La face cachée du rapport Yale

[Source : PDF sur le site Coalition québécoise de lutte contre la pollution électromagnétique]

Par Pascal Gélinas,
Réalisateur aux émissions Science-Réalité et Découverte
(ICI Radio-Canada Télé) de 1984 à 2009.

« Collectivement, nous n’avons pas droit à l’échec : notre souveraineté culturelle et nationale, notre prospérité économique et nos valeurs démocratiques sont en jeu », indique d’entrée de jeu le comité d’experts qui a rédigé le rapport Yale. Ses 97 recommandations visent à conseiller le gouvernement sur la révision de trois lois adoptées il y a des décennies (Loi sur la radiodiffusion, Loi sur les télécommunications et Loi sur la radiocommunication).

Depuis longtemps le milieu culturel réclame des lois qui obligeraient les géants du Web (Netflix, Facebook, etc.) à financer la production culturelle et médiatique canadienne. Et il y a urgence pour les médias canadiens qui souffrent de l’accaparement des revenus publicitaires par Facebook et Google. En somme, on attend urgemment des mesures concrètes pour réglementer les géants du Web et pour soutenir le secteur de la culture et des médias. Plusieurs s’inquiètent aussi à juste titre de la pérennité de la radiodiffusion publique et du respect du droit d’auteur. C’est principalement en fonction de ces attentes que le milieu culturel a réagi au rapport Yale, déposé fin janvier 2020 par le Groupe d’examen du cadre législatif en matière de radiodiffusion et de télécommunications. Toute l’attention s’est donc portée sur ces points, largement débattus et commentés.

Entrée par effraction

Par contre, un aspect majeur du rapport Yale est littéralement passé sous silence, comme si sa légitimité relevait de l’évidence. Prétextant l’innovation, l’épanouissement des Canadiens et la compétitivité internationale, le comité Yale recommande au gouvernement de donner au CRTC les pleins pouvoirs pour décréter unilatéralement l’installation accélérée du système de téléphonie 5G à travers le pays. Vous ne connaissez pas bien le système de téléphonie 5G ? Qu’importe, on veut vous l’imposer de force ! En effet, plusieurs des recommandations de ce rapport visent à supprimer toute résistance au déploiement de la 5G et à affirmer la suprématie de l’industrie des télécommunications sur les lois et règlements du gouvernement. Faut-il s’en étonner puisque Janet Yale, la présidente du groupe, celle qui a donné son nom au rapport, a été vice-présidente de Telus Canada [NdNM : Société de télécommunications].

Chers lecteurs, la 5G n’est pas qu’une simple amélioration dans notre service cellulaire. Il s’agit d’une augmentation et d’une modification majeures du type de rayonnement auquel nous serons tous exposés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, que nous utilisions le service ou non. Ce fait me préoccupe grandement, et je vous remercie de prendre le temps de lire l’ensemble de ce texte.

Au chapitre « Libérer les réseaux évolués de demain », le rapport Yale déclare :

« Le déploiement efficace de réseaux évolués sûrs et sécuritaires, y compris la mise en œuvre des réseaux 5G, est crucial pour assurer la connectivité des Canadiens et des Canadiennes, et l’innovation par les entreprises canadiennes… Il faudrait donner accès à toutes les formes de propriété publique, comme les réverbères et les poteaux électriques, pour l’installation des infrastructures passives nécessaires au déploiement des réseaux. »

On l’aura compris, les télécoms veulent que ce soit le CRTC, perçu comme plus favorable à leurs demandes, qui encadre leurs activités. Le rapport Yale précise :

« Les connexions réseau, en particulier les connexions sans fil 5G, devraient se densifier et devenir omniprésentes : elles occuperont de l’espace sur les bâtiments, les abribus et d’autres éléments usuels du paysage urbain…

À l’heure actuelle, le CRTC a compétence sur l’accès aux poteaux, aux conduits et aux autres structures de soutènement des anciennes compagnies de services locaux monopolistiques… Cela voudrait dire rendre obligatoire un accès similaire aux structures de soutènement des réseaux de télécommunication, quel qu’en soit le propriétaire…

En élargissant la portée de l’accès à la propriété tel que décrit ci-dessus pour y inclure l’accès au déploiement d’installations de radiocommunication comme les antennes radio, le CRTC aurait le pouvoir d’ordonner l’accès à l’emplacement des antennes, sous réserve des conditions qu’il juge indiquées. »

Ordonner l’accès à l’emplacement, c’est légaliser l’entrée par effraction, rien de moins. Allons-y par la force, recommande candidement le rapport Yale! Sa recommandation #36 demande donc que « les pouvoirs du CRTC liés aux infrastructures passives comprennent expressément l’accès à toutes les propriétés publiques en mesure d’accueillir ces installations, comme le mobilier urbain » et que « la Loi sur les télécommunications soit modifiée afin de permettre au CRTC d’exiger l’accès au câblage intérieur et intra-muros, aux structures de soutènement et dans et sur les toits des immeubles à logements multiples, ainsi que la disponibilité de cet accès à tous les fournisseurs des services de communication électronique. »

Une forêt d’antennes

Pourquoi l’industrie du sans-fil demande-t-elle l’invraisemblable passe-droit de s’installer où elle le veut, quand elles le veut, en faisant fi du droit de propriété, des normes environnementales, esthétiques ou sanitaires? Parce qu’elle s’est donné la tâche colossale d’installer des millions de nouvelles antennes pour son futur réseau 5G. Dans son Annexe B, le point de vue du rapport Yale est très clair :

« Un accès inefficace peut augmenter considérablement le coût du déploiement ou l’empêcher complètement. »

Alors que les auteurs du rapport Yale clament que « nos valeurs démocratiques sont en jeu », ils trouvent du même souffle qu’il y a trop d’intervenants qui ont leur mot à dire, lorsqu’on érige une tour ou une antenne de télécommunication : le propriétaire du terrain, la compagnie qui possède les poteaux électriques, la municipalité qui gère le mobilier urbain, ou le conseil municipal qui peut manifester son opposition. Trop d’obstacles qui risquent de ralentir la marche triomphale du réseau sans fil de cinquième génération 5G.

Disons–le haut et fort, la 5G n’a pas causé l’apparition de l’épidémie de la Covid-19, et tout geste de destruction des installations de télécommunications est un acte criminel. Par contre, nos gouvernements ont trouvé dans l’actuelle pandémie l’alibi parfait pour donner carte blanche aux compagnies de téléphonie. En France, par exemple, le 25 mars dernier, à peine 10 jours après le décret de confinement généralisé, le gouvernement publiait une ordonnance donnant tout pouvoir aux opérateurs téléphoniques pour installer des antennes relais sur le territoire Cette même dynamique prévaut également au Canada. Ce que l’industrie met en place sans consultation aucune, c’est un réseau qui, à partir de 2022, utilisera pour la première fois des fréquences millimétriques. Parce qu’elles se propagent sur des distances beaucoup plus courtes que celles de la 4G, il faudrait installer au Canada plusieurs centaines de milliers d’antennes supplémentaires. Et abattre beaucoup d’arbres dont les feuilles gênent la propagation des fréquences millimétriques.

Dans les villes, il faudrait une antenne à tous les 150 mètres environ. Pour faire fonctionner le réseau 5G à Montréal, il en faudrait de 40 000 à 60 000, alors qu’il y en a 1 200 aujourd’hui. Elles envahiront nos rues et seront visibles partout autour de nous, fixées à des poteaux d’éclairage et de téléphone, sur les clochers d’église (déjà utilisés pour la 3G et la 4G), sur les toits des édifices élevés, des écoles, des gares et des immeubles à bureaux.

Suite à la campagne Stoppons la 5G, vivons sans danG, plus de 25 000 citoyens québécois ont signé une pétition réclamant l’arrêt de l’installation des 400 antennes du Laboratoire 5G à Montréal. Ce genre d’opposition se développe dans plusieurs pays. En Italie, plus de 500 municipalités ont adopté des résolutions pour s’opposer au déploiement de la 5G. La Suisse a imposé un moratoire sur la 5G tant qu’une étude n’aura pas évalué ses risques pour la santé humaine. C’est justement ce que veut éviter l’industrie. Elle a absolument besoin rapidement de ces milliards d’antennes et de ces hyperfréquences millimétriques ultracourtes pour faire transiter l’énorme volume de données que nécessitera l’Internet des objets.

La ruée vers l’or

Vous qui me lisez, rêvez-vous à l’Internet des objets ? Cela répond-il à un besoin pressant dans votre vie ? Avez-vous été consultés à ce sujet ? Pourtant le rapport Yale nous l’annonce : nos objets seront reliés en permanence par un réseau très dense d’antennes micro et macro cellulaires, dont les rayonnements probablement cancérogènes contamineront en permanence nos milieux de vie.

En contrepartie, l’industrie des télécommunications nous fait miroiter le rêve d’une ville intelligente qui se régente toute seule comme une grande pendant que nous allons jouer au golf dans une voiture sans chauffeur. Le rêve d’un film qu’on télécharge en quelques secondes, au lieu de l’interminable minute actuelle. Le rêve de dizaines de milliers de spectateurs, dans un stade en délire, qui peuvent simultanément utiliser leur portable. Le rêve du litre de lait, au frigo, qui vous avertit lorsqu’il est vide. Le rêve de la couche du bébé, au berceau, qui vous avertit lorsqu’elle est pleine.

Techniquement, ce rêve délirant de connecter en permanence des centaines de milliards d’objets nécessitera la production massive d’équipements électroniques. Des équipements qu’aujourd’hui on parvient difficilement à recycler. Or un épuisement des gisements de métaux rares est déjà annoncé pour la prochaine décennie. Ajoutons à cela les énormes émissions de gaz à effet de serre requises pour installer et faire fonctionner tout ca. L’IEEE, une association internationale d’ingénieurs en électricité, a constaté que la technologie sans fil consomme en moyenne dix fois plus d’énergie que les connexions câblées. Pour l’industrie des télécommunications, les préoccupations environnementales ne font clairement pas le poids devant le pactole que représente notre vie privée transformée en données numériques, que des millions d’antennes s’échangeront constamment. Une mine d’or pour qui saura les monnayer.

Le recours à la 5G aggravera aussi la menace des cyberattaques, des atteintes à la vie privée et du vol des renseignements personnels. Cette nouvelle technologie simplifiera la tâche aux pirates informatiques qui pourront beaucoup plus facilement l‘infiltrer en raison de la multiplication exponentielle des points d’accès. La partie n’est-elle pas déjà assez belle pour eux ?

Vous croyez pouvoir échapper à cette congestion de fréquences en vous réfugiant à la campagne, ou même dans une région sauvage ? Détrompez-vous. Pour l’industrie, the sky is no limit [NdNM : le ciel est sans limites]. Avec la bénédiction du gouvernement américain, Elon Musk, le propriétaire des compagnies Tesla et SpaceX, souhaite éventuellement ceinturer la Terre avec plus de 42 000 satellites. Chaque lancement de fusée transportant 320 satellites met en péril la couche d’ozone qui nous protège des rayons ultraviolets cancérigènes. Elon Musk espère à terme gagner 3 à 5 % du marché mondial de l’Internet. Mais sa contribution au cimetière de l’espace risque d’être beaucoup plus élevée. De quel droit le gouvernement américain peut-il imposer à tous les humains de la planète un ciel où il y aura plus de satellites visibles à l’œil nu que d’étoiles, au détriment de la recherche astronomique et de la précision des prévisions météorologiques? Depuis le 4 février 2020, plus de 2 000 astronomes du monde entier appellent à stopper le lancement des satellites de la constellation StarLink.

En attendant, retombons les pieds sur terre. Lorsqu’elle aura atteint sa pleine capacité, la 5G triplera l’exposition aux rayonnements radiofréquences (RF) pour chaque femme enceinte, chaque enfant et chaque adulte, qu’ils utilisent ou non des appareils 5G. Voilà toute la cause de mon indignation. Nulle part le rapport Yale ne mentionne que ce déploiement est déjà en train de se faire sans qu’aucune étude n’ait démontré que la technologie 5G est sans danger pour les humains et l’environnement. Son déploiement est donc un jeu de roulette russe où nous servons de cobayes à notre insu, sans notre consentement, et en violation de nos droits les plus fondamentaux tels que définis par le code de Nuremberg.

Les preuves du danger de l’exposition aux radiofréquences

Pourtant depuis plus de deux décennies de nombreuses recherches sur les impacts sanitaires de la 2, 3 et 4G révèlent leur ampleur. Bien avant qu’il soit question de la 5G, le rapport BioInitiative, produit et mis à jour depuis 2007 par un groupe de 14 chercheurs internationaux soutenus par une douzaine de réviseurs, a compilé plus de 1 800 articles révisés par des pairs démontrant les effets nocifs des rayonnements sans fil pour les humains et l’environnement. En plus de ses effets délétères sur les insectes, les plantes et les animaux, on note chez l’humain une augmentation des cancers, des troubles de la reproduction, des troubles de la mémoire et de l’apprentissage, en particulier chez les enfants, ainsi que des dommages à l’ADN, au système nerveux et aux cellules. Malgré ce constat accablant, cette notion de pollution électromagnétique ayant des impacts sur la santé est difficile à accepter parce qu’invisible. Les cancers n’apparaissent souvent qu’au bout de 20 ou 30 ans d’exposition. C’est ce délai de latence qui pose problème.

Mais il y a deux ans, un coup de massue a été assené au scepticisme ambiant et au déni officiel. Le 1er novembre 2018, le très réputé National Toxicology Program (NTP), programme gouvernemental de recherche américain en toxicologie, a publié les résultats d’études sur les effets des champs électromagnétiques de radiofréquences chez le rat et la souris. Il s’agit des recherches les plus complètes jamais réalisées pour évaluer les effets d’une exposition aux ondes de la téléphonie mobile. Elles ont été initiées en 2003 et réalisée avec un budget de 25 millions de dollars US, avec l’hypothèse de départ que les ondes étaient sans danger.

Le concepteur de cette étude, Ron Melnick, résume :

« Les études du NTP ont non seulement révélé que le rayonnement des téléphones portables augmentait les tumeurs dans le cœur et le cerveau, mais induisait également des lésions cardiaques (cardiomyopathie du ventricule droit chez les rats mâles et femelles) et des dommages à l’ADN dans les cellules cérébrales des rats et des souris… Les organismes de santé et de réglementation doivent avertir le public des effets sur la santé des rayonnements radiofréquences et fournir des informations claires sur la façon de réduire les expositions, en particulier pour les enfants et les femmes enceintes. »

La même année, le prestigieux Institut Ramazzini, de Bologne en Italie, a publié une étude à long terme sur les effets des rayonnements RF (simulant l’exposition au rayonnement d’antennes cellulaires) sur la santé de près de 500 rats. Tout comme l’étude du NTP, cette étude a clairement démontré que l’exposition chronique aux radiofréquences causent chez les rats les mêmes types de tumeurs que l’on constate chez certaines personnes qui parlent au cellulaire 30 minutes par jour pendant au moins dix ans ou qui habitent à moins de 500 m d’une antenne.

Fabiana Manservisi, biologiste et co-signataire de l’étude, précise :

« Les données de notre étude montrent la corrélation entre l’émission de radiofréquences et l’apparition des tumeurs de l’oreille, ainsi que des tumeurs multiformes du cerveau. Cela signifie que l’on pourrait faire le parallèle avec ce qui pourrait se passer chez l’humain. »

https://youtu.be/V6aO_4ioP1g

Puisque cette étude de l’institut Ramazzini a été menée avec des ondes 3G et 4G, elle ajoute :

« ce qui est sûr, c’est que notre expérimentation a démontré un risque. Et ce risque doit être pris en considération concernant des fréquences qui n’ont pas encore été testées. Ce que nous voulons dire, c’est : prudence! Il faut respecter le principe de précaution. Il faut explorer ces fréquences 5G avant que toute la population n’y soit exposée ».

Depuis 1933, la science a établi que les humains sont des organismes bioélectriques dont les cellules communiquent à l’aide de faibles impulsions électriques. Notre organisme capte les ondes comme une antenne. Les rayonnements des communications sans fil peuvent interférer avec le fonctionnement de nos cellules et l’altérer. Les effets non-thermiques des micro-ondes sur la santé humaine sont documentés par les militaires depuis plus de 70 ans.

La science ou l’industrie ?

Mais Santé Canada est là pour nous protéger, me direz-vous ! Hélas, Santé Canada continue de défendre l’idée absurde que le seul danger de tout rayonnement de micro-ondes est l’échauffement des tissus… un critère totalement arbitraire établi au début des années 1950 par les militaires américains et repris il y a 22 ans par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP), une organisation non gouvernementale privée basée en Allemagne (et principalement financée par ce pays). La plupart des membres de l’ICNIRP ont des liens avec l’industrie qui dépend de ses lignes directrices, ce qui les place en conflit d’intérêt. Des lignes directrices définies en accord avec l’industrie, et non pas en fonction de la science. Pourtant ces directives de l’ICNIRP, en niant les effets biologiques sous le seuil thermique des rayonnements RF, sont inadéquates (trois organismes fédéraux américains le dénonçaient en 1993, tout comme l’Académie américaine de pédiatrie en 2012) et menacent directement la santé publique. En se fiant à ces mêmes directives, le site Web de Radio-Canada affirmait récemment que la 5G serait sans danger pour la santé humaine. Si cela est vrai, pourquoi alors les compagnies d’assurance refusentelles catégoriquement depuis plus de 10 ans de couvrir les dommages reliés aux tours cellulaires et aux communications sans fil ?

Selon les recommandations de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe faites en 2011 à tous les pays de l’Union européenne, les humains ne devraient pas être exposés à plus de 0,6 volt par mètre (V/m) ou 1 000 microwatts par mètre carré (μ/m2) à l’intérieur de leur maison, et idéalement, pour plus de prudence, précisait-elle, ça ne devrait pas dépasser 0,2 V/m ou 100 microwatts par mètre carré (μ/m2). À de nombreux endroits au centre-ville de Montréal, les mesures prises en janvier dernier indiquaient un niveau dépassant largement 20 000 microwatts par mètre carré (μ/m2)! L’ajout du rayonnement des fréquences millimétriques de la 5G, à compter de 2022, va éventuellement faire tripler cette exposition, surtout quand il y aura dans nos villes, selon les dires de l’industrie, un million d’objets au kilomètre carré connectés à Internet via la 5G qui émettront de façon intermittente.

Cet énorme smog électromagnétique va accroitre les revenus des gouvernements et les profits des entreprises de télécommunications, mais aussi le cancer, les maladies cardiaques, le diabète, l’Alzheimer, l’infertilité, en plus d’une foule de symptômes handicapants tels que pertes de mémoire, insomnie, maux de tête, nausées, vertiges, acouphènes, confusion mentale et dépression. La situation est pire pour les enfants, dont le corps absorbe deux fois plus de radiations que celui des adultes. Et les femmes enceintes risquent d’accoucher de plus en plus souvent d’enfants souffrant de leucémie, d’autisme, ou du trouble du déficit de l’attention.

Rappelons qu’en 2011 l’OMS a classé ce type de rayonnement dans le Groupe 2B, « peut-être cancérogène pour l’homme », tout comme le plomb et le DDT. Tout indique qu’en raison de nombreuses études scientifiques récentes, dont 500 études probantes parues depuis août 2016, la classification des radiofréquences devrait en principe être prochainement révisée à la catégorie du Groupe 2A « probablement cancérogène pour l’homme », voire au Groupe 1 « cancérogène avéré pour l’homme », tel que le recommande un conseiller de l’OMS, le Dr Anthony B. Miller, professeur émérite de médecine à l’Université de Toronto et qui a dirigé pendant 15 ans l’unité d’épidémiologie de l’Institut national du cancer.

J’ai 74 ans et quatre petits-enfants. La rapidité et l’absence totale de consultation qui prévalent, durant ce déploiement de la 5G, m’indignent et me révoltent au plus haut point. Je ne peux accepter l’idée que les marchands de cellulaires, avec la complicité de Santé Canada, soient prêts à mettre la santé, la sécurité et l’avenir de la population en jeu pour engranger des profits. Et je suis loin d’être le seul. Cette préoccupation est mondiale.

La riposte

Le 25 janvier dernier, quatre jours avant la parution du rapport Yale, la Journée mondiale de protestation contre la 5G a donné lieu à l’organisation de 205 événements dans plus de 195 villes de 32 pays. Au Canada, une douzaine d’événements et manifestations ont eu lieu de Vancouver à Halifax en passant par Calgary, Winnipeg, Toronto et Montréal ! En 2017, plus de 250 scientifiques de 37 pays ont lancé un appel à l’OMS et aux Nations Unies, dénonçant les effets nocifs de la technologie sans fil et demandant un moratoire sur la technologie 5G jusqu’à ce que des études d’impacts sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes soient réalisées. Le 19 septembre 2019, pendant que les auteurs du rapport Yale achevaient leurs délibérations, un nouvel appel signé par 261 scientifiques de plus de 40 pays affirmait que la santé humaine, animale et végétale serait compromise par le déploiement du réseau sans fil de cinquième génération (5G). En Suisse, où les limites de rayonnement sont six fois plus basses que les nôtres, un moratoire est en cours. La Fédération suisse des médecins (FMH) explique que « tant qu’il ne sera pas prouvé scientifiquement qu’une augmentation des valeurs limites de rayonnement actuelles n’a aucun impact sur la santé, il faudrait renoncer à les augmenter ». Chypre vient de retirer le signal Wi-Fi de ses écoles élémentaires, et de limiter le signal à l’hôpital de l’Archevêque Makarios III. Le pays entreprend une campagne d’éducation populaire sur les risques d’une exposition aux radiofréquences. En France, plusieurs nouveaux maires écologistes s’opposent au déploiement du réseau 5G dans leur commune. L’opposition grandit dans de nombreux pays.

Professeur émérite en biochimie et sciences médicales fondamentales à l’Université d’État de Washington, Martin Pall affirme [NdNM : ou ici]:

« Déployer des dizaines de millions d’antennes 5G sans un seul test pour vérifier si c’est sans danger au plan biologique doit être l’idée la plus stupide que quiconque ait eue dans l’histoire du monde ».

Parmi de multiples atteintes à la santé, il constate une augmentation de quatre types de cécité associés à la technologie 5G : les cataractes, le détachement de la rétine, le glaucome et la dégénérescence maculaire. Leurs villes intelligentes pourraient donc nous rendre aveugles !

Notre nouveau ministre du Patrimoine, Steven Guilbeault, s’est engagé à déposer d’ici la fin 2020 un projet de loi qui prendra les mesures appropriées pour veiller à ce que les fournisseurs de contenu, y compris les géants du Web, offrent plus de contenu canadien dans leur répertoire, contribuent à la création de contenu canadien dans les deux langues officielles, fassent la promotion de ce contenu et le rendent facilement accessible sur leur plateforme. Ce sont des enjeux cruciaux pour la survie de notre culture. Plusieurs des recommandations qui lui sont soumises dans le rapport Yale vont dans ce sens. Mais les recommandations qui réclament une imposition forcée du réseau sans fil de cinquième génération (5G) doivent être totalement dénoncées et rejetées tant que la science n’aura pas fait la lumière sur ces enjeux de sécurité et de santé publique. Rappelons que dans le cas de l’amiante, du tabac, du bisphénol-A, de la thalidomide ou de l’urée formaldéhyde, les risques pour la santé publique ont été initialement ignorés. Il incombe maintenant à nos dirigeants de prendre des décisions qui visent à placer la sécurité des citoyens au-dessus des intérêts des entreprises de télécommunications.

Le fil d’Ariane

Le cellulaire a fait ses preuves comme outil de communication, mais nous devons maintenant apprendre à l’utiliser de façon plus sécuritaire. La technologie 5G tente de le transformer en centre d’amusement et de stimulation visuelle pour des motifs purement commerciaux. Puisque nous avons impérativement besoin d’Internet, il existe une solution toute simple et éprouvée pour éviter ces problèmes. Celle de favoriser les connexions par fibre optique et filaires. Elles n’émettent pas de rayonnements. Elles assurent une meilleure protection de la santé et de la vie privée. Mais surtout elles sont cent fois plus rapides et plus fiables que la 5G.

C’est ce que réclame l’Appel urgent au gouvernement du Canada. Fruit d’une concertation de scientifiques et de militants pour l’environnement de 4 provinces canadiennes, dont Frank Clegg, ex PDG de Microsoft Canada, cette plateforme formule des demandes précises et pertinentes pour mieux encadrer la prolifération des antennes 4G et 5G. Alors que le gouvernement fédéral se prépare à encaisser des milliards de dollars en vendant les droits d’utilisation du spectre des ondes, cet appel réclame un moratoire sur le déploiement de la 5G et sur la vente des licences d’utilisation des fréquences 5G, tant que leur innocuité n’aura pas été prouvée par des études indépendantes. Il demande aussi une analyse économique globale des revenus potentiels, mais aussi des coûts liés aux technologies sans fil, incluant l’augmentation des soins de santé, la perte de productivité, les atteintes à la vie privée et à la sécurité, ainsi que les impacts environnementaux. Lancé le 14 mai 2020, L’Appel urgent au gouvernement du Canada a déjà reçu l’appui de 17 800 personnes et d’une quarantaine d’organisations à travers le Canada.

Sur les panneaux publicitaires de nos villes, l’industrie de la téléphonie sans fil a commencé à nous vendre son nouveau rêve. Cet Appel urgent au gouvernement du Canada est la seule façon de lui dire: STOP! On a besoin des lumières de la science avant d’imposer aux humains et à l’environnement une technologie qui n’a jamais été évaluée. Et on a surtout besoin d’être nombreux, individus, regroupements, syndicats et organisations, à le faire. Je vous invite à prendre connaissance de cet appel, à le rendre accessible autour de vous, à le signer et à recommander à vos organisations d’en faire autant.

Depuis longtemps nous nous unissions pour défendre notre culture et notre identité. Ne devrions-nous pas aussi nous unir pour défendre notre santé, notre environnement et l’avenir de nos enfants ? Des scientifiques et des médecins du monde entier nous avertissent du danger de l’exposition aux radiofréquences. C’est le temps de les écouter, le temps d’agir* !

Pascal Gélinas

gelinas.realisateur@gmail.com

Note

*Titre du rapport Yale.


[Voir aussi : dossier 5G et ondes pulsées]




L’OMS veut immuniser le public contre la désinformation : tous les moyens de contrôle et de persuasion sont mis en œuvre!

[Source : Organisation Mondiale de la Santé]

[Traduction : Conscience du peuple]

[Note de Isabelle :]

Voici un communiqué de l’OMS daté du 25 août 2020 qui nous informe que l’agence internationale a mandaté des agences d’analyse de l’information, qui utilisent l’intelligence artificielle, pour mesurer et identifier les opinions qui circulent sur les réseaux sociaux ainsi que les humeurs/émotions des citoyens et ce, afin d’affiner leurs stratégies de contrôle de l’information et de persuasion en vue d’une vaccination massive.

Tout comme dans une campagne électorale, la cible à atteindre ce sont les « indécis », dans ce cas précis ce sont les indécis concernant la vaccination. 👉Toute cette manigance médiatique se concentre sur créer une forte adhésion à la vaccination et sur rétablir la crédibilité de la Science et de l’OMS.

Lisez jusqu’à la fin ou concentrez-vous sur le signe 👉 pour comprendre à quel point le contrôle de l’information est un enjeu majeur dans la poursuite de l’Agenda.


Immuniser le public contre la désinformation

Peu de temps après que le monde ait commencé à s’habituer aux termes coronavirus et COVID-19, l’OMS a inventé un autre mot: «infodémie»,  soit une surabondance d’informations et une propagation rapide de nouvelles, d’images et de vidéos trompeuses ou fabriquées. Comme le virus, « l’infodémie » est très contagieuse et croît de façon exponentielle. Cela complique les efforts de réponse à la pandémie de COVID-19.

«Nous ne combattons pas seulement le virus», a déclaré le Directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus. «Nous luttons également contre les trolls et les théoriciens du complot 👉qui poussent à la désinformation et sapent la réponse à l’épidémie.»

La prolifération de la désinformation – même lorsque le contenu est, dans le meilleur des cas, inoffensif – 👉peut avoir des ramifications sanitaires graves et même sociales et mortelles dans le contexte d’une pandémie mondiale. Dans certains pays, les rumeurs sur une pénurie alimentaire imminente ont incité les gens à faire des réserves dès le début de l’épidémie et ont provoqué de réelles pénuries. Aux États-Unis d’Amérique, une personne est décédée après avoir ingéré un produit de nettoyage d’aquarium contenant de la chloroquine après que des rapports aient mentionné l’hydroxychloroquine comme un remède possible – mais non prouvé – pour le traitement du COVID-19. En République islamique d’Iran, des centaines de personnes sont mortes après avoir bu de l’alcool méthanolique qui, selon les messages des médias sociaux, avait guéri d’autres personnes du coronavirus. C’est le genre de désinformation dangereuse qui inquiète le plus l’OMS.

👉Alors même que le monde se concentre sur la recherche d’un vaccin sûr et efficace, la désinformation continue de se répandre sur la vaccination. Les experts de la santé en Allemagne craignent que le mouvement anti-vaccination du pays ne dissuade de nombreuses personnes à se faire vacciner lorsqu’un vaccin sûr devient disponible. Une étude récente qui a examiné les opinions de vaccination de 100 millions d’utilisateurs de Facebook dans le monde a révélé que si le camp pro-vaccination (6,9 millions de personnes) était plus nombreux que celui contre la vaccination (4,2 millions), le groupe anti-vaccin était moins isolé et avait plus d’interaction 👉avec les individus (de loin le plus grand groupe, avec 74,1 millions) qui sont indécis au sujet de la vaccination. 👉 Ces «vaxxers swing» sont importants à cibler et à embarquer avec la vaccination qui sauve des vies.

Pour en savoir plus sur la manière dont l’OMS s’attaque à la lutte contre l’infodémie, la Fondation des Nations Unies a rencontré Tim Nguyen en marge de la première conférence mondiale sur l’ infodémiologie, qui a réuni des experts mondiaux pour discuter de la science en développement de la gestion des infodémies. 👉L’équipe de Nguyen gère le Réseau d’information sur les épidémies (EPI-WIN), qui dirige les travaux de l’OMS sur la gestion des infodémies.

Traverser la toile de la désinformation

« Les infodémies se sont déjà produites d’une manière ou d’une autre lors d’épidémies passées, mais ce qui se passe en ce moment est à l’échelle mondiale, où les gens sont connectés par différents moyens et partagent des informations plus rapidement », a déclaré Nguyen. 👉«Cela a créé une nouvelle situation dans laquelle nous repensons et remodelons notre approche de la gestion des infodémies dans les situations d’urgence.»

👉Selon une étude récente évaluant la désinformation en anglais, la plus grande catégorie de publications qualifiées de fausses ou trompeuses par les vérificateurs de faits était le contenu qui remettait délibérément en cause ou remettait en question les politiques et les actions des fonctionnaires, des gouvernements et des institutions internationales telles que les Nations Unies et OMS.

Un exemple flagrant de ceci est «Plandemic», une vidéo de 26 minutes sur la théorie du complot qui accuse à tort le Dr Anthony Fauci, le principal spécialiste des maladies infectieuses aux États-Unis, d’avoir fabriqué le virus et de l’avoir envoyé en Chine. La même vidéo prétend à tort que le port de masques entraînera une auto-infection. Plus de 8 millions de personnes ont regardé la vidéo sur les réseaux sociaux avant qu’elle ne soit supprimée.

Un tel contenu peut éroder la confiance du public dans les organisations mêmes qui mènent la lutte contre le COVID-19. 

👉Pour rappeler au public la primauté de la science, l’OMS identifie d’abord le type de désinformation qui circule, puis répond avec ses propres directives fondées sur des preuves. La communauté des Nations Unies dans son ensemble a contribué à amplifier ces informations grâce à sa propre initiative de lutte contre la désinformation. Par exemple, l’initiative «Pause. Faites attention avant de partager ». La campagne encourage les gens à prendre le temps de vérifier les sources avant de décider de partager du contenu en ligne.

L’OMS a également travaillé en étroite collaboration avec les entreprises de médias sociaux et de technologie pour aider à freiner une partie de la désinformation qui se répand sur leurs plateformes. En février, des responsables de l’agence de santé se sont réunis au siège de Facebook pour savoir comment promouvoir des informations de santé précises sur le COVID-19. 

👉À présent, l’OMS travaille avec plus de 50 entreprises numériques et plates-formes de médias sociaux, notamment TikTok, Google, Viber, WhatsApp et YouTube, pour garantir que les messages de santé basés sur la science de l’organisation ou d’autres sources officielles apparaissent en premier lorsque les gens recherchent des informations liées au COVID-19. Même l’application de rencontres Tinder propose désormais des rappels de santé de l’OMS, car la distance sociale est toujours appropriée pendant un rendez-vous.

👉Écoute sociale avec intelligence artificielle 

«Ce que nous avons mis en place au début de la pandémie, c’est ce que nous appelons une approche d’écoute sociale», a déclaré Nguyen.

L’OMS travaille avec une société d’analyse pour intégrer l’écoute sociale dans son élaboration de messages de santé publique – une première pour l’Organisation.

Écoute des médias sociaux

👉Chaque semaine, la société examine 1,6 million d’informations sur diverses plateformes de médias sociaux, puis utilise l’apprentissage automatique pour effectuer des recherches basées sur une taxonomie de santé publique nouvellement développée afin de classer les informations en quatre sujets: la cause, la maladie, les interventions et le traitement. Cela aide l’OMS à suivre les sujets de santé publique qui gagnent en popularité et à élaborer et adapter des messages de santé en temps opportun. Les exemples incluent «Comment une pandémie se termine-t-elle?» et « Comment savons-nous quand nous avons une deuxième vague? ».

👉L’apprentissage automatique fournit également des informations sur les types d’émotions que les utilisateurs ressentent. Au lieu de simplement diviser les données par type de sentiment (positif, neutre, négatif), 👉 l’analyse du langage peut mettre en lumière l’anxiété, la tristesse, le déni, l’acceptation et d’autres émotions exprimées dans les publications sur les réseaux sociaux. 👉Ce niveau de détail permet à l’OMS de développer une stratégie offensive efficace et d’apaiser les inquiétudes du public avant que la désinformation ne prenne pas plus l’ampleur.

«Ce que nous avons appris maintenant, après deux mois et demi à faire ce genre d’analyse, c’est qu’il y a des thèmes et des sujets récurrents qui reviennent encore et encore», a déclaré Nguyen. 

Tout le monde n’a pas accès aux médias sociaux ou à Internet, mais ils restent tout aussi enclins que quiconque à être exposés à la désinformation. Pour surmonter cette lacune numérique, l’OMS collabore avec des collègues de l’initiative UN Global Pulse, qui utilise l’intelligence artificielle et les mégadonnées pour s’attaquer aux problèmes de développement et humanitaires et ce, pour appliquer l’écoute sociale aux pays où la radio est un moyen d’information populaire.

👉En Ouganda, par exemple, plus de la moitié des ménages dépendent de la radio pour leurs informations, et des milliers d’Ougandais appellent chaque jour à des programmes locaux pour parler de questions allant des sujets les plus banals aux sujets les plus graves tels que les soins de santé. 👉 La branche de Kampala de UN Global Pulse utilise un outil de reconnaissance vocale automatisé alimenté par l’intelligence artificielle pour traduire les enregistrements radio du dialecte local en texte numérique anglais. L’initiative a été présentée dans la série « Innovation in Action » de la Fondation des Nations Unies l’année dernière, montrant comment l’ONU tire parti de l’innovation et d’une nouvelle réflexion pour relever les défis les plus urgents du monde.

