25/02/2023 (2023-02-24)
[Source : kla.tv]
L’avocat Philipp Kruse explique, dans une conférence, comment procède l’OMS, financée par des fonds privés et basée à Genève. Celle-ci publie ce qu’on appelle le « Règlement sanitaire international ». Il y est stipulé que « les mesures sanitaires ne sont autorisées que dans le respect des droits de l’homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes. » Or, on s’efforce aujourd’hui de supprimer cette formulation.
[NDLR La vidéo n’est que partielle par rapport à la transcription qui suit]
[Voir aussi :
OMS et Nouvel Ordre Mondial]
« L’OMS et la Suisse — quelle suite ? » C’est sous ce titre qu’une manifestation organisée par Urs Hans de « Public Eye on Science » a eu lieu le 13 janvier 2023 à Turbenthal dans le canton de Zurich. Dans la première conférence, Astrid Stuckelberger, ancienne collaboratrice de l’OMS, a présenté les principales questions fondamentales relatives à la pandémie dite de « Covid ». Ensuite, l’avocat zurichois Philipp Kruse a résumé les événements depuis 2020. Il a remis en question les mesures relevées depuis le début de leur déclaration, par exemple : sur quelles bases la pandémie s’appuie-t-elle ? Quels ont été les effets des mesures prises ?
Kruse se penche ensuite sur l’OMS, une organisation privée dont le siège est à Genève. Celle-ci publie ce qu’on appelle le « Règlement sanitaire international », auquel la plupart des États se sont conformés. Dans sa version actuelle, les mesures ne sont par exemple autorisées que dans le respect des droits de l’homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes. Or il est aujourd’hui envisagé de supprimer, entre autres, cette formulation.
Qu’est-ce qui se cache derrière ces propositions d’amendement ?
Quelles en seraient les conséquences ?
Découvrez dans l’exposé suivant l’analyse de l’expert juridique Philipp Kruse.
Exposé : Philipp Kruse
Bonsoir à tous. Cher Urs, merci beaucoup pour l’invitation, pour l’excellente organisation et merci à tous d’être non seulement venus, mais d’être encore là. Il est déjà 22 h 14, le vendredi 13 janvier 2023.
Urs, tu as dit que je me serais réveillé lorsque Kennedy était venu en Suisse en novembre 2021. C’était bien sûr beaucoup plus tôt, bien avant. Ma première action a eu lieu le 18 juin 2020. Je me suis rendu au Parlement, alors encore improvisé — son installation Expo à Berne — et j’ai remis physiquement aux parlementaires la lettre que je leur avais envoyée en deux exemplaires, également par e-mail. Elle avait été cosignée par des scientifiques et un avocat, mon collègue Heinz Raschein. Ensemble, nous y avions déjà expliqué au Parlement qu’il n’y avait absolument aucune cause, aucune raison à une épidémie. Qu’il n’y avait pas de menace, qu’il était urgent de revenir à la situation normale et que toutes les mesures étaient plus nuisibles que bénéfiques et devaient donc immédiatement être annulées. C’était le 18 juin 2020, j’avais essayé de joindre chaque parlementaire pour que cela arrive vraiment, et depuis, je n’ai plus abandonné.
L’idée, j’aimerais faire écho à ce qu’Astrid Stuckelberger vient d’exposer de manière fort remarquable. Merci beaucoup, je peux vraiment souligner tout ce que tu as dit.
Je suis heureux qu’Astrid ait dit si clairement à quel point il est important qu’il y ait des preuves d’une menace et que quelqu’un fasse une véritable analyse des risques. La particularité des menaces est qu’elles doivent toujours être réanalysées et vérifiées à nouveau. C’est d’ailleurs ce qui est écrit à deux endroits dans la loi sur les épidémies : réexaminer régulièrement la situation. C’est pourtant une évidence. Mais ici, cela n’a jamais été fait. C’était d’ailleurs la principale exigence de cette lettre du 18 juin, et elle l’est restée jusqu’à aujourd’hui. La caractéristique essentielle d’un État de droit démocratique est qu’il se compose de trois pouvoirs, afin que ces pouvoirs puissent se contrôler mutuellement et qu’ils puissent réparer des erreurs le cas échéant. C’était l’idée de base de Montesquieu, qui, après la Révolution française, a été mise en œuvre dans toute l’Europe. Une telle révision des questions les plus importantes n’a pas eu lieu depuis janvier 2020 jusqu’à aujourd’hui. Quelles sont les questions les plus importantes ? Astrid Stuckelberger les a toutes très bien énumérées, à savoir : sommes-nous réellement menacés par un virus ? Où se trouve ce virus ? Existe-t-il une chaîne de causalités qui créent une maladie et quelle est la gravité de cette maladie qu’elle provoque ?
