La pathologisation de la dissidence

[Source : Comme Don Quichotte via Guy Boulianne]

[NDLR Il existe au moins un précédent avec la Psychiatrie punitive en URSS]

Par Enrica Perucchietti pour Comedonchisciotte.org

Aldous Huxley : une méthode pharmacologique pour « plier » l’esprit des citoyens

« Je crois que les oligarchies trouveront des formes plus efficaces de gouverner et de satisfaire leur soif de pouvoir et seront semblables à celles décrites dans Le meilleur des mondes. »

Dans une lettre du 21 octobre 1949, l’écrivain Aldous Huxley écrit à George Orwell que, dans un proche avenir, le pouvoir mettra bientôt en œuvre la révolution ultime : « inciter les gens à aimer leur état d’esclavage ».

Huxley était convaincu que les dirigeants prendraient la forme de la dictature « douce », car ils trouveraient l’hypnotisme, la condition de l’enfant et les méthodes pharmacologiques de la psychiatrie une arme décisive pour plier les esprits et la volonté des masses. Une hypothèse que le romancier anglais confirmerait en 1958 dans son essai Retour au meilleur des mondes.

En 1932, Huxley lui-même avait placé son chef-d’œuvre dystopique, Le meilleur des mondes, dans un monde global pacifié, dans lequel une drogue d’État, soma, contrôle l’humeur des citoyens.

Dans la dystopie de Huxley, il n’y a pas de place pour des émotions fortes, de l’amour, de la haine ou de la dissidence. Il n’y a pas de place pour l’intuition, l’art, la poésie, la famille.

Les gens en sont venus à aimer leurs chaînes parce qu’ils ont été manipulés avant même la naissance par l’eugénisme et en tant qu’adultes, ils sont totalement dépersonnalisés et manipulés profondément.

De cette façon, aucune forme de rébellion n’est possible. Et le pouvoir a atteint son objectif : faire en sorte que les citoyens ne s’embêtent pas.

En fait, pour créer une société apparemment parfaite et pacifique, il faut contrôler ou même anéantir, effacer les émotions, faire des citoyens des zombies.

La pathologisation de la dissidence

La création d’une sorte de «terreur sanitaire» devient le grimaldello pour saper les libertés individuelles et resserrer les mailles du contrôle social.

Monstre dans l’édition élargie et actualisé des Fake news (Arianna Editrice), les cas de censure, de boycotts et d’attaques de plus en plus impitoyables contre l’information indépendante sont désormais quotidiens.

Nous devons nous demander si la biosécurité ne nous conduit pas vers une dictature de la santé et si nous n’essayons pas de pathologiser la dissidence afin de pouvoir intervenir de manière forcée et créer un dangereux précédent : traiter et hospitaliser les dissidents.

Dans la société du politiquement correct, ceux qui ne s’alignent pas avec la pensée unique ont longtemps été dénigrés, persécutés et marqués d’étiquettes différentes et pourtant toujours dénigrantes, afin d’inclure la dissidence; Aujourd’hui, cependant, ce vaste travail de discrédit s’accompagne d’une tentative de guérir les dissidents afin de les remettre sur les rails et de les accueillir de nouveau dans la société.

Au cours de la dernière année, nous avons vu des précédents inquiétants, de la création de la nouvelle expression « souveraineté psychique » (1) à la proposition d’un chercheur de l’Institut italien de technologie d’utiliser des décharges électriques ou magnétiques pour influencer le cerveau et guérir les stéréotypes et les préjugés sociaux. (2)

Pour Galimberti, les deniers sont « fous »

Le dernier exemple dans l’ordre du temps de pathologisation de la dissidence ont été les déclarations du philosophe Umberto Galimberti qui, hôte de l’émission Atlantis sur La7, (3assimilé les négationnistes de Covid à la folle:

« Les deniers ont peur de la peur. Plus que la peur, ils ressentent de l’angoisse. Ils perdent des repères. Et ils deviennent délirants. Le négationnisme est une forme de confinement de l’angoisse […]. Ce n’est pas facile de raisonner les fous. Pouvons-nous persuader ceux qui nient la réalité que la réalité est différente? Très à peine.

Sa déclaration n’est pas isolée : ces derniers mois, on a tenté de persuader l’opinion publique de soutenir l’assimilation de négationnistes (mais aussi de comploteurs et de non-vax) à des fous, qui devraient alors suivre un traitement psychiatrique pour être ré-acceptés au sein de la société.

À la lumière des affaires de Tso à Dario Musso (4) et à l’avocate de Heidelberg, Beate Bahner, qui critique vivement les mesures du gouvernement pour la quarantaine du coronavirus,(5) la tentative de psychiatrie dissidents devrait soulever l’indignation non seulement des initiés, mais de la population.

Le problème fondamental est que sous l’étiquette désobligeant de « négationniste », mais aussi « conspiration » tombe toute personne qui critique la version officielle de la fiction grand public ou se permet d’être en désaccord avec les mesures gouvernementales fondées sur la biopuissance.

Guérir la dissidence

Nous sommes confrontés à une attitude paternaliste, autoritaire et scientifique du pouvoir qui vise à obtenir une obéissance aveugle de la part des citoyens et dans le cas où ils refusent de se soumettre sans critique, pour être en mesure de corriger leur comportement et la pensée à travers la psychiatrie ou la technologie.

Le totalitarisme des bons sentiments (« bon » seulement en apparence) a ses chiens de garde prêts à ramener au pli toute personne qui n’est pas d’accord ou ose exprimer publiquement des doutes. Aujourd’hui, la psychopolitique semble prête à développer de nouveaux instruments dignes de psychodition.

L’objectif est de neutraliser la prise de conscience critique et de censurer toute forme de dissidence. Ceux qui dissidence doivent être censurés, ils doivent en venir à avoir honte non seulement de ce qu’il a dit, mais de ce qu’il a « osé » penser.

Elle ne peut donc être ré-acceptée dans la communauté que si elle est humiliée, demande publiquement pardon et subit un traitement psychiatrique pour guérir d’une maladie que le totalitarisme progressiste espère guérir : penser librement et de façon critique.


À propos de l’auteur

Enrica Peruchietti est une journaliste italienne, auteur de nombreux essais (disponibles sur Amazon) dont les titres sont suffisamment éloquents. Suffisamment en tout cas pour la classer parmi les dissidents, et bien sûr, pour les mauvaises langues, les… « complotistes ». (Réf. Guy Boulianne).




Le Pr Fourtillan, apparu dans « Hold-Up », interné en hôpital psychiatrique contre son gré? MàJ 12/12/2020

[Source : FranceSoir]

[Mise à jour Nouveau Monde :
Le Pr Fourtillan aurait été arrêté suite à un exercice illégal de la médecine pour avoir donné des traitements expérimentaux à des malades souffrants de la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson. Il a été arrêté le 7 décembre dernier, puis placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes. Le 10 décembre, un médecin l’a examiné et a considéré que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique. Le préfet du Gard a suivi cet avis. Selon Éric Maurel, le procureur de Nîmes, Jean-Bernard Fourtillan n’a pas, à ce jour — ce vendredi 11 décembre — contesté son internement. Mr Fourtillan ne se serait pas rendu à une convocation d’un juge, une explication justifiant le fait que les forces de l’ordre soient venues à sa résidence pour l’amener en garde à vue.  La préfecture du Gard a déclaré que l’internement a été effectué sur prescription médicale sans qu’aucun détail spécifique sur l’état de santé de Mr Fourtillan ne soit précisé. Voir ici, ici et ici.

Nous nous retrouvons donc, une fois de plus, dans une situation pour laquelle deux récits d’interprétation des événements se dessinent : celui des médias mainstream qui ici justifieront l’internement pas des actions illégales de l’intéressé; et celui de nombreux médias alternatifs qui indiqueront que la véritable raison provient de ce que dénonce le professeur.

Maintenant, on peut se poser quelques questions :
– Est-ce que l’illégalité supposée ou avérée empêcherait pour autant l’éventuelle réalité des faits dénoncés par le professeur ?
– Est-ce que tout ce qui est légal est pour autant légitime ou souhaitable ?
– Qui décide de ce qui est légal ou illégal ?
– Est-ce que le citoyen lambda a son mot à dire en matière de ce qui devrait être légal et qui risque de plus ou moins fortement l’impacter ?
– N’a-t-on jamais vu auparavant des gouvernements ou leurs agents profiter de la loi et de leur pouvoir pour contraindre des opposants ou des lanceurs d’alerte ?]

Publié le 11/12/2020 à 01:50 – Mise à jour à 18:07

le Pr Fourtillan, apparu dans Hold-Up, interné contre son gré

Auteur(s): FranceSoir


Alerte info

Le professeur Jean-Bernard Fourtillan, qui a participé au tournage du film « Hold-Up » aurait été interné contre son gré à l’hôpital psychiatrique Le Mas Careiron, de la ville d’Uzès, hier 10 décembre, sur ordre du prefet du Gard

Mise à jour ce 11/12/20 14:00 

D’après un proche du dossier, cet internement sur ordre du préfet du Gard n’a pas reçu d’opposition du fils et de l’avocat de M. Fourtillan, qui restent injoignables. M.Fourtillan serait « à l’isolement et donc dans l’impossibilité de communiquer avec l’extérieur. Son épouse devrait aller le voir dans l’après-midi ».

Mise à jour ce 11/12/20 14:00 

L’avocat du Pr Fourtillan, Me Marc Fribourg, en contact avec M. Guy Legros président de l’association de malades d’Alzheimer et Parkinson, lui a fait une déclaration surprenante à propos de son client: « Monsieur Fourtillan est un complotiste, et il faut que les gens arrêtent d’appeler l’hôpital, ça ne sert à rien.
Que les malades arrêtent d’espérer des patchs qui n’arriveront jamais »

Les patchs thérapeutiques pour certains types de maladies sont fortement contestés par les autorités sanitaires d’après un article du Figaro : 

À l’initiative d’une fondation créée par le Pr Joyeux et le Pr Fourtillan, plus de 350 malades de Parkinson et Alzheimer ont reçu une molécule dont «la qualité n’est pas connue», selon l’Agence du médicament qui a alerté la justice. « Un vrai scandale », a réagi la ministre de la Santé. Une « bombe scientifique », s’émerveille le Pr Henri Joyeux sur une vidéo présentant les recherches du Pr Jean-Bernard Fourtillan, sur le site Internet d’une association qu’ils ont créée ensemble pour développer des patchs transdermiques visant à traiter des maladies neurologiques. En fait de bombe, celle-ci vient de leur exploser à la figure : alors que plus de 350 patients auraient déjà été recrutés dans un essai illégal, l’Agence nationale de surveillance du médicament (Ansm) vient d’annoncer qu’elle avait intimé au Pr Fourtillan de «cesser immédiatement cet essai» et d’«informer sans délai chaque participant de cette interdiction». L’Ansm a par ailleurs saisi la justice et le pôle santé du parquet de Paris a été chargé de l’affaire. 

De son côté, Richard Boutry qui a été en contact avec les proches du Pr Fourtillan partage « la minute de Ricardo » sur FranceSoir, à retrouver sur son site.

Article du 11/12/2020 à 01h50

Rappelons que le Pr Fourtillan était apparu dans le film avec un passage de 3min25, et s’est fait attaquer verbalement par l’Institut Pasteur. D’après ce dernier, les propos tenus dans le film Hold-up seraient erronés ou faux. L’Institut a même annoncé vouloir déposer plainte sans qu’à ce jour aucune plainte n’ait été reçue par le Pr Fourtillan ou son conseil.

Il y a quelques jours, le professeur Fourtillan aurait déposé plainte pour diffamation contre le docteur Olivier Schwartz, directeur scientifique de l’Institut Pasteur – et donc contre l’institution – pour « mensonges et déformation de la vérité, préjudiciables pour sa notoriété scientifique et pour les peuples du monde qu’il veut protéger, à propos du reportage du 20 h de France 2, du dimanche 15 novembre 2020, sur le film réalisé par Pierre Barnerias.

La plainte de M.Fourtillan contenait des déclarations selon lesquelles ses comptes bancaires auraient été gelés, le laissant sans moyen de paiement.

Une vidéo postée ce jour sur YouTube fait état de cet internement et en détaille les contours, elle s’adresse à l’hôpital et à son personnel en expliquant que M. Fourtillan serait retenu contre son gré.

https://www.youtube.com/embed/lAW358AxiKk

Un internement qui pose question. Serait-ce lié à la plainte déposée, aux patchs utilisés par le professeur, ou bien à ses déclarations sur les brevets dans le film Hold-up ? Visiblement on ne sait toujours pas de quel Hold-up il s’agit, l’avenir nous le dira.
 

Pendant qu’un citoyen français est interné, le site ConspiracyWatch qui se présente comme un observatoire contre le conspirationnisme, utilise le nom de Mr Fourtillan pour faire de la publicité. Ce site se permet d’évaluer des personnes et des sociétés, mais il est ici pris au piège en achetant des mots-clés pour se placer en haut des réponse de Google.  ConspiracyWatch, un site qui fait de l’information sélective et paie son référencement sur Google en surfant sur la notoriété des gens qu’il traite de complotiste. Arroseur arrosé.  Voyons si les pratiques de ce site seront dénoncées par les vérificateurs d’information. 

Après la censure, la liberté d’expression, les convocations des médecins à l’ordre pour diverses raisons, les menaces de mort contre le Pr Raoult, nous assistons à une privation de liberté par internement contre son gré du Pr Fourtillan.

Où va-t-on s’arrêter ? C’est bien le premier mot de la devise nationale qui est mis à mal.


Retrouvez le CV du professeur Fourtillan

NOM : Jean-Bernard FOURTILLAN, Ph. D., Ingénieur Chimiste, Pharmacien, Pharmacien des Hôpitaux, Professeur de Chimie Thérapeutique et Pharmacocinétique à la Faculté de Médecine et de Pharmacie de l’Université de Poitiers Expert Pharmacologue Toxicologue spécialisé en Pharmacocinétique

Auteur(s): FranceSoir


[Voir aussi :




Truquées ou pas truquées ? Voici enfin le résultat de l’expertise de 16 machines à voter de Dominion

[Source : Dreuz.info]

Accrochez-vous bien : voici le rapport de l’expertise légale des 16 machines de Dominion Voting Systems du comté d’Antrim, dans le Michigan.

« Le logiciel Dominion a été conçu intentionnellement pour influencer les résultats des élections » conclut l’expert informatique que le tribunal a autorisé à examiner les 16 machines à voter du comté d’Antrim, dans le Michigan.

Sur la base de notre étude, nous concluons que le Dominion Voting System ne devrait pas être utilisé au Michigan. Nous concluons en outre que les résultats du comté d’Antrim n’auraient pas dû être certifiés.

Voici les extraits du rapport préliminaire publié par Russell Ramsland Jr, co-fondateur du groupe Allied Security Operations Group (nous allons mettre cet article à jour au fur et à mesure que nous prenons connaissance du contenu de l’expertise. Merci de recharger la page régulièrement pour voir les dernières mises à jour) :

  1. «Nous concluons que le système de vote de Dominion est intentionnellement et délibérément conçu avec des erreurs inhérentes destinées à créer une fraude systémique et influencer les résultats des élections.

    Le système génère intentionnellement un nombre extrêmement élevé d’erreurs de vote.

    Les bulletins de vote électroniques sont ensuite transférés pour adjudication. Mais ces erreurs intentionnelles conduisent à un traitement en masse des bulletins de vote, sans surveillance, sans transparence et sans piste d’audit. Cela conduit à des fraudes électorales.

  2. «Le taux d’erreur électorale admissible établi par les directives de la Commission électorale fédérale est de 1 sur 250 000 bulletins de vote (.0008 %). Nous avons observé un taux d’erreur de 68,05 %. Cela démontre une erreur significative et fatale en matière de sécurité et d’intégrité des élections».
  3. Le journal de tabulation pour l’examen légal du serveur du comté d’Antrim à partir du 6 décembre 2020 comprend 15 676 événements individuels, dont 10 667, soit 68,05 % des événements, étaient des erreurs enregistrées. Ces erreurs ont entraîné des erreurs globales de tabulation ou l’envoi de bulletins de vote à l’arbitrage. Ce taux d’erreur élevé prouve que le Dominion Voting System est défectueux et ne respecte pas les lois électorales des États ou du gouvernement fédéral.
  4. «Un nombre stupéfiant de bulletins de a nécessité un jugement [par un adjudicateur]. Il s’agit d’un problème qui n’a pas été observé lors des précédents cycles électoraux, lesquels étaient toujours stockés sur le serveur… Les erreurs intentionnelles ont conduit à un jugement en masse des bulletins de vote sans aucune surveillance, sans transparence ni signe d’audit.
  5. «Il est significatif que le système informatique montre les journaux d’adjudication des votes des années précédentes ; mais toutes les entrées du journal d’adjudication pour le cycle électoral de 2020 sont manquantes. Le processus d’adjudication est le moyen le plus simple de manipuler manuellement les votes».
  6. «L’absence de registres [pour l’élection de 2020] empêche toute forme d’audit, et leur absence manifeste est extrêmement suspecte puisque les fichiers existent pour les années précédentes en utilisant le même logiciel».
  7. «La suppression de ces dossiers viole la loi de l’État et empêche un audit significatif, même si le secrétaire d’Etat voulait effectuer un audit. Nous devons conclure que les dossiers du cycle électoral de 2020 ont été supprimés manuellement».
  8. «De même, tous les journaux de sécurité des serveurs antérieurs à 23 h 3 le 4 novembre 2020 sont manquants. Cela signifie que tous les journaux de sécurité pour le lendemain de l’élection, le jour de l’élection et avant le jour de l’élection ont disparu».
  9. «D’autres journaux de serveur avant le 4 novembre 2020 sont présents ; il n’y a donc pas d’explication raisonnable pour que les journaux de sécurité soient manquants».
  10. Nos conclusions montrent que les totaux de la bande de tabulation du canton de Central Lake ont été modifiés de manière significative en utilisant deux versions différentes du programme – une modification avant les élections (23/10/2020) et une autre après les élections (le 05/11/ 2020), qui étaient tous deux des modifications logicielles apportées lors d’une élection, en violation de la loi électorale, et pas seulement une erreur humaine associée au système de gestion des élections du Dominion.
  11. «Ces changements de système affectent la façon dont les bulletins de vote sont lus et tabulés, et notre examen a démontré un changement significatif dans les résultats des électeurs en utilisant les deux programmes différents.»
  12. Ces changements de logiciels sont en infraction avec la période de 90 jours de la « sphère de sécurité » qui interdit de modifier les systèmes électoraux, les registres, les mises à jour de matériel/logiciels sans avoir à se soumettre à une nouvelle certification.
  13. La seule raison de changer de logiciel après l’élection est de dissimuler des preuves de fraude et/ou de corriger des erreurs de programme qui auraient pour effet de décertifier l’élection.
  14. Voici une ventilation des votes tabulés pour l’élection de 2020 dans le comté d’Antrim, montrant les différents résultats à différentes dates de tabulation des mêmes votes, et montrant que Trump a gagné – sans la fraude.
Date Electeurs inscrits Votes exprimés Biden Trump 3e parti A la main Total
3 nov 22,082 16,047 7,769 4,509 145 14 12,423
5 nov 22,082 18,059 7,289 9,783 255 20 17,327
21 nov 22,082 16,044 5,960 9,748 241 23 15,959

Le retournement du vote de Trump à Biden s’est produit à cause d’une erreur intégrée dans le logiciel de vote conçu pour créer une erreur

« Cela démontre de façon concluante que les votes peuvent être et ont été modifiés lors du deuxième comptage machine après la mise à jour du logiciel. »

  1. Le greffier du comté d’Antrim et le secrétaire d’État Jocelyn Benson ont déclaré que l’erreur commise le soir de l’élection (détaillée ci-dessus par le « retournement » du vote de Trump à Biden) était le résultat d’une erreur humaine due au fait que la tabulatrice du canton de Mancelona n’a pas été mise à jour avant la nuit de l’élection.

    Nous ne sommes pas d’accord et concluons que le retournement du vote s’est produit à cause d’une erreur de machine intégrée dans le logiciel de vote conçu pour créer une erreur.

  2. Dans le canton de Central Lake, 1 222 bulletins de vote ont été annulés sur un total de 1 491, soit un taux de rejet de 81,96 %. Tous les bulletins annulés sont envoyés à l’arbitrage pour décision par le personnel électoral.
  3. La vidéo publiée dans notre article précédent, qui montre comment tricher lors de l’arbitrage, est mentionnée dans le rapport d’expertise.
  4. Le comté d’Antrim n’a pas mis à jour son système informatique, soit par incompétence, négligence grave, mauvaise foi ou non-respect délibéré de la sécurité fondamentale du système requise par la législation fédérale et celle des États. Il est impossible que ce système de gestion des élections ait réussi les tests ou ait été légalement certifié pour mener les élections de 2020.
  5. Les machines du Dominion ImageCast Precinct (ICP) ont la possibilité d’être connectées à internet – en violation des lois électorales. Comme certains fichiers ont été supprimés, nous n’avons pas encore trouvé si des données ont été transmises ou reçues ; mais nos recherches se poursuivent.
  6. Les identifiants et mots de passe des comptes d’utilisateurs du logiciel Dominion Democracy Suite sont stockés dans des tables non sécurisées de la base de données, et les multiples comptes d’administrateurs du système électoral partagent le même mot de passe, ce qui signifie qu’on ne peut pas savoir qui a pu changer des vote, les supprimer, ou modifier ou décider des votes par grosse quantité en une seule opération.
  7. Le « taux d’erreur » élevé dans le logiciel électoral (dans ce cas, 68,05 %) permet d’utiliser un algorithme qui pondérera un candidat plus qu’un autre (par exemple, attribuer arbitrairement à un candidat spécifique ⅔ des résultats, et ⅓ à l’autre). Dans les logs, nous avons constaté que cet algorithme était activé. Cela a permit à quelqu’un d’appliquer une valeur numérique arbitraire aux candidats et de modifier le résultat global.
  8. Nous concluons que les erreurs sont si importantes qu’elles remettent en cause l’intégrité et la légitimité des résultats de l’élection du comté d’Antrim, au point que les résultats ne sont pas certifiables. Comme les mêmes machines et logiciels sont utilisés dans 48 autres comtés du Michigan, cela jette un doute sur l’intégrité de l’ensemble de l’élection dans l’État du Michigan.

Processus

Nous nous sommes rendus dans le comté d’Antrim à deux reprises : le 27 novembre 2020 et le 6 décembre 2020.

Le 27 novembre 2020, nous avons visité le canton de Central Lake, le canton de Star et le canton de Mancelona. Nous avons examiné les tabulateurs de Dominion Voting Systems et les rôles des tabulateurs.

Le 6 décembre 2020, nous avons visité le bureau du greffier du comté d’Antrim. Nous avons inspecté et effectué les copies informatiques suivantes :

  1. Le serveur de gestion des élections du comté d’Antrim, qui gère le Dominion Democracy Suite 5.5.3-002 ;
  2. Les cartes Compact Flash utilisées par les circonscriptions locales dans leur Dominion ImageCast Precinct ;
  3. Les clés USB utilisées par le Dominion VAT (terminaux d’assistance aux électeurs) ; et
  4. Les Clé USB utilisée pour le registre des sondages.

Conclusion

  • Il semble que l’expert explique qu’un audit précis soit impossible, puisque le journal a été effacé. Il ne fait aucun doute que cette absence de preuve va peser très lourdement devant les tribunaux, qui vont très probablement s’arc-bouter sur ce petit bout de non-preuve pour rejeter ou refuser d’examiner l’audit. Peut-être diront-ils que c’est trop tard ?
  • Que va faire le président Trump ?
  • Que va-t-il pouvoir faire, alors que les tribunaux ont tous refusé d’examiner les témoignages de fraude jusqu’à maintenant.
  • A supposer qu’un juge du Michigan décertifie les résultats du comté d’Antrim, étendra-t-il une demande d’expertise aux autres machines de l’Etat ?
  • Les autres machines de l’Etat ont-elles été effacées ? Si elles sont intactes, présenteraient-elles toutes les mêmes preuves de fraude ?
  • Les avocats de Donald Trump vont évidemment s’appuyer sur ce rapport préliminaire pour demander l’expertise de la totalité des machines Dominion. Quel juge acceptera de donner son accord ?

Voilà les question légitimes qu’il convient de se poser au moment d’écrire ces lignes.

Reproduction autorisée avec la mention suivante :
© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.




La fausse pandémie de Covid-19 est le plus grand crime contre l’Humanité, selon un avocat allemand

[Source : Fils de Pangolin]

Bonjour, je m’appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J’ai pratiqué le droit principalement en tant qu’avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde. VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars. Je suis également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d’experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent. Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l’ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer. Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée « scandale du Corona ». Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil. Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l’humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus. C’est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s’est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis.

Les crimes contre l’humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire lorsqu’ils ont concerné les principaux criminels de guerre du troisième Reich. Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité sont régis par l’article 7 du Code pénal international. Les trois grandes questions auxquelles il faut répondre dans le cadre d’une approche judiciaire du scandale du Corona sont les suivantes:
1- Y a-t-il une pandémie de Corona ou seulement une pandémie de test PCR ? Plus précisément, un résultat positif au test PCR signifie-t-il que la personne testée est infectée par le Covid-19 ou cela ne signifie-t-il absolument rien en rapport avec l’infection par le Covid-19 ?

2- Les mesures dites anticorona telles que le confinement, les masques faciaux obligatoires, la distanciation sociale et les règlements de quarantaine servent-ils à protéger la population mondiale contre le Corona ? Ou ces mesures ne servent-elles qu’à faire paniquer les gens pour qu’ils croient, sans se poser de questions, que leur vie est en danger afin, qu’en fin de compte, les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente des tests PCR, tests antigènes et anticorps et vaccins, ainsi qu’à la récolte de nos empreintes digitales génétiques ?

Et 3- Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet d’un lobbying massif ? Plus que tout autre pays, les principaux protagonistes de cette soi-disant pandémie de Corona, M. Drosten, virologiste à l’hôpital de la Charité à Berlin, M. Wheeler, vétérinaire et chef de l’équivalent allemand du CDC, le RKI, et M. Tedros, chef de l’Organisation mondiale de la santé ou OMS, ont fait savoir que l’Allemagne était un pays particulièrement discipliné et qu’elle devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son respect strict, et bien sûr réussi, des mesures de lutte contre le Corona.

Source [en anglais] ➡️ https://youtu.be/kr04gHbP5MQ

https://youtu.be/UQFZHtnW8DY



Élections US : L’avocate Sydney Powell va « libérer le Kraken » !

[Source : ]

Est-ce que des fraudes électorales massives ont lieux aux USA en 2020 ?

Sidney Powell, avocate de Michael Flynn, nous parle des fraudes du système Dominion et de l’interférence étrangère.




Les projets des Maîtres du Monde

[Source : Les projets des Maîtres du Monde. Écrit en 1999 par Sylvain Timsit]
Stratégies pour un contrôle global de la société

Les projets et les objectifs des « Maitres du Monde » pour le contrôle des individus et de la société…
Certains projets concernent notre futur proche. D’autres sont déjà devenus une réalité…

Les
projets
Stades de réalisation
5 – projet totalement réalisé
4 – majoritairement réalisé
3 – partiellement réalisé
2 – début de réalisation
1- stade préliminaire
Les
objectifs
(bénéfices attendus
pour le contrôle social)
Les moyens utilisés
Degrés de mise en application
5 – totale
4 – majoritaire
3 – avancée
2 – partielle
1- préliminaire
Manipulations
génétiques

Fin de la procréation humaine naturelle

Création d’humains génétiquement modifiés, clonage

Fin de la procréation naturelle et libre.

Réalisation du « meilleur des
mondes
 » d’Aldous Huxley 
Horizon de réalisation: 2020

Obtention de l’accord du public: très difficile
Stade de réalisation: 1 

OBJECTIFS 

Développement d’un nouveau marché: celui des enfants-produits, vendus
sur catalogue, avec des qualités physiques et psychiques
proportionnelles à leur prix de vente (enfants beaux et intelligents
vendus très cher pour les riches, enfants laids et bêtes vendus moins
cher pour les pauvres…) 

Création d’humains mutants spécialisés, adaptés au travail et au rang
social qu’on leur destine. 

Modification génétique de la « nature humaine » 

Création d’humains aux facultés intellectuelles « bridées » 

Limitation génétique du libre-arbitre, de l’anticonformisme, de
l’imagination… 

Limitation de l’aptitude au bonheur, du sentiment d’union avec les
autres ou avec la nature

MOYENS
UTILISES
 Diffusion massive dans
l’environnement de pesticides, PCB (polychlorobiphényles), et autres
polluants connus pour leurs effets d’augmentation de la stérilité
masculine.
Lorsque suffisamment d’humains seront stériles, le seul choix sera de
recourir à la procréation artificielle.
Degré d’application: 4  

Banaliser le recours aux techniques de procréation artificielle, en les
justifiant par des motivations médicales: bébés-éprouvette, mères
porteuses, couveuses pour bébés prématurés nés à 6 mois…
Degré d’application: 3 

Banaliser les manipulations génétiques justifiées par des motivations
médicales (thérapies géniques, prévention génétique des maladies)
Degré d’application: 2 

Les moyen ultimes:

 Proposer aux populations d’échanger la liberté de procréer
contre l’accès à la « pilule d’immortalité » ou de « super-longévité » que
les laboratoires ont déjà mise au point (à partir d’un cocktail
d’hormones, de vitamines, d’oligo-éléments, d’anti-oxydants, et de
certains extraits végétaux).

Compte-tenu des problèmes démographiques que causerait cette future
pilule, son accès serait réservé aux personnes qui auront accepté de se
faire stériliser.

A terme, l’égoïsme des gens leur fera choisir la « vie éternelle » plutôt
que la possibilité d’avoir des enfants naturels. D’autre part, la
tentation d’accepter sera renforcée par la possibilité de choisir sur
catalogue les caractéristiques de son enfant.
Degré
d’application: 0 

 Utiliser
des virus manipulés génétiquement pour greffer des gènes modifiés dans
l’ADN des individus, à leur insu et contre leur volonté. La mutation
génétique se propagerait exactement comme une épidémie.

Les laboratoires pharmaceutiques pourraient aussi utiliser cette
méthode pour créer de nouvelles maladies dont ils seraient les seuls à
vendre le remède…
Degré d’application: 2

Rendre
floue la frontière entre le vivant
et le non-vivant

Augmenter la confusion du public sur ce qui distingue les êtres vivants
et les machines.
Horizon de réalisation: 2000

Obtention de l’accord du public: assez aisée
Stade de réalisation: 3

OBJECTIFS 
Obtenir une acceptation plus facile des manipulations génétiques et des
futurs implants
MOYENS
UTILISES
 
Banaliser et multiplier les machines qui imitent l’apparence ou le
comportement des êtres vivants:
– robots-jouets, tamagoshis
– réalités virtuelles, artefacts, avatars…
– animateurs TV virtuels
– au cinéma: personnages androïdes ou porteurs d’implants bioniques,
créatures mi-hommes mi-machines…
Degré d’application: 3
Implants

Faire entrer les machines dans les corps

Horizon de réalisation: 2012
Obtention de l’accord du public: difficile
Stade de réalisation: 2

OBJECTIFS
Contrôle des corps et des esprits par des implants
électroniques et des prothèses bioniques

Création d’humains aux fonctions modifiées Préparer le terrain pour que
le public accepte les futurs implants
de localisation et d’identification greffés sous la peau

Généralisation du recours aux implants par les salariés pour accroître
leurs performances professionnelles(implants neuronaux pour accroître
la mémoire et les capacités de calcul, implants bioniques pour
accroître la force ou les capacités physiques…)

Bientôt, le recours à des « implants professionnels » sera indispensable
pour avoir des chances de trouver un travail. voir l’article « Vers
un contrôle social bionique
« 

MOYENS UTILISES
Banaliser les implants à usage médical, afin de diminuer la méfiance
instinctive du public à l’égard de l’intrusion de la machine dans le
corps.
Degré d’application: 4

Promouvoir la mode des piercings, pour habituer
le public à l’intrusion des objets matériels dans le corps.
Degré d’application: 5

Rendre obligatoire les implants pour
l’identification des animaux domestiques.

Degré d’application: 4
Organiser (ou laisser s’organiser) un attentat
nucléaire dans une ville occidentale pour rendre obligatoires les
implants de localisation et d’identification pour chaque individu, au
nom de la « sécurité » et de la « lutte contre le terrorisme ».
Degré d’application: 3

Traçabilité
totale des individus

Horizon de réalisation: 2000
Obtention de l’accord du public: aisée
Stade de réalisation: 4
OBJECTIFS

Obtenir une connaissance précise du « profil » de chaque individu:
opinions, comportements, déplacements, fréquentations, habitudes,
standard de vie…

Pouvoir localiser chaque individu avec précision et en temps réel, où
qu’il se trouve.

MOYENS UTILISES
Fichiers informatiques, cartes de crédit, téléphones portables,
Internet, réseau Echelon… Tous les moyens actuels de surveillance
électronique sont détaillés sur la page « Une
liberté sous surveillance électronique
« …
Degré d’application: 5

Placer une balise de localisation par satellite sur toutes les voitures.
Aux Etats-Unis, les voitures produites par certaines marques intègrent
déjà ce système, qui est présenté au consommateur comme un avantage
pour sa sécurité en cas d’accident (la balise avertit automatiquement
le centre de secours et transmet la localisation précise de l’accident)
L’adhésion du public sera obtenue à coup sûr grâce à une promesse de
réduction des cotisations d’assurance: la balise réduira en effet les
vols de voiture, celles-ci pouvant être instantanément localisées.
Degré d’application: 3

Développer des systèmes individuels de localisation et
d’identification: collier ou bracelet électronique, implant
électronique placé sous la peau, ou tatouage sur la peau d’un code
barre invisible à la lumière ordinaire (lisible par un scanner)

Aux Etats-Unis ou en France, le bracelet électronique est déjà
expérimenté sur des prisonniers en liberté surveillée.

L’implant de localisation existe
également: de la taille d’un grain de riz, la puce « Digital Angel » est
fabriquée par la société Applied
Digital Solutions (ADSX) qui édite un site
spécial
consacré à Digital Angel.

Plus fort encore, une autre société dénommée « Alien
Technology » (sic!) produit depuis 2002 une micro-puce de la
taille d’un grain de sable (environ 100 microns de coté). Cette
technologie a été mise au point au Centre Auto-ID, un laboratoire
installé au sein du MIT (Massachusetts Institute of Technology), et
financé par d’importants industriels, parmi lesquels Gillette, Procter
& Gamble ou Philip Morris.
Degré d’application: 2

Généralisation
de la monnaie électronique

Horizon de réalisation: 2010

Obtention de l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 4

OBJECTIFS
Traçabilité totale des achats effectués par les individus. Connaissance
accrue de leur comportement et de leur profil social et culturel.

Association automatique de consommateurs identifiés par leur carte à
des produits identifiés par le code-barre. Possibilité de « débrancher »
un individu gênant des systèmes informatiques, et de lui couper tout
accès à la consommation (y compris pour les produits nécessaires à la
survie quotidienne).
Possibilité d’enlever toute existence économique à un individu.

MOYENS
UTILISES 
Populariser les cartes de crédit, en mettant l’accent sur leur facilité
d’utilisation
Degré d’application: 5

 Lancer le porte-monnaie électronique, appelé à remplacer
totalement l’argent liquide
Degré d’application: 2

 Mettre en avant les problèmes de sécurité et de coût liés au
transport et à la fabrication de l’argent liquide. Démontrer que
l’argent liquide est devenu obsolète à l’age du numérique.
Degré d’application: 2

Abêtisation
de la population
 
Horizon de réalisation: 1990
Obtention de l’accord du public: très facile
Stade de réalisation: 5 
OBJECTIFS 
Empêcher le public de réfléchir et de se poser intelligemment des
questions sur sa condition, et sur la manière dont la société est
organisée et dirigée. 

Rendre le public plus facilement manipulable en affaiblissant ses
capacités d’analyse et de sens critique

MOYENS
UTILISES 
Diffuser massivement des programmes TV débilitants Noyer les
informations et connaissances importantes dans un flot d’informations
insignifiantes
.
Censure par le trop-plein d’informations. 
Promouvoir des loisirs de masse débilitants 

Encourager la consommation de tranquillisants et somnifères 

Autoriser sans restriction la consommation d’alcool, et le vendre à un
prix accessible aux plus défavorisés. 

Faire en sorte que l’éducation donnée aux « couches inférieures » soit du
plus bas niveau possible.

Réduire le budget de l’éducation publique, et laisser se développer
dans les écoles des conditions de chaos et d’insécurité qui rendent
impossible un enseignement de qualité. 

Limiter la diffusion des connaissances scientifiques (en
particulier dans les domaines de la physique quantique, de la
neurobiologie, et surtout de la cybernétique –
la science du contrôle des systèmes vivants ou non-vivants).

Limiter aussi la diffusion des concepts les plus puissants concernant
l’économie, la sociologie, ou la philosophie.

Parler au public de technologie plutôt que de science. 
Degré d’application: 5

Affaiblir
les énergies individuelles
 
Horizon de réalisation: 1990

Obtention de l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 5  

OBJECTIFS 
Les biologistes ont démontré que le stress et un faible niveau
d’énergie physique et mentale permettent d’obtenir l’inhibition de
l’action (voir les ouvrages du neurobiologiste Henri Laborit,
ou le film d’Alain Resnais « Mon oncle d’Amérique »)

L’inhibition de l’action diminue la capacité de réaction des individus,
et rend leur rébellion plus improbable.

Affaiblir les énergies individuelles permet aussi de diminuer les
capacités de réflexion et d’organisation de la population.

MOYENS UTILISES
Augmenter le niveau de stress des individus.Rendre leur survie
économique de plus en plus difficile et précaire (renforcement de la
« pression économique »)

Créer des environnements urbains laids et déshumanisés, et d’où la
nature est totalement absente

Maintenir des conditions stressantes dans les transports en commun et
la circulation automobile.

Laisser se développer une violence urbaine permanente dans les
quartiers défavorisés. Laisser augmenter la pollution

Rendre les gens à demi-malades, grâce à l’alimentation industrielle.
Puis, aggraver leur état grâce aux effets secondaires des médicaments
censés les soigner. L’industrie agro-alimentaire et l’industrie
pharmaceutique se donnent la main et partagent les mêmes intérêts…
(tout cela étant financé par les populations, via les systèmes
d’assurance-maladie)

Encourager la consommation de somnifères et de tranquillisants.
Autoriser sans restriction la consommation d’alcool

Saturer l’espace par des rayonnements électromagnétiques nuisibles au
fonctionnement du cerveau: émetteurs pour les téléphones portables,
ondes hertziennes, lignes électriques à haute tension…
Degré d’application: 5

Anéantissement
du pouvoir des états


Horizon de réalisation: 1995

Obtention de l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 4

OBJECTIFS
 voir
l’article « Le pouvoir a
déjà changé de mains
« 
MOYENS
UTILISES
 voir l’article « Le pouvoir a
déjà changé de mains
« 
Création
d’armées et de polices privées
 
Horizon de réalisation: 2020
Obtention de l’accord du public: difficile
Stade de réalisation: 1
OBJECTIFS 
Donner aux grandes multinationales la possibilité de défendre
directement leurs intérêts dans le monde, en attaquant les états qui ne
se plieront pas aux règles du nouvel ordre économique.
Une armée privée existe déjà au Etats-Unis. Il s’agit des
sociétés DynCorp, CACI,
et MPRI,
prototypes des futures armées privées.
Dyncorp est intervenu dans de nombreuses régions où les États-Unis
souhaitaient intervenir militairement sans en porter la responsabilité
directe (en Amérique du Sud, au Soudan, au Koweït, en Indonésie, au
Kosovo, en Irak…). Les armées privées (appelées
« sous-traitants » par le Pentagone) représentent 10% des effectifs
américains envoyés en Irak.
 
MOYENS
UTILISES 
Commencer par banaliser l’existence de polices et milices privées, pour
les résidences ou les quartiers les plus riches
Degré d’application: 2 

Renforcer la propagande pour une économie ultra-libérale, et présenter
l’idée d’armée privées comme un moyen de diminuer le coût des armées
tout en améliorant leur efficacité, grâce au principe d’économies
d’échelle (en louant les services d’armées privées, les états n’auront
plus besoin d’entretenir en permanence une armée nationale dont
l’utilisation effective n’est que ponctuelle)
Degré d’application: 2

Mind
Control
Technologies de contrôle des
esprits Horizon de réalisation: 2005
Obtention de l’accord du public: facile (grâce
à son ignorance scientifique)
Stade de réalisation: 2 
 les antennes du projet HAARP en Alaska
OBJECTIFS 
Contrôle ultime des individus Contrôle électronique de
l’humeur et du comportement des populations Possibilité
d’influencer une foule, en la rendant apathique, ou au contraire
subitement violente (des tests ont peut-être été effectués au
Rwanda, au Burundi, et en ex-Yougoslavie)
MOYENS
UTILISES 
Emission d’ondes psychotroniques (ondes basse fréquence ou très haute
fréquence, capables d’influencer le fonctionnement du cerveau en
interférant avec les ondes utilisées par les processus cérébraux).
En cours d’expérimentation: le projet HAARP développé
par l’armée américaine à Gakona en Alaska, et les expériences menées
sur la base américaine de Pine Gap en Australie.
Degré d’application: 3  

Contaminer l’eau et les aliments avec des molécules agissant sur
l’humeur et sur l’esprit.
Degré d’application: ?

 Diffuser dans l’eau ou les aliments des micro-robots (ou
« nano-machines ») invisibles à l’oeil nu. Une fois dans le corps, des
centaines de micro-robots porteurs d’une micro-puce électronique
pourraient aller se greffer sur les neurones pour en prendre le
contrôle.

Des nano-robots invisibles à l’oeil nu ont déjà été produits, et
l’interfaçage neurone-microprocesseur a
déjà été expérimenté avec succès en laboratoire.
La technologie des micro-processeurs ultra-miniaturisés est également
maitrisée depuis quelques années.
Degré d’application: 1

Destruction
de la nature sauvage


Horizon de réalisation: 2000Obtention de
l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 4

OBJECTIFS
 voir
l’article « La destruction
de la nature est voulue
« 
MOYENS
UTILISES
 voir l’article « La destruction
de la nature est voulue
« 
Black-out
sur les extra-terrestres

Horizon de réalisation: 1950
Stade de réalisation: 5
OBJECTIFS
 Empêcher
le public de rêver d’une
autre référence que l’ordre social actuel, et l’empêcher d’élargir son
horizon intellectuel et conceptuel. Ne pas laisser le champ de
conscience des individus s’étendre au-delà de notre planète et de son
ordre social.
MOYENS UTILISES
Décrédibiliser les témoignages à propos
des OVNI. Décrédibiliser les scientifiques qui se risqueraient à
travailler sur le sujet. Infiltrer les associations d’ufologues afin
que leur discours et leur action soit caricaturale et ne puissent être
pris au sérieux. Maintenir le secret militaire sur les observations
effectuées par des pilotes de l’armée ou certains astronautes.
Classer « top secret » les contacts déjà établis avec d’autres
civilisations depuis les années 50 (depuis que notre planète a attiré
des visiteurs, en se faisant repérer depuis l’espace les émissions
hertziennes et par les explosions atomiques: bombes de Hiroshima et
Nagasaki, mais aussi les quelques 600 explosions atmosphériques
réalisés pour les tests militaires jusque dans les années 70)
Degré
d’application: 5

© Sylvain Timsit – Syti.net, 1999 




Fermeture d’un fleuron de l’imprimerie française (pour empêcher la souveraineté monétaire ?)

[Souce : la revue de presse de Pierre Jovanovic]

MORT PROVOQUEE DE L’IMPRIMERIE ARJOWIGGINS SECURITY QUI AURAIT PU IMPRIMER DES FRANCS EN CAS DE SORTIE DE L’EUROPE 
du 4 au 8 février 2019 
JOUY SUR MORIN, 77, FRANCE
Comment vous assurer qu’un pays a été définitivement mis en esclavage à votre profit ? 

Lui supprimer sa monnaie bien sûr (chose faite), la gestion de ses banques (chose faite), lui voler sa Bourse (chose faite) et, au final, lui détruire toute imprimerie high-tech qui lui permetterait de fabriquer de nouveaux billets banque, si par malheur (du point de vue de tous les idolâtres européistes) ’il lui venait la mauvaise idée de reprendre son indépendance.

J’ai personnellement assisté à ce spectacle, noyé dans le silence ouaté de la neige, de la mise à mort de l’imprimerie Arjowiggins Security qui existe depuis l’an 1619 (autant dire l’une des plus anciennes usines de France).

Elle a été liquidée selon un plan parfaitement orchestré par les plus hautes autorités de l’État français aux ordres de Bruxelles (objet de l’article suivant). Les technocrates complices n’ont ainsi pas hésité à sacrifier 200 malheureux de plus qui iront pointer au chômage, et que l’on devra payer avec nos impôts parce que Bruxelles refuse l’idée que la France puisse disposer d’une quelconque indépendance financière.

CQFD: Il importait donc de tuer l’imprimerie française la plus sophistiquée en termes de planche à billets (au sens propre) afin qu’il n’en reste plus que des cendres. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com2008-201

AVEC L’AIDE D’UN HEDGE FUNDS AMERICAIN L’ETAT FRANCAIS A SACRIFIE L’IMPRIMERIE ALORS QUE LE CARNET DE COMMANDES ETAIT PLEIN 
du 4 au 8 février 2019 
JOUY SUR MORIN, 77, FRANCE
L’imprimerie Arjowiggins de Crèvecoeur près de Jouy sur Morin a été fondée au XVIIe siècle… Je ne savais pas qu’il existait encore en France des entreprises qui avaient réussi à traverser autant de siècles. Le site est classé Défense Nationale, dans le sens où elle bénéficie des mêmes critères de protection externes et internes qu’un site militaire comme par exemple la DGSE installée à côté de la piscine des Tourelles à Paris. Une seule entrée possible.

Autant de dire qu’à elle seule, cette imprimerie est un trésor national au même titre que la Tapisserie de Bayeux dont la première référence date de 1476 et qui a survécu à toutes les guerres et pillages. Et comme elle fabrique du papier hautement sécurisé anti-fraude, elle est plus qu’une simple imprimerie (du moins dans votre esprit et le mien): c’est un actif humain et industriel impératif pour chaque Etat qui se doit de disposer d’un tel savoir-faire et par dessus tout le protéger de toute incursion étrangère.

C’est là que tous les passeports sont fabriqués (le vôtre, le mien et celui de Benalla), les chèques de banque, les cartes-grises et les bobines de planche à billets pour les Banques Centrales d’autres Etats.

Ce site a même imprimé des euros avant que sa fabrication lui soit mystérieusement retirée… preuve s’il en fallait une que la volonté de l’affaiblir économiquement était déjà actée.

Elle appartient (appartenait puisqu’elle a été mise en liquidation juciaire le 16 janvier 2019) au groupe Sequana, nouveau nom (en 2005) de la banque Worms, principale banque qui a joyeusement collaboré avec le régime de Vichy entre 1940 et 1944. Mais ce n’est pas Sequana-Worms qui a liquidé l’imprimerie mais bien un hedge funds américain. Via ma consoeur Faustine Loison de Papetier.news: « A peine 10 mois après le rachat (de l’imprimerie) par le groupe germano-suisse Blue Motion Technologies, le site d’Arjowiggins Security … fermera ses portes le 30 janvier 2019… Depuis plusieurs mois, les salariés s’inquiétaient de la situation de l’entreprise fiduciaire et s’interrogeaient sur le fait que Blue Motion(appartient au hedge funds américain Partner Capital Group, lire ici et aussi ici ) n’avait pas encore investi dans l’outil de fabrication, contrairement à ce que le groupe aurait indiqué lors du rachat » lire ici.

