Violence et maltraitance ordinaire dans une dictature ordinaire. Quand faire du mal aux enfants devient banal et même recommandé par les autorités

06/12/2021 (2021-12-06)

Par Alain Tortosa

Que dites-vous à un enfant qui vous réclame d’aller au restaurant un samedi soir quand vous avez entendu parler d’un établissement qui ne pratiquerait pas l’apartheid ?

Vous y allez…

Et quand vous arrivez et que le parking est plein, vous vous dites que le bouche-à-oreille doit fonctionner, qu’une telle affluence n’est pas le fruit du hasard, surtout quand celui-ci ne paye pas de mine et se trouve en pleine zone industrielle.

Alors si vous avez comme moi des réflexes de « l’ancien monde », naïfs, vous profitez du sourire de vos enfants en vous dirigeant vers l’entrée…

Et c’est là que vous êtes rattrapé par la réalité de l’immonde… Au lieu d’être accueilli par un personnel charmant qui vous souhaite la bienvenue, votre premier contact se produit avec un videur de boîte de nuit.

N’y voyez pas un quelconque effet de style, nous avons littéralement été « accueillis », agressés devrais-je dire, par un individu dont le métier est réellement videur de boîte de nuit.

Point de « bonsoir » avec un sourire, point de « bienvenue au… », point de « vous serez combien » mais une injonction dictatoriale : « Puis-je voir votre passe ? »

Nous entamons alors une petite tentative de dialogue, mais c’est comme espérer le câlin d’un CRS en pleine manif…

N’ayant point prévu d’autotests que de toutes les façons je n’aurais jamais présentés à ce digne héritier de la Gestapo… Nous tentâmes, presque pour le sport, d’expliquer à cet être en directe lignée de Cro-Magnon, ou non plutôt à cet androïde, que le passe-sanitaire était caduc, que les décrets n’avaient pas été reconduits tel que nous l’a brillamment démontré le président de Réaction 19, maître Carlo Brusa.

Disons que c’est un peu comme discuter littérature du 13e siècle (domaine qui m’est totalement inconnu) avec un mollusque amphibien…

Cela m’a fait penser aux romans ou films d’anticipation dans lesquels le héros pose des questions à un androïde programmé pour une seule fonction. Ici la situation était identique…

  • Vous dites au robot « le passe-sanitaire est caduc » et lui de vous répondre « j’ai des ordres de la direction, ne pas laisser entrer de personnes sans passeport valide ».
  • Vous lui dites « il n’y pas de décrets mis à jour », même réponse !
  • Ou vous lui rétorquez que « demander le passe n’est plus légal », même réponse !

La scène se déroulant dans l’indifférence la plus totale de ces « bons » Français déjà attablés ou présentant (avec fierté ?) leur fameux sésame certificat d’appartenance à la « race supérieure des vaccinés ».

Nous eûmes aussi droit à la phrase rituelle (mais aussi fausse heureusement) que nous ne trouverions aucun établissement résistant qui nous accepterait… nostalgie quand tu nous tiens.

Nul doute que ce non-être opérera de même dans une gare pour vous faire monter dans un train en direction de camps, sans le moindre questionnement sur la moralité de son action…

Il nous a juste fait remarquer, pourquoi je l’ignore, que dans les boîtes de nuit il fallait présenter un QR-code ET une carte d’identité afin d’empêcher toute fraude… J’imagine que nous devions nous estimer « chanceux » d’être dans la situation de n’avoir qu’à présenter ledit QR-code sans lui prouver notre identité. Notons que l’individu nous confirmait qu’il n’était qu’un lecteur de code barres et rien d’autre, n’ayant strictement rien à foutre si nous lui présentions celui de notre voisin…

À aucun moment il n’a vu ni regardé dans les yeux, des humains, des compatriotes, une famille ou des enfants dont le seul crime était de vouloir dîner dans un restaurant. Quand bien même je conçois que notre désir était peut-être un peu risqué au regard des vaccinés potentiellement contaminés et contagieux présents dans cette salle…

C’est alors que je me suis reconnecté à cette réalité… toutes ces voitures garées, tous ces clients qui étaient donc injectés (j’imagine assez mal des clients faire un test PCR valable 24 h juste pour aller au restaurant)… En mai 2021 j’écrivais un texte affirmant qu’avant la fin de l’année, 70 % des Français seraient vaccinés… J’aurais tellement voulu avoir tort…

Et à cet instant et devant l’entrée de ce restaurant dans lequel je ne remettrai jamais les pieds, même après la libération, j’ai à nouveau ressenti à quel point ce peuple manipulé adorait sa servitude et qu’il n’en avait que faire de présenter un passeport vaccinal pour des loisirs de la vie courante.