L’équipe UN Global Pulse utilise maintenant l’outil pour identifier le langage lié au COVID en Ouganda et toute désinformation diffusée par les communautés locales. L’équipe a constaté que les communautés locales faisaient la promotion de la sorcellerie et des herbes comme remèdes contre le COVID-19; des rumeurs circulaient même au sujet d’un vaccin fabriqué en Ouganda. Ce type de données est inestimable pour les organisations telles que l’OMS pour éclairer leurs messages et l’élaboration de directives. L’OMS travaille avec les Nations Unies pour étendre et piloter ce projet dans deux autres pays d’Afrique subsaharienne et deux en Asie du Sud-Est.

«Vous devez disposer d’un certain degré de bonnes informations pour atteindre les populations afin qu’elles soient inoculées et qu’elles ne soient pas sensibles aux fausses informations ou à la désinformation», a déclaré Nguyen. 👉 «Nous pensons que nous devons vacciner 30% de la population avec de« bonnes informations », afin d’avoir un certain degré d’immunité « collective » contre la désinformation.»

C’est là que la communauté locale devient particulièrement importante pour aider à amplifier le message de l’OMS.

Intégrer les voix de la communauté

Étant donné qu’une grande partie de la désinformation provient des communautés et peut se répandre dans des messages privés et des conversations entre amis et familles, l’OMS encourage les individus à vérifier les faits avec leurs proches si nécessaire. Ils ont créé une page dédiée de «mythbusters», contenant des réponses factuelles aux idées fausses les plus courantes sur le COVID-19, notamment: si les chaussures peuvent propager le virus (très faible probabilité), si les bains chauds peuvent maintenir le nouveau coronavirus (non, et vous risquez de vous brûler), et si les sèche-mains peuvent tuer le virus (non, ils ne le font pas).

Alors que l’OMS est habituée à travailler avec les ministères de la Santé et d’autres organes et responsables gouvernementaux pour développer et amplifier les messages de santé publique. Nguyen a déclaré que dans une crise de l’ampleur du COVID-19, une approche à l’échelle de la société est nécessaire pour s’assurer que tous les communautés sont atteintes.

👉Par exemple, au lieu d’une stratégie descendante, l’OMS travaille avec des groupes spécifiques tels que les jeunes, les journalistes et les organisations confessionnelles pour co-développer des orientations adaptées à chaque contexte et communauté. Ces groupes servent d’amplificateurs et diffusent de manière organique des informations précises sur la santé.

Nguyen a noté qu’au niveau mondial, les besoins d’information peuvent être très différents. «Prenons les conseils sur le lavage des mains, par exemple. C’est important et il y a une recommandation mondiale sur la durée et la façon dont vous devez le faire », a-t-il déclaré,« mais soyons aussi honnêtes. Il y a certaines régions du monde où il n’est pas possible de le faire comme recommandé.»

Les dirigeants communautaires peuvent aider à adapter les conseils d’hygiène dans des contextes où il n’y a pas assez de sources d’eau ou de savon pour se laver correctement les mains, ou dans des conditions exiguës où la distanciation sociale peut sembler presque impossible. Les directives révisées et co-élaborées par l’OMS et les chefs religieux incluent le remplacement des salutations de contact physique par un simple contact visuel et un salut; encourager les fidèles à effectuer les ablutions rituelles à la maison plutôt qu’au lieu de culte; et même offrir des conseils dans des situations douloureuses telles que la façon d’enterrer des êtres chers tout en respectant les restrictions du COVID-19.

«Il est important de travailler avec ces groupes d’amplification qui comprennent bien mieux que nous les personnes dont ils se soucient», a déclaré Nguyen. «Nous développons conjointement des conseils avec des personnes directement concernées et pouvons nous aider à mettre en œuvre une certaine pratique qui conduit à un changement de comportement.»

👉Une nouvelle alliance des Nations Unies pour lutter contre l’infodémie – comprenant l’OMS, l’UNESCO, l’Union internationale des télécommunications et UN Global Pulse – a récemment reçu un peu plus de 4,5 millions de dollars américains du Fonds de réponse de solidarité COVID-19 pour étendre son travail d’amplification communautaire, initiative d’écoute sociale et d’autres projets, notamment la création d’un centre centralisé de vérification des faits et de désinformation pour fournir aux pays des outils pour lutter contre l’infodémie.

👉Le 29 juin, l’OMS a également organisé la première conférence mondiale sur l’infodémiologie, qui a réuni des scientifiques de divers horizons pour se concentrer systématiquement sur la question et réfléchir à des moyens scientifiques pour mieux la gérer.

«Nous avons des physiciens, des mathématiciens, assis avec des épidémiologistes, avec des spécialistes des sciences sociales pour discuter d’approches fondées sur des preuves pour gérer l’infodémie», a déclaré Nguyen. «Tous ces domaines scientifiques ont leurs propres écoles de pensées, leurs cadres, comment ils font de la recherche, il est donc intéressant de voir comment une perspective peut aider à fertiliser l’autre.

👉Bien qu’un vaccin et un traitement contre le COVID-19 ne soient pas encore prêts, les mesures proactives de l’OMS aident à neutraliser l’infodémie de désinformation.  

«Pour lutter contre cette infodémie, nous devons faire les choses différemment de ce que nous avons fait dans le passé», a déclaré Nguyen. «Grâce au leadership du Dr Tedros, nous sommes de plus en plus ouverts à l’innovation et à repenser la façon dont nous faisons les choses.»

https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/immunizing-the-public-against-misinformation




Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale

[Source : Les 7 du Québec à partir du Saker Francophone]

[Commentaires de] Robert Bibeau

Nous vous proposons aujourd’hui un texte que les hypocrites médias mainstream qualifie de « complotiste ». C’est qu’à travers quelques élucubrations sataniques (sic) l’auteur  présente une bonne synthèse de faits avérés concernant cette pandémie qui a les apparences d’un exercice en vue d’une guerre bactériologique en préparation. Laissons de coté les interprétations diaboliques de Grand Complot de l’Ordre Nouveau et examinons les données qu’il expose.  Pour ce qui est de l’idéologie du « conspirationnisme« , voici une citation de L’Idéologie allemande qui remet les choses en perspective:  «À toute époque, les idées de la classe dominante sont les idées socialement dominantes : autrement dit, la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est en même temps la puissance spirituelle dominante. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose en même temps, de ce fait, des moyens de la production intellectuelle, si bien qu’en général, elle exerce son pouvoir sur les idées de ceux à qui ces moyens font défautLes pensées dominantes ne sont rien d’autre que l’expression en idées des conditions matérielles dominantes, ce sont ces conditions conçues comme idées, donc l’expression des rapports sociaux qui font justement d’une seule classe la classe dominante, donc les idées de sa suprématie.»  

Robert Bibeau. Éditeur https://les7duquebec.net


Tout le monde a pu voir récemment un certain nombre de très grands médecins et de professeurs en infectiologie, immunologie, génétique ou virologie se succéder sur les plateaux de télévision et de radio pour expliquer qu’ils ne comprenaient rien à la gestion de cette crise de la Covid-19 et aux différentes situations politiques paradoxales qui se sont enchaînées dès l’apparition du SARS-COV2 dans le monde.

Le professeur Christian Peronne, brillant médecin-professeur français exerçant à l’hôpital de Garches en région parisienne est l’un d’entre eux. Apparaissant de plus en plus interloqué émission après émission, il vient de publier récemment un livre dans lequel il recense « les erreurs majeures» que le gouvernement français aurait commis durant cette crise.

Or Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart «des gens normaux» qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzin et son Comité scientifique «se sont retrouvés dépassés».

Le souci c’est qu’en réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial lequel est sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockfeller. (sic – le conspirationnisme pointe son nez. ndlr).

Au total, ce ne sont pas moins de 194 états dans le monde qui ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Règlement, rappelons-le, qui prévoit qu’en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états.

Mais nous allons développer tout ceci un peu plus loin car c’est très important, d’autant plus que le Parlement Européen a fait promulguer une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de permettre la vaccination des individus et de leur inoculer des OGM dont on ne sait absolument rien.

Qu’il s’agisse de Christian Peronne en France, d’Alberto Zangrillo en Italie ou de Denis Rancourt au Canada, on est toujours dans le même cas de figure. Celui où des gens innocents, naïfs et fondamentalement bons ne voient jamais «le Mal» tel que l’on devrait le voir, c’est-à-dire dans son essence la plus absolue et la plus machiavélique qui soit. Ils en sont incapables car ils pensent que tout le monde est comme eux.

Ils ne voient que des imperfections, des incohérences, des incompétences et des erreurs commises. Et comme leur nature est intègre et qu’ils sont des gens fondamentalement honnêtes, ils sont incapables de percevoir et de comprendre que cette crise du COVID vient de très loin et qu’elle a été intégralement orchestrée de A à Z. (sic. disons que c’est une hypothèse de recherche. ndlr).

Est-ce que quelqu’un se rappelle de la cérémonie macabre de l’ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012 ? Non ? Et bien il faut la revoir. Le thème tournait autour d’une pandémie et pour tous les passionnés d’eurythmie, l’événement était truffé d’images satanistes et maçonniques. (un autre petit coup de complotisme. NDLR)

Alors prémonition, prédiction ou hasard ?

En termes d’hypothèse tout est possible mais nous allons voir que rien n’est dû au hasard. Avec le recul, nous pouvons même penser que toutes ces histoires de nems de chauve-souris mal cuits et de pangolin mal grillé pour être revendu par un «Street cooker» dans un marché de Wuhan ne sont que des histoires pour enfants. Rien d’autre. (ici le conspirationniste renvoi les autres conspirationnistes à leurs marmites. ndlr).

La preuve est que nous sommes déjà à la mi-septembre et nous n’avons toujours pas trouvé de patient « zéro ». Tout nous laisse penser que nous le trouverons pas (exact. ndlr).

La réalité est bien plus scabreuse, bien plus machiavélique et bien plus maléfique que tout ce à quoi l’on veut nous faire croire.

Le hasard, comme le disait Einstein« c’est Dieu qui se promène incognito » et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine.

Si tel est peut-être le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or, ce qui relève de la certitude, c’est que dans le domaine de la physique des affaires politiques, de l’ingénierie sociale et du contrôle des populations — et des pandémies évidemment —, Dieu n’y est pour rien.

L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus.

Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep [traduction compte tenu du contexte : verrouillage] économique et un lockdown [traduction : confinement] des populations, l’homme est partout. Il pense à tout.

Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout.

Pour vous convaincre par les sentiments, par exemple, la fabrique du consentement vous répétera, jusqu’à ce que vous le répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, que vous ne devez surtout pas rendre visite à vos grands-parents dans leur maison de retraite au prétexte que vous pourriez les tuer en leur transmettant un virus mortel.

Adorable petite fille jouant avec le chapeau d’un homme âgé sur fond de nature. Le concept de deux générations différentes.

Un peu comme si Orwell vous disait que « la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force ».

Sans doute est-ce là encore un non sens qui créé évidemment de la dissonance cognitive mais beaucoup le croient. La naïveté des hommes est sans limite.

Qu’importe que ceux qui nous aiment et qui ne vivent maintenant que pour voir leurs petits enfants grandir, meurent de solitude, de stress et d’angoisse, de soif, d’abandon ou de désespoir, l’important est que vous, vous ne soyez pas responsable de leur mort.

En France, le 27 mars 2020, le gouvernement n’a pas hésité à interdire le traitement des patients atteint de la COVID-19 par hydroxychloroquine, basant son décret sur l’étude truquée de la revue « The Lancet » et si les responsables de cette revue ont reconnu leur erreur, le gouvernement lui n’a pas changé d’avis.

Déclarant ainsi dangereuse, une molécule prescrite depuis plus de 60 ans à travers toute la planète et dont le Docteur Fauci disait, en 2005 dans un article, que cette molécule était d’une efficacité redoutable pour traiter le SARS-COV1 mais aussi tous les coronavirus.

Alors complot contre la santé ou hasard de calendrier ?

Il y a quelques jours, le New York Times publiait encore un article dans lequel l’auteur expliquait que le confinement avait tué 10 fois plus de gens que le virus lui-même mais cette information est passée totalement inaperçu dans les médias européens.

Par le terrorisme émotionnel, pour vous donner un autre exemple, la fabrique médiatique du consentement vous fera toujours croire que si vous ne voulez pas que votre bébé meure dans d’atroces souffrances, vous devez impérativement le vacciner contre une bonne douzaine de maladies et ce, avant même que son corps ait acquis sa propre immunité.

Qu’importe que votre enfant devienne plus tard autiste ou que les effets secondaires irréversibles de ces vaccins le rendent stérile ou développent chez lui, 30 ou 40 ans après, toutes sortes de maladies neuro-dégénératives qui seront beaucoup plus graves que les maladies contre lesquelles il est censé être immunisé.

L’important, pour tous ces ministres de la santé qui ne sont en réalité rien d’autres que les représentants commerciaux des grands firmes pharmaceutiques, est juste que vous injectiez toute une série de vaccins payants dans le corps de ce petit être encore fragile et innocent, cet incroyable miracle de la nature.

Seuls comptent pour eux le volume des ventes, la rentabilité des investissements consacrés à la recherche et au développement et la hausse du cours de l’action de la société.

L’homme de pouvoir et assoiffé de contrôle, a toujours la fâcheuse tendance à toujours vouloir se prendre pour le Créateur et à toujours vouloir tout manipuler et refaire à sa place et je ne parle pas là des chefs d’état et des gouvernements qui ne sont que de simples exécutants. Je parle de ceux qui ont réellement le pouvoir. Ceux qui financent les bourses d’études et les campagnes électorales de ceux-là mêmes qui deviendront ensuite leurs débiteurs. Ceux dont on ne parle jamais  (ou moins souvent disons. ndlr).

Pourtant ces acteurs de l’ombre impriment la monnaie et décident de votre paix si vous leur contractez un prêt ou installez une de leurs banques centrales sur votre territoire. Le cas échéant, comme ce fut le cas en Libye, ils décident de vous renvoyer à l’âge de pierre.

« Le monde », disait Nicholas Butler« se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

Ce que nous proposons ici est une grille d’analyse de la situation d’aujourd’hui car oui, l’homme de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir et l’évolution démographique et génétique de notre espèce.

L’opération COVID-19 est une pure opération d’ingénierie sociale et nous allons le voir.

Derrière la terreur et la psychose, plus de contrôle et encore moins de Liberté

Les eugénistes et les malthusiens disent souvent que rien n’est plus dangereux pour notre planète et notre avenir que la surpopulation.

À Alberton, dans l’état de Géorgie aux États-Unis, ces grands penseurs de l’avenir de l’humanité ont même gravé cette recommandation démographique dans le marbre et pour être bien sûr que personne ne l’oublie, ils l’ont faite graver et écrire en 8 langues sur 6 énormes blocs de marbre ne pesant pas moins de 108 tonnes.

Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.

Très bien et merci du conseil mais nous sommes actuellement 7,5 milliards d’individus et pour atteindre cet objectif, je pense que nous avons ici « un léger » problème. Alors comment faire…

John Holdren et Paul et Anne Ehrlich ont apporté des solutions. Ils les ont même écrites et publiées dans un livre qui s’appelle « ECOSCIENCE ». Un livre fou dans lequel on peut lire toute une série de mesures pour mener à bien cette opération de réduction de la population planétaire comme le fait d’« ajouter des stérilisants dans l’eau du robinet et les aliments de base, des perturbateurs endocriniens, de légaliser les drogues et les neurotoxiques » ou encore de « libérer des virus hautement pathogènes ». Voilà qui est intéressant.

Rien n’est inventé et tout est dans ce livre qui est « La référence et la bible » des mondialistes tels que Bill Gates ou David Rockfeller lequel disait encore il y a quelques années que « nous sommes à la veille d’une transformation globale et tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure pour que les nations acceptent le Nouvel Ordre Mondial »  (une crise de complotisme. ndlr).

John Holdren a été un collaborateur particulier d’Obama et il est un ami proche des Clinton, de Bill et Melinda Gates et de David Rockfeller.

En mai 2010, la Fondation Rockfeller a publié un rapport extrêmement intéressant sur son site.

Il s’intitule : «Scenarios for the Future of Technology and International Development ». Ce rapport est public et tout comme dans ECOSCIENCE, on y trouve tout ce qu’il faut savoir sur les pandémies, les confinements et les vaccins. De plus en plus intéressant n’est-ce pas.

A la page 18 de ce rapport, on y trouve un chapitre intitulé « LOCKSTEP », c’est-à-dire la mise à l’arrêt ou le verrouillage économique mondial en cas de pandémie. Certes il ne s’agit que d’un scénario sous forme de dystopie mais aujourd’hui il est malheureusement bien réel et tout ce qui nous est arrivé y est décrit avec une précision inouïe.

Or on ne peut pas comprendre la crise de la COVID-19, comme c’est le cas pour les professeurs Perrone, Raoult, Henrion-Caude, Toubiana ou Toussaint, si l’on ne se donne pas la peine de contextualiser ce jalon sanitaire dans le temps long [long terme]. C’est-à-dire de le voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.

Les auteurs de ce scénario morbide n’ont fait que se pencher sur la question du comment faire pour arrêter l’économie mondiale et imposer toutes sortes de restrictions et de mesures aux populations. Ils ne sont pas à l’origine de ce projet pour ce qui est de l’aspect économique, écologique et logistique, de l’exploitation et de la gestion de nos ressources. L’idée est née en 2005, dans le rapport Meadows réactualisé. C’est là où il était déjà question de LOCKSTEP à un horizon de 15 ans.

Il est intéressant de noter que le premier vice-président du Club de Rome a été David Rockfeller. Celui-là même qui a commandé le premier rapport Meadows et qui a été publié en 1972.

Dès l’antiquité les mésopotamiens, les égyptiens et les chinois recensaient leur population pour s’assurer un parfait contrôle démographique. Il s’agissait d’une question existentielle fondamentale car c’est de la bonne gestion des ressources caloriques et des effectifs humains aptes à défendre puis assurer la protection de l’espace vital, que dépendait la survie du groupe.

Cette question du recensement et de la maîtrise démographique des populations, à des fins martiales ou socio-économiques, pour le travail dans les champs puis dans les mines et les manufactures, a toujours obsédée les hommes et a toujours fait partie de notre histoire. C’est une question essentielle.

Ce qui vient bousculer cette question plutôt simple pour notre époque, c’est l’arrivée de l’intelligence artificielle.

Il n’y a pas de hasard rappelons-le. Tout est calculé et pensé plusieurs dizaines d’années à l’avance (ceci est absolument faux – et les prévisions sont toujours hight or low. ndlr [NdNM : la réalité est plus probablement située quelque part entre ces deux affirmations]).

En démographie, il est même très courant de faire des projections sur plusieurs centaines d’années (jamais confirmées. ndlr).

Bill Gates, dans une interview accordée à John Kennedy Junior et qui a été publié dans le magazine mensuel George en février 1997 sous-titrée « guide pour le futur 2020 », il dit exactement ceci : « je finance des projets d’éducation, je finance le contrôle de population, je suis très impliqué dans le programme United Way ». C’est à la page 101 du magazine pour ceux qui ont chez eux ce numéro qui se vend sur le marché des collectionneurs à plus de 5000$.

Pendant que la plupart d’entre nous avons le nez dans le guidon ou vivons comme les rats de Didier Desor, c’est-à-dire à essayer de survivre dans cette « rat race » perpétuelle sans comprendre réellement le sens du miracle de la vie, d’autres réfléchissent pour nous.

Ils pensent, prévoient et organisent nos vies, à tort ou à raison, jusqu’à décider de qui est utile sur cette planète et qui ne l’est plus.

S’il faut bien comprendre une chose aujourd’hui, c’est que l’accélération technologique et l’accélération de l’innovation, mais surtout la pénétration de l’intelligence artificielle dans tous les aspects de notre vie quotidienne, vont inéluctablement changer le monde pour toujours.

Il faut être vraiment naïf ou incroyablement rêveur pour croire que les fondations telles que la fondation Rockfeller ou la fondation Bill et Melinda Gates investissent des milliards de dollars dans la recherche biologique et bactériologique ou dans les vaccins pour le bien être de l’humanité (voici une vérité avérée. ndlr).

Comment peut-on croire naïvement un seul instant que ceux qui veulent nous sauver des virus et des pandémies  sont ceux-là même qui essaient de maîtriser et de réduire la population ? (Les mêmes qui financent la recherche sur ces virus létaux. ndlr).

Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son extraordinaire et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU, disait que « les virus étaient créés et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques fassent des profits grâce à la vente des médicaments ».

Il ajoutait que « les médicaments et les vaccins ne devaient pas être vendus. Les médicaments ne se vendent pas. Annoncez la gratuité des médicaments et des vaccins dans le monde », disait-il «  et vous n’aurez plus jamais de virus en circulation car les virus sont créés pour que des vaccins soient mis au point pour que les grandes entreprises capitalistes en tirent profits » (Voilà deux autres vérités avérées que Kadhafi a osé répéter… il en est mort. ndlr).

 Kadhafi avait-il tort à ce sujet ? Rien n’est moins sûr. Mais attendez, tout n’est pas qu’une question de profit.

Il y a environ un peu plus de 2 ans et demi, le 11 janvier 2017 plus exactement, le docteur Antony Fauci que nous ne présentons plus, nous prophétisait avec une certaine audace et un aplomb dont lui seul a le secret, qu’il n’avait « aucun doute sur le fait que Donald Trump aurait à faire face à une pandémie avant la fin de son mandat ».  (???)

Événement incroyable mais vrai, Donald Trump et le monde entier affrontent aujourd’hui une pandémie.

Curieuse prédiction n’est-ce pas ? Surtout lorsque l’on sait que l’intégralité des médias de la planète à l’époque titrait quotidiennement que Donald Trump était un fou et un va-en-guerre et que nous étions tous les jours à 2 doigts de l’apocalypse ou d’une guerre atomique généralisée.

Rappelez-vous de ce qu’écrivait la presse française en 2017 même si le ton est toujours le même : Donald Trump veut la guerre contre « Rocket Man » et la Corée du Nord, Donald Trump peut déclarer la guerre à Rohani ou encore Donald Trump menace Maduro et les vénézuéliens.

Résultat après presque 4 ans de présidence : zéro guerre et plusieurs accords de paix signés grâce à son action. Alors virus de la nature ou virus délibérément propagé ?  (Question tout à fait pertinente. ndlr).

Dans un rapport de l’OMS publié en septembre 2019 et qui s’intitule Global Preparedness Monitoring Board et dont un des auteurs est Antony Fauci, il est exactement question de la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel à des fins d’exercice sur la période septembre 2019-septembre 2020.

Au paragraphe « Indicateurs de progrès », il est écrit :

Les Nations Unies (y compris l’OMS) organisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

L’OMS met au point des facteurs déclencheurs intermédiaires pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale dès le début d’une flambée, afin de compléter les mécanismes existants pour les stades ultérieurs et plus avancés d’une épidémie dans le cadre du RSI (2005).

Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies convoque un dialogue de haut niveau avec les responsables de la santé, de la sécurité et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut faire face à la menace d’une pandémie due à un agent pathogène respiratoire mortel, et pour gérer la préparation aux épidémies dans des situations complexes où règne l’insécurité.

The world looks wobbly" according to The World in 2019

Dans le magazine hebdomadaire The Economist et dans un des numéros paru en fin d’année 2018 et qui s’intitule « The World In 2019 », il était déjà question de la survenue d’un événement exceptionnel qui allait semer la mort et l’apocalypse à travers le monde.

Sur la première de couverture, où les fans de ce magazine y trouvent toujours une page entière consacrée à l’eurythmie où le jeu consiste à deviner (ou se préparer) pour tous les événements de l’année à venir, on peut y voir beaucoup de dessins comme notamment ceux du président chinois en Pinocchio (le menteur), un QR code sur un téléphone, un ARN incomplet ou encore une cigogne portant un bébé avec un code barre.

Mais les plus intéressants de tous ces dessins sont les figures représentant les 4 cavaliers de l’apocalypse, le panda fâché regardant Donald Trump et le pangolin.

Alors pour en revenir à nos probabilités et aux événements improbables et incertains, c’est-à-dire aux cygnes noirs, pourquoi diable les Rothschild, qui sont les propriétaires de ce magazine et les initiateurs de ce jeu annonciateurs pour initiés, ont-ils choisi le pangolin pour figurer sur cette première de couverture alors qu’il existe près de 8 millions d’espèces animales dans le monde ?

J’en avais déjà parlé dans un article paru en février 2019 intitulé « Vers davantage de contrôle et moins de liberté » mais je n’avais toutefois pas précisé que l’événement dont il était question et qui allait survenir en 2019, allait être une pandémie.

Il est vrai aussi que le fait de voir ce panda fâché dévisager Donald Trump et qui reste inflexible et déterminé peut nous laisser penser que l’apparition du SARS-COV2 dans le monde relève d’un début de guerre bactériologique entre la Chine et les États-Unis.

D’autant plus qu’il y a environ un peu plus d’un 1 an, le 5 août 2019, nous apprenions par l’intermédiaire du New York Times qui rapportait dans un de ses articles, que l’armée de terre américaine venait juste d’ordonner la fermeture du laboratoire militaire de Fort Detrick dans le Maryland. Laboratoire militaire de classe Pathogène 4 (P4) donc de très haute sécurité, rappelons-le, et dans lequel ne sont effectuées que des recherches au contact de virus exceptionnellement mortels à des fins de production d’armes biologiques et bactériologiques.

Il est important par ailleurs de noter que le laboratoire de Fort Detrick avait déjà été au cœur de plusieurs scandales aux États-Unis dont celui qui a donné lieu à l’affaire « Drop Kick », opération militaire durant laquelle l’armée américaine a délibérément relâché dans des zones civiles des centaines de milliers de moustiques porteurs de la malaria à des fins de tests.

Il s’agit juste d’une parenthèse importante pour bien faire comprendre aux lecteurs que quand une organisation militaire ou scientifique veut relâcher un virus dans la nature à des fins d’exercice ou de test, il ne s’agit pas de complotisme. Cela existe et l’opération « Drop Kick » n’a pas été une erreur et un cas isolé. (Voilà d’autres faits avérés. ndlr).

Si à cela on ajoute d’autres événements tels que l’assassinat étrange du chercheur sino-américain Bing Liu, la fuite rocambolesque de la chercheuse chinoise Juan Tang pour se réfugier dans l’ambassade chinoise de San Francisco et dans le même temps la fuite « à la Spy Game » de la chercheuse et spécialiste mondiale des coronavirus Li-Meng Yan vers les États-Unis, il y a vraiment de quoi être dérouté.

Cependant, après quelques mois de réflexion et un peu de recul, ce que nous trouvons sur le site du Forum Économique Mondial nous démontre bien que la première hypothèse est la bonne, la seconde est un leurre.

À savoir que nous sommes bien dans le cas où la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel a pour objectif d’amener l’humanité à changer de paradigme.

Si vous vous rendez sur le site du Forum Économique Mondial et que vous vous allez sur l’onglet « platforms » et que vous cliquez ensuite sur « covid action platform » vous y lirez déjà des informations extrêmement intéressantes.

Déroulez ensuite votre curseur et cliquez après sur le graphique en forme de coronavirus tel que celui-ci-dessous. C’est le même. Il va s’afficher et devenir interactif.

Cliquez ensuite sur « Avoiding COVID-19 Infection and Spread ». C’est stupéfiant.

Vous y verrez clairement que si vous voulez sortir de cette pandémie et en éviter d’autres, la seule piste qui vous est proposée est celle du gouvernement mondial, de la transhumance [du transhumanisme] et la voie du vaccin.

Alors si nous savons déjà beaucoup de choses sur le gouvernement mondial, l’intelligence artificielle et l’homme augmenté, ce que nous savons moins en revanche et dont nous avons moins connaissance, ce sont toutes ces choses satellites au vaccin et c’est là, où les choses deviennent très intéressantes.

Dans le brevet qu’a déposé Microsoft le 26 mars 2020, il est écrit :

L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d’un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l’utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Des données d’activité corporelle peuvent être générées sur la base de l’activité corporelle détectée de l’utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées.

Alors quelques questions se posent et elles sont les suivantes :

  • Comment va-t-on équiper tous les êtres humains de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement des bras et des jambes, la position assise ou couchée, l’activité physique de l’activité cérébrale ?
  • Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données d’activité corporelle ?
  • Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement européen n’a pas vocation à modifier notre ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau d’intelligence artificielle ?

Même s’il est difficile de répondre à ces questions dans l’immédiat, il est très important de bien comprendre que l’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Dans cette nouvelle ère, ce qui est également très probable est le fait que beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes. (Un autre assertions très plausible en effet. ndlr).

Ils seront progressivement éliminés. (Ca c’est moins certain –  c’est le problème des complotistes – ils déifient leurs bourreaux et pensent que les péquenots victimes du système ne peuvent pas résister ni se révolter.  Erreur – Leurs crimes nous feront réagir à coup sur. ndlr [NdNM : la réalité pourrait, encore une fois, se situer plutôt entre ces deux affirmations.]).

De la même façon qu’aujourd’hui les chiens robots sont venus progressivement remplacer les soldats au devoir, à la surveillance frontalière ou en zone de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra pas garder et payer les gens à la maison à ne rien faire car absolument tout sera remplacé par l’intelligence artificielle. Y compris la police et l’armée et ce n’est absolument pas une fiction. (Oui, beaucoup de fiction à mon avis. ndlr).

Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils seront tous inéluctablement tous bio-connectés à une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera s’il y a lieu de le faire. Nous le répétons, ce n’est pas de la science fiction et nous ne sommes pas dans un film.

Tout ceci est la réalité mais il est encore très difficile de la saisir dans le temps présent alors que la compréhension de l’ensemble du projet s’inscrit, elle, dans le temps long [long terme].

Cette « pandémie » qui a été mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a rien d’un jeu pour enfant.

Comme l’explique l’OMS à travers ses publications et comme le publie également le Forum Économique Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle sera alors l’issue de cette partie finale qui se jouera entre ceux qui veulent nous contrôler et nous posséder d’une part et ceux qui ne veulent pas de ce projet d’autre part ? (Le prolétariat ne veut pas [et] ne peut pas tolérer ces projets et il sera acculé – obligé – de réagir pour ne pas périr. ndlr).

Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur par les effets statistiques via la propagande médiatique, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur mais bien de stratégie.

Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, il s’est sans doute tenu, concernant l’avenir du monde, la réunion la plus importante de toute l’année 2019.

Il s’agit de l’Event 201.

Cette réunion, organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019. Elle s’est tenue en public avec des invités triés sur le volet et sous forme d’une pièce de théâtre où chacun avait un rôle bien précis. La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés lors de cette réunion, allait faire plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points.

Ce qui est intéressant à savoir c’est que tous les gouvernements et la plupart des grands médias de la planète étaient au courant de cette réunion. Seulement personne n’en a parlé. La consigne était de ne pas en parler. Pourtant cet exercice n’était pas qu’une simulation, c’était une véritable préparation à la pandémie qui allait venir quelques semaines plus tard mais si vous répétez cela, vous serez désigné comme complotiste et vous serez discrédité à vie.

Si vous regardez bien le parcours professionnel des personnages politiques en fonction, vous verrez que la plupart des Ministres de la santé viennent presque tous du privé et ont tous des liens plus ou moins étroits avec les plus grandes entreprises pharmaceutiques de la planète (une autre vérité avérée. ndlr).

Et alors diront les libéraux dont je fais partie ? Est-ce interdit ? Bien sûr que non. Oui c’est légal et ce n’est pas mal en soi.

Mais comment ces gens, qui sont censés travailler pour le bien-être et l’intérêt des peuples et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif et unique est de rendre malade les peuples et les nations pour ensuite leur revendre des traitements sous licences afin de faire un maximum de profits ?

N’y a-t-il pas là un conflit d’intérêt ? Bien évidemment que oui.

Rappelez-vous, car nous l’avons vu plus haut, qu’en cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec la crise du COVID-19, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes du Conseil Mondial lequel est dirigé actuellement par Madame Gro Harlem Brundtland.

Une charmante dame très connue pour avoir échappé à la mort lors de la tuerie d’Utoya en Norvège et dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockfeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.

La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie en cours sur leur territoire. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale.

Petit flashback intéressant concernant la Banque Mondiale.

Le 28 juin 2017, la Banque Mondiale, qui est une Banque censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu l’incroyable idée d’émettre sur le marché des obligations des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie.
Une idée folle n’est-ce pas ? Pas tant que ça à vrai dire surtout si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant, — et en droit financier cela s’appelle le délit d’initié —, qu’il va y avoir une pandémie.

A votre avis, combien de banques accepteraient de se lancer, — de façon hasardeuse —, dans l’émission de telles obligations sans avoir la certitude de ramasser le jackpot avant la fin du contrat ? Aucune.

Mais comment voulez-vous prévoir une pandémie ? C’est tout simplement impossible.

Alors en quoi consistent ces pandemics bonds ? C’est très simple.

La Banque Mondiale vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs de ces contrats perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète (75 états). S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts qui en découlent.

Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans les pandemics bonds disent qu’il y a anguille sous roche et ont perdu leur mise. Ce qui est intéressant également à noter c’est que les pays les plus pauvres de la planète n’ont toujours pas touché leurs aides. Ces contrats, en effet, qui prenaient en compte le virus concerné, le début de la pandémie, son évolution ou encore le nombre de morts, etc, étaient en réalité bien plus complexes qu’ils n’en avaient l’air.

Pour Arturo Bris, professeur de finance, il n’y a aucun doute :

« Les gens qui sont à l’origine de la création et de l’émission des pandemic bonds étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une pandémie de coronavirus avant le 15 juillet 2020 ».

Ce sont de graves accusations mais sont-elles infondées et farfelues ? Pas si sûr.

A ce stade, il est maintenant très difficile de défendre l’idée que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie respiratoire dénommée la COVID-19, est un virus venu de la nature et que personne n’était au courant comme il est encore plus difficile de croire que tout le monde a été surpris et pris de court et que tous les gouvernements de la planète ont été des amateurs.

Peut-être que la Chine a menti, comme un Pinocchio sur une page de couverture, et peut-être même que l’état profond chinois a été complice dans la dissémination délibérée de ce virus et dans le lancement théâtral de cette pièce tragique et funeste. Nous ne le saurons peut-être jamais.

Mais ce qui est certain et que nous commençons à comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons de surprise en surprise.

Le vaccin final et le projet « Trust Stamp » de Bill Gates

Le souhait de Bill Gates et des eugénistes, et qui est de vouloir coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaires et philanthropiques, ne date pas d’hier.

Comme le montre la photo ci-dessous, on peut y voir le père du créateur de Microsoft, en pose très confiante avec David Rockfeller et son petit fils. Il est au milieu et c’est très révélateur.

Le projet conjoint « Trust Stamp » de la fondation Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockfeller et de Mastercard consiste à vacciner tous les êtres humains avec des alibis infantiles, comme par exemple la lutte contre le blanchiment ou la lutte contre le trafic d’être humains, comme on peut le lire sur l’onglet « humanitaire » du site.

La réalité est tout autre et d’ailleurs, les premières expériences sont déjà en cours en Afrique de l’Ouest. Intéressant de voir que c’est toujours en Afrique, en Inde ou dans les régions les plus pauvres de la planète que Bill Gates et ses amis philanthropes essaient toujours leurs dernières trouvailles (une autre vérité avérée. ndlr).

L’organisation « ID2020 », qui est également le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires sont là encore les fondations Gates et Rockfeller, s’engagent à fournir une identité numérique aux milliards de sans papiers qui migrent à travers le monde.

