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Mais qui est Antoine Béchamp ?

Issu d’une famille modeste, Antoine Béchamp, pharmacien, chimiste, médecin, biologiste fut un savant exceptionnel. Formé comme pharmacien en Roumanie, où il a vécu depuis l’âge de six ans, chez un oncle diplomate, il dut reprendre ses études, non reconnues en France, à son retour.
En 1851 il réussit le concours de l’agrégation à l’école de pharmacie de Strasbourg. Sa thèse a pour sujet : « De l’air atmosphérique considéré sous le point de vue de la physique, de la chimie et de la toxicologie. » (…)

Antoine Béchamp était désintéressé, tenace, travailleur énergique, rigoureux, précis, intransigeant avec lui-même en particulier, ne supportant pas l’injustice ; sans aucun doute, il aimait la Science et avait compris l’importance d’une démarche exemplaire pour avancer en science (voir le chapitre consacré à la démarche scientifique).

Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

« Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l’occasion d’ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.
Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » — l’idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons(…)
Ce que l’on sait moins, c’est que d’autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ». »

Pasteur se dépasteurise !

Ce n’est évidemment pas de Louis Pasteur qu’il s’agit. Même si la légende raconte qu’il confessa son erreur sur son lit de mort (« Claude Bernard avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout »), le faussaire arriviste que la France vénère restera à tout jamais dans l’histoire comme le père de la folle théorie attribuant aux germes un rôle causal dans la genèse des maladies. Ce n’est pas lui, mais l’Institut qui porte son nom qui amorce un tournant scientifique historique ! Depuis janvier dernier, ce centre de recherche prestigieux a une nouvelle directrice générale en la personne de Yasmine Belkaid, brillante immunologiste franco-algérienne de 56 ans qui a fait l’essentiel de sa carrière aux États-Unis. Or cette grande spécialiste du microbiome — elle a notamment découvert sur la peau des souris une bactérie qui favorise la cicatrisation des tissus cutanés — est tout le contraire d’une biophobe obsédée par la lutte contre les microbes au moyen de biocides ou de vaccins.

La science cachée — La cause des maladies n’est pas les germes, mais le terrain

Robert Young et Andy Kaufman discutent de leurs découvertes de la théorie révolutionnaire du terrain d’Antoine Bechamp après qu’il a examiné les cellules au niveau moléculaire et découvert que la maladie et la mauvaise santé découlent d’environnements internes malsains et acides, découvrant des fragments de vie granulaire au-delà des structures cellulaires, nucléaires et d’ADN qu’il a appelées « microzymas » (plus tard ou apparemment par coïncidence appelées historiquement « protits », « somatides », « bions » par d’autres scientifiques, similaires en fait, dit le Dr Andy Kaufman, aux cellules souches) dont des scientifiques comme Gunther Enderlein et Marie Bleker ont découvert qu’elles avaient la capacité de donner vie à des cellules saines ou à des bactéries et levures de différentes sortes dans des environnements acides, qui se forment principalement pour essayer de nettoyer les acides et les toxines, et qui peuvent reprendre la forme de cellules saines après le nettoyage des déchets toxiques dans un environnement alcalin approprié, selon un processus extraordinaire et fascinant jusqu’ici caché à la conscience du plus grand nombre par les « germologues » de la science moderne façonnée par la pharmacie : le pléomorphisme.

Grâce à la présentation détaillée et variée des deux médecins, ce panel sur le terrain offre un tournant dans la compréhension publique de la santé et de la maladie, qui a été détournée jusqu’à présent par les virologues et les fabricants de vaccins qui soutiennent un paradigme malade axé sur le profit et dirigé par Big Pharma, et qui, sous l’égide des prédateurs et des abuseurs de pouvoir à l’OMS et au WEF, ainsi que des gouvernements mondiaux qui leur font des courbettes, s’est immobilisée en s’accrochant à sa valise inacceptable et absurde de Pandémie à jamais.

(Vidéo 1 h 25)

Sauver la planète ?

La conjugaison de la peur de mourir et d’une certaine connaissance des limitations de notre environnement terrestre a conduit un nombre croissant d’êtres humains à se lancer dans une cause idéologique, celle de la sauvegarde de notre planète. Cette cause qui sert parfaitement les mondialistes, comme excellent prétexte pour instaurer leur totalitarisme planétaire avec l’agenda 21 et ses différents corollaires, est largement stimulée par des activistes écologiques et par des scientistes du climat. Abusant de sophismes et d’incohérences manifestes, ces derniers ont fini de facto par créer un nouveau dogme de la religion technoscientiste et humaniste moderne, celui de l’effet de serre climatique. Si leurs motifs peuvent sembler nobles, ils engendrent trop souvent des actions fanatiques et pourraient conduire au suicide de l’Humanité elle-même.

