« Personne n’est mort du coronavirus ». Des révélations importantes partagées par le Dr Stoian Alexov, président de l’Association bulgare de pathologie

[Source en anglais : Off-Gardian.org]

[Auteurs :] Rosemary Frei et Patrick Corbett

Un pathologiste européen réputé rapporte que lui et ses collègues à travers l’Europe n’ont trouvé aucune preuve de décès dus au nouveau coronavirus sur ce continent.

Le Dr Stoian Alexov a qualifié l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d ‘«organisation médicale criminelle» pour avoir créé la peur et le chaos dans le monde sans fournir la preuve objectivement vérifiable d’une pandémie.

Une autre révélation étonnante du président de l’Association bulgare de pathologie (BPA), le Dr Alexov, est qu’il pense qu’il est actuellement «impossible» de créer un vaccin contre le virus.

Il a également révélé que les pathologistes européens n’avaient identifié aucun anticorps spécifique du SRAS-CoV-2 [alias Covid-19].

Ces déclarations stupéfiantes soulèvent des questions majeures, notamment sur les affirmations des autorités et des scientifiques concernant les nombreux vaccins dont ils précipitent les essais cliniques à travers le monde.

Elles soulèvent également des doutes sur la véracité des allégations de découverte d’anticorps anti-Covid-19 (qui commencent à être utilisés pour traiter les patients).

Les anticorps spécifiques au nouveau coronavirus sont censés être à la base des kits de tests sérologiques coûteux utilisés dans de nombreux pays (dont certains se sont révélés inexacts de manière inacceptable).

Et ils sont censés être la clé des certificats d’immunité voulus par Bill Gates qui sont sur le point d’être généralisés — sous la forme du COVI-PASS — dans 15 pays, dont le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada.

Le Dr Alexov a fait ses observations stupéfiantes dans une interview vidéo résumant le consensus des participants lors d’un webinaire de la Société européenne de pathologie (ESP) le 8 mai 2020 sur le Covid-19.

L’interview vidéo du 13 mai du Dr Alexov a été réalisée par le Dr Stoycho Katsarov, président du Centre pour la protection des droits des citoyens à Sofia et ancien vice-ministre bulgare de la Santé. La vidéo est sur le site Web du BPA, qui met également en évidence certains des principaux points du Dr Alexov.

Nous avons demandé à personne de langue maternelle bulgare ayant une formation scientifique de traduire oralement l’interview vidéo en anglais. Nous avons ensuite transcrit sa traduction. La vidéo est ici et notre transcription en anglais est ici.

Parmi les principales bombes que le Dr Alexov a lâchées, les dirigeants du webinaire ESP du 8 mai ont déclaré qu’aucun anticorps spécifique au nouveau coronavirus n’avait été trouvé.

Le corps forme des anticorps spécifiques aux agents pathogènes qu’il rencontre. Ces anticorps spécifiques sont connus sous le nom d’anticorps monoclonaux et constituent un outil clé en pathologie. Cela se fait par immunohistochimie, ce qui implique le marquage des anticorps avec des couleurs, puis à les appliquer sur les lames de biopsie ou d’autopsie. Après avoir laissé aux anticorps le temps de se lier aux agents pathogènes pour lesquels ils sont spécifiques, les pathologistes peuvent observer les lames sous un microscope et voir les endroits spécifiques où se trouvent les anticorps colorés — et donc les agents pathogènes auxquels ils sont liés.

Par conséquent, en l’absence d’anticorps monoclonaux dirigés contre le nouveau coronavirus, les pathologistes ne peuvent pas vérifier si le SARS-CoV-2 est présent dans l’organisme ni si les maladies et les décès qui lui sont attribués ont bien été causés par le virus plutôt que par autre chose.

Il serait facile de rejeter le Dr Alexov comme un autre « théoricien du complot ». Après tout, beaucoup de gens croient qu’ils sont partout ces jours-ci, répandant une désinformation dangereuse sur le Covid-19 et d’autres problèmes.

De plus, peu de ce que le Dr Alexov prétend être le consensus du webinaire du 8 mai se trouve dans les parties publiquement visibles des débats.

Mais gardez à l’esprit que les dénonciateurs sont souvent seuls parce que la grande majorité des gens ont peur de s’exprimer publiquement.

De plus, le Dr Alexov a un dossier et une réputation irréprochables. Il est médecin depuis 30 ans. Il est président du BPA, membre du conseil consultatif de l’ESP et chef du service d’histopathologie de l’hôpital d’oncologie de Sofia, la capitale bulgare.

En plus de cela, il y a d’autres éléments qui soutiennent les propos du Dr Alexov.

Par exemple, le directeur de l’Institut de médecine légale du Centre médical universitaire de Hambourg-Eppendorf en Allemagne a déclaré lors d’entrevues dans les médias qu’il existe un manque frappant de preuves solides de la létalité du COVID-19.

« Le COVID-19 n’est une maladie mortelle que dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s’agit d’une infection virale principalement inoffensive », a déclaré le Dr Klaus Püschel à un journal allemand en avril. Il a ajouté dans une autre interview :

« Dans de nombreux cas, nous avons également constaté que l’infection au coronavirus actuelle n’avait rien à voir avec l’issue fatale, car d’autres causes de décès sont présentes, par exemple, une hémorragie cérébrale ou une crise cardiaque […] [COVID-19 n’est] pas une maladie virale particulièrement dangereuse […] Toutes les spéculations sur les décès individuels qui n’ont pas été examinés de manière experte ne font qu’alimenter l’anxiété. »

De plus, l’un de nous (Rosemary) et un autre journaliste, Amory Devereux, ont documenté dans un article du 9 juin d’Off-Guardian que le nouveau coronavirus n’avait pas rempli les postulats de Koch.

Ces postulats sont des étapes scientifiques utilisées pour prouver si un virus existe et a une relation biunivoque avec une maladie spécifique. Nous avons montré qu’à ce jour, personne n’a prouvé que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie distincte correspondant aux caractéristiques de toutes les personnes décédées officiellement du COVID-19. Le virus n’a pas non plus été isolé, reproduit puis démontré comme provoquant cette maladie spécifique.

De plus, dans un article du 27 juin sur Off-Guardian, deux autres journalistes, Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter, ont ajouté à la démonstration que «l’existence de l’ARN du SARS-CoV-2 est basée sur la foi, pas sur les faits».

Les deux ont également confirmé « qu’il n’y a aucune preuve scientifique que ces séquences d’ARN [réputées correspondre à celles du nouveau coronavirus] sont l’agent causal de ce qu’on appelle COVID-19 ».

Le Dr Alexov a déclaré dans l’interview du 13 mai que :

« la principale conclusion [de ceux d’entre nous qui ont participé au webinaire du 8 mai] était que les autopsies réalisées en Allemagne, en Italie, en Espagne, en France et en Suède ne montrent pas que le virus est mortel. »

Il a jouté que :

« Ce que tous les pathologistes ont dit, c’est qu’il n’y a personne qui soit mort du coronavirus. Je le répète : personne n’est mort du coronavirus. »

Le Dr Alexov a également observé que les autopsies ne prouvent pas que quiconque considéré comme infecté par le nouveau coronavirus est décédé uniquement d’une réaction inflammatoire déclenchée par le virus (se présentant comme une pneumonie interstitielle) plutôt que d’autres maladies potentiellement mortelles.

Une autre de ses révélations est que :

« Nous devons voir exactement comment la loi traitera de la vaccination et du vaccin dont nous parlons tous, car je suis certain qu’il n’est [actuellement ?] pas possible de créer un vaccin contre le COVID-19. Je ne sais pas exactement ce que Bill Gates fait avec ses laboratoires — est-ce vraiment un vaccin qu’il produit, ou autre chose? »

Comme indiqué ci-dessus, l’incapacité d’identifier des anticorps monoclonaux contre le virus suggère qu’il n’y a aucune base pour que les vaccins, les tests sérologiques et les certificats d’immunité soient déployés dans le monde entier à une vitesse et à un coût sans précédent. En fait, il n’existe aucune preuve solide que le virus existe.

Le Dr Alexov a souligné des points encore plus importants. Par exemple, il a noté que, contrairement à la grippe saisonnière, il n’a pas été prouvé que le SRAS-CoV-2 tue les jeunes :

« [Avec la grippe], nous pouvons trouver un virus qui peut faire mourir un jeune sans autre maladie […] En d’autres termes, l’infection à coronavirus est une infection qui ne mène pas à la mort. Et la grippe peut entraîner la mort. »

(Des cas graves de maladie de type Kawasaki et d’accident vasculaire cérébral ont été signalés chez des jeunes considérés comme infectés par le nouveau coronavirus. Cependant, la majorité des articles publiés sur ces cas sont très courts et ne comprennent qu’un cas ou une petite poignée de patients. En outre, les commentateurs des articles notent qu’il est impossible de déterminer le rôle du virus car les auteurs des articles ne contrôlaient pas suffisamment, voire pas du tout, les facteurs de confusion. Il est fort probable que les décès d’enfants attribués au COVID-19 soient dus en fait à une défaillance d’organes multiples résultant de la combinaison du cocktail de médicaments et de la ventilation auxquels ces enfants sont soumis.)

Le Dr Alexov a donc affirmé que :

« l’OMS crée un chaos mondial, sans aucun fait réel derrière ce qu’ils disent. »

Parmi les innombrables façons dont l’OMS crée ce chaos, c’est en interdisant presque toutes les autopsies de personnes présumées décédées à cause du COVID-19. En conséquence, a rapporté le Dr Alexov, en date du 13 mai, seules trois autopsies de ce type avaient été pratiquées en Bulgarie.

De plus, l’OMS exige que toute personne qui serait infectée par le nouveau coronavirus qui décède par la suite doive voir sa mort attribuée au COVID-19.

« C’est assez stressant pour nous, et pour moi en particulier, parce que nous avons des protocoles et des procédures que nous devons utiliser », a-t-il déclaré au Dr Katsarov. « … Et un autre pathologiste dans 100 ans va dire : « Hé, ces pathologistes ne savaient pas ce qu’ils faisaient [quand ils ont dit que la cause du décès était COVID-19]! » Nous devons donc être très stricts avec nos diagnostics, car ils pourraient être prouvés [ou réfutés], et ils pourraient être vérifiés à nouveau plus tard. »

Il a révélé que les pathologistes de plusieurs pays d’Europe, ainsi qu’en Chine, en Australie et au Canada résistent fortement aux pressions exercées sur eux pour attribuer les décès au seul COVID-19 :

« Je suis vraiment triste que nous devions suivre les instructions de [l’OMS] sans même y penser. Mais en Allemagne, en France, en Italie et en Angleterre, ils commencent à penser que nous ne devrions pas suivre l’OMS de manière aussi stricte, et [au lieu de cela] lorsque nous écrivons la cause du décès, nous devrions avoir une certaine pathologie [résultats à l’appui ] et nous devons suivre le protocole. Lorsque nous disons quelque chose, nous devons être en mesure de le prouver. »

(Il a ajouté que les autopsies auraient pu aider à confirmer ou infirmer la théorie selon laquelle de nombreuses personnes présumées mortes du COVID-19 en Italie avaient précédemment reçu le vaccin contre la grippe H1N1. Parce que, comme il l’a noté, le vaccin supprime le système immunitaire des adultes et par conséquent, il peut avoir contribué de façon importante à leur décès en les rendant beaucoup plus sensibles à l’infection.)

Les docteurs Alexov et Katsarov ont convenu qu’un autre aspect du chaos provoqué par l’OMS et de ses conséquences fatales est que de nombreuses personnes risquent de mourir bientôt de maladies telles que le cancer, car le confinement, combiné au vidage des hôpitaux (apparemment pour faire de la place pour les patients COVID-19), a interrompu toutes les procédures [médicales] et tous les traitements, sauf les plus urgents.

Ils ont également observé que ces maladies étaient exacerbées par la peur et le chaos entourant le COVID-19.

« Nous savons que le stress affaiblit considérablement le système immunitaire, je peux donc vraiment affirmer à 200% que toutes les maladies chroniques seront plus graves et plus aiguës en soi. (…)
Spécifiquement, les carcinomes in situ — plus de 50% d’entre eux — vont devenir plus invasifs. Je dirai donc que cette épidémie n’est pas tant une épidémie de virus, c’est une épidémie qui donne aux gens beaucoup de peur et de stress. »

De plus, a affirmé le Dr Alexov, comme autre résultat direct et terrible de la panique pandémique, de nombreuses personnes perdent confiance dans les médecins.

« Parce que, à mon avis, le coronavirus n’est pas si dangereux, et comment les gens vont-ils avoir confiance en moi pour la pathologie du cancer, dont une grande partie est également liée aux virus ? Mais personne n’en parle. »

Nous avons envoyé plusieurs questions au Dr Alexov, notamment en lui demandant pourquoi il pensait qu’il était impossible de créer un vaccin contre COVID-19.

Il n’a pas répondu directement aux questions. Le Dr Alexov a plutôt répondu :

Cher Patrick, merci pour votre courriel et vos informations.
J’accepte vraiment à 1000 % toutes les informations. De plus, l’OMS a déclaré que les patients du covid-19 n’ont pas besoin d’autopsie. Pourquoi ???
Avec le petit nombre d’autopsies que nous avons réalisées en Europe, c’est clairement visible. Personne n’est mort du covid-19. Nous disons plus probablement « avec » le covid-19.
Je pense fortement que l’OMS est la pire organisation médicale criminelle.
Sincères salutations,
Dr St. Alexov MD.
Chef du département d’histopathologie.

Nous avons également envoyé un courriel à cinq des collègues du Dr Alexov de la Société européenne de pathologie pour leur demander de confirmer les révélations du Dr Alexov. Nous avons fait un suivi par téléphone avec deux d’entre eux. Aucun n’a répondu.

Pourquoi le Dr Alexov ou ses cinq collègues n’ont-ils pas répondu à nos questions ?

Nous doutons que cela soit dû au manque de maîtrise de l’anglais.

Il est plus probable que ce soit en raison de la pression exercée sur les pathologistes pour suivre les directives de l’OMS et ne pas s’exprimer publiquement. (Et, en plus de cela, les services de pathologie dépendent des gouvernements pour leur financement.)

Néanmoins, des pathologistes comme les Drs. Alexov et Püschel semblent vouloir dire publiquement que personne n’est mort d’une nouvelle infection à coronavirus.

Peut-être parce que les dossiers et la réputation des pathologistes sont basés sur des preuves physiques solides plutôt que sur une interprétation subjective des tests, des signes et des symptômes. Et il n’y a aucune preuve matérielle tangible que COVID-19 est mortel.


Rosemary Frei est titulaire d'une maîtrise en biologie moléculaire de la faculté de médecine de l'Université de Calgary, a été rédactrice médicale indépendante et journaliste pendant 22 ans et est maintenant journaliste d'investigation indépendante. Vous pouvez regarder son interview du 15 juin sur The Corbett Report, lire ses autres articles sur Off-Guardian et la suivre sur Twitter.
Patrick Corbett est un écrivain, producteur, réalisateur et monteur à la retraite qui a travaillé pour tous les grands réseaux au Canada et aux États-Unis, à l'exception de Fox. Ses crédits journalistiques incluent Dateline NBC, W-5 de CTV et l’unité documentaire de CTV où il a écrit et réalisé "Children's’s Hospital", la première production canadienne à être nominée pour un Emmy international. Vous pouvez suivre Patrick sur Twitter.



Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore

[Source : Sott.net via Réseau International]

[Auteur :] Dr Joseph Mercola

Bill Gates a bâti un empire mondial autour de ses technologies et de ses entreprises « philanthropiques », dont l’ampleur est aujourd’hui de plus en plus évidente. Sa richesse absolue lui a permis de devenir une véritable superpuissance à part entière. Il est non seulement devenu le plus grand bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé et le tsar mondial non élu de la santé face au Covid-19, mais il exerce également une grande influence sur le système alimentaire mondial [et plus encore, comme nous le verrons tout au long de l’article – NdT].

Bill Gates exerce une puissante influence sur la politique alimentaire et agricole mondiale grâce au financement qu’il accorde à un grand nombre d’organisations impliquées dans le développement agricole et l’élaboration des politiques, comme le révèle le rapport d’AGRA Watch[1], « L’homme derrière le rideau — L’influence de la Fondation Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires », publié en août 2020 [Pdf en anglais – NdT].

Note du traducteur : Bill Gates ne peut toutefois pas véritablement être qualifié d’« homme derrière le rideau » — encore que l’on puisse le penser au vu de tout ce qui suit. Il est au contraire la figure de proue bien visible qui permet de cacher à la vue de tous les quelques individus parfaitement inconnus qui eux, sont derrière le rideau.

Par ailleurs, l’AGRA Watch a été créée pour contester la participation — ou la main-mise, peut-être ? — de la Fondation Gates au sein de l’AGRA.

Quant à l’AGRA elle-même, elle fut lancée il y a quatorze ans par les fondations Bill & Melinda Gates et Rockefeller. L’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) a pour objectif d’apporter à l’Afrique sa propre révolution verte en matière de productivité agricole, armée de semences commerciales à haut rendement, d’engrais et de pesticides. Il s’agissait pour l’AGRA de doubler la productivité et les revenus d’ici à 2020 (et nous y sommes) pour trente millions de familles de petits exploitants agricoles tout en réduisant de moitié l’insécurité alimentaire dans vingt pays.

Hélas, et selon le rapport mentionné plus bas par le Dr Mercola, il n’y a pas eu, sur les quatorze années en question, d’augmentation de la productivité, et le nombre de personnes sous-alimentées dans les treize pays cibles par l’AGRA a augmenté de 30 pour cent, et celui du Rwanda, « l’enfant affamé de l’Afrique », s’est accru lui de 15 pour cent. Il est à noter qu’aucune évaluation globale des effets de ces programmes n’a pour le moment été publiée, ni par l’AGRA elle-même, ni par la Fondation Gates — Voir la troisième note de traduction pour des données issues des recherches de Timothy Wise.

Les organisations financées par Bill Gates défendent l’envoyée de l’ONU financée par Bill Gates

Bien qu’il ne soit qu’un homme, Bill Gates finance un si grand nombre d’entreprises et d’organisations que son influence considérablement renforcée et amplifiée lui permet par leurs biais d’imposer ses choix en catimini [pour les non-initiés, à savoir presque tout le monde – NdT].

À la vue des longues listes de ces groupes, on est automatiquement amenés à penser qu’il existe de nombreux acteurs différents impliqués alors qu’en fait, Gates constitue le fil conducteur de la plupart ou de la totalité d’entre eux. Le rapport d’AGRA Watch[2] en est un parfait exemple si l’on considère l’histoire d’Agnes Kalibata.

Note du traducteur : Il est possible que les lecteurs ne connaissent pas Agnes Kalibata, en voici donc un peu plus, depuis la page Wikipedia en anglais qui lui est consacrée ; notons au passage qu’il n’est pas fait mention ne serait-ce que d’une année de naissance, et les recherches en ce sens n’ont rien donné :

Agnes Matilda Kalibata est une agronome et responsable politique rwandaise, elle a été ministre rwandaise de l’agriculture et des ressources animales de 2008 à 2014 e elle est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique depuis 2014.

Elle est née au Rwanda et a été élevée en Ouganda en tant que réfugiée par des parents petits exploitants. Elle a obtenu une licence en entomologie et biochimie, suivie d’une maîtrise en agriculture. Elle a ensuite obtenu un doctorat en entomologie.

Elle a été louée par beaucoup pour ses réalisations lorsqu’elle était ministre, mais certains groupes de défense des droits de l’homme les ont critiqué parce que le soutien financier n’était accordé qu’aux agriculteurs qui suivaient les politiques gouvernementales de regroupement des terres.

Kalibata est membre du conseil d’administration du Centre international de développement des engrais (IDFC) depuis 2008, où elle préside le Comité Afrique et est membre de son comité exécutif et de son comité d’audit. Elle est également membre de nombreux conseils d’administration nationaux et internationaux, notamment pour l’Université du Rwanda, Africa Risk Capacity, le Conseil de l’agenda mondial du Forum économique mondial, la Commission mondiale sur l’adaptation et le Groupe d’experts de Malabo Montpellier sur l’agriculture et la sécurité alimentaire.

Agnes Kalibata est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique, une organisation financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. En décembre 2019, elle a été nommée envoyée spécial au Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires de 2021 par le secrétaire général de l’ONU, António Guterres.

En réponse, 176 organisations de la société civile et des groupes d’agriculteurs de 83 pays ont demandé à António Guterres de retirer la nomination de Kalibata en raison de ses conflits d’intérêts évidents avec des entreprises. Une deuxième déclaration, signée par plus de 500 universitaires et organisations, s’est également opposée à sa nomination et au fait qu’elle organise le sommet.

© Inconnu

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement en finançant des projets et en façonnant l’expertise, mais aussi en finançant les plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole.

~ AGRA Watch

C’est un recul important, qui illustre l’inquiétude générale que suscite la nomination de Kalibata. Une douzaine de personnes représentant des banques de développement, des institutions universitaires et le secteur privé sont intervenues pour la défendre.

Elles ont exhorté António Guterres à maintenir Kalibata dans sa fonction, en citant notamment ses qualités de leader et son éthique professionnelle. Cependant, parmi ces douze défenseurs, « onze entretenaient des liens passés ou actuels avec la Fondation Gates », indique AGRA Watch, qui ajoute[3] :

Dans certains cas, les organisations ont directement été financées par la Fondation Bill & Melinda Gates, et dans d’autres, la Fondation Bill & Melinda Gates a financé des programmes spécifiques dans lesquels les signataires avaient joué un rôle. Une organisation était subventionnée par l’AGRA, elle-même financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.

L’excessive influence de Bill Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires

En d’autres termes, bien qu’il puisse sembler que Kalibata ait eu le soutien d’une douzaine d’individus ou de groupes distincts et indépendants, en réalité, seules deux voix s’expriment pour sa défense. C’est juste que la voix de Gates est multipliée par onze. De plus, puisque son nom n’est jamais mentionné, les non-initiés considèrent généralement qu’il n’est en rien partie prenante.

Ces résultats illustrent l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur la politique alimentaire et agricole mondiale. AGRA Watch a continuellement documenté son rôle dans l’influence du développement agricole, qui a connu une croissance considérable ces dernières années.

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l’expertise, mais aussi par le financement des plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la Fondation Bill & Melinda Gates dans la prise de décisions politiques basées sur son modèle technologique de développement agricole dont elle est propriétaire est souvent négligé…

Dans ce rapport, nous avons démontré quelques-uns des liens entre la Fondation Bill & Melinda Gates et ceux qui ont soutenu la nomination de Kalibata à la tête du Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires.

Alors que des centaines d’organisations de la société civile ont demandé sa destitution, seuls douze signataires ont accepté de soutenir sa nomination, presque tous bénéficiant directement des subsides de la Fondation Bill & Melinda Gates. Cette situation soulève des questions cruciales sur le rôle de Bill Gates dans l’élaboration de l’ordre du jour du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires ainsi que sur ses résultats.

~ AGRA Watch

Le graphique suivant, inclus dans le rapport d’AGRA Watch, illustre les liens de financement directs et indirects entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l’envoyé spécial du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, Agnes Kalibata.

© AGRA Watch
En vert : Financements directs – En rouge : Financements indirects de la Fondation Gates à des programmes spécifiques affiliés aux signataires

La Fondation Bill & Melinda Gatesouvre la porte à Monsanto

AGRA Watch s’inquiète depuis de nombreuses années de l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur l’agro-business :

Par exemple, parmi ses nombreux rapports de recherche[4] figure le rapport 2010 intitulé « La porte tournante : Les liens Monsanto-Gates »[5], qui détaille les liens directs entre la Fondation Bill & Melinda Gates et les représentants de Monsanto que sont Rob Horsch, Florence Wambugu, Don Doering[6], feu Sam Dryden et Lawrence Kent. Un autre rapport de 2010, intitulé « Les liens de la Fondation Gates avec Monsanto et le développement des cultures transgéniques au Kenya », souligne[7] les liens entre la Fondation Gates et Monsanto :

« AGRA Watch a été créé en 2008 pour contester la participation de la Fondation Gates à la problématique de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), et pour soutenir les alternatives agro-écologiques durables déjà pratiquées en Afrique.

Nous avons assisté à l’accélération de la pression en faveur du génie génétique comme solution à la faim en Afrique, à la criminalisation de ses opposants en tant qu’éco-impérialistes peu enclins à accepter les avancées scientifiques, et à un respect mal placé pour le soutien philanthropique aux solutions d’entreprises vis-à-vis des problèmes alimentaires mondiaux. Les intérêts des entreprises sont clairement exposés dans le programme de l’AGRA, comme on le voit ci-dessous ».

© AGRA Watch

La Fondation Bill & Melinda Gates n’est pas là pour résoudre les réels problèmes du monde

Dans son rapport de 2014[8], « Trois exemples de problèmes avec les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates », AGRA Watch souligne pourquoi les investissements massifs de Gates dans la production alimentaire mondiale n’ont résolu aucun des problèmes très réels auxquels nous sommes confrontés. Avant tout, nombre des solutions qu’il soutient sont des « solutions de façade » qui aggravent en fait les problèmes à la racine.

Citons par exemple le financement du développement d’aliments génétiquement modifiés conçus pour être plus riches en certains nutriments. Le problème est que ces cultures finissent par remplacer la diversité locale par quelques variétés génétiquement modifiées qui ne tiennent même pas compte des conditions locales. Ainsi, en poussant à la création de variétés de cultures « enrichies », la biodiversité diminue et la malnutrition s’aggrave.

Par ailleurs, « une focalisation obstinée sur le rendement » est en contradiction avec les recherches qui montrent qu’un faible rendement ou une production insuffisante n’est pas la cause de la faim dans le monde. AGRA Watch fait le constat suivant :

Il existe aujourd’hui de nombreuses preuves que le problème est plutôt la pauvreté et le manque d’accès, qui sont eux-mêmes aggravés par la destruction des systèmes alimentaires locaux et la commercialisation des aliments. Les subventions de la Fondation Gates et de l’AGRA continuent à se concentrer sur le rendement, en préparant l’Afrique à un système adapté aux besoins de l’agriculteur commercial à la recherche de profits et axé sur le rendement plutôt qu’adapté au paysan ou au petit agriculteur qui produisent des cultures diverses pour une communauté locale.

Un troisième problème souligné dans le rapport AGRA Watch concerne le financement par Bill Gates des organisations de recherche et des scientifiques européens et américains plutôt qu’africains, même si les programmes sont mis en œuvre en Afrique :

Cette situation peut ne pas être le résultat d’intentions conscientes, mais d’un préjugé structurel profondément ancré qui fait que les scientifiques et les institutions scientifiques africains ne sont pas suffisamment qualifiés ou légitimes pour recevoir le financement des subventions.

© Fotokostic – Shutterstock.com
L’agriculture se développe en Afrique, les pesticides aussi

Note du traducteur : Puisqu’il n’existe à échéance 2020 aucune publication relative à l’efficacité ou pas du programme de l’AGRA dans sa globalité et que cette dernière a refusé de lui fournir les informations nécessaires à ses recherchesTimothy Wise a utilisé les données nationales de treize pays « bénéficiaires » de l’AGRA jusqu’en 2018, données portant sur la production, le rendement et la superficie récoltée pour la plupart des cultures vivrières importantes de la région, afin d’évaluer dans quelle mesure les programmes de cette révolution verte augmentent sensiblement la productivité.

L’AGRA a par ailleurs reçu près d’un milliard de dollars de contributions, dont la grande majorité provient de la Fondation Gates, mais également des contributions importantes des gouvernements donateurs, notamment des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Allemagne et d’autres pays. L’AGRA a versé plus de 500 millions de dollars en subventions pour promouvoir sa vision d’une agriculture africaine « modernisée », libérée de sa technologie peu développée et de ses faibles rendements.

Timothy Wise a également examiné les données sur la pauvreté et la faim afin de déterminer s’il existe des signes d’amélioration des revenus et de la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles dans la région, qui se situeraient à des niveaux correspondant aux objectifs de l’AGRA en matière d’amélioration du bien-être des agriculteurs.

Il n’a trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. Il déplore au contraire « n’avoir trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. » Et plus précisément, il a constaté ce qui suit :

  • Peu de preuves que l’AGRA atteignait un nombre important d’agriculteurs. Son dernier rapport d’étape indique seulement que l’AGRA a formé 5,3 millions d’agriculteurs aux pratiques modernes, dont « 1,86 million d’agriculteurs » utilisent directement ces méthodes. Ce chiffre est vague et bien loin de l’objectif déclaré de doubler directement la productivité et les revenus de 7 millions d’agriculteurs, et indirectement pour 21 millions d’autres.
  • Aucune preuve d’une augmentation significative des revenus des petits exploitants ou d’une sécurité alimentaire. Pour l’ensemble des pays cibles de l’AGRA, il y a eu une augmentation de 30 pour cent du nombre de personnes souffrant de la faim extrême depuis le début, une situation qui touche 130 millions de personnes dans les pays cibles de l’AGRA. Le Kenya, où se trouve son siège, a connu une augmentation de la proportion de ses habitants souffrant de sous-alimentation pendant les mêmes années.
  • Il n’existe aucune preuve d’une augmentation importante de la productivité. Pour l’ensemble des cultures de base, les rendements n’ont augmenté que de 18 pour cent sur douze ans dans les treize pays cibles de l’AGRA. Même le maïs, fortement encouragé par les programmes de la Révolution verte, n’a connu qu’une croissance de 29 pour cent de son rendement, bien loin de l’objectif de l’AGRA d’en doubler la productivité, ce qui représenterait une augmentation de 100 pour cent.
  • Là où l’adoption des technologies a eu lieu, les subventions aux intrants fournies par les gouvernements africains semblent avoir beaucoup plus d’influence que les programmes de l’AGRA. Il est difficile de trouver des preuves que les programmes de l’AGRA auraient un impact significatif en l’absence de subventions aussi importantes de la part des gouvernements africains.
  • Même là où la production a augmenté, comme en Zambie, la production de maïs qui a quasiment triplée n’a pas entraîné de réduction de la pauvreté ou de la faim en milieu rural. Les petits agriculteurs n’en ont pas profité ; la pauvreté et la faim sont restées incroyablement élevées, 78 pour cent des Zambiens vivant en milieu rural étant dans une pauvreté extrême.
  • Les incitations de la Révolution verte pour les cultures prioritaires comme le maïs ont conduit à l’abandon des cultures traditionnelles plus nutritives et plus résistantes au climat comme le millet et le sorgho, ce qui a érodé la sécurité alimentaire et la nutrition des agriculteurs pauvres. La production de millet a diminué de 24 pour cent, les rendements ayant chuté de 21 pour cent pendant les années de l’AGRA.
  • Aucun signe d’« intensification durable », l’objectif étant d’augmenter durablement la production sur les terres agricoles existantes. Les impacts environnementaux sont négatifs, notamment l’acidification des sols dans le cadre de la culture en monoculture avec des engrais à base de combustibles fossiles. L’augmentation de la production provient davantage des agriculteurs qui mettent de nouvelles terres en culture — par « extension » — que de l’augmentation de la productivité. Ces deux tendances ont des implications pour l’atténuation du changement climatique et l’adaptation à celui-ci.

Il s’agit donc d’un bilan d’échec pour l’AGRA — sauf à penser que l’objectif n’était pas celui-là même qui a été mis en avant — et il serait temps que les gouvernements africains qui en sont « bénéficiaires » changent de cap…

© Inconnu

La spécialité de Gates — Le philanthro-capitalisme

Des observations supplémentaires peuvent être trouvées dans l’article de l’AGRA Watch[9] « Philanthro-capitalisme : Les programmes africains de la Fondation Bill & Melinda Gates ne sont pas de la charité », publié en décembre 2017, dans lequel le philanthro-capitalisme est décrit comme « une tentative d’utiliser les processus du marché pour faire le bien », mais qui se révèle intrinsèquement problématique « parce que les marchés sont mal adaptés pour produire des résultats socialement constructifs ».

En d’autres termes, la marque de fabrique de la philanthropie de Gates engendre plusieurs nouveaux problèmes pour chacun de ceux qu’elle résout. Comme l’indique l’article, les partisans de la philanthro-capitalisation…

… attendent souvent de leurs investissements dans les programmes sociaux des retours financiers ou des bénéfices secondaires à long terme. La philanthropie devient une autre partie du moteur du profit et du contrôle des entreprises. La stratégie de développement de la Fondation Bill & Melinda Gates encourage en fait les politiques économiques néolibérales et la mondialisation des entreprises.

Il est […] probable que Bill Gates, qui a un accès régulier aux dirigeants mondiaux et qui finance personnellement des centaines d’universités, d’organisations internationales, d’ONGs et de médias, soit devenu la voix la plus influente en matière de développement international.

Un examen plus approfondi de la Fondation Bill & Melinda Gates est essentiel étant donné que son influence est vaste, voire plus grande que celle de la plupart des gouvernements donateurs. La Fondation Bill & Melinda Gates fournit plus d’aide à la santé mondiale que tout autre pays donateur et est le cinquième plus grand donateur pour l’agriculture dans les pays en développement.

En 2013, seuls onze pays ont dépensé plus que la Fondation Bill & Melinda Gates, ce qui en fait le douzième donateur mondial. La Fondation Bill & Melinda Gates est devenue un donateur plus important que des pays tels que la Belgique, le Canada, le Danemark, l’Irlande et l’Italie[10].

Le plan médical de Gates — Immunisation et surveillance mondiales

L’une des raisons pour lesquelles beaucoup prennent conscience de la puissance de Gates est sa présence fréquente en tant qu’expert du jour du Covid-19. C’est un choix étrange, compte tenu de son absence totale de formation médicale formelle. C’est d’autant plus troublant que les opinions des médecins, des scientifiques etdes chercheurs qui sont en conflit avec ses vuessont effacées de l’Internet.

Note du traducteur : Le Dr Jospeh Mercola fait lui-même l’objet d’attaques sur Internet. Voici ce qu’il écrivait le 17 août dernier :


Deux décennies de journalisme sur la santé sont en jeu

Ces vingt-trois dernières années, je me suis battu contre l’introduction de fluorure neurotoxique dans l’eau. J’ai été l’un des premiers médecins à alerter le monde sur les dangers du Vioxx, qui a tué plus de 60 000 patients avant d’être finalement retiré du marché. J’ai fait campagne contre les OGMs et les produits agrochimiques toxiques, en finançant en 2012 la première collecte de signatures pour obtenir l’étiquetage des OGMs en Californie.

Pendant plus de dix ans, j’ai financé la lutte pour mettre fin à l’utilisation des plombages dentaires au mercure dans le monde entier. J’ai mis en garde contre la sur-utilisation des antibiotiques en médecine humaine et les dangers de leur consommation dans les viandes CAFO [c’est-à-dire issues de l’élevage intensif – NdT]

J’ai financé des recherches et j’ai été l’un des premiers médecins journalistes à sensibiliser aux dangers de la carence en vitamine D. Je sensibilise maintenant le public à l’importance d’optimiser la vitamine D pour minimiser les risques du Covid-19.

Ce plaidoyer en faveur de la santé publique a créé une armée d’adversaires bien financés. Ils m’ont attaqué en utilisant des groupes de relations publiques coûteux et des médias de masse, ont saisi des agences de régulation fédérales et des groupes pharmaceutiques de façade pour tenter de me faire taire et de me discréditer.

Jamais auparavant les Américains n’ont été exposés à un tel assortiment coordonné de mensonges et de censure. Le lavage de cerveau, la surveillance des médias sociaux, la coercition et la destruction des dissidents s’accélèrent. Pour un aperçu complet de ce nouvel ordre mondial, un empire construit et dirigé par des milliardaires, voir ma série d’articles « Le fantôme dans la machine ».

Bill Gates a déclaré à plusieurs reprises que la vie ne pourrait pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas vacciné contre le Covid-19 l’ensemble de la population mondiale. Et ce, en dépit du fait que les scientifiques et les chercheurs médicaux ont découvert une variété de stratégies sûres, simples et peu coûteuses pour prévenir et traiter le Covid-19.

© Inconnu
Lorsque vous ou vos enfants vous faites vacciner, vous devez être certain de savoir qui injecte quoi dans votre sang et pour quelle raison.

Le fait que les opinions irrationnelles et scientifiquement non fondées de Bill Gates façonnent dans le monde entier les réponses à la pandémie alors que les vrais professionnels de la santé sont censurés par les médias grand public et les plateformes de médias sociaux constitue la preuve que nous ne fonctionnons plus sur une base scientifique et de vérité médicale.

Au lieu de cela, le monde entier devrait s’aligner sur le programme créé par Bill Gates qui sert ses propres intérêts et ceux de ses nombreux alliés dans le domaine de la technologie et de la médecine. Dans un article publié dans GatesNotes[11-12] le 30 avril 2020, Gates déclare même qu’il « soupçonne que le vaccin Covid-19 fera partie du calendrier de vaccination systématique des nouveaux-nés » — un joli petit morceau de programmation prédictive, si vous voulez mon avis.

Note du traducteur : Pour appuyer les propos du Dr Mercola, voici ce que Bill-Gates-le-psychopathe-de-service-aux-ordres-du-consortium-en-haut-de-la-pyramide explique aussi dans cet article :

La plupart des gens s’accordent à dire que les professionnels de la santé devraient d’abord se faire vacciner. Mais qui le reçoit ensuite ? Les personnes âgées ? Les enseignants ? Les travailleurs occupant des emplois essentiels ?

Je pense que les pays à faible revenu devraient être parmi les premiers à le recevoir, car les gens risquent beaucoup plus de mourir dans ces pays. Le Covid-19 se répandra beaucoup plus rapidement dans les pays pauvres, car des mesures comme l’éloignement physique sont plus difficiles à mettre en œuvre. Un plus grand nombre de personnes ont un mauvais état de santé sous-jacent qui les rend plus vulnérables aux complications, et la faiblesse des systèmes de santé fera qu’il leur sera plus difficile de recevoir les soins dont ils ont besoin. La mise en circulation du vaccin dans les pays à faible revenu pourrait sauver des millions de vies. La bonne nouvelle, c’est que nous disposons déjà d’une organisation spécialisée dans ce domaine, la Vaccine Alliance (Gavi).

Il s’agit donc d’attaquer les plus faibles d’abord, sous couvert d’humanisme et de bonnes intentions, on s’occupera des autres ensuite ; d’ici là, des lois d’obligation vaccinale auront peut-être eu le temps de voir le jour un peu partout. Peut-être…

Les vaccins à ARNm développés contre le Covid-19 modifieront votre expression génétique, transformant votre corps en une usine à protéines virales. Est-il vraiment judicieux d’envisager l’utilisation d’un tel nouveau vaccin sur les nouveau-nés ? Dans un monde sain et rationnel, la réponse serait un non catégorique. Malheureusement, nous vivons aujourd’hui dans un monde dirigé par les hommes de main de Gates [lui-même sacrifiable s’il est besoin par le même consortium qui a permis qu’il soit là où il est à dessein – NdT], et la raison et la logique ont donc largement disparues de l’équation.

Dans une dialectique hégélienne prévisible de type problème-réaction-solution, le problème du Covid-19 a conduit à des stratégies anti-pandémiques illogiques et mal conçues telles que l’obligation de porter un masque et l’assignation à résidence de personnes en bonne santé, suivies de la « solution ultime » offerte par un vaccin élaboré à la hâte qui repose sur l’usage d’une nouvelle technologie d’ARNm.

Aussi radical que tout cela puisse paraître, les projets de Gates pour le monde ne s’arrêtent pas là. Il fait également pression pour la mise en place d’un vaste système de surveillance mondial permettant de suivre et de retracer le statut de chacun en matière infectieuse et vaccinale. Il finance même, avec George Soros, le groupe de recherche des contacts Partners in Health. (La Fondation William J. Clinton a également financé Partners in Health dans le passé[13]).

Il n’est pas surprenant que les recommandations de Bill Gates finissent par lui profiter avant tout. Comme nous l’avons vu dans « Bill Gates — Le philanthrope le plus dangereux de l’histoire moderne », la Fondation Bill & Melinda Gates fait des dons de plusieurs milliards de dollars aux mêmes entreprises et industries que celles dans lesquelles la Fondation détient des actions et des obligations.

Utiliser l’argent des associations à but non lucratif pour faire avancer la recherche au sein des entreprises dans lesquelles vous investissez est illégal, mais Bill Gates continue depuis de nombreuses années à ne rendre aucun compte à la justice. Sa fondation bénéficie parallèlement d’avantages fiscaux au titre des donations qu’elle reçoit.

N’oubliez pas qu’au fil des ans il a « donné » des dizaines de milliards de dollars et pourtant la valeur nette de sa fondation n’a pas diminué — elle a même doublé, et cela est dû en grande partie au fait que ses dons sont traités comme des investissements fiscalement déductibles. C’est du philanthro-capitalisme dans sa plus grande expression.

Note du traducteur : Le journaliste Lionel Astruc a enquêté sur la fondation de l’ex-patron de Microsoft, Bill Gates, l’un des hommes les plus riches de la planète. Avec un budget annuel de près de 5 milliards de dollars, et sous prétexte de lutter contre les inégalités, la Fondation Gates nourrirait un système destructeur.

Entretien.

Bill Gates est celui qui bénéficie le plus d’une peur propagée de pandémie

À ce jour, la pandémie de Covid-19 est indéniablement le plus grand projet philanthro-capitaliste de Bill Gates, et il s’apprête à engranger d’énormes sommes d’argent, puisqu’il finance et investit à la fois dans les traitements et dans les vaccins contre le Covid-19.

© Inconnu

En mars 2020, la Fondation Gates a annoncé[14] un nouveau partenariat, baptisé « The Covid-19 Therapeutics Accelerator », avec Wellcome et Mastercard pour « coordonner les efforts de recherche et développement, et éliminer les obstacles au développement des médicaments [et intensifier les traitements pour faire face à la pandémie » — Voir le site en anglais ici – NdT] ». Selon le communiqué de presse[15] :

L’accélérateur thérapeutique Covid-19 jouera un rôle de catalyseur en accélérant et en évaluant des médicaments et des produits biologiques nouveaux et reconvertis pour traiter à court terme les patients atteints du Covid-19, puis d’autres agents pathogènes viraux à plus long terme.

La Fondation Gates s’est également associée au Serum Institute of India pour fabriquer 100 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 développés par AstraZeneca et Novavax. Les vaccins, qui coûteront moins de 3 dollars par dose, sont destinés à être livrés aux pays à faible revenu[16-17].

Le financement est acheminé sous la forme d’un prêt sans intérêt et remboursable à Gavi, la Vaccine Alliance, fondée par la Fondation Gates en 2000, qui fournira ensuite le capital nécessaire au Serum Institute of India. Au cours des cinq prochaines années, la Fondation s’est également engagée à fournir à Gavi un total de 1,6 milliard de dollars de fonds supplémentaires[18].

Note du traducteur : Le Wellcome Trust est une fondation caritative fondée en 1936 dédiée à la médecine dont le siège est en Grande-Bretagne, dont la mission générale consiste à « encourager et promouvoir la recherche dans le but d’améliorer la santé de l’homme et des animaux », et qui finance la recherche biomédicale à hauteur d’une moyenne de 725 millions d’euros par an. Au 30 septembre 2007, ses actifs nets se montaient à 16,8 milliards d’euros. Au 30 septembre 2018sa dotation s’élevaient à près de 29 milliards d’euros. En termes d’avoirs, il s’agit de la seconde fondation la plus riche après la Fondation Bill & Melinda Gates.

Cette influence générale sur la technologie, l’alimentation et la médecine — et sur les vaccins en particulier — ne décrit pourtant pas de manière adéquate l’emprise de Bill Gates sur notre vie quotidienne. Il a également eu une profonde influence sur l’éducation. Le très critiqué programme Common Core [Tronc commun, fondé en 2009 – NdT] fut une tentative de la Fondation Gates de redéfinir l’éducation américaine[19] et la plupart des parents vous diront à quel point cette tentative était stupide[20].

Note du traducteur : Selon un article de Forbes de mai 2020,

Bill Gates n’a pas inventé ce Tronc commun, mais comme l’a expliqué Lyndsey Layton en 2014, il a fourni le soutien financier, l’organisation et l’influence nécessaire pour les faire entrer rapidement dans tous les États de la nation. Il est difficile de savoir exactement combien d’argent Bill Gates a dépensé pour soutenir son projet de Tronc commun, le nombre de groupes et le nombre des chèques émis étant stupéfiants. Mais les dépenses de Bill Gates en matière d’éducation aux États-Unis se chiffrent en milliards de dollars et ont directement influencé la façon dont ont été dépensés des milliards de milliards de dollars du contribuable. Et si certains continuent à affirmer que ce projet de Tronc commun fut un succès, il est pour le moins difficile de conclure à un consensus général. Ce que le Tronc commun de Bill Gates a cependant réussi, c’est d’aider à faire accepter dans le système scolaire américain les deux aspects majeurs qui définissent Bill Gates — mettre l’accent sur la collecte des données, et définir qu’une moins bonne réussite scolaire s’assimile à « de bons résultats à un test de mathématiques et de lecture ».

Malgré cet échec lamentable, le 6 mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, annonçait que l’État s’associait à la Fondation Bill & Melinda Gates pour développer « un système d’éducation plus intelligent » pour le monde post-Covid, système qui se concentrera sur l’apprentissage en ligne et intégrera de façon permanente la technologie dans tous les aspects de la vie civique[21].

L’État de New York s’est également associé à Google, et Cuomo a demandé à son ancien PDG, Eric Schmidt, de diriger un nouveau panel chargé de planifier l’infrastructure technologique de l’État[22]. Comme l’a noté Naomi Klein dans son article publié dans The Intercept[23], l’appareil de surveillance contre lequel les consommateurs se sont insurgés est maintenant rebaptisé en réponse aux préoccupations de chacun en matière de santé.

Note du traducteur : dans son article, Naomi Klein écrit aussi ceci :

C’est un avenir dans lequel nos maisons ne seront plus jamais exclusivement des espaces personnels mais aussi, grâce à la connectivité numérique à haut débit, nos écoles, nos cabinets médicaux, nos gymnases et, si l’État le détermine, nos prisons.

