Coronavirus — En Autriche les policiers marchent contre la dictature sanitaire

[Source : mai68.org via Réseau International]

En Autriche (Vienne), une partie de la police enlève ses casques et marche avec les citoyens contre la fermeture et la dictature de la santé.

https://twitter.com/silvano_trotta/status/1355937503069556736?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1355937503069556736%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Freseauinternational.net%2Fen-autriche-les-policiers-marchent-contre-la-dictature-sanitaire%2F



Le plan de destruction derrière le programme de Biden concernant la Russie

[Source : Réseau International]

par F. William Engdahl.

Dès le premier jour, la nouvelle administration Biden a clairement fait savoir qu’elle adopterait une politique hostile et agressive contre la Fédération de Russie de Vladimir Poutine. La politique qui sous-tend cette position n’a rien à voir avec les actes répréhensibles que la Russie de Poutine pourrait ou non avoir commis contre l’Occident. Elle n’a rien à voir avec les allégations absurdes selon lesquelles Poutine aurait fait empoisonner le dissident pro-américain Alexei Navalny avec l’agent neurotoxique ultra-mortel Novichok. Cela a à voir avec un programme bien plus profond des puissances mondialistes. C’est ce programme qui est mis en avant aujourd’hui.

Les choix du cabinet de Joe Biden sont très révélateurs. Ses principaux choix en matière de politique étrangère – Tony Blinken au poste de secrétaire d’État et Victoria Nuland au poste de sous-secrétaire d’État aux Affaires politiques ; Bill Burns à la tête de la CIA ; Jake Sullivan au poste de conseiller à la Sécurité nationale ; Avril Haines au poste de directeur du Renseignement national – sont tous issus de l’administration Obama-Biden et ont tous travaillé en étroite collaboration. De plus, tous considèrent la Russie, et non la Chine, comme la principale menace à la sécurité de l’hégémonie mondiale des États-Unis.

En tant que candidat, Joe Biden l’a souvent affirmé. Ses choix clés en matière de politique étrangère soulignent que l’attention de l’administration Biden, quelle que soit la compétence de Joe Biden, se déplacera des menaces chinoises vers celles de la Russie de Poutine. Le chef de la CIA de Joe Biden, Bill Burns, est un ancien ambassadeur à Moscou et a été secrétaire d’État adjoint lors du coup d’État de la CIA d’Obama en Ukraine en 2014. Notamment, lorsque Burns a quitté l’État en novembre 2014, il a été remplacé par Tony Blinken, aujourd’hui secrétaire d’État. Blinken aurait formulé la réponse du Département d’État américain à l’annexion de la Crimée par la Russie.

Nuland est la clé

Tous les choix de Biden sont uniformément clairs : il blâme la Russie de Poutine pour tout, de l’ingérence des États-Unis dans les élections de 2016 au récent piratage informatique de SolarWinds par le gouvernement américain, en passant par toutes les autres accusations portées contre la Russie ces dernières années, qu’elles soient prouvées ou non.

Cependant, pour déterminer ce que la nouvelle administration Biden et les agences de renseignement américaines ont en réserve à l’égard de Poutine et de la Russie, la meilleure indication est le rôle prépondérant accordé à Victoria Nuland, la personne qui, avec le vice-président Joe Biden, a dirigé le côté politique du coup d’État américain en Ukraine en 2013-14. Elle a été mise sur écoute lors d’un appel téléphonique à l’ambassadeur des États-Unis à Kiev pendant les manifestations de la place Maidan en 2013-14, pour parler à l’ambassadeur Geoffrey Pyatt des choix de l’UE pour un nouveau régime en Ukraine, « F**k the EU ». Son mari, Robert Kagan, est un célèbre néoconservateur de Washington.

En quittant le gouvernement lors de l’élection de Trump en 2016, Nuland est devenu conseiller principal au sein du groupe Albright Stonebridge, dirigé par l’ancienne secrétaire d’État de Clinton, Madeline Albright, qui est également présidente du National Endowment for Democracy (NED), affilié au National Democratic Institute. Nuland a également rejoint le conseil d’administration du NED, après 2016, en gardant un contact étroit avec les opérations de changement de régime du NED. C’est une experte de la Russie, qui parle couramment le russe et qui est spécialisée dans le changement de régime.

En tant que secrétaire d’État adjointe d’Obama pour les affaires eurasiennes et européennes en 2013, Nuland a travaillé en étroite collaboration avec le vice-président Joe Biden pour mettre au pouvoir Arseniy Yatsenyuk lors d’un coup d’État en Ukraine, favorable aux États-Unis et hostile à la Russie. Elle a encouragé des mois de protestation contre le régime du président élu de l’Ukraine, Victor Ianoukovitch, afin de forcer son éviction après sa décision de rejoindre l’Union économique eurasiatique russe. Le fondateur du groupe de renseignement privé Stratfor, George Friedman, dans une interview juste après le coup d’État de février 2014 à Kiev, a qualifié ce coup d’État de « plus flagrant de l’histoire (américaine) ».

Nouvelles initiatives

Dans un article important du journal Foreign Affairs du New York Council on Foreign Relations (CFR) en août 2020, Nuland décrit ce que sera très probablement la stratégie américaine pour saper la Russie dans les mois à venir. Elle se plaint que « la résignation s’est installée sur l’état des relations américano-russes, et les Américains ont perdu confiance dans leur propre capacité à changer la donne ». En d’autres termes, elle veut « changer la donne » avec Poutine. Elle affirme qu’au cours des 12 dernières années, « la Russie a violé les traités de contrôle des armements, mis en place de nouvelles armes déstabilisatrices, menacé la souveraineté de la Géorgie, saisi la Crimée et une grande partie du Donbass, et soutenu des despotes en Libye, en Syrie et au Venezuela. Elle a utilisé des cyber-armes contre des banques étrangères, des réseaux électriques et des systèmes gouvernementaux, s’est immiscée dans des élections démocratiques étrangères et a assassiné ses ennemis sur le sol européen ».

Elle poursuit en disant que les sanctions économiques américaines répétées contre certaines banques et entreprises russes ainsi que contre les partisans de Poutine n’ont pas fait grand-chose pour changer la politique russe, affirmant que « les sanctions américaines et alliées, bien que douloureuses au départ, ont pris l’eau ou sont devenues impuissantes à force d’être trop utilisées et n’impressionnent plus le Kremlin ».

Mais Nuland suggère que la Russie de Poutine est aujourd’hui plus vulnérable que jamais au cours des 20 dernières années : « la seule chose qui devrait inquiéter le président russe : l’humeur à l’intérieur de la Russie. Malgré les actions du pouvoir de Poutine à l’étranger, 20 ans d’absence d’investissement dans la modernisation de la Russie pourraient le rattraper. En 2019, la croissance du PIB russe était anémique à 1,3%. Cette année, la pandémie de coronavirus et la chute libre des prix du pétrole pourraient entraîner une importante contraction économique… Les routes, les rails, les écoles et les hôpitaux de Russie s’effondrent. Ses citoyens sont devenus réticents car les dépenses d’infrastructure promises n’apparaissent jamais, et leurs impôts et l’âge de la retraite augmentent. La corruption reste endémique, et le pouvoir d’achat des Russes continue de diminuer ».

Dans son article sur le Foreign Affairs du CFR, Nuland préconise l’utilisation de « Facebook, YouTube et d’autres plateformes numériques… il n’y a aucune raison pour que Washington et ses alliés ne soient pas plus disposés à donner à Poutine une dose de sa propre médecine à l’intérieur de la Russie, tout en maintenant le même déni ». Elle ajoute que parce que les Russes utilisent largement l’Internet et qu’il est largement ouvert, « malgré les efforts de Poutine, la Russie d’aujourd’hui est plus perméable. Les jeunes Russes sont beaucoup plus susceptibles de consommer des informations et des nouvelles via Internet que par le biais de la télévision ou de la presse écrite parrainées par l’État. Washington devrait essayer d’en toucher davantage là où ils se trouvent : sur les réseaux sociaux Odnoklassniki et VKontakte ; sur Facebook, Telegram et YouTube ; et sur les nombreuses nouvelles plateformes numériques en langue russe qui voient le jour ».

Navalny

Au moment où Nuland a soumis son article de juillet-août sur les affaires étrangères, éternel adversaire de Poutine, Alexey Navalny était à Berlin, se remettant ostensiblement de ce qu’il prétend être une tentative des services secrets de Poutine de le tuer avec un agent neurotoxique hautement toxique, le Novichok. Navalny, une figure de l’opposition ayant fait ses études aux États-Unis et qui était boursier de l’Université de Yale en 2010, essaie de gagner de nombreux partisans depuis plus de dix ans. Il a été prouvé qu’il recevait de l’argent du National Endowment for Democracy de Nuland, dont le fondateur dans les années 1990 a décrit les activités comme étant « ce que la CIA faisait, mais en privé ». En 2018, selon National Public Radio aux États-Unis, Navalny comptait plus de six millions d’abonnés à YouTube et plus de deux millions d’adeptes de Twitter. On ne sait pas combien de bots sont payés par les services de renseignement américains. Aujourd’hui, cinq mois après son exil à Berlin, Navalny fait un retour audacieux où il sait qu’il risque la prison pour des accusations passées. Il s’agissait manifestement d’un calcul clair de ses parrains occidentaux.

L’ONG du gouvernement américain pour le changement de régime par révolution colorée, le NED, dans un article publié le 25 janvier, fait écho à l’appel de Nuland en faveur d’une déstabilisation de Poutine par les médias sociaux. En écrivant sur l’arrestation de Navalny à Moscou juste trois jours avant l’inauguration de Biden, le NED déclare que « En créant un modèle de guérilla politique pour l’ère numérique, Navalny a exposé le manque total d’imagination et l’incapacité du régime… » Ils ajoutent : « Poutine est dans une impasse : si Poutine tue Navalny, cela pourrait attirer davantage l’attention sur le problème et exacerber les troubles. Si Poutine laisse vivre Navalny, alors Navalny reste un foyer de résistance, qu’il soit en prison ou non… Navalny a largement supplanté Poutine à chaque étape depuis l’empoisonnement. Cela devient un peu humiliant pour lui ».

Depuis son prétendu empoisonnement bâclé en août en Extrême-Orient russe, Navalny a été autorisé par le gouvernement russe à s’envoler pour Berlin pour y être soigné, un acte étrange si, en effet, Poutine et les services secrets russes avaient vraiment voulu sa mort. Ce qui s’est clairement passé au cours des cinq mois d’exil qui se sont écoulés depuis lors suggère que le retour de Navalny a été préparé professionnellement par des spécialistes non nommés du changement de régime des services de renseignement occidentaux. Le Kremlin a revendiqué des renseignements qui montrent que Navalny était directement encadré pendant son exil par des spécialistes de la CIA.

Lors de l’arrestation de Navalny à Moscou le 17 janvier, son ONG de lutte contre la corruption a diffusé sur la chaîne Navalny un documentaire YouTube sophistiqué, prétendant montrer un vaste palais qui aurait appartenu à Poutine sur la mer Noire, filmé à l’aide d’un drone, ce qui n’est pas une mince affaire. Dans la vidéo, Navalny appelle les Russes à marcher contre le prétendu « Palais de Poutine », d’un milliard de dollars, pour protester contre la corruption.

Navalny, qui est clairement soutenu par des spécialistes américains de la guerre de l’information et des groupes tels que le NED, est probablement invité à créer un mouvement pour contester les candidats du parti Russie unie aux élections de septembre à la Douma où Poutine n’est pas candidat. On lui a même donné une nouvelle tactique, qu’il appelle une stratégie de « vote intelligent », une tactique caractéristique du NED.

Stephen Sestanovich, expert de la Russie au Council on Foreign Relations de New York et ancien membre du conseil d’administration du NED, a suggéré le plan de match probable de la nouvelle équipe Biden. Le 25 janvier, Sestanovich a écrit sur le blog du CFR : « Le régime de Poutine reste fort, mais les manifestations nationales de soutien à Alexei Navalny constituent le défi le plus sérieux qu’il ait eu à relever depuis des années. Le leader de l’opposition Alexei Navalny fait preuve d’une créativité politique et d’une habileté tactique que Poutine n’avait jamais rencontrées auparavant. Si les protestations se poursuivent, elles pourraient révéler les vulnérabilités de son pouvoir qui dure depuis des décennies ». C’était deux jours après les protestations à travers la Russie pour demander la libération de Navalny. « Avec sa décision audacieuse de retourner à Moscou et la publication d’une vidéo largement diffusée prétendant exposer la corruption du régime, Navalny a montré qu’il était une figure politique capable et imaginative – même en prison, peut-être l’adversaire le plus redoutable auquel Poutine ait été confronté », a-t-il écrit. « La sophistication stratégique de l’équipe de Navalny est soulignée à la fois par sa vidéo et, avant cela, par son exposé sur le personnel des services de sécurité fédéraux (FSB) qui l’a empoisonné l’été dernier ».

La décision claire de l’équipe Biden de nommer un ancien ambassadeur de Moscou à la tête de la CIA et Victoria Nuland au poste de numéro 3 du Département d’État, ainsi que ses autres choix en matière de renseignement, indiquent que la déstabilisation de la Russie sera l’un des principaux objectifs de Washington à l’avenir. Comme le NED l’a joyeusement dit, « l’arrestation de Navalny, trois jours avant l’investiture de Biden, l’ancien ambassadeur américain en Russie, Michael McFaul, a tous les éléments de la « première crise de politique étrangère de Biden ». Quoi qu’il y ait eu dans leurs documents de transition, c’est maintenant au premier plan pour eux ».

La raison n’en est pas pour autant la corruption interne du cercle restreint de Poutine, qu’elle soit vraie ou non. Biden s’en moque. C’est plutôt l’existence même de la Russie sous Poutine en tant que nation souveraine indépendante qui tente de défendre cette identité nationale, que ce soit dans le cadre de la défense militaire ou de la défense d’une culture russe traditionnellement conservatrice. Depuis la déstabilisation de l’Union soviétique par le NED, soutenu par les États-Unis, en 1990 sous l’administration Bush, la politique de l’OTAN et celle des intérêts financiers influents derrière l’OTAN a consisté à diviser la Russie en plusieurs parties, à démanteler l’État et à piller ce qui reste de ses énormes ressources en matières premières. La Grande Réinitialisation mondialiste n’a pas de place pour les États nations indépendants comme la Russie est le message que la nouvelle équipe Biden va maintenant clairement transmettre.

source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International




Annonces de la coordination Santé Libre : des anomalies méthodologiques dans les études sur les vaccins Covid-19

[Source : Réseau International]

par Candice Vacle.

Ce dimanche 31 janvier 2021, la coordination Santé Libre a fait une conférence de presse sur le Covid-19. Cette coordination s’est mise en place lors de l’appel du 9 janvier 2021 rassemblant plusieurs collectifs tels Laissons les médecins prescrire, Réinfocovid, Azy-thro-d’hospitalisations, Bon Sens et ChroniLyme.*

Leur Conseil scientifique indépendant a fait, ce dimanche 31 janvier 202, ses premières annonces dont certaines d’entre elles sont alarmantes.

Que disent-ils sur les vaccins Covid-19 ?

Précisons que la coordination Santé Libre n’est pas anti-vaccin. Dr Vincent Reliquet, médecin responsable de la cellule stratégie vaccinale de cette coordination, remet radicalement en cause le développement pharmaceutique des vaccins Covid-19. Il souligne, suivant les vaccins, des anomalies dans les études, tels :

  • des biais de recrutement des sujets,
  • l’absence d’études randomisées,
  • l’absence de double aveugle,
  • la modification du placebo en cours d’étude,
  • des anomalies dans la présentation des effets indésirables,
  • un suivi du sujet réduit par rapport au protocole initial,
  • et des modifications des analyses statistiques par rapport aux hypothèses de départ, etc. Et les vaccins commercialisés présentent des lots de commercialisation différents des lots cliniques des essais, etc.

Dr Vincent Reliquet souligne, aussi, de multiples inquiétudes concernant ces vaccins, notamment pour les femmes enceintes car les industries pharmaceutiques ont exclu cette population de leurs études. Il s’attend à des effets indésirables graves et retardés de ces vaccins. La psychiatre et députée Martine Wonner rappelle qu’en Europe, il n’y a « aucune obligation vaccinale. » Et Dr Violaine Guérin insiste sur la liberté de prescription des vaccins Covid-19 par le médecin et le libre consentement du patient. Elle s’inquiète d’une possible « extorsion » du consentement du patient, notamment avec un possible passeport-vaccinal, des licenciements pour non- vaccination, ou le refus d’accéder au réfectoire pour les personnes âgées en Ehpad.

Ceci amène Dr Vincent Reliquet à s’interroger : « Pourquoi prendre le risque [de se vacciner contre le Covid-19] puisqu’il y aurait des traitements préventifs ? » D’autant plus, ajoute Dr Wonner, que la logistique de la vaccination va prendre beaucoup de temps avant que tous les citoyens puissent y accéder.

Ceci nous amène à la prévention et au traitement.

Que dit la cellule stratégie préventive et thérapeutique ?

Les médecins de cette cellule disent : « La notion de prévention est importante » et « le traitement [précoce] ramène le niveau du Covid-19 a une grippe. »

La coordination Santé Libre partage ses protocoles Covid-19 de prévention, de traitements précoces et ses commentaires sur ces protocoles thérapeutiques avec les tableaux que vous trouverez en pièce-jointes 1, 2 et 3. Ils disent sourcer toutes leurs préconisations avec la bibliographie, en pièce-jointes 4 et 5. Soyez prudent dans la lecture de ces tableaux ; par exemple, attention au surdosage en vitamine D.

La coordination Santé Libre annonce une « action-médicale » collective : du « sport sur ordonnance »

Cette « action-médicale » débutera le 7 février 2021. Elle se déroulera de 11h à 11h45 en musique avec des médecins, des professionnels de la culture, des restaurateurs (pour une collation après l’effort) et les étudiants seront les bienvenus. Ceci pour prendre soin de soi, des autres et remettre du lien humain.

La coordination Santé Libre fourmille d’idées et d’initiatives pour prévenir et soigner les citoyens du Covid-19.

Source principale : visioconférence le 31 janvier 2021

Candice Vacle


Note

*Communiqué de presse portant création de la Coordination Santé Libre (CSL) et des actions à venir.https://platform.twitter.com/embed/index.html?creatorScreenName=avic_sy&dnt=false&embedId=twitter-widget-0&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1348942646350401542&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Freseauinternational.net%2Fannonces-de-la-coordination-sante-libre-des-anomalies-methodologiques-dans-les-etudes-sur-les-vaccins-covid-19%2F&siteScreenName=avic_sy&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px


Pièces jointes

Pièce 1 – Prévention Covid-19 – situations pratiques – PCR négatives

Pièce 2 – Traitement ambulatoire précoce Covid-19 – PCR positives

Pièce 3 – Commentaires sur les protocoles thérapeutiques Covid-19

Pièces 4 et 5 – Bibliographie des préconisations de la coordination Santé Libre Terminé le 31 janvier 2021

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Si je me fais vacciner et si j’ai bien compris :

[Source : Le vilain petit canard]

1 – Pourrai-je arrêter de porter le masque ?

Réponse : Non

2 – Est-ce que les restaurants, les bars, les théâtres, cinémas, musées, bibliothèques, etc. pourront rouvrir ?

Réponse : Non

3 – Est-ce que je serai résistant au covid ?

Réponse : Peut-être. On ne sait pas trop avec tous ces variants…

4 – Au moins, je ne serai plus contagieux pour les autres ?

Réponse : Non, vous pouvez toujours le transmettre.

5 – Si je me vaccine et mon grand-père aussi, peut-on se serrer dans nos bras ?

Réponse : Non

6 – Est-ce que les vaccinés pourront se rassembler ?

Réponse : Non

7 – Si je suis vacciné, puis-je arrêter la distanciation sociale ?

Réponse : Non

8 – Si je suis vacciné, puis-je arrêter de me désinfecter les mains ?

Réponse du gouvernement : Non

9 – Est-ce que les cinémas, théâtres et stades seront rouverts grâce aux vaccins ?

Réponse : Non

10 – Si nous vaccinons tous les enfants, l’école reprendra-t-elle normalement ?

Réponse : Peut-être

11 – Est-ce que les vaccins seront efficaces contre tous les variants ?

Réponse : certainement non.

12 – Faudra-t-il inventer d’autres vaccins et se faire de nouveau vacciner ?

Réponse : on doit envisager cette hypothèse.

13 – Quel est le véritable avantage de la vaccination ?

Réponse : Le virus vous rendra moins malade.

14 – Êtes vous sûrs que ça ne me tuera pas ?

Réponse : Non

15 – Si statistiquement le virus ne me tue pas de toute façon… Pourquoi me ferais-je vacciner?

Réponse : Pour protéger les autres.

16 – Donc si je me fais vacciner, les autres sont sûrs à 100 % que je ne les infecte pas?

Réponse : Non

17 – Ah, au fait, est-on certains de l’innocuité des vaccins à long terme.

Réponse : on n’a pas assez de recul pour le savoir.

Alors… Qu’est-ce qu’il fait vraiment le vaccin ?

Réponse : Qu’on atteigne l’immunité collective.

18 – Vous êtes sûrs ?

Réponse : Non

19 – Bah alors, si ça se trouve, ils ne servent pas à grand-chose les vaccins.

Réponse : Si, si, de toute façon, ils servent à enrichir les firmes pharmaceutiques,

20 – Vous en êtes certains ?

Réponse : Absolument certain !

Donc en résumé, le vaccin contre la Covid-19 :

  • Ne donne pas l’immunité individuelle ni collective.
  • N’élimine pas le virus.
  • Ne vous empêche pas de l’attraper ni de le transmettre.
  • N’élimine pas la nécessité des gestes barrières et la distanciation sociale.
  • N’élimine pas la nécessité de fermer certaines entreprises.
  • N’élimine pas la nécessité de confiner.
  • N’élimine pas de futures vaccinations.



Moderna et Pfizer-BioNTech — Combien de temps allons-nous continuer à autoriser les meurtres de masse par injection létale ?

[Source : Guy Boulianne]

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) est une base de données des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) financée par le gouvernement américain qui suit les blessures et les décès causés par les vaccins. Un rapport de 2011 de Harvard Pilgrim Health Care, Inc. pour le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a déclaré que moins d’un pour cent de tous les événements indésirables liés aux vaccins sont signalés au gouvernement :

« Bien que 25% des patients ambulatoires subissent un événement indésirable médicamenteux, moins de 0,3% de tous les événements indésirables médicamenteux et 1 à 13% des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA).

« De même, moins de 1% des événements indésirables liés au vaccin sont signalés. Les faibles taux de notification empêchent ou ralentissent l’identification des médicaments et vaccins «problématiques» qui mettent en danger la santé publique. De nouvelles méthodes de surveillance des effets indésirables des médicaments et des vaccins sont nécessaires. » 

(Source)

Actuellement, les données des deux injections expérimentales d’ARNm COVID qui ont été signalées volontairement sont disponibles pour une période de deux semaines de la fin décembre au 22 janvier 2021. Les données couvrent 9 845 cas, dont 329 décès. Le plus grand nombre de décès est survenu chez des personnes de plus de 75 ans.

On ne saurait trop insister sur le fait que ces données VAERS sont entièrement volontaires — de la part des prestataires de « soins de santé » ou des patients — et puisque pratiquement tous les prestataires de « soins de santé » estiment que les vaccins sont sûrs et efficaces, très peu d’entre eux relieront des effets indésirables aux vaccins eux-mêmes – en particulier les décès. Cela signifie que potentiellement le nombre de décès réels dus aux vaccins COVID est bien supérieur aux 329 signalés au VAERS – et pourrait être 100 fois plus élevé, ou 18 000 !

Nous vous recommandons vivement de prendre le temps de lire ces rapports de décès VAERS — au bas de chaque rapport se trouve une entrée « Rédaction » décrivant comment chaque patient est décédé — et c’est vraiment horrible. Un homme de 82 ans dans une maison de soins infirmiers a reçu cyniquement un test COVID PCR le lendemain de la vaccination – testé « positif » pour COVID – est décédé peu de temps après – et le décès a été attribué à un COVID asymptomatique, pas au vaccin :

« Après la vaccination, le patient a été testé positif au COVID-19. Le patient était très malade et avait de nombreux problèmes de santé chroniques avant la vaccination. L’établissement avait un certain nombre de patients qui avaient déjà été testés positifs pour le COVID-19. La vaccination s’est poursuivie dans un effort pour empêcher ce patient de contracter le virus ou pour atténuer son risque. Cela a échoué et le patient est décédé. » 

(VAERS ID # 917117)

Il y a eu au moins un décès enregistré d’un bébé à naître mourant juste après que la mère ait reçu une injection expérimentale d’ARNm Pfizer pendant la grossesse :

« J’étais enceinte de 28 semaines et 5 jours lorsque j’ai reçu la première dose du vaccin COVID19. Deux jours plus tard (25/12/2020 dans l’après-midi), j’ai remarqué une diminution du mouvement du bébé. Il a été constaté que le bébé n’avait pas de rythme cardiaque au début de la matinée le 26/12/2020 et j’ai accouché d’un fœtus femelle non viable de 2 lb 7 oz à 29 semaines de gestation. J’avais 35 ans au moment de la mort fœtale et le seul antécédent de grossesse pour cette grossesse comprenait une insertion de cordon velamenteux qui était étroitement surveillée par un OB à haut risque. Mon dû estimé était le 12 mars 2021. » 

(VAERS ID # 918034)

Comme il a déjà été signalé sur Health Impact News, les lignes directrices pour l’utilisation d’urgence de l’injection expérimentale d’ARNm Pfizer au Royaume-Uni ont averti les femmes enceintes et les femmes prévoyant de devenir enceintes de NE PAS recevoir le vaccin expérimental. Mais les directives de la FDA publiées aux États-Unis pour la même injection expérimentale de Pfizer n’incluaient pas de tels avertissements. (Lire cet article)

À la lecture des notes d’accompagnement de ces cas qui ont été signalés au VAERS, il est clair que de nombreux professionnels de la santé hésitent à déclarer ces cas, craignant probablement des répercussions. Dans certains cas, les membres de la famille ont déposé le rapport parce que l’établissement de santé a refusé de le faire. Voici quelques exemples :

« Ma grand-mère est décédée quelques heures après avoir reçu le rappel du vaccin moderna covid 1. Bien que je ne m’attends pas à ce que les événements soient liés, l’hôpital traitant ne l’a pas reconnu et je voulais être sûr qu’un rapport a été fait. »

(VAERS ID # 913733)

« Résident dans notre établissement de soins de longue durée qui a reçu la première dose du vaccin Moderna COVID-19 le 22/12/2020, le seul effet secondaire documenté était une légère fatigue après avoir reçu. Elle est décédée le 27/12/2020 de causes naturelles par rapport. A déjà été dans et hors des soins palliatifs, a résidé dans une maison de soins infirmiers pendant 9 ans et plus, des personnes âgées atteintes de démence. En raison de la proximité de la vaccination, nous avons estimé que nous devrions signaler le décès, même s’il n’est pas soupçonné d’être lié. »

(VAERS ID # 914621)

« Injection donnée le 28/12/20 – aucun événement indésirable et aucun problème hier; Décès aujourd’hui, 30/12/20, vers 2h aujourd’hui (inconnu si lié – Administrateur marqué comme causes naturelles). »

(VAERS ID # 914895)

Étant donné que si peu de rapports sont effectivement enregistrés dans le système de rapport du VAERS, quel est le nombre réel de personnes tuées par ces injections mortelles ? Pour ceux qui ne sont pas tués, combien seront paralysés ou souffriront de maladies auto-immunes pour le reste de leur vie ?

Si pendant les périodes pré-COVID, moins de 1% de toutes les blessures et décès dus au vaccin ont été signalés au VAERS, faisons une estimation prudente et disons cela, car il est largement connu que les injections de COVID ont été accélérées sur le marché et n’ont pas encore été approuvées par la FDA, qu’un plus grand pourcentage est signalé, comme 10% des effets indésirables, y compris des décès.

Nous envisageons un rythme de près de 1000 décès par semaine par injection en raison d’injections d’ARNm non approuvées par la FDA parmi près de 40 000 cas par semaine de blessures dues à ces injections. Il s’agit d’une crise de santé publique qui est 100% évitable et 100% causée par Big Pharma et le gouvernement !

https://youtu.be/rq-Djg7pk_E
Le ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec, Christian Dubé, affirma lors du point de presse du 28 janvier 2021 : « On a hâte de vacciner pour éliminer nos personnes les plus vulnérables ». (Source)

Alors que presque TOUS les décès en 2020 ont été enregistrés comme décès par COVID, voici pourquoi AUCUN décès en 2021 ne sera enregistré comme décès par vaccin.

Il est bien connu maintenant qu’en raison du financement fédéral du COVID en 2020, presque tous les décès ont été enregistrés comme des décès « COVID », même dans les cas où le décès est survenu par accident de la route, fusillade, crise cardiaque, etc. Maintenant, nous voyons exactement le contraire se produire avec le déploiement des injections expérimentales COVID.

AUCUN d’entre eux n’est enregistré comme décès par vaccin. Pourquoi ? Parce que le CDC ne fournit pas de catégorie pour les « décès par vaccin » à utiliser sur les certificats de décès. Pour en savoir plus à ce sujet, consultez cet article publié par Health Impact News en 2018 d’une dénonciatrice du greffier des certificats de décès qui a révélé la politique derrière l’inscription de la « cause de décès » sur les certificats de décès. Elle a écrit :

« Notre système actuel de saisie des taux de mortalité peut fournir et fournit une image généralement inexacte et inexacte des causes d’un décès. Le processus de création et d’enregistrement des causes de décès dans les archives publiques est un processus compliqué, alambiqué, politisé, complètement ouvert à la fois à l’ignorance et aux manipulations d’intérêts personnels, professionnels et gouvernementaux.

« C’est moi qui crée ces statistiques et je vous propose ceci: si vous enlevez une chose, éliminez un scepticisme plus sain, même sur les statistiques traditionnelles les plus acceptées, rapportées au niveau national, CDC ou autres statistiques «scientifiques».

« Ce que la plupart des gens ne savent pas, c’est que les médecins ne sont pas autorisés à attester quoi que ce soit qui ne soit pas une cause strictement NATURELLE de décès. »

L’éditeur du site internet de Health Impact News, Brian Shilhavy, écrit :

« Des accusations criminelles pour meurtre doivent être déposées IMMÉDIATEMENT – Les injections expérimentales DOIVENT ÊTRE ARRÊTÉES !! »

Brian Shilhavy ajoute : 

« Nous assistons au meurtre de masse d’Américains sous nos yeux et au génocide de notre population âgée ! Les médias d’entreprise contrôlés par Pharma sont complices de ces meurtres qui non seulement échouent à publier ces statistiques dérivées d’un système de rapport gouvernemental, mais publient en fait des mensonges et des fausses nouvelles pour encourager les gens à recevoir des injections mortelles. En tant que journaliste d’investigation, j’ai toujours présenté les preuves qui devraient être utilisées pour arrêter et inculper les criminels derrière cette atrocité qui n’est rien de moins qu’un MEURTRE DE MASSE, et des crimes contre l’humanité. »

Le magazine Principia Scientific International (PSI) précise ceci : 

« Les maisons de soins infirmiers hésitent probablement beaucoup à affirmer que ces vaccins tuent leurs résidents – peu importe à quel point cela devient évident. Les régulateurs d’État pourraient retirer leurs licences d’exploitation pour avoir fait des déclarations « irresponsables » qui pourraient « alarmer » les résidents et les faire hésiter à prendre les vaccins – même si une condition de leur résidence est qu’ils prennent le vaccin. »

Et la plupart des résidents des maisons de soins infirmiers reçoivent des prestations du gouvernement pour payer leurs soins en maison de retraite – il y a donc une incitation financière pour les maisons de soins infirmiers à rester délibérément ignorantes de tous les résidents éliminés avec les vaccins.

Du point de vue du gouvernement, ces vaccins COVID sont très rentables — un investissement de 20 $ par injection, leur permet d’économiser des centaines de milliers de dollars par an en frais de logement et de soins de santé — lorsque ces aînés sont marqués aux orteils et emmenés à la morgue sans autopsie nécessaire. Ce n’est pas comme si nous n’avions pas été prévenus que cela arriverait.

En 1988, le journaliste d’investigation Eustace Mullins a publié son livre, « Murder By Injection » (Meurtre par injection) — qui a été ignoré par les médias grand public comme seulement une autre de ses « théories du complot » farfelues — comme son exposé sur la Réserve fédérale. Que la « Fed » ait un intérêt direct dans la progression de cette « pandémie » n’est qu’une autre « théorie du complot ».


RÉFÉRENCES :




Note sur l’avenir

Par Joseph Stroberg

Si le temps n’est que le résultat du parcours de la conscience parmi l’infinité des possibles, alors les Hommes construisent leur destinée.

La ligne de déplacement « temporel » suivie globalement par l’Humanité est celle qui emporte le plus d’adhésions selon le volume de conscience impliqué.

Le volume de conscience pesant sur un choix de ligne possible est le produit du nombre d’individus par la qualité vibratoire moyenne de l’Humanité au moment (illusoire) considéré.

Un faible nombre d’individus ayant une haute qualité de conscience peuvent ainsi peser autant dans la balance des choix qu’un grand nombre d’autres individus disposant d’une piètre qualité de conscience.

Lorsque la qualité en faible nombre ne parvient pas à contrebalancer la quantité de piètre qualité, alors l’avenir choisi momentanément par l’Humanité est sombre.

Lorsque l’inverse a lieu, alors l’avenir devient radieux.

Symboliquement, l’Humanité a momentanément choisi l’Antéchrist ou la triple Bête au détriment des deux Témoins et du Christ.

Combien de temps ou sur quelle longueur va-t-elle suivre cette ligne temporelle de conscience ?




Radio Télévision Suisse sur les vaccins : Le Dr Édouard Broussalian dénonce les conflits d’intérêts de son interlocuteur et remet les pendules à l’heure sur la pseudoscience du nouveau vaccin

[Source : emakrusi.com ou Pascal Prod’]




Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture

[Source : La cause du peuple]

[Traduction de There Is No Pandemic, by Nick Kollerstrom – The Unz Review]

2020 a vu 14% de décès de plus que la moyenne, l’année dernière en Angleterre et au Pays de Galles et cela s’est élevé à soixante-quinze mille décès supplémentaires. Nous utilisons ici les chiffres du Bureau des statistiques nationales , car il donne le total des décès hebdomadaires, plus également à titre de comparaison une valeur moyenne des décès hebdomadaires correspondants au cours des cinq années précédentes.[1]
Cela se compare au chiffre de quatre-vingt dix mille morts pour l’ensemble du Royaume-Uni, prétendument attribuable au covid-19.

Nous posons ici et répondons à la question, qu’est – ce qui a causé cet excès de décès ? La réponse ne sera pas certaine, mais sera l’explication la plus simple possible. Par le rasoir d’Occam, nous sommes obligés de le prendre.

Pour le premier trimestre de l’année dernière, les décès en Angleterre et au Pays de Galles ont diminué : pour une raison quelconque, la mortalité hebdomadaire globale était de 3% inférieure à la moyenne annuelle. Ensuite , autour de l’équinoxe de printemps le 23 Mars rd Lockdown a été annoncé et tout à coup, les décès ont bondi jusqu’à alors que des milliers de morts supplémentaires ont commencé à se produire semaine après semaine. Cela a continué tout au long des mois d’avril et de mai, puis finalement, la première semaine de juin, les Britanniques ont de nouveau été autorisés à sortir: avec soulagement, nous avons pu marcher dans les rues et les parcs, les cafés et les pubs ont rouvert.

Ces mois de verrouillage ont vu 59 000 décès en excès (voir graphique). Cela vient de compter les onze semaines se terminant le 27 Mars au 5 e Juin, comme la période de verrouillage.

La question se pose de savoir ce qui les a provoqués? Cela aurait-il pu être, par exemple, le choc? Le mois d’avril a enregistré en moyenne 90% de décès de plus que d’habitude! Puis mai n’était pas si mal, car les gens se sont habitués à la nouvelle réalité sinistre.

Dans les semaines qui ont suivi le Lockdown, c’est-à-dire après la première semaine de juin, tout l’excédent de décès a soudainement disparu. Au cours des quatre mois suivants, les décès sont restés exactement moyens par rapport aux années précédentes.

Le graphique montre ce processus distinct en trois étapes.

Données OBNS pour les semaines se terminant
3 janvier au 20 mars 12 semaines 138 916 143 738 -4 822 -3%
27 mars au 5 juin 11 semaines 168 396 109 703 +58 693 + 54% CONFINEMENT
12 juin au 9 oct 18 semaines 166 392 165 808 +584 0%

Ces chiffres suggèrent que c’est le verrouillage lui-même et non aucun virus, qui a causé les décès excessifs.

Nous rappelons ici une enquête minutieuse réalisée en mai dernier qui a révélé que, dans tous les pays disposant de chiffres de mortalité fiables, leur augmentation de la mortalité a commencé après l’ imposition du verrouillage et pas avant. Il y a une différence très simple entre cause et effet: la cause vient en premier, avant l’effet!

Un deuxième Lockdown a été imposé au cours du mois de novembre. Celui-ci manquait de la même valeur de terreur et de choc que le premier et n’atteignait donc qu’une surmortalité nette de 18%: pour les cinq semaines allant de la semaine se terminant le 6 novembre à celle du 4 décembre, il y avait neuf mille décès en excès, par rapport à la moyenne saisonnière.

Figure: données hebdomadaires du Bureau des statistiques nationales pour 2020, comparant la mortalité totale par semaine avec une moyenne estimée des cinq années précédentes.

Figure: données hebdomadaires du Bureau des statistiques nationales pour 2020, comparant la mortalité totale par semaine avec une moyenne estimée des cinq années précédentes.

Après l’équinoxe d’automne, alors que les nuits s’allongeaient, le gouvernement a recommencé à terroriser la population en parlant de «l’hiver sombre» à venir. D’une manière ou d’une autre, ils savaient qu’une «deuxième vague» arrivait, et qu’il faudrait donc un «deuxième verrouillage» et pas de Noël. Voici ce que j’ai dit dans un podcast du 20 octobre :

Ils essaient de susciter une autre grosse panique, prétendant qu’il y a une deuxième vague… survenue cet automne. Ils ont recommencé à propager la peur. Ils ont imposé ces niveaux de Lockdown qui sont plutôt terrifiants. Beaucoup de stress qu’ils mettent sur les gens. Je me suis demandé : est-ce que les morts vont recommencer comme la dernière fois?

Cela s’est-il produit? Comme auparavant, les chiffres montrent une augmentation au moment du verrouillage et juste avant, mais cette fois, elle n’a pas disparu après le verrouillage. C’est parce qu’il n’y a pas vraiment eu de détente. Au contraire, des mesures encore plus draconiennes ont été annoncées, avec la mesure inouïe de la police arrêtant les gens qui marchent dehors, pour leur demander s’ils avaient de bonnes raisons de sortir de chez eux. Rencontrer des amis a été interdit, etc. Cette pression a augmenté la mortalité encore davantage et nous avons ici en particulier relevé la « semaine de Noël » finissant le 25 décembre, avec une surmortalité énorme de 45%. Ce n’était pas un joyeux Noël. C’est trois mille cinq cents personnes supplémentaires (par rapport aux années précédentes) en une semaine, probablement causées par le choc et le désespoir de l’annulation de Noël. La semaine suivante, c’était encore très élevé : 26% d’excès, alors que les gens affrontaient la sombre nouvelle année.

Exprimer cette surmortalité comme une moyenne mensuelle globale, pour les derniers mois de 2020, facilite les choses. En prenant ainsi chaque mois dans son ensemble et en sélectionnant quatre semaines de données pour chaque mois :

Septembre des semaines se terminant 11 sept au 2 oct. + 4%
octobre 9 oct au 30 oct + 7%
novembre 6 nov au 27 nov + 18%
décembre 4 décembre au 1er janvier + 21%

Lentement, les décès excédentaires (comparés, comme auparavant, aux années précédentes) ont augmenté tout au long de l’automne et de l’hiver. Le mois de décembre a eu dix mille morts supplémentaires. Doit-on prendre l’avis du gouvernement, que ces décès ont été causés par le virus CV19, et que les restrictions de plus en plus sévères étaient une réponse nécessaire pour «contenir» la propagation de ce virus ? Une hypothèse plus simple serait qu’il n’y a pas de virus tuant des gens, alors que le stress de la faillite, de la solitude, etc. imposé par les décrets du gouvernement a vraiment tué des gens. Ainsi, par exemple le « niveau 4 » [de confinement] a été annoncé le 19 Décembre pour une grande partie de l’Angleterre, ce qui a donné lieu à la mortalité la plus élevée pour la semaine suivante. Ce coup de grâce à Noël pour tout le monde — jamais interdit depuis l’époque d’Oliver Cromwell — a eu un impact profond, faisant grimper l’indice de mortalité.

Dans l’ensemble, il semblerait que ce soit la politique de verrouillage du gouvernement qui tue des gens et non une nouvelle maladie. Le stress, la solitude, la peur et le désespoir sont à l’origine de l’excès de décès, avec le vidage des hôpitaux, en particulier des personnes âgées, et l’annulation des services normaux en raison de la «pandémie». Si le gouvernement le sait, il s’agit d’un programme de réduction de la population.

Un rapport récent du CDC américain a approuvé l’approche que nous avons adoptée ici, à savoir que l’importance de CV19 ne peut être appréciée qu’en termes de mortalité totale. Publié sur le site de l’Université John Hopkins, le 22 novembre (mais retiré peu après), il partage l’avis qu’aucun virus tue des gens plus que la grippe normale, alors que les décès dus à d’autres causes sont reclassés Covid19 :

Selon de nouvelles données, les États-Unis se classent actuellement au premier rang pour le nombre total de cas de COVID-19, de nouveaux cas par jour et de décès. Genevieve Briand, directrice adjointe du programme de maîtrise en économie appliquée à Hopkins, a analysé de manière critique l’effet du COVID-19 sur les décès aux États-Unis en utilisant les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) dans son webinaire intitulé « Morts COVID-19 : un regard sur les données américaines. »

De la mi-mars à la mi-septembre, le nombre total de décès aux États-Unis a atteint 1,7 million, dont 200 000, soit 12% du total des décès, sont liés au COVID-19. Au lieu de regarder directement les décès dus au COVID-19, Briand s’est concentrée sur le nombre total de décès par groupe d’âge et par cause de décès aux États-Unis et a utilisé ces informations pour faire la lumière sur les effets du COVID-19.

Elle a expliqué que l’importance du COVID-19 sur les décès aux États-Unis ne peut être pleinement comprise que par comparaison avec le nombre total de décès aux États-Unis.

Après avoir récupéré des données sur le site Web du CDC, Briand a compilé un graphique représentant les pourcentages du nombre total de décès par catégorie d’âge du début février au début septembre, qui comprend la période allant de la détection du COVID-19 aux États-Unis à la montée en flèche des taux d’infection.

Étonnamment, les décès de personnes âgées sont restés les mêmes avant et après le COVID-19. Étant donné que le COVID-19 affecte principalement les personnes âgées, les experts s’attendaient à une augmentation du pourcentage de décès dans les groupes plus âgés. Cependant, cette augmentation ne ressort pas des données du CDC. En fait, les pourcentages de décès parmi tous les groupes d’âge restent relativement les mêmes.

« La raison pour laquelle nous avons un nombre plus élevé de décès par COVID-19 signalés chez les personnes âgées que chez les personnes plus jeunes est tout simplement parce que chaque jour aux États-Unis, les personnes âgées meurent en plus grand nombre que les personnes plus jeunes », a déclaré Briand.

Briand a également noté que 50 000 à 70 000 décès sont observés avant et après le COVID-19, indiquant que ce nombre de décès était normal bien avant l’apparition du COVID-19. Par conséquent, selon Briand, non seulement le COVID-19 n’a eu aucun effet sur le pourcentage de décès de personnes âgées, mais il n’a pas non plus augmenté le nombre total de décès.

Ces analyses de données suggèrent que contrairement aux hypothèses de la plupart des gens, le nombre de décès par COVID-19 n’est pas alarmant. En fait, il n’a relativement aucun effet sur les décès aux États-Unis…

Lorsque Briand a examiné les données de 2020 au cours de cette période saisonnière, les décès liés au COVID-19 ont dépassé les décès dus aux maladies cardiaques. C’était très inhabituel puisque les maladies cardiaques ont toujours prévalu comme la principale cause de décès. Cependant, en examinant de plus près les chiffres des décès, elle a noté quelque chose d’étrange. Alors que Briand comparait le nombre de décès par cause au cours de cette période en 2020 à 2018, elle a remarqué qu’au lieu de l’augmentation drastique attendue pour toutes les causes, il y avait une diminution significative des décès dus aux maladies cardiaques. Plus surprenant encore, comme le montre le graphique ci-dessous, cette baisse soudaine des décès est observée pour toutes les autres causes.

Cette tendance est tout à fait contraire à la tendance observée toutes les années précédentes. Fait intéressant, comme le montre le tableau ci-dessous, la diminution totale des décès dus à d’autres causes équivaut presque exactement à l’augmentation des décès par COVID-19. Cela suggère, selon Briand, que le nombre de morts du COVID-19 est trompeur. Briand pense que les décès dus aux maladies cardiaques, aux maladies respiratoires, à la grippe et à la pneumonie peuvent plutôt être reclassés comme étant dus au COVID-19.

