La prétendue fraude au nom légal et l’atomisation de l’Humanité

[Source : Valérie Bugault]

[Voir aussi :
L’atomisation de l’Homme et de l’Humanité]




L’étrange famille royale d’Angleterre : sous le soleil de Satan ?

[Source : nice-provence.info]

Par Pierre-Émile Blairon

Ce vendredi 5 avril 2024, la chaîne C8 (Groupe Bolloré) proposait un documentaire sur le couple princier d’Angleterre, intitulé « Kate et William, anges ou démons, qui sont-ils… ».
Cette émission n’apporte pas la réponse à sa propre question. Au contraire, il nous est bien montré que le couple est obsédé par son image dans les médias qu’il surveille comme le lait sur le feu.
Nice Provence Info a donné carte blanche à Pierre-Émile Blairon pour répondre librement à la question : alors… anges ou démons ?

Georges Gourdin

Sous le soleil de Satan : c’est le titre de l’ouvrage le plus fameux de l’écrivain catholique Georges Bernanos qui décrit la vie tourmentée d’un jeune prêtre aux prises avec l’impiété de ses ouailles et leurs péchés pas toujours bien cachés ni avoués. Atmosphère ténébreuse, relents de tombes fraîchement creusées, de turpitudes sexuelles, de personnages torturés — ou pas — par le besoin de faire le mal.
La famille royale d’Angleterre, après la mort de la reine Élisabeth, passe actuellement par une zone de grandes turbulences ; est-elle en train de faire son « great reset » ?
Elle suivrait en cela tous les « grands » personnages et tous les puissants de la planète qui s’y activent afin de conserver leurs prébendes et d’aboutir à leurs sombres desseins concernant l’avenir de la population planétaire1

Satan, le prince de ce monde

S’il y a un roi d’Angleterre, Satan, lui, est le « Prince » de ce monde. Il n’est pas nécessaire de faire partie de la mouvance chrétienne pour évoquer (ou, pour certains, invoquer) son nom. Nous avons souligné, dans un précédent article2 sur ce même site, l’origine commune du nom Satan avec celui de Titan, l’un procédant de la tradition chrétienne et l’autre de la mythologie grecque, les deux ayant la même fonction, ou mission, celle de défier Dieu, voire de le remplacer.

Sous le soleil de Satan : il y a comme une contradiction dans ce titre, le « prince de ce monde » étant considéré comme le « prince des ténèbres », que vient faire ici le soleil ? C’est que, à l’origine, Satan était Lucifer, en latin, le « porteur de lumière ».

Dans l’Apocalypse (22:16), Jésus dit :

« Moi, Jésus, j’ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Églises. Je suis le rejeton et la postérité de David, l’étoile brillante du matin ».

Ainsi, le Christ lui-même associe d’une part l’étoile brillante du matin, qui, chez les Romains, est Lucifer représentant Vénus, l’astre du matin, qui brille encore avant le lever du soleil et, d’autre part, son ascendance royale juive, se proclamant l’héritier du roi David, filiation que revendiquent également les souverains anglais.

Lucifer, celui qui veut trop briller, atteint par l’hubris, la vanité, voulant rivaliser avec Dieu, est expulsé du ciel, rejeté dans le monde matériel, la Terre, avec les anges rebelles qui le suivaient ; il deviendra alors Satan, l’ange déchu, mais aussi le maître de notre monde.

« Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent. »

(Genèse 6 : 1–4.)

Cette histoire fait partie du corpus de légendes, de mythes, de croyances, qui peuplent les traditions non seulement des religions du Livre, mais aussi de celles de l’Antiquité et d’anciennes civilisations antédiluviennes qui remplacent les « anges » par des êtres venus de la mer ou de l’espace qu’ils appellent « dieux ».