Et pour vous montrer à quel point l’Etat français a les mains rouges de sang social, on doit noter qu’en 2012 la Banque Publique d’Investissement (une sorte de banque d’Etat d’aide aux industries comme OSEO pour les Pme-Pmi) est devenu l’actionnaire majoritaire du groupe Sequana (ex-Worms) propriétaire de l’imprimerie et de ses brevets high-tech… 

Bref, avec des centaines de clients dans le monde pour le papier monnaie, plus les passeports, les cartes grises, les chèques, etc., etc., cette imprimerie avait un carnet de commandes qui se renouvellait automatiquement et naturellement, même si les paiements par cartes de crédit ont amputé son chiffre dans la fabrication des papier-monnaie. Mais cela n’explique pas sa liquidation aussi soudaine que violente.

Les salariés du site m’ont rapporté les propos de la juge du tribunal de commerce de Nanterre: « Elle nous a expliqué qu’elle n’avait jamais vu une entreprise être fermée aussi vite alors qu’on avait un carnet de commandes rempli jusqu’en 2020. La direction n’a même pas voulu d’un plan social, ce qui est d’autant plus suspect que 30% des salariés étaient prêts à partir à la retraite en 2019.

Vos lecteurs doivent savoir qu’une autre imprimerie, Smurfit, qui ne fabriquait que des cartons kraft pour les emballages comme les cartons de pizza a été rachetée par le fonds de retraite américain Kappa. Eh bien, elle a fermé. Notez la différence: cela n’a pas pris 15 jours, mais bien 18 mois ! » Revue de Presse par Pierre Jovanovic ©www.jovanovic.com 2008-201

LES OUVRIERS BRULENT LES CARTES GRISES ET LES PAPIERS SECURISES DES BANQUES CENTRALES D’ISRAEL ET ARABIE SAOUDITE 
du 4 au 8 février 2019 
JOUY SUR MORIN, 77, FRANCE

reportage jovanovic imprimerie arjowiggins jouy sur morin février 2019
jovanovic  arjowiggins 2019
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Pour la petite histoire, Arjowiggins est le résultat de la fusion entre l’imprimerie anglaise Wiggins et la française Arjomari Paul Prioux (papier cigarettes). Pour les salariés la longue histoire a pris fin ce 16 janvier et mon contact Bernard est extrêmement amer: « L’imprimerie a été reprise par les Suisses-Allemands parce qu’il y avait des brevets bancaires et brevets fiduciaires qui valaient des millions d’euros en royalties. Sequona était cotée en bourse. Le cours était à 6 euros au plus haut, et aujourd’hui plus que 30 centimes.

Ces gens sont des voyous, ils ont même vendu VHP en Hollande au concurrent Oberthur avec tous les brevets. Mais c’est le contribuable français qui va payer toutes les sommes versées et non remboursées.

Notre imprimerie est hautement spécialisée et très technologique dans la fabrication de papiers spéciaux anti fraude pour les billets de banque, passeports, chèques de banque, cartes grises et autres documents administratifs. A un moment donné on fabriquait plus de 220 devises pour autant de pays (par exemple Mexique, Inde) avant la zone euro. On fabrique les bobines de papier spécial sur laquelle chaque Banque Centrale imprime ensuite ses couleurs et dénominations. Notre technologie est un savoir-faire typiquement français qu’on exporte dans le monde entier et cela depuis des siècles !!! Cette imprimerie est un fleuron national.

Imaginez que depuis peu temps, les Cartes Vitales sont fabriquées en Inde… Nous, on a décide de brûler toutes les bobines pour les Cartes Grises, une toutes les 12 heures jusqu’à ce que quelqu’un fasse quelque chose. On veut des indemnités dignes de ce nom ou bien que l’imprimerie soit reprise.

On a décidé d’occuper l’usine 24h sur 24 et vous devez savoir qu’on dispose d’une année entière de ces stocks de bobines. L’Etat, lui n’a que 1 mois de stock devant lui avant d’pour imprimer ailleurs. Une bobine de papier spécial Carte Grise pèse 200 kilos avec une longueur de 10 km. Ca peut brûler longtemps.

A 100 euros la carte grise, l’Etat perd des millions en nous mettant en liquidation, disons 20 millions d’euros. Je pense que les CRS débarqueront à un moment donné, aussi on s’est enfermés dans l’usine.

Le cocasse de l’histoire est que notre imprimerie dispose de la même sécurisation que la centrale nucléaire de Nogent, en raison de la nature hyper sensible des impressions (note: un camion qui transportait des passeports vierges a été attaqué voici quelques années sur la route après sa sortie de l’usine).

Sachez que la ministre du Travail n’a même pas daigné venir, elle nous a juste envoyé une équipe, et c’est tout, et qui va « réfléchir ». Mr Jacob en revanche, député de la Seine et Marne nous défend, mais il n’a aucun véritable pouvoir.

Dites bien à vos lecteurs que nous ne sommes pas en grève. C’est le tribunal qui a abruptement mis fin à l’existence de notre usine en la mettant en liquidation judiciaire alors qu’elle aurait pu nous mettre en observation.

Pour votre information, Pascal Lebard, 17e fortune de France, grand ami de Sarkozy et de Lagardère, est actionnaire de Sequona. Il a même été directeur général, et il a tout vendu en 2018. Et justement en septembre 2018, Franck Charbonnier, le directeur du site, savait à l’avance que notre usine serait liquidée puisqu’on a vu sur les papiers qu’il avait déjà coché la case demandant la Liquidation Judiciaire par avance. Encore plus étrange, il a refusé que notre usine travaille pour la Banque de France.

Alors on a commencé à brûler aussi le papier des billets d’Arabie Saoudite et d’Israel histoire d’envoyer un message au plus haut et pour faire des grosses vagues« .

Quand les Saoudiens et les Israeliens vont voir que leurs billets sont en train de brûler en France devant les médias, en effet, ils risquent de très mal le prendre. Quand on est banquier, on fait très attention à son imprimeur et surtout papetier.

Une chose est sûre, Macron va en entendre parler. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2019




Le Canada adopte à son tour le programme de censure autoritariste

[Source : Mondialisation.ca]

Par Kurt Nimmo

Voici comment le Canada répondra au journalisme citoyen et à la
démystification de la trame narrative : en forçant les contribuables à
subventionner l’escroquerie des médias institutionnels. 

« Les organismes fédéraux publieront une liste des journaux et des sites Web jugés fiables dans le cadre d’un programme de subventions de plusieurs millions de dollars. Le ministère des Finances en a fait l’annonce hier au Comité sénatorial des finances nationales ». C’est ce que rapporte un site Web d’Ottawa, le Blacklock’s Reporter.

Le projet de loi C-97, Loi d’exécution du budget, propose un
crédit d’impôt de 15 %, jusqu’à concurrence de 75 $, aux abonnés de
sites Web exploités par « une organisation journalistique canadienne
qualifiée ». Les critères s’y rapportant ne sont pas connus. Le crédit
d’impôt devrait coûter 11 millions de dollars en 2020. Il prendra fin en
2024. 

Le projet de loi modifie aussi la Loi de l’impôt sur le revenu
afin de pouvoir offrir de lucratives subventions sur les salaires aux
organes de presse qui « se consacrent principalement à la production de
contenu de nouvelles écrites originales ». Un total de 360 millions de
dollars devrait être versé sur une période de quatre ans au moyen d’un
crédit d’impôt équivalant à 25 % des dépenses salariales des éditeurs,
soit l’équivalent d’un montant maximal de 13 750 $ par employé de la
salle de presse, avec effet rétroactif jusqu’au 1
er janvier 2019. 

Les Canadiens seront non seulement obligés de payer les salaires des
sténographes qualifiés de journalistes par le gouvernement, mais ce
dernier veut s’assurer que le citoyen moyen se garde de consulter de
« fausses informations » sur les médias sociaux.

Tiré de Global News :

Le premier ministre Justin Trudeau a affirmé que les plateformes
numériques « ne respectent pas leurs responsabilités envers leurs
usagers », lorsqu’il a pris la parole jeudi à l’occasion de la
conférence Viva Technology à Paris.

Il a dit que son gouvernement tiendrait les entreprises
responsables de la désinformation, et qu’elles devaient apporter des
améliorations majeures à leurs moyens de régler la question, sans quoi
elles s’exposent à des « conséquences financières significatives… » 

À propos des prochaines élections fédérales au Canada, il a dit
que le gouvernement prenait des mesures pour éliminer les infaux et
qu’un nouveau groupe de travail a été mis sur pied pour déceler les
menaces qui planent sur ces élections et empêcher toute interférence
étrangère. 

Le parlement de Singapour a approuvé la loi sur la protection contre les faussetés et la manipulation en ligne le 8 mai 2019.

Tiré du Activist Post :

En vertu de la loi, un ministre du gouvernement peut exiger des
administrateurs de sites Web, des fournisseurs de services Internet et
même des groupes de discussion privés de corriger ou de retirer
immédiatement les « infaux » de leurs domaines. Mais la définition de ce
qui est considéré comme faux ou trompeur est remarquablement vague. 

L’appel de Christchurch » contribue à favoriser une campagne visant à nettoyer Internet de tout contenu que le gouvernement qualifie de dangereux. 

L’Appel de Christchurch est un engagement pris par les
gouvernements et les sociétés technologiques afin d’éliminer les
contenus en ligne terroristes et extrémistes violents. Il repose sur la
conviction qu’un Internet libre, ouvert et sécurisé offre des avantages
extraordinaires à la société. Le respect de la liberté d’expression est
fondamental. Cependant,
personne n’a le droit de créer et de partager du contenu terroriste et extrémiste violent en ligne.

La définition de terroriste et d’extrémiste violent est évidemment
remarquablement vague, ce qui permet à l’État d’y inclure toute personne
ou tout groupe qu’il cherche à discréditer et à cibler pour l’éliminer. 

« Le terme extrémiste décrit une personne qui adhère à une idéologie perçue comme très éloignée des attitudes jugées acceptables par la société en général. Les
extrémistes ne sont pas tous des terroristes. Certains ont des
croyances extrémistes, mais n’ont pas recours à la violence pour les
faire valoir. Certains extrémistes maintiennent des versions extrêmes de
points de vue qui peuvent être considérés comme normaux », explique la ligue anti-diffamation.

Autrement dit, si vous déviez de la trame narrative défendue par
l’État, vous serez « perçu comme très éloigné des attitudes jugées
acceptables par la société en général » ou, comme en France, en
Allemagne et, dorénavant, en Nouvelle-Zélande et au Canada, vous serez
condamné à une amende et peut-être aussi à une peine d’emprisonnement
pour avoir commis le crime d’avoir tenu un discours non approuvé, donc
extrémiste et dangereux. 

Les médias institutionnels ont assez bien réussi à confondre le
populisme et le nationalisme avec la suprématie blanche. Ils sont
également parvenus à dépeindre les militants antiguerre de la gauche et
de la droite comme des partisans du terrorisme et des outils de
propagande volontaires ou non de Bachar al-Assad en Syrie, des mollahs
en Iran et de Vladimir Poutine en Russie, qui cherchent à nuire à la
démocratie. 

Le cancer de la censure autoritariste prend de l’ampleur après chaque
attaque terroriste douteuse. La terreur islamiste fait maintenant
concurrence au nationalisme blanc pour faire la manchette.

Toute critique de l’élite financière et de son système de Ponzi
financier est qualifiée d’antisémitisme et devient ainsi un discours de
haine qui doit être censuré et éventuellement puni. 

Kurt Nimmo

[Source originale anglaise : Another Day in the Empire]




La vallée européenne de ceux qui sont tombés : réflexions sur Franco, le féminisme et la fin de l’homme.

[Source : Le blog de Moïra Forest]

Par Gearóid Ó Colmáin

La
Journée internationale des femmes est devenue plus militante ces
dernières années. Alors que la civilisation européenne entre dans
une période de crise terminale, le féminisme et la confusion des
genres sont devenues les composants clé de la dictature de classe.
Nous sommes retournés au chaos de la Chute ; sinon dans cet épisode,
Eve tue Adam, bloquant tout espoir de salut.

Le
8 mars dernier, Journée internationale des femmes, j’ai visité la
Valle de los Caídos – la Vallée de ceux qui sont tombés, à San
Lorenzo de El Escorial, à l’extérieur de Madrid. Une gigantesque
croix de 150 mètres est érigée sur la coupole d’une basilique
taillée dans les montagnes de la Sierra de Guadarrama. Taillée dans
une crête de granit, la Basilique de la Santa Cruz del Valle de los
Caídos (basilique de la Sainte Croix de la Vallée de ceux qui sont
tombés) est l’une des merveilles du monde.

L’ancien
dictateur d’Espagne, Francisco Franco et le leader phalangiste José
Antonio Primo de Rivera sont enterrés dans la basilique. Franco a
ordonné aux architectes Pedro Muguruza et Diego Méndez de
construire la basilique dans le style Renaissance espagnole pour
refléter la « grandeur des monuments anciens qui défient le temps
et la mémoire. » L’enceinte qui abrite la basilique couvre 1300
hectares de forêts. Le site abrite aussi une abbaye bénédictine et
une auberge.

Le
général Franco voulait que le monument constitue « un acte
national d’expiation » pour les horreurs de la Guerre d’Espagne
(1936 – 1939). 40.000 personnes des côtés républicains et
nationalistes du conflit sont enterrés là. La gauche espagnole veut
que le corps de Franco soit exhumé de la basilique pour transformer
le bâtiment en musée contre le fascisme mais Santiago Cantera, le
prieur de l’abbaye bénédictine adjacente à la basilique, refuse
de permettre aux autorités d’entrer dans le bâtiment. Il dit que
le gouvernement ne peut exhumer le corps sans le consentement de
la famille de Franco. Cantera, un universitaire et intellectuel, a
été auparavant un politicien du parti phalangiste indépendant
avant de devenir un moine bénédictin.

La
Vallée de ceux qui sont tombés détient les dépouilles de
centaines de victimes des deux côtés de la Guerre d’Espagne (1936
– 1939). Il a été construit comme une tentative de réconcilier un
pays divisé. On ne peut imaginer endroit du monde plus « patriarcal
» à visiter pour la Journée internationale des femmes que la tombe
de Franco car à coup sûr, le régime de Franco était la
quintessence de l’oppression masculiniste des femmes. Cependant,
Pio Moa, un ancien opposant communiste de Franco, dans son
livre Franco
para Antifranquistas – 36 preguntas clave – Franco pour les anti-
franquistes, 36 questions clés, 
dit
que l’inverse est le cas en fait. L’étude qui suit est une
réflection sur le concept de la libération dans le contexte de
l’Espagne de Franco et le patriarcat en général. Les régimes
autoritaires et patriarcaux oppressent-ils les femmes ? L’Église
catholique romaine est-elle misogyne ?

Le
patriarcat est la condition de la libération des femmes

Durant
la dictature de Franco, les femmes espagnoles, argumente-t-il, se
sont plus épanouies qu’auparavant. Quelques statistiques
intéressantes ont été rassemblées pour soutenir ses déclarations.
Bien que Franco n’ait jamais été un membre de la Phalange
espagnole, beaucoup de ses membres ont collaboré avec son régime.
La Phalange a une idéologie sociale révolutionnaire. Ils voulaient
transformer et renouveler la société espagnole qu’ils
voyaient comme décadente et corrompue par le capitalisme.

La
Phalange avait une section spéciale féminine. la Sección
Feminina 
glorifiait
les scientifiques femmes Marie Curie et Lisa Meitner comme modèles à
suivre pour les femmes espagnoles.Même la célèbre nonne
lieutenant, Catalina de Erauso, était étudiée. Catalina de Erauso
était une religieuse espagnole qui s’est échappée de son couvent
déguisée en homme et qui s’est embarquée dans une série
d’aventures militaires et lesbiennes en Amérique Latine. Dans le
discours post-structuraliste, Catalina de Erauso est un parfait
exemple de « fluidité de genre » – un exemple à suivre. Mais dans
l’Espagne franquiste, elle a été considérée comme une
merveilleuse excentrique devant être étudiée et appréciée en
tant que part de l’histoire et du folklore – et non un modèle à
suivre.

L’éducation des femmes s’est développée de façon exponentielle pendant la dictature de Franco. En fait, le nombre de filles surpassait celui des garçons dans les écoles primaires et l’éducation du troisième cycle était encouragée.

Avant
1970, la participation des femmes dans l’industrie avait augmenté
de 25%. Pilar Primo de Rivera, la chef de la Sección
Feminina 
de
la Phalange, était responsable de la promulgation des droits
politiques, professionnels et ouvrières des femmes de 1961. On dit
que les phalangistes ont promu une vision de la femme inférieure aux
hommes. Il n y a aucune preuve de telles déclarations. La vision
phalangiste des femmes était qu’elles étaient différentes des
hommes, et par conséquent, avaient des roles différents dans la
société – ce qui ne serait pas une position particulièrement
radicale ou sujet à controverse dans une culture rationnelle.

La
Phalange espagnole voulait une Espagne moderne et progressiste où,
comme ils l’avaient souligné, les femmes seraient plus propres,
les enfants en meilleure santé, les gens plus heureux et les foyers
plus lumineux. C’est vrai que le vote à l’échelon municipal
était le fait des hommes car ils étaient les chefs de leurs
familles et la famille était la base de la société. Encore une
fois, pourquoi cela serait-il un problème pour les femmes ?
Aujourd’hui bien des femmes tendent à se fier à leurs maris pour
décider comment elles vont voter, et dans le même temps, des femmes
informées politiquement vont souvent influencer leurs maris.

Dans une famille unie, le vote des hommes devraient représenter tous les intérêts de la famille dans son ensemble. Dans l’arène politique, la famille parlerait d’une seule voix.

La
vue phalangiste des femmes étaient en accord avec l’enseignement
social de l’Église catholique : les femmes avaient un rôle
spécial dans la société en tant que mères et premières
pourvoyeuses de soins aux enfants. Cela a été souvent interprété
comme étant la promotion de la femme « inférieure » à
l’homme, mais quelle sorte de culture considérerait la
reproduction de la vie comme inférieure aux autres activités ?
Peut-être une société hyper capitaliste où le but de la vie
humaine est de servir pour maximiser les profits des prêteurs
d’argent ?

Pendant
la dictature de Franco, l’économie espagnole était deuxième
derrière le Japon dans le rythme rapide de son développement
économique. 

Le
modèle d’économie politique corporatiste et protectionniste a
assuré l’augmentation des salaires modestes et des gains
importants pour la classe ouvrière. Le chômage est resté en
dessous des 2% pendant la plus grande partie des années Franco grâce
au rapide développement industriel du pays. Il a immédiatement
augmenté de façon astronomique après 1975.

Pendant
cette période, l’Espagne est devenue l’un des pays les plus
développés du monde. Les femmes ont énormément bénéficié de la
stabilité sociale. La violence domestique contre les femmes était
bien plus faible qu’elle ne l’est aujourd’hui. Le viol était
rare ; aujourd’hui, il augmente de façon exponentielle.

Pour justifier l’introduction du divorce dans les années 1980, la gauche espagnole a déclaré qu’un demi million de personnes étaient en attente de séparation. Cependant, en 1987, seul 20.000 couples avaient divorcé. Dès 2006, le nombre avait monté à 100.000.

Aujourd’hui,
plus de 30% des mères ne sont pas mariées, le taux de natalité est
en chute et comme par exemple en 2011, 118.000 avortements ont été
pratiqués en Espagne. Nous sommes bien loin des suppliantes voilées
dans la basilique de Franco ! Avec 63%, l’Espagne a le cinquième
plus haut taux de divorce en Europe. L’avortement a été légalisé
en 1937 par le régime « socialiste » de Francisco Largo Caballero.
Il est nécessaire de savoir que les sociétés réellement
socialistes comme l’URSS de Staline avaient interdit l’avortement
et encourageaient les familles nombreuses. Demandez à n’importe
quel gauchiste ce qu’il pense de l’avortement et vous obtiendrez
de la tergiversation. Les gauchistes proclament leur opposition aux
guerres et à l’oppression des plus faibles mais arracher des bébés
des ventres de leurs mères à une échelle industrielle, les jeter
dans des poubelles et utiliser leurs membres pour des expériences
médicales est parfaitement civilisé et progressiste !

Alors
que j’étais dans la Vallée de ceux qui sont tombés, j’ai parlé
au frère Cantera. A la porte de l’accueil du monastère, j’ai
été reçu froidement par un moine assez méfiant. Il semblait qu’il
croyait que j’allais être hostile. Je pouvais voir de la peur dans
ses yeux. Une fois qu’il sembla satisfait que je ne sois pas un
autre ennemi, il est devenu la personne la plus aimable du monde et a
arrangé une rencontre avec le frère Cantera.

 Pendant
ma rencontre avec frère Cantera, nous avons parlé du  déclin
de la Chrétienté en Europe et de l’effondrement de la
civilisation.

Il m’a montré un article au sujet de la « conversion écologique » des oecuménistes dans l’Église catholique, qui désormais organisent des groupes de prières avec des membres d’autres croyances pour adorer la Mère Nature.

«
Cela ressemble à une rencontre de druides ». Il a secoué la tête.
« C’est fondamentalement diabolique » s’est-il lamenté. Frère
Santiago est régulièrement diabolisé dans la presse espagnole.
J’ai trouvé que c’est un homme réfléchi, gentil et
profondément humble.

Lorsque
je suis retourné à Madrid, les rues étaient remplies de féministes
avec des cheveux tondus aux couleurs criardes, des bottillons
Dr.Martens et des piercings au nez. Nombre d’entre elles
ressemblaient à Catalina de Erauso !

Franco
était un ennemi invétéré et sans pitié de la franc-maçonnerie
et des sociétés secrètes. A l’extérieur de l’un des
principaux cinémas, une publicité énorme pour une série télévisée
américaine récente « American Gods » avec l’habituelle et
rabâchée symbolique illuminati de la culture poubelle.
Contrairement à un mythe populaire, Franco ne s’est jamais opposé
à la République espagnole. Son opposition était contre la montée
de la franc-maçonnerie et des sociétés secrètes. En tant que
général dans l’armée espagnole, il a été témoin de la montée
néfaste des francs-maçons parmi ses rangs et dans l’arène
politique.

Les
francs-maçons ont parlé de « démocratie » et de la «
volonté populaire » mais Franco avait compris que la volonté
populaire en Espagne à cette époque, c’était le catholicisme.

Le
gens ne voulaient pas d’un soi-dans « état laïc » mais
d’emplois et de progrès économique.

La
soi-disante séparation de l’Eglise et de l’Etat est un mythe.
L’Église catholique a toujours fait la distinction entre la sphère
spirituelle et la sphère temporelle.

Le
fascisme est-il l’idéologie de la classe ouvrière ?

Arrivés
à ce point, les esprits de certains lecteurs doivent résonner
d’échos intempestifs du mot fascisme. Ainsi, qu’en est-il du
fascisme ? Franco était-il fasciste et suis-je moi-même fasciste ?
peu de gens en fait comprennent le terme fascisme.

Le mouvement fasciste en Italie s’est développé au sein des luttes ouvrières et paysannes à la fin du XIXe siècle en Sicile. C’était un mouvement des pauvres contre les riches propriétaires terriens et les capitalistes.

Les Fasci
Siciliani dei Lavoratori 
(ligues
de travailleurs siciliens) était un mouvement de gauche, composé
principalement de socialistes et de communistes qui se battaient pour
l’émancipation prolétarienne en Sicile.

Le
mot fascio signifie
faisceau. Un fasciste est un confectionneur de faisceaux. Les batons
peuvent facilement être cassés mais il est plus difficile de casser
des faisceaux. En s’unissant, la classe ouvrière peut réaliser
des gains importants contre les capitalistes et quelque fois même
les renverser. Dans un sens étymologique, néanmoins, tout groupe
d’intérêt ouvrier est fasciste. Mais il y a par conséquent un
sens sociologique qui est aussi vraie aujourd’hui. Si vous soutenez
la classe ouvrière, vous êtes un fasciste. L’idéologie de
l’élite dirigeante n’est-elle pas anti-fasciste ?

Si
nous devons faire le moindre progrès politique ce siècle-ci, nous
devons nous ré-approprier la langue et la décontaminer.

Le
fascisme signifie le collectivisme et en tant que tel, cela peut être
une bonne comme une mauvaise chose, qui dépendent de ce que sont les
politiques concrètes.

Le
fascisme était une idéologie radicale qui cherchait à combiner ce
qu’il y avait d’important dans la tradition, en clair le
catholicisme avec ce qu’il y avait de nécessaire pour le travail,
en clair une rémunération décente. C’était de gauche en terme
de travail et de droite en terme de valeurs. Mais les conservateurs
considérait le fascisme comme un mouvement radical et de gauche.
Franco était conservateur. Alors qu’il admirait bien des aspects
du national-socialisme allemand et du fascisme italien, son idéologie
est mieux décrite en tant que catholique, monarchiste et
conservatrice. C’est la raison pour laquelle Franco a marginalisé
la Phalange radicale espagnole.

La
Phalange espagnole a été dirigée par José Antonio Primo de
Rivera, un intellectuel dont les idées ont été inspirées par José
Ortega Y Gasset, Lénine, Spengler, Nietzsche et Mussolini.

La
Phalange espagnole luttait contre la classe dirigeante mais voulait
un état corporatiste organique.

Beaucoup
d’analystes font la confusion entre le corporatisme et la
corporatocratie. La dernière étant une société contrôlée par
les corporations.

Le
corporatisme est une forme de société basée sur les corporations
professionnelles ou les guildes et la collaboration de classe.
Cela correspond aux structures des guildes médiévales. Certains s’y
réfèrent comme une forme de socialisme de guilde.

Les corporatistes croient que la démocratie au travail devrait remplacer la démocratie parlementaire. Mais, au contraire des communistes, Ils croient dans les hiérarchies naturelles et la loi naturelle.

Les
communistes ont toujours considéré le fascisme comme une forme
d’oligarchie financière – un système terroriste utilisé par les
oligarques pour éviter la révolution sociale. Mais cela correspond
plus à la démocratie libérale qu’au fascisme. Comme le
communisme, le fascisme est devenu un mot vide de sens dans le
discours contemporain. Le terme est utilisé par les élites pour
faire taire la classe ouvrière. Le problème du militantisme ouvrier
aujourd’hui n’est pas qu’il soit fasciste mais plutôt qu’il
ne le soit pas !

Franco
l’anti-fasciste

Lorsque
Franco a pris le pouvoir, il a marginalisé les phalangistes radicaux
et a crée un régime hybride qui a préservé une bonne partie de la
classe dirigeante corrompue. Pour cette raison, les phalangistes
d’Espagne l’ont considéré comme un traître.

La différence entre le franquisme et le phalangisme pourrait être comparé aux Menchéviks et aux Bolchéviks au sein des démocrates sociaux russes.

Les
Menchéviks, dont Trotksy était un membre, étaient compatibles avec
les intérêts impérialistes, alors que les Bolchéviques voulaient
une révolution sociale.

Plus
qu’une dictature du prolétariat comme dans l’Union Soviétique de
Staline où les moyens de production étaient socialisés, José
Antonio Primo de Rivera appelait à un état dirigiste travaillant de
façon organique avec les syndicats. En termes marxistes, la vision
de

Riviera
serait parvenu au capitalisme alors que l’extraction du la valeur en
surplus provenant du travail aurait été maintenu.

La
critique marxiste classique du phalangisme est qu’il s’agit d’une
idéologie petite bourgeoise qui échoue à surmonter les
contradictions fondamentales de l’accumulation du capital.

Mais
il est néanmoins intéressant d’imaginer comment une telle société
aurait fonctionné dans le contexte d’une Église revigorée
prêchant contre l’usure.

Le
fascisme soviétique

Après
1957, les réformes de Krouchtchev en URSS qui établissaient à
nouveau les relations capitalistes de production, il n’y avait plus
de morale supérieure pour guider les travailleurs autres que le
« parti » quasi divin et la nomenklatura de plus en plus
corrompue. Ce n’est pas le socialisme qui a échoué en URSS, mais
plutôt le capitalisme d’état. Le socialisme sous Staline a amené
le plus grand progrès social et économique de l’histoire de la
Russie.

Après la contre-révolution khrouchtchévienne en 1956, si subtilement décrite par le grand communiste irlandais Neil Gould, des marxistes-léninistes comme Bill Bland ont décrit l’URSS comme un état fasciste.

En
d’autres mots, pour Bland, l’URSS post-Staline était un état qui
proclamait être socialiste mais dans lequel les relations
capitalistes de production dirigeait l’économie. La restauration
capitaliste en URSS a entraîné 30 ans de déclin économique
jusqu’au surgissement du néo-libéralisme dans les années 1990.

C’est
aussi l’Amérique « socialiste » de Roosevelt qui a mené à
la plus grande prospérité économique et pas seulement en Amérique.

Goebbels a loué les politiques économiques de Roosevelt qui avaient des similitudes avec celles des nationaux-socialistes allemands.

Lorsque
José Antonio Primo de Rivera a été arrêté et jugé par le
gouvernement Républicain en 1936, il a expliqué que lui aussi avait
combattu contre l’élite dirigeante espagnole. Il a été néanmoins
exécuté. Cela atteste de la médiocrité de la gauche
petite-bourgeoise en Espagne du fait qu’il avait fusillé un ennemi
sympathisant sur bien des points à leur propre cause.

La
collaboration finale de Franco avec l’OTAN et les institutions
financières américaines dans les années 1960 étaient opposée par
les phalangistes. Dans notre monde post-moderne de slogans sans
aucun sens, de clichés et d’enseignement de l’ignorance, nous nous
engageons rarement dans un débat qui a du sens, de discussion ou
d’échanges d’idées. En m’instruisant sur José Antonio Primo de
rivera, les Fasci
Siciliani 
et
d’autres mouvements, cela m’a fait comprendre que peut-être que je
suis sous certains aspects, un « fasciste » ou un
phalangiste.

Bien sûr, la subtilité des polémiques que j’essaye d’articuler ici va être perdue pour le simple d’esprit.

J’ai
souvent été accusé d’être un fasciste. Désormais, je
considérerai l’appellation comme un compliment pour lequel je n’ai
peu de mérite !

Comme
les fascistes et les phalangistes, je ne crois pas à la démocratie
parlementaire. Comme les phalangistes espagnols, mais au contraire de
bien des fascistes, je crois que seul une résurgence du catholicisme
romain traditionnel en Europe sauvera l’humanité de
l’auto-destruction. La doctrine catholique sur la dignité du travail
et les maux de l’usure la rend incompatible avec le capitalisme.

En
tant qu’ancien communiste, j’apprécie la valeur, le sens de l’amitié
et l’héroïsme de la lutte communiste dans la Guerre d’Espagne, si
bien documentée dans le livre d’Arthur Landis Spain
: the Unfinished Revolution (Espagne : la révolution inachevée
).
Les phalangistes affirment que les communistes ont commis des
atrocités contre les catholiques pendant la Guerre d’Espagne mais
ils ignorent le fait que des trotskystes ont, dans une proportion
importante, infiltré le mouvement communiste. Dans son livre, Soviet
Policy and Its Critics (Politique soviétique et sa critique
),
J.R. Cambell a écrit :

 » Cependant, l’un des problèmes les plus importants auquel faisaient face les travailleurs espagnols était de gagner lespaysans à la mentalité religieuse pour le Front Populaire. L’incendie d’églises créait des difficultés à cette tâche vitale et aidait la contre-révolution à un tel point que dans différentes parties du pays, avant la rébellion fasciste, les groupes fascistes étaient surpris la main dans le sac en train de brûler des églises. Il n y avait pas d’illusion à se faire sur l’utilisation qu’ils pouvaient faire de l’incendie d’églises « dans la manière ancestrale de paysans opprimés ». La résistance de la masse de travailleurs catholique en dehors de l’Espagne à l’organisation d’actions de solidarité effectives est quelque part le prix à payer pour l’incendie d’églises. »

Les
anti-communistes feraient mieux de méditer les lignes au dessus.

Exactement
comme les anti-franquistes ont servi l’opportunisme néolibéral, les
mensonges anti communistes ont servi les mêmes forces.

Les
vues phalangistes et communistes sur la Guerre d’Espagne ont été
effacées de l’histoire. A la place, beaucoup d’opinions sur la
guerre se sont basé sur le trotskyste britannique et espion de la
police George Orwell et son livre Hommage
à la Catalogne
.
Il est vrai néanmoins que les nationalistes espagnols ont de bonnes
raisons de détester les Soviétiques pour leur intervention dans la
guerre séparatiste catalane mais peu de nationalistes espagnols sont
conscients que des milliers de crimes atroces commis contre le clergé
catholique ont été menés par des trotskystes et des anarchistes et
ont été condamnés par les communistes.

Le
catalan et l’Union des républiques russes sionistes

Aujourd’hui
l’Espagne fait face à une autre crise séparatiste en Catalogne. Il
est évident selon les reportages biaisés de la presse russe à
l’étranger que Moscou soutient les séparatistes. Ils sont aussi,
ironiquement, soutenus par l’UE. Et par Israël. Le plan mondialiste
à long terme pour les nations européennes est la régionalisation.
L’Espagne va se fragmenter en micro- états « indépendants »
contrôlés – non pas par l’Union Européenne qui va s’effondrer –
mais par l’Union Eurasienne. C’est la raison pour laquelle
l’eurasisme n’est pas la réponse à long terme à nos problèmes.
Comme Orwell l’a exprimé : « Océania était en guerre contre
Eurasia ; par conséquent, Océania avait toujours été en guerre
contre Eurasia. »

Selon l’ancien député du parti populaire Milián Mestre, La Russie et Israël veulent des bases militaires en Catalogne. Dans un article précédent, j’ai déjà démontré la proximité des liens financiers et sécuritaires entre les séparatistes catalans et Israël. Milián Mestre, qui a rencontré personnellement Poutine, déclare que les Russes aimerait étendre leur influence dans la Méditerranée occidentale.

Les
Russes déclarent être des négociateurs de paix dans l’affaire
séparatiste catalane mais il est clair qu’ils sont du côté des
séparatistes, les élites européennes les soutiennent. Ils
comprennent que les nations doivent disparaître et laisser la place
à un système d’un état global en « deux-partis »
avec Eurasia à droite et Océania à gauche, les deux étant
contrôlés par la même oligarchie mondialiste.

Il
y a quelque chose de troublant concernant ces auteurs de dystopies du
XXe siècle : Orwell, Huxley et Wells. C’est comme s’ils avait eu
l’histoire interne sur l’avenir ou peut-être, en tant qu’importantes
figures politiques parmi l’élite, ils avaient secrètement accès à
des plans qu’ils pouvaient divulguer uniquement sous forme de
fiction.

Le but à long terme des sionistes est de provoquer une guerre entre la Russie et les Etats-Unis pour qu’Israël puisse soutenir les deux côtés et émerger en tant qu’état dirigeant du monde.

Il
est probable que l’Europe va encore être le théâtre de cette
guerre. Cela prend un sens géopolitique pour la Russie de soutenir
le mouvement d’indépendance catalan mais cela ne consolera pas les
nationalistes espagnols qui veulent sauver un état-nation qui existe
depuis au moins le douzième concile de Tolède en 681.

Nous ne pouvons pas dire que la Russie de Poutine est un acteur volontaire ou involontaire dans les plans d’Israël pour la guerre mondiale. Ce qui est certain cependant, c’est que les juifs russes sont lourdement impliqués en Catalogne ; ils ont un pouvoir significatif en Russie et Israël est leur état. La force de police catalane, les « Mossos » sont entraînés par les Israéliens et les officiels catalans de haut-rang ont dit qu’Israël est leur banque. Nous pouvons remarquer sans surprise que les gauchistes juifs « pro russes » en Occident sont déjà ralliés autour du mouvement sioniste catalan pour « l’indépendance ».

Comme
c’est ironique que les féministes et les anarchistes catalans aient
une couverture favorable des agences de presse de leur némésis
Poutine ! 

Le
retour au jardin d’Eden

(Adam et Eve (1932) par le peintre phalangiste Rosario de Velasco)

Pour
approfondir notre conceptualisation des femmes sous les régimes
autoritaires catholiques, nous devons retourner à la théologie.

Dans
la Genèse, Eve, séduite par les fruits de l’Arbre de Vie, succombe
à Satan, causant la chute d’Adam. Dans le Christ, Dieu est devenu un
nouvel Adam et a été lui même cloué sur l’arbre pour qu’il puisse
être réconcilié avec Lui et ne pas être condamné à erreur pour
toujours dans la vallée de ceux qui sont tombés sous la
tyrannie de Satan. C’est peut-être la signification la plus profonde
de la Valle de los Caídos dans notre contexte contemporain.

Alors qu’il agonisait sur la croix, le Christ dit à sa mère Marie :  » Mère, voilà votre fils. ». Il faisait allusion à l’apôtre Jean qui était debout près d’elle au pied de la croix. Puis le Christ dit à Jean : « Voilà ta mère « . A la suite, Notre seigneur s’exclama : « tout est consommé !  » Marie est devenue l’Église catholique et apostolique romaine qui restera jusque la fin des temps, le roc éternel contre lequel les pouvoirs de l’Enfer ne prévaudront pas.

En
tant qu’Église, elle devient la mère de l’humanité. La mort du
Fils de l’Homme devient des noces divines : la sanctification de
l’éternelle régénération de la vie. La Vierge bénie est une
nouvelle Eve à qui les enfants bannis du Jardin d’Eden pleurent de
la vallée du deuil et des sanglots, la Vallée de Ceux qui sont
tombés. Fulton Sheen nous dit que la Vierge bénie passe à travers
trois phases. La première, comme un rêve dans l’esprit de Dieu,
puis en tant que mère et finalement en tant qu’épouse. Le Nouveau
et l’Ancien Testament de la Bible peuvent être vus comme un mariage
entre Dieu et Israël. Dans Isaïe 54:5, Dieu dit à Israël : « car
ton créateur est ton époux. »

Marie représente l’Israël de l’Ancien Testament attendant le futur Messie. Au pied de la croix, Marie, en tant qu’Israël, deviens l’épouse du Seigneur, de l’Eglise universelle.

L’Ancien
Testament est matriarcal, violent et irrationnel. Doit-on s’étonner
que les Juifs se conduisent de cette façon, ayant voilé leur coeurs
de la vérité du Nouveau Testament ? Doit-on s’étonner qu’ils
fassent la promotion du féminisme, de l’homosexualité, de toutes
sortes de pseudo-science et de la perversion morale du monde ? Car si
Marie était restée l’Ancien Testament, ne serait-elle pas plutôt
Marie-Madeleine avant sa repentance, la prostituée de Babylone
? Et n’est-ce pas l’idéal de l’éco-féminisme, de l’Union
Européenne, de notre Nouvelle Babylone ?

Le
christianisme est la structure neurologique de la raison humaine.

Notre chute de la grâce nous a banni du monde sombre et barbare de l’Ancien Testament, dans les mains du matriarcat et de l’irrationalité, en clair, de la tyrannie. La prêtrise de la nouvelle tyrannie est la judéo-maçonnerie. L’objet de sa dévotion est la Mère Nature qui tue Dieu dans son ventre.

Le
christianisme est accusé de façon erronée de dénigrer les femmes.
La vérité est qu’aucune civilisation dans l’histoire n’a élevé le
statut de la femme dans la société plus que le christianisme. C’est
une femme, et non un homme, qui est couronnée aux Cieux. Dieu est
venu au monde par l’intermédiaire d’une femme et chaque homme est
appelé à imiter les souffrances du Christ pour son bien-être.
Chaque homme vient à la vie par une femme et passe à la vie
éternelle par le ventre de la Mère Eglise.

Avant
l’infiltration maçonnique de l’Église catholique à la
conférence de Vatican II de 1962-1965, les femmes portaient le voile
à l’Eglise – non pas parce qu’elles étaient inférieures aux
hommes mais parce que, dans la théologie catholique, les femmes ont
une relation particulière avec Dieu. Le rôle de l’homme est
d’être à la tête de la famille. Il lui est par conséquent
demandé de se sacrifier pour sa famille, comme le Christ l’a fait
sur la croix.

Être le chef de famille ne rend pas les hommes maîtres de leurs femmes et libres de les traiter selon leurs caprices. Au contraire, cela demande une totale dévotion à elles ; une perspective qui terrifierait bien des hommes modernes. 

Le
sacrifice du Christ sur la croix donne naissance à l’Église et
Marie est sa mère. L’Église est le seul moyen par lequel la
perdition des âmes peut être évité ; c’est le ventre de la vie
éternelle où la création se produit. Pendant la messe, nous
mourrons spirituellement et nous renaissons par le corps mystique du
Christ dans l’Eucharistie.

Tout
comme le tabernacle et le ciboire sont couverts pendant la messe, la
femme l’est aussi ; son voile signifie sa sainteté. Dans le
catholicisme, le but de la vie n’est pas la carrière, le pouvoir
et le profit mais la sainteté. Le catéchisme du l’Eglise
catholique est simplement un livre de règles de base visant à
sortir de ce monde de souffrance vivante ! Il ne nous permet pas
l’utopie dans cette vie-ci mais les outils de base pour rester
humain face à la souffrance.

Dans
une Europe post-chrétienne, l’homme est devenu une personne en
deuil dans la Vallée des ceux qui sont tombés. Dans ce ténébreux
Théâtre de l’Absurde, la géolocalisation de la gauche et de la
droite est devenue un bavardage sans aucun sens.

La
guerre contre le christianisme est une guerre contre la vérité.

Partout
en Europe, les églises sont vandalisées et profanées. Bien des
attaques sont à peine mentionnées dans les médias libéraux. En
Espagne, les religieuses sont de façon routinière attaquées
verbalement et physiquement par les féministes. Des activistes Femen
nues protestent dans les églises.

Le
mouvement féministe tout entier est une insulte à l’intelligence
humaine ; il a été conçu par des oligarques américains dans les
années 1960 pour aliéner les femmes de leur nature, les
incitant à imiter les hommes et les transformer en esclaves du
salariat.

Le féminisme est la misogynie ultime. les oligarques qui font la promotion du féminisme se sont vantés de leurs exploits.

C’est
le féminisme qui rend nos femmes esclaves, et non le patriarcat. Les
filles dans nos écoles sont endoctrinées dans le nouveau culte ;
c’est une forme perverse de rébellion institutionnalisée : les «
rebelles » sont aidées et soutenue par le système auquel elles
affirment s’opposer. J’ai vu une illustration poignante de cela à
Madrid lors de la Journée internationale des femmes : un supermarché
avait fait une offre spéciale pour ses clients pour célébrer la
journée des femmes. Un groupe de féministes ont inscrit un graffiti
sur la publicité avec les mots « féminisme ou barbarie ». Que
c’est ironique et d’une stupidité abêtissante !

Cela
a pris 18 ans au régime de Franco pour construire la basilique de la
Vallée de ceux qui sont tombés. La gauche espagnole a essayé
d’affirmer que le travail esclavagiste a été utilisé dans sa
construction. En fait, les travailleurs ont eu de bon salaires et les
prisonniers de guerre ont eu des réductions de peine massives en
échange de leur labeur.

En
2010, le gouvernement socialiste espagnol a fermé la basilique sous
le prétexte que la sécurité n’y était pas assurée. Après une
protestation massive par les catholiques espagnols, la basilique a
été ouverte à nouveau. La Vallée de ceux qui sont tombés est un
symbole convaincant de l’Europe elle- même : un corps pourrissant
disputé par les vautours. La controverse sur la tombe de Franco est
vraiment sur les mondialistes essayant de s’approprier l’histoire.

Franco en est venu à représenter tout ce que les mondialistes essayent de détruire : la loi naturelle, la famille, la Chrétienté et le patriotisme.

La
basilique et la croix sont des symboles puissants de la capacité du
christianisme à ressurgir. Alors que je quittais la Vallée de ceux
qui sont tombés, on venait d’annoncer que le recours en justice
des moines pour retarder l’exhumation de Franco avait été
accepté. Cela n’a rien avoir avec Franco ; les mondialistes
veulent transformer la basilique en un temple de Satan. Le recours
bénédictin est la dernière bataille du catholicisme contre le
Nouvel Ordre Mondial. 

Article source : http://www.gearoidocolmain.org/europes-valley-of-the-fallen-reflections-on-franco-feminism-and-the-end-of-man/




Un examen du culte gauchiste et de leur religion

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Le 18 juin 2019 − Source Alt-Market.com

Les nouveaux militants du mouvement pour la liberté croient à tort que l’idée du « faux paradigme gauche/droite » signifie qu’il n’y a pas de spectre politique ; que toute cette notion de gauche contre droite est une invention. Ce n’est pas exactement le cas. Quand on parle de faux paradigmes en matière de politique (ou de géopolitique), il s’agit en fait de la classe élitiste, aussi connue sous le nom de globalistes, et du fait qu’elle n’a aucune orientation politique de droite ou de gauche. Ils ne se soucient ni des démocrates ni des républicains, ils n’ont aucune loyauté envers l’un ou l’autre parti. Leur loyauté va à leur propre agenda, et ils exploiteront les DEUX côtés pour obtenir ce qu’ils veulent chaque fois que possible.

Au-delà des globalistes, les gens moyens tombent en effet sur un
spectre politique qui pourrait être décomposé et simplifié en un
ensemble d’idéaux ou d’idéologies de base. Du côté gauche du spectre,
nous trouvons les collectivistes et les socialistes, qui croient que la
société (le groupe) est beaucoup plus importante que l’individu et que
les actions des individus doivent être strictement contrôlées et
gouvernées pour éviter des effets négatifs sur le groupe.

L’argument central des gauchistes est : « Nous faisons tous
partie de la société et devons agir en harmonie avec la société pour que
le système continue de fonctionner. Les besoins du plus grand nombre
l’emportent sur les besoins du plus petit nombre … »

Du côté droit du spectre, on trouve les individualistes, les
militants de la souveraineté et les vrais conservateurs. Des personnes
qui, à des degrés divers, croient que la société devrait être restreinte
dans sa capacité de dicter la vie de l’individu et que la participation
au groupe devrait être volontaire. Là où les gauchistes cherchent à
centraliser, les gens de droite cherchent à décentraliser.

L’argument du conservateur est : « Sans l’individu, le groupe
n’existe pas. Le groupe est une abstraction créée par l’esprit. Lorsque
des groupes se forment, ils ne devraient exister que pour servir et
protéger les droits inhérents des individus, et non être utilisés comme
un mécanisme de contrôle par des personnes faibles qui ont peur de
fonctionner par elles-mêmes … »

Cette séparation des philosophies est simple et facile à suivre. Mais
c’est là que les choses commencent à devenir confuses et alambiquées,
lorsque des « gardiens » politiques ou des experts et des
médias contrôlés par les globalistes s’en mêlent et brouillent les
cartes. Par exemple, il y a des interprétations erronées flagrantes des
principes conservateurs dans les médias dominants, surtout dans des
endroits comme l’Europe où le mot « conservateur » est
considéré comme sale et est à peine audible. Les gardiens de la pensée
qui n’ont aucune loyauté envers les valeurs conservatrices réelles ont
tenté de ternir l’image des conservateurs dans leur ensemble en les
trompant, les menant dans la mauvaise direction ou en agissant comme de
faux représentants.

Inévitablement, ces joueurs de flûte tentent d’attirer les
conservateurs pour soutenir les idéologies de gauche, comme l’ingérence
du gouvernement dans la vie des gens, ou dans la politique d’autres
nations, ou même dans les marchés libres. En d’autres termes, ils
veulent saboter les vrais conservateurs en les faisant passer pour des
hypocrites. Mais, les idéaux du conservatisme et de la centralisation
s’excluent mutuellement – Si un conservateur soutient un grand contrôle
gouvernemental, il n’est plus un conservateur. Point final.