Bill Gates est la figure de proue la plus visible de la technocratie moderne

Qu’elle soit planifiée ou pas, la pandémie de Covid-19 est de toute évidence utilisée pour introduire des changements très controversés qui sont indubitablement totalitaires, y compris la prise de contrôle du gouvernement par le secteur privé dans le cadre de partenariats public-privé.

La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais la cible des profits. Et parmi ceux qui sont le plus susceptibles d’engranger d’énormes profits, on trouve Bill Gates lui-même.

Pour mieux comprendre ce à quoi vous renoncez en suivant le discours dominant selon lequel nous avons besoin de Big-Technologie pour être sauvés, voir mon article à propos de la psychologue sociale et professeure à Harvard, Shoshana Zuboff, et son livre extraordinaire, L’Âge du capitalisme de surveillance.

Vous ne voudrez pas non plus manquer mon récent entretien avec Patrick Wood, présenté dans « Les plus impérieux dangers de la technocratie ». J’ai intégré cette interview ci-dessous pour vous faciliter la tâche.

Note du traducteur : Pour les lecteurs qui souhaitent visionner cette vidéo en anglais, suivez ce lien. Pour accéder à la transcription de l’interview en anglais, suivez ce lien. Sinon voici quelques paragraphes concernant les grandes lignes de son contenu :

  • La technocratie est un système économique qui a vu le jour dans les années 1930, au plus fort de la Grande Dépression, lorsque des scientifiques et des ingénieurs se sont réunis pour résoudre les problèmes économiques de la nation [les États-Unis – NdT]. Depuis lors, les technocrates ont silencieusement et sans relâche progressé, et leur programme devient de plus en plus visible.
  • Les technocrates ont inventé un nouveau système économique à partir de zéro — un système économique basé sur les ressources dans lequel l’énergie et l’ingénierie sociale dirigent l’économie plutôt que des mécanismes de prix tels que l’offre et la demande.
  • La technocratie appelle au démantèlement total du système politique, qui inclut la Constitution américaine. Les nations doivent être dirigées par des dirigeants non élus qui décident des ressources que les entreprises peuvent utiliser et des produits que les consommateurs sont finalement autorisés à acheter.
  • La Commission trilatérale est un groupe technocratique clé qui a dominé le système politique américain depuis Jimmy Carter.
  • La seule raison pour laquelle la technocratie n’a pas encore réussi à supplanter les États-Unis — bien qu’elle s’en rapproche de façon incroyable — c’est à cause de notre Constitution [ou grâce à elle, selon le point de vue – NdT]. C’est pourquoi nous devons nous battre pour protéger notre Constitution à tout prix. L’un des moyens les plus efficaces pour y parvenir est de créer des mouvements de base et de s’impliquer dans la politique locale.

Patrick Wood est un économiste, analyste financier et constitutionnaliste américain qui a consacré sa vie à découvrir le mystère de ce qui contrôle la plupart des folies que nous observons actuellement, et qui a été exacerbé par la pandémie de Covid-19.

Il a écrit deux livres sur ce sujet : Technocracy Rising: The Trojan Horse of Global Transformation et Technocracy: The Hard Road to World Order [« La montée de la technocratie — Le cheval de Troie de la transformation globale » et « Technocratie — La dure route vers l’ordre mondial », ouvrages non traduits en français – Ndt].

Patrick Wood brosse un tableau qui peut être difficile à avaler, surtout si vous venez d’entendre tout cela pour la première fois, mais il est vraiment crucial que tout le monde commence à comprendre ce à quoi nous sommes confrontés. Le temps nous est compté. Pour avoir une chance de l’arrêter, nous devons comprendre notre trajectoire et nous unir pour changer le cap que Bill Gates et d’autres comme lui nous ont tracé.

Sources et références

Source de l’article initialement publié en anglais le 21 août 2020 : Mercola
Traduction: Sott.net

Commentaire : Voici une liste d’articles sur Bill Gates en particulier et sur le Covid-19 en général

Bill Gates


Covid-19

[Voir aussi : Bill Gates sur Nouveau Monde]




5G, virus et covid-19

Extraits significatifs du Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

5G et coronavirus

Le rayonnement électromagnétique 5G endommage l’ADN cellulaire humain.

Les cellules exposées (de toutes sortes ciblées dans l’organisme humain) réagissent en produisant une cascade de substances immunologiques protectrices.

Ces substances sont conditionnées dans une structure intracellulaire appelée endosome.

L’endosome est expulsé de la cellule, devenant ainsi un exosome (Prix Nobel de médecine 2013).

L’exosome circule et se lie aux récepteurs ACE2 du poumon, de l’intestin et du cœur.

Les substances chimiques immunologiques contenues dans l’exosome pénètrent l’ACE2.

L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2, ou ACE2 est une enzyme liée à la face externe des membranes plasmiques de cellules du poumon, des artères, du cœur, du rein et de l’appareil digestif. Elle joue un rôle important dans le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) qui régule l’homéostasie hydrosodée et la pression artérielle.

L’ACE2 est réputé être le point d’entrée dans les cellules humaines de certains coronavirus, dont le coronavirus humain NL63, le SARS-CoV13 (coronavirus à l’origine du SRAS) et le SARS-CoV-2 (à l’origine de la COVID-19).

Par ailleurs, il est à noter que le calendrier des déploiements de la 5G semble coïncider avec les cartes d’apparition du coronavirus et avec les endroits où l’incidence du nouveau coronavirus est la plus élevée, ce qui a d’ailleurs provoqué dans certains pays des réactions populaires visant à détruire ou incendier de nombreux pylônes d’antennes-relais (Royaume-Uni, Hong-Kong).

A cet égard, YouTube a retiré toutes les vidéos associant la 5G à la propagation du coronavirus, depuis le début du mois de février.

Reste qu’il y aurait une corrélation, à vérifier une fois disponibles les nouvelles cartes relevant les installations effectuées durant le confinement selon les lois d’urgence, entre le déploiement massif de la 5 G et le berceau de la propagation.

Effectivement, l’épidémie a débuté en Chine, qui est le promoteur de la 5G (10.000 antennes sur Wu-Han, zone de démonstration officielle de 5G, fin 2019), et l’Italie n’était pas loin derrière dans cette course au déploiement, les grandes villes italiennes étant déjà entièrement équipées en 5G à la fin 2019. La Lombardie (Milan) a été une des premières régions italiennes équipées de 5G et la région la plus touchée par le Covid-19 : ainsi que titraient les journaux italiens fin 2017,

«Milan se rêve en capitale européenne de la 5G », Vodafone Italia ayant lancé un plan de 90 millions d’euros pour couvrir 100% de la capitale économique italienne en 2019.

Comparaison des cartes de déploiement de la 5G et des malades hospitalisés en France (la différence entre le nombre d’hospitalisation et le nombre de décès résultant par ailleurs d’une différence dans les traitements appliqués, par exemple entre Marseille – Professeur Raoult – et le Grand-Est).

Il y avait, officiellement et avant le confinement du 17 mars 2020, 450 antennes-relais de 5G installées en France, notamment dans les villes de Marseille (95), en région Parisienne (85), Montpellier (53), Lyon (22), Toulouse (22) et Bordeaux (22).


LES PATHOLOGIES LIEES AUX CHAMPS ELECTRO-MAGNETIQUES

Tout d’abord, il convient de souligner que :

−les cas graves de COVID-19 sont liés à un phénomène de thrombose, ainsi qu’en ont alerté plusieurs médecins de terrain, nous le savons maintenant ;

−cette thrombose résulte d’un choc cytokinique, qui est un processus d’inflammation, donc un problème immunitaire :

−effectivement : la thrombose veineuse (DVT) est une cause majeure de morbidité et de mortalité. Alors que la thrombose veineuse a longtemps été considérée comme un désordre lié à la coagulation du sang, plusieurs démontrent que le système immunitaire et un processus d’inflammation sont à l’origine de la thrombose (« Deep vein thrombosis (DVT) is a major origin of morbidity and mortality. While DVT has long been considered as blood coagulation disorder, several recent lines of evidence demonstrate that immune cells and inflammatory processes are involved in DVT initiation. » Immune factors in deep vein thrombosis initiation) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6065414/

Ceci étant posé, voyons ce qu’il en est des pathologies spécifiquement liées à l’exposition à des champs électromagnétiques, en cause dans la forte présomption d’un lien entre les malades hospitalisés pour le COVID-19 et un déploiement des installations de 5G :

Nous allons pour cela nous référer à une Bibliographie sur les phénomènes biologiques rapportés (« effets ») et les manifestations cliniques attribuées aux ondes électromagnétiques. Institut de recherche médicale navale MF12.54.015-0048, rapport n°2n révisé. 106 pp. [NOTE : ce document a été réduit à 25 pages afin que nous puissions le publier ici et ne contient pas toutes les 2311 références.]

«Plus de 2000 références sur les réponses biologiques aux ondes électromagnétiques et aux micro-ondes, publiées jusqu’en juin 1971, sont incluses dans la bibliographie. Une attention particulière a été accordée aux effets sur l’homme des rayonnements non ionisants à ces fréquences. […]

Note : Ce document n’est pas classifié.

SIGNIFICATION

La valeur du document de Glaser de 1972 est de contrer les affirmations selon lesquelles aucune recherche « crédible » n’existerait qui mettrait en évidence des effets non thermiques. Il s’agit d’une déclaration inexacte promue par ceux qui ne connaissent pas les publications ou qui ne veulent pas admettre que ces ondes, aux niveaux d’exposition actuels, peuvent être nuisibles. Des recherches crédibles existent depuis des décennies, largement ignorées par les responsables de santé publique et les professionnels de santé.

COMMENTAIRES

C’est l’une des premières compilations à grande échelle de la littérature sur les effets biologiques des ondes électromagnétiques, apparue pour la première fois en 1971. L’auteur a classé les effets biologiques en 17 catégories (voir ci-dessous).

A. Effet thermique sur les organes

Cela comprend l’augmentation de la température de tout le corps ou d’une partie du corps comme la peau, l’os et la moelle osseuse, la lentille de l’œil avec des cataractes et des dommages à la cornée; aux organes génitaux provoquant une dégénérescence tubulaire des testicules; au cerveau et aux sinus; aux implants métalliques provoquant des brûlures près des broches de hanche, etc. Ces effets sont réversibles sauf les dommages causés à l’œil.

B. Changements dans la fonction physiologique

Ceci inclut la contraction des muscles striés; la modification du diamètre des vaisseaux sanguins (augmentation de l’élasticité vasculaire), leur dilatation; des modifications des processus oxydatifs dans les tissus et les organes; l’élargissement du foie; la sensibilité aux médicaments; la diminution de la spermatogenèse conduisant à une diminution de la fertilité et à la stérilité; l’augmentation du nombre des naissances de filles par rapport à celui des garçons; une altération de l’activité menstruelle; une altération de l’évolution du fœtus; une réduction de la lactation chez les mères allaitantes; une réduction de la diurèse entraînant une excrétion de sodium par voie urinaire; une altération de la fonction rénale; des changements dans les réflexes conditionnés; la diminution de la résistance électrique de la peau; des changements dans la structure des récepteurs de la peau; une altération du flux sanguin; une modification des courants dans le cortex cérébral chez les animaux; des changements dans le taux d’élimination des ions marqués des tissus; changements structurels réversibles dans le cortex cérébral et le diencéphale; changements dans les électrocardiographes; sensibilité altérée aux stimuli lumineux, sonores et olfactifs; changements fonctionnels et pathologiques des yeux; nécrose myocardique; hémorragie des poumons, du foie, de l’intestin et du cerveau et dégénérescence généralisée du tissu corporel à des niveaux de rayonnement mortels; perte de parties anatomiques; décès; déshydratation; taux de calcification tissulaire altéré.

C. 100 effets sur le système nerveux central

Cela comprend maux de tête; insomnie; agitation (journée et sommeil); changements dans l’activité des ondes cérébrales (EEG); troubles du nerf crânien; lésions pyramidales; troubles des réflexes conditionnés; action vagomimétique et sympathomimétique du cœur; attaques et convulsions.

D. Effets sur le système nerveux autonome

Rythme cardiaque altéré; fatigue, altérations structurelles dans les synapses du nerf vague; stimulation du système nerveux parasympathique conduisant à la bradycardie et à l’inhibition du système nerveux sympathique.

E. 500 effets sur le système nerveux périphérique

Effets sur les nerfs locomoteurs.

F. Troubles psychologiques

Les symptômes comprennent neurasthénie (malaise général); dépression; impuissance; anxiété; manque de concentration; hypocondrie; vertiges; hallucinations; somnolence ou insomnie; irritabilité; diminution de l’appétit; perte de mémoire; sensations du cuir chevelu; fatigue; douleurs thoraciques, tremblements.

G. Changements de comportements chez les animaux

Les effets incluent des changements dans les comportements de réflexion, d’action, d’évitement et de discrimination.

H. Troubles du sang

Les effets incluent des modifications du sang et de la moelle osseuse; fonctions phagocytaires et bactéricides accrues; taux d’hémolyse accru (durée de vie plus courte des cellules); taux de sédimentation sanguine accru; diminution des érythrocytes; augmentation des concentrations de glucose dans le sang; teneur en histamine sanguine altérée; changements dans les lipides et le cholestérol; modifications des anticorps et de la concentration totale en protéines; changements du nombre d’éosinophiles; diminution du taux d’albumine/globuline ; Hémopoïèse altérée (taux de formation de globules sanguins); leucopénie (augmentation du nombre de globules blancs et leucocytose, réticulocytose (augmentation des globules rouges immatures).

I. Troubles vasculaires

Cela inclut la thrombose et l’hypertension.

J. Modifications enzymatiques et biochimiques (in vitro)

Changements dans l’activité de la cholinestérase (également in vivo), de la phosphatase, des transaminases; des amylases, des carboxydismutases; dénaturation des protéines; inactivation des champignons, des virus et des bactéries; mort de tissus en culture; taux de division cellulaire altéré; augmentation de la concentration d’ARN dans les lymphocytes et diminution de la concentration d’ARN dans le cerveau, le foie et la rate; changements dans les excrétions d’acide pyruvique, d’acide lactique et de créatinine; changements de concentration de glycogène dans le foie (hyperglycémie); concentrations aItéréesde17-cétostéroïdes dans les urines.

K. Troubles métaboliques

Les effets incluent la glycosurie (sucre dans l’urine); l’augmentation des phénols urinaires; le traitement modifié des enzymes métaboliques; métabolisme modifié des glucides

L. Troubles gastro-intestinaux

Les effets incluent l’anorexie; trouble épigastrique; constipation; sécrétion altérée des sucs gastriques.

M. Modifications des glandes endocrines

Les effets comprennent la modification du fonctionnement de la glande pituitaire, de la glande thyroïde (hyperthyroïdisme et hypertrophie de la thyroïde, augmentation de l’absorption de l’iode radioactif) et de l’adrénaline; diminution des corticostéroïdes dans le sang; diminution de l’activité glucocorticoïde; hypogonadisme (avec diminution de la production de testostérone).

N. Modifications histologiques

Changements dans l’épithélium tubulaire des testicules et changements de volume.

O. Modifications génétiques et chromosomiques

Les effets incluent les aberrations chromosomiques (raccourcissement, pseudos-chiasme, structures diploïdes, divisions amitotiques, pontage, ¨’adhérence’, irrégularités dans l’enveloppe chromosomique); mutations; mongolisme; altérations somatiques (ne comportant pas de noyau ou de chromosome); maladies néoplasiques (tumeurs).

P. Alignement en chaînes de perles

Cela se réfère à l’orientation intracellulaire des particules subcellulaires et à l’orientation des particules cellulaires et autres (particules non biologiques, par exemple magnétiques) affectant l’orientation des animaux, des oiseaux et des poissons dans les champs électromagnétiques.

Q. Effets divers

Ceux-ci comprennent étincelles entre les obturations dentaires; goût métallique dans la bouche; changements dans l’activité optique des solutions colloïdales; dans le traitement de la syphilis, de la poliomyélite, des maladies de la peau; perte et fragilité des cheveux; sensations de bourdonnement, vibrations, pulsations et chatouilles sur la tête et les oreilles; transpiration abondante, salivation et protrusion (avancée) de la langue; modifications dans le fonctionnement des stimulateurs cardiaques implantés; changements dans les rythmes circadiens.

5 juillet 2010. Glaser, Z.R. 1972.

Sources :

http://www.magdahavas.com/pick-of-the-week-1-more-than-2000-documents-prior-to-1972-on-bioeffects-of-radio-frequency-radiation/
http://www.cielvoile.fr/2017/10/effets-biologiques-des-ondes-electromagnetiques-plus-de-2000- publications-avant-1972.html


UNE OPERATION D’ENFUMAGE ?

ARMES ELECTROMAGNETIQUES POUR UNE GUERRE SILENCIEUSE

De ce qui précède, on peut raisonnablement retenir une légitime impression de défiance en certaines institutions, présidées par des personnalités que la corruption semble guider bien davantage que des considérations de bien public.

Mais d’autres voix s’élèvent au surplus pour contester l’existence même du COVID-19, qui serait

«un assemblage de symptômes relevant de pathologies variées regroupées artificiellement sous ce vocable (interview London Real).

Pour rappel, le test RT PCR (reverse transcription Polymerase Chain Reaction ) bien qu’utilisé à cette fin, ne viserait pas à déceler la présence de génome viral de la maladie à COVID-19, mais seulement du « matériel génétique » pouvant avoir des origines différentes.

Malgré cela, les personnes testées seraient diagnostiquées être infectées par le COVID-19 et leur décès éventuel est alors attribué au COVID-19. En outre, le cycle d’amplification utilisé (la sensibilité du test), dans différents pays, dicte le nombre de tests positifs obtenus.

Il devient ainsi très facile de manipuler les chiffres.

A l’origine, ce test (inventé en 1984 par un biochimiste US) a été développé pour diagnostiquer plusieurs choses, par exemple pour tenter de diagnostiquer le cancer du poumon. Son inventeur indique que « ce test ne devrait pas être utilisé pour diagnostiquer des maladies infectieuses ».

Le postulat de Koch, en vigueur depuis 1890, est un protocole permettant de prouver qu’un agent infectieux est bien la cause de ce que l’on prétend avoir détecté. Il comporte quatre volets.

En ce qui concerne le COVID-19, pas un seul des quatre postulats le composant, n’a été utilisé ni respecté.

Nous avons vu plus haut que, quand une cellule est empoisonnée, elle secrète des exosomes (ce qui fait partie du système immunitaire).

Elle peut-être empoisonnée par une maladie, une infection, des champs électromagnétiques, le stress ou la peur.

Ces exosomes avertissent les autres cellules qu’il y a un problème. Dès qu’une cellule est empoisonnée, des exosomes sont libérés.

Dans ce contexte, le Dr Andrew (Andy) Kaufmann a pris au microscope des photos d’exosomes, et les a comparées avec des photos de ce que l’on prétend être le COVID-19.

Ces deux photos étaient exactement les mêmes.

Vous pouvez voir ici une interview du Dr Andy Kaufman, ancien du M.I.T (Massachussetts Institute of Technology) qui contredit la thèse officielle : 

Il a ensuite examiné la composition génétique des exosomes, et celle revendiquée pour le COVID-19 et il s’avèrerait que ces deux compositions sont exactement les mêmes en tous points. Ils se fixent d’ailleurs l’un comme l’autre sur les mêmes récepteurs cellulaires.

Il s’agirait de la même chose.

Ainsi il s’agirait d’un mécanisme naturel de réponse du système immunitaire du corps humain qu’on a rebaptisé « COVID-19 ». Or toute personne présentant un niveau quelconque de toxicité cellulaire va produire ces exosomes et ainsi le potentiel de tests positifs au COVID-19 est infini.

« Des personnes tombent malades en Chine. L’OMS alerte alors sur une pandémie.

Compte-tenu des informations communiquées, toute personne présentant des symptômes grippaux ou pulmonaires est présumée infectée au COVID-19. Mais ce n’est pas suffisamment probant.

Alors, il est décidé que toute personne malade qui se rendra à l’hôpital (pour une grippe ou un cancer) soit testée au COVID-19 et elle sera évidemment diagnostiquée positive puisqu’elle présente des exosomes.

Si ces personnes décèdent, elles sont officiellement diagnostiquées comme étant morts du COVID-19.

Ainsi, les chiffres montent. »

Le nombre total de décès dans le monde n’aurait pas changé, mais on est en train de les reclasser comme « COVID-19 ».

Pourtant, ces gens ne meurent pas du COVID-19, mais après avoir été testés positifs au COVID-19 (par exemple pour un cancer en phase terminale), ce qui est différent.

Selon les chiffres officiels de l’institution médicale italienne, 99% des personnes dites décédées du « COVID-19 » en Italie souffraient d’un ou plusieurs problèmes de santé pour lesquels ils avaient été hospitalisés. Alors, il est très facile de mettre sur le compte du COVID-19 des personnes qui meurent pour toute autre chose.

Ainsi on remarquera qu’à la même époque, le nombre total des décès n’a pas augmenté par rapport à l’an dernier, mais ce chiffre total englobe les présumés morts par COVID-19 qui sont majoritaires. Cela signifie qu’il n’y a pas plus de gens qui meurent, mais que leur décès est attribué au COVID-19 alors qu’ils sont morts d’autre chose.

Observons ce qui se passe en Lombardie, centre de l’épidémie italienne, qui fait l’objet d’une telle attention avec le reste de l’Europe, morte de peur : la Lombardie, où se trouve Milan, est connue dans le monde entier pour son air pollué et toxique, tout comme Wu-Han en Chine.

La Lombardie enregistre un nombre de décès beaucoup plus élevé que dans le reste de l’Italie, notamment en raison de problèmes pulmonaires. Habituellement, un peu moins de 100.000 personnes y meurent chaque année.

Latium, qui est une autre région italienne, arrive en seconde position avec presque moitié moins de décès : 57.000.

Voici donc une région d’Italie où beaucoup de gens meurent, essentiellement de maladies pulmonaires et vous avez donc un formidable potentiel pour effectuer un diagnostic consistant à faire croire que les gens y meurent du COVID-19, alors qu’ils meurent d’autre chose.

Et ainsi, vous contrôlez les chiffres. En testant et en diagnostiquant d’une certaine manière, les chiffres augmentent. Et puis en jouant sur la sensibilité du test, les chiffres diminuent et peuvent s’effondrer de la même manière.

L’intention est d’attribuer le maximum de décès au COVID-19, parce que cela donne du crédit à cette pandémie. C’est pour une raison très importante et très simple. Et elle est liée à la raison pour laquelle il y a une règle de confinement.

Ce qui se passe également, c’est que les personnes âgées hospitalisées pour quelque raison que ce soit, sont tout d’abord testées pour le COVID-19. Beaucoup d’entre elles, pour les raison précitées, vont être testées positives. Il est question, selon les proches et les familles, ainsi que selon les personnels soignants sur le terrain, de nouvelles directives gouvernementales consistant à faire signer en Angleterre une décharge à ces personnes âgées – que le confinement devait protéger.

En France il y a une directive gouvernementale qui va dans le même sens :

Article de Libération sur la consigne gouvernementale du 19 mars 2020 de ne plus accepter de personnes de plus de 75 ans « fragile » dans les hôpitaux, qui condamne à mort nos anciens dans les EHPAD, alors que dans le même temps ce même gouvernement interdit d’appliquer le protocole du professeur Raoult dans les EHPAD et qu’il autorise par un Décret l’administration d’un très fort médicament pour endormir les personnes âgées (médicament justement contre-indiqué pour les affections pulmonaires). On interdit un traitement mais on autorise celui qui va donner la mort.

Ce qui signifie qu’on les laissera mourir et qu’aucune réanimation ne sera tentée. Et quand ils mourront, sans avoir été réanimés, ils feront partie des pertes dues au COVID-19. « Nous allons sans doute devoir faire des choix, pour décider qui nous allons traiter en priorité, et en ce qui concerne les personnes âgées, nous allons devoir faire des choix plus difficiles » – On va tuer ou laisser mourir ces personnes âgées à qui on demande de signer des formulaires de non- réanimation, ou qui sont visées par des directives gouvernementales de ne plus les accepter dans les hôpitaux, de ne pas leur appliquer un traitement pouvant les guérir, mais pour lesquelles on autorise une injection réputée létale.

Certains dirigeants semblent donc disposer et abuser de ces personnes âgées de la plus ignoble des manières, ces personnes âgées à qui ils disent que le confinement est là pour les protéger.

Les chiffres sont faussés par la façon dont ils font les tests, par la façon dont ion fait les diagnostics et par la façon dont sont comptabilisés les cas.

Nous pourrions voir les chiffres monter encore et encore, ce qui justifierait un confinement supplémentaire.

Ce sera fini – temporairement – lorsque les personnes physiques et morales à l’origine de cette manipulation penseront qu’ils ont atteint ce qu’ils voulaient obtenir, grâce à tout ça, c’est à dire la destruction totale de l’économie mondiale, qu’un nombre considérable de personnes perde leur gagne-pain et leurs revenus indépendants, et qu’ils soient donc devenus dépendants de l’Etat pour leur subsistance.

Puis, ces groupes en arrière des gouvernements mettront un terme à tout ça et feront baisser les chiffres « le pic est derrière nous », quand ils estimeront qu’ils sont allés assez loin et qu’ils en ont tiré tout ce qu’ils souhaitaient.

La Chine a repris ses activités, l’industrie redémarre, les gens sont à nouveau dans la rue et le transport aérien a repris.

Le but est que les autorités contrôlent les chiffres.

Ils n’ont pas obtenu un nombre suffisant de décès via ce virus, pour justifier le fait qu’il est mortel.

La grande majorité des gens n’a aucun symptôme, ou des symptômes légers.

Ce test RT PCR ne peut pas et ne détecte pas la quantité de « virus » en présence.

Nous avons tous ce que les gens appellent des « virus », mais qui en fait font partie du système immunitaire naturel, mais nous avons tous cela dans notre corps, à un niveau qui ne nous dérangera jamais. C’est pourquoi vous pouvez être testé positif et ne pas avoir de symptômes. Ce que ce test ne permet pas, c’est de vérifier la quantité présente en vous de ce « virus ».

Or, il faut en avoir une quantité énorme pour être malade. Ainsi, ils ne peuvent même pas vous dire si votre maladie est due à tel virus ou à tel autre.

Le nombre de morts actuel n’est pas suffisant pour justifier que ce « virus » est mortel ; Mais ils veulent un confinement pour des raisons bien plus importantes.

Donc, ils disent « attention à la prochaine vague, qui peut arriver à tout moment ». Selon la façon dont ils comptent, ils peuvent très bien créer une nouvelle vague, ou l’illusion d’une nouvelle vague.

Ils ont prévu, si nous les laissons faire, de pousser cela à l’extrême.

Et nous voilà confinés, et en quelques semaines nous sommes passés de ce que les gens percevaient comme un monde libre, à une tyrannie mondiale dans laquelle un tout petit nombre de personnes possède des milliards, tandis que la moitié de la population mondiale est assignée à résidence.

Et tout cela a été fait grâce à l’escroquerie COVID-19.

Il y a un cloisonnement féroce, pour qu’une poignée d’hommes puissent contrôler le monde. Si vous êtes au sommet de la pyramide, vous connaissez les objectifs, mais si vous êtes médecin, on vous dit « Voici les symptômes et si vous voyez ces symptômes, vous devez diagnostiquer le COVID-19. Si quelqu’un rentre à l’hôpital, vous devez faire un test pour le COVID-19. Si les gens meurent, peu importe de quoi, vous devrez inscrire sur le certificat de décès : COVID-19 ». Quelle est la ligne directrice que l’on retrouve, dans et après chaque tyrannie ? – « Je ne faisais que suivre les ordres ! ». C’est comme ça que ça marche.

Mais certaines infirmières et certains professionnels de la santé disent que c’est de la foutaise ! Certains d’entre eux rompent les rangs.

Le directeur de l’OMS qui a été ministre de la santé a été pris en flagrant délit de couvrir trois épidémies de choléra, fera ce qu’on lui dit de faire. C’est le moteur de cette politique. L’OMS a d’ailleurs été créée par les Rockefeller. L’OMS indique la marche à suivre et vous la suivez.

Vous suivez le protocole.

Donc, parce que la Chine a imposé ce confinement draconien et que les chiffres ont commencé à baisser, cela a créé un précédent pour suivre la voie.

Comme la Chine, on va créer un confinement et maintenir les gens à l’écart les uns des autres. Voilà comment fonctionne cette dynamique. Il y a des psychopathes en arrière-plan qui orchestrent tout ça, et puis il y a les ignorants [« Qui suis-je ? Où suis-je ? Que se passe-t-il ? » : les politiciens « Tout le monde va mourir, nous ferions mieux d’imposer un confinement ».] qui n’ont aucune idée de ce qu’il se passe réellement.

Et avec une « modélisation » bidon et un virus qui n’existe pas, on aura créé cet Armageddon économique. »

Ce qui nous amène à la 5G.

La 5G est une puissance d’énergie électromagnétique beaucoup plus importante que ce que nous avons vu auparavant.

Ce n’est pas seulement une amélioration de la 4G, qui est déjà assez nuisible, la 3G également, c’est une toute nouvelle partie du spectre électromagnétique, les ondes millimétriques, plus puissantes que tout ce que nous avons vu auparavant.

Le corps humain est un champ électromagnétique. Le cerveau communique avec le reste du corps des informations, électriquement. Lorsque ce champ et les cellules traitent les pensées, les électromagnétique est en équilibre, nous sommes en bonne santé. Lorsqu’il est en déséquilibre ou en dysharmonie, nous ressentons un mal-être, nous souffrons de maladies, qui se manifestent sous la forme de ce que nous appelons des maladies physiques ou des maladies psychologiques.

Nous sommes maintenant bombardés 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par des champs électromagnétiques générés par la technologie et la Wi-Fi. Et dans cette période d’aliénation à ce « virus », on voit dans de plus en plus d’endroits l’installation de la 5G.

Chaque élévation de ce niveau de radiation se traduit par une épidémie.

Les docteurs et les scientifiques de 41 pays ont signé une pétition pour demander l’interdiction de la 5G. L’impact de la 5G sur la santé n’a fait l’objet d’aucune étude, sinon elle n’aurait pas pu voir le jour. Les satellites avec la 5G rayonnent sur chaque centimètre carré de la Terre.

Des gens veulent que cela arrive parce qu’ils souhaitent manipuler l’humanité. La 5G empoisonne les cellules, elles sont empoisonnées par le champ électromagnétique. Les cellules libèrent les exosomes, et ils vous testeront positif au COVID-19.

Quelle est la première ville chinoise à avoir installé la 5G, juste avant l’apparition de ce «virus » ? Wu-Han. La ville qui avait le plus d’Antennes-relais de 5G au monde est celle dans laquelle on a observé une hécatombe de COVID-19.

«Durant ce confinement, des antennes 5G sont en train d’être déployées à une vitesse fulgurante. Partout sur la planète, des antennes 5G sont en train d’être installées en grand nombre.

Et tandis que sont installées toutes ces antennes, bien sûr les gens ne peuvent pas manifester, puisqu’ils sont assignés à résidence.

Semaine après semaine, Elon Musk (c’est un très grand malade, il est parfaitement au courant de la raison pour laquelle la 5G est mise en place) envoit de plus en plus de satellites à basse altitude, qui vont rayonner de la 5G dans la Terre. Cet objectif est de 42.000. Les astronomes ne peuvent plus observer le ciel. Il a reçu l’autorisation d’installer un million et demi d’antennes terrestres en Amérique, qui grâce au champ électromagnétique se connecteront aux satellites. Il crée ainsi une réalité augmentée, grâce à la technologie 5G, ce qu’il appelle le réseau intelligent.

Ces gens créent un cordon ombilical grâce auquel l’esprit humain sera connecté via l’intelligence artificielle. Et on vous donne même l’année à laquelle deviendra sérieux : en 2030. »


En fait, il y a une forte présomption qu’existe une corrélation très nette entre les flots de personnes admises dans les services de réanimation avec des poumons dans un état « jamais vu » et des tests de mise en service de la 5G poussée à forte puissance, à New-York, Wu-Han et en Lombardie, première région italienne à être équipée de la 5G.

L’écran de fumée du « virus » (en fait de simples exosomes) ne servirait qu’à « couvrir » ces essais d’armes électromagnétiques, que certains annoncent destinées à terme à réduire drastiquement la population mondiale, en attribuant à la « pandémie » la destruction programmée d’une partie de l’humanité – dont d’ailleurs des personnalités et des éminences connues ne se cachent pas, même en France.

On se souviendra en effet que nous avons évoqué lesdits exosomes un peu plus-haut, dans le module consacré aux rayonnement de 5G :

« Le rayonnement électromagnétique 5G endommage l’ADN cellulaire humain.

Les cellules exposées (de toutes sortes ciblées dans l’organisme humain) réagissent en produisant une cascade de substances immunologiques protectrices.

Ces substances sont conditionnées dans une structure intracellulaire appelée endosome. L’endosome est expulsé de la cellule, devenant ainsi un exosome (Prix Nobel de médecine 2013).

L’exosome circule et se lie aux récepteurs ACE2 du poumon, de l’intestin et du cœur. »

Et si les exosomes (alias « COVID-19 ») n’étaient pas la cause, mais bien la conséquence de l’utilisation d’une arme électromagnétique ?




COVID19: Débunkage du narratif officiel

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Auteur : ANNES BOURIA – Pharmacien]

Chers amis et compagnons de ré-information,

Je vous propose 10 points de débunkage à propos du narratif officiel de la crise sanitaire et des croyances du grand public autour du Covid :

1) Le covid19 est un virus dangereux

Le Sars-cov2, alias Covid19, est potentiellement dangereux pour certaines catégories de la population (tout comme les autres infections respiratoires), sinon,… pas tant que ça. Du moins, pas autant que ce que l’on a cru au début.

Le taux de mortalité est évalué entre 0,2 et 0,65% [1]. C’est 5 à 15 fois moins que les 3% donnés en début de pandémie. De plus, la mortalité par tranche d’âge est éloquente [2] : seules les personnes âgées payent, malheureusement, un lourd tribut à cette maladie.

Sans parler du fait que beaucoup de « morts covid » (probablement en majorité) sont en fait des décès de patients déjà très faibles chez qui le virus a joué un rôle marginal [3].

Les cas graves chez les personnes en dessous 50 ans et en bonne santé sont totalement anecdotiques ! En tout et pour tout, on observe une large proportion d’asymptomatiques [4] ou peu symptomatiques (l’équivalent d’un rhume ou d’un état grippal), moins de 5% de patients covid+ doivent être hospitalisés, et 1 à 2% de cas graves [5,6] pour l’ensemble des contaminés qui sont en majorité des personnes âgées et fragiles.

Avec près de 80% d’asymptomatiques [7] et une médiane des décès à plus de 80 ans [8]… On peut trouver pire comme affection.

2) Le virus est inconnu

Ce virus est nouveau, mais on ne peut plus dire qu’il soit inconnu à l’heure actuelle. C’est un cousin du 1erSRAS, identifié en Chine en 2002, et bien documenté. Après quasiment 1 an d’observations, c’est le sujet pour lequel il y a eu le plus de publications médicales scientifiques en 2020.

Ce virus, bien qu’il reste quelques zones d’ombres autour de lui, on commence à bien le connaitre…

3) Il n’y a pas de traitements

Faux ! L’orthodoxie méthodologique protocolaire des milieux académiques acoquinés au monde de l’industrie pharmaceutique s’attache aux essais statistiques randomisés en double aveugle. Mais ce n’est ni de la médecine, ni de la science. La médecine c’est soigner les gens, quant à la science elle consiste principalement en l’observation… Et dans ce domaine, l’observation faite par les praticiens de terrain à travers le monde  a mis en évidence plusieurs associations qui donnent de bons résultats [9] : l’association Hydroxychloroquine/Azithromycine/Zinc [10] ou l’association Macrolide/Céphalosporine/Zinc [11] semblent éviter les formes graves à condition d’être prises tôt dans l’infection. Utilisée en Afrique, l’Artemisia annua semble aussi avoir une efficacité contre le covid [12].

Aux stades plus avancés, l’on peut recourir aux corticoïdes comme la dexaméthasone [13], les anticoagulants[14] pour éviter les phénomènes de thromboses, ou encore l’oxygénothérapie [15].

L’on n’aura peut-être plus besoin d’intuber les patients en soins intensifs, qui en réalité étaient arrivés à l’hôpital à des stades très avancés de la maladie car on avait choisi de ne pas soigner les gens durant l’épidémie !

4) Toutes les personnes touchées ont des séquelles

Tout d’abord, un grand nombre de viroses peuvent engendrer des séquelles organiques à des niveaux divers, y compris cardiaques ou neurologiques [16,17] .

Ici, il est impossible de se prononcer sans avoir plus de recul. Mais ce tableau semble loin de représenter la réalité.

Selon l’académie française de médecine [18], 30% des patients hospitalisés présentent diverses séquelles 6 semaines après la rémission.

Ces séquelles vont de la fatigue aux difficultés respiratoires en passant par des troubles neurologiques, rénaux ou cardiaques. Il semblerait que ces séquelles soient potentiellement réversibles, mais encore une fois il est trop tôt pour être catégorique.

Donc il s’agirait d’un tiers des patients hospitalisés (qui sont déjà une minorité des cas- 5%) qui présenteraient des séquelles à des degrés divers.

Quant aux graves atteintes pulmonaires peu réversibles, on les observe surtout dans les stades très avancés [19], et les intubations, dont l’utilité médicale est remise en question [20], y ont fortement contribué.

5) Il va y avoir/ on assiste à une deuxième vague

Le concept de deuxième vague ne repose sur aucun modèle épidémiologique d’infections virales. Il se base sur l’épisode de la pandémie de grippe espagnole il y a un siècle [21], mais non transposable aux conditions actuelles.

L’on nous a prédit, voire annoncé, cette deuxième vague à de nombreuses reprises depuis la fin du pic épidémique européen d’avril, mais ce fut à chaque fois des pétards mouillés.

Nul ne peut prédire l’avenir, mais les modèles épidémiologiques viraux observent des constantes [22] : un pic épidémique où l’infection est très virulente, puis s’estompe. Ensuite, soit le pathogène disparaît (comme ce fut le cas du 1er SRAS) soit il mute, s’adapte à son hôte et devient cyclique/saisonnier (comme c’est le cas de la grippe et d’autres virus endémiques [23]).

A ce jour, en Europe, aucune reprise observable en terme clinique ou de hausse significative de la mortalité n’a été observée [24].

Nous ne savons pas de quoi l’avenir est fait, en revanche, les spéculations catastrophistes vont bon train !

6) Il y a une augmentation des « cas »

Il ne s’agit pas de « cas » au sens médical ou clinique du terme. Ce qu’il se passe dans de nombreux pays d’Europe, c’est que les capacités et les politiques de test ont été élargies [25].

Ce que les autorités, ainsi que la presse, recensent sont uniquement des tests sérologiques (prise de sang) ou PCR (écouvillon dans le nez) protocolaires où l’on détermine si un individu a été en contact avec le virus. Mais cela ne signifie pas nécessairement que la personne est malade ni contagieuse [26]. D’autant que 75% des positifs sont asymptomatiques [27], cela signifie, au pire qu’ils sont en période d’incubation, ou que leur système immunitaire a géré le virus et que le patient est potentiellement immunisé.

Voilà comment faire passer de bonnes nouvelles pour des mauvaises !

Sans compter que les tests PCR sont très sensibles et font sortir jusqu’à 90% de « cas » sans infection en cours ni contagiosité ! [28] Et à raison de 3% sur l’ensemble des tests… cela correspond à la moyenne en termes de taux de positivité en France et en Belgique notamment depuis l’élargissement des campagnes de testing… [29]

7) Il faut imposer des règles à tout le monde pour protéger les personnes vulnérables

Il s’agit du sophisme sur lequel repose toute la politique sanitaire coercitive si l’on tient compte des données épidémiologiques par tranche d’âge.

Oui, les personnes âgées et/ou présentant des facteurs de risque sont invités à se protéger. Mais le reste de la population n’a pas à maintenir toutes ces règles sanitaires étant donné qu’elles présentent peu de risques et sont donc potentiellement un vivier pour construire l’immunité collective de la population. Et cette immunité collective, c’est réellement le meilleur moyen de protéger les personnes à risque à moyen terme [30].

Au début de l’épidémie, on a imposé toutes les mesures sanitaires car l’on n’avait pas encore d’immunité collective, aujourd’hui les mesures qui sont prisent empêchent de l’atteindre. Comme pour l’affaire des masques, c’est à n’y rien comprendre…

8) Le vaccin est LA panacée, notre « seule chance »

Tout d’abord, il n’est pas certain qu’il puisse aboutir, ni qu’il soit totalement efficace.

Quand bien même, quel intérêt y a-t-il à vacciner toute une population pour une affection aussi peu létale dans les tranches d’âges qui correspondent à la population active ?

Il faut également signaler que les vaccins contre les rétrovirus, comme le covid, sont extrêmement compliqués à élaborer dans la mesure où ces virus mutent très vite [31].

Ajoutez à cela que ce vaccin semble être élaboré à la hâte, sans recul, avec des technologies inédites [32]… Faudra y réfléchir à deux fois avant d’accepter une vaccination massive, sachant que selon certaines études, on constate une immunité (croisée) déjà présente chez certains individus allant jusqu’à 50% de la population [33]. Ce qui expliquerait cette large proportion d’asymptomatiques.

Si un vaccin est élaboré, il devra être réservé aux personnes à risque exclusivement. Mais l’imposer ou le conseiller à l’ensemble de la population, à ce stade, c’est une ineptie !

9) Le confinement et le port du masque obligatoire sont des solutions efficaces

Le confinement et l’obligation du port du masque sont des mesures politiques et non médicales. Elles ne reposent sur aucune preuve scientifique d’efficacité. ABSOLUMENT RIEN !

D’ailleurs, les pays n’ayant imposés aucune de ces mesures (la Suède, un cas intéressant [34], la Biélorussie) ou de manière allégée (Allemagne, Pays-Bas) ont peu ou prou les mêmes courbes épidémiques [35] sans surmortalité significative, et s’en sortent même mieux que les pays qui ont imposé ces règles de manière drastique (Belgique, France, Italie,Espagne)!

Que l’on soit clair :

Il y a une différence entre dépister, isoler et traiter des malades contagieux (comme il s’est toujours fait en matière d’épidémie), et confiner aveuglément l’ensemble de la population sans discernement et sans prise en charge de proximité. Certaines études ont même montré l’effet inverse de celui escompté [36], sans parler de la mortalité secondaire (suicides, maladies non dépistées) ainsi que des conséquences sociales et économiques catastrophiques.

Il y a aussi une différence entre porter CORRECTEMENT, de manière hygiénique, un masque de protection type FFP2 ou chirurgical dans les lieux clos et bondés en phase de pic épidémique lorsque le risque est grand (on nous avait d’ailleurs dit que c’était inutile à l’époque), et imposer de porter des bouts de tissus ou des masques chirurgicaux mal utilisés, sans règles d’hygiène préalable, y compris en extérieur et en dehors d’un pic épidémique par-dessus le marché. C’est de la grosse foutaise, pardon !

Non définitivement, le confinement aveugle et le port du masque obligatoire entraînent plus d’inconvénients que d’avantages escomptés [37,38].

10) Les autorités savent ce qu’elles font

Il est dans certains esprits l’idée que la classe dirigeante a le pouvoir parce qu’elle le mérite ou qu’elle a une capacité à diriger. C’est une croyance qu’il paraît urgent de réviser !

Le système politique et le pouvoir hiérarchique des instances autoritaires en général fonctionnent par conformisme et cooptation, certains disent même médiocratie. [39] C’est-à-dire que les hauts dirigeants choisissent à des postes subalternes des individus plutôt médiocres mais obéissants et reconnaissants.

Dans ce contexte, les personnes qui cherchent à accéder à des postes de pouvoir et de responsabilité sont rarement compétentes, honnêtes ou bienveillantes. Albert Jaccard avait prévenu en 1994 déjà : « Nous sommes en train de sélectionner les gens les plus dangereux » disait-il.

Ce sont des gens qui avouent rarement leurs erreurs, persistent dans leurs fourvoiements et ont leur ambition carriériste comme principal objectif.

Sans parler de leurs conseillers technocrates, souvent en conflits d’intérêts évidents, qui ont des visions totalement déconnectées des réalités et agissent plus par idéologie que pragmatisme.

Un sacré cocktail !

C’est pourquoi, en conclusion, il est urgent de mettre fin à cette hystérie politico-médiatique ainsi qu’aux mesures sanitaires contre-productives, anti-démocratiques et sans fondements médicaux ni scientifiques.

