Le totalitarisme informatique qui vient

[Source : qg.media]

Par Laurent Mucchielli

Qu’est-ce que l’informatisation, le numérique et l’Intelligence Artificielle (IA) font à nos vies sociales et individuelles ? Qu’est-ce qu’ils font à nos sociétés, nos façons de vivre ensemble (ou pas), et finalement à nos démocraties ? Entretien avec Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine et directeur du séminaire « Accumulations et accélérations » à la Fondation Maison des Sciences de l’Homme de Paris. Il vient de publier Le totalitarisme informatique aux éditions Le bord de l’eau.

1) Bonjour Christopher, pouvez-vous nous présenter votre parcours universitaire, nous dire pourquoi vous vous intéressez à ces questions, et nous dire aussi si vous avez des liens d’intérêts quelconques en jeu dans ce débat ?

Après des études de droit dans une Faculté pluridisciplinaire à Hambourg et à la Faculté de droit de Montpellier, j’ai fait une thèse de droit public sous la direction de Michel Miaille, un professeur à la fois charismatique, à la démarche transdisciplinaire et aux compétences méthodologiques exceptionnelles. C’est ce travail d’exploration et de conceptualisation, bien plus que les études antérieures, qui m’a formé et donné envie de faire de la recherche et d’enseigner. Au cours de ces années de thèse, à partir de 1987, j’ai commencé à me familiariser avec l’informatique, à l’apprendre et à la critiquer dans la pratique, sans jamais avoir suivi la moindre formation. Par ailleurs, je ne suis pas affecté par des liens ou des conflits d’intérêts.

2) Vous insistez sur le fait que l’on doit continuer à parler d’« informatique » et non de « numérique », car tout cela reste du codage informatique, donc de la pensée binaire (on code 0 ou 1), comme la binarité du courant électrique. C’est oui ou c’est non, je like ou je ne like pas. C’est bien ça ?

Tout à fait : comme le mathématicien et philosophe Oliver Rey l’a montré, les 0 et 1 du langage informatique ne sont pas des numéros ou des chiffres, mais des signes d’un code1. On pourrait les remplacer par A et B ou ¤ et . La substitution terminologique d’informatique par numérique (et par son équivalent anglais digital dans le monde anglophone) semble témoigner de la disponibilité des sociétés contemporaines à se laisser berner. C’est un penchant aux conséquences bien plus graves face à d’autres mensonges soutenant l’informatisation du monde, notamment le discours omniprésent d’une intelligence artificielle (IA) et d’un apprentissage des machines et logiciels (nous y reviendrons)2.

3) Vous écrivez : « les machines électriques n’émettent pas de signes, mais des signaux. Le signal est un message codé dont la signification est définie à l’avance, de façon conventionnelle ou unilatérale ». Vous donnez en exemple le fait que l’on n’écrit parfois plus qu’avec des émoticônes. Et vous comparez « la marche informatisée de la société humaine » avec « l’autorégulation instinctive des insectes sociaux ». Qu’est-ce que l’informatisation fait à nos échanges et à notre réflexion ?

C’est difficile à résumer en quelques lignes ! Elle tend à transformer la pensée et le ressenti individuels ainsi que les interactions et la vie sociales en des opérations purement fonctionnelles, instinctives ou machiniques. Se crée ainsi, comme le disait Hannah Arendt, « un monde de réflexes conditionnés, de marionnettes ne présentant pas la moindre trace de spontanéité. » Mais comme les êtres humains ne sont ni des animaux, ni des machines, cette transformation, cette automatisation ne pourra qu’échouer : à partir d’un certain seuil d’expulsions de la vivacité individuelle et collective, les besoins psychiques, insatisfaits par le fonctionnalisme et l’utilitarisme ambiants, donneront lieu à des explosions de violence, des effondrements dépressifs, des morts subites à grande échelle, comme l’a anticipé l’écrivain Jaime Semprun3. On peut le dire plus rapidement : l’informatisation, c’est la plus grande vague de rationalisations qu’ait connue l’humanité. Or, comme Max Weber l’a bien pressenti, « toute rationalisation radicale engendre, avec la nécessité d’un destin, des irrationalités ».

4) Le téléphone portable est l’un des principaux objet et symbole de cette vie informatisée. On est relié instantanément à tout mais on est seul en réalité. Comment cette évolution technologique s’articule-t-elle sur l’évolution de nos modes de vie ?

À merveille ! La puissance et l’attractivité diabolique du smartphone résident précisément dans sa correspondance parfaite à notre société individualisée. Il s’agit d’un véritable prodige sans précédent dans l’histoire humaine : un outil et intermédiaire universels, condensant « l’ensemble de nos affections sociales à travers un seul objet technique, constamment appendu à notre corps », comme l’explique le professeur de littérature et médias Yves Citton. Il matérialise la promesse de la Modernité d’ériger l’individu (plus précisément l’être humain qui se transforme en individu) en maître de sa vie et de son destin : grâce à lui, nous dit le socio-anthropologue Nicolas Nova, « l’individu est devenu “entrepreneur de sa vie” ». Assouvissant momentanément notre désir d’omnipotence, il nous ramène aussitôt à l’impuissance face à l’immense bureaucratie que sont Internet et le monde informatisé. De la même façon que dans la cité marchande mondialisée, l’individu ne survit que quelques jours en cas de flux d’approvisionnement ralentis ou de propagation de pathogènes au contraire accélérée. Dans votre question, apparaît d’ailleurs une discrète référence à Seuls ensemble, ouvrage clef de la célèbre psychologue du MIT Sherry Turkle sur un paradoxe majeur de notre temps, précédé d’ailleurs de quelques années d’un livre resté confidentiel de Miguel Benasayag et Angélique del Rey4.

5) L’informatique, c’est aussi l’accélération, voire l’instantanéité des échanges d’informations. Vous prolongez ici les analyses de Hartmut Rosa, n’est-ce pas ?

Tout à fait, et le paradoxe évoqué à l’instant se manifeste à nouveau : que tout devrait aller plus vite pour que moi, j’aie plus de temps, est une maxime bien sûr intenable à l’échelle collective. En outre, comme je l’explique dans l’ouvrage, il est vrai que pour rédiger ce texte, l’informatique accélère mes démarches et me facilite grandement la vie. Obnubilé par cette optimisation de mon labeur, je ne vois pas que mes amis, collègues, rivaux se perfectionnent tout autant. Au final, on aura tous écrit et publié plus et plus vite, mais cela ressemblera à un jeu à somme nulle : l’avancée de chacun est compensée ou annulée par celle des autres ! La logique de l’accélération est donc profondément mortifère.

6) L’informatique c’est aussi l’arrivée de l’IA et des algorithmes, qui produisent l’automatisation. En quoi cela affecte le droit et la justice ? Et l’éducation à l’école ? Au final, est-on un meilleur professionnel ou un meilleur apprenant grâce à l’informatique ?

Concernant l’automatisation du droit et de la justice, on est dans la prospective. Mon hypothèse, c’est qu’il s’agit d’une rationalisation susceptible de générer, une nouvelle fois, des irrationalités, des effets pervers. Tout d’abord, on se retrouve, encore une fois, devant une sorte de jeu à somme nulle : on espère pouvoir faire plus avec moins pour pallier le manque de moyens de la justice. On oublie qu’en facilitant les procès, les conflits sont susceptibles de se multiplier. Ensuite, l’informatisation sabote le droit en tant qu’« empire du tiers », pour reprendre le titre du dernier ouvrage de François Ost5. Car organiser la résolution des litiges comme une régulation technique par le langage univoque des algorithmes amoindrirait l’interprétation juridique, au cœur de l’activité du juriste, et le rôle du juge présidant la délibération contradictoire. Cela diminuerait également la confiance, le consentement et l’engagement des parties dans un procès ainsi que l’imperfection du droit et l’imprévisibilité des décisions de justice qui sont des conditions de leur fonctionnement. Enfin, elle signifierait une rigidification du droit et de la justice au détriment de leur ouverture et souplesse, car en s’appuyant sur les « données massives » (big data), on arrimerait le présent et l’avenir au passé.

Quant à l’éducation, la catastrophe est déjà avérée. Sans parler de la multiplication des violences induites par les réseaux (a)sociaux, on doit rappeler que l’apprentissage est un processus complexe inscrit dans la durée qui allie l’acquisition de gestes corporels, le développement cérébral, l’évolution cognitive et la maturation sociale. L’apprentissage sur des écrans perturbe ce processus, notamment en réduisant la motricité et les interactions sociales.

7) Au départ, Internet était porteur de tous les idéaux démocratiques. La déception semble immense ici aussi. Cela concerne les libertés, mais aussi l’évolution des inégalités sociales. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Jusqu’il y a quelques années, Internet était effectivement vu comme facteur d’émancipation et de démocratisation : « L’Internet va aplanir les organisations, mondialiser la société, décentraliser l’autorité et favoriser l’harmonie entre les êtres humains », disait Nicholas Negroponte, célèbre informaticien au MIT. Toutefois, « le web n’est pas émancipation, mais mobilisation », comme l’explique le philosophe Maurizio Ferraris et l’illustrent les révolutions arabes et les Gilets jaunes. L’aplanissement est un leurre : « le monde numérique n’est pas horizontal mais bien hiérarchisé »6. S’il y a une certaine horizontalisation, elle n’est qu’apparente, car autorisée et sous-tendue par un système plus centralisé, plus opaque, plus surveillé et plus incontestable, au détriment notamment des libertés individuelles et collectives. L’horizontalité des échanges entre les utilisateurs est largement neutralisée par la verticalité du pouvoir des opérateurs. Ce clivage se trouve déjà dans le mécanisme marchand dont Internet perfectionne la logique : le marché est cet espace-temps où se rencontrent et échangent des acteurs supposés égaux, isolés les uns des autres. Contrairement à la légende néolibérale, c’est une instance publique qui présuppose, comme la résolution des litiges, le tiers et donc la puissance publique. C’est la raison pour laquelle l’extension des marchés et plus largement l’individualisation des sociétés vont de pair avec l’augmentation du pouvoir étatique7. Pour l’instant, le tiers qui encadre l’informatique et surtout Internet réside chez des acteurs privés surpuissants ce qui donne lieu à une verticalité soustraite à toute délibération démocratique.

Sans doute s’est-on laissé tromper par la centralité des écrans avec leurs images qui dissimulent le fait que l’informatique est un dispositif plus sémantique que visuel. C’est avant tout un univers de textes — 100 millions de lignes de code dans une voiture automatique, nous dit Guillaume Pitron — impliquant une énorme bureaucratisation, au sens étymologique d’un pouvoir du bureau et de l’écrit. Ce monde textuel héberge un surcroît d’abstraction et de technicité, difficiles à maîtriser pour les non-initiés qui se trouvent essentiellement chez les couches populaires. Contrairement aux discours publicitaires, « les outils numériques se révèlent être des techniques profondément inégalitaires […]. En effet, à leur inégalité de répartition […] s’ajoute le fait qu’elles présupposent, pour être utilisées de façon performante, la mobilisation de compétences communicationnelles elles-mêmes inégalement distribuées en fonction […] du capital culturel des usagers », nous dit le chercheur en informatique Bernard Miège, précisant une intuition formulée par Alain Minc et Simon Nora dès 1978.

8) L’informatique décuple les systèmes de surveillance des individus. C’est le règne du panoptique. Où en sommes-nous en matière de surveillance électronique ?

Pour répondre, j’avoue qu’il faudrait encore pousser plus loin recherches et réflexions. Dans l’immédiat, disons que d’un côté, l’informatique et la surveillance électronique perfectionnent le panoptique inventé par Jeremy Bentham et conceptualisé par Michel Foucault. De l’autre, à la différence du panoptique classique et du « télécran », combinaison de téléviseur et de caméra de surveillance dans 1984 de George Orwell, il ne s’agit plus de percevoir des personnes, mais de traiter des données. Le sociologue Zygmunt Bauman estime que nous assistons à « [l]a fin du panoptique [qui] augure la fin de l’ère de l’engagement mutuel : [notamment] entre les superviseurs et les supervisés ». En effet, le contrôle du bon fonctionnement du système et de la population est également envisageable de façon décentralisée dans le cadre d’une « surveillance diffuse » (Clémence Codron). Chacun est alors appelé à adopter une posture d’autodiscipline et à veiller simultanément sur son entourage, car « l’informatique crée les conditions d’une autosurveillance généralisée » (Jacques Attali).

Quelle que soit la forme que prendra la surveillance, celle-ci passe(ra) par l’exploration — statistique et algorithmique — de données, débouchant sur une possible « gouvernance par les données » (le politiste Félix Tréguer) que la juriste Antoinette Rouvroy appelle la « gouvernementalité algorithmique ». Celle-ci opérerait à travers une régulation anticipative plutôt qu’une réglementation des conduites, s’adressant aux individus par voie d’alertes suscitant des réflexes, plutôt qu’en s’appuyant sur leur compréhension.

Par ailleurs, si cette problématique mérite notre vigilance, focaliser le débat public autour de l’informatique sur la surveillance masque le fait que dans la société informatisée, l’assujettissement des individus massifiés tend à s’effectuer avec leur complicité. Comme le dit le philosophe allemand Byung-Chul Han dans son formidable petit essai Infocratie (que nous n’avons pas pu utiliser pour notre ouvrage) : « La domination se parachève au moment où liberté et surveillance reviennent au même »8.

9) Vous écrivez : « de par son haut degré d’abstraction, l’informatique paraît aux antipodes de la violence physique. En réalité, son potentiel hypnotique bloque le développement des enfants et contribue à la désocialisation et bien souvent à la désinhibition des adultes, devenant alors disponibles aux violences les plus graves ». Pouvez-vous nous expliquer en quoi?

On a l’impression que l’organisation capitaliste de la société engendre la pression, voire la nécessité de rationaliser et donc d’optimiser tous les aspects et composantes du monde. L’informatique approfondit cette tendance. Cela implique la réduction progressive de l’être humain à son seul fonctionnement, biologique et social, au détriment de ses dimensions affective, spirituelle et culturelle. Or, celles-ci correspondent à des besoins impératifs et ne peuvent donc être supprimées. Par conséquent, en en faisant abstraction, en voulant assimiler l’humain à une machine, la rationalisation les pousse à se manifester de façon plus ou moins durcie et rigidifiée, voire « fondamentaliste » et perverse. Elle fait ainsi le lit d’une vaste panoplie de violences.

En même temps, la communication par écran interposé amoindrit le contrôle social que les individus exercent entre eux et sur eux-mêmes. En découle l’affranchissement des conduites individuelles et des comportements de foule, une levée des garde-fous susceptible de nous pousser vers des accès de folie. On assisterait ainsi à une nouvelle étape de la désinhibition qui, pour le philosophe Peter Sloterdijk, caractérise le monde occidental (et en explique le triomphe planétaire) depuis le XVe siècle.

10) L’informatique est censée nous simplifier et nous faciliter la vie. Mais le monde est-il plus sûr grâce à l’informatique ? La cybercriminalité se développe partout, de même que le piratage et les demandes de rançons.

Il n’est guère contestable que dans un premier temps et à condition de disposer des ressources techniques et culturelles, l’informatique simplifie et facilite certains aspects du quotidien, même s’il faut tout de suite nuancer en montrant que les dysfonctionnements des machines et des applications sont systématiques et liés à la nature concurrentielle et structurellement instable du cadre capitaliste. En revanche, à plus long terme, la complexification incessante du système risque de paralyser l’existence individuelle et la vie sociale.

Quant à la sécurité, l’informatisation du monde tendra à le rendre toujours plus incertain, précaire et hasardeux. La raison fondamentale est bien expliquée par B.-Ch. Han : « Parce qu’elle est une communication sans communauté, la communication numérique détruit la politique de l’écoute » et « perd de plus en plus la dimension de l’autre » ; s’instaure ainsi « une société de la méfiance » et « nous [y] perdons la confiance fondamentale »9. D’autant que l’informatique favorise une « crise de la vérité » : à travers un « nouveau nihilisme […], [l]a distinction entre la vérité et le mensonge elle-même est désactivée »10. Or, on peut supposer que la seule façon d’assurer une sécurité durable réside dans la confiance mutuelle…

11) À ce propos, que faut-il penser du vote électronique selon vous ?

De nombreuses études internationales suggèrent que cette modalité de votation souffre de deux défauts difficiles à supprimer : elle est facilement manipulable et elle peut s’avérer très compliquée ou être vécue comme telle. Il n’est d’ailleurs pas sûr que la facilité technique favorise la démocratie qui semble avant tout une affaire d’engagement, voire de luttes collectives…

12) Nous devenons une masse indifférenciée, une « société-troupeau » (Tocqueville parlait déjà des « nations réduites à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux » délivrés du « trouble de pensée »). Vous vous inspirez fondamentalement des réflexions de Hannah Arendt sur le totalitarisme. Arendt écrit : « Le totalitarisme ne tend pas vers un règne despotique sur les hommes, mais vers un système dans lequel les hommes sont superflus. Le pouvoir total ne peut être achevé et préservé que dans un monde de réflexes conditionnés, de marionnettes ne présentant pas la moindre trace de spontanéité ». Est-ce cela qui nous attend ?

C’est en tout cas ce que l’on peut craindre en l’absence d’un sursaut collectif ! L’informatisation tend en effet à nous rendre superflus, dans un premier temps notre subjectivité et notre spontanéité, notamment en externalisant de nombreuses facultés et activités humaines. Comme le dit, parmi d’autres, l’essayiste Pacôme Thiellement, « le danger représenté par l’intelligence artificielle n’est pas que des machines puissent commencer à penser comme nous. Le danger, c’est que nous puissions nous mettre à penser comme elles. » Et ce danger est camouflé par le mensonge terminologique évoqué au début.

13) Dans la continuité de votre article d’août 2020 sur votre blog, en quoi la crise du Covid a-t-elle illustré voire accéléré ces inquiétantes évolutions ?

Jusque-là, je n’ai guère exploré l’incidence de la crise sanitaire sur l’informatisation du monde, au-delà des constats faciles d’un allongement des temps d’écrans, d’une centralisation des pouvoirs, d’un conditionnement autoritaire et scientiste des populations. Pour aller plus loin, je dirais que dans de nombreux domaines, cette crise et notamment les confinements ont lourdement favorisé une vie sociale atomisée, « sans contact » physique11. Cela a intensifié la logique de la société de consommation dont Z. Bauman explique le fondement et la logique individuels : « Contrairement à la production, la consommation est une activité solitaire [en effet, d]es efforts productifs requièrent de la coopération » alors que la « consommation [constitue] une suite de sensations qui ne peuvent être éprouvées — vécues — que subjectivement »12. Depuis les confinements, cette orientation consommatoire s’est étendue de deux façons imbriquées. D’un côté, elle a gagné, au-delà du traditionnel achat de marchandises, de nouveaux terrains, tels que l’apprentissage et le travail en ligne, les apéros, fêtes et conférences virtuels, etc. qui ont été — au moins partiellement — dépouillés de leur dimension collective. De l’autre, les achats habituels, les retraits de documents administratifs, etc. ont été privés des contacts physiques par la commande à distance.

Si la pandémie témoigne de la vulnérabilité d’une humanité progressivement transformée en monoculture à l’échelle du globe (comme je l’explique dans mon livre), les activités en ligne et plus largement l’informatique, censées soulager les personnes enfermées chez elles, contribuent grandement à accentuer la mondialisation, l’homogénéisation et l’unification planétaires des sociétés, pourtant l’une des causes de la genèse et de la diffusion accélérée de pathogènes. Faut-il y voir une ironie tragique ?

Notes

1 Les références complètes des recherches mentionnées figurent dans mon ouvrage.

2 Voir à ce sujet Anne Alombert, « Panser la bêtise artificielle. Organologie et pharmacologie des automates computationnels », Appareil 2023, 26 (en ligne).

3 Cf. Jaime Semprun, L’abîme se repeuple, Encyclopédie des nuisances, 1997, p. 83.

4 Miguel Benasayag et Angélique del Rey, Plus jamais seul. Le phénomène du portable, Bayard, 2006.

5 François Ost, Le droit ou l’empire du tiers, Dalloz, 2021.

6 Katharina Pistor, Le code du capital. Comment la loi crée la richesse capitaliste et les inégalités, Seuil 2023, p. 280.

7 Christopher Pollmann, « De l’État-propriétaire à l’État-gérant », Droit et société n° 69/70, 2008, p. 553 à 561 (558 et suivantes).

8 Byung-Chul Han, Infocratie. Numérique et crise de la démocratie, PUF, 2024, p. 13.

9 Byung-Chul Han, Infocratie, op. cit., respectivement p. 61 et 92.

10 Ibid., p. 79 et suivantes, 82.

11 V. Marc Dugain & Christophe Labbé, L’homme sans contact, L’Observatoire, 2022, que nous n’avons pas pu utiliser, contrairement à l’ouvrage précédent et très riche des mêmes auteurs.

12 Zygmunt Bauman, Liquid Modernity, Polity Press, Cambridge/UK, 2000, p. 165 et 97 (notre trad.).




« Le smartphone tue  : … il nuit gravement à nos habitudes alimentaires et à notre sommeil »

[Source : epochtimes.fr]

Par Julian Herrero

ENTRETIEN – Yannick Guillodo est médecin du sport à Brest. Il est également conférencier et auteur du livre : « Le smartphone tue » dans lequel, comme son nom l’indique, il dénonce les dangers du téléphone portable sur la santé physique. Dans un entretien accordé à Epoch Times, il revient sur son ouvrage et l’actualité marquée par la violence chez les jeunes.

Epoch Times — Qu’avez-vous voulu dire en employant le verbe « tuer » dans le titre de votre ouvrage ? N’est-ce pas un peu fort ?

Yannick Guillodo – Il y a deux raisons qui expliquent pourquoi j’ai choisi ce titre. Premièrement, l’éditeur souhaitait que j’opte pour un titre qui frappe le lecteur. Deuxièmement, pour une raison médicale. Dans mon livre, je me penche davantage sur l’impact du smartphone sur la santé physique et moins sur le neuropsychique.

Je pense que le smartphone détruit les trois piliers de la santé que sont le mouvement, manger correctement et le sommeil de qualité. Une heure de smartphone en plus correspond à une heure de sédentarité en plus, et c’est aussi augmenter le risque de mourir prématurément d’entre 5 et 12 %. La sédentarité est le facteur de risque principal de décès au XXIe siècle, alors qu’au XXe siècle, on parlait plutôt d’inactivité physique. Et c’est un facteur de risque que la pratique d’une activité physique régulière, voire d’une activité sportive n’élimine pas. Des sportifs de haut niveau peuvent être sédentaires, c’est-à-dire qu’ils restent plus de sept heures par jour sur leur téléphone. La sédentarité est devenue un facteur de risque en raison de l’environnement numérique et plus précisément du smartphone qui est l’écran le plus familier, notamment des jeunes et des moins jeunes.

Aussi, le smartphone a un impact sur notre alimentation parce qu’il détruit notre manière ancestrale de nous nourrir, c’est-à-dire prendre son petit-déjeuner, déjeuner et dîner au profit de nouvelles habitudes alimentaires que sont le grignotage et les livraisons via des applications.

Enfin, on oublie toujours le sommeil dans la prévention alors que c’est un pilier aussi important que les deux précédents. Nous avons perdu une heure de sommeil ces dernières années et on sait qu’une heure de sommeil en moins revient à augmenter de 22 % le risque de faire du diabète. Et puis, la baisse de la durée du sommeil à laquelle nous assistons est largement due au temps passé sur le smartphone et au numérique de manière générale.

Donc, on peut dire que le smartphone tue parce que c’est la raison principale de notre sédentarisation et parce qu’il nuit gravement à nos habitudes alimentaires et à notre sommeil.

Vous dites que les smartphones peuvent engendrer des problèmes de santé. Mais aujourd’hui, pour certains emplois, il est devenu indispensable…

Vous avez tout à fait raison. Comme je l’écris dans mon livre, je ne souhaite pas revenir à la bougie. Cependant, le télétravail, introduit lors de la crise sanitaire, a en quelque sorte fait tomber le mur entre le numérique professionnel et le numérique des loisirs. Nous avons fait rentrer le numérique professionnel chez nous, sans enlever le numérique des loisirs qui était déjà dans nos maisons.

Bien entendu, le numérique était déjà présent au travail avant l’épidémie avec WhatsApp, les SMS, etc., mais le confinement et le télétravail ont définitivement brisé la frontière entre le numérique professionnel et celui des loisirs. Pour ma part, je considère que le télétravail représente un danger pour la santé.

Pour vous, les smartphones représentent plus un danger pour les adultes, les plus jeunes ou l’ensemble de la société ?

Je dirais l’ensemble de la société même s’il est vrai que ceux qui ont plus de 50 ans ont passé la moitié de leur vie sans écran « de poche » tandis que ceux qui ont en moyenne 25 ans ont toujours connu le smartphone. Les plus âgés ont été à l’abri de ça pendant des années et vont donc moins en subir les conséquences. Cela étant, on remarque dans la rue que tout le monde est penché sur son téléphone portable.

La chose qu’il faut noter chez les jeunes est que le smartphone remplace tout. Il remplace la montre, la télévision, l’appareil photo. Les personnes plus âgées, même celles qui ont un smartphone, ont tout de même conservé ces objets plus classiques.

L’ultraviolence semble s’être emparée de la jeunesse. Existe-t-il, selon vous, un lien entre les smartphones et cette ultraviolence ?

Ma réponse est oui. Nous vivons de moins en moins ensemble et de plus en plus côte à côte. Nous avons beaucoup de followers sur les réseaux sociaux, mais plus un seul ami. Il y a une telle possibilité d’avoir des relations, qu’il n’y a plus de relations.

L’époque des enfants avec un sac à dos dans la rue qui traînent et qui jouent au foot est terminée. Ce temps d’échange qu’il y avait autour de l’école était un moyen de s’opposer de manière ludique ou de converser sur la route, mais il n’existe plus. On est en train de détruire le lien social chez les enfants parce que l’école est formatée.

Quelles propositions faites-vous pour réguler les smartphones ?

La première, c’est déjà de faire la promotion de la santé, de dire qu’il n’y a pas d’interdiction, mais de sensibiliser les gens sur le temps qu’ils passent sur leur smartphone. À Brest, nous avons lancé l’opération « Posons nos smartphones ». Nous avons demandé aux gens de réduire d’une heure pendant une semaine leur temps sur leur téléphone.

Parmi les volontaires, 75 % ne sont pas parvenus à le faire. Ce qui veut dire qu’il est urgent d’intervenir. Deuxièmement, et c’est pour ça que nous pouvons être optimistes, il faut capitaliser sur les 25 % de gens qui y arrivent. Ces 25 % sont plus actifs au quotidien. Il ne faut pas donc pas faire de la prévention primaire, mais s’attaquer à la racine du mal qu’est le smartphone, et avec cette opération, je démontre que les 25 % des gens qui arrivent à réduire d’une heure leur temps d’utilisation de leur smartphone sont plus actifs et prennent plus soin de leur santé.

À la suite de « Posons nos smartphones », nous avons fait des publications en indiquant que cela ne coûte rien, que les gens peuvent être informés sur leur temps passé sur les écrans, qu’ils peuvent avoir des feed-back, etc. L’État et nos politiques devraient donc s’en inspirer. C’est sans prise de risque puisque nous avons déjà publié dessus.

Finalement, pour reprendre le slogan que j’ai créé, je dirais que le smartphone, c’est maximum trois heures par jour et pas tous les jours trois heures par jour parce qu’il est très difficile de passer moins de trois heures quotidiennement sur cet objet qui fait partie de notre vie.




Refusons la tyrannie pseudo-sanitaire que l’OMS veut nous imposer

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par Dr Gérard Delépine

Durant la crise Covid, l’OMS a été l’instigatrice de mesures contraires aux libertés et aux données de la science. Elles se sont révélées inefficaces contre la maladie, extrêmement dommageables pour les populations qui y ont été soumises et source de profits colossaux pour les élites.

Mais l’OMS, institution non démocratique, non élue et financée à plus de 80 % par des groupes d’influence privés, veut recommencer et, pour y parvenir plus facilement, disposer de pouvoirs supranationaux qui lui permettraient d’imposer une dictature mondiale totale au service de Big Pharma, des GAFAM et des milliardaires.

Les dramatiques échecs des recommandations OMS contre le Covid

Les chiffres de l’épidémie de Covid, publiés par l’OMS et mis en courbe par l’université J. Hopkins, montrent qu’aucune des mesures contraignantes de l’OMS (confinements, obligations du port des masques, pass, obligations vaccinales) n’a été efficace contre la maladie. 939 000 scientifiques et médecins de tous les pays du monde l’avaient clairement annoncé par la déclaration du Great Barrington1.

Nous avions, dès le 27 mars 2020, dénoncé l’imposture des confinements aveugles2 3 4 5. La comparaison des données des Pays-Bas (non confinés) et de la Belgique (sévèrement confinée) a depuis illustré leur nocivité tant sur la recrudescence des infections que sur la mortalité. Avant le confinement, le nombre de contaminations journalières et la mortalité par million étaient semblables dans ces deux pays voisins semblables par leurs démographies et leur mode de vie. Le confinement a fait exploser les contaminations puis la mortalité en Belgique, tandis qu’elles augmentaient deux fois moins aux Pays-Bas non confinés.

Nous avions aussi rappelé6 que la littérature internationale7 montrait que le port généralisé du masque ne protège pas des infections virales. Les données OMS l’ont confirmé : lors du pic d’Omicron les français, soumis à l’obligation du masque ont souffert de 50 % de plus de contaminations journalières/million que les Suédois, non masqués (6000/M versus 4000/M).

Les pseudo vaccins recommandés par l’OMS, et présentés par notre ministre de la santé comme très efficaces, ont été incapables de prévenir la transmission de l’épidémie comme chacun a pu l’observer autour de soi et comme le montrent les comparaisons des données OMS entre les pays très vaccinés et les autres :

Et, contrairement à la propagande de l’OMS et des gouvernements occidentaux, les pseudovaccins n’ont pas non plus protégé les populations ni des formes graves, ni de la mort8 9 :

L’OMS a également prétendu que les traitements précoces étaient inefficaces et milité pour leur interdiction, alors que l’usage du traitement Raoult a sauvé les populations des pays qui l’ont utilisé comme la Côte d’Ivoire, le Sénégal ou l’Algérie (ou la proportion de plus de 65 ans est égale à celle de la France)

Totalement inefficaces les recommandations de l’OMS ont été de plus extrêmement dommageables pour les populations qui les ont subies.

Les confinements ont été source de troubles psychologiques graves persistants10 11, de retards scolaires12, de retard de traitements13, de pertes économiques sans précédent14 et d’un endettement colossal15, d’une aggravation mortifère de la famine en Afrique16.

Les masques ont souvent aggravé les infections respiratoires.

Les pseudo vaccins ont été responsables de nombreuses complications en particulier cardiaques (myocardites), neurologiques, de troubles menstruels et de morts subites.

Les mesures Covid de l’OMS ont permis un enrichissement colossal des milliardaires17.

La fortune des milliardaires dans le monde a augmenté en 19 mois de pandémie Covid plus qu’au cours de toute la décennie précédente.

De mars 2020 à octobre 2021, la fortune des milliardaires français a augmenté de 86 %. Les 5 premières fortunes de France ont gagné 173 milliards d’euros et doublé ainsi leur richesse d’avant le début de la pandémie. Ils ont ainsi capté l’équivalent des trois quarts des 240 milliards du « quoi qu’il en coûte »18. Les 5 milliardaires français les plus riches possèdent désormais autant que les 40 % de leurs compatriotes les plus pauvres.

Avec les milliards d’euros engrangés en 19 mois par les milliardaires français, on aurait pu quadrupler le budget de l’hôpital public ou distribuer un chèque de 3500 euros à chaque Français.

La politique de l’OMS est dictée par ses financeurs privés

Lors de sa création par l’ONU en 1948, l’OMS était financée uniquement par les états en fonction de la fortune et de la population de chaque pays. Mais progressivement les principaux états contributeurs, déçus des politiques adoptées, ont diminué leurs contributions tandis que des entités privées (dont des laboratoires pharmaceutiques, Bill Gates et les fondations Gavi et Bill Melinda Gates prenaient le relais.

Lors de l’exercice 2022-2023, seulement 16 % des ressources de l’OMS provenaient des contributions obligatoires des États membres19 tandis que Bill Gates y participait pour près de 40 %, directement ou indirectement, par ses fondations. Bill Gates est devenu le premier financeur de l’OMS et son influence sur les décisions de l’organisme est d’autant plus importante que la majorité de ses contributions sont fléchées, destinées uniquement à un but précis (pour Bill Gates les vaccinations, si possibles obligatoires, pour toutes les maladies, partout et toujours).

German Velasquez, ancien directeur à l’OMS déclarait à l’occasion d’un entretien sur la politique OMS contre le paludisme20 :

«  Les acteurs privés, comme la Fondation Bill et Melinda Gates, ont pris le contrôle de l’organisation. »

En mars 2020, Tim Schwab21 a souligné les risques moraux de la Fondation Gates qui a donné des centaines de millions de dollars à des sociétés dont elle détient des actions ou des obligations, dont Merck, Sanofi, Lily, Pfizer, Novartis, Teva qui font de plus partie des plus grandes entreprises du monde, telles que GlaxoSmithKline qui développent de nouveaux vaccins et médicaments.

Lionel Astruc estime :

« Une telle participation financière devrait être soumise à un droit de regard des États et des citoyens, tant son pouvoir est grand et sa menace lourde sur nos démocraties »22.

Lors d’une interview au Spiegel23 l’épidémiologiste Tom Jefferson, démontrait les conséquences de la privatisation de l’OMS lors de la crise de la grippe H1N1 :

« Une des caractéristiques les plus ahurissantes de cette grippe, et de tout le roman-feuilleton qui en a découlé, est que, année après année, des gens émettent des prévisions de plus en plus pessimistes. Jusqu’à présent, aucune ne s’est jamais réalisée et ces personnes sont toujours là, à répéter leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais, ce n’est pas cela qui arrête ces gens de faire leurs prédictions. Parfois, on a le sentiment que c’est toute une industrie qui se prête à espérer une pandémie… L’OMS et les responsables de la santé publique, les virologistes et les laboratoires pharmaceutiques ont construit tout un système autour de l’imminence de la pandémie. Beaucoup d’argent est en jeu, ainsi que des réseaux d’influence, des carrières et des institutions tout entières ! Et il a suffi qu’un des virus de la grippe mute pour voir toute la machine se mettre en branle… « Ne trouvez-vous pas frappant que l’OMS ait modifié sa définition de la pandémie ? L’ancienne définition parlait d’un virus nouveau, à propagation rapide, pour lequel l’immunité n’existe pas, et qui entraîne un taux élevé de malades et de décès. Aujourd’hui, ces deux derniers points sur les taux d’infection ont été supprimés, et c’est ainsi que la grippe A est entrée dans la catégorie des pandémies ».

Lors de la crise H1N1, l’OMS et les gouvernements n’avaient pas réussi à convaincre les populations de la réalité du danger et de l’utilité des vaccins, car les médecins étaient septiques et les médias partagés. Leurs bénéfices des milliardaires ont été moindres qu’espérés, mais ils en ont tiré les enseignements. Lors du Covid, ils contrôlaient totalement l’information officielle et ont disqualifié et/ou interdit les médecins prudents qui s’exprimaient.

L’argent est une drogue très addictive et les super riches en veulent toujours plus. Ils poussent l’OMS à s’arroger encore plus de pouvoir pour asservir davantage et mieux bâillonner les populations lors de la prochaine prétendue épidémie. C’est le but réel des modifications que l’OMS veut apporter au traité sanitaire international (RIS).

Les propositions totalitaires mondiales de l’OMS24 25 26

Le neuvième cycle de négociations sur l’accord mondial de prévention contre les pandémies a commencé le 25 mars 2024. Le directeur de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus a présenté son projet de Traité contre les Pandémies et un nouveau règlement sanitaire international prévoyant des transferts majeurs de souveraineté des pays membres vers l’OMS afin de lui permettre de décider d’une politique sanitaire mondiale contraignante à appliquer partout.

1°) Ce projet veut rendre obligatoires les décisions de l’OMS qui jusque-là n’étaient que des recommandations non contraignantes.

2°) Son article 4 veut limiter la souveraineté des états en stipulant « le droit souverain des États n’existe que dans la mesure où les activités des États ne nuisent pas à leurs populations, ni aux autres pays ».

3°) Son article 15 confierait au Directeur général le pouvoir exorbitant de décider seul s’il y a une urgence sanitaire et de son ampleur avec une vaste extension des éventualités pour justifier une urgence, incluant non plus seulement les pandémies, mais aussi le changement climatique, la perte de diversité…

4°) L’article 18 du règlement sanitaire international (RSI) permettrait à l’OMS :

  • – d’exiger des examens médicaux ou une vaccination ou toute autre mesure prophylactique, et d’en rechercher les preuves ;
  • – de placer en quarantaine les personnes suspectes ou leur appliquer d’autres mesures sanitaires, d’isoler ou de traiter les personnes affectées ;
  • – de rechercher les contacts des personnes suspectes ou affectées ou de les soumettre à un dépistage.

Ces propositions supprimeraient en pratique le consentement libre et éclairé des citoyens aux soins et la liberté de prescription des médecins

5°) Les articles 1 et 2 du traité évoquent les « produits de santé » sur lesquels l’OMS aura une autorité totale de se substituer aux agences sanitaires nationales en s’arrogeant :

  • – Le droit de choisir les produits de santé, alors même que plusieurs contributeurs de l’OMS sont très liés à l’industrie pharmaceutique.
  • – De dresser et publier une liste des produits de santé nécessaires. Détablir et publier des spécifications pour la production des produits de santé nécessaires.
  • – D’élaborer des lignes directrices adéquates à l’intention des autorités de réglementation pour l’homologation rapide des produits de santé (…).
  • – De créer une base de données sur les matières premières et les fournisseurs éventuels.
  • – De créer une bibliothèque des lignées cellulaires pour accélérer la production et l’homologation des produits biothérapeutiques similaires et des vaccins.
  • – De passer en revue et mettre à jour la liste des autorités afin de faciliter les homologations qu’elle jugerait utiles.

6°) L’article 44 et l’article 18 du règlement sanitaire international institueraient une censure mondiale pire que celle qu’on a subie depuis le Covid.

En vue de « contrer la diffusion d’informations erronées ou non fiables » et « combattre les informations fausses et trompeuses ou la désinformation ». La définition des informations « fausses et trompeuses ») serait celle de l’OMS :

« [des informations] qui font “obstacle à l’adhésion aux mesures sociales (…) et qui sapent la confiance envers la science et les institutions de santé publique”. »

L’OMS veut ainsi s’ériger ainsi en juge de la vérité scientifique, grand prête du crédo officiel, pouvant décréter hérétique et censurer toute opinion qui serait contraire aux intérêts de ses financeurs, comme l’a fait d’ailleurs fait en France le gouvernement Macron avec son « conseil scientifique Covid » dont les délibérations sont toujours protégées par le secret défense.

Contre l’OMS, réaffirmons partout nos droits fondamentaux !

Lors d’une conférence de presse à Genève le 28 mai 2023, l’Alliance internationale pour la justice et la démocratie a alerté :

« La centralisation du pouvoir dans les mains de l’OMS menace la démocratie ».

Le président Macron, Ursula von der Leyen et le gouvernement américain actuel sont favorables à ces textes liberticides qui vont être reproposés au vote le 26 mai 2024. S’ils étaient acceptés, nous n’aurions plus de recours légaux.

Si nous voulons refuser que notre santé et nos libertés fondamentales dépendent du bon vouloir de l’OMS, des entreprises privées et des milliardaires qui la financent et qui l’inspirent, c’est maintenant que nous devons nous battre !

Les menaces que ce projet de traité font peser sur nos libertés paraissent autrement plus importantes que la discrimination capillaire qui a récemment occupé nos parlementaires ! Exigeons que l’Assemblée Nationale en débatte, que le Sénat crée une commission d’enquête et/ou que la décision soit soumise à référendum.

Nous ne sommes pas seuls à nous battre pour défendre les libertés fondamentales des citoyens : le Syndicat Liberté Santé27, Bon sens,le Collectif des 300, des juristes français et lInternational Association of Lawyers for Human Rightset bien d’autres au travers le monde se sont déjà mobilisés.

De nombreux pays ont d’ailleurs déjà refusé de donner leur accord aux propositions autoritaires de l’OMS : dont plusieurs nations africaines avec l’Ouganda comme tête de file, mais aussi l’Iran, la Malaisie, l’Estonie, les Philippines et le Brésil28.

Le ministre britannique adjoint aux Affaires étrangères, Andrew Mitchell, a déclaré au Telegraph « qu’il bloquerait toute loi empêchant le Royaume-Uni d’établir sa propre politique de santé ».

Le Sénat de l’État de Louisiane a adopté à l’unanimité le projet de loi 133, une déclaration claire de souveraineté contre l’agenda de l’ONU, de l’OMS et du FEM.

« Aucune règle, réglementation, frais, taxe, politique ou mandat de quelque nature que ce soit de l’Organisation mondiale de la santé, des Nations Unies et du Forum économique mondial ne sera appliqué ou mis en œuvre par l’État de Louisiane ou par toute agence, département, conseil, commission, subdivision politique, entité gouvernementale de l’État, paroisse, municipalité ou toute autre entité politique ».

Informons nos élus pour qu’ils prennent conscience du problème et qu’ils persuadent notre gouvernement d’adopter une attitude semblable. La France ne peut pas abandonner le premier terme de sa devise : LIBERTÉ.

Lire ou écouter aussi :

Appel solennel de N. Farage ex-député européen Nigel Farage plaide pour que tout le monde dise non au Traité sur la pandémie de l’OMS :

« Il s’agit littéralement d’un traité mondialiste qui enlève le pouvoir à l’État-nation. Nous ne devrions pas verser d’argent à cette épouvantable organisation. »

« Là où le Professeur Perronne pourrait aller plus loin, c’est que c’est vrai pour l’environnement, pour les antibiotiques, c’est vrai pour tout !»

@DIVIZIO1

alerte sur l’élargissement considérable du champ d’action de l’OMS dans le cadre de son action #OneHealth. De la…

Et bien d’autres. Le combat est international. Poursuivons-le et nous le gagnerons !





Sortir du schisme mental : la Russie vue par une citoyenne russe

[Source : Jeanne Traduction et twitter.com]

Le but de cet interview n’est en aucun cas de dresser le même tableau du gouvernement russe que les médias mainstreams. Vladimir Poutine n’est pas responsable de tous les maux du monde et ceux que nous avons à craindre se situent en premier lieu sur notre sol français. Ces dernières années, nous avons assisté à la chute progressive de l’Occident et à l’exposition de l’étendue de sa corruption, qui semble n’avoir aucune limite. L’OTAN, organe impérialiste par excellence, n’a cessé de croître depuis sa création, allant de provocation en provocation, de plus en plus à l’est, pour finir par s’illustrer à Maïdan en 2014.

Cependant, reconnaître la responsabilité de l’OTAN et la corruption des pays occidentaux n’implique pas forcément que ceux à qui ils s’opposent aient des intérêts radicalement différents, ni ne servent sincèrement les intérêts de leur population. Face à l’agonie du dollar, dont nous pouvons qu’honnêtement nous réjouir, ainsi qu’à la mise en péril du NOM unipolaire, nous est proposé un NOM multipolaire dirigé par les BRICS, le R étant celui de la Russie. Comme nous pouvons le voir dans la vidéo du WEF, les USA ne sont plus la superpuissance dominante du monde, une poignée de pays domineront.

Cela sonne comme un déclin programmé, ou tout du moins accepté. Compte tenu des accointances de la Russie et du WEF, ainsi que son alignement sur certaines politiques occidentales douteuses, il est capital de s’interroger sur cette alternative qui nous est présentée. Les BRICS et plus particulièrement la Russie de Vladimir Poutine, sont-ils vraiment diamétralement opposés au déferlement totalitaire que nous vivons en occident ? La société artificielle rêvée par le WEF et les principaux banquiers du monde ne séduit-elle pas également ces autres pays ?

C’est ce que nous allons tenter d’explorer avec Anna Lebedeva, citoyenne et résistante russe.

👉 Retrouvez le canal d’Anna ici : https://t.me/anna_libre_ru




Armes biologiques ?

[Source : @ObjetsPerdus]

La notion de « pathogènes » et « d’armes biologiques » créées grâce à des expériences de « gain de fiction » continue de susciter la peur chez ceux qui ne réalisent pas encore que le concept tout entier est basé sur des prémisses anti-scientifiques. Malheureusement, les histoires sur les « laboratoires biologiques » continuent de susciter des craintes injustifiées et d’agir pour maintenir les gens dans la plantation de la théorie des germes. En conséquence, ils restent piégés dans un faux paradigme et incapables d’apprécier pleinement ce qui rend réellement les gens malades.

Dans cette vidéo, nous soulignerons une fois de plus l’absence totale de preuves de l’existence des armes biologiques et comment les médias de masse ont ouvertement poussé ces récits fondés sur la peur depuis début 2020 pour aider à soutenir l’industrie de la « pandémie » et tout le mal qui accompagne la biosécurité de l’État de surveillance.

[Voir aussi :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et
Les venins dans nos médicaments : treize FAITS irréfutables sur le venin de serpent, Big Pharma et les armes biologiques]



Références

  1. Gain of Function Gaslighting”, Dr Sam Bailey, 30 Jun 2021 
  2. Gain Of Function Garbage”, Dr Sam Bailey, 18 Jan 2022 
  3. Bioweapons BS”, Dr Sam Bailey, 1 Oct 2022
  4. No. 01: bioweapons – the myth of man-made pathogens”, Dr Stefan Lanka, Immanuel Project, 31 Aug 2021
  5. Gain of Fiction”, ViroLIEgy, 7 Apr 2022
  6. LAB LEAK: An Elaborate Misdirection? With guest Michael Bryant”, Dr Tom Cowan, 14 Feb 2024
  7. The Lyme Disease Lie”, Dr Sam Bailey, 24 June 2023
  8. The Final Pandemic, Drs Mark & Samantha Bailey, 2024
  9. What Is A Covid-19 Case?”, Dr Sam Bailey, 13 Dec 2020
  10. Chinese military scientists discussed weaponising SARS coronaviruses”, Sharri Markson, The Australian, 7 May 2021
  11. Harvard Biosafety – Symbol Making” (Biohazard symbol), NYT Magazine, 2001
  12. Prions: “The Infection Hypothesis Is Founded on Dubious Experiments”, in Virus Mania, 3rd English edition, 2021
  13. Biosecurity Act 1993”, New Zealand Legislation



La troisième guerre mondiale est désormais inévitable — voici pourquoi elle ne peut être évitée

[Source : alt-market.us]

Par Brandon Smith

Si vous avez l’impression que les mondialistes sont en train de pousser très fort pour la Troisième Guerre mondiale, vous n’êtes pas le seul. Au cours des derniers mois, de nombreux responsables européens et américains ont fait allusion à la possibilité d’un nouveau projet militaire, l’UE a parlé ouvertement de l’envoi de troupes sur le terrain en Ukraine, les responsables de l’OTAN ont déclaré sans équivoque qu’ils n’accepteraient PAS de perdre l’Ukraine face aux Russes et le Kremlin a averti une fois de plus que les armes nucléaires étaient sur la table si les troupes occidentales entraient en guerre. Le gouvernement américain a récemment affirmé que l’Ukraine rejoindrait l’OTAN, une ligne rouge pour la Russie.

Et puis il y a Israël et Gaza. J’ai lancé un avertissement il y a plusieurs mois dans mon article intitulé « C’est un piège ! La vague de répercussions de la “dernière guerre” au Moyen-Orient », que la guerre à Gaza se transformerait en un conflit sur plusieurs fronts qui inclurait probablement l’Iran. J’ai également prévenu qu’Israël aurait tout intérêt à ce que l’Iran entre en guerre, car cela obligerait les États-Unis à s’impliquer directement. Certes, l’Iran s’est déjà engagé dans des attaques par procuration contre Israël par l’intermédiaire du Liban, mais l’attaque d’Israël contre l’« ambassade » ou le poste diplomatique iranien en Syrie garantit fondamentalement que l’Iran s’engagera désormais directement dans des frappes contre des cibles israéliennes.

En d’autres termes, à l’instar de la Première Guerre mondiale, la situation est aggravée par les élites politiques en dépit du fait que le grand public occidental est de plus en plus opposé à une participation au conflit. Les mondialistes on l’intention de nous envoyer à la guerre, que nous le voulions ou non. Toutes les décisions qu’ils ont prises jusqu’à présent rendent impossible une résolution pacifique.

Un salut, peut-être nouveau dans toute l’histoire de la géopolitique, est que le public est beaucoup plus éveillé et conscient du fait qu’il n’est pas nécessairement de son « devoir » d’aller aveuglément se battre lorsque son gouvernement l’appelle à le faire. Les médias sociaux ont également permis aux gens d’exprimer largement leurs préoccupations concernant la guerre, alors que dans le passé, les objecteurs se sentaient isolés.

Une grande partie de la génération Z n’est pas équipée mentalement ou physiquement pour aller à la guerre, ce qui explique que plus de 70 % des recrues militaires potentielles soient rejetées avant même d’arriver au camp d’entraînement. Ce sont souvent les mêmes jeunes qui affichent des drapeaux ukrainiens sur leurs profils de médias sociaux et qui se jettent tête baissée dans la rhétorique anti-russe, mais maintenant qu’ils sont confrontés à la possibilité de devoir se sacrifier pour l’Ukraine, ils sont en colère et terrifiés.

Cependant, il existe également un large contingent d’hommes compétents (et pour la plupart conservateurs) ayant un passé et des aptitudes au combat qui ne veulent toujours pas avoir affaire à l’Ukraine. La raison en est simple : ils pensent que les gouvernements occidentaux d’extrême gauche et les mondialistes veulent les utiliser comme chair à canon pour se débarrasser d’eux. Une fois qu’ils seront épuisés par la guerre, il ne restera plus personne pour s’opposer à la mainmise de la gauche sur le pays.

Pour la plupart d’entre nous en Amérique, l’Ukraine n’a pas d’importance et nous sommes fatigués des guerres au Moyen-Orient. Que ce soit la gauche ou la droite, nous n’avons aucun intérêt à nous battre pour eux. Mais cela n’aura pas beaucoup d’importance, du moins en ce qui concerne la prévention d’une guerre mondiale.

La peur européenne

La guerre avec la Russie dépendra davantage de l’implication de l’Europe que de celle des États-Unis. Alors que les États-Unis ont été de loin le principal fournisseur d’armements à l’Ukraine, l’objectif ultime est, selon moi, d’intégrer des troupes européennes sur le front ukrainien, ce qui constituerait une déclaration automatique de guerre mondiale.

La mobilisation des troupes européennes repose sur la propagande de la « théorie des dominos ». Nous en avons entendu parler ici en Amérique, mais pas au même niveau que la population de l’UE. Les gouvernements affirment que l’objectif de la Russie est de faire de l’Ukraine une voie d’accès pour envahir le reste de l’Europe. Il s’agit de la même affirmation que celle utilisée pour justifier la guerre américaine au Viêt Nam : « Si nous laissons un pays tomber aux mains de l’ennemi, tous les pays environnants tomberont également.

Les dirigeants de l’Ukraine et de l’OTAN suggèrent que la guerre doit se poursuivre en Ukraine afin de la contenir. Il n’y a eu aucune discussion sérieuse sur la diplomatie, ce qui est tout à fait étrange compte tenu des enjeux. Une proposition de paix aurait dû être abordée dès le début de la guerre et des efforts constants auraient dû être déployés pour parvenir à un accord. Au lieu de cela, les pourparlers de paix, même limités, ont été contrecarrés avant même d’avoir véritablement commencé.

Un projet militaire en Europe a beaucoup plus de chances de réussir, étant donné la nature socialiste de la population et le fait que seul un pourcentage infime de civils est armé pour se défendre. Même avec un mouvement de protestation publique, je ne doute pas que les gouvernements de l’UE seront en mesure d’obtenir une force suffisamment importante pour l’envoyer en Ukraine et intensifier la guerre.

D’après les faits, il est clair que des troupes de l’OTAN ont déjà été déployées en Ukraine et qu’elles s’y trouvent depuis un certain temps. Comme je l’ai indiqué dans des articles précédents, les stratégies utilisées lors de la première contre-attaque ukrainienne étaient bien trop avancées pour que les troupes et les dirigeants ukrainiens puissent les mettre en œuvre sans aide. Les tactiques anti-armure en particulier étaient très familières, similaires dans leur exécution aux tactiques utilisées par les forces spéciales américaines et britanniques. Comme on pouvait s’y attendre, dès que le nombre de mercenaires étrangers recrutés a baissé, l’Ukraine a perdu son élan.

Les Russes sont probablement bien conscients de cette situation, mais tant que de petits groupes de soldats peuvent être envoyés sous le couvert de forces mercenaires, ils ne peuvent pas faire grand-chose. C’est le déploiement ouvert de bataillons de l’OTAN qui suscite le plus d’inquiétude.

L’histoire des dominos ne repose sur aucun fondement. Depuis le début du conflit, la Russie n’a jamais indiqué qu’elle avait l’intention d’envahir l’UE. En fait, Poutine affirme depuis longtemps que la guerre en Ukraine vise à protéger les séparatistes de la région du Donbas des représailles ukrainiennes et à empêcher la poursuite de l’escalade de l’armement de l’OTAN.

Abstraction faite de mes soupçons sur les liens entre Poutine et les mondialistes, si l’on considère la guerre du point de vue d’une simple analyse coûts/bénéfices, la Russie n’a vraiment rien à gagner en menaçant l’Europe.

Il y a ensuite le problème de la logistique. Si la Russie est censée se débattre en Ukraine, comment pourrait-elle avoir les moyens de se battre sur un front élargi contre la puissance militaire combinée de l’Europe et des États-Unis ? Le seul résultat final serait une guerre nucléaire, que les deux parties perdraient. Mais si l’on examine la situation objectivement, il existe un groupe de personnes qui ont beaucoup à gagner…

Les attaques contre l’intérieur de la Russie s’accélèrent

Les attaques de moindre envergure contre les fournitures russes et les civils se sont multipliées au cours du mois dernier. L’attentat terroriste de Moscou (que les services secrets américains attribuent à ISIS) a causé la mort d’au moins 130 personnes et les attaques de drones menacent les dépôts de pétrole ainsi que d’autres ressources. Dans le grand schéma de la guerre, ces attaques sont sans conséquence, mais elles conduiront sans aucun doute à un bombardement intensif des villes ukrainiennes et à la mise hors service de l’infrastructure ukrainienne. L’électricité, l’eau et d’autres services publics seront détruits et une crise des ressources s’ensuivra.

Par rapport à l’invasion américaine de l’Irak, la Russie a réussi à limiter le nombre de victimes civiles en Ukraine. Mais chaque nouvelle attaque sur le sol russe déclenche des représailles plus importantes de la part de la Russie. Et c’est peut-être là l’objectif : amener les Russes à détruire un plus grand centre de population ukrainien, donnant ainsi à l’OTAN une excuse pour envoyer des troupes dans la région.

L’Iran et l’impératif pétrolier

Au Moyen-Orient, le principal moteur de l’engagement international est le pétrole. Nous le savons tous. Mais l’accès au pétrole n’est pas l’objectif final de la guerre à Gaza, juste un mécanisme permettant d’impliquer les États-Unis.

Je répète ici que je me moque de savoir quel camp a commencé le combat ou jusqu’où le conflit est censé remonter dans l’Histoire. Cela n’a rien à voir. Ce que je sais, c’est que le Hamas a commencé cette guerre particulière en tuant des civils en Israël et qu’il ne faut pas commencer une guerre si l’on n’est pas prêt à en accepter les conséquences. Cela dit, je trouve suspect que les mesures défensives d’Israël aient été à ce point inutiles qu’elles aient ignoré l’incursion du Hamas jusqu’à ce qu’il soit trop tard.

Quoi qu’il en soit, la conflagration ne manquera pas d’amener d’autres éléments militaires plus importants. L’Iran va entrer dans la mêlée, c’est inévitable. Cela pourrait d’abord se produire sous la forme d’une guerre économique, et le détroit d’Ormuz est la cible la plus probable. L’arrêt de 30 % du trafic pétrolier mondial serait désastreux pour l’Occident. L’entrée de l’Amérique est donc également garantie.

Le facteur inflation, les élections américaines et les avantages pour les mondialistes

Joe Biden s’efforce depuis trois ans de manipuler les prix du pétrole à la baisse en déversant des réserves stratégiques sur le marché. En maintenant artificiellement les prix du pétrole à la baisse, il maintient les prix de l’énergie à la baisse, et en maintenant les prix de l’énergie à la baisse, il réduit la croissance de l’inflation.

Les attaques ukrainiennes contre les dépôts pétroliers russes ont contribué à faire grimper les prix de l’essence au cours du mois dernier, précisément parce que les pays occidentaux continuent d’acheter du pétrole russe par des voies détournées. On ne peut pas couper l’un des plus grands fournisseurs d’énergie au monde sans que cela ait des répercussions considérables sur les prix à la pompe. Ces attaques révèlent à quel point le marché pétrolier est sensible à la moindre menace pesant sur l’approvisionnement.

Tout conflit majeur au Moyen-Orient scellera l’affaire et les prix de l’essence exploseront. L’inflation ne sonnera pas seulement le glas de la présidence de Biden (en supposant que les élections présidentielles aient encore de l’importance), elle sonnera le glas des gauchistes et des mondialistes dans leur ensemble À MOINS qu’ils ne puissent retarder une calamité économique plus importante jusqu’à ce qu’ils aient un bouc émissaire, ou jusqu’à ce qu’ils puissent déclencher une guerre massive.

Ce bouc émissaire sera soit Trump et les conservateurs, soit la Russie et les BRICS (ou les deux). Si Trump remplace Biden en 2025, le krach sera rapide et assuré et il sera imputé aux mouvements conservateurs. Si Biden reste en place, le krach sera plus lent, mais frappera quand même fort après qu’il aura été imputé aux guerres qui s’intensifient.

Il y a aussi le scénario selon lequel les mondialistes s’assurent d’une guerre AVANT que les élections n’aient lieu. Peut-être dans l’intention d’empêcher ou de retarder le vote. Peut-être dans le but de créer un chaos suffisant pour que le vote puisse être truqué, ou donner l’impression qu’il a été truqué, ce qui déclencherait des troubles civils. Peut-être avec l’intention de déclarer la loi martiale.

Il est évident que c’est là que les mondialistes trouvent leur compte, soit en empêchant les conservateurs de prendre le pouvoir, soit en les entraînant dans une calamité mondiale dont ils finiront par être tenus pour responsables. Gardez à l’esprit que toute opposition conservatrice/indépendante à l’establishment mondialiste peut désormais être accusée de “collusion avec la Russie”.

Quelle est la valeur de tout cela ? Il s’agit d’une stratégie ancestrale pour diaboliser les combattants de la liberté : si le public les considère comme des concitoyens qui luttent pour leurs droits, ils peuvent être traités comme des héros. En revanche, s’ils sont dépeints comme des assaillants étrangers et des terroristes cherchant à déstabiliser la société, le public les considère comme des méchants. C’est un autre avantage qui explique pourquoi les mondialistes semblent si déterminés à créer une guerre mondiale.

Je pense que la raison pour laquelle l’establishment insiste tant sur la Troisième Guerre mondiale est en partie due aux élections à venir, mais aussi à l’échec de leur programme covid. Les confinements et le système de passeport vaccinal étaient leur grand jeu pour créer un environnement autoritaire permanent avec la capacité d’écraser les groupes conservateurs qui refusaient de se soumettre. Et, quelle que soit la manière dont on tranche le problème, ils n’ont pas obtenu ce qu’ils voulaient. La guerre mondiale est le plan B naturel.

Il est important de comprendre que chaque crise créée par les mondialistes a pour but de détruire les esprits libres. La véritable cible n’est pas la Russie ou l’Iran ; ils sont périphériques. Ces événements sont conçus pour créer un environnement propice à la tyrannie, ils servent de couverture à l’effondrement économique programmé et ils servent de couverture à la VRAIE guerre, celle contre les personnes qui défendent encore la liberté.

On peut dire que la troisième guerre mondiale a déjà commencé, du moins en termes économiques. Je doute aussi fortement que la finalité des mondialistes soit un échange nucléaire mondial ; pourquoi passer des décennies à construire un réseau de contrôle massif pour tout vaporiser en quelques secondes ? Je pense que le danger d’une guerre cinétique monte en flèche et que les citoyens américains et européens seront directement touchés. Il faudra un mouvement de résistance important pour changer la voie que nous sommes forcés de suivre, et les choses vont empirer avant de s’améliorer.




Le climat comme arme sanitaire

Le Climat, c’est la Santé !

[Source : bam.news]
Par Réginald De Potesta De Waleffe

Après une tentative désastreuse de gérer la « crise COVID » et son échec à désigner son origine, on aurait pu croire que l’OMS aurait fait preuve de plus de modestie, mais il n’en est rien.
En manque de crise susceptible de légitimer son emprise, l’OMS a trouvé un nouveau prétexte : Le Climat !
BAM! vous décrit les enjeux d’une tentative de prise de pouvoir mondial.

Depuis « l’Appel à une action d’urgence pour limiter l’augmentation de la température mondiale, restaurer la biodiversité et protéger la santé »1, publié le 4 septembre 2021 dans les pages du Lancet, et le nouveau « narratif » publié ce mois‑ci avec le soutien de la Fondation Rockefeller (dès sa fondation en 1913, la Fondation Rockefeller2 est directement à l’origine de l’ordre sanitaire international avec l’Organisation d’Hygiène à la SDN3) : « Act on Climate — Our Lives Depend on It. A shared narrative for people and organizations urging joint action on climate and health »4 prépare les esprits à faire du climat la probable septième Urgence de Santé Publique de Portée Internationale (USPPI), auparavant réservée aux pandémies : coronavirus (2020), Ebola (2018 et 2014), Zika (2016), poliomyélite (2014) et H1N1 (2009).


Tels sont les critères d’une USPPI : une situation grave, soudaine, inhabituelle ou inattendue, avec des implications sanitaires dépassant les frontières, et qui nécessite une action internationale immédiate5. L’urgence climatique coche toutes les cases pour le Parlement européen qui la déclare en 20196, ou pour l’Archipel du Vanuatu en 20227, sauf que la mer ne monte pas assez vite et le plan d’évacuation8 d’urgence négocié avec l’Australie tombe à l’eau9.

Qu’à cela ne tienne, la situation est pire (sic) que toutes les urgences précédentes10 ! En outre, dès avril 2020, l’OMS et de nombreux commentateurs n’ont cessé d’établir des parallèles entre la crise climatique et ladite pandémie de coronavirus11, comme en atteste le nom du partenariat que la Fondation Rockefeller a noué avec l’OMS : « Partenariat contre les pandémies globales à l’ère du changement climatique »… tout un programme.

Et ça tombe vraiment bien, car aucune maladie ne semble plus pouvoir être étrangère aux conséquences directes de nos émissions de CO212, un peu comme si toutes les affections respiratoires étaient étiquetées « COVID », mais cette fois‑ci, en « climat ». La boucle est bouclée. La santé de tous dépend de tous. Les animaux vecteurs de maladies se déplacent, les vagues de chaleur, incendies, inondations impactent l’eau, le cheptel et les cultures et donc directement la santé humaine. Ce refrain est repris en chœur par les acteurs de la gouvernance mondiale, l’OMS1314, l’ONU15, le Forum Économique Mondial16, les lobbies et les ONG écologistes. Ces dernières sont considérées, à tort, comme l’émanation d’une volonté populaire, alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins qu’un racket aux bons sentiments financé largement par les fortunés « sauveurs de l’humanité » comme Rockefeller, Getty, Gates ou Soros pour n’en citer que quelques-uns1718, plutôt que par les contributions des petits donateurs.

La lutte contre le réchauffement climatique anthropique (RCA) n’est plus une menace pour les générations futures, mais passe pour la réalité aux conséquences directes sur la santé des écosystèmes (sic). Les populations les plus défavorisées en sont les premières victimes et « nous ne pouvons laisser personne de côté » (Leave no one behind).19 À votre bon cœur messieurs‑dames, si ce n’est pas pour vous, faites‑le au moins pour les autres… Cela ne vous rappelle rien ? La couverture de santé universelle est d’ailleurs inscrite au programme, avec identité numérique à la clé. C’est pour votre sécurité et si l’on s’y met tous, tout se passera bien, d’ailleurs on s’occupe de tout, vous avez déjà bien assez à faire avec l’inflation, le terrorisme, le retour de la guerre froide, les punaises de lit (quand ce ne sont pas les effets indésirables20 des injections et leur composition…).

Les dernières marches avant le Sommet

1. La COP28 : La Santé d’abord21

La prochaine COP débute ce 30 novembre. Elle est consacrée cette fois à l’avancée du plan d’action et mettra l’accent sur la » santé climatique ». C’est le moment choisi par l’OMS pour affirmer ses prérogatives et d’en faire une COP Santé. Quelques jours avant l’ouverture de la 28e conférence des parties, l’OMS a publié son cadre opérationnel pour construire des systèmes de santé résilients au changement climatique et à faibles émissions de carbone22 concomitamment avec un épais rapport du Lancet en faveur d’une réponse climatique centrée sur la santé23 en guise de caution scientifique.

Risques climatiques pour la santé et les systèmes de santé (source : OMS nov. 2023)

2. Recommandation du Cadre Sendai pour la COP2824

Le processus de Sendai concerne la réduction des risques de catastrophes, avec cinq priorités :

  • Comprendre les risques de catastrophes, tout enregistrer, tout voir, tout modéliser ;
  • Renforcer la gouvernance des risques de catastrophes pour mieux les gérer ;
  • Intervenir en temps réel sur tous les paramètres opérables ;
  • Investir dans la réduction des risques de catastrophes aux fins de la résilience ;
  • Renforcer l’état de préparation aux catastrophes pour intervenir de manière efficace et pour « mieux reconstruire » (Build Back Better) durant la phase de relèvement, de remise en état et de reconstruction.

Les négociations pourraient rendre ce cadre d’action mobilisable même en l’absence de catastrophe, et donc par prévention d’un désastre majeur, comme pourrait en être accusé à tout hasard le dioxyde de carbone, ce fertilisant vital et source unique d’oxygène issu de la photosynthèse. Un bilan carbone imposé à tous les agents économiques permettrait une quantification rigoureuse et le contrôle de ces émissions.

Les discussions se poursuivent à Dubaï jusqu’au 12 décembre.

3. Nouvelle « Convention et Accords de l’OMS » (CA+) prévu le 24 mai 2024. « Santé pour la paix et paix pour la santé »

Le premier Règlement Sanitaire International (RSI) a été établi en 1951. Révisé en 1969, 1981 et 2005, le travail d’une nouvelle mouture a débuté sur le thème « Santé pour la paix et paix pour la santé » qui tire les enseignements de la période COVID.

Les négociations doivent aboutir à un nouveau traité « pandémies » et une réforme du Règlement Sanitaire International (RSI) établi en 2005. L’OMS aspire à des pouvoirs étendus et coercitifs pour remplir les missions qu’elle s’est données. Sauver la paix et le climat sont ses nouveaux défis.

Le projet de texte25 et ses amendements26 donnent à l’OMS le pouvoir de s’auto‑saisir dès lors que sont concernés les sujets suivants : la santé animale, la protection des écosystèmes, la santé humaine (le triptyque « One Health ») et le niveau de CO2. Et le discours climatique catastrophiste officiel couvre d’une manière très opportune ces quatre sujets.

