Un agriculteur dénonce l’impact délétère des ondes électromagnétiques sur plus de 30 000 exploitations en France

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Le célibat des prêtres a-t-il un sens ?




Messages subliminaux dans les cérémonies des JO de Paris

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]

Les cérémonies d’ouverture des JO Paris 2024 ont été au cœur d’un débat intense, déclenchant une vague de critiques pour des représentations jugées inappropriées et potentiellement subliminales à une heure de grande écoute. Des accusations de messages sataniques dissimulés ont surgi, bien que démenties par les organisateurs, ravivant toutefois des interrogations sur le rôle des symboles et rituels modernes. Dans cette optique, Marie Pascal Rémy éclaire ces controverses en soulignant l’inspiration luciférienne qu’elle perçoit derrière certains aspects des cérémonies, en lien avec les enseignements de Steiner sur la chute des esprits des ténèbres.

Rudolf Steiner enseignait que les esprits des ténèbres, en chute, cherchent à pénétrer la culture humaine pour influencer subtilement et subvertir les valeurs spirituelles. Pour Steiner, la lutte contre ces forces est cruciale pour l’évolution spirituelle de l’humanité. Marie Pascale Rémy, dans ses écrits, exhorte chacun à être vigilant et à reconnaître les signes de cette influence dans la vie quotidienne et les grands événements culturels. Elle insiste sur l’importance de se protéger en s’alignant avec les forces positives, telles que celles représentées par l’archange Saint-Michel, le protecteur spirituel de l’humanité, et en s’engageant activement dans la quête d’une conscience éveillée.

Face à ces controverses, l’appel à une vigilance spirituelle prend une importance renouvelée. Marie Pascale Rémy, en résonance avec les enseignements de Steiner, invite à une prise de conscience collective face aux forces qui cherchent à manipuler et détourner. Dans ce contexte, chaque individu est encouragé à se préparer à ce combat spirituel, en cultivant une pensée lucide et une volonté alignée avec les idéaux les plus élevés de l’humanité.




Selon Richard Boutry, le grand soir d’un changement de régime approche, en France




La Prophétie du Grand Monarque

[Source : nice-provence.info]

Par Pierre-Émile Blairon — 13 septembre 2024

Transcription réactualisée d’un entretien de Pierre-Émile Blairon avec Thierry Durolle pour EuropeMaxima en 2017

1. Lorsque l’on regarde la note biographique de vos ouvrages, il est question de deux passions : la Provence et la spiritualité traditionnelle. La Dame en Signe Blanc1 réunit ces deux passions qui vous sont chères. Par quelle « intuition intellectuelle » avez-vous opéré cette jonction ?

J’avoue que cette expression « intuition intellectuelle », quand je l’ai lue sous la plume de Julius Evola (mais je crois qu’elle provient de René Guénon), m’a décontenancé tellement ces deux termes sont antinomiques, en tout cas, dans l’acception que nous lui donnons aujourd’hui ; il n’est rien de plus éloigné d’un intellectuel que l’intuition.

Si j’ai bien compris le sens que voulait lui donner Evola, « l’intuition intellectuelle » fait qu’un être différencié ne peut pas se tromper, car il porte en lui, naturellement, comme un don, comme une mission — un don est une mission, sinon, à quoi servirait-il ? Cet héritage supra-humain qui lui a fait choisir la Voie des Dieux, olympienne, aristocratique, plutôt que la Voie des Pères, héritage qui lui a fait choisir l’immortalité des dieux, même si elle est, de facto, inaccessible, plutôt que la laborieuse suite lignagère des générations humaines sans aucune transcendance.

Pour en revenir à mes choix, il est évident que j’ai voulu conjuguer mon désir de comprendre le monde à son plus haut niveau, cosmique, et mon besoin d’enracinement, de réenracinement, en ce qui me concerne — je suis né dans une ancienne province française qui n’existe plus — du sol qui vous porte, ou, mieux, qui vous a vu naître, la tête dans les étoiles, les pieds sur terre, image qui résume cette recherche de l’équilibre qui est la base même de l’identité indo-européenne.

2. Votre intérêt pour la Provence vous a amené à étudier l’œuvre de Nostradamus, figure énigmatique dont certaines prédictions sont plus que troublantes… Pensez-vous que ce dernier détenait un savoir traditionnel ?

La figure de Nostradamus a été ternie par les nombreux exégètes qui se sont servis de son nom pour faire connaître le leur, sans bien comprendre le personnage et son œuvre.

On a présenté Nostradamus soit comme un astrologue, charlatan revêtu d’une longue robe bleue parsemée d’étoiles, une boule de cristal à la main, soit comme un « humaniste » parce qu’il vivait à l’époque de la Renaissance, soit comme un médecin qui soignait par les plantes au risque d’être inquiété par l’Inquisition. En vérité, Nostradamus a passé sa vie à acquérir toutes sortes de connaissances : alchimiques, astrologiques, astronomiques, médicales, historiques, métaphysiques… pour mener à bien une mission dont il était conscient d’être porteur : annoncer aux humains du XXIe siècle le sort qui les attend : la fin d’un cycle, mais le commencement d’un nouveau en même temps, enfin, juste après… J’ai sous-titré la biographie que j’ai consacrée à Nostradamus parue aux éditions Hyperborée : « Le messager des dieux ».

Pierre-Émile Blairon — Nostradamus le messager des dieux

Nostradamus a vécu pendant ce qu’on a appelé la Renaissance, période qui constituait un palier dans le cours de l’Âge de fer, le cycle final et, comme tel, nous sommes en pleine inversion des valeurs : la Renaissance signifie le début de la fin comme le siècle des Lumières celui de l’obscurcissement du monde, et la Révolution française le triomphe du matérialisme bourgeois.

Nostradamus a bâti sa renommée sur ses Prophéties, énoncées en quatrains (quatre vers), réunis en centuries (par cent).

On croit que les prophéties sont uniquement d’origine monothéiste parce que l’on connaît les prophètes chrétiens, musulmans et juifs, mais, en réalité, les plus anciens prophètes connus sont les mages chaldéens, donc prémonothéistes.

Nostradamus est au carrefour de toutes ces cultures. Il disait qu’il tenait sa science à la fois des Indiens, des Chaldéens, des Cabalistes et des druides.

Alors, quelles sont les origines de la prophétie du Grand Monarque, à laquelle Nostradamus a consacré une partie de son œuvre ?

Le légendaire chrétien a attribué des prophéties concernant le Grand Monarque à de grands noms du christianisme comme Saint-Augustin, théologien du IVe siècle, l’un des pères de l’Église, né en Afrique du Nord ou Saint-Rémi, évêque de Reims au Ve siècle, qui baptisa Clovis ; on lui attribue cette prophétie qui résume assez bien la vision que les chrétiens et les monarchistes ont du Grand Monarque :

« Vers la fin des Temps, un descendant des rois francs régnera sur tout l’Empire romain. Il sera le plus grand des rois de France et le dernier de sa race. Il arrivera comme par miracle. Il sera de la vieille Cape. Le trône sera posé au midi. Après un règne des plus glorieux, il ira à Jérusalem, sur le Mont des Oliviers, déposer sa couronne et son sceptre, et c’est ainsi que finira le Saint Empire romain et chrétien ».

Pour les chrétiens, Le Grand Monarque est le représentant du Christ qu’il envoie sur Terre pour annoncer et préparer son retour, l’antéchrist, avant le Christ. Il ne faut donc pas le confondre avec le retour du Christ lui-même, ni avec l’antichrist, personnage élaboré par les forces satanistes, qui va représenter l’inversion des valeurs qui est inhérente à la fin d’un cycle.

Ces supposées prophéties — supposées, car nous restons dans le domaine de la légende, ainsi que pour de nombreuses autres prophéties attribuées à d’autres saints et bienheureux — ont été rassemblées dans un recueil datant du XVIe siècle, le Liber Mirabilis. L’Église catholique n’a jamais validé aucune de ces prophéties, tout en ne les dénonçant pas formellement.

Deux exemples à l’attention de ceux qui pensent que Nostradamus n’est qu’un doux poète plus ou moins surréaliste, ou, pire, un imposteur ou un charlatan qui écrit des vers incompréhensibles pour ne pas être démasqué.

A. Dans sa Lettre à Henri, roi de France second, Nostradamus a prédit, au mois près, le début et la fin de la Révolution bolchevique en Russie, et le temps qu’a duré son pouvoir :

Et ce sera au mois d’octobre qu’une grande transmutation sociale sera faite. […] Il s’ensuivra des changements extrêmes, des renversements de gouvernements en même temps qu’une grande guerre mondiale. Ce sera la pullulation de la nouvelle Babylone, fille misérable de la première, mais beaucoup plus grande dans ses abominations et par le nouvel holocauste plus horrible encore que le premier, et son règne ne tiendra seulement que septante-trois ans et sept mois.

La grande transmutation sociale : La Révolution d’Octobre en 1917.
Septante-trois ans et sept mois plus tard : cela nous amène au mois de juin 1991, date à laquelle Boris Eltsine arrive à la Présidence de la nouvelle Russie.
La pullulation de la nouvelle Babylone : l’extension du communisme international.
La Première Guerre mondiale.
Fille misérable de la première : la Révolution soviétique est la fille de la Révolution française.
Nouvel holocauste plus horrible encore que le premier : le massacre de la famille impériale russe après celui de la famille royale française.

B. L’explosion des Tours jumelles à New York

Autre exemple, l’événement le plus emblématique de ce XXIe siècle qui commence, l’explosion des tours jumelles de New York le 11 septembre 2001.

C’est le quatrain VI-97 :

Cinq et quarante degrés ciel bruslera
Feu approcher de la grand cité neuve,
Instant grand flamme esparse sautera
Quand on voudra des Normans faire preuve

Cinq et quarante degrés : en fait 40,5 ; la latitude de New York est exactement de 40,43° en système décimal ; Nostradamus a arrondi à 5, autrement dit cinquante pour donner la latitude presque exacte d’une ville qui n’existait pas encore.

Feu approcher de la grand cité neuve : un feu en déplacement (les avions) qui approchent de New York.

Instant grand flamme esparse sautera : une grande explosion

Quand on voudra des Normans faire preuve : quand on voudra éprouver les Normans (les hommes du Nord, les premiers colons étaient hollandais).

En 2024, nous sommes quelques-uns à penser que cet événement a été créé de toutes pièces par la CIA pour permettre aux Américains de déclencher la deuxième guerre du Golfe.

C. Le Grand Monarque et l’invasion musulmane

Ces prédictions sont, en quelque sorte, un don des dieux, c’est-à-dire quelque chose qu’on ne peut pas expliquer rationnellement.

Mais d’autres peuvent s’expliquer par la méthode de la déduction, les événements du passé se renouvelant dans le futur. Ainsi, Nostradamus a prédit pour ce début du XXIe siècle ce qui semble être une invasion musulmane qu’il a couplée avec l’invasion des Nordiques qui s’est déroulée en 102 avant l’ère chrétienne, celle qui a été arrêtée par les légions romaines de Marius à Aix-en-Provence, plus précisément de Roquefavour à Pourrières sur la route de l’Italie.

Il y a plusieurs quatrains qui concernent cet événement (qui ne s’est pas encore produit dans sa totalité, c’est-à-dire dans sa résolution finale), j’en donne quelques-uns.

Le premier annonce une nouvelle grande bataille, non loin de Roquefavour

Quatrain III-99 :

Aux champs herbeux d’Alein et du Varneigne,
du mont Lebron proche de la Durance,
camps de deux parts conflict sera si aigre,
Mésopotamie défaillira en la France.

Alleins et Vernègues sont deux villages proches l’un de l’autre au nord d’Aix, proches aussi du Luberon (mont Lebron). Mésopotamie : La Syrie et l’Irak, défaillira : déferlera. C’est déjà le cas aujourd’hui.

Quatrain III-61 :

La grande bande & secte crucigère,
se dressera en Mésopotamie :
du proche fleuve compaignie legiere,
que telle loi tiendra pour ennemie.

Une secte (la secte mondialo-sataniste ou bien une secte islamiste ?) voulant attenter à la croix, les chrétiens d’Orient, en Mésopotamie, la Syrie, pays dans lequel coule l’Euphrate, compagnie légère : la modeste armée syrienne, considérée comme ennemie par l’Occident, la « communauté internationale », comme disent les journalistes subventionnés.

Quatrain I— 18 :

Par la discorde negligence gauloise
Sera passage à Mahomet ouvert
De sang trempé la terre et mer senoise
Le port phocen de voiles et nefs couvert

Les Français divisés seront négligents et laisseront entrer les musulmans. La région de La Seyne-sur-Mer sera mise à feu et à sang et Marseille sera envahie par mer (les voiles des bateaux, les nefs) et par terre (les voiles), c’en est d’autres, mais Nostradamus ne manquait pas d’humour.

Quatrain V— 75 :

De sang troyen naistra cœur germanique
Qui deviendra en si haute puissance :
Hors chassera gens estrange arabique,
Tournant l’eglise en pristine prééminence

C’est le Grand Monarque qui apparaîtra alors et qui prendra la tête d’une armée qui arrêtera l’invasion. Il chassera les Arabes et imposera l’Eglise catholique.

Tout rentrera ensuite dans l’ordre comme l’indique le quatrain X— 79 :

Les vieux chemins seront tous embelys,
l’on passera à Memphis somentrée,
le grand Mercure d’Hercules fleur de lys,
faisant trembler terre, mer & contrée.

que nous traduisons ainsi :

Nous retrouverons les chemins embellis du passé
Lorsque les forces orientales auront été maîtrisées
Le Grand Monarque plantera alors son étendard
Frappé de la fleur de lys
Faisant trembler terre, mer et contrées ennemies.

Nostradamus fait coïncider la victoire du Grand Monarque sur les musulmans avec le renouveau de l’Âge d’or, qui apparaît dès la fin de l’Âge de fer : les chemins embellis du passé.

3. En 2015 paraît La Roue et le Sablier2. Tout d’abord nous devons saluer la qualité de cet ouvrage qui expose de façon claire et concise une vue du monde à la fois traditionaliste, au sens guénonien, et païenne. Est-ce que ce livre rentre en résonance avec La Dame en Signe Blanc ?

Pierre-Émile Blairon — La roue et le sablier — Bagages pour franchir le gué

Le titre, La Roue et le sablier, indique deux symboles, la roue représente le monde profane qui tourne autour du moyeu qui, lui, est fixe. Celui-ci représente le domaine des dieux qui font tourner le monde (la roue). C’est la Tradition primordiale, immuable et pérenne. Plus on se rapproche du centre, du moyeu immobile, et plus on se rapproche du monde spirituel, et, inversement, plus on va vers le grand cercle, celui qui va toucher le sol dur, la terre, et plus on est dans le matériel.

Le sablier représente certes le temps, mais aussi la trifonctionnalité. Au sommet du sablier, la première fonction, celle du prêtre et du roi, celle des conducteurs, puis, au centre, dans le goulet d’étranglement, la deuxième fonction, celle des protecteurs, et en bas, celle des producteurs. Lorsqu’on arrive à la fin d’un cycle, les fonctions sont inversées, celle des producteurs est en haut, en fait, même les producteurs — il y avait une grande noblesse dans le travail du paysan et de l’artisan — ne produisent plus rien, ou plus grand-chose. On fait simplement travailler l’argent (oui, il n’y a que l’argent qui « travaille »).

Celle des conducteurs est en bas, ils ne conduisent plus rien du tout, ils sont rejetés, décrédibilisés, moqués.

Celle du milieu, l’armée et la police, est au service de la fonction qui est en haut, quelle qu’elle soit, sans états d’âme. Lorsque le monde retrouve son équilibre après la fin du cycle, le sablier bascule à nouveau et tout rentre dans l’ordre.

Ce livre, La Roue et le Sablier, a bien sûr un rapport avec La Dame en signe blanc, qui est le premier livre que j’avais écrit. En fait, on peut remarquer que les écrivains (ceux qui ont quelque chose à transmettre, et non pas à gagner) sont comme les peintres qui peignent toujours le même tableau.

4. Cela est moins le cas dans La Dame en Signe Blanc mais nous avions remarqué dans La Roue et le Sablier que vous citiez à plusieurs reprises Rudolf Steiner. Envisagez-vous l’anthroposophie de façon positive, bien que cette « seconde religiosité », pour emprunter l’expression de Spengler, fut durement critiquée par Julius Evola, ou séparez-vous cette doctrine d’une partie de l’œuvre de Steiner ?

Rudolf Steiner

Steiner, spiritualiste chrétien, a employé l’expression « intuition transcendantale » — et nous en revenons au début de cet entretien — qui me paraît plus appropriée que celle d’intuition intellectuelle pour dire à peu près la même chose que ce que disaient Guénon et Evola. J’ai, pour ma part, adopté la formule : intuition spirituelle. Je me suis intéressé plus au personnage qu’au concept d’anthroposophie, qu’il a, à mon sens, largement dépassé, par une imagination foisonnante et la création de multiples concepts à l’intérieur du concept principal qui finit par s’effacer : l’eurythmie, la biodynamie (la plupart des vignerons actuels tendent vers cette pratique), l’éducation (les écoles Steiner sont très réputées) et, tout comme Nostradamus, Steiner avait de véritables dons de voyance.

Par exemple, rappelons-nous ce qu’on a appelé la « maladie de la vache folle » dans les années 1990. Des milliers d’animaux furent abattus systématiquement et stupidement, parce que les industries agroalimentaires donnaient à manger à ces ruminants végétariens des farines animales (vaches qui, merveille de la nature, deviennent des bœufs dès qu’elles sont passées par un abattoir).

Steiner disait, dans une conférence donnée en 1923 : « Si le bœuf mangeait directement de la viande, il en résulterait une sécrétion d’urate en énorme quantité, l’urate irait au cerveau et le bœuf deviendrait fou. »

Ou ce qu’il disait en 1916 de ce qu’on appelle aujourd’hui « l’ingénierie sociale », la manipulation des cerveaux humains : « Il ne faudra pas attendre longtemps après l’an 2000 pour que l’humanité ait à vivre des choses fort étranges qui se préparent déjà lentement. La plus grande partie de l’humanité sera sous l’influence de l’ouest. Les prémices idéalistes que nous percevons déjà sont bien sympathiques en comparaison de ce qui vient. On verra apparaître, venant d’Amérique, une sorte d’interdiction de penser, non pas directe, mais indirecte ; une loi qui aura pour but de réprimer tout penser individuel. On assistera à une oppression généralisée de la pensée dans le monde ».

En lisant ses conférences, on se perd dans un dédale poétique, surréaliste ou fantastique, qui a aussi existé chez les théosophes de madame Blavatsky. Je sais bien qu’Evola, et encore plus Guénon, parlant de contre-initiation, ont condamné ces deux courants, il n’en reste pas moins qu’ils ont participé à mon éveil.

Vous venez donc de rééditer votre ouvrage La Dame en Signe Blanc. Pourquoi rééditer ce livre ? Y avez-vous apporté des modifications par rapport à l’édition originale ?

La Dame en signe blanc est une expression de Nostradamus pour désigner la reine qui dort à côté du Grand Monarque qui est appelée à se réveiller lorsque l’Europe sera en danger de mort, selon la légende.

Je m’étonnais d’une demande récurrente de quelques amis concernant la réédition de cet ouvrage pour lequel j’avais une certaine affection — c’était mon premier — et je m’y suis replongé, il avait des défauts comme tous les livres, et encore plus comme les premiers. Les événements ont fait que les écrits de Nostradamus concernant le Grand Monarque étaient de plus en plus crédibles — quand il disait qu’un grand chef allait se dresser pour combattre une invasion musulmane — et j’ai donc ajouté ce sous-titre à mon ouvrage : La Prophétie du Grand Monarque. J’ai d’autre part également réactualisé mon livre en y ajoutant une fin concernant les prémisses du nouveau cycle que j’entrevois qui, à mon sens, va voir le rapprochement de l’espèce humaine avec celle des autres règnes, végétal et animal, sans quoi, la Terre, qui est un être vivant, mourra et ce qui en vit avec.

5. La perspective de ce livre est fort intéressante, car elle s’inscrit dans un cadre local et historique (la région de Roquefavour, entre Salon-de-Provence et Aix-en-Provence). « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut », formule ésotérique bien connue, résumerait à merveille le contenu de l’ouvrage…

Les Celtes, les Gaulois chez nous en l’occurrence, avaient coutume de percevoir le monde en s’appropriant celui que leur vision pouvait englober ; le Gaulois était au centre du monde, de son monde ; les Bituriges, les habitants gaulois de Bourges, en avaient même fait leur raison d’être : ils étaient « les rois du monde ». Et, de fait, Bourges était bien le centre de la France, donc, les rois de notre pays.

J’ai un peu dépassé ce concept, démontrant d’abord que ce lieu dont je parle, Roquefavour, que j’appelle Le Cercle magique, fut l’un des centres de l’ancien monde, par les événements qui s’y sont déroulés3, et suggérant qu’il pourrait être aussi celui qui verra la naissance du nouveau, en accord avec l’un de ses illustres voisins, Nostradamus.

En effet, Nostradamus situe le tombeau, et donc le réveil du Grand Monarque et de son épouse dans le Cercle magique, ou non loin ; il situe également non loin du Cercle magique de grandes batailles qui permettront au Grand Monarque d’arrêter les envahisseurs. On pourrait se dire qu’il est bien facile pour le mage de situer tous ces événements sur un territoire qu’il connaît bien — il habitait Salon, à une vingtaine de kilomètres du Cercle magique, situé sur la commune de Ventabren — et qu’il y aurait là comme un enfantillage ou une supercherie. Nous pourrions répondre que ce n’est pas le messager des dieux qui situe là ces grands événements, il ne fait que constater ou prédire ce qui aura lieu. Ce sont les dieux, le supra-humain, qui décident. Si ces événements devaient se passer au Japon ou au Canada, nous aurions tout simplement un Nostradamus japonais ou canadien pour en parler.

J’émets l’hypothèse qu’un cycle doit renaître sur les lieux où l’ancien a fini sa course, selon la loi du « témoin », celui d’une course où le coureur passe le témoin à un autre pour accomplir son nouveau tour de piste.

6. Le livre s’organise autour de trois cycles : l’un païen, le suivant chrétien et le dernier nommé Ère du Verseau. Concernant les deux premiers, vous parlez du christianisme comme étant une « religion de coucous », c’est-à-dire qu’elle s’est servie du paganisme pour asseoir son autorité. Dès lors, pensez-vous que ce l’on a pour coutume de nommer ésotérisme chrétien n’a de chrétien que le nom ?

Oui, religion de coucous parce que le christianisme s’est installé physiquement sur la quasi-totalité des anciens lieux de culte païens, parce que le christianisme a repris la plupart des fêtes du calendrier païen, par exemple, les deux solstices, d’hiver et d’été, marqués par la figure du dieu romain Janus au double visage, qui sont devenus la Saint-Jean des deux Jean — l’Évangéliste et le Baptiste — ou par les noms de saints implantés sur les sites consacrés aux anciens dieux, Marc qui donne son nom à une chapelle bâtie sur un ancien lieu de culte dédié à Mars, etc. Les exemples sont innombrables.

Pour le reste, je ne fais que me référer au système des cycles et, plus précisément, au système des cycles zodiacaux qui durent chacun 2 160 ans. Le cycle païen précédant le christianisme était placé sous le signe du Bélier, de Mars, de la guerre, cycle initié par Prométhée, le Titan, qui voit, paradoxalement, s’accomplir ses rêves de puissance : devenir comme Dieu et, si possible, le remplacer — en notre fin de cycle chrétien, avec l’apparition du transhumanisme qui rêve de transformer l’humain en robot ; nul ne peut contester que le titanisme prend tous ses terribles effets à l’époque que nous vivons. Quel fut le rôle du christianisme dans ce processus, le cycle des Poissons ? Atténuer sa brutalité ou bien tenter de la dissoudre dans une mièvrerie humaniste ? Ces deux cycles, en y ajoutant celui du Taureau, également païen, qui les a précédés, faisaient déjà partie du Kali-Yuga, le cycle de la fin, commencé à peu près en même temps que l’invention de l’écriture — je ne pense pas que ce soit un hasard – vers 4 500 avant notre ère. Mais s’est perpétuée, à travers tous les cycles, quels qu’ils soient, la pérennité de la Tradition primordiale ; l’ésotérisme chrétien constitue cette perpétuation, intangible, à travers notamment les écrits de Saint-Jean sur l’Apocalypse, et, d’autre part, le cycle du Graal ou les interventions des druides après leur supposée disparition, notamment dans l’élaboration du concept cistercien, sur le plan architectural et spirituel.

7. Le dernier cycle qui est en fait l’Ère du Verseau, thème prisé dans les milieux New-age, correspond à la fin de ce que Jean Phaure appelait le cycle de l’humanité adamique. Selon ce dernier, la durée de ce cycle serait d’ailleurs indéterminée… Comment envisagez-vous celui-ci ?