[NdNM : selon la phrase mise en rouge, la conclusion ici devrait plutôt être formulée comme suit : Briand pense qu’une partie (importante ?) des décès habituellement attribués aux maladies cardiaques, aux maladies respiratoires, à la grippe et à la pneumonie ont été reclassés comme étant dus au Covid-19.]

Sur la base de cette analyse, le meilleur moyen de mettre fin au massacre continu de Britanniques âgés serait de mettre fin aux verrouillages et de reprendre une vie normale. Comme l’a bien expliqué le Dr Simone Gold (de Frontline Doctors) , CV19 ne fait que «tuer» des personnes âgées qui étaient sur le point de mourir de toute façon. Il ne peut pas être démontré qu’ «avoir» CV19, c’est-à-dire être testé PCR «positif» a contribué à raccourcir leur durée de vie. Ce n’est donc pas un lien causal, c’est-à-dire que la prétendue maladie n’a pas «causé» leur mort. C’est pourquoi la distribution par âge du CV-19 ne se distingue pas de celle de la population normale.

L’âge moyen des décès en Angleterre et au Pays de Galles est de 81,5 ans, tandis que l’âge moyen des décès de «Covid-19» est de 82,4 ans (données ONS). Ce que cela nous dit est très simple : la maladie n’existe pas.

Le concept de «test» PCR a toujours été frauduleux . Le soi-disant «test» PCR multiplie les fragments de chaînes nucléotidiques et le nombre de cas «positifs» dépend du facteur de multiplication utilisé ainsi que du nombre de personnes testées. Il ne viendra jamais un moment où le virus sera «guéri» ou «résolu» ou quoi que ce soit que les gens imaginent que le gouvernement essaie de faire (s’il le sait!), de sorte que le test PCR cesse [alors] de générer des tests «positifs». Personne ne vous donnera jamais la preuve que les personnes dont le test est «positif» tombent malades plus souvent que les autres. Y a-t-il un but de la politique gouvernementale, à part terroriser la population ? Est-ce [vraiment] pour tuer le virus ? Cela ne pourra jamais arriver car le virus n’est pas vivant.

Le 13 janvier, l’Organisation mondiale de la Santé a fait machine arrière sur le « test » PCR, en disant qu’il est simplement un outil de diagnostic qui peut aider. Elle conseille maintenant :

Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant une technologie NAT identique ou différente.

En d’autres termes, un seul test PCR ne doit pas être utilisé pour diagnostiquer une infection à Sars-Cov-2. Ce n’est qu’un guide !

La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent considérer tout résultat en combinaison avec le moment de l’échantillonnage, le type d’échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.

Nous avons donc finalement compris que le PCR ne peut pas servir au diagnostique. C’est exactement ce qu’a dit son inventeur Kary Mullis. Alors oubliez tous les chiffres que vous avez entendus sur les «cas» et les «décès de covid» — on ne peut pas s’y fier.

Si l’on voulait croire qu’il y avait une maladie associée à ce virus, nous serions sûrement d’accord avec le Dr Alexander Myasnikov, nommé l’année dernière en tant que conseiller médical en chef de la Russie. Dans une interview, il a expliqué comment le monde avait fortement réagi de manière excessive à l’histoire de CV19 et que le nombre de morts en Occident était largement surestimé. Il a ajouté :

«Tout est exagéré. C’est une maladie respiratoire aiguë avec une mortalité minimale. »

Ainsi, l’ancien médecin-chef de l’Ontario a récemment contesté la politique de son gouvernement en disant: « Nous sommes bloqués pour un taux de mortalité par infection de moins de 0,2 % ? » et le verrouillage n’est pas «soutenu par une science solide». Il veut dire ici que pour ceux dont le test PCR est positif, un sur cinq cents mourra. La période de temps impliquée ici doit être définie, par exemple elle pourrait être d’un mois : nous mourons tous, et étant donné que l’âge médian des décès présumés CV19 est d’environ 80 ans, ce qui pourrait bien être un taux de mortalité normal — surtout si on teste avec le PCR toutes les personnes admises à l’hôpital.

En novembre dernier, une infirmière de Cornouailles s’est fait connaître en affirmant que les salles de l’hôpital étaient vides depuis des mois quand on a prétendu qu’elles débordaient. Elle a déclaré que chaque fois qu’ils avaient des patients grippés, ils étaient classés comme Covid : « Les cas de grippe et de Covid sont désormais enregistrés comme “la même chose” sur les certificats de décès. » Ce ne serait pas nécessaire si la maladie existait vraiment. Sans surprise, la grippe de cet hiver a mystérieusement disparu. Une femme qui a marché autour de son hôpital local en train de filmer ses salles vides a été arrêtée chez elle par la police le lendemain.

L’existence même du virus ne peut pas être démontrée, ce qui signifie qu’il ne peut pas être différencié, de manière fiable, de tous les autres coronavirus normaux, avec lesquels nous vivons depuis le début des temps. Il n’a jamais été isolé. Soyons clairs à ce sujet ! En avril dernier, un département scientifique de l’UE a admis :

« Aucun isolat de virus avec une quantité quantifiée de SARS-CoV-2 n’est actuellement disponible… »

Et la même chose a été reprise quelques mois plus tard par le Center for Disease Control américain :

« Étant donné qu’aucun isolat viral quantifié du nCoV 2019 n’est actuellement disponible , des tests [de diagnostic] conçus pour la détection de l’ARN du nCoV 2019 ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro… »[2]

En d’autres termes, personne ne peut tenir un tube à essai ou une boîte de Pétri et dire: «Voici le COVID-19». Les séquences génétiques publiées du prétendu virus ne sont que de simples constructions hypothétiques. Oui, une maladie a éclaté à Wuhan en novembre 2019 et oui, les autorités chinoises ont publié une séquence génétique qui en serait, mais alors ?

Promotion pornographique de la peur

Le gouvernement a besoin de votre peur. Il veut votre attention, mais sait qu’il n’a aucune chance d’améliorer votre vie de quelque manière que ce soit. Nous avons donc un ministre de la Santé qui ne sait rien de la santé ou du bien-être : il peut attirer votre attention en vous disant que vous ne pourrez pas voyager sans vaccin. Ils ont besoin de votre peur et, au siècle dernier, le gouvernement a pu stimuler votre peur en menaçant d’appuyer sur le bouton nucléaire. Cela ne fonctionne plus. Le dernier exercice du gouvernement britannique en matière de pornographie de peur conseille aux citoyens de se comporter comme s’ils étaient malades . («Agissez comme vous l’avez compris»). Oui, cela ressemble à la façon de promouvoir la santé.

Il promeut en outre l’idée diabolique selon laquelle des personnes en parfaite santé peuvent transmettre des maladies («n’importe qui peut la propager»). On pourrait citer ici l’expert de l’OMS, la Dre Maria van Kerkhove :

« D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette effectivement à un individu secondaire. C’est très rare. » 

Dre Maria van Kerkhove (Chef de l’unité Maladies émergentes et zoonose de l’OMS lors d’un point de presse du siège de l’agence des Nations Unies à Genève, 6.6.20). 

Certes, elle a été obligée de faire marche arrière et de se rétracter, mais elle l’a dit.[3]

Pour reprendre les mots du Daily Mail , de « Terrifiantes nouvelles annonces télévisées » sont promues par le gouvernement (23 janvier 2021). Cette pornographie de peur est organisée par l’agence de presse américaine Omnigov qui a signé le 2 mars un contrat publicitaire pro confinement trois semaines avant le verrouillage :

Le journaliste Neil Clark a commenté[4] la nouvelle du Daily Telegraph selon laquelle le gouvernement britannique a conclu un accord d’une valeur de 119 millions de livres sterling avec une société de publicité américaine, OMD Group, exhortant les gens à « rester à la maison, rester en sécurité » trois semaines complètes avant que Boris Johnson ordonne un verrouillage. Pensez à ce que cela signifie. Ce mème «Stay home Stay safe» aurait été planifié l’année précédente lors de l’événement américain «Event 201» organisé par Bill Gates et autres. La peur bloque la pensée rationnelle et cohérente, c’est pourquoi le gouvernement en a besoin.

Les gens oublient peut-être à quel point la grippe hivernale peut être débilitante et comment elle peut durer des semaines. Maintenant, ils veulent l’appeler COVID. Soutenons ici la professeure Dolores Cahill, qui s’est penchée sur le séquençage des tests PCR. En Irlande, il a été constaté que sur quinze cents tests PCR «tous étaient des virus de la grippe A et B, aucun d’entre eux n’était du SRAS-COV2». Son groupe demandera une action en justice lorsque les tests indiquent la grippe plutôt que le CV19 spécifique et les médecins pourront être poursuivis pour négligence médicale. (Rapport Corbett, 23 minutes). Cela semble être une manière prometteuse de lutter contre ce virus fantôme.

« Est-ce une épidémie de désespoir ? » a demandé ce commentateur perspicace, Peter Hitchins. Les scientifiques sont formés à ne pas prendre en compte les émotions et à rechercher les choses, les objets comme agents causaux, alors qu’ici nous sommes d’accord avec Peter Hitchens sur le fait que les conditions négatives de l’âme de la population causées par les politiques gouvernementales conduisent à la mort. L’article de Hitchens cite l’éminent professeur de microbiologie médicale, Sucharit Bhakdi :

« Il a dit que les personnes âgées avaient le droit de faire des efforts pour rester en forme, actives, occupées et en bonne santé. Mais il a averti que la fermeture de la société les condamnerait à une mort prématurée en empêchant cela.

« Les contacts sociaux et les événements sociaux, le théâtre et la musique, les voyages, les sports et les loisirs contribuent tous à prolonger leur séjour sur terre. L’espérance de vie de millions de personnes est raccourcie ».

Dans une prédiction qui s’est révélée terriblement précise, il a ajouté : « L’impact horrible sur l’économie mondiale menace l’existence d’innombrables personnes. Les conséquences pour les soins médicaux sont profondes. Déjà, les services aux patients qui en ont besoin sont réduits, les opérations annulées, les cabinets vides, à cause du personnel hospitalier qui diminue. Tout cela aura un impact profond sur toute notre société ».

C’est ce qui tue des gens, il n’y a pas d’autre pandémie.

Nous sommes ici préoccupés par le Royaume-Uni, mais à titre de comparaison, terminons par un graphique montrant le taux de mortalité hebdomadaire aux États-Unis en 2020, montrant le même effet.

Le graphique montrait un excès de 280 000 décès au-dessus des niveaux normaux attendus, après le verrouillage. La page Web hébergeant ce graphique indique que « le grand pic de décès en avril 2020 correspond à l’épidémie de coronavirus ». Je suggère ici un point de vue différent.

Par Nick Kollerstrom , PhD, auteur de The Great British coronavirus Hoax, A Skeptics view (interdit par Amazon.)


Notes

[1] En utilisant cinquante-deux semaines pour 364 jours de l’année, de celle se terminant le 3 janvier 2020 à celle du 1er Janvier 2021, l’ONS compare une semaine de 2020 avec la valeur moyenne pour la période 2015-9.

[2] CDC «Caractéristiques de performance du panneau de diagnostic PCR en temps réel 2019-Novel Coronavirus» p.39, 13.7.20. Cela a été effacé du Web, mais voyez la réponse du BMJ.

[3] Une vaste étude chinoise de dix millions de personnes autour de Wuhan entre mai et juin n’a montré « aucune preuve que les cas positifs sans symptômes propagent la maladie » : Nature 20.11.20 « Dépistage de l’acide nucléique du SRAS-CoV-2 après le verrouillage ».

[4] RT «Psychologie inversée Covid-19» de Neil Clarke, 28.10.20, supprimée, mais conservée sur la vidéo Hugo Talks [Note : vidéo également censurée].




«Chasse aux sorcières», «délation» : ces médias adeptes du «lynchage public»

Par Adrien Peltier

[Source : Sputnik News]

Les grands médias semblent s’adonner de plus en plus fréquemment à la dénonciation gratuite. Des «révélations» largement relayées et commentées, encourageant la pratique à se répandre. Claude Chollet, fondateur de l’Observatoire du journalisme, décrypte cette tendance pour Sputnik.

Les cas de délation médiatique sont-ils de plus en plus nombreux?

Loopsider qui dévoile les images d’un pot de départ au commissariat d’Aubervilliers où les policiers font fi des gestes barrières. Mediapart qui publie le nom d’une enseignante ayant critiqué l’islam. Libération qui révèle les plaintes de salariées de la mère du jeune Yuriy, sauvagement agressé, une information sans aucun lien avec le lynchage de l’adolescent. Ces faits, au potentiel viral considérable, sont devenus incontournables une fois en ligne.

Les réseaux sociaux et sites d’actualité  –Sputnik compris– n’ont pas manqué de nourrir la polémique en les relayant. Au nom de l’audience, la sphère médiatique se dirige ainsi vers une banalisation de la délation, emboîtant peut-être le pas à la société qui, en temps de pandémie, serait gagnée par les mêmes réflexes.

Cette pratique des médias n’est pourtant pas nouvelle, nuance Claude Chollet, président fondateur de l’Observatoire du Journalisme (OJIM), qui s’emploie à «informer sur ceux qui informent». Elles ne seraient pas tant des manœuvres politiques que des «chasses aux sorcières» orchestrées par le «camp autoproclamé du Bien», un exercice bien différent:

«On ne discute pas avec une sorcière, on la brûle publiquement avec des cris de joie», analyse-t-il pour Sputnik.

Une attitude qui se serait donc banalisée, se produisant de plus en plus régulièrement sans engendrer d’indignation particulière. On se souvient ainsi qu’en novembre dernier, une reporter de l’émission Quotidien sur TMC, avait incité la police à verbaliser des manifestants priant dans la rue pour protester contre la fermeture des églises.

Un procédé qui serait, au fond, pratiqué depuis 50 ans, «par une certaine gauche militante», accuse Claude Chollet. «Souvenons-nous de Guy Debord, l’auteur de La Société du spectacle, qui déclarait “je ne suis pas de gauche, je n’ai jamais dénoncé personne”», ironise-t-il avant de souligner des pratiques peu déontologiques:

«David Perrotin lorsqu’il était chez Buzzfeed France [il travaille aujourd’hui pour Mediapart après un passage chez Loopsider, ndlr] interpellait alors la préfecture de police pour se plaindre qu’une manifestation contre l’Islamisation ait été autorisée», rappelle le Président de l’Observatoire du journalisme.

Ces faits de délation semblent selon lui s’inscrire au sein d’une tendance idéologique plus générale, qui a déjà accepté l’idée de la mise à l’index. Aux États-Unis, elle a été baptisée «Cancel Culture», ou «culture du bannissement», visant à interdire toute forme d’expression non inclusive et dont la délation est le prolongement naturel, et sans doute l’aggravation.

«Cancel culture» et dénonciation publique, même combat?

La France vivrait ainsi les prémisses de ce renversement moral. En août 2020, Valeurs actuelles illustre une fiction avec un dessin de l’élue de LFI Danièle Obono, représentée en esclave. Un dessin quasi unanimement jugé raciste. Le directeur de la publication, Geoffroy Lejeune se voit alors immédiatement remercié par la chaîne d’information LCI, où il le faisait intervenait régulièrement comme chroniqueur.

«Cet excès de Valeurs actuelles contrevient à notre ligne et à nos valeurs», déclarait alors Gilles Pélisson, le PDG du groupe TF1.

L’observatoire du journalisme vient d’éditer une brochure sur cette affaire, Retour sur un emballement médiatique (Éd. Nouvelle Librairie), indique Claude Chollet, pour qui cet «épisode bouffon» symbolise parfaitement la machine médiatique.

«On a vu le monde politique, artistique et encore plus médiatique pratiquer la chasse à l’homme au sujet d’un pastiche, d’une fiction. Tous les ingrédients du médiatiquement correct étaient réunis: racisme, mouvement décolonial, néo-féminisme», tance-t-il.

La loi Avia «contre la haine», qui est actuellement réétudiée à la faveur du projet de loi «confortant les principes républicains» contre séparatisme, allait, selon notre interlocuteur, dans ce sens: en encourageant la signalisation de contenu potentiellement «haineux», elle ne serait «rien d’autre qu’un encouragement à la délation de tous contre tous.»

En janvier 2021, c’est au tour d’Alain Finkielkraut d’être écarté par LCI. Interrogé sur l’affaire Duhamel et la «libération de la parole» sur l’inceste, le philosophe avait maladroitement envisagé le consentement éventuel de la victime, en distinguant l’adolescence de l’enfance dans ce genre d’affaires. Il n’en fallut pas plus pour qu’il soit «jeté en pâture», selon ses mots, et livré à la vindicte médiatique et numérique.

Vers «la société de surveillance»

Il sera rejoint dans son exil par Xavier Gorce, dessinateur du Monde qui fit, lui, le choix de démissionner après la publication d’un dessin humoristique également lié à l’affaire. La directrice de la rédaction présentera même des excuses au nom du quotidien envers les «lectrices et lecteurs qui ont pu en être choqués.»

Nées de la même culture du bannissement, les pratiques du «lynchage public» et la délation peuvent toutes deux, au-delà d’une mort sociale, provoquer des répercussions pénales. La dernière vidéo de Loopsider mettant en cause le commissariat d’Aubervilliers vient d’ailleurs justement d’obtenir l’effet escompté, puisque la préfecture de police a promis des sanctions et qu’une enquête judiciaire, confiée à l’IGPN, a été ouverte. Au mois d’août, Danièle Obono portait plainte contre Valeurs actuelles pour «incitation à la haine raciale».

«Le regretté Philippe Muray [romancier et philosophe, auteur de L’empire du bien, ndlr] parlait “d’envie du pénal”, comme Freud parlait “d’envie du pénis”. La mise à l’index conduit à la mise au tribunal», estime Claude Chollet.

Cette volonté de jeter en pâture à laquelle s’adonnent médias et réseaux sociaux porte même un nom: «La société de surveillance», conclut-il.




Greg Hunter: « Le gouvernement Us est illégitime ! Leur mise en accusation de Trump va leur éclater en pleine Gueule… L’économie américaine est ravagée ! »

[Source : BusinessBourse]

Greg Hunter : « Les démocrates et les républicains veulent que les électeurs de Trump, et cela inclut de nombreux démocrates, disent publiquement que Joe Biden a remporté légitimement les élections de 2020, même si les preuves ainsi que les chiffres démontrent tout le contraire. Mais pourquoi ? Est-ce parce que cette fraude a été si énorme qu’il faut absolument la faire disparaître par tous les moyens ? ou alors est-ce que le Deep State veut vraiment qu’on arrête de douter sur le fait que l’administration Biden soit arrivée au pouvoir légitimement alors qu’il y a beaucoup de personnes aux Etats-Unis qui pensent, en réalité, tout le contraire. J’ai l’impression que cette fraude en effet, a été si importante, qu’il y a de fortes chances que Trump puisse reprendre les rênes du pays un jour ou l’autre. Qui sait, il y a beaucoup de choses étranges qui se passent aujourd’hui dans notre capitale et franchement, on n’avait encore jamais vu ça auparavant. Nous vivons à une époque extrêmement intéressante et surprenante. C’est la seule chose que l’on puisse dire avec certitude…

Les démocrates et certains républicains ont voté pour tenter de destituer le président Trump une seconde fois, et cette accusation est encore plus tordue que la précédente. Ils disent que ses affirmations sur l’énorme fraude électorale qui s’est produite dans toue l’Amérique lors des élections de 2020 sont fausses. Jusqu’à maintenant, pas un seul tribunal, y compris la Cour suprême, n’a entendu ou analysé les preuves. C’est un fait absolument stupéfiant. Sachez que plus de 40 affaires ont été déposées et immédiatement refusées. Il y a quatre autres affaires en suspens devant la Cour suprême des Etats-Unis. Une fois de plus, elles ont été rejetées sans avoir été entendues et sans analyser les moindres preuves. Avec la mise en accusation à la Chambre et le procès au Sénat, le président Donald Trump pourra enfin s’expliquer devant les tribunaux. Ce sera pour lui l’occasion de montrer toutes les preuves de cette incroyable fraude électorale. Cette mise en examen va certainement faire exploser la vérité et va également se retourner contre les démocrates. Espérons que la plupart des américains vont enfin voir et comprendre grâce aux preuves, ce qui s’est réellement passé lors de ces élections présidentielles.

Il y a eu 847 000 nouvelles demandes d’allocation chômage déposées cette semaine. C’est effectivement un chiffre hallucinant et avec l’administration Biden, je peux vous dire que ce genre de chiffres ne vont que s’accentuer avec le temps. Nous le savons tous, l’économie américaine est malade et s’effondre progressivement jour après jour, mais avec les différentes politiques menées par Joe Biden et tous ses clowns, la situation économique de notre pays va s’aggraver comme jamais. »






Tranquillement le ministre de la santé québécois : « On a hâte de commencer à vacciner pour éliminer nos personnes vulnérables »

[Source : Guy Fawkes News]

Cet extrait est issu de cette conférence de presse à 57:00. 
Non seulement le ministre n’a pas corrigé sa déclaration, mais personne ne lui a faite remarquer. C’est passé comme une lettre à la poste.


Autre source :

https://youtu.be/rq-Djg7pk_E



Discours de Vladimir Poutine au forum de Davos 2021 – L’homme ne doit pas être un moyen, mais un but de l’économie

[Source : Donbass Insider]

Le Président russe Vladimir Poutine a participé à distance au Forum annuel de Davos, qui a lieu cette année du 25 au 29 janvier 2021. Cette année, le principal sujet de discussion est la nouvelle situation mondiale suite à la pandémie de coronavirus. Vladimir Poutine a réitéré ses déjà nombreux appels à la coopération internationale pour résoudre les problèmes les plus graves, mais aussi à résoudre le problème du creusement des inégalités sociales dans le monde, afin d’éviter que les tensions que créent ces inégalités ne finissent pas déboucher sur une instabilité et un conflit globaux. Il parle aussi des dangers que peut représenter le passage au tout robotique et informatique ainsi que le poids excessif de certaines sociétés numériques dans la vie politique des États.


Cher M. Schwab, cher Klaus ! Chers collègues !

J’ai assisté à de nombreux événements organisés par M. Schwab dans les années 90. Klaus vient de se rappeler que nous nous sommes rencontrés en 1992. Au cours de mon travail à Saint-Pétersbourg, j’ai assisté à plusieurs reprises à ce forum consultatif. Je tiens à vous remercier pour l’occasion qui m’est donnée aujourd’hui d’apporter mon point de vue à la communauté des experts, qui se réunit sur cette plateforme mondialement reconnue grâce aux efforts de M. Schwab.

Tout d’abord, Mesdames et Messieurs, je tiens à vous souhaiter à tous la bienvenue au Forum économique mondial.

Il est agréable de constater que cette année, malgré la pandémie, malgré toutes les restrictions, le forum poursuit encore ses travaux. Bien qu’il soit en ligne, il fonctionne toujours et donne aux participants l’occasion de partager leurs évaluations et leurs prévisions dans le cadre d’une discussion ouverte et libre, ce qui compense en partie le manque de communication directe entre les dirigeants, les représentants des entreprises mondiales et le public, qui s’est accumulé au cours des derniers mois. Tout cela est important à un moment où nous avons tant de questions difficiles auxquelles il faut répondre.

Le forum de cette année est le premier de la troisième décennie du XXIe siècle, et la plupart de ses thèmes portent, bien sûr, sur les profonds changements qui se produisent sur la planète.

En effet, il est difficile de ne pas remarquer des transformations fondamentales dans l’économie, la politique, la vie sociale et la technologie mondiales. La pandémie de coronavirus que Klaus vient de mentionner, et qui est devenue un sérieux défi pour l’ensemble de l’humanité, n’a fait que stimuler et accélérer les changements structurels, dont les conditions préalables étaient déjà réunies depuis longtemps. La pandémie a exacerbé les problèmes et les déséquilibres accumulés jusqu’alors dans le monde. Il y a tout lieu de croire qu’il existe des risques d’escalade des conflits. Et ces tendances peuvent se manifester pratiquement dans tous les domaines.

Bien sûr, il n’y a pas de parallèles directs dans l’histoire. Mais certains experts – je respecte leur opinion – comparent la situation actuelle avec les années 30 du siècle dernier. Vous pouvez être d’accord ou non avec cette situation. Mais à de nombreux égards, en termes d’ampleur et de nature complexe et systémique des défis et des menaces potentielles, certaines analogies sont néanmoins justifiées.

Nous assistons à une crise des modèles et des outils de développement économique antérieurs. La stratification sociale s’intensifie, tant au niveau mondial que dans les différents pays. Nous en avons déjà parlé. Mais cela entraîne à son tour une forte polarisation de l’opinion publique, provoque la croissance du populisme, du radicalisme de droite et de gauche et d’autres extrêmes, et aggrave et exacerbe les processus politiques internes, y compris dans les pays leaders.

Tout cela affecte inévitablement la nature des relations internationales et n’y apporte ni stabilité ni prévisibilité. Les institutions internationales s’affaiblissent, les conflits régionaux se multiplient et le système de sécurité mondial se dégrade.

Klaus a mentionné ma conversation d’hier avec le président des États-Unis et l’extension du traité sur la limitation des armes stratégiques. C’est certainement un pas dans la bonne direction. Néanmoins, les conflits se multiplient, comme on dit. Comme on le sait, l’incapacité et le manque de volonté de résoudre en substance de tels problèmes au XXe siècle ont conduit à la catastrophe de la Seconde Guerre mondiale.

Bien sûr, un tel conflit mondial « brûlant » est désormais, je l’espère, impossible, en principe. Je l’espère vraiment. Cela signifierait la fin de la civilisation. Mais, là encore, la situation peut évoluer de manière imprévisible et incontrôlable. Si, bien sûr, rien n’est fait pour l’empêcher. Il est possible que nous devions faire face à un véritable bouleversement du développement mondial, avec une lutte de tous contre tous, avec des tentatives de résoudre les conflits latents par la recherche d’ennemis « internes » et « externes », avec la destruction non seulement des valeurs traditionnelles (que nous chérissons en Russie), telles que la famille, mais aussi des libertés fondamentales, y compris le droit au choix et à la vie privée.

Permettez-moi de noter ici que la crise sociale et de valeurs se transforme déjà en conséquences démographiques négatives, à cause desquelles l’humanité risque de perdre des continents civilisationnels et culturels entiers.

Notre responsabilité commune aujourd’hui est d’éviter une telle perspective, semblable à une sinistre dystopie, pour assurer un développement sur une trajectoire différente, positive, harmonieuse et créative.

À cet égard, je m’attarderai sur les principaux défis auxquels, à mon avis, la communauté mondiale est actuellement confrontée.

Le premier est d’ordre socio-économique.

Oui, à en juger par les statistiques, même en dépit des crises profondes de 2008 et 2020, la période des quarante dernières années peut être qualifiée de succès, voire de super succès pour l’économie mondiale. Le PIB mondial en parité de pouvoir d’achat a doublé en termes réels par habitant depuis 1980. C’est assurément une évolution positive.

La mondialisation et la croissance intérieure ont entraîné une forte reprise dans les pays en développement, permettant à plus d’un milliard de personnes de sortir de la pauvreté. Ainsi, si l’on prend un niveau de revenu de 5,5 dollars par personne et par jour (à parité de pouvoir d’achat), la Banque Mondiale estime qu’en Chine, par exemple, le nombre de personnes à faible revenu est passé de 1,1 milliard en 1990 à moins de 300 millions ces dernières années. C’est assurément un succès pour la Chine. Et en Russie, de 64 millions de personnes en 1999 à environ 5 millions aujourd’hui. Et nous pensons qu’il s’agit également d’un progrès dans notre pays dans la direction principale, soit dit en passant.

Néanmoins, la question principale, dont la réponse permet dans une large mesure de comprendre les problèmes actuels, est de savoir quelle était la nature de cette croissance mondiale, qui en a le plus profité.

Bien sûr, comme je l’ai déjà dit, à bien des égards, les pays en développement ont bénéficié de la demande croissante pour leurs produits traditionnels et même pour de nouveaux produits. Cependant, cette intégration dans l’économie mondiale n’a pas seulement eu pour résultat des emplois et des recettes d’exportation. Mais aussi des coûts sociaux. Y compris un écart important dans les revenus des citoyens.

Qu’en est-il des économies développées, où le niveau moyen de richesse est beaucoup plus élevé ? Aussi paradoxal que cela puisse paraître, les problèmes de stratification ici dans le monde développé ont été encore plus profonds. La Banque Mondiale estime que si 3,6 millions de personnes vivaient avec moins de 5,50 dollars par jour aux États-Unis en 2000, elles étaient 5,6 millions en 2016.

Au cours de la même période, la mondialisation a entraîné une augmentation significative des profits des grandes multinationales, principalement des entreprises américaines et européennes.

D’ailleurs, en ce qui concerne les citoyens, la tendance dans les économies développées de l’Europe est la même qu’aux États-Unis.

Mais encore une fois, quand il s’agit des bénéfices des entreprises, qui en profite ? La réponse est connue, elle est évidente – un pour cent de la population.

Et que s’est-il passé dans la vie du reste des gens ? Au cours des 30 dernières années, dans certains pays développés, le revenu de plus de la moitié des citoyens en termes réels a stagné, n’a pas augmenté. Mais le coût de l’éducation et des services de santé a augmenté. Et savez-vous de combien ? Trois fois.

Cela signifie que des millions de personnes, même dans les pays riches, n’ont pas vu la perspective d’une augmentation de leurs revenus. Et ils doivent faire face à plusieurs problèmes, comment se maintenir et maintenir leurs parents en bonne santé, comment offrir aux enfants une éducation de qualité.

Il y a aussi une accumulation de personnes qui, en fait, ne sont pas employées. Par exemple, l’Organisation internationale du travail estime qu’en 2019, 21 % des jeunes du monde, soit 267 millions de personnes, n’ont ni étudié ni travaillé nulle part. Et même parmi les actifs (voici un chiffre intéressant, des chiffres intéressants), même parmi les actifs, 30 % vivent avec des revenus inférieurs à 3,2 dollars par jour à parité de pouvoir d’achat.

Ces distorsions du développement socio-économique mondial sont le résultat direct des politiques menées dans les années 1980, souvent de manière grossière et dogmatique. Ces politiques étaient basées sur le soi-disant « consensus de Washington ». Avec ses règles non écrites, donnant la priorité à une croissance économique basée sur la dette privée avec une déréglementation et des impôts peu élevés sur les riches et les entreprises.

Comme je l’ai dit, la pandémie de coronavirus n’a fait qu’exacerber ces problèmes. L’année dernière, la chute de l’économie mondiale a été la plus importante depuis la Seconde Guerre mondiale. En juillet, les pertes sur le marché du travail équivalaient à près de 500 millions d’emplois. Oui, la moitié d’entre eux avaient été récupérés à la fin de l’année. Mais cela représente tout de même près de 250 millions d’emplois perdus. C’est un chiffre important et très alarmant. Rien qu’au cours des neuf premiers mois de l’année dernière, les pertes de revenus du travail dans le monde se sont élevées à 3,5 trillions de dollars. Et ce chiffre ne cesse de croître. Cela signifie que les tensions sociales sont en hausse.

Dans le même temps, la reprise après la crise n’est pas facile. Si, il y a 20 ou 30 ans, le problème pouvait être résolu en stimulant la politique macroéconomique (et c’est d’ailleurs ce qu’ils font encore), aujourd’hui, de tels mécanismes sont pratiquement épuisés, ils ne fonctionnent pas. Leurs ressources sont pratiquement épuisées. Ce n’est pas une affirmation infondée de ma part.

Ainsi, selon les estimations du FMI, le niveau de la dette agrégée des secteurs public et privé est proche de 200 % du PIB mondial. Et dans certaines économies, il a dépassé 300 % du PIB national. Pendant ce temps, les taux d’intérêt sont proches de zéro dans les économies développées. Et dans les principales économies émergentes, ils sont à des niveaux historiquement bas.

[NdNM : la dette auprès des banques privées était déjà irremboursable depuis au moins quelques décennies. Que se passe-t-il habituellement lorsqu’un prêteur sur gages ne se fait pas rembourser par un joueur malavisé qui a tout perdu au Casino ? Il envoie ses gros bras ! Ces derniers finissent généralement par se faire rembourser d’une manière ou d’une autre, éventuellement en accaparant certains de ses biens matériels, ou bien en tuant l’imprudent. Que risquent de faire les actionnaires des banques centrales à l’occasion de la Grande Réinitialisation ? Il y a de fortes chances qu’ils ordonnent à leurs hommes de paille de saisir une partie importante des possessions nationales des nations endettées : terrains, bâtiments, entreprises… et même le bétail humain qui deviendra leur esclave. L’alternative serait une guerre mondiale permettant la liquidation d’une bonne partie de la population.

Voir aussi :
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation,
Pour tous ceux qui veulent éviter de se laisser formater par le modèle du Forum Économique Mondial selon une «Grande réinitialisation» censée être induite par le coronavirus,
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19,
Du confinement à la Grande réinitialisation,
Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0,
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux,
La mort de la propriété privée,
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme,
Great reset : c’est pour bientôt !,
La mondialisation… en marche — 9 alertes rouges,
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
• et Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »]

Tout cela rend la stimulation de l’économie par les outils traditionnels au détriment de l’augmentation des prêts privés pratiquement impossible. L’assouplissement dit quantitatif, qui ne fait qu’augmenter, gonfle la « bulle » de la valeur des actifs financiers et conduit à une stratification supplémentaire de la société. Et l’écart croissant entre l’économie « réelle » et « virtuelle » (d’ailleurs, j’en entends souvent parler par les représentants de l’économie réelle de nombreux pays, et je pense que les participants à la réunion d’aujourd’hui issus du monde des affaires seront également d’accord avec moi) est une menace réelle, porteuse de chocs graves et imprévisibles.

Certains espoirs de pouvoir « redémarrer » l’ancien modèle de croissance sont liés à la rapidité du développement technologique. En effet, les 20 dernières années ont jeté les bases de ce que l’on appelle la quatrième révolution industrielle, qui repose sur l’utilisation généralisée de l’intelligence artificielle, des solutions automatisées et de la robotique. La pandémie de coronavirus a considérablement accéléré ces développements et leur mise en œuvre.

Cependant, ce processus génère de nouveaux changements structurels, je pense tout d’abord au marché du travail. Cela signifie que sans une action gouvernementale efficace, de nombreuses personnes courent le risque d’être au chômage. Et c’est souvent ce qu’on appelle la classe moyenne. Or c’est la base de toute société moderne.

Et cela est lié au deuxième défi fondamental de la décennie à venir – le défi sociopolitique. La croissance des problèmes économiques et des inégalités divise la société, génère l’intolérance sociale, raciale et ethnique, et cette tension éclate même dans les pays dont les institutions civiles et démocratiques apparemment bien établies sont conçues pour aplanir et réprimer ces phénomènes et ces excès.

Les problèmes socio-économiques systémiques génèrent un tel mécontentement du public qu’ils nécessitent une attention particulière, qu’ils exigent que ces problèmes soient résolus de manière concrète. La dangereuse illusion qu’ils peuvent être ignorés, négligés, mis sur le côté est lourde de conséquences. Dans ce cas, la société sera toujours divisée, tant politiquement que socialement. Parce que pour les gens, les raisons d’être mécontents ne sont en fait pas des spéculations, mais de véritables problèmes qui concernent tout le monde, quelles que soient les opinions, y compris politiques, auxquelles on n’adhère. Ou auxquelles on pense tenir. Et ce sont les vrais problèmes qui génèrent le mécontentement.

Je voudrais souligner un autre point fondamental. Les géants technologiques modernes et, surtout, numériques ont commencé à jouer un rôle de plus en plus important dans la société. On en parle beaucoup aujourd’hui, notamment en relation avec les événements qui se sont déroulés aux États-Unis pendant la campagne électorale. Et ce ne sont plus des géants économiques quelconques ; dans certains domaines, ils sont en concurrence de facto avec les États. Leur audience se chiffre en milliards d’utilisateurs qui passent une partie importante de leur vie au sein de ces écosystèmes.

Du point de vue des entreprises elles-mêmes, leur position de monopole est optimale pour organiser les processus technologiques et commerciaux. C’est peut-être juste, mais le public se pose une question : dans quelle mesure un tel monopole correspond-il exactement à l’intérêt public ? Où se situe la limite entre le succès des entreprises mondiales, les services et les prestations demandés, la consolidation des données personnelles et les tentatives de gérer grossièrement, à sa guise, la société, de se substituer aux institutions démocratiques légitimes, en fait, d’usurper ou de limiter le droit naturel des gens à décider eux-mêmes comment vivre, quoi choisir, quelle position exprimer librement ? Nous l’avons tous vu récemment aux États-Unis, et tout le monde comprend ce dont je parle maintenant. Je suis sûr que la grande majorité des gens partagent cette position, y compris ceux qui participent à la conférence avec nous aujourd’hui.

Enfin, le troisième défi, ou plus précisément la menace évidente à laquelle nous pourrions être confrontés au cours de la prochaine décennie, est une nouvelle aggravation de l’ensemble des problèmes internationaux. Après tout, les problèmes socio-économiques intérieurs non résolus et croissants peuvent nous inciter à chercher un responsable pour tous les problèmes et à rediriger l’irritation et le mécontentement de nos citoyens. Et nous pouvons déjà le voir, nous pouvons sentir que le niveau de la politique étrangère, de la rhétorique de propagande augmente. Nous pouvons nous attendre à ce que la nature des actions concrètes devienne plus agressive, y compris la pression sur les pays qui ne sont pas d’accord avec le rôle de satellites obéissants et dirigés, l’utilisation de barrières commerciales, les sanctions illégitimes et les restrictions dans les sphères financières, technologiques et de l’information.

Ce jeu sans règles augmente de manière critique les risques d’utilisation unilatérale de la force militaire – c’est-à-dire le danger du recours à la force sous n’importe quel prétexte farfelu. Il multiplie la probabilité de nouveaux « points chauds » sur notre planète. C’est un tout qui ne peut que nous inquiéter.

Dans le même temps, chers participants au Forum, malgré un tel enchevêtrement de contradictions et de défis, nous ne devons certainement pas perdre notre vision positive de l’avenir et devons rester engagés dans un programme constructif. Il serait naïf de suggérer quelques remèdes miracles universels pour les problèmes évoqués. Mais nous devons tous essayer d’élaborer des approches communes, rapprocher nos positions le plus possible et identifier les sources de tensions mondiales.

Je voudrais répéter ma thèse : la cause fondamentale de l’insoutenabilité du développement mondial est, dans une large mesure, l’accumulation des problèmes socio-économiques. Par conséquent, la question clé aujourd’hui est de savoir comment élaborer la logique des actions afin non seulement de restaurer rapidement les économies et les secteurs mondiaux et nationaux touchés par la pandémie, mais aussi de garantir que cette restauration soit durable à long terme et ait une structure qualitative qui aide à surmonter le poids des déséquilibres sociaux. Il est clair que, compte tenu des contraintes de politique macroéconomique déjà mentionnées, la poursuite du développement économique dépendra davantage de la relance budgétaire, les budgets des gouvernements et les banques centrales jouant un rôle clé.

En fait, nous observons déjà de telles tendances dans les pays développés, et dans certains pays en développement également. Le rôle croissant des États dans la sphère socio-économique au niveau national exige évidemment une plus grande responsabilité et une coopération interétatique étroite sur l’agenda mondial également. Dans divers forums internationaux, on peut entendre des appels constants à une croissance inclusive, à la création de conditions permettant d’atteindre un niveau de vie digne pour chaque personne. C’est la bonne chose à faire, et notre travail commun va absolument dans la bonne direction.

Il est absolument clair que le monde ne peut pas s’engager sur la voie de la construction d’une économie qui fonctionne pour un million de personnes ou même un « milliard doré ». C’est tout simplement une position destructrice. Un tel modèle est par définition non viable. Les événements récents, notamment les crises migratoires, l’ont confirmé une fois de plus.

Il importe maintenant de passer d’une déclaration générale à l’action, de diriger les ressources et les efforts réels pour parvenir à la fois à la réduction des inégalités sociales au sein des différents pays et à la convergence progressive du niveau de développement économique des différents pays et régions de la planète. Il n’y aura alors pas de crise migratoire.

Le sens, l’importance d’une telle politique, destinée à assurer un développement durable et harmonieux, est évident. Qu’est-ce que c’est ? C’est la création de nouvelles opportunités pour chacun, des conditions pour le développement et la réalisation du potentiel humain, indépendamment de l’endroit où il est né et vit.

Et je vais ici présenter quatre grandes priorités. Pourquoi je les considère comme des priorités. Peut-être que je ne dirai rien d’original. Néanmoins, puisque Klaus m’a permis d’exprimer la position de la Russie, ma position, je le ferai volontiers.

Premièrement. Une personne doit avoir un environnement de vie confortable. Il s’agit du logement et des infrastructures accessibles : transport, énergie, services publics. Et, bien sûr, le bien-être environnemental, il ne doit jamais être oublié.

Deuxièmement. Une personne doit être sûre qu’elle aura un emploi, qui lui procurera un revenu en constante augmentation et, par conséquent, un niveau de vie décent. Elle devrait avoir accès à des mécanismes efficaces d’apprentissage tout au long de la vie, aujourd’hui c’est absolument nécessaire, lui permettant de développer et de construire sa carrière, et après son achèvement d’obtenir une retraite et un paquet social décents.

Troisièmement. Une personne doit être sûre qu’elle recevra des soins médicaux efficaces et de qualité lorsqu’elle en aura besoin, que le système de soins de santé lui garantit en tout cas l’accès à un niveau moderne de services.

Quatrièmement. Quel que soit le revenu familial, les enfants doivent avoir la possibilité de recevoir une éducation décente et de réaliser leur potentiel. Chaque enfant a ce potentiel.

C’est la seule façon de garantir le développement le plus efficace de l’économie moderne. Une économie où l’homme n’est pas un moyen, mais un but. Et seuls les pays qui pourront progresser dans ces quatre domaines (ils ne sont pas exhaustifs, je n’ai dit que l’essentiel), mais seuls les pays qui pourront progresser au moins dans ces quatre domaines, assureront un développement durable et inclusif.

Ce sont les approches qui sont au cœur de la stratégie que mon pays, la Russie, met également en œuvre. Nos priorités s’articulent autour de l’individu, de sa famille, et visent le développement démographique et la préservation de la nation, l’amélioration du bien-être des personnes et la protection de leur santé. Nous nous efforçons de créer les conditions d’un travail digne et efficace et d’un entrepreneuriat réussi, afin d’assurer la transformation numérique comme base du mode technologique de l’avenir de tout le pays, plutôt que d’un groupe étroit d’entreprises.

Nous voulons concentrer les efforts du gouvernement, des entreprises et de la société civile sur ces tâches et mettre en place une politique budgétaire stimulante dans les années à venir.

Nous sommes ouverts à la coopération internationale la plus large possible pour atteindre nos objectifs nationaux de développement et nous pensons qu’une coopération sur l’agenda socio-économique mondial aurait un impact positif sur l’atmosphère générale des affaires mondiales également, tandis qu’une interdépendance dans le traitement des questions urgentes acttuelles ajouterait à la confiance mutuelle, ce qui est particulièrement important et urgent de nos jours.

De toute évidence, l’ère associée aux tentatives de construction d’un ordre mondial centralisé et unipolaire, cette époque est révolue. En fait, elle n’a même pas encore commencé. Seule une tentative a été faite dans ce sens. Mais cela aussi est passé. Un tel monopole était tout simplement intrinsèquement contraire à la diversité culturelle et historique de notre civilisation.

La réalité est que différents pôles de développement avec leurs propres modèles originaux, systèmes politiques et institutions sociales ont émergé dans le monde et se sont fait connaître. Et aujourd’hui, il est extrêmement important de construire des mécanismes de coordination de leurs intérêts, afin que la diversité et la concurrence naturelle des pôles de développement ne se transforment pas en anarchie et en une série de conflits prolongés.

À cette fin, nous devons notamment travailler au renforcement et au développement des institutions universelles qui ont une responsabilité particulière pour assurer la stabilité et la sécurité dans le monde et pour élaborer les règles de conduite de l’économie mondiale et du commerce.

J’ai déjà déclaré plus d’une fois que beaucoup de ces institutions traversent des moments difficiles. Nous en parlons constamment lors de différents sommets. Bien sûr, ces institutions ont été créées à une autre époque, c’est clair. Il peut être objectivement difficile pour elles de relever les défis d’aujourd’hui. Toutefois, je voudrais souligner que ce n’est pas une raison pour les rejeter, sans rien offrir à la place. D’autant plus que ces structures ont une expérience unique et un grand potentiel, largement inexploité. Il ne fait aucun doute qu’elles doivent être soigneusement adaptées aux réalités actuelles. Mais il est encore trop tôt pour les jeter à la poubelle de l’histoire. Nous devons travailler avec elles et les utiliser.

Parallèlement, il est bien sûr important d’utiliser des formats d’interaction nouveaux et supplémentaires. Je fais ici référence au phénomène du multilatéralisme. Bien sûr, il peut aussi être compris de différentes manières. Il peut s’agir soit de faire valoir ses intérêts, en donnant un semblant de légitimité aux actions unilatérales alors que les autres n’ont qu’à hocher la tête pour approuver. Ou bien il s’agit d’une véritable unification des efforts des États souverains pour résoudre des problèmes spécifiques dans l’intérêt commun. Dans ce cas, nous pouvons parler du règlement des conflits régionaux, de la création d’alliances technologiques et de nombreux autres domaines, y compris la formation de couloirs transfrontaliers de transport et d’énergie, etc.

