Étiquette : Europe

Le château de cartes de la théorie des germes

Le grand public, dans le présent comme dans le passé, n’est que trop disposé à croire ce qu’on lui dit tant que l’histoire est simple et facile à comprendre. Il se laisse contrôler, croyant en des entités pathogènes invisibles dont il n’a jamais été prouvé scientifiquement qu’elles existaient comme causes de maladies. Il n’est pas disposé à consacrer du temps et des efforts à enquêter pour vérifier si les simples fantasmes de la théorie des germes qu’on lui a vendus sont, en fait, vrais. C’est pourquoi il a été beaucoup trop facile pour le monde entier de s’enfermer sous le faux prétexte d’une « pandémie », alors qu’il n’y avait rien de tel. Il n’y avait même pas l’ombre d’une preuve scientifique de l’existence d’un nouveau « virus » pathogène, et encore moins de la propagation rapide d’une « nouvelle maladie » à travers le monde. Toute personne ayant consacré un peu de son temps et de ses efforts à la recherche et à la compréhension de la situation aurait facilement démasqué l’escroquerie dès le début. Cependant, le grand public, sans vraiment réfléchir à la question, a abandonné sa propre autorité aux conteurs, acceptant volontiers l’histoire sur la base de la propagande de peur fournie par les médias grand public, comme cela a été le cas tout au long du siècle dernier.

Heureusement, tout le monde n’a pas accepté de céder son esprit aux intérêts particuliers qui cherchent à obtenir le pouvoir et le contrôle de l’histoire. De nombreux scientifiques et médecins respectés se sont opposés à la théorie des germes qui a été élaborée à partir des années 1800.

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La Chine — ce système de domination nous menace tous !

Il y a quelques décennies, la Chine était un pays agricole totalement appauvri et en retard au niveau technologique. En l’espace d’une trentaine d’années seulement, elle est en train de devenir une puissance mondiale de premier rang du point de vue économique, technologique et militaire. Pour bien situer cette ascension fulgurante de la République populaire de Chine, il est important d’examiner de plus près sa naissance et son développement. En effet, ce qu’on ne lit pas dans les livres d’histoire officiels ni même dans les médias grand public sur l’histoire de la République populaire de Chine, ce serait que, selon des journalistes d’investigation renommés, elle est indissociable de trois noms : Rothschild, Rockefeller et les Skull & Bones.

(Vidéo < 16 min) + Qui contrôle ? (Vidéo 2 min)

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La condition de l’homme différencié dans le totalitarisme postmoderne occidental

La fin de la guerre froide a été proclamée par les hérauts du Nouvel Ordre Mondial triomphant comme l’aube de la liberté humaine, l’Humanité marchant unie vers une utopie. Tel était le ton de l’optimisme pseudo-messianique de penseurs atlantistes comme Francis Fukuyama.

Au cours des dernières décennies, cependant, nous avons vu la planète glisser vers l’arrangement le plus totalitaire jamais vu sur la surface de la Terre.

Comme le décrit le philosophe Alexandre Douguine, privé de rivaux, le libéralisme se dilue et se confond avec la réalité objective elle-même. Tout ce qui est idéologique cesse d’être perçu comme tel par simple absence de choix. Si l’on ne connaît que le libéralisme, ce n’est pas un « isme », mais simplement la science, la réalité, la vérité.

Mais ce qui est peut-être le plus dangereux, c’est que dans la mesure où, en raison de ses racines illuministes et universalistes, le libéralisme a prétendu parler au nom de l’Humanité, il a abouti à l’exclusion de la « sphère humaine » de tous ceux qui rejettent le libéralisme. Le libéralisme s’étant étendu à la quasi-totalité de la planète, cela signifie que sur le plan horizontal, géographique, il n’y a plus de refuge, plus d’endroit où fuir.