Jean Phaure — Glore olive

J’ai une grande admiration pour Jean Phaure, qui nous a quittés en 2002. Il s’agit de l’un des rares penseurs chrétiens de haut niveau qui a su se dégager des dogmes et des injonctions du clergé4 pour comprendre que le christianisme, mais aussi toutes les autres religions, traditions, cultures et spiritualités du monde, étaient issues d’une même source ; Jean Phaure, avec sincérité et lucidité, admet l’affiliation (mais aussi la filiation) du christianisme à la Tradition primordiale qui lui est bien antérieure.

C’est l’Indien Bal Tilak (1856−1920) qui est le fondateur du concept de Tradition primordiale. Tilak était enseignant et journaliste, militant nationaliste, il fit des recherches dans les textes innombrables de la tradition hindoue et découvrit que son peuple et, dans l’ensemble, les Indo-européens avaient une commune origine arctique, hyperboréenne.

Bal Tilak Bal Tilak – Origine polaire tradition védique

Dans son livre, Origine polaire de la tradition védique, il a tenu à confronter ses recherches avec les dernières connaissances scientifiques, ce qui n’a fait que le conforter dans ses convictions qui plaidaient pour une civilisation désormais enfouie sous les glaces qui s’était installée au pôle entre le douzième et le neuvième millénaire avant notre ère.

Pour répondre à votre question, non, le dernier cycle n’est pas l’ère du Verseau, mais bien l’ère des Poissons ; nous sommes dans cette période transitoire où nous ne savons pas exactement quand finit un cycle et quand commence le nouveau. Les nombres bien précis que nous transmet la Tradition sont vraisemblablement exacts, mais comme nous ne savons pas grand-chose de la période où ces cycles ont commencé, le problème de la datation demeure. J’ai le même souci que Tilak d’interroger les données scientifiques à propos de ce qui pourrait ne rester que des légendes. C’est ainsi que je perçois dans la découverte effectuée par Maurice Chatelain5 qui a daté à 64 800 ans en arrière la formulation de la « constante de Ninive » inscrite sur les tablettes exhumées du sol du palais d’Assurbanipal, une confirmation des connaissances apportées notamment par la tradition indienne et par les chercheurs primordialistes, comme Guénon, Evola ou Phaure qui situent aussi le début de notre cycle il y a 64 800 ans.

En ce qui concerne le nouveau cycle, je l’ai dit, je pense qu’il y aura un rapprochement des divers règnes, l’homme n’étant plus le prédateur et le déprédateur qu’il a toujours été jusqu’à présent, mais bien le régulateur d’un monde que les dieux lui ont confié et qu’il a si mal géré. Je pense de même que l’Homme retrouvera son statut perdu, des pouvoirs naturels qui étaient devenus surnaturels, quand la technique a fait office de prothèse pour remplacer ces pouvoirs perdus à cause de l’hubris, de sa vanité engendrée par Prométhée. Peut-être même retrouvera-t-il, naturellement, l’immortalité que les dieux lui avaient ôtée ?

8. La figure du Grand Monarque dont vous parlez n’est pas sans rappeler les annonciateurs/restaurateurs du cycle nouveau tels Baldr, Kalki ou Jésus, mais aussi les rois cachés comme Arthur ou Sébastien 1er. Le nouvel âge d’or étant inéluctable, quid de l’action politique durant le kali-yuga ?

Il ne faut pas confondre les avatars, qui sont des dieux ou la représentation de Dieu descendue sur Terre avec des personnages légendaires, humains, ayant existé, qui ont exercé un rôle dans l’Histoire en étant « bénis » des dieux, qui se rapprochent de la définition des dieux dits évhéméristes qui sont des humains divinisés, comme pourrait l’être le Grand Monarque et ses diverses représentations.

En effet, plusieurs personnages de l’Histoire ont représenté le Grand Monarque, que Nostradamus appelait aussi le Grand Romain, le Grand Celtique ou le Grand Chyren ou encore le Prince Dannemarc, faisant alors référence à l’un de ces personnages légendaires, Ogier le Danois qui était l’un des lieutenants de Charlemagne, qui dort et se réveillera lorsque le Danemark sera en danger, le fameux roi Arthur, chef de guerre celte, qui combattit l’invasion des Germains au VIe siècle, qui est lui aussi en dormition, mais le Grand Monarque, c’est aussi le Khan, titre porté par les chefs Mongols, Turcs ou Chinois. Citons aussi Roderik le Wisigoth qui s’opposa à l’invasion musulmane de ce qui deviendra l’Andalousie. Il serait mort noyé, mais son corps ne fut jamais retrouvé. Le Shaoshyant en Iran mazdéen est le nom du Sauveur suprême qui apparaîtra dans les derniers jours du monde. Mais un personnage féminin comme Jeanne d’Arc est aussi l’un de ces personnages légendaires.

(Jeanne Arc — Raymond Balze)

Pour la France, une femme, une héroïne comme Jeanne d’Arc, est aussi l’une de ces figures qui correspond parfaitement à la définition que nous donnons de ces demi-dieux qui pourraient ressurgir d’un lointain passé pour défendre leur pays : « Personnages légendaires, ayant existé, qui ont exercé un rôle dans l’Histoire en étant ʺbénisʺ des dieux » ; d’autant plus qu’elle a toujours maintenu, notamment au cours de son procès, que sa mission lui avait été confiée directement par Dieu qui s’est exprimé par la voix de l’archange Saint-Michel. Autre similitude qu’elle pourrait partager avec ces êtres différenciés, sa fin : certains historiens affirment qu’elle n’est pas morte brûlée comme le veut la légende, mais qu’elle est retournée secrètement finir sa vie auprès de sa famille en Lorraine. Cette figure est certainement la plus célèbre et la plus aimée de l’Histoire de France ; nous avons d’autant plus de raison de souligner la place éminente qu’elle occupe dans le cœur du peuple français qu’un abject individu, Thomas Jolly, l’organisateur des infâmes et sinistres cérémonies d’ouverture et de fermeture des derniers Jeux Olympiques de Paris, a cru intéressant de salir la mémoire de celle qui reste la sainte vénérée, la patronne de tous les Français, qu’ils soient chrétiens ou pas.

Chez René Guénon, le Grand Monarque, c’est le Roi du monde, qu’il définit comme le législateur primordial et universel.

Dans la tradition shivaïte, le Linga Purana : « Durant la période de crépuscule qui termine le Yugä, ce personnage est un justicier du nom de Samiti (Guerre) qui vient tuer les méchants et les barbares de l’Occident. Il commencera sa campagne dans sa trente-deuxième année et continuera pendant vingt ans6. ».

Tous ces personnages ont au moins trois points communs :

  • Ils sont légendaires : on n’est pas sûr de leurs existences et encore moins de leurs morts.
  • Ils dorment d’un long sommeil jusqu’à leur réveil : c’est la dormition.
  • Ils sont appelés à être réveillés pour sauver la patrie en danger.

Et, en fait, le Grand Monarque constitue une synthèse de tous ces personnages de légende, un principe universel même, car il est chargé d’une mission destinée à préparer la venue d’un avatar, pour les chrétiens le retour de Jésus-Christ, pour les autres primordialistes un avatar qui vient pour faire tourner la roue d’un nouveau cycle.

Qu’est-ce qu’un avatar ?

Comme vous le dites, ce sont des annonciateurs/restaurateurs du cycle nouveau ; il est bizarre de penser qu’on peut restaurer un « cycle nouveau » qui n’est pas encore advenu, mais tous les cycles, s’ils ne sont jamais identiques, se ressemblent dans leur structure et le déroulement de leur temps.

Dans la tradition hindouiste, un avatar est la descente d’un dieu, fils de Dieu ou d’un représentant de Dieu qui s’incarne pour rétablir l’ordre et sauver le monde à chaque début d’une ère zodiacale. Notre Humanité qui a duré 64 800 ans et qui a vu défiler 30 ères zodiacales de chacune 2 160 ans a donc connu au moins 30 avatars, mais sûrement plus, car il peut y avoir apparition de plusieurs avatars pour chaque début d’ère zodiacale, qui ont à peu près tous le même profil : fils de Dieu, ou d’un dieu, et d’une mortelle vierge, venus combattre le démon, ou les démons, guérisseurs et initiateurs, périssant en sacrifice avant de remonter vers le Père7.

L’avatar qui va clore le dernier cycle zodiacal de 2 160 ans et donc le grand cycle, Manvantara, de 64 800 ans est considéré comme spirituellement supérieur aux précédents avatars, tel Jésus-Christ chez les chrétiens ou Kalki chez les hindouistes.

Quelle attitude adopter face à l’inéluctable ?

Un cycle meurt, comme tout ce qui vit sur Terre et est remplacé par un nouveau ; le seul rôle des êtres lucides face à ce destin est de préparer le cycle à venir comme un paysan va préparer son sol, le labourer pour les prochaines récoltes et faire en sorte, au passage, d’éliminer les prédateurs et les mauvaises graines.

L’action politique est claire, telle que je l’ai exposée dans La Roue et le sablier et telle qu’elle est résumée dans son sous-titre : Bagages pour franchir le gué.

D’abord, il s’agirait de choisir sans état d’âme son camp lorsque l’affrontement guerrier prédit par Nostradamus demandera un engagement total, mais ce n’est pas tout, d’autres actions en amont auront été nécessaires.

Nos ennemis tentent de faire en sorte d’arrêter la roue qui tourne. Deux personnages mythiques dont l’origine est identique, comme les jumeaux de la mythologie, ou les deux côtés d’une même pièce, prennent le devant de la scène en ce début du XXIe siècle : Titan et Satan8 tous deux « anges » déchus et chassés, le premier de l’Olympe, le second du paradis, parce qu’ils voulaient se mesurer aux dieux ou à Dieu, qu’ils ont toujours la ferme intention de remplacer, tout au moins dans l’espace matériel qui leur a été octroyé par la Divinité : celui de la Terre.

La robotisation du monde et des hommes annoncée par le transhumanisme va dans ce sens ; arrêter le cours du monde signifierait leur victoire, même si cette victoire constituerait aussi une défaite, puisque ses promoteurs, ou leurs héritiers, n’y survivraient pas. Mais leur vanité n’envisage même pas cette hypothèse et leur égoïsme ne se soucie même pas du sort de leurs héritiers (s’ils sont en mesure d’en concevoir) ; « Après moi, le déluge » est une belle expression pour définir ces psychopathes égotistes. Nous ne savons pas encore si la fin de notre cycle sera caractérisée principalement par un déluge, nous savons que toutes les fins de cycle antérieures à la nôtre, dont Mircea Eliade a collecté les derniers témoignages chez tous les peuples traditionnels, se traduisent par une conjonction de catastrophes, à la fois humaines et naturelles.

Il nous faut donc rassembler tous les concepts historiques et spirituels qui ont fait la grandeur de l’Europe, une sorte d’Arche de Noé, ou les braises qu’on transporte dans le film « La Guerre du feu » pour pouvoir rallumer le foyer en franchissant le gué.

La guerre du feu — Jean-Jacques Annaud

Une autre attitude, mais qui peut être aussi complémentaire, consiste, comme le préconisait Julius Evola, à faire tomber le mur qui menace de s’écrouler ; le principe de survie consistant à ne pas se trouver dessous, mais de l’autre côté. Cette méthode revient à précipiter la fin d’un monde qui meurt, le Kali-Yuga, l’Âge de fer, pour pouvoir accéder plus rapidement au cycle suivant, l’Âge d’or, qui rétablit l’ordre du cosmos. Ce faisant, paradoxalement, nous pourrions prendre de court ceux qui tentent laborieusement d’empêcher sa venue.


Les articles du même auteur

Pierre-Émile Blairon

Pierre-Émile Blairon est l’auteur d’un certain nombre de livres liés à l’Histoire, notamment de la Provence, de Nostradamus à Giono et à la fin du Cycle :

[Voir https://nice-provence.info/2024/09/13/prophetie-grand-monarque/]


Qui est le futur Grand Monarque selon les prophéties ?

[Source : La fin des temps]

Voici un résumé des 4500 prophéties sur le Grand Monarque, ce fameux Roi qui devrait bientôt rétablir une monarchie en France, puis être sacré Empereur d’Europe et être considéré comme le maître du monde d’ici peu. Si l’arrivée de ce Messie paraît impossible, des milliers de prophéties chrétiennes, musulmanes ou juives, l’annoncent clairement depuis la nuit des temps.

[NDLR Tout est-il à considérer et à prendre au pied de la lettre dans ces supposées prophéties ? Certains éléments semblent très peu probables, voire incompatibles avec les faits actuels.]


1

Première édition en 2006, revue et corrigée en 2017, en vente sur Amazon

2

Pierre-Émile Blairon – La roue et le sablier – Bagages pour franchir le gué

Paru en 2015, en vente sur Amazon

3 Notamment, la bataille qui opposa, en 102 avant notre ère, les Romains de Marius à la gigantesque migration nordique (quelques 300 000 Cimbres et Teutons) qui se dirigeait vers l’Italie.

4 Le Pouvoir, qu’il soit politique, ploutocratique ou ecclésiastique, use des mêmes stratagèmes envers le Peuple : il faut, pour le maîtriser et le contraindre à ses vues, utiliser les bonnes vieilles méthodes qui consistent à le maintenir dans la crédulité, la peur et l’ignorance.

5

Chatelain, ingénieur français travaillant pour le compte de la Nasa dans les années 60, n’avait pas la moindre idée de ce qu’est l’expression même de Tradition primordiale lorsqu’il a fait cette découverte étonnante ; environ 24000 tablettes d’argile gravées de caractères cunéiformes furent trouvées par le Français Botta et les Anglais Layard et Smith dans la seconde moitié du XIXe siècle dans la bibliothèque du palais du roi Assurbanipal à Ninive, l’ancienne capitale de la civilisation assyrienne ; Chatelain rapprocha l’un des nombres inscrits sur ces tablettes avec celui de la précession des équinoxes (25 920 ans) et ses multiplicateurs et en conclut qu’il devait être question de la formule de la constante du système solaire recherchée par de nombreux scientifiques ; pour notre part, nous nous sommes surtout intéressés à un autre information pour nous plus importante : Chatelain a déterminé que cette constante a été calculée il y a 64 800 ans.

Dans son livre, Nos ancêtres venus du cosmos, il en déduisit que de telles connaissances n’avaient pu être transmises que par des extraterrestres venus d’une civilisation bien plus avancée que celle des Assyriens de l’époque… et que la nôtre. Chatelain a été évidemment moqué par les pseudo-scientifiques, notamment par l’inénarrable « archéologue » Jean-Pierre Adam (qui sévit toujours) qui est l’équivalent, dans cette profession, des « médecins » de plateau qui nous ont bien fait rire dans leurs interventions lors de la crise de la pseudo-pandémie.

6 Voir dans mon article récent : Les quatre paliers de l’Apocalypse (deuxième partie) paru ici même le 3 octobre 2023

7 Ibid.: Voir dans mon article récent : Les quatre paliers de l’Apocalypse (deuxième partie) paru ici même le 4 septembre 2024

8 Dont j’ai souligné l’origine sémantique commune dans un article précédent : La France, laboratoire de la secte mondialiste paru ici même le 3 octobre 2023




À cœur ouvert : l’éducation à la sexualité des enfants

La « Maman Louve » Lise Philippe reçoit l’historienne Marion Sigaut pour une nouvelle émission – « À cœur ouvert ».

[Source : Eric Montana]

(Vidéo > 1 h)




Qu’en est-il de la campagne de vaccination contre la polio à Gaza ?

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly

Il y a deux semaines, le premier cas de polio a été détecté à Gaza depuis 25 ans, laissant un enfant de dix mois partiellement paralysé et obligeant l’Organisation mondiale de la santé à prendre des mesures décisives.

Des médecins ont été envoyés à Gaza avec plus d’un million de doses de vaccin antipoliomyélitique, dans le but de vacciner 640 000 enfants en un temps record.

Israël et le Hamas ont même convenu d’une pause « humanitaire » de quelques heures par jour dans les bombardements pour permettre la vaccination.

La bonne nouvelle, selon l’OMS, c’est que tous ces efforts ont été couronnés de succès jusqu’à présent et qu’ils ont permis de vacciner plus d’enfants qu’ils ne l’avaient prévu.

… Le monde entier a poussé un soupir de soulagement.

Heureusement, les enfants affamés et sans-abri de Gaza n’attraperont pas la polio alors qu’ils sont accroupis sous les décombres de leurs maisons, priant pour que la prochaine série de bombes à fragmentation ne les atteigne pas.

Il arrive parfois qu’une information soit diffusée et que la première réaction soit simplement : « Attendez… quoi ? ».

Avant, c’était un événement semi-régulier, mais depuis le « covid », c’est devenu presque quotidien. C’est l’une de ces histoires. Je ne la gobe tout simplement pas.

L’enfant paralysé devait en fait recevoir son premier vaccin contre la polio le 7 octobre de l’année dernière — le même jour que les « inondations d’Al-Aqsa », si l’on peut y croire (il se trouve que je ne peux pas, mais de plus en plus, je ne peux pas vraiment croire quoi que ce soit).

Pourquoi Israël accepterait-il des « pauses humanitaires » pour vacciner des enfants qu’il a apparemment l’intention de réduire en miettes ?

Si l’on peut arrêter de faire exploser des enfants parce que l’on ne veut pas qu’ils meurent de la polio, ne peut-on pas arrêter de faire exploser des enfants parce que l’on ne veut pas qu’ils meurent d’avoir été explosés ?

N’oubliez pas que, même avant la dernière « guerre » unilatérale, Israël privait Gaza de vivres, d’eau et d’énergie depuis des années.

Pourquoi les vaccins constituent-ils une exception ?

Pourquoi la vaccination contre la polio est-elle une priorité aujourd’hui ?

Imaginez que Dark Vador se batte en duel contre Obi Wan Kenobi dans un couloir de l’Étoile de la mort, chaque coup de sabre étant destiné à porter un coup mortel, mais qu’il interrompe le combat pour avertir le vieil homme de la présence d’un panneau « Attention : sol mouillé » derrière lui.

C’est un peu le même sentiment que lorsqu’ISIS a soudainement mis fin aux attentats-suicides pendant la « pandémie ».

La seule explication qui me vient à l’esprit est qu’il existe une sorte de priorité absolue lorsqu’il s’agit de récits. La guerre l’emporte sur le changement climatique, mais les vaccins l’emportent sur la guerre, et ainsi de suite.

C’est une façon de renforcer l’importance vitale de la vaccination — même les ennemis qui se font exploser dans une guerre s’arrêteront pour faire vacciner leurs enfants (avant de les faire exploser). Les vaccins sont à ce point importants.

Il s’agit là d’un nouveau rebondissement narratif étrange qui remet en question le véritable objectif et la motivation de la guerre de Gaza dans son ensemble.

Ou peut-être s’agit-il simplement d’un symptôme de la vie dans un monde dément, dirigé par des personnes démentes à des fins démentes.

Ou peut-être s’agit-il d’un fil conducteur qui finira par mener ailleurs.

À terme, ne soyez pas surpris si les médias commencent à dire que « la guerre est une menace pour la santé publique, car elle rend les pandémies plus probables », ou que le « cessez-le-feu sur la polio est porteur d’espoir pour l’avenir » et que c’est la rampe de lancement d’une nouvelle poussée du message du gouvernement mondial « entendons-nous bien ».




Surpopulation et dépopulation : mythes et réalités

[Source : Les Rencontres de Cara]

Si, à la lumière des statistiques, la surpopulation n’est pas un danger, la dépopulation, elle, semble bien réelle et même en augmentation notamment suite aux injections covid. Les humains sont-ils tous responsables de la dégradation des écosystèmes ? Faut-il limiter les naissances pour « sauver la planète » ? Le message asséné depuis des décades est-il fondé sur des faits ou n’est-il qu’une manipulation de nos perceptions pour exonérer les vrais responsables et contrôler les individus ? Comment santé reproductive, planning familial, avortement, stérilisation et vaccination sont-ils au cœur de la vision du monde globaliste, eugéniste et transhumaniste ?

Pour se préoccuper réellement des générations futures, il est essentiel de distinguer entre propagande, manipulations et faits.

La crise covid nous a démontré combien la réalité pouvait différer du narratif véhiculé par les médias et les agences nationales et internationales. Nos deux conférenciers, chacun à partir de sa spécialité, explorent ces thèmes qui sont essentiels pour la survie de l’humanité. Pierre Chaillot est statisticien, auteur de « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels » ; il est également l’animateur de « Décoder l’éco » sur YouTube et Telegram. Pierre-Antoine Plaquevent est analyste politique et auteur de « Soros et la société ouverte », « Globalisme et dépopulation » et « Société ouverte contre Eurasie ». Il est le co-fondateur du think tank www.strategika.fr.

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Les MMM (« Médicaments Miracles pour Maigrir ») et leurs effets secondaires

[Source : expose-news.com]

[Traduction : changera5.blogspot.com]

Par le Dr Vernon Coleman

Partout où je regarde, journalistes et médecins font la queue et se bousculent pour vanter le dernier médicament miracle, le Sémaglutide (connu de la plupart des gens sous les noms de marque Ozempic et Wegovy).

Et il existe un autre médicament appelé Mounjaro, alias Tirzepatide. Il est censé être un médicament miracle aussi. C’est, insistent-ils, le meilleur moyen, le plus simple et le plus élégant de perdre du poids. Le Daily Telegraph titrait la semaine dernière « Mon vaccin miracle pour perdre du poids a changé ma vie et changera le monde ». La journaliste qui a écrit l’article, Allison Pearson, dit que ces médicaments « pourraient bien changer le monde — pour de bon ».

Oh, mon Dieu, mon Dieu. N’est-ce pas grandiose ? Mais il y a plus.

Les médecins affirment apparemment que le Sémaglutide et le Tirzepatide feront toutes sortes d’autres choses merveilleuses. On a parlé de l’un ou l’autre d’entre eux pour ralentir le processus de vieillissement, prévenir le cancer, l’arthrite, la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson. Et aider les gens à arrêter de fumer. Les médecins disent apparemment que le Sémaglutide inversera les maladies rénales, préviendra l’insuffisance cardiaque et réduira l’hypertension artérielle jusqu’alors incurable. Et il réduira les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux.

Il résoudra probablement la calvitie, les taches et les pellicules, réduira vos factures de chauffage, tondra votre pelouse et protégera la carrosserie de votre voiture des fientes de mouettes.

Waouh ! Je n’ai rien lu d’aussi bon depuis trois mois. Non, plutôt six mois. Quel médicament miracle ! Nous devons tous bénir les sociétés pharmaceutiques. Ce produit semble presque aussi bon que le vaccin très apprécié contre le covid-19 — et quelle honte pour l’establishment médical et les journalistes du monde entier lorsque les vaccins se sont révélés aussi inutiles et aussi toxiques que je l’avais prédit.

Mais arrêtez-vous un instant. Connaissez-vous un médicament quelque part dans le monde qui n’a pas d’effets secondaires ? Avez-vous déjà rencontré un produit qui ne peut pas tuer les gens ? Non. Ni moi ! Et j’écris sur les médicaments et leurs effets secondaires depuis plus de cinquante ans. Alors, que peuvent faire ces médicaments miracles qui « changent le monde » et que les médecins et les journalistes enthousiastes ne semblent pas avoir mentionné ?

[Voir aussi :
Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent]

Eh bien, commençons par le Tirzépatide. Celui-ci peut :

  • Provoquer des réactions allergiques
  • Endommager votre foie
  • Endommager vos reins
  • Provoquer une pancréatite aiguë
  • Provoquer une déshydratation

et :

  • Ne doit pas être utilisé si vous êtes enceinte.

Une source importante d’informations sur les médicaments m’apprend que le Mounjaro « peut causer de graves problèmes de santé ». Sans blague ! En plus des autres problèmes que j’ai énumérés, il peut provoquer de la fièvre, des douleurs à l’estomac, des difficultés à respirer ou à avaler, une maladie de la vésicule biliaire, des vomissements, une jaunisse et d’autres problèmes, notamment une accélération du rythme cardiaque.

Oh, je n’aime plus ça. Cela me semble un peu décevant.

Qu’en est-il de l’autre substance — le Sémaglutide ? Je déteste vous le dire, mais le Sémaglutide peut également causer de graves problèmes de santé. Voici une liste de quelques-uns des problèmes possibles :

  • Tumeurs des cellules C de la thyroïde
  • Anxiété
  • Ballonnements
  • Vision floue
  • Sueurs froides
  • Confusion
  • Constipation
  • Urine foncée (c’est probablement parce que votre foie est en panne)
  • Dépression
  • Diarrhée (mais peut-être pas en même temps que la constipation)
  • Difficulté à avaler
  • Vertiges
  • Rythme cardiaque rapide
  • Fièvre
  • Mal de tête
  • Augmentation de la faim
  • Indigestion
  • Nervosité et cauchemars
  • Douleurs à l’estomac
  • Crises
  • Éruption cutanée
  • Troubles de l’élocution
  • Difficulté à respirer
  • Fatigue
  • Vomissement
  • Yeux ou peau jaunes (encore le problème du foie).

Ce n’est pas tout. Mais c’est suffisant pour continuer.

Aucun des médecins et des journalistes que j’ai vus vanter les vertus de ces nouveaux médicaments miracles ne semble avoir mentionné ces risques. Je suis donc désolé si je suis un peu rabat-joie. Mais il n’existe pas vraiment de pilules magiques.