Chers amis, Mesdames et Messieurs !

Vous comprenez qu’il existe un vaste champ de travail commun. De telles approches multilatérales fonctionnent vraiment. La pratique montre qu’elles fonctionnent. Permettez-moi de vous rappeler que dans le cadre du format Astana, la Russie, l’Iran et la Turquie font beaucoup pour stabiliser la situation en Syrie et aident maintenant à établir un dialogue politique en Syrie. Bien sûr, avec d’autres pays. Nous le faisons ensemble. Et ce n’est généralement pas sans succès, je tiens à le souligner.

Par exemple, la Russie a entrepris des efforts de médiation actifs pour mettre fin au conflit armé dans la région du Haut-Karabakh, dans lequel les peuples et les États proches de nous – l’Azerbaïdjan et l’Arménie – ont été impliqués. Dans le même temps, nous avons cherché à suivre les principaux accords conclus au sein du groupe de Minsk de l’OSCE, en particulier entre ses coprésidents – la Russie, les États-Unis et la France. C’est également un très bon exemple de coopération.

Comme vous le savez, une déclaration trilatérale entre la Russie, l’Azerbaïdjan et l’Arménie a été signée en novembre. Et il est important qu’elle soit, dans l’ensemble, mise en œuvre de manière cohérente. Nous avons réussi à arrêter le bain de sang. C’est la chose la plus importante. Nous avons réussi à arrêter l’effusion de sang, à obtenir un cessez-le-feu complet et à entamer le processus de stabilisation.

La communauté internationale et, sans aucun doute, les pays impliqués dans la résolution de la crise doivent maintenant aider les zones touchées à relever les défis humanitaires que sont le retour des réfugiés, la reconstruction des infrastructures détruites et la protection et la restauration des monuments historiques, religieux et culturels.

Ou un autre exemple. Je voudrais souligner le rôle de la Russie, de l’Arabie saoudite, des États-Unis et d’un certain nombre d’autres pays dans la stabilisation du marché mondial de l’énergie. Ce format est devenu un exemple productif d’interaction entre des pays ayant des points de vue différents, parfois même complètement opposés, sur les processus mondiaux et leurs propres visions du monde.

Dans le même temps, bien sûr, il y a des problèmes qui concernent tous les États sans exception. La coopération dans l’étude et le contrôle de la pandémie de coronavirus en est un exemple. Récemment, plusieurs variantes de ce que l’on sait être une maladie dangereuse ont fait leur apparition. Et la communauté internationale doit créer les conditions permettant aux scientifiques et aux spécialistes de travailler ensemble pour comprendre pourquoi et comment les mutations du coronavirus se produisent et comment les différentes souches diffèrent les unes des autres. Et bien sûr, nous devons coordonner les efforts du monde entier, comme l’a demandé le secrétaire général de l’ONU et comme nous l’avons demandé lors du sommet du G20 il n’y a pas si longtemps, afin d’unir et de coordonner les efforts du monde entier pour lutter contre la propagation de la maladie et accroître la disponibilité des vaccins contre le coronavirus dont nous avons tant besoin. Nous devons aider les nations qui ont besoin de soutien, y compris les nations africaines. Je parle de l’intensification des tests et de la vaccination. Nous constatons que la vaccination de masse est désormais accessible principalement aux citoyens des pays développés. Alors que des centaines de millions de personnes dans le monde n’ont même pas l’espoir de bénéficier d’une telle protection. Dans la pratique, cette disparité peut représenter une menace générale, car, comme on le sait et comme on l’a dit à maintes reprises, l’épidémie continuera à se prolonger et des poches incontrôlables persisteront. Elle n’a pas de frontières.

Il n’y a pas de frontières pour les infections et les pandémies. Nous devons donc tirer les leçons de la situation actuelle et proposer des mesures visant à accroître l’efficacité du système de surveillance de l’apparition de ces maladies dans le monde et de l’évolution de ces situations.

Un autre domaine important dans lequel nous devons coordonner notre travail, voire celui de la communauté internationale dans son ensemble, est la protection du climat et de la nature de notre planète. Je ne vais rien dire de nouveau ici non plus.

Ce n’est qu’ensemble que nous pourrons progresser dans la résolution de problèmes aussi graves que le réchauffement climatique, la déforestation, la perte de biodiversité, l’augmentation des déchets, la pollution des océans par les plastiques, etc, et trouver le meilleur équilibre entre les intérêts du développement économique et la préservation de l’environnement pour les générations actuelles et futures.

Chers participants du forum ! Chers amis !

Nous savons tous que la concurrence, la rivalité entre les pays dans l’histoire du monde n’a pas cessé, ne cesse pas et ne cessera jamais. En fait, les divergences et les conflits d’intérêts sont aussi une chose naturelle pour un organisme aussi complexe que la civilisation humaine. Toutefois, à des moments critiques, cela ne nous a pas empêchés, mais au contraire, nous a encouragés à unir nos efforts dans les directions les plus importantes et les plus décisives. Et il me semble que nous vivons précisément une telle époque.

Il est très important d’évaluer honnêtement la situation, de se concentrer non pas sur des problèmes mondiaux imaginaires mais bien réels, d’éliminer les déséquilibres qui sont d’une importance capitale pour l’ensemble de la communauté internationale. Et alors, j’en suis sûr, nous pourrons réussir, relever les défis de la troisième décennie du XXIe siècle avec dignité.

J’aimerais terminer ici et vous remercier pour votre patience et votre attention.

Merci beaucoup.

Vladimir Poutine

Source : Site officiel du Kremlin

Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider




La Troïka Kinsey, Rockefeller et Cia, ou le Mal au service du Nouvel ordre mondial

[Source : Marion Sigaut – Officiel]

Dévouée depuis quarante ans à la défense des enfants contre la pieuvre pédo-sadique, Judith Reisman nous livre sa dernière analyse des liens entre la révolution sexuelle, la philanthropie des Rockefeller et les manipulations de la CIA. Ou la collusion entre la dépravation sexuelle, la science sans conscience et les services secrets. Terrifiant.

[Voir aussi une présentation écrite sur Strategika]




Les esclaves ne sont pas libérés plus vite parce qu’ils obéissent mieux

[Source : breizh-info.com]

[Sur la photo :
Covid–1984 est une histoire de couverture
Le cartel médical vous ment
Le cartel médiatique vous ment
Bill Gates vous ment
Le totalitarisme est le véritable virus
et il tue nos libertés
]

Covid-1984 (Telegram) : « Dans l’Histoire du monde, je n’ai pas souvenir que des esclaves aient été libérés plus vite parce qu’ils obéissaient mieux » [Interview]

Sur le canal Telegram, dont nous vous avons expliqué le process récemment, on trouve énormément de chaines qui diffusent du contenu de qualité (voir notre liste mise à jour ici). Parmi elles, Covid-1984 (http://t.me/ReOpenCovid1984) où l’on trouve énormément d’informations — qui ne seront pas communiquées par les médias de grand chemin — au sujet de la crise sanitaire et des politiques mises en place pour asservir les populations au prétexte de les soigner.

Nous avons rencontré l’animateur de la chaîne, qui souhaite rester anonyme et qui a répondu à quelques-unes de nos questions.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a amené à lancer la chaine telegram covid 1984 ?

Covid-1984 (Telegram) : Dès le 1er février, j’ai posé des questions sur cette « pandémie » de chauve-souris mal cuite à l’un de mes oncles, médecin généraliste à la retraite (40 ans de médecine de ville à Paris, 20 ans externe attaché à l’APHP, notamment en réanimation digestive, et qui a travaillé sur le VIH), pour essayer de comprendre ce qu’il en était vraiment et si, réellement et comme on commençait à nous le faire croire, nous allions tous en mourir.

Ses réponses m’ont fait beaucoup sourire et m’ont amené ensuite à passer des heures et des heures à me renseigner, à croiser des sources, à analyser la situation, à interroger d’autres médecins, des infirmières, et je suis vite arrivé à la conclusion qu’on se foutait totalement de notre tronche.

Du coup, dès le mois de mars, j’ai essayé d’apporter quelques informations alternatives sur Facebook ou sur des groupes de discussion privés, parce que je voyais bien où tout cela allait nous mener. J’ai évidemment pris une volée de bois vert, y compris de la part de camarades pourtant formés politiquement, mais j’ai continué, semaine après semaine, mois après mois.

Le problème de Facebook, c’est la visibilité relative (je ne partageais pas en public) et les commentaires sans fin de ceux qui, n’ayant pas pris la peine de bosser un minimum le sujet, viennent expliquer qu’il faut continuer à faire confiance au gouvernement et que les mesures imposées ne sont pas si graves. Comme le résume très bien Florian Philippot, qui fait un gros boulot sur le sujet, quand on rentre dans l’état d’esprit covidiste, on peut toujours trouver une justification aux privations de liberté.

Cela m’a fatigué et j’ai opté pour une chaîne sur le réseau Telegram, ce qui me permet de relayer les informations et analyses sans gaspiller du temps et de l’énergie à répondre aux commentaires. Cela fonctionne assez bien, je crois que la chaîne compte près de 800 abonnés à ce jour et certaines de mes publications ont été vues plus de 2 500 fois. Ce qui est pas mal, mais évidemment trop peu.

Breizh-info.com : Le maire d’Eindhoven (Pays-Bas) a évoqué la possibilité d’une guerre civile en Europe du fait des restrictions, qualifiant les opposants aux mesures sanitaires de « lie » de la société. Qu’en dites-vous ?

Covid-1984 (Telegram) : La guerre civile qui vient et qui aura 15 minutes en retard, j’en entends parler depuis 30 ans.

Ce qui est vrai, en revanche, c’est que nous allons au-devant de cataclysmes sociaux et économiques majeurs, conséquence directe des confinements et des mesures liberticides, et que la seule réponse des gouvernements sera, comme toujours, d’envoyer la police (puis l’armée ?) sur les manifestants et de mâter tout ça en tirant dans le tas.

On a vu lors de l’épisode Gilets Jaunes. Je crains donc plus un massacre de population qui n’est pas armée (condition sine qua non pour parler de « guerre » civile), mais le nombre et le désespoir peuvent faire la différence.

Et cela pourrait vite très mal tourner.

En tout cas, en France comme ailleurs, nos gouvernants s’y préparent, il n’y a qu’à se pencher sur la mise en place de la troupe d’intervention rapide de « super CRS », créée pour intervenir sur les violences urbaines partout sur le territoire.

Notre cher Président nous avait prévenus : « Nous sommes en guerre ». Alors oui, nous sommes en guerre.

Mais pas contre un virus (qui se combat avec une politique de Santé cohérente, des diagnostics, des traitements et des soins, pas avec des masques en papier crépon et des couvre-feux). C’est une guerre ouverte entre les gouvernements, mandatés par quelques assassins psychopathes, et leurs peuples.

Quant à la posture de cet élu hollandais qui parle de la « lie de la société », quand on veut tuer son chien (ou son peuple), on dit qu’il a la rage, et on sait à quel point les mots aujourd’hui n’ont plus aucune valeur, dans des sociétés où règne l’inversion accusatoire.

Lorsqu’il finira pendu par le cul à un lampadaire, il sera un peu plus déférent.

Breizh-info.com : Il semblerait que nous allions tout droit vers un troisième confinement. Vous faites partie de ceux qui appellent les Français à sortir, dès le 1er février, pour quelles raisons ?

Covid-1984 (Telegram) : Déjà, parce que le confinement, contrairement à ce que nous affirmait péremptoirement notre cher Jérôme Salomon, ne sauve pas « une vie toutes les 8 minutes », mais ne sert à rien et pire, il tue.

Par l’absence de soin (les spécialistes ne consultaient pratiquement plus lors du premier confinement de mars 2020), par l’abandon des personnes âgées, par la non-prise en charge des problématiques médicales autres (cancers et pathologies cardiaques en tête).

Les pays qui ont imposé les mesures restrictives les plus strictes sont ceux qui ont connu et connaissent les surmortalités les plus importantes. À l’inverse, les pays qui n’ont presque pris aucune mesure ont des surmortalités très basses.

Ensuite, parce que c’est une privation de liberté absolument intolérable.

Je ne comprends même pas comment autant de mes concitoyens ont pu accepter de rester cloîtrés chez eux, par peur de choper une grippe ou une amende (alors que les attestations dérogatoires permettent d’aller et venir absolument où on veut et quand on veut). Certainement Étienne de La Boetie avait tristement raison quand il évoquait la servitude volontaire il y a près de 500 ans.

Dans l’Histoire du monde, je n’ai pas souvenir que des esclaves aient été libérés plus vite parce qu’ils obéissaient mieux. Alors quand j’entends l’argument du « Reste confiné deux semaines et on pourra revivre normalement », pardon, mais c’est stupide.

Surtout que c’est exactement l’inverse qui se passe depuis bientôt un an. Chaque mesure est une étape supplémentaire vers la soumission totale.

Et la désobéissance civile est une réponse à mon sens mesurée, radicale, non violente et efficace, qui consiste juste à dire : « Nous n’attendons plus votre autorisation pour revivre comme avant, nous vous avons fait confiance une fois, deux fois, maintenant c’est fini ».

Breizh-info.com : La majorité des Français semble toutefois pour les mesures sanitaires strictes. N’est-ce pas finalement aller à l’encontre de la volonté populaire ?

Covid-1984 (Telegram) : Je me méfie des sondages d’opinion. Même s’il est probable qu’une grande partie de la population vive encore dans la peur du virus ou dans la volonté de rester sous la tutelle de Macron et Véran (ou, plus précisément, de Bill Gates et Klaus Schwab), je ne sais pas si c’est réellement la majorité.

Beaucoup de Français commencent quand même à comprendre l’entourloupe.

Mais même si c’est le cas, que cette majorité reste chez elle, vive avec un masque toute la journée, se badigeonne de gel hydroalcoolique, qu’elle aille se faire piquer et qu’elle nous lâche la grappe. Si une majorité de mes concitoyens est hypocondriaque et mue par la trouille, ce n’est pas pour cela qu’elle a raison et que les gens sains d’esprit doivent faire comme elle.

La masse ne comprend pas toujours ce qui se passe.

Et je me réfère toujours à José Antonio Primo de Rivera dans ces cas-là :

« La révolution est l’œuvre d’une minorité résolue, inaccessible au découragement, d’une minorité dont la masse ne comprend pas les premiers mouvements parce que, victime d’une période de décadence, elle a perdu cette chose précieuse qu’est la lumière intérieure. »

Terrible d’actualité, non ?

Breizh-info.com : Comment s’y retrouver dans le flot d’informations, y compris alternatives, concernant la question du Covid-19 ? Comment éviter les pièges sur lesquels les « chasseurs de complotistes » sont prêts à se jeter ?

Covid-1984 (Telegram) : Déjà, il faut arrêter de croire (et c’est un travers du système démocratique) qu’un avis en vaut un autre.

À mon sens, il faut écouter les avis divergents pour se forger le sien, mais il faut être attentif à deux critères :

  • Quel est le CV de la personne qui me parle
  • Quels sont ses intérêts (officiels ou plus masqués)

Je prends un exemple simple.

Le Dr Louis Fouché a fait 11 ans d’études de médecine, 3 ans de DEA d’Éthique de la médecine ; après avoir fait un an de philosophie. Il est médecin réanimateur. Son métier est de soigner et de sauver des gens, toute la journée.

Il est clinicien et a les mains dans le cambouis, si je puis dire.

Le Dr Jérôme Salomon, dont je vous parlais déjà tout à l’heure, a exercé 5 ans seulement comme médecin. Le reste de sa carrière, il l’a passé derrière un bureau à gérer de la paperasse. Il est Directeur général de la Santé, il est donc fonctionnaire de l’État.

Il a été nommé à ce poste par Agnès Buzyn (oui, celle-là même), femme de Yves Lévy, qui accompagnait Bernard Cazeneuve lors de la cérémonie d’inauguration et d’accréditation du laboratoire P4 de Wuhan en Chine (ce même laboratoire dont se serait échappé le fameux virus, décidément le monde est petit).

Alors à votre avis, lequel des deux à un point de vue pertinent, rationnel et objectif ?

Lequel des deux veut réellement le bien des malades, et lequel fait le sale boulot pour le gouvernement ?

On pourrait renouveler cent fois l’expérience, en comparant Raoult, Perronne, Toussaint, Bricaire, Toubiana, avec Laurent Alexandre (chef d’entreprise qui n’a jamais exercé comme médecin), Blachier (il n’a jamais exercé non plus et fait de la projection mathématique), et même Olivier Véran (12 ans de neurologie), qui début mars et dans un éclair de lucidité nous expliquait que c’était le confinement qui permettait la propagation des épidémies grippales.

Sans parler des conflits d’intérêts de certains praticiens avec les laboratoires pharmaceutiques. La plupart des informations sont officielles et trouvables facilement, c’est édifiant.

Pour ce qui est des « chasseurs de complotistes », je crois qu’il ne faut pas s’en soucier. Et le meilleur moyen d’échapper à leurs pièges est de savoir de quoi on parle, d’avoir des sources fiables, de toujours vérifier plusieurs fois les informations.
Et d’arrêter de vouloir toujours se justifier.

De toute façon, à la fin, si vous allez à l’encontre de la doxa officielle, vous serez taxés de complotisme.

Il faut voir ça comme un hommage du vice à la vertu, une médaille plus qu’une insulte. Je rappelle d’ailleurs à ce propos que toutes les « théories du complot » de 2020 se sont finalement avérées exactes.

Breizh-info.com : Comment expliquez-vous la faculté d’accepter d’être réduits au silence et à la mort économique d’une large partie des restaurateurs, des gérants de discothèque, de ce pays. La France est tout de même un pays traditionnellement et historiquement contestataire, et même violent non ?

Covid-1984 (Telegram) : Parce que pour le moment, la plupart touchent des aides de l’État qui leur permettent de survivre. Aides financées par nos impôts, ce qui est un poil agaçant, vous en conviendrez.

Les petits meurent et sont isolés (je crois que 300 discothèques ont déjà déposé le bilan, et ça va continuer), les moyens survivent grâce à ces aides (et à des emprunts qu’ils ne pourront jamais rembourser), et les gros ont des trésoreries (et des aides) qui leur permettent de tenir jusqu’au moment où ils pourront racheter les petits (et au pire, ils licencient à tour de bras, comme le font certains grands hôtels parisiens).

En Italie, ou dans d’autres pays, ces aides ne sont jamais venues ou ont mis 6 mois à être versées. Raison pour laquelle le peuple est descendu plus spontanément dans la rue.

Malheureusement, dans de nombreux cas, c’était plus pour quémander des sous au papa État que pour réellement s’en affranchir et renverser la table.

Est-ce que cela va durer ? Le peuple va-t-il se laisser martyriser encore longtemps sans broncher ? J’en doute. En tout cas, il faudra ne pas rater l’occasion que nous avons de changer le cours de l’Histoire.

Breizh-info.com : Le mot de la fin ?

Covid-1984 (Telegram) : Nous vivons notre pire cauchemar.

Je suis militant politique depuis 1993, et tout ce que nous dénonçons depuis des décennies se met en place sous nos yeux. Chacun doit en avoir conscience, et admettre cette terrible réalité : il est possible que les gens qui nous gouvernent ne nous veulent pas du bien.

Quand on a compris et intégré cette donnée, il est plus facile d’opérer une juste sécession mentale et organique, et d’aller de l’avant. Nous sommes tous devons un choix terrible, celui de faire partie du problème, ou de faire partie de la solution.

Ou en d’autres termes, et puisque ce monde ne nous laisse pas le choix, de rester esclaves ou de devenir des hors-la-loi (ou, à minima, des renards furtifs).

Il est l’heure les amis. Réveillons-nous, battons-nous, avec force, courage, humilité et endurance.

Je vous donne rendez-vous à la Victoire !

Propos recueillis par YV

Crédit photo : wikipedia (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien

Par Dr Gérard Delépine

[Source : FranceSoir]

En Israël la mortalité Covid19 n’est pas nulle, mais a au contraire battu son record le 26 janvier !

La campagne médiatique glorifiant la campagne de vaccination israélienne sans s’intéresser à l’évolution de l’épidémie[1] nous oblige à revenir sur le sujet des contaminations et mortalité en Israël concomitants à la vaccination afin que nos lecteurs bénéficient d’une information équilibrée.

Une information mensongère

Un article du Parisien[2] signé J. Cl. m’a particulièrement interpellé en affirmant : « Zéro, zéro. Ces dernières 24 heures, Israël n’a dénombré aucune nouvelle contamination et aucun nouveau mort du coronavirus. » Qui a pu le renseigner aussi mal ?  A-t-il été trompé par un employé de Pfizer ? Il aurait dû vérifier ses informations parfaitement incompatibles avec les chiffres des dix jours précédents rappelés ci-après[3]. Ceci est particulièrement grave car les chaines de télévision ont diffusé ce même message, lui faisant probablement confiance.

Dans aucune épidémie de l’histoire ancienne et récente, n’a été observée en un jour une chute totale des contaminations de 4492 à zéro, ni de 79 décès à 0. L’invraisemblance de ces données aurait dû l’interpeller et justifier une vérification, règle d’or des journalistes d’enquête.

Un pari risqué

Le gouvernement israélien a réussi la prouesse de vacciner près de 3 millions de ses concitoyens en cinq semaines, mais a-t-il eu raison de les transformer si vite en cobayes ?

Du point de vue scientifique, c’est passionnant car il s’agit d’un essai thérapeutique phase 3 d’ampleur inégalée qui apportera les réponses aux questions auxquelles Pfizer n’a pas répondu par ses essais bâclés.

Mais d’un point de vue éthique et médical, c’est très discutable. L’association Médicale Mondiale dans la déclaration d’Helsinki rappelant les leçons de Nuremberg stipule qu’un traitement expérimental[4] ne doit être administré que s’il est susceptible de rendre un service personnel à celui qui le reçoit après une information loyale.

Or chez les moins de 45 ans sans comorbidité qui représente 70% des israéliens la balance avantages-risques ne peut être que défavorable ; en effet, à cet âge le risque naturel de la maladie est infime alors que des complications graves en particulier allergiques ont été observées et qu’on ne se sait toujours pas si le vaccin est susceptible d’empêcher les contaminations, ni s’il est capable de diminuer la mortalité. La surveillance serrée de l’épidémie en scrutant l’incidence des contaminations et de la mortalité après vaccination est donc capitale.

Et chez les personnes âgées à risques (qui sont extrêmement peu représentées dans les essais) les risques de complications vaccinales graves ont été mis en évidence par l’alerte lancée récemment par l’agence sanitaire norvégienne [5].

Il est difficile d’être Cassandre [6]

L’évolution inquiétante de l’épidémie observée depuis la vaccination d’après les données publiées par l’OMS m’avait amené à lancer un cri d’alarme[7], largement critiqué dans les médias et rapidement noyé dans une floppée d’articles vantant les succès de cette vaccination d’après les taux d’anticorps ou l’évolution favorable de petits groupes particuliers. Et ces journalistes n’ont pas paru s’intéresser à l’évolution de l’épidémie sur l’ensemble de la population. Or une campagne de vaccination a pour but d’empêcher la transmission de la maladie et de diminuer la mortalité dans la population. Ces deux critères sont les seuls pertinents.

Depuis la vaccination, d’après l’OMS[8], incidence et mortalité quotidiennes se sont envolées avec une incidence de nouveaux cas passée de 2792 le 20 décembre à 4924 le 25 janvier et une mortalité quotidienne passée de 18 le 20 décembre à 69 le 26/1 établissant ainsi le record absolu mensuel (plus de 1000 morts en un mois[9]) et journalier (69) depuis le début de l’épidémie.

Pourquoi les médias toujours prompts à diffuser des communiqués des services de communication des firmes ne s’intéressent plus aux faits objectifs publiés par l’OMS ? Se censurent-ils spontanément ou cèdent-ils aux pressions extérieures ?

Certes, on ne peut affirmer pour l’instant que la vaccination est seule responsable de cette flambée de la maladie. Il ne s’agit pour l’instant que d’une corrélation temporelle, mais d’un signal d’alarme fort.

Après examen du dossier remis à la FDA, Peter Doshi chargé de recherche sur les services de santé pharmaceutiques de l’Université du Maryland estime[10] : « l’efficacité réelle est beaucoup plus faible que celle affirmée jusqu’à présent, bien en dessous du seuil d’efficacité de 50 % fixé par les autorités réglementaires pour l’approbation”.

Or le risque d’une telle flambée après la première injection du vaccin Pfizer avait été précisément souligné par un communiqué de presse de l’Académie de Médecine du 11 janvier [11] :

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération.  Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

Ce même communiqué de presse attirait aussi l’attention sur le risque de favoriser des variants :

 « sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination ».

Nous espérons de tout cœur que les craintes que nous inspirent cette aggravation considérable de l’épidémie depuis la vaccination n’annoncent pas une catastrophe vaccinale et qu’après la deuxième injection, les choses s’amélioreront pour nos amis israéliens par l’infléchissement des courbes de contaminations et de mortalité.

Mais cette affaire montre qu’il est dangereux de jouer les apprentis sorciers et d’accélérer les mises sur le marché aux dépens de la sécurité sanitaire.

Auteur(s): Gérard Delépine pour FranceSoir


Notes

[1] https://www.rtl.fr/actu/international/coronavirus-en-israel-non-l-explosion-des-cas-ne-prouve-pas-l-inefficacite-du-vaccin-7800959556.

[2] Coronavirus : en Israël, le vaccin fait chuter de 60% l’hospitalisation des plus âgés Le Parisien 26/1/21 https://www.leparisien.fr/societe/sante/coronavirus-en-israel-le-vaccin-fait-chuter-de-60-l-hospitalisation-des-plus-ages-26-01-2021-8421312.php.

[3] Tableau coronavirus-statistiques.com choisir le pays souhaité, ici nombre de cas en Israël.

[4] Actuellement les vaccins anticovid ne représentent pas des traitements validés par la science car les résultats définitifs complets n’ont pas été publiés.

[5] Covid-19 : l’Agence norvégienne du médicament établit un lien entre 13 décès et les effets secondaires du vaccin France info 16/01/2021.

[6] Cassandre aimée d’Appolon avait reçu en cadeau le don de la prophétie ; mais quand elle l’a quitté, faute de pouvoir lui retirer sa voyance, Appolon s’est vengé en empêchant les gens de croire à ce qu’elle prophétisait. Cela a causé la destruction de Troie par les grecs car Cassandre, qui avait averti qu’il ne fallait surtout pas faire entrer le cheval dans la ville, n’a été crue par personne.

[7] Le vaccin Pfizer augmente-t-il le risque de contamination et de mort par Covid19 ? France soir le 16/01/2021 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-vaccin-pfizer-augmente-t-il-le-risque-de-contamination-et-de-mort-par-covid19.

[8] OMS Covid Dashboard du 27/1/2021 https://covid19.who.int/.

[9] Coronavirus: Israël franchit la barre des 4.000 décès, le taux de contamination grimpe à 9,1% (ministère) I24 news
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1610919208-coronavirus-israel-franchi-la-barre-des-4-000-deces-ministere.

[10] Peter Doshi Will covid-19 vaccines save lives ? BMJ 27 10 2020 Current trials aren’t designed to tell us : BMJ 2020 ;371 :m4037 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.m403.

[11] https://www.academie-medecine.fr/communique-de-lacademie-elargir-le-delai-entre-les-deux-injections-de-vaccin-contre-la-covid-19-quels-risques-pour-quels-avantages/.




L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement

[Source : Guy Boulianne]

Une opposition contrôlée est un mouvement de protestation qui est en fait dirigé par des agents du gouvernement. Presque tous les gouvernements de l’histoire ont utilisé cette technique pour tromper et maîtriser leurs adversaires. Notamment Vladimir Lénine qui a déclaré : « La meilleure façon de contrôler l’opposition est de la diriger nous-mêmes ». Le comte Mirabeau faisait partie de l’opposition contrôlée, car si tout le monde pensait qu’il soutenait la révolution, en réalité il soutenait la monarchie et était un ami personnel du roi. C’était un agent du gouvernement.

[Par Roderick Campbell, 29 août 2019] — Si vous allez en ligne et recherchez « opposition contrôlée », vous trouverez plus de 2 millions de résultats, et essentiellement tous sont des ordures. C’est une tactique qui a été utilisée tout au long de l’histoire humaine connue, et pourtant vous constaterez qu’Internet a été nettoyé de presque toutes les références significatives. Ma première introduction à l’opposition contrôlée a été le livre 1984 de George Orwell, un roman dystopique qui dresse un tableau éclatant d’un avenir sombre : l’humanité est devenue l’esclave d’une guerre perpétuelle, d’une surveillance gouvernementale inéluctable, d’une propagande insidieuse et d’un déni irrationnel. Cela vous rappelle-t-il le projet pour le nouveau siècle américain ? Cela devrait.

Dans le roman d’Orwell, les gens se concentrent sur les super-États, la police de la pensée et Big Brother. Mais, en fait, le plus grand personnage est une personne oubliable nommée Goldstein; il est le leader de « The Brotherhood » et il est basé sur Léon Trotsky. Dans le récit du roman, Goldstein est censé être le héros dont l’écriture révolutionnaire inspire ces esprits « éveillés » du système à se lever et à démanteler le système corrompu dans lequel ils sont asservis. Pourtant, au fur et à mesure que le roman progresse, Orwell nous révèle bientôt que l’héroïque « Goldstein » n’est rien d’autre que de la fiction, un personnage créé par la culture dominante pour attirer les dissidents au grand jour afin qu’ils puissent être identifiés et neutralisés. Orwell utilise « Goldstein » pour peindre une image vivante de l’opposition contrôlée.

Orwell utilise le personnage de Goldstein pour démontrer une tactique insidieuse, utilisée par la culture dominante, pour contrôler les limites de la dissidence. Ce personnage est effectivement un « piège à rats » pour captiver ces quelques individus qui osent regarder au-delà du voile de notre réalité fabriquée, afin qu’ils puissent être traités et neutralisés avant de fomenter une réelle résistance contre l’hégémonie de l’État.

Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une planète mourante. Les entreprises utilisent des marionnettes comme Donald Trump, Boris Johnson et Jair Bolsonaro pour jouer des rôles de rotation en tant que méchants afin de concentrer les masses irréfléchies sur « deux minutes de haine » contre des ennemis fugaces, nous distrayant des forces plus fondamentales derrière notre extinction collective. Notre espèce a été victime de la vision horrible de Gustave Le Bon de foules irréfléchies, divisées les unes contre les autres et incapables de réfléchir profondément. De cette manière, nous devenons si polarisés que nous sommes plus enclins à accepter l’annihilation globale qu’à concevoir la possibilité de changer les systèmes de pouvoir dominants. De cette manière, la politique identitaire nous a rendus incapables de percevoir la réalité objective, et nous refusons ainsi l’apocalypse alors même qu’elle pleut sur nos têtes.

Aux États-Unis, nous témoignons d’une comédie tragique d’opposition contrôlée; deux partis représentant la même cause s’affrontent dans de violentes batailles culturelles, aux dépens des marginalisés et au profit de ces quelques mains invisibles qui amassent les figures abstraites des jeux monétaires. Les États-Unis sont une nation d’opposition contrôlée; le Parti républicain marche de manière incontrôlable vers une envie de mort, tandis que le Parti démocrate contrôle la réaction du public par la faiblesse, le compromis et l’incrémentation. Pour chaque 10 ans qu’ils gagnent, ils donnent 20 ans, et ainsi le cycle va jusqu’à ce qu’il ne reste plus que l’épave en feu d’une planète pillée concentrée dans les silos de quelques bunkers sans espoir habités par des milliardaires fictifs sur une planète morte.

Notre dernière itération d’opposition contrôlée pourrait être Extinction Rebellion, qui est censée être en contraste avec les cultes de la mort de la fin des temps qui contrôlent maintenant une grande partie du monde — y compris des personnalités comme Donald Trump et Jair Bolsonaro. Ce prétendu mouvement de résistance est composé de membres privilégiés de la société qui se drapent dans les robes de la supériorité morale tout en ignorant en grande partie l’esclavage des enfants dans les mines de cobalt nécessaires à leurs iPhones, les écosystèmes dévorants à travers leur papier toilette, et la combustion de la planète vivant grâce à leur consommation de combustibles fossiles. Nous sommes amenés à croire que le théâtre de rue, les marches du week-end et les interviews avec les médias sont en marge de la rébellion. En encadrant le monde de cette façon, ils sont effectivement une opposition contrôlée. Rejoindre leur cause, dans sa forme actuelle, fait bien plus que nous ajouter aux listes gouvernementales; elle nous enferme dans les limites prédéterminées des cultes de la mort qui, en ce moment même, nous conduisent à l’extinction globale.

Dans la politique américaine, on nous demande « voterez-vous le rouge ou le bleu » et dans l’activisme environnemental, on nous demande « allez-vous faire du théâtre de rue ou nier le réchauffement climatique? » En contrôlant l’opposition et en définissant les paramètres d’une rébellion acceptable, les forces de la mort annulent notre capacité à résister de manière significative à notre propre annihilation; ils font de nous à la fois les victimes et les auteurs du génocide.

[Par Aliana, édité par Eric Cram, 4 juin 2020] — L’opposition contrôlée est la technique consistant à jouer deux camps apparemment opposés l’un contre l’autre pour obtenir le résultat souhaité. Ceci est également connu comme la dialectique hégélienne ou la résolution artificielle des conflits. Si un manipulateur peut contrôler le conflit, il peut également contrôler le résultat.

Une dialectique est un débat destiné à résoudre les différences entre deux points de vue plutôt qu’à établir l’un d’entre eux comme vrai. L’opposition qui est créée à travers cela donne le pouvoir à une troisième force qui siège au-dessus et contrôle les deux côtés.

L’opposition contrôlée est une technique de contrôle de l’esprit et fonctionne de pair avec la stratégie de division et de conquête. Pour créer la division, le manipulateur présentera aux victimes l’illusion du choix. S’il n’y a qu’un seul chemin disponible, une personne sentira le contrôle derrière lui et résistera. Mais lorsqu’on lui permet de choisir, même entre deux options pratiquement identiques, on lui donne l’impression d’avoir choisi le résultat et il est beaucoup plus susceptible de l’accepter, de s’y identifier et de le défendre.

À mesure que les gens s’identifient à leur choix, ils considèrent quiconque s’y oppose comme un ennemi. En réalité, les deux camps ont été mis en place et contrôlés par le même maître de marionnettes, et le conflit qui en résulte est toujours à l’avantage du manipulateur.

La politique est une dialectique très évidente. Les gens sont amenés à s’identifier fortement à l’une ou l’autre des positions opposées; conservateur ou libéral. Ces deux parties sont en conflit constant l’une avec l’autre car leurs partisans sont amenés à croire que le changement et les solutions qu’ils souhaitent, incombent au parti pour lequel ils votent.

En vérité, aucune des deux parties ne détient de pouvoir réel autre que celui de rendre les gens conformes à la volonté d’une force supérieure tout en pensant que c’était leur propre décision.

La guerre est un autre excellent exemple de cette technique. Aucune personne saine d’esprit et en bonne santé ne choisirait volontiers la guerre. Pourtant, la guerre est continue et se poursuit dans notre monde. Les seuls qui en bénéficient sont ceux qui contrôlent les mécanismes par lesquels ces guerres sont menées; les armes qui sont fabriquées, les banques centrales et les dettes qui découlent de ces conflits, le carburant nécessaire pour alimenter ces guerres… Ces mécanismes sont tous contrôlés par le même groupe de personnes, et souvent ce même groupe de personnes finance les deux côtés de la guerre.

«… Le cadre pour guider les pensées et les actions dans les conflits menant à une solution prédéterminée. Ceci est accompli en manipulant la conscience dans un modèle circulaire de pensée et d’action. La solution synthétique de ces conflits ne peut être introduite que si ceux qui sont manipulés prennent un parti qui fera avancer l’ordre du jour prédéterminé. »

George Wilhelm Friedrich Hegel

L’Opposition Contrôlée a été utilisée pour nous contrôler, non seulement au niveau physique et mental, mais aussi et à un niveau encore plus grand au niveau spirituel. L’évolution consciente a été ralentie par l’utilisation de cette technique à travers des idéologies telles que la spiritualité New Age et les religions culturelles.

[NdNM : par « religions culturelles », les auteurs entendent probablement les religions telles qu’elles tendent à s’opposer culturellement en divergeant de leur source et de leur esprit originels. Si en essence, leur message est sensiblement le même, dans les faits sociétaux elles tendent à entrer en conflit sur la base d’éléments de plus en plus éloignés de leurs fondamentaux spirituels, jusqu’à amener des épisodes tels que ce qui a été nommé « guerres de religion » et à stimuler le fanatisme au lieu d’encourager le mysticisme, la sainteté et/ou la sagesse.
Voir aussi :
L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare,
Note sur la science, la magie et la religion,
Mourir libre ou vivre esclave,
Note sur la lecture des événements,
Note sur la vision,
La peur et l’espoir comme outils politiques,
NOM : qui tire les ficelles ?,
Note sur le fanatisme,
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources,
La fin des partis politiques,
L’enjeu majeur de notre époque,
Les trois versions d’un conflit.]

Les contrôleurs savent que les humains recherchent inconsciemment une évolution spirituelle et reconnaîtraient quelque chose qui ne va pas avec le système déséquilibré du cerveau gauche dans lequel nous vivons. La solution était de nous présenter leurs propres fausses versions de spiritualité et d’illumination, tout en gardant la vraie connaissance spirituelle occultée. En tant que dernier cul-de-sac avant la mine d’or, cela nous a égarés; loin du vrai chemin et vers la passivité et l’inaction.

Il y a beaucoup de vérités cachées dans le nouvel âge et les enseignements religieux, mais cela nécessite du discernement. L’une des techniques de manipulation consiste à infuser la vérité avec la tromperie. Le manipulateur sait qu’on ne prendra pas de poison évident, alors il le cache dans quelque chose de bon et de vrai pour le rendre agréable au goût.

Le courant sous-jacent imbriqué dans beaucoup de ces enseignements est celui de l’inaction. L’accent est mis sur la croyance et la pensée, plutôt que sur la connaissance et l’action. La sagesse s’acquiert en prenant la connaissance de la vérité, puis en agissant sur cette connaissance. Une action juste est ce qui entraînera en fin de compte le changement dont nous avons besoin dans ce monde. Le nouvel âge et les enseignements religieux ont été conçus pour nous passiver, de sorte que nous ne ferons rien contre l’usurpation de nos droits naturels.

« La sagesse est le pouvoir et le pouvoir est la sagesse, l’un avec l’autre, perfectionnant le tout. Ne sois pas fier, ô homme, de ta sagesse. Discours avec les ignorants aussi bien qu’avec les sages. Si quelqu’un vient à vous plein de connaissances, écoutez et faites attention, car la sagesse est tout. Ne restez pas silencieux quand le mal est dit pour la vérité. Car comme la lumière du soleil, la vérité brille avant tout. Celui qui outrepasse la loi sera tenu responsable. Car c’est seulement à travers la Loi que vient la vraie liberté. Ne faites pas peur aux autres, car la peur est la servitude; un lien qui lie les ténèbres à l’homme »

Philosophie hermétique

De plus, ces idéologies enseignent à ne pas regarder le négatif, l’erreur étant que c’est ainsi que fonctionne la loi de l’attraction; Si vous pensez au négatif, vous l’attirez dans votre vie. C’est une notion attrayante. Les gens évitent naturellement le côté obscur. Mais le contraire est vrai. La connaissance et la compréhension du côté obscur et de la manière dont il est utilisé contre nous, nous permettront de le reconnaître et d’y résister. Si nous ne reconnaissons pas et ne reconnaissons pas les choses les plus sombres, à la fois en nous et autour de nous, nous serons impuissants à nous élever et à les conquérir.

« On ne s’illumine pas en imaginant des figures de lumière, mais en rendant les ténèbres conscientes. Cette dernière procédure, cependant, est désagréable et, par conséquent, peu populaire. »

Carl Jung

Les contrôleurs nous ont donné l’illusion du choix et l’illusion de la liberté. En échange, nous leur avons donné notre conformité à leur système. C’est la sombre vérité. Nous devons l’examiner, le discerner et le reconnaître. Nous devons récupérer notre pouvoir de pensée, agir et commencer à créer des changements. Ignorer cette vérité est le moyen le plus sûr de détruire la vraie liberté.





L’épée, le bon grain et l’ivraie

Par Joseph Stroberg

Alors que les médias dominants et nombre de chefs d’État ou de gouvernement veulent nous faire croire que l’Humanité est en guerre contre un virus, il existe bien une forme de conflit, mais d’une tout autre nature. Celui-ci a dépassé les niveaux habituels connus jusqu’alors. Il ne s’agit plus d’un conflit militaire, qu’il soit chaud ou froid, de forte ou de faible intensité, ni même de querelles idéologiques, ni un conflit intellectuel, bien que toutes ces dimensions puissent être présentes en divers lieux de la planète. En fait, le terrain ou domaine précis qui se révèle finalement comme le principal enjeu du conflit est celui de la conscience, ou de l’âme qui en est le pourvoyeur. Il reste alors à en déterminer les armes, les soldats, l’extension et l’objectif majeur d’une telle guerre d’ordre spirituel.

Par le biais de la crise artificielle de la covid-19, la guerre s’est manifestement étendue à l’ensemble de la planète et de l’Humanité. Il n’y a pratiquement aucun pays qui ne soit pas touché ou affecté d’une manière ou d’une autre, ne serait-ce que par les retombées économiques dues au manque de création, d’entreprise, de mouvement… et par insuffisance des réactions salvatrices. Les guerriers assaillants, dont les chefs sont le plus souvent cachés aux yeux de la plupart des individus, bénéficiaient dès le départ des meilleures armes sur les plans les plus formels : physique, émotionnel et mental. Concrètement, ils disposaient et disposent encore de la plus vaste et efficace couverture médiatique, et donc du plus important système de propagande et de désinformation, à supposer que les défenseurs ou résistants aient pour souhait d’utiliser une telle arme (leur approche consiste plutôt à recourir principalement à Internet, leur principale ressource de diffusion d’information, pour au contraire partager le plus largement possible la « vérité », dans le sens de la traduction la plus fidèle possible du réel observé).

Sur le plan émotionnel, les attaquants qui agissent contre l’Humanité entraînent sa division en deux camps de plus en plus séparés et visibles sur le champ de bataille, ceci en utilisant deux armes additionnelles : la peur et les idéologies (religieuses, politiques, économiques, etc.). Ces deux factions sont principalement constituées maintenant, d’une part de la masse des Hommes apeurés qui ont suivi aveuglément les ordres gouvernementaux, et d’autre part de ceux qui refusent la direction vers laquelle les assaillants conduisent l’Humanité : celle d’un possible génocide à l’échelle planétaire. et surtout de l’esclavage des rescapés du conflit. Le processus est équivalent à des réactions chimiques de précipitation dans un liquide au départ homogène : des particules solides apparaissent et grossissent en tombant au fond du récipient. Le lait caille par exemple sous l’effet du citron, l’acide qui attaque le liquide (l’Humanité). Le fromage solide tombe au fond du récipient pendant que le petit-lait transparent surnage. Les masqués et proches vaccinés tombent en masse, victimes du matérialisme, alors que les résistants continuent à nager, dispersés dans le liquide.

Sur le plan mental, c’est la guerre des idées et des informations, favorisée par les différents supports médiatiques tangibles ou virtuels : livres, revues, journaux, radio, télévision, Internet… Les armes sont en particulier les mots, selon la manière de les utiliser, et par l’usage de la psychologie, de la rhétorique, et de différentes techniques de manipulation qui jouent sur des faiblesses humaines telles que la dissonance cognitive et les biais psychologiques. Les assaillants s’efforcent de fabriquer une réalité alternative (ou fausse réalité), un « storytelling » (comme disent les anglophones), ou encore un conte de fées, au lieu de simplement rapporter les faits. Les défenseurs s’attachent au contraire à découvrir la vérité et à la rapporter le plus largement et efficacement possible.

Le mental, en tant qu’outil majeur de discernement, à condition d’être allié à l’intuition et à de bonnes capacités d’observation, peut devenir une véritable épée, une arme capable de séparer les faits de la fiction et la vérité du mensonge. S’il y a 2000 ans, le Christ est venu enseigner l’Amour, il a aussi annoncé que la prochaine fois, il apporterait l’épée de la division. Il ne s’agit pas d’un outil pour tuer, mais pour discerner, analyser, séparer. Eh bien, si tel est le cas, il semble que nous y soyons : l’Humanité est en train de se diviser en deux composantes de plus en plus irréconciliables. Nous voyons d’un côté les amateurs de fromage tomber au fond du bol. Et de l’autre, les amateurs de babeurre continuent de se baigner. Plus sérieusement, la composante matérialiste de l’Humanité se rend de plus en plus visible par son acceptation sans broncher, voire sa réclamation, des conditions d’esclavage de plus en plus manifestes : port du masque, distanciation sociale, confinement, vaccination… Et le reste, en nombre plus restreint, lutte par tous les moyens qu’il lui reste, à l’image des résistants de nombreuses nations face au nazisme et à l’armée allemande au cours de la Seconde Guerre mondiale.