Je renvoie ici, pour balayer cela d’un trait, à l’intervention spectaculaire, mais tout aussi scandaleuse, du conseiller fédéral Ignazio Cassis le 7 janvier 2021 dans Arena (émission de la télévision suisse), où on lui avait demandé : « Est-il possible que les gens soient simplement tous considérés comme hospitalisés pour Covid-19, même si les causes sont différentes ? » Et il a dit textuellement — et nous avons toujours bien intégré tout cela dans nos cahiers de doléances, avec un lien YouTube, parce qu’un jour ou l’autre, il faut bien que les choses soient mises sur la table, — il a dit en substance : « Oui, regardez, si quelqu’un a un accident de moto, qu’il est emmené à l’hôpital et qu’il y meurt, et qu’on fait ensuite un test PCR, et que ce test est positif, alors c’est un mort du Covid » !
Ensuite, Sandro Protz lui a encore posé la question, très attentivement, et correctement : « Oui, mais dites-moi, M. Cassis, ce n’est pas un peu bizarre : pourquoi peut-on alors le déclarer comme mort du Covid ? » « Oui, c’est parce que l’OMS le demande ». Et ça, c’est un scandale !
Et c’est sous ce régime que nous vivons encore aujourd’hui, trois ans après ! C’est une insulte à l’esprit humain, c’est une violation de la Constitution, c’est une déraison sans pareille et ce n’est toujours pas terminé à ce jour ! Nous avons toujours le même concept de base, à savoir que nous mesurons cette « menace » exclusivement avec le test PCR. Du point de vue de l’OMS, c’est toujours le seul « étalon-or » acceptable. Et les médecins, comme l’a bien dit Astrid, ils restent tous sur la touche. Ce n’est pas possible, cela fait trois ans que nous devons avaler ça, c’est un scandale d’importance historique. C’est pourquoi nous continuerons tous, nous tous, à faire ce que nous faisons ici, jusqu’à ce que ce scandale soit éradiqué en profondeur. Et c’est pourquoi nous allons par exemple signer le référendum contre la prolongation de la loi Covid-19. Nous tous, parce que cette loi Covid-19 est basée sur la fiction du sacro-saint test PCR. Nous ne l’acceptons pas, c’est dégoûtant !
Allez, on y va, c’est parti ! De quoi s’agit-il ? Je voudrais tout d’abord évoquer brièvement la motivation de base à l’aide d’un cas exemplaire, et pourquoi il est vraiment important de ne pas penser maintenant que nous pourrons revenir à la normalité.
Il s’agit de l’OMS — un poids lourd (!) — et j’essaie de situer le tout. Je tiens compte de l’heure tardive, 22 h 20, et de la complexité des choses. Je veux simplement souligner quelques points, actuellement parmi les plus importants. Car, il y a peu de temps, l’OMS a publié des changements qu’elle propose concrètement pour les prescriptions sanitaires internationales. Je voudrais en parler, comme Astrid tout à l’heure, bien sûr ; quelles sont les prochaines étapes qui en découleront ? Que pouvons-nous faire, que devrions-nous faire ?
Alors, commençons brièvement, jusqu’ici, nous sommes au courant. L’avantage, quand on fait du droit fiscal, ce que j’ai fait pendant environ 20 ans, on a affaire à une matière qui se caractérise par le fait qu’en fin de compte, l’État vous prend toujours quelque chose. Cela signifie qu’il s’agit d’une sorte d’administration d’intervention. Et justement, le droit fiscal — il n’y a guère une autre matière réglée de manière aussi précise en Suisse — contient tous les principes de base que l’on peut également appliquer à la période de l’intervention administrative Covid. C’est pourquoi j’ai tout de suite posé le système de coordonnées du droit fiscal sur le système de coordonnées de l’administration d’intervention Covid et j’ai remarqué que cela ne pouvait pas du tout fonctionner. Ceci est une remarque pour tous ceux qui travaillent également dans le domaine du droit fiscal. Faites-le pour voir, placez-y votre réseau de coordonnées de la vie quotidienne et vous remarquerez où ça ne marche pas.
Très brièvement les cas. J’ai engagé environ 20, 22 procédures judiciaires ordinaires contre les mesures — non pas parce que je suis opposé aux mesures par principe, mais parce que je suis opposé aux méthodes erronées, aux méthodes d’investigation erronées. Je voudrais que les tribunaux soient enfin convaincus que la méthode d’enquête, la méthode d’analyse de la menace virale est erronée.
