Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie !

26/05/2022 (2022-05-26)

Appel de R FJ Kennedy et son association CHD Children Health Defense(([1] Children’s Health Defense • Help Children’s Health Defense and RFK, Jr. end the epidemic of poor health plaguing our children. (childrenshealthdefense.org) )): nous devons stopper l’accord !

« Pensez-vous qu’il n’y a pas pire que le Great Reset ? Eh bien si !

Il y a le Great Reset associé au traité que l’OMS veut imposer partout et à tout prix…

La raison effrayante pour laquelle ils ne déclareront pas la fin de la pandémie. »

Alerte d’action : C’est maintenant ou jamais. Nous devons STOPPER L’OMS

#StopTheTreaty.(([2] Action Alert: It’s Now or Never. We Must #StopTheTreaty. • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) )) World Freedom Declaration—Health Freedom Defense Fund

Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund(([3] Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund))

La souveraineté des nations individuelles et les droits fondamentaux des citoyens garantis par la constitution sont en jeu.

Le 28 mai 22, l’organe directeur de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), se réunit pour discuter des modifications proposées au Règlement sanitaire international (RSI) existant à partir de 2005.(([4] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr) ))

Où en était-on en 2020 :

« Monsieur Perronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart “des gens normaux” qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzyn et son Comité scientifique “se sont retrouvés dépassés”.

En réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce qu’ils voudraient bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial par le biais de l’OMS sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockefeller ».

Les évènements nous ont montré que l’auteur de l’article du Saker(([5] Tribune : Inspiré du « Décryptage de la Pandémie de Covid-19 : un exercice d’ingénierie sociale machiavélique » d’après Amar − Septembre 2020 sur Saker francophone)) que nous citions dans France soir avait complètement raison et que ce dont on parle aujourd’hui n’est que la continuité de ce qui est en marche depuis 2005.

Le conseil mondial de l’OMS : 194 états dans le monde ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Ce règlement prévoyait déjà :

« en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états ».

Et il semble bien que ce soit exactement ce qui s’est passé et continue plus ou moins à se passer car quelques états ont néanmoins résisté comme la Suède, les Pays-Bas et la Biélorussie.

Règlement Sanitaire International :

Nous écrivions : cet instrument contraignant de droit international est entré en vigueur le 15 juin 2007.

Actuellement les gouvernements mondialistes réunis à Davos veulent renforcer le pouvoir de l’OMS en cas de pandémie… et vous savez que déclarer une pandémie dépend de leur bon vouloir et que les critères changent au gré de leurs désirs.

Ces règlements sont destinés à servir de fondement à un traité sur la pandémie qui favoriserait un « gouvernement mondial unique » au nom de la santé publique.

Les représentants de 194 pays, dont les États-Unis, décideront bientôt s’il convient d’accorder à l’OMS le pouvoir de gérer les futures pandémies à l’échelle mondiale, y compris le pouvoir de sanctionner les pays qui ne s’y conforment pas. Malheureusement, l’administration Biden est sur le point de céder le contrôle ultime du système de santé américain et de s’exonérer de toute responsabilité.(([6] https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf))

Il faut néanmoins noter que plusieurs états dont la Floride aux USA refusent cet ukase des quelques milliers de puissants milliardaires et chefs d’État réunis à Davos.

Docteur Hamelin Md sur tweeter le 25 mai 2022

« Déjà la Russie, le Brésil, la Floride rejettent le Projet de souveraineté supra nationale de l’OMS Et 12/13 amendements requis par l’OMS sont retirés du Projet sous pression de pays adhérents Fox News alerte les sur le risque d’une perte de souveraineté sanitaire. Et les Media ? »

Plusieurs nouveaux amendements proposés par l’administration Biden élargiraient l’autorité et les ressources de l’OMS aux dépens des contribuables américains. Les modifications apportées aux articles 2, 3 et 5 de l’article 12 de l’IRH, qui traitent de la « détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale, d’une urgence de santé publique de portée régionale ou d’une alerte sanitaire intermédiaire, sont particulièrement préoccupantes. »

Ces modifications permettraient à l’OMS de déclarer unilatéralement une urgence de santé publique.

Pour les citoyens américains, cela signifie qu’une urgence de santé publique pourrait être déclarée par un responsable non élu, permettant aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) de détenir, d’examiner et potentiellement de soigner les Américains soupçonnés d’être malades.

L’OMS aurait le pouvoir d’introduire des systèmes de surveillance, des mesures de conformité et la mise en œuvre de la réponse médicale dans le monde entier.

C’est une violation à la fois des droits inaliénables des individus et de la souveraineté des nations. Cela supprimerait également la transparence et la responsabilité, car l’OMS est à l’abri de toute forme de procédure judiciaire.

