Que se passe-t-il exactement avec cette élection américaine ?

[Source : unz.com]

Par Andrew Anglin — 29 juin 2024

Qui sont ces 33 % ?

Lorsque j’ai regardé le débat, j’ai vu exactement ce que je m’attendais à voir. À peu près point par point, il n’y avait rien qui semblait étrange ou surprenant à ce sujet. La seule surprise agréable est qu’il n’y a pas eu un énorme va-et-vient sur la question de savoir qui était le meilleur pour les Juifs. Mais sinon, c’était exactement ce à quoi je m’attendais.

Ce qui me choque, c’est de voir à quel point les autres sont choqués. Personne n’a prêté attention à tous ces clips montrant Biden complètement sénile ? Ce que j’ai compris, c’est que les grands médias n’ont pas montré ces clips. Je suis dans une bulle où je vois ce genre de choses, mais la majorité du public n’était apparemment pas au courant de l’état de ce type.

Maintenant, tout le monde panique.

Il suffit de regarder les gros titres. Ils n’en finissent plus. Personne ne défend Biden. La plupart d’entre eux réclament son remplacement.

[Voir aussi :
Un débat arrangé pour écarter Biden]

Vous savez, je suis sceptique à l’égard des théories du complot. Je suis au moins aussi sceptique à l’égard des théories de la conspiration que je le suis à l’égard de la narration des médias grand public.

Le lecteur sait que je suis sceptique.

Le fait est qu’il y a généralement quelque chose d’évident à trouver entre le récit dominant et le récit conspirationniste. D’après mon expérience, il existe une explication évidente, qui peut contenir des éléments conspirationnistes, mais qui ne nécessite pas un acte de foi ou une série complexe de « et si ».

Je ne suis pas tout à fait sûr de ce qui se passe ici.

Essayons simplement d’énumérer quelques faits concernant la situation :
— Ce débat a eu lieu avant la convention officielle de l’un ou l’autre parti. Il s’agit probablement du débat le plus précoce jamais organisé.
— Quiconque connaissait l’état cognitif actuel de Joe Biden aurait su comment les choses allaient tourner. Joe Biden était voué à l’échec. (Peut-être que des médecins lui ont dit qu’ils pouvaient lui administrer des médicaments qui le rendraient suffisamment fort pour qu’il puisse se produire, mais il semble qu’ils auraient fait un essai pour voir si cela fonctionnait).
— Le candidat peut être remplacé lors de la convention démocrate. C’est possible.
— Donald Trump n’est pas le candidat qu’il était en 2016 ou même en 2020. Nous l’aimons tous encore (car comment ne pas l’aimer ?), mais il ne met pas en avant un programme révolutionnaire comme il le faisait en 2016.
— L’establishment juif a déjà vu à quoi ressemble une présidence de Donald Trump et n’a donc aucune raison de le craindre. (Il aurait pu se lancer dans un nationalisme « Hilux »1 et commencer à ordonner à l’armée et à ses partisans de faire des choses qui l’établiraient comme un dictateur, mais il ne l’a pas fait. Il n’a même pas construit de mur ni utilisé les pouvoirs de l’ordre exécutif pour faire quoi que ce soit de significatif ou de durable).
— Trump a continué à tenir un double discours sur de nombreux sujets, y compris l’Ukraine, mais il a approuvé le projet de loi de Mike Johnson sur l’Ukraine, et ses suggestions pour le choix des ministres sont à peu près les plus ZOG2 que l’on puisse imaginer.
— Israël préfère Donald Trump et, comme nous l’avons vu après le 7 octobre, Israël a pratiquement le contrôle total du gouvernement américain.
— L’élection n’est pas déterminée par le nombre de voix obtenues par un candidat, mais étant donné l’état de Biden, faire l’élection et prétendre qu’il a gagné serait tellement ridicule que cela pourrait entraîner de graves violences politiques. Les partisans du MAGA pourraient conclure une sorte de trêve avec les Palestiniens, et le pays tout entier pourrait s’embraser, car les États-Unis tentent de mener une guerre mondiale sur trois fronts.

Il nous reste donc deux options fondamentales pour comprendre ce qui se passe ici :

— Les démocrates ont fait exprès de faire échouer Joe pour pouvoir le remplacer par quelqu’un d’autre.
— Les juifs qui agissent au-delà du parti démocrate veulent que Donald Trump soit élu.

En outre, les deux choses pourraient être en train de se produire.

Les démocrates ont eu l’idée d’organiser le débat avant les conventions, ce qui suggère que la première chose est en train de se produire : les démocrates veulent se débarrasser de Joe Biden et veulent le remplacer par Gavin Newsom ou Michelle Obama. Le fait que la quasi-totalité des médias (voir ci-dessus) réclame le remplacement de Biden en est une preuve supplémentaire. Il s’agit d’un récit médiatique organisé. Si les médias étaient les seuls à faire de la sollicitation, la plupart d’entre eux prétendraient que la mauvaise performance de Biden lors du débat est une théorie du complot.

Il est évident que les médias s’organisent pour remplacer Biden.

(J’ai assisté à la critique écœurante du débat par le Daily Wire, qui utilisait l’argument suivant : « Biden n’est pas prêt à se retirer ». C’est du niveau enfantin. Dans la vraie vie, si le parti démocrate demandait à Biden de se retirer et qu’il disait « non », soit il tomberait sous la douche, soit il aurait une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral, soit il serait soudainement accusé d’un tas de délits. Ce que veulent Biden et sa femme n’est pas un facteur [déterminant] ici, et quiconque vous dit cela est très stupide ou fait exprès de vous embrouiller).

Ma conclusion, dans l’état actuel des choses, est que les deux sont probablement en train de se produire : je pense qu’il y a une véritable lutte de pouvoir entre les juifs israéliens et les juifs démocrates ; et je pense que les juifs démocrates comprennent que Biden n’est pas viable, alors ils l’ont saboté avec le débat et maintenant ils le jettent sous le bus.

Les juifs démocrates ont vraisemblablement plus de pouvoir que les juifs israéliens en termes d’ingérence dans les élections, et comme nous l’avons vu, les juifs démocrates ne se mettront pas en travers du chemin des juifs israéliens (même s’ils diront qu’ils veulent arrêter le génocide). Les juifs israéliens pourraient donc ne pas soutenir Trump à fond. Il y a une rumeur selon laquelle la veuve d’Adelson offre 100 millions de dollars à la campagne de Trump s’il accepte de déclarer publiquement que toute la Palestine appartient aux Juifs et que même les Palestiniens de Cisjordanie doivent être « relocalisés ». Je ne suis pas sûr de croire cette rumeur. Mais nous savons que les Juifs d’Israël préféreraient Trump. Nous ne savons simplement pas à quel point ils seraient prêts à déployer toutes leurs tactiques du Mossad pour le faire élire.

En attendant, la victoire de Gavin ou de Michelle serait au moins envisageable. Les gens y croiraient. Évidemment, dans un vrai vote, Trump gagne quoi qu’il arrive, mais ce ne sera pas un vrai vote. Tous les bulletins de vote par correspondance sont encore en place dans les États clés, ce qui signifie qu’un vrai vote n’est pas possible.

Quiconque parle d’une véritable élection devrait être totalement rejeté et tourné en dérision. Les élections de 2020 étaient bidon, celles de 2022 étaient bidon, et il n’y a jamais eu de conséquences. Prétendre qu’il s’agit d’une véritable élection est stupide. Il est également stupide de prétendre que la victoire de Trump ou de Biden a vraiment de l’importance au regard de la situation générale du pays et du monde.

Trump ne va pas arrêter les guerres. Il dira qu’il va le faire, puis il ne le fera pas. Même s’il essayait de le faire, nous savons déjà, depuis la dernière fois, que les militaires désobéiront à ses ordres. Peut-être fera-t-il quelque chose pour ralentir le flux frontalier, mais honnêtement, cela n’a aucune importance. Je veux dire, est-ce important que l’Amérique soit blanche à 36 % ou à 38 % ? Sérieusement, réfléchissez-y. La situation démographique ne peut être résolue que par des méthodes extrêmement brutales de rafles massives et d’expulsion de dizaines de millions de personnes, ce que seuls 10 à 15 % de la population américaine sont prêts à soutenir. En outre, Trump a déjà déclaré qu’il soutenait une infinité d’Indiens H1-B, mais qu’il ne voulait pas que des pauvres fous et criminels affluent. Il ne s’agit donc peut-être même pas d’une question de 36 % contre 38 %, mais plutôt de 37 %. Quoi qu’il en soit, dans 25 ans, les Blancs ne représenteront plus qu’une fraction de la population américaine. L’immigration est une question sans issue jusqu’à ce que la population soit prête à ce qu’un psychopathe du type Mad Max déploie l’armée et mette tous ces gens dans des camps de concentration pour une durée indéterminée ou jusqu’à ce que nous puissions trouver un endroit où les envoyer.

Par ailleurs : RFK ne sera pas installé. Oubliez cette idée. Il n’y a également aucune chance que Trump le choisisse comme vice-président. C’est impossible. RFK est trop légitime. Ce n’est pas un génie, mais c’est une personne sincèrement bonne qui veut faire ce qu’il faut, et cela signifie qu’il ne sera pas autorisé à s’approcher du pouvoir dans ce système électoral contrôlé post-2016.

Conclusion

Rien de tout cela n’a vraiment d’importance, si ce n’est qu’il s’agit d’un spectacle de merde intéressant à la fin d’un empire.

Votre vote ne compte pas. Aucun des candidats (quels qu’ils soient) ne changera quoi que ce soit de significatif. Voter est une perte de temps et lorsque vous remplissez ce bulletin de vote et le signez, vous consentez à faire partie de ce système.

Je pense que personne ne devrait voter.
J’approuve officiellement le fait de ne pas voter.

Je recommande de quitter les villes et d’acheter un Hilux (Turbo Diesel).

Le pouvoir ne vient pas du vote. Le pouvoir vient de la banquette d’une Toyota Hilux.

(Reproduit de The Daily Stormer avec l’autorisation de l’auteur ou de son représentant)


1Un pick-up Toyota supposément doté d’une robustesse légendaire — NdT.

2 Zionist Occupation Government (Gouvernement d’occupation sioniste) — NdT.




Rappel : le non-conformisme considéré comme maladie mentale (dans la bible des psys américains)

[Voir aussi :
La pathologisation de la dissidence]




Sortir de la Caverne

[Source : Reaction19WebTV via PG]

Table Ronde avec Astrid Stuckelberger et Chloé Frammery.




Un débat arrangé pour écarter Biden

[Source : maurizioblondet.it. Traduction automatique]

L’État profond a ainsi prédestiné la chute de Biden

Par Maurizio Blondet — 28 juin 2024

Ils ont cousu le complot avec un fil blanc, alors les masses achètent tout.

Il n’est jamais arrivé qu’un débat présidentiel ait lieu en juin, ils ont toujours lieu à partir de la mi-septembre. Les démocrates l’ont proposé 3 mois plus tôt pour trouver un moyen de destituer Biden à temps et de remettre Newson à sa place. Les médias américains étaient tous prévenus et prêts à l’avance et aujourd’hui ils proclament soudain que « Biden est incapable… ». Ils l’ont sorti en public (Prof. Becchi).

Newsom est le gouverneur de Californie, leur choix depuis des années.

Regardez les grands médias scander : « Biden n’est pas sain d’esprit ! » Ils ont pu le découvrir maintenant… remarquez la technique : la « saturation » est également utilisée avec succès pour le terrorisme pandémique.

Dès la Une du Financial Times, ils donnent les ordres. Ils écrivent pour supprimer Biden et mettre Gavin #Newson. (Zibordi)

Tout est beau.




Voici comment la Russie peut récupérer son argent volé tout en laissant l’Occident financier s’effondrer tout seul

[Source : newstarget.com]

Par Ethan Huff

Le rédacteur en chef de Strategic Intelligence, Jim Rickards, a déclaré cette semaine à Steve Bannon de l’émission « War Room » que la Russie avait une solution facile et évidente à la tentative de vol des actifs russes par l’Occident : mettre un droit de rétention sur 40 000 milliards de dollars auprès du dépositaire Euroclear, ce qui entraînera un chaos financier.

Les courtiers du pouvoir occidentaux ont élaboré un concept de produit structuré astucieux, mais trompeur pour leur tentative de vol de 300 milliards de dollars d’actifs russes gelés, qu’ils prévoient d’utiliser pour financer un « prêt » de 50 milliards de dollars à l’Ukraine. Le problème flagrant est que le produit structuré permet à l’Occident de voler les intérêts sur les actifs russes gelés.

« La façon dont ils volent les actifs est un produit structuré », a expliqué M. Rickards à M. Bannon, en soulignant les similitudes entre ce plan financier et celui que les courtiers du pouvoir occidental ont élaboré en 2008 pour tenter de se sauver de l’effondrement financier.

« En 2008, avec tous ces prêts hypothécaires douteux, comment les transformer en titres AAA ? Wall Street a dit : “Tenez ma bière, je vais vous montrer comment faire”, et c’est ce qu’ils ont fait, et bien sûr, tout s’est effondré ».

En ce qui concerne la situation des actifs russes gelés, les États-Unis essaient essentiellement de « prêter » 50 milliards de dollars à l’Ukraine — garantis par les contribuables américains, bien sûr — en siphonnant tous les intérêts perçus sur les 300 milliards de dollars d’actifs russes gelés.

« Les 300 milliards de dollars vont générer environ 13,5 milliards de dollars d’intérêts à 4,5 %, soit 67,5 milliards de dollars d’intérêts sur cinq ans », a expliqué M. Rickards en faisant le calcul.

L’intérêt sur le « prêt » de 50 milliards de dollars est de 2,25 milliards de dollars par an, multiplié par cinq ans, soit 11,25 milliards de dollars, et vous devez rembourser les 50 milliards de dollars en principe. Au bout de cinq ans, il faudra donc 61,25 milliards de dollars pour rembourser le principe et les intérêts du prêt. Nous allons donc voler environ 67 milliards de dollars aux intérêts russes et cela suffira à payer les 61,25 milliards de dollars de l’emprunt ».

En substance, le prêt sera consenti, il produira des intérêts, il sera remboursé et ce remboursement proviendra des actifs russes, qui se trouvent être six fois plus importants que le prêt, du moins pour l’instant.

« Il produira donc suffisamment d’intérêts pour rembourser le prêt », explique M. Rickards. « Ils volent les intérêts. »

Vous pouvez regarder l’intégralité de l’entretien vidéo avec Bannon et Rickards sur le site The Burning Platform.

(Voir aussi : Chaque mesure prise par l’Occident pour tenter de punir la Russie pour son opération militaire spéciale en Ukraine se retourne contre elle comme un boomerang).

Il est temps pour la Russie de lâcher l’ogive financière

Lorsque le complot finira par échouer — et il échouera — le château de cartes financier de l’Occident sera ébranlé comme jamais auparavant. En effet, la Russie n’a plus qu’à répondre à cette menace en renvoyant l’ascenseur.

« Elle s’emparera des actifs européens en Russie — pétrole, infrastructures, télécommunications, franchises de vente au détail, produits de luxe, et bien d’autres choses encore », prévient M. Rickards.

Mais ce qui est vraiment dangereux, c’est la facilité avec laquelle la Russie pourra poursuivre Euroclear, la chambre de compensation qui sert d’intermédiaire en Europe, pour conversion illicite d’actifs.

« La Russie aura probablement gain de cause et pourra ensuite répercuter ce jugement dans le monde entier pour commencer à saisir les actifs d’Euroclear », explique M. Rickards. « Euroclear est un dépositaire de 40 000 milliards de dollars. Cela plongera le système financier mondial dans le chaos ».

N’oubliez pas que la Russie ne sera pas responsable de l’effondrement financier qui s’ensuivra. C’est l’Occident qui est responsable, car il a intégré toute cette corruption dans le gâteau financier depuis des décennies. La Russie tient simplement le bouton de lancement qui permettra d’infliger le jugement tant attendu au système babylonien mystérieux responsable de tous ces crimes financiers contre l’Humanité.

L’Occident joue avec le feu en ce qui concerne ses relations avec la Russie. Pour en savoir plus, consultez le site Collapse.news.

Les sources de cet article sont les suivantes :
TheBurningPlatform.com
NaturalNews.com




Libération de Julian Assange : « La mobilisation de l’opinion publique a payé »

[Source : publicsenat.fr]

L’épilogue d’une saga judiciaire longue de 14 ans. Ce mardi, Julian Assange a été relâché de sa prison du Royaume-Uni, à la suite d’un accord de plaider-coupable conclu avec la justice américaine. Poursuivi pour avoir révélé des centaines de milliers de documents confidentiels, il encourait jusqu’à 175 ans de prison. Très mobilisé pour la libération du fondateur de Wikileaks, le groupe communiste du Sénat se réjouit de cette libération.

Par Caroline Deschamps

La liberté, enfin

Un immense soulagement. « C’est la fin d’une situation intenable pour lui, physiquement et psychologiquement », observe le sénateur communiste du Nord Éric Bocquet. Détenu depuis 2019 dans une prison de haute sécurité de Londres après sept années passées dans l’ambassade d’Équateur, l’Australien âgé de 52 ans encourait en théorie jusqu’à 175 ans de prison en vertu de la loi américaine sur l’espionnage après avoir rendu publics plus de 700 000 documents confidentiels sur les activités militaires et diplomatiques américaines, en particulier en Irak et en Afghanistan.

« C’est une nouvelle réjouissante ! La libération de Julian Assange et la signature de cet accord donnent une perspective claire et permettent de mettre un terme à une injustice », juge le sénateur de Paris Ian Brossat, qui a rencontré son épouse, Stella, il y a deux ans et participé, au sein du Conseil de Paris, à faire au mois de mai, de Julian Assange un citoyen d’honneur de la capitale. Fin 2023, des élus du groupe CRCE avaient par ailleurs rencontré le père de Julian Assange pour lui témoigner leur soutien. « Son père nous avait dit qu’il était très inquiet, car il sentait que la santé de son fils était en train de décliner, rapporte Pierre Ouzoulias, sénateur des Hauts-de-Seine. Il pensait que Julian n’allait pas résister à l’épreuve qui lui était infligée. L’accord conclu était donc une question de survie ».

« Cette libération montre qu’aucun combat n’est jamais perdu »

Ce mardi le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme a salué la fin de la détention du lanceur d’alerte. Désormais poursuivi pour « complot pour obtenir et divulguer des informations relevant de la défense nationale », Julian Assange va plaider coupable de ce seul chef. « La mobilisation de l’opinion publique a été très forte, notamment en France où nous avons fait la démonstration que la pression médiatique et politique pouvait aboutir à quelque chose. Jusqu’à hier, les perspectives étaient très sombres pour l’avenir de Julien Assange », note Ian Brossat, qui projetait de lui rendre visite en prison au mois de septembre.

L’accord conclu intervient alors que la justice britannique devait examiner, les 9 et 10 juillet, un recours de Julian Assange contre son extradition vers les États-Unis. Jusqu’à présent les initiatives à destination de Washington, même les plus officielles comme celles de l’Australie en février, semblaient vouées à l’échec. L’administration américaine restait inflexible. « Nous avons mené une bataille politique intense, qui est passée par la mobilisation d’ONG, d’associations et de partis politiques. Cette libération montre qu’aucun combat n’est jamais perdu d’avance, la force de l’opinion publique est un atout essentiel des démocraties » juge Éric Bocquet. Fin 2021, le groupe CRCE avait en vain demandé au gouvernement d’accorder l’asile politique à Julian Assange.

Dans un communiqué, sa mère, Christine Assange, a mis en avant le poids de la « diplomatie secrète » dans cette libération. Pour Éric Bocquet, cet épilogue montre que « dans un monde dominé par les États-Unis, il est encore possible pour les peuples d’obtenir gain de cause sur des actions de justice, de transparence et de démocratie, même lorsque l’on s’attaque à la toute-puissante administration américaine ». Parmi les documents révélés par Wikileaks, figure notamment une vidéo montrant des civils, dont deux journalistes de l’agence Reuters, tués par les tirs d’un hélicoptère de combat américain en Irak en juillet 2007.

Et maintenant ?