Alors que des leaders psychopathes du monde voulaient créer un Nouvel Ordre Mondial permettant d’asservir la masse des survivants à ce conflit, l’épée christique vient séparer le bon grain de l’ivraie et permettre (prochainement ?) la création ou l’apparition d’un Nouveau Monde.




La gauche face à la guerre sanitaire

[Source : Les 7 du Québec]

De la crise pandémique à la guerre sanitaire

Il y a maintenant un an s’échappait opportunément un coronavirus de type SRAS-CoV-2 concocté dans un laboratoire militaire chinois à sécurité maximale (c’est du moins l’hypothèse admise dans les milieux de l’espionnage). Depuis, la communauté internationale, celle de gauche comme celle de droite, a eu largement le temps de faire son lit et d’élever la voix au milieu de ce qui est devenu la pire crise sanitaire, politique, juridique et économique des temps modernes. C’est du moins ce qu’en a fait la gestion incompétente de la plupart des gouvernements bourgeois et qui en sont aujourd’hui réduit à porter tous leurs espoirs vers des vaccins coûteux, inconnus, bricolés pressés, non validés et risqués.

En pleine cacophonie catastrophique mondiale, on se serait attendu à ce que la gauche, impatiente de s’emparer du pouvoir étatique totalitaire, profite de l’occasion pour tirer le tapis sous les pieds de la droite tétanisée. Au contraire, dans la plupart des pays du monde les gauches n’ont même pas protesté quand les exécutifs nationaux effrayés se sont octroyé des pouvoirs extraordinaires, réservés au temps de guerre, afin de forcer les peuples récalcitrants à rentrer dans le rang des confinements et pour briser toute résistance populaire aux restrictions arbitraires. Encore une fois, comme pour chaque grande guerre, le peuple se retrouve seul face à la confrérie des larbins politiciens de gauche et de droite.

Nous en convenons sans peine, comme le disaient Macron et d’autres leaders de la communauté internationale bancale: «Le monde est en guerre». Hier, c’était contre le terrorisme djihadiste patenté, aujourd’hui, c’est contre le terrorisme viral alambiqué. Ces deux menaces terroristes sont d’envergure mondiale. Mais cette dimension internationale n’est pas le facteur primordial du défi que ces menaces présentent pour les populations nationales. Nous y reviendrons.

La gauche, constatant l’amateurisme de la gestion pandémique confiée à des médecins au service de grandes entreprises pharmaceutiques – tout s’effrite en cette fin de règne capitaliste – la gauche disions-nous préconise de profiter de l’opportunité pour hausser la paralysie administrative de l’ordre national à l’ordre international. Tout le pouvoir à l’OMS, à Bill Gates, à George Soros et aux autres malfrats de la confrérie des milliardaires internationaux.(1)

Lisons plutôt:

«Les nouvelles variantes du virus, qui sont sur le point de gâcher les quelques avancées (sic) de ce qui est déjà une situation dramatique, sont le résultat direct de l’incapacité à apporter une réponse universelle à un problème universel. Le monde de la classe dirigeante avec ses instruments nationaux plus ou moins coordonnés, des systèmes de santé plus ou moins débordés et plus ou moins insuffisants, ne peut pas répondre à une pandémie de cette envergure mondiale. Selon nous, la principale leçon que le développement de l’épidémie laissera aux travailleurs est que les menaces globales auxquelles nous sommes confrontés en tant que classe sociale sont mondiales: le virus, comme la crise, ne connaît pas de frontières et ce qui se passe dans chaque pays affectera les autres pays. Il n’y a tout simplement pas de solutions nationales. Nous ne pouvons même pas nous attendre à une «coordination» internationale; les intérêts de chaque capitale nationale empêchent les classes dirigeantes d’apporter des solutions véritablement mondiales. Ils seront toujours incités à «attendre un peu plus longtemps», à nous pousser à «continuer avec la vie normale» d’abord et ensuite à invoquer «la responsabilité individuelle» tant qu’ils ne perdent pas leur situation concurrentielle.»(2)

Et l’organisation de gauche de conclure :

«C’est l’équivalent de mener des guerres en attendant patiemment qu’elles se terminent d’elles-mêmes. Il est temps d’appliquer dans le monde entier ce que nous avons déjà appris à un coût immense, de résister à la primauté des investissements et des profits sur les vies humaines et d’imposer le confinement total et la fermeture de toute activité non essentielle»(3).

Quelle filouterie démagogique, opposer ainsi les profits des ploutocrates à la vie des populations qui compterait plus que tout autre chose aux yeux des milliardaires cosmopolites et de leurs affidés de la gauche hypocrite. Que répondre devant tant de philanthropie obséquieuse? La gauche accrédite et supporte de la sorte la guerre sanitaire qu’une faction du grand capital mène contre une autre faction, retenant la population mondiale en otage de leur affrontement pour l’hégémonie…quoiqu’il en coûte… au peuple.

Que faut-il attendre de cette guerre sanitaire mondialisée?

Pour notre part nous n’y voyons qu’une hystérie politico-médicale alimentée par le monde pharmaceutique et les entreprises numériques (Big Pharma et Big Tech) qui y voit une opportunité en or de réaliser des fortunes avec de nouveaux médicaments, vaccins, et services en ligne aux dépens de leurs concurrents. Nous anticipons la faillite assurée pour des centaines de milliers de petites et moyennes entreprises et pour des milliers d’autoentrepreneurs créant des millions de chômeurs supplémentaires sur l’ensemble de la planète et particulièrement dans les pays pauvres du tiers monde. Déjà, en Inde et en Afrique, en France et au Canada les suicides de paysans endettés se comptent par milliers.  Enfin, nous voyons se profiler le renforcement de l’État bourgeois totalitaire préparant les conditions d’une 3e guerre mondialisée.(4)

Poursuivons l’énumération du coût social, économique et politique du confinement, du couvre-feu et des autres restrictions imaginés par les tortionnaires de l’État totalitaire.

Le coût économique et social du confinement rapporté à la mortalité effectivement observée est absolument dément, suicidaire et injustifiable.

Un principe de précaution poussé jusqu’à l’absurde dénué de toutes traces de rationalité. Abandonné cependant face à la diffusion de vaccins à ARN messager non validé.

Le système de santé français, ou Canadien, et de la plupart des pays n’est pas encore saturé, malgré les cris d’alarme des faiseurs de peurs. On crée des lits, on évacue vers des hôpitaux moins chargés. C’est un problème de logistique plus que de capacité absolue malgré les coupes budgétaires et les politiques d’austérité.

La surmortalité associée au non-confinement, toutes choses par ailleurs égales, semble toujours être de zéro (pas de « pertes de chance »).

La surmortalité associée au confinement des Ehpads et CHSLD, par contre, semble réel.

Les traumatismes et violences ménagères et sociales associées au confinement sont, elles aussi, bien réelles et dramatiques même si les élites n’en ont strictement rien à faire vu qu’elles ont les moyens, elles, de vivre un confinement confortable.

Les séquelles innombrables qui hanteront nos enfants enfermés, privés d’école et de fratries.

Le système des attestations à la con relève, ni plus ni moins, d’un racket policier.

En France comme au Canada le confinement s’inscrit dans une « loi » d’État d’urgence sanitaire qui relève d’un abus de pouvoir inacceptable et dangereux, ce que le pénaliste Raphaël Kempf nomme une «loi scélérate» (5). De même pour tous les pays qui ont produit chacun leur propre «Patriot Act sanitaire».  
https://les7duquebec.net/archives/261671

La gauche confinée et déconnectée d’avec la réalité du prolétariat opprimé

La 3e guerre mondiale est en marche et je ne crois pas que les masses populaires devraient se mettre à la traîne de la petite bourgeoisie réformiste ou gauchiste.

Il a un siècle que la gauche maintient le prolétariat en laisse avec la promesse que des réformes amélioreront les conditions de vie et de travail, et qu’elles contribueront à hausser la conscience politique des travailleurs, alors qu’en réalité, les réformes sont toujours des mesures visant à consolider l’esclavage salarié. Ces réformes sont moussées par les larbins de la gauche qui une fois au pouvoir font la politique des capitalistes.

La trahison n’est pas le fait de ces larbins politiciens de gauche ou de droite…ceux-là servent leurs maîtres. La trahison commence le jour où  un militant de gauche proclame que les chefs de la gauche offrent une alternative prolétarienne par des réformes politiques et économiques souhaitées par le capital.  La gauche se compromet ainsi à soutenir les manigances du capital et elle en subit aujourd’hui les conséquences. Qu’y a-t-il d’étonnant à ce que le prolétariat fuit toutes les sectes de gauche et toutes les factions de droite ? Le prolétariat a retiré toute crédibilité à tous les larbins politiciens de gauche comme à ceux de droite manifestant ainsi sa conscience de classe.

C’est dans la lutte – classe contre classe – que la conscience de classe s’aiguise. Le mouvement de Résistance populaire à la guerre sanitaire qu’on nous impose indique le chemin à suivre d’Amsterdam à Atlanta en passant par Paris et Montréal. 

https://les7duquebec.net/archives/261626


Notes

  1. Louis Fouché. La corruption de la médecine. https://www.facebook.com/100028301435413/posts/757230411897000/?sfnsn=scwspmo
  2. https://en.communia.blog/covid-mutations-and-the-inability-of-the-system-to-respond-to-a-pandemic/
  3. https://en.communia.blog/covid-mutations-and-the-inability-of-the -system-to-respond-to-a-pandemic/
  4. La 3e guerre mondiale est là : https://les7duquebec.net/archives/261662
  5. https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/03/24/raphael-kempf-il-faut-denoncer-l-etat-d-urgence-sanitaire-pour-ce-qu-il-est-une-loi-scelerate_6034279_3232.html
  6. Stop de lockdown (Pays-Bas) : https://les7duquebec.net/archives/261626



Les personnes âgées meurent comme des mouches après des injections COVID

[Source : Mirast News]

Dénonciateur des foyers de soins de CNA: les personnes âgées meurent comme des mouches après des injections COVID! S’EXPRIMER !!!

Ils cachent les informations importantes ces meurtriers !!!! – MIRASTNEWS

Par Brian Shilhavy

Rédacteur, Health Impact News

James (il donne son nom de famille dans la vidéo) est un CNA (Certified Nursing Assistant), et il a enregistré cette vidéo en tant que dénonciateur parce qu’il ne pouvait plus garder le silence.

James rapporte qu’en 2020, très peu de résidents de la maison de soins infirmiers où il travaille sont tombés malades de la COVID, et aucun d’entre eux n’est décédé pendant toute l’année 2020.

Cependant, peu de temps après avoir administré les injections expérimentales d’ARNm de Pfizer, 14 sont décédés dans les deux semaines, et il rapporte que de nombreux autres sont sur le point de mourir.

La vidéo est longue (47 minutes), et il est clair que James souffre de stress émotionnel, et il admet qu’il n’a rien à gagner à être rendu public, et qu’il perdra probablement son travail pour cela.

Mais il précise très clairement qu’il s’agissait de patients qu’il connaissait et qu’il prenait en charge (il est aussi un «pasteur laïc»), et qu’après avoir reçu une injection d’ARNm, les résidents qui avaient l’habitude de marcher seuls ne peuvent plus marcher. Les résidents qui avaient l’habitude d’avoir une conversation intelligente avec lui ne pouvaient plus parler.

Et maintenant, ils meurent. « Ils tombent comme des mouches. »

Ses supérieurs expliquent que les décès ont été causés par un «super-épandeur COVID-19».

Cependant, les résidents qui ont refusé de prendre les injections ne sont pas malades, selon James.

James dit très clairement qu’en tant que chrétien, il ne peut plus vivre avec sa conscience et qu’il ne peut plus rester silencieux.

Il n’est pas anti-vaccin, mais partage simplement ce qu’il sait être vrai, concernant les personnes dont il s’occupe dans sa profession depuis plus de 10 ans maintenant.

C’est un modèle très clair maintenant. Injectez aux personnes âgées les injections d’ARNm, puis blâmez leurs maladies et décès sur le virus COVID.

La seule raison pour laquelle Big Pharma et leurs médias d’entreprise sponsorisés s’en tirent, c’est parce que plus de travailleurs de la santé comme James ne se manifestent pas pour parler au nom des impuissants.

Même beaucoup dans les médias alternatifs sont coupables de ne pas avoir couvert ce génocide contre nos aînés, comme le dit James, parce que les gens sont plus préoccupés par l’actualité politique de Donald Trump et Joe Biden, tandis que la grand-mère, le grand-père et d’autres sont tués par ces injections.

James demande aux autres CNA, infirmières et membres de la famille de rendre public et de dire au monde ce qui se passe avec ces injections expérimentales d’ARNm COVID.

Combien de vies doivent encore être perdues avant que nous disions quelque chose?

Si vous savez ce qui se passe, mais que vous ne vous exprimez pas, vous faites partie du problème.

Et honte à vous, dans les médias alternatifs, qui vous souciez plus de savoir quel tyran devrait être président que de couvrir le plus grand crime de génocide que ce pays ait jamais connu.

Sauvez ceux qui sont emmenés à la mort; retenez ceux qui titubent vers l’abattage.

Si vous dites: «Mais nous n’en savions rien», celui qui pèse le cœur ne le perçoit-il pas? Celui qui garde votre vie ne le sait-il pas? Ne remboursera-t-il pas chacun selon ce qu’il a fait? (Proverbes 24: 11-12)

La vidéo provient de notre compte Minds.com. Il devrait également être bientôt disponible sur notre chaîne Bitchute et notre compte Rumble.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Health Impact News




Révoltes contre la dictature sanitaire dans plusieurs pays d’Europe

[Source : breizh-info.com]

Dans plusieurs pays d’Europe, des hommes libres se réveillent, et cela inquiète les autorités, qui sortent les matraques et font usage d’une violence inouïe. Aux Pays-Bas ce week end, des violences ont éclaté dans plusieurs villes alors que des manifestants descendaient dans la rue pour protester contre la mise en place , inédite, d’un couvre-feu.

La police a chargé et réprimé sans sourciller les manifestants – ce qui n’a pas provoqué d’indignation médiatique comme on a pu le voir pourtant avec des images similaires en Biélorussie il y a quelques mois – comme en témoignent les images ci-dessous. Des incidents ont été signalés notamment à Amsterdam, Eindhoven, La Haye, Breda, Arnhem, Tilbourg, Enschede, Appeldoorn, Venlo et Ruremond. Une centaine d’arrestations ont été enregistrées.

« Je pense que si on va sur ce chemin, nous nous dirigeons vers une guerre civile », a déclaré dimanche devant les caméras de télévision le maire d’Eindhoven John Jorritsma, qualifiant sans aucune retenue les personnes présentes au rassemblement de ‘lie de la société‘ et suggérant la nécessité d’une intervention de l’armée.

A noter l’incendie d’un centre de dépistage du Covid-19 dans le village d’Urk, dans le nord du pays, samedi soir.

https://youtu.be/KDc9KGpLEjM

Les Pays-Bas ont entamé samedi leur premier couvre-feu depuis la Seconde Guerre mondiale. Il est interdit de sortir de chez soi entre 21h00 et 04h30, et ce au moins jusqu’au 9 février. Tout contrevenant encourt une amende de 95 euros.

En Espagne, en Suède, mais aussi en France, des manifestations commencent à avoir lieu pour dénoncer les mesures sanitaires folles décidées par des dirigeants qui mènent une expérimentation sociale d’ampleur inédite, expérimentation dont le Covid-19 ne semble qu’un prétexte et dont les principaux acteurs, c’est vous, c’est nous.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Restaurants ouverts, pas de masque obligatoire, que se passe-t-il réellement en Suède ?

[Source : Nexus]

Nous avons contacté l’un de nos journalistes, Olivier Kauffer, vivant à Stockholm depuis plusieurs mois. Dans cette vidéo du 16 janvier 2021, il nous montre images à l’appui comment vivent les Suédois et quelle est la véritable situation sanitaire dans le pays. Les masques ne sont pas obligatoires et les restaurants sont toujours ouverts.

Contrairement à la désinformation des médias français qui circule depuis plusieurs semaines, la situation sanitaire n’est pas catastrophique. La Suède n’a pas confiné le pays, et n’est pas en passe de le faire. Les restaurants sont ouverts et la majorité des Suédois ne porte pas le masque qui n’est pas obligatoire dans les lieux publics. Pour rappel, le jour de ce reportage, la situation sanitaire en Suède et en France était quasiment similaire en termes de mortalité et de proportion de morts sur la population générale (légèrement plus importante pour la France), alors que la France a drastiquement confiné le territoire, imposé le masque obligatoire et fermé les restaurants.

Voici les chiffres officiels au 22 janvier 2021 :

  • Suède : nombre de morts du Covid-19 : 10 921, pour 10 230 000 d’habitants, soit une mortalité de 0,106 %.
  • France : nombre de morts du Covid-19 : 71 998 pour 66 990 000 d’habitants, soit une mortalité de 0,107 %.

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https://youtu.be/-xGLvXTstlI



Merck abandonne ses vaccins contre le COVID et affirme qu’il est plus efficace d’attraper le virus et de se rétablir

[Source : Aube digitale]

Les vaccins ont généré une réponse du système immunitaire “inférieure” à celle d’une infection naturelle.

Le fabricant de vaccins Merck a abandonné le développement de deux vaccins contre le coronavirus, affirmant qu’après des recherches approfondies, il a été conclu que les vaccins offraient une protection moindre que le simple fait de contracter le virus lui-même et de développer des anticorps.

La société a annoncé que les vaccins V590 et V591 étaient “bien tolérés” par les patients testés, mais qu’ils généraient une réponse du système immunitaire “inférieure” par rapport à une infection naturelle.

La société a déclaré qu’elle se concentrerait plutôt sur la recherche de médicaments thérapeutiques étiquetés MK-7110 et MK-4482.

Ces médicaments visent à protéger les patients contre les dommages causés par une réponse immunitaire trop active au virus.

“Les résultats intermédiaires d’une étude de phase 3 ont montré une réduction de plus de 50 % du risque de décès ou d’insuffisance respiratoire chez les patients hospitalisés avec un COVID-19 modéré à grave”, a indiqué la déclaration de la société au sujet du médicament MK-7110.

Merck va recevoir environ 356 millions de dollars du gouvernement américain pour accélérer la production des traitements potentiels dans le cadre de l’opération Warp Speed.

Le directeur du marketing, Michael Nally, a récemment déclaré à Bloomberg que Merck avait l’intention de produire quelque 20 millions de traitements avec le médicament MK-4482, un antiviral oral que les patients prendront deux fois par jour pendant cinq jours.

Dans le même temps, des scientifiques allemands ont affirmé que le vaccin britannique Oxford/AstraZeneca est efficace à moins de 8 % chez les plus de 65 ans, ce qui a incité les développeurs du vaccin à riposter, en rejetant ces affirmations.

Les médias allemands ont publié ces affirmations, prétendant qu’elles avaient été “confirmées” par de “multiples” sources gouvernementales allemandes non nommées.

Les ministres du gouvernement britannique ont laissé entendre que l’allégation pourrait être liée au différend en cours sur la livraison du vaccin entre l’Union européenne et AstraZeneca.

L’UE, qui n’a pas encore approuvé le vaccin, a menacé de bloquer les exportations de vaccins vers la Grande-Bretagne, dans une démarche qui a été qualifiée de “malveillante” par des sources du gouvernement britannique.

Afin de s’assurer que ses États membres reçoivent leur “part équitable” de vaccins, l’UE a également menacé de bloquer la livraison de vaccins Pfizer au Royaume-Uni, en exigeant que les sociétés pharmaceutiques fournissent des informations détaillées sur les dates auxquelles elles prévoient d’exporter des vaccins contre le Covid vers des pays extérieurs au bloc.




L’Allemagne instaure des camps de détention obligatoire pour les individus qui enfreignent à plusieurs reprises les mesures de quarantaine

[Source : Guy Boulianne]

Face à la recrudescence du nombre de cas de Covid-19 outre-Rhin, certains Länder envisagent de réquisitionner diverses infrastructures, pour les utiliser comme centres de détention réservés à des cas extrêmes de violation de quarantaine.

Selon une enquête menée par le célèbre quotidien allemand Die Welt et publiée le 17 janvier, plusieurs Länder (Etats fédérés) souhaitent instaurer des lieux de détention obligatoire pour les individus qui enfreignent à plusieurs reprises les mesures de quarantaine visant à lutter contre le Covid-19. Si certains Länder refusent d’avoir recours aux admissions forcées, d’autres prévoient de réquisitionner à cet effet diverses infrastructures telles qu’un centre de détention pour mineurs, ou des cliniques qui seraient surveillées en permanence par un « service de sécurité ».

D’après les autorités des différents Länder souhaitant recourir aux admissions forcées, interrogées par Die Welt, la pratique serait réservée aux cas « extrêmes », à savoir des violations répétées de la quarantaine par des individus se sachant contaminés. Le journal allemand cite comme exemple du type de problèmes rencontrés par les autorités, celui d’un homme de 27 ans mis en examen dans la ville de Göttingen (Baxe-Saxe) pour s’être entraîné deux fois dans une salle de sport en mai 2020, alors qu’il se savait être infecté par le Covid-19.

Parmi les Länder qui devraient prochainement avoir recours aux admissions forcées, figure selon le tour d’horizon de Die Welt le Bade-Wurtemberg, un Land du sud du pays frontalier de la France. Deux hôpitaux devraient bientôt y être mis à disposition afin de servir de centres de détention pour les « briseurs de quarantaine ». Un porte-parole du ministère local des Affaires sociales précise que ces lieux seront surveillés « en permanence par un service de sécurité ».

Tout au nord du pays, le Schleswig-Holstein prévoit d’accueillir dès les prochains jours qui viennent les récidivistes dans le centre de détention pour mineurs de Moltsfelde, à Neumünster.

Le Brandebourg, Land qui entoure Berlin, veut également mettre en place un bâtiment visant à centraliser les « briseurs de quarantaine », qui pourrait être un hôpital ou d’autres « installations appropriées » où seraient internés les contrevenants, selon les termes utilisés par les autorités interrogées par Die Welt.

En Saxe, dans l’est du pays, la loi prévoit que les citoyens qui enfreignent la quarantaine soient détenus dans un « hôpital fermé à clé ou dans un autre logement approprié ». Jugeant « plutôt improbable » de devoir recourir à ce scénario extrême, le ministère local des Affaires sociales précise néanmoins rechercher un lieu « adapté aux soins médicaux [et pouvant] être gardé par la police », afin de ne pas empiéter sur les besoins de lits d’hôpital.

Des mesures protégées par la Constitution

Selon Christoph Degenhart, professeur de droit constitutionnel interrogé par le quotidien allemand, de telles mesures d’internement seraient conformes à la constitution allemande – pourtant très protectrice des libertés individuelles – à condition que la quarantaine forcée soit prononcée par un juge. En outre, il souligne que ces mesures, pour rester constitutionnelles, doivent être « proportionnées » à des « violations massives et répétées de l’obligation de quarantaine ».

Certains Länder comme la Bavière ou Berlin, ne prévoient en revanche aucune mesure d’internement obligatoire prochainement.

Alors qu’elle était parfois citée en exemple lors de la première vague de Covid-19 du printemps 2020, l’Allemagne voit le nombre de nouveaux cas et de décès dus au coronavirus augmenter nettement depuis début novembre. Le 20 janvier, 1 013 décès dus au Covid étaient comptabilisés en Allemagne, pour un total de 50 000 morts depuis le début de la pandémie.

Outre-Rhin, toute personne dépistée positive au Covid-19 est soumise à une quarantaine de deux semaines. Les personnes qui reviennent d’une zone à risque doivent également être mises en quarantaine pendant dix jours, c’est-à-dire une période qui peut être réduite à cinq jours après un test négatif. Les personnes cas-contacts ou attendant le résultat d’un test sont appelées à pratiquer une auto-quarantaine. En cas de non-respect de cette législation, les amendes, qui sont du ressort des différents Länder, peuvent s’élever jusqu’à 25 000 euros, selon Die Welt.https://archive.org/embed/en-allemagne-un-camp-de-detention-pour-les-recalcitrants-a-la-quarantaine

Les coulisses d’un camp de détention

Dans cette course aux lois liberticides toujours plus folle entre les différents gouvernements européens, l’Allemagne a visiblement décidé de franchir un nouveau palier en ce début d’année 2021. En effet, dans un reportage du 22 janvier, le journal allemand Bild nous rapporte que le Land de Schleswig-Holstein s’apprête à ouvrir en Février dans la ville de Moltsfelde un centre de détention pour les personnes qui, à plusieurs reprises et qu’elle qu’en soit la raison, n’auraient pas respecté leur quarantaine.

Ce reportage vidéo de Bild vise ostensiblement à inciter les gens à rester chez eux, au risque sinon d’être traités comme des criminels. Les termes « détenus » et « prison corona » y sont par exemple mentionnés. Même si Jan Peter Schröder, administrateur du district de Segeberg, reconnaît qu’il s’agit là de la dernière étape possible à mettre en place dans la lutte contre la pandémie, puisque celle-ci va directement à l’encontre « de la liberté fondamentale de circuler », Sönke E. Schulz, le directeur général du Land, se veut quant à lui moins diplomate. Il prévient : « Si tu ne te soumets pas à la quarantaine… Dernière chance, ou on a un bel établissement à Moltsfelde ».

Comme pour mieux appuyer ces propos, le reporter nous explique ensuite que si ce centre, habituellement occupé par des ados et des enfants, possède bien un terrain de basket et une cour dans laquelle il est possible de se promener, cette option ne sera pour autant pas disponible pour les détenus qui auront rompu leur quarantaine, puisqu’ils seront obligés de rester dans l’une des six « cellules de 12m² ». Ceux qui doivent entrer ont des jours mornes devant eux: six cellules de douze mètres carrés sont disponibles. Carrelage clair, lit en bois, étagère, table, chaise, mini salle d’eau. La police et les agents correctionnels à la retraite s’occupent des prisonniers dans un système à trois équipes. 40 se sont portés volontaires pour cela. Ils s’assurent que des règles strictes sont respectées. Pas d’accès extérieur dans la cour, pas de visite!

Même si ce nombre de cellules disponibles est faible d’un point de vue dissuasif, il n’en demeure pas moins qu’un nouveau cap vient bel et bien d’être franchi outre-Rhin dans la lutte contre le coronavirus. Une innovation répressive dont le gouvernement français ne nous a pas encore vanté les mérites.

Eric Montana écrit : 

« Jour après jour, nous accumulons les preuves que cette pandémie est une opération criminelle et non un caprice de la nature. Si ce virus avait eu des origines naturelles, chaque Etat aurait appliqué des mesures différentes et y aurait fait face à sa manière, et non avec pour “seule voie d’issue” une vaccination massive à l’échelle de la planète. Or, nous constatons que dans tous les pays touchés par ce Covid 19 produit en laboratoire, tous les gouvernements – à de rares exceptions près, – appliquent exactement les mêmes mesures restrictives de liberté, la même feuille de route et la même propagande… comme s’il n’y avait qu’un seul donneur d’ordre. »

Pour sa part, “Captain Harlock” écrit : 

« La révolution néo-bolchevique se déploie maintenant à pleine vitesse en Allemagne. Les autres États ne vont pas tarder à suivre. Les arrestations d’opposants avec internement secret seront de plus en plus fréquentes. Certaines seront suivies de liquidations. Comme je l’ai expliqué au printemps dernier lors de l’euthanasie discrétionnaire des patients hospitalisés décrétée par l’État, n’importe qui peut être exécuté entre 4 murs grâce à une injection de Rivotril. Il suffit ensuite aux autorités d’inscrire “Covid19” sur le certificat de décès. Il n’y aura aucune autopsie, pas de témoins, pas d’obsèques publiques. Je ne serai pas surpris si dans quelques temps le gouvernement impose la crémation des corps des personnes “en cas d’urgence sanitaire”. »


RÉFÉRENCES :


[Voir aussi :




L’ arrivée à l’Élysée par fraudes graves de Macron en 2017 !

[Source : Média Zone]

Brigitte Bouzonnie

Par Brigitte Bouzonnie

L’arrivée à l’Élysée par fraudes graves de Macron en 2017, résultat d’une action concertée de l’État profond français. L’arrivée à l’Élysée de Macron résulte aussi de l’utilisation des serveurs Scytl et Dominion, qui ont crédité fallacieusement le candidat LREM de 24% au premier tour. Exactement le même mode opératoire utilisé par Biden, nommé Président des États-Unis, suite à des fraudes abyssales.

2017 : arrivée à l’Élysée de Macron par fraudes graves !

Article rédigé le 25 juillet 2017, mais qui n’a pas pris une seule ride. Je le reposte, car il montre l’arrivée par fraudes graves de macron à l’Élysée : résultat d’une action concertée par l’État profond français

Les tristes votes à l’Assemblée nous rappellent le pire. Le vote du 5 juillet 2017 sur la confiance donnée au Premier Ministre (360 pour, 129 abstentions, 67 contre) ; puis le vote hélas massif des députés acceptant craintivement, — sauf naturellement les députés de la FI et les députés communistes —, la loi d’habilitation destinée à démolir le Code du travail.

1°)- les pleins Pouvoirs donnés à Pétain en 1940

Tous ces votes additionnés évoquent irrésistiblement les pleins pouvoirs donnés massivement à Pétain en 1940 : à l’exception de 80 députés « honnêtes ». Sans oublier les communistes qui n’étaient pas à Vichy, le PCF ayant été interdit de séjour.

Comme l’explique Alain Badiou, la désorientation des consciences pétainistes a rendu possible un tel plébiscite à ce gouvernement contre révolutionnaire (celui de 1940) : « ce régime d’oligarques corrompus jusqu’à l’os, qui se présentent comme ceux qui vont sortir le pays d’une grande crise morale. Un aventurier, un roi cacochyme, vieux militaire, politicien retors (Pétain), toujours homme de main des grandes fortunes, qui se présente comme le vrai détenteur de l’énergie nationale »(sic) (« De quoi Sarkozy est-il le nom ? », édition Lignes, 2009).

Car, tout comme Pétain, Macron n’est pas un « accident », une « erreur » de la grande Histoire et de quelques dirigeants « pris de court », ainsi que j’ai pu souvent le lire sur Facebook.

S’agissant de Pétain en 1940, Claude Bourdet, initiateur de la Résistance, nous révèle cette information peu connue, mais significative :

« En avril 1937, Laval, par l’intermédiaire d’un de ses parents, demanda à rencontrer une personne ayant la confiance du « Caudillo ». L’entrevue eut lieu, et Laval déclara à l’envoyé du « Caudillo » que, pour éviter un mouvement communiste en France, il était en contact avec Doriot, le Colonel de La Roque et le Maréchal Pétain. Il affirma que le salut de la France résidait dans un gouvernement Pétain, et que le Maréchal était déterminé à assumer cette responsabilité. : cf Dépêche de l’ambassadeur d’Allemagne en Espagne au Ministre des affaires étrangères allemand du 13 avril 1937, in archives secrètes de la Wilhemstrasse, tome 3, Plon, 1952. Le complot qui a présidé à la naissance de « l’État français » de Pétain était tramé de longue date. La « divine surprise » ne fut pas une surprise pour tous » (sic) (extrait de ses mémoires, « L’aventure incertaine », édition du Félin, 1998).

2)-Le coup d’État « démocratique » fomenté par macron

De la même façon aujourd’hui et s’agissant cette fois de Macron, nous possédons deux témoignages venant du petit banquier lui-même. Ce dernier n’a-t-il pas dit, au cours d’un conférence de presse officielle « qu’il était arrivé par infraction à l’Élysée »(sic) ? Plus disert encore, il a avoué, au cours d’une conférence effectuée en 2017, qu’il avait été choisi par Bildenberg. Et qu’il n’y avait pas de démocratie en France » (sic). Il existe un enregistrement vidéo de ces paroles, prouvant la véracité des mots prononcés par le petit banquier.

2.a)-L’arrivée au pouvoir d’une bande illégitime et minoritaire :

Car on le sait tous : Macron est arrivé au Pouvoir en 2017, suite à un « coup d’État démocratique », pour reprendre l’excellente formule d’Alain Badiou, tiré de son ouvrage : « Éloge de la Politique », édition Café Voltaire/Flammarion, 2016. Or, la promotion du livre d’Alain Badiou, qui commençait très fort, a été brutalement interrompue  au début du mois d’octobre 2017, du jour au lendemain par les sbires de Macron : ce qui montre combien ce livre lucide et intelligent gênait le petit banquier !

Régis de Castelnau résume aussi parfaitement la situation : « Le coup d’État financier, médiatique et judiciaire perpétré en 2017 a installé à la tête de l’État une bande minoritaire et illégitime. Incarnée par celui qui est leur chef, Emmanuel Macron »(sic), extrait de son billet de son blog « Vu du droit » du 6 octobre 2019, intitulé : « Pourquoi il ne faut pas demander le départ de Castaner ».

En 2017, la France a été traitée comme un pays africain. Que fait-on en Afrique ? Dans son ouvrage, « Le réveil de l’Histoire », Alain Badiou répond : « On (les États-Unis) monte de sanglantes expéditions militaires un peu partout, notamment en Afrique, pour faire « respecter les droits de l’homme », mettre partout au pouvoir -par la combinaison de l’occupation violente et « d’élections » fantomatiques -des valets corrompus, lesquels livreront pour rien aux susdits puissants la totalité des ressources du pays » (sic) (« Le réveil de l’Histoire », édition Lignes, 2012, page 12).

De la même façon, en 2017, grâce à des élections sans vérité, on a imposé le valet corrompu Macron à l’Élysée :
1°)-d’une part, pour siphonner les richesses françaises au profit des américains. 2°)-Surtout on a placé King Kostard, directement en réponse au mouvement anti Khomri de 2016, pour discipliner cette « populace », qui avait eu l’audace en 2016 de descendre dans la rue à 14 reprises, afin de s’opposer à un projet de loi (loi Khomri) voulu par la dictature supranationale de Bruxelles.

J’ai souvenir de la joie incroyable de Pierre Gattaz, membre de l’État profond français, suite à la réussite de cette sinistre entreprise. En effet, le Tour de France s’arrêtait un jour de juillet 2017 à Périgueux : on avait dressé des stands, en invitant notamment celui qui était encore « le patron des patrons ». Il n’en pouvait plus de bonheur de cette nouvelle situation, comme le montre une photo vu de lui dans la « Dordogne libre » achetée à l’occasion, hilarant, plié en deux de rigolade, comme on ne l’avait jamais connu.

2.b)-Le rôle des serveurs Scytl et Dominion :

Le serveur truqué SCYTL a joué un rôle cardinal. Le soir du premier tour, Macron faisait entre 6 et 9% des suffrages. Il y a eu une grande panne d’électricité. Tous les autres comptes des autres candidats ont été siphonnés, y compris les petites listes comme l’UPR et le NPA, réduites respectivement à 1 et à 0,5% des suffrages, malgré toute la mobilisation du NPA dans les luttes, et la forte et intelligente présence des militants de l’UPR sur les réseaux sociaux (voir excellent article rédigé par Éric Montana pour MEDIAZONE : « Scytl, le logiciel qui vote pour vous », du 26 novembre 2020).

Et, à travers eux, l’Ogre capitaliste mondialisé, à qui il en faut toujours plus, a réussi son « coup » : grâce à Macron au Pouvoir, avoir: toujours plus de profits, toujours plus de granduse, toujours plus de Volonté de Puissance. 

Conclusion :

Face à ce coup de force illégitime, il nous reste :

1)- Le COMBAT IDÉOLOGIQUE sur les réseaux sociaux, et, je l’espère aussi, par des passages média d’intellectuels de la gauche critique « reconnus ». En ce moment, il n’y a que Michel Onfray qui l’ouvre : même ce qu’il dit est du déjà vu, déjà entendu : critique du Peuple mis au rancart, malgré le succès du NON au TCE en 2005. Ce n’est pas mon préféré, mais ça fait du bien de l’écouter à défaut d’un autre.

 2°)- CONTRE LE NOUVEL ORDRE MONDIAL VOULANT FAIRE DE NOUS DES ESCLAVES DANS LE CADRE DU GRAND RESET, SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX, NOUS, LES SANS NOM, LES SANS GRADE, NOUS BATTRONS COMME DES CHIENS CONTRE LA DICTATURE SANITAIRE. LA PRIVATION DE LIBERTÉS PUBLIQUES (interdiction de manifester), VOULUE PAR MACRON, BIDEN, OBAMA, CLINTON, GATES, SOROS.

Nous, les sans nom, les sans grades, populariserons notre programme de rupture avec le mondialisme en 30 points élaboré par le Rassemblement « Pouvoir au Peuple », réunissant les « Insoumis critiques », les « franchement insoumis », le courant interne/externe : « Rupture, Pouvoir aux militants »,  le PRCF, la PARDEM, le CNSJS, proposant une vie décente et joyeuse pour chacune et pour chacun. Son porte-parole pourrait être, soit Jacques Généreux, soit Jacques Sapir, soit Jacques Cotta.

Comme on disait dans les années 790 : ON A RAISON DE SE RÉVOLTER ! 

(1)- J’ouvre une parenthèse : chaque fois que le petit poudré s’exprime en anglais, hélas dernièrement dans le Times, sans que personne n’y trouve à redire, je ressens une forte envie de dégobiller. Imagine-t-on le Général de Gaulle parler anglais à Roosevelt ou Eisenhower ? Naturellement, un tel scénario eut été invraisemblable. Mais ce choix de la langue anglaise est bien la preuve, malheureusement, que la France n’est plus qu’une petite colonie des États-Unis, où le vassal (Macron) réaffirme son humble subordination, son obéissance totale au suzerain, à l’époque encore Obama : pire encore, dans la langue de l’État puissant. Situation plus humiliante, tu meurs.

MACRON : « J’AI ÉTÉ SÉLÉCTIONNÉ PAR BILDERBERG, IL N’Y A PAS DE DÉMOCRATIE EN FRANCE ! »

Émilie Ballore, VK : cela remonte à 2017, mais c’est toujours d’actualité.

Emmanuel Macron :

« J’ai été sélectionné par le Groupe Bilderberg. Il n’y a pas de démocratie à proprement parler en France. »

Le président de la République a fait une annonce en off qui risque de donner de la fièvre aux conspirationnistes de tous bords. Il a allégué que son Premier Ministre a été sélectionné par le groupe hypermondialiste Bilderberg, tout comme il a été choisi pour devenir le Président de la République Française.

L’enregistrement audio qui a fuité et qui est en notre possession révèle au grand dam des médias une vérité sale et tragique qui risque de provoquer des remous dans la sphère politique et industrielle. Emmanuel Macron avoue qu’il n’y a pas de démocratie en France, que les chefs d’État ainsi que leurs premiers ministres et autres ministres importants sont sélectionnés par une classe hypermondialiste.

« Franchement, soyons honnêtes, Chirac a participé à une conférence Bilderberg, il est devenu président. Manuel Valls a participé à la réunion de 2009, il est devenu premier ministre. Moi on m’avait dit ‘tu obéis à notre vision européiste et on te fera grimper les échelons’ donc j’ai dit banco. »

Il a expliqué qu’à la conférence de 2014 il se trouvait à côté du ministre de la santé portugais et de la journaliste italienne Monica Maggioni.

« C’est très égalitariste, il n’y a pas de favoris et surtout pas de chrétiens ou pro-chrétiens, »

a expliqué M. Macron en off.

« L’objectif est de créer une Union Européenne qui n’a plus rien à voir avec l’Europe des Nations, politiquement, culturellement, ethniquement, dans tous les sens du terme. Il faut en finir avec l’ancien paradigme que les blancs dirigent l’Europe et il faut évidemment lutter contre tous les nationalismes. »

Ce qui est aussi l’avis de Sylvie Goulard qui a participé à une conférence Bilderberg et qui sera certainement dans le gouvernement Philippe à la tête du ministère des affaires étrangères. Elle est aussi favorite pour la présidentielle de 2022 selon Jacques Attali.

Macron a par la suite expliqué qu’Alain Juppé (qui a participé à une conférence Bilderberg lui aussi) aurait pris Edouard Philippe comme premier ministre dans tous les cas s’il avait gagné la primaire à droite :

« Quand des décisions sont prises, peu importe les résultats nous obéissons. »

Il a expliqué plus loin que c’est gagnant gagnant :

« Fillon, Juppé, moi, on vient tous du même club donc le résultat aurait été le même ! Gauche / Droite, c’est un système pour manipuler les masses. Le renouveau n’arrive pas croyez-moi. Que tous les immigrés et nouveaux français se réjouissent car je suis leur président, nous sommes leurs chefs et allons les aider à accomplir notre grand dessein. »

« Nous représentons les sauveurs de l’humanité, nous allons détruire les anciens pays blancs impérialistes et donner sa chance aux autres nations et peuples. Nous faisons cela pour le bien de l’humanité, pour en finir avec une Europe consanguine et dépassée par la mondialisation. Cette mondialisation profitera à tout le monde et pas seulement aux Européens qui profitent sur le dos du reste de l’humanité. Qui aime les Européens de nos jours ? Certainement pas le Groupe Bilderberg ! »,

a-t-il tancé sans une once de regret et sans se retenir.

Le document sera certainement publié début juin quand la conférence Bilderberg 2017 qui se tiendra peut-être à Chantilly, aux États-Unis, aura commencée.

Il semblerait que M. Macron n’a pas menti. En effet, la liste des membres est accessible sur le site internet officiel BilderbergMeetings.org créé en 2012 pour faire « taire les conspirationnistes en se montrant au ‘grand jour’ » selon le Président et dont M. Valls était aussi du même avis.

Les médias s’insurgent en critiquant les médias « conspirationnistes » qui s’intéressent de trop près à cette conférence.


Éric Montana : « Le logiciel qui permet de faire élire un inconnu, Président… »

Éric Montana, 26 novembre 2020

Scytl : le logiciel qui rend nos votes inutiles…

Le soir même du premier tour et avant même que les résultats définitifs ne soient connus, Macron à l’instar de Sarkozy, fêtait déjà avec les élites de la finance, son élection prévisible et annoncée pour le second tour, face à Marine Le Pen, la candidate choisie par le logiciel pour être l’épouvantail qui allait provoquer le ralliement massif de tous les « républicains » sur le candidat choisi par Bilderberg.

Il y a des événements qui servent parfois de déclic dans une vie. La fraude massive du candidat Biden dans les élections américaines en est un.

Nous découvrons avec effarement que l’on peut truquer des élections dans le pays qui se revendique « leader du monde libre » et lumière de la démocratie. Nous apprenons grâce à Internet et l’affaire Jeffrey Epstein, la corruption massive qui ronge la politique américaine, vendue à tous les lobbys.  La dépravation maladive de dirigeants mondialement connus comme Bill Clinton et même Bill Gates, deux habitués des voyages sur le Lolita Express, l’avion qui servait à transporter ces bienfaiteurs de l’humanité sur l’île aux orgies appartenant à l’agent du Mossad, découvert si opportunément suicidé dans sa cellule new-yorkaise. Un État américain noyauté par des personnages soupçonnés ou accusés de pédophilie, de trafic et de crimes sexuels…

Nous apprenons l’existence d’un Deep State qui gouverne ce pays dans l’ombre. Nous réalisons avec effroi que la CIA, cet État dans l’État qui ne rend compte à personne, agit à sa guise avec la complicité de son frère jumeau le Mossad, dans le trafic d’armes, le trafic de drogues, le trafic d’êtres humains, les coups d’État, les révolutions colorées, les assassinats ciblés.

Nous découvrons que Soros finance les Black Lives Matter en payant les manifestants 15 dollars de l’heure pour semer le chaos et la violence, qu’il organise les caravanes de milliers de sud américains se dirigeant vers les États-Unis pour tenter de faire passer Trump qui s’oppose à ces arrivées massives de faux migrants, pour un président sans cœur et sans compassion et salir son image aux yeux des américains et du reste du monde…

Et bien évidemment, on finit par s’interroger sur notre propre pays. Et en découvrant chaque jour que Dieu fait, la corruption de nos politiciens, leur soumission aux lobbys, leurs lois iniques votées contre le peuple, l’enrichissement rapide de certains d’entre eux, les privilèges indécents qu’ils s’accordent à eux-mêmes, l’impunité qu’ils se votent pour mieux se protéger de la justice, leurs vices cachés, on se dit que nous sommes exactement dans la même situation qu’aux États-Unis.

De plus, quand on découvre que la France possède aussi le logiciel Scytl qui a servi à truquer les élections américaines, les doutes légitimes que nous avions sur les élections présidentielles de 2017 qui a vu la victoire d’un candidat sorti de nulle part, mais sélectionné par le groupe Bilderberg pour être le nouveau président de la République française, ne peuvent que revenir à la surface.

Personne n’a oublié comment Macron a été outrageusement avantagé dans les médias, dans la presse. L’inégalité du temps de parole appliqué scandaleusement aux autres candidats qui ont été marginalisés, mal traités, et qui malgré leurs légitimes revendications à bénéficier d’un temps de parole égal et d’une égalité de traitement, n’ont pas été entendus. Cette première et grave anomalie laissait déjà entrevoir le reste… Macron semblait être le candidat que le Système avait choisi pour la fonction suprême. Les sondages lui étaient systématiquement favorables alors qu’il était inconnu des Français et que la seule chose que l’on savait de lui, c’est qu’il a permis à la finance apatride de mettre la main sur les fleurons de notre industrie nationale.