S’agissant du vaccin, qui est déjà en train d’être massivement inoculé en Afrique et au Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés seront connectés, il est impossible dans l’immédiat de prédire quels seront les effets premiers et les effets secondaires.

Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront aucun recours possible pour se défendre car, comme vous le savez sans doute, aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction. Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité judiciaire sans limite. (Voilà une autre vérité avérée et extrêmement dangereuse. ndlr).

Du point de vue technique et salutaire, dans le cas où tout le monde serait vacciné et répertorié selon le projet ID2020 étendu et où nous devrions évoluer dans un système verrouillé tombé aux mains de radicaux fous et totalitaires, il serait impossible de se défendre et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où il nous viendrait l’idée de vous révolter ou de vouloir contester un ordre.

La COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockefeller il y a quelques années.

Les eugénistes-malthusiens-transhumanistes ont actuellement le pouvoir et il va être très difficile de leur ôter. L’argent est bien souvent le nerf de la guerre et ils en impriment à profusion. Ce sont eux qui ont le doigt sur l’imprimante et elle tourne à plein régime. (Non, c’est le Grand capital international qui possède tout le pouvoir — relire Marx ci-haut — les eugénistes reflètent les idées d’une faction des intellectuels au service de ces ploutocrates… comme d’autres idéologues qui décrivent le monde mais ne le dirigent pas. ndlr [NdNM : Bill Gates et les Rockefeller font partie du Grand capital international et en sont assez probablement au sommet avec les Rothschild et quelques autres familles]).

Dans un récent article publié sur le site de Futurama, qui présente la start-up « Neuralink » et ses travaux, les auteurs expliquent très bien la velléité du transhumanisme qui est de connecter l’homme à la machine, c’est-à-dire l’Humanité à l’intelligence artificielle, via un « neural lace », c’est-à-dire un implant greffé au cerveau.

Alors certes, les travaux de cette société appartenant au célèbre milliardaire Elon Musk en sont encore à implanter des puces sur les cerveaux des cochons mais les premiers résultats sont déjà là et ils sont prometteurs.

Derrière l’argument du progrès et de l’aide que va apporter ce nouveau système d’assistance neurologique aux paralysés, aux sourds et aux malentendants, aux aveugles, aux malades d’Alzheimer ou de Parkinson, il existe une autre réalité dans les coulisses du transhumanisme et celle-ci n’est jamais mise en avant. Elle réside dans la prise de pouvoir qui pourrait donner, à une seule personne, le contrôle de toutes ces intelligences artificielles et par là même le contrôle total sur une humanité connectée.

Car il n’y a aucun doute sur le fait qu’après avoir greffé les cochons ne vienne le moment de greffer les hommes. (C’est tout à fait plausible. ndlr).

Qu’en sera-t-il si vous ne contrôlez plus vos pensées, vos faits et vos gestes ? Qu’en sera-t-il si l’intelligence à laquelle vous êtes connecté subit un bug ?
Que pourrez-vous faire si vous n’avez plus le contrôle de votre vie, de votre corps, le contrôle sur vos enfants ? Que pourrez-vous faire si quelqu’un venait à pirater l’intelligence à laquelle vous êtes connecté et à en prendre le contrôle ?

Il n’est pas évident de répondre à toutes ces questions.

Pour vous donner un exemple de dérive, sachez qu’en ce moment même, si jamais vous sortez sans masque ou que vous refusez d’en porter un dans les rues de la région du Québec, et bien vous risquez de vous retrouver dans des camps pour détenus ayant peut-être la COVID pour une durée de 14 jours. Vous en sortez, vous rentrez chez vous et là, la police vous contrôle à nouveau. Vous repartez en camp pour détenus COVID et ainsi de suite tant que durera la situation d’urgence sanitaire. C’est en tout cas ce qu’expliquait le docteur Jacques Girard lors d’une intervention publique le 2 septembre dernier sans toutefois répondre à la question d’une journaliste qui lui demandait où étaient enfermés les dissidents à cette crise.

Vous l’avez compris, l’état de crise sanitaire dans lequel nous sommes plongés depuis déjà plus de 6 mois, autorise les autorités à arrêter quelqu’un sur une simple suspicion et à le détenir 14 jours.

À partir de là, personne n’est autorisé à savoir où l’interpellé est détenu ni à avoir la garantie qu’il ne mourra pas potentiellement de la COVID pour être ensuite incinéré comme le veut le protocole sanitaire.

Ce qui est plus facile également de comprendre en revanche, c’est que ceux qui pensent, décident et dirigent ce monde ont déjà commencé à jouer avec le feu et ils ne sont plus en mesure de le contrôler. Un peu comme si un joueur dans un casino n’arrivait plus à se contrôler et à s’arrêter.

L’OMS, dans son GPMB de 2019, parle bien de « deux exercices » de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

Le premier, nous le connaissons. Il a consisté en la dissémination délibérée du SARS-COV2, à alerter les populations sur le danger mortel de contracter le virus, arrêter l’économie, confiner les populations et leur rendre une semi-liberté sous conditions. C’est-à-dire qu’elles portent le masque et qu’elles acceptent un ou des éventuels reconfinements jusqu’à ce que le Conseil Mondial ordonne la fin officielle de la pandémie ou fournisse une fausse solution : le vaccin.

Le second consistera probablement à vacciner toute la population mondiale et à lui inoculer tout ce dont nous avons parlé plus haut avec l’alibi de vouloir tous nous sauver de la COVID-19, cette maladie qu’ils ont en réalité eux-mêmes propagée. Maladie qui, au passage, est extrêmement dangereuse pour les familles qui veulent se promener sur la plage, mais qui est sans aucun danger pour les manifestations Black Lives Matter que les autorités du monde entier ont autorisées. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Voilà plus de 40 ans maintenant que les chercheurs de tous les pays essaient de développer un vaccin contre le virus qui provoque chez l’homme le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA).

Y sont-ils arrivés malgré les budgets pharaoniques qui leur ont été attribués ? Non.

Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il est impossible de se prémunir contre des virus qui s’adaptent et évoluent en passant d’un organisme vivant à un autre, d’un homme à un autre.

[NdNM : la théorie virale n’est qu’une théorie non pleinement démontrée. La théorie des exosomes semble expliquer mieux et plus complètement les phénomènes « épidémiques ». Voir : La théorie des exosomes contre celle des virus, Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus et 5G, virus et covid-19]

Les coronavirus sont une famille de rétrovirus à ARN très répandus et chaque année, dans tous les pays, les instituts d’infectiologie en dénombrent à chaque fois 4 ou 5 nouveaux plus ou moins coriaces. Tantôt ils sont bénins, tantôt ils peuvent provoquer des complications respiratoires sévères.

En France et dans le reste de l’Europe, ils sont très nombreux à circuler dans les cours d’école, dans les transports en commun ou dans tous les lieux publics.

Dès que nous approchons des moments de fortes amplitudes thermiques, dans les saisons où nous passons du chaud au froid ou du froid au chaud très rapidement, tous ces virus, qui sont dit saisonniers, se manifestent et s’installent. Ils nous rendent malade et puis disparaissent.

Un article publié sur le site Sciences et Avenir et dont le sujet est dans le titre : « et si on ne trouvait jamais de vaccin ? » explique plutôt bien et gentiment les dessous de la recherche vaccinale sur les virus à ARN.

A-t-on trouvé un vaccin contre SARS-COV1 ? Non. Il n’en existe pas et on en trouvera jamais, alors par quel miracle trouverons nous un vaccin contre le SARS-COV2 ?

C’est une foutaise et c’est la même foutaise que celle du trou dans la couche d’ozone. Rappelez-vous tout l’argent qu’ont prélevé les gouvernements via toutes sortes de taxes pour sauver le trou dans la couche d’ozone. Puis on n’en a plus parlé du jour au lendemain. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Mais les humbles veillent et vous posent la question : où est passé le trou dans la couche d’ozone ?

Les véritables objectifs des dirigeants de ce monde ne sont pas de sauver l’humanité mais de lui donner le coup de grâce. Ce qu’ils veulent c’est lui imposer un contrôle total et totalitaire et réduire le nombre d’individus à un seuil gérable du point de vue démographique et politique, et de faire en sorte que sa mise en servitude soit définitive.

Il y a quelques jours à peine, le professeur Raoult de l’IHU de Marseille, dont nous ne sommes ni les contradicteurs ni les admirateurs, disait qu’il y avait en circulation sur le sol français, non pas une souche de coronavirus SARS-COV2 mais 7 différentes. Des souches mutantes. C’est-à-dire des souches ayant changé au fur et à mesure qu’elles passaient d’un hôte à un autre.

Ce qui est surtout intéressant de savoir concernant la souche originelle du SARS-COV2, c’est qu’il n’est absolument pas un virus provenant de la nature mais qu’il est issu d’un croisement, comme l’affirme la professeur Li-Meng Yang, une spécialiste mondiale des coronavirus. Elle est aujourd’hui réfugiée au États-Unis et protégée par le FBI.

Dans une interview accordée à la chaine NewsMax il y a environ 1 mois, elle expliquait que ce virus, sur lequel elle travaillait en particulier lorsqu’elle était en fonction au laboratoire P4 de Wuhan en Chine, n’a rien de naturel et qu’il est le croisement de deux coronavirus ; celui du pangolin et celui de la chauve-souris.

[NdNM : dans la théorie des exosomes, les prétendus « virus » seraient en fait des « exosomes » produits par nos propres cellules ou par celles des animaux, lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre — par déficience en nutriments, par des toxines ou des poisons divers (pesticides, additifs alimentaires, produits chimiques ménagers, polluants atmosphériques, etc.), par le froid, le manque de soleil, la peur et le stress ou même par des ondes électromagnétiques pulsées telles que celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G. Les exosomes produits par nos cellules sont éjectés de notre corps en particulier par la sudation, favorisée par la fièvre en cas de besoin. S’ils se retrouvent en contact avec d’autres organismes, ils sont perçus comme des éléments étrangers et éjectés pareillement sans faire spécialement de dommages, mais surtout sans s’y multiplier, car ils ne sont que des conséquences des agressions subies par les cellules, pas les véritables causes. Les nombreuses prétendues « mutations » des virus ne sont que l’expression de la grande variété du matériel génétique humain et de l’adaptation partielle du corps à ces agressions. On peut ainsi déduire de cette théorie scientifique révolutionnaire que manipuler des virus en laboratoire P4, pour en faire de nouvelles sortes de virus supposément plus mortels, n’aura jamais les effets escomptés et ne produira jamais d’hécatombe. Il est pratiquement démontré que le SRAS-COV2 n’a pas produit de surmortalité par rapport aux années précédentes, et pour cause si cette théorie est avérée. À l’inverse, la peur, le stress, le port du masque, le confinement, les vaccins, le Wi-Fi, la 5G… agressent nos cellules et produisent des effets qui seront facilement perçus comme épidémiques, puisqu’ils sont produits en masse, grâce notamment aux propagandes de peur des médias mainstream, aux campagnes vaccinales contre la grippe et autres maladies et à l’expansion des réseaux de communication sans fil.]

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour avoir découvert le virus du SIDA, a été quant à lui le premier francophone à dénoncer le fait incroyable et étrange que dans le génome du SARS-COV2, on y retrouvait des séquences génétiques du virus du SIDA.

Dans une interview accordée à la chaîne Thana TV, il explique cette manipulation, ces insertions et les dérives qui guettent l’humanité tout en s’inquiétant du fait que nous « vivons dans un monde de fous » pour reprendre ses termes.
(Voilà une autre vérité avérée. Je ne dirais pas un monde de fous – je dirais un monde capitaliste décadent rendu au bout de son destin et que le grand capital ne sait pas mieux faire que de tenter de le faire perdurer. Il faut l’abolir. ndlr [NdNM : le « grand capital » se partage facilement la vedette avec le communisme en ce qui concerne les conséquences négatives sur la vie humaine et planétaire. Plusieurs dizaines de millions de personnes ont été victimes de génocides sous des régimes communistes. Mao Zedong, Joseph Staline et Pol Pot sont parmi les principaux assassins.])

Alors qu’allons-nous dire à nos enfants lorsqu’ils ils nous demanderont pourquoi nous n’avons rien fait lorsqu’il était encore temps ?

À ce stade, il n’y a plus aucun doute que les mesures contradictoires et paradoxales prises par les autorités sanitaires durant la gestion de cette crise n’ont pas d’autres objectifs que de créer de la dissonance cognitive chez les individus afin de briser leur rationalité.

Cette dissonance nous empêche ainsi de réfléchir et d’en arriver à la conclusion que nous vivons une véritable manipulation. Comment se fait-il qu’aucun grand média mainstream n’apporte de contradiction ou ne remettent en question toutes les mesures sanitaires gouvernementales qui jusqu’ici n’ont été que des échecs ?

N’y a-t-il pas là une communication de programmation et de conditionnement ?

Joseph Goebbels disait : « un mensonge répété à quelqu’un restait toujours un mensonge mais un mensonge répété 1000 fois et partout devenait une vérité ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui en train de se passer et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier dit que nous vivons dans un monde de fous.

Plus personne n’ose contester le port du masque alors que des centaines d’études à travers le monde ont démontré que, non seulement il était inefficace mais qu’il était également dangereux. On ne compte plus le nombre de personne ayant eu des troubles ou des accidents à cause du port prolongé du masque. Et la semaine passée, une fille de 13 ans est décédée en Allemagne après s’être évanouie dans le bus à son retour de l’école. Une autopsie est en cours.

Certains le portent par conviction, et là on ne peut rien faire pour eux, car une fois que l’on adhère au dogme politico-médiatique il est très difficile d’en sortir, sinon c’est le monde qui s’écroule et là, très peu de gens sont prêts pour ça. C’est-à-dire sortir de la Matrice et suivre le lapin blanc.

D’autres le portent par obligation, par peur du qu’en dira-t-on, par peur d’enfreindre la loi ou par peur de la verbalisation même s’ils sont convaincus de son inutilité. Et là c’est pire car c’est la voie toute tracée vers un totalitarisme nouveau, une dictature parfaite.

Aldous Huxley écrivait dans Le meilleur des mondes : 

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».

Nous y sommes non ?  (NON nous n’y sommes pas – dans l’énoncé précédent il est stipulé que les esclaves consomment et se divertissent – mais de fait, le confinement appauvrit tout le monde – tuent les pauvres et paupérises les petits-bourgeois. Le grand capital creuse sa tombe parmi les prolétaires enragés. Voilà ce qui nous oppose aux conspirationnistes qui croient que la game is over! ndlr [NdNM : capitalisme et communisme sont les deux idéologies majeures — et systèmes — sur lesquelles s’appuient les élites mondiales pour construire leur Nouvel Ordre Mondial qui en fait la synthèse. S’imaginer que l’un vaut mieux que l’autre est probablement illusoire.]).

Les gouvernements ne  font pas d’erreurs lorsqu’ils vous disent, au plus fort de la contagion, que les masques sont inutiles. Pas plus qu’ils n’en font lors des lendemains tranquilles, au plus fort de l’été lorsque les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le contraire. Qu’il faut porter le masque pour vous protéger et protéger les autres.

Ce n’est pas une erreur lorsqu’ils vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues mais pas au restaurant avec les mêmes collègues.

En réalité, les gouvernements créent chez vous de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle tous vos jugements entre en contradiction les uns avec les autres et vous amènent à des situations de blocages et d’égarement. Vous êtes ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes que vous n’auriez sûrement pas acceptées si votre raison fonctionnait normalement.

Ils nous rendent malade de stress et d’anxiété

Le fait de porter un masque nous entretient dans un climat de terreur qui repose sur une menace que nous ne voyons ni ne percevons. Ce qui amplifie nos angoisses et notre stress et impacte directement notre système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point de vue psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Les ingénieurs sociaux le savent et la journaliste canadienne Naomie Klein a écrit un excellent ouvrage sur le sujet, « La stratégie du choc ».

Au-delà du fait qu’il s’agit d’un livre très critique sur les dérives de l’ultralibéralisme, l’ouvrage met surtout en lumière le fait que les gouvernements profitent de plus en plus fréquemment de certains événements majeurs, telles que les attaques terroristes (cas du 11 septembre 2001) ou les insurrections populaires (cas des gilets jaunes en France), https://les7duquebec.net/archives/253109  pour renforcer leur arsenal juridique (perquisitions sans commission rogatoire, restriction des libertés, assignation à résidence, fichage des individus, renforcement des contrôles, etc.) visant à restreindre les libertés individuelles de chacun sans toutefois apporter une réelle sécurité aux populations.

Est-ce que les états d’urgence qui ont été instaurés dans plusieurs États du monde ont été ensuite retirés ? Non et ils sont toujours en vigueur.

Est-ce que l’état d’urgence qui perdure en France depuis le massacre de l’équipe de Charlie Hebdo en 2015 a t-il empêché l’attentat de Nice ? Non. Absolument pas. Une des grandes entourloupes du gouvernement Valls a été de faire croire aux français qu’il allait lutter contre les injustices sociales et les idéologies radicales en installant partout des caméras et des portiques de sécurité.

L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme et les français l’ont accepté. La peur de mourir, égorgé par Mohamed le gérant de la petite épicerie du bas de l’immeuble ou par Youcef à coups de balai entre deux nettoyages de voirie était trop forte et allait bien au-delà de la raison.

Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens et lorsqu’ils sont biaisés ou ne sont plus tout à fait fonctionnels, c’est tous les repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons là dans une position d’extrême vulnérabilité voire même de perdition. Comme des baleines dépourvues de leur système d’écholocation.

Nous perdons ainsi confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.

C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice.

Nous nous retrouvons comme des enfants dans les mains de nos parents.

Les gouvernements, qui ont malheureusement bien compris cette mécanique anthropologique et ces leviers psychosociaux depuis très longtemps, concèdent des budgets considérables à l’ingénierie sociale. L’art de manipuler les masses.

Nous avons parlé un peu plus haut du laboratoire militaire P4 de Fort Detrik dans le Maryland, n’est-ce pas. Saviez-vous que ce laboratoire était également très connu pour avoir abrité durant plus d’un demi-siècle le plus grand centre de recherche mondial sur le contrôle mental ?

Il est vrai que c’est effrayant, mais ce n’est que la réalité. Si les structures supra-étatiques telles que l’OMS et le Conseil Mondial n’ont jamais eu autant de pouvoir, comme nous l’avons vu durant cette crise, le drame réside surtout dans le fait que ces organes ne sont absolument pas indépendants en toutes matières car elles dépendent elles aussi d’autres structures pour les financer.

Qu’il s’agisse de Madame Brundtland ou du controversé Monsieur Adhenom Ghebreyesus, tout nous laisse supposer aujourd’hui que ces acteurs internes ne sont que des femmes et des hommes de paille.

Le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit et depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur.

Or sans réel contre-pouvoir, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures qui gèrent les crises qu’elles ont elles-mêmes sans doute orchestrées et provoquées.

Tout le monde aujourd’hui comprend bien que quelque chose cloche, que l’on ne nous dit pas la vérité et que les chiffres sont truqués et manipulés et que surtout, plus rien ne sera comme avant.

Oui, il y a un plan de gouvernance mondiale et même un aveugle le verrait. De Georges Bush à Nicolas Sarkozy, toutes les grandes personnalités politiques n’ont eu cesse de le répéter et personne ne le nie. Ce n’est absolument pas du complotisme, « c’est notre projet » pour reprendre les termes exacts d’Emmanuel Macron car effectivement c’est un projet bien réel.

Nous avons tendance à oublier qu’il y a déjà une première ébauche de gouvernement mondial et elle s’appelle l’ONU. Que fait-elle ? Elle ne fait qu’adopter des résolutions qui ne servent à rien hormis brasser du vent.

Est-ce que l’ONU a aidé à ce que la souveraineté des états les plus pauvres de la planète soit respectée ? Non. L’ONU a-t-elle fait quelque chose pour les palestiniens ? Rien.

Le Proche et le Moyen-Orient aujourd’hui sont dans un chaos inédit.

Est-ce que l’ONU a empêché les bombardements de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Libye ou de la Syrie ? La réponse est non.

Est-ce que les Américains ont apporté la démocratie et les droits de l’homme en Afghanistan depuis qu’ils y ont mis les pieds en 2001 ? Non. Sont-ils toujours là-bas ? Oui. 19 ans dans un pays pour rien.

La seule chose qui ait évolué en Afghanistan c’est la production d’héroïne et elle a explosé, entraînant par principe de cause à effet une hausse vertigineuse de sa consommation aux États-Unis pour atteindre un niveau alarmant.

On ne fait pas de guerre pour sauver les veuves et les orphelins et les milliardaires ne nous veulent pas du bien. Il faut arrêter de se leurrer. Ils ne sont intéressés que par leurs profits et leur salut.

C’est à nous de nous réveiller et d’arrêter de nous faire promener comme des enfants immatures et irresponsables et de concevoir un système pour décider tous ensemble de ce qui est bon pour notre avenir et notre planète.

La première chose à faire est déjà de nous déconnecter de tous ces instruments de conditionnement que sont les médias conventionnels qui ne font que servir la soupe à leurs propriétaires et leurs actionnaires principaux. Nous devons impérativement nous réapproprier les différents canaux d’information de grande écoute et participer à l’éducation des peuples afin qu’ils se réveillent et ne se fassent plus endormir comme des enfants.

La seconde est de veiller à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des hommes et des femmes avides et cupides, et de créer un système de protection qui procure une immunité et une sécurité sans faille aux personnes vertueuses qui ont à cœur le bien être de l’humanité et de la nature.

A ce jour, ce sont plus de 655 000 américains qui ont déposé une pétition à la maison blanche pour que le gouvernement américain ouvre une enquête sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda Gates et sur le GAVI. Il n’y a aucun doute que nous entendrons parler, dès cet automne, des suites qui seront données à la pétition. Sûrement après les élections du 3 novembre.

Il est extrêmement important de faire la lumière sur les origines et les objectifs cachés de cette pandémie et de traduire en justice tous les différents protagonistes liés de près ou de loin à cet épisode funeste de l’histoire de l’humanité. (Un autre point qui nous différentie des complotistes. Nous ne faisons aucune confiance à l’État et à ses institutions corrompues et à ses ONG stipendiées et nous n’endossons aucune pétition ou appel à la « justice » des riches.  Ainsi, les laboratoires militaires P4 sont ceux-là même qui ont exfiltré et échappé ce SRAS Cov-2. Ces  45 laboratoires de guerre doivent être détruits. Seule la révolution nous permettra d’imposer cette sentence sans appel. ndlr).

Nous devons tout faire pour que cette pandémie nous serve de leçon et surtout qu’elle soit la première et la dernière.

Amar


Note du Saker Francophone

En ces temps troublés où le monde semble prêt à basculer d'un côté ou l'autre de la montagne, Amar vous propose sa vision des événements. Il s'appuie sur un certain nombre de faits en proposant une vision dystopique de l'avenir.

Rien n'est cependant écrit et même si la volonté de certains s'affiche clairement, la partie est en cours. Il est aussi possible de tirer d'autres conclusions et d'imaginer tout un ensemble de scénarios de prospective.



Un chercheur suggère qu’une campagne de propagande chinoise délibérée a forcé le monde à se confiner

[Source : Aube digitale]

[NdNM : Cette hypothèse plausible est digne de L’art de la guerre de Sun TZU]

Le régime communiste a inondé les médias sociaux de fausses vidéos et de bots pour attiser l’hystérie du COVID.

Le chercheur et avocat Michael P. Senger suggère que le gouvernement chinois a lancé une campagne de propagande agressive pour exagérer la gravité des coronavirus afin de contraindre le reste du monde à un confinement draconien qui profiterait à Pékin.

Dans un article pour Tablet Magazine, Senger explique comment, fin janvier, « l’hystérie internationale du COVID-19 a commencé » avec une série de vidéos suspectes postées sur des sites de médias sociaux montrant des personnes en Chine s’effondrant soudainement dans les rues, dont un cas où un homme a tendu le bras pour amortir sa chute, ce qui suggère que la chute était mise en scène.

Après que des dizaines de millions de personnes ont été confinées chez elles au cours de l’un des confinement les plus brutalement appliqués de l’histoire, Senger note qu’en février, le PCC « a signalé une baisse exponentielle des cas de coronavirus, jusqu’au 19 mars, date à laquelle ils ont annoncé que leur confinement avait entièrement éliminé les cas nationaux ».

La Chine n’a officiellement enregistré que 4 634 décès dus aux coronavirus, malgré une population presque cinq fois plus importante que celle des États-Unis, où le nombre de décès s’élève actuellement à plus de 205 000.

L’Organisation mondiale de la santé et d’autres experts scientifiques ont ensuite parlé de la réaction de la Chine au COVID-19, ce qui a amené pratiquement tous les autres pays de la planète à adopter la même approche.

Cependant, Senger soutient que l’hystérie initiale à propos de COVID et du confinement qui a suivi pourrait avoir été une campagne de propagande chinoise soigneusement orchestrée pour tromper ses concurrents hégémoniques et les amener à détruire leurs propres économies en réponse à un virus dont le taux de mortalité est relativement faible.

Le chercheur montre comment les armées de comptes de robots chinois sur Twitter ont contribué à promouvoir un confinement précoce dans des pays comme l’Italie tout en bombardant de critiques et d’abus les personnalités politiques qui refusaient d’ordonner un confinement strict, comme la gouverneure du Dakota du Sud Kristi Noem.

Il souligne également comment les organes de presse de l’État chinois ont attaqué l’approche de l’ »immunité collective », qui a été initialement considérée, puis rejetée par plusieurs dirigeants occidentaux, comme une violation des « droits de l’homme ».

La Suède, qui a opté pour l’approche de l’immunité collective en refusant d’imposer un embargo et qui s’en est sortie économiquement mieux que tout autre pays européen, a également été la cible des bots, tout comme le Premier ministre britannique Boris Johnson, accusé de « génocide » en envisageant initialement l’approche de l’immunité collective.

La conclusion de Senger explore les raisons pour lesquelles la Chine a insisté de manière agressive sur la nécessité d’un confinement mondial.

« L’explication la plus bénigne possible de la campagne du PCC en faveur d’un confinement mondial est que le parti a promu de manière agressive le même mensonge à l’échelle internationale qu’à l’échelle nationale, à savoir que le confinement a fonctionné.

Pour les membres du parti, lorsque Wuhan a décrété le confinement, il allait sans doute de soi que le confinement « éliminerait » le coronavirus ; si Xi voulait que ce soit vrai, alors il devait en être ainsi. C’est la pathologie totalitaire que George Orwell a appelé « la double-pensée ». Mais le fait que les régimes autoritaires mentent toujours ne leur donne pas le droit de répandre des mensonges mortels au reste du monde, surtout par des moyens clandestins ».

« Et puis il y a la possibilité qu’en fermant le monde, Xi Jinping, qui a gravi les échelons du parti, cite d’anciens érudits chinois, a maîtrisé les dettes et leurs dérivés, étudie la science de la complexité, et envisage un avenir socialiste avec la Chine en son centre, savait exactement ce qu’il faisait. »

La théorie de Senger a du poids si l’on considère que la Chine est revenue à la « normale » depuis des mois, alors que les pays occidentaux, toujours paniqués par l’hystérie du COVID, continuent à enfermer leurs citoyens et à paralyser leurs propres économies malgré les hospitalisations et les décès dus au coronavirus qui ont stagné dans des pays comme le Royaume-Uni.




Bernard Gantois : « Il reste à trouver l’amorce qui déclenchera la fin de la bien-pensance dictatoriale française » [Interview]

[Source : Breizh-Info]

Bernard Gantois, qu’on avait récemment quitté avec un livre plaidoyer pour la reconquête européenne, est de retour avec Autopsie d’un assassinat – en route pour une dictature mondiale, aux éditions Chiré.

En voici la présentation par l’éditeur :

L’automobile est dans le collimateur du pouvoir, qui a multiplié depuis des années les mesures coercitives contre elle et ses usagers. L’assassinat en cours d’être perpétré n’a rien d’un acte gratuit. Il faut remonter le fil d’Ariane en compagnie de l’auteur, spécialiste des politiques publiques en matière de transport, pour découvrir le mobile caché du crime.

Ce sont les libertés, telles que les entendaient les anciens, qui doivent disparaître avec l’automobile, l’un des tout derniers instruments de liberté. Elles doivent disparaître, avec les derniers reliquats de l’ancien monde – souveraineté des nations, civilisation occidentale et religion d’un Dieu tout à la fois transcendant et incarné – pour faire définitivement place nette au Léviathan tapi, tel le Minotaure en son labyrinthe, derrière les prétendues conquêtes d’une modernité plus que jamais liberticide.

Bernard Gantois est né à Maubeuge en 1944. Polytechnicien et ingénieur civil des Ponts et Chaussées, il a effectué toute sa carrière au service de la RATP. Nous l’avons interrogé sur cet ouvrage, véritable cri de colère face aux privations de liberté qui augmentent chaque jour qui passe en Occident.

Breizh-info.com : Quelle est la thèse principale de votre ouvrage ?

Bernard Gantois : Le mondialisme politique supposé achevé dans le gouvernement mondial – si hélas cela arrive un jour – ne pourra être qu’une dictature féroce sans laquelle contrôler la planète, même à la population réduite, sera impossible. Or on parle beaucoup aux peuples de liberté depuis qu’en réalité on l’attaque, alors que quand on n’en parlait pas, comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, ils en disposaient pleinement.

Pour déshabituer progressivement les peuples de la liberté, il faut liquider tout ce qui en est un instrument et/ ou un symbole fort. C’est le cas de l’automobile. Et dans quelques années on pourra écrire l’histoire de l’assassinat ou de la neutralisation d’Internet, qui commence doucement, pour très exactement la même raison. Sans compter, pour le peuple, la destruction de la propriété privée, indispensable à la liberté, qui complète le paysage.

Breizh-info.com : En route pour la dictature mondiale sous-titrez vous. N’y allez-vous pas un peu fort ?

Bernard Gantois : Il y a d’innombrables déclarations de personnages importants – David Rockefeller, James Warburg, Jacques Attali, qui a même indiqué le lieu de sa capitale souhaitable, Nicolas Sarkozy, qui a précisé que ce serait de gré ou de force et il n’était pas le premier à affirmer ce détail important – expliquant que ce gouvernement mondial est indispensable. On a créé la SDN, puis l’ONU, pour lui fabriquer une structure d’accueil.

Et toutes les filiales de l’ONU s’occupent de fantasmes mondialistes : Giec pour le CO2, OMS pour la réduction de la population via la « santé reproductive » et toutes les autres… Alors je n’ai pas, mais pas du tout, l’impression d’y aller fort. Bien au contraire.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui fait que la gauche et l’extrême gauche sont devenues les ennemies de l’automobile, pourtant initialement symbole de liberté pour les travailleurs et travailleuses ?

Bernard Gantois : La gauche a une qualité : elle est extrêmement disciplinée. Un chef de gauche dit en 2002 « votez Chirac » et en 2017 « votez Macron » et tout le monde de gauche applique en bloc. Les chefs sont mondialistes, dans la lignée de Cloots, Marx, Blum, Thorez, Trotsky et les autres. Ils savent ce qu’il faut faire. La troupe suit. Sinon, sous une forme ou une autre, goulag ou exclusion du groupe. Alors si la hiérarchie dit : « la voiture, c’est abominable », ils le croient et appliquent.

Breizh-info.com : Vous avez effectué une partie de votre carrière dans le transport. Comment ce dernier a-t-il évolué en France ?

Bernard Gantois : Je n’ai passé que sept ans à Paris au cœur d’une société publique de transport, ayant surtout travaillé sur l’exportation d’ingénierie, la réalisation de projets à l’étranger et dans quelques société privées. Le seul problème des transports publics en France est simple : on n’y fait que de la politique.

Quant aux clients, ce sont des usagers, généralement assez usagés. Tout est dit. Pour plus de détails, questionnez Monsieur Blanc, président de la RATP puis député ou Madame Borne, présidente de la RATP puis ministre. Présidents évidemment nommés pour leurs grandes compétences en transports. Mais qui savaient probablement que pour monter dans un train, il faut des marche-pieds.

Breizh-info.com : On ne vous sent pas franchement amoureux des écologistes, pour quelles raisons ?

Bernard Gantois : Quand Soljenitsyne – bien après Kravchenko – a commencé à soulever les jupes de l’Union soviétique et que sa réalité, soigneusement camouflée pendant des décennies, est apparue aux yeux de tous, les rouges occidentaux se sont dits qu’il fallait se recycler dans des idées plus présentables. Leur objectif restant le mondialisme – surtout pour les trotskystes qui sont les plus compatibles avec le libéralisme – ils se recyclèrent sur l’écologie qui peut très facilement être présentée au peuple comme un problème planétaire.

On a commencé par parler du problème global de l’extinction des baleines, puis on a diabolisé le nucléaire – quoiqu’en ce domaine il s’agissait surtout de démolir le nucléaire français, objectif atteint, et surtout pas l’américain, bizarre… –, puis a surgi le sujet du CO2 anthropique, puis de la disparition des espèces, et maintenant du virus global dont l’OMS s’occupe. Ceci dit, si je suis très fortement en désaccord avec leurs foutaises, ce sont quand même des humains et il faut prier pour leur salut : il en ont besoin plus que beaucoup d’autres…

Breizh-info.com : En quoi les restrictions liées à l’automobile, aux transports, préfigureraient de la disparition progressive de nos libertés ?

Bernard Gantois : Quand le mouvement anti-automobile a commencé, nous étions encore libres. Cinquante ans plus tard que reste-t-il de nos libertés ? Liberté de penser, réduite par des médias presque tous alignés – prions pour la survie des autres… – sur la doxa officielle, liberté d’expression anéantie par des lois qui permettent aux tribunaux de condamner le contenu d’un texte voire ses intentions supposées, liberté de se déplacer limitée par les contraintes de tous ordres sur la voiture, voire par la nécessité, dans certains cas, de disposer d’un laisser-passer, liberté de se réunir, dans l’espace public d’abord mais on évoque l’interdiction des réunions de famille – 3 mois avant Noël – ce n’est pas encore l’URSS mais la route en est prise. Un nommé Vladimir Boukovsky, qui connaît la question, a d’ailleurs sorti en 2005 un livre titré : L’union européenne, une nouvelle URSS ?. CQFD.

Breizh-info.com : Sans les inventeurs dites-vous, l’humanité n’aurait jamais progressé. Est-ce que le progrès illimité n’est pas non plus un danger qui nécessite des freins ?

Bernard Gantois : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » avait dit Rabelais qui ne fut pourtant pas pour rien dans l’évolution de l’Europe vers l’athéisme, constaté par Nietzsche trois siècles plus tard dans son « Dieu est mort ». Donc absence de religion, donc extinction de la morale, donc suppression de toutes les limites. Donc aucun problème pour mélanger l’ADN humain avec celui des porcs ou des mouches. Pour ces cinglés, vive le transhumanisme. Il faut relire et faire lire L’intelligence en péril de mort de Marcel de Corte (1969). C’est urgent. Il explique que l’intelligence livrée à elle-même ne peut que développer à l’infini ses propres fantasmes…. Sans une limite qui lui est supérieure, donc de nature religieuse, l’humanité court à sa perte.

Breizh-info.com : La spirale liberticide peut-elle être inversée ? Et si oui, comment ?

Bernard Gantois : On peut espérer que ce ne soit pas par un gigantesque cataclysme biologique ou économique qui ferait un « reset » – terme à la mode – total. Mais l’URSS qui paraissait indestructible a implosé, en raison de ses contradictions, sans trop de drames, à part la très violente prédation américaine dont elle a été l’objet pendant la période Eltsine. Il reste à trouver l’amorce qui déclenchera la fin de la bien-pensance dictatoriale française et plus généralement occidentale. Trump ? Marion Maréchal ? Erdogan ? Benoit XVII ? X ? Y ? Au choix…

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V




Révolution de couleur aux Etats-Unis

[Source : Le Saker Francophone]

Mise en œuvre par le complexe militaro-sécuritaire, les médias et le Parti Démocrate.