Nous avons fait un premier grand pas – arrêt du Tribunal fédéral de novembre 2021, c’est l’affaire 2C_228/2021, et là, le Tribunal fédéral a dit, un peu agacé, en considérant 5.2 : les plaignants amènent tellement d’évidences – ils n’auraient pas eu besoin de le faire – parce que les plaignants veulent dire que le test PCR n’est pas valable. Le Tribunal fédéral a encore dit : il est tout de même notoire (noté officiellement par le tribunal) que le test PCR n’est pas approprié pour prouver une maladie. C’était en novembre 2021. Combien de journaux, croyez-vous, ont rapporté cette affaire depuis ? Pas un seul des médias d’État ! Pas un seul ! Ce n’était pas dans le NZZ. Pourtant j’ai donné deux interviews à la NZZ et j’ai dit à plusieurs reprises : « Parlez de ce cas, c’est important. Vous pourrez ainsi apaiser la peur des gens. » Non. Ensuite, nous avons également présenté ce cas au Parlement, en répétant sans cesse : « Chers parlementaires, veuillez en prendre connaissance. Le Tribunal fédéral s’est beaucoup investi dans cette affaire et a fait un travail très sérieux. » Cela n’a pas non plus intéressé les parlementaires, de sorte qu’à ce jour, nous avons toujours la méthode PCR comme base pour la loi Covid-19.
Ensuite, la plainte pénale a été mentionnée — nous avons fait une petite conférence de presse le 14 novembre. Quelle en sera la suite ? Bien sûr, nous ne voulons pas simplement jeter la balle dans l’eau, mais nous poursuivons cela avec la plus grande vigueur. Vous savez que ces substances ARNmessager ont été autorisées pour une durée limitée de deux ans. Nous avons donc dit : nous ne laisserons pas à Swissmedic le soin d’évaluer l’évidence de ces deux années et de nous dire à la fin, dans la procédure pénale ; oui, mais il y a eu une étude en novembre, décembre 2022, où l’efficacité est quand même apparue, ou la sécurité est finalement apparue. Non, donc nous disons : avec nos scientifiques, avec nos collaborateurs — mais avec le soutien de très nombreux experts dans le monde entier — nous nous sommes penchés sur toutes les études, sur toutes les preuves de toute la période d’autorisation ; et nous allons les remettre intégralement au ministère public — c’est-à-dire notre rapport actualisé sur les preuves, pour qu’il n’y ait vraiment plus d’excuses possibles. Et où on pourrait dire, oui, mais il y a là encore une petite étude factice qui prouve la sécurité. Et ça, nous allons le faire avec beaucoup d’insistance.
Aujourd’hui, quelque chose de tout à fait nouveau : pour la première fois, une plainte a été déposée par du personnel navigant contre le licenciement, parce qu’une hôtesse de l’air a refusé obstinément de se faire vacciner et a été licenciée pour cette raison. Nous apporterons également un soutien très fort à cette affaire. Une compagnie aérienne qui, à l’heure actuelle, n’engage ses collaborateurs que s’ils sont vaccinés contre le Covid-19 devrait se voir retirer la croix suisse de son aileron arrière.
[beaucoup d’applaudissements]
J’en viens au cas type. Nous voyons une jeune femme en bonne santé, 28 ans, footballeuse professionnelle, qui profite de sa vie, indépendante, autonome — elle prend en octobre 2021, sous la pression de la Swiss Football League, un vaccin Johnson & Johnson, une simple injection. À partir de là, collapsus immédiat, fatigue permanente, ne peut plus exercer son métier de footballeuse et son autre métier, cinquante consultations en un an. Cela peut se résumer en un mot très simple : les médecins ont dit : « Nous ne pouvons pas dire ce que c’est, mais nous pouvons exclure une chose : cela n’a aucun rapport avec la vaccination. Voyez avec un psychiatre ! » – oui, c’est ce qu’on lui a dit : « Voyez ça avec un psychiatre. »
La jeune femme, quand elle est venue nous voir, suicidaire, dans un hôpital psychiatrique. Quel est le schéma derrière tout cela ? Le schéma est le suivant : nous avons des personnes en bonne santé, des personnes saines qui ne sont pas menacées par le Covid, et elles sont mal informées et subissent des pressions pour qu’elles acceptent une substance qui leur fait du mal, qui leur cause des dommages à long terme. Ensuite, ils vont voir des médecins et leur expliquent la situation, mais les médecins ne leur apportent aucune aide. Une aide consisterait à rechercher toutes les causes possibles sans préjuger des résultats et à ne pas exclure d’emblée une cause bien précise. Non-assistance à personne en danger. Enfin, la non-assistance à personne en danger aggrave encore la situation des personnes concernées. C’est là que s’applique une grande partie du droit. Je résume très brièvement, mais nous avons la violation d’une série de normes impératives de protection de l’individu, issues du droit pénal : je l’ai dit, non-assistance à personne en danger ; du droit civil : atteinte à la personnalité (CO 28) — avec droit à des dommages et intérêts (CO 41) et, bien entendu, du droit constitutionnel et du droit international qui s’appliquent également ici, car nous savons depuis l’introduction du Code de Nuremberg que personne ne peut être amené à se faire injecter quoi que ce soit sans son consentement volontaire et sans une base d’information correcte. Et le tout sur une longue période.