Ses meetings électoraux avec des figurants, des salles à moitié vides alors que les médias parlaient d’enthousiasme et d’engouement « populaire » pour ce jeune candidat, ont été une autre anomalie qui aurait du mettre la puce à l’oreille de ceux qui prétendent faire de l’information. La campagne électorale de Macron avait tout d’une mise en scène et réunissait tous les ingrédients de la manipulation de masse. Puis l’utilisation de machines à voter informatisées, aussi peu fiables que les résultats finaux, a été une autre source de questionnement.

Ne parlons pas des résultats du premier tour où dans les grandes villes tenues par ses amis politiques, les bulletins blancs étaient inexistants, où les premiers comptages lui attribuaient de 6 à 9% et parfois beaucoup moins… et qu’après une étrange panne informatique d’une demi-heure, on l’a donné en tête avec 22, 23 ou 24%… Les miracles de l’informatique et du logiciel Scytl ?

Le soir même du premier tour et avant même que les résultats définitifs ne soient connus, Macron à l’instar de Sarkozy, fêtait déjà avec les élites de la finance, son élection prévisible et annoncée pour le second tour face à Marine Le Pen, la candidate choisie par le logiciel pour être l’épouvantail qui allait provoquer le ralliement massif de tous les « républicains » sur le candidat choisi par Bilderberg.

Puis last but not last, le soir de son élection, le discours prononcé devant la symbolique pyramide du Louvre avec cette lumière rouge au-dessus de sa tête, comme l’œil d’Horus observant les événements, saluant la foule au signe du compas et de l’équerre devant des spectateurs et des figurants apparemment nombreux mais télévisés à coups d’images rapides pour éviter le détail qui tue..

Tout cela faisait penser à la théâtralisation d’une cérémonie maçonnique. Les derniers détails qui confirmaient des doutes légitimes et l’idée que nous étions bien dans une élection étrange ne correspondant à rien de ce que nous avions vécu auparavant. Et puis cette sale impression que le groupe Bilderberg et la Franc Maçonnerie l’avaient largement organisée et planifiée, et que grâce à l’ignorance et la naïveté des Français, la Cabale l’avait largement emportée.

Le vrai gagnant de ces élections ce n’était pas le peuple français mais Rothschild et ses complices de l’État profond.

Depuis, la France est vendue à la découpe à la haute finance et les riches se sont enrichis et multipliés comme jamais auparavant. Ce pouvoir gouverne par la force et la violence. Du jamais vu en France ! La corruption explose faisant de notre pays l’un des pays le plus corrompu du monde. Les lois liberticides se succèdent les unes après les autres. Les droits sociaux sont démolis à coups de votes nocturnes à l’Assemblée et au Sénat et même la réforme des retraites contre laquelle des millions de Français ont protesté, a été votée en pleine nuit, en catimini grâce à une nouvelle traîtrise du groupe Les Républicains qui en ont pris l’initiative. 

Et puis cerise sur le gâteau, l’état d’urgence sanitaire décrété grâce à un virus de laboratoire breveté et utilisé de manière criminelle, pour imposer aux Français un régime digne des pires dictatures.

La destruction de l’économie pour favoriser le Grand Reset à base de monnaie digitale, permettant de surveiller tous nos faits et gestes, les tests bidons pour continuer à gouverner par la peur, les chiffres truqués pour favoriser la psychose de la mort, la vaccination avec l’ajout de nanoparticules et d’ingrédients qui nous rendront encore plus malades, et bientôt la pénurie alimentaire, un nouveau Covid-21 et les camps d’internement pour faire plier les récalcitrants qui refusent en bloc le confinement, le masque obligatoire, l’interdiction de voyager, l’interdiction d’un retour à une vie normale et la folie criminelle de ce gouvernement d’imposteurs, d’assassins et de corrompus.

Et si les médias s’inquiètent de constater que 91% des Français et 80% d’entre nous, ne faisons plus confiance ni au gouvernement ni aux médias complices au sujet de cette gigantesque opération criminelle, c’est que nous sommes à la veille d’une révolte qui se transformera sans aucun doute, en insurrection violente.

Le peuple de France est victime d’une Cabale monstrueuse tout comme le peuple américain et d’autres peuples européens. Cette Cabale veut nous imposer le Nouvel Ordre Mondial totalitaire et génocidaire de gré ou de force, et pour l’instant c’est surtout la force et la violence qui sont employées. Nous sommes donc en situation de victimes.

Mais nous ne devons pas oublier que la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 énonce en son article 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »




53 morts à Gibraltar en 10 jours après le début des injections expérimentales d’ARNm COVID de Pfizer

[Source en anglais : Health Impact News]

[Traduction : Qactus]

53 morts à Gibraltar en 10 jours après le début des injections expérimentales d’ARNm COVID de Pfizer.

Publié le 24.01.2021 par Brian Shilhavy Rédacteur en chef, Health Impact News HIN


Gibraltar est une colonie britannique située à l’extrémité sud de la péninsule ibérique, rattachée au pays d’Espagne. Sa population est d’un peu plus de 30 000 habitants, et elle est surtout connue pour son énorme « rocher », le « Rocher de Gibraltar ».

J’ai été contacté par des résidents de Gibraltar déclarant que 53 personnes sont mortes en 10 jours immédiatement après le lancement des injections d’ARNm COVID de Pfizer, et qualifiant cela de “massacre”.

Les médias locaux confirment ces décès, mais les imputent à COVID, et non aux injections de COVID.

Tweet du Gouvernement de Gibraltar du 17 janvier 2021:
« Gibraltar a enregistré 13 autres décès liés à Covid au cours d’un week-end « dévastateur », ce qui a porté le nombre de décès à 43 depuis le début de la pandémie. Au cours de la seule semaine dernière, 27 personnes sont décédées soit directement à cause du virus, soit alors qu’elles étaient infectées par celui-ci. Neuf décès liés au Covid ont été enregistrés dimanche, le pire en une seule journée depuis la crise de santé publique d’il y a près d’un an. »

Dear @FabianPicardo I want 2 express our solidarity with all Gibraltarians who are fighting #covid19 as are Spaniards – we all hope that with the vaccines and the observance of recommendations from public authorities the pandemic will soon be behind us 🤝@MAECgob https://t.co/yADqfYiaei

— Arancha González (@AranchaGlezLaya) January 17, 2021

Cependant, avant la mise en place des injections, il est rapporté que seulement 16 personnes au total sont mortes « à cause de COVID » depuis le début de la « pandémie » il y a environ un an.

Un rapport de Kevin Rushworth :

Le petit Gibraltar fait la lumière sur les décès dus aux vaccins

Depuis le début de l’épidémie, le tri des véritables décès de Covidiens par rapport aux autres est un problème majeur. Nous avons maintenant le problème supplémentaire des vaccins dans le mélange. Le Royaume-Uni aurait aujourd’hui le taux quotidien de « mortalité Covidienne » le plus élevé jamais enregistré. Il est même supérieur à celui de la « première vague », malgré le degré important d’immunité collective qui s’est inévitablement accrue depuis le début. Cette « deuxième vague » atypique coïncide avec le lancement du vaccin. Les deux sont-ils liés ?

Gibraltar, normalement appelé simplement « Gib », donne une image très claire. Cette minuscule colonie britannique, d’à peine trois miles de long, annexée à la côte sud de l’Espagne, ne compte que 32 000 habitants. Elle avait relativement peu souffert de l’épidémie avant le 9 janvier de cette année, avec seulement dix-sept décès pour l’ensemble de la période. Le taux de mortalité était bien inférieur au classement des décès par million. Cela n’était pas dû à l’isolement, puisque les travailleurs espagnols ont continué à affluer à Gib tous les matins, et à en repartir tous les soirs.

Depuis le 9 janvier, le nombre de « décès Covid » par million a grimpé en flèche pour atteindre la troisième place sur le site Worldometer. Trente-six décès supplémentaires en un peu plus d’une semaine. Qu’est-ce qui a changé le 9 ? La RAF a transporté par avion près de 6 000 vaccins Pfizer, refroidis à -70C par la glace sèche. Ils ont été utilisés rapidement pour éviter tout risque de dégradation. Le petit Gibraltar est comme une boîte de pétri ; en aucun autre endroit il n’y a eu une relation aussi brutalement claire entre le déploiement des vaccins et l’augmentation des « morts par Covid ». Les médias locaux et le gouvernement n’ont même pas fait référence à ce lien évident. Et les médias ailleurs n’ont commodément pas remarqué. Pourtant, ne pas reconnaître que ces décès exigent, à tout le moins, une enquête immédiate, nécessite un échec criminel du jugement.

Je ne trouve pas la source originale de cette citation, mais les rapports des médias locaux semblent confirmer que les décès sont survenus après le début du programme expérimental d’injection d’ARNm de Pfizer.

13 personnes sont mortes le premier week-end, la plupart étant des personnes âgées, et 27 la première semaine, selon les sources des médias locaux.

Extrait du Gibraltar Chronicle du 17 janvier 2021 :

Gibraltar a enregistré 13 autres décès liés à Covid au cours d’un week-end « dévastateur », ce qui porte le nombre de décès à 43 depuis le début de la pandémie.

Au cours de la seule semaine dernière, 27 personnes sont décédées soit directement à cause du virus, soit alors qu’elles étaient infectées par celui-ci.

Neuf décès liés au Covid ont été enregistrés dimanche, le pire en une seule journée depuis la crise de santé publique d’il y a près d’un an.

Le gouvernement de Gibraltar a confirmé ces données dans sa dernière mise à jour sur le virus Covid dimanche, alors que le ministre en chef Fabian Picardo a confirmé qu’il s’adresserait à la communauté lors d’une conférence de presse en direct de la place du couvent n°6, lundi à 16 heures.

M. Picardo a qualifié les derniers développements de « pénibles », ajoutant qu’il avait lui-même perdu un parent et des amis ces derniers jours.

Toutes les personnes décédées ce week-end, à l’exception de trois, étaient prises en charge par les services d’hébergement des personnes âgées, où il y avait encore 130 cas actifs de Covid-19 dimanche.

Parmi les personnes décédées, six femmes et quatre hommes, le plus jeune au début des années 70, le plus âgé à la fin des années 90. Tous ont été enregistrés comme étant des décès de Covid-19.

Deux hommes et une femme qui n’étaient pas sous la garde de l’ERS sont également décédés ce week-end des suites de complications liées au Covid-19, dont un homme à la fin de la soixantaine.

Le premier lot des injections expérimentales d’ARNm COVID de Pfizer a été livré par l’armée le 9 janvier, selon le Journal de la Défense britannique :

Un avion de transport britannique A400M Atlas a livré les premières doses du vaccin COVID19 de Pfizer à Gibraltar.

Selon une déclaration du gouvernement de Gibraltar :

« Le gouvernement de Sa Majesté de Gibraltar est ravi d’annoncer que la première livraison du vaccin Pfizer/BioNTech COVID-19 aura lieu le samedi 9 janvier 2021. Dès son arrivée, le vaccin sera immédiatement transporté directement dans des congélateurs spéciaux au sous-sol de l’hôpital St Bernard et conservé à -75 degrés centigrades.

Cette première livraison est assurée à Gibraltar par le gouvernement britannique dans le cadre de son programme d’approvisionnement des territoires d’outre-mer, la méthode de livraison étant la même qu’au Royaume-Uni.

Cette première livraison comprendra 5850 doses de vaccin. La deuxième livraison de vaccins est prévue pour la fin du mois de janvier. L’objectif est d’avoir vacciné toutes les personnes âgées de plus de 70 ans avec au moins une dose à la mi-février, en supposant que les vaccins arrivent comme prévu ».

Le programme de vaccination du public à Gibraltar commencera le lundi 11 janvier et se déroulera dans l’ancien centre de soins primaires de la CPI.

Expatica.com a indiqué que les injections ont commencé le 9 janvier, et qu’à la nuit du dimanche 10 janvier, 5 847 doses avaient été administrées.

Gibraltar a commencé à déployer son programme de vaccination le 9 janvier en utilisant le vaccin Pfizer et dans la nuit de dimanche à dimanche, 5.847 doses avaient été administrées – couvrant environ 17 pour cent de la population. (Article complet.)

Le gouvernement de Gibraltar a indiqué qu’au 10 janvier, un jour seulement après le début des injections, 4 personnes sont mortes immédiatement :

C’est avec un profond regret que le gouvernement confirme la mort de quatre résidents de Gibraltar suite à l’administration de COVID-19. Cela porte à 16 le nombre total de décès liés à COVID-19 à Gibraltar.

Le premier était un résident masculin des services résidentiels pour personnes âgées, âgé de 90 à 95 ans, qui est mort la nuit dernière d’une pneumonie à COVID-19 avec septicémie. Ce décès sera enregistré dans les statistiques d’aujourd’hui comme un décès dû à COVID-19.

Le second était un homme, âgé de 70 à 75 ans, qui était également atteint d’un cancer au moment de son décès. Le patient est décédé aujourd’hui d’une pneumonie due à COVID-19. Ce décès sera enregistré dans les statistiques d’aujourd’hui comme un décès dû à COVID-19.

La troisième était une résidente des services résidentiels pour personnes âgées, âgée de 90 à 95 ans, qui est décédée aujourd’hui d’une septicémie due à COVID-19. Ce décès sera enregistré dans les statistiques d’aujourd’hui comme un décès dû à COVID-19.

La quatrième était une femme âgée de 95 à 100 ans, qui est décédée aujourd’hui d’une pneumonie due à COVID-19. Ce décès sera enregistré dans les statistiques d’aujourd’hui comme un décès dû à COVID-19.

Au lieu d’arrêter immédiatement le programme de « vaccination » COVID, le ministre en chef, Fabian Picardo, a déclaré que les « vaccins » apportaient « un véritable soulagement et l’espoir d’un avenir meilleur ».

Le ministre en chef, Fabian Picardo, a déclaré : « Je suis extrêmement attristé par la nouvelle d’aujourd’hui concernant la perte de quatre membres de notre communauté à la suite de la COVID-19. Mes pensées et mes plus sincères condoléances vont aux familles et aux amis des défunts.

Le caractère poignant de leur décès, le jour même où le programme de vaccination de Gibraltar a commencé, est particulièrement douloureux.

Nous ne sommes pas encore sortis de l’auberge. Le lancement du vaccin nous apporte un réel soulagement et l’espoir d’un avenir meilleur. Mais tant que nous n’aurons pas pu vacciner tout le monde, la meilleure façon de protéger vos proches est de rester chez vous. N’oubliez pas non plus qu’il faut quelques semaines pour que le vaccin commence à offrir une protection contre le COVID-19, donc même lorsque vous êtes vacciné, vous devez faire preuve de la plus grande prudence.

Cela signifie, pour l’instant, rester chez soi, porter un masque si l’on doit sortir pour des raisons essentielles et se laver les mains correctement et souvent.

Je vous invite tous à manifester votre intérêt pour le vaccin en utilisant le formulaire en ligne de la GHA, disponible sur https://www.gha.gi/covid-19-vaccination-interest-form/. Je l’ai déjà fait, et j’attends avec impatience mon tour dans la file d’attente. Pour l’instant, nous allons à juste titre nous concentrer sur la protection de nos plus vulnérables et de nos précieux travailleurs de première ligne, dont les efforts inlassables nous ont amenés à ce point où nous pouvons envisager l’avenir avec espoir ». (Source.)

Oui, « massacre » est le terme correct ici, et un autre fonctionnaire du gouvernement semble être coupable de meurtre de masse.

Voyez-vous le schéma se développer ici ? Injecter d’abord les personnes âgées, les regarder mourir par injection létale, puis rejeter la faute sur le virus, tout en encourageant tous les autres à se faire « vacciner » pour se protéger.

Ce qui est triste, c’est que cela fonctionne vraiment. Les gens ne résistent pas. Les foules ne se soulèvent pas pour protéger les personnes sans défense et emprisonner les tyrans meurtriers.

Ils obéissent à leur gouvernement en étant de « bons citoyens » et en portant leurs masques, en pratiquant la distanciation sociale et en restant chez eux – comme on leur dit de le faire.

Sauvez ceux qui sont emmenés à la mort ; retenez ceux qui chancellent vers le massacre.

Si vous dites : « Mais nous ne savions rien de tout cela », celui qui pèse le cœur ne le perçoit-il pas ? Celui qui veille sur votre vie ne le sait-il pas ? Ne rendra-t-il pas à chacun selon ce qu’il a fait ? (Proverbes 24:11-12)

Voir aussi :

Les médecins du monde entier émettent un avertissement : NE PAS SE FAIRE VACCINER PAR LES COVIDS !




COVID : Vladimir Poutine envoie ch… les globalistes

[Source : Boris Karpov – En direct de Russie. (tvs24.ru)]

Allant à contre-courant de la paranoïa des gouvernements occidentaux, Vladimir Poutine a annoncé ce jour le retour à la normale en Russie:

« En Russie, la situation avec le coronavirus se stabilise ; les restrictions imposées en lien avec la pandémie peuvent être progressivement levées. En général, la situation épidémiologique dans le pays se stabilise progressivement. Ce matin, j’ai écouté les rapports : nous avons déjà le nombre de guéris supérieur au nombre de malades. Le nombre de personnes infectées diminue, il est à moins de 20 pour mille. Cela permet de supprimer soigneusement les restrictions imposées. »

Actuellement dans la plupart des régions de la Fédération de Russie il y a déjà très peu de restrictions depuis l’été dernier, comparativement aux pays occidentaux: Tous les services et commerces fonctionnent (bars et restaurants doivent dans plusieurs régions fermer à 23 heures… en théorie. En pratique, beaucoup ne ferment qu’à l’aube…). Les seules limitations sont l’obligation (ici aussi très théorique) du masque dans les transports et magasins, et la limitation à 50% du taux d’occupation des cinémas, musées etc. Par ailleurs la population en grande partie ne suit que très peu les consignes stupides: Le masque est peu porté, ou alors sous le menton. Quand aux « distances sociales »… Voici une photo prise il y a quelques jours dans le métro de Moscou..

La portée de la déclaration de Vladimir Poutine est en fait très politique : Elle montre au clan des globalistes en Russie, mené par le maire de Moscou qui désire renforcer les mesures pour s’aligner sur les pays occidentaux, que son petit jeu est terminé. En août, c’est déjà Vladimir Poutine qui avait ordonné au maire de Moscou de lever la quarantaine (Le maire avait reçu un coup de téléphone en pleine réunion pour préparer l’annonce de la poursuite de la quarantaine et avait déjà commencé à faire envoyer des SMS pour en informer la population. Selon un témoin, le maire n’a rien dit durant 2 à 3 minutes, et à la fin de la communication a déclaré que la quarantaine était levée.). La semaine dernière c’est encore le président qui a ordonné au maire de Moscou de cesser l’enseignement « à distance » que celui-ci avait mis en place en octobre pour une grande partie des élèves. Aujourd’hui, le président Poutine déclare donc, au plan national, que les choses ont assez duré.

S’il y a assurément une justification électorale à cette décision, par la chute de popularité du maire de Moscou à 80% de mécontents qui se traduit par la chute de popularité de Poutine avec un énorme 40% de mécontents, ), il semble clair, alors que les pays occidentaux rivalisent de paranoïa pour savoir qui enfermera le plus durement et longuement sa population, que Vladimir Poutine met la Russie en-dehors du plan globaliste. On rappellera par ailleurs les mesures nouvelles que la Russie a inscrites dans sa Constitution (par exemple le mariage = Homme plus Femme exclusivement, la réaffirmation de la foi en Dieu, la prédominance des lois Russes sur les lois internationales, etc) qui montrent clairement le chemin choisi, aux antipodes du projet de société mondialiste.

Le hold-up électoral réalisé par Biden et ses complices aux Etats-Unis va rapidement entraîner l’Europe de l’ouest dans une globalisation à marche forcée.  Macron a d’ailleurs fait allégeance à Biden lors de leur premier entretien téléphonique hier. La Russie s’affirmera alors comme un oasis souverain dans un monde fou. C’est d’ailleurs pour éviter cela que les globalistes font le forcing avec les tentatives de soulèvement fomentées par la « 5ème colonne » menée par Navalny et quelques oligarques.

Mais, comme le disait ici-même Konstantin Sergueïevitch : 

« la Russie a les moyens humains, financiers et militaires, de tracer sa voie quelles que soient les réactions des globalistes. » 

Dans ce même article, Konstantin Sergueïevitch écrit :  « Faute de réaction rapide, demain ou après-demain, le pire est déjà programmé ». La déclaration de Vladimir Poutine ce jour sur la fin de la folie autour du covid montre qu’il y a une réaction, qui devrait être suivie d’autres dans les semaines à venir.

Boris Guenadevitch Karpov




Ces vaccins qui aggravent la maladie

Par Dr Schmitz

Le rapport bénéfices/risques ? il est très simple : les bénéfices pour les labos, les risques pour les cobayes humains.


Chère lectrice, cher lecteur,

Depuis quelques semaines, les médias ont une nouvelle lubie : les mutations du virus, et spécialement, le « variant anglais ».

Pourtant, il est évident que le virus n’a pas attendu 1 an pour commencer à muter ! En effet, un virus mute sans arrêt en se reproduisant, et toujours en devenant moins virulent (c’est la nature même d’un virus).

Or rappelons la réalité des chiffres, si vous le voulez bien. Pour ce qui est de la pandémie, les morts sont :

  • Assez rares (1 personne sur 2000) ;
  • Essentiellement des personnes assez âgées (84 ans en moyenne) ;
  • Parfois atteintes de plusieurs maladies graves(1).

Certes, il semble vrai qu’il puisse y avoir des conséquences cardio-vasculaires à moyen terme, mais leurs incidences ne sont que rarement mortelles.

Faut-il rendre la vaccination obligatoire ?

Il n’y a que le « virus de la peur » qui rende cette vaccination nécessaire, et le chantage qu’on nous fait en nous retirant ce qui fait le sel de notre vie : la culture et les sorties.

Mais je vous prie de bien écouter les porteurs de nouvelles : vous n’entendrez de leur part aucune vraie promesse que le vaccin vous rende une vie normale.

Ce n’est malheureusement pas parce qu’on vous vaccine qu’on vous garantit que vous pourrez profiter de votre famille et de vos amis, du musée, du restaurant, du théâtre, du cinéma, des boîtes de nuit…

La panique n’a jamais servi à rien

On a donc vu l’Angleterre s’alarmer et vacciner en masse, de même qu’Israël (plus d’1 million de vaccinés !) et l’Allemagne.

Si le processus de vaccination traîne, c’est peut-être aussi que les médecins français sont plus circonspects sur la thérapie génique de Pfizer BioNtech, sur laquelle on n’a aucun recul !

Comme l’a récemment souligné mon ami Xavier Bazin, les conséquences de cette injection avec ARN messager pourraient être catastrophiques.

Cela pourrait engendrer un nouveau virus, par une combinaison inopinée du virus vivant, qui pourrait s’avérer tout aussi contagieux.

Mais avant tout, je voudrais vous parler d’une très importante étude de 2012, qui a récemment refait surface.

Elle nous rappelle que la vaccination N’est PAS la panacée face aux virus. Pire encore, elle pourrait être contre-indiquée contre la « pandémie ».

Et en un mot, comme en 100, la vaccination pourrait même faire exploser le nombre de morts.

Si la vaccination rendait le virus encore plus mortel ?

C’est en particulier deux personnalités éminentes et critiques de la politique sanitaire actuelle, qui en ont discuté : la généticienne Alexandra Henrion-Caude, chercheuse à l’Inserm, et l’épidémiologiste irlandaise Dolores Cahill.

Cette étude de 2012, publiée dans la revue PlosOne, qui a le mérite d’être la revue médicale la plus lue au monde, avère que la vaccination sur les coronavirus des souris a eu pour résultat des effets inverses à ceux recherchés !

Les cobayes étaient en effet plus sensibles à la maladie et avaient plus de risques de mourir que ceux qui n’avaient pas été vaccinées !

L’étude conclut que la vaccination n’est pas le traitement adéquat pour ce type de virus, et ne devrait pas être administrée chez les humains. Du moins, elle devrait être essayée avec la plus grande précaution(2).

Évidemment, on ne vous en parle pas, et on met en avant la vaccination comme un sésame pour la liberté… ce que, répétons-le, elle n’est pas !

30 000 soignants français contre-attaquent

Les médecins français reçoivent environ 3 courriels par jour de leur administration pour les contraindre à vacciner au lieu de traiter, comme en témoigne Violaine Guérin(3).

Ce médecin, farouche défenseur du traitement contre la pandémie, a lancé un important manifeste, afin que ce traitement soit préféré à la vaccination.

Je vous encourage, si vous trouvez le temps, à signer ce manifeste qui gêne d’ores et déjà beaucoup le gouvernement français.

En outre, Violaine Guérin et les quelque 30 000 soignants qui la soutiennent, militent pour la création d’un comité scientifique indépendant.

Le matraquage vaccinal

Pourquoi certains États occidentaux insistent-ils tellement sur la vaccination ARN, alors que ni l’Asie ni l’Afrique ne le font ?

La réponse tient probablement dans les rapports très étroits qu’entretient l’administration avec les laboratoires pharmaceutiques, comme les laboratoires Servier(4), producteurs du tristement célèbre Mediator.

Bien entendu, ce n’est pas l’argument que l’on nous sert.

Or cette expérimentation est sans précédent, tant du point de vue des populations atteintes que de la dangerosité potentielle des produits injectés.

Le traitement ARN n’est pas un vaccin au sens où l’on vous inoculerait un virus atténué ou « mort » afin que votre corps apprenne à se défendre contre lui.

C’est un traitement qui consiste à jouer sur le clavier de vos gênes, et qui pourrait être changé en fonction des évolutions des épidémies. Il serait ainsi beaucoup plus souple et beaucoup plus efficace que la vaccination conventionnelle…

Dans la réalité, un vaccin a besoin d’être conservé à température très basse (-70°C) pour ne pas être altéré. On ne sait donc pas comment il joue sur nos gènes, d’autant plus qu’il n’a pas été adapté aux mutations récentes du virus !

Il est donc possible que ce vaccin soit très dangereux, sans servir à quoi que ce soit !

Que restera-t-il de la médecine ?

On comprend le manque d’empressement des médecins et des autorités de santé à prescrire ce « vaccin » !

Si les labos sont exonérés de toute responsabilité juridique, de tout dommage et d’intérêt, la réputation des autorités de santé et des médecins est en jeu.

Plus encore, la réputation de toute la médecine occidentale est sur la sellette.

D’autant que, répétons-le, la totalité des vaccins disponibles actuellement ont été produits dans un temps très court :

6 à 8 mois – 1 an au plus ! Or il faut en moyenne une dizaine d’années pour arriver à des résultats à peu près probants.

Le vaccin contre la grippe a mis 15 ans à être développé, et les chercheurs travaillent chaque année pour l’adapter aux mutations du virus… … avec des succès pour le moins mitigés, puisque pour la grippe, 1 personne vaccinée sur 2 n’est pas immunisée.

Les vaccins contre la pandémie arrivent donc sur le marché avec un temps de retard sur la mutation naturelle des virus, avec une efficacité incertaine…

… et des effets secondaires qui, eux, seront très réels.

On ne peut pas croire les labos

Les premières vaccinations au Royaume-Uni se sont mal passées. Si mal que le gouvernement a demandé aux gens allergiques de ne pas se faire vacciner…(5)

Partout dans le monde, le personnel de santé freine des 4 fers.

Un médecin de 56 ans est mort en Floride, 2 semaines après avoir été vacciné(6). Pourtant, ni sa condition physique, ni son âge, n’auraient dû conduire à pareille conséquence.

En Norvège, il y a eu 13 personnes résidents de maison de repos dont il a été attesté par autopsie que la mort était directement due à l’injection du vaccin ARN Pfizer BioNtech.

Une enquête a été ouverte à ce sujet(7) et Sigurd Hortemo, la directrice norvégienne de la santé, a remis en cause la nécessité de vacciner les personnes les plus fragiles – surtout celles affectées par d’autres maladies.

En outre, des vidéos circulent sur des effets secondaires particulièrement déplaisants à court terme, comme cette femme qui est prise de violentes convulsions qui ne s’arrêtent plus(8) ou bien d’autres infirmiers encore(9).

C’est également le cas d’une infirmière canadienne certifiée, Shawn Skelton(10), dont le cas commence à faire du bruit(11) mais dont vous n’entendrez certainement pas parler dans les médias traditionnels.

Ils préfèrent vous faire sentir qu’il est important de montrer l’exemple en vous faisant vacciner !

Cependant personne n’a encore établi objectivement l’efficacité réelle du vaccin, hormis des études internes.

Donc, si le patient vacciné tombe malade en plus de subir les effets secondaires du vaccin, cela s’annonce comme UNE DOUBLE PEINE pour lui.

C’est quoi, ce vaccin « OGM » ?

J’ai été parmi les premiers à vous parler du « vaccin » à ARN messager, technologie aussi bien utilisée par Pfizer-BioNtech que par ModeRNA.

Le fonctionnement de cette technologie est en principe assez simple.

Dans un vaccin « classique », on vous inocule un virus désactivé ou atténué, afin que votre corps s’habitue à traiter avec cet élément étranger.

Ainsi, vous fabriquez les armes (les anticorps) pour détruire le virus dès qu’il est « repéré » dans votre corps.

D’autre part, dans le vaccin ARN, on envoie du matériel génétique afin d’influer directement sur le code des cellules de façon à ce que, si elles devaient repérer le virus, elles l’éliminent.

Le Professeur Christian Perronne considère que c’est de la « thérapie » génique et non de la vaccination(12).

La différence est celle qu’il y a entre le fait d’être entraîné à tirer au fusil en cas d’urgence et celui d’être conditionné à tirer au fusil en cas d’urgence – ce qui peut causer beaucoup plus d’accidents (et des graves !).

En vérité, ces « messages » envoyés au code de nos cellules n’ont pas vocation à rester dans les cellules, au contraire d’un vaccin ADN. Ils ne servent qu’à apprendre à vos cellules à se défendre contre un virus.

Néanmoins ces messages s’impriment dans votre code génétique. Donc dans la réalité, ce « vaccin » vous change pour toujours.

Ces changements pourraient provoquer des surréactions immunitaires, des maladies auto-immunes, des cancers, mais aussi des maladies complètement nouvelles.

Ils jouent, VOUS PAYEZ

Cette nouvelle technologie de vaccination représente un enjeu énorme pour la recherche, et ce à deux titres.

D’abord on aura la capacité, chaque fois qu’on aura identifié une nouvelle mutation du virus, d’ordonner à nos défenses immunitaires de le détruire.

Mais le revers de la médaille est considérable.

Aucune compagnie pharmaceutique, et aucune assurance, ne se porte garant des effets possiblement désastreux du vaccin (de celui-ci comme des autres).

C’est finalement l’Union Européenne qui les dédommagera, c’est-à-dire vos impôts !(13)

Vous l’avez donc compris, dans cette histoire de vaccin, vous êtes toujours perdant, et l’industrie pharmaceutique, elle, toujours gagnante.

Pas étonnant qu’elle veuille continuer à jouer « quoi qu’il en coûte » !

Sur ce, portez-vous bien,

Dr. Thierry Schmitz

Sources:

(1) https://www.youtube.com/watch?v=v4t4xl5h5cQ

(2) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22536382/

(3) https://www.youtube.com/watch?v=giHQMAuWe2c&t=363s

(4) https://www.marianne.net/societe/scandale-la-corruption-ordinaire-des-laboratoires-servier

(5) https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccin-contre-le-coronavirus-le-royaume-uni-deconseille-le-vaccin-pfizer-biontech-

(6) https://edition.cnn.com/2021/01/06/health/coronavirus-vaccine-doctor-death/index.html

(7) https://www.lavenir.net/cnt/dmf20210118_01546328/enquete-ouverte-en-norvege-apres-le-deces-de-13-patients-vaccines-du-covid-19

(8) https://www.brighteon.com/989129eb-6012-4d91-b19b-6904187774af

(9) https://www.brighteon.com/ae8e89a6-6350-4e24-a686-7fc858b6953d

(10) https://www.brighteon.com/3729bf68-64d3-495e-acee-2b82c4da9e2b

(11) https://eu.courierpress.com/story/news/2021/01/12/covid-vaccine-moderna-side-effects-cdc-doctor-symptoms-shawn-skelton/6646047002/

(12) https://www.youtube.com/watch?v=2fcFa2xI6sY [Vidéo censurée]

(13) https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-13790 [Article retiré]




Une zone B existe, donc il y a de l’espoir, je vous le promets !

[Source : Le Saker Francophone]

Par Le Saker – Le 20 janvier 2020 – Source The Saker Blog


Chers amis, aujourd’hui, il semble que le triomphe de nos adversaires soit total. Je veux publier cette chronique en disant que je ne crois pas une seule seconde que cela soit le cas. Tout ce que je vais faire aujourd’hui, c’est expliquer pourquoi. Ainsi, juste pour que les personnes autrement surdouées puissent comprendre, il ne s’agit pas d’une analyse exhaustive et je vais laisser de côté beaucoup de choses.

Allons-y donc :

Premièrement, remarquez à quel point nos adversaires sont totalement paranoïaques ! Selon la façon dont vous comptez et à qui vous le demandez, ils ont fait appel à 25 à 65 000 personnes armées pour les « défendre ». Bien sûr, le but premier de ces absurdités est de faire croire qu’il existe une terrible force terroriste nationale prête à prendre le contrôle de Washington et à ouvrir des goulags pour les minorités. Il sera alors plus facile de vendre une répression massive des libertés civiles sous le prétexte de « protéger » la « démocratie » (supposée mais, en réalité, déjà disparue). Mais le fait qu’ils aient dû s’engager dans une chasse aux sorcières en contrôlant soigneusement chaque garde national (et probablement encore plus de personnes) montre qu’ils ont vraiment peur. Je pense qu’ils ont tort, il n’y a pas de menace terroriste intérieure crédible aux États-Unis, autre que le gouvernement lui-même, bien sûr. Mais ce qui importe ici n’est pas ce que je pense, mais ce qu’ils pensent, et ils semblent avoir développé un sérieux cas de paranoïa.

Deuxièmement, même si je ne crois pas à l’existence de terroristes nationaux aux États-Unis, je pense que des millions de citoyens américains sont convaincus que le vote a été volé. On peut comprendre que ces personnes soient dégoûtées et en colère. Beaucoup sont peut-être désespérés ou même découragés. Appelons-les les « Déplorables » et considérons cela comme une marque d’honneur. Eh bien, ces Déplorables ne prendront pas Washington DC par la force, mais ils ne feront plus jamais confiance à un politicien du Parti Démocrate, ni du Parti Républicain, ni aux médias grand public. Une des bénédictions déguisées de cette élection volée est que le Parti Républicain et Fox News ont montré leur vrai visage, et que leurs visages sont diaboliques, stupides et laids. Il y a quatre ans, des millions de citoyens américains n’ont pas tant voté pour Trump que contre Hillary, qu’ils considéraient (à juste titre) comme un symbole et une métaphore de l’ensemble de l’« État profond », du « marais », du « ZOG » (Zionist Occupation Government) ou de toute autre expression de votre choix. Ces Déplorables avaient d’abord fait confiance à Obama (« un changement crédible ») et, plus tard, à Trump (MAGA). Maintenant, ils savent que les deux camps sont tout aussi mauvais et faussaires.

Dans le passé, les deux factions du « Big Money Party » avaient des soupapes de sécurité (Tea Party, Occupy Wall Street, Rand Paul, Tulsi Gabbard, Bernie Sanders, etc.) Je pense que maintenant, les deux partis se trouvent littéralement à poil et, les gars, c’est vraiment pas beau à voir !

Troisièmement, et sur ce point-là je m’adresse principalement à mes lecteurs aux États-Unis et cela m’obligera à faire une note qui leur est principalement destiné :

Note de l’auteur

La planète peut être divisée en deux parties : ZONE A, la partie du monde entièrement contrôlée par l’empire anglo-sioniste, et ZONE B, celle qui comprend le reste. La grande majorité des Américains ne connaissent vraiment que la zone A. Pourquoi ? Pour les raisons suivantes :

  • La plupart des Américains n’ont jamais voyagé en dehors de la zone A.
  • Les Américains qui ont voyagé en dehors de la zone A l’ont généralement fait sans parler la langue locale, restant ainsi isolés de la population et des médias locaux.
  • La plupart des Américains obtiennent leurs informations auprès d’organes d’information basés aux États-Unis, souvent en combinaison avec quelques autres dans l’Anglosphère (Royaume-Uni, Australie).
  • Les médias américains mentent encore plus sur ce qui se passe dans la zone B qu’ils ne mentent sur la zone A.
  • Les écoles américaines ont pratiquement cessé d’enseigner l’histoire, et lorsqu’elles le font, ce n’est que de la propagande tournant autour de la « ville sur la colline » et toutes les autres conneries impérialistes sur le caractère exceptionnel des États-Unis. Par conséquent, lorsque la plupart des Américains sont exposés aux faits concernant la zone B, ils ne sont pas équipés pour en comprendre la signification ou l’importance.
  • La plupart des Américains supposent simplement que les habitants de la zone B sont très semblables à ceux de la zone A. La plupart des Américains supposent également que la plupart des gouvernements de la zone B sont encore plus malfaisants qu’oncle Shmuel.
  • La plupart des Américains croient également en ce que j’appelle le « préjugé sur l’immigration » : la croyance selon laquelle les gens viennent aux États-Unis de tous les coins de la planète parce qu’ils préfèrent les États-Unis à leur pays et à leur peuple. Toute personne vivant aux États-Unis et parlant espagnol sait que cette croyance est totalement fausse, bien sûr. Mais rares sont les Américains non hispaniques qui parlent en espagnol aux Hispaniques des États-Unis (pour votre information, moi oui). Les Anglos semblent généralement avoir du mal avec les langues…
  • Malheureusement, la plupart des Américains ne sont pas éduqués par leurs parents, leurs chefs religieux, leurs communautés ou leurs écoles. La plupart des Américains reçoivent l’essentiel de leur éducation en regardant la télévision. Comme toutes les chaînes de télévision américaines proposent presque le même mélange de divertissements vulgaires, de propagande et de publicités, cette « éducation » a donné naissance à un grand nombre de familles et de communautés massivement dysfonctionnelles. Cette dépendance à l’égard d’un écran clignotant (que ce soit la télé ou YouTube — même différence) leur donne une capacité d’attention très courte et une capacité limitée à traiter de grandes quantités d’informations écrites, ce qui est nécessaire pour pouvoir analyser une situation.

Conséquence directe de ces facteurs, la plupart des Américains vivent dans un « espace mental » où la zone B n’existe tout simplement pas et, lorsqu’elle est mentionnée, elle l’est invariablement sur le mode des « mêmes vieux clichés ».

Enfin, compte tenu de tout ce qui précède, c’est vraiment un miracle que les Déplorables aient complètement ignoré une campagne massive de lavage de cerveau (bieeeen pire que tout ce que les Communistes ou les Nazis n’avaient jamais imaginé !) contre « Trump le nouvel Hitler » et aient quand même voté pour lui deux fois, en 2016 et 2020 ! Cela montre bien que la plupart des Américains détestent discrètement mais passionnément le régime de Washington et qu’ils profitent de toutes les occasions qui leur sont offertes pour essayer de changer leur pays et leur vie en votant. On peut se demander ce que ces Déplorables « désobéissants » feront la prochaine fois, maintenant que le vote est ostensiblement devenu une perte de temps, n’est-ce pas ?

Voici maintenant la bonne nouvelle : La zone B existe bel et bien ! En fait, elle est énorme, riche, vraiment diverse et elle a depuis longtemps compris que l’empire anglo-sioniste et les États-Unis tels que nous les connaissions sont pratiquement morts ; qu’il n’en reste qu’un peu de mouvement inertiel et de nombreuses mauvaises habitudes de la part de politiciens américains ignorants, arrogants et délirants.

Pourquoi est-ce si important ?

Parce que si nous laissons le Grand Satan (une très bonne expression, je pense qu’elle convient parfaitement au nouveau régime, je l’utiliserai plus souvent) nous convaincre que la réalité est toute contenue dans la zone A, nous pourrions vraiment tomber dans le désespoir. Oui, les États-Unis sont foutus, tout comme l’ensemble de l’UE. Quant aux colonies américaines comme l’Australie ou la Nouvelle Zélande, non seulement elles sont foutues (par exemple en se rangeant du côté des États-Unis contre une Chine beaucoup plus puissante), mais elles semblent même avoir un désir morbide de surpasser les États-Unis en termes de lois folles et de positions idéologiques insensées (par exemple sur la Covid-19). Mais tout cela n’est vrai qu’en zone A. Très peu de personnes dans la zone B croient encore que les États-Unis sont très importants. La plupart d’entre eux savent déjà que ce n’est plus le cas, même si les médias de la zone A n’en parlent jamais.

Il y a encore d’autres bonnes nouvelles : ni l’empire (croupion) anglo-sioniste, ni les États-Unis (croupion) ne représentent une menace crédible pour la plupart des pays de la zone B. Oh bien sûr, les politiciens américains peuvent traiter la Russie de « station-service se faisant passer pour un pays » ou de « puissance régionale », la vérité est que l’Occident n’a pas réussi à la briser, ou même à la blesser de manière significative, malgré 46 mesures de sanctions (juste celles de Trump, sans compter celles de l’escroc du « yes we can »). En outre, même la Covid-19 n’a que marginalement endommagé la Russie (parce que, contrairement aux conneries pseudo-patriotiques des politiciens occidentaux, elle a pris la Covid-19 au sérieux, très au sérieux en fait, dès le mois de mars et a préparé le pays à pas moins de deux épidémies majeures, qui se sont toutes deux produites, et auxquelles la Russie a fait face avec succès ; c’est pourquoi l’UE est maintenant en plein mode Covid-hysterie, alors que la Russie n’a pas besoin d’imposer le moindre confinement).

Maintenant, mettons côte à côte deux éléments de la propagande américaine et jetons-y un coup d’œil, ok ?

  1. Les États-Unis ont l’économie la plus puissante de la planète.
  2. La Russie est l’adversaire numéro 1 des États-Unis (du moins selon les Démocrates, le Parti Républicain place la Chine en première position et la Russie seulement en deuxième position).

Voyez-vous le problème ?

Si les États-Unis sont si puissants, comment se fait-il qu’ils n’aient pas réussi à écraser la Russie ? Qu’en est-il de l’Iran ? Ou, à l’extrême, du Venezuela ? Pourtant, même dans ce dernier cas, le « meilleur » que cette prétendue Puissance Mondiale ait fait a été d’envoyer quelques ex-spécialistes ignorants se faire prendre et devenir la risée de tout le continent latino-américain !

Et ces gens veulent s’attaquer à la Chine ou à la Russie ! Sérieusement ?!

Voici donc l’autre très bonne nouvelle : La zone A ne présente aucune menace réelle pour la zone B !!!

Oui, bien sûr, les États-Unis peuvent encore atomiser la Chine, la Russie, l’Iran, le Venezuela ou tout autre pays. Mais regardons les conséquences d’une telle frappe :

  • Contre la Russie : les USA disparaissent tout simplement en tant que pays. Complètement et pour toujours.
  • Contre la Chine : les États-Unis, en tant que société, s’effondrent complètement pendant très longtemps.
  • Contre l’Iran : les États-Unis s’enlisent dans une guerre régionale majeure qu’ils ne peuvent perdre qu’avec des conséquences géostratégiques massives (le nouveau régime pourrait quand même essayer de réussir cette guerre, ne jamais dire jamais, même si cette idée peut vous sembler stupide – rappelez-vous toujours que les tarés de DC sont aussi délirants qu’ignorants !)
  • Contre la Corée du Nord : les Etats-Unis s’enlisent dans une guerre régionale majeure qu’ils ne peuvent que perdre avec des conséquences géostratégiques massives.
  • Contre le Venezuela : les États-Unis s’enlisent dans une guerre anti-insurrectionnelle qu’ils ne peuvent que perdre. Le régime comprador de Bogota ne survivra pas à une telle guerre et la Colombie « tombera » elle aussi.
  • Contre tout autre pays de la zone B : les États-Unis réussissent à atomiser ce ou ces pays, mais se retrouvent traités comme des parias par la planète entière (y compris par quelques colonies américaines), y compris par les véritables puissances militaires. L’OTAN et l’UE s’effondreront également si cela se produit (les États-Unis étant leur pierre angulaire).

En fin de compte, si la triade américaine est encore pleinement fonctionnelle et capable de mener une guerre nucléaire à grande échelle contre n’importe quel adversaire (y compris la Russie et, plus encore, la Chine), la vérité est que tout ce que cette triade réussit réellement à faire, c’est de rendre impossible l’utilisation de bombes nucléaires, par une autre puissance nucléaire, contre les États-Unis.

Le problème est que la triade nucléaire américaine n’apporte rien contre un adversaire qui n’utilise pas d’armes nucléaires (soit parce que cet adversaire a choisi de ne pas utiliser d’armes nucléaires en raison de la dissuasion efficace de la triade nucléaire américaine, soit simplement parce qu’il n’en possède pas).

