nous avons donc les 5 ingrédients essentiels d’une bonne secte :

  1. Instauration et répétition d’un discours des autorités
  2. Imposition de règles strictes à suivre
  3. Punition en cas de désobéissance
  4. Réprobation, répression, censure et ostracisation des dissidents
  5. Isolement

Théorie de la réflexologie de Bekhterev : diminuer la résistance, accroître la suggestibilité

Vladimir Mikhailovic Bekhterev

Selon Randal Marlin, auteur de Propaganda and the Ethics of Persuasion, les écrits de Bekhterev « ont marqué les formes de persuasion soviétiques et nazies, ainsi que les méthodes de recrutement employées par certaines sectes contemporaines ».

Selon Bekhterev, trois conditions objectives sont nécessaires pour diminuer la résistance et rendre les foules plus suggestibles :

1. « [Le] confinement à la même position durant de longues périodes : « plus la cible est stationnaire, plus la fatigue est grande, moins il y a de résistance à la tentative d’influence à la fois dans la sphère personnelle et générale, et plus l’événement psychique ultime est frappant »;

2. « La concentration prolongée sur le même sujet (habituellement le leader et son discours) mine la capacité de concentration. [P]lus l’attention requise chez la cible est longue, plus la perte de contrôle de l’attention consciente est grande et plus la possibilité de résister à la tentative d’influence en trouvant des contre-arguments diminue.»

3. « Les méthodes démagogiques du leader, accompagnées de la gestuelle appropriée et des expressions faciales [qui] déterminent l’uniformité de l’humeur, laquelle à son tour définit la direction de l’attention active de la foule, puisqu’une intensification de l’humeur est associée à une disposition à l’action. »

Nous sommes confinés, isolés les uns des autres, bombardés de messages et de nouvelles sur la COVID et nous avons droit à l’humeur sinistre de François Legault, à la menace d’Horacio « bad boy » Arruda, à l’air grave de Christian Dubé et/ou au ton autoritaire de Geneviève Guilbault devant un imposant blindé de la police. Ils exigent de nous tous l’obéissance à leurs règles totalitaires (oui, totalitaires), sans que l’on sache sur quoi celles-ci sont basées. La désobéissance entraîne comme châtiment la culpabilisation, l’ostracisation et l’amende.

Surtout le bad boy.

Geneviève Guilbault se fait intimidante et menaçante devant un immense véhicule sombre de la POLICE. Un peu plus et elle portait une chemise de prisonnier.

La peur joue un rôle primordial dans ce lavage de cerveau, comme nous l’avons expliqué dans L’épidémie de la peur, la Fondation Gates et Big Pharma.

Le lavage de cerveau et les tactiques des sectes

Dans Age of Propaganda: The Everyday Use and Abuse of Persuasion, d’Anthony Pratkanis et Elliot Aronson, tous deux professeurs de psychologie, on trouve un chapitre ironiquement intitulé « Comment devenir le chef d’une secte ».

Les méthodes évoquées sont d’une ressemblance frappante avec celles auxquelles nous sommes soumis actuellement. Les sectes utilisent simplement des méthodes de propagande éprouvées pour « laver les cerveaux » des adeptes.

Le terme « lavage de cerveau » était employé à l’origine pour désigner les tactiques de persuasion employées par les Chinois sur les prisonniers de guerre étasuniens dans les camps. Les auteurs expliquent :

« Ces camps étaient des environnements totalitaires dans lesquels les ravisseurs ont réussi à contrôler les pensées des prisonniers de guerre en contrôlant toutes les sources d’information et en récompensant et punissant respectivement les pensées appropriées et inappropriées. »

(C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations.)

Nous pouvons aisément faire le parallèle avec le contrôle actuel de l’information, de la censure pure et simple aux innombrables articles qui s’acharnent sur les soi-disant complotistes, en passant par les « vérificateurs de faits indépendants », qui n’ont d’indépendant que le nom et s’attaquent à tous les points de vue divergents dans le but de les discréditer et de décourager les questionnements sur le discours dominant.

Être d’accord avec le point de vue officiel (pensées appropriées), fait de vous une bonne personne saine d’esprit, alors que le désaccord (pensées inappropriées), entraîne la réprobation, la culpabilisation, les attaques personnelles et le rejet de la part des élites gouvernementales et médiatiques, rejet qui se propage insidieusement dans les familles. Si vous tenez un discours contraire au discours dominant, vous êtes un complotiste inculte, un égoïste, un danger public, etc.

Par leur manque total de respect des valeurs fondamentales du journalisme que sont le respect des faits et des points de vue, les médias traditionnels sont le foyer de la division au sein de la population. Or, ils font de la projection en accusant ceux qui critiquent le discours officiel de briser des familles, peu importe si leur critique est basée sur des faits vérifiés et vérifiables.

Mention spéciale à La Presse pour son titre original.

D’un côté on a donc la bonne parole martelée par le gouvernement et les médias officiels, observée religieusement par les « bons » citoyens. De l’autre, on a forcément la mauvaise, propagée par les soi-disant complotistes antimasques, hérétiques des temps modernes.

On nous a enfermés dans une logique manichéenne du bien et du mal en manipulant notre besoin fondamental d’appartenance. Questionner le discours dominant donne lieu à l’exclusion sociale et nombreux sont ceux qui se taisent pour ne pas subir cet opprobre.

Secte COVID : les 7 étapes de l’endoctrinement

Examinons maintenant les sept étapes à suivre pour devenir gourou d’une secte selon Pratkanis et Aronson et appliquons-les ensuite au discours de la COVID :

  1. Créer sa propre réalité sociale
  2. Créer un granfalloon (terme inventé par Kurt Vonnegut signifiant « un regroupement fier et insensé d’êtres humains »)
  3. Créer un engagement par le biais d’un piège de rationalisation
  4. Établir la crédibilité et le charme du chef
  5. Envoyer des membres faire du prosélytisme
  6. Distraire les membres en les empêchant d’avoir des pensées « indésirables »
  7. Fixer la vision des membres sur un fantôme.

1. Créer sa propre réalité sociale

Cette réalité se crée en deux étapes, la première en éliminant les sources externes d’information, la deuxième en offrant une nouvelle vision du monde.

1ère étape : Éliminer les sources d’informations externes par l’isolement, la censure et l’autocensure

Selon les auteurs, cette réalité se construit « en éliminant toutes les sources d’information autres que celle fournie par la secte ». L’isolement est clé. Si l’isolement physique est impossible, l’isolement psychologique est nécessaire.

Le confinement de la population, dès lors rivée à un écran d’ordinateur ou de télé, les points de presses quotidiens où l’on nous parle sans cesse de cette « nouvelle normalité en attendant le vaccin » et l’exclusion quasi totale de tout discours divergent dans les médias sont un parfait exemple de la façon dont est créée cette nouvelle réalité sociale.

Ce qu’il y a de particulier actuellement est que ce phénomène a lieu au niveau planétaire, parce qu’il est piloté par des organisations mondiales principalement l’OMS, mais aussi par le Forum économique mondial, une force considérable promouvant l’idée que la vaccination planétaire constitue la seule et unique voie pour sortir de cette crise. Ce discours est répété comme un mantra et par les représentants gouvernementaux et par les journalistes.

La nouvelle normalité promue par l’OMS.
« Un vaccin est désormais nécessaire pour protéger la santé publique et permettre aux gens de retourner confortablement au travail et à l’école. »
La nouvelle normalité selon Bill Gates : « Ce sera semi-normal jusqu’à ce que des milliards de doses du vaccin soient disponibles […] C’est étonnement difficile de fabriquer un vaccin. Ça prend normalement 5 ans. »
« Afin de retourner à la normale, nous devons développer un vaccin sûr et efficace […] Notre fondation est le plus grand bailleur de fonds des vaccins dans le monde et l’effort actuel est gigantesque par rapport à tout ce que nous avons fait auparavant […] Il n’y a tout simplement pas d’autre solution. »

Pratkanis et Aronson ajoutent : « Des limites strictes entre les ‘‘croyants’’ et les ‘‘damnés’’ doivent être maintenues. » Les médias y veillent avec leurs innombrables articles bidons sur les complotistes.

Les deux psychologues notent qu’il est « beaucoup plus pratique d’apprendre aux adeptes l’autocensure en qualifiant tout ce qui ne provient pas ‘‘de la secte’’ comme provenant ‘‘du démon’’ ».

Bien des gens évitent d’exprimer leur désaccord avec les mesures ou leurs critiques du discours dominant de peur d’être qualifiés de complotistes et/ou d’abrutis.

De la suite dans les idées : Lavage de mains et lavage de cerveau.
« Vaincre par l’amour » et « Laissez les enfants respirer » : des slogans complotistes.
Rima Elkouri conseille de ne pas traiter les « antimasques » d’imbéciles, mais on comprend assez rapidement que c’est ce qu’elle pense d’eux.

La journaliste Rima Elkouri suggère tout simplement, à l’instar de son collègue Patrick Lagacé, d’ignorer ces suppôts de Satan.

« En fait, je me demande même si c’est bien nécessaire de donner une tribune dans les médias à ces manifestants souvent adeptes de théories du complot. Ils ont bien sûr le droit de manifester. Mais on a aussi le droit de les ignorer.

L’objectivité en journalisme ne consiste pas à accorder autant de temps d’antenne aux pro-masques et aux anti-masques, aux anti-racistes et aux racistes, aux environnementalistes et aux climatosceptiques, aux pro-vaccins et aux anti-vaccins.

Toutes les opinions ne se valent pas. Chacun a bien sûr le droit à ses propres opinions. Mais pas à ses propres faits.

‘‘La liberté d’opinion est une farce si l’information sur les faits n’est pas garantie et si ce ne sont pas les faits eux-mêmes qui font l’objet du débat’’, disait la journaliste et philosophe Hannah Arendt en 1961. C’est toujours aussi vrai aujourd’hui. »

(Souligné dans le texte.)

La chroniqueuse a tout à fait raison. « [L]’information sur les faits n’est pas garantie » ni dans La Presse ni dans les autres médias traditionnels et « les faits ne font pas l’objet du débat » comme le démontre brillamment son article truffé d’étiquettes et d’insultes et pratiquement dénué de faits.

Rappelons que ce sont les soi-disant complotistes qui ont demandé un débat public sur la crise sanitaire et que Radio-Canada a refusé.

Notre média public a refusé de débattre des faits.

Pas les abrutis d’antimasques.

D’ailleurs, avant d’écrire quoi que ce soit sur la crise sanitaire, il serait bien que Rima Elkouri apprenne d’abord à faire la différence entre le coronavirus et la COVID-19. Un test positif au coronavirus n’est pas un test positif à la COVID-19.

2e étape : offrir une vision du monde de la secte ou « nouvelle normalité »

La création d’un nouveau langage, comme la novlangue du roman dystopique 1984, est une « technique utile à la construction d’une réalité sociale », selon les auteurs d’Age of Propaganda.

Comme nous l’avons vu, on nous le répète ad nauseam, nous devons nous adapter à la « nouvelle normalité ». Les enfants qui ne savent pas lire ne sont pas épargnés :

Cette « nouvelle normalité » est constituée de nouvelles règles totalitaires réorganisant la vie en société, règles qui n’ont absolument rien de normal et sont inculquées grâce à la peur : la peur d’un virus moins dangereux qu’on le prétend, mais surtout la peur de l’autre, incluant les membres de sa propre famille.

Nous assistons à une véritable réingénierie sociale, ou plutôt antisociale, car elle détruit complètement la nature même de l’humanité, de la vie en société, en allant jusqu’à s’attaquer à son noyau : la famille.

On nous désunit, on nous déshumanise en faisant de l’affection un danger en nous faisant croire qu’il faut « faire notre part » et qu’il faut « le faire pour les autres ».

Dans la « nouvelle normalité », on porte un masque, on se distancie, on attend le vaccin.

L’Institut national de la santé publique n’a pas réussi à démontrer l’efficacité du masque? Les règles de distanciation ne reposent sur aucune base scientifique? Les scientifiques n’ont jamais réussi avant 2020 à fabriquer un seul vaccin contre un coronavirus?

Et alors?

Les faits n’ont aucune importance.

On nous répète les mêmes slogans creux, jour après jour, et tout le monde finit par dire la même chose, sans vraiment savoir pourquoi.

Dans La Psychologie des foules, (en PDF ici) Gustave Le Bon explique qu’afin « de faire pénétrer lentement des idées et des croyances dans l’esprit des foules », les meneurs ont recours à trois procédés : « l’affirmation, la répétition et la contagion ».

« L’affirmation pure et simple dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, constitue un sûr moyen de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, dépourvue de preuve et de démonstration, plus elle a d’autorité […]

Cette dernière n’acquiert cependant d’influence réelle qu’à la condition d’être constamment répétée, et le plus possible, dans les mêmes termes […]

La chose répétée finit, en effet, par s’incruster dans ces régions profondes de l’inconscient où s’élaborent les motifs de nos actions. Au bout de quelque temps, oubliant quel est l’auteur de l’assertion répétée, nous finissons par y croire […]

Lorsqu’une affirmation a été suffisamment répétée, il se forme ce qu’on appelle un courant d’opinion et le puissant mécanisme de la contagion intervientDans les foules, les idées, les sentiments, les émotions, les croyances possèdent un pouvoir contagieux aussi intense que celui des microbes […]

L’imitation, à laquelle on attribue l’influence dans les phénomènes sociaux, n’est en réalité qu’un simple effet de la contagion […] Avec des modèles, on guide les foules, non pas avec des arguments. »

Voilà pourquoi on ne cesse de taper sur les contestataires et de les associer au complotisme. Les gens répètent « antimasque », « complotiste » sans se poser trop de questions et sans savoir pourquoi ils utilisent ces termes qui empêchent la réflexion.

Et voilà possiblement la véritable raison derrière les entrées en scènes masquées des personnalités publiques comme François Legault et son équipe lors des points de presse : imposer la « nouvelle normalité » en donnant l’exemple.

2. Créer un granfalloon

Granfalloon est un mot inventé par Kurt Vonnegut signifiant « un regroupement fier et insensé d’êtres humains ».  

La technique de persuasion du granfalloon consiste à créer deux groupes : les fidèles et les damnés.

Cette technique est employée par les sectes pour contrôler leurs membres en leur rappelant constamment qu’ils doivent agir d’une certaine manière. Combien de fois par jour « votre gouvernement » vous dit de vous laver les mains, de respecter la distanciation, de ne pas voir vos parents et amis? Les fidèles doivent agir d’une certaine manière afin d’être « sauvés ».

Pratkanis et Aronson notent entre autres que les vétérans du groupe servent d’exemple, que la pression du groupe « est appliquée pour assurer la conformité », ce qui a pour effet de créer une « uniformité d’opinions et de comportements dans la secte, lesquels servent en retour à renforcer davantage les pratiques de la secte : si tout le monde le fait, ce doit être correct ».

Dans la nouvelle normalité, le bon citoyen est celui qui non seulement respecte les consignes, mais aussi celui qui écoute « la science », science qui n’a d’ailleurs jamais été présentée par les gourous gouvernementaux. Nous devons nous fier à leur parole.

En revanche, les damnés, ces « complotistes antimasques », sont ceux qui n’écoutent pas la bonne parole étatico-médiatique, ceux qui nient la science, ont une santé mentale discutable et font des choses pas « covidiques » en ne respectant pas les consignes.

« La création d’un groupe extérieur malfaisant sert deux objectifs : elle offre aux membres un sentiment de bien-être par leur appartenance au groupe et multiplie leurs craintes de quitter et ne pas appuyer ce groupe. »

Quitter la secte COVID, c’est rejoindre le groupe de malades mentaux incultes que sont les complotistes antimasques, selon le discours médiatique. Cette technique de manipulation exploite à merveille le besoin fondamental d’appartenance, lié à l’instinct de survie, ce qui facilite la conformité des individus. Choisir de ne pas se conformer, c’est choisir le rejet du gouvernement, des médias et d’une bonne partie de la population.

Certains se conforment donc pour combler leur besoin d’appartenance et non par conviction.

3. Créer un engagement par le biais d’un piège de rationalisation

« Les sectes peuvent assurer l’obéissance des membres en établissant une spirale d’engagements qui s’intensifie : le membre du culte acquiesce à de simples demandes au début, mais elles deviennent de plus en plus exigeantes. »

Afin d’illustrer cette étape, les psychologues expliquent comment James Jones, le gourou du Temple du Peuple, a employé le piège de la rationalisation au point de pousser ses adeptes à commettre un suicide collectif.

« [É]tape par étape, l’engagement envers Jim Jones augmentait. Chaque pas vers la prochaine étape n’était pas en soi très grand ni insensé par rapport au précédent.

Après avoir pris un engagement initial, on ne se sent pas confortable de ne pas tenir sa parole. Afin de justifier la sensibilité de l’engagement initial, le membre est souvent disposé à en faire plus et encore plus afin de satisfaire des engagements de plus en plus exigeants. De cette manière, la résolution de la dissonance et le maintien de l’image de soi comme d’une personne qui tient sa parole forment un puissant piège de rationalisation […]

Il est possible de vaincre un sentiment de stupidité provoqué par le fait de tout donner au groupe en rationalisant ce geste comme étant un dévouement à une noble cause. »

Isolés en Guyane, les disciples en sont venus à boire du Kool-Aid mélangé à du cyanure. Le drame a fait 974 victimes, dont 276 enfants. « Boire le Kool-Aid » est d’ailleurs devenu une expression populaire en anglais pour faire référence aux victimes de techniques de persuasion.

Reste calme et bois le Kool-Aid. James Jones à droite.

Peut-on dresser un parallèle avec la situation actuelle?

Juste deux semaines de confinement, juste la distanciation, juste un masque, juste des plexiglass, juste 28 jours, encore deux semaines, juste les restaurants, les théâtres, les gyms, juste pas de Noël en famille et bientôt juste un vaccin?

Tout ça pour le bien commun.

On fait sa part.

On le fait pour les autres.

Ce qui devait être temporaire au mois de mars est devenu une réalité quotidienne et le demeurera « tant qu’on n’aura pas de vaccin ».

Le 24 mars on nous disait « Tout ça c’est temporaire ».
Six mois plus tard il faut attendre un vaccin. Il faudra attendre 2021, peut-être même 2022 pour que cessent les mesures « temporaires ».

Les mesures draconiennes pour lutter contre la COVID, lesquelles ne font que s’accumuler et s’intensifier, n’ont aucun fondement scientifique, sont anticonstitutionnelles, souvent plus absurdes les unes que les autres, et elles détruisent littéralement nos sociétés.

En acceptant de telles mesures « pour le bien commun » nous sommes pris dans un piège de rationalisation.

Nous commettons un lent suicide collectif.

Nous buvons le Kool-Aid.

4. Établir la crédibilité et le charme du chef

Avec ses points de presse presque quotidiens, François Legault peaufine son image de bon chef de « notre gouvernement ». Tel un curé, il prêche sa bonne ou sa mauvaise nouvelle du jour et agit en prenant toujours plus de mesures pour nous protéger, comme un berger.

Il est guidé par une science invisible comme un prêtre est guidé par dieu. Il se fait bon et rassurant en se disant « prêt à tout […] pour réduire la surcharge de travail des infirmières » et en félicitant nos efforts, comme un bon père de famille.

« Je veux vous dire merci du fond du cœur pour vos efforts et votre solidarité », disait-il le 7 novembre dans une lettre à son peuple.

Cute.

Les points de presse sont à la fois un moyen de contrôler l’image et le message du gouvernement, tout cela, à condition que l’on contrôle également les questions des journalistes, lesquels demandent rarement des preuves et ne questionnent pratiquement jamais « la science » du premier ministre.

François Legault n’est cependant qu’un curé de campagne dans cette histoire. Dans la position du pape, on pourrait être tenté de mettre le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, mais la place revient plutôt au plus important donateur privé de l’organisation, Bill Gates, un homme dont le prestige éclipse celui de tous les chefs d’organisations internationales réunies.

Bill Gates, le catastrophiste qui n’a pas fait d’études en sciences de la santé, est sur toutes le tribunes, vénéré comme un expert et un sauveur avec son plan de vaccination planétaire.

5. Envoyer des membres faire du prosélytisme

Le prosélytisme peut assurer l’auto-persuasion, affirment les auteurs d’Age of Propaganda. Cela permet aux membres de la secte de « réitérer les avantages d’appartenir à une secte » :

« En tentant de convaincre les autres, les membres se convainquent eux-mêmes. »

Les exemples sont si nombreux que vous pouvez :

  1. nommer le journaliste mainstream de votre choix
  2. compter les [insérer le blasphème de votre choix] d’arcs-en-ciel

6. Distraire les membres en les empêchant d’avoir des pensées « indésirables »

Dans une secte, « il ne faut jamais laisser les recrues penser par elles-mêmes ». Pratkanis et Aronson donnent l’exemple de la secte Enfants de dieu :

« Des versets de la Bible jouent continuellement dans des haut-parleurs, un formateur suit la recrue en prêchant des versets de la Bible et les lettres de MO [le gourou], même lorsque la recrue va aux toilettes. »

Dans la secte COVID, les versets de la Bible ont été remplacées par les annonces COVID gouvernementales jouées sans arrêt à la radio et à la télé, dans les épiceries et autres commerces.

L’endoctrinement à la puissance dix-neuf : affirmation, répétition.

« Une fois que la recrue a accepté la secte », il faut prévenir les pensées indésirables. On peut y arriver en « enseignant que toute ‘‘pensée désagréable’’ est diabolique et provient du démon ». Ainsi, « les membres deviennent leur propre police de la pensée ».

Dans la secte COVID, le doute, la critique du discours dominant et les analyses factuelles différentes, basées sur des statistiques officielles et les discours d’experts dissidents, sont des « pensées désagréables » qui viennent de ces « maudits complotistes antimasques ».

Penser autrement que le point de vue dominant sur la COVID, c’est mal.

7. Fixer la vision des membres sur un fantôme

« Un chef de secte qui a du succès fait toujours miroiter la notion d’une terre promise et une vision d’un monde meilleur pour les fidèles […] Fixer l’attention des membres sur un futur fantôme sert d’incitatif puissant à maintenir le service au groupe […] Les fantômes peuvent créer de l’espoir, un puissant motivateur du comportement humain, en offrant un sens du devoir et un sentiment d’avoir une mission à accomplir. »

François Legault nous offrait un exemple parfait de cette tactique dans sa lettre ouverte le 7 novembre.

Comme si on n’avait pas assez de ses [insérer un blasphème] de points de presse et de ses [insérez au moins deux blasphèmes] d’annonces COVID, notre gourou provincial nous écrit des lettres maintenant.

[Insérez vos sacres favoris]!!!

Legault est bon, Legault est partout.

Sur un ton paternaliste, notre gourou nous fait miroiter un avenir meilleur, grâce au fantôme pharmaceutique :

« J’ai tellement hâte de nous voir enfin tous libérés de ce fardeau. Retrouver les soupers entre amis et les partys de famille. Il y a de l’espoir avec les vaccins qui s’en viennent. En attendant, il faudra plus que jamais faire attention à nous autres, prendre soin de nos proches et de notre voisinage. Il y a beaucoup de solitude et de détresse dans notre société. La pandémie vient aggraver des problèmes qui existaient déjàJe vous demande de faire un effort spécial de bienveillance et d’empathie. »

Ce n’est pas la pandémie qui a aggravé les problèmes.