Eh bien, le problème concerne l’ensemble de la population et la question est — beaucoup disent : « Euh, Philipp, détends-toi, c’est fini, va au “Sprüngli”, bois un chocolat chaud — ça fait des miracles. »
À ceux-là, je réponds : « Pas de fin en vue ». L’OMS continue d’entretenir la pandémie. Nous sommes toujours officiellement en Public Health Emergency of International Concern. (Urgence de santé publique de portée internationale.)
L’OMS a toujours pour objectif de vacciner 70 % de la population. Pire encore : l’OMS a déclaré cette technologie de ces substances vaccinales — nous savons qu’il ne s’agit pas de substances vaccinales — comme la norme, la technologie standard pour tous les vaccins contre la grippe et de nombreux autres vaccins — comme la norme, l’étalon-or ! Et, comme nous le savons aussi, le G20 a proclamé : Carnet de vaccination digital et carte d’identité digitale. Cela signifie qu’il faut le promouvoir. Et cela signifie qu’au lieu que l’OMS s’arrête et dise : stop, regardons l’effet, regardons les effets secondaires, faisons le point sur les dommages. Elle dit : non, nous faisons le contraire. Nous accélérons et voulons envoyer encore plus de substances vaccinales.
Tout cela a un caractère expérimental — pourquoi ? Nous avons affaire à une nouvelle technologie de traitement. L’effet exact de cette injection d’ARNm n’est pas connu, on ne sait toujours pas exactement quelle quantité de protéines spike est produite dans le corps, sur quelle durée cette substance active est produite et avec quelle qualité. En bon français il s’agit du plus grand aveuglement qu’on puisse imaginer. Diverses normes n’ont pas été respectées et il n’existe pas d’études contrôlées à long terme pour un grand groupe de personnes, mais en revanche, un nombre extraordinairement élevé d’indices de dommages et les personnes concernées n’ont pas été correctement informées de tout cela.
Oui, c’est tout à fait une tentative, une expérimentation humaine, et c’est interdit par le code de Nuremberg et par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Là il est dit… (C’est un pacte de l’ONU, qui est donc valable pour pratiquement tous les pays du monde…) Il y est écrit, première phrase : « Nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ». Et comme exemple d’application de la torture, il est écrit : « En particulier, nul ne peut être soumis à des expériences médicales ou scientifiques sans son libre consentement » — et cela inclut l’information complète et correcte. C’est ce que l’OMS pousse à faire, contrairement à cette disposition précisément.
Il est également important de noter que « cette disposition s’applique, précisément selon ce même pacte international, même pendant les pandémies ». C’est explicitement écrit là. Très remarquable. Je vais un peu plus vite, car j’ai déjà mentionné que l’ARNm doit rester le grand succès étalon en tant que technologie de base et plate-forme. Va tout de suite plus loin. Et Tedros — lui, comme toujours — dit : « C’est tellement bien qu’au moins 70 % devraient être inoculés ». Et c’est le point de départ.
La question se pose maintenant, après trois ans, qu’il faut poser à l’OMS : « Monsieur Tedros, Monsieur Tedros, dites-moi pourquoi il ne vous est pas encore venu à l’esprit, jusqu’à aujourd’hui, de vous faire vraiment une idée des conséquences, du rapport bénéfice/risque de ces substances ? Était-ce même nécessaire d’introduire ces substances ? Quelle est la validité de votre test PCR de gestion des risques ? Dans quelle mesure avez-vous respecté les méthodes traditionnelles d’analyse des risques de l’OMS, telles qu’Astrid Stuckelberger les a présentées tout à l’heure et qu’elle a elle-même enseignées par le passé ? Pourquoi vous en écartez-vous à ce point ? » Et cette dynamique incroyable de l’OMS d’utiliser cette technologie ARNm, c’est l’une des raisons pour lesquelles nous mettons un accent très, très fort sur cette plainte pénale et que nous allons continuer à mettre les gaz ici. Ensuite… [grands applaudissements], ce n’est pas grave si personne ne peut lire ça (sur le web), c’est tellement important qu’on peut le résumer très simplement. Il s’agit de l’article 1 de la Constitution de l’OMS. Et si nous nous rendons compte maintenant de ce qui s’est passé au cours des trois dernières années. Combien de souffrances ont été causées sous le titre de « santé » ? Et si on lit ensuite ce que l’OMS s’est elle-même fixé comme objectif, en 1948, dans sa propre constitution, à l’article 1, on ne peut que secouer la tête et dire : « Un instant, vous ne lisez donc pas votre propre constitution ? » À savoir, il y est bien écrit à l’article 1 : « L’objectif de l’Organisation mondiale de la santé doit être d’atteindre le niveau de santé le plus élevé possible pour tous les êtres humains… » Et ensuite, ils définissent même la santé en disant : « La santé, c’est un état de complet bien-être physique, mental et social, et pas seulement l’absence de maladie ou de handicap. » Donc avec cet objectif, il aurait fallu, comme un… comment dire, comme un « Häftlimacher » dit-on en Suisse, c’est-à-dire comme un comptable, dès le premier jour du lancement de la vaccination, former des groupes d’expérimentation dans tous les pays et au premier signe de problème, il aurait fallu arrêter tout ça. Et c’est pareil pour toutes les mesures, c’est pareil pour le confinement, c’est pareil pour les tests, bien sûr. Et en se contentant d’avancer droit comme un char d’assaut en ce qui concerne ses mesures et ses méthodes, l’OMS montre qu’elle ne se préoccupe pas de la santé. Elle se préoccupe d’autres choses, mais pas de la santé, oui.