Comme je l’ai déjà mentionné dans le passé, la force sous-marine américaine est, avec la triade nucléaire, l’autre force réellement efficace et puissante sur laquelle les États-Unis peuvent compter en cas de guerre. Cependant, à part le lancement d’un grand nombre de missiles de croisière obsolètes et donc faciles à contrer, cette force ne peut pas faire grand-chose pour aider une opération terrestre (ou, d’ailleurs, aérienne) américaine contre un adversaire très faible. Le problème avec les adversaires dits « faibles » est qu’ils ont relativement peu de cibles lucratives à frapper avec des missiles de croisière (pensez ici au Venezuela). La plupart de ces adversaires « faibles » ne disposent pas des défenses aériennes nécessaires pour faire face à une attaque de missiles et de bombes américaines à mi-chemin, et les États-Unis peuvent rapidement détruire les défenses aériennes dont disposent ces pays « faibles ». Alors oui, je l’admets. Si demain les États-Unis veulent une « guerre courte et triomphante », disons pour remonter le moral ou pour détourner l’attention des problèmes internes, ils pourraient toujours attaquer des pays comme, disons, Antigue-et-Barbude ou Sainte-Lucie, mais une telle farce ne serait guère qualifiée de « brillante victoire » des « meilleures forces armées de la galaxie », n’est-ce pas ? Mais cela pourrait-être le cas, qui sait ? Si la machine de propagande unifiée veut présenter cela comme un triomphe des forces américaines, comme elle l’a fait avec l’invasion de Grenade (une des pires opérations militaires de l’histoire !), elle peut le faire, bien sûr. Mais cela ne servirait qu’à ridiculiser davantage cette machine de propagande, puisque 2021 n’est pas 1983, il existe maintenant des millions de Déplorables qui n’achèteront jamais ce genre d’absurdités.

En outre, étant donné que les efforts conjoints des Etats-Unis, d’Israël et de l’Arabie Saoudite (l’« Axe du bien ») ont complètement échoué à soumettre les Houthis, je ne parierais pas sur une force d’invasion américaine dans les Caraïbes (à l’exception peut-être d’une ré-invasion d’Haïti ou de la République Dominicaine, mais ce sont déjà des protectorats américains, à quoi bon ? !)

Pourquoi tout cela est-il si important ?

Parce que les Démocrates ne nous préparent clairement rien de bon. Ensuite, non seulement nous assisterons à une vague de répression contre la liberté d’expression en interne, mais les Démocrates font déjà du bruit à propos, vous l’avez deviné, de la Chine et de la Russie (encore !) et, lorsque cela ne donnera inévitablement aucun résultat, ils tourneront à nouveau leur « haine » vers l’Iran et le Venezuela. Mais même ces pays comparativement plus faibles sont maintenant tout à fait capables de faire payer à Oncle Shmuel un prix immense en sang et en enfer en termes de revers politique, et sur de nombreux fronts.

La « puissance » d’une nation (ou d’une coalition de nations) peut être mesurée à l’aide de très nombreux types de mesures, mais les trois plus courantes sont probablement : la puissance économique, la puissance militaire et la puissance politique. Si nous utilisons ces trois paramètres pour comparer la zone A à la zone B, il serait raisonnable de réfléchir sur :

  • La puissance économique : plus ou moins égale, avec une zone A en baisse rapide et une zone B en hausse rapide. La zone A compte encore BEAUCOUP de régimes vendus à l’Occident et prêts à le défendre non seulement à l’ONU, mais aussi dans la plupart des organismes internationaux (y compris les organismes non gouvernementaux comme le CIO, par exemple, ou l’AMA).
  • Puissance militaire : La zone A est beaucoup plus faible que la zone B (pensez à Russie+Chine+Inde pour commencer !)
  • Pouvoir politique : La zone A est encore la plus forte, mais cela change aussi rapidement. On peut dire que la plupart des dirigeants du monde sont toujours des serfs pour la zone A, mais la plupart des gens dans le monde ont depuis longtemps tourné leur soutien vers les pays de la zone B. Le récent triomphe du peuple bolivien sur ses oppresseurs est un signe très révélateur de cette tendance.

Et voici le facteur clé à garder à l’esprit : il n’y a rien, absolument rien, que l’administration Biden/Harris puisse faire pour changer ces tendances. Il est tout simplement trop tard et lorsque l’effondrement interne des États-Unis s’amorcera, ces tendances ne feront que s’accélérer.

===> En d’autres termes, il y a de l’espoir ! <===

Oui, les méchants ont bien gagné, mais seulement contre Trump et ses pseudo-alliés désemparés (l’ont-ils trahi plus vite que lui ne l’a fait, ou est-ce le contraire ?), mais ils n’ont fait que gagner une bataille contre les Déplorables sans gagner contre la zone B.

Les Démocrates sont maintenant occupés à la vengeance sous toutes ses formes. Ils se délectent aussi à humilier Trump et ceux qui ont osé le soutenir. C’est l’équivalent politique de torturer des gens dans des sous-sols, et non de gagner de glorieuses batailles. Mais ils ne s’en rendent pas compte, ils sont trop vaniteux, trop haineux sur le plan idéologique et trop lâches pour le comprendre.

Pourtant, le lavage de cerveau, comme la torture (y compris la torture mentale !), est réel. Dans ce cas, il s’agit d’une bataille pour l’esprit des Déplorables qui doivent maintenant être mis dans un état catatonique de soumission et de respect total. Les Démocrates utilisent le mensonge, leur arme favorite, mais leur agression est réelle, néanmoins. Et c’est la bataille que nous, les opposants à l’impérialisme, devons mener — la bataille pour l’esprit des habitants de la zone A : nous devons leur montrer que la pseudo-réalité de la zone A n’a pas d’existence réelle en dehors de la télévision et de la rhétorique insipide des décideurs américains.

Nous devons nous préparer mentalement à une forte augmentation de la quantité et de la portée des mensonges que la machine de propagande américaine nous racontera (si vous pensiez que les 4 dernières années ont été mauvaises, préparez-vous à de beaucoup, beaucoup plus mauvaises ; bon exemple ici). Et, bien sûr, attendez-vous à BEAUCOUP de faux drapeaux, surtout pour démontrer la réalité du danger présumé provenant des « terroristes nationaux ». Tout cela se fera dans un contexte d’attaque à grande échelle contre la liberté d’expression, la dissidence et toute forme de pensée réelle (par opposition à une prétendue pensée), vraiment.

L’hypocrisie est, bien sûr, que la prochaine chasse aux sorcières (elle sera bien pire que celle de Salem ou de McCarthy) sera menée au nom de la diversité et ostensiblement contre la « haine ». En réalité, bien sûr, ce que le régime veut, c’est écraser la vraie diversité parce que les dirigeants de la Nomenklatura américaine détestent absolument tout, sauf leur triste personne. Comme tous les idéologues, ce que ces gens veulent, c’est 1) un pouvoir total et 2) une uniformité totale. Tous ceux qui rejettent ces dogmes modernes seront qualifiés de criminels, de terroristes, d’hérétiques, de racistes et, bien sûr, d’agents russes et chinois.

Et c’est pourquoi ce régime va également échouer.

Conclusion : la diversité sera gagnante. La VRAIE diversité, bien sûr !

Notre planète est merveilleusement diverse, surtout en dehors du secteur d’uniformité de la zone A. Il y a une zone B, et les dirigeants de la zone A seront vaincus par notre véritable humanité commune et partagée (et leur haine pour nous !). Quelque part entre Obama et Trump, le monde a évolué et il est maintenant très occupé à relever les immenses défis et à saisir les opportunités qui se présentent dans la zone B. Et non, ni la Russie ni la Chine ne sont occupées à essayer de saboter ou de saper les États-Unis – les dirigeants américains y parviennent bien mieux que n’importe quel Russe ou Chinois ne pourrait jamais le faire. Alors pourquoi s’en préoccuper (sans parler des risques !)?

Nous ne pouvons pas prévoir ce qui se passera ensuite, il y a tout simplement trop de variables pour le faire. Mais ce que nous pouvons faire, c’est prédire avec un grand degré de confiance que le nouveau régime au pouvoir à Washington ne fera pas mieux que tout autre régime arrivé au pouvoir par le biais d’une révolution de couleur au cours des deux dernières décennies. Il n’y a plus d’espoir pour l’Empire, tout comme pour les États-Unis. Il y aura beaucoup d’espoir pour eux, mais seulement après un long et douloureux processus d’effondrement et de renaissance (tous deux inévitables à présent). La vérité est que les États-Unis ne sont pas si uniques que ça en tant qu’empire, désolé, c’est juste un empire arrogant et narcissique typique qui s’effondrera comme tous les autres empires arrogants et narcissiques de l’histoire se sont effondrés, la plupart du temps sous leur propre poids obscène. Et ces pauvres âmes qui croient sincèrement que la Chine (ou la Russie) veut remplacer les États-Unis ne comprennent tout simplement pas que ces deux pays ont déjà été des empires, que cela fut un désastre, merci beaucoup, et qu’ils n’ont aucune envie de répéter leurs erreurs passées. Ce désir de non-exceptionnalisme et de normalité fera, avec le temps, l’objet d’un large consensus de société aux États-Unis. Et, avec le temps, les États-Unis seront enfin accueillis dans une zone B vraiment libre ou, devrais-je dire, un monde sans zone

The Saker

Traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone




Cyrus A. Parsa avait prédit en 2019 qu’une arme biologique ou une maladie de Covid-19 du PCC chinois mettrait en danger les gens du monde

[Source : Guy Boulianne]

Cyrus A. Parsa, est le fondateur et PDG de The AI ​​Organization, où il est également directeur de l’analyse créative et des innovations défensives. Il a recherché et étudié plus de 1000 entreprises de l’intelligence artificielle, de robotique, de 5G, de cybernétique et de Big Tech. Cyrus est titulaire d’un baccalauréat en sécurité internationale, d’une maîtrise en sécurité intérieure et a vécu avec des moines bouddhistes-taoïstes s’entraînant avec eux dans les montagnes de Chine, étudiant les arts et la méditation internes des Wudang. Il est un expert en IA, Quantum, 5G, Sécurité, Chine et Iran.

À l’été 2019 et au début de 2020, Cyrus a prédit et averti avec précision et de nombreuses manières que les peuples du monde étaient en danger imminent d’une maladie ou d’une bio-arme (coronavirus) du Parti communiste chinois (PCC) qui conduirait à des conflits, à l’esclavage de l’IA, à des famines, à une mauvaise utilisation de la biotechnologie, aux guerres civiles, à des décès et à des guerres mondiales. Cyrus a fourni des solutions comme remède :

  • Juin 2019 : Résumé de 5 pages des services secrets: arme biologique (poison) de la Chine dans les 6 mois-1 an, puis l’esclavage mondial dans les 1-2 ans.
  • 15 juin 2019 : Rapport de 62 pages à l’ancien directeur de la CIA: Opération secrète, la Chine menace les citoyens du monde avec l’IA et les armes biologiques.
  • 24 août 2019 : Publication du livre “AI, Trump, China and the Weaponization of Robotics with 5G”. La première phrase dans le synopsis se lit comme suit : « Le monde est en danger via la Chine, l’IA, la robotique et les grandes technologies ». La Chine menace tous les citoyens du monde avec le terrorisme micro-botique (poison, virus, arme biologique) et l’esclavage de l’IA.
  • 20 octobre 2020 : Le best-seller sur l’IA: “Artificial Intelligence, Dangers to Humanity”. La Big Tech chinoise menace le monde avec les traitements basé sur la mentalisation (MBT), l’esclavage de l’IA. Cyrus A. Parsa répertorie 50 entreprises.
  • 16 décembre 2019 et 24 février 2020 : Les peuples du monde mis en danger par le Parti communiste chinois, l’utilisation abusive d’armes biologiques et d’IA. Plainte fédérale de 87 pages pour avertir les citoyens du monde, car les médias ne permettraient pas à Cyrus une plate-forme de fournir une solution pour sauver des vies.


Parsa et al v. Google L.L.C. et al from Éditions Dédicaces

Cyrus A. Parsa est également l’auteur d’un livre sur la prévention du viol et de la traite des êtres humains intitulé “Raped via Bio-Digital Social Programming” (Violée via la programmation sociale bio-numérique). Cyrus est aussi le producteur du documentaire “CCP VIRUS GATE: The Plan to Stop China CCP’s Global AI Extinction Agenda!” (CCP VIRUS GATE: Le plan pour arrêter l’agenda mondial d’extinction de l’IA du PCC chinois!) et le créateur du film “AI: The Plan to Invade Humanity” (AI: le plan pour envahir l’humanité).

La mission de Cyrus est de contribuer à la sauvegarde de l’humanité d’abord et de prévenir les catastrophes pour les peuples du monde en provenance de Chine, des grandes technologies et l’utilisation abusive de l’IA et de la biotechnologie. Parce que les médias n’ont pas donné de couverture à Cyrus pour avertir correctement que les gens du monde étaient en danger imminent.

En dernier recours, Cyrus a déposé le plus grand procès de l’histoire de l’humanité composé de 87 pages le 16 décembre 2019 – mis à jour le 26 février 2020 – contre le régime communiste chinois, la Silicon Valley, les principaux dirigeants mondiaux, les médias et les instituts pour sensibiliser et rendre des comptes si les erreurs ne sont pas corrigées. Accuser les accusés de mise en danger des peuples du monde, de complicité, de militarisation de l’IA, de la Bio-Tech, de la robotique, des drones, de l’utilisation abusive de la reconnaissance faciale, de la complicité du génocide chinois, du transfert négligent de la Bio-Tech en Chine et de la manipulation des médias sociaux bio-métriques, des émotions des peuples, des pensées et réseaux de neurones lorsqu’ils interagissent avec les téléphones intelligents, l’IoT, les médias et le monde en général.

L’intention de Cyrus n’était pas de distinguer uniquement ces quelques entités, mais plutôt d’avertir les citoyens du monde qu’ils sont en danger, y compris les accusés, et de leur permettre de faire un changement immédiat avec le Parti communiste chinois en amenant ces entités à faire un changement pour le bien-être du monde. Les accusés qui étaient pour la plupart des élites libérales n’ont pas été servis pour plusieurs raisons, l’une étant que l’élite et d’autres conservateurs dans les médias et le gouvernement ont continué à voler / plagier le travail de Cyrus et à utiliser la manipulation du public pour le censurer alors qu’il essayait d’avertir et de fournir des solutions. pour le bien-être des citoyens du monde.

La poursuite “Parsa et al v. Google L.L.C. et al” contre Alphabet Inc, DeepMind Inc, Facebook Inc, Google L.L.C., Elon Musk, Neuralink Inc, Sundar Pichai, Tesla Inc, Mark Zuckerberga (et autres) a été abandonnée le 1er juin 2020, « mais la plainte juridique est toujours valable », selon Cyrus A. Parsa.

Le diplôme délivré à Cyrus A. Parsa par l’Université de San Diego où il a obtenu sa maîtrise en sécurité intérieure.

Tout le monde a contribué d’une manière ou d’une autre aux problèmes du monde, pas seulement les gens de gauche qui ont été signalés, les libéraux, mais les conservateurs, les peuples de tous les horizons étaient complices ou négligents d’une manière ou d’une autre.

Cyrus souhaite que le monde mette fin à son chemin négatif, augmente ses vertus, son éthique, améliorant ainsi l’avenir et le bien-être de chaque personne dans le monde par le libre arbitre, le respect et l’illumination. Il dirige également Loyal Guardian Security, spécialisé dans le renseignement et l’évaluation des risques en Chine et en Iran, créé pour aider à rendre notre société plus sûre et meilleure. Il est un expert des affaires américaines, chinoises et iraniennes, et a été consultant sur le suivi des organes humains, l’antiterrorisme, la vulnérabilité, l’évaluation des risques, la gestion des actifs et les menaces émergentes pour les gouvernements, les agences, les personnes et les organisations. Il parle également chinois, persan et anglais.

Avec 20 ans de recherche et développement cachés dans son travail de consultation, il évalue et conseille les clients dans une perspective multidimensionnelle et multicouche. Il entretient des réseaux de milliers d’influenceurs et d’actifs de renseignement chinois et occidentaux, ce qui permet de mieux comprendre les menaces auxquelles nous sommes confrontés par la Chine, l’Iran et l’interconnectivité occidentale de ces pays. Les découvertes de Cyrus l’ont conduit à inventer les concepts nouveaux et très complexes : « Le réseau bio-numérique mondial AI, le réseau bio-numérique humain, la programmation sociale bio-numérique, le champ bio-numérique, la bio-matière, le viol, la bio-agression sexuelle hybride numérique et le terrorisme micro-botique ».

Ces termes étaient nécessaires pour expliquer les dangers auxquels nous sommes confrontés et comment ils sont enracinés dans ces éléments presque imperceptibles qui se connectent désormais à l’intelligence artificielle, la 5G, la société, les téléphones intelligents, l’«Internet des objets», les «villes intelligentes», La cybernétique, la bio-ingénierie et la robotique à travers une seule plate-forme d’IA. Au sein de cette plateforme, Cyrus A. Parsa a trouvé des codes d’extinction, par étapes au cours des 20 prochaines années, pour l’humanité.


Entretien avec Cyrus A. Parsa, fondateur de “The AI ​​Organization”

Cyrus, pourriez-vous nous présenter votre entreprise et votre livre principal Artificial Intelligence Dangers to Humanity ?

Je m’appelle Cyrus A Parsa. Je suis le fondateur de l’organisation AI. Le but de l’organisation est d’évaluer les risques ou dangers et de donner des conseils sur les menaces de l’intelligence artificielle, et tout ce qui y est lié, comme la 5G, les systèmes de grille 6G, la technologie quantique, la bio-ingénierie, la robotique et les drones. En particulier, en ce qui concerne le Parti communiste chinois.

Ainsi, avant que la pandémie ne commence et ne frappe les gens du monde, j’ai publié quelques livres pour mettre en garde contre les dangers du PCC, de l’IA et de son ancrage dans nos grandes entreprises technologiques. Le dernier était: les dangers de l’intelligence artificielle pour l’humanité.

Le livre couvre plus de 50 entreprises, dont la moitié sont chinoises et l’autre moitié sont des entreprises occidentales. Le livre explique les menaces qu’ils posent, en particulier le mélange des humains et des animaux qui peuvent créer des maladies, et le plan de domination mondiale de l’intelligence artificielle et de la 5G du Parti communiste chinois et leur programme pour utiliser nos grandes entreprises technologiques contre nous.

Comment le PCC menace-t-il le monde avec l’IA ?

Grâce au transfert de technologie forcé, à l’espionnage, au plagiat, au vol et, bien sûr, à la collaboration avec nos grandes entreprises technologiques, nos universités, même les médias et les entreprises, le PCC a pu extraire les données et le savoir-faire des entreprises américaines et européennes et compétences pour construire l’infrastructure d’IA. Ils ont rassemblé les données du monde entier de différentes manières, comme je l’ai décrit dans “Artificial Intelligence, Dangers to Humanity”.

En rassemblant les données du monde et en les connectant aux systèmes de réseau intelligent 5G-6G, le PCC peut mobiliser des machines, des drones, des robots et même des soldats issus de la bio-ingénierie et de l’amélioration cybernétique. De cette façon, ils peuvent gouverner la BRI. La BRI est connue sous le nom de Belt and Road Initiative, ou One Belt One Road. C’est la réémergence de l’ancienne route de la soie. L’ancienne route de la soie reliait l’empire perse, à l’empire chinois, puis à l’Europe et à certaines parties de l’Afrique. La nouvelle route de la soie est un peu différente. Elle relie non seulement la Chine au Moyen-Orient, à l’Europe et à l’Afrique, comme auparavant, mais aussi au nouveau monde, qui est l’Amérique du Nord, et même à des projets de fouilles en Antarctique, en Afghanistan et au Groenland. Ces fouilles visent à extraire des minéraux de terres rares pour leur complexe militaro-industriel à utiliser pour leurs systèmes d’intelligence artificielle. Huawei, Megvii Face ++, Didi Chu Xing et bien d’autres collectent des données auprès de personnes du monde entier.

De nombreuses personnes ont récemment appris comment le Parti communiste chinois traite leur propre peuple avec beaucoup de cruauté, les plaçant dans des camps de travail, des camps d’esclaves et même tuant leur peuple pour des prélèvements d’organes, comme le Falun Dafa, les Tibétains, les chrétiens, Les Ouïghours, et même les personnes qui n’ont pas de religion.

On peut imaginer si un régime met des gens dans des camps de salve, s’engage dans le trafic d’organes et que nous avons une pandémie mondiale, ce qui pourrait arriver si le PCC prend le contrôle de la BRI. Que peuvent-ils faire lorsqu’ils connectent le système d’IA à cette infrastructure sur les systèmes 5G-6G pour mobiliser des machines ? Ils contrôleront non seulement les personnes ayant une influence normale sur la géopolitique et la politique, mais ils auront des machines, des robots et des drones pour pouvoir appliquer toutes leurs manières draconiennes et tyranniques de traiter l’humanité. C’est donc juste une façon. Dans le livre, j’ai décrit différentes façons dont le PCC menace le monde avec des technologies basées sur l’IA. Si le Parti communiste chinois (PCC) réalise l’AGI ou l’ASI, il menace toutes les nations libres.

Global Center for Quitting CCP (全球退党服务中心) : Entretien avec Cyrus A. Parsa, fondateur de The AI ​​Organization. Le Parti communiste chinois envisage d’utiliser l’intelligence artificielle pour asservir les peuples du monde.
Pouvez-vous expliquer ce qu’est l’IA ?

Les scientifiques utilisent trois niveaux de base pour décrire l’IA, l’intelligence artificielle. Le premier niveau est considéré comme l’intelligence artificielle étroite, qui couvre vos smartphones, votre IoT (Internet des objets) et vos mini chatbots – Si vous vous connectez et que vous attendez de parler à une personne en direct, un assistant virtuel peut vous parler car c’est un mini chatbot virtuel qui peut un jour être installé dans un mini robot alors que le système 5G se déploie dans les villes intelligentes. Tout ce qui est programmé pour avoir une certaine tâche ou fonction qui est numérique ou à l’intérieur d’une machine peut être considéré comme ANI, Artificial Narrow Intelligence.

Le niveau suivant est l’Intelligence Générale Artificielle (AGI), qui est une idée et un objectif à réaliser par les scientifiques. Ils travaillent sur AGI en Chine et dans bien d’autres endroits. L’une des entreprises que j’ai mentionnées dans mon livre est Hanson Robotics. Mais il y en a quelques autres. Hanson Robotics est à Hong Kong. Ils travaillent à la construction d’une AGI pour donner vie à un robot, en lui donnant des pensées, des émotions, des désirs, une libre volonté, le libre arbitre, essentiellement comme un être humain. Parce qu’ils cartographient le cerveau humain, cela donne au PCC ou aux entreprises technologiques l’avantage dont ils ont besoin. C’est une forme d’Intelligence Générale Artificielle.

La Super Intelligence Artificielle est très complexe et on pense qu’elle dépasse la compréhension des êtres humains une fois formée. Il existe de nombreuses façons d’y parvenir. L’une d’elles consiste à extraire tous les systèmes biométriques de l’humanité. Cela inclut votre reconnaissance faciale, votre reconnaissance vocale et même votre façon de penser, vos données familiales, votre géolocalisation, votre ADN et tant d’algorithmes différents impliqués. Une fois que vous avez extrait ces données, avec la machine et l’apprentissage en profondeur, vous pouvez ensuite traiter les informations dans une machine ou un système quantique qui à son tour vous permettrait de créer ou de former une super intelligence artificielle. La Super Intelligence Artificielle peut être un cerveau numérique ou dans une entité physique telle qu’un robot, un clone ou un être humain qui a fusionné avec des machines ou une IA. Ainsi, devenir transhumain. Cela pose de nombreux autres dangers dont la nature est infinie.

Question: Et la 5G ?

Parlant des téléphones et du réseau 5G en ce qui concerne les risques pour la santé et leur objectif. Ce que vous utilisez est généralement limité à la 4G depuis trois ou quatre ans. La 5G est un peu différente. La 5G n’est pas conçue pour les êtres humains. Il est conçu pour les machines. En raison de la vitesse de celui-ci, les ondes millimétriques peuvent être 10, 20, voire 100 fois plus rapides que le service 4G. Par conséquent, vous n’en avez pas besoin pour un téléphone portable pour regarder un film ou télécharger une émission. Ce n’est pas la principale raison du développement de la 5G. Le but est de mobiliser des machines, des robots, des drones, des voitures volantes, et d’entrer dans le monde du transhumanisme.

La 5G est le système au sol fondamental pour construire un réseau 6G et plus encore. Beaucoup de gens ont des craintes différentes à propos de la 5G. Je pense que le système 5G en Amérique est plus sûr qu’en Chine ou que des entreprises telles que Huawei. Pas seulement parce que le Parti communiste chinois contrôle Huawei et qu’il peut contrôler les choses. Non. Quand le PCC construit quoi que ce soit, il utilise une main-d’œuvre bon marché, réduit les mesures de sécurité et utilise des produits de qualité inférieure fabriqués à partir d’espionnage ou de plagiat. Parce qu’ils volent, le résultat final n’est pas idéal pour le monde ni pour le peuple chinois. Leur innovation est enracinée dans le vol de propriété intellectuelle, c’est pourquoi ils ont tendance à négliger les mesures de sécurité qui peuvent avoir des effets néfastes sur les personnes de différentes manières. Mais en Amérique, ils tentent de construire un système 5G plus sûr.

Mais il y a d’autres choses qui sont à risque avec la 5G. Ce n’est pas seulement l’idée que cela pose des menaces de radiation ou des fréquences destinées à des machines qui peuvent nuire à votre santé. Si vous y réfléchissez, voudriez-vous des tours de téléphonie cellulaire et des tours 5G à côté de votre petit bébé, à côté de votre famille ? C’est normal de l’avoir dans les villes si vous voulez mobiliser des machines, et peut-être à des fins militaires, ailleurs. Mais avez-vous vraiment besoin de l’avoir à côté de vos enfants, à côté de chez vous, à côté de vos bébés ? Personnellement, je ne pense pas que cela devrait être le cas. Sans parler des capacités de surveillance et de la mobilisation des machines par les acteurs du gouvernement local injustement contre sa propre population.

Quelle est la solution pour résoudre les grands défis technologiques du PCC ?

Aujourd’hui, le Parti communiste chinois, leur plan global n’est pas seulement pour l’expansionnisme et la richesse. Je ne pense pas qu’ils limiteraient leurs objectifs à ces notions. J’utiliserais ce terme : « asservissement ». Ils veulent asservir ou dominer le monde sous leur systèmes marxiste à la chinoise, il se connecte à l’intelligence artificielle sur la BRI. Ainsi, ce qui arrive au peuple chinois peut se produire à l’échelle mondiale.

Étonnamment, le président Trump a été la principale figure qui a combattu le Parti communiste chinois. Donc, soutenir le président Trump, peu importe si vous êtes un libéral ou un conservateur, ou au milieu, est la chose intelligente à faire. Parce qu’il a une expérience de trois ans et une histoire de 15 ans à faire des déclarations sur la façon dont la Chine a profité du monde libre. Je crois que le président Trump veut dire le PCC, car ils contrôlent leur peuple d’une main de fer.

Donc, je pense que si le monde peut prendre conscience de ces dangers immédiatement et que le Parti communiste chinois menace tout le monde, alors pourquoi quelqu’un voudrait-il donner un système d’IA à un gouvernement qui met son propre peuple dans des camps, le tue et le vole. Sans parler des affaires avec eux ou leur donner une chance de blesser les gens du monde. Comment pouvez-vous faire confiance à ce système entre les mains du régime communiste chinois ? Vous ne pouvez pas. C’est comme donner la meilleure arme dont vous disposez et les systèmes de surveillance pour surveiller votre maison aux meurtriers dont vous savez qu’ils finiront par vous tuer pour prendre le contrôle de votre maison. Pourquoi ferais-tu ça ? Pourquoi une nation accepterait-elle une formation gratuite, de la technologie et de l’argent et permettrait au PCC d’avoir des intérêts sur leurs terres et d’exploiter des terres rares ? De plus, pourquoi une nation utiliserait-elle ses technologies 5G et satellite alors que le PCC peut l’utiliser contre ses propres nations ?

Mon message est le suivant: le monde entier doit comprendre ces menaces immédiatement. Et ils doivent dénoncer le Parti communiste chinois pour les crimes contre l’humanité. Le monde doit couper tous les liens commerciaux et dénoncer le PCC pour la militarisation de la technologie de l’IA, le mauvais usage potentiel de cette technologie jusqu’à ce qu’ils démolissent leur régime et mettent fin aux expériences contraires à l’éthique. Je recommande à tout le monde de se procurer le livre “Artificial Intelligence, Dangers to Humanity” pour saisir les différentes technologies, entreprises, capacités et menaces émergentes pour l’humanité. La version de poche est meilleure. Il y a beaucoup à savoir, en particulier comment les entreprises chinoises et les entreprises occidentales sont interconnectées qui donnent un effet de levier au PCC.

Je pense que l’humanité peut avoir un bon avenir, celui de l’illumination ou de la paix, si elle peut éliminer le Parti communiste chinois et vraiment l’exposer au niveau mondial parce qu’il menace tous les êtres humains avec IA et leur histoire de 100 ans d’abus et de meurtre de leurs propres citoyens.

https://youtu.be/Hzg7Rw-mX4k?list=PLhXePaU9eWzElD6FrVepqoaMs0Hf6yIbB




La Russie face à la guerre hybride sur son territoire

[Source : Strategika 51]

Le retour d’Alexander Navalny, un agent de longue date de la CIA, en Russie, a étonné l’ensemble des observateurs que nous sommes. Retourner sans aucune couverture dans un pays comme la Russie, pays doté d’une très solide tradition dans le contre-espionnage, est sinon un acte suicidaire, du moins très téméraire. Cependant, les choses commencent à devenir claires: le retour volontaire de Navalny en Russie relève d’une opération de guerre hybride de grande envergure soutenue par l’ensemble des divisions des opérations clandestines des pays de l’OTAN. Cette fois-ci, la CIA a mis le paquet: l’objectif du retour et de l’arrestation attendue de Navalny en Russie est une révolution colorée de nouvelle génération.

Comme dans la plupart des pays du monde, la situation socio-économique en Russie est loin d’être parfaite. L’impact du C-19 a aggravé un marasme générateur d’une très forte frustration populaire. Cette frustration s’est transformée en une forme de colère extrême dans certaines régions russes, notamment en Sibérie et dans l’extrême-orient russe. Aux difficultés économiques s’ajoutent un verrouillage du champ politique (une tendance universelle) que beaucoup de russes n’arrivent plus à supporter. L’influence du néolibéralisme à l’occidentale en Russie est quasiment du même niveau que celui ayant emporté l’enthousiasme de beaucoup d’Ukrainiens avant de les emporter dans une tourmente qui semble sans fin. Mais à la différence de l’Ukraine, la Russie dispose de grands stratèges capables de discerner les menaces les plus insidieuses et les anticiper.

L’opération Navalny fait partie des opérations déclarées utilisant la thématique de l’opposant déclaré bénéficiant d’une médiatisation et d’un soutien internationaux.

C’est la hantise de la Chine car le champ de la confrontation dans ce cas de figure est réduit à un ensemble de règles de jeu politiquement correct et superficiel (et cela explique les techniques de Beijing visant à neutraliser la menace bien avant un seuil critique). Les manifestations de soutien à Navalny en Russie ne sont pas le résultat d’une quelconque popularité de cet agitateur professionnel mais de la mise en place effective d’un large réseau de soutien et de subversion par la CIA, le BND Allemand, le Mi6 britannique, l’AIVD néerlandais, le CSIS canadien, le Välisluureamet estonien et tant d’autres services spéciaux hostiles à Moscou.

Les militaires russes ont acquis une certaine expérience dans la lutte contre les guerres hybrides. L’opération Navalny est audacieuse mais a peu de chance d’aboutir à une révolution. Elle servira à sonder la solidité de l’appareil d’État russe face aux nouvelles menaces asymétriques et à l’ingénierie sociale de la déstabilisation via les réseaux sociaux qui ne sont que les outils de combat de l’État profond US.

Autant dire qu’il y a le feu dans la demeure. La Russie sera obligée de renforcer ses capacités de guerre hybride qu’elle développe depuis quelques années et d’augmenter ses capacités de cyberguerre en créant ses propres réseaux sociaux et à terme, son propre Internet. Cette dernière option poursuivie par la Chine est devenue essentielle pour la survie d’une puissance militaire comme la Russie face à la multiplication des menaces hybrides autour de son sanctuaire.




Preuve d’un climat antérieur plus chaud ! Un géologue suisse a étudié un tronc d’arbre vieux de 10 800 ans sous un glacier des Alpes

[Source : Anguille sous roche]

Un tronc d’arbre enfoui sous un glacier suisse vieux de 10 800 ans a été découvert et nous dit que les Alpes étaient beaucoup plus chaudes au début de l’Holocène qu’aujourd’hui.

SRF Swiss Broadccasting a récemment rapporté une découverte fascinante dans les Alpes suisses : un tronc d’arbre de plus de 10 000 ans qui avait été jusqu’à récemment enfoui sous le glacier de Morteratsch.

Christian Schlüchter, professeur émérite de l’Université de Berne, a déclaré qu’un tronc de mélèze vieux de 10 800 ans trouvé sous les Alpes glaciaires signifie qu’il devait faire plus chaud il y a 10 800 ans qu’aujourd’hui.

Le géologue Christian Schlüchter est à la recherche de découvertes de bois parmi les glaciers depuis des décennies.
ZVG / CHRISTIAN SCHLÜCHTER
Le reste du tronc de mélèze mesure environ deux mètres de haut.
ZVG / CHRISTIAN SCHLÜCHTER

Le bon état inhabituel du tronc du mélèze signifiait qu’il ne devait pas avoir trainé vers des altitudes plus basses par le glacier, et donc il n’a pas été broyé dans ce processus. Cela signifie que son emplacement d’aujourd’hui devait être très proche de l’endroit où il avait poussé à son origine.

Le SRF a rapporté :

« C’est unique », déclare Schlüchter, affirmant qu’il n’a jamais rien découvert de tel dans les Alpes. Avec les découvertes de bois, dit-il, il y a toujours une question centrale : « À quelle distance du site les arbres ont-ils poussé, à quelle distance le glacier les a-t-il transportés ? »

Un arbre dans cet état devait se trouver à une proximité immédiate, sinon le tronc aurait un aspect différent, dit Schlüchter.

Schlüchter, professeur émérite à l’Université de Berne, étudie le bois des glaciers depuis des décennies.

Le géologue Christian Schlüchter est à la recherche de découvertes de bois dans les glaciers depuis des décennies.
ZVG / CHRISTIAN SCHLÜCHTER

Il y a 10 800 ans, cet arbre a vécu 337 ans

Selon Schlüchter, le mélèze d’origine avait vécu 337 ans avant sa mort et le glacier l’a enterré. Les recherches montrent que le mélèze a commencé à pousser il y a environ 10 800 ans, moins de 1 000 ans après la fin de la dernière période glaciaire.

La découverte nous dit qu’il y avait autrefois des forêts où se trouvent des glaciers aujourd’hui, ce qui signifie que « le glacier de Morteratsch était autrefois beaucoup plus petit qu’il ne l’est aujourd’hui », rapporte la SRF. La région était évidemment plus chaude qu’aujourd’hui.

Changement climatique rapide il y a 10 500 ans

Schlüchter souligne également qu’à peine 1 000 ans après la fin de la période glaciaire, il y avait déjà des mélèzes là-haut. Schlüchter dit : « Cela montre la dynamique inouïe que nous voyons ici. »

D’autres études seront menées sur le spécimen d’arbre et des parties du grand tronc seront exposées dans le musée de Pontresina à l’avenir, écrit la SRF.

Christian Schlüchter est professeur émérite de géologie et paléoclimatologie du quaternaire à l’Université de Berne en Suisse. Il est l’auteur / co-auteur de plus de 250 articles.

Ici une vidéo de ce glacier suisse :




Nous, rats de laboratoire

[Source : Le Saker Francophone]


Par Michel Delanature

Grâce à mon ami Frère J*, que je sais discret, j’ai appris que le chercheur Henri Laborit avait travaillé sur le comportement des rats dans son laboratoire. L’expérience est simple. On enferme un rat dans une cage à deux compartiments. Le fond d’une des parties de la cage peut être électrifié, alors le rat se réfugie dans le second compartiment. Si on empêche le rat de se sauver dans le second compartiment, il développe des troubles comportementaux et physiques. Si on enferme deux rats dans la même cage, toujours sans laisser la possibilité de se sauver, ils développent, du fait de la douleur de l’électrification, des réactions d’agressivité l’un envers l’autre.

Il existe une variante de l’expérience ou l’électrification du sol de la cage est précédée d’un signal sonore. Quand on empêche le rat de fuir, le seul signal sonore, au bout d’un moment, génère des troubles du comportement et de l’agressivité. Ajoutons à cela les expériences sur les humains qui ont prouvé que des personnes sont capables, dans la position d’expérimentateurs, d’en torturer d’autres par soumission à l’autorité. Nous disposons maintenant des connaissances de base qui nous permettent de comprendre ce qui se joue depuis un an avec le virus de la Covid-19.

Nous avons été confinés et nous avons été transformés en rats de laboratoire. A un signal donné, les habitants ont été sommés de se réfugier dans leur habitat, assignés à résidence. La rue était interdite sauf exceptions, comme électrisée par un virus invisible, et sous contrôle des forces de l’ordre. Le couvre feu est une variante de l’expérience : à une heure donnée, les rats rejoignent leur habitat sous peine d’amende douloureuse.

Mais la situation est plus complexe si on considère les signaux qui accompagnent la situation de douleur, transposés à la société humaine. Par exemple, les rats-habitants doivent écouter les annonces des autorités. Ce qui fait que le lieu d’assignation n’est pas un refuge mais l’endroit où il est obligatoire de subir chaque jour la douleur générée par la répétition du conditionnement à laquelle les expérimentateurs travaillent avec soin.

Un grand nombre de personnes a pris conscience en février 2020, de l’existence des virus et des microbes, qu’ils côtoyaient jusque là sans problème (depuis 2000 ans, sans chercher plus avant, seules sont restées dans les mémoires quelques périodes de crises bien plus graves que celle que nous vivons). Dans le même temps, on a empêché les médecins d’échanger sur les pratiques médicales opportunes, voire de soigner -point capital-, et les hôpitaux de travailler normalement, toutes solutions qui auraient pu contrarier l’expérience.

Le confinement a logiquement déclenché des troubles du comportement. Par exemple nombreux sont ceux qui vivent avec un écran[1] devant la bouche et le nez alors que des scientifiques soutiennent que le virus se propage essentiellement par les mains[2]. Des personnes bâillonnent même leurs enfants, alors que seules les personnes âgées ou avec pathologies ou déséquilibres sérieux présentent des risques. D’autres empêchent leurs voisins de les approcher, s’écartent des passants dans la rue, deviennent agressifs, etc. Certains développent une forme d’agressivité contre eux-mêmes, tombent malades et se soignent comme ils peuvent et presque à contre cœur, ou se suicident. D’autres parlent ouvertement de se suicider si les confinements se renouvellent. Certains, sevrés de relations amicales des mois durant, rêvent de se faire injecter dans le corps n’importe quelle potion, supposant que cela permettra de reprendre une vie normale et fera cesser la douleur de la solitude.

Un grand nombre de personnes a pris conscience en février 2020, de l’existence des virus et des microbes, qu’ils côtoyaient jusque là sans problème (depuis 2000 ans, sans chercher plus avant, seules sont restées dans les mémoires quelques périodes de crises bien plus graves que celle que nous vivons). Dans le même temps, on a empêché les médecins d’échanger sur les pratiques médicales opportunes, voire de soigner -point capital-, et les hôpitaux de travailler normalement, toutes solutions qui auraient pu contrarier l’expérience.
Le confinement a logiquement déclenché des troubles du comportement. Par exemple nombreux sont ceux qui vivent avec un écran[3] devant la bouche et le nez alors que le virus se propage essentiellement par les mains, bâillonnent même leurs enfants, alors que seules les personnes âgées ou avec pathologies ou déséquilibres sérieux présentent des risques, d’autres empêchent leurs voisins de les approcher, s’écartent des passants dans la rue, deviennent agressifs, etc. Certains développent une forme d’agressivité contre eux-mêmes, tombent malades et se soignent comme ils peuvent et presque à contre cœur, ou se suicident. D’autres parlent ouvertement de se suicider si les confinements se renouvellent[4]. Certains, sevrés de relations amicales des mois durant, rêvent de se faire injecter dans le corps n’importe quelle potion, supposant que cela fera cesser la douleur de la solitude et permettra de reprendre une vie normale.

Les rats en groupe développent des réactions agressives. Dans les mêmes conditions, les adultes ou les enfants ont à subir le contrecoup de la privation de liberté sous forme d’agressions verbales, de violences physiques et autres mauvais traitements. Les disputes familiales fleurissent. Les enfants sont sommés de continuer à étudier « en-ligne » dans ces conditions que des bricoleurs de l’éducation rêvent de pérenniser.

On peut donc parier sur une augmentation des pathologies de tous ordres (à vérifier quand les statistiques seront disponibles, et si elles ne sont pas travesties comme on dit que le sont les statistiques du nombre de morts de la Covid-19).
Les manuels sur les expériences comportementales ne disent pas quel est le lien entre la durée de l’expérience et le niveau de sadisme des expérimentateurs. Mais pour ce qui concerne la société humaine, on sait qu’il suffit d’une autorité qui décide, quelque part, pour que toute la chaîne des expérimentateurs se mette en action. En effet, chaque expérimentateur -ils sont nombreux- à son niveau, veut éviter, en refusant de tourmenter ses semblables, de se retrouver dans la situation où il serait ravalé au rang de simple rat.

De plus, les expérimentateurs ont développé pour justifier la situation, un argumentaire relatif à la santé publique : il faut éviter les morts de la Covid-19, coûte que coûte, semble-t-il. Le docteur Fouché, quand à lui, a rappelé que chaque jour, il meurt en moyenne en France 1671 personnes selon Santé Publique France, 419 personnes de maladies cardio-vasculaires (150 000 personnes par an), 460 de cancers (165 000 personnes par an), 110 morts de maladies respiratoires (39600 personnes par an), 27 de suicides (9 700 personnes par an), 10 morts d’accidents de la route (3 600 morts par an). Nul doute qu’on va nous trouver une bonne expérience pour éviter tous ces décès.

Les expérimentateurs méritent donc bien la reconnaissance des autorités pour le fait de servir la bonne cause. D’ailleurs la distribution des médailles a commencé.

Michel Delanature

Notes

  1. Peut-être s’intéressera-t-on aux quantités de fibres que les masques relâchent dans les poumons des utilisateurs 
  2. C’est la conviction des professeurs Perronne et Raoult ainsi que de la Coordination Santé Libre, mais le consensus international n’est pas acquis 
  3. Peut-être s’intéressera-t-on aux quantités de fibres que les masques relâchent dans les poumons des utilisateurs 
  4. Textuel ; face au stress, l’organisme retourne son agressivité contre lui-même et s’auto-détruit.



Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?

[Source : Sott.net]

Par M.K. Scarlett

S’interroger sur le fait de savoir si le Sras-CoV-2 a été ou pas vraiment « isolé » peut sembler pertinent, d’autant que la généticienne Alexandra Henrion-Caude se pose la même question.

Covid-19 - Les preuves d'une fraude globale

L’article qui suit et les informations qu’il contient rend compte de certains faits qui posent question et qui sont par ailleurs peu débattus. Ces éléments ne suffiront sans doute pas à trancher la question, mais ils offrent, considérés dans leur ensemble, des éléments de réponses possibles, qui ouvrent eux-mêmes sur d’autres questionnements. Le tout étant par ailleurs parfois un peu technique, des explications supplémentaires portant sur des détails particuliers seront apportées au lecteur.

Toutefois, et pour mettre les choses en perspective dans le contexte qui est le nôtre aujourd’hui, à savoir que nous avons affaire à des psychopathes — et à des suiveurs autoritaristes souvent corrompus, au rang desquels se trouvent des scientifiques — qui usent de sophisme pour nous raconter une histoire (celle de leur pseudo-réalité), voici un extrait de l’ouvrage de Josef Pieper, Abus de langage, Abus de pouvoir :

« [les sophistes sont des] maîtres dans l’art de déformer les mots, grassement payés et acclamés par les foules […] capables de faire l’éloge d’une chose mauvaise en la faisant apparaître comme bonne et qui [savent] avec maestria transformer le blanc en noir. [la sophistique est] un danger et une menace qui frappent la vie de l’esprit et celle de la société à toutes les époques. […] les sophistes, doués d’une énorme sensibilité pour les nuances du langage et d’une dose extrême d’intelligence formelle, cultivent le mot, érigent et parfaissent l’usage du mot en art — et […] ce faisant, ils corrompent en même temps le sens et la dignité du mot. [Il est essentiel] de reconnaître que quelque chose peut être magnifiquement fait, représenté, mis en scène, filmé brillamment et cependant être en même temps fondamentalement et essentiellement faux, et pas seulement faux, mais aussi mauvais, inférieur, lamentable, honteux, funeste, vil — et pourtant magnifiquement réalisé ! […] la difficulté à reconnaître les sophistes fait partie du succès de ces derniers. »

On retrouve cet abus de langage au sein d’une mauvaise science devenue religieusement universelle dans laquelle il existe

« un phénomène de « corruption systémique », une entreprise de manipulation généralisée permettant de ne pas avoir besoin de soudoyer un grand nombre de personnes. La manipulation globale permet que des foules d’acteurs de bonne foi y participent en toute ignorance de cause. »

Voici donc la traduction de l’article écrit par Iain Davis sur son site Web In This Together.