Ce sont vos mesures, Maître.

En attendant ces jours meilleurs, on boit du Kool-Aid?

Santé*!

* N’oubliez pas les consignes!

  • Buvez du Kool-Aid bleu
  • Respectez les deux mètres de distance
  • Veillez à ne pas toucher les verres des autres
  • Assurez-vous d’identifier votre verre
  • Assignez une personne responsable pour remplir les verres avec des gants
  • Remettez votre masque entre chaque gorgée
  • Faites-le pour les autres
  • Sauvez des vies



Ils m’ont dit : mets le masque !

Ce que nous vivons est un changement radical de système de pensée et d’exploitation. La pandémie même si elle est réelle, sert de leurre pour forcer l’obéissance, installer une nouvelle forme de gouvernance et une multitude de nouvelles formes de misère, d’esclavage, de domination, de pensée unique et de soumission.

On nous maintient dans la terreur et l’ignorance en nous abreuvant de discours contradictoires et alarmistes, à tel point qu’on ne croit plus personne. La peur s’invite dans tous les débats. Elle monopolise la parole, elle est très politiquement correcte. Elle donne des conseils et des orientations et elle a même un discours scientifique. Pourtant, contrairement à la prudence, elle n’a jamais protégé d’aucun danger. Elle ne fait que le mettre en scène, lui donner un nom, lui créer une histoire et en faire un classique. Soyons prudents n’ayons pas peur !

Amazigh Kateb


[Chanson d’origine : Il est libre Max]




Biden président ? La réaction de François Asselineau

[Source : Union Populaire Républicaine]




La planète entière a assisté au vol de l’élection de Donald Trump et aucun média ne s’est révolté !

[Source : Pierre Jovanovic]

du 9 au 13 novembre 2020 

Depuis un mois, j’ai suivi les réunions électorales des deux candidats Trump et Biden, souvent en direct. Et j’étais sidéré de voir que si Trump réunissait 30.000 personnes en délire et dans un froid polaire sur un tarmac d’aéroport, Biden, lui, désolé pour la suite, n’a aligné que des BIDES !

Il n’y avait personne à ses réunions, PERSONNE, même quand Barack Obama était venu le seconder.

Donc, qu’on nous explique, comment Biden a t-il pu gagner les élections APRÈS la clôture des votes in vivo. Personne d’ailleurs ne peut croire que 80 voire 90% des votes par correspondance l’aient été pour le seul Biden, cela ne TIENT PAS debout.

Autre point: les Américains votaient aussi pour leurs sénateurs, et là la supercherie est visible: quand 60% des gens votaient pour un sénateur GOP, les même ont voté pour Biden pour les présidentielles ! Hyper logique en effet. Sans parler du fait que les observateurs GOP au dépouillement ont été interdits d’approcher, sous le bon prétexte du Covid.

Mes chers lecteurs vous avez enfin pu voir, vous aussi, cet invisible Deep State [État profond] en action.

Le plus fou est que Biden, qui n’a plus toute sa tête, s’en était même vanté par avance: « Je dispose du meilleur système électoral de fraude mis au point« , et France Inter, vite, vient le sauver en disant que c’est un lapsus !!!! «  Dimanche 25 octobre, le camp Trump a massivement brandi une vidéo, montrant le candidat démocrate Joe Biden « se vanter d’avoir mis en place l’organisation de fraude électorale la plus vaste et la plus inclusive de l’Histoire ». Sur les images, on voit bien Joe Biden tenir les propos qui lui sont reprochés.

À ce stade de la course à la présidentielle, on pourrait penser à une vidéo truquée, les fameuses deepfake, ou à un montage » (LoL, les journap*** de FI n’ont peur d’aucune bassesse) « Il n’en est rien. L’ancien vice-président a bien tenu ces propos dans le podcast Pod Save America du 24 octobre. Du pain bénit pour les républicains qui attaquent depuis des mois le système de vote par correspondance, craignant que des fraudes puissent faire perdre Donald Trump. Mais en écoutant l’émission en entier, on comprend qu’il s’agit simplement d’un lapsus« … lire ici pour le croire.

Des dizaines de milliers de morts ont voté (y compris le champion de boxe Joe Frazier, paix à son âme) sans parler des centaines de milliers de votes par correspondance retrouvés dans des poubelles, ruisseaux, buissons, etc., etc.

Donald Trump a été clairement volé de son élection, en plein jour, dans une campagne de haine organisée par les médias et les Gafas qui ont tout fait pour que les supporters GOP ne puissent pas se manifester sur le web, alors que les coupeurs de têtes islamistes d »ISIS, eux, avaient leur compte Twitter ou Youtube.

Sachez qu’avec ce qui vient de se passer aux Etats-Unis, ce sera désormais open-bar en France et partout en Europe. La recette fonctionne, le Deep State et les Gafa vont placer leurs marionnettes partout dans le monde, puisqu’il suffit désormais de contrôler les médias pour manipuler / diriger l’opinion vers l’heureux élu, Youtube, Facebook et Twitter feront le reste !

Mr Marteau a résumé à sa façon cette situation ahurissante: « Biden perd les 3 États clefs où le vote est le + sécurisé = Texas, Floride, Ohio. Il gagne les 3 États clefs où le vote est le + fraudable= Pennsylvanie, Michigan, Wisconsin. Il réunit à peine 20 personnes dans ses meetings. Il ne gagne même pas le Sénat.« 

Vous imaginez les prochaines présidentielles en France ? Sur le papier, Emmanuel Macron a déjà quasiment gagné sa réélection de 2022. Les ploutocrates n’auront même plus peur d’être pris sur le fait.

La démocratie est morte, et dites vous bien qu’un député En Marche n’a pas attendu la victoire pour proposer le même système pour la France, le vote par touche électronique et par correspondance, interdit depuis 1995 justement pour fraudes massives.

Et il se trouve que la société qui gère les votes électroniques américains a eu l’idée saugrenue de faire une mise à jour pendant l’élection, et cela a changé des dizaines de milliers de votes Trump pour Biden:

« One Michigan county clerk caught a glitch in tabulation software so they hand counted votes and found the glitch caused 6,000 votes to go to Biden + Democrats that were meant for Trump and Republicans. 47 MI counties used this software. All must check now!« .

@robbystarbuck 6 nov. 

[Traduction : Un greffier du comté du Michigan a détecté un pépin dans le logiciel de tabulation. Ils ont donc compté les votes à la main et ont constaté que le problème avait attribué 6 000 votes pour Biden et les démocrates, alors qu’ils étaient destinés à Trump et aux républicains.]

Ah oui quand même !!!

« Georgia election official: Machine glitch caused by last-minute vendor upload. Voting was delayed in two counties for two hours while the problem was fixed. A technology glitch that halted voting in two Georgia counties on Tuesday morning was caused by a vendor uploading an update to their election machines the night before, a county election supervisor said. Voters were unable to cast machine ballots for a couple of hours in Morgan and Spalding counties after the electronic devices crashed, state officials said. In response to the delays, Superior Court Judge W. Fletcher Sams extended voting until 11 p.m.« 

lire ici Politico.

[Traduction : « Fonctionnaire électoral de Géorgie : problème de machine causé par le téléchargement de dernière minute en provenance du fournisseur (du logiciel). Le vote a été retardé dans deux comtés pendant deux heures, le temps que le problème soit résolu. Un problème technologique qui a interrompu le vote dans deux comtés de Géorgie mardi matin a été causé par un fournisseur qui a mis en ligne une mise à jour de leurs machines électorales la nuit précédente, a déclaré un superviseur des élections du comté. Les électeurs n’ont pas pu voter par machine pendant quelques heures dans les comtés de Morgan et de Spalding après le crash des appareils électroniques, ont déclaré des responsables de l’État. En réponse aux retards, Le juge W. Fletcher Sams de la Cour supérieure a prolongé le vote jusqu’à 23 heures »]

La démocratie est morte en novembre 2020, remerciez les ultra-riches qui composent le Deep State. Désormais, sauf un miracle à la Jeanne d’Arc, rien ne pourra sauver la France de cette nouvelle Ploutocratie américaine.

PS: n’oubliez pas, même un ASTEROÏDE devait tomber sur les Etats-Unis le jour du vote !!!! Cela venait de la NASA !

Revue de Presse par Pierre Jovanovic ©




Trump déclare que « l’élection est loin d’être terminée » après la déclaration coordonnée des grands médias

[Source : Aube Digitale]

Trump vient de publier une déclaration et a refusé de céder, affirmant que l’élection est loin d’être terminée, affirmant qu’à partir de lundi, la campagne Trump portera la bataille devant les tribunaux.

Déclaration du Président Donald J. Trump :

“Nous savons tous pourquoi Joe Biden se précipite pour se faire passer à tort pour le vainqueur et pourquoi ses alliés médiatiques font tant d’efforts pour l’aider : ils ne veulent pas que la vérité soit dévoilée. Le simple fait est que cette élection est loin d’être terminée. Joe Biden n’a été certifié vainqueur d’aucun État, et encore moins d’un des États très contestés qui se dirigent vers un recomptage obligatoire, ou d’États où notre campagne fait l’objet de contestations judiciaires valables et légitimes qui pourraient déterminer le vainqueur final. En Pennsylvanie, par exemple, nos observateurs juridiques n’ont pas été autorisés à avoir un accès significatif pour observer le processus de comptage. Ce sont les votes légaux qui décident qui est président, et non les médias d’information.

À partir de lundi, notre campagne va commencer à poursuivre notre affaire devant les tribunaux pour s’assurer que les lois électorales sont pleinement respectées et que le vainqueur légitime est établi. Le peuple américain a droit à une élection honnête : cela signifie qu’il faut compter tous les bulletins de vote légaux et ne pas compter les bulletins illégaux. C’est la seule façon de garantir que le public ait pleinement confiance en notre élection. Il reste choquant que la campagne Biden refuse d’accepter ce principe de base et souhaite que les bulletins de vote soient comptés même s’ils sont frauduleux, fabriqués ou déposés par des électeurs inéligibles ou décédés. Seul un parti ayant commis des actes répréhensibles empêcherait illégalement les observateurs d’entrer dans la salle de dépouillement – et se battrait ensuite devant les tribunaux pour leur en interdire l’accès.”

“Alors, que cache Biden ? Je n’aurai de cesse que le peuple américain ait le décompte honnête des votes qu’il mérite et que la démocratie exige”.

– Président Donald J. Trump




La liste des fraudes démocrates

[Source : trumpfrance.com]




Le confinement ou le mythe de l’apprenti sorcier

[Source : Le Grand Soir]

[Photo : © Christian Hartmann. Source: Reuters]

[Auteur :] Ariel BERESNIAK

Ariel Beresniak, docteur en médecine, spécialiste en santé publique et médecine sociale, docteur en mathématiques appliquées, habilité à diriger des recherches, professeur invité à l’Université russe d’économie Plekhanov. Auteur d’ouvrages notamment d'Economie de la Santé (Elsevier-Masson), Comprendre la pharmacoeconomie (John Libbey), Dictionnaire raisonné des entreprises du médicament (Flammarion) et Dictionnaire d’Economie de la Santé (Masson).

Pour le docteur en médecine Ariel Beresniak, le confinement décidé par l’exécutif français n’a pas de fondement scientifique, mais pourrait s’expliquer par la volonté des dirigeants de minimiser leurs responsabilités, ou par leur désir de dominer.

L’étude des mythes éclaire souvent les comportements humains. Le mythe de l’apprenti sorcier, décrit originellement par le Grec Lucien de Samosate au IIe siècle avant d’être popularisé par Goethe, met en scène un apprenti scribe qui trouve le moyen d’animer un balai. Tenté d’en obtenir plus, le scribe transforme le balai en serviteur, celui-ci devient si zélé qu’il en est incontrôlable, ce qui provoque une catastrophe. Il aurait été utile que les dirigeants des pays occidentaux se souviennent de ce mythe, à plus forte raison s’ils n’ont pas une grande expérience du pouvoir. Des références du XXe siècle leur sont certainement plus familières ; il semble que les déterminants des totalitarismes relatés dans les romans 1984 et La Ferme des animaux de Georges Orwell aient été parfaitement compris et intégrés.

Une véritable novlangue a ainsi été créée à l’orée de la pandémie de coronavirus.

Le terme anglo-saxon « cluster » remplace notre terme français « foyer », permettant de lui adjoindre une aura plus mystérieuse. Les mots « confinement /déconfinement » ont débarqué de nulle part dans notre néo-vocabulaire sanitaire, apportant une nuance de châtiment collectif. Les résultats virologiques positifs, qu’ils soient confirmés vrais ou faux, qui concernent des personnes saines, asymptomatiques ou malades, deviennent de façon indifférenciée des « cas » dont le nombre « explose ». Les contestataires de la théorie officielle « alarmiste » sont estampillés avec dédain par le sobriquet « assuristes ». Le pistage des clients des bars et restaurants, ainsi que les applications mobiles de traçage des contacts, sont les instruments de Big Brother.

Le principe n’a pas changé : plus on réduit les finesses du langage et plus on accentue la surveillance, moins les citoyens sont capables de réfléchir et de contester, ne raisonnant plus qu’avec les réflexes archaïques de leur cerveau reptilien (peur, survie, manger, dormir).

Le « Comité scientifique » s’apparente volontiers aux commissions créées par le personnage du cochon qui est au pouvoir dans l’œuvre La Ferme des animaux. Ces scientifiques choisis par le chef de l’Etat pour le conseiller sur l’épidémie, sans avoir à passer par les commissions officielles, comme le Haut conseil de la Santé publique, ont certainement de réelles compétences dans leur domaine spécifique. En revanche, ils n’ont aucune crédibilité scientifique dans l’étude de la dynamique des épidémies et de l’évaluation des mesures de santé publique contre les pandémies à virus respiratoires. Les « avis » de ce comité sont mal justifiés, mal référencés, et apparaissent influencés par les différents niveaux d’aversion au risque des membres. C’est ainsi que sans disposer d’aucune preuve d’efficacité, le « confinement » généralisé de la population a été recommandé par ce comité de façon péremptoire comme la mesure prétendument la plus efficace pour lutter contre le coronavirus. Ces déclarations relèvent plus du catéchisme que de la science, c’est-à-dire de réponses toutes faites à des questions toutes faites.

Si le grand public a découvert au printemps 2020 l’existence de la notion de confinement de la population comme un moyen de lutte contre les épidémies, il faut admettre que la communauté scientifique l’a découverte en même temps !

Il existe de nombreux travaux scientifiques évaluant les réponses aux épidémies, rapports nationaux, européens, et internationaux, de préparation au risque épidémique des virus respiratoires, mais en aucun cas le concept de confinement généralisé d’une population n’a été publié, étudié, ni même évoqué, encore moins évalué par une quelconque recherche. Le confinement de la population consiste à enfermer les familles à domicile, sans savoir qui est sain, asymptomatique ou malade Dans l’esprit du public, le concept de « confinement » se confond avec celui « d’isolement ».

Ces deux notions n’ont pourtant rien à voir. Le principe de l’isolement repose sur la mise à l’écart, pendant la période de contagiosité, de patients dont le diagnostic de pathologie transmissible a été formellement confirmé. Or le confinement de la population consiste à enfermer les familles à domicile, sans savoir qui est sain, asymptomatique ou malade. De ce fait, un membre de la famille contaminé contaminera inexorablement les autres membres du foyer avec qui il est confiné. Preuve en est : les épidémies survenues à bord du paquebot de croisière Diamond Princess et du porte-avion Charles-De-Gaulle. L’événement ayant frappé ce dernier constitue la meilleure démonstration expérimentale de l’absurdité du principe du confinement d’une population pour lutter contre une épidémie. Sur 1 766 marins confinés de fait à bord du navire, 1081 ont été contaminés à partir d’une poignée de militaires asymptomatiques rentrés de permission, dont 1 046 malades, soit 61% de la population totale du navire.

La Chine, souvent mentionnée en exemple de gestion efficace de l’épidémie, n’a jamais imposé un confinement généralisé de sa population La Chine, souvent mentionnée en exemple de gestion efficace de l’épidémie, n’a jamais imposé un confinement généralisé de sa population. Elle a préservé son économie et s’est contentée de contenir de façon hermétique l’épicentre de l’épidémie dans la ville de Wuhan.

Une réponse pertinente des pays occidentaux aurait été d’interdire les arrivées de Chine dès janvier 2020, et non d’accepter la venue en Europe d’avions entiers de voyageurs chinois, ou de rapatrier des ressortissants européens de Wuhan, qui ont disséminé l’épidémie en Europe. L’Italie a bien tenté d’interdire l’arrivée des vols directs en provenance de la Chine, mais curieusement pas l’arrivée des passagers ayant utilisé des vols indirects. De nombreux Chinois installés dans le Nord de l’Italie pour travailler dans le secteur de la confection, ont ainsi pu rentrer de leurs congés du Nouvel an chinois en étant porteurs du virus… La fermeture des frontières aux voyageurs provenant de Chine aurait été une des réponses adéquates pour éviter d’importer l’épidémie sur le sol européen. Il en existe d’autres. Il est paradoxal de constater que les écoles restent ouvertes pendant le confinement de la population de ce mois de novembre et que les transports publics n’ont jamais cessé de fonctionner en France

Les mesures de distanciation sociale sont des interventions classiques de santé publique contre les épidémies respiratoires, comme la fermeture des écoles et l’arrêt des transports publics. Il est paradoxal de constater que les écoles restent ouvertes pendant le confinement de la population de ce mois de novembre et que les transports publics n’ont jamais cessé de fonctionner en France. Probablement, ces décisions sont prises pour ne pas remettre en question des années de propagande idéologique contre les véhicules individuels.

Quoi qu’il en soit, et contrairement à la communication officielle reprise clé en main par la grande majorité des médias, les mesures de distanciation sociale ne permettent pas de diminuer le nombre de malades et de décès. Elles ne font que décaler la date du pic épidémique pour mieux étaler dans le temps les ressources du système de santé. L’aire sous la courbe étant la même, le nombre de malades et de décès sont équivalents. Prétendre que le confinement aurait permis d’éviter 3,1 millions de morts dans 11 pays européens, comme le suggère une étude de l’Imperial College de Londres, relève d’un discours digne d’un télévangéliste. L’idée qui prône que le confinement imposé aux Français en mars 2020 aurait permis à l’épidémie de s’estomper ne repose sur rien Avant de colporter ces prévisions cataclysmiques pour justifier son rôle, le « Conseil scientifique » devrait se souvenir qu’un virus ne se répand pas de manière multiplicative mais selon une courbe ascendante de propagation qui lui est propre, pour spontanément diminuer après un « pic », quelles que soient les mesures prises. L’étude des courbes de morbidité et de mortalité en Suède (pays qui n’a jamais imposé de confinement à sa population), en est la meilleure démonstration. L’idée qui prône que le confinement imposé aux Français en mars 2020 aurait permis à l’épidémie de s’estomper ne repose sur rien.

Pourquoi la courbe baisse-t-elle spontanément avec ou sans confinement ? Pourquoi n’augmente-t-elle pas indéfiniment comme le postulent les modélisations de l’Imperial College de Londres et de l’Institut Pasteur ? La réponse est qu’un virus dépend intimement de son environnement écologique, climatique, biologique… Ces facteurs pluriels constituent un écosystème formé d’innombrables cofacteurs inconnus impactant le comportement des virus. Le rôle des cofacteurs et de l’environnement a été particulièrement étudié pour le virus Epstein-Barr, car ce virus est responsable de deux pathologies très distinctes selon son environnement : une simple angine en Europe (la mononucléose infectieuse) et un cancer en Afrique (le lymphome de Burkitt). En ce qui concerne l’action sur la mortalité, les mesures efficaces sont la création de nouvelles unités de soins intensifs ainsi que l’amélioration du niveau d’équipement de ces unités par des respirateurs dits « invasifs » et des machines d’oxygénation du sang extracorporelles (ECMO). L’importance du développement des ECMO est régulièrement soulevée pour réduire la mortalité des épidémies de grippe et donc du Covid-19, mais reste encore de nos jours l’apanage de quelques centres spécialisés. Ce qui ne manque pas de créer des conflits entre les familles des malades pour avoir accès à ces machines qui permettent de survivre aux détresses respiratoires les plus sévères. Faut-il encore que les patients puissent supporter la réanimation, ce qui n’est pas le cas des personnes très âgées, souffrant d’autres pathologies sévères et constituant les principales victimes du Covid. Un patient de 85 ans malade d’un cancer métastasé pourra ainsi être admis en réanimation s’il a été détecté positif au coronavirus et considéré « mort du Covid » s’il décède, quelle que soit la cause du décès.

Les statistiques 2020 de mortalité et d’espérance de vie n’ont pas réellement été impactées par l’épidémie de Covid quand on les compare aux années précédentes C’est la raison pour laquelle il importe de toujours bien définir les critères de suivi épidémiologique et de mettre les chiffres en perspective. Se contenter de lister les nombres de morts et de « cas » sans définir de quoi il s’agit − comme semble s’en être fait une spécialité le directeur général de la Santé − ne sert qu’à apeurer la population (ce qui peut être un objectif en soi). Il convient au contraire de mettre en perspective les courbes en les comparant dans le temps et dans l’espace et d’étudier s’il y a des variations d’espérance de vie avant et pendant l’épidémie, et des différences de mortalité annuelle. Or il apparaît que les statistiques 2020 de mortalité et d’espérance de vie n’ont pas réellement été impactées par l’épidémie de Covid quand on les compare aux années précédentes.

Le marasme économique profond que subit actuellement la nation du fait de l’assignation à résidence de la population est la catastrophe de l’apprenti sorcier. Sans aucune justification scientifique, ni de preuve préalable d’efficacité, cette décision arbitraire a pourtant été prise par un pouvoir exécutif inexpérimenté pour la deuxième fois en une année, en créant une catastrophe économique et sociale à court, moyen et long terme. Présentée comme la « seule » solution en attendant le « vaccin », il y a fort à parier que la population risque de vivre sous cloche encore quelques années. Rappelons qu’en 2009, la France a commandé 94 millions de vaccins contre la grippe H1N1, mais que 5 millions de personnes seulement ont été vaccinées.

Les épidémies de rougeole et de méningite existent à ce jour dans le monde, alors que leurs vaccins existent depuis longtemps, sont efficaces et bien tolérés à long terme (ce qui ne pourra être confirmé pour les futurs vaccins contre le coronavirus que par le recul acquis sur plusieurs années). Au-delà de la disponibilité du vaccin, l’organisation de la vaccination de la population est un exercice extrêmement difficile et long, voire récurrent si les vaccins doivent s’adapter aux mutations et recombinaisons des coronavirus. Sans justifications scientifiques et médicales, deux raisons persistent pouvant expliquer le choix coercitif du pouvoir exécutif de confiner l’ensemble de la population : La minimisation de la responsabilité du décideur : une victime identifiée du Covid, mise en scène par des images terrifiantes de soins intensifs, a plus de valeur pour les autorités qu’une victime collatérale des conséquences du confinement non encore identifiées. La puissance publique favorise ainsi systématiquement les actions et investissements qui réduisent sa responsabilité, quitte à détruire le tissu économique et social. La jouissance du pouvoir : l’amour du pouvoir, le plaisir de régner, le désir de dominer, procurent une légitimité illusoire à des comportements aberrants qui se nourrissent de mensonges hygiénistes. Le chef de l’Etat tend à imaginer le monde comme un théâtre scolaire sur la scène duquel le premier rôle lui est attribué. La représentation d’une réalité binaire associée à une caution technique de son « Comité scientifique » conforte son désir en lui procurant une légitimité. De nos jours, notre société est imaginée à l’image du corps. Elle est le « corps » social. Le chef de l’Etat se considère comme le thérapeute de ce corps : il le protège contre les « agressions », il le soigne de ses maux « quoi qu’il en coûte », il surveille sa tension (les contestations sociales).