Il est certain que des gardiens similaires du côté gauche du spectre
trompent les gens de gauche à des fins destructrices, mais pas de la
même manière qu’ils essaient d’induire les conservateurs en erreur.
Alors que les globalistes tenteront d’amener les conservateurs à se
comporter davantage comme des socialistes, ils ne tenteront pas d’amener
les gauchistes à se comporter davantage comme des conservateurs. Au
contraire, ils poussent les gauchistes à devenir encore plus extrémistes
dans leurs tendances collectivistes.

L’objectif final de la cabale globaliste est d’arriver à un point où
TOUT LE MONDE est un partisan de la centralisation totalitaire – un
monde où chacun est un gauchiste, qu’il le réalise ou non.

La façon dont ils prévoient d’atteindre cet objectif est plutôt
indirecte, mais potentiellement très efficace. En poussant un camp (la
gauche politique) à l’extrême, ils espèrent pousser l’autre camp (les
conservateurs) à réagir par des mesures extrêmes qu’ils considéreraient
autrement contraires à leurs principes. Pour éviter ce résultat, les
conservateurs doivent comprendre les motivations profondes et les
contradictions de ce qui est devenu le culte gauchiste. Pour éviter de
tomber dans la folie, nous devons examiner les comportements des fous.

Il est difficile de dire exactement quand la gauche a commencé à s’éloigner d’une politique plus centriste et à devenir communiste plein pot. D’aucuns diront que cela a commencé lorsque l’école de Francfort s’est transplantée aux États-Unis pendant et après la Seconde Guerre globale, apportant avec elle l’idéologie du marxisme culturel. Certains diront qu’il en est ainsi depuis les années 1960 et 1970, à l’époque de la montée du mouvement anti-guerre et de la deuxième vague du féminisme. Mais si les gauchistes étaient des socialistes virulants à l’époque, pendant des décennies après cette génération chaotique, il y a eu au moins une certaine autodiscipline parmi eux pour ce qui est de révéler directement leurs véritables intentions.

Je placerais leur transformation, ou mutation violente, plus près, il
y a 20 ans, lorsque les campus universitaires ont complètement basculé
d’un accent mis sur les compétences pratiques et les sciences classiques
(sciences, technologie, génie et mathématiques) pour se tourner vers
les sciences sociales bornées. C’est à ce moment que le complot pour
radicaliser complètement la gauche a été réellement mis en œuvre.

Les universités devinrent des lieux de culte, d’une nouvelle religion appelée « justice sociale ».
Cette religion s’appuie sur le fait que les anciens conflits sociaux
sont revivifiés comme s’ils n’avaient pas déjà été abordés par des
personnes beaucoup plus intelligentes des décennies auparavant. Les Social Justice Warriors
agissent comme si l’Amérique n’avait jamais fait face à l’esclavage, au
racisme, aux droits des femmes, à l’orientation sexuelle, etc., comme
si tous ces problèmes bouillonnaient dans l’ombre en attendant que les
guerriers de la justice sociale nous fassent enfin grâce de leur
présence et les résolvent. La réalité est que s’il y aura TOUJOURS des
conflits liés à ces questions, il n’y a pas besoin de l’existence d’une « justice sociale » aujourd’hui. Ce sont des rebelles sans cause légitime, et donc ils se créent des causes à partir de rien.

De nombreux experts de la gauche politique font attention à ne pas s’associer publiquement aux Social Justice Warriors
et tentent de présenter les démocrates et les progressistes comme des
personnes distinctes. Et pour certaines de ces personnes, c’est
peut-être vrai. Mais les mantras de justice sociale et la désinformation
ont absolument imprégné le langage et la conversation des Démocrates.
Des organes de presse comme le New York Times, Vox et The Atlantic
ont veillé à ce que cela se produise alors qu’ils inondent les espaces
web orientés vers la démocratie d’articles et d’éditoriaux chargés de
diatribes, présentés comme s’ils produisaient du journalisme factuel.

Beaucoup de ces articles sont plutôt écrits comme des récits
biographiques personnels et des anecdotes ; chaque écrivain de gauche
réclame de devenir le prochain Steinbeck plutôt qu’un enquêteur objectif
des faits. Le vrai journalisme est maintenant mort dans les médias
dominants. Des journaux, devenus des poubelles, comme The New York Times et Vox l’ont tué et l’ont remplacé par un sauna romain de narcissisme et d’iniquité.

Le seul travail de ces points de vente est maintenant de continuer à
alimenter la foi gauchiste. Les universités ont fait de leurs étudiants
des fanatiques, des dévots fous de leur culte, et les médias les
maintiennent sur ce chemin et veillent à ce qu’ils ne s’égarent pas.
Mais quelles croyances définissent cette religion au-delà des notions
vagues de « justice sociale » ?  Examinons quelques exemples….

Tout brûler ?

Alors que le cocktail Molotov a été inventé (ou du moins popularisé) par les Finlandais pendant la guerre d’hiver pour aider à stopper une invasion communiste massive venant d’Union soviétique, il est aujourd’hui devenu une sorte de symbole de rébellion communiste en Occident. L’école de Francfort et le marxisme en général enseignent que les systèmes existants ne sont pas modifiés diplomatiquement, mais démolis violemment par l’exploitation des conflits sociaux. Dans le marxisme traditionnel, l’idée était d’utiliser le conflit de classe économique, de rallier les classes inférieures pour renverser les classes supérieures. Le marxisme culturel ne repose pas seulement sur les disparités économiques, mais aussi sur les tensions raciales et politiques pour faire tomber une civilisation.

Après que la poussière se soit dissipée, les socialistes/communistes cherchent à introduire leur propre système « utopique »
et à prendre le contrôle alors que la nation est faible et impuissante
au milieu d’un effondrement total. Quand le système existant et le
gouvernement travaillent en leur faveur et nourrissent leur sens de
l’influence publique, les gauchistes chantent ses louanges. Quand il
cesse de travailler à 100% pour eux (même si ce n’est qu’en surface),
ils cherchent à le déchirer et à le refaire. Ce sont les gens avec qui
vous ne pouvez pas jouer aux échecs. Dès qu’ils commencent à perdre, ils
crient à l’injustice, balayent l’échiquier et le jettent au sol avec
rage.

Tout le monde est né pareil ?

Cette notion est biologiquement absurde, mais elle gagne du terrain
dans les mouvements gauchiste. Essentiellement, les collectivistes
croient que tous les êtres humains naissent comme des ardoises vierges
et que leur personnalité entière est un produit de leur environnement.
Bien que les psychologues, les anthropologues et les scientifiques de
tous les horizons, de Carl Jung à Joseph Campbell en passant par Stephen
Pinker, aient tous montré de nombreuses preuves de traits
psychologiques innés et de constructions inhérentes au psychisme humain,
ces preuves sont totalement ignorées par les gauchistes car elles vont à
l’encontre de la plupart de leurs hypothèses fondamentales.

Si chacun naît différent, alors l’équité dans la société devient
subjective et inapplicable, et seuls l’accomplissement, le travail
acharné et le mérite peuvent déterminer ce qui est « juste ».
Si les personnages ne sont pas nécessairement régis par leur
environnement, cela signifie qu’il ne sert à rien de créer une utopie
sociale pour micro-gérer chaque aspect de notre vie. Si les psychopathes
ne sont pas fabriqués mais naissent ainsi, alors la question du mal
inhérent devient une possibilité, et selon les gauchistes, il n’y a pas
de personnes mauvaises, seulement des systèmes mauvais qui gâchent
l’esprit des gens bons. Si le genre est inné et que la grande majorité
des gens tombent d’un côté ou de l’autre psychologiquement, pas
seulement biologiquement, alors les gauchistes ne peuvent plus prétendre
que le genre est une construction sociale qui doit être démantelée.

L’ardoise blanche, ou Tabula Rasa, est un facteur clé de la religion
gauchiste qui doit être défendu à tout prix. Sinon, la moitié de leur
idéologie s’effondre.

Tout peut et doit être juste ?

Quiconque a vécu dans le monde pendant un certain temps seul sait
très bien que la vie n’est pas faite pour être juste. Certaines
personnes naissent avec des avantages et d’autres avec des handicaps.
Certains avantages et inconvénients ont trait à la famille et à la
richesse, tandis que d’autres sont simplement génétiques. Il n’y a rien
que l’on puisse faire à ce sujet qui ne détruirait pas notre espèce. Ce
que les gauchistes ne semblent pas comprendre, c’est que le désavantage
perçu n’est pas toujours une mauvaise chose.

Les gens qui luttent et surmontent les obstacles de la vie ont
tendance à être beaucoup plus sages et plus compétents que ceux qui
n’ont jamais eu à faire d’efforts. Les gauchistes veulent éliminer toute
adversité, non pas au nom de l’égalité des chances, mais au nom de
l’égalité des résultats. Ce faisant, ils rendent l’ensemble de la
société plus faible, plus lâche, moins innovante et moins productive.
Dans un monde de gauchiste, l’humanité devrait créer des « camps d’adversité »
artificiels juste pour conserver ses instincts de survie. Mais alors,
bien sûr, ces camps seraient également soumis au filtre de l’équité…

L’intellect est plus important que l’expérience ?

Les gauchistes vénèrent l’intellect comme une puissance divine. À tel
point que la notion d’expérience du monde réel leur vient rarement à
l’esprit comme un élément important dans la prise de décisions ou la
formation d’opinions. Quand les guerriers de la justice sociale parlent
de choses comme le « racisme », la plupart d’entre eux n’ont
jamais été et ne seront probablement jamais témoins d’un racisme
légitime. Ils l’ont lu dans des livres et en entendent parler dans des
conférences, mais ils n’ont aucun lien personnel avec lui. Ils croient
qu’il est omniprésent partout, à chaque coin de rue et sous chaque lit
parce qu’ils le doivent. Leur réalité dépend d’une foi aveugle que c’est
vrai.

L’idée de l’inégalité sociale entre les hommes et les femmes repose
aussi sur une foi aveugle dans des statistiques déformées et des récits
frauduleux de crimes qui n’ont jamais été commis. Aujourd’hui encore,
ces personnes continuent de soutenir que l’« écart salarial entre les sexes »
est une réalité, malgré le fait qu’il a été démonté à l’infini. Ce
comportement exige une dévotion sectaire à la fantaisie. Ce n’est pas
normal ou logique, c’est une maladie mentale extrême. Si ces gens
allaient dans le monde du travail et étudiaient de vrais modèles
d’affaires et discutaient avec des hommes et des femmes qui ne sont pas
membres de leur propre chambre d’écho, ils verraient par expérience que
leurs hypothèses sont fausses, mais lorsque les notions intellectuelles
l’emportent sur les observations directes, il n’y a aucun espoir.

Les conservateurs sont-ils le mal incarné ?

J’ai commencé à écrire cet essai en partie parce que j’ai remarqué un
flot constant d’articles dans les médias grand public se faisant passer
pour des études sur les « extrémistes conservateurs ». Je me
dis que s’ils nous analysent de façon inexacte, nous pouvons faire mieux
et les analyser le plus précisément possible. En lisant certains de ces
articles, je constate que les gauchistes ont créé leur propre langue
complètement séparée du reste du monde et de la réalité. Ce qu’ils
interprètent comme du « racisme », de la « misogynie » ou du « fascisme »
ne correspond pas à la définition classique de ces termes. Ils ont
développé leur propre vocabulaire ahurissant rempli de mots inventés et
de concepts illogiques pour décrire le monde d’une manière qui
correspond à leurs désirs et soutient leurs accusations.

Les conservateurs ne vivent pas dans ce monde et franchement, nous ne
le voulons jamais. Pour eux, nous sommes des hérétiques, des barbares. A
leurs yeux, nous sommes des intouchables sales, des « déplorables ».
Nous ne pouvons pas être sauvés, et nous devons être détruits. Les
zélotes cherchent toujours à traiter les étrangers idéologiques comme
des ennemis mortels, même lorsque ces individus ne leur ont rien fait.
Le fait est que la plupart des crimes et génocides politiques modernes
ont été perpétrés au nom des idéaux socialistes, au nom des concepts
chers à la gauche. Nous continuons à souffrir sous ces idéaux au nom de
la globalisation.

Combien de personnes ont souffert à cause de la décentralisation et
des droits individuels ? Pas beaucoup, voire aucun. Combien de personnes
ont été exterminées au nom du principe de non-agression ? Répondez :
Zéro. Les conservateurs ne sont certainement pas méchants ou
extrémistes. Mais dans la zone crépusculaire de la pensée de gauche,
nous sommes les monstres.

C’est pourquoi le comportement de la gauche devient si
incompréhensible. Des géants du monde des affaires comme Sony, Disney,
Netflix, Facebook, Google, etc. ont choisi d’alimenter de force
l’idéologie de la justice sociale publique, et ont mis leur entreprise
en danger parce que de moins en moins de gens achètent la religion
qu’ils vendent. Il en va de même pour des entreprises comme Gillette ou
Starbucks, qui sont prêtes à insulter leur propre clientèle et à se
saboter pour prêcher l’évangile de la justice sociale. Pourquoi
feraient-ils ça ? Parce qu’ils voient les conservateurs comme une force
démoniaque qui doit être effacée de la société civilisée. Nous n’avons
même pas le droit d’être entendus, sinon la mauvaise magie de nos
arguments hypnotisera les masses et les détournera de la lumière du
marxisme culturel.

Une autre raison plus secrète est que, grâce à l’utilisation des
médias populaires et à l’influence des entreprises, les globalistes sont
capables d’exploiter les idiots utiles gauchistes et de les manipuler
pour qu’ils agissent de manière encore plus absurdes qu’ils ne le font
déjà. Et, par extension, ils espèrent terrifier les conservateurs en les
poussant à rejeter la Constitution et à devenir des fascistes à part
entière comme réponse défensive. Ils sont tout à fait disposés à
démanteler des structures d’entreprise entières pour rendre cela soit
possible. Ils sont en train de jouer le tout pour le tout.

Les dieux gauchistes

La justice sociale embrassant l’athéisme semble les avoir laissés
insatisfaits car leurs explications de l’existence ne satisfont pas la
relation humaine innée à la métaphysique. En conséquence, le culte
gauchiste est toujours à la recherche de dieux de nos jours, avec tout
le gouvernement qui l’entoure comme substitut pour le moment. La
divinité suivante du gauchiste est clairement la nature, ou la « terre-mère », car ce dieu satisfait leur besoin d’une force vengeresse et toute puissante.

Beaucoup de gauchistes désirent désespérément une sorte d’apocalypse,
mais une apocalypse à leurs conditions. Les globalistes leur en donnent
une, ou du moins une version grotesque appelée « changement climatique »,
dans laquelle l’homme irrite la nature avec sa production et son
progrès, mais est frappé par la catastrophe tandis que les pieux
gauchistes regardent dans leur pureté en disant « Nous avons essayé de vous avertir, mais vous ne vous repentez pas… ».
Il s’agit bien sûr d’une fiction, fondée sur une science de pacotille
financée par des organisations dont le but est de miner la vraie science
et le bon sens.

La solution à cette apocalypse, par coïncidence, finit toujours par
être plus de gouvernement, plus de contrôle sur le commerce et le
progrès humain, la réduction de la population et peut-être même la
gouvernance globale de tous les aspects de la vie. Sinon, nous risquons
de subir la colère du grand dieu de la destruction de la grande guerre
gauchiste – le réchauffement climatique alimenté par le carbone. Dans
l’esprit des gauchistes, ce sera le moment où nous comprendrons tous
qu’ils étaient sains d’esprit, que leur culte avait raison depuis le
début, et nous viendrons à eux de plein gré, nous prosternant devant
leur puissante supériorité intellectuelle.

C’est ce type de pensée ignorante qui fait du gauchisme un outil
facilement exploitable pour les pouvoirs en place. C’est aussi la source
de calamités à travers les âges. Tenter de faire appel à la meilleure
nature de ces gens ne nous aidera pas, car ils sont trop perdus dans
leur propre dimension, pas plus que d’utiliser le grand gouvernement
comme une arme contre eux. C’est un véritable casse-tête.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Qui gouverne la France ?

La vidéo et l’article suivant peuvent éventuellement en donner une idée.




[Source : Info Résistance via Stop Mensonges]

BANQUE DE FRANCE, HISTOIRE TROUBLE

La banque de France est créée le 18 janvier 1800 par un groupe de représentants de banques privées. Napoléon Bonaparte en est le premier actionnaire. En 1803, il lui confère le monopole d’émission des billets, c’est-à-dire le privilège d’émettre les billets de banque. (1)

La banque de France n’est pas la banque de la France, elle est bien déjà privée, ce qui conduira Napoléon à une citation importante :

Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers
pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du
gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne
est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de
patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas
de décence ; leur unique objectif est le gain.

ÉTAPE 1 du scandale, la BDF gouverne le gouvernement
de 1800 à 1936

En effet, la BDF émettait la monnaie pour la France et si le pays
avait besoin d’argent, la BDF faisant un prêt, une avance
sans frais
, mais il n’y avait pas d’intérêt à rendre.
C’était déjà très bien de ne pas payer d’intérêt, mais ce
qui était déjà un problème c’est que la banque était au-dessus
de l’État, elle était privée et si elle jugeait qu’il ne
fallait pas financer tel ou tel projet elle pouvait s’y opposer. Ce
scandale va durer de 1800 jusqu’au début des années 1930 ou
la montée en puissance du communisme, du Front populaire et d’un
socialisme fort va parvenir à nationaliser en quasi-totalité la
Banque de France…

L’expression « deux cents familles »
désignait les deux cents plus gros actionnaires (sur près
de 40 000) de la Banque de France pendant
l’Entre-deux-guerres. Avant la réforme de 1936, ils constituaient
l’Assemblée générale de la Banque de France. L’influence des
deux cents familles pèse sur le système fiscal, sur les transports,
sur le crédit. Les deux cents familles placent au pouvoir leurs
délégués. Elles interviennent sur l’opinion publique, car elles
contrôlent la presse. »

Or parmi les deux cents premiers actionnaires de la Banque de
France certaines familles (Rothschild, Wendel, Schlumberger,
Neuflize…) disposaient de plusieurs membres (réduisant d’autant
le nombre de familles)

Surtout, il faut y distinguer la présence de richesse active
(essentiellement les entrepreneurs banquiers) de celle de la richesse
passive (les rentiers). Seuls les premiers disposent d’un véritable
pouvoir par leur présence au Conseil général : c’est-à-dire
les représentants de la Haute Banque. (4)

Liste des principales familles qui ont dominé et dont les
descendants dominent encore la banque en France et dans le monde.
(source)

  • Famille Caruel de
    Saint-Martin (Manufacture de Tabacs)

  • Famille Darblay (Industrie)
  • Famille Davillier (Banque)
  • Famille Fould (Banque)
  • Famille Goüin (Banque,
    Industrie)

  • Famille Gradis (Commerce)
  • Famille Hottinguer (Banque)
  • Famille Lazard (Banque)
  • Famille Louis-Dreyfus (Négoce
    de grains)

  • Famille Maingard (Industrie)
  • Famille Mallet (Banque)
  • Famille Mirabaud (Banque)
  • Famille Petiet (Industrie,
    UCPMI)

  • Famille Piaton (Industrie)
  • Famille Raphaël (Banque)
  • Famille Rimet (Négoce de
    grains, Chemins de fer)

  • Famille Robillard (Manufacture
    de Tabacs)

  • Famille Rothschild (Banque)
  • Famille Schlumberger (Industrie)
  • Famille Schneider (Industrie)
  • Famille Stern (Banque)
  • Famille Vernes (Banque)
  • Famille de Vulliod (Viticulture)
  • Famille Wendel (Industrie)
  • Famille Worms (Banque, Armement naval)

J’ai retranscrit ci-dessous une partie de la conférence d’Annie Lacroix-Riz intitulée « La Banque de France » (à partir de 4 h 51) qui explicite ce point très clairement :

Pour la quasi-totalité de la population, et je dois dire
l’historien inclus évidemment, avant qu’il ne découvre les
dossiers, un gouvernement… ça se prépare dans des conditions
diverses, mais enfin un gouvernement ça n’existe que, en régime
parlementaire, parce qu’un parlement lui donne son acceptation,
l’agrée, procède à son installation.
Eh bien ça ne se
passe pas du tout comme ça !
Depuis Bonaparte, qui a fait
à la France des institutions qui consacraient bien la victoire de la
bourgeoisie, depuis Bonaparte et la création de la Banque de
France
, c’est donc une assez vieille affaire, eh
bien la Banque de France a reçu le moyen de gouverner les
gouvernements de façon très simple. Chaque gouvernement dépend des
avances de la Banque de France, qui est un club de banques privées,

de la Grande Banque, de ce que l’on appelle la Grande Banque, et
donc, lorsque un gouvernement est pressenti, dans des conditions
qu’éclairent aussi les archives, eh bien avant de se présenter
devant le Parlement, il se présente devant ce que l’on appelle le
gouvernement de la Banque, c’est-à-dire le petit noyau des plus
grands banquiers,
les régents de la banque de France parmi
lesquels on comptait dans la période qui nous occupe, Xavier de
Wendel qui était un des maîtres des industries sidérurgiques de la
France […]
Et donc, tout premier ministre pressenti,
accompagné de son ministre des finances… et donc le gouvernement
qui dépendait des bontés de la banque de France qui lui accordait
ou ne lui n’accordait pas ses avances, le gouvernement venait
promettre au gouvernement de la Banque de France, au futur
gouvernement, de faire un bon usage bien économe des deniers,
puisqu’un État c’est bien connu, c’est toujours impécunieux,
et que cela a toujours tendance à laisser filer les salaires et
autres, et il promettait donc d’appliquer l’assainissement
financier qui était la clef de l’octroi des dites avances.
J’insiste sur le fait qu’ils promettaient, et que, Herriot en
1924 et Léon Blum en 1936 ont promis…
[…]
J’insiste
beaucoup sur le fait que… (je sais bien que cela choquera beaucoup,
mais au vu des archives que je produis ce sera difficile de
contester), j’insiste beaucoup sur le fait que le
gouvernement de la France ne gouvernait rien, mais que la Banque de
France gouvernait le gouvernement, et que, en France, il ne date
aucunement d’aujourd’hui que les banquiers et les industriels
gouvernent le gouvernement.
C’est-à-dire que le terme est
fort à la mode depuis un certain nombre d’années, selon lequel on
ne peut rien faire, parce qu’autrefois les gouvernants
gouvernaient, alors qu’aujourd’hui ce sont les banquiers
internationaux qui gouvernent est un thème qui correspond à une
réalité absolument pas neuve. » (2)

Un peu d’espoir en 1936 avec le Front populaire (3)

Après la victoire électorale de 1936, le gouvernement du Front
populaire ayant estimé contraire à l’intérêt général que le
contrôle de la monnaie soit du ressort d’intérêts privés,
décide de modifier les statuts de la Banque de France. La loi du
24 juillet 1936 vise à donner aux pouvoirs publics les moyens
d’intervenir plus directement dans la gestion de la Banque pour
pouvoir mener une politique économique d’intérêt général.

La nationalisation de la Banque de France intervient après la
Libération de la France, avec la loi du 2 décembre 1945.

Rendez-vous compte ! La Banque nationalisée est enfin aux
services des peuples, c’est l’après-guerre, la reconstruction du
pays et des 30 glorieuses. Dans cette période il n’y a pas de
dette publique. La France se finance quand elle le veut, pour
reconstruire le pays, et au taux zéro. À l’école, on apprend
qu’a cette époque, il n’y avait pas de chômage, parce qu’il y
avait un pays à reconstruire. La vérité est tout autre, c’est
parce que l’État pouvait émettre la monnaie nécessaire pour
payer les travailleurs qu’il n’y avait pas de chômage. Il y a
encore du travail aujourd’hui, des maisons à construire, des
maisons à rénover, isoler, des personnes à soigner, des enfants à
éduquer, des énergies alternatives à développer, etc.. Et bien
sûr 10 à 15 % de chômeur… Ce qu’il nous manque, c’est
l’argent pour payer le travail.

Scandale caché mise à jour par les archives enfin
libérées :
Devant la montée du Front populaire, les
banquiers privés, les industriels, notamment ceux de la sidérurgie
vont faire preuve de solidarité de caste pour s’opposer à
l’émancipation des travailleurs et favoriser l’effort de guerre
de l’Allemagne. Cette Synarchie (voir livre d’Annie Lacroix Riz)
va soutenir financièrement l’Allemagne Nazi, elle va vendre de
l’acier pour les canons, de l’aluminium pour les avions, etc.. Et
dans l’ombre ces gens-là préparent le Gouvernement de Vichy. D’où
la découverte que la défaite de la France en juin 1940 a été
voulue, provoquée pour rétablir un ordre moins populaire, plus
favorable aux affaires des banquiers, des rentiers, des patrons.

ÉTAPE 2 du SCANDALE : La fin des 30 glorieuses
gravée dans le marbre de la loi de 1973.

En 1973, les statuts de la Banque de France, laissés en suspens à
la libération, sont modifiés par la Loi n° 73-7 du 3 janvier
1973, signée par Pompidou, Messmer, Giscard d’Estaing et parue au
Journal officiel le 4 janvier 1973. Dans l’article 25, il
est stipulé que « le Trésor public ne peut être présentateur
de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France ». En
pratique, cela signifie qu’on oblige la République à emprunter
sur les marchés à obligation contre taux d’intérêt.

Le 22 juillet 1981, 45 députés, dont Pierre Messmer qui
avait signé la loi 73-7, ont déposé le projet de Loi n° 157,
pour permettre à la République d’emprunter sans intérêts dans
le cadre de ses investissements économiques. Ce projet n’a jamais
été voté.

À partir de 1973, c’est la catastrophe, car la France n’a
plus sa Banque pour lui avancer de l’argent à taux zéro par le
mécanisme classique du crédit. Les dettes publiques partent
réellement de cette loi. Plus tard, ce sont tous les États d’Europe
qui se voient imposer une loi identique dans le Traité de Maastricht
(article 104). De fait, tous les États d’Europe sont endettés
à partir du moment où ils abandonnent leur droit d’emprunter ou
d’émettre la monnaie sans intérêts. Aucun pays ne peut échapper
à cela. Si la Grèce, l’Espagne, l’Irlande, l’Italie, bientôt
la France, sont aussi endettées, cela ne tient qu’en quelques
textes de loi qu’on nous a dissimulés.

Conclusion :

Il y a une forme de solidarité de caste depuis 200 ans,
et pilotée par les grandes banques qui ne cessent de protéger leur
monopole, de lutter contre l’inflation pour protéger les rentiers.
Ces grands banquiers n’ont pas de scrupule et peuvent favoriser des
criminels de guerre en puissance comme Hitler. Ne nous étonnons pas
de voir en Grèce et en Italie 2 anciens grands banquiers défenseurs
du système pour remplacer Papendréou et Berlusconi.

Si nous avons une chose à défendre bec et ongle, c’est
le contrôle de la création monétaire. C’est de cela que nous
devons parler à la télé, à la radio, dans les journaux, sur
internet. La clef de notre impuissance se trouve dans ce processus de
création monétaire. À chaque fois que la Banque fut sous le
contrôle du peuple, le chômage a reculé, les hommes se sont
épanouis. Rappelez-vous de vos cours d’histoire : le Front
populaire a créé les congés payés, la semaine de 48 heures ;
puis après la guerre de 1945 à 1975, les fameuses trente
glorieuses.

Référence :

(1) Le secret de la liberté des banques et de la monnaie,
Philippe Nataf, Aux sources du modèle libéral français,
1997

(2) Le choix de la Défaite — Annie Lacroix Riz

(3) http://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_de_France

(4) : cf. Alain Plessis, 1982. Les actionnaires
n’interviennent pas dans l’orientation de l’institut d’émission
qui leur garantit la stabilité monétaire. Les actions de la Banque
constituent pour eux un placement sans risque.

Quelques commentaires

  • admin
    14 janvier 2014 – 18 h 35 min
    La Banque de France est toujours une entité privée, tout comme la BCE.
    Il n’est pas possible de rentrer au capital de ces banques centrales en tant que citoyens, à l’inverse des entreprises.
    Les actionnaires, qui sont des personnes morales ne le clame pas sur les toits, et entretiennent une certaine opacité sur ce plan là.
    Ils étaient 40 000, paraît-il, dans l’entre-deux-guerres, dont 200 familles remarquables qui depuis plusieurs générations se transmettent l’essentiel du capital.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Deux_cents_familles
    Ensuite, je pense que beaucoup de citoyens, sans le savoir, et qui souscrivent à certains produits financiers se retrouvent en possession de parts sociales pour la banque de France.
    Mais cela représente une petite partie seulement de l’activité.
    Le problème n’est pas uniquement de savoir qui détient, mais qui contrôle et pilote, et une chose est sur, ce ne sont pas les peuples, ni leur représentant
    Quant à la Banque centrale européenne, un particulier ne peut y accéder, seules les banques privées le peuvent. De fait, ceux qui détiennent les banques privées détiennent du capital de la BCE.
    Pour devenir banquier, il faut être coopté par un autre banquier et apporter un capital
    • marco saba
      29 mars 2014 – 14 h 35 min
      Les propriétaires réels de la BdF sont les particuliers qui contrôlent l’argent fantôme de la BdF via Clearstream, Euroclear, Swift : http://lebanquiergarou.blogspot.it/2014/03/le-reflux-bancaire-une-lacune.html
    • Pierre
      26 février 2015 – 18 h 49 min
      FAUX !
      L’unique actionnaire de la Banque de France est l’État français (et ce depuis la « Nationalisation »…). La Banque de France réalise des bénéfices (notamment par ses opérations de politique monétaire qui consistent à prêter de l’argent aux banques afin qu’elles prêtent aux particuliers) qui sont ensuite reversés à son actionnaire -> l’État et donc la Nation.
      Quant à la BCE, ses actionnaires sont les Banques centrales de l’Union européenne, dont la Banque de France (qui possède environ 15 % du capital de la BCE).
      La Banque de France et la BCE ont un statut de banque privée afin de pouvoir réaliser des opérations avec les banques privées (et réaliser ainsi leur mission de politique monétaire).
      Cordialement,
      http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/03/28/benefice-record-pour-la-banque-de-france-en-2012_3150005_3234.html
      • admin
        18 mars 2015 – 23 h 6 min
        En effet, depuis 1945, les gros actionnaires ont désormais des obligations d’État à la place des actions…
        Toutefois, la banque de France aujourd’hui ne sert pas du tout nos intérêts. Elle se comporte comme une banque privée, en créant de la monnaie pour des banques privées, qui vont ensuite prêter cette monnaie à la France… Au final, les 877 millions d’euros que reverse la BDF ne sont qu’une paille à côté de ce qu’elle crée comme dette à la France via les banques privées. La France rembourse 50 à 60 milliards rien qu’en intérêts chaque année. Alors, les 0,877 milliard de bénéfice de la BDF, c’est de l’esbroufe… Si la France pouvait créer sa monnaie, nous ferions 50 à 60 milliards d’économies par an.



But des Agendas 21 et 2030

[Source : Aphadolie]

Que cachent l’Agenda 21 et l’Agenda 2030 des Nations Unies ? (Vidéos)

Publié par Aphadolie

Durée : 2 mn 24 / [1]



Durée : 15 mn 26 / [2]



Durée : 13 mn 48 / [3]




Que cachent l’Agenda 21 des Nations Unies et la transition énergétique ?

Agenda 21 - 2

L’Agenda 21 / Développement durable sont des termes inventés par David Rockefeller dans les années 90. L’argument majeur de l’agenda 21 des Rockefeller : « Pourvoir aux besoins du présent sans compromettre les besoins des générations futures. » Derrière la façade écologique, c’est en réalité une feuille de route pour contrôler toutes les ressources planétaires via des monopoles transnationaux.

Sur l’un des sites qui concernent ce sujet, une phrase est cruciale : « Ce processus marque la naissance d’un nouveau partenariat mondial pour le développement durable. »

Alors que l’appellation « développement durable » nous semble
positive, « nouveau partenariat mondial » déclenche notre suspicion. Or,
il y a de quoi être suspicieux… Hélas cela fait déjà 26 ans que
les directives territoriales et communales de l’Agenda 21 sont mises en
application dans les 178 pays qui ont signé cet accord au Sommet de la
Terre de Rio en 1992
.

Pas un seul domaine de notre quotidien n’échappe à ces directives
mondiales. Chaque projet implémenté est un pavé de plus sur la route d’un totalitarisme mondialisé pour les 178 pays signataires.

pic - 1

Fin du droit de propriété

Rosa Koire, retraitée, a dirigé les expertises des
domaines immobiliers commerciaux pour les transports de l’état
californien pendant 28 ans. Témoin privilégiée des diverses utilisations
des terrains individuels ou publics, elle expose ouvertement les impacts du développement durable sur les droits des propriétaires et sur les libertés individuelles.

C’est au cours de disputes légales, à n’en plus finir, qu’elle
découvre la source du chaos créé par des suites de plans de
restructuration des terres dans les communes de sa région et partout
ailleurs dans le monde : U.N. Agenda 21. Une sorte de nouvel ordre mondial pour le 21ème siècle. Son livre « Behind The Green Mask : U.N. Agenda 21 » (Derrière le Masque de l’Écologie : L’Agenda 21 de l’ONU) révèle des orientations fascistes sous couvert de discours écologique feutré.

Elle écrit sur son site :

« On pourrait croire à de la science-fiction ou à une
théorie conspirationniste mais ça n’est pas le cas. L’Agenda 21-
Développement durable de l’O.N.U. c’est le projet d’actions implémenté
dans le monde entier pour répertorier et contrôler toutes les terres,
toutes les mers, tous les minéraux, toutes les plantes, tous les
animaux, toutes les constructions, tous les moyens de production, toute
l’énergie, toute l’instruction, toutes les informations et tous les
êtres humains dans le monde. C’est un inventaire des stocks ainsi que
leur contrôle
. »

Sommet de Rio

Établi lors de la Conférence des Nations-Unies sur l’Environnement et le Développement en 1992 à Rio De Janeiro au Brésil (Sommet de la Terre), l’Agenda 21 est un guide de mise en œuvre du développement durable pour le 21ème siècle. Les nations qui se sont engagées pour sa mise en place doivent l’appliquer aux niveaux national, régional et local.

L’Agenda 21 est structuré en 4 sections et 40 chapitres.

Rosa Koire est interviewée pour le Show Veritas, son discours très
éclairant sur ce qui se passe pour nous aujourd’hui. Sa vue d’ensemble
lève le voile sur de nombreux domaines. On comprend beaucoup mieux que
tout se tient. Tout d’un coup, tout ce qui cloche devient logique et
« normal » pour les décideurs de ce plan.

Extraits de l’interview de Show Veritas :

« Les textes de l’Agenda 21 sont présents dans tous les
projets généraux des villes et des régions. Nous sommes nombreux à
appuyer l’ONU dans ses efforts de paix et nous sommes peu à savoir que
les Nations-Unies ont des règlementations très spécifiques pour
l’utilisation des terres, règlementations suivies dans chaque ville,
chaque région et chaque état dans le monde. Ce projet s’appelle Agenda
21 (développement durable) et il est basé sur le communautarisme. Nous
entendons parler du développement durable mais rarement de l’Agenda 21.
 »

Accords de libre-échange = Agenda 21

Nous devons comprendre ce qu’est la mondialisation…c’est la standardisation de tous les systèmes (transports, distribution des ressources, éducation, etc.). Il s’agit de tout « harmoniser » pour mieux mondialiser.

Tous les accords de libre échange (NAFTA, TTIP, TISA) font partie du noyau de l’Agenda 21. En 1955 ou 56, c’est l’Union Européenne
qui a commencé avec l’accord sur l’acier et le charbon. Aujourd’hui, 28
pays ont donné leur souveraineté à la Commission Européenne.

Le TTP (Trans Pacific Partnership) est au départ un projet secret mis en route il y a une dizaine d’années entre les US et 11 pays du Pacifique, l’équivalent pour l’Europe étant le pacte transatlantique

Ces projets sont fondamentalement toujours les mêmes, le dessein est de transcender les lois nationales avec les accords internationaux afin d’harmoniser toutes les lois. Les projets ou directives existent dans le monde entier et leur but est de mondialiser.

pic - 2

Du local au mondial

En 1995, le conseiller à la présidence, Agnew Brezinski déclara :

« Vous ne pouvez pas avoir une mondialisation globale en
une seule étape, vous devez régionaliser… et les accords sont là pour
ça : établir des régions dont les frontières extérieures s’accorderont
avec les frontières nationales qui elles-mêmes s’accorderont avec les
directives internationales.
 »

« Le plan est une approche globale mise en œuvre
localement, c’est pourquoi vous n’entendez pas parler de l’Agenda 21,
cependant vos infos quotidiennes locales en sont truffées et les gens
dans le monde entier en sont affectés. C’est une combinaison de la Chine
communiste, de l’ancienne URSS et de l’Allemagne nazie, une sorte de
communautarisme
 ».

Méga-cités et zones sauvages

Un autre but du plan est de regrouper les populations dans des méga-cités où ils peuvent être contrôlés. Les lois et les règlements des grandes villes sont faits internationalement pour faciliter la création des mégapoles (toutes les mêmes) dans le monde entier.

Afin de vous inciter à quitter les zones rurales de nouveaux projets y sont implantés, ce qui rend les développements individuels prévus difficiles ou impossibles à réaliser ; pour exemples l’arrêt des bus scolaires, la fermeture d’écoles ou d’hôpitaux etc.

Cela est en cours partout dans le pays mais comme ça se passe de commune en commune, les citoyens ne réalisent pas que c’est un plan global mondial, c’est le même partout.
Les gens qui l’implémentent en installant les projets sont vos voisins.
Les projets sont présentés de façon à ce que vous trouviez tout cela
très bien. L’idée principale est de faire que les gens pensent que ce sont leurs idées. Les
changements apparaissent prometteurs au départ, comme de nouveaux
trottoirs ou lampadaires etc. puis vous verrez que les lampes sont
souvent hors d’usage, que les arbres peu entretenus de vos parcs
meurent, que les routes défoncées ne sont plus remises en état…parce qu’il n’y a pas d’argent.

Ces plans furent conçus pour altérer l’économie des villes et créer des mégapoles à la place.

Les écoles locales fermeront peu à peu ainsi que les petites entreprises de quartier. La chute de l’économie est faite pour détruire la stabilité financière de la classe moyenne.

Détruire le monde rural

« Le mantra développement durable » ne cesse de nous dire que nous
usons la nature, nous devons nous limiter pour les ressources, nous
devons prendre les transports en commun et toutes ces restrictions sont
faisables dans les villes.

C’est très bien, mais vivre en grande banlieue ou en milieu rural deviendra très difficile. Vous aurez à payer des taxes supplémentaires pour pouvoir conduire votre voiture, les écoles seront loin, les services publics absents, etc. Le but est de concentrer les populations dans des habitats standardisés de méga-cités. 

pic - 3

Un Agenda fait pour les multinationales

Les multinationales comme Exxon ou Monsanto, Kraft veulent le moins d’obstacles possibles pour le transport de leurs marchandises sur les 5 continents et ces lois leur sont favorables.
Ces entreprises mastodontes souhaitent que les 7 milliards d’êtres
humains puissent acheter leurs produits, pas seulement les pays riches.
De plus, elles n’entendent pas payer des salaires élevés. Elles visent à mettre fin à la compétition en possédant toutes les innovations et inventions. En nivelant par le bas, les pays riches consommeront moins mais les pays en développement seront tirés vers le haut pour les nouveaux marchés (Inde, Brésil, Russie, Chine). Les économies de ces pays seront développées et les nôtres seront freinés. Souvenons-nous que c’est un plan mondial et que tout cela (l’essor des pays pauvres) est un bonus majeur pour les multinationales.

Monsanto vise le monopole

« Des entreprises mondiales comme Monsanto sont plus puissantes que les régions, communes et gouvernements. Elles peuvent orienter les évènements dans le monde entier. C’est ce que fait Monsanto (qui est membre du Conseil pour le développement durable) en interdisant la récupération naturelle des semences. C’est un exemple de l’implémentation mondiale du plan.

Ce plan sera totalement implémenté, c’est un projet totalitaire extrêmement restreint. Ces changements sont mis en œuvre pour contrôler tous les aspects de nos vies et pour nous désorienter. L’éducation actuelle est programmée en tant que système de livraison de pensée unique pour le plan.

Le projet s’effectue comme il a été prévu. Ce n’est pas une théorie conspirationniste, c’est un fait conspirationniste signé par votre gouvernement, implémenté avec les finances de votre région et de votre commune, avec la participation financière du ministère des transports, avec les fonds alloués au développement durable. Toutes ces organisations y participent ainsi qu’une bonne partie de nos impôts. »

Détruire la classe moyenne pour accélérer la relocalisation vers les « smart cities »

« Pour atteindre la durabilité, telle que décrite par l’ONU, les pays les plus riches doivent être nivelés par le bas en faveur des pays les moins aisés donc les lois doivent s’harmoniser, les frontières doivent laisser circuler les produits et les personnes. Les gens le font déjà, s’ils travaillent pour une grosse boite et que celle-ci déménage, ils déménagent aussi. Le changement d’école n’est plus un problème puisque les programmes s’harmonisent également.

Le but de tout cela est à terme de vider les campagnes et de relocaliser le maximum de personnes dans de gigantesques centres urbains écologiques appelés « smart cities » ou villes intelligentes reliées à la « smart grid », le réseau intelligent des compagnies énergétiques (ERDF, Lyonnaise des eaux, etc.) truffés d’antennes et d’appareils émettant des ondes électromagnétiques cancérigènes. On comprend alors mieux la férocité avec laquelle les autorités veulent imposer les compteurs LINKY. »

Agenda 21 - 1

Détruire les exploitants agricoles

« Une des stratégies utilisée pour vider les campagnes est d’augmenter progressivement les taxes foncières des zones rurales, et d’appauvrir les agriculteurs, les éleveurs et tous les petits producteurs fermiers en employant la « stratégie de l’édredon ». Il s’agit de supprimer leur aides, en les accablant de contraintes et en dévalorisant leurs produits pour ainsi les mettre à genoux et les forcer à vendre leur propriétés et terres pour une bouchée de pain…

L’objectif est de permettre à des multinationales comme Monsanto, spécialisées dans les OGM, de s’approprier les terres rurales afin de prendre en charge toute l’agriculture française. »


Agenda 21 - 3

Sources :

http://www.rosakoire-bgm.com/

https://en.wikipedia.org/wiki/Agenda_21

http://www.un.org/sustainabledevelopment/fr/development-agenda/

https://sustainabledevelopment.un.org/content/documents/Agenda21.pdf

https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/Dossiers/Le-developpement-durable-au-ministere-de-l-Interieur/L-agenda-2030-de-l-ONU-les-Objectifs-Developpement-Durable

Vidéos :

[1] United Nations – NWO : Agenda 21 & Agenda 2030 [1] – Mr Aphadolie / YouTube

[2] United Nations – NWO : Agenda 21 & Agenda 2030 [2] – Mr Aphadolie / YouTube

[3] United Nations – NWO : Agenda 21 & Agenda 2030 [3] – Mr Aphadolie / YouTube




Changer de régimes politiques ?

[Source : Réseau Voltaire via Réseau International]

par Thierry Meyssan

Dans 48 pays simultanément, de très importantes manifestations mettent en cause le régime politique de l’État. La suprématie du modèle démocratique, acceptée par presque tous à la fin du XXème siècle est aujourd’hui remise en cause. Pour Thierry Meyssan, aucun système constitutionnel ne permettra de résoudre les problèmes actuels qui sont d’abord la conséquence de valeurs et de comportements.

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« Aujourd’hui s’est installée dans notre société — et de manière séditieuse, par des discours politiques extraordinairement coupables —, l’idée que nous ne serions plus dans une démocratie, qu’une forme de dictature se serait installée. Mais allez en dictature ! Une dictature, c’est un régime ou une personne ou un clan décident des lois. Une dictature, c’est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. Si la France c’est cela, essayez la dictature et vous verrez ! »

Emmanuel Macron, 24 janvier 2020.

Sur plusieurs continents, 48 peuples se soulèvent
actuellement contre leurs gouvernements. Un mouvement d’une telle
ampleur n’a jamais été observé à l’échelle planétaire. Après la période
de globalisation financière, nous assistons à une contestation des
systèmes politiques et imaginons l’émergence de nouvelles formes de
gouvernement.

La « suprématie » de la démocratie

Les XIXème et XXème siècles ont vu à la fois le triomphe du recours
aux élections et l’élargissement des corps électoraux (les hommes
libres, les pauvres, les femmes, les minorités ethniques etc.).

Le développement de classes moyennes a accordé du temps à un plus
grand nombre pour s’intéresser à la politique. Il a favorisé les débats
et a contribué à adoucir les mœurs sociales.

Les moyens de communication naissants ont donné la possibilité de
participer à la vie publique à ceux qui le voulaient. Ce n’est pas pour
répondre à des luttes sociales que l’on élit des présidents, c’est parce
qu’on peut le faire aujourd’hui. Auparavant, on privilégiait les
successions automatiques, généralement héréditaires, mais par toujours.
Il était en effet impossible à tous d’être informés de la chose publique
et de transmettre rapidement son avis.

Stupidement nous avons assimilé la transformation sociologique des
sociétés et cette avancée technique à un choix de régime : la
démocratie. Or, celle-ci n’est pas une loi, mais un état d’esprit, un
idéal : « le gouvernement du Peuple, par le Peuple et pour le Peuple »,
selon la formule d’Abraham Lincoln.

Nous avons vite réalisé que des institutions démocratiques ne sont
pas meilleures que les autres. Elles élargissent le nombre de
privilégiés, mais en définitive, elle laissent une majorité exploiter
une minorité. Nous avons donc conçu toutes sortes de lois pour améliorer
ce système. Nous avons assimilé la séparation des pouvoirs et la
protection des minorités.

Cependant, le modèle démocratique ne fonctionne plus. Beaucoup de
citoyens constatent que leur opinion n’est plus prise en compte. Cela ne
provient pas des institutions qui n’ont guère changé sur le fond, mais
de la manière dont elles sont utilisées.

En outre, après nous être convaincus avec Winston Churchill que « La
démocratie est un mauvais système, mais elle est le moins mauvais de
tous les systèmes », nous réalisons que chaque régime politique doit
répondre aux préoccupations des gens qui sont différentes selon leur
histoire, leur culture ; que ce qui est bon ici, ne le sera ni là, ni à
une autre époque.

Il faut se méfier du vocabulaire en politique. La signification des
mots change avec le temps. Ils sont souvent introduits avec de belles
intentions et dévoyés avec de mauvaises. Nous confondons nos idées avec
les mots que nous utilisons pour les exprimer, mais que d’autres
emploient pour les trahir. Je préciserai donc dans ce texte ce que
j’entends par les plus importants.

Nous devons reposer la question de notre gouvernance. Pas à la mode d’Emmanuel Macron qui oppose « démocratie » et « dictature » de manière à clore la réflexion avant qu’elle n’ait commencé. Ces deux mots recouvrent des réalités d’ordre différent. La démocratie désigne un régime où le plus grand nombre participe. Elle s’oppose à l’oligarchie où le pouvoir n’est exercé que par quelques-uns. Au contraire, si l’on ne parle plus du nombre des gens impliqués dans la décision, mais de manière dont celle-ci est prise, la dictature désigne un régime où le chef, un commandant militaire, peut avoir à prendre sa décision sans pouvoir en débattre. Elle s’oppose au parlementarisme.

La légitimité de la République

Avant toute chose, nous devons poser la question de la légitimité,
c’est-à-dire des raisons pour lesquelles nous reconnaissons le
gouvernement, puis l’État, comme utiles au point que nous acceptons leur
autorité.