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Pourquoi les ondes artificielles sont les plus dommageables

C’est l’un des nombreux arguments fallacieux souvent utilisés par ceux qui ignorent les effets biologiques des champs électromagnétiques (CEM) artificiels — et ceux qui ne veulent pas que le public les découvre :

Ils prétendent que les CEM artificiels sont inoffensifs parce qu’ils ne sont pas assez puissants pour provoquer des cassures de l’ADN comme le font les rayonnements ionisants pouvant arracher ou donner des électrons aux atomes, tels que le radon, les rayons X ou les rayons gamma. Même l’Organisation mondiale de la santé déclare que les seuls effets avérés sur la santé des rayonnements non ionisants d’origine humaine sont l’échauffement dû à une exposition aiguë à des niveaux élevés de radiofréquences (RF) ou la stimulation nerveuse et musculaire et l’excitabilité des cellules du système nerveux central par les CEM domestiques (50/60 Hz, également appelés rayonnements d’extrêmement basses fréquences — EBF).

Toutefois, des milliers d’études scientifiques évaluées par des pairs ont montré que l’exposition chronique et/ou aiguë aux CEM EBF des lignes électriques et RF des communications sans fil peut être préjudiciable parce que ce rayonnement artificiel a deux propriétés uniques et nuisibles absentes dans la nature, a expliqué le biophysicien grec Dimitris J. Panagopoulos PhD lors d’un atelier du Parlement européen sur l’électrohypersensibilité, tenu à Bruxelles le 13 avril dernier.

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Les projets pilotes de portefeuilles d’identité numérique de l’UE se déroulent en catimini

En ce début d’année 2023, la Commission européenne semble très occupée à développer et à mener des projets pilotes pour son portefeuille d’identité numérique de l’UE (EUDI), qu’elle a l’intention de mettre à la disposition de tous les citoyens de l’UE dans un avenir proche. Mais si la Commission européenne vante la commodité, la sécurité et le large éventail de cas d’utilisation possibles de l’EUDI dans la vie quotidienne, ce qui est moins discuté, c’est le potentiel de l’outil pour un grand nombre de questions éthiques et de surveillance.

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Russophobie et hispanophobie : des histoires presque parallèles

Les visiteurs de la bibliothèque du monastère de l’Escorial peuvent voir, près du portrait de la belle Isabelle du Portugal, plusieurs cartes de l’Eurasie datant du 16e siècle voire d’avant. L’Espagne dominait le monde à cette époque et il est compréhensible que la plus riche bibliothèque de l’Empire contienne les meilleures cartes de ce qui était alors le monde cartographié. Quiconque veut chercher la Russie sur ces cartes de l’Escorial ne la trouvera pas. De fait, vous ne la trouverez pas. À la place, vous verrez « Tartarie ». Les Russes qui visitent la bibliothèque s’en amusent beaucoup.

Russophobie ? Non. Il n’y avait pas de russophobie au 16e siècle parce que ce que nous appelons aujourd’hui la Russie n’existait pas. En revanche, il y avait une très forte hispanophobie encouragée par les Hollandais, les Anglais et les Français, alors ennemis de l’Espagne. L’hispanophobie avait le vent en poupe. Une Légende Noire créée pour une seule raison : l’Espagne était la puissance dominante du monde et, de plus, elle défendait la foi de Rome contre les hérésies dogmatiques anglo-teutoniques contre Rome qui avaient surgi en particulier dans le Nord de l’Europe (un Nord plus tard dominateur).

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Trois scénarios démographiques et une espérance

Elon Musk tweete souvent sur le danger du dépeuplement : « Beaucoup trop de gens ont l’illusion que la Terre est surpeuplée, même si les tendances du taux de natalité se dirigent de toute évidence vers un effondrement démographique », « Un effondrement du taux de natalité est notre plus grand problème ». « La civilisation est de loin confrontée à un danger mortel », « Accélération de l’effondrement démographique mondial », etc.. Bien d’autres personnalités se sont également récemment inquiétées des taux de natalité extrêmement bas dans une grande partie du monde. Les taux de natalité sont tombés bien en dessous du niveau de remplacement en Europe, en Asie, en Amérique du Nord et du Sud, et ils diminuent désormais fortement en Afrique. La « transition démographique » d’une fécondité élevée à une fécondité faible s’est produite ou se produit partout.

