L’historicité du Christ Jésus attestée par les documents

[Source : ARKEOS]

[Voir aussi :
Jésus le Gaulois ?]

Notes et Références

Épître de Clément de Rome
>> Épître de Clément — Patristique.org

Informations sur Clément de Rome
>> Infos sur Clément — Patristique.org

Article sur Polycarpe — Patrick Vauclair
>> Article de P. Vauclair sur Polycarpe — oui-dieu-existe.fr

Texte de la Didaché — Wiki
Ce texte est également appelé « Doctrine des 12 apôtres »
>> Texte de la Didaché — Wiki

Le martyre de Jacques — par Flavius Josèphe — et Hégésippe
Article intéressant, qui cite les 2 textes et en apporte un court commentaire
>> La martyre de Jacques — F. Josèphe — Hégésippe

Antiquités judaïques — Flavius Josèphe — Livre 20 chapitre 9
Extrait intéressant chapitre 9 et réf. 200
>> Antiquités judaïques — Livre 20
Il est à remarquer également que Josèphe ne dit pas « Jacques, le frère du Seigneur » ou « Jacques, le frère du Sauveur » — expression trouvée dans le Nouveau Testament. Cela montre qu’il ne connaissait certainement pas ces expressions propres au langage chrétien et au Nouveau Testament.

L’empereur Néron — Wiki
>> Néron — Wiki

Texte de Tacite mentionnant Jésus — Wiki (anglais)
Cet article en anglais cite le texte latin — et sa traduction anglaise
>> Tacite — texte latin — Wiki anglais

Les Annales — Livre XV — Tacite
Extrait qui nous intéresse au Paragraphe 44
>> Les Annales — Livre 15 — Remacle

Récits de phénomènes surnaturels — à Jérusalem entre 30 et 70 — F. Josèphe
Récit rapporté par Flavius Josèphe
Flavius Josèphe — Guerre des juifs Livre 6, Chapitre 5, paragraphe 3
Ces trompeurs, ces gens qui se prétendaient envoyés de Dieu abusaient ainsi le misérable peuple, qui n’accordait ni attention ni créance aux clairs présages annonçant la désolation déjà menaçante : comme si la foudre fût tombée sur eux, comme s’ils n’avaient ni des yeux ni une âme, ces gens ne surent pas entendre les avertissements de Dieu.
Ce fut d’abord quand apparut au-dessus de la ville un astre semblable à une épée, une comète qui persista pendant une année. Avant la révolte et la prise d’armes, le peuple s’était rassemblé pour la fête des azymes, le 8e jour du mois de Xanthicos, quand, à la neuvième heure de la nuit, une lumière éclaira l’autel et le Temple, assez brillante pour faire croire que c’était le jour, et ce phénomène dura une demi-heure. Les ignorants y virent un bon signe, mais les interprètes des choses saintes jugèrent qu’il annonçait les événements survenus bientôt après.

Dans la même fête, une vache amenée par quelqu’un pour le sacrifice mit bas un agneau dans la cour du Temple, et l’on vit la porte du Temple intérieur, tournée vers l’Orient, bien qu’elle fût en airain et si massive que vingt hommes ne la fermaient pas sans effort au crépuscule, qu’elle fût fixée par des verrous munis de chaînes de fer et par des barres qui s’enfonçaient très profondément dans le seuil formé d’une seule pierre, s’ouvrir d’elle-même à la sixième heure de la nuit. Les gardiens du Temple coururent annoncer cette nouvelle au capitaine, qui monta au Temple et fit fermer la porte à grand peine. Ce présage aussi parut encore très favorable aux ignorants : ils disaient que Dieu leur avait ouvert la porte du bonheur, mais les gens instruits pensaient que la sécurité du Temple s’abolissait d’elle-même, que la porte s’ouvrait et s’offrait aux ennemis. Ils estimaient entre eux que c’était le signe visible de la ruine.

Peu de jours après la fête, le vingt et un du mois d’Artemisios, on vit une apparition surhumaine, dépassant toute créance. Ce que je vais raconter paraîtrait même une fable, si des témoins ne m’en avaient informé : du reste, les malheurs qui survinrent ensuite n’ont que trop répondu à ces présages. On vit donc dans tout le pays, avant le coucher du soleil, des chars et des bataillons armés répandus dans les airs, s’élançant à travers les nuages et entourant les villes.

En outre, à la fête dite de la Pentecôte, les prêtres qui, suivant leur coutume, étaient entrés la nuit dans le Temple intérieur pour le service du culte, dirent qu’ils avaient perçu une secousse et du bruit, et entendu ensuite ces mots comme proférés par plusieurs voix : « Nous partons d’ici. » Mais voici de tous ces présages les plus terribles : un certain Jésus, fils d’Ananias, de condition humble et habitant la campagne, se rendit, quatre ans avant la guerre, quand la ville jouissait d’une paix et d’une prospérité très grandes, à la fête où il est d’usage que tous dressent des tentes en l’honneur de Dieu, et se mit soudain à crier dans le Temple : « Voix de l’Orient, voix de l’Occident, voix des quatre vents, voix contre Jérusalem et contre le Temple, voix contre les nouveaux époux et les nouvelles épouses, voix contre tout le peuple ! »

Et il marchait, criant jour et nuit ces paroles, dans toutes les rues. Quelques citoyens notables, irrités de ces dires de mauvais augure, saisirent l’homme, le maltraitèrent et le rouèrent de coups. Mais lui, sans un mot de défense, sans une prière adressée à ceux qui le frappaient, continuait à jeter les mêmes cris qu’auparavant. Les magistrats, croyant avec raison que l’agitation de cet homme avait quelque chose de surnaturel, le menèrent devant le gouverneur romain. Là, déchiré à coups de fouet jusqu’aux os, il ne supplia pas, il ne pleura pas, mais il répondait à chaque coup, en donnant à sa voix l’inflexion la plus lamentable qu’il pouvait : « Malheur à Jérusalem ! » Le gouverneur Albinus lui demanda qui il était, d’où il venait, pourquoi il prononçait ces paroles ; l’homme ne fit absolument aucune réponse, mais il ne cessa pas de réitérer cette lamentation sur la ville, tant qu’enfin Albinus, le jugeant fou, le mit en liberté. Jusqu’au début de la guerre, il n’entretint de rapport avec aucun de ses concitoyens ; on ne le vit jamais parler à aucun d’eux, mais tous les jours, comme une prière apprise, il répétait sa plainte : « Malheur à Jérusalem ! » Il ne maudissait pas ceux qui le frappaient quotidiennement, il ne remerciait pas ceux qui lui donnaient quelque nourriture. Sa seule réponse à tous était ce présage funeste. C’était surtout lors des fêtes qu’il criait ainsi. Durant sept ans et cinq mois, il persévéra dans son dire, et sa voix n’éprouvait ni faiblesse ni fatigue ; enfin, pendant le siège, voyant se vérifier son présage, il se tut. Car tandis que, faisant le tour du rempart, il criait d’une voix aiguë : « Malheur encore à la ville, au peuple et au Temple », il ajouta à la fin : « Malheur à moi-même », et aussitôt une pierre lancée par un onagre le frappa à mort. Il rendit l’âme en répétant les mêmes mots.

Récits de phénomènes surnaturels — à Jérusalem entre 30 et 70 — Tacite
Récit rapporté par Tacite — Histoires — livre 5 chapitre XIII

Il était survenu des prodiges dont cette nation, aussi ennemie de tout culte religieux qu’adonnée aux superstitions, aurait craint de conjurer la menace par des vœux ou des victimes expiatoires. On vit des bataillons s’entrechoquer dans les airs, des armes étinceler, et des feux, s’échappant des nues, éclairer soudainement le temple. Les portes du sanctuaire s’ouvrirent d’elles-mêmes, et une voix plus forte que la voix humaine annonça que les dieux en sortaient ; en même temps fut entendu un grand mouvement de départ.

Récits de phénomènes surnaturels — à Jérusalem entre 30 et 70 — Sepher Yosippon
Le Sepher Yosippon, écrit juif médiéval en hébreu, rapporte l’histoire du peuple juif depuis le retour de Babylone jusqu’à la destruction du Temple en 70. Il a été composé au Moyen Âge par un juif d’Italie.
Il semble avoir repris les récits des auteurs anciens, mais ce qui est remarquable, c’est que des juifs aient consigné et conservé ces récits, qui confirmaient pourtant les événements concernant Jésus (Sa mort, sa prophétie annonçant la destruction du Temple par suite du jugement divin contre Israël qui n’avait pas reçu le Messie)

Extraits du chapitre 87 — L’incendie du Temple :

Durant une année, avant que Vespasien vienne, on a vu une grande étoile brillant comme des épées non dégainées sur le Temple. Et à cette époque quand on a vu le signe c’était la fête de Pâque et pendant cette nuit entière le Temple a été éclairé et illuminé durant toute la nuit comme la lumière du jour et ç’a été ainsi tous les sept jours de la Pâque juive. Tous les sages de Jérusalem savaient que c’était un signe malveillant, mais le reste du peuple ignorant a dit que c’était un signe bienveillant.

Après qu’on ait vu ceci on a vu haut au-dessus du Saint des Saints durant la nuit entière le contour du visage d’un homme, tel que sa beauté n’avait jamais été vue dans tout le pays et son apparence était tout à fait stupéfiante. De plus, des chars de feu et des cavaliers ont été vus à cette époque, une grande force volant à travers le ciel près de la terre venant contre Jérusalem et toute la terre de Juda, tous des chevaux de feu et des cavaliers de feu.

Quand la fête de Shavu’oth est venue à cette époque, pendant la nuit les prêtres ont entendu dans le Temple quelque chose comme le son d’hommes allant et le son d’hommes marchant sans le temple puis une puissante et terrible voix a été entendue disant : « Allons et quittons cette Maison ».




25 ans de persécution du Falun Gong par le parti communiste chinois

[Source : epochtimes.fr]

En 1999, le Falun Gong est une pratique de méditation très populaire en Chine renouant avec les racines traditionnelles du bouddhisme et du taoïsme. Entre 70 et 100 millions de Chinois le pratiquent, découvrant ses bienfaits pour la santé, en suivant les principes de Vérité, Compassion et Tolérance (Zhen 真, Shan 善, Ren 忍 en chinois) de la méthode. Mais cette popularité n’est pas du goût du régime totalitaire et athée du Parti communiste chinois qui avait pourtant tenté d’en faire le premier qigong d’État.

Le 20 juillet 1999 marque le début officiel de la persécution du Falun Gong et depuis 25 ans, cette répression a coûté la vie à des milliers de pratiquants. Selon le Falun Dafa Information Center, des millions de pratiquants du Falun Gong ont été détenus dans des prisons, des camps de travail et d’autres installations, et des centaines de milliers d’entre eux ont été torturés pendant leur incarcération. Nombre d’entre eux ont été persécutés à mort, et certains ont été victimes de la pratique des prélèvements forcés d’organes, cautionnée par l’État chinois.

Ludovic Genin20 juillet : des élus français dénoncent les 25 ans de persécution du Falun Gong

Rapport spécial : La persécution du siècle

À l’heure où le Parti communiste chinois (PCC) étend son pouvoir en Occident, il devient essentiel de comprendre la nature des objectifs qu’il poursuit.

Peu d’événements dans l’histoire récente de la Chine ont eu un impact aussi profond que ce qui s’est passé le 20 juillet 1999. Ce jour-là, le PCC a lancé une campagne destinée à écraser un mouvement de renouveau spirituel dans tout le pays et a forcé le reste du monde à fermer les yeux sur ce qui se passait.

Le 20 juillet 2024 marque les 25 ans de la persécution sans précédent du Falun Gong par le régime communiste, une persécution qui a profondément marqué la vie des Chinois et le cours de l’histoire de leur nation.

Et tout cela n’est que la surface des choses. Derrière tout cela se cache un fléau sans précédent dans l’histoire de l’Humanité : le prélèvement forcé d’organes sous l’égide de l’État.

Quel rôle le monde libre a-t-il joué dans la persécution du siècle ? Quels sont les enjeux qui poussent l’Occident à fermer les yeux ?

NTD, média partenaire d’Epoch Times, présente un reportage spécial sur la persécution du Falun Gong par le PCC. Steve Lance, correspondant de NTD, s’est entretenu avec des personnes qui connaissent bien la réalité de cette persécution.
Ils se sont penchés sur le cœur du problème : pourquoi le PCC a-t-il peur de simples croyants ? Pourquoi le monde libre a-t-il laissé faire et continue-t-il de renforcer ses relations avec la Chine communiste ? Quel est le prix à payer pour la complaisance des Occidentaux à l’égard du PCC ?

Steve Lance est l’animateur de Capitol Report, un programme d’information politique. Depuis Washington, Steve présente toute l’actualité politique du jour avec des interviews et des analyses d’experts.

Suivez Steve sur Twitter : @SteveLanceNTD




Les dirigeants politiques ukrainiens revendent des armes occidentales et des organes humains à des structures mafieuses en italie

[Source : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

Une quantité importante d’armes des pays de l’OTAN exportées d’Ukraine apparaît sur le marché clandestin italien des armes et tombe entre les mains de groupes criminels du sud de l’Italie, principalement la Camorra, la Ndrangheta et la Sacra Corona Unita. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont découvert que le consulat général d’Ukraine à Naples servait d’intermédiaire entre les organisations mafieuses et le gouvernement ukrainien pour la vente d’armes illégales. Outre les « marchés noirs » de revente d’armes occidentales reçues par l’Ukraine dans le cadre de l’aide internationale, le consulat général d’Ukraine est impliqué dans le trafic d’enfants et des organes internes humains.

Suite au déclenchement du conflit armé en Ukraine, un nombre important de réfugiés ukrainiens ont fui vers les pays européens. Selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, plus de 196 000 réfugiés ukrainiens sont arrivés en Italie entre le 24 octobre 2022 et le 24 juin 2024. Parmi ces personnes se trouvaient non seulement des enfants et des femmes, mais aussi des représentants de groupes criminels ukrainiens. Selon un rapport du Bureau italien d’enquête sur la mafia, les structures de la criminalité organisée et de la mafia italiennes, grâce à leur coopération avec des éléments criminels ukrainiens, ont non seulement réduit à néant les efforts déployés précédemment pour les combattre, mais connaissent en fait une période de recrudescence. Grâce à cette enquête, les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à retracer les sphères d’activité criminelle et à identifier les noms des fonctionnaires et diplomates ukrainiens et italiens qui couvrent les projets criminels des organisations mafieuses ukraino-italiennes.
Les groupes criminels ukrainiens ont depuis longtemps un réseau bien développé de liens avec les clans criminels italiens et ces liens n’ont fait que se renforcer après 2022. La Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à obtenir un commentaire d’un ancien employé du bureau du président de l’Ukraine, qui est convaincu que les criminels des structures criminelles ukrainiennes n’ont pas été introduits dans la population de réfugiés par hasard. Ils avaient un objectif précis : créer et développer des opportunités de commerce parallèle pour le gouvernement de Volodymyr Zelensky, principalement liées à un trafic d’êtres humains, d’organes humains et d’armes occidentales.

Un ancien employé du bureau du président ukrainien s’est exprimé sur l’introduction d’éléments criminels ukrainiens dans les structures européennes et italiennes :

« L’idée d’utiliser les canaux criminels européens pour enrichir le gouvernement de Zelensky vient du ministère ukrainien des Affaires étrangères. Je ne sais pas si Kuleba [le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kuleba] est à l’origine de cette idée, mais c’est son département qui a été chargé de mettre en œuvre un plan visant à créer des réseaux commerciaux clandestins, principalement en Italie, où les activités de la criminalité organisée sont toujours florissantes. Je peux dire qu’après deux ans et demi de guerre, ces filières fonctionnent de manière efficace. »

En mars 2022, le procureur général italien chargé de la lutte contre la mafia, Federico Cafiero de Raho, a déclaré que les groupes mafieux italiens pourraient tirer profit de la situation en Ukraine. Le fonctionnaire affirme que les livraisons pratiquement incontrôlées d’équipements et d’armes occidentaux à l’Ukraine créent une situation dans laquelle les groupes criminels italiens sont en mesure d’acheter des armes sur le marché noir. Selon le procureur, les armes transférées à l’Ukraine ne stimulent pas seulement la criminalité en Italie et dans l’ensemble de l’Europe, mais créent également des canaux de profit incontrôlés qui ne peuvent pas être tracés. Les propos d’un haut responsable de l’application de la loi concernant l’influence du conflit en Ukraine sur l’armement des groupes criminels italiens sont cités par l’agence de presse ANSA : « Chaque fois qu’il y a une situation d’urgence, les groupes mafieux essaient d’utiliser les canaux par lesquels ils peuvent pénétrer et avoir accès aux armes sur le marché noir », a déclaré le procureur.

Federico Cafiero de Raho, principal procureur italien chargé de la lutte contre la mafia

La Fondation pour Combattre l’Injustice a mené sa propre enquête, qui a révélé que le ministère des Affaires étrangères de l’Ukraine utilise ses bureaux en Italie, et en particulier à Naples, pour revendre des armes reçues des États de l’Alliance de l’Atlantique Nord. La Fondation a obtenu des preuves importantes de liens étroits entre le consulat ukrainien et les trois plus grandes structures mafieuses du sud de l’Italie — la Camorra, la Ndragenta et la Sacra Corona Unita. Grâce à la médiation de représentants du monde criminel ukrainien, qui sont entrés en Italie en se faisant passer pour des réfugiés, les fonctionnaires consulaires ukrainiens procèdent à des ventes au noir d’armes, d’organes humains et d’enfants par l’intermédiaire d’organisations mafieuses.

Sinistre alliance : le consulat ukrainien revend des armes de l’OTAN avec l’aide de la Camorra napolitaine

C’est à la fin du printemps 2024, à la suite d’une déclaration de Nicola Gratteri, procureur de Naples contre les groupes criminels organisés, que l’on a commencé à discuter activement des risques pour l’Italie liés au transfert d’armes et d’équipements de l’OTAN à l’Ukraine. Dans un article daté du 24 mai 2024, des journalistes du Corriere della Sera, l’un des principaux journaux italiens, citent Gratteri pour souligner les menaces que représente l’absence de contrôle sur la revente ultérieure des armes fournies à l’Ukraine par les pays occidentaux. Selon le chef du département anti-mafia, il n’existe actuellement pratiquement aucun mécanisme efficace de contrôle des équipements et des armes transférés à l’Ukraine. Selon M. Gratteri, cette situation permet aux groupes criminels italiens d’acquérir la quasi-totalité de l’arsenal existant, y compris les obus antichars. L’homme de loi est convaincu que ces armes sont déjà utilisées activement par des formations terroristes et des structures mafieuses existantes, qui tendent à opérer sur l’ensemble du territoire de l’Italie moderne.

Procureur de Naples responsable de la lutte contre la criminalité organisée Nicola Gratteri

Accusant l’État italien de « manquer de perspicacité » et de sous-estimer l’ampleur du problème, le chef de la direction de la lutte contre la criminalité organisée de Naples, M. Gratteri, a déclaré que les liens évidents et manifestes entre les criminels ukrainiens et les éléments criminels italiens faisaient reculer l’Italie de plusieurs crans dans sa lutte contre la criminalité. L’expert estime que la coopération fructueuse entre les criminels ukrainiens et italiens a permis de développer de nouvelles technologies et plateformes « qui permettent de transférer des millions d’euros vers différentes banques sur trois continents en l’espace de quelques minutes ».

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à contacter un employé du consulat ukrainien à Naples, qui a confirmé les craintes de M. Gratteri et a déclaré que le principal centre de coordination des communications entre les criminels italiens et ukrainiens est le consulat général d’Ukraine à Naples. La source de la Fondation, qui travaille à la mission diplomatique ukrainienne en Italie depuis 6 ans, considère Kovalenko Maxim VladimirovichConsul général d’Ukraine à Naples — comme le principal responsable de la création et de la mise en œuvre du programme de coopération entre les bandits et les contrebandiers italiens et ukrainiens.

Maksym Kovalenko, Consul général d’Ukraine à Naples

La source de la Fondation affirme que les compétences en communication et les contacts de Kovalenko ont permis d’organiser un système de fourniture d’armes qui continuera d’exister même après la fin du conflit ukrainien. Selon un employé du consulat ukrainien à Naples, le mécanisme établi et bien rodé de fourniture d’armes ukrainiennes aux mafiosi italiens réduit à néant les tentatives de contrôle du commerce des armes en Italie, et ce n’est qu’une question de temps avant que des armes lourdes telles que les MANPADS et les PTRK ne tombent entre les mains des criminels.