À cela s’ajoute un financement permanent, le droit de qualifier de pandémie n’importe quelle épidémie, le droit de procéder à des confinements, d’activer le passeport vaccinal, d’accroître la surveillance des populations, de censurer, d’autoriser des traitements (d’en discriminer d’autres), de rendre obligatoires et d’organiser des vaccinations éventuelles, de sélectionner les fabricants autorisés, d’imposer une gestion centralisée éclipsant l’autonomie des États membres, souveraineté des États aussi éclipsée par la signature possible d’une partie prenante supérieure (par la définition extensive de partie par le nouveau traité). Ainsi, dans l’éventualité où l’Union européenne serait partie signataire, la Commission européenne, de plus en plus autoritaire (cf. la prolongation de 10 ans des glyphosates) pourrait faire appliquer le nouveau traité aux États membres.

L’opposition à ces développements regroupe les pays africains, l’Iran, la Malaisie, la Russie et le Brésil qui ne voient pas d’un bon œil le tournant unilatéral des hautes instances de l’OMS. Tout récemment le nouveau Premier ministre slovaque s’est formellement opposé à ce nouveau traité, l’accusant de servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique27. Nous saurons après la prochaine réunion de l’Organe de Négociation Intergouvernemental (INB) qui se déroule du 4 au 6 décembre s’il y a un « consensus mondial » suffisant pour la ratification aux deux tiers, ce dont il est encore raisonnable de douter, quoique beaucoup d’efforts ont dû être fournis pour huiler les rouages de ces négociations.

Outre l’opposition de certains pays, des citoyens et des organisations se mobilisent. Alertée par la disparition des dernières versions du traité de la « pleine considération pour la dignité, les droits de l’homme et les libertés fondamentales des personnes », CitizenGO, a pu rassembler non moins de 333 500 signatures d’opposants au CA+ de l’OMS en 8 jours à peine.28

Senta Depuydt (Children’s Health Defense) suit ce dossier de très près. Elle appelle à une sortie de l’OMS. Une présentation détaillée qui vaut le détour est disponible sur son site Substack29.

4. Préparation du Sommet pour le Futur en septembre 202430

Un autre processus pourrait également aboutir à une prise de contrôle centralisée au nom d’une urgence planétaire.31

La désignation de menaces systémiques globales s’est toujours accompagnée d’appels à une réponse internationale où les antagonismes et les souverainetés étatiques doivent s’effacer au nom du bien commun et partant, nous conduire à une gouvernance globale : notre agenda commun !

En 2012, dans la foulée de Rio+20, trente-deux scientifiques signent une tribune dans Science : L’urgence planétaire appelle une gestion globale et une gouvernance mondiale. Elle passe par la réforme en profondeur des institutions nationales et internationales32.

Pour faciliter cette transformation et éviter la catastrophe, la Global Challenges Foundation est fondée en 2013. Elle publie un rapport33 qui liste douze menaces fatales pour l’humanité et appelle à une coopération renforcée. Elle fonde un prix de 5 millions de dollars pour l’élaboration d’un plan pour une O.N.U. 2.0. : “The New Shape Prize is the first ever attempt to invite the whole world to come up with the best possible innovative ideas of how we can find a New World Order”, Johan Rockström, Davos 2018.


En 2015, Futur Earth34 établit les bases de l’architecture de cette nouvelle gouvernance globale. La même année, la Commission on Global Security, Justice & Governance produit un rapport35 sur la crise de la gouvernance mondiale. Ses recommandations pour relever les défis majeurs (défaillance des États, prévention des conflits, réchauffement climatique, sécurité de la cyberéconomie…) passe par un dialogue global et, ô surprise, une réforme des institutions internationales.

Quelques mois plus tard, l’Assemblée Générale des Nations Unies (AGNU) dresse l’Agenda 2030 et les 17 Objectifs du Développement Durable (ODD) dont la rosette arc‑en‑ciel orne la boutonnière des Young Global Leaders. L’année 2015 est couronnée par les Accords de Paris de la COP21 et le cap du Net Zero pour 2050 grâce aux marchés d’échanges du carbone, le nouvel étalon de la consommation limitée par votre Pass Carbone.


En novembre 2018, Emmanuel Macron préside la fondation du Forum de Paris sur la Paix36. Les lauréats du New Shape Prize y présentent leurs travaux. La liste des fondateurs et partenaires laisse rêveur : UNESCO, U.E., FMI, World Bank, Rockefeller Foundation, Bill & Melinda Gates Foundation, Carnegie Foundation, Open Society, Microsoft, Amazon, TikTok… Ses travaux sont focalisés sur l’amélioration de… la gouvernance mondiale.

En 2019, l’ONU appelle un plan d’action sur 10 ans pour répondre aux ODD.

En 2020, l’OMS déclare l’USPPI COVID et dans la foulée Klaus Schwab, du Forum Économique Mondial, publie son livre où il appelle un Grand Reset pour lequel le COVID présente « une fenêtre d’opportunité que nous ne pouvons pas rater »37, une répétition générale donc ?

En réponse, les 16 et 17 septembre 2020, le Forum de la Gouvernance Mondiale se tient en virtuel, COVID oblige, avec ce mot d’ordre : « Dessiner une feuille de route pour le futur que nous voulons, pour les Nations Unies dont nous avons besoin ». À cette occasion est constituée une Commission sur la Gouvernance Climatique, soutenue entre autres par la Fondation Rockefeller38, et chargée d’émettre des suggestions de réformes au système global. Ces commissionnaires se voient aussi confier la tâche d’émettre des propositions pour concrétiser la gouvernance mondiale au Sommet pour le Futur. En cas de déclaration d’état d’urgence, ils suggèrent la mise en œuvre d’une plateforme dédiée pour répondre de manière concertée à un choc global.

« Six limites planétaires sur neuf ont été dépassées »39.

Lors de l’AGNU de septembre dernier, la Commission a produit un rapport pour gouverner l’urgence planétaire40 et déclarer que 6 limites planétaires sur 9 qui ont été scientifiquement identifiées sont dépassées (les neuf limites planétaires sont le changement climatique, l’érosion de la biodiversité, la perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, les changements d’utilisation des sols, l’acidification des océans, l’utilisation mondiale de l’eau, l’appauvrissement de la couche d’ozone, l’introduction d’entités nouvelles dans l’environnement — pollution chimique — et l’augmentation des aérosols dans l’atmosphère)41 ! Elle déplore tant l’absence d’initiative au sommet que le manque de réactivité de la société civile qu’elle appelle à se mobiliser pour exiger les évolutions nécessaires. Dès lors, elle recommande que l’AGNU déclare à l’occasion du Sommet pour le Futur une urgence planétaire et convoque une plateforme d’urgence pour coordonner une action concrète42 : L’établissement d’un tableau de bord général pour surveiller les neuf limites planétaires, ses fonctions vitales, ses paramètres et tous nos faits et gestes en temps réel pour assister la gestion du système Terre. Un rapport intermédiaire sera présenté à la COP28.

L’U.L.B. organise une journée d’étude complète et une conférence en soirée sur le sujet des urgences planétaires ce mercredi 13 décembre43.

The Digital World Brain “Neural techniques that invalidate free will”, Jacob Nordangård, octobre 202344

Le plan est déjà prêt

A Big Plan for a Small Planet a été élaboré par la Global Commons Alliance portée par le Club de Rome, le Forum Économique Mondial, le Rockefeller Philanthropy Advisors, la Global Challenges Foundation parmi 70 autres organisations contrôlées par de riches donateurs. Il s’agit d’accélérer le changement de système pour préserver le bien commun (sic)… et voler toutes vos libertés. La formule est simple,une commission planétaire qui établit des objectifs basés sur la science, qui informe les instances qui déclenchent les changements systémiques idoines, lesquels sont évalués en temps réel grâce à l’internet des objets et des corps par la fée intelligence artificielle (sic)45.

« The warming of the climate is no longer merely, or primarily, an environmental issue. It is an energy issue; a business issue; an investor issue; a moral issue; a security issue; an agricultural issue; a coastal issue; a religious issue; an urban issue; in short, a global issue that touches every conceivable facet of human existence. It is a matter of universal concern that cuts across party lines, religious affiliations, class divisions, and demographic distinctions. Therein lies our current opportunity. »

Annual report Rockefeller Brothers Fund 200546

Il faut prendre l’Agenda annoncé au sérieux. Pour empêcher les catastrophes qui nous menacent, il nous faudrait tout mesurer, tout contrôler, tout piloter. Le narratif nous emmène tout droit vers l’état d’urgence : limites planétaires, pandémies, climat et guerres, rien ne va plus. Depuis l’entrée en scène médiatique de Greta Thunberg et son intronisation47 au World Economic Forum de Klaus Schwab, l’urgence climatique et sa litanie de catastrophes inondent les médias officiels. La société tout entière est appelée à entrer en transition comme on entre en religion48. Il ne s’agirait en fait que d’entériner un état de fait.

On nous répète inlassablement que les conséquences du réchauffement seront pires que celles du COVID49. Ce qu’il faut comprendre de cette phrase, c’est que les mesures que l’on s’apprête à prendre seront pires que celles de la précédente USPPI COVID. Progressivement, les droits humains s’effacent du cadre des négociations de la gouvernance des risques.

Les aspirations à une gouvernance mondiale ne sont pas des phénomènes récents, mais plutôt le résultat de décennies d’efforts orchestrés par de riches fanatiques désireux d’accroître leur contrôle sur les populations. Ces derniers engrangent patiemment les bénéfices d’une emprise croissante sur les institutions internationales tout en imprégnant tous les pans de la société de leur idéologie. Leur influence est majeure dans le financement des universités et des fonds de recherche. Cela façonne ainsi le récit propagé par les médias sous leur influence et leur permet, à coup d’ingénierie sociale, d’imposer leur vision d’un monde angoissant et au bord de l’effondrement. Cette soif de contrôle pourrait bien atteindre un tournant décisif avec les développements de la cybernétique où la biologie fusionne avec le monde digital dans un grand tout hyperconnecté. L’identité électronique50, la géolocalisation, le bilan carbone convergent vers l’établissement d’un modèle intrusif et liberticide, omniscient quant à chacun de nos faits et gestes. Ce cauchemar totalitaire imposera une biopolitique au nom du bien commun. Toutefois, derrière cette rhétorique altruiste se profile une menace réelle pour l’humanité. Même si on assiste à une forte montée du scepticisme climatique51 et qu’il reste encore quelques étapes importantes à franchir avant l’adoption d’un tel cadre supranational, il ne faudrait pas négliger les moyens considérables et la détermination implacable des intérêts qui le soutiennent, que ce soit au nom d’une menace réelle, imaginaire ou fabriquée.

« Si vous permettez aux politiciens de violer vos droits en temps de crise,
ils créeront des crises pour violer vos droits ».

Samuel Stemmer

Réginald de Potesta de Waleffe
Pour BAM!





Asseli qui ?

[Source : @campagnoltvl]

[Le meilleur candidats aux élections européennes pour emm… Macron ?]



La suite :






Les résultats des prochaines élections européennes ont été truqués

Le salut est dans le Frexit.
Voter RN ou Reconquête, c’est voter UE !

En juin prochain auront lieu les prochaines élections européennes si d’ici là le monde n’a pas basculé dans le chaos suite à une décision des USA et de leur armée otanienne.

C’est avec émotion que je vous annonce ne plus être complotiste, je suis devenu médium et je vous annonce que les résultats seront faussés.

À quoi bon voter ?

Cette question est légitime en ce qui concerne les élections nationales. Il est évident que le mode de scrutin à deux tours mis en place par De Gaule et sans proportionnelle ne permet pas l’émergence d’une véritable opposition. L’objet était de mettre en œuvre une forme de monarchie républicaine.

Dans ce contexte il est quasi impossible pour un inconnu d’être élu député. Il faut la puissance d’un parti autorisé qui a le droit d’être médiatisé. Quant à Président de la République, c’est totalement IMPOSSIBLE.

Celles et ceux qui sont élus ne le sont uniquement parce qu’ils sont garants d’une absence totale de changement. Quand bien même le voudraient-ils, les traités européens empêchent toute marge de manœuvre.

En revanche il n’en est pas de même concernant les élections européennes où la proportionnelle est de mise.

Un vote « utile » pour des élections européennes ?

Les autres scrutins en France sont à deux tours et à la majorité. Celui qui obtient 50,0000001 % des voix remporte le pactole. Dans ce cas le « vote utile » peut avoir sa place :

« Je vais voter pour machin que je n’aime pas trop au premier tour, car mon candidat favori n’a pas la moindre chance de passer au second tour et je ne veux surtout pas que l’autre enculé gagne. »

Cet argument n’est plus valable pour les élections européennes qui sont à un tour et à la proportionnelle.

Pour les Européennes le seuil électoral est de 5 % ce qui signifie qu’une liste qui obtient à minima 5 % des voix aura à minima un député européen !

Alors oui un vote utile peut (et doit) exister, mais uniquement en favorisant une liste souverainiste plus à même de franchir la barre des 5 % !

Sondages et prospectives

Tous1 donnent environ les mêmes chiffres :

La somme des intentions de vote des partis de cette liste donne plus de 90 % des voix.

Pourquoi me suis-je borné à n’additionner que ces partis alors qu’il y en a d’autres ?

Pour la simple raison que tous affirment leur vassalité à l’égard de l’Union européenne et de son dictateur en chef, Mme Von Der Leyen.

Même les partis comme le Rassemblement National ou Reconquête ne prônent plus la sortie de l’Europe, de l’espace Schengen, de l’Euro, de la CEDH ni de l’OMS ou de l’OTAN. Ils nous parlent désormais de « réformer l’Europe de l’intérieur ». Nous avons bien vu le résultat en Italie avec Meloni qui s’est mise à genoux.

Ils ne parlent même plus d’interroger les Français par référendum sur la sortie de l’UE !

La stratégie du RN est devenue limpide, ils veulent parvenir sur la plus haute marche du podium et ceci n’est autorisé dans notre belle démocratie que si vous vous soumettez aux maîtres du monde partisans du Grand Reset.

Autant il était possible de jouer sur les ambiguïtés lors des précédentes élections européennes en disant que les électeurs qui votaient pour le RN étaient opposés à cette UE, autant ce n’est plus d’actualité, le parti étant devenu UE compatible.

Voter RN, Reconquête ou les autres partis des 90 % du sondage ce n’est pas voter utile, c’est comme voter Macron !

Il n’y a strictement rien de « vote utile » à donner sa voix au RN ou à Reconquête qui ne sont pas ou plus des partis souverainistes.

RN :

Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement National, a déclaré2 le 10 mars 2024 :

« Le Rassemblement national “ne défend pas le Frexit”. »

En ceci il a confirmé les propos du 29 février 2024 de Jordan Bardella3, tête de liste aux européennes et Président du Rassemblement National :

« Nous ne sommes pas pour le Frexit ni public ni caché. »

Voter Rassemblement National, c’est donc voter pour l’UE !

Reconquête4 :

« Pourquoi pas de Frexit, en huit points. »

Il est intéressant de lire leurs arguments qui sont les mêmes que les autres, « nous allons tous crever si l’on quitte l’UE. ». Dire que j’y croyais il y a quelques années.

Vous comprenez bien pourquoi je n’ai pas attribué les intentions de vote pour le RN ou pour Reconquête au Frexit, mais aux partis pro-UE !

LFI :

Tant que j’y suis citons LFI qui sont les champions du monde de l’hypocrisie et de la tromperie.

Ceux-ci parlent d’une 6e république, d’une nouvelle constitution plus démocratique tout en ne prônant pas le Frexit, condition pourtant indispensable pour retrouver une indépendance.

« Jean-Luc Mélenchon n’est pas sur la ligne du “Frexit”, mais ne renie pas complètement cette hypothèse. »

Ben tiens…

EELV5 :

« En tant qu’écologistes, nous défendons l’Europe par conviction de cœur et d’esprit. Parce que nous savons ce que l’idéal européen a apporté et l’espoir qu’il peut encore représenter aujourd’hui, mais aussi parce que nous mesurons, face aux défis économiques, sociaux, environnementaux et démocratiques de notre époque, au besoin de construire des règles qui permettront de lutter contre les inégalités et de répondre à l’urgence climatique, à quel point l’échelon européen est nécessaire et incontournable. »

Toujours aussi merveilleux d’entendre les plus grands dictateurs nous parler de démocratie.

PCF6:

« S’agirait-il alors de prôner une simple “désobéissance” ou un “Frexit” ? Nous ne partageons pas non plus ces discours qui n’ouvrent aucune perspective pour les peuples. »

Je vous fais grâce des autres comme le PS, LR ou Renaissance dont la vassalité vis-à-vis de l’UE n’est plus à démontrer.

En fait si l’on regarde le programme de tous ces partis, il y a deux camps qui se dessinent :

  • Les pro-UE telle qu’elle est et qui veulent accélérer la dictature.
  • Les supposés anti-UE qui font de la diarrhée verbale, des vendeurs de vent, des vendeurs d’illusion, des menteurs qui prônent une « nouvelle UE réformée de l’intérieur » alors que les institutions ne le permettent pas. Notez qu’ils nous la promettent depuis plus de 20 ans.

Houston, nous avons un problème7

Comment est-il possible que plus de 90 % des personnes qui s’apprêteraient à voter soutiennent encore cette Europe ?

Retour vers le futur :

En 2005 les Français se sont vus demander par référendum s’ils voulaient d’une Constitution européenne, s’ils voulaient abandonner une partie supplémentaire de leur souveraineté au bénéfice de l’Union.

À cette époque 54,68 % des Français s’étaient prononcés pour le « non ». Je suis d’autant plus libre d’en parler que j’avais voté « oui », pensant que cette constitution allait apporter plus de démocratie dans cette technocratie libérale européenne.

Pour autant la situation à l’époque n’était pas aussi catastrophique qu’aujourd’hui. Il était encore possible de parler ou de faire un peu rêver d’une Europe de « prospérité économique », de « libertés » et de « paix » sans éclater de rire, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

Notons que l’argument le plus fort était celui de la paix, grâce à l’Europe il n’y aurait plus de guerre et patati et patata.

Que nous disent les sondages actuels ?

On nous annonce sans froncement de sourcils que les votes pro-politique-européenne seront de 90 % tandis qu’il y aura au maximum 10 % de votes souverainistes !

De qui se moque-t-on ?

Pourriez-vous me dire où sont celles et ceux qui ont voté contre la Constitution européenne en 2005 ?

2005, 54 % de contre, 2024, 90 % de pour ?!

De plus en 2019, lors des précédentes élections européennes, le Rassemblement National avait fait 23 % des voix. Et en 2016 le discours du RN était tout autre8 :

« Marine Le Pen exulte et réclame un “Frexit”. »

« La présidente du Front national va faire du “Brexit” un argument électoral pour la présidentielle de 2017. »

Aujourd’hui le RN est à 100 % contre le Frexit, la soupe est trop bonne pour cracher dedans.

Est-ce à dire que ces 23 % d’électeurs qui approuvaient la sortie de l’UE sont désormais pro-UE au regard des sondages ?

Forte dégradation de la situation et du rêve européen

Nous avons :

  • Une Europe qui a imposé (liste non exhaustive) la dictature sanitaire, les masques, les confinements, le passe sanitaire, une extorsion de consentement pour une injection plus létale que salvatrice et aux effets secondaires interdits de médias. Pour une injection a été approuvée sous les SEULES données fournies par les laboratoires avec des contrats conclus à coup de SMS par une personne non mandatée pour cela et pour lesquels même les députés européens n’ont pas accès !
  • Une UE qui a détruit totalement l’économie à la fois par des traités de libre-échange sans la moindre contrepartie de pays aux normes sanitaires et sociales à des années-lumière des nôtres. De lois dites « écologiques » dont le seul objet est la destruction du tissu industriel européen, la destruction de l’agriculture et donc de notre indépendance. Sans compter la destruction de notre savoir-faire en matière de nucléaire alors même que les pseudo-écolo nous bassinent avec le fameux CO2 qui serait « mortel ». Sans compter toutes les normes désormais rétroactives (qui ne s’appliquent pas uniquement au neuf, mais aussi à l’ancien) sur l’isolation des habitations, les véhicules interdits de rouler alors que fonctionnant parfaitement et j’en passe. Normes qui peuvent être ajoutées au chapitre dictature.
  • Une UE qui finance la guerre à coups de milliards sortis d’un chapeau alors que dans le même temps le gouvernement français connaît un déficit abyssal qui devrait être comblé en supprimant des prestations sociales ou en augmentant des impôts. Europe qui n’emploie plus jamais le mot « paix », qui prône la défaite de la Russie et qui n’hésite même pas à brandir la menace nucléaire. Ces gens n’appellent plus qu’à la mort et à la misère. Ukraine, Palestine, etc., le seul mot d’ordre est « guerre totale » contre le « mal », quitte à envoyer nos enfants à l’abattoir.
  • Une UE qui détruit nos traditions, nos valeurs, nos religions, nos racines et surtout la famille. Qui cherche à nous faire croire qu’il n’y a rien qui nous cimente hormis notre consommation de biens. Une UE qui veut nous imposer le Wokisme, l’identité de genre, l’avortement à neuf mois de grossesse, l’apprentissage de la sexualité et de la masturbation dès la maternelle, la pédophilie avec le droit d’un enfant à consentir une relation sexuelle avec un adulte, l’euthanasie le meurtre pour tous les inutiles, vieux, malades, fous, pauvres… Un monstre, un psychopathe sans âme qui ne prône que l’individualisme et la réussite personnelle.

La dictature en marche, un avenir des plus sombres

Riez les normies lorsque j’écris que :

  • Les gueux devront présenter un QR-code pour sortir et rentrer dans leur quartier.
  • Ils n’auront plus le droit de posséder un véhicule ou si cher pour être « propre » qu’ils ne pourront plus se l’acheter et devront prendre des transports en commun.
  • Avec l’identité numérique et l’Euro numérique, ils pourront dépenser leur argent uniquement en fonction de « critères écologiques » ou de leur « emprunte carbone ».
  • Ils auront le droit de partir en vacances une fois par an, mais dans un rayon compatible avec leur crédit social et leur statut vaccinal.

Ricanez donc quand j’écris que seuls les riches, ceux qui posséderont des voitures « propres » et qui pourront racheter aux gueux du crédit carbone, pourront sauver la planète en partant en vacances en avion quand bon leur semble.

Que d’affirmations aussi gratuites que ridicules ?!

L’horrible réalité des faits

Je ne vous en voudrais pas de glousser à foison, néanmoins permettez-moi de vous rappeler les faits suivants :

S’il y a 20 ans je vous avais annoncé que dans l’avenir :

  • Tu pourras être assigné à résidence sans condamnation ni procès alors que tu es en pleine santé pour protéger la population d’un prétendu « virus ».
  • Tu auras l’obligation d’injecter 11 « vaccins » dès les premiers mois de la vie de ton enfant sans quoi il ne pourra pas fréquenter les collectivités « pour leur santé et pour protéger les plus fragiles ».
  • Des médias internationaux seront fermés du jour au lendemain « pour te protéger de la désinformation » et la censure sera activée sur les médias sociaux. Thierry Breton commissaire européen rédigera le DSA (Digital Services Act) dont l’objectif sera de lutter contre la « Haine, manipulation, désinformation, contrefaçons… Ces dérives touchent de plus en plus de contenus en ligne9 », bref ni plus ni moins que de la censure.
  • Tu n’auras plus le droit d’utiliser ta voiture, même en parfait état de fonctionnement, dans les grandes villes (et ailleurs) pour « protéger la planète ». L’objectif sera l’interdiction de vente de voitures thermiques en Europe dès 2035 alors que l’ensemble des pays non occidentaux verront leur parc de voiture à pétrole exploser. Le plus merveilleux est que ta voiture « propre » achetée pour jeter ton ancien véhicule tueur de planète sera à son tour interdite de circulation cinq ans plus tard au profit d’une autre encore plus propre qui elle-même subira le même sort quelques années plus tard.
  • Tu n’auras plus le droit de louer ton bien, même en informant le locataire, si c’est une « passoire thermique » puis tu n’auras plus le droit de le vendre ou de l’acheter pour « protéger la planète ». Seuls les grands groupes disposeront des ressources financières et des aides de l’Europe afin de faire disparaître un maximum de propriétaires individuels.
  • Toute dissidence, toute opinion contraire à la doxa te verra dénigré et exclu des médias mainstream.
  • Tu n’auras plus le droit de faire l’école à la maison pour tes enfants sans accord de l’administration et justifier les raisons pour « éviter les dérives sectaires ». En revanche tu devras accepter qu’on leur apprenne la masturbation et la possibilité de changer de genre.
  • Tu n’auras plus le droit de faire un feu de cheminée dans un foyer ouvert pour « sauver la planète du réchauffement climatique ». ni de brûler tes déchets verts, même les jours de pluie. Les chaudières à fioul ou à gaz devront être interdites.
  • Tu n’auras pas le droit d’aller au restaurant sans présenter un QR code prouvant ton statut vaccinal pour « protéger la population d’un virus ».
  • Tu devras présenter un QR code pour rentrer chez toi ou pour accéder à un quartier (épreuve JO) pour « empêcher un attentat » tandis que les autorités utiliseront la reconnaissance faciale pour ta sécurité.
  • Tu pourras être dénoncé et condamné si dans un cadre privé tu tiens des propos non autorisés10.

Et je ne vous parle pas de toutes les taxes inventées, citons la merveilleuse taxe d’archéologie préventive qui doit être payée pour des travaux de construction quand bien même il n’y aurait strictement aucun vestige dans votre sous-sol.

Étant donné que 100 % des affirmations précédentes se sont révélées exactes, qu’elles ne relèvent que du fait et non du complotisme, pourriez-vous prendre le risque d’affirmer que mes prospectives dictatoriales sont délirantes ?

Demandez-vous pourquoi l’UE et les États membres veulent tant de l’euro numérique sinon pour y associer un crédit social.

Dans ce contexte épouvantable, vous voudriez me faire croire que les gentils Français qui en leur temps avaient voté contre la Constitution européenne seraient devenus pro-européens alors que la situation empire chaque jour sous tous les fronts ?

Pensez-vous que les anti-constitution d’hier sont devenus débiles au point de croire que leurs malheurs sont liés à Poutine ou au « réchauffement climatique » ?

De qui se moque-t-on ?

Le Frexit11 ou la mort !

Je suis un partisan d’une UE des peuples et démocratique. Mais j’ai conscience que le machin mis en œuvre est exactement le contraire.

Force est de constater que cette Europe est pour l’instant mortifère et il n’y a de solution que de reprendre une souveraineté nationale.

Il n’est désormais plus possible de nous faire le coup d’une France isolée et pauvre face à une Europe forte et riche.

L’UE est morte, notre industrie est morte, les libertés sont mortes, la paix est morte, il ne reste qu’un champ de ruines. Quand la planète et surtout l’Asie parlent, (non pas parlent, mais agissent), de développement, de croissance, cette UE impose diminution des émissions carbone, diminution des consommations d’énergie, diminution de la production, diminution du nombre d’agriculteurs, diminution de la production de viande, etc. bref un modèle 100 % incompatible avec le monde économique.

Une économie qui ne serait basée que sur le tertiaire sans la moindre production relève de l’escroquerie.

Nous dire que seuls nous serions dans une situation catastrophique devrait faire rire quiconque a la moindre notion d’économie et regarde la réalité.

Voter pour un des partis qui font les 90 % du sondage c’est voter pour du vent,
pour du mensonge, pour de la tromperie et pour de la dictature.

De Lutte Ouvrière à Reconquête en passant par Renaissance, quel que soit celui qui arriverait au pouvoir aurait la même politique économique, migratoire, guerrière, dictatoriale et sociétale que les autres.

TOUT se décide au niveau de l’UE !

Les maîtres du monde n’en ont rien à faire de qui gagne ces élections parmi ceux-ci, au point qu’ils n’hésitent pas à arroser des partis de tout bord, car ils sont gagnants quoi qu’il arrive.

En revanche ils craignent le Frexit. Vous en avez la preuve absolue dans les médias qu’ils contrôlent : aucun invité pro-Frexit ; aucun débat pour ou contre le Frexit. Le silence total ou juste quelques phrases pour expliquer qu’il mènerait au chaos économique et à la dictature (fou rire dans la salle).

L’épouvantail du Frexit ne fonctionne plus

Si en son temps le Frexit passait pour une idée aussi délirante que mortelle, il ne faut pas oublier que le Brexit est passé par là. Et même si les médias ne manquent de nous rappeler que les Anglais vivent en enfer depuis, le fait est que le pays ne semble pas jonché de cadavres et de miséreux dans la rue et sans logement.

C’est bien ici que nous voyons que le « à quoi bon voter » s’effondre tel un château de cartes.

J’entends bien que le Frexit n’est pas une solution nécessaire ET suffisante, mais uniquement une solution nécessaire.

D’autant plus nécessaire que le projet des mondialistes est d’ajouter de nouveaux pays membres afin de rendre l’Europe de plus en plus ingouvernable d’un point de vue démocratique et de plus en plus administrée dictatorialement.

Entre le néant de l’UE et l’inconnu du Frexit, mon choix est fait.

À tous les résistants qui lisent ce texte, je dis que le Frexit ne relève pas de l’utopie, nous ne sommes pas plus cons et plus lâches que les rosbifs, si eux l’ont fait nous le pouvons aussi.

Et il y a bien une chose pour laquelle je suis certain est que l’abstention n’est pas de nature à cheminer vers le Frexit alors que le vote pour une liste pro-Frexit est une condition nécessaire (mais non suffisante) pour mettre en place les modalités.

Croyez bien que nos dictateurs ne proposeront jamais de mettre au référendum la question du Frexit si un fort mouvement populaire et politique ne s’impose pas.

Une opposition à l’UE de plus en plus marquée ?

Vous faites quoi des millions de Gilets jaunes, des millions de Français vent debout durant des semaines contre le passe sanitaire ou des agriculteurs qui ont bien compris que l’UE avait pour objectif de les tuer !

Sans compter qu’il y aurait environ 10 millions ou plus d’adultes qui ont refusé l’injection expérimentale.

Pouvez-vous imaginer qu’ils voteraient pour cette UE, pour un prochain abonnement à des injections létales successives ?

Toute cette opposition, partie émergée de l’iceberg se saurait être représentée par ces partis crédités de 90 % des voix !

Où sont passés les 54 % du référendum ?

Nous sommes dans une situation dans laquelle le nombre de Français opposés, déçus, ou trahis par cette UE n’a pu qu’exploser depuis les élections de 2005 et le coup d’État anti-démocratique.

L’IA me dit que 95 % des Français en âge de voter seraient inscrits sur les listes électorales et que cela représenterait début 2024 ce qui correspond à 49,4 millions d’électeurs adultes.

Il serait raisonnable de penser que nous sommes largement plus de 30 % pour ne pas dire plus de 50 % comme pour le référendum, à vouloir dire STOP !

L’occasion d’exister

D’aucuns diraient « à quoi bon voter » pourtant ils étaient 70 % à avoir mis leur bulletin dans les urnes en 2005.

L’adage « qui ne dit mot consent » est une réalité. Je ne vois pas en quoi les maîtres du monde seraient attristés par leur non-participation.

Je vous rappelle que les chiffres finaux sont donnés en fonction du pourcentage d’exprimés et que les absentions ne sont pas comptabilisées. Un vrai décompte dans une démocratie devrait permettre de laisser des chaises vides auquel cas il pourrait devenir intéressant de voir une assemblée avec 40 députés au lieu de 800. Mais ce n’est pas le cas ! Quand bien même l’abstention serait de 80 % (ce qui ne saurait exister) la somme des voix des présentés à l’élection serait quand même de 100 % !

En revanche si nous votons pour une liste souverainiste pro-Frexit, si cette liste obtient à minima 5 % et quand bien même le gars tête de liste serait un traître, nous n’en avons que faire !

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il sera possible de nous compter, nous serons des millions à avoir dit « NON ».

Il n’y a rien d’antinomique à voter lors d’élections européennes pour dire non à cette Europe.

C’est l’unique façon d’exister. Je vous rappelle que les journalistes mainstream, pardon les propagandistes mainstream, ne sont que des putes sans la moindre conscience et que si le camp des souverainistes se met à exister électoralement alors il existera dans les médias.

Pour revenir aux sondages.

Ne nous trompons pas, il est plus que probable que les sondages deviendront la « réalité » de l’élection.

Prenons une hypothèse pessimiste et même illogique au regard du rejet de l’institution européenne auprès de nombreux français.

Ignorons qu’ils soient de plus en plus nombreux à comprendre qu’un Président ou un Député français ne sont que des pions sans le moindre pouvoir et que les lois se décident (à minima) à Bruxelles.

Le taux de participation en 2005 était d’environ 69 %

Le taux de participation pour la dernière élection européenne était d’environ 51 %. Soit 8 % de plus qu’en 2014, cela laissant entendre que les Français semblent comprendre que seules ces élections peuvent peser.

Imaginons que ce taux demeure inchangé et que le différentiel de 18 % d’abstentionnistes par rapport au référendum de 2005 ne soit que des électeurs opposés à cette UE.

Supposons que les contre d’hier soient les contre d’aujourd’hui alors 18 % abstentionnistes + 10 % de souverainistes (selon le sondage), ne donnerait que 28 % contre l’UE.

Où sont passés les 55 % de contre de 2005, où ont disparu les 27 % (55-28) qui manquent ?

Ceci est une preuve du mensonge, laisser entendre que les partis qui veulent rester dans l’UE vont faire 90 % des voix aux élections alors qu’ils n’étaient que 45 % lors du référendum de 2005 relève de la république bananière.

Si les sondages actuels sont convertis en voix alors nous saurons que les élections ont été truquées comme en 2017.

Réveillons-nous, réveillons-les !

Il est d’autant plus difficile de truquer une élection que le nombre de votes à manipuler est important.

Le sujet n’est pas de savoir si les députés qui s’affirment souverainistes vont nous trahir ou pas.

En premier lieu parce que c’est leur faire un procès d’intention et qu’en deuxième lieu ce qui compte ce n’est pas ce qu’ils vont faire, mais le nombre d’électeurs qu’ils représentent.

En ne votant pas, nous ne sommes rien, nous n’existons pas dans les statistiques.

Ne pas voter pour une liste ostensiblement pro-Frexit
c’est laisser le tapis rouge aux mondialistes et à la dictature mondiale.

Il me semble difficile par la suite de se plaindre de la situation et je ne vois pas ce qu’il y aurait de formidable d’aller se saouler jours après jours dans un bar en hurlant « monde de merde, tous des pourritures, il n’y a rien à faire, nous sommes foutus quoique nous fassions ».

Même le français le plus ignorant nourri exclusivement à la bile des médias voit bien la guerre, la dégradation de l’économie, des valeurs et des libertés. Il suffirait de pas grand-chose pour qu’il comprenne (voyez les paysans) que l’UE est notre arrêt de mort.

Les médias censurent le sujet du Frexit, ils vont même jusqu’à dire que les Français sont majoritairement contre pour s’assurer que vous n’iriez pas dans la mauvaise direction.

Informez le peuple et il votera pour le Frexit à n’en point douter.

Voter pour une liste ouvertement pro-Frexit (Philippot, Asselineau, Lalanne, etc. à voir quel est le vote utile parmi celles et ceux qui font la promotion du Frexit) c’est planter une graine dont la forêt contraindra nos dirigeants à provoquer un référendum.

Au pire cela les contraindra à reconnaître que « l’UE est une dictature sur le modèle de la Corée du Nord », ce qui serait préférable à l’escroquerie actuelle laissant croire que nous sommes en démocratie sous censure et violation de nos libertés fondamentales.

Il serait quand même lamentable que la somme des listes pro-Frexit ne fasse que 5 % des voix alors même qu’ils sont plus de 30 %.

Merci.

Alain Tortosa12
28 mars 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240328-le-frexit-ou-la-mort.pdf





« … quand vous vous apercevez que l’État providence, la mère patrie vous a trahis… »




“Avant j’admirais l’OMS, là je pense qu’il faut en sortir”

Wolfgang Wodarg, l’ex-président de la commission Santé au Conseil de l’Europe, dénonce les dérives d’une institution devenue « pompe à fric ».

[Source : covidhub.ch]

[Illustration : Dr Wolfgang Wodarg]

À la fois médecin et ancien député, le Dr Wolfgang Wodarg est particulièrement qualifié pour porter un regard sur les politiques de santé internationales. En 2009, il avait lancé une commission au Conseil de l’Europe pour enquêter sur l’influence des firmes pharmaceutiques dans la déclaration de la pandémie de grippe (H1N1) par l’OMS ; une déclaration qu’il estimait largement « injustifiée ». Cette « mini-pandémie » avait entraîné des achats massifs de vaccins « innovants », brevetés par des grands laboratoires et autorisés « en réponse à l’urgence ».

Ce scénario connu pourrait bien se pérenniser. À la 77e Assemblée mondiale de la santé qui aura lieu le 27 mai, les membres de l’OMS devront se prononcer sur le « Traité pandémie » et la réforme du « Règlement sanitaire international ». S’ils sont votés, ces deux instruments feraient passer les mesures d’urgence dans le droit ordinaire et ouvriraient la voie à une « ère de politique pandémique », dans laquelle l’OMS tiendrait le rôle central. Le Dr Wolfgang Wodarg explique pourquoi on ne peut plus se fier à cette institution.

PROPOS RECUEILLIS PAR SENTA DEPUYDT

S.D: Dr. Wodarg, vous avez été parmi les premiers à critiquer les mesures sanitaires préconisées par l’OMS durant la crise du Covid. Dès le début, vous aviez dénoncé une « pandémie de tests » et ensuite vous aviez averti l’Agence européenne des médicaments des risques liés aux injections Covid, avec vos collègues des « Doctors for Covid Ethics”. Qu’est-ce qui vous qualifiait pour une telle prise de parole ?

Dr Wolfgang Wodarg : Avant tout, je suis médecin et il s’agit vraiment de mon domaine de compétence. J’ai une spécialité en médecine interne et en pneumologie, une formation en hygiène et en médecine environnementale, un diplôme en santé publique et je me suis spécialisé en épidémiologie à l’Université John Hopkins, aux États-Unis. Au début de ma carrière, j’ai dirigé un institut de santé publique dans le nord de l’Allemagne. J’ai fait cela pendant 13 ans. Et je suis aussi entré en politique. J’ai d’abord siégé au Bundestag, le parlement allemand, durant 15 ans et puis au Conseil de l’Europe à Strasbourg où j’ai longtemps présidé la commission santé.

Donc, je connais tout cela de l’intérieur. Lors des épisodes de la grippe aviaire et de la grippe H1N1, j’ai vu comment on avait déclaré une pandémie alors qu’il n’y avait pas lieu de le faire. Cela était dû au fait que l’OMS avait changé les critères qui définissent l’urgence sanitaire. Avant cette date, il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois, mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au-dessus des moyennes habituelles. Mais on a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie.

Quelle est votre perception de l’OMS aujourd’hui ?

J’ai souvent interagi avec l’OMS durant ma carrière. Au début, je suivais ses recommandations avec assiduité. Par exemple, la ville dans laquelle j’étais élu avait adopté le programme des « Healthy cities », les villes en bonne santé. Malheureusement, par la suite, j’ai assisté à la dérive complète de cette organisation, sous l’influence de ses sponsors.

L’industrie pharmaceutique a commencé à avoir un impact sur toute une série de normes qui sont définies par l’OMS. Cela peut être la définition de maladies, la manière de signaler les effets secondaires ou même la définition des valeurs pour établir les diagnostics. Par exemple, le jour où les valeurs du taux normal de cholestérol ont été modifiées, cela a immédiatement permis à l’industrie de vendre beaucoup plus de médicaments.

Aujourd’hui, l’OMS n’est plus au service des populations, elle est l’instrument de ses bailleurs de fonds. L’organisation permet d’ouvrir des marchés pour ses investisseurs, et même d’avoir des ventes garanties. Il suffit de faire peur aux gens pour créer un problème auquel l’industrie pharmaceutique a déjà prévu un remède. Et ensuite, l’OMS en fera une promotion gratuite.

Par contre, une fois que les produits sont distribués, les vaccins administrés, il n’y a pas de suivi. On ne mesure jamais les conséquences des campagnes à long terme. On ne fait pas non plus d’études comparatives, par exemple entre les vaccinés et les non-vaccinés. Voilà ce qu’est devenue l’OMS, une entreprise de marketing.

Des maladies comme la grippe ou les coronavirus permettent chaque fois de recommencer avec des [supposés] nouveaux variants. Et maintenant, c’est la grande ouverture des nouveaux marchés. Il y a celui des données de santé numériques, mais aussi tout le business autour de la détection des nouveaux agents pathogènes et les brevets de propriété intellectuelle qui s’en suivent. Sans parler de l’introduction des thérapies géniques et des vaccins basés sur les technologies ARNm. Ça, c’est le gros morceau, il y a déjà des centaines de produits dans le pipeline.

Que pensez-vous du « traité pandémies » et des amendements au RSI ?

Pour développer tout ce business, ils ont besoin de maintenir la peur constante de nouvelles pandémies. Pourtant, il n’y a pas de raison d’avoir peur des virus1. Les scientifiques savent que ces risques sont faibles. Ce sont les principes de base de l’épidémiologie : si les maladies sont mortelles, elles circulent peu. Et pour ce qui concerne les menaces bactériennes, nous avons les règles d’hygiène et des médicaments pour en traiter la majorité. À vrai dire, avec toutes les connaissances et les ressources dont nous disposons actuellement, nous avons ce qu’il faut pour être en bonne santé. Nous n’avons pas besoin de l’OMS pour cela. C’est un instrument qui a été inventé pour concentrer du pouvoir.

Concernant les accords qui seront votés à l’OMS, je vois qu’il y a une opposition du côté des pays en voie de développement, en particulier les pays africains. Ils parlent d’attaques à la souveraineté de leurs pays, ce qui est réel. Mais je pense que beaucoup d’entre eux sont en réalité en train de négocier de l’argent, en particulier sur la question des brevets. L’Afrique est un réservoir d’agents pathogènes, un « potentiel pandémique » à monnayer. Ce sont les nouvelles « mines ».

Cela dit, toute cette histoire autour des « traités pandémies » cache un problème fondamental qui est le fait qu’une forme de gouvernance mondiale tacite existe déjà. En réalité, avec les Young Global Leaders du Forum économique mondial, tout cela est déjà mis en œuvre partout sous couvert d’urgence et d’adaptation aux nouvelles normes. Regardez, l’Agence européenne des médicaments autorise les produits de thérapies géniques ou la mise sur le marché de substances non testées et l’Europe introduit l’identité numérique. Cela se passe même sans le concours de l’OMS. Nous sommes hypnotisés par ce qui va se passer à Genève, mais en réalité le problème est partout.

Le business a supplanté la science

Nos gouvernements ne nous défendent pas. Ils sont au service de ces multinationales avec la complicité des banques, la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et leurs partenaires à Davos.

Vous savez, l’Empire allemand s’est constitué pour créer un marché commun. C’est l’industrie qui a voulu cela, pas les agriculteurs, ni le peuple. Et bien, c’est aussi la logique qui préside à la constitution de l’Europe. C’est le principe de la globalisation : il y a des produits qu’il faut écouler à des consommateurs. Tout cela n’a rien à voir avec la santé, la démocratie ou les droits humains. C’est du pipeau.

La preuve est que nous en sommes au point où il est devenu impossible de critiquer qui ou quoi que ce soit. Pourtant c’est ce qui nourrit la démarche scientifique : le doute et la critique. C’est vraiment grave. On devrait se souvenir des conséquences que cela peut avoir. Je pense par exemple aux dégâts d’un médicament comme le Softenon qui a causé tant de malformations congénitales. Si plus personne ne peut se plaindre, ni contester leurs affirmations et leurs produits, nous sommes en danger.

Pourquoi les médecins et les politiques ne réagissent-ils pas ?

Ils ont tiré les leçons de leurs précédents échecs ! Lors de la pandémie H1N1, nous avons été plusieurs médecins à déconseiller l’utilisation de vaccins expérimentaux. En Allemagne, à peine 4 millions de personnes avaient été vaccinées, alors que le gouvernement avait commandé 50 millions de doses. Cette fois-ci, on a écarté les médecins pour mener une opération militaire2. Rappelez-vous au début, les vaccins devaient être conservés à très basse température et il fallait aller dans des centres de vaccination. Les médecins ont été évincés durant toute une année. Ensuite, cette affaire de température a soudainement disparu, et quand les médecins ont été autorisés à vacciner, on leur a donné beaucoup d’argent pour le faire.

Quant aux politiciens, ils obéissent tous à la politique des partis. Il est rare de trouver encore des députés qui ont une véritable personnalité. Aujourd’hui, ils sont comme des fonctionnaires qui appliquent un programme économique. Des notions comme la gauche et la droite n’ont plus de signification. Au niveau européen, ils se contentent de créer des monopoles.

D’ailleurs, l’Europe ne veut-elle pas soustraire la santé aux États membres ? L’Union a mené toute la politique covidienne avec l’argument des « menaces transfrontalières ». À présent, elle crée HERA, une nouvelle agence qui va centraliser les données de santé et gérer les mesures sanitaires pour se préparer aux pandémies. Et avec la réforme du Traité de Lisbonne qui se prépare, l’Union semble vouloir complètement accaparer la compétence santé.

Tout à fait ! Nous sommes les victimes de cette Commission et de sa présidente Ursula von der Leyen. Les Britanniques se sont retirés à temps. Nos gouvernements doivent insister sur le principe de subsidiarité. En principe toutes les compétences relèvent d’abord des pays de l’Union, sauf s’il y a une raison spécifique pour laquelle la Commission est plus qualifiée. Mais ce n’est certainement pas le cas ici. Nous avons été trahis par l’Europe. Le problème est qu’il y a tant de chantage et de corruption à la tête des gouvernements. Pour moi, je ne vois qu’une résistance à l’échelle locale… Vous savez « le petit village gaulois » (rire).

La décentralisation du pouvoir est une discussion fondamentale. De manière générale pour la politique européenne et aussi en matière de santé. Je prends l’exemple de la Suisse où le pouvoir régional des cantons est encore assez fort. J’ai été invité récemment à un symposium sur les médecines palliatives et j’ai été émerveillé de voir que chaque canton faisait les choses à sa manière. C’était un échange très riche, parce que chacun a présenté ce qu’il faisait et c’était inspirant pour les autres. C’est un très bon système.

Malheureusement, on y voit la même tendance. Il y a la révision de loi sur les épidémies qui pourrait limiter la compétence des cantons et soumettre la Suisse aux diktats de l’OMS.

C’est vraiment dommage. On peut faire tellement mieux avec une médecine adaptée aux individus et à l’échelle locale. Avec toutes ces mesures uniformes, il n’y a plus de diagnostic différentiel, ni de solutions adaptées aux circonstances de vie des populations et des personnes.

De même pour l’évaluation des risques. Il était évident, en mars 2020, que le Coronavirus n’était pas une véritable menace, mais plutôt une grande pièce de théâtre, menée par des décisions politiques. Et lorsqu’il y a eu des décès, on sait de quoi les gens sont morts : le confinement, le refus d’une prise en charge précoce, l’interdiction d’utiliser des traitements disponibles et surtout, dans les maisons de repos et les hôpitaux, l’administration du Midazolam (équivalent du Rivotril). Les gouvernements devraient analyser tous les échecs des mesures, mais ils ne le font pas.

Pouvons-nous sortir de ce système ?

Bien sûr. En fait, la santé, ça commence dans les quartiers. L’homme ne peut pas influencer le climat, il ne peut que s’y adapter. Il n’est pas nécessaire de mener des politiques de santé à l’échelle mondiale. Je pense qu’il faut revenir à une gestion locale. Cela permet d’avoir plus de transparence, une meilleure adaptation à une réalité du terrain et surtout de demander des comptes aux responsables en place. Un tel changement serait déjà énorme. Dans les circonstances actuelles, je pense que nous n’avons pas besoin de l’OMS.


1 NDLR Voir le dossier Vaccins et virus qui évoque notamment le caractère non scientifique de la virologie et la réfutation de l’hypothèse virale.

2 La prochaine fois, les mondialistes auront une méthode encore davantage peaufinée, avec notamment les lois de censure contre les résistants. Le seul moyen réaliste et de portée humaine d’empêcher cela est de faire tomber la pierre angulaire de l’édifice — la théorie des germes et sa fille virale (voir la note 1). Pour l’instant, étant donné le faible nombre de personnes en général et de personnels soignants en particulier à remettre en question ces croyances et à s’ouvrir à un nouveau paradigme médical, cela semble utopique. Pourtant, sans ces théories (qui ont été scientifiquement réfutées), les mesures sanitaires ne présentent plus la moindre justification et l’industrie pharmaceutique, les médias et les gouvernements complices s’effondreraient tous rapidement, entraînant ensuite le Nouvel Ordre Mondial dans leur chute.




De l’euthanasie à l’aide à mourir, on supprime les mots, mais pas l’acte tabou, ni la crainte d’un glissement éthique majeur

Par Nicole Delépine

« Mal nommer un objet c’est ajouter au malheur du monde », jugeait Camus. C’est nier notre Humanité.

Comment ne pas citer Camus devant ce trait de crayon sur le vrai sujet de l’euthanasie pour faire passer cette loi contraire au serment d’Hippocrate, auxquelles s’opposent les soignants depuis si longtemps, et dont des modèles de compréhension, de négociations, de complaisance même, avec les lois Léonetti successives ont été jusqu’à légaliser la sédation profonde irréversible, plus que discutable. Elles auraient dû clore le débat !

Mais l’approche des élections européennes mal parties pour Renaissance conduit le pouvoir à saisir n’importe quel prétexte, aussi sordide soit-il, pour détourner l’attention des vrais enjeux que sont la sortie de l’UE, le Frexit et l’envoie de nos enfants en Ukraine comme soldat dans un conflit qui ne nous concerne pas. La ficelle est grosse, mais marche habituellement. Rajoutons que les préoccupations morbides du président et de son entourage, leurs rêves de société de pulsion de mort dont témoigne la constitutionnalisation de l’avortement, coïncident avec ses enjeux électoraux.

Le débat de la fin de vie, soulevé à nouveau par ce projet de loi sur l’« aide à mourir » a été exploré largement depuis deux décennies et traité dans la législation française, par les lois Leonetti et Claeys-Léonetti.1

La loi Leonetti

La loi Leonetti a été votée en avril 2005, soit près de vingt ans. Cette loi encadre les conditions de fin de vie et interdit l’« acharnement thérapeutique ». Elle affirme également le droit au soulagement de la souffrance, même au risque d’abréger la vie.

Elle dispose que les actes médicaux « ne doivent pas être poursuivis par une obstination déraisonnable » et « lorsqu’ils apparaissent inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le seul maintien artificiel de la vie, ils peuvent être suspendus ou ne pas être entrepris ». Cette mesure peut s’effectuer soit à la demande du patient, s’il est en état de manifester sa volonté, soit sur décision du médecin dans le cadre d’une procédure collégiale qui permettra de prendre l’avis de tous, y compris celui du patient dans le cas où il a laissé des directives anticipées ou désigné une « personne de confiance » pour informer de ce choix. Ces dispositions sont non contraignantes pour les médecins.

Une nouvelle fois, on utilise l’euthanasie pour détourner l’attention, et au passage ajouter au mal-être des soignants.

« À peine dévoilé, le projet de loi portant sur la fin de vie présente déjà des obstacles. » C’est en tout cas ce qu’affirme Jean Leonetti, coauteur de la loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie adoptée en 2016. « On va avoir d’énormes difficultés dans l’application de la loi », a déclaré le maire d’Antibes sur France Culture, le 11 mars 2024.

Des propos qui interviennent au lendemain de l’annonce par Emmanuel Macron, dans un entretien aux journaux La Croix et Libération, des grands contours du projet de loi, qui s’appuie sur l’avis du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) et sur les travaux de la convention citoyenne qui s’est prononcée en avril dernier. Le texte « ouvre la possibilité de demander une aide à mourir sous certaines conditions strictes », à savoir être majeur, atteint d’une maladie incurable, mais capable d’un discernement plein et entier, a dévoilé le chef de l’État. L’examen du projet de loi débutera à l’Assemblée nationale le 27 mai, a annoncé lundi Gabriel Attal ».2

La fin de vie n’autorise pas le « en même temps ».

Emmanuel Macron, dans un entretien à La Croix et Libération, a détaillé les contours de la future loi visant à donner la possibilité de mourir aux malades en fin de vie. » Soucieux de ne pas déplaire à ceux qui sont opposés à l’euthanasie, notamment la majorité des soignants les responsables religieux, il joue sur les mots, et entretient des confusions qui brouillent la manière dont ce projet peut être compris par les citoyens ».3

Mais ne nous y trompons pas, l’accélération du départ de cette terre des anciens ou de grands malades culpabilisés de leur « présence coûteuse, et de leur inutilité », est dans le viseur.

Cela avait commencé nettement dans les années 90 avec la volonté (déjà) de réduire les dépenses de santé, en particulier chez les retraités4.

Et c’est dans les années 2000 que des pédiatres cancérologues ont commencé à euthanasier des enfants en fin de vie (selon leurs critères et leurs protocoles thérapeutiques), en expliquant aux parents dans le désespoir que ce serait le mieux pour leur petit patient.5

Ils ont aussi commencé à inculquer des notions de mort aux adolescents et enfants cancéreux en leur faisant rencontrer en début de traitement et peu après la révélation du diagnostic d’autres enfants plus proches de l’issue fatale et qui allaient leur expliquer que tout allait bien se passer, psychologues aidant à cette manipulation (y compris pour des maladies curables, mais pour ces médecins cancer était égal à décès).

« Changement de paradigme de la pratique médicale au XXIe siècle. Modification consciente par les décideurs de la pratique par ex en cancérologie et subrepticement de façon autocrate et antidémocratique, sans débat de société.

Le plan cancer introduit clairement une “Acculturation” FAISANT PASSER DE LA MÉDECINE INDIVIDUELLE A UNE MÉDECINE DE GROUPE. ACCULTURATION DÉCIDÉE DE FAÇON UNILATÉRALE AUTORITAIRE ET SILENCIEUSE les créateurs du plan cancer (quelques personnes de fait) et leurs soutiens politiques ont introduit un CHANGEMENT MAJEUR dans nos pratiques médicales et dans nos objectifs : Le malade n’est plus l’objectif central et l’intérêt du groupe prédomine.

Ceci est contraire au code de Nuremberg et à la déclaration d’Helsinki y compris dans sa dernière version qui stipule que “la recherche ne doit jamais passer avant l’intérêt du patient.” »

La grande période Rivotril d’avril 2020 initiée par le Premier ministre Édouard Philippe sous prétexte de plandémie organisée6, et son décret honteux a vidé les EHPAD et amélioré les finances des caisses de retraite. Ce décret est toujours valable et certains médecins continuent d’y recourir7.

Mais cela ne suffit certainement pas à une équipe mondialiste soumise au projet de dépopulation. L’accumulation des projets mortifères comme l’injection expérimentale à grande échelle d’un produit dangereux, la constitutionnalisation de l’IVG, la faible répression de l’usage de drogues toxiques, comme les morphiniques responsables chaque année aux USA de plus de morts que la guerre du Vietnam, la pénurie organisée de médicaments, la casse programmée du système de santé qui aboutit à plus de 200 morts aux urgences en deux mois, et la suppression rapide de plus de cent services de soins palliatifs en peu de temps, en sont quelques exemples.

Il est clair que contrairement aux mensonges médiatiques répétés, un malade qui souffre atrocement et sans espoir d’amélioration peut, en 2024, être soulagé, voire de façon définitive, s’il choisit la sédation irréversible autorisée dans la dernière version de la loi Leonetti-Clayes. Mort désirée autorisée par la loi. Que leur faut-il de plus, sinon une grande propagande médiatique, pour recruter plus de candidats, comme pour l’avortement et sa constitutionnalisation ? Le régime de retraite y gagnera, mais certainement pas notre Humanité.

Les soignants sont encore vent debout contre cet élargissement et cette publicité pour cette mort dite assistée.8 Comme nous l’avons écrit à de multiples reprises depuis les années 2000, le médecin, l’infirmier ne peuvent à la fois soigner et tuer !9 Imaginez votre propre regard si le soignant qui entre dans votre chambre avec une seringue ou des comprimés vous dit « ça va aller, tout va bien se passer… » sans que vous sachiez s’il vient vous soigner ou vous achever. C’est absolument impossible, inacceptable pour notre relation soignant-soigné dont le pilier doit déjà être la confiance absolue.

Sans parler des dérives inéluctables dont nombreux d’entre nous ont parlé. 10

Qu’ils embauchent des bourreaux bureaucrates extérieurs au monde médical s’ils y tiennent, mais jamais des soignants ! Et quand on ne comprend pas, il faut chercher l’argent ! Ne l’aurait-on pas trouvé ? Au moins aux USA 11 :

Le sénateur américain de Floride Marco Rubio, rejoint dans sa démarche par les sénateurs Ted Cruz, J.D. Vance, Josh Hawley et Mike Braun, a envoyé une lettre aux laboratoires Pfizer pour demander des explications sur les subventions que ceux-ci auraient accordées à Dying with Dignity Canada (« Mourir dans la dignité Canada », DWDC). Cette association fait la promotion du suicide assisté et de l’euthanasie et le sénateur s’intéresse à la question dans la mesure où Pfizer a reçu des millions de dollars de la part du contribuable américain.

« Un rapport récent a révélé l’aide financière apportée par Pfizer à l’organisation qui milite notamment pour l’accès des mineurs de plus de 12 ans à l’euthanasie, alors que le Canada compte déjà près de 50 000 victimes de cette forme d’assassinat légal depuis sa dépénalisation en 2016, et que sa fréquence ne cesse de croître » indique le site reinformation.tv.

Même des macronistes comme l’ancien ministre de la Santé rechignent : « Ne faites pas de l’acte de tuer un acte médical », a rétorqué l’ancien ministre de la Santé François Braun dans les colonnes de l’hebdomadaire Valeurs Actuelles :

« On ne peut effectivement pas se cacher derrière la sémantique. On parle de mort. Quelles que soient les circonvolutions, à la fin, il s’agira de donner ou non la mort », martèle l’ancien ministre, qui juge cette initiative « prématurée ».

À ses yeux, « tout l’enjeu » se décline prioritairement autour des soins palliatifs.

Du fait notamment d’une répartition inégale des structures spécialisées sur le territoire et de soignants en nombre insuffisant, seuls 30 % des patients qui en auraient besoin ont accès à des soins palliatifs en France, selon laSFAP Société française d’accompagnement et de soins palliatifs. Constat similaire du côté de la Cour des comptes. Dans son rapport remis en juillet 2023, la juridiction écrit que les besoins estimés de soins palliatifs « ne seraient couverts qu’à hauteur de 50 % ». De quoi faire dire à la controversée Convention citoyenne sur la fin de vie que le pays, confronté à un vieillissement de sa population n’est toujours « pas à la hauteur des enjeux », se prononçant donc pour leur renforcement en vue d’une meilleure égalité d’accès en application de la loi Claeys-Leonetti ».

« Une logique extrêmement dangereuse »

C’est pourquoi « il ne faudrait, à aucun moment, faire évoluer la loi sur la fin de vie parce qu’on est défaillant au niveau des soins palliatifs », tient à faire valoir le médecin urgentiste : « Il y aurait un vrai risque de dérive en effet de se décharger du développement de ces soins parce qu’on autoriserait le suicide assisté ».

François Braun, qui explique voir depuis des décennies « la mort sous toutes ses formes » dans le cadre de son activité, rappelle que rares sont les patients ne revenant pas sur leur décision de se donner la mort une fois pris en charge par une unité de soins palliatifs, dont le rôle est justement « d’atténuer les souffrances ».

« C’est là-dessus que le politique doit porter tous ses efforts, car c’est là-dessus que les soignants exercent pleinement leur rôle. »

« La médecine, ce n’est pas la société. Si cette dernière veut légaliser le suicide assisté ou l’euthanasie, j’ai envie de leur dire, faites-le, mais sans nous! Laissez-nous en dehors de tout cela. Arrêtons de tout légiférer, surtout sur des questions aussi périlleuses, et faisons confiance aux médecins. Que la société évolue comme elle l’entend, mais de grâce, écoutez les soignants. Écoutez leurs arguments. Ne faites pas de l’acte de tuer un acte médical»

Treize organisations professionnelles et sociétés savantes représentant 800 000 soignants ont signé en février 202312 un texte proclamant d’une seule voix leur refus de participer à une « aide active à mourir ». Elles expliquaient en quoi leur métier est « incompatible avec la pratique d’une mort médicalement administrée » et un projet de loi qui constituerait « un glissement éthique majeur » venant tout bonnement « bouleverser la définition du soin ».

Un appel qui sonne comme un avertissement au chef de l’État

Injecter une substance létale à un patient serait « un glissement éthique majeur » qui viendrait « bouleverser la définition du soin » et « fragiliser des équipes », alertent ces soignants dans une réflexion éthique d’une vingtaine de pages.

Dans ce document, ils ont choisi de se confronter aux conséquences concrètes du suicide assisté et de l’euthanasie sur leur métier, pour comprendre ce qu’ils seraient susceptibles d’accepter ou non.

« La crainte de transformer le sens de notre métier »

N’oublions pas l’écrivain Michel Houellebecq qui met en garde notre civilisation contre cette dérive majeure13 14

« Alors que la convention citoyenne sur la fin de vie vient de rendre les conclusions de ses travaux, Le Figaro, publie en exclusivité la version française de la tribune écrite par l’auteur de Soumission pour le magazine américain Harper’s.

Commençons par un bref paragraphe méchant. Guy Debord a choisi le suicide à l’ancienne. Jean-Luc Godard — “le plus con des Suisses pro-chinois”, pour reprendre l’amusante formule situationniste — s’est tourné vers le suicide assisté. Le prochain provocateur de génie optera, n’en doutons pas, pour une euthanasie médicalisée. Comme on dit, le niveau baisse ».

J’ai personnellement exercé cette vocation avec bonheur pendant près de 50 ans pour sauver des vies et soulager les malades, et non pour les tuer. Je respecte le serment d’Hippocrate qui stipule :

« Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion ».

L’accepter c’est rompre le contrat moral fondamental qui lie le médecin à son malade et constitue le fondement du lien de confiance qui les lie.

Que la société accepte que certains recourent au suicide assisté, c’est son problème, mais en aucun cas elle ne peut demander aux médecins de le faire, car c’est totalement contraire à leur nature. Les soignants ne peuvent devenir ainsi des bourreaux officiels.





Agenda 2030 — 17 objectifs de destruction durable

[Source : kla.tv]

00:00:00: Introduction
00:02:46: Point 1 – La pauvreté
00:03:21: Point 2 – La faim
00:04:18: Point 3 – Une bonne santé
00:05:59: Point 4 – L’éducation
00:07:08: Point 5 – L’égalité des sexes
00:08:03: Point 6 – L’eau
00:09:27: Point 7 – L’énergie pour tous
00:11:20: Point 8 – La croissance économique
00:13:31: Point 9 – L’industrialisation
00:15:34: Point 10 – Réduire les inégalités
00:16:59: Point 11 – Les villes et les établissements
00:19:42: Point 12 – La consommation et la production
00:24:22: Point 13 – Le changement climatique
00:27:12: Point 14 – Les ressources humaines
00:28:30: Point 15 – La biodiversité
00:30:01: Point 16 – Les sociétés
00:31:16: Point 17 – Moyens de développement et partenariat mondial

Transcription

L’Humanité est secouée par des crises existentielles. Aucun domaine de la vie n’est épargné. Qu’il s’agisse d’économie, de finance, de politique, d’éthique, de médecine ou de tout ce que l’on peut nommer, c’est comme si aucune pierre ne devait rester en place. Mais comment cela se fait-il ? Qu’est-ce ou plutôt qui se cache derrière tout cela ? Un regard investigateur et une réflexion cohérente sont ici nécessaires si l’on ne veut pas se noyer dans la tempête qui ne cesse de s’intensifier.

Le documentaire de 30 minutes qui suit, réalisé par l’association suisse WIR, fait la lumière sur ce chaos qui prend des proportions dramatiques : les criminels les plus malfaisants se sont infiltrés dans les postes de direction de tous les secteurs de notre communauté et poursuivent de manière orchestrée leur Agenda 2030 One World, qui méprise les êtres humains et asservit les peuples.

AGENDA 2030 de l’ONU

L’Agenda 2030 des Nations Unies, annoncé lors du sommet des Nations Unies à New York en 2015, est un « traité mondial pour l’avenir » auquel les gouvernements nationaux devraient adhérer. Cet agenda comprend 17 « objectifs de durabilité » qui semblent bons à première vue. Si l’on y regarde de plus près, on revient toujours aux mêmes acteurs qui ne veulent en réalité rien de moins qu’un contrôle total sur les ressources de notre planète, un gouvernement central mondial unique et donc l’asservissement de tous les peuples. Afin d’exercer une influence dans tous les domaines de la vie et toutes les structures, ces objectifs sont défendus non seulement par les Nations Unies, mais aussi par des partenaires influents tels que le Forum économique mondial avec sa « Grande Réinitialisation ». Depuis plus de 50 ans, le WEF met en relation les personnalités les plus influentes de la politique, des affaires, de la science, des médias, des syndicats, des ONG, de la culture et des églises et les rassemble avec les personnes les plus riches du monde. Elle éduque également les élites politiques et économiques du monde entier depuis plus de 30 ans. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Viktor Orban ou Vladimir Poutine, ils sont tous passés par l’école du WEF en tant que « Young Global Leaders ». Il n’est donc pas étonnant que le fondateur du forum, le professeur allemand Klaus Schwab, soit considéré comme l’une des personnalités les plus influentes aujourd’hui.

L’agenda 2030 des Nations Unies — un programme en 17 points pour la domination mondiale et l’asservissement de tous les peuples !

1. COMBATTRE LA PAUVRETÉ SOUS TOUTES SES FORMES

Des peuples entiers et leurs économies sont délibérément détruits et rendus dépendants des gouvernements afin de conduire les victimes vers un mélange de socialisme numérique et de communisme. L’objectif est de centraliser tous les actifs et ressources, de les enregistrer numériquement et de ne les diffuser ou de les rendre accessibles que sous certaines conditions. Pour y parvenir, les gens doivent être prêts à se soumettre complètement au complexe industriel numérique.

2. ÉLIMINER LA FAIM, ASSURER LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, AMÉLIORER LA NUTRITION ET PROMOUVOIR L’AGRICULTURE DURABLE

L’agriculture devrait être détruite. Depuis que les agriculteurs sont devenus dépendants des subventions, les mondialistes ont désormais la vie facile. De nouvelles exigences sont constamment créées auxquelles les agriculteurs ne peuvent pas répondre, ne leur laissant aucune option pour gérer leur entreprise. De plus en plus d’entreprises disparaissent. L’objectif est que l’ensemble du secteur agricole d’un pays soit repris par de grandes sociétés et investisseurs internationaux. Ils pourraient recourir au génie génétique et à d’autres méthodes néfastes, produire uniquement des aliments de qualité inférieure ou simplement laisser les terres en jachère pour créer des pénuries alimentaires. Celui qui détient la souveraineté sur la nourriture contrôle l’Humanité.

3. PERMETTRE À TOUS DE VIVRE EN BONNE SANTÉ ET PROMOUVOIR LE BIEN-ÊTRE DE TOUS À TOUT ÂGE

L’accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l’OMS. L’Organisation mondiale de la santé peut imposer des mesures médicales au monde entier sous la menace d’amendes et de sanctions. À cette fin, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L’OMS utilisera le soi-disant traité sur la pandémie pour décider dans le monde entier quand et où quelles mesures obligatoires telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaine seront ordonnées. De plus, toutes les données de santé devraient être stockées dans une base de données internationale et liées à l’identité numérique de tous les citoyens. Le secteur de la santé devrait être mis au pas à l’échelle mondiale. Toutes les opinions et résultats de recherche en médecine qui s’écartent de ceux de l’OMS sont systématiquement réprimés, persécutés et criminalisés. Les procédures naturopathiques devraient être interdites dans le secteur de la santé et remplacées par des offres éducatives, des produits et des services des industries pharmaceutique et chimique. La santé des personnes est alors entièrement entre les mains de l’OMS, car elle peut également intervenir pour réguler les comportements non conformes des personnes grâce à des données de santé ouvertement visibles. Cela peut avoir pour conséquence que la personne suspecte se voit refuser l’accès à la nourriture et aux médicaments nécessaires.