Peut-être grâce à M. Musk, beaucoup de gens discutent désormais des questions de population : y a-t-il trop ou pas assez de monde, la population mondiale est-elle en train d’exploser ou de s’effondrer ? (…) nous devrions au moins pouvoir nous mettre d’accord sur quelque chose d’empirique, comme savoir si nous nous dirigeons actuellement vers un monde aussi peuplé que Hong Kong ou aussi vide que la Sibérie. (…) Les calculs démographiques ne sont pas si difficiles. Ce n’est que de l’arithmétique, il est donc surprenant qu’un brillant technologue comme Musk se trompe à ce point.

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Le mystère Athos

« … sachez distinguer toujours le roi de la royauté ; le roi n’est qu’un homme, la royauté, c’est l’esprit de Dieu ; quand vous serez dans le doute de savoir qui vous devez servir, abandonnez l’apparence matérielle pour le principe invisible, car le principe invisible est tout. Seulement, Dieu a voulu rendre ce principe palpable en l’incarnant dans un homme. »

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Une approche eschatologique biblique pour comprendre le transhumanisme

S’il est un adjectif qui décrit la modernité occidentale en quelques mots, je dirais que c’est l’adjectif « autosuffisant ». Lorsque l’Internationale a été chantée pour la première fois par les insurgés communistes parisiens de 1848, ils chantaient avec défi qu’aucun Dieu, aucun roi et aucun empereur ne viendrait les sauver ; ils le feraient eux-mêmes, merci beaucoup. Frank Sinatra, qui a adapté la chanson française Comme d’habitude en anglais, « I did it my way » (je l’ai fait à ma façon), une chanson remarquablement populaire lors des enterrements dans plusieurs pays occidentaux, incarne une conviction équivalente dans le royaume pseudoconservateur anglophone.

Cette autosuffisance est un enthousiasme nouveau dans l’histoire de l’homme. Même dans la culture la plus autarcique que j’ai étudiée en profondeur — le monde des anciens Nordiques ou Vikings, que j’ai rencontré à Cambridge — il n’y avait pas ou peu d’idée qu’un homme prospère, aussi païen et colonisateur soit-il, devait chercher à résoudre les questions de son existence et de son but entièrement seul et sans aide. Il y avait des divinités et la sagesse des ancêtres et des proches pour cela, et ne pas profiter de leurs conseils était considéré comme de la folie pure, voire de l’impiété.

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Saint-Exupéry contre la vie ordinaire

« Vieux bureaucrate, mon camarade ici présent, nul jamais ne t’a fait évader et tu n’en es point responsable. Tu as construit ta paix à force d’aveugler de ciment, comme le font les termites, toutes les échappées vers la lumière. Tu t’es roulé en boule dans ta sécurité bourgeoise, tes routines, les rites étouffants de ta vie provinciale, tu as élevé cet humble rempart contre les vents et les marées et les étoiles. Tu ne veux point t’inquiéter des grands problèmes, tu as eu bien assez de mal à oublier ta condition d’homme. Tu n’es point l’habitant d’une planète errante, tu ne te poses point de questions sans réponse : tu es un petit bourgeois de Toulouse. Nul ne t’a saisi par les épaules quand il était temps encore. Maintenant, la glaise dont tu es formé a séché, et s’est durcie, et nul en toi ne saurait désormais réveiller le musicien endormi ou le poète, ou l’astronome qui peut-être t’habitait d’abord. »

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« L’ACCORD CÉRÉALIER ». LES SOMMETS DU CYNISME

Si dans l’antiquité le terme « cynisme » était directement associé à l’école philosophique grecque d’Antisthène qui prônait des valeurs telles que l’humilité, la vertu et la sagesse — soit parfaitement saines — notre époque n’a rien retenu du passé et a transformé ce noble terme qu’en mépris profond et qu’en absence de morale.