Essayez simplement de vous souvenir de la « première loi de la médecine de Coleman » qui est :

« Si vous recevez un traitement pour une maladie existante et que vous développez de nouveaux symptômes, alors, jusqu’à preuve du contraire, vous devez supposer que les nouveaux symptômes sont causés par le traitement que vous recevez. »

La première loi de la médecine de Coleman apparaît dans le livre de Vernon Coleman « Coleman’s Laws: The Twelve Medical Truths You Must Know To Survive ».

Vous pouvez en acheter un exemplaire ICI.




Il est temps de se rebeller : nous entrons dans la phase de censure totale de la tyrannie mondiale

[Source : alt-market.us]

Par Brandon Smith — 6 septembre 2024

Les régimes autoritaires du siècle dernier ont tous suivi un schéma d’événements généralement prévisible. Presque tous les gouvernements totalitaires ont été inspirés par les idéologies de la gauche politique. Cela signifie un gouvernement de plus en plus grand, un contrôle socialiste des ressources, la fusion de la bureaucratie et des entités corporatives, des demandes de « justice sociale », une propagande collectiviste, l’abandon du mérite individuel au profit de l’État et du « plus grand bien », le marxisme non seulement d’un point de vue économique, mais aussi d’un point de vue culturel, et enfin, l’adoption du futurisme.

Le futurisme est, à mon avis, la clé de tous les autoritarismes modernes. C’est une philosophie qui a été présente à la naissance de presque tous les grands gouvernements despotiques de mémoire récente et c’est la racine de l’idéologie gauchiste d’aujourd’hui. Les futuristes affirment que l’Histoire est, pour l’essentiel, un poids mort. Ils pensent que toute notion d’héritage, les leçons du passé, les idéaux et les principes de nos ancêtres sont sans intérêt.

Les futuristes pensent que rien n’est sacré et que toutes les nouvelles idées sont supérieures aux anciennes. Par conséquent, ils affirment que toute société qui s’accroche aux anciennes méthodes (ou les conserve) doit être démantelée parce qu’elle empêche l’Humanité de progresser. En d’autres termes, toute personne qui promeut ou défend les normes traditionnelles doit être réduite au silence au nom du « progrès ».

Je suppose que la plupart des personnes qui lisent ces lignes comprennent au moins intuitivement la nature monstrueuse de ce système de croyances. La structure même du futurisme repose sur un mensonge : l’idée que tout changement est bon et que toute oppression commise au nom du changement est justifiée.

Le processus de la tyrannie

Dans ce processus de tyrannie, il y a généralement des étapes d’escalade. La première étape consiste à exploiter les divisions sociales existantes pour créer un ennemi contre lequel le reste de la population peut être convaincu de se rallier. Cela ne veut pas dire que ces divisions ne sont pas légitimes, elles le sont souvent. À notre époque de « multiculturalisme », les mondialistes ont invité en Occident de nombreux groupes de personnes qui sont tout simplement incompatibles avec les valeurs et la morale occidentales. Ils ne s’assimileront pas et ne feront que provoquer des conflits, ce qui est la raison même pour laquelle les marionnettes politiques continuent de maintenir nos frontières ouvertes.

Ces divisions peuvent être exploitées pour créer des conflits et le chaos, ce qui sert ensuite de prétexte aux gouvernements pour réprimer leurs ennemis politiques. Aux États-Unis et dans l’Union européenne, ce sont les conservateurs, ceux-là mêmes qui tentent de défendre les idéaux historiques de nos nations respectives, qui sont désignés comme l’ennemi public n° 1. Nous sommes l’éternel croquemitaine du 21e siècle.

Ce n’est pas seulement parce que nous défendons l’héritage et les principes qui ont contribué à créer la plus grande civilisation de l’histoire du monde (la civilisation occidentale). C’est aussi parce que nous continuons à parler de vérités qui dérangent.

Les futuristes s’appuient sur la désinformation pour diffuser leur philosophie utopique et ils ne peuvent continuer à survivre qu’en faisant taire toutes les idées contraires. Tous les régimes futuristes finissent par recourir à la censure de masse pour fonctionner. Ils ne peuvent pas résister à la lumière de la vérité et doivent donc maintenir le peuple dans une obscurité perpétuelle.

Lentement d’abord, puis d’un seul coup…

De nombreux lecteurs diront que nous en sommes là depuis des décennies. Je dirais plutôt que nous n’avons encore rien vu. Nous avons seulement vécu sous une censure secrète. L’effort de verrouillage en cas de pandémie a été le moment où les démocrates et les grandes entreprises technologiques ont commencé à exiger ouvertement que les contre-informations soient supprimées. Cependant, la majeure partie de cette censure est restée cachée.

Mark Zuckerberg, PDG de Meta et créateur de Facebook, a récemment admis que l’administration Biden avait fait pression sur Facebook en coulisses pour qu’il censure les informations de Covid-19 qui allaient à l’encontre du discours du gouvernement. Il s’agit d’une pratique hautement anticonstitutionnelle et criminelle. Biden et Harris devraient être soumis à une procédure de destitution et, à mon avis, toute personne impliquée devrait être condamnée à une peine de prison. Cela se produira-t-il ? Probablement pas.

Cette forme de censure est insidieuse, mais truquer des algorithmes pour masquer des résultats de recherche ou exclure des personnes des médias sociaux n’est pas exactement la même chose que de créer des lois pour intimider ou punir ceux qui s’expriment. C’est la phase dans laquelle nous entrons actuellement ; l’ère de la censure de masse ouverte est arrivée.

Au Brésil, les autoritaires de gauche ont fermé X (anciennement Twitter) d’Elon Musk parce que ce dernier a refusé d’instaurer leur modèle de censure sur son site de médias sociaux. Musk a eu le mérite d’accepter de perdre le marché brésilien et de rester fidèle à ses principes.

L’évolution de la situation au Royaume-Uni en est un autre exemple flagrant, le gouvernement essayant désormais de traquer et d’emprisonner des personnes pour les actes les plus mineurs (un adolescent britannique a récemment été condamné à deux ans de prison pour avoir simplement fait flotter un drapeau britannique près d’une mosquée). Quiconque s’oppose au multiculturalisme (et au futurisme) risque d’être arrêté et jeté en cage.

Les autorités britanniques ont suggéré qu’Elon Musk soit inculpé et que d’autres Américains soient extradés pour avoir défendu des valeurs conservatrices en matière d’immigration ou s’être exprimés en faveur des manifestations britanniques. Nous soulignons simplement qu’il n’y a que deux possibilités : soit les Britanniques se rebellent et renversent violemment les marionnettes mondialistes de leur propre gouvernement, soit ils deviennent des esclaves vivant dans la peur dans leur propre pays.

Cela semble vraiment insensé, tout ce drame autour des droits fondamentaux de la liberté d’expression, mais c’est le monde dont nous approchons maintenant et les gauchistes soutiennent joyeusement la transition.

La censure de masse est la voie d’une rébellion inévitable

Musk a déclaré qu’il pensait que X serait finalement fermé aux États-Unis si Kamala Harris gagnait la présidence lors des élections de novembre, et je suis enclin à être d’accord. Regardez ce que l’establishment a fait à Parler, un nouveau venu dans les médias sociaux, lorsqu’il a commencé à gagner du terrain ; les élites ont simplement mis fin à sa capacité à fonctionner efficacement sur le web et à faire croître sa base d’utilisateurs. Sous le régime de Harris, ils se sentiront encouragés à aller encore plus loin.

La rhétorique des démocrates est très claire : ils sont contre la liberté d’expression et considèrent certaines idées comme une menace pour LEUR société.

Par exemple, le New York Times, journal d’extrême gauche, a publié cette semaine un article qui donne du crédit à la censure de masse, notamment à la décision du gouvernement brésilien sur X. Il souligne les avantages de l’octroi au juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes de pouvoirs étendus en matière de censure en ligne. Ils décrivent cette décision comme une « solution efficace au problème contrariant des menaces de l’extrême droite contre la démocratie ».

Ils sont loin d’approuver institutionnellement la censure de X et se demandent même si le Brésil n’est pas allé trop loin (la réponse est évidemment oui), mais ils suggèrent en même temps que cette tendance est une « nouvelle normalité » que les grandes entreprises de technologie devront gérer. L’article insinue que si Musk veut contrer les demandes de censure du gouvernement, il devrait le faire par l’intermédiaire des tribunaux civils au lieu de défier directement cette tyrannie. En d’autres termes, ils affirment que Musk n’a pas le droit de s’opposer à eux.

Franchement, une rébellion n’a pas besoin de demander la permission de se rebeller.

Le New York Times a également eu beaucoup à dire sur le problème de la liberté et de la Constitution américaine dans un article intitulé « La Constitution est sacrée. Est-elle aussi dangereuse ? » Il tente à nouveau de lier les événements du 6 janvier à la nécessité de la censure, en promouvant le faux récit d’une tentative d’« insurrection » au cours de laquelle personne n’était armé et personne n’a été tué (à l’exception de l’un des manifestants conservateurs).

Le Times affirme que le danger de la Constitution est qu’elle donne au public la liberté de voter pour une personne comme Trump. Un acte qui, selon eux, permet la propre destruction du document.

La véritable ironie est que la popularité de Trump serait inexistante s’il n’y avait pas les tentatives constantes de la gauche politique d’instaurer une dystopie socialiste qui efface la Déclaration des droits. Rien n’arrive dans le vide et ces gens n’assument jamais la responsabilité de leur propre comportement. Ils ont passé trois ans à ignorer la Constitution au nom de l’autoritarisme médical pour un virus dont le taux médian de létalité de l’infection n’est que de 0,23 %1. Ensuite, ils ont commencé à éclairer le public sur le fait que les conservateurs sont une menace pour la démocratie.

Je soutiens qu’il ne s’agit pas d’une nouvelle normalité, mais d’une recette pour la guerre aux États-Unis, en Europe, ou dans les deux cas. Les mondialistes savent très bien que la rébellion est imminente, mais je ne pense pas que la plupart des gauchistes mesurent vraiment le risque qu’ils courent s’ils continuent sur cette voie. Cela ne va pas bien se passer pour eux.

La rébellion est TOUJOURS dans l’esprit des élites. D’une certaine manière, elles la veulent, mais elles la veulent à petites doses, faciles à gérer. Elles veulent un ennemi « terroriste » qu’elles peuvent utiliser pour effrayer le public et l’amener à soutenir la loi martiale, mais que se passera-t-il si un trop grand nombre de citoyens se joignent à cette rébellion ?

Ce que les mondialistes et les gauchistes craignent vraiment, c’est une rébellion à grande échelle qu’ils ne peuvent pas contrôler. Le genre de rébellion qui pourrait conduire les élites sur le billot. Ils sont prêts à tout pour éviter une révolution généralisée et c’est pourquoi ils sont prêts à prendre le risque d’une censure de masse ouverte aujourd’hui. Ils savent ce qui se prépare et s’efforcent d’atténuer autant que possible la diffusion des opinions antimondialistes avant que la situation ne devienne incontrôlable. Je pense qu’il est trop tard pour eux.

1 NDT Ou plus exactement pour un prétendu « virus » dont l’existence n’a jamais été scientifiquement démontrée, pas plus que pour les autres supposés virus pathogènes. Voir le dossier Vaccins et virus (et particulièrement les articles qui y réfutent ou démontent la théorie des germes et l’hypothèse virale).




Survivre à l’ONU, c’est en sortir

[Source : arcaluinoe.info]

Par Dr Rima Laibow

Bonjour, je suis honorée et heureuse d’être parmi vous aujourd’hui dans le cadre du Forum de Chisinau. Il s’agit d’un projet très important qui apporte des informations, des options et une compréhension approfondie aux gens du monde entier, et je suis honorée d’être parmi les participants.

Je voudrais parler en tant que médecin.

Le corps politique est malade et attaqué. Il y a une machine de mort qui a été construite lentement, soigneusement, magnifiquement, brillamment avec des ressources infinies et la capacité de créer une propagande à un degré vraiment sans précédent pour que l’angoisse de la tyrannie à travers l’asservissement profond du « village1 » et c’est un asservissement qui est si complet qu’il commence avec l’approfondissement et se poursuit ensuite vers l’extérieur en faveur d’une espèce sous-humaine, et pas seulement supprimée. Ce processus est à l’œuvre depuis au moins 100 ans.

En tant que médecin, j’ai choisi de trouver la cause profonde du symptôme, quel qu’il soit, et de résoudre la cause profonde du problème afin d’atténuer les symptômes. Si les symptômes étaient mortels et accablants, je m’efforcerais de les résoudre, mais mon objectif était de trouver la cause première du problème, de la résoudre et de laisser le problème se résoudre de lui-même. En 2004, après avoir été alerté par un patient sur le fait qu’un grand abattage était sur le point de commencer et que cet abattage devait concerner les mangeurs inutiles, et après avoir fait de nombreuses recherches pour découvrir ce que cela signifiait, j’ai réalisé que le patient avait tout à fait raison et que l’abattage des mangeurs inutiles avait été préparé depuis très longtemps. Et ce que j’ai appris, c’est qu’avec la philanthropie des Tories, nous devrions l’avoir, puisque les Rockefeller ont utilisé des sources en commençant par John D. Rockefeller Sr, le premier milliardaire du monde et la personne la plus riche ayant jamais vécu sur la planète.

Le visionnaire et véritable John D. Rockefeller Sr était un grand scientifique de l’eugénisme, se débarrassant des gens qui vivent sur cette planète. C’est une grande idée et, en fait, c’est John D. Rockefeller Jr. qui a introduit l’eugénisme, en créant l’Institut Kaiser Wilhelm pour étudier la science de l’eugénisme avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Environ 36, je suis désolé, environ 36 scientifiques, des scientifiques, les faisant même venir aux États-Unis après le programme de bourses d’études de la Seconde Guerre mondiale.

Parallèlement, Rockefeller a créé la discipline de la santé publique pour prendre en charge la prise de décision des pays et de leurs unités subsidiaires jusqu’aux individus et a créé la structure que nous appelons aujourd’hui les Nations unies avec son organisation subsidiaire, l’Organisation mondiale de la santé et l’UNESCO et tous les autres éléments des Nations unies, chacun d’entre eux étant vêtu de lumière et de beauté et de propagande pour dire que cette machine de mort appelée les Nations unies, qui est en réalité un country club de personnes non élues, est un club privé, rien d’autre. Et l’Organisation mondiale de la santé, qui est une tyrannie mondiale naissante par le biais de questions médicales, est essentiellement un plan d’affaires visant à s’approprier les ressources à tous les niveaux, rien de plus. Et chacun des autres éléments est également paré de la gloire de l’éducation et de l’action humanitaire, etc.

Et bien sûr, tout cela est absurde. Il ne s’agit que de tyrannie. Il s’agit d’un système tyrannique si profond et si complet qu’il représente l’apothéose de ce que tous les dictateurs du monde ont toujours espéré.

Ainsi, préparant leurs plans depuis environ 140 ans, ces tyrans richissimes qui croient, comme Bill Gates, George Soros, Oprah Winfrey et les autres philanthropes prédateurs modernes, qu’ils ont le droit, en raison de leur richesse, de déterminer qui vit, qui meurt, dans quelles conditions et avec quel patrimoine génétique, ces gens-là vivent et meurent. Le piège de la prédation est sur le point de se refermer. Malheureusement, c’est l’Organisation mondiale de la santé qui a le plus attiré l’attention sur cette menace géopolitique.

Il y a deux ans et demi, je pensais que nous avions le temps de procéder par étapes, que nous pourrions commencer par nous retirer de l’Organisation mondiale de la santé et que nous pourrions ensuite profiter de notre succès pour nous retirer des Nations unies. Il y a sept mois, j’ai réalisé que c’était une erreur politique, stratégique et tactique. D’ailleurs, en 2004, j’ai cessé de pratiquer la médecine pour créer avec mon mari, le général de division Albert N. Sebelbaum III, la Natural Solutions Foundation, afin de lutter contre la maladie du corps politique, à savoir l’intention de mort provoquée par une machine de mort connue sous le nom d’ONU.

Et je vous invite, chaque fois que vous entendez l’expression « Nations unies », à réfléchir à sa véritable signification, qui est celle d’organismes non élus. Nous avons réalisé qu’il existait effectivement un plan visant à éliminer la population, à la réduire génétiquement et de toute autre manière, à la comprimer dans des villages de transit, à supprimer les droits de propriété, les droits parentaux, les droits de l’Homme, le droit à un consentement éclairé, les droits judiciaires, le concept de l’âge du consentement, etc. Nous avons décidé que nous devions contribuer à faire dérailler ce processus.

C’est la raison d’être de la Natural Solutions Foundation. Mon mari, un brillant analyste stratégique, a été assassiné dans le cadre de ce travail, et nous savons donc que nous sommes sur la bonne voie. Sinon, cela n’aurait aucun sens, n’est-ce pas ? Le fait est que si nous nous concentrons sur les Nations unies, nous pouvons résoudre le problème, le problème sous-jacent.

En revanche, si nous nous concentrons entièrement sur l’accord de préparation à la prévention des pandémies, sur les règlements sanitaires internationaux, même si nous retirions nos pays de ces organisations demain, même si nous annulions notre participation à l’Organisation mondiale de l’Holocauste, ce qui serait un nom pour elle, nous sommes toujours confrontés à l’Agenda 2030. Nous sommes toujours confrontés au goulag numérique. Nous sommes toujours confrontés à la Grande Réinitialisation.

Nous sommes toujours confrontés au programme C40, où vous ne possédez rien, où vous êtes heureux parce que vous êtes drogué, où votre activité biologique est capturée par l’agriculture piézoélectrique, et où vous enrichissez le détenteur du brevet de votre structure génétique désormais transmutée grâce à votre existence biologique continue. C’est une forme d’esclavage que nous n’avons jamais, jamais rencontrée auparavant. L’esclavage génétique biochimique et la destruction d’une espèce entière dominant la planète, pour le meilleur ou pour le pire, pendant très longtemps, jusqu’à ce que le philanthrope prédateur dise, eh bien, non, je crois que je peux être Dieu, et articuler cela, comme le fait Yuval Harari, et décider ce que vous serez, en commençant d’abord par les deux discriminateurs de vivant ou de mort, puis en passant au discriminateur de maître ou de sous-homme delta dans le sens du Meilleur des mondes.

Ce livre a été publié en 1932 par Algis Huxley, de la Société Fabian, qui est l’ancien nom des mondialistes, comme un plan d’action pour la direction que nous prenons. Récemment, Klaus Schwab, ancien directeur du Forum économique mondial, a déclaré que toute la reproduction humaine se ferait en dehors du corps humain d’ici 2030. C’est très proche du principe de base du Meilleur des mondes, dans lequel tout le monde est créé synthétiquement et contrôlé de l’extérieur.

Pour ce qui est des détails de la mise en œuvre, je peux vous dire que nous perdons notre temps, mais l’Organisation mondiale de la santé, face aux atrocités, et elles sont atroces, absolument, l’Organisation mondiale de la santé est d’une horreur inimaginable. Nous devons en débattre. Il en va de même pour la pandémie, bien sûr.

Toutes les activités de l’Organisation mondiale de la santé, y compris les urgences de santé publique de portée internationale, sont atroces. Vous jouez avec ce pour quoi le patient a été créé, à savoir une tyrannie médicale mondiale, mais l’infection, le véritable cancer, ne se fait pas sur le derrière du monstre, le Michigan, au sein des Nations unies. Maintenant, votre pays, pour penser à tout ce que les Nations Unies ont l’intention de faire à votre souveraineté, à votre pays, et à toute décision concernant votre vie, quelle qu’elle soit, incluant votre vie, la vraie question est : votre pays peut-il quitter les Nations Unies ? Et c’est là que je vous apporte une bonne nouvelle.

Tous les pays du monde ont été victimes d’une tromperie, et cette tromperie consiste à leur faire croire qu’ils ont des obligations conventionnelles envers les Nations Unies, et qu’en raison de ces obligations conventionnelles, ils doivent faire ce que les Nations Unies disent qu’ils doivent faire, en termes de santé, en termes d’utilisation des terres, en termes de migration, en termes d’économie par le biais de l’Organisation mondiale du commerce, de la Banque mondiale, du Fonds monétaire international, et ainsi de suite. Tout cela n’est que mensonge. C’est une tromperie, et voici pourquoi.

Si vous consultez la Conférence de Vienne sur le droit des traités, qui a abouti à deux conclusions principales en 1961 et en 1969, vous constaterez qu’il est explicitement indiqué que les traités ne peuvent être conclus qu’entre des États souverains, des parties, des pays. Cela signifie que la Moldavie, par exemple, dont la constitution stipule qu’elle doit participer aux Nations unies, et les États-Unis, dont la constitution stipule que le président peut signer un traité avec l’avis et le consentement du Sénat. Aucune de ces nations, ni aucune autre nation dans le monde, n’est liée aux Nations unies par un traité.

Ils sont dans une relation de tromperie frauduleuse, car les Nations unies sont un club privé, à la fois dans le sens où les vieux garçons s’amusent et décident de ce qui va se passer, et dans le sens d’une association de pays. C’est tout ce qu’elles sont. Ce n’est pas une nation souveraine.

Les États-Unis examinent actuellement au Congrès, tant à la Chambre qu’au Sénat, un projet de loi intitulé Disengaging Entirely from the United Nations Debacle Act of 2023, H.R.6645 et H.R.3428. Ces deux projets de loi, je vous prie de m’excuser, qui constituent le Disengaging Entirely from the United Nations Debacle Act of 2023 doivent être adoptés à la fois par la Chambre et par le Sénat avec une majorité suffisante, une super majorité, pour passer outre l’inévitable veto que celui qui se trouve être assis dans le fauteuil du Bureau ovale émettra. Une fois que les États-Unis auront quitté la machine de mort non élue, toutes ses parties et pièces, y compris l’Organisation mondiale de la santé, d’autres pays seront libres d’en faire autant. Je prédis que les mondialistes laisseront cet organisme s’effondrer et qu’ils reviendront avec quelque chose d’autre, en essayant encore une fois.

Mais la destruction de l’agriculture cessera. Les migrations incontrôlées cesseront. L’exigence d’une éducation sexuelle complète, s’assurant que chaque enfant est confus, traumatisé et dégradé dans sa capacité à progresser sur le plan du développement psychosexuel, cessera d’être une exigence.

En fait, il est essentiel que les pays se libèrent de l’obligation non conventionnelle qu’ils n’ont jamais eue. Si vous connaissez quelqu’un aux États-Unis, je vous invite à l’encourager à se rendre sur le site preventgenocide2030.org et à y prendre des mesures pour exiger des membres de son Congrès, qu’ils soient corrompus ou non, qu’ils soient intellectuellement en phase avec ce dont nous parlons ou non, cela n’a pas vraiment d’importance. Nous devons simplement les forcer à agir en notre nom.

Je vous demande instamment d’envoyer toutes les personnes que vous connaissez et qui ont une résidence ou une adresse aux États-Unis pour qu’elles agissent sur le site preventgenocide2030.org, puis je vous demande instamment de forcer votre pays à sortir de cette machine de mort avant le 23 septembre de cette année, 2024. Pourquoi avant cette date ? Parce que ce jour-là, l’Assemblée générale des Nations unies doit approuver le pacte pour l’avenir, qui établit de manière absolument claire et abondante que la tyrannie mondiale sera promulguée et qu’elle sera irréversible par la suite. Il s’agit d’un message d’une grande urgence, et je vous remercie de m’avoir donné l’occasion de le délivrer.

N’hésitez pas à me contacter à dr.rima@naturalsolutionsfoundation.com si je peux vous être utile, et visitez https://preventgenocide2030.org/ pour en savoir plus et pour agir.

Je vous remercie.

Rima Laibow

Rima E. Laibow, M.D., est la directrice médicale de la Natural Solutions Foundation. Diplômée de l’Albert Einstein College of Medicine (1970), elle croit passionnément au droit de chaque Américain de choisir un parcours de santé personnel, sans ingérence du gouvernement ou des entreprises.


1 NDT Le Dr Laibow fait probablement allusion au « Village global », expression parfois utilisée par les mondialistes pour désigner la planète.




Pourquoi les soldats français sont toujours tués en Ukraine ?

Par Adam Lenaerts

La politique française depuis plusieurs années évolue considérablement en conséquence de nombreuses pirouettes diplomatiques irrationnelles du gouvernement Macron, sapant l’autorité de la Cinquième République aux yeux du monde. La France d’aujourd’hui a presque perdu son influence sur le continent africain à cause des coups d’État qui y avaient eu lieu, provoquant des changements gouvernementaux qui avaient déterminé l’orientation du vecteur de politique commune des États africains. Une large partie de la population africaine ne voit pas bien l’intérêt d’avoir des soldats français dans leurs pays faute d’efficacité. Les États africains l’un après l’autre expulsent le contingent militaire français de la région, ce qui force Paris à réorienter le vecteur de ses intérêts politiques, notamment il s’agit de l’envoi des militaires français dans la zone du conflit russo-ukrainien afin de rétablir son influence sur l’arène internationale.