4. GARANTIR UNE ÉDUCATION INCLUSIVE, ÉQUITABLE ET DE HAUTE QUALITÉ ET PROMOUVOIR LES OPPORTUNITÉS D’APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE POUR TOUS

Égalisation globale des systèmes éducatifs et standardisation de la propagande afin de pouvoir garantir partout le même niveau d’endoctrinement pour les enfants et les jeunes. À cette fin, il devrait y avoir un « tronc commun d’éducation », c’est-à-dire une réglementation avec un contenu idéologique obligatoire qui devrait être programmée pour tous. Cela conduit à une rééducation totalitaire dans l’esprit des élites, dans laquelle il ne devrait plus y avoir de valeurs culturellement déterminées. Les idéologies de genre telles que les LGBTQ, le terrorisme climatique et la prétendue santé via la consommation de produits pharmaceutiques chimiques devraient être utilisées pour diviser plus efficacement les gens et les protéger sous le couvert d’une nouvelle religion mondiale, d’un tribunal mondial, d’une police mondiale, d’une banque mondiale, d’une Organisation mondiale de la santé et d’un contrôle de la monnaie numérique mondiale.

5. PARVENIR À L’ÉGALITÉ DES SEXES ET AUTONOMISER TOUTES LES FEMMES ET LES FILLES

La diversité des genres et les LGBTQ visent à normaliser toutes les anomalies créées artificiellement, y compris les tendances pédophiles. Non seulement pour parvenir à la famille traditionnelle et donc à une dissolution et à une décomposition des peuples, mais aussi pour assurer davantage de divisions et de conflits interpersonnels. De cette manière, les femmes salariées peuvent être exploitées encore plus efficacement par les entreprises mondiales, tandis que les enfants peuvent entre-temps être élevés par l’État dans des institutions permanentes et ainsi être endoctrinés idéologiquement beaucoup plus tôt. En détruisant le lien familial, l’objectif est de mettre l’accent sur l’État numérique qui, sous certaines conditions, fournit de la nourriture et un logement, remplaçant ainsi le rôle de la famille.

6. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À L’EAU ET À L’ASSAINISSEMENT ET ASSURER UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU

Les ressources en eau doivent être gérées de manière centralisée. Les États sont poussés à privatiser leurs infrastructures d’eau et à devenir dépendants des entreprises qui peuvent ensuite vendre l’eau aux citoyens à des prix excessifs. La suprématie sur l’eau permet aussi d’avoir la mainmise sur la santé des gens, car l’eau du robinet est déjà enrichie en de nombreux endroits avec des produits chimiques comme le fluor. Cette pratique pourrait être étendue et entraîner de nombreuses maladies chroniques et des symptômes d’intoxication, ce qui fait le jeu de l’industrie pharmaceutique qui peut ainsi distribuer avec profit des substances qui diminuent les symptômes. Comme ils attribueront le manque d’eau créé artificiellement au changement climatique provoqué par l’homme, ils prendront aussi des mesures pour réduire au minimum la consommation d’eau, en particulier dans le domaine sanitaire. Il sera donc possible d’interdire les toilettes traditionnelles et de les remplacer par des variantes sans eau. Celui qui a le pouvoir sur l’eau contrôle en fin de compte, par le biais de son rationnement, qui peut l’utiliser, dans quelle mesure et à quelles fins.

7. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À DES SERVICES ÉNERGÉTIQUES FIABLES, DURABLES ET MODERNES, À UN COÛT ABORDABLE

Pour des raisons idéologiques, les énergies dites renouvelables, souvent immatures, devraient être soutenues par l’argent des impôts, ce qui entraînerait une hausse considérable des prix de l’électricité. De cette manière, les gens sont obligés de financer des développements qui les plongeront encore plus dans la pauvreté et donc dans la dépendance à l’égard de l’État. Les gens seront obligés d’utiliser et d’installer de nouvelles technologies énergétiques. Comme cela coûte très cher, les gens seront obligés d’emprunter et donc de dépendre du système financier des monopoles ou de céder leurs biens immobiliers à ces mêmes structures mondialistes à un prix inférieur à leur valeur et de s’installer dans des villes de 15 minutes. Des secteurs entiers de l’économie s’effondreront et les petites entreprises et les entreprises familiales disparaîtront de la scène. De cette manière, la domination du marché par les grands groupes pourra être renforcée. Toutes les sources de distribution d’énergie doivent être numérisées afin de pouvoir analyser la consommation de tous les ménages en temps réel. Grâce aux compteurs intelligents, aux thermomètres IOT et autres appareils de mesure connectés, il sera possible de surveiller et de sanctionner les ménages si le gouvernement ou l’intelligence artificielle l’ordonne. L’énergie peut ainsi être rationnée ou totalement coupée à distance. La pénurie entraînera non seulement des profits gigantesques pour les sociétés énergétiques, mais rendra également les gens vulnérables au chantage et contrôlables en permanence. Si les groupes technologiques et les gouvernements continuent d’accroître leur pouvoir et leur influence, les black-out et le rationnement deviendront monnaie courante.

8. PROMOUVOIR UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE SOUTENUE, PARTAGÉE ET DURABLE, LE PLEIN EMPLOI PRODUCTIF ET UN TRAVAIL DÉCENT POUR TOUS

Les effets secondaires des campagnes de vaccination entraînent des pénuries de personnel. Les pays riches feront appel à des travailleurs qualifiés venus de l’étranger, tant qu’ils en auront besoin, et encourageront ainsi la migration de main-d’œuvre. Cela aura un effet négatif sur les pays d’origine de ces migrants, car le manque de personnel qualifié affaiblira leur pays et les laissera livrés à eux-mêmes. Une fois qu’une grande partie des dits travailleurs qualifiés aura migré et que le pays d’origine des migrants menacera de se désintégrer, l’élite mondiale commencera à piller et à brader les pays affaiblis. Mais la migration de main-d’œuvre peut aussi être utilisée comme prétexte pour détruire l’économie du pays de destination. Il suffit d’importer suffisamment de travailleurs non qualifiés pour causer le plus de dégâts possible par manque de compétence professionnelle, car les normes ou procédures de qualité en vigueur ne sont pas maîtrisées. Pour provoquer des troubles, il suffit d’inonder un pays de travailleurs migrants. Cela entraînera des conflits entre les habitants et les migrants, conduisant à des guerres civiles et déstabilisant le pays. Le surplus de personnel artificiellement créé sera exploité par les grandes entreprises pour dicter les conditions de travail. Ainsi, les gens pourront être exploités encore plus efficacement, avec l’approbation des gouvernements. Les valeurs de liberté et de dignité humaine appartiendront alors au passé. Après avoir systématiquement détruit les petites et moyennes entreprises locales et mis au chômage une grande partie de la population, il est facile d’imposer aux victimes une structure en partie socialiste et communiste. De cette manière, on peut rendre le logement, l’énergie ou la nourriture tributaires de l’obéissance ou du budget carbone.

9. BÂTIR UNE INFRASTRUCTURE RÉSILIENTE, PROMOUVOIR UNE INDUSTRIALISATION DURABLE QUI PROFITE À TOUS ET ENCOURAGER L’INNOVATION

Les peuples doivent tous être mis sur un même pied d’égalité. Cela entraînera un abaissement du niveau des pays les plus développés, plongeant ainsi toutes les nations dans une pauvreté sans précédent. La prospérité de la population active sera détruite par une expropriation rampante, tandis que les profits de la classe dirigeante mondiale augmenteront de manière incommensurable. L’ensemble de l’économie et toutes les ressources sont centralisés et surveillés grâce à l’introduction d’instances de gouvernance et de contrôle telles que l’identité numérique, le budget carbone et les monnaies numériques. Toutes les autorités, commissariats de police et tribunaux sont pris en charge par l’intelligence artificielle et les processus numériques automatisés. Les économies nationales sont détruites au profit de grandes sociétés internationales qui agissent conformément à la stratégie communiste à long terme. L’automatisation et la robotique conduisent les gens au chômage et donc à la dépendance à l’égard des gouvernements et conduisent à l’abolition de la propriété privée et à des droits d’usage et de propriété limités en fonction du budget carbone et des monnaies numériques. Les emplois et les écoles existants seront transférés vers la réalité virtuelle. L’accès aux bâtiments physiques ou aux zones de 15 minutes est subordonné à des systèmes d’accès et d’identification numériques. L’habitat est transféré dans des villes modulaires de 15 minutes et des giga-cités à la chinoise, numérisées et entièrement surveillées, dans lesquelles les personnes ne peuvent plus se déplacer librement en raison de la limitation des émissions de CO2, de sorte que l’on peut parler de prisons à ciel ouvert plutôt que d’espace de vie.

10. RÉDUIRE LES INÉGALITÉS DANS LES PAYS ET D’UN PAYS À L’AUTRE

L’objectif est de briser toute indépendance économique et financière en détruisant les secteurs économiques à forte intensité de carbone, en supprimant l’argent liquide et en éliminant toutes les structures qui ne correspondent pas à l’agenda du Forum économique mondial et de l’ONU. Un revenu de base universel doté d’instances de contrôle appropriées via des comptes CO2 et des monnaies numériques permettra d’influencer directement la consommation ou de l’empêcher. Les ethnies seront mélangées afin d’éliminer toute individualité culturelle et religieuse. À cette fin, les partenariats multiculturels seront encouragés. Le renforcement des conflits culturels et religieux conduit à des situations extrêmes qui créent les conditions nécessaires à la restriction d’autres libertés par le gouvernement. Les systèmes éducatif, financier et de santé sont centralisés et uniformisés. Une religion et une culture mondiales sont également introduites sous couvert de paix et d’entente entre les peuples. Pour égaliser les niveaux, la concurrence économique est criminalisée et la propriété privée nationalisée. Les droits sur les ressources seront distribués selon les directives du nouveau gouvernement mondial.

11. FAIRE EN SORTE QUE LES VILLES ET LES ÉTABLISSEMENTS HUMAINS SOIENT OUVERTS À TOUS, SÛRS, RÉSILIENTS ET DURABLES

Les conflits délibérément créés et provoqués par l’immigration de masse et de main-d’œuvre ne vont pas seulement alimenter le chômage et la concurrence qui en découle, mais aussi augmenter la criminalité à un niveau sans précédent. Les protestations des citoyens et les guerres civiles serviront de base pour continuer à restreindre les droits fondamentaux et la liberté de mouvement au niveau local et confiner les gens dans des villes de 15 minutes comme dans un centre de détention. La liberté de mouvement n’existera plus. Elle dépendra du budget carbone et ne permettra de séjourner que dans certaines parties de la ville ou du quartier, afin de protéger le climat et d’assurer la sécurité d’une zone. Les villes et les cités seront transformées en giga-cités de 15 minutes avec une numérisation et une surveillance radicales. Les habitants seront surveillés en temps réel 24 heures sur 24 et les infractions sanctionnées par des amendes, des restrictions du budget carbone ou la détention. Toutes les prestations en espèces seront versées exclusivement sous forme numérique, mais uniquement à ceux qui acceptent le nouveau système et adaptent leur comportement à l’agenda. Les monopoles de la force seront étendus de manière radicale et dotés de droits spéciaux pour pouvoir intervenir dans tous les domaines de la vie en cas de violation de l’agenda. Ainsi, tout citoyen critique à l’égard du gouvernement peut être détenu indéfiniment, ou même tué, sans procès ni inculpation. Des attaques terroristes brutales et des descentes de police impressionnantes sont mises en scène pour intimider les critiques, les réduire au silence et les empêcher d’agir. Avant que la situation ne dégénère complètement, les gens seront désarmés et les lois sur les armes seront adaptées de telle sorte que les victimes n’auront aucune chance de se défendre contre l’agenda totalitaire. L’État adoptera de nouvelles lois d’expropriation afin de pouvoir confisquer les biens de manière arbitraire. Au cours de la première phase d’expropriation, les gens sont soumis à un chantage pour effectuer toutes sortes de travaux de rénovation dans leurs maisons afin d’atteindre les objectifs climatiques. S’ils ne se plient pas aux exigences des autorités et refusent, la deuxième phase d’expropriation criminalisera et interdira la vente, la location et l’occupation de ces logements. Des millions de personnes perdront leurs maisons et leurs terrains, vivront sous la dépendance de l’État et ne trouveront plus d’alternatives aux villes de 15 minutes.

12. ÉTABLIR DES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES

Il y aura des budgets carbone inspirés du système de points de crédit social du modèle chinois, où chacun pourra être puni ou récompensé individuellement pour sa consommation ou son comportement. Une identité numérique sera introduite dans le monde entier. Elle servira de base à l’attribution de portefeuilles numériques. De plus, au cours de l’agenda, des identités numériques implantables seront attribuées à chaque individu dès sa naissance. Tous les documents délivrés jusqu’à présent, tels que le permis de conduire, la carte d’identité, le passeport, l’acte de naissance, les inscriptions au registre foncier, les dossiers médicaux, les brevets, le numéro d’identification fiscale, seront fusionnés en un seul enregistrement numérique pour l’identité numérique. Une instance mondiale de contrat intelligent numérique basée sur l’IA sera créée et régira tous les droits de nutrition, d’utilisation, de santé, de mouvement et de propriété temporaire. Cela détermine qui peut posséder ou utiliser quelque chose temporairement et pour combien de temps. Octroi de droits de mobilité, qui déterminent si l’individu peut se déplacer, avec quels véhicules et dans quel rayon. En outre, on réglemente ce qu’il peut manger et les substances qu’il doit se faire injecter. L’unité monétaire universelle, devise numérique mondiale basée sur une monnaie numérique de banque centrale, sera le seul moyen de paiement. Elle garantit en premier lieu des transactions illimitées entre les gouvernements, les banques et les entreprises. Les fonds des bénéficiaires du revenu de base seront en revanche soumis à conditions et constamment réajustés en fonction de l’obéissance au système. Le moyen de paiement numérique inclura une date d’expiration et sera programmable. Chacun pourra être contrôlé par des points de CO2 et les Nations unies pourront décider comment l’argent numérique peut être dépensé. Les autorités fiscales et de contrôle subordonnées à l’ONU, les services de santé, les médecins et les hôpitaux ainsi que d’autres institutions, auront accès à toutes les données en temps réel et de manière semi-automatisée, afin de pouvoir intervenir dans le comportement de consommation de tous les individus par des interdictions et des sanctions. La délivrance de vaccins, de médicaments et d’autres actes médicaux sera liée au portefeuille, de sorte que les récompenses et les sanctions pourront être appliquées automatiquement si nécessaire. Tous les véhicules seront surveillés en temps réel. En cas de non-respect des zones et des portées autorisées pour le véhicule, les conducteurs se verront dans un premier temps avertis puis sanctionnés par l’immobilisation du véhicule si l’infraction se poursuit. Tous les produits et services, ainsi que le mode de vie, se voient attribuer une empreinte carbone. Celle-ci sera évaluée numériquement et récompensée ou pénalisée par des points, ce qui aura aussi un impact sur le revenu de base. Les entreprises pourront être contrôlées, afin de leur interdire de fabriquer certains produits ou de fournir certains services si ceux-ci ne respectent pas les objectifs climatiques. Pour faciliter l’expropriation future, l’enregistrement et la justification des métaux précieux et des valeurs de toute nature seront obligatoires. Ceux qui possèdent de l’or et de l’argent et qui ne les ont pas enregistrés ne pourront pas les vendre à des organismes officiels, car l’achat ne sera légal que pour les stocks enregistrés. L’expropriation des terres, par exemple pour construire des éoliennes, des fermes solaires ou d’autres systèmes de régénération, sera facilement rendue possible sur la base des objectifs climatiques. Les personnes qui n’ont pas les moyens de transformer leur maison selon les dernières normes climatiques ne pourront pas la louer, la vendre ou l’habiter. En cas de non-respect, les victimes risquent de voir leur crédit CBDC chuter au point de ne plus pouvoir se nourrir. La conception de bâtiments purement utilitaires, dans lesquels les gens vont soit dormir, manger, travailler ou se divertir, sert à isoler davantage les gens les uns des autres. La famille doit être divisée et séparée autant que possible afin de pouvoir contrôler plus facilement les individus. Tandis que les citoyens ordinaires sont dépossédés et privés de toutes leurs libertés, l’élite continuera de gouverner sans restrictions et de bénéficier de toutes les commodités.

13. PRENDRE D’URGENCE DES MESURES POUR LUTTER CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET LEURS RÉPERCUSSIONS

La religion pseudo-scientifique d’un changement climatique soi-disant d’origine humaine et l’alarmisme qui l’accompagne visent à permettre l’uniformisation mondiale et la prise de pouvoir des élites et des sectes de la fin du monde. L’expropriation et le rationnement de toutes les ressources de ce monde doivent être imposés à l’Humanité par une dictature écologique socio-communiste totalitaire à l’aide de la manipulation, de la violence et du chantage. Afin de déséquilibrer complètement les processus naturels de la nature, l’atmosphère est délibérément contaminée par des produits chimiques toxiques. Sous prétexte de pénurie alimentaire, les pesticides, herbicides et fongicides sont de plus en plus utilisés. À cet effet, les aliments naturels sont assimilés aux aliments artificiels et l’obligation d’étiquetage des aliments génétiquement modifiés est abolie. Cela se fait sous le couvert du Codex Alimentarius, de l’Organisation mondiale de la santé et de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture de l’ONU. Les aliments végétaux sont modifiés au point que les ingrédients essentiels ne sont plus présents et doivent être apportés de l’extérieur via des suppléments, afin d’accroître encore la dépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique. Il y aura une alimentation à deux vitesses en fonction du budget carbone et du contrôle de la consommation par les monnaies numériques. Des substances psychoactives seront transformées en aliments ou administrées sous forme de vaccins afin d’influencer et de contrôler davantage la pensée et les actions des gens. Les plantes médicinales qui pourraient favoriser notre santé ou soulager les souffrances des malades et qui concurrencent actuellement les produits de l’industrie pharmaceutique seront interdites et leur utilisation punie. Tous les aliments, l’énergie, l’eau et les produits de la vie quotidienne, jusqu’à la mobilité, recevront une empreinte carbone (CO2) qui sera enregistrée numériquement et associée à l’identité numérique imposée par l’État. Pour atteindre ces objectifs climatiques impossibles à réaliser, on supprime le transport individuel et on le remplace par des véhicules qui roulent tout seuls qui ne seront disponibles à la location ou par abonnement qu’en fonction du nombre de points de CO2. C’est présenté aux gens comme plus sûr et plus respectueux de l’environnement, mais ne sert qu’à restreindre la liberté de mouvement et à exercer un contrôle total. Les critiques et les mouvements d’opposition qui ne croient pas au changement climatique d’origine humaine ou qui remettent en question les 17 objectifs de l’Agenda 2030 des Nations Unies sont pourchassés et réduits au silence.

14. ET LES RESSOURCES MARINES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les eaux et leurs ressources seront enregistrées et gérées de manière centralisée ; l’accès ne sera possible que pour des entreprises sélectionnées. Le trafic maritime et donc l’utilisation privée et commerciale des mers, des lacs intérieurs et des rivières seront encore plus restreints et autorisés uniquement sous certaines conditions que les petits pêcheurs peuvent rarement se permettre. Cependant, les grandes entreprises continueront à être autorisées à pêcher, car elles reçoivent le capital nécessaire sous forme de subventions pour se conformer aux nouvelles normes, telles que la numérisation des quotas de capture ou la conversion aux moteurs électriques. Cela rend la pêche moins attrayante, l’offre est réduite et les quelques grands titulaires de licences réalisent d’énormes profits. À l’inverse, cela entraînera une pauvreté encore plus grande dans les pays du tiers monde et une migration massive, ce qui déstabilisera également les pays les plus riches. En outre, l’acidification des mers sera aggravée par l’industrie chimique, ce qui entraînera des conséquences incalculables, notamment la mort de poissons.

15. FORÊTS DE MANIÈRE DURABLE, LUTTER CONTRE LA DÉSERTIFICATION, METTRE FIN À LA DÉGRADATION DES SOLS ET L’INVERSER, ET METTRE FIN À LA PERTE DE BIODIVERSITÉ

Toutes les terres et ressources seront numérisées, les zones environnementales et de protection seront étendues afin de pousser les gens vers les villes de 15 minutes. Les terres agricoles seront gérées et contrôlées de manière centralisée, ce qui permettra d’interdire leur utilisation à tout moment, empêchant ainsi les agriculteurs de cultiver des aliments. Cela provoquera des pénuries alimentaires artificielles. Les commerçants devront acheter les licences correspondantes. L’utilisation des zones naturelles telles que les forêts, les parcs, les montagnes, les prairies, les zones humides et sèches sera davantage réglementée et limitée ou ne sera autorisée qu’avec un certain crédit de carbone. Pour soi-disant éviter les sécheresses et l’extension des zones arides, des moyens chimiques et techniques seront utilisés pour interférer avec les cycles et processus naturels de cette terre. Cela détruira encore plus la biosphère, ce qui est l’un des objectifs des technocrates. Éliminer de façon ciblée des espèces végétales à l’aide de produits chimiques et les remplacer par des plantes génétiquement modifiées qui ne se reproduisent pas d’elles-mêmes et qui, non seulement n’apportent aucune valeur ajoutée, mais détruisent aussi l’équilibre de la nature.

16. PROMOUVOIR L’AVÈNEMENT DE SOCIÉTÉS PACIFIQUES ET OUVERTES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les monopoles de la violence sont étendus afin d’imposer aux peuples de la planète des concepts de société destructeurs et artificiels par la force et le chantage. Cela conduira à des exodes et à des guerres civiles. Les traditions et toute individualité des peuples seront supprimées afin qu’une société mondiale uniformisée puisse voir le jour. Les monuments historiques et les œuvres d’art disparaîtront de la sphère publique. De même, on poussera une religion mondiale dans laquelle les gens devront se soumettre à des pratiques sataniques. Le mélange obligatoire des races sera imposé afin d’éliminer à long terme toute individualité des ethnies. Les mariages mixtes sont récompensés par des points et un statut social plus élevé. L’individu ne doit plus pouvoir s’appuyer sur ses fondements culturels. Pour maximiser la confusion, les robots à intelligence artificielle ainsi que des variants de genre créés artificiellement sont mis sur un pied d’égalité dans la société et encouragés. Sous prétexte de l’intérêt supérieur de l’enfant, les organes exécutifs pourront plus facilement retirer les enfants aux familles critiques envers le gouvernement.

17. MONDIAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LE REVITALISER

La structure derrière les Nations Unies est l’instance dirigeante et détient tous les pouvoirs de décision et d’exécution. Les États nationaux disparaissent après que les gouvernements infiltrés ont servi de paratonnerre face au peuple et de facilitateur, puis ont fait leur temps. Toutes les lois et juridictions nationales deviendront superflues, car elles ne proviendront plus que de la structure centrale unique sous forme d’intelligence artificielle.

Le plan des élites a été percé à jour : ils veulent nous conduire vers un avenir dystopique dans lequel nous serons privés de toute liberté. Les structures nationales censées nous protéger ne se rebellent pas contre cet agenda et se mettent ainsi contre les populations. Ce n’est pas étonnant, puisque tous les gouvernements sont déjà infiltrés et dépendent énormément des structures mondialistes, qui contrôlent aussi le système monétaire. Ils voudraient que les gens renoncent complètement à leurs propres libertés et livrent leur propre avenir à la destruction en acceptant le nouvel ordre mondial. C’est à nous, en tant qu’Humanité tout entière, de nous opposer à cet agenda. Et ce, avant qu’il ne soit trop tard.

de hm.

Sources/Liens :

Agenda 2030
https://rumble.com/embed/v3tc9zg/?pub=1r1v2m
https://www.vereinwir.ch/un-agenda-2030/




Jordan Peterson : Nous allons vers un « État de surveillance »

[Source : epochtimes.fr]

Par Matthew Horwood

Le psychologue et auteur canadien Jordan Peterson prédit qu’avec la collusion entre les gouvernements et les banques d’un côté, et les technologies émergentes de l’autre, telles que les systèmes d’identité numérique et les monnaies numériques des banques centrales, nous risquons de transformer nos pays en États de surveillance totalitaires.

La combinaison des gouvernements et des technologies « peut faciliter et facilitera le développement d’un État de surveillance […] dans des proportions que même George Orwell n’aurait jamais imaginées », a déclaré M. Peterson au Capitole le 7 mars.

M. Peterson s’entretenait avec une sous-commission républicaine qui s’est penchée sur la façon dont les pouvoirs de l’État sont de plus en plus souvent détournés à des fins politiques, pour attaquer des ennemis pressentis. Le président de la commission, le républicain Jim Jordan, a cité en exemple le cas de documents montrant que le gouvernement avait utilisé ses prérogatives pour espionner les transactions bancaires de l’ancien président, Donald Trump.

M. Peterson a déclaré que dans le monde entier, il semble y avoir une collusion entre « des entreprises gigantesques et intéressées et des gouvernements paranoïaques obsédés par la sécurité et hostiles à l’humanité ». Selon lui, ces deux entités utilisent les données qu’un individu laisse en ligne ainsi que des algorithmes sophistiqués, et ce afin de développer des compréhensions, « non seulement de nos actions, mais aussi de nos pensées et de nos paroles, afin de pouvoir cartographier, récompenser et punir tout écart par rapport à la finalité souhaitée. »

Le psychologue canadien a averti que la capacité des entreprises à suivre les achats et les habitudes en ligne des utilisateurs était en constante amélioration. Ainsi, ils développent des algorithmes pour prédire les actions futures des utilisateurs dans le but de « suivre, surveiller et punir tout ce que nous faisons et disons ».

M. Peterson a également fait part de ses inquiétudes concernant les monnaies numériques des banques centrales (MNBC) sur lesquelles certains pays sont déjà en train de travailler et qui soulèvent des problèmes liés à la protection de la vie privée. La Banque du Canada a déclaré qu’elle étudiait la possibilité de créer une MNBC, mais a souligné dans un rapport datant d’août 2023 qu’il existait des obstacles « importants » à ce que cela soit fait.

Le système de surveillance chinois

M. Peterson a également évoqué le système de crédit social chinois, affirmant qu’il permet au Parti communiste chinois d’exercer un « contrôle total » sur l’accès en ligne de ses citoyens. Le système de crédit social chinois attribue à chaque citoyen une note électronique qui peut être augmentée ou diminuée en fonction du comportement de l’individu. Les personnes dont le score est bas peuvent se voir refuser l’accès à l’emploi, aux transports publics ou aux services bancaires.

« Cela leur permet de vous exclure délibérément de toutes les activités qui peuvent être virtualisées, et dans un monde qui se virtualise rapidement, cela veut dire toutes les activités comme conduire, faire ses courses, travailler, manger, trouver un abri, et même socialiser avec ses amis et sa famille », a déclaré M. Peterson.

Il a averti qu’étant donné que de nombreux pays occidentaux ont copié la stratégie chinoise de mise en œuvre de mesures de confinement en réponse à la pandémie Covid-19, ils pourraient également « marcher pas à pas dans la même direction » et adopter un système de crédit social.

Interrogé sur la possibilité d’utiliser la surveillance et l’intelligence artificielle pour accroître la sécurité publique, M. Peterson a déclaré que la vie privée semble souvent passer après la neutralisation des menaces « immédiates et proximales », ce qu’il a qualifié de « justification à court terme pour s’engager dans un énorme danger à long terme ».




Covid, pandémie imaginaire des personnes ayant subi un lavage de cerveau

[Source : conservativewoman.co.uk]

Par James Delingpole 4 mars 2023

[Illustration : représentation artistique d’un soi-disant virus Covid-19 — ou SARS-CoV-2].

RACONTEZ-MOI votre expérience personnelle de Covid 19. En fait, attendez, ne le faites pas. Je crois que je l’ai déjà entendu un million de fois. Vous avez perdu tout sens de l’odorat et du goût — et à quel point tout cela était alors bizarre ? Vous avez été étonné pendant des jours. Vous avez eu une drôle de toux sèche, d’une sécheresse et d’une irritation sans précédent dans toute votre carrière de tousseur. Vous avez déjà eu la grippe quelques fois et, quand on a une vraie grippe, on le sait. Mais là, ce n’était vraiment pas la grippe. C’était tellement différent de tout ce que vous avez connu que vous ne seriez pas surpris d’apprendre qu’il avait été modifié en laboratoire avec toutes sortes de protéines de pointe et d’additifs de gain de fonction, peut-être même jusqu’à des fragments du virus du SIDA…

Oui, c’est vrai. Pardonnez-moi d’empiéter sur le domaine sacré et personnel de votre expérience vécue. Mais puis-je suggérer prudemment que rien de ce que vous avez vécu ne valide nécessairement la théorie des fuites de laboratoire ? Cela démontre plutôt le pouvoir de la susceptibilité, du lavage de cerveau et d’une imagination débordante. Vous avez vécu — comme nous tous — une période de deux ans au cours de laquelle les anecdotes sur la santé sont devenues une monnaie d’échange précieuse. Alors que dans les années précédant la « pandémie », personne ne s’était intéressé aux détails sanglants de votre rhume, tout le monde a soudain voulu comparer ses notes pour savoir s’il avait eu la même chose que vous — ou, de préférence, pour être à la hauteur, encore pire. Cela a créé un mécanisme d’autorenforcement de l’escalade de la panique : plus tout le monde en parlait, plus la « pandémie » devenait irréversible.

Pendant ce temps, dans le monde réel, les preuves tangibles — par opposition aux preuves anecdotiques — de cette « pandémie » restaient obstinément inexistantes. L’élément décisif pour moi a été un article historique publié en janvier 2021 par Simon Elmer sur son site web Architects For Social Housing (Architectes pour le logement social). Il s’intitulait « Mensonges, maudits mensonges et statistiques : la fabrication de la crise ». 

Dans cet article, Elmer pose la question que chaque journaliste aurait dû poser, mais qu’aucun n’a posée : cette « pandémie » est-elle vraiment aussi grave que nous le disent tous les experts, les ministres, les médias et les médecins ? Comme le montrent clairement les données de l’Office National des Statistiques citées par Elmer, l’année 2020 — année zéro de la prétendue plus grande menace pour la santé publique depuis la « grippe espagnole » un siècle plus tôt — a été l’une des années les moins meurtrières dans la vie de la plupart des gens.

Soyons clairs sur ce point, car on entend souvent les sceptiques dire : « Bien sûr, personne ne suggère que Covid n’a pas causé un nombre effroyable de décès ». Mais c’est exactement ce qu’ils devraient suggérer : parce que c’est vrai. Elmer a cité les statistiques de mortalité standardisées par âge pour l’Angleterre et le Pays de Galles depuis 1941. Ces statistiques montrent que, chaque année jusqu’en 2008 inclus, le nombre de décès par habitant a été supérieur à celui de l’année 2020, année de l’épidémie mortelle de Covid. Sur les 79 années précédentes, 2020 a eu le 12e taux de mortalité le plus bas.

En d’autres termes, Covid était une pandémie de l’imagination, de l’anecdote, de l’émotion plutôt que de la mauvaise santé et de la mort mesurées. Pourtant, même aujourd’hui, lorsque j’attire l’attention de quelqu’un sur ces données de l’ONS (rappel : Office National des Statistiques), je constate que la réponse la plus fréquente est celle du déni. En d’autres termes, lorsqu’on leur présente les preuves les plus claires, les plus intègres (c’était avant que l’ONS ne soit politisé et ne commence à trafiquer les chiffres) et les plus irréfutables qu’il n’y avait PAS eu de pandémie de Covid en 2020, la plupart des gens, même les plus intelligents, préfèrent encore se fier à leurs sentiments plutôt qu’aux données concrètes.

Cette tendance naturelle qu’ont beaucoup d’entre nous à préférer les récits émotifs aux preuves froides nous rend mûrs pour l’exploitation par les cyniques et les sans scrupules. Nous l’avons vu pendant la pandémie, lorsque la majorité des gens se sont laissés séduire par l’histoire excitante, mais mensongère selon laquelle ils vivaient une nouvelle grande peste et que ce n’était qu’en observant des rituels bizarres — se couvrir le visage de bandes de tissu, danser les uns autour des autres dans les supermarchés, s’injecter des substances inconnues dans le corps — que l’on pouvait espérer sauver sa vie et celle de sa grand-mère. Et nous le constatons aujourd’hui, dans une variante légèrement différente, où de nombreuses personnes — même celles qui devraient être mieux informées — tombent dans le panneau d’une absurdité tout aussi excitante, mais erronée à propos de virus échappé d’un laboratoire.

C’est une histoire tellement séduisante que je suis moi-même tombé dans le panneau. Au tout début lorsque tous les journaux continuaient à diffuser consciencieusement la propagande approuvée par l’Organisation Mondiale de la Santé sur les pangolins, les chauves-souris et le fameux marché aux poissons de Wuhan (ou quel que soit son nom), j’avais déjà une bonne longueur d’avance sur les autres. Je savais, je savais tout simplement, comme tous les intrépides chercheurs de vérité, que c’était une fuite de laboratoire qui avait fait le coup. Si vous saviez où creuser, il y avait des preuves évidentes à l’appui.

Nous, les intrépides chercheurs de vérité, connaissions tous les noms et tous les faits. L’escroc Peter Daszak, de l’EcoHealth Alliance, était impliqué jusqu’au cou, tout comme, bien évidemment, le détestable Anthony Fauci, à l’humeur joviale et à la suffisance trompeuse. Nous savions que toutes ces recherches folles de Frankenvirus avaient été initialement menées à Chapel Hill, en Caroline du Nord, mais qu’elles avaient été délocalisées en Chine après que le président Obama eut modifié la réglementation et que c’était devenu une patate chaude pour les laboratoires américains. Et n’oublions pas l’Ukraine — tous ces laboratoires secrets de recherche biologique gérés pour le compte de l’État profond américain, mais qui ont ensuite été révélés lorsque les Russes ont envahi sans ménagement des territoires tels que Marioupol.

Et tout cela était parfaitement logique parce que cela concordait avec tout ce que nous savions sur la « pandémie » : qu’elle avait été planifiée, orchestrée et manipulée à un haut niveau par certaines des personnes les plus sournoises et les plus malveillantes de la planète ! En outre, de nombreux collègues sceptiques et militants anti-confinement et antivaccins dans les domaines de la vaccinologie et de l’épidémiologie nous ont confirmé que c’était le cas, avec toutes sortes de détails techniques abscons que nous avons absorbés et dont nous sommes devenus presque experts. Nous avons appris des termes tels que « gain de fonction », « tempête de cytokines », « protéine de pointe », « charge virale » et « excrétion ». Nous sommes presque devenus des virologues nous-mêmes !

Alors pourquoi je ne crois plus à la théorie des fuites de laboratoire ? Pourquoi est-ce que je partage maintenant les soupçons de Mike Yeadon selon lesquels il n’y a jamais eu de virus Covid ? Eh bien, pour moi, l’indice le plus évident est que la théorie de la fuite de laboratoire est actuellement fortement mise en avant par les mêmes médias grand public qui nous ont menti sans relâche sur l’efficacité des masques, la sécurité des vaccins, le Net Zero, le changement climatique, l’Ukraine, les CBDC (NdT : Central Bank Digital Currency — monnaie numérique), les villes 15 minutes et la menace désormais très évidente posée par le Nouvel Ordre Mondial. Bien sûr, il est théoriquement possible qu’ils se soient soudainement penchés sur un sujet où ils ne vont pas faire avancer l’agenda néfaste de leurs sinistres maîtres payeurs. Mais si c’était le cas, ce serait une première.

Comme le dit Patrick Henningsen — plus de détail dans notre récent podcast :



— Je suis d’avis que si les fuites de laboratoire sont désormais la théorie de la conspiration officiellement approuvée par le gouvernement américain, nous devrions tous nous méfier de l’existence d’un programme sous-jacent. La promotion de la fuite de laboratoire sert un certain nombre d’objectifs : elle détourne l’attention de la question plus urgente des lésions causées par les vaccins ; elle promeut l’idée que le monde est potentiellement envahi par des virus voyous issus de la bio-ingénierie qui nécessitent des mesures défensives urgentes de la part d’organismes supranationaux tels que l’Organisation Mondiale de la Santé, y compris la vaccination obligatoire contre les nouvelles souches virales ; elle désigne la Chine comme un ennemi encore plus grand qu’il ne l’est en réalité, justifiant ainsi l’augmentation des dépenses de défense, l’escalade de la guerre économique et une action militaire potentielle, et elle crée de nouvelles divisions au sein de la communauté sceptique.

J’en trouve de nombreuses preuves dans la section des commentaires qui suit le dernier article de Mike Yeadon sur TCW, intitulé « Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait eu un virus Covid ». Les commentateurs qui étaient auparavant unis dans l’opinion — correcte — que la « pandémie » était une vaste escroquerie et que les « vaccins » sont une attaque monstrueuse et inutile contre la santé publique se disputent maintenant furieusement pour savoir s’ils croient ou non au virus Covid ou aux virus en général.

La plupart de ceux qui défendent l’existence du virus Covid le font sur la base des expériences personnelles de santé que j’ai évoquées au début. Je ne conteste pas qu’ils aient pu ressentir tous les symptômes exotiques et désagréables qu’ils décrivent, ni même que ceux-ci n’avaient rien à voir avec ce qu’ils avaient connu auparavant. Ce que je conteste, c’est le saut logique qui les conduit tous à déduire que ces symptômes sont le résultat d’un nouveau virus. Comment pourraient-ils le savoir ? Il existe un grand nombre d’autres causes potentielles pour ces symptômes : l’empoisonnement aux radiations ou aux produits chimiques ; les effets de la 5G ; une grippe assez banale rebaptisée Covid — et transformée dans leur imagination par la pensée de groupe en quelque chose de bien pire ; la théorie du terrain…

Je reste ouvert sur la cause de ces symptômes, comme je le suis sur la « théorie du virus » par rapport à la « théorie du terrain », ou sur le fait qu’il s’agit peut-être d’un mélange des deux. Mais il me semble évident que certains faits concernant la prétendue pandémie de 2020 sont désormais incontestables : il s’agissait d’une « pandémie » uniquement parce que l’OMS a modifié sa définition du terme ; les taux de mortalité n’étaient pas supérieurs à la normale ; les tests PCR étaient frauduleux ; le SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ; la pandémie a fait l’objet d’un wargame en 2019 lors de l’Event 201 (NdT : voir ci-dessous) et a été fortement encouragée par des intérêts particuliers (la plupart financés par la Fondation Bill et Melinda Gates) dans les médias, le monde universitaire, l’establishment biomédical et les gouvernements clients. Compte tenu de l’ampleur de la malhonnêteté qui entoure cette fausse crise, il ne serait pas extravagant d’en déduire que le « virus », comme tout le reste, n’était qu’un autre élément fabriqué de toutes pièces dans le cadre de l’opération psychologique (NdT : en anglais une « psyop »).

Et il n’est pas nécessaire d’adhérer totalement à la théorie du terrain pour que ce soit le cas. Vous n’êtes pas non plus tenu de croire que la Chine est une force d’intégrité et de bonté, ni que Fauci et Daszak sont des types honnêtes, ni qu’il n’y a pas beaucoup de laboratoires financés au noir qui font des expériences avec des agents pathogènes. Tout ce que vous avez à faire, c’est d’accepter que le poids des preuves montre jusqu’à présent que Mike Yeadon, et des âmes courageuses comme lui sont justifiés dans leur scepticisme quant à l’existence d’un nouveau virus, peut-être créé par l’homme, appelé SRAS-CoV-2. Et le fait qu’en 2020 vous ayez eu une dose désagréable de symptômes grippaux n’a rien à voir avec la situation actuelle.

Event 201 : Le Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé Event 201, un exercice de pandémie de haut niveau, le 18 octobre 2019, à New York. L’exercice a illustré les domaines dans lesquels des partenariats public/privé seront nécessaires lors de la réponse à une pandémie grave afin de diminuer les conséquences économiques et sociétales à grande échelle. Comme par hasard la « pandémie Covid » a débuté en Chine 2 mois plus tard. On a pu constater que le but était atteint, en particulier dans la diminution des conséquences économiques et sociétales.

Traduction Jean Bitterlin 12 mars 2024




COVID-ARNAQUE — Royaume-Uni : pas de Covid, mais un meurtre de masse par le Midazolam

Source : La cause du peuple

Par Ben Bartee

Un homme politique australien publie des preuves du meurtre potentiel par le gouvernement britannique de dizaines de milliers de personnes âgées hospitalisées pour augmenter le nombre de « décès causés par Covid ».

Le directeur national du United Australia Party, Craig Kelly, a fait des allégations choquantes, voire surprenantes, contre le NHS en Grande-Bretagne.

Via Slay News :

Un nouveau rapport explosif a provoqué une onde de choc dans le monde entier après qu’une enquête sur le nombre élevé de « décès dus au Covid » pendant la pandémie a révélé des preuves que des dizaines de milliers de personnes âgées ont en fait été assassinées pour augmenter les taux de mortalité.

Les données produites pour le rapport indiquaient que des personnes étaient euthanasiées au moyen d’une injection mortelle de Midazolam.

La cause de leur décès a ensuite été répertoriée comme « Covid », indiquant que le virus tuait beaucoup plus de personnes âgées qu’il ne l’était réellement.

Les données explosives du rapport ont été rendues publiques par le politicien australien Craig Kelly, directeur national du United Australia Party.

Le rapport a obtenu des données officielles du gouvernement britannique sur les taux de mortalité et leurs causes.

Les données semblent montrer qu’un grand nombre de personnes âgées ont été assassinées par une injection du médicament en fin de vie Midazolam.

Selon Kelly, les patients ont été euthanasiés afin d’augmenter les « décès dus à Covid » et d’accroître la peur du public afin d’obtenir un soutien en faveur du confinement et des vaccins.

Tout en alertant le public sur ces données, Kelly a déclaré qu’elles révélaient « le crime du siècle ».

Extrait du rapport préimprimé, « Décès excessifs au Royaume-Uni : Midazolam et euthanasie dans la pandémie de Covid-19 » :

Les macrodonnées pendant la pandémie de Covid-19 au Royaume-Uni présentent des anomalies de données importantes et des incohérences avec les explications existantes.Cet article montre que le pic de décès au Royaume-Uni, attribué à tort à la pandémie de COVID-19 en avril 2020, n’était pas dû au virus SRAS-CoV-2, qui était largement absent, mais à l’utilisation généralisée des injections de Midazolam, qui étaient statistiquement très fortement corrélées (coefficient supérieur à 90 %) à la surmortalité dans toutes les régions d’Angleterre au cours de l’année 2020…

L’utilisation répandue et persistante du Midazolam au Royaume-Uni suggère une possible politique d’euthanasie systémique.

Le midazolam, une benzodiazépine (la même classe de médicaments qui comprend le Xanax et le Valium), est souvent utilisé pour endormir les patients hospitalisés en soins intensifs. C’est également — et quiconque a une vaste expérience directe des benzos comme moi peut en témoigner — extrêmement dangereux, en particulier lorsqu’il est directement introduit dans la circulation sanguine, comme cela se serait produit à grande échelle, comme procédure opératoire standard pour les patients hospitalisés atteints de Covid, dans les hôpitaux britanniques tout au long de 2020 et 2021.

[Voir aussi :
Pendant la Covid et le confinement, le gouvernement tuait les aînés
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?
France — Le « décret Rivotril » un génocide organisé
Le scandale du Rivotril]

Via MédecinePlus :

L’injection de midazolam peut provoquer des problèmes respiratoires graves, voire potentiellement mortels, tels qu’une respiration superficielle, ralentie ou temporairement arrêtée, pouvant entraîner des lésions cérébrales permanentes ou la mort. Vous ne devez recevoir ce médicament que dans un hôpital ou un cabinet médical disposant de l’équipement nécessaire pour surveiller votre cœur et vos poumons et pour fournir rapidement un traitement médical vital si votre respiration ralentit ou s’arrête. Votre médecin ou votre infirmière vous surveillera de près après avoir reçu ce médicament pour s’assurer que vous respirez correctement. Informez votre médecin si vous avez une infection grave ou si vous avez ou avez déjà eu des problèmes pulmonaires, des voies respiratoires ou respiratoires ou une maladie cardiaque. Informez votre médecin et votre pharmacien si vous prenez l’un des médicaments suivants : antidépresseurs ; les barbituriques tels que le sécobarbital (Seconal) ; dropéridol (Inapsine) ; médicaments contre l’anxiété, la maladie mentale ou les convulsions ; médicaments opiacés contre la toux comme la codéine (dans Triacin-C, dans Tuzistra XR) ou l’hydrocodone (dans Anexsia, dans Norco, dans Zyfrel) ou pour la douleur comme la codéine, le fentanyl (Actiq, Duragesic, Subsys, autres), l’hydromorphone (Dilaudid , Exalgo), mépéridine (Demerol), méthadone (Dolophine, Methadose), morphine (Astramorph, Duramorph PF, Kadian), oxycodone (dans Oxycet, dans Percocet, dans Roxicet, autres) et tramadol (Conzip, Ultram, dans Ultracet) ; sédatifs ; somnifères ; ou des tranquillisants.

Cela représente beaucoup de contre-indications mortelles pour une population occidentale plus âgée, statistiquement susceptible de prendre beaucoup de médicaments pharmaceutiques.

Je ne suis pas médecin — je suis un simple « théoricien du complot », un journaliste spécialisé dans le « terrorisme intérieur », et j’en suis fier — mais il n’est pas nécessaire d’avoir fait des études de médecine pour comprendre que les benzodiazépines sont très rarement des interventions médicales bien conçues, surtout lorsqu’elles sont administrées par voie intraveineuse à un patient âgé qui a déjà du mal à respirer sous respirateur.

Si les accusations sont fondées, le midazolam aurait été une méthode d’exécution parfaite, car il est fréquemment utilisé dans ce type d’environnement (pour ne pas éveiller les soupçons) et il est difficile d’attribuer la cause du décès au midazolam plutôt qu’au COVID, surtout dans le contexte d’une ignorance délibérée. Dans le domaine des relations internationales, ce dilemme est appelé « brouillard de guerre », en référence à la difficulté d’attribuer correctement la source d’une attaque en temps réel sur le champ de bataille.

4 mars 2024

Extrait de prose d’Armageddon

Ben Bartee, auteur de Broken English Teacher : Notes From Exile, est un journaliste américain indépendant basé à Bangkok, aux pouces opposables.




Nouvelles antiplandémiques

[Source : Sud Radio]




Superstitions de fin des temps : où en sont-ils ?

[Source : Jérémie Mercier]

Lors de nos deux derniers entretiens, Icaros nous a expliqué que les planificateurs centraux suivent un script eschatologique. Nous revenons dans cet entretien sur les prédictions déjà faites, et sur les prochains événements à attendre.

[Voir aussi, en relation avec le contenu de la vidéo :
►dossier Vaccins et virus (sur l’inexistence des virus) ;
►dossier Climat (sur le prétendu réchauffement climatique anthropique) ;
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus ;
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires ;
Troisième temple.]

[En cas de censure YouTube :]






« UNABOMBER 2030 » Partie 2 — FARM TO FORK: DÉTRUIRE le système alimentaire de l’Humanité

Suite de Unabomber 2030 : Le Great Reset des pommes de terre et des vaches !!!!

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau]

Par Theara

Manifeste original de Unabomber, Theodore Kaczynski :

Voici le nœud gordien

celui qui explique et cause la détresse de dizaines de milliers de fermiers, agriculteurs, éleveurs, pêcheurs en France et en Europe et donne l’explication en détail de leur ruine programmée (et de la nôtre) par L’AGENDA 2030/GREAT RESET des Globalistes.

Toujours présenté pour le « bien de tous », pour la planète et luttant contre le C02 et le « Changement climatique ».

FARM TO FORK — UE:

https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork-strategy_en

Document :

https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:52020DC0381
[Ci-dessous, la capture PDF de la page du document :]

« Farm to fork » [« de la ferme à la fourchette »] ou aussi Green Deal, approuvé par le gouvernement français, est ce programme européen (et mondial) au cœur de la colère et de la détresse de nos éleveurs, paysans, agriculteurs.

« Farm to fork » exige une BAISSE de la production agricole Européenne de FRANÇAISE de 20 % pour s’adapter à la COP 28, au « Changement climatique » Agenda 2030 visant à faire baisser drastiquement « les émissions de CO2 » d’ici 2050.

Bien sûr l’Agriculture et l’Élevage sont VISÉS avec les mêmes MENSONGES à l’appui que j’ai décryptés dans mon article : Partie 1 de Unabomber 2030 le Great Reset des pommes de terre et des vaches :

Agenda 2030 basé sur une fausse science « climatique » toute acharnée contre le CO2, qui est avant toute chose l’Élément de la VIE, un agenda canular asséné aux masses depuis 40 ans.

https://pgibertie.com/2024/02/24/le-canular-climatique-ne-fait-plus-rire-personne-et-pourtant-le-conseiller-energie-et-agriculture-de-macron-est-un-ecolo-fada/

Bien que de nombreux points semblent très positifs, dans « Farm to Fork » : réduction des pesticides, produits chimiques, de la pollution… Il faut bien tout lire, en détail…

Il faut décoder le double langage, car tout cela est promu au nom du « zéro net carbone » en 2050, pas juste de « la fin des plastiques dans les océans ! »

Or, « ZÉRO NET » est une fausse théorie très dangereuse, une ABSURDITÉ SCIENTIFIQUE conduisant à l’Extinction des ressources de la terre et de ses espèces et non à leur préservation.

LE BUT RÉEL

Brimer et faire disparaître des milliers d’élevages de fermes, d’exploitations ? Pourquoi ?

Pour le contrôle absolu sur la Nourriture pour l’humanité par quelques-uns, avec une main de fer face au petit humain qui doit bien se nourrir tous les jours

Le But est d’asseoir le Règne des grandes entreprises de bio technologie et génétique sur l’Agriculture et l’Alimentation en général et mettre l’IA au cœur d’un nouveau système alimentaire mondial Transnaturel.

Tout cela au nom de « la nature et de l’écologie », au nom d’un « système agricole et élevage durable » triple mensonge, au service de « cette nouvelle Humanité responsable et consentante pour sauver la Planète. »

Nos agriculteurs (hormis les très gros), éleveurs de vaches, moutons, chèvres, poulets fermiers ou de terroir, les pêcheurs, les laiteries de Normandie et fromagers de France sont les premiers à en souffrir et à aller vers leur expropriation, ou la vente de leurs terres, causées par la ruine, taxes, règlements draconiens, jachères, importation de produits toxiques à bas prix, venant d’autres pays par Traités de libre-échange UE, règles bureaucratiques « au nom du Climat » sans fin, menant à une production réduite par ces règles, pas achetée ou achetée à ZÉRO gain, que de la perte ! Et c’est pareil dans tous les pays européens et ailleurs aussi (INDE, CANADA, etc.. )

Seuls les très gros exploitants adhérents au Programme se développent ou font du profit, mais des milliers de petites et moyennes exploitations sont abandonnées, vendues, ou alors les exploitants se suicident !

De plus les cheptels, les volailles, les bêtes sont soumises à des contrôles sanitaires incessants sous prétexte de suspicion de « grippe aviaire » ou autre maladie des bovins par exemple, avec pour RÉSULTAT, en tant que « Prévention des épidémies » par l’OMS, qu’à la moindre suspicion réelle ou supposée d’un poulet ou une vache patraque, des MILLIONS de bêtes sont abattues en France et dans le monde et toutes les autres « vaccinées » dare-dare, avec les nouveaux vaccins vétérinaires à ARN ou ADN. (Qui contiennent aussi du GRAPHÈNE, des HYDROGELS ET de la BIOLOGIE SYNTHÉTIQUE).

SANS OUBLIER LES POISSONS

Ils « vaccinent » sur une chaîne automatisée le poisson norvégien sauce ADN :



« Chaque dose de 0,05 ml contient : Substance active : ADN plasmidique pUK-SPDV-poly2 # 1 codant pour les protéines du virus de la maladie du pancréas du saumon : 6,0 à 9,4 μg. »

LA DÉTESTATION DE LA VIANDE ET DE L’ÉLEVAGE
même traditionnel

est répétée tout au long des documents de Farm to Fork.

Alors que NOUS, demandons la FIN des monstrueux élevages industriels de torture avec millions de poulets ou vaches dans des conditions sanitaires et des conditions de non-vie INNOMMABLES et CRUELLES, en cages, nous demandons la préservation des élevages traditionnels à taille humaine respectant le bien être des animaux, leur accès à la terre, au mouvement en liberté, à l’herbe, aux pâturages, au soleil, à l’air libre, avec une nourriture SAINE et naturelle pour chaque espèce.

Dans Farm to Fork :

la Viande, même l’élevage fermier ou même l’élevage laitier et fromages, sont désignés comme Le problème, l’ENNEMI NUMÉRO UN, avec un record de « gaz à effet de serre » CO2 et de méthane émis et donc designés directement responsables à un haut degré du « Changement climatique » sur Terre.

( FURIEUX MENSONGE au niveau de la réalité et de la SCIENCE)

Or, les obèses, ne changeront rien à leur addiction, les addicts au fast food idem, les Hallal épris de mouton rôti ne changeront rien, les végans hystériques non plus ne changeront rien, les « bio plus que bio » ne changeront rien, les Français épris de bœuf bourguignon non plus, ou pas de sitôt.

COMMENT CONTRAINDRE LES CONSOMMATEURS ?

L’uniformisation industrielle et bio technologique de la nourriture et les « pass carbone » coercitifs feront accepter n’importe quoi, si :

  • 1 ) le prix est assez BAS
  • 2 ) les points carbone du mois sont épuisés en quelques jours par 1 vrai steak et 4 vrais œufs pour votre famille !
  • 3 ) ÇA RESSEMBLE à de la viande ou à des plats traditionnels.

VERS UNE NOURRITURE DE SYNTHÈSE et de LABOS

Sources de protéines de substitution telles que les protéines végétales, microbiennes, marines et dérivées d’insectes ainsi que les substituts de viande (Farm fo Fork document).

3- 1 Recherche, innovation, technologie et investissements

La recherche et l’innovation (R&I) sont des facteurs essentiels pour accélérer la transition vers des systèmes alimentaires durables, sains et inclusifs de la production primaire à la consommation.

La R&I peut contribuer à mettre au point et tester des solutions, à surmonter les obstacles et à mettre au jour de nouvelles perspectives commerciales
Dans le cadre du programme Horizon 2020, la Commission prépare un appel à propositions supplémentaire concernant les priorités du pacte vert pour 2020 pour un montant total approximatif de 1 milliard d’euros.

Dans le cadre du programme Horizon Europe, elle propose de consacrer 10 milliards d’euros à la R&I dans les domaines de l’alimentation, de la bioéconomie, des ressources naturelles, de l’agriculture, de la pêche, de l’aquaculture et de l’environnement,

Ainsi que d’utiliser des technologies numériques et des solutions naturelles dans le secteur agroalimentaire.
L’un des principaux domaines de recherche concernera le microbiome, les denrées alimentaires provenant des océans, les systèmes alimentaires urbains ainsi que l’augmentation de la disponibilité et des sources de protéines de substitution telles que les protéines végétales, microbiennes, marines et dérivées d’insectes ainsi que les substituts de viande (de synthèse).

https://www.kla.tv/GenieGenetique/25436
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=C.

(D’où j’en déduis que la dernière marotte de BILL GATES sur le MICROBIOME n’est pas arrivée par hasard)
du PDF :
https://food.ec.europa.eu/document/download/472acca8-.
https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork.
[ou https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork-strategy_en?prefLang=fr&etrans=fr en traduction française]

Il est clair que la révolte agricole Française légitime a été rondement menée sous un contrôle de Syndicats alliés du gouvernement, qui eux adhèrent à l’UE, aux règles, à l’Agenda 2030 ONU et à FARM TO FORK UE, pour tenter de désamorcer la possible révolte incontrôlable de la base, des petits et moyens exploitants, qui eux, sont ruinés par cet agenda.

Le Salon de l’Agriculture survolté et en révolte depuis le 24 février 2024 à PARIS démontre que les agriculteurs et éleveurs n’ont pas été dupes des magouilles et des mensonges du gouvernement et certains comprennent progressivement l’énormité et l’insanité pour eux et pour toute l’HUMANITÉ des plans cachés dans les documents de l’UE et du WEF

UN « GREAT RESET » ANTI NATURE :

Extrait de la vidéo de Ernst Wolff Kla.TV :

« Nous vivons actuellement dans le monde entier un changement d’époque économique et social, l’entrée dans l’ère numérique. Une infime minorité nous y conduit toutefois. Et ce, sans que la majorité ait le moindre droit de regard. Cette minorité, un cartel de puissants groupes financiers et informatiques, poursuit plusieurs objectifs, désormais connus sous le nom de “Great Reset”. Elle veut nous enregistrer tous de manière biométrique, elle veut nous imposer une nouvelle monnaie, c’est-à-dire la monnaie numérique de la banque centrale, et elle veut transformer l’agriculture de fond en comble.

Et ce, grâce à ce qu’on appelle “le smart farming” [l’agriculture intelligente]. Cela comprend l’automatisation du travail des tracteurs et des outils, l’utilisation de drones ou de robots de travail et l’utilisation de l’intelligence artificielle, par exemple par l’application d’algorithmes à la production végétale. Mais ce n’est pas tout.

Le Great Reset dans le domaine de l’agriculture mise avant tout sur les découvertes de la biologie synthétique, c’est-à-dire sur les semences génétiquement modifiées et, depuis peu, sur la viande de laboratoire. Les protagonistes du Great Reset nous vendent tout cela comme des mesures prises dans notre intérêt pour lutter contre le changement climatique.

Les semences doivent soi-disant être manipulées pour rendre les plantes résistantes au changement climatique. Et la viande de laboratoire doit remplacer la viande normale. Puisque les bovins, les porcs et les moutons émettent trop de méthane. Tout cela n’est pas une satire, mais une amère réalité.

Derrière tout cela se cache un business de plusieurs milliards de dollars dans lequel de nombreux grands investisseurs se sont déjà lancés. Mais cela signifie également la soumission totale de l’agriculture à ces investisseurs. Car les licences et les brevets, aussi bien sur les semences résistantes au climat que sur la viande de laboratoire neutre pour le climat, ne reviennent évidemment pas aux agriculteurs, mais aux représentants du cartel.

Le smart farming, soyons clairs à ce sujet, ne contribuera pas plus à sauver le monde que tout le reste de l’agenda climatique.

Le smart farming n’est rien d’autre qu’un énorme business au profit d’une infime minorité et, en outre, la fin de l’agriculture telle que nous la connaissons. La politique joue un rôle particulièrement peu glorieux dans cette évolution fatale, car elle s’est presque entièrement soumise à l’agenda du Great Reset. »

https://www.kla.tv/28044

Viande de Laboratoire :

« Après Singapour, les États-Unis sont le deuxième pays au monde à autoriser la consommation humaine de viande produite artificiellement. Cela pourrait signifier la percée de cette nouvelle technologie. Le marché mondial de la “viande artificielle” est déjà estimé à 247 millions de dollars, avec un taux de croissance annuel de plus de 50 % d’ici 2030. »

Le FOND :

https://www.kla.tv/27996

LES COUPABLES : ONU, OMS et le FEM

Les trois ont déclaré conjointement la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l’a déjà signalé dans plusieurs émissions, s’attaque également aux agriculteurs en particulier.
Voici une brève reprise de l’émission « Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme » :

https://www.kla.tv/19023

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l’agriculture naturelle à petite échelle est en train d’être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l’agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.

La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n’est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :

Un résumé de l’essai « L’arme alimentaire »

de l’écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l’existence, a déjà été utilisée dans l’histoire, et l’est encore aujourd’hui, comme arme contre l’humanité.

Développements actuels :

Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n’est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs bio technologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.

Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l’état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d’approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l’économie verte », de l’agenda zéro CO2, qu’ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [Premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !
Toute l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L’exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d’un grand dynamisme dans ce domaine.

Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l’interview de Heiko Schöning « Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? » www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates — qui ne cesse d’exprimer ses préoccupations en matière de “surpopulation” »

ARN ET ADN contaminant les Nourritures et les Vaccins proposes par ONE HEALTH

On peut se sentir encore plus mal à l’aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l’ARN ajouté.

Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l’injection antiCOVID. [Émission d’Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d’ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » www.kla.tv/26139]

Théara :

L’ÉLEVAGE AU NIVEAU MONDIAL doit être « VACCINÉ » AVEC DES NOUVEAUX « VACCINS à ARN et ADN »

PROGRAMME ONE HEALTH

Extrait :

« D’abord, les vaccins destinés aux animaux n’ont rien à envier aux vaccins humains quant à l’innovation et aux nouvelles technologies (vaccins recombinants, vecteurs, à ADN et ARN »

https://www.simv.org/actualites/vaccins-veterinaires-le-one-health-en-pratique

https://www.who.int/health-topics/one-health#tab=tab_1

https://www.intvetvaccnet.co.uk/blog/taking-a-one-health-approach-to-tackling-infectious-diseases

Suite article L’Arme Alimentaire :

« Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels. »

« Les “vaccins autodisséminés”, des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu’à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l’information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission. »

« De plus, à l’avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d’approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [Tracking Devices]. Chaque aliment devrait à l’avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu’à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu’il s’agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce “code-barres ADN”, comme l’entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme — écoutez ! — “généralement inoffensives” ! »

« Toutes ces évolutions dans le domaine de l’alimentation font de l’organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! »

« Il est évident que l’UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s’engage pour la “régulation” de l’élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l’autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. »

food.ec.europa.eu
Farm to Fork Strategy

SVP lire partie 1 :
https://wordpress.com/post/lafemmedanslehautchateau.wordpress.com/4787
SUR NOUVEAU MONDE :
https://nouveau-monde.ca/unabomber-2030-le-great-reset-des-pommes-de-terre-et-des-vaches/

Article rédigé par Theara Truth News FRANCE
le 4 février 2024, mis à jour le 25/02/2024
avec de nombreux passages d’émissions de Kla.TV en vidéos et par écrit.




« Tel que nous l’avons conçu. »

[Source : aljazeera.com]

C’est une image qui pourrait appartenir à un film à la fois d’horreur et de science-fiction : Le président des États-Unis, Joe Biden, debout sur un fond trouble, des faisceaux laser rouge vif émanant de ses yeux, sa broche représentant le drapeau des États-Unis brillant de manière proéminente sur sa boutonnière.

Pourtant, ce n’est pas une page de mème ou un compte de troll qui a publié cette image : Elle a été publiée sur la page X de M. Biden au début de la journée de lundi. Sur fond de guerre brutale d’Israël contre Gaza, qui a tué plus de 28 000 personnes et que les États-Unis ont soutenue, l’image a suscité des critiques particulières de la part de certains utilisateurs des médias sociaux à l’encontre de M. Biden.

« Tel que nous l’avons conçu. »

Cela donne lieu à toutes les spéculations, dont celles signalées par Francis Lalanne :

Question : Qui utilisait ces yeux rouges brillants avant ce message de Joe Biden pendant des années ?

Réponse : Les Anons.

Question : Qui vous a dit « Le plaisir commence juste après le Superbowl » ?

Réponse : Les Q-Drops.

Question : Qui vous a dit que la Maison-Blanche était vide ?

Réponse : Les juges.

Question : Qui vous a dit qu’il y aurait une transition pacifique du pouvoir ?

Réponse : Les militaires.

Question : Qui a signé l’EO 13912, ce qui en a fait un président en temps de guerre ?

Réponse : Donald Trump.

Question : Qui vous a dit que le Superbowl ressemblerait à une exposition de chiots ?

Réponse : Les Q-Drops.

Question : Qui a mis en ligne des photos de chiots juste avant le Superbowl et a dit « J’aime les chiots » ? Réponse : Elon Musk

Question : Qui vous a dit qu’ils étaient derrière le compte d’E. Musk ?

Réponse : Les juges.

Question : Qui a dit qu’ils avaient un accès direct à tous les dirigeants du monde via Ogiame Atuwatse III ?

Réponse : Les juges.

Voyez-vous tous où je veux en venir ? Ne suivez pas comment « The Normies » réagissent à ce post de Joe Biden. Ils n’en ont aucune idée.

On vous a montré à travers des vidéos, des images et de la documentation qui est actuellement aux commandes. Ces yeux rouges signifient « Activation ». De quoi ?

La nouvelle souche du virus.

Les confinements.

Les militaires.

________________

Les préparations sont en phase de maturation.

Cela se voit à travers la réforme monétaire irakienne.

Le renminbi chinois.

Le marché des changes au Nigeria.

Le système du protocole 20.

Les 8 banques interdites en Irak pour les transactions en USD.

Quels sont les suivants.

1. Banque internationale Ahsur pour l’investissement.

2. Banque d’investissement d’Irak.

3. Union Banque d’Irak.

4. Banque islamique internationale du Kurdistan pour l’investissement et le développement.

5. Banque Alhuda

6. Banque islamique d’investissement Al Janoob.

7. Banque islamique d’Arabie

8. Banque commerciale d’Hammourabi.

Pourquoi est-ce important ?

Car le marché parallèle est sur le point d’atteindre le prix officiel. Et seuls les voyageurs pourront acheter des dollars américains au prix unique sans que la valeur du marché noir ne dégrade artificiellement la monnaie IQD. Toutes ces choses sont liées ensemble.

Pourquoi pensez-vous tous que Google vient de mettre en œuvre un nouveau logiciel de censure ?

Ils veulent contrôler la fuite d’informations une fois que l’effondrement aura commencé. Fondamentalement, il s’agit de protéger les banques en faillite (pas les banques de Bâle 3) lorsque les gens seront les plus vulnérables et se demanderont pourquoi ils ne peuvent pas accéder aux fonds.

Pourquoi l’inflation est hors de contrôle sur certains marchés ?

Pourquoi leurs cartes de crédit/débit ne fonctionnent pas ? Fondamentalement, créer une barrière de confinement pour information.

Rappelez-vous ce que j’ai déjà partagé avec vous tous. Toutes les choses concernant l’optique avec Joe Biden se dérouleront sous sa surveillance et il sera blâmé pour l’échec du système fiduciaire.

Ainsi, lorsque vous regardez ce message, l’armée vous dit en gros qu’elle est prête à appuyer sur « le bouton rouge » sur l’ensemble du plan.

Je vous ai dit que vous vous prépariez à traverser le pont vers « La Nouvelle République ». Mais cela s’accompagnera de quelques turbulences.

J’espère que cela suffira, car je dois préparer d’autres choses.

Les Chiefs remportant le Superbowl sont un autre geste symbolique envers le CIC (Commandant en chef) pour Usher in 45 (D. Trump) et le Gold Standard étant donné que Las Vegas est le numéro 4 de la production mondiale. La devise de l’État du Nevada est « Tout pour notre pays ».

Et cela pourrait être un divertissement pour nous écarter de questions cruciales. Une nouvelle PsyOp ?




Les globalistes utiliseront le contrôle du carbone pour vous empêcher de cultiver votre propre nourriture

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith — Le 2 février 2024 — Source Alt-Market

Au début de l’année 2020, au milieu des confinements Covid, les états bleus dirigés par des gouverneurs gauchistes ont poursuivi les obligations avec un préjudice extrême. Dans les États rouges comme le Montana, après le premier ou le deuxième mois, la plupart d’entre nous ont simplement ignoré les restrictions et ont continué à vivre comme d’habitude. Il était clair que la Covid-19 n’était pas la menace que les autorités fédérales faisaient peser sur lui. Cependant, dans des États comme le Michigan, l’étau s’est resserré de plus en plus sous l’impulsion de dirigeants véreux comme Gretchen Whitmer.