Et « les fils de Dieu », les anges déchus, firent des enfants aux terriennes. Et l’on suppose que ces enfants très spéciaux ont constitué, au fil des siècles, une dynastie, une caste ou une secte, les « belles femmes terriennes » ne servant plus alors qu’à engendrer les enfants des anges rebelles, des démons, coincés dans ce tout petit morceau d’univers qu’est notre planète, bien trop petit pour satisfaire leur orgueil démesuré.
Depuis quelques dizaines d’années, les humains (?) qui dirigent le monde : caste des oligarques, des ploutocrates, sectes pédosatanistes, transhumanistes ou, maintenant, transhumains, tentent de nous persuader qu’ils existent bien, que ce sont eux les maîtres, qu’ils ont décidé pour nous de notre destin et qu’il ne nous reste plus qu’à nous soumettre ou à disparaître, ou les deux. Quitte à vivre dans ce que ces privilégiés considèrent cependant comme une prison, autant y vivre en tant que gardiens plutôt qu’en tant que détenus.

Les Windsor sont-ils liés à ces gens ? Et ont-ils les mêmes ambitions, les mêmes méthodes, les mêmes intérêts et les mêmes origines ? Nous n’en savons rien ; nous pouvons juste constater que les quelques indices que nous avons en notre possession ne plaident certes pas en leur faveur. Il semble, en effet, que les Windsor se croient obligés de fournir des gages d’allégeance à une entité diabolique, qu’elle soit réelle ou existant seulement dans leurs cerveaux dérangés, comme s’y sont soumis les représentants des diverses sectes au Pouvoir comme nous l’évoquions dans un article précédent (La France, laboratoire de la secte mondialiste) ; quelques exemples : Macron, quand il parle de la « bête de l’événement », Bill Gates quand il numérote ses brevets avec le 666Christine Lagarde quand elle utilise la numérologie occulte pour annoncer les projets du FMI, etc.

Les dames de la cour

Depuis l’arrivée au trône de la dynastie des Windsor, peu de femmes, gravitant autour de la famille royale, ou même en faisant partie, sont sorties indemnes de cette accointance ou de ce statut, sauf à quitter à temps le cercle pernicieux : divorces, accident, maladies précoces, séparations, exils.
Je ne vais donner ici que quelques exemples emblématiques.

Kate Middleton

La nouvelle toute récente qui a le plus ému le peuple anglais a été d’apprendre que Kate Middleton souffre d’un cancer. Kate Middleton est une roturière dont les parents s’étaient enrichis grâce à la création d’une société de production d’articles de fête qu’ils ont revendue récemment, car leur entreprise s’était fortement endettée et pour tenter de résoudre leurs propres difficultés financières qui sont rapidement apparues.

Kate a connu le prince William, fils du prince Charles (actuel roi) et de Diana, à l’université avant de l’épouser en 2011.
Kate Middleton a hérité à son mariage du titre de princesse de Galles, tout comme l’infortunée et regrettée princesse Diana. En janvier 2024, elle aurait été opérée, dans une clinique londonienne, de l’abdomen. Elle n’est pas réapparue en public depuis sauf par l’intermédiaire de photos (qu’on lui a reproché d’avoir retouchées, mais est-elle à l’origine de cette manipulation, qu’elle a reconnue ?) ou d’une vidéo qui la présente seule le 22 mars 2024, assise sur un banc, afin d’annoncer le cancer dont elle souffre qui a été détecté au cours de l’opération ; cette vidéo est contestée par certains internautes qui doutent de son authenticité, suggérant qu’il pourrait s’agir d’une création de l’intelligence artificielle, et donnant comme preuve le fait que la bague qu’elle porte au doigt disparaît pendant un court moment pour réapparaître ensuite (minute 1, 19 secondes de la vidéo ci-dessous).

Les internautes s’étonnent également que leur princesse, admirée pour son élégance, ait ressorti, lors de cette importante communication, un pull marinière qu’elle avait déjà porté 7 ans auparavant lors d’une précédente prise de vues !
Ses proches, dont son mari, assurent qu’elle a demandé de rester seule pour se reposer et que c’est pour cette raison qu’elle n’a pas assisté à la messe traditionnellement suivie à Pâques par l’ensemble de la famille royale. On peut estimer qu’elle aurait pu se montrer ne serait-ce qu’un court instant pour couper court aux rumeurs3.