Nous obéissons à un gouvernement dont nous pensons qu’il sert nos
intérêts. C’est l’idée de « république » au sens romain. Ainsi, les rois
de France ont patiemment construit l’idée d’« intérêt général » à
laquelle les Anglo-Saxons se sont opposés à partir du XVIIème siècle et
de l’expérience d’Oliver Cromwell. Aujourd’hui, le Royaume-Uni et les
États-Unis sont les seuls pays où l’on affirme qu’il n’existe pas
d’intérêt général, mais uniquement une somme —la plus élevée possible—
d’intérêts disparates et contradictoires.

Les Britanniques suspectent a priori toute personne évoquant
l’intérêt général de vouloir rétablir le sanglant régime républicain
d’Oliver Cromwell. Les États-Uniens entendent que chaque État fédéré
soit républicain (c’est-dire qu’il serve les intérêts de la population
locale), mais surtout pas que l’État fédéral —dont ils se méfient— le
soit (car, pensent-ils, il ne peut servir les intérêts de toutes les
composantes de cette nation d’immigrés). C’est la raison pour laquelle,
un candidat aux USA ne présente pas de programme exposant sa vision de
la société comme dans le reste du monde, mais une liste de groupes
d’intérêts qui le soutiennent.

La pensée des Anglos-Saxons me paraît étrange, mais c’est la leur. Je
continuerai ma réflexion avec les peuples qui acceptent l’idée de
l’intérêt général. Pour eux, tous les régimes politiques sont
acceptables, pourvu qu’ils servent l’intérêt général, ce qui
malheureusement n’est en général plus le cas de nos démocraties. Le
problème, c’est qu’aucune constitution ne peut garantir ce service. Il
s’agit d’une pratique, rien de plus.

La vertu républicaine

Se pose alors la question des qualités nécessaires au bon
fonctionnement d’un régime politique, démocratique ou pas. Dès le XVIème
siècle, Machiavel avait répondu à cette question en énonçant le
principe de la « vertu ». Par vertu, il ne faut aucunement entendre une
morale quelle qu’elle soit, mais une forme de désintéressement qui
permet de s’occuper de l’intérêt général sans chercher à en tirer un
profit personnel ; une qualité dont la quasi totalité du personnel
politique occidental semble aujourd’hui dépourvue.

On cite souvent Machiavel comme le penseur de la rouerie en politique
et on le décrit comme un manipulateur. Certes, ce n’était pas un naïf,
mais un homme qui enseignait à la fois au prince comment utiliser son
pouvoir pour triompher de ses ennemis et comment ne pas abuser de son
pouvoir.

Nous ne savons pas comment développer la vertu, mais nous savons ce
qui l’a fait disparaître : nous n’avons plus d’égard que pour ceux qui
ont de l’argent, nous n’éprouvons plus aucun respect pour ceux qui se
consacrent à l’intérêt général. Pire, lorsque nous trouvons une personne
qui se consacre à l’intérêt général, nous pensons a priori
qu’elle est riche. Or, si nous nous souvenons de personnalités
politiques vertueuses, nous savons qu’elles n’étaient riches que si
elles avaient hérité d’une fortune ou gagné de l’argent avant d’entrer
en politique, généralement elles ne l’étaient donc pas.

Les travaux de Gene Sharp et l’expérience des révolutions colorées
nous montrent que, quel que soit le régime politique qui nous gouverne,
nous avons toujours les dirigeants que nous méritons. Aucun régime ne
peut durer sans l’aval de son peuple.

Par conséquent, nous sommes collectivement responsables de l’absence
de vertu de nos dirigeants. Plus encore que de changer nos institutions,
nous devons donc nous changer nous-mêmes et ne plus considérer les
autres en fonction de l’épaisseur de leur portefeuille, mais d’abord de
leur vertu.

La fraternité révolutionnaire

À la vertu, la Révolution française ajouta la fraternité. Là encore,
il ne s’agissait aucunement d’une question morale ou religieuse, ni
d’une quelconque aide sociale, mais de la fraternité d’armes des soldats
de l’an II. Ils s’étaient portés volontaires pour sauver le pays de
l’invasion prussienne, face à une armée de métier. Entre eux, ils ne
faisaient plus la différence entre aristocratie et tiers-état, réalisant
leur idéal d’égalité. Et ils furent victorieux.

Leur hymne, La Marseillaise, est devenu aussi bien celui de la République française que de la Révolution soviétique à ses débuts (avant le goulag). Son refrain est aujourd’hui incompris :

Aux armes, citoyens,
Formez vos bataillons,
Marchons, marchons !
Qu’un sang impur
Abreuve nos sillons !

On l’interprète à tort comme si nous allions abreuver nos sillons avec le sang de nos ennemis. Mais le sang des soldats du tyran ne peut qu’empoisonner notre terre. Dans l’imaginaire de l’époque, le « sang impur » du Peuple s’oppose au « sang bleu » des officiers de l’empire prussien. C’est l’exaltation du sacrifice suprême qui fonde la fraternité d’armes des Révolutionnaires.

La fraternité d’armes du Peuple correspond à la vertu des dirigeants. Les deux se répondent.

Et maintenant ?

Nous vivons aujourd’hui une période qui n’est pas sans rappeler celle
de la Révolution française : la société est à nouveau divisée en
ordres. D’un côté des dirigeants choisis depuis leur naissance, puis des
clercs dispensant leur morale sociale par les médias, en enfin un
tiers-état que l’on repousse à coup de gaz lacrymogène et de LBD
(Lanceur de balles de défense). Mais il n’y a aucune raison pour le
moment de mourir pour la patrie face aux intérêts représentés par le
millier de chefs d’entreprise qui se réunit à Davos.

Quoi qu’il en soit, un peu partout, les peuples cherchent de nouvelles formes de gouvernance, conformes à leur histoire et à leurs aspirations.

Thierry Meyssan

Thierry Meyssan

Consultant politique, président-fondateur du Réseau Voltaire.
Dernier ouvrage en français :
Sous nos yeux – Du 11-Septembre à Donald Trump (2017).




Les acteurs mondiaux peuvent utiliser le coronavirus pour remodeler le monde sans guerre — Président de Biélorussie

[Source anglaise : agence TASS]

Loukachenko a rappelé la proposition de l’ONU d’imprimer 10% du PIB mondial pour lutter contre les ramifications économiques du coronavirus

Belarusian President Alexander Lukashenko  Mikhail Klimentyev/Russian Presidential Press and Information Office/TASSLe Président de Biélorussie Alexandre Lukashenko
© Mikhail Klimentyev/Russian Presidential Press and Information Office/TASS

MINSK, 2 avril 2020. /TASS/.

Le président biélorusse Alexandre Lukashenko estime que les acteurs mondiaux pourraient utiliser le coronavirus pour remodeler le monde sans guerre, comme il a déclaré jeudi dans une interview accordée à la société de radio diffusion Mir.

Selon le président, de nombreuses personnes posent déjà la question principale : que sera [le monde] après la pandémie? « N’avez-vous pas l’impression que les pouvoirs en place (…) voudraient remodeler le monde sans guerre à travers cette soi-disant psychose des coronavirus, l’infodémique? » a demandé le président, ajoutant que le président français Emmanuel Macron avait déjà qualifié la pandémie de guerre.

Il a rappelé la proposition de l’ONU d’imprimer 10% du PIB mondial pour lutter contre les conséquences économiques du coronavirus. « Il s’agit d’argent vide. Le dollar américain continue de dévaluer tel quel, et cette [impression] déclenchera un raz de marée d’inflation. Il est clair où [la Biélorussie] se retrouvera avec son rouble », a noté Loukachenko.

« Encore plus : qui obtiendra ces billions de dollars, où finiront-ils ? Cela ne conduirait-il pas les riches à devenir encore plus riches et les pauvres à devenir encore plus pauvres ? Ce serait le cas. »

Selon Loukachenko, les nations du monde, y compris la Biélorussie, sont obligées de « s’arrêter, s’asseoir et manger à travers leurs modestes réserves de devises ».

« Nous ne pouvons pas dire que même la Russie possède d’énormes réserves. Nous non plus. Ensuite, après avoir imprimé 10% du PIB, ceux qui resteront debout viendront vous dire : voici un petit peu, mais, en échange, vous ferez comme on vous le dit. C’est ainsi que le monde pourrait être remodelé »,

estime le président.

Loukachenko a souligné qu’il était inquiet pour l’avenir de son pays, et c’est pourquoi il essaie de regarder vers l’avenir. « Tout le monde dit : après la pandémie, le monde sera différent, et je suis d’accord avec cela », a-t-il déclaré.

« Mais où sera notre place dans ce nouveau monde ? C’est la question principale pour moi, pas cette coronapsychose, pas l’infodémie. »

Selon le président, cette question deviendra bientôt urgente pour tout le monde. « [Cela deviendra urgent] pour le Kazakhstan, le Turkménistan, le Tadjikistan, riches en ressources naturelles; encore plus – pour l’Arménie, le Kirghizistan, l’Ukraine et [le président lituanien Gitanas] Nauseda, qui cherche à douter de la politique du président biélorusse. J’ai bien peur que nous devenions tous divisés sans guerre « , a poursuivi Loukachenko.

Il a expliqué pourquoi il insiste sur le fait que l’industrie biélorusse continue de travailler au milieu de la pandémie. « Parce que je peux imaginer ce qui nous arrivera après cette pandémie, si nous nous arrêtons, comme beaucoup : les Lituaniens, les Lettons et autres », a déclaré Loukachenko. » Ils perdureront. La Russie a du pétrole et du gaz dont le monde entier a besoin aujourd’hui. La Chine a d’énormes capacités économiques. Les États-Unis ont une imprimante d’argent : ils y injectent deux mille milliards et deux autres sont déjà en projet ».




Renaissance de la France par la Monarchie ?

Diverses prophéties évoquent le retour de la Monarchie en France grâce à un Grand Monarque qui restaurerait sa grandeur et lui fait retrouver son rôle traditionnel de Corps mystique du Christ.

Certains membres de la Noblesse française (il en existe encore, oui) considèrent que ce grand roi est l’actuel Louis XX, descendant de Louis XIV par la branche espagnole.

Voici la lettre qu’il a adressée aux Français à Pâques de cette année :

[Source : UCLF]

Message de Louis XX pour la fête de Pâques 2020

12 avril 2020

Chers compatriotes,
Chers Français,

Rappelons-nous : Pâques 2019 et la France pétrifiée par l’incendie qui venait de ravager la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Pâques 2020, une épreuve d’une toute autre nature dans un domaine où l’on ne l’attendait pas, atteint la France qui, avec l’Italie et l’Espagne, se partage le record des décès en Europe. Tous les continents sont frappés. Une mondialisation du risque !

Hier c’était l’âme du pays qui était touchée, et aujourd’hui ce sont les hommes et les femmes ; les enfants et les vieillards. Selon les mots forts prononcés par le Saint-Père dans son homélie du 27 mars, « nous avons été pris au dépourvu par une tempête inattendue et furieuse ». Devant le danger saurons-nous réagir et à l’ombre de cette cruelle épreuve, refonder nos actions sur plus de bon sens et redonner du sens à nos vies ?
Réagir, au-delà de la compassion que l’on a vis-à-vis des milliers de victimes et de leurs familles affrontant la mort souvent en grande solitude et sans secours spirituel; au-delà de l’admiration vis-à-vis des soignants aux moyens parfois si dérisoires et de tous ceux qui se dévouent souvent en prenant des risques pour que le pays continue à vivre ; au-delà des encouragements adressés à ceux qui, confinés, doivent assumer une vie familiale bouleversée et exercer leurs activités dans des conditions précaires ; au-delà de l’angoisse face aux situations désespérées que nombre d’artisans, de commerçants, d’entrepreneurs auront à affronter après le brusque arrêt de la vie économique.

Les Français courageux et fidèles à l’image de l’idée qu’ils ont de leur pays — celui du baptême de Clovis, celui de la justice de Saint-Louis, celui des quinze siècles de gloire et d’honneur —, doivent faire front animés d’une énergie à toute épreuve. Ils doivent résister pour sauver leur pays, retrouver l’esprit de Bouvines. Si l’oriflamme de saint Denis n’est plus élevée pour précéder les combattants, son esprit doit être là. Vivant.

L’actuelle situation dramatique doit ouvrir sur une période de sursaut qui soignera après les corps, les âmes et l’esprit public. En effet, au-delà de la crise sanitaire n’est-ce pas toute notre société qui est malade depuis des années et qui a besoin de se retrouver à travers un grand dessein partagé par tous et des valeurs essentielles.

En France, déjà, plus de vingt-cinq évêques ont placé leur diocèse sous la protection divine par l’intercession du Sacré-Cœur, de la Vierge Marie, de Saint-Joseph ou encore de saints locaux ayant déjà été invoqués lors d‘épidémies plus anciennes. Je me plais à songer au poids qu’aurait une consécration solennelle de la France effectuée par l’ensemble de son épiscopat à laquelle s’associerait le maximum de fidèles. Pâques, la fête de la résurrection, pourrait en être l’occasion. En tant que successeur légitime des rois de France qui ont toujours compris leur fonction dans sa double dimension terrestre et divine, ce serait de mon devoir de m’y associer et je le ferais en mon âme et conscience.

Demandons, en cette fête de la Résurrection, le secours de saint Louis, de sainte Geneviève et de sainte Jeanne d’Arc et leur protection sur la France.




L’illusion du COVID-19 et la remise à zéro de la monnaie

[Source : Le Saker Francophone]


La réinitialisation : pas tout d’un coup ; pas à pas


Par Jon Rappoport – Le 6 avril 2020 – Source No More Fake News

Lorsque cette farce hautement destructrice sera terminée, il y a plusieurs façons de procéder. Dans cet article, je décris une de ces voies. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Banque mondiale (BM) sont fortement liées. En 2018, elles ont noué de forts liens en formant un partenariat pour surveiller les épidémies avant qu’elles ne se propagent.

En gros, en coulisses, l’accord se présente comme suit : l’OMS crée l’illusion d’épidémies mondiales ; la BM intervient ensuite pour ramasser les morceaux des économies nationales fragilisées par les résultats – en octroyant des prêts aux gouvernements.

Ces prêts sont toujours assortis de conditions. La première condition est la suivante : laisser entrer des investisseurs privés, itinérants, étrangers, prédateurs, privés, afin qu’ils puissent prendre en charge les secteurs vitaux d’une nation : énergie, agriculture, eau, etc.

Mais cette fois-ci, l’OMS, agissant comme prévu, a fait preuve de bêtise. Les confinements sont en train de détruire les économies. Ce ne sera pas « juste une question de prêt ». C’est plutôt de l’ordre de : nous devons renflouer tout le monde.

Comment faire ?

Étape par étape, en échangeant un type d’argent illusoire contre un autre type d’argent illusoire.

Nous avons inventé un type d’argent à partir de rien, et il est arrivé au bout du rouleau. Maintenant, nous devons inventer une autre sorte de nouvel argent à partir de rien.

Le revenu de base universel (RBU). A terme, pour tous. Il est lui aussi assorti de conditions, mises en œuvre progressivement. En gros, l’accord est : « nous vous payons, et vous nous obéissez ».

L’aspect comportemental du modèle est celui du régime chinois, qui travaille l’obéissance par le biais d’un « crédit social ». Les infractions font baisser le score. Dans ce cas, le contrevenant ne peut pas voyager en avion, ni envoyer ses enfants dans certaines écoles, ni séjourner dans certains hôtels, ni créer une entreprise. Il existe plusieurs niveaux de sanctions.

Les infractions comprennent le fait de promener un chien sans laisse, de diffuser de fausses nouvelles, de franchir un feu rouge, de ne pas séparer correctement les ordures, de commettre une fraude commerciale – des petites ou des grosses infractions.

Dans le cadre d’un RBU global, ce serait : « Voici votre chèque numérique mensuel, suivez maintenant les ordres, ou votre argent pourrait être réduit. Soyez un bon citoyen ». Bien sûr, un tel système nécessite une surveillance complète et totale, publique et privée, dans tous les sens du terme.

Le Saint Graal, ce sont les quotas d’énergie pour chaque personne. « M. Smith, c’est votre mur qui parle à travers le glorieux Internet des choses. Votre consommation d’énergie pour le mois atteint sa limite. Je veux vous aider à éviter cette limite et les pénalités de crédit social qui seraient appliquées. Je vais initier des baisses de tension et des baisses d’intensité dans votre maison pour les deux prochaines semaines. Votre Internet sera coupé – sauf de minuit à trois heures du matin. Cuisinez tous vos repas pour la journée entre quatre et cinq heures du matin… »

Contrôle du comportement. Ce qui se passe maintenant est une mise au point pour l’avenir. Maintenant, on vous dit : restez à l’intérieur, ne laissez pas entrer les visiteurs. Faites la queue devant les magasins, en gardant une distance d’un mètre. Signalez les personnes qui semblent malades. Faites-vous tester. Lavez-vous les mains une douzaine de fois par jour. À l’avenir, la liste des règles et des règlements sera différente, mais le thème général sera le même : être un bon citoyen et contribuer à un monde meilleur. Soyez sincère, sérieux et serviable. Ne vous rebellez pas.

Et tout comme maintenant, beaucoup, beaucoup de gens réagiront : « Oui, merci. J’aime le droit chemin. J’aime le sentiment de contribuer à quelque chose de plus grand que moi. J’aime le collectif. J’aime le fait que nous soyons tous dans le même bateau ».

Une sous-population de ces personnes voudra en faire plus. Ils voudront rejoindre le gouvernement. Ils voudront aider le gouvernement à faire respecter les règles. Ils voudront « exprimer leur énergie ». Si on le leur demandait, ils défileraient volontiers en colonnes par 4 dans les rues, salueraient, distribueraient des sommations, procéderaient à des arrestations et commettraient même des actes violents sur ordre.

Ils porteraient des uniformes impeccables et prêteraient serment. Ils voudraient des grades et des sceaux. Ils voudraient qu’on les appelle élite. Parce que l’histoire ne signifie rien pour ces gens, ils ne connaîtront jamais ces noms : SS, Garde rouge ou Stasi. Mais c’est ce qu’ils seront.

A moins que le projet d’un Meilleur des Mondes technocratique ne soit exposé et ne s’écroule, parce que suffisamment de gens se souviennent d’un autre nom et savent ce qu’il signifie : Liberté.

Lorsque cette fausse crise pandémique sera déclarée « terminée », plusieurs thèmes émergeront. Ils seront promus de diverses manières, en utilisant de nombreux messages. Je parle de la propagande officielle du gouvernement et des médias.

Tout d’abord, la « pandémie » sera décrite comme un tournant majeur dans l’histoire de l’humanité, un grand choc pour le système. Toutes sortes de mensonges seront proférés et des menteurs professionnels parleront de AvP et d’ApP (avant la pandémie et après la pandémie).

On nous dira : « On ne peut pas revenir à ce qui était avant. »

Le premier grand thème de propagande sera : Aidez nous à construire un monde meilleur. Ce message s’adresse aux personnes sincères qui veulent s’engager et faire le bien, au sens collectif du terme. « Construisons un monde meilleur où nous pourrons éviter ces pandémies, ou alors les voir venir de loin. Formons une civilisation où l’égalité et la justice pour tous sont la priorité absolue. Partageons tous et prenons soin des autres… » Si vous y cherchez une logique, oubliez. Quoi qu’il en soit, les propagandistes laisseront entendre que la pandémie était en quelque sorte le signal que nous devons « faire mieux ». Nous devons « passer au travers ensemble » comme nous l’avons fait pendant la crise. L’amour que nous avons montré alors doit être l’amour que nous montrons maintenant. Un appel aux idéalistes du monde entier qui tombent sous le charme de vagues généralités comme les chats tombent dans l’herbe à chat.

Le deuxième grand thème, destiné à la classe instruite et aux classes techniques, ainsi qu’aux scientifiques et aux « penseurs », sera : organisation. « Nous devons organiser la civilisation mondiale de manière plus efficace ». Parce que, d’une certaine manière, c’était le problème avant la pandémie. Le manque d’organisation a permis aux choses d’échapper à tout contrôle. Nous ne pouvons plus être des groupes et des nations séparés qui suivent des voies différentes. Trop de désordre. Nous avons besoin de meilleures structures dans toutes les phases de la vie. Nous avons besoin de plus d’interconnexion et de coordination. La classe instruite aime ces choses. Cela correspond à son image de la réussite. Si la société fonctionne comme une machine, les problèmes seront résolus.

Le troisième grand thème de propagande s’adressera à toutes sortes de personnes qui seront sorties de leur enfermement et de leur auto-isolement, se seront promenées dans un parc un jour de printemps et se seront soudain souvenues de ce qui leur manquait. Leur soulagement atteindra presque un point d’hystérie, comme à la fin d’une guerre mondiale. Le thème sera : jamais plus. « Nous ne voulons en aucun cas retourner à ces jours sombres, et quoi qu’il en coûte, nous sommes avec vous. Dites-nous ce qu’il faut faire ».

Avec ces thèmes en main, la technocratie pourra être promulguée. Nous sommes tous pour la construction d’un monde meilleur. Nous devons l’organiser avec des barres sur les « t » et des points sur les « i ». Et nous ne devons jamais retourner dans l’obscurité.

A moins que les gens ne se souviennent de ce qui a été laissé de côté. L’Individu. Et la Liberté.

Les opérateurs technocratiques comptent sur nous pour oublier. Ils comptent sur les nombreuses personnes qui valorisent la liberté pour dire : « Tout est sans espoir. Je sais ce qu’est la liberté, mais trop d’autres ne le savent pas. Alors pourquoi se donner la peine. Je vais juste me rendre et flotter avec la marée. »

Flotter est une illusion. La marée se déplace dans une direction planifiée. Vers un rivage qui n’est pas joli.

Est-ce que les choses sont jolies maintenant ?

C’est ce qu’on appelle un indice.

Jon Rappoport




Des parlementaires s’élèvent contre la mascarade pandémique

[Source : Face à face — Silvano Trotta]

https://www.youtube.com/watch?v=AWnjUZfdVdM



La globalisation du capitalisme, le « gouvernement mondial » et la crise du coronavirus.

[Source : Mondialisation.ca]

Quand le mensonge devient la vérité, il n’y a pas de retour en arrière

Par Prof Michel Chossudovsky

Dans les conseils de gouvernement, nous devons nous prémunir contre l’acquisition d’une influence injustifiée, recherchée ou non, par le complexe militaro-industriel.
Le risque d’une montée désastreuse d’un pouvoir mal placé existe et persistera.

(Président Dwight D. Eisenhower, 17 janvier 1961)


Le monde est trompé sur les causes et les conséquences de la crise du coronavirus.

La crise COVID-19 est marquée par une « urgence » de santé publique sous les auspices de l’OMS qui sert de prétexte et de justification au déclenchement d’un processus mondial de restructuration économique, sociale et politique.

L’ingénierie sociale est appliquée. Les gouvernements sont poussés à prolonger le verrouillage, malgré ses conséquences économiques et sociales dévastatrices.

Ce qui se passe est sans précédent dans l’histoire du monde.

D’éminents scientifiques soutiennent le verrouillage sans sourciller, comme une « solution » à une urgence sanitaire mondiale.

Amplement documentées, les estimations de la maladie COVID-19, y compris la mortalité, sont grossièrement manipulées.

En retour, les gens obéissent à leurs gouvernements. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur ?

Causes contre solutions ?

La fermeture des économies nationales appliquée dans le monde entier entraînera inévitablement la pauvreté, le chômage de masse et une augmentation de la mortalité. C’est un acte de guerre économique.

Première étape : la guerre commerciale contre la Chine

Le 30 janvier 2020, le directeur général de l’OMS a déterminé que l’épidémie de coronavirus constituait une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC). La décision a été prise sur la base de 150 cas confirmés en dehors de la Chine. Premiers cas de transmission de personne à personne : 6 cas aux États-Unis, 3 cas au Canada, 2 au Royaume-Uni.

Le directeur général de l’OMS a reçu le soutien de la Fondation Bill et Melinda Gates, de Big Pharma et du Forum économique mondial (FEM). La décision de l’OMS de déclarer une urgence mondiale a été prise en marge du Forum économique mondial (WEF) de Davos, en Suisse (21-24 janvier).

Un jour plus tard (le 31 janvier), après le lancement de l’urgence mondiale de l’OMS, l’administration Trump a annoncé qu’elle refuserait l’entrée aux ressortissants étrangers « qui ont voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours ». Cela a immédiatement déclenché une crise dans le transport aérien, le commerce entre la Chine et les États-Unis ainsi que l’industrie du tourisme. L’Italie a suivi le mouvement, annulant tous les vols vers la Chine le 31 janvier.

La première étape s’est accompagnée de la rupture des relations commerciales avec la Chine ainsi que d’une fermeture partielle du secteur manufacturier d’exportation.

Une campagne a immédiatement été lancée contre la Chine et les Chinois. The Economist a rapporté que :

« Le coronavirus répand le racisme envers les Chinois et parmi les personnes d’origine chinoise »

« La communauté chinoise de Grande-Bretagne est confrontée au racisme en raison de l’épidémie de coronavirus »

Selon le PCSM :

« Les communautés chinoises d’outre-mer sont de plus en plus confrontées à des abus et à des discriminations racistes dans le contexte de l’épidémie de coronavirus. Certains Chinois de souche vivant au Royaume-Uni disent avoir été victimes d’une hostilité croissante à cause du virus mortel originaire de Chine ».

Et ce phénomène se produit partout aux États-Unis.

Deuxième étape : le krach financier provoqué par la peur et la manipulation des marchés boursiers

Une crise financière mondiale s’est déroulée au cours du mois de février et a culminé avec un effondrement spectaculaire des valeurs boursières ainsi qu’une baisse importante de la valeur du pétrole brut.

Cet effondrement a été manipulé. Il a fait l’objet d’un délit d’initié (« insider trading ») et d’une connaissance préalable. La campagne de peur a joué un rôle clé dans la mise en œuvre du krach boursier. En février, environ 6 000 milliards de dollars ont été effacés de la valeur des marchés boursiers dans le monde. Des pertes massives d’épargne personnelle (par exemple des Étasuniens de la classe moyenne) ont eu lieu, sans parler des faillites et des banqueroutes d’entreprises. Ce fut une véritable aubaine pour les spéculateurs institutionnels, y compris les fonds spéculatifs des entreprises. L’effondrement financier a entraîné des transferts importants de richesses monétaires dans les poches d’une poignée d’institutions financières.

Troisième étape : Verrouillage, confinement, fermeture de l’économie mondiale

Le krach financier de février a été immédiatement suivi d’un blocage au début du mois de mars. Le verrouillage et l’enfermement soutenus par l’ingénierie sociale ont contribué à la restructuration de l’économie mondiale. Appliqué presque simultanément dans un grand nombre de pays, le verrouillage a déclenché la fermeture de l’économie nationale et la déstabilisation des activités de commerce, de transport et d’investissement.

La pandémie constitue un acte de guerre économique contre l’humanité qui a entraîné une pauvreté et un chômage de masse à l’échelle mondiale.

Les politiciens mentent. Ni le verrouillage ni la fermeture des économies nationales ne constituent une solution à la crise de santé publique.

Qui contrôle les politiciens?

Pourquoi les politiciens mentent-ils ?

Ils sont les instruments politiques de l’establishment financier, y compris les « philanthropes ultra-riches ». Leur tâche est de mener à bien le projet de restructuration économique mondiale qui consiste à geler l’activité économique dans le monde entier.

Dans le cas des démocrates aux États-Unis, ils s’opposent en grande partie à la réouverture de l’économie étasunienne dans le cadre de la campagne électorale de 2020. Cette opposition à la réouverture des économies nationale et mondiale est soutenue par les grands intérêts financiers (« Big Money »).

S’agit-il d’opportunisme ou de stupidité. Dans toutes les grandes régions du monde, les politiciens ont reçu l’ordre de puissants intérêts financiers de maintenir le verrouillage et d’empêcher la réouverture de l’économie nationale.

La campagne de la peur prévaut. La distanciation sociale est appliquée. L’économie est fermée.  Des mesures totalitaires sont imposées. Selon le Dr Pascal Sacré :

… dans certains pays, des malades peuvent sortir de l’hôpital en acceptant de porter un bracelet électronique [10]. Ceci n’est qu’un échantillon de toutes les mesures totalitaires envisagées voire déjà décidées par nos gouvernements à la faveur de la crise du coronavirus. Cela va beaucoup plus loin, c’est sans limites [11] et cela touche une bonne partie du monde, sinon le monde entier.

Les « instincts de gérer les troupeaux » des hommes politiques

Les gouvernements corrompus agissent comme des « chiens bergers » avec l’ »instinct de gérer les troupeaux » de moutons.

Le « troupeau » a-t-il trop peur pour s’en prendre à son « gouvernement » ?

L’analogie peut être simpliste, mais néanmoins considérée comme pertinente par les psychologues.

« Certaines races de chiens [les politiciens corrompus] ont des instincts grégaires qui peuvent être mis en évidence par un entraînement approprié et des encouragements [des pots-de-vin]. …. apprenez à votre chien [mandataire politique] les bases de l’obéissance et voyez s’il [il, elle] montre des tendances de gardien de troupeau. … Cherchez toujours un dresseur qui utilise des méthodes de dressage basées sur la récompense [pots-de-vin, gains personnels, soutien politique, accession à de hautes fonctions] »

(Comment apprendre à votre chien à garder le troupeau)

Mais il y a une autre dimension. Les politiciens de haut niveau chargés de « convaincre leur troupeau » croient en fait aux mensonges qui leur sont imposés par une autorité supérieure.

Le mensonge devient la vérité. Les politiciens approuvent le consensus, ils appliquent l’ »ingénierie sociale », ils croient en leurs propres mensonges.

Ce n’est pas une épidémie, c’est une opération

Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo (lapsus) admet tacitement, dans une déclaration quelque peu contradictoire, que le COVID-19 est un « Live exercice », une « opération » :

« Il ne s’agit pas de représailles,… Cette affaire va de l’avant – nous sommes ici dans un exercice en direct pour obtenir ce droit. »

Ce à quoi le président Trump a rétorqué « vous auriez dû nous le dire ».

Ces mots resteront dans l’histoire.



Géopolitique

Ne nous faisons pas d’illusions, il s’agit d’une opération soigneusement planifiée. Il n’y a rien de spontané ou d’accidentel. La récession économique est provoquée aux niveaux national et mondial. À son tour, cette crise est également intégrée dans la planification militaire et de renseignement des États-Unis et de l’OTAN. Elle vise non seulement à affaiblir la Chine, la Russie et l’Iran, mais elle consiste également à déstabiliser le tissu économique de l’Union européenne (UE).

« Gouvernance mondiale »

Une nouvelle étape dans l’évolution du capitalisme mondial est en train de se dérouler. Un système de « gouvernance mondiale » contrôlé par de puissants intérêts financiers, dont des fondations d’entreprises et des think tanks de Washington, supervise la prise de décision au niveau national et mondial. Les gouvernements nationaux deviennent subordonnés à la « gouvernance mondiale ». Le concept de gouvernement mondial a été soulevé par David Rockefeller (décédé en 2017) lors de la réunion de Bilderberger, Baden Allemagne, en juin 1991 :
.

«Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et à d’autres grandes publications dont les directeurs ont participé à nos réunions et ont respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible d’élaborer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux yeux de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés. »

(cité par Aspen Times, 15 août 2011, je souligne)

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète qui va à l’encontre des intérêts des États-Unis, que ma famille et moi sommes des « internationalistes » et que nous conspirons avec d’autres dans le monde entier pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée, un seul monde si vous voulez. Si telle est l’accusation, je suis coupable, et j’en suis fier ».

(Ibid)

Les gens ne remettent pas en cause le consensus, un consensus qui frôle l’absurde.

La globalisation du capitalisme et le « paysage économique »

La crise redéfinit la structure du paysage économique mondial. Elle déstabilise les petites et moyennes entreprises dans le monde entier, elle précipite des secteurs entiers de l’économie mondiale, notamment le transport aérien, le tourisme, le commerce de détail, l’industrie manufacturière, etc. dans la faillite.  Le confinement crée la famine dans les pays en développement. Il a des implications géopolitiques.

Le Pentagone et les services de renseignement étasuniens sont impliqués. La crise du coronavirus affecte la conduite des guerres menées par les États-Unis et l’OTAN au Moyen-Orient, notamment en Syrie, en Irak, en Afghanistan et au Yémen. Elle est également utilisée pour cibler des pays spécifiques, dont l’Iran et le Venezuela.

Cette crise provoquée est sans précédent dans l’histoire du monde. Il s’agit d’un acte de guerre.

Le verrouillage déclenche un processus de désengagement des ressources humaines et matérielles du processus de production. L’économie réelle est paralysée. La réduction de l’activité économique compromet la « reproduction de la vie réelle ». Cela ne concerne pas seulement la production réelle des « nécessités de la vie » (alimentation, santé, éducation, logement), mais aussi la « reproduction » des relations sociales, des institutions politiques, de la culture, de l’identité nationale. Au moment où nous écrivons ces lignes, le verrouillage ne déclenche pas seulement une crise économique, il mine et détruit également le tissu même de la société civile, sans parler de la nature du gouvernement et des institutions de l’État (paralysés par l’accumulation des dettes), qui seront finalement privatisés sous la supervision des créanciers du « pouvoir de l‘argent » (Big Money).

Il y a des conflits au sein du système capitaliste qui sont rarement abordés par les grands médias. Les milliardaires, les puissantes institutions bancaires et financières (qui sont créanciers à la fois des gouvernements et des entreprises) mènent une guerre non déclarée contre l’économie réelle. Alors que les établissements financiers et bancaires du « pouvoir de l‘argent » (Big Money) sont des « créanciers », les entreprises de l’économie réelle qui sont déstabilisées et conduites à la faillite sont des « débiteurs ».

Faillites

Ce processus diabolique ne se limite pas à l’anéantissement des petites et moyennes entreprises. Le « pouvoir de l’argent» est également le créancier des grandes entreprises (notamment les compagnies aériennes, les chaînes d’hôtels, les laboratoires de haute technologie, les détaillants, les entreprises d’import-export, etc.

L’establishment financier mondial n’est pas monolithique. Il est marqué par des divisions et des rivalités. La faction dominante du « pouvoir de l’argent» (Big Money) cherche à déstabiliser ses concurrents de l’intérieur. Il en résulterait une série de faillites d’institutions bancaires régionales et nationales ainsi qu’un processus de consolidation financière mondiale.

Aux États-Unis, de nombreux détaillants, compagnies aériennes, chaînes de restaurants et d’hôtels ont demandé en février d’être placé sous la protection du Chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Mais ce n’est que le début. La grande vague de faillites se produira dans le sillage du verrouillage (« The New Normal »). Et à l’heure où nous écrivons ces lignes, l’établissement financier fait sans cesse pression sur les gouvernements nationaux (corrompus) pour qu’ils reportent la levée du confinement. Et les gouvernements nous disent que c’est pour « protéger les gens contre le virus ».

La province canadienne de l’Alberta, qui dépend largement des revenus du pétrole, est en faillite.

« Des pays qui représentent plus de 50 % du PIB mondial sont fermés aux entreprises. Les économistes à la recherche de comparaisons historiques mentionnent le krach boursier de 1929, la crise économique de 1974 ou la récession de 2008. Mais ils admettent que tous ces événements ne sont pas à la hauteur du bilan que cette pandémie pourrait avoir ».

(Wired News UK, 29 avril 2020

En Grande-Bretagne, des rapports récents affirment (c’est très britannique) « nous ne savons pas combien ont fait faillite ».

Une partie du paysage économique britannique a peut-être déjà été définitivement effacée, puisque quelque 21 000 entreprises britanniques de plus se sont effondrées rien qu’en mars par rapport au même mois de l’année précédente, selon les données recueillies par l’Enterprise Research Centre, un groupe de chercheurs universitaires.

Ce que ces rapports omettent de mentionner, ce sont les causes non-avouées : une campagne de peur au nom des créanciers, les instructions de gouvernements corrompus de fermer l’économie, prétendument pour « sauver des vies », ce qui est un gros mensonge. Des vies ne sont pas sauvées, et ils le savent.

La crise du coronavirus « a paralysé les affaires américaines ». Les économies nationales sont déstabilisées. L’objectif du « pouvoir de l’argent’ (Big Money) est d’affaiblir leurs concurrents, de « ramasser les morceaux » et, à la longue, de racheter ou d’éliminer les entreprises en banqueroute. Et le choix est vaste.

Capitalisme financier mondial

Les intérêts du « pouvoir financier » (Big Money) (intérêts financiers mondiaux) se recoupent avec ceux des Big Pharma, Big Oil (les supermajors du pétrole), les entrepreneurs de la Défense, etc. Les grandes institutions bancaires étasuniennes, dont JP Morgan Chase, Bank of America, Citigroup, Wells Fargo, State Street Co. et Goldman Sachs, investissent dans l’économie de guerre, notamment dans le développement d’armes nucléaires dans le cadre du programme d’armement nucléaire de Trump, d’un montant de 1,2 trillion de dollars (mis en place sous Obama).

L’objectif ultime du « pouvoir de l’argent » (« Big Money ») est de transformer les États nationaux (avec leurs propres institutions et une économie nationale) en « territoires économiques ouverts ». C’est le sort de l’Irak et de l’Afghanistan. Mais maintenant, vous pouvez le faire sans envoyer de troupes, en ordonnant simplement à des gouvernements par procuration (proxy government) asservis par des politiciens corrompus de fermer leur économie pour des raisons humanitaires, ce qu’on appelle la « responsabilité de protéger » (R2P) sans qu’il soit nécessaire d’intervenir militairement.

Impossible à estimer ou à évaluer. Plus de la moitié de l’économie mondiale est perturbée ou au point mort.

Soyons clairs. Il s’agit d’un programme impérial (imperial agenda). Que veulent les élites financières mondiales ? Privatiser l’État ? Posséder et privatiser la planète entière ?

La tendance est à la centralisation et à la concentration du pouvoir économique. Les gouvernements nationaux lourdement endettés sont les instruments du « pouvoir de l’argent » (Big Money). Ils sont des mandataires. Les principales nominations politiques sont contrôlées par des groupes de pression représentant Wall Street, le complexe militaro-industriel, les grandes sociétés pharmaceutiques, les grandes sociétés pétrolières, les médias d’entreprise et les géants de la communication numérique, etc.

En Europe et en Amérique, le « pouvoir de l’argent » (« Big Money« ) (par l’intermédiaire des groupes de pression de Washington) cherche à contrôler les gouvernements nationaux.

Dans quelle direction allons-nous ? Quel est l’avenir de l’humanité ? La crise actuelle du coronavirus est un projet impérial sophistiqué, qui consiste en une domination mondiale par une poignée de conglomérats de plusieurs milliards de dollars. Est-ce la troisième guerre mondiale ? Le capitalisme mondial détruit le capitalisme national.

L’intention tacite du capitalisme mondial est la destruction de l’État-nation et de ses institutions, ce qui conduit à une pauvreté mondiale d’une ampleur sans précédent.

La citation suivante de Lénine, datée de décembre 1915 au plus fort de la Première Guerre mondiale, a mis en évidence avec clairvoyance certaines des contradictions auxquelles nous sommes actuellement confrontés. D’autre part, nous devons comprendre qu’il n’y a pas de solutions faciles et que cette crise vise à renforcer l’impérialisme et l’emprise du capitalisme mondial :

« Il ne fait aucun doute que le développement va dans le sens d’un monopole corporatif mondial (single World trust ) qui engloutira toutes les entreprises et tous les États sans exception. Mais le développement dans cette direction se fait sous une telle pression, avec un tel rythme, avec de telles contradictions, conflits et convulsions non seulement économiques, mais aussi politiques, nationales, etc. etc. – qu’avant qu’un monopole corporatif mondial ne soit atteint, avant que les capitales financières nationales respectives n’aient formé une « Union mondiale » d’ultra-impérialisme, l’impérialisme explosera et le capitalisme deviendra son contraire.»

(V. I. Lénine, Introduction to Imperialism and World Economy by N, Bukharin, Martin Lawrence, Londres, imprimé aux États-Unis, édition russe, novembre 1917)

Comment inverser la tendance. La première priorité est d’abroger le mensonge.

À cet égard, il est regrettable que de nombreuses personnes « progressistes » (y compris des intellectuels de gauche éminents) soient – malgré les mensonges – favorables au verrouillage et à la fermeture de l’économie comme solution à l’urgence de santé publique. C’est la position du parti démocrate aux États-Unis, qui va à l’encontre du bon sens.

La vérité est une arme puissante pour abroger les mensonges des médias corporatifs et des gouvernements.

Quand le mensonge devient la vérité, il n’y a pas de retour en arrière

Sans la campagne de peur et la propagande médiatique, les actions entreprises par nos gouvernements n’auraient pas de fondement.

La « distanciation sociale » n’empêche pas les élites financières de donner des instructions à des politiciens corrompus.

D’autre part, la « distanciation sociale » combinée au confinement est utilisée comme un moyen de subordination sociale. Elle empêche les gens de se réunir et de protester contre ce soi-disant nouvel ordre mondial.

L’organisation, la vérité et la solidarité sont essentielles pour renverser la tendance. La première étape d’un mouvement mondial est la « contre-propagande ».

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

Global Capitalism, “World Government” and the Corona Crisis

Traduit par Maya pour Mondialisation
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2020




Obama Gate : Histoire d’un coup d’Etat Foireux.

[Source : Institut des Libertés via Sott.net]

[Auteur :] Charles Gave

Novembre 2016, Donald Trump est élu Président des Etats-Unis à la surprise de tous les gens bien informés. De nombreuses tentatives de déstabilisation de sa campagne avaient eu lieu avant l’élection (Carter-Page, Papadopoulos, Malafort etc..), dont je ne vais pas parler, faute de place. En fait, je vais m’intéresser presque exclusivement au cas du général Flynn tant il me parait évident qu’il est l’homme qui devait être détruit car sans doute aucun il en savait trop.

Avant de présenter les faits et uniquement les faits, il me faut d’abord, comme dans une pièce de théâtre, répertorier les principaux acteurs ainsi que les fonctions qu’ils occupaient.

Tout le monde connait Obama et Trump, mais dans ce cas-là, les personnages secondaires sont tout aussi intéressants et je vais commencer par la constellation de ceux qui entouraient Obama.

En voici la liste, avec leurs fonctions. Jo Biden, Vice-Président des USA et candidat en 2020 contre Trump. Loretta Lynch, ministre de la Justice, secondée dans ses fonctions par Sally Yates, numéro deux du même ministère (le DOJ) qui a la tutelle sur le FBI, la police fédérale US, dont le patron était James Comey. La conseillère pour les affaires de sécurité (Nationale Security Advisor) était Susan Rice tandis que le chef de la CIA était John Brennan et le patron des organisations de sécurité James Clapper.

Venons-en au général Michael T Flynn. Démocrate, issu d’une famille démocrate, grand soldat s’il en fût, spécialiste du renseignement et de l’action psychologique, Lieutenant Général, c’est-à-dire général trois étoiles, il est nommé à la tête des services de renseignement de l’armée en Juillet 2012 par le Président Obama et donnera sa démission en Avril 2014, le pouvoir en place n’aimant guère ses discours sur les dangers que représentaient l’Islam militant ainsi que son apparente indifférence au danger Russe.

Il rejoint la campagne de Trump pour être nommé, après l’élection au poste prestigieux de « National Security Advisor », celui qui murmure à l’oreille du Président pour toutes les questions relatives à la défense et à la sécurité des USA. Inutile de dire qu’en tant que chef du service de renseignement de l’armée, il devait être au courant de l’endroit où tous les cadavres étaient enterrés en Lybie (Benghazi), en Ukraine, au Moyen-Orient, en Syrie avec le financement d’Isis par Hilary Clinton pour faire tomber Assad et que sais-je encore. Il était donc l’homme à abattre, car ses révélations auraient pu mettre en cause tout l’appareil du parti démocrate et en conduire un certain nombre en prison, pour corruption (voir le fils de Jo Biden en Ukraine et en Chine).

Et abattu, il le fut très vite, et voici la façon dont cela s’est passé.

Commençons par la version officielle.

  • En Décembre 2016, le parti Démocrate aux USA se rend compte que son ordinateur central a été « hacké « et fait savoir que les coupables sont les services secrets Russes, qui ont transmis les informations ensuite à Wikileaks, qui les publient, ce qui est bien sûr une preuve que les Russes cherchaient à faire élire Donald Trump. Notons que le FBI n’a jamais eu accès à cette machine pour vérifier ces affirmations, ce qui est …étonnant et sans précédent.
  • Le 12 Janvier 2017, après l’élection de Trump, Ignatius, grand reporter au New-York Times, sort un dossier extrêmement compromettant sur le futur Président Trump, qui, lors d’une visite antérieure en Russie, se serait livré à quelques fantaisies sexuelles à Moscou. Le message est clair. Poutine a suffisamment d’informations de ce type sur Trump pour forcer le nouveau Président des USA à faire ce qu’il lui dira de faire.
  • Le 24 Janvier, le général Flynn, qui a pris ses fonctions à la maison blanche le 20 janvier précèdent prend un coup de téléphone du numéro trois du FBI, Peter Stzrock lui demandant si lui et l’un de ses collègues peuvent passer le voir pour faire connaissance, ce qu’il accepte. Les deux compères arrivent et lui posent quelques questions sur un coup de téléphone qu’il a donné à l’ambassadeur Russe (sous écoute bien entendu, et dont le personnel du FBI avait les minutes), et dans lequel il demandait à l’ambassadeur de faire passer le message que Trump voulait revenir à de meilleures relations avec la Russie. Le général dit qu’il ne se souvient pas très bien, refusant ainsi de répondre aux questions du FBI, et tout le monde se sépare bons amis. Coup de tonnerre : Dans les jours qui suivent, le FBI met en accusation le général pour avoir refusé de répondre au FBI lors de son interview et notre homme est obligé de démissionner, pour être ensuite trainé devant les tribunaux, forcé de vendre sa maison pour payer sa défense et finir par se reconnaitre coupable d’un crime qu’il n’a pas commis lorsque le FBI lui dit que s’il continue à se défendre, ils vont s’en prendre à son fils.

Le cas Trump semble clos : Pénétration de l’ordinateur du parti Démocrate par des Russes, dossier salace prouvant que Trump était susceptible d’être la victime d’un chantage de la part de Moscou et principal conseiller faisant des offres d’apaisement à l’ambassadeur de Russie avant même d’être au pouvoir à Washington. La messe était dite, Trump était un agent au service de la Russie.

Une commission d’enquête est demandée contre Trump par les démocrates. Le ministre de la Justice de l’époque, choisi par Trump, monsieur Session, ancien Sénateur du Sud qui avait pris un verre avec l’ambassadeur Russe un an avant et dont nul ne saura jamais s’il était idiot, complice ou les deux à la fois, se désiste et confie le dossier au numéro deux du DOJ de l’époque, un monsieur Rosenstein, homme de l’état profond s’il en fut qui enclenche les mécanismes légaux qui mèneront à la création de la commission d’enquête dite de « Muller », ancien patron du FBI et grand copain de Comey où ne figureront que des juristes démocrates. Cette commission va empoisonner la vie de Trump pendant deux ans avant de rendre ses conclusions en 2020 en concluant qu’ils n’ont rien trouvé et qu’il n’y a rien dans le dossier, ce que tout le monde savait au bout de trois mois.

Premier coup dur pour les démocrates. Mais ce n’est que le début. Le général Flynn change d’avocat, car le FBI, loin de le laisser tranquille après ses « aveux », veut lui faire faire six mois de prison. Il demande à un avocat absolument remarquable, une femme, Sydney Powell, de le défendre, virant la grande firme d’avocats qui l’avaient for mal défendu jusque-là. Et cette femme fait découverte stupéfiante après découverte stupéfiante et je vais les citer non pas dans l’ordre où elle les a faites, mais dans leur chronologie

1. Elle découvre que le FBI avait mis sous surveillance et sous écoute le général Flynn dès qu’il avait rejoint la campagne de Trump, en Mars 2016, ce qui était strictement illégal. Elle découvre de plus que le FBI, après neuf mois d’écoutes, concluait le 4 Janvier 2017 que rien ne pouvait être reproché au général et qu’il fallait fermer le dossier. Ce à quoi, Peter Stzrock s’oppose sur ordre de Comey et le général reste sous surveillance.