Le discours du chef de l’Etat emprunte délibérément ses mots à la médecine. Il en fait régulièrement des métaphores qui transportent le sens du verbe « soigner » aux verbes « gouverner » et « gérer ». Le chef est, comme l’indique son nom, la tête de ce corps social. Ce n’est donc pas un hasard si en cas de crise, le chef de l’Etat est tenté d’imposer une anesthésie générale, voire des purges et des saignées pour ne pas lui-même risquer d’être remis en question. Le déluge est un autre mythe racontant comment les dieux se fâchent et corrigent leurs créatures ! Les « jeunes » se sont-ils mal comportés dans les parcs ou dans les bars ? La punition collective de la fermeture généralisée des parcs, plages, forêts, montagnes, bars et restaurants s’apparente à la purge et à la saignée. Il suffit ensuite de valoriser la souffrance et le sacrifice du peuple en les justifiant par la « science » représentée par « Le » comité scientifique et les regardant comme régénérateurs en vue des lendemains qui chantent, en attendant les surlendemains qui déchantent.

Ariel Beresniak.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/80258-confinement-ou-mythe-apprenti-s…

https://francais.rt.com/opinions/80258-confinement-ou-mythe-apprenti-s…
URL de cet article 36642
https://www.legrandsoir.info/le-confinement-ou-le-mythe-de-l-apprenti-sorcier.html




Témoignages poignants d’enfants traumatisés par le port du masque obligatoire à l’école

[Source : Fawkes News]

Un enfant à bout à cause du protocole sanitaire

Témoignage de la maman:

« Voilà l’état dans lequel j’ai récupéré mon fils après une matinée d’école.
Merci président de prendre soin de nous et de nos enfants.
Chers compatriotes nous sommes sauvés…mais à quel prix? »



Un autre enfant qui souffre…

Voici la vidéo de mon enfant, qui est victime d’angoisse et de panique lorsqu’il porte le masque. Ces angoisses lui donne des bouffées des chaleurs et des vertiges. Aujourd’hui nous avons eu rdv avec notre médecin qui a appelé le médecin académique. Le médecin académique a demandé à parler à notre enfant et lui a proposé de le rencontrer demain à l’école pour lui faire essayer un masque voir plusieurs masques les uns sur les autres afin de montrer à mon enfant grâce à un appareil que son taux d’oxygène et toujours le même. Mon enfant, réticent s’est senti obligé de dire oui. En sortant de chez le médecin il s’est mis à pleurer et nous a dit qu’il ne voulait pas faire ça.



La vérité sort de la bouche des enfants

Une enfant témoigne et aimerait à nouveau pouvoir jouer comme une enfant sans le masque et sans qu’on lui parle de virus en permanence.



Louis, 10 ans et asthmatique témoigne.

« On me brûle à petit feu à cause du masque ».



Les malentendants pénalisés

On oublie aussi le sort des malentendants qui sont plongés dans un monde de silence, d’incompréhension et solitude puisqu’il ne peut pas comprendre ses camarades de classe.

« ATTENTION : Ce post n’incrimine en aucun cas l’école de Maé qui depuis le début fait tout ce qui est possible pour sa bonne intégration.

Je vous présente mon fils, Maé, 6ans, il est en CP.

Comme tous les enfants de son âge, Maé part a l’école masqué ce matin…

Maé est malentendant profond et pour lui le masque est un enfer… Il est privé de ses oreilles et maintenant on le prive de sa bouche…

Il est désormais contraint de composer comme il le peut… enfermé dans une bulle de silence car il a besoin, pour communiquer, de voir les lèvres de sa maîtresse et celles de ses camarades de classe.

Sa maman et moi sommes révoltés, tristes et en colère ! L’état devait fournir, aux enseignants ayant dans leur classe des enfants malentendant, des masques inclusifs (transparents)… rien n’a été fait ! Et maintenant, c’est tous les élèves, dès 6 ans, qui doivent porter ce fichu masque…

Nous voyons notre petit garçon triste de devoir partir à l’école avec ce handicap supplémentaire qui lui est imposé… et nous ne pouvons rien faire !

Merci a tous de partager ce post un maximum… nous ne savons plus quoi faire… »

Source: Vécu 




Confessions sur la fraude électorale : « J’étais passé maître dans l’art de truquer les bulletins de vote par correspondance »

[Source : Sott.net]

Article original paru le 29 août 2020

Selon un haut responsable démocrate, la fraude électorale, notamment avec les bulletins de vote par correspondance, n’est pas un mythe. Et il le sait parce qu’il le fait, à grande échelle, depuis des décennies.

Les bulletins de vote par correspondance sont devenus le dernier point de mire des élections de 2020. Alors que le président Trump et le Parti républicain mettent en garde contre la manipulation généralisée du vote par correspondance, qui va s’amplifier avec les restrictions du vote COVID, de nombreux démocrates et leurs alliés des médias ont rejeté ces préoccupations comme étant non fondées.

Mais l’initié politique, qui s’est exprimé sous le couvert de l’anonymat par crainte de poursuites judiciaires, a déclaré que la fraude est plus la règle que l’exception. Son sale boulot l’a mené à travers les dédales des élections municipales et fédérales à Paterson, Atlantic City, Camden, Newark, Hoboken et dans le comté d’Hudson. Ses empreintes digitales se retrouvent dans les courses législatives, municipales et congressionnelles locales à travers le Garden State. Certains des plus grands noms et des plus hauts responsables du New Jersey ont bénéficié de ses ruses, selon les comptes rendus de campagne que le Post a examinés.

« Une élection qui est influencée par 500 voix, 1 000 voix – cela peut faire une différence », a déclaré le spécialiste. « Cela pourrait suffire à faire basculer des états. »

Le dénonciateur – dont l’identité, le casier judiciaire et la longue expérience en tant que consultant pour diverses campagnes ont été confirmés par The Post – dit qu’il a non seulement changé lui-même les bulletins de vote au fil des ans, mais qu’il a aussi dirigé des équipes de fraudeurs et encadré au moins 20 agents dans le New Jersey, New York et la Pennsylvanie – un État pivot essentiel pour 2020.

« Il n’y a pas d’élection dans le New Jersey – du conseil municipal au Sénat des États-Unis – sur laquelle nous n’avons pas travaillé », a déclaré l’informateur. « J’ai travaillé sur une élection de commissaires aux incendies dans le comté de Burlington. Plus l’élection est petite, plus c’est facile à faire ».

Bernie Sanders, qui n’a pas de cheval dans la course à la présidence, a déclaré qu’il se sentait obligé de se présenter dans l’espoir que les États agissent maintenant pour régler les problèmes de sécurité flagrants que posent les bulletins de vote par correspondance.

« C’est une chose réelle », a-t-il déclaré. « Et il va y avoir une guerre des F-Rois le 3 novembre prochain pour ce genre de choses… S’ils savaient comment les saucisses sont fabriquées, ils pourraient les truquer. »

Le vote par correspondance peut être compliqué – assez difficile pour que 84 000 New-Yorkais aient vu leurs votes par correspondance rejetés lors des primaires présidentielles démocrates du 23 juin pour les avoir mal remplis.

Mais pour les pros de la politique, c’est du gâteau. Dans le New Jersey, par exemple, cela commence par un bulletin de vote postal vierge remis à un électeur inscrit dans une grande enveloppe. À l’intérieur du paquet se trouvent une enveloppe de retour, un « certificat d’envoi » que l’électeur doit signer, et le bulletin de vote lui-même.

C’est alors que le truqueur des élections entre en action.

Les faux bulletins de vote

Le bulletin de vote ne comporte aucun élément de sécurité spécifique – comme un timbre ou un filigrane – et l’initié a donc déclaré qu’il se contenterait de faire ses propres bulletins de vote.

« J’ai juste passé [le bulletin] dans la photocopieuse et il ressort de la même manière », a déclaré l’initié.

Mais les enveloppes de retour sont « plus sûres que le bulletin de vote ». Vous ne pourriez jamais recréer l’enveloppe », a-t-il dit. Elles ont donc dû être collectées auprès de vrais électeurs.

© Bloomberg via Getty Images

Ses agents se déploient en éventail, allant de maison en maison, pour convaincre les électeurs de les laisser poster les bulletins de vote remplis en leur nom en tant que service public. Le fraudeur et ses sous-fifres rapportent ensuite les enveloppes scellées chez eux et les placent au-dessus d’eau bouillante.

« Il faut les chauffer à la vapeur pour décoller la colle », a expliqué l’initié.

Il retirait ensuite le vrai bulletin de vote, plaçait le faux bulletin à l’intérieur du certificat signé et refermait l’enveloppe.

L’initié a ajouté qu’il avait pris soin de ne pas mettre les faux bulletins dans quelques boîtes aux lettres publiques, mais de les éparpiller dans toute la ville. De cette façon, il a évité d’attirer l’attention comme cela s’est produit lors d’une opération de fraude électorale bâclée lors d’une élection pour le conseil municipal de Paterson, NJ, cette année, où 900 bulletins ont été trouvés dans seulement trois boîtes aux lettres.

« S’ils les avaient dispersés dans toutes les boîtes aux lettres, rien ne serait arrivé », a déclaré l’initié.

Coup monté de l’intérieur

Selon l’informateur, les employés de la poste sont parfois impliqués dans l’escroquerie.

« Vous avez un facteur qui est un anti-Trump enragé et il travaille à Bedminster ou dans un bastion républicain … Il peut prendre ces bulletins [remplis], et sachant que 95% vont à un républicain, il peut simplement les jeter à la poubelle. »

Dans certains cas, les facteurs étaient des membres de son « équipe de travail », et ils triaient les bulletins de vote du courrier et les remettaient à l’agent.

En 2017, plus de 500 bulletins de vote par correspondance à New York ne sont jamais arrivés au comité électoral pour les élections de novembre, ce qui a privé des centaines de personnes de leur droit de vote. Ils ont finalement été découverts en avril 2018. « Pour une raison indéterminée, certains paniers de courrier destinés au bureau des élections de New York ont été mis de côté dans l’installation de traitement de Brooklyn », a déclaré le responsable des élections municipales, Michael Ryan, au moment de la découverte.

Maisons de retraite

La mise en place de structures d’assistance et « l’aide » aux personnes âgées pour remplir leurs bulletins de vote par correspondance a été une mine d’or de votes, a déclaré l’initié.

« Il y a des maisons de retraite où l’infirmière est en fait un opérateur rémunéré. Et ils vont pièce par pièce auprès de ces personnes âgées qui veulent encore se sentir utiles », a déclaré le dénonciateur. « [Ils] le remplissent littéralement pour eux. »

L’informateur a cité l’ancien maire de Jersey City, Gerald McCann, qui a été poursuivi en justice en 2007 après avoir remporté une mince victoire pour un siège au conseil scolaire local pour avoir prétendument incité par la ruse des résidents « incompétents… et malades » de maisons de retraite à voter pour lui. McCann a nié, bien qu’il ait admis avoir aidé certains résidents de maisons de retraite à remplir leurs demandes de vote par correspondance.

Usurpation d’identité d’un électeur

Quand tout le reste a échoué, l’initié envoyait des agents pour voter en direct dans les bureaux de vote, en particulier dans les États comme le New Jersey et New York qui n’exigent pas l’identification de l’électeur. La Pennsylvanie, elle aussi en grande partie, n’en a pas besoin.

Les meilleures cibles étaient les électeurs inscrits qui sautent régulièrement les élections présidentielles ou municipales – des informations qui sont publiquement disponibles.

Alamy Stock Photo

Vous remplissez ces fiches avec le nom et le quartier de cette personne et vous vous promenez dans la ville en disant : « Vous allez être lui, vous allez être lui », a dit l’initié en parlant de la façon dont il a envoyé ses équipes de sales escrocs.

Au bureau de vote, le faux électeur s’inscrivait, « se mettait dans la file et … votait », a dit l’initié. Les imposteurs se contentent de recréer au mieux la signature qui figure déjà sur la liste électorale. Dans les rares cas où un véritable électeur avait déjà signé et déposé son bulletin de vote, l’imitateur ne faisait que mettre en évidence une erreur innocente et s’enfuir.

Soudoyer les électeurs

L’informateur a déclaré que les refuges pour sans-abri du New Jersey offraient un bassin presque inépuisable d’électeurs fiables – et achetables.

« Ils peuvent s’inscrire là où ils vivent, se rendre aux urnes et voter », a-t-il déclaré en riant des 174 dollars par vote que Mike Bloomberg a dépensé pour remporter son troisième mandat de maire. Il a déclaré qu’il aurait pu obtenir le même résultat avec une réduction de 70 %, comme lorsque Frank « Pupie » Raia, un promoteur immobilier et Hoboken nabob, a été condamné l’année dernière sur des accusations fédérales pour avoir payé des résidents à faible revenu 50 dollars par personne pour voter comme il le voulait lors des élections municipales de 2013.

Sur le plan de l’organisation, a déclaré l’informateur, ses manœuvres de fraude électorale dans le Garden State et ailleurs ressemblaient à des organisations mafieuses, avec un patron (généralement le directeur de campagne) qui confiait la gestion quotidienne des soldats de la mafia au sous-patron (lui). Le candidat réel était généralement maintenu dans l’ignorance délibérément afin qu’il puisse maintenir un « déni plausible ».

Dans le cas des votes par correspondance, les partisans des deux parties se réunissent et comptent les bulletins de vote au sein du conseil électoral local – en débattant des bulletins qui doivent être rejetés pour cause d’irrégularités.

© AP

L’initié a déclaré que tout bulletin de vote présenté par lui ou son opération serait accompagné d’un coin plié le long du certificat d’électeur – qui contient la signature de l’électeur – afin que les compteurs du Democratic Board of Election sachent que le problème est réglé et ne s’y opposent pas.

« Il ne reste pas plié, mais vous pouvez dire s’il a été plié », a déclaré l’informateur. « Tant que le certificat n’est pas approuvé, le bulletin de vote n’a pas d’importance. Ils ne peuvent pas voir le bulletin de vote tant qu’ils n’ont pas approuvé le [certificat] ».

« J’ai inventé le pliage des coins », s’est vanté l’initié, en disant qu’une fois les bulletins fixes mélangés avec les bulletins normaux, les jeux étaient faits. « Une fois qu’un bulletin est ouvert, c’est un bulletin anonyme. »

Alors que la loi fédérale prévoit des peines de prison allant jusqu’à cinq ans, les fraudes électorales ont été beaucoup moins sanctionnées. Ainsi, en 2018, une femme du Texas a été condamnée à cinq ans de prison, tandis qu’un homme de l’Arizona, arrêté pour avoir voté deux fois par courrier, n’a reçu que trois ans de mise à l’épreuve. Une étude menée par la fondation conservatrice Heritage a révélé plus de 1 000 cas de fraudes électorales documentées aux États-Unis, dont la quasi-totalité s’est produite au cours des 20 dernières années.

« Il n’y a rien de nouveau dans ces techniques »

a déclaré Hans von Spakovsky, juriste senior à Heritage, qui gère leur initiative de réforme de la loi électorale. « Tout ce dont il parle est parfaitement possible ».

Le comité électoral de la ville a refusé de répondre aux questions du Post sur la sécurité des bulletins de vote.

Source :Jon Levine, New York Post
Traduction Sott.net

Commentaire :




Trump aurait-il piégé les démocrate ?

[Source originale en anglais : DR. STEVE PIECZENIK REVEALS ELECTION STING OPERATION (Le Dr Steve Pieczenik révèle le coup monté des élections)]

[À vous de juger.]




Camp secret Covid-19 au Canada

[Source : Guy Boulianne]

[NdNM : la petite taille de tels camps pourrait discréditer l’hypothèse de camps de concentration contre les opposants à la vaccination, sauf éventuellement s’il y a très peu d’opposants réels — voir LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires]

Un camp secret COVID-19 capable d’héberger près de 100 personnes infectées par le coronavirus est prêt à l’emploi au Manitoba

Une installation rénovée au sud de Portage la Prairie, au Manitoba (Canada), a attiré la colère des résidents locaux. Niché à la jonction de l’autoroute 2 et de l’autoroute 305, se trouve ce qui semble être un ancien camp de travail pour l’œil ordinaire. Mais pour ceux qui le savent, c’est la base d’un camp COVID-19 capable d’héberger près de 100 personnes infectées par le coronavirus.

Les installations étaient auparavant utilisées comme camp de travail hydroélectrique et ont été réaménagées pour répondre aux besoins de la Fédération des Métis du Manitoba (MMF). Une clôture menaçante à mailles de chaîne avec du fil de fer barbelé sur le dessus a été érigée autour du périmètre du camp. Actuellement, le camp est vide, mais si Justin Trudeau allait de l’avant avec son plan de construction de camps similaires à l’échelle nationale, la MMF pourrait décrocher le contrat.

Jack Park, ministre de l’Énergie et des Infrastructures de la MMF, nous raconte l’état du camp :

« Les camps sont prêts et capables d’accueillir toute personne affectée par la pandémie COVID-19. Nous les avons entièrement équipés, désinfectés et prêts à démarrer si quelqu’un en a besoin. Nos services sont disponibles. »https://archive.org/embed/un-camp-secret-covid-19-est-pret-a-lemploi-au-manitoba-canada

Le camp n’a été utilisé par aucun patient COVID-19, mais Park sait qu’ils seront prêts à accueillir des personnes si le moment vient. Il explique comment un patient serait autorisé à entrer dans l’établissement :

« La procédure est que vous devez être référé par l’une des autorités sanitaires du Manitoba, et peu importe où vous vous trouvez au Manitoba. Nous ferions venir des citoyens et les placerions dans ce camp à Treherne en particulier, et nous avons un camp plus petit à Winnipegosis, car il est également prêt. C’est juste qu’ils doivent être référés. Nous espérons que le processus de référence se produira parce que nous l’avons fait savoir. »

Jack Park dit que la Fédération a vu un besoin et voulait se préparer en cas de pandémie. L’installation à l’est de Treherne peut accueillir jusqu’à 96 personnes tandis que le camp de la MMF à Winnipegosis est beaucoup plus petit. Le camp est doté d’un directeur / cuisinier, d’un cuisinier pour le petit déjeuner et d’un personnel d’entretien.

Camps COVID à Portage la Prairie, au Manitoba
Camps COVID à Portage la Prairie, au Manitoba
Camps COVID à Portage la Prairie, au Manitoba
Camps COVID à Portage la Prairie, au Manitoba
Camps COVID à Portage la Prairie, au Manitoba
Camps COVID à Portage la Prairie, au Manitoba
Camps COVID à Portage la Prairie, au Manitoba - 03

L’une des critiques auxquelles le camp a été confronté est la grande clôture métallique et la porte qui se dressent autour du périmètre de l’installation. Park souligne qu’ils ne signifient pas de faute :

« La principale raison pour laquelle nous voulions clôturer ces camps était de nous assurer que nous n’avions pas de gens qui allaient et venaient à notre insu, ou qui se promenaient ou non dans les terrains de camping. Vous savez, traiter avec des gens qui ne devraient pas être là quand nous avons affaire à une situation de COVID-19. Nous devons nous assurer que certaines personnes que nous avons dans ce camp sont protégées. Cela ne voulait rien dire de négatif. C’était juste une mesure de sécurité pour assurer la protection des personnes qui fréquentent le camp. »

L’installation dispose de pleine puissance, de générateurs de secours et d’égouts et les participants au camp recevront trois repas, avec un accès au câble et au WiFi constants. Le camp dispose également d’une unité de triage, de sorte que ceux qui arrivent seront correctement filtrés avant d’être conduits dans leur chambre.

« Nous ne voulons pas que quiconque s’inquiète. Nous voulons que les gens sachent que nous sommes là s’ils ont besoin de nous, et nous sommes prêts, désireux et capables de les aider s’ils ont besoin d’aide », déclare Park. « Nous voulons être sûrs que les gens savent que la Fédération des Métis du Manitoba et Metis N4 Construction sont là pour eux. »

Jack Park, qui est aussi le président de Metis N4 Construction, a souligné dans un communiqué que les nouveaux protocoles COVID 19 satisfont à toutes les exigences réglementaires au Manitoba et au Canada; Il a déclaré : « La direction de N4 est pleinement engagée à faire en sorte que ces camps fonctionnent conformément à toutes les exigences municipales, provinciales et fédérales du COVID 19. Notre équipe de direction est tout à fait engagée pour protéger nos citoyens métis au Manitoba ». Toutes les communications sur ces camps devraient être adressées à la Fédération des Métis du Manitoba.

Dans la mise à jour vidéo quotidienne du 22 juillet 2020, la directrice du bureau de construction et agent de sécurité chez Metis N4 Construction, madame Alyssa Munn, a fait le point sur le camp d’isolement de 96 personnes de la Fédération des Métis du Manitoba et sur les mesures prises par Métis N4 Construction pour assurer la sécurité de tout le personnel et des invités.


SOURCES :



Le bon virus au bon moment

[Source (italien) : https://andreacecchi.substack.com/p/il-virus-giusto-al-momento-giusto]

[Auteur : Andrea Cecchi]

[Traducteur inconnu (reçu par courriel)]

Un virus peut-il arriver au moment exact pour être considéré comme une véritable bénédiction? Ce serait presque une hérésie de dire oui. Au contraire, pour les opérateurs financiers, c’est exactement ce qui s’est passé.

Résumons.

En juin 2019, le marché REPO commençait à s’effondrer, montrant des signes de danger systémique. La plupart des gens ne savent même pas ce que sont les REPO.

Dans la pratique, il s’agit de pensions avec lesquelles les banques et les grands opérateurs économiques échangent des actifs (principalement des obligations d’État) avec des opérations à très court terme afin d’obtenir une liquidité instantanée pour des raisons liées avant tout au risque de contrepartie résultant d’opérations hautement spéculatives sur le marché des dérivés. La sonnette d’alarme commence à sonner en juin. En septembre 2019, la situation devient préoccupante. Comment inquiétant? « Mains dans les cheveux et bouche grande ouverte » type inquiétant.

Un rapport de la Banque des règlements internationaux (BRI), la banque centrale qui régit toutes les autres banques centrales du monde, sonne l’alarme et omet « étrangement » de mentionner les noms des 4 principales banques de Wall Street impliquées. Il prévient que le problème prend de l’ampleur, affectant également le marché des devises.