La princesse Kate arborant la même robe que Rosemary dans le célèbre film de Roman Polansky. Il est impossible qu’il s’agisse d’une coïncidence. Les satanistes envoient des codes afin de prouver aux initiés leur attachement au diable.

Sarah Ferguson

C’était l’ancienne femme du prince Andrew. Elle était déjà divorcée lorsque cette aristocrate, née en 1959, rencontre le prince. Ils se marieront en 1986, auront deux filles, se sépareront en 1992 (Sarah avait été photographiée avec un amant au bord d’une piscine dans une attitude non équivoque) et divorceront en 1996 ; pour autant, Andrew et Sarah vivent toujours sous le même toit du beau manoir de Royal Lodge, non loin du château de Windsor, se félicitant d’une amitié réciproque.

« Et les derniers événements vécus n’ont fait que consolider cette amitié entre les anciens amants terribles. Sarah Ferguson peut compter sur Andrew pour la soutenir alors qu’elle a été touchée récemment par deux cancers, du sein et de la peau. Quant au duc d’York, il a toujours trouvé chez son ex-femme une indéfectible alliée lorsqu’il était embourbé dans la sale affaire Epstein — d’autant qu’elle a bénéficié elle-même des largesses du milliardaire pour éponger ses dettes, ce qui l’a contrainte à présenter publiquement des excuses. »

(Par Marc FournyLe Point, 16 mars 2024).

Le prince Andrew se promène ostensiblement avec Jeffrey Epstein

Nous pouvons être surpris de cette proximité de Sarah Ferguson avec le pédophile milliardaire opportunément « suicidé » dans sa prison en 2019, alors que son mari était censé rester discret sur ses propres liens avec Epstein.
Mais l’histoire de ce couple tumultueux ne s’arrête pas là : selon une information parue dans le Daily Mail en mars de cette année, le roi Charles a donné son accord à la demande pour le moins étonnante des deux amants devenus amis : ils veulent se remarier. Pourquoi ?

Lady Diana

Nous n’allons pas revenir sur le destin hors-norme de celle qui est devenue l’un des personnages les plus célèbres de la fin du XXe siècle — et les plus aimés, au moins dans sa patrie — tant par sa beauté, son charisme, ses amours orageuses (et controversées) que par sa fin tragique.

Nous allons plutôt nous concentrer sur ce dernier épisode de sa vie dont elle avait elle-même prédit, ou prévu, les circonstances dans lesquelles il allait se dérouler.

Le 31 août 1997, Diana perdait la vie dans un accident de voiture sous le pont de l’Alma à Paris ; elle était en compagnie de Dodi Al Fayed, fils du milliardaire égyptien Mohamed Al-Fayed, de leur chauffeur Henri Paul, et de Trevor Rees-Jones, le garde du corps de Dodi Al-Fayed, seul rescapé de l’accident.

Le chauffeur, Henri Paul, est le directeur de la sécurité du Ritz, l’hôtel où le couple vient de dîner ; leur chauffeur attitré a servi de leurre pour les paparazzi en stationnant le véhicule du couple devant l’entrée du Ritz alors que la Mercédès fournie par l’hôtel va démarrer devant une issue de secours. À l’entrée du tunnel sous le pont de l’Alma, la voiture fait une embardée et va s’écraser dans un pilier non protégé à l’époque. Le chauffeur et le compagnon de Diana meurent sur le coup, Diana pendant son transport à l’hôpital.
L’enquête aboutira à la responsabilité du chauffeur, qui roulait trop vite et qui avait trop bu.