Cependant cette décision est très discutable, compte tenu de l’expérience africaine mal digérée. Il serait beaucoup plus efficace de rapatrier les troupes en France pour qu’ils améliorent leurs compétences ainsi que pour qu’ils garantissent la sécurité interne du pays. Il est à noter que le patrimoine génétique français est aussi presque perdu grâce à la politique migratoire désastreuse du gouvernement Macron. Ce qui est vraiment regrettable, c’est le fait que les autorités du pays ont choisi une tactique destructrice ayant transféré le contingent militaire français sur les territoires du conflit russo-ukrainien.

Juin 2022, une porte-parole de l’armée ukrainienne annonce le décès d’Adrien Dugay-Leyoudec dans la région de Kharkiv. Ce jeune homme, originaire de Haute-Loire, âgé de 20 ans, faisait partie des premiers Français à avoir rejoint la légion internationale ukrainienne créée par Zelensky au lendemain de l’offensive russe et rassemblant l’ensemble des combattants volontaires étrangers rattachés à l’armée de Kiev. Juin de la même année, le ministère des affaires étrangères français annonçait la mort à Bakhmout d’un autre volontaire français — Kevin David, un trentenaire originaire de la région d’Angers. Selon certaines informations, une frappe menée Kharkiv dans la nuit du 16 au 17 janvier 2023 a tué une soixantaine de combattants, dont la plupart étaient les citoyens français. Selon des informations du Monde, ils étaient quelque 320 Français et résidents français à avoir rejoint les rangs de l’armée ukrainienne en juin 2023. Selon La Croix, au début de février dernier, deux Français ont été tués et trois autres blessés après une frappe. Le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, s’est trouvé forcé de le confirmer, en précisant que ces Français y avaient travaillé en tant qu’« humanitaires ».

Quoi qu’il en soit, nos soldats meurent toujours hors de France. Bien que quelques rares annonces de décès filtrent depuis le front de l’est, le nombre total de Français défendant les intérêts des Ukrainiens sur le front à l’heure actuelle — qu’il s’agisse de bénévoles, de combattants partisans Kiev — demeure difficile à évaluer. Paris, à son tour, nie à tous égards toute cette information, évitant ainsi des précisions supplémentaires sur l’essence de la participation de la France au conflit russo-ukrainien, tout en soulignant le caractère pacificateur de la mission du contingent français en Ukraine.




Rabbi Goldberger : « Israël n’est PAS un État juif… »




Les États-Unis pillent l’Europe depuis 1917

[Source : Dialogue Franco-Russe]

Avec Claude Janvier, écrivain, auteur de « L’État profond français » publié chez KA Éditions,  »Les démasqués: qui dirige réellement le monde? »
https://www.fnac.com/a18261736/Claude-Janvier-Les-demasques
00:00 Irina Dubois s’adresse aux abonnés
01:45 L’état profond et son fonctionnement par Claude Janvier
02:25 Black Rock
03:53 La programme Alladin
05:31 Vanguard ou the Vanguard Group
08:26 Bill Gates
10:20 Georges Soros ( revolutions oranges et virosologie)
11:31 GAFAM et le fond Carlyle
12:43 Jeff Besos
14:20 Le climat
15:38  »Les Etats-Unis doivent harceler la Russie »
16:16 Les anglo-saxones rêvent d’envahir la Russie
17:44 L’Otan et leur guerre financière
18:58 Poutine n’avait pas de choix
19:50 Qui alimente la guerre?
21:06 Le monde unopilaire n’est pas prêt à céder
22:35 Les populations européennes et la bataille pour l’Ukraine et les médias mainstream
24:23 Les chaînes alternatives
24:48 Le Nouvel Ordre Mondial
25:30 L’état profond français: le public et le privé
28:07 Comment s’est fait élire EM? Sylvain Fort
29:12 Sociétés autoroutières françaises
31:11 Les 4 clubs secrets de France
32:45 Les élections aux Etats-Unis




Les sophismes logiques de la virologie

ViroLIEgie 101 : sophismes logiques

[Source : mikestone.substack.com]

Le raisonnement erroné ancré dans les fondements de la virologie a infecté l’esprit de ceux qui se considèrent comme des penseurs rationnels.

Par Mike Stone

30 août 2024

ViroLIEgy1 101 est une série d’articles destinés à fournir des explications relativement courtes (selon mes critères) et concises sur des concepts clés concernant à la fois la « théorie » des germes et la virologie. Je propose une vue d’ensemble des sujets essentiels à la conversation que les gens peuvent confondre et avoir du mal à comprendre, ou des domaines qui semblent être controversés lors de discussions avec ceux qui défendent la « théorie » des germes de la maladie.

Le domaine de la virologie est considéré comme une pierre angulaire de la médecine moderne, et l’acceptation généralisée des « virus » en tant que facteurs de causalité des maladies est à l’origine de l’essor d’une puissante industrie pharmaceutique, qui a largement profité de la production d’innombrables vaccins et de divers médicaments destinés à combattre ces entités « pathogènes » invisibles. Malgré l’utilisation de toutes les méthodes disponibles pour contrôler ces épidémies, l’incidence des maladies « virales » émergentes et réémergentes ne cesse d’augmenter chaque année. De nombreuses excuses ont été avancées pour expliquer pourquoi ces mesures de « protection » ne parviennent pas à combattre et à réduire les maladies « infectieuses », notamment la mondialisation, l’urbanisation, les changements environnementaux, la croissance démographique, les facteurs socio-économiques, la résistance aux antiviraux (c’est-à-dire l’échec des médicaments) et, ce que je préfère, « la mutation et l’évolution virales ». S’il est évident que l’injection et la consommation de substances toxiques pour lutter contre des entités fictives ne peuvent conduire à une santé durable, il existe une raison plus profonde pour laquelle ces mesures continuent d’échouer. Sous la surface de ses méthodologies apparemment rigoureuses, la virologie repose sur une fondation construite sur une logique défectueuse. Au cœur de la recherche virologique se trouve l’hypothèse d’une entité pathogène invisible, l’expérience de culture cellulaire « étalon-or » étant souvent présentée comme une preuve effective de l’existence et de la pathogénicité du « virus ». Pourtant, si l’on examine les méthodes de près, cette expérience au cœur même du domaine est truffée de sophismes logiques qui s’infiltrent profondément dans le cœur de la virologie, à savoir le fait de poser la question, d’affirmer le conséquent et le sophisme de la fausse cause.

Il est intéressant de noter que lorsque les défenseurs de la virologie sont confrontés à des critiques sur la logique intrinsèquement fallacieuse de la discipline, ils ont souvent recours au même raisonnement erroné que celui qui se trouve dans les expériences fondamentales. Il en résulte une perpétuation involontaire des mêmes sophismes qui sapent à la fois le domaine et leur position, ce qui aboutit à un schéma cyclique de raisonnement erroné. Lorsque les défenseurs de la virologie s’engagent dans ce type de raisonnement circulaire, ils ne s’attaquent pas aux failles fondamentales de la méthodologie tout en renforçant les fondations précaires sur lesquelles repose l’ensemble du domaine. En d’autres termes, leur défense de la virologie est construite avec les mêmes erreurs logiques que celles qui affectent les méthodes expérimentales utilisées par les virologues, ce qui rend toute tentative de justifier les conclusions du domaine intrinsèquement défectueuse.

Il est frustrant de constater que ceux qui défendent la virologie semblent souvent inconscients de leur engagement dans un raisonnement logiquement fallacieux. Cela peut provenir d’un système éducatif qui donne la priorité à la mémorisation et à l’obéissance plutôt qu’à la pensée critique et à la logique, ou peut-être d’une vie entière d’endoctrinement dans un paradigme erroné de la maladie et des soins de santé. Quelle qu’en soit la cause, de nombreuses personnes semblent ne pas savoir ce que sont les fautes de logique ni comment le raisonnement erroné s’infiltre dans leur pensée et leur argumentation. Afin de dissiper cette confusion, cet article explorera la nature des sophismes logiques et leur pertinence pour la virologie. Bien qu’il ne soit pas possible d’aborder tous les sophismes dans le cadre de cet article, l’accent sera mis sur les trois sophismes susmentionnés qui sont profondément ancrés dans le tissu même de la virologie et de sa méthodologie. Pour illustrer comment un raisonnement erroné profondément enraciné peut avoir un impact négatif sur ceux qui sont fiers de leur pensée logique, nous examinerons un exemple récent qui montre à quel point les défenseurs de la virologie peuvent facilement tomber dans les sophismes logiques inhérents à un domaine fondé sur de telles erreurs.

Que sont les fautes de logique ?

Les sophismes logiques sont des erreurs de raisonnement ou de jugement courantes et quotidiennes. Nous sommes tous régulièrement victimes de ce type de raisonnement erroné, qui peut se produire de nombreuses façons. Ces sophismes sont des illusions de la pensée rationnelle qui peuvent tromper les deux parties en leur faisant croire qu’elles avancent un argument valable alors que ce n’est pas le cas. Lorsque des sophismes sont utilisés dans un débat visant à établir une position rationnelle, ils sapent gravement la logique de l’argument. En effet, les sophismes, qu’ils soient intentionnels ou non, se manifestent souvent sous la forme d’arguments illégitimes ou de points non pertinents qui manquent de preuves critiques pour étayer les affirmations formulées. Il est donc essentiel d’être conscient des différentes façons dont nous pouvons commettre ces erreurs afin d’éviter de devenir la proie d’une pensée illogique et d’arguments irrationnels.

En virologie, les fondements mêmes de l’ensemble du domaine sont imprégnés d’une pensée logiquement fallacieuse, et ces erreurs se retrouvent à la fois dans les expériences et dans l’interprétation de leurs résultats. Comme les « virus » imaginaires que l’on cherche à détecter, ces raisonnements erronés se propagent d’une personne à l’autre, qu’il s’agisse de mener des recherches ou de défendre le domaine contre les critiques. Pour éradiquer ce « virus » des sophismes qui a « infecté » l’esprit de ceux qui pourraient penser rationnellement, examinons ce que je considère comme les trois sophismes centraux qui soutiennent cette discipline pseudoscientifique afin d’obtenir une perspective plus claire.

Poser la question

Le sophisme de la question posée est fondamental pour les problèmes liés à la virologie. En bref, ce sophisme se produit lorsque « les prémisses de l’argument supposent la vérité de la conclusion, au lieu de la soutenir. En d’autres termes, vous supposez sans preuve la position, ou une partie importante de la position, qui est en question »2. En ce qui concerne la virologie, les chercheurs supposent l’existence d’un « virus » pathogène et attribuent ensuite certains phénomènes à cette entité invisible pour prouver son existence. Il en résulte un raisonnement circulaire qui ne fournit pas de preuves indépendantes de l’existence de l’entité, mais présuppose au contraire la chose même qu’il vise à établir.

C’est là le principal défaut de la virologie en tant que discipline scientifique. L’entité supposée être la cause d’un effet n’est jamais directement prouvée avant toute expérience visant à déterminer la causalité. Il est essentiel et impératif de démontrer que la cause (les particules « virales » supposées) existe avant l’effet. Ce principe, connu sous le nom d’ordre temporel, est la première des quatre conditions nécessaires qui doivent être remplies pour démontrer une relation de cause à effet entre deux variables.

Pour établir une relation de cause à effet entre deux variables, il faut que quatre conditions soient réunies :

1) l’ordre temporel : la cause doit exister avant l’effet ;

2) co-variation : un changement dans la cause produit un changement dans l’effet ;

3) justification : il doit y avoir une explication raisonnable de la raison pour laquelle ils sont liés ;

4) la non-spoliation : aucune autre cause (rivale) ne peut être trouvée pour l’effet.3

L’un des principaux objectifs de la recherche scientifique est de démontrer que la variable indépendante (la cause présumée) influence la variable dépendante (l’effet observé). Pour tester une hypothèse suggérant une relation de cause à effet, la variable indépendante doit être présente dès le début de l’expérience. Elle doit être variée et manipulée au cours de l’expérience afin d’observer son impact sur la variable dépendante. Cette séquence n’est pas seulement une nécessité procédurale, mais une exigence de logique.

« Pour que la variable indépendante soit à l’origine de la variable dépendante, la logique veut que la variable indépendante se produise en premier dans le temps ; en bref, la cause doit précéder leffet.

La virologie est confrontée à un problème de variable indépendante, car le « virus » n’a jamais été directement observé dans la nature. Le concept de « virus » a été conçu à la fin du XIXe siècle pour expliquer l’impossibilité de respecter les postulats de Koch dans tous les cas de maladie. Les expériences ultérieures qui ont supposé la présence du « virus » et attribué des effets à cette entité inobservable ont commencé par poser la question de son existence, ainsi que des effets qu’il est censé provoquer. En d’autres termes, les phénomènes créés dans les laboratoires ont été attribués à la présence du « virus » par le biais d’un cycle fallacieux de raisonnement circulaire, dont la virologie ne s’est pas encore affranchie.

Pendant plus de 60 ans, les virologues se sont efforcés de démontrer de manière convaincante qu’ils travaillaient avec de véritables « virus » pathogènes dans leurs expériences. En fait, il n’y a même pas eu de consensus sur la définition d’un « virus » avant 1957. Cependant, en 1954, le virologue John Franklin Enders, alors qu’il était censé travailler sur le « virus » de la rougeole, a introduit un dispositif expérimental illogique qui permettait aux chercheurs de prétendre qu’ils travaillaient avec les entités qu’ils croyaient présentes dans les fluides des patients malades. Il s’agit de l’expérience de culture cellulaire, qui part de l’hypothèse que les « virus » invisibles sont déjà présents dans les fluides d’un patient malade. Lorsque ces liquides ont été ajoutés à une boîte de Petri contenant des cellules rénales de singes verts africains, ainsi que divers produits chimiques et additifs étrangers, Enders a observé ce qu’il a appelé l’effet cytopathogène (ECP). Cet effet a ensuite été attribué à des « virus » et utilisé comme preuve de la présence de ces entités invisibles dans l’échantillon, bouclant ainsi la boucle illogique où l’effet est considéré comme la preuve de la cause. Cette méthode expérimentale était fondamentalement erronée, car elle reposait sur l’erreur de poser la question. Cette prémisse illogique de base est ancrée dans toutes les recherches en virologie qui ont été menées par la suite.

Affirmer la conséquence

Une deuxième erreur inhérente aux méthodes de la virologie est connue sous le nom d’affirmation de la conséquence. Ce sophisme implique l’utilisation d’une déclaration conditionnelle, généralement écrite sous la forme d’une phrase « si-alors », qui exprime un lien entre l’antécédent (la partie située après le « si ») et le conséquent (la partie située après le « alors »). Il est important de noter que les énoncés conditionnels n’affirment pas la vérité de l’antécédent ou du conséquent. Ils affirment seulement que si l’antécédent est vrai, alors le conséquent doit l’être aussi. Pour commettre cette erreur, il faut affirmer à tort que la présence du conséquent confirme la véracité de l’antécédent. Cette erreur peut être exprimée comme suit :

  • Si A, alors B.
  • B [existe].
  • Par conséquent, A [est vrai ou existe aussi].

Un exemple simple d’affirmation de l’erreur conséquente ressemblerait à ceci :

  • Si je mange 25 pommes d’un coup, j’aurai mal au ventre.
  • J’ai mal au ventre.
  • J’ai donc mangé 25 pommes d’un coup.

Ce raisonnement est manifestement fallacieux, car il peut y avoir de nombreuses raisons d’avoir mal au ventre qui n’impliquent pas d’avoir mangé 25 pommes en une seule fois. Un mal de ventre n’est pas une preuve que quelqu’un a mangé 25 pommes. Voici un autre exemple simple :

  • S’il pleut dehors, la rue sera mouillée.
  • La rue est mouillée.
  • Il a donc plu à l’extérieur.

Une fois de plus, ce raisonnement est fallacieux, car la rue peut être mouillée pour des raisons qui n’impliquent pas la pluie. Quelqu’un aurait pu pulvériser un tuyau d’arrosage, une bouche d’incendie aurait pu éclater, ou un nettoyeur de rue aurait pu passer dans le quartier. Le fait que la rue soit mouillée ne signifie pas automatiquement qu’il a plu. Par conséquent, la conclusion ne confirme pas la vérité de la prémisse, ce qui rend le raisonnement fallacieux.

Dans l’expérience de la culture cellulaire, cette erreur est commise de la même manière. Les virologues supposent que l’observation d’un ECP dans leurs cultures « infectées » prouve la présence d’un « virus ».

  • Si un « virus » est présent dans l’échantillon, il y aura un ECP dans la culture.
  • Il y a la ECP.
  • Un « virus » est donc présent dans l’échantillon.

Ceci est fallacieux pour plusieurs raisons, la plus importante étant qu’il faut prouver l’existence du « virus » avant d’observer l’ECP. L’effet (le conséquent) ne peut être utilisé pour affirmer l’existence de la cause (l’antécédent). Comme pour les autres exemples fournis, il existe de nombreuses raisons potentielles pour lesquelles les virologues peuvent observer un ECP dans leurs cultures « infectées », que nous explorerons par la suite.

Fausse cause

Le sophisme de la fausse cause se produit lorsque quelqu’un suppose à tort, sans preuve, qu’il existe une relation de cause à effet entre deux variables ou événements. Chaque fois que quelqu’un affirme que « A cause B » sans raison ni preuve suffisante pour croire que B est réellement causé par A, ce sophisme est en jeu. Ce raisonnement erroné est souvent résumé par l’expression « corrélation n’est pas synonyme de causalité ». Ce n’est pas parce qu’un événement suit un autre, ou même si des événements se produisent simultanément, qu’ils sont liés par un lien de causalité. Voici quelques excellents exemples de ce sophisme en action :

  1. Nous n’avons jamais eu de problème avec cet ascenseur jusqu’à ce que vous emménagiez dans le bâtiment [autrement dit, vous seriez la cause des problèmes d’ascenseur — NDT].
  2. Ils avaient une entreprise très prospère. Puis ils ont décidé d’adopter un enfant, et l’entreprise est immédiatement devenue déficitaire [autrement dit, l’enfant serait la cause du déclin de l’entreprise — NDT].
  3. Veuillez lire ce message et le transmettre. Trois personnes qui ont reçu et transmis ce message ont reçu des milliers de dollars chacune, mais Mme Elma Smith n’a pas transmis ce message et a souffert d’un long problème d’ongle incarné. Faites suivre ce message à cinq personnes immédiatement, si vous savez ce qui est bon pour vous.
  4. Lorsque la NFC remporte le Super Bowl, le marché boursier connaît généralement une bonne année. J’espère que la NFC gagnera l’année prochaine, car mon portefeuille est en train de prendre un coup.
  5. Je suis sûr que la musique de Marilyn Manson a quelque chose à voir avec ces meurtres. Ils ont trouvé des CD de Manson dans la collection privée d’un des meurtriers.

Dans ces cas, les gens supposent un lien entre deux événements simplement parce qu’ils se sont produits l’un après l’autre ou de manière rapprochée dans le temps. Ce même raisonnement erroné est évident dans les expériences de culture cellulaire réalisées par les virologues. Ils supposent que l’ajout de liquide pulmonaire ou de mucus nasal non purifié provenant d’un patient malade à une culture de cellules rénales de singe, suivi de l’observation d’un ECP, implique qu’un « virus » était présent dans l’échantillon et qu’il a finalement causé l’ECP. Ce raisonnement renvoie à l’erreur qui consiste à poser la question de l’existence du « virus » en premier lieu, ainsi qu’à affirmer la conséquence en utilisant l’effet (ECP) comme preuve de la cause supposée (le « virus »). Il s’agit d’un enchevêtrement de raisonnements circulaires, sans aucune preuve directe de l’existence d’une entité décrite comme un « virus » pathogène avant toute expérience ou observation.

Le vieux monsieur Enders et ses raisonnements logiquement fallacieux.

Ce sophisme a été utilisé par John Franklin Enders dans son article original de 1954 établissant l’expérience de la culture cellulaire, lorsqu’il a supposé que l’ECP qui se produisait dans ses cultures « infectées » était la preuve qu’il avait « isolé » la cause de l’effet dans le « virus » de la rougeole.

B) Domaine cytopathogène. Le rein de singe est le seul autre tissu utilisé qui ait donné lieu à une croissance cellulaire dans laquelle les changements caractéristiques décrits ci-dessus ont été observés avec certitude après inoculation du virus. Dans des cultures composées en grande partie de cellules épithéliales rénales de singe, préparées selon la technique de Dulbecco modifiée par Youngner (13), on a régulièrement observé des changements cytopathiques qui ressemblent beaucoup à ceux produits par ces agents dans les cellules rénales humaines, comme on a pu le voir dans des préparations fraîches et colorées. Ces effets ont été observés après l’ajout de sang ou de lavages de gorge provenant de cas de rougeole, ainsi que de liquides de culture de tissus infectés provenant de passages antérieurs.

Immédiatement après ce passage, Enders a admis l’existence d’autres causes possibles de l’ECP observé. Cependant, il a maintenu que l’ECP causé par ces autres agents « viraux » ou facteurs inconnus ressemblait à l’ECP qu’il attribuait déjà à un « virus » de la rougeole.

Les cultures de reins de singe peuvent donc être appliquées à l’étude de ces agents de la même manière que les cultures de reins humains. Il faut cependant tenir compte du fait que les effets cytopathiques qui ressemblent superficiellement à ceux résultant de l’infection par les agents de la rougeole peuvent éventuellement être induits par d’autres agents viraux présents dans le tissu rénal du singe (cf. dernier paragraphe sous G) ou par des facteurs inconnus.

Enders conclura finalement que les résultats de son article sur les changements cytopathogéniques confirment sa présomption selon laquelle ils sont causés par le « virus » de la rougeole.

Conclusion. Les résultats qui viennent d’être résumés soutiennent la présomption que ce groupe d’agents est composé de représentants de l’espèce virale responsable de la rougeole.

La raison pour laquelle Enders a d’abord cru que les changements cytopathogènes observés dans les cultures de tissus et de cellules étaient causés par un « virus de la rougeole » laisse perplexe, surtout si l’on considère ses propres remerciements dans un article intitulé Cytopathology of Virus Infections : Particular Reference to Tissue Culture Studies, publié la même année que son article sur la rougeole. Dans cet ouvrage, Enders a fait quelques concessions révélatrices concernant l’interprétation de l’ECP. Il explique que l’ECP peut être déclenché par de nombreux agents nocifs et qu’en soi, cette observation ne peut être attribuée de manière concluante à une activité « virale ». Malgré cela, Enders a affirmé qu’un observateur familiarisé avec les modèles spécifiques d’ECP attribués à un « virus » particulier pourrait conclure provisoirement qu’un « virus » en est responsable.

« Les phénomènes mentionnés ci-dessus dans les modifications du groupe 1 peuvent être provoqués par de nombreux agents nocifs. Par conséquent, ils ne peuvent pas être considérés comme résultant nécessairement d’une activité virale. Pour le prouver, il faut appliquer certaines procédures de contrôle (culture en série, prévention des modifications par des anticorps homologues, etc. Cependant, la connaissance des effets d’un virus spécifique dans un système cellulaire donné permet souvent à l’observateur de conclure provisoirement que ce virus est responsable. »

Enders a également discuté des changements morphologiques tels que les corps d’inclusion, considérés comme caractéristiques d’une « infection virale ». Toutefois, il a admis que ces changements ne constituaient pas une preuve définitive de l’activité « virale », car certains produits chimiques et facteurs inconnus pouvaient également produire de tels changements. Les corps d’inclusion ont été parmi les premiers changements attribués aux « virus » et ont été utilisés comme critères d’« infection », même si d’autres facteurs pouvaient entraîner leur apparition.

“Parmi les indices morphologiques de lésions virales, la formation de corps d’inclusion (groupe 2 ci-dessus) est la plus caractéristique, bien que ce processus ne puisse pas être accepté comme une preuve effective de l’activité virale puisque certains facteurs chimiques ainsi que d’autres facteurs inconnus peuvent conditionner son développement. Les corps d’inclusion ont été les premiers changements cytopathiques recherchés in vitro et utilisés comme critères d’infection. En tant qu’indices de la multiplication virale, ils sont cependant moins utiles que les modifications du groupe 1, car ces structures ne peuvent être mises en évidence de façon indubitable que dans des préparations colorées”.

Enders admet que les changements cytopathogéniques observés en laboratoire sont influencés par de nombreux facteurs, certains connus, d’autres non définis. Il a tenté d’établir une corrélation entre certaines lignées cellulaires sensibles et la « réplication virale », mais il a noté que cette corrélation ne se vérifiait pas toujours et que l’inverse était parfois observé :

La cytopathogénicité in vitro est influencée par des facteurs dont certains sont connus alors que beaucoup restent à définir. Quelques-uns de ceux qui sont aujourd’hui reconnus seront mentionnés en guise d’introduction à l’examen des observations enregistrées sur le comportement des agents individuels. L’espèce dont les cellules sont issues est d’une importance primordiale. La gamme cytopathogène des cellules cultivées est analogue à la gamme d’hôtes d’un virus. Mais la corrélation entre la sensibilité de l’organisme et ses cellules in vivo n’existe pas toujours. En effet, bien que cette corrélation soit fréquente, il arrive que les tissus d’une espèce sensible ne supportent pas la multiplication virale, alors que l’inverse se produit également.