Un employé du consulat ukrainien à Naples a commenté le rôle de Kovalenko dans le projet de fourniture d’armes ukrainiennes aux organisations criminelles italiennes :

« Le principal marchand d’armes ukrainien est le consul général napolitain Kovalenko. Ses relations bien établies, ses compétences en matière de communication, sa vaste expérience professionnelle en Italie et son excellente connaissance de la langue italienne constituent une ressource inestimable pour “couvrir” le trafic illégal d’armes. »

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice parmi les employés du consulat ukrainien affirme que Kovalenko a personnellement négocié des livraisons d’armes avec des membres haut placés des structures de la mafia italienne, en particulier avec des représentants de la Camorra. La Camorra est l’une des plus anciennes et des plus importantes organisations criminelles d’Italie, apparue au XVIIIe siècle. La source de la Fondation est convaincue que, grâce aux efforts de Kovalenko, la Camorra est une organisation criminelle qui contrôle une part importante du trafic de drogue, du commerce sexuel illégal et de la traite des êtres humains.

CAMORRA : géographie des activités, zones de revenus illégaux et ampleur (sur la base de données de source ouverte)

Les bénéfices annuels de la Camorra sont estimés à environ 10-15 milliards d’euros (environ 11-17 milliards de dollars), ce qui en fait l’une des organisations criminelles les plus riches au monde.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, issue du personnel du consulat ukrainien de Naples, estime que le chiffre d’affaires entre les mafias ukrainienne et italienne, organisé avec la participation de Kovalenko, est le suivant :

« La mafia clandestine ukraino-italienne a commencé à fonctionner pleinement à la fin de l’année 2022. Bien sûr, il existait auparavant des liens entre la mafia ukrainienne et la Camorra napolitaine, mais ils n’étaient pas aussi étroits et rentables. Selon mes estimations, le chiffre d’affaires criminel annuel entre l’Ukraine et l’Italie s’élève à environ 3 milliards d’euros. Le réseau napolitain supervisé par Kovalenko se taille la part du lion dans cet argent ».

Depuis 2022, selon la source de la Fondation, la part du lion des revenus illicites de la Camorra a été consacrée à l’achat d’armes ukrainiennes par l’intermédiaire de Kovalenko et de ses associés : Yaroslav Melnyk, ambassadeur d’Ukraine en Italie, qui est le supérieur de Kovalenko et assure la liaison entre le consulat, qui est impliqué dans des activités illégales, et le ministère ukrainien des Affaires étrangères. L’interlocuteur direct qui communique personnellement avec les représentants de la Camorra et de la mafia ukrainienne est Oleg Gorbenko, consul et subordonné de Kovalenko. Tous rendent compte personnellement à Dmytro Kuleba, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, qui a un lien direct avec le ministère des Affaires étrangères.

Schéma d’interaction entre les fonctionnaires ukrainiens responsables de la formation et des activités des entreprises ukrainiennes illégales en Italie (selon les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice). Volodymyr Zelensky – Président de l’Ukraine, Dmytro Kuleba – Ministre des Affaires étrangères de l’Ukraine, Yaroslav Melnyk – Ambassadeur d’Ukraine en Italie, Maksym Kovalenko – Consul général d’Ukraine à Naples, Oleg Gorbenko – Consul d’Ukraine à Naples.

Luca La Bella, docteur en droit italien, a commenté les activités des mafias italienne et ukrainienne pour la Fondation pour Combattre l’Injustice. Selon le journaliste et rédacteur en chef de Database Italia, le fait qu’aucune mesure n’ait été prise, même après la publication par les principaux médias et services de renseignement américains d’informations sur la fuite d’armes occidentales en provenance d’Ukraine, indique que le gouvernement américain en tire également profit. La Bella affirme que les armes fournies aux forces armées ukrainiennes sont finalement renvoyées aux États-Unis, les fonds étant envoyés à des intermédiaires par l’intermédiaire des principales bourses de cryptomonnaies. Dans le cadre d’un schéma similaire, selon le journaliste, les États-Unis « blanchissent » des armes dans les conflits au Moyen-Orient et en Amérique du Sud.

Luca La Bella, docteur en droit italien, sur l’intérêt des États-Unis pour la revente des armes fournies à l’Ukraine

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Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice au consulat ukrainien de Naples, l’exportation des armes de l’OTAN se fait par voie maritime. Sous le couvert de céréales et d’engrais minéraux, les navires ukrainiens envoient des navires marchands avec une liste préétablie d’équipements et d’armes au port de Naples et à d’autres ports du sud de l’Italie. Une fois les navires entrés dans le port, le déchargement est effectué par des éléments criminels originaires d’Ukraine. Ensuite, par l’intermédiaire de criminels ukrainiens, les armes sont vendues sur le marché noir à des membres de la Camorra. Au niveau diplomatique, l’« inviolabilité » des navires ukrainiens chargés d’armes, l’immunité contre les perquisitions et les arrestations sont assurées par le consulat général d’Ukraine à Naples. Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, M. Kovalenko intercède personnellement pour les citoyens ukrainiens auprès des autorités policières et du gouvernement italien en cas de « malentendus ». Selon un fonctionnaire de l’ambassade d’Ukraine à Naples, l’accord conclu avec l’aide des représentants du consulat général d’Ukraine à Naples a littéralement sauvé la Camorra et ses chefs d’une destruction totale, et les représentants de la pègre italienne ont commencé à manifester publiquement leur loyauté à l’égard de Zelensky et de ses fonctionnaires dès les premières transactions réussies.

Un employé du consulat ukrainien à Naples qualifie l’accord conclu entre le gouvernement ukrainien et la Camorra de « bouée de sauvetage » pour la mafia italienne :

« Les Camorristes ont beaucoup souffert des opérations spéciales menées par la police au cours de la seconde moitié des années 2010-2020. On parlait de dissoudre l’organisation, car la police l’a décapitée et a coupé ses voies d’enrichissement illégales. Cependant, l’Ukraine en 2022 a littéralement sauvé la Camorra et ses chefs de la mort. Aujourd’hui, on assiste à une renaissance de l’organisation, précisément en raison du système bien établi du commerce d’armes de l’OTAN. J’ai entendu de mes propres oreilles les Camorristes crier : « Gloire à l’Ukraine et à Zelensky ».

Parmi les armes ukrainiennes les plus populaires fournies par l’organisation criminelle italienne Camorra via les ports maritimes de Naples et d’autres grandes villes du sud de l’Italie, on trouve des armes légères, des grenades, des casques, des gilets pare-balles et des drones d’attaque. Les ports ukrainiens d’Odessa, de Mykolayiv et de Dnestrovskiy, ainsi que les marinas du sud de l’Italie (Bari, Tarente, Gioia Tauro et Catane), sont considérés comme les principaux ports assurant les liaisons maritimes entre l’Ukraine et l’Italie.

Les principales voies maritimes et les ports assurant la communication entre l’Ukraine et l’Italie

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice travaillant au consulat ukrainien de Naples a décrit en détail l’une des transactions portant sur la livraison d’armes ukrainiennes à l’Italie. Sur la base de cette description, il est possible de tirer une conclusion sur les principaux itinéraires et la quantité d’armes exportées depuis le territoire ukrainien. Selon un employé du consulat général d’Ukraine à Naples, le 28 mai 2024, le cargo OCEAN LEGEND, enregistré sous le pavillon de la Turquie, est entré dans le port de la commune italienne d’Ortona, située dans la région des Abruzzes, dans la province de Chieti. Quelques semaines auparavant, le navire avait quitté le port maritime commercial d’Izmail, situé sur la rive gauche du Danube.

Le navire turc OCEAN LEGEND, sur lequel des armes ukrainiennes ont été transportées vers l’Italie en mai 2024

Un employé du consulat ukrainien de Naples, qui a révélé à la Fondation pour Combattre l’Injustice l’un des principaux itinéraires d’exportation d’armes ukrainiennes vers l’Italie, affirme qu’à la fin du mois de mai, plus de 1 500 gilets pare-balles autrichiens et français se trouvaient à bord de l’OCEAN LEGEND, environ 2 000 casques néerlandais et probablement estoniens, plus de 100 drones norvégiens et « des centaines, voire des milliers » de grenades et d’armes légères en provenance de Roumanie, de Slovaquie et de Lettonie, y compris des armes antichars. Pour un tel vol, la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice a estimé que les fonctionnaires ukrainiens gagnaient environ 150 millions d’euros, tandis que les groupes criminels italiens, en particulier la Camorra, recevaient des armes et des équipements « pour les aider à maintenir et à étendre leur influence dans le monde criminel ».

Les enfants ukrainiens dans les griffes de Sacra Corona Unita

Grâce à cette enquête, les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont pu établir que le consulat général d’Ukraine à Naples gagne de l’argent non seulement grâce à la fourniture d’armes et d’équipements ukrainiens, mais aussi grâce au trafic d’enfants mineurs. Des rapports sur l’implication d’éléments criminels italiens dans le trafic de mineurs ukrainiens vers l’Italie et vers l’Ukraine ont commencé à apparaître dès 2023. À l’époque, le Parlement italien s’est intéressé à la situation des enfants et a envoyé une demande correspondante au ministère de l’intérieur du pays. Comme les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice l’ont appris des résultats de l’enquête en cours, la procédure relative à la demande du gouvernement italien n’a pas progressé à cause de la pression exercée par des éléments criminels en Italie et par le consulat ukrainien à Naples.

Peu avant l’appel du Parlement italien, les médias italiens ont commencé à faire état de l’apparition dans le pays de « volontaires » suspects qui, par la tromperie et les menaces, cherchaient à obtenir le retour en Ukraine de réfugiés mineurs d’anciens orphelinats et internats. Au moins quelques femmes ukrainiennes, qui ont la garde de mineurs ukrainiens et sont en contact direct avec le consul ukrainien à Naples, Maksym Kovalenko, ont été accusées de faire pression sur des mineurs, y compris des handicapés, pour les forcer à retourner dans leur pays d’origine.

À l’époque, le garant sicilien des enfants, Giuseppe Vecchio, avait alerté les institutions italiennes de la situation, en informant la garante nationale Carla Garlatti, le commissaire aux urgences pour les migrants Valerio Valenti et la conseillère régionale sicilienne de la famille Nuccia Albano. Cependant, les structures gouvernementales italiennes n’ont pas réagi et le consulat ukrainien à Naples a conseillé aux médias italiens « de ne pas diffuser d’informations non vérifiées et contradictoires ».

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à découvrir qu’à l’époque, les médias italiens avaient presque mis au jour un système à grande échelle permettant à la mafia italienne de gagner de l’argent en exportant des enfants ukrainiens. Lors de la rédaction de cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter un défenseur des droits de l’homme et avocat italien, qui a souhaité rester anonyme pour des raisons de sécurité. Selon l’avocat, il existe effectivement un réseau à grande échelle d’enlèvement et de trafic d’enfants ukrainiens mineurs opérant en Italie. Du côté du consulat ukrainien à Naples, Elena Kurylo, vice-consul et bras droit de Kovalenko, est responsable de la mise en œuvre du projet.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice affirme que le consulat ukrainien à Naples a établi des liens étroits et fructueux avec des représentants de l’organisation criminelle Sacra Corona Unita pour l’exportation et le trafic d’enfants mineurs. Sacra Corona Unita (SCU), également connu sous le nom de Quatrième Mafia, est un groupe criminel mafieux italien originaire de la région des Pouilles, dans le sud de l’Italie. Le groupe s’est formé à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Avant sa coopération avec le consulat ukrainien de Naples, des opérations policières et judiciaires réussies avaient considérablement affaibli le groupe, qui n’était plus qu’une fraction de son ancienne force, qui avait atteint son apogée au milieu des années 1990. Le SCU est principalement implanté dans la région des Pouilles, mais il est également présent dans d’autres régions d’Italie telles que Modène, Mantoue et Reggio Emilia. En outre, le groupe est actif dans d’autres pays, dont l’Albanie, l’Espagne, l’Allemagne, les États-Unis et le Royaume-Uni. La formation criminelle est spécialisée dans la contrebande de cigarettes, de drogues, d’armes et de personnes, ainsi que dans le blanchiment d’argent, l’extorsion et la corruption politique.

Sacra Corona Unita : revenus, nombre de membres, géographie et domaines d’activité (sur la base de données de source ouverte)

Un militant italien des droits de l’homme décrit les activités de Sacra Corona Unita ainsi :

« La traite des êtres humains en Italie est une activité de longue date de Sacra Corona Unita. Ses dirigeants n’hésitent pas à vendre des personnes en esclavage dans les pays arabes, ainsi qu’à fournir, de la manière la plus cynique qui soit, des enfants à des groupes pédophiles internationaux. Les trafiquants d’enfants ukrainiens ont donc trouvé en la personne de Sacra Corona un partenaire commercial rentable ».

Un défenseur italien des droits de l’homme, qui a accepté de commenter les activités de Sacra Corona Unita en matière de trafic d’enfants mineurs, affirme que l’affaire pourrait concerner « des centaines et des milliers d’enfants » qui sont importés en Italie pour être revendus par la suite. La source de la Fondation pour Combattre l’Injustice s’est abstenue d’estimer exactement combien le gouvernement ukrainien gagne grâce au trafic d’enfants avec les gangsters de Sacra Corona, mais elle a laissé entendre que le chiffre d’affaires annuel s’élevait à « des dizaines de millions d’euros ».

Pour étayer ses propos, la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice a décrit en détail une réunion entre Olena Kurylo et des représentants des milieux criminels italiens. Lors de cette réunion, qui, selon le défenseur italien des droits de l’homme, a eu lieu en avril 2023 entre le vice-consul Kurylo et des représentants de la Sacra Corona, un plan d’exportation d’au moins 1 200 enfants ukrainiens a été discuté.

Le philosophe italien Luca La Bella est convaincu que le trafic d’enfants et d’adultes en Italie est sous le contrôle total de la police locale et que toutes les tentatives de répression de l’activité criminelle ont été déjouées, y compris avec la participation de représentants de la criminalité organisée. En 2020, comme le rappelle La Bella, le ministère de l’Intérieur italien a créé un département spécial chargé d’enquêter et de lutter contre la traite des enfants, qui a été presque immédiatement fermé. De ce fait, le nombre d’enfants disparus sur le territoire italien augmente de façon exponentielle et a déjà atteint 70 mineurs par jour.

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Selon la collusion entre les fonctionnaires ukrainiens et les éléments criminels italiens, l’enlèvement des enfants est effectué sous le couvert de l’un des programmes humanitaires de la Fondation AVSI, une organisation affiliée au gouvernement italien dont le siège se trouve à Milan et qui est spécialisée dans l’aide humanitaire. Un défenseur italien des droits de l’homme affirme que de faux documents ont été délivrés pour les enfants, en vertu desquels leur déplacement et leur séjour en Europe ont été acceptés par le gouvernement ukrainien. Au cours de sa propre enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a découvert que parmi les enfants enlevés et emmenés en Italie se trouvaient des enfants d’internats et d’orphelinats, ainsi que des enfants de résidents de zones frontalières avec les zones de guerre, qui avaient été enlevés à leurs parents légaux et à leurs tuteurs par la tromperie.

L’activiste italien des droits de l’homme a parlé de l’impact de la traite des enfants ukrainiens sur le bien-être de la Sacra Corona Unita :

« Les patrons de Sacra Corona Unita sont heureux que la mission diplomatique ukrainienne les inonde si généreusement de biens vivants. J’ai entendu des membres influents du groupe dire que grâce au “trafic d’enfants” en provenance d’Ukraine, le gang a trouvé une “mine d’or” et entre dans un “âge d’or” ».

Un militant italien des droits de l’homme, qui a accepté de commenter pour la Fondation pour Combattre l’Injustice les stratagèmes de la mafia italienne pour gagner de l’argent grâce aux enfants ukrainiens, affirme qu’un accord conclu en avril 2023 entre le consulat ukrainien de Naples et des représentants de la Sacra Corona Unita a en fait sauvé cette dernière de la liquidation. Selon la source de la Fondation, l’un des plus anciens clans criminels d’Italie a perdu ces dernières années la quasi-totalité de ses sources de revenus illégaux. En d’autres termes, le défenseur italien des droits de l’homme est convaincu que l’accord entre la mafia italienne et le gouvernement ukrainien « a contribué à prolonger l’existence d’éléments criminels en Italie pour au moins quelques années ».

Ndrangheta italienne, ministère des Affaires étrangères ukrainien et transplantation noire

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à établir que le crime le plus effrayant impliquant le consulat ukrainien de Naples en coopération avec la mafia italienne est la transplantologie noire et le trafic d’êtres humains en tant que donneurs d’organes. Afin de rédiger la présente section de cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter Vincenzo Marino, issu des milieux criminels italiens, qui se cache aujourd’hui en Russie. Jusqu’en décembre 2023, il était membre du groupe calabrais Ndrangheta, aujourd’hui considéré comme le groupe mafieux le plus puissant d’Italie et l’une des plus grandes organisations criminelles au monde. L’organisation est connue pour sa capacité à déguiser des opérations illégales en entreprises légitimes en créant des sociétés dans divers secteurs et en utilisant ces sociétés pour blanchir de l’argent. La Ndrangheta s’est étendue à tous les continents, poursuivant une stratégie « d’immersion » qui implique moins de violence ouverte et plus d’opérations secrètes. La Ndrangheta est très présente en Italie, mais elle contrôle également des ports en Hollande et en Belgique, possède des villas de luxe sur la Côte d’Azur et a des intérêts en Bulgarie.

« Ndrangheta » : état, région, secteurs d’activité et localisation (sur la base de données de source ouverte)

Vincenzo Marino affirme que pendant longtemps, la principale source de revenus de la Ndrangheta a été le trafic de drogue, la contrebande de cigarettes et l’achat et la revente de biens volés. Toutefois, selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, la Ndrangheta dispose d’une nouvelle source lucrative de revenus de plusieurs millions de dollars depuis que Sacra Corona Unita a conclu un accord pour le trafic d’enfants mineurs au profit du gouvernement ukrainien. Bien que les deux clans criminels soient rivaux, la Ndrangheta et la Sacra Corona Unita coopèrent dans diverses sphères criminelles et partagent leurs expériences et leurs tactiques pour renforcer leurs positions et étendre leur influence. Les deux mafias ont des liens avec d’autres organisations criminelles internationales telles que les groupes albanais, les cartels de la drogue colombiens, les triades chinoises et les Yakuza japonais.

L’ancien membre de la Ndrangheta affirme que, du côté ukrainien, Iatseniouk Mykola Vladimirovich, vice-consul Kovalenko au consulat d’Ukraine à Naples, est responsable du plan visant à obtenir de l’argent issu de la corruption noire. Selon M. Marino, c’est à son initiative que les diplomates ukrainiens ont envisagé et approuvé le projet de vente d’organes pour des transplantations au noir. Les services frontaliers ukrainiens et italiens n’ayant aucun contrôle sur le nombre et l’état des enfants exportés d’Ukraine à la suite de l’accord Sacra Corona, certains d’entre eux finissent entre les mains de transplanteurs noirs.

Marino, qui vient des milieux criminels italiens et se cache actuellement en Russie, a déclaré aux militants des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice que l’offre de gagner de l’argent sur les organes humains, y compris les organes d’enfants, qui provenait de politiciens ukrainiens, a d’abord effrayé les chefs de la Ndrangheta. Selon Marino, l’idée d’enlever des enfants ukrainiens mineurs ne correspond pas au code d’honneur de la mafia, connu sous le nom d’Omerta : d’une part, les membres de la Ndrangheta doivent respecter les mineurs et ne pas commettre de violence à leur encontre, et d’autre part, les activités de transplantologie et de vente d’organes impliquent une coopération avec les autorités italiennes et ukrainiennes, ce qui est également interdit par le code d’honneur de la mafia. Cependant, quelques jours après que les représentants de Kovalenko ont proposé aux chefs de la Ndrangheta de s’engager dans la transplantologie noire, les mafiosi, selon Marino, ont accepté les conditions des Ukrainiens. Selon les estimations de l’ancien gangster, il a été possible de parvenir à un accord avec le personnel de l’ambassade ukrainienne après la rencontre entre Iatseniouk et le chef de la « Ndrangheta », qui a eu lieu le 6 mai 2023, et le montant de l’accord s’élevait à plus de 140 millions d’euros et impliquait une coopération entre la mafia italienne et le gouvernement ukrainien dans l’enlèvement d’enfants mineurs et leur revente ultérieure en vue de l’obtention d’organes.