C’est le marché sur lequel les banques européennes et non européennes obtiennent des dollars pour leurs besoins opérationnels pour des opérations libellées en dollars américains. Ce secteur fonctionne également de manière similaire à Repos et par conséquent le problème se propage et devient global. La Réserve fédérale répond à l’appel sincère des banques en danger de mort en raison du manque de liquidités et prévoit l’ouverture d’une extraordinaire ligne d’approvisionnement de 350 milliards de dollars par jour qui, dans certains cas, atteint même des pics de plus de 800. Mais ce n’est pas suffisant. . La panique ne s’arrête pas. Pour aggraver la situation, les grands fonds spéculatifs entrent également dans le tour de paris des REPO, qui utilisent l’argent levé par les grands fonds de pension (oui, même l’INPS) pour réaliser des bénéfices dans cet océan très louche mais à haut risque. Les semaines passent et les banques ne se font plus confiance et l’effondrement monétaire approche. Ce qui peut arriver en cas d’effondrement monétaire n’est peut-être pas clair. C’est vraiment le pire des cas. Lors d’un effondrement monétaire, toute liquidité disparaît car elle n’atteint plus les bénéficiaires. Si cela ne se produit pas, l’économie s’arrête totalement. Comme un avion qui s’écrase: tout le monde meurt! La direction des banques, de concert avec les responsables économiques, s’accorde à dire que, si l’avion s’écrase, il faut éviter qu’il s’écrase et commencer à planifier une solution qui puisse éviter un désastre absolu, du moins en essayant de rendre l’avion le plus possible. aussi doucement que possible. Ce n’est pas tellement pour nous sauver qui s’en foutent,

En octobre 2019, comme une coïncidence bizarre, un sommet entre des entités très influentes, appelé EVENT 201, a lieu.Un mois seulement après la sonnette d’alarme de la BRI

A cette occasion, un événement pandémique mondial est simulé qui voit la propagation d’un virus de faible létalité avec les caractéristiques exactement les mêmes que celui qui est alors annoncé comme s’étant propagé depuis Wuhan avec l’histoire que nous connaissons tous. Les participants du monde entier reçoivent un vademecum opérationnel. Un vrai protocole d’action, sur comment se comporter et sur quelles mesures adopter si (en octobre nous étions encore dans la phase hypothétique) ……… un virus de type coronavirus s’était propagé et si toute la population mondiale était communiquée des mesures de confinement par adopter en cas de pandémie. Le 21 janvier 2020, suit le sommet de Davos, où tous les puissants du monde se retrouvent. Le 23 janvier, la Chine annonce le verrouillage. Le 30 janvier 2020, l’OMS annonce l’urgence sanitaire mondiale.

Mais prenons du recul et revenons à l’explosion du marché REPO, puisque tout le monde a parlé du virus ad nauseam.

Il y a deux façons et seulement deux façons de prendre soin d’un marché monétaire à court terme:

1) Versez autant d’argent que possible pour maintenir la demande et empêcher les intérêts exigés des prêteurs d’augmenter.

2) Arrêter la demande de prêts de l’économie mondiale.

Ici, il est nécessaire de comprendre quel est le risque réel. Le vrai risque est la hausse des taux d’intérêt. Tout au long de cette période de taux d’intérêt proches ou nuls, la bulle des dérivés a explosé. Tout est soutenu par un fil très fin. Des opérations à très haut risque, basées sur des échanges virtuels de collatéraux empruntés, presque toujours des obligations d’État, qui ont un équilibre très précaire. Si, pour une raison quelconque, les taux commencent à monter, la valeur de la garantie sous-jacente diminue et la réaction en chaîne commence, comme une explosion nucléaire, où chaque opérateur cherche des liquidités, dont il n’a pas, pour se couvrir d’une faillite instantanée.

Je l’explique de manière vulgaire: si vous me prêtez 80 euros et que je vous donne un titre d’une valeur de 100 en garantie, vous vous sentez en sécurité. Mais si pendant le prêt, ce titre ne vaut plus 100 mais 70, alors vous me demandez de revenir sur la garantie des 30 qui manquent. De qui puis-je obtenir ces 30 dont je n’ai pas? Et ici, la crise commence. Si ces dynamiques sont multipliées par des milliers et des milliards d’échanges algorithmiques à grande vitesse, avec des enchevêtrements et des entrelacs de garanties croisées, le tout soutenu par des prêts à très haut risque, (les garanties sont souvent empruntées à leur tour et ré-hypothéquées d’innombrables fois) vous comprenez comment en un instant tout peut exploser si vous n’intervenez pas avec des seaux d’argent comme l’a fait la Réserve fédérale, fournissant même 1000 milliards par jour.
Comme par miracle, Covid-19 arrive alors. Et que se passe-t-il?

Les banques centrales sont donc autorisées à intervenir de manière illimitée. Des milliers de millions ou des centaines de milliards de dollars sont créés à partir de zéro et sont distribués non seulement aux banques, mais également injectés directement aux grandes entreprises. Avec cette mesure extraordinaire, la faille du marché REPO est apaisée. Les contreparties obtiennent la liquidité manquante. La demande générale de prêts est plutôt stoppée par le verrouillage. Il était nécessaire d’imposer un gel forcé de l’économie et du commerce précisément pour arrêter la contagion qui se propageait du marché des obligations d’État à court terme qui aurait infecté l’ensemble de la dette mondiale. Ce passage est un peu plus difficile à comprendre, mais aussi le montant total des prêts décaissés aux particuliers et aux entreprises contribue au calcul du risque global qui influe sur le calcul du taux d’intérêt. Plus le risque est élevé, plus le taux est élevé. Et si le risque augmente sur le marché REPO qui est interbancaire, la possibilité de défaut de chaîne augmente. Regardons les choses en face une fois pour toutes: les tarifs ne doivent pas augmenter! S’ils le est la fin.

Toute l’économie est endettée. Lorsque vous entendez parler de Dollars, Euros, Yens, Francs, Couronnes, Yuan, etc., il faut toujours se rappeler que les devises ne sont rien de plus que des unités de dette émises sur la base d’une économie de dette. L’argent n’existe qu’après qu’une banque l’a créé en endettant quelqu’un: des États, des particuliers ou des entreprises. Les gens se concentrent principalement sur le marché boursier. Cela n’a rien à voir avec cela, elle a des dynamiques complètement différentes et même dans le cas d’une économie paralysée comme celle qu’elle est aujourd’hui, elle pourrait même franchir de nouveaux sommets, grâce à toute la nouvelle liquidité créée qui n’a pas d’autre lieu de fusion. Le nœud du problème est le marché de la dette. Les gens ne se rendent toujours pas compte qu’une crise économique folle allait arriver. Personne ne dit cela parce que ce sont des choses difficiles à expliquer et peu ont le désir et la compétence et les gens ne veulent pas faire l’effort de comprendre ces choses, qui peuvent alors continuer, presque secrètement sans que personne s’en soucie. Mais il faut absolument comprendre que le virus a stoppé une crise économique pire que celle que nous traversons actuellement. Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards – estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé. Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer. qui peut alors continuer, presque secrètement sans que personne ne s’en soucie. Mais il faut absolument comprendre que le virus a stoppé une crise économique pire que celle que nous traversons actuellement. Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards – estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé. Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer. qui peut alors continuer, presque secrètement sans que personne ne s’en soucie. Mais il faut absolument comprendre que le virus a stoppé une crise économique pire que celle que nous traversons actuellement. Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards – estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé. Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer. les taux d’intérêt auraient explosé et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 millions de milliards – estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé. Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer. les taux d’intérêt auraient explosé et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 millions de milliards – estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé. Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer.

Arrêter l’économie et donc la demande de prêts et inonder les banques de liquidités nouvelles semblait être la solution la moins dommageable. Au moins pour eux. Le slogan « tout ira bien » qu’ils ont mis dans la bouche des zombies sans tête, a servi à réitérer que tout ira bien pour eux, pas pour nous, et que pour l’instant, l’effondrement monétaire n’aura pas lieu car ils ont arrêté l’économie en jetant tout le monde nous restons immobiles, immobiles dans un coin, comme dans une prison planétaire. En sauvant les REPO, les Hedge Funds et donc les fonds de pension ont également été sauvés. Pour l’instant, les retraités peuvent se reposer tranquillement. Leur pension est assurée.

Beaucoup se demandent alors: que va-t-il se passer maintenant? Y aura-t-il une reprise?

Absolument pas! Je suis désolé de vous le dire, et je suis désolé pour moi aussi, mais j’ai mon plan et je vous consacrerai une newsletter dès qu’elle sera prête.

L’économie ne redémarrera pas. Ce sera un graphique en forme de L où, après l’effondrement vertical de maintenant, il y aura une longue période de stagnation lente et prolongée à des niveaux bien inférieurs aux précédents. 2019 a été la dernière année du monde tel que nous l’avons connu. Avec 2020 vient une nouvelle réalité et que cela nous plaise ou non, ce sera avec nous au moins jusqu’en 2032. S’il était décidé de tout rouvrir et de revenir à la situation antérieure, nous serions de retour au point de départ dans un instant, ou en septembre 2019, avec le explosion du marché REPO. Ce choix était inévitable. C’est le cas le plus colossal de « ENTRE L’ANVUS ET LE MARTEAU » dans l’histoire de l’humanité.

L’économie ne redémarrera pas car avec le blocage total dû au verrouillage et aux restrictions pour contenir la pandémie, il y aura de nombreux échecs. De nombreuses personnes ne pourront plus payer leurs dettes. Beaucoup ne pourront plus payer de loyer. Si d’une part quelqu’un ne paie pas, d’autre part il y a quelqu’un d’autre qui ne perçoit pas. Le jeu est à somme nulle. Globalement, il n’y a pas de gain économique car la somme est stérilisée. Quelles sont les solutions possibles? Comment ça sort? C’est très difficile. Un jeu de grand équilibre et de progression lente et prudente est nécessaire. Il y aura des périodes de « resserrer et desserrer » toujours avec le risque de pandémie habitué à la nausée pour limiter la liberté des gens en permettant de courts éclairs de liberté comme cet été, pour revenir resserrer l’étau à l’automne prochain,

Pour décrire ce moment, je me souviens d’une aventure de pêche aux Bahamas, ma deuxième maison. Je suis allé pêcher en kayak à marée haute. La marée haute peut être comprise comme une couverture de liquidité suffisante qui vous permet de naviguer en flottant au-dessus des écueils du fond marin. A mon retour, la marée avait reculé de plusieurs mètres et, pour rejoindre la route, pour rentrer chez moi, je devais traverser une étendue d’eau très peu profonde avec des rochers et des coraux pointus à la surface, dont des oursins. Tout cela avec des chaussons rugueux qui ne m’ont donné qu’une protection partielle. Le risque était de se blesser les pieds, de glisser, de casser le kayak et de perdre le poisson que j’avais attrapé. J’ai dû trouver un moyen de ramener en toute sécurité des poissons, des pieds et des kayaks. Le seul moyen était de procéder lentement. Sonder le sol avant de faire un pas. Puis, une fois avancé, tirez le bateau derrière moi sur le voile d’eau si possible, ou chargez-le de la force de vos bras, en le déplaçant vers un endroit sûr. Et ainsi de suite pendant plusieurs heures, sous le soleil tropical, jusqu’à la fin du parcours. C’était un test de patience, de force et d’habileté, de calcul du risque à effectuer avant chaque pas, de profiter de chaque bassin d’eau plus profonde et de chaque appui plus sûr où placer mon pied sans me couper ni glisser. Telles sont les qualités que devraient avoir ceux qui en ce moment sont en mesure d’établir la meilleure stratégie pour sortir l’humanité tout entière de cette insidieuse «marée basse» dans laquelle nous nous trouvons, sachant très bien qu’en faisant des faux pas,

Alors posons-nous la question: avons-nous ce type de leader dans le monde? Y a-t-il des hommes ou des femmes capables de prendre les rênes et de guider sagement l’humanité vers un terrain sûr sur lequel reconstruire un modèle économique plus solide et durable? Et les dirigeants que nous avons: voudront-ils le faire?

La solution maintenant serait d’entreprendre des travaux d’infrastructure publics colossaux qui emploieraient des personnes, et d’adopter des mesures fiscales adéquates pour garantir la stabilité des flux monétaires. La fusion entre les banques centrales et le gouvernement en cours faciliterait le mécanisme de financement nécessaire à la réalisation de ces travaux. Donald Trump est un maître de la faillite ayant subi plusieurs en tant qu’entrepreneur notamment dans le secteur des casinos, donc des jeux d’argent. Ironiquement, il semble être la bonne personne pour gérer une faillite mondiale causée par le casino de paris sur le marché REPO. Compte tenu de ses succès et de ses expériences antérieures: il fait partie du métier!

Les prochaines étapes verront l’annonce d’une crypto-monnaie mondiale qui ne sera initialement utilisée que pour la compensation entre les banques centrales. Ce sera une crypto-monnaie sur la base de l’or. Les pays qui ont les plus grandes réserves d’or seront les principaux. C’est pourquoi ils ont voulu réinitialiser l’Italie. Le but est de nous faire vendre notre or qui est toujours à la 4e place mondiale. Nous espérons résister. Les USA en première place. La Chine et la Russie ont commencé à acheter tout l’or produit il y a dix ans. Ils ne l’ont pas acheté pour le revendre. Ils l’ont acheté parce qu’ils veulent jouer en tant que protagonistes.

L’or reviendra donc jouer son rôle de premier plan dans le nouveau système économique. C’est aussi parce que l’or étant rare par nature, il empêchera l’économie de se développer de manière exponentielle, créant ce type de déséquilibre et fournissant une base solide sur laquelle redémarrer de manière plus durable, ce qui est également en accord avec les diktats «verts» qui vont tellement à la mode. Habitons-nous à tout cela et calculons bien nos pas pour sortir indemnes de la « marée basse » qui caractérisera les années à venir. Il y aura un règlement d’ici 2025. Puis un rythme lent jusqu’en 2032. Alors: c’est la nouvelle réalité: plus avec moins! Nous devons faire plus avec moins. Aiguisez vos esprits et soyez occupé. Sinon, il y aura des revenus de subsistance de l’État et une mort lente dans un coin, hors du jeu.

Commentaires

  Nicolò
Je suis ignorant, je ne sais pas ce qu’est Repo. Bref, disons que je crois les conséquences que vous avez écrites.Maintenant, j’aimerais savoir 2 choses:
1. Avez-vous demandé un avis à d’autres économistes ou personnes qui le comprennent? Type Malvezzi?
2. Comment pouvons-nous nous protéger un minimum? Achète-t-on de l’or? Dépensons-nous tout? Continuons-nous à accumuler FIAT?
  Angela
C’est depuis la crise de 2011 que j’ai eu le soupçon que quelque chose d’extérieur, au-delà, au-dessus de la politique que nous connaissons gouvernait le système italien; plus tard, le même doute m’est venu pour le gouvernement des États européens. J’étais convaincu que le gouvernement actuel n’était rien de plus qu’un gouvernement fantoche entre les mains des grands noms de la finance mondiale. J’avais tort, mais pas de beaucoup. Sachant maintenant que Covid est utilisé comme stratégie pour sauver ce qui peut être sauvé, me rassure, mais pas trop. Y aura-t-il des hommes et des femmes capables de gérer cette «pandémie économico-financière» avec un esprit juste et intelligent?
Il est scandaleux que des jeux financiers joués pour la simple satisfaction d’avoir des richesses en espèces puissent mettre le monde entier à genoux au profit de quelques-uns.
Que Dieu nous aide. 
Bonne journée



Loi Sécurité Globale : surveillance généralisée des manifestations

[Source : La Quadrature du Net]

Le 20 octobre, les députés de la majorité LREM ont déposé une proposition de loi de « sécurité globale ». Elle sera débattue par l’Assemblée nationale le 4 novembre, dans une urgence inouïe que rien ne justifie. Son article 21 veut déréguler l’utilisation des caméras mobiles portées par les forces de l’ordre. Son article 22 veut légaliser la surveillance par drone. Son article 24 veut interdire au public de diffuser l’image de policiers.

Nous exigeons le rejet de ces trois mesures, ne serait-ce qu’en raison de l’atteinte inadmissible qu’elles portent au droit fondamental d’exprimer nos opinions en manifestation. Ce n’est pas la seule critique à faire contre ce texte, mais c’est la critique que nous développerons dans cette première analyse.

L’approche confrontationnelle du maintien de l’ordre

Pour bien comprendre les dangers posés par cette proposition de loi, il faut la resituer dans la pratique générale du maintien de l’ordre en manifestation. Deux approches s’y opposent.

Une première approche « d’accompagnement », telle qu’elle serait enseignée au centre de formation de la gendarmerie ou telle qu’elle existe en Allemagne, en Suède ou en Suisse, se concentre sur la protection des manifestants, le dialogue et la désescalade de la violence.

Une deuxième approche « confrontationnelle », telle qu’elle s’illustre vivement depuis 2015 et telle qu’elle est fermement dénoncée depuis (voir par exemple le rapport du défenseur des droits de 2018), vise avant tout à dissuader la population de participer à des manifestations, que ce soit par épuisement psychologique des participants (pratique de la nasse, blocage ou filtrage des entrées et sorties du parcours, gazage, fouilles au corps, comportements injurieux) ou par des violences physiques (LBD, grenades, charges). Cette seconde approche ne traite plus les manifestantes et les manifestants comme des individus à protéger mais comme des « flux » déshumanisés qu’il s’agit uniquement de canaliser, de dévier, de retenir ou d’écouler.

L’approche « d’accompagnement » est théoriquement compatible avec notre droit fondamental de manifester. Au contraire, l’approche confrontationnelle est frontalement opposée à ce droit, par essence. C’est cette approche que la loi « sécurité globale » tente de renforcer, en donnant à la police trois moyens technologiques nouveaux pour s’y enfoncer davantage.

Surveillance de masse au sol

Une loi de 2016 a autorisé les policiers et les gendarmes à filmer leurs interventions par des « caméra mobiles ». Une condition était toutefois posée : que l’agent portant la caméra ne puisse pas accéder aux images, celles-ci ne pouvant être exploitées qu’a posteriori, lorsqu’un événement particulier survenu pendant l’intervention le justifiait. Cette condition, d’après l’avis de la CNIL, constituait une des « garanties essentielles » capables de rendre le dispositif acceptable.

L’article 21 de la loi « sécurité globale » propose de supprimer cette garantie. Non seulement l’agent pourra accéder aux images qu’il a enregistrées mais, plus grave, les images ne seront plus seulement exploitées à posteriori : elles pourront aussi être « transmises en temps réel au poste de commandement ». Quel est le but de cette transmission en temps réel ? Il ne s’agit manifestement pas d’informer le centre de commandement du déroulé de l’intervention, puisqu’une communication orale y suffit largement depuis des décennies. À notre sens, un des intérêts principaux serait de permettre l’analyse automatisée et en temps réel des images. Pour rappel, la police est autorisée depuis 2012 à utiliser des logiciels de reconnaissance faciale pour identifier une des 8 millions de photos déjà enregistrées dans le fichier de traitement des antécédents judiciaire (TAJ) sur n’importe quelle image dont elle dispose (qu’elle vienne de caméras fixe ou mobile, de vidéo publiée en ligne, etc.)

En manifestation, la reconnaissance faciale en temps réel permettra au centre de commandement de renseigner en direct les agents de terrain sur l’identité des nombreux militants et militantes qu’ils croiseront, déjà fichées à tort ou à raison dans le TAJ, fichier que la police gère seule sans contrôle indépendant effectif. Ce nouvel outil permettra à la police de multiplier certains abus ciblés contre des personnes déjà identifiées : gardes à vue « préventives », accès au cortège empêché, interpellations non-suivies de poursuite, fouilles au corps, confiscation de matériel, comportement injurieux…

Il ne s’agirait pas d’une simple accentuation mais d’un véritable changement de paradigme : actuellement, la police ne peut malmener qu’une poignée de personnes, plutôt célèbres, dont le visage peut être effectivement retenu par les policiers humains. Cette limite cognitive disparaît entièrement avec la reconnaissance faciale en temps réel, qui pourra toucher n’importe quel militant politique ou presque. Cette évolution est parfaitement étrangère à l’approche protectrice du maintien de l’ordre, mais s’inscrit parfaitement dans l’approche confrontationnelle.

Surveillance de masse aérienne

L’article 22 de la loi « sécurité globale » propose d’autoriser une pratique qui s’est répandue en violation de la loi au cours des derniers mois : le déploiement de drones pour surveiller les manifestations (pratique que nous venons d’attaquer à Paris).

Une telle surveillance aérienne est parfaitement inutile dans l’approche non-confrontationnelle du maintien de l’ordre : les drones ne sont pas des outils de dialogue ou d’apaisement mais, au contraire, distancient certains policiers et gendarmes des manifestants, qui ne peuvent même plus les voir. À l’inverse, la surveillance de masse par drones s’inscrit parfaitement dans l’approche confrontationnelle, et ce de deux façons.

En premier lieu, tout comme pour les caméras mobiles, les images captées par drones peuvent être analysées par reconnaissance faciale en temps réel, facilitant les actions ciblées de la police contre des militants préalablement identifiés. La surveillance par drones permet aussi, plus simplement, de suivre à la trace n’importe quel individu « dérangeant » repéré au cours d’une manifestation, afin de diriger les forces aux sols pour le malmener. Mediapart en a récemment donné un exemple saisissant : le témoignage de militantes qui, pour défendre l’hopital public, ont lâché une banderole flottante pendant un discours d’Emmanuel Macron et que la police a interpellées dans un domicile privé en expliquant avoir suivi leur trace par drone – avant de les relâcher après quatre heures, sans qu’elles ne soient poursuivies. Gérard Darmanin l’explique sans gêne dans le nouveau « schéma national du maintien de l’ordre » : les drones « sont utiles tant dans la conduite des opérations que dans la capacité d’identification des fauteurs de troubles ».

En second lieu, à ces attaques ciblées s’ajoute une approche plus collective. Le drone est l’outil idéal pour la gestion de flux déshumanisés propre à l’approche confrontationnelle. La position aérienne donne à voir concrètement ces « flux » et « liquides » que nous sommes devenus. Elle fait clairement apparaître les robinets et les écluses que la police peut actionner pour retenir, dévier ou faire écouler les flux humains : nasses, barricades, filtres, grenades, gaz. La stratégie d’épuisement des foules est bien délicate à mener sans vision d’ensemble, et c’est l’intérêt principal des drones que d’offrir cette vision.

Pire, avec une vision si haute et lointaine, les ordres du centre de commandement ne peuvent qu’être déconnectés des considérations humaines les plus élémentaires : bien souvent, les manifestants et les manifestantes ne sont plus que des points vus du dessus, dont la souffrance et la peur sont imperceptibles. Les conditions idéales sont réunies pour éviter que les donneurs d’ordre ne soient distraits par quelque empathie ou considération morale, pour que plus rien ne retienne la violence illégitime qui dissuadera les manifestants de revenir exercer leurs droits.

Interdiction de documenter l’action de la police

L’article 24 de la loi « sécurité globale » propose d’interdire au public de diffuser « l’image du visage ou tout autre élément d’identification d’un fonctionnaire de la police nationale ou d’un militaire de la gendarmerie nationale lorsqu’il agit dans le cadre d’une opération de police » et lorsque cette diffusion est faite « dans le but qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique ». Cette dernière précision vise à rassurer, mais ne soyons pas dupes : la police empêche déjà très régulièrement des personnes de la filmer alors qu’elles en ont parfaitement le droit. Cette nouvelle disposition ne pourra que rendre l’opposition de la police encore plus systématique et violente, peu importe le sens exact de la loi. De même, cette disposition sera à coup sûr instrumentalisée par la police pour exiger que les réseaux sociaux, petits ou grands, censurent toute image d’abus policiers, d’autant que le droit français rend ces plateformes responsables des images « manifestement illicites » qu’elles ne censureraient pas après signalement.