[Auteur : Paul Craig Roberts]

J’ai établi que le complexe militaro-sécuritaire, avec l’aide des médias et des Démocrates, se propose de transformer l’élection de novembre en une révolution de couleur. La C.I.A. a beaucoup d’expérience en matière de révolutions de couleur, puisqu’elle en a déclenché dans plusieurs pays dont le gouvernement ne lui convenait pas. Comme nous le savons depuis les attaques de John Brennan (ancien directeur de la C.I.A.) contre le Président Trump, ce dernier déplaît lui aussi à la C.I.A. Du point de vue de cette agence, Trump ne diffère pas d’Hugo Chavez, de Nicolas Maduro, de Charles De Gaulle, de Manuel Zelaya, d’Evo Morales, de Victor Yanukovitch et de beaucoup d’autres.

Le Russiagate fut un coup d’État raté, suivi par un autre ratage: l’Impeachgate. Appréhendant la réélection de Trump, et se rendant compte qu’une fois réélu Trump serait en mesure de s’occuper de la trahison fomentée contre lui, l‘ »Etat profond » a décidé de le renverser par une révolution de couleur.

La preuve qu’une révolution de couleur est en cours est abondamment fournie par CNNMSNBC, le New York TimesNPR(National Public Radio), le Washington Post et de nombreux sites internet ouverts par la C.I.A. et par les fondations et entreprises à travers lesquelles elle agit, tous œuvrant à expulser Trump du Bureau Ovale. Le public américain ne comprend pas à quel point les institutions d’une société libre ont été pénétrées et retournées contre la liberté. Tous ces médias, toutes ces organisations sont en train de faire croire aux Américains que Trump ne quittera pas sa fonction lorsqu’il perdra, ou volera les élections et qu’il faudra l’y forcer. Je reçois des emails de lecteurs britanniques et européens selon lesquels les médias d’Europe et du Royaume Uni préparent les esprits à accepter une révolution de couleur de la C.I.A. contre le Président Trump. Les médias et les politiciens européens et britanniques tiennent pour acquis que Trump ne pourra pas être réélu parce que :

  1. c’est un agent de Poutine
  2. il abuse de son pouvoir
  3. il représente ces racistes que sont les « Trump deplorables »
  4. c’est un coureur de jupons – « attrapez-les par le minou »
  5. c’est à cause de lui que l’Amérique a le plus grand nombre de cas et de morts du Covid dans le monde
  6. il ne soutient pas l’OTAN (une sinécure pour beaucoup d’Européens)
  7. il nous est étranger, il n’appartient pas à l’Oligarchie (« Establishment »), « il n’est pas comme nous »
  8. il a les cheveux orange (l’orange étant considéré comme une couleur vulgaire).

Vous pouvez allonger la liste à votre gré.

Les médias américains, européens et britanniques envisagent deux scénarios qui établissent la nécessité d’une révolution de couleur pour chasser Trump de la Présidence:

  1. Trump perd l’élection, refuse de quitter son poste et doit en être délogé, sinon c’est la mort de la démocratie.
  2. Trump gagne frauduleusement l’élection et doit être chassé, sinon c’est la mort de la démocratie.

Aucun scénario n’imagine que Trump puisse l’emporter grâce au vote populaire. Cette éventualité n’est même pas envisageable. Selon les médias, Trump ne peut que perdre ou bien voler l’élection.

Comme les Antifas et les Black Lives Matter sont maintenant bien rôdés aux manifestations violentes, ils seront lâchés de nouveau sur les villes américaines dès qu’on apprendra que Trump a été élu. Les médias expliqueront que cette violence est nécessaire pour nous libérer d’un tyran, et ils encourageront la violence comme le fera le Parti Démocrate. La C.I.A. aura la certitude du bien fondé de cette violence.

Trump, isolé dans son propre gouvernement, lequel n’a pas été capable d’inculper le clan Obama pour avoir monté un coup contre le Président des États-Unis et tenté de le renverser – Barr et Durham représentent l’Oligarchie (« Establishment »), non pas le Président ni la loi – sera coupé de Twitter, Facebook et de tous les médias, presse comme télévision. Tout ce qu’apprendront les Américains et le reste du monde, c’est que Trump a perdu et doit partir, ou qu’il a gagné en trichant et doit partir. Il sera impossible pour Trump ou n’importe qui d’autre de réfuter ces accusations. Les Républicains, qui manquent d’intelligence comme de volonté, s’aplatiront. Les Républicains ne sont pas des gens combatifs. Ils croient que dénigrer le complexe militaro-sécuritaire est antipatriotique. Ce qui en fait des cibles faciles.

La C.I.A., le « National Endowment for Democracy »« Radio Liberty », etc. ont utilisé des révolutions de couleur contre d’autres qui faisaient obstacle à l’État américain de Sécurité Nationale. Seul Maduro leur a résisté victorieusement. Jusqu’ici.

Le « Secret Service » a coopéré avec la C.I.A. et les chefs d’État Major dans l’assassinat du Président John F. Kennedy. Que pourra bien faire un Président Trump réélu lorsque le Secret Service refusera de repousser les Antifas et les Black Lives Matter lorsque ceux-ci feront irruption dans la Maison Blanche ? Il est hors de doute que le Secret Service est pénétré par la C.I.A. Sinon, comment le Président Kennedy aurait-il pu être assassiné ?

La démocratie américaine est sur le point d’être abolie à jamais, et les médias du monde entier présenteront cet événement comme étant le victorieux renversement d’un tyran.

Paul Craig Roberts

Traduit par J.A., relu par Hervé pour le Saker Francophone




Le quatrième pouvoir ou propagande ?

[Source : Québec Nouvelles]

« Si la Presse n’existait pas, il ne faudrait pas l’inventer ; elle attaque tout et est difficilement attaquable ». 

(Honoré de Balzac, diatribe de 1840)

Pourquoi le quatrième pouvoir ? On lui attribue cette formule, car venant à la suite des Pouvoirs législatif, exécutif, et judiciaire, ce qui est passablement vrai en période sociale dite normale.

Cependant lorsque la société verse en crise, quelle qu’elle soit, les pouvoirs judiciaires et législatifs sont souvent relégués derrière celui de la presse qui atteint alors le second rang très collé sur le pouvoir exécutif. Et celui-ci ne se privera pas de l’utiliser ; et ces deux pouvoirs formeront une « Mediaklatura » à l’instar de la Nomenklatuta de l’Union soviétique. (1)

« Les journalistes deviennent les nouveaux chiens de garde du régime. Ils en sont les propagandistes zélés et sont complices des puissants » (2)

Notons que tous les régimes dictatoriaux ont abondamment utilisé cet outil. Geobbels et son ministère de la Propagande, La Pravda de Staline, Granma (de Cuba), Chine nouvelle (Xinhua), etc.

Dans l’article précédent portant sur les formes de dictatures ainsi que sur les moyens de parvenir à l’instaurer, étaient décrites diverses approches non violentes physiquement, mais extrêmement efficaces en conversion psychologique.

Comme nous vivons présentement une période très difficile causée par cette crise fabriquée, les citoyens intelligents et logiques s’interrogent de plus en plus sur cette dictature qui se maintient en place avec toutes ces mesures folles, illogiques et dangereuses psychologiquement.

Ainsi cette dictature a progressivement démarré en première étape avec l’épandage de cette peur, au printemps dernier alors que le danger du virus déclinait, et avec un confinement forcé très restrictif. En l’absence de toute résistance et des messages « d’amour » des terrifiés au cerveau bien lavé, cuvée TVA, le gouvernement est passé en deuxième vitesse.

Remarquons que le Parlement est maintenant suspendu, et que les avis judiciaires et les requêtes en recours collectifs sont mis de côté, en accord avec la note ci-haut.

A suivi la prise de contrôle obligée des médias. Suite à la forte réduction de leurs revenus publicitaires, les entreprises médiatiques se retrouvaient en position de fermer les livres, ou alors de se vendre au plus offrant (il n’y en a qu’un) donnant ainsi naissance au nouveau ministère de la Propagande du Québec.

Pourquoi ? Pour leur bénéfice personnel ? Assurément. Mais alors cette mission de fournir une information de qualité au public ? Euh…

Le Conseil de Presse du Québec (CPQ) :
(ce paragraphe est le préambule du Code de Déontologie du CPQ)

Est un organisme privé, indépendant et à but non lucratif, qui œuvre à la protection de la liberté de la presse et à la défense du droit du public à une information de qualité. Son action s’étend à tous les médias d’information distribués ou diffusés au Québec, qu’ils soient membres ou non du Conseil, qu’ils appartiennent à la presse écrite ou électronique (radio, télé, internet). Quiconque se croit lésé dans son droit à l’information peut soumettre, sans aucuns frais, l’objet de ses griefs à l’attention du Conseil de presse du Québec, par la poste ou par le biais du site internet. (3)

Voici quelques extraits :

b)… et que nul ne peut dicter aux médias d’information le contenu de l’information ; (3)

dAttendu que le droit du public à l’information est le droit légitime du public d’être informé de ce qui est d’intérêt public et que, pour assurer ce droit, le rôle fondamental des journalistes et des médias d’information consiste à rechercher, collecter, vérifier, traiter, commenter et diffuser, en toute indépendance, l’information d’intérêt public ; (3)

6.2 Influence des préoccupations politiques, idéologiques et commerciales

Les médias d’information ne laissent, en aucun cas, leurs intérêts commerciaux, politiques, idéologiques ou autres primer sur l’intérêt légitime du public à une information de qualité ni ne restreignent l’indépendance professionnelle des journalistes. (3)

La section « C » du Guide de Déontologie du CPQ est intitulée « RECHERCHE DE LA VÉRITÉ ». (3)

Frappant n’est-ce pas ? Résumons ; les éléments présentés sont :

L’exactitude. La rigueur de raisonnement. L’impartialité. L’équilibre. La complétude. (3)

La seule exactitude et la seule rigueur de raisonnement que nous recevons depuis 6 mois sont le « copié/collé » du mémo « napkin » du cabinet Legault [NdNM : pour François Legault, le Premier ministre du Québec] .

L’impartialité ? Celle de la récusation et condamnation publique des « complotistes » (sic) ?

Le seul équilibre… non, finalement il n’y en a pas d’équilibre. Car celui-ci nécessite « la présentation d’une juste pondération du point de vue des parties en présence ». ??? (3)

En langage clair : ce fameux deuxième côté de la médaille !

La complétude, ha ! Dans le traitement d’un sujet, présentation des éléments essentiels à sa bonne compréhension. (3)

Le seul vocabulaire normatif comprend les mots « Morts, infections, cas, tests, contagion, confinement, masques, complotistes (sic), conspirationnistes, distanciations, deux mètres, contaminations, dangereuses, etc. », auxquels on a ajouté « obéissance et docilité », les thèmes préférés du centre d’entrainement des animaux de compagnie.

Pas de détails, pas de preuves ou d’exposés scientifiques. Aucune explication logique que le narratif officiel du gouvernement Legault qui dirige la crise fabriquée à son gré, bien sûr. Finalement peut-être que le gouvernement serait bien incapable de fournir quelques éléments que ce soit supportant leurs actions ; car il n’en existe probablement aucun après tout ?

Les urgences débordent ! Et pour quelles raisons ? Pas un mot sur les tentatives de suicide, les suicides (pour le certificat de décès qui sera répertorié probablement Covid), les « overdoses », les blessures familiales ou conjugales, les pathologies respiratoires (port prolongé du masque), toutes les autres pathologies dont les traitements ont été remis à l’infini, les crises de panique, etc.

Et les faux acteurs grassement payés ? Et les photos des cliniques vides ? Mensonges sur tous les chiffres gouvernementaux manipulés ad nauseam, sans justifications aucunes.

Nulle part ou alors excessivement peu des mots tels, les guérisons, les tests positifs qui ne sont pas des cas, etc. Tellement désolant ce manque d’impartialité.

Vous me direz ; mais le bon journaliste en moi (il en reste au moins un) cherche à obtenir des informations sur l’envers de la crise, mais tous ceux que je contacte sont muselés. Exact ! Ce sont LES GRANDS ABSENTS, qui font l’objet d’une chronique précédente. Bonne chance à vous le seul journaliste intègre restant. En dictature ça fonctionne comme ça !

Le Guide du CPQ fait aussi la distinction entre le journalisme factuel et le journalisme d’opinion. On sait maintenant que le journalisme factuel est bel et bien mort et enterré. Très généreuses subventions gouvernementales obligent. Quand même pas rien ; jusqu’à 75 % du budget d’exploitation de certains médias. On ne peut pas mordre la main qui nourrit le toutou bien dressé. Et que le public aille se faire voir, on veut garder nos jobs et nos avantages !

Le journalisme d’opinion ?

La débandade totale. Certains opiniâtres questionnant ces gouvernements sur tout sont disparus. Ou plutôt ils sont transformés, méconnaissables. Comment ? Pourquoi ? Et leur intégrité proverbiale est passée où ? Au guichet automatique ? Assez incroyable que l’intégrité personnelle, soit celle qui nous définit, soit passée à la trappe de la corruption de l’esprit.

Finalement, avec cette propagande bien installée les médias de masse se font complices de cette crise, de cette arnaque sociale, et devront un jour en supporter les conséquences. Cette propagande si efficace que Pierre Bruneau et ses collègues n’avaient qu’à ordonner au « bon » peuple d’obéir. Il faudra peut-être attendre que ces mêmes « rapporteux » « permettent » aux esprits faibles de se libérer.

Lorsque ce quatrième pouvoir verse dans la propagande, la liberté de réfléchir est interdite !

 Références

  1. Cairn Info, Les médias (1984)
  2. Serge Halimi, sociologue, 1999
  3. Extrait du Code de Déontologie journalistique du CPQ, Dépôt légal, Bibliothèque et Archives du Québec (2015)



Transformer un gourou médiatique en martyre en le censurant

[Source : Québec Nouvelles]

Alexis Cossette-Trudel : Un gourou, un martyr ou un Gabriel Nadeau-Dubois de droite ?

En fermant les comptes d’Alexis Cossette-Trudel, Facebook copie les médias traditionnels ; au lieu d’en faire un Gabriel Nadeau-Dubois [NdNM : personnage politique du Québec, porte-parole du parti de gauche Québec Solidaire.] de droite, le réseau fera de ce gourou un martyr.

Facebook décide de fermer les comptes de celui qui est vu comme le gourou des antimasques parce qu’on l’associe directement au mouvement QAnon. Celui-ci prétendrait que Donald Trump avait accepté de se lancer en politique pour faire la guerre aux membres du jetset qui baignent dans les réseaux pédophiles. Sans s’en rendre compte, Facebook fait d’Alexis Cossette-Trudel un martyr. En d’autres mots, le réseau social américain met de l’huile sur le feu au lieu de l’éteindre.

Que Facebook veuille fermer « le clapet » à des gens qui profèrent des propos orduriers, qui passent par l’insulte pour critiquer, qui incitent à la violence, j’en conviens. Le manque de respect n’a pas sa place sur la place publique.

Cependant, fermer le compte d’un « webjournaliste » qui explique ce qu’est QAnon et qui démontre qu’il y aurait, selon lui, des raisons de croire que leurs théories sont plausible, à mon avis, cette action du réseau porte atteinte à la liberté d’expression. Le droit de parole d’Alexis Cossette-Trudel est aussi discutable que de savoir si Mike Ward avait le droit de faire de l’humour sur le dos du jeune Jérémy Gabriel ou de croire que les soucoupes volantes existent.

Jouer le jeu de la pensée unique

Ce qui me dépasse, c’est qu’un réseau social qui avait pour but de laisser s’exprimer librement tout citoyen du monde se mette à fermer des comptes pour des différences idéologiques. Facebook est-il en train d’imiter les médias traditionnels et d’adhérer par le fait même aux dogmes de la pensée unique ? Chose certaine, Facebook est en train de faire de ce journaliste un martyr et de contribuer à la montée de sa popularité à titre de gourou du mouvement qu’on étiquète d’antimasque.

Option liberté

Je vais maintenant vous expliquer pourquoi Facebook aurait intérêt à laisser ouvert le compte de l’animateur de Radio-Québec. Lorsque Gabriel Nadeau-Dubois (GND) est devenu la voix des étudiants radicaux qui manifestaient lors des grands rassemblements du printemps érable, des représentants du gouvernement se sont assis avec lui ainsi qu’avec Léo Bureau-Blouin et Martine Desjardins pour tenter de négocier une entente. La presse traditionnelle demandait avec persistance à celui qu’on appelait GND de condamner publiquement les actes de violence qui pouvaient se produire lors de ces manifestations du printemps 2012, ce qu’il a fait du bout des lèvres. Pire encore, en novembre 2012, Gabriel Nadeau-Dubois a été condamné pour outrage au tribunal parce qu’il avait incité ce mouvement étudiant, dont il était le porte-parole, à « prendre les moyens nécessaires » pour faire respecter les votes de grève, ce qui lui aura valu 120 heures de travaux communautaires.

Au lieu de faire de GND un martyr, on lui a donné la parole dans les médias traditionnels pour qu’il s’explique. On le confrontait, le questionnait, l’argumentait. Résultat, il a capitalisé sur son leadership pour mener une consultation populaire qui l’a amené à joindre les rangs de Québec solidaire. Aujourd’hui, on ne le voit plus comme le chef des carrés rouges, mais comme un politicien qui a sa place dans l’arène politique.

Pousser à se modérer

Si on laissait Alexis Cossette-Trudel s’expliquer dans les médias et si on lui permettait d’opérer ses comptes Facebook, certes, il serait plus connu de la population. En revanche, si ce dernier veut vraiment opérer des changements qui correspondent à ses convictions, il aurait avantage à adhérer à un mouvement plus large ou à une coalition qui lui permettrait de faire la promotion de ses idées et de ses valeurs. C’est alors qu’il modèrerait ses propos et les nuancerait. Si tel était le cas, il devrait quitter le micro pour s’investir dans cette base apte de faire de lui un chef qui incarne une mouvance politique plus musclée que le C.P.Q., car ce parti a obtenu moins d’un pour cent du suffrage exprimé aux dernières élections provinciales.

Le meilleur moyen de réduire l’influence d’Alexis Cossette-Trudel n’est pas d’en faire un martyr, parce que ses partisans vont se lever pour lui. La meilleure option est de le laisser être confronté à ce que l’avenir lui réserve : atteindre un plateau de popularité et laisser le mouvement mourir après la fin de la crise de la Covid ou devenir le chef d’une coalition d’insatisfaits qui formera un groupe de réflexion pour changer les choses. D’ici là, lui accorder l’antenne dans les médias traditionnels ne fera qu’accélérer sa prise de décision vers une option ou une l’autre.

Alexis Cossette-Trudel sait que sa popularité atteindra son apogée d’ici la fin de la crise actuelle. Si son but est de changer les mentalités, il n’aura pas le choix de former une coalition. Si c’est dans cette voie qu’il choisit de se diriger, il devra recentrer son discours, donner les allures d’un homme qui a muri, comme cela a été le cas pour Gabriel Nadeau-Dubois lorsqu’il a joint les rangs de Québec solidaire.

Ce n’est qu’une question de temps, Alexis Cossette-Trudel devra changer son orientation s’il veut changer un tant soit peu les mentalités. À défaut de quoi, il finira par se peinturer dans le coin.

Deux contre une

Trois options s’offrent donc à lui : devenir un gourou qui s’éteint, se transformer en un Gabriel Nadeau-Dubois de droite ou finir en martyr. Dans les deux premiers cas, le choix lui revient. Dans le dernier, la balle est dans le camp de la haute direction de Facebook. En retirant ses comptes d’un réseau social aussi populaire, Facebook fait de lui un martyr, ce qui renforcera son aura de gourou. C’est pourquoi je crois que cette intervention de Facebook s’avère contreproductive.

Qui sera le prochain ?

Maintenant, si les réseaux sociaux se mettent à adhérer de plus en plus aux dogmes de la pensée unique, qui seront les prochaines victimes ? Les pro-vie, ceux qui s’opposent à l’euthanasie, les communautés de foi théiste, les barslowites ? La question laisse à réfléchir et demande une réponse !




La foi en les médias, une nouvelle religion…

[Source : El Correo]

La foi en les médias, une nouvelle religion…

par Nora Merlin

Toutes les versions de cet article : [Español[français]

Dans cet article, il est expliqué qu’avec l’objectif de configurer la pensée et de coloniser la subjectivité, les médias concentrés manipulent, de manière irresponsable et sans scrupule, l’opinion publique par la mise en place de croyances et de préjugés.

« Il n’y a pas de différences substantielles entre la manière
de regarder la télévision ou l’autel d’une église. »
Víctor Hugo Morales [1]

Dans le but de configurer la pensée et de coloniser la subjectivité, les médias concentrés utilisent de manière irresponsable et sans scrupule une manipulation de l’opinion publique, en introduisant croyances et préjugés.

Walter Benjamin a affirmé, dans l’un de ses fragments écrits en 1921, que le capitalisme est une religion. Cette définition étonnamment d’actualité anticipe ce que nous pouvons appeler une nouvelle religion soutenue par la foi aveugle en les médias.

Croire aux messages communicationnels imposés par les médias concentrés est beaucoup plus efficace que n’importe quelle religion. La visite du pape François au Chili et au Pérou montre que de nombreux catholiques, au lieu d’agir avec fidélité envers le chef de l’Église, le questionnent en répétant l’histoire de Clarín.

À mesure que les médias ont grandi, ils ont occupé la place de l’idéal, en construisant et nourrissant chaque jour une culture de masse qui croit avec une conviction inébranlable aux messages qu’ils émettent, ce qui constitue un acte de foi et de soumission à ce que l’on présente comme une nouvelle religion.

La masse, en tant qu’hypnose collective, constitue le paradigme social du néolibéralisme

Freud, à ses débuts, commença à travailler avec la méthode hypnotique, avertissant de bonne heure du type d’influence exercée par la présence et la parole de l’hypnotiseur. Le patient faisait de l’autosuggestion, il était convaincu du pouvoir du médecin, il devenait obéissant et soumis, ce qui entraînait une guérison temporaire au cours de laquelle les symptômes disparaissaient avant de revenir. C’est l’une des principales raisons pour lesquelles le médecin viennois a définitivement abandonné cette méthode : engagé dans la recherche de la vérité, il ne s’agissait pas de suggérer et d’obtenir de faux traitements de cette manière.

Des années plus tard, alors que la théorie psychanalytique était déjà bien avancée, Freud pouvait démontrer que la masse possédait un mécanisme de formation identique à celui de l’hypnose. Dans les deux cas, le fait de situer l’hypnotiseur ou le chef à la place de l’idéal entraînait un état de fascination, une croyance en son autorité et une obéissance aux ordres qu’il énonçait, qu’ils soient compréhensibles ou rationnels ou non : les messages reçus fonctionnaient comme une force qui les conduisait à obéir inconditionnellement.

Freud put vérifier que la masse était fondée sur un lien de type libidinal aimant, ce qui donnait lieu au meilleur système social pour nourrir la suggestion, l’obéissance collective et installer une série de constructions idéatives qui allaient en être la base : les croyances.

La croyance

Une façon de définir la subjectivité consiste à la considérer comme un système social de croyances partagées. Les croyances ne constituent pas une chose exclusivement mentale ou intime, mais elles se « saisissent » de la subjectivité, elles sont mises en jeu dans une réalité sociale effective, dans des actes et des choix, pour devenir finalement l’enveloppe formelle de répétitions rituelles. Elles impliquent des modes de satisfaction qui acquièrent une fixation, raison pour laquelle elles agissent comme des pierres très difficiles à enlever.

Freud a étudié le phénomène de la croyance dans plusieurs de ses articles. Dans L’homme Moïse et la religion monothéiste (1939), il analysa la foi religieuse en montrant que le croyant laisse de côté la rationalité et que, bien qu’il puisse saisir l’irréalité de sa croyance, il y adhère et la considère comme une vérité absolue. Il fait référence à la paraphrase de Tertulien : credo quia absurdum, (j’y crois parce que c’est absurde) pour justifier que, même si les dogmes religieux ne sont pas démontrables, ils ont une valeur de vérité qui n’est pas fondée sur la rationalité ou la compréhension, et les rend irréfutables. Essayer de convaincre le croyant en utilisant une logique ou une démonstration rationnelle produira un sentiment d’impuissance semblable à celle de parler à un mur. En bref, les croyances ne sont pas fondées sur des erreurs de compréhension ou d’apprentissage, mais constituent un système d’illusions qui donne un sens, une stabilité et auxquelles le sujet s’accrochera avec une conviction inébranlable.

La thèse de Freud dans L’avenir d’une illusion est que les croyances religieuses sont fondées sur le désir d’un père, reflétant un besoin de protection et d’autorité rendant supportable l’impuissance humaine. Ce désir est typique de toutes sortes de croyances, au-delà du niveau religieux.

Les croyances organisent et soutiennent la vie en fonctionnant comme une matrice pour l’interpréter, conditionnent les perceptions en agissant comme des préjugés indestructibles capables d’éviter la preuve qu’on leur y opposera : d’abord on y croit, ensuite on le voit. Le sujet, de manière conservatrice, a tendance à s’accrocher à ses croyances, ne veut pas y renoncer, même s’il peut reconnaître l’irrationalité de ses arguments : il nie et dément une partie de la réalité, comme s’il disait « je sais, mais quand même… ».

L’entêtement exprimé par le fait de s’accrocher à ses croyances s’articule avec la passion de l’ignorance qui consiste en une inertie conservatrice vis-à-vis de l’établi, une satisfaction de ne pas vouloir écouter, voir ou savoir. De plus en plus fréquemment, nous trouvons des individus qui préfèrent ne pas savoir et sont satisfaits, dans leur ignorance, du mal de la banalité. Nous ne faisons pas référence ici à l’éducation formelle, qui ne garantit pas en revanche l’absence de cette passion, mais bien à un désir de ne pas vouloir savoir, soutenu, d’une part, par le confort homéostatique et inertiel caractéristique des institutions, et de l’autre, par la lâcheté, l’aversion de la connaissance capable de bouleverser nos croyances. Cette passion va de pair avec la promotion du narcissisme qui stimule un individualisme farouche qui essaie de ne pas être affecté par le lien social : « je ne veux pas me pourrir la vie », « je ne veux pas savoir ».

La passion de l’ignorance est l’un des principaux obstacles à la transformation de la position du sujet et de la culture. Il est fonctionnel pour le capitalisme, c’est pourquoi les médias concentrés le promeuvent de multiples façons, toutes renvoyant au totalitarisme communicationnel, à l’abolition de la pensée critique et, finalement, au dénuement du sujet. Dans cette optique, le néolibéralisme nourrit la culture du divertissement vide, de la frivolité et de l’évasion avec différents petits plaisirs cherchant à effacer la mémoire, l’héritage historique et « l’arnaque des droits de l’homme ».

La masse, la construction laborieuse réalisée jour après jour par les médias concentrés, est la voie royale pour l’obéissance et le développement de croyances souvent disparates mais incontestées.

Le pouvoir menace de dangers qu’il crée, impose des préjugés et des convictions : « les gens de la rue sont violents », « l’opposition déstabilise », « le Venezuela est une dictature », etc. Par le biais des médias, la peur est d’abord installée, puis la protection est promise, donnant aux individus l’illusion naïve que s’ils obéissent, ils seront en sécurité sous une sécurité supposée, qui masque en réalité le pire : une discipline sociale violente.

La masse fascinée par « l’autel de l’église », tout en invoquant le dieu de la consommation pour son « pain quotidien », incorpore des croyances qui promeuvent une résignation obéissante, sacrificielle, craintive et lâche.

Une culture démocratique capable de s’opposer au néolibéralisme et à la masse, qui stimule la pluralité des voix et comporte des mécanismes qui en appellent à la déconcentration du pouvoir, constitue le meilleur antidote à cette forme de colonisation de la subjectivité que nous pouvons qualifier de nouvelle religion

Nora Merlin *

La Tecla@eñe. Buenos Aires, le 25 janvier 2018*Nora Merlin. Psychanalyste. Master en Sciences politiques. Auteur de Populismo y psicoanálisis (Populisme et psychoanalyse) et de Colonización de la subjetividad(Colonisation de la subjectivité).

Traduit vers le français par Floriane Verrecchia-Ceruti




Le peuple bolivarien inflige une nouvelle défaite aux médias occidentaux

[Source : Venezuela infos]

Auteur : Thierry Deronne

LE PEUPLE BOLIVARIEN INFLIGE UNE NOUVELLE DÉFAITE AUX MÉDIAS OCCIDENTAUX

Publié par Venezuela infos

25 février 2019

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Plus loin, toujours plus loin dans la propagande : “Nicolas Maduro brûle les camions d’aide humanitaire”. Le sénateur Gustavo Petro, ex-maire de Bogota, ex-candidat à la présidence de la Colombie, et qui n’a jamais ménagé ses critiques vis-à-vis du gouvernement Maduro, s’indigne face au lavage de cerveau : “Les camions ont été brûlés par les hommes de Guaidó (éphémère “président” du Venezuela nommé par Donald Trump, NdR). Si l’incendie des camions sert de prétexte à une invasion, Duque (actuel président colombien, protégé d’Alvaro Uribe, NdR) et Guaidó passeront à l’Histoire comme instigateurs de la violence sur la base d’un mensonge. Depuis que j’ai commencé à écrire sur le concert, et sur la soi-disant “aide humanitaire”, depuis qu’ont été découverts les vrais auteurs de l’incendie des camions, j’ai clairement dit que la stratégie de Duque et de Trump était l’invasion violente. Nous avons vu qu’en Colombie, chaque fois que nos peuples indigènes manifestent et protestent, on les réprime et on les tue, la même chose se produit pour nos paysans, nos étudiants, nos vendeurs ambulants, pour ceux qui s’opposent, demandent la justice et cherchent des vérités. Si la priorité de Duque avait été la protection de la population civile à la frontière, il n’aurait pas mené cette stupide opération d’agression, concert inclus. A présent le contrôle de la frontière est aux mains des cartels mexicains de la drogue. Nous ne pouvons rester spectateurs, nous devons agir, nous bouger pour la paix. Après son échec, Juan Guaido n’a pas choisi la voie d’un vrai dialogue au Venezuela mais de demander ouvertement une intervention militaire étrangère, sans que lui importent les milliers de compatriotes qui mourraient dans son pays. Je l’invite à ouvrir les portes du dialogue” (1)

Le “blocage-par-Maduro-de-l’aide-humanitaire” convoyée dans des avions militaires US par Elliot Abrams, ex-chef des escadrons de la mort en Amérique Centrale, étaient une fake news annoncée. Deux jours avant les incidents, Dmitri Polyanskiy, premier adjoint du représentant permanent de la Russie à l’ONU, déclarait : “Sous prétexte d’une livraison d’une aide humanitaire au peuple vénézuélien, les États-Unis sont en train de préparer une provocation «flagrante» à la frontière entre le Venezuela et la Colombie, pour le 23 février. Se trouvant apparemment dans un état de frénésie, nos collègues américains, ont décidé de diffuser de fausses nouvelles au sein du Conseil de sécurité » (2).

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Même pronostic de la part du diplomate Celso Amorin (photo), ex-Ministre des affaires étrangères, et ex-Ministre de la défense du Brésil (2003-2014) :  “l’aide humanitaire des Etats-Unis pour le Venezuela est une provocation pour intervenir dans ce pays et forcer Nicolás Maduro à partir. Il s’agit d’une provocation, pour créer une situation paramilitaire qui mène à un changement de régime » (3). L‘ancien président Lula s’était également exprimé, depuis sa prison politique : « Nous ne pouvons permettre la soumission du Brésil aux Etats-Unis. Maduro est le problème des vénézuéliens, pas des états-uniens. Ils parlent de la faim mais ils ne parlent pas de leur embargo qui tue des enfants, des hommes et des femmes innocents ». Même José Miguel Insulza, ex-Secrétaire Général de l’OEA, qui a souvent critiqué le gouvernement de Chavez, avait admis: « Voir débarquer en Colombie le Chef du Southern Command des Etats-Unis, avec toutes sortes de généraux et le sénateur Rubio et d’autres, tout cela sent de moins en moins l’aide humanitaire et de plus en plus la recherche d’un prétexte de confrontation« .

On comprend que l’envoyé du Pape François en Colombie, Luis Mariano Montemayor, ou le Président de la Croix Rouge en Colombie Christoph Harnisch (4) aient refusé de participer à la mise en scène d’une “aide” qu’ils considèrent, tout comme le Secrétariat Général de l’ONU lui-même, plus “politisée qu’humanitaire”. Déjà, dans les années 80, Elliot Abrams et la CIA avaient usé de faux emblèmes de la Croix Rouge pour envoyer illégalement des armes aux paramilitaires de la “Contra” au Nicaragua. Ce 23 février, à la frontière de la Colombie, certains paramilitaires portaient le même insigne…

Rappelons en passant que Nicolas Maduro ne refuse pas de laisser entrer les véritables aides humanitaires puisque tant l’ONU avec laquelle des accords viennent d’être signés que la Russie ou l’Inde très récemment, envoyent des tonnes de médicaments ou de nourriture par le port de la Guaira. Que les médias n’en parlent jamais ne signifient pas que ces faits n’existent pas ! Sachant que des agences de paiement comme Euroclear bloquent les transactions venezueliennes sur le marché des aliments et des médicaments, ces puissances ou organismes pallient les effets de la guerre économique développée ces dernières années par l’administration états-unienne. Les effets de celle-ci sont décrits par l’expert humanitaire de l’ONU Alfred de Zayas (5)

Les violences paramilitaires à la frontière ont été repoussées par les forces armées du Venezuela, mais aussi par la population vénézuélienne. Car il ne faudrait pas l’oublier : si personne n’a réussi à violer le territoire du Venezuela et si l’image du militant d’extrême droite Guaido entrant, triomphant, au Venezuela, juché sur le marche-pied d’un camion “humanitaire”, restera une fake news, c’est aussi grâce à cette résistance populaire. Les paramilitaires colombiens ont quand même fait 315 blessés chez les chavistes (en menant des attaques à San Antonio, Ureña et Boca de Grita).

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Réunis à Cucuta (Colombie) quelques heures après l’échec du show de l’aide humanitaire : le président chilien Sebastian Pinera, Juan Guaido le « président » autoproclamé qui a fui le Venezuela à bord d’un hélicoptère militaire colombien, le président Ivan Duque, protégé d’Alvaro Uribe, et Luis Almagro, le secrétaire général de l’OEA qui consacre pratiquement tout son mandat au « changement de régime » à Caracas. Les visages parlent d’eux-mêmes.

Prenant appui sur la vulgate médiatique mondiale, John Bolton, Mike Pompeo, Ivan Duque et Juan Guaido, ont promis de demander une “escalade dans l’usage de la force” (sic) à leurs alliés néo-libéraux du “groupe de Lima”, dès ce lundi 25 février. La chancellerie russe a expliqué que le texte en ce sens était déjà prêt le vendredi, et qu’un de ses paragraphes dénonçait les incidents du samedi avant même qu’il se produisent, en les attribuant au “régime de Nicolas Maduro”… Le dimanche 24, le sénateur états-unien Marco Rubio a tweeté une photo de Mouammar Kadhafi ensanglanté, prise peu de temps avant son assassinat, promettant à Nicolas Maduro le même sort “à brève échéance”. Pendant ce temps au Venezuela, tandis que quelques groupes d’opposants tentaient vainement d’appeler les forces armées à se soulever contre “la dictature”, de nombreuses manifestations chavistes avaient lieu, avec des milliers de personnes à Caracas, en défense de la souveraineté du Venezuela face l’offensive impériale. Mobilisations populaires occultées comme d’habitude par les médias occidentaux.