Le Covid-19, et les réponses gouvernementales qui ont suivi, semblent faire partie d’une conspiration internationale visant à commettre des fraudes. Il semble qu’aucune preuve n’existe pour démontrer qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Parfois, il faut suivre son instinct. Je ne suis pas un expert en génétique et, comme toujours, je suis prêt à être corrigé. Cependant, mon attention a été attirée par certaines recherches publiées par la revue médicale espagnole D-Salud-Discovery. Leur comité consultatif composé de médecins et de scientifiques éminemment qualifiés confère une crédibilité supplémentaire à leurs recherches. Leur affirmation est stupéfiante.

Les sondes et les amorces génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le Sras-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique. J’ai suivi les techniques de recherche décrites dans cette traduction anglaise de leur rapport et je peux corroborer l’exactitude de leurs affirmations concernant les séquences de nucléotides énumérées dans les protocoles de l’Organisation mondiale de la santé. Vous pouvez faire de même.

D-Salud-Discovery indique qu’il n’existe aucun test capable d’identifier le Sras-CoV-2. Par conséquent, toutes les allégations concernant l’impact présumé du Covid-19 sur la santé de la population sont sans fondement.

L’ensemble du récit officiel du Covid-19 est une supercherie. De toute évidence, il n’existe aucun fondement scientifique dans aucune des parties de ce récit.

Si ces affirmations sont exactes, nous pouvons déclarer qu’il n’existe pas de preuve de pandémie, mais seulement l’illusion d’une pandémie. Nous avons subi des pertes incalculables sans raison évidente, si ce n’est celles des ambitions de despotes sans scrupules qui souhaitent transformer l’économie mondiale et notre société en fonction de leurs objectifs.

Ce faisant, cette « classe de parasites » a potentiellement commis d’innombrables crimes. Ces crimes peuvent et doivent faire l’objet d’une enquête et de poursuites devant un tribunal.

Note de MKS : Puisque l’auteur parle de parasites, voici quatre articles qui pourraient permettre au lecteur de creuser un peu plus :

The Great Reset

Qu’ont-ils identifié exactement ?

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classifié la maladie Covid-19 (COronaVIrus Disease 2019). Elle a déclaré une pandémie mondiale de Covid- 19 le 11 mars 2020.

Le guide de l’OMS sur les essais en laboratoire stipule ce qui suit :

« L’agent étiologique [causalité de la maladie] responsable du groupe de cas de pneumonie à Wuhan a été identifié comme un nouveau betacoronavirus (de la même famille que le Sras-CoV et le Mers-CoV) par un séquençage de nouvelle génération à partir de virus cultivés ou directement à partir d’échantillons reçus de plusieurs patients atteints de pneumonie. »

L’OMS affirme que le virus du Sras-CoV-2 est à l’origine du Covid-19. Ils affirment également que ce virus a été clairement identifié par des chercheurs de Wuhan.

Dans le rapport de l’OMS intitulé « Nouveau coronavirus 2019-nCov — Rapport de situation n° 1 », ils déclarent que :

« Les autorités chinoises ont identifié un nouveau type de coronavirus, qui a été isolé le 7 janvier 2020 […] Le 12 janvier 2020, la Chine a partagé la séquence génétique du nouveau coronavirus pour que les pays puissent l’utiliser dans le développement de kits de diagnostic spécifiques. »

Ces deux déclarations de l’OMS suggèrent clairement que le virus Sras-CoV-2 a été isolé (c’est-à-dire purifié pour être étudié) et que des séquences génétiques ont ensuite été identifiées à partir de l’échantillon isolé. À partir de là, des kits de diagnostic ont été mis au point et distribués dans le monde entier pour tester le virus dans les villes et les villages aux quatre coins du globe. Selon l’OMS et les chercheurs chinois, ces tests permettront de trouver le virus qui cause le Covid-19.

Pourtant, l’OMS affirme également :

« Travaillant directement à partir des informations sur les séquences, l’équipe a mis au point une série de tests d’amplification génétique (PCR) utilisés par les laboratoires. »

Les scientifiques de Wuhan ont développé leurs tests d’amplification génétique à partir d’« informations sur les séquences » parce qu’il n’y avait pas d’échantillon isolé et purifié du virus dit Sras-CoV-2. Ils ont également montré des images au microscope électronique des virions nouvellement découverts (la boule de protéines en épi [ou protéine Spike – NdT] contenant l’ARN viral).

Toutefois, ces structures protéiques ne sont pas uniques. Elles ressemblent à d’autres vésicules rondes, telles que les vésicules endocytiques et les exosomes.

structures protéiques

Des virologues affirment qu’il n’est pas possible d’«isoler» un virus parce qu’il ne se réplique qu’à l’intérieur des cellules hôtes [et donc in vivo, et non in vitro dans lequel il est sorti de son environnement et ne peut par conséquent pas se comporter de la même manière – NdT]. Ils ajoutent que les postulats de Koch ne s’appliquent pas parce qu’ils concernent les bactéries — qui sont des organismes vivants. Par contre, ce que les virologues observent dans des cultures cellulaires, ce sont les effets cytopathogènes du virus qui provoquent la mutation et la dégradation des cellules.

[NdNM : pour les virus, les postulats de Koch sont remplacés par ceux de Rivers, mais ceux-ci ne sont apparemment pas respectés par les épidémies virales (autrement dit, cela tend à démontrer que les virus ne sont pas les véritables causes des épidémies virales). Voir Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies. De plus, le Docteur Stefan Lanka a démontré que les cellules se dégradent aussi naturellement sans la présence des virus incriminés, du fait qu’elles ne sont plus alimentées et qu’elles subissent l’effet toxique des préparations destinées à analyser les tissus cellulaires infectés. Autrement dit, ces effets cytopathogènes interviennent aussi sans la présence de virus censés produire la maladie virale en question. Voir Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus.]

Lorsque les chercheurs chinois ont au départ séquencé le génome complet du Sras-CoV-2, ils ont observé un effet cytopathogène dans les cellules Vero E6 et Huh7. Les Vero E6 sont une lignée cellulaire simienne immortalisée et les Huh7 sont des cellules cancéreuses (tumorigènes) immortalisées. Cela signifie qu’elles ont été maintenues in vitro (dans des cultures en boîte de Pétri) pendant de nombreuses années.

Note de MKS : Une lignée cellulaire immortalisée est une lignée qui a échappé à la senescence cellulaire (par un procédé chimique) et qui peut donc se diviser indéfiniment in vitro. Les cellules Vero sont une lignée cellulaire utilisée pour les cultures cellulaires. Les cellules Vero E6 sont un clone de la souche 76, elle-même découverte en 1968. La lignée de cellules Vero a été isolée et établie à partir de rein de singe vert adulte d’Afrique (Certopithecus aethiops) en mars 1962 par Y. Yasumura et Y. Kawakita à l’université de Chiba au Japon. Source

Au cœur de l’histoire officielle du Sras-CoV-2 se trouve l’idée qu’il s’agit d’un virus zoonotique, [qui serait – NdT] capable de combler le fossé entre les espèces, des animaux aux humains. Lorsque des scientifiques du CDC aux États-Unis ont « infecté » diverses cellules avec le nouveau virus, ils ont constaté ce qui suit :

« Nous avons examiné la capacité du Sras-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires communes de primates et d’humains, y compris les cellules d’adénocarcinome humain (A549) [celles des poumons], les cellules de foie humain (HUH7. 0), et des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T), en plus des cellules Vero E6 et Vero CCL81 [cellules simiennes]… Aucun effet cytopathogène n’a été observé dans aucune des lignées cellulaires, sauf dans les cellules Vero [cellules simiennes] … Les cellules HUH7.0 et 293T n’ont montré qu’une réplication virale modeste et les cellules A549 [cellules de tissu pulmonaire humain] étaient incompatibles avec l’infection par le Sras-CoV-2. »

Le CDC n’a observé aucun effet cytopathogène dans les cellules humaines. Ils n’ont trouvé aucune preuve que ce prétendu virus ait causé une quelconque maladie humaine. Ce supposé virus humain n’a pas non plus montré de réplication notable dans les cellules humaines, ce qui suggère qu’une infection d’homme à homme serait impossible.

Que le Sras-CoV-2 soit un virus humain capable de provoquer une maladie généralisée est loin d’être évident. Il se peut même qu’il n’existe pas physiquement. Ne serait-ce alors rien d’autre qu’un concept basé sur des séquences génétiques prédictives ?

Note de MKS : Notez que le Sras-CoV-2 imagé ci-dessus posséderait une protéine de surface (Spike) présentant une différence notable par rapport à d’autres coronavirus génétiquement proches. Ou plus exactement, le site de clivage de la protéine Spike du Sras-CoV-2 posséderait un insert (un fragment de peptide en plus) de quatre acides aminées, absent des protéines Spike de Sras-CoV. Source

À propos de l’origine soi-disant zoonotique, Judy Mikovits a déclaré ce qui suit : […] Il n’a pas pu apparaître de façon naturelle. Le virus n’a pas pu passer directement à l’homme depuis une chauve-souris achetée au marché par un individu. Ça ne fonctionne pas ainsi. Il s’agit d’une évolution virale accélérée. S’il s’agissait d’un phénomène naturel, il faudrait jusqu’à 800 ans pour que le virus évolue de cette manière.

Rappelons aussi que le Dr Pekova suggérait dès avril dernier que le séquençage du Sras-CoV-2 « semble plutôt anormal, et qu’une restructuration aussi importante a peu de chances de se produire dans la nature, sans intervention humaine ».

Voyage de découverte

Le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Wuhan et le Centre clinique de santé publique de Shanghai ont publié le premier génome complet du Sras-CoV-2 (MN908947.1). Ce séquençage a été mis à jour à de nombreuses reprises. Toutefois, MN908947.1 fut le premier à avoir décrit le prétendu agent étiologique du Sras-Cov-2, à savoir le Covid-19.

Toutes les revendications, les tests, les traitements, les statistiques, le développement de vaccins et les politiques qui en découlent sont basés sur ce séquençage. Si les tests de ce nouveau virus n’identifient rien qui puisse causer une maladie chez les êtres humains, tout le récit du Covid-19 n’est qu’une mascarade.

Les chercheurs de Wuhan ont déclaré qu’ils avaient efficacement reconstitué la séquence génétique du Sras-CoV-2 en faisant correspondre desfragmentstrouvés dans les échantillons avec d’autres séquences génétiques découvertes précédemment. À partir du matériel recueilli, ils ont trouvé une correspondance de 87,1 % avec les coronavirus Sras (Sras-Cov). Ils ont utilisé l’assemblagede novo et la PCR ciblée, et ont trouvé 29 891 paires de bases qui partageaient une séquence correspondant à 79,6 % au Sras-CoV.

Ils ont dû utiliser un assemblage de novo parce qu’ils n’avaient aucune connaissance préalable de la séquence ou de l’ordre corrects de ces fragments. En clair, la déclaration de l’OMS selon laquelle les chercheurs chinois ont isolé le virus le 7 janvier est fausse.

Note de MKS : L’assemblage de novo est une technique de séquençage d’un génome inconnu. Il nécessite l’assemblage d’un très grand nombre de petites séquences de ce même génome. Il nécessite aussi un génome de référence (s’il en existe un) afin de positionner (par comparaison) les séquences obtenues. L’assemblage de novo nécessite pour reconstituer un génome complet des programmes bioinformatiques de pointe. Source

Avant de poursuivre, il est nécessaire de comprendre le principe du test PCR et l’usage qui en est fait dans le cadre de la « crise-Covid-19 ».

Il s’agit en tout premier lieu d’un procédé d’amplification moléculaire qui mime le processus naturel de synthèse de l’ADN.

La PCR ciblée est une technique de réplication ciblée in vitro — ou encore ACP pour « amplification en chaîne par polymérase ». Le principe consiste à obtenir, à partir d’un échantillon complexe et peu abondant, d’importantes quantités d’un fragment d’ADN spécifique et de longueur définie, dont l’ordre de grandeur à retenir est celui du million de copies en quelques heures, ce qui est généralement suffisant pour une utilisation ultérieure. Source

Pour Kary Mullis, l’inventeur de la technique PCR qui lui a permis de gagner le prix Nobel de chimie en 1993, cet examen était avant tout qualitatif et destiné à répondre à la question : l’élément est là, oui ou non, mais il n’était pas du tout destiné à le quantifier, et donc, certainement pas conçu pour poser un diagnostic :

« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Voir aussi l’avis d’Alexandra-Henrion Caude sur le sujet : « Covid-19, gestion sanitaire, tests PCR, vaccins ARN, stress — Interview avec Alexandra Henrion-Caude ».

Ces cycles d’amplification successifs, peuvent aller, voire dépassent 40. Plus on augmente le nombre de cycles, plus on sera certain de trouver plus de quelque chose, et même une très faible charge virale donnera un résultat positif — à quelque chose qui ressemble à un coronavirus, puisque ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, mais PAS le virus en entier. Selon Bernard La Scola dans une étude publiée dans la revue European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases, « il n’est plus possible de cultiver du virus in vitro lorsque le cycle d’amplification dépasse 34 ». Multiplier ces cycles nécessitent en outre de nombreuses étapes complexes et sujettes à des erreurs, des fautes de stérilité et des contaminations.

Un article pré-publié sur le site medRxiv en juillet 2020 en fait la synthèse :

« Aucune culture virale n’a été obtenue à partir d’échantillons […] avec des cycles d’amplification supérieurs à 24 ou 34, indiquent les chercheurs. La possibilité de cultiver du virus décroit lorsque les cycles d’amplification augmentent. »

Par ailleurs, et histoire de rajouter à la confusion, le nombre de cycles n’est pas le même d’un pays l’autre, voire d’un laboratoire à l’autre au sein d’un même pays…L’équipe de Wuhan a utilisé 40 cycles d’amplification RT-qPCR pour faire correspondre des fragments d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnésavec le génome déjà connu et publié du coronavirus du Sras (Sras-CoV). Malheureusement, la précision du génome original du coronavirus du Sras n’est pas claire non plus.

En 2003, une équipe de chercheurs de Hong Kong a étudié cinquante patients atteints du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras). Ils ont prélevé des échantillons sur deux de ces patients et ont développé une culture dans des cellules de foie de singe fœtal.

À partir du matériel génétique trouvé, ils ont créé trente clones. Tandis qu’ils n’ont pu trouver aucune preuve d’un autre virus connu, ils ont toutefois trouvé dans un seul de ces échantillons clonés des séquences génétiques d’« origine inconnue ».

E Gene target sequence

En examinant ces séquences d’ARN inconnues, ils ont trouvé 57 % de correspondance avec le coronavirus bovin et le virus de l’hépatite murine et en ont déduit qu’il était de la famille des Coronaviridae. Considérant que ces séquences suggéraient la découverte d’un nouveau virus du Sras-CoV (toute nouvelle découverte étant par ailleurs considérée par les scientifiques comme une ambroisie), ils ont conçu des amorces RT-PCR pour tester ce nouveau virus. Les chercheurs ont déclaré :

« Les amorces pour détecter le nouveau virus ont été conçues pour la détection par RT-PCR du génome de ce coronavirus associé à la pneumonie humaine dans des échantillons cliniques. Sur les 44 échantillons nasopharyngés disponibles provenant des 50 patients atteints du Sras, 22 présentaient des traces d’ARN de coronavirus humain associé à la pneumonie. »

Note de MKS : Bien que l’auteur l’aborde partiellement plus loin, il est utile d’expliquer rapidement ce qu’est une « amorce » (et une sonde) dans le langage de la recherche génétique, voyons les quatre étapes du test PCR (après le prélèvement).

  • La première étape est celle de la dénaturation réalisée à une température de 95°C, l’ADN double-brin est séparé en ses deux brins d’ADN constitutifs ;
  • La deuxième étape est celle de l’hybridation lors de laquelle un oligonucléotide (la sonde) s’apparie à la séquence d’ADN qui lui est complémentaire ;
  • La troisième étape est celle de la polymérisation dans laquelle un deuxième oligonucléotide, l’amorce, s’hybride en amont, à quelques paires de bases de distance de la sonde ;
  • La quatrième étape est celle de l’émission de fluorescence qui permet d’éventuellement détecter et quantifier un signal fluorescent à même de prouver la présence de ce qui est recherché.

Pour plus de détails, consultez cet article assez simplifié d’où j’ai tiré ce qui précède, ou celui-ci, bien plus fourni. Selon eurofins, les étapes 1 à 4 sont répétées de 35 à 50 fois. Un must !La moitié des patients testés, qui présentaient tous les mêmes symptômes, se sont révélés positifs à ce nouveau virus présumé. Personne ne sait pourquoi l’autre moitié a été testée négative pour ce nouveau virus Sras-CoV. La question n’a pas été posée.

Ce supposé virus ne présentait qu’une correspondance de séquence de 57 % avec un coronavirus prétendument connu. Les 43 % restants étaient juste «  ». Les données séquencées ont été produites et enregistrées en tant que nouveau génome auprès de la GenBank sous le numéro d’accès AY274119.

Les chercheurs de Wuhan ont ensuite trouvé une séquence correspondant à 79,6 % à AY274119 et l’ont donc qualifiée de nouvelle souche de Sras-CoV (2019-nCoV — finalement rebaptisée Sras-CoV-2). Personne n’avait, à aucun moment de ce processus, produit d’échantillon isolé et purifié d’un quelconque virus. Tout ce qu’ils avaient, c’était des pourcentages de concordance de séquences avec d’autres pourcentages de concordance de séquences.

Ils n’ont rien isolé

Les scientifiques sont très agacés parce qu’ils n’arrêtent pas de dire que le virus a été isolé mais que personne ne les croit. La raison en est que, jusqu’à présent, personne n’a fourni un seul échantillon purifié du virus Sras-CoV-2. Ce dont nous disposons, en revanche, c’est d’un génome complet et, comme nous sommes sur le point de le découvrir, celui-ci n’est pas particulièrement convaincant.

Les journalistes d’investigation Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter ont demandé à certains des scientifiques qui ont déclaré avoir des images des virions du Sras-CoV-2 de confirmer qu’il s’agissait bien d’images d’un virus isolé et purifié. Aucun d’entre eux n’a pu le faire.

Note de MKS : En préambule des réponses retranscrites ci-dessous, les auteurs de l’article stipule ce qui suit :

« Et comme les tests PCR sont calibrés pour les séquences de gènes (dans ce cas-ci les séquences d’ARN car on pense que le Sras-CoV-2 est un virus à ARN), nous devons savoir que ces extraits de gènes font partie du virus recherché. Et pour le savoir, il faut procéder à une isolation et une purification correctes du virus présumé.

C’est pourquoi nous avons demandé aux équipes scientifiques [auteurs] des documents pertinents auxquels il est fait référence dans le contexte du Sras-CoV-2 de prouver si les clichés au microscope électronique présentés dans leurs expériences in vitro montrent des virus purifiés. »

Voici les réponses de ces scientifiques :

  • Study 1: Leo L. M. Poon; Malik Peiris. « Emergence of a novel human coronavirus threatening human health » Nature Medicine, March 2020
    Replying Author: Malik Peiris
    Date: May 12, 2020
    Answer: « The image is the virus budding from an infected cell. It is not purified virus. » [L’image est le virus bourgeonnant d’une cellule infectée. Ce n’est pas un virus purifié.]
  • Study 2: Myung-Guk Han et al. « Identification of Coronavirus Isolated from a Patient in Korea with COVID-19 », Osong Public Health and Research Perspectives, February 2020
    Replying Author: Myung-Guk Han
    Date: May 6, 2020
    Answer: « We could not estimate the degree of purification because we do not purify and concentrate the virus cultured in cells. » [Nous n’avons pas pu estimer le degré de purification car nous ne purifions pas et ne concentrons pas le virus cultivé dans les cellules.]
  • Study 3: Wan Beom Park et al. « Virus Isolation from the First Patient with SARS-CoV-2 in Korea », Journal of Korean Medical Science, February 24, 2020
    Replying Author: Wan Beom Park
    Date: March 19, 2020
    Answer: « We did not obtain an electron micrograph showing the degree of purification. » [Nous n’avons pas obtenu de micrographie électronique montrant le degré de purification.]
  • Study 4: Na Zhu et al., « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China », 2019, New England Journal of Medicine, February 20, 2020
    Replying Author: Wenjie Tan
    Date: March 18, 2020
    Answer: « [We show] an image of sedimented virus particles, not purified ones. » [[Nous montrons] une image de particules de virus sédimentées, et non pas purifiées.]En Australie, des scientifiques de l’Institut Doherty ont annoncé qu’ils avaient isolé le virus Sras-CoV-2. Lorsqu’on leur a demandé de préciser, les scientifiques ont déclaré [le 29 janvier 2020]:

« Nous avons de courtes séquences (ARN) provenant du test de diagnostic qui peuvent être utilisées dans les tests de diagnostic. »

Ceci explique pourquoi le gouvernement australien a déclaré [le 4 décembre 2020] :

« La fiabilité des tests Covid-19 est incertaine en raison de la base de preuves limitée… Il existe peu de preuves disponibles pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests Covid-19 disponibles. »

Au Royaume-Uni, en juillet, un groupe d’universitaires inquiets a écrit une lettre au Premier ministre britannique Boris Johnson dans laquelle ils lui demandent de :

« Produire des preuves scientifiques indépendantes, examinées par des pairs, prouvant que le virus Covid-19 a été isolé. »

Ils n’ont, à ce jour, pas reçu de réponse.

De même, le chercheur britannique Andrew Johnson a présenté aux autorités nationales en charge de la santé publique en Angleterre [PHE en anglais – NdT] une requête en vertu de la loi sur la liberté de l’information. Il leur a demandé de lui fournir leurs dossiers décrivant la façon dont le virus du Sras-COV-2 avait été isolé. Ce à quoi ils ont répondu :

« PHE peut confirmer qu’il ne détient pas d’informations de la manière suggérée par votre demande. »

La chercheuse canadienne Christine Massey a fait une demande d’accès à l’information similaire, demandant la même chose au gouvernement canadien. Ce à quoi le gouvernement canadien a répondu :

« Après avoir effectué une recherche approfondie, nous avons le regret de vous informer que nous n’avons pu trouver aucun document répondant à votre demande. »

Aux États-Unis, le Panel de diagnostic RT-PCR du Centre de contrôle des maladies (CDC) indique ce qui suit :

« […] Aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’est actuellement disponible […] La détection de l’ARN viral pourrait ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent responsable des symptômes cliniques. »

Dans leur dernière mise à jour du 13 juillet 2020, les CDC n’ont pas encore obtenu d’échantillon viral pur d’un patient dit atteint de la maladie de Covid-19. Ils admettent ouvertement que leurs tests ne montrent pas nécessairement si le Sras-CoV-2 est présent ou cause le Covid-19.

On nous dit que rien de tout cela n’a d’importance. Que nous sommes ignorants et que nous ne comprenons tout simplement pas la virologie. Par conséquent, nous devons nous contenter d’images de choses dont nous savons qu’elles pourraient être autre chose et de séquences génétiques (qui pourraient être n’importe quoi d’autrecomme autant de preuves concluantes que ce virus, et la maladie qu’il est censé causer, sont réels.

Orf1 Gene Human Chromosome Match

Tester en vain

L’OMS, ainsi que tous les gouvernements, les think-thank, les comités directeurs, les conseillers scientifiques gouvernementaux, les institutions supranationales et autres qui font la promotion de l’exposé officiel du Covid-19, affirment que le Sras-CoV-2 provoque le Covid-19. Alors que personne n’a jamais produit d’échantillon de ce supposé virus, le prétendu génome du Sras-CoV-2 a été publié. Il relève du domaine public.

Au sein du génome du Sras-CoV-2, des séquences génétiques clés auraient des fonctions spécifiques. Ce sont les protéines cibles que les scientifiques testent pour identifier la présence du « virus ». Il s’agit notamment des quatre suivantes :

  • Le gène de l’ARN polymérase ARN-dépendante (Rd-Rp) — Il permet à l’ARN du Sras-CoV-2 de se répliquer à l’intérieur du cytoplasme des cellules épithéliales malades du Covid-19 ;
  • Le gène S (ORF2) — Cette glycoprotéine forme le pic [Spike – NdT] à la surface du virion du Sras-CoV-2 qui est censé faciliter la liaison du Sras-CoV-2 aux récepteurs ACE2 des cellules, permettant à l’ARN à l’intérieur de l’enveloppe protéique du virion (capside) de passer dans la cellule désormais infectée ;
  • Le gène E (ORF1ab) — C’est une petite protéine membranaire utilisée dans l’assemblage du virus ;
  • Le gène N (ORF9a) — Il s’agit du gène de la nucléocapside qui se lie à l’ARN lors de la formation de la capside.

L’OMS tient un registre accessible au public des amorces et des sondes RT-PCR utilisées pour tester le Sras-CoV-2. Les amorces sont des séquences de nucléotides spécifiques qui se lient (s’annulent) aux brins anti-sens et sensoriels de l’ADNc synthétisé (appelées respectivement amorces avant et arrière).

Les brins d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnés) se séparent lorsqu’ils sont chauffés et se reforment lorsqu’ils sont refroidis. Avant le refroidissement, des séquences de nucléotides appelées sondes sont introduites pour s’hybrider à des régions cibles spécifiques du génome viral présumé. Au cours de l’amplification, alors que les régions entre les amorces s’allongent, lorsqu’une amorce frappe une sonde, celle-ci se désintègre en libérant un fluorescent ou un colorant qui peut alors être lu par les chercheurs.

C’est de l’identification de ces marqueurs que les scientifiques prétendent prouver la présence du Sras-CoV-2 dans un échantillon.

Un autre outil accessible au public est le Basic Local Alignment Search Tool (BLAST) [il s’agit d’une méthode de recherche heuristique utilisée en bioinformatique. Le BLAST permet de trouver les régions similaires entre deux ou plusieurs séquences de nucléotides ou d’acides aminés, et de réaliser un alignement de ces régions homologues – NdT]. Il permet à quiconque de comparer les séquences de nucléotides publiées avec toutes celles stockées par la base de données génétiques des National Institutes of Health (NIH) américains appelée GenBank. Nous pouvons donc « BLASTER » [rechercher] les amorces, les sondes et les séquences de gènes cibles qui ont été déclarées dans la recherche du Sras-CoV-2.

BLAST - Basic Local Alignment Search Tool Sras Cov2

Les amorces et les protocoles de sonde de l’OMS pour le génome viral présumé du Sras-CoV-2 sont basés sur les profils des gènes Rd-Rp, ORF1, N et E. N’importe qui peut les soumettre à l’analyse de BLAST et découvrir les résultats.

La séquence nucléotidique vitale Rd-RP, utilisée comme amorce avant, est — ATGAGCTTAGTCCTGTTG. Si nous lançons une recherche nucléotidique sur BLAST, celle-ci est enregistrée comme correspondant à l’isolation complète du Sras-CoV-2 avec une identité de séquence identique à 100 %. De même, la séquence d’amorce du gène E inverse — ATATTGCAGCAGTACGCACACA — révèle la présence de la séquence ORF1ab qui identifie également le Sras-CoV-2.

Cependant, BLAST nous permet également de rechercher les séquences de nucléotides des génomes microbiens et humains. Si nous recherchons la séquence Rd-Rp du Sras-CoV-2, elle révèle 99 chromosomes humains avec une identité de séquence de 100 %. La recherche sur le ORF1ab (gène E) en trouve 90 avec une identité de séquence de 100 % avec les chromosomes humains.

En faisant de même pour ces séquences avec une recherche microbienne, on trouve 92 microbes dont la séquence correspond à 100 % au gène du Sras-CoV-2 E, et 100 microbes dont la séquence correspond à 100 % au gène vital Rd-Rp du Sras-CoV-2 .

Chaque fois que nous vérifions les soi-disant marqueurs génétiques uniques au Sras-CoV-2 qui sont enregistrés dans les protocoles de l’OMS, nous trouvons des correspondances complètes ou à pourcentage élevé avec divers fragments du génome humain. Cela suggère que les séquences génétiques, qui sont censées identifier le Sras-CoV-2,ne sont pas uniques. Elles pourraient être n’importe quoi, depuis des séquences microbiennes jusqu’à des fragments de chromosomes humains.

Les soi-disant vérificateurs-de-faits (fact-checkers), comme le projet Health Feedback de Reuters, se sont empressés de rejeter les revendications de ceux qui ont remarquéle manque apparent de spécificité du supposé génome du Sras-CoV-2. Ils utilisent une ribambelle d’arguments bidons comme « cette affirmation suggère que chaque test devrait être positif » (ce qui n’est pas le cas), ce qui fait que leur tentative de démystificationaboutit à quelque chose comme ça :

« Les amorces sont conçues pour se lier à des séquences de nucléotides spécifiques qui sont uniques au virus. L’amorce avant peut se lier à un chromosome particulier, mais l’amorce arrière ne se lie pas au même chromosome et le chromosome n’est donc pas présent dans le virus Sras-CoV-2. De plus, comme les amorces avant et arrière enveloppent la séquence à amplifier, la séquence d’ADNc entre les amorces est unique au virus. »

Cette façon de faire semble déformer de manière délibérée la portée des observations émises en amont en avançant un argument que personne, à part les vérificateurs-de-faits eux-mêmes, ne fait valoir. Les recherches effectuées sur BLAST montrent que ces séquences cibles ne sont pas uniques au Sras-CoV-2. Pas plus qu’il n’est nécessaire de trouver toutes les cibles pour qu’un résultat soit jugé positif.
© InconnuDes chercheurs marocains ont enquêté sur l’épidémiologie des cas marocains présumés du Sras-CoV-2. Neuf pour cent étaient positifs pour trois gènes, dix-huit pour cent étaient positifs pour deux gènes et soixante-treize pour cent pour un seul. Comme nous venons de l’évoquer, beaucoup d’entre eux n’étaient peut-être positifs à aucun.

Ceci est tout à fait conforme aux directives de l’OMS en matière de tests. Elles stipulent que

« Un diagnostic optimal consiste en un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) avec au moins deux cibles indépendantes du génome du Sras-CoV-2 ; cependant, dans les zones où la transmission est répandue, un simple algorithme à cible unique peut être utilisé […] Un ou plusieurs résultats négatifs n’excluent pas nécessairement une infection par le Sras-CoV-2. »

Indépendamment des arguments fallacieux des vérificateurs-de-faits grassement rémunérés, si les amorces avant et arrière identifient des débris, l’une identifiant peut-être le fragment d’un chromosome et l’autre une séquence microbienne, alors la région amplifiée située entre elles est probablement aussi un débris.

L’argument selon lequel la RT-PCR ne trouve que de l’ARN est spécieux. La transcription naturelle (la séparation des brins d’ADN) se produit pendant l’expression des gènes. Personne ne dit que dans le prétendu génome du Sras-CoV-2 l’entièreté des chromosomes ou des microbes sont séquencés. Même s’il est possible que ce soit effectivement le cas, pour ce que l’on en sait. Ce qui est avancé [par ceux qui interroge les méthodes de dépistage – NdT], c’est que les prétendus marqueurs utilisés pour tester ce supposé virus ne sont pas adaptés à l’objectif.

Séquençage Sras Cov2

Les tests RT-PCR ne séquencent pas l’intégralité du génome. Ils recherchent des occurrences de fluorescence de sondes spécifiques pour indiquer la présence de séquences supposées exister. Ces séquences sont définies par MN908947.1 et les mises à jour ultérieures. Ces amorces et ces sondes ne peuvent révéler que des correspondances d’ARN extraites d’ADN non codant, parfois appelé « poubelle » (ADNc).

Note de MKS : À propos de l’ADN « poubelle », voir cet article du Dr Gaby : « L’ADN « poubelle » viral, le régime cétogène qui améliore l’ADN et les effets cométaires ».

Par exemple, le gène S du Sras-CoV-2 est censé être hautement spécifique au génome du virus du Sras-CoV-2. La séquence cible est — TTGGCAAAATTCAAGACTCACTTTC. Une recherche microbienne BLAST renvoie 97 correspondances microbiennes avec une correspondance de séquence d’identité de 100 %. Le pourcentage de concordance le plus faible, parmi les 100 premiers, est de 95 %. Une recherche BLAST sur le génome humain trouve également une correspondance de séquence de 100 % avec 86 fragments de chromosomes humains.

Quel que soit l’endroit où l’on regarde dans le supposé génome du Sras-CoV-2, rien dans les protocoles de test de l’OMS ne permet d’identifier clairement de quoi il s’agit. L’ensemble du génome pourrait être faux. Les tests ne prouvent pas l’existence du Sras-CoV-2. Tout ce qu’ils révèlent, c’est une soupe de matériel génétique non spécifié.

Si tel est le cas — et puisqu’il n’y a pas d’isolats ou d’échantillons purifiés du virus — aucune preuve de l’existence du Sras-CoV-2 sans test viable ne peut exister. Par conséquent, il n’existe pas non plus de preuve de l’existence d’une maladie appelée Covid-19.

Cela signifie qu’il n’y a pas de base scientifique pour toute affirmation concernant le nombre de cas de Covid-19, les admissions à l’hôpital ou les chiffres de mortalité. Toutes les mesures prises pour lutter contre ce virus mortel ne sont probablement fondées sur rien.

Note de MKS : Sur rien de « scientifique », mais sur une nécessité psychopathique servie par une certaine science, sans aucun doute.

Fraude et conspiration

La fraude est un acte criminel. La définition légale de la fraude est la suivante :

« Une pratique trompeuse ou une manœuvre délibérée, à laquelle on a recours dans l’intention de priver un tiers de son droit, ou de lui causer un préjudice d’une manière ou d’une autre. »

La définition juridique d’une conspiration est la suivante

« Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes formée dans le but de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel. »

Il semblerait que ceux qui prétendent que nous sommes confrontés à une pandémie n’aient fourni aucune preuve montrant qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Toutes les informations suggérant fortement qu’une telle probabilité existe sont facilement accessibles dans le domaine public. Tout le monde peut les lire.

Pour qu’il y ait fraude, la tromperie doit être délibérée. L’intention doit être de priver délibérément d’autres personnes de leurs droits ou de leur porter préjudice d’une manière ou d’une autre. S’il existe des preuves de collusion entre des individus et/ou des organisations à des fins frauduleuses, il s’agit alors d’une conspiration (dans les pays qui appliquent la Common law [Loi commune]) ou d’une entreprise criminelle commune en vertu du Droit international.

Note de MKS : La Common law est système juridique anglo-saxon dont les règles sont principalement édictées par les tribunaux au fur et à mesure des décisions individuelles, et non sur le Droit civil comme en France qui s’appuie sur le Droit codifié — encore que la France fait de plus en plus souvent fi du Droit codifié pour le remplacer par la Common law, dont la jurisprudence a toujours été l’élément fondamental. Généralement, les pays sous la Common law sont les anciennes colonies ou les anciens protectorats britanniques y compris les Etats-Unis (à la seule exception de la Louisiane où s’applique un droit codifié.)

Il semble que le Covid-19 ait été délibérément utilisé comme casus belli pour mener une guerre contre l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de flâner a été restreinte, la liberté de parole et d’expression a été érodée, les droits de manifester ont été réduits, nous avons été séparés de nos proches, et nos sociétés ont été détruites, soumises à des assauts psychologiques, muselées et terrorisées.

Le Prince Charles nous demande d’accueillir la Grande réinitialisation à bras ouverts

Pire encore, alors qu’il n’existe pas de preuve d’une mortalité sans précédent toutes causes confondues, on a enregistré des pics de mortalité anormaux. Ces pics correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont entraîné une interruption des soins de santé primaires et une réorientation des services de santé publique financés par nos impôts pour traiter à l’exclusion de toutes les autres une prétendue maladie.

En outre, ceux qui ont présenté et fait circuler le récit Covid-19 proposent que cette prétendue maladie justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’humanité elle-même.

Pour être autorisés à participer à leur soi-disant « nouvelle normalité » [ou nouvelle réalité, soit leur pseudo-réalité – NdT], à savoir la transformation complète sans notre consentement de toute notre société, ils exigent que nous nous soumettions à leurs conditions.

Ces mesures comprennent, sans s’y limiter, une surveillance biométrique de chacun, un contrôle et un suivi centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives, jusqu’à celle qui exige clairement que nous renoncions à toute forme de souveraineté sur nos propres corps. Toutes ces mesures constituent les conditions qui prévalent dans l’esclavage.

Il ne fait aucun doute que nos droits ont été bafoués et que nous en avons été dépouillés. Dans les pays qui exercent la Common law, l’innocence est présumée, mais il n’empêche que les preuves d’un préjudice délibérément causé par une conspiration internationale sont accablantes. Les politiques destructrices, adoptées par les gouvernements du monde entier, émanent clairement de think tanks mondialistes et d’institutions supranationales, et ont été élaborées bien avant l’émergence de cette soi-disant pandémie.

Dans les pays soumis au Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils faudrait qu’ils puissent prouver que, en dépit de leurs ressources incommensurables, ils ont été collectivement incapables d’accéder ou de comprendre l’une des preuves librement disponibles suggérant que le Covid-19 est un mythe.

Note de MKS : Le Code Napoléon est aussi appelé Code civil, et la présomption d’innocence est le principe selon lequel toute personne, qui se voit reprocher une infraction, est réputée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement démontrée. La plupart des pays d’Europe reconnaissent et utilisent le principe de la présomption d’innocence selon l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme. Toutefois, il est des cas, tout du moins en France, où la présomption de culpabilité existe en vertu des exceptions au droit à la présomption d’innocence. Ces exceptions sont légales et la charge de la preuve de la non-culpabilité repose alors sur le prévenu.

Les responsables du crime de conspiration en vue de commettre une fraude mondiale doivent être jugés. S’ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que le reste d’entre nous s’efforce de réparer les dommages qu’ils ont déjà causés.

Source de l’article initialement publié en anglais le 16 novembre 2020 : In This Together
Traduction : Sott.net


Alors, fraude totale ou partielle ?

Si l’on part du principe, comme postulé ici, que le Sras-Cov-2 est d’origine humaine, et qu’il est donc « réel », faut-il donc en déduire que le séquençage qui en a été fait est faux, bidouillé, falsifié, suffisamment pour en cacher certains éléments, parmi ceux qui pourraient servir les psychopathes au pouvoir, mais pas assez pour en révéler certains aspects? Encore que les éléments de preuve développés dans « Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 » proposent justement d’y répondre :

« Nous avons tout au long de cet article examiné les preuves suggérant que le Sras-Cov-2 a été fabriqué à Fort Detrick et qu’il a été incorporé dans un vaccin dans le but explicite de se propager à grande échelle et d’affecter les fonctions neurologiques associées à l’obéissance.

Il semble que ce projet ait toutefois échoué, d’abord parce que le « virus de l’obéissance » a muté en un « virus de la désobéissance », ce qui a contraint les pouvoirs publics à prendre — à tout prix — des mesures hâtives en vue de limiter la propagation du mutant bénéfique.

Le confinement général fut une tentative désespérée de minimiser la propagation des effets potentiellement bénéfiques de la mutation du Sras-Cov-2. »

Au départ, il y a une fabrication. Puis s’en est suivi une mutation. Le séquençage « officiel » du Sras-Cov-2 correspond-il au virus initial ou à sa mutation ? Ou à un autre « état » intermédiaire ?

Quoiqu’il en soit, c’est une question à laquelle il est pour le moment difficile de répondre, et il est possible que nous n’en saurons jamais rien. Nous avons plus que certainement des lacunes tant techniques que factuelles pour comprendre les tenants (mais pas les aboutissants) de tout ceci. Tout ce que nous savons, à ce stade, c’est que ce virus est utilisé pour tenter d’imposer aux populations terrorisées un monde dystopique — par le biais notamment d’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer des conjectures et des théories malsaines sur ce à quoi le monde post-soi-disant-pandémique devrait ressembler.

« Faites-vous vacciner pour protéger les autres ! » « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ». En gros, vous êtes libre de choisir entre le passeport d’immunité ou une peine de prison à vie dans une cellule isolée.

Pour conclure, qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag :

« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

L’auteur dans son ouvrage La réforme du vrai — Enquête sur les sources de la modernité, publié en 2010 aux Éditions Charles Léopold Mayer, « explore les fondements sur lesquels s’est appuyée la révolution scientifique et les métamorphoses qu’elle a induites dans la société. » Nissim Amzallag plonge dans des considérations historiques pour essayer de comprendre si la science naissante, dite moderne depuis la pomme de Newton (mythe fondateur, s’il en est), « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». C’est loin d’être le cas :

« les innovations les plus importantes, conceptuelles comme pratiques, dérivent de parti pris étrangers à toute exigence du réel ».

Son livre s’adresse à tous ceux qui souhaitent s’émanciper « de l’autorité d’une idéologie maquillée en savoir » en prenant conscience de l’existence d’une réforme du vrai. Ou devrait-on l’appeler « réforme du réel » ? En effet, il est difficile, quand on les connaît toutes les deux, de ne pas faire le lien entre l’existence des pseudo-réalités psychopathiques et la réforme du vrai de l’auteur, une réforme qui permet justement la mise en place de la dite pseudo-réalité. Dans son ouvrage, il en aborde en 2010 toutes les étapes sauf celle, finale, mais vouée à l’échec de par sa nature utopique, que nous expérimentons aujourd’hui.

M.K. Scarlett 

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Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare

[Source : Nice-Provence Info via Réseau International]

Nice Provence Info avait publié en juin 2017 cet article issu du site du site “Veteran-Today” et que la malveillance de notre ancien hébergeur OVH a effacé.

Cet article majeur et consistant avait suscité une grande curiosité de nos lecteurs et doit figurer dans notre bibliothèque malgré les entraves de la Police de la Pensée.

« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. »

nous avertit George Orwell dans 1984.

Le Pouvoir étant lui-même complotiste (lire Macron, ce grand complotiste), il n’y a plus aucune raison pour que nous ne le soyons pas non plus.

Bonne lecture !

Le voile est à présent déchiré pour exposer clairement à la lumière la mafia khazare et ses effroyables plans pour infiltrer, tyranniser la planète entière et éradiquer toutes les religions du Livre pour en permettre une seule : leur talmudisme babylonien également connu sous les noms de luciférianisme, satanisme ou encore ancien culte de Baal.
L’histoire des Khazars, et particulièrement celle de la mafia khazare, le plus grand syndicat mondial du crime organisé, ayant muté grâce à un “tour de magie” monétaire utilisé par les anciens Babyloniens, a été quasiment occultée de tous les livres d’Histoire.

Actuellement, la mafia khazare sait très bien qu’elle ne peut opérer ou même exister sans un secret abject, et, dans ce but a dépensé beaucoup d’argent pour expurger les livres d’Histoire empêchant les citoyens de toute la planète d’en savoir plus sur leur pouvoir de nuisance terrifiant au delà de toute imagination et permettant la toute puissance de la plus grande organisation mondiale criminelle. Les auteurs de cet article ont fait de leur mieux pour reconstituer cette histoire secrète des Khazars et de leur syndicat mondial du crime organisé, mieux nommé encore mafia khazare, et pour l’exposer aux yeux du monde grâce à l’internet, cette nouvelle presse de Gutenberg.

Il est excessivement difficile de reconstituer cette histoire cachée de la mafia khazare, ainsi veuillez excuser les erreurs ou les inexactitudes mineures qui ne sont pas intentionnelles et seulement dues à la difficulté de creuser dans cette histoire réelle des Khazars et de leur mafia. Nous avons fait notre possible pour la restituer.

Ce fut tout d’abord Mike Harris qui relia les points et fit cette découverte récente de l’existence d’une histoire cachée et sanguinaire de la mafia khazare et de sa volonté de revanche sur la Russie.

Lors de la conférence en Syrie sur la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme religieux le 1er décembre 2014, Gordon Duff directeur de “Veterans Today” (publication des vétérans de l’armée américaine et des services secrets US), exposa publiquement pour la toute première fois que le phénomène du terrorisme mondial est actuellement le fait d’une vaste organisation criminelle internationale liée à Israël. Cette révélation envoya un tsunami au sein de la conférence et quasi-instantanément dans le monde entier, dans la mesure où presque tous les chefs d’État de la planète reçurent également le rapport de cette révélation historique !

Et les répercussions de ce discours historique continuent à résonner actuellement autour du monde.

Gordon Duff demande aujourd’hui au président Poutine de divulguer les documents des services secrets russes qui exposent environ 300 traitres du Congrès US pour leurs actes de félonie en série ainsi que d’espionnage pour le compte de la mafia khazare contre les intérêts de l’Amérique et de plusieurs nations du Moyen-Orient.

Nous savons désormais que la mafia khazare mène une guerre secrète contre l’Amérique et les Américains par l’usage d‘actes de terrorisme sous faux-drapeau de type “Gladio” et au travers d’organismes illégaux et inconstitutionnels comme la Federal Reserve, l’IRS, le FBI, la FEMA, le HomeLand Security et le TSA. Nous tenons à présent pour certain que la mafia khazare est responsable de “l’inside job” du 11 septembre 2001, attaque sous faux drapeau de pur style Gladio, ainsi que de l’attentat du Murrah building le 19 Avril 1995.

Voici donc les grandes lignes de l’Histoire cachée de la plus grande mafia de la planète

Khazarie carte

100800 après J.-C. : Les Khazars se sont développés au sein d’une nation gouvernée par un roi malfaisant, pratiquant la magie noire et secondé en sa cour par des oligarques occultistes. À cette époque les Khazars étaient connus par les peuples environnants comme criminels, assassins et pillards, pratiquant le meurtre comme mode vie et occupation journalière normale.