Bon, je vais accélérer un peu, je vais sauter quelques feuilles.
Il est important de savoir qu’il existe des cadres juridiques incroyablement importants que l’OMS et tous les États membres doivent continuer à respecter. Tout à fait éminent : la Charte des Nations unies. Le principe de la souveraineté et de l’autodétermination des peuples y est ancré. Les droits fondamentaux y sont inscrits aux articles 1 et 2.
On peut y lire par exemple : « Nous, peuples des Nations Unies, sommes fermement résolus à préserver les générations futures du fléau de la guerre… à réaffirmer dans toutes les nations notre foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personnalité humaine, dans l’égalité des droits des hommes et des femmes, grands et petits… »
Et très important l’article 1 — je le répète simplement encore une fois — l’égalité des droits et l’autodétermination de tous les peuples. Il n’est pas contenu dans le programme de l’ONU de mettre les peuples sous un joug, sous une direction dictatoriale. Ce n’est pas contenu dans ce programme.
Ensuite, les droits fondamentaux — je passe sur ce point — font partie du cadre juridique. Et j’ai déjà mentionné le « Pacte international de l’ONU relatif aux droits civils et humains ».
Il est important de le savoir si on considère brièvement les modifications proposées qui n’ont été rendues publiques que récemment (mais elles avaient déjà été publiées fin novembre, début décembre). Je traduis très brièvement : l’article 1 dit — il s’agit ici du règlement sanitaire international — il y était écrit jusqu’à présent que les recommandations n’avaient pas de caractère obligatoire. Les États n’étaient pas obligés de suivre ces recommandations.
Attendez, quelqu’un qui réfléchit à cela me dira : « Mais Monsieur Kruse, que s’est-il passé au cours des trois dernières années ? Si l’OMS disait quelque chose, nous le mettions en pratique. » Exactement ! Jusqu’à présent, nous avions déjà la pensée que les propositions de mesures, les recommandations étaient contraignantes et étaient comme des ordres.
C’est pourquoi un comité de juristes… quelques juristes et moi-même avons créé un comité, nous avons fait cela, afin de pouvoir offrir au Parlement — je le dis de manière un peu désinvolte — « un cours de rattrapage en droit constitutionnel ». Nous avons dit au Parlement : « Regardez, ce ne sont que des recommandations. Vous n’êtes pas obligés de les mettre en pratique. Ce ne sont pas des ordres, ils ne sont pas juridiquement contraignants. » Mais on l’a fait quand même, et pour qu’on ne puisse pas s’y opposer verbalement plus tard, on dit maintenant : toutes les recommandations doivent rester contraignantes à l’avenir ! Le « non contraignant » a été supprimé.
Et voici l’article qui a fait parler de lui au début de cette année. L’article 3 de ce règlement sanitaire, il bat tous les records. Jusqu’à présent, il y était écrit que, lors de la mise en œuvre de ces dispositions sanitaires, les États devaient respecter la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales des personnes. Tel était le texte jusqu’à présent — et il doit être supprimé ! Et on peut à nouveau objecter comme un auditeur critique attentif : « Mais Monsieur Kruse, ils ont déjà été piétinés jusqu’à présent, les droits de l’homme. » C’est exact, ils ont été piétinés. Là encore, nous avons dit : « Mais voilà, Parlement, regardez, vous n’avez pas le droit de le faire. Dans le Règlement sanitaire international, les droits de l’homme sont protégés ! » – cela n’a intéressé personne non plus. Les parlementaires ne lisent pas les papiers qui font plus d’une page et qui ne contiennent pas d’images. C’est comme ça !