2. Elle découvre que le 5 Janvier, Obama demande à Comey de ne pas dire à Trump que le général est sous surveillance parce qu’Obama ne serait pas sûr que Trump ne soit pas un agent Russe, ce à quoi Comey acquiesce, alors que ni lui ni Obama n’ont la moindre preuve de quoi que ce soit contre Trump ou Flynn. En fait, Comey continuera à obéir à Obama et à trahir Trump ce qui est une forfaiture, jusqu’à ce qu’il soit viré par Trump.

3. Elle découvre que le même 5 Janvier 2017, une réunion a eu lieu à la Maison Blanche où sont présents Obama, Biden, Clapper, Susan Rice, Sally Yates, Brennan, Comey… et que la décision est prise à la fin de la réunion de tout faire pour faire tomber notre général. Et l’ordre est donné (par qui ?) de monter un piège pour faire tomber Flynn. Ce qui fut fait lors de la visite à Flynn du 24 Janvier. On a retrouvé les notes manuscrites de l’agent qui accompagnait Stzrock lors de la visite et il voulait savoir si le but était 1) de le faire virer,2) de le mettre en prison ou 3) de discréditer l’administration Trump. Et l’ordre, parfaitement illégal de faire cette visite, fut donné par Comey qui s’en est vanté dans une réunion publique dans laquelle ses propos ont été enregistrés. Et c’est pendant cette visite que les deux mafieux ont piégé le général en créant un crime (refus de répondre aux questions du FBI), là où il n’y en avait pas alors que le général pensait que c’était une visite amicale. Par exemple, ils n’ont pas précisé au général quels étaient ses droits (Miranda), qu’il pouvait se faire aider d’un avocat. Qui plus est, il est parfaitement légal de mentir au FBI si cela porte sur question pour laquelle ils ne sont pas mandatés. Or ils n’étaient mandatés pour rien du tout, ayant été envoyés par James Comey « au culot ». On pense à la phrase de Beria à Staline : « Désignez- moi le criminel, je me charge de trouver le crime ».

4. Elle découvre que James Comey avait montré le dossier crapuleux le 6 Janvier 2017, le lendemain de la réunion avec Obama à la maison blanche à Trump et Flynn en sachant qu’il était faux de bout en bout (ce que les notes internes du FBI prouvent) et que ce dossier monté par un agent secret anglais en poste en Russie pendant des années a été payé par le Democratic National Congress (DNC) pour 50 % et par la campagne d’Hillary Clinton pour les 50 % restant, ce que savait parfaitement Comey. Or le code électoral américain interdit de faire travailler un non-citoyen lors d’une campagne, ce qu’ont fait le DNC et Hillary Clinton.

5. Par d’autres sources, on apprend que Comey, Clapper, Brennan & Co ont demandé la mise sous écoutes d’une grande partie des équipes de Donald Trump avant et après le 20 Janvier, en utilisant ce faux dossier comme justification, ce qui fût fait, en sachant qu’il était faux et sans en prévenir les juges qui délivraient les autorisations, ce qui est crime passible de la prison à vie.

6. La chambre des représentants, conduite par monsieur Schiff, un fanatique anti Trump, a fait passer de nombreuses auditions à tous ces gens, Comey, Brennan, Claper, Sally Yates, Susan Rice qui passaient ensuite sur NBC, CBS, CNN ou donnaient des articles au Washington Post ou au New York Times etc. en assurant qu’ils avaient vu, de leurs yeux vu les preuves de la culpabilité de Trump. Les minutes officielles de ces auditions viennent d’être publiées par Richard Grenelle, le haut fonctionnaire en charge de la conservation de ce genre de dossiers à la grande fureur de monsieur Schiff, des démocrates et des media. Aucune de ces personnes n’indique avoir jamais vu la moindre preuve d’une quelconque culpabilité de Trump, car cette fois- là, chacun était sous serment et risquait la prison à vie en cas de parjure. Ce qui ne les empêchait pas continuer de mentir dès qu’ils étaient sortis. Le plus étonnant est cependant la réalité suivante : pourquoi donc les Républicains présents lors de ces auditions n’ont-ils pas fait « fuiter » ces informations à leurs amis dans la presse ? D’où j’en déduis que Trump n’a pas que des amis au parti Républicain et que l’état profond a soigneusement noyauté le parti républicain aussi… (Le Sénateur Graham vient à l’esprit, je ne sais pas pourquoi.).

7. Dans ces auditions – et sous serment-le patron de CrowdStrike, la firme qui gérait l’ordinateur soi-disant hacké du parti démocrate, a dit qu’il n’avait aucune preuve que l’ordinateur ait été attaqué et encore moins par les Russes. Il est donc probable que cela aussi était un mensonge, mais alors pourquoi Julien Assange est-il encore en prison en Grande-Bretagne pour avoir été complice du viol de l’ordinateur du DNC, qui n’a probablement jamais eu lieu, et cela à la demande du ministère de la Justice des USA, ce repaire de brigands ? Assange doit être libéré tout de suite.

8. On vient d’apprendre- vendredi dernier- que Jo Biden avait demandé et obtenu la mise sur écoutes non pas des ennemis des USA mais de ses adversaires politiques américains, ce qui est un autre crime. Et de même pour Sally Yates, Susan Rice, Clapper Brennan qui tous, et en particulier à la fin du deuxième mandat d’Obama, voulaient absolument savoir ce que préparait Trump. Et toutes ces écoutes étaient illégales. Déjà, le Sénateur Républicain Rand Paul va les convoquer tous pour qu’ils répondent à ses questions sous serment, y compris monsieur Biden, qui ne semble pas avoir un respect très élevé pour la Loi et va devoir venir s’expliquer avant les élections, au Sénat et devant des Républicains. A mon avis la carrière de Biden va connaitre un arrêt brutal et il va peut-être devoir passer par la case « prison » où il risque d’être entouré de camarades du parti. Qui sera le candidat Démocrate et comment ce candidat sera t’il désigné ? … est donc la question suivante.

9. Et pour finir, cerise sur le gâteau, le DOJ, à la demande de Sidney Powell, a retiré toutes les charges contre notre général, ce qui n’empêche pas le Juge Sullivan, grand copain d’Éric Holder, lui-même ex-ministre de la Justice d’Obama pendant quelques années, de vouloir continuer à le juger pour un parjure qui n’a jamais eu lieu. Ce doit être le premier cas dans l’histoire des USA où le parquet dit que le prévenu est complètement innocent et qu’il a été victime d’une tentative d’assassinat judiciaire abominable et que le juge entend continuer à le juger. A mon avis la Cour Supreme va devoir intervenir.

Je m’arrête ici non faute de matériel, je pourrais écrire le double de ce que j’ai déjà écrit mais je suis arrivé au point « CQFD », où il n’y a plus rien à prouver tant les faits sont accablants. Rajoutons que maintenant que Flynn a été innocenté, il va pouvoir parler…

Résumons.

Cette affaire est infiniment plus grave que le Watergate, où Nixon avait simplement essayé de couvrir maladroitement quelques bras cassés qui avaient tenté de cambrioler les locaux du DNC sans en avoir reçu l’ordre. Là, il s’agit d’une tentative de coup d’état, préparé avec soin par un groupe criminel, qui avait pris le contrôle des services secrets, du FBI et du Ministère de la Justice, tous noyautés à mort avant le changement d’administration, pour se débarrasser d’un homme qui avait gagné les élections à la loyale.

Et cette action a été totalement couverte par ce qu’il est convenu d’appeler les media officiels (CNN, NBC, CBS. NYT, Washington Post) qui, pour l’instant, refusent de mentionner ce qui est sans doute le plus grand scandale politique de l’histoire des Etats-Unis, en parlant d’une manœuvre de diversion. Seuls Fox et Breitbart se sont battus pour soutenir le Président élu sous les lazzis des bien-pensants.

Et voici ma conclusion : je crois que depuis Watergate, les journalistes du monde entier se sont dits que leur rôle était de faire tomber les régimes « de droite » et que pour cela, puisque la droite était dans son essence mauvaise, tous les moyens étaient bons, y compris criminels. Pour beaucoup de journalistes, aujourd’hui, la fin -détruire la droite-justifie les moyens. Et c’est comme cela que l’état de droit disparait.

Et comme toujours, cette maladie est arrivée chez nous quelques années après et nous souffrons donc du même mal. Le but de nombre de journalistes français est aujourd’hui purement et simplement de détruire les gens de droite, en les empêchant de s’exprimer par tous les moyens. Conclusion : A quoi donc aujourd’hui reconnait -on un journaliste de gauche (pléonasme) ? Au fait qu’il est favorable à la censure…

Il faut donc que ces criminels et leurs complices dans les media passent en jugement et aillent en prison et pour tres longtemps. Je fais confiance à messieurs Barr (le nouveau ministre de la Justice, qui ressemble beaucoup à Droopy le basset et qui a l’air d’en avoir la ténacité) et Durham (le procureur spécial choisi par monsieur Barr, qui lui ressemble à un furet) pour terminer leurs enquêtes avant la prochaine élection présidentielle, car si Trump était battu, tout cela resterait impuni. L’été va être chaud, voire caniculaire à Washington et va durer jusqu’au début Novembre, date des élections présidentielles.

Et ma dernière remarque sera pour dire que le Président Trump a fait preuve d’une incroyable force et d’une résistance stupéfiante pendant toute cette période. N’importe qui d’autre y aurait laissé sa peau et sa santé mentale, ce qui lui vaut toute mon admiration. S’il est réélu, je ne doute pas que les Clinton et en particulier madame Clinton, rejoindront en prison tous les autres criminels qui se sont essayés à fomenter un coup d’état aux USA. Reste la question de ce qui arrivera à Obama, le comploteur en chef. Peut-être Trump le graciera-t-il par respect pour la fonction Présidentielle ? Voilà qui serait un coup mortel pour la vanité immense de ce tartuffe sanctimonieux.

Si tout cela est suivi de condamnations, alors l’atmosphère dans le monde deviendra à nouveau respirable et le danger de guerre reculera partout, l’état profond américain ayant été détruit, ce qui, après tout, était la première promesse électorale du Président Trump. Souhaitons que la même chose arrive en France !


Écoutez l’intervention de Charles Gave sur Sud Radio, le 20/05/20 :



Auteur : Charles Gave

Economiste et financier, Charles Gave s’est fait connaitre du grand public en publiant un essai pamphlétaire en 2001 “ Des Lions menés par des ânes “(Éditions Robert Laffont) où il dénonçait l’Euro et ses fonctionnements monétaires. Son dernier ouvrage “Sire, surtout ne faites rien” aux Editions Jean-Cyrille Godefroy (2016) rassemble les meilleurs chroniques de l’IDL écrites ces dernières années. Il est fondateur et président de Gavekal Research (www.gavekal.com).




Du confinement à la Grande réinitialisation

[Source en anglais : ZeroHedge]

[Traduction : Conscience du peuple]

[Auteur:] Anthony Mueller

Le confinement à la suite de la pandémie de coronavirus a accéléré la mise en œuvre de plans de longue date visant à établir un soi-disant nouvel ordre mondial. Sous les auspices du Forum économique mondial (WEF), les décideurs mondiaux plaident en faveur d’une « grande réinitialisation » dans le but de créer une technocratie mondiale. Ce n’est pas par hasard que le 18 octobre 2019, à New York, le WEF a participé à «l’événement 201 » lors de l’exercice de pandémie de «haut niveau» organisé par le John Hopkins Center for Health Security .

Cette technocratie à venir implique une coopération étroite entre les responsables de l’industrie numérique et les gouvernements. Avec des programmes tels que le revenu minimum garanti et la santé pour tous, le nouveau type de gouvernance combine un contrôle sociétal strict avec la promesse d’une justice sociale globale.

La vérité, cependant, est que ce nouvel ordre mondial de tyrannie numérique s’accompagne d’un système complet de crédit social. La République populaire de Chine est le pionnier de cette méthode de surveillance et de contrôle des individus, des entreprises et des entités sociopolitiques.

Pour l’individu, son identité se réduit à une application ou une puce qui enregistre presque toutes ses activités personnelles. Afin d’obtenir quelques droits individuels, et que ce soit uniquement pour se rendre à un certain endroit, une personne doit équilibrer ces privilèges apparents avec sa soumission à un réseau de réglementations qui définissent en détail ce qu’est un « bon comportement » et considéré comme bénéfique pour l’humanité et l’environnement.

Par exemple, lors d’une pandémie, ce type de contrôle s’étendrait de l’obligation de porter un masque et de pratiquer la distanciation sociale à des vaccinations spécifiques pour postuler à un emploi ou pour voyager.

C’est, en somme, un type d’ingénierie sociale qui est à l’opposé d’un ordre spontané ou de développement. Comme l’ingénieur en mécanique avec une machine, l’ingénieur social – ou technocrate – traite la société comme un objet. Différent des suppressions brutales par le totalitarisme des temps anciens, l’ingénieur social moderne tentera de faire fonctionner la machine sociale toute seule selon sa conception. Pour ce faire, l’ingénieur social doit appliquer les lois de la société comme l’ingénieur en mécanique suit les lois de la nature. La théorie comportementale a atteint un stade de connaissance qui rend possible les rêves d’ingénierie sociale. Les machinations de l’ingénierie sociale n’opèrent pas par la force brute, mais subtilement par coup de coude .

Dans l’ordre envisagé par la « Grande Réinitialisation », l’avancement de la technologie ne vise pas à servir l’amélioration des conditions du peuple mais à soumettre l’individu à la tyrannie d’un État technocratique.

«Les experts savent mieux» est la justification.

Le programme

Le plan pour une refonte du monde est l’idée originale d’un groupe d’élite d’hommes d’affaires, de politiciens et de leur entourage intellectuel qui se réunissaient à Davos, en Suisse, en janvier de chaque année. Créé en 1971, le Forum économique mondial est depuis lors devenu un événement méga-mondial. Plus de trois mille dirigeants du monde entier ont assisté à la réunion en 2020.

Sous la direction du WEF, le programme de la grande réinitialisation indique que l’achèvement de la transformation industrielle actuelle nécessite une refonte complète de l’économie, de la politique et de la société. Une telle transformation globale nécessite la modification du comportement humain et, par conséquent, le « transhumanisme » fait partie du programme.

« La grande réinitialisation » sera le thème de la cinquante et unième réunion du Forum économique mondial de Davos en 2021. Son programme est l’engagement à faire avancer l’économie mondiale vers «un avenir plus juste, durable et résilient».

Le programme appelle à «un nouveau contrat social» centré sur l’égalité raciale, la justice sociale et la protection de la nature. Le changement climatique nous oblige à «décarboner l’économie» et à mettre la pensée et le comportement humains «en harmonie avec la nature». Le but est de construire «des économies plus égalitaires, inclusives et durables».

Ce nouvel ordre mondial doit être mis en œuvre «d’urgence», affirment les promoteurs du WEF, et ils soulignent que la pandémie «a mis à nu la non-durabilité de notre système», qui manque de «cohésion sociale».

Le grand projet de réinitialisation du WEF est l’ingénierie sociale au plus haut niveau. Les partisans de la réinitialisation soutiennent que l’ONU n’a pas réussi à rétablir l’ordre dans le monde et n’a pas pu faire avancer avec force son programme de développement durable – connu sous le nom d’ Agenda 2030 – en raison de sa manière bureaucratique, lente et contradictoire de travailler. En revanche, les actions du comité d’organisation du Forum économique mondial sont rapides et intelligentes. Lorsqu’un consensus s’est formé, il peut être mis en œuvre par l’élite mondiale partout dans le monde .

Ingénierie sociale

L’idéologie du Forum économique mondial n’est ni de gauche ni de droite, ni progressiste ou conservatrice, elle n’est pas non plus fasciste ou communiste, mais purement technocratique . En tant que tel, il comprend de nombreux éléments des idéologies collectivistes antérieures.

Au cours des dernières décennies, le consensus s’est dégagé lors des réunions annuelles de Davos selon lequel le monde a besoin d’une révolution et que les réformes ont pris trop de temps. Les membres du WEF envisagent un bouleversement profond à court terme. Le laps de temps devrait être si bref que la plupart des gens se rendront à peine compte qu’une révolution est en cours. 👉Le changement doit être si rapide et dramatique que ceux qui reconnaissent qu’une révolution est en train de se produire n’ont pas le temps de se mobiliser contre elle.

L’idée de base de la « Grande Réinitialisation » est le même principe qui a guidé les transformations radicales des révolutions française aux révolutions russe et chinoise. C’est l’idée du rationalisme constructiviste incorporé dans l’État. Mais des projets comme la « Grande réinitialisation » laissent sans réponse la question de savoir qui dirige l’État.

Les régimes totalitaires antérieurs avaient besoin d’exécutions massives et de camps de concentration pour maintenir leur pouvoir. 👉Maintenant, avec l’aide des nouvelles technologies, on pense que les dissidents peuvent facilement être identifiés et marginalisés. Les non-conformistes seront réduits au silence en disqualifiant les opinions divergentes comme étant moralement méprisables.

Les confinements de 2020 offrent peut-être un aperçu du fonctionnement de ce système. Le confinement a fonctionné comme s’il avait été orchestré – et peut-être l’était-il. Comme s’ils suivaient un seul commandement, les dirigeants des grandes et des petites nations – et à différents stades de développement économique – ont mis en œuvre des mesures presque identiques. Non seulement de nombreux gouvernements ont agi à l’unisson, mais ils ont également appliqué ces mesures sans se soucier des conséquences horribles d’un confinement mondial.

Des mois de stabilité économique ont détruit la base économique de millions de familles. Avec la distanciation sociale, le confinement a produit une masse de personnes incapables de prendre soin d’elles-mêmes. Premièrement, les gouvernements ont détruit les moyens de subsistance, puis les politiciens se sont présentés comme le sauveur. La demande d’assistance sociale n’est plus limitée à des groupes spécifiques, mais est devenue un besoin des masses.

Autrefois, la guerre était la santé de l’État. Maintenant, c’est la peur de la maladie. Ce qui nous attend, ce n’est pas l’apparente convivialité d’un État-providence bienveillant complet avec un revenu minimum garanti et des soins de santé et une éducation pour tous.

Le confinement et ses conséquences ont apporté un avant-goût de ce qui est à venir : un état de peur permanent, un contrôle comportemental strict, des pertes massives d’emplois et une dépendance croissante à l’égard de l’État.

Avec les mesures prises à la suite de la pandémie de coronavirus, un grand pas en avant pour réinitialiser l’économie mondiale a été franchi. Sans résistance populaire, la fin de la pandémie ne signifiera pas la fin du confinement et de la distanciation sociale. Pour le moment, cependant, les opposants au nouvel ordre mondial et à la tyrannie numérique ont toujours accès aux médias et aux plates-formes pour s’opposer. Pourtant, le temps presse. Les auteurs du nouvel ordre mondial ont senti le sang. Déclarer le coronavirus une pandémie s’est avéré utile pour promouvoir le programme de leur grande réinitialisation. Seule une opposition massive peut ralentir et arrêter finalement l’extension de la prise de pouvoir de la technocratie tyrannique en plein essor.




MILLIÈRE : Donald Trump ne va nulle part à cause de sa gestion de la COVID-19, vraiment ?

[Source : Québec Nouvelles]

Entrevue avec Guy Millière, distinguished Senior Fellow, Gatestone Institute, New York

Q : Les experts estiment que la campagne de Donald Trump ne va nulle part à cause de sa gestion de la COVID-19. Que pensez-vous de cela ?

Cela fait partie des éléments de désinformation constants énoncés contre Donald Trump. Jamais un président des États-Unis n’a été à ce point traîné dans la boue, diffamé, insulté. Quasiment tout ce qui se dit ou s’écrit sur Donald Trump est un exercice de haine aveugle et d’incitation à la haine. J’ai écrit récemment que Donald Trump était traité dans les grands médias de gauche, autrement dit dans quatre-vingts pour cent des médias américains, et dans quatre-vingt-dix-neuf pour cent des médias français ou canadiens comme l’est le personnage d’Emmanuel Goldstein dans le 1984 de George Orwell, avec la différence que dans 1984, le personnage d’Emmanuel Goldstein subit deux minutes de haine, alors que pour Trump, les deux minutes durent vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Donald Trump a laissé la gestion de la pandémie aux gouverneurs de chacun des cinquante États du pays, et nul ne rappelle que c’est ce qu’exige la Constitution : les États-Unis sont une fédération d’États. Certains États ont bien géré la situation, d’autres l’ont très mal géré, et les chiffres montrent que la gestion a été désastreuse dans l’État de New York et le New Jersey. Donald Trump a tenu d’un bout à l’autre de la pandémie un discours destiné à donner du courage au peuple américain : les diffamateurs disent qu’il a sous-estimé la pandémie, ce qui est faux et odieux, et auraient préféré sans doute qu’il se terre dans un sous-sol et dise aux Américains qu’ils allaient tous mourir, ce qui aurait été indigne d’un chef d’État. Donald Trump a suivi les recommandations des plus grands experts américains en matière d’infection, et les recommandations n’ont pas toujours été optimales, mais ce sont les experts qui sont fautifs, pas Donald Trump. J’ajouterai que Donald Trump a fait produire tests, respirateurs, équipements, en un temps record, grâce à son expérience de grand chef d’entreprise. La gauche américaine, sans aucun scrupule, a utilisé la pandémie comme un moyen de diffamer davantage encore Donald Trump. Elle l’a utilisée aussi pour s’efforcer d’infliger autant de dommages que possible à l’économie américaine, en pensant qu’une économie en ruine desservirait Donald Trump. Quand l’économie américaine a commencé à se redresser, la gauche américaine a eu recours aux émeutes et au pillage. Toutes les grandes villes démocrates ont été ravagées. Des services de police entiers ont été démantelés. À force de répétitions incessantes par les grands médias de gauche, la désinformation a laissé des traces dans les têtes, et une partie de la population américaine pense que Donald Trump a mal géré les choses : cela montre que ce que dit la vieille phrase: « calomniez, il en restera toujours quelque chose » est toujours pertinente.

Q : Malgré les sondages qui donne une bonne avance à Biden, estimez-vous que Donald Trump sera réélu le 3 novembre et pourquoi ?

Je pense que les sondages ne reflètent pas la réalité. Il est possible que le résultat soit serré et se joue à quelques dizaines de milliers de voix près. La population américaine a changé et continue à changer. Des millions de jeunes gens ont le cerveau lavé par leurs professeurs au lycée et à l’université et rêvent de socialisme, sans savoir de quoi il s’agit. Les minorités ethniques se font plus nombreuses et votent pour le parti qui leur promet de faire payer les riches et de redistribuer davantage. Mais les États-Unis n’en sont pas au point où une immense majorité pourrait voter pour un vieillard sénile et corrompu et pour une gauchiste sentimentale, sans rien savoir du programme qu’ils portent, et qu’ils cachent sous des mensonges constants. La population américaine étant ce qu’elle est aujourd’hui, le risque d’une victoire de Biden existe, mais les sondages donnant 12 ou 14 points d’avance à Biden me semblent biaisés et destinés à tenter de démoraliser les électeurs de Trump. Si Biden avait cette avance, il devrait logiquement remporter 50 états sur 50, et c’est une perspective ridicule. Je parle de risque en évoquant l’élection de Biden, car le programme du parti démocrate est un programme d’extrême gauche qui, s’il était mis en œuvre, briserait la reprise économique qui s’opère actuellement aux États-Unis, détruirait la Cour Suprême, donc les institutions américaines dont la Cour Suprême est la clé de voûte, et sur un plan international laisserait le champ libre à la Chine qui cherche l’hégémonie mondiale et à l’Iran des mollahs qui cherche l’hégémonie régionale au Proche-Orient. Pour l’heure, partout dans le pays, des centaines de milliers de gens soutenant Trump et comprenant ce qui est en jeu se mobilisent. Biden n’attire personne. Des gens voteront contre Trump, pas pour Biden. Tout est possible. La réélection de Trump, l’élection de Biden, des résultats contestés. Il est possible qu’on ne sache pas le résultat le 3 novembre au soir. Des fraudes sont en cours. Des bulletins de vote par correspondance disparaissent ou sont détruits. La gauche américaine est dans une logique de prise de pouvoir par tous les moyens.

Q : Selon vous, qui a remporté le débat des candidats à la vice-présidence ?

Je n’accorde pas une importance excessive aux débats. Cela dit, sur le plan du comportement, une grande majorité d’Américains ont trouvé les mimiques et grimaces de Kamala Harris désagréables et déplacées. Kamala Harris a aussi beaucoup menti, refuse de répondre à des questions essentielles, telles celles concernant la Cour suprême, et reprise à son compte des propos diffamatoires dont il a été démontré qu’ils étaient sans fondements. Mike Pence a été calme, courtois et a réfuté les mensonges de Kamala Harris en s’appuyant sur des faits, ce tout en énonçant les positions de principe de l’administration Trump de manière claire et nette, et il a donc remporté le débat. Les commentateurs de gauche ne s’y sont pas trompés et ont tenté de faire diversion en accusant Pence d’avoir été machiste en réfutant les mensonges de Kamala Harris, et en insistant beaucoup sur une mouche qui s’est posée sur la tête de Mike Pence. La modératrice était démocrate, et ses questions étaient très orientées, mais elle a été moins outrancière que Chris Wallace (lui aussi démocrate) lors du débat Trump-Biden, et Pence n’a pas eu à prendre la parole par effraction.

Q : Quel bilan faites-vous du premier mandat de Donald Trump ?

Donald Trump a accompli immensément en moins de quatre ans. L’économie américaine en mars 2020 ne s’était jamais aussi bien portée depuis plus de cinquante ans. Il y avait de la croissance, des investissements et le plein emploi. La sécurité mise à mal sous Obama revenait dans tout le pays, sauf dans les villes démocrates. L’immigration clandestine était largement jugulée. À l’étranger, Donald Trump a détruit l’État islamique et, privant le terrorisme islamique de bases d’entraînement, a réduit à quasiment rien les risques d’attentats terroristes sur la planète. Il a asphyxié le régime iranien, ce qui a stabilisé le Proche-Orient. Il a commencé à endiguer la Chine, en faisant face au danger représenté par celle-ci. Il a posé les jalons d’une paix entre Israël et le monde arabe sunnite. S’il est réélu, il rentrera dans l’histoire comme l’un des très grands présidents des États-Unis. Il a fait ce qu’il a fait en étant l’objet d’une campagne de déstabilisation incessante de la part d’une gauche déchaînée qui a mené contre lui un coup d’État rampant. L’utilisation politique de la pandémie par la gauche américaine devrait invalider moralement celle-ci : on ne joue pas avec la vie des gens pour des motifs politiques. Le recours aux émeutes ensuite devrait invalider moralement la gauche américaine davantage encore : les émeutes ont fait cent morts et occasionné des milliards de dollars de dégâts. Les démocrates se sont faits complices des émeutiers et ne les ont jusqu’à présent jamais dénoncés. Les médias du monde entier n’ont cessé de mentir sur tous les sujets abordés dans cet entretien. C’est pour rétablir la vérité, pour remettre les faits à leur place que j’ai écrit un livre qui vient de paraître en France. J’y explique ce qu’est devenu le parti démocrate, comment la gauche s’est emparée des médias et de la culture aux États-Unis, comment s’est déroulé le coup d’État rampant contre Trump, ce qu’a accompli Trump en politique intérieure et en politique étrangère, qui sont Joe Biden et Kamala Harris et ce que sont les enjeux de l’élection du 3 novembre. Quiconque veut comprendre doit lire le livre. Qui veut rester dans la haine et l’ignorance peut s’abstenir. J’ai appelé le livre « Après Trump ? » Et je dis : après Trump, il y aura Trump encore et ce qu’il lui reste à accomplir, ou il y aura la gauche américaine, et ce sera très différent.




Sasek met en garde les manifestants : « Pas d’agissements précoces »

[Source : kla.tv]

Ce monde a déjà vu assez de guerres. La discipline innovante de la façon véritable de faire la guerre, la discipline royale pour ainsi dire, c’est de vivre des victoires fondées uniquement sur la puissance de la lumière. Mais les plus beaux potentiels peuvent aussi être détruits par des actions rapides et irréfléchies. Ivo Sasek met en garde ceux qui manifestent à propos du coronavirus contre le danger d’être infiltrés, et surtout contre les actions intempestives et les agissements précoces égo-individualistes.


L’humanité n’est plus qu’à quelques pas de l’abîme de ce nouveau monde, tel qu’il a été méticuleusement planifié et réalisé par les sociétés secrètes depuis des siècles. La finale, en quelque sorte la porte d’entrée de ce nouveau monde, est un chaos mondial planifié. Ce qui prouve clairement que ce chaos orchestré ne se situe pas dans un avenir lointain, mais qu’il est en marche depuis longtemps, c’est le printemps arabe qui se trouve derrière nous, et toute l’histoire depuis le 11 septembre, et maintenant l’humanité est, pour ainsi dire, à un pas de l’introduction de la surveillance totale, de l’abolition de l’argent liquide, mais aussi de l’abolition de tous les biens et possessions privés.

Le confinement que nous venons de passer n’était que le premier acte d’un nouveau processus d’expropriation. Nous devons comprendre cela. Vous, les communistes, vous vous réjouissez bien sûr maintenant, comme les anciens juifs de Rome, que votre domination communiste mondiale tant attendue est enfin à portée de main. Mais croyez-le donc, vous tous, communistes et socialistes, qui êtes là : ce n’est pas vos partisans qui sont sur le point de prendre la domination mondiale ici, pas vos partisans qui veulent aussi vous obliger à vous faire vacciner et vous faire implanter une puce électronique.

Au plus tard maintenant, vous devriez enfin vous en rendre compte. Dès que vos prétendus partisans commenceront à crucifier vos idéaux communistes, votre erreur tombera de vos yeux comme des écailles! Parce que vous, et Karl Marx le premier, vous n’avez jamais vraiment compris que votre idéologie de la justice a été infiltrée et instrumentalisée dès le début par des tireurs de ficelles stratégiques du plus haut capitalisme. Jusqu’à aujourd’hui, ils ont constamment orienté votre lutte contre la classe moyenne et la bourgeoisie, afin que vous ne puissiez jamais les atteindre, eux, et les prendre au collet. Mais les créateurs d’intérêts, les spéculateurs et les demandeurs d’intérêts et d’intérêts composés… ils ont toujours été les véritables racines vénéneuses qui ont poussé toute classe moyenne dans la course compulsive à des revenus de plus en plus importants. Vous, les communistes bien intentionnés, vous avez été instrumentalisés par les mêmes pouvoirs et de la même manière que nous, les chrétiens. Nous, mais aussi toutes les religions, idéologies et orientations politiques, etc. sommes tombés dans leurs pièges. Comment cela a-t-il été possible ? Parce qu’ils ont toujours opéré dans le secret.

Les considérations fondamentales, tant du communisme que du christianisme et de toutes les religions, n’ont jamais été erronées dans leur principe. Mais ce qu’ils n’ont jamais compris dès le début, c’est qu’ils ont été infiltrés, manipulés et instrumentalisés sournoisement. En général, les mouvements d’amélioration du monde placent donc toujours leurs leviers beaucoup trop bas. Et c’est exactement là qu’est évidente la manipulation venant de tout en-haut. Celui qui a toujours été incapable de voir clair dans ce jeu diabolique, malgré les meilleures motivations, s’est même laissé instrumentaliser pour le contraire de ses propres intentions. Oui, c’est le même problème pour tous. Ainsi, jusqu’à présent, les véritables dirigeants et ennemis de l’humanité n’ont pas seulement été épargnés, mais ils ont aussi instrumentalisé tout et tous pour faire avancer leur programme de domination du monde, leurs objectifs de domination du monde.

Je l’explique une fois de plus en utilisant l’exemple de la lutte communiste : le cancer du faux capitalisme qui se répand ne pourra jamais être vaincu par la petite bourgeoisie, la bourgeoisie ou la classe moyenne, impossible ! Ce fléau de vol et de pillage ne peut être vaincu qu’en appliquant les leviers de façon suffisamment conséquente à l’élite supérieure. Personne n’a vraiment fait cela jusqu’à aujourd’hui. Néanmoins, seul le capitalisme d’intérêts et d’intérêts composés se trouve à la racine de tous les maux sociaux.

Malheureusement, vous, les communistes, vous n’avez toujours pas compris que l’expropriation de la population mondiale, qui vient de commencer, ne vous offre pas les compensations tant attendues. Le premier processus de dépossession de l’ensemble de la population mondiale, qui vient de commencer avec le confinement, n’apportera malheureusement pas à tous les prolétaires trahis la distribution équitable des biens tant attendue – et que vous attendez toujours. Vous vous rendrez compte trop tard, même vous les communiste que les requins qui dépossèdent sans pitié sont ceux que vous n’avez jamais vraiment combattus de manière conséquente. Mais maintenant, ils ne vous épargneront pas non plus, je vous le promets, car ils veulent aussi vous réduire en esclavage.

Au lieu de la répartition équitable du capitalisme promise, il en résultera un statut d’esclave pour tous les peuples – sans propriété privée, sans aucun luxe ; un luxe pour lequel, soit dit en passant, la classe moyenne et la bourgeoisie ont travaillé sans cesse et que vous avez toujours été heureux d’utiliser bien que vous le méprisiez.

Mais vous n’êtes pas les seuls à avoir tort, vous les communistes ; nous avons tous tort, chaque religion à sa manière, chaque secteur économique à sa manière, chaque parti politique à sa manière. Aucun d’entre nous n’a réalisé que les vrais cerveaux sont bien au-dessus des dirigeants qui se sont montrés à nous à maintes reprises.

Et non seulement vous, les communistes, vous avez été infiltrés, à commencer par Marx, Lénine et Engels, mais nous aussi, les chrétiens, et aussi les musulmans, y compris les partis de droite, du centre et de la bourgeoisie. Nous, les chrétiens, par exemple, nous avons été infiltrés par les mêmes conspirateurs du monde qui ont modifié nos enseignements pour nous faire croire que Jésus descendra du ciel comme un super-héro avec ses accompagnateurs volants – oui, c’est ce que nous croyons aujourd’hui – et que ce sera pour mettre lui-même de l’ordre ici-bas.

Et nous, les chrétiens, nous nous tenons passivement à côté, pour ainsi dire comme des spectateurs soumis. Mais de même que Marx ne voulait pas réaliser sa vision tout seul, Jésus non plus ne voulait pas faire cela. Ainsi, si la mission du communisme originel et celle du christianisme originel ont toutes deux échoué, c’est à cause de leurs manipulations délibérées vers la passivité. Malheureusement, il faut dire la même chose des musulmans et de toutes les religions, mais aussi de toutes les idéologies et autres. Des musulmans aux ésotériques, tous jusqu’à aujourd’hui attendent d’une manière ou d’une autre un puissant sauveur venant du ciel. Le voyez-vous aussi ?

Mais nous souffrons tous d’une seule et même conséquence de cette infiltration sournoise et cela s’appelle la passivité ! Tous, nous investissons trop peu de nous-mêmes dans le jeu : Le Mahdī Sauveur des musulmans veut venir par les musulmans eux-mêmes, tout comme Jésus veut venir par ses chrétiens ou Maitreya par ses bouddhistes, etc. De même, tous les autres grands maîtres n’ont jamais pensé à descendre du ciel à la place de leurs ésotériques et autres – ni avec ni sans ovnis.

Faites face à cela. Mais nous avons tous été attirés dans la passivité, dans la distraction par les mêmes stratèges de la domination mondiale. Vous pouvez le voir dans le fait que tous les bienfaiteurs potentiels espèrent d’une manière ou d’une autre une libération venant de l’extérieur. Seulement, ils ne se mettent pas assez eux-mêmes dans la brèche. Mais de cette façon, nos problèmes mondiaux ne seront jamais résolus. Et pourquoi ? Parce que cette attitude passive manque de la force nécessaire pour imposer le monde nouveau, elle a été brisée. Ainsi, ni le communisme, ni le christianisme, ni l’islam, ni aucune autre religion ni aucun parti n’a jamais pu réellement imposer ses bonnes intentions. Pourquoi ? Parce que le véritable agresseur a toujours réussi à paralyser tout le monde avec des attentes soumises, c’est-à-dire passives. C’est notre problème. L’ennemi mondial a empêtré et distrait notre attention dans toutes sortes de détails et de questions secondaires. Pourquoi fait-il cela ? Sans autre raison que de tout prendre en charge, tous ensemble et ce, sans être reconnu.

Un seul groupe, sous ce ciel, connaît le véritable jeu, à savoir les soi-disant « francs-maçons satanistes » qui se glissent habituellement dans les vêtements de toutes les religions et philosophies, de toutes les tendances politiques, etc. pour les stériliser habilement de l’intérieur, c’est-à-dire pour les rendre inefficaces. Et cette sinistre procédure a malheureusement réussi jusqu’à présent, il faut bien l’admettre.

Ce sont malheureusement leurs plans, et ceux de nul autre, qui sont actuellement en cours de réalisation et ne sont qu’à un pas de leur achèvement définitif. C’est la prise de pouvoir complète, dès maintenant, par le biais d’une crise de Coronavirus délibérément mise en scène, d’un confinement et autres ; mais aussi, comme prévu, par une appropriation totale de notre argent, un contrôle numérique total ; c’est leur programme. Ainsi, ils peuvent exproprier d’un simple clic tous ceux qui ne se soumettent pas volontairement à leur vision du monde, ils peuvent les expulser, leur imposer des sanctions totales et bien d’autres choses encore. Mais ni le communisme, ni le christianisme, ni l’islam, l’hindouisme ou toute autre idéologie ne définiront ce qui décide de cette pression sur un bouton. Mais quoi alors ?

Ce qui décidera du OUI ou du NON en appuyant sur un bouton, ce sera seulement si on accepte ou non de capituler sous le satanisme en train de prendre sa forme ultime. Ce satanisme sera le seul à fixer les critères. C’est le problème que nous avons ici. La vaccination obligatoire, qui est sur toutes les lèvres en ce moment, qui doit être administrée à sept milliards de prétendus volontaires, n’est que la force motrice qui est censée nous pousser vers le dispositif du véritable système de contrôle et de gestion. Qu’est-ce donc ? La surveillance numérique forcée, avec laquelle chaque citoyen du monde peut être allumé et éteint en appuyant sur un bouton, ainsi que surveillé localement. Ce sera le sceptre de fer de la nouvelle domination mondiale, si nous ne le dénonçons pas maintenant et si nous ne l’empêchons pas par un dévoilement conséquent. Que cette surveillance totale de chaque citoyen individuel se fasse au moyen d’une puce implantée, ou d’un tatouage ou d’autre chose, cela reste secondaire – mais le fait est que cette technologie est exactement à un pas de son introduction forcée !

Il y a 2 000 ans déjà la Bible avait mis en garde contre cette heure. Elle a ordonné avec toute la sévérité nécessaire ce qui doit maintenant être fait dans le monde entier. Elle ne donne à la communauté mondiale que ce seul ordre, si elle ne veut pas périr misérablement dans l’état d’esclavage. C’est le refus total de toute vaccination obligatoire ! Refus total de toute implantation de puce ! Refus total de tous les moyens de paiement autres que l’argent liquide ! Refus de tout trait de caractère de ces dirigeants de force du soi-disant « nouvel ordre mondial ».

Le fait que des millions de personnes se réveillent en ce moment même et protestent dans le monde entier, c’est certainement une bonne nouvelle, un nouvel évènement que j’appellerais un véritable espoir. Mais cet espoir, cet espoir même, peut être brisé du jour au lendemain si ceux qui se réveillent ne comprennent pas maintenant où se trouvent les plus grands dangers. La spécialité absolue de ceux qui s’infiltrent, les dirigeants autoproclamés du monde, réside dans la division de tout contre-pouvoir qui se présente, dans la création de la confusion, dans l’incitation à la lutte et à la haine les uns contre les autres et malheureusement – écoutez bien – aussi dans le fait de s’activer trop tôt et à tort !

Je vais maintenant me concentrer sur le dernier point : des millions sont mobilisés, ils vont en pèlerinage à Berlin et dans le monde entier dans tous les lieux où des manifestations aussi importantes ont encore lieu et sont encore autorisées. Mais la pire erreur qui puisse arriver maintenant, c’est que l’agresseur invisible réussisse à envoyer ses loups déguisés en moutons parmi les moutons, afin d’inciter ces foules, dans leur état immature, à agir de façon extrême et les faire tomber ainsi dans le chaos. Et le chaos est précisément le principal moyen prévu pour imposer leur propre pouvoir. Souvenez-vous bien de cela.

Si maintenant le processus de dévoilement, le processus d’éveil et de lumière des peuples est interrompu par des actions révolutionnaires trop précoces, tout ça va s’effondrer. Malheur, si des émeutes se produisent, éventuellement avec une prise d’assaut du Reichstag et autres ; ou des agressions contre un responsable, contre des politiciens, des présidents ou qui que ce soit. Alors, je vous assure, tout cela va dégénérer en chaos et les forces de l’ordre armées devront intervenir avec des chars et toutes les armes imaginables. Du jour au lendemain, ils feront alors comprendre au grand public encore aveuglé pourquoi une surveillance numérique absolue est désormais nécessaire, et ce de façon immédiate. Ils vont donc venir avec la numérisation et, du jour au lendemain, ils vont tout superviser. C’est ce que signifie la dictature absolue.

Mais comment est-ce possible ? Seulement parce que plus de 80 % des gens ne savent pas encore vraiment ce qui se passe. En d’autres termes, la phase de la venue de la lumière n’est pas encore terminée. Alors ne vous laissez pas fanatiser pour les renversements violents de gouvernements et de telles choses. Retenez ceux qui incitent à de telles choses ; distanciez-vous clairement des taupes qui se sont introduites et qui sont en mission terroriste. Lorsqu’elles franchissent vos rangs et passent à l’attaque, filmez-les avec vos propres caméras. Et si elles se révoltent, condamnez cela. Condamnez leur extrémisme devant vos caméras. Mais attention aussi aux mesures de sécurité irréfléchies, qui ne visent alors qu’à sauver votre propre ventre et vous détournent du véritable but visé. Quel est le vrai but ? Un dévoilement non-stop, rien d’autre n’est à l’ordre du jour pour le moment. Toute forme d’auto-sauvetage privé ne fonctionnera malheureusement pas ! Il y aurait beaucoup à dire à ce sujet.

Seule une chose peut fonctionner avec un peu de persévérance, si vraiment vous tous, les millions de personnes qui se sont réveillées et qui ont reconnu les véritables tireurs de ficelle et les dangers, si vous n’arrêtez pas d’être la lumière, si vous allez sur le terrain et dévoilez ce qui se passe – avec ou sans Internet. Si Internet est censuré ou même bloqué pour nous, alors s’il vous plaît, accélérez dix fois plus, gagnez constamment 2-3 nouveaux, informez-les et donnez-leur la mission de gagner à leur tour au moins trois nouveaux, qui gagneront à leur tour trois nouvelles personnes éclairées, etc. Ensuite, gardez un œil sur vos contacts éclairés et motivez-les à nouer de nouveaux contacts, afin que la multiplication de la lumière se poursuive de manière infreinable. Mais mettez-vous aussi en réseau physiquement, c’est-à-dire en échangeant mutuellement vos adresses, et mettez en place un réseau d’information qui fonctionne de main à main – cela au cas où Internet serait complètement bloqué. Ainsi, tant que la population mondiale ne peut pas voir clairement dans sa majorité absolue quels sont les personnages et les agresseurs à l’œuvre, qui sont aussi les plus grands seigneurs qui ont une ferme emprise sur la science, les voyages dans l’espace, l’éducation, nos grands hommes politiques et surtout nos grands médias, toute action précoce est vouée à l’échec. Je vous le garantis.

C’est seulement quand la lumière du jour se sera levée sur la communauté mondiale, de sorte qu’elle ne puisse plus être aveuglée par des hérésies confuses ou des tromperies médiatiques, que d’autres avancées concrètes auront un sens. Ce n’est que lorsque, disons, une nette majorité de la population mondiale sera parfaitement au courant de la situation qu’un nouveau départ sera possible sans guerres civiles, effusions de sang ou d’autres guerres. Pourquoi ? Car alors, la proportion de cette petite minorité élitiste sera également dévoilée publiquement. Alors, des milliards de citoyens de la terre ne seront plus confrontés à des dirigeants lourdement armés, mais seulement à quelques milliers de conspirateurs. Et même s’il s’agissait de dizaines de milliers de personnes, un peuple suffisamment éclairé n’a alors qu’à changer de cap, et l’affaire est réglée. Mais tant que toutes les forces militaires et les forces de sécurité sincères, y compris l’appareil judiciaire restant, etc., tant que tous les partis, religions, idéologies, etc. trompés, n’auront pas bien compris ce qui se passe réellement, chaque coup de pédale, chaque tentative de changement radical conduira à une défaite certaine. C’est mon pronostic.

Ce serait comme si un enfant essayait d’avoir le dessus sur un cambrioleur armé, un cambrioleur dangereux. Il aurait besoin de renfort pour accomplir une telle chose. Comprenez-vous cela ? Tant que plus de 90 % de l’humanité est encore aveuglée par le mainstream et la télé, nous n’avons aucune chance de changer le système ! La devise prioritaire reste donc « Que la lumière soit ! » C’est le but. La lumière et l’amour mutuel entre vous, une reconnaissance, une interconnexion et la certitude absolue de notre unité organique : c’est la base indispensable du nouveau monde, qui, soit dit en passant, est en train de se créer en ce moment même, à travers toutes ces contractions d’accouchement pour sortir de l’ancien monde. Mais elle ne peut être préservée de façon permanente et être adaptée à la vie que si chacun vit dans ce nouvel esprit.

Par conséquent, évitez tout coup de pédale dynamique individuel, qui veut changer et faire passer quelque chose rapidement, pour ainsi dire, sans égard au corps dans son ensemble. Les défaillances ou les actions intempestives doivent malheureusement toujours être payées par l’ensemble du mouvement, même si celui-ci n’a pas donné de mandat pour de telles actions trop précoces égo-individualistes. Concentrez-vous donc uniquement sur la diffusion de la lumière, sur le dévoilement, jusqu’à ce que le moment soit venu de prendre d’autres mesures.

Mais fortifiez toujours votre résistance à tout moment en tendant vers le refus total, lorsqu’il s’agit par exemple de l’abolition de l’argent liquide. Payez en espèces partout où vous le pouvez. Refusez tous également toute forme de vaccination forcée et aussi toute forme d’implantation de puce ou de tatouage de tout numéro d’identification, de code et autres. Refusez partout l’introduction de la 5G, la 6G et toutes ces technologies, parce qu’elles vous pousseront en position OFF totale. En particulier, contredisez toute autre revendication de pouvoir de la part des médias grand public. Dévoilez leurs tromperies et leurs mensonges partout où vous le pouvez. Ils vous en donnent des occasions suffisantes chaque jour. Mais utilisez aussi nos émissions et diffusez-les autant que vous pouvez. La priorité constante et absolue est la mise à la lumière des médias de masse qui ont déraillé. Par eux, tout se diffuse dans le monde. Les grands médias sont tombés sous le contrôle de tireurs de ficelle hautement criminels qui doivent être impitoyablement dévoilés. Mais tant que les médias de masse pourront encore jeter la confusion dans l’esprit de plus de 90 % des gens, les salir et les programmer incorrectement, les grandes masses continueront à se laisser séduire aveuglément et sans méfiance par leurs tromperies. C’est notre problème. Les médias tiennent toujours en otage la grande masse, et sans qu’elle le sache ils abusent d’elle comme d’esclaves sans défense.