Le père de Dodi, lui, pense que son fils et Lady Di ont été assassinés par les services secrets britanniques du M16 et que la famille royale d’Angleterre est commanditaire de cet assassinat, car elle n’approuve pas le mariage envisagé de Diana avec son fils ; la contre-enquête qu’il a diligentée n’aboutira pas à prouver ses dires.

Diana avait divorcé du prince Charles un an avant sa mort, à trois jours près, le 28 août 1996. Deux mois après son divorce, elle avait confié à son majordome, Paul Burrel, une lettre adressée à son avocat, mais pas envoyée, qui constituait « une assurance au cas où », avait-elle dit à Burrel.

Cette lettre disait ceci :

« Je suis assise aujourd’hui à mon bureau en octobre, dans l’attente de quelqu’un qui me prenne dans ses bras et me pousse à rester forte et à garder la tête haute. Cette étape particulière de ma vie est la plus dangereuse — mon mari planifie actuellement “un accident” avec ma voiture, une défaillance des freins et une grave blessure à la tête afin de lui laisser la voie libre pour épouser Tiggy » (la nourrice de ses deux enfants, Alexandra Legge-Bourke), avant de poursuivre en évoquant le nom de la maîtresse (officielle ?) de son époux, Camilla Parker Bowles. « Camilla n’est rien d’autre qu’un leurre et nous sommes toutes les deux utilisées par cet homme ».

Cette dernière phrase s’applique-t-elle seulement à ses déboires amoureux ?

Burrell va confier cette lettre au Daily Mirror qui la fera paraître en 2003. Lucia Flecha, une amie proche de Diana, ne croyait pas à l’authenticité de cette lettre manuscrite. « Le majordome savait parfaitement imiter l’écriture de Lady Diana et pourrait en fait être l’auteur de la lettre. Je n’y crois toujours pas […]. Je ne pense pas qu’elle craignait pour sa vie, encore moins le prince Charles, le futur roi du pays », avait-elle déclaré.

Rien de plus simple que de faire vérifier l’authenticité de la lettre par un graphologue compétent, ce que n’ont pas manqué de faire les enquêteurs, puisqu’ils se sont permis, forts de cette analyse apparemment, d’aller interroger le prince Charles sur ce sujet en 2005, en tant que témoin, lequel a répondu benoîtement qu’« il ne savait pas pourquoi son épouse avait écrit cette lettre ». Autrement dit : « Circulez, y a rien à voir. »

Le journal québécois Le devoir du 7 janvier 2004, sous le titre : « Sitôt ouverte, l’enquête sur la mort de la princesse Diana est ajournée », écrivait alors :

« Une nouvelle enquête sur le décès de Diana a été officiellement ouverte hier à Londres — et immédiatement ajournée — au moment où un journal populaire anglais révélait que la princesse avait accusé son époux Charles d’intentions meurtrières. “J’ai demandé à la police de faire des recherches. Leur résultat aidera à déterminer si de telles questions entrent dans le cadre des enquêtes”, a encore précisé M. Burgess. Le chef de Scotland Yard, John Stevens, a ainsi été saisi de l’affaire.
Peu après son ouverture, l’enquête britannique sur la mort de Diana a été ajournée pour 12 à 15 mois en raison de la complexité de l’affaire. Le coroner attend notamment de recevoir un dossier de 6000 pages déjà refermé par la justice française. Il espère obtenir “la permission d’utiliser sans entraves” ce dossier français et décidera sur cette base qui sera appelé à témoigner. M. Burgess a précisé que son enquête avait une base commune avec celle menée côté français, mais qu’elle restait limitée à l’examen des circonstances détaillées de la mort de Diana et de Dodi. »

Autrement dit : « Circulez, y a rien à voir », bis. On attend toujours.

L’homme de la cour
Thomas Kingston

Thomas Kingston a été découvert sans vie le 27 février 2024 par son père dans une dépendance verrouillée (on suppose : de l’intérieur) de la demeure de ses parents. Il était marié à Gabriella Windsor, fille unique de Michael de Kent, cousin germain de la reine Élisabeth II. Thomas Kingston était lui-même le petit-cousin par alliance du roi Charles III. Vous voulez en savoir plus ? Voilà qui sera difficile.