Le mépris et l’immoralité, jumelés à une profonde hypocrisie, devenus des normes dans le monde politique actuel — on les retrouve pleinement aujourd’hui dans le cadre de l’une des plus importantes machinations de la dernière décennie organisée par les décideurs du monde occidental : « l’Initiative pour le transport sécuritaire des céréales et des aliments à partir des ports ukrainiens », plus communément connue comme « l’Initiative céréalière de la mer Noire » ou « l’Accord céréalier ».

Afin de comprendre la réalité et d’avoir une vision claire de « l’Accord céréalier » en question, voyons les éléments, d’une part, visibles et largement diffusés auprès de l’opinion publique mondiale et, d’autre part, ceux soigneusement dissimulés, car en totale opposition avec la partie visible de l’iceberg : le rôle réel des céréales ukrainiennes et russes sur la scène internationale ; les véritables répercussions préméditées des sanctions occidentales antirusses vis-à-vis du marché mondial des céréales, légumineuses et engrais agricoles ; les réels rapports ukraino-occidentaux dans le cadre de « l’Accord céréalier » et le rôle-clé sous-jacent des grands groupes occidentaux. 

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Le complexe américain de Napoléon

La profession psychiatrique préfère ignorer la possibilité d’une folie collective et se concentrer sur les troubles individuels, en dépit d’une masse de preuves historiques montrant que des sociétés et des nations entières ont été saisies par des troubles mentaux d’une sorte ou d’une autre. Quoi qu’il en soit, le complexe de Napoléon, ainsi nommé en l’honneur de Napoléon Bonaparte, qui était beaucoup trop petit pour un dirigeant national de son époque et aussi incroyablement méchant et imbu de sa personne pour compenser, n’est en aucun cas un diagnostic médical reconnu.

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Un gouvernement mondial unique : une réalité évidente

Beaucoup d’entre nous ont remarqué qu’avec l’apparition de la pandémie dite de Covid-19, une nouvelle donne dans les relations internationales est apparue, qui avait peut-être échappé à beaucoup d’entre nous jusqu’alors. À savoir qu’au-delà de toute divergence entre plusieurs pays et groupes de pays, ceux-ci se soumettent tous, sans aucune déviation, à un seul centre de pouvoir mondial.

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Le pape François et la fin de nos racines chrétiennes

La béatification des récents papes a montré que le concile Vatican II avait triomphé de la tradition et que l’Église, accompagnant l’Europe, avait elle aussi abjuré ses racines chrétiennes. Elle s’est assise sur son passé, sécularisée et laïcisée, même si de bons papes comme Benoît XVI ont prétendu cacher l’iceberg de la glaciale modernité.

Bergoglio — il est temps de le dire —, en dépit de ses cruelles intentions, de ses provocations grossières et de ses viles manières, n’est pas un isolé. Il reflète ce que devient le gros de la catholicité inculte à travers le monde. Voyez des images (puisque nous ne vivons que d’images, surtout de ces papes mués en vedettes télé) de Pie XII et des cortèges de ces temps vénérables et oubliés — et vous verrez la différence.

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Des choux contre le graphène

Les Choux frisés, Kales, et Caulets, très antioxydants et très anti-carcinogéniques, pour la bioremédiation des dérivés de Graphène, et autres nanoparticules métalliques, dans l’organisme humain.

Les Choux frisés, Kales et autres Caulets peuvent constituer l’un des aliments essentiels pour la bioremédiation des dérivés de Graphène, et autres nanoparticules métalliques, dans l’organisme humain. Pourquoi ?

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L’homme et la science moderne ont-ils évolué depuis le Moyen-Âge ?

La théorie virale relève-t-elle de la science ou de la Foi ?

Du temps de l’inquisition, la « Vérité » avec son grand « V », donc incontestable, était uniquement basée sur la Foi et sur des dogmes.
Disons-le franchement, c’était quand même beaucoup plus pratique et bien moins source de controverses.