Je résume. Lorsque vous tous, qui êtes maintenant des millions et qui comprenez exactement ce qui se passe ici, lorsque tous vous diffusez les fils rouges du dévoilement, qui viennent d’être nommés, lorsque chacun d’entre vous gagne constamment et éclaire trois autres et que ces trois-là font de même, alors on peut catapulter très rapidement toute la population mondiale à la lumière de la vérité. Vous comprenez, ça se produira très rapidement si nous travaillons fidèlement dès maintenant. La lumière de la vérité doit surmonter les sombres tromperies jusqu’à ce que la lumière du jour vienne complètement. Et ce n’est que lorsque ce sera devenu suffisamment lumineux dans l’ensemble de l’humanité et lorsque la majorité nécessaire verra clairement ce qui se passe ici, qu’il sera facile et rapide d’entamer un nouveau processus significatif et prometteur. Mais tant que les militaires, les forces de sécurité, les politiciens, mais aussi les chefs religieux, etc., qui sont aveuglés par les médias, ne pourront pas voir ce qui se passe exactement ici à travers ce jeu sournois et méchant, toutes les tentatives d’application de la loi, à l’exception de celles qui viennent d’être mentionnées, ne feront que mener à un énorme chaos. Et le chaos est exactement ce que ces puissances de l’ombre ont toujours voulu. Lorsque le chaos est créé, elles peuvent asservir le monde entier en un clin d’œil. C’est leur plan.

Ainsi, lorsque l’œuvre de la lumière aura fait son travail et que le moment sera venu, il y aura une sortie de crise rapide et facile : toutes ces élites sinistres seront alors traitées de la même manière qu’elles avaient traité auparavant l’ensemble de la communauté mondiale. Elles seront en quelque sorte poussées dans les propres fosses qu’elles ont creusées auparavant pour les peuples sans méfiance. Au lieu d’enlever au monde entier le dernier 1 % des richesses qui restent dans l’antichambre des processus d’expropriation, on expropriera simplement les élites super-riches et sataniques de la franc-maçonnerie, et tous ceux qui, par des spéculations sournoises et embrouillées, ont pris aussi les richesses des nations. Les sociétés pharmaceutiques frauduleuses, etc., devront alors recracher tous les profits de leurs stratégies qui nous gardent malades et mettre fin… elles devront mettre fin à leur jeu diabolique.

Une fois que toutes leurs richesses et leur argent acquis injustement auront été rendus à la population mondiale trompée, je dirais que les difficultés financières les plus urgentes seront déjà résolues. Cette élite relativement restreinte de dirigeants mondiaux en échec sera alors enchaînée comme on l’a toujours fait pour les terroristes. Ils recevront une punition adaptée à leur genre, puisqu’ils voulaient, en quelque sorte, emprisonner sans pitié toute la communauté mondiale, l’enfermer et l’humilier comme leur esclave. Que sur la voie proposée, le revirement vers le monde nouveau, le monde vraiment nouveau, commence, et tout le reste je pense suivra ensuite de lui-même.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 43 ans.




Dépassés par la peur, les américains fuient les grandes villes avant le jour du scrutin : les autorités se préparent à une Violence Extrême !

[Source : Le Grand Changement]

 

Par Michael Snyder

Serez-vous en sécurité là où vous êtes actuellement si les résultats des élections provoquent un incroyable chaos dans les rues de nos grandes villes ? Beaucoup d’américains commencent à être extrêmement préoccupés par leur propre sécurité à l’approche du 3 novembre, car ils voient très clairement ce qui se profile. Tout le monde se rend bien compte qu’il va falloir beaucoup plus de temps pour compter sérieusement tous les votes parce que des dizaines de millions d’américains votent par courrier cette fois-ci, et les deux parties ont recruté des centaines d’avocats et sont prêts à contester les résultats, sachant qu’ils se battront jusqu’au bout même si le combat sera long et sans pitié. 

Peu importe qui finira par être déclaré vainqueur une fois que tout sera terminé, il y aura des millions et des millions d’électeurs très en colère qui auront probablement l’impression qu’on leur a volé les élections, et c’est ça qui sera à l’origine de troubles civils monstrueux dans toutes les grandes villes américaines. J’aurais vraiment souhaité que l’on puisse revenir en arrière et faire les choses différemment afin d’éviter d’avoir à faire face à ce genre de scénario, mais il est trop tard pour cela maintenant. Plus de 27 millions d’américains ont déjà voté et de très nombreux autres sont en train de voter tous les jours. Toute tentative de corriger le processus de ce type d’organisation de votes devra attendre les prochaines élections et il semble évident qu’il va falloir y remédier.

Je dois vous dire que c’est très dur pour moi d’avoir à écrire cet article en stipulant qu’il y a une réelle possibilité d’énorme violence lors de ces élections présidentielles américaines, mais c’est pourtant la réalité, nous en sommes là aujourd’hui.

En fait, la violence dont je parle est déjà plus que présente dans les rues en ce moment.

Mais il va falloir réagir face à cette gangrène qui se développe, car je pense que la violence n’a jamais rien résolu.

Malheureusement, un nombre croissant de personnes n’écoute pas la voix de la raison et nous observons la colère et la frustration monter à des niveaux que nous n’avions encore jamais vu auparavant.

À ce stade, la plupart des américains s’attendent au pire. Pour être plus précis, une enquête récente a révélé que 55% de tous les électeurs inscrits s’attendent à une augmentation de la violence après l’élection…

Dans l’enquête YouGov, environ 55% des électeurs inscrits ont déclaré qu’ils pensaient que la violence augmenterait aux États-Unis après l’élection présidentielle du 3 novembre.
Un peu moins de 11% des personnes interrogées ont déclaré ne pas s’attendre à une augmentation de la violence après les élections, tandis que 33% des électeurs n’étaient pas sûrs.

Plus alarmant encore, une enquête différente a révélé que plus de 40% des démocrates estiment que la violence serait au moins un peu justifiée si leur parti finissait par perdre…

En septembre, 44% des républicains et 41% des démocrates ont déclaré qu’il y serait presque normal qu’il y ait un peu de violence si le candidat de l’autre parti remportait les élections.

Si seulement ces chiffres étaient faux, mais cela me désole complètement car tout est vrai.

Alors que le jour du scrutin approche, de nombreux américains ont décidé que la meilleure chose à faire était de sortir. Par exemple, une résidente de New York âgée de 31 ans restera chez ses parents le jour du scrutin car elle pense que la ville sera en feu si Trump gagnait les élections…

Andrea, 31 ans, résidente de Flatiron, a également décidé de faire ses valises avant le 3 novembre. « Je suis allée chez mes parents dans le New Jersey pendant environ deux semaines lorsque les manifestations du BLM ont commencé à mal tourner et que les pillages ont démarré. Donc, je vais à nouveau quitter New York la semaine des élections », a déclaré la spécialiste en ressources humaines, une républicaine qui a demandé que son nom de famille ne soit pas mentionné. « Je pense que si Trump gagne, ce sera le chaos total – la ville sera à feu et à sang. Les gens vont devenir complètement fous. »

Ooana Trien, 42 ans, envisage de passer le jour du scrutin à l’extérieur de la ville car elle craint que les manifestants essaieront d’incendier la Trump Tower…

La partisane de Trump, qui a envoyé son vote par courrier, envisage d’ouvrir ses portes à d’autres personnes qui cherchent à s’échapper. « J’ai dit à mes amis que quiconque voulait sortir de la ville était le bienvenu ici. Une amie qui vit à Washington Heights va voter le matin du 3 novembre et viendra directement à la plage. Ma mère pense que si Trump gagne ou perd, les manifestants essaieront de brûler la Trump Tower ».

Les autorités chargées de l’application de la loi dans tout le pays sont également profondément préoccupées par le risque éventuel de très fortes violences.
Par exemple, dans le New Jersey, les responsables ont prévenu que nous pourrions devoir faire face à des trouble civils entraînant des émeutes, des actes d’extrême violence et donc aussi des décès…

« Les retards et les recomptages des résultats électoraux pourraient entraîner des protestations et des tentatives d’occupation des bureaux électoraux », ont averti des responsables du Département de la sécurité intérieure et du New jersey après avoir fait une estimation des menaces possibles qui ont été publiées vers la fin du mois de septembre.
Les incidents de troubles civiles qui ont menés à de véritables émeutes, des actes de violence et des décès convergeront avec l’incertitude électorale, produisant des affrontements entre manifestants et leurs opposés qui remettront en cause les résultats des élections », a-t-il noté.

Oui effectivement, vous avez bien lu.

Ils ont carrément utilisé le mot « décès ».

A New York, les résidents ont été secoué par une fuite d’un mémo du NYPD qui mettait en garde contre de violentes manifestations du 25 octobre jusqu’au début 2021…

Les New-Yorkais sont à bout après qu’une note de service du NYPD, obtenue par The post, a révélé cette semaine que la police se prépare à ce que les manifestations commencent dès le 25 octobre et s’intensifient jusqu’à l’année prochaine. Le département a décrété que les officiers de police devraient être prêts à être déployés », ajoutant ceci : « Ce 3 novembre sera l’une des élections présidentielles les plus disputées de l’ère moderne. Il y a également de fortes chances que le vainqueur de l’élection présidentielle ne soit pas décidé avant plusieurs semaines. »

Dans l’Arizona, le responsable de la sécurité de l’information du comté de Maricopa encourage les gens à demander aux autorités chargées de l’application de la loi de disposer d’un numéro abrégé au cas où quelque chose de critique se produisait…

« Assurez-vous de contacter les forces de l’ordre et de dire, le jour du scrutin et aux alentours, quel sont les solutions ? » Il a dit ceci : « Avez-vous une liste de contacts d’urgence ? Avez-vous votre service de police, votre shérif, qui que ce soit, prêt à répondre à toute sorte de menace ? »

Le jour du scrutin, des démocrates s’attendent à ce que Joe Biden gagne, et beaucoup d’entre eux prévoient toujours une majorité écrasante.
Bien sûr la plupart des républicains pensent que les sondages nationaux sont à nouveau complètement faux et que le président Trump en sortira vainqueur.

En fin de compte, un camp aura tort et la déception qu’il ressentira sera très, très douloureuse.
Nous nous souvenons tous des émeutes auxquelles nous avions assisté plus tôt cette année, et beaucoup pensent que ce qui nous attend pourrait être bien plus grave.

En 2020, les ventes d’armes à feu ont atteint des niveaux jamais vus auparavant, et de nombreux américains se retrouvent à acheter des armes pour la toute première fois. L’une des ces primo- accédante est une mère célibataire de 44 ans nommée Andreyah Garland…

Andreyah Garland, une mère célibataire de 44 ans avec trois filles, a acheté un fusil de chasse en mai pour se protéger dans la pittoresque ville de la classe moyenne de Fishkill, New York. Elle a rejoint un nouveau club de tir local qui se développe dont les membres se multiplient à un rythme étonnant pour mieux apprendre à tirer.

Selon Reuters, « une élection potentiellement contestée dont beaucoup craignent qu’elle pourrait déclencher de la violence », a joué un rôle dans sa décision d’acheter une arme à feu…

Comme de très nombreux autres acheteurs pour la premières fois qui contribuent à des ventes record pour l’industrie américaine des armes à feu cette année, la décision de Garland de prendre les armes est en partie motivée par des nouvelles inquiétantes concernant la pandémie de coronavirus, les troubles sociaux liées aux meurtres de noirs par la police et une élection potentiellement contestée que beaucoup craignent pouvant déclencher de graves violences.
« Avec tout ce qui se passe en ce moment autour de nous », dit-elle, « vous comprenez mieux ce besoin soudain ».

Si vous pouviez revenir 50 ans en arrière, et dire aux américains ce que seraient les conditions de vie en 2020, la plupart d’entre eux ne vous auraient jamais cru.

La société américaine est en train de s’effondrer littéralement sous nos yeux, et je ne pense pas que quiconque puisse empêcher un tel déclin sociétal.

Bien sûr, ces élections vont avoir lieu et il y en aura d’autres j’espère, mais l’instabilité sociale dont nous sommes témoins s’aggravera, et à ce stade, tout le monde devrait pouvoir constater que l’Amérique se dirige droit vers un avenir plus qu’apocalyptique.

Source [en anglais] : theeconomiccollapseblog




Trump sera réélu. Voici pourquoi

[Source : Réseau International]

par Serge Charbonneau.

Oui, Donald Trump sera réélu haut la main.

Il n’y a aucun doute possible.

Voici pourquoi.

Donald Trump n’est pas un politicien et c’est pourquoi l’une des principales raisons de sa réélection n’est pas du tout politique.

Il sera réélu parce que « le peuple l’aime[1] » ! 

Eh ! Oui ! La principale raison pourquoi Trump sera réélu c’est qu’il est aimé ![2] Une raison absolument non politique.

Il est aimé comme une « rock star » peut être aimée. Il remplit les tarmacs[3] partout où il atterrit avec son Air Force 1Voyez ces nombreuses foulespartoutpartout[4].

Les cinq années de vomi sur Donald Trump de la part de tout l’establishment oligarchique mondialiste aidé de leurs gros canons médiatiques a eu un effet passionnel tant vers la haine que vers l’amour.

On a eu beau vomir copieusement chaque jour, chaque heure, et même chaque minute sur Donald Trump, et ce, de façon terriblement soutenue et constante partout, sur toutes les grandes chaines et sur toutes les plateformes, télé, radio, internet et sur toutes les émissions, de l’information à la culture en passant par les émissions de cuisine et de rénovation qu’on n’a pas réussi à le faire haïr par tous.

Ceux qui le haïssent viscéralement, comme atteint d’une maladie mentale sérieuse et inexplicable, ne le connaissent pas, ne le suivent pas et ne veulent surtout pas le connaître.

Par contre ceux et celles qui le suivent et qui sont touchés par ses nombreuses politiques mises en place pour le peuple, l’adorent et le bénissent[5].

Eh ! Oui ! C’est la passion des deux côtés.

Mais outre la passion, il y a aussi le résultat politique et économique de son administration.

Jamais un président n’aura tenu ses promesses aussi solidement. Voilà une autre des raisons majeures de sa réélection.

Tous ceux et celles qui ont voté pour lui en 2016 vont revoter pour lui avec un enthousiasme décuplé parce qu’absolument personne n’a été déçu. 

Plusieurs ont voté pour lui en 2016 par dépit. Ces gens écœurés des guerres et des mensonges classiques répétés ont opté pour cet individu sans expérience politique et qui avait des allures de clown de carnaval. Les gens jouaient le tout pour le tout et prenaient la chance d’élire ce bouffon télévisuel animateur-promoteur de match de lutte[6].

Quatre années plus tard, le bouffon a fait ses preuves. Sa sincérité s’est avérée. Il n’a pas déçu et a rempli une à une absolument toutes ses promesses.

La réussite économique est notable. Les cotes boursières fracassent constamment de nouveaux sommets. Le niveau d’emploi, jusqu’à la fermeture de l’économie due à cette politique mondiale imposée par la stratégie mondialiste du covid, atteignait des maximums inégalés, et ce, en particulier dans les milieux indigents, entre autres les banlieues des communautés ethniques défavorisées.

L’une des principales promesses de Donald Trump fut tenue. Il a mis fin aux traités de libre-échange qui dévastaient l’économie locale américaine. Par des mesures douanières nationalistes, il a récupéré les emplois que plusieurs entreprises américaines avaient délocalisés afin de maximiser leurs profits au détriment des travailleurs américains. Finie la production de produits américains « Made in China ». C’est le retour du « beautifull » « Made in the USA ».

Si les compagnies américaines veulent produire à l’étranger, ils ne pourront plus vendre leurs produits faits ailleurs sans une taxe d’importation élevée. Une politique efficace pour donner aux compagnies américaines « le goût du patriotisme ». Trump, comme un bon lutteur, a su leur tordre le bras pour leur faire comprendre où ils trouveraient dorénavant leur profit.   Leur profit n’est plus en Chine ou au Mexique ou même au Canada, mais bien aux USA.

Jobs ! Jobs ! Jobs ! 

Un résultat spectaculaire !

Surtout pour les communautés délaissées.

Les « Opportunity Zones »[7] 

Par des mesures fiscales assouplies et de l’investissement ciblé[8], ce programme met en place des structures favorisant l’entreprise dans des zones longtemps défavorisées.

57 pour cent des zones ciblées sont des zones où il y a des communautés noires ou hispaniques. Des zones où la pauvreté sévit depuis des lustres[9]. Des zones où le chômage est chronique, la scolarité peu élevée et la violence qu’entraine ce désœuvrement est bien présente.

Les « Opportunity Zones »[10] ont été un souffle d’espoir et dans bien des cas une marche vers la réussite.  Donald Trump a su ainsi montrer à ces minorités sa sincère volonté à améliorer leurs conditions de vie. Cette réussite[11] lui a fait gagner beaucoup de votes du côté des minorités afro-américaines et hispaniques.

Cette politique a été aussi soutenue par plusieurs gouverneurs démocrates, entre autres, Phil Murphy du New Jersey et par le sénateur démocrate Cory Booker[12].

Autre politique lui faisant gagner les cœurs de la communauté noire est le « Criminal Justice Reform »[13].

Un programme qui touche surtout les communautés noires et hispaniques défavorisées. Une bonne partie de la population carcérale est composée par les citoyens de ces communautés. Des gens devant purger des sentences interminables pour des délits souvent mineurs comme pour exemple la simple possession de drogue.

Le programme révise les sentences et gracie les prisonniers exemplaires ayant suffisamment purgé leur peine. Donald Trump accorde ainsi à plusieurs individus une seconde chance.

Le 1er avril 2019, Donald Trump recevait à la Maison-Blanche quelques-uns de ces prisonniers pouvant bénéficier d’une deuxième chance.  Il leur donnait même la parole[14].

Cette réforme fut un projet bipartisan auquel les démocrates ont participé à la grande satisfaction de Donald Trump[15].

Toujours pour montrer sa volonté sincère à améliorer la condition de vie des Afro-Américains, Donald Trump décrète un budget permanent pour les collèges et universités noires[16].

Donald Trump que l’on dit raciste et même suprématiste blanc donne plusieurs chaleureuses conférences dans les universités et collèges noirs[17].

Il est évident que le vote des communautés délaissées sera plus considérable qu’en 2016. Ces gens ont réellement bénéficié d’une écoute notable du Président[18] ainsi que des politiques de l’administration Trump. Le mouvement « Black for Trump » met toute son énergie pour accorder à Donald Trump « Four more years ».

L’administration Trump comprend plusieurs grands représentants noirs, l’un d’eux est le Docteur Ben Carson. Celui-ci avec son charisme sympathique et craquant et son sens de l’humour fin et pointu est un allié solide et un atout notable pour Donald Trump-dit-le-raciste. Il faut vraiment écouter la présentation que Ben Carson offre à Donald Trump lors de sa rencontre avec la communauté noire d’Atlanta. M. Carson attaque en disant qu’il faut du courage aux Noirs pour oser montrer qu’ils appuient ce « raciste » (sic) qu’est Donald Trump.  Prenez le temps de l’écouter ici[19].

À ces votes s’ajoute le vote religieux. Ces communautés noires sont passablement religieuses et plusieurs pasteurs convaincus et surtout convaincants travaillent ardemment à la réélection de Donald Trump[20].

Non seulement les Noirs, mais toute l’Amérique croyante est derrière Donald Trump. Ce filon électoral n’est pas négligeable.

Autre lobby important, le lobby juif. Le coup du transfert de l’ambassade US à Jérusalem et la déclaration concernant le Golan est important et assure la fidélité de ces puissantes gens.

La reconnaissance de Jérusalem comme étant la Capitale d’Israël[21] par le transfert de l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem est une promesse faite par tous les présidents précédents[22].

Le rapatriement des GIs qui faisaient des guerres sans fin au loin est un autre excellent coup de Donald Trump pour s’assurer du vote des Vétérans et des familles de militaires.  En plus de ce retour réjouissant des valeureux guerriers, les dépenses pour leur offrir le dernier cri des armes modernes toutes faites «Made in USA» plaisent aux militaires. Des armes que Trump dit vouloir ne jamais être obligé de les employer.

Autre point majeur en faveur de Donald Trump est la faiblesse incroyable de son opposant.

Creepy Joe[23] est clairement sénile et a une feuille de route loin de la virginité. Les démocrates ne pouvaient choisir pire. Biden, en plus d’être le politicien classique le plus nul qui soit, n’a pas fait campagne. La stratégie démocrate est absolument renversante.  Une stratégie tellement incroyable qu’elle engendre les théories les plus folles, comme celle de voir au dernier moment Biden déclaré incapable suite à un accident ou une faiblesse soudaine et remplacé au pied levé par la pétillante Michelle Obama.

Autre volet très important dans cette campagne électorale, la folie dictatoriale du covid.

On ne peut dissocier les deux dossiers. Cette folie du covid est venue mêler les cartes lors de cette campagne. Tout allait trop bien pour Donald Trump, le covid est arrivé comme une bénédiction pour ses opposants.

Par ce virus, on a pu mettre fin aux rallyes de Trump qui faisaient littéralement boule de neige.

Par ce virus, on a pu remettre à zéro le succès économique de l’administration Trump. Le niveau des emplois qui atteignait des sommets a été réduit à néant. La fermeture carabinée des entreprises et des commerces a détruit en un claquement de doigts la réussite économique des trois années de Trump.

Et on maintient toujours cette menace virale bien active pour tenter de persister à démolir le succès de Trump et briser son élan de campagne.

Mais cette stratégie se tourne contre les démocrates et j’oserais dire contre ce « Deep State » mondialiste contre lequel Donald Trump se bat depuis cinq ans. Les gens en ont marre de cette folie et veulent retrouver la vie normale. Et Donald Trump, du haut de ses 74 ans et ayant fièrement vaincu le terrible virus dit « mortel », se retrouve maintenant en position de force. Il a démontré de sa personne qu’on pouvait vaincre facilement ce terrible virus dit « mortel ». Des MÉDICAMENTS EFFICACES EXISTENT ! Même une cure régénératrice est disponible et Trump la met GRATUITEMENT à la disposition de tous ceux qui pourraient en avoir besoin.

Donald Trump se retrouve donc avec un autre vote sérieux. Celui des gens qui en ont assez et qui veulent LE RETOUR À LA VIE NORMALE.

Donald Trump en plus d’être un président ayant un bilan exemplaire est devenu le candidat de l’espoir du retour à la normalité.    

En conclusion, si on additionne, tous ces points indéniables et véritables en faveur d’une réélection de Donald Trump il en résulte que Donald Trump sera réélu haut la main. La seule façon que les démocrates pourraient remporter cette élection est par la fraude.

Bien entendu, on peut prévoir des coups fourrés.

Le dernier débat aura-t-il lieu ?

Si oui, aura-t-il lieu en personne et non à la caméra (et télésouffleur pour Biden) ?

Biden va-t-il rester en santé pour être présent pour l’élection ? Devra-t-on le remplacer au dernier moment ?

Les bulletins postaux vont-ils favoriser une fraude massive pouvant renverser la vapeur ?

Si tout se déroule démocratiquement et dans les règles du savoir-vivre démocratique, il faut prévoir, non pas une deuxième vague du covid, mais bien une deuxième vague électorale rouge.

Oui, le 3 novembre, il y aura une énorme vague rouge, a big red wave !

En complément à ce survol, je vous invite à lire mon analyse de la situation il y a quatre ans afin de vous rappeler pourquoi on votait pour Trump en 2016[24].

Vous verrez à quel point les électeurs ne peuvent pas avoir été déçus. Jamais un président n’a autant tenu de promesses.

En 2016, les électeurs avaient fait un énorme doigt d’honneur à ces manipulateurs de conscience qui mettaient tout en œuvre pour faire détester Donald Trump. Je vous invite aussi à lire avec attention le texte publié au lendemain de l’élection de 2016 intitulé « Le plus grand Fuck You ! »[25]. Vous y retrouverez une description détaillée du travail des ordures médiatiques à qui la population américaine a fait un doigt d’honneur. Je crois qu’il est important de se rappeler ce travail et de bien voir qu’il se poursuit toujours sur différent plan.

Salutations,

Serge Charbonneau 

Québec

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[1] Trump supporters in Michigan chant « We Love You!… TRUMP: « Don’t say that, I’ll start to cry… »

[2] Trump supporters in Michigan chant « We Love You!… TRUMP: « Don’t say that, I’ll start to cry… »

[3] Trump Rally Crowd in Ocala, FL 10/16/20

[4] The Cameras Pan At Donald Trump Rally In Florida President Trump Signs the HBCU Executive Order

Trump Rally Crowd is UNBELIEVABLE in Swanton, Ohio

21 septembre 2020

Trump Asks Media to Show Full Crowd in Reno, Nevada.

12 septembre 2020

[5] Crowd Erupts in « We Love You » Chant to Trump

[6] The Battle of the Billionaires takes place at WrestleMania 23

[7] President Trump Participates in a Signing Event for an Executive Order

[8] Senator Tim Scott: We’re bringing job creators to the worse economic areas of the country

[9] Opportunity Zones: Will Tax Break for Investors Benefit Communities Too?

[10] Opportunity Zones

A new national community investment program that connects private capital with low-income communities across America

[11] Making Opportunity Zones Work for Black Communities

[12] Senator Booker and Governor Murphy on Opportunity Zones

[13] President Donald Trump Signs Historic Criminal Justice Reform Law | NBC Nightly News

[14] President Trump Remarks at White House Prison Reform Summit

[15] President Trump Makes Remarks On Criminal Justice Reform From The White House

[16] President Trump Signs the HBCU Executive Order

[17] President Trump speaks at historically black colleges and universities conference – 09/10/2019

[18] President Trump’s Platinum Plan for Black communities!

[19] Ben Carson introduces President Trump at ‘Black Voices for Trump’ rally in Atlantahttps://www.youtube.com/embed/U2XO-gpv6xE?enablejsapi=1&autoplay=0&cc_load_policy=0&iv_load_policy=1&loop=0&modestbranding=0&rel=1&fs=1&playsinline=0&autohide=2&theme=dark&color=red&controls=1&

[20] « NOT A RACIST » Black Pastors PRAY and DEFEND President Trump In Atlanta

[21] Reminder: U.S. Presidents Have Promised to Move the U.S. Embassy to Jerusalem For Decades

Obama: Jerusalem Will Be Israel’s Capital

[22] Montage: Past Presidents Promise to Move U.S. Embassy to Jerusalem

[23] Watch Joe Biden give an endless hug to Hillary Clinton

[24] Texte publié quelques semaines avant l’élection de 2016 :

Pourquoi on vote pour Trump ?

[25] Le plus grand « FUCK YOU »  (publié en le 10 novembre 2016)




POUR UN COUP D’ÉTAT PACIFIQUE ET LÉGITIME

[Source : https://polemique.roman-livre.com/]

[Comme complément à l’article Annonce du renversement du gouvernement français.]

POUR UN COUP D’ETAT PACIFIQUE ET LÉGITIME

SELON LE JUSTE DROIT

84 MESURES

dont

15 à prise d’effet immédiat

suivies de la

Déclaration du Peuple de France


ATTENDU qu’il est prescrit en cas d’invasion ou de tyrannie que le peuple a non seulement le droit, mais le devoir de se révolter et de repousser ses envahisseurs et tyrans

ATTENDU que s’il n’agit pas, il sera coupable de trahison et perdra de ce fait tout droit à revendiquer ce qui lui appartient

ATTENDU que la Résolution 37/43 de l’Assemblée générale des Nations Unies, adoptée le 3 décembre 1982 : « Réaffirme la légitimité de la lutte des peuples pour l’indépendance, l’intégrité territoriale, l’unité nationale et la libération de la domination étrangère et coloniale et de l’occupation étrangère par tous les moyens disponibles, incluant la lutte armée » (voir aussi les Résolutions de l’Assemblée générale des Nations Unies 1514, 3070, 3103, 3246, 3328, 3382, 3421, 3481, 31/91, 32/42 et 32/154), le droit à la résistance est établi, et non seulement, mais encore conforté, légitimé par l’article 1er §4 du premier protocole additionnel de Genève du 08 juin 1977 qui précise que, parmi les conflits armés internationaux, figurent ceux « dans lesquels les peuples luttent contre la domination coloniale et l’occupation étrangère et contre les régimes racistes dans l’exercice du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes… « 

ATTENDU que les peuples occidentaux sont occupés illégalement, d’une part du fait d’envahisseurs importés qui font régner une terreur dans les rues, d’autre part du fait d’une élite apatride inversée parfaitement identifiée, qui ne fait pas mystère de ses vœux et fait venir ces envahisseurs aux fins de détruire les dits peuples, qui a subverti à son profit tous les rouages de l’État ainsi que les médias de propagande, agissant sous couvert laïc mais en réalité confessionnelle, sectaire, suprémaciste et racialiste, la libération est rendue absolument impérative et juste, par quelque moyen que ce soit

ATTENDU que les peuples déplacés par ces migrations subventionnées occasionnent à leur pays d’origine déchéance, pauvreté, perte de souveraineté et défaut de développement

ATTENDU que les gouvernants successifs de la « République française » se sont montrés incapables de maintenir la paix, la Justice, l’instruction, la santé, la vie privée, la liberté, l’économie, la sécurité et a fortiori la prospérité, et tout ce qui découle des précédentes

ATTENDU que non seulement ils n’ont pas été compétents en ce sens mais se sont montrés particulièrement zélés à détruire tout cela, qu’ils ont par ailleurs profité de moult avantages par produisant l’enrichissement personnel, l’amnistie systématique, l’immunité judiciaire, la reconduite aux postes via diverses manipulations de la loi électrorale et des scrutins eux-mêmes, tandis qu’ils étaient souvent majoritairement condamnables en maintes affaires où leurs concitoyens ont été lésés, qu’ils ont multiplié pillages, crimes, viols, déprédations de toutes sortes y compris de sortes qui ne sont pas prévues par la loi, famines, meurtres de masse y compris de petits enfants, maladies et épidémies, concussion, corruption, prévarication, népotisme, manipulations successives des lois et des institutions, dilapidation des ressources publiques et privées, privatisations indues, qu’ils ont engagé le peuple par des signatures contre lesquelles il s’opposait formellement, quand, encore, il était consulté

et pour bien d’autres motifs encore, déclarons solennellement :


Françaises, Français,

Notre pays a connu l’équivalent d’une guerre. Non seulement notre pays, mais une bonne partie de l’Europe, et bien d’autres pays dans le monde. Tout a été saccagé. Etat, santé, justice, éducation, économie, autorité publique, armées, patrimoine, tout est à terre.

Pis encore: une véritable entreprise de destruction vise non plus seulement vos biens, mais vous-mêmes et votre descendance.

Tout est violé aussi, jusqu’aux textes fondateurs [1].

Nous devons donc agir.

Le coup d’Etat se fera dans l’ordre, dans le respect des personnes et, au cas où quiconque serait atteint dans son intégrité par les nécessités de l’action physique, dans le respect de la loi morale supérieure.

Le gouvernement provisoire prendra les premières décisions suivantes, immédiatement applicables[2].

  1. Suspension immédiate de tout épandage par voie aérienne ou autre; l’épandage de produit non naturel est considéré comme empoisonnement de masse, dorénavant formellement interdit, et passible de la peine maximale encourue
  2. Arrêt de toute installation du réseau 5G. Toute tentative est considérée comme dans art. précédent
  3. Suspension de l’activité, jusqu’à nouvel ordre et hormis les forces de maintien de la sécurité, de toutes les institutions, Ministères, Chambres, Ordres, Conseils, Agences, Bureaux, Observatoires, en bref toute organisation étatique ou para-étatique qui se comptent dans ce pays par millions, certaines pour une durée très courte afin de ne point permettre le chaos, d’autres définitivement, pour le faire cesser
  4. Suspension de toute activité des organisations étatiques ou para-étatiques notamment d’autorité ou de surveillance publique, policières et militaires ou non, clandestines ou déclarées, sauf en ce qui concerne le maintien de l’ordre public strictement compris [39]; suspension de tout vol militaire jusqu’à nouvel ordre
  5. Interdiction de toute vaccination de masse, et rétablissement de la responsabilité des laboratoires pharmaceutiques
  6. Annulation de toute amende (y compris contractée lors des dernières manifestations populaires non-syndicales, hors actes de déprédation et agressions, ou pour défaut de port du masque, interdiction renouvelée du masque)
  7. Suspension de l’impôt ou tout autre prélèvement direct, jusqu’à nouvel ordre
  8. Désengagement des Traités de Lisbonne, Maastricht, Schengen et rétablissement des frontières
  9. Défiscalisation totale et déréglementation massive à prise d’effet immédiat pour les métiers de productions naturelles (agriculture, pêche, maraîchage) [10] sous condition de production à bilan kilocalorique positif [10bis]. Suppression des contraintes sur les métiers (administratives, réglementaires, sécuritaires etc.) au niveau de 1950 (sauf exceptions spécifiques)
  10. Défiscalisation totale et déréglementation des métiers à revenu précaire
  11. Rétablissement des libertés publiques et privées. Suppression des lois sur l’opinion [11] et modification constitutionnelle en faveur de la liberté d’expression intangible, libération des prisonniers politiques, amnistie totale et indemnisation maximale, réhabilitation des chercheurs et/ou lanceurs d’alerte persécutés pour le motif de leur travaux, de leur expression écrite ou orale; poursuite et condamnation de leurs persécuteurs, juges y compris
  12. Mise en panne de tous les radars routiers automatiques, démantèlement partiel du parc, abrogation de l’écotaxe; suspension et suppression de tous les compteurs télécommandés, rétablissement de l’obligation du contact direct entre fournisseur et client [42]
  13. Mise en examen immédiate de tous les ministres, secrétaires d’État ou conseillers divers ayant participé aux derniers gouvernements depuis 1981, saisie de leurs biens en attendant leur comparution
  14. Suspension et mise en examen de tout juge appartenant à une maçonnerie ou organisation secrète antinationale, en attendant jugement et saisie universelle des biens
  15. Mise à pied de tout policier ayant commis des violences ou procédé à des arrestations abusives sur manifestants dans les 5 dernières années, en attente de leur jugement

Viennent ensuite les décisions suivantes :

  1. Suppression de 580 taxes, impôts, droits, prélèvements, contributions, versements et autres ou redevances (sur les environ 600), avec effet immédiat et rétroactif sur les 5 exercices précédents (dont suppression immédiate de la TVA, de la CSG, de toutes taxes sur la production d’énergie, de la Redevance audiovisuelle, de la Taxe d’habitation, de la Taxe Foncière, des Droits de succession. Baisse de la TIPP [4] — prix à la pompe). Création d’une TVA sociale (appliquée aux seuls produits d’importation)
  2. Pénalisation maximale de toute traite humaine
  3. Rétablissement immédiat de la sécurité [44] sur l’ensemble du territoire, selon les directives édictées par le gouvernement provisoire, notamment dans les quartiers et villes perdus. La force publique, qui agira à bon escient, selon directives et instructions nettes et avec des moyens nouveaux, aura carte blanche et ne saurait être inquiétée judiciairement durant la période considérée
  4. Baisse immédiate de l’impôt sur le revenu des particuliers, baisse drastique de l’impôt sur les sociétés dont plus de la moitié du capital est détenu par de vrais Français [5]
  5. Augmentation provisoire de toutes les retraites à un niveau minimal net de 875€, abaissement provisoire de toutes les retraites du public à un niveau maximal (à déterminer) [7]
  6. Dissolution de 29 ministères ou missions de l’État (parmi liste) [8]. Le Ministère de l’Éducation nationale redevient, très justement, le Ministère de l’Instruction publique [9]. La dissolution des ministères entraîne la disparition des normes et obligations qu’ils édictent
  7. Refonte de tous Codes (du travail, etc.) voire abolition (Code dit de l’Éducation etc.) [43]
  8. Sortie de l’Europe dans les meilleurs délais (non-négociables par l’Europe), Frexit. Retour du franc
  9. Restauration immédiate du statut du peuple souverain [38]. Le peuple gouverne directement, extinction du système politique. Généralisation du système référendaire, participation directe à l’exercice législatif et judiciaire. Consultation nationale étendue et de droit
  10. Dissolution des deux Chambres parlementaires et refonte de la représentation nationale selon de nouveaux postulats intégrant l’expertise; remplacement du Sénat par une assemblée de Sages maîtres en leurs domaines, en nombre réduit, engagés sur leur vie, dont le rôle est le conseil de la Nation, qui exerce directement le pouvoir. Abolition de la fonction du politicien (qui ne sait que faire de la politique en tant que telle)
  11. Abolition de la maçonnerie, des sectes satanistes et diverses organisations délinquantes ou criminelles (Dissolution formelle de la franc-maçonnerie du CRIF, de la LICRA, de SOS-Racisme, du Betar, des ligues Antifa etc., coupables de menées antinationales, violences, subversion, violation des droits du peuple et Haute trahison), interdiction d’y appartenir; pénalisation de toute participation, pour un fonctionnaire à une organisation privée (hors clubs associatifs, sportifs etc.). Mise à pied et mise en examen immédiates, avec privation de liberté, saisie des biens et déchéance de nationalité, de tout fonctionnaire maçon du 33ème degré et supérieurs
  12. Annulation de la dette nationale pour toute la part de l’intérêt, moratoire sur le principal [3]. L’État ne peut plus emprunter sur un terme dépassant 7 ans
  13. Remplacement systématique de tous les documents d’identité biométrique par des documents papier [40]. On abandonnera à terme le passeport, qui n’existait pas avant 1914
  14. Séparation de l’État et des banques commerciales, restauration du statut de la Banque de France dont les membres, absolus (i.e. ab soluta: libres de tout lien) seront garants sur leurs biens. Les premières banques privées par l’importance sont nationalisées et confiées à des organismes indépendants [41] [45]
  15. Rétablissement des Droits et Devoirs régaliens de l’État et budgets attachés : Défense, Justice, Finances (et émission de la monnaie), Droit de Grâce, Aménagement du Territoire, Diplomatie
  16. Refonte des attributions et pouvoir des mairies selon les meilleures propositions des Cahiers de doléances
  17. Annulation des déficits personnels pour raison d’endettement passif des particuliers
  18. Rétablissement du droit de poursuites des laboratoires en cas d’effets secondaires indésirables ou délétères pour l’un quelconque de leurs produits. Plus de 70 cas jugés conduisent à l’interdiction dudit produit
  19. Dissolution des « ordres » (de médecins etc.), rétablissement de la liberté médicale
  20. Rétablissement de l’herboristerie, interdiction des brevets sur le vivant. Le système de santé s’orientera vers les plantes et le monde naturel, il s’éloignera de la médecine lucrative
  21. Prohibition du remboursement de l’avortement et de toute organisation ou communication qui y serait favorable. Interdiction formelle sous peine des sanctions les plus sévères, de toute vente ou achat de tout organe ou élément extrait, sous quelque forme que ce soit, d’un embryon ou d’un corps, né ou à naître. Dissolution du Planning familial et organisations associées, comparution des dirigeants pour crime contre l’Humanité, saisie universelle des biens des dites organisations et des personnels, à quelque degré qu’ils appartiennent
  22. Interdiction de la PMA et de la GPA, de l’adoption par les couples homosexuels [46]
  23. Abolition de l’appariage homosexuel et du PACS. Être homosexuel est une affaire privée, la population n’a pas à financer les mœurs. L’État quant à lui se doit constitutionnellement de ne financer que ce qui assure la perpétuation de la vie
  24. Déchéance de la nationalité pour tout Français « de papier » (c’est-à-dire ayant obtenu la nationalité étant né à l’étranger ou enfant, ou petit-enfant d’étranger) commettant tout acte délictueux sanctionné par une condamnation à une peine de prison excédant un mois de prison avec sursis, et expulsion dans le pays d’origine, ou à défaut de reconnaissance d’une quelconque origine nationale, en territoire d’outre-mer aménagé à cet effet
  25. Renforcement des peines prévues pour outrage à la pudeur, aux bonnes mœurs et à la dignité. Interdiction des manifestations de rue sexualistes, de la débauche publique, fermeture de tout établissement atteignant à la morale publique, de tout débit de drogue, de tout club décadent, de toute publication ou affichage similaire ou promouvant la subversion morale ou politique, de tout site internet similaire, avec peines de prison fermes en cas de récidive
  26. Reconduite immédiate à la frontière des délinquants étrangers au premier délit sans possibilité de retour avant 5 ans [30], après paiement au-delà des seules réparations. Peine d’intérêt général en cas de faillite personnelle 
  27. Tout signe public offensant à caractère sexuel ou injure invoquant la sexualité ou mettant en cause une quelconque parenté de la victime [41] est sanctionné par une mise en examen
  28. Toute injure prononcée par un étranger envers un national conduit à l’expulsion immédiate, à ses frais, ainsi que tout désordre public ou atteinte à la tranquillité publique
  29. Détricotage législatif et mise à terme de la surenchère parlementaire et législative [12]. Abrogation des circulaires, et ordonnances, suppression de tout décret n’étant pas circonscrit dans l’application stricte de la loi qu’il est censé illustrer. Assainissement et simplification : accessibilité, égalité devant la loi. Réduction à un corpus législatif et légal accessible par le citoyen [13]. Toutes les lois, obligations (vaccinale par exemple) ou interdits votés et édictés depuis 1789 repassent devant le consentement populaire et la chambre législative, l’une après l’autre
  30. Établissement d’une politique agricole fondée sur la restauration immédiate de la biologie des sols, interdiction des productions dites intensives, retour aux méthodes naturelles
  31. Diminution drastique du nombre d’élus [14], maintien du nombre à parité fixe avec le nombre d’habitants [15]
  32. Diminution du nombre de fonctionnaires administratifs d’État et territoriaux à parité fixe avec le nombre d’habitants [16], engagements déontologiques stricts. Quasi-suppression des personnels des institutions centrales (chambres parlementaires, cours etc.)S
  33. Instauration d’une juridiction populaire jugeant les fonctionnaires sur saisine des citoyens, avec perte du statut après deux condamnations prononcées. Fin, de ce fait, de « l’emploi à vie »
  34. Indexation des revenus du politique sur ses activités réelles et la croissance
  35. Proclamation de l’inutilité des politiques, création d’un régime populaire à exercice direct, référendaire, législatif, judiciaire, sous contrôle de l’assemblée nouvelle
  36. Pénalisation de toute chirurgie-charcuterie visant à changer de sexe, avec peines de 10 années de réclusion incompressibles
  37. Limitation du cumul et des renouvellements des mandats
  38. Augmentation des salaires de fonctionnaires des premiers échelons [17] (catégorie C) et des libéraux dépendants du domaine public (santé notamment)
  39. Établissement de nouveaux modes de scrutin (sauf Europe) [18]
  40. Suppression du département
  41. Suppression des mots faux et maçonniques « Égalité, fraternité » dans la devise nationale. Création d’une nouvelle devise
  42. Allègement draconien des documents administratifs, épuration des fiches salariales [19]. La production d’un document administratif par l’administration sera rendu difficile et il sera rappelé qu’aucun n’est opposable au citoyen s’il n’en passe par la loi
  43. La loi et la loi seule: abolition des divers codes de l’Éducation, de Santé etc.
  44. Contingentement de l’impôt territorial et national [6]
  45. Abolition des zones et banques défiscalisées de Polynésie ou d’ailleurs (où les politiciens français possèdent des comptes qui leur permettent de voir leurs chèques jamais encaissés par le Trésor public)
  46. Rétablissement d’un droit conforme à l’esprit des textes [20]. Rétablissement de la Justice selon l’esprit de la loi. Réhabilitation des juges d’instruction. Refonte du Code pénal et des divers autres textes. Extinction du droit procédural : on en revient à l’intention première. Introduction de la responsabilisation des juges, qui sont élus tous les 3 ans et leurs revenus personnels corrélés à leurs résultats, selon votation des personnes qu’ils ont eues à juger
  47. Sortie de l’Europe légale [21]
  48. Modification de la Constitution, restauration des principes sacrés
  49. Recherche d’un accord mondial pour l’éviction de la spéculation pure et le jeu bancaire [22]. Taxation sur le sol national de la dite spéculation boursière et bancaire. Abaissement des montants circulant à maximum 4 fois les actifs détenus. Désengagement des marchés de la part de l’Etat et collectivités. Prohibition de l’emprunt public sur les marchés : l’Etat seul prête à ses institutions, sous contrôle populaire
  50. Défiscalisation des échanges locaux libres
  51. Dissolution des centaines de milliers d’officines, agences, bureaux, dont Pôle-Emploi, le RSI, les CMPP, la DPJ, la MDPH, l’ASE, la PMI et autres organisations para-étatique plus ou moins légales, légitimes ou même mafieuses [23]. Fin effective du monopole de la Sécurité sociale [24]. Condamnation de l’organisme pour chaque empêchement constaté, et mise à pied des juges qui auraient voté en ce sens dans les 3 dernières décennies
  52. Interdiction pour les organisations para-étatiques de prétendre agir pour l’Etat, abandon de toutes les délégations usurpées
  53. Nettoyage et contrôle strict des subventions publiques. Interdiction de subvention d’associations cultuelles, voire culturelles [25]
  54. Arrêt des subventions aux associations non reconnues d’utilité publique [26] par consultation populaire (ne seront maintenues que les organisations recueillant plus de 80% d’avis favorables) ou par type d’activité, arrêt des subventions à la presse [27]
  55. Législation sur les syndicats et les organisations : obligation de publier des comptes
  56. Politique migratoire cohérente sur la base de compétences en fonction des besoins réels (contrats réels) et de l’asile politique exclusivement [28]. Abolition de la décapitation migratoire, rejet des envahisseurs à la mer
  57. Suppression des dépenses sociales en faveur des étrangers en situation irrégulière [29] ou vivant à l’étranger
  58. Réduction et lisibilité du Code pénal (déclaration solennelle : la loi est faite pour l’homme et non l’homme pour la loi)
  59. Raccourcissement des délais de justice et introduction de procédures à échéance fixe, sous peine de nullité [31]. Création de l’infraction d’outre-délai, sanction des personnels judiciaires en ce cas, perte de la fonction à la troisième récidive. Budgets adéquats du domaine judiciaire
  60. Facilitation du droit d’investigation et d’enquête de l’autorité publique [32]
  61. Prohibition sur les produits phytosanitaires et de consommation dangereux [33], interdiction de production, stockage et transit de ces produits
  62. Relance de la production d’énergies libres(défiscalisation), abandon de l’éolien et du photovoltaïque et autres opérations de pure spéculation [34]
  63. Démantèlement intégral du réseau 5G et prohibition de toute technologie de communication anti-biologique
  64. Allégement du droit du travail, épuration du Code du Travail. Suppression de l’intervention du juge dans les procédures de licenciement [35], renouvellement de la liberté de création d’entreprise, suppression de déclarations, etc. [36]
  65. Rétablissement du statut du médecin, du notaire, suppression des réglementations des métiers de la gynécologie,
  66. Retrait général de l’État dans ses fonctions régaliennes
  67. Rétablissement du délai de réflexion de 7 jours pour l’avortement, interdiction de l’avortement au-delà de 4 semaines de la conception. Référendum sur l’avortement
  68. Désengagement des conflits non stratégiques pour l’intérêt national
  69. Libération de l’initiative entrepreneuriale nationale par la suppression de tout impôt ou démarche avant d’atteindre un seuil de revenu bénéficiaire déterminé [37]
  70. Réforme totale de l’enseignement : liberté des universités et grandes écoles, liberté de fondation d’établissement, suppression de la carte scolaire, établissement de grilles de résultats, promotion au mérite, management, libéralisation
  71. Grands travaux pour le transport à très grande vitesse individuel porte-à-porte en vue du développement de l’intégralité des territoires et connexion aux pays voisins
  72. Grands travaux de restauration et reconstruction des monuments, châteaux, monastères et autres ayant été détruits par la révolution, les périodes de trouble, la fiscalité ou les politiques et révolutions urbaines
  73. Suppression du changement d’heure (été-hiver)
  74. Fin des « monopoles publics » (Fondation de France, attribution des droits d’émission audiovisuelle par le CSA etc.)
  75. Suppression du droit d’auto-amnistie parlementaire, révisions des amnisties précédentes, lancements des procédures de réparation
  76. Interdiction de la discipline des partis, suppression des quorums pour la constitution des groupes
  77. Établissement d’un monarque, représentant la souveraineté populaire et assurant la perpétuation des éléments fondateurs sacrés  la Nation, ayant pouvoir de s’opposer à une loi au nom des principes sacrés de la Nation, disposant d’un pouvoir judiciaire étendu et régalien, capable de dissoudre des organisations non-institutionnelles ou de dessaisir des personnes, quelles qu’elles soient, sans procédure, au nom des mêmes principes. Il est ab-soluta, absolu, c’est-à-dire sans lien à aucun lobby ou contre-pouvoir, il est libre. Nulle chambre n’a préséance sur lui
  78. Le peuple a le pouvoir de déposer le monarque s’il le demande à concurrence de 80% des voix
  79. Le monarque est issu d’une assemblée de gens formés dès le jeune âge à tous les métiers du peuple, par les métiers et choisi en son sein par l’ensemble des institutions et du peuple, à concurrence de 75% de voix du peuple et le reste aux institutions. Le monarque ne peut en aucun cas appartenir à quelque organisation politique ou assimilée que ce soit, il n’a le droit d’assister à aucune assemblée secrète à l’étranger, toutes ses dépenses se font sur ses fonds propres, il ne dispose pas de budget, sauf exception
  80. Rétablissement d’une vraie Assemblée nationale, à nombre de parlementaires réduits (50 représentants maximum), en charge des lois décidées par le peuple
  81. Établissement de l’Assemblée des Sages (400p) désignés par les corporations (organisations des métiers) veillant à amender, conseiller, recomposer les lois décidées par le peuple et les mises en œuvre de l’Assemblée nationale
  82. Rétablissement des Corporations qui protègent les citoyens, dirigées directement par eux et présidées par leurs représentants, qui ne peuvent être membre du Conseil des Sages
  83. Abolition des subventions aux « mémoires » racialistes ou idéologiques. Démantèlement des monuments idolâtres « mémoriels » de la pensée officielle abolie, destruction de tout signe, ouvrage, œuvre, support quelconque ou bâtiment créé avec l’argent public à ces fins scélérates
  84. Retour à l’heure naturelle

Ces mesures ne sont pas exhaustives et la nécessité dictera les urgences éventuelles

Déclaration du Peuple de France

À vous, le Peuple :

à l’origine, la démocratie devait assurer votre existence sous la protection des institutions. Vous en avez été chassés.