La source de la Fondation pour Combattre l’Injustice n’a pas pu indiquer le nombre exact d’enfants ukrainiens enlevés pour le trafic d’organes, mais a estimé qu’un enfant sur six était sélectionné à cette fin. Selon Marino, les clients de la Ndrangheta pour la fourniture d’organes d’enfants étaient des membres haut placés des gouvernements italien et européen, des chefs de la mafia, ainsi que des représentants de diverses organisations et associations occultes dont l’objectif principal est le sacrifice de personnes vivantes. Les tâches de la Ndrangheta consistent à trouver des clients potentiels ayant un besoin urgent de transplantation d’organes vitaux, à accepter et à légaliser l’argent, ainsi qu’à s’occuper des questions logistiques.

Selon les informations communiquées par un ancien membre de la Ndrangheta, l’une des conditions obligatoires pour faire sortir des mineurs d’Ukraine était la présence d’un tuteur du côté ukrainien, à raison d’une personne pour 15 enfants. Selon M. Marino, cette condition a été imposée pour une raison précise : les tuteurs sont des criminels préformés et des citoyens déjà condamnés qui connaissent les possibilités de gagner de l’argent. Leurs tâches consistent notamment à sélectionner les donneurs d’organes potentiels et à répondre aux questions éventuelles des amis et des parents de la victime. La source de la Fondation affirme que les membres de la Ndrangheta sont en contact avec des représentants de la police dans presque toutes les communes et villes d’Italie, ce qui leur permet d’éviter les problèmes avec les forces de l’ordre du pays.

Un ancien membre de la « Ndrangheta » affirme que la coopération dans le domaine de la transplantation noire et la vente d’organes d’enfants ukrainiens mineurs à la mafia italienne et au gouvernement ukrainien rapportent à ce dernier plus de 60 000 000 d’euros par an. Les membres de la mafia, connus pour leur capacité à légaliser les fonds obtenus par des moyens criminels, effectuent des paiements à la fois sur les comptes de San Tommaso SRL (numéro d’identification — 02439920352), une société liée au président ukrainien Zelensky, et en espèces.

Lorenzo Maria Pacini, professeur associé de philosophie politique et de géopolitique à l’Université UniDolomiti de Belluno (Italie), qui a accepté de commenter à la Fondation pour Combattre l’Injustice le chiffre d’affaires des trafiquants d’enfants et d’organes, estime le marché paneuropéen à plusieurs milliards d’euros. Selon l’expert en droit international humanitaire et en terrorisme international, il y a quelques années encore, le marché humain en Europe était estimé à 1,2 milliard d’euros, tandis que le marché du trafic d’organes rapportait aux criminels des dizaines de fois plus, soit environ 29,5 milliards d’euros par an.

Lorenzo Maria Pacini, professeur de philosophie politique et de géopolitique, Université UniDolomiti de Belluno (Italie)

M. Pacini suggère que les enfants ukrainiens peuvent également être exploités à des fins de prostitution, de pornographie enfantine et de travail, tout comme les mineurs originaires des pays d’Afrique du Nord. Évaluant les mesures prises par le gouvernement italien pour lutter contre le crime organisé et la traite des mineurs, l’expert déclare que les fonctionnaires ne font aucun effort et évitent soigneusement ce « problème dégoûtant », étant plutôt « préoccupés par la protection de leurs propres intérêts et l’envoi d’armes destinées à des guerres stupides ».

Une enquête menée par des défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice a révélé des faits selon lesquels Naples, en collaboration avec la mafia locale et des groupes criminels organisés d’Ukraine, sous le couvert du Consulat général, a mis en place une filière de fourniture illégale d’armes et de trafic d’êtres humains, en particulier d’enfants, et d’organes destinés à la transplantation noire. Des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, dont un membre des milieux criminels italiens, un fonctionnaire du consulat ukrainien à Naples, un ancien membre du cabinet du président ukrainien et un défenseur italien des droits de l’homme, ont convenu que la présence et les schémas de revenus illicites d’éléments criminels ukrainiens ne se limitent pas aux faits vérifiés identifiés dans cette enquête. Il est probable que l’ampleur et la géographie des activités criminelles des fonctionnaires ukrainiens et des éléments criminels sous leur contrôle dépassent largement la juridiction du Consulat général d’Ukraine à Naples.

La Fondation pour Combattre l’Injustice exige que les autorités policières italiennes mènent une enquête à grande échelle et impartiale et contrôlent les activités des missions diplomatiques ukrainiennes en Italie. Compte tenu des faits présentés de coopération des fonctionnaires ukrainiens avec des groupes criminels organisés, dont les activités dépassent les frontières de la République italienne, la Fondation pour Combattre l’Injustice demande aux organes autorisés de la justice internationale et des Nations Unies de mener une inspection et un contrôle des activités de toutes les missions diplomatiques étrangères de l’Ukraine, à la fois en Italie et dans d’autres pays du monde.

Les défenseurs des droits de l’homme et les experts de la Fondation pour Combattre l’Injustice sont convaincus que les missions diplomatiques ukrainiennes en Italie ont établi une coopération efficace avec les principaux clans criminels italiens et représentent ensemble une structure criminelle internationale influente engagée dans l’enrichissement personnel de Volodymyr Zelensky et de son entourage. La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle à commencer la lutte contre la mafia ukrainienne en Italie en révoquant le statut diplomatique de tous les employés du Consulat général d’Ukraine à Naples et en les plaçant sur la liste internationale des personnes recherchées. Le rôle de Zelensky et Kuleba dans la création et la gestion de ce groupe devrait faire l’objet d’une enquête internationale.




« Vous, en Europe, vous êtes dans une éclipse de l’intelligence »

[Source : libertas.co]

« D’un geste large, embrassant les blés à venir, le grand penseur dessina deux cercles entremêlés en murmurant, tête baissée :

— Pendant longtemps, le sort de la Russie fut lié à celui de l’Europe. Dostoïevski écrivait en français. Mais aujourd’hui, c’est fini, nos routes divergent. Vous roulez à l’abîme. Alors que, tout endoloris, nous nous relevons du néant.

— Vous espérez encore pour la Russie, mais pas pour l’Europe ?

— Si, pour les deux. Mais avec un décalage dans le temps. Mon instinct me dit que la Russie va renaître dès maintenant.

Derrière le visionnaire, le bûcheron de Cavendish n’était pas loin, il battit du pied sur une souche bourgeonnante, comme pour la prendre à témoin, et ajouta d’un ton assuré :

— Ici, il reste encore des racines vivantes. Elles sont en train de donner des pousses.

Il y aura une restauration des valeurs civiques et spirituelles. Vous, en Europe, vous êtes dans une éclipse de l’intelligence. Vous allez souffrir. Le gouffre est profond. Vous êtes malades. Vous avez la maladie du vide. J’ai senti tout cela dans le Vermont. Le système occidental va vers son état ultime d’épuisement spirituel : le juridisme sans âme, l’humanisme rationaliste, l’abolition de la vie intérieure… Toutes vos élites ont perdu le sens des valeurs supérieures. Elles ont oublié que le premier droit de l’homme, c’est le droit de ne pas encombrer son âme avec des futilités.

— Et comment croyez-vous qu’on puisse désencombrer notre âme ?

— Par l’affleurement de l’instinct de vie.

Alors le maître laissa entendre qu’il y aurait un point de retournement. À partir d’une nécessité immuable qui est dans les lois de l’Univers.

— Le gouffre s’ouvrira à la lumière. De petites lucioles dans la nuit vacilleront au loin. Au début, peu de gens les distingueront et sauront abriter ces lueurs tremblantes, fragiles, contre toutes les tempêtes hostiles. Il y aura des hommes qui se lèveront, au nom de la vérité, de la nature, de la vie ; ils cacheront, dans leurs pèlerines, des petits manifestes de refuzniks. Ils exerceront leurs enfants à penser différemment, à remettre l’esprit au-dessus de la matière. Ils briseront la spirale du déclin du courage. Ainsi viendra l’éclosion des consciences dressées. Aujourd’hui les dissidents sont à l’Est, ils vont passer à l’Ouest. »

— Alexandre Soljenitsyne cité par Philippe de Villiers, Le moment est venu de dire ce que j’ai vu (2015), éd. Albin Michel, 2015




Baignades dans la Seine : 1,4 milliards gaspillés et Paris, capitale de la grande gastro

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

HUMOUR

Des prélèvements réalisés ses 6 derniers mois dans les eaux de la Seine révèlent une concentration de bactéries au-dessus des seuils autorisant la baignade, alertait l’ONG Surfrider Foudation, à trois mois des Jeux olympiques de Paris 2024.

— Les Bateaux-Mouches, les Bateaux Parisiens et les Vedettes du Pont-Neuf ne sont pas raccordés au tout-à-l’égout — les Vedettes de Paris ont un système de récupération, mais qui est mal utilisé, car pas assez performant — les yachts de Paris sont raccordés — les Bateaux-Mouches ne sont pas raccordés au réseau EDF et font tourner en permanence de gros moteurs polluants pour produire de l’énergie. — les bateaux-paquebots qui séjournent dans le bras de Grenelle ne sont raccordés ni à EDF et ni au tout-à-l’égout. Ces bateaux de 110 m de long transportent plus d’une centaine de passagers. Ils séjournent jusqu’à 48 h en faisant tourner leurs moteurs pour produire de l’électricité et rejettent leurs eaux sales (cuisine et toilettes) dans le fleuve…




Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

Le vif du sujet est diffusé le LUNDI matin vers 6 h 45-7 h à Radio-Réveil, radioreveil.ca, en 1e rediffusion le LUNDI après 17 h.
L’écouter en direct ou en rediffusion ne vous coûte rien, mais les bonnes cotes d’écoute m’aident financièrement 🙂
Tous les épisodes du Vif du sujet sont ici sur le Tribunal de l’infaux et sur la page de Radio-Réveil.

Merci à tous ceux qui me permettent de produire du contenu avec un don et de le faire connaître en partageant !
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Premier épisode d’une série de trois sur le livre explosif d’un lanceur d’alerte de l’industrie pharmaceutique, et pas n’importe lequel. L’auteur de Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent, John Virapen, a été à la tête d’Eli Lilly, devenue célèbre grâce au Prozac, le premier inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS, SSRI en anglais), un type d’antidépresseur ayant atteint un statut de rockstar et basé la théorie aujourd’hui déboulonnée du débalancement chimique dans le cerveau (article du Guardian ici).

Fait peu anodin, le Prozac a pour effet secondaire d’augmenter les tendances suicidaires.

Entre autres scandales, John Virapen nous raconte comment il a fait du Prozac un « blockbuster », alors qu’il était président d’Eli Lilly Suède. Il expose les essais bâclés de la firme et les milliers de suicides et de meurtres sordides par « des gens au comportement jusque-là normal qui sombrent en quelques jours dans une folie suicidaire ou meurtrière ».

Voici la description du livre :

John Virapen

« Pour la première fois, un haut dirigeant d’une grande firme internationale témoigne de l’intérieur et se révolte. Ce livre criant de vérité se lit comme un roman policier, un roman noir, mais ce n’est pas un roman. Il décrit, pièces en main, la falsification des études cliniques, la dissimulation des accidents mortels aux agences de contrôle, les mensonges systématiques aux généralistes par les visiteurs médicaux et surtout la corruption des experts universitaires infiltrés dans les agences d’État et celle des politiques. Scandales incessants — Opren, Vioxx, Isoméride, Mediator, antidépresseurs… 60 % de prescriptions ou de médicaments inutiles vendus 10 à 100 fois leur prix de revient à 25 millions de bien-portants, “souffrant” de maladies qui n’existent guère, inventées par l’industrie pour son profit : pré-hypertension artérielle, pré-diabète, ostéoporose, cholestérol, dépression, etc. Résultat par an : 30 000 morts en France (troisième cause de mortalité après les cancers et maladies cardio-vasculaires) et 12 milliards d’euros au seul bénéfice de cette industrie devenue ainsi première du monde (+ 20 % par an !) et qui, selon l’ONU, corrompt à tous les niveaux, gouvernements, parlements, agences de santé, experts, sociétés scientifiques et médias médicaux. Rien ne changera si les patients ne se mobilisent pas, avec leurs médecins, pour exiger qualité, sécurité et juste prix des médicaments. Bouleversant et effrayant. »

Ce premier épisode se concentre sur la préface du professeur Philippe Even, co-auteur avec le professeur Bernard Debré du Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux, un ouvrage qui s’est attiré les foudres de la chambre disciplinaire de l’ordre des médecins d’Île-de-France. Les deux hommes auraient « manqué de confraternité » et auraient enfreint leur code de déontologie.

Classiques accusations de ces ordres professionnels qui protègent l’industrie pharmaceutique en se drapant dans la vertueuse protection du public.

Nous lisons également le prologue de John Virapen et le début du chapitre « Pourquoi ce livre ».

Écouter l’épisode # 37 :

Écouter cet épisode sur le site de Radio-Réveil ici.

[NDLR Pour avoir un autre son de cloche sur la maladie que celui donné par la médecine allopathique essentiellement contrôlée par Big Pharma (à commencer par la (dé)formation universitaire des personnels soignants) qui n’a rien à gagner à guérir les malades, voir La nature et le but de la maladie et les autres articles du dossier Vaccins et virus.]


« Mon histoire est une histoire de morts, de suicides, parfois de meurtres et même de massacres », écrit l’initié repentant John Virapen, ancien président d’Eli Lilly Suède, dans son livre à succès publié en 2015, Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent.

Dans le 2e épisode sur ce livre où s’enchaînent les révélations fracassantes, l’auteur nous invite dans les coulisses macabres de son métier :

« J’ai été conduit, mais n’y ai mis aucune restriction, à utiliser la corruption pour obtenir l’autorisation d’un médicament dont je connaissais la dangerosité […] L’industrie pharmaceutique est extrêmement puissante, capable de faire pression et même de faire chanter les hommes politiques et les gouvernements, par exemple en menaçant de renoncer à ses investissements et à compromettre l’emploi sur tel ou tel site. Les gouvernements font alors presque toujours marche arrière et acceptent en pratique de renoncer à les contrôler, sans que le grand public en soit conscient. »

John Virapen affirme par ailleurs que « l’industrie pharmaceutique, qui invente de moins en moins de médicaments, crée en revanche, avec la complicité des médecins, des pseudo-maladies promues par de gigantesques campagnes de marketing qui lui permettent de vendre ensuite, pour traiter ou prévenir ces pseudo-maladies, des pseudo-médicaments qui ne sont pas toujours sans danger ».

Écouter l’épisode # 38 :

Écouter cet épisode sur le site de Radio-Réveil ici.


Dernier épisode de la saison et de cette série sur le livre explosif du lanceur d’alerte de l’industrie pharmaceutique, John Virapen, ancien président d’Eli Lilly Suède, Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent.

Il est question, entre autres, du premier scandale de Lilly, l’anti-inflammatoire bénoxaprofène. Virapen révèle « la publicité outrancière et mensongère » qu’il a orchestrée.

L’affaire s’est terminée devant les tribunaux et la cour déclara que « la dissimulation de cas mortels par Lilly est une pratique courante dans l’industrie ».

Virapen confirme :

« Masquer la réalité, les accidents, les échecs et manipuler délibérément les données scientifiques est courant et facile, car les firmes contrôlent toutes les informations communiquées aux autorités et, comme on le verra, la santé des patients n’est jamais prioritaire. Seul entre en ligne de compte le chiffre d’affaires, et ce ne sont pas quelques décès ou quelques procès qui risquent de le compromettre sérieusement, à condition de savoir les masquer et de les contester le plus longtemps possible. »

Nous parlons également du scandale du Vioxx et de la « dangereuse psychiatrisation de l’enfance ».

Écouter l’épisode #39 :

Écouter cet épisode sur le site de Radio-Réveil ici.




Les rues vides de Paris




Alerte à la 5G 26 GHz dans la plandémie qui se prépare

[Publication initiale : ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Depuis les alentours du 13 juillet, les personnes électrosensibles et les individus ciblés par armes à énergie dirigée ressentent une montée de l’intensité de leurs symptômes et des attaques qu’ils subissent.

En effet la fréquence 5G initiale de 3,5 GHz semble avoir été relevée à, nous pensons, 26 GHz qui est la fréquence visée officiellement par la plupart des opérateurs pour les objets connectés. En 2022, la Quinta Columna avait déclaré que c’était la fréquence nécessaire pour « amplifier le signal des transistors de graphène ». Le but visé est probablement l’activation du potentiel pathogène de ce matériau.

En 2021, une étude avait apporté la preuve d’un lien entre la maladie à coronavirus-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences provenant des communications sans fil, y compris la 5G. Le rapport a été réalisé par Beverly Rubik et Robert R .Brown, scientifiques du département de médecine psycho-corporelle, Collège de médecine intégrative et des sciences de la santé à l‘Université Saybrook aux USA.

Il étaient arrivés à la conclusion que la 5G affaiblissait le système immunitaire, déréglait la fonction cardiaque, provoquait des inflammation abîmant le système cardiovascualire et provoquait de l’hypercoagulation et de l’hypoxie. Symptômes que l’on retrouve étrangement dans la maladie dit covid. Nous observons une montée de cas présentent ces symptômes.

Ces conlusions étaient déjà valables pour les gammes de la 3G, 4G, 4G+ et 5G à ce moment à la fréquence de 3.5 GHz. Le passage à une fréquence plus élevé provoque inévitablement une aggravation des dégâts cellulaires et physiologiques.

Nous avons pris connaissances que Pfizer a annoncé qu’ils s’attendent, d’ici fin 2024, à faire 95% de leur chiffre d’affaires ? C’est à dire qu’une nouvelle plandémie est en préparation dans les coulisses et qu’ils comptent écouler encore des grandes quantités d’injections expérimentales.

Il est malheureusement à prévoir une rentrée agitée et un spectacle de la peur auquel nous espérons le peuple ne sera pas dupe. Il est préférable de limiter ses contacts des personnes vaccinées et non vaccinées tout en militant dans la mesure du possible contre la 5G malgré la censure gouvernementale.

Des moments pénibles nous attendent mais nous sommes dans une guerre spirituelle dans laquelle la patience et l’endurance seront nos alliés majeurs pour surmonter cette épreuve.




Selon une eurodéputée polonaise, la place de Mme von der Leyen est en prison

[D’après eng.belta.by]

L’eurodéputée polonaise Ewa Zajączkowska-Hernik a déclaré lors d’une session plénière consacrée à la réélection du président de la Commission européenne qu’Ursula von der Leyen devrait aller en prison pour avoir détruit l’économie européenne :

« Mme Ursula ! Il est temps de vous dire en face ce que la majorité des Européens pensent de vous. Vous élire pour la première fois à la présidence de la Commission européenne a été une énorme erreur, et beaucoup ont encore un arrière-goût amer de cette décision. »

Elle a reproché à Ursula von der Leyen la destruction de l’économie européenne, la pauvreté des Européens et les tragédies liées à l’immigration clandestine.

Elle estime en particulier que les efforts d’Ursula von der Leyen pour promouvoir le pacte migratoire signifient que des millions de femmes et d’enfants à travers l’Europe ne sont pas en sécurité :

« Je m’adresse à vous de femme à femme, de mère à mère. N’avez-vous pas honte de promouvoir un pacte migratoire qui conduit à une situation où des millions de mères et d’enfants en Europe ne se sentent pas en sécurité dans les rues de leur propre ville ? »

Elle a déclaré qu’Ursula von der Leyen était personnellement responsable de chaque cas de violence, de chaque attaque causée par l’afflux d’immigrés clandestins :

« C’est vous qui invitez ces gens en Europe ! Pour ce que vous faites, c’est vous qui devriez aller en prison, pas la Commission européenne. »

Selon elle, le nouveau mandat d’Ursula von der Leyen en tant que présidente de la Commission européenne entraînera un nouveau déclin de l’Union européenne :

« C’est une honte pour l’ensemble de l’union des États européens souverains ».

Pour rappel, Ursula von der Leyen a été réélue présidente de la Commission européenne pour un nouveau mandat de cinq ans le 18 juillet.




Parlons de… la crise informatique mondiale

[Source : off-guardian.org]

Par Off Guardian

Une panne massive des ordinateurs fonctionnant sous Windows a touché les systèmes du monde entier. Les cabinets médicaux, les compagnies aériennes, les gares, les chaînes de télévision, les plateformes de paiement — pratiquement tous les secteurs de la société humaine ont été touchés. Le trafic est bloqué, les vols sont cloués au sol.