Le consensus était l’unique voie (ou voix), et quiconque s’en éloignait risquait de terminer brûlé comme hérétique.

Il ne saurait y avoir de « Vérité » avec un grand « V » en science. La vérité relevant uniquement du dogme ou de la foi, qu’elle soit religieuse ou pas.
Une vérité scientifique ne peut exister qu’à la condition qu’elle puisse être fausse (ou réfutée).

À l’inverse, une fausse « science » n’aura jamais tort et toutes les expériences prétendument « scientifiques » n’auront pour seul objet que de confirmer le dogme.
C’est notamment ce qui se vérifie depuis la crise du Covid ou le changement climatique.

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Woodrow Wilson et la fin du monde

L’ancien diplomate du département d’État James Carden a récemment souligné la désintégration complète et l’anéantissement de la diplomatie américaine sous l’influence néfaste de l’internationalisme libéral du Nouvel Ordre Mondial. (…)

Loin d’apporter la paix, l’accord de Versailles de Wilson était si stupide, si arrogant, si ignorant et si mal conçu et exécuté qu’il a ouvert la voie à la montée d’Adolf Hitler et à un nouvel âge sombre de fascisme, de haine raciale enflammée et de ruine économique qui a réduit l’Europe à un charnier au cours du quart de siècle suivant.

… le messianisme laïque fou que Wilson a injecté — plus mortel que la consommation d’héroïne — dans la politique étrangère des États-Unis et dans la « pensée » dominante américaine ou ce qui passe pour tel, n’a jamais disparu. Et nous en voyons aujourd’hui les conséquences inévitables, terribles et redoutables.

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Professeur Contreras : « Le piège de l’Agenda 2030 est dans les petits caractères »

Le podcast espagnol Luz del Mundo — une production de l’Association catholique des propagandistes (ACdP) et de l’Institut des sciences humaines CEU Ángel Ayala — aborde cette semaine un sujet controversé : l’Agenda 2030 et les Objectifs de développement durable (ODD). Il le fait avec l’aide du professeur de philosophie du droit et ancien député de Vox au Congrès Francisco J. Contreras, qui le considère comme le visage le plus visible de l’ONU agissant « en tant que gouvernement proto-mondial ». Dans une conversation avec la journaliste Ana Campos, le Professeur Contreras affirme que, même si les Objectifs de développement durable semblent à première vue incontestables, « le problème est dans les petits caractères ».

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Quand la fascination pour le simulacre américain explique le suicide européen

L’Amérique nous hypnotise à volonté, elle nous pousse au suicide et sans forcer son talent : la dette et les usuriers des fonds de pension comme Fink, c’est elle ; le transhumain et le Reset c’est elle et ses milliardaires ; le virus et les vaccins c’est elle (Bourla veut dire « plaisanterie » — burla, en espagnol) ; la russophobie et l’extermination nucléaire en Europe, ce sera aussi elle (elle est sûre que jamais la Russie complexée ne s’en prendra à elle directement) ; les nouvelles chasses aux sorcières et le nouveau puritanisme moral, c’est elle ; les privatisations et la déglingue à la Dick, c’est toujours elle. Elle va nous exterminer et nous l’en remercions, et nous la divinisons. Elle fait penser au serpent biblique : elle amène la connaissance, une connaissance vide et creuse, et nous perdons tout au passage. Mais nous sommes contents. Comme le serpent du Livre de Jungle, elle nous hypnotise avant de nous bouffer, l’Amérique.