Tedros et ses successeurs (donc leur propriétaire B. Gates, Fauci et le WEF) auront tous les pouvoirs sur les peuples en s’affranchissant de l’accord des États pour déclarer les états d’urgence pandémiques et nous savons ce que cela veut dire depuis la crise Covid-19.

15 mai 2022·Twitter

@SoloBucketpond 15 mai L’article 12 donnerait pouvoir TOTAL au directeur de l’OMS (Tedros) de déclarer une pandémie SANS l’accord des chefs d’État des pays membres, ce qui est encore le cas à présent. Tedros s’arrogerait le droit de déclarer un état d’urgence mondial même si les critères n’étaient pas réunis et que les États membres n’étaient pas d’accord !

Les points 6 et 7 n’existent pas et sont rajoutés pour accroître encore plus leur pouvoir sur nous !

Article 59 : l’OMS retire le droit d’amender ce texte, donc à accepter tel quel ou à rejeter, ce qui est inédit ! Ils ne veulent pas que des modifications y soient apportées. Le totalitarisme sans aucune limite.

Et le délai de rétractation/rejet passe de 18 mois à 6 mois… (mare seau sur twitter 15 mai)

Normalement le texte proposé en mai 2022 aurait dû être proposé aux états quatre mois plutôt, mais ce n’était pas le vœu de Tedros ni du WEF [Forum Économique Mondial]

Le traité de l’OMS induirait la création d’un identifiant, un QR code numérique mondial. Le contrat a été passé par l’OMS à T-Systems, filiale de Deutsche Telekom. Voici la preuve qu’ils veulent nous surveiller comme du bétail. (philippe Murer sur twitter) :

NOUS NE POUVONS PAS PERMETTRE CET ABUS DE POUVOIR, VÉRITABLE COUP D’ÉTAT CONTRE LES DÉMOCRATIES

L’OMS triche

En redéfinissant une pandémie, l’OMS a affirmé que la grippe porcine était une grave crise de santé publique et a fait pression sur les gouvernements pour qu’ils acceptent un vaccin qui causait la narcolepsie et d’autres effets secondaires graves.

Pendant la pandémie de COVID, l’OMS a supprimé le traitement précoce et a encouragé l’utilisation d’interventions médicales qui n’étaient ni sûres ni efficaces.

« L’OMS a également lancé une campagne agressive et globale de “désinformation” qui a abouti à une censure flagrante, imposant le silence de la dissidence. Cette suppression du discours a bloqué des solutions potentielles qui auraient pu sauver d’innombrables vies ».

S’il était adopté, le Traité sur la pandémie proposé par l’OMS sera la fin pour l’autonomie corporelle et la souveraineté nationale. Nous devons agir maintenant pour #StopTheTreaty en exprimant notre opposition aux modifications du Règlement sanitaire international.

Remplissez le formulaire ci-dessous pour contacter vos élus au niveau des États et au niveau fédéral

et leur faire savoir que nous sommes dans ce schéma mondial corrompu et que nous ne resterons pas les bras croisés ou ne nous conformerons pas.

Signez la « Déclaration mondiale de la liberté » créée par nos amis du Health Freedom Defense Fund.

La Déclaration stipule :

« en tant que citoyens du monde, nous défendons les droits, les libertés et la vie privée de tous les membres de la communauté mondiale en appelant au rejet des amendements du RSI et à la tentative de l’OMS d’usurper le pouvoir et l’autorité de la politique de santé de sa place légitime — chez elle parmi les peuples ».

Nous ne pouvons pas nous permettre de centraliser le pouvoir sous l’égide d’une organisation mondiale de santé publique qui ne reconnaît pas les avantages de l’immunité naturelle, suggère que les vaccins sont le seul moyen de mobiliser l’immunité et s’est éloignée de la science, de la transparence et de la responsabilité. La santé publique est maintenant utilisée comme un moyen d’enchâsser des mesures tyranniques qui ne protégeront pas notre santé et réussiront à nous enlever notre autonomie. C’est un moment de liberté « utilisez-le ou perdez-le ».

Il y a urgence, agissez maintenant.

Inscrivez-vous pour recevoir gratuitement des nouvelles et des mises à jour de Robert F. Kennedy, Jr. et de la Children’s Health Defense. CHD met en œuvre de nombreuses stratégies, y compris juridiques, dans le but de défendre la santé de nos enfants et d’obtenir justice pour ceux qui ont déjà subi des complications. Votre soutien est essentiel à la réussite de la mission de CHD.