N’ayez pas peur, je ne suis pas un politicien, je suis un citoyen. Mais je me permets une chose, après ces trois ans. Je suis déçu par nos parlementaires — à quelques exceptions près, je nomme ici Pirmin Schwander pour représenter les bonnes exceptions — je suis déçu par nos autres représentants du peuple. À l’heure actuelle, il n’y a absolument plus aucune raison de penser que le test PCR puisse mesurer quoi que ce soit d’utile en rapport avec l’épidémie et il n’y a absolument aucune raison de penser que les mesures prises aient apporté quoi que ce soit de positif.
Il n’y a absolument aucune raison d’adopter cette loi Covid-19. Je suis énormément déçu par les parlementaires. [Applaudissements]
Et je pense que c’est excellent, excellent qu’il y ait plusieurs citoyens de chez nous qui se soient dit : « J’en ai assez, nous en avons tous assez, ça ne peut pas continuer comme ça » et qu’ils vont se présenter aux élections et nous devons les soutenir afin d’occuper le plus de sièges parlementaires possible.
Et je voudrais le dire plus clairement, le plus grand risque pour la Suisse vient de notre Parlement ! Voilà, je me suis un peu défoulé…
Quelqu’un du public : je dis « bibliquement criminel »
Kruse : Bibliquement criminel, oui c’est vrai, je suis d’accord, opinion personnelle, mais c’est ainsi.
Selon ces propositions d’amendement, les États doivent être contraints de signaler à l’OMS dans les 48 heures toute mutation virale susceptible de se transformer en épidémie (aussi de manière bibliquement criminelle, d’ailleurs).
Dans une telle situation de pression psychologique, quelle sera la décision de Monsieur Berset ? « Je préfère attendre encore un peu, jusqu’à ce que j’aie plus de preuves » ou va-t-il dire : « 48 heures, et hop, délai expiré, maintenant ! »
Il est écrit : l’État a 48 heures pour évaluer cela, puis 24 heures après cette évaluation, il faut le signaler à l’OMS. Rien que ça, c’est déjà criminel, car nous savons tous très bien que pour pouvoir évaluer le risque d’une éventuelle évolution pandémique, il faut du temps. Il faut étudier, il faut regarder de près, certainement pas en premier lieu appeler Tedros [Ghebreyesus] tout de suite.
Ensuite, ce que je trouve le plus grave, le plus menaçant et qui doit être le plus clair dans notre esprit à tous, c’est ce bouton d’alarme d’urgence de la pandémie. Le terme technique : Public Health Emergency of International Concern (urgence de santé publique de portée internationale). C’est très facile de s’en souvenir, car le sigle PHEIC donne « Fake ».
Donc, on peut s’en souvenir facilement : « Fake », c’est-à-dire faux. Tedros, en vertu de l’article 6 de ce règlement sanitaire international, pouvait jusqu’à présent déclarer ce « fake ». Et ce qui est remarquable maintenant, c’est que les possibilités, les conditions, le champ d’application pour déclarer un tel fake ont été élargis, et il ne s’agit pas seulement de pandémies réelles, mais aussi de développements qui pourraient potentiellement, potentiellement mettre en danger la santé publique. Il peut décider seul : L’État c’est moi. Il peut consulter le Comité d’urgence, mais — comme ça s’est déjà produit en juillet de l’année dernière — il peut mettre en minorité son Comité d’urgence, ses conseillers. Il peut décider seul si le monde entier se trouve dans cet état légal de pandémie. Cela signifie qu’il peut supprimer d’un coup le règne du droit et de l’ordre constitutionnel fondamental et passer aux règles d’urgence, c’est-à-dire à un état de droit où l’exécutif est aux commandes, en s’appuyant sur les directives de l’OMS — j’y reviendrai. C’est prévu, et il y a une annexe très importante avec un arbre de décision selon lequel — en théorie du moins — l’OMS devrait procéder pour déterminer : y a-t-il une pandémie ? Oui ou non ? On peut y jeter un coup d’œil. L’OMS y a ajouté d’autres exemples d’application. On y lit en effet — et c’est également nouveau — qu’est-ce qui doit conduire à une telle pandémie : « Cluster(s) of other severe infections in which human to human transmission cannot be ruled out. » Ouf ! Donc, si on ne peut pas exclure qu’une transmission humaine puisse se produire à partir de ces cas d’infections. Maintenant, trouvez un scientifique qui se tienne devant Tedros et qui dise : « Je peux exclure cela. » Non, ce n’est pas du tout possible. Ce sont des termes alibi, c’est — bibliquement criminel — quel est le mot-clé ? Exactement ! Disons que je ne dois pas le dire de façon aussi pathétique. Mais je voudrais souligner ici que nous pouvons, par l’intermédiaire d’un seul homme qui n’est pas contrôlé, qui ne peut être arrêté par personne, qui n’a de compte à rendre à personne, mettre le monde entier en état de pandémie sous un prétexte complètement futile. Et je me demande ce qu’il faut de plus pour qu’une telle chose se retrouve en première page du Neue Züricher Zeitung, du Tagesanzeiger et du Blick en même temps ? Que leur faut-il de plus ?