Il faut bien comprendre, ici encore, que si le maintien de l’ordre se faisait dans une approche de protection et d’apaisement, cette mesure serait parfaitement inutile. La population ne dénoncerait pas de policiers et n’en diffuserait pas l’image si la stratégie de maintien de l’ordre ne reposait pas sur la violence. Le seul objectif de cette disposition est de permettre à cette violence de perdurer tout en la rendant pratiquement incontestable.

Conclusion

Aucune de ces trois mesures ne serait utile dans une approche non-violente du maintien de l’ordre, dont l’objectif ne consisterait pas à combattre l’exercice légitime d’une liberté fondamentale mais bien de l’accompagner. A fortiori, ces mesures donneraient un pouvoir nouveau, dans un contexte où la contestation contre les violences policières grandit et où se fait criant le besoin de mécanismes démocratiques de contre-pouvoirs et de régulation du maintien de l’ordre.

Ce fourvoiement des députés LREM, avec la complicité du gouvernement et de leurs alliés de circonstance du centre traduit une déconnexion de certain·es parlementaires. Nous demandons à l’Assemblée nationale de supprimer ces articles et d’exiger — c’est aussi son rôle — du ministère de l’intérieur un changement radical de modèle dans le maintien de l’ordre.




Note sur la possibilité d’un monde basé sur le don

Est-ce que ceci serait impossible sous le prétexte que les mathématiques le démontrent ?
Est-ce que ceci serait impossible sous le prétexte qu’une société basée sur le don et la gratuité n’aurait jamais fonctionné sur Terre en dehors de petits groupes ?

Si les êtres humains s’étaient arrêtés à ce genre d’arguments, nous en serions encore à vivre dans des cavernes.
Les inventeurs des premiers avions ne sont pas laissés stopper par ceux qui leur rétorquaient que jamais quelque chose d’aussi lourd ne parviendrait à voler (en dépit de l’existence préalable des dirigeables et de l’observation des oiseaux). Ils sont parvenus à concrétiser ce qu’ils avaient d’abord imaginé, puis visualisé.

Pour ce qui est des mathématiques, elles ne démontrent rien par elles-mêmes en dehors de leur univers purement mental. Ce qui compte dans la nature et dans le domaine matériel, ce sont les lois physiques. Les mathématiques ne sont alors que des outils permettant de formuler ces dernières. Comme pour l’informatique, si on a au départ des données ou des hypothèses erronées, la conclusion ne peut pas être valide. « Garbage in, garbage out » [Détritus à l’entrée implique détritus à la sortie]. Il suffit de négliger ou d’oublier certains facteurs, certains aspects, certaines propriétés ou certaines variables pour rendre un modèle inadapté à décrire le réel ou le possible.

La nature est basée sur le don, la gratuité, le partage. Elle n’utilise aucune forme de monnaie. Elle n’utilise pas non plus nécessairement un système de troc. Le Soleil fournit généreusement sa lumière et sa chaleur aux plantes, au plancton et aux diverses plantes de la Terre, entre autres choses. La pluie ou les Hommes arrosent ces dernières. L’air leur fournit de quoi respirer et produire la photosynthèse. Des bactéries et des champignons s’associent à leurs racines pour leur permettre de prélever des nutriments du sol et fixer l’azote atmosphérique. Les bactéries reçoivent des glucides de la plante par l’intermédiaire des champignons. Etc. Il existe une véritable symbiose entre ces trois types d’espèces. Les fruits, les graines, les feuilles, les racines, etc. des plantes peuvent aussi nourrir d’autres familles d’êtres vivants, dont les humains. Les bactéries présentes dans nos propres intestins nous aident à assimiler certains nutriments pendant qu’elles en prélèvent leur propre nourriture. La nature est la preuve flagrante et implacable qu’une organisation complexe basée sur le don et le partage des ressources est possible. Quand un de ses participants donne quelque chose, il ne reçoit pas nécessairement une contrepartie directement des bénéficiaires. De plus, il peut exister un délai entre ce qui est donné et ce qui est reçu. Et le plus généreux donateur est le Soleil. Lui ne reçoit strictement rien en retour.

Pourquoi les êtres humains qui se croient si intelligents ne seraient-ils pas capables de faire aussi bien que les autres participants à la vie naturelle ? Qu’est-ce qui les en empêche ?
Eh bien, il semble que ce soit l’égoïsme, la tendance à prendre plutôt qu’à donner gratuitement, le parasitisme. Et cette tendance est fortement stimulée par l’existence des psychopathes. Cependant, à partir du moment où nous ne donnerons plus aucun pouvoir à ces derniers, nous évoluerons plus spontanément et facilement vers une société libérée des contraintes produites par l’existence de l’argent, à l’image de ce qui existe depuis la nuit des temps dans le reste de la nature.

Voir aussi :




Objectifs de Développement Durable de l’ONU: Où en est-on en France?

[Source : Agence France Électricité]

En 2015 l’ONU dressait 17 objectifs de développement durable à atteindre à l’horizon 2030. 5 ans plus tard, il est l’heure de faire un premier état des lieux de la situation en France. Réponse en images avec 2 infographies.

infographie objectif onu

France : Objectifs de Développement Durable de l’ONU

5 ans après la définition par l’ONU des 17 objectifs de développement durable à atteindre d’ici 2030, où est est-on aujourd’hui en France ?

Des résultats encourageants dans certains domaines…

Parmi les 28 pays signataires, la France se classe à la 6ème position. Devancée par le Danemark, la Suède, la Finlande, l’Autriche et l’Allemagne, la France se place tout de mêmes avant des pays comme le Royaume-Uni, l’Espagne et l’Italie. La France a d’ailleurs d’ores et déjà atteint les objectifs fixés par l’ONU en matière de réduction de la pauvreté ainsi que de développement d’une industrie et d’infrastructures durables.

Elle est également sur de bonnes voies en ce qui concerne les objectifs suivants :

  • réduction des inégalités de genre
  • production d’énergies durables et abordables
  • accès généralisé à l’eau potable et purification des eaux usées
  • accès aux soins et bien-être.

… mais qui restent insuffisants dans la globalité

Il serait néanmoins hypocrite d’affirmer que la France est un pays modèle en ce qui concerne les ODD (Objectifs de développement durable). De fait, alors que nous avons, pour le moment, atteint 12% des objectifs fixés par l’ONU, des pays tels que la Finlande et le Danemark en sont déjà à plus de 40%.La France est particulièrement à la traine en matière de préservation des écosystèmes terrestres, de paix et de justice mais aussi au niveau de l’éducation. En ce qui concerne le dernier point, nous pointons effectivement au 17ème rang du classement.

Ces objectifs sont-ils suffisamment ambitieux ?

En somme, la France s’en sort sans pour autant faire figure de pays modèle. Mais, au-delà de ces résultats passables, il est important de remettre en question la pertinence de ces objectifs. Sont-ils suffisamment ambitieux à la vue de l’urgence climatique dans laquelle nous nous situons ? Couvrent-ils la totalité des sujets capitaux en matière de développement durable ?Parmi les 17 objectifs définis par l’ONU, aucun ne couvre la démocratie, la diversité culturelle et les droits humains. La pluralité des ODD constitue également une source de critique dans la mesure où cela dilue les priorités et a conduit à la formulation d’objectifs dont la mesure semble bien compliquée…

Ecrit par david

Mis à jour le 29 Oct, 2020




Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »

[Source : Guy Boulianne]

[NdNM : L’époque actuelle semble être marquée par un affrontement d’ordre spirituel entre deux parties de l’Humanité.]

Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial » (24 octobre 2020)

Voici la conférence que l’archevêque Carlo Maria Viganò donna le 24 octobre dernier lors de la Conférence sur l’identité catholique 2020, « Christ ou Chaos: Défier le Nouvel Ordre Mondial », qui se tint du 23 au 25 octobre dernier. Il s’agit de la première apparition de l’archevêque devant la caméra en deux ans, abordant la crise de l’Église catholique et plus particulièrement le lien entre Vatican II et la révolution du pape François.
La transcription de l’intégralité de la conférence apparaît sous la vidéo.

« Dans la sphère civile, l’État profond a géré la dissidence politique et sociale en utilisant des organisations et des mouvements qui ne sont qu’apparemment de l’opposition, mais qui contribuent en fait au maintien du pouvoir. »

— Mgr Carlo Maria Viganò


CONFÉRENCE D’IDENTITÉ CATHOLIQUE
24 octobre 2020

LE BOUC ÉMISSAIRE FRANÇOIS
Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial

Mgr Carlo Maria Viganò, Nonce apostolique

« Suivez-moi et laissez les morts enterrer leurs propres morts. »
Mt 8:22

1. NOUS VIVONS À DES TEMPS EXTRAORDINAIRES

Comme chacun de nous l’a probablement compris, nous nous trouvons dans un moment historique dans le temps; les événements du passé, qui semblaient autrefois déconnectés, se révèlent désormais indiscutablement liés, tant dans les principes qui les inspirent que dans les objectifs qu’ils cherchent à atteindre. Un regard juste et objectif sur la situation actuelle ne peut que saisir la parfaite cohérence entre l’évolution du cadre politique mondial et le rôle que l’Église catholique a assumé dans l’établissement du nouvel ordre mondial. Pour être plus précis, il convient de parler du rôle de cette apparente majorité dans l’Église, qui est en fait peu nombreuse mais extrêmement puissante, et que, par souci de brièveté, je résumerai comme l’Église profonde (deep church).

Évidemment, il n’y a pas deux Églises, ce qui serait impossible, blasphématoire et hérétique. La seule véritable Eglise du Christ n’a pas non plus failli aujourd’hui dans sa mission, se pervertissant en secte. L’Église du Christ n’a rien à voir avec ceux qui, depuis soixante ans, exécutent un plan pour l’occuper. Le chevauchement entre la Hiérarchie catholique et les membres de l’Église profonde n’est pas un fait théologique, mais plutôt une réalité historique qui défie les catégories habituelles et, en tant que telle, doit être analysée .

Nous savons que le projet du Nouvel Ordre Mondial consiste en l’instauration de la tyrannie par la franc-maçonnerie : un projet qui remonte à la Révolution française, au siècle des Lumières, à la fin des monarchies catholiques et à la déclaration de guerre à l’Église. On peut dire que le Nouvel Ordre Mondial est l’antithèse de la société chrétienne, ce serait la réalisation de la diabolique Civitas Diaboli — Cité du Diable — opposée à la Civitas Dei — Cité de Dieu — dans la lutte éternelle entre Lumière et Ténèbres, Le bien et le mal, Dieu et Satan.

Dans cette lutte, la Providence a placé l’Église du Christ, et en particulier le Souverain Pontife, comme kathèkon — c’est-à-dire celui qui s’oppose à la manifestation du mystère de l’iniquité (2 Th 2, 6-7). Et la Sainte Écriture nous avertit qu’à la manifestation de l’Antéchrist, cet obstacle — le kathèkon — aura cessé d’exister. Il me semble bien évident que la fin des temps approche maintenant sous nos yeux, puisque le mystère de l’iniquité s’est répandu dans le monde avec la disparition de la courageuse opposition des kathèkon.

En ce qui concerne l’incompatibilité entre la Cité de Dieu et la Cité de Satan, le conseiller jésuite de François, Antonio Spadaro, met de côté la Sainte Écriture et la Tradition, faisant sien les embrassons-nous bergogliens. Selon le directeur de La Civiltà Cattolica, l’encyclique Fratelli Tutti :

« Reste aussi un message à forte valeur politique, car — pourrait-on dire — il renverse la logique de l’apocalypse qui prévaut aujourd’hui. C’est la logique fondamentaliste qui lutte contre le monde, car elle croit que c’est l’opposé de Dieu, c’est-à-dire une idole, et donc à détruire le plus tôt possible afin d’accélérer la fin des temps. L’abîme de l’apocalypse, en effet, devant lequel il n’y a plus de frères : seuls des apostats ou des martyrs qui courent «contre» le temps. […] Nous ne sommes ni militants ni apostats, mais tous frères. » [1]

Cette stratégie de discrédit de l’interlocuteur avec l’insulte d’« intégriste » vise évidemment à faciliter l’action de l’ennemi au sein de l’Église, cherchant à désarmer l’opposition et à décourager la dissidence. On la retrouve aussi dans la sphère civile, où les démocrates et l’État profond s’arrogent le droit de décider à qui accorder la légitimité politique et à qui condamner sans faire appel à l’ostracisme médiatique. La méthode est toujours la même, car celle qui inspire est la même. De même que la falsification de l’Histoire et des sources, est toujours la même : si le passé renie le récit révolutionnaire, les adeptes de la Révolution censurent le passé et remplacent le fait historique par un mythe. Même saint François est victime de cette adultération qui ferait de lui le porte-étendard de la pauvreté et du pacifisme, qui sont aussi étrangers à l’esprit de l’orthodoxie catholique qu’ils sont instrumentaux de l’idéologie dominante. Preuve en est le dernier recours frauduleux au Poverello d’Assise à Fratelli Tutti pour justifier le dialogue, l’œcuménisme et la fraternité universelle de l’anti-église bergoglienne.

Ne commettons pas l’erreur de présenter les événements actuels comme « normaux », en jugeant ce qui se passe avec les paramètres juridiques, canoniques et sociologiques qu’une telle normalité supposerait. En des temps extraordinaires — et la crise actuelle de l’Église est en effet extraordinaire — les événements dépassent l’ordinaire connu de nos pères. Dans des temps extraordinaires, nous pouvons entendre un pape tromper les fidèles; voir les princes de l’Église accusés de crimes qui, en d’autres temps, auraient suscité l’horreur et été punis sévèrement; témoigner dans nos églises des rites liturgiques qui semblent avoir été inventés par l’esprit pervers de Cranmer; voir les prélats transformer l’idole impure du pachamama dans la basilique Saint-Pierre; et entendez le Vicaire du Christ s’excuser auprès des adorateurs de ce simulacre si un catholique ose le jeter dans le Tibre. En ces temps extraordinaires, nous entendons un conspirateur — le cardinal Godfried Danneels — nous dire que, depuis la mort de Jean-Paul II, la mafia de Saint-Gall avait comploté pour élire l’un des leurs à la chaire de Pierre, ce qui s’est avéré plus tard en être Jorge Mario Bergoglio. Face à cette révélation déconcertante, on peut s’étonner que ni les cardinaux ni les évêques n’aient exprimé leur indignation ni demandé que la vérité soit révélée.

La coexistence du bien et du mal, des saints et des damnés, dans le corps ecclésial, a toujours accompagné les événements terrestres de l’Église, à commencer par la trahison de Judas Iscariote. Et il est en effet significatif que l’anti-église tente de réhabiliter Judas — et avec lui les pires hérésiarques — en tant que modèles exemplaires, « anti-saints » et « anti-martyrs », et se légitimer ainsi dans leurs propres hérésies, immoralité et vices. La coexistence — je disais — des bons et des méchants, dont parle l’Évangile dans la parabole du blé et de l’ivraie, semble s’être transformée en la prédominance des seconds sur les premiers. La différence est que le vice et les déviations autrefois méprisés sont aujourd’hui non seulement plus pratiqués et tolérés, mais même encouragés et loués, tandis que la vertu et la fidélité à l’enseignement du Christ sont méprisées.

2. L’ÉCLIPSE DE LA VRAIE ÉGLISE

Depuis soixante ans, nous assistons à l’éclipse de la véritable Église par une anti-église qui s’est progressivement appropriée son nom, a occupé la Curie romaine et ses Dicastères, Diocèses et Paroisses, Séminaires et Universités, Couvents et Monastères. L’anti-église a usurpé son autorité, et ses ministres portent ses vêtements sacrés; elle utilise son prestige et son pouvoir pour s’approprier ses trésors, ses actifs et ses finances.

Tout comme cela se produit dans la nature, cette éclipse n’a pas lieu d’un seul coup; il passe de la lumière aux ténèbres lorsqu’un corps céleste s’insère entre le soleil et nous. Il s’agit d’un processus relativement lent mais inexorable, dans lequel la lune de l’anti-église suit son orbite jusqu’à ce qu’elle chevauche le soleil, générant un cône d’ombre qui se projette sur la terre. Nous nous trouvons maintenant dans ce cône d’ombre doctrinal, moral, liturgique et disciplinaire. Ce n’est pas encore l’éclipse totale que nous verrons à la fin des temps, sous le règne de l’Antéchrist. Mais c’est une éclipse partielle, qui permet de voir la couronne lumineuse du soleil encerclant le disque noir de la lune.

Le processus qui a conduit à l’éclipse d’aujourd’hui de l’Église a commencé avec le modernisme, sans aucun doute. L’anti-église a suivi son orbite malgré les condamnations solennelles du Magistère, qui dans cette phase a brillé avec la splendeur de la Vérité. Mais avec le Concile Vatican II, les ténèbres de cette fausse entité ont envahi l’Église. Au départ, il n’en obscurcissait qu’une petite partie, mais l’obscurité augmentait progressivement. Quiconque montrait alors le soleil, en déduisant que la lune l’obscurcirait certainement, était accusé d’être un « prophète de malheur », avec ces formes de fanatisme et d’intempérance qui découlent de l’ignorance et des préjugés. Le cas de Mgr Marcel Lefebvre et de quelques autres prélats confirme, d’une part, la clairvoyance de ces bergers et, d’autre part, la réaction décousue de leurs adversaires; qui, par crainte de perdre le pouvoir, ont utilisé toute leur autorité pour nier les preuves et ont caché leurs véritables intentions.

Pour continuer l’analogie : on peut dire que, dans le ciel de la Foi, une éclipse est un phénomène rare et extraordinaire. Mais nier que, pendant l’éclipse, les ténèbres se propagent — simplement parce que cela ne se produit pas dans des conditions ordinaires — n’est pas un signe de foi en l’indéfectibilité de l’Église, mais plutôt un déni obstiné des preuves, ou de la mauvaise foi. La Sainte Église, selon les promesses du Christ, ne sera jamais submergée par les portes de l’enfer, mais cela ne signifie pas qu’elle ne sera pas — ou n’est pas déjà — éclipsée par son faux infernal, cette lune qui, non par hasard, nous voyons sous les pieds de la femme de la révélation : « Un grand signe parut dans le ciel: une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête. » (Ap 12, 1).

La lune se trouve sous les pieds de la Femme qui est au-dessus de toute mutabilité, au-dessus de toute corruption terrestre, au-dessus de la loi du destin et du royaume de l’esprit de ce monde. Et c’est parce que cette Femme, qui est à la fois l’image de la Très Sainte Marie et de l’Église, est amicta sole, revêtue du Soleil de Justice qu’est le Christ, « exempte de toute puissance démoniaque en participant au mystère de l’immuabilité du Christ » (Saint Ambroise). Elle reste intacte sinon dans son royaume militant, certainement dans celui qui souffre au Purgatoire et dans celui qui triomphe au Paradis. Saint Jérôme, commentant les paroles des Écritures, nous rappelle que « les portes de l’enfer sont des péchés et des vices, en particulier les enseignements des hérétiques ». Nous savons donc que même la « synthèse de toutes les hérésies » représentée par le modernisme et sa version conciliaire actualisée, ne pourra jamais obscurcir définitivement la splendeur de l’Épouse du Christ, mais seulement pour la brève période de l’éclipse que la Providence, dans son infinie sagesse, a permis, d’en tirer un bien plus grand.

3. L’ABANDON DE LA DIMENSION SUPERNATURALE

Dans cet entretien, je souhaite en particulier traiter de la relation entre la révolution de Vatican II et l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. L’élément central de cette analyse consiste à mettre en évidence l’abandon de la part de la Hiérarchie ecclésiastique, même au sommet, de la dimension surnaturelle de l’Église et de son rôle eschatologique. Avec le Concile, les Innovateurs ont effacé l’origine divine de l’Église de leur horizon théologique, créant une entité d’origine humaine semblable à une organisation philanthropique. La première conséquence de cette subversion ontologique a été le refus nécessaire du fait que l’Épouse du Christ n’est pas, et ne peut pas être sujet au changement par ceux qui exercent l’autorité par procuration au nom du Seigneur. Elle n’est la propriété ni du Pape ni des évêques ou des théologiens, et, à ce titre, toute tentative d’« Aggiornamento » la rabaisse au niveau d’une société qui, pour en tirer des bénéfices, renouvelle sa propre offre commerciale, vend les restes, stockent et suivent la mode du moment. L’Église, au contraire, est une réalité surnaturelle et divine : elle adapte sa manière de prêcher l’Évangile aux nations, mais elle ne peut jamais changer le contenu d’un seul iota (Mt 5, 18), ni nier son élan transcendant, en s’abaissant à un simple service social. De l’autre côté, l’anti-église revendique fièrement le droit d’effectuer un changement de paradigme non seulement en changeant la façon dont la doctrine est exposée, mais la doctrine elle-même. Ceci est confirmé par les propos du commentaire de Massimo Faggioli sur la nouvelle encyclique Fratelli Tutti :

« Le pontificat du pape François est comme une norme élevée devant les intégristes catholiques et ceux qui assimilent continuité matérielle et tradition : la doctrine catholique ne se développe pas seulement. Parfois, cela change vraiment : par exemple sur [la] peine de mort, [et] la guerre. » [2]

Insister sur ce que le Magistère enseigne est inutile. La prétention effrontée des innovateurs d’avoir le droit de changer la foi suit obstinément l’approche moderniste.

La première erreur du Concile consiste principalement en l’absence de perspective transcendante — résultat d’une crise spirituelle déjà latente — et dans la tentative d’établir un paradis sur terre, avec un horizon humain stérile. Conformément à cette approche, Fratelli Tutti voit l’accomplissement d’une utopie terrestre et d’une rédemption sociale dans la fraternité humaine, la pax œcumenica entre les religions et l’accueil des migrants.

4. LE SENS DE L’INFÉRIORITÉ ET DE L’INADÉQUATION

Comme je l’ai écrit à d’autres occasions, les revendications révolutionnaires de la Nouvelle Théologie ont trouvé un terrain fertile chez les Pères conciliaires à cause d’un grave complexe d’infériorité vis-à-vis du monde. Il fut un temps, dans la période d’après-guerre, où la révolution menée par la franc-maçonnerie dans les sphères civile, politique et culturelle, brisa l’élite catholique, la persuadant de son insuffisance face à un défi d’époque qui est désormais incontournable. Au lieu de se remettre en question et de remettre en question leur foi, cette élite — évêques, théologiens, intellectuels — a impudemment attribué la responsabilité de l’échec imminent de l’Église à sa structure hiérarchique solide comme le roc et à son enseignement doctrinal et moral monolithique. En regardant la défaite de la civilisation européenne que l’Église avait contribué à former, l’élite pensait que le manque d’accord avec le monde était causé par l’intransigeance de la papauté et la rigidité morale des prêtres ne voulant pas accepter le Zeitgeist (esprit du temps) et « s’ouvrir ». Cette approche idéologique découle de la fausse hypothèse selon laquelle, entre l’Église et le monde contemporain, il peut y avoir une alliance, une consonance d’intention, une amitié. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité, car il ne peut y avoir de répit dans la lutte entre Dieu et Satan, entre la lumière et les ténèbres. « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. » (Gn 3, 15) C’est une inimitié voulue par Dieu lui-même, qui place Marie très sainte — et l’Église — comme des ennemis éternels de l’ancien serpent. Le monde a son propre prince (Jn 12, 31), qui est « l’ennemi » (Mt 13, 28), un « meurtrier du commencement » (Jn 8, 44) et un « menteur » (Jn 8, 44). Courtiser un pacte de non-belligérance avec le monde signifie s’entendre avec Satan. Cela renverse et pervertit l’essence même de l’Église, dont la mission est de convertir autant d’âmes au Christ pour la plus grande gloire de Dieu, sans jamais déposer les armes contre ceux qui veulent les attirer vers eux-mêmes et vers la damnation.