Pour l’intellectuel décolonial Ramon Grosfoguel, qui dénonce le « ni Maduro ni Trump » d’une “extrême gauche” occidentalisée, “une des caractéristiques du chavisme est d’être un mouvement populaire où le leadership des femmes et surtout de femmes non-blanches des barrios (quartiers populaires) est très puissant et massif. Le grand problème de l’empire est que Chavez fut un grand pédagogue populaire de la libération qui a élevé la conscience de tout un peuple, et surtout des vénézuéliennes. La force spirituelle d’un peuple ne peut se mesurer avec des statistiques ni s’expliquer avec des mots, c’est quelque chose qui se ressent et qui se vit. Chávez n’est plus un individu mais tout un peuple. Difficile de comprendre ces mots sans connaître le Venezuela”. (6)

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Une des femmes des quartiers populaires qui a défendu la frontière du Venezuela face aux assauts paramilitaires, le 23 février 2019.

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Manifestations populaires à Caracas en défense de la souveraineté

En recopiant sans le moindre sens critique le “plan média” états-unien, qui rappelle les “armes de destruction massive” à l’origine des huit cent milles morts irakiens, les journalistes occidentaux espèrent démobiliser l’opinion pour permettre l’assassinat d’une démocratie et occulter le nettoyage sanglant qui s’ensuivrait grâce au savoir-faire des marines et des paramilitaires d’Alvaro Uribe. Leur erreur est triple.

Croire qu’occulter un peuple (qui n’est pas la minorité de droite médiatisée comme “peuple” mais bien la majorité sociale, pacifique, qui a voté 25 fois en 20 ans) fait que ce peuple n’existe pas et qu’il ne défendra pas sa Patrie.

Croire qu’occulter vingt ans de réformes sociales et de démocratie participative, fait que ces réformes sociales et cette démocratie participative n’existent pas et ne seront pas défendues.

Croire que cette propagande fonctionne dans une Europe où même la classe moyenne appauvrie a cessé de croire au storytelling des élites libérales.

C’est aussi l’erreur de l’empire et des extrêmes droites vénézuélienne et colombiennes: croire qu’on peut, à coups de campagnes médiatiques, forcer un peuple à accepter des décisions prises sans lui, sans se soumettre aux urnes.

Thierry Deronne, Caracas, le 25 février 2019

Notes:
(1)  https://twitter.com/petrogustavo/status/1099660775516524544  
https://twitter.com/petrogustavo/status/1099763051111346177
(2) http://versionfinal.com.ve/mundo/rusia-eeuu-prepara-una-provocacion-en-la-frontera-entre-colombia-y-venezuela/
(3) https://www.brasil247.com/pt/247/mundo/384904/’Ajuda-humanit%C3%A1ria’-%C3%A9-provoca%C3%A7%C3%A3o-para-gerar-mudan%C3%A7a-de-regime-diz-Celso-Amorim.htm
(4) https://www.telesurtv.net/news/cruz-roja-ayuda-humanitaria-venezuela-eeuu-20190211-0015.html
(5) https://venezuelainfos.wordpress.com/2018/03/23/pour-lexpert-de-lonu-alfred-de-zayas-il-est-temps-que-le-venezuela-mene-les-etats-unis-devant-la-cour-penale-internationale/ 

(6) https://www.facebook.com/ProfGrosfoguel/




Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse

[Source : Nouvel Ordre Mondial]

© Vigilant Citizen, merci à Yohann pour la traduction!

Les médias de masse sont l’outil le plus puissant utilisé par la
classe dirigeante pour manipuler les masses. Ils forment et modèlent les
attitudes, les opinions et définissent ce qui est normal et acceptable.
Cet article examine le fonctionnement des médias de masse à travers les
théories de leurs penseurs majeurs, leur structure d’influence, et les
techniques qu’ils utilisent, afin de comprendre leur véritable rôle dans
la société.

Source de l’image deesillustration.com

Beaucoup d’articles de ce site [vigilantcitizen, ndlr] parlent de
symbolisme occulte trouvé dans des objets de la culture populaire. De
ces articles émergent beaucoup de questions légitimes liées à l’objectif
de ces symboles et aux intentions de ceux qui les placent ici, mais il
est impossible pour moi de fournir des réponses satisfaisantes à ces
questions sans mentionner de nombreux autres faits et concepts. Par
conséquent j’ai décidé d’écrire cet article autant pour étayer les
fondements théoriques et méthodologiques des analyses présentées sur ce
site que pour présenter les principaux spécialistes du monde de la
communication de masse. Des gens lisent mes articles et pensent que je
dis : « Lady Gaga veut contrôler nos esprits ». Or ce n’est pas le cas.
Elle est simplement une petite partie de l’énorme système que sont les
médias de masse.

La programmation via les médias de masse

Les médias de mass (« mass media ») sont des formes de médias conçues
pour toucher la plus large audience possible. Cela inclut la
télévision, les films, la radio, les journaux, les magazines, les
livres, les chansons, les jeux vidéos et Internet. De nombreuses études
ont été conduites au siècle passé pour mesurer les effets des médias de
masse sur la population afin de découvrir les meilleures techniques pour
l’influencer. De ces études a émergé la science des communications, qui
est utilisée dans le marketing, les relations publiques et la politique
: la communication de masse est un outil nécessaire pour assurer le
fonctionnement d’une vaste démocratie ; c’est aussi un outil nécessaire
pour une dictature. Tout dépend de son usage.

Dans la préface de son Meilleur des Mondes de 1958, Aldous
Huxley peint un portrait plutôt sombre de la société. Il croit qu’elle
est contrôlée par une « force impersonnelle », une élite dirigeante, qui
manipule la population par des méthodes variées.

« Les forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avions presque aucun contrôle semblent tous nous pousser en direction du cauchemar Meilleur-mondiste ; et cette poussée impersonnelle est en train d’être sciemment accélérée par les représentants des organisations politiques et commerciales qui ont développé un certain nombre de techniques pour manipuler, dans l’intérêt d’une certaine minorité, les pensées et sentiments des masses. »

– Aldous Huxley, préface du Meilleur des mondes.

Sa sombre perspective n’est pas qu’une simple hypothèse ou une
illusion de paranoïaque. C’est un fait certifié, présent dans les plus
importantes études mondiales sur les médias de masse. En voici quelques
unes :

Les penseurs de l’élite

Walter Lippmann

Walter Lippmann, intellectuel américain, écrivain qui a gagné à deux
reprises le prix Pulitzer, a donné naissance à un des premiers travaux à
propos de l’usage des médias de masse. Dans Opinion publique
(1922), Lippmann compare la masse à une « grosse bête » et à « un
troupeau perplexe » qui avait besoin d’être guidé par un classe
gouvernante. Il a décrit l’élite dominante comme « une classe
spécialisée dont les intérêts se portent au-delà du local ». Cette
classe est composée d’experts, de spécialistes et de bureaucrates. Selon
Lippmann, les experts, à qui ont fait souvent référence comme « l’élite
», seront sous peu une machine de la connaissance qui circonvient au
principal défaut de la démocratie, l’idéal impossible d’un « citoyen
omnipotent ». Le « troupeau perplexe » rugissant et piétinant a sa
fonction : être « le spectateur désintéressé de l’action », c-à-d pas un
participant. La participation est le devoir de « l’homme responsable »,
qui n’est pas le citoyen ordinaire.

Les médias de masse et la propagande sont par conséquent des outils
qui doivent être utilisés par l’élite pour diriger le public sans
correction physique. Un concept important présenté par Lippmann est la «
fabrication du consentement » qui est, en gros, la manipulation de
l’opinion publique pour accepter le programme de l’élite. A l’avis de
Lippmann, le public en général n’est pas en mesure de raisonner et de
trancher les questions importantes. Il est donc important pour l’élite
de décider « pour son propre bien » et ensuite vendre ces décisions aux
masses.

« Que cette fabrication du consentement soit capable de grandes améliorations personne, je pense, personne ne le nie. Le procédé par lequel les opinions publiques se présentent n’est certainement pas moins subtil qu’il l’est apparu dans ses pages, et les opportunités de manipulation qui s’ouvrent à quiconque comprend le procédé sont suffisamment claires… Comme un résultat de recherches psychologiques alliées avec les moyens de communication modernes, la pratique de la démocratie a pris un tournant. Une révolution se produit, infiniment plus significative que toutes les variations du pouvoir économique… Sous l’impact de la propagande, pas nécessairement au sens péjoratif du mot, les vieilles constantes de notre pensée sont devenues variables. Il n’est plus possible, par exemple, de croire au dogme initial de la démocratie ; que la connaissance nécessaire à la gestion des affaires humaines sort spontanément du cœur humain. Lorsqu’on agit selon cette théorie on s’expose à l’autodéception, et à des formes de conviction que nous ne pouvons vérifier. Il a été démontré que nous ne pouvons pas compter sur l’intuition, la conscience, ou les accidents de l’opinion faite à la va-vite pour traiter avec le monde au-delà de notre portée. »

– Walter Lippmann, « Opinion publique »

Il peut être intéressant de remarquer que Lippmann est un des pères
fondateurs du CFR (« Council of Foreign Relations », soit « le conseil
des relations étrangères »), le club de réflexion en politique étrangère
le plus influent du monde. Ce fait devrait vous donner un petit indice
sur l’état d’esprit de l’élite concernant l’utilisation des médias.

« Le pouvoir politique et économique aux Etats-Unis est concentré entre les mains d’une « élite dirigeante » qui contrôle la plupart des corporations multinationales, les principaux médias, les fondations les plus influentes, les universités privées les plus importantes et la plupart des services publics basés aux E-U. Fondé en 1921, le Council of Foreign Relations est le lien-clé entre les grosses corporations et le gouvernement fédéral. On l’appelait « l’école des hommes d’Etats » et « ce qui se rapproche d’un organe de ce que C. Wright Mills appelait l’Elite du Pouvoir – un groupe d’hommes aux intérêts et modes de pensée similaires façonnant les évènements depuis des positions invulnérables dans les coulisses. La création des Nations Unies était le projet du CFR, tout comme le Fond Monétaire International et la Banque Mondiale. »

– Steve Jacobson, « Contrôle mental aux Etats-Unis »

Parmi les membres actuels du CFR se trouvent David Rockefeller, Dick
Cheney, Barack Obama, Hilary Clinton, le pasteur d’une méga-église Rick
Warren, les PDG de corporations importantes telles que CBS, Nike, Coca-Cola et Visa.

Carl Jung

Carl Jung est le fondateur de la psychologie analytique (aussi connue
sous le nom de « psychologie jungienne ») qui met l’accent sur la
compréhension de la psyché en explorant les rêves, l’art, la mythologie,
la religion, les symboles et la philosophie. Le thérapeute suisse est à
l’origine de nombreux concepts psychologiques utilisés aujourd’hui tels
que l’Archétype, le Complexe, la Personne, l’Introverti/Extraverti et
la Synchronicité. Il a été hautement influencé par le milieu occulte de
sa famille. Carl Gustav, son grand-père, était un fervent Franc-maçon
(il était Grand-Maître) et Jung lui-même découvrit que certains de ses
ancêtres étaient rosicruciens. Cela pourrait expliquer son grand intérêt
pour la philosophie Occidentale et Orientale, l’alchimie, l’astrologie
et le symbolisme. Un de ses plus importants concepts (et un des plus mal
compris) était celui d’Inconscient collectif.

« Ma thèse, donc, est comme suit : en plus de notre conscience immédiate, qui est d’une nature tout à fait personnelle et que nous croyons être le seul psychisme empirique (même si nous ajoutons l’inconscient personnel en appendice), il existe un second système psychique d’une nature collective, universelle et impersonnelle qui est indentique à tous les individus. Cet inconscient collectif ne se développe pas individuellement, mais on en hérite. Il consiste en formes préexistantes, les archétypes, qui peuvent seulement devenir conscientes de manière secondaire, et qui donnent une forme définie à certains contenus psychiques. »

– Carl Jung, « le Concept d’inconscient collectif ».

L’inconscient collectif ressort à travers l’existence de symboles
similaires et de personnages mythologiques dans différentes
civilisations. Les symboles archétypaux semblent être ancrés
dans notre subconscient collectif et, lorsque nous y sommes exposés,
nous démontrons une fascination et une attraction naturelles. Les
symboles occultes peuvent donc exercer un impact conséquent sur les
gens, même si beaucoup d’individus n’ont jamais été personnellement
confronté au sens ésotérique du symbole. Les penseurs des médias de
masse, comme Edward D. Bernays, a trouvé dans ce concept un excellent
moyen de manipuler l’inconscient collectif et personnel du public.

La couverture du Time Magazine de 1955, avec Carl Jung. On dirait un peu Avatar, non ?

Edward Bernays

Edward Benays est considéré comme le « père des relations publiques »
et a utilisé des concepts découverts par son oncle Sigmund Freud pour
manipuler le public en utilisant le subconscient. Il partageait la
vision de Walter Lippmann concernant la population en général, la
considérant irrationnelle et sujette au « mouvement de troupeau ».

« La manipulation consciente et intelligente des habitudes et opinions organisées des masses est un élément important d’une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est la vraie force dirigeante du pays.

Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes dont on n’a jamais entendu parler. C’est un résultat logique de la manière dont notre société démocratique est organisée. Un vaste nombre d’êtres humains doivent coopérer de cette manière s’ ils veulent sous peu vivre ensemble dans une société qui fonctionne sans difficultés.

Nos gouvernants invisibles sont, dans beaucoup de cas, inconscients de l’identité de leurs collègues dans le cercle fermé. »

– Edward Bernays, « Propagande ».

Les campagnes marketing novatrices de Barneys ont profondément changé
le fonctionnement de la société américaine. Il a pratiquement créé le «
consumérisme » en créant une culture dans laquelle les Américains
achètent pour le plaisir et non pour la survie. Pour cette raison, il
est considéré par Life Magazine comme étant dans le Top 100 des Américains les plus influents du XXème siècle.

Harold Lasswell

En 1939-1940, l’Université de Chicago fut l’hôte d’une série de
séminaires secrets sur les communications. Ces clubs de réflexion furent
fondés par la fondation Rockfeller et comprenait les chercheurs les
plus importants dans les domaines de la communication et des études
sociologiques. Un de ses érudits était Harold Lasswell, un scientifique
politique et théoricien en communication de premier plan, spécialisé
dans l’analyse de la propagande. Il partageait aussi l’opinion selon
laquelle la démocratie, un gouvernement dirigé par les gens, ne pouvait
pas se maintenir sans une élite spécialisée formant et façonnant
l’opinion publique à travers la propagande.

Dans son Encyclopédie des Sciences sociales, Lasswell
explique que lorsqu’il manque aux élites la force requise pour
l’obéissance contrainte, les managers sociaux doivent se tourner vers « une toute nouvelle technique de contrôle, en grande partie par la propagande ». Il y ajouta la justification conventionnelle : « l’ignorance
et la stupidité [des]… masses et ne pas succomber aux dogmatismes
démocratiques comme quoi les hommes seraient les meilleurs juges de
leurs propres intérêts.
»

Lasswell a considérablement étudié le domaine de l’analyse de contenu
pour comprendre l’efficacité des différents types de propagande. Dans
son essai Les contenus de la communication, Lasswell explique
que, afin de comprendre la signification d’un message (c-à-d un livre,
un discours, un film etc), on doit prendre en compte la fréquence à
laquelle certains symboles apparaissent dans le message, la direction
dans laquelle ces symboles essaient de guider l’opinion de l’audience,
et l’intensité des symboles utilisés.

Lasswell était célèbre pour son analyse des médias basée sur ceci :

« Qui (dit) Quoi (à) Qui (par) Quel Moyen (avec) Quel Effet »

Via ce modèle, Lasswell indique que pour analyser correctement un produit médiatique, il nous faut regarder à qui l’a produit (les gens qui ont ordonné sa création), à qui il est destiné (l’audience-cible) et quels sont les effets désirés du produit (informer, convaincre, vendre, etc) sur l’audience.

Voilà quelle serait l’analyse d’une vidéo de Rihanna par exemple :
QUI A PRODUIT : Vivendi Universal ; QUOI : l’artiste pop Rihanna ; A QUI
: les consommateurs âgés de 9 à 25 ans ; QUEL MOYEN : vidéoclip ; et
QUEL EFFET : vendre l’artiste, sa chanson, son image, et son message.

L’analyse de films et de vidéos sur The Vigilant Citizen
donne une grande importance à « qui est derrière » les messages
communiqués au public. Le terme « Illuminati » est souvent utilisé pour
décrire un petit groupe formant une élite dirigeant secrètement les
masses. Bien que le terme sonne assez caricatural et conspirateur, il
décrit judicieusement les affinités de l’élite avec des sociétés
secrètes et un savoir occulte. Cependant, je déteste personnellement
utiliser le terme de « théorie du complot » pour décrire ce qui se passe
dans les médias de masse. Si tous les faits concernant la nature
élitiste de l’industrie sont facilement disponibles au public, est-ce
qu’on peut encore appeler ça une « théorie du complot » ?

Il y avait avant une variété de points de vue, idées et opinions dans
la culture populaire. La consolidation des corporations médiatiques a
cependant produit une standardisation de l’industrie culturelle. Vous ne
vous êtes jamais demandé pourquoi toutes les musiques récentes sonnent
pareilles et tous les films récents ont l’air pareils ? la réponse se
trouve dans la partie suivante :

Possession des médias

Le nombre de corporations qui contrôlent la majorité des médias aux Etats-Unis : (journaux, magazines, stations de radio, chaînes télé, livres, musiques, films, fournisseurs d’accès et agences de photographie)

Comme il est représenté sur le graphique ci-dessus, le nombre de
corporations possédant la majorité des organes de presse aux E-U est
passé de 50 à 5 en moins de 20 ans. Voici le top des corporations en
évolution autour du monde et les capitaux actifs qu’elles possèdent :

« Une liste des propriétés contrôlées par AOL Time Warner prendrait dix pages dactylographiées qui listeraient 292 compagnies séparées et filiales. Parmi elles, 22 sont des sociétés en participation avec d’autres majors impliquées à divers degrés en opérations médiatiques. Ces partenaires incluent 3Com, eBay, Hewlett-Packard, Citygroup, Ticketmaster, American Express, Homestore, Sony, Viva, Berterlsmann, Polygram, et Amazon.com. Quelques une des propriétés plus familières détenues à 100% par AOL Time Warner : Book-of-the-Month Club : Little Brown éditeurs ; HBO et ses sept chaînes ; CNN ; sept chaînes spécialisées et en langues étrangères ; « Bip-Bip et Vil Coyote » ; les studios Warner Bros ; Popular Science et 52 autres labels de disques différents. »

– Ben Bagdikan, « le Nouveau monopole des Médias. »

AOL Time Warner possède :

  • 64 magazines, dont Time, Life, People, MAD Magazine et DC Comics.
  • Waner Bros, New Line et Fine Line Features dans le cinéma.
  • Plus de 40 labels musicaux dont Warner Bros, Atlantic et Electra.
  • Beaucoup de « networks » télévisuels tels que AB Network, HBO, Cinemax, TNT, Cartoon Network et CNN.
  • Madonna, Sean Paul, les Whites Stripes…

Viacom possède :

  • CBS, MTV, MTV2, UPN, VH1, Showtime, Nickelodeon, Comedy Central, TNN, CMT et BET
  • Paramount Pictures, Nickelodeon Movies, MTV Films
  • Blockbuster Videos
  • 1800 écrans de cinéma à travers Famous Players

« La propriété de Disney d’une équipe de hockey appelés les Mighty Ducks d’Anaheim ne suffit pas à décrire l’immensité de son royaume. Hollywood reste son cœur symbolique, avec huit studios de productions et distributeurs : Wall Disney Pictures, Touchstone Pictures, Miramax, Buena Vista Home Video, Buena Vista Home Entertainment, Buena Vista International, Hollywood Pictures et Caravan Pictures.

La compagnie Walt Disney contrôle huit maisons d’édition sous Walt Disney Company Book Publishing et ABC Publishing Book ; 17 magazines ; ABC Television Network avec ses dix stations qu’elle possède et qu’elle fait fonctionner y compris dans le top 5 du marché ; 30 stations de radio, dont toutes les plus grosses du marché; 11 chaînes câblées dont Disney, ESPN (conjointement) ; A&E et la chaîne Histoire ; 13 chaînes de diffusion internationale qui vont de l’Australie au Brésil ; 17 unités sportives et unités de production autour du monde ; et 17 sites Internet, ce qui inclut le groupe ABC, ESPN.sportzone, NFL.com, NBAZ.com et NASCAR.com. Ses cinq groupes musicaux incluent la Buena Vista, Lyric Street et les labels Disney, et des productions cinématographiques « vivantes » d’où sont sortis des films comme Le Roi Lion, la Belle et la Bête, et le Roi David… »

– Ibid.

La Walt Disney Company possède :

  • ABC, Disney Channel, ESPN, A&E, History Channel
  • Walt Disney Pictures, Touchstone Pictures, Hollywood Pictures, Miramax Film Corp., Dimension et Buena Vista International
  • Miley Cyrus/ Hannah Montana, Selena Gomez, les Jonas Brothers.

Vivendi Universal possède :

  • 27% des ventes de musique aux Etats-Unis, ses labels comprennent: Interscope, Geffen, A&M, Island, Def Jam, MCA, Mercury, Motown et Universal
  • Universal Studios, Studio Canal, Polygram Films, Canal +
  • De nombreuses compagnies téléphoniques et Internet,
  • Lady Gaga, The Black Eyed Peas, Lil Wayne, Rihanna, Mariah Carey, Jay-Z

Sony possède:

  • Columbia Pictures, Screen Gems, Sony Pictures Classics
  • 15% des ventes de musique aux Etats-Unis, ses labels comprennent : Columbia, Epic, Sony, Arista, Jive et RCA Records
  • Beyonce, Shakira, Michael Jackson, Alicia Keys, Christina Aguilera

Un nombre limité d’acteurs dans l’industrie culturel signifie un
nombre limité de points de vue et d’idées qui font leur chemin jusqu’au
grand public. Cela signifie aussi qu’une seule idée peut facilement
saturer toutes les plateformes médiatiques pour générer le consentement
(par exemple : « il y a des armes de destruction massive en Irak »).

La standardisation de la pensée humaine

La fusion des compagnies médiatiques lors des dernières décennies a
engendré une petite oligarchie de conglomérats médiatiques. Les shows
télé que nous suivons, la musique que nous écoutons, les films que nous
regardons et les journaux que nous lisons sont tous produits par CINQ
corporations. Les propriétaires de ces conglomérats ont des liens
étroits avec l’élite mondiale et, de bien des façons, ils SONT l’élite.
En possédant tous les points de vente disponible qui ont le potentiel
d’atteindre les masses, ces conglomérats ont le pouvoir de créer, dans
l’esprit des gens, une seule et cohérente vision du monde, engendrant
une « standardisation de la pensée humaine. »

Mêmes les mouvements et les styles considérés marginaux sont, en
fait, des extensions de la pensée principale. Les médias de masse
produisent leurs propres rebelles qui ont bel et bien l’air de faire
partie et qui continuent de faire partie de l’ordre établi et de n’en
rien contester. Les artistes, les créations et les idées qui ne
correspondent pas au mode de pensée principale sont oubliés et rejetés
sans merci par les conglomérats, qui à leur tour les font virtuellement
disparaître de la société elle-même. Cependant, les idées qui sont
estimées valides et désirables pour être acceptées par la société sont
adroitement commercialisées aux masses dans le but de les transformer en
normes qui vont de soi.

En 1928, Edward Barnays avait déjà vu l’immense potentiel du cinéma pour standardiser les pensées :

« Le cinéma américain est le plus grand transporteur inconscient de propagande dans le monde aujourd’hui. C’est un grand distributeur d’idées et d’opinions. Le cinéma peut standardiser les idées et habitudes d’une nation. Parce que les images sont faites pour satisfaire les demandes du marché, elles reflètent, soulignent, et même exagèrent les grandes tendances populaires, plutôt que de stimuler de nouvelles idées et opinions. Le cinéma use des idées et des faits qui sont en vogue. Tandis que les journaux cherchent à offrir les faits, il [le cinéma] cherche à offrir du divertissement. »

– Edward Bernays, Propagande.

Ces faits ont été marqués comme des dangers à la liberté humaine dans
les années 1930 par les penseurs de l’école de Frankfort tels que
Theodor Adorno et Herbert Marcuse. Ils ont identifié trois problèmes
principaux avec l’industrie culturelle. L’industrie peut :

  1. Réduire les êtres humains au statut de « masse » en entravant le développement d’individus émancipés, qui sont capables de prendre des décisions rationnelles
  2. Remplacer le dynamisme légitime vers l’autonomie et la conscience de soi par la paresse sécurisante du conformisme et de la passivité ; et
  3. Valider l’idée que les hommes cherchent bien à s’échapper du monde absurde et cruel dans lequel ils vivent en se perdant dans un état hypnotique de satisfaction personnelle.

La notion d’évasion est encore plus pertinente aujourd’hui
avec l’avènement des jeux vidéo en ligne, des films en 3d et des home
cinémas. Les masses, cherchant le divertissement dernier cri, vont avoir
recours à des produits à gros budget qui peuvent seulement être
produits par les plus grosses corporations médiatiques mondiales. Ces
produits contiennent des messages et symboles délibérément placés avec
attention qui ne sont ni plus ni moins que de la propagande
divertissante. Le public a été entraîné à AIMER cette propagande, au
point de dépenser son argent difficilement gagné pour y être exposé.

« En ce qui concerne la propagande, les premiers défenseurs de l’alphabétisation universelle et de la presse libre envisagèrent deux possibilités : la propagande peut être vraie, ou elle peut être fausse. Ils n’ont pas prévu ce qui est en fait arrivé, surtout dans nos démocraties capitalistes occidentales – le développement d’une vaste industrie de consommation de masse, concernée dans l’absolu ni par le vrai ni par le faux, mais par l’irréel, le plus ou moins totalement dénué de pertinence. En un mot, ils ont échoué à prendre en compte l’appétit presque infini de l’Homme pour la distraction. »

– Aldous Huxley, préface du « Meilleur des mondes ».

Un seul extrait d’un média n’a souvent pas un effet durable sur la
psyché humaine. Les médias de masse cependant, par leur nature
omniprésente, créent un environnement vivant dans lequel on évolue sur
des bases journalières. Ils définissent la norme et excluent
l’indésirable. De la même manière que les chevaux de trait portent des
oeillières afin de ne voir que ce qui est devant eux, les masses ne
peuvent voir que là où elles sont supposées voir.

« C’est l’émergence des médias de masse qui rend possible l’utilisation de techniques de propagande à échelle sociétale. L’orchestration de la presse, de la radio et de la télévision pour créer un environnement continuel, durable et total rend l’influence de la propagande virtuellement insoupçonnée précisément parce que ça crée un environnement constant. Les médias de masse fournissent le lien essentiel entre l’individu et les exigences de la société technologique. »

– Jacques Ellul

Une des raisons pour lesquelles les médias de masse influencent avec
succès la société industrielle, on la doit à la quantité considérable de
recherches sur les sciences cognitives et la nature humaine qui y a été
appliquée…

Techniques de manipulation

« La publicité est une tentative délibérée pour
contrôler la perception qu’a le public d’un sujet. Parmi les sujets de
la pub se trouvent des gens (par exemple des politiciens ou des artistes
en train de jouer), des biens et des services, des organisations de
tous les types, des œuvres d’art et de divertissement.
»

L’effort pour vendre produits et idées aux masses a conduit à un
nombre de recherches sans précédent sur le comportement humain et la
psyché humaine. Sciences cognitives, psychologie, sociologie,
sémiotique, linguistique et d’autres domaines qui leur sont liées
étaient et sont encore considérablement recherchés par les études bien
financées.

« Aucun groupe de sociologistes ne peut se rapprocher des équipes publicitaires en ce qui concerne le rassemblement et le traitement de données sociales. Les équipes publicitaires ont des milliards par an à dépenser dans les recherches et tests de réactions, et leurs produits sont de magnifiques accumulations de substance concernant les sentiments et expériences vécues par la communauté entière. »

– Marshall Mcluhan, « les Extensions de l’Homme »

Les résultats de ces études sont appliqués aux publicités, aux films,
aux clips et à d’autres médias dans le but de les rendres aussi
influents que possible. L’art du marketing est hautement scientifique et
calculé parce qu’il doit atteindre à la fois l’insconscient collectif
et individuel. En ce qui concerne les produits culturels à gros budget,
une vidéo n’est jamais « une simple vidéo ». Les images, les symboles et
les significations sont placées stratégiquement dans le but d’obtenir
un effet désiré.

« C’est aussi bien avec la connaissance de l’être humain, de ses tendances, de ses désirs, de ses besoins, de son mécanisme psychique, de ses automatismes que celle de la psychologie sociale et de la psychologie analytique que la propagande peut affiner ses techniques. »

– Jacques Ellul.

La propagande d’aujourd’hui n’utilise quasiment jamais d’arguments
logiques ou rationnels. Elle va directement puiser dans les besoins et
instincts humains les plus primaires afin de générer une réponse
émotionnelle et irrationnelle. Si nous pensions de manière rationnelle,
il est probable que nous n’achèterions pas 50% de ce que nous avons. On
peut trouver constamment des bébés et des enfants dans les pubs qui
ciblent les femmes pour une raison spécifique : les études ont montré
que les images d’enfants déclenchent chez les femmes un besoin
instinctif de nourrir, de prendre soin et de protéger, ce qui conduit au
bout du compte un parti-pris de sympathie envers la publicité.

Veille pub bizarre de 7up, utilisant le côté mignon des bébés.

Le sexe est omniprésent dans les médias de masse, puisque cela attire
et maintient l’attention du spectateur. Cela se met immédiatement en
communication avec notre instinct de perpétuer l’espèce, de nous
reproduire, et quand il est déclenché, cet instinct peut éclipser toute
autre pensée rationnelle de notre cerveau.

Perception subliminale

Et si les messages décrits ci-dessus étaient capables d’atteindre
directement l’inconscient des spectateurs, sans mêmes que ceux-ci
s’apperçoivent de ce qui se passe ? C’est le but de la perception
subliminale. Le terme « publicité subliminale » fut inventé en 1957 par
le spécialiste en études de marché américain James Vicary, qui disait
qu’il pouvait faire « boire du Coca-Cola » et « manger du pop-corn » aux
gens qui allaient au cinéma en faisant apparaître ces messages à
l’écran par flashes assez courts pour que les spectateurs n’en soient
pas conscients.

« La perception subliminale est un processus délibéré créé par les techniciens en communication par lequel vous recevez des informations, des instructions et y répondez sans en avoir conscience. »

– Steve Jacobson, « Contrôle de l’esprit aux Etats-Unis. »

Cette technique est souvent utilisée en marketing et on sait tous que le sexe fait vendre.

Bien que certaines sources prétendent que la publicité subliminale
est inefficace ou même que c’est une légende urbaine, l’utilisation
documentée de cette technique dans les médias de masse prouvent que ses
créateurs croient en son pouvoir. Les études récentes ont aussi prouvé
son efficacité, particulièrement lorsque le message est négatif.

« Une équipe de l’University College de Londres, financée par le Wellcome Trust, a découvert qu’elle [la perception subliminale] était particulièrement bonne à inculquer des pensées négatives. « Il y a eu beaucoup de spéculations pour savoir si les gens pouvaient traiter inconsciemment l’information émotionnelle, par exemple des images, des visages et des mots », a dit le professeur Nill Lavie, qui a conduit la recherche. « Nous avons montré que les gens peuvent percevoir la valeur émotionnelle des messages subliminaux et avons démontré de façon concluante que les gens sont beaucoup plus à l’écoute des mots négatifs. »

Source

Un exemple célèbre de message subliminal en communication politique est dans la publicité de George Bush contre Al Gore en 2000.

Juste après que le nom « Gore » est mentionné, la fin du mot «
bureaucrats » – « rats » – flashe à l’écran pendant une fraction de
seconde.

La découverte de cette ruse a causé pas mal de remous, même s’il n’y a
aucun loi contre les messages subliminaux aux E-U, la publicité a été
retirée des chaînes.

Comme on peut le voir dans beaucoup d’articles sur Vigilant Citizen,
les messages subliminaux et semi-subliminaux sont souvent utilisés dans
les films et les clips pour communiquer des idées et des messages aux
spectateurs.

Désensibilisation

Par le passé, lorsque des changements étaient imposés aux
populations, elles descendaient dans la rue, protestaient, voire
déclenchaient des émeutes. La principale raison de ces affrontements
était dûe au fait que les changements étaient clairement annoncés par
les dirigeants et compris par la population. C’était soudain, et les
effets pouvaient être clairement analysés et évalués. Aujourd’hui,
lorsque l’élite a besoin que le public comprenne une partie de son
programme, elle le fait à travers la désensibilisation. Le programme,
qui peut aller à l’encontre des meilleurs intérêts du public, est
lentement, peu à peu et à maintes reprises présenté au monde à travers
les films (en l’impliquant dans l’intrigue) des clips (qui le rendent
cool et sexy) ou les nouvelles (qui le présentent comme une solution aux
problèmes actuels). Après plusieurs années d’exposition des masses à un
programme particulier, l’élite expose ouvertement son projet au monde
et, à cause de la programmation mentale, il est accueilli dans
l’indifférence générale, et passivement accepté. Cette technique vient
de la psychothérapie.

« Ces techniques de psychothérapie, largement pratiquées et acceptées comme un moyen de guérir les désordres psychologiques, sont aussi des méthodes pour contrôler les gens. Elles peuvent être systématiquement utilisées pour influencer les attitudes et les comportements. La désensibilisation systématique est une méthode utilisée pour faire disparaître l’anxiété afin que le patient (le public) ne soit plus troublé par une peur spécifique, la peur de la violence par exemple. […] Les gens s’adaptent aux situations effrayantes s’ils y sont suffisamment exposés. »

– Steve Jacobson, « Contrôle de l’esprit aux Etats-Unis »

On peut souvent trouver de la programmation prédictive dans le genre
de la science-fiction. Elle représente une image spécifique du futur –
celui qui est désiré par l’élite – qui devient au bout du compte
inévitable dans l’esprit des hommes. Il y a dix ans, le public a été
désensibilisé à la guerre contre le monde arabe. Aujourd’hui, le public
est petit à petit exposé à l’existence du contrôle de l’esprit, au
transhumanisme et à l’existence d’une élite Illuminati. Emergant de
l’ombre, ces concepts sont à présent partout dans la culture populaire.
C’est ce qu’Alice Bailey décrit sous le nom d’ « externalisation de la
hiérarchie » : ceux qui dirigent dans l’ombre se révèlent lentement…

Symbolisme occulte dans la culture populaire

Metropolis – Un film de l’élite pour l’élite ?

Contrairement aux informations présentées ci-dessus, la documentation
sur le symbolisme occulte est plutôt difficile à trouver. Cela ne doit
pas se révéler surprenant, puisque le terme « occulte » signifie
littérallement « caché ». Cela veut dire aussi « réservé à ceux qui
savent » puisqu’il est seulement communiqué à ceux qui sont considérés
dignes de ce savoir. Il n’est ni enseigné dans les écoles ni discuté par
les médias. Il est donc considéré marginal voire ridicule par la
population en générale.