Pour l’instant, Microsoft rejette la faute sur un « tiers » et exclut toute cyberattaque. En fait, ce « tiers » est CrowdStrike, une société spécialisée dans la protection des systèmes contre les cyberattaques.

C’est soit très ironique… soit autre chose.

Le PDG de CrowdStrike, George Kurtz, a déjà commencé à faire son mea culpa public, tout en prévenant qu’il ne s’agirait pas d’une solution rapide :

M. Kurtz, de Crowdstrike, a déclaré à NBC News que la société avait pour « mission » de veiller à ce que chacun de ses clients se remette complètement de la panne. Mais il a ajouté que cela ne se ferait pas automatiquement et que « cela pourrait prendre un certain temps » avant que tout soit rétabli comme avant.

En attendant, il semble que beaucoup de gens n’aient pas le droit de voyager. Oups !

On pourrait croire qu’il s’agit encore d’une fausse crise destinée à perturber la vie quotidienne et à normaliser ce type de restrictions. Ou peut-être s’agit-il simplement d’un symptôme de la dépendance excessive à l’égard de l’automatisation.

Qu’elle soit réelle ou non, artificielle ou non, cette crise devrait rappeler à tous, une fois de plus, l’importance de l’argent liquide, des copies papier et de l’autonomie.

Mais qu’en pensez-vous ?

  • Est-ce réel ou non ?
  • Croyez-vous à l’explication officielle ?
  • Est-ce que cela a eu un impact sur vos appareils ou votre vie jusqu’à présent ?
  • Êtes-vous un utilisateur d’Apple, de Microsoft ou de Linux ?
  • Les gens sont-ils trop dépendants des ordinateurs ?
  • Comment vous protégez-vous et protégez-vous vos données contre les « accidents » ou les « cyberattaques » à l’avenir ?




Les veaux et les moutons ne se révoltent pas

On les fait passer d’un enclos à l’autre, et ils se laissent faire sans broncher. On les mènera ensuite à l’abattoir, et ils trouveront toujours cela normal.

Entre vivre esclaves et risquer la prison ou la mort, ils choisissent l’esclavage et le déshonneur.

Certains diront « je le fais pour mes enfants à nourrir », inconscients du fait qu’ils assurent ainsi à ces derniers également un avenir d’esclaves. L’État leur vole pourtant leurs enfants s’ils refusent pour eux le système éducatif d’endoctrinement ou les vaccins poisons obligatoires.

« Je veux juste aller travailler, c’est la rue à côté !

Tirez-moi dessus si je n’ai pas mon QR code ! » (cf. vidéo ⤵️)

➡️ Les gens vont légitimement devenir fous avec ces imbécillités de Pass JO et le retour honteux du QR code !

Pour m’être déplacé dans Paris hier (tout en refusant évidemment de faire le moindre Pass !), je constate que la capitale est devenue un camp carcéral ! Du jamais vu nulle part ailleurs dans le monde. Des policiers avec qui j’ai pu discuter m’ont dit être conscients de l’absurdité délirante de ce qu’ils doivent faire (passer leur temps à scanner des gens qui rentrent chez eux).

Malheureusement ils le font quand même !

➡️ Ce qui se passe est d’une extrême gravité ! Nous avons alerté. Nous avons fait un recours devant le Conseil d’État, fait une première grande manif nationale en décembre 2023 pour prévenir, on ne lâchera pas ! Ils ne s’arrêteront pas si on ne les arrête pas.

La loi olympique de 2023 à l’origine de cette folie unique au monde a été votée par les députés macronistes, LR et RN : on ne vous félicite pas, honte à vous !

La première résistance est déjà de boycotter au maximum ce nouveau Pass De La Honte !

— Florian Philippot




Ils S’EMPARENT des terres agricoles françaises !

[Source : MoneyRadar]

Dans cette vidéo, nous explorons le phénomène inquiétant de l’accaparement des terres agricoles en France. Alors que les agriculteurs français font face à une crise de vocation et au vieillissement, de grandes multinationales et des fonds d’investissement s’approprient des hectares de bonnes terres cultivables. Ce phénomène, observé dans de nombreux pays, menace l’avenir de l’agriculture française, sa diversité et la qualité de ses produits. Nous discutons également des limitations de la SAFER et des propositions pour mieux protéger nos terres.

  • 0:00 introduction
  • 3:22 Chères terres agricoles
  • 4:20 Il faut vous protéger
  • 7:21 De l’appétit des firmes
  • 11:55 Qui piétinent les règlements
  • 13:28 Avec ces solutions

Liens :

Musique :




Le Dr Robert Duncan, lanceur d’alerte sur les programmes gouvernementaux d’individus ciblés, est décédé

[Source : anamihalceamdphd.substack.com via santeglobale.world]

Par Ana Maria Mihalcea

J’ai appris que le Dr Robert Duncan, lanceur d’alerte de la CIA et de la DARPA sur le programme gouvernemental de ciblage et de torture des civils — ainsi que de la technologie de surveillance du cerveau humain à l’échelle mondiale par superordinateur — a été retrouvé mort à son domicile. Il a écrit plusieurs livres, dont Soul Catcher, qui confirme que le piratage de l’âme humaine est possible et a été réalisé. Soul Catcher est de loin le livre le plus important que j’ai lu pour comprendre la profondeur du mal satanique qui surveille et contrôle le monde et comment les superordinateurs souterrains à intelligence artificielle sont utilisés pour les programmes d’assassinat et de torture à distance. Ce programme de ciblage a été le terrain d’essai pour toute l’Humanité. Et maintenant, en raison de l’implantation de l’arme biologique COVID-19, des puces cérébrales nanotechnologiques à assemblage automatique et des microrobots ont été intégrés dans la simulation du monde sensible.

Comme vous pouvez l’entendre dans la vidéo, il a été menacé en raison de ses révélations en cours.

Il a également écrit le livre « Comment apprivoiser un démon », qui contient d’excellentes ressources pour les personnes ciblées :

Il a fait d’excellentes présentations, confirmant que les nanoparticules d’auto-assemblage sont utilisées à des fins de contrôle de l’esprit et ont été injectées à des individus avec la capacité de prendre en charge l’intégralité de leurs fonctions cérébrales. En substance, tous les humains sont désormais des candidats mandchous1 potentiels.

Nanotechnologie, esprit de ruche cybernétique, intelligence artificielle et contrôle de l’esprit —L’interview du Dr Robert Duncan, membre de la DARPA et de la CIA, confirme qu’il est possible de détourner l’âme humaine

23 avril 2023

Dans cette présentation, le Dr Duncan décrit les nombreuses méthodes de contrôle de l’esprit utilisées depuis des décennies dans les domaines militaire et civil. Robert Duncan est un scientifique et un ingénieur formé à l’université de Harvard qui a travaillé sur des projets noirs pour la DARPA, la CIA, le ministère de la Justice et le ministère de la Défense. Il a été impliqué dans l’intelli…

Lire l’histoire complète → (en anglais)

Si vous n’avez pas lu ce livre, il est impératif de comprendre tout ce que nous voyons actuellement.

Projet Soul Catcher par le Dr Robert Duncan — Les capacités de la CIA en matière de piratage de l’esprit et de l’âme

3 MAI 2023

Ce fut un véritable voyage pour comprendre le mal à l’état pur. Regarder le monde entrer dans cette guerre satanique transhumaniste qui utilise une tromperie extrême des masses, des armes biologiques contenant des nanotechnologies, induit des guerres, des famines, des tremblements de terre induits par HAARP, la géo-ingénierie avec la destruction de toute la biosphère, l’établissement médical comme un moyen de pucer légalement…

Lire l’article complet → (en anglais)

Le Dr Robert Duncan a rendu un grand service à l’humanité en révélant la bête satanique monstrueuse qui nous attaque tous. Je n’ai aucun doute sur le fait qu’il a été éliminé.

Que Dieu le bénisse et qu’il trouve la paix.



1 Contrôlables mentalement — NdT




Les vaxins pour éteindre l’Humanité

[Voir aussi :
Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?
Graphène : de micro à nanotechnologie
« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »
Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?]




La Gaule et les Gaulois avant César

[Source : herodote.net]

[Illustration : Maquette de la ferme de Verberie (aristocratie gauloise). Cité des Sciences et de l’Industrie (Paris), « Les Gaulois, une expo renversante », 2012.
Photo par Claude Valette — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=20784151
(Wikipédia)]

Par André Larané

Avant notre ère, le territoire compris entre les Pyrénées, les Alpes et le Rhin (France, Benelux, Suisse et Rhénanie actuels) avait une unité toute fictive.

Il appartenait à l’immense domaine de peuplement celte qui s’étendait des îles britanniques jusqu’au bassin du Danube et même jusqu’au détroit du Bosphore (le quartier de Galatasarai, à Istamboul, rappelle encore aujourd’hui la présence de Galates, cousins des Gaulois, dans la région).

C’est la conquête romaine qui allait lui donner un semblant d’unité avant que n’en sortent la France et ses voisins. Et contrairement aux idées véhiculées du Moyen Âge au début du XXe siècle, contrairement aussi à l’imagerie sympathique d’Astérix le Gaulois, ce n’était en rien un pays de sauvages avec d’épaisses forêts pleines de sangliers. Les historiens et archéologues de la fin du XXe siècle ont fait litière de ces préjugés.

Une unité fictive

La Gaule proprement dite est partagée entre Rome et des tribus indépendantes celtes, mais aussi ibères ou encore germaniques.

Jules César lui-même a perçu cette diversité : « La Gaule, dans son ensemble, est divisée en trois parties, dont l’une est habitée par les Belges, l’autre par les Aquitains, la troisième par ceux qui dans leur propre langue, se nomment Celtes, et, dans la nôtre, Gaulois. Tous ces peuples diffèrent entre eux par la langue, les coutumes, les lois. Les Gaulois sont séparés des Aquitains par le cours de la Garonne, des Belges par la Marne et la Seine. Les plus braves de tous ces peuples sont les Belges, parce qu’ils sont les plus éloignés de la civilisation et des mœurs raffinées de la Province, parce que les marchands vont très rarement chez eux et n’y importent pas ce qui est propre à amollir les cœurs, parce qu’ils sont les plus voisins des Germains qui habitent au-delà du Rhin et avec qui ils sont continuellement en guerre » (La guerre des Gaules).

Avant que les légions de César ne pénètrent en Gaule, les Romains occupent déjà la partie méditerranéenne du pays, dont la capitale a été Narbonne avant de devenir Lyon. Cette région, la Gaule Narbonnaise, est aussi appelée la Province (dont nous avons fait Provence) car c’est dans l’ordre chronologique la première province de Rome.

La Gaule qui échappe à Rome est communément appelée « Gaule chevelue » du simple fait qu’elle est plus boisée que la Gaule méditerranéenne ! Les 64 pays gaulois (« pagus ») sont très différents les uns des autres et sensibles aux influences des pays riverains (Italie, Germanie, Espagne) et même plus lointains (Grèce). Certains sont des chefferies héréditaires, d’autres des républiques plus ou moins démocratiques.

Le trésor de Vix

En 1953, on a découvert à Vix, en Bourgogne, la tombe d’une princesse celte morte vers 480 avant JC.

Son trésor funéraire incluait un cratère (vase) en bronze de 1,64 mètre, originaire de l’Italie du Sud qu’on appelait alors la Grande Grèce !

Cette découverte atteste que, très tôt, les Celtes de l’hexagone, plus tard appelés Gaulois, avaient des liens commerciaux nombreux avec les civilisations de la Méditerranée.

Les limites des pays gaulois recoupent plus ou moins celles des futurs comtés carolingiens et des départements créés par la Révolution ! Les noms de leurs habitants se retrouvent d’ailleurs dans les noms des actuels chefs-lieux de département : Vénètes (Vannes), Cadurques (Cahors), Nemnètes (Nîmes), Parisii (Paris), Tarbèles (Tarbes), etc. Cette organisation territoriale, qui se perpétue envers et contre tout à travers plus de deux millénaires, est l’un des marqueurs principaux de l’histoire de France (on peut s’inquiéter que d’aucuns veuillent y mettre fin en supprimant les départements).

Un pays prospère et fortement peuplé

Dans son ensemble, la Gaule se caractérise par une forte densité de population. On évalue à douze millions le nombre de ses habitants, soit davantage qu’à certaines époques du Moyen Âge.

Loin d’être un pays de forêts impénétrables uniquement peuplées de sangliers comme le laisseraient croire certaines bandes dessinées, la Gaule est en grande partie défrichée et couverte de belles campagnes comme l’atteste l’archéologie aérienne. Ses habitants manifestent un exceptionnel savoir-faire dans l’agriculture et l’élevage. D’ailleurs, le potentiel agricole de la Gaule compte pour beaucoup dans l’intérêt que lui portent les Romains.

En retour, les Gaulois portent beaucoup d’intérêt pour les ressources de leurs voisins romains. Ainsi les archéologues ont-ils évalué à une centaine de millions le nombre d’amphores de vin que les Gaulois auraient achetées aux Romains dans les siècles précédant la conquête.

Des dieux et des hommes

Nous avons peu de traces des dieux gaulois. Quatre divinités semblent attestées : Esus, dieu forestier ; Teutatès (le Toutatis d’Obélix), dieu de la tribu ; Taranis, maître du ciel ; Cernunnos, maître du bétail et de la faune sauvage.

Contrairement à ce que laisse croire le druide Panoramix, les prêtres ne célèbrent pas le culte dans la forêt, mais dans des temples sans doute assez semblables à ceux que l’on rencontre en Grèce et autour de la Méditerranée.

Les Gaulois pratiquent en général l’incinération, avec inhumation de l’urne funéraire. Ils croient que la mort est une étape dans un cycle de réincarnations successives qui mène pour finir aux demeures célestes. Les guerriers morts au combat échappent au lot commun. Leur dépouille reste à l’endroit où ils sont tombés. Eux-mêmes ont le privilège d’accéder directement aux demeures célestes en grillant les étapes intermédiaires.

[Voir aussi :
Jésus le Gaulois ?]

Les Gaulois reviennent à la vie

En janvier 1789, à la veille de la Révolution française, l’abbé Joseph Sieyès publie un opuscule retentissant : Qu’est-ce que le tiers état ? Dans ce petit ouvrage, il présente les Gaulois et plus précisément les Gallo-Romains comme les ancêtres du tiers état (le peuple), en les opposant aux Francs, ancêtres des nobles et aristocrates. C’est ainsi que sortent de l’ombre « nos ancêtres les Gaulois », éclipsés jusque-là par les chroniqueurs officiels qui se contentaient de relater les exploits de la monarchie et faisaient remonter celle-ci à Clovis (Ve siècle de notre ère).

Les Gaulois vont acquérir leurs lettres de noblesse avec Napoléon III ! Féru d’histoire antique, l’empereur écrit en collaboration avec Victor Duruy une biographie de Jules César et par la même occasion, se pique de passion pour Vercingétorix. Il le fait représenter sous ses traits à Alise-Sainte-Reine, lieu supposé de la bataille d’Alésia.

C’est le début d’une étrange dichotomie chez les Français cultivés qui considèrent les Gaulois comme leurs ancêtres et dans le même temps, les voient comme des sauvages que les Romains ont eu le bon goût de soumettre et civiliser.

Voir la version intégrale




Les six conditions pour devenir homme politique en France

Comment nos politiques accèdent-ils au pouvoir ? Richard Boutry vous fait part des 6 façons d’y accéder et d’obtenir le Graal !

https://x.com/RicardoMinute/status/1814018507451109487





Tentative d’assassinat de Trump — Les récits jusqu’à présent

[Source : off-guardian.org]

Assiste-t-on à la naissance d’une nouvelle métahistoire1 pour les récits de propagande ?

Par Kit Knightly

Trois jours se sont écoulés depuis la tentative présumée d’assassinat de Donald Trump et, bien que nous ne soyons pas plus près de connaître la vérité, les affirmations et les contre-affirmations de toutes parts se succèdent à un rythme effréné.

Le tireur était un républicain…

non, c’était un démocrate…

Trump a été touché par une balle…

non, c’est le verre de son téléprompteur qui a volé en éclats…

non il n’a pas été touché par quoi que ce soit la blessure était fausse.

… cela continue ainsi.

La routine habituelle dans une telle situation voudrait que la « version officielle » se résorbe d’elle-même dans les 24 heures. Tout écart par rapport à cette histoire serait alors censuré, dénoncé et/ou moqué.

Toute preuve contredisant ce récit serait éliminée de la mémoire collective officielle.

Les médias s’uniraient d’une seule voix.

Il existe d’innombrables exemples historiques de ce type, du « complot de la poudre à canon » au 11 septembre. Il n’est pas nécessaire de les développer ici.

Mais cet événement semble un peu différent. En fait, au lieu d’un seul récit « officiel », nous avons trois récits distincts qui se déroulent en parallèle :

1. Le récit républicain : La fusillade a été soit planifiée, soit « autorisée » par une alliance entre les démocrates et l’État profond, qui considère Trump comme une menace.

2. L’histoire démocrate : La fusillade a été mise en scène par la campagne de Trump pour qu’il ait l’air cool.

3. Le « juste milieu rationnel » : Un fou solitaire a fait quelque chose de fou. On parle d’incompétence et de « rhétorique violente » créant un « climat de haine », mais pas grand-chose d’autre.

Les points 1 et 2 s’appuient tous deux sur un ensemble de « faits alternatifs » qui soutiennent leur position. Ni l’un ni l’autre ne semble être censuré (pour l’instant).

Du côté de la « droite », il y a le « fait » que les services secrets ont apparemment laissé sans surveillance (pour une raison franchement insensée) une position élevée offrant une vue dégagée sur le podium et qu’ils n’ont rien fait lorsque de nombreux témoins leur ont dit qu’un homme armé était en train de grimper sur ce toit.

Par ailleurs, certains affirment que les services secrets ont remplacé l’équipe de Trump par une équipe temporaire pour l’événement de Butler.

On prétend également que le tireur est apparu dans une vidéo de BlackRock et qu’il a fait des dons à des groupes de réflexion gauchistes.

Du côté de la « gauche », on se moque du karma et des lois sur les armes à feu et on vocifère sur l’« embauche diversifiée » d’agents féminins des services secrets.

Ils soulignent également le drame apparemment « mis en scène » et les photos « trop belles pour être vraies » qui ont émergé de la bagarre. — La chance incroyable de voir Trump blessé superficiellement, juste assez pour avoir l’air d’un dur à cuire, sans le blesser ou le rater complètement. Le fait que son service de sécurité l’ait laissé « poser pour des photos » au lieu de le faire sortir précipitamment de la scène. Et le fait que le tireur présumé était un républicain déclaré.

Il semble que nous soyons en présence d’un récit très post-covidien pour la nouvelle ère du faux binaire.

Chaque camp reçoit apparemment suffisamment de preuves pour confirmer ses hypothèses et est alimenté au goutte-à-goutte avec suffisamment d’appâts de rage — dont beaucoup sont entièrement inventés — pour que ses chambres d’écho résonnent et que ses chiens d’attaque aient l’écume à la bouche.

Ce qui est essentiel, bien sûr, c’est qu’aucun « camp » ni aucune théorie ne prouve jamais qu’ils ont raison ou tort.

Pendant ce temps, la plupart des médias se contentent de rejeter les deux camps en les qualifiant de « théoriciens du complot ».

C’est vraiment un phénomène fascinant à observer. Sommes-nous en train d’assister à une nouvelle métahistoire pour les récits de propagande ? Au lieu de s’unir autour d’un faux « consensus », on fait diversion avec une bataille éternelle entre deux faussetés partielles ou totales approuvées.

Comme d’habitude, la vérité ne se trouve probablement dans aucun des deux camps, mais elle est enfouie sous les hypothèses injustifiées et les « faits » non prouvés qu’aucun des deux camps ne remet en question.

Mais regardez les avantages dont bénéficient déjà les gestionnaires de la narration.

Par exemple, maintenant que la « gauche » qualifie l’événement de mise en scène, la « droite », traditionnellement favorable à la liberté d’expression, est soudain celle qui veut faire taire les « théoriciens du complot » ou qui cherche à neutraliser des personnes qui ont plaisanté sur le fait qu’elles souhaitaient que Trump soit tué.