Après avoir quitté le Royaume-Uni lundi depuis l’aéroport londonien de Stansted, Julian Assange devrait être condamné à 62 mois de prison, déjà purgés en détention provisoire à Londres. Il pourra ensuite regagner, libre, son Australie natale. Avant de revenir en Europe ? « Nous l’accueillerons les bras ouverts », lance Ian Brossat. « Nous serons très heureux de le recevoir quand il pourra à nouveau circuler librement ».

L’affaire Assange pourrait ne pas s’arrêter là. « Il faut réfléchir à un renforcement du statut des lanceurs d’alerte, estime Pierre Ouzoulias. Les révélations de Wikileaks ont été fondamentales dans la prise de conscience collective de certains phénomènes politiques. Il y a un droit fondamental des citoyens sur les agissements de leurs représentants. La société a le droit de demander des comptes à tout agent public. Or, pour cela, il doit disposer d’un accès aux données, ce qui n’est pas toujours possible, même quand on est parlementaire ». En 2022, une loi destinée à améliorer la protection des lanceurs d’alerte avait été adoptée. Mais elle se heurte parfois à une autre loi, elle aussi adoptée sous Emmanuel Macron, et dont l’objectif est de protéger le « secret des affaires ».




La face cachée d’Elon Musk : ce que vous devez savoir

[Source : Parlons peu Parlons bien]

Dans cette vidéo, nous allons explorer les théories et les mystères entourant Elon Musk et son rôle potentiel dans le monde actuel. Est-il vraiment l’Antéchrist comme certains le pensent ? Nous allons déchiffrer les indices et les spéculations pour voir ce qui se cache derrière cette figure emblématique de la technologie. Rejoignez-nous pour un voyage fascinant au cœur des prophéties et des innovations technologiques.

Voir aussi :

La réalité d’Elon Musk ?

(Vidéo 28 min)

Alex Jones, Elon Musk, Donald Trump, intelligence militaire, guerres de l’IA et Skynet

La réintégration d’Alex Jones sur Twitter n’est pas un hasard. Et cela a des implications bien plus importantes que ce que la plupart des gens imaginent. Parce que cela coïncide avec Elon Musk, les militaires, ce que Mike Adams appelle les réseaux d’intelligence profonde, et la façon dont ils soutiennent maintenant Elon Musk et Tucker Carlson. Et ils se préparent aussi à remettre Trump au pouvoir pour un troisième mandat. Et ce n’est pas une faute de frappe. Ce serait le troisième mandat de Trump, et non son deuxième, bien que le deuxième ait été illégalement occupé et écrasé par le régime antiaméricain de Biden.

Musk propose d’aider à reconstruire une bande de Gaza déradicalisée et « prospère » après avoir visité un kibboutz ravagé avec Netanyahou

Elon Musk s’est rendu lundi dans le sud d’Israël à l’invitation personnelle du Premier ministre Benjamin Netanyahou, où il a pu visiter un kibboutz israélien laissé à l’abandon par les raids terroristes du Hamas du 7 octobre.

Elon Musk, l’homme de main des mondialistes

Elon Musk est un projet de relations publiques des élites mondialistes. Dans l’espace médiatique, y compris en Russie, une image positive d’Elon Musk a été formée. Il est un entrepreneur prospère et propriétaire de TESLA, SpaceX et STARLINK, un conquérant de l’espace visionnaire et un vendeur excentrique de lance-flammes contre les zombies. Mais derrière cette façade colorée se cache un empire technologique profondément intégré au complexe de l’industrie militaire américaine.

Pourquoi Elon Musk a-t-il embauché Linda Yaccarino, cadre du WEF, pour devenir PDG de Twitter ?

Alors que certains voyaient en Elon Musk le gardien de la liberté d’expression, celui-ci vient de désigner comme PDG de Twitter Linda Yaccarino.

Or, Linda Yaccarino est la présidente du groupe de réflexion du Forum économique mondial (WEF) de Davos sur l’avenir du travail. Ce Forum économique mondial qui parlait il y a peu d’une nouvelle technologie permettant de lire dans vos pensées.




Le projet 47

[NDLR L’auteur de « Le projet 47 » est décédé quelques semaines après ce dernier article, d’un problème de santé :

https://legrandreveil.wordpress.com/2024/05/23/dernier-adieu/

]

[Source : legrandreveil.wordpress.com]

Par Louis d’Alencourt — 29 mars 2024

Nous allons aujourd’hui tenter d’expliciter un peu plus ce que j’appelle « le Projet 47 ». Si on voulait le résumer en quelques mots, je dirais qu’il s’agit du projet d’hégémonie mondiale d’un groupe restreint de personnes que l’on considère actuellement comme le gouvernement mondial occulte, et qui serait parvenu à ce pouvoir mondial effectif à un instant T, c’est-à-dire une fois arrivé au « 47 ».
Précisons qu’alors le 47 correspondrait à un double objectif, à savoir parvenir à ce moment-là à un pouvoir mondial définitif et irréversible, et en même temps entamer une nouvelle ère. Reste à savoir si ce pouvoir mondial, une fois parvenu au sommet, restera caché — comme maintenant — ou s’affichera visiblement, ce qui n’est pas garanti du tout. Parce qu’une fois parvenu au sommet, il faut s’y maintenir, et la discrétion, surtout dans ce domaine, est à la fois une protection et un gage de longévité. Et puis le peuple doit-il connaître les projets secrets de ses élites ?
Mais n’anticipons pas ; ce qui nous intéresse en premier lieu, c’est d’identifier le calendrier de ces messieurs, de connaître les grandes échéances qu’ils se sont eux-mêmes fixées.

Je précise, et ceci est fondamental, que je n’ai aucune preuve de ce que j’avance, mis à part certains indices ou signes très précis — de leur part — qui nous mettent sur la piste. Tout ce que je vais avancer ici est le fruit de déductions, de présomptions, de raisonnements bâtis à partir de l’analyse d’événements, de révélations, de connaissances, et de faisceaux d’indices et d’éléments — souvent cachés ou du moins ignorés du grand public — à partir desquels j’établis des liens que je relie entre eux. Ceci permet d’échafauder une série d’hypothèses, certes vraisemblables et cohérentes, mais pour lesquelles nous n’avons aucune certitude. Seuls les faits pourront nous donner raison, ou nous conduire à corriger, modifier voire abandonner tout ou partie de ces hypothèses.
De plus, la difficulté de l’analyse réside dans le fait que quelle que soit la source de nos informations, nous avons affaire à des spécialistes de la subversion et de la manipulation, qui ne disent jamais la vérité, où qu’ils soient et quels qu’ils soient, qui ne révèlent jamais les vrais motifs de leurs décisions — ou de celles qu’ils font prendre par d’innombrables intermédiaires haut placés —, et enfin parce que, pour comprendre la véritable nature des projets qui guident le monde, il faut prendre en compte leurs dimensions politiques, géopolitiques, économiques, historiques, métaphysiques, philosophiques, religieuses et spirituelles… car non seulement les projets véritables sont secrets, mais en plus ils relèvent d’un ou plusieurs de ces facteurs, qu’il faut deviner ou déduire derrière des dehors trompeurs.
Ce qui veut dire qu’aucun observateur habituel ne peut vous donner la clé des événements, car très peu sont capables d’établir une synthèse qui nécessite des connaissances aussi hétéroclites.
Et enfin, pour corser le tout, il y a le facteur surnaturel, c’est-à-dire des interventions divines donc non humaines — même si les exécutants sont des êtres humains — et qui ne sont pas toutes prévisibles ni faciles à reconnaître. À ce stade, aucun analyste ni politologue, ni géopolitologue ni même exégète ne pourra nous être utile, car aucun à ma connaissance, ne prend en compte le facteur surnaturel dans ses hypothèses ; seul l’eschatologue — croyant de surcroît — envisage cette dimension et peut l’intégrer dans ses perspectives, ce qui change considérablement l’éclairage de l’ensemble.

Le comité des 300

Avant de décrire un peu plus en quoi consiste le Projet 47, essayons de savoir rapidement qui, en définitive, est derrière ce projet.
Il ne s’agit pas ici de décrire les innombrables officines, plus ou moins secrètes, qui servent à la fois de lieux d’influence, de sélection et de management des élites, de réservoirs d’idées et d’élaboration de grands projets, ils ont tous été décrits par de nombreux ouvrages très documentés : loges maçonniques, Forum économique de Davos, Young leaders, sociétés de pensées, organisations de lobbying internationales, ONU et tous ses organismes internationaux associés, FMI, Banque mondiale, etc. sans oublier les partis politiques, tous noyautés eux aussi et soumis à ces organisations cosmopolites… tous servent en réalité, à des degrés divers, mais réels, de façon consciente ou inconsciente le même maître, celui dont on ne parle jamais et pour cause : il n’existe pas, ou plutôt il est censé ne pas exister, sauf à l’état de fantasme dans la tête de quelques complotistes en mal de publicité.
Oui, mais ces complotistes s’appuient sur des masses de documents, de présomptions et même de preuves qui établissent depuis plus d’un siècle sans aucun doute l’existence de ce pouvoir mondial secret que tout le monde pressent mais n’en connaît pas les membres, ni le fonctionnement, ni la véritable influence sur la marche du monde, ce gouvernement mondial qui agit dans l’ombre et que Walter Rathenau a résumé en une phrase lapidaire :

« Le monde entier est gouverné par 300 israélites que je connais ».

Walter Rathenau est le fils du fondateur d’AEG ; juif allemand, il fut ministre des Affaires étrangères de la République de Weimar, assassiné en 1922. Membre de la très haute bourgeoisie, et de la haute bourgeoisie juive, et homme d’Etat, Rathenau est donc crédible quand il s’exprime ainsi ; ces quelques indiscrétions lui ont coûté la vie, c’est facile d’exciter la première organisation antisémite venue pour faire taire les bavards.

Nous ne nous étendrons pas sur ce sujet ici, là encore les ouvrages de référence sur l’implication juive dans le gouvernement du monde sur les deux derniers siècles sont légion, mais il faut bien admettre que cette petite phrase résume l’essentiel :
— le monde entier… que ce soit clair… ce n’est pas anodin ;
— est gouverné… là encore le mot est précis, soyons lucides ;
— par 300 israélites… donc un petit nombre, exclusif notons-le bien (car tout en haut de la pyramide, il n’y a pas de non-juifs), probablement membres des grandes familles juives, dont quelques-unes sont connues du grand public ;
— que je connais… ce qui veut dire qu’ils sont quand même identifiables, du moins partiellement, et si le grand public n’en est pas capable, on peut estimer que certaines élites non juives (chefs d’états, hauts fonctionnaires, milliardaires…) en connaissent l’existence et peuvent en identifier quelques membres (ce qui peut expliquer bien des choses sur les rapports de forces).
Et comment gouverne-t-on ? Par l’argent. Derrière ces 300 israélites, tout le monde sait qu’il y a ce que l’on appelle la haute finance et la haute banque et que les États ne sont pas souverains, car soumis au chantage, au minimum, soit de la dette, soit du krach financier.
Bien sûr, on m’objectera que gravitent autour de ce comité des 300 énormément de personnes qui ne sont pas juives, y compris au niveau des banques, c’est exact. Mais le noyau dur, le centre décisionnel final, c’est ce comité des 300, là-dessus je pense que Rathenau ne se trompait pas et n’exagérait pas, et que, ce qui était valable en 1922 l’est encore plus — mais alors bien plus, et de façon presque palpable — en 2024.

Le projet messianique

Seuls les imbéciles, les naïfs et les ignorants, soit la majorité de nos concitoyens, ne savent pas que depuis deux mille ans la communauté juive caresse un projet messianique basé sur les promesses de Dieu faites à son peuple via les prophètes de l’Ancien Testament — à commencer par Isaïe —, à savoir la domination du monde, l’accaparement et la jouissance de ses richesses.
C’est une promesse divine, or Dieu ne peut pas mentir ni se tromper, donc… dans leur esprit c’est autant inéluctable que légitime et nécessaire.

[Voir aussi :
La synagogue de Satan
Histoire juive, religion juive : le poids de trois millénaires, par Israël Shahak
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives]

Or le peuple de Dieu à qui la promesse a été faite, c’étaient les Hébreux bibliques, que l’on appelle juifs aujourd’hui, et qui se considèrent comme exclusifs : les non-juifs ne font pas partie du peuple de Dieu d’où selon eux, leur rôle particulier de peuple-prêtre, c’est-à-dire d’intermédiaire entre Dieu et les hommes. D’où aussi la nécessité de justifier d’une ascendance par les liens du sang et/ou, au moins, par l’appartenance à la communauté judaïque, car le judaïsme, c’est-à-dire la religion, y joue un rôle essentiel d’osmose, de justification et de continuité de l’ensemble.
Cette domination sans partage sur tous les peuples et nations de la terre doit se faire par le Messie et à son avènement. Voilà, très schématiquement, le fondement de leur doctrine même si, évidemment, officiellement elle n’est jamais présentée ainsi, surtout aux goyims (les non-juifs).

Il convient de rappeler, pour la bonne forme et pour ceux qui l’ignorent, que leur Messie est bien venu il y a deux mille ans, c’est Jésus, le Christ (Christ veut dire Messie en grec). Et Jésus (Dieu fait homme, faut-il le rappeler) leur a expliqué que la lecture matérialiste, charnelle et littérale qu’ils faisaient de l’Écriture était fausse : non seulement la faculté d’enfant de Dieu n’était plus réservée aux seuls juifs, mais à tous ceux qui croiront en Lui, mais aussi que la richesse attendue n’était pas d’ordre matériel, mais spirituel : ce sont les âmes qui s’enrichissent par la grâce obtenue par la foi, les bonnes œuvres et les sacrements. Quant à la domination mondiale et au regroupement des richesses, ils s’accomplissent de manière inverse à ce qu’ils croyaient : c’est parce que les nations et les peuples rejoignent le peuple de Dieu (qu’on appellera très vite les chrétiens) que ce dernier devient universel et regroupe ses richesses dans une seule entité : la chrétienté, un seul peuple (spirituel) derrière un seul pasteur (le Christ) ayant en commun une seule foi.

Ceci pose un triple problème :
— d’abord un antagonisme certain entre juifs et chrétiens, à cause du Messie : les uns l’attendent encore, les autres l’ont, mais il s’agit du MÊME Messie, et il ne peut y en avoir qu’un ;
— ensuite une dispute sur la domination du monde, car les deux prétendent être légitimes à l’obtenir puisque les deux s’appuient sur les mêmes textes, sachant que les chrétiens ont en plus reçu l’ordre du Christ d’évangéliser et de baptiser toutes les nations, ce qui veut dire que la chrétienté doit à terme dominer le monde ;
— et enfin celui de la possession du pouvoir spirituel. Dieu ne se partage pas et le Messie est Fils de Dieu ; donc seul l’un des deux possède l’Emmanuel (qui veut dire : Dieu avec nous) ; non seulement il ne peut y avoir qu’un, mais l’autre ne peut et ne doit pas prétendre l’avoir, ce qui sous-entend qu’il ne dispose pas du pouvoir spirituel promis. Et ceci pose aussi un problème sur le statut de peuple de Dieu : les juifs l’ont perdu à l’avènement du Christ puisque, les Évangiles sont formels, les enfants de Dieu sont désormais uniquement constitués de ceux qui croient en Jésus-Christ. Mais les juifs nient ce changement, bien entendu.

On comprend mieux pourquoi les enjeux sont énormes : parce qu’il ne s’agit pas d’une simple controverse religieuse entre les croyances de deux religions, mais bien de la destinée elle-même de la chrétienté et du peuple juif : c’est l’un ou l’autre. Enjeux et problématiques que ne partagent pas les autres religions, ils sont intrinsèques aux deux antagonistes à cause du Messie, cas unique que les deux se disputent.
Voilà pourquoi nous ne sommes guère étonnés lorsque nous trouvons presque systématiquement un ou des juifs parmi les ennemis de la chrétienté, à chaque fois qu’il y a un événement destiné à la combattre, la discréditer, la déformer, la déstabiliser ou l’annihiler.

Et voilà pourquoi les catholiques considèrent, à juste titre, que leur ennemi le plus farouche est le judaïsme, qu’il est le chef de file, l’inspirateur ou au minimum le complice de pratiquement tous les projets destinés à détruire l’Église, et par extension la chrétienté, et que l’expression utilisée par saint Jean dans l’Apocalypse « la synagogue de Satan » est à prendre dans son sens littéral : oui la synagogue est le principal instrument de Satan contre le Christ et ses enfants, même si évidemment il n’est pas le seul, et qu’il se sert des autres ennemis de la chrétienté, souvent à leur insu, pour parvenir à ses fins.

L’expansion de la Synagogue

Les juifs n’ont jamais abandonné leur projet messianique, bien au contraire. Nous n’allons pas faire un cours d’histoire ici, mais seulement en rappeler quelques traits. Il faut toujours avoir à l’esprit, pour bien comprendre les événements et leurs motivations profondes, que Satan, dès le début, a formé une immense coalition antichrétienne au sein de laquelle, très souvent, on retrouve des juifs comme inspirateurs, coordinateurs, idéologues ou même acteurs parce que, je le rappelle, les juifs et les chrétiens revendiquent le même statut, constituer le peuple de Dieu, et veulent en obtenir les mêmes fruits : la domination du monde. Compte tenu de sa nature intrinsèque, d’être numériquement très faible, face à un adversaire universel qui convertit des nations entières, le monde juif utilise comme méthodes principales la dissimulation, la subversion et la manipulation. Les innombrables intermédiaires, quels qu’ils soient (par exemple la franc-maçonnerie), savent très rarement pour qui ils travaillent en réalité. Tout réside dans le fait que le projet messianique juif ne peut pas laisser les chrétiens occuper la place qui leur est due. C’est l’un ou l’autre, alors que l’inverse n’est pas vrai : les chrétiens peuvent cohabiter sans problème avec les juifs, dans la mesure où ceux-ci ne manifestent pas d’hostilité — même dissimulée — à leur égard, et ne cherchent pas à pervertir les idées et les valeurs.

Affaiblir la chrétienté, la subvertir, la pervertir, pour qu’elle s’effrite puis s’effondre et s’efface, voilà l’étape indispensable pour que le projet messianique de la Synagogue de Satan puisse avancer, la remplacer et dominer le monde. N’oublions pas que Synagogue et Satan sont extrêmement liés et il est souvent difficile de les départager dans les grands événements de l’histoire, tant Satan utilise la synagogue comme point d’appui et moteur de l’ensemble.
Une de ses plus grandes victoires fut la scission de la chrétienté via la Réforme protestante. Avec ses alliés protestants — faux chrétiens et vrais judaïques au rabais —, la synagogue a pris la main sur les États-Unis, pays très vite sous domination judéo-protestante, via notamment la maçonnerie.
En Europe, on peut retenir comme étape majeure la Révolution française, pas seulement pour sa dimension antimonarchique et anticatholique, mais aussi parce qu’elle a eu pour conséquence, entre autres, la déclaration des Droits de l’homme et l’émancipation des juifs ; deux idées qui ne sont pas venues toutes seules. L’une a pour but de remplacer un système (Christique — Dieu fait homme) par un autre (Humaniste — l’homme fait dieu), et l’autre affranchit la Synagogue des barrières qui empêchaient son expansion.
Pour bien comprendre cette expansion, et la puissance obtenue en très peu de temps (moins d’un siècle), il suffit de savoir qu’à la fin du XIXe siècle, le monde civilisé était pris en étau entre deux systèmes, deux doctrines, opposées en apparence, mais ayant le même fondement (le matérialisme) et les mêmes géniteurs : le capitalisme libéral et le communisme. Que les deux aient de multiples variantes, que les deux aient séduit d’innombrables populations, peu importe : les deux sont d’inspiration et d’essence judaïque : idéologies et doctrines, acteurs, dirigeants, entraîneurs, diffuseurs… dans les deux cas, le noyau est juif, relayé ensuite par des quantités de personnes, ce qui prouve que la domination juive du monde civilisé avait commencé pour de bon.
D’où son corollaire immédiat : l’affaiblissement du christianisme et la disparition des régimes catholiques et des derniers empires centraux chrétiens (rôle de la Première Guerre mondiale).