Le sentiment d’infériorité et d’échec de l’Église devant le monde a créé la « tempête parfaite » pour que la révolution prenne racine dans les Pères conciliaires et par extension dans le peuple chrétien, chez qui l’obéissance à la Hiérarchie avait été cultivée peut-être plus que la fidélité au dépôt fidei. Que ce soit clair : l’obéissance aux Sacrés Pasteurs est certainement louable si les commandements sont légitimes. Mais l’obéissance cesse d’être une vertu et, en fait, devient servilité si elle est une fin en soi et si elle contredit le but auquel elle est ordonnée, à savoir la foi et la morale. Nous devons ajouter que ce sentiment d’infériorité a été introduit dans le corps ecclésial avec des démonstrations de grand théâtre, comme le retrait de la tiare par Paul VI, le retour des bannières phares ottomanes conquises à Lépante, les étreintes œcuméniques étalées avec le schismatique Athénagoras, les demandes de pardon pour les croisades, l’abolition de l’Index, la concentration du clergé sur les pauvres en place au prétendu triomphalisme de Pie XII. Le coup de grâce de cette attitude a été codifiée dans la liturgie réformée, qui manifeste son embarras du dogme catholique en le faisant taire — et ainsi en le niant indirectement. Le changement rituel a engendré un changement doctrinal, qui a conduit les fidèles à croire que la messe est un simple banquet fraternel et que la très sainte Eucharistie n’est qu’un symbole de la présence du Christ parmi nous.

5. « IDEM SENTIRE » DE LA RÉVOLUTION ET DU CONSEIL

Le sentiment d’insuffisance des Pères du Concile n’a été accru que par le travail des Innovateurs, dont les idées hérétiques coïncidaient avec les exigences du monde. Une analyse comparative de la pensée moderne confirme l’idem sentire [même sentiment ou même esprit] des conspirateurs avec chaque élément de l’idéologie révolutionnaire :

• l’acceptation du principe démocratique comme source de légitimation du pouvoir, à la place du droit divin de la monarchie catholique (y compris la papauté);

• la création et l’accumulation d’organes de pouvoir, à la place de la responsabilité personnelle et de la hiérarchie institutionnelle;

• l’effacement du passé historique, évalué avec les paramètres d’aujourd’hui, qui ne parviennent pas à défendre la tradition et le patrimoine culturel;

• l’accent mis sur la liberté des individus et l’affaiblissement du concept de responsabilité et de devoir;

• l’évolution continue de la morale et de l’éthique, ainsi privées de leur nature immuable et de toute référence transcendante;

• le caractère séculier présumé de l’État, à la place de la soumission légitime de l’ordre civil à la Royauté de Jésus-Christ et la supériorité ontologique de la mission de l’Église sur celle de la sphère temporelle;

• l’égalité des religions non seulement devant l’État, mais même en tant que concept général auquel l’Église doit se conformer, contre la défense objective et nécessaire de la Vérité et la condamnation de l’erreur;

• le concept faux et blasphématoire de la dignité de l’homme comme connatural pour lui, basé sur la négation du péché originel et du besoin de la Rédemption comme prémisse pour plaire à Dieu, mériter sa grâce et atteindre la béatitude éternelle;

• la remise en cause du rôle de la femme, le mépris et un mépris du privilège de la maternité;

• la primauté de la matière sur l’esprit;

• le rapport fidéiste à la science [3], face à une critique impitoyable de la religion sur de fausses bases scientifiques.

Tous ces principes, propagés par les idéologues de la franc-maçonnerie et les partisans du Nouvel Ordre Mondial, coïncident avec les idées révolutionnaires du Concile :

• la démocratisation de l’Église a commencé avec Lumen Gentium et se réalise aujourd’hui dans le chemin synodal bergoglien;

• la création et l’accumulation d’organes de pouvoir ont été réalisées en déléguant des rôles décisionnels aux Conférences épiscopales, synodes d’évêques, commissions, conseils pastoraux, etc.

• le passé et les glorieuses traditions de l’Église sont jugés selon la mentalité moderne et condamnés pour se faire la faveur du monde moderne;

• la « liberté des enfants de Dieu » théorisée par Vatican II a été établie indépendamment des devoirs moraux d’individus qui, selon les contes de fées conciliaires, sont tous sauvés indépendamment de leurs dispositions intérieures et de l’état de leur âme;

• l’obscurcissement de références morales éternelles a conduit à la révision de la doctrine de la peine capitale; et, avec Amoris Laetitia, l’admission des adultères publics aux sacrements, brisant l’édifice sacramentel;

• l’adoption du concept de laïcité a conduit à l’abolition d’une religion d’État dans les nations catholiques. Encouragé par le Saint-Siège et l’épiscopat, cela a conduit à une perte d’identité religieuse et à la reconnaissance des droits des sectes, ainsi qu’à l’approbation de normes qui violent la loi naturelle et divine;

• la liberté religieuse théorisée dans Dignitatis Humanae est aujourd’hui portée à ses conséquences logiques et extrêmes avec la Déclaration d’Abu Dhabi et la dernière Encyclique Fratelli Tutti, rendant obsolète la mission salvifique de l’Église et de l’Incarnation elle-même;

• les théories sur la dignité humaine dans la sphère catholique ont conduit à une confusion sur le rôle des laïcs par rapport au rôle ministériel du clergé et à un affaiblissement de la structure hiérarchique de l’Église. Alors que l’adhésion à l’idéologie féministe est un prélude à l’admission des femmes aux ordres sacrés;

• une préoccupation démesurée des besoins temporels des pauvres, si typique de la gauche, a transformé l’Église en une sorte d’association de bien-être, limitant son activité à la simple sphère matérielle, presque au point d’abandonner le spirituel;

• la soumission à la science moderne et au progrès technologique a conduit l’Église à désavouer la « reine de la science » [la foi], à « démythifier » les miracles, à nier l’inerrance de la Sainte Écriture, à regarder les mystères les plus sacrés de notre sainte religion comme « mythes » ou « métaphores », suggérant sacrilège que la transsubstantiation et la résurrection elle-même sont « magiques » (à ne pas prendre au pied de la lettre mais plutôt symboliquement), et pour décrire les sublimes dogmes mariaux comme des « tontérias » [absurdités].

Il y a un aspect presque grotesque de ce nivellement et de l’abaissement de la Hiérarchie pour se conformer à la pensée dominante. Le désir de la hiérarchie de plaire à ses persécuteurs et de servir ses ennemis arrive toujours trop tard et se désynchronise, donnant l’impression que les évêques sont irrémédiablement dépassés, voire pas dans l’air du temps. Ils amènent ceux qui les voient comploter avec tant d’enthousiasme leur propre extinction à croire que cette démonstration de soumission courtisane à un politiquement correct ne vient pas tant d’une vraie persuasion idéologique, mais plutôt de la peur d’être emporté, de perdre le pouvoir, et de ne plus avoir ce prestige que le monde leur paie encore, néanmoins. Ils ne se rendent pas compte — ou ne veulent pas admettre — que le prestige et l’autorité dont ils sont les gardiens viennent de l’autorité et du prestige de l’Église du Christ, et non de la misérable et pitoyable contrefaçon de celle-ci qu’ils ont façonnée.

Lorsque cette anti-église sera pleinement établie dans l’éclipse totale de l’Église catholique, l’autorité de ses dirigeants dépendra du degré d’assujettissement au Nouvel Ordre Mondial, qui ne tolérera aucune divergence par rapport à son propre credo et appliquera impitoyablement cela. dogmatisme, fanatisme et fondamentalisme que de nombreux prélats et intellectuels autoproclamés critiquent chez ceux qui restent fidèles au Magistère aujourd’hui. De cette façon, l’Église profonde peut continuer à porter la marque de fabrique « Église catholique », mais elle sera l’esclave de la pensée de l’Ordre Nouveau, rappelant les Juifs qui, après avoir nié la Royauté du Christ avant Pilate, étaient esclaves de l’autorité de leur temps : « Nous n’avons d’autre roi que César » (Jn 19:15). César d’aujourd’hui nous ordonne de fermer les églises, de porter un masque et de suspendre les célébrations sous le prétexte d’une pseudo-pandémie. Le régime communiste persécute les catholiques chinois, et le monde n’entend que le silence de Rome. Demain, un nouveau Titus saccagera le temple du Conseil, transportant ses restes dans un musée, et la vengeance divine aux mains des païens aura de nouveau été accomplie.

6. LE RÔLE INSTRUMENTAL DES CATHOLIQUES MODÉRÉS DANS LA RÉVOLUTION

Certains pourraient dire que les Pères et Papes conciliaires qui ont présidé cette assemblée n’ont pas réalisé les implications que leur approbation des documents de Vatican II aurait pour l’avenir de l’Église. Si tel était le cas — c’est -à- dire s’il y avait eu des regrets ultérieurs dans leur approbation hâtive de textes hérétiques ou proches de l’hérésie — il est difficile de comprendre pourquoi ils n’ont pas pu mettre un terme immédiat aux abus, corriger les erreurs, clarifier les malentendus et les omissions. Et par-dessus tout, il est incompréhensible pourquoi l’Autorité ecclésiastique a été si impitoyable contre ceux qui ont défendu la Vérité catholique, et, en même temps, ont été si terriblement accommodants envers les rebelles et les hérétiques. Dans tout les cas, la responsabilité de la crise conciliaire doit être portée aux pieds de l’Autorité qui, même au milieu de mille appels à la collégialité et au pastoralisme, a jalousement gardé ses prérogatives, ne les exerçant que dans un seul sens, c’est-à-dire contre le pusillus grex [petit troupeau] et jamais contre les ennemis de Dieu et de l’Église. Les très rares exceptions, lorsqu’un théologien hérétique ou un religieux révolutionnaire a été censuré par le Saint-Office, n’offrent que la confirmation tragique d’une règle qui est appliquée depuis des décennies; sans compter que beaucoup d’entre eux, ces derniers temps, ont été réhabilités sans aucune abjuration de leurs erreurs et même promus à des postes institutionnels dans la Curie romaine ou dans les Athénées pontificales.

Telle est la réalité, telle qu’elle ressort de mon analyse. Cependant, nous savons qu’en plus de l’aile progressiste du Concile et de l’aile catholique traditionnelle, il y a une partie de l’épiscopat, le clergé et le peuple qui tente de se tenir à égale distance de ce qu’il considère comme deux extrêmes. Je parle des soi-disant « conservateurs », qui est une partie centriste du corps ecclésial qui finit « transportant de l’eau » pour les Révolutionnaires parce que, tout en rejetant leurs excès, il partage les mêmes principes. L’erreur des « conservateurs » consiste à donner une connotation négative au traditionalisme et à le placer à l’opposé du progressisme. Leur aurea mediocritas [via les médias] consiste à se placer arbitrairement non pas entre deux vices, mais entre la vertu et le vice. Ce sont eux qui critiquent les excès de la pachamama ou des propos les plus extrêmes de Bergoglio, mais qui ne tolèrent pas la remise en cause du Concile, encore moins le lien intrinsèque entre le cancer conciliaire et la métastase actuelle. La corrélation entre conservatisme politique et conservatisme religieux consiste à adopter le « centre », synthèse entre la thèse « droite » et l’antithèse « gauche », selon l’approche hégélienne si chère aux modérés du Concile.

Dans la sphère civile, l’État profond a géré la dissidence politique et sociale en utilisant des organisations et des mouvements qui ne sont qu’apparemment de l’opposition, mais qui contribuent en fait au maintien du pouvoir. De même, dans la sphère ecclésiale, l’Église profonde utilise les « conservateurs » modérés pour donner l’impression d’offrir la liberté aux fidèles. Le Motu Proprio Summorum Pontificum lui-même, par exemple, tout en accordant la célébration sous une forme extraordinaire, exige saltem impliciter [au moins implicitement] que nous acceptons le Concile et reconnaissons la légalité de la liturgie réformée. Ce stratagème empêche ceux qui bénéficient du Motu Proprio de soulever des objections, ou ils risquent la dissolution des communautés Ecclesia Dei. Et cela insuffle au peuple chrétien l’idée dangereuse qu’une bonne chose, pour avoir une légitimité dans l’Église et la société, doit nécessairement être accompagnée d’une mauvaise chose ou du moins de quelque chose de moins bon. Cependant, seul un esprit égaré chercherait à accorder des droits égaux au bien et au mal. Peu importe si l’on est personnellement en faveur du bien, quand on reconnaît la légitimité de ceux qui sont en faveur du mal. En ce sens, la « liberté de choisir » l’avortement théorisée par les politiciens démocrates trouve son contrepoids dans la non moins aberrante «liberté religieuse» théorisée par le Conseil, qui est aujourd’hui obstinément défendue par l’anti-église. S’il n’est pas permis à un catholique de soutenir un politicien qui défend le droit à l’avortement, il est encore moins permis d’approuver un prélat qui défend la « liberté » d’un individu de mettre en danger son âme immortelle en « choisissant » de rester dans la condition de péché mortel. Ce n’est pas de la miséricorde; c’est un manquement flagrant au devoir spirituel devant Dieu pour attirer la faveur et l’approbation de l’homme.

7. « SOCIÉTÉ OUVERTE » ET « RELIGION OUVERTE »

Cette analyse ne serait guère complète sans un mot sur la néo-langue si populaire dans la sphère ecclésiastique. Le vocabulaire catholique traditionnel a été délibérément modifié, afin de changer le contenu qu’il exprime. La même chose s’est produite dans la liturgie et la prédication, où la clarté de l’exposition catholique a été remplacée par l’ambiguïté ou le déni implicite de la vérité dogmatique. Les exemples sont infinis. Ce phénomène remonte également à Vatican II, qui cherchait à développer des versions « catholiques » des slogans du monde. Néanmoins, je tiens à souligner que toutes ces expressions empruntées aux lexiques laïques font également partie du néolangage. Considérons l’insistance du Bergoglio sur l’« église sortante » sur l’ouverture comme valeur positive. De même, je cite maintenant le Fratelli tutti :

« Un peuple vivant et dynamique, un peuple d’avenir, est constamment ouvert à une nouvelle synthèse par sa capacité à accueillir les différences » (Fratelli Tutti, 160).

« L’Église est une maison aux portes ouvertes » (ibid. 276).

« Nous voulons être une Église qui sert, qui sort de chez elle et sort de ses lieux de culte, sort de ses sacristies, pour accompagner la vie, pour entretenir l’espérance, pour être le signe de l’unité… pour construire des ponts, pour abattre les murs, semer les graines de la réconciliation » (ibid).

La similitude avec l’Open Society recherchée par l’idéologie mondialiste de Soros est si frappante qu’elle en constitue presque un contrepoint de religion ouverte.

Et cette religion ouverte est parfaitement en phase avec les intentions du mondialisme. Des réunions politiques « pour un nouvel humanisme » bénies par les dirigeants de l’Église à la participation de l’intelligentsia progressiste à la propagande verte, tout court après la pensée dominante, dans la triste et grotesque tentative de plaire au monde. Le contraste frappant avec les paroles de l’apôtre est clair : « Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ. » (Gal. 1:10)

L’Église catholique vit sous le regard de Dieu; elle existe pour sa gloire et pour le salut des âmes. L’anti-église vit sous le regard du monde, se pliant à l’apothéose blasphématoire de l’homme et à la damnation des âmes. Lors de la dernière session du Concile Œcuménique Vatican II, devant tous les Pères synodaux, ces paroles étonnantes de Paul VI ont retenti dans la Basilique du Vatican :

« La religion du Dieu qui s’est fait homme a rencontré la religion (car telle est) de l’homme qui se fait Dieu. Et ce qui est arrivé ? Y a-t-il eu un affrontement, une bataille, une condamnation ? Il aurait pu y en avoir, mais il n’y en avait pas. La vieille histoire du Samaritain a été le modèle de la spiritualité du concile. Un sentiment de sympathie sans bornes a imprégné tout cela. L’attention de notre conseil a été absorbée par la découverte des besoins humains (et ces besoins croissent proportionnellement à la grandeur que le fils de la terre revendique pour lui-même). Mais nous appelons ceux qui se qualifient d’humanistes modernes, et qui ont renoncé à la valeur transcendante des plus hautes réalités, à donner au conseil le crédit au moins pour une qualité et à reconnaître notre propre nouveau type d’humanisme: nous aussi, en fait, plus que tout autre, nous honorons l’humanité. » [4]

Cette sympathie — au sens étymologique de συμπάϑεια, c’est-à-dire participation au sentiment de l’autre — est la figure du concile et de la nouvelle religion (car telle est) de l’anti-église. Une anti-église née de l’union impure entre l’Église et le monde, entre la Jérusalem céleste et la Babylone infernale. Remarquez bien : la première fois qu’un Pontife a mentionné le « nouvel humanisme », c’était lors de la dernière session de Vatican II, et aujourd’hui nous le trouvons répété comme un mantra par ceux qui le considèrent comme une expression parfaite et cohérente de la mentalité révolutionnaire du Conseil. [5]

Toujours en vue de cette communion d’intention entre le Nouvel Ordre Mondial et l’anti-église, il faut se souvenir du Global Compact on Education, un projet conçu par Bergoglio « pour générer un changement à l’échelle planétaire, afin que l’éducation soit créatrice de fraternité, paix et justice. Un besoin encore plus urgent en cette période marquée par la pandémie ». [6] Promu en collaboration avec les Nations Unies, ce « processus de formation à la relation et à la culture de la rencontre trouve également un espace et une valeur dans le “foyer commun” de toutes les créatures, puisque les personnes, telles qu’elles sont formées à la logique de communion et solidarité, travaillent déjà à “Retrouver une harmonie sereine avec la création”, et à configurer le monde comme “un espace de vraie fraternité”. (Gaudium et Spes, 37) » [7] Comme on peut le voir, la référence idéologique est toujours et uniquement à Vatican II, car ce n’est qu’à partir de ce moment que l’anti-église a mis l’homme à la place de Dieu, la créature à la place du Créateur.

Le « nouvel humanisme » a évidemment un cadre environnemental et écologique dans lequel se greffent à la fois l’encyclique Laudato Sì et la théologie verte — « l’Église à visage amazonien » du Synode des évêques 2019, avec son culte idolâtre de pachamama (la terre mère) en présence du Sanhédrin romain. L’attitude de l’Église lors du Covid-19 a démontré, d’une part, la soumission de la hiérarchie aux diktats de l’État, en violation de la Libertas Ecclesiae, que le Pape aurait dû défendre fermement. Il a également mis en évidence le déni de toute signification surnaturelle de la pandémie, remplaçant la juste colère de Dieu offensée par les innombrables péchés de l’humanité et des nations par une fureur plus inquiétante et destructrice de la nature, offensée par le manque de respect de l’environnement. Je tiens à souligner que l’attribution d’une identité personnelle à la Nature, presque dotée d’intellect et de volonté, est un prélude à sa divinisation. Nous avons déjà vu un prélude sacrilège à cela, sous le dôme même de la basilique Saint-Pierre.

L’essentiel est le suivant : la conformité de la part de l’anti-église avec l’idéologie dominante du monde moderne établit une réelle coopération avec de puissants représentants de l’État profond, à commencer par ceux qui œuvrent pour une « économie durable » impliquant Jorge Mario Bergoglio, Bill Gates, Jeffrey Sachs, John Elkann, Gunter Pauli. [8]

Il sera utile de se rappeler que l’économie durable a également des implications pour l’agriculture et le monde du travail en général. L’État profond doit garantir une main-d’œuvre à bas prix grâce à l’immigration, qui contribue en même temps à l’annulation de l’identité religieuse, culturelle et linguistique des nations concernées. L’église profonde prête une base idéologique et pseudo-théologique à ce plan d’invasion et garantit en même temps une part dans le commerce lucratif de l’hospitalité. On comprend l’insistance de Bergoglio sur le thème des migrants, également réitérée dans Fratelli Tutti : « Une mentalité xénophobe de fermeture et de maîtrise de soi se répand » (ibid. 39). « Les migrations constitueront un élément fondateur de l’avenir du monde » (ibid. 40). Bergoglio a utilisé l’expression « élément fondateur », affirmant qu’il n’est pas possible de faire l’hypothèse d’un avenir sans migrations.

Permettez-moi un bref mot sur la situation politique aux États-Unis à la veille de l’élection présidentielle. Fratelli Tutti semble être une forme de soutien du Vatican au candidat démocrate, en opposition claire à Donald Trump, et intervient quelques jours après que François a refusé d’accorder une audience au secrétaire d’État Mike Pompeo à Rome. Cela confirme de quel côté se trouvent les enfants de la lumière et qui sont les enfants des ténèbres.

8. LES FONDEMENTS IDÉOLOGIQUES DE LA « FRATERNITÉ »

Le thème de la fraternité, obsession pour Bergoglio, trouve sa première formulation dans Nostra Ætate et Dignitatis Humanae. La dernière encyclique, Fratelli Tutti, est le manifeste de cette vision maçonnique, dans laquelle le cri Liberté, Égalité, Fraternité a remplacé l’Évangile, au nom d’une unité entre les hommes qui exclut Dieu. Notez que le Document sur la fraternité humaine pour la paix dans le monde et le vivre ensemble signé à Abu Dhabi le 4 février 2019 a été fièrement défendu par Bergoglio avec ces mots :

« Du point de vue catholique, le document n’a pas dépassé d’un millimètre le Concile Vatican II. »

Le cardinal Miguel Ayuso Guixot, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, commente dans La Civiltà Cattolica :

« Avec le Conseil, le remblai s’est progressivement fissuré puis s’est rompu : le fleuve du dialogue s’est répandu avec le Conseil Déclarations Nostra Ætate sur les relations entre l’Église et les croyants d’autres religions et Dignitatis Humanae sur la liberté religieuse, des thèmes et des documents étroitement liés et ont permis à saint Jean-Paul II de donner vie à des rencontres comme la Journée mondiale de prière pour la paix en Assision le 27 octobre 1986 et Benoît XVI, vingt-cinq ans plus tard, pour nous faire vivre dans la ville de Saint François le jour de réflexion, de dialogue et de prière pour la paix et la justice dans le monde — Pèlerins de la vérité, pèlerins de la paix. Donc, l’engagement de l’Église catholique en faveur du dialogue interreligieux, qui ouvre la voie à la paix et à la fraternité, fait partie de sa mission originale et trouve ses racines dans l’événement du concile. » [9]

Une fois de plus, le cancer de Vatican II confirme qu’il est à l’origine de métastases bergogliennes. Le fil rouge [fil conducteur] qui unit le Concile au culte de la pachamama passe également par Assise, comme mon frère Athanasius Schneider l’a souligné à juste titre dans son récent discours. [dix]

Et en parlant de l’anti-église, Mgr Fulton Sheen décrit l’Antéchrist : « Puisque sa religion sera la fraternité sans la paternité de Dieu, il trompera même les élus. » [11] Nous semblons voir la prophétie du vénérable archevêque américain se réaliser sous nos yeux.