Gretchen Whitmer a profité de l’occasion pour imposer des restrictions étranges au public, notamment en interdisant aux grandes surfaces de vendre des graines et des produits de jardinage à leurs clients. « Si vous n’achetez pas de nourriture, de médicaments ou d’autres produits essentiels, vous ne devriez pas aller au magasin », a déclaré Gretchen Whitmer lors de l’annonce de son décret. La gouverneure gauchiste n’avait rien contre l’achat de billets de loterie et d’alcool, mais pas contre celui d’outils de jardinage et de semences.

Elle n’a jamais donné de raison logique pour expliquer pourquoi elle ciblait les produits de jardinage, mais la plupart des membres de la communauté des survivalistes ont très bien compris de quoi il s’agissait : Il s’agissait d’un bêta-test en vue de restrictions plus importantes en matière d’indépendance alimentaire. Tout au long de l’année 2020, les médias se sont largement répandus en discours attaquant tous ceux qui stockaient des produits de première nécessité en les qualifiant de « thésauriseurs », et maintenant ils s’en prenaient à ceux qui planifiaient à l’avance et essayaient de cultiver leur propre nourriture. L’establishment ne veut PAS que les gens stockent ou produisent des réserves alimentaires personnelles.

Une autre perspective ouvertement discutée par les globalistes était l’idée que les mesures de confinement étaient « utiles », au-delà de l’arrêt de la propagation de la Covid-19 (les mesures de confinement étaient en fait inutiles pour arrêter la propagation de la Covid-19). Ils ont suggéré que ces mesures pourraient être efficaces pour prévenir les émissions mondiales de carbone et sauver le monde du « changement climatique ». L’idée de l’enfermement climatique a commencé à se répandre.

Depuis, les grands médias ont menti sur l’existence de ce programme de confinement climatique, mais il est facile de trouver et de lire des articles et des livres blancs vantant les vertus de l’arrêt de la planète au nom du changement climatique. Les globalistes et leurs défenseurs universitaires voulaient des confinements PERMANENTS, ou des fermetures tournantes tous les deux mois, interrompant la plupart des activités humaines et des déplacements en dehors de la production de base.

J’ai soutenu par le passé que ce que Whitmer faisait dans le Michigan faisait partie de cet agenda — que son interdiction de l’approvisionnement des jardins faisait partie d’un objectif plus large qui n’avait rien à voir avec la sécurité de la santé publique et tout à voir avec le fait d’empêcher les gens de se préparer. Les contrôles Covid n’étaient qu’un précurseur des contrôles sur le carbone.

La semaine dernière, nous en avons eu la confirmation avec une étude de l’université du Michigan qui affirme que les aliments cultivés à la maison produisent cinq fois plus d’émissions de carbone que les méthodes d’agriculture industrielle. En d’autres termes, les jardins privés pourraient être considérés comme une menace pour l’environnement. Le Telegraph et d’autres plateformes commerciales se sont emparés de l’affaire, et je pense qu’il y a de quoi s’inquiéter.

L’étude comprend l’analyse de divers jardins, depuis les parcelles familiales individuelles jusqu’aux parcelles urbaines et communautaires, et affirme que les « infrastructures de jardinage » pour les parcelles individuelles (telles que les plates-bandes surélevées) contribuent à une pollution par le carbone bien plus importante que l’agriculture à grande échelle. L’étude semble ignorer le fait que les plates-formes surélevées sont plus efficaces et permettent de cultiver plus d’aliments dans un espace plus restreint, mais je doute qu’ils se soucient vraiment de prendre ce genre de choses en considération.

Le commun des mortels pourrait s’en étonner et penser que le contraire est vrai : la culture d’aliments à domicile ne serait-elle pas MEILLEURE pour l’environnement ? Ce n’est pas le cas si votre financement repose sur l’idée que l’approvisionnement indépendant en nourriture est mauvais pour la planète. L’étude est financée par un grand nombre de groupes internationaux, dont le programme Horizon de l’Union européenne, dont l’un des objectifs est de créer « 100 villes intelligentes et neutres sur le plan climatique d’ici à 2030 ». Ces 100 villes sont censées servir de modèles phares pour la prise de contrôle de toutes les villes d’ici 2050.

Ces groupes disposent de milliards de dollars et concentrent la majeure partie de cette puissance de feu monétaire sur la recherche (propagande) en matière de changement climatique. Est-ce que je pense que l’étude du Michigan est truquée en faveur d’un résultat prédéterminé ? Probablement. Lorsque ces études sont financées par des intérêts globalistes, leurs résultats semblent toujours favoriser les objectifs globalistes. L’étude elle-même n’affirme pas nécessairement que les gens devraient cesser de jardiner, mais elle pousse l’idée que les contrôles carbone sont nécessaires, même au niveau individuel.

Le rapport du Michigan peut sembler une note de bas de page sans importance. Cependant, comme nous l’avons vu l’année dernière avec une étude de la Commission de sécurité des produits de consommation (CPSC) sur les appareils à gaz naturel, ces petites études obscures sont souvent utilisées pour justifier des interventions gouvernementales à grande échelle dans la vie quotidienne des gens. L’étude de la CPSC a suscité des mois de débats de la part des Démocrates américains, qui ont demandé l’interdiction des appareils à gaz, y compris les cuisinières, parce qu’ils PEUVENT avoir des effets secondaires sur la santé, en particulier chez les enfants (il s’est avéré que l’étude ne reposait sur aucune base concrète pour cette affirmation).

Les gauchistes et les globalistes ne se soucient pas de protéger votre santé ; ils se préoccupent de la manière dont ces études peuvent être utilisées pour semer la peur et accroître ainsi leur pouvoir. En d’autres termes, si l’on peut truquer la science, on peut truquer les lois.

Nous avons vu quelque chose de similaire dans une étude de l’ONU en 2006 qui affirmait que la production de viande contribuait à près de 20 % de toutes les émissions de carbone et était pire pour l’environnement que les transports. L’étude a été révélée en 2010 comme étant « viciée » (frauduleuse), mais pendant des années, les médias et les organisations globalistes ont utilisé ses fausses conclusions comme tremplin pour exiger des limitations et des interdictions de la production de viande au nom de la sauvegarde du climat.

Si vous pensez que la guerre contre l’agriculture qui fait rage actuellement en Europe ne concerne que les exploitations industrielles, détrompez-vous. L’establishment va tenter d’utiliser le mensonge du changement climatique provoqué par l’homme pour dicter TOUTE la production alimentaire, jusqu’à votre modeste jardin. Et ils ne limiteront pas leurs efforts à l’UE ; ils s’en prendront aux exploitations agricoles américaines avec les mêmes restrictions.

C’est là tout l’intérêt des programmes globalistes « net zero » et des villes de 15 minutes : ils reposent sur l’idée que toute activité humaine doit être surveillée et gérée. Ils disent que c’est pour le bien de la planète, mais les systèmes qu’ils veulent mettre en place entre 2030 et 2050 ressemblent à un nouveau féodalisme numérique, une société où les bureaucraties suivent, tracent et micro-gèrent chaque aspect de votre vie. Les élites en profiteront largement sans jamais prouver que les émissions de carbone représentent un danger pour qui que ce soit.

Pourquoi cette focalisation obsessionnelle sur l’alimentation ? Parce que si les gens ont leur propre nourriture, ils seront peut-être plus enclins à se rebeller contre de nouvelles obligations. C’est aussi simple que cela. La finalité est évidente : contrôlez la nourriture et vous contrôlerez le monde. Faites-le au nom de la sauvegarde de la planète et beaucoup de gens vous remercieront même si vous les affamez.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




La légende du vaccin

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Le bilan

Le mythe des microbes pathogènes, comme responsables des maladies, va prochainement s’effondrer ; personne ne sait à quel moment, mais il est certain qu’on ne peut plus sérieusement continuer à répéter cette erreur et ce mensonge historique, compte tenu de la masse des données qui s’est accumulée sur la question, grâce notamment à la crise artificielle du coronavirus.

Quand la société occidentale va-t-elle comprendre l’imposture de Pasteur et réaliser que les virus ou les bactéries ne sont pas la cause des maladies ? Combien de temps faudra-t-il encore avant que les « croyants » dans le monomorphisme, la « théorie du germe », réalisent l’archaïsme de cette conception des choses et leur ignorance devenue anachronique ?

Selon ce grand scientifique français encore largement méconnu en France, Antoine Béchamp, un bon équilibre du terrain biologique est à la base de la santé. Il put établir par ses travaux la loi du « polymorphisme bactérien », cette connaissance étant actuellement appliquée par les écoles de thérapeutique de pointe qui abandonnent clairement la loi du monomorphisme conçue par Pasteur. Les chocs émotionnels, les carences nutritionnelles, le stress, le manque d’hygiène, les agressions environnementales sont les causes d’un déséquilibre du terrain biologique et c’est cela qui explique la maladie et non pas une attaque kamikaze de micro-organismes parasites se saisissant de cette opportunité pour s’attaquer depuis l’extérieur à une forteresse corporelle défendue par une armée de défenseurs immunitaires entraînés !

Cette vision des choses est dépassée par la réalité de la connaissance scientifique actuelle, mais cette croyance archaïque continue son chemin dans les cerveaux conditionnés par le narratif disant le dogme au service d’un système médical organisé en pouvoir. C’est l’ignorance qui explique l’adhésion conventionnelle à ce dogme désuet d’une médecine totalitaire et en cela obscurantiste, très en retard sur les acquis de la recherche…

Le Sars-CoV-2, que personne n’a encore pu isoler et identifier en tant que tel, et pour cause, a une particularité tout à fait remarquable et insolite : on a découvert qu’il était spécialisé en géopolitique !

En effet, le Coronavirus si dangereux s’est spécifiquement attaqué à l’OTAN !

Je viens de découvrir, sur Breizh-info.com, le rapport final du Général Dominique Delawarde :
son dernier « rapport final » sur le covid.

Le coronavirus travaille pour les Russes puisqu’il s’attaque quasi exclusivement aux pays membres de l’OTAN ! Les chiffres démontrent que les 31 pays de l’Alliance Atlantique-Nord totalisent les 2/3 des morts de la Covid-19 enregistrés en 2023.

Selon les chiffres analysés par le Général Delawarde, il y a eu, depuis le début de la « fausse pandémie », 2,8 millions de décès au sein de l’espace sous la domination OTAN. C’est 40,3 % de la mortalité planétaire.

L’Afrique n’est pas du tout concernée par ce coronavirus ! Le sud est globalement ignoré. Le virus ne semble pas connaître l’existence du monde qui s’étend de la Russie à l’Asie du Sud-Est !

Il serait temps de redevenir un peu sérieux ! La fausse pandémie n’a sévi que dans les pays qui ont été manipulés par une odieuse propagande basée sur la peur et qui se sont laissés injecter un produit expérimental truffé de nanotechnologie très largement inconnue des médecins… Les chiffres ont parlé, la thèse du monomorphisme pasteurien ne tient pas la route…

Aujourd’hui, nous savons (ceux qui veulent bien savoir) qu’aucune des mesures anti-covid-19 n’a fonctionné, tout simplement parce que ces injections n’avaient aucune finalité sanitaire, mais seulement totalitaire pour le dressage et le marquage du bétail humain…

Le Professeur Didier Raoult citait récemment une étude parue le 13 janvier 2024 dans le Journal of Clinical Medicine. Cette étude démontre que les décisions gouvernementales (confinements, distanciation sociale, masques, injections…) n’ont eu aucun effet sur la fausse pandémie et que seul le facteur saisonnier a joué son rôle habituel.

De nombreux travaux scientifiques se sont accumulés depuis 2020 et ont déjà démontré très largement que les stratégies organisées contre la « crise sanitaire » n’ont eu aucun effet sur son évolution ! Je renvoie mon lecteur à la série d’articles déjà publiés dans mondialisation.ca sur la question coronavirus…

Avec cette dernière étude, les médecins allopathes honnêtes pourront prendre conscience que ses conclusions mettent fin au mythe de la contagion !

Il n’y a pas d’organismes pathogènes dont il faudrait se protéger en se masquant, en se confinant ou en se faisant injecter un vaccin à ARNm.

L’erreur du monomorphisme pasteurien fait penser que des micro-organismes se baladent sur Terre à la recherche de victimes ! Nous savons qu’il n’en est rien : voilà pourquoi toutes ces stratégies ne pouvaient que se conclure par un échec cinglant ! Cela n’empêche pas, bien entendu, que nos dirigeants bornés s’acharnent dans cet obscurantisme et la croyance en la nouvelle religion covidiste, si pratique pour leurs projets liberticides !

Le Professeur Didier Raoult disait récemment qu’il n’avait jamais vu un virus manipulé dans un laboratoire en sortir avec un potentiel de nuisance augmenté ! Ce même professeur remet en cause le narratif relatif au « gain de fonction » et à la militarisation des virus.

Un virus ne peut pas être à la fois très contagieux et très dangereux. C’est la raison pour laquelle un virus est naturellement une arme inefficace. Il n’existe aucun agent bactérien ou viral qui pourrait être transformé en instrument de « destruction massive », pour la simple raison que les micro-organismes ne se manifestent qu’en vertu d’un terrain biologique additionnant les conditions indispensables à leur manifestation. Ce mythe pasteurien a assez duré et il est temps de revenir à la réalité.

Les micro-organismes sont inoffensifs sur un terrain sain, disait Antoine Béchamp, déjà à l’époque de Pasteur.

Le Professeur Raoult attire aujourd’hui l’attention sur le fait que le danger se trouve plutôt dans la manipulation génétique des plantes nourricières et dans le développement des vaccins à ARNm…

Le danger n’est donc pas du tout là où l’on veut à tout prix le situer… La tyrannie des 12 vaccins que le pouvoir inflige aux enfants en bas âge, apparaît à cette occasion, comme intolérable et qu’il faut contester massivement d’urgence…

La compréhension du vivant

C’est notre compréhension du vivant qui est en cause et il est étrange de voir à quel point cette compréhension est falsifiée par une croyance enfoncée à coups de propagande dans la tête des gens y compris dans celle de beaucoup de médecins qui n’ont toujours pas compris l’imposture pasteurienne après tant d’études venues démanteler ce mythe à l’existence tenace !

Dans cet article, je propose d’aller encore un peu plus loin pour étayer notre compréhension du vivant.

Bactéries et microzymas

Depuis l’imposture de la théorie des vaccins, présentée comme un succès de la recherche médicale, Pasteur qui avait été convaincu de maquiller ses résultats pour en faire une découverte majeure dans la stratégie des soins, avait cependant reconnu l’impasse de ses travaux et donné raison à Antoine Béchamp, qui attirait quant à lui l’attention des chercheurs sur la question du terrain.

[Voir aussi :
Mais qui est Antoine Béchamp ?
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le château de cartes de la théorie des germes
Les microzymas, ces particules à la source de la vie
Le mystère des microzymas et le polymorphisme microbien
Une approche globale du vivant
Un nouveau paradigme médical
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
La théorie des germes : Une erreur fatale
Dossier Vaccins et virus]

Mais, la vérité n’est jamais le souci des politiques…

Selon ce qui est devenu par force, la théorie pasteurienne, les micro-organismes proviennent tous de « parents semblables à eux » ; ils viennent de l’extérieur et prennent la forme de germes. Étant donné la taille microscopique de ces germes, ils doivent donc se retrouver dans les poussières transportées par l’air, tout comme les spores de moisissures.

C’est la raison pour laquelle cette priorité s’est appelée « panspermie atmosphérique », en se rappelant que Pasteur n’a pourtant jamais utilisé cette expression. La panspermie a été paradoxalement contredite par les expériences mêmes de Pasteur.

Les organismes vivants ne sont pas stériles et ce qu’on appelle les « microbes », théoriquement étrangers à ces organismes, ne sont pas du tout des parasites, mais en réalité, ce sont des ferments vitaux !

Selon les travaux d’Antoine Béchamp, pour une même spécificité, ce qu’il a appelé le microzyma original peut évoluer en différentes formes de micro-organismes qui ne sont donc pas des espèces déterminées par une forme, mais des stades d’évolution du microzyma d’origine lui-même.

Les microzymas végétaux et animaux sont à l’origine des bactéries qui naissent au sein de leurs tissus ou de leurs humeurs. Il n’y a ni génération spontanée ni panspermie atmosphérique.

Les microzymas sont des ferments, mais qui sont aptes à devenir bactéries. Cette aptitude, la même pour tous, ne se manifeste pas également pour tous dans les mêmes conditions. Dans chaque groupe naturel d’êtres et pour un même organisme dans chaque centre d’activité, les microzymas ont quelque chose de spécifique : la bactérie dérivée du microzyma est un ferment du même ordre que lui !

Microzymas et cellules

Les microzymas sont permanents alors que les cellules sont transitoires. Une cellule ne procède pas nécessairement d’une autre cellule, particulièrement les cellules embryonnaires, c’est-à-dire, les premières cellules du nouvel individu formées par les microzymas. Toutes les cellules sont le résultat de l’activité histogénique des microzymas vitellins, comme les composés chimiques qui n’existaient pas sont le fruit de leur activité chimique. La destruction d’une cellule fait apparaître ses microzymas d’origine.

Le milieu favorise l’évolution en cellules à l’exclusion des bactéries ou l’inverse, mais jamais les deux en même temps.

Selon Béchamp, les microzymas sont à la racine même de l’organisation : sans eux il n’y a pas d’organisation et donc pas de matière vivante !

Si l’on détruit mécaniquement la levure, on fait apparaître ses microzymas d’origine.

La mort physiologique d’une cellule donne naissance aux microzymas qui l’ont constituée.

Les microzymas sont présents au tout début d’un organisme vivant ; ils sont là en permanence tout au long de sa vie ; on les retrouve en fin de putréfaction de ce même organisme auquel ils survivent.

Tout organisme vivant est réductible au microzyma. Les microzymas que l’on retrouve dans l’air, les sols, les calcaires… les roches sédimentaires sont les restes des organismes vivants animaux et végétaux ayant retrouvé leur autonomie.

Monomorphisme et polymorphisme

Le monomorphisme attribue une espèce à un état stable de l’évolution des micro-organismes qui sont des ferments. Les « espèces » des différents micro-organismes sont en réalité des stades d’évolution des microzymas en fonction du milieu. C’est cela qui est appelé le polymorphisme microbien. Un déséquilibre survenu dans le terrain provoque une réaction des microzymas qui en s’associant peuvent évoluer en bactéries passant par plusieurs étapes. Voilà le polymorphisme microbien.

L’importance d’un terrain sain

Les microbes rencontrés dans nos maladies sont produits par le terrain déséquilibré du malade. Les bactéries sont donc une conséquence interne au terrain. La maladie, en tant que telle, est le résultat d’un déséquilibre qui a empêché les microzymas de remplir correctement leur fonction naturelle.

Les microzymas eux-mêmes ne sont pas des organismes étrangers venus coloniser l’organisme hôte du malade. Les bactéries ne viennent pas du dehors pour envahir le corps, ils viennent du dedans. Il a été démontré par les travaux d’Antoine Béchamp que la maladie est en nous et vient de nous ; c’est l’origine du déséquilibre qui est éventuellement externe ou psychologique. Une maladie n’est que la conséquence de la nouvelle manière d’être des microzymas normaux. Les microbes sont des ferments, pas des parasites : ils ne sont pas pathogènes. Ils peuvent simplement devenir morbides (malades).

En étudiant le cas de la gangrène, Antoine Béchamp a clairement identifié tous les symptômes de la gangrène dans un membre amputé suite à une lésion traumatique grave. Or, son examen microscopique ne montrait pas des bactéries, mais des microzymas associés, les bactéries n’ayant pas encore eu le temps de se former. Elles étaient seulement en voie de se former. La conclusion était limpide pour Béchamp, les bactéries ne sont donc pas la cause de la gangrène ! (cf., les microzymas… page 181)

À moins de les inoculer immédiatement après prélèvement chez un malade, les bactéries ne peuvent pas transmettre la maladie une fois libérées dans l’air, car elles perdent très vite leur morbidité. De plus, si le terrain de celui qu’on voudrait inoculer se trouvait dans un bon équilibre de santé, les bactéries seraient inopérantes… On sait que les intestins sont colonisés par de nombreuses bactéries sans que ces bactéries envahissent le corps entier !

Les bactéries qui se développent dans une infection urinaire, par exemple, proviennent d’un développement des microzymas de l’urine à cause d’un déséquilibre survenu en interne. Il n’y a pas d’invasion externe. Tant que nos barrières naturelles sont saines, aucun micro-organisme ne peut pénétrer en nous. Les microbes sont des ferments, pas des parasites. Ils ont un rôle à jouer lorsque déséquilibre il y a : une maladie, c’est un processus de réparation de ce qui a subi un déséquilibre. La maladie est un processus de guérison.

Les nanobes

Les nanobes ou nanobactéries ont été découvertes dans les années 1990, par plusieurs chercheurs (https://serc.carleton.edu/microbelife/topics/nanobes/index.html)

Cet article ci-dessus explique ces découvertes démontrant que les nanobes existent partout, dans les organismes comme dans les roches :

« Les études sur les nanobes remettent en question notre perception de la vie… Si les nanobes existent en tant que biote vivant, ils élargiront notre perspective sur l’échelle de la vie. »

(Cf, article ci-dessus)

Le Pr Valter Longo se posait une question dans son étude sur le jeûne : 

« Puisque le jeûne prolongé provoque la diminution des globules blancs dans le sang et que ces globules réapparaissent une fois le jeûne rompu, d’où viennent-ils donc ces globules blancs ? »

Antoine Béchamp avait déjà remarqué, dans la 5e Conférence :

« Contrairement à ce que l’on croyait, le sang ne contient pas seulement deux formes histologiques : les microzymas sont le troisième élément organisé du sang ! »

Dans la 9e Conférence, Antoine Béchamp expliquait la formation des leucocytes à partir des granulations moléculaires. Plus nos aliments sont toxiques, plus la leucocytose alimentaire est importante durant la digestion. Les microzymas maintiennent l’homéostasie afin de préserver le milieu pour jouer leur rôle. Rappelons-nous que Béchamp avait également démontré que la destruction d’une cellule laisse apparaître ses microzymas d’origine !

Un a priori qui déroute la recherche

Il est hors de question, dans le contexte scientifique traditionnel, de s’interroger sur le caractère éventuellement vivant des exosomes, pour la simple raison que la présence d’éléments vivants dans un milieu considéré « stérile » n’est pas cohérente…

Or, les virus sont précisément très semblables aux exosomes. Le virus est toujours considéré comme intrus, parasite, agresseur, alors que l’exosome est quant à lui considéré comme un constituant des cellules, par conséquent quelque chose qui appartient en propre à l’individu. En réalité cette distinction est arbitraire et ne tient qu’à des préjugés ou des certitudes qui relèvent de la croyance et non pas de la connaissance.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7291340/

Les microzymas sont à l’origine des bactéries. Les microzymas vivants de nos aliments, qu’ils soient sous forme de bactéries ou pas, nourriront notre flore intestinale. Cette flore sera d’autant plus saine que nous nous serons nourris de végétaux vivants (ayant subi le moins possible de transformations). Puis, cette flore équilibrée va vivre naturellement. Beaucoup de chercheurs s’intéressent aujourd’hui au microbiote intestinal.

Ce qui est invraisemblable c’est qu’un bon nombre d’entre eux cherche à tuer ce qui est vivant dans nos aliments, par stérilisation, pasteurisation. D’autres, au contraire, cherchent les moyens de réparer les microbiotes intestinaux défaillants, en introduisant dans les intestins des excréments qui contiennent des microbiotes sains !

Peut-on relier les nanobes, nanobactéries, exosomes, virus, spores entre eux aux microzymas ? Les tailles des micro-organismes sont différentes, mais compatibles avec ce que Béchamp observait : ils sont inférieurs à 1 µm et parfois à 0,5 µm…

Le problème, c’est que les analyses ne sont jamais faites sous l’angle du polymorphisme microbien et donc la recherche reste souvent enfermée dans ses a priori qui ne sont pas scientifiques !

Les nanobes ont des formes évolutives et sont capables de se multiplier (Cf, travaux de Philippa Uwins)

Les spores des bactéries à l’état dormant évoluent également lorsqu’ils reforment des bactéries d’origine… Pour avancer sur cette question, il faudrait que les scientifiques s’intéressent aux découvertes d’Antoine Béchamp, et qu’ils connaissent les microzymas !

Une habitude de la pensée peut devenir une « normalité », un a priori non discutable et cela arrête les avancées de la science.

Il a été démontré qu’en l’absence de l’influence des germes de l’air, des bactéries se sont développées au sein de matières prélevées sur des organismes vivants, prouvant la vie en nous et non pas la stérilité ! Un micro-organisme, dans la science influencée par la théorie dite pasteurienne, ne peut absolument pas être du SOI, il appartient forcément au « non-soi »… Un microbe rencontré dans un organisme est étranger à cet organisme.

Les gènes appelés mitochondriaux dotés d’éléments vivants utiles à nos cellules sont considérés comme symbiotiques et leur présence ne peut venir que de la « fusion archéo-bactérienne », selon la recherche courante.

La découverte d’un microbiome interne aurait dû provoquer une interrogation chez les chercheurs : il n’en est rien. L’a priori de la recherche continue de se demander « Comment ce microbiome s’est-il introduit dans le corps ? Car, ce microbiome ne peut en aucun cas être un élément du SOI !

https://www.researchgate.net/publication/330453639_Multi-Method_Characterization_of_the_Human_Circulating_Microbiome

Le microbe est toujours la cause d’une maladie, la seule cause qui soit toujours recherchée avec acharnement ! Pourtant, des personnes malades n’en portent pas forcément le gène ; d’autres qui n’ont pas de symptômes en portent le gène ; les gènes sont tous différents d’un malade à l’autre alors même que dans une culture stable les gènes sont absolument identiques ! Toutes ces incohérences devraient attirer l’attention des chercheurs : mais la croyance d’un consensus dogmatique est plus forte que l’objectivité de la connaissance qui seule aurait le droit de se dire scientifique !

La notion de vivant avec son rapport obligatoire à la génétique a créé une habitude de penser, un consensus qui n’est plus discuté ni discutable !

Dans l’actualité, les technologies utilisées par la recherche dépendent des programmes informatiques qui eux-mêmes ont été conçus par des individus formatés au système de pensée dogmatique. Les critères utilisés dans ces programmes vont inévitablement fausser les recherches et induire en erreur les résultats obtenus par le moyen de ces technologies… Il faudra bien qu’un de ces jours, lorsque la recherche aura tourné en rond assez longtemps, quelques générations, et que les délires du style covidiste auront suffisamment épuisé les rangs de l’humanité, il faudra bien qu’on en arrive à changer de paradigme. Nous savons déjà où est l’erreur, et cela depuis au moins 1870 ! Il serait peut-être envisageable qu’en 2024, la science « médicale » puisse ouvrir les yeux de l’objectivité et regarder enfin la réalité en face !

L’autoassemblage de l’ADN

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0968432813001017?via%3Dihub

Cette publication ci-dessus, rend compte d’une démonstration qui a été faite sur l’autoassemblage de l’ADN à partir des « granules de Béchamp » dans le vitellus. Dans cet article, les preuves sont données, de l’autoassemblage de molécules d’ADN en structures de type cellulaire. Les résultats sont discutés en les comparant à ceux obtenus dans des travaux d’autres pionniers, notamment Antoine Béchamp, Olga Lepeshinskaya et Bong Han Kim qui tous ont insisté sur l’existence d’une voie alternative sans mitose pour la génération de nouvelles cellules ! Il existe également une possibilité de création des cellules par construction, comme Antoine Béchamp l’avait observé, et non pas obligatoirement par mitose !

Ainsi donc, les nanobactéries peuvent contenir des gènes, comme l’ont démontré les travaux de Philippa Uwins avec son équipe de chercheurs qui ont effectué des analyses moléculaires de nanobes en trouvant des preuves d’une présence d’ADN…

https://serc.carleton.edu/microbelife/topics/nanobes/index.html

Les microzymas contiennent bien des gènes. Du point de vue du polymorphisme microbien et de la capacité des microzymas à se transformer en divers micro-organismes, selon le milieu, on a là une classe non répertoriée du vivant !

Selon la publication ci-dessus, concernant les nanobes, les nanobactéries qui font 1/10 ème de la taille d’une bactérie, elle constate que cela pousse certains chercheurs à penser que des organismes de si petite taille ne peuvent pas abriter les composants cellulaires nécessaires, comme l’ADN et l’ARN, ou les plasmides. Le vivant se caractérise encore par la présence de gènes…

C’est la science qui a donné à l’ADN ce rôle central. Mais, ce dogme s’est déjà grandement fragilisé avec l’arrivée de l’épigénétique ! On dira prochainement que l’ADN n’est qu’une simple molécule, une sorte de carte mémoire mise en place et activée par nos ferments de vie !

[Voir aussi :
Vos pensées contrôlent votre ADN !
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
Modifier notre ADN via notre conscience !
RÉALITÉ PARALLÈLE-REPROGRAMMER VOTRE VIE]

Selon ce document que nous avons cité sur l’autoassemblage de l’ADN dans le vitellus, les microzymas sont des particules vivantes, ces petits ferments à la base de la matière vivante, à l’origine des enzymes comme des gènes. Ces organismes vivants transmettent de génération à génération, la mémoire des ascendants, possiblement sur un support différent et beaucoup moins volumineux encore que l’ADN ou l’ARN…

Brigitte Fau s’interroge (cf., La compréhension du vivant, éditions Medicatrix, 2023, page 88) :

« Leur taille varie-t-elle alors qu’ils construisent nos gènes, notre ADN, mais aussi les gènes dits “viraux” ou “bactériens”, ceux du microbiome interne, jugés à tort “étrangers”, sur la base de ce dogme de la stérilité, à partir duquel tous les raisonnements scientifiques s’appuient ? »

Antoine Béchamp avait démontré que l’enzyme est directement lié au ferment qui le produit. Puisque le vivant est nié dans ces organismes, comment les scientifiques ont-ils pu résoudre ce fait qui a été mis en évidence par Béchamp ?

De son côté, Eduard Büchner affirmait en 1897 que l’enzyme de la levure pouvait effectuer seul la fermentation alcoolique isolée, c’est-à-dire en l’absence de la levure, et pourtant, il ne réalisait cette fermentation qu’en ajoutant une roche sédimentaire.

À aucun moment, ce chercheur n’avait pensé que la roche ajoutée pouvait contenir le ferment indispensable à la réalisation des transformations chimiques profondes comme la fermentation !

Les nombreuses remises en question des dogmes pasteuriens obligent à remonter à la source des erreurs.

Le virus

La notion de virus par exemple est une espèce de remise de matériel génétique retrouvé dans les organismes, ce virus ayant été décrété étranger à ces organismes au sujet desquels il a fallu inventer l’histoire de leur invasion ! Certes, on reconnaît leur ancienneté et leur antériorité dans la chaîne de l’évolution dite pré-cellulaire. Mais, puisqu’ils sont considérés comme étrangers dans nos organismes, on est obligé d’inventer des scénarios pour expliquer leur rôle théorique de parasites, avec l’aide du fait que leurs gènes ne se retrouvent pas systématiquement dans le génome cellulaire, ceci étant bien entendu « fondé » sur le dogme du rôle central de l’ADN !

Non seulement il est évident que le rôle central de l’ADN soit un dogme à remettre en question, mais également celui de la stérilité, du monomorphisme et de la panspermie. Ces « virus » trouvés dans nos organismes sont les microzymas de Béchamp, des éléments vitaux à l’opposé de « poisons » et qui sont de plus probablement à l’origine de l’ADN cellulaire, y compris des autres gènes du microbiome interne !

Les exosomes qui s’échappent des cellules et qui ne présentent rien de particulier pour les distinguer des virus devraient permettre aux chercheurs de comprendre qu’il s’agit des microzymas de Béchamp…

Le rôle causal du virome dans les maladies associées n’est pas prouvé comme le souligne cet article de mars 2020 :
https://journals.plos.org/plospathogens/article?id=10.1371/journal.ppat.1008318

Les scientifiques veulent à tout prix trouver des espèces en faisant un lien entre une espèce et une maladie. C’est peine perdue puisque le virome est en perpétuelle mutation du fait du polymorphisme et de son rôle vital dans les organismes ! D’ailleurs les spécialistes qui sont conditionnés par le dogme du monomorphisme sont sans cesse obligés de nous raconter l’échec de leur course indéfinie à la poursuite de virus qui ne cessent jamais de muter et que l’on ne peut donc jamais contrôler, en faisant des vaccins qui sont systématiquement obsolètes dès qu’on les fabrique !

Béchamp disait en parlant des virus : « on les prend pour des parasites dont on fait des genres et des espèces » !

Ce que l’on croit être une espèce (monomorphisme) n’est qu’un stade d’évolution des microzymas en fonction du milieu… Les microbes que l’on rencontre dans l’environnement ne sont que les restes des organismes vivants ayant retrouvé une vie de ferment autonome. Cela nous indique également que nous sommes autre chose qu’un simple corps.

Les ferments liés aux microzymas se retrouvent également toujours vivants en fin de la putréfaction qu’ils réalisent eux-mêmes !

Conclusion

Les microzymas sont la source de la matière vivante. Cette matière vivante nous est prêtée le temps d’une vie. Cette matière vivante continue sa vie terrienne après notre mort. Béchamp écrivait si justement :

« Rien n’est la proie de la mort. Tout est la proie de la vie ! »

On vit de mort et on meurt de vie, disait Démocrite… Béchamp ajoutait encore :

« On peut considérer l’organisation comme le lieu d’application et d’action de la force qui produit le mouvement que nous appelons vie. »

« La vie, c’est le mouvement vibratoire des particules primigènes de l’organisation dans ces microzymas. »

Les micro-organismes sont des ferments ! Appeler du nom de microbes, par méconnaissance, ces petites entités indispensables à la vie, c’est un terrible quiproquo, un dogme qui ne tient plus la route… Une grande partie de l’immunologie a passé son temps à essayer de comprendre les réactions de l’organisme face à des « invasions » imaginaires ! Des éléments du Soi ont été considérés comme antigène. Certes, des toxines font réagir l’organisme lorsqu’elles sont introduites par différentes voies. Mais, pour y comprendre quelque chose, il est indispensable de prendre en compte le polymorphisme interne également. Jules Tissot disait bien que les différents leucocytes ne sont que des stades d’évolution d’une même cellule, dont on distingue parfaitement les microzymas qui en sont à l’origine, dans l’étape granulocyte…

Parce que tout est une question de milieu, il faut donc prendre soin de nos microzymas, disait Antoine Béchamp, pour s’assurer une bonne santé ! Il parlait d’une hygiène de vie, du risque des excès alimentaires, alcool, drogue, du stress, de toutes les sortes de perturbations… Il recommandait de bien entretenir le terrain, favoriser au maximum la fonction des microzymas. Il va de soi qu’une alimentation polluée par les pesticides et autres substances toxiques sont les données actuelles diamétralement opposées à cette recommandation de Béchamp…

Jules Tissot avait remarqué de son côté qu’on devait remettre en cause nos idées sur les organites cellulaires et les mitochondries notamment, car celles-ci en particulier comme les autres organelles ne sont que des artéfacts, des restes d’un réseau cytoplasmique détruit par la technique de fixation. L’existence des mitochondries et leurs propriétés, ne sont donc que le résultat d’erreurs grossières d’observation ! De son côté, Louis Claude Vincent apportait un début de réponse pour détecter les dérives du terrain biologique par la bioélectronique.

Tissot disait en 1946 :

« L’étouffement des remarquables résultats des travaux de Béchamp a été le premier acte de cette lutte contre la vérité ! »

La peur archaïque des microbes, encouragée par l’obscurantisme médical, a conduit l’humanité à l’extermination du vivant. Cette méconnaissance crasse du vivant en nous-mêmes nous a conduits à nous détruire bêtement. Il est temps de comprendre que ce que Béchamp avait appelé microzymas, sont la base de la matière vivante. Ce sont eux qui maintiennent l’équilibre en nous et dans l’ensemble de la nature, grâce au mouvement circulaire de la matière sous des formes diverses.

Grâce à Béchamp, nous sommes capables aujourd’hui de distinguer la matière vivante de la matière inerte.

Ce qui distingue les microzymas de la matière inerte, dont ils sont également composés, c’est leur nature vivante, leur capacité à organiser, à construire des cellules, des micro-organismes divers et vivants ainsi que des organismes vivants complexes. Le microzyma est lui-même organisé !

La vie dans un microzyma est ce mouvement qu’il a reçu et qu’il conserve sans avoir besoin de remonter la machine comme on remonte une horloge ; il transmet ce mouvement depuis l’origine de ce qui est vivant, il le modifie au besoin sous diverses influences, jusqu’à devenir morbide si on le maltraite. Les microzymas sont des organismes dans lesquels l’esprit a laissé ce mouvement pour se transmettre et se modifier physiologiquement.

Tout cela nous permet également de comprendre que la vie n’est pas liée à une organisation biologique caractérisée : les formes changent, mais la vie est toujours là !

Louis Claude Vincent constatait que les maladies virales sont toujours associées à un sang excessivement oxydé. Les antioxydants se trouvent dans une alimentation saine biologique. Les ferments sont pour cela très utiles. Les vitamines naturelles sont indispensables. Les aliments lactofermentés, c’est-à-dire non « pasteurisés », sont tout à fait indiqués pour une bonne hygiène et l’équilibre du terrain. Un sang trop oxydé est dans une surcharge minérale. Or, la cristallisation des minéraux en excès a un lien avec l’aspect des virus. C’est pour cela que les chercheurs ont tellement de mal à identifier les virus qui sont largement insaisissables !

Ce qu’il faut vraiment comprendre aujourd’hui, c’est que le terrain a évolué avec l’hygiène et aussi l’industrialisation. Les maladies bactériennes étaient en relation avec un terrain plutôt alcalin. Or, cette évolution nous a fait passer à un terrain oxydé favorable aux maladies virales comme aux pathologies du cancer. Les changements de comportement ont fait disparaître les anciennes maladies. En aucun cas les vaccins [l’ont fait] ! Affirmer aujourd’hui que les « vaccins ont éradiqué les anciennes maladies », revient à dire que nous sommes retournés à la croyance d’un soleil tournant autour de la Terre et non l’inverse !

L’alternative aux vaccins serait donc cet outil de prévention qu’est la bioélectronique et non pas les injections à ARNm graphénisées…

C’est la notion de terrain qui est la clé de toute cette connaissance. L’alimentation toxique qui est habituellement la nôtre aujourd’hui, le stress, l’environnement électromagnétique avec les antennes 4G, 5G, 6G… etc. les vaccins truffés d’adjuvants comme les sels d’aluminium depuis des décennies, sont ensemble les causes principales des maladies modernes. Pour combattre les rayonnements électromagnétiques, il faut tout simplement se reconnecter à la Terre. Se connecter à la Terre permet de se décharger du survoltage négatif pour la santé, de récupérer les électrons de la Terre. La vie citadine éloigne les personnes de la nature. Elles ne sont plus que rarement en contact avec la Terre et donc elles sont coupées de ses électrons. Avec l’eau c’est aussi le même problème.

https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/la-bio%C3%A9lectronique-1/

L’association BEVINKER (Béchamp, Vincent, Kervran) transmet cette connaissance et la méthode de santé qui en découle à travers des stages de santé naturelle.

Jean-Yves Jézéquel

Sources :

Jean-Yves Jézéquel, philosophe et psychanalyste, diplômé du troisième cycle en sciences humaines, est l’auteur d’une trentaine d’essais en philosophie, spiritualité, religion, psychologie. Il publie également depuis 2014, une série d’analyses sur les grandes questions actuelles de société.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2024




La civilisation est-elle en train de s’effondrer ?

[Source : epochtimes.fr]

Par Jeffrey A. Tucker

Le week-end dernier, des activistes climatiques sont entrés dans le Musée du Louvre à Paris et ont lancé de la soupe de carottes sur la Joconde de Léonard de Vinci. Si une telle chose s’était produite au Whitney Museum de New York, personne n’aurait remarqué la différence. Mais la Joconde est le tableau le plus vénéré de toute la chrétienté (un mot qu’on n’entend plus !).

Le tableau n’a pas été endommagé, car il se trouve derrière une vitre pare-balles. Il n’en reste pas moins que cet événement a quelque chose d’effrayant.

Bien sûr, on peut mettre cela sur le compte d’activistes climatiques au cerveau endommagé probablement drogués à quelque chose, comme la plupart d’entre eux. L’idéologie prônée par le Forum économique mondial, Harvard et l’Université de Paris fait partie des drogues qu’ils prennent. Ces enfants stupides ne font que mettre en pratique ce qu’on leur enseigne.

Et que leur enseigne-t-on ? Si l’on met de côté le langage alambiqué et les théories complexes des grands traités, le message se résume à une seule chose. La civilisation est corrompue. La beauté est un mensonge. La liberté est une exploitation. Les droits sont des mythes. Toutes les institutions que les gens considèrent comme répondant à leurs besoins sont en fait en train de détruire mère Nature et d’empoisonner tout ce qui existe. Par conséquent, rien de tout cela n’a de valeur. Tout doit disparaître.

Ils sont tellement convaincus de cette vision du monde qu’ils pensent faire de l’activisme efficace et fondé sur des principes en tentant de détruire la peinture la plus appréciée au monde. On pourrait parler de folie, mais il faudrait alors en dire autant d’une grande partie du consensus qui règne parmi les élites mondiales des médias, des gouvernements, des fondations à but non lucratif et des universités. Cette pourriture est dominante parmi eux.

Comment en sommes-nous arrivés là ? Il y a des années, je me suis plongé dans la littérature conservatrice catastrophiste de l’époque, qui annonçait l’arrivée d’attaques fondamentales contre les valeurs de l’Occident. Je les ai tous pris au sérieux, mais seulement intellectuellement. Je n’ai jamais vraiment cru que la menace passerait du monde universitaire au monde réel et finirait par affecter nos vies publiques et privées.

Et pourtant, nous y sommes. J’avais largement sous-estimé le pouvoir des vraies mauvaises idées. Elles ne restent pas dans les salles de classe. Si les enfants qui occupent ces chaises, qui trichent à l’école et prennent des pilules pour faire des nuits blanches, finissent par être embauchés par des institutions prestigieuses du gouvernement et de la finance, ils en viennent à habiter les sommets des institutions les plus puissantes du monde.

Dans ma période de pensée la plus naïve, à l’époque de l’essor de la technologie numérique, je m’étais convaincu que toutes ces menaces n’étaient que du bruit. Nous les surmonterions toutes grâce à une innovation admirable et à la libération de l’énergie créatrice de l’esprit d’entreprise dans l’espace numérique. Dans ce cas, les institutions traditionnelles comme les universités n’ont guère d’importance. C’est l’Ancien Monde, alors que nous étions en train de construire le nouveau.

Cette perspective m’a empêché de voir la pourriture sous nos pieds. Les nouvelles entreprises numériques se sont développées et ont fini par être capturées par l’ennemi. Les médias ont suivi le mouvement. L’État administratif, que personne n’avait élu, s’est emparé de tout et de tous. C’est ainsi qu’une vision néfaste du monde a fini par être imposée au monde. Tout cela semblait se produire pendant que nous dormions.

Des signes avant-coureurs annonçaient que tout cela allait se produire après 2016. Le peuple a élu Donald Trump. Il n’a jamais été mon préféré, comme vous le savez probablement, mais c’est le président que le peuple a élu. Nous sommes censés vivre dans un système où c’est le peuple qui contrôle le gouvernement, et non l’inverse.

Presque immédiatement, il est devenu évident que l’ensemble de « l’Establishment » traiterait sa présidence comme si elle était fausse. Ils ont dit que les Russes l’avaient élu comme par magie. Ils ont dit que c’était un homme mauvais et qu’il ne pouvait donc pas être à la tête de l’État. La presse lui était constamment hostile, jour après jour. L’ensemble de la bureaucratie administrative s’est employée à défier ses moindres ordres.

Il ne s’agissait pas seulement d’une opposition à ses politiques. Il s’agissait d’une opposition à toute une éthique et une philosophie de vie, enracinée dans quelque chose d’authentiquement américain. C’est à ce moment-là que l’ensemble de « l’Establishment » a décidé de faire comme si Donald Trump n’existait pas, ou peut-être de travailler à sa non-existence.

Quelque chose de similaire s’est produit au Royaume-Uni à la même époque. Les électeurs se sont prononcés en faveur de l’abandon de la gouvernance par la Commission européenne et du retour au même groupe d’États autonomes appelé Angleterre, Écosse, Irlande et Pays de Galles. Ils s’en sortiraient très bien. Boris Johnson a été élu Premier ministre avec un mandat : mettre en œuvre le Brexit. L’État profond était déterminé à résister.

Quant à Trump, il est arrivé terriblement mal préparé et naïf. Il croyait que le système fonctionnait encore. Maintenant qu’il était président, c’est lui qui dirigerait. Il a progressivement appris qu’il en était autrement. Il lui a fallu beaucoup de temps pour se rendre compte de l’ampleur de la conspiration qui l’entourait. À la fin de son premier mandat, épuisé par les luttes incessantes, la bureaucratie profonde a trouvé le moyen de le faire tomber et de ruiner sa présidence. Ils l’ont piégé pour qu’il donne des ordres de confinement. La même chose s’est produite au Royaume-Uni.

Les confinements ont fait plus que cela. Ils ont introduit dans le monde entier l’idée que même les violations les plus scandaleuses des droits et libertés traditionnels n’étaient pas interdites. Le monde peut changer en un clin d’œil. Nous pouvons tenter des expériences complètement folles sur l’ensemble de la population humaine. Nous pouvons même faire en sorte que les médias, la technologie, le monde universitaire et la médecine soient d’accord, tout en punissant et en réduisant au silence toute dissidence.

Le but n’était pas de parvenir à quoi que ce soit. Il n’y a jamais eu de finalité. Le but était d’illustrer ce qui était possible. C’était l’imposition globale du choc et de l’effroi. Et cela s’est poursuivi jusqu’à ce que ceux qui étaient perçus comme les vandales, comme Donald Trump et Boris Johnson, soient chassés du pouvoir une fois pour toutes, afin que l’État administratif et son programme malfaisant pour le reste d’entre nous aient les mains libres.

Depuis lors, le monde s’est embrasé avec des guerres, des migrations de masse, d’énormes divisions politiques et un effort frénétique de la part des peuples du monde entier pour retrouver la paix et la sérénité que nous avons tous connues autrefois. Nous connaissons quelques succès, mais ils sont très limités. La raison en est que les responsables en sont venus à considérer les peuples qu’ils gouvernent comme des insurgés, une foule indisciplinée qu’il faut contenir, de peur que leur révolution échoue et que tous leurs efforts ne soient vains.

Ils l’ont souligné dans l’absurde « tribunal kangourou » sur la prétendue « insurrection » du 6 janvier 2021. Des efforts ont été déployés pour empêcher Donald Trump de figurer sur les bulletins de vote, en citant l’article 3 du 14e amendement, rédigé à l’époque pour empêcher les officiers confédérés d’exercer des fonctions, mais qui avait été annulé par le Congrès. Cette même section de l’amendement interdit toute participation politique à quiconque « aide et encourage » une insurrection. Il s’agit probablement d’un autre moyen pour les vrais vandales de salir tous ceux qui veulent les arrêter.

La révolution contre la civilisation prend de nombreuses formes, certaines calmes et apparemment scientifiques, d’autres absurdes et directement destructrices. Ils parlent de la nécessité d’arrêter le changement climatique, mais la véritable cible est votre niveau de vie, même votre capacité à rester au chaud dans votre maison ou à parcourir des distances. Ils parlent de la nécessité d’une agriculture « durable », mais ils s’attaquent en réalité à l’agriculture et à l’élevage traditionnels, et même à votre capacité à vous procurer du bœuf et du porc. Ils parlent de diversité, d’équité et d’inclusion, mais il s’agit en fait d’exclure et de cibler un groupe entier de personnes qui résistent à la grande remise à zéro.

Les élites renâclent devant ce genre de discours, comme s’il était trop extrême et alarmiste. Elles disent que nous devrions nous calmer et nous détendre parce que tout va bien se passer. Et si elles se trompaient ? Et s’il n’y avait pas de retour en arrière possible sur le chemin où les élites sont en train de nous emmener ? Je pose la question parce qu’il n’y a vraiment pas de retour en arrière possible. L’un des piliers de la vie civilisée — même les principes de base comme la liberté et les droits de l’homme — a disparu, et il n’y aura pas de retour possible, pas avant des générations, bien après que nous ayons quitté cette terre.

Ce sont là de grandes réflexions, mais nous vivons une période d’urgence. La tentative de dégradation de la Joconde peut sembler être une farce de bas étage commise par quelques jeunes fous, mais je crains qu’elle ne soit le symbole de bien davantage. Combien de choses de ce genre devrons-nous encore voir avant de réaliser que nous vivons une époque qui pourrait changer le cours de l’histoire ? Soit nous agissons, soit nous regardons tout s’écrouler.




Diviser pour régner entre jeunes et boomers pour faire avaler la société de la mort

Par Nicole et Gérard Delépine

On entend trop souvent affirmer que le confinement aurait eu pour but de protéger les boomers et qu’ils l’auraient demandé… Il faut être encore dupe de la propagande covidiste du gouvernement pour répéter pareille fadaise, car rien n’est moins contraire aux faits.

Les boomers n’ont été ni instigateurs, ni bénéficiaires du confinement, ni de l’ensemble des mesures liberticides se multipliant de façon exponentielle depuis une dizaine d’années. Ces mesures appliquent des recommandations mortifères de Davos (euthanasie, abandon des malades par casse du système de santé, constitutionnalisation du droit de tuer par l’infanticide — avortement jusqu’à neuf mois —, destruction de l’école, des services publics, et de faire disparaître l’agriculture française, etc.).

« Les jeunes ne sont pas sacrifiés pour les vieux, mais pour la finance mondiale. » Nous l’expliquions déjà en 20201.

« La dernière version de la propagande médiatique qui envahit les esprits même cultivés et intelligents est que la génération des jeunes aurait été sacrifiée pour sauver les boomers. Comment ont-ils réussi à intégrer dans trop de jeunes cerveaux ce mensonge monstrueux ?

Les vieux n’ont aucunement été protégés pendant cette année 2020 par le gouvernement qui a fait prescrire une grande ration de Rivotril pour euthanasier les vieux en EHPAD en cachette pendant que les visites y étaient interdites.

Arriver à faire croire aux jeunes et moins jeunes que cette privation de liberté avait pour but de protéger les aînés est une prouesse de communication des gouvernements mondialistes et des médias corrompus dont la propagande est fort efficace ».

Corruption de la médecine et des revues médicales

Grâce à l’article totalement mensonger du Lancet Gate, le traitement par hydroxychloroquine qui aurait évité la grande majorité des hospitalisations et des morts a été calomnié, puis interdit.

Ce scandale témoigne une fois de plus de la corruption en médecine qui a toujours existé, mais s’est développé de façon industrielle depuis les années 80, à l’âge où les boomers étaient dans la force de l’âge. Ne la découvrir que maintenant, et l’attribuant en partie à la « panique » des boomers qui ne voudraient pas mourir et feraient développer en ce sens tous les vaccins possibles et inimaginables relèvent de la naïveté, de l’ignorance, et de l’efficacité de manipulation par le pouvoir dont l’intérêt est de « diviser pour régner ». La dernière illustration de cette tradition manipulatoire est la démonstration devant une botte de paille de notre tout neuf premier ministre tentant de diviser les agriculteurs. Et aujourd’hui encore qui dirige ? Un jeune homme de 33 ans, pas vraiment un boomer, plutôt un petit-fils de boomer…

Un certain nombre de jeunes ou moins jeunes qui ont découvert la médecine à l’occasion du covid se trompent complètement sur les causes de la corruption en médecine, et sur la responsabilité des « sentiments » de peur de la mort d’une génération, celle des boomers à qui les médias imputent les dérives de la prise en charge du covid.

On voit bien là la manipulation de pseudo résistants qui ne voient qu’un aspect du problème et n’ont pas abordé la destruction systématique du système de santé qui a commencé avec l’ère Thatcher Mitterrand en 1983 à une époque où nos fameux boomers qui étaient alors dans la force de l’âge et dont un certain nombre d’entre eux, une petite minorité, ont pris le pouvoir. Ils sont à l’origine du désastre actuel, le restant de la population étant coupable de leur « soumission intellectuelle » qui a conduit au « déni de tyrannie »2.

Pour certains égarés, les boomers qui arriveraient à l’âge de la mort auraient corrompu la médecine en privilégiant les médicaments, les préventions, les vaccins contre toutes les maladies et auraient contribué à faire développer une médecine robotisée. Erreur totale : si le pouvoir a présenté le confinement comme un moyen de protéger les vieux en isolant aussi les jeunes et en fermant les écoles, les naïfs qui peuvent encore faire ce genre d’affirmation ont oublié la précipitation du gouvernement d’Édouard Philippe pour publier le décret Rivotril fin mars 2020, qui a permis et poussé les infirmiers et médecins à injecter un produit mortel à tout vieillard ou handicapé qui osait avoir une quinte de toux3.

Ce sont les générations post boomer qui ont défendu et imposé le confinement !

Les médias ont délivré une information anxiogène, voire catastrophique, alimentée en permanence par la peur de la pandémie. Parmi les plus actifs des propagandistes de la peur et du confinement, on distingue Karine Lacombe4 (50 ans), Yazdan Yazdanpanah (56 ans) et Timsit (62 ans) dont aucun ne peut être qualifié de boomer.

C’est un président de 43 ans qui a décidé de nous enfermer à domicile, nous imposer le masque, des couvre-feux, de prendre nos cafés debout, les pass et les injections anti-covid qualifiées mensongèrement de vaccins. Et c’est Édouard Philippe (51 ans) le soi-disant candidat préféré des Français qui a signé le décret pour faire administrer du Rivotril aux boomers afin de les euthanasier, cosigné par Olivier Véran jeune ministre (de 41 ans)5.

Et parmi les opposants les plus précoces et les plus déterminés à ces mesures liberticides médicalement stupides, on remarque beaucoup de boomers (dont nous-mêmes dès les premiers jours de mars 2020)6 7.

La responsabilité du confinement incombe aux moins de 60 ans et n’avait aucunement pour but réel de protéger les boomers, mais bien d’en éliminer les plus fragiles réglant dans la foulée une partie du « problème des retraites ».

Les boomers n’ont pas bénéficié du confinement qui en a tué beaucoup

La base traditionnelle de la prévention des maladies infectieuses transmissible est la séparation des malades des biens portants le temps nécessaire à ce que les premiers ne soient plus contagieux8 ; c’est la mesure appelée quarantaine d’après la durée (40 jours) d’isolement adopté empiriquement contre la transmission de la peste.

Le confinement a au contraire, volontairement et consciemment enfermé ensemble les personnes saines et les malades augmentant ainsi fortement le risque de transmission.

Cette aberration a été dénoncée d’emblée et ce n’est pas par ignorance que les dirigeants ont imposé cette absurdité.

Cela a été confirmé par la comparaison des courbes des contaminations en Belgique (confinée) et aux pays bas (non confinés)

En France, le confinement, l’interdiction de traitements précoces, l’impossibilité ou plutôt l’interdiction d’évacuer les malades âgés à l’hôpital et les difficultés, faute de moyens de les isoler dans les EHPAD a abouti à des pics de contaminations dans les lieux de vie des plus fragiles expliquant les pics de mortalités observés (en l’absence de traitement précoce autorisé).

Cette catastrophe du confinement était parfaitement prévisible depuis l’expérience du confinement de Marseille en 1720 qui a entraîné la mort de la moitié de la population confinée sans aucunement protéger les populations de Provence ni d’Italie !

Nous l’avions d’ailleurs rappelé dès le 4e jour du confinement 9 10 sans que les médias traditionnels ni Google ne reprennent l’information qui a été soigneusement occultée. Après 3 ans de recul, on constate que globalement ce sont les pays qui ont imposé les confinements les plus sévères qui ont le plus souffert du covid.

En France le confinement a multiplié les contaminations et a interdit les visites de leurs proches à leurs parents hospitalisés, alors que de telles visites constituent souvent le seul moyen de les motiver à vivre. Qui a imposé cet apartheid mortifère inhumain des vieux, non pas les boomers (tous plus de 70 ans) dans une volonté de suicide, mais les générations suivantes !

Le témoignage de ce fils est déchirant :

« Ma mère a 97 ans, elle vit seule chez elle et est autonome, mais le confinement est une maltraitance psychologique majeure pour les personnes dans sa situation. Si je comprends bien les recommandations officielles, je n’ai pas le droit de me rendre auprès d’elle pour lui prêter temporairement assistance. »11

Et cet autre : Hedwig, 79 ans, a été verbalisée pour avoir « stationné » à la fenêtre de la chambre de l’EHPAD de Graulhet (Tarn) où est hébergé Jean-Jacques, son mari de 93 ans. Chaque jour, Hedwig remplissait son attestation, cochait la case « assistance à personne vulnérable » et venait devant la fenêtre de plain-pied de sa chambre, 5 ou 10 minutes, pour que son mari puisse la voir. Munie d’une ardoise, elle lui adressait des petits messages à travers la vitre. Dans son fauteuil, Jean-Jacques qui ne peut pas bouger ne risquait pas d’ouvrir, mais il savait qu’Hedwig était là. Mais jeudi dernier, deux gendarmes ont interpellé Hedwig devant la fenêtre, l’ont verbalisée et renvoyée chez elle.

« Ils lui ont dit qu’elle n’avait pas le droit de stationner là et qu’elle le savait bien ».12

Et encore : Le 4 avril 2020, Patrice Dupas a été verbalisé alors qu’il souhaitait rendre visite à son père mourant. Son père est décédé quelques jours plus tard sans qu’il ait pu le voir. Comment peut-on avoir imaginé et accepté une telle inhumanité ?

Qui a osé poursuivre jusqu’à ce jour certaines restrictions en EHPAD13 et même à l’hôpital, alors que l’on sait la bénignité de ce virus aujourd’hui moins pathogène que la grippe saisonnière ? La torture des personnes âgées en EHPAD se poursuit sans l’ombre d’une explication sanitaire valable — interdiction de visites sans masques, pression pour des injections complémentaires dont l’inefficacité est maintenant évidente.

15 juillet 2022, il y avait 22 446 décès liés au coronavirus aux Pays-Bas qui ont refusé le confinement pour une population de 18 millions (1247/M) contre plus de 150 000 en France pour une population de 67 millions (2238/M) malgré les deux confinements que le gouvernement Macron nous a imposés 80 % de plus !

Ceux qui prétendent actuellement que ce sont les boomers qui ont demandé le confinement et qu’ils en auraient bénéficié reprennent en fait la désinformation du gouvernement qui essaie d’accuser les victimes des mesures ignobles et contraires à la science qu’il a imposées, victimes des confinements qui ont souffert des mortalités les plus élevées. Le but évident est de diviser les générations.

QUI A RAPIDEMENT INFORME QU’IL EXISTAIT UN TRAITEMENT SIMPLE ET EFFICACE DE LA PSEUDO PESTE ANNONCÉE PAR LE CROQUE MORT DU SOIR ?

Le Pr Raoult, Boomer lui aussi, a rapidement annoncé l’existence d’un traitement simple et efficace que les autorités, jeune président et jeunes ministres se sont empressés de calomnier et d’interdire ! La comparaison des données de l’OMS relatives aux mortalités observées en France (chloroquine interdite) et en Algérie (traitement Raoult conseillé) pays dont la proportion de personnes à risque (les plus de 65 ans) est semblable montre que nous aurions pu éviter plus de 120 000 morts par ce traitement.

Qui a imposé aux Français dans le silence quasi général l’injection expérimentale sous pression, restriction et avec l’accord voire l’aide de jeunes progressistes, écologistes, députés LFI, renaissance, etc.

LE POUVOIR, LES BOOMERS ET LEURS SUCCESSEURS

Il ne faut pas confondre la génération des boomers avec quelques milliardaires qui ont confisqué le pouvoir et distribué à leurs affidés. Chacun peut découvrir le système des Young leaders anglo-saxons14 et maintenant aussi chinois15 qui a permis depuis une quarantaine d’années de se repasser le pouvoir et les milliards, et les paradis fiscaux entre puissants choisis et convertis (ou conditionnés via les surveillances de leurs vies, cf. scandale Epstein). Il suffit d’examiner le profil de nous dirigeants, quasiment tous choisis par le WEF et Young leaders.

LES BOOMERS ET LA TÉLÉVISION

Quant aux boomers qui ont voté E Macron, ne sont-ils pas les victimes de la propagande permanente qui règne sur les médias officiels ? Qui possède ces médias ? Huit milliardaires. Qui se soumet à ces patrons si ce n’est nos journalistes fort bien rémunérés dont certains très jeunes et de bonne famille16 et qui obéissent au doigt et à l’œil pour intoxiquer les vieillards handicapés des EHPAD ou des résidences seniors qui sont installés devant la télévision toute la journée et gobent leur leçon du jour.
Quel âge ont les journalistes vedettes de nos journaux télévisés ?

ET qui a élu le président actuel et la chambre de nos députés soumis qui acceptent la vingtaine de 49 -3 d’affilée ? Certes certains boomers bien travaillés au corps par l’intoxication télévisée, mais aussi la majeure partie des cadres supérieurs, ingénieurs, enseignants et d’autres qui ont cru à la technologie, et au président des start-ups qui allait changer le monde.

LES VÉRITABLES RESPONSABILITÉS DES BOOMERS DATENT DE L’EUPHORIE DE L’APRÈS-GUERRE ET DES DÉCISIONS ERRONÉES QU’ILS ONT ACCEPTÉES

Il ne s’agit pas ici de nier ni exonérer les responsabilités des baby-boomers dans l’état actuel du monde occidental et singulièrement de la France, mais plutôt de remettre les choses dans l’ordre en lieu et place de cette simplification affligeante.

Les baby-boomers sont nés dans l’euphorie de la victoire sur le nazisme et l’abondance apparente fournie par le plan Marshall qui a astucieusement mis en place la colonisation de la France et de l’Europe par les États-Unis. Celui-ci s’est doté rapidement d’un instrument mortifère, la communauté européenne suivie de la création de l’UNION Européenne, basée sur les travaux des collaborateurs d’Hitler et de la construction du Reich.

Ils sont nés dans l’euphorie de la naissance de la sécurité sociale appliquant les programmes politiques de la résistance pour garantir à chaque français la protection sociale en cas de maladie et de chômage (cadeau aux classes populaires pour éviter une révolution rouge).

Ils ont découvert la machine à laver, le frigidaire et le plein emploi, même dans des conditions souvent difficiles de temps de travail (48 heures par semaine) et de distance… Grands et petits bonheurs après les drames et restrictions de la longue guerre.

Ils ont eu bien des torts et des responsabilités dans l’évolution de notre monde occidental actuellement en voie d’effondrement, après la sape insidieuse de ses principes. Cette génération s’est fait copieusement manipuler par la machine industrielle dénoncée par Mary Holland17 dans son discours à l’ONU en 2016 contre l’obligation vaccinale et la violation du code de Nuremberg.

Notre responsabilité à nous boomers est immense, mais absolument pas là où certains la voient, et n’est pas liée à la panique de la mort qu’à cet âge on a su, normalement, dominer.

Les boomers en état de penser, de parler, de transmettre, d’enseigner s’efforcent de tenter de mettre en garde les jeunes générations contre les dangers actuels du totalitarisme qu’ils reconnaissent comme le pendant du vécu de leurs parents pendant la période ayant précédé leur naissance 1870-1950.18

Les boomers ont voulu donner à leurs enfants une vie meilleure que la leur et ils y sont globalement parvenus. Leur tort principal de ne pas leur avoir enseigné qu’il fallait pour cela qu’ils travaillent et que les libertés ne durent que tant qu’on se bat pour elles. Cette éducation trop cool et permissive sous l’influence américaine, via les réformes de 1968, a peut-être facilité l’acceptation des confinements par les générations plus jeunes, mais les a conduits globalement dans une société du tout « tout de suite » et du prédigéré et du recul devant l’effort.

Les boomers aveuglés par les bons sentiments et les apparentes facilités du nouveau monde d’après-guerre ont la lourde responsabilité d’avoir laissé détruire l’école, que la génération des cinquantenaires actuels n’a pas su dénoncer ni réparer.19 Ils n’ont pas mesuré l’importance de l’influence des réseaux sociaux dans la vie des jeunes générations matraquées par la publicité intrusive et diffuse, leur faisant presque croire que la pseudo intelligence artificielle pourra tout remplacer du médecin à l’enseignant et même à l’élève pour rendre ses devoirs.

Les boomers et leurs enfants ont laissé l’UE détruire l’Europe sous les ordres des USA. Ils ont tout de même voté contre la Constitution européenne en 2005, mais, trahis par le président Sarkozy en 2007, ils se sont soumis à ce coup d’État insidieux asservissant progressivement toutes les professions jusqu’alors libres : destruction de l’éthique médicale et du système de santé, du métier d’agriculteur et de l’agriculture par des normes souvent absurdes et des contrôles incessants20, destruction de tous nos services publics, police, mairies en imposant partout internet comme seul interlocuteur, entraînant la désertification des campagnes au profit d’un entassement dans les villes de plus en plus invivables (le rêve du WEF d’imposer les villes de 15 min déjà repoussées par de nombreuses municipalités et citoyens en voie d’éveil).

Les boomers et leurs enfants ont laissé manipuler les plus jeunes par l’école soumise au programme du wokisme, prônant l’écologie punitive, l’éducation sexuelle à l’école intégrant la théorie du genre, et les miracles attendus de l’immigration, tous plans inclus dans les ordres du WEF et des Young leaders intronisés chaque année depuis 1970. Tous nos dirigeants jeunes en sont issus, de Gabriel Attal notre Premier ministre, à l’actuelle ministre de l’Éducation nationale et des Sports, Amélie Oudéa-Castéra.

Ce ne sont pas les boomers qui ont voulu les confinements qui ont ruiné la classe moyenne, mais les mondialistes et leurs complices rémunérés pour imposer les pseudo vaccins et multiplié les fortunes des milliardaires.

Prétendre qu’ils auraient été les instigateurs d’une mesure symbolique qui leur a été aussi néfaste, vise en fait à éluder la responsabilité des décideurs pour l’ensemble des mesures liberticides de la période de plandémie. Cette idée qui court montre l’aveuglement qui persiste de toute une population soumise et dans le déni, dont d’autres manifestations sont encore répandues comme la négation du nombre énorme des effets indésirables des injections ARNm et même du rôle pourtant indéniable de ce pseudovaccin dans l’explosion des turbocancers.

L’urgence n’est pas de séparer, diviser, opposer les générations, mais bien de sortir ensemble du déni de tyrannie et de la soumission généralisée qui a permis la destruction de notre monde et de tenter de le reconstruire ensemble pour l’avenir de nos petits-enfants et arrière-petits-enfants.