Mais vous, parents, que dites-vous alors à votre enfant dépité et malheureux qui pleure à chaudes larmes dans la voiture ?

  • Que nous allons gagner ?
  • Que nous sommes les gentils ?
  • Que ce n’est qu’un mauvais moment à passer ?
  • Que nous sommes mieux entre nous qu’avec ces cons ?

Qu’est-ce que vous pouvez faire (de plus) pour lui rendre le sourire et lui cacher votre rage ou votre haine de cette Humanité ?

Je fais quoi moi pendant que des « parents » (je suis viscéralement obligé de mettre des guillemets) injectent leurs enfants avec des substances expérimentales dangereuses dans le présent et potentiellement mortelles dans le futur, dans l’unique but de pouvoir continuer à aller au restaurant et leur autoriser des plaisirs instantanés ?

La réponse est assez simple, je fais du mal à mes enfants, je les protège en les faisant souffrir, je les fais pleurer et je les rends tristes ! Vous — parents — qui n’avez pas oublié vos devoirs à la différence de ces âmes perdues et qui avez ce courage de protéger les vôtres, j’imagine que votre souffrance est du même ordre que la mienne.

Quand allons-nous nous unir pour affirmer le NON ? (comme en Guadeloupe par exemple.)
Quand allons-nous dire à cette dictature qu’elle a largement dépassé les limites de l’acceptable ?

Le lendemain j’ai décidé d’apporter un peu de bonheur à mes enfants, notamment pour les consoler de la soirée.

De retour du centre-ville où nous étions allés acheter des gâteaux dans une boulangerie humaine… Nous croisons sur le chemin un « père » avec sa fille d’environ 4 ans qui, de toute évidence, lui dit en nous voyant de mettre son masque, étant donné les « dangereux déviants » que nous représentons.

Et lorsque cette pauvre gamine, innocente et maltraitée pas ce pseudo père nous croise, nous l’entendons lui dire, « dis papa, je peux l’enlever maintenant ? »

Ces mots résonnent encore en moi avec une violence sans nom… Mais quand nous sommes-nous perdus, quand cette humanité est-elle devenue folle au point d’obéir aveuglément à une autorité, sans se poser la moindre question pour se faire sa propre opinion ?!

Je suis conscient que mes enfants sont heureux, mais souffrent… Ils angoissent, non pas de cette grippette qui a la gentillesse d’épargner les enfants, mais de cette dictature qui les empêche de vivre leur innocence.

Je me console comme je peux, eux aux moins ne vivent pas avec des parents tarés qui leur rappelle qu’ils peuvent mourir ou tuer leurs grands-parents si d’aventure ils osaient se comporter en enfants.

Et aujourd’hui rebelote…

  • « Peut-on aller à cette brocante ? » Non, passe-sanitaire !
  • « Peut-on aller au marché de Noël ? » Non, passe-sanitaire dans tous les marchés de la région !
  • « Peut-on aller au village des santons du centre-ville ? » Non, passe-sanitaire !

En revanche, s’entasser par milliers dans ces temples païens de la consommation, serrés comme des sardines et à l’intérieur, aucun souci !

Vous n’imaginez pas le risque que prendraient les enfants dans un marché de Noël en plein air s’il n’y avait pas ce passe de la honte ! Sans oublier, on ne le martèlera jamais assez, que les enfants ne sont pas concernés par ce Covid, information dont les autorités n’ont que faire…

Et vous trouverez systématiquement des membres de la nouvelle Gestapo à l’entrée de ces lieux qui ne font « qu’obéir aux ordres », aucune responsabilité ni légale ni morale…

Et ne commencez pas à dire à ce peuple en état de sujétion que nous vivons en dictature, ne commencez par à lui dire que nous avons non seulement importé le variant Omicron d’Afrique du Sud, mais aussi l’apartheid. Il est d’ailleurs cocasse de voir que ni l’un ni l’autre, du variant ou de l’apartheid, n’y sévissent actuellement…

Ah on les entend ces pourritures de médias aussi débiles que corrompus, mais aussi haineux, répéter au bon peuple que « c’est bien fait pour notre gueule », que nous devons être punis de notre désobéissance, que nous l’avons bien cherché en refusant cette « merveilleuse » vaccination « efficace et altruiste ».

Vaccination qui au demeurant n’empêche absolument pas la contagion, n’empêche pas l’hospitalisation et dont on commence à reconnaître officiellement qu’elle n’empêche pas d’aller en réanimation ou de décéder.