Le savoir occulte n’est cependant PAS considéré comme ridicule dans
les cercles occultes. Il est considéré intemporel et sacré. Il y a une
longue tradition de savoir hermétique et occulte qui s’enseigne à
travers les sociétés secrètes qui viennent de l’Egypte Ancienne, aux
Mystiques Orientaux, aux chevaliers Templiers jusqu’aux Francs-Maçons
des temps modernes. Même si la nature et l’étendue et ce savoir a très
probablement été modifié, altéré à travers les siècles, les écoles de
l’occulte ont gardé leurs principales caractéristiques, qui sont
hautement symboliques, ritualistes et métaphysiques.
Ces caractéristiques, qui étaient une part complexe des anciennes
civilisations, ont totalement été évacuées de la société moderne pour
être remplacées par un pragmatisme matérialiste. Pour cette raison il
existe un fossé de compréhension important entre la personne lambda et
l’institution ritualiste.

« Si cette doctrine ésotérique a toujours été dissimulée aux masses, pour qui un code plus simple a été partitionné, n’est-il pas hautement probable que les représentants de chaque aspect de la civilisation moderne – philosophique, éthique et scientifique – soient ignorants de la vraie signification de ces théories et principes mêmes sur lesquels leurs croyances sont fondées ? Est-ce que les arts et les sciences que la race a héritées de nations plus anciennes dissimulent derrière leure jolie façade un mystère si grand dont seuls les intellectuels les plus illuminés peuvent comprendre la portée ? C’est très certainement le cas. »

– Manly P. Hall, « Enseignements secrets de tous les âges ».

Le « code plus simple » partitionné pour les masses avait pour
habitude d’être les religions organisées. Maintenant, c’est devenu le
Temple des Médias de Masse et il prêche quotidiennement le matérialisme
extrême, la vacuité spirituelle et une existence individualiste, tournée
vers soi. C’est exactement le contraire des attributs requis pour
devenir un homme réellement libre, comme c’est enseigné par les grandes
écoles de pensée. Est-ce qu’une population abêtie est plus facile à
tromper et à manipuler ?

« On dit à ces esclaves aveugles qu’ils sont « libres » et « bien éduqués », même quand ils marchent au pas derrière des signes qui feraient s’enfuir d’eux paniqué et en criant n’importe quel paysan du Moyen-Age. Les symboles que l’homme moderne embrasse avec la confiance naïve d’un enfant équivaudraient à cet écriteau sur une pancarte : « Direction votre mort et l’esclavage », comme le comprendrait un paysan de l’antiquité ».

– Michael A. Hoffman II, « Sociétés secrètes et guerre psychologique ».

En conclusion

Cet article a porté un regard sur les penseurs majeurs dans le
domaine des médias de masse, la structure d’influence des médias, et les
techniques utilisées pour manipuler les masses. Je crois que cette
information est vitale pour la compréhension du « pourquoi » dans les
sujets débattus sur The Vigilent Citizen. La dichotomie entre
la « masse de la population » contre « l’élite dirigeante » décrite dans
nombre d’articles n’est pas une « théorie de la conspiration » (encore
une fois je déteste ce terme), mais une réalité qui a été précisément
indiquée dans les travaux de quelques uns des hommes les plus influents
du XXème siècle.

Lippmann, Bernays et Lasswell ont tous déclaré que le public n’était
pas à même de décider de son propre destin, qui est le but inhérent à la
démocratie. A la place, ils en ont appelé à une « cryptocratie », un
gouvernement caché, une classe dirigeante en charge du « troupeau
perplexe ». Au fur et à mesure que leurs idées continuent d’être
appliquées à la société, il est de plus en plus visible qu’une
population ignorante n’est pas un obstacle dont les dirigeants doivent
s’occuper : c’est quelque chose de DESIRABLE, et, en effet, nécessaire
pour assurer un leadership total. Une population ignorante ne cherche
pas ses droits, ne cherche pas une plus grande compréhension des
problèmes, ne questionne pas l’autorité. Elle suit simplement la
tendance. La culture populaire pourvoit aux besoins de l’ignorance et la
nourrit en servant continuellement du divertissement asphyxiant le
cerveau et en mettant en lumière des célébrités dégénérées pour qu’elles
soient idolatrées. Beaucoup de gens me demandent : « est-ce qu’il y a
un moyen d’arrêter ça ? ». Oui, il y en a un. ARRETEZ D’ACHETER LEURS
SALOPERIES ET LISEZ UN LIVRE.

« Si une nation espère être ignorante et libre, elle espère ce qui n’a jamais été et ce qui ne sera jamais. »

– Thomas Jefferson




Journalisme et vérité font-ils bon ménage dans les grands médias ?

[Source : Le Grand Soir]

[NdNM : L’introduction suivante du très long article publié par le journaliste Tareq Hadda est-elle descriptive de l’état des grands médias nationaux et internationaux ? En d’autres termes, peut-on encore se fier à ce que rapportent ces derniers, en dehors peut-être des faits divers qu’ils parviennent à couvrir sans grandes déformations ?]

Mensonges, Newsweek et Contrôle de la Narrative Médiatique : Compte-rendu de première main

[Auteur :] Tareq Hadda

La presse est dirigée par une mafia. La liberté de la presse est morte. Les journalistes et les gens ordinaires doivent se lever.

Introduction

Il
y a quelques jours encore, j’étais journaliste à Newsweek. J’ai décidé
de remettre ma démission parce que, essentiellement, on m’a donné un
choix simple. D’une part, je pouvais continuer à travailler pour
l’entreprise, rester dans ses bureaux londoniens chics et gagner un
salaire stable uniquement si je m’en tenais à ce qui pouvait ou ne
pouvait pas être publié et censurais des faits essentiels. J’avais aussi
le choix de quitter l’entreprise et dire la vérité.

En fin de
compte, la décision fut assez simple, même en sachant que son coût sera
sensible. Je serai au chômage, j’aurai du mal à me financer et je ne
trouverai probablement pas un autre emploi dans l’industrie qui me tient
tant à cœur. Si j’ai un peu de chance, je serai dénigré en tant que
complotiste, peut-être un apologiste d’Assad ou même un agent russe – la
dernière insulte grotesque en vogue.

Bien que je sois citoyen
britannique, l’ironie est que je suis à moitié arabe et à moitié russe.
(message personnel à Bellingcat : Je serais heureux de répondre à toutes
vos questions.)

C’est terriblement triste de voir des gens
parfaitement loyaux qui ne veulent rien d’autre que le meilleur pour
leur pays être étiquetés avec des accusations aussi grotesques. Prenons
l’exemple de Tulsi Gabbard, ancienne combattante de la guerre en Irak et
membre du Congrès hawaïen, qui a été la cible d’une torrent de boue
pour s’être opposée à l’intervention des États-Unis en Syrie et pour
s’être simplement opposée à Hillary Clinton, la politicienne la plus
corrompue du Parti démocratique. Ces calomnies sont immatures pour une
démocratie, mais en fait, je me réjouis de telles attaques.

Lorsque
les faits présentés sont totalement ignorés et que les messagers
eux-mêmes sont crucifiés de cette façon, cela indique aux personnes
sensées qui sont en réalité les vrais auteurs des mensonges et où se
trouve la vérité.

Cette vérité est ce qui compte le plus pour moi.
C’est ce qui m’a d’abord poussé vers le journalisme alors que je
travaillais dans l’industrie financière offshore de Jersey après avoir
obtenu mon diplôme à Binghamton University’s School of Management dans
le nord de New York. J’ai été tellement scandalisé lorsque j’ai réalisé
que cette petite île idyllique que j’aimais et sur laquelle j’avais
grandi depuis l’âge de neuf ans, une dépendance de la Couronne
britannique à quinze milles des côtes françaises, était en fait une
plaque tournante pour la fraude fiscale mondiale. Cette prise de
conscience m’est venue alors qu’on disait aux Britanniques que
l’austérité devait se poursuivre – le financement public des écoles, des
hôpitaux, des services de police et de toutes sortes d’autres choses
devait être réduit – pendant que le gouvernement « se remettait » après
avoir renfloué les banques après le crash de 2008. Ce mensonge de
l’austérité, je n’ai plus pu le supporter dès que j’ai compris que mon
rôle administratif et terne faisait en fait partie de ce réseau mondial
d’entreprises pour aider les multinationales, les hommes d’affaires, les
politiciens et les membres de diverses familles royales à éviter de
payer des milliards de dollars en impôts, le tout dans une
infrastructure parfaitement légale dont le gouvernement était pleinement
conscient mais dont il n’avait jamais parlé.

Dans ma naïveté,
alors que je quittais cette industrie et que je commençais ma formation
en journalisme, j’ai rédigé un article qui décrivait en détail une
partie de cette corruption dans l’espoir de sensibiliser davantage le
public à ces questions et dans l’espoir qu’elles ne se poursuivent plus –
bien que je l’aie fait d’une manière qui me mettrait dans une situation
embarrassante et complexe – mais à ma grande déception, mon article est
passé inaperçu et le système demeure à peu près inchangé à ce jour.
Néanmoins, depuis, je n’ai pas regretté une seule fois d’avoir dit la
vérité, surtout pour mon propre bien-être mental : Je n’aurais pas pu me
regarder dans un miroir si j’avais continué à participer dans ce que je
savais être un mensonge. C’est la même force qui me pousse à écrire
aujourd’hui.

Il y a aussi une autre force, plus profonde, qui me
pousse à écrire. Depuis le moment où j’ai décidé de devenir journaliste
et écrivain, bien que je soupçonne l’avoir su intrinsèquement bien
avant, j’ai appris que la vérité est aussi le pilier le plus fondamental
de cette société moderne que nous tenons si souvent pour acquis – une
réalité qui ne nous est pas venue facilement et que nous devons être
extrêmement attentifs à ne pas négliger. C’est pourquoi, lorsque les
institutions journalistiques oublient ce pilier central, nous devrions
tous être scandalisés parce que c’est notre destruction mutuelle qui
vient ensuite. Ça peut ressembler à de l’hyperbole, mais je vous assure
que ce n’est pas le cas. Lorsque l’histoire de nos origines est faussée,
ou plus simplement notre vérité, les nouveaux mensonges s’empilent sur
les anciens jusqu’à ce que notre connexion à la réalité devienne si
incohérente que notre compréhension du monde finit par s’effondrer.
L’échec du journalisme actuel, entre autres facteurs, est sans doute lié
à la régression actuelle du monde occidental. En conséquence, nous
sommes devenus les plus grands auteurs des crimes que nos démocraties
ont été créées pour prévenir.

Bien sûr, pour ceux qui y prêtent
attention, cet échec du journalisme grand public dont je parle n’a rien
de nouveau. Elle dure depuis des décennies et n’était que trop évidente
après le fiasco de la guerre en Irak. Les gouvernements des États-Unis
et du Royaume-Uni, dirigés par des gens qui ne se souciaient guère
d’autre chose que de leur gain personnel, ont dit à la population de
leurs pays respectifs une ribambelle de mensonges et les médias, à
quelques exceptions près, ont tout simplement suivi le mouvement.

C’est
quelque chose qui a monopolisé mon intérêt quand j’étais en formation
pour devenir journaliste. Comment des centaines de journalistes réputés
et bien intentionnés ont-ils pu se tromper à ce point ? J’ai lu de
nombreux livres sur la question, de notamment Manufacturing Consent [La
Fabrique du Consentement] de Noam Chomsky et The First Casualty de
Philip Knightley’s aux travaux de Chris Hedges, l’ancien correspondant
étranger du New York Times, lauréat du prix Pulitzer et qui fut viré du
journal pour s’être opposé à cette guerre (je tiens à préciser que sur
certains points, je suis en désaccord avec lui), mais je croyais
néanmoins qu’on pouvait pratiquer un journalisme honnête. Cependant,
rien de ce que j’ai lu n’était aussi malhonnête et trompeur que ce que
je viens de vivre à Newsweek. Auparavant, je croyais qu’il n’y avait pas
assez de journalistes qui remettaient suffisamment en question le
discours du gouvernement. Je croyais qu’ils n’avaient pas examiné les
faits avec suffisamment d’attention et qu’ils n’avaient pas relié les
points comme une poignée d’autres l’avaient fait.

Non. Le problème est bien pire que ça.

[Lire la suite sur Le Grand Soir]




Didier Raoult défend les réseaux sociaux et s’attaque aux «médias traditionnels»

[Source : RT France]

[Photo d’entête : © Martin BUREAU Source: AFP]

Le charismatique infectiologue de Marseille a réitéré ses piques contre les «médias traditionnels», tels que Le Monde. Il a notamment déclaré que «la plupart du temps, les informations sont de meilleure qualité sur YouTube que sur les médias».

Dans une interview teintée de complaisance sur i24News – notamment accompagnée d’un bandeau mentionnant «Didier Raoult : un visionnaire» –, le microbiologiste est revenu sur le traitement médiatique dont il fait l’objet, critiqué par les uns, adulé par les autres. «Je suis désolé pour les médias traditionnels, mais je pense qu’ils sont en train de rentrer en conflit frontal avec les réseaux sociaux, YouTube par exemple, comme chaînes d’informations», a déclaré en préambule le promoteur du protocole à base d’hydroxychloroquine. «Je dois dire que, la plupart du temps, les informations sont de meilleure qualité sur YouTube que sur les médias», a-t-il asséné.

« Si, sur un podcast, j’ai trois fois la notoriété du journal Le Monde, je comprends que le journal Le Monde n’aime pas »

Dans une longue tirade, le professeur estime par ailleurs qu’«il y a une révolution à faire» avec «une mise en danger des médias traditionnels, qui se traduit aussi par beaucoup de violence». «Si, sur un podcast, j’ai trois fois la notoriété du journal Le Monde, je comprends que le journal Le Monde n’aime pas», argumente-t-il, pointant du doigt le quotidien du soir non sans arrière-pensée. Le Monde a par exemple publié un article où il est considéré que Didier Raoult est «devenu une figure centrale des théories complotistes».

« Les médias traditionnels ne relaient pas plus d’informations exactes que les réseaux sociaux »

«Moi, ça ne me coûte rien [de faire un podcast], cela ne m’apporte rien et donc je deviens un rival incontrôlable dans l’information», poursuit-il. Le médecin appelle ainsi les médias à se saisir des enjeux liés à l’information, estimant qu’«on est dans un tournant historique dans la distribution de l’information». «On ne peut pas ignorer cette évolution absolument considérable et le rôle que prennent les réseaux sociaux dans l’information.

« Donc, on voit que les médias traditionnels, souvent – et cela m’est arrivé – identifient comme des «fake news», des news qui ne sont pas relayées par des médias traditionnels. Mais les médias traditionnels ne relaient pas plus d’informations exactes que les réseaux sociaux »,

conclut-il.

Une analyse clivante qui ne manquera pas d’ajouter une nouvelle coloration au trublion marseillais révélé médiatiquement à l’occasion de la pandémie de Covid-19.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/75134-didier-raoult-defend-reseaux-sociaux-attaque-aux-medias-traditionnels




Ron Paul : les médias mentent au sujet de la « deuxième vague »

[Source : Aube digitale]

PAR JADE

Pendant des mois, le Washington Post et les autres grands médias ont tenu un « bilan des décès » des décès dus au Covid-19 en première page et en tête de leurs bulletins d’information. L’épidémie de coronavirus n’avait d’égal que le nombre de morts. Le récit était destiné à stimuler des gouverneurs comme Cuomo à New York et Whitmer dans le Michigan, qui ont rendu leurs États autoritaires en se basant sur la fausse idée que la destruction des emplois, des libertés et des vies des gens empêcherait en quelque sorte un virus de faire ce que les virus font toujours : se propager dans une population jusqu’à ce qu’ils finissent par perdre leurs forces et s’éteindre.

Le « nombre de décès » figurait toujours à la une des journaux.

Mais tout à coup, au début du mois de juin, les grands médias ont fait un George Orwell et nous ont fait la leçon en nous disant que tout est une question de « cas » et que cela a toujours été le cas. La mort, et surtout le taux de mortalité lié aux infections, n’étaient pas pertinents. Pourquoi ? Parce que depuis le pic d’avril, les décès avaient diminué de 90 % et continuaient de s’effondrer. Ce n’était pas assez terrifiant, alors les médias ont prétendu que cette bonne nouvelle n’existait pas.

Avec l’augmentation massive des tests, le nombre de « cas » a augmenté. Ce n’est pas sorcier : plus vous testez de personnes, plus vous découvrez des « cas ».

[Note : ne tenez pas compte de l’étrange pic de décès, il est dû à une reclassification des décès en maison de retraite dans le New Jersey – la tendance est claire par ailleurs]

Malheureusement, nos grands médias ne s’intéressent qu’à la « politique du parti ». Ainsi, la bonne nouvelle que des millions d’autres personnes ont été exposées alors que le taux de mortalité continue de baisser – ce qui signifie que le virus s’affaiblit – est enterrée sous de faux rapports hystériques de « nouveaux cas ».

Malheureusement, de nombreux gouverneurs, y compris le nôtre ici au Texas, sont incapables de résister aux mensonges sans fin des grands médias. Ils font revivre aux Américains le cauchemar des fermetures forcées d’entreprises, des masques faciaux obligatoires et des restrictions des libertés constitutionnelles fondées sur une propagande mensongère.

Au Texas, la propagande de la « deuxième vague » est devenue si mauvaise que les dirigeants des quatre principaux hôpitaux de Houston ont pris la mesure extraordinaire, à la fin de la semaine dernière, de tenir une conférence de presse commune pour clarifier que les histoires effrayantes d’hôpitaux de Houston submergés de cas de Covid sont tout simplement fausses. Le Dr Marc Boom de Houston Methodist a déclaré que les informations sur la capacité des hôpitaux sont trompeuses. Il a déclaré : « très franchement, nous sommes préoccupés par le fait qu’il y a un niveau d’alarme dans la communauté qui est injustifié en ce moment ».

En fait, de nombreux rapports indiquent que le « pic » des cas au Texas n’est pas dû à une résurgence du virus mais à la pratique des hôpitaux qui consiste à tester le taux de Covid pour chaque patient venant pour une quelconque procédure.

Si c’est positif, cela compte comme une « hospitalisation pour cause de coronavirus ».

Pourquoi les hôpitaux seraient-ils si malhonnêtes dans leurs diagnostics ? Des milliards de dollars fédéraux sont alloués aux établissements sur la base du nombre de « cas de covid » qu’ils peuvent produire. Comme je l’ai toujours dit, si vous subventionnez quelque chose, vous en obtenez davantage. Et c’est pourquoi nous obtenons plus de cas de covid.

Revenons aux mesures originales utilisées pour effrayer les Américains et les inciter à renoncer à leurs libertés constitutionnelles : le nombre de décès quotidiens. Même si nous savons que les hôpitaux ont faussement attribué d’innombrables décès au « Covid-19 » qui étaient des décès AVEC le virus au lieu de l’être A CAUSE de celui-ci, nous constatons que le nombre réel de décès est en baisse constante depuis un mois et demi. La baisse des décès n’est pas un bon moyen de faire de la propagande pour la « deuxième vague », c’est pourquoi les médias et les politiciens ont fait bouger les choses et décidé que seuls les « cas » sont importants. C’est un autre gros mensonge.

Résistez à la propagande et défendez votre liberté. C’est la seule façon de s’en sortir.

Traduction de The Ron Paul Institute for Peace & Prosperity par Aube Digitale




Face à l’annonce par la Russie d’un vaccin contre le Covid-19, les médias basculent dans le camp des anti-vaccins

Par Graham Dockery, journaliste irlandais

Source : RT, le 11 août 2020

Traduction : lecridespeuples.fr

Alors que la Russie déploie sa nouvelle inoculation contre le coronavirus avant des tests cliniques complets, les médias occidentaux ont soudainement bouclé la boucle sur les vaccins. La Russie, semble-t-il, pourrait guérir le cancer, et les médias trouveraient tout de même un moyen de blâmer Poutine.

La Russie a breveté le premier vaccin au monde contre le Covid-19. Le Président russe Vladmir Poutine a annoncé cette percée mardi 11 août, déclarant aux journalistes que sa propre fille avait été vaccinée. Les médecins et les enseignants seront les premiers à recevoir le vaccin, avec un déploiement général prévu en janvier 2021.

Le vaccin est toujours en cours de test, bien que les scientifiques russes se vantent d’avoir des décennies d’expérience dans la lutte contre des virus similaires. Il a passé les deux premières phases de l’essai (sur les singes et les humains), mais le troisième et dernier test placebo est toujours en attente et sera mené parallèlement au déploiement du vaccin sur la base du volontariat.

Forts de ce fait, les médias occidentaux se sont mis à sonner l’alarme. Le New York Times a accusé le Kremlin de « bâcler les tests pour marquer des points de propagande » et a mis en garde contre les dangers des médicaments nouveaux aux tests incomplets. Le Guardian a également mis en garde contre cet effort précipité, ajoutant que « les vaccins pourraient n’être que partiellement efficaces », même après des tests rigoureux. De même, le Washington Post a averti que « les vaccins pourraient être nuisibles ou donner aux gens un faux sentiment de sécurité quant à leur immunité ».

Côté français, citons Le Parisien (« Promettre un remède aussi vite, c’est hyperdangereux… C’est de la com’ ! »), Le Monde (« ‘Il n’y a pas de données connues concernant la qualité, l’efficacité et la sécurité du vaccin russe’, a rapidement réagi une porte-parole du ministère de la santé allemand, rappelant qu’au sein de l’Union européenne ‘la sécurité des patients est la première des priorités’. ‘L’autorisation d’un vaccin en Europe présuppose, outre la preuve de sa qualité pharmaceutique, des connaissances suffisantes tirées des essais cliniques pour prouver l’efficacité et l’innocuité’ »), Le Figaro (« La décision semble très prématurée […] le Pr François Balloux, chercheur à l’Institut de génétique de l’University College London, a jugé ‘inconsciente et insensée’ cette annonce, arguant qu’un vaccin qui n’aurait pas été ‘testé de manière appropriée (…) pourrait avoir des conséquences désastreuses’ »), Libération (« C’est totalement irresponsable […] une décision insensée, et surtout dangereuse […] Un pari fou. Si par chance, l’issue s’avère positive, le procédé pour y parvenir met fin à un consensus médical, historique, centenaire, et accepté par la communauté scientifique qui impose d’être transparent et de respecter un protocole très encadré. […] un pari démagogique, géopolitique et moralement grave. Et terriblement dramatique car cela balaye tous les usages médicaux. »), BFM (« la Russie n’a pas publié d’étude détaillée des résultats de ses essais permettant d’établir l’efficacité des produits qu’elle dit avoir développés. »), LCI (« Un effet d’annonce qui n’a aucun sens […] manipuler une information autour de la vaccination comme le fait Monsieur Poutine est, de mon point de vue, absolument irresponsable. […] Un homme politique comme Vladimir Poutine a la volonté d’apparaître à la pointe de la science, mais ni lui ni son pays ne le sont. »), RTL (« on peut fabriquer un vaccin en quelques mois, mais ce ne sera pas forcément un vaccin efficace et sans effets secondaires. La Russie n’a pas respecté toutes les étapes pour valider son vaccin au plan international. ») 20 Minutes (« Mais c’est quoi cette histoire de vaccin en Russie ? […] un vaccin, cela met généralement une dizaine d’années (!) à être découvert et testé. […] Une fraude des données est donc possible »), Ouest-France (« Il est peu probable que le monde soit sauvé du coronavirus grâce à Spoutnik V. […] avant tout un coup de communication politique […] On ne peut pas dire que la recherche biomédicale russe se soit distinguée ces dernières années. »), France Info (« les essais cliniques, effectués dans un délai très court et sur moins d’une centaine de personnes, rendent les spécialistes sceptiques […] ‘Je suis atterrée par ce genre d’annonce’, déplore la virologue du CHU de Lille Anne Goffard. ‘Le développement de ce vaccin se fait en dehors du débat scientifique.’ […] ‘Il faut un temps de surveillance’ pour ‘s’assurer que le vaccin procure une immunité (…) et ne rend pas malades les personnes vaccinées’. […] C’est une boîte de Pandore »), le JDD (« Vrai remède ou effet d’annonce ? […] Un vaccin qui a brûlé les étapes »), etc. Si seulement le Remdesivir faisait l’objet de tant de précautions !

Dans plusieurs médias, le message était le même. Le vaccin russe n’est pas digne de confiance, n’est guère plus qu’un coup de propagande et pourrait même être un complot néfaste du Kremlin pour inciter l’Occident à sortir son propre vaccin non testé avant la date prévue.

Il est indubitable que la course au vaccin est une question de fierté nationale pour la Russie. Même le nom de ce vaccin, Spoutnik V, fait référence au premier satellite lancé dans l’espace, un énorme coup de propagande de course spatiale pour l’Union soviétique. De même, les articles ont raison lorsqu’ils soulèvent des inquiétudes quant à l’efficacité des vaccins. Comme l’a souligné le Guardian, même les injections testées le plus rigoureusement peuvent être au mieux inefficaces ou au pire avoir des effets secondaires horribles. Ce n’est pas pour rien que le vaccin promis à l’Europe par AstraZeneca fait l’objet d’une clause impérative selon laquelle aucune poursuite contre le laboratoire ne sera possible en cas d’effets nocifs du vaccin. On se demande pourquoi les médias et responsables politiques restent muets à ce sujet.

Pourtant, avant la percée russe, ces mêmes médias étaient de véritables évangélistes du vaccin. « Les vaccinations sauvent des vies, protègent nos enfants et sont l’une de nos plus grandes réalisations en matière de santé publique », lit-on dans un éditorial du New York Times en mars dernier. Ses auteurs, qui comprenaient l’Administrateur de la santé publique des États-Unis, ont démenti les craintes d’effets secondaires et ont exhorté le public à s’unir derrière les campagnes de vaccination du gouvernement. « La méfiance à l’égard d’un vaccin contre le coronavirus », écrivait le journal en juillet, « pourrait mettre en péril l’immunité généralisée. »

Pour être honnête, ce dernier article a soulevé des inquiétudes quant au développement rapide des vaccins, cette fois en s’en prenant au Président Donald Trump et à son projet de recherche « Operation Warp Speed » au lieu de Poutine, mais à peine deux mois plus tôt, le Times décrivait l’effort occidental de lancer un vaccin « en un temps record » en signe d ‘« espoir » au milieu de la pandémie.

Idem pour le Guardian, dont les journalistes se sont moqués la semaine dernière des « mamans blanches de la classe moyenne de Pinterest » qui croient aux théories du complot sur les vaccins, et un mois plus tôt, des experts ont déclaré que même un vaccin imparfait serait « considéré comme un succès ».

Tout comme ce professeur d’Oxford qui a déploré le fait qu’un vaccin britannique efficace pourrait conduire à une dangereuse montée de la fierté nationale, il semble que les médias occidentaux ne supportent pas de voir un vaccin fabriqué par la Russie inverser la tendance contre le coronavirus. Imaginez ça ? La Russie de Poutine, abhorrée comme coupable d’ingérence électorale, d’empoisonnement d’espions et de responsable de l’élection de Trump, qui constitue une épine dans le flanc de l’ordre libéral, livrerait au monde le vaccin qui le sauverait de la peste redoutée ?

Inutile de dire qu’il y aurait beaucoup de dépit dans les quartiers cossus de Londres et de New York (sans parler de Paris).

Bien sûr, ce sont les premiers jours. Tout vaccin potentiel sera toujours un pari, et alors que les essais se poursuivent parallèlement à son déploiement limité, l’efficacité de Spoutnik V n’a pas encore été prouvée. L’effort russe peut à la fin ne mener à rien, et si c’est le cas, au moins les commentateurs de Londres et de New York auront de quoi se réjouir, et tant pis pour la pandémie !




Les tests de coronavirus positifs ne sont pas des «cas»: les experts de la santé démystifient le faux récit des médias mainstream sur la COVID-19

[Source : Mirast News]

Les médias traditionnels affirment que le coronavirus (COVID-19) continue de se propager à travers le pays, mais est-ce que quelqu’un sait vraiment combien de cas il y a ? Selon le Dr Tim O’Shea, le nombre de cas de COVID-19 aux États-Unis d’Amérique peut être radicalement différent des tests positifs, qui, selon les médias, sont les mêmes lorsqu’il s’agit de deux choses différentes.

Dans le podcast thedoctorwithin du podcast d’O’Shea, il a expliqué aux auditeurs que les verrouillages de coronavirus en Amérique n’avaient «jamais été basés sur la science», mais plutôt sur la politique extrême.

Définition des termes populaires dans la «nouvelle normalité»

Pour bien comprendre et disséquer le faux récit de «résurgence» répandu par les médias grand public, vous devez d’abord apprendre les termes ci-dessous:

  •     Spike – Une augmentation soudaine des tests positifs.
  •     Tests – Procédures de diagnostic qui identifient une maladie.
  •     Cas – Individus qui tombent malades d’une maladie.
  •     Épidémie – Quand de nombreuses personnes au même endroit tombent soudainement malades.

Malheureusement, les médias traditionnels ont déformé ces définitions pour atteindre une conformité maximale, tout en craignant que les gens ne jettent un second regard pour découvrir la vérité.https://c0.pubmine.com/sf/0.0.3/html/safeframe.htmlREPORT THIS ADhttps://c0.pubmine.com/sf/0.0.3/html/safeframe.htmlREPORT THIS AD

Alors, est-il vrai qu’il y a eu «une forte augmentation soudaine des tests positifs?» Oui, mais c’est parce qu’en deux mois, le pays est passé de moins de 25 000 tests par jour à près de 600 000 tests par jour. Cela a ensuite abouti à l’énorme augmentation des points positifs dans chaque État.

Mais rappelez-vous, un cas, c’est quand quelqu’un tombe malade d’une maladie, ce qui n’est pas un test positif! Ces deux termes ne sont pas synonymes comme le prétendent les médias.

Science légitime et COVID-19

Plus tôt en mai, Tony Robbins, auteur renommé, entrepreneur et stratège d’entreprise, a interviewé plusieurs experts de la santé dans le podcast Tony Robbins qui ne sont pas d’accord avec le récit quotidien.

Le premier était le Dr Michael Levitt, lauréat du prix Nobel de chimie et professeur de biologie structurale à l’Université de Stanford, qui a expliqué que les décisions d’arrêt de masse étaient prises à partir d’une dynamique anti-scientifique. Les épidémiologistes exagéreront toujours les chiffres afin que personne ne puisse les accuser d’atténuer une nouvelle menace.

Normalement, les maladies se frayent un chemin à travers une population jusqu’à atteindre un point de saturation, généralement à environ un décès pour mille, comme dans toute saison grippale typique. C’est une véritable immunité collective.

Mais COVID-19 est marqué comme quelque chose d’unique dans l’histoire en utilisant la roulette des nombres. Si toute personne qui entre dans une clinique avec de la fièvre ou un mal de tête est considérée comme un cas sans test, alors les nombres de COVID-19 vont évidemment monter en flèche.

Robbins a également interviewé le sénateur d’État Scott Jensen, un médecin du Minnesota. Jensen avait un mot pour décrire le diagnostic du COVID-19 en l’absence de preuves: incité.

Jensen a partagé qu’il avait reçu une note du ministère de la Santé du Minnesota informant les médecins sur la façon de remplir un certificat de décès. Ils ont été entraînés à indiquer la COVID-19 comme cause de décès, même s’il s’agissait en fait du troisième ou du quatrième diagnostic. Il en va de même pour la comorbidité COVID-19, ou lorsque la maladie est suspectée mais non testée avec une autre condition.https://c0.pubmine.com/sf/0.0.3/html/safeframe.htmlREPORT THIS AD

Si un patient meurt en raison d’une maladie cardiaque congestive ou d’un emphysème à l’ICU, il peut être testé positif au COVID-19 une semaine avant de mourir. La cause du décès sera alors répertoriée comme COVID.

C’est la politique courante depuis mars de cette année. Cela ne s’arrête pas là. Il existe également des incitations financières pour les nombres COVID-19 gonflés, a révélé Jensen. Il a partagé que Medicare paierait automatiquement 4 600 $ à 5 000 $ pour un diagnostic de pneumonie.

Les administrateurs d’hôpitaux pourraient recevoir 13 000 $ pour la pneumonie au COVID-19, mais le montant grimpe à 39 000 $ si le même patient atteint de la pneumonie au COVID-19 a besoin d’un ventilateur. Cela suggère que les médecins des hôpitaux sont incités à diagnostiquer autant de cas de COVID-19 que possible.

Nouveaux cas ou tests positifs?

Dans une autre interview, Robbins s’est entretenu avec le Dr Alan Preston, ancien professeur d’épidémiologie et de biostatistique à la Texas A&M University.

Preston a expliqué comment le taux de létalité était constamment surestimé depuis le premier jour. Cela a commencé en mars avec la prédiction de 2 millions de morts aux États-Unis d’Amérique. Les gens semblent oublier que la COVID-19 est une maladie bénigne pour 99% des patients infectés qui ne nécessitent aucun traitement et finissent par se rétablir en une semaine à 10 jours.

Preston a noté que les chiffres avaient soudainement atteint un sommet à la mi-mars de manière «impossible». Un jour, il y a eu un pic exponentiel dans les tests, suivi d’un pic dans les cas, même si les tests n’étaient pas nécessaires.

Robbins lui-même a déclaré qu’en avril, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont annoncé que les tests n’étaient plus nécessaires pour poser un diagnostic de COVID-19. En l’absence de preuve de diagnostic, les médias de masse peuvent revendiquer le nombre de leur choix, ce qu’ils font depuis le début.

Preston a également exprimé ses doutes sur le prochain vaccin, d’autant plus que les experts travaillent sur le vaccin contre le SRAS depuis 10 ans. Les résultats des 15 ans de travail sur le vaccin antigrippal ne sont pas aussi optimistes, et il en va de même pour les 30 ans de travail sur le vaccin contre le sida. Il a averti qu’un vaccin COVID-19 précipité serait probablement tout aussi inefficace.

Le Dr Anthony Fauci, médecin et immunologiste qui détient la moitié du brevet du nouveau vaccin COVID-19, affirme que l’Amérique ne peut pas revenir à la normale sans vaccin. Cette notion populaire alimente également le verrouillage prolongé du pays. [Il a tout simplement repris la chanson de Bill Gates – MIRASTNEWS].

Mais si les experts ne peuvent pas trouver un remède contre le sida ou le rhume, y a-t-il même un espoir pour un vaccin COVID-19? Preston a averti que le verrouillage du COVID-19 peut faire plus de mal que de bien. Cela peut supprimer votre système immunitaire.

Les verrouillages favorisent également la saturation normale d’une nouvelle maladie essayant d’atteindre l’immunité collective puisque les gens sont isolés des interactions et des contacts normaux. (En relation: le site Web des médecins de première ligne des Etats-Unis d’Amérique expose la campagne «criminelle» des géants de la technologie et des agences gouvernementales pour bloquer la guérison du COVID.) [Ces derniers font tellement de profits pendant cette période – MIRASTNEWS].

À New York, 86% des nouvelles infections provenaient de personnes qui restaient à la maison tout le temps. La même chose est vraie pour les autres pays.

Un système immunitaire fort doit être constamment mis au défi par une stimulation douce et régulière provenant d’une interaction humaine normale. Malgré les faux récits quotidiens des médias pop, les hôpitaux sont vides depuis trois mois.

COVID est-il une menace permanente?

Les écrans en plexiglas seront-ils un élément permanent dans les magasins et les restaurants? Avez-vous besoin de porter des masques et des écrans faciaux pour toujours?

Où est la preuve que la COVID-19 est la «première maladie permanente de l’histoire?» Preston a conclu qu’il n’était pas logique de «tanker l’économie» pour protéger le pays contre une maladie normale.

Robbins a également interviewé le Dr Michael Roizen, responsable du bien-être à la Cleveland Clinic.