NOUS DEVONS STOPPER L’ACCORD

Déclaration pour la Liberté Mondiale

Nous, soussignés, nous opposons aux amendements proposés au Règlement sanitaire international (RSI), une tentative de mettre en œuvre l’équivalent en matière de santé publique d’un « gouvernement mondial unique », en violation des droits inaliénables et de la souveraineté des nations et des citoyens.

Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international

Les amendements au RSI doivent être votés lors de la 75e Assemblée mondiale de la santé, qui débutera le 22 mai 2022. S’ils sont acceptés, les amendements au Règlement sanitaire international entreront en vigueur dans les six mois pour tous les États membres qui les auront ratifiés et seront juridiquement contraignants pour ces États membres.

Adoptés en 2005, les RSI existants respectent la souveraineté de toutes les nations membres. Les amendements proposés, cependant, élargiraient et codifieraient l’autorité de l’OMS pour mettre en œuvre des mandats de santé mondiale en violation directe de la souveraineté nationale et des droits des citoyens.

Ces propositions tentent d’éliminer l’autonomie législative d’une nation, en cas d’urgence de santé publique réelle ou supposée, en accordant à l’OMS un pouvoir unilatéral d’évaluation et de détermination d’une urgence sanitaire et en donnant à l’OMS le pouvoir de dicter les politiques et les réponses.

Tout cela fait suite à la crise du COVID-19, au cours de laquelle l’OMS a grossièrement mal géré toutes les facettes de la réponse sanitaire mondiale en encourageant les blocages destructeurs de l’économie, en supprimant les traitements préventifs précoces et en recommandant des interventions sur les produits qui ne se sont révélées ni sûres ni efficaces.

Sous le couvert de règlements sanitaires, ces amendements permettraient à l’OMS de s’emparer des pouvoirs de gouvernance exécutifs sur les États membres, accordant des pouvoirs de direction à des bureaucrates non élus et non responsables.

Vous trouverez ci-dessous quelques-unes des nombreuses dispositions ambiguës et préoccupantes des amendements proposés par le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (US Department of Health & Human Services) le 18 janvier 2022.

Le nouveau texte proposé est affiché en gras et souligné, et les suppressions proposées du texte existant sont affichées en barré, exactement comme elles sont écrites dans la proposition. Tous les autres textes restent inchangés.

Article 5 : Surveillance

NOUVEAU 5 : L’OMS élabore des critères d’alerte rapide pour évaluer et mettre à jour progressivement le risque national, régional ou mondial que représente un événement de causes ou de sources inconnues…

Dans la pratique, cela donnerait à l’OMS l’autorité unilatérale de mettre en place un système universel de surveillance de la santé sans examen public ni transparence, laissant ouverte la possibilité de sources fabriquées.

Article 9, section 1

L’OMS peut prendre en compte des rapports provenant de sources autres que des notifications ou des consultations ; elle évalue ces rapports selon les principes épidémiologiques établis et communique ensuite des informations sur l’événement à l’État Partie sur le territoire duquel l’événement est censé se produire. Avant de prendre toute mesure fondée sur ces rapports, l’OMS consulte l’État Partie sur le territoire duquel l’événement est censé se produire et tente d’obtenir une vérification de sa part conformément à la procédure énoncée à l’article 10.

Cette suppression de l’article 9 élimine les consultations avec l’État membre lors d’une « prétendue » urgence sanitaire tout en plaçant l’OMS en position de dicter la manière dont un État Partie doit procéder à l’intérieur de ses propres frontières territoriales. Cela constitue une menace pour la souveraineté nationale et l’autodétermination.

Article 10, section 4

Si l’État Partie n’accepte pas l’offre de collaboration dans les 48 heures, l’OMS peut, lorsque l’ampleur du risque pour la santé publique le justifie, partager immédiatement avec d’autres États Parties les informations dont elle dispose, tout en encourageant l’État Partie à accepter l’offre de collaboration de l’OMS.

Toute nation qui rejette la déclaration de l’OMS n’aura que 48 heures pour reconsidérer sa position et se conformer à celle-ci, ou faire l’objet de pressions de la part d’autres nations et/ou de pénalités telles que des sanctions économiques. L’avis de la nation concernée ne sera plus pris en compte.

Article 12, section 2

Si le Directeur général estime, sur la base d’une évaluation effectuée en vertu du présent Règlement, qu’il se produit une urgence de santé publique de portée internationale, potentielle ou réelle, il en informe tous les États Parties et cherche à consulter l’État Partie… Si le Directeur général détermine et si l’État Partie est d’accord sur cette détermination que l’événement constitue une urgence de santé publique de portée internationale, le Directeur général, conformément à la procédure énoncée à l’article 49, demande l’avis du Comité établi en vertu de l’article (« Comité d’urgence ») sur les recommandations temporaires appropriées.

