12/08/2022 (2022-08-12)
Alors que les mauvaises nouvelles et les fausses informations s’amoncellent (échecs de la politique des sanctions, de l’injection Covid-19, de la « contre-offensive » de Kiev, le tout non contrebalancé par ladite « maladie » de Poutine, de ses supposés « 80 000 » morts en Ukraine, de la « canicule » — ce nom hygiéniste pour l’été) force est de constater néanmoins que hormis des médecins de renom, quelques sociologues et intellectuels, il n’y a guère de défections parmi les instances académiques étatiques et privées régissant la vie intellectuelle culturelle et politique de l’Occident à la différence de ce qui s’est passé à l’aube des Révolutions américaines et françaises.
D’où les attaques narquoises des nettoyeurs (les « vérificateurs ») qui ont beau jeu de jouer de l’argument d’autorité tout en établissant des corrélations farfelues entre « complotistes » de tous bords, sur une base réelle cependant, celle de cette dichotomie de plus en plus manifeste entre ceux qui cherchent la vérité (au sens ici criminologique : il y a bel et bien eu crime et non pas seulement celui du « sentiment ») et ceux qui veulent la masquer dans tous les sens du terme désormais.
Aussi n’est-il pas étonnant d’observer que les menteurs, profiteurs, affairistes, scientistes, hygiénistes sont d’un côté et forment la Secte Scientiste-Hygiéniste-Affairiste de type néonazi (manip génétique et génitale, sélection — encore ourdie — par la couleur de peau) ; alors que de l’autre se rassemblent, non sans conflits et difficultés, d’authentiques démocrates au sens fort (au-delà des courants républicanistes et monarchistes), celui du pouvoir du peuple par le peuple pour le peuple, ce que les membres de la Secte (ploutocratique en son sein) nomment désormais « populisme »…
Ainsi parfois la binarité a du bon, car elle permet, à un certain moment crucial, celui de la guerre, de clarifier les positions : en 38 et en 40, il n’y avait pas de position intermédiaire entre Hitler et Churchill, même Staline a dû choisir après 1941. Certes Franco et la Suisse ne l’ont pas fait, le premier pour des raisons idéologiques et stratégiques (la guerre civile a laissé l’Espagne exsangue), la seconde par souci de ne pas imploser en chemin tant elle est formée de trois populations (germaine, italienne et francophone), antagonistes ailleurs. Mais cela n’empêche qu’à un moment donné il faut bien cataloguer, classer, créer des systèmes d’alliance, et même prévenir, rompant en effet avec le principe westphalien, comme aurait dû le faire la France en 1936 en empêchant Hitler de remilitariser la Rhénanie, comme l’a fait l’intervention de la Russie dans le Donbass alors qu’il s’agissait d’un conflit interne à l’Ukraine, mais qui allait devenir sanglant pour les populations russophones, comme enfin l’a fait Churchill en soutenant de Gaulle alors que sa mutinerie était une affaire franco-française. Par contre et en effet, les immiscions de services secrets US et UK (coup contre Mossadegh), français (Ben Barka), belges (Lumumba), mais aussi soviétiques (soutien aux brigades rouges et à l’OLP) et israéliens (ambiguïté contre-productive quant au conflit Hamas/Fatah et cela se voit de plus en plus depuis l’abandon non justifié militairement de Gaza), ces immiscions se retournent souvent contre les initiateurs… Les cas du Tibet et de Taïwan sont à part parce que tout simplement le régime maoïste n’incarne pas la Chine authentique, autant sinon fermer les yeux sur l’intervention soviétique à Berlin-Est à Budapest à Prague et ne pas empêcher la Corée du Nord d’envahir la Corée du Sud : la vision réaliste des relations internationales est nécessairement dynamique et non pas statique et isolationniste…
Et concernant ici notre sujet, l’on voit bien qu’un Mélenchon par exemple, malgré ses positions très « westphaliennes », n’a rien d’un Mirabeau soutenant la « Cause du Peuple », mais plutôt d’un Hoxha (que d’un Tito), appendice en fait de la Secte dont il est l’un des opposants « officiels » juste pour la galerie des Glaces (pour les assoiffés du Pouvoir « whatever it takes“…)
Au niveau académique et institutionnel, rien en effet ne surnage de consistant hormis Mucchielli sur les effets secondaires de la Covid-19 (quoique inopérant sur ses analyses « anti-sécuritaires » tant il ne voit pas le côté politique scissionniste de la délinquance djihadisée encouragée par un système scolaire à bout de souffle). De son côté, l’Institut de France soutient mordicus que l’injection agit au moins sur les formes « graves » (ce qui s’est déjà révélé faux puisque les injectés meurent bien plus que les non injectés), et il n’y en a guère chez les non injectés âgés (du moins lorsqu’ils sont pris à temps ils ne débouchent pas sur du « Covid long »).
Et comme ces institutions ont également la même position de soutien scientiste aux élucubrations sur ledit « réchauffement », elles alimentent également l’alarmisme et le catastrophisme qui mettent de plus en plus sur le dos du climat des proliférations virales dont les origines naturelles sont de plus de plus sujettes à caution tant les recherches légales et illégales sur les « gains de fonction » pullulent, n’évitant pas des fuites et des accidents (in)volontaires.
Nous sommes donc de plus en plus dans un séparatisme académique similaire à celui qui a frappé les académies allemandes et russes lorsque respectivement l’eugénisme et le lyssenkisme ont dominé ces structures, le premier revenant par la bande avec la PMA/GPA, ainsi que le second via les manipulations génétiques. D’où l’idée d’un néo-eugénisme lyssenkiste fer de lance académique de la Secte SHA néonazie prête à faire des expériences génitales et génétiques au nom du “trans” (humanisme) du panhumanisme, réalisant ainsi le projet des partisans déconstructionniste de la “mort de l’homme” en particulier occidental ce bras armé du néo-eugénisme lyssenkiste ossature eschatologique néonazie de la Secte SHA.
Comment secouer cette double prise scientiste-hygiéniste-affairiste, académique et institutionnelle, sinon en créant des contre “académies” au sens grec, ce qui prolifère d’ailleurs dans les structures scolaires “hors contrat” dans des cercles gréco-judéo-chrétiens, des médias de la réinformation objective au sens non pas de dire “la” vérité, mais de faire en sorte que par la diversité des analyses un consensus se dégage peu à peu pour classer “ce qui est” près de la vie et du peuple se séparant de ce qui veut seulement “la mort de l’homme” à commencer par son immunité biologique, sa libre pensée culturelle, pour toucher à son anatomie physio psychosociologique elle-même.
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