Enders a tenté d’argumenter que certains « virus » ciblent spécifiquement certains types de cellules, mais il a également admis qu’il n’y a pas de relation absolue entre le cytotropisme in vivo et in vitro :

Le type de cellule est, pour certains virus, un facteur déterminant. Ainsi, un agent peut attaquer et détruire les cellules épithéliales présentes dans une culture en laissant les fibroblastes intacts. Les expériences avec des souches constituées d’un seul type cellulaire sont peu nombreuses, mais les résultats indiquent que les propriétés cytotropes des virus in vivo peuvent être conservées in vitro. Cependant, une fois de plus, il n’y a pas de relation absolue entre le cytotropisme in vivo et in vitro.

Il a également noté que l’âge du tissu du donneur peut influencer la cytopathogénicité :

L’âge du donneur de tissu peut influencer la cytopathogénicité. De même que les jeunes animaux sont souvent plus sensibles à l’infection, leurs tissus peuvent être plus vulnérables aux lésions causées par le virus, mais cette corrélation n’est pas invariable. La plupart des données pertinentes indiquent que l’immunité acquise contre les infections virales ne se traduit pas par une résistance cellulaire accrue, ce qui est avantageux d’un point de vue technique, car cela élimine les préoccupations concernant le statut immunologique de l’animal donneur.

En outre, Enders a admis que les conditions dans lesquelles le « virus » supposé a été propagé avant son étude en culture de tissus peuvent influencer l’intensité et le degré de l’ECP. Il a reconnu que le passage en série pouvait renforcer une cytopathogénicité modérée ou faible, ce qui montre que l’approche du chercheur peut directement influencer l’observation de l’ECP :

L’intensité et le degré des lésions cytopathiques peuvent varieren fonction de la souche du virus ou des conditions dans lesquelles il a été propagé avant d’être étudié en culture de tissus. Le chercheur doit être préparé à rencontrer de telles variations lors de l’étude d’un certain nombre de représentants d’une espèce virale. Une cytopathogénicité modérée ou faible peut parfois être renforcée par un passage en série in vitro.

Enfin, Enders a reconnu que les facteurs environnementaux — connus et inconnus — au sein de la culture peuvent également renforcer ou supprimer l’activité cytopathogène. Il a indiqué que la composition du milieu, la température d’incubation et la période de culture des cellules avant l’ajout de tout « virus » sont des facteurs qui influencent l’ECP :

Les facteurs environnementaux de la culture peuvent avoir tendance à renforcer ou à supprimer l’activité cytopathogène. Beaucoup d’entre eux n’ont pas encore été définis, mais il semble que la composition du milieu, la température d’incubation et la période de culture des cellules avant l’ajout du virus soient tous des facteurs déterminants.

Il est donc évident que John Franklin Enders était conscient de l’existence de divers facteurs non liés à la présence d’un « virus » et susceptibles de provoquer l’effet cytopathogène qu’il attribuait au « virus ». Étant donné qu’il ne disposait d’aucune preuve directe de l’existence d’un « virus » pathogène et qu’il a travaillé avec lui (ce qui revient à poser la question) et qu’il a utilisé un effet observé pour affirmer l’existence de sa cause (ce qui revient à affirmer le conséquent), il est clair qu’Enders a commis un faux raisonnement sur la cause. Il existe de multiples facteurs connus capables de produire le même effet, ce qui rend l’explication d’un « virus » inutile et totalement illogique.

Les sophismes logiques avec Jeremy Hammond

[Voir la suite (en anglais) sur mikestone.substack.com]


1 NDLR ViroLIEgy représente un jeu de mots avec Virology (« Virologie », en français) et LIE (qui signifie « mensonge » ou « contrevérité »)

2 NDLR Ici, la question posée est « existe-t-il des virus pathogènes ». Et le sophisme consiste à supposer sans preuve réelle (aucun virus pathogène n’étant réellement isolé et caractérisé) qu’il en existe et que donc les effets « cytopathiques » (ou « cytopathogènes ») observés lors de la prétendue « culture virale » sont la preuve de leur existence. Le pire est qu’ensuite la virologie affirme que la preuve de l’isolement viral est apportée par cette expérience, alors que jamais elle ne produit les expériences de contrôle indispensables à la démonstration scientifique et notamment celle qui consiste à faire la supposée culture sans matériel biologique prétendument « infecté » par un virus. Si les virologues le faisaient, comme cela a pu être vérifié par quelques scientifiques véritables (voir notamment Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie), ils constateraient les mêmes effets cytopathiques sans la présence de matériel infecté, preuve que seules les conditions expérimentales sont responsables du phénomène observé, à savoir la mort des cellules de « culture ». Celles-ci meurent simplement du fait de malnutrition et de la présence de plusieurs toxines chimiques.

3 En logique mathématique pure, les conditions nécessaires et suffisantes pour démontrer la causalité sont encore plus strictes et cette fois non sujettes à la moindre interprétation (contrairement ici au terme « raisonnable ») :

  • conditions nécessaires :

    • l’absence de la cause entraîne l’absence du phénomène ;
    • inversement, la présence du phénomène implique la présence de la cause.

  • (Si la cause est effectivement unique, il n’y a bien sûr aucune autre cause systématiquement présente.)
  • Conditions suffisantes :

    • la présence de la cause entraîne la présence du phénomène ;
    • inversement, l’absence du phénomène implique l’absence de la cause.

(Voir le début de L’enterrement de la théorie virale pour des exemples concrets de lien causal effectif ou non entre deux phénomènes).




Pierre Chaillot continue de démasquer l’escroquerie Covid-19




Les pouvoirs de l’iode

[Source : aimsib.org via fr.sott.net]

Pas de fatalité autour des carences en iode, le livre

La rentrée n’est plus une menace, c’est devenu du réel. Le temps de s’alanguir est terminé, tout le monde a besoin de retrouver un niveau de forme optimal et surtout de ne pas tomber malade, que ce soit de pathologies vénielles ou catastrophiques. Le Dr Vincent Reliquet fomentait un livre de longue date, il voulait explorer les tréfonds désastreux des carences en iode, il l’a réalisé avec Alix Lefief-Delcourt (*). Il fallait un grand homéopathe très au fait de la cancérologie pour pouvoir disséquer ce livre afin de tenter d’en coincer l’auteur : le Dr Éric Ménat s’est prêté à l’exercice, les jeux de questions-réponses font depuis longtemps tout le support des belles controverses. Rangez vos claquettes devenues inutiles depuis la semaine dernière et bonne lecture.

– La rédaction de l’AIMSIB

(*) Dr Vincent Reliquet, Alix Lefief-Delcourt, « Les pouvoirs de l’iode », Guy Trédaniel éditeur, 2024, 253 p.

1 – Comment expliques-tu qu’il y ait autant de carences en iode actuellement dans la population ? Est-ce que ça pourrait être en lien avec des erreurs de dosages ou des critères de « normalité » à revoir ?

Ta question a l’air de sous-entendre que les critères de normalité seraient trop élevés, ce qui expliquerait que nous soyons à un niveau facticement trop bas, mais c’est exactement le contraire, je prétends depuis que j’ai terminé mon livre que les préconisations OMS ne nous proposent que de couvrir le centième de nos besoins, et nous ne les atteignons même pas ! Il faut cesser d’attendre une explosion de goitres ou de crétins au sens historique du mot pour réveiller nos élites à ce sujet, cancers, maladies infectieuses et dysimmunitaires, cardio-vasculaires, explosion de l’obésité, des dépressions, effondrement des QI, il y a vraiment le feu au lac et tout le monde s’en fiche !

https://123savoie.com/cretins-de-savoie

2 – Les carences en iode peuvent-elles être expliquées par d’autres facteurs que la nutrition et lesquels ?

La question est compliquée, je vais essayer d’apporter une réponse simple. Nous avons barre sur un élément fondamental du problème, ce sont bien nos carences abyssales d’apport en iode. Ensuite le problème posé par les perturbateurs endocriniens halogénés (chlorures, fluor et brome) demeure manifeste, mais il ne sera résolu qu’aux échelles supranationales, on peut toujours rêver pour voir arriver une interdiction du fluor et du brome dans l’espace public. À nos niveaux individuels, nous devons nous appliquer à consommer des doses adéquates d’iode, on sait que cet élément peut reprendre sa place dans les molécules polluées par les halogénés et que ceux-ci peuvent être excrétés par voie urinaire. Pas d’iode, toujours plus de perturbateurs endocriniens à sa place dans les cellules.

3 – Tu parles des relations entre iode et développement cérébral de l’enfant et les chiffres semblent inquiétants. Peut-il y avoir un biais avec l’évolution du système éducatif qui peut aussi impacter le QI des enfants ?

Cette histoire du recul du QI de nos enfants actuels par rapport à ceux de 1889 dans une Angleterre victorienne malnutrie, c’est une bombe1. Elle frappe les esprits, évidemment elle ne permet absolument pas de désigner l’iode comme seul responsable de ce phénomène, mais d’autres travaux australiens2 ou encore de l’ALSPAC3 ont permis de tirer ces conclusions. Pas assez d’iode pendant la grossesse et les lésions fœtales se fixeront définitivement par défaut des migrations neuronales4. Pas assez d’iode pendant l’enfance et les lésions continuent de s’aggraver, je veux surtout tirer la sonnette d’alarme en direction de cette immense population d’enfants soumise au biberon, déclarée intolérante au lait de vache et qui du coup n’a absolument plus accès à l’iode, pendant des mois, voire des années…

4 – Est-ce qu’une supplémentation en iode devrait être systématique chez les enfants (elle l’est déjà chez les femmes enceintes en théorie) ?

Il faut changer de paradigme, oublier cet effet Wolff-Chaikoff totalement imaginaire (c’est dur à croire, je l’explique dans ce livre) et ioder sérieusement toute la population, pense donc que dans les années 1950 les Américains iodaient leurs pains et recevaient 150 µg d’iode dans un seul toast, soit tout l’apport quotidien recommandé actuel ! Étaient-ils devenus tous phosphorescents ? Pas du tout, quand on leur a facticement expliqué que leurs sels d’iode étaient dangereux, ils l’ont remplacé par du bromure de potassium, interdit en Europe, car cancérigène notoire, on délire… Donc pour te répondre, oui il faut édicter des apports minimums journaliers pour tous les âges, mais sans les calculer avec les connaissances de 1950, aujourd’hui on sait que de très nombreux organes, peut-être même tous, sont authentiquement iodo-nécessitants, et pas seulement la thyroïde comme on le croyait alors.

5 – Quelle est, pour toi, la bonne supplémentation en iode pour un adulte ? Les AQR5 actuels semblent bien bas par rapport aux carences constatées ?

J’explique en fin d’ouvrage que mon statut de modeste médecin généraliste ne me permet pas de répondre à cette question, l’empirisme le plus absolu règne partout à ce sujet et la réponse doit se trouver comme pour le taux idéal de cholestérol sanguin : elle n’existe pas, car ici trop de paramètres rentrent dans l’équation : poids, sexe et cancers iodo-dépendants intercurrents, état infectieux, certainement. Mais imagine, probablement que le volume mammaire influe énormément et devrait être pris en compte dans le calcul des AQR, car ce tissu se comporte comme un véritable piège à iode, comme à brome ou à fluor d’ailleurs, ce qui peut expliquer la fréquence déraisonnable des cancers du sein en présence de brome6. Attention de plus à un point capital que j’ai abondamment souligné dans ce livre, certains tissus nécessitent de l’iode moléculaire, d’autres de l’iodate de potassium, et la protection anticancéreuse semble essentiellement conférée par cet iode moléculaire I2, totalement absent de l’écrasante majorité des compléments alimentaires mis sur le marché à ce jour ! Inutile donc de se supplémenter avec un mauvais produit, de plus insuffisamment dosé, il n’y aura aucune chance que l’état de santé de nos populations s’améliore drastiquement dans ce cas.

6 – L’importance des carences en iode est connue depuis des décennies. Elle avait été pointée du doigt par l’Institut Français de Nutrition il y a plus de 20 ans. Comment expliques-tu que des recommandations claires sur la supplémentation en iode tardent à venir de la part des agences de santé, du ministère ou de l’académie de médecine ?

Je l’explique par la trouille atavique qui saisit chaque expert de se retrouver en butte avec ce fameux effet Wolff-Chaikoff qui n’existe pas, mais qu’on leur a inculqué quand ils étaient jeunes et crédules, ça aussi j’en parle dans mon livre. L’iode 131 (radioactif) est toxique, les iodes organiques peuvent devenir toxiques aussi (amiodarone, produits de contrastes iodés, etc.), mais l’iode inorganique minéral alimentaire, l’iode 127, jamais. Et comme jamais n’existe pas, quand une fois on soupçonne une hyperthyroïdie de provenir d’une supplémentation alimentaire, ce fait demeure si rare qu’on en fait même un (très mauvais) article, qu’on le publie, et on décore même l’auteure pour son remarquable travail !7

7 – Tu dis que l’iode contenu dans le sel marin ou le sel iodé « s’évapore » et que ces sels ne sont donc pas efficaces pour participer à l’apport quotidien. Pourtant, il semble que c’est l’ajout d’iode dans le sel qui a permis de faire reculer le crétinisme des Alpes. Comment expliques-tu ce paradoxe ?

Je vois que la fin de l’interview approche alors tu cherches à me coincer avec tes questions vicieuses, mais toujours intelligentes… Je vais te répondre sans détour : au XIXe siècle, la Santé Publique naissante avait compris que la fréquence des goitres et des crétins augmentait de manière parfaitement proportionnelle avec le niveau des carences en iode, donc par une politique adroite de microsupplémentation en iode, on a réussi à effacer les deux problèmes, mais ces deux problèmes-là seulement. En 1840 l’espérance de vie des Françaises culminait à 40 ans, un peu tôt pour voir apparaître la multiplication des cancers du sein qui frappent nos compatriotes aujourd’hui. Je l’explique dans mon livre, j’ai retrouvé le premier penseur qui a pondu ce dramatique taux d’apport idéal en iode à 150 µg/j : lui aussi ne se référait qu’à la peur de l’effet Wolf-Chaikoff et il convint que pour ces faibles apports on voyait juste disparaître les goitres, mais sans réveiller le monstre WC. Ces apports sont des cache-misère propres à faire taire toute manifestation thyroïdienne liée à un manque en iode, mais ouvrent la porte à toutes les pathologies iodo-carentielles extra-thyroïdiennes, qui du coup explosent.

La médecine moderne nous fait sempiternellement vivre sous l’ère de la misère physiologique, 150 µg d’iode par jour au lieu de 10 à 50 mg, 400 UI de D3 pour éloigner l’ostéomalacie quand certains en consomment 20 000 UI sans souci et effacent de nombreuses pathologies dysimmunitaires, 300 mg de vitamine C pour éviter le scorbut alors qu’avec 100 g/j en intraveineuse, on a largement documenté la guérison de certains cancers, de certaines maladies infectieuses, de certains empoisonnements… Personne ne s’occupe de notre statut en chrome, pas beaucoup plus de celui lié au sélénium, nous sommes tous carencés en magnésium et pourtant aucune campagne de supplémentation ne se fait jour. Médecine, population, réveillez-vous !

Fibromyalgie, fatigue chronique :
tant de carences en iode qui ne sont pas diagnostiquées…

8 – Quels sont les risques démontrés pour la santé d’un excès de consommation d’iode ? Et à partir de quelle dose peut-on parler d’excès ?

Je vois que tu ne désarmes pas, oh la belle estocade ! Va voir dans le Manuel Merck, « La source d’information médicale de confiance depuis 1899 » : tu y liras qu’une intoxication chronique peut subvenir au-delà de 1,1 mg d’apport par jour8. Fichtre, et combien d’iode demeure délivré par un comprimé de Cordarone® ? 75 mg,  ou si tu préfères, 75 000 µg. Dans une ampoule de Lipiodol® qu’on utilisait en injectable pour ioder annuellement les populations les plus reculées du monde, il y a 480 mg donc 480 000 µg d’iode et tu sais quoi ? La palme revient au Ioméron® 350, une ampoule de 250 ml contient 87,5 g d’iode, ou 87 500 mg, si tu préfères : 87 500 000 µg d’iode, mais attention, d’iode organique potentiellement dangereux et pourtant le produit est vendu en pharmacie. Je ne préconise même pas les grammes d’iode en supplémentation nutritionnelle, pourtant ces doses étaient traditionnellement utilisées dans le traitement de l’asthme et de l’hyperthyroïdie au début du siècle dernier.

Je préconise sereinement un apport équilibré en diiode (I2) et iodure de potassium, autour de la dizaine de milligrammes par jour en moyenne, parce que véritablement la littérature mondiale déborde de données favorables à de telles supplémentations. Le cancer du sein pourrait reculer par cette seule supplémentation, de même que la résistance humaine aux infections (des plus bénignes aux plus sévères), bon nombre de syndromes dépressifs et d’asthénies chroniques, d’infertilités, de dysménorrhées ou encore de trouble dyspondéraux, diabétiques, liés à l’arythmie cardiaque pourraient être balayés par une supplémentation optimale. Mais pour une majorité de confrères, la peur de l’effet WC les fige dans l’immobilisme.

Il reste à nos concitoyens ce livre pour se forger une opinion éclairée sur la question :  mais chacun fait bien ce qu’il veut de sa vie !

Dr Éric Ménat
Dr Vincent Reliquet
Septembre 2024

Notes et sources :

1 M. A. Woodley, J. Nijenhuis, R. Murphy, “Were the Victorians cleverer than us? The decline in general intelligence estimated from a meta-analysis of the slowing of simple reaction time”, Intelligence, Vol. 41, Issue 6.

2 K. L. Hynes, P. Otahal, I. Hay, J. R. Burgess, “Mild iodine deficiency during pregnancy is associated with reduced educational outcomes in the offspring: 9-year follow-up of the gestational iodine cohort”, The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 2013.

3 S. C. Bath, C. D. Steer, J. Golding, P. Emmett, M. P. Rayman, “Effect of inadequate iodine status in UK pregnant women on cognitive outcomes in their children: results from the Avon Longitudinal Study of Parents and Children (ALSPAC)”, The Lancet, 2013.

4 E. Auso et al., “A moderate and transient deficiency of maternal thyroid function at the beginning of fetal neocorticogenesis alters neuronal migration”, Endocrinology, 2004.

5 AQR : Apport Quotidien Recommandé.

6 E. S. O’Leary et al., “Pesticide exposure and risk of breast cancer: a nested case-control study of residentially stable women living on Long Island”, Environmental Research, 2004.

7 Lai J, Hunter-Orange J, Clemens KK. Hyperthyroïdie à la suite de l’ingestion de produits de santé naturels. Can Fam Physician. 2019 Sep ; 65 (9) : e386-e388. French. PMID : 31 515 324 ; PMCID : PMC6741801.

8 https://ods.od.nih.gov/factsheets/Iodine-HealthProfessional/




Confinement et crétinisation des enfants

Par Nicolas Bonnal

J’évoquais avec Philippe Grasset la crétinisation de la politique et de la société en général : c’est un genre cinématographique en Amérique. Kamala, Trump, Biden…

Mais voyons la jeunesse.

On connaît les conséquences sur les sportifs français (le sprinteur Lemaître, Mbappé, cyclistes du Tour de France…) des décisions de nos génies de la politique et de la médecine des labos. Voyons pour les enfants. On se doute que ces derniers allaient sortir particulièrement esquintés et déglingués des décisions gouvernementales. Pour une fois, on ne va pas crier au complotiste, car ces données viennent du Monde. On cite donc sans commenter cet extrait qui vient du quotidien de la pensée inique (« dans le monde renversé le vrai est un moment du faux », a dit excellemment Guy Debord) :

« Une baisse sensible des capacités physiques, mais aussi intellectuelles, des enfants… Les effets des confinements successifs liés à la “pandémie de Covid-19” sont préoccupants, selon une étude menée auprès de 90 élèves de CE1 et CE2 d’écoles de Vichy, dans l’Allier, et de Riom, dans le Puy-de-Dôme, en septembre 2019 et en septembre 2020 ».

Et puis, zut alors, on se met même à parler de catastrophe : « Les chiffres sont catastrophiques », résume Martine Duclos, chef du service de médecine du sport au CHU Clermont-Ferrand, qui dirige l’Observatoire national de l’Activité physique et de la Sédentarité (Onaps), et coordonne ce travail dont les résultats, préliminaires, ont été soumis à publication. En un an, l’indice de masse corporelle (IMC, poids divisé par la taille au carré), reflet de la corpulence, a augmenté de 2 à 3 points en moyenne.

« Nous n’avons jamais vu ça, s’alarme la spécialiste. Des enfants sportifs, sans aucun problème de santé, aucun problème de poids, ont grossi de 5 à 10 kg, du fait de l’arrêt de la pratique sportive. Et tous n’ont pas repris l’activité physique ».

On découvre aussi qu’ils ne peuvent plus courir ni réfléchir (remarquez, c’était presque déjà le cas, car le capitalisme technologiste a fait tout ce qu’il a pu) :

« Essoufflés au bout de dix mètres. La condition physique de ces jeunes de 7-8 ans s’est fortement dégradée. Lors du test navette, épreuve classique qui consiste à courir de plus en plus vite d’un plot à un autre (éloignés de 10 m), “des enfants, déjà très essoufflés, n’arrivaient pas à atteindre le premier plot avant le premier bip”, décrit la professeure Duclos. Un constat également inédit, selon elle. Certains étaient incapables de faire le parcours d’habiletés motrices (parcours chronométré comprenant différents obstacles) ».

Ici chez moi je vois des crétins pousser des chariots à 500 ou 2000 euros avec des gosses de cinq à sept ans dedans. Ces enfants sont condamnés à ne pas courir en attendant de ne pas savoir marcher (voyez le film Wall E). Mais restons-en à l’article du Monde qui évoque l’abrutissement massif des petits d’homme (que ne les confie-t-on aux loups, comme Romulus ou Mowgli ?) :

« Parallèlement, leurs capacités cognitives auraient baissé d’environ 40 %. Pour les mesurer, l’équipe du CHU de Clermont-Ferrand a notamment eu recours à un test consistant à relier les lettres aux chiffres correspondant dans l’ordre alphabétique, dans un temps imparti. Tous les écoliers l’ont fait dans le temps limite en septembre 2019. Un an plus tard, un grand nombre n’a pas terminé. “Un an de confinement a été catastrophique, à un moment essentiel de plasticité neuronale”, constate Martine Duclos ».

Pas si sottes, les deux journalistes du Monde rappellent qu’on était déjà mal partis :

« Ces résultats sont d’autant plus inquiétants que la situation antérieure était déjà peu brillante. Ainsi, avant la pandémie, en France, 87 % des adolescents de 11 à 17 ans ne respectaient pas l’heure quotidienne d’activité physique (NDLR : et l’heure d’activité sexuelle et pédophile ?) préconisée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Et pendant le premier confinement, seulement 0,6 % d’entre eux ont atteint ce seuil, la proportion étant de 4,8 % chez les 5-11 ans (2,8 % des filles et 6,5 % des garçons), selon le Report Card de l’Onaps, l’état des lieux de l’activité physique et de la sédentarité des enfants et adolescents publié en janvier ».

Comme on l’a dit, la situation était déjà grave. Les enfants sont rendus tarés par la technologie, la malbouffe et la prostration physique : voyez le fameux film sur l’Idiocratie et le cinéma de Jarmusch ou d’Alexander Payne.

Je republie alors une lettre de lecteur, PHD en linguistique (ce n’est pas pour faire chic), père de trois enfants, expatrié en… Irlande et qui m’écrivait il y a quelques années sur ce sujet :

« Pour le dire rapidement, ma belle-mère, instit donc depuis presque quarante ans, est terrifiée par ce qu’elle voit depuis peu. Les parents perçoivent majoritairement leurs enfants comme des nuisances. Du coup au moindre bruit, à la moindre agitation, ils leur mettent la tablette dans les mains, ils ne parlent jamais avec eux, ne s’intéressent pas à ce qu’ils font, ne jouent pas avec eux… Ils cherchent seulement à les figer (poussette, tétine, tablette, nourriture sucrée à volonté) ».

Mon lecteur poursuit :

« Dans sa classe de 4/5 ans, elle observe : les mains complètement molles (elle appelle ça les “mains tabléteuses”) : ils ne savent pas tenir un plateau droit, ont du mal à utiliser des crayons de couleur.

Ils ne savent pas jouer avec des cubes. Quand on leur donne un bac de cubes, ils se contentent de brasser les cubes, il ne leur vient pas à l’esprit qu’on peut faire quelque chose avec.

Un élève fait son activité en étant debout sur sa chaise : “Aydan, assieds-toi”. Le gamin va ranger son activité, il n’a pas compris.

À un autre élève : “Louan, va prendre une activité”, l’élève va s’asseoir.