L’article 12 crée une nouvelle sous-classe d’urgence sanitaire habilitant le directeur général de l’OMS à déclencher unilatéralement les protocoles de pandémie sur la base de la simple supposition d’une menace « potentielle ». La stipulation selon laquelle une nation doit être d’accord avec l’évaluation du secrétaire général est éliminée. Des bureaucrates distants seraient habilités à promulguer une politique de santé non seulement sur des nations entières, mais aussi, par extension, sur des individus, sans tenir compte des souhaits de la nation ou du peuple.

Nouveau chapitre IV (article 53 bis-quater) : Le Comité de conformité

1. Les États Parties établissent un comité d’observation qui est chargé de : (a) Examiner les informations qui lui sont soumises par l’OMS et les États Parties concernant le respect des obligations découlant du présent Règlement ; (b) Contrôler, prodiguer des conseils et/ou faciliter l’assistance sur les questions relatives au respect des règles en vue d’aider les États Parties à se conformer aux obligations découlant du présent Règlement.

L’un des changements les plus insidieux des amendements au RSI est la création d’un « comité de conformité » qui servira de mécanisme administratif et d’application pour garantir que les États se conforment aux directives d’urgence de l’OMS concernant les infrastructures, les dépenses d’investissement, la collecte d’informations et la mise en œuvre de mesures d’urgence.

  • En résumé, les amendements au RSI permettraient, entre autres changements : Intensifier la surveillance de tous les pays et de leurs citoyens.
  • Donner à l’OMS le pouvoir de dire aux autres États membres quand un État membre ne fait pas de déclaration et de lancer des actions punitives.
  • Accorder au directeur général de l’OMS le pouvoir de déclarer quand et où une pandémie ou une « prétendue » urgence se produit en utilisant des sources non divulguées.
  • Conférer au directeur général des pouvoirs illimités pour définir et mettre en œuvre des interventions.
  • Donner à l’OMS la possibilité d’accéder à des capitaux et de les mobiliser en cas de pandémie.

Cette prise de pouvoir de l’OMS, de ses donateurs et des parties prenantes représente une attaque directe contre la souveraineté politique et économique de toutes les nations et de leurs citoyens.

En manquant de façon répétée à ses obligations envers les populations du monde entier par la promotion de politiques qui ont causé des dommages économiques, sociaux, physiques, émotionnels et mentaux catastrophiques dans le monde entier, l’OMS a failli à sa mission d’intendant mondial de la santé publique et ne peut plus être chargée de définir des politiques pour les citoyens du monde.

Pour ces raisons, l’OMS ne devrait pas se voir attribuer plus d’argent, de pouvoir ou d’autorité, ni être autorisée à contrôler l’agenda sanitaire mondial, ni à mettre en œuvre des mesures de biosécurité qui ne répondent pas aux besoins des populations.

Les accords mondiaux négociés par des bureaucrates non élus et non responsables ne doivent jamais être autorisés à gouverner une nation.

Il est impératif que chaque nation et territoire conserve sa souveraineté, surtout en période de crise, afin que l’ensemble de la communauté mondiale puisse être protégée des politiques dirigées au niveau mondial qui profitent aux grands acteurs financiers et idéologiques.

Les soussignés demandent respectueusement que toutes les nations et leurs représentants répudient de tels accords.

Nous nous opposons fermement aux amendements actuels du RSI qui exigeraient des nations et de leurs citoyens qu’ils adhèrent aux diktats d’un organisme mondial non responsable.

Nous nous opposons à toute participation à un traité, un accord ou tout autre document mondial juridiquement contraignant qui entraverait la souveraineté d’une nation dans le domaine de la santé publique.

Nous affirmons que les nations et leurs habitants sont les mieux placés et les mieux équipés pour prendre des décisions appropriées en matière de santé.

Nous demandons que les peuples de chaque nation soient chargés de déterminer leur réponse aux crises sanitaires.

En tant que citoyens du monde, nous exigeons le respect des droits, des libertés et de la vie privée de tous les membres de la communauté mondiale en rejetant les amendements au RSI et la tentative de l’OMS d’usurper le pouvoir et l’autorité de la politique de santé de la place qui lui revient, chez elle, parmi les gens.

Agissez dès maintenant en envoyant un courriel ou en téléphonant à votre président, Premier ministre, députés, sénateurs, représentants et autres fonctionnaires pour leur demander respectueusement de rejeter les amendements au RSI. Vous pouvez trouver des numéros de téléphone et des adresses électroniques en effectuant une recherche sur Internet. Veuillez partager cette information avec toutes les personnes que vous connaissez !

Le 18 mai 2022, cette déclaration a été rédigée et signée par,

Leslie Manookian
Health Freedom Defense Fund


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