ANNES BOURIA – Pharmacien

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Références

  1. https://theconversation.com/how-deadly-is-the-coronavirus-the-true-fatality-rate-is-tricky-to-find-but-researchers-are-getting-closer-141426?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  2. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/hcp/planning-scenarios-archive/planning-scenarios-2020-05-20.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  3. https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/index.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#Comorbidities
  4. https://arxiv.org/abs/2006.08471?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=59d57f54e5-briefing-dy-20200706&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-59d57f54e5-45555106&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  5. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/covid-data/covidview/index.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#hospitalizations
  6. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_THEMATIC%20REPORT_COVID-19%20HOSPITALISED%20PATIENTS_FR.pdf
  7. https://www.journaldequebec.com/2020/05/28/jusqua-80-de-cas-de-covid-silencieux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  8. https://www.liberation.fr/direct/element/la-repartition-par-age-des-deces-lies-au-coronavirus-ressemble-a-une-mortalite-classique_112144/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  9. https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  10. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.02.20080036v1?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  11. https://www.lejournaldumedecin.com/actualite/azithromycine-etc-la-controverse-gronde-autour-du-cocktail-anti-covid-19-de-medecins-generalistes/article-normal-47443.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE7
  12. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-artemisia-une-plante-antipaludeenne-efficace-contre-le-coronavirus?id=10570600&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  13. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-le-dexamethasone-efficace-contre-les-formes-graves-ne-doit-pas-etre-donne-au-debut-de-la-maladie?id=10544918&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=La%20dexam%C3%A9thasone%2C%20premier%20m%C3%A9dicament%20%C3%A0,un%20essai%20clinique%20publi%C3%A9s%20vendredi.
  14. https://www.revmed.ch/covid-19/Risque-thrombotique-veineux-induit-par-le-SARS-CoV-2-prevalence-recommandations-et-perspectives
  15. https://www.allodocteurs.fr/maladies/maladies-infectieuses-et-tropicales/coronavirus/covid-19-loxygenotherapie-pourrait-eviter-lintubation_29764.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  16. https://www.coeuretavc.ca/articles/comment-les-virus-endommagent-ils-le-coeur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  17. https://www.gbpf.be/images/uploads/congres/Frere-Julie_Infections_virales_du_SNC.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  18. http://www.academie-medecine.fr/avis-de-lacademie-les-sequelles-de-la-covid-19/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  19. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/covid-wwksf/2020/07/what-we-know-covid-19-long-term-sequelae.pdf?la=en&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  20. https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/coronavirus-les-medecins-sinterrogent-sur-le-bon-usage-des-respirateurs-1195147?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  21. https://uclouvain.be/fr/decouvrir/la-grippe-espagnole-de-1918-suscitait-elle-la-meme-peur-que-le-coronavirus.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  22. https://www.lindependant.fr/2020/04/29/professeur-didier-raoult-99-des-cas-de-coronavirus-en-france-auront-eu-lieu-avant-le-19-mai,8867698.php?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  23. https://www.lequotidiendumedecin.fr/archives/pourquoi-le-froid-plait-aux-virus-respiratoires?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  24. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-covid-19-morts-hospitalisations-age-malades-l-evolution-de-l-epidemie-en-france-et-dans-le-monde-en-cartes-et-graphiques.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  25. https://swprs.org/covid-just-a-casedemic/
  26. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-vous-avez-un-test-pcr-positif-et-vous-ne-l-etes-peut-etre-pas-ou-vous-n-etes-pas-contagieux?id=10578123&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  27. https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/analyse-covid-19-75-des-personnes-positives-au-sars-cov-2-etaient-asymptomatiques-au-moment-du-test?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=Parmi%20ceux%2Dci%2C%203%20%25,encore%20tout%20%C3%A0%20fait%20clair.
  28. https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  29. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v2.full.pdf
  30. https://www.grippe65plus.fr/histoires/immunit%C3%A9-collective-prot%C3%A9ger-les-membres-vuln%C3%A9rables-de-la-communaut%C3%A9?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  31. https://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/09/10/24095-vaccin-contre-sida-pourquoi-cest-difficile?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  32. https://blogs.mediapart.fr/franck-noir/blog/300720/covid19-les-vaccins-marn-seraient-inefficaces-et-potentiellement-dangereux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  33. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/la-moitie-de-la-population-possederait-une-immunite-au-covid-19-pre-existante_2132005.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  34. https://www.thesun.co.uk/news/12591827/sweden-coronavirus-case-rate-lower-denmark-norway-lock-down/
  35. https://www.worldometers.info/coronavirus/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  36. https://meteopolitique.com/Fiches/Epidemie-Pandemie/analyse/confinement/Absence-de-base-probante-pour-soutenir-le-confinement-general-de-la-population-du-Canada.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  37. https://www.express.co.uk/life-style/health/1320428/Coronavirus-news-lockdown-mistake-second-wave-Boris-Johnson?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  38. http://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg12-bas-les-masques-trop-dincertitudes-sur-leurs-inconvenients-leur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  39. https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2016-2-page-17.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  40. https://www.youtube.com/watch?v=9v9updAv018



Comment parvenir à l’immunité collective : la déclaration de Barrington

[Source : Jean-Dominique Michel]

Trois des plus grands épidémiologistes de trois des plus grandes universités lancent un appel urgent à changer de réponse sanitaire face au Covid en sortant des mesures de confinement.

Tout le contraire de la « Task Force » suisse, qu’il faut dissoudre de toute urgence pour la remplacer par un comité compétent !

Cette déclaration, qui corrobore les analyses et recommandations exprimées sur ce blog depuis le mois de mars, a été rédigée et signée le 4 octobre 2020 à Barrington, aux États-Unis, par :

  • Dr. Martin KULLDORFF, professeur de médecine à l’université Harvard, un biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance du déclenchement des maladies infectieuses et l’évaluation de la sécurité des vaccins.
  • Dr. Sunetra GUPTA, professeure à l’université d’Oxford, une épidémiologiste spécialisée en immunologie, dans le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses.
  • Dr. Jay BHATTACHARYA, professeur à l’École Médicale de l’université de Standford, un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.

Tous les professionnels de santé du monde entier, ainsi que tous les citoyens, peuvent la signer à cette adresse. A l’heure de cette publication, elle est déjà soutenue par 4’135 scientifiques, 7’432 médecins et 104’697 citoyennes et citoyens de nombreux pays !
Le désastre en cours est bien dû au grave dysfonctionnement de nos systèmes de gouvernance se surajoutant à une épidémie respiratoire virale d’ampleur moyenne à forte. Face à laquelle existent des réponses efficaces autres que la panique et la destruction économique, culturelle et sociale de nos sociétés.
 Écoutons ces immenses professionnels qui savent de quoi ils parlent et non des clones de la pensée étroite bardés de conflits d’intérêts. L’intelligence collective c’est maintenant, ou il sera simplement trop tard ! Sauf à changer de modèle de société pour vivre selon Jeff Bezos, Bill Gates et Big Pharma. Si c’est cela le « programme politique » de nos gouvernants et comités « scientifiques », eh bien qu’ils nous le disent ouvertement… 

Déclaration de Barrington

En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre le COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection).

Que nous soyons de gauche ou de droite, et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice.

Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées.

Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par le COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, le COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe.

L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective.

Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection).

Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique au COVID-19. A titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests PCR pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur. Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique.

Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective.

(texte traduit de l’Anglais par Mathias Delori, avec l’accord expresse des auteurs)

Lien vers l’interpellation (en vidéo) des trois scientifiques :




Plus de 30,000 médecins et scientifiques de la santé publique signent une déclaration condamnant les mesures de confinement et plaidant pour l’immunité collective

[Source : Québec Nouvelles]

La “Déclaration de Great Barrington” a été rédigée et signée le 4 octobre, et près de 10 000 scientifiques du monde médical et de la santé publique ainsi que 24 000 médecins ont ajouté leur nom à la déclaration.

La déclaration a également reçu près de 500 000 signatures de citoyens concernés du monde entier en moins de deux semaines.

La déclaration de Great Barrington porte le nom du lieu où elle a été signée (Great Barrington, États-Unis) par le Dr Martin Kulldorff, “professeur de médecine à l’université de Harvard, biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance des épidémies de maladies infectieuses et dans les évaluations de la sécurité des vaccins”, Dr. Sunetra Gupta, “professeur à l’université d’Oxford, épidémiologiste spécialisé dans l’immunologie, le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses” et “Dr. Jay Bhattacharya, “professeur à l’école de médecine de l’université de Stanford, médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en politique de santé publique, spécialisé dans les maladies infectieuses et les populations vulnérables”.

“En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques de la santé publique, nous sommes très préoccupés par les effets néfastes sur la santé physique et mentale des politiques COVID-19 en vigueur, et nous recommandons une approche que nous appelons la protection ciblée”, peut-on lire dans la déclaration.

“Le maintien de ces [politiques de confinement] jusqu’à ce qu’un vaccin soit disponible causera des dommages irréparables, et les défavorisés seront touchés de manière disproportionnée”.

“Au fur et à mesure que l’immunité se renforce au sein de la population, le risque d’infection pour tous – y compris les personnes vulnérables – diminue. Nous savons que toutes les populations finiront par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le taux de nouvelles infections est stable”.

“L’adoption de mesures visant à protéger les personnes vulnérables devrait être l’objectif central des réponses de santé publique à la COVID-19 […] Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale.”

L’OMS a récemment changé de cap en ce qui concerne les confinements, en déconseillant désormais les confinements comme principal moyen de lutte contre COVID-19.

Le Québec et l’Ontario ont récemment annoncé de nouvelles politiques de confinement restrictives, allant effectivement à l’encontre des nouvelles directives de l’OMS et des conseils de milliers d’experts médicaux décorés.

La déclaration peut être lue ici :


Copie du texte de la déclaration :

La Déclaration De Great Barrington

En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre le COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection). 

Que nous soyons de gauche ou de droite, et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice. 

Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées. 

Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par le COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, le COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe. 

L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective. 

Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection). 

Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique au COVID-19. A titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests PCR pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur. Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique. 

Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective. 

Cette déclaration a été rédigée et signée le 4 octobre 2020 à Barrington, aux Etats-Unis, par : 

Le Dr. Martin Kulldorff, professeur de médecine à l’université Harvard, un biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance du déclenchement des maladies infectieuses et l’évaluation de la sécurité des vaccins.

Le Dr. Sunetra Gupta, professeure à l’université d’Oxford, une épidémiologiste spécialisée en immunologie, dans le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses.

Le Dr. Jay Bhattacharya, professeur à l’Ecole Médicale de l’université de Stanford, un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.




Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)

[Source : https://odysee.com/@MKWhiteRabbit:3/Les-13-Phases-SCENARIOS-du-Complot-COVID-19-par-Richard-Boutry,-Ancien-Pr%C3%A9sentateur-TV-(Censur%C3%A9):9]

Transcription des phases

  • Phase 1 : prenez des maladies saisonnières traitées à 99 %, mais qui causent tout de même de gros dégâts chez les personnes au système immunitaire faible.
  • Phase 2 : utilisez les médias mainstream pour provoquer cette peur terrible.
  • Phase 3 : opérer un grand reset; imposer le confinement; tuer le petit business; transférer le pouvoir aux organisations sanitaires mondiales [OMS…] et au monde de la finance.
  • Phase 4 : créer une deuxième salve de panique à travers les tests PCR dont les résultats seront finalement totalement exagérés; annonce parallèle de reconfinement total ou partiel.
  • Phase 5 : imposer le masque pour rappeler cette peur, l’inscrire véritablement dans l’inconscient, afin de mettre les gens en conformité, en les privant d’air, mais aussi en créant, par le masque, tous types d’infections.
  • Phase 6 : opérer une grande phase de surveillance par le tracking Internet et vidéo, puis un troisième « lockdown » avec bien sûr possibilité de création de centres d’isolement sanitaire pour bien sûr ceux qu’on pourrait appeler les « mauvais citoyens », les « récalcitrants ».
  • Phase 7 : créer le « passeport santé » avec une identité digitale et le tracking de toute la population, l’empêchant, le cas échéant, d’accéder à tous ces services : banques, voyages, grandes surfaces [ou centres commerciaux], emplois, remboursement sécu [ou assurance maladie] et tout le reste.
  • Phase 8 : créer avec la 5G des baisses de radiation du niveau vibratoire tout en créant, à travers ces mêmes radiations, quelques problèmes respiratoires.
  • Phase 9 : créer ce fameux vaccin qui réduira à terme fortement la population mondiale.
  • Phase 10 : créer la monnaie électronique (fini les billets); faire perdre aux gens leur autonomie financière.
  • Phase 11 : à travers la RFID, la fameuse puce, faire fusionner l’homme et la technologie.
  • Phase 12 : ainsi est implanté l’high tech, le New Man 2.0.
  • Phase 13 : le programme de réinitialisation de la dette avec un revenu minimum pour tous, en contrepartie de l’effacement de ce qu’on pourrait appeler toutes les dettes personnelles et professionnelles, mais également l’abandon de tous ses biens.

[NdNM : il est probable que des phases puissent être inversées selon les pays. Richard Boutry donne l’exemple de l’inversion des phases 4 et 5.]




Coronavirus : Une maladie respiratoire comme chaque hiver ? (du Dr. Wolfgang Wodarg)

[Source : www.kla.tv/15925]

Opinion sans fard, aujourd’hui avec une déclaration abrégée du médecin et scientifique de la santé le Dr. Wolfgang Wodarg. (…)[Voir www.kla.tv/15925 pour la déclaration complète] :

« Depuis le début de l’année, l’attention du public, de la science et des autorités sanitaires a soudain complètement changé. Certains médecins de Wuhan, une ville de 12 millions d’habitants, ont réussi à attirer l’attention du monde entier avec initialement moins de 50 cas et quelques décès dans leur clinique où ils avaient identifié les virus corona comme l’agent pathogène. Les cartes colorées qui nous sont maintenant présentées sur papier ou sur écran sont impressionnantes, mais elles ont généralement moins à voir avec la maladie qu’avec l’activité de virologues travaillant d’arrache-pied et de foules de reporters sensationnalistes.

Partout où ces tests ont été effectués, près de 9 000 tests par semaine étaient disponibles dans 38 laboratoires à travers l’Europe le 13 février 2020, rapidement des résultats positifs ont été trouvés et chaque cas est devenu un événement médiatique. Le fait que la découverte d’une infection à coronavirus entraîne une recherche intensive dans l’entourage de la personne, explique les nombreuses augmentations de cas dans une région.

Les rapports d’horreur de Wuhan sont quelque chose qu’attendaient les virologues du monde entier. Immédiatement, les souches de virus présentes dans les réfrigérateurs ont été scannées et comparées fébrilement avec les nouveaux venus signalés de Wuhan. Un laboratoire de la Charité a gagné la course auprès de l’OMS et a été autorisé à commercialiser ses tests internes dans le monde entier à un prix plusieurs fois supérieur au prix habituel.

Cependant, il vaut mieux ne pas se faire tester pour les coronavirus pour 200 euros ! Selon plusieurs années de recherche prospective en Ecosse, de 2005 à 2013, même si vous n’avez qu’une infection légère de type grippal, le risque de détection du coronavirus est de 7 à 15%. Une détection des coronavirus aurait de graves conséquences pour la vie quotidienne des personnes testées et leur environnement au sens large, comme on peut le constater dans tous les médias sans faire de longues recherches. Cependant, la découverte elle-même n’a pas de signification clinique. Ce n’est qu’un des nombreux noms donnés aux maladies respiratoires aiguës (MRA), qui chaque hiver mettent temporairement en incapacité les uns un peu plus, les autres un peu moins, 20 à 40 % de la population de notre pays.

Selon une bonne étude réalisée en Écosse, les agents pathogènes les plus courants des maladies respiratoires aiguës étaient : 1. les rhinovirus, 2. les virus influenza A, 3. les virus influenza B, 4. les virus RS (syncytial respiratoire) et 5. Coronavirus. Cet ordre a légèrement changé d’année en année. Apparemment le quorum des virus en compétition pour nos cellules des muqueuses peut changer, comme nous le savons par nos intestins dans le cas des micro-organismes et par le « Bundestag » dans le cas des partis politiques.

Donc, si maintenant il devrait y avoir un nombre croissant d’infections à coronavirus « avérées » en Chine ou en Italie, alors quelqu’un peut-il dire combien de fois de tels tests ont été effectués au cours des hivers précédents, sur qui, pour quelle raison et avec quels résultats ? Quand on prétend que quelque chose devient croissant, on doit sûrement se référer à quelque chose qu’on a déjà observé auparavant.

On peut être stupéfait lorsque, en tant qu’épidémiologiste expérimenté de la maladie, on observe les bouleversements actuels, la panique et les souffrances qui en découlent. Ce sera certainement le cas pour de nombreuses personnes responsables qui risqueraient probablement de perdre leur emploi aujourd’hui comme à l’époque avec la « grippe porcine », si elles s’opposaient au courant dominant.

Chaque hiver, nous avons une épidémie de virus avec des milliers de morts et des millions de personnes infectées, également en Allemagne. Et les coronavirus y sont toujours pour quelque chose. Ainsi, si le gouvernement allemand veut faire quelque chose de bien, il peut le faire comme les épidémiologistes de Glasgow et faire en sorte que les brillants esprits de l’Institut Robert Koch observent « de manière prospective » et voient comment le virome [c’est-à-dire l’ensemble des virus présents dans l’intestin] de la population allemande change d’année en année en hiver.

La politique doit également veiller à ce que le travail scientifique digne de confiance à l’Institut Robert Koch, à l’Institut Paul Ehrlich et dans d’autres bureaux redevienne plus facile. Travailler scientifiquement ne signifie pas aller dans le sens des souhaits de la politique et de l’économie. La science est digne de confiance si elle utilise des méthodes transparentes pour remettre en question toujours et à tout moment les prétendues connaissances de manière professionnelle et cohérente. Même si cela prend parfois beaucoup de temps, cela peut nous éviter bien des aberrations coûteuses en matière de santé, que les gardiens de la grippe motivés par l’intérêt voudraient faire passer pour bénéfiques pour nous.

Et pour l’individu, ce qui suit s’applique : Toute personne qui est contrainte aux mesures de quarantaine et qui subit un préjudice financier uniquement en raison d’un test PCR positif au coronavirus peut avoir droit, en Allemagne, à une indemnisation en vertu de l’article 56 de la loi sur la protection contre les infections. (…). »

de kt./ch. Sources / Liens :




Les faits sur le coronavirus

[Source : Swiss Propaganda Research]

Des faits entièrement référencés sur le Covid-19, fournis par des experts en la matière, pour aider nos lecteurs à faire une évaluation réaliste des risques.

« La seule façon de lutter contre la peste, c’est  l’honnêteté. »

Albert Camus, 1947

Aperçu

  1. Selon les données des pays et régions les mieux étudiés, la létalité du Covid19 est en moyenne de 0,2% environ et est donc de l’ordre d’une forte grippe (Influenza) et environ vingt fois inférieure à celle initialement supposée par l’OMS .
  2. Le risque de décès pour l’ensemble de la population en âge d’aller à l’école et de travailler, même dans les « hotspots » (foyers d’infections) mondiaux, est du même ordre que le risque de décès lors des déplacements quotidiens pour aller au travail en voiture. Au départ le risque a été surestimé car les personnes ne présentant aucun symptôme ou des symptômes légers n’ont pas été incluses.
  3. Jusqu’à 80% des personnes testées positives ne présentent aucun symptôme . Même chez les 70 à 79 ans, environ 60% restent asymptomatiques. Plus de 95% des personnes ne présentent au plus que des symptômes bénins .
  4. Jusqu’à un tiers de la population a déjà une immunité de fond au Covid19 par contact avec des coronavirus précédents (c’est-à-dire des virus du rhume).
  5. L’âge médian des personnes décédées dans la plupart des pays (y compris l‘ Italie ) est supérieur à 80 ans et seulement 1% environ des personnes décédées n’avaient pas de maladie grave antérieure. Le profil de la mortalité correspond donc essentiellement à une mortalité normale .
  6. Dans la plupart des pays, jusqu’à 50 à 70% des décès sont survenus dans des EHPAD , qui ne tirent aucun bénéfice d’un confinement général. De plus, il n’est souvent pas clair si ces personnes sont vraiment décédées du Covid19 ou de stress à des niveaux élevés, de peur et de solitude .
  7. Jusqu’à 50% des décès en excès ne sont pas provoqués par le Covid19, mais par les effets du confinement, la panique et la peur. Ainsi le traitement des crises cardiaques et accidents vasculaires a reculé jusqu’à 60 % parce que les patients n’osent plus se rendre dans les centres de soins.
  8. Même dans les soi-disant « décès Covid19 » , il n’est souvent pas clair si les personnes sont décédés par ou avec le virus (c’est à dire un décès à cause d’une pathologie préexistante), ou encore que se soit des « cas suspectés », qui n’ont simplement pas été testés. Il est à constater que les chiffres officiels ne reflètent souvent pas ces distinctions .
  9. De nombreux reportages dans les médias, rapportant que des jeunes et des personnes en bonne santé sont décédés du Covid19, se sont avérés être faux : Beaucoup de ces personnes ne sont en fait soit pas mortes du Covid19, ou alors elles étaient déjà gravement malades auparavant (par exemple une leucémie non détectée), ou ils avaient 109 ans au lieu de 9 ans.
  10. La mortalité globale normale quotidienne aux États-Unis est d’environ 8 000, en Allemagne d’environ 2 600, en Italie d’environ 1 800 et en Suisse d’environ 200 personnes par jour. La mortalité de la grippe aux États-Unis peut atteindre 80 000, en Allemagne et en Italie jusqu’à 25 000 et en Suisse jusqu’à 2 500 personnes par hiver. Dans plusieurs pays, le Covid19 n’a pas atteint ces niveaux-là .
  11. Des taux de mortalité très élevés, comme dans le nord de l’Italie, peuvent être influencés par des facteurs de risque supplémentaires tels qu’une pollution atmosphérique et une contamination microbienne très élevées ainsi qu’un effondrement des soins aux personnes âgées et des soins infirmiers dû aux infections, à la panique de masse et au confinement.. Des réglementations spéciales concernant les personnes décédées ont parfois entraîné des goulots d’étranglement supplémentaires dans les enterrements.
  12. Dans des pays comme l’Italie et l’Espagne ainsi qu’en partie au Royaume-Uni et aux États-Unis, les vagues de grippe ont déjà entraîné une surcharge des hôpitaux. Actuellement, jusqu’à 15% des médecins et infirmières, même sans symptômes, doivent être mis en quarantaine.
  13. Les courbes exponentielles souvent présentées avec des « cas corona » sont trompeuses, car le nombre de tests augmente également de façon exponentielle. Dans la plupart des pays, le rapport des tests positifs au test global (taux dit positif) reste constant de 5 à 25% ou n’augmente que légèrement. Le pic des infections a atteint son apogée dans la plupart des pays avant les confinements.
  14. Les pays sans confinements et interdictions de contacts, tels que le Japon, la Corée du Sud et la Suède n’ont jusqu’à présent pas connu de tendance plus négative que les autres pays. La Suède a même récemment été saluée par l’OMS comme un modèle exemplaire et bénéficie désormais d’une immunité élevée.
  15. La crainte d’une pénurie de respirateurs artificiels était injustifiée . Selon des pneumologues , la ventilation invasive (intubation) des patients atteints de Covid19, qui était en partie dûe à la peur du virus, est souvent contre – productive et endommage en outre les poumons.
  16. Contrairement aux hypothèses initiales, diverses études ont montré qu’il n’y a aucune preuve de propagation du virus par les aérosols (particules en suspension dans l’air) ou par des frottis (comme les poignées de porte, les smartphones ou chez le coiffeur) .
  17. Il n’y a pas non plus de fondement scientifique pour l’efficacité des masques respiratoires chez les personnes en bonne santé ou asymptomatiques . Au contraire , les experts avertissent que ces masques entravent la respiration et deviennent des «lanceurs de germes» .
  18. De nombreuses cliniques en Europe et aux États – Unis sont restées sous – utilisées et ont même parfois dû recourir au chômage partiel . De nombreuses opérations et thérapies ont été annulées , notamment des transplantations d’organes «non essentielles» et des dépistages du cancer.
  19. Plusieurs médias ont été surpris en train de dramatiser la situation dans les hôpitaux, parfois même avec des images manipulatrices. En général, les reportages douteux de nombreux médias ont maximisé la peur au sein de la population.
  20. Les kits de test de virus utilisés à l’échelle internationale sont sujets à des erreurs et peuvent donner des résultats faussement positifs ou faussement négatifs. Le test de virus officiel n’a pas non plus été validé cliniquement à cause de la contrainte liée au temps et peut parfois également réagir à d’autres virus corona .
  21. De nombreux experts de renommée internationale dans les domaines de la virologie, de l’immunologie et de l’épidémiologie considèrent les mesures prises comme contreproductives et recommandent une immunisation naturelle rapide de la population générale et la protection des groupes à risque. Il n’y a jamais eu de raison médicale pour la fermeture des écoles .
  22. Plusieurs experts ont décrit les vaccins obligatoires contre les coronavirus comme inutiles, voire dangereux . En fait, le vaccin contre la soi-disant grippe porcine de 2009 a entraîné de graves dommages neurologiques et a donné lieu à des indemnisations à hauteur de millions (de livres sterling).
  23. Le nombre de personnes à travers le monde qui, à cause des mesures anti-corona , souffrent de chômage, de problèmes de santé mentale, de violence domestique, est monté en flèche . Plusieurs experts estiment que les mesures anti-corona provoqueront plus de morts que le virus lui – même. Selon l’ONU des millions de personnes à travers le monde sont en train de tomber dans la pauvreté et la famine absolue.
  24. Le lanceur d’alerte et dénonciateur de la NSA, Edward Snowden, a averti que la crise corona était utilisée pour l’expansion massive et permanente des outils mondiaux de surveillance. Le célèbre virologue Pablo Goldschmidt a parlé de « terreur médiatique mondiale » et de « mesures totalitaires ». L’infectiologue britannique John Oxford a parlé d’une « épidémie médiatique ».
  25. Plus de 500 scientifiques ont mis en garde contre une « surveillance sans précédent de la société » grâce à des applications de suivi de contact problématiques. Dans certains pays, ce suivi de contact est déjà effectué directement par les service secrets. À travers le monde ça a abouti à une surveillance de la population civile par des drones et dans certains cas à des violences policières massives.
Pour plus d’informations en français, voir aussi Covid Infos.

6 mai 2020

Interviews d’experts
  • Le professeur de Stanford John Ioannidis explique dans une interview à CNN que Covid19 est une « maladie répandue et bénigne » comparable à la grippe (influenza) pour la population générale, alors que les patients des maisons de retraite et des hôpitaux devraient bénéficier d’une protection supplémentaire
  • Le professeur Scott Atlas, de Stanford, explique dans une interview à CNN que « l’idée de devoir stopper le Covid19 a créé une situation catastrophique en matière de soins de santé ». Le professeur Atlas affirme que la maladie est « généralement bénigne » et que des craintes irrationnelles ont été créées. Il ajoute qu’il n’y a « absolument aucune raison » de procéder à des tests approfondis dans la population générale, ce qui n’est nécessaire que dans les hôpitaux et les maisons de retraite. Le professeur Atlas a écrit un article fin avril intitulé « The data are in – Stop the panic and end total isolation » (« Les données sont là – Arrêtez la panique et mettez fin au confinement total ») qui a suscité plus de 15 000 commentaires.
  • Le Dr Knut Wittkowski, épidémiologiste, explique dans une nouvelle interview que le danger du Covid19 est comparable à celui d’une grippe et que le pic a déjà été dépassé dans la plupart des pays avant le confinement. Le confinement de sociétés entières a été une « décision catastrophique » sans avantages mais causant d’énormes dégâts. La mesure la plus importante est la protection des maisons de retraite. Les déclarations de Bill Gates sur le Covid19 sont « absurdes » et « n’ont rien à voir avec la réalité », une vaccination contre le Covid19 n’est pas nécessaire. Le modèle Covid19 influent de l’épidémiologiste britannique Neil Ferguson a été un « échec complet ».
  • Le virologiste allemand Hendrik Streeck explique les résultats finaux de son étude pionnière sur les anticorps. Streeck a trouvé une létalité du Covid19 de 0,36%, mais explique dans l’interview qu’il s’agit d’une limite supérieure et que la létalité est probablement de l’ordre de 0,24 à 0,26%, voire moins. L’âge moyen des personnes décédées après un test positif était d’environ 81 ans.
  • Le professeur de biologie et prix Nobel Michael Levitt, qui analyse la propagation du Covid19 depuis février, décrit le confinement général comme une « énorme erreur » et appelle à des mesures plus ciblées, notamment pour protéger les groupes à risque.
  • Le professeur émérite de microbiologie Sucharit Bhakdi explique dans une nouvelle interview en Allemagne que la politique et les médias mènent une « campagne de peur intolérable » et une « campagne de désinformation irresponsable » envers la population. Les masques pour la population en général sont des « attrapeurs de germes » inutiles et dangereux. La crise actuelle a été provoquée par les politiciens eux-mêmes et n’a pas grand chose à voir avec le virus. Un vaccin contre le coronavirus est « inutile et dangereux », comme ce fut le cas pour la grippe porcine, et la vaccination obligatoire est une erreur. L’OMS « n’a pas assumé la responsabilité de ses nombreuses mauvaises décisions » au fil des ans, affirme le professeur Bhakdi. (Note : la vidéo a été temporairement supprimée par YouTube).
  • Le docteur Pietro Vernazza, médecin en chef suisse en infectiologie, explique dans une nouvelle interview que la maladie du Covid19 est « bénigne pour la grande majorité des gens ». Le « comptage des personnes infectées et la demande de tests supplémentaires » n’aiderait pas beaucoup. En outre, la plupart des personnes figurant dans les statistiques pour le coronavirus ne mourraient pas uniquement de la maladie Covid-19. Le taux de létalité du Covid-19 est « de l’ordre de grandeur d’une grippe saisonnière ». Il n’existe aucune preuve du bénéfice des masques faciaux chez les personnes qui ne présentent pas elles-mêmes de symptômes (version archivée).
Études médicales
  •  Un nouvel aperçu des études existantes à partir de la PCR et des anticorps montre que la valeur médiane de la létalité du Covid19 (IFR) est de 0,20 % et se situe donc dans la fourchette d’une grippe forte.
  •  Une nouvelle étude sur les anticorps chez les donneurs de sang danois a montré une très faible létalité de Covid19 (IFR) de 0,08 % pour les personnes de moins de 70 ans.
  •  Une nouvelle étude d’anticorps réalisée en Iran, l’un des pays les plus anciens et les plus touchés par le Covid19, a également montré une très faible létalité de 0,08 % à 0,12 %.
  • Une nouvelle étude sur les anticorps réalisée au Japon conclut que 400 à 800 fois plus de personnes ont été en contact avec le nouveau coronavirus que ce que l’on pensait auparavant, mais n’ont présenté aucun ou presque aucun symptôme. Le Japon n’a effectué que peu de tests jusqu’à présent.
  • Une nouvelle étude menée en Allemagne, avec la participation du virologue Christian Drosten, montre qu’environ un tiers de la population possède déjà une certaine immunité cellulaire au  Covid19, probablement par contact avec des coronavirus antérieurs (virus du rhume). Cette immunité cellulaire par les cellules dites T est nettement plus élevée que ce que suggèrent les tests PCR et les tests d’anticorps et peut expliquer en partie pourquoi de nombreuses personnes ne développent aucun symptôme avec le nouveau coronavirus.
  • Dans une prison de l’État U.S du Tennessee, seules deux personnes testées positives sur 1349 présentaient des symptômes.
  • Sur le porte-avions français Charles de Gaulle, aucun des 1046 marins testés positifs n’est mort à ce jour. Sur le porte-avions étatsunien Theodore Roosevelt, un des 969 marins testés positifs est décédé jusqu’à présent (les conditions préalables et la cause exacte de la mort ne sont pas connues).
  • De nombreux médias ont fait état de prétendues « réinfections » de personnes qui avaient déjà récupérées en Corée du Sud. Cependant, les chercheurs sont maintenant arrivés à la conclusion que les 290 cas suspects étaient tous des résultats de tests faussement positifs causés par des « fragments de virus non infectieux ». Ce résultat souligne une fois de plus le manque de fiabilité bien connu des tests PCR de détection du virus.
Autres mises à jour médicales
  • De nombreux médias ont rapporté qu’en rapport avec le Covid19, de plus en plus d’enfants tomberaient malades de la maladie dite de Kawasaki (une inflammation vasculaire). Toutefois, la Fondation britannique pour la maladie de Kawasaki a publié un communiqué de presse indiquant que le nombre de cas de Kawasaki signalés actuellement est inférieur à la normale, et non supérieur, et que sur les quelques cas signalés, seule la moitié environ avait été testée positive au coronavirus.
  •  Dans une lettre ouverte au ministère français de la santé, un médecin français parle de Covid19 comme de « la plus grande escroquerie sanitaire du 21e siècle ». Le danger du virus pour la population générale se situe dans la gamme de la grippe et les conséquences du confinement sont plus dangereuses que le virus lui-même, affirme le médecin français.
  • En France, une enquête ultérieure a révélé que le premier patient positif au Covid19 avait déjà été traité fin décembre 2019, soit un mois plus tôt que prévu. L’homme était traité pour ce qui semblait être une pneumonie liée à la grippe. Ce cas montre que le nouveau coronavirus est soit arrivé en Europe plus tôt que prévu, soit qu’il n’est pas aussi nouveau qu’on le supposait, soit que le résultat du test était un faux positif. En outre, il n’est pas certain que l’homme, qui s’est remis depuis longtemps, souffrait réellement de la grippe ou du coronavirus, ou des deux.
  • Le directeur exécutif de l’OMS a récemment salué la Suède comme un modèle de réussite pour sa gestion du Covid19. La Suède a mis en œuvre sa politique de santé avec succès et « en partenariat avec la population », a-t-il déclaré. Auparavant, la Suède avait été fortement critiquée pendant des semaines par les médias et les politiciens étrangers pour son approche détendue du Covid19.
  • Le Belarus, qui a pris le moins de mesures contre le Covid19 de tous les pays européens et qui n’a même pas annulé des événements majeurs comme des matchs de football, ne compte que 103 décès positifs ou suspectés de Covid19 après plus de deux mois. Le président biélorusse de longue date, Loukachenko, a qualifié le Coronavirus  de « psychose« . Les critiques affirment qu’il ne révèle pas le nombre réel de décès.
  • Un chercheur canadien a effectué une analyse documentaire approfondie qui a révélé que les masques faciaux n’offrent pas de protection mesurable contre le rhume et la grippe.
  • Un psychiatre en chef suisse s’attend à une forte augmentation des problèmes psychologiques et à plus de 10 000 suicides supplémentaires dans le monde en raison du confinement mondial et du chômage.
  • Le nombre dit de reproduction, qui indique la prolifération du Covid, devient de plus en plus une question politique. Cependant, cela ne change pas les faits : le pic de la propagation était déjà atteint dans la plupart des pays avant le confinement et le taux de reproduction est tombé à la valeur stable de un ou en dessous de celle-ci grâce à des mesures simples de la vie quotidienne et d’hygiène. Le confinement était donc inutile du point de vue épidémiologique.
  • Le tableau clinique et les groupes à risque des coronavirus Covid19 sont probablement liés à l‘utilisation du récepteur cellulaire ACE2, que l’on trouve dans les bronches et les poumons, mais aussi dans les vaisseaux sanguins, les intestins et les reins. Cependant, d’autres coronavirus, en particulier le virus du rhume NL63, utilisent également le récepteur cellulaire ACE2. Certains chercheurs s’attendent donc à ce que le coronavirus Covid19 devienne lui aussi un virus du rhume typique à moyen terme.
  • L’origine exacte du nouveau coronavirus n’est pas encore claire. L’explication la plus simple reste la transmission ou la mutation naturelle, qui se produit assez souvent. Il est vrai, cependant, que le laboratoire virologique de Wuhan, dans le cadre d’un programme de recherche cofinancé par les États-Unis, a étudié les coronavirus des chauves-souris et a également examiné leur transmissibilité à d’autres mammifères, ce que certains chercheurs critiquent depuis des années comme étant trop risqué. Le célèbre directeur du laboratoire a toutefois expliqué que le nouveau virus ne correspondait pas aux coronavirus étudiés en laboratoire. Les rumeurs antérieures sur les « armes biologiques » ou les « séquences VIH » doivent être considérées comme une désinformation compte tenu de la relative innocuité du coronavirus.
Maisons de retraite et de soins pour personnes âgées

Les maisons de retraite jouent un rôle absolument essentiel dans la situation actuelle du corinavirus. Dans la plupart des pays occidentaux, 30 à 70 % de tous les décès « liés au Covid » se sont produits dans des maisons de retraites ou hospices, ou Ehpad (dans certaines régions, même jusqu’à 90 %). On sait également que la crise dans le nord de l’Italie a commencé par un effondrement des soins infirmiers pour les personnes âgées, provoqué par la panique.

Les maisons de soins pour personnes âgées et de retraites nécessitent une protection ciblée et ne bénéficient pas d’un confinement général de la société. Si l’on ne considère que les décès dans la population générale, dans la plupart des pays, ils se situent dans la fourchette d’une vague de grippe normale ou même légère.

En outre, dans de nombreux cas, on ne sait pas très bien de quoi sont réellement morts les pensionnaires des maisons de retraite, c’est-à-dire s’il s’agissait de Covid19 ou de stress, de peur et de solitude. En Belgique, par exemple, on sait qu’environ 94 % de tous les décès dans les maisons de retraites sont des « cas présumés » non testés.

Une nouvelle analyse des statistiques françaises montre en outre ce qui suit : dès qu’il y a un « cas suspect » dans une maison de retraite (par exemple à cause de la toux), tous les décès sont considérés comme des « décès suspects du Covid19 », et dès qu’il y a un « cas confirmé » dans une maison de retraite (même s’il ne présente aucun symptôme), tous les décès sont considérés comme des « décès confirmés au Covid19 ».

Un rapport allemand décrit de manière très vivante les conditions extrêmes dans lesquelles des centaines de milliers de patients en maisons de soins et de retraite ont dû vivre ces dernières semaines, souvent contre leur gré. Nombre de ces patients ont à peine pu quitter leur chambre, n’ont plus été autorisés à sortir à l’air libre ou à recevoir la visite de leurs proches.

Dans plusieurs maisons de retraite, le test PCR, sujet à des erreurs, a en outre provoqué de graves fausses alertes et la panique. Dans une maison de retraite canadienne, les employés ont fui par crainte du coronavirus, ce qui a entraîné la mort tragique de 31 patients par manque de soins.

L’ancien journaliste du New York Times et critique du coronavirus, Alex Berenson, écrit sur Twitter :

« Soyons clairs : le fait que les décès dans les maisons de retraite ne soient pas au centre de la couverture médiatique quotidienne du COVID vous dit tout ce que vous devez savoir sur la priorité des médias – qui est d’instiller la panique (et de punir Trump), et non de mener une bonne politique de santé ».

Analyse complète :  Mortality associated with COVID-19 outbreaks in care homes: early international evidence (« Mortalité associée aux épidémies de COVID-19 dans les maisons de soins : premières preuves internationales ») (LTC Covid, mai 2020)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Grande-Bretagne
  •  La mortalité cumulée toutes causes confondues au Royaume-Uni reste de l’ordre des cinq plus fortes vagues de grippe des 25 dernières années. Le pic des décès quotidiens à l’hôpital a déjà été atteint le 8 avril (voir le graphique ci-dessous).
  • De nouvelles données statistiques montrent qu’à la mi-avril, sur environ 12 000 décès supplémentaires, environ 9 000 étaient « liés à la Covidose » (y compris les « cas suspects »), mais environ 3 000 étaient « non liés à la Covidose ». En outre, sur le total d’environ 7 300 décès dans les maisons de retraite, seuls 2 000 environ étaient « liés à la maladie du Covid ». Tant pour les « décès liés au Covid19 » que pour les décès non liés au Covid19, il est souvent difficile de savoir de quoi ces personnes sont réellement mortes. L’Association des pathologistes britanniques a donc demandé une « étude systématique des véritables causes de décès« .
  • Les hôpitaux temporaires „Nightingale“ au Royaume-Uni sont restés jusqu’à présent largement vides. Une situation similaire a déjà été observée en Chine, aux États-Unis et dans de nombreux autres pays.
  • Fin avril, on a appris que le confinement n’était apparemment pas, comme cela a été officiellement déclaré, recommandé par une seule commission scientifique, mais qu’un haut conseiller du gouvernement avait « poussé » les scientifiques à soutenir le confinement.
Bulletin de surveillance du SWPRS au 6.05.20 sur l'épidémie de coronavirus et la coronapanique (Vidéos)

L’Angleterre : Décès avec tests positifs dans les hôpitaux (NHS)

États-Unis
  •  Le dernier rapport du CDC étatsunien montre que le taux d’hospitalisation lié au Covid19 chez les plus de 65 ans se situe dans la fourchette des fortes vagues de grippe. Il est légèrement plus élevé chez les 18 à 64 ans et nettement plus faible chez les moins de 18 ans.
  • Vidéo : Une infirmière de New York City a déclaré dans une vidéo dramatique que New York « tue » les patients atteints de Covid19 en les mettant sous respirateur invasif et en détruisant leurs poumons. L’utilisation de ventilateurs invasifs (au lieu de masques à oxygène) se fait « par peur de propager le virus ». C’est « un film d’horreur », « non pas à cause de la maladie, mais à cause de la façon dont elle est traitée », a expliqué l’infirmière. Depuis mars, les experts mettent en garde contre l’intubation des patients atteints de Covid19.
  • Le Dr Daniel Murphy, chef du service des urgences d’un hôpital très touché de New York, recommande de mettre rapidement fin à ce confinement. Selon le Dr Murphy, la vague de Covid19 avait déjà atteint son point culminant le 7 avril. Le Covid19 est un problème grave, mais la crainte qu’elle suscite est exagérée, car la grande majorité de la population est tout au plus légèrement malade. Sa plus grande inquiétude est maintenant la forte diminution des soins aux patients et aux enfants en cas d’urgence, due au blocage et à la peur généralisée de la population.
  • Vidéo : La plateforme conservatrice de dénonciation Project Veritas s’est entretenue avec les directeurs de pompes funèbres de New York qui ont déclaré qu’actuellement Covid est écrit « sur tous les certificats de décès » (des cas suspects), qu’il y ait eu un test ou non. De nombreuses personnes meurent actuellement chez elles, et souvent la cause exacte du décès n’est plus vérifiée. Les statistiques Covid19 sont gonflées pour des raisons politiques ou financières, ont déclaré les directeurs.
  • Le directeur du département de la santé de l’Illinois a confirmé que même les personnes en phase terminale qui meurent clairement d’une autre cause mais qui sont testées positives pour le virus Covid19 avant ou après leur décès sont enregistrées comme des décès Covid19
  • En raison du confinement, 30 millions de personnes aux États-Unis ont déjà demandé des allocations de chômage à la fin du mois d’avril – c’est beaucoup plus que ce que le Bureau international du travail (BIT) avait initialement prévu pour le monde entier.
  • Le patron de Tesla, Elon Musk, a qualifié les couvre-feux californiens de « fascistes« . L' »emprisonnement forcé » des gens dans leur maison viole tous leurs droits constitutionnels, a expliqué Musk lors d’une conférence téléphonique.
  • Vidéo : Une mère a eu affaire avec la police à son domicile parce que ses enfants jouaient illégalement avec les enfants des voisins.
  • Vidéo : Fin avril, certains photographes ont été pris dans une mise en scène partielle d’une manifestation des travailleurs sociaux contre les manifestants anti-confinement. (En savoir plus).
Suisse
  • Une infirmière suisse a écrit un article très partagé sur la situation actuelle. Elle explique que les hôpitaux suisses sont restés largement vides et ont dû, dans certains cas, licencier du personnel. Elle ajoute qu’il est très inhabituel de transférer des personnes de plus de 80 ans aux unités de soins intensifs à cause d’une grippe ou d’une pneumonie, où elles doivent alors mourir seules au lieu d’être avec leur famille. Si cela était fait, les unités de soins intensifs seraient surchargées presque chaque hiver. L’infirmière critique le fait que la plupart des médias n’ont pas suffisamment abordé les récentes découvertes scientifiques sur le risque global plutôt faible de Covid19.
Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Allemagne et Autriche
  •  Selon un protocole de la Task Force Corona autrichienne qui a fait l’objet d’une fuite, le Chancelier Kurz aurait exigé en mars que la population ait « plus peur » de l’infection ou de la mort de ses parents ou grands-parents. Un document stratégique du ministère fédéral allemand de l’intérieur avait déjà été connu auparavant, qui appelait également à une campagne de peur pychologique qui a effectivement été mise en œuvre par les politiciens et les médias. Rétrospectivement, la question se pose de savoir combien de personnes sont mortes à cause de cette peur largement infondée.
  • Une lettre ouverte comportant déjà environ 5000 signatures de personnes de plus de 64 ans réclame : « Coronavirus : Ne nous protégez pas, nous les personnes âgées, à ce prix ! Décidons nous-mêmes ! » Pour la protection des groupes à risque, il ne faut pas outrepasser les droits fondamentaux de la société entière, affirment les auteurs.
  • En Autriche (et peut-être aussi dans d’autres pays), il est toujours interdit de s’embrasser entre personnes amoureuses, mais pas de vivre ensemble. Cela s’applique aussi bien en public que dans son propre appartement, a expliqué le ministre autrichien de la santé.
  • Un avocat allemand poursuit actuellement devant plusieurs tribunaux les mesures anticoronavirus du gouvernement, car elles sont « manifestement anticonstitutionnelles« .
  • Vidéos : En Allemagne, il y a eu récemment plusieurs cas de dépassement sérieux de la part de la police. Une jeune femme a été brutalement arrêtée par plusieurs policiers alors qu’elle faisait des courses, car elle s’était apparemment „approchée de 20 cm de trop“ d’une policière. Une autre femme a reçu l’ordre de la police, lors d’un rassemblement, de ne pas tenir la constitution allemande devant sa poitrine, car il s’agissait d’un „message politique illégal“. L’organisateur d’un rassemblement pacifique à Berlin a également été arrêté de manière assez brutale. Même des femmes âgées ont été arrêtées de manière disproportionnée. (Attention : images choquantes de violence policière).
Autres mises à jour
  •  Le PDG de Youtube a annoncé dans une interview fin avril que les contributions vidéo sur les coronavirus qui contredisent les directives de l’OMS ou des autorités sanitaires nationales seront supprimées. Par exemple, la vidéo des deux médecins urgentistes californiens coronasceptique, qui a été visionnée plus de cinq millions de fois, a été supprimée. De même, l’interview du professeur Sucharit Bhakdi, dont le lien figure ci-dessus, a été au moins temporairement supprimée par Youtube.
  •  Dans le magazine  étatsunien The Atlantic, deux professeurs de droit ont écrit un article intitulé : « Internet Speech Will Never Go Back to Normal« . In the debate over freedom versus control of the global network, China was largely correct, and the U.S. was wrong. »
    (« Le discours sur Internet ne reviendra jamais à la normale. Dans le débat entre la liberté et le contrôle du réseau mondial, la Chine avait largement raison, et les États-Unis avaient tort ».)
  •  Peter Hitchens : « We’re destroying the nation’s wealth – and the health of millions » (« Nous détruisons la richesse de la nation – et la santé de millions de personnes« ). « Si vous ne défendez pas votre liberté la plus fondamentale, celle d’aller légalement où vous voulez quand vous voulez, alors vous la perdrez pour toujours. Et ce n’est pas tout ce que vous perdrez. Regardez la censure de l’internet, qui se répand comme une grande tache sombre, la mort du Parlement, la conversion de la police en milice d’État ».
  • Mathias Döpfner, PDG d’Axel Springer et l’un des directeurs de médias les plus influents d’Allemagne, appelle à un « découplage de la Chine » et à un renforcement de l’alliance transatlantique avec les États-Unis au lendemain de la crise du Coronavirus.
  • Washington Post : « The last time the government sought a ‚warp speed‘ vaccine, it was a fiasco » (« La dernière fois que le gouvernement a cherché un vaccin « à toute vitesse », ce fut un fiasco »). La vaccination express contre la grippe porcine de 1976 a entraîné paralysies et décès.
  • Rétrospective : Woodstock s’est produit en pleine pandémie. Sur la gestion plutôt détendue de la pandémie mondiale de grippe de 1968 (en savoir plus).
Covid-19 et les médias

Beaucoup de gens sont choqués par les reportages douteux et souvent alarmistes de Covid19 sur de nombreux médias. De toute évidence, il ne s’agit pas de « reportage ordinaire », mais d’une propagande classique et massive, telle qu’elle est généralement employée en relation avec les guerres d’agression ou le prétendu  terrorisme.