Réflexions sur la révolte agricole

Par Anonyme

Partant de :

Diverses infos venant de « l’opposition de façade » et d’amis qui « voient »… « Derrière le masque vert » pour citer le titre du livre de Rosa Koire, la première à nous avoir averti de l’« Agenda 21 » et qui a payé de sa vie pour cela…

Nous pouvons observer que la « Sécurité Sociale Alimentaire » fait son apparition « officielle » :

Voici, relayé par ISF du collectif pour une Sécurité Sociale de l’Alimentation, un documentaire réalisé par deux agronomes.
Il est en libre visionnage pendant encore 7 jours :

« En raison des mobilisations agricoles qui ont lieu en ce moment dans toute la France, nous mettons notre documentaire Tu nourriras le monde en ligne en accès libre sur notre site internet : https://parolesdepaysans.wixsite.com/parolesdepaysans/tu-nourriras-le-monde

Et sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=MbSaUIHpgg8&t=10s

N’hésitez pas à le partager à tous ceux qui cherchent à mieux comprendre ce qui se joue réellement en ce moment !
On a créé une page AlloCiné pour tenter de donner un peu de visibilité au film, n’hésitez pas à y déposer un commentaire.

Bien à vous,
Nathan Pirard & Floris Schruijer
Co-réalisateurs du documentaire »

Rien que la présentation du film me donne la nausée… Ingénieurs agronomes… Agro Paris Tech… « Débat citoyen »… « Pour une planète soutenable » nous sommes donc en plein dans la ligne de l’Agenda 21… Merci les Rockefeller, Klaus Schwab et cie…

[Mise à jour, après visionnement du documentaire :]

Je viens de finir de visionner « Tu nourriras le monde », film documentaire pas si nauséeux que je le pensais finalement, surtout en 1re partie où il est retracé tout l’historique de la politique agricole française, puis européenne, sans trop de concessions. Mais ce que Nathan Pirard et Floris Schruijer, les co-réalisateurs du documentaire, ne voient pas, c’est qu’ils sont dans un système qui est en train de ravager tout le vivant, et qu’eux-mêmes font partie de ce système. Ils sont totalement dans la doxa de la « transition écologique » et du « développement durable » sans avoir pris conscience des énormes mensonges et manipulations qu’il y a derrière ces « beaux mots » contenus dans les ODD ou Objectifs du Développement Durable. Voir à ce sujet le travail de Rosa Koire auteure du livre « Derrière le masque vert — L’agenda 21 démasqué », ici une vidéo avec une interview de Rosa durant les 7 premières minutes.

Le film documentaire « Tu nourriras le monde » parle de désertification des campagnes, du déclin du service publique en prenant l’exemple de la poste, des écoles, ils ne voient pas l’agenda, c’est-à-dire que tout cela a été prémédité et obéit à la mise en place de l’Agenda 21 ([pour 21e siècle] de l’ONU. Ils ne le voient pas alors que leur génération, qui — biberonnée aux mensonges et à la propagande depuis la tendre enfance — est complètement actrice de cette situation, tout comme les « aînés » ont été acteurs de l’engrenage à la production, de l’appauvrissement des sols, de la perte d’autonomie alimentaire, etc., malgré eux, eux aussi, en leur temps.

Tout comme les agriculteurs qui manifestent actuellement : plus ils se débattent dans le filet, plus le filet se resserre sur eux…

Le documentaire est par ailleurs très édulcoré : pas d’allusion au taux élevé de suicide des paysans ces dernières années, rien sur le codex alimentarius, beaucoup d’éoliennes sur les images, mais aucune information sur les dégâts causés par celles-ci, non seulement sur les humains, mais aussi sur les animaux domestiques, sur la faune, les insectes et la végétation. Certains agriculteurs font allusion à la sécheresse ou autre aléa météo, mais rien sur la modification intentionnelle de la météo et du climat [ou géo-ingénierie], rien sur la modification du cycle de l’eau… Le reportage sur le couple agriculteur bio est mignon, mais quid de l’agriculture bio qui n’est pas exempte d’OGM, et où les semences ne sont plus reproductibles, et que dire de l’agriculture intensive « bio » qui se profile de plus en plus ? Les auteurs en ont-ils même connaissance ? Quant à la Safer, c’est assez gentillet…

Selon les dires d’un certain Emmanuel : « Le futur sera numérique, robotique et génétique »… Et dans « Agro Paris Tech », il y a bien « Tech » n’est-ce pas ?

Ces deux jeunes diplômés sont complètement au service de l’Agenda 21 ; ils voient bien dans le rétroviseur, cependant, je vois qu’ils sont pris dans les filets et participent à la mise en place des pièges tendus par ceux-là mêmes qu’ils pensent dénoncer.

Voici un article que je trouve très éclairant sur le même sujet, et que je vous recommande fortement :

Pour approfondir

Arnaud Rousseau, le faux paysan à la tête du mouvement blocage autoroutier :

« Le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, prévoit des mobilisations (blocages d’autoroutes) dans 85 départements d’ici vendredi » :

https://www.lamontagne.fr/paris-75000/actualites/colere-des-agricultures-le-point-sur-les-autoroutes-bloquees-et-fermees-en-france_14440778/

Il veut même bloquer les marchés dans les villes où pourtant ce sont les agriculteurs qui peuvent fixer eux-mêmes leurs prix via leurs vendeurs sur place :

https://www.leparisien.fr/societe/agriculteurs-en-colere-pourquoi-des-manifestants-menacent-de-bloquer-le-marche-de-rungis-27-01-2024-H5PCJX65ARBCZKK4ZGH2MMFN7Y.php

Pourquoi cet agent de la PAC politique agricole européenne agroalimentaire pousse-t-il les paysans naïfs à bloquer les autoroutes en disant que c’est la solution pour que l’État leur donne ce qu’ils veulent ?

Pourquoi est-ce un PDG d’un groupe agroalimentaire (pesticides/OGM) qui représente le mouvement de la paysannerie en France ?

Arnaud Rousseau est :

  • – président de la FNSEA (seul syndicat admis à la négociation avec l’État), l’ancien titulaire de la FNSEA étant Xavier Beulin (DcD), ex-président du groupe laitier LACTALIS. (comme quoi les syndicats paysans sont toujours représentés par les multinationales) ;
  • – il veut transformer des terres agricoles en terres pour biocarburants et il met son entreprise agroalimentaire à la bourse, donc laisse les actionnaires banquiers Rothschild et Cie décider des prix des denrées alimentaires
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Avril_ (entreprise) ;
  • – président du groupe agroalimentaire AVRIL (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.)
    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Arnaud-Rousseau-le-faux-paysan-a-la-tete-de-la-FNSEA-74797.html ;
  • – directeur général de Biogaz du Multien, spécialisé dans la méthanisation ;
  • – administrateur de Saipol ;
  • – président du conseil d’administration de Sofiprotéol, qui finance des crédits aux agriculteurs ;
  • – leader français de la transformation de graines en l’huile ;
  • – maire (sans étiquette) de sa commune Trocy-en-Multien (Seine-et-Marne) ;
  • – vice-président de la communauté de communes du pays de l’Ourcq ;
  • – éleveur du Gers qu’il prétend représenter avec son syndicat ;
  • – patron d’exploitations agricoles, 700 hectares, principalement des céréales oléagineuses (colza, tournesol) mais aussi du blé, de la betterave, du maïs, et de l’orge ;
  • – diplômé de l’European Business School de Paris avec le courtage de matières premières agricoles, c’est-à-dire leur mise en vente sur les marchés financiers ;
  • – Il défend une agriculture productiviste française pour nourrir les Français, mais consacre ses champs à une production majoritairement destinée à l’export ;
  • – Il soutient les agriculteurs qui se plaignent de l’augmentation des taxes sur le gazole non routier (GNR), mais il a entériné cette hausse cet été, lors des négociations avec le gouvernement sur le projet de loi de finances ;
  • – Avec ses homologues grands céréaliers, il est l’un des principaux bénéficiaires de la PAC, quand les petits éleveurs, ceux-là mêmes dont la colère déborde dans le Sud-Ouest sont les plus lésés ;
  • – C’est pourquoi il ne peut répondre aux demandes des manifestants sur la hausse du GNR, qu’il a validée, ni sur les marges des groupes agroalimentaires, lui qui en dirige un
    https://www.humanite.fr/social-et-economie/agriculteurs/a-la-tete-de-la-fnsea-qui-est-arnaud-rousseau-le-businessman-qui-voulait-passer-pour-un-paysan.

Propositions et constats

Au lieu d’appeler tout le peuple français à squatter les campagnes et forêts désertes des milliardaires, les agriculteurs manipulés par des agents doubles du NWO(([1] New World Order – Nouvel Ordre Mondial)) bloquent les sorties des villes (autoroutes) empêchant les citadins d’en sortir.

Ils aident les élites pour transformer les villes en prison en bloquant les autoroutes.

Ils savent le plan de l’élite de destruction de l’agriculture, et ils accélèrent ce plan en bloquant les villes, en empêchant les campagnes d’être repeuplées en nombre par les citadins.

Construisons notre Nouveau Monde dans les campagnes, et arrêtons de trouver des solutions en ville, et de bloquer les sorties des villes, car c’est comme bloquer les sorties des prisons, laissez s’échapper les bagnards citadins vers les campagnes, et arrêtez d’être manipulés.

Une vidéo qui montre comment les gueux se font manipuler pour toujours faire des manifestations dans les Smart Cities, au lieu de construire leur monde libre HORS DE L’ENCLOS :
https://crowdbunker.com/v/t9nnza2xat



La plupart des gens croient toujours qu’il est possible de « réformer » le système, donc ils convergent vers les lieux de « gestion » de la merdasse étatico-marchande : les villes.

Réappropriation des terres et création d’un autre monde, le nôtre, celui de l’Humanité vraie, qui commence par réorganiser une agriculture saine, nourricière, base d’une société vraie et articulée, en plus d’être une nécessité absolue de vie.

La vie du bien-être ensemble commence par le bien manger. La bonne table mène aux bonnes relations sociales, au vivre ensemble sain et ancré dans la réalité.

Là est notre nature humaine. On est ce qu’on mange, c’est aussi simple que ça, et quand on voit la merde qui arrive dans nos assiettes quotidiennement, on ne peut être que de la merde.

Sortir de la spirale marchande infernale. Nous réinscrire dans la vie véritable de l’être joyeux, satisfait de sa vie individuelle et collective.
Ça vient, ça vient. De plus en plus de gens comprennent et seront bientôt prêts à la bascule…

Vive la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée !…

Donc le gouvernement utilise les agriculteurs pour la fausse solution de bloquer les villes, qui correspond à leur agenda.

Bloquer les villes correspond à :

  • – l’agenda 2030 des villes 15 minutes « Smart City » ;

Pas « à jour » de vos injections ? Vous avez dépassé votre allocation carbone hebdomadaire ? Vous vous êtes aventuré en dehors de votre quartier désigné « 15 minutes » ? Oups, pas d’argent pour toi !

  • – le confinement, préparer les futurs rafles pour la piqouze forcée et interdire les gens de s’échapper des villes (quand ils ont commencé le confinement 2020 de Nice, avec les premiers morts injectés, beaucoup de gens ont pu s’échapper des villes pour échapper au maire facho piqouzeur de Nice) ;
  • – à aucun moment, ces « résistants » ne proposent :

    • – de lutter contre la 5G,
    • – de lutter contre les caméras (qui fichent tous les opposants),
    • – de réclamer l’énergie libre ;
    • – de distribuer des tracts pour inviter les gens à venir se fournir directement dans leur campagne.

Si le carburant est trop cher, ils n’ont qu’à faire venir les gens chez eux, au lieu de venir vers eux, mais comment les citadins peuvent-ils venir dans les fermes rurales acheter leurs produits, si les agriculteurs bloquent les villes ?

C’est contre-productif leur truc, et c’est justement cela que le gouvernement veut, empêcher les citadins de se nourrir, en les empêchant de sortir des villes en utilisant les manifestants agriculteurs pour bloquer les autoroutes.

Et c’est contre-productif de se tourner vers le gouvernement, demander des solutions au gouvernement, reconnaître que le gouvernement est le chef, au lieu de créer un propre monde à eux, indépendant.

Les faux résistants préfèrent réduire encore plus l’indépendance des citadins en bloquant les villes, comme si cela changeait quelque chose, car les riches qui nous gouvernent vivent dans des châteaux dans les campagnes (demandez à Sakozy qui a son château avec ses oliviers et ses vignes au sud de la France, comment il doit rire du blocage des villes qui affament les gueux, après le génocide des gueux citadins par ces blocages des autoroutes).

Sinon, on peut faire un album de musique (avec chansons sur potager, contre la hausse carburant, contre la hausse des taxes terre) dont le bénéfice reviendra à chaque groupe local d’agriculteur (une dizaine maxi), et non pas un groupe national ou régional ou communal qui risque d’être contrôlé par le PDG d’une multinationale agroalimentaire qui peut être aussi en même temps le maire d’un village (donc, présider le groupe communal).

Organiser des recherches sur l’énergie libre, pour créer un camion d’énergie libre qui ferait des distributions au marché en ville après avoir collecté les denrées dans toutes les campagnes.

Un site s’est mis au troc pour soutenir les petits producteurs, mais curieusement, il n’est plus à jour (juin 2023) dérangeait-il le NWO ou problème de récolte annuelle ?
https://www.lepotiron.fr/

Le seul blocus qui marche c’est de bloquer les villas et les châteaux des milliardaires. Mais bloquer les villes, c’est justement dans le programme d’agenda 2030 des élites.

Solutions accessibles à tous :

  • – organiser des cueillettes comestibles dans les bois et les forêts publics (75 % des forêts sont privatisés) ;
  • – cultiver des comestibles qui poussent tout seuls une fois plantés sans besoin d’entretien dans les espaces délaissés (comme le topinambour, l’ail des ours, la menthe, les mûres, les vignes), pas besoin d’entretien, cela pousse partout une fois installé ;
  • – faire pousser des arbres fruitiers dans les espaces délaissés ;
  • – faire des appels à projets en tracts, sur les panneaux d’affichage pour que les gens soutiennent les formations de fermes associatives à proximité des villes.

Et arrêtez de jouer le jeu de bloquer les villes, cela pue l’agenda « quartiers 15 minutes ».

Ils l’ont essayé de le faire lors des retraites,
ensuite au nom de la lutte contre les émeutiers,
et maintenant au nom de la taxe carburant,
et après ils le feront au nom du traité pandémie mai 2024…
et ensuite au nom d’un QRcode jeux olympiques (plus tard transformé QRcode faux réchauffement climatique) été 2024…

https://www.francetvinfo.fr/les-jeux-olympiques/paris-2024/paris-2024-des-qr-codes-pour-circuler-aux-abords-des-sites-olympiques_6213372.html

Leur projet de bloquer les autoroutes, seules voies pour sortir des zones urbaines, c’est justement ce que souhaitent les élites (via les péages de pass OGM, carbone).

Elles veulent interdire les gueux d’aller dans les zones rurales en utilisant la colère des agriculteurs manipulés par les syndicats menés par des PDG agroalimentaires qui bloquent les autoroutes.

Ensuite : tickets de rationnement en échange de piqouze, et rafles dans les villes sans pouvoir s’échapper dans les campagnes..

Le programme quartier 15 minutes n’est pas loin…

Avec la monnaie CBDC contrôlée par Amazon et Bruxelles, vous sortez de votre quartier et votre fric est coupé :

https://youngplatform.com/fr/blog/news/digital-euro-bce-travaille-amazon-realiser-cbdc/




« L’arme alimentaire » – C’est ce qui relie les protestations paysannes, l’Agenda 2030 et l’attaque contre l’alimentation…

[Source : kla.tv]

L’alimentation a déjà été utilisée comme une arme, un levier des dirigeants pour contrôler la population. C’est encore plus vrai aujourd’hui ! Si l’agriculture traditionnelle doit être supprimée, si les aliments sont contaminés par des ARNm, si les animaux de ferme sont vaccinés avec des ARNm, si les aliments naturels sont remplacés par des aliments synthétiques et si l’eau est liée au paiement numérique, alors c’est une déclaration de guerre de l’Agenda 2030 contre l’Humanité !

[NDLR Il semble que la question de l’ARNm soit un leurre destiné à éviter la prise de conscience de la nanotechnologie vaccinale à base de graphène et dont la finalité serait la transhumanisation de l’Homme.
Voir notamment :
La convergence bionumérique
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le contrôle humain grâce à la technologie vaccinale]

Transcription

Actuellement, les protestations des agriculteurs allemands, mais aussi européens sont sur toutes les lèvres. L’émission Kla.tv en allemand « La lutte pour la survie des paysans » [https://www.kla.tv/27879], diffusée récemment, résume parfaitement le fait que les mesures de réduction des dépenses du gouvernement ne sont que la goutte d’eau qui a fait déborder le vase de l’oppression des paysans.

D’autres émissions aborderont la question de savoir dans quelle mesure les agriculteurs ont été instrumentalisés ou non par les protestations et pourquoi ils sont présentés sous un mauvais jour par les médias grand public. Alors, consultez régulièrement Kla.tv !

Le fait est que :

L’ONU, l’OMS et le FEM ont déclaré la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l’a déjà signalé dans plusieurs émissions, s’attaque également aux agriculteurs en particulier.

Voici une brève reprise de l’émission « Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme » https://www.kla.tv/19023

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l’agriculture naturelle à petite échelle est en train d’être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l’agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.

La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n’est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :

Un résumé de l’essai « L’arme alimentaire », de l’écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l’existence, a déjà été utilisée dans l’histoire, et l’est encore aujourd’hui, comme arme contre l’Humanité :

En décembre 1974, Henry Kissinger a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » des États-Unis. Il portait le titre bureaucratiquement lourd d’« Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts outre-mer ». La stratégie esquissée par Kissinger est devenue la ligne politique officielle du président Gerald Ford en 1975.

« La croissance démographique aura de graves répercussions sur les besoins alimentaires », lit-on. C’est pourquoi l’aide alimentaire aux pays en développement devra peut-être être liée à des programmes de stérilisation obligatoires ou à des quotas de réduction de la population, conclut Kissinger.

Ce raisonnement conduit le géostratège, qui travaille pour l’influent clan Rockefeller, à la conclusion amorale que dans un tel scénario, l’alimentation devient un « instrument de puissance nationale » efficace. Il déclare que l’alimentation est une arme. Cependant, ce n’est pas une idée nouvelle.

Qu’il s’agisse d’un siège au Moyen-Âge ou de l’inflation actuelle, l’alimentation est une arme depuis la nuit des temps. Un levier utilisé par les dirigeants pour contrôler la population. Mais avec les vaccins à ARNm pour les animaux d’élevage, les spores génétiquement modifiées pour optimiser les chaînes d’approvisionnement mondiales et les paiements CBDC pour l’eau, la lutte pour la survie atteint un autre niveau.

Exemples de l’histoire passée :

Il y a 3 000 ans, les Grecs assiégeaient déjà Troie pour l’affamer.

En Irlande, près d’un million de personnes, soit douze pour cent de la population irlandaise, sont mortes suite à la grande famine de 1845-1849. La cause première n’était pas de mauvaises récoltes ou un nouveau type de pourriture de la pomme de terre, mais la politique du gouvernement britannique de l’époque, corrompue par la haute finance et certains groupes d’intérêts.

La puissance coloniale britannique est également responsable de la mort de quatre millions d’Indiens lors de la famine au Bengale en 1943.

C’est ce que révèle une étude de scientifiques indiens qui ont analysé les périodes de sécheresse des 150 dernières années.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le siège de Leningrad, qui a duré 500 jours, a fait plus d’un million de morts, plus que les bombardements de Hambourg, Dresde, Tokyo, Hiroshima et Nagasaki réunis.

Joseph Staline a également utilisé son pouvoir pour mettre à genoux la « République socialiste soviétique d’Ukraine » par le biais de pénuries alimentaires. « L’Holodomor », nom donné à la famine des années 1930, considérée par certains comme un génocide, a coûté la vie à trois ou quatre millions de personnes. Le cannibalisme n’était pas rare.

Sous Mao Zedong, au moins 24 millions de personnes sont mortes de faim entre 1958 et 1962. Sa devise était la suivante : « Il vaut mieux laisser mourir la moitié des gens pour que l’autre moitié puisse manger à sa faim. »

Développements actuels :

Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n’est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs biotechnologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.

Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l’état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d’approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l’économie verte », de l’agenda zéro CO₂, qu’ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [Premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !

Toute l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L’exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d’un grand dynamisme dans ce domaine.

Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l’interview de HeikoSchöning « Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? » https://www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates — qui ne cesse d’exprimer ses préoccupations en matière de “surpopulation” — écoutez ! — Aider les enfants des pays en voie de développement !!! »

On peut se sentir encore plus mal à l’aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l’ARN ajouté. Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l’injection antiCOVID. [Émission d’Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d’ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » https://www.kla.tv/26139]

Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels.

Les « vaccins auto-disséminés », des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu’à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l’information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission.

De plus, à l’avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d’approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [TrackingDevices]. Chaque aliment devrait à l’avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu’à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu’il s’agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce « code-barres ADN », comme l’entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme — écoutez ! — « généralement inoffensives » !

Toutes ces évolutions dans le domaine de l’alimentation font de l’organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! Il est évident que l’UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s’engage pour la « régulation » de l’élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l’autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. Désormais, seules les personnes qui scannent leur code QR ou RFID CBDC peuvent obtenir de l’eau au Nigeria. Il est donc fort possible que ceux qui s’insurgent contre le gouvernement sur leurs profils de médias sociaux liés au compte de la banque centrale seront bientôt assoiffés ou mourront.

Une parenthèse de Kla.tv : l’objectif 6 de l’Agenda 2030 prévoit, selon ses dires, de garantir la disponibilité et la gestion durable de l’eau et de l’assainissement pour tous. On constate que 90 % de l’eau dans le monde est contrôlée par une série de multinationales qui en font de plus en plus un produit de luxe et empêchent toute autosuffisance et indépendance des populations.

Il est intéressant de noter que le symbole utilisé pour l’Agenda 2030 est le même que celui utilisé pour le « Great Reset » prôné par le FEM. Mais il ne faut pas s’attendre à une amélioration de la situation mondiale de la part d’une élite autoproclamée comme le Forum économique mondial. Bien au contraire, leur Nouvel Ordre Mondial n’est rien d’autre que l’enrichissement personnel et la folie du contrôle de quelques oligarques financiers aux dépens de la collectivité.

Au vu de ces développements, cette réduction de l’Humanité, planifiée de longue date, doit être révélée au public. Vous trouverez la version originale et intégrale, en allemand, de l’essai de Tom-Oliver Regenauer, sur le site : [https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe]

Diffusez également cette émission le plus largement possible ! Et revenez régulièrement sur Kla.tv pour ne pas manquer la suite. Kla.tv restera à l’écoute afin d’apporter plus de lumière sur les corrélations apparemment complexes de ce sujet.

de wou./abu.

Sources/Liens :

Essai original non abrégé de Tom-Oliver Regenauer :
https://www.regenauer.press/blog-search?searchTerm=nahrung%20als%20waffe

Document stratégique de Henry Kissinger de 1974 :
https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf

La lutte pour la survie des paysans :
https://www.kla.tv/27879

Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux :
https://www.kla.tv/19023




Charles Péguy et le « système de la retraite »

Par Nicolas Bonnal

Pays de Molière, la France adore les Géronte. J’ai 62 ans et n’ai pas peur de dire aux jeunes : gare aux boomers. Ils ne vont pas vous faire de cadeaux.

On a dit qui a déjà gagné cette rodomontade sur les retraites, on n’y reviendra pas. Macron impose dans la bonne humeur la gérontocratie de Davos en France (Schwab, Soros, Biden, Rothschild, Rockefeller, Gates, etc.) et pour cela, ils ont recours aux « jeunes homo-érotiques » (Israël Shamir) qu’ils ont imposés grâce aux télés : Sunak, Trudeau, Harari, ce qu’en Espagne on appelle les « macroncitos ». Un petit jeune (ou une Greta-bis, une petite jeune élevée par des lesbiennes, comme en Finlande) pas très sexué pour imposer un Grand Reset et un ordre dictatorial qui s’appuie sur les innombrables petits vieux qui comme en France (ils sont 21 millions) regardent trop la télé et deviennent des bourgeois de gauche convaincus d’avoir fait la bonne affaire en remplaçant leur bon Dieu catho étiolé par la grosse idole climatique.

Cette histoire de retraite est un scandale : ils n’ont bougé nos preux rebelles que pour ça (ni pour le vaccin, ni pour le pass, ni pour le Reset, ni pour les ZEF) et on aura seulement simulé une fronde parlementaire. Or voici ce qu’il en disait déjà Charles Péguy de cette « culture » de la retraite qui va en finir avec la France de d’Artagnan et de ses mousquetaires (eux-mêmes de simples fonctionnaires d’ailleurs) :

« C’est toujours le système de la retraite. C’est toujours le même système de repos, de
tranquillité, de consolidation finale et mortuaire. Ils ne pensent qu’à leur retraite, c’est-à-dire à cette pension qu’ils toucheront de l’État non plus pour faire, mais pour avoir fait. Leur idéal, s’il est permis de parler ainsi, est un idéal d’État, un idéal d’hôpital d’État, une immense maison finale et mortuaire, sans soucis, sans pensée, sans race. Un immense asile de vieillards. Une maison de retraite. Toute leur vie n’est pour eux qu’un acheminement à cette retraite, une préparation de cette retraite, une justification devant cette retraite. Comme le chrétien se prépare à la mort, le moderne se prépare à cette retraite. Mais c’est pour en jouir, comme ils disent. »

Et c’est cet esprit de retraite qui allait venir à bout de Macron ? Allons donc ! On aura des jeunes pas très éduqués politiquement et pas très malins et surtout très manipulés qui défouleront les flics toujours plus violents et effraieront les retraités téléphages, et une poignée de pauvres hères qui se seront fait avoir, pendant que les saligauds de la ponction publique laissent faire, tout contents d’avoir gagné leur guerre civile contre les salariés du privé. C’est mon ami Claude Reichman, candidat libertarien à la présidence de la République, le seul homme politique pour qui j’ai collé (avec Alain Dumait) des affiches, qui disait un jour à mon vieux comparse Jovanovic que les fonctionnaires allaient gagner la guerre civile. Eh bien c’est fait.

Et comme j’en suis au stade des souvenirs, je citerais cette phrase admirable de José Giovanni, cinéaste, romancier, anar de droite et ami personnel :

« En France, les révolutions commencent avec Rimbaud et se terminent avec Séguy ».

Le reste est chez Tocqueville :

« Je tremble, je le confesse, qu’ils ne se laissent enfin si bien posséder par un lâche amour des jouissances présentes, que l’intérêt de leur propre avenir et de celui de leurs descendants disparaisse, et qu’ils aiment mieux suivre mollement le cours de leur destinée, que de faire au besoin un soudain et énergique effort pour le redresser. »

La république, c’est cela depuis 1870 : il y a ceux qui ont le pognon et ceux qui prennent des gnons. Le Parti de l’ordre est le parti du fric. Les rebelles lucides ne s’y laissent plus prendre.

Concluons : la classe soixante-huitarde (de droit divin vraiment) qui a imposé le culte du jeunisme dans les années 70 (revoyez les Valseuses) impose celui du petit vieux sanitaire et frugal (Reset-vaccin-confinement) dans les années 2020. Ce petit vieux ne veut plus bouger et exige les villes 15 min pour sauver son idole climatique. Les PLS-DSK-FOG-BHL-Ferry -bis- DCB ont gagné dans le cadre de cette interminable cinquième république gaulliste. Et ils ont gagné avec les bouches inutiles des vieux retraités sur lesquelles s’appuie Davos, avec ses nonagénaires génocidaires, pour éliminer la jeunesse occidentale qu’elle espère remplacer avec son « inintelligence artificielle ». Trois robots et quelques migrants pour nous servir, le reste peut disparaître. Après nous le déluge.

Sauvez-vous, les jeunes.

Charles Péguy, « Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne » (1914, posthume), dans Œuvres complètes de Charles Péguy, éd. La Nouvelle Revue française, 1916-1955, t. 9, p. 250




LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation

[Source : telegra.ph]

Par Iurie Rosca

Forum Chisinau 2024
« LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation »

Chers amis, l’année dernière, l’équipe internationale du Forum Chisinau — qui rassemble de nombreux intellectuels, auteurs, chercheurs, experts et journalistes de différents pays fortement engagés dans la lutte contre la tyrannie mondiale d’une élite mondialiste malveillante — a réalisé un excellent travail. Notre principal événement, qui s’est tenu les 9 et 10 septembre, était le Forum Chisinau 2023, intitulé « L’Agenda 21 de l’ONU et la grande réinitialisation : La chute du libéralisme vers la technocratie et le transhumanisme ». Nous avions 33 intervenants qui ont brillamment contribué par leurs discours à l’analyse et au démantèlement des stratégies mondialistes visant à détruire et à soumettre l’humanité.
(Voir : https://rumble.com/user/Chișinăuforum?page=2 ; https://odysee.com/@Chișinăuforum:5)

Nous avons étalé cet événement sur quatre mois en publiant régulièrement, deux fois par semaine, les discours de chaque participant à tour de rôle, à la fois en version vidéo et en version texte. En outre, les discours de nos participants ont été traduits dans plusieurs langues — allemand, français, italien, portugais, espagnol, russe, grec, roumain, etc. — et ont été publiés sur de multiples plateformes de médias alternatifs. Au fur et à mesure que cette campagne de diffusion progressait, nous avons réussi à placer les discours sur diverses ressources médiatiques et à distribuer massivement les articles et les vidéos de nos camarades, et nous avons donné de multiples interviews, toutes ces activités conférant une pertinence particulière et une visibilité remarquable à notre projet métapolitique promu par le biais du groupe de réflexion international Forum Chisinau.

Le moment est venu de préparer notre prochaine rencontre internationale. Le thème annoncé dans le titre de ce mémorandum pourrait également être formulé ainsi : La guerre sans restriction comme stratégie multidimensionnelle d’une élite luciférienne pour une domination totale du monde.

L’état de guerre comme réalité permanente

L’assaut total du pouvoir de l’ombre, qui était déjà en cours depuis de nombreuses années, s’est fortement accéléré en 2020. C’est l’année de lancement d’une opération spéciale appelée « pandémie Covid-19 », qui vise à l’extermination massive de la population mondiale et à la modification génétique, ainsi qu’à l’appauvrissement et à l’asservissement des survivants.

Cet état d’alerte, provoqué par un événement d’une gravité sans précédent dans l’histoire, exige une analyse complexe, exhaustive et profonde, car la survie même de l’espèce humaine est en jeu. L’urgence d’un examen adéquat de l’état du monde d’aujourd’hui nous appelle également à formuler des solutions qui nous offriraient une chance d’éviter une catastrophe terminale rapide et irrémédiable.

Nous sommes donc en état de guerre. L’agresseur ne représente pas un État ou un groupe d’États, mais constitue un vaste réseau d’entités privées, supranationales, guidées non seulement par la soif du pouvoir absolu et l’instauration d’une tyrannie mondiale, mais surtout par des motifs profondément spirituels et de nature maléfique. Les cibles de ces forces sont toutes les nations du monde, tous les êtres humains, les rivalités entre eux faisant simplement partie de la stratégie de domination.

L’une des principales caractéristiques qui distinguent l’état de guerre actuel des états classiques est qu’il n’est pas déclaré et qu’il n’y a pas d’acteurs légitimes tels que deux parties belligérantes représentées par des États. L’ennemi est caché, de nature subversive, et attaque ses victimes avec une gamme d’armes non conventionnelles qui ne sont pas perçues par les nations cibles comme des actes d’hostilité militaire. Dans ce cas, la règle d’or de L’art de la guerre de Sun Tzu est appliquée à la perfection :

« Grâce à vous, nous apprenons à être invisibles, grâce à vous, inaudibles, et ainsi nous pouvons tenir le destin de l’ennemi entre nos mains ».

Les tactiques de dissimulation et l’application d’un vernis de respectabilité scientifique et d’une prétendue responsabilité morale dans le destin du monde rendent les maîtres de ce jeu mortel pratiquement invulnérables.

Au cœur de la force massive d’influence mondiale se trouve la puissance économique, technologique, médiatique et culturelle-cognitive qui annihile toute capacité de compréhension complexe et de résistance efficace de la part des États et des nations. L’ennemi de l’humanité est extrêmement sophistiqué, parfaitement équipé d’un nombre énorme d’instruments, et capable de jouer un jeu funeste pour le monde entier, tout en continuant à montrer son innocence et ses bonnes intentions.

Le masque de respectabilité sur le visage des « institutions internationales »

Les ennemis de l’humanité agissent par l’intermédiaire d’organisations internationales perçues comme neutres et bénéfiques pour les États et les peuples, telles que l’ONU, l’OMS, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux (BRI), l’OMC, l’OMS, la GAVI, l’UNESCO, l’UNICEF, l’UE, l’OTAN, etc. Et comme complices de cette énorme « conspiration ouverte » apparaissent les gouvernements des États du monde devenus les marionnettes de ces forces occultes : des régimes politiques qui contribuent au génocide des peuples qu’ils gouvernent.

L’influence écrasante, à l’échelle mondiale et nationale, de cet archipel du pouvoir réel est diffusée et exercée par une myriade de sociétés secrètes ou semi-secrètes telles que la franc-maçonnerie, le Royal Institute of International Affairs (Chatham House), le Tavistock Institute, le Council on Foreign Relations, le Club de Rome, le groupe Bilderberg, la Commission trilatérale, le Forum Économique Mondial, etc.

Les guerres non militaires comme stratégie de domination

Parmi l’énorme éventail de guerres non militaires menées par ces élites démoniaques, on peut citer les suivantes :

  • Guerre de religion
  • Guerre de civilisation
  • Guerre économique
  • Guerre cognitive
  • Guerre culturelle
  • Guerre idéologique
  • Guerre psychologique
  • Guerre des médias
  • Guerre biologique
  • Guerre génétique
  • Guerre raciale
  • Guerre d’immigration
  • Guerre géophysique
  • Guerre climatique
  • Cyberguerre
  • Guerre électromagnétique
  • Guerre démographique
  • La guerre féministe
  • Guerre des sexes
  • Guerre des transgenres
  • Guerre intergénérationnelle, etc.

Parallèlement, des guerres chaudes sont déclenchées, comme en Ukraine et dans la bande de Gaza, dans le but de contribuer à la « démolition contrôlée » de l’économie mondiale, à la désagrégation de la capacité fonctionnelle des États et à la réinitialisation du monde sur la base d’un Nouvel Ordre Mondial [NOM].

Pour porter le coup de grâce à l’anéantissement des États et de la liberté humaine, les élites sataniques nous préparent depuis des décennies à une « guerre interplanétaire » découlant d’une « invasion extraterrestre » et du mythe des OVNIS, afin de réaliser le projet Blue Beam, qui apparaîtra comme la phase terminale du triomphe du NOM.

Ainsi, nous sommes contraints par les circonstances de vivre dans une apocalypse permanente que nous percevons souvent comme la « nouvelle normalité ».

Une stratégie unique masquée par les rivalités régionales

L’Agenda 2030 de l’ONU pour le développement durable avec ses 17 objectifs est imposé à chaque nation et exprime la réalité de la gouvernance mondiale : un agenda qui pousse le plan d’extermination de masse et d’asservissement ultime, sans qu’aucun pays n’oppose de résistance. De plus, tant qu’aucun pays du monde n’annoncera son désir de quitter cette organisation faîtière du pouvoir de l’ombre (l’ONU), le Gouvernement Mondial fonctionnera tout aussi imperturbablement sans même formaliser son existence.

Pour l’année 2024, la signature d’un traité dit de pandémie de l’OMS a été annoncée, qui instaurerait définitivement une tyrannie mondiale sous prétexte de santé et éradiquerait définitivement toute trace de souveraineté nationale et personnelle.

Parallèlement, une nouvelle réalité dystopique s’étend sur le monde entier, se manifestant comme l’apogée de la science et de la technologie promettant l’avènement du paradis éternel. L’ère de la numérisation, de la surveillance universelle, de la destruction des libertés fondamentales — sous prétexte d’urgences médicales, climatiques ou cybernétiques — se manifeste avec une force irrésistible. Les monnaies numériques des banques centrales, l’Internet des objets, l’Internet des corps, les villes intelligentes ou villes de 15 minutes, l’« homme augmenté » sous les traits du transhumanisme, la technocratie comme forme de tyrannie universelle, s’annonçant comme une prophétie autoréalisatrice, toutes ces nouvelles réalités sont en train de remodeler le monde entier.

Une évasion de la prison conceptuelle

Aucun des conflits de premier plan qui font actuellement rage à l’échelle mondiale, qu’ils soient Ouest-Est ou Nord-Sud, ne semble affecter l’imposition d’une stratégie mortelle commune émanant de l’ONU, de l’OMS et d’autres organisations.

Le caractère extrêmement sophistiqué et complexe du système de domination mondiale par le biais des organisations internationales — d’innombrables entités privées imbriquées sous un masque scientifique, culturel, médical ou médiatique — conduit à un état de domination intégrale beaucoup plus périlleux que celui qui pourrait être atteint par la conquête militaire ou l’assujettissement économique.

La multitude de formes de guerres totales non militaires qui sont menées contre l’humanité n’est même pas perçue par la grande majorité des gens comme une agression générale contre l’humanité. Cette incapacité à appréhender les nouvelles réalités géopolitiques avec leur profonde signification spirituelle pourrait bientôt s’avérer fatale pour le monde entier. Une certaine erreur de perspective, une inertie de la pensée maintiennent l’esprit collectif dans la captivité des temps passés.

Dans les nouvelles conditions historiques de la mondialisation, dues à une avancée massive de la science et de la technologie et à la concentration gigantesque du pouvoir mondial entre les mains d’entités privées, les anciens schémas de division entre pays, régions et civilisations ne sont plus valables ; ils ne servent plus qu’à masquer le vrai visage des factions participant au conflit.

Pour sortir de la confusion générale et avoir la possibilité d’opposer une résistance efficace pour assurer la pérennité de la civilisation humaine, il est nécessaire de faire une distinction catégorique entre la perspective horizontale et la perspective verticale.

Horizontalement, c’est l’Occident collectif et les pays BRICS, le Nord riche et le Sud émergent qui se font face. Pourtant, la lutte essentielle se déroule verticalement : l’agression multidimensionnelle et implacable des élites mondiales diaboliques d’une part et de tous les peuples du monde d’autre part. Et si le premier plan d’affrontement est enregistré par la perception publique, le second, infiniment plus important, échappe à l’attention du monde.

Les rivalités entre les groupes de pays susmentionnés n’ont pas cessé même en 2020, mais pour couronner le tout, tous les pays ont répondu avec la même docilité aux édits de l’OMS lors de la fausse pandémie de Covid-19, qu’ils n’ont pas perçue comme un acte de guerre.

L’Occident collectif contre les BRICS, les États-Unis contre la Chine : Qui dirige ?

L’une des erreurs fondamentales liées à la mondialisation est la tendance à attribuer à l’Occident collectif le rôle exclusif de moteur de ce processus. Selon cette logique, l’effondrement de l’Occident entraînerait automatiquement l’échec de la mondialisation. D’où les mythes liés aux BRICS en tant qu’alternative civilisationnelle à l’Occident. La récente expansion substantielle de cette organisation informe et omnivore a suscité de nouvelles vagues d’enthousiasme parmi les partisans naïfs de la démondialisation. Le déclin de l’Occident et la montée en puissance des BRICS sont également applaudis par tous les adversaires de l’hégémonie américaine. Pendant ce temps, rares sont ceux qui remarquent que la Grande Réinitialisation s’impose partout. Transcendant les conflits géopolitiques horizontaux, il est dicté par la verticale du pouvoir, la seule force qui compte vraiment. Une fois de plus, le monde est gouverné par des entités privées supranationales opérant à travers l’ONU, l’OMS, etc. Big Money, Big Oil, Big Pharma, Big Tech, Big Media, etc. ne sont que les tentacules d’une même pieuvre satanique.

Et si l’on sait que l’Agenda 2030 de l’ONU est accepté et mis en œuvre par tous les pays du monde, que la politique génocidaire de fausses pandémies et de meurtre par injection de l’OMS est une politique officielle de tous les États, que la digitalisation est omniprésente, comment admettre une telle absurdité en admirant une si fausse alternative ?

Certains se réjouissent de la perspective d’une dédollarisation imminente comme si elle devait être suivie de l’établissement de la souveraineté monétaire au niveau de chaque nation et de la disparition de la BRI et de la City de Londres. Il faut savoir que le dollar sera remplacé par des CBDC au niveau « national », après quoi une unité monétaire numérique universelle sera imposée.

C’est un truisme de dire que les mêmes prémisses conduisent toujours aux mêmes conséquences. La société technologique conduit à la disparition des campagnes, à l’urbanisation, à la technocratie et, par le biais de la robotique et de l’intelligence artificielle, au chômage de masse. Le remplacement de l’hégémonisme américain par l’hégémonisme chinois ne signifiera pas pour autant l’échec de la Grande Réinitialisation. Au contraire, la société chinoise est un modèle idéal pour les élites mondialistes, qui souhaitent ardemment étendre ses caractéristiques à l’échelle mondiale.

Une véritable révolte des nations suppose d’abord la volonté d’abandonner les carcans mondialistes qui asservissent l’humanité, au premier rang desquels l’ONU et l’OMS. Mais jusqu’à présent, aucun pays au monde n’a annoncé de telles intentions, suivant plutôt avec docilité la politique du Gouvernement mondial qui opère à travers ces organisations.

La fin de la géopolitique classique

Le mythe du changement climatique est accepté aveuglément et docilement par tous les États sous l’égide de l’ONU. L’activité de la BRI, l’élimination de l’argent liquide et l’imposition des CBDC ne sont pas perçues comme des outils destinés à paupériser et à asservir la population mondiale, mais sont au contraire considérées à tort comme des processus naturels d’une régulation financière inévitable. Il en va de même pour la perception publique d’autres « organisations internationales ».

La capacité à fixer l’esprit collectif, à dissiper les mythes supposés sur le cadre international, ainsi qu’à réduire méthodiquement la capacité cognitive de l’homme contemporain est la principale garantie de succès des mondialistes. À l’heure actuelle, il n’y a pas de différence entre le niveau d’ignorance de l’individu moyen et celui d’un fonctionnaire d’État. Dans ces conditions, la stratégie du déguisement et de la manipulation fonctionne sans la moindre entrave.

J’ai appelé ces nouvelles réalités à l’échelle mondiale « la fin de la géopolitique classique ». Aujourd’hui, le conflit de base est vertical : il se déroule du haut vers le bas et l’ennemi est une entité non étatique, supranationale et extraterritoriale. Par conséquent, comme dans les exercices de décryptage pratiqués en ingénierie sociale, les deux coins inférieurs du triangle doivent, pour échapper à leur éternelle condition de victimes, renoncer à leurs hostilités mutuelles « horizontalement » et regarder vers le haut pour découvrir le véritable ennemi qui les attaque « verticalement ».

Erreur de perspective dans l’identification de l’ennemi

Et je reviens ici au titre de mon discours de clôture prononcé au Chisinau Forum 2023 le 9 septembre dernier : « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique (https://arcaluinoe.info/en/blog/2023-09-09-alfpxu0e/ ou « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique). Une connaissance approfondie de la nature des ennemis de l’humanité nous offre une chance de revanche, de contre-offensive et de survie.

Nous entrons ici dans la zone la plus délicate et la plus incertaine. En effet, l’homme d’aujourd’hui n’a plus de perspective religieuse et spirituelle sur la vie. La modernité nous a irrémédiablement marqués : nous sommes matérialistes, athées et rationalistes. Et ce, alors que les ennemis de l’humanité, qui nous ont sécularisés et stérilisés spirituellement pendant des siècles, sont eux-mêmes restés profondément ancrés dans les réalités spirituelles. Ils nous ont éloignés de notre Sauveur, mais ont maintenu leur alliance avec leur maître. C’est-à-dire qu’ils nous ont aveuglés afin de pouvoir nous dominer et nous vaincre sans aucune résistance.

Face à un mal spirituel total, à des forces démoniaques surhumaines, nous n’avons aucune chance de réussir en utilisant uniquement le potentiel humain. L’absence d’égalité des armes signifie notre défaite éternelle. Notre besoin vital est de redécouvrir et de rechercher une alliance stratégique avec notre Créateur Jésus-Christ. Avoir un ennemi aussi puissant que Satan tout en restant dans l’illusion de l’autonomie et de l’autosuffisance humaine est une illusion induite par le fils de la perdition.

Il nous appartient de choisir de jouer le rôle de perdants ou de préférer la mission de conquérants, en faisant un grand saut paradigmatique et en revêtant l’armure de nouveaux croisés. En conclusion, notre choix est très simple : à qui obéir, à Dieu ou à Satan. Il n’y a pas de troisième option. L’autonomie humaine est un piège parfait qui nous aveugle et pousse notre Résistance dans une impasse suicidaire.

L’illusion libérale comme facteur de paralysie

L’une des raisons du succès écrasant de nos ennemis est que nous continuons à opérer dans des conditions de tyrannie mondiale et de terrorisme d’État avec notre cadre de référence démocratique libéral dépassé. Face à une guerre totale des élites satanistes contre l’humanité, dans les dents d’un génocide universel, nous fonctionnons avec des notions légalistes ; nous faisons appel à la Constitution, aux Droits de l’Homme et aux normes démocratiques. Nous plaçons nos espoirs dans les cycles électoraux et les « sauveurs » comme Trump ou Poutine, en déifiant l’opposition contrôlée. Et nous refusons de comprendre la nature tragicomique de cette situation.

Lorsqu’un assassin tue vos enfants, votre femme, vos proches, un citoyen honorable s’assoit pour porter plainte au tribunal ou chercher un avocat. Mais la guerre a sa propre logique inexorable. Si vous n’arrêtez pas votre meurtrier, il vous tuera. Même si ce ne sont pas des fusils et des bombes qui sont utilisés comme armes mortelles cette fois-ci, mais des injections, des ondes électromagnétiques et de la nourriture empoisonnée, cela ne change pas le rapport de forces entre les deux parties, l’assassin et la victime. La victime est en état de légitime défense et doit riposter. Notre réponse au plan génocidaire d’une élite mondialiste de réinitialisation est typiquement appelée le Grand Réveil — et à juste titre. Mais cet effort d’éveil doit trouver sa continuation immédiate dans le Grand Soulèvement. Toute autre démarche ne serait qu’un exercice intellectuel stérile et nous condamnerait à la disparition de la civilisation humaine.

Veuillez partager ce texte avec vos abonnés, le placer sur autant de plateformes que possible, le traduire dans vos propres langues et l’envoyer à vos amis qui pourraient être nos orateurs potentiels au Forum Chisinau 2024. Afin de minimiser le risque de toute entrave aux déplacements normaux (confinements, etc.), je suggérerais la fin du mois de mai comme la meilleure période pour notre prochain événement.

Le Forum Chisinau est un groupe de réflexion international indépendant et n’est subordonné à aucun centre géopolitique, État ou entité privée. Nous n’avons pas de sponsors et n’en recherchons pas. Toutes les dépenses liées à nos activités sont à la charge de chaque participant. Une véritable résistance métapolitique et une dissidence implacable exigent une totale liberté de pensée et d’action.

N’hésitez pas à me faire part de vos avis sur le thème annoncé pour la prochaine édition, à formuler des suggestions à cet égard et à proposer de nouveaux intervenants pour notre événement. J’attends vos messages à l’adresse électronique suivante : ChisinauForum2024@protonmail.com

Iurie Rosca est un journaliste indépendant de la République de Moldavie, un dissident anticommuniste, un ancien député et vice-premier ministre, un rédacteur, un traducteur et un organisateur du groupe de réflexion international antimondialiste Forum Chisinau.




Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?

[Source : kla.tv]

« Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! »(([1] En ce qui concerne Poutine, l’article suivant conteste l’information :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/))

« Le FEM a pour mission […] de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. […] Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM — y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ? Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière plan ? Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ? Ce documentaire de Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l’ensemble de ses dirigeants. Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) se tiendra du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il sera consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu’à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » — « qui concerne le monde entier » — et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l’éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c’est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l’éducation politique », insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu’il n’en existe pas. D’autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l’économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d’une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

Cette émission répond à ces questions et vise à jeter un coup d’œil derrière le FEM et le Great Reset : Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

1. Origines et création du FEM

En 1971, l’économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d’utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Dans son livre « World Economic Forum — La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet : (www.kla.tv/19027) :

« Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d’arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d’ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de “leader mondial du secteur privé” si je peux dire, témoigne si clairement d’un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m’empêcher de percevoir l’ensemble du FEM comme une secte privée de l’économie mondiale, et plus précisément une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale. »

2. Arrière-plans de Klaus Schwab

Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.

Les hommes derrière Klaus Schwab

Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d’Ernst Wolff :

« C’est là qu’il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. »

Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR.

(Plus d’informations sur Henry Kissinger https://www.kla.tv/26153)

Unlimited Hangout, une plate-forme américaine de journalisme d’investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante :

« Le Forum économique mondial n’était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger — et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d’élite américaine qui travaillait dans l’ombre et l’aidait à créer l’organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). […] »

Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos — l’ancêtre du FEM – Kissinger a prononcé le discours d’ouverture et a déclaré :

« Pour la première fois dans l’histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s’est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l’élite européenne de soutenir le projet. — C’est ce qu’a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l’idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d’argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l’un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

Les premières réunions à Davos

La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L’orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l’hôtel de Bilderberg près d’Arnhem, dont il était alors propriétaire. — À l’époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu’en 1976.

En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation :

« Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l’économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s’était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

Jusqu’en 1983, le European Management Symposium était, comme l’a dit Klaus Schwab dans son discours d’ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l’économie mondiale ».

3. Financement du FEM

Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d’utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d’environ un million de francs. La réserve d’argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d’impôts fédéraux.

Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s’agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s’élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.

Partenaires stratégiques

Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d’Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l’un des quatre cabinets d’audit les plus importants au monde avec un chiffre d’affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie.

La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM :

https://www.weforum.org/partners/#search

Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d’affaires de 383 millions de francs pour l’année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

4. Structure de direction du FEM

Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Selon ses propres termes, il s’agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

Le président du Forum est depuis 2017 l’homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l’Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l’Économie et du Commerce (jusqu’en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

Membres du curatorium du FEM

Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

Ajay Banga — manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

Marc Benioff — entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

Thomas Buberl — manager allemand et président du conseil d’administration du groupe d’assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

Laurence D. Fink — entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d’actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s’élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d’administration du CFR.

Orit Gadiesh — manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l’un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

Kristalina Georgieva — femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

André Hoffmann — Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d’administration de Roche Holding AG (Suisse), l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

Joe Kaeser — manager allemand. Président du conseil d’administration de Siemens de 2013 à 2021. À gagné 9,27 millions d’euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. À participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

Christine Lagarde — juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

David M. Rubenstein — entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l’une des plus grandes sociétés d’investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d’administration du CFR.

Al Gore — homme politique et écologiste américain. N’a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l’agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l’Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l’affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n’a rien à faire dans les écoles.

À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale

La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d’œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale.

L’émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg — le gouvernement secret de l’ombre ? » (www.kla.tv/26318)

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 — qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d’un groupe d’étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu’en 1985 et ensuite, jusqu’à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (*né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d’une position forte lors des conférences Bilderberg.

Kissinger a été l’un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu’à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981. À l’occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger — stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

Le groupe Bilderberg a été fondé à l’initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l’actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d’un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires :

« Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d’“internationalistes” et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d’autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique — un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j’en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

Conclusion intermédiaire

Jusqu’ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d’œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.

5. Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d’exercer une influence sur la politique internationale.

L’expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation :

« Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l’inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

Mission du FEM

Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

[https://www.kla.tv/WEF/19027]

« Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

« … et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l’ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable. »

6. Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019 — c’est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

Année 1968 — Club de Rome – Dictature climatique

Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s’étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l’initiation et l’utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d’administration d’Olivetti et d’Italcon.

Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l’orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s’agit à l’origine d’un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l’humanité, publié en 1972.

Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l’humanité et en a déduit l’exigence d’une réduction de la population mondiale.

Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform! »[enregistré en français] :

« Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c’est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

Année 2000 — GAVI, la dictature de la vaccination

[Explication : GAVI = abréviation de l’anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation »)].

[https://www.gavi.org/]

L’Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l’événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

« Les initiateurs de la création de l’Alliance étaient l’OMS, l’UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l’Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l’Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d’euros pour les années 2021 à 2025.

Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui devient encore plus intéressant, c’est qu’en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l’ID2020, c’est l’Alliance pour l’identité numérique, c’est l’alliance pour la promotion de l’identité numérique. Et c’est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l’on regarde — donc GAVI est une organisation médicale — on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n’est autre que José Manuel Barroso, l’ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d’Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L’actionnaire principal de Goldman Sachs n’est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée. »

Année 2005 — Young Global Leaders (« Jeunes leaders mondiaux »)

Selon le site Internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation :

« Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d’autres ».

L’objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L’initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d’action visant à réaliser la vision d’un monde idéal en 2030.

Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Économique Mondial — Le pouvoir mondial en arrière-plan » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, P. 64-65] ce qui suit :

« Pour la première fois, l’élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l’instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who’s Who de l’élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l’ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d’un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 265]

« Le président russe Vladimir Poutine n’apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l’a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

(Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019) :

« Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! Avec eux, le chancelier Kurz et la Première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui est intéressant, c’est qu’ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c’était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c’était l’ex-chancelier Kurz, en France, c’était Monsieur Macron, au Canada, c’était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c’était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM. »

Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l’émission.

Année 2007 — Réunion annuelle des nouveaux champions

En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d’été ». Il s’agit de représentants d’« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l’Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.

Année 2011 — Global Shapers (« Façonneurs mondiaux »)

En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

[Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV : https://www.kla.tv/WEF/22827

« Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans. »

Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l’agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l’ombre du FEM.

Année 2016 — Transhumanisme

Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l’« édition génétique » à l’intelligence artificielle et à l’impression 3D. « Édition de gènes » — en anglais « genome-editing » — est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l’ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

« Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

« Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

« Comment l’homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

À ce sujet, l’expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 117]

« Le livre de Schwab “La Quatrième Révolution Industrielle” a été publié à l’occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. […] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l’évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu’il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI]

La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

« La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons […], mais aussi notre propre identité. »

« Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique — bien sûr qu’elle est numérique, physique, c’est la nanotechnologie, mais elle est aussi biologique. »

Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l’humanisme comme suit : https://www.kla.tv/18254

Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

« Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

À ce stade, il est important de s’arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l’humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s’opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

Année 2019 — Agenda 2030

Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l’ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d’accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s’agit d’objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ».

En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l’avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L’accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l’émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l’agenda de l’ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l’ONU révèle les sombres secrets de l’ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

« Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d’autres, sont en train de mettre en place l’Agenda 2030 à l’échelle mondiale. Il s’agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L’objectif ultime de l’Agenda 2030 est d’établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d’eux se trouvent des groupes d’intérêts financiers qui agissent totalement dans l’ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l’humanité. »

Année 2019 — Événement 201 — Dictature de Covid

Selon le site web de l’« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l’« Event 201 ».

Il s’agissait d’un cas fictif de pandémie grave à l’échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L’exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l’OMS les premiers cas de Covid-19.

Année 2020 — Great Reset — Dictature numérique

The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l’initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l’économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s’agit [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 133] :

« Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage “COVID-19 La Grande Réinitialisation”, co-rédigé avec l’auteur Thierry Malleret. […] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s’attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c’est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n’est considérée que comme un phénomène passager. […] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, pages 144-145]

« L’introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. […] Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d’un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l’État de fixer de manière centralisée la quantité d’argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d’intérêt en fonction des besoins. […] Les citoyens comprendront très vite que l’État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d’intérêt individuels, des taux d’imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l’argent à […] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu’à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ».

« Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d’un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM.

Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire “dans notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d’appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L’un après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n’avait aucun sens pour nous de “posséder” beaucoup. »

La non-possession est promue comme une aubaine.

Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

« De l’extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l’ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l’appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne. »

Ivo Sasek a également une solution pragmatique toute prête, comme il l’a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

« En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d’abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM. »

7. Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

Il est important de garder à l’esprit que ces acteurs et d’autres n’agissent pas de manière autonome, mais qu’ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

Chine

De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu’en décembre 1978, celui-ci a amorcé l’abandon de l’économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979.

Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96]

« 2009 a été la 30e année de participation d’une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d’État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139]

« Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan “Great Reset” […] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139]

« Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n’est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145]

« Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM […], c’est parce que, malgré le passage d’une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l’époque du maoïsme. C’est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d’une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

Dans l’émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! — le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

https://www.kla.tv/27164

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.

Comme l’a démontré l’émission de Kla.TV « Chine — ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l’origine une association d’étudiants de l’université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d’écoles et d’hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l’ExpressZeitung suisse (numéro 50 d’octobre 2022), c’est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu’au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l’historien britannique Antony C. Sutton écrivait :

« Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une “superpuissance” construite avec la technologie et l’expertise américaines. »

De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d’octobre 1917 — qui mit fin au tsarisme et marqua l’avènement du communisme — fut soigneusement orchestrée par l’élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l’industrie lourde de l’URSS.

Russie

En 1986, l’Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l’année précédente. À l’époque, cette rencontre s’appelait encore « European Management Forum » jusqu’en 1987.

Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu’avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l’élaboration du programme.

En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C’est sous la direction de cette dernière que s’est déroulé l’exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s’entraîner aux cyberattaques et à la défense contre celles-ci.

Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l’ère Gorbatchev, il n’y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans l’introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu’État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU. C’est ce qui ressort d’une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l’occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver.

La déclaration commune mentionne nommément :

« la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l’industrialisation, l’économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s’avèrent être des instruments dans la mise en place d’une dictature mondiale centralisée, il convient d’observer si cela concerne également la Russie.

8. Le FEM en un point

Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

● Le FEM n’est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l’influence de son professeur Henry Kissinger.

● Le « European Management Symposium » — l’ancêtre du FEM — est né d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l’agenda d’un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l’échelle mondiale avec l’aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l’élite des grandes entreprises mondiales s’y est regroupée.

● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l’un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d’outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019, c’est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d’instruments à l’agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l’ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l’intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l’humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu’ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d’une véritable conspiration mondiale.

Il ne s’agit pas d’une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d’un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d’être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l’une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l’ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

Tout cela a été révélé dans l’émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ».

[https://www.kla.tv/23995]

Voyez pour finir la conclusion de cette émission : Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple — un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !

de dd./mw.

Sources/Liens :




Pierre Chaillot : « L’OMS est un passe-plat, financée par des névrosés bourrés de fric ! »

[Source : putsch.media]

Pierre Chaillot, statisticien et auteur de « Covid 19 : ce que révèlent les chiffres officiels » publié aux éditions de l’Artilleur était l’invité dans le grand entretien de Nicolas Vidal. Il est revenu sur les effrayantes statistiques des effets secondaires des vaccins concernant les décès et la baisse fulgurante de la natalité. Il a abordé également le rôle obscur de l’OMS sur cette épidémie.

[À partir de 0:59]





Des nouvelles de Reiner Füellmich

[Source : expose-news.com]

Mise à jour : Reiner Füellmich s’exprime. Sa déclaration personnelle et communiqué de presse de la défense

Par Patricia Harrité

Le Dr Reiner Füellmich est emprisonné depuis près de 11 semaines. Il a écrit son propre récit personnel, dont la première partie a été lue à haute voix sur Bittel TV et traduite. Il avait dit : « Ce n’est pas fini. » La pandémie du coronavirus n’était qu’un test pour savoir ce que les gens accepteraient lorsque nous les plongerions dans la panique par la psycho-terreur. Nous devons regarder derrière la propagande de panique pour voir la vérité. » Il a ajouté : « Sans justice, il n’y a pas de paix ni de retour à un monde humain. Cela vaut également pour mon cas. » La traduction anglaise de la première partie peut être trouvée ici.

La traduction officielle des parties 2 et 3 de l’équipe de Reiner Füellmich a été reçue par Elsa Scheider du Sommet de la Vérité la semaine dernière et a été republiée ci-dessous pour nos lecteurs qui ont manifesté leur inquiétude et leur intérêt pour la situation de Reiner (Source). Vient ensuite le communiqué de la défense publié le 23 décembre.

« La vérité — Déclaration personnelle du Dr Reiner Füellmich »

Partie 2 : Le début du Comité Corona

Chers amis, militants et êtres humains intéressés par la vérité.

Ceci est la 2e partie de ma « Déclaration personnelle » pour rendre transparents pour vous tous les événements des dernières semaines, mois et années.

Comment se fait-il que de graves allégations de détournement de fonds aient été portées contre moi publiquement et dans le cadre d’une plainte pénale par quatre anciens compagnons d’armes du Comité Corona ? À quelles personnes j’avais confiance lorsque je travaillais avec le Comité Corona ? Comment se fait-il que je me trouve aujourd’hui dans une prison de haute sécurité en Allemagne — et que je sois totalement innocent ?

Je dois surtout me le reprocher, car mon instinct professionnel m’a clairement trahi (ou je n’ai pas assez écouté), et je n’ai tout simplement pas suffisamment prêté attention aux détails des TO-DO quotidiennes, sinon je l’aurais remarqué le coup d’État prévu bien plus tôt.

Mais tout d’abord :

Ma femme Inka et moi avons vécu avec nos chiens dans notre ranch en Californie du Nord jusqu’au début du mois de juin 2020 et j’ai fait mon travail juridique principalement à partir de là. Lorsque la plandémie a commencé en 2020, nous avons tous deux été immédiatement convaincus que quelque chose n’allait pas ici. J’ai rapidement fait mes valises, car je voulais contribuer à faire la lumière sur la plandémie en Allemagne. Après tout, j’ai 30 ans d’expérience en tant que plaideur et j’ai passé de nombreuses années à étudier le droit médical et pharmaceutique à l’Université de Göttingen. De plus, j’ai eu de nombreux contacts issus de mon travail en droit médical.

Le Dr WW, en qui j’avais confiance à l’époque, m’a mis en relation avec Mme VF. Lors de la première rencontre en face à face à Berlin, j’ai été gêné par certains de ses comportements, mais j’ai décidé d’enlever mes lunettes critiques, d’ignorer mon intuition et de faire confiance à une amie.

Nous avons convenu de créer la commission Corona, car il était clair en juin 2020 que le Bundestag allemand, qui en était réellement responsable, ne lancerait pas sa propre enquête, pour des raisons qui ne m’étaient pas encore évidentes à l’époque. La commission Corona devait immédiatement clarifier ces questions clés :

Les scientifiques, les médecins, les économistes, les avocats, les hommes politiques, etc. devraient nous aider à clarifier ces questions. Deux scientifiques allemands, un professeur de finance et un expert en immunologie et vaccination faisaient déjà partie de notre cercle. Malheureusement, ils n’étaient pas d’accord avec les contrats de VF établis par son notaire et nous ont donc quittés.

Je me souviens que l’un d’eux s’est également méfié de VF dès le début.

Nous avions besoin de remplacements rapidement. Deux ans plus tôt, alors que je travaillais pour l’ONG anticorruption Transparency International, j’avais rencontré le professeur de droit Martin Schwab et je suis depuis resté ami avec lui. À son tour, il m’avait présenté à deux avocats de Hambourg qu’il avait promus. Faisant confiance à l’expertise du professeur Schwab, je leur ai demandé à tous deux s’ils souhaitaient remplacer les scientifiques du comité Corona. Aujourd’hui, je sais que c’était le début de la fin. Tous deux ont rapidement montré que l’argent signifiait plus pour eux que la clarification et l’éclairage.

Le Comité Corona a rapidement rencontré un succès tout à fait inattendu. Depuis que nous avons mené les enquêtes d’experts en allemand et en anglais par flux vidéo, nos émissions du vendredi sont rapidement devenues populaires dans le monde entier. De nombreuses personnes étaient convaincues que nous utiliserions plus tard les résultats de ces entretiens comme preuve dans des procédures internationales de dommages et intérêts, comme dans le cadre d’un recours collectif. Nous étions au bon endroit au bon moment avec notre travail. J’en étais et j’en suis toujours convaincu.

En interne, malheureusement, les choses semblaient différentes. J’ai vite remarqué que VF et les autres montraient peu d’intérêt pour notre travail contrairement à moi qui me concentrais presque entièrement sur ce travail. En plus des interviews au sein de la commission, j’ai donné cinq interviews internationales à l’époque et je me suis ainsi efforcé de fournir des informations sur notre travail dans le monde entier et pas seulement en Allemagne.

Après avoir appris d’experts critiques qu’un test PCR ne pouvait en aucun cas détecter une infection, et qu’il avait été délibérément utilisé ici de manière abusive, j’ai publié une vidéo de 50 minutes en allemand et en anglais en septembre 2020. J’y expliquais que les mesures Corona, qui avaient déjà fait à cette époque toujours plus de victimes et de dégâts, pouvaient être qualifiées de crimes contre l’humanité, et qu’il valait mieux les clarifier juridiquement avec les moyens du droit anglo-américain. À ma grande surprise, la vidéo a été visionnée des millions de fois avant d’être soudainement supprimée par YouTube/Google.

Sur la base de cette vidéo, le collègue américain Robert F. Kennedy jr., que j’ai rencontré pour la première fois à Berlin en août 2020, a fondé le « groupe de travail PCR Test » sur sa plateforme CHD, avec l’aide de sa présidente Mary Holland. J’appartiens également à ce groupe. Depuis octobre 2020, des scientifiques, médecins, avocats, etc. respectés s’y réunissent chaque semaine pour discuter de tous les aspects liés à la plandémie.

Parallèlement, je résumais régulièrement nos longs entretiens au Comité Corona le dimanche sur la plateforme « Bittel.TV » de Roger Bittel. L’énorme popularité du Comité Corona a donné lieu à un grand nombre d’enquêtes dès août 2020. Les petites et moyennes entreprises souhaitaient notamment savoir comment elles pouvaient obtenir une indemnisation pour les dommages subis à la suite des confinements. Et des collègues avocats du monde entier voulaient être en contact avec les experts. À cette époque, de nombreux avocats pensaient encore qu’une audition judiciaire des preuves avec nos experts en tests PCR permettrait d’apaiser rapidement toute la panique, basée sur la tromperie et la manipulation.

Cela a permis de récolter des fonds (700 € par personne) pour un éventuel recours collectif. Les fonds sont tous là, mais ont été détournés frauduleusement vers un autre compte. J’en parlerai en détail ailleurs.

En raison de mon expérience de près de 30 ans en matière de contentieux, j’étais plutôt sceptique quant à la réussite rapide d’une approche juridique solide en Allemagne et dans le reste du monde. J’ai donc conseillé de mener un contentieux en dommages-intérêts dans un pays anglo-américain, où il existe une possibilité de recours collectifs et un réel droit de preuve et des dommages-intérêts punitifs pour les dommages intentionnels. Mes collègues internationaux y travaillent d’arrache-pied. La question des recours collectifs est plus que jamais d’actualité et nous sommes convaincus qu’elle mènera finalement au succès.

Partie 3 – La fin du Comité Corona — Circonstances malheureuses ou coup d’État planifié de longue date ?

Chers amis, militants et frères humains intéressés par la vérité,

dans la 3e partie de ma déclaration personnelle, il vous apparaîtra rapidement que j’étais de plus en plus un combattant solitaire dans les affaires du Comité Corona et que mes co-partenaires ont tiré une corde commune pour se débarrasser de moi et aussi pour me ruiner sur le plan privé. J’ai une part de responsabilité dans cette affaire. En tant qu’être humain, mais plus encore en tant qu’avocat, j’aurais dû voir venir les événements et les prévenir.

Revenons à mon compte. Ainsi, alors que j’étais en route, également avec des avocats internationaux, pour l’AC et que j’y mettais toute mon énergie, curieusement, les autres membres ne semblaient pas aussi conscients de l’importance du travail de la commission Corona. Aucun d’entre eux n’a assisté aux réunions stratégiques. Aucun d’entre eux n’a fait d’effort pour faire connaître le travail du Comité, en particulier au-delà des frontières de l’Allemagne. À partir de la fin de l’année 2020, JH et AF en particulier se sont uniquement intéressés à la manière dont ils pouvaient gagner le plus d’argent possible avec des mandats Corona dans le cadre de leur communauté de bureaux nouvellement créée.