D’où l’apparition du sionisme : le premier congrès sioniste s’est tenu à Bâle en 1897. C’est parce qu’elle avait obtenu l’émancipation en Europe moins d’un siècle auparavant, et grâce à l’expansion économique sans précédent du XIXe siècle, que la diaspora juive, et son futur comité des 300, s’est sentie capable d’enclencher une phase déterminante de son histoire : le sionisme.
Qu’est-ce que le sionisme en réalité ? C’est la prise de conscience par une partie de l’élite, que les promesses liées au Messie commençaient à s’accomplir concrètement ; les Protocoles des sages de Sion, qui sont en réalité le compte-rendu des actes des groupes de travail du congrès sioniste de Bâle, montrent bien que dans leur esprit la domination mondiale est à leur portée. L’objectif s’est transformé en certitude. En fait, cette élite de la synagogue a cru comprendre que les promesses faites à leur peuple s’accomplissaient par eux et qu’en conséquence c’était eux qui faisaient le travail du Messie, d’où l’état d’esprit devenu majoritaire dans leurs rangs et que Bernard Baruch a résumé dans cette formule lapidaire, mais oh combien éclairante : « le Messie c’est le peuple juif dans son ensemble ».
Je crois que c’est là le secret du judaïsme et du sionisme : en accomplissant lui-même les promesses du Messie, en ce faisant Messie lui-même, il se divinise et devient Dieu lui-même puisque le Messie est Dieu. Donc on adore une idée de l’homme devenu un dieu, et cet homme c’est le juif, c’est le monde judaïsé, dont la mentalité matérialiste a remplacé l’idéal chrétien, et qui a permis à la Synagogue de prendre la direction du monde, par le biais de l’argent (monopolisation effective des richesses, même s’il leur faut en partager un peu) et des idées : on disait tout à l’heure que déjà au début du XXe siècle, les peuples n’avaient que deux choix principaux, capitalisme ou socialo-communisme, et que ces deux choix sont d’essence et d’inspiration juive. Il y a indéniablement dès cette époque une domination juive effective sur le monde (un auteur juif, Yuri Slezkine, a appelé le XXe siècle « Le siècle juif » et l’a démontré dans son livre), qui n’a fait que s’accentuer par le progrès économique et scientifique, qui ne sont que la concrétisation dans les faits de la conception matérialiste économique du monde de la Synagogue.
Et donc le sionisme avait pour objet, après avoir entériné la progression et l’accomplissement à terme des deux premiers volets (domination du monde et accaparement des richesses), de mettre en œuvre le troisième volet des œuvres à accomplir par le Messie : le retour du peuple juif en Terre promise. C’est fait depuis 1948 la boucle est bouclée et on doit en conclure que le Messie est bien parmi nous, non pas en tant qu’homme, mais en tant que peuple.

Le projet 47

Et on en arrive au Projet 47.
Pour comprendre le Projet 47, il était nécessaire d’en expliquer d’abord toute la genèse et l’état d’esprit qu’il implique. Car pour savoir ce qui se cache derrière le 47, il faut connaître la signification de ce nombre, et ensuite connaître l’historique et la vraie trame de l’idéologie et des projets de la Synagogue.

47 c’est le nombre du Messie en numération hébraïque. Cette valeur est valable pour les juifs comme pour les chrétiens.
Pour les chrétiens, Jésus fut le Messie promis aux juifs et au monde entier. Le nombre du Christ en gloire, c’est le 47. Jésus s’écrit Ieshoua en hébreu, soit Yod 10 + He 5 + Schin 21 + Wav 6 + He 5 = 47
De son côté, Jean-Gaston Bardet parvient à un résultat similaire : il révèle que le nom de gloire du Christ « est composé du Shin, symbole de l’humanité du Christ, intégré dans le tétragramme YHWH représentant la Trinité. Ce qui donne : YHShWH. Ce nom de gloire vaut 47. »

Revenons à la Synagogue.
Officiellement, tous les juifs attendent encore le Messie ; cependant la majorité de leur élite, dont le comité des 300, estime qu’en tant que peuple ils incarnent le Messie et en ont accompli par eux-mêmes les promesses, nous venons de le voir. Ceci n’est pas officiel et n’est jamais exprimé tel quel, au contraire ils laissent les juifs religieux, rabbins en tête, continuer à caresser l’idée de l’arrivée d’un Messie individuel, à l’espérer et à l’annoncer.

En fait ils savent tous que le Messie est collectif, qu’il est déjà en action, déjà là, déjà accompli, mais il leur reste une dernière étape à accomplir et cette étape est probablement la plus secrète de toutes.
La kabbale a confirmé le nombre (47) et fixé l’échéance au 20 janvier 2025, date d’entrée en fonction du 47e Président des États-Unis. Tout le monde voit l’allusion, la symbolique, et la comprend d’autant mieux quand on connaît la signification du 47.
Comment le sait-on ?
Parce que les élites juives, civiles et rabbiniques, ont demandé à l’ensemble des juifs du monde de réciter une prière mondiale pour demander le Messie le 21 février 2021 : ce jour-là, tous les juifs du monde devaient réciter la même prière à la même heure, 18 h heure de Jérusalem.
Or le 21 février 2021 est distant de 47 mois, au jour près, du 20 janvier 2025.
Donc les élites juives relient elles-mêmes le Messie (47) au 47e Président et l’annoncent 47 mois auparavant.
Pourquoi les États-Unis ?
Parce que les États-Unis sont et restent, quoiqu’on en dise, la première puissance mondiale, et que celle-ci est entre leurs mains :

« Nous le peuple juif contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent. »

(Ariel Sharon en 2001, alors Premier ministre d’Israël en exercice).

Quelle est donc la nature du Projet 47 ?
C’est ici que nous entrons dans la grande inconnue. Qu’ont-ils en tête en faisant coïncider le Messie avec le 47e Président, sachant que le Messie est en réalité une entité collective ?
Nous n’avons pas la réponse à cette question, et personne ne l’a d’ailleurs, tellement le projet est maintenu dans le secret le plus absolu, mais il existe bien, l’écart de 47 mois entre leur prière mondiale et le mandat du président américain le prouve.

Nous ne pouvons que formuler quelques hypothèses :
1) S’agit-il de confier à cet homme, ou cette femme, le rôle de Messie individuel ?
Je ne le crois pas. Le Christ est unique et Satan n’a pas l’autorisation de l’imiter à ce point ; aucun homme ne peut se faire Dieu en dehors de la pâle imitation actuelle de l’homme divinisé par la science, la technique et l’affranchissement de la loi naturelle.
Par contre, ce personnage peut représenter le messianisme vainqueur et symboliser, par ses œuvres, ses décisions et ses prises de position, la domination de la synagogue sur le monde, sans être lui-même ni le Messie (pour les juifs), ni l’Antéchrist (pour les autres).

2) S’agit-il de déclarer à la face des peuples la domination effective du monde juif ?
C’est-à-dire, de proclamer devant tous l’accomplissement du rêve juif : la domination du monde ? Là encore, je ne le crois pas. La prudence impose, quand vous n’êtes que quelques dizaines de millions d’individus face à 8 milliards, de prendre quelques précautions. Même si vous contrôlez les élites, un retournement incontrôlable de la masse est toujours possible. Et puis, je le répète, les goyims doivent-ils être mis au courant ? Je ne le crois pas. La stratégie s’apparente plus, actuellement, à un abrutissement des masses selon la formule du pain et des jeux, une totale dépendance au système ce qui veut dire en réalité soumission à celui-ci, et un contrôle toujours plus précis des individus, rendu possible grâce au numérique, qui annihile toute tentative d’opposition, et à terme, de résistance. Mais aller dire à la face des peuples « Nous les juifs vous contrôlons et vous dirigeons » ce serait de la pure folie ; c’est déjà le cas, pas besoin de le dévoiler. Donc il ne faut pas s’attendre à ce genre d’annonce.

3) S’agit-il de commencer une nouvelle ère ?
Je crois qu’il faut chercher plutôt de ce côté-là. En fait, ils ne sont pas au début de l’œuvre, mais à la fin. La prise de contrôle du monde s’achève, et les ennemis sont annihilés, ou presque. On ne peut pas supprimer tous les opposants ou les récalcitrants, mais on peut les mettre au pas ; les empêcher de nuire, de réagir. L’ennemi numéro un c’est la chrétienté, je l’ai expliqué. Celle-ci est globalement éclatée en 3 entités : catholiques, protestants, orthodoxes. Les protestants sont de faux chrétiens, on pourrait dire la version judaïsée de la chrétienté, ils ne sont pas dangereux. Les catholiques sont à l’agonie, le plan de destruction du catholicisme commencé au concile est presque achevé, Bergoglio devrait avoir le temps d’ici les prochains mois de terminer son travail de destruction, qui devrait aboutir, selon moi, à une double explosion : la suppression de la Présence Réelle d’une part, et l’éclatement de l’Église par un grand schisme d’autre part. Je rappelle que la guerre est religieuse et que l’ennemi principal c’est le Vatican : c’est cette dernière serrure qui doit céder, pour que les juifs puissent récupérer l’Emmanuel sans concurrent. Quant au monde orthodoxe, les gréco-byzantins sont au niveau des catholiques conciliaires, donc sans danger ; il reste les Russes, le seul faux pas involontaire. Ils croyaient avoir annihilé la religion en Russie avec le communisme, elle a ressuscité de ses cendres, donnant raison à la Vierge de Fatima selon laquelle la Russie se convertira. Non seulement elle s’est convertie, mais elle tient tête à l’Occident pour ces raisons : c’est le seul et dernier pays chrétien qui s’oppose non seulement à eux, mais à leur système, dans les domaines de la morale, mais aussi de la géopolitique et du fonctionnement économique et social (en gros la Russie ne veut pas — ou plus exactement ne veut plus — obéir au comité des 300). On l’a bien compris, le sort de la Russie est en voie de résolution, il faut l’abattre (surtout le régime) et la soumettre, l’opération est en cours, voilà pourquoi ils ont lancé la guerre en Ukraine et voilà pourquoi ils disent qu’il est impératif que la Russie ne doit pas gagner. Pas pour favoriser l’Ukraine, mais parce que c’est le dernier pays chrétien qui leur tient tête.

Reste les musulmans. Je pense, mais je peux me tromper, que les opérations en cours à Gaza ont été suscitées pour mettre au pas le monde musulman dans son ensemble, pour le forcer à effectuer lui aussi sa soumission. Comment ? Je ne sais pas, mais il semblerait bien que ce soit l’objectif sous-jacent, parce que les répercussions de cette affaire dépassent largement la Palestine, c’est tout le monde musulman qui est impacté, y compris celui installé en Europe. Les Israéliens leur font la guerre avec des armes, les Français leur font la guerre avec la laïcité, dans les deux cas c’est leur soumission au système qui est recherchée.

On peut donc estimer que tout converge pour la fin de l’année : l’objectif est d’être prêts pour le 47e président, donc pour le 5 novembre (date du vote) et le 20 janvier suivant (date de prise de fonction du nouveau Président). D’ici là, il leur faut avoir résolu le problème russe, enclenché la soumission musulmane, et terminé avec les catholiques.
Je pense donc que pour eux, la nouvelle ère messianique, c’est-à-dire celle où ils sont les seuls maîtres en place sans véritable adversaire ou concurrent, doit s’ouvrir au 47e Président, le 20 janvier 2025, ou bien à partir de cette date.
Voilà ce que signifierait le Projet 47, on verra bien au vu des événements.

Que va-t-il se passer concrètement pour le 47e Président ?

Je vais me permettre ici d’introduire une dimension que les analystes ne prennent jamais en compte : le surnaturel. Dans de tels enjeux, Dieu a son mot à dire, et le démon n’a jamais eu la possibilité de faire tout ce qu’il voulait. Ses projets peuvent être perturbés, contrecarrés, retardés par des éléments perturbateurs qui n’ont pas d’explication rationnelle, sauf une intervention divine via, par exemple, la Vierge Marie.
Ce fut le cas de l’élection de Trump en 2016. C’est le cas de Poutine, homme du système, devenu ennemi de ce même système. De fâcheux imprévus qui peuvent tourner au cauchemar pour notre comité des 300 et tous ceux qui gravitent autour et exécutent leurs projets.
Si le président français Emmanuel Macron veut envoyer des troupes en Ukraine et cherche à y inciter ses alliés, ce n’est pas par solidarité envers l’Ukraine, mais parce que ses « patrons » doivent résoudre le conflit (en clair : faire tomber la Russie) d’ici la fin de l’année.
Le comité des 300 lui-même est loin d’être homogène ; il faut bien avoir à l’esprit que des clans, des intérêts, des points de vue, des méthodes divergents, et donc des désaccords, impactent les décisions, les calendriers et les projets.
Et enfin, même sous contrôle, les intermédiaires placés à des postes de responsabilité n’acquiescent pas toujours aux projets occultes, ou se trouvent dans des situations où ils ne peuvent les exécuter en l’état.
Tout ça pour dire qu’il y a toujours, même pour les hommes les plus puissants du monde, un fossé entre la théorie et la pratique, entre les objectifs et les résultats sur le terrain, les ordres donnés et leur exécution, et qu’il faut constamment s’adapter aux circonstances, corriger, rebondir, réajuster, abandonner, supprimer… quelles que soient les précautions et les anticipations prises.
Et tous ces problèmes internes nous sont cachés, ce n’est pas la presse qui va en parler, ni les individus concernés ; nous devons donc souvent deviner ce qui se passe à la réaction de ces Messieurs et en fonction de la nature des faits et des événements.

Je rappelle aussi que l’élection américaine du 5 novembre 2024 est particulièrement sous le signe de Satan, car celui-ci avait déjà retenu la date. À Medjugorje, sa fausse Vierge a demandé qu’on honore sa naissance au 5 août et non plus au 8 septembre. Comme si le Ciel pouvait se tromper durant des siècles et même laisser l’Église définir un dogme au 8 décembre (l’Immaculée Conception) donc à une date qui serait fausse. Car si elle est née un 8 septembre, elle est conçue 9 mois avant, soit un 8 décembre. Et si la naissance est un 5 août, la conception est alors un 5 novembre.
Par conséquent, si le démon nous indique le 5 novembre pour son « infernale conception » c’est qu’il y a une raison. Or le 5 novembre 2024 tombe très bien puisque c’est l’élection du 47e Président, le 47 désignant le Messie, on l’a dit, et ce Messie c’est la Synagogue de Satan, la fausse vierge hébraïque dont parle la Salette. Pas d’erreur donc sur ce qui sort au 5 novembre et commence son ère au 20 janvier suivant.

Mais voilà, comme je le disais en préambule, le Ciel tend à s’inviter dans les jolis projets de la Synagogue et à les perturber.
L’affiche de la présidentielle américaine 2024 est, pour le moment, un duel Trump-Biden.
Trump n’est sûrement pas l’homme choisi par le comité des 300, même s’il est sioniste (de toute façon c’est une condition exigée pour tout candidat, quel qu’il soit). Et puis l’élite juive a souvent tendance à être de gauche, donc plutôt de sensibilité démocrate.
La place du 47e est gardée par Joe Biden ; bien évidemment ce n’est pas lui, car s’il était réélu il serait toujours le 46e Président, mais on lui a fixé pour mission de garder la place au chaud pour celui ou celle qui se dévoilera probablement au dernier moment. Ceci est la seule explication plausible au fait que d’une part Biden se représente alors que sa sénilité est évidente, remarquée même par son camp et raillée par ses adversaires, et que d’autre part on l’ait laissé si facilement remporter les Primaires sans véritable concurrent. L’ordre vient de très haut.
Par contre, la présence de l’outsider Républicain Donald Trump n’était sûrement pas dans le plan, voilà pourquoi je parle d’intervention divine perturbatrice (et inattendue), et ceci explique l’acharnement judiciaire à son sujet, l’accumulation impressionnante de procès sur tous les sujets qu’ils ont pu trouver, pour l’empêcher coûte que coûte de se représenter. Et si Trump est encore en vie aujourd’hui, c’est probablement dû à quelques amitiés au sein du comité des 300, ou bien à des capacités de chantage que nous ignorons. Je le redis, nous petit peuple ignorons qui dirige le monde, mais pas certaines élites ; Trump ou Poutine en font probablement partie, voilà pourquoi ils savent sur qui il faut mettre la pression. ça marche dans les deux sens.

Par conséquent la stratégie paraît claire : le candidat qui doit gagner le 5 novembre est très certainement le Démocrate, quitte à tricher encore une fois, comme ils l’ont fait en 2020 pour reprendre la main et évincer Trump. Ceci me paraît être leur projet avec certitude.
Ensuite, l’inconnue réside dans le fait qu’on ne sait pas encore si celui ou celle choisi pour être le 47e Président, qui doit être selon moi forcément juif, ce qui n’est pas le cas de Biden, sera révélé peu de temps avant l’élection, remplaçant le candidat Biden à la dernière minute, dans un contexte et une situation arrangés pour la circonstance (l’actualité internationale est suffisamment riche pour « organiser » de grands changements), ou bien ne se révèlera qu’après l’élection, c’est-à-dire au cours d’un second mandat que Biden ne finira jamais. Dans ce cas il faudra bien faire attention au Vice-président(e), ce sera lui le futur 47.

Que ce soit une sorte de sauveur remplaçant Biden au pied levé avant ou après son élection, je pense que cette nouvelle ère sera mort-née et que l’Amérique est déjà condamnée, car si contre toute attente Trump est élu, la situation sera insupportable pour le comité des 300, tous leurs projets annoncés tombant à l’eau, donc ils sont capables de tout envoyer en l’air, et si Trump n’est pas élu, le pays basculera dans la guerre civile, les Républicains refusant certainement la triche pour une seconde fois.

Et si le divin s’invitait dans cette affaire ?

Mais à toute chose malheur est bon, nous dit le proverbe.
N’oublions pas que nous spéculons ici sur une période bien particulière, appelée fin du monde par les uns, fin du temps des nations par les autres, ou chute de Babylone par les troisièmes.
Quand on parle des projets du Comité des 300 et de l’élite juive en général, tout a l’air d’aller de soi. Bien sûr que non. Par exemple, la destruction et la mort de l’Église catholique, même si c’est envisagé sérieusement, est un événement qui, s’il a lieu, très certainement sur le modèle de la Passion de son divin Maître, ne dure pas : après la mort et le tombeau, il y a la Résurrection. Il en va de même pour tous les projets du démon : vaincre la chrétienté, amorcer une nouvelle ère par l’intermédiaire de la Synagogue, c’est bien joli, mais il ne peut s’agir que d’un projet mort-né sans avenir. Le Bien reprendra ses droits, c’est une certitude, et les méchants seront confondus.

Et puis, plus on va avancer vers les grandes échéances, plus vont se produire des événements que personne ne peut imaginer, car Dieu réserve au monde des interventions qu’il tient secrètes ; non seulement son action est annoncée de façon énigmatique (la chute de Babylone dans l’Apocalypse, par exemple), mais aussi parce que, nous le savons, sa façon d’agir sera inédite, sans précédent, et exceptionnelle.

Alors, pourquoi ne pas imaginer une sorte de détournement par notre Seigneur, Jésus-Christ, des projets de la synagogue à son profit ?
L’épisode de la conversion d’Alphonse Ratisbonne m’a donné cette idée, parce que celle-ci a eu lieu un 20 janvier, le 20 janvier 1842 ; or la Synagogue espère ouvrir son ère le 20 janvier 2025. Même date, même type d’individu, Ratisbonne était juif et athée, et peut-être même mode opératoire : ce jour-là Ratisbonne était à Rome, influencé par un ami catholique qui cherchait à le convertir, et qui l’incite à entrer dans une église, dans laquelle la Sainte Vierge lui apparaîtra : « elle ne m’a pas parlé, mais j’ai tout compris », dira-t-il, et il ressent comme des écailles qui lui tombent des yeux. Un miracle à l’origine d’une conversion fulgurante pour celui qui finira prêtre Jésuite.