Les mômes connaissent tous leurs couleurs en anglais, mais aucun ne les connaît en français (parce que l’appli de jeu gratuite sur les tablettes est en anglais)

Premières tentatives de fellation dans les toilettes. Les garçons regardent du porno dans le bus qui les conduit aux matchs de foot/rugby avec papa. La plupart des élèves pourraient être diagnostiqués comme ayant des TED (troubles envahissants du développement, incluant l’autisme), pourtant c’est juste l’effet des tablettes et du comportement des parents qui se débarrassent de leurs enfants.

Elle a dû abandonner la lecture de livres pour enfants de ce niveau, pour des livres habituellement réservés à un public d’enfants de 18 mois/2 ans parce que les élèves ne comprennent rien. Ils n’ont pas de vocabulaire, leurs phrases ne sont pas structurées. Les instits commencent traditionnellement l’apprentissage des gestes d’écritures dès la fin de la grande section. Il s’agit de travailler la motricité fine, de comprendre ce que c’est “en dessous”, “sur”, “entre” ou “au-dessus” par rapport à une ligne. Elle ne peut plus le faire, car les élèves de 4 ans ont la motricité d’un enfant de 12 mois. Ils vont devoir reculer l’âge d’apprentissage de l’écriture, et donc de la lecture ».

La démission des parents est bien entendu totale, pardon, globale :

Mon lecteur :

« Les parents ne sont donc plus violents avec leurs enfants (on a beau jeu de légiférer sur la fessée quand presque tout le monde assomme son môme à coups de tablettes, de tétines, de poussettes et de sucreries), mais le deviennent de plus en plus avec le personnel enseignant. Ils mentent aussi sans vergogne, pour des motifs futiles. Ils se plaignent qu’on mette leurs mômes à la sieste. “Vous comprenez, quand ils dorment l’après-midi, à la maison, ils sont pleins d’énergie”. Avoir autre chose que des zombies, quelle horreur en effet… »

Et de comparer la situation avec d’autres endroits :

« On parle ici d’école de campagne, entendez-moi bien. Tout cela est confirmé par une autre connaissance, instit en Lozère.

Une amie institutrice en Australie reconnaît parfaitement ces descriptions, et ajoute que le manque d’empathie, et le manque de patience sont absolument effarants. Un gamin de 5 ans est maintenant incapable d’attendre quelques minutes, ou se mettra à hurler comme un autiste à la moindre frustration.

Moi je veux bien qu’on m’explique que la baisse du QI c’est le grand remplacement, et que le grand remplacement, ça doit nous inquiéter. Mais c’est le grand remplacement de l’humain par le zombie, par le golem, par le robot qu’on observe. Car face à la destruction du monde par la tablette, toutes les races et toutes les classes semblent également atteintes dans les témoignages qui nous sont faits.

Vous imaginez ces mômes dans quarante ans ? »

Faut être honnête, on n’imagine plus rien dans quarante ans.

Non on ne les imagine pas surtout avec cet effondrement de la natalité qui frappe tout le monde ou presque (Chine, Russie, Japon, Corée, pays musulmans, Europe… Ceux qui parlent de l’an 2100 se foutent de nous comme ceux qui parlent de reprise, de victoire contre la Russie, de nouveau gouvernement…

Sources principales :

https://www.lemonde.fr/sciences/article/2021/06/28/les-confinements-ont-nettement-reduit-les-capacites-physiques-et-intellectuelles-des-enfants_6086079_1650684.html




Effets de la théorie du genre en images

[Source : @LibertyCappy]



Pfizer est impliqué dans la recherche sur les nanorobots depuis 2015

[Voir aussi :
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins]




L’expansion de l’OTAN en Europe

[Source : WawamuStats]

La vidéo montre l’expansion de l’OTAN (Organisation du traité de l’Atlantique Nord) depuis sa création en 1949. Il s’agit d’une alliance militaire intergouvernementale entre 28 pays européens et 2 pays d’Amérique du Nord. Créée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’organisation met en œuvre le traité de l’Atlantique Nord signé le 4 avril 1949.

Source : https://www.nato.int/



Sur les lieux de la séparation du bon grain de l’ivraie, notre danse avec le destin approche

[Source : arcaluinoe.info]

Par Hrvoje Moric

Chers amis et âmes sœurs,

C’est Hrvoje Moric de Geopolitics & Empire qui vous parle depuis les rives ensoleillées du Mexique.

Je considère que c’est un privilège d’être inclus dans ce groupe hétéroclite de dissidents et d’insurgés en herbe que Iurie Rosca a forgé.

Comme le dit si brutalement Iurie, l’élite luciférienne a ouvertement déclaré une guerre multidimensionnelle sans restriction à la planète et à sa population et se dispute la domination du monde sur l’ensemble du spectre. Une omni-guerre, comme l’explique David Hughes. Cela montre que l’heure est grave.

La situation est vraiment désastreuse.

Je suis pratiquement à court de mots et de choses à dire. Il semble que tous ceux qui ont des oreilles pour entendre et des yeux pour voir comprennent la situation dans sa totalité. Tout est devenu évident pour tout le monde. Le gouvernement mondial, la Grande Réinitialisation, les opérations sous faux drapeau et le terrorisme d’État, les préparatifs d’une nouvelle guerre mondiale, la mort de la classe moyenne, c’est-à-dire de la plupart d’entre nous, l’introduction de la Révolution finale et des systèmes de contrôle numériques… tout est là, au grand jour, devant nos yeux. Les élites nous narguent.

En fait, j’envoie ce message à Iurie au tout dernier moment… J’ai été dans une période de repli et d’introspection. Je suis quelque peu en manque d’inspiration en ce qui concerne la voie à suivre… en ce qui concerne la nouveauté à exprimer. Il y a tant d’analystes, d’auteurs et d’orateurs, comme ceux qui sont ici à Chisinau, qui ont été excellents dans l’analyse de la situation mondiale.

L’agenda numérique

Pour moi, les deux ou trois principales menaces restent :
1) le ghetto des algorithmes, comme l’appelle Edwin Black, mon ancien invité au podcast, ou l’agenda biodigital,
2) le gouvernement mondial et
3) la guerre mondiale.

Une à une, les nations installent l’identité numérique. D’abord, elles mentent en disant qu’elles les rendent volontaires. Ensuite, elles deviennent obligatoires, comme nous le constatons DÉJÀ dans certains pays.

L’Identité Numérique via le Smartphone représente les LES nœuds clés par lesquels le Camp de Concentration Biodigital fonctionnera. Tous les services publics et privés et les fonctions quotidiennes dont nous avons besoin pour vivre seront portés par ce mécanisme. Les banques y participent toutes, car une fois qu’elles auront le contrôle total des transactions financières, elles nous tiendront par les couilles, pour ainsi dire. Mes auditeurs me disent maintenant que oui, j’avais raison, il y a de nombreuses années, de dire qu’il s’agit de notre principale menace.

Et ils introduisent les frontières intelligentes, les contrôles des voyages et les restrictions à la liberté de mouvement, parmi d’innombrables autres voies qu’ils verrouillent.

Le gouvernement mondial…

— La prochaine menace est cette tendance au supranationalisme et à l’intégration régionale basée sur le modèle de l’UE, qui progresse à toute allure ! Ceci aboutira à une Fédération mondiale, à un gouvernement mondial totalitaire et à un État mondial orwellien.

— Il y a quelques semaines, mon président mexicain a ouvertement et vigoureusement appelé à une Union nord-américaine de type UE. Poutine fait de même en Eurasie. L’Eurasie elle-même pousse rapidement à l’intégration de l’Union eurasienne avec l’Organisation de coopération de Shanghai, les BRICS et Belt & Road. Toutes les autres régions et tous les chefs d’État progressent rapidement sur ce front.

— Encore une fois, la MULTIPOLARITÉ n’est rien d’autre que le changement de marque du gouvernement mondial technocratique, la phase suivante, si vous voulez. Sergey Glazyev a récemment publié un rapport sur l’UNITCOIN, qui est leur monnaie numérique ou le mécanisme par lequel fonctionnera leur ghetto algorithmique, qui pourra se connecter à NOTRE ghetto algorithmique occidental.

— En fin de compte, cela nous amènera à la néo-féodalisation de la planète entière. Peut-être pas à court terme, bien que pour beaucoup ce soit déjà le cas, mais ce sera le résultat final.

Perspectives par rapport à la guerre

— Le Bilderberger Rory Stewart a récemment fait part de sa perplexité à l’égard de Rishi Sunak, du Royaume-Uni, et de sa décision de dissoudre le parlement. Le compte-rendu de l’initié Stewart suggère que de nombreuses personnes s’attendent à démissionner dans tous les domaines. Il semble qu’elles n’aient même pas l’estomac pour affronter ce qui s’annonce.

— Il semble évident que les nations se préparent à un conflit militaire sérieux qui semble devoir se produire à un moment ou à un autre dans les années à venir. Aujourd’hui, un autre pays européen, l’Italie, a appelé à la conscription.

— Je ne vois pas en quoi le fait de voter changera quoi que ce soit, puisque la démocratie de facto n’existe plus. Prenons l’exemple de mon pays, le Mexique. Nous avons trois partis en lice pour la présidence. Tous sont de facto mondialistes. Morena prône l’Union nord-américaine, le transgendérisme, etc. Le Movimiento Ciudadano réclame des injections obligatoires, des points de contrôle des vaccins et des passeports internes de type soviétique, ainsi que l’élimination des véhicules privés. La coalition des anciens partis au pouvoir, dont les anciens présidents étaient littéralement des agents de la CIA, fera tout ce que Washington et BlackRock lui diront de faire.

Il y a aussi le cas de Robert Fico en Slovaquie, où si vous défiez la démocratie, vous recevez une balle.

Aujourd’hui, en Géorgie, les fonctionnaires de l’UE menacent le gouvernement géorgien parce qu’il ne respecte pas la démocratie.

— En ce qui concerne tous ces événements, je ne crois généralement pas que nous puissions les arrêter, parce que, encore une fois, ma vision du monde est éclairée par la Bible et les prophéties que je crois annoncées. Je crois que nous devrions et devons essayer de saboter les plans de l’élite luciférienne, et que nous pouvons les ralentir. Peut-être même les forcer à pivoter vers des résultats qui n’étaient pas idéaux dans leurs estimations. Peut-être qu’avec l’aide de Dieu, nous pourrons faire échouer leur tentative de rétablir Babylone dans ce cycle historique et gagner du temps, ce qui leur permettra de passer un demi-siècle ou un siècle de plus à panser leurs plaies et à « reconstruire en mieux »1.

— Il y a des fissures dans la Tour de Babel. Nous devons continuer à les frotter, à les ouvrir, à leur mettre des bâtons dans les roues, à ne pas acheter leurs produits, à ne pas utiliser leurs services qui financent la tyrannie, leurs smartphones, leurs applications. C’est notre devoir.

— Je crois que toute cette folie ne s’arrêtera finalement qu’au retour du Christ, quel qu’il soit. Comme le dirait Umberto Eco, le mal est éternel, tout comme le bien. Nous sommes confrontés à un fascisme éternel, le fascisme ou le totalitarisme renaît à chaque génération et nous devons y faire face. Nous serons mis à rude épreuve.

Résistance

— Mais Jésus nous a aussi constamment mis en garde contre la peur. Notre force et notre courage devraient être plus grands que toutes nos peurs et nous pousser à désobéir de manière non violente aux diktats dictatoriaux avec la plénitude de notre cœur, de notre esprit, de notre corps et de notre âme. Et nous devons, en règle générale, être satisfaits, généreux et joyeux dans cette entreprise.

— Comme les groupes de frères l’ont fait depuis des temps immémoriaux avant et après la bataille, nous devrions nous unir dans la camaraderie, le chant, la danse et peut-être un verre ou deux… comme dans les films… après avoir calculé le coût de la défense de ce qui est vrai et juste.

— Notre disposition devrait être celle du soldat le jour désigné, le jour J, le 6 juin 1944, au large des côtes de Normandie. Nous allons aller jusqu’au bout.

— Je dis donc à l’élite luciférienne : « Apportez votre boule de démolition. Laissez-nous voir votre meilleur coup, et nous vous répondrons avec le nôtre. À la fin, le bien l’emportera. Peut-être que beaucoup d’entre nous devront souffrir énormément, voire être martyrisés. Mais au jour du jugement, tous les comptes seront réglés. Les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers.

— Gardez la foi, gardez l’esprit de joie, de bonté et de résistance au mal. Rendez-vous sur le terrain d’atterrissage ! Bonne chance !

Hrvoje Moric

Hrvoje Moric est né aux États-Unis, a vécu et est citoyen de son pays d’origine, la Croatie, et est fièrement naturalisé mexicain, où il réside actuellement. Hrvoje a étudié l’Histoire à la Northeastern Illinois University, a été volontaire du Peace Corps en Mongolie et a obtenu un master en relations internationales de la Geneva School of Diplomacy en Suisse. Il a enseigné au Tecnológico de Monterrey, affilié à Davos, au Mexique, avant de travailler de 2017 à 2021 à l’école intellectuelle Nazarbayev de Semey, au Kazakhstan. Il est le fondateur du podcast The Geopolitics & Empire et anime l’émission The Hrvoje Morić Show sur TNT Radio.


1 Cf. le slogan mondialiste « Build Back Better » en anglais – NDT




La France en marche vers la récession

Par Oleg Nesterenko

Partie I

Les tendances économiques se développant en France depuis la crise de 2008 ont reçu un important coup d’accélérateur dès l’installation au pouvoir suprême de la république en 2017 du parti d’Emmanuel Macron, dont le cadre de la politique intérieure et de la politique étrangère autodestructrice mène directement vers la récession économique dans laquelle la France est en train d’entrer à grands pas.

La personne à la tête du ministère français de l’Economie, monsieur Bruneau Le Maire, a prononcé un discours magistral, le 1er mars 2022, dans lequel il n’a « laissé planer aucune ambiguïté sur la détermination européenne » dans sa volonté de « livrer une guerre économique et financière totale à la Russie », afin de faire effondrer son économie. Son enthousiasme était sans équivoque : « Nos sanctions sont efficaces. Les sanctions économiques et financières sont même d’une efficacité redoutable […] Nous allons donc provoquer l’effondrement de l’économie russe ! ».

Deux ans et demi se sont écoulés depuis les exultations publiques dudit personnage et nous retrouvons l’économie de la Fédération de Russie très exactement à l’opposé des lumineuses prévisions du ministre : dans une des meilleures de ses formes — ce qui est très loin d’être le cas pour l’économie de l’Hexagone, dont ce dernier est censé de s’occuper.

Le PIB de la Russie a augmenté de 4,6 % sur un an au premier semestre 2024, contre 1,1 % en France. Le FMI, qui a déjà prévu une croissance confortable du PIB russe, a récemment revu à la hausse ses prévisions initiales de croissance, anticipant désormais une hausse du PIB de 3,2 % sur l’ensemble de l’année 2024. Des prévisions qui ne prennent pas, néanmoins, en compte tous les éléments de la réalité des marchés démontrant que la croissance sur l’ensemble de l’année en cours sera plutôt de 3,5-4 %.

Selon les dernières statistiques, en juin 2024 la Russie est devenue le pays avec le plus faible taux de chômage parmi les pays du G20. Le niveau du chômage parmi la population active n’est que de 2,4 % contre 7,4 % en France qui entre dans le peu glorieux Top-5 des pays du G20 avec le taux de chômage le plus élevé et dont l’indice INSEE du climat d’emploi annonce un taux de chômage de 8,5 % pour la fin de l’année en cours.

En ce qui concerne le pouvoir d’achat de la population russe, au premier trimestre 2024, les revenus nets disponibles — les revenus monétaires corrigés de l’inflation moins les paiements obligatoires des impôts, taxes, redevances et autres contributions obligatoires au budget de l’état — ont vu une augmentation de 5,8 % par rapport à l’année précédente (source : Rosstat). Sur l’ensemble de l’année 2024, l’augmentation du pouvoir d’achat est attendue à hauteur de 9,2 % (source : ministère de l’Économie). Pour la France, cependant, une augmentation du pouvoir d’achat à hauteur de 1 % brut pour l’année 2024 serait déjà considérée comme un très bon résultat, après une croissance de 0,8 % brut pour l’année 2023 (source : l’OFCE).

De même, la Fédération de Russie est entrée dans le Top-3 du G20 au niveau de la plus faible dette publique par habitant qui n’est que de 2 070 $/hab., contre 40 300 $/hab. en France, 50 600 $/hab. au Royaume-Uni ou encore 104 500 $ par habitant aux États-Unis d’Amérique.

En France, le taux de chômage élevé de ce jour, la très faible croissance du PIB et la dette publique exorbitante pesant sur le présent et le futur de l’économie française ne sont que les constantes structurelles se développant en synchronie avec toute une série d’autres facteurs économiques résultant de la politique française irresponsable des dernières années et démontrant l’entrée prochaine de la France dans la récession économique.

La croissance du PIB à hauteur de 1,1 % pour le premier semestre 2024, dont le chiffre correspond également à la croissance attendue pour l’ensemble de l’année en cours, malgré les prévisions de stagnation annoncées auparavant par l’INSEE, ne doit guère être surestimée et prise pour une constante. La non-modération de la joie serait une importante erreur d’appréciation, car son augmentation n’est grandement due qu’à la hausse des dépenses publiques (+0,3 % de la consommation des administrations et +0,6 % de l’investissement public pour le second trimestre) qui ne fait que soutenir artificiellement le PIB du pays en creusant davantage la dette de l’état français.

La réindustrialisation ou la désindustrialisation ?

La désindustrialisation de la France n’est nullement un phénomène nouveau. Elle s’est mise en place dès la crise de 1974 et ne s’est jamais arrêtée depuis, en faisant de la France le pays européen qui s’est le plus désindustrialisé ces 50 dernières années.

Si en 1972 la part de l’industrie manufacturière française dans le PIB était de 19 %, en 2020 elle n’est plus que de 9 %. De même pour la part d’emplois dans le secteur industriel : 37,4 % en 1982, contre 13,3 % en 2020.

Dès la période de propagande électorale précédant sa prise du pouvoir en 2017, Emanuel Macron a choisi de se promouvoir avec un message politique tout à fait attractif adressé aux électeurs : faire de la réindustrialisation de la France un chantier prioritaire de son mandat. Message adressé à des masses qui ne connaissent à peu près rien du fonctionnement de l’économie mondiale et des lois qui la gouvernent pour être pris au sérieux.

Le travail d’un illusionniste, c’est de concentrer l’attention des spectateurs sur des détails devant leurs yeux et de ne surtout pas leur permettre une vision globale de l’ensemble du processus en développement, ce qui mènerait, le cas échéant, inévitablement à la découverte de la supercherie.

Des années ont passé et Emmanuel Macron se vante de la grande réussite de son initiative de réindustrialisation de l’Hexagone. Les éléments mis en avant sont le solde positif de la création d’emplois dans l’industrie depuis 2017 et la création de 500 usines de plus en France en 2023 par rapport à 2016.

Belle image. Toutefois, la réalité est tout à fait différente.

La spécificité du secteur industriel français d’aujourd’hui et de ses capacités de production est dans une situation de très forte dépendance directe des approvisionnements étrangers en matières premières critiques et en énergie.

Vouloir se libérer de cette dépendance — c’est une chose ; se permettre ce luxe — s’en est une autre. Chercher des alternatives aux approvisionnements depuis, notamment, la Chine et la Russie est non seulement une idée utopique, mais, tout simplement, financièrement suicidaire pour de nombreux secteurs de l’industrie française, dont les marges de manœuvre sont déjà quasi inexistantes.

Et c’est exactement ce que le gouvernement Macron est en train d’imposer au secteur secondaire de l’économie française. En violant d’une manière grossière les règles de l’OMC, le tenant actuel du pouvoir en France est en train de provoquer la mise en place d’une riposte de la part de la Russie et de la Chine à l’hostilité française. Une riposte asymétrique qui aura des répercussions désastreuses et à très long terme sur l’économie française.

Le seul espoir de l’industrie de l’Hexagone est dans la retenue rationnelle des décideurs de la coalition sino-russe qui ne se limiteront qu’à une riposte proportionnelle, au lieu d’exercer leur pouvoir de déclencher une guerre économique et de faire effondrer d’une manière radicale et dans des délais limités non seulement le secteur industriel de l’économie française, mais celui de l’ensemble de l’UE, en les privant d’importations vitales.

En parlant des chiffres du « miracle » de la réindustrialisation réalisée par le parti présidentiel, plusieurs éléments sont à retenir. Selon les dernières statistiques disponibles, la production industrielle française accuse une décroissance nette de 3,1 % pour la période du 05/2023 au 05/2024.

Selon les indices de l’INSEE datant de juillet 2024 sur le climat des affaires, hormis la période particulière du Covid, il est au plus bas depuis le mois d’avril 2015 pour le secteur des services et, pour le secteur de l’industrie, au plus bas depuis ces 11 dernières années — depuis le mois du juillet 2013.

Dans le secteur du BTP, le climat des affaires est au plus bas depuis avril 2016. Dans le secteur du commerce de détail, hormis la chute d’avril 2022 liée à l’incertitude produite par le déclenchement de la phase active du conflit en Ukraine, le climat des affaires est au plus bas depuis novembre 2014.

En ce qui concerne les 500 nouveaux sites industriels de plus en France en 2023 par rapport à 2016, les communicants de l’Élysée « oublient » de mentionner que la production manufacturière française, quant à elle, a baissé de 4,45 % pour la même période. Alors qu’entre 2012 et l’arrivée de Macron au pouvoir en 2017, elle a, au contraire, connu une augmentation de 1,2 %.

En ce qui concerne la production du matériel de transport sous les deux quinquennats de Macron, elle s’est, tout simplement, effondrée.

En mettant en avant le solde positif de création d’emplois dans l’industrie depuis 2017, une fois de plus, ils « oublient » de préciser qu’aujourd’hui la France est au 22e rang européen sur les 27 en matière d’emploi industriel rapporté à l’emploi total.

La part de l’industrie dans le PIB français en 2016, avant la prise du pouvoir par Emmanuel Macron, était de 17,43 % ; en 2022, à l’issue des cinq années de son mandat, cette même part est de 17,38 % (Statista), ce qui n’est rien d’autre que la démonstration d’une parfaite stagnation tout à fait éloignée des narratifs développés par l’Élysée.

L’indice de la production industrielle des PMI est à 42,1, ce qui le place au plus bas depuis avril 2009, hors période Covid et la remontée post-Covid de décembre 2023.

Avec une vision à long terme, les statistiques nationales démontrent nettement et indiscutablement que le grand projet de réindustrialisation de la France par le parti du président Macron, projet qui a été promu en tant que chantier prioritaire de ses deux quinquennats ne peut guère être qualifié de grande réussite. Et il n’est pas à négliger que nous parlons bien de l’élément de la politique nationale où l’effort et l’investissement sont considérables.

La grande dépendance incontournable de l’industrie française vis-à-vis des importations énergétiques et des matières premières critiques depuis les pays, où la France se positionne ouvertement d’une manière de plus en plus hostile, la main-d’œuvre française incomparablement plus coûteuse que celle d’un grand nombre de concurrents sur le marché mondial et tant d’autres éléments de contraintes spécifiques à la production sur le sol français rendent l’idée de la réussite de la réindustrialisation française illusoire et totalement coupée de la réalité économique.

Le résultat de la gouvernance de Macron, étroitement associée à celle de l’UE, a directement mené vers l’impossibilité non seulement du développement, mais même d’une stagnation simple des industries énergivores françaises et européennes. 

La survie durable de ces dernières ne peut être assurée qu’avec la délocalisation vers des pays procurant l’accès à des énergies à des coûts abordables pour pouvoir rester concurrentielles au sein du marché mondial. Notamment vers les États-Unis d’Amérique qui sont aujourd’hui les premiers bénéficiaires de la nouvelle politique économique de l’Union européenne et de la France.

À moyen et long terme, le processus de désindustrialisation de la France n’ira qu’en s’accentuant et qu’en aggravant l’important déséquilibre du commerce extérieur déjà existant, ce que j’évoquerai plus loin. Ce déséquilibre ne sera que proportionnel à l’ampleur de la désindustrialisation qui risque d’être pire que celle connue entre 1979 et 1984, quand la chute de l’industrie française fut la plus brutale en Europe.

La production industrielle française risque d’être de moins en moins concurrentielle sur le marché mondial et de se replier progressivement sur le marché intérieur intra-européen, où l’exécutif renforcera le protectionnisme qui déjà prend de l’ampleur. Le protectionnisme, une lame à double tranchant avec, au final, son prix à payer.

Le protectionnisme ou le néolibéralisme ?

La réponse est sans équivoque. D’une part, la politique commerciale protectionniste dans son état pur et irréfléchi ne peut être que porteuse d’une grave récession économique.

À ne pas oublier les leçons de l’histoire : c’est bien la politique commerciale protectionniste qui fut la cause majeure de la Grande Dépression que le monde a connue de 1929 à 1939. L’instauration d’importantes mesures protectionnistes dans les pays industrialisés a fait muter la crise financière et la récession économique du début des années 1930 en une dépression économique à l’échelle mondiale.