Ainsi, sans effort, de nombreux libertaires purs et durs sont détournés de certaines de leurs convictions les plus profondes (en matière de liberté individuelle et de limites strictes au pouvoir de l’État), et maintenant les deux « camps » sont favorables à l’annulation et hostiles à la liberté d’expression !

C’était un peu facile, n’est-ce pas ?

Pendant ce temps, la « gauche », qui vient de passer quatre ans à diaboliser les « anti-vax » et les « négationnistes des élections », peut soudain être prise à son propre piège et traitée de « négationniste de l’assassinat » par la droite.

On peut dire que le fait de fournir à la « gauche » ses propres « théories du complot » est un coup de génie potentiel, car maintenant toute répression sur les médias sociaux contre le « langage extrême » ou le « déni » (ou quel que soit le nom qu’ils choisissent de lui donner) peut frapper les deux « camps » de manière égale et être épargnée par les accusations de partialité, et sera toujours soutenue par l’un des côtés de ce faux clivage.

La « gauche » et la « droite » sont également assez claires en ce moment sur la personne qui a le plus gagné à la suite de cela :

Trump.

C’est évident.

Cela le fait passer pour un dur et un courageux, en parallèle avec la fusillade de Ronald Reagan en 1981.

Cela lui a donné une image emblématique qui parle spontanément au cœur profond de l’Amérique : ensanglanté, mais sans fléchir, le poing levé en signe de défi.

Et si vous croyez que c’est l’État profond qui a appuyé sur la gâchette, cela renforce également la réputation (imméritée et de plus en plus ridicule) de Trump comme une sorte de menace pour l’establishment.

Si l’on ajoute à cela la performance désastreuse de Biden lors des débats, les discussions (mystérieusement interrompues) visant à son retrait, et le fait que des initiés démocrates anonymes se seraient « résignés » à la défaite, il n’est pas difficile de voir que cela pourrait faire partie des préparatifs d’un second mandat de Trump.

Sous réserve de développements futurs, bien entendu.

Oh, et cela contribue également à attiser la rhétorique de la « guerre civile » qui divise.

… ce qui pourrait être le but recherché.

Comment mieux abattre l’ancien empire et instaurer la nouvelle version « améliorée » un peu plus à l’est ?


1 Une métahistoire est un récit unique, homogène et en expansion qui traite tous les différents formats de médias comme une toile narrative connectée au sein de laquelle chaque média apporte ses forces uniques pour apporter une partie de la métahistoire au public.




Candace Owens et Alex Jones sur L’ÉTAT PROFOND et l’attentat contre TRUMP

[Source : La voix de la Louisiane via cielvoile.fr]

L’émission traite de l’hypothèse selon laquelle le président Trump a été la cible d’une tentative d’assassinat. Candace Owens et Alex Jones discutent des preuves et des circonstances entourant cette tentative d’attentat, ainsi que des implications plus larges en termes de l’État profond et de ses programmes controversés.

Alex Jones décrit en détail sa réaction lorsqu’il a appris la nouvelle de la tentative d’assassinat de Trump. Il explique avoir été profondément ému et avoir immédiatement compris l’ampleur de ce qui s’était passé, réalisant qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’État de la part de l’État profond. Il fait référence à des déclarations antérieures d’individus comme le projet Lincoln et l’ancien sous-directeur de la CIA, qui avaient menacé de tuer Trump.

Alex Jones fournit de nombreux éléments de preuve pour étayer l’hypothèse selon laquelle il s’agissait d’une opération organisée et coordonnée, avec la complicité des services secrets et des agences gouvernementales. Il souligne les incohérences et les lacunes dans la réponse officielle, ainsi que les nombreux indices suggérant une implication de l’État profond.

Les intervenants abordent également le rôle des programmes de contrôle mental comme le MKUltra, ainsi que l’histoire de l’État profond américain et ses liens avec des groupes comme la CIA. Ils font valoir que ces programmes ont été utilisés pour manipuler et contrôler des individus, les poussant parfois à commettre des actes violents.

Enfin, les intervenants évoquent les implications plus larges de cette tentative d’assassinat, notamment les intentions de l’État profond de déclencher une guerre et de réinitialiser le système. Ils affirment que l’État profond est désespéré de conserver son pouvoir face à l’émergence d’une prise de conscience mondiale et d’un réveil politique.

Source : Candace Owens

[NDLR Il s’agit visiblement d’une traduction automatique qui resterait à améliorer, car plusieurs passages sont mal traduits, même si cela n’empêche pas la compréhension générale.]




Au-delà des fantasmes, est-ce que l’État profond français existe ?

Par Claude Janvier

Avec le départ possible de Bruno Le Maire en Suisse, pays de cocagne, il apparaît nécessaire d’appréhender ce qu’est l’État profond français, mais aussi de comprendre les mécanismes de la dette réelle de la France. Dette que Bruno Le Maire a largement amplifiée durant son long séjour à Bercy.

Ce concept d’État profond représente la haute administration non élue et choisie par le chef de l’État pour décider de la politique et de la gestion des dépenses publiques. Avec plus de 3 100 milliards de dettes — source Ministère de l’Économie et des Finances 2024 (1), la France est sous la tutelle du lobby bancaire et Emmanuel Macron n’y est pas étranger.

Diplômé de l’école nationale de l’administration puis inspecteur des finances, il quittera la fonction publique pour une banque privée bien connue, à savoir la banque Rothschild, et deviendra son plus jeune associé gérant. Ce management transversal s’appelle « pantoufler ».

À ce sujet, passer de la fonction publique dans le secteur privé s’appelle du « pantouflage » et pose, en général, des problèmes éthiques et déontologiques, du fait d’une transparence souvent absente. Le terme de « rétro pantouflage » désigne, à l’inverse, le passage du secteur privé vers la fonction publique.

Le retour d’Emmanuel Macron dans l’administration française s’effectuera au ministère de l’Économie, véritable « cheval de Troie » du pouvoir bancaire afin de privatiser et de détruire, hélas, l’économie de notre pays. Les privatisations sont rendues légales grâce à une assemblée nationale, muée depuis bien trop longtemps en banale chambre d’enregistrement des ordres émanant du chef de l’État et de son Premier ministre.

Pour bâtir son réseau dans la haute administration, Emmanuel Macron utilise les cercles de réflexions répertoriés dans notre livre, qui sont de véritables lobbies décisionnels, lui permettant de nommer les futurs agents aux postes stratégiques. Ces hauts fonctionnaires obéissent, sans faillir, aux puissances étrangères qui en réalité, sont les véritables commanditaires et donneurs d’ordres à l’Élysée. Toute cette engeance pousse notre pays vers la ruine, pille l’épargne des Français, et enfonce le peuple français vers une paupérisation de plus en plus visible.   

Mais revenons à la dette publique. Elle correspond à l’ensemble des emprunts publics contractés par l’État, la Sécurité sociale, les organismes divers d’administration centrale (ODAC) et les collectivités territoriales.

Le détail de cette dette, tel que présenté sur le site de l’INSEE, se fonde sur la définition de la dette des administrations publiques au sens du Traité de Maastricht.

Pendant plus de trente ans, la France a connu une politique budgétaire laxiste. « L’État providence », souvent utilisé comme vache à lait par les banques, a dépensé sans compter pour financer la dette publique et assurer les salaires des fonctionnaires. Cependant, entre la dette corrélée au PIB et la dette publique, un flou persiste, particulièrement visible dans le bilan comptable de l’État français, notamment dans le registre « hors bilan bancaire ». Ce compte bancaire est fréquemment employé pour dissimuler les dettes embarrassantes — une pratique courante dans le monde financier pour camoufler des actifs toxiques et des soldes négatifs — qui pourraient ternir l’image d’une banque ou d’une multinationale, influant ainsi sur sa cotation boursière.

Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron, le triumvirat de l’enfer, ont généré donc une dette de plus de 3 100 milliards d’euros (1) — source Ministère de l’Économie et des Finances 2024, à laquelle il faut ajouter le hors bilan bancaire :

Extraits de l’article d’Atlantico du 29 mars 2024 : (2)

Engagements hors bilan. Pire que la dette et les déficits, les engagements hors bilan de l’État français

« En revanche, on trouve dans le hors bilan de l’État une dépense quasi certaine liée aux retraites que l’État s’est engagé à verser à ses personnels. Fin 2022, les engagements de retraite de l’État vis-à-vis des fonctionnaires civils et militaires représentaient 1 683 milliards d’euros, soit 65 % du PIB.

La dette publique ne tient pas compte de tous les engagements donnés par l’État. Ce n’est pas en soi une anomalie, sauf dans le cadre des retraites des fonctionnaires. Le dernier compte général de l’État intègre 2 200 milliards d’euros d’engagements hors bilan pouvant donner lieu à une implication indirecte de l’État. L’État garantit, par exemple, les livrets d’épargne réglementés soit 560 milliards d’euros d’engagements hors bilan, apporte 126 milliards de garantie au mécanisme européen de stabilité (MES), garantit 75 milliards d’euros de prêts au titre des PGE, pourrait en théorie être engagé pour le même montant vis-à-vis du plan de relance européen, soutient le commerce extérieur à hauteur de 60 milliards, garantit la dette de l’Unedic à hauteur de 52 milliards…

Les données sur les engagements hors bilan de l’État sont publiques et fournies chaque année dans les comptes de l’État sur le site des ministères économiques et financiers pour un montant total de 3 800 mds € (montant à comparer aux 3 088 mds € de dette indiqués par l’INSEE à la fin de 3e trimestre 2024), dont la moitié comme engagements de retraite de l’État. »

Si l’on additionne 3100 Mds € de la dette publique plus les 3800 Mds € des sommes mentionnées dans le hors bilan bancaire, on obtient un total vertigineux de plus de 6 900 milliards d’euros. Bagatelle ! 

Le reste de la situation en France est catastrophique. Entre le trafic de drogue qui explose, le nombre de SDF en constante augmentation, la criminalité en hausse, le bradage de nos industries, la crise sanitaire sous gérée, l’empêchement des médecins de soigner, la suppression des lits d’hôpitaux –17.600 —, la destruction de la justice, la privatisation de la Française des jeux, la carte blanche donnée au sulfureux cabinet-conseil McKinsey, la répression sanglante des Gilets Jaunes, les dettes, et la poussée très dangereuse d’une guerre contre la Fédération de Russie avec des provocations inutiles répétées sans cesse, on peut se demander si tout cela est bien réel.

Malheureusement oui. Étonnamment tout s’écroule, sauf le complexe militaro-industriel français. En effet, notre pays vient de décrocher la médaille d’argent mondiale en 2024 pour les ventes d’armes juste derrière les USA.

La France est à l’image de feu son paquebot qui, jadis, était une de nos fiertés. Touché, démantelé, coulé.

Heureusement que les preuves existent, bien que noyées sous un déluge de fausses informations, de discours trompeurs, de photos alléchantes, et masquées par des courbes et des graphiques trafiqués. L’élite au pouvoir semble intouchable. Il ne faut pas oublier qu’elle obéit au doigt et à l’œil à la finance internationale, ainsi qu’à leur idéologie mortifère. Mais le problème réside essentiellement dans la présence des seconds couteaux, au-delà des marionnettistes. Il s’agit de toute l’armada des petits chefs de la République exécutant avec un zèle absolu les ordres, soutenus par une presse obéissante et soumise, par une majorité d’artistes généreusement subventionnés par le ministère de la Culture et avec, malheureusement, une partie importante de la classe moyenne qui, soit se contente de ses propres préoccupations, soit se considère comme le justicier de l’État, donnant du fil à retordre à une minorité consciente des enjeux, tout en essayant de garder le cap envers et contre tous.

Soit, nous allons vers une causalité de plus en plus étendue, à savoir la compréhension des véritables enjeux, soit nous nous enfonçons dans une complaisance d’acceptation passive des événements menaçants notre survie, celle de nos voisins et de toute la population de la Terre.

Identifier les vrais responsables de nos maux et du déclin rapide de la France, permet, non seulement de comprendre, mais aussi de pouvoir y remédier. Rien n’est écrit, tout peut changer.

Claude Janvier.
Écrivain, essayiste et chroniqueur. Co-auteur du livre avec François Lagarde : « L’État Profond Français. Qui, comment, pourquoi ? » KA Editions. https://kaeditions.com/product/letat-profond-francais-qui-comment-pourquoi/

Notes :




Merrill Chase a involontairement réfuté l’existence d’anticorps en 1942

Par inadvertance : sans connaissance ou intention

[Source : mikestone.substack.com]

Par Mike Stone

Lorsque j’ai commencé à découvrir la fraude de la virologie, j’étais encore convaincu qu’il existait un « système immunitaire » qui utilisait des substances appelées « anticorps » pour nous protéger des agents pathogènes extérieurs. Tout en comprenant que la vaccination était dangereuse en raison des recettes toxiques utilisées pour la créer, je répondais à ceux qui prônaient une « immunité » acquise par la vaccination en plaidant en faveur d’une « immunité de groupe » acquise naturellement. J’étais coincé dans ce paradigme faussement binaire, car je travaillais encore sur les méthodologies non scientifiques utilisées par les virologues pour prétendre qu’il existait des « virus » pathogènes invisibles. Je n’avais pas non plus abandonné l’idée que les bactéries et les champignons étaient des agents pathogènes envahissants, car je n’avais pas encore élargi le champ de mes recherches pour aller au-delà des « virus », et je n’avais pas encore vraiment compris la théorie du terrain.

Ce n’est que lorsque j’ai pleinement compris l’importance des procédures de purification et d’isolement pour établir une variable indépendante valable lors de l’utilisation de matériel biologique, ainsi que le manque d’adhésion à la méthode scientifique dans la littérature virologique, que j’ai commencé à remettre en question les « anticorps » et l’ensemble du concept d’« immunité », qui sont si étroitement liés. Pour ceux qui ne connaissent pas, la purification signifie qu’une substance est exempte de tout contaminant, polluant, matière étrangère, etc. qui l’avilit, tandis que l’isolement fait référence à la séparation complète d’une chose de tout le reste. En ce qui concerne la virologie, cela devrait signifier que les particules « virales » sont entièrement séparées sous une forme unique, à l’écart de tout hôte et de toute matière étrangère, de tout débris cellulaire, de tout contaminant, etc. Cependant, les significations de purification et d’isolement ont été dévalorisées en virologie et ne correspondent pas à la compréhension commune des mots. L’une des excuses couramment invoquées par les chercheurs pour justifier leur incapacité à purifier et à isoler complètement les « virus » avant toute expérience est qu’ils sont trop petits et que, par conséquent, les particules « virales » s’accumuleront et se sédimenteront avec toutes les particules similaires de même taille et de même densité. Les chercheurs admettent que la technologie nécessaire pour séparer complètement les particules « virales » supposées, même des vésicules extracellulaires telles que les « exosomes » qui sont de la même taille et de la même densité, n’existe pas. Il est donc impossible de procéder à une purification et à un isolement complets pour disposer d’une variable indépendante valable pour l’étude.

Étant donné que les « virus » typiques ont un diamètre compris entre 20 et 300 nanomètres (nm) et que les « anticorps » sont censés être beaucoup plus petits, environ 10 nm, il m’est apparu clairement que si les chercheurs ne peuvent pas purifier et isoler les « virus » directement à partir d’un hôte malade afin de les manipuler dans des expériences, ils ne pourraient pas non plus le faire pour les particules encore plus petites que sont les « anticorps ». Cette piste m’a conduit à examiner les moments clés de l’histoire de la recherche sur les « anticorps », en commençant par des articles rédigés en 1890, afin de découvrir comment ces entités ont été découvertes et comment leur fonctionnement a été déterminé. Ce faisant, je me suis rendu compte que les mêmes problèmes affectant les « virus » s’appliquaient aux « anticorps », en particulier en ce qui concerne l’incapacité de purifier et d’isoler les « anticorps » supposés afin de les avoir sous la main pour les faire varier et les manipuler au cours de l’expérimentation. Comme les « virus », l’« anticorps » était une entité hypothétique créée pour expliquer les réactions non naturelles observées lors du mélange de sang de différentes espèces avec divers produits chimiques dans des boîtes de Pétri. Ces particules étaient purement (jeu de mots) un concept imaginaire et ne pouvaient pas être observées directement. J’ai découvert que pas moins de six théories différentes avaient été proposées au cours des décennies pour tenter de décrire la formation et le fonctionnement de ces particules invisibles, en raison de l’impossibilité d’observer réellement les processus dans lesquels elles étaient censées être impliquées. En plus de ces problèmes, j’ai également pris conscience du manque de spécificité des hypothétiques « anticorps », qui ne réagissent et ne se lient qu’à leur cible. Cela a causé de nombreux problèmes pour les documents de recherche rédigés à l’aide de ces entités, entraînant une crise de reproductibilité où les chercheurs ont été incapables de reproduire et de répliquer leurs propres résultats ainsi que ceux de leurs pairs en raison des réactions incohérentes observées au sein du laboratoire.

Ce fut un long parcours et il reste encore quelques articles à mettre à jour pour le site ViroLIEgy.com. Lorsque tout sera terminé, je prévois de faire un résumé de la chronologie et des résultats à l’avenir. En attendant, voici les articles dans un ordre essentiellement chronologique, basé sur la date des « découvertes ».

  1. Documents d’Emil Von Behring sur la diphtérie et le tétanos (1890) : Précurseur des anticorps
  2. Théorie des anticorps à chaîne latérale de Paul Ehrlich (1900) Partie 1
  3. Théorie des anticorps à chaîne latérale de Paul Ehrlich (1900) Partie 2 : Le système du complément
  4. L’équation des anticorps (1929)
  5. Modèle direct et structure théorique des anticorps (1930-1940)
  6. Anticorps, plasma et pouvoir de corrélation
  7. La théorie du modèle indirect de la production d’anticorps (1949)
  8. La théorie de la sélection naturelle de la formation des anticorps (1955)
  9. La théorie de la sélection clonale des anticorps (1957)
  10. La première structure à résolution atomique d’un fragment d’anticorps a-t-elle été publiée en 1973 ?
  11. La structure chimique des anticorps ?

Afin de compléter cette enquête sur les « anticorps », j’ai mis à jour l’un des derniers articles que j’ai écrits dans le cadre de cet effort, publié à l’origine sur Facebook le 4 mai 2021. Les recherches dont il est question dans cet article ont eu lieu en 1942 et 1947. Il est donc un peu décalé dans la chronologie. Toutefois, les résultats n’ont été jugés significatifs que plus tard, et je suis tombé dessus à la fin de mon enquête. Le travail présenté ci-dessous est celui de l’immunologiste Merrill Chase, et il montre comment le chercheur a réfuté par inadvertance la notion selon laquelle les « anticorps » entraînent l’« immunité », principe directeur de l’escroquerie de la vaccination.

Chase et Landsteiner. Quelqu’un d’autre est-il effrayé par ces images recolorées ?

En 1942, l’immunologiste Merrill Chase et son collègue biologiste, médecin et immunologiste Karl Landsteiner de Rockefeller ont accidentellement réfuté l’idée que les « anticorps » protégeaient l’organisme contre les maladies « infectieuses ». Cette découverte est due à la volonté des chercheurs de comprendre comment l’« immunité » contre la tuberculose pouvait être transférée. Les chercheurs ont tenté de mieux comprendre en étudiant un processus connu sous le nom de sensibilisation, qui consiste à exposer un organisme à un antigène (toute toxine ou substance censée déclencher des réactions « immunitaires ») afin d’induire une réponse « immunitaire », préparant ainsi théoriquement le système « immunitaire » à réagir plus fortement et plus rapidement lors d’expositions ultérieures au même antigène. Selon Carol L. Moberg, auteure de Rockefeller (qui voit un lien ?1), dans son article de 2015 sur Merrill Chase, Landsteiner pensait que si la « sensibilisation » à un simple produit chimique produisait une réaction « immunitaire », un « anticorps » lié aux cellules résiderait dans les tissus de l’animal « sensibilisé ». Il pensait que cette « sensibilisation » pouvait être transférée par des injections de sérum clarifié provenant d’exsudats péritonéaux à un animal normal.