Le SPR a dépeint les réseaux de médias responsables de la diffusion de cette propagande dans des infographies antérieures pour les États-Unis, l‘Allemagne et la Suisse. Même le lexique Internet prétendument « ouvert » Wikipedia fait partie intégrante de cette structure médiatique géopolitique.

La position politique et le rapport au pouvoir des différents médias ont été analysés et comparés dans le cadre du SPR Media Navigator. Le Media Navigator peut également être utile pour évaluer les reportages actuels de Covid19 par les différents médias.

Covid-19 et surveillance de masse

L’évolution de loin la plus importante et, du point de vue de la société civile, la plus dangereuse en réponse au coronavirus est la tentative politique apparente d’étendre massivement la surveillance et le contrôle de la société. Dans ce contexte, le lanceur d’alerte de la NSA, Edward Snowden, a mis en garde contre l’émergence d’une « architecture de l’oppression« .

Le coronavirus de type grippal peut servir de justification ou de prétexte à l’introduction de mesures stratégiques visant à étendre la surveillance et le contrôle d’une société de plus en plus malmenée. Parmi les instruments les plus importants actuellement en discussion par plusieurs gouvernements, on peut citer

  1. L’introduction d’applications permettant de „tracer“ les contacts dans la société
  2. La mise en place d’unités chargées de la recherche et de l’isolement des citoyens
  3. L’introduction de cartes d’identité biométriques numériques pour contrôler et réglementer la participation à des activités sociales et professionnelles.
  4. L’extension du contrôle des voyages et des transactions de paiement (y compris la suppression des espèces).
  5. La création d’une base juridique pour l’accès et l’intervention des gouvernements ou des entreprises dans les systèmes biologiques des citoyens (par le biais de ce que l’on appelle les « vaccinations obligatoires »).

Aux États-Unis, l’ancien président Bill Clinton a discuté en avril avec les gouverneurs de différents États de la mise en place d’un réseau national de « traceurs de contact ». Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a alors annoncé qu’avec le milliardaire et ancien maire de la ville de New York, Michael Bloomberg, il créerait une « armée de recherche des contacts » comprenant jusqu’à 17 000 traceurs de contacts pour New York.

Pendant ce temps, au Royaume-Uni et dans de nombreux autres pays, les gouvernements demandent l’introduction de « passeports d’immunité » biométriques et les présentent comme la prétendue „seule issue“ au confinement essentiellement motivé par des raisons politiques. L’Institut britannique Tony Blair a appelé à „l’expansion de la surveillance technologique“ pour „combattre le coronavirus“.

Aux États-Unis, la société d’analyse de données de la Silicon Valley, Palantir, doit jouer un rôle clé dans la mise en place de la plate-forme de données pour la surveillance de la propagation (déjà en déclin) du coronavirus. Palantir est connue pour ses projets informatiques avec les agences de renseignement et l’armée et a été fondée par le milliardaire étatsunien et partisan du Trump, Peter Thiel.

En Israël, la surveillance des contacts avec la population civile est assurée par le service de renseignement intérieur Shin Bet, qui utilise des programmes du célèbre groupe NSO, connu pour ses logiciels d’espionnage utilisés pour surveiller les militants des droits civils et humains dans le monde entier.

Des pays comme la Russie et la Chine veulent également étendre massivement la surveillance de la population à la suite de la prétendue « crise du coronavirus », mais le feront très probablement indépendamment des États-Unis.

L’idée qu’une pandémie puisse être utilisée pour étendre le contrôle de la population n’est pas nouvelle : dès 2010, la Fondation étatsunienne Rockefeller a décrit un « scénario de confinement » dans un document sur les futurs développements technologiques et sociaux, dans lequel les événements actuels étaient anticipés avec une précision impressionnante (pages 18 et suivantes). À l’époque, le scénario était conçu comme une sorte de „pire des cas“ autoritaire.

Entre-temps, plus de 500 scientifiques ont mis en garde, dans une lettre ouverte, contre une « surveillance sans précédent de la société » par le biais d’applications de suivi des contacts.

Le « Center for Health Security » de l’université Johns Hopkins, qui est au cœur de la gestion de la pandémie Covid19 et qui a largement contribué à l’escalade mondiale par ses graphiques trompeurs, est également très étroitement lié à l’appareil de sécurité étatsunien et a participé à certaines de ses simulations et opérations antérieures.

En général, la coopération avec des acteurs privés pour atteindre des objectifs géostratégiques n’est pas un phénomène nouveau ou inhabituel dans la politique étrangère et de sécurité des États-Unis.

Par exemple, le fondateur de Microsoft, Bill Gates, le plus important sponsor privé de l’OMS, de l’industrie des vaccins et des projets d’identification biométrique, a financé dès 2003 un programme de santé mondiale du Conseil étatsunien des relations étrangères, qui s’intéresse à la question de savoir comment la politique de santé influence la géopolitique et, inversement, comment la politique de santé peut être utilisée pour atteindre des objectifs géostratégiques.




La supercherie coronavirus devient toujours plus évidente

Par Jean-Yves Jézéquel

1 – Le dimanche 19 juillet 2020, le Dr. Carrie Madej publiait une vidéo pour expliquer ce qui va se passer avec les vaccins : je renvoie les anglophones à cette vidéo éloquente (ci-bas).

Dans la vidéo suivante, la Dr Carrie Madej s’interroge sur ce que « c’est que d’être humain ». Pourquoi ? Parce que les vaccins dits [antis-] « COVID » utilisent la technologie de l’ADN/ARN qui « recompose » le code génétique tout comme Monsanto, par exemple, recompose le code génétique de nombreuses semences (y compris les tomates, le maïs, etc.), sans parler de l’application de la biotechnologie génétique aux animaux.

(Mark Taliano, « Vaccins contre la COVID » et « Humains génétiquement modifiés », juillet 2020. Ce texte résume la vidéo.)

https://youtu.be/Rrwx8nMlzfw
https://beforeitsnews.com/health/2020/07/an-urgent-warning-from-dr-carrie-madej-must-see-video-3032692.html

2 – Neuf jours plus tôt, le 10 juillet 2020, on pouvait également suivre l’interview de fond et si éclairante, de Celeste Solum sur le vaccin – Former Fema – Vaccine Agenda Exposed (Nano Tech Hydrogel In The Cooties-91 Vaccine) [vidéo en anglais]:
https://www.bitchute.com/video/rLtA2m0gbUee/



3 – Le 19 juillet 2020, sur la chaîne de la télévision israélienne i24 News Direct, on pouvait écouter Le Professeur Yoram Lass, médecin, chercheur et ancien Directeur Général du Ministère de la Santé Israélien, balancer des informations déterminantes sur la crise du coronavirus…

Il expliquait entre-autre que le virus n’est plus là aujourd’hui, pour la simple raison qu’il est mort, que son temps est passé et que désormais on se met à faire des tests par centaines de milliers. Il est tout à fait naturel, expliquait-il, que plus on fera de tests plus on découvrira des porteurs positifs du coronavirus. Le nombre de tests détermine donc le nombre de déclarés « contaminés ». On dit alors qu’ils sont « malades » et que la « situation est grave ». Le Pr Yoram Lass disait qu’en Israël, au moment où il parlait, il y avait 24 personnes au total sous respirateur et pourtant le Gouvernement voulait à tout prix recommencer un nouveau confinement… 

Il poursuivait l’interview en disant :

« Le test PCR n’est pas fiable, puisqu’il ne distingue absolument pas les virus morts des virus vivants, si bien que selon ce test qui est pratiqué en masse aujourd’hui, tout le monde se retrouve dans les « contaminés » déclarés aussitôt « malades » alors que scientifiquement c’est absolument faux et ces milliers de personnes déclarées « malades » parce que testées positifs au coronavirus, sont en réalité parfaitement saines ! » 

Le taux de létalité pour coronavirus en Israël est de 0,8% à ce jour, au regard du nombre de « contaminés » déclaré (le 19 juillet 2020), c’est-à-dire beaucoup moins que les chiffres connus des années antérieures après le passage de la grippe saisonnière. On se demande donc pourquoi faire toute cette falsification autour des « testés positifs » en déclarant faussement que « testé positif = infecté et donc malade » ! Quel est le but de cette falsification et grossière manipulation pratiquée par le ministère de la santé ?! Pour moi, disait le Pr Yoram Lass, il s’agit d’un « comportement hystérique de la part des responsables » et nous allons avoir « plus de morts du massacre économique et du chômage » que de cette maladie qui n’a rien de menaçant ! Il n’y a pas de « seconde vague », tout cela est ridicule et il est temps de redevenir sérieux ! 

En effet, le discours moralisant et alarmiste qui circule actuellement, grâce à des journalistes privés de tout sens critique et de liberté de penser, s’alimente à la source des tests « positifs » qui sont pratiquées massivement aujourd’hui. C’est l’occasion pour maintenir la propagande en alerte et de s’assurer que la peur est bien entretenue elle aussi afin de pouvoir tenir jusqu’à l’arrivée du vaccin qui sera ainsi demandé, attendu impatiemment par une majorité d’abusés. Les directives sur l’obligation du masque en tous lieux sont également faites pour que le message soit clair : nous sommes toujours menacés par le virus (sous-entendu : tant que le vaccin n’a pas été imposé à la population mondiale entière !)

Le Pr Yoram Lass termine en disant :

« les tests ne sont intéressants que pour l’information. Il est aberrant que des chiffres soient diffusés sur le nombre de malades que cela signifie alors qu’une incontestable majorité de ces gens testés « positifs » sont en réalité en pleine forme et ne sont absolument pas malades ! » 

Ce jeu « étrange » de la part des autorités est non seulement insensé mais « irresponsable ». 

Des médecins « collaborateurs » trouvent le moyen de dire, également chez nous en France, que si ces mêmes personnes sont ensuite testées « négatives», cela voudra dire qu’elles se seront « rétablies » ! En réalité elles ne se seront pas « rétablies » puisqu’elles n’étaient pas malades… Il est important que les populations sachent que ce discours de peur sur la « pandémie » est une comédie dont il faut honnêtement se demander quel en est le but réel à part celui que tout le monde a déjà compris : le jackpot des affaires des grands groupes pharmaceutiques… Qui a donc intérêt à faire peur, à soumettre, à imposer des règles liberticides et à détruire massivement l’économie sans rien prévoir pour la repenser sérieusement ? Pourquoi un tel massacre réalisé sans scrupule et avec détermination ? Qui va profiter du crime de masse organisé par ce chantage à la peur ? Que chacun fasse l’effort d’y réfléchir et qu’il trouve par lui-même les réponses évidentes…

On peut déjà dire que cet épisode « confinement pour pandémie coronavirus » n’a fait que révéler le degré de perversion dans lequel se trouvent les gens qui se sont emparés du pouvoir. Désormais la majorité des citoyens a pu mesurer le mensonge habituel dans lequel elle se fait balader à longueur de temps et toute crédibilité des politiques, du moins ce qui en restait, a été balayée… Cela veut dire aussi et annonce les violences qui vont suivre désormais pour les règlements de compte avec ce pouvoir nous ayant méprisés à ce point !

4 – Il y a quelques semaines avant, c’est un autre médecin spécialiste qui nous informait sur cette question tournée en ridicule par les autorités politiques dépassées par leur incapacité à discerner ce qui est juste de ce qui est pervers. Le Dr. Beda M. Stadler, ancien directeur de l’Institut d’immunologie de l’Université de Berne, biologiste et Professeur émérite, une sommité reconnue en Suisse et dans le monde, publiait un article dans le magazine suisse Weltwoche (Semaine mondiale) le 10 juin 2020.

Ce docteur nous expliquait alors qu’il était faux de prétendre que ce virus était nouveau ; qu’il était encore plus faux de prétendre que la population n’aurait pas déjà une certaine immunité contre ce virus ; que c’était le comble de la stupidité que de prétendre qu’une personne pouvait avoir la Covid-19 sans aucun symptôme ou même de transmettre la maladie sans présenter le moindre symptôme. Le contenu de son article expliquait le problème des tests pratiqués pour la détection du Sras-CoV-2. On a vu que le Pr Yoram Lass expliquait très simplement la même chose concernant le mensonge s’appuyant sur les tests…

Je renvoie le lecteur francophone à l’article du Dr Stadler qui a été traduit en français et publié le 10 juillet 2020 sur www.mondialisation.ca. Il trouvera dans cet article toutes les explications d’un scientifique qui sait de quoi il parle. Le titre de son article en dit long sur la supercherie qu’on nous sert à longueur de temps dans les médias, de la part de politiques irresponsables ! « Coronavirus : pourquoi tout le monde s’est trompé. Il ne s’agit pas d’un ‘nouveau virus’. Le conte de fée de l’absence d’immunité »

5 – On peut encore citer l’article de Makia Freeman, publié en français dans mondialisation.ca du 13 juillet 2020, dans lequel elle explique que l’on trouve énormément de coronavirus par les tests qui sont pratiqués en ce moment, mais qu’on n’a toujours pas retrouvé la trace du Sras-CoV2. Elle renvoie le lecteur à une étude qui, en février dernier, insistait déjà sur le fait que les tests ne révélaient aucune preuve de l’existence du virus appelé COVID-19. 

6 – Quand on ajoute à tout cela l’histoire retentissante du LancetGate, on est alors en mesure de comprendre les mensonges scientifiques qui ont été honteusement radotés sur le coronavirus, en découvrant au passage la corruption des grandes sociétés pharmaceutiques. (Cf., article publié par le Professeur Michel Chossudovsky dans mondialisation.ca du 15 juillet 2020.) Pour celui qui a un peu de bon sens, il est devenu hors de question de continuer à faire confiance aux « Comités dit scientifiques » qui n’ont pas hésité à utiliser leur position prestigieuse pour nous abuser. La preuve a été faite qu’on nous menait en bateau et les bornes ont été largement dépassées.

CONCLUSION

Tous ces articles cités et bien d’autres références comme les livres entiers publiés par le Pr Perronne (« Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? ») et par le Pr Raoult (« Epidémies, vrais dangers et fausses alertes »), les articles si détaillés du docteur Nicole Delépine (« Covid-19, Genèse et conséquences d’une hystérie mondiale »), nous renvoient à des sources abondantes sur toutes ces questions. Il est insupportable de voir un tel mensonge, sur une soi-disant « pandémie », s’étaler à perte de vue sans que les peuples ne réagissent vigoureusement à ce scandale absolu qui les jette dans un malheur sans nom. 

Le massacre « coronavirus » aura été spectaculaire : l’opération a été « bien menée » par les obscurs commanditaires d’une telle initiative ayant transité par l’OMS et qui reste étrange tout en posant de nombreuses questions importantes non résolues. Il faudra bien que prochainement la lumière soit faite, lorsque tout le monde comprendra obligatoirement à quel point il s’est fait manipuler ! 

Mais au-dessus de tout cela, ce qui restera le plus étonnant, fut le constat général de la naïveté des politiques au pouvoir, comment ils ont été démunis, sans discernement, sans véritable responsabilité, se contredisant sans cesse, mentant ouvertement à répétition et prenant partie pour des guerres de laboratoires ! Chaque personne a une capacité au raisonnement : on peut tabler sur le fait que tout un chacun pourra se poser des questions élémentaires, s’interroger sur la compétence de ceux qui prétendent nous diriger, et tirer des conclusions sur une réalité qui peut nous apparaître aujourd’hui comme évidente, tellement le mensonge a été grossièrement pratiqué par des gens que personne ne peut plus prendre au sérieux !

Jean-Yves Jézéquel


Image en vedette : torange.biz

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2020




Le vaccin rend(ra) libre

[Source : La Newsletter de Michel Dogna]

[Auteur : Michel Dogna]

[NdNM : l’auteur est très affirmatif sur plusieurs points qu’il nous paraît pour l’instant plus sage de considérer comme de simples possibilités plus ou moins probables ou improbables.]


« Le vaccin rend(ralibre »

Ce titre un peu surprenant a été choisi par analogie 
au portique d’entrée du sinistre camp d’Auschwitz :

(Arbeit macht frei)
« Le travail rend libre »

 

Oui, on commence à se lasser de tourner en rond toujours sur les mêmes sujets ! Aussi je vous demande de réaliser que c’est l’avenir de l’humanité et de la planète entière qui se joue en ce moment-même par un immense bras de fer avec les forces du mal pour qui le mensonge est la seule référence morale. Tant pis pour ceux qui refusent d’enlever la purée qu’ils ont dans les yeux. Moi j’ai des bonnes nouvelles, mais pas pour tout le monde…

Depuis le début de l’aventure Covid en décembre 2019, nous avons pu assister à une série continue de mesures sanitaires illogiques contradictoires et catastrophiques s’appuyant sur des décrets suicidaires pour les populations et l’économie, et pouvant laisser croire à une incompétence crasse de la part de la classe dirigeante soumise à l’OMS…

Mais ceux qui pensent naïvement cela sont dans l’erreur, car la seule chose qu’il ne faut jamais perdre de vue, c’est « la solution finale », la vaccination généralisée de toute l’humanité. On veut nous surveiller 24h/24, en nous transformant en robots mi humains mi électroniques, contrôlés à 100% sur les plans de la conscience, de l’intelligence, de la santé physique, et même de la spiritualité.

Ceci est le contrat auquel les pseudo élus « collabos » ont souscrit pour assurer leurs énormes avantages personnels, et tant pis si c’est une haute trahison face aux intérêts du peuple et de la nation qu’ils sont pourtant censés défendre…

Le faux vaccin à la Frankenstein en question sera du type mARN (signifiant ARN modifié )–– En bref nous sommes tous voués à devenir des mammifères OGM programmables à distance par la 5G selon une technique déjà au point depuis des décennies qui est la psychotronique…

Ce n’est pas pour demain mais pour maintenant même !
Il y a le feu au lac les amis !!!

Voyez plutôt cette vidéo de KLA TV allemande, de 6 min 30 :

https://www.youtube.com/watch?v=TD3r7M77GlY&feature=youtu.be

ou     https://youtu.be/TD3r7M77GlY

Comment peut-on continuer à croire à cette frange d’imposteurs qui ne font que nous mentir et nous tromper depuis toujours, et qui nous gouverne à coups de décrets contredisant les lois établies, donc illégaux…

Voyez à ce sujet le document qui suit concernant le port du masque :

LOIS ET DECRETS

(à présenter à la police en cas de verbalisation pour non port du masque)

La loi prévaut toujours sur le décret.

Question : Peut-on cacher son visage dans un lieu public ?

REPONSE DE LA DIRECTION DE L’INFORMATION LEGALE ET ADMINISTRATIVE – MINISTERE DE LA JUSTICE
Vérifié le 17/03/2020

Non, il est interdit de cacher ou de couvrir complètement son visage dans un lieu public : voie publique et lieux ouverts au public ou affectés au service public. La loi prévoit des sanctions pour cette infraction. Les sanctions sont plus lourdes pour celui qui force une autre personne à masquer son visage.

Sanctions possibles :

  • Amende de 150€ maximum, 
    Et/ou un stage de citoyenneté à ses frais.

Textes de référence :

  • Loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public : articles 1 et 2.
  • Code pénal : article 225-4-10
    Peine aggravée en cas de dissimulation forcée du visage :
  • Code pénal : article 645-14 
    Dissimulation du visage dans une manifestation

La guerre de l’info

Bien que les allégations mensongères assénées par les grands médias et surtout la télé aient été toutes battues en brèche par de nombreux virologues, épidémiologistes, et professeurs les plus prestigieux du monde, les acteurs de l’intox sont restés sourds et aveugles à toutes les preuves largement documentées allant à l’encontre de leur propagande scélérate, se contentant de les rejeter d’un revers de main dédaigneux, en n’ayant comme contre arguments que des allégations illogiques et sans preuves de professeurs véreux et corrompus.

Curieusement, toute une partie de la population reste pourtant scotchée à la propagande gouvernementale de la télé (Y aurait-il du subliminal là dessous ?)…

D’autres ténors d’envergure sont arrivés à la rescousse tels les Professeurs Péronne, Toussaint, Montagnier (prix Nobel), Nicole et Gérard Delépine, et d’autres de l’étranger , sans oublier les milliers de médecins bravant l’autorité et risquant leur carrière, ainsi que tous les semeurs d’alertes dont le magnifique travail de ré information sur les réseaux sociaux (Internet), en dépit des censures voire des menaces de la nouvelle dictature, ont fini par récupérer une partie des égarés, ébranlant leurs fausses certitudes…

Tous les héros de cette Résistance ont réussi, malgré l’impossibilité d’accéder à la télé, à déclencher des manifestations monstres de millions de participants (détail : pour la plupart non masqués) présidées par des personnages prestigieux tels Robert Kennedy Junior et David ICKE, en Allemagne, en Angleterre, en Espagne, au Portugal, au Canada, aux USA, et en Amérique du sud (mais pas la France… !!! dont les armes anti manifestations sont meurtrières) pour contester les privations illégales et stupides de nos libertés fondamentales.

L’imposture du test PCR

La nouvelle qui vient de tomber (10 septembre 2020) est ahurissante : les tests du covid-19 seraient trop sensibles, de sorte que 90% des prétendus « testés positifs » ont en réalité une charge virale insuffisante pour être malades ou contagieux.

En effet, alors qu’il faut avoir 100 millions de virus dans un microlitre de prélèvement pour être dans un état inquiétant, on parvient à détecter la présence d’un seul virus, ou même d’un débris de virus, en répétant jusqu’à 45 fois le cycle d’amplification du test PCR.

Ainsi, les charlatans irresponsables, médecins et politiques, qui régissent la dictature sanitaire en France s’emploient à entretenir une panique collective pour une épidémie qui ne fait pratiquement plus de mort depuis mai dernier, en pratiquant des tests inutiles et coûteux par millions.

La grande supercherie des tests PCR, 
est que 90% des cas positifs ne sont ni malades ni contagieux

Témoignage d’une infirmière de laboratoire de prélèvements Covid

Résumé :

  • Nous avons 97% de négatifs.
  • Les 3 % positifs sont sans symptômes ou ont un rhume, voire rarement de la fièvre. Bref un état grippal. 10 personnes à peine hospitalisées sur ma région….
  • Des employeurs mènent un chantage illégal sur leur personnel. C’est de la manipulation.
  •  Arrêtez de faire du mal aux enfants, qui se débattent et hurlent, tellement ça leur fait du mal.
  • Arrêtez de vous faire dépister pour un oui ou pour un non.

À voir ici : https://www.bitchute.com/video/z7ApgjUeHHIa/      (5 mn)

« Je tiens à préciser que le personnel en laboratoire d’analyse médicale n’est pas dépisté. Preuve supplémentaire que tous ces tests sont inutiles. De plus, avec ces tests vous allez être fichés ! »

David Icke dénonce

  • Le test PCR n’est autre qu‘un grand flicage de la population par l’ADN récolté.
  • Les tests PCR permettent d’avoir en réserve l’ADN de millions de gens !
  • Si vous acceptez le test, vous serez fichés !

Voici la preuve : (Propos de David ICKE relevés par le journal L’informateur) :

Les tests PCR ne réagissent qu’à des débris cellulaires. A la base, c’était fait pour la police scientifique afin qu’ils puissent isoler de l’ADN. Le PCR réagit positif à n’importe quoi : une mycose, un rhume, le stress, être enceinte, un herpès, simplement la peur, en fait à plus de… 70 causes. Ce test n’a rien à voir avec le Covid, pas plus qu’avec le Lyme ni avec le VIH…

L’inventeur du test Kary Mullis a expliqué pendant des années que la mafia médicale avait volé son invention pour détecter des maladies alors que ce n’est pas fait pour cela, mais simplement pour isoler l’ADN de quelqu’un à partir de sang que l’on dilue beaucoup de fois, donc à l’usage de la Police Scientifique.

Une bombe :
des milliers de tests (volontairement ?) CONTAMINES !

Ils se permettent tout ! Avec Pierre Jovanovic                 6 min 20

https://www.youtube.com/watch?v=ne2TiDKgsS4&feature=share

Autre source :

Confirmation par le Dr Broussalian reçu par la blogueuse suisse Ema [Krusi]. Pour ceux qui sont pressés commencez à la minute 38 jusqu’à la min 47  (= 9 min)

https://youtu.be/C1xCBJ0HCUA

Qu’en est-il du vaccin promis ?

D’abord, pourquoi un vaccin pour une épidémie grippale qui est terminée et que l’on sait parfaitement soigner par de multiples moyens naturels (en outre scandaleusement combattus et interdits en France)…

Le Covid comme toutes les grippes, après une courbe en cloche éliminant les plus faibles par sélection naturelle, se dégonfle (cas actuel) et meurt ou mute vers autre chose mais on ne sait jamais quoi – c’est pour cela que tous les vaccins anti grippe sont non seulement « bidon » mais aussi dangereux car on sait maintenant qu’ils détruisent les défenses immunitaires générales ; on l’a vu avec les italiens vaccinés qui tombaient comme des mouches par le Covid.

En second lieu il s’agira d’un faux vaccin, ne protégeant contre rien, bourré de nanoparticules qui vont vous transformer en antenne ambulante de la 5G ; votre ADN sera modifié, et vous ne serez plus jamais vous-même…

Déjà rien que par la WI-FI beaucoup sont déjà bien atteints voire irrécupérables…

D’aucuns me demandent s’il est possible d’annuler le vaccin avec de l’homéopathie ou de l’argile. Cà c’est du passé, c’est fini. Nous n’avons aucun moyen pour éliminer les millions de nanoparticules disséminées dans votre corps. Et même si c’était possible, les appareils de contrôle vous refuseraient les accès en tant que « non vaccinés ».
PIRE : Certains scientifiques pensent que la programmation extérieure de l’ADN pourrait être génétiquement transmise aux enfants.

  • Noter que les vaccins vétérinaires n’ont jamais de nanoparticules, ce qui prouve que celles-ci servent bien à modifier le psychisme.

Mais il n’y a pas que cela, il y a la soupe de Frankenstein que l’on injecte déjà aux enfants et même aux bébés à la naissance leur donnant toutes les chances d’avoir un cancer ou une maladie dégénérative grave dix ans plus tard (j’ai déjà diffusé la longue liste)….

Cette fois on tombe carrément dans le satanisme le plus sordide. Les médicaux pro vaccins ne savent-ils pas ce qui va suivre ? Avons-nous atteint le sommet de l’Horreur ?
C’est pire que le film « Le soleil vert » (1973) que l’on peut trouver dans toutes les langues.

Regardez ce que l’on fait avec les fœtus humains dont l’avortement légal (en clair, l’assassinat ) vient d’être discrètement voté jusqu’au 9ème mois, donc viable  :

11 min 30

https://youtu.be/HroGDPQznUA

ALORS TOUT CECI EST-IL UNE INCONTOURNABLE FATALITÉ ?

Oui si personne ne bouge !

Je vais faire simple : tout tourne atour de la réélection de Donald Trump en novembre.
S’il repasse (ce qui qui est probable à 98%), son grand ménage déjà en cours aux USA va s’étendre immédiatement par effet domino sur toute la planète avec l’assistance  des légions galactiques qui l’ont mis en place (renseignez-vous sur les œuvres de Trump réalisées en 3 ans)…

Notre histoire planétaire va repartir sur le bon pied dans tous les domaines vers une civilisation d’Amour et de Respect des œuvres du Créateur. Tous les grands secrets technologiques, spirituels, médicaux, archéologiques, énergétiques, gravitationnels, etc. vont être enfin lâchés – 2021 sera encore chaotique mais dans le bon sens.

S’il ne repassait pas, nous risquerions d’être livrés à nouveau aux griffes de cette organisation mondiale satanique qui a déjà fait tant de mal à l’humanité et à la planète et qui espère encore finir son œuvre de destruction massive.

Ce que je dis est au-delà du politique, c’est de la simple logique éclairée et documentée.   Ceux qui voudraient me faire taire ne peuvent pas avoir des buts nobles.

Rassemblons-nous mes amis
et n’oubliez pas que Trump est la clef !

Servez-vous de votre ordinateur pour en savoir plus .

En attendant, refusez le test, refusez le vaccin 
et osez les libertés de votre choix .

Michel Dogna

A diffuser au maximum

Si vous cherchez les vidéos de Silvano TROTTA,
(censuré inexorablement par You Tube),
il vous suffit d’aller sur la merveilleuse chaîne ODYSEE, ici :

https://odysee.com/@SilvanoTrotta:f

et vous aurez ainsi l’immense plaisir de le retrouver !




Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

[Source : Québec Nouvelles.Info]

[Source originale anglaise : Westphalian Times]

Un article d’investigation du New York Times a soulevé des questions sur la validité du test de masse COVID de type PCR utilisé dans les pays du monde entier pour identifier les cas COVID et pour prendre des décisions politiques basées sur ces bilans.

Cela a suscité un débat aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Israël, mais pas encore au Canada, même si nous sommes confrontés au même problème.

Alors, comment le régime de test PCR du Canada se compare-t-il à celui des États-Unis? Tout porte à croire qu’il n’est pas beaucoup mieux.

Au cours d’une enquête de deux semaines, le Westphalian Times a interrogé les autorités sanitaires provinciales et les laboratoires de santé publique et a découvert qu’au Canada, la majorité des normes de diagnostic du test COVID-19 sont peut-être trop sensibles pour identifier de manière fiable les personnes souffrant actuellement de COVID et donc pour détecter et isoler celles qui sont infectieuses.

Le Westphalian Times a découvert que, selon d’éminents experts en épidémiologie aux États-Unis et au Royaume-Uni, jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID-19 pourraient être de faux positifs et que les Canadiens testés ne reçoivent pas l’importante statistique de seuil de cycle lorsqu’ils obtiennent un résultat positif à un test COVID.

Nous avons contacté les autorités sanitaires provinciales et les gouvernements de l’Alberta, de l’Ontario, du Québec, de la Colombie-Britannique, du Manitoba, de la Nouvelle-Écosse, de la Saskatchewan et du Nouveau-Brunswick pour déterminer le niveau de sensibilité utilisé dans leur test PCR pour COVID.

Seules deux provinces, le Québec et le Manitoba, ont accepté de partager leurs valeurs Ct de seuil positif, l’une des statistiques essentielles utilisées pour déterminer si le test détecte un virus vivant ou des restes de virus ou une éventuelle contamination.

L’Ontario, la Colombie-Britannique, la Nouvelle-Écosse et la Saskatchewan ont refusé de partager leurs informations sur les tests PCR. La Colombie britannique a déclaré qu’elle n’avait pas la “capacité” de récupérer ces informations. Cependant, la Saskatchewan nous a fourni une étude du Journal of Clinical Virology datant de juillet 2020 qui comprenait les données des laboratoires provinciaux sur les tests PCR et les seuils de positivité utilisés par chaque province.

La raison pour laquelle la Colombie-Britannique a déclaré ne pas avoir la capacité de récupérer ces données n’est pas claire, car elles ont été publiées dans l’article du journal fourni par la Saskatchewan. L’Alberta et le Nouveau-Brunswick n’ont pas du tout répondu à nos demandes.

Expliquer le test PCR et l’importance du seuil de cycle

Le test COVID actuel est basé sur la réaction en chaîne de la polymérase (PCR) – une “technique rapide et peu coûteuse utilisée pour “amplifier” – copier – de petits segments d’ADN“. De nombreux experts de renommée internationale en virologie et en tests PCR se demandent si les tests ont été rendus trop sensibles et si de nombreux positifs sont le résultat d’une vieille charge virale non-contagieuse ou même d’une contamination en laboratoire.

Le test PCR a été inventé pour trouver du matériel viral génétique dans un échantillon et n’a pas été traditionnellement utilisé comme seule méthode pour identifier les personnes souffrant d’une maladie virale ou bactérienne.

Le test COVID est généralement effectué à l’aide d’un écouvillon nasopharyngé, un écouvillon de 6 pouces de long inséré profondément dans la narine. L’écouvillon est tourné pendant un certain temps, puis il est envoyé à un laboratoire où un test PCR amplifiera considérablement la quantité de matériel génétique capturé, puis le comparera à l’ADN ou à l’ARN d’un segment particulier du virus COVID (ARN de référence).

Pour obtenir suffisamment de matériel génétique à tester, le processus PCR augmente le matériel génétique présent en le copiant puis en le recopiant encore et encore. Chacune de ces étapes croissantes est appelée “cycle” et le matériel génétique de la solution est mis en réaction contre l’ADN de référence pour déterminer un résultat positif.

Si l’échantillon contient une grande quantité de virus COVID, il réagira positivement après seulement quelques cycles, tandis qu’un échantillon contenant de petites quantités de matériel génétique nécessitera plus de cycles pour amplifier suffisamment de matériel génétique pour obtenir un résultat positif.

Comme le test PCR amplifie les traces de COVID-19 par cycles, un nombre de cycles plus faible pour obtenir un résultat positif suggère la présence d’une charge virale plus élevée pour la personne testée et donc un potentiel de contagion plus élevé.
Le nombre de cycles nécessaires pour identifier le matériel viral dans un échantillon donné est appelé seuil de cycle (Ct).

Le 29 août, Apoorva Mandavilli du New York Times a publié un article intitulé : “Votre test de dépistage du coronavirus est positif. Peut-être qu’il ne devrait pas l’être“. Mandavilli a interviewé d’éminents virologistes au sujet des tests PCR actuellement effectués aux États-Unis. Elle a indiqué que dans de nombreuses régions des États-Unis, les seuils de cycle pour le test sont fixés à un niveau très élevé, souvent jusqu’à 40 cycles. De nombreux experts éminents pensent que ce seuil est trop élevé.

Le professeur Michael Mina, épidémiologiste à l’école de santé publique T.H. Chan de Harvard, a suggéré que ces tests pourraient détecter non seulement les virus vivants mais aussi les fragments génétiques laissés par une infection antérieure, “comme si l’on trouvait un cheveu dans une pièce longtemps après que la personne soit partie. Il est bien établi dans la recherche COVID que les tests PCR pourraient trouver des résultats positifs pour des infections qui ont pris fin plus de deux mois auparavant.

Dans un tweet, Mina s’est fait l’écho de ce même sentiment en déclarant que:

“Tout test avec un seuil de cycle supérieur à 35 est trop sensible, a convenu Juliet Morrison, virologue à l’université de Californie, Riverside. “Je suis choquée que les gens pensent que 40 puisse représenter un résultat positif”, a-t-elle déclaré au New York Times.

Le Dr Mina, de Harvard, a déclaré au Times qu’il fixerait le seuil du cycle à 30, voire moins. Il n’est pas le seul expert à le dire. Le professeur d’Oxford, le Dr Carl Heneghan, rédacteur en chef du British Medical Journal Evidence Based Medicine, a abondé dans le même sens, en déclarant sur Twitter que les laboratoires devraient fixer le Ct maximum à 30 cycles.

https://twitter.com/carlheneghan/status/1303220734689501184?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1303220734689501184%7Ctwgr%5Eshare_3&ref_url=https%3A%2F%2Fquebecnouvelles.info%2Fdes-experts-internationaux-suggerent-que-jusqua-90-des-cas-canadiens-de-covid-pourraient-etre-des-faux-positifs%2F

De même, lors d’une apparition sur CNN, le Dr Mina a déclaré :

“Beaucoup de positifs que nous trouvons sont probablement des personnes qui étaient peut-être contagieuses la semaine dernière ou il y a quelques semaines mais qui le sont depuis plus longtemps, mais ces tests peuvent encore détecter essentiellement les restes de l’infection précédente”.

https://twitter.com/CuomoPrimeTime/status/1306437573041152002?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1306437573041152002%7Ctwgr%5Eshare_3&ref_url=https%3A%2F%2Fquebecnouvelles.info%2Fdes-experts-internationaux-suggerent-que-jusqua-90-des-cas-canadiens-de-covid-pourraient-etre-des-faux-positifs%2F

Pour quantifier le problème, un échantillon qui se déclare positif à un Ct de 30 peut avoir jusqu’à mille fois plus d’ARN viral qu’un échantillon qui se déclare positif à un CT de 40.

Le NYT rapporte que le seuil de cycle n’est généralement jamais inclus dans les résultats des tests donnés aux patients COVID-positve et à leurs médecins aux États-Unis. Les experts pensent que cela rend difficile pour les patients et les médecins de savoir s’il y a un risque de contagion. Le Westphalian Times n’a pas pu trouver une seule province qui communique la statistique Ct aux patients canadiens qui obtiennent un test PCR COVID positif.

Une personne dont le test est positif avec un nombre de cycles de 20, par exemple, devrait certainement s’isoler et se mettre en quarantaine parce que sa charge virale est susceptible d’être élevée, ce qui facilite la propagation involontaire du virus.

Cependant, une personne dont le test de dépistage est positif avec un nombre de cycles de 35 à 40 n’est très probablement pas contagieuse et n’aurait pas besoin de s’isoler parce que sa charge virale serait extrêmement faible.

Selon des études publiées, les laboratoires de santé publique n’ont jusqu’à présent trouvé aucun virus vivant chez les patients dont le test était positif après 34 cycles ou plus. La grande majorité des laboratoires n’ont aucun problème à cultiver des virus vivants en dessous de 25 cycles, mais il devient de plus en plus difficile de trouver des virus vivants à mesure que le nombre de Ct augmente – il n’existe que quelques exemples dans la littérature scientifique de laboratoires capables de trouver et de cultiver des virus COVID vivants à 30 cycles ou plus.

Source : La Scola, B., Le Bideau, M., Andreani, J. et al. Charge d’ARN viral déterminée par culture cellulaire comme outil de gestion pour la sortie des patients atteints du SRAS-CoV-2 des services des maladies infectieuses. Eur J Clin Microbiol Infect Dis 39, 1059-1061 (2020). https://doi.org/10.1007/s10096-020-03913-9
Source : Gniazdowski V, Morris P, Wohl S et al. Repeat COVID-19 molecular testing : correlation with recovery of infectious virus, molecular assay cycle thresholds, and analytical sensitivity.medRxiv 2020.08.05.20168963 ; doi : https://doi.org/10.1101/2020.08.05.20168963

Le Times a constaté que “jusqu’à 90 % des personnes testées positives étaient à peine porteuses de virus” dans le Massachusetts, New-York et le Nevada parce qu’elles ont reçu un test positif avec un nombre élevé de cycles, ce qui signifie que leur charge virale était extrêmement faible

De tels cas ne devraient même pas nécessiter la recherche des contacts, selon le Dr Mina qui s’est entretenu avec le Times : “Des tests avec des seuils aussi élevés peuvent détecter non seulement des virus vivants mais aussi des fragments génétiques, des restes d’infection qui ne présentent aucun risque particulier – comme si l’on trouvait un cheveu dans une pièce longtemps après qu’une personne en soit partie.

Préoccupations internationales mais un silence étudié au Canada

Le Westphalian Times a contacté Nathalie Grandvaux, présidente de la Société canadienne de virologie, codirectrice du Réseau Québécois COVID, directrice du Laboratoire d’interaction virus-hôte au CHUM et professeur à l’Université de Montréal pour discuter des tests COVID-19 au Canada et de la réponse du gouvernement.

Lors de la discussion sur la question des tests PCR et des cycles de Ct, le Dr Grandvaux n’était pas tout à fait d’accord avec le Dr Mina ou le Dr Heneghan, disant que ce n’est pas aussi clair et qu’il y a de nombreux facteurs qui entrent en jeu pour décider des seuils maximums de Ct à utiliser. Elle a déclaré qu’il était “très difficile d’établir une corrélation entre le Ct et la charge virale du virus. Je ne pense pas qu’on puisse faire cela”.

Lorsqu’on lui a demandé si elle était d’accord avec le seuil de 30 Ct suggéré par Mina et Heneghan, le Dr Grandvaux a répondu :

“Je ne pense pas que nous puissions donner un chiffre magique qui puisse être utilisé pour le monde entier, dans chaque laboratoire, avec chaque méthode. Je ne pense pas que nous puissions faire cela”. Elle a reconnu que “si vous avez des Ct très faibles et beaucoup d’ARN du virus, cela signifie qu’il y avait beaucoup de virus… même si votre échantillonnage n’était pas si bon… mais je ne pense pas que nous puissions faire un seuil général pour les seuils maximums”.

“Par ces méthodes, nous prenons des personnes qui ont une très faible quantité d’ARN, mais les données qui nous manquent pour tirer de bonnes conclusions sur les [valeurs de Ct] sont de grandes études qui mettent en corrélation les Ct avec le fait de prendre les mêmes échantillons et de les mettre en culture pour voir si l’échantillon se reproduit encore. Cela aiderait à déterminer si ces Ct très élevés des échantillons ne sont plus contagieux, mais nous n’avons pas ces données avec les grandes études. Nous n’avons que peu d’études”.

“Mais même si nous en avons, cela ne signifie pas que les gens ne sont pas contagieux (cas à Ct élevé positif). La seule façon de le savoir serait de prendre des personnes dans un projet de recherche et de mesurer leur Ct et de les mettre en contact avec d’autres personnes pour voir si elle se transmet”. En disant pour des raisons éthiques “nous ne pouvons pas faire cela”, mais “nous pourrions avoir un modèle animal pour le faire”.

Contrairement à d’autres experts sur cette question, M. Grandvaux estime qu’en cas de pandémie, il faut continuer à utiliser des Ct élevés par prudence : “Mais dans une situation de pandémie, je pense que c’est le moyen le plus sûr de prendre même les personnes ayant une faible charge virale et de s’assurer qu’elles ne contaminent pas d’autres personnes si elles sont encore contagieuses parce que nous ne savons pas”.

Ce sentiment n’est pas unique à Grandvaux. Le Premier ministre écossais, Nicola Sturgeon, a dit exactement la même chose en Écosse lors de récentes discussions sur la question de savoir si les tests PCR donnent ou non un trop grand nombre de faux positifs. Elle a déclaré qu’elle préférait “pécher par excès de prudence” en attrapant “autant de cas que possible” lors des tests Covid, même si cela signifie générer davantage de faux positifs.

Ce débat important se déroule en public en Ecosse, au Royaume-Uni, en Israël et aux Etats-Unis. Au Canada, la situation est bien différente. Les Canadiens sont tenus dans l’ignorance des préoccupations d’éminents experts et nous ne savons pas si nos responsables de la santé publique examinent cette question.

Jusqu’à présent, pas un seul grand média n’a traité de cette question. Le Westphalian Times est le premier média canadien à rendre compte des seuils de cycle et des tests PCR COVID.

Valeurs Ct des laboratoires canadiens (des experts éminents disent que tout ce qui dépasse 30 est possiblement trop élevé):

Province Seuil de positivité (Ct) Source
QC 45 Le Laboratoire de sainté publique du Québec (LSPQ)
MB 40 Government of Manitoba
BC 35-40 Journal of Clinical Virology
AB 35 Journal of Clinical Virology
NB 40 Journal of Clinical Virology
NL 33 Journal of Clinical Virology
NS 33-35 Journal of Clinical Virology
ON 38-45 Journal of Clinical Virology
SK 36 Journal of Clinical Virology




Covid 19 : Les masques, les Tests, les médias Main Stream… vus par un gendarme

[Source : Profession gendarme]

Covid 19 : Les masques, les Tests PCR, l’hydroxychloroquine, le Rivotril (le décret autorisant l’assassinat), les médias Main Stream…

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Un camarade gendarme, lecteur assidu de Profession-Gendarme, répond à l’un de nos lecteurs à la suite d’un commentaire sur le site.

Des médecins commencent à se libérer du carcan de l’O.M.S. et suivant le serment d’Hippocrate s’expriment en fonction des connaissances médicales acquises.

Nous avons voulu partager avec vous ce commentaire qui donne matière à réflexion.

«La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. »

Aldous Huxley, Retour au meilleur des mondes


Il faut d’abord rappeler qu’initialement au début mars et depuis toujours d’ailleurs les masques n’étaient pas recommandés pour une utilisation grand public et ces recommandations figuraient noir sur blanc dans les documents O.M.S.

D’ailleurs, encore dans les dernières recommandations il est bien précisé qu’il n’y avait aucune preuve de l’efficacité de ces masques grand public.
D’autre part les boites de masques dit chirurgicaux précisent bien que ce ne sont pas des dispositifs médicaux et les boites mises en vente après l’apparition du covid précisent même que ça ne protège en aucune manière des virus et de celui-ci en particulier.
Ce qui était exigé pour l’hydroxychloroquine à savoir les ECR (Essais Contrôlés Randomisés) ont fait l’objet de nombreuses études internationales sans attendre l’arrivée du Covid 19 pour les masques et la sanction est sans appel ils sont inefficaces et même dangereux pour toutes les affections respiratoires. D’abord ils ne servent à rien  en raison du mode de transmission, le fluide aérien, et de la disproportion entre les mailles du filtre et la taille des virus à retenir.
Ils sont dangereux car ils empêchent une respiration normale, accumulent de l’humidité, des bactéries, virus et autres champignons et obligent à ré-inspirer ses propres exhalaisons et miasmes divers dont des virus.