Et pourquoi pas ?
Pourquoi le 47 ne serait-il pas NOTRE 47 ?
Après tout, 47 est la valeur numérique du mot Ieshoua, Jésus en hébreu, et c’est aussi pour les juifs le nombre du Messie (comme pour nous ! alors que pour eux ce n’est pas Jésus) puisqu’ils font une prière mondiale pour demander le Messie 47 mois avant l’investiture du 47e président !
Par quelle extraordinaire coïncidence retombent-ils sur le même chiffre pour la même chose ?

Comment se fait-il qu’un de leurs plus célèbres kabbalistes, le rabbin Kaduri, mort en 2006, auteur de plusieurs prophéties dont certaines autour du Messie, ait déclaré que « Jésus est le nom du Messie », et que ce dernier se révèlerait peu après la mort d’Ariel Sharon (décédé — pardon, débranché — le 11 janvier 2014) ?

Ne serait-ce pas en réalité l’annonce d’un de ces grands secrets de Dieu, celui de la fameuse « conversion des juifs » devant avoir lieu à la fin du monde et qui serait autant massive qu’inattendue et fulgurante. Et pourquoi pas ? Tout est possible à Dieu.

Conclusion

Le Projet 47, c’est l’entrée dans l’ère de l’hégémonie et de la domination des élites juives, du judaïsme et de l’esprit juif sur le monde (le tout formant leur « Messie »), et cette ère, nous disent-ils avec leurs signes ésotériques, commencerait à l’investiture du 47e Président américain, le 20 janvier 2025.
Mais puisque le 47 est aussi le chiffre du Christ en gloire, il n’est pas interdit de penser que l’inverse peut se passer et qu’en réalité, ce sera la victoire du Christ sur le monde, le démon et la synagogue. Et le signe de la conversion en masse des juifs à la fin du monde comme le pressent la tradition chrétienne.

Louis d’Alencourt, le 29 mars 2024, Vendredi saint.

Illustration : l’épisode du serpent d’airain, image anticipée du Sacrifice du Christ, vers lequel Moïse avait enjoint aux juifs de se tourner pour être guéris des morsures cruelles et mortelles des serpents.




Mise à jour sur la grippe aviaire : signes avant-coureurs de la « propagation » à venir

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly

Il y a deux jours, nous avons publié mon dernier article sur la grippe aviaire, intitulé « Comment (et pourquoi) la grippe aviaire est sur le point d’entrer dans la phase des “tests de masse” »1.

Moins de 12 heures plus tard, Salon a publié un article de 3 000 mots sur la grippe aviaire, dont environ 2 000 sont consacrés à des « experts » qui expliquent que nous ne procédons pas à suffisamment de tests [c’est nous qui soulignons] :

«… les experts ont déclaré que les cas passent probablement inaperçus. Depuis le début de l’année, trois Américains ont été infectés par des virus H5N1 apparus chez les vaches, et tous se sont rétablis, mais certains experts affirment que les patients évitent peut-être les médecins ou refusent les tests.

[…]

La plupart des experts se sont dits préoccupés par le manque de données et de surveillance. Jetelina a déclaré que le gouvernement ne faisait pas assez de tests sur les animaux et les humains.

[…]

Les tests semblent encore quelque peu aléatoires et volontaires. Nous devrions en faire plus, tant pour le bétail que pour les humains.

[…]

Il n’existe pas non plus d’obligation légale de communiquer les résultats des tests.

[…]

Selon M. Rasmussen, le problème des tests réside en partie dans le fait qu’ils nécessitent une collaboration entre plusieurs agences locales et d’État, ainsi qu’entre l’USDA et le CDC, qui ne coopèrent pas toujours. Ils nécessitent également la participation et le consentement des exploitations agricoles concernées.

[…]

“Il est donc difficile de savoir combien de tests ont été effectués et combien le seront à l’avenir”, explique M. Rasmussen. “Cela peut varier considérablement d’une juridiction à l’autre.”

M. Poulsen a précisé qu’il y avait trop de “barrières juridiques et politiques” pour les tests. »

Le discours naissant est clair : « nous devons effectuer plus de tests, et nous avons besoin de nouvelles règles pour appliquer les tests obligatoires, nous devons passer outre les compétences des agences et des États avec une nouvelle loi fédérale ».

Ce message — ou une variante de celui-ci — a été répété dans une demi-douzaine d’articles supplémentaires depuis que nous avons publié notre article il y a seulement deux jours.

Cela inclut le Guardian (évidemment) et le World Socialist Website, qui poursuivent leur politique de l’ère Covid en abandonnant toute prétention d’être un média « indépendant » et en répétant (ou même en exagérant) les affirmations du courant dominant pour faire avancer leur propre agenda politique.

Mais l’article de Salon ne se limite pas à quelques points de discussion prévisibles, il contient également quelques aperçus révélateurs (accidentels) sur les développements futurs potentiels [c’est nous qui soulignons] :

« Les États qui effectuent davantage de tests sont susceptibles de signaler plus de cas.

[…]

Je préférerais que l’on procède à davantage de tests sur les travailleurs agricoles et sur le lait […] J’aimerais que l’on procède à des sérologies pour voir si les travailleurs ont été infectés de manière asymptomatique.

[…]

Il a ajouté qu’il n’y avait pas d’exigence CLIA pour les tests sur les animaux, en référence aux normes fédérales de laboratoire, et que les laboratoires privés pouvaient effectuer tous les tests qu’ils voulaient.

[…]

Jetelina a déclaré que même les tests de dépistage de la grippe effectués à domicile détecteront probablement le H5N1, car il est étroitement lié à la grippe A.

[…]

Le grand défi sera l’automne, car nous ne pourrons pas faire la différence entre la grippe [saisonnière] et le H5N1, à moins de disposer d’un test plus spécifique. »

Pour être clair, ces experts admettent dans cet article :

  • — Plus on fait de tests, plus on trouve de cas.
  • — Les tests sur les animaux ne sont pas soumis aux normes des laboratoires.
  • — Un grand nombre de ces cas humains « manqués » seront des « infections asymptomatiques ».
  • — Les tests effectués à domicile ne permettent pas de différencier la « grippe aviaire » de la grippe saisonnière ordinaire.
  • — … ce qui signifie que lorsque la saison de la grippe commencera à l’automne, les cas de « grippe aviaire » déclarés pourraient augmenter fortement.

Souvenez-vous de cela, car c’est exactement le genre d’informations qui seront oubliées quand/si le nouveau récit de la pandémie commence à prendre de l’ampleur.

En attendant, posons une question simple :

Que se passera-t-il lorsque vous commencerez à imposer légalement des tests généralisés pour trouver des cas asymptomatiques à l’aide de tests à domicile qui ne peuvent pas faire la différence entre votre nouvelle « pandémie » et la « grippe saisonnière » ?

Covid 2 : Electric Boogaloo2, voilà ce qu’il se passera.

Quoi qu’il en soit, j’espère ne plus avoir à utiliser les mots « grippe aviaire » pendant un certain temps.

… Oh, encore une chose, saviez-vous que le changement climatique aggrave la grippe aviaire ?

Que peut-on faire d’autre que de rire à ce stade ?

[Note de Joseph Stroberg :
Bill Gates a déjà envisagé la prochaine plandémie pour 2025. Voir Bill Gates prépare sa prochaine plandémie. Le seul moyen efficace d’empêcher une répétition (éventuellement en pire) de la farce Covid est de répandre mondialement la connaissance du fait suivant : l’hypothèse virale ne relève pas de science, mais de scientisme ou de pseudoscience et a déjà été largement réfutée sur un plan scientifique. Voir UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT). Elle s’est même autoréfutée il y a 70 ans, mais l’industrie pharmaceutique a bien entendu tout intérêt à ne pas en informer les personnels soignants lors de leur (dé)formation universitaire médicale. Voir La pierre angulaire de Big Pharma. Cependant, si les gens en général et les médecins en particulier préfèrent continuer à croire au conte de fées des méchants virus et autres germes comme cause de leurs maladies, nous ne pourrons malheureusement très probablement éviter la prochaine plandémie, ceci d’autant moins que des mesures de censure des « complotistes » ont été mises en place en prévision dans plusieurs pays occidentaux.]





Sur la théorie de la « fuite du laboratoire » : illogique, immatérielle et dangereuse

[Source : off-guardian.org]

[Illustration : New Yorker]

Par Kit Knightly

La théorie de la « fuite du laboratoire » est à nouveau d’actualité. Elle s’est essentiellement révélée être une position dominante. Comme nous l’avions toujours prédit.

Il y a deux semaines, le New York Times a publié un long article d’opinion en faveur de cette théorie (nous en avons parlé dans This Week).
La semaine dernière, l’économiste Jeffrey Sachs l’a approuvée dans son interview de deux heures avec Tucker Carlson,
et hier, RFK Jr l’a soutenu dans le cadre de sa campagne présidentielle :

N’est-il pas étonnant de constater la rapidité avec laquelle elle est passée du statut de « théorie du complot raciste » à celui de théorie de prédilection de la fausse alternative ?

Et d’une manière ou d’une autre, malgré sa publication dans le New York Times, le Wall Street Journal, le New York Post, la BBC, le Guardian et à peu près partout ailleurs, la « théorie de la fuite du laboratoire » est toujours vendue comme une sorte d’alternative.

Ce n’est pas le cas. Pas du tout. Il s’agit de la théorie dominante dans un papier d’emballage différent.

Comme nous vous l’avons toujours dit.

Nous l’avons déjà réfutée des milliers de fois. Cette théorie est illogique au vu de ce que l’on sait déjà, sans importance puisque la « maladie pandémique » n’a jamais été exceptionnellement mortelle, mais dangereuse parce qu’elle soutient les futures mesures de confinement, les vaccinations et Dieu sait quoi d’autre.

Nous avons vérifié la logique de cette théorie en 2021 :

Quel est exactement l’intérêt d’une arme biologique qui n’est pas plus mortelle que les virus grippaux courants ? Pourquoi se donner la peine de créer un virus à peu près inoffensif en laboratoire ?

Supposons que vous souhaitiez créer une pandémie, serait-ce un bon moyen d’y parvenir ? Cela vaudrait-il la peine de dépenser de l’argent ? Ne serait-il pas plus simple de faire croire à l’existence d’un fléau en recourant à la peur et à des tours de passe-passe statistiques ?

Après tout, une pandémie imaginaire peut infecter qui vous voulez, épargner qui vous voulez, commencer et s’arrêter à votre convenance, obéir à toutes les règles que vous voulez inventer et être guérie instantanément tant que tout le monde vous paie votre « vaccin ».

[…]

La théorie de la fuite de laboratoire sert l’agenda de l’État profond d’une certaine manière : elle renforce l’idée que le virus est un problème réel qui doit être résolu, plutôt qu’un récit de contrôle basé sur la peur.

La peur est la peur, et qu’il s’agisse d’un virus zoonotique ou d’une arme biologique, elle peut être utilisée pour faire plier une population à sa volonté.

Nous avons montré comment elle sert un faux récit binaire de guerre froide en 2022 :

… deux camps apparemment opposés se forment — l’Occident prépare le terrain pour accuser la Chine d’être responsable de la pandémie, tandis que la Chine (et probablement la Russie, dans un deuxième temps) accuse les États-Unis.

Il s’agit d’un faux binaire classique.

Ce que vous devez remarquer, c’est que ces deux camps prétendument opposés sont d’accord sur l’aspect le plus important du mensonge de la pandémie — à savoir que la Covid est une nouvelle maladie unique et dangereuse qui doit être traitée avec des masques, des confinements et des vaccins — et ne s’opposent violemment que sur l’origine de cette « nouvelle maladie réelle et mortelle ».

Vous êtes censés vous inspirer d’eux.

Ils veulent que vous oubliiez que la « Covid » n’est qu’un nouveau nom vide de sens pour un vieux groupe familier de symptômes « saisonniers ». Ils veulent que vous oubliiez qu’il s’agit d’une escroquerie et que vous preniez parti dans un débat scénarisé, bruyant et totalement bidon sur les origines de la maladie.

Dès que vous signez, ils vous tiennent, car en acceptant de débattre de l’origine de la maladie, vous acceptez qu’elle existe — c’est-à-dire un nouvel agent pathogène mortel — et qu’il faille s’en occuper.

Et c’est tout ce qu’ils attendent de vous.

Et nous avons résumé cela en 2023 :

D’une certaine manière, il s’agit d’un symptôme de l’échec du récit de la Covid. La plus grande campagne de propagande de tous les temps s’est essoufflée après seulement deux ans d’existence, et elle se bat soudain sur la défensive, simplement pour se maintenir. Car le débat sur la « fuite du laboratoire » est en grande partie une position de repli. Une retraite en bon ordre, protégeant à tout prix le mensonge fondamental de la « Covid », à savoir qu’il avait [supposément] une nouvelle maladie.

Il y avait les anciens symptômes de la grippe, un nouveau nom et un test de merde.
Et c’est tout.
C’est le seul aveu que l’establishment ne fera jamais, parce qu’il rompt totalement avec son récit.
Il le tue à petit feu.

Tous les autres « aveux », débats ou idées — « fuite de laboratoire », traitement précoce, panique du gouvernement, « nous avons sous-estimé l’immunité naturelle », « les essais de vaccins étaient trompeurs » — peuvent finalement être ramenés à la justification des fermetures et autres « mesures de santé publique » autoritaires.

Si ce n’est pas pour la Covid, ce sera pour la prochaine « pandémie ».

C’est notre dernier mot sur la fuite du laboratoire : elle n’a jamais eu lieu. Et plus ils essaient de nous la faire avaler comme le visage acceptable du scepticisme à l’égard de la Covid, plus cela devient évident.

Pour en savoir plus sur la « fuite de laboratoire », consultez nos archives :

https://off-guardian.org/2021/06/07/the-wuhan-lab-leak-story-is-just-more-fear-porn/ (L’histoire de la fuite du laboratoire de Wuhan : encore plus de porno de peur)

https://off-guardian.org/2023/03/01/cattes-corner-lab-leaks-brick-walls/ (« Fuites de laboratoire » et murs de briques)

https://off-guardian.org/2023/04/06/why-i-dont-believe-there-ever-was-a-covid-virus/ (Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait jamais eu de virus Covid)

https://off-guardian.org/2023/03/09/russia-the-lab-leak-theory/ (La Russie et la théorie de la fuite du laboratoire)

[Voir aussi :
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid
La « théorie de la fuite du laboratoire » ou le piège du faux débat binaire
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
La pierre angulaire de Big Pharma




Eugénistes 2.0 & transhumanistes : leur guerre ouverte contre les peuples

Mise à jour : la totalité des vidéos de l’émission.

« Pour combattre un ennemi, il faut être capable de le voir. »

Sasha Latypova
[Voir aussi https://nouveau-monde.ca/?s=Sasha+Latypova]

Partie 1/3

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée ou « le syndicat jaune » (article évoqué en début de la première vidéo),
Les liens étroits France-Chine symbolisés par l’Institut Pasteur (évoquant notamment Mérieux),
Le professeur Didier Raoult est-il vraiment un dissident des autorités et mesures sanitaires ? (sur la fausse dissidence de Raoult),
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! et Armes biologiques ? (sur les supposés virus « augmentés » qui font aussi partie du mensonge mondial et auxquels semble néanmoins continuer à croire l’intervenant de la vidéo, Alain Schollaert),
La pierre angulaire de Big Pharma (expliquant brièvement pourquoi l’industrie pharmaceutique gagne à maintenir la croyance dans les virus pathogènes, croyance bien plus facilement entretenue grâce aux labos P4 et aux supposés virus tueurs qui y seraient développés),
UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT) (réfutation détaillée de la virologie),
Aveuglés par la pseudo-science (montrant en quoi la virologie ne suit pas la méthode scientifique et l’expose comme pseudo science),
L’enterrement de la théorie virale (qui rappelle notamment la méthode scientifique et les conditions nécessaires et suffisantes pour démontrer l’existence d’un lien de causalité entre deux phénomènes),
Le château de cartes de la théorie des germes
et les autres articles du dossier Vaccins et virus.]


Partie 2/3

Partie 3/3

Questions/Réponses




Bilderberg ? Vous avez des chances de finir à l’UE, à l’OTAN, au FMI ou à l’ONU

[Source : reinformation.tv]

Par Clémentine Jallais — 31 mai 2024

Étonnant comme les médias se ruent, à chaque fois, avec moult prévisions sur l’identité des participants du cru de l’année… Parce que les clubs d’élite transnationaux jouissent d’une réputation de pouvoir qui n’est pas injustifiée et que leurs arcanes bien cachés suscitent la curiosité. C’est pourtant la première fois qu’une étude pointe avec précision la corrélation entre l’appartenance au Bilderberg et l’obtention de postes élevés dans les grandes instances internationales ou au sein même de l’élite politique nationale.

Oui, nous l’aurions un peu parié… mais il est bon de le lire en termes formels quoique prudents sous la plume d’un jeune doctorant tchèque, Lukas Kantor. De plus, il a fait le choix de n’user que d’informations publiques et attestées : autrement dit le haut de l’iceberg, qui est déjà fort gros, ce qui laisse présager du reste.

Depuis 2019, toutes les principales organisations internationales — UE, OTAN, FMI et ONU — sont présidées par des Bilderberg… « Il semble improbable qu’il s’agisse d’une simple coïncidence », se risque l’auteur de l’étude. Nous nous risquerons davantage : le facteur Bilderberg est un élément évidemment non systématique, mais souvent déterminant : le réseautage et le favoritisme n’ont jamais été aussi importants que dans la gent mondialiste.

Un ascenseur de carrière magistral

Ce jeudi 30 mai s’est ouverte à Madrid la 70e réunion du groupe Bilderberg, avec ses sujets du jour, comme l’IA, le climat, les défis géopolitiques ou encore la Chine et la Russie. Depuis 1954, c’est l’une des plateformes de mise en réseau et de coordination des élites transatlantiques les plus influentes. Chaque meeting annuel invite à titre privé environ 130 hommes et femmes politiques, hommes d’affaires, intellectuels (y compris des hommes d’Église), principalement d’Europe et d’Amérique du Nord et marginalement de Turquie, pour des conférences à huis clos dont la presse est totalement exclue.

Pour l’auteur de cette étude, le Bilderberg agirait ni plus ni moins comme un ascenseur de carrière, à la fois social et professionnel :

« Je soutiens que les hommes politiques invités à ces réunions exclusives obtiennent des contacts précieux, des informations privilégiées et probablement un certain soutien. Pourtant, la plupart des hommes politiques qui ont participé aux conférences du Bilderberg n’ont jamais été promus par la suite. Mais 133 l’ont été, et parfois même peu de temps après leur apparition aux rassemblements. Parmi ces hommes politiques, principalement européens, 42 sont devenus Premiers ministres, présidents ou hauts représentants d’organisations internationales comme l’UE, l’OTAN et le FMI. »

Mais alors, les hommes du Bilderberg ne sélectionneraient-ils donc pas nos politiques, en dehors de toute démocratie ? « Cette suspicion va dans la bonne direction, répond l’auteur, mais elle doit être atténuée. »

133 hommes politiques élevés après leur première au Bilderberg

Le Bilderberg renforce le capital social et donc le pouvoir politique. D’abord, si les participants sont nommément invités, c’est qu’ils ont un potentiel ou un champ d’action intéressants pour ces élites mondiales ou plutôt mondialistes. Ensuite, étant présentés à ces dernières, ils pourront bénéficier à tout le moins de leur influence, et même parfois de leur soutien actif. Les cercles franc-maçons ne fonctionnent pas d’une autre manière…

« J’ai trouvé seulement trois cas (Vernon Jordan, José Manuel Barroso et Emmanuel Macron) où le Bilderberg a poussé [de manière avérée et transparente] des membres de son club à de hautes fonctions, et seulement dans deux cas (Jordan et Macron), ces tentatives ont abouti à la nomination souhaitée », écrit Kantor. Néanmoins, il est probable, poursuit l’étude, que les Bilderberg tentent plus souvent que cela d’influencer les nominations… seulement, il est impossible de le prouver avec des informations accessibles au public.