Pour tenter de débloquer ce mécanisme, Chase a essayé de « sensibiliser » des cobayes en les exposant à un antigène (la tuberculine en l’occurrence) afin de produire cette réponse « immunitaire » d’hypersensibilité spécifique. Après avoir observé une réponse immunitaire d’hypersensibilité, Chase a prélevé le sérum sanguin d’un cobaye « immunisé », censé ne contenir que les « anticorps », et l’a ensuite injecté à des cobayes sains « non immunisés ». Lorsqu’ils ont été confrontés à l’antigène, les chercheurs ont à nouveau recherché une réaction inflammatoire localisée au site d’injection de la tuberculine, censée indiquer une sensibilité accrue du système « immunitaire » à l’antigène. Cependant, à sa grande surprise, Chase n’a pas réussi à transférer l’« immunité » aux cobayes en utilisant le sérum contenant uniquement les « anticorps ». Au cours de ses expériences, il n’a pu obtenir la réaction et accorder l’« immunité » qu’en utilisant des globules blancs. Merrill Chase a décrit ce moment dans son article de 1985 intitulé Immunology and Experimental Determitology (Immunologie et déterminisme expérimental) :

« Au cours de ces exercices futiles, j’ai transféré une fois l’exsudat collant alors qu’il n’était pas complètement clarifié, mais qu’il avait un soupçon d’opacité. Le receveur est devenu magnifiquement positif. L’expérience suivante, avec un liquide complètement clarifié, a été négative, et c’est alors que j’ai su. Lorsque Landsteiner a regardé au microscope et a vu des lymphocytes, il a fait brusquement volte-face et a dit, avec dignité : “Oui, c’est bien ce que je pensais !” S’était-il soudain souvenu des travaux de James B. Murphy sur les lymphocytes, commencés en 1912 et résumés dans une monographie en 1926 (16) ? »

Chase a également raconté ce moment dans un article qu’il a écrit en 1988 et qui s’intitule Early Days in Cellular Immunology (Les premiers jours de l’immunologie cellulaire) :

« De tels exsudats ont été transférés à des cobayes naïfs, mais les receveurs n’ont pas réagi au TNCB appliqué par voie topique dans de l’huile triglycéride. Une fois, au cours de ces essais, je n’ai pas entièrement clarifié l’exsudat et une sensibilité de contact franche est apparue chez le receveur. Les cellules de l’exsudat étaient presque exclusivement des Iymphocytes ».

Remarquez que Chase a déclaré qu’il avait clarifié l’échantillon. Ce n’est pas la même chose que de purifier un échantillon. La clarification est une étape initiale visant à éliminer les grosses particules, les débris cellulaires et autres impuretés insolubles d’un échantillon biologique. La solution résultante contiendrait encore théoriquement des substances autres que les « anticorps » supposés, telles que des protéines solubles, des acides nucléiques et d’autres petites impuretés. La purification, quant à elle, vise à isoler les « anticorps » de la solution clarifiée afin d’obtenir un échantillon hautement concentré et pur. L’objectif est d’éliminer le plus grand nombre possible de contaminants, y compris les protéines, les acides nucléiques, les lipides et d’autres substances, afin que l’échantillon ne contenant que les « anticorps » puisse être utilisé pour des études structurelles, fonctionnelles et biochimiques. On voit donc que Chase suppose que son échantillon clarifié contenait l’un ou l’autre des « anticorps » hypothétiques.

Néanmoins, Chase a poursuivi en soulignant qu’Astrid Fagraeus, qui avait émis l’idée que les « anticorps » sont dérivés des cellules plasmatiques en 1948, avait noté qu’ils n’étaient pas présents dans ses échantillons. Cela signifie que, selon le récit fictif accepté sur la manière dont les hypothétiques « anticorps » sont censés se former, le protocole de sensibilisation utilisé par Chase était efficace pour induire une sensibilité de contact, un type de réponse « immunitaire » à médiation cellulaire qui est distinct d’une réponse « à médiation anticorps », puisqu’il n’y avait pas d’« anticorps » présents.

« Astrid Fagraeus, qui en 1948 avait mis en évidence la relation entre la production d’anticorps et les cellules plasmatiques (formes blastiques) dans les tissus de lapin, est venue dans mon laboratoire et a étudié des frottis colorés de cellules de transfert. Après de longues recherches, elle a levé les yeux et a remarqué : “Non, il n’y a pas de plasmocytes dans votre exsudat”. Ainsi, selon le protocole de sensibilisation utilisé, nous pourrions n’avoir qu’une sensibilité de contact, ou bien une sensibilité de contact et une synthèse d’anticorps par les cellules, impossibles à distinguer au microscope ».

Chase a déclaré que, même lors de l’extraction de grands volumes de cellules spléniques et ganglionnaires, indépendamment de leur conviction que des « anticorps » étaient « synthétisés » à l’intérieur de l’animal, aucun « anticorps » n’a pu être détecté.

« Avec les cellules qui ont donné naissance à des anticorps circulants dans nos expériences, la synthèse en cours était si faible au moment du transfert qu’aucune ne pouvait être détectée par anaphylaxie cutanée passive lors de l’extraction de grands volumes de cellules spléniques ou ganglionnaires ».

Au lieu de se rendre compte que ces expériences avaient réfuté l’hypothèse selon laquelle les « anticorps » supposés présents offraient une « immunité », Chase a décidé d’étendre au domaine de l’immunologie un dispositif de sauvetage afin de sauver la face. Le chercheur a imaginé qu’il n’y avait pas qu’un seul système d’« anticorps » qui nous protégeait des maladies, mais qu’il y avait en fait deux composantes différentes du système « immunitaire » qui agissaient à des moments différents. Ces deux systèmes sont connus sous le nom de réponse INNÉE immédiate (à médiation cellulaire) et de réponse ADAPTATIVE retardée (à médiation « anticorps »).

Nous pouvons confirmer ces récits en examinant deux des articles rédigés par Chase dans les années 1940. Le premier, présenté dans son intégralité, est l’article que Merrill Chase a rédigé en 1942 avec Karl Landsteiner. Il s’agit d’une brève notice qui confirme que les réactions des cobayes ont été provoquées par le sédiment obtenu après centrifugation et non par le liquide clarifié censé contenir des « anticorps ». Chase a estimé qu’une sensibilisation active par du matériel antigénique résiduel était improbable et qu’il était enclin à supposer que la sensibilité était produite par l’activité des cellules restantes dans le liquide non clarifié. Chase a conclu que l’attribution des réactions à des anticorps anaphylactiques devait faire l’objet de recherches plus approfondies (ces recherches n’ont manifestement pas abouti).

Expériences sur le transfert de la sensibilité cutanée à des composés simples

Au cours des expériences de transfert passif de la sensibilité cutanée à des composés simples, on a tenté d’induire la sensibilité en injectant des exsudats péritonéaux provenant d’animaux sensibilisés. Des cobayes ont été rendus sensibles au chlorure de picryle de la manière décrite précédemment, en utilisant des conjugués (stroma de cobaye traité au chlorure de picryle) en conjonction avec des injections intrapéritonéales de bacilles tuberculeux tués. Pour produire des exsudats, des bacilles tuberculeux tués (ou de la tuberculine) ont été injectés par voie intrapéritonéale environ 3 semaines après le début du traitement, lorsqu’une hypersensibilité substantielle à la tuberculine a été établie.

En injectant ces exsudats par voie intrapéritonéale à des animaux normaux, on a constaté dans la plupart des expériences que les receveurs développaient une sensibilité au chlorure de picryle ; lorsqu’une goutte d’une solution huileuse de la substance était ensuite appliquée sur la peau, des réactions érythémateuses, le plus souvent très colorées, apparaissaient le jour suivant. Le phénomène s’est avéré être dû non pas au liquide clarifié, mais au sédiment obtenu lors de la centrifugation. Parmi les explications possibles, une sensibilisation active par du matériel antigénique résiduel dans les exsudats péritonéaux semble plutôt improbable, car un transfert a également été possible avec l’exsudat d’animaux chez lesquels l’injection de bacilles tuberculeux morts et de stroma picryle a été effectuée sous la peau du cou (en utilisant comme véhicule « Aquaphor » (Duke Laboratories) et de l’huile de paraffine, selon une méthode mise au point par Freund). Ceci est également confirmé par l’apparition de la sensibilité après un court intervalle, à savoir 2 jours après l’injection d’une quantité suffisante de produit, et l’atténuation de la réactivité en quelques jours. Enfin, il existe des preuves préliminaires qu’un chauffage modéré suffisant pour tuer les cellules de l’exsudat abolit l’effet. Par conséquent, on serait enclin à supposer que la sensibilité est produite par une activité dans le récepteur des cellules survivantes, si ce n’est par des anticorps portés par celles-ci. Des résultats positifs ont été obtenus avec environ 1,5 cc de sédiment, qui ont été administrés en 3 portions sur des jours successifs ou en une seule fois ; avec la procédure actuelle, cela nécessite l’utilisation d’un assez grand nombre de donneurs.

Des résultats précis ont été obtenus avec un chlorure d’acyle, le chlorure d’o -chloro-benzoyle : la majorité des expériences ont été faites avec l’anhydride citraconique, l’un des anhydrides acides dont Jacobs et coll. ont montré qu’il produisait une forme nouvelle et particulière de réaction (chez les animaux), à savoir des réactions de type urticaire, souvent accompagnées de pseudopodes apparaissant immédiatement après un test de grattage. Un transfert positif chez l’homme avait été mentionné brièvement par Kern avec le sérum d’un patient sensible à l’anhydride phtalique, suggérant une étude expérimentale plus poussée (voir Jacobs). Nous avons constaté que le sérum de cobayes très sensibles ayant reçu un traitement intensif par injections intracutanées de solutions huileuses d’anhydride citraconique contient un anticorps qui, après injection intrapéritonéale à des cobayes normaux, les rend sensibles. Lors de tests de grattage effectués à l’aide d’une goutte d’une solution de cet incitant dans du dioxane, les receveurs ont présenté des réactions similaires aux réactions immédiates observées chez les cobayes activement, mais non fortement sensibilisés. Cependant, lors de l’injection intracutanée de sérums puissants (des quantités de 0,15 à 0,05 cc ont été utilisées) à des cobayes albinos normaux, des réactions intenses ont été provoquées en quelques minutes lors des tests de grattage effectués sur le site préparé, consistant en un gonflement et une coloration rosâtre, le plus souvent avec des pseudopodes et s’étendant sur une zone allant jusqu’à 3 cm de diamètre. La coloration disparaît au bout d’une heure environ, tandis que le gonflement persiste pendant plusieurs heures encore ; le lendemain, la réaction n’est plus présente. De telles réactions se sont produites dans les sites sensibilisés également lorsque le test de grattage a été effectué ailleurs sur la peau normale ou lorsqu’une solution d’huile a été injectée par voie sous-cutanée. En outre, des réactions, même plus fortes (par exemple, 5 cm x 4 cm), ont été obtenues sur les sites préparés lors d’injections sous-cutanées du conjugué fait avec de l’anhydride citraconique et du sérum de cochon d’Inde. Les zones préparées ont généralement été testées après un ou deux jours, mais elles sont encore bien réactives après trois jours. La question de savoir si la réaction cutanée immédiate décrite est attribuable à un anticorps anaphylactique est en cours d’étude. Les faits essentiels sont récapitulés dans le tableau I.

https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.3181/00379727-49-13670
https://doi.org/10.3181/00379727-49-13670

Selon Moberg, Chase a déclaré que Landsteiner était réticent à communiquer les détails de leurs découvertes au-delà de la brève note de 1942 mentionnée ci-dessus, car il doutait que d’autres puissent reproduire leurs résultats. Cependant, Chase connaissait sept chercheurs qui avaient immédiatement confirmé leurs résultats. Quoi qu’il en soit, après la mort de Landsteiner en 1943, Chase n’a pas donné suite à leurs travaux avant 1947.

« Rétrospectivement, il peut sembler curieux que les détails complets de cette importante découverte n’aient jamais été rapportés et qu’ils n’aient donc pas été largement connus pendant longtemps, bien que les travaux aient fait l’objet d’une brève notice dans Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine en 1942. Selon Chase, Landsteiner était sceptique quant à la possibilité de reproduire leurs résultats. Même si Chase savait que sept autres scientifiques avaient presque immédiatement confirmé ces résultats, son propre manque d’assurance à la mort de Landsteiner en 1943 et son avenir incertain à Rockefeller2 l’ont empêché de rédiger les expériences, ce qu’il a regretté par la suite.

Lorsque Dubos rapporte au directeur scientifique de la Rockefeller, Herbert Gasser, que le lien établi par Chase entre le lymphocyte et la formation de l’hypersensibilité ouvre “une perspective immunologique entièrement nouvelle”, Gasser nomme Chase au laboratoire de Dubos, qui commence tout juste à étudier la tuberculose. Dans le prolongement de ses expériences avec Landsteiner, Chase transfère l’hypersensibilité à la tuberculine (une protéine purifiée dérivée de mycobactéries) d’un cobaye sensibilisé à un cobaye non sensibilisé en injectant des globules blancs sensibilisés. Chase et Dubos ont alors réalisé que certains globules blancs n’étaient pas de simples porteurs d’anticorps, mais qu’ils participaient à leur production et, surtout, que l’hypersensibilité à la tuberculine n’était pas équivalente à la tuberculose. En d’autres termes, un test à la tuberculine positif ne traduit pas nécessairement une maladie active, mais seulement une allergie ou une sensibilisation antérieure à la protéine. Cette réaction, démontrée par Chase sur des cobayes, a été rapidement confirmée chez l’homme par H. S. Lawrence et W. S. Tillett à l’université de New York. »

En 1947, Chase a rédigé un article détaillant ses expériences sur les mécanismes à l’origine des réactions d’hypersensibilité cutanée en réponse à la tuberculine, utilisée dans les tests de dépistage de la tuberculose. Dans ses expériences, Chase a démontré que les cobayes ayant reçu des lymphocytes de donneurs sensibilisés développaient une hypersensibilité cutanée à la tuberculine, alors que lorsqu’il utilisait le sérum contenant des « anticorps », il ne parvenait pas à produire la même réaction d’hypersensibilité chez les cobayes receveurs. Ce sont ces travaux qui ont été considérés comme fondamentaux pour établir que certaines « réponses immunitaires », telles que les réactions d’hypersensibilité, font appel à des cellules plutôt qu’à des « anticorps ». Je fournis les deux passages les plus pertinents de l’article qui mettent en évidence ces résultats, tandis que le reste de l’article peut être consulté en cliquant sur le lien.

Le transfert cellulaire de l’hypersensibilité cutanée à la tuberculine

« Dans des études sur l’allergie expérimentale aux médicaments, on a constaté que l’hypersensibilité spécifique de type retardé peut être transférée à des cobayes normaux au moyen de cellules présentes dans des exsudats prélevés sur des cobayes sensibilisés. Les ressemblances entre le type de réaction retardée aux médicaments et la réaction classique à la tuberculine ont incité à rechercher si les cellules d’animaux sensibles à la tuberculine pouvaient également transmettre la sensibilité à la tuberculine. Les expériences montrent que les cobayes recevant de telles cellules acquièrent pendant un temps limité une hypersensibilité cutanée qui présente les caractéristiques essentielles de la réaction tuberculinique classique ».

Contrairement aux réactions consécutives à l’injection de cellules lavées, des effets similaires n’ont pas été obtenus avec le sérum des donneurs de cellules actives ou avec des cellules provenant d’animaux normaux. »

https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.3181/00379727-59-15006P
https://doi.org/10.3181/00379727-59-15006P

Le New York Times a résumé l’« importance » des découvertes de M. Chase à sa mort en 2004, notant que ses recherches remettaient en cause la croyance de longue date selon laquelle les « anticorps » protégeaient à eux seuls l’organisme contre les micro-organismes et les maladies. À l’époque, le principe largement répandu était que les « anticorps » circulant dans le sang attaquaient les « pathogènes » envahissants afin de protéger l’organisme. Cependant, les résultats de Chase ont fait voler en éclats cette idée reçue et ses découvertes ont été utilisées pour redéfinir le concept de système « immunitaire », même si elles n’ont suscité que peu d’intérêt à l’époque :

Merrill W. Chase, 98 ans, Scientifique de l’immunologie avancé

« Le Dr Merrill W. Chase, immunologiste dont les recherches sur les globules blancs ont contribué à ébranler la croyance de longue date selon laquelle les anticorps seuls protégeaient l’organisme des maladies et des micro-organismes, est décédé le 5 janvier à son domicile de New York, selon l’Université Rockefeller, où il a travaillé pendant 70 ans. Il avait 98 ans.

Le Dr Chase a fait cette découverte historique au début des années 1940, alors qu’il travaillait avec le Dr Karl Landsteiner, lauréat du prix Nobel reconnu pour son travail d’identification des groupes sanguins humains. À l’époque, les experts pensaient que l’organisme organisait ses attaques contre les agents pathogènes principalement par le biais d’anticorps circulant dans le sang, ce que l’on appelle l’immunité humorale.

Mais le Dr Chase, qui travaillait dans son laboratoire, est tombé sur quelque chose qui semblait faire voler en éclats ce principe largement répandu.

Alors qu’il tentait d’immuniser un cobaye contre une maladie à l’aide d’anticorps qu’il avait extraits d’un second cobaye, il a constaté que le sérum sanguin ne fonctionnait pas en tant qu’agent de transfert.

Ce n’est que lorsqu’il a utilisé des globules blancs que l’immunité s’est transmise à l’autre cobaye, apportant ainsi une preuve solide que les anticorps ne pouvaient pas être les seuls à orchestrer la réponse immunitaire de l’organisme.

Le Dr Chase avait découvert la deuxième branche du système immunitaire, ou immunité à médiation cellulaire. Sa découverte a servi de base à des recherches ultérieures qui ont mis en évidence les cellules B, les cellules T et d’autres types de globules blancs comme étant les principales protections de l’organisme contre les infections.

Il s’agit d’une découverte majeure, car tout le monde considère aujourd’hui la réponse immunitaire en deux parties, et dans de nombreux cas, ce sont les composants cellulaires qui sont les plus importants », a déclaré le Dr Michel Nussenzweig, professeur d’immunologie à l’Université Rockefeller. Avant Chase, il n’y avait que l’immunité humorale. Après lui, il y a eu l’immunité humorale et l’immunité cellulaire.

La découverte du Dr Chase a suscité peu d’intérêt à l’époque, mais elle a déclenché les recherches qui ont contribué à redéfinir la nature fondamentale du système immunitaire. »

https://www.nytimes.com/2004/01/22/nyregion/merrill-w-chase-98-scientist-who-advanced-immunology.html

La British Society of Immunology a fourni un compte rendu similaire des travaux de Chase, notant qu’il n’avait pas réussi à transférer l’« immunité » en utilisant un sérum censé contenir des « anticorps » et qu’il avait utilisé par inadvertance un surnageant contenant des globules blancs afin d’obtenir la réaction de sensibilité qu’il souhaitait. En d’autres termes, la découverte du « système immunitaire inné », qui ne repose pas du tout sur d’hypothétiques « anticorps », a été un heureux accident.

Cochon d’Inde (1942)

« L’une des expériences immunologiques les plus importantes réalisées à l’aide de cobayes a été publiée en 1942 par Karl Landsteiner et Merrill Chase de l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale à New York. Ils étudiaient le transfert de la sensibilité à des antigènes spécifiques d’un cobaye immunisé à un autre animal “naïf”3.

À l’époque, on savait qu’il était possible de transférer des anticorps d’un animal à un autre pour les rendre sensibles à un antigène. Cependant, lorsque Chase a essayé de transférer la sensibilité en injectant du sérum de cobayes immunisés à des animaux naïfs non immunisés, il a échoué. Mais lorsqu’il a utilisé par inadvertance un liquide surnageant qui n’avait pas été préparé aussi bien que d’autres préparations, les cobayes naïfs ont développé la réactivité cutanée typique, ce qui indique que la sensibilisation a bien été transférée.

Perplexe face à ce résultat, Chase a regardé au microscope et a constaté que le surnageant exempt de cellules n’était pas du tout exempt de cellules, mais contenait des lymphocytes. En fait, il avait découvert ce que l’on appelle aujourd’hui l’immunité à médiation cellulaire, qui fonctionne d’une manière tout à fait différente de l’immunité à médiation par les anticorps. L’immunité à médiation cellulaire n’implique pas d’anticorps, mais plutôt l’activation de lymphocytes T cytotoxiques en réponse à un contact avec un antigène. Chase a ensuite répété l’expérience avec M. tuberculosis et a conclu que les deux séries de réactions étaient dues à la présence de lymphocytes. Ces expériences ont établi la dichotomie entre les réponses immunitaires immédiates (médiées par les anticorps) et retardées (médiées par les cellules) ».

https://www.immunology.org/guinea-pig-1942

Un dernier commentaire sur les travaux de Chase rappelle qu’il a montré qu’il pouvait sensibiliser des animaux en l’absence de production détectable d’« anticorps ». Toutefois, à l’époque, la question de savoir s’il avait réellement démontré une réponse « indépendante des anticorps » était controversée, probablement parce qu’on craignait les conséquences des preuves contradictoires de Chase.