À chaque époque son bouc émissaire, et même si je sais que dans notre « pays des libertés » il est interdit d’écrire ou de prononcer certains mots, je n’ai d’alternative que d’écrire que nous, non-vaccinés, sommes les nouveaux juifs de la dictature !

Alors quoi, on aurait le droit de le crier uniquement lorsque nous serons dans des camps d’extermination ? Vous ne croyez pas que si dans les années 1920 ou 1930 certains avaient ouvert leur gueule pour dire NON on aurait évité les massacres de la 2e guerre mondiale ?

Surtout, continuons à nous taire, continuons à faire confiance au gouvernement et aux médias corrompus, continuons de faire notre troisième dose et présenter un passe, « outil de liberté » pour aller au restaurant !

Ne changeons rien. Celles et ceux qui souffrent aujourd’hui d’effets secondaires à vie suite à l’injection de ces poisons doivent subir une double peine :

  • Il leur est impossible de prendre une nouvelle dose et ils vont donc perdre leur fameux sésame.
  • Ils ne sont pas reconnus comme victimes.

Et ce sans compter les familles qui ont perdu un enfant, qui sont conscientes que c’est causé par l’injection, et dont la culpabilité doit représenter un enfer à chaque seconde.

Et pendant que j’écris ces lignes, pendant que je hurle de ne pouvoir libérer mes enfants de cette dictature, j’allume la Pravda et j’entends le président du Téléthon se réjouir de 78 millions de promesses de dons, probablement par les mêmes naïfs qui étaient hier au restaurant avec leur passe de merde pour s’acheter une bonne conscience. Mais quand allez vous comprendre qu’il faut moins de 24 heures, oui UNE SEULE JOURNÉE à Pfizer pour gagner cette somme en vous injectant leur poison ?

Et que dire de l’indécence de Elon Musk dont la fortune est construite sur la mort d’enfants polluant les sols et extrayant les fameuses terres rares pour faire des « voitures propres » chères à cette gentille Greta ? Ce brave homme serait en discussions avec l’ONU pour un plan à 6 milliards de dollars pour supprimer la faim dans le monde (des données plus sérieuses parleraient de 10 milliards par an pendant 10 ans). 6 milliards représentent ce qu’il gagne en 6 heures !!!!! Savez-vous que la faim dans le monde n’est que le fruit d’une décision réfléchie des puissants de ce monde ?

Bon, j’arrête pour aujourd’hui… mais il va falloir que la dictature arrête de nous pousser à bout, nous parents…

Ceci n’était qu’une journée ordinaire en dictature.

Merci.

Alain Tortosa

5 décembre 2021
https://7milliards.fr/tortosa20211205-journee-ordinaire-dictature.pdf

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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(2 commentaires)

  1. Je partage presque entièrement toute la colère décrite dans ce message sauf que je déplore la désolation de décevoir son enfant pour le restaurant, inaccessible, car je pesnse qu’il serait préférable d’expliquer à cet enfant que la vie c’est autre chose que d’avoir tout ce qui fait plaisir. Il est vrai que je suis une personne de 82 ans et que je n’ai pas les mêmes valeurs d’éducation……

  2. J’ai expliqué tout cela à mes enfants, 15 et 11 ans, que la vraie vie ne se limite pas à consommer frénétiquement et que le conformisme est une arme destructrice.
    Mon grand me rassure, me protège, en me disant : « t’inquiète pas maman, si je veux voir un film, je le trouverai sur mon téléphone, pas besoin de ciné et puis du moment que je peux toujours faire du vélo, tout va bien. »
    Sa soeur, plus jeune, souffre en silence, je le sais, je le ressens.
    Elle aimerait aller à la piscine, emmener ses amis au laser game pour son anniversaire, visiter le marché de Noel juste pour la magie du moment, mais elle se tait, ne réclame rien et masque sa tristesse.
    J’ai envie de hurler, des envies de meurtre aussi, parce qu’en voulant les protéger, je fais du mal à mes enfants, d’une autre manière, c’est tout.
    Que les criminels en puissance et leurs complices serviles : proviseurs, professeurs, éducateurs sportifs… se préparent à fuir, loin, très loin.
    Mais même à l’autre bout du monde, qu’ils sachent bien que des mamans telles que moi les pourchasseront sans relâche afin qu’ils répondent de leurs crimes innommables.
    Merci monsieur Tortosa, je vous remercie souvent de vos écrits car ils me rappellent que toute humanité n’est pas totalement morte.
    Je vous aime mes amours, Léo, Eva, je vous aime et je me battrai pour vous, toute ma vie !

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