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Tyrannie humanitaire : René Guénon et la monstruosité occidentale

La civilisation occidentale devient totalement dégoûtante aux yeux du monde et des antisystèmes. Elle déraille sur le plan spirituel, économique, écologique, culturel, sexuel. Elle est toujours plus folle et belliqueuse, humanitaire et missionnaire, arrogante et psychopathe. Problème : elle a souvent été comme ça pendant son histoire. (…)

« La civilisation occidentale moderne apparaît dans l’histoire comme une véritable anomalie : parmi toutes celles qui nous sont connues plus ou moins complètement, cette civilisation est la seule qui se soit développée dans un sens purement matériel, et ce développement monstrueux, dont le début coïncide avec ce qu’on est convenu d’appeler la Renaissance, a été accompagné, comme il devait l’être fatalement, d’une régression intellectuelle correspondante… »

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René Guénon et notre civilisation hallucinatoire

Il est évident que nous vivons sous hypnose : abrutissement médiatique/pédagogique, journaux, actus en bandeaux, « tout m’afflige et me nuit, et conspire à me nuire. » Mais cette hypnose est ancienne et explique aussi bien l’ère d’un Cromwell que celle d’un Robespierre ou d’un Luther-Calvin. L’occident est malade depuis plus longtemps que la télé… O Gutenberg…

Dans Orient et Occident, Guénon dénonce le caractère fictif de la notion de civilisation ; puis son caractère hallucinatoire à notre civilisation ; enfin son racisme et son intolérance permanents (sus aux jaunes ou aux musulmans, dont les pays — voyez le classement des pays par meurtre sur Wikipédia — sont les moins violents au monde). Problème : cette anti-civilisation dont les conservateurs se repaissent, est la fois destructrice et suicidaire. Exemple : on détruit des dizaines de pays ou des styles de vie pour se faire plus vite remplacer physiquement (puisque métaphysiquement nous sommes déjà zombis)…

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Crimée et châtiment : Dostoïevski et la russophobie éternelle

Certaines et certains croient que la Russie est impopulaire du fait de l’acharnement américain. Rien n’est plus faux : l’Europe a toujours voulu plus ou moins la guerre (France, Allemagne, Autriche, Angleterre), ou victime à l’Est de l’Empire russe ou du communisme, et cela ne s’efface pas comme ça.

Un qui avait tout compris est Dostoïevski.

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La Russie et le Great Reset selon Lucien Cerise

La Grande Réinitialisation, ou Great Reset en anglais, est un programme d’inspiration cybernétique visant à informatiser totalement les sociétés humaines au point de « fusionner le biologique et le numérique », selon les mots de Klaus Schwab, président du World Economic Forum (WEF, forum de Davos). L’informatique doit devenir omniprésente, un passage obligé de chaque instant, un goulot d’étranglement universel, pour mener une existence normale. Plus largement, il s’agit de dépasser la condition humaine pour nous acheminer vers le transhumanisme au moyen d’un encadrement complet de la vie quotidienne par les technologies NBIC — nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Les organisations du capitalisme occidental (WEF, FMI, GAFAM) soutiennent ce programme avec enthousiasme. Mais comme l’explique Peter Töpfer :

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Harcelés par leur Ordre, des médecins belges lanceurs d’alerte se liguent pour riposter

… Des milliers de médecins ont accepté, jusqu’à aujourd’hui, de se conformer à la Doxa et à la censure imposées par des autorités de santé manifestement sous emprise des grands laboratoires pharmaceutiques et de leurs « experts ». …

Cette industrie est dominée par quelques multinationales devenues plus puissantes que les États et qui leur dictent leurs décisions, via leurs cabinets de consultance et leurs experts à leur service qui ont infiltré les autorités de santé nationales et supranationales. …

Cette industrie pharmaceutique décide insidieusement de la réussite des carrières d’experts qui abondent dans le sens de ses intérêts financiers, docilement, hypocritement, en suivant l’adage de bon sens qu’on ne mord pas la main qui nous nourrit !

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James Fenimore Cooper et la critique de la presse américaine

La critique des USA a été longtemps considérée comme l’apanage de xénophobes ou de réactionnaires (elle est même criminalisée en ces temps d’agonie impériale et occidentale). En réalité elle a toujours existé dans les milieux intellectuels américains — dont les représentants les plus brillants, de Poe à Auster en passant par la génération perdue, ont toujours été en lutte contre une matrice monstrueuse faite de ploutocratie humanitaire, de racisme stratégique, de tartuferie puritaine et de militarisme impérial.

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