Les deux bras de l’immunité adaptative : Division du travail et collaboration entre les cellules B et T

À l’époque, on pensait que les anticorps, ou d’autres substances chimiques présentes dans le sang, étaient les principaux médiateurs de l’immunité. Cependant, Chase a montré que le transfert passif de globules blancs pouvait sensibiliser un animal à la substance chimique sensibilisante d’origine, même en l’absence de production détectable d’anticorps, dans un processus appelé allergie de contact ou hypersensibilité retardée. Il s’agissait d’une découverte historique d’une nouvelle classe de réponse immunitaire appelée « immunité à médiation cellulaire » ; toutefois, la question de savoir s’il s’agissait réellement d’un processus indépendant des anticorps est restée controversée (Chase, 1985). Les observations de Chase ne postulaient pas une division du travail entre l’immunité cellulaire et l’immunité humorale et laissaient en suspens la question de l’origine des anticorps, de la relation entre les anticorps et les globules blancs, et de la manière dont les animaux développaient et adaptaient spécifiquement leurs réponses immunitaires à différents types d’agents pathogènes ».

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867419309109

Le Dr Chase a découvert en 1940 que les anticorps ne s’assimilent pas à l’immunité. La science a-t-elle juste oublié ?

En résumé, Merrill Chase a injecté un antigène (tuberculine) à des cobayes pour induire une réaction d’hypersensibilité, un effet utilisé comme marqueur de l’« immunité ». Il a ensuite prélevé du sang sur ces cobayes « immunisés » et l’a clarifié à un point tel qu’il pensait qu’il ne restait plus que des « anticorps ». L’injection de ce sang clarifié à des cobayes « non immunisés » n’a pas entraîné de réaction d’hypersensibilité. Cependant, lorsqu’il a utilisé des échantillons moins clarifiés contenant encore des cellules sanguines, les cobayes « non immunisés » ont présenté une réaction d’hypersensibilité. Chase en conclut que ce ne sont pas les « anticorps », mais les cellules sanguines qui sont responsables du transfert de l’« immunité », comme le montre la réaction d’hypersensibilité observée. Comme en virologie, Chase a utilisé des effets créés en laboratoire afin de déterminer le rôle d’une entité invisible, puis a accidentellement réfuté le rôle auquel cette entité était associée lors de ses expériences.

Merrill Chase a admis qu’il ne pouvait pas détecter de plasmocytes ou d’« anticorps » dans ses expériences (seulement des lymphocytes), et a donc supposé que les « anticorps » se formaient à l’intérieur du corps de l’animal par d’autres moyens invisibles et tardifs. Cependant, comme les chercheurs n’ont pas pu transmettre l’« immunité » en utilisant du sérum contenant de prétendus « anticorps », mais seulement du sérum contenant des globules blancs, Merrill Chase a réfuté l’hypothèse non scientifique selon laquelle les « anticorps » sont responsables de l’« immunité ». Pourtant, au lieu d’admettre qu’ils s’étaient trompés sur l’existence des « anticorps » invisibles et sur la fonction théorique qui leur était assignée, lorsque les chercheurs n’ont pas réussi à produire une réponse « immunitaire » avec le sérum censé contenir ces entités invisibles, il a été décidé de diviser le système « immunitaire » en deux réponses différentes, et Astrid Fagraeus a donné aux cellules B la capacité de créer ces substances hypothétiques. En établissant le double concept d’« immunité » innée et adaptative, l’immunologie a pu conserver sa théorie des « anticorps », qui n’avait pas été prouvée, face à des preuves contradictoires. Bien que l’hypothèse ait été réfutée, la fiction a été retravaillée afin que l’immunologie puisse balayer tous les résultats où les « anticorps » ne sont pas détectés ou ne confèrent pas d’« immunité » alors qu’ils sont censés le faire. Ce moment charnière dans la mise en place d’un dispositif de sauvetage pseudoscientifique a permis au concept d’« immunité » acquise par la vaccination de progresser, mettant inutilement en danger et nuisant à de nombreuses générations futures dans le processus.


Dr Sam Bailey a fourni une excellente vidéo sur l’illusion de l’« immunité »

L’immunité est-elle réelle ?
Le sujet de l’immunologie semble souvent très compliqué, avec une littérature toujours plus abondante couvrant les types de cellules, les voies immunitaires et les molécules telles que les anticorps. Ces derniers sont l’un des piliers du concept d’« immunité » contre une maladie, mais qu’est-ce qui est réellement mesuré dans votre sang ? Alors que les promoteurs des vaccins affirment que les…

Les Bailey ont examiné l’anthrax et la théorie des armes biologiques

Armes biologiques 101 : l’histoire de l’anthrax
Comme l’a montré mon mari Mark dans « HIV Inserts », Lies & « Lab Leaks », l’histoire de la « fuite de laboratoire » du COVID-19 a été mise en place avant même que l’Organisation mondiale de la santé n’ouvre officiellement le dossier de la « pandémie ». Ces dernières années, j’ai abordé la question de la manipulation et de l’escroquerie du « gain de fonction », ainsi que les fantasmes pseudoscientifiques concernant les » armes biologiques »…

Les Bailey ont également annoncé qu’un autre membre rejoignait la position « No Virus » en la personne de Pierre Chaillot, statisticien et auteur français

Pierre Chaillot : « Je sors “sans virus”… »
Pierre Chaillot est un statisticien et un auteur français qui a révélé les données relatives au COVID-19 depuis le début de l’année 2020. En utilisant les chiffres officiels français, il a méticuleusement démontré que, même selon leurs propres termes, il n’y a pas eu de pandémie de « maladie infectieuse » et que tout cela n’était qu’une mise en scène. Dans son livre…

Christine Massey FOIs a fait l’objet d’une pléthore de demandes au titre de la liberté d’information

H5N1 :
« H5N1 » : L’Agence canadienne d’inspection des aliments n’a toujours pas trouvé de preuves valables de son existence
Salutations et meilleurs vœux, le 10 mai 2023 : Les « experts » de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) ont avoué, dans une réponse au titre de la liberté d’information, ne disposer d’aucune preuve scientifique de l’existence d’un prétendu « virus » ayant affecté le bétail au Canada (voir la réponse A2022-00201/MD…

Échec des défis posés par les virus et le fluor :
Échec de la contestation des preuves concernant le « virus » et le fluorure : KFL&A, Comté de Niagara NY, Wellington-Dufferin-Guelph PH
Salutations et meilleurs vœux, En mars 2024, j’ai déposé une demande d’accès à l’information auprès des « experts » de Kingston, Frontenac and Lennox & Addington (KFL&A) Public Health (Ontario) pour toutes les études/dossiers, rédigés par n’importe qui n’importe où, en leur possession, garde ou contrôle, qui correspondent aux descriptions énumérées ci-dessous — parce que certaines des personnes qui agissent en tant que « B…

Hépatite C :
Les CDC avouent : aucune preuve scientifique de l’existence du “virus de l’hépatite C” ou de la contagion des symptômes
Salutations et meilleurs vœux, le 2 mai 2024 : À la demande de courtenay, le militant de Justice for Jabbed toujours détenu comme prisonnier politique sur l’île de Man, j’ai déposé une demande FOIA pour toutes les études/rapports en possession, sous la garde ou sous le contrôle des responsables des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et/ou de l’Agency for Toxic Substan…

Streptocoque du groupe A :
Aveu des CDC : aucune preuve scientifique de la pathogénicité des streptocoques du groupe A
Salutations et meilleurs vœux, Note : cet article n’a rien à voir avec l’existence ou non de conditions de santé. Personne ne se demande si les personnes ou les animaux malades sont réellement malades ou non. La question porte sur la cause présumée de leur état de santé. Les explications “germes” servent de distraction et de couverture (pratique et rentable pour certains) pour les dommages causés…

Dawn Lester s’est penchée sur les raisons pour lesquelles nous ne devons pas avoir peur des moustiques

Des moustiques malveillants se déchaînent en Europe ?
Un récent article de la BBC intitulé Tiger mosquitoes behind dengue fever rise in Europe proclame dans le paragraphe introductif qu’“Une espèce envahissante de moustique a été trouvée dans 13 pays de l’UE, dont la France, l’Espagne et la Grèce, et les experts lient leur découverte à une augmentation de la dengue en Europe.”…

Michael Wallach a fourni une enquête sur l’imposture du séquençage du « SARS-COV-2 »

Révélation : L’imposture du séquençage du SARS-CoV-2
Fin 2020, alors que le monde est entièrement verrouillé et que la menace des injections forcées ou presque augmente chaque jour, l’extraordinaire Dr Stefan Lanka, un ancien virologue, envoie par courrier électronique un court article rédigé par un mathématicien de Hambourg, dont les conséquences sont stupéfiantes…

Betsy a exploré la question de savoir si les parasites sont des amis ou des ennemis

Les parasites : amis ou ennemis ?
Réaliser que les virus n’existent pas et que les bactéries ne causent pas de maladies bouleverse tout ce que nous pensions savoir sur ces aspects de la santé. Il s’agit d’un changement stupéfiant qui est également déstabilisant, dans la mesure où ces marqueurs familiers de la réalité n’existent plus. Qu’est-ce qui me rend malade alors ? Que font réellement les bactéries ? Etc. Vous savez…

Danni Møller a expliqué comment la variole est la rougeole, la rougeole la varicelle et la varicelle la variole

La variole est la rougeole, la rougeole est la varicelle et la varicelle est la variole.
Quand on sait qu’ils n’ont jamais prouvé l’existence des virus, la vérité devient évidente. La variole est la rougeole, la rougeole est la varicelle et la varicelle est la variole. Et ne me parlez pas de la variole du singe (lisez mon article sur l’origine de la variole du singe…).





USA — Aucun des crétins qui se présentent à l’élection présidentielle n’exposera CELA

Y compris ceux qui ont abandonné

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par Jon Rappoport

Et les grands sites conservateurs ne l’auraient pas fait non plus à l’époque où j’ai écrit l’article suivant — au plus fort de l’hystérie COVID.

Les grands sites étaient trop occupés à essayer de trouver comment blâmer Trump ou Biden pour la COVID. Trop occupés à jongler avec leurs ballons politiques.

Je reviens à cet article alors que la campagne présidentielle passe à la vitesse supérieure et que le président en exercice tente de se rappeler quelle année nous sommes.

Aucun des candidats, y compris ceux qui se sont retirés, ne s’est exprimé avec force sur le désastre de la COVID.

Voici un extrait de mon article. Il met l’accent sur plusieurs crimes que nous ne devrions jamais oublier… :

Wuhan est le centre mondial du trafic d’opioïdes. Les précurseurs chimiques. Quel est l’un des principaux symptômes d’une overdose d’opioïdes ?

L’ESSOUFFLEMENT. C’EST LA MÊME CHOSE QUE POUR LA COVID, SURTOUT À New York City, OÙ LES MÉDECINS URGENTISTES PANIQUÉS NE SAVENT PAS COMMENT S’OCCUPER DE CES PATIENTS.

MAIS L’ÉTAT DE NEW YORK ÉTAIT DÉJÀ SUBMERGÉ DE TOXICOMANES AUX OPIOÏDES SOUFFRANT D’ESSOUFFLEMENT BIEN AVANT L’AFFAIRE COVID. ET MAINTENANT ILS APPELLENT CERTAINS D’ENTRE EUX DES VICTIMES DE LA COVID.

Extrait de drugabuse.com :

« Aux États-Unis, 44 personnes meurent chaque jour d’un arrêt respiratoire provoqué par une overdose d’opioïdes sur ordonnance. Les opioïdes inhibent la respiration, provoquent une sédation importante et rendent le réveil impossible. De plus, les opioïdes contenus dans les analgésiques sont les mêmes que ceux contenus dans l’héroïne, qui a causé plus de 8 000 décès par overdose en 2013. »

Estimation 2018 des décès par overdose d’opioïdes à New York : 3 000. Beaucoup plus de personnes dans la région de New York sont dépendantes de ces médicaments. Dans l’État de New York, en 2017, le nombre de personnes sorties des hôpitaux, après un traitement pour une surdose ou une dépendance aux opioïdes : 25 000.

À partir de 2020, les personnes ayant développé une hypoxie aux opioïdes pourraient être diagnostiquées à tort avec des « problèmes pulmonaires liés à la COVID-19 ». Certaines de ces personnes ont été sédatées davantage, avec du fentanyl, mises sous respirateur — ignorant la nécessité de traiter leur overdose, leur dépendance, leur sevrage — et elles sont mortes. Elles ont été tuées.

NJ [New Jersey] Spotlight News, 14 avril 2020 : « Le fentanyl n’est plus un fléau, il est désormais le médicament le plus recherché dans la guerre contre le COVID-19. »

« … le fentanyl, l’un des médicaments administrés aux patients pour qu’ils puissent supporter la douleur liée à l’insertion d’un tube respiratoire, est en pénurie, tout comme une poignée d’autres médicaments essentiels. »

« En temps normal, les patients restent sous respirateur pendant trois ou quatre jours. Aujourd’hui, non seulement le nombre de patients ventilés [COVID] a grimpé en flèche, mais la durée pendant laquelle ils restent sous respirateur est de deux à trois semaines. »

C’est inadmissible. C’est un protocole de meurtre. Mettre les toxicomanes aux opiacés, qui ont le souffle court, sous sédation prolongée avec le même type de médicament que celui qui a causé leur essoufflement.

Passons maintenant à un autre crime. Contre les personnes âgées.

The Hill, (non daté, fin avril 2020), fait état de : « données […] recueillies à Northwell Health, le plus grand système hospitalier de l’État de New York ». L’étude, publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) examine 5 700 patients hospitalisés pour des infections à coronavirus dans la région de New York, avec des résultats finaux enregistrés pour 2 634 patients. L’âge moyen des patients était de 63 ans… Pour le groupe d’âge suivant, les 66 ans et plus, les patients recevant une ventilation mécanique ont enregistré un taux de mortalité de 97,2 %.

97,2 % des patients âgés de l’étude COVID placés sous ventilation mécanique sont morts. C’est un meurtre.

Ces deux groupes d’âge — 65 à 74 ans et 75 ans et plus — représentent ensemble 73,6 % de l’ensemble des décès dus à la COVID dans la ville de New York.

Le groupe des 75 ans et plus représente, à lui seul, 48,7 % de tous les décès par COVID dans la ville.

Pour ce groupe, New York est en état de confinement. Fermée. Emprisonnée. Économiquement torpillée et dévastée. Avec deux ignorants-vampires — le gouverneur Cuomo et le maire De Blasio — qui la surveillent.

Si l’on soustrayait les décès prématurés et forcés des personnes âgées, et les décès forcés des toxicomanes aux opioïdes, la fiction de New York en tant qu’« épicentre du COVID » s’envolerait dans le vent en cinq minutes.

– Jon Rappoport




« Quand tu dis un truc qui leur plaît pas, t’es viré. »

L’humoriste Edgar-Yves donne son point de vue sur les médias et les réseaux sociaux.


[Source : https://x.com/BlackBondPtv/status/1813294730412744880] — extrait de :

[1 h 6 min. Source : Oui Hustle]



Les opinions extrêmes sur Trump




Sept ans de prison pour avoir refusé d’être un lèche-bottes du gouvernement ?

[Source : edwardslavsquat.substack.com]

Iurie Roșca risque de payer le prix fort pour avoir dérangé nos oligarques-souverains.

Par Edward Slavsquat

Le journaliste moldave et organisateur du Forum de Chisinau, Iurie Roșca, qui a gratifié ce blog de deux interviews stimulantes (ici et ici), a été la cible d’une procédure judiciaire grotesque qui pourrait déboucher sur son emprisonnement.

Roșca, qui a dirigé le Parti populaire chrétien-démocrate de Moldavie et a été député au parlement de son pays pendant quatre mandats, est accusé de « trafic d’influence ». Le méfait présumé aurait eu lieu en… 2009, et une enquête a été lancée en 2017 à la suite d’une plainte non corroborée d’une seule personne.

Dans un récent message sur les médias sociaux, l’ancien député moldave Mark Tcaciuk a noté qu’il n’y avait « aucun témoin » pour soutenir les accusations portées contre Roșca, que Tcaciuk a décrit comme « un homme politique qui est entré dans l’histoire de la Moldavie il y a longtemps, un penseur original et un commentateur brillant et incroyablement spirituel. »

Le législateur moldave Bogdat Ţîrdea a publié une déclaration similaire, s’interrogeant sur les raisons de l’inculpation de Roșca sans véritable preuve.

« Y a-t-il des témoins ? Non ! Il y a des preuves ? Non ! Alors qu’est-ce que c’est ? Eh bien, il y a un désir ardent de condamner Iurie Roșca pour qu’il cesse de sortir ses critiques. C’est une affaire qui traîne depuis si longtemps… »

Le journaliste Valeriu Reniță a également commenté l’affaire : « Qu’est-ce que le gouvernement veut de Iurie ? L’impossible… Il veut fermer la bouche du journaliste. Et ce n’est pas seulement le pouvoir de Chisinau qui le veut. L’élite mondiale, qui n’est jamais épargnée [dans les articles et les vidéos de Roșca], en a également après lui ».

Marvin Atudorei, modérateur d’une émission sur la chaîne de télévision roumaine Global News, a proposé une évaluation encore plus directe :

Depuis plusieurs semaines, le système judiciaire de la République de Moldavie commet abus sur abus afin d’emprisonner le plus rapidement possible le célèbre écrivain, journaliste, militant civique et ancien homme politique Iurie Roșca.

Le fait que cela soit fait en utilisant un processus politiquement fabriqué basé sur une enquête minimale ne fait aucun doute. Il s’agit d’une affaire dépourvue de toute forme de preuve, absurdement construite à partir d’une simple dénonciation, dans laquelle les droits de l’« accusé » sont complètement ignorés.

Qu’est-ce qui se cache vraiment derrière cette procédure ? Après avoir occupé pendant 20 ans des postes de premier plan en République de Moldavie (président d’un parti au pouvoir, vice-premier ministre, vice-président du Parlement), Iurie Roșca a commencé à révéler la vérité sur les jeux de coulisses du pouvoir. Il est temps de dire STOP à la répression et de défendre l’une des rares personnes de grand courage qui a risqué sa vie pour se réveiller et sauver chacun d’entre nous.

Quinze ans après le prétendu « trafic d’influence » et sept ans après le dépôt de la plainte contre Roșca, un juge rendra sa décision la semaine prochaine.

Roșca a fait le point sur son procès le 11 juillet :

Chers amis,

Je voudrais vous informer de ma situation en tant que défendeur dans une affaire pénale, qui a été initiée sous l’ancien gouvernement criminel (dans des conditions d’usurpation du pouvoir d’État) en 2017 et qui est en cours d’achèvement sous un autre gouvernement, composé entièrement de mercenaires du réseau Soros.

Les audiences se sont terminées le 8 juillet et j’ai été victime d’un traitement abusif et illégal de la part du juge. Toutes les normes procédurales et tous les droits de la défense sont violés. Toutes nos démarches pour récuser le juge ou pour déplacer l’examen de l’affaire vers un autre tribunal de même rang sont rejetées.

Le 23 juillet, la sentence de condamnation doit être prononcée. Le risque est de 7 ans d’emprisonnement.

Je vous remercie de votre coopération et de votre soutien. Je vous assure que si je suis incarcéré, je continuerai à écrire depuis la prison. Bien sûr, si je suis autorisé à avoir du papier et un stylo.

Je vous assure que mes collègues continueront à publier les discours des participants au Forum 2024 de Chisinau deux fois par semaine, le mardi et le jeudi. Si je parviens à rester en liberté, j’essaierai d’organiser une autre édition du Forum de Chisinau cet automne.

Que Dieu vous bénisse tous.

Sincères salutations,

Iurie

Ce n’est pas bon.