La légende du vaccin

Le mythe des microbes pathogènes, comme responsables des maladies, va prochainement s’effondrer ; personne ne sait à quel moment, mais il est certain qu’on ne peut plus sérieusement continuer à répéter cette erreur et ce mensonge historique, compte tenu de la masse des données qui s’est accumulée sur la question, grâce notamment à la crise artificielle du coronavirus.

Quand la société occidentale va-t-elle comprendre l’imposture de Pasteur et réaliser que les virus ou les bactéries ne sont pas la cause des maladies ? Combien de temps faudra-t-il encore avant que les « croyants » dans le monomorphisme, la « théorie du germe », réalisent l’archaïsme de cette conception des choses et leur ignorance devenue anachronique ?

Selon ce grand scientifique français encore largement méconnu en France, Antoine Béchamp, un bon équilibre du terrain biologique est à la base de la santé. Il put établir par ses travaux la loi du « polymorphisme bactérien », cette connaissance étant actuellement appliquée par les écoles de thérapeutique de pointe qui abandonnent clairement la loi du monomorphisme conçue par Pasteur. Les chocs émotionnels, les carences nutritionnelles, le stress, le manque d’hygiène, les agressions environnementales sont les causes d’un déséquilibre du terrain biologique et c’est cela qui explique la maladie et non pas une attaque kamikaze de micro-organismes parasites se saisissant de cette opportunité pour s’attaquer depuis l’extérieur à une forteresse corporelle défendue par une armée de défenseurs immunitaires entraînés !

Cette vision des choses est dépassée par la réalité de la connaissance scientifique actuelle, mais cette croyance archaïque continue son chemin dans les cerveaux conditionnés par le narratif disant le dogme au service d’un système médical organisé en pouvoir. C’est l’ignorance qui explique l’adhésion conventionnelle à ce dogme désuet d’une médecine totalitaire et en cela obscurantiste, très en retard sur les acquis de la recherche…

Alerte sur le Beyfortus®

Alors que les vaccinations obligatoires pour nos bambins représentent déjà un marathon médical, voici que le gouvernement nous surprend avec une énième injection, que peu de parents ont vu arriver : le Beyfortus®. Depuis le 15 septembre 2023, cette nouvelle « thérapie préventive », présentée comme le meilleur bouclier contre la bronchiolite, est « vivement recommandée » chez tous les nourrissons. En toile de fond : une campagne gouvernementale contre cette inflammation des bronches touchant en priorité les bébés. Lavage des mains, gestes barrières, masques… Derrière ce nouveau cheval de bataille se cache en réalité le cheval de Troie des nouveaux traitements à base d’anticorps monoclonaux.

Le château de cartes de la théorie des germes

Le grand public, dans le présent comme dans le passé, n’est que trop disposé à croire ce qu’on lui dit tant que l’histoire est simple et facile à comprendre. Il se laisse contrôler, croyant en des entités pathogènes invisibles dont il n’a jamais été prouvé scientifiquement qu’elles existaient comme causes de maladies. Il n’est pas disposé à consacrer du temps et des efforts à enquêter pour vérifier si les simples fantasmes de la théorie des germes qu’on lui a vendus sont, en fait, vrais. C’est pourquoi il a été beaucoup trop facile pour le monde entier de s’enfermer sous le faux prétexte d’une « pandémie », alors qu’il n’y avait rien de tel. Il n’y avait même pas l’ombre d’une preuve scientifique de l’existence d’un nouveau « virus » pathogène, et encore moins de la propagation rapide d’une « nouvelle maladie » à travers le monde. Toute personne ayant consacré un peu de son temps et de ses efforts à la recherche et à la compréhension de la situation aurait facilement démasqué l’escroquerie dès le début. Cependant, le grand public, sans vraiment réfléchir à la question, a abandonné sa propre autorité aux conteurs, acceptant volontiers l’histoire sur la base de la propagande de peur fournie par les médias grand public, comme cela a été le cas tout au long du siècle dernier.

Heureusement, tout le monde n’a pas accepté de céder son esprit aux intérêts particuliers qui cherchent à obtenir le pouvoir et le contrôle de l’histoire. De nombreux scientifiques et médecins respectés se sont opposés à la théorie des germes qui a été élaborée à partir des années 1800.

La science-fiction de l’immunité collective et de l’altruisme vaccinal

Beaucoup de personnes ont accepté la vaccination anti-covid pour protéger leurs proches et contribuer à l’immunité collective. Mais qu’entend-on vraiment par « immunité collective » ? Cette expression peut se comprendre comme la somme des immunités individuelles. En réalité, elle désigne une théorie basée sur un modèle mathématique qui prétend mettre en équation le phénomène de la contagion. Ce modèle justifie des obligations vaccinales liberticides au nom d’un « altruisme sociétal »… Comme nous allons le découvrir, la théorie de l’immunité collective, véritable raison d’État, n’a jamais apporté la preuve de sa validité. Par ailleurs, le concept de « contagion » s’avère lui aussi bien fragile ! Finalement, loin de contribuer au contrôle des infections, les vaccinations de masse nous entraînent inexorablement vers la déprogrammation de notre immunité.