Lorsque, fin 2021/début 2022, avec le groupe d’avocats internationaux, j’ai mené les enquêtes du Grand Jury avec l’aide de nos experts pour montrer que, et comment, une clarification juridique de la pandémie pouvait fonctionner, ces avocats n’ont plus du tout joué de rôle. Cependant, l’enquête modèle du Grand Jury est devenue un succès qui a attiré l’attention du monde entier.

Le travail du Comité Corona était désormais si populaire que, fin 2020, nous avions déjà reçu de nombreux dons. Cependant, nous n’avions besoin que d’une partie de cet argent pour payer notre technologie, notre informatique, nos traducteurs, les dépenses de mon bureau, etc. Il y avait une grosse somme d’argent sur notre compte de dons. Cet argent n’était pas en sécurité de notre point de vue. Un blocage ou une saisie des comptes nous aurait immédiatement mis hors d’état de nuire. C’est pourquoi VF et moi-même avons décidé de ne laisser sur le compte de dons que les montants directement nécessaires au travail du Comité Corona et de mettre à l’abri d’un accès éventuel les fonds dont nous n’avions pas besoin dans un premier temps.

Comme je le sais aujourd’hui, l’Office national des enquêtes criminelles de Basse-Saxe avait demandé au ministère public d’enquêter sur VF, RF, AF et JH, ainsi que sur un collègue qui avait géré temporairement le compte de dons, en raison de rapports suspects de blanchiment d’argent émanant des banques, qui avaient à plusieurs reprises clôturé notre compte de dons. Ces enquêtes ont été abandonnées par la suite.

Pour nous assurer que nous ne serions pas vulnérables en raison de la sécurisation de l’argent, nous avons conclu des accords de prêt, qui ont également été ouvertement présentés dans les états financiers annuels. Bien entendu, il n’y aurait eu aucun intérêt à transférer les prêts d’un compte divulgué à un autre compte ouvert. Nous avons donc décidé de les investir dans ma propriété allemande (en tant que valeur équivalente) et dans l’or en tant que réserve de valeur sûre. La maison avait une valeur de 1 345 000 euros. Nous voulions de toute façon la vendre et chercher un nouvel endroit où vivre en Allemagne. Par conséquent, l’argent que j’avais emprunté était en sécurité, comme je le pensais à l’époque. Mais les choses se sont passées différemment. Je ferai un rapport à ce sujet.

En outre, j’ai investi 1,1 million d’euros dans des dons en or. Cela a également été révélé ouvertement dans les états financiers annuels. La VF a également conclu un contrat avec le Comité Corona pour obtenir un prêt. Ce retrait a également servi à sécuriser notre argent. Le prêt a dépassé les 100 000 euros, ce qui est également indiqué dans les états financiers annuels.

En juillet/août 2021, JH et AF nous ont soudainement recontactés pour obtenir des informations sur les dons. Je soupçonnais que leurs démarches juridiques avaient échoué. Entre-temps, j’avais appris qu’ils ne disposaient d’aucune structure dans leur bureau et, en particulier, qu’ils n’avaient même pas été en mesure d’engager au moins une secrétaire. Je n’avais pas vérifié cela au début de notre collaboration, une erreur de ma part avec le recul.

Comme JH et AF avaient effectivement quitté le travail de la commission Corona et aussi parce qu’ils avaient récemment travaillé en étroite collaboration avec une personne qui, comme je le sais aujourd’hui, a infiltré le parti politique « dieBasis » en compagnie d’un franc-maçon, nous avons d’abord refusé de fournir ces informations.

Mais pour ne pas perdre d’énergie dans des discussions inutiles, nous avons finalement remis un aperçu des recettes et des dépenses. Il est rapidement apparu qu’ils voulaient « détourner » le Comité Corona et au moins m’en éliminer. Cette tentative ayant échoué, JH a proposé dans un accord écrit que lui et AF quittent l’entreprise si nous leur versons la moitié des dons sur un compte de leur mentor, le professeur Martin Schwab. Bien entendu, VF et moi-même avons rejeté cette proposition et avons demandé à JH et AF de ne plus se présenter au comité.

Nous n’avons pas eu de nouvelles d’eux pendant environ un an. Fin 2021, avec mon accord et avec l’aide de leur notaire, VF a créé une nouvelle société pour le fonctionnement du Comité Corona. VF et moi-même détenions une participation de 50 % dans cette société. Ce nouveau Comité Corona dispose de son propre compte et ne doit donc plus dépendre des comptes séquestres des avocats. Tous les droits de l’ancienne société ont également été transférés à cette nouvelle société. J’ai accepté les contrats qui m’ont été soumis par VF.

Au début de l’année 2022, il était devenu de plus en plus difficile de travailler avec VF. C’est pourquoi j’ai accepté la proposition de participer au Crimes Against Humanity Tour aux États-Unis. Cela signifiait que j’allais passer près de trois mois et demi à voyager dans neuf villes américaines et à donner des conférences avec deux scientifiques américains bien connus, le Dr Judy Mikovits et l’économiste et expert en technologie et transhumanisme, Patrick Wood. Cependant, à partir de là, j’ai continué toutes les activités liées au Comité Corona : j’ai continué les interviews via Zoom, j’ai donné en moyenne cinq interviews par semaine, j’ai participé aux conférences du groupe de travail sur le test PCR et j’ai résumé les réunions du Comité tous les week-ends sur Bittel.TV. En outre, j’ai travaillé avec des collègues internationaux pour entamer des procédures judiciaires dans le but d’intenter des actions en dommages et intérêts à grande échelle. À l’époque, j’étais au bord du burn-out…

Après mon retour des États-Unis, j’ai réalisé que l’incompétence chaotique de VF et son indifférence à l’égard de nos invités, que j’avais acceptées à contrecœur jusque-là, s’étaient encore aggravées. C’est pourquoi je l’ai confrontée en juillet 2022. Je l’ai informée que j’allais retourner dans mon ranch en Californie avec ma femme et mes chiens, également pour être plus proche de l’action en justice, mais que je continuerais à travailler au sein du comité comme d’habitude. En outre, j’avais désespérément besoin d’une plus grande participation de sa part !

Immédiatement après, comme je le sais aujourd’hui, VF a repris contact avec JH et AF, ainsi qu’avec leur collègue du cabinet d’avocats MT. En août 2022, il y a eu une réunion et une discussion. À la suite de cette réunion, la campagne commune de diffamation publique contre moi a commencé le 9-2-.2022 et des poursuites pénales ont été engagées contre moi le même jour. Je n’en savais rien à l’époque. En raison de la coïncidence entre la date du « licenciement » et celle de la plainte pénale, il est clair pour moi aujourd’hui que « l’autre partie » n’a jamais été intéressée par la résolution des différends.

Une semaine avant le 9-2-.2022, VF m’avait informé qu’il n’y aurait pas d’émission du comité Corona ce jour-là parce que la femme de notre directeur de la télévision allait avoir son deuxième enfant. Un mensonge, comme je l’ai compris plus tard. Mais j’ai cru à ce mensonge et je ne me suis pas présenté, VF et WW avaient — comme le dit VF — « un tir clair » sur moi. VF est apparue devant la caméra de la commission Corona, dramatiquement vêtue de noir. Elle a déclaré, sans m’en informer en tant que partenaire, que je n’étais plus autorisée à comparaître devant la commission Corona. Elle a donc décidé unilatéralement et de manière totalement arbitraire que je n’avais plus le droit d’être présent au sein de la commission Corona que j’avais façonnée jusqu’alors et dont je détenais 50 % des parts, hier comme aujourd’hui !

Pour justifier ses actions illégales et illicites, elle et WW, également devant la caméra, ont déclaré que j’étais accusé d’irrégularités financières et que j’étais par ailleurs « une grande gueule ». WW aimait particulièrement cette étiquette.

Je ne voulais pas encombrer inutilement la commission Corona et sa réputation mondiale avec des problèmes internes. Un espoir vain.

Peu de temps après, VF, WW, JH, AF et le partenaire de VF à l’époque sont apparus devant la caméra pour un procès d’une heure avec Reiner Fuellmich. Cette campagne a finalement culminé avec plusieurs vidéos de plus en plus insensées de VF affirmant que « les enfants du personnel de la commission doivent être affamés » à cause de moi. Apparemment complètement déséquilibrée, elle a finalement appelé à me « chasser » et a couronné cet appel par un « Halali », un cri de chasse allemand qui signale la fin d’une chasse. Non seulement moi, mais aussi les téléspectateurs avons été choqués, comme en témoignent les commentaires sur le chat.

Le contenu de la plainte pénale de 30 pages, que JH a également déposée au nom d’AF et de MT, est encore plus fou. JH, AF et MT savaient en 2020 que 700 000 euros avaient été garantis par moi par un contrat de prêt et garantis par ma propriété. Ils savaient également que la vente de ma maison était prévue depuis longtemps et qu’elle était imminente. Notre propriété a été vendue le 03/10/2022 pour 1 345 000,00 € en notre absence par l’intermédiaire d’un notaire. Comme je l’ai dit, nous n’avons jamais vu cet argent à ce jour ! Je vous expliquerai comment ce coup d’État a eu lieu dans la partie suivante.

Et c’est encore pire : Après avoir reçu la plainte pénale, j’aurais dû être entendu, conformément au principe audiatur et altera pars. Mais cela m’a été refusé. J’en connais aujourd’hui les raisons : JH a déclaré au parquet que je le menaçais « avec une Winchester ». Et comme cela ne semblait pas assez dangereux, il a poursuivi en affirmant qu’en tant que membre du parti « dieBasis », je radicaliserais d’autres membres et appellerais à la violence contre lui. En outre, j’étais antisémite et il se sentirait menacé en raison de son origine ethnique.

En raison de ces scénarios de menace totalement fictifs, ma femme et moi nous sommes vus refuser le droit à une clarification équitable de la situation par les autorités pendant plus d’un an. Apparemment, le ministère public s’est senti mis sous pression par ces scénarios de menace. JH a même dit aux autorités que les deux autres plaignants retireraient la plainte pénale si le ministère public m’accordait un procès équitable. Littéralement, il écrit : « … si Fuellmich ou l’un des autres accusés avaient la possibilité de s’exprimer avant l’ouverture de la procédure pénale, les témoins (c’est-à-dire VF, JH, AF et MT) s’abstiendraient de déposer la plainte pénale par crainte de menaces, de violences et de diffamation ».

Par la suite, le compte privé de ma femme a été saisi. Lorsque nos avocats ont demandé à ce que ma femme soit entendue, il leur a été répondu qu’ils ne recevraient aucune information, car elle faisait également l’objet d’une enquête. Un mandat d’arrêt européen a ensuite été émis à mon encontre le 15 mars 2023, bien entendu sans que je puisse être entendu.

Entre-temps, ma femme et moi étions partis pour un voyage au Pérou dans le cadre du recours collectif. Sur le chemin du retour, nous voulions rendre visite à des amis au Mexique et reprendre l’avion pour l’Allemagne. C’est là que nous avons été informés par notre ville natale que les autorités étaient prétendument à ma recherche. Malheureusement, les collègues de mon cabinet d’avocats n’ont reçu aucune information des autorités sur la situation. Nous ne pouvions donc pas vraiment évaluer le nouveau scénario dans notre pays, et nous sommes donc alors restés au Mexique.

En contrepartie de la commission Corona, je disposais désormais de mon propre label « ICIC », avec lequel, comme auparavant au sein de la commission, j’interrogeais des experts internationaux sur les crimes contre l’humanité à l’échelle mondiale. Un petit groupe de travail de l’ancienne commission Corona m’avait suivi et nous avons donc pu nous remettre rapidement au travail.

Néanmoins, en octobre 2023, tout est retombé dans le chaos le plus complet. Cela s’est terminé par l’exécution à Francfort du mandat d’arrêt européen susmentionné à mon encontre, après que j’ai été expulsé d’un pays non européen (le Mexique) sous protection policière. — Un suspense qui, comme je le sais aujourd’hui, était tout sauf une coïncidence. Je vous en parlerai dans le prochain épisode.

En conséquence, je suis en prison depuis des semaines. Les vrais coupables sont toujours en liberté. Ils possèdent également l’argent du recours collectif et l’argent de mon domicile privé. Je peux le prouver. Tous les documents sont conservés en toute sécurité par mon équipe juridique. Je vous expliquerai dans le prochain épisode comment les « agitateurs » ont fait en sorte que tout cela se termine de manière « fructueuse » pour eux. Source

Reiner Füellmich : Communiqué de presse de la Défense

Initialement publié par Elsa lors du Truth Summit le 23 décembre 2023.

On pourrait dire que la vérité est ennuyeuse — c’est-à-dire que Reiner a dit fondamentalement la même chose quelques jours après que VF ait parlé contre lui que ce qu’il dit maintenant, et que ce qui est indiqué dans le communiqué de presse de la défense. Il y a quelques détails supplémentaires. Ils ajoutent un tout petit peu, mais rien n’est changé.

Voici donc le communiqué de presse.

Le 17 novembre 2023, le parquet de Göttingen a porté plainte contre le Dr Reiner Füellmich sur la base d’une plainte pénale déposée par d’anciens actionnaires, sans que la défense ait eu préalablement accès à tous les volumes du dossier d’enquête ou ait eu la possibilité de formuler des observations. L’accusé n’a pas non plus été interrogé conformément à l’article 163a du code de procédure pénale allemand (StPO) avant le dépôt de l’acte d’accusation. De même, les témoins principalement cités dans l’acte d’accusation n’ont pas été interrogés.

D’une part, il s’agit de la somme de 700 000 euros, qui fait déjà l’objet d’un mandat d’arrêt. Or, la base du paiement des 700 000 € était constituée par deux contrats de prêt également signés par Viviane Fischer (l’un daté du 6 novembre 2020 pour 200 000 € et l’autre daté du 14 mai 2021 pour 500 000 €).

Le ministère public a supposé à tort, au moment de l’acte d’accusation, que les deux contrats de prêt impliquaient une opération intéressée inadmissible. Cependant, selon le procès-verbal complet de la fondation du 9 juillet 2020, les quatre actionnaires ont été nommés directeurs généraux avec un pouvoir de représentation unique, de sorte que Viviane Fischer a pu représenter efficacement la Corona-Commission-Entrepreneurial-company-in-formation seule dans les deux contrats de prêt.

À l’époque, des rumeurs circulaient sur la saisie de comptes à la FGMF ; en fait, les comptes du membre éminent Professeur Dr Hockertz ont été saisis, ainsi que, par la suite, ceux d’autres médecins poursuivis au pénal dans le cadre des mesures Corona, et enfin, exemple le plus marquant, ceux de Michael Ballweg, qui a également été placé en détention provisoire pendant 9 mois.

Les dons doivent donc être investis dans des réserves de valeur durables, telles que l’or ou l’immobilier. Le Comité Corona a acheté pour environ 1 million d’euros d’or, qui est toujours stocké en toute sécurité chez Degussa. Le bien immobilier de Reiner Füellmich devait servir de contre-valeur au montant du prêt de 700 000 euros.

Au moment de la vente, le 3 octobre 2022, le bien n’était pas grevé et les 700 000 euros devaient être remboursés au Comité Corona sur le prix d’achat de 1 345 000 euros. Cependant, cela a été empêché jusqu’à aujourd’hui par l’inscription d’une charge foncière le 18 novembre 2022, c’est-à-dire un mois et demi plus tard — à notre avis illégale — et le paiement d’un montant de 1 158 250 € en faveur du plaignant Marcel Templin. Cette question doit être clarifiée, y compris par le ministère public.

Il importe peu que des sommes aient été dépensées pour réaménager le jardin de la propriété, car cela a directement contribué à l’augmentation de la valeur et donc à l’obtention d’un prix d’achat plus élevé.

L’acte d’accusation fait également état de paiements effectués par le Comité Corona au cabinet d’avocats de Reiner Füellmich pour un montant de 25 000 euros par mois plus la TVA au cours de la période allant du 1er janvier 2021 au 31 juillet 2022. Selon l’acte d’accusation, ces fonds ont été utilisés pour payer les salaires et les cotisations de sécurité sociale des employés de son cabinet d’avocats.

Le ministère public ne reconnaît pas que les employés du cabinet d’avocats de Füellmich ont fourni un service en échange de ces paiements mensuels à la Commission Corona. Pendant deux ans, ils ont été presque exclusivement occupés à répondre aux demandes de renseignements adressées à la commission Corona. Plus de 300 000 courriels ont été traités, des centaines, voire des milliers d’appels téléphoniques ont été passés et des milliers de lettres ont été traitées. En raison du volume de courriers électroniques, un nouveau système informatique a dû être acheté. Ce travail, absolument indispensable à la poursuite de l’activité du Comité, n’a pas été effectué au siège du Comité à Berlin.

La communication avec les partisans de la commission Corona comprenait un premier conseil juridique pour ceux qui cherchaient de l’aide, l’acquisition d’interlocuteurs, la sélection de scientifiques et d’autres experts, qui ont finalement eu leur mot à dire lors des réunions hebdomadaires.

Si cette communication n’avait pas eu lieu, le Comité Corona aurait pu cesser ses activités peu de temps après sa création.

Les prestations fournies par les collaborateurs du cabinet d’avocats Füellmich faisaient donc partie de l’objet social de la commission. Les témoins cités par le procureur dans l’acte d’accusation pour cette série de crimes n’ont pas été entendus avant le dépôt de l’acte d’accusation, ce qui est inhabituel.

Source : Truth Summit

Elsa du Truth Summit ajoute — PS. Pour faire un don pour les dépenses juridiques et autres, voici le lien : https://www.givesendgo.com/GBBX2




Le FÉM veut contrôler tous les aspects de la vie publique

[Source : aubedigitale.com]

Par Frank Bergman

Le Forum économique mondial (FEM) et son fondateur Klaus Schwab font pression pour mettre en place leur programme mondialiste qui vise à contrôler tous les aspects de la vie publique.

En 1971, Klaus Schwab a reçu un capital de départ de 6 000 dollars et a transformé le FEM, qui n’était à l’origine qu’un modeste rassemblement d’économistes, en un club des plus exclusifs pour les élites mondiales.

Le FEM, qui était à l’origine une organisation « à but non lucratif », engrange aujourd’hui la somme astronomique de 390 millions de dollars par an.

Un nouveau livre du journaliste d’investigation Seamus Bruner a mis en lumière l’agenda du FEM et la manière dont Schwab s’est positionné en tant que marionnettiste mondial.

Bruner a dirigé les équipes dont les conclusions ont déclenché de multiples enquêtes du FBI et du Congrès sur les Clinton et les Biden.

Aujourd’hui, il dénonce les milliardaires qui contrôlent les leviers du pouvoir qui dominent tous les aspects de votre vie.

Le livre, intitulé « Controligarchs : Exposing the Billionaire Class, Their Secret Deals, and the Globalist Plot to Dominate Your Life », suit l’argent au-delà des politiciens dans le marécage de Washington D.C. et va directement au sommet : Davos.

C’est dans cette petite ville alpine de Suisse que les milliardaires de la jet-set et les bureaucrates de l’ombre préparent la prochaine décennie de nos vies.

La capitalisation boursière des principaux membres du FEM — des mastodontes comme Apple, Microsoft, Amazon, Meta, Google, Comcast et Pfizer — dépasse les 10 000 milliards de dollars.

Ce chiffre est doublé si l’on inclut le gestionnaire d’actifs BlackRock, qui pèse 10 000 milliards de dollars.

Le fondateur et PDG de BlackRock, Larry Fink, est membre du conseil d’administration du FEM.

Avec plus de 20 000 milliards de dollars, soit plus que le PIB de tous les pays du monde à l’exception des États-Unis, qui se baladent dans les coffres de ses membres, il est facile de comprendre pourquoi le FEM peut exercer une influence extraordinaire.

Mais la domination constante du FEM sur les gouvernements du monde a permis d’obtenir bien plus que ce que l’argent aurait pu permettre.

Le pouvoir économique de l’organisation lui permet d’exercer un contrôle politique et social.

Les nombreuses façons dont le FEM complote pour contrôler l’avenir de la société font froid dans le dos.

Les principaux points à l’ordre du jour comprennent la prise de contrôle par les mondialistes non seulement de la finance, mais aussi de l’énergie, de l’alimentation, de la santé, de l’information personnelle et de la technologie.

Les contrôligarques tirent le rideau et révèlent en détail les systèmes et tactiques dystopiques que le FEM est en train de mettre en place.

Les éléments clés de l’ordre du jour du FEM comprennent :

La fameuse déclaration de Schwab sur la « Grande Réinitialisation » au milieu du COVID-19 a démontré que le FEM avait l’intention d’utiliser la pandémie pour influencer le présent et commander l’avenir.

En contrôlant les industries et les infrastructures essentielles, le FEM et ses alliés mondialistes non élus, tels que l’Organisation des Nations unies (ONU), la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exerceront un contrôle sans précédent sur tous les aspects de notre vie.

Il ne s’agit toutefois pas de projets pour un avenir lointain, car la campagne du FEM est déjà en cours.

La Banque des règlements internationaux, qui est le banquier central des banques centrales, travaille d’arrache-pied au déploiement des monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

Selon Agustin Carstens, président de la BRI, les CBDC offrent un « contrôle total » sur la masse monétaire et le public, comme le rapporte Slay News.

Avec une CBDC, le système financier mondialiste peut annuler financièrement (ou « débanquer ») un individu, une entreprise, une ville entière, voire un pays tout entier.

Le FEM proclame que l’exploration des CBDC a connu une « croissance exponentielle ».

Le mois dernier, l’Atlantic Council a confirmé que la « dynamique en faveur » des CBDC « restait forte » jusqu’en 2023.

Étant donné qu’aucune crise ne justifie l’urgence des CBDC, celles-ci sont vantées pour leur commodité.

Le FEM et Larry Fink, de BlackRock, ont tous deux vanté le fait que les migrants peuvent réduire la durée de leurs transactions transfrontalières lorsqu’ils envoient de l’argent dans leur pays d’origine.

Lorsque Schwab a annoncé la « grande remise à zéro », il a dit au monde qu’une fois que tout le monde serait vacciné, les blocages prendraient fin et le monde se reconstruirait de manière plus « verte ».

Le lien entre la pandémie et le changement climatique n’était pas évident à l’époque.

Mais le lien est aujourd’hui évident.

L’idée d’un « confinement climatique » n’est pas farfelue.

En Californie, le démocrate Gavin Newsom, qui est étroitement aligné sur le FEM, a sermonné ses électeurs en leur disant que leur comportement devait changer et que leur confort et leur liberté devaient être sacrifiés pour « le plus grand bien ».

Les méthodes de Newsom consistent à limiter l’accès aux thermostats domestiques, à réduire les déplacements sur de longues distances et, bientôt, à éliminer les véhicules et les cuisinières à gaz.

La prétendue menace du « changement climatique » a également permis aux gouvernements du monde entier de bouleverser des méthodes agricoles établies de longue date en interdisant les engrais traditionnels et en aplatissant les sources de protéines comme le bétail.

Les restrictions soutenues par le FEM réduisent les agriculteurs à néant.

Pour « résoudre » la pénurie alimentaire mondiale qui s’annonce, les membres du FEM et leurs alliés, tels que Bayer-Monsanto, Beyond Meats et Impossible Foods, ainsi que des entreprises innovantes de protéines à base d’insectes, sont entrés dans la danse.

Les contrôligarques qui investissent massivement dans ce secteur sont Bill Gates, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg et Richard Branson de Virgin Galactic.

Le mois dernier, les partenaires du FEM, dont l’ONU et la Fondation Gates, ont organisé un événement intitulé « 50 en 1 » au cours duquel les alliés se sont engagés à déployer des systèmes d’identification numérique dans 50 pays d’ici cinq ans.

Pourquoi ? Les cartes d’identité numériques liées aux dossiers médicaux numériques stockés sur votre téléphone portable sont un moyen incroyablement efficace de suivre votre statut vaccinal.

De nombreux partenaires du FEM, dont Bill Gates, envisagent un système d’identification numérique obligatoire depuis plus de dix ans.

Mais les passeports vaccinaux COVID-19 ont montré comment les cartes d’identité numériques peuvent être utilisées pour imposer sans pitié le respect des règles par les citoyens.

En fait, l’identification numérique de l’Union européenne, liée au FEM, est une extension du système mis au point pour le passeport vaccinal européen.

Lors d’un événement parrainé par l’ONU en 2010, Gates a déclaré que « les vaccins allaient être la clé », car « on pourrait enregistrer chaque naissance sur le téléphone portable, obtenir les empreintes digitales, obtenir une localisation, puis utiliser ces systèmes pour se déplacer et s’assurer que la vaccination a bien lieu », ce qui permettrait de gérer les soins de santé « de manière plus efficace ».

Le FEM dissimule souvent les plans dystopiques que ses partenaires sont en train d’élaborer.

Cependant, Controligarchs a passé au crible des centaines d’heures de vidéos oubliées et des milliers de pages — dont beaucoup ont été supprimées d’Internet — pour révéler que des visionnaires du FEM comme Yuval Noah Harari vantent hardiment des innovations telles que les micropuces cérébrales, les médicaments de complaisance de type pilule du bonheur et l’édition de gènes de type eugénique.

Qu’on ne s’y trompe pas, les cartes d’identité numériques plus les CBDC équivalent à un score de crédit social de facto.

Harari, quant à lui, pense que le corps humain tout entier peut être et sera « piraté ».

Harari a fait remarquer que le COVID-19 était « critique » parce qu’il a convaincu les gens d’ » accepter » et de « légitimer la surveillance biométrique totale ».

Mais il ne suffit pas de surveiller tout le monde.

À l’avenir, « nous devrons surveiller ce qui se passe sous leur peau ».

Les micropuces sous-cutanées ne sont qu’un début, car le corps humain tout entier est la toile de fond d’étranges expérimentations mondialistes et d’un pouvoir centralisé.

Tout au long de l’histoire, « la mort a été le grand égalisateur », poursuit Harari.

Pourtant, la soi-disant quatrième révolution industrielle proposée par Schwab donnera naissance à un nouveau système de castes dans lequel les pauvres continueront à mourir.

Les élites riches du monde, quant à elles, « en plus de toutes les autres choses qu’elles obtiennent, bénéficient également d’une exemption de la mort », se réjouit Harari.

Les élites seront alors en mesure d’acheter l’immortalité grâce à des améliorations biotechnologiques, afin de transcender l’humanisme lui-même.

Ce ne sont là que quelques-uns des projets choquants et liberticides que le FEM a commencé à mettre en œuvre.

Parmi les autres secteurs soumis à la prise de contrôle du FEM figurent le logement dans les « villes du quart d’heure », l’éducation grâce à l’IA qui fait progresser « l’apprentissage socio-émotionnel », la circulation de l’information via la répression de ce qu’on appelle la « désinformation », et bien d’autres encore.

Traduction de Slay News par Aube Digitale




UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)

https://drsambailey.com/wp-content/uploads/2023/09/A-FAREWELL-TO-VIROLOGY-Expert-Edition-English.pdf

[Traduction Jean Bitterlin]

UN ADIEU À LA VIROLOGIE
(ÉDITION POUR EXPERT)

Dr Mark Bailey

Publié le 15 septembre 2022

Sommaire

  • Résumé
  • 1re PARTIE

    • Le SARS-CoV-2 n’a pas été trouvé
    • Le Dr Siouxsies Wiles – L’acolyte de « l’isolement » en virologie
    • Pourquoi l’isolement a de l’importance
    • C’est quoi la Virologie
    • L’absence de contrôle en Virologie signifie que ce n’est pas de la recherche scientifique
    • Maltraitance animale et étude d’anticorps
    • Le paradoxe de la quantité de virus

  • 2e PARTIE

    • Fan Wu et coll. Deus ex Machina
    • Des tortues jusqu’en bas
    • Les affirmations du CDC au sujet du SARS-CoV-2
    • Les divulgations de Peng Zhou et coll.
    • Plus de tromperie en provenance de Wuhan ?
    • L’amorçage par le Professeur Stephen Bustin d’une pandémie de tests PCR

  • 3e PARTIE

    • « Petit Chien de Montagne » — Naïf ou s’éclairant au gaz ?
    • La diversion « Fuite du laboratoire »
    • Virologie et société close
    • Séquençage métagénomique : le dernier soupir de la virologie ?
    • Pourquoi s’interroger sur l’existence de virus pendant une guerre

  • POST-SCRIPTUM

    • Au sujet de l’Auteur
    • Index

Un Adieu à la virologie

(Édition pour expert)

Résumé

La virologie a inventé le modèle du virus, mais a toujours échoué à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que les humains, et cependant les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots des dictionnaires afin de soutenir leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas l’existence physique des particules pour se voir attribuer le statut d’« isolat ».

Une particule virale doit remplir des propriétés physiques et biologiques définies, notamment être un parasite intracellulaire capable de se répliquer et de provoquer une maladie chez un hôte tel que l’homme. Cependant, les « virus » tels que le SARS-CoV-2 ne sont rien d’autre que des constructions fantômes, qui n’existent que dans l’imagination et les simulations informatiques. Dans ce paradigme, les cas de maladies inventées comme le COVID-19 ne sont rien d’autre que la détection de séquences génétiques et de protéines sélectionnées censées être « virales ». L’existence d’un virus n’est pas nécessaire dans cette boucle de raisonnement circulaire et des « pandémies » entières peuvent donc être construites sur la base de créations numériques et faussement soutenues par des réactions moléculaires in vitro (« en éprouvette »).

Cet essai contient trois parties.

La 1re partie décrit une partie de l’histoire de la virologie et les échecs des virologues à suivre la méthode scientifique. Les nombreuses et vastes affirmations des virologues peuvent toutes être démontrées comme étant erronées pour les raisons suivantes : (a) l’absence de preuves directes et (b) l’invalidation des « preuves » indirectes en raison de l’absence d’expériences de contrôle. Les exemples fournis couvrent tous les aspects majeurs de la fraude virologique, y compris l’isolement présumé, les effets cytopathiques, la génomique, les anticorps et les études de pathogénicité animale.

La 2partie examine la fraude utilisée pour propager la « pandémie » COVID-19. Une analyse de la méthodologie utilisée par les inventeurs originaux, Fan Wu et coll., montre comment le SARS-CoV-2 fictif a été « créé » par des méthodes anti-scientifiques et des tours de passe-passe linguistiques. Cela fait partie d’une tromperie permanente où l’on prétend que les virus existent en les calquant sur des modèles de « virus » antérieurs. Si l’on prend l’exemple du SRAS-CoV-2, la piste des modèles génomiques de « coronavirus » remontant aux années 1980 révèle qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune de ces séquences génétiques provenait de l’intérieur d’une particule virale — les arbres phylogénétiques sont des fantaisies. L’application erronée de la réaction en chaîne de la polymérase a propagé cet aspect de la fraude virologique et créé les « cas » permettant de maintenir l’illusion d’une pandémie.

La 3partie fournit une analyse de la manière dont certains participants clés, les institutions de « santé » et les médias grand public maintiennent l’illusion du virus par le contrôle de l’information et des récits qui reprennent les affirmations de la virologie. Par le plus grand des hasards, la fraude virologique se retrouve aujourd’hui au cœur de la fraude COVID-19. À partir de là, cependant, elle peut être évaluée de manière critique par des personnes extérieures à la virologie et le paradigme pseudo-scientifique que la virologie a construit autour d’elle-même peut enfin être démantelé et enterré. L’objectif de cet essai est de réfuter les différentes affirmations selon lesquelles les virus pathogènes existent et provoquent des maladies. Le SARS-CoV-2 a été utilisé comme principal exemple, mais les principes s’appliquent à tous les prétendus virus. Ce qui suit aborde la littérature souvent obscure de la virologie dans ses propres termes, ce qui, il faut le dire, peut rendre certaines parties de cet essai un peu lourdes à lire. Cependant, nous espérons que cette contribution comblera une lacune pour le lecteur qui recherche une compréhension plus technique de l’hypothèse du virus, car elle cherche à exposer le fondement même des prétendues pandémies et des pratiques médicales frauduleuses. La menace que représente la virologie pour l’Humanité s’accroît, il est donc temps de faire nos adieux à ces pratiques pseudo-scientifiques destructrices et de nous libérer de nos peurs inutiles.

1re partie

Le SARS-CoV-2 n’a pas été trouvé

La première preuve que la théorie des virus pathogènes est problématique est peut-être le fait qu’aucun article scientifique publié n’a jamais montré que des particules répondant à la définition des virus ont été directement isolées et purifiées à partir de tissus ou de fluides corporels d’un homme ou d’un animal malade. Si l’on se réfère à la définition communément admise du terme « isolement », qui consiste à séparer une chose de toutes les autres, tout le monde s’accorde à dire que cela n’a jamais été fait dans l’histoire de la virologie.

Dr Thomas Cowan et coll., The « Settling the Virus Debate » Statement (Déclaration sur « Trancher le Débat sur les Virus »), 20221.

À la date du 11 septembre 2022 et à la suite d’enquêtes approfondies menées dans le cadre de demandes de liberté d’information (en anglais FOI pour Freedom of Information) coordonnées par Christine Massey, aucune des 209 (([1] NdT : à ce jour plus de 300)) institutions scientifiques ou de santé importantes, réparties dans plus de 35 pays, n’a été en mesure de fournir des preuves directes de l’existence du prétendu virus SARS-CoV-2.2 Il a été demandé aux institutions de produire tout document démontrant « la purification du “SARS-CoV-2” » qui aurait causé la maladie chez l’homme (par macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse ; également appelée parfois par certains « isolement »), directement à partir d’un être humain malade… ». À de nombreuses reprises, après avoir admis l’absence de telles preuves, des institutions telles que le ministère néo-zélandais de la Santé suggèrent ensuite qu’« il existe plusieurs exemples d’isolement et de culture du virus en laboratoire » 3.

Cependant, les exemples cités sont universellement des expériences de culture de tissus par procuration, dans lesquelles le mot « isolement » a perdu sa signification et il n’a pas été démontré qu’une particule, imagée (([2] NdT : une image)) ou imaginée, possède les propriétés d’un virus pathogène. En tout état de cause, il s’agit d’une diversion par rapport au problème plus large mis en lumière par les demandes de FOI (([3] NdT : dans les pays anglo-saxons existent des lois appelées Freedom of Information Act — loi sur la liberté de l’information — qui stipulent que le contribuable qui finance les instituts publics [ici de santé] a le droit de savoir ce qui est fait avec ses impôts. Ces instituts doivent donc répondre à toutes les demandes d’éclaircissements)), à savoir que les particules prétendument virales ne peuvent jamais être trouvées sur des sujets humains. La virologie a trouvé des excuses à cette absence de preuves, mais même en tenant compte de cette lacune embarrassante, elle n’a plus d’endroit où se cacher, car ses diverses méthodologies sont de plus en plus examinées par des personnes extérieures au domaine. Cet essai décrit les nombreux aspects de l’antiscience de la virologie qui ont été utilisés pour maintenir l’illusion de l’existence de virus pathogènes. La situation est devenue de plus en plus dangereuse et, depuis le début de l’année 2020, « la pandémie » COVID-19 a été utilisée comme cheval de Troie pour mettre l’Humanité à genoux.

Le Dr Siouxsie Wiles L’acolyte de l’« isolement » de la Virologie

La centrifugation à gradient de densité est la technique standard scientifiquement requise pour démontrer l’existence d’un virus. Bien que cette méthode soit décrite dans tous les manuels de microbiologie comme la « technique d’isolement des virus », elle n’est jamais appliquée dans les expériences visant à démontrer l’existence de virus pathogènes…

Dr Stefan Lanka, 2015. 4

La défense des méthodologies de la virologie est évidemment tentée par ses promoteurs, dont la microbiologiste préférée du gouvernement néo-zélandais et des médias financés par l’État, Siouxsie Wiles5. Son employeur, l’université d’Auckland, fait partie des institutions qui ont désormais confirmé qu’elles n’avaient « effectué aucun travail de purification du virus Covid-19 » 6 et que, par conséquent, elles n’avaient ni trouvé ni isolé chez un sujet humain le soi-disant virus appelé SARS-CoV-2. Cette professeure agrégée, qui a déclaré au pays que « le Monde est en feu » en mars 20207, a été nommée Néo-Zélandaise de l’année en 2021 pour avoir « aidé des millions de personnes dans le Monde à dépasser la peur et la complexité de la pandémie… et contribué à notre sécurité » 8. Dans son article de novembre 2020 intitulé « Koch’s postulates, COVID, and misinformation rabbit holes » (Postulats de Koch, COVID et trous de lapin de la désinformation) (([4] NdT : un trou de lapin est une expression utilisée pour désigner une situation bizarre, déroutante ou absurde dont il est généralement difficile de se sortir)), Wiles affirme que « les personnes qui demandent des preuves de l’existence du virus SARS-CoV-2 responsable de COVID-19 formulent spécifiquement leur demande de manière à exclure l’obtention de toute preuve de l’existence du virus » 9. Son article a rapidement pris la tangente sur le fait que les postulats de Koch n’étaient pas adaptés aux virus et elle les a donc déclarés invalides dans ce contexte. On ne sait pas exactement pourquoi elle n’a pas mentionné les postulats de Rivers10, qui ont été conçus spécifiquement pour inclure les virus, mais peut-être parce qu’elle devrait admettre que ces postulats n’ont jamais été satisfaits non plus. Et si les postulats de Koch concernent l’établissement de la cause de la maladie et de la contagion, plutôt que la question spécifique de savoir si des particules virales peuvent être trouvées dans ou à partir de sujets humains, elle aurait pu simplement expliquer que les virologues ont passé une grande partie du 20siècle à essayer, sans succès, d’identifier des virus directement à partir d’êtres humains malades. Wiles a ensuite introduit de manière fallacieuse les postulats moléculaires de Falkow11 dans son argumentation, sans expliquer comment ils pourraient être utilisés pour démontrer l’existence physique du prétendu SARS-CoV-2 chez l’homme ou ailleurs.

Fait gênant pour Wiles, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a déclaré en 2003 qu’en ce qui concerne le SARS-CoV-1, « l’identification concluante d’un (agent) causal doit répondre à tous les critères du postulat de Koch (sic). Les expériences supplémentaires nécessaires pour remplir ces critères sont actuellement en cours dans un laboratoire aux Pays-Bas » 12. L’article de l’OMS a été retiré de son site Web sans explication en 2021, mais il est toujours possible d’y accéder par le biais d’Internet Archive13 (([5] NdT : organisme à but non lucratif consacré à l’archivage du Web qui agit aussi comme bibliothèque numérique)). L’affirmation fantaisiste selon laquelle les postulats de Koch ont été respectés en 2003 par Fouchier et coll. avec le SARS-CoV-1 a été réfutée ailleurs14. Leur expérience sur les singes n’a pas seulement été invalidée par l’absence d’expériences de contrôles et par une voie d’exposition non naturelle, mais, comme dans toutes les publications sur la virologie, ils n’ont pas réussi à mettre en évidence une particule répondant à la définition d’un virus. Wiles semblait également en désaccord avec Na Zhu et coll., l’une des premières équipes à avoir prétendu avoir découvert le SARS-CoV-2, car ils ont admis que « bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV (appelé plus tard “SARS-CoV-2”) dans l’épidémie de Wuhan. D’autres éléments confirment l’importance étiologique du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan, notamment… des expériences sur des animaux (singes) qui apportent la preuve de la pathogénicité » 15.

Cependant, que les virologues veuillent ou non considérer la validité des postulats de Koch, il s’agit simplement d’une autre diversion, car les postulats exigent l’isolement physique d’un microbe plutôt que l’affirmation qu’il existe par des moyens tels que les simulations informatiques, l’imagerie de vésicules dont la fonction biologique est inconnue, ou l’affirmation que les soupes biologiques non purifiées administrées à des animaux contiennent des « virus ».

Wiles a également décidé de défendre la mauvaise utilisation flagrante par la virologie du mot « isolement » en déclarant : « quant à l’utilisation de l’isolement dans le sens courant du terme, plutôt que la définition pertinente pour la question posée ? Eh bien, c’est tout simplement ridicule et c’est un signe clair que ces demandes de preuves ne sont pas faites de bonne foi » 16 Elle semblait incrédule que d’autres aient souligné que la définition d’un mot utilisé scientifiquement avait été unilatéralement changée par les virologues pour impliquer qu’une certaine preuve avait été obtenue. Cependant, si leur utilisation du terme « isolement » ne signifie pas ce que la plupart des gens pensent qu’il signifie, alors il est probable que la majorité du public soit mal informée. À ce titre, Wiles participe activement à la désinformation, qu’il s’agisse d’un acte d’aveuglement volontaire ou non. Wiles doit faire preuve d’expertise et expliquer au public ce que signifie la définition de l’isolement en virologie, en particulier lorsqu’il s’agit de démontrer l’existence supposée de virus. Elle pense peut-être l’avoir expliqué lorsqu’elle a écrit que « lorsque les virologues veulent isoler un virus à partir d’un échantillon, ils prennent l’échantillon ou une partie de celui-ci et l’ajoutent à des cellules — généralement des cellules qui sont relativement faciles à cultiver en laboratoire — et regardent ensuite si les cellules meurent et/ou si des particules virales sont libérées dans le bain nutritif liquide dans lequel les cellules se développent » 17 Il n’est pas clair si Wiles sous-entend que l’« isolat de virus » est établi par : (a) le prélèvement de l’échantillon, (b) la mort de certaines cellules in vitro, (c) la libération de « particules virales » revendiquées dans la culture de tissus, ou (d) tous ces éléments ou une combinaison de ceux-ci. Cependant, rien de ce qu’elle a décrit n’exige l’existence de virus — il s’agit d’un jeu de tromperie, qu’il soit délibéré ou non. Il s’agit simplement d’affirmer qu’un virus se trouve dans l’échantillon, d’imputer au virus imaginé l’effondrement des cellules soumises à un stress expérimental dans l’éprouvette, puis de déclarer que certaines vésicules (dont la composition et la fonction biologiques n’ont pas été établies) étaient des virus. Cet exercice présente une autre faille fatale. Comme cet essai le détaillera, les affirmations selon lesquelles l’existence du SARS-CoV-2 a été démontrée par cette méthodologie sont toutes scientifiquement invalides, car aucune des expériences n’a été réalisée avec des contrôles valables.

Ceci est exemplaire de la manière dont Wiles a agi dans son rôle d’influenceur clé de la campagne de désinformation du gouvernement néo-zélandais et de son programme de déploiement meurtrier d’un produit injectable appelé ComirnatyTM — affirmant que des expériences non spécifiques de culture de tissus vérifient l’existence du virus alors que rien de tel n’a été démontré. Le problème ne se limite pas au SARS-CoV-2 : tous les virus dont on affirme l’existence s’appuient sur une pseudoscience similaire. L’histoire de la virologie révèle que les types de cellules finalement sélectionnées pour ces expériences sont celles qui ont une propension à s’effondrer en raison des « effets cytopathiques » (ECP) induits par le virus, plutôt que celles qui sont « relativement faciles à cultiver en laboratoire », comme l’affirme Wiles dans son article. Par exemple, les cellules de singe Vero E618 sont depuis longtemps privilégiées par les virologues, soi-disant en raison de leur « aptitude » à héberger de nombreux virus, mais aussi, de manière suspecte, parce que la lignée rénale aneuploïde19 est plus sensible aux agressions toxiques provoquées par des ingrédients supplémentaires tels que les antibiotiques et antifongiques néphrotoxiques omniprésents qui sont ajoutés au mélange de culture. Lorsqu’un groupe a tenté de cultiver le SARS-CoV-2, il n’a pas obtenu les résultats escomptés avec des cellules d’adénocarcinome humain (A549), des cellules hépatiques humaines (HUH7.0), des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T) et une lignée de cellules rénales de grande chauve-souris brune (EFK3B), mais il a ensuite déclaré qu’il disposait d’un « isolat viral » après avoir observé des ECP dans des cellules Vero E620. Comme à l’accoutumée, ils n’ont pas ressenti l’ironie du fait que le prétendu virus respiratoire humain ne puisse pas « infecter » le type de cellule concerné, et encore moins l’espèce concernée. Et leurs expériences ont été une fois de plus invalidées par l’absence de cultures de contrôle appropriées.

Pourquoi l’isolement est-il important

Celui qui contrôle le langage contrôle les masses

Saul Alinsky21

Un autre embarras pour la virologie est que les particules virales présumées qui ont été purifiées avec succès ne se sont pas révélées capables, par elles-mêmes, de se répliquer ou de provoquer des maladies. En d’autres termes, ce qui a été physiquement isolé ne peut être considéré que comme des vésicules extracellulaires (VE). En mai 2020, une publication parue dans la revue Viruses affirmait que « de nos jours, il est presque impossible de séparer les VE et les virus au moyen des méthodes canoniques d’isolation des vésicules, telles que l’ultracentrifugation différentielle, parce qu’ils sont souvent coagulés en raison de leur dimension similaire » 22. « Aujourd’hui » signifie par opposition au passé et l’on ne voit pas comment un tel changement technique observé peut être concilié avec les lois biologiques. Il semble plus probable que les virologues se distancient de leurs propres techniques afin d’éviter la réfutation de leurs propres postulats. Ils devront peut-être accepter que la raison pour laquelle l’ultracentrifugation différentielle n’est pas capable de séparer les virus des autres vésicules est que leur affirmation selon laquelle les virus sont présents dans l’échantillon est mal fondée.

Les virologues détournent manifestement l’attention de la question fondamentale de l’isolement, car ils n’ont pas été en mesure d’agir sur ce front. Au lieu d’aborder le problème honnêtement et scientifiquement, ils ont brouillé les pistes. En 2017, le Groupe de Perth (([6] NdT : scientifiques australiens qui ont dès le début dénoncé le narratif du SIDA et en particulier les méthodes non scientifiques de Montagnier)) a souligné dans son opus magnum, « Le VIH — un virus à nul autre pareil », qu’« en virologie, alors que la purification conserve son sens dans le langage courant, l’“isolement” est un terme expéditif que les virologues attribuent à des données qui, selon eux, prouvent l’existence d’un virus particulier » 23. En d’autres termes, il est commode et pratique, mais en ce qui concerne les affirmations qui sont faites et les actions subséquentes qui sont menées contre l’Humanité, il devrait être considéré comme inapproprié et immoral. Dans le même essai, le Groupe de Perth a documenté les exemples suivants de virologues qui adaptent le langage scientifique, comme il convient, à leurs propres fins.

Jay Levy, spécialiste du VIH, définit l’isolement d’un virus comme un « échantillon d’un virus provenant d’une source définie », White et Fenner comme la capacité d’« identifier un virus totalement imprévu, voire de découvrir un agent entièrement nouveau ». Montagnier et Weiss comme la « propagation (des virus) dans des cellules en culture ». La sixième édition de 2013 de Fields Virology définit l’isolement comme suit : « Les virus peuvent être isolés d’un hôte infecté en prélevant des matières excrétées ou sécrétées, du sang ou des tissus et en recherchant l’induction des symptômes originaux chez l’hôte identique ou l’induction d’une pathologie anormale chez un hôte de substitution ou dans une culture cellulaire… Une fois que la présence d’un virus a été établie, il est souvent souhaitable de préparer un clone génétiquement pur ». Il va sans dire que si l’isolement d’un virus consiste à « prélever un échantillon d’un virus à partir d’une source définie » ou à « le propager dans des cellules en culture », il faut d’abord avoir la preuve que le virus existe dans « une source définie » ou « dans des cellules en culture ». L’isolement d’un virus ne consiste pas non plus à « induire une pathologie anormale » ou « une fois que la présence d’un virus a été établie ». 24

C’est une farce que cet état de fait existe et cette pratique grossièrement trompeuse rend les nombreuses affirmations d’isolement de la virologie non fondées. Mais les virologues eux-mêmes donnent-ils une explication à leur abus incessant de la langue anglaise ? En 2021, le professeur Vincent Racaniello, virologue chevronné, a expliqué, même en ce qui concerne la définition de termes fondamentaux tels que « isolat », que « ce qui se passe, c’est que vous êtes formé dans le laboratoire de quelqu’un et vous les entendez dire des choses, vous leur associez une signification et c’est ce que vous faites, et il se peut qu’ils aient raison ou non » 25. Dans la même présentation, Racaniello a expliqué qu’il n’y avait pas d’explication à cette pratique trompeuse. Dans la même présentation, Racaniello lui-même n’a pas semblé remarquer un problème avec sa propre définition de ce qui est censé être des termes scientifiques lorsqu’il a poursuivi en disant : « un isolat est un virus que nous avons isolé à partir d’un hôte infecté et que nous avons propagé en culture ». Ironiquement, dans un article de 2015 concernant la terminologie scientifique appropriée et le mot « transfection » 26, Racaniello a déclaré : « si vous considérez la langue anglaise comme un moyen de communication dynamique qui évolue continuellement et donne aux mots de nouvelles significations, alors cette utilisation incorrecte de transfection ne vous dérange probablement pas. Mais les scientifiques doivent être précis dans leur utilisation du langage, sinon leur capacité à communiquer sera compromise » 27. Une analyse de la présentation de Racaniello sur l’isolement viral et l’utilisation abusive du langage en science a été traitée précédemment par le Dr Samantha Bailey dans « The Truth About Virus Isolation » 28 (La vérité au sujet de l’isolement des virus). Elle illustre le problème où plusieurs générations de virologues semblent piégées dans un monde de raisonnement sémantique circulaire, bien qu’avec des degrés de perspicacité différents.

La virologie a inventé l’hypothèse des virus ; par conséquent, quelle que soit la méthode employée pour tenter de prouver leur existence, elle doit répondre à cette définition. Au cœur de la question se trouve un concept simple et nous avons besoin de voir la preuve que les particules supposées responsables de la maladie provoquent de nouvelles particules qui sont des clones des premières. Il n’est pas possible d’affirmer que les protéines et les acides nucléiques détectés sont d’origine virale spécifique à moins que les particules virales présumées n’aient été véritablement isolées par purification et qu’il n’ait été démontré qu’elles possédaient ces caractéristiques biologiques clés. Comme le souligne le Groupe de Perth dans « Le VIH, un virus à nul autre pareil », la purification est nécessaire pour prouver l’existence des virus pour plusieurs raisons, dont les suivantes :

  1. Les virus ne se répliquent que dans les cellules vivantes. Étant donné que les cellules et les virus sont composés des mêmes éléments biochimiques, la séparation des particules du matériel cellulaire est essentielle pour déterminer quels acides nucléiques et quelles protéines appartiennent aux particules virales.
  2. Afin de prouver que les particules sont infectieuses. En d’autres termes, ce sont les particules, et non d’autres facteurs, qui sont responsables de la production de nouvelles particules. Cela nécessite la purification des deux ensembles de particules.
  3. Afin de démontrer leurs effets biologiques et pathologiques.
  4. Afin d’obtenir des antigènes (protéines) et des acides nucléiques pour les utiliser respectivement dans les tests d’anticorps et de génomique29.

Bien que cela soit moins courant, les virologues obscurcissent aussi parfois le sens du terme « purification ». Le 23 mai 2022, le professeur belge de virologie Marc Van Ranst30 a affirmé qu’en ce qui concerne le SARS-CoV-2, « dans un autre article (https://europepmc.org/article/pmc/pmc7122600), ils ont purifié davantage le virus par ultracentrifugation dans de la bêta-cyclodextrine » 31. Van Ranst faisait référence à un article de 2008 décrivant « la préparation à grande échelle de virions de coronavirus du SARS activés par les UV », qui concernait le prétendu virus du SARS-CoV-132. Toutefois, cet article décrit simplement un protocole prétendant purifier les virions et aucune partie de l’article ne démontre l’existence d’une particule capable de réplication — tout ce qui a été montré, ce sont des images de mauvaise qualité censées montrer des cellules Vero E6 « infectées ». (Voir la section suivante concernant les « effets cytopathiques »). En ce qui concerne le « contrôle des virions purifiés » après centrifugation, aucune image n’a été fournie, mais il a été affirmé que « la concentration des virions purifiés est déterminée par le test BCA (acide bicinchoninique) (([7] NdT : acide utilisé en chimie analytique pour quantifier la quantité de protéine en solution)), avec la BSA (albumine de sérum bovin) comme étalon ». Cette conclusion n’est pas fondée, car le dosage BCA mesure simplement la concentration totale de protéines dans une solution — la technique n’est pas en mesure de fournir la preuve de la présence de « virions » dans un échantillon.

La figure 1 ci-dessous est une image censée montrer des virions purifiés de « coronavirus de type SARS de chauve-souris » et publiée dans Nature en 2013 — la légende explique pourquoi une telle déclaration est ridicule. (La variation pratique de la taille des particules est apparemment due au fait que « [les coronavirus] ont généralement un diamètre, hors projections, compris entre 80 et 120 nm, bien que dans les cas extrêmes le diamètre puisse varier entre 60 et 220 nm » 33). De même, l’affirmation de l’article cité de Van Ranst selon laquelle « il est préférable de confirmer la quantité de virion par SDS-PAGE à 10 % » 34 est tout aussi erronée, car il s’agit simplement d’un processus d’électrophorèse sur gel permettant de séparer les protéines en fonction de leur masse moléculaire — cela ne peut pas fournir la preuve que les protéines appartiennent à un virus. Van Ranst a également déclaré : « Nous pouvons déjà détecter l’ARN viral dans les échantillons cliniques. Nous pouvons achever le déchiffrage du génome viral. Nous pouvons cultiver le virus dans des cellules, l’inoculer à des modèles animaux et induire la maladie » 35. On ne sait pas si Van Ranst a compris que les méthodologies non contrôlées employées dans toutes ces expériences ne fournissent pas la preuve requise de l’existence d’un quelconque « virus ». Ainsi, lorsque Van Ranst affirme qu’« aucun scientifique ne doute de l’existence du SRAS-CoV-2 » 36, on peut se demander si les virologues ne vont pas devoir modifier la définition du terme « scientifique » pour maintenir leurs pratiques illusoires ?

Figure 1. Cette image a été décrite comme « (une) micrographie électronique de virions purifiés », obtenue par « ultracentrifugation dans un coussin de saccharose à 20 % (5 ml) à 80 000 g pendant 90 minutes à l’aide d’un rotor Ty90 (Beckman) ». Outre le fait que les propriétés biologiques de ces vésicules imagées n’ont pas été établies, rien n’indique que quoi que ce soit dans la culture cellulaire Vero E6 ait été purifié et aucune autre image contextuelle n’a été fournie. En outre, aucune micrographie de culture témoin n’a été documentée. Source : Xing-Yi Ge, et coll. : Xing-Yi Ge, et coll., « Isolation and caractérisation d’un coronavirus de chauve-souris de type SARS qui utilise le récepteur ACE 2 », Nature, 30 octobre 2013 : https://doi.org/10.1038/nature12711 (Voir également la page 56 en ce qui concerne l’affirmation selon laquelle Ralph Baric et coll. ont utilisé ces « virus » pour en créer de nouveaux).

Van Ranst n’était cependant pas le seul virologue à prétendre avoir purifié des virus. En réponse à un courriel, le Dr Marica Grossegesse37 de l’Institut Robert Koch a répondu que « nous avons purifié des particules de SARS par gradient de densité. Cependant, seulement à partir du virus dérivé de la culture cellulaire, comme vous l’avez écrit. Le problème de la purification du SARS à partir d’échantillons de patients est que vous n’obtiendrez pas de bande visible » 38. Outre la terminologie imprécise consistant à substituer le nom d’un syndrome (« SARS » pour syndrome respiratoire aigu sévère) à un virus hypothétique, aucune autre preuve n’a été fournie quant à la manière dont ces affirmations ont été établies. On peut supposer que Grossegesse utilise également les définitions de « purification » et de « virus » telles qu’elles figurent dans la figure 1 ? Quoi qu’il en soit, lorsqu’on lui a demandé plus de détails sur la manière dont les expériences ont été contrôlées, elle a répondu : « Nous ne sommes pas autorisés à partager des protocoles avec une personne privée. Je ne peux que renvoyer à nos publications, où les expériences d’infection sont décrites en détail ». Il semble que le terme « détail » ait également pris un sens différent, puisque les publications n’ont pas divulgué les réponses directes concernant les contrôles recherchés.

Le domaine de l’isolement est l’un des domaines où la virologie est complètement déstabilisée et, comme cet essai le soulignera, le SARS-CoV-2 n’est rien d’autre qu’une construction informatique hypothétique, assemblée à partir de fragments génétiques dont la provenance n’a pas été prouvée. Il n’a jamais été démontré qu’une particule physiquement isolée (c’est-à-dire purifiée) était responsable de la production de particules identiques ou qu’une particule était à l’origine d’effets pathologiques chez l’homme ou dans un modèle animal expérimental. Ainsi, la déclaration de virologues tels que Van Ranst, ainsi que de l’OMS et de ses adhérents, selon laquelle une particule infectieuse appelée « SARS-CoV-2 » est à l’origine d’une pandémie, s’avère être une fraude scientifique et intellectuelle patente.

C’est quoi la virologie ?

Lorsqu’il est surpris, l’oiseau s’envole et vole en décrivant des cercles de plus en plus petits jusqu’à ce qu’il parvienne à voler sur son propre dos et à disparaître complètement, ce qui ajoute à sa rareté.

Le mythique « oiseau oozlum » 39 (([8] NdT : oiseau mythique des contes populaires australiens et anglais))

Il est difficile de savoir exactement comment appeler la virologie, mais ce n’est pas de la science. Les praticiens actuels se livrent à une forme de spéculation algorithmique ou statistique, à laquelle s’ajoutent le raisonnement circulaire et le biais de confirmation, avec une absence totale de ce qui devrait être le processus correspondant de réfutation qui se trouve au cœur de la méthode scientifique. Si l’abandon de la méthode scientifique peut passer inaperçu ou être accidentel pour les participants de niveau inférieur, il est presque certain qu’il existe des motivations conspiratrices aux niveaux supérieurs de la hiérarchie mondiale. Par exemple, l’OMS, les Centres de contrôle des maladies (CDC) et l’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni sont tous impliqués dans les pratiques trompeuses de la virologie, comme nous le verrons dans cet essai. Toutefois, les pratiques anti-scientifiques sont reproduites dans la plupart des autres pays, qu’il s’agisse des allégations d’isolement de virus et de l’application erronée de la réaction en chaîne de la polymérase (PCR) pour les diagnostics cliniques40, ou de l’absence de divulgation des détails de contrôle cruciaux impliqués dans la culture du virus et la création du génome, ce qui est l’objet d’une grande partie de cet essai.

Comment tester une théorie scientifique ? Karl Popper a exprimé la centralité de la réfutation d’une théorie ou d’une hypothèse de la manière suivante :

C’est donc, selon moi, la possibilité de la renverser, ou sa réfutabilité, qui constitue la possibilité de la tester, et donc le caractère scientifique d’une théorie ; et le fait que tous les tests d’une théorie soient des tentatives de réfutation des prédictions dérivées avec son aide, fournit l’indice de la méthode scientifique. Cette conception de la méthode scientifique est corroborée par l’histoire des sciences, qui montre que les théories scientifiques sont souvent infirmées par des expériences, et que l’infirmation des théories est en fait le vecteur du processus scientifique. L’affirmation selon laquelle la science est circulaire ne peut être soutenue41.

Historiquement, la virologie s’est caractérisée par un manque d’expériences de contrôle valables et aucune de ses affirmations fondamentales n’a été établie par l’application correcte de la méthode scientifique. Le premier virus présumé à avoir été découvert est le virus de la mosaïque du tabac, dont l’une des preuves serait contenue dans le traité de 1903 de Dmitri Ivanovsky intitulé « Über die Mosaikkrankheit der Tabakspflanze » (À propos de la maladie mosaïque du tabac) 42. Cependant, il est évident que les expériences décrites par Ivanovsky n’ont pas fait l’objet de comparaisons de contrôle valables et qu’elles étaient donc non scientifiques et non concluantes. Il a même déclaré que « cette maladie ne trouve des conditions d’existence favorables que dans les régions côtières ». Cette conclusion concorde parfaitement avec les observations ci-dessus concernant l’influence de l’humidité sur le développement de la maladie. La maladie mosaïque semble être propre aux climats humides et chauds43. Cependant, comme la théorie des germes était en train de devenir l’idéologie prédominante en matière de causes des maladies à cette époque, au lieu de conclure que la maladie mosaïque était causée par les conditions environnementales, Ivanovsky a conclu qu’il avait découvert un virus invisible.

Il est peut-être tentant de pardonner aux premiers pionniers que leurs méthodologies non contrôlées et non scientifiques étaient simplement des pratiques typiques de l’époque. Cependant, Claude Bernard, critique de la théorie des germes, a donné l’aperçu suivant de l’importance des contrôles dans l’adhésion à la méthode scientifique des décennies plus tôt, en 1865 : « Si nous caractérisons l’expérience par une variation ou une perturbation apportée à un phénomène, c’est seulement dans la mesure où nous impliquons que la perturbation doit être comparée à l’état normal. Comme les expériences ne sont en fait que des jugements, elles nécessitent nécessairement une comparaison entre deux choses ; et l’élément intentionnel ou actif d’une expérience est vraiment la comparaison que l’esprit a l’intention de faire44. Bernard soulignait la nécessité de disposer d’un contrôle valide ou d’une comparaison appropriée pour s’assurer que seul le nouvel élément expérimental était à l’origine d’un résultat. Ainsi, le plus charitable que nous puissions être serait de suggérer que certains des premiers chasseurs de virus n’étaient peut-être pas conscients de l’importance de la méthode scientifique dans leur poursuite enthousiaste et effrénée d’ennemis invisibles.

Continuons avec une autre découverte revendiquée, le manuel Rétrovirus nous informe qu’« en 1911, Peyton Rous, de l’Institut Rockefeller à New York, a signalé la transmission sans cellule d’un sarcome chez les poulets… Le virus isolé par Rous porte le nom de son découvreur » 45. Cependant, un examen de l’article de Rous, « A Sarcoma of the Fowl » 46 (le sarcome du poulet) révèle qu’il n’a pas prétendu isoler quoi que ce soit, et encore moins quelque chose qui corresponde à la définition d’un virus. Sa méthodologie consistait à broyer du matériel tumoral de poulet, à le filtrer et à l’injecter directement à d’autres poulets, en observant que certains d’entre eux développeraient également des tumeurs. Il a indiqué que les expériences « de contrôle » consistaient à injecter du matériel tumoral non filtré à des poulets, ce qui tendait à produire des tumeurs beaucoup plus importantes. Rous a postulé la présence d’un organisme ultramicroscopique causal, mais a admis qu’« un organisme d’une autre sorte n’est pas exclu ». En effet, l’expérience n’a pas permis de prouver l’existence d’une particule infectieuse et réplicative. Elle a simplement montré qu’un tissu malade introduit par une voie non naturelle et invasive dans un autre animal pouvait provoquer chez ce dernier un processus pathologique similaire.

L’affirmation selon laquelle, en 1925, le pathologiste William Gye a démontré que Rous avait trouvé un virus est également fausse. Il a simplement affirmé qu’un virus était à l’œuvre dans ces expériences et a déclaré ostensiblement : « Je souhaite particulièrement souligner un aspect de la recherche des virus invisibles, à savoir que l’expérimentation animale est la preuve finale de la présence de l’organisme dans un inoculum » 47. Une fois de plus, la « preuve finale » n’impliquait pas l’identification réelle d’un organisme infectieux dans l’inoculum — elle démontrait simplement la formation d’une tumeur à la suite de l’injection de tissus malades. En outre, il a été établi en 1927 que le sarcome de la volaille pouvait être induit par l’injection d’acide arsénieux dilué et de pulpe embryonnaire étrangère48. Les effets cancérigènes ont également été reproduits après la filtration bactériologique équivalente à celle effectuée par Rous et il a été démontré que la maladie provenait du tissu étranger et non des tissus de l’hôte. L’hypothèse virale aurait dû être abandonnée, mais un demi-siècle plus tard, l’establishment l’a maintenue en vie et a récompensé Rous par un prix Nobel en 1966 pour « sa découverte des virus inducteurs de tumeurs » 49.

En 1954, lorsque John Enders et Thomas Peebles ont affirmé avoir propagé le virus de la rougeole dans des cellules rénales humaines et de singe50, aucune tolérance supplémentaire n’aurait dû être accordée aux expériences non scientifiques de la virologie. Enders et Peebles ont ajouté des lavages de gorge et du sang à leurs cultures cellulaires et, après avoir observé des ECP (Rappel : Effet Cytopathique, changement structurel dans une cellule hôte résultat d’une infection virale — en anglais CPE pour Cytopatic Effect), c’est-à-dire des cellules mourantes et décomposées dans leurs tubes à essai, ils ont conclu que les manifestations in vitro « pouvaient être associées au virus de la rougeole ». Ils ont averti que « les effets cytopathiques qui ressemblent superficiellement à ceux résultant d’une infection par les agents de la rougeole peuvent éventuellement être induits par d’autres agents viraux présents dans le tissu rénal du singe ou par des facteurs inconnus », mais ils ont poursuivi en concluant de manière inappropriée que « ce groupe d’agents est composé de représentants de l’espèce virale responsable de la rougeole ». Enders et Peebles n’ont effectué aucune expérience de contrôle pour vérifier si la procédure de culture elle-même, c’est-à-dire le stress des cellules dans un tube à essai, produirait les mêmes ECP, invalidant ainsi les preuves de leur conclusion. Idéalement, plusieurs expériences de contrôle auraient dû être réalisées : certaines sans ajout d’échantillons d’origine humaine, d’autres avec des échantillons d’origine humaine provenant de sujets en bonne santé et d’autres encore avec des échantillons d’origine humaine provenant de sujets en mauvaise santé, mais dits ne souffrant pas cliniquement de la rougeole51 ou d’une autre affection « virale » présumée.

Les virologues ont cependant continué à répéter la méthodologie non contrôlée d’Enders et prétendent encore aujourd’hui que ces ECP sont des preuves incontestables de la présence de virus. Le Dr Stefan Lanka a documenté l’histoire de ces pratiques non scientifiques52 et, en 2021, a démontré que les ECP pouvaient être induits dans des cultures cellulaires par le processus de laboratoire lui-même53. Les résultats des expériences du Dr Lanka sont illustrés à la figure 2. Dans de nombreuses publications sur la virologie, il est fait mention d’une expérience de contrôle ou d’une « infection fictive », mais les détails de ces expériences brillent par leur absence. Une page Web de l’Université Northwestern (Illinois) indique qu’une infection factice est « un contrôle utilisé dans les expériences d’infection. Deux spécimens sont utilisés, l’un est infecté par le virus/vecteur en question et l’autre est traité de la même manière, mais sans le virus. »54 La définition est déjà problématique, car des termes tels que « virus » et « infecté » ont été introduits et sont donc présumés exister avant d’être établis. En tout état de cause, comme on le verra, les personnes impliquées dans l’isolement présumé du virus et la création du génome ne traitent certainement pas le spécimen faussement infecté de la même manière sans le « virus », et peuvent faire preuve de mauvaise foi ou d’obstruction flagrante lorsqu’on les presse d’admettre ce fait.