Il n’aura échappé à personne que les masques étaient prévus pour les soignants et les malades dans des actes de soins où il ne s’agit ni de faire un cent mètres ni simplement de se déplacer, chaleur ou pas d’ailleurs.

Cette décision aberrante de port généralisé du masque n’est pas une mesure d’ordre sanitaire mais strictement politique pour imposer des mesures coercitives inutiles à la population et tester sa soumission à une dictature qui ne dit pas son nom.
Le prétexte de la reprise des cas est une fausse nouvelle puisque non lié à la maladie mais à la multiplication des tests qui ne sont pas fiables quelque soit le principe.

Les tests PCR aux dires même de son inventeur, prix Nobel pour cela, ils ne doivent servir qu’à la recherche et non au diagnostic médical, les tests sérologiques en laboratoire ne peuvent pas conclure de façon certaine au statut du testé quant aux tests automatiques ils sont une escroquerie couverte par le ministère de la santé puisque le physicien de la société chargée de leur contrôle a dénoncé leur nullité mais qu’ils ont malgré cet avis été homologués par le ministère (Cf interview David Mandel par le Media).

Il y a donc dans cette gesticulation des tests encore beaucoup de conflits d’intérêts qui pèsent tant sur la santé des testés que sur le budget de la sécurité sociale en pure perte.

Quant à l’évocation des ordres professionnels ce sont justement des institutions mises en place pour le contrôle des médecins, en l’occurrence  dans une triste période de l’histoire de France.

Faut-il encore rappeler que le traitement d’une maladie est une affaire de colloque singulier entre le médecin et son patient et que ce n’est pas à l’état de signer un décret assassin et s’il y a encore une justice en France les signataires de ce décret devront rendre des comptes.

S’il faut proposer une solution aussi simpliste que votre raisonnement contentez-vous donc de porter un masque si ça vous chante puisque selon vos principes il vous protégera et laissez ceux qui ne veulent pas en porter se suicider sans masque.
C’est le même raisonnement que pour les vaccins modernes, ceux qui pensent que c’est pour leur bien se feront vacciner et les autres préfèreront faire confiance à leur système immunitaire que nos bons conseillers scientifiques et nos gouvernants n’évoquent jamais depuis le début de la crise.
C’est donc bien que la santé des français n’est pas leur préoccupation majeure et qu’ils préfèrent favoriser celle des opérateurs de la mal bouffe de l’agro-alimentaire et ensuite les médicaments toxiques de Bigpharma plutôt que d’inciter la population à se maintenir naturellement en bonne santé.
Grâce à l’ignorance entretenue nos dirigeants favorisent la maladie au lieu de promouvoir la santé. Ils préfèrent voir l’homme comme une somme de maladies possibles plutôt que de le voir comme un tout, de façon plus holistique.

Alors après avoir lu ces quelques explications soit vous êtes de bonne foi et vous allez procéder à vos propres recherches sans céder au réflexe psittaciste des media Main Stream soit vous êtes un troll au service d’une dictature en marche et vous allez sévir sur un autre site car les gendarmes même retraités n’avalent pas n’importe quelle baliverne.

Encore merci à tous ces médecins, infirmières et autres soignants qui disent la vérité au risque de se voir sanctionnés par des instances indignes de leurs responsabilités et qui aussi auront un jour des comptes à rendre aux français.




Le directeur scientifique de Pfizer déclare que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests covid faussement positifs, « la pandémie est terminée ».

[Source : Anguille sous roche]

[NdNM : on peut difficilement accuser le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, d’être un complotiste.]

Dans un développement étonnant, l’ancien directeur scientifique du géant pharmaceutique Pfizer déclare qu’« il n’y a aucune science qui suggère qu’une deuxième vague devrait se produire ». L’initié de « Big Pharma » affirme que des résultats faussement positifs provenant de tests COVID intrinsèquement peu fiables sont utilisés pour fabriquer une « deuxième vague » basée sur de « nouveaux cas ».

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer pendant 16 ans, affirme que la moitié, voire « presque tous » les tests COVID sont des faux positifs. Le Dr Yeadon affirme également que le seuil d’immunité collective peut être beaucoup plus bas que ce que l’on pensait auparavant, et qu’il a peut-être déjà été atteint dans de nombreux pays.

Dans une interview accordée la semaine dernière, on a demandé au Dr Yeadon :

« nous basons une politique gouvernementale, une politique économique, une politique des libertés civiles, en termes de limitation des personnes à six personnes dans une réunion… toutes basées sur, ce qui pourrait bien être, des données complètement fausses sur ce coronavirus ? »

Le Dr. Yeadon a répondu par un simple « oui ».

Le Dr. Yeadon a déclaré dans l’interview que, étant donné la « forme » de tous les indicateurs importants dans une pandémie mondiale, tels que les hospitalisations, l’utilisation des soins intensifs et les décès, « la pandémie est fondamentalement terminée ».

Le Dr Yeadon a déclaré dans l’interview :

« Sans les données de test que vous obtenez tout le temps à la télévision, vous concluriez à juste titre que la pandémie est terminée, car il ne s’est rien passé de bien important. Bien sûr, les gens se rendent à l’hôpital, à l’approche de la saison automnale de la grippe… mais aucune donnée scientifique ne permet d’affirmer qu’une deuxième vague devrait se produire. »

Dans un article publié ce mois-ci, co-écrit par Yeadon et deux de ses collègues, « Quelle est la probabilité d’une seconde vague ? », Les scientifiques écrivent:

« Il a été largement observé que dans tous les pays fortement infectés en Europe et dans plusieurs États américains, la forme des courbes de mortalité quotidienne en fonction du temps est similaire à celle du Royaume-Uni. Beaucoup de ces courbes sont non seulement similaires, mais presque super imposable . »

Les données relatives au Royaume-Uni, à la Suède, aux États-Unis et au monde entier montrent que dans tous les cas, les décès ont augmenté de mars à la mi- ou à la fin avril, puis ont commencé à diminuer progressivement selon une pente douce qui s’est aplatie vers la fin juin et qui se poursuit encore aujourd’hui. Cependant, les taux de cas, basés sur des tests, augmentent et oscillent de façon sauvage vers le haut et vers le bas.

Le discours médiatique aux États-Unis augmente déjà les attentes d’une « deuxième vague ».

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Le taux de survie au COVID est maintenant estimé à 99,8 %, comme pour la grippe, avec une immunité antérieure aux lymphocytes T

Le taux de survie de COVID-19 a été amélioré depuis le mois de mai pour atteindre 99,8 % des infections. Ce taux se rapproche de celui de la grippe ordinaire, dont le taux de survie est de 99,9 %. Bien que le COVID puisse avoir des séquelles graves, la grippe ou toute maladie respiratoire peut également en avoir. Le taux de survie actuel est bien plus élevé que les premières estimations sombres de mars et avril, citées par le Dr Anthony Fauci, de 94 %, soit 20 à 30 fois plus meurtrier. La valeur du taux de mortalité par infection (IFR) acceptée par Yeadon et al dans le document est de 0,26 %. Le taux de survie d’une maladie est de 100 % moins l’IFR.

Le Dr Yeadon a souligné que la « nouvelle » contagion COVID-19 n’est nouvelle que dans le sens où il s’agit d’un nouveau type de coronavirus. Mais, a-t-il dit, il existe actuellement quatre souches qui circulent librement dans la population, le plus souvent liées au rhume.

Dans l’article scientifique, Yeadon et al écrivent :

« Il y a au moins quatre membres de la famille bien caractérisés (229E, NL63, OC43 et HKU1) qui sont endémiques et provoquent certains des rhumes courants que nous connaissons, surtout en hiver. Ils présentent tous une similitude de séquence frappante avec le nouveau coronavirus. »

Les scientifiques affirment qu’une grande partie de la population possède déjà, sinon des anticorps contre le COVID, du moins un certain niveau d’immunité des « cellules T » contre l’exposition à d’autres coronavirus apparentés, qui circulaient bien avant le COVID-19.

Les scientifiques écrivent :

« Une composante majeure de notre système immunitaire est le groupe de globules blancs appelés cellules T, dont le travail consiste à mémoriser un petit morceau du virus avec lequel nous avons été infectés, afin que les bons types de cellules puissent se multiplier rapidement et nous protéger si nous contractons une infection connexe. Des réponses au COVID-19 ont été démontrées dans des dizaines d’échantillons de sang prélevés sur des donneurs avant l’arrivée du nouveau virus. »

En introduisant l’idée qu’une certaine immunité préalable à COVID-19 existait déjà, les auteurs de « How Likely is a Second Wave ? » écrivent :

« Il est maintenant établi qu’au moins 30 % de notre population avait déjà une reconnaissance immunologique de ce nouveau virus, avant même son arrivée… COVID-19 est nouveau, mais les coronavirus ne le sont pas. »

Ils poursuivent en disant qu’en raison de cette résistance préalable, seuls 15 à 25 % d’une population infectée peuvent suffire pour atteindre l’immunité de troupeau :

« …les études épidémiologiques montrent que, avec l’ampleur de l’immunité préalable que l’on peut maintenant raisonnablement supposer, seuls 15-25 % de la population infectée sont suffisants pour stopper la propagation du virus… »

Aux États-Unis, si l’on accepte un bilan de 200 000 morts et un taux de mortalité lié à l’infection de 99,8 %, cela signifie que pour chaque personne décédée, il y aurait environ 400 personnes infectées qui auraient survécu. Cela signifierait environ 80 millions d’Américains, soit 27 % de la population. Cela touche le seuil d’immunité collective de Yeadon et de ses collègues.

Les auteurs disent :

« La littérature actuelle montre qu’entre 20 et 50 % de la population présente cette réactivité des cellules T pré-pandémique, ce qui signifie que nous pourrions adopter une valeur de population initialement sensible de 80 à 50 %. Plus la susceptibilité initiale réelle est faible, plus nous sommes sûrs d’avoir atteint un seuil d’immunité collective (HIT). »

Source

La deuxième vague de faux positifs

À propos du test PCR, le test COVID le plus répandu dans le monde, les auteurs écrivent :

« plus de la moitié des positifs sont susceptibles d’être faux, potentiellement tous. »

Les auteurs expliquent que ce que le test PCR mesure réellement est « simplement la présence de séquences d’ARN partielles présentes dans le virus intact », qui pourrait être un morceau de virus mort qui ne peut pas rendre le sujet malade, et ne peut pas être transmis, et ne peut pas rendre quelqu’un d’autre malade.

« …un vrai positif n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable. Dans les études limitées réalisées à ce jour, de nombreux chercheurs ont montré que certains sujets restent positifs par PCR longtemps après que la possibilité de cultiver le virus à partir de prélèvements a disparu. Nous appelons cela un “positif à froid” (pour le distinguer d’un “positif à chaud”, une personne réellement infectée par un virus intact). Le point essentiel des “positifs au froid” est qu’ils ne sont pas malades, ne présentent pas de symptômes, ne vont pas en présenter et, de plus, sont incapables d’infecter d’autres personnes. »

Dans l’ensemble, le Dr Yeadon avance l’argument selon lequel toute « deuxième vague » de COVID, et tout cas de confinement par les gouvernements, compte tenu des principes bien connus de l’épidémiologie, sera entièrement fabriquée.

Ce mois-ci, à Boston, un laboratoire a suspendu les tests de dépistage du coronavirus après la découverte de 400 faux positifs.

Une analyse du test basé sur le PCR sur le site médical medrxiv.org indique :

« les données sur les tests basés sur le PCR pour des virus similaires montrent que les tests basés sur le PCR produisent suffisamment de résultats faux positifs pour rendre les résultats positifs très peu fiables dans un large éventail de scénarios du monde réel. »

Le professeur Carl Heneghan de l’université d’Oxford, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine d’Oxford, écrit dans un article de juillet « Combien de diagnostics COVID sont des faux positifs ? »

« en partant des pratiques et des résultats des tests actuels, il se peut que Covid-19 ne disparaisse jamais. »

Bien sûr, le cas le plus célèbre de manque de fiabilité d’un test PCR a été lorsque le président de la Tanzanie a révélé au monde entier qu’il avait secrètement envoyé des échantillons d’une chèvre, d’un mouton et d’un fruit de papaye à un laboratoire de test COVID. Ils sont tous revenus positifs pour le COVID.

Fabriqué en Chine

En août, le gouvernement suédois a découvert 3700 faux positifs COVID à partir de kits de test fabriqués par la société chinoise BGI Genomics. Les kits ont été approuvés en mars par la FDA pour une utilisation aux États-Unis.

Les deuxièmes vagues de coronavirus ne sont pas normales

Le Dr Yeadon a contesté l’idée que toutes les pandémies se déroulent en vagues successives, citant deux autres épidémies de coronavirus, le virus du SRAS en 2003 et le MERS en 2012. Ce qui peut sembler être deux vagues peut en fait être deux vagues uniques se produisant dans des régions géographiques différentes. Ils affirment que les données recueillies lors des épidémies relativement récentes du SRAS en 2003 et du MERS confirment leur thèse.

Dans le cas du MERS :

« il s’agit en fait de plusieurs vagues uniques affectant des populations géographiquement distinctes à différents moments de la propagation de la maladie. Dans ce cas, le premier pic important a été observé en Arabie Saoudite, avec un second pic quelques mois plus tard en République de Corée. Analysée individuellement, chaque zone a suivi un événement unique typique… »

Dans l’interview, interrogé sur l’épidémie de grippe espagnole de 1918, qui s’est produite par vagues successives pendant la Première Guerre mondiale, Yeadon a souligné qu’il s’agissait d’un type de virus entièrement différent, qui ne faisait pas partie de la famille des coronavirus. D’autres ont mis en cause la malnutrition générale du début du siècle et les conditions insalubres. Les soldats de la Première Guerre mondiale, durement touchés, vivaient dans la boue froide et dans les pires conditions imaginables pour la résistance immunitaire.

Vagues de coronavirus MERS en Arabie Saoudite et en Corée

Les confinements ne fonctionnent pas

Un autre argument avancé par Yeadon et al dans leur article de septembre est qu’il n’y a pas eu de différence dans les résultats liés aux confinements.

Ils disent :

« La forme de la courbe des décès en fonction du temps implique un processus naturel et non un processus résultant principalement d’interventions humaines… La Suède est connue pour avoir adopté une approche presque de laissez-faire, avec des conseils qualifiés donnés, mais pas d’enfermement généralisé. Pourtant, son profil et celui du Royaume-Uni sont très similaires. »

Yeadon aux manières douces démolit l’homme qui a tout commencé, le professeur Neil Ferguson

L’ancien dirigeant et scientifique de Pfizer pointe du doigt un ancien collègue qui a été réprimandé pour son rôle dans la pandémie, le professeur Neil Ferguson. Ferguson a enseigné à l’Imperial College alors que Yeadon y était affilié. Le modèle informatique de Ferguson a fourni aux gouvernements la justification nécessaire pour lancer des ordres draconiens qui ont transformé du jour au lendemain des sociétés libres en prisons virtuelles. Sur ce qui est maintenant estimé par les CDC comme un virus avec un taux de survie de 99,8 %.

Le Dr. Yeardon a déclaré dans l’interview qu’« aucun scientifique sérieux ne donne de validité » au modèle de Ferguson.

Parlant avec un mépris à peine voilé pour Ferguson, le Dr. Yeardon a pris un malin plaisir à le souligner à son interlocuteur :

« Il est important que vous sachiez que la plupart des scientifiques n’acceptent pas que le modèle de Ferguson était même légèrement juste… mais le gouvernement est toujours attaché à ce modèle. »

Yeardon se joint à d’autres scientifiques pour fustiger les gouvernements qui suivent le modèle de Ferguson, dont les hypothèses sont à la base de tous les confinements mondiaux. L’un de ces scientifiques est le Dr Johan Giesecke, ancien chef scientifique du Centre européen de contrôle et de prévention des maladies, qui a qualifié le modèle de Ferguson de « document scientifique le plus influent » de mémoire, et aussi « l’un des plus erronés ».

C’est le modèle de Ferguson qui a soutenu que des mesures d’« atténuation » étaient nécessaires, c’est-à-dire la distanciation sociale et la fermeture d’entreprises, afin d’éviter, par exemple, que plus de 2,2 millions de personnes meurent de la maladie de Crohn aux États-Unis.

Ferguson a prédit que la Suède paierait un prix terrible pour l’absence de confinement, avec 40 000 décès dus au COVID d’ici le 1er mai, et 100 000 d’ici le mois de juin. Le nombre de décès en Suède est maintenant de 5800. Le gouvernement suédois affirme que cela coïncide avec une saison de grippe légère. Bien qu’initialement plus élevé, le taux de mortalité par habitant en Suède est maintenant inférieur à celui des États-Unis, ce qui a été réalisé sans les terribles dommages économiques qui continuent à se produire aux États-Unis. La Suède n’a jamais fermé de restaurants, de bars, d’établissements sportifs, la plupart des écoles ou salles de cinéma. Le gouvernement n’a jamais ordonné aux gens de porter des masques.

Le Dr Yeadon parle avec amertume des vies perdues à cause des politiques de confinement, et des innombrables vies « sauvées » qui seront encore perdues, à cause d’importantes opérations chirurgicales et d’autres soins de santé différés, si le confinement est réimposé, .

Yeardon est un entrepreneur prospère, fondateur d’une société de biotechnologie qui a été rachetée par Novartis, un autre géant pharmaceutique. L’unité de Yeadon chez Pfizer était l’Unité de recherche sur l’asthme et les maladies respiratoires. (Yeadon, liste partielle des publications).

La Suède pendant les « confinements » internationaux

Pourquoi tout cela arrive-t-il ? Un membre du Congrès américain se dit convaincu du « plan du gouvernement » visant à maintenir le confinement jusqu’à ce qu’un vaccin soit obligatoire. Des théories du complot ?

La liste des nouvelles s’allonge, ce qui reflète défavorablement le récit qui se joue sur les grandes chaînes de télévision, d’un mystérieux « nouveau » virus qui n’a été contrôlé que par une attaque sans précédent contre les droits et libertés individuels, maintenant prêt à bondir à nouveau, sur des populations déjà en souffrance qui n’ont d’autre choix que de se soumettre à de nouvelles injonctions gouvernementales.

Les gouverneurs ont tranquillement étendu leurs pouvoirs indéfiniment en déplaçant le poteau de but, sans le dire, de « l’aplatissement de la courbe » pour soulager la pression sur les hôpitaux, à « aucun nouveau cas ». De « pandémie », à « cas-démic ».

En Allemagne, une organisation de 500 médecins et scientifiques allemands s’est formée, qui affirment que la réponse du gouvernement au virus COVID a été largement disproportionnée par rapport à la gravité réelle de la maladie.

Les preuves de la tromperie s’accumulent. Les CDC et le groupe de travail américain sur les coronavirus, dirigé par le Dr Deborah Birx, affirment tous deux que la définition du décès par COVID a été souple et que les règles favorisent l’appellation COVID chaque fois que cela est possible. Cela ouvre la possibilité d’un nombre de décès largement gonflé. À New York, l’administration du gouverneur Andrew Cuomo fait l’objet d’une enquête fédérale pour avoir signé les arrêts de mort de milliers de personnes âgées en maison de retraite, alors que l’État a envoyé des patients COVID dans les maisons de retraite, malgré les objections impuissantes des cadres et du personnel de ces établissements.

Pourquoi les grands médias ignorent-ils ce qui semblerait être un sujet éminemment médiatique, une rockstar de l’industrie comme Yeadon, en criant les plus grandes armes du monde de la santé publique ? Les talk-shows du dimanche, les Chris Wallace et Meet the Press, ne voudraient-ils pas cuisiner un tel homme pour des audiences records ?

Ici, le discours peut se tourner vers des agendas sombres, et pas seulement de l’incompétence, de l’objectivité et de la stupidité.

Une opinion a été émise par le représentant américain Thomas Massie (R-KY) lors de son intervention au Tom Woods Show le 16 août dernier :

« Le secret que le gouvernement vous cache est qu’il prévoit de nous confiner jusqu’à ce qu’il y ait une sorte de vaccin, et ensuite, que ce soit obligatoire au niveau fédéral ou au niveau de l’État, ou peut-être qu’il persuade vos employeurs par le biais d’un autre programme PPP auquel vous ne pourrez pas prétendre à moins que vous n’obligiez vos employés à se faire vacciner, je pense que c’est leur plan. Que quelqu’un me convainque que ce n’est pas leur plan, car il n’y a pas d’autre issue logique que celle-là. »

Une autre théorie est que la crise du COVID est utilisée pour consolider des niveaux de contrôle des élites sur les individus et la société jamais imaginés auparavant. Cette théorie est avancée par le neveu du président assassiné, Robert F. Kennedy Jr, fils de Bobby Kennedy également assassiné. Dans un discours prononcé lors d’une manifestation massive contre le confinement et la vaccination obligatoire contre le COVID en Allemagne, Bobby Jr. a mis en garde contre l’existence d’un :

« programme de biosécurité, la montée de l’État de surveillance autoritaire et le coup d’État contre la démocratie libérale parrainé par Big Pharma… La pandémie est une crise de convenance pour l’élite qui dicte ces politiques, »

Dans un procès, les témoins médicaux de Kennedy Jr. avertissent que les vaccins obligatoires contre la grippe rendent souvent les enfants plus sensibles au COVID.

Les mises en garde contre les mauvaises intentions de l’« élite » de Kennedy proviennent de sources plus générales. Le Dr Joseph Marcela, du site d’information médicale Mercola.com, un site de confiance à fort trafic, a rédigé une étude minutieuse sur les allégations d’un médecin selon lesquelles des vaccins altérant la génétique arrivent.

Et cela n’apaise pas les craintes qu’un site web de l’establishment de la défense, Defense One, signale que des biopuces permanentes sous la peau, injectables par la même seringue qui contient un vaccin, pourraient bientôt être approuvées par la FDA. Cela n’aide pas la théorie anti-conspiration car, selon Newsweek, le Dr Anthony Fauci a en fait donné des fonds du NIH au laboratoire de Wuhan pour la recherche sur le coronavirus des chauves-souris, si dangereux qu’il a été rejeté par 200 scientifiques et interdit aux États-Unis.

En 1957, une pandémie a frappé, la grippe asiatique H2N2 avec un taux de mortalité de 0,7 %, qui a tué autant de personnes par habitant aux États-Unis que le COVID le prétend aujourd’hui. Il n’en a jamais été fait mention dans les médias à l’époque, sans parler du bouleversement extraordinaire que nous connaissons aujourd’hui. En 1968, la grippe de Hong Kong a frappé les États-Unis (.5 % IFR,), emportant 100 000 personnes alors que la population américaine était nettement plus faible. Pas une seule alerte n’a été donnée, pas un seul magasin n’a été fermé, ni même un reportage du réseau d’information. L’été suivant, le plus grand rassemblement de l’histoire des États-Unis a eu lieu à Woodstock.

L’hystérie de masse n’est jamais accidentelle, mais elle profite à quelqu’un. La seule question à laquelle il reste à répondre est : qui ?

Interview du Dr. Mike Yeadon

https://youtu.be/Ch7wze46md0

Protestation du mois d’août à Berlin contre le confinement et contre la vaccination obligatoire par COVID – Source

Woodstock 1969

Un docteur en Suisse dit que des tests qui n’ont pas servi ont été notés comme positifs :

Lire aussi : Le COVID-19 est-il le déclencheur d’un « nouvel ordre mondial » de stagnation économique et de destruction sociale ?

Source : HubPages – Traduit par Anguille sous roche




La chute spectaculaire du nombre de personnes testées positives Covid-19 à Marseille s’explique-t-elle par la fermeture des bars-restaurants et le confinement partiel ?

[Source : Réseau International]

par Candice Vacle.

Le Pr Raoult infectiologue et microbiologiste de l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille (IHU) est interrogé sur l’évolution actuelle de l’épidémie de Covid-19 concernant tous les patients de l’hôpital universitaire de Marseille (dont l’IHU), dans cette vidéo de l’IHU du 21 novembre 2020 :

Il commence par un bonne nouvelle : « On voit que le nombre de cas [personnes positives au test PCR Covid-19] est en train de s’effondrer à une vitesse étonnante. Sans que nous ayons changé nos paramètres de mesures […] Depuis janvier, on teste de la même manière, on rend les résultats positifs avec le même niveau, c’est-à-dire 35CT [cycle d’amplification du test PCR]. Et donc, le pic a été atteint vers la fin du mois d’octobre […] Depuis, ça n’arrête pas de descendre ».

Par exemple, au pic épidémique du 25 octobre 2020, il y avait un peu plus de 300 personnes nouvellement dépistées positives (par jour) à l’IHU. Et, le 18 novembre 2020, il y en avait 90 (par jour) :

« La pente est en train de diminuer de manière spectaculaire », dit-il. En effet, il explique qu’il y a « 10 fois moins actuellement » de personnes testées positives Covid-19 que lors du pic épidémique. Ceci n’est pas vérifiable sur le site de l’IHU car la dernière mise à jour date du 18 novembre 2020.

Le Pr Bernard La Scola, médecin microbiologiste, virologue et directeur du laboratoire P3 à l’IHU, écrit le 19 novembre 2020, à propos des personnes testées positives de l’IHU : C’est « notre plus bas taux de positifs depuis le 13 août, ça baisse et vite ! »[1]

Le nombre d’hospitalisations, lui aussi, « décroît de manière très significative », ajoute Pr Raoult. Il précise : « Le nombre d’hospitalisations en réanimation est en plateau et c’est normal parce que [les patients] restent un certain temps en réanimation. […] Il n’y a pas plus d’entrée que de sortie. Les choses paraissent stabilisées ».

La fermeture des bars-restaurants et le confinement à la « française » expliquent-ils cette diminution rapide du nombre de personnes positives au test Covid-19 ?

Le Pr Raoult répond : « Ce que l’on voit c’est qu’en réalité la fermeture des restaurants est arrivée à un moment où la pente […] était en train de diminuer de manière spectaculaire. Et, qu’au contraire, elle a remonté avec la fermeture des restaurants. Donc, on ne peut pas en conclure que la fermeture des restaurants ait aidé à contrôler » cette partie de l’épidémie de Covid-19 de cet automne.

« Et le confinement, lui est arrivé au début de la chute brutale du nombre de cas ». Cette baisse « avait été anticipée par les dosages que font les pompiers dans les égouts ».

« On ne peut pas voir sur ces données des faits des mesures sociales contraignantes sur l’évolution de l’épidémie qui a, donc, d’autres raisons pour évoluer que celles-la ».

En bref, le nombre de personnes testées positives baisse considérablement et rapidement. Et, il n’y a aucun lien de cause à effet repéré entre l’évolution de la courbe épidémique et la fermeture des restaurants ou le confinement, à Marseille.

Le Pr Bernard La Scola conclut :

« L’évolution des courbes épidémiques est un grand mystère auquel personne ne comprend rien et sans lien avec la supposée immunité collective »[2].

[NdNM : voir Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus]

Le mystère de l’évolution de la courbe épidémique du Covid-19 inspirera-t-elle un peu de modestie à nos gouvernants ou bien clameront-ils que c’est grâce à leurs mesures coercitives que la courbe épidémique a baissé à Marseille ? La fermeture des bars restaurants est-elle toujours justifiée à Marseille ?

Candice Vacle


[1] Mail Pr Bernard La Scola du 19/11/20

[2] Mail Pr Bernard La Scola du 22/11/20

Réseau International




« Je n’ai pas accepté le test PCR à l’aéroport et j’étais dans mon droit »

[Source : Nexus]

Mon avion a atterri à 7h30 du matin et je n’ai pu sortir qu’à midi de l’aéroport. Pourquoi ? Parce que j’ai préféré la quarantaine au test PCR, ce qui était dans mon droit. J’ai expérimenté sur place une réelle désinformation que j’estime en partie volontaire au sujet des textes juridiques concernant les mesures sanitaires. Que ce soit parmi le personnel de l’aéroport ou les officiers de police à qui j’ai eu affaire, comme dans certains médias, qui essaient de nous faire croire qu’il est obligatoire.

Entretien avec Amandine, maman de trois enfants et chef d’entreprise, qui s’est rendue à l’étranger cet été et qui n’a pas accepté le test PCR qu’on exigeait d’elle à l’aéroport à son retour en France. Elle nous explique comment et pourquoi elle y a échappé.

Où t’es-tu rendue cet été ?

Cet été, je suis allée au Brésil deux semaines en août  parce que je suis en couple depuis un an et demi avec mon compagnon qui est brésilien. Mon dernier voyage était en février, je suis rentrée en mars. Avec la pandémie qui a démarré mi-mars, les frontières n’étant pas ouvertes aux brésiliens, contrairement aux frontières brésiliennes qui sont ouvertes aux français, ce que je trouve injuste, il n’a pas pu venir me voir. C’est moi qui ai donc dû retourner là-bas, en me décidant du jour au lendemain.

Image par David Mark de Pixabay


As-tu hésité à y aller, étant donné les contraintes sanitaires ? Pourquoi ?

En Europe, on a des informations qui sont très orientées, pour ne pas dire manipulées, notamment en ce qui concerne la situation au Brésil qui en fait est la même partout dans le monde. C’est à dire que quand on ramène le nombre de morts au nombre d’habitants, on trouve exactement les mêmes chiffres qu’en France. Les contraintes sanitaires ne m’ont pas effrayées plus que ça, ne m’ont pas fait hésité ou réfléchir trop longtemps, car j’ai une vision plutôt détachée par rapport au COVID. Par rapport à mon âge et aux conditions de comorbidité, et étant donné la létalité du virus, j’ai plus de chances de vivre ma vie normalement que de mourir du COVID. Je préfère donc voir le verre à moitié plein plutôt que l’inverse.

Quelles étaient ces contraintes ?

A partir du 1er août, il y a eu des contraintes renforcées pour une liste de pays dont le Brésil, qui est actualisée tous les quinze jours. Le Brésil ayant ouvert ses frontières au tourisme, la seule condition était d’avoir une attestation d’assurance voyage en anglais ou en portugais indiquant le montant qu’elle couvre. J’ai souscrit à une assurance en ligne qui m’a coûté moins de 50€ pour deux semaines. Il n’y a pas eu de test à faire à l’aller. La consigne est qu’on devait porter un masque obligatoirement chirurgical, alors que j’ai vu des personnes qui n’avaient pas ce type de masque embarquer. A l’aller, j’ai eu un contrôle de température frontale à l’embarquement, sachant que les thermomètres frontaux sont de très mauvaise qualité.

A ton retour, que s’est-il passé ?

A mon retour, j’ai eu plus de conditions que pour l’aller. J’ai même reçu des petits textos d’Air France, qui me disaient que je devais me présenter à telle porte pour faire vérifier mes papiers. Il y avait deux documents principaux à remplir, notamment une attestation comme quoi je ne présentais pas de symptômes du COVID, ainsi qu’une attestation de déplacement un peu sur le même modèle qu’on avait pendant le confinement, afin que je valide le motif de mon voyage, lequel était dans mon cas le fait d’être ressortissante française et de rentrer dans mon pays d’origine. Ces papiers ne m’ont été demandés à aucun moment. Pas de contrôle de température non plus à l’embarquement d’Air France.


Que s’est-il passé à ton retour ?
En arrivant en France, j’avais deux options. Soit faire un test COVID réalisé dans les 72h avant le départ. Quand on voyage durant le weekend, c’est très compliqué d’avoir des résultats dans les temps et un jour ouvrable. Au Brésil, il fallait le payer. A défaut de pouvoir faire son test sur place, on peut le faire à l’arrivée en France, ce qui est pris en charge. Et je savais que dans l’article 24 du décret du 10 juillet 2020, on énonce la possibilité de faire une quarantaine préfectorale, quand on n’a pas pu faire le test avant de partir. Quand je suis arrivée dans les files à la sortie de l’avion, il y en avait une « Vous avez un test » ou une autre « Vous n’avez pas de test ». J’ai dit à la dame qui nous a accueillis que je n’avais pas de test et que je ne voulais pas en faire un. Elle m’a répondu que ça n’était pas grave et m’a indiqué d’aller dans la file des gens sans testJe suis passée à la frontière police, on m’a donné un formulaire à la volée à remplir vite fait avant de faire le test, sur lequel il est énoncé qu’on a été informé des risques de ce test, ce qui n’est absolument pas le cas. A aucun moment on ne nous explique ce qu’est un test PCR, ou comment va se dérouler la chose. Je suis passée ensuite devant les tables de la Protection Civile qui fait l’enregistrement des volontaires pour faire le test. Juste à côté, il y avait la société qui les réalisait. Arrivée devant leur stand, j’ai signalé à nouveau que je ne voulais pas faire le test. L’employée a appelé son chef, qui a appelé le Poste de Police. On m’a fait patienter debout avec tous les gens qui passaient. Je suis allée ensuite allée m’asseoir à côté de la Police, puis on est venu me dire que le test était obligatoire et qu’il fallait que je le fasse. Je lui ai demandé de me montrer le texte prouvant ce qu’il avançait. Je lui ai cité le décret et la quarantaine préfectorale. Il m’a répondu « Pas de problème, je vais appeler mon chef, on va vous mettre en garde à vue ». Je lui ai demandé sur quel motif. On ne m’a pas répondu.

Tu as donc donc dû aller au poste de police ?

Oui. J’ai attendu une demi-heure ce chef qui m’a emmenée au poste de police se trouvant dans l’aéroport. Je lui expliqué que je souhaitais faire la quarantaine, ce à quoi il a répondu qu’il n’y avait aucun problème et que j’étais dans mon droit, tout en m’accompagnant au poste où j’ai pu m’assoir. La moitié des policiers n’y portait pas de masque. Je suis entrée là-bas à 8h30, j’en suis sortie à midi. J’ai eu un entretien avec un officier très courtois qui a enregistré ma demande. La première question qu’il m’a posée, c’est  : « Pourquoi est-ce que vous ne voulez pas faire le test ?
– Est-ce que je dois justifier de pourquoi je ne veux pas le test ? Je n’ai pas à argumenter.
– Non effectivement, mais on aimerait bien savoir.
Je veux faire la quarantaine préfectorale évoquée dans le décret du 10 juillet, je peux la faire  à domicile car j’ai un logement décent. »
L’officier a cherché dans son ordinateur le texte de loi que j’ai évoqué qu’il n’avait pas l’air de connaître.
Il m’a ensuite demandé mon adresse, mon nom, mon numéro de téléphone, mon adresse email et ne m’a donné aucune recommandation sur la surveillance de mes symptômes. Il m’a demandé la copie de mon attestation comme quoi  je ne présentais aucun symptôme. J’ai fini par obtenir un papier indiquant les arrêtés et les conditions dans lesquelles faire ma quarantaine. Une semaine après mon retour, je n’ai eu aucun contrôle.

Image par Anja de Pixabay

Selon toi, ces règles sanitaires sont-elles légitimes ? Pourquoi ?

Je ne sais pas si c’est à moi de répondre à cette question. Mais je peux quand même dire que ce que je trouve absurde, c’est de se faire tester quand on n’est pas malade. Je suis consciente du risque, qu’il y a un virus. Maintenant ce n’est pas tout le monde qui l’attrape, et puis on peut très bien l’attraper et ne pas être malade. Donc je suis attentive à me symptômes, à si je suis malade. Si je ne suis pas malade, pourquoi est-ce que j’irais me faire dépister ? Ça n’est pas dans les protocoles sanitaires habituels de dépister des gens qui ne sont pas malades. En ce sens, je trouve que ces mesures sont illégitimes et gonflent les chiffres de la propagande pour montrer qu’il y a  beaucoup de cas positifs, cette fameuse “deuxième vague” qu’on nous a annoncée bien en avance. En fait, c’est une vague de cas positifs, mais ça n’est pas une vague de malades. C’est pour cela que j’ai choisi la quarantaine, car je ne veux pas participer à cette mascarade de faire des tests à tout-va sur des personnes en bonne santé. De plus, il y a certains risques à faire des tests PCR : d’avoir des résultats faux, ou d’avoir un test qui n’est pas homologué normes CE. S’ils sont en rupture de stocks, il peuvent utiliser des tests qui viennent d’ailleurs et qui ne sont pas homologués. Et puis à mes yeux, il y a le risque concernant le geste médical en lui même. C’est pas anodin pour moi d’aller toucher cet endroit-là. Si on avait permis de faire des test salivaires très efficaces et bien moins chers, plutôt que des tests PCR, peut-être que j’aurais envisagé d’en faire un, mais un test aussi intrusif que le PCR, c’est non. Pour moi il peut causer plus de dégâts qu’il n’est efficace.

As-tu quelque chose à ajouter ?

Renseignez-vous sur vos droits, le PCR n’est pas toujours obligatoire. Certains médias essaient de nous faire croire de manière biaisée que si, mais c’est faux. Et beaucoup plus de gens devraient faire la quarantaine. Si votre test est officiellement positif, comme il n’y a pas de traitement reconnu, on vous mettra de toutes façons en quarantaine. Sauf que quand on est positif au test, on entre dans un système de tracking : nos contacts, les lieux où on a été etc. Ça me fait penser au fait que dans l’avion, il y avait une fiche contact à remplir, avec l’intégralité de nos coordonnées, où n’était pas mentionné qui exploite ces données, ou comment sont effacées ces données après. Pour moi il y a un gros business derrière cette seconde vague annoncée depuis des mois, et de sérieuses questions à se poser sur qui finance les tests, combien coûte un test, quels sont les taux d’efficacité des tests, et comment se déroule l’enregistrement et l’utilisation des données qu’ils mettent en place après.




Le journal le Monde dénonce le test PCR !

[Source : Ciel voilé]

[NdNM : si le journal Le Monde en vient à rapporter ce que de nombreux médias alternatifs dénoncent depuis plusieurs mois, peut-on présager un changement de direction du vent et l’apparition de sérieux grains de sable dans le processus d’achèvement du Nouvel Ordre Mondial ?]

https://youtu.be/GRv4nFxpBp0



Résistons à la quatrième Répression industrielle !

[Source : Solidarity]

[Image : Wikipédia]

[NdNM : « Répression industrielle » représente le revers de la médaille de « Révolution industrielle ».]

Texte traduit de l’anglais depuis https://winteroak.org.uk/2020/04/17/resist-the-fourth-industrial-repression/


La première Répression industrielle nous a vus expulsés de la terre, entassés dans des villes et des villages pleins de monde, utilisés comme chair à canon pour les usines sataniques du nouveau monde capitaliste impulsé par la vapeur.

La seconde Répression industrielle a électrifié les lois de la Machine. De nouvelles générations sont nées sans jamais avoir goûté à la liberté. Leur vie et leurs pensées ont été peu à peu dominées par le rythme de la production industrielle de masse.

La troisième Répression industrielle a annoncé l’arrivée des ordinateurs et des robots. Les êtres humains devaient maintenant se conformer docilement à ces fonctions et normes automatisées.

Et nous sommes maintenant au commencement de la quatrième Répression industrielle, la plus meurtrière d’entre toutes…

La quatrième Répression industrielle veut posséder, contrôler et tirer profit de tout ce qui existe dans ce monde.

Son Internet des objets vise à créer une matrice de connectivité totale, dont elle est la propriétaire.

Toi, ta maison, ta famille, tes amis, tes relations et tes activités appartiendront toutes à la quatrième Répression industrielle.

Ses technocrates ne te voient que comme un morceau de chair interchangeable, une unité parmi des millions, simplement un autre chiffre de son bilan d’exploitation global.

La quatrième Répression industrielle te tracera et saura toujours où tu es, avec qui tu es, ce que tu fais.

Elle exige ta complète obéissance. Tu ne peux pas avoir de valeurs, d’idéaux ou de rêves qui te sont propres, seulement ceux autorisés par le système.

Les unités désobéissantes sont des unités improductives.

La quatrième Répression industrielle saura comment te repérer, ne serait-ce que si tu penses à sortir du rang. Sa surveillance prédictive t’identifiera rapidement comme un élément antisocial, un pré-criminel, un criminel de la pensée.

Elle enverra ses robots et ses drones pour te neutraliser et protéger le bon fonctionnement de la matrice.

Systèmes d’identification digitale. 5G militarisée. Augmentation neuro-technologique du cerveau. Manipulation génétique.

Cybersécurité Macht Frei !
[NdNM : « Rend libre » (la cybersécurité rend libre). Allusion à l’inscription sur le portique d’entrée du camp de concentration d’Auschwitz : « Arbeit macht frei » (Le travail rend libre) ; voir la photo]

La quatrième Répression industrielle ne tolérera aucun comportement ni aucune parole qui présente une menace à la santé et à la sécurité, à la loi et l’ordre, à la résilience et à la prospérité.

Soumission. Sycophanterie. Esclavage. Nous y sommes tous ensemble, citoyen !

La quatrième Répression industrielle veut nous attirer dans ses mâchoires voraces en nous effrayant avec un désastre imminent et en affirmant que personne d’autre ne peut nous sauver.

Elle nous montre la misère et les maladies infligées par la première, la seconde et la troisième Répression industrielle et insiste sur le fait que la « solution » est une quatrième dose du même poison industriel létal.

L’intelligence de la quatrième Répression industrielle est entièrement artificielle et son cerveau de robot sans vie ne peut sentir ce que nous sentons, ressentir ce que nous ressentons, aimer ce que nous aimons.

Elle ignore la valeur intemporelle et vitale des personnes, des animaux, des arbres, des plantes et de l’entière réalité organique dont ils font partis.

Au lieu de cela, elle les voit simplement comme de la matière première pour son propre profit.

Elle est par dessus tout avide de données, des flots sans fin de données à collecter, traiter, vendre et transformer en une richesse qui finance son contrôle total.

La quatrième Répression industrielle souhaite remplacer tout ce qui est vrai et authentique par des répliques, par une réalité qui n’est pas tant virtuelle qu’entièrement fausse.

Et pourtant, sa langue robotique fourchue nous dit que cette réalité bidon est en fait une réalité « améliorée » ou « augmentée ».

La quatrième Répression industrielle souhaite abolir les vies que nous avons connues. Elle veut nous réduire à des puces électroniques, nous enfermer dans des petites cages, nous gaver de substituts alimentaires de synthèse, mélangés avec du soma[1] pour se sentir bien.

Elle ne peut tolérer l’idée que nous puissions jouir de quoi que ce soit gratuitement, comme le soleil, l’air frais et les étendues sauvages.

Elle souhaite avoir le monopole sur notre expérience. Coupés du monde réel, de l’authenticité et de la liberté, nous n’aurons plus d’autres choix que d’acheter et de consommer l’ersatz poison de réalité qu’elle a soigneusement construit.

La quatrième Répression industrielle, comme toutes les autres avant elle, est construite sur notre séparation les uns des autres, la destruction de nos communautés, et la sape de nos solidarités.

La « distanciation sociale » est le prérequis de sa prise de pouvoir total.

La quatrième Répression industrielle nous veut toutes et tous isolées, en ligne et en rang.

La quatrième Répression industrielle vide tout de son sens, en particulier les mots. Elle dit « durable » quand elle veut dire écocide. Elle dit « développement » quand elle veut dire destruction. Elle dit « revenu de base » quand elle veut dire « esclavage ».

Lorsque la quatrième Répression industrielle parle d’« investissement à impact social », elle veut en réalité dire qu’elle souhaite transformer les êtres humains en des opportunités d’investissement lucratives.

Capital humain. Bétail humain.

Lorsque la quatrième Répression industrielle parle de « nouveau pacte pour la nature », elle veut en réalité dire qu’elle souhaite privatiser l’ensemble du monde vivant dans le but de rendre la classe des milliardaires plus riche encore qu’elle ne l’est déjà.

Lorsque la quatrième Répression industrielle exige la « biosécurité », cela signifie la sécurité de ses propres systèmes de contrôle contre la menace de la réalité biologique. De la nature, de la vie, de nous-même !

La quatrième Répression industrielle se croit si intelligente. Sa propagande tape-à-l’œil nous promet une mobilité intelligente dans une économie intelligente, une vie intelligente et une gouvernance intelligente pour les personnes intelligentes de demain.

La monnaie intelligente fait partie du projet de la quatrième Répression industrielle. La monnaie intelligente de celles et ceux qui sont dans le coup. Intelligent est le nouveau prétentieux[2].

La quatrième Répression industrielle emploie de gigantesques armées de menteurs professionnels et de naïfs pour diffuser sa propagande et crier à l’abus à quiconque ose remettre en question ses mensonges alarmistes.

La quatrième Répression industrielle est un culte macabre qui rêve d’éradiquer tout ce qui est naturel, tout ce qui est sauvage, tout ce qui est libre.

Résistons à la quatrième Répression industrielle !

Combattons la quatrième Répression industrielle !


[1] Référence à la drogue fictive du roman Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley.

[2] Dans la version anglaise, « Smart is the new smug » fait certainement référence à l’expression cliché « X is the new black », utilisée dans le domaine de la mode pour parler d’une couleur (X) qui est la nouvelle tendance.




Libertés tuées par la Covid-19

Les Quatre Libertés est une série de quatre tableaux peints par Norman Rockwell en 1942 :

LA LIBERTÉ DE VIVRE À L’ABRI DE LA PEUR
LA LIBERTÉ DE VIVRE À L’ABRI DU BESOIN
LA LIBERTÉ D’EXPRESSION
LA LIBERTÉ DE RELIGION

Ces 4 libertés sont fortement mises à mal, de nos jours, par la crise de la Covid. Celle-ci stimule :

  • notamment la peur de la maladie et/ou de mourir;
  • la famine, par la faillite de nombreuses entreprises, la perte d’emplois, – l’affaiblissement de l’économie, la baisse de la production…;
  • le bâillonnement des pensées dissidentes par rapport au discours propagandiste et monolithique des médias et gouvernements occidentaux;
  • l’interdiction de réunion dans les églises et autres lieux de culte, dans de nombreux pays, sauf éventuellement sous de strictes et contraignantes conditions.