Il n’est donc pas surprenant que la tristement célèbre Grande Loge d’Espagne, après avoir chaleureusement félicité son paladin élevé au trône, ait à nouveau rendu hommage à Bergoglio par ces mots :

« Le grand principe de cette école initiatique n’a pas changé depuis trois siècles : la construction d’une fraternité universelle où les êtres humains se disent frères les uns aux autres au-delà de leurs croyances spécifiques, de leurs idéologies, de la couleur de leur peau, de leur extraction sociale, de leur langue, leur culture ou leur nationalité. Ce rêve fraternel s’est heurté au fondamentalisme religieux qui, dans le cas de l’Église catholique, a conduit à des textes durs condamnant la tolérance de la franc-maçonnerie au XIXe siècle. La dernière encyclique du pape François montre à quel point l’Église catholique actuelle est éloignée de ses positions antérieures. Dans “Fratelli Tutti”, le pape a embrassé la Fraternité universelle, le grand principe de la franc-maçonnerie moderne. » [12]

La réaction du Grand Orient d’Italie n’est pas différente :

« Ce sont les principes que la franc-maçonnerie a toujours poursuivis et gardés pour l’élévation de l’humanité. » [13]

Austen Ivereigh, l’hagiographe de Bergoglio, confirme avec satisfaction cette interprétation qu’un catholique jugerait à juste titre au moins dérangeante. [14]

Je me souviens que dans les documents maçonniques de l’Alta Vendita, depuis le XIXe siècle, une infiltration de la franc-maçonnerie dans l’Église était prévue :

« Vous aussi, vous pêcherez des amis et les conduirez aux pieds du Siège apostolique. Vous aurez prêché la révolution dans Tiara and Cope, procédé sous la croix et la bannière, une révolution qui n’aura besoin que d’un peu d’aide pour mettre le feu aux quartiers du monde. » [15]

9. LA SUBVERSION DE LA RELATION INDIVIDUELLE ET SOCIALE AVEC DIEU

Permettez-moi de conclure cet examen des liens entre le Conseil et la crise actuelle en soulignant un renversement que je considère comme extrêmement important et significatif. Je parle de la relation du laïc individuel et de la communauté des fidèles avec Dieu. Alors que dans l’Église du Christ la relation de l’âme avec le Seigneur est éminemment personnelle même lorsqu’elle est véhiculée par le Sacré Ministre dans l’action liturgique, dans l’Église conciliaire la communauté et la relation de groupe prévalent. Pensez à leur insistance à vouloir faire du baptême d’un enfant, ou du mariage d’un couple marié, « un acte de communauté »; ou l’impossibilité de recevoir la sainte communion individuellement en dehors de la messe, et de la pratique courante d’approcher la communion pendant la messe même sans les conditions nécessaires. Tout ceci est sanctionné sur la base d’un concept protestantisé de participation au banquet eucharistique, dont aucun invité n’est exclu. Sous cette compréhension de la communauté, la personne perd son individualité, se perdant dans la communauté anonyme de la célébration. De même, la relation du corps social avec Dieu disparaît dans un personnalisme qui élimine le rôle de médiation à la fois de l’Église et de l’État. L’individualisation dans le domaine moral entre également dans ce domaine, où les droits et les préférences de l’individu deviennent des motifs d’éradication de la moralité sociale. Cela se fait au nom d’une « inclusivité » qui légitime tous les vices et aberrations morales. La société — entendue comme l’union de plusieurs individus visant à la poursuite d’un but commun — est divisée en une multiplicité d’individus, chacun ayant son propre but. C’est le résultat d’un bouleversement idéologique qui mérite d’être analysé en profondeur, en raison de ses implications tant dans la sphère ecclésiale que civile. Il est évident, cependant, que la première étape de cette révolution se trouve dans la mentalité conciliaire, à commencer par l’endoctrinement du peuple chrétien constitué par la liturgie réformée, dans laquelle l’individu se fond dans l’assemblée en se dépersonnalisant, et la communauté se transforme en un ensemble d’individus en perdant leur identité.

10. CAUSE ET EFFET

La philosophie nous enseigne qu’à une cause correspond toujours un certain effet. Nous avons vu que les actions menées au cours de Vatican II ont eu l’effet désiré, donner une forme concrète à ce tournant anthropologique le point qui, aujourd’hui, a conduit à l’apostasie de l’anti-église et l’éclipse de la véritable Eglise du Christ. Nous devons donc comprendre que si nous voulons annuler les effets néfastes que nous voyons devant nous, il est nécessaire et indispensable de supprimer les facteurs qui les ont causés. Si tel est notre objectif, il est clair qu’accepter — ou même accepter partiellement — ces principes révolutionnaires rendrait nos efforts inutiles et contre-productifs. Nous devons donc être clairs sur les objectifs à atteindre, en ordonnant notre action aux buts. Mais nous devons tous être conscients que dans ce travail de restauration, aucune exception aux principes n’est possible, précisément parce que le fait de ne pas les partager empêcherait toute chance de succès.

Laissons donc de côté, une fois pour toutes, les vaines distinctions concernant la bonté présumée du Concile, la trahison de la volonté des Pères synodaux, la lettre et l’esprit de Vatican II, le poids magistral (ou son absence) de ses actes, et l’herméneutique de la continuité contre celle de la rupture. L’anti-église a utilisé l’étiquette de « Conseil œcuménique » pour donner autorité et force juridique à son programme révolutionnaire, tout comme Bergoglio appelle son manifeste politique d’allégeance au Nouvel Ordre Mondial une « lettre encyclique ». La ruse de l’ennemi a isolé la partie saine de l’Église, déchirée entre devoir reconnaître le caractère subversif des documents conciliaires, et donc les exclure du Magistère corpus, et devoir nier la réalité en les déclarant apodictiquement orthodoxes afin de sauvegarder l’infaillibilité du Magistère. La Dubia représentait une humiliation pour ces princes de l’Église, mais sans dénouer les nœuds doctrinaux portés à l’attention du pontife romain. Bergoglio ne répond pas, précisément parce qu’il ne veut ni nier ni confirmer les erreurs implicites, s’exposant ainsi au risque d’être déclaré hérétique et de perdre la papauté. Il s’agit de la même méthode utilisée avec le Conseil, où l’ambiguïté et l’utilisation d’une terminologie imprécise empêchent de condamner l’erreur qui a été implicite. Mais le juriste sait très bien que, outre la violation flagrante de la loi, on peut aussi commettre un crime en le contournant, en l’utilisant à des fins maléfiques : contra legem fit, quod in fraudem legis fit [ce qui contourne la loi est contre elle].

11. CONCLUSION

La seule façon de gagner cette bataille est de recommencer à faire ce que l’Église a toujours fait et d’arrêter de faire ce que l’anti-église nous demande aujourd’hui — ce que la véritable Église a toujours condamné. Remettons Notre Seigneur Jésus-Christ, Roi et Souverain Sacrificateur, au centre de la vie de l’Église; et avant cela, au centre de la vie de nos communautés, de nos familles, de nous-mêmes. Rendons la couronne à Notre-Dame Marie Très Sainte, Reine et Mère de l’Église.

Revenons célébrer dignement la sainte liturgie traditionnelle et prions avec les paroles des saints, non avec les divagations des modernistes et des hérétiques. Recommençons à savourer les écrits des Pères de l’Église et des Mystiques, et jetons au feu les œuvres empreintes de modernisme et de sentimentalisme immanentiste. Soutenons, par la prière et l’aide matérielle, les nombreux bons prêtres qui restent fidèles à la vraie Foi, et retirons tout soutien à ceux qui ont accepté le monde et ses mensonges.

Et surtout — je vous le demande au nom de Dieu ! — abandonnons ce sentiment d’infériorité que nos adversaires nous ont habitués à accepter : dans la guerre du Seigneur, ils ne nous humilient pas (nous méritons certainement toute humiliation pour nos péchés). Non, ils humilient la Majesté de Dieu et l’Epouse de l’Agneau Immaculé. La vérité que nous embrassons ne vient pas de nous, mais de Dieu ! Que la Vérité soit niée, admettre qu’elle doit se justifier devant les hérésies et les erreurs de l’anti-église, n’est pas un acte d’humilité, mais de lâcheté et de pusillanimité. Laissez-nous inspirer par l’exemple des saints martyrs des Maccabées, devant un nouvel Antiochus qui nous demande de sacrifier aux idoles et d’abandonner le vrai Dieu. Répondons par leurs paroles en priant le Seigneur : « Maintenant encore, ô Souverain des cieux, envoyez votre bon ange devant nous, pour qu’il répande la crainte et l’effroi. Que par la grandeur de votre bras soient frappés ceux qui sont venus, le blasphème à la bouche, contre votre peuple saint! » (2 Mac 15:23-24).

Permettez-moi de conclure mon discours aujourd’hui avec un souvenir personnel. Lorsque j’étais nonce apostolique au Nigéria, j’ai découvert une magnifique tradition populaire issue de la terrible guerre du Biafra et qui se poursuit encore aujourd’hui. J’y ai personnellement participé lors d’une visite pastorale à l’archidiocèse d’Onitsha, et j’en ai été très impressionné. Cette tradition — appelée « Block Rosary Children » — consiste à rassembler des milliers d’enfants (même très jeunes) dans chaque village ou quartier pour la récitation du Saint Rosaire pour implorer la paix — chaque enfant tenant un petit morceau de bois, comme un mini autel, avec une image de Notre-Dame et une petite bougie dessus.

Dans les jours précédant le 3 novembre, j’invite tout le monde à se joindre à une croisade du Rosaire : une sorte de siège de Jéricho, non pas avec sept trompettes faites de cornes de bélier sonnées par des prêtres, mais avec le « Je vous salue Marie des petits et des innocents » pour abattre les murs de l’État profond et de l’Église profonde.

Rejoignons-nous aux petits dans un Bloc du Rosaire Enfants, implorant la Femme vêtue du Soleil, que le Règne de Notre-Dame et Mère soit rétabli, et l’éclipse qui nous afflige raccourcie.

Et que Dieu bénisse ces saintes intentions.

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò
Archevêque titulaire d’Ulpiana
Ancien Nonce Apostolique aux États-Unis d’Amérique

RÉFÉRENCES :

  1. Padre Antonio Spadaro sj, Fratelli Tutti, la risposta di Francesco alla crisi del nostro tempo, in Formiche, 4 Ottobre 2020 (qui).
  2. « Le pontificat du pape François est comme une norme élevée devant les intégristes catholiques et ceux qui assimilent continuité matérielle et tradition: la doctrine catholique ne se développe pas seulement. Parfois ça change vraiment: par exemple sur la peine de mort, la guerre. » (Massimo Faggioli – Twitter)
  3. Redazione Internet : Clima. Il Papa: basta negazionismi sul riscaldamento globale. Avvenire, 16 novembre 2017. — « Dovremmo evitare di cadere in questi quattro atteggiamenti perversi, che certo non aiutano alla ricerca onesta e al dialogo sincero e produttivo sulla costruzione del futuro del nostro pianeta: negazione, indifferenza, rassegnazione e fiducia in soluzioni inadeguate. »
  4. Paolo VI : Allocuzione per l’ultima sessione del Concilio Ecumenico Vaticano II, 7 Dicembre 1965 : « Religio, id est cultus Dei, qui homo fieri voluit, atque religio – talis enim est aestimanda – id est cultus hominis, qui fieri vult Deus, inter se congressae sunt. Quid tamen accidit? Certamen, proelium, anathema? Id sane haberi potuerat, sed plane non accidit. Vetus illa de bono Samaritano narratio excmplum fuit atque norma, ad quam Concilii nostri spiritualis ratio directa est. Etenim, immensus quidam erga homines amor Concilium penitus pervasit. Perspectae et iterum consideratae hominum necessitates, quae eo molestiores fiunt, quo magis huius terrae filius crescit, totum nostrae huius Synodi studium detinuerunt. Hanc saltem laudem Concilio tribuite, vos, nostra hac aetate cultores humanitatis, qui veritates rerum naturam transcendentes renuitis, iidemque novum nostrum humanitatis studium agnoscite: nam nos etiam, immo nos prae ceteris, hominis sumus cultores ».
  5. Il Pedante (@EuroMasochismo) : https://twitter.com/i/status/1312837860442210304.
  6. Pacte mondial sur l’éducation : www.educationglobalcompact.org.
  7. Congregazione per l’Educazione Cattolica : Lettera Circolare alle scuole, università e istituzioni educative, 10 Settembre 2020.
  8. NICCOLÒ CARRATELLI : Green&Blue, la nuova voce dell’economia sostenibile. Via con il Papa e Bill Gates. La Stampa, 03 Ottobre 2020.
  9. Card. Miguel Ángel Ayuso Guixot : Il documento sulla Fraternità umana nel solco del Concilio Vaticano II. 3 Febbraio 2020.
  10. Maike Hickman : Bishop Schneider: Pachamama worship in Rome was ‘prepared by Assisi meetings’. Catholic Family, 8th October 2020.
  11. Mons. Fulton Sheen, discorso radiofonico del 26 Gennaio 1947.
  12. InfoCatólica : La Gran Logia de España considera que Francisco abraza el concepto de fraternidad de la Masonería. 5/10/20 3:14 PM.
  13. Grande Oriente d’Italia (@GrandeOrienteit) : Liberté, égalité, fraternité. Le Grand Maître du Grand Orient d’Italie, Stefano Bisi: « Ce sont les principes que la franc-maçonnerie a toujours poursuivis et défendus pour l’élévation de l’humanité ». Twitter, 5 octobre 2020.
  14. Jesuits Global : Without fraternity, liberty and equality don’t make sense – Austen Ivereigh on Fratelli Tutti. Youtube, 4 octobre 2020.
  15. Jacques Cretineau-Joly : L’Église romaine en face de la Révolution. Parigi, Henri Plon, 1859. — « Vous amènerez des amis autour de la Chaire apostolique. Vous aurez prêché une révolution en tiare et en chape, marchant avec la croix et la bannière, une révolution qui n’aura besoin que d’être un tout petit peu aiguillonnée pour mettre le feu aux quatre coins du monde ».



La prise de contrôle communiste du Canada

[Source : Guy Boulianne]

Message alarmant de Andrew Rouchotas : La prise de contrôle communiste de notre pays

[Guy Boulianne :]
Voici un article très important de Andrew Rouchotas. Cet article est à prendre en considération puisqu’il rejoint parfaitement mes plus récentes publications concernant les relations Chine/Canada/États-Unis. Andrew Rouchotas est le fondateur et PDG de Cartika Inc., un fournisseur de solutions cloud et de services gérés, ainsi que le fondateur de CH1.ca.

[Par Andrew Rouchotas]  J’ai retardé la rédaction de cet article depuis un certain temps. Je ne m’excuse pas pour la longueur de ce post. Je pourrais littéralement écrire un livre sur ce sujet. Je l’ai donc filtré autant que possible sans sacrifier le strict minimum dont vous auriez besoin pour comprendre la situation dans laquelle nous, Canadiens, nous trouvons aujourd’hui. Vous pouvez prendre le temps de le lire ou vous pouvez l’ignorer. C’est mon travail, apparemment, d’être le seul à publier ceci. C’est à vous de décider ce que vous voulez faire, le cas échéant.

Cependant, je ne peux pas rester les bras croisés et regarder ce qui se passe actuellement dans notre pays. C’est le CANADA. Comment pourrais-je regarder ma fille dans les yeux plus tard dans la vie sans savoir que j’ai fait tout mon possible pour lutter et arrêter cette absurdité.

Le Canada est attaqué. Vous devez vous en rendre compte maintenant. Nous avons été infiltrés aux plus hauts niveaux du gouvernement. Tout le monde qui vous parle à la télévision est payé par notre gouvernement infiltré et / ou corrompu. On vous dit ce qu’il faut penser et on vous dit ce qu’il faut croire et on vous dit comment agir — et vous obéissez.

Nortel était la société Internet la plus puissante au monde, gérant 70% du trafic Internet mondial. Ils étaient le joyau du monde de la technologie et ils étaient canadiens. À partir de 2004, Nortel a commencé à être infiltré par le gouvernement communiste chinois. En utilisant toute la propriété intellectuelle volée à Nortel, Huawei est né. Hauwei a procédé à une offre contre chaque opportunité de Nortel et, en utilisant sa propre technologie, en 2009, Nortel était en faillite. Le Canada était le chef de file mondial de la technologie. Maintenant, ces milliards de dollars et, finalement, des centaines de milliers d’employés hautement qualifiés et bien payés, ainsi que la technologie canadienne de pointe au monde, appartenaient maintenant à la Chine. [1]

Peu de temps après la faillite de Nortel, en 2010, le directeur du SCRS, IL Y A DIX ANS, dans un geste sans précédent, est venu sur CBC News et nous a averti que notre gouvernement était infiltré par des nations étrangères hostiles.

Du sommet, notre gouvernement a été complètement infiltré par le gouvernement communiste chinois. Ces hauts fonctionnaires sont soit directement complices des motivations de la Chine, soit sont des agents directs du gouvernement chinois et du Parti communiste.

Justin Trudeau a envoyé 100 millions de dollars en Chine. Sous couvert de « changement climatique » et de « santé des femmes ». Lorsque les États-Unis ont renoncé à leur adhésion à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Justin Trudeau s’est intensifié et a engagé les États-Unis à près d’un milliard de dollars. L’OMS est une organisation contrôlée par la Chine communiste. [2]

Trudeau a engagé notre contrat d’infrastructure et de réseau 5G avec Hauwei. Oui, le même Hauwei qui a infiltré et mis en faillite Nortel. Trudeau paie et récompense littéralement la Chine pour avoir volé la technologie canadienne, volé des milliards de dollars à notre économie, volé des centaines de milliers d’emplois bien rémunérés à notre pays. Il sous-marinage également d’autres entreprises technologiques canadiennes dotées de capacités 5G (par exemple Telus ou Rogers) et remet ces contrats et ces emplois ainsi que le développement technologique ultérieur, sur le dos des contribuables canadiens — à la Chine communiste.

Comme si cela ne suffisait pas, Trudeau nous éloigne de nos alliés. Nous sommes les seuls « pays à 5 yeux » (coopérative de partage de données de sécurité) à autoriser Hauwei à entrer dans notre pays et à permettre à la Chine communiste d’accéder à toutes nos données. [3]

En conséquence, cela a incité le président américain à menacer de doubler nos frontières avec l’armée américaine. Même si le président américain a renoncé à cette menace pour le moment, vous devez comprendre que le reste du monde est très conscient que le Canada tombe aux mains de la Chine communiste. Personne ne va nous aider si nous permettons que cela se produise. [4]

Tout le monde insiste sur le fait que malgré toute la science, malgré toute logique et raison, nous devons écouter les experts. Ok, mais, quels experts devrions-nous écouter ? Dr Theresa Tam ? Eh bien, comment se fait-il que les deux derniers experts qui ont occupé le rôle du Dr Tam au Canada, tous deux en désaccord avec elle ? [5]

Alors, quel « expert » devons-nous écouter ? Le Dr Tam est-elle plus qualifié que ses deux précédents prédécesseurs ? La réponse est bien sûr non. Quiconque a suivi mes messages, depuis le tout premier jour des verrouillages COVID, comprend que j’ai parlé haut et fort contre ces mesures. La science ne le soutient tout simplement pas. Ce sont des actions à motivation politique. Ces politiques de santé publique sont des politiques de santé publique communiste en Chine. Ces politiques de santé publique visent à contrôler une population et à permettre à un gouvernement tyrannique de prendre le contrôle de l’économie. Ce ne sont PAS des politiques canadiennes de santé publique.

Un candidat à la direction du Parti conservateur canadien a exprimé publiquement ces préoccupations au sujet du Dr Tam. Pour ses efforts, il a été qualifié de « raciste » et a failli être expulsé du parti. Bien qu’il ait refusé de s’excuser, il a ensuite renoncé à sa position et a indiqué qu’il ne remettait pas en question la loyauté du Dr Tam envers le Canada. [6]

Eh bien, je ne suis pas Derek Sloan. Je vais le dire fort. Le Dr Tam est un traître et le Dr Tam travaille directement pour la Chine communiste. Je ne dis pas cela parce qu’elle est d’origine asiatique. Je dis cela, parce qu’elle est une traître. J’aime et je respecte tous les Canadiens d’origine chinoise fidèles au Canada. Je suis moi-même issu d’une famille d’immigrants hors du bateau. Je suis fidèle au Canada. Si quelqu’un de mon pays d’origine était un haut fonctionnaire du gouvernement et agissait comme un traître, je l’appellerais aussi un traître. Je ne serais pas raciste contre moi-même pour le dire. Tous les Canadiens chinois que je connais sont des gens extraordinaires. Ce sont mes amis et mes voisins. Je ne connais pas le Dr Tam et je ne veux pas la connaître. Elle doit démissionner immédiatement.

https://youtu.be/VRTw77Ioy-Y
Theresa Tam plaide pour une rafle de ceux qui refusent les vaccinations. Dans un documentaire de 2010, l’ONF détaille les plans du gouvernement du Canada pour une future épidémie et comment il prendra soin de ceux qui refusent la vaccination contre le virus… en les rassemblant et en les mettant dans des centres de détention.

De la même manière, Chrystia Freeland est aussi manifestement une partisane de la politique et des politiques communistes. Elle a été choisie et placée comme vice-première ministre au Canada, et lorsque notre ministre des Finances actuel a démissionné en raison de la corruption au sein de notre gouvernement fédéral, elle a également été nommée nouvelle ministre des Finances du Canada. Elle est sur le DOSSIER PUBLIC, déclarant que l’économie ne peut pas être reprise, à moins qu’elle ne soit reprise dans le cadre de son idéologie environnementaliste radicale. Suis-je le seul à demander ce que les verrouillages COVID de santé publique ont à voir avec son idéologie environnementale ? Suis-je le seul à me demander pourquoi les petites entreprises et le secteur privé doivent être détruits à cause du COVID et des politiques de santé publique, mais ne peuvent pas être repris tant que son économie socialiste flagrante, à peine voilée sous une idéologie environnementaliste radicale, ne sera pas mise en œuvre ?

Chrystia Freeland est l’auteur en 2012 d’un livre intitulé « Plutocrats: The Rise of the New Global Super-Rich and the Fall of Everyone Else » (Ploutocrates: la montée des nouveaux super-riches mondiaux et la chute de tous les autres). [7]

Il est ironique que ses politiques détruisent directement « tout le monde ». Les propriétaires de petites entreprises, le secteur privé, etc. Les SEULS qui prospèrent sous les politiques de Dr Tam et Chrystia Freeland sont les nouveaux « Global Super-Rich ». Si vous lisiez le livre de Chrystia Freeland, vous comprendriez. C’est de la pure rhétorique marxiste. Prolétariat vs Bourgeois. Elle est une communiste ouverte et, selon toute vraisemblance, soit directement un agent de la Chine communiste, soit volontairement complice des politiques de la Chine communiste.