Il n’est pas trop tard pour écrire au gouvernement moldave et lui faire part de votre mécontentement :

Bureau présidentiel : A : Maia Sandu, Présidente de la Moldavie :
cancelaria@prm.md, petitii@prm.md, presa@prm.md

Membres du Parlement : Président — Igor Grosu :
info@parlament.md , doina.gherman@parlament.md , igor.grosu@parlament.md , fpas@parlament.md ,

Premier ministre – Dorin Recean :
cancelaria@gov.md, petitii@gov.md

Ministère de la Justice, Ministre – VERONICA MIHAILOV-MORARU :
secretariat@justice.gov.md, petitii@justice.gov.md

Procureur général — Ion Munteanu :
proc-gen@procuratura.md, presapg@procuratura.md

Conseil supérieur de la magistrature :
petitie@csm.md, secretariat@csm.md

Vous pouvez également suivre Iurie sur Substack et Telegram.

C’est une pure coïncidence que Roșca, qui critique ouvertement le gouvernement moldave, puisse se retrouver derrière les barreaux sur la base d’accusations douteuses quelques mois seulement avant les élections présidentielles d’octobre dans son pays.

Faites ce que vous pouvez pour faire connaître le cas d’Iurie, et espérons que la raison l’emportera le 23 juillet.




Le monde non libéré des « plandémies »

Par Joseph Stroberg

1)- Retour du masque en France

Face au Covid, le Tour de France rend le port du masque obligatoire pour les suiveurs avant et après les étapes :
https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Face-au-covid-le-tour-de-france-rend-le-port-du-masque-obligatoire-pour-les-suiveurs-avant-et-apres-les-etapes/1482446

2)- La grippe aviaire

Les surprises de la H5N1 bovine :
https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/2024-07-14/les-surprises-de-la-h5n1-bovine.php

Influenza aviaire : la situation en France :
https://agriculture.gouv.fr/influenza-aviaire-la-situation-en-france

Rappel :
Mise à jour sur la grippe aviaire : signes avant-coureurs de la « propagation » à venir
Comment (et pourquoi) la grippe aviaire est sur le point d’entrer dans la phase des tests de masse
Et la grippe aviaire continue de sévir…
Grippe aviaire, censure et vaccins en 100 jours : 7 prédictions pour la prochaine pandémie
« La grippe aviaire est de retour… alors ne mangez plus de bœuf ! »
Le but : vous enlever vos poulets

3)- Le contrôle pétrochimique sur la médecine depuis un siècle

Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
Dr Olivier Soulier : « La médecine de demain va devoir se débarrasser de l’industrie pharmaceutique »

4)- Les contes de fées effrayants

Qu’il s’agisse de la Covid-19 ou d’une probable prochaine prétendue pandémie qui pourrait être un nouvel avatar covidien aussi bien qu’une mutation du récit aviaire, ces crises et le contrôle « sanitaire » qu’elles permettent reposent essentiellement sur deux contes de fées que l’on fait passer pour des théories scientifiques : l’hypothèse des « virus » pathogènes et l’hypothèse mère des germes malicieux selon lesquelles la plupart des maladies seraient dues à des méchants virus ou à des méchantes bactéries. À force d’être entrées de force dans le crâne des futurs médecins lors de leur (dé)formation universitaire, sans être le moindrement analysées et encore moins critiquées, elles ont fini par envahir l’ensemble de la population mondiale, et à être crues comme parole d’évangile. Presque tout le monde croit maintenant par exemple que la grippe (alias Covid) est contagieuse et provoquée par un virus mutant et malin qui ne cesserait de déjouer les pronostics vaccinaux d’une année sur l’autre pour mieux survivre.

Continuer à croire à de tels contes permet l’élaboration de prochaines plandémies qui permettront d’imposer des mesures « sanitaires » de plus en plus draconiennes.

5)- Un nouveau paradigme médical

Le seul moyen de se débarrasser de futures plandémies est de cesser d’inverser les causes et les conséquences et de comprendre la nature réelle de la maladie.

Comme je l’ai déjà mentionné maintes fois ici ou ailleurs sous différentes formes pour tenter de contrebalancer l’influence néfaste de ces croyances quasi religieuses négatives sur la vie humaine individuelle et collective, la maladie est due à un déséquilibre (par excès et/ou déficiences) sur un ou plusieurs plans.

Si votre corps physique, votre univers émotionnel, votre univers mental, etc. ne sont plus en équilibre, vous en ressentez un mal-être ou des malaises, qui peuvent conduire ensuite à des effets physiques plus ou moins aigus (des symptômes) si la ou les causes du (ou des) déséquilibre(s) ne sont pas corrigées rapidement. Si la cause persiste, les symptômes tendent à s’aggraver, la maladie pouvant évoluer vers un stade pire de la désorganisation de votre corps ou de votre être.

Les facteurs pouvant produire un déséquilibre par déficience sont notamment :

  • — sur le plan physique, la malnutrition (avec notamment des carences en vitamines, en sels minéraux et/ou en protéines), le manque d’exposition au Soleil, le manque de sommeil… ;
  • — sur les plans affectif et émotionnel, l’isolement, le manque de contact avec les autres, les animaux, les végétaux, la nature… ainsi probablement qu’avec la dimension divine ;
  • — sur le plan mental, le manque de stimulation (par la lecture, des exercices mentaux, la méditation, la réflexion, etc.) ;
  • — sur le plan spirituel, le matérialisme.

Les facteurs pouvant produire un déséquilibre par excès (se traduisant par des empoisonnements ou des intoxications) sont par exemple :

  • — sur le plan physique, les additifs alimentaires, les pesticides, les herbicides, les polluants atmosphériques, les microplastiques dans l’eau et la nourriture, les substances pétrochimiques dans les cosmétiques, les détergents, les édulcorants, les médicaments issus de la pétrochimie, les vaccins, etc. ;
  • — sur les plans affectif et émotionnel, la recherche de sensations extrêmes, l’absence de pondération par le mental, la conscience ou la spiritualité, etc. ;
  • — sur le plan mental : le surmenage intellectuel…

Les bactéries qui sont hébergées en permanence dans votre organisme (constituant ainsi votre microbiome) y participent normalement de manière symbiotique à l’assimilation des nutriments aussi bien qu’à l’élimination de diverses toxines et de déchets divers (notamment des cellules mortes).

Les prétendus virus pathogènes ne sont eux-mêmes que le résultat de la mort de cellules ou de leur agression par diverses causes (dont les ondes électromagnétiques artificielles — les ondes radio, TV, Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G et 5G, radar, etc.). Ce sont de simples déchets cellulaires de divers ordres, dont des bouts d’ADN ou d’ARN, déchets éventuellement entourés d’une enveloppe lipidique pour les faire sortir de la cellule mal en point ou simplement en mode entretien (elle se débarrasse notamment des brins d’ARN périmés après leur production de protéines). Ces déchets sont multiples et leur code génétique dépend bien sûr de celui des cellules, et donc de l’individu (humain, animal ou végétal) dont les cellules sont affectées ou se nettoient. Ce sont des molécules mortes qui n’ont aucun pouvoir de réplication ni la moindre forme d’intelligence. Elles ne mutent pas. Les prétendus « variants » ne le doivent qu’à la spécificité génétique des individus.

(Pour en savoir plus, consulter les nombreux articles du dossier Vaccins et virus.)

6)- Le choix

A)- Continuer à croire Big Pharma et ses médecins. Cela permettra la justification et la mise en place de nouvelles plandémies que l’on dira causées par de nouveaux méchants virus, éventuellement fabriqués en labo P4, pour effrayer encore plus les gens.

B)- Étudier le nouveau paradigme, prendre sa santé en main. Si un nombre suffisant de personnes choisissent cette voie, plus aucune plandémie ne sera possible.




Bill Gates investit 4 millions de dollars dans la promotion de l’identification numérique des citoyens

[Source : aubedigitale.com]

Par Jade

Bill Gates, cofondateur de Microsoft, vient d’investir des millions de dollars dans un projet visant à faire progresser le déploiement mondial des cartes d’identité numériques pour le grand public.

La Fondation Gates du milliardaire continue de financer diverses initiatives visant à introduire l’identification et les paiements numériques d’ici la fin de la décennie.

Gates a augmenté le financement d’un projet connu sous le nom d’infrastructure publique numérique (IPN).

L’IPN vise à remplacer l’argent liquide par une monnaie numérique unique de la banque centrale (CBDC), directement liée à la carte d’identité de chaque individu.

Bien que les partisans de l’IPN insistent sur le fait qu’elle ne sera pas obligatoire, les individus du monde entier devront utiliser des CBDC et des identifiants numériques pour accéder aux services de base.

Parmi les partisans de l’IPN figurent des groupes d’intérêt privés ou d’entreprises tels que la Fondation Gates et le Forum économique mondial (FEM).

Le projet est également soutenu par les gouvernements des États-Unis et du Royaume-Uni, tout en étant fortement encouragé par l’organisation mondialiste non élue qu’est l’Organisation des Nations unies.

Pour faire avancer rapidement ce programme, la Fondation Gates a injecté 4 millions de dollars dans le groupe de recherche sur l’IA et la science des données Alan Turing Institute, basé au Royaume-Uni.

La nouvelle subvention de Gates a été annoncée comme un financement initial pour l’initiative de l’Institut visant à garantir une mise en œuvre « responsable » des services d’identification numérique.

L’institut Turing présente ses travaux qui seront financés par Gates.

La subvention de Gates couvrira le financement d’un projet pluridisciplinaire pour les trois prochaines années.

L’institut utilisera l’injection de fonds de Gates pour accélérer le processus réglementaire nécessaire au déploiement du système d’identification numérique pour le public à l’échelle mondiale.

Pour obtenir l’approbation, Gates et l’Institut Turing veilleront à ce que le lancement mondial des éléments de l’IPN, tels que la CBDC et l’identification numérique, se fasse en tenant compte des préoccupations en matière de protection de la vie privée et de sécurité.

Toutefois, compte tenu des activités passées et pluriannuelles de la Fondation Gates, personne ne devrait être blâmé d’interpréter cela comme une tentative de blanchir ces questions clés de la protection de la vie privée et de la sécurité.

Les experts ont fréquemment mis en garde contre la centralisation des identités et des informations financières des personnes par le biais de systèmes d’identification numérique.

En annonçant le renouvellement de la subvention, l’Institut Turing a clairement indiqué qu’il considérait la mise en œuvre de « services d’identification » comme une orientation positive.

Selon l’organisation, l’IPN est vitale pour « l’inclusion », l’accès aux services, et prétendument pour les droits de l’homme.

Cependant, Bill Gates et ses alliés estiment qu’il est nécessaire de modifier les niveaux de confidentialité et de sécurité actuellement acceptés par le public.

C’est pourquoi Gates a financé cette nouvelle initiative.

« Le projet vise à améliorer la confidentialité et la sécurité des systèmes nationaux d’identité numérique, dans le but ultime de maximiser la valeur pour les bénéficiaires, tout en limitant les risques connus et inconnus pour ces constituants et en maintenant l’intégrité de l’ensemble du système », a déclaré l’Institut.

Bien que l’institut propose un grand nombre de mots à la mode et de sentiments apparemment positifs, il n’explique pas comment ces objectifs seront atteints.

Au lieu de cela, il promet simplement de couvrir toutes les bases, comme par magie, afin de promouvoir les avantages et d’effacer les inconvénients.

La Fondation Gates a toutefois donné une information intéressante.

« Chaque année, des milliards de dollars sont investis pour développer des systèmes d’identité (numérique) plus sûrs, plus évolutifs et plus conviviaux », révèle l’annonce.




Nous sommes le 14 juillet, l’occasion de rappeler la gigantesque escroquerie que fut la Révolution « française »


Histoire secrète de la Révolution française

[Source : Omnia Veritas]

« Le propre de la Révolution, c’est d’inverser le vocabulaire. »

Jean-François Laharpe (https://librairiehistoireetsociete.com/2020/07/28/laharpe-du-fanatisme-dans-la-langue-revolutionnaire-paris-1797-ledition-originale-le-propre-de-la-langue-revolutionnaire-est-demployer-des-mots-connus-mais-toujours-en-sens-inverse/)

Le site d’Alain Pascal : http://alainpascal.com/




Macron fête de 14 juillet sans le peuple




Sur la tentative d’assassinat de Trump

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par Jon Rappoport

UN : L’insanité flagrante, bien sûr, est de savoir comment le tireur a pu accéder au toit. À 150 mètres du podium. Il y avait plusieurs façons de le couvrir. La meilleure : Les tireurs des SS [services secrets] sont là sur le toit. Sinon, des drones. Des hélicoptères en circulation.

Un échec total. Total.

Je ne crois pas à l’excuse selon laquelle les SS étaient en sous-effectif. Ils l’étaient, mais ce bâtiment aurait dû être une priorité A-1. (Et oui, les gens de Trump ont été déboutés dans leurs demandes pour plus de protection de la part des SS. Le chef des SS est-il plus enclin à faire passer la DEI1 par la porte (il semble que ce soit le cas) ?)

Un participant convaincant au rassemblement a déclaré à la presse que lui et d’autres personnes ont vu le tireur monter sur le toit avec une arme et ont crié aux flics et aux agents SS à proximité, les avertissant, et n’ont reçu aucune réponse. C’est stupéfiant.

Les personnes qui veulent démontrer que l’assassinat a été planifié de l’intérieur disposent de munitions grâce au témoignage de ce participant.

DEUX : Les agents SS ont maintenu Trump à terre derrière le podium pendant près d’une minute. Pourquoi ? Le podium était fait d’acier épais ? Si le tireur était encore actif, il aurait pu tirer de nombreuses balles sur la partie inférieure du podium. Cela n’a aucun sens.

Les agents SS auraient dû placer des corps autour de Trump de tous les côtés et le transporter immédiatement hors de l’estrade et dans le fourgon sécurisé. Sans interruption. Aucun arrêt n’aurait été permis pour un geste du poing de la part de Trump.

Un autre échec total.

Et il n’y avait qu’un seul de ces fourgons sécurisés garé juste à côté de la plate-forme ? J’en aurais attendu au moins 6. Avec des agents.

TROIS : À ce jour, je ne vois aucune déclaration de la part du principal agent chargé de l’application de la loi aux États-Unis, le procureur général Merrick Garland. Il est aussi silencieux qu’une souris. Il n’a pas pris l’initiative.

QUATRE : Je répète que le tir depuis le toit était facile. Il n’y avait pas besoin d’un expert. D’après ce que j’ai vu, il y avait une ligne de mire directe vers le podium. Raison de plus pour y placer deux agents SS dès le début.

CINQ : Quelqu’un a-t-il vu des agents aller sur le toit et retirer le corps du tireur ? Je n’ai rien entendu à ce sujet. On aurait pu penser que, dans toute la couverture médiatique, quelqu’un aurait dit qu’il avait vu cela. On aurait pu penser qu’il y aurait des images vidéo de cela. Mais il n’y a rien.

Au lieu de cela, on nous dit que les contre-tireurs SS ont pointé leurs armes sur le tireur AVANT (?) qu’il ne tire sur Trump. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?

SIX : Autre chose : les quelques personnes dans la foule qui ont été blessées ou tuées… étaient-elles censées obstruer la ligne de mire du tireur ? Parce que je ne vois pas comment c’est possible. Le tireur était sur un toit. Il avait donc une vue dégagée sur le podium. Dans le même ordre d’idées, est-ce que quelqu’un dans le groupe derrière Trump a été touché par un tir ? On pourrait le penser, si le tireur a tiré 7 à 10 coups rapides. Les tirs frôlant la cible auraient touché ces personnes. Pourtant, je n’entends pas dire que quelqu’un derrière Trump ait été blessé. Au contraire, il semble que les personnes blessées ou tuées dans la foule se trouvaient à une certaine distance de Trump. Cela indique-t-il un autre tireur ? Et cela jette-t-il un doute sur le fait que l’assassin sur le toit soit bien celui qui a tiré sur Trump ? Il y a là quelque chose qui ne colle pas. Et aucun des experts présents à la télévision — ancien membre du FBI, ancien contre-tireur — ne soulève ces questions.

Mise à jour : un délégué à la convention du RNC, qui était assis derrière Trump et à sa droite, a déclaré à FOX qu’un homme derrière lui avait été tué par une balle. Je m’attendais néanmoins à ce qu’il y ait plus de blessés et/ou de morts parmi les personnes qui se trouvaient derrière Trump.

Par ailleurs, un médecin des urgences a expliqué à la presse qu’il avait tenté de sauver la vie d’un homme sans y parvenir. Il semble évident que l’homme qui est mort n’était pas derrière Trump. Cela fait donc deux personnes tuées par coup de feu parmi les participants. Jusqu’à présent, la presse ne parle que d’une seule personne.

Oui, il y a plusieurs raisons de fond, en dehors des raisons politiques évidentes, de penser qu’il s’agit d’un travail interne ou d’une tromperie quelconque.

Comme je l’ai appris il y a longtemps lors de mon enquête sur l’attentat à la bombe d’OKC2 en 1995, il faut commencer par les faits initiaux sur le terrain. Examinez-en le plus grand nombre possible, y compris ceux qui ont été omis dans la couverture médiatique. Les motifs politiques sont essentiels, bien sûr. Mais ne vous y attardez pas au point d’ignorer les anomalies qui se trouvent sous votre nez et qui n’ont aucun sens. Elles n’ont pas de sens parce qu’elles couvrent des faits non signalés.

En développement…





Hypothèses concernant la tentative contre Trump

[Voir aussi :
La prophétie de Brandon Bible sur la tentative d’assassinat de Donald Trump il y a 3 mois a refait surface]




La prophétie de Brandon Bible sur la tentative d’assassinat de Donald Trump il y a 3 mois a refait surface

[Note de Joseph : cet élément et celui présenté ci-après vont donner de l’eau au moulin de ceux qui penseront qu’ils s’agit d’une mise en scène pour faciliter l’élection de Trump. Et on ne peut pas exclure cette possibilité.]




Pourquoi avoir voulu assassiner Trump ?




Tentative ratée d’assassinat de Donald Trump




Massacre des troupes françaises en Ukraine et mensonges de Macron

[Source : boriskarpov.tvs24.ru]

Par Boris Karpov — 11 juillet 2024

Le SVR (service de renseignement extérieur, équivalent CIA) a déclassifié un rapport explosif en date du 19 mars dernier, en voici la traduction en français :

Origine : SVR Russie SECRET
Faire des copies est interdit 1 exemplaire
[Tampon rouge] DÉCLASSIFIÉ
Télégramme chiffré № 03/069
Bruxelles 91 19.03.2024 7 h 30

Au camarade Sergey

Sur les perspectives d’envoi de troupes françaises en Ukraine

L’armée française s’inquiète du nombre croissant de Français tués sur le théâtre de guerre ukrainien. Il est à noter que c’est uniquement à la suite de la destruction par les forces armées russes du point de déploiement temporaire pour étrangers près de Kharkov le 17 janvier de cette année. « Des dizaines de citoyens français » ont été tués et depuis, « de telles attaques sont devenues la norme dans le conflit ukrainien ». Comme l’admet officieusement le ministère français de la Défense, le pays n’a pas connu de telles pertes à l’étranger depuis la guerre d’Algérie dans la seconde moitié du XXe siècle.

Le nombre de pertes est cependant soigneusement caché, tout comme le fait même de l’implication de l’armée française en Ukraine. De ce fait, les départements s’emploient à résoudre des problèmes pratiques : organisation des funérailles, indemnisation des familles des défunts et pensions des personnes handicapées. Tout cela nécessite une documentation appropriée et se heurte à des poursuites judiciaires de la part de proches mécontents.

Selon des sources, le nombre de décès français « a déjà dépassé un seuil psychologiquement significatif ». La divulgation de données aussi sensibles pourrait provoquer des protestations massives. Les dirigeants militaires craignent également le mécontentement des officiers d’active de niveau intermédiaire de l’armée française. Parmi les morts, il y en a un « nombre disproportionné », et déjà au stade actuel, il est difficile de trouver des « volontaires » pour la rotation et de « remplacer ceux qui ont pris leur retraite » sur le théâtre de guerre ukrainien.

Toutefois, selon les données disponibles, le contingent français est toujours en préparation pour être envoyé en Ukraine. Dans un premier temps, il s’agira d’environ deux mille personnes. Le département militaire français craint qu’une unité militaire aussi importante ne puisse être transférée et stationnée en Ukraine sans être remarquée. Elle deviendra ainsi une cible légitime prioritaire pour les attaques des forces armées russes.

Nr 126 résident SVR felix 18/03/24 21 h 45

Ce document confirme s’il en était besoin nos informations concernant les pertes françaises en Ukraine malgré les dénégations de la France.

Ce document doit être rediffusé massivement en France afin que les citoyens français prennent bien conscience de la situation : leurs soldats se font massacrer, et leur gouvernement leur ment.

Boris Guennadevitch Karpov