Il est par ailleurs intéressant et significatif de comparer ces quatre libertés avec celles promues par l’Union européenne, les libertés garanties par le marché unique, à savoir:

  1. la libre circulation des biens,
  2. la libre circulation des capitaux,
  3. la libre circulation des services,
  4. la libre circulation des personnes. (Source : Wikipédia).

Ces libertés servent essentiellement pour le fonctionnement économique. Mais même limitées à ce secteur, elles subissent aussi la crise Covid, surtout pour ce qui concerne la circulation des personnes. Celle-ci est plus ou moins fortement limitée à cause des mesures telles que le confinement et la distanciation sociale.




Monolithe métallique mystérieux découvert dans le sud de l’Utah à Rocky Wilderness. MàJ 26/11/2020

[Source : EarthFiles]

[NdNM : la vidéo suivante tend à démontrer l’origine humaine de ce monolithe : https://www.facebook.com/joaomarcelo.marquesrios/videos/3017298281705500/]

Par LINDA MOULTON HOWE

« Les esprits curieux veulent savoir de quoi il s’agit ? »

Utah Department of Public Safety (DPS) Aero Bureau
Instagram, 21 novembre 2020

23 novembre 2020 Albuquerque, Nouveau-Mexique – Dans la matinée du samedi 21 novembre 2020, des biologistes et des officiers de la Division des ressources fauniques de l’Utah (UDWR) se trouvaient à bord d’un hélicoptère du département de la Sécurité publique de l’Utah (DPS) qui comptait les gros moutons depuis les airs dans le sud de l’Utah. Le pilote Bret Hutchings a déclaré à un journaliste de KSL-TV à Salt Lake City que l’un des biologistes avait crié de tourner l’hélicoptère parce qu’il avait vu ce qui ressemblait à un grand monolithe métallique dans les rochers sauvages.

KSL-TV Channel 5 updated news report, "DPS Crew Discovers Mysterious Monolith From Air In Remote Utah Wilderness," by reporter Andrew Adams on November 21, 2020 at 3:44 PM. "Mystery Object Spotted by State Helicopter."
KSL-TV Channel 5, Salt Lake City, Utah,
reportage mis à jour,
« DPS Crew Discovers Mysterious Monolith From Air In Remote Utah Wilderness »,
par le journaliste Andrew Adams (21 novembre 2020 à 15h44) .
« Un objet mystérieux repéré par un hélicoptère de l’État. »



L’équipage a pensé au célèbre film de science-fiction de 1968 2001: A Space Odyssey [2001, l’odyssée de l’espace] du légendaire réalisateur Stanley Kubrick, centré autour d’un grand monolithe parfaitement usiné présumé avoir été réalisé par une espèce extraterrestre invisible. Tout au long du film, le monolithe mystérieux apparaît périodiquement dans les moments clés, sur les lieux de l’évolution de l’Homo sapiens sapiens, commençant en Afrique après que des primates déjà en évolution aient été manipulés génétiquement par les E. T. invisibles pour évoluer vers des humanoïdes de plus en plus intelligents.

Original frame from 1968 science fiction epic film by famed director Stanley Kubrick entitled "2001: A Space Odyssey." The story centers around a large, perfectly machined monolith presumed to have been made by an unseen extraterrestrial species. Multiple versions of the monolith were placed periodically in key times and places in the evolution of Homo sapiens sapiens, beginning in Africa after already-evolving primates were manipulated genetically to become humanity. Image source Wikipedia.
Cadre original du film de science-fiction de 1968 du célèbre réalisateur Stanley Kubrick intitulé 2001: A Space Odyssey [2001, l’odyssée de l’espace]. 
L’histoire est centére autour d’un grand monolithe parfaitement usiné présumé avoir été réalisé par une espèce extraterrestre invisible. Plusieurs versions du monolithe ont été placées périodiquement à des moments clés et en des lieux liés à l’évolution de l’Homo sapiens sapiens, à commencer par l’Afrique après que des primates déjà en évolution aient été manipulés génétiquement par les E.T. pour devenir humains.
Source d’image : Wikipedia.

Le pilote Bret Hutchings a déclaré à KSL-TV qu’il ne savait pas s’il pouvait s’agir d’une construction de la NASA ou de l’œuvre d’art de quelqu’un : « Je dirais que c’est probablement entre 10 et 12 pieds de haut » et en métal. « Nous plaisantions un peu à ce propos : si l’un de nous disparaissait soudainement, alors je suppose que les autres partiraient en courant. » Parce que le DPS et les biologistes ne voulaient pas que les gens se rendent dans la région où ils essaient de protéger les moutons bighorn, les autorités gardent secrète la localisation exacte du site.

Le DPS Aero Bureau a publié cette image Instagram avec la légende :
« Les esprits curieux veulent savoir de quoi il s’agit ? »

Utah Department of Public Safety Aero Bureau image of mysterious monolith in southern Utah on November 21, 2020.
Utah Department of Public Safety Aero Bureau
images de monolithe mystérieux dans le sud de l’Utah (21 novembre 2020).



La mort de la propriété privée

[Source en italien : Blondet et amis]

[Traduction automatique révisée,
extraits et adaptation de La confiscation commence. L’Europe nous demande de le faire : Joseph Stroberg]

[Note : voir les nombreux articles du site évoquant le « Great Reset » (ou « Grande Réinitialisation ») d’après notamment le site Internet du Forum Économique Mondial. En particulier : Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

Nouvelle législation européenne sur les faillites depuis le 1er janvier [2020] : il suffit d’un délai de 90 jours et d’un découvert de 100 euros pour déclarer la petite entreprise ou la famille en faillite – et procéder à des saisies.

Les expropriations et les confiscations massives ne sont pas une théorie du complot : c’est ce qu’a déclaré le Forum économique mondial, prédisant, en 2030, que « vous serez propriétaire de rien et vous serez heureux » (tout ce dont vous aurez besoin sera loué). Leur « gestion » criminelle de la pandémie a servi à détruire l’économie de la partie « superflue » et polluante de la population, à accroître les suicides :

Suicides en Italie par groupe d’âge, condition professionnelle, région, et type de suicide.

[Le but est d’]Augmenter considérablement l’endettement des familles et des entreprises, afin de conduire à des troubles, à la faim car « à ce stade, le système mettra les masses devant l’option du revenu de base universel. Le facteur travail, comme on l’appelle dans la société capitaliste, disparaîtra essentiellement ». Chacun devra se défaire de ses biens immobiliers et de ses actifs, et aura en échange un revenu de survie, comme également prévu par Beppe Grillo (qui savait…). C’est le programme, et cela se produira.




Téléphonie 5G : lettre d’un grand-père indigné

[Source : La Maison du 21e siècle]

Mon cher petit-fils,

Lorsque ton père a pris cette photo, j’étais un grand-père heureux. J’avais mes petits soucis, comme tout le monde. Mais vraiment, avec une amoureuse qui illumine ma vie, avec tes parents que j’adore, et avec toi, prunelle de mes yeux, j’étais un grand-père comblé.

Mais voilà, depuis un an, ma vie a basculé. Le virus de l’indignation s’est infiltré sous ma peau et s’est logé là où il aboutit le plus souvent, au creux du ventre. Mon cher petit, je suis devenu un grand-père indigné ! Je t’écris pour que plus tard, lorsque tu liras cette lettre, tu puisses comprendre mon tourment.

Il s’est d’abord manifesté par de l’étonnement. Je ne comprenais pas qu’on puisse permettre le déploiement du réseau de téléphonie 5G, avec ses fréquences millimétriques, sa forêt d’antennes et son parapluie de satellites, sans qu’aucune étude n’évalue les risques pour ma santé, la tienne et celle de tous les enfants qui auront à refaire ce monde déjà trop abimé.

En  1976, j’avais 30 ans. Ton père n’était pas encore né. Cette année-là, l’armée américaine a produit un rapport secret [NdNM : disponible aussi ici], aujourd’hui déclassifié, documentant les recherches de scientifiques russes qui révélaient en détail les dommages des ondes radio sur la santé humaine et animale. Bien sûr, comme à peu près tout le monde, je n’en ai rien su.

Une vingtaine d’années plus tard, au tournant de l’an 2000, j’ai reçu mon premier téléphone cellulaire, une gracieuseté de mon employeur. Depuis, la téléphonie sans fil a connu une expansion phénoménale : il y a actuellement sur la planète plus de 5 milliards de téléphone cellulaires en circulation. Et pour évaluer leur impact sanitaire, nos gouvernements se fient à des normes d’exposition aux ondes désuètes qui permettent aux compagnies de téléphonie sans fil de jouer à la roulette russe avec notre santé.

Éventuellement, le voyant rouge s’est allumé. Comme des milliers d’études, que l’industrie cherche à discréditer, nous avertissaient du danger, il a bien fallu trancher. Pendant 10 ans, avec un budget de 30 millions de dollars, les Américains ont entrepris les recherches les plus complètes jamais réalisées pour évaluer les effets sur la santé d’une exposition aux ondes de la téléphonie mobile. Une tâche cruciale confiée au très réputé National Toxicology Program (NTP). Publiées en 2018, ces recherches ont démontré hors de tout doute que le rayonnement des téléphones portables avait causé des tumeurs cancéreuses aux nerfs entourant le cœur de rongeurs et augmenté significativement leur risque de cancer du cerveau. Ce rayonnement avait aussi causé des lésions cardiaques et endommagé leur ADN. Mon cher petit-fils, crois-tu que cela a incité l’industrie du sans fil à plus de prudence ?

Au contraire, avec la complicité du gouvernement, cette industrie s’apprête à installer un réseau qui utilisera pour la première fois des fréquences millimétriques, lesquelles pourraient tripler le rayonnement auquel toi et moi serons exposés, que nous utilisions ou non des appareils sans fil. Même si tes parents te donnent tout leur amour et te nourrissent sainement, tu devras peut-être bientôt vivre, manger, jouer et dormir à une quinzaine de mètres d’une antenne placée sur un poteau en face de ta maison. Pourquoi? Parce qu’éventuellement, presque tous les objets que nous achèterons, mobilier, brosses à dents, grille-pain, matelas, appareils électroménagers, même les jouets que je t’offrirai à Noël, contiendront une puce qui échangera des données avec un réseau très dense d’antennes placées un peu partout, le long des rues, sur les abribus, les feux de circulation, les clochers, les toitures des écoles et des gares, et même sur plusieurs immeubles où habitent des gens comme toi et moi. Rien qu’à Montréal, jusqu’à 60 000 antennes pourront communiquer avec un million d’objets au kilomètre carré. Pour que le litre de lait, au frigo, puisse nous signaler qu’il est vide. Pour que la couche de bébé, au berceau, puisse nous avertir qu’elle est pleine. Pour que notre vie quotidienne, transformée en données numériques, puisse se vendre au plus offrant. C’est la nouvelle puce aux œufs d’or. On lui a donné un nom savant : l’Internet des objets.

Tant pis pour les abeilles et les oiseaux qui ne pourront plus s’orienter et en mourront. Tant pis pour les arbres qu’on abattra parce que leurs feuilles bloquent les fréquences millimétriques. Tant pis pour la prévoyance, car pour permettre à ces milliards d’objets de communiquer, il faudra faire main basse sur les derniers gisements de métaux rares sur la planète. Tant pis pour notre sécurité, car la multiplication exponentielle des points d’accès de cette nouvelle technologie facilitera les vols d’identité, les vols de données personnelles et les cyberattaques. Tant pis aussi pour le climat, car il faudra émettre trois fois plus de gaz à effet de serre pour nourrir cet ogre numérique. À preuve, certaines villes de Chine coupent le courant de la 5G la nuit, tellement ce système est énergivore.

Sauf s’il n’y a pas d’antennes à moins de 500 mètres de ton école et sauf si sa direction a remplacé le Wi-Fi par des connections câblées, tu y trouveras le même brouillard électromagnétique qui crépite dans toute la ville. Il pourrait affecter ta mémoire et ta concentration. Ton corps qui grandit, comme celui de tes camarades de classe, absorbera deux fois plus de rayonnement que celui de tes enseignants. À court terme, mon pauvre amour, tu risques d’avoir des maux de tête, des nausées, des vertiges et des acouphènes. Au fil des années, jour après jour, cette soupe de radiofréquences risque de te causer un cancer, un problème cardiaque ou le diabète. Pire encore, tu risques de ne plus pouvoir concevoir d’enfants, de ne jamais devenir parent.

Ton grand-père n’est pas en reste. Ce foisonnement de signaux risque d’endommager mes yeuxJe crains qu’un voile me cache éventuellement l’éclat de ton visage. Ma mémoire aussi pourrait s’éroder plus vite. Moi qui ai contribué à bâtir ce pays, j’ai peur de perdre la trace de ton nom, d’être exilé au pays de l’oubli.

Voilà mon histoire, mon cher petit-fils. Une triste histoire de pirates qui veulent tuer la beauté du monde.

Mais laisse-moi maintenant te raconter mon rêve, mon espoir le plus vif. Quand tu seras grand, je crois que ce gâchis sera devenu de l’histoire ancienne. Que les gouvernements auront mis fin à l’aveuglement, comme pour le tabac, le DDT, le plomb ou l’amiante. Qu’ils auront aboli le droit de polluer et que notre santé sera devenue leur PIB. Quand tu auras 30 ans, les millions de micro-antennes qui défigurent le paysage auront été décrochées depuis longtemps. La téléphonie cellulaire sera beaucoup mieux conçue. La fibre optique apportera un signal Internet 10 fois plus puissant au cœur des maisons, des écoles et des lieux de travail, un baume pour la nature et les humains.

En attendant, chaque journée perdue, chaque excuse invoquée, chaque tactique inventée ne font qu’augmenter les dégâts pour la vie humaine, pour l’environnement et pour les générations qui devront réparer les pots cassés. Lorsque tu comprendras la cause de mon indignation, mon cher amour, souhaitons qu’il ne soit pas trop tard pour les abeilles, les arbres et les oiseaux. Et pour qu’ils puissent réinventer la suite du monde, souhaitons que les enfants puissent naître et grandir là où il n’y aura que du soleil, de la pluie, des nuages et du vent.


Vous aimeriez contribuer à changer les choses ? Voici quelques pistes qui peuvent faire une grande différence.

1. Protection : Dix moyens pour se protéger des ondes du cellulaire : bit.ly/3eYhysj

2. Information : maisonsaine.ca/electrosmog – stopponsla5g.ca – cqlpe.ca

3. Action : appel5gappeal.ca/fr/


AU SUJET DE L’AUTEUR

De 1984 à 2009, Pascal est réalisateur aux émissions Science-Réalité et Découverte, de la Société Radio-Canada. Auparavant il avait réalisé Montréal-Blues, La turlute des années dures et Taire des hommes. En 2006 il réalise Le porteur d’eau, Grand prix et prix du public au FPPE en 2007. En 2009, il réalise un film sur son père, Gratien Gélinas, un géant aux pieds d’argile. En 2013, il signe Huguette Oligny, le goût de vivre. Puis en 2016, Un pont entre deux mondes, suite du film Le porteur d’eau.

FILMOGRAPHIE DU RÉALISATEUR

  • Un pont entre deux mondes (2016) Huguette Oligny,
  • le goût de vivre (2013) Gilles Pelletier,
  • un cœur de marin (2013) Gratien Gélinas,
  • un géant aux pieds d’argile (2009)
  • Terres à la dérive (2008)
  • Le porteur d’eau (2006)
  • La Turlute des années dures (1983)
  • Montréal Blues (1973)
  • Taire des Hommes (1968)
  • Émissions Découverte et Science-Réalité de Radio-Canada (1984 à 2009): 350 reportages et dossiers.



À quoi se ramène le travail du « journaliste » mainstream ?

[Source : Nice-Provence Info]

[Auteur : Georges Gourdin]

Un bon journaliste doit savoir « copier-coller »

Lorsque ce tweet de François Asselineau a été publié, nous avons pensé à une infox, ou encore un gag, tellement cela paraît excessif :

Toute la presse publie le même titre quasiment mot pour mot : Macron a reçu Pompeo mais regarde déjà vers Biden.

Cela est invraisemblable. Nous n’en sommes tout de même pas là. Non, pas en France, le pays des Droits de l’Homme et de la liberté de pensée !

Faisons donc un contrôle sur Google avec les mots clés : macron reçoit pompeo regarde biden. Et là, c’est la catastrophe ! C’est pire encore que le tableau de François Asselineau :

Macron reçoit Pompeo regarde Biden

Et ça continue ainsi sur plusieurs pages. Toute la presse, à l’unisson presque parfait, ânonne la même litanie.

Le message est clair : la presse française s’est soumise à la presse américaine qui a désigné le futur président des États-Unis. Donc si Macron reçoit, hors micros et caméras, le chef de la diplomatie des États-Unis, c’est pour lui dire adieu. Du reste 
L’Express avance : L’étrange tournée de Mike Pompeo, entre adieux, symboles et déni.
Copier-coller avec Le Point : L’étrange tournée de Mike Pompeo, entre adieux, symboles et déni.
Même discours sur Le Monde : La tournée d’adieu de Mike Pompeo suscite des interrogations sur l’Iran.

Si la presse française faisait son travail, elle saurait que :
• Mike Pompeo est secrétaire d’État au moins jusqu’à ce que le nouveau président des États-Unis soit désigné par les autorités américaines, puis si celles-ci désignent Joe Biden, jusqu’à la passation de Pouvoir en janvier 2021.
• Joe Biden est bien loin d’avoir emporté ces élections qui sont entachées d’énormes fraudes électorales que la justice américaine est en train d’analyser. De nombreuses sources américaines avancent que Trump a emporté largement cette élection.

La diplomatie la plus élémentaire consiste à attendre la décision de la Cour suprême.

Pravda Lénine

Tout esprit un tant soit peu éclairé en déduit aisément que :
• La presse française subventionnée n’offre plus aucune diversité : elle reçoit des subsides pour s’aligner sur LE discours d’État. Les journalistes ne font plus leur travail, si ce n’est [Ctrl]+[C] – [Ctrl]+[V] [NdNM : la combinaison de touches Ctrl et C sous Windows (ou Cmd et C sous Apple) permet de copier le texte sélectionné. Et la combinaison de touches Ctrl et V sous Windows (ou Cmd et V sous Apple) permet de le coller à l’emplacement de la souris, par exemple dans un éditeur de texte ou un courriel.], ce qui s’apprend aisément.
• Par suite on peut s’interroger sur l’intérêt d’entretenir à grands frais toute cette presse puisque l’AFP suffit très bien. Ou bien alors récréer une Pravda à la française, cela coûtera moins cher.

Mais les Français comprennent aussi que :
• Leur presse est inféodée à la presse américaine.

Heureusement il existe une presse dissidente, voire résistante, dans laquelle Nice Provence Info prend toute sa place depuis plus de 6 ans.

Georges Gourdin




Covid-19: le G20 promet une distribution équitable du vaccin

[Source : Le Figaro]

[NdNM : Les êtres humains ont le choix : croire sur parole les médias dominants et se faire vacciner avec des vaccins non suffisamment testés qui de l’aveu même des fabricants et des experts ne sont pas du tout efficaces à 100 %, des vaccins aux nombreux effets secondaires possibles ; ou bien considérer que leur santé dépend avant tout d’eux-mêmes et de la manière dont ils traitent leur corps et leur personnalité — selon la manière dont ils se nourrissent, gèrent leur stress, s’exposent ou non à des éléments toxiques (dont les ondes électromagnétiques pulsées telles que celles émises par la 4G, la 5G et le Wi-Fi), entretiennent ou non des émotions négatives (telles que la colère et la peur), pratiquent ou non une activité physique en quantité et qualité modérée et suffisante…]

Les Etats-Unis ont annoncé dimanche qu’ils espéraient commencer leur campagne de vaccination avant la mi-décembre.

Les dirigeants du G20 ont promis dimanche de «ne reculer devant aucun effort» pour garantir un accès équitable aux vaccins contre le Covid-19, selon la déclaration finale d’un sommet virtuel au ton résolument consensuel mais pauvre en détails concrets. «Nous ne reculerons devant aucun effort pour assurer l’accès abordable et équitable (aux vaccins, tests et traitements, NDLR) de tous», écrivent-ils.

Le sommet des vingt plus grandes puissances économiques mondiales se tient cette année sous un format virtuel qui lui enlève beaucoup de son éclat, et sous la présidence de l’Arabie saoudite, ce qui a suscité de vives critiques des organisations de défense des droits humains.

Alors que la pandémie a désormais tué près d’1,4 million de personnes dans le monde, les présidents ou chefs de gouvernement ont dit «soutenir pleinement» les dispositifs mis en place par l’Organisation mondiale de la santé pour assurer que les vaccins ne bénéficient pas qu’aux pays les plus riches. Les membres du G20 promettent de «combler les besoins de financement encore existants», au moment où eux-mêmes mettent déjà sur les rails des campagnes de vaccination à grande échelle.

Les Etats-Unis ont annoncé dimanche qu’ils espéraient commencer la leur avant la mi-décembre. Les laboratoires privés et les Etats du G20 rivalisent depuis plusieurs jours d’annonces sur l’état d’avancement de leurs futurs vaccins. Mais le G20 n’a pas mentionné explicitement le montant de 28 milliards de dollars (23,6 milliards d’euros), dont 4,2 milliards en urgence, réclamé par les Nations unies pour faire face à la pandémie.

[NdNM : la suite de l’article concerne d’autres sujets traités pendant ce G20, mais également : Emmanuel Macron appelle le G20 à garantir un vaccin contre le Covid-19 «dans les pays les plus pauvres».]




Manifestation à Genève contre la fermeture des magasins — Interventions et interviews

[Source : AGORA TVNEWS]

Manifestation à Genève du 19 novembre 2020 avec Ema Krusi, Jean-Dominique Michel, Astrid Stuckelberger, Chloé Frammery et les représentants des commercants.

Précisions pour ceux qui regrettent que les manifestants portent un masque : c’est désormais une condition obligatoire à Genève, des policiers qui surveillaient la manifestation arrêtent les personnes et distribuent des amendes (250 CHF), les organisateurs peuvent recevoir 10000 CHF d’amende.

Reportage exclusif et véritables interviews en contradiction avec le discours de la RTS et du Leman Bleu.

https://youtu.be/CLtjk32ySuI



Lettre d’un père de 2020 à son fils dans le futur que nous lui préparons

[Source : Nexus]

[Auteur : Cyril Roche]

LETTRE DU PASSE

Mon fils,

Je t’écris cette lettre depuis l’année 2020.
Je sais, cela semble loin pour toi qui navigue dans ce futur de
basculement et d’atrocités.
Depuis ton monde, où les libertés et la conscience individuelle ont
été mises au ban de la société civilisée, les évènements que j’ai
vécus ici semblent dérisoires.
D’aucuns diraient que cela « n’a plus d’importance ».
Oui, ce monde dans lequel tu évolues est désormais parfaitement
aseptisé, maitrisé, organisé. Ce rêve inaccessible que tant de
dirigeants ont eu au cours de l’histoire humaine, vous l’avez finalement
atteint.

Tout est sous contrôle, et chaque pas que tu fais tu le dois à ceux
qui te gouvernent.
Tu ne peux manger sans eux, ni bouger, ni respirer, ni même aimer.
Ils te disent comment faire, comment vivre.
Ils te disent comment exister dans ce monde qui a vaincu
l’incontrôlable et l’imprévisible.
Et toi tu écoutes, comme tous les citoyens de ton siècle.
Car ils ont lavé jusqu’au moindre doute présent dans vos cerveaux et
ils ont fait du peuple humain des machines dociles, comme ces manettes
qui étaient utilisées jadis pour diriger un personnage dans un jeu
virtuel.
Leurs lois, leurs décrets ont été leur joystick.
Et ils ont tué ceux qui criaient par-dessus la mêlée. Ils leur ont
coupé la tête comme on fauche les blés au temps de la moisson.
Tout cela pour vous sauver.
Tout cela pour vous protéger.
Tout cela pour vous épargner de l’horreur d’une vie « régulière ».
C’est ce qu’ils disent, c’est ce qu’ils ont toujours dit.
Tu ne le sais même pas, toi qui est désormais un des rouages de cette
machine titanesque.
Ton esprit autonome a été formaté.

Si je prends la plume aujourd’hui, c’est pour te dire qu’il n’en a pas
toujours été ainsi.
Il fut un temps où l’homme était libre.
Je veux dire, où il pensait par lui-même et agissait dans les limites
d’une moralité convenable.
Sais-tu que l’homme choisissait son travail, ses amours, ses loisirs ?
Il pouvait écouter de la musique et même en jouer.
Il pouvait chanter, danser, rire.
Oui, l’homme pouvait rire, et même avec éclat, ça n’était pas encore
interdit.
Et ça lui faisait un bien fou, contrairement à ce qu’on en dit à ton
époque.
Il pouvait penser par lui-même, c’est-à-dire qu’il avait les moyens de
réfléchir, de lire, de comparer ce qui s’offrait à lui et de faire
des choix. De trouver par lui-même les réponses et les solutions,
parfois même face à des problèmes insurmontables.
Il avait cette capacité. Rien ne lui était imposé si ce ne sont
certains devoirs en fonction de l’état dans lequel il évoluait.

L’homme philosophait et s’offrait même la possibilité de refaire son
monde, en mieux.
Il rêvait… Oh, pas comme les rêves de ton temps, je te rassure, où,
par peur des « idées noires » comme le dit ton gouvernement, vous
vous branchez sur des machines qui vous donnent des rêves tout faits,
en conformité avec les règles sociales. Non, nos rêves à nous
étaient… libres.
Pour certains on ne les contrôlait pas, ils étaient comme un défi,
une source inépuisable de folie en nous, une manière de rendre
l’impossible possible. Pour d’autres, ils devenaient une conviction, une
force inébranlable prête à démolir tous les murs, toutes les
barrières, même les plus tenaces. Cela pouvait être un danger même :
tu te rends compte, le plus innocent, le plus petit d’entre nous était
ainsi capable de réaliser de grandes choses. De dépasser parfois les
plus grands. Simplement grâce aux rêves.
Oui nous rêvions et nous aimions.
Nous aimions alors qui nous voulions. Ce n’était pas une question de «
cohérence sociale » comme c’est le cas chez vous à l’heure actuelle,
où le gouvernement calcule, par des équations très complexes, la
meilleure personne pour vous, et vous oblige à vous « codifier » avec
elle.

Notre amour était très différent, je l’avoue, commandé par un libre
arbitre implacable et inattendu. Il nous faisait faire des folies,
folies qui dans ton monde seraient vues comme « subversives », mais
que nous prenions comme une manière de nous élever davantage vers
quelque chose de plus haut, de plus fort, de plus vibrant.
« Vibrant »… c’est peut-être le terme qui résume le plus nos vies
de cette époque.
Nous improvisions nos destins, comme si chaque journée était à
créer.

Il est évident que pour toi tout cela semble vain, et peut-être même
me trouves-tu moi aussi nuisible et séditieux au travers de mes
paroles. Ainsi vous sont présentés les gens du « passé » : rebelles
et imparfaits. Mais le point de vue de ton monde n’est pas celui qui a
toujours prédominé.

Oui, mon temps était beau.
Oh, il n’était pas béni, nous avions chacun nos difficultés et nous
devions surmonter des problèmes énormes liés à chacune de nos vies,
mais ce monde était beau. Il se résumait en un mot : liberté.
Ce mot, tu ne le sais pas, mais il faisait partie de la devise de la
France. A notre époque. Il y en avait 3 : « Liberté, égalité,
fraternité. » Oui. C’était ça notre devise. J’en étais fier. Ils
l’ont ensuite remplacée par les mots que tu connais : « Ordre,
cohérence, sagesse »… J’aime moins. Tu m’excuseras, je suis
nostalgique.

Si je te dis tout ça, c’est pour que cela ne disparaisse pas.
Les mémoires s’éteignent, les livres d’histoire de ton siècle ont
été revus à la lumière de cette société préfabriquée qui se veut
la plus belle en estime, la plus aboutie en règle sociale et la plus
pauvre en humanité.
Et cette devise si belle, pour laquelle sont morts bon nombre de gens,
disparaît peu à peu de votre souvenir, à vous, enfants des siècles
suivants…

Mais si j’ose te parler de mon temps, de ce temps de l’innocence où
nous marchions sans surveillance et allions travailler sans devoir
justifier notre déplacement, c’est pour te demander pardon, mon fils.
Nous avons vu venir le temps du changement et nous n’avons rien fait.

Il y a eu un virus. Un vrai. Un qui se balade dans l’air comme des
millions d’autres depuis des millénaires. Mais il tuait. 0,05 % de la
population. Et pour contrer ce virus, l’Etat a mis en place une armée
de mesures, non contre le virus lui-même mais contre les gens. C’est
comme si l’Etat était devenu fou, touché lui-même par un virus plus
dangereux encore que le précédent : l’incontrôle, l’hystérie,
l’absurde.
Ce fut une mascarade, une pagaille organisée.
Les hôpitaux étaient submergés, et au lieu de mettre en place des
établissements de soins provisoires, comme on le fait en temps de
guerre et même en temps d’épidémie, ils ont déshabillé la
société. Cela a duré des mois. Pour une mise en place pérenne.

Plus personne ne pouvait sortir. Les gens devaient masquer leur visage,
on a à ce moment là vu disparaître les sourires sans s’en soucier.
Nous devions justifier de tous nos déplacements. Il nous était
impossible d’acheter des vêtements, d’aller chez le coiffeur, de nous
retrouver autour d’un verre. Les salles de spectacles étaient closes.
Même pendant la grande guerre précédente il y avait des spectacles…
Mais là non. C’était interdit.
Les bibliothèques étaient fermées et la vente de livres était
prohibée.
C’était un autodafé silencieux.
Il est vrai que dans ton monde on appelle les bibliothèques des
«centres d’instruction complémentaires », on n’y trouve que ce qui est
convenable et en accord avec la haute pensée technocratique mais à mon
époque, il était encore possible de trouver des livres interdits et de
les lire, tous ces livres qui sont interdits maintenant car classés
sous le fondement « risque de troubles à l’ordre public ».

Les enfants pouvaient aller à l’école mais sous des contraintes
faramineuses. Les patients de maladies autres que celle du virus
n’étaient plus soignés. Il nous était demandé de ne pas rencontrer
d’autres personnes, ni de les embrasser ou de les toucher. Je sais que
pour toi ne pas toucher l’autre semble le plus évident puisque vous
êtes désormais sous la protection de vos « bulles de réfraction »
individuelle, mais pour nous ne pas toucher une personne, c’était tout
à fait nouveau. Impensable !

Nous avons vu les libertés s’amoindrir, les lois s’édicter, l’étau se
resserrer sur nos mouvements et notre rythme de vie. Nous avons vu
ressurgir des pathologies qui avaient disparues : suicides de masse,
états de folie, psychologies défaillantes, citoyens dans un état de
stress permanent, enfants terrorisés…
Les effets ont été pires que la cause que le gouvernement voulait
défendre.

Et nous l’avons accepté. Nous tous.

L’ensemble de la population est restée docile. Je peine encore à
comprendre comment cela a pu se produire. Je crois que c’est la peur. La
peur du virus d’un côté, la peur d’être mis à l’écart de l’autre.
Cette dernière a peut-être été la plus terrible : l’être humain
peut surmonter ses peurs, mais il ne peut que difficilement accepter
d’être vu comme un paria, et d’être rejeté de tous.

Quelques-uns ont bougé, vois-tu, quelques-uns ont alerté, ont donné
d’autres chiffres ou levé la voix différemment des autres. On les a
brisés, humiliés, destitués. S’il y avait eu un échafaud, on les
auraient fait brûler sur la place publique, comme au temps des
sorcières. « Idiots », « Irresponsables », « Complotistes »…
ainsi étaient-ils affichés aux yeux de tous. Et à force de marteler
les mêmes informations du matin au soir, l’ensemble de la population a
fini par y croire, quels que fussent leurs premiers doutes.
Je ne sais pas si tu peux comprendre cela, toi qui vit dans cette
société où il n’y a plus la moindre contestation, où il est demandé
à chacun de penser comme pensent les élites, où celui qui « pense
différemment » est enfermé dans ces lieux de rétention que vous
nommez RCS « Rétablissement de la Conscience Saine » si je ne me
trompe pas.

Les médias, quant à eux, n’ont pas vu le feu venir, ils l’ont même
attisé par des débats sordides et des prises de position douteuses.
Ils semblaient vouloir déstabiliser non les données officielles mais
les déstabilisateurs justement, ceux qui osaient contester la parole
donnée.

Et les députés et les Sénateurs, qui, en tant que garants de la
démocratie, auraient pu s’opposer à une dérive sectaire et
autoritaire, n’ont au final que piétiné une herbe qui était déjà
morte. Ils s’invectivaient, ils s’agitaient certes, mais dans les
latrines du pouvoir…

Quant aux gardiens du peuple, les militaires, les gendarmes, les
policiers, ils n’ont pas osé croire que le monde basculait. Ils ont
suivi les ordres…

Certains auraient pu faire basculer ce scénario prévisible d’un
changement profond de société. Les artistes et les intellectuels. A
l’époque, j’avais foi en eux. Tu sais, depuis la nuit des temps les
artistes avaient cette fonction de « bouffons du roi » qui
permettaient de donner aux gens une autre façon de percevoir leur
réalité en touchant à leur sensibilité profonde. Les intellectuels,
eux, avaient cette ardeur à ébranler nos certitudes par des arguments
solides et détaillés. Tellement si peu ont osé parler
différemment… Eux qui étaient auparavant si prompts à se battre
contre les injustices, se sont tus.
Ils continuaient à sortir leurs disques, leur livres, leurs films… à
en faire la promotion alors que le monde chavirait.
Dans l’océan de formalités et d’exigences qui se déversaient sur les
êtres humains, ils faisaient leur promotion, te rends-tu compte ?!!
J’ai vécu ce moment comme lors d’une nuit sombre où tu te rends compte
que ta propre ombre devient plus noire que la nuit elle-même.

Chacun de nous avait peur. L’un pour son travail, l’autre pour ses
biens, le troisième pour sa famille.
Et la plupart se convainquaient qu’il ne pouvait en être ainsi.
«Pourquoi feraient -ils cela ? » disaient ils, comme une brebis devant
un loup affamé qui ne peut croire qu’elle va être mangée.
Pourtant oui, la république s’effondrait, la démocratie s’ébranlait.
Puis, ils ont encore plus restreint les libertés, toujours pour « nous
protéger ». Les drones étaient dans les rues, surveillant chacune de
nos actions et les familles ont été séparées sous couvert de lutte
contre le fameux virus… Beaucoup de gens ont été enfermés. Beaucoup
sont morts sans qu’on puisse savoir réellement de quoi et comment. Il
était impossible de voir les corps…

En informatique, le virus est un automate qui se répand de machine en
machine et les infecte jusqu’à perturber leur fonction première. Ce
virus a permis la transformation globale de nos sociétés libres.
C’est à ce moment-là, je pense, que le début des temps de dictatures
qui ont marqué les décennies suivantes a commencé.
C’est à ce moment-là que l’humanité a changé et que l’homme est
devenu l’ombre vouée à ne servir que son maître, sans jamais plus
avoir la possibilité de s’échapper.
Cette ombre que tu es désormais.

Nous tous, en 2020, avons loupé le temps de parler, d’analyser, de
relever les contradictions, de questionner.
Nous avons failli à notre mission de vous laisser un monde libre.
Ce monde si terrible que tu connais n’est pas le monde idéal, mon fils.
Il en est l’opposé.
Mais il est trop tard désormais.
Voilà la conséquence de mon silence.
Voilà le résultat de notre peur.

Pardonne-nous.

Cyril Roche

Voir le site de l’auteur : https://www.cyrilroche.com

Texte déposé à la SACD, Novembre 2020


Image de la couverture par Tentes de 
Pixabay




Un camp COVID-19 est-il bâti sur le terrain de l’hôpital Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme au Québec ?

[Source : Guy Boulianne]

Un camp COVID-19 est-il bâti sur le terrain de l’hôpital Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme, dans la région des Laurentides ? Dossier d’investigation

Les silences et les non-dits des gouvernements comploteurs, ainsi que les fausses nouvelles (fake news) et les mensonges propagés par les médias complotistes du marché grand public (mainstream), font en sorte que les gens sont en droit de se poser des questions bien légitimes. Surtout lorsqu’on nous ment sans vergogne quotidiennement, il devient alors impérieux et rationnel de rechercher la vérité à travers des informations et des éléments qui ne sont jamais très loin de se confirmer par eux-mêmes.

Un de mes correspondants m’a fait parvenir les photographies d’un gigantesque bâtiment de « type militaire » qui est actuellement en construction sur un vaste terrain de l’hôpital régional de Saint-Jérôme, le chef-lieu de la MRC de La Rivière-du-Nord, dans la région des Laurentides au Québec.

Issu de la fusion des différents centres de santé et de services sociaux (CSSS) de la région des Laurentides, le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides gère l’Hôpital régional de Saint-Jérôme, haut de 7 étages, avec tous les soins de technologies de pointes. L’hôpital ayant une vocation régionale, il rayonne dans toutes les Laurentides. Le CISSS des Laurentides dispose d’un budget d’environ 1 milliard de dollars et est réparti en 80 installations situées sur un territoire de 20 000 km².

Le très grand bâtiment a la dimension approximative d’une patinoire de hockey sur glace (soit environ 61 m × 26 m). La construction est posée sur un plancher de béton blanc et comporte un sous-sol dans lequel mon correspondant a réussi à se faufiler pour prendre une photographie (voir ci-dessous). Un homme de la construction lui a dit que le bâtiment est là pour rester pendant une durée de 10 ans. Un autre constructeur aurait dit à son père « qu’il va y avoir des lits dans le bâtiment ». Comme le dit ironiquement mon informateur, « il ne s’agit pas d’une boîte de nuit ou d’un club de danseuses nues ».

Mon correspondant écrit : 

« À mon humble avis il s’agit d’un camp. Je voulais filmer mais c’était trop risqué de ma part. La police est juste derrière l’urgence. J’ai fait mon possible, j’ai pris quelque photos. J’étais un peu nerveux, je sentais que je ne devais pas être là. Mais je trouve cela étrange que je sois le seul à faire cet acte. On dirait que ça ne dérange pas trop les gens, ils ne sont pas inquiets. » Il ajoute : « À Saint-Jérôme, tout est restreint et surveillé. Les policiers et les agents de sécurité sont présents. L’ambiance est très froide quand tu vas sur place. Disons que je n’y vais pas en courant. Ma tête se promène, je surveille pour regarder s’il n’y a pas d’agent de sécurité ou de policier. À mon avis, c’est un “déjà vu” ce phénomène. Durant la Seconde Guerre mondiale, entre 1939-1945. l’armée allemande faisait du porte à porte pour demander si vous étiez juif. Si oui … ils les embarquaient aussitôt dans un train qui allait directement les conduire dans des camps de concentration. »

Toujours selon mon correspondant : 

« Des camps sont installés un peu partout dans le Québec. Un ami m’a dit qu’il y avait ce genre de camp à Saint-Eustache, près de l’autoroute 640, évidemment près de l’hôpital. Même structure. Et j’ai une amie en France qui a vu ce genre de camp. Mais en ce moment, c’est le silence radio avec nos journalistes… ils/elles n’en parlent pas. »

L’emplacement du camp COVID-19 qui serait possiblement bâti à côté de l’hôpital Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme, au Québec.

En guise de ré-information …

Comme je l’ai écrit dans mon article 15 novembre dernier, tout porte à croire que les différents gouvernements construisent ou prévoient de construire des camps COVID sous le couvert de la santé publique, et que la détention sans l’accord ou l’avis préalable des autorités judiciaires compétentes deviendra la norme en tous lieux. [1]

Il semble que ce soit déjà le cas en Australie et en Nouvelle-Zélande. En effet, Ben Doherty rapportait ceci le 27 février dernier : « Des stratégies de distanciation sociale, volontaires dans un premier temps mais appliquées si nécessaire, pourraient être mises en œuvre dans tout le pays. Cela pourrait inclure la mise en quarantaine dans des sites sécurisés désignés (comme le village de Manigurr-ma dans le Territoire du Nord); isolement à domicile; l’exclusion, où les gens sont invités à s’exclure de la garde d’enfants, de l’école, des établissements d’enseignement, des lieux de travail et d’autres activités; ou des fermetures d’écoles et d’autres organisations. » [2]

Bloomberg écrivait plus récemment : « Les poussées d’Australie au Japon montrent que le monde n’a pas appris une leçon précoce de la crise des coronavirus: pour arrêter la propagation, les personnes atteintes d’infections à coronavirus légères ou sans symptômes doivent être forcées de s’isoler, à la fois de leur communauté et de leur famille. » (…) « Les leçons de l’Italie, de la Corée du Sud et d’autres qui ont réussi à contenir des épidémies à grande échelle montrent qu’il existe une approche éprouvée pour couper la transmission: les faire sortir de leurs maisons dans des installations centralisées pendant qu’ils guérissent de leurs infections, ce qui généralement ne nécessite pas plus de quelques semaines. » [3]

Confrontée à un nouveau cluster après 102 jours sans cas transmis localement, la Nouvelle-Zélande a rapidement mis en œuvre cette stratégie, plaçant environ 30 personnes — dont au moins deux enfants de moins de 10 ans — en quarantaine centralisée.

Il semble aussi que la France ne fera pas exception à cette nouvelle règle. Le 5 novembre dernier, le Sénat adoptait le Projet de loi autorisant la prorogation de l’état d’urgence sanitaire et portant diverses mesures de gestion de la crise sanitaire. Il fut décidé d’un amendement proposant l’ajout d’un article additionnel après l’article 4. Cet amendement N° 28 permet de déroger aux règles d’affectation et de transfert des personnes détenues prévues dans le code de procédure pénale. Sans être moi-même un juriste, le dernier alinéa de l’article me semble plutôt inquiétant. Il se lit comme suit :

« Les personnes condamnées et les personnes mises en examenprévenues et accusées placées en détention provisoire peuvent, sans l’accord ou l’avis préalable des autorités judiciaires compétentes, être incarcérées ou transférées dans un établissement pénitentiaire à des fins de lutte contre l’épidémie de covid-19. Il en est rendu compte immédiatement aux autorités judiciaires compétentes qui peuvent modifier les transferts décidés ou y mettre fin.

« Ces dispositions sont applicables jusqu’au 31 août 2021. » [4]https://www.youtube.com/embed/cJjXUUaS5Mo?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


Des camps COVID au Canada et au Québec

Nous savons déjà que le 8 octobre dernier, le député indépendant de Lanark-Frontenac-Kingston, Randy Hillier, a parlé du plan de détention infâme du gouvernement lors d’une période de questions provinciale devant le gouvernement de l’Ontario. Il a sonné l’alarme face au projet du gouvernement libéral Trudeau d’étendre les installations d’isolement / de quarantaine COVID d’un océan à l’autre. Il s’est levé et a interrogé le gouvernement de Doug Ford de l’Ontario, lui demandant combien de personnes seront détenues et combien de camps de concentration doivent être construits. Il s’est dit préoccupé par leur utilisation actuelle — pour contrôler la propagation du Covid-19 — et a souligné dans la documentation que ces sites pourraient être utilisés pour « d’autres besoins » à l’avenir. [5]

Il est vrai que le gouvernement canadien est à la recherche de fournisseurs de services tiers pour élaborer une stratégie de « sites de quarantaine / isolement fédéraux » supplémentaires qui, s’ils sont construits, pourraient être utilisés pour « d’autres besoins » pendant les deux prochaines années, si cela est jugé nécessaire pour sauvegarder la santé publique. Des contrats gouvernementaux sont en cours pour fournir les sites en biens et services. La sollicitation de fournisseurs est répertoriée sur le site internet Achatsetventes.gc.ca du Gouvernement du Canada sous forme de lettre d’intérêt (LI) et de demande de renseignements (DDR) pour des « sites fédéraux de quarantaine / d’isolement ».

D’ailleurs, une base d’un camp COVID-19 capable d’héberger près de 100 personnes infectées par le coronavirus a été installée au sud de Portage la Prairie, au Manitoba (Canada). Les installations étaient auparavant utilisées comme camp de travail hydroélectrique et ont été réaménagées pour répondre aux besoins de la Fédération des Métis du Manitoba (MMF). Une clôture menaçante à mailles de chaîne avec du fil de fer barbelé sur le dessus a été érigée autour du périmètre du camp. Jack Park, ministre de l’Énergie et des Infrastructures de la MMF, nous raconte l’état du camp : « Les camps sont prêts et capables d’accueillir toute personne affectée par la pandémie COVID-19. Nous les avons entièrement équipés, désinfectés et prêts à démarrer si quelqu’un en a besoin. Nos services sont disponibles. » [6]

Plus près de chez nous, le chroniqueur Claude Gélinas émettait l’hypothèse que le gouvernement du Québec prépare actuellement des « camps de détention » pour les citoyens. Il utiliserait un langage si commun qu’il ne serait pas destiné à attirer l’attention au moment de trouver un fournisseur pour la prise en charge d’un tel service. L’avis d’appel d’offres # ODIM-2021-0019 (# de référence 1402404 dans le SEAO) a été publié le mercredi 28 octobre 2020 par le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal (CIUSSS-OuestMTL) et porte le titre « Ressource Intermédiaire avec services professionnels de réadaptation long terme pour dix (10) usagers adultes ayant des problèmes de Santé mentale » et les soumissionnaires doivent avoir envoyé leur offre pour le 5 janvier 2021 (pour une ouverture de la « ressource Intermédiaire » le 1er avril 2021).

Dans la description de l’avis, le « camp de détention » est appelé une « ressource intermédiaire ».  Ce terme inoffensif cache quelque chose de plus grave. En fait, la Ressource intermédiaire devra pouvoir accueillir dix (10) usagers dans des chambres individuelles.