L’unanimité psittaciste des revues people est remarquable : Point de vue, Gala, Paris Match, Histoires royales, Closer, Vanity fair… ont toutes écrit à peu près les mêmes phrases au sujet du supposé suicide de Thomas Kingston sans se poser aucune question. Voici la version de Closer, laquelle a le mérite quand même de titrer sous forme d’interrogation :

Thomas Kingston s’est-il suicidé ? : « C’est un drame qui a endeuillé la Couronne britannique. Le 27 février dernier, Thomas Kingston est mort à l’âge de 45 ans. Le mari de Lady Gabriella Windsor a été retrouvé sans vie dans sa propriété du Gloucestershire. Une enquête a tout de suite été ouverte pour faire la lumière sur cette tragédie et déterminer ses circonstances. “Il n’y a pas de circonstances suspectes et aucune autre partie n’est impliquée”, annonçait rapidement la police. Quelques jours après, de nouvelles informations inquiétantes ont été dévoilées. Katy Skerrett, procureure principale du Gloucestershire, a indiqué que l’ex-compagnon de Pippa Middleton était mort après avoir subi une “blessure traumatique à la tête”. Une arme à feu aurait également été trouvée près de son corps. Selon elle, il s’agirait d’un “incident tragique”. D’après les premières informations, Thomas Kingtson s’était rendu dans la maison de ses parents, situé dans les Cotswolds, dans le Gloucestershire. Le dimanche 25 février, il aurait déjeuné avec eux et son père serait ensuite sorti pour promener les chiens. À son retour, l’analyste financier “n’était pas dans la maison” et sa mère aurait tenté de le chercher. Le père de famille aurait ensuite forcé l’entrée dans une dépendance verrouillée. Il aurait alors fait une terrible découverte. »

Publié le 05/03/2024 par Lou Ducreux.

Nous avons là, dans cette affaire, un chef‑d’œuvre d’incohérence, de non-dit, de non-police, de non-justice et de non-journalisme où des gens sont payés pour ne rien faire, ne rien voir et ne rien dire.
« Il n’y a pas de circonstances suspectes » annonçait rapidement la police. Quelle diligence !
Kingston est mort après avoir subi une « blessure traumatique à la tête » selon la procureure.
Une arme à feu aurait été trouvée près de son corps.

Le magazine Paris-Match ne s’embarrasse pas de détails, lui : La thèse du suicide est privilégiée puisqu’une arme à feu a été retrouvée près du corps. Ben voyons ! CQFD. C’est aussi simple que ça !

Blessure traumatique, arme à feu près du corps, personne ne parle de la balle que Kingston se serait tiré dans la tête. Une blessure traumatique n’est pas forcément un trou effectué par une balle. Surtout, pas de risque et pas de vagues, moins on en dit, mieux ça vaut. Aucun détail sur l’arme ni sur la balle (éventuelle) après autopsie.
Kingston était dépressif ? Non, selon ses proches.

« Circulez, y a rien à voir », ter.

Alors ? Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup. Règlement de compte à OK Balmoral ?
Y aurait-il un lien autre que chronologique avec la disparition que nous espérons momentanée de Kate Middleton depuis le mois de janvier 2024 (pour cause supposée de maladie) que Kingston devait nécessairement connaître puisqu’il avait assidûment fréquenté sa sœur Pippa avant son mariage avec Gabriella ?

Les pédophiles

Trois pédophiles sont dûment répertoriés pour avoir fréquenté les ors de la monarchie anglaise et ce ne sont pas des petites pointures : le prince AndrewJeffrey Epstein et Jimmy Savile.
Nous ne parlerons pas ici de William et Harry, les fils du roi et de Diana dont les noms sont seulement cités dans une nouvelle affaire de pédophilie qui monte en puissance aux États-Unis parce qu’ils ont participé à au moins une soirée organisée par le rappeur P. Diddy, accusé de viol et de trafic sexuel à grande échelle4.