Les microzymas, ces particules à la source de la vie

Entrevue avec Brigitte Fau qui s’est plongée dans les travaux d’un médecin, pharmacien, chimiste presque inconnu du grand public : Antoine Béchamp.

Les microzymas sont le sujet central des travaux d’Antoime Béchamp. À l’origine, Béchamp croyait, comme son collègue biologiste Louis Pasteur et comme de nombreux autres scientifiques de la fin du XIXe siècle, que les microbes venaient de l’air et infectaient les corps. Pour valider cette hypothèse, Béchamp a fait une expérience : il a isolé un morceau de viande, le mettant totalement à l’abri de l’air et des « microbes » potentiels de l’air, croyant que la viande resterait intacte. Et là, surprise, le morceau de viande est entré en fermentation. Depuis le cœur de la chair vers la surface. La théorie du germe extérieur venait d’être contredite. Cette expérience a été le point de départ des découvertes colossales de Béchamp sur ce qu’il a appelé les « microzymas ». Pasteur, lui, a persévéré dans l’erreur, en continuant, malgré les résultats incontestables de l’expérience de Béchamp, à croire et à faire croire à la théorie du « microbe ». Cette théorie fausse perdure toujours aujourd’hui, elle figure dans tous les livres de médecine dite moderne.

(vidéo 48 min)

La grande tromperie des vaccins depuis Pasteur l’imposteur, le pire étant le vaccin contre La Polio

Voici contée l’autre histoire des vaccins, la vraie depuis que les vaccins existent et ce n’est pas du tout ce qui a vous a toujours été raconté, sans parler des adjuvants poisons qu’ils contiennent, c’est encore une autre histoire, les belles histoires de Pasteur et autres découvreurs de vaccins miracle est tout autre et c’est même plutôt abominable… en réalité contrairement à ce que tout le monde pense parce que c’est l’histoire qui a toujours été racontée à tout le monde dès la plus tendre enfance, à l’école… et maintenant plus que jamais…

Pour en finir avec les plandémies

La virologie pour les pays en développement… et les fanatiques du virus.

Dr Sam Bailey et les Coronavirus de Reiner Fuellmich.

(Vidéos)

Comment le corona a tué Pasteur

Yves Rasir : « Il y a trois ans, le 29 janvier 2020 exactement, je publiais ma première infolettre sur ce qui ne s’appelait pas encore le covid-19. Dans ce billet, je déplorais déjà la psychose délirante qui allait entraîner, sous prétexte sanitaire, un déferlement totalitaire hallucinant. Dès ce premier édito consacré au Corona Circus (*), j’exprimais cependant ma conviction qu’à toute chose malheur est bon. Le monde allait enfin réaliser que la médecine pasteurienne fait fausse route, que sa théorie du germe ne tient pas debout et que les virus sont innocents des méfaits qu’on leur impute. Trente-six mois plus tard, force est de reconnaître que mon optimisme était quelque peu béat. Même chez les résistants à la mascarade coronavirale et au traquenard vaccinal, il y a une grande majorité de gens qui continuent de penser que les microbes sont la cause des maladies infectieuses et que celles-ci sont incontestablement contagieuses. Ce double mythe introduit par Louis Pasteur au 19e siècle n’en finit plus d’empoisonner les esprits. Ce ne sont pourtant pas les preuves de son inanité qui manquent ! Durant ces trois années, nous avons collecté quantité d’indices indiquant que le virus couronné n’était pour rien dans cette pseudo-pandémie. Le vrai coupable reste à identifier, mais il y a toute une série d’éléments permettant de disculper l’hypothétique sars-cov-2 dans la survenue de grippes légèrement atypiques et de leurs complications pneumopathiques. (…) Pour nous, le corona n’a jamais tué personne, si ce n’est le saint patron de la virophobie et sa fausse théorie. »

Une approche globale du vivant

La théorie d’Antoine Béchamp, basée sur des faits scientifiques, permet de comprendre le vivant dans toute sa globalité. Elle s’oppose à l’approche microbienne de Pasteur.