Le 9 novembre dernier, j’informais mes lecteurs qu’un de mes correspondants m’avait fait parvenir les photographies de bâtiments en construction à l’extérieur de l’enceinte de l’ancien pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul, à Laval au Québec. Comme l’indiquait ce dernier, ces bâtiments ressemblent étrangement aux camps COVID-19 qui ont été construits à Treherne et à Winnipegosis, au Manitoba. Bien que nous n’ayons encore aucune preuve qu’il s’agit de camps COVID, il est tout de même étrange que de tels bâtiments soient présentement en fabrication au sein d’un vieux pénitencier. [7]

Comme je l’ai écrit en introduction de cet article, tout questionnement est légitime. Nous espérons donc obtenir des réponses claires et précises à ce sujet de la part des autorités concernées.https://www.youtube.com/embed/u7Nz_NFcUJU?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


RÉFÉRENCES :
  1. Guy Boulianne : « Sous le couvert de santé publique, la détention sans l’accord ou l’avis préalable des autorités judiciaires compétentes deviendra la norme ». Publié le 15 novembre 2020.
  2. Ben Doherty : Australia’s coronavirus pandemic plan: mass vaccinations and stadium quarantine. The Guardian, 27 February 2020.
  3. Sharon Chen, Dong Lyu, Angus Whitley, and Lisa Du : Forced Isolation May Be the Only Way to Stop Resurgence of Virus. Bloomberg News, 13 août 2020.
  4. Sénat : « Projet de loi autorisant la prorogation de l’état d’urgence sanitaire et portant diverses mesures de gestion de la crise sanitaire ». Session ordinaire de 2020-2021, 30 octobre 2020.
  5. Guy Boulianne : « Révélations Choc — Le Parti communiste chinois déploie les troupes de l’Armée populaire de libération (APL) en Colombie-Britannique ». Publié le 16 octobre 2020.
  6. Guy Boulianne : « Un camp secret COVID-19 capable d’héberger près de 100 personnes infectées par le coronavirus est prêt à l’emploi au Manitoba ». Publié le 5 novembre 2020.
  7. Guy Boulianne : « Des camps COVID-19 sont-ils en fabrication à l’ancien pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul ? Est-ce possible ? Dossier d’investigation … ». Publié le 9 novembre 2020.



La fin des temps

[Source : Urantia Gaïa]

Publié le 28 octobre 2015 par Le Passeur

Par Bernard de Montreal. (En 1988)

La
prochaine époque remplacera l’involution, et la fin de cette dernière
annoncera une nouvelle garantie de vie sur Terre, issue d’une
transformation profonde du mode d’existence que nous connaissons
aujourd’hui. La fin de la civilisation moderne se fera
sentir graduellement, à mesure que grandira l’escalade des conflits,
insolubles dans les conditions actuelles de l’entendement humain.
Viendra le temps où les gouvernements n’auront plus de solutions devant
les problèmes grandissants de l’humanité ; ce temps commence déjà à se
faire sentir, mais beaucoup de souffrances alourdiront encore la vie
avant la fin de cette période.

De
même que dans la vie personnelle l’homme vit des situations qui
semblent insolubles, de même sur le plan international l’humanité vivra
des conflits dont l’opposition d’intérêts rendra la résolution difficile
; cela est dû à l’ignorance des peuples et à l’absence d’intelligence
créative de la part des gouvernements. Cette période sombre sera suivie
d’une nouvelle forme de civilisation au coeur de laquelle l’homme
découvrira des forces créatives différentes. Dans la vie personnelle, un
changement de cap nécessite une crise profonde pour que se manifestent
de nouvelles énergies. Il en sera ainsi à la fin du cycle présent.
L’humanité connaîtra une crise tellement grave que l’homme saura, sans
le moindre doute, qu’il est sur le point de vivre quelque chose de neuf
dont il ignore la puissance créative et transformationnelle.

La
crise mondiale et planétaire prendra son origine dans ces forces
psychiques de l’humanité, qui doivent être profondément transformées
pour que naisse une civilisation totalement modifiée dans ses principes
de vie et d’évolution. L’humanité verra sa conscience renversée. La
crise mondiale permettra à l’homme de s’élever sur une plus haute
échelle d’évolution, selon des principes nouveaux engendrés par la
crise, qui mettra en jugement toutes les formes d’idéologies qui
divisent les peuples. De cette crise profonde naîtra une nouvelle vision
de la vie planétaire, et les peuples s’uniront contre la mort de
l’esprit. L’homme est totalement inconscient des forces de vie sur
Terre, car il n’a aucune compréhension du fonctionnement évolutif d’une
planète expérimentale en voie de développement psychique. La crise
mondiale, déjà amorcée dans son mouvement, servira de fondation à la
reconnaissance des forces dans l’univers qui alimentent l’évolution de
l’homme, et son esprit s’élèvera au-delà de ses conceptions limitatives
actuelles.

La fin du cycle servira de
point de départ pour une nouvelle réconciliation avec la vie,
à laquelle les peuples adhéreront à tout prix, car la crise aura terni
dangereusement la conscience de l’humanité en lui faisant vivre les
horreurs de sa propre initiation planétaire. Le mental humain doit
s’éveiller et s’élever au-delà des idéologies sectaires, et les grandes
connaissances de l’humanité doivent être données aux masses afin
qu’elles bénéficient de ce qui est grand et noble dans l’esprit et
qu’elles aient l’explication finale de la nature de la vie et de
l’évolution. La connaissance ne pourra plus être refusée aux pauvres de
la Terre, puisqu’elle est à l’esprit ce que la nourriture est au corps
matériel. Le corps émotif de l’humanité souffrira intensément. Cette
souffrance existe déjà chez l’homme, mais elle n’a pas encore atteint
son paroxysme. Une grande loi de l’évolution des systèmes veut que tout
changement dans la nature des choses soit accompagné ou précédé d’une
grande souffrance, c’est-à-dire une grande énergie qui transforme. Les
conditions de cette transformation ont été établies depuis la fondation
des sphères et font partie de la force interne de la conscience
collective en évolution.

La crise
mondiale impliquera toutes les nations et affectera tous les hommes.
C’est l’universalité de la crise et son insolubilité apparente qui
éveilleront la conscience, en faisant réfléchir l’homme de la rue et
l’homme de l’état avec plus de rigueur et de concret. La crise mondiale
mettra un terme aux illusions politiques des nations, selon lesquelles
l’homme peut faire face à toutes les éventualités. Les conséquences de
ces illusions ont déjà été révélées dans certaines oeuvres hermétiques,
mais l’homme ne les a pas encore vécues et ne peut encore en comprendre
la portée réelle.

La fin du cycle
engendrera des forces qui détermineront l’orientation future
de l’humanité. Ceux qui font partie de la nouvelle conscience humaine
perçoivent déjà les bienfaits de la crise mondiale à long terme, mais
peu en connaissent les conséquences sur le plan vital. L’homme est trop
inconscient pour voir ce qui ne se voit pas à partir des yeux de l’ego ;
doté d’une conscience éveillée, il pourra facilement sentir que
l’avenir de l’humanité ouvrira toutes grandes les portes de
l’impossible. À partir de la vision de l’impossible, la conscience
future pénétrera dans les secrets de la vie, qui lui permettront de
comprendre ce qui est réservé aux initiés de la nouvelle alliance, entre
l’homme et le double. Celle-ci lui donnera accès à la destinée des
nations, alors que lui-même pourra voir concrètement son rôle créatif
dans la vie future des nations en évolution rapide.

Il
faudra encore un peu de temps pour que l’humanité saisisse la réalité
nouvelle de la prochaine époque. Des événements clés, dont l’ordre
dépasse la logique purement matérielle de l’homme, renverseront les
conceptions du mental inférieur, afin que l’homme puisse entrer dans une
nouvelle phase d’évolution devant transformer profondément la
conscience de l’humanité, à tous les niveaux de la conscience
planétaire. Les masses humaines connaîtront des choses qu’aujourd’hui
l’homme de la rue se refuse à contempler, car il a été trop conditionné
par l’involution. Les conceptions présentes de la vie doivent être
fracassées pour qu’une vie nouvelle prenne racine. L’homme devra
réaliser que le cosmos est une vaste entreprise évolutive, à des niveaux
d’expérience dépassant l’imagination involutive. Les nations de la
Terre ne pourront être asservies au passé lorsque viendront frapper à la
porte de leur conscience les forces nouvelles.

Les
prochaines générations connaîtront des événements que l’homme pressent,
mais qu’il ne pourra affronter qu’avec une intelligence fondée sur une
volonté réellement créative. Les nations se complaisent à vivre les jeux
astralisés de la conscience planétaire, mais le prix de ces jeux sera
élevé ; les forces de vie astrales atteindront en effet un niveau de
puissance qui fera pâlir les actions démoniaques des pires démagogues
que l’humanité aura connus. Le choc sera tel que l’homme devra
reconnaître enfin que la vie future de l’humanité ne pourra pas
être fondée sur les principes de l’ancienne civilisation.

La fin du cycle coïncidera avec la présence de forces occultes dont le pouvoir sera mondial. La terminaison du rôle purement politique des gouvernements fera ressortir de la conscience planétaire une énergie créative nouvelle, suffisamment puissante pour détourner, pendant une très longue période à venir, les courants d’énergies inférieures qui paralysèrent la conscience de l’homme depuis le début de l’involution. Le caractère mondial de la crise renversera les valeurs humaines à un tel point que les hommes reconnaîtront que la vie a plusieurs dimensions, et qu’un aspect de ces dimensions est actif sur Terre pour permettre à l’être de poursuivre son évolution dans un cadre de vie de plus en plus équilibré. L’humanité devait auparavant se suffire à elle-même, tandis qu’à l’avenir elle sera aidée des sphères éveillées, et cette aide sera reconnue mondialement. L’époque de l’involution sera remplacée par une grande vision fondée sur le rassemblement des forces psychiques de la planète.

La crise ne
sera pas refusée par les hommes de lumière, car ils savent déjà qu’elle
doit être vécue afin que le choc élève l’humain ; mais son sens
hermétique sera rendu public pour que ceux qui ont suffisamment de
lumière puissent bénéficier de ce qui fait partie du savoir universel,
et que l’homme éveillé puisse subir ces grands événements sans en
souffrir sur le plan psychologique. Comme la fin du cycle sera
démystifiée, l’homme conscient pourra y reconnaître les éléments de base
dont furent construites les grandes prophéties de l’humanité.

Un
de ces éléments de base prophétisé par les grands voyants de l’histoire
sera le contact imminent entre les hommes de la Terre et d’autres êtres
vivants venant des profondeurs de la galaxie. Ce contact avec l’homme
ne pourra plus être camouflé psychologiquement, car l’évolution
nécessitera un tel contact, qui provoquera un affrontement entre
différents niveaux de la réalité. Tant que ce contact ne sera pas établi
officiellement, les hommes demeureront des êtres englobés par la
petitesse de leur vision, et continueront à vivre selon les lois
involutives d’une civilisation qui a perdu le sens du réel. Que l’homme
ignore la réalité, c’est une chose explicable par son ignorance
millénaire, mais qu’il demeure dans cette ignorance est impossible, car
la vie exerce tous les pouvoirs sur la conscience de l’humanité, tant
que l’homme n’aura pas atteint un niveau de conscience lui permettant de
la contrôler dans son évolution.

Les
hommes ont débattu longtemps la réalité du phénomène ovni, alors que
ceux qui expérimentèrent ce phénomène virent leur propre vie et leurs
attitudes changer face à l’expérience qui en dit long sur l’univers en
général. La fin du cycle éclairera ce contact entre l’homme et d’autres
espèces, et le choc de vie qui en résultera forcera l’homme à s’éveiller
à une autre dimension du réel, pour contempler un avenir avantageux à
tous les points de vue de sa conscience planétaire et universelle.

La
fin d’une époque représente pour l’humanité une grande transformation
dans son mode de penser, et celle-ci à lieu lorsque les forces en
évolution ont atteint la limite possible de leur perfectionnement. Une
nouvelle dynamique est alors créée et établie par les forces vivantes et
invisibles de la vie, à travers un nouveau réseau de consciences. Une
telle transformation requiert que les formes présentes au sein de la
civilisation soient profondément touchées au cours du nouvel âge,
période qui suit la fin d’un cycle. L’évolution future de la
Terre répondra à une baisse profonde du niveau d’énergie spirituelle sur
le globe, entraînant ainsi un besoin des plans d’injecter dans la
conscience de l’humanité une nouvelle force mentale pour obliger
l’humanité à réévaluer ses conceptions à partir d’une prise de
conscience reliée à des événements d’ordre cosmique qui s’abattront sur
le globe et feront réagir l’homme devant le constat de son inconscience.
L’humanité passera d’un niveau d’évolution à un autre et entreprendra
son passage de l’involution à l’évolution, qui l’amènera à la
réalisation de sa seconde fondation, celle qui représentera le nouvel
âge de l’homme.

L’éclatement de la
conscience humaine et son ascension vers d’autres plans de perception
s’accentueront à mesure que l’homme découvrira que l’intellect, ou le
mental inférieur, le limite dans le développement de sa vie intégrale.
Son inconscience va de pair avec l’activité du mental subjectif. La fin
du cycle involutif changera cette condition dans la vie de l’homme, mais
seulement auprès d’un nombre restreint d’êtres au début de l’évolution
ou de la période de croissance réelle du moi. La fin des temps, dans son
aspect le plus voilé et cosmique, permettra à l’homme nouveau de
dépasser les limites actuelles du mental et lui ouvrira de nouveaux
horizons, vers lesquels l’humanité se dirigera pour goûter de la vie sur
Terre en tant qu’expérience reliée à la vie de l’éther, quand la
conscience sera parfaitement éveillée à ses possibilités
multidimensionnelles. La victoire sur la mort sera le premier exploit de
l’homme nouveau, reconnu objectivement dans le monde. Autant le passé
aura envoûté l’homme et mystifié son mental naïf, autant l’avenir de la
race-racine fera éclater chez lui des parcelles de la réalité qui feront
de lui un être de lumière.

La fin du cycle mettra un terme définitif à l’inhabileté de l’homme de voir au-delà de ses sens matériels. Il deviendra voyant extraordinaire, avancé sur ses frères spirituels de l’involution qui voyaient pour les autres mais ne voyaient pas pour eux-mêmes, car ils ne possédaient pas la clé au mental supérieur, qui délie les mémoires et fait du mental nouveau une assise de la lumière. L’homme nouveau entrera dans une période de croissance psychique qui évoluera en fonction des besoins de l’évolution de la race-racine et des forces nouvelles descendues sur Terre pour l’acheminement de nouvelles vagues de vie ; celles-ci viendront vers le globe pour bénéficier d’une ouverture à l’éther du mental, c’est-à-dire au mental-lumière de l’homme cosmique. Avec son appartenance psychologique et psychique à la mémoire de l’humanité, l’âme coupe l’homme de sa réalité fondamentale et de son droit de connaître l’au-delà immatériel. Que l’homme involutif soit né des ténèbres et plongé dans la matière pour l’évolution de l’âme, c’est une chose, mais qu’il soit une parcelle cosmique non réalisée, c’en est une autre. Les tables de la vie se retourneront un jour en sa faveur, et il reconnaîtra son appartenance à un monde dont la définition ne peut être spiritualisée, de crainte de retarder l’évolution du mental supérieur.

La
galaxie est plus qu’un monde d’étoiles brillantes au firmament. Elle
représente la demeure d’êtres dont la nature s’entrecroise avec celle de
l’homme, dans des domaines de la vie que ce dernier ne peut contempler
aujourd’hui à cause de son lien avec le passé de l’âme, cette mémoire
qui fut pour lui, depuis toujours, la cause de son ignorance face à la
définition du réel. L’homme ne peut réaliser qu’il est différent en
nature de ce qu’il est en perception. Il a tellement traité avec ses
sens qu’il ne perçoit plus le sens de sa réalité au-delà de sa
sensibilité physique. La fin du cycle est inévitable, car l’homme doit
croître au-delà de ses limites et finalement reconnaître son
appartenance à l’infinité. Cette conscience intégrale fera de lui
un être dont la sommation des facultés psychiques élèvera la conscience
de la Terre pour rendre compte qu’il est plus grand que l’homme ancien.
Imprégnés de cette conscience, les siècles cesseront de battre au rythme
des années et un autre temps apparaîtra sur Terre, alors que d’autres
êtres venant d’ailleurs participeront créativement à l’actualisation
d’une nouvelle civilisation.

Les
paramètres psychologiques ou historiques de l’humanité involutive ne
conviennent pas à la mesure d’un nouveau cycle, car celui-ci invite la
conscience à déborder de ses limites pour découvrir dans l’infini de ses
possibilités. Ces dernières s’épanouiront à mesure que l’humanité
terminera son cycle involutif, faussé par le mental inférieur de l’homme
divisé contre lui-même et en quête d’une solution dont il ne pourra
découvrir la réponse qu’à travers la fusion de son énergie avec les
plans supérieurs de vie, qui sont à l’origine de sa conscience mentale.
Alors que l’involution fut truffée d’illusions appartenant à
l’expérience de l’âme, l’évolution sera la clarté même, une grande
ouverture sur l’infinité du savoir universel. La fin du cycle instruira
l’homme de la décadence de son mental et de la nécessité de vivre
un revirement absolu face aux formes et aux valeurs qu’il a créées au
cours de l’involution pour affirmer sa conquête sur la matière. Mais la
vie aussi doit être conquise, et la conquête fera partie de la nouvelle
étendue de la conscience humaine au-delà des sphères
purement matérielles de la connaissance rationnelle.

L’intransigeance
de l’intellect sera remplacée par l’élévation de plus en plus forte de
la pensée humaine. Les générations à venir ne chercheront plus à limiter
l’accès de l’homme à sa propre définition universelle à travers les
structures angoissantes d’un mental qui veut se fixer dans une
permanence qui ne cesse de lui échapper à cause de l’absence de lumière
en lui.

L’homme nouveau évitera
l’assaut psychique qui déferlera sur l’humanité à la fin du cycle, car
il aura compris sa relation intime avec le double dont il utilisera la
lumière pour se dissocier de la puissance des reflections subjectives
qui assailliront son ego lorsque la vie de la Terre sera remise en
question. Il comprendra que la nouvelle vague de vie qui s’installe sur
le globe fait partie de la descente des forces cosmiques sur une planète
qui n’a connu que l’isolation temporelle et spatiale depuis l’origine
de la conscience égoïque. Les intrusions furtives de forces venues
d’ailleurs pour l’étude de l’homme et l’aide nécessaire à l’évolution
de sa société ne furent que de maigres ressources sur lesquelles
l’humanité put compter. Totalement ignorant des lois cosmiques, l’homme
fit de ces rencontres des expériences d’ordre spirituel qui retardèrent
une fois de plus l’évolution de sa conscience mentale. L’ordre
universel demande que toute conscience en voie d’évolution en arrive à
rejeter, absolument et à long terme, le besoin d’être dominé par des
forces étrangères à sa conscience. Processus applicable seulement
lorsque la conscience supramentale sera implantée sur le globe et
qu’elle aura commencé à libérer l’homme de sa conscience involutive.
L’évolution de la sixième race-racine préparera cette condition future
de l’humanité. Elle informera objectivement l’homme des
lois universelles et construira son autosuffisance psychologique et
psychique, nécessaire pour qu’il puisse passer d’un temps à un autre,
d’une dimension étroite de la conscience à une ouverture totale vers la
conscience cosmique.

La fin du cycle
deviendra évidente lorsque la nouvelle conscience se sera manifestée
sur le globe. Les événements mondiaux prendront une tangente de plus en
plus inquiétante pour l’homme lorsque la Terre passera à un autre âge où
la conscience et les forces psychiques entreront en contact.

Les forces psychiques font partie de ces mondes parallèles qui s’ouvriront à l’homme objectivement, afin qu’il puisse comprendre l’ordre universel et les sous-plans de ce même ordre, qui confinent sa conscience actuelle à un processus de reflection subjective plutôt qu’à un acte de création mentale. L’homme nouveau établira un lien avec des plans de vie qui ne risqueront plus de faire de lui un être secondaire. Ayant dépassé les valeurs sociales de sa civilisation, il entraînera avec lui les êtres supérieurement évolués afin de créer une nouvelle configuration psychique qui deviendra le siège du pouvoir occulte sur la conscience de la Terre. Pour que la fin du cycle coïncide avec l’expression des besoins réels de l’humanité, l’homme devra constater la réalité occulte de son moi et comprendre que le lien universel, tel qu’il la connaîtra au tout début de sa fusion, ne représente qu’une infime partie de sa réalité future et universelle. Les hommes de demain connaîtront des niveaux d’expérience tellement étrangers à la conscience des masses qu’il seront obligés de vivre en un lieu en marge de l’humanité involutive. L’élévation du taux vibratoire de la conscience se fera par voie interposée, c’est-à dire que les hommes déjà prêts à entrer en contact avec les mondes parallèles seront amenés par télépathie à rencontrer ceux qui auront en main les clés d’accès à ces mondes.

La Terre n’appartient pas à
l’homme tel qu’il le croit. Elle fait partie d’un patrimoine maintenu en
évolution de conscience par des forces dont l’intelligence dépasse le
petit homme, cet être qui croit que la logique seule peut lui faire
comprendre les mystères de la vie. Les temps viennent où ce petit homme
prendra conscience que l’invisible de la vie est maître de ses sens et
qu’il s’étend à des niveaux d’organisation qui demandent plus que la
logique d’un mental inférieur pour se révéler à lui dans toute leur
splendeur et toutes leurs formes. Le développement d’une conscience
supérieure ne pourra venir qu’à travers l’expérience de
chocs suffisamment grands pour élever sa conscience malgré elle, car
l’homme moderne est orgueilleux de son intelligence. Il fut trop
longtemps coupé de la source universelle pour bénéficier encore d’une
intelligence fondée sur la réalité de ses principes, intégrés à un axe
de vie qui traverse son psychisme et se fond avec lui à tous les niveaux
de son être réel.

La fin du cycle
coïncidera avec l’impression ultime d’un autre temps de la
conscience, qui fera partie de la descente sur Terre d’une nouvelle
énergie créative étrangère à son expérience antérieure. L’homme
deviendra de plus en plus perceptif du réel, la logique de ses sens
servira à la compréhension des phénomènes inférieurs de la vie, et une
autre forme de perception et d’entendement le rapprochera de l’infinité,
ces zones d’énergie appartenant à des sphères d’expériences situées
au-delà des sens matériels. Lorsqu’il aura compris parfaitement que la
mort ne fait pas partie de la conscience humaine intégrale,
l’homme entrera dans un temps où la vie n’a plus de fin ; sa conscience
s’éthérisera et son rapport avec l’invisible deviendra objectif.

La
conscience de l’humanité doit grandir en science. Elle doit s’intégrer à
la vie cosmique pour que l’homme prenne sa juste place dans l’univers.
Le cosmos est une vaste conscience et l’homme en fait partie. Mais ses
sens doivent être libérés de leur lourdeur, car la matière n’est qu’un
aspect de la conscience humaine. Au-delà s’étend un monde dont les
fondations reposent sur le rapport étroit entre l’esprit et la
conscience en évolution. Tant que cette dernière n’aura pas conquis sa
propre intelligence, elle devra vivre de la matière et souffrir
de l’esprit, car l’esprit ne pourra être intégré que lorsque l’homme
aura compris la réalité qui s’étend au-delà de sa reflection égoïque.
Cette réalité s’unira à lui, elle l’instruira des autres dimensions et
lui rendra l’invisible réel. L’homme découvrira que l’évolution
représente son retour à la source ; au cours de son cheminement à
travers l’invisible de la vie, il rencontrera des intelligences
n’appartenant pas à l’évolution de la Terre mais à celle de l’homme et
de sa conscience. L’évolution de la Terre sera assurée et l’homme fera
de sa planète un nouveau paradis.

L’évolution
de la conscience est reliée à l’ouverture des centres psychiques.
L’homme nouveau passera d’un état mental à un autre avant de bénéficier
de sa relation avec l’invisible. La fin du cycle favorisera cette
ouverture des centres et l’homme verra que la vie et sa
réalité s’étendent au-delà de ce que la raison peut entrevoir. La fin du
cycle et l’avènement d’une science nouvelle sont deux aspects
profondément troublants de la nouvelle évolution. L’homme fera face à
des possibilités qu’il aurait crues, il y a seulement quelques
générations, le produit d’une imagination fertile. Ces choses se
produiront en un clin d’oeil, et le choc qu’elles feront alors sera
grand.

La conscience puisera dans
cette nouvelle expérience une énergie qui le libérera du connu pour le
projeter dans un avenir irréconciliable avec le passé. L’évolution de la
race humaine est indissociable des forces de l’invisible, qui serviront
l’homme nouveau dans la mesure où il aura le pouvoir de les recevoir et
de les soumettre à sa volonté créative. La fin du cycle ne peut être
perçue par l’humanité en général, car les centres psychiques de l’homme
ne sont pas suffisamment ouverts à l’énergie en évolution. Les êtres
évolués et sensibles à leur intelligence intérieure verront se définir
la courbe des événements qui mèneront la civilisation actuelle à son
rendez-vous final. Ils auront accès à des perceptions de plus en plus
objectives de l’avenir de la race, et sauront se protéger en
conséquence.

La fin du cycle de vie
planétaire conduit toujours la race à supporter un lourd fardeau sur ses
épaules affaiblies par la souffrance et l’angoisse d’un avenir
incertain. Par contre l’homme nouveau, de plus en plus conscient de
l’interpénétration du réel et du planétaire, élèvera sa vision des
événements et verra que l’avenir est grand et prometteur. La
grande capacité de vivre sa conscience de façon permanente sera le
meilleur secours de l’homme et la source de sa plus solide force. Le
développement de cette permanence se raffermira à mesure qu’il percevra
la nature des événements de la fin du cycle, en fonction de sa
sensibilité intérieure. Il sentira descendre en lui une plus grande
lumière et une compréhension plus vaste des événements majeurs qui
changeront le cours de la civilisation. Ces êtres, qui se retireront de
plus en plus de la vie humaine involutive, se réuniront à la fin du
cycle dans un espace créé par les forces cosmiques pour leur protection
et leur indemnité ; car alors de grands vents secoueront la Terre,
dernier signe témoignant de l’apparition de l’âge d’or.

Bernard de Montréal – Extrait de « La Génèse du Réel » – Editions de la Science Intégrale. (épuisé)

Ouvrage introuvable car non reédité depuis 1988. Il existe toutefois un livre audio/pdf non officiel.

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)




Venezuela, les gangsters repartent à l’assaut de la démocratie

[Source : Investig’Action]

Auteur :ALEX ANFRUNS

Le Venezuela est aujourd’hui en grand danger de guerre, de chaos et de destruction avec le rôle actif des USA et de la Colombie. Ces pays ont des intérêts économiques et utilisent un secteur de l’opposition pour faire croire qu’un « gouvernement parallèle » existe. En effet, le plus gros pari d’un certain secteur de l’opposition vénézuélienne a toujours été le putschisme.

Souvenons-nous en. Après un résultat majoritaire aux élections législatives de décembre 2015, la droite vénézuélienne avait défendu une « Loi d’amnistie et de réconciliation nationale ». Il ne s’agissait pas de libérer des « prisonniers politiques », mais les principaux responsables de l’opération putschiste intitulée « La Salida » en 2014.

Cette opposition s’était ensuite présentée à la table du dialogue sans que cela n’ait jamais été son intention. Cela provoqua l’incompréhension des médiateurs internationaux tels que l’ex-président espagnol Rodriguez Zapatero. Déjà en 2017, après sa tentative ratée de provoquer un coup d’État au moyen d’actions violentes dans la rue, l’opposition avait annoncé ce plan de « gouvernement parallèle ». Illusion fatale.

Trump veut détruire l’ALBA, un système dans lequel la coopération basée sur les besoins humains prend le pas sur la loi du marché sauvage. Le Venezuela, Cuba et le Nicaragua sont des obstacles dans le « destin manifeste ». A-t-il oublié la leçon historique que Fidel et Sandino ont donné aux troupes US, lors des tentatives ratées d’invasion ? Après avoir rencontré l’administration Trump, le président colombien a insisté sur le fait qu’il travaille activement à « libérer le peuple vénézuélien » et que « l’encerclement diplomatique » entraînera un « effet domino ». A-t-il oublié que des millions de Vénézuéliens ont retrouvé la dignité depuis l’instauration de la Ve République après un référendum en faveur de l’Assemblée Constituante ? Comme lors de la tentative de coup d’État contre Chávez en 2002, la droite espagnole est en première ligne pour mettre fin à la démocratie en préparant le terrain pour la guerre infâme des États-Unis. C’était le sens de la visite ratée et de la rencontre prévue entre sa délégation et Guaidó.

Le président d’une grande chaîne de télévision française a un jour admis que son travail consistait à «vendre du temps de cerveau disponible » entre deux blocs de publicité d’une marque connue de boissons. Ces mêmes médias ne vous diront pas qu’il y a eu depuis un mois plusieurs grandes marches en faveur de la Révolution Bolivarienne.

Ce n’est pas seulement une guerre médiatique, mais aussi culturelle. Là encore, l’histoire nous aide à comprendre le présent. Pendant la Guerre froide, des fonds du Plan Marshall étaient destinés à la propagande « culturelle » en Europe occidentale, dans le but d’effacer la mémoire des Résistants dans leurs pays respectifs. Les États-Unis sont passés maîtres dans ce domaine, et ils n’ont jamais négligé l’impact de l’art et de la culture dans la justification de leurs interventions militaires.

Ainsi, le 22 février, l’administration Trump a parié sur l’organisation d’un grand concert, mobilisant des musiciens célèbres ainsi que des personnalités politiques pour la cause d’une soi-disant « aide humanitaire” qu’elle voudrait destiner au Venezuela contre son gré. Certains pourraient se dire qu’un concert, c’est une bonne chose en fin de compte… Le député chilien Alejandro Navarro a résumé l’affaire en deux lignes : « Il est ironique et humiliant que l’aide humanitaire présumée soit acheminée par Cúcuta, l’une des villes les plus pauvres (+ de 40 % de pauvreté) de Colombie et où la précarité du travail dépasse 70 %. C’est un show médiatique sans limites du président Sebastian Piñera ». Et de rappeler que le gouvernement vénézuélien a répondu à ce « show » en envoyant 20 .000 cartons contenant un panier d’aliments de base aux familles colombiennes de ce côté de la frontière ! Cela ne risque pas de faire la une des médias…

Le Venezuela a les plus grands réserves mondiales de pétrole. Ceci explique cela. L’ancien directeur du FBI Andrew McCabe, a reproduit dans son livre, “In the threat”, le contenu d’une réunion du Bureau ovale en 2017 : « Puis le président a parlé du Venezuela. C’est avec ce pays que nous devrions entrer en guerre, a-t-il dit. Ils ont tout ce pétrole et ils ne sont pas plus loin que dans notre arrière-cour. »




L’effet Macron-Rothschild : des élèves de CM1-CM2 rencontrent des banquiers à l’école

[Source : Égalité et Réconciliation]

Bonjour
le symbole. Après les déportés qui viennent raconter la Souffrance,
après les couples LGBT qui viennent raconter les joies de
l’Homosexualité et de la Masturbation, les enfants des écoles se tapent
maintenant la tournée des banquiers. C’est logique, du point de vue du
Système : Macron est un peu la fusion de toutes ces minorités
dominantes.

L’argent n’est pas un tabou, ou ne devrait pas l’être. Mais le conflit social en France depuis 250 ans a fait de l’argent l’objet central de toutes les convoitises et de toutes les discussions. L’idéologie du profit anglo-saxonne a envahi d’abord notre sphère économique, puis politique, puis sociétale. Maintenant beaucoup de jeunes se battent, et souvent entre eux, pour « faire du fric », mais il n’est pas seulement question de survie : c’est la course au fric pour le fric. Une fois que les besoins élémentaires sont couverts, on pourrait penser que l’être humain en général et le Français en particulier passerait à autre chose mais non. Il y a l’excitation de la consommation, le toujours plus érigé en stratégie individuelle et collective. On part en vacances en Croatie mais on rêve de Cuba, on mange à l’Hippo mais on rêve de Bocuse… Nietzsche disait, dépité, que c’était humain, trop humain.

La société française a donc été, propagande aidant, décomplexée non pas sur l’argent mais sur le profit, nuance. Du fric il en faut ; l’idéologie du profit, c’est plus dangereux, ça fout les peuples en l’air d’une façon ou d’une autre et ça n’enrichit qu’une minorité infime, les 1% dont parlent les Pinçon-Charlot. Voilà pourquoi on se retrouve en pleine « semaine européenne de l’argent », et que « la Fédération Française bancaire lance cette semaine la cinquième édition de son opération « J’invite un banquier dans ma classe », pour apprendre aux écoliers à gérer un budget à l’aide d’un jeu ». C’est francetvinfo qui nous l’apprend.

La version 2018 de « J’invite un banquier dans ma classe » (notez que les mômes préféreraient inviter Mbappé) :

Des questions sur vos parents qui se font entuber par leur banquier, les enfants ?

La cerise sur le gâteau carbonisé, c’est que les visiteurs de la
Banque viennent dans les classes de pauvres (une CM1-CM2 de Paris XIXe
classée en ZEP, zone d’éducation prioritaire), c’est-à-dire que les
envoyés – en l’occurrence la directrice générale de la Fédération
bancaire française, Marie-Anne Barbat-Layanides – des grands prédateurs
nationaux et transnationaux rendent visite aux enfants de leurs
victimes !

« Je savais que l’épouse du chef de l’État ne devait pas avoir de
rôle politique. Quand on voit ce qui est arrivé à Marie-Antoinette… Et
l’impératrice Eugénie a fait faire beaucoup de bêtises à son mari. Je me
voyais plutôt comme une sorte de “public relations”, un intermédiaire
entre le Président et les Français. C’est pour cela que j’ai fait tous
ces déplacements en province, plus d’une centaine en sept ans. »
(Anne-Aymone à Paris Match)

On dirait madame Giscard chez les pauvres dans les années 70 ! Les
exercices donnent le tournis, surtout quand on sait que ces mômes ont
toutes les chances de ne jamais crouler sous la thune :

« « Mon père a acheté un tableau à un jeune artiste qu’il expose dans
la salon. Il est ravi, il dit que c’est un investissement », lit sagement
un élève. « Qu’est-ce que cela signifie ? » « C’est lorsqu’on met de
l’argent de côté ? », tente un élève. « Non. Là ton papa n’a pas mis
l’argent de côté, il l’a dépensé », explique la maîtresse. « Le principe
de l’investissement, c’est que j’espère que je vais gagner plus d’argent
après, que l’argent que j’avais mis au départ. Le point est à moitié
gagné ! » »

Compris, les pauvros ? On ne dépense pas son fric en conneries, on le
laisse à la banque qui saura le gérer et ensuite, si jamais vous avez
un petit découvert, elle saura vous taper sur la gueule et vous
extorquer tout ce qu’elle peut ! En tout cas la Barbat elle est
contente, la future génération va bien se faire ratisser :

« Il se trouve qu’il est intéressant pour les banquiers d’avoir des
clients qui savent gérer leur argent. Là, c’est une première étape pour
leur donner quelques notions et il est surprenant de voir à quel point
les enfants sont désireux d’apprendre. »

La conclusion de l’article confirme l’anglo-saxonnisation de la France sur le sujet :

« On aurait pu supposer qu’à annoncer la venue de banquiers dans les
écoles, certaines voix auraient pu s’élever du côté des parents
d’élèves. « Il n’y a eu aucune question particulière, fait remarquer la
maîtresse. Je pense qu’ils sont très enthousiastes : ce sont des enfants
qui grandissent, et ils auront de plus en plus à dépenser de l’argent,
sous toutes ses formes. C’était ludique, interactif, très bien pour leur
âge. » »

Il ne reste plus qu’à attendre la visite de la troïka formée par un
déporté, un couple LGBT et un banquier et là, on sera au nirvana de
l’excitation macronique.

Attendez, une dernière pour la route !

Que le CRIF nous pardonne cette saillie (qui risque un jour de
devenir réalité) : on pourrait faire des économies – l’école française
n’est pas riche – en fusionnant nos trois minorités en une seule qui
serait un banquier déporté à tendance homosexuelle. Là les mômes en
apprendraient plus sur le Système en une heure qu’en 12 ans de
scolarité. Reste à voir si les parents sont d’accord car un banquier
pédé, ça peut avoir des effets pervers…

Nino a été banquier, il raconte :

Emmanuel, aujourd’hui banquier qui a réussi, se retrouve face à des enfants pour son grand débat personnel. Cliquez ici pour comprendre comment on devient banquier :

On attend maintenant, l’école étant un lieu politiquement neutre, que des marxistes purs et durs viennent expliquer la logique du profit et ses conséquences aux mêmes élèves.




Comment une pandémie virale bénéficie à l’agenda mondialiste (Activistpost)

[Source : Crashdebug]

Par Brandon Smith

Le
monde d’aujourd’hui souffre de conditions économiques et géopolitiques
très fragiles.  Ce n’est pas une nouvelle pour la plupart des membres du
mouvement pour la liberté qui suivent la spirale descendante depuis des
années, mais c’est une nouvelle pour une majorité d’Américains moyens
qui s’aventurent rarement à obtenir des informations approfondies sur
quelque sujet que ce soit. Le fait est que, même si nous sommes des
millions à être conscients du danger, nous sommes toujours en minorité.

Cela
crée un ensemble de frustrations graves. Lorsque le citoyen ordinaire
ignore l’existence d’une menace, essayer de lui expliquer la source de
cette menace devient une perte de temps. Comment peuvent-ils voir la
racine du problème s’ils ne savent même pas que le problème existe ?

Oui,
le monde est au bord d’un changement radical, mais ce n’est pas la
question la plus importante. La question la plus importante est que
cette situation précaire n’est pas le produit du hasard, de la simple
cupidité, de la fragilité humaine ou d’un système « trop complexe » comme
le prétendent les experts du courant dominant ; c’est une boîte de chaos
délibérément conçue pour servir les intérêts de quelques privilégiés.

Le
programme mondialiste est compliqué dans sa conception mais simple dans
ses objectifs : Sortir du chaos par l’ordre. Créer ou exploiter chaque
crise pour manipuler le public afin qu’il donne son consentement.  Mais
un consentement pour quoi faire ?

Comme l’a écrit Richard N. Gardner, ancien sous-secrétaire d’État adjoint aux organisations internationales sous Kennedy et Johnson, et membre de la Commission trilatérale, dans le numéro d’avril 1974 de la revue Foreign Affairs du Council on Foreign Relation (CFR) (p. 558), dans un article intitulé « The Hard Road To World Order » :

    En bref, la « maison de l’ordre mondial » devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande « confusion bourdonnante », pour reprendre la célèbre description de la réalité de William James, mais une course de fond autour de la souveraineté nationale, l’érodant pièce par pièce, accomplira bien plus que l’assaut frontal à l’ancienne.

Une
pandémie mondiale, qu’elle soit naturelle ou délibérément provoquée,
sert en fait les objectifs de l’establishment mondialiste de plusieurs
façons. D’abord et avant tout, elle constitue une superbe distraction.
Le grand public, submergé par la peur d’une force invisible de la nature
qui peut le tuer à tout moment, oubliera probablement la menace bien
plus grande qui pèse sur sa vie, sa liberté et son avenir, à savoir
l’effondrement de l’énorme « bulle de tout » et la « solution » mondialiste
qu’une pandémie peut déclencher.

Le
coronavirus n’est qu’une menace modérée par rapport à la crise
économique. Cela dit, je voudrais aborder quelques questions concernant
le virus lui-même avant d’aborder la question économique.

Désinformation sur le virus

J’ai
vu beaucoup d’hypothèses délirantes et de désinformation pure et simple
propagées par les gens en ce qui concerne cette pandémie potentielle.
Tout d’abord, l’idée qu’elle ait été causée par des citoyens chinois
« mangeant des chauves-souris » ou exposés à un marché d’animaux vivants
est plutôt ridicule. Nous n’avons vu AUCUNE preuve tangible que cela
soit vrai, et je crois que le récit est une couverture pour le fait que
la ville de Wuhan où l’épidémie de virus a commencé abrite non pas un
mais DEUX laboratoires de niveau 4 pour les risques biologiques.

J’ai du mal à ignorer l’étrange « coïncidence » des laboratoires de haut niveau de Wuhan en faveur de l’idée que le virus a été lancé par hasard en raison des régimes alimentaires bizarres des habitants de la Chine centrale. Au vu des preuves, il semble que le coronavirus ait été mis en gestation dans un laboratoire, et non dans la soupe aux chauves-souris et aux serpents de quelqu’un. En 2017, des scientifiques étrangers ont averti que ces laboratoires n’étaient pas sécurisés et qu’un virus pourrait s’échapper d’une de ces installations.

J’utiliserais le terme « évasion » de manière vague, car il est possible que cet événement ait été créé intentionnellement. Le virus lui-même présente certaines caractéristiques d’ingénierie (notamment sa longue période de dormance sans symptômes visibles) et la souche actuelle est probablement dérivée de celle que les Chinois ont volée il y a un an dans un laboratoire de Winnipeg, au Canada.

Mais la situation est encore plus étrange

Il
y a seulement trois mois, John Hopkins, la Fondation Bill et Melinda
Gates et le Forum économique mondial (une ruche de mondialistes
autoproclamés) ont lancé une « simulation de pandémie » appelée « Event
201 », spécifiquement axée sur le coronavirus. Pas Ebola, ni la grippe
porcine, ni même la grippe aviaire – mais CORONAVIRUS. La simulation met
en scène la propagation d’un coronavirus en Amérique du Sud, attribuée à
la transmission de l’animal à l’homme (les porcs). La conclusion de
l’exercice était que les gouvernements nationaux étaient loin d’être
prêts, avec une note de 40 sur 100 sur leur échelle de préparation. La
simulation prévoyait plus de 65 millions de décès dans le monde.

L’événement
201 s’est déroulé presque exactement comme il l’a été en Chine
aujourd’hui. Certaines personnes très malhonnêtes ou peut-être plutôt
stupides ont affirmé que ce genre de choses était « normal », prétendant
que nous avons « de la chance » que les élites aient effectué des
simulations à l’avance afin de « nous sauver » d’une épidémie de
coronavirus. J’affirme que l’événement 201 n’était pas une simulation
mais un jeu de guerre pour étudier les résultats possibles d’un
événement dont les mondialistes savaient déjà qu’il allait se produire.
Si l’on met de côté le fait qu’avant presque chaque crise majeure et
chaque attaque terroriste de ces dernières décennies, les autorités
effectuaient des simulations pour cet événement précis juste avant qu’il
ne se produise ; quelqu’un croit-il vraiment que l’événement 201 est
une pure coïncidence ?

Une
autre fausse hypothèse à laquelle il faut s’attaquer est l’idée qu’une
menace virale ne frappera pas l’Occident, ou du moins pas les
États-Unis. Je ne pense pas que la plupart des cultures, à l’exception
des Américains, souffrent de ce biais étrange ; la croyance qu’ils sont
intouchables et que le système évitera toujours les crises. D’après les
réponses que j’ai vues récemment, beaucoup d’Américains vivent dans un
monde imaginaire. Même maintenant, le monde de l’investissement fait
grand cas de la prévision selon laquelle la Réserve fédérale
interviendra pour perturber tout ralentissement économique lié à la
pandémie.

Même
si la Fed avait l’intention d’intervenir, pourquoi serait-on assez naïf
pour croire que la banque centrale peut faire quoi que ce soit pour
empêcher qu’une épidémie virale ne nuise à l’économie ? Les banques
centrales ne peuvent rien faire d’autre que de créer de la dette, et la
dette ne permettra pas de vaincre le coronavirus.

En
termes d’optimisme délirant sur la pandémie elle-même, les arguments
vont de « le dépistage des voyageurs est trop complet pour permettre au
virus de se propager ici » à « tant que le virus détruit la Chine, qui
s’en soucie ? Il s’agit là d’une vision étroite de la situation.

Le
processus de filtrage est terrible et implique généralement des
questions fondamentales qui peuvent être éludées par des mensonges. Mais
au-delà de cela, le virus est déjà là. Il a circulé en Chine pendant au
moins quelques semaines avant que les autorités gouvernementales ou le
CDC ne s’en occupent. Il serait également asymptomatique, ce qui
signifie qu’il reste en sommeil, mais aussi contagieux, pendant deux
semaines avant que les symptômes ne deviennent visibles. Ce scénario est
bien pire que la crainte d’Ebola en 2014, dans la mesure où ce
coronavirus est capable de se cacher efficacement. La seule chose que
l’on puisse faire pour ralentir la propagation est d’interdire TOUS les
voyages internationaux, ce que le CDC et l’OMS n’ont pas l’intention de
faire pour l’instant, même si cela n’a plus d’importance avec plus de
110 cas suspects aux États-Unis déjà.

Soyons
donc réalistes. Si le virus est aussi contagieux que le prétendent le
CDC et les scientifiques indépendants, alors nous en verrons les effets
ici en Amérique.

Ne jamais laisser une bonne crise se perdre…

Mais
qu’est-ce que les mondialistes ont à gagner directement d’une pandémie
de coronavirus, au-delà du simple chaos exploitable ?

Il
est intéressant de noter qu’un représentant de Johnson and Johnson,
l’une des entreprises qui pourrait finir par concevoir un « vaccin »
contre le coronavirus, a suggéré lors de l’événement 201 qu’une autorité
économique mondiale « centralisée » chargée de financer et d’acheter des
vaccins pour les différentes nations en crise était une option pour
résoudre la pandémie.

Cela ressemble étrangement à ce que les mondialistes réclament depuis de nombreuses années maintenant, et il se trouve que la pandémie offre une excuse parfaite pour la création d’une telle autorité financière mondiale unique. Ils pourraient prétendre qu’un tel système serait temporaire en fonction de la durée de la pandémie, mais ce sera un mensonge.

En
ce qui concerne les effets économiques, même si le virus devait rester
principalement en Chine, l’économie chinoise est, en termes
fondamentaux, la plus importante au monde ; elle est le plus grand
exportateur/importateur et elle est au cœur de l’économie mondiale
désormais interdépendante. Si l’économie chinoise s’effondre, même pour
une courte période, cela provoquera une onde de choc dans toutes les
autres économies nationales et les lignes d’approvisionnement.

