La loi Darmanin sur les dérives sectaires voulait criminaliser tout discours critiquant le discours officiel sur les maladies et les mesures et traitements prônés par le gouvernement afin de pouvoir nous imposer plus facilement des mesures supprimant nos libertés ou des traitements peu efficaces sous prétexte sanitaire.
Devant les risques d’atteinte à la liberté d’expression évoqués par le Conseil d’État, les sénateurs ont fortement amendé la première version du texte1 que les députés de la majorité ont rétabli immédiatement par un vote obtenu dans des conditions discutables. Heureusement les pétitions et innombrables lettres adressées aux élus ont finalement convaincu ceux-ci de la nécessité de préserver la liberté scientifique et les médecins et chercheurs donneurs d’alerte, et de réécrire le texte en un article devenu « 12 ».
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