Figure 2. Expériences du Dr Stefan Lanka : Les ECP (flèches blanches) ont été induits en stressant les cellules épithéliales par des passages et des antibiotiques. L’ajout d’ARN de levure (4e colonne) a induit encore plus d’ECP. Aucun « virus » n’a été ajouté et les expériences ont été réalisées en trois exemplaires. Source : Stefan Lanka et coll., « Präliminäre Resultate der Kontrollversuche – Die Reaktion primärer humaner Epithelzellen auf stringente Virusamplifikations-Bedingungen widerlegen die Existenzbehauptungen aller Viren und von SARS-CoV-2 » (Résultats préliminaires des essais de contrôle — La réponse des cellules épithéliales humaines primaires à des conditions d’amplification virale strictes réfute les affirmations d’existence de tous les virus et du SRAS-CoV-2), 25 mars 2022 : https://coldwelliantimes.com/eilmeldung/kontrollexperiment

En juin 2022, en réponse à une demande formulée au titre de l’Official Information Act (OIA) (([9] NdT : l’équivalent néo-zélandais du FOIA des pays anglo-saxons)) concernant l’article intitulé « Characterization of the First SARS-CoV-2 Isolates from Aotearoa New Zealand as Part of a Rapid Response to the COVID-19 Pandemic » 55 [Caractérisation des premiers isolats de SARS-CoV-2 en Aotearoa (Nouvelle-Zélande) dans le cadre d’une réponse rapide à la pandémie de COVID-19], l’université d’Otago a déclaré que « l’article publié par le professeur Quiñones-Mateu et ses collègues était un article descriptif… Cela signifie qu’il n’y avait pas d’hypothèse à prouver ou à réfuter. »56 En bref, la réponse résume peut-être involontairement la situation générale en matière de virologie. En 2008, la revue Infection and Immunity a publié un commentaire intitulé « Descriptive Science » qui expliquait pourquoi « la recherche descriptive en elle-même est rarement concluante » et peut simplement servir de point de départ pour orienter les recherches ultérieures57. Les auteurs ont souligné que « la microbiologie et l’immunologie sont désormais des sciences expérimentales et que, par conséquent, les chercheurs peuvent aller au-delà de la simple description des observations et formuler des hypothèses, puis réaliser des expériences pour les valider ou les réfuter ». Comme le souligne cet essai, l’establishment de la virologie refuse de divulguer ou de réaliser les expériences requises, apparemment pour ne pas se réfuter lui-même. Il se limite intentionnellement à des expéditions de pêche opportunistes permanentes soutenues par un biais de confirmation, se disqualifiant ainsi lui-même de la méthode scientifique en raison de son incompatibilité avec l’approche basée sur les hypothèses et falsifiable décrite par Popper.

L’auteur a déjà écrit, dans un post-scriptum tiré du livre de A. F. Chalmers intitulé « What is this thing called Science » (Quelle est cette chose appelée Science), que l’un des principaux problèmes de la virologie est qu’elle s’est inventée elle-même en tant que domaine avant d’avoir établi si les virus existaient réellement. Elle a essayé de se justifier depuis ses débuts :

En l’occurrence, une particule virale n’a pas été observée en premier et par la suite la théorie et la pathologie virales se sont développées. Les scientifiques du milieu et de la fin du XIXe siècle étaient préoccupés par l’identification d’entités pathogènes contagieuses imaginaires. Les observations de l’inductionniste naïf n’ont pas permis d’identifier un virus a priori, puis d’étudier ses propriétés et ses caractéristiques. Le présupposé de l’époque était qu’il existait une très petite particule de germe susceptible d’expliquer la contagion. Ce qui est venu par la suite est apparu pour répondre à ce présupposé58.

Parce qu’une théorie scientifique exige des preuves qui ont été testées et corroborées à plusieurs reprises selon la méthode scientifique, il est clair que les « virus » n’ont jamais atteint le stade d’une théorie59. Selon la science, ils restent de simples spéculations.

L’absence de Contrôles en Virologie signifie qu’il ne s’agit pas d’une Activité Scientifique

Les requêtes OIA ont révélé que l’Institute of Environmental Science and Research (ESR) de Nouvelle-Zélande (Institut des Sciences de l’Environnement et de la Recherche de Nouvelle-Zélande), qui a revendiqué l’isolement et le séquençage génomique de la particule SARS-CoV-2 dans les Antipodes, est également coupable de ne pas avoir effectué de contrôles valables60. Dans la tradition d’Enders, ils n’ont pas pris le temps de vérifier si les ECP dont ils ont été témoins, ou les génomes qu’ils ont assemblés par le biais de simulations informatiques, pouvaient également être créés dans le cadre de comparaisons de contrôle valables. C’est-à-dire en réalisant des expériences avec d’autres spécimens d’origine humaine, provenant à la fois de sujets bien portants et de sujets malades qui ne seraient pas atteints de la prétendue maladie COVID-19. Au lieu de cela, ESR a décrit son « contrôle négatif » insuffisant dans lequel « le flacon est soumis aux mêmes conditions que les flacons utilisés pour la culture virale, mais nous n’utilisons que le milieu d’Infection ».

Le chef d’orchestre de ces poursuites anti-scientifiques est l’OMS. Il est très révélateur que dans son document de 94 pages intitulé « Genomic sequencing of SARS-CoV-2 » (Séquençage génomique du SARS-CoV-2, quatre phrases seulement traitent des « échantillons de contrôle » :

6.4.2. Échantillons de Contrôle

Les échantillons de contrôle négatif, tels que le tampon(([10] NdT : une solution tampon permet de maintenir le pH)) ou l’eau, doivent toujours être inclus dans tout cycle de séquençage contenant plusieurs échantillons. Ils doivent être inclus le plus tôt possible et accompagner les échantillons à toutes les étapes du séquençage. Cela est extrêmement important pour exclure toute contamination au cours d’un séquençage effectué en laboratoire ou au cours du traitement bio-informatique. Les échantillons de contrôle positif avec des séquences génétiques connues peuvent être utiles pour valider les pipelines bio-informatiques nouvellement adoptés ou adaptés pour l’appel de consensus, mais ne doivent pas nécessairement être inclus dans chaque cycle de séquençage61.

Cependant, aucun de ces contrôles n’est suffisant pour valider les « génomes » que les virologues produisent grâce à ces techniques, car ils ne peuvent servir qu’à calibrer le pipeline. Comme cela est devenu évident, l’OMS ne peut pas citer une seule expérience de contrôle positif valable, et pourtant, le 11 février 2020, elle a baptisé la nouvelle maladie qu’elle avait inventée « COVID-19 » en affirmant qu’elle était causée par un nouveau coronavirus62. Ils ont donné le feu vert à n’importe qui dans le monde pour « trouver » le SARS-CoV-2 dans son jardin sans qu’il soit nécessaire de procéder à des expériences de contrôle valables. Pourtant, il est manifestement nécessaire de procéder à des contrôles comparatifs dans lesquels des échantillons de patients similaires, mais sans le virus présumé, sont traités de la même manière, de sorte qu’une seule variable est testée. La comparaison des résultats d’un échantillon supposé contenir le virus avec l’un des contrôles négatifs décrits dans le document de l’OMS ci-dessus ne peut pas valider le processus, car ces derniers échantillons ne contiennent pas la soupe génétique qui fait partie du premier. En tout état de cause, même selon ses propres termes, le contrôle négatif mentionné par l’ESR en Nouvelle-Zélande n’est pas en mesure de fournir une validation de la méthodologie utilisée pour créer ces génomes de virus, car, comme l’indique l’OMS, il s’agit simplement d’un contrôle de précaution en cas de contamination.

Compte tenu de tous les échecs de culture des virus postulés, la virologie moderne privilégie désormais la métagénomique63 directe d’échantillons bruts, souvent avec un séquençage par injection64 et l’assemblage artificiel ultérieur de ces fragments génétiques pour créer de nouveaux « virus » in silico 65 (([11] NdT : in silico signifie à partir de programmes informatiques)) à partir de rien. Cette invention fournit ensuite à d’autres chasseurs de virus des panels d’amorces PCR prédéfinis66 afin qu’ils puissent également découvrir les mêmes séquences et prétendre qu’il s’agit du même virus. L’ESR a participé à une publication dans laquelle elle a proclamé la découverte du SARS-CoV-2 chez neuf sujets grâce à cette méthodologie67. Mon collègue leur a demandé de fournir « tous les détails du groupe de contrôle utilisé pour comparer les résultats du séquençage », mais au lieu de répondre à la question, l’ESR s’est excusé de ne pas être impliqué dans la « génération de nouvelles données » et a fourni des liens vers des protocoles de séquençage du SARS-CoV-268. Si l’ESR utilise de tels protocoles, tels qu’ils sont détaillés sur le site protocol.io, alors nous pouvons voir qu’ils approuvent des contrôles insuffisants qui sont décrits comme « (un) contrôle négatif d’eau exempte de nucléase », tandis qu’un « contrôle positif facultatif peut également être inclus, qui peut être une construction d’ARN synthétique ou un échantillon clinique à haut titre qui peut être dilué » 69. Une fois de plus, ces types de contrôles ne peuvent servir que de techniques d’étalonnage de pipeline, et non de validation ou de signification clinique de quelque « génome » que ce soit qu’ils assemblent.

Malgré les ressources dont elle dispose, l’ESR ne croit apparemment pas à la nécessité de vérifier par elle-même si l’existence du SARS-CoV-2 peut être démontrée. Le 19 juillet 2022, en réponse à une demande de l’OIA, l’ESR a déclaré : « L’ESR n’a effectué aucune expérience pour prouver scientifiquement l’existence du virus SARS-COV-2 et ne peut donc vous fournir aucun document » 70. Le 17 août 2022, en réponse à une autre demande, l’ESR a admis : « L’ESR n’a effectué aucune expérience pour prouver scientifiquement que le virus SARS-COV-2 cause le COVID-19 et ne peut donc vous fournir aucun document » 71. Personne d’autre n’a non plus effectué ces expériences scientifiques requises.

Maltraitance animale et études sur les « Anticorps »

Incapables de démontrer l’isolement physique d’une particule pathogène répondant à la définition d’un virus, les virologues se sont lancés dans l’expérimentation animale pour convaincre les non-initiés de l’existence de telles particules pathogènes. La caractéristique de ces publications est qu’elles manquent de contrôles valables, de sorte que même en partant du principe non établi qu’elles manipulent des « virus », elles révèlent un autre aspect de l’antiscience de la virologie. L’article intitulé « Comparative pathogenesis of COVID-19, MERS, and SARS in a nonhuman primate model » (Pathogenèse comparative du COVID-19, du MERS et du SRAS dans un modèle de primate non humain), publié en mai 2020 par une équipe comprenant Christian Drosten et Ron Fouchier72, en est un bon exemple. L’absurdité de ce qui a été publié dans Science peut être résumée comme suit :

  1. Les huit singes cynomolgus participant aux expériences ont été « inoculés avec le SRAS-CoV-2 sous anesthésie par une combinaison de voies intratrachéale (4,5 ml) et intranasale (0,25 ml par narine)… » 73 — Il ne s’agit pas d’une voie d’exposition naturelle et 4. 5 ml versés dans les poumons d’un petit singe (3,5 – 5,0 kg) équivalent à verser environ 80 ml (⅓ de tasse) de matériel biologique étranger dans les poumons d’un être humain endormi. Ce volume de matière suffit à lui seul à provoquer des lésions et des inflammations dans les tissus pulmonaires.
  2. L’inoculum versé dans leurs poumons était constitué de « SARS-CoV-2 (isolat BetaCoV/Munich/BavPat1/2020) obtenu à partir d’un cas clinique en Allemagne » et « le virus a été propagé jusqu’au troisième passage sur des cellules Vero E6 dans Opti-MEM I (1X) + GlutaMAX (Gibco), supplémenté en pénicilline (10 000 UI/mL) et en streptomycine (10 000 UI/mL) ». — Ils ont affirmé qu’ils avaient un « isolat » viral alors que ni eux ni leur fournisseur74 n’ont démontré l’existence d’un virus dans l’échantillon. Tout ce que l’on peut dire, c’est que l’échantillon contient du matériel biologique étranger provenant de l’échantillon clinique humain et de cellules rénales de singe, ainsi que des produits de dégradation cellulaire et deux antibiotiques.
  3. « Aucun signe clinique manifeste n’a été observé chez les animaux infectés, à l’exception d’un écoulement nasal séreux chez un animal âgé le 14e jour après l’inoculation. Aucune perte de poids significative n’a été observée chez les animaux au cours de l’étude ». — En d’autres termes, malgré l’entrée directe dans les poumons de ce qu’ils prétendent être le virus SARS-CoV-2, aucun des singes n’a été malade de manière significative.
  4. « Au 14jour après inoculation, tous les animaux restants ont séroconverti, comme le révèle la présence dans leur sérum d’anticorps spécifiques du SRAS-CoV-2 contre le domaine S1 du virus et les protéines de la nucléocapside ». — Il n’a pas été démontré que les protéines S1 et de la nucléocapside étaient d’origine virale, qu’elles induisent ou non la détection (par un test in vitro) d’autres protéines appelées « anticorps » chez un hôte. Les virologues recourent une fois de plus au raisonnement circulaire pour affirmer que la détection d’un anticorps prouve l’existence d’un virus parce que l’anticorps est déclaré spécifique du prétendu virus.
  5. « Pour mesurer l’excrétion du virus, des écouvillons nasaux, pharyngés et rectaux ont été analysés par transcription inverse — réaction en chaîne de la polymérase quantitative (RT-qPCR)… » — Il n’y a pas eu d’« excrétion du virus », mais simplement la détection des mêmes séquences qui avaient été récemment introduites dans les voies respiratoires des singes. Ces séquences d’acides nucléiques étrangers ont, sans surprise, disparu de l’organisme des singes au cours des quelques jours qui ont suivi, par le biais de mécanismes naturels d’élimination.
  6. « L’ARN du SARS-CoV-2 n’a été détecté que dans un écouvillon rectal d’un animal au 14jour après injection, et aucun ARN viral n’a été détecté dans le sang total à aucun moment de l’étude ». — Une fois de plus, cela indique qu’ils n’ont trouvé le matériel génétique introduit qu’aux endroits où il avait été introduit. (L’unique écouvillon rectal positif peut avoir été un faux positif ou le singe a avalé une partie du matériel biologique introduit). Dans aucun cas, ils n’ont pu démontrer que le « virus » supposé présentait des caractéristiques invasives.
  7. Quatre des singes ont été tués et autopsiés quatre jours après l’inoculation de la soupe biologique étrangère. Deux d’entre eux présentaient de petits foyers de consolidation dans les poumons et les auteurs ont déclaré que « la principale lésion histologique dans les tissus pulmonaires consolidés des animaux jeunes et âgés concernait les alvéoles et les bronchioles et consistait en des zones présentant des lésions alvéolaires diffuses (([12] NdT : en anglais DAD pour “diffuse alveolar damage”)) aiguës ou plus avancées ». Les caractéristiques histologiques ont été déclarées caractéristiques du « SARS-CoV-2 » — voir la figure 3 ci-dessous pour une explication de la raison pour laquelle ces affirmations sont totalement dénuées de fondement.
  8. L’expression de l’antigène SARS-CoV-2 a été détectée dans un nombre modéré de pneumocytes de type I et dans quelques pneumocytes de type II à l’intérieur des foyers de DAD. — Ce résultat a été obtenu grâce à une technique de coloration immunohistochimique (IHC) basée sur « un anticorps polyclonal de lapin contre la nucléoprotéine du SARS-CoV (40143-T62, Sino Biological, Chesterbrook, PA, USA) ». Malheureusement pour eux, le fournisseur de ce produit déclare que « les applications IHC, FCM, IF, IP et autres n’ont pas été validées. (Les applications de l’anticorps n’ont pas été validées avec des échantillons correspondants positifs au virus) » 75. Quoi qu’il en soit, cet exemple peut être utilisé pour exposer l’erreur plus générale concernant les anticorps en tant que « preuve » de la présence de virus. Sino Biological déclare que les anticorps résultent de l’injection de son produit « SARS-CoV Nucleocapsid Protein (son étiquette) » 76 à des lapins. Cette protéine de nucléocapside a été à son tour produite à partir d’une « séquence d’ADN codant pour la nucléoprotéine du SARS-CoV (isolat : Tor2) ». Nous verrons à la page 30 que la séquence « Tor2 » était l’un des deux modèles in silico utilisés par Fan Wu et coll. pour inventer le SARS-CoV-2, un autre modèle in silico. En résumé, il s’agit encore d’un raisonnement circulaire : il n’a pas été démontré qu’une protéine provenait d’un virus, y compris la protéine de la nucléocapside dans ce cas. Il a simplement été affirmé que des protéines « virales » avaient été injectées à des animaux et que ceux-ci avaient réagi en produisant d’autres protéines qui sont censées être des « anticorps ». Cependant, l’existence d’un virus n’a pas été démontrée, ni exigée pour ce genre d’exercice. (Autre exemple, la production d’« anticorps anti-VIH » chez 100 % des volontaires sains auxquels on a injecté un vaccin candidat COVID-19 de l’université du Queensland est une source d’embarras pour les promoteurs de l’industrie du VIH et des anticorps) 77.
Figure 3. Certaines des images présentées dans le document « Comparative pathogenesis of COVID-19, MERS(([13] NdT : MERS pour Middle East Respiratory Sybdrom — syndrome respiratoire du Moyen-Orient qui a donné le SARS-CoV-1.)), and SARS in a nonhuman primate model » (pathogenèse comparée du COVID-19, du MERS et du SRAS dans un modèle de primate non humain) et présentées comme des « changements pathologiques caractéristiques » du SRAS-CoV-2. Les modifications pulmonaires (A) à (C) correspondent à une pneumopathie, causée par l’introduction d’un liquide contenant du matériel biologique étranger directement dans la trachée du singe alors qu’il était anesthésié. Les changements histologiques (D) — (F) représentent simplement des cellules inflammatoires telles que des macrophages et des neutrophiles, comme on pourrait s’y attendre dans une pneumonie infligée de la sorte. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée.

Cependant, l’aspect le plus défectueux de l’expérience sur les animaux est qu’elle n’a pas suivi la méthode scientifique, car il n’y avait pas d’expériences de contrôle. En d’autres termes, un groupe comparable de singes n’a pas été soumis à une agression interne, avec la même composition et le même volume de soupe biologique, sans le prétendu « virus », ayant été versés directement dans leurs poumons. Pour être clair, l’auteur n’approuve pas une telle expérience, car il s’agit d’une procédure cruelle qui n’a rien à voir avec les voies d’exposition naturelles — il s’agit simplement de souligner le concept d’une expérience contrôlée de manière adéquate. Malheureusement, ces méthodologies non scientifiques sont reproduites dans toutes les études animales examinées. Aucune d’entre elles ne démontre : (a) une méthode naturelle d’exposition utilisant les échantillons censés contenir des virus, (b) des « infections fictives » valables (par exemple, l’utilisation fallacieuse d’une solution saline tamponnée au phosphate uniquement), ou (c) la transmission de maladie d’animal à animal. Cela s’ajoute bien sûr à la question fondamentale selon laquelle aucune des études ne démontre l’existence réelle d’une particule infectieuse qu’elles sont censées tester.

En outre, si les « virus » sont si infectieux, pourquoi ne pas simplement aérosoliser un échantillon dans les cages des animaux pour qu’ils l’inhalent ? Une fois de plus, ces expériences sont évitées afin que les virologues ne se réfutent pas eux-mêmes en ce qui concerne les allégations de contagion impliquant les particules imaginées.

Le paradoxe de la quantité de virus

On nous fait croire qu’à l’intérieur d’un hôte tel que l’homme, les particules virales sont produites en si grand nombre qu’elles peuvent briser les cellules mêmes qui les contiennent, alors qu’en même temps elles sont présentes en quantités si infimes que les virologues affirment qu’elles ne peuvent être observées dans aucun échantillon de patient. Apparemment, en ce qui concerne la prétendue particule SARS-CoV-2, il a été calculé qu’« un éternuement d’un patient atteint de COVID-19 contient 200 millions de virus ». 78 Cependant, si l’on prélève un échantillon (physiquement plus grand) directement dans le nez ou les poumons d’un sujet, on n’en trouve précisément aucun. Pour dissimuler ce problème gênant, les virologues ont eu recours à des « preuves » indirectes par le biais de cultures de tissus pour tenter de sortir le virus manquant du chapeau. Comme nous l’avons souligné dans The COVID-19 Fraud & War on Humanity (La Fraude Covid-19 et la guerre contre l’Humanité), cela implique la deuxième partie de la double tromperie de la virologie qui est « la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (ECP) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro (([14] NdT : dans une éprouvette)) à la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo afin d’établir la causalité entre le prétendu pathogène et la maladie »79. Nous sommes donc censés croire que les voies respiratoires humaines, qui sont tapissées de cellules hôtes prétendument parfaites, ne produisent pas suffisamment de virus pour qu’ils soient visibles, mais qu’une expérience en éprouvette impliquant des tissus d’une autre espèce et d’un autre type de cellules en produit suffisamment ?

Selon la définition de la virologie, les particules supposées sont passives et ne produisent aucun déchet, de sorte que la façon dont elles infligent une mauvaise santé à un hôte humain reste un mystère. Pfizer a suggéré au profane que « le système immunitaire réagit à la blessure de ces cellules corporelles en s’activant », mais n’a cité aucune preuve scientifique pour cette affirmation imaginative80. La 4e édition de Medical Microbiology s’est aventurée plus loin et a déclaré que :

Les dommages cellulaires directs et la mort dus à l’infection virale peuvent résulter (1) du détournement de l’énergie de la cellule, (2) de l’arrêt de la synthèse macromoléculaire de la cellule, (3) de la compétition de l’ARNm viral pour les ribosomes cellulaires, (4) de la compétition des promoteurs viraux et des activateurs de transcription pour les facteurs de transcription cellulaires tels que les ARN polymérases, et de l’inhibition des mécanismes de défense de l’interféron. Les dommages cellulaires indirects peuvent résulter de l’intégration du génome viral, de l’induction de mutations dans le génome de l’hôte, de l’inflammation et de la réponse immunitaire de l’hôte. 81 (c’est moi qui souligne)

En fait, les virologues ont proposé de multiples mécanismes pathogènes hypothétiques pour une particule supposée exister dans un organisme tel que l’homme. Encore une fois, même si ces mécanismes spéculatifs étaient en jeu, il faudrait qu’un nombre énorme de cellules soient affectées pour produire des symptômes. Or, un nombre énorme de cellules donnerait lieu à des quantités astronomiques de particules virales — alors pourquoi ne trouve-t-on jamais de particules virales ? La virologie a l’habitude de détourner l’attention des aspects qui soulèvent des doutes sur son modèle fantasmatique.

2e Partie

Fan Wu et al Deus Ex Machina

Ils étaient déterminés à trouver un virus comme cause(([15] NdT : de la maladie)) de ce gars. Ils ont donc recherché tous les ARN, des millions de petits brins d’ARN chez cette personne, à l’aide d’une technologie appelée méta-transcriptomique. Il s’agit de l’une de ces choses qui étudie les gènes… ils peuvent examiner tout l’ARN, tout l’ADN, le séquencer, l’amplifier… Ils ont obtenu une séquence et ont décidé qu’ils avaient découvert un « virus », bien qu’ils n’aient jamais touché à un virus, et ils ont dit que c’était la cause de la pneumonie de ce gars.
Dr David Rasnick, à propos de la « découverte » du SARS-CoV-2 par Fan Wu et coll.82

Dans La Fraude COVID & la Guerre contre l’Humanité83 nous avons documenté l’invention du SARS-CoV-2 par l’équipe de Fan Wu qui a assemblé un « génome » in silico à partir de fragments génétiques de provenance inconnue, trouvés dans les lavages pulmonaires bruts d’un seul « cas » (([16] NdT : à partir d’un seul malade supposé être infecté par un nouveau virus)) et documentés dans « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » 84 (Un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire humaine en Chine). Une analyse plus approfondie de cet article semble indiquée, car elle montre comment la pandémie frauduleuse COVID-19 a été créée au moyen d’un « génome » inventé par le biais d’un séquençage méta-transcriptomique profond, qui visait simplement à détecter tout l’ARN dans un échantillon brut, et comment il a été utilisé à mauvais escient pour inventer un agent pathogène inexistant. L’affirmation selon laquelle n’importe qui peut déclarer : « (ils) ont identifié une nouvelle souche de virus à ARN de la famille des Coronaviridae, qui est désignée ici comme le coronavirus WH-Human 1 » 85, à partir d’un seul sujet humain chez qui une pneumonie a été diagnostiquée, est en soi grotesque. Les auteurs ont tenté de se justifier en déclarant que « bien que l’isolement du virus chez un seul patient ne soit pas suffisant pour conclure qu’il a causé ces symptômes respiratoires, nos résultats ont été corroborés de manière indépendante chez d’autres patients dans une étude séparée ». Premièrement, il n’y a pas eu d’isolement physique d’un quelconque virus, comme nous le verrons en détail dans un instant. Deuxièmement, leur affirmation selon laquelle cela a été « corroboré de manière indépendante » fait référence à l’article de février 2020 de Peng Zhou et coll., un article qui ne peut rien corroborer du tout et dont la fraude est discutée à la page 43. Tout ce que l’on peut dire, c’est que si l’on utilise un raisonnement circulaire, le fait de trouver des séquences génétiques similaires à plusieurs reprises est considéré comme une confirmation de l’existence d’un virus. La base de données GISAID est le coffre au trésor de ces absurdités virologiques et, au 29 août 2022, elle comptait plus de 12,8 millions de déclarations de « découverte » du SARS-CoV-286. Cependant, aucune d’entre elles ne peut indiquer un virus réel, elles appellent simplement « bingo » en assemblant des séquences similaires qu’elles ont alignées avec Fan Wu et coll. et d’autres assemblages antérieurs, sans qu’un virus réel soit nécessaire.

Il convient également de noter que si l’auteur ne se prononce pas sur la cause des cas de pneumonie ou de syndromes respiratoires fébriles aigus, la communauté médicale générale reconnaît qu’aucun « agent pathogène » n’est identifié dans près de la moitié des cas.87,88 Quelle raison Fan Wu et coll. avaient-ils donc de soupçonner que leur patient était porteur d’un tout nouveau virus ? Apparemment parce que « les enquêtes épidémiologiques menées par le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Wuhan ont révélé que le patient travaillait dans un marché couvert local de fruits de mer » 89. Cette raison semble bien faible étant donné que ces marchés couverts sont extrêmement courants en Chine et que, malgré les théories sur l’origine (du SARS-CoV-2) chez les chauves-souris, Fan Wu et coll. ont indiqué « qu’aucune chauve-souris n’était disponible à la vente ».

Quoi qu’il en soit, ils ont obtenu un peu de liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA) de leur patient et, avec ce spécimen brut, ont rapporté que « l’ARN total a été extrait de 200μl de LBA » (([17] NdT : 200 microlitres soit 0,2 cm3 ou 0,2 millilitre)). La partie sur les méthodes précise que cette extraction a été réalisée « à l’aide du kit RNeasy Plus Universal Mini (Qiagen) », c’est-à-dire par centrifugation sur colonne d’essorage. Ils ont affirmé que « l’épuisement de l’ARN ribosomal a été effectué pendant la construction de la bibliothèque », mais la page 43 [correspondant dans l’article original à la partie « Plus de tromperie en provenance de Wuhan ? », NDLR] explique pourquoi cette affirmation est douteuse, car les séquences d’ARN humain connues correspondent toujours à un grand nombre d’entre elles. Ils ont ensuite procédé au séquençage par shotgun de l’infusion, en commençant par la fragmentation aléatoire du matériel génétique en courtes longueurs de 150 nucléotides en moyenne et la conversion de l’ARN en ADN à l’aide d’une enzyme transcriptase inverse90. (([18] NdT : l’ARN est un brin, comme une échelle coupée en deux dans le sens de la longueur, chaque barreau comporte un acide aminé. L’enzyme transcriptase inverse — en anglais reverse transcriptase ou RT — permet de reconstituer cette échelle en mettant en face de chaque acide aminé qui se trouve sur le demi barreau l’acide aminé correspondant, fabriquant ainsi l’ADN)). 56 565 928 lectures courtes (([19] NdT : les séquences)) ont été générées et ces informations ont été introduites dans Megahit et Trinity, des plates-formes logicielles pour l’assemblage de novo basé sur des algorithmes (([20] NdT : c’est l’ordinateur qui à partir de ces millions de séquences cherche maintenant — à l’aide de programmes fabriqués — à faire que ces séquences se suivent et produisent le génome du « virus » tel que les concepteurs du programme l’ont imaginé)). Megahit a permis de générer 384 096 contigs, ou séquences hypothétiques se chevauchant, dont la plus longue (30 474 nucléotides) a été déclarée comme ayant une « identité nucléotidique de 89,1 % » avec la chauve-souris SL-CoVZC45 (([21] NdT : ils auraient choisi le poulpe ils auraient eu le même résultat)), une autre construction fictive dont il sera question ultérieurement. (Trinity a généré plus de 1,3 million de contigs, mais le plus long n’était que de 11 760 nucléotides — en d’autres termes, ils n’auraient pas trouvé le « génome » s’ils s’étaient contentés d’utiliser cette plate-forme logicielle). Le mot « virus » apparaît soudain lorsqu’ils déclarent que « la séquence du génome de ce virus, ainsi que ses terminaisons, ont été déterminées et confirmées par PCR de transcription inverse ». Il s’agit d’un tour de passe-passe, car la PCR ne fait qu’amplifier des séquences présélectionnées et n’a pas la capacité de confirmer un génome précédemment inconnu.

Comme l’a expliqué l’expert en PCR Stephen Bustin, « la PCR exige que vous connaissiez la séquence de votre cible… donc une fois que vous savez qu’il y a quelque chose dans votre échantillon, vous essayez de l’isoler, oui. Une fois que vous l’avez isolée, vous la séquencez à nouveau, ou vous faites une PCR91. En d’autres termes, la PCR elle-même ne peut pas identifier les origines des séquences et la méthodologie de Fan Wu et coll. n’a pas permis d’établir l’origine des séquences qu’ils ont décrites. Cependant, dans la phrase suivante, ils annoncent au monde que « cette souche virale a été désignée comme le coronavirus WH-Human 1 (WHCV) ».

– Nous devons nous arrêter sur ce point, car c’est là que le virus frauduleux, bientôt rebaptisé SARS-CoV-2, a été inventé de toutes pièces. Un virus dont l’OMS affirme, sans la moindre preuve, qu’il est l’agent causal du COVID-19.

Car c’est ce « génome ») qui a été soumis à GenBank le 5 janvier 202092 qui a été saisi par Drosten et coll. pour produire leurs fausses séquences d’essai du protocole PCR93, lesquelles ont été publiées avec une hâte indécente par l’OMS à l’intention du Monde entier, faisant ainsi de WH Human 1 le génome de référence mondial d’un prétendu agent pathogène. C’est cette invention qui est à l’origine de toute la panoplie destructrice imposée au Monde à la suite de l’annonce de la pandémie par l’OMS le 11 mars 202094.

Cependant, toute personne attentive peut constater qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un virus dans l’article de Fan Wu et coll. Un virus est censé être un minuscule parasite intracellulaire obligatoirement capable de se répliquer, constitué d’un génome entouré d’une enveloppe protéique : il s’agit d’une particule infectieuse qui provoque une maladie chez un hôte. Fan Wu et coll. ne disposaient que d’un homme de 41 ans atteint de pneumonie et d’un modèle de « génome » assemblé par logiciel à partir de séquences d’origine non établie trouvées dans les lavages de poumons de l’homme. Pour faire croire que tout cela est légitime, ils ont déclaré que « l’organisation du génome viral du WHCV a été déterminée par alignement des séquences sur deux membres représentatifs du genre Betacoronavirus : un coronavirus associé à l’homme (SARS-CoV Tor2, numéro d’accès GenBank AY274119) et un coronavirus associé aux chauves-souris (bat SL-CoVZC45, numéro d’accès GenBank MG772933) ». Ces prétendus génomes sont également de simples constructions in silico dont on n’a jamais prouvé qu’elles existaient dans leur intégralité dans la Nature, et encore moins qu’elles provenaient de l’intérieur d’un virus. Par exemple, le SL-CoVZC45 de chauve-souris a été inventé en 2018 par le processus de « 19 paires d’amorces PCR dégénérées […] conçues par alignement multiple des séquences disponibles du SARS-CoV et du SL-CoV de chauve-souris déposées dans GenBank » 95.

Les génomes de virus sont devenus ce qui est peut-être la plus grande illusion de la virologie, une illusion qui propage la croyance que l’on est en train de démontrer l’existence des virus. Les virologues eux-mêmes ne semblent pas se rendre compte de la faille fatale de leur méthodologie, même lorsqu’ils l’affirment eux-mêmes :

Trois méthodes principales basées sur le HTS (en anglais high-throughput sequencing) (séquençage à haut débit) sont actuellement utilisées pour le séquençage du génome entier viral : le séquençage métagénomique, le séquençage par enrichissement de cible et le séquençage amplicon PCR (([22] NdT : les virologues prétendent pouvoir analyser des variations génétiques dans des régions spécifiques du génome grâce à cette méthode)), chacune présentant des avantages et des inconvénients (Houldcroft et coll., 2017). Lors du séquençage métagénomique, l’ADN (et/ou l’ARN) total d’un échantillon comprenant l’hôte, mais aussi des bactéries, des virus et des champignons est extrait et séquencé. Il s’agit d’une approche simple et rentable, et c’est la seule qui ne nécessite pas de séquences de référence. En revanche, les deux autres approches HTS, l’enrichissement de la cible et le séquençage d’amplicons, dépendent toutes deux d’informations de référence pour la conception des appâts ou des amorces. La limite du séquençage métagénomique est qu’il nécessite une profondeur de séquençage très élevée pour obtenir suffisamment de matériel génomique viral96.

La limite la plus importante du séquençage « viral » est que le processus lui-même ne détermine pas la provenance des fragments génétiques, donc comment est-il possible de l’utiliser pour établir la séquence d’un génome inconnu jusqu’alors ? Pour être clair, nous ne parlons pas de situations où la provenance des séquences peut être vérifiée de manière indépendante, par exemple des cellules bactériennes isolées physiquement. En outre, il est absurde de déclarer arbitrairement que des séquences sont virales par un processus d’élimination, c’est-à-dire en se basant sur le fait qu’elles n’ont pas d’assignation précédemment conflictuelle dans les banques de données génétiques (([23] NdT : c’est-à-dire qu’elles n’ont pas été assignées à un autre corps précédemment)). Aucun virologue ne démontre que les séquences sont de nature virale lorsqu’il assemble le tout premier modèle et déclare avoir découvert un virus pathogène. À aucun moment, ils ne purifient de prétendues particules virales pour prouver leur relation avec les séquences. Et pourtant, le premier génome de novo inventé devient le critère sur lequel d’autres chasseurs de virus aligneront leurs propres génomes in silico ou concevront des protocoles PCR « de confirmation ».

Pour autant que l’auteur le sache, les virologues ne disposent d’aucune technique de laboratoire permettant de vérifier directement s’il existe un brin d’ARN complet de 30 kilobases dans l’un quelconque de leurs échantillons. La technologie actuelle d’électrophorèse sur gel en champ pulsé (([24] NdT : technique permettant de séparer des constituants en les faisant migrer — ils ne migrent pas tous à la même vitesse — dans un gel grâce à un champ électrique)) ne peut différencier de manière fiable que les brins d’ADN de cette taille97. Quoi qu’il en soit, ces simulations restent une diversion, car même dans l’éventualité où l’existence physique d’un génome SARS-CoV-2 in silico — une séquence complète d’ARN de 30 kilobases — pourrait être démontrée comme existant dans la Nature, les virologues auraient encore beaucoup de travail à faire. Avant tout, ils devraient démontrer que cette séquence appartient à une particule capable de se répliquer et de provoquer une maladie, et non pas simplement prétendre qu’elle le fait.

À cet égard, l’auteur a eu un échange de courriel avec un biologiste évolutionniste du Wellcome Sanger Institute qui a suggéré que le séquençage de l’ARN à lecture longue (par opposition au séquençage à lecture courte) fournissait la preuve nécessaire de l’existence du « SARS-CoV-2 » 98. Il a fait référence à une publication d’avril 2022 portant sur le séquençage de l’ARN à l’aide de séquences longues d’Oxford Nanopore Technologies (ONT) 99, affirmant qu’elle confirmait la validité des génomes du « virus » qui avaient été construits précédemment par séquençage à l’aide de la méthode « shotgun » (([25] NdT : voir ci-dessus)). L’étude présentée décrivait une expérience comparant les réponses de diverses lignées cellulaires « infectées par le SRAS-CoV-2 » et « infectées fictivement ». Les cellules expérimentales étaient prétendument “infectées par le virus SARS-CoV-2 Australia (Australia/VIC01/2020, NCBI : MT007544.1)” — que l’auteur Leon Caly et coll. qualifie d’« isolat » 100, alors que l’isolement d’un virus n’a jamais été démontré, comme l’explique la figure 4 ci-dessous et comme nous l’avons souligné dans La Fraude COVID-19 & la Guerre contre l’Humanité101.

L’argument du biologiste évolutionniste repose donc sur la comparaison du produit frauduleux d’une expérience frauduleuse avec une « infection factice », alors que la première est invalidée par la déclaration trompeuse d’« isolement du virus » et que la seconde s’invalide elle-même puisque les virologues ont modifié sa définition pour permettre la modification d’autres variables. L’obtention de lectures plus longues ne change rien à ces questions fondamentales. Le biologiste évolutionniste affirmait que les variations dans les séquences et les protéines surveillées au fil du temps constituaient la preuve de l’évolution d’un virus102. Il est une autre victime de la tromperie de la virologie par l’attribution spécieuse du mot « viral » à ces entités. Lorsque toutes ces séquences et protéines ont été initialement détectées dans des expériences de culture de tissus, il n’a pas été démontré qu’elles appartenaient à des virus pathogènes, mais l’affirmation selon laquelle elles sont « virales » se poursuit encore aujourd’hui.

Dans le même ordre d’idées et quelques mois après cet échange, le pathologiste/virologue Dr Sin Hang Lee a affirmé que son article préimprimé103 fournissait “des preuves irréfutables par séquençage Sanger que le virus [SARS-CoV-2] existe et continue de muter”, en invitant ouvertement à contester son travail104. Une fois encore, le présent auteur a fourni une réponse détaillant l’utilisation abusive de la terminologie scientifique par la virologie ainsi que le problème sous-jacent de la provenance non établie des séquences génétiques analysées :

Pour exposer les problèmes de la virologie, il est essentiel d’examiner la section méthodologique de toute publication et, dans ce cas, ce n’est pas différent… Ceux d’entre nous qui contestent la théorie du virus soulignent qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune séquence d’ARN (ou d’ADN) provenait de l’intérieur d’une particule spécifique identifiable répondant à la définition d’un virus. Ainsi, tous les ARN ne peuvent être considérés que comme exprimés par un organisme connu, introduits artificiellement (par exemple par des injections d’ARNm synthétique) ou de provenance inconnue. Les « mutations » n’existent que dans des modèles in silico qui ne se sont pas révélés être des entités indépendantes dans la Nature. Il existe d’autres raisons pour lesquelles les séquences d’ARN peuvent varier et varient effectivement dans les systèmes biologiques dynamiques et je ne peux imaginer qu’un virologue puisse être en désaccord avec ce fait. La simple détection des ARN ne suffit pas pour tirer des conclusions sur leur provenance. D’autres expériences sont nécessaires pour faire cette détermination. 105

En effet, aucune technologie génomique ou protéomique ne peut échapper au fait qu’en ce qui concerne ces données supposées être des preuves de la présence de virus, il s’agit de tortues jusqu’en bas.

(([26] NdT : Cette expression provient d’une histoire — donc inventée — au sein de la communauté scientifique des années 1870 qui raconte ceci :

Une vieille dame s’approcha un jour d’un célèbre savant peu après la fin de sa conférence sur la cosmologie et la structure du système solaire et lui dit :

« Votre belle théorie sur la Terre qui est ronde et qui tourne autour du Soleil est très intéressante, jeune homme. Malheureusement, elle est aussi très fausse. J’ai une meilleure théorie », lui dit la femme.
« Et quelle est cette théorie, Madame ? », lui demanda le scientifique.
« Eh bien, ce que vous appelez la “planète Terre” n’est pas ronde du tout. En fait c’est une sorte de grand disque plat qui repose sur les épaules de quatre éléphants géants. »
« Et sur quoi reposent ces quatre éléphants ? », lui rétorqua-t-il.
« Ils sont sur le dos d’une tortue géante », répondit la vieille dame.
« Et sur quoi s’appuie cette tortue ? » demanda le scientifique avec un sourire interrogatif.
« Sur une autre tortue, plus grosse. »
« Et sur quoi s’appuie cette deuxième tortue ? »
« Eh bien, mon cher, » dit la vieille dame avec un sourire victorieux, « il y a des tortues jusqu’en bas ! »
[Citation tirée du livre « Des tortues jusqu’en bas » Ed. Résurgences]
NdT : Ce livre est complètement dans l’hypothèse virale. Il montre néanmoins de façon remarquable que les essais de sécurité des vaccins reposent sur ce principe « des tortues jusqu’en bas », car pour la plupart (tous ?) leur sécurité est comparée non avec un véritable placébo, mais avec un vaccin précédent prétendument « sûr et efficace » qui lui-même a été autorisé sur le marché car comparé à un autre vaccin prétendument sûr et efficace, etc.. Quant à leur « efficacité » elle ne peut donc être « démontrée » que de la même manière : des tortues jusqu’en bas et jamais en comparant un groupe « vacciné » avec un groupe « non vacciné ».))

Des tortues jusqu’en bas

Figure 4. Caly et coll. « isolement » du SARS-CoV-2. Les micrographies électroniques sont celles d’un surnageant de culture de cellules Vero/hSLAM : (A) a été déclaré « virion », alors qu’il s’agit simplement d’une particule de provenance inconnue. En outre, les « pointes » capsulaires ont été produites après que l’enzyme trypsine a digéré les protéines externes pour créer l’apparence souhaitée. (B) nous informe simplement de la taille des particules dans un mélange de tissus. Il n’y a pas eu d’expérience de contrôle valide réalisée avec un spécimen similaire d’origine humaine.

Comme on l’a vu, le « bat SL-CoVZC45 » était un génome in silico de 29 802 nucléotides, inventé en 2018106, qui a été utilisé par Fan Wu et coll. comme génome modèle pour l’invention du génome du SARS-CoV-2. Il était censé provenir du tissu intestinal d’une chauve-souris (([27] NdT : en anglais « bat » d’où le nom attribué au « génome »)) capturée dans la province de Zhejiang, en Chine. Dans cette étude, les auteurs ont indiqué que « toutes les chauves-souris semblaient en bonne santé et ne présentaient pas de signes cliniques évidents au moment de la capture », mais ont déclaré qu’un virus avait été détecté chez 89 des 334 chauves-souris sur la base d’un « test de transcription inverse (RT) — PCR pan-coronavirus ». La folie de prétendre « isoler » un virus en provoquant des ECP (([28] NdT : rappel ECP pour effet cytopathique)) a déjà été soulignée, mais dans ce cas, ils n’ont même pas observé ce phénomène dans les cultures de cellules Vero E6. Au lieu de cela, ils ont essayé une autre méthode pour « tester la pathogénicité de l’agent ZC45 ». Cela a consisté à prélever 20 μL de tissu intestinal de chauve-souris broyé et de l’injecter directement dans le cerveau de rats BALB/c âgés de 3 jours. (En poids, cela équivaudrait à injecter plusieurs centaines de millilitres de matière dans un cerveau humain107). L’absurdité de l’injection d’un tel tissu biologique directement dans le cerveau d’animaux néonataux consanguins et compromis ne devrait pas nécessiter d’explications supplémentaires. Comme c’est souvent le cas dans les expériences de virologie, il n’y avait pas de groupe de contrôle où du matériel biologique similaire, censé ne pas contenir le virus, avait été injecté directement dans le cerveau d’autres bébés rats. Les chercheurs ont indiqué que des « particules virales présumées » avaient été observées dans certains cerveaux de rats, mais ils n’ont à aucun moment démontré la composition ou la fonction biologique des « particules virales présumées » observées dans leurs diapositives. En outre, l’« infection » a été déclarée sur la base de tests RT-PCR positifs qui détectaient les mêmes séquences d’ARN chez les bébés rats au moment de leur sacrifice que celles qui leur avaient été injectées récemment — ce qui n’exige évidemment pas l’existence d’un virus.

Ainsi, sans isoler physiquement de prétendues particules virales, ils ont procédé à l’homogénéisation, à la centrifugation et à la filtration des échantillons intestinaux avant de déclarer que « l’ARN viral a été extrait à l’aide d’un mini kit d’ARN viral (Qiagen, Hilden, Allemagne) conformément aux recommandations du fabricant ». (Voir page 49 [dans le paragraphe contenant la note 157, NDLR] pour une explication de l’impossibilité pour ce type de kit d’extraire sélectivement l’ARN en fonction de sa provenance, indépendamment de l’existence ou non de virus). Une étape de transcription inverse a ensuite lieu avant l’amplification par PCR de leur brin. Ils ont prétendu séquencer le génome complet du [SL-CoVZC45] grâce à 19 paires d’amorces PCR dégénérées, « conçues par alignement multiple des séquences disponibles du SARS-CoV et du bat SL-CoV déposées dans GenBank ». En d’autres termes, leur déclaration de découverte d’un génome viral n’était pas fondée sur la preuve directe de l’existence d’un virus, mais sur la détection de séquences de provenance non établie alignées sur d’autres modèles fictifs de « virus ». Le degré d’amplification de la PCR à cette étape n’a pas été divulgué, mais l’étape de « criblage par RT-PCR » comportait un premier cycle de 40 cycles, suivi d’un second cycle de 30 cycles. Une amplification aussi ridicule entraînerait des artefacts, c’est-à-dire que les séquences cibles sont « trouvées » simplement à la suite du processus lui-même et ne sont pas nécessairement présentes physiquement dans les échantillons.

(([29] NdT : La demi-échelle (l’ARN extrait des échantillons intestinaux) a été complétée par une autre demi-échelle où 19 demi-barreaux étaient composés d’amorces tirées elles-mêmes d’une banque de données (appelée GenBank) ; ces 19 demi-barreaux ont « matché » avec 19 demi-barreaux de l’ARN extrait. Le problème c’est que ces amorces sont « attribuées » au soi-disant virus SARS-CoV-1 et au virus SL-CoV sans que ces derniers n’aient jamais été isolés et donc sans que l’on puisse dire qu’elles sont spécifiques à ces « virus ». C’est le procédé « des tortues jusqu’en bas ».))

(([30] NdT : Les cellules Véro sont des cellules immortelles (cellules de rein de singe, de poumon de fœtus de bébé avorté…) qui lorsqu’elles sont nourries (du sérum de veau par exemple) se multiplient. Elles servent ensuite à être infectées par les soi-disant « virus ». Les virologues oublient de mentionner qu’avant d’être « infectées » on arrête de les nourrir, on les « noie » d’antibiotiques (pour tuer d’éventuelles bactéries) et de poisons divers. La mort des cellules qui s’en suit, et qui est assez évidente, est ensuite attribuée aux « virus ». Les expériences de contrôles ne sont jamais faites [voir ce qui se passe sans que l’on rajoute les soi-disant « virus »].))

Il convient de noter que l’histoire du virus de la chauve-souris est en cours depuis l’« épidémie » de SARS (([31] NdT : en français SRAS pour syndrome respiratoire aigu sévère)) de 2003 et qu’apparemment, après des milliers d’années, l’espèce humaine est maintenant sous la menace constante de virus percolant dans les grottes de chauves-souris chinoises. En 2005, le président de l’EcoHealth Alliance, le Dr Peter Daszak, a cosigné un article paru dans Science intitulé « Bats Are Natural Reservoirs of SARS-Like Coronaviruses » 108 (les chauves-souris sont des réservoirs naturels de coronavirus de type SARS). Dans cette étude, Daszak et ses collègues n’ont pu trouver aucun « coronavirus » dans leur sélection de chauves-souris grâce à la technique frauduleuse habituelle d’observation des ECP in vitro, déclarant qu’« aucun virus n’a été isolé à partir d’écouvillons fécaux d’échantillons positifs à la PCR en utilisant des cellules Vero E6 ».

Cependant, ils étaient heureux de déclarer qu’ils avaient la preuve de l’existence de ces virus grâce à leurs produits PCR à cycle absurdement élevé (35-45) obtenus à partir d’échantillons bruts de chauves-souris. Ils ont prétendu qu’il s’agissait de « séquences virales » parce que, dans le cadre du raisonnement circulaire de la virologie, ils ont « trouvé » les séquences « virales », celles-là mêmes que leur protocole PCR était censé détecter. Ils ont dûment averti le monde que « la diversité génétique existe parmi les virus zoonotiques chez les chauves-souris, ce qui augmente la possibilité que des variantes franchissent la barrière des espèces et provoquent des épidémies dans les populations humaines ». Malheureusement, ce folklore zoonotique est passé de la littérature virologique à l’imagination du public. Daszak est un fervent promoteur et bienfaiteur de l’histoire du virus de la chauve-souris et, en 2015, il a conseillé à ses collègues, afin de continuer à engranger des recettes, de « mieux faire comprendre au public la nécessité des MCM (contre-mesures médicales) telles qu’un vaccin antigrippe ou anti-coronavirus » 109.

Quoi qu’il en soit, une branche de l’une des pistes de modèles de coronavirus imaginaires nous ramène à l’une des premières affirmations concernant le génome du SARS-CoV, prétendument à l’origine de la première « épidémie » de SARS. En avril 2003, Yijun Ruan et coll. ont soumis à GenBank leur « génome complet de coronavirus SARS Sin2500 », qui est devenu le numéro d’accès AY283794.1.110 Cependant, ce génome a été inventé non pas en séquençant directement de prétendues particules virales, bien sûr, mais en séquençant l’ARN dans une expérience de culture de cellules Vero par « des approches d’amorçage spécifiques et par shot-gun », avec un alignement sur « la séquence du génome du virus de l’hépatite de la souris (NC_001846) en tant que colonne vertébrale » 111. Le génome NC_001846.1 a été inventé à son tour en 1997 et a été revendiqué comme dérivé d’un virus « obtenu à l’origine auprès du Dr Lawrence Sturman » et séquencé « en utilisant comme modèles l’ARN cytoplasmique extrait de monocouches de cellules L2 infectées par les virus MHV-A59, C12, C3, C5, C8, B11 ou B12 de type sauvage » 112. L’affirmation selon laquelle ils ont commencé avec un virus semble être basée sur l’assurance du Dr Sturman que l’échantillon qu’il a fourni contenait une telle chose.

Il devrait être clair à ce stade que chaque génome de coronavirus a été comparé à d’autres soi-disant génomes sans que les virologues ne démontrent qu’aucune des séquences ne provient d’un virus. Il est donc instructif de revenir au prétendu premier génome complet de coronavirus à être publié, qui était le « virus de la bronchite infectieuse aviaire » (en anglais IBV pour avian Infectious Bronchitis Virus) par Boursnell et coll. en 1987113, et qui a ensuite été utilisé par d’autres comme l’un des modèles d’origine. Ils n’ont pas séquencé directement les particules virales supposées, mais ont utilisé « dix-sept clones d’ADNc couvrant les 27 569 kb les plus importants du génome », en notant que les clones « ont été dérivés de l’ARN isolé à partir du virus purifié par gradient de la souche Beaudette » (Beaudette & Hudson, 1937 ; Brown & Boursnell, 1984). L’article cité de Brown et Boursnell indique que « la préparation des clones d’ADNc a été décrite précédemment (Brown et Boursnell, 1984) »114. Cette citation ultérieure correspond à leur publication intitulée « Avian infectious bronchitis virus genomic RNA contains sequence homologies at the intergenic boundaries » (L’ARN génomique du virus de la bronchite infectieuse aviaire contient des homologies de séquence aux frontières intergéniques).115 Dans cet article, ils affirment que « la souche IBV Beaudette a été cultivée dans des œufs embryonnés de 11 jours. Les virions ont été isolés du liquide allantoïdien et purifiés par centrifugation isopycnique116 sur des gradients de saccharose ». Cependant, aucun de ces articles ne fournit de preuve : (a) qu’ils avaient purifié quoi que ce soit, et encore moins des « virions », sous la forme de micrographies électroniques de confirmation, ou (b) qu’ils avaient réalisé des expériences de contrôle valables. Tout ce que nous pouvons voir, c’est qu’ils ont supposé que des virus étaient présents dans leur mélange de cultures et qu’après centrifugation, ils ont affirmé que les séquences d’ARN détectées provenaient de ces virus imaginaires.

Figure 5. L’arbre phylogénétique du SARS-CoV-2 sur GISAID – Fiocruz, au 15 juillet 2022. Il n’a jamais été démontré que le premier « génome » de décembre 2019 (Fan Wu et coll.) provenait d’un virus, mais grâce au raisonnement circulaire de la virologie, des séquences similaires trouvées à d’autres endroits sont présentées comme la preuve de l’évolution d’un « virus ». Cependant, les méthodologies non contrôlées utilisées en font un arbre généalogique fictif in silico. La détection, ou la prétendue détection, de séquences génétiques sélectionnées dans l’environnement ne confirme pas l’existence d’un virus, étant donné que la provenance des séquences n’a pas été établie ou a été mal attribuée. Il en va de même pour les protéines détectées.

L’affirmation initiale selon laquelle il s’agissait d’un virus (IBV) (rappel : Avian Infectious Bronchitis Virus — virus de la grippe aviaire) remonte aux années 1930 et reposait sur les mêmes conclusions erronées tirées de la méthodologie employée dans les expériences de 1911 sur le « virus » du sarcome de Rous (voir page 12). Dans le cas de l’IBV, du matériel a été prélevé sur des poulets malades, passé à travers des filtres bactériens de Berkefeld et ensuite introduit dans les voies respiratoires d’autres poulets117. En se basant sur le fait que cela pouvait également rendre les oiseaux receveurs malades, il a été déclaré que « ces résultats démontrent que la maladie est causée par un virus filtrable ». Cependant, aucune expérience n’a jamais démontré qu’une particule infectieuse était responsable des effets toxiques. En bref, les arbres phylogénétiques des « coronavirus » qui ont été créés depuis les années 1980 ne sont pas la preuve de « l’évolution des virus », mais d’un système de commercialisation à plusieurs niveaux qui n’a pas de produit physique établi.

Le danger pour l’Humanité réside dans le fait que les génomes putatifs des coronavirus issus des spéculations des virologues sont désormais utilisés comme modèles pour créer et injecter des produits à des destinataires malchanceux qui ont été trompés et incités à croire que la dernière invention de la virologie était réelle. En d’autres termes, les inventions génomiques fictives de la virologie ont été utilisées pour créer des interventions médicales et politiques totalement inutiles. La biotechnologie dangereuse et hautement expérimentale de l’ARNm et des nano lipides a tué plus de personnes que tous les autres vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et nous commençons à peine à en faire le compte118.

Les affirmations du CDC au sujet du SARS-CoV-2

Avec une lenteur désormais familière, les CDC ont mis huit mois à répondre à une demande de liberté d’information concernant leur affirmation selon laquelle ils avaient « isolé le SRAS-CoV-2 » dans leur publication de juin 2020 sur les maladies infectieuses émergentes, « Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 from Patient with Coronavirus Disease, United States » (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère Coronavirus 2 provenant d’un patient ayant la maladie Coronavirus), par Jennifer Harcourt et coll.119. Les questions posées aux CDC par ma collègue (([32] NdT : Il s’agit de la Canadienne Christine Massey)) étaient simples et comprenaient ce qui suit :

« Le scientifique qui a rédigé cet article a-t-il utilisé des groupes de contrôle ? Si oui, les groupes de contrôle ont-ils utilisé les mêmes formulations de mélanges de cultures cellulaires que les groupes expérimentaux sans l’échantillon contenant les virus présumés ? … En résumé, si des groupes de contrôle ont été utilisés, veuillez donner des détails sur les groupes de contrôle »120. Au lieu de demander à Jennifer Harcourt ou à l’un des membres de son équipe de répondre à cette simple demande, le CDC a répondu, le 29 mars 2022, qu’il avait « localisé 37 pages de documents pertinents et une feuille de calcul Excel », prétendument en rapport avec les documents demandés121. En résumé, les « documents pertinents » du CDC comprenaient les éléments suivants122

Figure 6. Dans leur réponse FOIA du 29 mars 2022 CDC-Harcourt-mock-infected-MS-PACKAGE-redacted.pdf (fluoridefreepeel.ca), les détails de la diapositive de l’expérience « fictive » n’ont pas été fournis par le CDC, bien qu’ils aient été spécifiquement demandés. Les autres diapositives sont censées prouver les effets cytopathiques (et donc l’existence implicite) du SARS-CoV-2.

  1. Des courriels internes du CDC ont partagé des images telles que la figure 6, censées montrer « des photos de la portée du N-CoV 2019 potentiel du premier cas américain ». Les microbiologistes chercheurs des CDC, Azaibi Tamin, espèrent que « certains de ces 7 lysats montrent que l’ECP (rappel : effet cytopathologique — effet sur les cellules de culture) est causé par le N-CoV 2019 », tandis que Stephen Lindstrom commente qu’il s’agit de « très belles cellules malheureuses ». Natalie Thornburg, chef de l’équipe d’immunologie des virus respiratoires, a ensuite demandé « s’ils pouvaient envoyer les fichiers JPEG ou TIFF originaux de leurs images d’ECP ? Je veux commencer à travailler sur une figure de qualité pour la publication. »
  2. Les numéros d’accès GenBank MT020880 et MT020881, qui figuraient dans la publication Harcourt et coll./CDC et étaient déjà accessibles au public.
  3. L’article de Na Zhu et coll. publié dans le New England Journal of Medicine, « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019, »123 qui, selon la microscopiste électronique du CDC Cynthia Goldsmith, « présente deux très belles images ME (de microscopie électronique) dans la figure 3, l’une provenant d’un “épithélium des voies respiratoires humaines” ». Nous avons traité des folies de cet article dans La Fraude COVID-19 et la Guerre contre l’Humanité, Na Zhu et coll. étant également coupables d’expériences incontrôlées de décomposition de cultures de tissus au cours desquelles ils ont baptisé « 2019-nCoV » des micrographies électroniques de vésicules extracellulaires dont la composition et la fonction biologique n’ont pas été prouvées124 (L’un des coauteurs de l’article, Wenjie Tan, a déclaré à Torsten Engelbrecht le 18 mars 2020 qu’ils avaient « une image de particules virales sédimentées, pas de particules purifiées »125. Ainsi, l’affirmation selon laquelle il s’agit de « particules virales » n’est qu’une affirmation, car aucune partie de l’article ne démontre la composition ou la fonction biologique de ces vésicules imagées).
  4. Une feuille de calcul contenant les résultats non informatifs du seuil de cycle de la PCR pour « 4 virus » qui ont été soumis au laboratoire de diagnostic des virus respiratoires des CDC.
  5. Une page commençant par « pour des raisons de commodité administrative et pour répondre pleinement à votre demande, le personnel du programme a fourni les informations suivantes avec les liens Internet correspondants », qui ne fournit absolument aucune information sur la manière dont les expériences d’« isolement viral » du CDC ont été convenablement contrôlées.

Le 23 décembre 2021, Christine Massey a également soumis une demande au CDC afin d’obtenir tous les détails de l’expérience de Harcourt et coll. « simulant une infection », y compris « la quantité de matériel provenant d’échantillons d’écouvillons nasopharyngés et oropharyngés non infectés qui a été ajoutée au groupe de contrôle de la culture cellulaire » 126. Le CDC a finalement répondu à la demande de Massey le 10 mai 2022 avec 36 pages d’informations tout aussi inutiles et l’excuse suivante :

En ce qui concerne certaines parties de votre demande, une recherche dans nos archives n’a pas permis de trouver de documents relatifs à votre demande. Ces parties concernent votre demande concernant spécifiquement « … des cultures cellulaires — des détails du groupe expérimental : » et « des cultures cellulaires — des détails du groupe de contrôle infecté fictif » et « le séquençage du génome entier — détails de la pureté et du contrôle : » Votre demande a été envoyée au Centre National pour l’Immunisation et les Maladies Respiratoires (en anglais National Center for Immunization and Respiratory Diseases ou NCIRD) pour recherche. Ils ont répondu que certains détails de votre demande n’étaient pas disponibles en tant qu’enregistrements contrôlés ou conservés par le CDC127.

En d’autres termes, les CDC semblent ignorer totalement qu’ils ne suivent pas la méthode scientifique ou ils ont compris que la partie était perdue et s’engagent dans des réponses fallacieuses. Dans les deux cas, ils ne peuvent être pris au sérieux en tant que source d’information scientifique fiable s’ils promeuvent également des expériences non contrôlées comme preuve de l’existence de virus.

Les divulgations de Peng Zhou et coll.

Il est arrivé que des chercheurs fournissent des réponses concernant leurs méthodologies et que, intentionnellement ou non, ils soient étonnamment francs au sujet de leurs expériences non scientifiques. Le 3 février 2020, Peng Zhou et coll. ont publié dans Nature leur article intitulé « A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin » (Une épidémie de pneumonie associée à un nouveau coronavirus d’origine probable de chauve-souris), affirmant « l’identification et la caractérisation d’un nouveau coronavirus (2019-nCoV) » 128. Dans leur expérience d’« isolement », les auteurs ont produit des images montrant des ECP apparents dans les cellules Vero E6 prétendument « infectées par le 2019-nCoV » (([33] NdT : nom transformé par la suite en SARS-CoV-2)), mais aucun ECP dans les « cellules infectées de manière fictive » 129, ces dernières étant censées être (le groupe) « contrôle ». Mais quelle était la nature de cette apparente expérience de contrôle ? Les détails n’ayant pas été fournis dans l’article publié, ils ont été contactés par l’un de mes collègues en août 2021, qui a obtenu des aveux surprenants de l’un des coauteurs de l’article, Xing-Lou Yang. Tout d’abord, outre le fait qu’il n’y avait pas d’expériences de contrôle positif (c’est-à-dire avec des échantillons humains comparables sans le prétendu virus), Yang a déclaré qu’ils avaient doublé la dose de pénicilline et de streptomycine dans le groupe expérimental130. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi cette variable avait été modifiée, la réponse a été la suivante : « l’intention de l’Anti-Anti (les deux antibiotiques) est d’empêcher la contamination par des bactéries ou des champignons pendant l’isolement du virus, donc une concentration de 1 % ou 2 % n’a pas affecté la croissance cellulaire. La concentration de 2 % dans la première génération visait simplement à empêcher la contamination des échantillons »131.

Mon collègue a suggéré de refaire l’expérience de « contrôle » avec une dose plus élevée d’antibiotiques pour s’assurer qu’il ne s’agissait pas d’un des facteurs induisant des ECP dans la lignée de cellules rénales. Yang a ensuite fourni une réponse évasive : « si vous pouvez vous assurer que vous pouvez empêcher la contamination par des bac (bactéries) ou des champignons, vous n’aurez pas besoin d’utiliser l’Anti-Anti » 132, semblant ignorer le point crucial selon lequel les antibiotiques supplémentaires eux-mêmes pourraient être toxiques pour les cellules (en particulier parce que la streptomycine est connue pour être néphrotoxique). À tout le moins, ils avaient modifié d’autres variables par rapport à leurs contrôles et avaient donc invalidé encore davantage leurs résultats.

Une autre révélation stupéfiante des auteurs est que dans leur groupe expérimental, seul un puits sur 24 contenant des cultures de cellules rénales Vero E6 présentait des signes d’ECP133. Ainsi, ce qui devrait être considéré comme une marge d’erreur expérimentale constitue la base de l’une des déclarations d’un nouvel agent pathogène prétendument mortel, décrit dans un article qui, en juillet 2022, a été consulté 1,34 million de fois et cité plus de 10 000 fois134. Les autres auteurs qui citent cet article se rendent-ils compte de l’étroitesse des « preuves » sur lesquelles est construit ce château de cartes appelé COVID-19 ? Peut-être ne seraient-ils pas perturbés par une telle révélation, étant donné que les expériences biologiques sont de plus en plus abandonnées tandis que les « génomes » in silico sont de manière absurde prétendus fournir des preuves adéquates de l’existence des virus. Dans le cas de Zhou et coll., leur simulation informatique a été fièrement proclamée « être identique à 96 % au niveau du génome entier à un coronavirus de chauve-souris ». Ils ont décidé de mettre en forme leur nouvelle invention virale par rapport à cette séquence, en se basant sur l’absurdité que « des études antérieures ont montré que certains SARS-CoV de chauve-souris ont le potentiel d’infecter les humains »135. Leur logiciel a assemblé ce qui est devenu les numéros d’accès GenBank MN996527-MN996532 et cette forme de fausse « preuve », qui manque également de contrôles valides, a été documentée dans le présent essai.

Figure 7. L’étude de Peng Zhou et coll. et sa méthodologie précédemment non divulguée : doubler les antibiotiques dans le groupe expérimental pour observer des ECP dans seulement un puits sur 24. Il est déclaré que cela constitue une preuve de l’existence d’un nouvel agent pathogène viral, le « 2019-nCoV », qui sera plus tard rebaptisé SARS-CoV-2.

Plus de tromperie en provenance de Wuhan ?

Début 2022, un mathématicien travaillant avec le Dr Stefan Lanka a publié une analyse des données de séquences associées produites par Fan Wu et coll.136 La conclusion en est surprenante :

Une répétition de l’assemblage de novo avec Megahit (v.1.2.9) a montré que les résultats publiés ne pouvaient pas être reproduits. Nous avons peut-être détecté des acides ribonucléiques (ribosomiques) d’origine humaine, contrairement à ce qui a été rapporté (par Fan Wu et coll.)… Il n’est pas prouvé que seuls des acides nucléiques viraux ont été utilisés pour construire le génome viral revendiqué pour le SARS-CoV-2. En outre, en ce qui concerne la construction du brin de génome viral revendiqué, aucun résultat d’éventuelles expériences de contrôle n’a été publié. Ceci est également vrai pour toutes les autres séquences de référence prises en compte dans le présent travail. Dans le cas du SARS-CoV-2, un contrôle évident consisterait à s’assurer que le génome viral revendiqué ne peut pas être assemblé à partir de sources d’ARN insoupçonnées d’origine humaine ou même autre.

(([34] NdT : Megahit est un assembleur (programme informatique) de séquences génétiques qui permet — à partir de bribes attribuées au « virus » — de construire le génome complet du « virus » (!!!) en remplissant les vides entre les bribes. C’est un peu comme si à partir de 3 ou 4 mots on demandait à un ordinateur de « reconstruire » une œuvre d’un grand auteur. L’ordinateur à l’aide du programme cherchera à mettre un mot après l’autre de telle manière qu’il retombe sur un des 3 ou 4 mots choisis et continuera ainsi jusqu’au mot choisi suivant et pour enfin arriver à l’intégralité de l’œuvre. En fonction du choix de l’œuvre que l’on désire obtenir, les suites de mots seront donc différentes alors qu’au départ les 3 ou 4 mots (ou plus peu importe) sont les mêmes. Voilà ce que dit l’Université Claude Bernard de Lyon sur cette technique : https://www.dtamb.univ-lyon1.fr/ngs/sequencage-de-novo ))

Outre le fait que les méthodes actuelles de la virologie pour trouver des virus devraient être rejetées, le manque de reproductibilité de leur propre expérience soulève instantanément des questions sur les circonstances dans lesquelles les inventeurs originaux du SARS-CoV-2 ont annoncé leur nouveau virus au Monde. En effet, cette analyse indépendante n’a permis d’obtenir que 28 459 contigs, soit nettement moins que le nombre (384 096) décrit par Fan Wu et coll. En outre, le contig le plus long obtenu indépendamment était de 29 802 nucléotides, soit 672 nucléotides de moins que celui de Fan Wu, ce qui signifie que « les données de séquence publiées ne peuvent pas être les lectures originales utilisées pour l’assemblage ». L’analyse du mathématicien a également conclu que :

L’alignement avec la base de données de nucléotides le 05/12/2021 a montré une correspondance élevée (98,85 %) avec “l’ARN de l’Homo sapiens, 45 S préribosomal N4 (RNA45SN4), ribosomal ARN” (GenBank : NR_146117.1, daté du 04/07/2020). Cette observation contredit l’affirmation de [1] selon laquelle l’épuisement de l’ARN ribosomal a été effectué et les lectures de séquences humaines ont été filtrées à l’aide du génome humain de référence (human release 32, GRCh38.p13). Il convient tout particulièrement de noter que la séquence NR_146117.1 n’a été publiée qu’après la publication de la bibliothèque de séquences SRR10971381 examinée ici. Cette observation souligne la difficulté de déterminer a priori l’origine exacte des fragments d’acide nucléique individuels utilisés pour construire les séquences génomiques virales revendiquées.