En mai de l’année dernière, j’ai publié un article intitulé « Les mondialistes n’ont besoin que d’un événement majeur de plus pour finir de saboter l’économie« . Pour résumer la situation :

L’establishment
mondialiste a créé la plus grande bulle financière de l’histoire
moderne par le biais des mesures de relance des banques centrales, en
gonflant un rallye artificiel très instable sur les marchés tout en
créant de nouveaux sommets dans la dette nationale, la dette des
entreprises et la dette des consommateurs. Les fondamentaux économiques
ont tiré la sonnette d’alarme ces deux dernières années, et la « bulle du
tout » montre des signes d’implosion. Ce n’est qu’une question de temps
avant que la farce ne s’effondre d’elle-même. Les mondialistes ont
besoin de boucs émissaires, mais ils ont aussi besoin d’un événement ou
d’une vague d’événements si distrayants que les gens ne pourront pas
discerner ce qui s’est réellement passé.

La
raison pour laquelle les mondialistes veulent un effondrement est
simple : ils ont besoin d’une crise afin de manipuler les masses pour
qu’elles acceptent une centralisation totale, un système monétaire
mondial et une gouvernance mondiale. Ils sont également de fervents
partisans de l’eugénisme et de la réduction de la population. Pour eux,
une pandémie mondiale est à tout le moins une circonstance utile ; mais
le moment où le coronavirus s’est manifesté et leur « simulation » très
précise d’il y a seulement trois mois suggèrent également leur
implication potentielle, car elle survient au moment même où l’implosion
de la bulle « Du Tout » s’accélérait.

Considérez
ceci : Même si une pandémie ne tue pas un grand nombre de personnes,
elle perturbe toujours les voyages internationaux, elle perturbe les
exportations et les importations, elle perturbe le comportement des
consommateurs et les ventes au détail, et elle perturbe le commerce
intérieur. Si elle tue un grand nombre de personnes et si la réponse du
gouvernement chinois est une indication, elle pourrait entraîner une loi
martiale mondiale. De nombreuses économies, dont celle des États-Unis,
étant déjà dans un équilibre précaire entre une dette historique et une
demande en chute libre et une intervention inutile de la banque centrale
sur le marché des pensions, il y a peu de chances que le système puisse
résister à un tel tsunami.

Ne
vous y trompez pas, l’effondrement a déjà commencé, que le virus frappe
durement les États-Unis ou non. La seule question est de savoir si ce
sera l’événement déclencheur qui accélérera le processus d’effondrement
déjà en cours.

J’ai pris mon temps pour publier cet article parce que je pensais qu’il était important d’observer d’abord la réaction des Chinois, du CDC et de l’OMS face au virus. S’ils réagissaient rapidement, il y avait une chance que la situation n’ait qu’une influence mineure sur le système financier. Ils n’ont pas fait face à la situation rapidement ou de manière décisive. En fait, plus de 5 millions de personnes ont quitté la région du Hubei en Chine avant que les procédures de quarantaine et de traitement ne soient mises en place. La situation est devenue incontrôlable en Chine et il est clair que le gouvernement ment maintenant sur le nombre de malades et de morts.

Je
ne serais pas surpris si nous découvrions dans les deux prochaines
semaines que le nombre de décès se compte par milliers et que le taux de
maladie se compte en fait par centaines de milliers. Le fait que la
Chine ait maintenant mis en quarantaine plus de 50 millions de personnes
dans 16 villes suggère que le danger est beaucoup plus élevé qu’elle ne
l’a admis. Si c’est le cas, l’économie chinoise est au moins sur le
point de subir un coup dur. Si le virus ne se propage pas, les dommages
économiques le feront.

Les
États-Unis et la Chine sont toujours en pleine guerre commerciale.
L’accord de la phase 1 a toujours été une blague, car il exige que la
Chine quadruple ses achats auprès des États-Unis dans les 1 à 2
prochaines années. Cela n’allait jamais se produire, mais les faux
espoirs (ainsi que les rachats d’actions par les entreprises) ont permis
de sortir les actions mondiales de leur revirement. Aujourd’hui, il n’y
a aucune chance que la Chine remplisse les conditions de la phase 1 de
l’accord et cela deviendra bientôt évident, car l’économie chinoise va
s’effondrer sous le poids de la pandémie.

Si Trump maintient les droits de douane contre une nation en état d’urgence virale, il aura l’air d’un monstre (ce qui, je crois, est son travail de marionnette mondialiste prétendant être un nationaliste conservateur). Dans l’intervalle, le commerce mondial s’embrouille et les derniers soutiens structurels du système se brisent en deux.

Les
lignes d’approvisionnement mondiales étant gelées et les voyages
éventuellement restreints, le commerce va s’arrêter. Il n’y a pas
d’autre solution. Il ne s’agit pas seulement de la Chine, il s’agit de
toutes les nations.  Et, en fin de compte, il ne s’agit même pas du
coronavirus, mais de la bombe à retardement financière que
l’establishment mondialiste a créée. Il s’agit de notre interdépendance
économique et du château de cartes que nous sommes devenus. Au lendemain
de la catastrophe, les mondialistes réclameront encore PLUS
d’interdépendance. Ils prétendront que la tragédie a frappé parce que
nous n’étions pas « assez centralisés ».

Un autre avantage
de la crise virale est que l’establishment accusera sans aucun doute le
canular du « changement climatique » et du « réchauffement planétaire »
pour son élan. Même s’il n’y a absolument aucune preuve concrète reliant
les émissions de carbone humaines au changement climatique ou aux
épidémies virales, étant donné la crainte du public, les mondialistes
tenteront de relier les trois choses comme si c’était un fait avéré. Non
seulement ils auront une justification pour un effondrement économique
qu’ils ont créé, mais ils peuvent aussi présenter un virus créé par
l’homme en laboratoire comme un « acte de la nature », et l’utiliser comme
justification pour mettre en place des contrôles du carbone.

Dans le prochain numéro de ma lettre d’information « Wild Bunch Dispatch« , je présenterai des solutions et des options de préparation pour survivre à un scénario de pandémie ; tout n’est pas perdu si cet événement s’accélère comme l’ont prédit les mondialistes dans leur modèle « Event 201 ». Il est encore difficile de le dire avec certitude, mais il semble que ce soit le « cygne noir » que les mondialistes attendaient (ou planifiaient) depuis le début. Il est recommandé de rester vigilant face à la pandémie, mais de ne pas oublier le désastre économique qui suivra inévitablement la propagation du coronavirus.


Vous pouvez contacter Brandon Smith à l’adresse suivante : brandon@alt-market.com

Source de l’article : Alt-Market.com




A chacun ses « droits de l’homme » !

[Source : Librairie Tropiques]

par Bruno Guigue

Dans son ouvrage intitulé Le Piège de Thucydide,
l’universitaire américain Graham Allison se demande comment les
Etats-Unis vont pouvoir enrayer la montée de la Chine. Ce ne sera pas en
lui faisant la guerre, reconnaît cet auteur, car la puissance militaire
chinoise est dissuasive, et en cas d’affrontement, les dommages causés
aux uns et aux autres seraient insupportables. Ce ne sera pas non plus
sur le terrain économique, car sur ce terrain, estime Graham Allison,
les Chinois ont déjà détrôné l’ex-première puissance planétaire et il y a
tout lieu de penser qu’ils vont confirmer cet avantage dans les années à
venir.

Faut-il
donc que les Etats-Unis se résignent à la victoire de leur nouvel
adversaire systémique au moment où Mike Pompeo, le chef de la diplomatie
américaine, désigne le parti communiste chinois comme le « principal
ennemi » de son pays ? Graham Allison répond alors par la négative. Si
l’on ne peut rien attendre d’un conflit armé parce qu’il serait
suicidaire, ni d’une compétition économique perdue d’avance, il reste
toutefois un domaine où Washington peut compenser son infériorité,
dit-il, et ce domaine est celui des « droits de l’homme ».

Comme
jadis face à l’Union soviétique, la litanie des « droits de l’homme »
est le carburant idéologique de la nouvelle guerre froide. Si l’on en
croit les dirigeants américains, et ce discours est relayé par une
presse occidentale servile, les Chinois commettraient des horreurs sans
nom contre leur propre population. Au Xinjiang, région autonome du
Nord-Ouest de la Chine, « des millions » de Ouïghours seraient enfermés
et torturés dans des camps de concentration. Or cette accusation
grotesque a été démentie par Pékin et par des dizaines de pays musulmans
qui se félicitent de la politique préventive et répressive menée par la
Chine contre le terrorisme d’importation made in CIA.

A
Hong Kong, lors des manifestations populaires qui ont secoué l’ancienne
colonie britannique, la presse occidentale prophétisait un bain de sang
analogue au « massacre » de la Place Tiananmen. Malgré les provocations
d’agitateurs extrémistes ouvertement soutenus par les Etats-Unis, le
maintien de l’ordre par la police de Hong Kong s’est caractérisé au
contraire par sa retenue, offrant un contraste saisissant avec la
violence déchaînée en France, au même moment, contre les Gilets Jaunes,
avec ces dizaines de milliers d’arrestations, ces 200 blessés graves et
ces 25 mutilés qui portent l’empreinte de notre belle « démocratie » et
dont il n’y a aucun équivalent en Chine, un pays pourtant qualifié par
l’Occident de « dictature totalitaire ».

Ainsi
la propagande invente un monde imaginaire où la conscience occidentale
vierge de toute impureté, en croyant dénoncer les turpitudes commises
par les autres, ne chasse que des fantômes. Elle excelle dans l’art de
fabriquer des faits inexistants, d’anticiper des événements
invraisemblables et de substituer à la réalité des faits une réalité
fantasmée. Et à chaque fois, à chaque mensonge, cette propagande brandit
les « droits de l’homme » comme Moïse brandissait les Tables de la Loi.
Et à chaque fois, l’Occident dopé à la moraline distribue les
châtiments et les récompenses, comme s’il était le dépositaire universel
de ces « droits de l’homme » qui coïncident si aisément avec ses
propres intérêts.

On
se demande bien, pourtant, à quel titre un pays comme les Etats-Unis
serait fondé à juger la politique intérieure des autres pays à l’aune de
principes humanistes. Fondé par des colons esclavagistes et
génocidaires qui se prenaient pour le peuple élu, cet Etat a surtout
brillé durant sa brève histoire par sa capacité à violer les droits de
l’homme non-américain et de l’homme non-blanc, quitte à massacrer des
populations entières lorsqu’elles se montraient peu réceptives au
message salvateur. Comme les autres, la doctrine des droits de l’homme
ne vaut rien s’il s’avère que son application justifie des horreurs. Et
si les droits de l’homme sont « universels et imprescriptibles », ceux
qui les ont constamment à la bouche ont surtout fait la démonstration
qu’ils n’étaient ni l’un ni l’autre.

Il
est légitime, en tout cas, de se demander pourquoi la doctrine des
droits de l’homme est un instrument de propagande si commode. On
pourrait répondre, bien sûr, par la thèse du détournement pervers. Si la
doctrine justifie ce qu’elle paraît condamner, c’est que les puissants
l’ont « détournée » de son sens originel. La doctrine serait pure,
certes, mais son usage, lui, serait impur. C’est ce que dit Rousseau à
propos des lois. Idéalement, elles sont l’expression de la volonté
générale, elles visent l’intérêt commun. Mais « dans les faits, dit-il,
les lois sont utiles à ceux qui possèdent et nuisibles à ceux qui n’ont
rien ». Car dans le monde réel ce sont les puissants qui font les lois,
et dans une société injuste, les lois ne peuvent être justes.

Or
on ne peut faire le même raisonnement à propos des droits de l’homme.
On ne peut pas se contenter de dire, par exemple : les droits de l’homme
sont une chose excellente, mais les Etats-Unis les détournent de leur
véritable signification, ils les utilisent pour justifier l’ingérence
dans les affaires des autres nations et couvrir leur impérialisme des
oripeaux de l’humanisme. Naturellement cette proposition est vraie :
oui, les Etats-Unis instrumentalisent la doctrine des droits de l’homme.
Mais il ne suffit pas de faire ce constat. Car si cette
instrumentalisation est possible, c’est qu’il y a quelque chose dans la
doctrine des droits de l’homme qui se prête à cette instrumentalisation.

Pour
saisir cette relation, Il faut se pencher sur la fameuse « Déclaration
des droits de l’Homme et du Citoyen » de 1789. Elle énonce à l’article 1
que « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ».
Puis son article 2 précise que « les droits naturels et imprescriptibles
de l’homme sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à
l’oppression ». On notera aussitôt que l’égalité ne fait pas partie explicitement
des droits de l’homme, que la propriété vient immédiatement après la
liberté et que la sûreté, qui garantit la liberté et la propriété,
occupe la troisième place.

On
relèvera aussi la définition de la liberté, à l’article 4, comme «  le
pouvoir de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui ». Or,
comme dit Marx, cette liberté est celle de « l’homme considéré comme une
monade isolée, repliée sur elle-même ». Purement individuelle, cette
liberté a des limites qui sont « marquées par la loi, de même que la
limite de deux champs est déterminée par un piquet ». Fort logiquement
cette liberté de l’individu s’épanouit avec la propriété, ce droit de
« jouir de sa fortune et d’en disposer à son gré, sans se soucier des
autres hommes, indépendamment de la société ».

Au
fond, conclut Marx, « aucun des prétendus droits de l’homme ne dépasse
l’homme égoïste, l’homme en tant que membre de la société bourgeoise,
c’est-à-dire un individu séparé de la communauté, replié sur lui-même,
uniquement préoccupé de son intérêt personnel et obéissant a son
arbitraire privé. L’homme est loin d’y être considéré comme un être
générique ; tout au contraire, la vie générique elle-même, la société,
apparaît comme un cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de
son indépendance originelle » (Sur la Question juive, 1843).

Autrement
dit, les droits affirmés par la déclaration de 1789 sont des droits
abstraits qui ne correspondent à aucune réalité concrète hormis
l’exercice par les propriétaires de leur droit de propriété et la
garantie solennelle que leur offre la société bourgeoise. Elle a beau
proclamer le caractère universel et imprescriptible de la « liberté »,
par exemple, ce ne sont que des mots. Séparée du cadre social
susceptible de lui donner un contenu, cette universalité présumée est
une universalité abstraite, et non une universalité concrète. Si l’on
veut prendre au sérieux la liberté, il faut en faire un droit concret,
et non un droit abstrait. Et pour qu’elle accède à cette réalité
concrète, pour qu’elle ait un contenu, il faut la penser autrement que
comme la liberté de l’individu.

Il
fallait faire ce bref détour par l’analyse théorique pour saisir la
véritable portée de l’idéologie des droits de l’homme. Le texte de 1789
est un manifeste dont la fonction est de rendre légitime le transfert du
pouvoir, sous toutes ses formes, à la bourgeoisie montante. Il entend
justifier la rupture avec la société féodale et ses hiérarchies
héréditaires. Mais il n’affirme l’égalité en droits que pour justifier
les inégalités de fortune. Son principal rédacteur, l’abbé Sieyès, est
l’inventeur de la fameuse distinction entre « citoyens actifs » et
« citoyens passifs » : seuls les premiers, parce qu’ils sont
propriétaires, sont appelés à voter car ils sont « les véritables
actionnaires de la grande entreprise sociale ».

Lorsqu’on
entend certains Etats invoquer les droits de l’homme pour stigmatiser
leurs adversaires, il n’est pas inutile de se rappeler que la
déclaration des droits dont se réclament les premiers n’est que la
déclaration des droits de la bourgeoisie. Lors des débats
parlementaires, Robespierre dénonçait déjà le caractère de classe du
futur texte : « Vous avez multiplié les articles pour assurer la plus
grande liberté à l’exercice de la propriété, et vous n’avez pas dit un
seul mot pour en déterminer le caractère légitime ; de manière que votre
déclaration paraît faite, non pour les hommes, mais pour les riches,
pour les accapareurs, les agioteurs et les tyrans ».

On
comprend mieux, dès lors, que la compassion humaniste de nos
merveilleuses « démocraties » soit à géométrie variable. Les Etats-Unis
n’ont jamais émis la moindre réserve à l’égard de leur ami, le dictateur
cubain Fulgencio Batista, et de ses pratiques répressives, mais ils ont
déchaîné leur propagande contre Cuba le jour où le gouvernement
révolutionnaire de Fidel Castro a décidé de nationaliser les actifs des
compagnies américaines installées sur le sol national. La « liberté »,
pour Washington, c’est le droit de ses propres compagnies à encaisser
indéfiniment les profits de l’exploitation économique d’un petit pays de
la Caraïbe. Manifestement, la « liberté » n’est pas le droit d’une
nation à défendre sa souveraineté et à promouvoir son développement.

Si
les dirigeants des Etats-Unis, aujourd’hui, tentent de déstabiliser la
Chine, ce n’est pas parce qu’il y a des « millions de Ouïghours » dans
des camps de concentration. Ils savent très bien que c’est une fable
grotesque, analogue à l’attaque des vedettes nord-vietnamiennes, aux
armes de destruction massive de Saddam Hussein, aux couveuses de
Koweit-City, aux tueries imaginaires de Kadhafi et aux crimes chimiques
de Bachar Al-Assad. Le droit-de-l’hommisme made in CIA est une
formidable usine à mensonges, acharnée à occuper le quantum de cerveau
disponible des téléspectateurs occidentaux pour justifier ses opérations
prédatrices, avec le concours d’ONG trop heureuses d’apporter leurs
boules de neige à cette avalanche de calomnies qui s’abat sur les pays
qui osent résister à l’hégémonisme occidental.

Si
Washington veut en découdre avec la Chine, donc, ce n’est pas parce que
les Chinois sont opprimés par une abominable dictature et qu’ils rêvent
secrètement de connaître le bonheur de vivre à l’américaine, avec
fusillades dans les collèges, discrimination raciale, mafias en tout
genre et soupes populaires. C’est, tout simplement, parce que ce pays
est attaché à sa souveraineté, qu’il est doté d’un système performant,
que ses dirigeants en ont fait la première puissance de la planète et
que les perspectives de profit de l’oligarchie financière mondialisée
dont le quartier général est à Wall Street, dans ces conditions, tendent
sérieusement à s’amenuiser au même rythme que l’espoir, pour les
Etats-Unis, de préserver une hégémonie vacillante.

On
ne s’en étonnera pas, bien sûr, mais que les Chinois aient sorti de la
pauvreté 700 millions de personnes en 20 ans n’intéresse guère les
belles âmes du droit-de-l’hommisme occidental. Brillant théoricien du
néolibéralisme, Friedrich Hayek estimait que les droits sociaux inscrits
dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 étaient
une abomination. Ces droits à la vie, au travail, à la santé ou à
l’éducation ont pourtant le double mérite d’être véritablement
universels dans leur définition et de correspondre à des possibilités
concrètes dès lors que les Etats leur offrent un contenu. Contrairement à
la Déclaration de 1789, celle de 1948 traduisait en effet un rapport de
forces entre bourgeoisie et classes populaires issu du pacte social
scellé à la Libération et favorisé par l’effondrement du libéralisme.

Au
vu des résultats, certains pays semblent avoir pris au sérieux les
droits sociaux proclamés en 1948. Ces pays n’ont rien de libéral, et
c’est pourquoi ils se sont dotés, au profit du grand nombre, d’un
système éducatif et d’un système sanitaire qui fonctionnent. Malgré le
blocus, Cuba a créé un système de santé récompensé par l’OMS, et
l’espérance de vie à Cuba (80 ans) a dépassé celle des Etats-Unis (79
ans). Lors de la dernière évaluation internationale des systèmes
éducatifs (PISA), qui a porté sur un échantillon de 600 000 lycéens dans
50 pays au cours de l’année 2018, la République populaire de Chine est
arrivée en tête à égalité avec Singapour. Ces résultats obtenus
aujourd’hui par un pays qui comptait 80% d’analphabètes en 1949
devraient faire réfléchir tous ceux qui s’intéressent à la
transformation effective des droits formels en droits réels.

Mais
le droit-de-l’hommisme ordinaire, celui des ONG, ne s’intéresse qu’aux
droits individuels et délaisse les droits collectifs. Sa compassion pour
l’humanité souffrante est sélective. Il ne se mobilise que pour des
minorités ou des individus isolés, agissant au cas par cas en
sélectionnant ceux qu’il juge dignes de son attention. Il veut combattre
la discrimination et non l’exploitation, l’exclusion et non la
pauvreté, la privation de liberté infligée à quelques-uns et non la
misère imposée au grand nombre. Il ne connaît que des individus porteurs
de droits et se soucie peu de savoir s’il y a parmi eux des riches et
des pauvres. Le seul combat qui compte à ses yeux vise à aligner des
individus abstraits sur un standard restreint aux libertés formelles.

En
réalité, le droit-de-l’hommisme ordinaire occulte le fait que les
libertés ne sont effectives que si les droits collectifs sont garantis
par certaines structures sociales. Il tend à masquer le fait que les
droits sont réels si les individus sont correctement nourris, logés,
éduqués et soignés, et ces conditions ne sont réunies à leur tour que si
l’État prend les choses en main et les inscrit dans la durée. Bref, ces
belles âmes oublient tout simplement que les individus ne sont rien
sans la société et que les droits dont on réclame l’application ne sont
que du vent si la société, délibérément, ne leur donne pas un contenu
concret au lieu de s’en remettre aux mirifiques lois du marché vantées
par un libéralisme frelaté.

Cultivant
cet oubli, et participant de cette occultation, les ONG pétries
d’humanisme réduisent alors l’humanité souffrante à un agrégat
indistinct d’individus abstraits, atomisés, dont le sort n’est
intéressant que s’il témoigne d’une violation réelle ou imaginaire de
leurs droits individuels, de préférence dans un pays exotique qui se
trouve dans le collimateur de Washington. C’est sans doute pourquoi le
principal événement sociologique planétaire des deux dernières
décennies, à savoir l’éradication de la pauvreté en République populaire
de Chine, les intéresse beaucoup moins que les camps de concentration
imaginaires du Xinjiang et les poubelles renversées par de jeunes
imbéciles dans le métro de Hong Kong.

Bruno Guigue
 

Pour en savoir plus…

La Question Juive

(où Marx traite la question de l’émancipation politique)

K. Marx
1843

Extrait

D’après
Bauer, l’homme doit sacrifier le « privilège de la foi », pour pouvoir
recevoir les droits généraux de l’homme. Considérons un instant ce qu’on
appelle les droits de l’homme, considérons les droits de l’homme sous
leur forme authentique, sous la forme qu’ils ont chez leurs inventeurs,
les Américains du Nord et les Français ! Ces droits de l’homme sont,
pour une partie, des droits politiques, des droits qui ne peuvent être exercés que si l’on est membre d’une communauté. La participation à l’essence générale, à la vie politique commune à la vie de l’État, voilà leur contenu. Ils rentrent dans la catégorie de la liberté politique, dans la catégorie des droits civiques qui,
ainsi que nous l’avons vu, ne supposent nullement la suppression
absolue et positive de la religion, ni, par suite, du judaïsme. Il nous
reste à considérer l’autre partie, c’est-à-dire les « droits de l’homme », en ce qu’ils diffèrent des droits du citoyen.

« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions même religieuses.
» (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 1791, art. 10.) Au
titre de la Constitution de 1791 il est garanti, comme droit de l’homme :
« La liberté à tout homme d’exercer le culte religieux auquel il est
attaché. »

La
Déclaration des droits de l’homme, 1793, énumère parmi les droits de
l’homme, art. 7 : « Le libre exercice des cultes. » Bien plus, à propos
du droit d’énoncer ses idées et ses opinions, de se réunir, d’exercer
son culte, il est même dit : « La nécessité d’énoncer ces » (Voir la
Constitution de 1795, titre XIV, art. 345.)

«
Tous les hommes ont reçu de la nature le droit imprescriptible d’adorer
le Tout-Puissant selon les inspirations de leur conscience, et nul ne
peut légalement être contraint de suivre, instituer ou soutenir contre
son gré aucun culte ou ministère religieux. Nulle autorité humaine ne
peut, dans aucun cas, intervenir dans les questions de conscience et
contrôler les pouvoirs de l’âme. » (Constitution de Pennsylvanie, art.
9, § 3.)

«
Au nombre des droits naturels, quelques-uns sont inaliénables de leur
nature, parce que rien ne peut en être l’équivalent. De ce nombre sont
les droits de conscience. » (Constitution de New-Hampshire, art. 5 et 6.) (Beaumont, pp. 213-214.)

L’incompatibilité de la religion et des droits de l’homme réside si peu dans le concept des droits de l’homme, que le droit d’être
religieux, et de l’être à son gré, d’exercer le culte de sa religion
particulière, est même compté expressément au nombre des droits de
l’homme. Le privilège de la foi est un droit général de l’homme.

On fait une distinction entre les « droits de l’homme » et les « droits du citoyen ». Quel est cet « homme » distinct du citoyen ? Personne d’autre que le membre de la société bourgeoise. Pourquoi
le membre de la société bourgeoise est-il appelé « homme », homme tout
court, et pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l’homme ?
Qu’est-ce qui explique ce fait ? Par le rapport de l’État politique à la
société bourgeoise, par l’essence de l’émancipation politique.

Constatons
avant tout le fait que les « droits de l’homme », distincts des «
droits du citoyen, » ne sont rien d’autre que les droits du membre de la
société bourgeoise, c’est-à-dire de l’homme égoïste, de l’homme séparé
de l’homme et de la communauté. La Constitution la plus radicale, celle
de 1793, a beau dire : Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. «
Art. 2. Ces droits (les droits naturels et imprescriptibles) sont :
l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété. »

En
quoi consiste la « liberté » ? « Art. 6. La liberté est le pouvoir qui
appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits
d’autrui. » Ou encore, d’après la Déclaration des droits de l’homme de
1791 : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à
autrui. »

La liberté est donc le droit de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Les limites dans lesquelles chacun peut se mouvoir sans nuire à
autrui sont marquées par la loi, de même que la limite de deux champs
est déterminée par un piquet. Il s’agit de la liberté de l’homme
considéré comme monade isolée, repliée sur elle-même. Pourquoi, d’après
Bauer, le Juif est-il inapte à recevoir les droits de l’homme ? « Tant
qu’il sera juif, l’essence bornée qui fait de lui un Juif l’emportera
forcément sur l’essen­ce humaine qui devrait, comme homme, le rattacher
aux autres hommes; et elle l’isolera de ce qui n’est pas Juif. » Mais le
droit de l’homme, la liberté, ne repose pas sur les relations de
l’homme avec l’homme mais plutôt sur la séparation de l’homme d’avec
l’homme. C’est le droit de cette séparation, le droit de l’individu
limité à lui-même.

L’application pratique du droit de liberté, c’est le droit de propriété privée. Mais en quoi consiste ce dernier droit ?

«
Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir
et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son
travail et de son industrie. » (Constitution de 1793, art. 16.)

Le
droit de propriété est donc le droit de jouir de sa fortune et d’en
disposer « à son gré », sans se soucier des autres hommes,
indépendamment de la société; c’est le droit de l’égoïsme. C’est cette
liberté individuelle, avec son application, qui forme la base de la
société bourgeoise. Elle fait voir à chaque homme, dans un autre homme,
non pas la réalisation, mais plutôt la limitation de sa liberté. Elle
proclame avant tout le droit « de jouir et de disposer à son gré de ses
biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie ».

Restent les autres droits de l’homme, l’égalité et la sûreté.

Le
mot « égalité » n’a pas ici de signification politique; ce n’est que
l’égalité de la liberté définie ci-dessus : tout homme est également
considéré comme une telle monade basée sur elle-même. La Constitution de
1795 détermine le sens de cette égalité : « Art. 5. L’égalité consiste
en ce que la loi est la même pour tous, soit qu’elle protège, soit
qu’elle punisse. »

Et
la sûreté ? La Constitution de 1793 dit : « Art. 8. La sûreté consiste
dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour
la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés. »

La
sûreté est la notion sociale la plus haute de la société bourgeoise, la
notion de la police : toute la société n’existe que pour garantir à
chacun de ses membres la conservation de sa personne, de ses droits et
de ses propriétés. C’est dans ce sens que Hegel appelle la société
bourgeoise « l’État de la détresse et de l’entendement ».

La
notion de sûreté ne suffit pas encore pour que la société bourgeoise
s’élève au-dessus de son égoïsme. La sûreté est plutôt l’assurance
(Versicherung) de l’égoïsme.

Aucun
des prétendus droits de l’homme ne dépasse donc l’homme égoïste,
l’homme en tant que membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire un
individu séparé de la communauté, replié sur lui-même, uniquement
préoccupé de son intérêt personnel et obéissant a son arbitraire privé.
L’homme est loin d’y être considéré comme un être générique; tout au
contraire, la vie générique elle-même, la société, apparaît comme un
cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de son indépendance
originelle. Le seul lien qui les unisse, c’est la nécessité naturelle,
le besoin et l’intérêt privé, la conservation de leurs propriétés et de
leur personne égoïste.

Il
est assez énigmatique qu’un peuple, qui commence tout juste à
s’affranchir, à faire tomber toutes les barrières entre les différents
membres du peuple, à fonder une communauté politique, proclame
solennellement (1791) le droit de l’homme égoïste, séparé de son
semblable et de la communauté, et reprenne même cette proclamation à un
moment où le dévouement le plus héroïque peut seul sauver la nation et
se trouve réclamé impérieusement, à un moment où le sacrifice de tous
les intérêts de la société bourgeoise est mis à l’ordre du jour et où
l’égoïsme doit être puni comme un crime (1793). La chose devient plus
énigmatique encore quand nous constatons que l’émancipation politique
fait de la communauté politique, de la communauté civique, un simple moyen devant
servir à la conservation de ces soi-disant droits de l’homme, que le
citoyen est donc déclaré le serviteur de l’ « homme » égoïste, que la
sphère, où l’homme se comporte en qualité d’être générique, est ravalée
au-dessous de la sphère, où il fonctionne en qualité d’être partiel, et
qu’enfin c’est l’homme en tant que bourgeois, et non pas l’homme en tant
que citoyen, qui est considéré comme l’homme vrai et authentique.

Le « but » de toute « association politique » est la « conservation des droits naturels et imprescriptible de l’homme ». (Déclar., 1791, art. 2.) – « Le gouvernement est
institué pour garantir à l’homme la jouissance de ses droits naturels
et imprescriptibles. » (Déclar., 1791, art. 1.) Donc, même aux époques
de son enthousiasme encore fraîchement éclos et poussé à l’extrême par
la force même des circonstances, la vie politique déclare n’être qu’un
simple moyen, dont le but est la vie de la société bourgeoise. Il est
vrai que sa pratique révolutionnaire est en contradiction flagrante avec
sa théorie. Tandis que, par exemple, la sûreté est déclarée l’un des
droits de l’homme, la violation du secret de la correspondance est mise à
l’ordre du jour. Tandis que la « liberté indéfinie de la presse » est
garantie (Déclar. de 1793, art. 122) comme là conséquence du droit de la
liberté individuelle, elle est complètement anéantie, car « la liberté
de la presse ne doit pas être permise lorsqu’elle compromet la liberté
publique ». (Robespierre jeune; Histoire parlementaire de la Révolution française, par
Buchez et Roux, tome XXVIII, p. 159.) Ce qui revient à dire : le droit
de liberté cesse d’être un droit, dès qu’il entre en conflit avec la vie
politique, alors que, en théorie, la vie politique n’est que la
garantie des droits de l’homme, des droits de l’homme individuel, et
doit donc être suspendue, dès qu’elle se trouve en contradiction avec son but, ces
droits de l’homme. Mais la pratique n’est que l’exception, et la
théorie est la règle. Et quand même on voudrait considérer la pratique
révolutionnaire comme la position exacte du rapport, il resterait
toujours à résoudre cette énigme : pourquoi, dans l’esprit des
émancipateurs politiques, ce rapport est-il inversé, le but apparaissant
comme le moyen, et le moyen comme but ? Cette illusion d’optique de
leur conscience resterait toujours la même énigme mais d’ordre
psychologique et théorique.

La solution de ce problème est simple.

L’émancipation politique est en même temps la désagrégation de
la vieille société sur laquelle repose l’État où le peuple ne joue plus
aucun rôle, c’est-à-dire la puissance du souverain. La révolution
politique c’est la révolution de la société bourgeoise. Quel était le
caractère de la vieille société ? Un seul mot la caractérise. La
féodalité. L’ancienne société bourgeoise avait immédiatement un
caractère politique, c’est-à-dire les éléments de la vie bourgeoise,
comme par exemple la propriété, ou la famille, ou le mode de travail,
étaient, sous la forme de la seigneurie, de la caste et de la
corporation, devenus des éléments de la vie de l’État. Ils
déterminaient, sous cette forme, le rapport de l’individu isolé à
l’ensemble de l’État, c’est-à-dire sa situation politique, par laquelle
il était exclu et séparé des autres éléments de la société. En effet,
cette organisation de la vie populaire n’éleva pas la propriété. et le
travail au rang d’éléments sociaux; elle acheva plutôt de les séparer du corps de l’État et d’en faire des sociétés particulières dans
la société. Mais de la sorte, les fonctions vitales et les conditions
vitales de la société bourgeoise restaient politiques au sens de la
féodalité; autrement dit, elles séparaient l’individu du corps de
l’État; et le rapport particulier qui existait entre sa corporation et
le corps de l’État, elles le transformaient en un rapport général entre
l’individu et la vie populaire, de même qu’elles faisaient de son
activité et de sa situation bourgeoises déterminées une activité et une
situation générales. Comme conséquence de cette organisation, l’unité de
l’État, aussi bien que la conscience, la volonté et l’activité de
l’unité de l’État, le pouvoir politique général, apparaissent également
comme l’affaire particulière d’un souverain, séparé du peuple et de ses serviteurs.

La
révolution politique qui renversa ce pouvoir de souverain et fit des
affaires de l’État les affaires du peuple, qui constitua l’État
politique en affaire générale, c’est-à-dire en État réel, brisa
nécessairement tous les états, corporations, jurandes, privilèges, qui
ne servaient qu’à indiquer que le peuple était séparé de la communauté.
La révolution politique abolit donc le caractère politique de la société bourgeoise. Elle brisa la société bourgeoise en ses éléments simples, d’une part les individus, d’autre part les éléments matériels et spirituels qui
forment le contenu de la vie et la situation bourgeoise de ces
individus. Elle déchaîna l’esprit politique, qui s’était en quelque
sorte décomposé, émietté, perdu dans les impasses de la société féodale;
elle en réunit les bribes éparses, le libéra de son mélange avec la vie
bourgeoise et en fit la sphère de la communauté, de l’affaire générale du peuple, théoriquement indépendante de ces éléments particuliers de la vie bourgeoise. L’activité déterminée et
la situation déterminée de la vie n’eurent plus qu’une importance
individuelle. Elles ne formèrent plus le rapport général entre
l’individu et le corps d’État. L’affaire publique, comme telle, devint
plutôt l’affaire générale de chaque individu, et la fonction politique
devint une fonction générale.

Mais
la perfection de l’idéalisme de l’État fut en même temps la perfection
du matérialisme de la société bourgeoise. En même temps que le joug
politique, les liens qui entravaient l’esprit égoïste de la société
bourgeoise furent ébranlés. L’émancipation politique fut en même temps
l’émancipation de la société bourgeoise de la politique, et même de
l’apparence d’un contenu d’ordre général.

La
société féodale se trouva décomposée en son fond, l’homme, mais l’homme
tel qu’il en était réellement le fond, l’homme égoïste.

Or, cet homme, membre de la société bourgeoise, est la base, la condition de l’État politique. L’État l’a reconnu à ce titre dans les droits de l’homme.

Mais la liberté de l’homme égoïste et la reconnaissance de cette liberté est plutôt la reconnaissance du mouvement effréné des éléments spirituels et matériels, qui en constituent la vie.

L’homme
ne fut donc pas émancipé de la religion; il reçut la liberté
religieuse. Il ne fut pas émancipé de la propriété; il reçut la liberté
de la propriété. Il ne fut pas émancipé de l’égoïsme de l’industrie; il
reçut la liberté de l’industrie.

La constitution de l’État politique et
la décomposition de la société bourgeoise en individus indépendants,
dont les rapports sont régis par le droit, comme les rapports des hommes
des corporations et des jurandes étaient régis par le privilège, s’accomplissent par un seul et même acte. L’homme tel qu’il est membre de la société bourgeoise, l’homme non politique, apparaît nécessairement comme l’homme naturel. Les
« droits de l’homme » prennent l’apparence des « droits naturels », car
l’activité consciente se concentre sur l’acte politique. L’homme
égoïste est le résultat passif, simplement donné, de la société
décomposée, objet de la certitude immédiate, donc objet naturel.
La révolution politique décompose la vie bourgeoise en ses éléments,
sans révolutionner ces éléments eux-mêmes et les soumettre à la
critique. Elle est à la société bourgeoise, au monde des besoins, du
travail, des intérêts privés, du droit privé, comme à la base de son existence, comme
à une hypothèse qui n’a pas besoin d’être fondée, donc, comme à sa base
naturelle. Enfin, l’homme tel qu’il est, membre de la société
bourgeoise, est considéré comme l’homme proprement dit, l’homme par opposition au citoyen, parce que c’est l’homme dans son existence immédiate, sensible et individuelle, tandis que l’homme politique n’est que l’homme abstrait, artificiel, l’homme en tant que personne allégorique, morale. L’homme
véritable, on ne le reconnaît d’abord que sous la forme de l’individu
égoïste, et l’homme réel sous la forme du citoyen abstrait.

Cette
abstraction de l’homme politique, Rousseau nous la dépeint excellemment
: « Celui qui ose entreprendre d’instituer un peuple doit se sentir en
état de changer, pour ainsi dire, la nature humaine, de transformer
chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solidaire en
partie d’un plus grand tout, dont cet individu reçoive, en quelque
sorte, sa vie et son être, de substituer une existence partielle et
morale à l’existence physique et indépendante. Il faut qu’il ôte à
l’homme ses forces propres pour lui en donner qui lui soient étrangères
et dont il ne puisse faire usage sans le secours d’autrui. » (Contrat social, livre II.)

Toute émancipation n’est que la réduction, du monde humain, des rapports, à l’homme lui-même.

L’émancipation politique, c’est la réduction de l’homme d’une part au membre de la société bourgeoise, à l’individu égoïste et indépendant, et d’autre part au citoyen, à la personne morale.

L’émancipation
humaine n’est réalisée que lorsque l’homme a reconnu et organisé ses
forces propres comme forces sociales et ne sépare donc plus de lui la
force sociale sous la forme de la force politique.

Karl Marx

1843




Selon l’ancien président de la commission Covid du Collège royal des médecins et chirurgiens : « C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance »

[Source : Sott.net]

[Photo : Dr Roger Hodkinson, ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens à Ottawa.]

Le Dr Roger Hodkinson est l’ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa. Il a déjà été PDG d’un grand laboratoire médical privé à Edmonton, dans l’Alberta, et a occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d’une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, actuellement chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni — il est parfaitement placé pour parler de ce sujet.

Lors d’une récente réunion de la commission des services communautaires et publics du conseil municipal d’Edmonton (dont l’audio gagne actuellement en popularité sur YouTube), le Dr Hodkinson a déclaré :

« Le principal constat, c’est qu’il existe une hystérie publique totalement infondée, alimentée par les médias et les politiciens. C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. [Le Covid-19] n’est rien d’autre qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas le virus Ebola. Ce n’est pas le Sras. C’est de la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. »

Hodkinson poursuit en soulignant qu’aucune action d’aucune sorte n’est nécessaire, à part ce qui s’est passé pendant la saison de grippe de l’année dernière :

« Si nous nous sentions mal, nous restions à la maison, nous prenions une soupe au poulet et aux nouilles, nous ne rendions pas visite à grand-mère, nous décidions quand retourner au travail ; nous n’avions besoin de personne pour nous le dire. »

Il poursuit :

« Les masques sont totalement inutiles.

Il n’y a aucune preuve de leur efficacité, quelle qu’elle soit.

[Les masques] sont simplement des signaux de vertu.

Ces gens se promènent comme des lemmings obéissants avec leur masque sur le visage, sans aucune connaissance de base.


La distanciation sociale est également inutile.

Le Covid est diffusé par des aérosols, qui parcourent une distance de 30 mètres environ avant de se poser.

Les fermetures d’écoles et d’entreprises ont eu des conséquences absolument terribles.

Tout et partout devrait être ouvert demain, comme le stipule la déclaration de Great Barrington [NdNM : lien ajouté].

Des résultats de tests positifs ne signifient pas une infection clinique.

Tous les tests devraient cesser, sauf si vous vous présentez à l’hôpital avec un problème respiratoire… c’est l’hystérie publique, et tous les tests devraient cesser.

Tout ce qui devrait être fait, c’est de protéger les personnes vulnérables.

Et je vous rappelle à tous qu’en utilisant les statistiques de la province [Alberta], le risque de décès chez les moins de 65 ans est de 1 sur 300 000. Il faut que vous vous ressaisissiez. L’ampleur de la réponse… sans aucune preuve, est tout à fait ridicule.

Les suicides, les fermetures d’entreprises, les funérailles [annulées], les mariages, etc., etc. — c’est tout simplement scandaleux, c’est juste une autre mauvaise grippe, et [les gens] doivent y réfléchir. »

M. Hodkison conclut en donnant quelques conseils aux décideurs politiques de l’Alberta :

« Laissez les gens prendre leurs propres décisions. Vous devriez être totalement écartés du monde médical. Le médecin hygiéniste en chef de cette province vous mène en bateau. Je suis absolument scandalisé que cela ait atteint ce niveau. Tout cela devrait s’arrêter demain. Merci beaucoup. »

La vidéo :

https://youtu.be/uEo3rnU12jw

Source de l’article initialement publié en anglais le 1er juillet 2020 : Infinite Unknown
Traduction : Sott.net

Voici la transcription complète effectuée par Celia Farber

« Merci beaucoup. J’apprécie l’occasion qui m’est donnée de m’adresser à vous sur cette question très importante. Ce que je vais dire est un langage profane et direct. C’est un contre-récit, et pour que vous ne me preniez pas immédiatement pour un charlatan, je vais vous présenter brièvement mes références afin que vous puissiez comprendre d’où je viens en termes de connaissances de base à propos de tout cela.

Je suis médecin spécialiste en pathologie, y compris en virologie. J’ai été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni. Je suis l’ancien président de la section de pathologie de l’Association médicale. J’étais auparavant professeur assistant à la faculté de médecine, où j’ai beaucoup enseigné. J’ai été président du comité d’examen et de pathologie du Collège royal des médecins du Canada à Ottawa, mais plus précisément, je suis actuellement président d’une société de biotechnologie en Caroline du Nord qui vend le test Covid-19.

Et [inaudible] on peut donc dire que tout ceci est un peu mon domaine. Le résultat est simplement le suivant :

Il existe une hystérie publique tout à fait infondée, menée par les médias et les politiciens. C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. Il n’y a absolument rien à faire pour contenir ce virus. Autre que la protection des personnes âgées et des plus vulnérables. Il ne faut pas penser que c’est autre chose qu’une mauvaise grippe saisonnière.

Ce n’est pas le virus Ébola. Ce n’est pas le SRAS. C’est de la politique qui joue à la médecine et c’est un jeu très dangereux. Il n’y a pas d’autre action nécessaire que ce qui s’est passé l’année dernière lorsque nous nous sommes sentis mal. Nous sommes restés à la maison, nous avons pris une soupe au poulet et aux nouilles, nous n’avons pas rendu visite à grand-mère et nous avons décidé quand nous retourner au travail. Nous n’avons eu besoin de personne pour nous le dire.

Les masques sont totalement inutiles. Il n’existe aucune preuve de leur efficacité, quoiqu’il en soit. Les masques en papier et les masques en tissu sont simplement des signaux de vertu. Ils ne sont même pas portés efficacement la plupart du temps. C’est tout à fait ridicule. Voir ces gens malheureux, sans éducation — je ne dis pas cela dans un sens péjoratif — ces gens se promènent comme des lemmings obéissants avec leur masque sur le visage, sans aucune connaissance de base.

La distanciation sociale est également inutile car le Covid se propage par des aérosols qui parcourent une trentaine de mètres avant de se poser. Les confinements ont eu des conséquences inattendues si terribles. Tout et partout devrait être ouvert demain, comme cela a été dit dans la déclaration de Great Barrington que j’ai faite circuler avant cette réunion.

Et un mot sur les tests : Je tiens à souligner que je travaille dans le domaine des tests pour le Covid. Je tiens à souligner que les résultats positifs des tests ne signifient pas, contrairement à ce qui est affirmé, une infection clinique. C’est simplement une hystérie publique et tous les tests devraient cesser. Sauf si vous vous présentez à l’hôpital avec un problème respiratoire.

Tout ce qu’il faut faire, c’est protéger les personnes vulnérables et leur donner dans les maisons de retraite qui sont sous votre responsabilité, leur donner chaque jour de 3 000 à 5 000 unités internationales de vitamine D dont il a été démontré qu’elle réduit radicalement la probabilité d’infection.

Et je vous rappelle à tous qu’en utilisant les propres statistiques de la province, le risque de décès des moins de 65 ans dans cette province est de un sur 300 000. Un sur 300 000.

Vous devez vous ressaisir. L’ampleur de la réponse que vous appliquez sans aucune preuve est totalement ridicule compte tenu des conséquences des mesures que vous proposez. Tous ces suicides, ces fermetures d’entreprises, ces funérailles et ces mariages [interdits ou annulés – NdT], etc. sont tout simplement scandaleux !

Il ne s’agit que d’une mauvaise grippe et il faut que vous vous en rendiez compte. Laissez les gens prendre leurs propres décisions. Vous devriez être totalement écartés du monde médical. Le médecin hygiéniste en chef de cette province vous mène en bateau. Je suis absolument scandalisé que l’on en arrive à ce niveau. Tout cela devrait s’arrêter demain. Je vous remercie beaucoup. »




Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, malmené lors de son audition au Sénat américain

[Source : Tukabel Tukabel]

Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, malmené par le sénateur Josh Hawley lors de son audition au Sénat américain.
– 17 novembre 2020