Le doctorant se concentre sur 30 conférences Bilderberg qui ont eu lieu de 1990 à 2019, pour produire des résultats plus pertinents pour le public et les politiques. Au total, en chiffres absolus, 133 hommes politiques ont été élevés après leur première participation au Bilderberg. Environ un tiers (42 personnes) de toutes les personnes élevées ont atteint les postes les plus élevés, comme président (4 Bilderberg), Premier ministre (23 Bilderberg), chef d’une organisation internationale (11 Bilderberg) ou Premier ministre puis chef d’une organisation internationale (4 Bilderberg).

A noter que depuis 2019, toutes les principales organisations internationales sont présidées par des Bilderberg : Ursula von der Leyen à l’UE, Jens Stoltenberg à l’OTAN, Kristalina Georgieva au FMI et Antonio Guterres à l’ONU.

Une UE bilderbergisée

Plus particulièrement, « on peut parler de “porte tournante” entre la Commission européenne et le groupe Bilderberg », affirme Lukas Kantor.

José Manuel Barroso, par exemple. Il a d’abord participé aux conférences du Bilderberg (en 1994 et 2003), puis est devenu président de la Commission européenne (de 2004 à 2014), avant de rejoindre le comité directeur du Bilderberg. En 2016, il a tenté de faire pression en faveur de la nomination de Kristalina Georgieva au poste de secrétaire général de l’ONU, mais c’est un autre Bilderberg qui a été élu (Antonio Guterres). Au cours de son mandat, au moins deux Bilderberg (Miguel Ángel Moratinos et Jeanine Hennis-Plasschaert) ont été sélectionnés comme représentants de l’ONU.

Pour la petite histoire, Kristalina Georgieva a fini par être nommée directrice du FMI en 2019, alors qu’elle ne correspondait pas aux critères du poste (limite d’âge et soutien d’un nombre insuffisant d’États), mais les règles ont été contournées ou modifiées en sa faveur, grâce au Bilderberg Macron ! Quand Bilderberg veut….

Même parcours pour le Belge Étienne Davignon : il a d’abord participé aux conférences Bilderberg (en 1972 et 1974), est devenu peu après commissaire européen (de 1977 à 1985), puis président du Bilderberg de 1999 à 2011. Verheugen, Bolkestein, Almunia, Mandelson, Hedegaard, Timmermans, Vestager et d’autres ont d’abord assisté aux conférences du Bilderberg, puis ont aussi été sélectionnés comme commissaires européens…

Actuellement, dans l’UE, les Bilderberg occupent les postes les plus élevés de président de la Commission européenne (Ursula von der Leyen), membres de la Commission européenne (Jutta Urpilainen, Margrethe Vestager), président de la Banque centrale européenne (Christine Lagarde), président de l’Eurogroupe (Paschal Donohoe), président du Conseil européen (Charles Michel). « Von der Leyen et Michel ont assisté à la même conférence du Bilderberg en 2015 et, la même année 2019, ils ont tous deux obtenu les plus hautes positions au sein de l’UE », souligne l’étude.

FMI, ONU… OTAN en emporte le Bilderberg

L’UE, mais aussi l’OTAN ! « Tous les secrétaires généraux de l’OTAN de l’après-guerre froide ont participé à une conférence du Bilderberg avant leur nomination », souligne l’étude. En outre, au moins trois Bilderbergers (Karl Lamers, Pierre Lellouche, Bert Koenders) sont devenus présidents de l’Assemblée parlementaire de l’OTAN. Et la Banque mondiale ! Et l’Organisation mondiale du commerce ! Sans compter que les cercles se croisent parfois avec les membres de la Commission trilatérale qui, elle aussi, a largement pénétré les arcanes du pouvoir.

Et notre Emmanuel Macron… Tout d’abord, il faut rappeler que Macron a travaillé, de 2008 à 2012, à la banque Rothschild dont les représentants participent régulièrement aux Conférences Bilderberg. Edmond de Rothschild en a d’ailleurs rejoint le comité directeur au milieu des années 1960. Macron a assisté à sa première conférence en juin 2014 : en août, il était choisi via le Bilderberg Manuel Valls pour diriger le ministère clé de l’Économie. Et c’est en 2017 qu’il accède, sans coup férir, à la Présidence de la République française… en nommant un autre Bilderberg, comme Premier ministre, à savoir Édouard Philippe.

Quant à Gabriel Attal, le plus jeune Premier ministre de l’histoire de la Ve République, il fut invité par les Bilderberg en 2023 : en janvier 2024, il était nommé et propulsé à Matignon, par Macron.

On pourrait continuer, mais il faut s’arrêter. Ça en devient fatigant.




Anthony Fauci avoue qu’il a « inventé » des règles pour les « covidés »

[Source : lelibrepenseur.org]

[Illustration : Le Dr Anthony Fauci, ancien directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que la règle des six pieds de distance sociale était « apparue comme ça » et qu’il avait « peut-être » examiné des études sur les enfants masqués, mais que « ce n’était pas encore décidé ».]

Anthony Fauci avoue qu’il a « inventé » des règles pour les « covidés », y compris une distance sociale de 2 mètres et le masquage des enfants.

A. Fauci a déclaré qu’il ne savait pas d’où venait la règle des 2 mètres de distance sociale. Il a également déclaré ne pas avoir connaissance d’études recommandant l’utilisation de masques pour les enfants.

Par Aguellid — 6 juin 2024

Ce type anglo-saxon nous démontre à quel point la presse française est dans les choux ; en réalité elle n’existe pas. Personne ne fait d’enquête de terrain, et encore moins lorsqu’il s’agit de contredire la Doxa, la version officielle de n’importe quel sujet important que ce soit la santé, l’économie…

Alors que le responsable en chef américain de la gestion de la crise sanitaire Covid-19, Anthony Fauci, est en train d’être cuisiné au niveau de la chambre des représentants US, alors que des déclarations explosives sont faites quasiment chaque jour, aucun média parisien n’estime utile d’en parler. Ils sont tous rivés sur l’actualité locale, les faits divers, les JO… Pourtant, les révélations sont assez spectaculaires comme vous allez vous en rendre compte.

Le DailyMail nous apprend, dans l’article ci-dessous, qu’Anthony Fauci ne sait absolument pas d’où sort cette règle de distanciation sociale de 2 m et encore moins si le masquage des enfants est utile. Une chose est certaine, lui-même n’y croyait pas beaucoup puisque tout le monde l’a vu dans les tribunes d’un stade de base-ball entre 2 amis sans respecter la distanciation tout en ayant retiré son masque. Pendant ce temps, l’Amérique entière était confinée, terrorisée par le [supposé1] virus. Cette seule image est la démonstration du complot, de l’arnaque.

Ensuite, nous apprenons que cette même crapule restée à la tête du NIH près d’un demi-siècle, ce qui est en soi une anomalie, avoue que le virus peut très probablement venir du laboratoire P4 de Wuhan2 ! Pourtant c’est ce qu’il avait combattu dès le début en publiant un article dans Nature affirmant l’inverse et accusant toute personne osant le dire d’infâme « complotiste » !

Le témoignage retentissant du Dr Anthony Fauci révèle qu’il a inventé la règle de l’éloignement social d’un mètre cinquante et d’autres mesures visant à « protéger » les Américains contre le virus du SIDA.

Les républicains ont publié la transcription intégrale de l’entretien qu’ils ont eu avec M. Fauci en janvier, quelques jours seulement avant sa déposition publique très attendue de lundi.

Ils ont l’intention de l’interroger sur les restrictions qu’il a mises en place pour lutter contre le virus, dont il a admis qu’elles n’avaient pas beaucoup contribué à « ralentir la propagation » du virus.

La perte d’apprentissage et les difficultés sociales des enfants ont été bien documentées. Une étude du National Institute of Health (NIH) a qualifié de « très négatif » l’impact de l’utilisation de masques sur l’alphabétisation et l’apprentissage des élèves.

Selon une autre étude du NIH, les effets de la distanciation sociale entraînent « dépression, anxiété généralisée, stress aigu et pensées intrusives ».

S’adressant aux avocats au nom de la sous-commission de la Chambre des représentants sur la pandémie de coronavirus au début de l’année, M. Fauci a déclaré aux républicains que la règle de la distance sociale de six pieds était « apparue comme ça » et qu’il ne se souvenait pas de la manière dont elle avait été élaborée.

« Vous savez, je ne m’en souviens pas. Elle est en quelque sorte apparue comme ça », a-t-il déclaré selon les transcriptions de la commission lorsqu’on lui a demandé comment cette règle avait vu le jour.

Il a ajouté qu’il « n’était pas au courant des études » qui soutenaient la distanciation sociale, concédant que de telles études « seraient très difficiles » à réaliser.

Outre le fait qu’il ne se souvient d’aucune preuve à l’appui de la distanciation sociale, M. Fauci a également déclaré à l’avocat de la commission qu’il ne se souvenait pas d’avoir lu quoi que ce soit prouvant que le fait de masquer les enfants permettrait de prévenir l’infection à COVID.

Il lui a été demandé : « Vous souvenez-vous d’avoir passé en revue des études ou des données en faveur du masquage des enfants ? »

« Je l’ai peut-être fait », a-t-il répondu avant d’ajouter « mais je ne me souviens pas de l’avoir fait ».

Le patriarche de la pandémie a également déclaré qu’il n’avait suivi aucune étude a posteriori concernant l’impact du port forcé de masques sur les enfants, comme il y en a eu de nombreuses.

Et sa réponse a pris la forme d’un jeu de mots ironique à la COVID : « Je pense toujours que la question n’est pas tranchée », a déclaré M. Fauci à propos de la question de savoir si le fait de masquer les enfants était un moyen efficace de prévenir la transmission du virus.

En outre, l’ancien directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) a déclaré à l’avocat qu’il pensait que la théorie de la fuite du laboratoire — l’idée que le COVID a commencé à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) — était une véritable « possibilité ».

« Je pense que les gens en ont tiré des aspects conspirationnistes », a-t-il déclaré, ajoutant qu’« il pourrait s’agir d’une fuite de laboratoire ».

« Je pense donc que cela n’est pas en soi une théorie du complot, mais certaines personnes en tirent des conclusions un peu folles ».

Son aveu que le COVID pourrait avoir débuté à la WIV intervient quatre ans après qu’il a soutenu la publication d’un article qui a jeté un froid sur la théorie de la fuite de laboratoire, l’article « Origine proximale »

La commission sur le coronavirus a consacré des mois à la découverte des origines du virus qui a bouleversé tant de vies et entraîné la mort de 6 millions de personnes dans le monde.

Récemment, elle a découvert que l’ancien principal collaborateur de Fauci, le Dr David Morens, travaillait régulièrement sur son compte de messagerie électronique personnel et supprimait des fichiers pour éviter les lois sur la transparence du gouvernement en vertu de la loi sur la liberté de l’information (FOIA).

Son mépris pour les demandes de FOIA était si flagrant qu’il s’est vanté dans des courriels adressés à ses collègues d’avoir appris à faire « disparaître » la correspondance officielle et de supprimer des éléments qu’il ne voulait pas « voir dans le New York Times ».

Les courriels de Morens découverts par la commission révèlent en outre qu’il s’est vanté de disposer d’un « canal secret » vers Fauci lui permettant de communiquer clandestinement avec l’ancien directeur du NIAID.

Cette révélation a tellement choqué le président de la commission, Brad Wenstrup, R-Ohio, qu’il a exigé de Fauci qu’il remette à l’organisme d’enquête ses courriers électroniques et ses relevés téléphoniques personnels.

Il est également choquant que M. Fauci ait admis devant la commission en janvier qu’il ne regardait « jamais » les subventions qu’il avait approuvées, dont certaines se chiffrent en millions de dollars du contribuable.

« Vous savez, techniquement, je signe chaque conseil, mais je ne vois pas les subventions et ce qu’elles sont. Je ne regarde jamais quelles sont ces subventions », a-t-il déclaré à l’avocat de la commission.

En outre, il a déclaré qu’il n’était « pas certain » que les laboratoires étrangers qui reçoivent des subventions américaines, comme le WIV — qui étudiait les coronavirus avec l’argent du contribuable américain au moment où la pandémie a commencé — fonctionnent selon les mêmes normes que les laboratoires américains.

M. Fauci a également déclaré que l’argent qu’il a distribué dans le cadre du processus d’octroi de subventions du NIAID n’a fait l’objet d’aucun examen au titre de la sécurité nationale.

En outre, l’ancien directeur a déclaré qu’il n’était au courant d’aucun conflit d’intérêts au sein de son personnel, qui comprenait son conseiller principal, le Dr Morens.

Cependant, M. Morens a déclaré devant la commission le 22 mai qu’il avait aidé son « meilleur ami », le Dr Peter Daszak, président de l’Alliance EcoHealth, dans le cadre des activités de son organisation à but non lucratif.

M. Morens a déclaré qu’il avait participé à la rédaction des communiqués de presse d’EcoHealth et qu’il s’était efforcé de rétablir les subventions accordées à l’association après l’arrêt de son financement à la suite de l’épidémie de fièvre catarrhale ovine en 2020.

Les NIH, qui emploient M. Morens, ont financé EcoHealth de M. Daszak à hauteur de plusieurs millions de dollars.

Pourtant, M. Fauci a déclaré qu’il n’était pas au courant des conflits d’intérêts de M. Morens.

La commission cherchera certainement à clarifier le « canal secret » de communication entre Fauci et Morens lors de l’audition du 3 juin.

JON MICHAEL RAASCH, POLITICAL REPORTER IN WASHINGTON, D.C., FOR DAILYMAIL.COM
Titre de l’article original en anglais : REVEALED: Dr. Anthony Fauci confesses he “made up” covid rules including 6 feet social distancing and masking kids
Traduction : lelibrepenseur.org avec DeepL Translator





Le tableau d’ensemble de l’Histoire : des leçons pour aujourd’hui

[Source : arcaluinoe.info]

[Illustration : Image : AP]

Par Mees Baaijen

Cette présentation est basée sur mon livre Les Prédateurs contre Le Peuple, qui est disponible en sept langues sur substack.

L’arbre de la connaissance du bien et du mal

L’arbre et le serpent faisaient partie du Paradis ! Par dessein divin, les êtres humains créatifs et curieux n’ont pas pu y résister : pour nous mettre tous à l’épreuve ?

Un développement sans précédent du potentiel humain a pris son essor, tant pour le Bien (agriculture, science, art, écriture, artisanat, certaines technologies) que pour le Mal (esclavage, usure, abus, guerres, certaines technologies).

Les sociétés hiérarchisées (souvent fondées sur l’esclavage) et les technologies améliorées qui en ont résulté ont conduit à la mondialisation il y a déjà 5000 ans : le commerce mondial est devenu le commerce des « riches » (lingots, esclaves multicolores, épices, produits de luxe).

Le capital

La richesse du commerce a permis d’énormes accumulations de capitaux, un peu partout, en Asie, en Afrique et en Europe. L’usure s’envole, les oligarchies se développent. Mais seule l’Europe est devenue le « monstrueux façonneur de l’histoire du monde » (Braudel) : pourquoi ?

Vers 1500, un nouveau plan de domination mondiale est né en Méditerranée, par les Vénitiens, les Génois et les ex-Juifs ibériques : il s’agit de la Glafia. Il s’agit d’une classe de prédateurs composée de familles dynastiques de banquiers et de marchands, qui ne sont liées à aucune nation, religion, race ou ethnie, et pour qui la finalité satanique — faire de la terre leur ferme privée avec nous, les humains, leur bétail — justifie tous les moyens.

Ils savaient que leur domination sur le monde ne pouvait être établie que par l’intermédiaire de mandataires (secrets). Par coïncidence, les États-nations étaient en plein essor en Europe.

Les États-nations, premiers mandataires nationaux de la Glafia

Les banquiers génois avaient découvert comment ils pouvaient « contrôler à distance » l’empire espagnol grâce à des capitaux mobiles. La Glafia a ensuite utilisé ce modèle de manière systématique. Elle a infiltré et capturé les futurs États-nations européens, qu’elle a contrôlés par le biais de banques centrales usuraires (protégées par des lois), de capitaux (corruption et investissement) et de fausses démocraties (tromperie). Cette fusion unique entre l’État et le capital a été la clé de leur succès (F. Braudel, G. Arrighi). Les anarchistes avaient raison sur le rôle perfide de l’État-nation !

En dominant le système monétaire (banques centrales) et en injectant des capitaux dans les États-nations capturés (mais officiellement « autonomes »), des projets normalement impossibles — découvertes à grande échelle, colonisation, révolutions, guerres, science, technologie et « développement » — sont devenus possibles, mettant fin à la phase de croissance organique.

Les cycles hégémoniques

L’Espagne catholique, qui était alors le plus grand empire du monde, a été mise à l’écart en tant qu’hégémon, parce qu’elle n’était pas favorable à l’usure et aux juifs. À partir du début des années 1500, la Hollande et l’Angleterre ont été progressivement préparées à devenir les hégémons suivants, désormais protestants.

La Réforme, l’indépendance des Pays-Bas vis-à-vis de l’Espagne, la révolution de Cromwell et la Glorieuse Révolution en Angleterre, les banques centrales et les « démocraties » en Hollande (1609) et en Angleterre (1694), et la Compagnie des Indes orientales dans les deux cas, ont toutes été pilotées et financées par la Glafia. Chaque cycle hégémonique se divise en trois phases : une phase marchande ou d’accumulation (souvent financée par l’hégémon précédent), une phase d’expansion industrielle et enfin une période de financiarisation, dominée par le secteur bancaire (les premiers marchands sont devenus des banquiers). Dès les années 1830, les États-Unis étaient préparés (l’argent de Rothschild a mis en place les barons voleurs, la guerre civile, etc.) La phase de financiarisation — et finale — a commencé dès 1971 (même Imagine des Beatles en faisait partie !).

Au cours des cent dernières années, la Chine et la Russie ont été préparées à devenir les nouveaux chevaux oligarchiques du char de la Glafia, dans le cadre de la même fusion du capital et de l’État. Cette opération hégémonique se présente sous la marque brillante de l’ordre mondial multipolaire, mais elle est dirigée par les mêmes prédateurs. Pendant ce temps, l’Occident encore endormi subit une démolition contrôlée.

Lors des précédents changements hégémoniques, les guerres ont toujours été au menu. Il en va de même aujourd’hui, avec un changement inédit de l’Ouest vers l’Est. Les « élites » occidentales savent que l’Est prendra irrévocablement le relais (Macron, 2019), mais avant cela, les deux parties (les deux mandataires de la Glafia !) se sont entendues sur une guerre de théâtre sanglante en Ukraine, pour se débarrasser de leur ancien matériel, tester leurs nouvelles armes, entraîner leurs armées (Russie) et se remplir les poches et les coffres-forts à ras bord.

Gaza répond à un objectif similaire. Selon le nouveau paradigme, les Israéliens déshumanisés (par la volonté de la Glafia, ils ont été dupés pour entrer dans la cage dans laquelle ils ont été constamment aiguillonnés) sont un obstacle qui doit être éliminé. Si l’on en croit Scott Ritter, Israël est déjà en échec et mat.

La méthodologie pour coloniser le globe

On peut distinguer trois phases :

  1. La découverte et la conquête du tiers-monde, le fruit le plus facile à cueillir (commencée au XVe siècle, achevée en 1914), pour ensuite transformer toutes les colonies en États-nations « autonomes », sous l’autorité d’élites subordonnées.
  2. La conquête de l’Eurasie avec ses 13 grands Empires, le fruit de l’effort (préparé de longue date, avec la Première Guerre mondiale en 1914 comme ouverture) : le Grand massacre de l’Eurasie au 20siècle, mis en scène par les mandataires anglo -américano-sionistes de la Glafia, qui sont sortis en héros, encore serinés chaque année, alors qu’ils ont mis en place tous les croquemitaines, y compris Hitler !
  3. Une fois TOUTES LES TERRES colonisées, la phase suivante consiste à mettre TOUS LES PEUPLES sous contrôle, cette fois par le biais de la technologie : la prison numérique mondiale, en préparation depuis au moins 60 ans (Brzeziński1). C’est la fin du jeu, pour laquelle le 11 septembre était l’ouverture, la Covid un test, etc.

Les Juifs : Les plus anciens mandataires internationaux de la Glafia

À partir de 1200 avant J.-C., la Phénicie (Canaan), idéalement placée pour le « riche » commerce, à mi-chemin entre l’Europe et l’Asie, a été le premier empire « moderne », le pionnier et le précurseur de la mondialisation, du capitalisme et des multinationales. Les Phéniciens ont également créé l’aristocratie (noire) de l’Europe (la pierre angulaire de Charles !).