Quoi qu’il en soit, les problèmes ne se sont pas arrêtés là. La distribution de la couverture de certains contigs était extrêmement inhomogène et, compte tenu du taux d’erreur élevé, on s’est demandé si certaines des séquences n’étaient pas simplement générées par les conditions d’amplification de la PCR elles-mêmes. Là encore, il s’agit d’une méthode anti-scientifique, car des expériences de contrôle appropriées (avec des échantillons similaires provenant de l’homme) ne sont pas réalisées pour examiner ces possibilités. L’analyse indépendante a révélé que Fan Wu et coll. auraient pu trouver de meilleures correspondances consensuelles in silico pour le « VIH » et le « virus de l’hépatite D » que pour un « nouveau coronavirus » chez leur homme de 41 ans de Wuhan, qui a présenté une pneumonie comme l’un des premiers cas déclarés de COVID-19. Si les virologues veulent trouver un virus, tout dépend de la manière dont ils conçoivent leurs protocoles et de ce qu’ils demandent à l’ordinateur de rechercher — et comment ces diseurs de bonne aventure sauraient-ils ce qu’il faut rechercher ?

L’amorçage du Professeur Stephen Bustin d’une pandémie de tests PCR

Les scientifiques ont tendance à supposer que tout ce qui n’est pas de leur ressort est vrai et qu’ils peuvent s’y fier.

David Crowe après son interview de Stephen Bustin en avril 2020. 137

(([35] NdT : David Crowe est décédé peu après cette interview (le 12 juillet 2020), emporté par un cancer dont la fulgurance a étonné le Dr David Raznik (cité également dans cet article, les deux faisant partie du groupe de réévaluation du SIDA « Rethinking AIDS »). Le traducteur a eu de multiples contacts (mails, téléphone) avec David Crowe dans l’année précédant son décès. Ce dernier lui a maintes fois répété qu’on ne pourrait éventuellement parler de pandémie qu’en 2023 ou 2024 et que pour lui il ne s’agissait, en 2020, que d’une épidémie de tests. Les faits lui ont donné raison (lire à ce sujet l’excellent livre de Pierre Chaillot « Covid-19 — ce que révèlent les chiffres officiels »))

Pour entretenir l’illusion de la « pandémie » de COVID-19, il fallait des cas. Ceux-ci ont été fournis par le plus vaste programme de « dépistage » humain jamais mis en œuvre, impliquant des milliards de kits PCR distribués dans le monde entier. Nous ne comprenons toujours pas pourquoi Stephen Bustin, qui est un « expert de renommée mondiale en matière de PCR quantitative et dont les recherches portent sur la transformation des techniques moléculaires en outils pratiques, robustes et fiables à usage clinique et diagnostique » 138, n’a pas souligné de manière décisive l’utilisation inappropriée du processus de PCR. Bustin était l’auteur principal de la publication de 2009, « The MIQE Guidelines: Minimum Information for Publication of Quantitative Real-Time PCR Experiments » 139 (Informations minimales pour la publication d’expériences de PCR quantitative en temps réel), dans laquelle les considérations conceptuelles clés pour les expériences de PCR en temps réel sont décrites comme suit :

  1. 2.1 La sensibilité analytique fait référence au nombre minimum de copies dans un échantillon qui peut être mesuré avec précision par un test, tandis que la sensibilité clinique est le pourcentage de personnes atteintes d’un trouble donné que le test identifie comme étant positives pour ce trouble…
  2. 2.2 La spécificité analytique fait référence au test qPCR qui détecte la séquence cible appropriée plutôt que d’autres cibles non spécifiques également présentes dans un échantillon. La spécificité diagnostique est le pourcentage de personnes ne souffrant pas d’une affection donnée et que le test identifie comme étant négatives pour cette affection.

Si Bustin était resté fidèle à la science, il aurait dû mettre un terme à la pandémie de PCR en janvier 2020, lorsque les protocoles PCR de Corman-Drosten ont été publiés140. Le mot « spécificité » n’apparaît qu’une seule fois dans l’article de Corman-Drosten et il n’avait rien à voir avec le diagnostic d’un état clinique, et encore moins d’une infection virale. Il n’y a pas eu de « détection du 2019-nCoV » comme le prétend l’article, tout ce qui a été établi est la spécificité analytique de leur test pour détecter des séquences cibles sélectionnées. Il s’agissait d’une expérience de réaction moléculaire in vitro avec une technologie d’acide nucléique synthétique qui ne nécessite pas l’existence d’un virus. En outre, il n’a pas été établi comment le résultat de la PCR était lié à un état clinique, c’est-à-dire qu’il n’a jamais été démontré que les kits PCR COVID-19 permettaient de diagnostiquer quoi que ce soit chez un sujet humain. Une maladie inventée basée sur un virus fictif.

(([36] NdT : Contrairement à ce qu’on peut lire si souvent dans les articles du mouvement de « résistance » au narratif Covid, les tests ne « crachent » pas des faux positifs (ce qui signifierait d’ailleurs qu’ils « crachent » aussi des vrais positifs), les tests n’ont ABSOLUMENT aucune signification. Quand on pense à toutes les conséquences (les décès, les pertes de liberté et d’emplois…) suite à la mise en œuvre de ces tests on est saisi d’effroi !))

Outre la question de la spécificité, le fait, qui n’a pas été très médiatisé, que l’expert mondial en PCR ait déclaré à David Crowe en avril 2020 que (même selon les propres termes de la virologie) qualifier un résultat de PCR de coronavirus de « positif » après 36-37 cycles, comme c’était le cas partout dans le Monde, était « un non-sens absolu. Cela n’a aucun sens » 141. Cependant, la fraude de la PCR est apparue encore plus clairement lorsque Eric Coppolino (([37] NdT : un autre membre du groupe « Rethinking AIDS », animateur d’une radio libre aux États-Unis)) a interviewé Bustin sur Planet Waves FM en février 2021142. L’intention de Coppolino était d’obtenir plus de détails sur l’étape problématique de la transcription inverse (RT) du processus de RT-PCR, mais il a été stupéfait, après l’interview, de réaliser que ce qu’il pensait être un test parfois inexact était complètement frauduleux143. Bustin a semblé mal à l’aise lorsque Coppolino a fait remarquer que tous les résultats positifs de la PCR étaient qualifiés de « cas d’infection confirmé », même s’ils ne présentaient aucun symptôme144. Au lieu d’admettre que la spécificité diagnostique des kits PCR n’avait jamais été établie, Bustin a proposé des explications périphériques telles que l’affirmation que « les unités de soins intensifs sont débordées en ce moment ».

Il a ensuite défendu les protocoles PCR utilisés en affirmant que « cette pneumonie était causée par ce virus. Ce virus a commencé à apparaître et de plus en plus de personnes présentaient les mêmes symptômes. Et ces amorces détectaient ce virus ». Lorsque Coppolino l’a interrogé sur l’absence d’isolement du virus pour pouvoir faire ces affirmations, Bustin a répondu que « la manière dont la séquence a été établie en prélevant des échantillons sur le patient original, en cultivant quelque chose et en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SARS. Malheureusement, M. Bustin a confirmé le mauvais usage que fait la virologie du mot « isolement » et la terminologie floue utilisée pour détecter un « virus ». La question cruciale est que la qualité de la conception des amorces importe peu — si la provenance ou l’importance des séquences génétiques amplifiées par la PCR sont inconnues, on ne peut tirer rien d’autre comme conclusion que leur simple présence. Bustin peut rassurer le monde sur les performances analytiques potentiellement très élevées d’un protocole PCR, mais c’est au niveau de l’établissement de ses performances diagnostiques que le bât blesse. Même si l’existence physique du SARS-CoV-2 avait été démontrée et que la PCR était acceptée comme un outil de diagnostic valable, Bustin devrait admettre qu’aucun des tests PCR n’a été développé comme le précisent ses lignes directrices MIQE (voir ci-dessus) et qu’aucun ne peut être considéré comme cliniquement validé.

Il est surprenant qu’au cours de cette même interview, il ait nié toute connaissance préalable de la fausse épidémie de coqueluche à Dartmouth-Hitchcock, dans le New Hampshire, en 2006, lorsque le kit PCR mis en place a donné lieu à un taux de faux positifs de 100 % 145. Bustin a déclaré en avoir pris connaissance juste quelques jours avant l’entretien, quelques 15 ans après les faits, en lisant sur le site Web de Coppolino un article qui lui avait été fourni pour les besoins de l’entretien. Pourtant, l’incident était bien connu et avait fait l’objet d’une couverture dans le New York Times, avec des commentaires de nombreux professionnels de la santé publique et des professionnels des tests de diagnostic146. En 2006, Bustin était professeur de biologie moléculaire et il n’est pas étonnant que le spécialiste de la PCR n’ait reçu aucune demande de renseignements de la part de collègues médicaux en 2006, lorsque l’incident s’est produit. En effet, à l’époque, il y avait très peu d’experts en PCR à contacter et c’était une première indication de la manière dont la PCR pouvait être utilisée de manière catastrophique comme outil de diagnostic clinique. Comme si cela ne suffisait pas, il s’agissait d’un incident où le microbe prétendument responsable (la bactérie Bordetella pertussis) peut être physiquement isolé et ses séquences génétiques confirmées pour que la PCR puisse être calibrée à son encontre. En revanche, les protocoles PCR SARS-CoV-2 sont simplement calibrés sur des fragments génétiques d’origine inconnue. Lorsque Coppolino a insisté sur ce point, Bustin a répondu : « Eh bien, vous savez, il s’agit d’une méthode standard, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, si ce n’est que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de procéder » 147.

Au moment où Bustin a été interrogé par Coppolino, il avait déjà coécrit et soumis un article intitulé « COVID-19 and Diagnostic Testing for SARS-CoV-2 by RT-qPCR-Facts and Fallacies » (Covid-19 et les tests de diagnostic pour le SARS-CoV-2 par RT-qPCR et erreurs) qui a été publié plus tard en février 2021148. Dans cet article, Bustin et ses collègues déclarent que “le test (de Corman-Drosten) a fonctionné et était spécifique, et a démontré la sagacité et l’altruisme stupéfiants des scientifiques impliqués, ainsi que la vitesse remarquable avec laquelle les tests basés sur la PCR peuvent être développés et mis en pratique”. Si l’on ne tient pas compte de l’éloge flatteur, la question évidente demeure, spécifique à propos de quoi ? Bustin et ses collègues veulent-ils dire que les tests PCR sont spécifiques (a) de courtes séquences d’ARN ciblées, (b) d’un coronavirus connu sous le nom de SARS-CoV-2, ou (c) de la maladie inventée par l’OMS et connue sous le nom de COVID-19 ? L’article de Corman-Drosten n’a fait qu’établir la spécificité analytique pour l’amplification de certaines séquences d’ARN sélectionnées, il n’avait rien à voir avec l’établissement d’un virus ou le diagnostic d’une maladie. Le concepteur des lignes directrices MIQE sait certainement que, sur les trois, seule la première a été scientifiquement établie et que rien n’était, ou n’a été, validé pour une application clinique. Et pourtant, son article poursuit avec un non sequitur ridicule que : « Le test PCR est parfaitement adapté aux tests à grande échelle, comme le démontrent chaque jour les millions de tests effectués à ce jour ». Bustin aurait-il oublié que les « tests » ne sont qu’un outil d’amplification moléculaire ? Comme l’inventeur de la PCR, le Dr Kary Mullis, l’a mis en garde en 1993 : « Je ne pense pas que l’on puisse utiliser la PCR à mauvais escient, non, les résultats, l’interprétation qu’on en fait (sont utilisés à mauvais escient) » 149.

La PCR amplifie simplement des séquences génétiques sélectionnées et la réaction moléculaire elle-même n’a pas la capacité de déterminer leur provenance ou la pertinence de leur présence. Si un protocole PCR particulier est exécuté correctement et que sa sensibilité et sa spécificité analytiques sont connues à 100 %, on peut dire qu’un résultat positif n’a rien fait d’autre que de confirmer la présence d’une séquence cible. Toutefois, si l’on prétend que la PCR est un outil de diagnostic, il devrait être évident que des études de validation clinique devraient être réalisées avant que le test ne soit introduit dans la pratique clinique. L’article de Corman-Drosten a sauté cette étape et l’OMS a accepté la fraude en plaçant des versions du protocole PCR sur son site Web le 13 puis le 17 janvier 2020, avant même la publication de l’article150. Après cela, la PCR a simplement été utilisée par le biais d’un raisonnement circulaire pour prétendre diagnostiquer des « infections » chez les personnes.

La phase suivante, aux premiers stades de la prétendue pandémie, a impliqué des « experts » tels que le professeur associé Sanjaya Senanayake, spécialiste australien des maladies infectieuses, qui a diffusé auprès du public des affirmations infondées sur l’exactitude des tests. Dans une interview accordée le 26 avril 2020, il a déclaré qu’en ce qui concerne le test COVID-19, « il n’y a pas de véritable étalon-or auquel le comparer… pour le COVID-19, nous n’avons pas de test étalon, donc les tests actuels que nous utilisons, les tests PCR… sont notre étalon-or, mais en essayant de contourner ce problème, nous pensons qu’ils détectent probablement environ 70 % des cas » 151. Senanayake a laissé entendre que si vous n’avez pas d’étalon-or, vous pouvez simplement supposer qu’un nouveau test PCR peut se valider de lui-même. Cependant, cela va à l’encontre de toutes les connaissances en matière de validation des tests. Cette entorse aux principes établis de la logique de validation ne permet pas de savoir comment il a calculé que le test fonctionnait « environ 70 % » du temps, sans parler de la gymnastique mentale qu’implique un « étalon-or » qui ne se détecte lui-même que 70 % du temps. On pourrait admettre, comme il l’a fait par inadvertance, qu’« il n’y a pas de véritable étalon-or » dans les tests COVID-19, car le véritable étalon-or est quelque chose qui n’existe pas, à savoir l’isolement physique et la preuve de la présence d’une particule virale.

L’OMS ne s’est pas préoccupée de l’absence d’étalon-or ou de preuve de l’existence d’un virus et a cimenté l’escroquerie de la PCR en déclarant qu’un cas de COVID-19 était « une personne dont le laboratoire (en 2020, typiquement la PCR) confirme l’infection par le COVID-19, indépendamment des signes et symptômes cliniques » 152. Dans cette seule phrase, elle proclame que les tests PCR non validés cliniquement ont une spécificité diagnostique de 100 % et déforme de façon absurde le sens du mot « infection » pour y inclure des personnes qui n’ont aucun signe ou symptôme. L’étymologie du mot « infection » provient du latin inficere, qui signifie « souiller ». Le Mosby’s Medical Dictionary 2009 définit l’infection comme « (1) l’invasion de l’organisme par des micro-organismes pathogènes qui se reproduisent et se multiplient, provoquant une maladie par des lésions cellulaires locales, la sécrétion d’une toxine ou une réaction antigène-anticorps chez l’hôte, et (2) une maladie causée par l’invasion de l’organisme par des micro-organismes pathogènes »153. Bien que l’auteur ne se prononce pas sur le caractère pathogène ou non des microbes, le sens établi du terme « infection » se rapporte à un état pathologique — sinon, un terme tel que « commensalisme » 154 devrait être utilisé. L’OMS a inventé une nouvelle définition absurde de la « pandémie » 155 et subvertit à présent la définition de l’infection — qui la déconnecte du concept de maladie par la seule utilisation des résultats de la PCR. Kary Mullis n’aurait pas pu dire plus simplement que la PCR n’est « qu’un processus utilisé pour faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose » 156 Malheureusement, à plusieurs reprises au cours de l’ère COVID-19, des personnalités influentes telles que Bustin et Senanayake ont soutenu l’utilisation par les virologues d’un outil de fabrication moléculaire pour faire toutes sortes d’affirmations infondées, y compris la capacité non ratifiée de diagnostiquer une nouvelle infection et la détection d’un prétendu virus.

Il convient de noter qu’une interprétation erronée et biaisée de la PCR semble commencer avant même que le processus d’amplification n’ait commencé. Par exemple, le « High Pure Viral RNA Kit » (Kit d’acide nucléique viral de haute pureté) de Roche, utilisé pour préparer les échantillons pour la PCR, indique qu’il « isole rapidement l’ARN viral du plasma, du sérum, des fluides corporels et des surnageants de culture cellulaire des mammifères » 157. Les informations fournies sur le produit n’indiquent pas clairement comment le kit sépare l’ARN viral présumé des autres ARN présents dans l’échantillon158. Le processus comprend une étape additive de liaison de l’« ARN porteur poly (A) », mais les séquences polyadénylées ne sont pas spécifiques159, et les étapes suivantes de tamponnage et de centrifugation décrites ne permettraient pas non plus de différencier la provenance de l’ARN. Malgré cela, la section « protocoles » proclame que le produit final est un « ARN viral purifié » 160, de sorte que toute personne croyant cette affirmation infondée pense que son résultat RT-PCR positif ultérieur est la preuve de l’existence d’un virus. Il en va de même pour le « High Pure Viral Nucleic Acid Kit » de Roche, utilisé par des équipes telles que celles de Na Zhu et de Peng Zhou, qui affirment avoir découvert le SARS-CoV-2 dans des échantillons de patients et des expériences de culture cellulaire. Une fois de plus, Roche affirme de manière fallacieuse que les étapes décrites dans la section « protocoles » permettraient d’obtenir des « acides nucléiques viraux purifiés » 161.

Incidemment, Bustin a été interrogé spécifiquement sur les affirmations de Roche lorsque la question suivante lui a été posée : « Je suppose que le kit doit être capable de distinguer les AN (acides nucléiques) viraux de tous les autres. Les acides nucléiques viraux ont-ils une propriété chimique unique ? » Il a répondu : « Le processus d’extraction n’est pas spécifique à un acide nucléique particulier, mais il peut être spécifique à certains types d’acides nucléiques. Certains kits peuvent extraire l’ADN ou l’ARN de manière différentielle (sic), mais cela signifie que n’importe quel ADN et ARN sera présent dans l’échantillon extrait (je souligne)… Une petite quantité du matériel extrait est ensuite soumise à la réaction PCR. C’est ce qui assure la spécificité. »162 En d’autres termes, Bustin n’a pas tenté d’expliquer les allégations frauduleuses de Roche, mais a brouillé les pistes en remplaçant la spécificité de la provenance des acides nucléiques par la spécificité des séquences sélectionnées pour la PCR. Il s’agit là d’un tour de passe-passe linguistique qui a permis l’apparition d’un « virus » à partir de rien.

3e Partie

Petit Chien de Montagne — Naïf ou éclairant au gaz ?

Je ne l’aurais jamais vu si je n’y avais pas cru

Ashleigh Brilliant163

Nous connaissons l’allégation selon laquelle il serait impossible que la majorité de la communauté médicale et scientifique soit sciemment complice des méthodologies non scientifiques de la virologie dans la fraude COVID-19. L’auteur n’avance pas une telle hypothèse, bien que l’on se demande si et pendant combien de temps l’ignorance peut être utilisée comme moyen de défense ? En effet, c’est la raison pour laquelle il a été suggéré plus tôt dans cet essai (dans « Qu’est-ce que la virologie ? ») que « l’abandon de la méthode scientifique peut passer inaperçu ou être accidentel pour les participants de niveau inférieur ». Les virologues fraîchement émoulus sont formés pour suivre les méthodologies de leurs aînés et il est peu probable qu’ils aillent loin dans la carrière qu’ils ont choisie, et bien sûr dans leur financement, s’ils contestent la base du travail de leur laboratoire.

Le 29 janvier 2020, un scientifique chinois en virologie connu sous le nom de « Winjor Little Mountain Dog » (Winjor Petit Chien de Montagne) a posté un texte intitulé « Documentation de la première expérience de découverte d’un nouveau coronavirus » 164. Ce texte décrit l’histoire passionnée d’un initié déterminé à faire éclater la vérité sur ce qui s’est passé à Wuhan au cours du mois précédent et qui a réellement « découvert » WH-Human 1 alias « WH-01/2019 », plus tard rebaptisé « SARS-CoV-2 ». Pour ceux d’entre nous qui sont conscients de la tromperie qui a eu lieu dans le cadre de la charade COVID-19, le texte est certainement suspect de faire partie d’une opération d’éclairage au gaz. Par ailleurs, la relative facilité avec laquelle on peut déduire de quel laboratoire provient l’histoire fait apparaître l’auteur comme extrêmement naïf pour un habitant de l’État communiste chinois. Cependant, le document sera présenté tel qu’il est décrit, c’est-à-dire avec le narrateur croyant découvrir des virus dans les passages sélectionnés suivants.

Je viens de me mettre au travail le 26 décembre 2019. Comme d’habitude, je vais d’abord parcourir les résultats de l’interprétation automatique des micro-organismes pathogènes mNGS pour ce jour.

Ici, l’auteur a décrit son laboratoire effectuant des NGS métagénomiques sur des échantillons bruts de patients, comme indiqué dans les sections précédentes de cet essai. Il a défini le thème du texte de l’auteur, qui a décrit les « virus » en termes de séquences génétiques pouvant être détectées dans l’environnement et assemblées par un logiciel informatique.

De manière inattendue, il a été constaté qu’un échantillon présentait un agent pathogène sensible — le coronavirus du SARS, avec des dizaines de séquences, et que seul cet échantillon présentait un tel agent pathogène significatif.

Il s’agit là d’un saut incroyable : à partir de diverses séquences détectées dans un spécimen brut, on passe à la description d’un « agent pathogène », apparemment sur la base du fait qu’un programme informatique peut l’établir. Non seulement ça, mais l’ordinateur a trouvé un « coronavirus du SARS », dont on sait qu’il est associé à l’état clinique du « syndrome respiratoire aigu sévère ».

ce pathogène est le plus similaire au coronavirus Bat SARS (([38] NdT : celui de la chauve-souris)), avec une similarité globale d’environ 87 % et une similarité avec le SARS [SARS-CoV-1] d’environ 81 %. Le nombre de séquences dans l’alignement est passé de quelques dizaines à plus de 500. En outre, 5 contigs ont été assemblés, ce qui représente plus de 1 200 pb (([39] NdT : bp signifie base pairs ou paires de bases)). À l’heure actuelle, on peut essentiellement confirmer qu’il s’agit d’un coronavirus… Dans une situation aussi urgente, on n’a pas le temps de faire des recherches dans la littérature et on ne dispose pas de beaucoup de données… Nous avons ensuite analysé des milliers de génomes de coronavirus à la manière d’un tapis et les avons évalués en termes de similarité, de couverture et même de distribution des génomes, pour finalement trouver les deux génomes les plus similaires, bat-SL-CoVZC45 et bat-SL-CoVZXC21.

Et c’est ainsi qu’il est « confirmé » que le virus a existé sur la base de la comparaison de certains nouveaux assemblages in silico avec d’autres assemblages in silico précédemment soumis à des bases de données génétiques. L’auteur poursuit en décrivant l’activité suivante, à savoir l’analyse de l’arbre phylogénétique et la construction d’un chemin évolutif pour le dernier ajout à l’arbre généalogique fictif de la virologie. Il y a une absence totale de quelque appréciation que ce soit du fait qu’un virus doit avoir une existence physique réelle en tant que particule distincte avec des caractéristiques biologiques spécifiques, y compris la capacité d’infecter des hôtes et de provoquer des maladies. L’auteur se contente d’affirmer que « l’analyse a essentiellement confirmé la présence d’un virus dans l’échantillon de ce patient ». Plus loin dans le texte, ils font preuve d’une certaine prudence en ce qui concerne la pathogénicité clinique, mais restent convaincus de son existence en faisant le commentaire suivant : « si la pneumonie a été causée par ce virus, nous ne l’avons pas analysé ni ne pouvions pas l’analyser. La détection du virus ne signifie pas que la pneumonie a été causée par le virus ».

le 30 décembre, j’ai entendu dire qu’un certain nombre de patients présentaient des symptômes similaires… Ce qui m’a vraiment rendu nerveux, c’est qu’un ami et un homme d’affaires ont partagé la séquence pour que nous l’analysions. Je l’ai analysée et il s’agissait bien du même virus ! La première pensée du subconscient est « ce virus est contagieux » !

Il n’est pas certain que l’auteur savait que les « symptômes similaires » affligeant les patients décrits à Wuhan étaient tous des symptômes respiratoires non spécifiques. À ce jour, COVID-19 n’est pas une maladie clinique définie de manière officielle, les cas « confirmés » faisant simplement référence au résultat d’un processus de détection moléculaire165. En outre, nous avons déjà traité du raisonnement circulaire et du processus autoréférentiel consistant à inventer un « génome de virus » par le biais de la méthodologie de la virologie, puis à prétendre que la détection d’assemblages presque identiques dans d’autres endroits confirme que « le même virus » a été trouvé166.

La nervosité est due au fait que ce virus inconnu pourrait être aussi terrifiant que le SARS ; l’excitation est due au fait que nous avons détecté et confirmé cet agent pathogène à un stade précoce grâce à la technologie mNGS et que nous avons mis le patient en quarantaine ; il est peut-être possible de prévenir et de contrôler le virus avant qu’il ne se propage largement, étranglé dans le berceau ! … J’espère également qu’après ce nouvel incident lié au coronavirus, la capacité du pays à gérer des événements majeurs en matière de santé publique a fait de grands progrès… Pour autant que je sache, nous aurions dû être les premiers à découvrir ce virus, car c’est après que nous avons communiqué les résultats que le système de contrôle des maladies a commencé à intervenir.

Il appartient au lecteur de décider si l’auteur croit vraiment qu’il a été le premier à découvrir le SARS-CoV-2 et que les experts en santé publique ont ces capacités, ou si ce texte a été conçu et « divulgué » comme un autre élément de la propagande du COVID-19. Il n’y a jamais eu de virus à propager. La seule chose qui s’est répandue dans le monde, à part la peur, c’est le « génome » fictif de WH-Human 1 et les tests PCR qui ont été calibrés sur ses séquences. La « pandémie » aurait pu être stoppée net par le rejet de ces tests ; au lieu de cela, des « experts » en santé publique ignorants ont adhéré à l’antiscience de la virologie et participent depuis à la fraude COVID-19.

Petit Chien de Montagne aurait voulu que l’on sache que son laboratoire était « le premier à découvrir le virus », après la collecte de son échantillon de Wuhan le 24 décembre 2019 et la soumission ultérieure à la base de données GISAID le 11 janvier 2020 sous l’ID d’accès (([40] NdT : Chaîne de caractères alphanumériques unique utilisée pour identifier sans ambiguïté un enregistrement particulier dans une base de données)) « EPI_ISL_402123 ». Avec la séquence in silico de Fan Wu et coll., EPI_ISL_402123 a été utilisé dans la conception des protocoles PCR par l’équipe de Christian Drosten (voir la figure 8 ci-dessous). Cependant, comme l’a souligné David Rasnick, « ils n’ont jamais touché à un virus ». Cela confère un élément d’ironie à l’hypothèse de la « fuite du laboratoire », un récit qui est apparu dans les médias grand public dès début février 2020. 167 Le « virus » a certainement été inventé dans un laboratoire, mais il s’agissait d’un laboratoire informatique et la seule entité qui a été divulguée intentionnellement était une simulation informatique. Les résultats de la simulation ont été envoyés dans le monde entier sous forme de code numérique sur Internet et les amorces PCR qui en ont résulté, déployées en masse dans des kits, ont créé les « cas » de la fraude COVID-19.

Figure 8. Le dépôt GISAID « EPI_ISL_402123 » de Petit Chien de Montagne. Il est apparu aux côtés du dépôt « WH-Human_1|China|2019-Dec » de Fan Wu et coll. pour le protocole RT-PCR de Corman-Drosten, où il est indiqué que « l’alignement [WH-Human_1|China|2019 — Dec] a été complété par des séquences supplémentaires publiées indépendamment sur GISAID ». Source : « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ».

L’histoire de Petit Chien de Montagne s’est poursuivie avec un éditorial intitulé « Alors que la pandémie explosait, un chercheur a vu le danger. Les dirigeants chinois ont gardé le silence », paru dans le Washington Post le 22 avril 2022168. On y apprend que Petit Chien de Montagne travaillait dans un laboratoire commercial, « Vision Medicals », à Guangzhou, dans le sud de la Chine, et que « son histoire met en évidence une dissimulation aux conséquences tragiques d’une ampleur historique. Un grave danger a été dissimulé jusqu’à ce qu’il soit trop tard ». L’éditorial présente toutes les allégations virologiques comme valables et déclare ironiquement que « l’épisode sert à souligner une fois de plus pourquoi une enquête sérieuse est nécessaire pour faire toute la lumière sur la façon dont la pandémie a commencé ». Une enquête sérieuse sur ce sujet démontre qu’au fond de cette « pandémie », il n’y a rien d’autre que des absurdités, inventées par les virologues et publiées par des organes tels que le Washington Post.

La diversion « Fuite du laboratoire »

Vous supposez ici que la variole est une chose, une entité. Cette erreur est commise par presque tous les adeptes de la soi-disant « école régulière », et ce sera probablement une nouvelle idée pour vous que de vous dire que ni la variole ni aucune autre maladie n’est une entité, mais un état.

Dr Montague R. Leverson, 1909. 169

Le 19 mai 2022, Jeffrey Sachs, président de la Commission COVID-19 du Lancet, a rédigé avec Neil Harrison un article intitulé « A call for an independent inquiry into the origin of SARS-CoV-2 virus170 ». (Appel à une enquête indépendante sur l’origine du virus du SARS-CoV-2). La publication s’ouvre sur le cadrage suivant de la situation COVID-19 :

Depuis l’identification (sic) du SARS-CoV-2 à Wuhan, en Chine, en janvier 2020, l’origine du virus a fait l’objet d’un débat scientifique intense et de spéculations publiques. Les deux principales hypothèses sont que le virus est apparu à la suite d’une exposition humaine à un animal infecté (« zoonose ») ou qu’il est apparu lors d’un incident lié à la recherche.

Toutefois, l’affirmation selon laquelle il existe « deux hypothèses principales » repose sur l’acceptation du fait que « l’identification du SARS-CoV-2 » signifie que la particule a à la fois une existence physique et les propriétés biologiques spécifiques requises pour répondre à la définition d’un virus. C’est-à-dire un parasite intracellulaire transmissible, capable de se répliquer, qui provoque la prétendue nouvelle maladie « COVID-19 ». Comme cela a été souligné dans La Fraude COVID-19 & la Guerre contre l’Humanité, il n’existe aucune preuve de l’existence de la particule ni de la nouvelle maladie proposée171. De plus, dans cet essai, il y a eu une analyse plus détaillée de l’article de Fan Wu et coll. et de leur fausse affirmation concernant « l’identification » d’un virus à Wuhan au début de l’année 2020. D’autre part, les partisans de la fuite des laboratoires, tels que Sachs et Harrison, commencent leur analyse en acceptant sans réserve les prémisses non établies de la virologie.

Dans leur article, ils citent des aspects tels que « la collecte de CoV de chauve-souris similaires au SARS sur le terrain… (et)… l’analyse et la manipulation de ces virus », se plaignant que « la nature précise des expériences qui ont été menées, y compris la gamme complète de virus collectés sur le terrain et le séquençage et la manipulation ultérieurs de ces virus, reste inconnue ». Ils ne se rendent manifestement pas compte que les « CoV de chauve-souris similaires au SARS » ne sont rien d’autre que des intestins de chauve-souris broyés, prétendument « pathogènes » par l’injection de la bouillie directement dans le cerveau de rats nouveau-nés. La manipulation de ces échantillons peut être un moyen d’obtenir des subventions et d’impressionner les non-initiés, mais elle ne change rien à la réalité biologique. De telles expériences ne permettent pas d’établir que leurs échantillons contiennent des virus ou qu’ils ont des propriétés pathogènes dans le monde naturel. S’ils ne peuvent même pas démontrer l’existence de virus dans leurs tentatives publiques, il n’y a pas lieu de s’inquiéter — ce qui se passe derrière des portes closes n’a pas d’importance puisqu’il n’y a pas de virus au départ.

En ce qui concerne le « génome du SARS-CoV-2 » proposé par les virologues, Sachs et Harrison déclarent qu’ils « ne savent pas si l’insertion du FCS (site de clivage de la furine172) est le résultat d’une évolution naturelle — peut-être par le biais d’un événement de recombinaison chez un mammifère intermédiaire ou un humain — ou si elle est le résultat d’une introduction délibérée du FCS dans un virus de type SARS dans le cadre d’une expérience de laboratoire ». Ils seraient mieux avisés d’examiner comment il a été établi que les séquences ou les protéines qu’ils analysent appartiennent à un virus pathogène. Le débat de ces dernières années sur les subtilités du FCS n’est qu’un microcosme dans le paradigme erroné plus large de la génomique et de la protéomique « virales ».

De même, leur mention de prétendues recherches sur les virus menées à l’Université de Caroline du Nord (UNC) ou de propositions de subventions ayant fait l’objet de « fuites », telles que « DEFUSE », adressées à la Defense Advanced Research Projects Agency des États-Unis (Agence des Projets de Recherche Avancée de Défense) ne constitue pas une preuve de l’existence de virus173. (([41] NdT : le soi-disant financement par la DARPA de programmes de recherches dans un laboratoire de Wuhan n’est pas la preuve de l’existence du virus)). Pour être clair, il n’est pas contesté que des institutions telles que l’UNC expérimentent depuis des décennies des entités telles que les protéines de pointe. Certaines de ces séquences ont été brevetées et utilisées dans le développement d’agents biologiques injectables, récemment imposés à de nombreuses personnes sous la forme de vaccins COVID-19174. Cependant, rien de tout cela n’exige l’existence de particules qualifiées de virus.

Malheureusement, le livre des revendications de la virologie est devenu si alambiqué que la plupart des lecteurs ne se rendent pas compte qu’il est en grande partie composé d’absurdités. Quelques jours après la publication de l’article de Sachs et Harrison, The Intercept a pensé qu’il était également sur une piste d’investigation concernant « la théorie intrigante de l’ingénierie virale » 175. Il a fait état d’une étude de 2016 de l’UNC Chapel Hill176 associé à Ralph Baric déclarant que « les scientifiques ont créé un nouveau virus en utilisant la pointe d’un coronavirus de chauve-souris qui avait été isolé et caractérisé par l’Institut de Virologie de Wuhan (WIV — pour Wuhan Institute of Virology) ». On peut supposer que l’auteur ne comprend pas à quel point les virologues utilisent le mot « isolé » de manière trompeuse. En outre, la figure 1 de la page 10 met en évidence l’affirmation absurde selon laquelle le WIV aurait « purifié des virions » qui auraient ensuite été utilisés par Baric et coll. pour « créer un nouveau virus ». Rien ne prouve que l’un ou l’autre laboratoire disposait d’autre chose qu’une soupe anormale de culture de cellules rénales de singe.

L’hypothèse de la fuite de laboratoire n’est qu’un autre récit de l’ère COVID-19 qui entretient dans l’imagination du public l’illusion de l’existence matérielle du SARS-CoV-2, ainsi que des virus pathogènes et de la contagion liée aux microbes en général. Au cours des derniers mois, le récit fondé sur la peur s’est poursuivi avec des déclarations d’épidémies de variole du singe, la détection présumée de « virus » de la polio à Londres, et la théorie de la fuite du laboratoire COVID-19 a même reçu le soutien du directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé en faveur de la maladie et de la pandémie fantômes qu’il a nommées177. Il semble probable qu’il y aura d’autres histoires de « fuites de laboratoire » à l’avenir si elles continuent à capter l’attention de manière aussi efficace.

Comme l’histoire de Petit Chien de Montagne », l’histoire de la fuite du laboratoire repose sur aucune démonstration scientifique de l’existence d’un virus, mais simplement sur la croyance en l’existence d’un virus, à l’aide de quelques preuves apparentes. Dans le même ordre d’idées, en novembre 2020, l’Institut Lowy, qui se décrit comme un « groupe de réflexion sur la politique internationale » australien, a publié un article contenant l’introduction suivante :

En avril 2020, le Dr Ai Fen, chef du service des urgences de l’hôpital central de Wuhan, a accordé une interview au magazine chinois Renwu. Elle a décrit avec force détails comment, fin décembre 2019, elle avait commencé à recevoir aux urgences de nombreux patients présentant des symptômes grippaux qui résistaient aux traitements habituels. Elle a raconté comment elle a « eu des sueurs froides » lorsque le premier rapport sur le virus de l’un de ces patients est revenu. Elle s’est empressée d’entourer les mots « coronavirus du SARS », a fait une capture d’écran du rapport et l’a envoyé à ses collègues. Très vite, son rapport a fait le tour des cercles médicaux de Wuhan. Mais au lieu de mobiliser l’hôpital et les autorités, le Dr Ai a été réprimandée par le comité disciplinaire de l’hôpital pour « propagation de rumeurs » et « atteinte à la stabilité ». Plutôt que d’avertir le personnel et le public, les autorités de l’hôpital ont demandé au personnel de ne pas porter d’équipement de protection individuelle et ont relayé les instructions du comité local de protection de la santé selon lesquelles, pour éviter de semer la panique, il était interdit aux médecins de partager des messages et des rapports relatifs au virus178.

Pour les crédules, cela peut ressembler à une tentative des autorités de dissimuler le début de la « pandémie virale », mais ceux qui sont familiers avec les absurdités de la virologie peuvent voir clair dans les faussetés — aucun de ces cadres ne nécessite un véritable virus. Entourer d’une mention « coronavirus du SARS » dans un « rapport sur les virus » ne repose sur rien d’autre que sur les simulations dans un bureau de Fan Wu et d’autres équipes.

Un autre médecin, Li Wenliang, salué par la BBC comme un « lanceur d’alerte » 179, aurait également été censuré par les autorités chinoises après avoir partagé le rapport du Dr Ai. Le Dr Li, âgé de 33 ans, serait mort du COVID-19 après avoir « contracté le virus alors qu’il travaillait à l’hôpital central de Wuhan ». La promotion somptueuse de cette « dissimulation » par les médias corporatistes et Wikipédia180 serait comique si elle ne faisait pas partie d’une guerre contre l’Humanité. Toutes ces histoires nous ramènent au même récit de peur impliquant un virus contagieux et « mortel ». Cela permet à cette fraude de se propager et ouvre la voie à d’autres fraudes similaires à l’avenir. L’auteur est stupéfait de constater qu’un si grand nombre de membres de la communauté des « défenseurs de la santé » ne font confiance à aucune des affirmations des médias institutionnels concernant le COVID-19, à l’exception de la déclaration selon laquelle un virus mortel est en liberté, ce qui constitue le plus grand mensonge de tous.

L’affirmation selon laquelle les dépôts de brevets relatifs aux « coronavirus » constituent une preuve de l’existence des virus peut être traitée rapidement. En 2021, le Dr David Martin de M-CAM® International a publié le « Dossier Fauci/COVID-19 » 181 dans le cadre des activités de la société :

surveiller les violations éventuelles du protocole de 1925 concernant la prohibition d’emploi à la guerre de gaz asphyxiants, toxiques ou similaires et de moyens bactériologiques (protocole de Genève) et de la convention de 1972 sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques ou à toxines et sur leur destruction (BTWC).

Malgré les nombreux brevets portant sur des « méthodes de production de coronavirus recombinants » et les subventions fédérales accordées à des spécialistes du gain de fonction comme le Dr Ralph Baric et son équipe de l’UNC Chapel Hill, aucun de ces documents ne contient de preuve scientifique de l’existence des virus. Le personnel des offices de brevets et ceux qui approuvent les subventions de recherche ne sont pas les arbitres de la plausibilité biologique et ne font que reprendre les affirmations des virologues. Le dossier n’était pas une preuve irréfutable de l’existence d’activités de « gain de fonction » impliquant des virus pathogènes. Peut-être que ceux qui pensaient qu’il l’était n’ont pas tenu compte de l’avertissement de Martin qui dit que « tout au long de ce document, l’utilisation de termes communément acceptés dans la littérature médicale et scientifique n’implique pas l’acceptation ou le rejet du dogme qu’ils représentent ».

Virologie et société close

Je ne suis pas un scientifique, mais c’est le droit et le devoir de chaque citoyen de regarder et de voir ce que les scientifiques ont dit, de l’analyser par lui-même et d’en tirer des conclusions sensées. Nous sommes tous parfaitement capables de le faire, et il n’y a aucune raison particulière pour que la nature scientifique du problème nous oblige à remettre notre liberté entre les mains des scientifiques.

Lord Sumption, 2020. 182

C’est l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni (UKHSA pour United Kingdom Health Security Agency) qui a fourni l’une des réponses les plus étranges jamais vues en ce qui concerne la dissimulation de la véritable nature des contrôles supposés dans leurs prétendues « expériences d’isolement et de séquençage du SRAS-CoV-2 ». Le 27 octobre 2021, en réponse à une demande de liberté d’information concernant l’isolement du virus, ils ont suggéré que l’image représentée dans la figure 9 ci-dessous constituait une « preuve » du virus SARS-CoV-2183. Mon collègue, qui avait fait la demande, n’a pas du tout été dupe d’une image générée par ordinateur qui n’était accompagnée d’aucune information sur la source de l’image ou sur la manière dont elle avait été produite. L’UKHSA a continué à tâtonner sur le plan scientifique, déclarant que les virus « ont besoin d’un substrat cellulaire hôte pour se répliquer. L’isolement d’un virus sans milieu n’est donc pas possible… Ces milieux et tous les produits ajoutés sont tous stériles et ne contiennent pas de matériel génétique supplémentaire » 184. Nous ne pouvons que spéculer sur ce que l’UKHSA pense que les cellules hôtes contiennent, si ce n’est du matériel génétique ! À l’instar des CDC, l’équipe d’intervention a également semblé laisser entendre que l’article de Na Zhu et coll. intitulé « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019 » (Un nouveau coronavirus provenant de patients atteints de pneumonie en Chine, 2019) permettait de confirmer que la particule de virus SARS-CoV-2 imaginée avait une existence physique.

Figure 9: The https//uksa.blog.gov.uk/2021/02/05/what do we know about the new COVID-19 variants/
L’affirmation farfelue de « preuve » du SARS-CoV-2 du 27 octobre 2021.

Mon collègue a fait remarquer à l’UKHSA qu’elle n’avait aucune preuve de l’existence d’un virus et que, de ce fait, elle s’impliquait elle-même en « blessant inutilement des personnes en leur inspirant de la peur, en leur retirant sommairement leurs droits et en les contraignant à suivre un traitement inutile et nuisible, ce qui est moralement répréhensible185 ». Sans se décourager, il a écrit à nouveau à l’UKHSA quelques mois plus tard pour demander la divulgation de la méthodologie complète des expériences de culture cellulaire et de tout contrôle comparatif dans le document de Public Health England, « Duration of infectiousness and correlation with RT-PCR cycle threshold values in cases of COVID-19, England, January to May 2020 » (Durée de l’infectiosité et corrélation avec les valeurs seuils du cycle RT-PCR dans les cas de COVID-19, Angleterre, janvier à mai 2020) 186. La lettre de réponse de l’UKHSA datée du 25 mars 2022 contenait un texte qui représentait soit une conspiration entre l’OMS et des États-nations souverains pour ne pas divulguer les détails de la tromperie de la « culture virale » qui est au cœur de la fraude du COVID-19, soit une profonde ignorance de la part de l’UKHSA en décrivant le SRAS-CoV-2 comme un « virus à haut risque » 187.

Conformément à la section 1 (1) (a) de la loi, l’UKHSA peut confirmer qu’elle détient les informations demandées concernant les questions ci-dessus. Toutefois, les informations demandées ne peuvent être divulguées en vertu de l’article 24 (1) — Exemption pour Sécurité Nationale. La section 24 (1) prévoit que les informations sont exemptées si l’exemption de la section 1 (1) (b) est nécessaire pour sauvegarder la sécurité nationale. Par « nécessaire », on entend que le recours à l’exception est raisonnablement nécessaire…

Les facteurs qui justifient le maintien de l’exemption sont les suivants :

La divulgation de ces informations constituerait une information technique très détaillée, un transfert de savoir-faire, qui irait directement à l’encontre d’une demande explicite de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à Santé Publique Angleterre (Public Health England ou PHE, aujourd’hui UKHSA) en 2020 de ne pas divulguer ou diffuser largement les détails de l’amplification de la culture du SARS-CoV-2 ;

La divulgation de ces informations consisterait à détailler la méthodologie exacte utilisée dans l’amplification du virus pour un virus désigné à haut risque, nécessitant un confinement de niveau 3, et pourrait constituer une menace pour la biosécurité nationale et mondiale si elle était communiquée à un membre du public non identifié ou non vérifié ou à des agents mal intentionnés

La divulgation de ces informations permettrait d’acquérir un important savoir-faire qui pourrait, dans certaines circonstances, être considéré comme une menace pour la biosécurité188.

Un réexamen de cette décision a été demandé par mon collègue, mais la décision a été confirmée par l’UKHSA le 3 mai 2022, au motif que la communication des détails de l’expérience de culture cellulaire « a été compensée par la menace que la divulgation fait peser sur la sécurité nationale » 189. On ne voit pas très bien en quoi le fait de garder secrets les détails de leur méthodologie expérimentale est nécessaire aux efforts du Royaume-Uni pour « sauvegarder la sécurité nationale ». Il a été révélé que les virologues n’effectuent pas d’expériences de contrôle valables et que leurs affirmations concernant « l’isolement de virus » n’ont pas été établies dans la littérature scientifique. Les autorités craignent-elles que, si elles admettent cela officiellement, il y aura une révolte lorsque le grand public réalisera les crimes qui ont été commis sur la base d’affirmations provenant d’expériences virologiques frauduleuses ? Leur obstruction officielle à la divulgation de ces informations au public, invoquant la « biosécurité », est paradoxale étant donné que l’existence du prétendu « virus à haut risque » n’a pas été démontrée.

Maggie Throup, sous-secrétaire d’État parlementaire chargée des vaccins et de la santé publique, est peut-être la seule à avoir surpassé les réponses complètement folles de l’UKHSA. Dans un courriel adressé à sa collègue députée Rachael Maskell le 27 juin 2022, Mme Throup a déclaré que,

« L’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) n’utilise pas les postulats de Koch dans le COVID-19, car ils sont trop restrictifs et suggèrent une association plutôt qu’une causalité. Koch a également abandonné ses postulats lorsqu’il a découvert un portage asymptomatique. Les critères de Bradford-Hill sont plus couramment utilisés lorsqu’il s’agit d’associer un virus à une maladie. Il convient toutefois de noter que le SARS-CoV-2 répond aux postulats de Koch, comme le démontre l’article suivant, où un modèle animal a été utilisé » 190.

Comme cela a été souligné plus haut dans cette section de l’essai, il est absurde de prétendre que les postulats pourraient être satisfaits alors que l’existence du microbe postulé n’a jamais été établie. En outre, l’article de 2020 auquel Throup fait référence est « The pathogenicity of SARS-CoV-2 in hACE2 transgenic mice » 191 (La pathogénicité du SARS-CoV-2 chez les souris transgéniques hACE2). Cet article n’a jamais établi qu’il y avait un virus dans ses échantillons, n’avait pas de contrôles valides, ne suivait pas les postulats de Koch et présentait d’autres aspects de la fraude192. Cependant, Throup a continué à promouvoir des absurdités virologiques en prétendant qu’une autre étude193 « démontre l’évolution de la maladie COVID-19, à partir du moment où une personne rencontre pour la première fois le SRAS-CoV-2, tout au long de l’infection jusqu’au moment où le virus est apparemment éliminé ». Une fois de plus, l’article affirmait simplement qu’il y avait un virus dans leurs échantillons et n’avait aucun contrôle valide, sans parler des autres aspects non scientifiques de l’étude qui ont été traités ailleurs, y compris la réfutation complète de l’article par ViroLIEgy alors qu’il s’agissait d’un avant-tirage194 (([42] NdT : tirage avant publication officielle ou grand public)). En d’autres termes, les politiciens tels que Throup répètent les absurdités de la virologie et soumettent ainsi leurs électeurs à une gamme obscène de conséquences inutiles et parfois mortelles.

Séquençage métagénomique : le dernier soupir de la virologie ?

L’ambition réductionniste de la biologie moléculaire ne risque-t-elle pas d’être contrariée par le volume des données qu’elle produit, voire par l’intérêt passionnant de leur collecte ?

Sir John Maddox195

Le coût du séquençage a chuté de façon spectaculaire depuis 2001, lorsqu’il s’élevait à plus de 5 000 $ US par mégabase brute (Mb), jusqu’en 2007, lorsqu’il était d’environ 500 $ US par Mb, après quoi il a chuté précipitamment à 0,005 $ US par Mb vers le milieu de l’année 2021196. En outre, l’émergence du séquençage de nouvelle génération (NGS) vers 2005 a entraîné une réduction massive du temps nécessaire au séquençage des génomes. Comme l’indique un article paru en 2017 dans Biology and Medicine,

Le génome humain, par exemple, est constitué de 3 milliards de paires de bases… le séquençage du génome humain à l’aide du séquençage Sanger a pris près de 15 ans, a nécessité la coopération de nombreux laboratoires dans le monde entier et a coûté environ 100 millions de dollars US, alors que le séquençage par des séquenceurs NGS à l’aide du 454 Genome Sequencer FLX a pris deux mois et a coûté environ un centième de ce coût197.

Le même document poursuit en indiquant que « malheureusement, les NGS sont incapables (sic) de lire la séquence d’ADN complète du génome, ils sont limités au séquençage de petits fragments d’ADN et génèrent des millions de lectures. Cette limite reste un point négatif, en particulier pour les projets d’assemblage du génome, car elle nécessite des ressources informatiques importantes. »

Il est souligné qu’en ce qui concerne la virologie, une préoccupation bien plus importante que les « ressources informatiques » est qu’un processus qui peut être utilisé pour le séquençage du matériel génétique de provenance connue (par exemple les cellules humaines, bactériennes et fongiques) s’est transformé en un assemblage algorithmique de fragments génétiques de provenance inconnue. C’est sur cette base que les chasseurs de virus identifient ce qu’ils prétendent être des virus. Les ressources informatiques ne sont plus un problème pour les virologues, car ils extraient des informations de leurs méthodologies totalement anti-scientifiques de « pipeline de laboratoire humide » impliquant des échantillons bruts et introduisent ces lectures non filtrées générées dans leur « pipeline de laboratoire sec » théorique et ses modèles in silico. (([43] NdT : le « laboratoire humide » est le laboratoire habituel utilisé par les biologistes et qui comporte donc des arrivées d’eau, des fioles, etc.. Le « laboratoire sec » c’est tout simplement une salle qui contient des ordinateurs.))

Il semblerait que la combinaison de coûts de séquençage massivement réduits et de délais raccourcis ait accéléré la descente de la virologie vers une antiscience supplémentaire, pour laquelle l’humanité paie un prix très élevé pour des virus inexistants qui sont inventés à volonté et utilisés comme excuses pour des interventions fallacieuses et la réduction en esclavage. Une publication d’octobre 2019 dans Critical Reviews in Microbiology (Revisions critiques en microbiologie) affirme que « le mNGS (NGS métagénomique) donne de bons résultats dans l’identification de pathogènes rares, nouveaux, difficiles à détecter et coinfectés directement à partir d’échantillons cliniques » 198. Cependant, « donne de bons résultats » en ce qui concerne l’identification de nouveaux « pathogènes viraux » n’a pas de sens, car ils sont également tombés dans le tourbillon du raisonnement circulaire de la virologie. La plupart des « nouveaux agents pathogènes » qu’ils ont énumérés dans leur article étaient des virus dérivés de la technique moderne « indépendante de la culture » prétendument avantageuse de la mNGS. Cependant, une fois de plus, si personne ne peut cultiver ou isoler physiquement de prétendus virus, comment peut-on prétendre que les diverses séquences génétiques présentes dans les échantillons environnementaux proviennent de ces virus ? Comme cela a été souligné, la déclaration de Fan Wu et coll. d’un « nouveau coronavirus » à Wuhan était entièrement basée sur de telles séquences génétiques. La tentative de la virologie de faire passer cette méthodologie pour une preuve de l’existence de particules virales a introduit une hypothèse non réfutable qui n’est pas conforme à la méthode scientifique.

Figure 10. Le système MiniSeq d’Illumina — comment l’équipe de Fan Wu et d’autres chercheurs trouvent des « virus » in silico au 21e siècle grâce à des algorithmes informatiques. Ce processus se déroule dans le cadre d’un laboratoire sec, sans qu’il soit nécessaire de démontrer l’existence d’une particule infectieuse à l’origine d’une maladie.

La spécialisation (et l’automatisation croissante) du processus génomique conduit à une situation où peu de personnes peuvent apprécier le tableau d’ensemble, depuis l’évaluation clinique d’un patient jusqu’aux séquences de nucléotides générées sur un écran d’ordinateur. Les virologues invalident le processus du « génome du virus » dès la première étape en n’établissant jamais qu’ils disposent d’une particule répondant à la définition d’un virus. Ils ne démontrent certainement jamais que les séquences qu’ils prétendent être « virales » proviennent de l’intérieur d’une telle particule imaginaire. Au lieu de cela, ils prétendent que de telles déclarations peuvent être faites par consensus, que les séquences soient qualifiées de « non humaines » ou de « nouvelles » et qu’elles correspondent à des séquences « virales connues » qui ont été précédemment déposées dans les banques de données génétiques. Cependant, la Nature n’obéit pas aux histoires créées par l’homme.

Le processus métagénomique permet l’invention de novo de telles séquences virales et a permis au manège de la virologie de continuer à tourner au 21e siècle. Cependant, en raison de l’incapacité de la virologie à respecter ses propres postulats au cours du siècle dernier, il est presque certain que son avenir sera entièrement construit autour de cette mauvaise utilisation, ou du moins de cette mauvaise application, de la métagénomique. On peut espérer que l’incapacité récente de plusieurs organisations à prouver qu’elles effectuent des expériences de contrôle valables indique que les pandémies virales sont à bout de souffle sur le plan scientifique. Elles ne pourront se propager qu’aussi longtemps que cette dernière fraude sera cachée au public. On peut s’attendre à ce que, dans le dernier souffle de la virologie, la métagénomique continue d’être vendue de manière trompeuse comme un « progrès technologique » et prétendant, de manière commode, comme ayant rendu obsolètes les preuves scientifiques appropriées.

Comme nous l’avons souligné, les folies de ces « avancées technologiques » peuvent généralement être mises en évidence en posant une simple question pour vérifier si elles respectent la méthode scientifique. Par exemple, en 2020, une équipe canadienne a affirmé qu’elle comparait diverses techniques pour « le séquençage du génome entier du SRAS-CoV-2 » à partir d’écouvillons nasaux prélevés sur deux personnes prétendument atteintes du COVID-19199. L’un des auteurs était le Dr Andrew McArthur, professeur agrégé de biochimie et de sciences biomédicales à l’université McMaster, au Canada. Il lui a été demandé s’ils avaient « (essayé) d’extraire l’ARN de témoins sains (personnes saines ou échantillons PCR négatifs) ou de surnageants non infectés, mais exempts de virus », pour voir s’ils pouvaient également assembler un « génome SARS-CoV-2 » grâce à leur méthodologie ?

McArthur a répondu que « nous n’avions pas d’écouvillons de témoins sains, mais l’étude comprenait des contrôles négatifs pour les applications/bibliothèques, c’est-à-dire qu’aucun échantillon d’ARN n’était inclus » 200. En effet, il n’y avait qu’une seule mention d’un « contrôle » dans l’article où il était dit : « une bibliothèque de contrôle négatif sans extrait d’ARN du SARS-CoV-2 a été incluse en utilisant l’amplification de l’ARTIC ». Une fois de plus, l’absence d’un contrôle valable, à savoir un échantillon d’origine humaine dépourvu du prétendu « virus », place cet article dans les vastes archives des absurdités métagénomiques de la virologie. Ironiquement, leur article affirme également que « COVID-19 est causé par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2), un nouveau coronavirus apparu en décembre 2019 », en citant l’article de Peng Zhou et coll. dont la fraude a été exposée plus haut dans cet essai.

Pourquoi s’interroger sur l’existence de virus pendant une guerre ?

L’auteur a observé et a été en contact avec un certain nombre de personnes du mouvement « Health Freedom » (([44] NdT : mouvement pour la Liberté de la Santé, coalition libertaire qui s’oppose à la réglementation des pratiques de santé et plaide pour un accès accru aux soins de santé « non traditionnels »)) qui soutiennent qu’il est inutile de discuter de la question de savoir si l’existence du SRAS-CoV-2 ou de tout autre virus pathogène a été démontrée. Parmi les arguments avancés, on peut citer le fait que cela détourne l’attention des crimes commis contre l’Humanité, qu’il s’agit d’une erreur stratégique, car cela crée davantage de divisions, et que si l’hypothèse virale (ou la « théorie » des germes au sens large) est contestée, une théorie alternative doit être présentée. Il n’est pas nécessaire de dresser une liste exhaustive des personnes qui avancent de telles affirmations, mais le Dr Roger Watson, universitaire britannique, a déclaré en mars 2022 : « Il est difficile de comprendre comment Sam Bailey parvient à ses opinions et il n’est pas nécessaire de nier l’existence du virus pour critiquer vivement la façon dont la pandémie a été gérée » 201. La critique de Watson illustre ce que l’on espère avoir démontré comme étant une opinion mal informée qui repose sur la répétition des affirmations de la virologie. Notre point de vue ne devrait pas être difficile à comprendre pour ceux qui ont mené des enquêtes approfondies sur l’histoire, les méthodologies anti-scientifiques et les déclarations des virologues, y compris la déclaration d’un « nouveau coronavirus » en 2020, et qui se sont efforcés de communiquer cette fraude au public dans un langage clair.

Dans certains cas, ces critiques affirment que tout ce qui concerne la pandémie est une fraude, à l’exception de l’affirmation des virologues (et de l’OMS) selon laquelle le SARS-CoV-2 a une existence physique en tant que particule pathogène. Ils ne voient pas que la base même de la fraude est également une fraude. La difficulté pour certains, même ceux qui font partie du mouvement pour la liberté, pourrait être que la répudiation de l’existence du virus se ferait au prix de la remise en question d’une grande partie du travail de toute une vie. Cependant, au cours d’une enquête, il ne faut pas s’arrêter pour des raisons de commodité ou parce que l’état actuel des connaissances ne permet pas d’aller plus loin. Au contraire, c’est une grave erreur de laisser les « faits » fondamentaux être dictés par l’establishment de la virologie. Le cœur de la fraude du COVID-19 repose sur les affirmations de la virologie. Ce n’est pas une erreur stratégique que d’orienter notre énergie vers la mise en évidence des faiblesses de la virologie, sinon le fait de mettre en échec les réponses au COVID-19 tout en laissant intactes les absurdités de la virologie ouvre la porte à toutes sortes de « pandémies virales » à l’avenir. La compréhension de l’ensemble de la fraude élimine la peur infondée de la contagion et permet d’emprunter une voie plus solide vers une liberté durable.

Post-scriptum

Quelle que soit la longueur d’un essai sur ce sujet, il y aura toujours plus de questions sous la forme de « mais qu’en est-il de… ? ». Le désir d’adapter les phénomènes observés au modèle viral est fortement programmé à de nombreux niveaux. Cet essai n’avait pas pour but d’expliquer les observations périphériques ou la cause de diverses maladies dans des organismes tels que l’homme. Comme cela a été détaillé, il suffit de démontrer que l’hypothèse virale s’est réfutée d’elle-même. Les virologues n’ont fourni aucune preuve directe de l’existence de virus pathogènes et ont eu recours à des observations indirectes qui ne sont pas valables en raison de la nature incontrôlée des expériences (([45] NdT : Sans faire les expériences de contrôle)). De plus, en adhérant à la méthode scientifique, nous ne sommes pas obligés de fournir une autre explication à ces phénomènes — lorsqu’une hypothèse a été réfutée, ne serait-ce qu’une seule fois, c’en est fini d’elle. Tragiquement, les explications à de nombreuses questions du type « mais qu’en est-il de… ? » ont déjà trouvé une réponse ailleurs, mais la séduction du « virus » et le poids des intérêts qui l’entourent ont créé une barrière de connaissances artificielle pour de nombreuses personnes. Dans cette optique, je me suis efforcé de servir le but le plus élevé que je connaisse et j’espère que mes contributions aideront l’Humanité à se débarrasser une fois pour toutes des chaînes virales imaginaires.

Le progrès consiste non pas à accroître la vérité, mais à la libérer de ses enveloppes. La vérité s’obtient comme l’or, non pas en la faisant grossir, mais en la débarrassant de tout ce qui n’est pas de l’or.

Léon Tolstoï202

Au sujet de l’auteur

Dr Mark Bailey MB ChB, PGDipMSM, MHealSc (Otago), est un chercheur en microbiologie, en industrie médicale et en santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Traduction Jean Bitterlin 24 décembre 2023

INDEX




La santé internationale selon l’Organisation mondiale ou morbide de la Santé ?1

Par Claude Janvier

« Négocié par 194 États membres de l’OMS depuis 2021 et devant être adopté définitivement le 24 mai 2024, le Traité de l’OMS sur les pandémies menace gravement nos droits et libertés. En effet, sous couvert de nous préparer à une prochaine pandémie, ce traité va confier à l’OMS un pouvoir contraignant sur les pays, pouvoir qui lui permettra lorsqu’il déclarera une pandémie de forcer les états signataires à procéder à des confinements, ainsi qu’à d’autres mesures sanitaires (par exemple le port obligatoire du masque), voire de procéder à une vaccination de masse. Nous sommes donc dans la dernière ligne droite et pourtant rien ou presque ne filtre. »

Extrait d’un article de Réinfo-Québec.

Depuis la crise « sanitaire » qui a sévi dès le début 2020, où presque tous les gouvernements de la Terre ont obéi comme un seul homme à une folie « confinatoire et vaccinale », il apparaît de plus en plus évident que l’OMS, créée en 1948, règne en maître absolu dans l’élaboration des directives mondiales pour la santé.

Selon sa constitution, l’OMS a pour objectif d’amener tous les peuples des États membres et partenaires à un niveau de santé le plus élevé possible ; la santé étant définie comme un « état de complet bien-être physique, mental et social et ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».

L’OMS est donc devenue incontournable dans le domaine de la santé mentale et physique, dictant ses recommandations à la planète entière.

Aucun État ne songe à remettre en cause ses décisions émanant de spécialistes éminents ou se faisant paraître comme tels. Cette « chasse gardée » de la santé rapporte des milliards de dollars aux puissants laboratoires pharmaceutiques, censés nous vouloir du bien.

Financée par les États membres et par la fondation Gates, il apparaît nécessaire de s’interroger sur l’efficacité réelle de cette organisation au vu, entre autres, du nombre grandissant des effets secondaires des liquides expérimentaux appelés frauduleusement « vaccins » pour soigner la Covid-19, qui ont occasionné « 2 600 effets secondaires graves par semaine en France2 ».

À peine sortis des essais cliniques non concluants, les vaccins Covid-19 continuent d’être injectés à grand renfort de publicité à quasiment toute la population, y compris les jeunes enfants, provoquant beaucoup de décès et d’innombrables effets secondaires dans l’Union européenne et aux États-Unis.

Dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid, appelée « EudraVigilance », 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens3.

L’OMS est assurément un outil bien pratique pour asseoir une suprématie planétaire au service d’une poignée d’individus. Le 13 mars 2018, cette organisation a publié comme chaque année, la liste des maladies prioritaires à étudier d’urgence, coïncidant avec l’apparition de la mystérieuse maladie X causée par un hypothétique virus ! John Arne Røttingen, directeur exécutif du Conseil norvégien de la recherche et conseiller de l’OMS, précise au média Telegraph, à propos de cette maladie encore inconnue, que :

« … L’Histoire nous enseigne qu’il est probable que la prochaine grande épidémie sera quelque chose que nous n’avons pas connu auparavant […]. Cela peut 30 paraître étrange d’ajouter un X, mais le but est de s’assurer que nous nous préparons et que nous planifions de manière flexible des tests de vaccins et de diagnostics. Nous voulons mettre au point des plateformes prêtes à l’emploi qui fonctionneront pour n’importe quelle maladie ou pour un large nombre de pathologies, des systèmes qui nous permettront de créer des contre-mesures rapidement4 »

Étonnant ! D’une part, parce qu’une déclaration comme celle-ci est une insulte à la science et, d’autre part, comment et sur quels critères l’OMS a-t-elle pu classer la mystérieuse maladie X dans la liste Blueprint regroupant les maladies et les pathogènes qui représentent la menace la plus importante pour la santé publique par leur potentiel épidémique, au même titre que l’Ebola, Marburg, Zika, alors qu’il ne s’agit que d’une pure hypothèse ?

Dès lors, on peut légitimement se poser un certain nombre de questions sur la Covid-19, dont l’émergence, la propagation et le déferlement mondial auront été attendus, voire conjecturés, par l’OMS. Auquel cas, cette Organisation mondiale de la santé, agence spécialisée de l’ONU pour la santé publique, dont dépend directement le Conseil économique et social des Nations unies, a donc osé épouvanter la population avec une prospective terrifiante par une maladie inconnue qui s’abattra sur la planète tout entière.

Partant de ce constat, l’OMS, avec ses satellites tentaculaires, s’avère être bel et bien une organisation pervertie et corrompue aux ordres de l’oligarchie financière mondiale apatride.

La liste des bienfaiteurs et pourvoyeurs de fonds de cette organisation présidée par l’Éthiopien, Tedros Adhanom Ghebreyesus, depuis le 23 mai 2017, est longue. Parmi les plus grands contributeurs (en millions de dollars US) pour l’exercice 2020-20215, retenons la fondation Bill & Melinda Gates, la Gavi Alliance, où siègent en permanence Bill & Melinda Gates, Baxter international, inc. (contributeur volontaire), la Commission européenne, le Rotary International ou encore l’Unicef.

Que du « beau » monde ! L’OMS dépendant, comme souligné, de l’ONU, voici une déclaration étonnante émanant de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) et ayant pour titre :

« Échapper à l’ère des pandémies : les experts mettent en garde contre de pires crises à venir » :

(Bonn, le 29 octobre 2020)

« Des pandémies futures vont apparaître plus souvent, se propageront plus rapidement, causeront plus de dommages à l’économie mondiale et tueront plus de personnes que la Covid-19, à moins que l’approche globale de la lutte contre les maladies infectieuses ne soit modifiée, avertit un nouveau rapport clé sur la biodiversité et les pandémies (en anglais6) rédigé par 22 experts de premier plan du monde entier. »

Alice Desbiolles, épidémiologiste, le 5 janvier 2022, citait une déclaration de l’OMS sur Europe 1 dans l’émission de Sonia Mabrouk :

« Le coronavirus n’est qu’un “amuse-gueule” de ce que nous allons vivre ces prochaines années… Nous rentrons dans l’ère des pandémies, on peut parler d’épidémie de pandémie… »

Vous êtes prévenus ! Il est encore temps de dire stop aux diktats de l’oligarchie financière mondiale apatride.

Claude Janvier. Ecrivain, essayiste, chroniqueur. Auteur du livre « Les Démasqués, Qui dirige réellement le monde ? » KA Editions

Notes