Roizen a critiqué les conséquences du verrouillage de masse en raison des chiffres suivants:

  •     Au moins 46% de tous les cas de COVID-19 dans le pays provenaient de seulement deux États: New York et New Jersey.
  •     Plus de 50 pour cent des cas ont été enregistrés dans des maisons de retraite.
  •     Au moins 97% des décès dus à la COVID-19 étaient des personnes âgées de plus de 65 ans.
  •     Chez les enfants de moins de 18 ans, la COVID-19 était pratiquement inexistant.

Roizen a proposé des mesures de verrouillage dans le pays. Au lieu d’empêcher tout le monde de sortir, seuls les plus de 70 ans devraient être mis en quarantaine car ils sont à risque. Les personnes infectées devraient également être mises en quarantaine, ainsi que les autres personnes en mauvaise santé.

Roizen pense que le verrouillage n’aurait pas été nécessaire si des décisions importantes avaient été prises par des médecins plutôt que par des bureaucrates.

«Morts de désespoir»

Il y a également eu des rapports de «morts par désespoir» en raison de la catastrophe économique causée par les verrouillages de la COVID-19.

Les données ont montré que:

  •     Les suicides ont augmenté.
  •     La consommation d’alcool a augmenté de 67%.
  •     L’utilisation de la méthamphétamine a augmenté de 300%.
  •     La maltraitance des enfants a augmenté de 35%.
  •     Le chômage a augmenté de 14 pour cent.
  •     Au moins 57% des restaurants ont fermé définitivement, ce qui contribue au taux de chômage.

Cela prouve que les dommages collatéraux causés par les verrouillages sont pires que la COVID-19 elle-même.

Mesures de conformité

Malgré les preuves du contraire, les responsables utilisent des masques et des verrouillages comme mesures de conformité.

Le gouvernement se mêle de la vie quotidienne des Américains ordinaires, mais les gens n’ont pas besoin de savoir comment protéger leur propre santé ou comment pratiquer la liberté médicale. Les citoyens ne sont pas également informés des médicaments ou vaccins à injecter dans leur corps, ce qui vous prive de votre droit d’être en sécurité avec vous-même.

O’Shea a conclu que les Américains en bonne santé n’ont pas besoin d’être mis en quarantaine à cause du faux récit des médias pop et que le gouvernement a oublié un fait important: ils travaillent pour vous et non l’inverse.

Assurez-vous que cela ne se reproduira plus lors des prochaines élections.

Pour empêcher les bureaucrates d’abuser de leur pouvoir, ne votez pas pour quiconque soutient la fausse épidémie et fait couler l’économie, arrêtez d’écouter la propagande des entreprises des médias de masse et prêtez attention aux sources de confiance ayant des opinions non propagandistes.

Restez informés et méfiez-vous des faux récits des médias grand public.

REGARDEZ:         

https://www.brighteon.com/7a0cac08-70f4-43c7-af42-6a3609110224



Sources :

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Natural News




Bill Gates finance nombre des agences de presse les plus puissantes et les plus prolifiques du monde, c’est pourquoi il n’est jamais scruté par les médias

[Source : MirastNews]

Il est rare, et exceptionnellement, de tomber sur une couverture médiatique qui critique même légèrement Bill Gates ou sa soi-disant organisation philanthropique. En effet, un nombre scandaleusement élevé de médias et d’informations sont financés d’une manière ou d’une autre par Gates lui-même.

Dans l’un des exposés les plus approfondis que nous ayons rencontrés à ce jour, les tentacules financiers de la Fondation Bill et Melinda Gates sont pleinement exposés, révélant l’ampleur de l’influence monopolistique de Gates sur la couverture médiatique d’aujourd’hui.

Comme vous l’avez sûrement remarqué depuis que la plandémie du coronavirus de Wuhan [et/ou Etats-Unis d’Amérique et alliés – MIRASTNEWS] (COVID-19) est devenue une chose, Gates n’a été que glorifié par les médias comme l’un des héros de cette saga apparemment sans fin. Tout, de sa volonté de vacciner en masse la planète à ses efforts pour suivre et tracer chaque être humain sur terre, a été soutenu par la machine à filer comme la plus grande chose depuis le pain tranché.

Pour cet écrivain, de toute façon, ce fut une expérience nauséabonde d’assister à ce spectacle d’horreur, sans un coup d’œil même en douceur de la part de quiconque dans n’importe quel média qui est assez courageux pour examiner le véritable programme de Gates. Mais il s’agit moins de bravoure que de moola qui influence la couverture médiatique de l’agenda de Gates.

En fait, la Fondation Gates utilise son vernis philanthropique pour influencer pratiquement tout ce que les médias rapportent sur son organisation. BBC, NBC, Al Jazeera, ProPublica, National Journal, The Guardian, Medium, Univision, le Financial Times, The Atlantic, et beaucoup [dont Le Monde – MIRASTNEWS], beaucoup – avez-vous compris les nombreux? – plus de noms de famille sont tous dirigés, au moins en partie, par Gates grâce au financement que leur organisation leur procure.

Il fut un temps où ce n’était pas le cas, bien sûr, mais au cours des dernières décennies en particulier, Gates s’est frayé un chemin dans pratiquement tous les médias grand public existants, le tout sous le couvert de la philanthropie.

«Il y a vingt ans, les journalistes ont examiné la première incursion de Bill Gates dans la philanthropie comme un moyen d’enrichir son entreprise de logiciels, ou un exercice de relations publiques pour sauver sa réputation déchirée à la suite de la bataille antitrust meurtrière de Microsoft avec le ministère de la Justice», explique Tim Schwab, écrivant pour Columbia. Revue de journalisme.

«Aujourd’hui, la fondation fait le plus souvent l’objet de profils doux et d’éditoriaux élogieux décrivant ses bonnes œuvres.»

Gates est le deuxième homme le plus riche du monde et sans doute le numéro un le plus dangereux

L’évaluation approfondie de Schwab sur Gates depuis sa première incursion dans la philanthropie jusqu’à présent est l’une des choses les plus révélatrices que nous ayons jamais vues. Il ne fait tout simplement aucun doute que tout le récit mondial entourant non seulement le coronavirus de Wuhan [et/ou Etats-Unis d’Amérique et alliés – MIRASTNEWS] (COVID-19) mais aussi les vaccinations, les produits pharmaceutiques, l’agriculture et l’éducation est un produit direct du financement de Gates dans les coulisses.

C’est un problème qui afflige d’autres organisations à but non lucratif, ainsi que des organes de presse dits publics comme NPR et PBS. Pratiquement chaque point de vente ou organisation qui publie tout type de nouvelles reçoit divers niveaux de financement de l’empire Gates, croyez-le ou non, ce qui est tout simplement effrayant.

«Les nouvelles sur Gates ces jours-ci sont souvent filtrées à travers les perspectives des nombreux universitaires, organisations à but non lucratif et groupes de réflexion financés par Gates», explique encore M. Schwab. «Parfois, il est livré aux lecteurs par des rédactions ayant des liens financiers avec la fondation.»

Alors que Schwab a été en mesure de retracer avec une clarté impressionnante une grande partie de la destination du financement de Gates, il y a apparemment tellement plus qui est introuvable car toutes les formes de financement de Gates ne doivent pas être signalées.

«L’ampleur des dons de Gates aux médias d’information reste inconnue, car la fondation ne divulgue publiquement que les sommes accordées par le biais de subventions caritatives, et non par le biais de contrats», explique-t-il.

Par conséquent, cela est devenu une sorte de jeu de devinettes essayant de déterminer qui est sur le chômage des portes, et qui ne fait tout simplement pas la diligence raisonnable en cherchant la vérité sur cet eugéniste milliardaire. Car regardons les choses en face: presque personne avec un niveau d’influence substantiel ne dit jamais quoi que ce soit de négatif, même de loin, à propos de Gates ou de sa fondation.

«De la même manière que les médias d’information ont donné à Gates une voix démesurée dans la pandémie, la fondation a longtemps utilisé ses dons caritatifs pour façonner le discours public sur tout, de la santé mondiale à l’éducation en passant par l’agriculture – un niveau d’influence qui a permis à Bill Gates de figurer sur la liste Forbes des personnes les plus puissantes au monde», prévient encore Schwab.

«La Fondation Gates peut souligner d’importantes réalisations caritatives au cours des deux dernières décennies – comme aider à lutter contre la poliomyélite et investir de nouveaux fonds dans la lutte contre le paludisme – mais même ces efforts ont attiré des détracteurs experts qui disent que Gates peut en fait nous causer du tort ou nous distraire de projets de santé publique plus importants et vitaux.»

Assurez-vous de lire le rapport complet de Schwab sur Bill Gates à ce lien.

Pour plus d’informations sur la tromperie qui sévit dans les médias grand public en raison d’influences extérieures telles que celle imposée par Bill Gates, assurez-vous de consulter Deception.news.

Les sources de cet article incluent:

CJR.org

NaturalNews.com

Ethan Huff

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Natural News


Bill Gates a donné des centaines de millions de pots-de-vin à des MSM, à des journaux et à des sociétés d’information télévisée pour enterrer des histoires négatives sur la Fondation Gates

Image: Bill Gates gave hundreds of millions in bribes to MSM, newspapers, TV news companies to bury negative stories about Gates Foundation

Si vous vous demandez pourquoi les grandes entreprises de presse comme le New York Times et USA Today ainsi que NBC News et PBS – et bien d’autres – publient rarement des histoires négatives sur les problèmes et les catastrophes vaccinales (décès) causés par Bill et Melinda Gates Fondation – ils ont reçu des pots-de-vin de facto pour leur silence. Et bien payé. Par Gates. En fait, la plupart des médias aux États-Unis d’Amérique [et dans le monde – MIRASTNEWS] sont dans la poche de Bill Gates, selon des révélations sur le podcast Thomas Paine. Écoutez ci-dessus.

(En savoir plus sur: TruePundit.com)

Gates a infiltré tous les principaux médias, se répandant autour de centaines de millions – peut-être des milliards – pour contrôler et s’assurer que seuls des articles de presse gonflés et positifs sont publiés sur sa fondation. Les histoires négatives sont enrichies, cachées. Juste qui Gates a-t-il graissé dans les MSM?? Et combien de centaines de millions a-t-il versé en pots-de-vin? Vous ne croirez pas à quel point la corruption est profonde.


Écoutez le podcast perspicace de Thomas Paine en cliquant ci-dessous –

https://megaphone.link/TPM2172795317 :

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Fort Russ




Martine Wonner (exclue de LREM en mai, car contre le confinement) : “Le masque ne sert strictement à rien”

[Sources : Sylvano Trotta et Planetes 360]

Cette Nuit [du 2 au 3 octobre], l’Assemblée Nationale quasi déserte (que fait votre député ?) a voté la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 1er avril ! Seuls 17 députés s’y sont opposés !!!

Réanimatrice & médecin psychiatre, Martine Wonner explique clairement la situation COVID19 aujourd’hui avec des FAITS. En plus, elle ajoute que le CDC (santé USA) s’est excusé pour s’être trompé sur l’Hydroxychloroquine et qu’une étude du CDC confirme qu’il n’y a pas d’évidence pour le port de masque. [Source en anglais : https://www.politico.com/news/2020/09/21/cdc-coronavirus-spread-airborne-419363]

https://youtu.be/Hpk6PFtU2Tc



La mouche sur la tête de Pence n’était pas réelle, mais virtuelle

M. Pence était en train de parler, avec le plus grand sérieux, du dossier des forces de l’ordre dans le pays lorsque la fameuse mouche s’est posée sur sa tête, pile au moment où il prononçait les mots «c’est une grande insulte». Stoïque, le politicien a continué à parler sans s’interrompre ou faire le moindre geste pour chasser l’insecte malvenu.

Le Journal de Montréal
AGENCE QMI
Mercredi, 7 octobre 2020 23:39
MISE À JOUR Jeudi, 8 octobre 2020 08:48

Il n’y a pas de bassesse dans laquelle la gauche [les démocrates] ne sombrera pas, y compris le collage graphique d’une mouche sur Pence et J’AI UNE PREUVE.

Regardez quel domaine a été enregistré 20 minutes avant l’atterrissage de la mouche sur Pence :
La mouche a atterri sur Pence à 2 h 43 UTC (22 h 43 locale).
Le domaine a été enregistré à 02h23 UTC (22 h 23 locale).

Regardez – il a été enregistré DE Washington DC.
Quelqu’un savait que la mouche allait arriver.
Certains disent que la mouche était un drone à cause de cela, mais je pense juste que c’était une astuce graphique.

[NdNM : Si cela avait été un drone miniature, Pence aurait réagi à sa présence.]

Cette mouche était exactement la même chose que les reportages sur les fusillades de masse publiées avant la fusillade, ou que l’annonce de l’explosion du bâtiment 7 sur la BBC avant qu’il explose [lors des attentats du 11 septembre 2001], quelqu’un savait que le graphique de la mouche allait se produire, alors ils ont enregistré ce domaine. Maintenant, plutôt que de parler de la façon dont Pence a coulé Kamala, il s’agit de la mouche.

Jim Stone
Journaliste indépendant




« La minute de Ricardo »: Le nouveau vaccin, mode d’emploi ! Un passeport numérique pour l’enfer ?

[Sources : Profession Gendarme et Étienne de La Boétie]

C’est cela l’avenir que vous voulez ? Pour vous ?  Et surtout pour vos enfants ?

Aller plus loin – Source LCI 12/2019 :
« Il devient fluorescent lorsqu’on pointe un smartphone : demain, un carnet de vaccination sous la peau ? »
https://www.lci.fr/sciences/il-devient-fluorescent-lorsqu-on-pointe-un-smartphone-demain-un-carnet-de-vaccination-sous-la-peau-2140786.html

Nous allons devoir nous battre TOUS ENSEMBLE ! Pour une France Libre, sans Masque, ni Préjugé ! Une France qui dit NON à la Soumission !

« Il y a un pacte vingt fois séculaire entre la grandeur de la France et la liberté du monde. »

Général De Gaulle.
Discours du 1er mars 1941 à la Réunion des Français de Grande-Bretagne.

« La minute de Ricardo » est un nouveau concept, un billet d’humeur, une nouvelle idée lancée par Richard Boutry.

Richard Boutry ex journaliste/présentateur à Soir 3 et TV5 monde, est un professionnel hors normes. Alliant rigueur et éthique. il revient chaque jour sur une idée, un concept, un mot, une phrase et décline cette idée en une minute chrono.

Son compte Facebook :
https://www.facebook.com/people/Richard-Boutry/540678368

https://youtu.be/EXbTKYzUaqk



CoVid 19/Le Grand Oral du Dr Gérard Guillaume, rhumatologue, membre de BonSens.org

[Source : Étienne de la Boétie]

Dr Gérard GUILLAUME – Rhumatologue
Biographie (sources : ODENTH et wiki : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronimed)
Rhumatologue, ancien interne des hôpitaux, le Dr Gérard GUILLAUME est qualifié en immuno-rhumatologie, médecine et traumatologie du sport, biologie du sport, radiologie du sport, nutrition du sport, médecine manuelle, phytothérapie et acupuncture.

Il fut consultant à l’Institut National des Sports, de l’Expertise et de la Performance (INSEP) pendant plusieurs années, médecin de l’équipe de France de cyclisme sur piste et des juniors, médecin de l’équipe cycliste professionnelle de la Française des Jeux de 199 à 2015.

Il est président de Chronimed, groupe de recherche clinique organisé autour du Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine.

Auteur de nombreux articles médicaux tant en médecine du sport, qu’en rhumatologie et acupuncture. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages de médecine chinoise, en phytothérapie, diététique et acupuncture avec son ami le Dr Mach Chieu, dont le Zhen Jiu Zi Sheng Jing, le Dictionnaire des points d’acupuncture, le Manuel d’herboristerie et de pharmacopée chinoise. Il a également écrit un traité de Diététique du cycliste professionnel et amateur.

https://youtu.be/OrLwxnxzU2E



Nouvelle religion : le covidisme (humour)

[Source : Karim Duval]




Réveil d’un coma de 9 mois en 2020… T’inquiète pas… !

[Source : Eric Remacle via Sott.net]

Après que la plupart des journalistes et des médecins ne soient plus connectés à ce qui fait l’âme de leur métier, c’est au tour des humoristes de rester frileux et de manquer d’audace.

Beaucoup de médecins ont oublié leur serment d’Hippocrate, beaucoup de journalistes ont oubliés la charte de déontologie de Munich et il semble que la plupart des humoristes ont oublié leur courage… Dès lors, je me vois contraint, de manière maladroite, de pourvoir à leur manquement grave.

Car avouons-le, si on met de côté le drame de celles et ceux qui sont morts avec le Covid, comme avec tous les sujets, il y a quand même ici de quoi rire devant tant d’absurdités…

J’espère que ma petite vidéo vous amusera ! C’est l’histoire d’un médecin qui est tombé dans le coma début janvier 2020 et se réveille en septembre… Le réveil sera particulier.

Eric Remacle est auteur de livres et de pédagogies axés sur la maîtrise du stress et l’atteinte du bonheur intérieur. Il transmet des clés issus de ses 30 ans d’expérience en thérapie, formation, hypnose, méditation afin de vivre une vie libérée et lumineuse !




Innovation : du bois complètement transparent, qui pourrait remplacer les vitres conventionnelles

[Source : Anguille sous roche]

[NdNM : l’article ne mentionne pas les éventuelles conséquences négatives, comme l’existence possible de COV (Composés Organiques Volatiles) cancérigènes ou toxiques.]

Le sujet de cet article pourrait paraître quelque peu en avance sur son temps : des fenêtres en bois transparent pourraient bientôt remplacer les fenêtres en verre conventionnel.

Cependant, il s’agit bel et bien d’une technologie sur laquelle travaillent des chercheurs depuis maintenant plusieurs années et récemment, ils ont fait une avancée remarquable qui place ce produit futuriste dans un avenir proche. Les avantages d’un tel matériau sont nombreux, dont une meilleure isolation thermique, une meilleure résistance à l’impact et bien entendu, une durabilité accrue.

Junyong Zhu, chercheur du Forest Products Laboratory (FPL), en collaboration avec des collègues de l’Université du Maryland et de l’Université du Colorado, a mis au point un matériau en bois transparent qui pourrait devenir la fenêtre de demain. Les chercheurs ont découvert que le bois transparent a le potentiel de surpasser le verre actuellement utilisé dans la construction dans presque tous les domaines. Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Advanced Functional Materials.

Si le verre est le matériau le plus couramment utilisé dans la construction des fenêtres, il a un prix économique et écologique élevé. La chaleur se transfère facilement à travers le verre, en particulier les vitres simples, et entraîne une augmentation de la consommation énergétique lorsqu’elle s’échappe par temps froid et se répand lorsqu’il fait chaud. La production de verre dans le secteur de la construction a également une forte empreinte carbone. Pour donner un chiffre : les émissions mondiales de dioxyde de carbone dues à la fabrication du verre sont d’environ 25’000 tonnes par an.

Un morceau de bois transparent fabriqué par le Forest Products Laboratory (FPL). Les travaux de recherche du FPL sur l’utilisation du bois pour la fabrication de fenêtres progressent à grands pas. Crédits : USDA Forest Service

Une promesse pour l’avenir

Aujourd’hui, le bois transparent apparaît comme l’un des matériaux les plus prometteurs des prochaines décennies. Le bois transparent est, pour le moment, créé à partir du bois de balsa, un arbre à croissance rapide et à faible densité. La matière première est traitée à température ambiante dans un bain oxydant, qui la blanchit de presque toute matière opaque. Le bois est ensuite pénétré avec un polymère synthétique appelé alcool polyvinylique (PVA), aboutissant à un matériau pratiquement transparent.

La cellulose naturelle de la structure du bois et la charge polymère absorbant l’énergie du bois transparent le rendent beaucoup plus durable et plus léger que le verre. Il peut résister à des impacts beaucoup plus importants que le verre conventionnel et, contrairement à ce dernier, il se plie ou se fend au lieu de se briser.

Schéma résumant le processus de fabrication du bois transparent, qui présente diverses caractéristiques exceptionnelles par rapport aux fenêtres en verre. a) Les grandes pièces initiales de bois naturellement aligné sont obtenues par une méthode de coupe rotative à échelle variable, adoptée par l’industrie. Le bois transparent présente des propriétés optiques optimisées après délignification et infiltration PVA. b) Une carte radar compare les différentes propriétés du bois transparent, du bois naturel et du verre, lorsqu’ils sont utilisés comme matériaux de construction. c) Schéma du principe d’économie d’énergie en utilisant le bois transparent dans les fenêtres extérieures d’un bâtiment, par temps froid. Crédits : Université du Maryland/ Université du Colorado/ Forest Products Lab

Le passage au bois transparent pourrait également s’avérer rentable. En effet, il est environ cinq fois plus efficace thermiquement que le verre, ce qui réduit les coûts énergétiques. Il est fabriqué à partir d’une ressource durable et renouvelable, avec de faibles émissions de carbone. Il est également compatible avec les équipements de traitement industriel existants, ce qui rend facile la transition vers la fabrication de ce nouveau verre. Avec tous ces avantages potentiels pour les consommateurs, la fabrication et l’environnement, les arguments en faveur du bois transparent ne pourraient pas être plus clairs, et son avenir dans nos futures habitations est à prévoir.

Sources : Trust My Science – Journal of Advanced Functional Materials




Médicament miraculeux ou bien Vaccin ?

[Source : Guy Boulianne]

[Auteur : Guy Boulianne]

[NdNM : l’extrait suivant provient de l’article source]

Dans [une] vidéo [ci-dessous] extrêmement importante de la conférence de l’Institut Schiller qui s’est achevée le 6 septembre, l’ancien sénateur de l’État de Virginie et juge-avocat général Richard Black [1] constate que des généraux à la retraite, maintenant actifs contre Donald Trump, enfreignent l’article 88 du Code uniforme de justice militaire. Il nomme les noms et dit ce que le président devrait ordonner au secrétaire à la Défense Mark Esper de faire si Esper ne le fait pas lui-même.

La publication Defense One (qui fait la promotion de la biopuce injectable pour la détection du Covid-19) utilisée par les insurgés appartient maintenant à Atlantic Media, principalement Laurene Powell Jobs, qui a été un ange financier clé pour soutenir Kamala Harris. Atlantic Media publie également The Atlantic, qui diffuse le faux récit actuel sur le président dénigrant l’armée.

Le 2 octobre 2020, Donald Trump annonçait qu’il se rendait à l’hôpital militaire Walter Reed, en banlieue de Washington, en raison de ses symptômes liés à la COVID-19. La femme de M. Trump, Melania, aurait aussi été infectée. Dès le lendemain, le président des États-Unis publiait une vidéo dans laquelle il disait se sentir bien, que le covid avait affecté des millions de personnes et qu’il se battait, non seulement pour les États-Unis, mais pour le monde entier. Il a ajouté qu’il prenait des « médicaments thérapeutiques miraculeux, provenant de Dieu ». Le 4 octobre suivant, il annonçait qu’il sortait déjà de l’hôpital. Trump précisait un peu plus tard sur Twitter : « Je quitterai le grand centre médical Walter Reed aujourd’hui à 18h30. Je me sens très bien! N’ayez pas peur de la Covid. Ne la laissez pas dominer votre vie. Nous avons développé, sous l’administration Trump, de très bons médicaments et de bonnes connaissances. Je me sens mieux qu’il y a 20 ans! » Cette sortie fut annoncée dans la presse internationale.

Depuis le début, j’ai eu l’audace de présumer que ceci faisait partie d’une stratégie visant à mettre K.-O. le Big Pharma, et à promouvoir un « médicament thérapeutique miraculeux » à l’échelle internationale, au détriment d’un vaccin qui aurait pour objectif principal de nous implanter une micropuce de traçage numérique. Peut-être aussi s’est-il rendu au Centre militaire Walter Reed pour se protéger contre un coup d’état imminent ! L’avenir dira si j’ai raison ou non d’énoncer de telles hypothèses …




L’association BonSens – Mise à jour

[Source : Silvano Trotta]

https://youtu.be/l4bGeq-LUJQ

Le site de l’Association est à l’adresse suivante :
https://bonsens.info/




La transformation de la jeunesse américaine en gang de moumounes* aurait-elle été scientifiquement élaborée ?

[Source : Sott.net]

[* gang de moumounes : québécisme signifiant approximativement « bande de lopettes ».]

La pussification de la jeunesse américaine aurait-elle été scientifiquement élaborée ?

Il y a eu beaucoup de débats ces derniers temps pour savoir quelle est la génération d’Américains la plus responsable des échecs actuels de la société américaine :

  • Les baby-boomers reprochent aux millennials d’être faibles, paresseux et d’avoir l’impression que tout leur est dû;
  • Les millennials, eux, reprochent aux baby-boomers d’avoir ruiné le système avant même de les avoir mis au monde, alors que ces derniers profitaient des fruits d’une économie encore prospère.

La vraie réponse est que c’est en partie la faute des DEUX générations, mais pas pour les raisons qui sont souvent invoquées.

Le conflit entre les boomers et la génération « flocons de neige », les jeunes adultes de 2010 perçus comme prompts a être offensés et moins résilients, est un récit contrôlé qui évite délibérément les grandes questions en jeu. Oui, les nouvelles générations d’Américains ont été complètement choyées, mais je crois que cela fait partie d’un programme plus vaste, et les parents des baby-boomers y ont joué un rôle à leur insu et d’une façon stupide.

Dans la guerre de la quatrième génération, le concept consiste à détruire une nation ou une civilisation sans recourir à la confrontation militaire directe, du moins pas tout de suite. L’objectif est plutôt de déstabiliser la société cible de l’intérieur et de laisser les citoyens s’autodétruire. Ensuite, une fois que la population est dans un chaos suffisant, vous vous installez avec vos forces militaires et prenez le relais, rencontrant une résistance minimale en cours de route.

Cette stratégie peut également être utilisée pour miner et contrôler une population par son propre gouvernement ou par les élites au sein de ce gouvernement, comme moyen d’arrêter une rébellion potentielle contre la structure du pouvoir en place. En d’autres termes, utiliser le chaos contrôlé pour créer la panique et la faiblesse, puis s’emparer de plus de pouvoir pendant que les citoyens sont distraits et désorganisés.

Afin de créer le chaos et la panique dans une population, celle-ci doit être totalement non préparée à faire face aux événements de crise. Elle doit être mentalement douce et manquer de détermination, sinon elle risque de devenir autonome et provocante plutôt que craintive et facile à contrôler.

J’ai récemment étudié les méthodes de conditionnement psychologique utilisées pour préparer les gens aux scénarios de combat et de crise. L’expression « inoculation de stress » revient souvent. Dans certaines branches et unités de l’armée américaine, on insiste de plus en plus sur l’inoculation au stress (au-delà de l’entraînement de base) comme moyen de renforcer les soldats et leur force d’âme, de sorte que lorsqu’ils se retrouvent finalement dans une situation de combat où ils risquent de mourir, qu’ils ne paniquent pas et ne laissent pas l’adrénaline prendre le dessus sur leurs processus moteurs et leur faculté de penser.

Des groupes de réflexion du ministère de la Défense comme la DARPA ont publié de nombreux livres blancs sur le sujet, et l’inoculation antistress est également utilisée dans une certaine mesure pour traiter les personnes souffrant du syndrome de stress post-traumatique.

La capacité à fonctionner calmement sous l’effet du stress est la clé de la préparation au combat. Les guerriers les plus efficaces, et les personnes qui réussissent le mieux dans la vie, ont généralement la capacité de gérer le stress et d’être performants à un niveau élevé alors que d’autres personnes sont terrorisées.

Historiquement, de nombreuses civilisations ont été très prudentes dans le choix et la formation des guerriers pour la défense. Les tribus amérindiennes, par exemple, sélectionnaient soigneusement leurs guerriers et s’assuraient qu’ils choisissaient des hommes qui ne s’enfuiraient PAS au premier signe d’ennui ; ils choisissaient plutôt des hommes dont ils savaient qu’ils affronteraient directement les problèmes. Une petite force d’hommes préparés psychologiquement était considérée comme bien supérieure à une vaste armée de pisseux et d’hystériques potentiels.

L’examen mental des personnes pour vérifier leurs compétences en matière de gestion du stress est une pratique humaine courante depuis des milliers d’années.

Certaines personnes sont simplement nées avec une plus grande capacité pour cela, mais beaucoup d’autres peuvent être formées à l’inoculation de stress en utilisant des méthodes de base. L’essentiel est que les gens commencent à apprendre à gérer le stress dès leur enfance. Ils doivent donc vivre des expériences qui provoquent un stress aigu à court terme, plutôt qu’un stress chronique à long terme.

Le stress aigu à court terme renforce le temps de réaction mentale et augmente la confiance et la stabilité psychologique en acclimatant une personne à la surprise et au choc. Le stress chronique à long terme fait le contraire, ne permettant jamais à la personne de s’acclimater et l’amenant à revenir à un état de peur constant.

Les événements de stress aigu comprennent l’exercice physique, les jeux de compétition, le fait d’être placé dans un environnement inconnu et d’être forcé de s’adapter, le fait d’entreprendre régulièrement de nouvelles compétences utiles, le fait de s’en tenir à un ensemble de compétences jusqu’à ce qu’il soit maîtrisé, et même les interactions avec des groupes plus importants de personnes inconnues, comme la prise de parole en public.

On pourrait également appliquer l’ancien concept philosophique du zen pour mettre l’accent sur l’inoculation, en particulier la pratique consistant à maîtriser une compétence de manière si complète qu’une personne devient « un » avec ce talent, et donc « un » avec elle-même et sa place dans le monde. Si vous avez déjà rencontré une personne qui maîtrise véritablement une compétence utile, vous savez qu’elle a tendance à être extrêmement calme et confiante et qu’elle ne panique pas facilement, quelle que soit la situation.

En faisant des recherches sur les méthodes d’inoculation du stress, j’ai été frappé par la question suivante : « Et si une société faisait exactement le contraire ? Et si toute une génération d’enfants était délibérément protégée contre toutes les formes de stress aigu à court terme ? Et si on les encourageait à ne jamais travailler dur à quoi que ce soit ? Et si on ne leur donnait aucune incitation à atteindre des objectifs ? Et si la concurrence était découragée et si on apprenait aux enfants à la mépriser en la qualifiant de « barbare » et « débilitante » ? Et si l’accomplissement était écarté et que l’idée de « gagner » était éliminée au nom de « l’équité et de l’égalité » ?

Et si une génération d’enfants était si maigre et si peu formée à la gestion du stress qu’elle paniquerait et courait chercher de l’aide auprès de la figure d’autorité la plus proche au premier signe de problème ? Et s’ils étaient si gâtés qu’ils n’avaient jamais appris à prendre soin d’eux-mêmes ? Et si toutes leurs expériences de vie se présentaient sous la forme d’un monde numérique imaginaire, sûr et protégé, où il n’y a pas de risque réel ?

Imaginez maintenant que vous preniez cette génération très choyée et protégée et que vous l’exposiez soudainement à un événement de crise massive, tel qu’un krach économique, ou même à la menace d’une pandémie mondiale ? Comment ce groupe d’enfants, qui passe maintenant à l’âge adulte sans aucune compétence pratique ni résistance émotionnelle, réagirait-il à la situation ?

Toutes leurs actions seraient réactionnaires et ancrées dans la panique et la terreur. Parce qu’ils ne se sont jamais entraînés à faire face à des situations de stress aigu, ils sont maintenant une bombe à retardement ambulante remplie de peur. Ils peuvent réagir en courant et en se cachant, ou en s’attaquant violemment, mais dans les deux cas, ils n’auront aucune maîtrise de soi et seront régis par l’émotion et l’adrénaline plutôt que par la logique et la raison.

Ne serait-ce pas là le moyen le plus efficace de détruire ou de dominer une nation en l’espace de quelques décennies ?

En Amérique aujourd’hui, on observe la tendance la plus évidente des guerriers de la justice sociale parmi les jeunes générations et leur incapacité totale à fonctionner dans une société adulte normale sans protection constante.

Quel est le but de concepts tels que les « espaces sûrs », les avertissements de déclenchement, la diversité forcée, l’intersectionnalité, la théorie critique de la race, les micro-agressions, les préjugés implicites, etc., si ce n’est d’emmailloter artificiellement les gens pour qu’ils n’aient jamais à faire face à des expériences négatives ?

La seule raison de l’existence de ce qu’on appelle les « groupes de victimes » est que les personnes qui n’ont aucune compétence en matière de gestion du stress continuent à éviter tout événement de stress aigu pour le reste de leur vie en rendant socialement ou légalement inacceptable de les critiquer, de les discriminer en tant qu’individus ou de leur imposer des exigences pratiques. Ils deviennent une classe protégée avec des privilèges spéciaux.

Ils nient la nécessité d’une concurrence fondée sur le mérite dans le monde du travail parce qu’ils prétendent que la concurrence est « raciste » et crée des inégalités. Tout ce qui leur cause du stress est immédiatement considéré comme une « agression » contre eux personnellement, et tous les facteurs de stress sont traités comme également offensants ; ce qui signifie qu’une insulte ou une critique devient la même chose qu’une attaque physique, et ils réagissent avec le même niveau de panique émotionnelle aux deux.

Je pense que cela contribue grandement à la ruée de certains jeunes vers le « mouvement trans », car il représente un moyen facile d’obtenir le statut de groupe victime et donc de se protéger du stress.

Ce mouvement de l’enfance perpétuelle s’est-il développé à partir de rien ? Les preuves disent que non. Le mouvement Social justice warrior, avec tous ses fondements marxistes, a été financé et géré directement par des organisations élitistes comme la Fondation Rockefeller et la Fondation Ford. Il devient clair que la « pussification » de la jeunesse américaine n’est pas une progression naturelle mais un programme conçu par ingénierie.

Cela est ouvertement admis dans le livre d’Alison R. Bernstein « Funding The Future : Philanthropy’s Influence On Americas Higher Education«  d’Alison R. Bernstein. Bernstein est la vice-présidente de l’éducation à la Fondation Ford et l’ancienne doyenne associée de la faculté de Princeton.

Mais le problème ne concerne pas seulement les fous de SJW. Un grand nombre de jeunes se retrouvent complètement pris au dépourvu dans la vie adulte et ils reprochent indirectement aux boomers leurs échecs. Contrairement à la croyance populaire, les boomers n’ont rien à voir avec le déclin de l’économie américaine ; si vous voulez trouver les coupables de vos difficultés financières, je vous suggère de vous renseigner sur l’histoire de la Réserve fédérale et sur la manière dont cette institution a systématiquement détruit le pouvoir d’achat de notre monnaie et notre économie au fil du temps.

parents hélicopter

Les boomers sont coupables de leur terrible modèle parental. Ils ont élevé une génération de mauviettes et ont rarement remis en question l’establishment et la propagande médiatique qui leur disaient que l’éducation par l’hélicoptère et le « modèle d’estime de soi » étaient la meilleure façon d’élever leurs enfants. Bien que ce soit peut-être par amour, les baby-boomers ont tellement gâté leurs propres enfants et les ont protégés de tout stress aigu qu’en tant que jeunes adultes, ils n’ont plus la capacité de réussir dans un monde où l’instinct de survie pourrait être nécessaire.

Considérons la plainte la plus courante des adultes de la prochaine génération : les baby-boomers jouissent tous de la propriété d’une maison alors qu’ils ne pourront jamais se permettre ce privilège parce que les baby-boomers ont ruiné l’économie. C’est, selon eux, la raison pour laquelle les baby-boomers ne devraient pas être autorisés à critiquer l’inactivité et la paresse des millennials. Pourtant, la majorité des baby-boomers ont dû quitter la maison et devenir adultes à 18 ans (certains même plus tôt), tandis qu’un grand nombre de millennials vivent avec leur mère et leur père jusqu’à la trentaine, vivants sur leur dos comme de parasites plutôt que de travailler et d’économiser. La Génération Z semble prête à faire de même. Les baby-boomers ont commencé leur vie d’adulte plus tôt, et ont donc accumulé des biens et des richesses plus rapidement.