Les Juifs et les Phéniciens étaient presque indiscernables jusqu’en 270 avant J.-C., lorsque la Bible hébraïque a été rédigée par une équipe d’experts à Alexandrie, qui ont suivi le conseil de Platon de créer un État-nation. Les juifs ordinaires ont été dupés, afin d’en faire des armes au service d’une petite élite (phénicienne, juive ou les deux ?). Ils ont très probablement été dupés lors de leur expulsion d’Espagne, qui a été très similaire à ce qui s’est passé au 20siècle. Et récemment, en tant que rats de laboratoire de Pfizer, et maintenant le piège de Gaza, conduisant à la disparition d’Israël (annoncée par Kissinger, Ehud Barak).

La tromperie est partout : « Le monde entier est une scène » (W. Shakespeare)

  • Médias (magie noire, symbolisme occulte), éducation ;
  • Des rackets de protection sans fin, y compris le communisme, Hitler, le 11 septembre, la Covid, le CO2, et même la Nature (qui décide avec quel sexe vous naissez), etc. ;
  • le scientisme (le Siècle des Lumières était un Siècle de l’Oscurcissement), le matérialisme, le wokisme, le transgendérisme et le transhumanisme (technologie vs Nature) ;
  • L’imposture de la supériorité du capitalisme et du libéralisme américains ;
  • Les États-nations faussement « autonomes » ;
  • Les fausses démocraties, un jeu de confiance qui dure depuis des siècles et qui s’achève ;
  • Guerres et révolutions, aujourd’hui en Ukraine, à Gaza.

Aperçu du livre

Après la Covid, des millions de personnes comprennent une chose : elles ont été dupées. Pourtant, elles se demandent toujours POURQUOI toutes ces choses étranges ont pu se produire. Beaucoup ont déjà compris qu’il est très difficile de trouver la réponse sur Internet ou dans les livres. En effet, seule une analyse large et approfondie de l’Histoire mondiale peut nous donner une vue d’ensemble du passé, en tant que cadre nécessaire à une bonne compréhension de ce que nous vivons aujourd’hui et de ce que nous pouvons attendre de l’avenir.

Les Prédateurs contre Le Peuple, un livre clair et captivant qui propose une analyse approfondie et indépendante de l’Histoire et qui explique pourquoi tant de choses étranges se produisent aujourd’hui. Il s’agit d’un récit honnête, logique et sans fioritures de l’Histoire mondiale, qui va à l’encontre de la fausse version officielle qui nous a été servie presque tous les jours de notre vie. Actuellement, le livre est divisé en deux parties : Globalisme : La véritable histoire (partie A), complétée par Globalisme : 46 faits saillants (partie B), un ouvrage de référence comprenant 46 brefs essais sur des sujets cruciaux. Des améliorations et des ajouts seront apportés prochainement.

La véritable Histoire commence par un aperçu des débuts de l’Histoire mondiale, y compris les fondements scientifiques falsifiés des origines de l’univers, de la vie et de l’homme. Elle se concentre ensuite sur la énième tentative de domination du monde, cette fois par une Mafia mondiale, ou Glafia. Ce groupe de familles bancaires dynastiques, qui ne sont liées à aucune nation, religion, race ou ethnie, est appelé ici Les Prédateurs. Leur complot a pris forme vers 1522 et a été le premier à reposer sur le pouvoir du CAPITAL et de la TROMPERIE. Aujourd’hui, cinq siècles plus tard, il est sur le point de s’achever avec la Grande Réinitialisation du FEM.

S’appuyant sur un grand nombre d’éléments convergents, dont une bonne partie émanant d’historiens très respectés, cet ouvrage apporte la preuve que les principaux événements mondiaux des cinq derniers siècles ont été provoqués par ces prédateurs. Dès le départ, la Glafia a mené cet énorme projet par personnes interposées. Elle a fait des futurs États-nations « souverains » d’Europe ses premiers mandataires, qu’elle contrôlait par l’intermédiaire de banques centrales usuraires et de pots-de-vin (capital), et de fausses démocraties (tromperie). Ces États européens mandataires ont ensuite été chargés de coloniser les « fruits les plus faciles à cueillir », les terres et les populations du tiers-monde, et financés à cette fin. Des siècles plus tard, la Glafia a organisé leur fausse décolonisation.

Les empires d’Eurasie, les « fruits mûrs », étaient les noix les plus difficiles à casser. Une vaste opération de guerres, de crises et de révolutions a été préparée longtemps à l’avance. C’est devenu le grand massacre de l’Eurasie au XXsiècle, avec plus de 200 millions de morts. Tous les croque-mitaines de ses nombreux réseaux de protection — y compris le communisme et Hitler — ont été mis en place par les mandataires britanniques, américains et sionistes de la Glafia. Pourtant, grâce à la tromperie des universités et des médias traîtres, les Britanniques et les Américains de la Glafia qui ont incité au grand massacre sont encore fêtés comme les plus grands libérateurs de tous les temps, tandis que leurs mandataires sionistes se présentent encore comme les plus grandes victimes de tous les temps. L’Occident a également servi d’incubateur pour les sciences et les technologies de pointe.

Au cours d’un jeu de confiance qui a duré des siècles, la Glafia a corrompu et capturé tous nos 193 faux gouvernements souverains et faux gouvernements démocratiques, qui agissent maintenant comme des « traîtres à l’intérieur des portes », avec la Covid comme preuve du pouding totalitaire. Avec TOUTES LES TERRES sous le contrôle de la Glafia, leur objectif pour le 21e siècle est de contrôler TOUS LES PEUPLES individuellement, via la Grande Réinitialisation/IVe Révolution Industrielle, le jeu final pour installer leur Prison Numérique Globale (avec CBDC, Revenu de base universel, budgets carbone, etc.).

Après les premiers cycles de ce projet de domination avec l’Espagne, les Pays-Bas, l’Angleterre et les États-Unis en tant qu’hégémon occidental, les nouveaux États leaders mondiaux de la Glafia, la Chine et la Russie, tous deux préparés depuis des décennies, prennent maintenant le relais pour le cinquième cycle. Le changement actuel, le premier de l’Ouest vers l’Est, s’effectue sous le couvert de guerres militaires et bactériologiques et d’un nouvel « ordre mondial multipolaire bienveillant », tandis que l’Ouest, toujours trompé et en sommeil, est en train d’être démoli.

Les révélations explosives sur les centaines de millions de victimes des impitoyables projets Prédateurs visant à coloniser le globe, et sur les nombreuses guerres, révolutions, crises et autres atrocités horribles qu’ils ont mises en scène et qu’ils continuent de commettre, sont choquantes. Mais ce n’est pas tout : leur guerre spirituelle cachée contre « NOUS, le Peuple », un Obscurcissement masqué sous le nom de Lumières, a éloigné l’Humanité de la Nature et de l’Univers, en particulier en Occident. C’est pourquoi la redécouverte de l’essence de la vie est la révolution dont NOUS avons besoin.

Épargnez-vous l’énorme et déroutant souci de tout comprendre par vous-même ! Avec la tranquillité d’esprit que ce livre vous apporte, vous pourrez vous consacrer à la recherche de moyens pour retrouver notre planète, notre liberté et notre avenir volés.

Les premières civilisations

La civilisation a été caractérisée par les villes, l’argent et l’écriture.

Mees Baaijen

Mees a grandi dans une campagne hollandaise à la vie simple. Il a travaillé dans 7 pays sur 4 continents. Athée depuis l’âge de 12 ans, il pense aujourd’hui que le Siècle des Lumières était un Siècle de la Fin, destiné à nous éloigner de l’Univers (Tao, Dieu), d’où provient notre pouvoir.





Laura Aboli expose l’agenda mondialiste vers le transhumanisme


À propos de Laura Aboli

La carrière entrepreneuriale de Laura Aboli a débuté en 2000 lorsqu’elle a cofondé World-Check, une base de données de personnes politiquement exposées (PPE) et d’individus et d’organisations à haut risque, qui est rapidement devenue la norme de facto pour l’identification et la gestion des risques financiers, réglementaires et de réputation au sein des institutions financières et juridiques du monde entier. Suite au succès de World-Check, elle a cofondé Wealth-X en 2010, qui est devenu le principal fournisseur de renseignements sur les personnes très fortunées.

Après s’être retirée de ces deux entreprises en 2014, elle a poursuivi sa passion de toujours pour la décoration d’intérieur en créant une société de promotion immobilière et de design qu’elle continue de diriger. Née dans une famille d’artistes, Laura est passionnée par l’art, la sculpture, la musique et la danse. Son esprit critique et curieux l’a amenée à s’intéresser aux domaines de la métaphysique, de la spiritualité, de la santé et de la psychologie. Son expérience et sa volonté d’aider les autres l’ont amenée à se lancer dans l’arène publique afin de partager ce qu’elle considère comme des leçons de vie importantes dans son propre parcours. En mai 2020, poussée par la façon dont les événements entourant la pandémie mondiale affectaient les moyens de subsistance, les droits civils et la santé mentale des gens, Laura a fondé le Mouvement international démocratique uni pour la sensibilisation et la liberté (UDIMAF), une organisation dédiée à la création d’un monde meilleur par la sensibilisation, l’inspiration et la poursuite incessante de la vérité.




« Macron est le porte-flingue de David de Rothschild »




1984 n’est plus une fiction

[Source : @IamMazikeen]

Par Iam Mizikeen

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Le monde bascule vers la surveillance de masse : traque des fraudeurs fiscaux sur Facebook, reconnaissance faciale, mégafichier des données personnelles…

Découvrez comment le « portefeuille carbone personnel » pourrait devenir la réalité de demain.

Des cartes de crédit limitant vos dépenses en fonction de votre empreinte carbone ?

Des choix alimentaires dictés par votre score carbone ? ❌

Laissez-vous guider par Barbara Baarsma, économiste néerlandaise, et percevez les dangers d’un système totalitaire orchestré par le Forum économique mondial.

Préparez-vous à découvrir une réalité qui pourrait bien être plus proche de la fiction dystopique que vous ne le pensez.



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Covid-19 : les « complotistes » avaient vu juste

Par Me NONOBSTANT

[NDLR L’Histoire récente nous a cependant largement montré que s’élever contre la vaccination pasteurienne ou la fausse vaccination à supposé ARNm n’empêche nullement les entreprises pharmaceutiques de continuer de sévir et de contrôler l’enseignement médical, ni les Bill Gates et autres milliardaires de poursuivre leur agenda eugéniste.
Par contre, si suffisamment de monde en général et de personnels soignants en particulier poussent plus avant leur démarche « complotiste » de remise en question des croyances modernes et creusent plus profond, ils réaliseront probablement et en nombre suffisant la vacuité et l’ineptie scientifique de l’hypothèse virale (abusivement nommée, désormais, « théorie virale »)1, et il n’existera plus mondialement aucun justificatif aux vaccins et autres cocktails thérapeutiques prétendument « antiviraux » ni aux diverses mesures « sanitaires ». Les maladies dites virales ont bien d’autres causes que les virus pathogènes fantomatiques, et les diverses substances utilisées en allopathies pour soi-disant soigner ne contribuent le plus souvent qu’à soulager des symptômes, ceci en produisant de surcroît des effets secondaires plus ou moins nocifs. Consulter le dossier Vaccins et virus permettrait au lecteur d’approfondir le sujet.]





Les mondialistes : impopulaires et détestés




RFK Jr. explique comment et pourquoi la CIA a tué son oncle

[Source : aubedigitale.com]

« Ce n’est pas une théorie du complot. »

Lors d’un entretien avec Tim Pool, le candidat indépendant à la présidence RFK Jr. a expliqué comment et pourquoi la CIA, de concert avec le crime organisé, a assassiné son oncle John F. Kennedy. Cet assassinat s’inscrivait dans le cadre de la lutte de son oncle contre le complexe militaro-industriel.

« Le groupe qui l’a tué était un groupe de la station de Miami et ils lui en voulaient de ne pas avoir renversé Castro, et ils lui en voulaient parce qu’il se retirait du Vietnam ».

RFK Jr. a expliqué en détail comment des membres de la CIA étaient de connivence avec des « mafieux » qui avaient participé à l’invasion désastreuse de la Baie des Cochons et à d’autres tentatives d’éviction ou d’assassinat du dirigeant cubain Fidel Castro.

Il a également décrit le rôle clé du directeur de la CIA, Allen Dulles, que son oncle a licencié après l’invasion de la Baie des Cochons. Selon RFK Jr, Dulles a continué à diriger la CIA après son licenciement, et il a également contribué à faire en sorte que la commission Warren, convoquée après l’assassinat du président Kennedy, détourne son attention de la CIA.

Il ne s’agit pas d’une « théorie du complot », a ajouté RFK Jr.

« Mais la bonne nouvelle, c’est que la CIA a depuis été réformée et tenue pour responsable », a ajouté Pool en plaisantant, après avoir été informé de la longue histoire.

« Absolument ! » a répondu RFK Jr.




Morts subitement — La Guerre de cinquième Génération

[Voir aussi le dossier
Vaccins et virus]




L’UE ira-t-elle jusqu’à voler l’épargne des Européens ?




Les Origines Cachées de la Construction Européenne

[Source : Union Populaire Républicaine]




Les racines occultes du Forum économique mondial

[Source : lifesitenews.com]

« Les justifications des politiques mondiales obscurantistes de l’ONU et du Forum économique mondial, qui visent à soumettre les peuples, sont habillées sous la forme de science, alors qu’elles sont basées sur l’ésotérisme et l’occulte et ne sont donc que la pensée irrationnelle d’imbéciles ».

[Voir aussi :
https://nouveau-monde.ca/un-professeur-finlandais-expose-les-racines-occultes-du-forum-economique-mondial/]

Par Frank Wright

De nombreuses théories délirantes circulent sur ceux qui seraient les maîtres de notre avenir. Peu d’entre elles peuvent rivaliser avec les idées abracadabrantes de ces personnes, dont les paroles, lorsqu’elles sont citées mot pour mot, semblent farfelues.

Que penser alors des affirmations d’un homme qui a eu affaire à certains de ces individus en personne ? Aujourd’hui, je vous présente les travaux du professeur Mikko Paunio, dont l’argument « … est qu’en fin de compte, les programmes mondiaux fondés sur l’ésotérisme et l’occultisme ou, plus simplement, le nouveau panthéisme de la nature, sont fous et donc socialement dangereux ».



Dire que le Forum économique mondial et ses groupes de pairs sentent le soufre, c’est faire preuve de méchanceté à l’égard de l’enfer. Pourtant, c’est en décrivant avec précision les actes de ces technocrates fantaisistes, pour qui nous ne sommes guère plus qu’un problème de gestion à résoudre, que l’on servira le mieux la cause de l’Humanité.

Une affirmation aussi audacieuse, si elle est faite sans preuve, peut être rejetée sans discussion. Pourtant, les recherches menées depuis 30 ans par le professeur Mikko Paunio, qui n’est pas étranger aux réunions au niveau de l’État, présentent un ensemble de travaux qui révèlent que « les politiques environnementales de l’ONU, du Club de Rome et du Forum économique mondial sont des absurdités ésotériques ».

Les arguments suivants ont été présentés pour la première fois à un public finlandais en octobre 2022, dans une présentation simplement intitulée « Le pouvoir occulte ». Ils ne sont pas avancés par un obscur théoricien du complot, mais par un homme dont la longue carrière l’a conduit dans les couloirs mêmes du pouvoir :

Les justifications des politiques mondiales obscurantistes de l’ONU et du Forum économique mondial, qui visent à asservir les peuples, sont présentées sous la forme d’une science, alors qu’elles sont fondées sur l’ésotérisme et l’occultisme et ne sont donc que la pensée irrationnelle d’imbéciles.

Le professeur Paunio est un épidémiologiste qui a travaillé pour un certain nombre d’institutions de santé publique dans son pays natal, la Finlande, et qui a fait un bref passage à la Banque mondiale. Il est actuellement médecin-chef au ministère finlandais des Affaires sociales et de la Santé. Son travail de conseiller scientifique et politique l’a amené à participer à des réunions au niveau de l’État dans toute l’Europe et aux États-Unis.

Il a combiné cela avec une opposition franche au culte du climat dont les « idées néo-malthusiennes » sont un point de principe parmi l’élite technocratique. En fait, c’est son travail de spécialiste en santé publique qui l’a d’abord alerté sur les sombres dessous de ces misanthropes adorateurs de la nature.

Lorsque j’étais un jeune chercheur en médecine, je suis devenu l’un des secrétaires de la commission de l’énergie du Premier ministre au lendemain de l’accident de Tchernobyl, en Finlande. Moi-même et les autres secrétaires devions lire un interminable flux de données manuscrites d’un membre de la commission appelé Pentti Malaska, professeur d’études prospectives à l’université d’économie et de commerce de Turku.

Qu’y avait-il de si remarquable dans cette réunion ?

Il s’est avéré plus tard qu’il s’agissait d’un occultiste.

L’intérêt du professeur Paunio a été piqué, et c’est ainsi qu’a commencé son long voyage dans ce qu’il appelle «… le nouveau panthéisme de la nature qui est né dans le cadre de l’ONU, avec ses partenaires le Club de Rome et le Forum économique mondial ».

Le Club de Rome a été fondé en 1968, l’année de sa publication phare, Les limites de la croissance. Il est composé d’une centaine de dirigeants d’État et de technocrates issus de gouvernements, d’entreprises et de bureaucraties supranationales telles que l’ONU.

Ce livre a marqué un tournant dans le culte moderne de la Terre, en présentant l’Humanité comme un handicap supporté par une planète souffrante. Il présentait un avenir marqué par un effondrement catastrophique — des systèmes et de la population humaine — sans l’intervention d’une organisation internationale bienveillante et éclairée.

En combinant les prophéties de malheur et les promesses d’espoir, elle a creusé un sillon que les dirigeants des bureaucraties internationales d’aujourd’hui ont bien su emprunter. L’Organisation mondiale de la santé, les Nations unies et le Forum économique mondial sont tous des adeptes de cette méthode et sont bien sûr unis dans leur engagement en faveur de projets tels que Net Zero.

Toutefois, comme l’explique M. Paunio, ces organisations ne sont pas seulement unies par un intérêt commun pour le marketing de la crise.

Dès 1991, dans mon premier livre, Vihreä valhe [Le mensonge vert], je faisais remarquer qu’une grande partie des activistes du mouvement néo-malthusien Green antiscience étaient attirés par l’anthroposophie ou la pensée occulte plus originale, c’est-à-dire la théosophie.

Le point de vue de Paunio est que les prétendus maîtres du monde sont des fantaisistes, et que leurs fantasmes sont directement inspirés d’une tradition occulte remontant au 19e siècle. Il affirme qu’ils n’appartiennent pas seulement à une secte, mais que la promotion et la pratique de ces croyances, qu’elles soient cachées ou non, constituent un credo qui a supplanté celui de l’Église.

Cette religion a largement remplacé le christianisme dans les pays occidentaux. Le panthéisme naturel s’inspire spécifiquement de la « sagesse » de la théosophie, fondée sur l’ésotérisme et l’occultisme de la plus célèbre escroc du monde, Madame Blavatsky, qui prétendait avoir découvert la « vérité perdue » qui unit les religions du monde.

Paunio prend soin de faire la distinction entre « ésotérique » — qui signifie « personnel » — et « occulte » — qui signifie « caché ». Il affirme qu’un culte de la fantaisie personnelle, dont les pratiques privées se reflètent dans une vision du monde détachée de la réalité, est endémique au sein de l’élite dirigeante. Si tel est bien le cas, cela expliquerait pourquoi tant de nos dirigeants ne semblent se préoccuper que d’eux-mêmes, et pourquoi leurs croyances et leurs politiques semblent souvent n’avoir que peu de rapport avec la réalité observable.