800 après J.-C. : Un ultimatum leur est donné par la Russie et d’autres contrés environnantes : les chefs des nations environnantes, au premier rang desquelles la Russie, ayant eu depuis tant d’années des plaintes de la part de leurs ressortissants, donnèrent un ultimatum au roi khazar. Ils envoyèrent un communiqué au roi, l’assignant à choisir l’une des trois religions du Livre pour son peuple en en faisant la religion officielle afin de socialiser le enfants dans la pratique de cette foi.
Il fut donc donné au roi le choix entre l’islam, le christianisme et le judaïsme.

Le roi choisit le judaïsme

Il promit alors de s’en tenir aux assignations de la confédération de peuples menée par le tsar (descendant des César de Rome) de Russie. Malgré les promesses de s’en tenir là, le roi khazar et son cercle rapproché d’oligarques continuèrent à pratiquer l’ancienne magie noire babylonienne connue aussi sous le nom d’occultisme satanique. Celui-ci implique des cérémonies occultes reposant sur le sacrifice rituel d’enfants par égorgement, puis d’actes de cannibalisme en buvant le sang et en dévorant le cœur de l’enfant égorgé.

Le secret profond de ces cérémonies occultes est le fait qu’elles étaient toutes basées sur l’ancienne religion de Baal et le sont toujours aujourd’hui.
Dans le but de tromper la surveillance de la confédération de nations menée par la Russie, le roi khazar se mit à mêler ces pratiques de magie noire luciférienne avec celles du judaïsme, créant ainsi une religion satanique hybride connue sous le nom de talmudisme babylonien qui devint la religion nationale des Khazars tout en continuant à nourrir le même pouvoir de malfaisance qu’auparavant !

Hélas, les Khazars continuèrent dans leur même façon de nuire, volant et assassinant les voyageurs égarés en pays khazar…

Les bandits khazars s’efforçaient souvent de dissimuler leur identité après avoir perpétré leurs méfaits sur ces malheureux visiteurs et devinrent maîtres dans l’art des déguisements et des fausses identités, une pratique qu’ils poursuivent encore de nos jours, de même que celles de leurs sacrifices d’enfants et cérémonies occultes, qui ne sont autres que celles de l’ancienne confrérie de Baal.

Vers 1200 : La Russie et les nations environnantes en eurent assez et décidèrent d’agir…
Àcette époque la Russie à la tête des nations voisines de la Khazarie envahirent celle-ci pour arrêter les crimes des Khazars contre leurs ressortissants, ce qui incluaient des enlèvements d’enfants et de bébés en vue de leurs sacrifices sanglants à Baal.

Ces “élites” khazares avaient un réseau d’espions très développé qui les prévint du danger. Aussi s’enfuirent-ils de Khazarie vers les nations de l’ouest de l’Europe, emmenant avec eux leur immense fortune en or et en argent. Ils se regroupèrent de façon discrète sous de nouvelles identités. En secret, ils poursuivirent leur pratique des sacrifices rituels sanglants de meurtres d’enfants, confiants dans la promesse de Baal de leur donner le monde entier et ses richesses sous réserve qu’ils poursuivent ces sanglants sacrifices en son honneur. Le roi khazar ainsi que son cercle rapproché de criminels se firent depuis lors une réputation de mafia auprès des nations voisines. Ils se mirent alors à ourdir un projet souterrain de revanche contre les Russes et les nations qui, en envahissant la Khazarie, les avaient chassés du pouvoir et de leur territoire.

Cette mafia khazare décida d’envahir l’Angleterre.

Pour accomplir ce plan, ils recoururent aux services d’Oliver Cromwell en vue de l’assassinat du roi Charles 1er et firent de l’Angleterre une terre où ils purent prospérer à nouveau. Ce fut le début de la guerre civile en Angleterre qui fit rage une dizaine d’années et se solda par l’assassinat de toute la famille royale ainsi que des centaines de personnes appartenant à l’aristocratie anglaise originelle.

C’est ainsi que la City de Londres fut établie comme la capitale bancaire de l’Europe et fut à l’origine de l’essor de l’Empire britannique.

David Ickes fut le premier à exposer courageusement en pleine lumière la mafia Rothschild. Ceci fit de lui un héros international et nous aurions besoin d’autres personnes de cette trempe pour briser une bonne fois cette zone d’ombre entourant la mafia khazare et mettre ainsi fin à leur illégitime hégémonie mondiale.

La mafia khazare décida d’infiltrer et de détourner toutes les banques au niveau mondial en utilisant la magie noire babylonienne, aussi connue sous le nom de “système magique pour faire de l’argent” babylonien ou encore l’art secret de fabriquer de l’argent à partir de rien associé au pouvoir de l’usure qui additionne sans fin les intérêts…
La mafia khazare utilisa donc son immense fortune pour favoriser ce nouveau système de leur invention et créateur magique d’argent qu’ils prétendirent inspiré par les esprits de Baal en échange de leurs sacrifices sanglants en son honneur.

Ce système babylonien “d’argent magique” supposait la substitution de l’or ou de l’argent déposés contre des certificats de “papier-crédit” qui permettait aux commerçants de voyager avec leur argent sous une forme qui autorisait le remplacement aisé en cas de perte ou de vol…
Il est intéressant de constater au passage comment le problème (de la dangerosité des voyages en Khazarie de par le fait de leurs razzias et meurtres) recevait sa solution grâce à eux 

Finalement le roi khazar et sa petite cour infiltrèrent l’Allemagne grâce à un groupe du nom allemand de “Bauer” pour les représenter et étendre leur fabuleux et maléfique “Baal-powered” système…
Ces Bauer, habitant à “l’Enseigne Rouge” (ce qui représentait fort bien en effet leur charmante activité secrète d’égorgement d’enfants), changèrent donc tout naturellement leur nom en Rothschild (rot-schild : enseigne rouge en allemand).

Ces Rothschild, hommes de paille de la mafia khazare, poursuivirent le travail d’infiltration et de détournement du système bancaire anglais et ensuite de toute la nation anglaise.
Ce Bauer/Rothschild eut cinq fils qui infiltrèrent à leur tour toutes les places bancaires en Europe y compris le système bancaire anglais, sous le couvert de puissantes opérations, y compris le fameux faux rapport de la victoire de Napoléon sur les Anglais alors qu’il était perdant. Ce coup de “génie” permit par la fraude et la tromperie l’appropriation par les Rothschild des richesses de la noblesse anglaise et propriétaires terriens qui avaient fait des accord d’investissement avec les institutions de la City de Londres.

Les Rothschild créèrent ainsi un système bancaire privé basé sur la monnaie-papier, spécialisé dans la création monétaire à partir du néant et additionnant au passage une usure pernicieuse sur le dos du peuple anglais et avec son propre argent ! Ils confiaient aux “insiders” que cette magie noire du pouvoir par la monnaie leur venait directement de Baal grâce à leurs fréquentes mises à mort sanglantes de petits enfants. Une fois qu’ils eurent infiltré et détourné le système bancaire anglais, ils interférèrent avec la couronne britannique et ses principales institutions dans toute l’Angleterre…

Certains experts pensent que les Rothschild éliminèrent peu à peu les membres de la famille royale d’Angleterre en organisant des unions avec des représentants de leur propre lignée khazare afin de faire accéder au trône leurs propres comparses.
D’une manière générale, la mafia khazare mena un effort international pour éradiquer les rois légitimes de droit divin. De par le fait-même que la mafia khazare prétend avoir un partenariat avec Baal (alias Satan, alias Lucifer), de par les sacrifices dont ils l’honorent, ils détestent tous les souverains régnant sous l’autorité de Dieu tout puissant car la plupart d’entre eux se sentent responsables de leurs sujets et conscients de leur rôle de protection contre des tentatives de traitrises ou d’infiltration d’ennemis se tenant à leurs portes.

À partir des années 1600, la mafia khazare suprima donc les autorités royales légitimes anglaises pour leur substituer des “infiltrés”.

Dans les années 1700, ils s’en prirent ensuite à la famille régnante de France en fomentant la révolution française.

Juste avant la première guerre mondiale, ils firent assassiner l’archiduc autrichien François-Ferdinand, dans le but, justement de déclencher cette guerre. Ce qui fonctionna à merveille.

En 1917, ils créèrent l’armée de la mafia khazare, alias les bolchéviques, et infiltrèrent et détournèrent la Russie, assassinèrent le tsar Nikola II et sa famille de sang froid, trucidant leur fille préférée à coups de baïonnette dans la poitrine, puis dérobèrent tout l’or, l’argent et les trésors fabuleux des œuvres d’art que la Russie possédait alors.
Juste avant la seconde guerre mondiale, ils se débarrassèrent des lignées royales autrichienne et allemande.
Ce fut ensuite le tour des lignées impériales de la Chine et du Japon.

Cette mafia khazare a une haine intense pour quiconque professe une quelconque foi en un quelconque Dieu, si ce n’est le leur propre, Baal/Satan qui leur donna pour mission de massacrer tout roi et toute royauté, et de bien s’assurer que ceux-ci ne pourraient plus jamais régner. Ils ont fait exactement la même chose avec les présidents américains, organisant des opérations secrètes et sophistiquées afin de les chasser du pouvoir.
Si cela ne fonctionne pas, la mafia khazare les assassine tout simplement, comme par exemple Mac Kinley, Lincoln, Kennedy. Elle entend éliminer quiconque pourraient rétablir des lois fortes ou être élu et oser résister à leur système de magie noire financière et à leur pouvoir souterrain rendu possible par leurs réseaux basés sur la compromission d’humains corrompus.

Les Rothschild financèrent les trafics de narcotiques internationaux sur ordre de la mafia khazare. Ils dirigèrent ensuite dans l’ombre l’empire britannique et élaborèrent un plan pour récupérer l’énorme quantité d’or et d’argent que les Britanniques ont payée à la Chine pour ses épices et soieries.

Les Rothschild, ayant découvert l’existence de l’opium turc et de son caractère fortement addictif, organisèrent un trafic pour le vendre à la Chine, infectant des millions de malheureux avec une dépendance mortelle au poison qui apportait dans le même temps des monceaux d’or et d’argent.
L’addiction à l’opium créée par les Rothschild en Chine infligea tant de mal à celle-ci que la Chine en vint à la guerre par deux occasions pour mettre un arrêt à cet empoisonnement. Ces guerres sont connues sous le nom de révolte des Boxers ou encore de Guerre de l’opium. L’argent que gagnèrent les Rothschild avec l’opium était si énorme qu’ils devinrent complètement addicts à cet argent facile, plus encore que les opiomanes de leur opium !

Les Rothschild furent la source de financement qui permit l’établissement des colonies américaines. Ils incorporèrent la “Hudson Bay Company” ainsi que d’autres compagnies commerciales afin d’exploiter les richesses de ce Nouveau-Monde. Qu’importe si l’exploitation de ces vastes ressources du continent passait par le génocide des peuples indigènes d’Amérique du Nord.

Hudson Bay Company

Les Rothschild suivirent également le même “schéma d’affaire” aux Caraïbes et dans le sous-contnent indien, occasionnant la mort de millions d’indigènes.

Les Rothschild tirèrent également profit du commerce des esclaves.

Ce commerce s’appuie sur la corruption des chefs africains qui revendent comme du bétail des membres kidnappés de tribus ennemies. Notons au passage que les mafieux khazars voudraient bien généraliser ce mode de fonctionnement à l’ensemble des populations du monde qui ne font pas partie de leur cercle maléfique.
Les marchands d’esclaves transportaient ensuite par bateau ces esclaves kidnappés vers l’Amérique et les Caraïbes où ils étaient revendus.

Les banquiers Rothschild apprirent également très tôt que les guerres étaient d’excellents moyens d’accroître leur fortune.

Ils mirent à profit cette expression « Pile je gagne, face tu perds » et finançaient les deux camps des belligérants. Il est à noter que la mafia bancaire khazare des Rothschild entretient une éternelle revanche contre les colonies américaines ainsi que contre la Russie qui aida celles-ci et leur fit perdre cette guerre.
En effet, lorsqu’ils perdirent cette guerre de la révolution américaine, les Rothschild en imputèrent la cause à la Russie — encore elle ! — qui avait bloqué les bateaux de la marine anglaise. Ils vouèrent alors une revanche éternelle contre les colons américains, exactement de la même façon qu’à l’encontre de la Russie qui écrasa la Khazarie 7 siècles plus tôt.

Les Rothschild et l’oligarchie anglaise qui les entoure n’ont eu de cesse depuis lors de trouver tous les moyens possible pour reprendre l’Amérique et la Russie et cela devint même leur principale obsession.

C’est pourquoi ils promurent la FED en déployant une fois de plus leur système babylonien qui s’appuie sur la création de fausse monnaie. La mafia khazare essaya donc en 1812 de reprendre le contrôle de l’Amérique du Nord et échoua une fois de plus à cause d’une nouvelle interférence Russe. Ce nouvel échec enragea la mafia khazare qui, une nouvelle fois, se mit à planifier une éternelle revanche à la fois contre les Russes et les colonies américaines. Ce qu’ils firent en infiltrant et détournant ces deux nations, leurs richesses ainsi qu’ en tyrannisant et massacrant au besoin leurs populations.

La tentative de cette même mafia de créer une banque centrale privée américaine fut stoppé par le président Andrew Jackson qui les traita de satanistes et voulut les faire déguerpir avec l’aide et la Grâce de Dieu. Les banksters Rothschild se coalisèrent et poursuivirent néanmoins opiniatrement leurs manœuvres dans l’ombre afin d’installer leur système monétaire sur le sol Américain.

Finalement en 1913, elle parvint à établir une importante tête de pont au cœur de l’Amérique. C’est en 1913 que la mafia khazare établit sa base grâce à la corruption et à la traitrise de membres du Congrès : le “Federal Reserve Act” fut passé en toute illégalité et contre la Constitution la veille de Noël et sans même le quorum requis. L’acte fut donc signé par un président américain corrompu, traitre à l’Amérique tout comme les membres du Congrès qui l’avaient élu. La mafia khazare put donc mettre en place un système de taxation tout à fait illégal, de façon à être sûre que le peuple américain paierait pour les titanesques dépenses du “Gouvernement américain”, le tout approuvé par un Congrès acheté et un président fantoche totalement aux ordres de cette machiavélique et ingénieuse communauté.

Il est aisé pour la mafia khazare de fournir autant de monnaie qu’il en faut pour faire élire leurs hommes de paille dès lors que vous contrôlez une “banque” qui n’est autre qu’une fabrique secrète de fausse-monnaie !

Dans le même temps qu’ils établissaient ce système de taxation généralisé, ils mettaient sur pied l””Internal Revenue Service”, leur collecteurs d’impôts privés incorporé à Puerto-Rico.
Peu après encore, ils mirent au point le “Federal Bureau of Investigation” (FBI) afin de protéger tout le système mis en place, de pourvoir à leurs besoins de mener des opérations occultes et surtout d’étouffer les poursuites concernant leurs sacrifices rituels d’enfants et les réseaux pédophiles qui les approvisionnent. Le FBI est aussi un réseau d’espionnage à leur usage propre. Il est à noter que le FBI n’a aucune charte officielle, conformément aux textes du Congrès, donc aucune existence légale, ni droit d’émettre aucun chèque de paiement.

La mafia Rothchild déploya sa “Révolution Bolchévique” en 1917 en Russie

afin de concrétiser sa revanche qui fut d’une sauvagerie sanglante inouïe sur un peuple russe innocent et ce, conformément à ce qu’ils avaient mis au point depuis tant d’années … depuis la destruction de la Khazarie par la Russie.

Alexandre Soljenitsyne

La mafia khazare Rothschild mit en œuvre et pilota la révolution communiste en fournissant des fonds depuis la FED afin de financer l’infiltration bolchévique de la Russie. Les bolchéviques furent donc créés et déployés par la mafia khazare comme l’instrument principal de leur revanche longuement préparée sur la Russie des tsars et sur un peuple russe innocent mais qui avait eut l’audace de briser la Khazarie dans les années 1000. Ce fait peu connu explique l’extrême violence exercée en 1917 sur la Russie : les bolchéviques furent lâchés dans un assaut de furie sanglante, parfaitement planifiée, qui stupéfia alors le monde entier par sa barbarie. Les bolchéviques, suivant les directives de la mafia Rothschild, pillèrent, torturèrent et se livrèrent à d’inimaginables massacres de masse sur environ 100 millions de Russes, y compris des femmes, des enfants, des bébés. Citons Alexandre Soljenitsyne : « Vous devez comprendre que les bolchéviques qui firent le coup d’État de 1917 n’étaient pas des Russes. Ils haïssaient les Russes. Ils haïssaient les Chrétiens. Mus par une haine ethnique revancharde, ils torturèrent et assassinèrent des millions de Russes sans l’ombre d’un remord humain. Jamais cela ne sera assez dit : Les bolchéviques ont accompli le plus grand meurtre de masse de tous les temps. Le fait que la plupart des gens soient ignorants et indifférents devant cet énorme crime est la preuve que les médias mondialistes sont dans la main des perpétrateurs de celui-ci.”

La mafia khazare s’est toujours attachée à infiltrer et détourner le judaïsme.

Ils ont donc mis sur pieds un plan d’action pour contrôler l’ensemble du judaïsme par le contrôle de l’esprit. Ils mâtinèrent donc le judaïsme de talmudisme babylonien tout en prenant le contrôle des banques en général,de Wall Street, du congrès des USA ainsi que des principaux mass-media.

Ainsi, la mafia khazare Rothschild peut distribuer la richesse et le succès à ces Juifs qui ont bu leur elixir magique et les utiliser comme des disjoncteurs ou des Sayanims (agents actifs).
Leur financement de la Knesset en Israël ainsi que son édification grâce à l’architecture des loges maçoniques est au service de leur talmudisme babylonien avec tout le mal qu’il génère partout, y compris des sacrifices occultes d’enfants dédiés à leur dieu secret,Baal.

Ils organisent un système appelé Nouvel Ordre Mondial ou encore Mondial- Sionisme, qui a été inculqué aux Juifs grâce à une illusion paranoïaque de supériorité raciale de leur groupe, allié au fait que tous les Gentils sont supposés avoir des intentions génocidaires à l’égard de ce groupe.
En retirant le rideau, on constate que l’architecture maçonique a été utilisée à l’édification de la Knesset et de la Cour Suprême israëlienne.
Ils ont appelé cette illusion raciale et paranoïaque Juive massive de conquête mondiale, “le Sionisme Mondial”. C’est en réalité une forme de Talmudisme Babylonien ou Luciferianisme qui était inconnu auparavant du courant dominant Juif.

Ce système a donc été conçu pour utiliser les Juifs comme couverture, les doter du pouvoir d’argent babylonien, les utilisant ainsi comme disjoncteurs et plus tard devant eux-mêmes être sacrifiés à Lucifer en deux étapes :

  • La première étape allait être leur Seconde Guerre mondiale, planifiée dans les camps de travail Nazis et aboutissant aux morts d’environ 200,000 Juifs par famine ou maladie, de même que 90,000 non Juifs, selon les chiffres officiels et reconnus des fonctionnaires de La Croix-Rouge. (Ce nombre est de 5 % de ce que la mafia khazare prétend.
  • Le deuxième grand sacrifice en serait le bouquet final, à l’avènement du Nouvel Ordre Mondial lorsque leur “Roi” Luciférien du monde accédera au pouvoir et quand toutes les trois religions d’Abraham seront supprimées : Particulièrement le Judaïsme, qui sera alors accusé pour toutes les guerres et destructions du monde.

À ce moment là la mafia khazare se métamorphosera à nouveau sous une nouvelle identité n’ayant plus rien à voir avec le Sionisme mondialiste …
Il est important de réaliser que la mafia khazare écrasa l’Allemagne avec la première guerre mondiale, créant ainsi un vide propice au fascisme, et ensuite la re-propulsa au premier rang en installant Hitler et le nazisme comme contre-force à leurs bolchéviques russes.

Hitler devint pour la mafia khazare un problème à partir du moment où il se libéra de leur joug et commença à agir pour la défense des intérêts du peuple allemand et des autres peuples libres du monde en développant un système bancaire libéré du système Rothschild.
Hitler initia un système financier libre de l’usure et bénéficiant aux travailleurs.

Ceci nécessitait bien évidemment la destruction complète de l’Allemagne et de son peuple car la mafia khazare de Rothschild ne pouvait en aucun cas permettre la naissance d’un système financier non basé sur l’usure.
Nous voyons la même chose aujourd’hui avec la guerre Khazare contre l’Islam puisque l’Islam ne permet pas l’usure. C’est la raison des vociférations agressives d’Israël demandant la destruction de l’Islam partout dans le monde.

Cette mafia khazare est bien rodée à présent pour mettre sur pieds de façon cachée des attentats sous faux drapeaux comme moyen courant d’utiliser les Américains aux déclenchement de guerres en leur faveur !
Après la seconde guerre mondiale, la mafia khazare déploya la guerre froide et à cet occasion importa des scientifiques Nazis expert en contrôle de l’esprit vers les USA : Ce fut l’opération Paperclip. Ceci leur permit de mettre sur pied le plus grand réseau d’espionage qui excède de loin tout ce qu’ils avaient déjà réalisé.

Sous ce nouveau système, ils continuent d’infiltrer et de détourner toutes les institutions américaines,y compris, les différentes Eglises, les loges maçoniques, bien sûr, surtout celles de rite “écossais” et “d’York”, l’armée US, le renseignement US, et la plupart des instituts privés liés à la défense, la Justice US y compris la plupart des gouvernements des Etats,et bien sûr, la plupart des partis politiques.
La mafia khazare prend les camps de travail Nazis comme pretexte pour manipuler les Alliés qui leur “devront” leurs propres colonies en Palestine grâce aux terres volées aux Palestiniens.
Ils sont ainsi fondés à utiliser leur soi-disant “Holocauste”shoatique comme gachette du contrôle de l’esprit contre toutes intimidations ou critiques à l’égard de leur voie sioniste.

Lorsque la mafia khazare obtint sa propre terre privée en Israël en 1947 grâce à ses manipulations politiques occultes, ils commencèrent à percevoir toute la Palestine comme leur nouvelle Khazaria et se mirent à comploter pour génocider tous les Palestiniens afin de s’octroyer la totalité de la Palestine. Leur Plan est le “Grand Israël” (Eretz Israël) s’étendant sur tout le Moyen-Orient et dans ce but ils manipulent ces Goyims Américains stupides afin qu’ils combattent sur commande pour la conquête des terres arabes et de leurs richesses, surtout celle du pétrole.
De récentes études menées par un doctorant juif respecté dans le cadre des recherches génétiques de John Hopkins a montré que 97.5 % des juifs vivant en Israël n’ont strictement aucun ADN hébreux et par conséquent ne sont pas Sémites et n’ont aucun sang lié à la terre de Palestine. En revanche, 80% des Palestiniens sont porteurs d’ADN hébreux et sont donc bien des Sémites liés par le sang à la terre de Palestine.

Ce qui signifie que les véritables anti-sémites ne sont autres que les Israéliens qui volent les terres Palestiniennes afin d’agrandir sans cesse leurs colonies !

Actuellement la mafia khazare décide de se métamorphoser encore et d’étendre ses rangs :
Se rendant compte qu’ils ne peuvent plus rester cachés aux yeux du public, ils travaillent dur en ce moment à encore infiltrer davantage en profondeur la franc-maçonnerie et ses ramifications secrètes, en y plaçant des membres très haut placés dans leurs réseaux pédophiles pratiquant les rituels de sacrifices d’enfants.

Ainsi, des membres haut-placés du Congrès sont intronisés dans leurs cercles sataniques leur donnant ainsi un pouvoir spécial, des récompenses financières et un très haut statut dans “leur hierarchie”.
Il s’ensuit un front massif d’espionnage usant de citoyens à double nationalité (US/israëlienne, mais Israëlienne first !), et plaçant dans les hautes sphères US des disjoncteurs nécessaires à péréniser le système de fausse monnaie de la Fed et les élections sous contrôle.

AIPAC :

La mafia Khazare a donc décidé d‘alourdir le “Mind-Control”, le contrôle de l’esprit des masses américaines afin de mieux les manipuler à approuver leurs guerres illégales, inconstitutionnelles, non-déclarée officiellement, non réellement provoquées, ingagnables mais, et tout est là, perpetuelles,dans le but d’un contrôle mondial encore accru et de prévision de gains titanesques.

(Comme en France, je souligne…), cette mafia a décidé de prendre totalement le contrôle sur l’ensemble de l’Éducation nationale en créant un enseignement mondialiste, d’orientation socialiste/collectiviste, basé sur le “politiquement correct”, l’acceptation de la “diversité” (ethnique)et de la décadence comme norme sociale (perversions diverses reconnues comme normales, “mariage gay”,inversion des valeurs, “gender”, etc.)

Fabius, Hollande les parrains du terrorisme satanique
Les seconds couteaux

Le fluor est rajouté aux réseaux d’eau potable des villes, aux pâtes dentifrices et les dentistes subissent un lavage de cerveau pour les persuader que le fluor c’est la prévention des caries … et qu’il n’est aucunement dangereux du tout pour les fonctions cérébrales ni pour la fonction thyroïdienne, ce qu’il est hélas en réalité…
L’addition du fluor aux réseaux d’eau potable et aux dentifrices a pour but en réalité de débiliter les facultés cérébrales moyennes des Américains, d’abaisser leur QI et de rendre les gens beaucoup plus dociles qu’ils ne le seraient sans cela .

Les médecins ont été induits en erreur par une recherche scientifique totalement biaisée depuis longtemps et donc secrètement contrôlés, volontairement tenus dans l’ignorance de tout côté négatif des études réalisées. Ceci comprend bien entendu les vaccins, généralement contaminés par des serums animaux douteux ainsi que de l’aluminium, entre autres …

Le pouvoir de l’argent a pris le contrôle depuis longtemps sur toute l’école de la médecine dite allopathique au travers de ses différents instituts et officines afin de s’assurer que leur agenda de duperie et de mensonges criminels mais juteux soit consciencieusement poursuivi.
Une partie de ce plan monumental de lavage de cerveaux et d’abêtissement du peuple américain a été l’action de la mafia khazare achetant et concentrant toujours plus les media jusqu’à aboutir à la situation actuelle où l’on a plus que six media parfaitement contrôlés (Controlled Major Mass Media). Ce CMMM fonctionne comme un cartel illégal de journaux qui devrait être dissout par le fait de la loi antitrust et condamné pour propagande de guerre contre le peuple américain.

Les chefs de la mafia khazare ont décidé qu’il était temps d’utiliser l’Amérique pour finaliser leur coup d’état planétaire ultime et leur occupation définitive du monde en créant une opération majeure sous faux drapeau au coeur même de l’Amérique. Ce qui permet de mettre le blâme sur l’Islam et de légitimer l’attaque de l’Amérique contre le monde musulman.

Ainsi ont-ils utilisé leur top-agents doubles Israëlo-Américain vivant en Amérique (top PNAC et top néo-cons) pour planifier une attaque nucléaire majeure le 11 Septembre 2001.
Bibi Netanyahu, la tête opérationnelle de la mafia khazare, déploya le Mossad et son réseau d’agents doubles pour organiser et réaliser cette attaque sur l’Amérique et la mettre sur le dos de l’Islam grâce au travail diligent des medias sous contrôle.
Ils informèrent donc leurs top rabins et amis du sionisme mondial de ne pas prendre l’avion ce jour-ci et de rester en dehors de New York, comme le fit par exemple “Larry Silverfisch” l’un des principaux initiateurs de l’opération.

Ils ont utilisé leur “disjoncteur” principal dans le département de la Défense pour entrainer les enquêteurs potentiellement dangereux du Pentagone dans la salle de réunion de l’Intel Navale, où ils seraient assassinés par un missile de croisière Tomahawk tiré d’un sous-marin israélien de classe Dauphin acheté à l’Allemagne.(re-qualifié “d’avion” sans qu’aucune pièces d’avion n’aient été pourtant retrouvées.)
Trente-cinq des enquêteurs potentiellement dangereux pour la mafia khazare et qui suivaient la piste des 350 têtes nucléaires Davy Crockett W‑54 déclassées et volées dans les fosses nucléaires de la base de Pantex au Texas, ont été assassinés par ce Tomahawk, dont le tir a été synchronisé avec la détonation de bombes pré-installées dans l’aile de l’Intel Navale qui avait été pourtant nouvellement consolidée.

La société écran du mossad israélien, “Urban Moving System” a été utilisée pour le transport des mini bombes nucléaires (provenant du vol des têtes de W‑54 des fosses nucléaires de Pantex et fabriquées à l’usine d’Hanford), puis ont été stockées dans l’Ambassade israélienne à New York et transportées aux tours jumelles pour “l’attentat” du 11 Septembre 2001.
Baal ou bien Moloch ou encore Lucifer ou Satan est bien cet “esprit” désireux de la mort et de la souffrance de tous les humains.

Granit FONDU sous les tours après le 11 septembre.
D’où provient une telle chaleur capable de faire fondre du granit ?

Pour son service, il récompense ceux qui lui donnent leur âme dispensant richesse incroyable, gloire et pouvoir…
C’est le contrat scellé par le sang et connu depuis toujours comme la vente de son âme.
L’agenda secret effroyable et la synthèse historique de cette mafia khazare sont maintenant révélés publiquement pour la toute première fois en Amérique par l’organe en ligne “Veterans Today” de Gordon Duff, ancien militaire.

Nous savons donc maintenant avec certitude que Bibi Netanyahu a exécuté l’attaque nucléaire sur l’Amérique le 11 septembre 2001 dans le cadre de cet agenda précis.
Accrochez-vous à votre chaise : ceci est le très grand secret et rend plus clair en effet tout ce qui se passe en Amérique, causé par Israël et sa Mafia ayant infiltré presque toutes les institutions du Gouvernement US et la société elle-même.

J’ai entendu beaucoup de secrets d’initiés choquant au fil des ans mais celui-ci est vraiment la cerise sur le gâteau et explique exactement ce qu’Israël et ses valets en Amérique nous ont fait pour le compte de leur maitre Rothschild !
Ils ont dévasté presque tous les aspects de nos vies, créant une économie de la pauvreté, beaucoup de chômage et de sous-emploi, générant le crime massif, l’alcoolisme et la drogue, détruit l’école qui nivelle par le bas les enfants, produit des programmes d’eugénisme comme le fluor dans l’eau et le mercure dans les vaccins, d’énormes fraudes, ainsi que la corruption politique effrénée !

Cet entretien de “Veteran Today” envoie à présent des ondes de choc dans le monde entier et quand vous considérez le contenu que Gordon Duff a divulgué pour la première fois ici publiquement, beaucoup risquent d’être choqués tant nous sommes loin de la version officielle !
Dans cet entretien Gordon Duff divulgue une transcription écrite de ce qui a été dit à une réunion entre Bibi Netanyahu et un traître américain ainsi que quelques autres espions en 1990.

Gordon Duff a divulgué que Netanyahu était un espion du KGB comme Jonathan Pollard. Et nous savons de plus maintenant qu’Israël a commencé comme un satellite des Bolcheviks de Russie . Ils étaient très malheureux quand l’Union soviétique est tombée.
Lors d’une réunion au bar de Finks à Jérusalem, célèbre rendez-vous des agents du Mossad, voici ce qu’a dit Benjamin Netanyahu repris directement de la transcription de l’enregistrement avec témoins et 100 % authentifié :

« Ce que vous faites n’a pas trop d’importance… Si nous sommes attrapés, ils nous remplaceront juste avec des personnes du même tonneau.

l’Amérique est un Veau D’or et nous le sucerons jusqu’à la moelle, le couperons et le vendrons morceau par morceau jusqu’à ce qu’il n’y ai plus rien que le plus grand État-providence du monde que nous créerons et contrôlerons.

Pourquoi ?

Parce que c’est la volonté de Dieu et que l’Amérique est assez grosse pour encaisser les coups, donc nous pouvons y taper, encore et encore !
C’est ce que nous faisons aux pays que nous détestons. Nous les détruisons très lentement et les faisons souffrir s’ils refusent d’être nos esclaves. »

Ceci est exactement ce que la mafia khazare Rothschild infiltrée depuis 1913 a fait en Amérique avec grand succès !

La connaissance de ce que Bibi a dit là devrait nous rendre tous furieux et motivés pour foutre ces créatures infernales hors d’Amérique afin de restaurer notre grande république !
Quand Bibi Netanyahu mentionne la volonté de Dieu, il se référait à Baal, aussi connu d’eux comme le Grand Hibou ou Moloch et qui exige être adoré par des bains de sang, des sacrifice humain douloureux et des tueries de masse.

S’ils “vendent leurs âmes” à Baal (c’est-à-dire à Lucifer ou Satan), ils seront récompensés par une incroyable richesse, la gloire et le super Pouvoir.

Le culte de Moloch-Baal

Ce qui arrive en réalité est que leurs âmes leurs sont en effet comme arrachées, ils deviennent inhumains, prennent les caractéristiques de Baal, et deviennent de plus en plus psychopathes et effroyablement mauvais.
Ce dont Bibi Netanyahu discutait au Finks était l’attaque nucléaire prochaine sur l’Amérique le 11 septembre 2001, et quand il a mentionné “ils” nous remplaceront juste, il se référait au “Cercle supérieur des Douze”, ce groupe dont Stew Webb a divulgué sur Veteran Today le nom de onze d’entre eux, qui s’appellent eux-même “Illuminati” ou “les Disciples de Satan.” Ces hommes font des sacrifices d’enfants à Denver deux fois par an, mangent les coeurs d’enfants, boivent leur sang après les avoir violés et égorgés.

Mes amis, nous devons révéler ces informations à tout le monde, nous unir et pourchasser ces pourritures de diciples de Baal jusque dans les moindres recoins et les traduire en justice pour leurs effroyables crimes.
Celui qui a compris ce que Bibi Netanyahu pense faire au Veau d’Or américain en le découpant en rondelles devrait être en colère et poussé à l’organisation de communautés conscientes et à l’action politique contre toute activité israélienne à l’intérieur de l’Amérique que ce soit par le Système de la Réserve fédérale, l’AIPAC, le JINSA, le Conseil de Politique de Défense, le CFR et les autres du même genre.

La mafia Khazare a caché 25 bombes atomiques dans des villes américaines majeures et d’autres grandes villes d’Europe pour faire chanter les gouvernements-“associés”.

Cela a été découvert et mentionné par Seymour Hersh comme leur “Option Samson”:
La mafia khazare a aussi détourné un certain nombre d’ogives S‑19 et S‑20 via un membre corrompu du Congrès US a qui la tâche a été confiée de récupérer des Mirvs ukrainiens pour les déclasser. Au lieu de cela, il les a vendu aux Israéliens et a arrosé d’autres Membres du Congrès corrompus.
Ceci est de la haute trahison et est punissable de la peine capitale.
Juste après leur attaque du 11 septembre sur l’ Amérique, la mafia khazare a annoncé à l’Administration US qu’ils s’apprêtaient éventuellement à faire exploser d’autres bombes dans quelques villes américaines, y compris Washington DC, s’ils refusaient à Israël de créer ses propres forces d’occupation en vue d’un état policier, basée sur le renforcement de toutes les lois américaines sous contrôle israélien.

Cette nouvelle force d’occupation israélienne appelée la “Homeland Security” (DHS) a été initialement créée par ces citoyens doubles et de plus, pervers : L’anciennne directrice de DHS Janet Napolitano est poursuivie en justice pour harcèlement sexuel d’hommes travaillant à DHS, ayant ordonné de déplacer leurs bureaux dans les toilettes hommes…
Le traître et citoyen double Michael Chertoff, (traduit du russe : “le fils du diable” ça ne s’invente pas !), est le cerveau criminel qui a installé DHS, avec l’ancien responsable de la Stasi d’Allemagne de l’Est, Marcus Wolfe, loué comme consultant spécial et mort mystérieusement aussitôt sa mission terminée.

La mafia Kazhare Rothschild ne pensait pas être percée à jour pour leur attaque nucléaire du 11 septembre 2001 mais ils firent une des plus grande erreur tactique de leur histoire en surjouant leur rôle cette fois ci… Ceci étant dû aux trop nombreux succès faciles qu’ils obtinrent dans le passé grâce à leur argent.
Bientôt l’Amérique “mainstream” saura que ce fut Netanyahu et le Likud qui organisa cette attaque sur l’Amérique sur ordre de la mafia Kazhare Rotschild.

Ils pensaient qu’ils avaient le contrôle complet sur tous les media mainstream et pourraient éviter la diffusion des résultats d’analyses de l’IAEA et de Sandia Labs auprès du public américain.
Ils firent donc une sérieuse erreur tactique car à présent la vérité concernant leur rôle dans l’attaque du 9.11.2001 se diffuse actuellement partout sur l’internet, la nouvelle presse de Gütemberg des temps modernes !

Ils n’ont pas compris la puissance d’internet et comment les pépites de vérité qui y sont publiées et répandues résonnent avec les gens partout dans le monde et se répandent comme un incendie à la vitesse de la lumière. La vérité se diffuse à présent partout auprès des masses.
Cette incroyable erreur tactique est si déterminante qu’elle les expose en pleine lumière et va finalement les détruire comme ils le méritent.
L’ordre de Nethanyahu, commanditant l’attaque nucléaire du 11 Septembre 2001 sur l’Amérique, restera dans l’histoire leur plus grande erreur, celle qui aura occasionné leur mise à nu et leur destruction pour laquelle le monde entier se ligue actuellement.

Les Russes ont déja fait fuiter, le dossier de l’IAEA, du laboratoire Sandia et des autres dangers possibles, transmis par Edward Snowden. Bientôt tous ces dossiers seront mis devant les yeux des Américains et du monde entier via internet : Ceci ne peut plus être arrêté.
Un certain nombre de Russes dans le haut commandement militaire et les plus hautes positions de la hierarchie gouvernante réalisent qu’il s’agit de la même cabale de crime organisé qui dirigea les Bolshevicks dans leur génocide de 100 millions de Russes innocents : Ces hommes veulent à présent un “remboursement”…

C’est pourquoi ils veulent s’assurer que les banksters Rothschild soient mis hors d’état d’être en affaire, ce qui coupera la mafia khazare de sa perpétuelle production de monnaie de contrefaçon. C’est la raison de la création de la banque de développement des BRICS : Remplacer le pétrodollar comme monnaie de référence mondiale, mais, à la différence du pétrodollar, cette banque est adossée à l’or, l’argent et autres biens tangibles, ne permettant aucune contrefaçon…
Les media mainstream ne sont plus crédibles et beaucoup d’Américains ne croient plus à leurs histoires, tout spécialement les générations en dessous de la trentaine qui recherchent l’info sur internet et se font ainsi leur propre opinion.

Tant d’utilisateurs d’internet en Amérique rejettent à présent les media mainstream que la vérité au sujet de l’attaque d’Israël du 9.11 est de plus en plus aisée à concevoir. Bientôt tout le mainstream en Amérique saura que l’attaque du 9.11 est due à Bibi Netanyahu, son Mossad et ses doubles-nationaux…

Tout le haut commandement militaire US sait à présent que c’est Netanyahu, le Mossad et ses bi-nationaux qui ont commandité l’attaque nucléaire du 9.11 sous les directives de la mafia khazare.
De multiples opérations sous diverses couvertures sont aujourd’hui déployées mondialement pour exposer et décapiter la mafia Rothschild et sa fabrique de fausse monnaie.

Leurs jours de pouvoir absolu et inhumain sont désormais comptés.Des commandos secrets US surentraînés, appelés “les bouffeurs de serpents nucléaires”, sont à présent à l’œuvre, traquant tout envoi ou valise diplomatique en provenance d’Israël. Ils visitent ou survolent les synagogues, les ambassades et autres lieux liés au Mossad, utilisant une batterie high tech de détecteurs à rayons gamma, ou à neutrons d’helium‑3, de satellites de détection ultra ciblée, afin de localiser et de récupérer tout stockage de têtes nucléaire. Ils travaillent d’arrache-pied à retrouver toutes les têtes nucléaires volées partout dans le monde en dehors d’Israël.
Ces commandos de super-élite furent alertés par un appel téléphonique de Michaël Shrimpton au MI‑6, les prévenant qu’un engin de grande envergure était dissimulé près du stade olympique. L’engin fut donc récupéré par le commando qui débarqua en Angleterre et le mis hors d’état de nuire.

Le MI‑6 avait hélas prévu de faire exploser l’engin afin d’accroitre la main-mise de la mafia khazare en Angleterre, où se trouve leur base au coeur-même du district financier de la City de Londres.
Le nom secret de ces chefs de la mafia khazare de Londres est Gog et Magog, et malgré le fait que beaucoup d’historiens croient qu’il s’agit d’un nom de code pour la Russie,il n’en est rien. C’est bien le nom de code des têtes de la mafia khazare, ce qui,entre parenthèse,semble désigner leur origine historique.

Le super Commando des “Nuclear Snake Eaters” est prêt à tout moment à intervenir en Israël, au cas où cette nation se dissoudrait sous la pression des désinvestissements européens et du retrait des aides US, conformément aux lois des USA : Il est en effet illégal de fournir des aides à une nation qui a la bombe et n’a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire.
Car Israël a bien des têtes nucléaires détectables par satellites munis de sensor à l’helium‑3, mais ne l’a jamais avoué, ni n’a signé aucun traité de non-prolifération.

Nous autres Américains, devont demander que le Congrès et l’Administration obeïssent aux lois et suppriment immédiatement toute aide monétaire ou militaire à Israël, et mettent en état d’arrestation toutes les têtes de l’espionnage Israëlien liées à l’AIPAC, au JINSA, au “Defense Policy Board”, ainsi qu’à toutes les passerelles à NYC, dans l’ADL, etc.
Il est assez peu connu mais probable qu’un nombre significatif de ces ogives nucléaires volées aient été récupérées.

Il a par ailleurs été rapporté par des infos d””insider” qu’un message solennel a été envoyé à Netanyahu et ses Likudistes, ainsi qu’aux hauts degrés de l’espionage israëlien en Amérique.
Quelle était la teneur de ces avertissements ? Ces personnes étaient prévenues que s’il y avait encore une attaque de type “false flag” en provenance des services secrets israëliens, ceux qui en seraient à l’origine seraient poursuivis sous les lois de sécurité nationale américaine et éliminés ainsi que leurs structures de défense qui seraient réduites en poussière.

La suite de l’Histoire de la mafia Khazare dépendra de VOUS ! C’est à dire des lecteurs de “Veteran Todays” et de nous tous, le peuple,en apprenant l’histoire secrète de cette mafia qui fut évidemment soustraite à tous les livres d’Histoire et bibliothèques par eux-même afin de maintenir ces crimes dans le plus grand secret. Aucune personne n’accepterait ces abominations si elles étaient révélées au grand jour !

Ainsi,de grâce, partagez ces données avec votre famille, votre entourage, vos collègues de travail et rendez les virales. Soyons très clair sur ce point : Si ce groupe ne peut agir dans cette ombre abjecte qu’ils affectionnent, ils seront attaquésde toutes part et détruits de façon certaine.
Ainsi reproduisez autant que faire se peut cette Histoire occultée afin que chacun en soit enfin informé.

C’est bien pour cette raison qu’ils ont travaillé si dur afin de contrôler tous les media mainstream ainsi que l’éducation et l’université,et faire en sorte, qu’aucun humain ne connaisse jamais leur secret maléfique.
Si celui-ci venait à être percé à jour, il liguerait assurément l’ensemble de l’humanité contre eux et à tous les niveaux où ils se sont incrustés.
La grande question qui reste posée : D’où leur vient cette sauvagerie et cet esprit de destruction exceptionnel envers les humains ? Certains pensent qu’il s’agit d’une culture toxique liée à une structure tribale maligne perpétuant la pédophilie, les crimes rituels d’enfants, etc… Celle-ci serait également caractérisée par l’illusion paranoïaque folle d’être un groupe d’essence supérieure. D’autres pensent qu’il s’agit des descendant de Caïn, d’essence diabolique et totalement dépourvue d’âme ou d’humaine conscience, mais sont de purs prédateurs, des bêtes sauvages… Incroyablement doubles, ils seraient doués à la fois pour monter des escroqueries inouïes en même temps que des dehors avenants…
Peut-être ya-t-il les deux facteurs.

Dans tous les cas, il est temps d’exposer cette plaie en pleine lumière, certainement la plus grande que l’humanité n’ai jamais connue. Il est temps pour le monde de travailler de concert pour éradiquer ce problème maintenant et à jamais. Par tous les moyens possibles.”

Mike Harris


Mike Harris est éditeur de “Veterans Todays”, animateur radio, ayant cotoyé le monde de la finance, candidat aux élections sénatoriales pour l’Arizona,
vice-président senior du “Adamus Defense Group” en Suisse.
Mike est expert d’arts martiaux full contact. Son expérience de longue date lui a valu le surnom de Iron-Mike.

Mike était partie prenante du groupe “Veterans Today” à la conférence de Damas sur le sujet : “Combattre le terrorisme et l’extrêmisme religieux”.
Il donna à cette occasion vingt-cinq entretiens télévisés qui furent diffusés à des millions de téléspectateurs en Syrie, Iraq, Liban et en Iran.
Dans ces interviews, Mike ainsi que Gordon Duff, éditeur également et directeur de “Veterans Today” insistaient sur le fait que le véritable problème derrière le terrorisme était en réalité un immense syndicat du crime organisé à l’échelle mondiale.


[Voir aussi : Les Khazares – problèmes et controverses (PDF 221 pages)]