Oui, là aussi, je double un peu la mise. Je suis sans voix parce que partout dans les bureaux de direction, il y a des gens qui sont allés à la même école que moi. Ils ont eu les mêmes professeurs, ils ont lu les mêmes livres, et ils sont maintenant incapables d’additionner un et un. Je suis indigné ! Heureusement, je peux toujours canaliser l’énergie de mon indignation dans des écrits juridiques. Ça a un effet thérapeutique.
Et bon ça pourrait continuer indéfiniment, il est bientôt onze heures — il n’y a pas de bouton Stop. Il n’y a pas de bouton Stop pour la pandémie. Nous sommes maintenant — oui, toujours (selon le statut officiel) toujours en pandémie. Il faut y penser. Et ces possibilités de pandémie sont maintenant encore élargies, elles doivent être élargies. Et c’est littéralement la dernière chose qu’on doit attendre de l’OMS après trois ans de cette expérience, de toute cette expérience Covid, en tant qu’entité raisonnable et responsable. Or c’est tout le contraire. Cela signifie que si cela entre en vigueur, et c’est déjà le cas de facto, il faut parler d’un monopole de fait de l’OMS. De facto, et ce, contrairement aux règles de base qui ont été intégrées par l’ONU dans les principales chartes de l’ONU après la Seconde Guerre mondiale. Et l’idée initiale — on s’en est beaucoup éloigné. Et le résultat, c’est quoi ? Le résultat est que l’organisation la plus puissante du monde — je sais qu’il y a des gens qui sont derrière, il y a le FEM et il y a d’autres organisations — mais appelons-la l’une des organisations les plus importantes et les plus puissantes du monde — peut, sans aucune difficulté, sans aucune possibilité de vérification, sans mécanisme d’arrêt, appuyer sur un simple bouton et s’autoriser à déclencher tout le jeu de cette pandémie, avec toutes les conséquences économiques que ça implique, à savoir des conséquences économiques mauvaises et terribles pour nous, mais des conséquences économiques très positives pour l’industrie pharmaceutique, pour l’industrie de l’informatique, pour mettre tout cela en route — en appuyant sur un simple bouton !
Et cela — vous pouvez emporter cette image chez vous aujourd’hui — il faut y mettre fin. Il faut enfoncer un coin dans ce cercle vicieux, en s’appuyant sur nos Constitutions, sur le droit à l’autodétermination des personnes et sur le droit à l’autodétermination des peuples selon l’ONU. [Applaudissements]
Car ce que nous voyons aujourd’hui — depuis des années déjà — c’est que l’Organisation mondiale de la santé s’est éloignée de sa bonne idée de base initiale — une idée de base noble et fondamentale — pour devenir une entreprise de marketing globale pour Big Pharma, Big IT, et ne se soucie absolument plus de la santé et du bien-être des gens. Et oui, je dois le dire, l’OMS est, sinon un pilote, du moins un complice de l’un des plus grands crimes contre l’humanité depuis la Seconde Guerre mondiale. C’est ainsi qu’il faut classer l’OMS. Juste pour que nous puissions voir cela à la bonne échelle.
Et nous voyons une rupture fondamentale avec les propres bases constitutionnelles de l’OMS, où, en principe, la gestion des grippes et des pandémies reste l’exception. Cela doit devenir la règle et les droits fondamentaux ne seront plus valables — c’est ce que j’ai dit. Et ce qui devrait tous nous inquiéter, et nous allons maintenant arrêter tout le sarcasme. Cela devrait vraiment nous inquiéter et nous concerner en tant qu’êtres humains, quelle que soit notre couleur politique, quelle que soit notre condition. Il ne peut être dans l’intérêt de personne d’avoir une situation d’urgence factuelle et éternelle et des inconnus à la barre qui peuvent déterminer combien de temps cette situation d’urgence durera et avec quelles mesures nous devrons compter et finalement vivre. Ce n’est pas possible. Et vraiment, le seul point positif de ces propositions d’amendement, à mon avis, c’est qu’on peut l’expliquer très simplement à toute personne un tant soit peu intelligente, il y a donc une chance que même les parlementaires suisses puissent le comprendre.