Nous voyons l’impossible se produire au Canada. Nous pratiquons la politique identitaire aux plus hauts niveaux de nos gouvernements. On nous dit que nous sommes « systématiquement racistes », justifiant ainsi le démantèlement de tout notre système. On nous dit que certains d’entre nous ont un « privilège » inhérent. Nous sommes divisés en groupes et ces groupes sont retournés les uns contre les autres. Nous avons été enfermés dans nos maisons, nous avons été forcés de porter des masques, nous avons été forcés de masquer nos enfants. Notre secteur des petites entreprises est en train d’être anéanti et les barrières à l’entrée pour démarrer une nouvelle entreprise ont été massivement élargies. Un pourcentage important de la population a été transféré à l’aide gouvernementale permanente. Le chômage monte en flèche, la dette monte en flèche et notre taux de mortalité monte en flèche (et non à cause du COVID). Les seules personnes qui en profitent sont les fonctionnaires de notre gouvernement et les plus grandes entreprises (qui réalisent toutes des profits records) — et bien sûr — le gouvernement communiste chinois. On nous dit que c’est une question d’« équité » et de « justice », mais, comme ces pratiques malveillantes l’ont toujours fait, partout où elles ont été mises en œuvre, la richesse sort toujours des mains des citoyens et revient entre les mains de quelques-uns. Personne ne se bat contre cela au Canada. De nos plus hauts responsables politiques à nos médias, ils battent tous le même tambour.

Pour le bien de Pete, Chrystia Freeland déclare ouvertement son intention de couler le segment énergétique canadien et refuse de rouvrir notre économie des verrouillages COVID, jusqu’à ce que nous mettions en œuvre sa stratégie environnementaliste. Et qui, selon vous, fournira toute cette énergie et cette infrastructure pour sa nouvelle économie « verte ». La Chine communiste bien sûr. [8]

Nous observons la prise de contrôle communiste de notre pays — et ce n’est pas subtil. Le monde nous regarde. Tout le monde sait très bien ce qui se passe au Canada.

Le chercheur australien Clive Hamilton a récemment publié un livre intitulé « Hidden Hand », qui raconte comment Pékin utilise les élites dans les pays cibles pour étendre son influence et son contrôle. Il dit, et je cite : « La promotion de Beijing des candidats aux élections qu’elle contrôle les plus avancés au Canada ». J’ai cherché LA REVUE LA PLUS CRITIQUE du livre de Clive Hamilton que j’ai pu trouver. Vous ne pouvez tout simplement rien accepter de moins que ce qui est conclu dans cet examen.

Du directeur des avertissements publics du SCRS il y a 10 ans, aux travaux de renommée mondiale de Clive Hamilton publiés aujourd’hui, à tout ce que vous regardez autour de vous.

Peut-être devriez-vous vous demander pourquoi les médias ne font rien d’autre que de parler des taux d’infection et des politiques identitaires qui divisent. Ils ne peuvent même plus discuter des taux de mortalité, car personne ne meurt — du moins pas de COVID. Donc, ils ont changé le récit pour « arrêter la propagation » pour vous garder effrayé et conforme. Pourquoi ne connaissez-vous pas l’infiltration massive de la Chine communiste dans notre gouvernement, alors que le reste du monde en est bien conscient et déclare que c’est important ?

Le gouvernement communiste chinois possède soit par l’intermédiaire de filiales, soit par influence, d’énormes portions de nos médias. Les mêmes médias qui sont financés par nos impôts. Les mêmes médias qui conduisent des politiques de santé publique horribles, vous ont masqué vos enfants et nous font jouer les idéologies de la politique identitaire marxiste et communiste les unes contre les autres. [9]

Demandez-vous comment le Canada est arrivé ici, et si rapidement. Demandez-vous pourquoi le Canada met en œuvre des politiques de santé publique communistes chinoises. Demandez-vous pourquoi le Canada sous-traite toute notre technologie et l’infrastructure et les déploiements du réseau 5G à venir vers Hauwei et la Chine communiste. La technologie 5G est merveilleuse et est désespérément nécessaire dans un pays aussi massif et éloigné que le Canada. Vous pensiez que la vente de données par Facebook aux annonceurs était inacceptable ? Que pensez-vous que la Chine fera de TOUTES vos données ? Demandez-vous comment le Canada est devenu une dette de 1,2 billion de dollars — détenue par, vous l’avez deviné, la Chine communiste. Demandez-vous pourquoi une part importante de cette dette de 1,2 T $ a été envoyée à la Chine sous couvert de « changement climatique » ou de « santé des femmes », et maintenant nous devons aussi à la Chine cet argent, plus les intérêts, au sein de notre dette. [10]

Maintenant, demandez-vous ce qui est arrivé à Hong Kong ? La première chose que le gouvernement communiste de Chine a faite a été d’infiltrer Hong Kong au plus haut niveau. Vous vous souvenez de leur rhétorique ? « 2 systèmes, 1 pays ». [11]

Ils ont ensuite commercialisé, via leurs médias de masse contrôlés par le gouvernement, les justifications de la présence de leur armée sur le sol de Hong Kong. Ironiquement, Justin Trudeau, en vertu de la FIPA (Foreign Investment Protection Act), signée à l’origine par le gouvernement conservateur Harper, a été ratifiée en 2019 par Justin Trudeau. L’accord FIPA ratifié a approuvé le gouvernement communiste chinois à déployer des forces de sécurité sur le sol canadien sans exiger la “connaissance ou le consentement” des CANADIENS. La « validation » vise à protéger les actifs appartenant au gouvernement chinois. Ce qui veut dire, leurs actifs Hauwei, au Canada. Donc, effectivement, nous avons permis à Hauwei de voler la technologie Nortel, de les mettre en faillite, de nous revendre cette technologie et maintenant de protéger ces actifs sur notre propre sol avec leurs militaires. [12]

Rappelez-vous tous les guerriers courageux et puissants et vertueux signalant Facebook ? Rappelez-vous que tout le monde publie des mèmes « Hong Kong gratuits » partout sur Facebook ? Eh bien, Hong Kong a effectivement disparu. Tous les dirigeants de Hong Kong Free Press qui ne voulaient pas se plier, sont partis. Ils ont disparu. Tous les organisateurs des manifestations sont partis. Ils ont disparu. C’est ce qui se passe au Canada, MAINTENANT. Nous serons le prochain État communiste de Chine, pas différent de Hong Kong — et tout le monde le sait, sauf nous.

La Chine communiste ne tolère pas la liberté. Et, bien que les communistes pénètrent toujours avec un verbiage comme « privilège » ou « racisme systémique » ou « diversité et inclusion », vous devez comprendre que ce ne sont que des armes pour semer la division, la peur et la haine. Une fois qu’ils prennent le contrôle, la première chose qu’ils font est d’emprisonner ou de tuer les groupes et les ethnies qu’ils n’aiment pas. À l’heure actuelle, en Chine, environ 1 million d’Uygars musulmans ont été emprisonnés dans des camps d’internement et sont utilisés comme esclaves. Je suis prêt à parier qu’une fois qu’ils auront mis en œuvre de telles atrocités au Canada, toutes les victimes professionnelles, les idiots de la politique identitaire qui courent dans notre pays, qui font des ravages aujourd’hui, se rendront soudainement compte qu’ils n’étaient pas aussi opprimés qu’ils le pensaient. Je parie qu’ils donneraient n’importe quoi pour retrouver leurs anciennes vies et leurs anciennes libertés.

Maintenant, demandez-vous, malgré toute rime ou raison, malgré toute la science, malgré tout ce que le Canada représente, pourquoi prenez-vous des ordres de personnes et d’organisations qui sont détenues et contrôlées par la Chine communiste ? Ils n’ont aucun pouvoir réel aujourd’hui. Même avec des médias infiltrés, même avec des hauts fonctionnaires infiltrés. Ils n’ont aucun pouvoir aujourd’hui. C’est pourquoi les médias ne cessent de nous pomper la peur et la division 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Faites exactement le contraire de tout ce que les médias vous disent de faire. Exigez des élections et éliminez ces traîtres infiltrés de notre gouvernement. Insistez sur le fait que le nouveau gouvernement tient tête à la Chine. Insistons pour que le nouveau gouvernement fasse preuve de loyauté envers nos alliés et se rallie à nos alliés. Veiller à ce que notre nouveau gouvernement expulse Hauwei du Canada et s’efforce de renforcer Telus et Rogers pour leur faire concurrence. Veiller à ce que le nouveau gouvernement mette fin à l’accord FIPA que nous avons signé avec la Chine. Ou pensez-vous honnêtement que les États-Unis nous protégeront une fois que la Chine aura des soldats partout dans notre pays et une fois qu’ils nous auront occupés et détruits comme ils l’ont fait à Hong Kong?

Enfin — Insistez pour que le nouveau gouvernement cesse de financer nos médias avec nos impôts. Insistez sur le fait que notre gouvernement finance les médias canadiens indépendants, qui fonctionneront encore une fois comme la « presse libre » et dilueront la propagande flagrante que la Chine communiste vous nourrit. Pourquoi nos médias financés par les impôts passent-ils autant de temps à nous retourner contre nos alliés américains ? Vous ne vous êtes jamais posé cette question ? pas même une fois ? Pourquoi nos médias poussent-ils autant la politique identitaire ? Pourquoi nos médias poussent-ils si fortement les politiques de santé publique communistes chinoises ? Pourquoi poussent-ils autant Hauwei ? Le gouvernement communiste chinois a infiltré de nombreux pays, chaque pays est confronté à cela et se bat à sa manière et à des degrés divers. Personne ne vient nous aider. Nous sommes seuls. D’autres pays ripostent. Le Canada ne l’est pas.

Enlevez vos masques. Vous avez l’air ridicule. Arrêtez de vivre votre vie dans la peur, car bientôt, vous vivrez votre vie enchaînée. De nombreux héros courageux ont tout sacrifié pour vous permettre, à vous et à vos enfants, de vivre librement.

https://youtu.be/3BvbmWFGst4
Laura Lynn Tyler Thompson en entrevue avec Andrew Rouchotas (à partir de 12:45 minutes).

CORRECTION — un commentaire dans ce fil est correct. Le FIPA a été signé à l’origine par Stephen Harper et le gouvernement conservateur en 2012. La présomption dans ce billet est que le FIPA a été ratifié en 2019 par le gouvernement Trudeau pour être plus expansif et offrir des privilèges à la Chine, qui n’existaient pas auparavant.

INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES :
  • Brad Johnson : China seems to have infiltrated Canada’s highest intelligence agency – and it’s not the first time. American Military News, May 13, 2020. — Un événement majeur a eu lieu en septembre 2019 qui a disparu de tout avis public et la profonde signification laissée sous-estimée. Un espion chinois potentiel a infiltré les plus hauts niveaux du service de renseignement canadien qui fait partie de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).
  • Chris Kutz : Building a Western Union. Berkeley News, November 18, 2016. — Pourquoi tous les violents révolutionnaires ANTIFA-BLM sortent de Seattle, Portland et Los Angeles? Parce que Washington, l’Oregon et la Californie sont tous devenus des États communistes grâce à la triche universelle par courrier et ont formé un pacte des États occidentaux. De nombreux experts pensent que la Chine communiste a l’intention d’envahir et d’occuper ces trois États et de se séparer de l’union. C’est ce qu’était la zone d’occupation CHAZ / CHOP. Nous pensons qu’ils ont raison. Ils sont déjà à mi-chemin. Les communistes contrôlent déjà Hollywood et la Silicon Valley, Bill Gates et le propre État de Washington de l’OMS, ANTIFA est basé dans l’Oregon et les communistes sont au bord du Pacifique au moment même où nous parlons.
  • Dave Hodges : More Reports Confirm that the CHICOMS Are Amassing Thousands of Troops on the Canadian-US Border. The Common Sense Show, August 31, 2020. — Dave Hodges a récemment interviewé Sarah Westall à l’émission télévisée, The Common Sense Show. Par coïncidence, un jour après notre entrevue, Sarah a rapporté avec Kevin Annett que le Canada a maintenant des troupes chinoises cachées dans les réserves autochtones du Canada. Les troupes du CHICOM prennent et protègent les ressources des réserves sous l’autorité de Trudeau et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Les troupes du CHICOM se déplacent maintenant librement au Canada sous le couvert des verrouillages COVID-19 ainsi que de la législation du gouvernement canadien qui permet aux CHICOM d’utiliser leur armée pour « protéger » les actifs de CHICOM au Canada. L’histoire de CHICOMS étant situé à la limite de notre frontière norvégienne avec le Canada se développe depuis que Sarah Westall a publié son entrevue avec Kevin Annett. La seule différence dans le rapport est le nombre de soldats du CHICOM qui attendent. Le 30 août 2020, Paul Martin a contacté Dave Hodges sur le même sujet. Sa source, bien connue de lui, affirme que 6 000 soldats du CHICOM sont prêts à attaquer depuis le nord. Vous pouvez écouter l’entrevue de Paul Martin en cliquant sur ce lien.
  • Tom Blackwell : Academic who blew the whistle on China’s influence on Australia says Canada is in even worse trouble. National Post, April 15, 2019. — « Quand je regarde l’influence subtile mais intense de la Chine sur les institutions canadiennes … cela m’inquiète mortellement », dit Clive Hamilton.
  • Anthony Murdoch : Canada’s top doctor leading pandemic response also works for China-controlled World Health Organization. LifeSiteNews, April 17, 2020. — La Dre Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique au Canada, fait également partie du comité de surveillance de l’OMS pour les urgences sanitaires. Elle dirige la riposte à la pandémie du Canada et travaille également pour l’Organisation mondiale de la santé sous contrôle chinois.
  • The GenX Report : Theresa Tam plaide pour une rafle de ceux qui refusent les vaccinations. Youtube, 28 avril 2020. — Dans un documentaire de 2010, l’Office national du film du Canada détaille les plans du gouvernement du Canada pour une future épidémie et comment il prendra soin de ceux qui refusent la vaccination contre le virus… en les rassemblant et en les mettant dans des centres de détention.
  • The David Knight Show : Canadian Whistleblower: Enslavement Begins in 2 Months. Banned.Video, October 19, 2020. — Lanceur d’alerte du Parti libéral du Canada (LPC) du Comité de planification stratégique du parti, qui est sous le contrôle du Bureau du Premier ministre du Canada (PMO) : « Plusieurs membres du comité se sont également demandé ce qui arriverait aux individus s’ils refusaient de participer au monde Programme de réinitialisation de la dette, ou HealthPass, ou calendrier de vaccination, et la réponse que nous avons obtenue était très troublante. Voici la feuille de route du prochain Lockdown 2.0 et le plan mondial d’asservissement ».
  • Jane George : Inuit org silent as feds review sale of Nunavut gold mine to Chinese company. Nunatsiaq News, 13 August 2020. — Une société minière aurifère chinoise souhaite racheter TMAC Resources Inc., propriétaire du champ aurifère Hope Bay, situé à 150 km au sud-ouest de Cambridge Bay. Un examen par Investissement Canada est en cours.

♦ The Real Truth Network (Alternative Health and Healing).

NOTES :
  1. Sam Cooper : Inside the Chinese military attack on Nortel. Global News, August 25, 2020.
  2. Rachel Aiello : ‘A global challenge’: PM Trudeau commits $850 million to global fight against COVID-19. CTV News, May 4, 2020.
  3. Robert Fife, Alexandra Posadzki, Paul Waldie, Adrian Morrow : Canada is now the only Five Eyes member to not ban or restrict use of Huawei 5G equipment. The Globe and Mail, July 14, 2020.
  4. Mercedes Stephenson, James Armstrong & Amanda Connolly : Trump looking to put troops near Canadian border amid coronavirus fears. Global News, March 26, 2020.
  5. Cormac Macsweeney : Health experts call for shift in COVID strategy, say current track is ‘a fool’s errand’. 660 News, July 9, 2020.
  6. Amanda Connolly : Ontario Tory MPs pressed Sloan to apologize for questioning top doctor’s loyalties. Instead, he defended himself. Global News, April 29, 2020.
  7. Chrystia Freeland : « Plutocrats: The Rise of the New Global Super-Rich and the Fall of Everyone Else ». The Penguin Press, 2012.
  8. Kait Bolongaro : Justin Trudeau Plots Canada’s Sharpest Turn Left in Economic Policy in Decades. Bloomberg, 26 août 2020.
  9. Terry Glavin : Canada’s media is in thrall to China. Maclean’s, May 18, 2018.
  10. Vipal Monga : China’s Move to Buy Arctic Gold Mine Draws Fire in Canada. The Wall Street Journal, July 26, 2020.
  11. Felix Tam, Clare Jim : ‘One country, two systems’ can continue beyond 2047: Hong Kong leader. Reuters, January 16, 2020.
  12. Guy Boulianne : Révélations Choc — Le Parti communiste chinois déploie les troupes de l’Armée populaire de libération (APL) en Colombie-Britannique. Publié le 16 octobre 2020.



Guerre civile contre les musulmans : qui veut la déclencher ?

[Source : Média ZOne]

[Photo : © AFP 2020 Thomas SAMSON]

Nous savons tous à quelle fin est utilisé le « terrorisme islamiste », le « séparatisme islamiste » et nous savons même qui en sont les concepteurs, les planificateurs et les bénéficiaires. On n’est pas tous cons au point d’avaler les thèses officielles invérifiables car les « terroristes » sont systématiquement tués pour éviter qu’ils ne parlent… Drôle de manière de lutter contre le terrorisme. On évite surtout de remonter aux sources, cela pourrait devenir gênant pour certains…

Eric Montana

[Auteur :]
Eric Montana

La guerre civile qui vient…

[Voir Guerre de religion possible en France ?]

La guerre civile sera à coup sûr l’abîme, la fin de la France, sa tombe.

Cela fait des années que le plan est prévu. Cela fait des années que la mouvance sioniste attend ce moment fatidique où les Français athées, cathos intégristes, fachos, racistes et musulmans vont s’entretuer pendant que le « petit coq élu et blotti dans un coin » jouira du spectacle. Cela fait des années que l’on alimente la division, la haine, l’intolérance raciale et religieuse contre nos compatriotes musulmans.

Cela fait des années qu’on manipule l’opinion, qu’on la conditionne, qu’on la pousse à la violence contre tous ceux qui ont encore la foi en un Dieu, pratiquent leur religion sans faire chier personne, contribuent à faire fonctionner ce pays par leur travail et leurs impôts, l’enrichissent de leur culture et de leurs traditions, et le nourrissent de leur humanité.

Cela fait des années que nous détruisons leurs pays d’origine, que nous déversons sur le monde musulman plus de bombes que les chiffres n’en peuvent compter, que nous assassinons leurs dirigeants, que nous y mettons des corrompus à leur place, que nous pillons leurs ressources, que nous massacrons des millions d’êtres humains au nom de la guerre contre le terrorisme, alors que nous avons fabriqué et avons créés ces terroristes, que nous les avons financés et armés pour servir nos objectifs politiques, stratégiques et économiques.

En France, les actes terroristes sous faux drapeau sont devenus tellement nombreux, qu’il n’y a plus que les journalistes du Système pour croire à ces mises en scène macabres.

Nous savons tous à quelle fin est utilisé le « terrorisme islamiste », le « séparatisme islamiste » et nous savons même qui en sont les concepteurs, les planificateurs et les bénéficiaires. On n’est pas tous cons au point d’avaler les thèses officielles invérifiables car les « terroristes » sont systématiquement tués pour éviter qu’ils ne parlent… Drôle de manière de lutter contre le terrorisme. On évite surtout de remonter aux sources, cela pourrait devenir gênant pour certains…

Donc tous les ingrédients sont maintenant réunis pour provoquer une guerre civile entre catholiques intégristes, sionistes d’extrême droite, nationalistes racistes et autres fanatiques contre nos compatriotes musulmans.

Même Zemmour est dans la confidence de ce que certains militaires préparent. C’est lui qui était heureux de révéler le plan « Ronces » pour « nettoyer » les banlieues. Et « nettoyer » veut dire tuer, éliminer. A la manière des Israéliens…

Et derrière ce plan macabre se cache la main de « Gladio », cette organisation occulte liée à l’OTAN, responsable de tueries de masses et d’attentats meurtriers en Italie pendant les années 70. L’attentat de la gare de Bologne qui a fait près d’une centaine de victimes reste dans la mémoire de beaucoup d’entre nous. Ces actes criminels ont été attribués aux Brigades Rouges, mouvance d’extrême gauche à qui on a fait porter le chapeau comme on le fait aujourd’hui avec les « islamistes ».

Pourquoi changer une formule qui gagne ? Mais comment ne pas établir le lien avec ce qui se passe en France en ce moment alors que nous assistons à des actes barbares comme la décapitation de Samuel Paty à Conflans Sainte Honorine et ces catholiques en prière dans la cathédrale de Nice.

Le signal a été lancé par Charlie Hebdo dont les caricatures du prophète Mahomet n’avaient pas d’autre objectif que d’enflammer le monde arabo-musulman, provoquer en réponse quelques actes « terroristes » et ainsi attiser un climat de haine dans notre pays contre les Musulmans. Tout ça ne doit rien au hasard…

Dans ces vidéos vous allez découvrir comment cette guerre civile va être déclenchée et par qui. Regardez-les et écoutez-les avec attention car tout y est expliqué en détail et vous identifierez les imposteurs. Un homme averti en vaut deux.

Bien évidemment, si cela se produit, notre pays sera détruit, des vies innocentes seront sacrifiées de part et d’autre. Il n’y a rien de pire que la guerre civile car elle autorise tous les crimes, toutes les atrocités, toutes les horreurs.

Pourtant, tous nous savons qui vont être les bénéficiaires de cette catastrophe. Youssef Hindi l’a longuement expliqué et documenté. Aussi incroyable que cela puisse être, la main de Gladio qui déclenchera ce drame, le fait pour accélérer la venue du Messie des judéo-sionistes, celui que nous, nous nommons l’Antéchrist. Et notre pays, la France est l’un des pays clés pour faire basculer le reste de l’Occident dans le Choc des civilisations théorisé par Samuel Huntington.

Nous simples citoyens ordinaires, sommes maintenus dans l’obscurité par ceux qui dirigent notre pays dans l’ombre. Nous ignorons tout de leurs complots, de leurs manigances au sein de nos institutions. Les guerres qui sont menées en notre nom dans de nombreuses parties du monde nous sont toujours présentées de manière à nous faire croire que nous agissons pour le bien, pour la liberté, pour les valeurs qui sont la fierté du « monde libre ».

Mais soyons en sûrs, rien n’est plus faux ! Nous sommes gouvernés par des criminels, des corrompus, des menteurs, des manipulateurs qui nous mènent tout droit vers l’abîme car ces guerres n’ont aucun rapport avec la liberté, le bien et les valeurs désuètes du prétendu monde libre. Les objectifs sont morbides, abjects, innommables…

Et n’en doutons pas, la guerre civile sera à coup sûr l’abîme, la fin de la France, sa tombe.

Le projet ALFI

https://www.youtube.com/embed/-eQNJfTH95U

Le Général Tauzin, serviteur de tous les imposteurs qui ont gouverné le pays…

https://www.youtube.com/embed/TOgl50GOoEs

Le double discours de Macron…

La liberté d’expression n’est pas la liberté d’insulter…



Riss, la mèche de la guerre civile reçu au CRIF…

Image