Quelles sont les preuves de l’existence d’un tel culte ? Certains de ses adeptes les plus éminents ne se soucient guère de garder pour eux leurs croyances occultes. En janvier 2016, Klaus Schwab «… est apparu dans une interview télévisée avec RTS Suisse en Suisse, où il a ouvertement révélé son occultisme ésotérique fou. »

Dans la vidéo mentionnée, Schwab parle de la « fusion des mondes numérique, physique et biologique » à travers une technologie qui, selon Paunio, n’est rien d’autre que de la science-fiction.

[NDLR Sauf que cette technologie est malheureusement bien réelle (et pas seulement brevetée) dans la plupart des cas, comme des articles des dossiers Implants numériques et contrôle mental et 5G et ondes pulsées permettent de s’en rendre compte. Il semble que ces individus aient les moyens de leurs ambitions.]

Tout ce que Schwab a mentionné à la télévision suisse en 2016 est tout simplement de la science-fiction contraire à l’éthique. Une telle technologie n’existe pas et n’existera jamais. Il s’agit juste de la pensée grincheuse d’un vieil homme grincheux basée sur des vols dans l’espace intérieur et des idées dérivées de rituels occultes.

Paunio affirme que la soi-disant science présentée par des gens comme Schwab n’est qu’une fantaisie. Qu’en est-il du protégé de Schwab, Yuval Noah Harari ?

[Paunio s’est-il donné la peine d’investiguer dans ce domaine technologique, ou bien se trouve-t-il sur ce point particulier face à quelque chose qu’il ne peut ou ne veut pas croire ?]

Le WEF a délibérément créé un faux CV en sciences naturelles pour Yuval Harari, qui est en réalité un historien.

Harari n’est qu’un imposteur, inventé par son maître pour ressembler à un prophète scientifique du futur. Il n’est rien d’autre qu’un autre Walter Mitty, affirme Paunio — mais un Walter Mitty dirigé par un homme ayant un certain attachement aux traditions occultes.

Klaus Schwab a recruté le fonctionnaire non élu de l’ONU chargé de l’environnement de loin le plus influent, Maurice Strong, un riche industriel canadien sans éducation (1929-2015), pour diriger la fondation du WEF. Maurice Strong a été LA figure centrale de la promotion de l’agenda du développement durable depuis le premier sommet environnemental de l’ONU à Stockholm en 1972. Il était également un occultiste et un ésotériste invétéré.

Paunio a longuement écrit sur le développement de la tradition occulte à partir du 19e siècle, notant et nommant des personnalités politiques qui ont visiblement absorbé les principes du nouveau panthéisme de la nature.

Comment ces fous ont-ils pu atteindre une plate-forme aussi puissante ?

Grâce au soutien inconditionnel que leur apportent les grands médias, les politiques mondiales insensées du FEM, qui visent à nous appauvrir et à aggraver les problèmes environnementaux, ont gagné du terrain dans toutes les institutions occidentales, y compris les églises protestantes et l’Église catholique.

Il n’y a pas à discuter, car les preuves sont partout autour de nous. Nous habitons déjà les monuments numériques d’un culte qui s’est emparé de nos dirigeants et de nos médias. Pourtant, les conclusions de Paunio vont plus loin que la religion internationale du malheur. Son travail révèle comment des organisations telles que le FEM travaillent avec les gouvernements pour falsifier les preuves afin de promouvoir un agenda — celui de l’effondrement.

Paunio a prouvé dans cet article que le Forum économique mondial a utilisé un fonds d’innovation finlandais pour promouvoir la Grande Réinitialisation de Schwab.

En 2016, SITRA, qui dépend du Parlement finlandais, a publié un rapport falsifié sur le miracle finlandais de l’économie circulaire et a créé le concept actuel d’économie circulaire pour le Forum économique mondial, qui est nuisible à l’environnement, à la santé humaine et à l’économie.

En exploitant ce concept, la Commission européenne a présenté aux législateurs de l’UE, par exemple, le règlement sur la taxation de la finance verte, le paquet sur l’économie circulaire de Jyrki Katainen et l’énorme ensemble de mesures sur le climat Fit for 55, qui est encore principalement entre les mains des législateurs de l’UE, et qui conduira finalement à une planification quinquennale de type soviétique et à la chute de la société industrielle moderne.

Le travail du professeur Paunio ne consiste pas simplement à se moquer des bouffons et à démentir leurs fausses références. Il s’agit d’une tentative sérieuse de contribuer au contre-récit d’un management technocratique dont le mal est rendu plus compréhensible par la révélation de ses inspirations occultes.

Il termine son long essai sur le sujet par un cri de ralliement adressé à la communauté de l’économie réelle.

Nous, le peuple, les travailleurs ordinaires et les entrepreneurs qui aiment leur pays et leur famille, devons nous réveiller pour défendre l’instruction, la liberté et la société moderne. Seule la recherche du bien, à partir de ses propres points de départ, peut supplanter ces expériences humaines menées depuis l’étranger. La Finlande, en tant que société à part entière et historiquement dominée par d’autres nations, est aujourd’hui une plate-forme solide pour des expériences farfelues, à moins que nos décideurs ne soient conscients des énormes dangers qui y sont associés.

Pour en savoir plus sur les travaux du professeur Paunio, consultez l’émission de John Henry Westen, ainsi que les articles à venir de Frank Wright sur le contexte de ses travaux.




Tous surveillés, tous en danger

[Source : Tocsin]

Les dangers de la surveillance de masse ! Avec Guilhem Giraud, ancien agent du renseignement intérieur à la DST (ex DGSI) spécialisé dans le contre-espionnage.




Wokisme, immigration : le vrai coût du progressisme

[Source : Chaîne officielle TVL]

« Comment les idées progressistes sont arrivées à infuser tous les pans de la société ? »

Wandrille de Guerpel

Extensions des droits des minorités, promotion de nouveaux standards sexuels, wokisme et combat contre les cultures indigènes, égalitarisme sans frontières… les idées « progressistes » ne cessent de gagner du terrain, en France en particulier. Comment en est-on arrivé là ? Le progressisme ne s’est pas imposé par sa seule puissance. Il a été financé et l’est encore de manière exponentielle. De nombreuses personnes ont pour métier de diffuser ces idées. Cela coûte des milliards d’euros. Tout le monde sait qu’il existe des associations subventionnées qui se mêlent de politique. Mais personne ne sait combien d’argent et d’emplois tout cela représente. Et personne n’a regardé quels circuits ont été mis en place. Avec leur ouvrage « Le vrai coût du progressisme », les journalistes Wandrille de Guerpel et Emmanuel Rechberg ont passé deux ans à éplucher les comptes de dizaines d’entreprises, associations, commissions étatiques, instances de villes et de régions. Le résultat est sidérant !




L’abdication de l’Église : « Désormais tous les crimes sont possibles »

Bruckberger et l’abdication de l’Eglise : « Désormais tous les crimes sont possibles : on les trouvera aussi naturels que de voir l’eau couler sous les ponts. La civilisation chrétienne est morte. Les évêques français l’ont portée en terre collégialement. Ils ne savent plus ce qu’ils font. Car on ne voit pas ce qui peut remplacer la civilisation chrétienne. Quand elle est morte, c’est aussi l’humanité qui meurt en l’homme. »

Par Nicolas Bonnal

J’ai déjà écrit sur son livre-brûlot, sa lettre à Jean-Paul II donc, et je vais encore insister. Bruckberger tape lourd et il le fait en dépassant Guénon : il voit le mal se glisser dans l’Église depuis le treizième siècle. Remarquez, Guénon a parlé de l’affaire des Templiers (mais sans trop viser l’Église) dans son Autorité spirituelle et Huysmans (comme toujours les écrivains sont plus fins et prophétiques que les professionnels de la chose) a bien dit que tout dégénérait depuis ce treizième siècle dit des cathédrales.

Bruckberger attaque d’abord le Concile (facile, me dira-t-on, mais je me suis rendu compte que les traditionalistes l’avaient bien gobé ce concile) :

« Commettez allégrement tous les crimes ou laissez allégrement commettre tous les crimes contre la foi, contre les sacrements, contre les commandements de Dieu, ne vous laissez surtout pas intimider ! Invoquez publiquement le concile, l’esprit conciliaire, les réformes soi-disant issues du concile, et vous voilà aussitôt, non seulement justifié, mais hors de toute atteinte, hors de cause, au-dessus de tout Soupçon ; vous échappez automatiquement à toute juridiction, rien ne peut vous être reproché. »

Notre auteur (scénariste du merveilleux film Dialogue des carmélites qui résonne comme une Fin initiatique de la France — depuis, ça survit, c’est tout) s’est rendu compte que tout allait déjà mal depuis un certain temps tout de même :

« Je pense souvent à l’Angleterre au XVIème siècle, au moment où, sous la pression de la monarchie, l’Église d’Angleterre s’est séparée de Rome, sans que l’ensemble du peuple catholique anglais s’en aperçoive. Il y a eu le chancelier Thomas More qui a versé son sang. Mais il n’y a eu qu’un évêque, un seul, l’évêque Fischer de Rochester, qui a osé dénoncer l’imposture du changement de religion. Lui aussi est mort martyr. Combien y avait-il d’évêques en Angleterre en ce temps-là ? »

On se rend compte que déjà il n’y avait pas trop de héros. Le christianisme était affaire d’organisation, de surveillance et de répression, pas de grands élans. Un martyr de-ci de-là ? Pas plus ? Qui nous jettera la pierre ?

« De quoi s’agissait-il, sinon de changer la substance de la religion catholique, de rejeter l’autorité du pape, mais encore plus de transformer le sacrifice de la messe en un service de communion ? Je pense que beaucoup de ces évêques étaient de braves gens. Malheureusement en certaines circonstances, et quand on a des responsabilités de commandement, être un brave homme ne suffit pas. Quant au bon peuple, il a tendance à suivre ses chefs immédiats… »

Le vernis craquait déjà (Bayle, Fontenelle…). C’est La Bruyère qui parlant du dévot écrit dans les Caractères que c’est un homme qui sous un roi athée serait athée. Et Feuerbach qui parle du masque de la religion qui a remplacé la religion. Macluhan lui explique toujours très bien cela avec son homme typographique. On reprogramme l’Occidental grâce au bouquin, c’est tout.

Bruckberger compare l’Église à une entreprise qui a mal tourné et masque son bilan ou décide de faire autre chose. Entreprise qui écrit pince-sans-rire :

« MESURES À LONG TERME
REMPLACER DISCRÈTEMENT LE PRODUIT ACTUEL PAR UN PRODUIT NOUVEAU, QUI ASSURERA LA RECONVERSION ET L’AVENIR DE L’ENTREPRISE. »

Ensuite Bruckberger parle de complot des technocrates à l’intérieur de l’Église (technocrate me semblerait presque un compliment, mais bon…) :

« La leçon de la parabole est claire. Quelle qu’ait été l’intention de Jean XXIII et de Paul VI — et cette intention n’a aucune espèce d’importance en regard de ce qui s’est passé dans la réalité il y a eu complot de technocrates à l’intérieur de l’Église pour, à l’occasion et sous le couvert du dernier concile, purement et simplement changer la religion catholique, en changer discrètement mais sûrement la substance. C’est ce complot que nous dénonçons sans relâche… »

Il cite même un journaliste célèbre plus conscient du problème que le bourgeois catho de base (le seul à « pratiquer » — mot atroce —, le reste ayant disparu, je veux dire le peuple, notamment paysan, de Farrebique) :

« Alain Woodrow est un autre chroniqueur religieux du Monde. Il a publié un livre intitulé : l’Église déchirée. Dès la première page, il écrit : “Le christianisme est en miettes, morcelé à la suite de schismes religieux et politiques qui ont jalonné son histoire ; il est en train de se dissoudre sous l’action corrosive des sciences humaines, de se transformer en un folklore de la société actuelle.” Humainement, c’est très bien vu et c’est incontestable. »

Sauf que le folklore suppose des costumes, du savoir-faire, des danses, des efforts et des sacrifices physiques, tout ce qui a disparu en somme.

Bien entendu, tout va bien. Tout va toujours très bien :

« Bien entendu, les évêques français, qui l’ont menée au point d’exténuation où elle se trouve, ne l’admettront jamais. Ils vous affirmeront dur comme fer que l’Église de France ne s’est jamais mieux portée. Ils vous joueront l’envers du Malade imaginaire. L’Église de France en est au dernier état d’un cancer généralisé, ils vous jureront la main sur le cœur qu’elle va très, très bien. »

C’est le raisonnement des idoles de notre jeunesse : il n’y a pas de solution car il n’y a pas de problème.

Bruckberger va citer « le grand savant laïc » (entièrement d’accord, voyez mes textes) Lévi-Strauss qui remarque presque timidement une interview :

« C. LÉVI-STRAUSS. C’est l’appauvrissement du rituel qui me frappe. Un ethnologue a toujours le plus grand respect pour le rituel. Et un respect d’autant plus grand que ce rituel plonge ses racines dans un lointain passé. Il y verra le moyen de rendre immédiatement perceptibles un certain nombre de valeurs qui toucheraient moins directement l’“âme” si l’on s’efforçait de les faire pénétrer par des moyens uniquement rationnels. Louis XIV a dit, dans son testament, en s’efforçant de justifier le cérémonial de la Cour, des choses assez profondes : qu’on ne peut pas demander à tout le monde d’aller au fond des choses. Il faut qu’il y ait des expressions sensibles. »

Lévi-Strauss ajoute plus loin (le journaliste est bouché, CQFD) :

« J’entends bien que tout rituel doit évoluer. Une société religieusement vivante serait une société capable d’enrichir son rituel. Mais les tentatives de renouvellement — du moins ce que vois quand j’en j’assiste à des messes d’enterrement ou de mariage ne paraissent pas très convaincantes. »

Ce pas très convaincant, le bourgeois en fait son ordinaire quand il célèbre des mariages à cent ou 200 000 euros. Bruckberger ajoute :

« On ne peut dire plus clairement, ni avec plus de prudence et de gentillesse, qu’en France, la réforme liturgique issue du dernier concile est un fiasco. Un grand savant agnostique s’en dit troublé. Nos évêques, eux, n’en sont nullement troublés : même si elle devait entraîner la mort du patient, ils nous forceraient à tenir la bouche ouverte jusqu’à ce que toute la potion soit avalée. Un grand savant explique ce qu’Aristote nous avait depuis longtemps appris : qu’il n’est rien dans l’intelligence qui ne soit d’abord tombé sous le sens, et que tout ce qui touche la sensibilité, surtout si ça vient de loin, doit être modifié avec la plus grande prudence. Les évêques n’en ont cure… »

Les évêques n’ont cure de rien. Remarquez, c’est ce que dit Léon Bloy dans tout son journal, et nous sommes toujours là, alors pourquoi flipper ?

Puis il y a plus grave. Bruckberger remonte dans le Temps pour constater comme je le fais souvent que les choses étaient pourries depuis longtemps ; les jésuites, les temps baroques ? Non, non, le siècle de Saint-Louis avec son Inquisition et ses croisades antichrétiennes dévastatrices :

« Bernanos avait coutume de remarquer qu’une civilisation tombe en décadence quand la fin y justifie les moyens. En ce sens il y a longtemps que la civilisation chrétienne est en décadence. La décadence a commencé au XIII siècle avec l’Inquisition, elle a atteint son zénith avec la casuistique jésuite aux XVIe et XVII’ siècles. Mais nous avons dépassé ce stade, nous l’avons dépassé de très loin. »

Et de parler de Himmler et de Lénine avec l’inquisition :

« Aujourd’hui, on sait de manière certaine que Himmler, chef et organisateur de la Gestapo, Lénine lui-même, ont lu et étudié le Manuel des inquisiteurs. Le système était là tout entier : ils n’ont eu qu’à l’utiliser sur une immense échelle et à l’industrialiser. Mais le système était là, ce n’est pas eux qui l’ont inventé, il était là, complet, exprimé dans une langue juridique admirable : avec l’usage de la torture physique pour arracher des aveux, le conseil de dire le faux pour savoir le vrai ; l’instigation à la délation et la récompense du délateur. Ce n’est pas parce que les ennemis de l’Église ont maintenant utilisé ce système sur une très grande échelle, à l’échelle de la “mass production” et de la “mass distribution”, ce n’est pas parce que, en notre siècle, ils ont industrialisé la torture et la délation, industrialisé dans les camps de concentration et dans l’archipel du Goulag le mensonge et la violence, que l’origine de ce système en est moins souillée. Et l’origine de ce système, c’est l’Inquisition officiellement patronnée par les papes… »

Michelet avait tout dit. Je me cite :

« Tout finit au douzième siècle ; le livre se ferme… », termine Michelet qui remarque qu’un système périclitant comme celui de l’Église — ou de la démocratie bourgeoise à notre époque — a tendance à devenir totalitaire et dangereux :

« Les anciens conciles sont généralement d’institutions, de législation. Ceux qui suivent, à partir du grand concile de Latran, sont de menaces et de terreurs, de farouches pénalités. Ils organisent une police. Le terrorisme entre dans l’Église, et la fécondité en sort. »

La dure ou molle réalité c’est qu’on se fout de tout (à une époque où le vaccin Bourla devient un acte d’amour…) :

« Désormais tous les crimes sont possibles : on les trouvera aussi naturels que de voir l’eau couler sous les ponts. La civilisation chrétienne est morte. Les évêques français l’ont portée en terre collégialement. Ils ne savent plus ce qu’ils font. Car on ne voit pas ce qui peut remplacer la civilisation chrétienne. Quand elle est morte, c’est aussi l’humanité qui meurt en l’homme. »

Le terme (sic) qui résonne le mieux alors, c’est celui d’abdication :

« Vous apprendrez à connaître nos évêques de France, nos chefs spirituels. Vous ne serez pas long à voir qu’ils ont pratiquement abdiqué cette mission essentielle de l’Église, de donner aux hommes des raisons de vivre, et éventuellement de mourir. Bernanos disait d’un clergé devenu socialiste qu’il fait ainsi la preuve qu’il ne sait plus parler qu’aux ventres. Voilà pourquoi la voix de ce clergé est si confuse, elle n’a aucune raison d’être distinguée, dans le concert cacophonique de toutes ces voix qui ne s’adressent jamais en l’homme qu’à Son ventre : ses puissances digestives et sexuelles. Comme si l’homme n’était rien d’autre. »

Abdication c’est peut-être trop noble, cela fait penser à Charles X. Parlons de retraite alors.

Un autre bon chrétien, mort comme tant d’autres en quatorze, écrivait avant la Grande Guerre :

 « C’est toujours le système de la retraite. C’est toujours le même système de repos, de
tranquillité, de consolidation finale et mortuaire. Ils ne pensent qu’à leur retraite, c’est-à-dire à
cette pension qu’ils toucheront de l’État non plus pour faire, mais pour avoir fait. Leur idéal,
s’il est permis de parler ainsi, est un idéal d’État, un idéal d’hôpital d’État, une immense
maison finale et mortuaire, sans soucis, sans pensée, sans race. Un immense asile de
vieillards. Une maison de retraite. Toute leur vie n’est pour eux qu’un acheminement à cette
retraite, une préparation de cette retraite, une justification devant cette retraite. Comme le
chrétien se prépare à la mort, le moderne se prépare à cette retraite. Mais c’est pour en jouir,
comme ils disent. »

Sources principales :

Charles Péguy, « Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne » (1914, posthume), dans Œuvres complètes de Charles Péguy, éd. La Nouvelle Revue française, 1916-1955, t. 9, p. 250.

Le Révérend Père Bruckberger et « l’obsession suicidaire de la race blanche » ou https://nouveau-monde.ca/lobsession-suicidaire-de-la-race-blanche/)




Les 6 moments les plus dérangés de la réunion de Davos 2024 du FEM

[Source : vigilantcitizen.com]

Par Vigilant Citizen

Si vous vous demandez pourquoi la tête du diable figure sur l’image de tête de cet article, c’est parce qu’elle faisait littéralement partie du décor de Davos 2024. J’aurais aimé plaisanter. En fait, j’aimerais plaisanter à propos de tout ce qui est dit dans cet article. Voici les 6 moments les plus dérangés de Davos 2024.