Je continue un peu, parce que je voudrais aussi montrer très brièvement les zones de conflit concernant le droit constitutionnel suisse, où nous l’avons vu particulièrement clairement. J’ai mentionné que le 18 juin 2020, j’ai été prié très poliment — j’ai mis un costume exprès — de me présenter devant le Palais fédéral — pardon, devant le bâtiment provisoire du Parlement à Berne – BEA, terrain EXPO — et justement devant le Parlement, j’ai écrit : S’il vous plaît, vérifiez, assumez votre obligation constitutionnelle de surveillance — c’est écrit dans l’art. 169, art. 170 de la Constitution fédérale. Et, comme je l’ai également dit, nous n’avons cessé de le souligner en tant que comité de juristes : s’il vous plaît, procédez à cette révision, à cette révision attendue depuis longtemps. Et nous avons reçu une réponse, il y a un an à peu près. Le 21 février 2021, la Commission de gestion du Conseil national nous a écrit une lettre. Elle contenait les lignes suivantes : tant que la pandémie de l’OMS se poursuit, il n’est pas possible de procéder à une vérification finale des mesures. C’est la preuve que sur ordre de l’OMS — en appuyant sur ce bouton — sur le bouton fake — par cette pression simple et bon marché, notre démocratie parlementaire avec les mécanismes de séparation des pouvoirs qui y sont ancrés de manière tout à fait centrale — je n’ai maintenant montré que l’exemple le plus important — notre démocratie peut être désactivée — en appuyant sur un bouton. C’est l’un des points. J’ai peut-être déjà suffisamment mentionné les autres points au début, à savoir les tribunaux.
Jusqu’à présent, jusqu’à aujourd’hui, aucun tribunal ne s’est vraiment penché sur le fond, sur une révision efficace. Donc les tribunaux n’ont pas procédé à un examen, le Parlement n’a pas procédé à un examen, et le Conseil fédéral n’a pas non plus procédé à une adaptation de ses méthodes — des erreurs. Et cela veut dire que parce que tout vient de l’OMS, nous devons à l’avenir nous familiariser avec une disposition pénale du Code pénal. Il y est en effet écrit : quiconque se livre à un acte visant à troubler ou à modifier de manière illicite l’ordre constitutionnel de la Confédération ou des cantons est passible d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire.
Donc, bien sûr, ce n’est pas depuis hier matin que nous ne sommes pas impliqués dans toute cette affaire, c’est-à-dire depuis toutes ces procédures judiciaires, et nous avons des preuves qui s’accumulent à peu près aussi haut. Et je voudrais simplement mettre en garde par ce biais ceux qui, à Genève, pensent qu’ils doivent continuer à faire avancer ces développements. Car même si, formellement, il y a une immunité, le peuple est en général intelligent et le remarque — il remarque ce qui se joue ici. Et le peuple remarquera — à grande échelle — que notre ordre constitutionnel suisse est saboté — depuis Genève ! Et c’est l’un des titres pour lesquels nous pouvons clairement nous défendre en Suisse, ou que nous pouvons citer comme critère pour donner quelques indications aux représentants juridiques à Berne. J’ai délibérément choisi d’être un peu général, car il y a là un besoin d’agir et une grande possibilité d’action.
Oui, je m’arrête là. Nous sommes arrivés à 11 heures exactement, et je voudrais conclure en exprimant ma grande inquiétude que nous en soyons arrivés là. Mais je suis convaincu que grâce à ce formidable travail d’information qui s’étend maintenant lentement grâce au travail de très, très nombreuses personnes qui, depuis deux ans, ou même trois ans, veillent inlassablement, sans relâche, à ce que les personnes de toute la Suisse comprennent ce qui se joue, et surtout grâce à cette approche ouverte, disons non camouflée, de l’OMS — ils font tout cela ouvertement — je suis confiant que, en lien aussi avec les dommages de plus en plus manifestes causés par les vaccins, la balance penchera lentement de notre côté. Il est très important que nous ne perdions pas courage et que nous assumions nos tâches de citoyens responsables, que nous nous informions, que nous informions les autres et que nous soyons conscients d’une chose : la démocratie part de la base. Les politiciens à Berne doivent faire ce dont nous, les gens de la base, avons besoin, ce que nous souhaitons et ce que nous leur demandons de faire. Et nous devons travailler dans ce sens. [Applaudissements]
Et il y a un article qui correspond à ça — l’article 6 de la Constitution fédérale — qui souligne notre propre responsabilité en tant qu’êtres humains, en tant que citoyens de ce grand pays, et qui nous dit : N’attendons pas que ceux d’en haut nous envoient des cadeaux à la maison, mais prenons notre destin en main — ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous — demandez ce que vous pouvez faire pour votre pays et pour notre peuple… C’est l’approche décisive — nous le faisons pour nous. Et nous allons continuer. Je vous remercie tous très chaleureusement pour votre longue persévérance et votre grande patience. Astrid a déjà présenté de très nombreuses et très bonnes propositions, dont certaines que j’aurais également présentées. C’est pourquoi je peux ici remercier Astrid de tout cœur — vous remercier de tout cœur pour votre attention — et je vais maintenant terminer mon exposé. Je vous souhaite à tous un bon retour chez vous !
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