Les politiques ont détruit le pays, en transformant progressivement des principes démocratiques en un système inique et privé. Armés de principes inadaptés et pauvres, ils ne pouvaient assumer un devoir qui dépassait leurs capacités. Ils ont ainsi failli à leur tâche et à leurs obligations. En revanche, ils ont apporté zèle et efforts à la destruction universelle du pays.

Vous restez devoir obéir aux lois, ils s’en sont dispensés.

La pauvreté ronge lentement vos revenus, la loi diminue inéluctablement vos droits, votre santé est sabotée, votre éducation dépouillée, la justice partisane, vos administrations laminées, votre sécurité n’est plus assurée et, pour finir, les subsides publics ont acheté vos libertés.

¨Par des épandages aériens, votre intégrité, votre santé sont directement menacés.

Par le port du masque en dépit des résultats incontestables de pays qui n’en ont pas fait usage, on a diminué votre immunité, augmenté votre stress oxydatif, intoxiqué par votre propre gaz carbonique. Par la « distanciation sociale », on vous a soumis à des comportements contrôlés.

Tout cela, et pas même le dixième, nos ancêtres ne l’auraient jamais accepté. Jamais nos enfants ne pourront vivre avec ce que nous leur laissons — si vivre est un mot qui a encore un sens demain.

Jusqu’ici, en votant pour les partis et en croyant en d’éventuels changements perpétuellement retardés, vous y avez consenti.

Or, depuis le niveau de prospérité jusqu’à la place de la France dans le monde, l’essentiel n’a été que recul. La France, en trois décennies, a vieilli de cinquante.

Et s’il fallait se contenter de peu, le Français avait les moyens matériels, privilégiés à la surface de la Terre, de vivre heureux. La logique de son système moderne, révolutionnaire, portait en germe sa mort lente. L’argent qui lui est volé par le fisc et les tribunaux finance sa perte.

Voici l’odieuse réalité : vous payez pour mourir.

On prétend souvent que c’est le paysan « accablé sous le poids de l’impôt » qui a fait la Révolution. Or, il ne payait l’équivalent que de 18 jours de travail en impôts (gabelle, taille, vingtième, etc.) alors qu’aujourd’hui, vous n’êtes libéré qu’après 208 jours, soit onze fois plus. Libéré, le mot n’est pas trop fort : le peu qu’il vous reste de droit à vivre est prisonnier.

Il n’y a pas de salut dans le système, il est entre ces mains-là qui détiennent richesses et pouvoirs, et jamais ces mains n’ont été à la fois aussi peu nombreuses et aussi puissantes. La menace totalitaire est universelle.

Si bien que l’inconséquence des gouvernements n’a été que le relais de la spéculation mondialiste. Mais il y a eu aussi, ayons le courage de le reconnaître, à notre niveau quotidien, des relais locaux, presse, syndicats ou associations, qui se chargeaient de votre assentiment. Vous avez vécu une paresse et une léthargie qui n’ont abouti qu’à plus de dépendance, plus de droits coûteux et sans avantages, à plus de désespérance, de conservatisme. En prenant d’une main, et sans penser aux générations à venir, le confort, les avantages et la protection, vous rétrocédiez de l’autre la liberté, la prospérité et la solidarité.

Nous avons laissé tuer l’exception, l’originalité, la créativité qui étaient justement parmi nos plus précieux trésors, qui en réalité étaient le génie français.

On vous a servi du mensonge et vous avez voulu y croire.

Il est l’heure de renoncer à vos chaînes, et de reprendre le pouvoir qui vous a été enlevé.

Pendant que vous auriez besoin de quelques centaines d’euros par an pour mieux vivre, des milliards sont consacrés à des causes scandaleuses. On renfloue des banques qui spéculent sur le désastre et engrangent, en pleine crise, d’énormes dividendes. On fiance des gay-pride, des entreprises criminelles même.

Vous travaillez d’arrache-pied alors que l’oisiveté rapporte souvent davantage.

Les services publics, abandonnés, sont dépourvus de moyens.

Vous êtes submergés de paperasses, de normes, de directives, qui font qu’au lieu de vous consacrer à votre métier, vous donnez votre vie au néant.

Pendant que vous craignez pour votre emploi, on favorise les délocalisations.

Alors que tous les progrès sont possibles, on vous maintient dans la contrainte de systèmes caduques.

Vous ne trouvez pas à vous loger, pendant que les collectivités possèdent les plus monstrueux parcs immobiliers de l’Histoire et que les trusts engrangent les plus fabuleuses fortunes de tous les temps.

Votre bonne volonté et votre bénévolat suppléent aux carences de l’Etat, tandis qu’il ne craint pas de vous appliquer des sanctions et des amendes, de faire valoir des lois que vous seuls respectez.

On fait mine de consacrer quelques dépenses à une écologie purement de façade, et on maintient des structures polluantes depuis la production jusqu’à la consommation.

Vous risquez votre vie dans une société investie par la violence.

On a livré au marché vos terres, votre travail, votre maison et maintenant on vous livre, vous.

Mais il y a plus grave : une nouvelle guerre est déclarée, s’attaquant non plus seulement aux biens de l’homme ou à sa liberté, mais cette fois à sa nature même.

Tout cela, maintenant, vous le savez. Vous avez fait ces constats et un million d’autres.

Ce qui se passe n’est pas seulement vrai en France, c’est vrai dans bien d’autres pays.

Les fausses élites se connaissent toutes et s’arrangent entre elles, elles signent en votre nom, par-dessus vos têtes, des traités qui vous engagent sans que vous ayez été consultés, d’autres même que, parfois, vous avez rejetés.

Qui tient la dette tient les nations. Les politiques, qui ne sont rien sans l’argent de la finance, ont creusé les déficits et accru le chômage, pendant qu’ils se votaient des avantages et des amnisties. Mais voyez, ils ne sont rien : ni légitimes, ni compétents. Ils n’ont jamais recueilli de véritables majorités, ils ne comptent ni l’absentéisme électoral ni les votes blancs, qui sont majorité.

Ils n’aiment pas le territoire, d’un côté ils en abandonnent des parts entières à des mafias et des trafiquants, de l’autre ils cèdent tout à l’Europe, cette Europe dont les chefs exécutifs sont désignés et non élus. Ils n’ont pas spécialement besoin de votre santé. Ils n’aiment pas votre liberté, ils votent chaque semaine de nouveaux interdits et de nouvelles obligations. Ils n’aiment pas votre travail, ils bradent vos emplois.

Ils n’aiment rien en fait de ce qui constitue le corps et l’âme du pays.

En un mot : tout marche à l’envers. Nous sommes dans un système inversé. Ce qui était bon est rejeté, ce qui est mauvais est institutionnalisé. La politique ne sert plus l’homme, c’est l’homme qui sert la politique. L’homme a disparu de la politique, en réalité, et les discours mentent.

N’en parlons plus. Agissons.

Nous ferons notre devoir, parce que nous refusons que ne s’imposent, soit la guerre civile, soit des partis dangereux. Car tout n’est pas fini. La France peut renaître, parce qu’il y a encore les Français.

Nous n’attendrons pas le départ des politiques, nous prenons le pouvoir.

Nous sommes le peuple.

Nous n’allons pas réformer le système, nous allons en changer.

Nous allons refonder une légitimité. Nous développerons un pays de notre siècle et des siècles prochains, en lien avec le monde, pour une prospérité universelle.

Craignez-vous la loi ? Mais, Français, votre volonté prime sur la loi ou les institutions, car la seule légitimité réelle, celle dont parlent les textes fondateurs est, en fait, la vôtre ! Vous pouvez tout puisque le droit, c’est d’abord la nation. Qu’elle s’exprime enfin !

A présent, vous vous révoltez. Il était temps.

Alors, prenons le pouvoir, dans une démarche conforme à l’esprit de la vraie civilisation !

Voici donc notre appel solennel. En ce jour, nous délions les Français de leurs engagements vis-à-vis d’un système politique qui ne les représente plus, nous répudions les traités que nous n’avons pas signés, nous rejetons les contrats faits sans nous.

Nous choisirons ce qui doit être conservé, et ce qui doit être enlevé. Nous séparerons le bon grain de l’ivraie.

Il n’y a pas de problème que le génie humain ne puisse résoudre, si on lui en laisse la liberté. C’est cette liberté que nous reprenons.

La société française sera désormais consacrée à l’Homme et non plus aux institutions, aux groupes d’intérêts ou à la spéculation.

Le mouvement de civilisation qui partait de l’homme individualiste, sans lien à autrui, et qui le distrayait vers les ensembles continentaux et universels, anonymes et déracinés, reviendra puiser à un universel qui nourrit l’individu. Le sens de l’homme est dans sa proximité, dans son incarnation, l’homme se justifie par son prochain. L’homme n’est pas gouvernable à distance, il n’est pas fait pour les quêtes éthérées, sans lien, ni pour les spéculations sans fondements réels. L’idée qui ne surgit pas du réel tue l’homme. En ce sens, nous tournons le dos aux deux derniers siècles qui ont été les siècles des idéologies.

Nous réconcilierons l’homme et le réel. Le vivant contient les réponses. Le réel est vie.

Nous voulons une civilisation de la vie. Nous la déclarons sacrée, alpha et oméga de la civilisation renouvelée.

Tous les Français de bonne volonté sont conviés à défendre le renouvellement national, puisqu’ils sont les seuls légitimes à gouverner, en tant que souverains de leur pays.

Les effectifs de police, de gendarmerie et les divers services de sécurité seront solennellement appelées à se mettre en situation de maintenir la paix et l’ordre en tous lieux du territoire, sans attendre ni accepter aucun ordre des responsables qui les ont trahis.

Nous assumerons l’entière responsabilité du destin national jusqu’à ce qu’un nouveau régime stable, garant des libertés, de la prospérité, de l’intégrité nationale, du respect dû aux personnes, soit offert à vos vœux. Nous mettrons en effet en place toutes les circonstances favorables à des élections, les premières véritables élections libres et universelles de France.

Les zones non contrôlées seront rendues à la nation. Nous libérerons les captifs, les endettés, les sans-abris, d’une situation qu’ils n’ont jamais méritée.

A bas la République, vive la vraie France !




Renversement, 1ère sommation. Appel aux militaires

[Source : https://polemique.roman-livre.com/]

https://youtu.be/CLja8Pfx914

[Voir aussi, pour plus de renseignements :




Annonce du renversement du gouvernement français

[Source : Rémy Daillet-Wiedemann]

[NdNM : l’hypothèse d’un doux rêve n’enlève pas nécessairement l’intérêt de la plupart des mesures proposées, mesures qui ont des chances d’emporter l’adhésion d’une (grande ?) majorité des Français. Ne serait-ce que par le gain d’un (fort ?) consensus possible et probable, elles méritent attention, étude, débat posé et réflexion.]

Cet homme [Rémy Daillet-Wiedemann] va renverser le gouvernement français. Le renversement du gouvernement se fera pacifiquement ou avec effusion de sang, cela dépendra de la réaction de Macron et de ses acolytes, mais il aura lieu, la date sera fixée bientôt, voici celui qui offre l’union de toutes les forces combattantes. #renversementdugouvernementfrancais

Pour nous rejoindre et découvrir les mesures : http://polemique.roman-livre.com/pour-un-coup-detat-pacifique-et-legitime/

Voilà 20 ans que les constats du naufrage national se suivent. Les propos politiques de l’opposition au système se contentent de constat. Or, il ne s’agit pas de ne faire que parler de la décadence en cours et de la mise en place de la dictature. Ne faire qu’en parler désespère. Il s’agit d’y mettre un terme. Le peuple souverain a besoin de mesures fortes. Celles-ci ne peuvent relever de la simple réforme: c’est le régime qu’il faut changer, car c’est lui qui génère depuis l’origine, avec sa mécanique révolutionnaire commencée jadis par la mort de centaines de milliers de concitoyens, une logique d’anéantissement.

Maintenant, il s’agit d’agir

Merci de faire circuler cette déclaration solennelle.

Voir aussi

Quand la vidéo sera censurée: https://gab.com/Thibaut_la_Croisade/posts/105057754716285273
ou plus directement: https://lbry.tv/Annonce-renversement-du-gouvernement-fran%C3%A7ais:5
Version italienne : http://www.vitamelior.com/Dub/DiscorsoAllaNazione%20QT_dD%20dub.m4v

https://youtu.be/VL6ZFUQ62Mw

Présentation rapide de Rémy Daillet Wiedemann

https://youtu.be/zzx5ds_VtjY

Coup d’État : réponse aux citoyens !




L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »

[Sources : Guy Boulianne et Le blog de Jeanne Smits]


[Le blog de Jeanne Smits]
Vous trouverez ci-dessous la lettre que vient d’envoyer Mgr Carlo Maria Viganò au président des Etats-Unis, Donald Trump, pour l’encourager à tenir bon face aux forces du mal qui se déploient pour mettre en place le Great Reset, la Grande réinitialisation, au moyen d’une dictature sanitaire inédite. Je remercie le lecteur de mon blog qui a bien voulu me transmettre sa traduction française du texte d’abord publié en anglais par LifeSiteNews. Il s’agit pour l’heure d’une traduction non officielle de cet appel à l’espérance. – J.S.


[Guy Boulianne]
[Traduction Benoît & Moi]  À la veille de l’élection présidentielle américaine, et au moment où la pandémie du covid a permis l’imposition de mesures liberticides qui auraient été impensables il y a encore quelques mois, il devient moins facile de liquider comme complotistes ceux qui dénoncent le plan global de « Great reset » (Grande Réinitialisation) contre Dieu et l’homme dont les différentes formes de confinement en cours sont les prémisses sous les yeux de tous. L’ex-nonce à Washington s’adresse solennellement à l’homme en qui il voit – peut-être contre toute attente – celui que la Providence a choisi pour être le Katechon, empêchant l’accomplissement du « mystère d’iniquité ».

L’archevêque Carlo Maria Viganò s’est fait connaître sur la scène internationale en 2018 en tant que dénonciateur du Vatican, appelant le pape François à démissionner et l’accusant de couvrir des accusations d’abus sexuels contre des religieux de premier plan, dont le cardinal Theodore McCarrick, et de promouvoir un « courant homosexuel » dans la curie du Vatican.

En 2009, Carlo Maria Viganò fut nommé secrétaire général pour le gouvernorat du Vatican. À ce titre, il mit en place des procédures comptables, ce qui permit de dégager un déficit de 10,5 millions de dollars pour le Vatican et un excédent de 44 millions de dollars en un an. En 2010, Viganò proposa que la Cité du Vatican sorte de l’euro afin d’éviter de nouvelles réglementations bancaires. Le Vatican rejeta sa proposition et accepta les contrôles exigés ainsi que des réglementations bancaires plus strictes.

Au Vatican, il lutta contre la corruption et le népotisme, jusqu’à remettre en cause le cardinal Tarcisio Bertone, alors secrétaire d’État. Des documents confidentiels et des correspondances sont révélés aux yeux de tous, c’est le scandale du vatileaks. Dans certains de ces courriers, Viganò se plaint d’avoir été muté en 2011 comme nonce apostolique à Washington pour, selon ses dires, avoir révélé l’existence d’affaires de corruption, népotisme et favoritisme entre le Vatican et des partenaires italiens. D’autres pièces évoquent des conflits internes concernant la supervision de l’Institut pour les œuvres de religion, dont le président Ettore Gotti Tedeschi, accusé de « mauvaise gouvernance », a été limogé.

En janvier 2016, à 75 ans, il présenta sa démission en raison de son âge au pape François qui le 12 avril 2016 l’accepta. Mgr Christophe Pierre lui succéda à la tête de la nonciature.


« Jusqu’à il y a quelques mois, il était facile de réduire au rang de “conspirationnistes” ceux qui dénonçaient ces terribles plans, que nous voyons maintenant réalisés dans les moindres détails. » — Mgr Carlo Maria Viganò




Lettre ouverte au président des États-Unis Donald Trump

Dimanche, 25 octobre 2020
Solennité du Christ-Roi

Monsieur le Président,

Mgr Carlo Maria Viganò (blason)
« Je sais en Qui j’ai cru »

Permettez-moi de m’adresser à vous, en cette heure où le sort du monde entier est menacé par une conspiration mondiale contre Dieu et l’humanité. Je vous écris en tant qu’archevêque, en tant que successeur des apôtres, en tant qu’ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique. Je vous écris dans le silence des autorités civiles et religieuses: puissiez-vous accueillir mes paroles comme la « voix de celui qui crie dans le désert » (Jean 1:23).

Comme j’ai eu l’occasion de vous l’écrire dans ma Lettre en juin dernier, ce moment historique voit les forces du Mal déployées dans une bataille sans merci contre les forces du Bien; des forces du Mal qui semblent puissantes et organisées face aux enfants de la Lumière, désorientés et désorganisés, abandonnés par leurs chefs temporels et spirituels.

Nous entendons se multiplier les attaques de ceux qui veulent démolir les fondements mêmes de la société : la famille naturelle, le respect de la vie humaine, l’amour de la patrie, la liberté d’éducation et d’entreprise. Nous voyons les dirigeants des nations et les chefs religieux soutenir ce suicide de la culture occidentale et de son âme chrétienne, tandis que les citoyens et les croyants sont privés de leurs droits fondamentaux, au nom d’une urgence sanitaire qui se révèle de plus en plus une instrumentalisation pour l’instauration d’une tyrannie inhumaine sans visage.

Un plan global, appelé Great Reset, est en voie de réalisation. Les artisans en sont une élite qui veut soumettre l’ensemble de l’humanité, en imposant des mesures coercitives qui limitent drastiquement les libertés des personnes et des peuples. Dans certains pays, ce projet a déjà été approuvé et financé ; dans d’autres, il en est encore à ses débuts. Derrière les dirigeants mondiaux, les complices et les exécutants de ce projet infernal, il y a des gens sans scrupules qui financent le World Economic Forum et l’Event 201 [ndt: exercice de simulation de pandémie, mené en partenariat avec la Fondation Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial, qui a eu lieu en octobre 2019], en faisant la promotion de son programme.

Le but du Great Reset est l’imposition d’une dictature sanitaire visant à imposer des mesures liberticides, cachées derrière des promesses attrayantes d’assurer un revenu universel et d’annuler la dette des individus. Le prix de ces concessions du Fonds monétaire international devrait être la renonciation à la propriété privée et l’adhésion à un programme de vaccination contre les infections Covid-19 et Covid-21 promu par Bill Gates avec la collaboration de grands groupes pharmaceutiques. Au-delà des énormes intérêts économiques qui animent les promoteurs du Great Reset, l’imposition de la vaccination sera accompagnée de l’obligation d’un passeport sanitaire et d’une carte d’identité numérique, avec pour conséquence le suivi des contacts de toute la population mondiale. Toute personne qui n’accepte pas de se soumettre à ces mesures sera confinée dans des camps de détention ou assignée à résidence, et tous ses biens seront confisqués.

Monsieur le Président, j’imagine que cette nouvelle vous est déjà connue : dans certains pays, le Great Reset devrait être activé entre la fin de cette année et le premier trimestre de 2021. À cette fin, d’autres mesures de confinement sont prévues, officiellement justifiées par une deuxième et une troisième vague présumées de la pandémie. Vous savez quels moyens ont été déployés pour semer la panique et légitimer des restrictions draconiennes des libertés individuelles, provoquant habilement une crise économique mondiale. Dans les intentions de ses créateurs, cette crise sert à rendre irréversible le recours des États au Great Reset, donnant le coup de grâce à un monde dont on veut effacer complètement l’existence et la mémoire. Mais ce monde, Monsieur le Président, porte avec lui personnes, affections, institutions, foi, culture, traditions, idéaux : des personnes et des valeurs qui n’agissent pas comme des automates, qui n’obéissent pas comme des machines, parce qu’elles ont une âme et un cœur, parce qu’elles sont liées entre elles par un lien spirituel qui tire sa force d’en haut, de ce Dieu que nos adversaires veulent défier, comme Lucifer l’a fait au début des temps avec son « non serviam » (Je ne servirai pas).

Beaucoup – nous le savons bien – considèrent avec agacement cet appel au choc entre le Bien et le Mal, l’utilisation de tons « apocalyptiques », qui selon eux exaspèrent les âmes et aiguisent les divisions. Il n’est pas surprenant que l’ennemi se sente découvert au moment même où il croit avoir atteint sans être dérangé la citadelle à conquérir. Il est toutefois surprenant qu’il n’y ait personne pour tirer la sonnette d’alarme. La réaction du Deep State à ceux qui dénoncent son plan est incohérente, mais compréhensible. Juste au moment où la complicité des médias mainstream a réussi à rendre la transition vers le nouvel ordre mondial presque indolore et inaperçue, des tromperies, des scandales et des crimes sont mis au jour.

Jusqu’à il y a quelques mois, il était facile de réduire au rang de « conspirationnistes » ceux qui dénonçaient ces terribles plans, que nous voyons maintenant réalisés dans les moindres détails. Personne, jusqu’en février dernier, n’aurait jamais pensé qu’on en viendrait, dans toutes nos villes, à arrêter des citoyens pour le seul fait de vouloir marcher dans la rue, de respirer, de vouloir garder son négoce ouvert, d’aller à la messe le dimanche. Pourtant, cela se passe partout dans le monde, même dans cette Italie de carte postale que beaucoup d’Américains considèrent comme un petit pays enchanté, avec ses monuments anciens, ses églises, ses villes enchanteresses, ses villages caractéristiques. Et tandis que les politiciens sont barricadés dans leurs palais pour promulguer des décrets comme les satrapes persans, les activités font faillite, les magasins ferment, les gens sont empêchés de vivre, de se déplacer, de travailler, de prier. Les conséquences psychologiques désastreuses de cette opération sont déjà visibles, à commencer par les suicides d’entrepreneurs désespérés, et par nos enfants, séparés de leurs amis et de leurs camarades pour suivre leurs cours devant un ordinateur.

Dans l’Écriture Sainte, saint Paul nous parle de « celui qui s’oppose » à la manifestation du mystère d’iniquité, le kathèkon (2 Th 2:6-7). Dans le domaine religieux, cet obstacle est l’Église et en particulier la papauté; dans le domaine politique, c’est lui qui empêche l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Comme c’est désormais évident, celui qui occupe le siège de Pierre a, dès le début, trahi son propre rôle, pour défendre et promouvoir l’idéologie mondialiste, en suivant l’agenda de la Deep Church, qui l’a choisi dans son sein.

Monsieur le Président, vous avez clairement déclaré que vous vouliez défendre la nation – One Nation under God -, les libertés fondamentales, les valeurs non négociables qui sont niées et combattues aujourd’hui. C’est vous, cher Président, « celui qui s’oppose » au Deep State, à l’assaut final des enfants des ténèbres.

C’est pourquoi toutes les personnes de bonne volonté doivent être persuadées de l’importance capitale des prochaines élections : non pas tant à cause de tel ou tel point du programme politique, mais plutôt parce que c’est l’inspiration générale de votre action qui incarne le mieux – dans ce contexte historique particulier – ce monde, notre monde, que l’on voudrait effacer par le lockdown. Votre adversaire est aussi le nôtre : il est l’Ennemi de l’humanité, celui qui est « meurtrier dès le commencement » (Jean 8:44).

Autour de vous se rassemblent avec confiance et courage ceux qui vous considèrent comme l’ultime garnison contre la dictature mondiale. L’alternative est de voter pour un personnage manipulé par le Deep Stategravement compromis dans les scandales et la corruption, qui fera aux États-Unis ce que Jorge Mario Bergoglio fait à l’Église, le Premier ministre Conte à l’Italie, le président Macron à la France, le Premier ministre Sanchez à l’Espagne, etc. La possibilité de faire chanter Joe Biden – comme les prélats du « cercle magique » vatican – permettra de l’utiliser sans scrupules, consentant à des pouvoirs illégitimes de s’immiscer dans la politique intérieure et les équilibres internationaux. Il est clair que ceux qui le manœuvrent ont déjà quelqu’un de pire que lui prêt à le remplacer dès que l’occasion se présente.

Pourtant, dans ce tableau désolant, dans cette avancée apparemment inexorable de « l’Ennemi invisible », un élément d’espoir émerge. L’adversaire ne sait pas aimer, et ne comprend pas qu’il ne suffit pas d’assurer un revenu universel ou d’annuler les hypothèques pour assujettir les masses et les convaincre de se faire marquer comme du bétail. Ce peuple, qui a trop longtemps subi les abus d’un pouvoir haineux et tyrannique, redécouvre qu’il a une âme; il comprend qu’il n’est pas disposé à troquer sa liberté contre l’uniformisation et l’effacement de son identité; il commence à comprendre la valeur des liens familiaux et sociaux, des liens de foi et de culture qui unissent les honnêtes gens. Ce Great Reset est voué à l’échec parce que ceux qui l’ont planifié ne comprennent pas qu’il y a encore des gens qui sont prêts à descendre dans la rue pour défendre leurs droits, protéger leurs proches, donner un avenir à leurs enfants. L’inhumanité nivelante du projet mondialiste sera misérablement brisée face à l’opposition ferme et courageuse des enfants de la Lumière. L’ennemi a Satan à ses côtés, qui ne sait que haïr. Nous avons à nos côtés le Seigneur tout-puissant, le Dieu des armées déployées dans la bataille, et la Très Sainte Vierge, qui écrasera la tête de l’ancien Serpent. « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » (Romains 8:31).

Monsieur le Président, vous savez parfaitement combien les États-Unis d’Amérique, en cette heure cruciale, sont considérés comme le rempart contre lequel s’est déchaînée la guerre déclarée par les partisans du mondialisme. Mettez votre confiance dans le Seigneur, renforcé par les paroles de l’Apôtre : « Je peux tout en celui qui me donne la force » (Philippiens 4:13). Être un instrument de la divine Providence est une grande responsabilité, à laquelle correspondront certainement les grâces d’état nécessaires, ardemment implorées par les nombreux qui vous soutiennent par leurs prières.

Avec ce souhait céleste et l’assurance de ma prière pour vous, pour la Première Dame et pour vos collaborateurs, de tout cœur je vous adresse ma bénédiction

Que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique!

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò
Archevêque titulaire d’Ulpiana
Ancien Nonce Apostolique aux États-Unis d’Amérique


[Voir aussi : LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires]




Guerre de religion possible en France ?

[Source : Éric Perroud]

2021 GUERRE DE RELIGION ALFI GLADIO STAN MAILLAUD

Lettre ouverte de l’ancien archevêque Carlo Maria Vigano au Président Trump :
https://youtu.be/Z9v3Tr7LnwY
ou L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »

85 STAN MAILLAUD GUERRE CIVILE, RÉVÉLATIONS FRACASSANTES(2)
https://www.youtube.com/watch?v=X0JODxKd3d8




Fraude électorale massive aux États-Unis

[Source : Strategika]

Contrairement à ce qu’affirme CNN, la chaîne d’information en continu basée à Atlanta, selon laquelle il est « impossible de truquer une élection américaine » et « qu’il n’y a jamais eu de preuve d’allégations similaires » en dépit de quatre années consécutives de matraquage sur l’influence russe, les présidentielles US de 2020 connaissent une fraude massive dépassant celles de 2000 (un cas d’école de référence jusqu’ici).

Le monde entier assiste à ce spectacle fort désolant et beaucoup d’observateurs estiment que le système politique US rouillé et périmé n’a jamais eu de fonctionnement démocratique même formel. L’usage de nouvelles techniques pour améliorer la fraude et la rendre indétectable n’a par contre jamais cessé de se perfectionner, notamment dans son volet relatif à l’ingénierie sociale.

La fraude du vote par voie postale est établie. Certains États permettent le vote par correspondance jusqu’au 12 novembre 2020 dans ce qui s’apparente comme une moquerie de la démocratie rappelant les faux tessons de vote de la Grèce antique (on y pratiquait la fraude électorale déjà à cette époque). D’autres suspendent le décompte des voix tandis que d’autres modifient les procès-verbaux à la dernière minute comme dans un pays caricatural du Tiers-monde. Cerise sur la gâteau, les médias coupent le président Donald Trump lorsqu’il tente de dénoncer ce simulacre d’élection, prouvant une fois de plus que le président des États-Unis d’Amérique n’est qu’un figurant d’un pouvoir réel caché qui ne s’embarrasse jamais à le rappeler à l’ordre, à lui montrer les limites de ses prérogatives fictives ou même à le liquider physiquement en cas de force majeure.

Les États-Unis ne sont pas une démocratie mais une ploutocratie oligarchique. Le système politique US bipartisan est aussi fermé que ne le furent les systèmes autocratiques les plus extrêmes. Quel que soient les défauts de Trump, on ne peut lui en vouloir d’avoir eu le mérite de dévoiler le système tel qu’il est en réalité et cette réalité est loin d’être confortable.

Les États-Unis sont le centre de l’Empire et cet empire s’effondre. Les néo-conservateurs et leurs alliés d’Europe se trompent lourdement s’ils croient que la désignation de Biden/Harris et du clan Obama/Clinton va redresser la barre ou remédier à une situation issue d’une dynamique historique irréversible. Le retour à la langue de bois et à la dictature du politiquement correct ne peuvent plus se substituer en tant qu’illusions à une réalité qui risque d’être fort fâcheuse : l’Empire s’effondre et cet effondrement risque de se traduire par une guerre civile d’une violence inouïe dont l’impact sur le reste du monde sera dévastateur.

La manipulation du COVID-19 était donc un des outils de cette lutte acharnée au sommet de l’Empire et ce n’est point un hasard si depuis quelques jours, un nouveau ayant pathogène tueur ayant des similitudes troublante avec la grippe espagnole et celle de Hong Kong est en train de faire des ravages en termes de vies humaines (tous les décès sont systématiquement attribués au COVID-19).

L’une des grandes leçons de cette élection est que sans ce que l’on appelle la « pandémie » du COVID-19, Donald Trump aurait facilement assuré sa réélection pour un second mandat.

Les médias, les géants US de l’internet comme Twitter et même la très ridicule Greta Thunberg (la manipulation du réchauffement climatique et la fraude au CO2) tentent rebâtir l’Empire du mensonge et l’image parfaite d’une chimère au milieu des ruines fumantes et de débris. Le mal est fait. Les populations ne sont plus aussi endormies qu’en 2000. Quel que soit l’aboutissement de cette mascarade électorale US, le Trumpisme continuera.

Pour les autres puissances dite « révisionnistes », le système politique US demeure l’un des plus pourris et corrompus de la planète terre. Les médias chinois soulignent que le spectacle des élections présidentielles US a toujours été d’un niveau comparable à ceux des scrutins de pays sous-developpés minés par la violence et la corruption. Du côté de Moscou, peu importe qui sera le vainqueur, le pouvoir réel ou l’État profond US ne changera pas et sera toujours hostile à la Russie.

Cependant cet électrochoc aura des conséquences inattendues sur les populations des États-Unis. Une partie de l’opinion US est déjà convaincue de la nécessité de se battre contre un système prédateur et usurpateur qui n’a rien d’américain. Le choix de la gérontocratie (Joe Biden est biologiquement usé et pourrait être remplacé par Kamala Harris, ce qui est planifié) en dit long sur les plans à court terme de L’État profond. Ironie du sort, la CIA et les autres agences du renseignement US ont appliqué aux États-Unis ce qu’ils avaient coutume de faire aux autres pays classés comme hostiles. Un retour de boomerang rappelant une lointaine malédiction mésopotamienne.

R.I.P USA

(1776-2020)




États-Unis : la CIA sur le dossier électoral ?

[Source : Perroud Eric]

keopi cat :

https://youtu.be/ZRvNAivKjpI



Piratage et virus intellectuel : l’anti-trumpisme conditionné

[Source : plumenclume.org]

[Auteur :] Sébastien Renault

« Avouer qu’on s’était trompé, c’est rendre le plus éclatant hommage à la perspicacité de son esprit. » 

(Gaston Bachelard)

Les enjeux de la nouvelle guerre civile étasunienne

À la suite de remarques de personnes peu informées quant à la réalité américaine et à l’étendue des fraudes électorales survenues outre-Atlantique pour éconduire à tous prix Donald Trump lors des dernières présidentielles, nous voudrions ici apporter quelques brefs éléments de contradiction face aux mantras de la haine anti-trumpienne conditionnée et à la chape de plomb de censure médiatique qui continue de peser sur nombre d’esprits. De fait, le véritable virus qui affecte aujourd’hui l’humanité est bien de type intellectuel en ce qu’il s’attaque à la pensée rationnelle, pour en contrecarrer d’abord les défenses naturelles, pour l’assommer ensuite à coups de mensonges stupéfiants et systématiques, et finalement la faire disparaître

Le vol de l’élection américaine, perpétré au milieu de la nuit dans plusieurs États décisifs au Collège électoral, ne s’est pas seulement produit avec le concours direct de milliers de tricheurs sur le terrain et de machines à voter piratées via internet, depuis l’étranger. En amont de ces activités criminelles aujourd’hui attestées[1], cela n’a pu effectivement se produire qu’avec l’assistance acharnée du covidisme médiatique, sous le contrôle de l’influence presque infrangible des technocrates de la désinformation numérique et de leurs toujours fidèles laquais médiatiques.

Les classes dirigeantes et leurs alliés médiatiques américains (la « Pravda » du parti démocrate) savent pertinemment qu’il ne faut pas tant « diviser » que divertir pour mieux régner. Divertir et par-là néantiser toute réflexion, faciliter la manipulation psycho-subliminale de l’opinion et s’assurer un contrôle mental en fin de compte très efficace des masses subjuguées à leur insu—par distillation programmée de divertissements conçus pour capter l’attention des gens, encore plus aujourd’hui sous régime covidique à peu près universel de confinements prolongés. 

La peur covidique a donc été parfaitement exploitée aux États-Unis comme arme de campagne électorale tirée du carquois des grands médias dominants, en vue d’en finir avec Trump. Des millions de voix américaines ont en conséquence été supprimées… Le leurre du suffrage universel en démocratie électoraliste, avec l’assistance opportune de la grippe chinoise mondialiste, ne pouvait certes que l’emporter sur la raison, le droit, et le pauvre peuple américain. Impossible d’empêcher Trump d’être réélu sans réunir tous les ingrédients de l’appareil de parti et de pensée unique washingtonien. Il ne restait plus aux associations criminelles de lobbystes, d’acteurs privés et internationaux à la solde de l’anti-trumpisme institutionnel, qu’à former une coalition idéologique et financière pour arranger et garantir la défaite de leur ennemi public numéro un (« l’abominable homme orange »). À en rester à la surface strictement médiatique des choses, ils ont d’abord gagné la bataille (du moins l’une des batailles). Mais ils n’ont certainement pas gagné la guerre. D’où l’accumulation d’audiences et de témoignages assermentés, pour ouvrir la voie à des procédures légales constitutionnelles, à commencer par la dé-certification des résultats officiels au niveau des Assemblées législatives, compte tenu de l’abondance des preuves d’activités criminelles et de bulletins de vote falsifiés dans tous les États litigieux.

Ce qu’ils n’ont certainement pas vu venir, dans leur obsession haineuse envers Trump, c’est l’ampleur du soulèvement d’un mouvement de contestation populaire aussi informé que déterminé à démanteler leur usurpation par la triche électorale en faveur de Joe Biden et de « Kabbalah » Harris. L’élan croissant de ce mouvement repose sur la cohérence interne de sa résistance patriotique, laquelle s’organise en ligne, sous forme de rassemblements publics, et devant les organes judiciaires et législatifs institués par la Constitution américaine.

On peut simplifier l’antagonisme fondamental de la nouvelle guerre civile psycho-civilisationnelle qui sévit aujourd’hui aux États-Unis sur la base du schéma conventionnel  « droite/gauche » :

–        D’un côté, la gauche libérale et « sociale-globaliste » de Biden caractérisée par une idéologie écologique exorbitante (selon le projet d’investissement et de refonte globale connu sous le nom de « nouvelle donne verte »), par la lutte identitaire ethno-genrée, par l’immigration sauvage et l’abolissement progressif des forces policières, par la dénaturation LGBTQ-iste de l’ordre sociétal-familial, et par le Veau d’Or du matérialisme financier adoré à Wall Street…

–        De l’autre, la droite conservatrice et « populiste » de Trump caractérisée par la réinstauration d’un ordre sociétal fondé sur la loi naturelle, par l’indépendance énergétique, par une philosophie de contre-ingérence militaro-industrielle, par son engagement à sécuriser les frontières étasuniennes (contre l’immigration clandestine, le trafic de drogue et d’êtres humains), par la résistance à la libre-circulation illimitée des capitaux, des marchandises (y compris humaines, vivantes et/ou en pièces détachées[2]) et des travailleurs en fonction des dictats des marchés transatlantique et transpacifique…

Fort de ces quelques attributs en guise d’arrière-plan de confrontation idéologique bien définie, les dernières élections américaines ont offert au monde une véritable démonstration de collusion de ploutocrates sans scrupules (Big Tech), de propagandistes médiatiques spécialisés dans le mensonge éhonté (Big Media), de groupes et lobbies sorosiens (BLM-istes, ANTIFA-istes), de l’empire médico-technocratique (Big Pharma), et de traîtres en tous genres—notamment ces acteurs politiques qu’on appelle « républicains de nom uniquement », ou « RINO » selon l’acronyme anglais. C’est un fait objectif, vérifiable, que les colporteurs habituels de fausses nouvelles ne peuvent bien sûr que feindre d’ignorer (ce qui va être de moins en moins possible). L’ordre établi par les élites washingtoniennes tente d’écraser le mouvement populiste initié en 2016 par l’accession d’un non-politicien à la présidence des États-Unis. Le canular de la « collusion » entre Trump et la Russie sert toujours de fondation à l’effort médiatique dirigé jour et nuit contre lui depuis plus de 4 ans. Le dinosaure Biden, politicien professionnel depuis 47 ans et soi-disant « catholique », est soutenu par le parti communiste génocidaire chinois. Corrompu jusqu’à la moelle, il n’est qu’une marionnette du système et un caméléon sans substance. Il menace, entre autres fléaux socio-économiques, de reconduire le confinement criminel s’il est élu.

Tout le monde, ou presque, comprend bien que Biden est l’incarnation politique inodore et incolore de la bourgeoisie marchande globaliste, le candidat de l’empire bancaire par excellence. Par conséquent Wall Street, Bill Gates et Jeff Bezos, entre autres milliardaires sans foi ni loi, soutiennent naturellement Biden et haïssent Trump.

La fausse « victoire » électorale de Biden sert donc désormais de vecteur à la violence oligarchique de la globalisation libérale, que le populisme trumpiste était parvenu à endiguer, ne serait-ce que partiellement.

À l’encontre des prédictions superficielles de certains observateurs enclins à analyser les enjeux des évolutions géopolitiques d’un point de vue a priori anti-américain, Trump est parvenu à freiner, neutraliser, et finalement enrayer au moins trois guerres potentielles en quatre ans de mandat—contre la Corée du nord, la Russie et le Venezuela. La persistance d’une idéologie messianique et guerrière sur fond de culture judéo-protestante en Amérique n’a pu avoir raison du magnat newyorkais, un « street fighter » de l’immobilier et des débats houleux, mais certainement pas le « va-t-en-guerre » inculte, irréfléchi et impulsif de l’imaginaire européen s’inspirant de clichés grossiers du libéralisme progressiste à l’américaine. Trump est en réalité un personnage très intelligent et stratégiquement rusé, tout-à-fait conscient des dangers de l’influence néoconservatrice, particulièrement en termes d’ingérence et d’invasion militaire.

Sans chercher l’exhaustivité, rappelons simplement, en toute objectivité factuelle, quelques hauts faits du premier mandat du 45e président américain, pour bannir les inepties populaires de l’anti-trumpisme conditionné.  

Des réussites économiques

D’un point de vue économique, l’honnêteté intellectuelle nous force à reconnaître les progrès significatifs accomplis par l’administration Trump.

Comme il l’avait annoncé durant sa campagne électorale en 2016, Trump a décidé judicieusement, dès 2017,  de  retirer les États-Unis de l’Accord de Paris, cette fédération internationaliste dispendieuse vouée à la promotion d’ « actions climatiques menées au niveau mondial ». Cet Accord aurait porté un coup particulièrement ruineux à l’économie étasunienne en entraînant la perte de millions d’emplois… Tout cela pour du vent idéologique s’appuyant sur une conception défectueuse de l’atmosphère et de son CO2 (voir ici notre article préconisant quelques repères non-exhaustifs pour s’extraire de la confusion et du fondamentalisme climato-alarmiste) et donnant lieu à une espèce de complexe néo-messianique vis-à-vis de la Natura naturans idolâtrée (une erreur théologique des plus funestes, sur laquelle nous ne pouvons revenir ici). Comme si les gouvernements de ce triste monde pouvaient contrôler le climat…  

Les États-Unis ont recouvré leur indépendance énergétique courant 2018, pour devenir le premier producteur mondial de pétrole brut—devant la Russie et l’Arabie saoudite. L’administration Trump a depuis conclu un accord avec l’Union européenne pour augmenter les exportations d’énergie étasunienne vers l’Europe. Elle a en outre signé plusieurs permis pour assurer l’exportation des produits pétroliers étasuniens vers le Mexique.

Des réussites sociales

Le fait d’enregistrer un taux de chômage national inférieur à 4 % à plusieurs reprises au cours de l’année 2019 a donné le signe d’une résurrection économique particulièrement spectaculaire à l’approche de la dernière année du premier mandat de Trump.

Début 2020, avant la mise en œuvre complète du covidisme, le taux de chômage national aux États-Unis était de 3,5 %, le plus bas depuis 1969. Celui des femmes adultes était tombé à 3,2 %, le taux le plus bas en 65 ans (pour un « phallocrate » présumé, ce n’est pas un si mauvais bilan) ! Le nombre de chômeurs par groupe ethnique (noirs, hispaniques et américains d’origine asiatique) a lui aussi été un des plus bas de ces derniers 50 ans. Au total, les États-Unis ont vu, début 2020, près de 261 000 000 de ses citoyens occuper un emploi, le plus grand nombre jamais atteint.

En 2019, plus de 6 millions de travailleurs étasuniens ont bénéficié de réductions fiscales, de primes et de compensations financières…

Trump est régulièrement qualifié de « raciste ». Mais les faits contredisent cette invective stéréotypée de l’ultra-gauche anti-Trump (et de ses chambres d’écho pavloviennes aux quatre coins du monde).

Avant l’instauration de la grande réinitialisation covidique début 2020, le chômage des citoyens noirs américains était à son niveau le plus bas de l’histoire étasunienne.

Les réformes trumpiennes de la loi First Step Act (FSA), entérinées en décembre 2018, ont permis de remédier aux inégalités persistantes dans l’administration de peines disproportionnées appliquées aux citoyens américains noirs de peau. Les principaux bénéficiaires de réductions de peine en vertu de la FSA sont des noirs américains. L’administration Obama n’avait rien fait qui puisse favoriser la réforme du système judiciaire américain et améliorer la vie des noirs incarcérés, à commencer par l’application de peines équitables dépourvues de discrimination ethnique. Les médias ont choisi de ne pas souligner l’engagement de Trump à réparer ces injustices contre les noirs en prenant des mesures concrètes. Par conséquent, la plupart des gens en Europe et ailleurs considèrent injustement Trump comme un chef de file de la « suprématie blanche », déterminé à ramener l’Amérique au temps des plantations… Aucun exemple ne pourrait mieux illustrer à quel point nous sommes devenus inintelligents, en raison de la tyrannie intellectuelle à laquelle nous nous soumettons nous-mêmes en donnant notre assentiment quotidien plus ou moins complet aux grands médias.

Les affaires étrangères

L’approche de Trump en matière de politique étrangère est fortement influencée par son expérience aguerrie d’homme d’affaires, particulièrement en qualité de magnat de l’immobilier. Cela s’avère être significatif, et l’on a les preuves de son efficacité géopolitique iconoclaste. Trump refuse résolument de s’aligner sur les manières de faire des politiciens professionnels qui l’ont devancé à la Maison Blanche. Et dès lors de gaspiller sa présidence dans des objectifs militaristes s’inspirant des philosophies géopolitiques à tendances impérialistes des administrations précédentes. Ses nombreux détracteurs semblent l’oublier, pour justifier leur paresse malveillante à son égard et se contenter d’en faire un guignol « expansionniste » et « guerrier » à l’étranger—« raciste », « homophobe » et « xénophobe » de retour en territoire étasunien…   

Trump a participé à plusieurs sommets historiques avec le « dirigeant suprême » nord-coréen Kim Jong-un, en vue de promouvoir la dénucléarisation de la péninsule coréenne. Nous soulignons à dessein l’importance de ces rencontres entre les deux chefs d’États, pour faire de nouveau ressortir le contraste entre la réalité de l’approche trumpienne des relations internationales et l’imaginaire anti-trumpiste réactionnaire (conditionné par une haine et une sottise aveuglante).

Plus que toute autre administration américaine, l’administration Trump a favorisé le développement de relations ouvertes d’investissements et de partenariats nouveaux avec le monde indopacifique. Nous pourrions continuer…

La liberté religieuse

Trump s’est engagé à plusieurs reprises en faveur de la protection de la liberté religieuse. L’un des points forts à cet égard aura été sa décision de mettre fin aux poursuites juridiques particulièrement abjectes de l’administration Obama à l’encontre de la Congrégation des Petites Sœurs des Pauvres[3], forcées par le gouvernement précédent à souscrire aux plans d’assurance maladie de la Loi sur la Protection des Patients et les Soins Abordables (la fameuse « Obamacare ») couvrant l’utilisation de contraceptifs, dont certains abortifs.