La hausse des droits d’importation pour venir en aide à certains secteurs de l’économie nationale provoque inexorablement des mesures de rétorsion, symétriques ou asymétriques, de la part des pays victimes des mesures protectionnistes. Le résultat obtenu n’est que la diminution réciproque du commerce international des pays impliqués.

Mais, d’autre part, le néolibéralisme tel qu’on le connaît depuis des décennies ne peut être bénéfique à des pays occidentaux, dont la France, qu’à la condition qu’il s’applique à des pays « partenaires », dont la politique intérieure et étrangère est globalement soumise à la volonté occidentale. La soumission, telle qu’on la connaît depuis l’époque de la prétendue décolonisation : via la pression par des institutions financières internationales contrôlées par l’Occident collectif, telles que la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International ; via l’installation des présidences et des gouvernements dans des pays visés sous le contrôle du pouvoir occidental et, le cas échéant, via l’organisation de coups d’État, voir le lancement de guerres de remise en ordre des rapports « dominant-dominé ».

La guerre en Ukraine s’est avérée être un élément accélérateur de la refondation de l’échiquier politico-économique mondial dans lequel la soumission du monde non occidental à des règles néolibérales de l’Occident deviendra de plus en plus compliquée à maintenir et à développer par ce dernier.

De même, vu la montée en puissance des économies non occidentales disposant de plus en plus de leviers de pressions et de capacités de ripostes symétriques et asymétriques vis-à-vis de la force occidentale dominatrice, le renforcement des mesures protectionnistes par les marchés occidentaux ne peut guère être considéré comme une solution salutaire.

Ainsi, les nouvelles réalités en cours de développement par le monde ne peuvent que produire des constats alarmants vis-à-vis du futur de l’économie française.

Partie II

L’industrie du secteur des technologies avancées, est-elle salutaire ?

Certains économistes préconisent que la fuite du secteur énergivore de l’industrie hors UE n’est pas aussi grave qu’il paraît, car, en ce qui concerne la part de l’industrie du secteur des technologies avancées, telles que technologies quantiques, de navigation, des biotechnologies et de la robotique, la position de l’UE et de la France est assez saine. Notamment, en 2022, 194 entreprises dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA) ont été créées dans l’UE contre 160 en Chine et la part du secteur des technologies avancées de l’Union Européenne représente dans les 20 % du volume mondial : 22 % dans les technologies quantiques, 20 % dans la navigation, 18 % dans les biotechnologies et 18 % dans la robotique (données 2022).

S’ils ont, d’une part, tout à fait raison de souligner le développement accru du secteur en question dans les pays de l’UE, ils négligent, toutefois, le facteur du poids financier actuel de ce dernier vis-à-vis de l’apport dans le PIB de l’UE et de la France en particulier. Et ce dernier reste relativement modeste par rapport à celui de l’industrie « traditionnelle » qui est en train de se désagréger sur le sol européen.

D’autre part, il n’est pas à négliger que le développement du secteur des technologies avancées en France et en Europe, en général, se heurtera davantage dans un avenir très proche non seulement à la très importante concurrence américaine et chinoise déjà omniprésente, mais également à la forte croissance exponentielle de cette dernière de la part de la Chine qui affiche un grand dynamisme dans le domaine. Notamment, concernant les dépôts de brevets, tous secteurs confondus, en 2023 l’EU accuse une croissance de 2,9 % contre 8,8 % en Chine pour la même période (source : l’OEB).

Le facteur de développement des hautes technologies à lui seul n’est guère salutaire : l’Allemagne qui a déposé en 2023 incomparablement plus de brevets que la France – 24 966 contre 10 814 — est un pays dont le marché est également en train d’entrer à grands pas dans une récession économique.

La force toute particulière de la France dans le domaine des technologies avancées se situe dans le secteur des transports/l’aéronautique, et, comme indiqué auparavant, c’est bien la production du matériel de transport qui s’est littéralement effondrée dans l’Hexagone — et ceci malgré la continuation de l’innovation suivie par un important dépôt de brevet dans le domaine.

Le déficit commercial français et les énergies

En ce qui concerne le déficit commercial français, ce dernier se maintient dans des sommets peu enviables : 85,9 milliards d’euros pour la période de mai 2023 à mai 2024, dont 8 milliards d’euros pour le seul mois de mai dernier (source : INSEE).

Certes, le camp politique de Macron peut se vanter de n’avoir creusé que 85.9Mld de déficit contre le record absolu de 162Mld d’euros qu’il a réalisé en 2022 (source : Douanes Françaises), mais il n’y a pas de quoi se réjouir : le très grave déséquilibre du commerce extérieur ne va que s’accentuer, car, à ce jour et à l’horizon, il n’y a strictement aucun indice politico-économique sérieux permettant de supposer le contraire.

Ce n’est pas depuis hier, mais depuis l’année 2006 que la balance commerciale française est dans le rouge chaque année consécutive sans exception et le déficit cumulé des dix-huit dernières années a déjà dépassé les 650Mld d’euros.

Les principales raisons structurelles de ce grave déficit sont un important déséquilibre du solde des échanges des biens manufacturés, dont la concurrentialité française est plombée par le très haut niveau des prix de l’énergie faisant exploser les coûts de production ; la forte dépendance française aux énergies fossiles importées et, surtout, l’incapacité déconcertante du président Emmanuel Macron et des responsables de son appareil exécutif à mener une politique économique nationale et, surtout, une politique étrangère qui ne sera pas profondément irresponsable vis-à-vis des intérêts stratégiques de la France qui exigent l’atténuation des retombées désastreuses sur l’économie française par le maintien de relations politico-diplomatiques saines avec des pays fournisseurs d’énergie.

En ce qui concerne les capacités de la production nationale d’électricité, les inquiétudes des Français à la suite de la privation de la France de sa première source d’uranium qui est le Niger ont été atténuées par la communication d’informations sur les stocks français d’uranium qui semblent être suffisants pour faire fonctionner les centrales électriques de l’Hexagone durant les 32-40 années à venir.

Le Texte n° 222 déposé au Sénat, le 19 décembre 2023, dévoile : « Si la France ne dispose pas directement d’uranium naturel sur son territoire, les opérations d’enrichissement ont, elles, lieu en France. Aujourd’hui, pour faire fonctionner nos 56 réacteurs nucléaires, EDF a besoin de 8 à 10 000 tonnes d’uranium naturel chaque année. Fin 2021, le stock d’uranium appauvri entreposé sur notre territoire national était de 324 000 tonnes ».

Pourtant, l’apaisement des Français à ce sujet, s’il a eu lieu, est bien hâtif.

Ce même texte stipule : « … en conservant ce rythme actuel [de l’accroissement des réserves de l’uranium], il devrait avoisiner 550 000 tonnes en 2050 ». Ce qui laisse sous-entendre, à juste titre, l’importance stratégique de la continuation de l’accumulation des stocks. Pourtant, les indications des rythmes de l’accumulation des réserves de l’uranium mentionnées dans ce texte du Sénat sont aujourd’hui totalement coupées de la réalité.

Non seulement ils ne sont plus réalisables, mais la probabilité est forte que les réserves stratégiques « intouchables » dont la France dispose commenceront à être consommées sous peu, faute de volumes d’importations suffisants, et cela sera le signe du début du désastre énergétique à venir.

Avant d’avoir retiré ce début juillet 2024, le permis d’exploitation d’un important gisement d’uranium à Madaouéla (Nord du Niger) au groupe canadien GoviEx, le 19 juin, le gouvernement nigérien a retiré le permis d’exploitation du gisement d’uranium d’Imouraren au groupe français Orano (ex-Areva). Imouraren, classé comme l’un des plus grands gisements d’uranium au monde, avec des réserves estimées à 200 000 tonnes.

La politique étrangère irresponsable du gouvernement de Macron a fait perdre à la France son premier fournisseur d’uranium qui est le Niger. Et ceci d’une manière irrévocable : les puissances étrangères que la France a ouvertement inscrites sur la liste de ses ennemis feront et sont déjà en train de faire le nécessaire pour assurer cette irrévocabilité. La perte par la France de l’accès à ces gigantesques réserves de combustible pour ses centrales électriques est un échec stratégique qui réduit considérablement les alternatives d’approvisionnement et met Paris en position de dépendance accrue vis-à-vis d’autres fournisseurs actuels et potentiels restants.

En parlant du second fournisseur d’uranium pour la France — le Kazakhstan — qui, après la perte du Niger, devient, de facto, le tout premier fournisseur, les autorités françaises n’oublient pas de mentionner que l’exploitation et l’importation depuis ce pays de l’Asie centrale se déroulent via l’entreprise locale « Katco » qui assure 7 % de la production mondiale d’uranium et dont le français “Orano” détient 51 % du capital.

Néanmoins, ce que l’Élysée “oublie” de communiquer à ses citoyens c’est que les 49 % restants du capital de “Katco » sont détenus par l’entreprise ‘Kazatomprom’, laquelle, à son tour, appartient à 50 % à l’entreprise ‘Tsentr Obogosheniya Urana’ dont la Fédération de Russie est le co-propriétaire. On ne peut que féliciter la présidence française d’être victime de tels trous de mémoire qui sont salutaires face au danger de l’apparition d’une importante dissonance cognitive chez son électorat.

IDE en France : les illusions et la réalité

Si la France, dont les flux nets des investissements directs étrangers (IDE) ont atteint 72,7 milliards d’euros en 2022 et 39,1 milliards en 2023, reste depuis plusieurs années consécutives bien en tête des IDE sur le sol européen — ce résultat positif est à nuancer.

Les stocks d’investissements étrangers en France se concentrent à près de 70 % sur trois secteurs : 35 % pour celui de l’industrie (à fin 2023), 14 % pour les finances-assurances et 19 % pour les activités immobilières (source : Banque de France).

Malgré les investissements étrangers assez impressionnants, il est important de ne pas négliger les facteurs qui s’y attachent et qui sont d’une importance stratégique. Notamment, les IDE qui ont lieu en France visent non pas la création de nouveaux emplois, de nouveaux projets de développement et la création de nouveaux sites, mais principalement l’extension des sites déjà existants. En 2021, les projets visant la création de nouveaux sites ne représentaient que 31 %, contre 69 % pour des sites déjà existants. Le nombre moyen d’emplois créés par projet étaient de 38.

En même temps et à titre de comparaison, ces proportions sont tout à fait différentes dans d’autres pays européens, et ceci en grande défaveur de la France. Notamment, selon les dernières données disponibles (année 2021), en Allemagne, les projets visant la création de nouveaux sites représentaient 81 %, contre 19 % pour des sites déjà existants. Le nombre moyen d’emplois créés en Allemagne par projet était de 45. Au Royaume-Uni, les projets visant la création de nouveaux sites représentaient 77 %, contre 23 % pour des sites déjà existants. Le nombre moyen d’emplois créés en Grande-Bretagne par projet était de 68 (source : EY).

Ainsi, les résultats de l’attraction des investissements directs étrangers dans l’économie française qui sont présentés par l’actuel pouvoir en tant que très grand succès de sa politique sont bien à nuancer : la monnaie étrangère investie en France génère de 30 à 50 % d’emplois en moins qu’en Allemagne ou en Grande-Bretagne, ce qui reflète nettement la réalité désastreuse de la politique française d’emploi.

Les défaillances d’entreprises

Plus de secret pour personne que dans la période du 06/2023 au 06/2024, la quasi-intégralité des pays de l’UE ont enregistré un nombre de défaillances d’entreprises supérieur à celui d’avant la pandémie du Covid.

La France ne fait non seulement pas l’exception dans la tendance généralisée dans l’espace européen, mais en % détient même le ‘leadership’ vis-à-vis de l’Allemagne et du Benelux au niveau des défaillances d’entreprises et ceci depuis le début de 2023.

Pour les entreprises, les coûts dus à plusieurs éléments clés tels que le refinancement, les salaires et l’énergie sont nettement plus élevés qu’avant la période Covid — ce qui n’est guère le cas de la demande. Le grand manque de confiance des ménages dans l’avenir les fait privilégier l’épargne à la consommation, ce qui déclenche un cercle vicieux, dont la formule est simple : la baisse de la consommation augmente les faillites d’entreprises qui détruisent l’emploi et, de facto, baissent davantage la demande des ménages, ce qui à son tour impacte directement la croissance.

Non seulement la France enregistre 60 210 entreprises de toutes tailles confondues qui sont entrées en procédure de défaillances ou de cessation de paiement sur un an (données de la Banque de France, fin mai 2024), ce chiffre inclue les 5 161 entreprises de taille intermédiaire (ETI) et les grosses PME — ce qui est supérieur même à celui du triste record de 4 825 défaillances qui ont été comptabilisées en septembre 2009, après la crise financière que le monde a connue. Les secteurs-clés, tels que l’industrie, l’information/communication et le transport sont grandement impactés et la tendance les concernant ne fait que s’aggraver.

Post-scriptum

Contrairement aux États-Unis d’Amérique qui ont pu, jusqu’à présent, maintenir leur économie nationale à un niveau tout à fait confortable via le déclenchement dans le monde de guerres de répression des menaces à leur hégémonie assurée par le statut de leur outil principal opérationnel qui est le dollar américain, en couvrant grossièrement les invasions par des slogans dictatoriaux sur l’apport de la lumière de la démocratie dans des ténèbres et en tuant au passage des millions de personnes dans ledit processus de ‘démocratisation’ — la France n’est guère ni en position, ni en capacité d’appliquer ce modus operandi, même si ce dernier est considéré comme le plus efficace pour obtenir gain de cause avec l’engagement de la moindre contrepartie.

Les éléments énumérés dans ce dossier d’une manière non exhaustive et ne comprenant pas toute une série d’autres problèmes structurels graves de l’économie française, tels que le niveau des impôts et taxes le plus élevé au monde, le système fiscal le plus complexe au monde, la dette publique exorbitante qui connait la plus grande croissance au sein de l’UE et atteint 3.200 Mld €, le gigantesque déficit public qui se creuse davantage chaque année et atteint la hauteur de 154Mld € pour la seule année de 2023 après 124,9Mld € pour l’année de 2022 – ce sont les désastreuses conséquences structurelles produites par la politique nationale et étrangère néfaste menée par la gouvernance française et nécessitant un changement radical de son vecteur dans les plus brefs délais. Le cas échéant, la seule réalité que connaîtra la France sera celle de l’entrée inexorable de son économie dans une profonde récession.

Oleg Nesterenko

Président du CCIE (www.c-cie.eu)

(Ancien directeur de la MBA, ancien professeur auprès des masters des Grandes Écoles de Commerce de Paris)




Des nouvelles de la guerre en Ukraine avec Erwan Castel

[Source : Brochu TV]

Cette semaine à Ramstein, la France et la Grande-Bretagne ont donné à l’Ukraine l’autorisation d’utiliser leurs missiles de croisière air-sol SCALP-EG et Storm Shadow (missiles de croisière à lancement aérien) contre des régions ‌non contestées de la Russie ce qui signifie que les forces françaises et britanniques vont transmettre aux forces ukro-atlantistes les renseignements permettant d’identifier, de géolocaliser leurs cibles russes et de guider sur elles leurs missiles.

Les deux puissances nucléaires européennes (encore que Londres soit plutôt du côté du centre de gravité mondialiste américain) ont donc décidé de franchir la ligne écarlate définie cette semaine par le Kremlin, ce que les USA n’ont pas encore officiellement fait.

Et c’est ici qu’apparaît à nouveau cette stratégie étasunienne ancienne se prenant pour le maître du Monde et qui consiste à sacrifier l’Europe sur l’autel de ses intérêts marchands et avec la collaboration zélée de ses propres dirigeants.

Un stratégie par procuration où les laquais cherchant à être plus royalistes que le roi se condamnent eux-mêmes comme autrefois Tantale. (…)




Francs-maçons et Illuminati : la bataille pour la presse et la censure dans les années 1800 (Histoire méconnue)

[Source : https://chemtrails.substack.com]

Selon l’auteur, il ne s’agit pas d’une « théorie du complot », mais d’informations tirées de documents gouvernementaux datant de 1830. Une histoire vraie sur la façon dont les médias ont été capturés et utilisés comme une arme contre le peuple…

Par Agent131711

Bien que la franc-maçonnerie prétende exister depuis la nuit des temps, affirmant même avoir des livres écrits par Hermès (oui, l’Hermès de la mythologie grecque), les chercheurs du début des années 1800 n’ont pu faire remonter les preuves de la franc-maçonnerie qu’au début des années 1700.

« Par la ruse et la fausseté du métier… (les francs-maçons) ont amené une partie du monde à croire que leur institution était très ancienne, scientifique, morale, charitable, divine et religieuse, qu’elle était patronnée par tous les patriarches, prophètes, sages et saints d’autrefois… et qu’elle était une plus grande bénédiction pour l’Humanité que n’importe quelle autre institution sur Terre, même plus grande que la religion chrétienne »,
ont-ils écrit.

En 1730, un peu plus d’une douzaine d’années après la formation officielle de la franc-maçonnerie, l’un de ses membres, Samuel Prichard, fait défection et dévoile tous les secrets de la fraternité. À l’époque, l’organisation maçonnique n’était qu’un petit groupe marginal, si bien que personne ne s’en est soucié et que les avertissements de Prichard sur les dangers de cette entité sont tombés dans l’oreille d’un sourd. Les chercheurs des années 1800 écrivent :

« Personne ne pensait qu’une organisation aussi insignifiante et indigne d’être remarquée deviendrait un jour si étendue et si puissante qu’elle révolutionnerait des royaumes, ferait trembler les monarques les plus puissants sur leurs trônes et défierait même “le monde armé” ».

Quelques années plus tard, un autre avertissement, « Jachin et Boaz », a été publié par un autre transfuge. L’auteur de cet ouvrage et ceux qui l’ont publié en Amérique ont été assassinés. Malgré les avertissements et les meurtres, la plupart des gens considèrent toujours l’organisation comme une plaisanterie. À Londres,

« de jeunes garçons apparaissaient fréquemment dans les rues de Londres, vêtus de tabliers et ornés de cailloux, pour imiter une classe d’hommes qu’ils considéraient comme suprêmement ridicules ».

Les moqueries ne découragèrent pas les francs-maçons. Leur nombre augmenta lentement. Les principes de l’ordre furent transplantés en France, en Allemagne et dans d’autres royaumes d’Europe et commencèrent à s’enraciner profondément en Amérique. La Révolution française, période de bouleversements en France, fut à la fois un catalyseur pour l’organisation et une période d’éveil pour de nombreux membres. Alors que des hommes désemparés, irrités par la guerre, s’inscrivaient en croyant qu’ils allaient découvrir des réponses sous la forme de l’illumination, développer leur relation avec Dieu et être un atout pour leur communauté, beaucoup de ceux qui étaient déjà intégrés dans l’organisation voyaient clairement les objectifs des francs-maçons. Pendant la Révolution française,

« certains eurent la sagacité de discerner que ce déluge de sang humain et l’anarchie qui s’ensuivit dans cette nation ne résultaient pas tant du véritable esprit de liberté nationale que des principes d’infidélité largement propagés dans tous les pays d’Europe, au moyen d’associations secrètes ».

Les gens commençaient déjà à voir que la guerre n’était pas ce qu’elle semblait être et que l’entité de l’ombre, opérant en secret derrière les portes des loges, pourrait bien être un énorme satané problème.

Bien que beaucoup aient eu le courage d’abandonner la fraternité, peu étaient prêts à s’exprimer, car tous connaissaient la punition qu’ils encouraient s’ils rompaient leur serment à la fraternité. Parmi ceux qui ont risqué leur vie pour révéler les secrets des francs-maçons, il y a l’abbé Barruel et le professeur Robison. Ces deux hommes étaient très impliqués dans la franc-maçonnerie et connaissaient parfaitement les secrets de la profession.

Le professeur Robison a déclaré :

« J’ai observé ces doctrines se diffuser progressivement et se mélanger à tous les différents systèmes de franc-maçonnerie, jusqu’à ce qu’enfin, une association soit formée dans le but exprès de déraciner tous les établissements religieux et de renverser tous les gouvernements existants en Europe ».

Il ajoute :

« En bref, nous pouvons affirmer avec confiance que les loges maçonniques de France ont été les foyers où ont été semées et tendrement élevées les graines de toutes les doctrines pernicieuses qui ont rapidement étouffé toute culture morale ou religieuse et ont fait de la société pire qu’un gâchis, un marais de corruption humaine, rempli de toutes les mauvaises herbes et de tous les vénéneux ».

Selon Robison, c’est ce qui a donné naissance aux Illuminati et aux Illuminés.

L’abbé Barruel et le professeur Robison voient dans cette organisation un tel danger qu’ils commencent à publier différents ouvrages sur le sujet. Leur travail en a réveillé plus d’un. Un contre-mouvement officiel contre les francs-maçons avait été mis en place et, cette fois, certains étaient intéressés. Étonnamment, même le Parlement britannique s’y intéressa. Il adopta une loi qui interdisait de conférer plus de trois degrés de maçonnerie dans une loge du royaume et prévoyait une loi contre l’administration de serments extrajudiciaires. Ce statut signifiait, à condition que la loi soit respectée, qu’aucun membre du gouvernement ne pouvait être également franc-maçon.

Lorsque les ouvrages du professeur et de Barruel ont commencé à être lus en Amérique,

« de nombreux hommes intelligents, civils et religieux, ont été éveillés à un danger imminent, remplis d’appréhensions effrayantes face à la croissance rapide de la franc-maçonnerie et ont sonné l’alarme en chaire et sur la place publique ».

C’est ce qui a conduit à la guerre de la presse…

En France et en Allemagne, les Illuminés menaient déjà une guerre psychologique par l’intermédiaire de la presse. Lorsque de nombreuses rubriques de presse parlaient d’eux en mal, ils formaient des comités de dénigrement dans tous les pays. Les francs-maçons américains ont fait de même : quiconque osait parler contre la fraternité était vilipendé, son personnage assassiné. Les accusations n’avaient pas besoin d’être véridiques, elles devaient simplement détruire de façon permanente la crédibilité du transfuge et de toute personne aidant à la publication des documents.

Lorsque les écrits de Robison sont parus dans des publications américaines, une chronique a été publiée dans un journal imprimé à Hartford, dans le Connecticut. Elle informait les lecteurs que Robison « avait vécu au-dessus de ses moyens et que, pour combler les lacunes, il avait entrepris de modifier un billet de banque ». L’article précise que lorsque Robison a été pris en flagrant délit de fraude en modifiant le billet, il s’est enfui en France où il a participé à une Loge. L’article affirme que Robison a été expulsé de la loge, qu’il s’est donc rendu dans une autre loge et qu’il a demandé à en devenir membre, mais que sa demande a été rejetée. Désirant désespérément devenir franc-maçon, le professeur s’est alors rendu en Allemagne et en Russie, mais n’a jamais réussi à devenir membre, et c’est ce qui a poussé Robison à « la haine la plus amère pour la maçonnerie », ce qui l’a amené à inventer ces affirmations horribles et fausses sur la confrérie. Le journal poursuit en disant que son livre (le livre anti-maçon) n’était rien d’autre qu’un moyen d’échapper à son crime d’escroquerie. Ils affirment que Robison a présenté son livre au gouvernement pour que les charges retenues contre lui soient abandonnées en échange de ses connaissances. L’article se termine par « Il vit maintenant d’une belle pension », ce qui laisse penser au lecteur que le gouvernement l’a payé pour ses informations ou que les ventes de son livre ont été si lucratives qu’il a pu prendre une retraite aisée. Bien entendu, rien de tout cela n’est vrai. Robison n’a jamais été inculpé. De l’avis général, c’était un homme honorable, respecté par ses collègues, dont beaucoup ont parlé publiquement de son caractère positif pendant les attaques calomnieuses.

Dans un autre article contre le professeur, les mêmes fausses allégations de falsification ont été formulées. Cette fois-ci, ils sont allés plus loin en le qualifiant d’aliéné. Les francs-maçons ont fait copier ces articles dans d’autres journaux (mockingbird media 1.0), et ce n’était qu’une question de temps avant que le professeur ne soit connu comme un cas désespéré malhonnête et que les collègues qui ont pris sa défense ne soient considérés similairement. Tous ces fous étaient les théoriciens de la conspiration de l’époque et tous devraient être moqués et ignorés.

Peu après la débâcle de Robison, un professeur du Yale College a préparé un résumé des travaux de Barruel, qu’il a envoyé pour publication au journal Connecticut Curant, également imprimé à Hartford. Le journal a publié un total de huit résumés du professeur de Yale, puis a soudainement été empêché de soumettre d’autres contenus et les huit articles n’ont jamais été republiés.

La même année, le révérend Dr Morse de Charlestown, un homme très respecté et très connu du Massachusetts, a prêché et publié un sermon dans lequel il soulignait les dangers de l’Illuminisme et l’influence rapide et puissante qu’il était en train d’obtenir en Amérique. Il a souligné l’importance pour le peuple américain d’ouvrir les yeux sur les maux imminents. Le révérend a recommandé la lecture de « Proof of a Conspiracy » (Preuve d’une conspiration). En raison de la grande réputation du révérend Dr Morse, le Grand Maître de la Grande Loge du Massachusetts a pris l’initiative de limiter les dégâts. Il rédigea plusieurs articles pour le journal American Mercury, dont aucun ne réfutait les connaissances du prédicateur, mais attaquait plutôt son caractère.