REVUE DE PRESSE DU 19 JANVIER 2023

Alors que Reuters a jeté l’éponge et ne communique plus sur le nombre de cas de Covid, des journalistes n’hésitent plus à écrire désormais que les masques sont inutiles et dangereux, que les vaccins sont inefficaces et dangereux, que la surmortalité toutes causes pourrait avoir un lien avec les injections, que la natalité s’effondre, que les laboratoires savaient que les injections déclenchaient une toxicité générale, MAIS en France les personnels suspendus le sont toujours, tandis que la justice timidement fait son œuvre, avec un référé suspension qui donne raison à FranceSoir, ou des victimes qui attaquent Pfizer à Marseille.

Et si la biologie moderne avait (presque) tout faux ?

La biologie moderne repose grandement sur la vision de Louis Pasteur à la fin du 19ème siècle, vision qui a encore en 2023 un statut de quasi-religion.

Pourtant, des visions alternatives du vivant permettent de mieux le comprendre et ainsi de mieux appréhender la santé de manière générale. Ainsi, les travaux du chercheur français Antoine Béchamp (1816-1908) et en particulier sa découverte des microzymas pourraient revenir sur le devant de la scène et casser le dogme pasteurien afin de contribuer à une médecine d’avenir réellement scientifique.

Jérémie Mercier reçoit Alain Scohy, médecin et psychothérapeute, habitué des observations de tissus biologiques au microscope à fond noir, et qui livre une interprétation différente du vivant par rapport à celle de la biologie moderne, en s’appuyant sur les découvertes d’Antoine Béchamp.

(Vidéo 1 h 20)

La chance de l’humanité

Nous sommes à l’acmé de cette époque au cours de laquelle toutes les vérités ont été falsifiées, carrément inversées.
Nous y sommes, arrivés au dernier sommet du Kilimandjaro du mensonge travesti en vérité.
Cela ne pouvait marcher qu’en allant de pair avec l’infantilisation extrême de l’être humain, avec son abêtissement progressif qui lui aussi atteint son point culminant.
Des tirs croisés nourris de bêtises habillées en évidences, de culot, d’arrogance, de mépris, de violences, de distractions, de saturations, de paradoxes, de terreur, de mauvaise foi, de corruptions, de paresse, d’inertie, de stimulations incessantes et de bruits constants…

Un nouveau paradigme médical

La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche.

Dis Papy, ça sert à quoi les vaccins depuis 1885 ?

Gérard Mannig, informaticien en retraite et citoyen éveillé, observe et critique depuis longtemps la qualité du niveau des prises en charge sanitaires dans nos pays démocratiques, comme la vaccination, ses gardiens du temple, ses grands argentiers et ses coupables accointances. Où l’on apprendra au passage pour quelles raisons les médecins sont si régulièrement complètement nuls en vaccinologie et pourquoi ils préfèrent « faire confiance dans leurs institutions » ainsi que dans « la grande sagesse de leur Conseil de l’Ordre ».

Un mythe contagieux

Si vous êtes conscient de la nature frauduleuse des tests, des chiffres et du vaccin, mais que vous n’avez pas encore vu la fraude épique et la fabrication derrière l’idée du « virus » (et, en fait, des virus en général), vous manquez une partie cruciale du tableau. Peut-être la partie la plus importante, en fait, car si vous continuez à croire qu’« il y avait un virus » et qu’il était responsable de la mauvaise santé des gens, alors vous êtes, en fin de compte, vulnérable pour tomber dans ce genre de canulars à nouveau.

Démontage de la théorie virale

L’existence des virus de la polio, de la rougeole, du VIH, du CMV, de l’EBV, de l’hépatite C, de l’Ebola, de la grippe, du Zika et maintenant du coronavirus a-t-elle été démontrée et scientifiquement prouvée ?

VIRUS TUEUR ??

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.

La condamnation de l’obligation vaccinale par la Cour suprême indienne

Nous partageons, a priori, avec l’Inde d’être des grandes démocraties. L’Inde est toujours donnée en exemple d’être la plus grande démocratie du monde avec son milliard et demi d’habitants et ses Etats fédérés. Or, la Cour suprême vient de condamner définitivement la vaccination obligatoire. Ses motifs sont simples. L’intégrité physique est protégée et elle est inaliénable. Au passage, les conventions internationales signées par la France nous engagent de même. Aucun individu ne peut être forcé à la vaccination. Les juges indiens prennent à leur compte toutes les conventions internationales signées depuis la guerre pour protéger les personnes des décisions abusives des États ou de médecins se considérant maître de nos corps et de nos destins. L’Inde nous rappelle ainsi que l’autonomie de jugement, la décision personnelle sont au-dessus de toute autre considération. Il n’y a pas de transgression possible à ce droit.

« Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ?

Cette année marque un tournant décisif dans l’histoire humaine. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont maintenant permis de modifier définitivement le génome humain — et de modifier à jamais la relation de l’humanité avec la Nature — au moyen d’une injection pharmaceutique expérimentale qui est faussement appelée « vaccin ».