Il a en outre signé de nombreuses mesures en faveur de la protection du caractère sacré de la vie humaine in utero. Son administration a promulgué de nouvelles régulations visant à restreindre les fonds fédéraux alloués au programme de planning familial Title X et à s’assurer qu’ils ne soient plus impartis à quelques programmes corrélatifs ou à des initiatives qui faciliteraient en pratique ou encourageraient de quelque manière l’avortement. Elle a encore promulgué de nouvelles réglementations destinées à étendre les exemptions des travailleurs dans le domaine de la santé et par-là les protéger du mandat contraceptif imposé par l’Obamacare, sous couvert (auto-contradictoire) de soins de santé publique et « reproductive ».

Depuis son accession au pouvoir en novembre 2016, Trump est notamment parvenu à améliorer l’économie et à faire reculer les stratégies géopolitiques traditionnelles du complexe militaro-industriel étasunien. Mais non sans devoir faire face à de nombreuses attaques fomentées contre lui en coulisse par ses ennemis les plus acharnés au sein de l’administration Obama, assistés du département de la Justice des États-Unis et du FBI : une enquête bidon menée par l’équipe du procureur spécial Robert Mueller sous prétexte d’abord d’intrusion russe dans les élections américaines de 2016, puis d’ « obstruction à la justice » par Trump ; l’hostilité constante d’une cabale journalistique unanime dans sa haine déclarée contre lui ; une tentative de destitution sous prétexte de faux quid pro quo[4] ; et, pour finir en cette année 2020 des plus chargées, une fausse pandémie orchestrée par le Parti communiste chinois et les élites mondiales…

Avec la nouvelle guerre civile étasunienne organisée sur fond de double tricherie, covidique et électorale, on discerne sans grande difficulté les intentions du système de domination globaliste vaccinale : l’heure est venue d’implanter un nouveau programme, un virus comportemental fonctionnel pour une humanité déjà masquée et mentalement algorithmisée par ses maîtres à penser. Le message des tricheurs démocrates est clair : bouchez cette trompette « trumpienne » qui nous casse les oreilles ! Car elle pourrait certes encore en réveiller quelques-uns.       

Cinquante États de fraude : un « thriller » américain en temps réel…  

Nous jouons ici sur les mots, à partir du titre original du navet érotique hollywoodien Fifty Shades of Grey | »Cinquante nuances de Grey« , titre comportant déjà un jeu de mots],film obscène s’il en est, mais malheureusement populaire et clairement destiné à la corruption des mœurs, particulièrement des adolescents. Le film américain nauséabond auquel nous assistons en temps réel est d’une autre nature, il porte involontairement témoignage de la corruption par trop réelle des mécanismes électoraux sur lesquels repose l’archétype de la démocratie occidentale moderne— vaste supercherie s’il en est.

Le film du plus grand piratage de l’histoire des élections étasuniennes, mettant en vedette les oligarques de la Silicon Valley et la classe dirigeante illégitime (entre autres « stars » de connivence que nous énumérerons en conclusion), peut s’expliquer selon deux objectifs diamétralement opposés : 1) destituer criminellement Donald Trump de son poste légitime de président américain (une entreprise d’envergure globaliste) ; 2) mettre en lumière, sur le terrain de la constitutionalité américaine, l’étendue de la conjuration anti-trumpienne. À ce jour, ses auteurs persistent  à rabâcher leur mantra préféré, à savoir qu’ « il n’existe aucune preuve de fraude électorale », jouant ici sur le terrain subliminal de la répétition stratégique d’un mensonge en soi criant.

Le dévoilement en direct de l’intrigue du film auquel nous assistons, Cinquante États de fraude, permet de faire apparaître au quotidien l’étendue de plus en plus vaste des preuves incontestables de la réélection de Trump. Si les dernières élections outre-Atlantique avaient été menées dans le respect des lois étasuniennes en vigueur, donc en soustrayant la prise en compte frauduleuse de millions de votes illégaux fabriqués électroniquement et physiquement par les démocrates, le résultat serait sans équivoque.

Avec la multiplication des preuves manifestes d’un coup monté impliquant les réseaux sociaux, des ingénieurs informatiques à l’étranger, les élus démocrates de haut rang, et bien sûr une foule de bénévoles chargés sur le terrain de collecter les bulletins de vote et de faire le dépouillement, les forces de la censure s’organisent pour passer à la vitesse supérieure. Prétexte : les « opinions dissidentes » portent atteinte à la « légitimité » du colportage journalistique officiel, que tous sont tenus de croire.

Le mercredi 9 décembre, la chaîne YouTube a annoncé qu’elle était en train de retirer des milliers de vidéos qui mettent en doute, sans fondement, la « victoire » électorale de Biden[5]L’opération réprimande de tout contenu susceptible de promouvoir la notion de « fraude généralisée » lors des dernières élections étasuniennes a donc commencé. La prétention d’une société où règne la « liberté d’expression » est donc désormais ouvertement congédiée. Sous le régime de la gouvernance mondiale covidisée et covidisante, faire taire la dissidence est désormais la nouvelle norme de ce que nous appelons encore, pour faire joli, « nos sociétés libres ».

Pour autant, malgré les efforts médiatiques habituels de détournement cognitif, signalons que les contre-efforts de la lutte sur le plan de la légalité constitutionnelle s’organisent et se consolident de plus en plus. L’État du Texas est désormais en train d’entreprendre une action en justice, au nom des États-Unis eux-mêmes, contre quatre des cinq États impliqués dans des activités attestées de fraude électorale à grande échelle.

Rappelons en outre que la Constitution américaine donne à la Cour suprême une compétence exclusive sur les actions intentées par les États contre d’autres États en cas de violation du droit et de fraude électorale corroborée. Les comportements illégaux mis en évidence ces dernières semaines en Pennsylvanie, en Géorgie, dans le Michigan et dans le Wisconsin justifient amplement les poursuites judiciaires désormais intentées par le Texas contre ces États[6].

Le rapt de l’élection présidentielle

Revenons maintenant sommairement sur quelques-unes des principales caractéristiques du rapt électoral du mois dernier, telles qu’elles ressortent clairement des litiges en cours dans les États concernés—l’Arizona, la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan, et le Wisconsin.

La « victoire » électorale de Joe Biden repose sur un processus de comptage frauduleux survenu au beau milieu de la nuit, ce que confirment des centaines d’affidavits ainsi que la résultante statistique des analyses numériques dans tous les États susmentionnés.

Les systèmes électoraux du Dominion Voting System ont été mis en place pour permettre la tricherie électorale à très grande échelle. Certaines clés USB volées et utilisées pour pirater les machines à voter ont dernièrement été récupérées. Elles vont permettre de faire la lumière sur un certain nombre d’anomalies inexplicables, telles que la détection de votes préchargés pour Biden avant le début des élections, d’après les dates indiquées sur les serveurs reliés en ligne au machines du Dominion— même si l’accès direct à ces machines s’avère toujours difficile en raison de leur statut prétendument « privé » (ce qui constitue bien sûr une atteinte des plus flagrantes à la transparence et au fair-play théorique de tout système électoral démocratique, dont le fonctionnement, par définition public, repose sur l’argent des contribuables). Les responsables du groupe Dominion opèrent donc à la fois en tant que juge et partie. La gestion digitale des votes leur appartient entièrement. Et ils sont encore les seuls à pouvoir examiner, après les élections, leur logiciel de « tabulation ».

La manipulation électronique est d’autant plus évidente que les algorithmes du Smartmatic utilisés par les machines du Dominion dans tous les États disputés ont calculé les votes au moyen de nombres fractionnaires décimalisés. La tabulation des votes n’a donc jamais eu lieu en tant que telle, car cela impliquerait à juste titre le comptage de nombres entiers. Le calcul algorithmique a remplacé la comptabilisation, pour augmenter ou diminuer les votes de tel ou tel candidat…

Outre l’altération de la chaîne de contrôle dans le traitement des votes par correspondance depuis déjà plusieurs mois et la tricherie algorithmique « dominionique » le soir des élections, des centaines de milliers de bulletins ont été illégalement déposés dans toutes les circonscriptions importantes de toutes les villes d’obédience démocrate. Des millions de votes frauduleux, électroniques ou autres, ont dès lors été comptés en faveur de Biden. Sans la mise en œuvre d’une telle opération de dépouillement et de décompte truqué sur le terrain, Trump aurait pu facilement récolter près de 100 millions de votes !

Le segment vidéo suivant, tiré de l’audience électorale qui s’est tenue la semaine dernière en Géorgie, n’est qu’un exemple parmi d’autres du type de fraude physique qui a eu lieu dans la nuit du 3 au 4 novembre dans d’innombrables circonscriptions américaines. Pendant deux heures, les tricheurs ont fait transiter des bulletins de vote illégaux, assurant un gain frauduleux de quelques 24 000 voix pour Biden, suffisamment pour faire pencher la Géorgie en sa faveur :

https://www.youtube.com/watch?v=keANzinHWUA [Audience sur l’intégrité des élections en Géorgie, jeudi 3 décembre 2020 | NTD]

Contre toute attente statistique justifiable, Biden a soudainement dépassé Trump dans tous les États clés de la course 2020 à la Maison Blanche. Au final, sa marge d’avance, par exemple dans l’État du Wisconsin aujourd’hui au centre d’un procès crucial devant la Cour suprême, ne peut statistiquement survenir qu’avec l’entremise de la mise à jour frauduleusement verticalisée de sa courbe de votes totaux aux premières heures du matin du 4 novembre.

Restons dans le Wisconsin pour illustrer visuellement, au moyen du graphique ci-dessous, ce que représente exactement un tel pic statistique injustifiable : la mise à jour du décompte des voixs au matin du 4 novembre a fait passer Biden, encore en retard à minuit de plus de 100 000 voix, en tête de la course. L’axe des abscisses (x) représente le temps (en heures) ; l’axe des ordonnées (y) celui de la valeur brute de votes (en millions) à telle heure donnée :

[On observe (en jaune sur le graphique) un décrochement brutal,
en marche d’escalier, le 4 novembre 2020 à 4h.
]

À 3 h 42 du matin le 4 novembre 2020, Trump était encore en tête, jusqu’à ce qu’une énorme décharge de votes « Biden » apparaisse sans explication, entraînant la mise à jour arithmétique survenue vers 4 h du matin, comme l’indique le graphique ci-dessus.   

On observe un phénomène identique dans tous les États disputés. Par exemple dans le Michigan où, à 6 h 31 du matin le 4 novembre 2020, 149 778 bulletins sont soudainement apparus, tous pour Biden…

Dans tous les États litigieux, le décompte a été interrompu pour couvrir la fraude électorale à l’échelle de centaines de milliers de bulletins de papier livrés au milieu de la nuit. Les « pics » de courbes statistiques donnant leur forme aux valeurs maximales officialisées en faveur de Biden se sont tous produits au cours de la même période d’environ quatre heures. En Pennsylvanie et en Géorgie, le décompte a duré plusieurs jours. Le décompte des nouveaux bulletins apportés par le « miracle » de l’opération de « mise à jour » nocturne dans le Wisconsin et le Michigan n’a quant à lui duré que quelques heures.

En l’état actuel des choses, le thriller américain Cinquante États de fraude n’implique qu’une poignée d’États litigieux. Ce qui est suffisant pour obtenir l’annulation des résultats frauduleux revendiqués par les bidenistes.

Il suffirait, par exemple, de légiférer sur le fait avéré qu’il y a plus de 500 000 morts sur les listes électorales des États en question et près de deux millions d’« électeurs fantômes ». Les listes électorales démocrates sont en effet truffées d’électeurs décédés, ayant déménagé, de mineurs, et même d’étrangers… 

Dans certains États, comme en Pennsylvanie, les tribunaux et diverses véroles politicardes d’obédience démocrate et républicaine ont procédé à divers changements des systèmes électoraux en contournant les Assemblées législatives. Il s’agit d’une infraction. Les Assemblées législatives sont seules habilitées par la Constitution des États-Unis à intervenir dans de tels amendements des réglements en vigueur.

En Pennsylvanie toujours, le secrétaire d’État (un démocrate) et la Cour suprême ont « aboli », là aussi de manière inconstitutionnelle, les exigences de vérification des signatures.

Les démocrates se sont battus mordicus en 2020 pour amoindrir autant que possible, sous couvert de « pandémie », les procédures de vérification légale d’identité des électeurs.

On a par ailleurs expliqué à de nombreux électeurs trumpiens qu’ils avaient « déjà voté » par courrier, à leur insu… Quelques 250 000 électeurs du Wisconsin ont été classés comme « gravement handicapés » pour éviter de procéder à quelque forme de vérification postale des signatures. Des milliers de bulletins portant le nom de « Biden » ont été comptés plusieurs fois… Des centaines de milliers de bulletins de vote par correspondance sont arrivés par vagues et sans enveloppes… Dans le Wisconsin encore, quelques 70 000 bulletins de vote notés « absents » ont été générés comme par magie (sans correspondre à la moindre requête d’abstention des titulaires inscrits sur les listes électorales de cet État). Dans le Nevada, les machines à voter ont été réglées de manière à ce qu’il ne soit pas nécessaire de faire correspondre signatures et électeurs.

L’équipe juridique de Trump a tenu une audience des plus explosives devant la législature républicaine du ministère de la Justice de l’Arizona au cours de laquelle une douzaine de témoins et de spécialistes en cybersécurité ont rendu compte des différentes formes d’activités digitales frauduleuses identifiées dans différentes circonscriptions de l’Arizona.

Les machines à voter étaient connectées via internet et gérées depuis l’étranger par des employés du Dominion, sans aucune chaîne de contrôle, pour modifier en temps réel le « comptage » des scrutins électroniques. Cette supercherie digitale a notamment été financée par le milliardaire juif américain Mark Zuckerberg, cofondateur de Fakebook.

Plus de 400 000 bulletins illégaux ont été convoyés dans les comtés arizoniens de Maricopa (le plus vaste de l’Arizona) et de Pima. En outre, quelques 1,9 millions de votes en Arizona ont été comptabilisés, sans surveillance ni vérification de signature des électeurs. Des témoins ont certifié avoir assisté aux allées et venues de nombreux camions chargés de cartons de bulletins pendant une bonne partie de la nuit, jusqu’aux premières lueurs du jour. À l’heure d’aujourd’hui, le différentiel entre Trump et Biden en Arizona, à l’avantage de ce dernier, est de quelques 10 000 voix…

Nous pourrions continuer, mais cela n’est pas nécessaire ici. Le film Cinquante États de fraude continue en direct, et la tricherie va devenir encore plus criante aux yeux du monde. Faisons quant à nous, pour finir, le point sur les tricheurs impliqués. Bas les masques !

Remarques conclusives : les tricheurs sont démasqués

Voici, pour le moment, la somme des forces collusoires impliquées dans l’élaboration du résultat officiel, , des élections présidentielles américaines de 2020 :

Les concepteurs et auteurs humains de la SRAS-CoV-2 (dans différents laboratoires de biologie moléculaire mondialistes, pour finir à Wuhan, l’ « épicentre » officiel)

+ COVID-19 lui-même, résultante épidémique de SRAS-CoV-2 (-> donnant lieu à la gigantesque logistique de la tricherie électorale « à l’ancienne » moyennant la fabrication, la falsification et le convoyage de millions de bulletins de vote par correspondance)

+ le Parti communiste chinois (PCC) et la famille Biden[7]

+ Google, Facebook, Twitter

+ l’argent privé des principaux milliardaires contrôlant les médias sociaux, Mark Zuckerberg et George Soros (NB : Zuckerberg et Soros ont également injecté leurs ressources privées dans le système judiciaire, ce qui constitue bien entendu un crime)

+ les démocrates du totalitarisme libéraliste, de l’identitarisme ethnique, de l’émasculation des hommes, et de la grande finance internationaliste

+ les « républicains de nom uniquement » (ou « RINOS »)

+ le vote « dominionisé » (phase électronique de l’opération « grande triche 2020 »), en gardant à l’esprit le lien qui existe entre le développement de programmes de modification de scrutins alternatifs, tels que Hammer & Scorecard, et la CIA (la CIA les a en effet exploités pour interférer avec certaines élections à l’étranger[8])

+ …

En l’état actuel des choses, les politiciens et bureaucrates professionnels du Parti républicain se contentent des résultats officiels issus du rapt des élections et s’inclinent honteusement devant les groupes de pression organisés et parrainés par l’ultra-gauche globaliste. Ses principales voix « conservatrices », complices du statu quo washingtonien, veulent en effet revenir au Parti des Bush, John McCain, Mit Romney et Goldman Sachs. Ils forment un Parti en mal de « business as usual… » 

De leur côté, les démocrates sont déterminés à dénaturer autant qu’il leur sera possible les règles en place, voire à réécrire la Constitution des États-Unis—le but avoué étant de s’assurer que les républicains n’aient plus jamais la possibilité électorale de reprendre le contrôle de l’une ou l’autre des branches du gouvernement étasunien.

Tels sont les enjeux à la fois domestiques et méta-américains de cette nouvelle guerre civile outre-Atlantique. La grande opération « étatico-covidique » universelle de restrictions des libertés ne pouvait espérer se prolonger aussi drastiquement que prévu par ses architectes mondialistes, avec la reconduction de Donald Trump pour un second mandat présidentiel. Démocrates et « républicains de nom uniquement » devaient donc l’arrêter à tout prix, ce qui ne pouvait s’accomplir sans la mise en place (préparée de longue date) de l’opération « grande triche 2020 ».

Mais cette bataille ne se limite pas à la sauvegarde de la République américaine[9], aussi imparfaits que soient ses principes fondateurs (déistes-maçonniques). Si la raison et la désobéissance civile ne s’unissent pas sans plus tarder pour résister aux fraudes covidiennes[10] et électorales, les confinements, les masques et la censure à tire-larigot deviendront la norme universelle en vigueur des « démocraties » contemporaines.

Trump est le vainqueur légitime indéniable de la derrière élection présidentielle étasunienne en date. Il incombe désormais aux législateurs républicains des États litigieux du Michigan, du Wisconsin et de la Géorgie d’utiliser pleinement leur pouvoir constitutionnel (cela vaut également en Pennsylvanie et dans l’Arizona), où la résistance des « républicains de nom uniquement » continue malheureusement à contrecarrer les efforts de justice déployés aussi bien par les avocats de l’équipe juridique de Trump que par des millions d’électeurs américains, résidents de ces États). Une session extraordinaire des Assemblés législatives des dits États s’impose donc désormais, et il va falloir les convoquer sans plus tarder, en vue de  porter l’affaire devant la Cour suprême des États-Unis, dernière étape.  

Pour finir, revenons brièvement sur le spectre du virus des élites globalistes malthusiennes élaboré en laboratoire, avant d’être imputé aux Chinois. Comme continuent de le démontrer les modèles des CDC, SRAS-CoV-2 n’est pas plus mortel que d’autres maladies respiratoires saisonnières. Une analyse de John Hopkins a été récemment publiée en ligne (avant d’être immédiatement censurée) montrant que la COVID-19 n’a aucun effet significatif sur le nombre total de décès aux États-Unis[11]. En ce moment, en pleine période pré-hivernale de retour saisonnier de la grippe, les cas et les décès naturellement imputables à celle-ci sont recensés comme des cas et des décès covidiques, afin bien sûr de faire de nouveau grimper les statistiques et de maintenir ainsi les populations dans la peur et sous contrôle inexorable.

En revanche le covidisme s’avère extrêmement dangereux, capable, en l’espace de tout juste quelques semaines, de soumettre une civilisation tout entière au despotisme d’un nouvel ordre mondial sanitaire. L’intelligence en prend un coup terrible, au point de céder à toutes sortes de folies, de mesures arbitraires (port obligatoire de masque et distanciation sociale sans justification scientifique), de répression et de représailles policières, d’irrationnalités et de peurs diverses et variées… Rappelons par ailleurs que la transmission de la « COVID-19 » se fait principalement par la diffusion répétée de fausses nouvelles, phénomène aujourd’hui omniprésent sous l’empire numérique du nouvel ordre mondial dés-informationnel.

Les gens qui réfléchissent un tant soit peu savent très bien qu’il n’y a donc aucune légitimité (scientifique ou autre) à toutes ces mesures qui constituent le phénomène que nous appelons le covidisme ». La distanciation sociale, les masques, les tests, les restrictions imposées aux églises, les confinements massifs, le développement de vaccins… Toute cette mascarade n’est pas un seul instant destinée à la protection des peuples, que les élites malthusiennes « écolos » ne cherchent en effet qu’à subjuguer, à soumettre et à réduire autant que possible. Il s’agit de nous conditionner à accepter, « pour notre bien », davantage de contrôle gouvernemental, c’est-à-dire davantage de régulations arbitraires—avec, comme étape ultime du mensonge « pandémique » universel, la vaccination (obligatoire) pour tous…

Projet cher aux élites financières et technocratiques, la vaccination obligatoire de masse est en cours de réalisation depuis des lustres (bien avant la conception de Bill Gates et consorts dans le sein maternel). Dans le cadre de la fausse pandémie covidique, il va de toute façon s’agir de faux « vaccins » à ARN et munis de nanomatériaux manufacturés, tels qu’ils sont aujourd’hui développés par différentes sociétés pharmaceutiques et de biotechnologies[12]. Derrière des façades humanitaires d’apparence toujours salutaires, les véritables intentions de la « bonne nouvelle » vaccinale se résument à deux grands objectifs corrélatifs de fond : la réduction de la population mondiale et son contrôle globalisé.

Ce qui est d’autant plus clairement luciférien derrière le grand mensonge du « vaccin salvateur », c’est de promouvoir un « antidote » anti-covidique dont la composition contient en outre des dérivés de lignées cellulaires de fœtus mâles avortés—merci à la Chine abortive-génocidaire (un leader mondial en la matière) ; mais plus encore, comme toujours, dû aux globalistes malthusiens les plus répugnants (basés en France, aux États-Unis et ailleurs).

En tant qu’entités organisatrices de révolutions colorées, les États-Unis washingtoniens et la Chine du PCC ne peuvent se concevoir sans le concours des banques centrales juives (Rothschild & Co.), qui en sont donc les véritables propriétaires…

L’empire de la fausseté systématique joue aujourd’hui sur tous les terrains. Le seul remède à la folie totalitaire qu’il incite chez les gouvernants comme chez les gouvernés, est de continuer à se battre résolument avec les armes du courage (intellectuel et moral) et de la saine rationalité, pour présenter des preuves raisonnées et intelligentes, à temps et à contretemps[13].   

« Avouer qu’on s’était trompé, » comme le disait si bien Gaston Bachelard, serait certes ici une marque d’intelligence… Mais, sans la raison illuminée par la syndérèse[14], l’intelligence fait ici défaut, comme le dictent ces temps de suffisance aveugle, de désorientation morale, et de bêtise journalistique profondément inoculée en l’homme contemporain (par ailleurs « covidisé » à souhait). Les Pères du désert disaient quant à eux que « le cœur est cette tombe où nos pensées et notre intellect sont enterrés »[15]. Le Christ ressuscité y descend, comme il est descendu aux Enfers, pour libérer les facultés de l’âme, en particulier notre intellect, « de sa prison sans lumière ». C’est Lui qui, soulevant la lourde pierre du faux totalitaire qui opprime l’âme spirituellement nécrosée, ouvre le tombeau de l’ignorance et de la mystification théâtrale mondaine.  

En dépit de l’avertissement d’Alan Turing selon lequel « si une machine est censée être infaillible, elle ne peut pas en même temps être intelligente », nous voici socialement conditionnés pour nous comporter comme des machines (mais sans être infaillibles à quelque égard que ce soit), par ceux qui programment notre comportement. Si, au contraire, nous écoutions la voix du Christ pour que l’intelligence syndérétique soit restaurée en nous, sous serions du même coup libérés du pouvoir qu’exerce sur nous le piratage intellectuel induit en nous par la pensée dominante. Non, nous ne sommes pas des machines programmables entre les mains de nos faux maîtres à penser !

Notes

[1] https://www.battleswarmblog.com/?p=46562
https://hereistheevidence.com/.
Jour après jour, on découvre un nombre croissant d’illégalités de vote, d’exemples d’activités frauduleuses d’une ampleur telle qu’elles ne peuvent être simplement niées, sauf par ceux qui le font et choisiront délibérément de continuer à nier la réalité des faits.

[2] Voir Marchandiser la vie humaine (nouvelle édition revue et augmentée), un ouvrage collectif séminal et approfondi « parcourant les connexions entre business de la stérilité, trafic de fœtus et d’organes, réseaux mafieux pour recruter des “femmes gisements” dans le monde entier… »

[3] Les Petites Sœurs des Pauvres ont remporté une victoire importante à la Cour suprême des États-Unis au début de l’année sur la prestation du programme contraceptif forcé de l’Obamacare : https://pregnancyhelpnews.com/little-sisters-of-the-poor-get-big-supreme-court-victory-in-obamacare-contraception-mandate-case.

[4] Pour mieux saisir le sens et les implications de ce « quid pro quo » à l’américaine, il sera utile au lecteur de suivre au lien suivant l’analyse comme de coutume avisée d’Israël Shamir, Trump Woos Jews, Jews Impeach Trump, article traduit par Maria Poumier sous le titre de Le quiproquo : https://plumenclume.org/blog/515-le-quiproquo.

[5] https://blog.youtube/news-and-events/supporting-the-2020-us-election/.

[6] Voir ici l’acte de plainte officiel soumis le 9 décembre 2020 à la Cour suprême : State of Texas v. Commonwealth of Pennsylvania, State of Georgia, State of Michigan, and State of Wisconsin.

[7] https://nypost.com/2020/10/15/emails-reveal-how-hunter-biden-tried-to-cash-in-big-with-chinese-firm/.

[8] Le lieutenant général, retraité de l’armée de l’air américaine, Thomas McInerny, explique encore que ce programme a été mis en place par l’administration Obama (dont Biden lui-même alors vice-président) pour modifier les votes lors des élections américaines de 2012. Il a de même été utilisé à l’encontre de Bernie Sanders en 2016, pour l’empêcher de vaincre Hillary dans le cadre des primaires démocrates. Il indique par ailleurs que l’administration Obama a encore tenté de l’utiliser lors des élections présidentielles de 2016, mais sans succès cette fois, ce qui a bien sûr donné la victoire surprise de Trump (voir l’interview complète ici).

[9] Pour le lecteur qui souhaiterait approfondir sa compréhension des tenants et des aboutissants de la situation étasunienne, surtout en ce qui concerne l’architecture multidimensionnelle et les résultats officiels des élections de 2020, nous recommandons ici la lecture de la Lettre du Général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis, le 14 novembre dernier, publiée sur Réseau International.

[10] Nous faisons varier à dessein notre terminologie, ici l’adjectif « covidiennes » au lieu de notre « covidiques » plus usité, pour être à la fois créatif et alternatif dans l’usage de nos concepts néologisés.

[11] https://www.jhunewsletter.com/article/2020/11/a-closer-look-at-u-s-deaths-due-to-covid-19.

[12] Principalement Pfizer et Moderna.

[13] Selon l’exhortation de saint Paul à Timothée (2 Tim 4, 2) de « dénoncer le mal, faire des reproches, encourager, mais avec une grande patience et le souci d’instruire, à temps et à contretemps. »

[14] Du grec συνείδησις -> συν-είδησις, qui au sens littéral connote bien l’idée d’union, « con- [συν- = avec] -science [-είδησις, c’est-à-dire ce qui est « raconté » pour être connu] ». En ce sens, la syndérèse est cette conscience morale, ou science du bien reconnu (par l’intelligence) et choisi (par la volonté) comme tel. Les grands auteurs scolastiques, tels que saint Thomas d’Aquin, décriront plus tard la syndérèse comme scintilla conscientiae (« l’étincelle de la conscience »), car c’est aussi une lumière brillant dans les ténèbres de la conscience de l’homme déchu (c’est-à-dire marqué par les conséquences du péché originel).

[15] Dans Les homélies spirituelles de saint Macaire. Saint Macaire le Grand, IVe siècle, disciple de saint Antoine et abbé du monastère de Scété en Égypte.

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Un conseil secret gouverne la France

[Source : Réseau International]

par Jean-Luc Mélanchon.

Dorénavant, les Conseils des ministres sont précédés d’un Conseil de défense.

Nous sommes nombreux à nous demander pourquoi une invention pareille a fini par se substituer à pratiquement tous les organes constitutionnels de prise des décisions.




Élections aux USA – Lettre du Général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis

[Source : Réseau International]

par Dominique Delawarde.

Mes chers amis,

Nombre d’entre vous m’ont demandé quelle était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l’élection présidentielle américaine. Ma double casquette d’expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m’a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :

1 – Y-a-t-il eu fraude électorale et l’hypothèse d’un coup d’état visant à inverser le résultat  de l’élection est -elle crédible ?

2 – Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.

Je vais m’efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.


Conflits d’intérêt de l’auteur ?

Il est important pour chacun d’entre vous de savoir, avant d’entamer la lecture de ma lettre, si son auteur a un quelconque conflit d’intérêt pouvant orienter son propos sur le sujet traité.

Ma réponse est non. J’ai bien vécu aux USA, dans le Kansas, sous administration démocrate (Clinton) entre 1995 et 1998,  époque dont je garde un excellent souvenir. J’ai effectué de multiples autres séjours aux USA, avant et après cet épisode professionnel, pour rendre visite à ma nombreuse famille proche qui compte 3 de mes sœurs et 48 de leurs descendants directs, tous  citoyens américains et résidant dans divers états gouvernés tant par les démocrates que par les républicains. J’ai visité 46 des 50 états de l’Union. La « Meritorius Service Medal » US m’a été remise à l’été 1998 dans un pays sous leadership démocrate. Je ne suis membre d’aucun des principaux partis politiques français (LR, PS, RN, Insoumis, LREM-Modem, EELV).

Si ma sévérité s’exerce parfois avec véhémence sur les «gouvernances» américaines, démocrates ou républicaines, elle ne s’adresse jamais au peuple américain qui, comme beaucoup d’autres peuples, est plutôt généreux et sincère, mais naïf et manipulé.

Je suis devenu très réservé, voire hostile à l’OTAN, ayant constaté ses dérives depuis 1990, dans le cadre de mes fonctions :

Mon expérience du renseignement m’a conduit à n’accorder qu’une crédibilité de plus en plus faible à l’énorme majorité des agences de presse et des médias mainstream, occidentaux en particulier.

Je n’apprécie pas l’action et/ou « l’influence puissante et nocive des lobbies » transnationaux sur la marche du monde, que ces lobbies soient financiers, médiatiques, communautaires, ou de toute autre nature.

L’auteur ayant mis les choses au clair, passons au vif du sujet.


Contexte pré-electoral de la présidentielle américaine

Depuis l’échec de Hillary Clinton à l’élection de 2016, les USA se sont profondément divisés en 2 camps irréconciliables, qui se détestent et sont désormais engagés dans un combat « à mort ». Contrairement à ce que les gens pensent en France ou en Europe, ces deux camps ne sont pas les camps républicain et démocrate qui ne constituent que les parties émergées de l’iceberg. Ces deux camps sont les tenants de deux conceptions du monde opposées : les « souverainistes » et les « mondialistes ». On retrouve les représentants des « mondialistes » majoritairement chez les démocrates, mais on en trouve aussi, en  moindre proportion, chez les républicains.

A la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, le 24 septembre 2019, Donald Trump a clairement choisi son camp, exprimé sa vision du monde et déclaré la guerre aux mondialistes en déclarant : « Comme mon pays bien-aimé, toutes les nations présentes dans cette enceinte  ont une histoire, une culture et un héritage qu’elles chérissent et qui méritent d’être défendus et célébrés, et qui nous donnent une force et un potentiel particulier. Le monde libre doit embrasser ses fondations « nationales ». Il ne doit pas chercher à en faire table rase et à les remplacer… »

Il a ajouté quelques secondes après : « Si vous voulez la liberté, soyez fiers de votre pays, si vous voulez la démocratie, accrochez vous à votre souveraineté, si vous voulez la paix, aimez votre nation. Les chefs d’état avisés font toujours passer l’intérêt de leur propre pays en premier. L’avenir n’appartient pas aux mondialistes, l’avenir appartient aux patriotes. L’avenir appartient aux nations indépendantes et souveraines qui protègent leurs citoyens, respectent leurs voisins et acceptent les différences qui rendent chaque pays spécial et unique ».

Chacun peut comprendre qu’un tel discours puisse susciter l’adhésion d’une large part de la population américaine : plus de 73 millions de votes « Trump » comptabilisés en novembre 2020 soit 10 millions de plus qu’en 2016 où il avait obtenu moins de 63 millions de suffrages)….. Pour tous ceux qui croyaient que Trump était en perte de vitesse, ce +15% est une immense surprise, comme en 2016.

Le camp des mondialistes ne peut évidemment pas accepter un tel « discours-programme ». Il va donc faire tout ce qui est en son pouvoir pour barrer la route de la ré-élection au président sortant. Majoritaire dans « l’état profond US » (deep state), contrôlant la finance et les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazone, Microsoft et Tweeter), contrôlant aussi la quasi-totalité des médias mainstream et des agences de presse anglo-saxonnes et européennes, le camp des mondialistes va coordonner l’action de ses « bras armés » pour tenter de sortir Donald Trump de la présidence des USA.

Le président Trump, de son côté, n’est ni stupide, ni seul. Il dispose d’un très fort soutien populaire, d’une majorité au Sénat, à la Cour Suprême et 27 des 50 gouverneurs des États de l’Union sont républicains. A la chambre des représentants, il vient de réduire l’écart qui séparait son camp républicain du camp démocrate de 12 sièges (pour l’instant…) Il a mis en place une administration fédérale qui lui est majoritairement fidèle (pas totalement …). Il a changé une majorité des juges fédéraux. Il a résisté victorieusement à deux tentatives de l’état profond et des démocrates de le destituer (L’affaire du Russiagate montée de toute pièce dès 2016 et qui a fait flop ….. parce qu’elle était « bidon » et que les enquêteurs, les juges et l’opinion publique US ont fini par s’en apercevoir, et la tentative de destitution par la Chambre des représentants qui a tourné court au Sénat en 2019…..

Par ailleurs Trump est lucide lorsqu’il dit dans son dernier discours électoral du 2 novembre 2020, en Caroline du Nord : « S’il y a une chose que j’ai faite au cours de mon mandat, c’est de mettre en évidence la malhonnêteté des médias ». Les médias mainstream US ont toujours suscité et soutenu les actions anti-Trump.

C’est donc dans ce contexte de tensions extrêmes et au terme d’une campagne électorale au cours de laquelle tous les coups les plus tordus ont été observés, de part et d’autre, que survient le scrutin du 3 novembre 2020.

Les médias et les instituts de sondage américains ont-ils été honnêtes, lors de la campagne électorale ou ont-ils cherché à manipuler l’opinion ?

Les médias mainstream US, tout comme les médias européens d’ailleurs, ne brillent pas par leur honnêteté, leur pluralité et leur impartialité. Contrôlés par une poignée de milliardaires, ces médias défendent les causes et les intérêts qui sont ceux de leurs « patrons », membres actifs ou simples collaborateurs de l’état profond. Tous les moyens sont bons, y compris, les mensonges les plus éhontés. On met en évidence tout ce qui porte préjudice à l’adversaire (Trump), on occulte tout ce qui pourrait porter préjudice au camp que l’on défend (Biden). Les journalistes ne peuvent faire carrière que s’ils se soumettent et/ou s’autocensurent. On se trouve aujourd’hui dans une situation de « guerre de l’information » électorale :

Le commun des mortels a beaucoup de difficultés à s’informer correctement.

Depuis 4 ans déjà, ces médias US, parfaitement relayés par les médias « frères » européens n’ont eu de cesse, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, de noircir l’image du président Trump dans l’opinion publique US, occidentale et mondiale. Dans les mois précédant l’élection, ils se sont appuyés sur des sondages largement biaisés pour faire croire au peuple américain et au monde, comme en 2016, que l’élection était « pliée » et qu’une grande vague démocrate allait submerger le pays. Pour ne donner que l’exemple de la Floride, une forte majorité des sondages dans les 4 jours précédant le scrutin donnait Biden gagnant de 1 à 5 points. C’est Trump qui l’a emporté de 3,4 points. Les écarts constatés entre ces derniers sondages et le résultat du scrutin sont tels qu’ils ne relevaient pas de la marge d’erreur, mais du mensonge manipulateur, intéressé, et … éhonté. Ces sondages et articles mensongers ont été appliqués à la quasi totalité des états de l’Union. Les scores de Trump et du parti républicain, au jour de l’élection, ont révélé l’ampleur de ces « mensonges-manipulateurs » médiatiques et sondagiers pré-électoraux.

L’Hypothèse d’une fraude importante appliquée à quelques états clefs le jour du scrutin est-elle crédible ?

Mon intime conviction me dit que oui car il y a, à mes yeux, trop d’indices concordants pour permettre à la meute « médiatique » occidentale, dont nous savons qui la contrôle, de me convaincre du contraire. Les présidents chinois et russes ne s’y sont pas trompés en attendant la proclamation du résultats officiels, qui n’interviendra que le 8 décembre, avant de féliciter le vainqueur, lorsqu’il sera vraiment connu.

Voici les éléments qui me font douter de l’honnêteté du scrutin.

1 – Il y a eu cette précipitation curieuse, voire suspecte de la meute médiatique US, suivie par la meute « sœur » de l’UE dont nous savons qui la contrôle, à vouloir imposer un vainqueur alors que les résultats officiels de 5 ou 6 états ne sont pas encore connus. Nous savons tous que ces médias US sont « partisans » et qu’ils sont les plus farouches adversaires de Trump. Nous connaissons leur habitude récurrente à vouloir critiquer, contester, modifier, ne pas reconnaître, remettre en cause tous les résultats électoraux qui ne leur conviennent pas sur la planète (Syrie 2014, Venezuela 2018, Bolivie 2019, Biélorussie 2020 pour n’en citer que quatre). Nous connaissons aussi leur propension à vouloir promouvoir, voire imposer le candidat qui leur convient même lorsque celui ci est très minoritaire dans le pays (France 2017, Bolivie 2019, Biélorussie 2020, Navalny qui ne représente strictement rien en Russie, mais qui nous est « vendu », par nos médias, comme le challenger numéro un de Poutine.)

2 – Il y a ces actions très inhabituelles de Google, Facebook, You tube, Twitter censurant purement et simplement le Président en exercice des États-Unis, en agissant de concert et simultanément. Cette collusion évidente de ces grandes sociétés de service, dont nous savons qui les contrôle, n’est tout simplement pas « naturelle », ni démocratique ….

3 – Pour la première fois dans l’histoire des USA, le vote par correspondance a été massivement utilisé puisque plus de 42% des électeurs qui se sont exprimés l’ont fait par correspondance (plus de 64 millions). Il est mondialement reconnu que ce type de vote favorise la fraude électorale.

Le vote par correspondance a d’ailleurs été supprimé en France en 1975 parce qu’il était jugé propice à la fraude électorale.

Il est, soit dit en passant, étrange que des députés de la majorité LREM cherchent aujourd’hui à rétablir, en France, le vote par correspondance, en profitant de l’opportunité « Covid ».

Auraient-ils l’intention, eux aussi, de rouvrir plus largement les possibilités de fraude en France et de faire bourrer les urnes de leur circonscription pour se faire réélire au prochain scrutin ?…

Prétendre aujourd’hui qu’il n’y a pas eu la moindre fraude électorale aux USA avec 64 millions de votes par correspondance n’est tout simplement pas crédible.

Sans reprendre à mon compte l’ensemble des fraudes dénoncées par les républicains,  et énumérées dans cet article :

je retiendrai, tout de même, un seul exemple, reconnu par les deux partis, démocrate et républicain, et qui est donc ni contestable, ni contesté.

Selon son propre aveu au New York Times, Abigail Bowen, la greffière des élections du comté de Shiawassee dans le Michigan a ajouté, par erreur selon elle, un zéro en trop au décompte des voix de Joe Biden. Au lieu d’entrer 15 371 voix en faveur du démocrate, son équipe a ajouté 150 371. La touche 0 n’étant pas, sur un clavier d’ordinateur, voisine de la touche 5 ou de la touche 3, plaider l’erreur involontaire paraît bien étrange …. Elle ajoute avoir été notifiée de l’erreur 20 minutes plus tard et l’avoir corrigée ensuite. (Heureusement que quelqu’un s’est aperçu de cette erreur dont tout semble indiquer qu’elle était volontaire…..)

C’est très bien que cette erreur ait été rectifiée, mais cela pose tout de même questions :

Combien « d’erreurs » de 0 de ce genre ont-elles été commises, volontairement ou non ? …..

Combien « d’erreurs » de ce genre ont elles été repérées, notifiées et corrigées ? …..

Combien de ces « erreurs » ont-elles été validées dans le décompte final ?

Un candidat, démocrate ou républicain, est-il fondé ou non à demander un recomptage lorsque l’écart dans le résultat est dans la marge des 1% dans un des États de l’Union ? Cela ne se fait-il pas dans toutes les démocraties dignes de ce nom ? Est ce aux médias de proclamer un vainqueur sans disposer de résultats validés ?

J’observe que, dans cette marge de 1%, se trouvent les résultats de 5 états qualifiés de swing states : L’Arizona, la Georgie, le Wisconsin, la Pensylvanie et le Nevada.

Dans ces 5 états, Trump était en tête mais Biden aurait repris l’avantage de quelques milliers de voix dans tous ces états grâce à l’arrivée opportune, miraculeuse, massive et soudaine, en fin de dépouillement du scrutin, de votes par correspondance qui lui auraient été très, très, très favorables.

Vous l’aurez compris le vote par correspondance est, pour moi, la porte ouverte à la fraude. Lorsque ce vote par correspondance est massif, la fraude peut être importante et largement suffisante pour inverser un résultat dans la marge des 1%. Il est infiniment peu probable qu’il n’y ait pas eu de fraudes. Je me garderai bien de dire à qui cette fraude a profité et je ne suis pas sûr qu’on puisse en avoir un jour toutes les preuves. Je dis simplement que les médias mainstream « bisounours » US et européens qui aimeraient refuser à Trump le droit aux recomptages, aux enquêtes et aux vérifications mais qui, lorsqu’il s’agit d’autres pays, sont très regardants sur les comptages, et crient facilement « à la fraude électorale » ne se grandissent pas. Nous savions que la France et ses journalistes qui se moquent du perdant présumé, parce qu’il s’appelle Trump, donnaient l’image d’une « médiocre’atie », mais doit-elle devenir aussi une média’cratie qui tente de nous imposer nos Présidents et tout ce qu’il faut penser, sur tous les sujets ?


Abordons maintenant le deuxième objet de ma lettre.

Si le « mondialiste » Biden devait être élu le 8 décembre et intronisé le 20 janvier 2021 quelle évolution peut-on en attendre pour la planète, l’Europe et la France ?

Biden est un homme âgé, dont chacun sait qu’il n’a plus toute sa tête (Il sera dans sa 79 ème année le 20 janvier prochain). Pour cette seule raison, s’il devait être élu, il serait sous influence et ne prendrait ses décisions que sur les conseils et  le « contrôle étroit » de son entourage proche, émanation du « Deep State » et composé de « mondialistes » purs et durs. C’est d’ailleurs cet entourage qui l’aura aidé à l’emporter,  c’est cet entourage qui gouvernerait, en fait, les USA.

Parce qu’il est d’obédience « néoconservatrice », cet entourage est résolument pro-Israël et pour le maintien d’une hégémonie absolue des USA sur la planète. L’étude approfondie de cet entourage (Biographies, ascendances, réseaux et communauté d’appartenance) serait très révélateur mais, hélas, peu surprenant. Nous avons les mêmes chez nous. Il faudrait donc s’attendre à une multiplication des ingérences agressives US aux Proche et Moyen-Orients (Liban, Syrie, Irak, Iran), au profit d’Israël bien sûr, mais aussi aux frontières de la Russie, en Mer de Chine et en Amérique du Sud. Cette nouvelle équipe de gouvernement, bras armé du « Deep State », créera les prétextes s’ils n’existent pas et instrumentalisera la nébuleuse terroriste, comme elle l’a toujours fait dans le passé, pour l’aider à justifier ses ingérences.

Trump a réussi à réduire graduellement et considérablement les bombardements US sur la planète (47 000 bombes en 2017, 16 000 en 2018, 12 000 en 2019 et 928 en janvier + février 2020 (dernières données connues).

Il a rapatrié dans son pays nombre de ses soldats déployés, notamment aux Proche et Moyen-Orients. Sous son premier mandat, la coalition occidentale a tué beaucoup moins de monde que sous les mandats de son prédécesseur. Si une équipe mondialiste s’empare de la maison blanche,  des tendances  inverses pourraient se remettre en place dès le printemps 2021….et le sang se remettre à couler ….. L’OTAN n’a toujours pas compris qu’elle devrait et aurait intérêt à mettre un terme à ses dérives.

La mauvaise nouvelle est qu’une administration Biden chercherait aussi à impliquer l’OTAN, le Royaume Uni, la France et l’Union Européenne dans tous les coups tordus que ses stratèges néoconservateurs pourront imaginer.

La mauvaise nouvelle pour la France est que sa dépendance économique (dette et CAC40) et la servilité grandissante à l’égard des USA de ses élites, formées pour ça, ne lui permettront pas de refuser toutes les invitations US à se joindre à ses coalitions de circonstance pour des causes douteuses.

La bonne nouvelle tient dans le fait que, de part et d’autre de l’Atlantique, les peuples commencent à ouvrir les yeux. Que ça plaise ou non à nos médias, à nos politiques et à notre opinion publique manipulée, le « souverainiste » Trump a obtenu 15% de voix de plus qu’en 2016 (73 millions). Ses partisans tiennent la Cour Suprême, le Sénat, une majorité d’États et s’approchent de la parité à la Chambre des représentants. Ses partisans tiennent aussi les campagnes états-uniennes. Les démocrates ne tiennent vraiment que les grandes villes…

carte du vote 2020 (vote Trump en rouge), (vote Biden en bleu).

Il ne sera donc pas simple de gouverner les USA et de faire n’importe quoi dans ces conditions d’autant que l’économie US est en berne et la dette  abyssal

Il ne sera pas simple non plus de gouverner une UE de l’Ouest en faillite, avec des populations au bord de la révolte, des PIB en recul et des budgets de défense qui seront, qu’on le veuille ou non, sinistrés.

Dans ces conditions, la sagesse devrait consister à s’occuper correctement de ses affaires avant de vouloir jouer les shérifs sur la planète. Elle devrait aussi consister à ne pas vouloir s’ingérer partout dans les affaires d’états souverains sous le prétexte fallacieux de la lutte contre un terrorisme que nous avons largement contribué à créer et à entretenir par une politique étrangère calamiteuse (Libye, Syrie, Irak, Yemen, Iran, Russie, Biélorussie, Venezuela, Brésil, Bolivie entre autres) et par des prises de position officielles irresponsables « perçues » comme insultantes par des dizaines de pays sur la planète (caricature).

Tôt ou tard, une coalition occidentale gouvernée par des mondialistes agressifs, se prendra un grand coup sur le museau, s’étonnera, redescendra de son piédestal, et fera moins la fière. Ses populations multiplieront les marches blanches, les cérémonies de funérailles, les manifestations bruyantes et ostentatoires contre un ennemi qu’on aura provoqué. Elles compteront et pleureront leurs morts. Il suffit d’observer la brillante campagne conduite par les gouvernances des pays membres de cette coalition dans « la guerre contre le coronavirus », pour pressentir que nous ne gagnerons pas non plus la prochaine…

Dominique Delawarde