Bien sûr, les boomers partagent la responsabilité. Les parents hélicoptères ont contribué à ruiner la culture américaine, on a de nombreuses études psychologiques qui indiquent qu’en protégeant les enfants du stress à court terme on détruit leur capacité à s’adapter à l’âge adulte.

Au fond, cependant, les boomers ont été encouragés à tout moment à poursuivre ce style de parentalité par les médias et les fondations élitistes. La Fondation Ford, en particulier, a été l’une des principales forces à l’origine de la méthode moderne d’éducation parentale et publique visant à éviter le stress. La fondation a joué un rôle clé dans le développement de programmes tels que Head Start et a dépensé des centaines de millions pour la formation des enseignants des écoles publiques aux méthodes de justice sociale.

Ford a également été le moteur principal de la création du National Education Television Center, qui est devenu plus tard PBS, et a financé des émissions pour enfants aussi importantes que Sesame Street et Mister Rogers. Cela ne veut pas dire que les producteurs de ces émissions avaient des intentions malveillantes, mais seulement que les deux émissions encourageaient souvent l’évitement du stress plutôt que la confrontation et la gestion du stress. À ce jour, la formation à l’inoculation du stress se fait de plus en plus rare chez les jeunes Américains, et elle est rapidement effacée dans les écoles publiques.

Si l’on en croit l’histoire, les générations les plus faibles face à une crise écrasante exigeront une protection, comme elles l’ont toujours fait, qu’il s’agisse de protection physique ou de protection financière. Et inévitablement, elles se tourneront vers le collectivisme gouvernemental ou les élites financières pour se sentir en sécurité en échange de leurs libertés. Ils n’accordent aucune valeur à leurs libertés, car ils n’ont de toute façon jamais bénéficié du sentiment d’indépendance. L’échange contre le confort devient facile pour eux.

Tous les jeunes Américains ne souffrent pas de ce mal. Beaucoup ont une forte volonté, mais ceux qui le sont admettent généralement librement qu’ils se sentent isolés parmi la majorité de leurs pairs. J’ai du mal à croire que ce soit une simple coïncidence si la génération d’Américains la plus faible de tous les temps est aujourd’hui confrontée à la pire série de crises de notre histoire. Tout cela semble planifié…

L’inoculation contre le stress ressemble beaucoup au renforcement de votre propre système immunitaire – Parfois, vous devez lutter contre les infections lorsque vous êtes jeune afin d’améliorer votre immunité contre les maladies plus tard. De même, vous devez faire face à des événements stressants lorsque vous êtes jeune afin de mieux gérer les crises plus tard dans la vie. Sinon, vous grandissez en étant aussi malléable que de la gelée et aussi facile à dévorer.

La bonne nouvelle, c’est que même à l’âge adulte, on peut apprendre à se vacciner contre le stress. Alors que notre monde devient de plus en plus instable et incertain, être capable de gérer nos propres peurs devient primordial pour le maintien de notre liberté et de nos moyens de subsistance.

Source [anglaise] : Brandon Smith, Alt-Market.us
Traduction Sott.net




Le gouverneur de la Floride ordonne la réouverture complète de l’Etat et interdit aux villes d’infliger des amendes aux criminels anti-masques

[Source : Aube digitale via Réseau International]

par Bobby Caina Calvan.

Le gouverneur Ron DeSantis a levé vendredi toutes les restrictions sur les restaurants et autres commerces en Floride, et a interdit les amendes locales contre les personnes qui refusent de porter des masques alors qu’il cherche à rouvrir l’économie de l’État malgré la propagation du coronavirus.

L’ordonnance du gouverneur républicain a déclenché un nouveau débat dans cet État politiquement divisé, où les réponses à la « pandémie » sont désormais liées à la prochaine élection présidentielle.

DeSantis, un allié majeur du président Donald Trump, a reconnu que la « pandémie » est loin d’être terminée, mais il a déclaré que la menace s’est atténuée et que le moment est venu de rouvrir les portes de l’économie après six mois difficiles.

L’annonce faite vendredi par le gouverneur permet aux restaurants de tout l’État de rouvrir immédiatement à pleine capacité – et empêche les villes et les comtés d’ordonner leur fermeture ou de fonctionner à moins de la moitié de leur capacité, à moins qu’ils ne puissent justifier une fermeture pour des raisons économiques ou sanitaires.

« Nous ne fermerons rien à l’avenir », a déclaré M. DeSantis, tout en insistant sur le fait que l’État est prêt à faire face à une nouvelle augmentation des infections.

Le gouverneur a toutefois autorisé les collectivités locales à limiter les bars à 50 % de leur capacité, mais a ajouté qu’il n’allait pas « faire obstacle » à leur réouverture complète.

Dans le cadre de son plan de réouverture, le gouverneur a interdit aux villes et aux comtés de percevoir des amendes sur les personnes qui violent les règles de distanciation sociale ou qui ne portent pas de masque. Le décret du gouverneur abroge pratiquement les arrêtés locaux mis en place pour limiter la propagation du coronavirus.

« Je pense que nous devons cesser d’essayer de pénaliser les gens qui ne respectent pas les règles de distanciation sociale et travailler avec les gens de manière constructive », a déclaré M. DeSantis.

Les démocrates de Floride ont déploré la hâte avec laquelle le gouverneur a décidé de rouvrir.

« Personne ne plaide en faveur d’un confinement complet en Floride. Mais nous avons demandé et continuons à demander des mesures de prévention relevant du bon sens, comme des masques faciaux, qui sont essentiels pour empêcher une plus grande propagation », a déclaré jeudi la sénatrice Audrey Gibson.

source [anglaise] : https://abcnews.go.com

traduction par Aube Digitale

via https://www.aubedigitale.com




OBÉISSEZ OU AUTREMENT: Le New England Journal of Medicine dit que les personnes qui refusent les vaccins OBLIGATOIRES contre le coronavirus devraient être sévèrement punies, enfermées chez elles et licenciées de leur travail

[Source : MirastNews]

Bienvenue dans le nouveau fascisme médical de 2020. Le New England Journal of Medicine, le même faux chiffon scientifique qui a commis une fraude totale pour étaler [dénigrer] malhonnêtement l’hydroxychloroquine et protéger les intérêts des sociétés de vaccins, dit maintenant que tous les êtres humains doivent être obligés de prendre des mesures obligatoires vaccins. Ceux qui refusent doivent faire face à des sanctions sévères, insiste le NEJM, et des mesures insidieuses doivent être prises pour s’assurer que personne ne peut contester les sanctions devant un tribunal.

Source: Assuring Uptake of Vaccines against SARS-CoV-2, 1 octobre 2020, N Engl J Med 2020; 383: 1296-1299

«[E] En raison de la contagiosité et de la dangerosité du virus, des sanctions relativement importantes pourraient être justifiées, y compris la suspension de l’emploi ou les ordonnances de rester à la maison pour les personnes appartenant à des groupes hautement prioritaires désignés qui refusent la vaccination», indique le journal du NEJM.

Il stipule également que le personnel médical autoritaire doit contourner les procédures régulières afin que personne ne puisse contester ses ordonnances devant un tribunal, déclarant: 

«Ni les amendes ni les sanctions pénales ne devraient être utilisées, cependant … les sanctions pénales invitent à des contestations judiciaires pour des motifs de procédure régulière. [et] peut attiser la méfiance.»

Il poursuit en expliquant que les mandats de vaccination ne devraient pas être promus comme des mandats. Au lieu de cela, ceux qui refusent les vaccins devraient être sévèrement punis afin de forcer les mandats sans jamais le déclarer. «Les mandats [d’états] ne devraient pas être structurés comme une vaccination obligatoire (exigences absolues); au lieu de cela, le non-respect devrait entraîner une pénalité», déclare le journal.

Et puis, incroyablement, le même article continue en affirmant que les autorités sanitaires doivent «renforcer la confiance du public» grâce à un «processus transparent et inclusif», même si le même article a ouvertement affirmé que le public devrait être induit en erreur et contraint à des mandats de vaccination.

À son honneur, le document soutient que les fabricants de vaccins ne devraient plus être impliqués dans l’élaboration de politiques publiques ou la promotion de mandats, car personne ne fait plus confiance aux sociétés de vaccins. (Incroyable à quelle vitesse cela s’est produit, n’est-ce pas?)

Donc, la ligne du bas ici est la suivante:

  • Les autorités sanitaires font pression pour les vaccins obligatoires, mais ils ne les appelleront pas des «mandats».
  • Au lieu de cela, ils vous puniront pour avoir refusé d’accepter leurs mandats, ce qui rendra votre vie misérable.
  • Ils évitent tout mandat qui pourrait être contesté devant un tribunal afin de contourner la procédure régulière.
  • Ils affirment ensuite que c’est ainsi que l’industrie des vaccins peut «établir la confiance» avec le public en prétendant être engagée dans la «transparence».

Grâce aux tyrans de la Covid-19, toute l’idée de «consentement éclairé» est maintenant une histoire ancienne dans l’establishment des sciences médicales. Les promoteurs de vaccins croient qu’ils sont les nouveaux «Judge Dredd» de la société, et ils croient que leurs concoctions expérimentales, aussi risquées ou dangereuses soient-elles, devraient être injectées de force dans tous les êtres humains. Ceux qui résistent devraient être sévèrement punis, affirment-ils, et ils vous puniront d’une manière que vous ne pourrez pas contester devant un tribunal.

Et les faux médias d’information sont à 100% derrière tout cela et vous feront honte si vous ne les suivez pas.

Regardez l’avertissement du Dr Carrie Madej dans une nouvelle interview d’il y a quelques jours:

https://www.brighteon.com/f6465304-2a0f-4e7d-a5ee-f5e4eebc0c4b

En effet, ils déploient un système de «notation du crédit social pour les vaccins» qui exige votre conformité

Ce que vous regardez ici, c’est un système de notation du crédit social pour les vaccins en cours de déploiement à travers l’Amérique, juste sous nos yeux.

Vous ne voulez pas le vaccin? Vous êtes licencié de votre travail.

Vous ne voulez toujours pas la photo? Il vous sera interdit d’entrer dans les épiceries et d’acheter de la nourriture.

Résister aux mandats de vaccination? Les «autorités» de la santé vous enfermeront dans votre propre maison, faisant de vous un prisonnier sans jamais vous entraîner devant un tribunal où vous pourriez être en mesure de vous défendre contre l’emprisonnement.

Il s’agit de la nouvelle tyrannie autoritaire Covid-19/Vaccin, et elle est déployée en ce moment même, juste devant vous, partout en Amérique. New York vient d’annoncer une deuxième vague de lock-out, et personne ne résiste.

Les moutons feront la queue pour l’abattage, et ils ne parleront ni ne résisteront car ils sont saignés à mort au nom du contrôle de la population mondiale. Quiconque est assez stupide pour accepter d’être vacciné est trop stupide pour représenter l’avenir de la race humaine. Ils seront systématiquement abattus avec le vaccin tueur (kill shot). Sinon, comment les mondialistes atteindront-ils leur objectif d’exterminer plus de six milliards d’humains, après tout?

Restez informé et vous pourriez bien rester en vie. Suivez-moi sur http://brighteon.social où plus de 10 000 personnes ont maintenant découvert la liberté de s’exprimer sur les vaccins, la Covid-19, les programmes de dépopulation, les remèdes naturels et plus encore.

Écoutez mon message «Dernier avertissement» ici:

https://www.brighteon.com/d2403723-47f7-4ece-8faa-b3124ca0443e

Mike Adams     

Traduction : MIRASTNEWS

Source [anglaise] : Natural News




Guerres et mensonges

[Source : Ema Krusi]

Dans cet épisode, Sylvain Laforest aborde GLADIO, les opérations secrètes de l’OTAN, le plan d’Israël de 1982 et amène aux prochains épisodes sur la Syrie.

Voici les liens des deux films dont Sylvain nous parle pendant cette capsule :

Film « Romanzo Criminale » http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=61263.html
Film « American Gangster » http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=88156.html

GUERRES et MENSONGES

« NOTRE CONNAISSANCE DE L’HISTOIRE EST BASÉE SUR UN NARRATIF TOTALEMENT FAUX.

AUCUN DES ENJEUX ET CAUSES OFFICIELS DES GUERRES QUI NOUS FURENT IMPOSÉES NE SONT VRAIS.

RIEN N’EST ARRIVÉ COMME ON NOUS L’A RACONTÉ. »

Les révolutions américaine et française ont été des coups d’État.

UN COMPLOT DES ROTHSCHILD

En 1773, une poignée d’Illuminatis a déclenché une série d’événements à travers des loges franc-maçonniques pour infiltrer les économies des pays. Grâce à un président franc-maçon de Virginie, George Washington, et à un secrétaire du Trésor franc-maçon, Alexander Hamilton, la House of Rothschild a pris le contrôle de la First Bank of the United States en 1791.

Puis ce fut au tour de la France…

Les guerres perpétuelles sont très lucratives

DÉTRUIRE, EMPRUNTER, RECONSTRUIRE

La famille Rothschild a gagné une immense fortune à travers les guerres napoléoniennes en finançant les deux côtés des batailles.

Il est difficile de comprendre pourquoi une banque centrale est disposée à détruire son propre pays, mais lorsque vous comprenez le principe, tout devient très clair: les gouvernements empruntent de l’argent pour financer des armées destinées à détruire les armes, les infrastructures et les biens, puis les gouvernements empruntent de l’argent pour acheter de nouvelles armes et tout reconstruire, grâce à des contrats accordés à des entreprises militaires et de construction appartenant à des banquiers. Vous savez maintenant pourquoi le « carpet-bombing » [Tapis de bombes] fut inventé. Oh, et nous, les citoyens, devons tout payer par nos impôts.

Ce n’est pas le nouvel « ordre mondial » mais l’ordre du « nouveau monde »

LES BANQUES AMÉRICAINES ONT PRIS LE RELAIS

Parce que notre éducation échoue complètement à nous enseigner l’histoire du point de vue bancaire, presque personne ne comprend ce qui s’est réellement passé. Cela explique pourquoi tant de gens ne veulent pas faire face à la réalité que l’Allemagne nazie fut construite et entièrement financée par les banques et industries américaines, dans le but de détruire l’Empire colonial britannique et de prendre le contrôle de l’Ordre Mondial.

Sylvain Laforest, journaliste, réalisateur & auteur nous emmène à travers ces vidéos dans son dernier livre « Guerres & Mensonges ».

https://youtu.be/zpnRyry3L-0



Des poisons sur les masques qu’on nous vend ?

[Source : François Ducrocq]

L’usage des masques est dangereux

Est-ce que la population n’est pas en train de se suicider collectivement avec un poison lent ?

L’usage du masque pouvait se justifier pendant une courte période d’épidémie entre mars et mai 2020 et une pénurie a été malheureusement à la fois voulue et organisée durant cette période. Aujourd’hui, à l’opposé, le masque est devenu un instrument politique de contrainte. Ce revirement n’est pas seulement incompréhensible, il est porteur de conséquences sanitaires néfastes.

Des réactions biochimiques se produisent dans les poumons avec le frein du masque, lors de l’inspiration et de l’expiration. Dans une atmosphère plus humide et davantage chargée en carbone, des composés tels que le formaldéhyde et autres COV apparaissent. Les seuils critiques sont dépassés en une dizaine de secondes.

Masquer la population aujourd’hui, en septembre 2020, est non seulement anxiogène, mais est aussi porteur de risques sanitaires à long terme.
Cette ambiance malsaine a, de surcroît, des répercussions désastreuses sur l’activité économique qui repose d’abord sur la confiance. Et elle génère une surenchère sans limites dans des mesures sanitaires de plus en plus ridicules et dictatoriales.

https://youtu.be/v_Cjet14e9M



Le Nouvel Ordre Mondial par le chaos

[Source : BabylonDecodedFR]

[NdNM : un point de vue sur les mécanismes occultes derrière la planification du Nouvel Ordre Mondial et quoi faire face à cela.]

Un sujet qui a été beaucoup mentionné, mais rarement vraiment abordé avec précision, et pas où nous en sommes en ce moment dans tout ce plan!

Il se passe tellement de choses en ce moment que nous perdons rapidement la trace de ce qui appartient à quoi, et la raison de ce qui est déformé par le système!

Toute l’opération repose sur une psychologie inversée. C’est pourquoi l’ESPOIR est toujours là pour conduire les gens dans la mauvaise direction!

Le mot CHAOS est également beaucoup utilisé, encore et encore, sans vraiment se rendre compte que c’est encore un mot très déroutant qui est également utilisé de manière tordue par le système afin d’engendrer la peur des mauvaises personnes ou des mauvaises choses!

Tout ce qui se passe dans le système est une énorme cérémonie de magie noire pour détruire la vie et « tout recommencer »!

Mais quand il n’y a plus de vie, il n’y a plus de vie !!!

RIEN NE PEUT CROÎTRE DANS LES CENDRES!
(essayez-le vous-même!) 😉




« La minute de Ricardo » : au Danemark, pas de corruption, pas de COVID!

[Source : ActuQc]

[Photo : La ville de Svenborg, point de départ pour explorer l’archipel du sud du Danemark. Getty images/Westersoe.]

[Au Danemark, il y a très peu de corruption de la politique et de la médecine et donc pas de confinement ni de port de masque. La conséquence logique est qu’il y a très peu de morts attribués à la Covid-19 et la vie continue comme avant.]




Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration

[Source : Guy Boulianne]

[Voici un article du Dr Joseph Mercola] — La société de la Silicon Valley, Profusa, en partenariat avec la US Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) [1], a créé un biocapteur injectable capable de détecter la présence d’une infection dans votre corps. [2] Début août 2019, des mois avant que COVID-19 ne devienne un mot familier, la DARPA a accordé à Profusa un financement supplémentaire « pour développer un système d’identification précoce pour détecter les épidémies, les attaques biologiques et les pandémies jusqu’à trois semaines plus tôt que les méthodes actuelles. »

Comme discuté dans « Le nouveau vaccin COVID vous rendra-t-il transhumain? », nous semblons être à la porte d’un nouveau monde dans lequel l’homme est de plus en plus fusionné avec la technologie et l’intelligence artificielle, et COVID-19 pourrait bien être la clé qui ouvre cette porte, à plus d’un titre. Pour commencer, bon nombre des vaccins COVID-19 actuellement accélérés ne sont pas des vaccins conventionnels. Leur conception vise à manipuler votre propre biologie, en créant essentiellement des humains génétiquement modifiés. Combinés avec des biocapteurs d’hydrogel — qui ne souffrent pas de rejet en tant que corps étrangers comme les implants précédents, devenant plutôt un avec vos propres tissus [3] — nous pouvons également nous retrouver connectés en permanence au cloud Internet, pour le meilleur ou pour le pire.

La puce Hydrogel vous connectera à Internet

Hydrogel est une invention de DARPA qui implique la nanotechnologie et les nanobots. Cette « interface bioélectronique » fait partie du système d’administration des vaccins à ARNm COVID-19.

La biopuce développée par Profusa est similaire aux vaccins à ARNm COVID-19 proposés en ce qu’elle utilise de l’hydrogel. L’implant a la taille d’un grain de riz et se connecte à une base de données en ligne qui suivra les changements dans votre biochimie et un large éventail de données biométriques, telles que la fréquence cardiaque et respiratoire et bien plus encore.

La nanotechnologie pourrait théoriquement être utilisée pour fabriquer des systèmes de contrôle de l’esprit, des dispositifs d’écoute invisibles et mobiles, ou des outils de torture incroyablement horribles. Un article de septembre 2019 décrit comment le capteur injectable peut aider à améliorer la surveillance de la maladie artérielle périphérique. [4] Cependant, bien que cela puisse être pratique, ce type de technologie aura également des ramifications immédiates pour notre vie privée. Qui collectera et aura accès à toutes ces données? Qui sera responsable de sa protection? Comment sera-t-il utilisé et quand? Comme indiqué dans un article de SteemKR sur les implants :

« Avec l’avènement des nanotechnologies corporelles et des capteurs qui lient le corps humain à une plateforme d’intelligence artificielle, les possibilités d’utilisation abusive par les gouvernements totalitaires n’ont pas été perdues pour les chiens de garde de la technologie. Avec des biocapteurs avancés, l’intelligence artificielle peut être capable de lire toutes les humeurs et activités du sujet, sa fréquence cardiaque, sa fréquence respiratoire, sa température corporelle et même son activité sexuelle. »


Comment fonctionne le biocapteur

Dans un article du 3 mars 2020, Defense One [5] explique les bases du fonctionnement du biocapteur :

« Le capteur comprend deux parties. L’un est une chaîne d’hydrogel de 3 mm, un matériau dont le réseau de chaînes polymères est utilisé dans certaines lentilles de contact et d’autres implants. Insérée sous la peau avec une seringue, la ficelle comprend une molécule spécialement conçue qui envoie un signal fluorescent à l’extérieur du corps lorsque le corps commence à combattre une infection.

« L’autre partie est un composant électronique attaché à la peau. Il envoie de la lumière à travers la peau, détecte le signal fluorescent et génère un autre signal que le porteur peut envoyer à un médecin, à un site Web, etc. C’est comme un laboratoire de sang sur la peau qui peut capter la réponse du corps à la maladie avant la présence d’autres symptômes, comme la toux. »

Donc, pour récapituler, la technologie se compose de trois composants : le capteur implanté, un lecteur placé à la surface de la peau, et le logiciel qui permet au lecteur d’envoyer les données collectées via Bluetooth à votre téléphone ou tablette, qui à son tour peut être connecté à d’autres sources en ligne telles que le site Web de votre médecin. [6]

Détecter les épidémies avant qu’elles ne se propagent

Tel que rapporté par la Defense One, La technologie soutenue par DARPA de Profusa sera en mesure de détecter la présence d’infections pseudo-grippales — y compris les infections au SRAS-CoV-2 — dans la population avant qu’ils ne deviennent symptomatiques. En tant que tels, les biocapteurs pourraient bien faire partie intégrante des futurs systèmes de détection de pandémie. Profusa espère obtenir l’approbation de la Food and Drug Administration au début de 2021.

Le 3 mars 2020, Profusa a annoncé le lancement d’une étude visant à enquêter sur l’efficacité de la technologie pour la détection précoce des épidémies de grippe. [7] Les collaborateurs comprennent l’Université Duke, l’Imperial College de Londres et RTI International, un institut de recherche à but non lucratif qui développe des algorithmes pour la détection des maladies. D’après le communiqué de presse :

« L’étude, menée à l’Imperial College de Londres, examinera comment les capteurs surveillant l’état physiologique, y compris la plate-forme d’oxygène Lumee qui mesure les niveaux d’oxygène dans les tissus, fournissent des indicateurs potentiels de la réponse humaine à l’infection ou à l’exposition à la maladie chez des volontaires sains. Le but de l’étude est de développer un système d’identification précoce pour détecter non seulement les épidémies, mais aussi les attaques biologiques et les pandémies jusqu’à trois semaines plus tôt que les méthodes actuelles. Les résultats de l’étude devraient être disponibles en 2021.

« « Cette recherche marque un pas en avant passionnant dans le développement de soins préventifs révolutionnaires », a déclaré Ben Hwang, président-directeur général de Profusa.

« La plate-forme d’oxygène Lumee peut potentiellement fonctionner comme une sorte de canari dans une mine de charbon pour les maladies infectieuses, car des changements subtils d’oxygène au niveau des tissus peuvent signaler des problèmes et peuvent aider les cliniciens à corriger rapidement le cours pour éviter les épidémies. »

Les questions de confidentialité restent sans réponse

De nombreuses questions demeurent cependant. Si votre téléphone portable peut recevoir des informations de votre corps, quelles informations votre corps peut-il en recevoir, ou d’autres sources, et quels effets de telles transmissions pourraient-elles avoir sur votre fonctionnement physique et votre santé psychologique? Jusqu’à présent, ces questions cruciales n’ont pas reçu de réponse, et elles doivent l’être, compte tenu des possibilités cauchemardesques.

Écrivant pour la revue technologique The New Atlantis [8], le critique technologique Adam Keiper souligne que : 

« Outre le potentiel des nanotechnologies en tant qu’arme de destruction massive, elles pourraient également rendre possibles des formes totalement nouvelles de violence et d’oppression. La nanotechnologie pourrait théoriquement être utilisée pour fabriquer des systèmes de contrôle de l’esprit, des dispositifs d’écoute invisibles et mobiles, ou des outils de torture incroyablement horribles. »

L’un des journalistes indépendants, Whitney Webb, a écrit un article à ce sujet : « Le coronavirus donne un coup de pouce dangereux au programme le plus sombre de la DARPA ». [9] Dans ce document, elle passe en revue certaines des possibilités les plus néfastes inhérentes à cette technologie :

« La technologie développée par la branche de recherche controversée du Pentagone reçoit un énorme coup de pouce au milieu de la crise actuelle des coronavirus, avec peu d’attention portée aux arrière-pensées de l’agence pour développer ces technologies, à leur potentiel de militarisation ou à leurs conséquences involontaires …

« Profusa, qui a reçu des millions et des millions de la DARPA ces dernières années, affirme que les informations générées par leur biocapteur injectable seraient « partagées en toute sécurité » et accessibles aux « individus, médecins et praticiens de la santé publique ».

« Cependant, la pression actuelle pour un système national de “recherche des contacts” basé sur les données de santé privées des citoyens est susceptible d’élargir ce partage de données, convenant parfaitement à l’objectif vieux de plusieurs années de la DARPA de créer une base de données nationale en ligne de diagnostics préventifs. Profusa est également soutenu par Google, qui est intimement impliqué dans ces nouvelles initiatives de “recherche des contacts” de surveillance de masse… »

Le ministère de la Défense investit profondément dans les nanotechnologies

Cela vaut la peine d’envisager la possibilité que le transfert de données puisse se faire dans les deux sens, car le ministère de la Défense travaille également sur les nanotechnologies visant à créer de véritables « super-soldats » dotés d’une conscience situationnelle augmentée et d’autres capacités de survie sur le champ de bataille. [10] [11] Ces technologies peuvent également inclure des armes génétiques conçues pour nuire à la santé et au bien-être de l’ennemi. [12] Dans « Le coronavirus donne un élan dangereux au programme le plus sombre de la DARPA », Webb passe en revue plusieurs initiatives de la DARPA qui poussent l’imagination :

« Un autre programme DARPA de longue date… est connu sous le nom de « Living Foundries » … Living Foundries vise à permettre la production adaptable, évolutive et à la demande de molécules [synthétiques] en programmant les processus métaboliques fondamentaux des systèmes biologiques pour générer un vaste nombre de molécules complexes qui ne sont pas autrement accessibles…

« Les types de recherche soutenus par ce programme « Fonderies vivantes » impliquent la création de « vie artificielle », y compris la création de matériel génétique artificiel… des chromosomes artificiels, la création « d’organismes entièrement nouveaux » et l’utilisation de matériel génétique artificiel pour « ajouter de nouvelles capacités aux êtres humains » (c’est-à-dire en modifiant génétiquement des êtres humains par l’insertion de matériel génétique synthétique)… [13]

« La DARPA a également un projet appelé « Outils avancés pour l’ingénierie du génome des mammifères », qui se concentre spécifiquement sur l’amélioration de « l’utilité des chromosomes artificiels humains (HAC) » [14] « Bien que les articles de recherche se concentrent souvent sur les HAC en tant qu’avancement médical révolutionnaire, ils sont également fréquemment promus comme un moyen « d’améliorer » les humains en leur conférant des caractéristiques non naturelles … [15]

« Les rapports sur ces programmes discutent également de l’autre utilisation très déconcertante de ces mêmes technologies, des « armes génétiques » qui « subvertiraient l’ADN » et « saperaient l’esprit et le corps des gens ».

Comme indiqué dans l’article de SteemKR, la surveillance de masse des données biologiques de chacun exigerait également « une bande passante considérablement accrue dans les réseaux de téléphonie mobile et Wi-Fi », et il est possible que cela explique en partie pourquoi les gouvernements du monde entier sont si déterminés à mettre en œuvre le réseau 5G à travers le monde sans donner une seconde pensée aux effets potentiellement négatifs.

Adjuvants nanotechnologiques dans les vaccins

Le département américain de la Défense envisage également d’utiliser des adjuvants basés sur les nanotechnologies dans les vaccins au lieu d’adjuvants conventionnels connus pour causer des problèmes de santé. Comme décrit sur le site internet de l’Institute for Soldier Nanotechnologies sous les domaines de recherche stratégique n ° 1 :

« Un autre projet se concentre sur de nouveaux moyens de protéger le soldat contre les infections. L’approche consiste à intervenir en toute sécurité dans le système immunitaire humain grâce à la conception de nouveaux nanomatériaux ciblant les lymphoïdes et les leucocytes qui concentrent les composés adjuvants et les immunomodulateurs dans les populations de cellules immunitaires pour améliorer respectivement les vaccins prophylactiques et les thérapies antimicrobiennes. » [16]

La page 1.6 du projet [17] expose plus en détail la recherche en indiquant :

« Les vaccins protéiques ne provoquent généralement pas de réponse immunitaire par eux-mêmes et doivent être combinés avec des adjuvants, des composés qui fournissent des signaux inflammatoires ou favorisent la réponse immunitaire à un antigène co-administré. La conception de l’adjuvant est rendue difficile par la nécessité de conduire fortement des aspects spécifiques de la réponse immunitaire tout en maintenant un profil d’innocuité rigoureux pour l’administration à des receveurs sains.

« Les approches basées sur la nanotechnologie qui ciblent les adjuvants de vaccins ou les immunomodulateurs sur les ganglions lymphatiques ont la capacité d’améliorer à la fois la puissance et la sécurité des vaccins, en concentrant l’activité adjuvante dans les tissus où les réponses immunitaires sont initiées et en évitant l’exposition systémique …

« Le projet 1.6 propose de développer deux technologies de plate-forme qui favorisent de manière sûre et efficace les réponses immunitaires dans les contextes de vaccination et thérapeutiques : les ganglions lymphatiques ciblant les adjuvants amphiphiles et les nanoparticules métalliques revêtues de ligands amphiphiles à ciblage immunitaire.

« Ces deux approches sont parfaitement adaptées pour cibler des composés adjuvants sur des tissus lymphoïdes et des immunomodulateurs sur des cellules immunitaires pendant l’infection, respectivement.

« Dans des études préliminaires réalisées avec des collègues de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine sur les maladies infectieuses (USAMRIID), des résultats prometteurs ont été obtenus dans des modèles murins d’infection par le virus Ebola utilisant des adjuvants ciblant les ganglions lymphatiques.

« Des adjuvants / immunomodulateurs basés sur la nanotechnologie, axés en particulier sur l’amélioration de la maturation d’affinité et l’induction des lymphocytes T cytotoxiques, seront développés, et l’équipe de recherche s’associera à USAMRIID pour appliquer ces technologies à Ebola et à d’autres vaccins. »

Bien qu’une grande partie de cela puisse sembler trop exagérée pour être compris par la personne moyenne, nous sommes maintenant à un point où nous devons faire face de front à l’agenda transhumaniste, car il est mis en œuvre, que nous en soyons conscients et d’accord, avec ses perspectives ou pas. Et les vaccins à ARNm contre le COVID-19 semblent être un moyen d’attraper une grande partie de la population mondiale dans le « filet ».

Une des façons dont vous pouvez vous armer est de vous inscrire à la cinquième Conférence publique internationale sur la vaccination : « Protéger la santé et l’autonomie au 21e siècle », qui se tiendra en ligne du 16 au 18 octobre 2020. Il y aura 40 orateurs, y compris moi [Dr Joseph Mercola], qui abordera ces problèmes, y compris les solutions. Le coût n’est que de 80 $ et comprendra également Andy Wakefield et Robert F. Kennedy Jr.


À propos du Dr Joseph Mercola

Le Dr Joseph Mercola est le fondateur de Mercola.com. Médecin ostéopathe, auteur à succès et récipiendaire de multiples prix dans le domaine de la santé naturelle, sa vision principale est de changer le paradigme de la santé moderne en fournissant aux gens une ressource précieuse pour les aider à prendre le contrôle de leur santé.

En raison de ses efforts inlassables pour diffuser des informations importantes sur la santé au public, le Dr Mercola a reçu de nombreux prix et distinctions. En 2009, il a été nommé le meilleur Ultimate Wellness Game Changer, qui récompense « 100 innovateurs, visionnaires et leaders dans 10 catégories qui exploitent le pouvoir des nouveaux médias pour remodeler leurs domaines et changer le monde ».

Il a également reçu des prix prestigieux d’Emord and Associates PC pour ses contributions à la médecine holistique, notamment le prix Sacred Fire of Liberty, le prix Excellence in Health Journalism Award et le Freedom of Informed Choice Award.

Le Dr Mercola a ouvert la voie à des changements révolutionnaires dans le domaine de la santé naturelle. Il est toujours en avance sur la courbe en matière d’information sanitaire innovante, dépassant les limites de la médecine conventionnelle pour apporter des conseils de santé fiables à son public.


RÉFÉRENCES :
  1. Profusa : Profusa and Partners Receive DARPA Award to Speed Detection of Disease Outbreaks. Cision, Aug 08, 2019.
  2. munkle : FDA Nears Approval of Injectable Biochip Implants for COVID Detection, Linked to Computers. SteemKR.
  3. News & Events : Injectable Body Sensors Take Personal Chemistry to a Cell Phone Closer to Reality. Profusa, March 19, 2018.
  4. SBIR Success Stories : Injectable oxygen sensor could improve monitoring for peripheral artery disease. The National Heart, Lung, and Blood Institute (NHLBI), September 09, 2019.
  5. Patrick Tucker : A Military-Funded Biosensor Could Be the Future of Pandemic Detection. Defense One, March 3, 2020.
  6. Susan Shepard : Early-Warning System for Detecting Infections Is Being Studied. Medical Device + Diagnostic Industry (MD+DI), Mar 26, 2020.
  7. News & Events : Profusa and Partners Announce Initiation of Study to Measure Early Signs of Influenza Through Biosensor Technology. Profusa, March 3, 2020.
  8. Adam Keiper : The Nanotechnology Revolution. The New Atlantis, Number 2, Summer 2003, pp. 17-34.
  9. Whitney Webb : Coronavirus Gives A Dangerous Boost To DARPA’s Darkest Agenda. The Last American Vagabonds, May 4, 2020.
  10. Sean Martin : REVEALED: US army’s plans to create a generation of SUPER SOLDIERS. Express, Aug 17, 2017.
  11. Joe Pappalardo : Short-Term Superhuman: If We Create Augmented Soldiers, Can We Turn Them Back?. Popular Mechanics, September 25, 2018.
  12. David Axe : This Scientist Wants Tomorrow’s Troops to Be Mutant-Powered. Wired, 12.26.12.
  13. George Dvorsky : DARPA’s New Biotech Division Wants To Create A Transhuman Future. Gizmodo, 4/02/14.
  14. Department of Defense : Advanced Tools for Mammalian Genome Engineering. Defense Advanced Research Projects Agency, September 25, 2013.
  15. George Dvorsky : How Artificial Chromosomes Could Transform Humanity. Gizmodo, 7/12/13.
  16. Strategic Research Areas : SRA 1: Soldier Protection, Battlefield Care, and Sensing. The Institute for Soldier Nanotechnologies.
  17. Strategic Research Areas : Project 1.6: Empowering Future Vaccines & Immunotherapies with Nanotech-based Adjuvants. The Institute for Soldier Nanotechnologies.