Contrairement à la plupart des médias traditionnels, je ne vais pas vous faire perdre votre temps en tournant autour du pot : le Forum économique mondial (FEM) est une organisation parasitaire et illégitime dirigée par des individus non élus qui tentent de remodeler le monde… de la pire façon qui soit. Il est difficile d’exagérer les objectifs néfastes de cette organisation qui se targue de « pénétrer les gouvernements » comme une sorte de cancer tout en promouvant des slogans insensés tels que « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » (mon article The Top 10 Creepiest and Most Dystopian Things Pushed by the FEM [Les 10 choses les plus effrayantes et les plus dystopiques prônées par le FEM] donne un bon aperçu des objectifs à long terme de cette organisation).

Ignorer ces monstres serait bénéfique pour la santé mentale, mais c’est tout simplement impossible. En effet, les réunions annuelles de Davos parviennent toujours à convoquer des personnes capables de réaliser les rêves du FEM, comme des chefs d’État, des PDG de méga-entreprises et des représentants d’ONG mondiales telles que l’Organisation mondiale de la santé.

Et aussi : Un sorcier qui souffle sur le visage des gens.

Lorsque ces invités participent à des panels et prêchent leur évangile mondialiste, deux questions viennent à l’esprit : pourquoi ont-ils tous l’air si suffisants et si admiratifs de leur propre intelligence ? Leur air de supériorité en dit long sur leur état d’esprit par rapport aux masses. Mais surtout, pourquoi leurs sujets conduisent-ils inévitablement à moins de liberté, moins de qualité de vie et plus de contrôle orwellien ?

La réponse est très simple : leur but ultime est un gouvernement mondial dystopique où les masses sont réduites à une sous-espèce qui n’a droit qu’à une quantité limitée de liberté et de ressources, tout en étant soumise à une surveillance constante et à des interventions pharmaceutiques. En d’autres termes, ils essaient de nous transformer en bétail.

Pour concrétiser cette vision cauchemardesque, le FEM procède par étapes. Année après année, l’organisation tente constamment de normaliser de nouvelles idées farfelues. Ensuite, il utilise des crises telles que le COVID-19 pour les concrétiser. Leur devise secrète : ne jamais gaspiller une bonne crise.

Davos 2024 a présenté, une fois de plus, une foule d’idées effrayantes et radicales qui ont toutes un point commun : elles mènent directement à un nouvel ordre mondial dystopique. Et non, je ne suis pas un « conspirationniste », les mots « Nouvel Ordre Mondial » ont été littéralement prononcés à Davos. Plusieurs fois.

Voici les 6 faits les plus marquants de Davos 2024. Pourquoi le top 6 ? Parce que le logo du FEM contient trois 6.

Tout est dans votre visage.

No6 Tapisserie dérangée

Avant même de parler de ce qui s’est dit à Davos, nous devons nous pencher sur le symbolisme. Le slogan de ce site est « Les symboles gouvernent le monde » et, une fois de plus, l’état d’esprit véritable et non filtré du FEM a été mieux exprimé par un seul élément de « décoration » que par des milliers de mots.

Voici une capture d’écran d’une discussion à Davos à laquelle participait l’ancien Premier ministre britannique Theresa May :

Pourquoi y a-t-il une représentation du diable sur le mur de gauche ?

Theresa May et ses amis discutaient dans une pièce décorée de la Tapisserie de Walthamstow, une grande peinture murale créée en 2009 par l’artiste contemporain travesti Grayson Perry.

La tapisserie de Walthamstow.
L’artiste : Grayson Perry. Il semble être un individu bien équilibré.

Il se passe beaucoup de choses insensées dans cette tapisserie mais, pour résumer, elle représente une femme donnant naissance à un bébé dont la traînée de sang mène directement… dans la bouche du diable.

Face au diable, des personnages ressemblant aux Rois mages.
De même : Est-ce la Vierge Marie qui s’agenouille et offre l’Enfant Jésus au diable ?
Nos dirigeants discutent de l’avenir du monde dans des salles décorées de cette merde.

La tapisserie est remplie de noms de sociétés réelles telles que Nestlé, Vodaphone, Nike, Microsoft et Glaxo Smith Kline. On peut dire que l’œuvre d’art évoque les entreprises et le matérialisme qui affectent tous les aspects de notre vie et nous conduisent à une existence impie.

Cependant, comme la plupart de ces entreprises sont représentées au FEM, cette tapisserie prend un sens très littéral. Il ne s’agit plus d’un commentaire social, mais d’un plan d’action. Et elles en sont fières.

Ceci étant dit, voyons ce qui a été discuté à Davos.

No5 La maladie X et le traité sur les pandémies

Le panel sur la maladie X à Davos.
Le titre alternatif de la session :
« Faire peur aux gens pour qu’ils acceptent le traité de l’OMS sur les pandémies ».

Lorsque ces gens du FEM se remémorent les années COVID, leurs yeux se transforment en cœur. Les fermetures drastiques, les masques obligatoires, l’orgie de vaccins… de si bons souvenirs. À Davos 2024, le FEM a organisé une discussion sur la maladie X, une maladie hypothétique qui pourrait entraîner une nouvelle pandémie mondiale.

Parmi les panélistes figuraient Tedros Ghebreyesus (directeur général de l’Organisation mondiale de la santé), Roy Jakobs (PDG de Phillips Healthcare) et Michel Demaré (président du conseil d’administration d’AstraZeneca). En d’autres termes, les invités étaient des personnes qui profiteraient grandement d’une nouvelle pandémie.

Le FEM savait ce qu’il faisait lorsqu’il a imaginé la maladie X. Les panélistes eux-mêmes ont admis qu’elle était « accrocheuse » et qu’ils espéraient qu’elle attirerait l’attention des médias sociaux. Et c’est ce qui s’est passé. Elle a agacé et terrifié les gens qui sont maintenant convaincus que le FEM est déjà en train de planifier une autre pandémie.

L’ancienne secrétaire adjointe au Trésor des États-Unis pour les affaires publiques, Monica Crowley, a posté sur X :

« Juste à temps pour les élections, une nouvelle contagion pour leur permettre de mettre en œuvre un nouveau traité de l’OMS, de verrouiller à nouveau, de restreindre la liberté d’expression et de détruire davantage de libertés ».

Dans sa déclaration d’ouverture, Tedros Ghebreyesus a souligné que le terme « maladie X » a été inventé en 2018 et qu’il était censé être un nom provisoire pour une maladie inconnue. Il a également ajouté que le COVID était la première maladie X.

Bien que la maladie X soit considérée comme inconnue, l’OMS a bizarrement déclaré qu’elle pourrait être 20 fois plus mortelle que le COVID. D’où vient ce chiffre étrangement spécifique ?

L’objectif de ce panel est très simple : Normaliser l’idée que les gouvernements démocratiquement élus ne devraient pas avoir leur mot à dire en cas de pandémie. Au lieu de cela, ce sont des entités mondiales composées de mondialistes non élus, comme l’OMS, ainsi que des sociétés pharmaceutiques privées, qui devraient prendre les décisions et court-circuiter les gouvernements.

Pour ce faire, M. Ghebreyesus a exhorté les pays à signer le traité de l’OMS sur les pandémies avant la date limite de mai 2024. M. Ghebreyesus a déclaré :

« Il s’agit d’un intérêt mondial commun, et des intérêts nationaux très étroits ne devraient pas entrer en ligne de compte. »

Relisez attentivement la citation ci-dessus. Ces mots exacts seront utilisés encore et encore pour justifier un gouvernement mondial. N’importe quelle excuse sera suffisante pour utiliser ces mots (par exemple, le changement climatique).

Au cours des derniers mois, des critiques ont mis en garde contre le fait que le traité juridiquement contraignant de l’OMS céderait la souveraineté nationale à cette organisation mondiale et qu’il ne s’agissait de rien de moins qu’une prise de pouvoir. Une lettre publiée par le groupe de pression Advancing American Freedom (AAF) a déclaré :

« La proposition de l’OMS de consolider le pouvoir et d’éroder la souveraineté des États-Unis d’Amérique par le biais du traité de préparation à la pandémie de l’OMS est insoutenable et soulève des questions sérieuses et importantes concernant l’indépendance d’action des États-Unis et leur capacité à répondre aux pandémies mondiales ».

En réponse aux critiques, M. Tedros a déclaré :

« Certains prétendent que l’accord sur la pandémie et le RSI céderont leur souveraineté à l’OMS et donneront au secrétariat de l’OMS le pouvoir d’imposer des restrictions ou des mandats de vaccination aux pays. Vous savez que ce sont des fake news, des mensonges et des théories du complot ».

Je ne sais pas, Tedros. D’habitude, quand vous dites « fake news » et « théories du complot », c’est parce que vous essayez d’écarter les vérités qui dérangent… comme le fait que vous essayez d’instaurer un Nouvel Ordre Mondial.

À ce propos :

No4 Nouvel Ordre Mondial

Ceux qui affirment qu’une élite mondiale cherche à créer un nouvel ordre mondial sont généralement taxés de « théoriciens du complot ». Mais que se passe-t-il lorsque l’élite mondiale discute en toute décontraction d’un Nouvel Ordre Mondial littéral au vu et au su de tous ? Que se passe-t-il alors ? Quand la théorie du complot devient-elle un fait confirmé ?

Jake Sullivan, conseiller à la sécurité nationale de Joe Biden, a participé à l’une des discussions de Davos 2024. Il ne s’agit pas d’un inconnu. Il a été directeur de la politique du président Barack Obama, conseiller à la sécurité nationale du vice-président Biden et chef de cabinet adjoint de la secrétaire d’État Hillary Clinton au département d’État des États-Unis. M. Sullivan a également été conseiller principal du gouvernement fédéral américain lors des négociations sur le nucléaire iranien et conseiller politique principal de la campagne présidentielle de Mme Clinton en 2016.

En d’autres termes, il a travaillé avec les mondialistes les plus puissants du monde. Voici un extrait de leur discussion sur le Nouvel Ordre Mondial.

En réponse à la question du modérateur demandant si nous entrons dans un nouvel ordre mondial, M. Sullivan a déclaré : « L’ère de l’après-guerre froide est terminée :

« L’ère de l’après-guerre froide s’est achevée et nous sommes au début de quelque chose de nouveau. Nous avons la capacité de façonner ce nouvel ordre et, au cœur de celui-ci, se trouveront de nombreux principes et institutions fondamentaux de l’ordre existant, adaptés aux défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui ».

Le FEM adore nous dire que nous sommes le « début de quelque chose de nouveau ». Bien sûr, tout cela n’est que de la propagande. S’il n’y avait pas de « défis » générés par les médias, tels que le COVID et le réchauffement climatique, le FEM ne saurait pas comment promouvoir sa nouvelle ère. La devise de l’élite est « L’ordre à partir du chaos ». Elle génère le chaos pour instaurer un nouvel ordre.

Pour l’élite, un nouvel ordre mondial serait sans nations ni élections démocratiques. Si vous pensez que j’exagère, voici une vidéo de Klaus Schwab fantasmant sur des implants cérébraux rendant les élections inutiles à Davos 2017. Cela ne s’invente pas.

À quoi ressemblerait donc un nouvel ordre mondial dirigé par le FEM ? La Chine communiste est un laboratoire pour les politiques totalitaires mondialistes et son système de crédit social y est actuellement testé. Sans surprise, plusieurs invités à Davos ont appelé à la mise en place d’une technologie qui rendrait une telle chose possible au niveau mondial.

No3 Le contrôle numérique

Vous souvenez-vous des passeports vaccinaux lors du COVID ? Vous savez, cette époque où des millions de personnes sont soudain devenues des citoyens de seconde zone et ont été interdites de voyage et d’accès aux espaces publics parce qu’elles refusaient de se faire injecter un produit pharmaceutique ? C’était une erreur malsaine et odieuse, n’est-ce pas ?

Pas selon Davos. Pour eux, COVID était un test et ils veulent le rendre permanent. Lors de la session de Davos intitulée « Fixing Healthcare, Digitally » (« La réforme des soins de santé passe par le numérique »), la commissaire européenne chargée de la santé et de la sécurité alimentaire, Stella Kyriakides, a fait l’éloge des passeports vaccinaux en les présentant comme un exemple de ce qu’il faudrait faire à l’avenir.

Kyriakides a souligné avec désinvolture que tout ce projet a été repris par l’OMS, qui est, une fois de plus, une organisation mondialiste qui opère en dehors des gouvernements nationaux. Est-ce normal ?

Comme pour s’assurer que nous comprenions bien que Davos, c’est l’élite qui parle aux masses, le FEM a fait venir la Reine des Pays-Bas pour chanter les louanges de l’identité numérique. Pourquoi elle en particulier ? Je n’en sais rien. Autant faire venir la Reine des cœurs d’Alice au pays des merveilles tant qu’on y est.

Mais écoutons ce que Son Altesse a à dire sur les cartes d’identité numériques.

La reine Maxima a déclaré qu’une carte d’identité numérique biométrique devrait être nécessaire pour obtenir des services financiers, pour s’inscrire à l’école, « pour savoir qui s’est fait vacciner ou non » et pour obtenir des subventions gouvernementales.

Il n’est pas nécessaire d’être Nostradamus pour comprendre qu’une telle technologie pourrait facilement transformer la société en dystopie. Avec un tel système en place, une personne non vaccinée pourrait facilement être « débancarisée » et se voir refuser des subventions gouvernementales. En Chine, les personnes qui critiquent le système voient leur score de crédit social pénalisé. Cela pourrait-il se produire avec une carte d’identité numérique ?

Ces situations hypothétiques pourraient sembler paranoïaques… si le FEM ne passait pas autant de temps à se plaindre de la liberté d’expression.

No2 Censurer les critiques

Un thème récurrent des discussions du FEM est, ironiquement, la restriction de la liberté d’expression. Tout ce qui va à l’encontre de leur agenda est considéré comme de la « désinformation » et doit être éradiqué. À Davos 2024, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a déclaré que la lutte contre la « désinformation » était la principale préoccupation du FEM.

Bien sûr, la désinformation est un mot de code pour tout fait ou opinion qui va à l’encontre de leur discours. Plus loin dans la vidéo, elle fait l’éloge de la loi sur les services numériques (Digital Services Act) qui contrôle et surveille les « discours de haine » — un terme qui ne cesse de s’élargir pour englober, une fois de plus, tout ce qui va à l’encontre de leur discours.

Dans une autre vidéo étonnante, une rédactrice en chef du Wall Street Journal déclare littéralement qu’ils avaient l’habitude de « posséder les informations »… jusqu’à ce que ces sources alternatives ennuyeuses arrivent.

De la manière la plus ironique qui soit, ce qu’elle a dit n’est rien d’autre que de la « fake news » (fausse nouvelle). Les sources d’information grand public sont plus que jamais opaques, malhonnêtes et axées sur des objectifs précis. Plusieurs d’entre elles se sont transformées en véritables machines de propagande où l’« information » n’est jugée bonne que si elle sert un programme. Avez-vous regardé NBC News récemment ? Je veux dire, sérieusement.

No1 Inventer des mots

Dans ce dernier épisode de la folie du FEM, une panéliste souhaite que l’« écocide » soit considéré comme un crime grave. OK. Cela semble fou. Mais qu’est-ce qui pourrait être considéré comme un « écocide » ? La femme mentionne… la pêche et l’agriculture. OK. C’est VRAIMENT fou.

Oui, vous avez bien entendu. Jojo a comparé l’agriculture et la pêche à un génocide et elle veut que ces personnes soient punies sur le plan pénal. Comme nous l’avons vu plus haut, le FEM est spécialisé dans la création de pentes extrêmement glissantes. Et c’est encore le cas ici.

Jojo n’a pas été invitée au hasard. Ses opinions extrêmes représentent les objectifs à long terme du FEM. Si vous avez suivi l’actualité ces dernières années, vous avez probablement remarqué que l’élite mène une guerre totale contre les agriculteurs, en particulier en Europe. Tout cela n’est pas le fruit du hasard. Le FEM se sert de « l’environnement » pour vilipender la pêche, l’agriculture et l’élevage, tout en élaborant des politiques visant à détruire leurs moyens de subsistance.

Ces politiques sont suivies d’un accaparement massif des terres par les mégacorporations et les larbins mondialistes tels que Bill Gates. Le but ultime : faire en sorte que les humains se nourrissent d’insectes et de « produits alimentaires » hautement transformés et à peine digestibles.

Ce sont eux qui mangeront de délicieux steaks. Pas nous.

En conclusion

Cette année encore, le FEM a mis en évidence les objectifs à long terme de l’élite mondiale. Alors qu’ils aiment truffer leurs discours de mots tels que « liberté », « démocratie » et « prospérité », leurs politiques conduisent à l’exact opposé. Dans les exemples ci-dessus, nous avons vu des discussions sur la prise en charge par l’OMS de la réponse aux pandémies au niveau mondial, la mise en œuvre d’une carte d’identité numérique mondiale qui contrôlerait tous les aspects de la vie, la censure des opinions divergentes sur Internet, les implants cérébraux qui rendent les élections inutiles et, enfin, la transformation de l’agriculture en un crime grave comparable à un génocide. Cela ressemble-t-il à « la liberté, la démocratie et la prospérité » ? Ou à la folie totale ?

Regardez la tapisserie satanique décrite plus haut. C’est la vie qu’ils veulent pour vous.




Nécessité d’un contrôle parlementaire sur l’accord pandémies de l’OMS




Robert Kennedy : le FEM organise le monde pour transférer les richesses vers l’élite

[Source : cielvoile.fr]






Coïncidence eurovisionesque




L’Europe qui s’est perdue et celle que l’on veut nous imposer

[Pour modérer ou annuler la peur virale P4 évoquée dans la vidéo :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !;
Armes biologiques ?;
Des souris et des fous;
La virologie : pseudoscience au service de la domination;
Aveuglés par la pseudo-science]




Saturne et cube noir : que signifient ces symboles de la religion secrète des puissants ?

[Source : Jérémie Mercier]

Dans les épisodes précédents, Icaros a commencé à décrypter pour nous la religion secrète des « maîtres du monde ». Du 11 septembre comme rituel de reconstitution de la destruction du temple de Salomon, au Coronacircus comme couronnement initiatique, nous commençons à y voir plus clair sur leurs superstitions de fins des temps.

Dans cet épisode, Icaros approfondit ses explications sur le culte de Saturne et du cube noir, et répond aux questions soulevées jusqu’ici. Il décrit les principaux symboles de ce culte, et ce qu’ils représentent. (…)

► Premier entretien du 20 septembre 2022 : Coronacircus et superstitions de la fin des temps.
► Deuxième entretien du 17 février 2023 : Quand les théories du complot font partie du complot ou ici.
► Troisième entretien du 17 février 2023 : Superstition de fin des temps : où en sont-ils ? ou ici.

► Le blog d’Icaros : https://coronacircus.com/

[Voir aussi, pour une vision plus positive du cube (pas nécessairement noir) et de la croix liée :
https://nouveau-monde.ca/changer-le-systeme/]

En cas de censure, lien alternatif : https://crowdbunker.com/v/i2qQkhCR-co



Le demi-frère de Trudeau le dénonce comme un suppôt des mondialistes

[Source : aubedigitale.com]

Le Nouvel Ordre Mondial met en place des politiciens fantoches dans le monde entier.

Le demi-frère du Premier ministre canadien Justin Trudeau, Kyle Kemper, a rejoint Tucker Carlson ce week-end pour une discussion sur la marionnette mondialiste et l’avenir de l’Humanité.

Kemper a déclaré qu’il considérait Trudeau comme un vendeur de produits pharmaceutiques travaillant pour les intérêts des entreprises qui contrôlent en fait le Canada.

En fait, les proches du Premier ministre ont affirmé qu’il avait prévenu l’élite mondiale qu’elle mettrait en place un programme de vaccination de masse, des années avant la pandémie de Covid.

Kemper a expliqué qu’il pensait que Trudeau était bien intentionné, mais qu’il n’était pas au pouvoir.

« Justin est comme le capitaine de l’équipe de hockey. Il n’en est pas le manager, il n’en est pas le propriétaire », a-t-il déclaré.

Joe Biden n’est pas différent, car les agences de renseignement et les banquiers internationaux préfèrent les politiciens qui sont essentiellement des acteurs engagés plutôt que des jokers comme Donald Trump qui veulent mettre en œuvre leurs propres agendas.