Lorsque les articles du Grand Maître parurent dans le Mercury, un juge courageux et moral, l’Honorable Samuel Dexter de Boston, prit la défense du révérend Dr Morse. Le juge rédigea un article cinglant en réponse au Grand Maître, mais le Mercury refusa de le publier. La controverse se poursuivit jusqu’à ce qu’un rédacteur du Mercury déclare : « Le Dr Morse a été censuré parce qu’il est hostile à la maçonnerie » et informe les lecteurs que les écrits antimaçonniques sont interdits de publication dans le journal.

Un autre auteur du même journal affirma que les articles publiés par les francs-maçons sont habilement conçus pour créer la suspicion à l’égard de ceux qui s’expriment contre la fraternité.

« Pourquoi seraient-ils si déterminés à éteindre la lumière qui est jetée sur ce sujet, à moins qu’ils ne considèrent l’institution maçonnique comme ayant un lien intime avec l’illuminisme ? »

Comme on pouvait s’y attendre, ces propos ont été immédiatement suivis d’une réfutation affirmant que les Illuminati étaient les véritables philosophes. Les chercheurs des années 1800 ont écrit :

« … l’un des principaux modes de guerre maçonnique, et le moyen le plus efficace adopté par la fraternité maçonnique pour supprimer le travail d’investigation, a été un système soigneusement organisé de calomnie et de diffamation ».

LA PRESSE EN 1830

En 1830, les chercheurs ont rapporté qu’il y avait un total de 983 journaux. Ils les répartissent en trois catégories :
– presse libre publiant des nouvelles non biaisées et fondée sur l’opposition à la maçonnerie ;
– presse maçonnique contrôlée à 100 % ;
– et la troisième classe était celle des journaux qui publiaient les deux types de contenu : non biaisé, antimaçonnique ; et contrôlé par les francs-maçons.

Les chercheurs de l’époque ont découvert que seuls 124 journaux étaient antimaçonniques et impartiaux. Les 859 journaux restants étaient partiellement ou totalement contrôlés par les francs-maçons. À SUIVRE : Les antimaçons contre tout le monde : La montée du parti antimaçonnique aux États-Unis.




Les opéras révisés à la mode sataniste ?

Il s’agissait du festival de 2023.
Réf. (en anglais) :
https://www.jpost.com/israel-news/culture/article-761138



Comment sauver la France ?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]




Le FEM admet que le COVID était un « test » de l’obéissance du public au Nouvel Ordre Mondial

Par Trump Fact News

Le Forum économique mondial (WEF) a admis que la pandémie de COVID-19 était un test de l’obéissance du public à accepter son « Nouvel Ordre Mondial ».

Le WEF a publié l’admission suivante sur la page « Mon carbone » de son site web où ils font un pitch pour les villes intelligentes de 15 minutes.

thegatewaypundit.com rapporte : Le premier des trois « développements » qui, selon le WEF, doivent être en place avant que le monde puisse évoluer vers sa vision utopique des « villes intelligentes et durables », est le respect des restrictions à notre liberté. Il écrit :

1. COVID-19 a été le test de la responsabilité sociale — Un grand nombre de restrictions inimaginables pour la santé publique ont été adoptées par des milliards de citoyens à travers le monde. Il existe de nombreux exemples à l’échelle mondiale de maintien de la distanciation sociale, de port du masque, de vaccinations de masse et d’acceptation des demandes de recherche des contacts pour la santé publique, qui ont démontré le cœur de la responsabilité sociale individuelle.

Ils nous testaient. C’est ce qu’était le Covid. Ils voulaient voir combien d’entre nous abandonneraient notre liberté individuelle et notre souveraineté individuelle en se conformant à une « nouvelle normalité » qui consistait en des restrictions à la limite de l’absurde.

Pourquoi, par exemple, était-il « sûr » de faire ses achats chez Lowe’s ou Home Depot, mais dangereux de faire ses courses dans une petite entreprise ou d’aller à l’église ? Pourquoi était-il acceptable d’aller dans des clubs de strip-tease dans le Michigan, mais vous ne pouviez pas acheter de graines pour un jardin ?

Ce que le WEF implique avec sa déclaration ci-dessus, c’est que pour être « durables », les personnes et les sociétés devront se conformer à un nouvel ordre mondial plus autoritaire. Ne pose pas de questions. Ne recourez pas à la logique. Il suffit d’obéir.

Serions-nous obéissants face à de nouvelles lois et réglementations idiotes, comme porter des couches pour arrêter ce qui était considéré comme un virus en aérosol, et se tenir à six pieds l’un de l’autre en public, et se soumettre à une injection non autorisée d’ARNm jamais utilisée auparavant ?




12 produits toxiques à éviter pour préserver votre fertilité

[Source : magicmaman.com]

Par Julie Martory

Ces dernières décennies, la fertilité a beaucoup baissé, et notre environnement, notre alimentation y sont sans conteste pour quelque chose. Avec le Dr Patrice Halimi, chirurgien pédiatre, cofondateur de l’ASEF (Association Santé Environnement France) et auteur de La grande détox (Calmann-Lévy, 2015), passage en revue des produits toxiques à éviter pour préserver sa fertilité.

1/12 Produits toxiques : les phtalates

Les phtalates sont présents dans de nombreux objets du quotidien : emballages alimentaires, produits en PVC, certains tissus, jouets, etc. Or ce sont des perturbateurs endocriniens : ils modifient le fonctionnement de notre système hormonal. Une étude1 a ainsi montré que l’exposition des testicules de l’homme adulte aux phtalates entraînait une diminution de la production de la testostérone et serait responsable de la réduction des testicules, avec des conséquences sur la fertilité.

Le conseil du Dr Patrice Halimi : Évitez de réchauffer vos aliments dans des récipients en plastique. Privilégiez le verre. Du côté des cosmétiques, privilégiez les produits portant un éco-label.

2/12 Produits toxiques : le bisphénol A

Le bisphénol A (BPA) est lui aussi un perturbateur endocrinien : une fois dans l’organisme, il mime les œstrogènes. En 2013, une équipe de l’INSERM2 a démontré expérimentalement qu’une exposition au BPA réduisait la production de testostérone. Selon l’auteur de l’étude, « il se peut également que le bisphénol A participe à la chute de la production spermatique (…) ». Du côté de la femme, une étude a montré que plus la concentration de BPA dans le sang était importante, plus les chances de réussite d’une FIV étaient faibles, ce qui suggère une éventuelle action du BPA sur la qualité des ovocytes.

Le conseil du Dr Patrice Halimi Depuis janvier 2015, le BPA est interdit dans tous les contenants alimentaires, mais il risque d’y être remplacé par le BPS et le BPF, eux aussi soupçonnés d’être des perturbateurs endocriniens. Par précaution, troquez vos contenants alimentaires en plastique contre des récipients en verre, a fortiori pour réchauffer au micro-ondes. Si vous avez un bébé, optez plutôt pour des biberons en verre incassable.

3/12 Produits toxiques : les pesticides

Dans la grande famille des pesticides, une quarantaine sont considérés comme des perturbateurs endocriniens. En témoigne cette récente étude américaine3 qui a conclu que les hommes qui consommaient le plus de fruits et légumes chargés en pesticides avaient un nombre de spermatozoïdes inférieur de 50 % par rapport aux hommes qui en consomment beaucoup moins. Du côté féminin, « le lien entre pesticides et infertilité chez la femme est mal connu et mériterait d’être mieux étudié », indiquait l’INSERM en 2013.

Le conseil du Dr Patrice Halimi : Choisissez vos fruits et légumes les bio (label AB français ou AB européen) et locaux (pour éviter qu’ils ne soient enduits de conservateurs). Si vous n’avez pas les moyens de vous offrir du « Bio », pensez à peler vos fruits et légumes. Adeptes du jardinage, évitez au maximum le recours aux pesticides et privilégiez les solutions naturelles (voir le Petit guide santé du bio-jardinage, sur le site de l’ASEF).

4/12 Produits toxiques : les parabènes

Nous sommes régulièrement exposés aux parabènes, des substances utilisées comme conservateurs dans les produits cosmétiques et les médicaments. Or ce sont des perturbateurs endocriniens : leur effet ostrogénique pourrait avoir des conséquences sur la fertilité masculine. Pour preuve : une étude menée4 chez une centaine d’hommes consultant pour infertilité a dévoilé que la présence dans le sang de butyle parabène (un type de parabène) était associée à des altérations de l’ADN de leurs spermatozoïdes.

Le conseil du Dr Patrice Halimi Tous les parabènes ne se valent pas, mais par précaution, mieux vaut les éviter. Aux produits « 0 % parabènes » ou « sans parabène », préférez les produits écolabellisés (label cosmétique BIO ou cosmétique ECO). (voir le Petit guide santé du Bio-Cosmétique, sur le site de l’ASEF).

5/12 Produits toxiques : les éthers de glycol

Les éthers de glycol sont des solvants utilisés dans les peintures, les vernis, les colles, les cosmétiques, les produits d’entretien. « Aussi, les circonstances dans lesquelles les consommateurs sont mis en contact avec eux sont très variées : en respirant l’air dans une pièce repeinte, en se maquillant ou se teignant les cheveux, en nettoyant ses vitres… », précise le ministère de la Santé. Inquiétant sachant que certains éthers de glycol sont reconnus comme « reprotoxiques » : ils peuvent altérer la fertilité masculine ou féminine.

Le conseil du Dr Patrice Halimi Privilégiez les produits ménagers naturels ou éco labellisés (voir le Petit guide santé du Bio-Ménage, sur le site de l’ASEF) et si vous envisagez des travaux de peintures, choisissez une peinture éco labélisée également et aérez au maximum

6/12 Produits toxiques : les dioxines

Les dioxines regroupent une soixantaine de produits chimiques issus de l’industrie, de l’incinération. Présentes dans l’environnement, elles s’accumulent dans la chaîne alimentaire. Résultat : nous avons tous dans notre corps un stock plus ou moins important de dioxines, surtout dans nos cellules graisseuses. Or, « les dioxines sont très toxiques et peuvent provoquer des problèmes au niveau de la procréation », rappelle l’OMS.

Le conseil du Dr Patrice Halimi Pour les œufs et le lait, privilégiez le « Bio ».

7/12 Produits toxiques : les PCB

Les PCB (polychlorobiphényles, substances utilisées comme isolants électriques, dans certaines peintures, dans les micro-ondes…) sont interdits depuis les années 80, mais des dizaines d’années sont nécessaires pour les éliminer dans la nature, notamment dans les fleuves. Or, plusieurs études ont mis à jour l’impact des PCB sur la fertilité. L’une5 a montré qu’une exposition aux PCB pouvait entraîner des retards de grossesse ; une autre6 que cette exposition était liée à un risque accru d’échec l’implantation de l’embryon chez les couples réalisant des FIV.

Le conseil du Dr Patrice Halimi L’Anses recommande aux femmes en âge de procréer de limiter leur consommation de poisson d’eau douce (anguille, barbeau, brème, carpe, silure) à une à deux fois par mois.

8/12 Produits toxiques : les composés perfluorés

Parmi les composés perfluorés, les PFOA et le PFOS présents dans certains revêtements antiadhésifs posent particulièrement problème. « Une étude réalisée sur une cohorte de naissances danoises rapporte une association entre les taux plasmatiques de PFOS et PFOA et la fertilité ? des couples (augmentation du risque d’infécondité involontaire). Une autre étude danoise suggère un lien entre les taux cumulés de PFOS et PFOA et une modification de la morphologie spermatique », rapporte l’INSERM dans son rapport Reproduction et environnement de 2011.

Le conseil du Dr Patrice Halimi : Évitez les poêles en téflon, surtout s’il est rayé et abîmé, et privilégiez les poêles en acier inoxydable ou en fonte naturelle.

9/12 Produits toxiques : les ondes

Smartphone, ordinateur portable et tablette connectés au wifi : tous émettent des ondes. On ne connaît pas encore bien leurs effets sur la santé, mais une étude argentine7 a montré que les ondes wifi pouvaient diminuer la mobilité des spermatozoïdes et altérer leur ADN.

[Voir aussi le dossier
5G et ondes pulsées]

Le conseil du Dr Patrice Halimi : Demandez à votre homme de ne plus utiliser son ordinateur sur les genoux (ce qui a également pour effet de chauffer, or les spermatozoïdes n’aiment pas la chaleur) et d’éviter de garder son smartphone dans sa poche avant.

10/12 Produits toxiques : le tabac

Chez la femme, le tabagisme pourrait altérer la fertilité de 10 à 40 % par cycle (en fonction du nombre de cigarettes) et allonger le délai de conception de près du double. Le tabac diminue également la réserve ovarienne, la qualité des ovocytes, la vascularisation de l’utérus (et donc les chances de nidification), et augmente le risque de fausse-couche précoce. Chez l’homme, le tabac aurait un impact sur le nombre et la mobilité des spermatozoïdes, ainsi que sur l’intégralité de leur ADN.

[Voir aussi cependant, selon certains défenseurs de cette plante traditionnelle médicinale (qui incriminent les traitements et additifs ajoutés au tabac industriel et non la plante elle-même) :
Les qualités extrêmement médicinales et enthéogéniques des tabacs (bios)]

Le conseil du Dr Patrice Halimi : L’idéal est d’arrêter de fumer quelques mois avant le projet de grossesse afin d’évacuer toutes les toxines. L’arrêt du tabac est difficile, aussi n’hésitez pas à vous faire aider, par exemple avec www.tabac-info-service.fr.

11/12 Produits toxiques : l’alcool

On connaît les effets délétères de l’alcool sur le fœtus, moins ceux sur la fertilité, pourtant bien réels. Chez la femme, l’alcool perturberait l’ovulation et augmenterait le risque de fausse-couche. Du côté de l’homme, la consommation d’alcool aurait des effets sur la quantité et la qualité des spermatozoïdes dès la consommation de 2 verres par jour.

Le conseil du Dr Patrice Halimi : Un petit verre de temps en temps, OK, mais pas régulièrement. La consommation d’alcool doit rester exceptionnelle, chez la femme comme chez l’homme.

12/12 Produits toxiques : les acides gras saturés et les acides gras trans

Les acides gras saturés sont naturellement présents dans la viande, les produits laitiers et dans certaines huiles végétales tropicales (huile de palme notamment) et les produits alimentaires où elles sont utilisées (viennoiseries, gâteaux, chips, plats préparés, pizzas, barres chocolatées, etc.). Lorsque ces huiles végétales ont été hydrogénées (pour les rendre plus stables et plus faciles à utiliser), on parle alors d’acides gras trans. Incriminées dans le surpoids et l’obésité, ces mauvaises graisses auraient également un impact sur la fertilité féminine et masculine.

Le conseil du Dr Patrice Halimi : Sur l’étiquette guettez les mentions huile de palme, huile de coprah, huile de palmiste, et surtout « huile végétale partiellement hydrogénée ». Mieux encore : évitez les produits industriels, ou à défaut, optez pour leur version bio.

Un grand merci à l’ASEF (www.asef-asso.fr)


1 Human testis steroidogenesis is inhibited by phthalates. Hum Reprod. 2012, March 8

2 Differential Effects of Bisphenol A and Diethylstilbestrol on Human, Rat and Mouse Fetal Leydig Cell Function ; Plos One, décembre 2012

3 Fruit and vegetable intake and their pesticide residues in relation to semen quality among men from a fertility clinic, Human Reproduction, Vol.0, No.0 pp. 1–10, 2015

4 Urinary concentrations of parabens and serum hormone levels, semen quality parameters, and sperm DNA damage. Environ Health Perspect. 2011 ; 119 (2) : 252-57.

5 Persistent Environmental Pollutants and Couple Fecundity: The LIFE Study. Environ Health Perspect. 2012 Nov 14.

6 Serum Concentrations of Polychlorinated Biphenyls in Relation to in Vitro Fertilization Outcomes, 2011 Jul;119(7):1010-6.

7 Use of laptop computers connected to internet through Wi-Fi decreases human sperm motility and increases sperm DNA fragmentation ; Fertility and Sterility, Janvier 2012, Volume 97, Issue 1, Pages 39–45.e2




Le Canada souhaite que l’OMS censure davantage la « désinformation » des médias sociaux

[Source : reclaimthenet.org]

Par Didi Rankovic

Le Canada souhaite élargir le champ d’application de l’accord mondial sur les pandémies (traité) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en y ajoutant des mesures de censure.

L’initiative consiste à ajouter la « désinformation » des médias sociaux (et leur censure) à la discussion sur le projet de traité. En prévision de la « prochaine pandémie », le Canada souhaite également que l’on accorde davantage d’attention à ce qu’il considère comme la diversité, l’équité et l’inclusion.

L’objectif du traité est de donner à l’OMS un rôle actif dans l’orientation de la manière dont les 193 pays membres des Nations unies gèrent les pandémies ou d’autres crises sanitaires. Toutefois, les négociateurs ne sont pas parvenus à se mettre d’accord sur le texte du document avant la date limite du mois de mai de cette année.

À la fin du même mois, une nouvelle version du projet d’accord sur les pandémies a été publiée. Elle adoucit le ton de certaines des dispositions relatives à la censure, mais confère à l’OMS des pouvoirs de surveillance accrus.

Avant la publication de la dernière version, les « partenaires et parties prenantes » du Canada ont souhaité ajouter des mesures telles que l’obligation pour les plateformes de médias sociaux de « rendre compte du contenu qu’elles hébergent » (selon le type de « responsabilité » que les auteurs des propositions avaient à l’esprit, il n’est pas certain que cela soit acceptable, par exemple, pour les États-Unis, compte tenu de leur article 230).

D’autres idées émanant du Canada prévoient d’obliger ces mêmes entités à rendre compte « de l’impact de leurs algorithmes » — tout cela dans le contexte de la « menace de la désinformation ».

Parmi les autres « menaces » citées ces jours-ci dans certains milieux, on trouve l’« IA ». En ce qui concerne la surveillance, le traité devrait prévoir des « pratiques inclusives », selon la proposition canadienne.

« Des stratégies de prévention globales, des pratiques de surveillance inclusives et la prise en compte des défis pour les communautés marginalisées sont essentielles pour une prévention efficace des pandémies », précisent les conclusions des réunions qui se sont tenues en janvier et février 2024 dans plusieurs villes.

Le gouvernement libéral du Canada a choisi de ne pas s’engager ouvertement en faveur de telles mesures, et prend bien soin de le signaler dans un rapport, mais le fonctionnement du système est assez clair : des « partenaires » et des « parties prenantes » seraient à l’origine des propositions — et ils travaillent avec le Bureau des Affaires Internationales du Portefeuille de la Santé1, une entité gouvernementale.

Le Bureau a réuni plus de 100 personnes issues de groupes autochtones, d’universités, de la société civile, des secteurs public et privé, ainsi que des gouvernements territoriaux et provinciaux.





Comment résoudre le problème (pour certains) de la pénurie de médicaments ?




En France, ils n’ont pas de pétrole, mais des idées…

… que même la Corée du Nord leur envie.




Étude officielle sur l’auto-assemblage en temps réel de constructions artificielles dans des échantillons incubés de vaxins ARNm

[Source : Jeanne Traduction]

🔬 Autoassemblage en temps réel de constructions artificielles visibles au microscope stéréoscopique dans des échantillons incubés de produits ARNm provenant principalement de Pfizer et Moderna : Une étude longitudinale complète. Un long titre, qui vient enfoncer le clou sur la présence de nanotechnologies dans les injections covid. Car cette fois, cette étude est publiée dans un journal officiel, révisée par les pairs et disponible pour tous en libre accès.

🔸 L’étude de Young Mi Lee & Daniel Broudy : https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/102/291

🔸Next Dose : • Conseil Opérationnel & Scientifique #…

[Voir aussi :
Une étude japonaise confirme l’existence d’éléments artificiels autoassemblés dans les vaccins anticovid (article sur l’étude évoquée dans la vidéo),
Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?,
Graphène : de micro à nanotechnologie,
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique,
https://nouveau-monde.ca/acceptons-nous-de-devenir-des-objets-connectes/]

🌊 Source : • mRNA nanostructures




Des potions contre les démons

[Source : drmikeyeadon.substack.com]

Mieux vaut démystifier les superstitions que d’en tirer profit tout en accélérant la Réinitialisation.

Par Mike Yeadon

Comme vous le savez peut-être, j’ai développé une allergie sévère à la proposition de « traitement précoce du Covid-19 ».

Je suis tout à fait d’accord avec un traitement précoce pour n’importe quoi, à condition qu’il soit rationnel. C’est l’étiquette « pour le Covid-19 » que je ne peux pas tolérer. Il s’agit bien plus que d’un débat académique sur l’existence d’une nouvelle maladie syndromique chez certaines personnes, de l’avis de certains médecins.

Je pense que ceux qui promeuvent les traitements précoces du Covid-19 doivent d’abord concéder tous les points importants que les auteurs cherchent à enfoncer dans l’esprit des gens.

Sinon, leur paradigme de traitement ne fonctionne pas. Est-ce là ce qu’ils veulent ? Acceptation implicite de :

  • une nouvelle maladie ;
  • un nouveau virus ;
  • les recherches et fuites sur les gains de fonction ;
  • les virus comme cause de maladies respiratoires aiguës.

Étant donné qu’il n’existe pas de signes et de symptômes cliniques largement acceptés permettant de différencier le « Covid-19 » du large éventail de maladies de type grippal, toute cette affaire :

– renforce l’utilité de la PCR en tant que diagnostic raisonnable

et

– renforce inévitablement le mythe de la contagiosité.

Ce sont là des choses que je m’efforce de démontrer comme étant fausses. Elles constituent l’essentiel de la tromperie qui sera utilisée pour détruire ce qu’il reste de nos libertés et de notre autonomie médicale.

J’espère que ces informations vous aideront à comprendre pourquoi j’ai peu de patience pour ce concept.

Les promoteurs du traitement précoce du Covid-19 veulent-ils vraiment gratifier les auteurs de tous ces mensonges ? Je ne crois tellement pas qu’une personne rationnelle puisse vouloir le faire que j’ai du mal à croire qu’une telle position soit bénigne, parce qu’elle ne me semble pas l’être.

Si j’étais l’un des auteurs et que je voulais renforcer la tromperie, j’aurais été très motivé pour inciter au moins quelques médecins à le faire.

Maladies pseudo-grippales

Le bénéfice de « promouvoir le traitement précoce du Covid-19 » est la possibilité réelle que certaines maladies respiratoires aiguës répondent à certains traitements pharmaceutiques.

Toutefois, il serait à la fois plus précis et plus correct de « promouvoir le traitement précoce des maladies de type grippal ».

Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un point de divergence mineur.

J’avoue que ma première réflexion sur les affirmations selon lesquelles le médicament X ou Y « a fonctionné » pour le « Covid-19 » a été que ce qui était traité était un syndrome grippal non spécifique, un paradigme de traitement jusqu’ici inexploré.

La recherche clinique sur les maladies de type grippal a été un domaine non sexy tout au long de ma vie professionnelle, car elle était considérée comme un cimetière de développement de médicaments (rien ne marche), en plus d’être la plus grande source de revenus pour les antibiotiques oraux en cas de suspicion de pneumonie bactérienne.

Bien à vous,

Mike

P.S.
Rien ici ne sera jamais derrière un mur payant.
Je n’ai jamais accepté et n’accepterai jamais de dons ou de paiements pour moi-même. Les abonnements payants volontaires vont tous à mon administrateur, Tim West, pour lui permettre de consacrer beaucoup de temps à la fois ici et sur ma chaîne Telegram (la seule qui soit authentique) :
https://t.me/DrMikeYeadonsolochannel.

Commentaire de Tim West (source)

Étant donné que la viroLIEgie1 est bel et bien maintenant enterrée2 — elle s’est révélée être une pure pseudoscience3 — il est profondément frustrant que tant de membres du mouvement pour la liberté de la santé continuent d’agir comme si les virus étaient autre chose que de la pure fiction.

REMARQUE : il ne s’agit pas d’affirmer que les virus n’existent pas. Ce serait en soi une position anti-scientifique.4

Non, il s’agit d’énoncer un FAIT DUR, à savoir qu’il n’existe aucune preuve que ces génomes assemblés et créés in silico apparaissent miraculeusement dans le monde réel.

Étant donné que le « génome du SRAS-COV-2 » a été choisi pratiquement au hasard (le plus long… 😀) parmi les innombrables milliers de génomes créés par le programme [informatique] Deep Metagenomic Sequencing Assembling, il s’agirait en effet d’une coïncidence extraordinaire si ces génomes étaient un jour découverts dans la réalité.

Non. Continuer à croire aux virus après les travaux des Drs Sam Bailey et Mark Bailey, de Christine Massey, Sasha Latypova, Jamie Andrews, Dawn Lester, Denis Rancourt, Roman Bystrianyk, Mike Stone, Jon Rappoport, @Tom Cowan, @Stefan Lanka, @ThePerthGroup 5, et de tant d’autres est une position « courageuse » à adopter.

Le traitement précoce d’un virus fictif est stupide et fait le jeu des auteurs [du mensonge Covid-19].