Le prince Andrew, duc d’York

« À tout seigneur, tout honneur », disions-nous autrefois pour commencer une liste, quand les mots avaient un sens et que les expressions étaient populaires.
Effectivement, Andrew est le « seigneur » local, mais l’« honneur » n’est pas sauf.

S’il y a un lien entre les Windsor et les diverses sectes ploutocratiques, transhumanistes et pédosatanistes qui polluent le monde — question que je posais un peu plus avant – ce lien pourrait être le prince Andrew, lien facilité à l’époque d’avant l’affaire Epstein, lorsqu’il était « représentant spécial du gouvernement pour le commerce international ».

On connaît assez bien son implication dans l’affaire Epstein qui lui a coûté assez cher ; il a perdu nombre de ses prérogatives de fonction, mais aussi de l’argent : il a dédommagé grassement Virginia Giuffre, l’un de ses victimes, âgée maintenant de 38 ans, mais qui était mineure au moment des faits, pour qu’elle retire sa plainte : environ 14 millions d’euros payés en grande partie par la reine, car Andrew était, paraît-il, son fils préféré… et désargenté !

Bien qu’il s’en soit défendu, Andrew était parfaitement au courant des activités d’Epstein ; il a d’ailleurs fréquenté de la même façon une sorte de clone d’Epstein, Peter Nygard, un milliardaire finno-canadien ayant fait fortune dans le domaine de la mode qui, comme Epstein, recevait ses invités dans son île des Bahamas où il organisait pour eux ce qu’on appelait autrefois des parties fines avec, là encore, la présence de très jeunes filles mineures.

Le prince Andrew en compagnie de Peter Nygard aux Bahamas

De même qu’Epstein5, il avait son Lolita Express, en l’occurrence un… Boeing 727 ! Il sera arrêté fin 2019 à la suite de nombreuses plaintes de jeunes femmes pour viol, trafic sexuel (y compris d’enfants), évasion fiscale… Le Daily Mail a publié une photo du prince Andrew en compagnie de Nygard sur son île en l’an 2000 ; sa femme, Sarah Ferguson, et ses deux filles auraient également été prises en photo sur l’île du milliardaire qui a maintenant 82 ans et séjourne en prison.

Pour couronner le tout et pour ne laisser aucune ambiguïté sur le statut du prince en tant que prédateur sexuel, le « Sun » a publié le témoignage d’une kinésithérapeute Emma Gruenbaum, introduite auprès de son mari par Sarah Ferguson. Cette femme le décrit comme un « pervers sexuel » qui multipliait les avances et les allusions salaces… « J’avais beaucoup de clients prestigieux et j’allais souvent dans leur villa, raconte-t-elle. Mais Andrew était très différent. C’était un pervers sexuel permanent ». Dès le début, le prince l’agresse verbalement par des questions salaces sur ses préférences sexuelles. « Ce n’est pas votre putain d’affaire », lui lance-t-elle sans se démonter. « Tu ne peux pas me parler comme ça », réplique Andrew, visiblement surpris par son aplomb. « Dieu merci, j’avais 34 ans à l’époque et j’étais capable de faire face à cette situation », explique Emma Gruenbaum dans le Sun.

« Mais ce n’est tout simplement pas acceptable pour un homme de sa position. » Elle est d’autant plus gênée que le prince se présente toujours nu, avec une simple serviette pour cacher son intimité. « Je détournais les yeux quand il montait sur la table et je m’assurais qu’il avait sa serviette couvrant sa pudeur, se souvient la kiné. Mais tout au long du massage, il ne parlait que de sexe anal et faisait des blagues à ce sujet. Il me demandait quand j’avais eu mon dernier rapport sexuel… »

(Le Point, 14 février 2022, Marc Fourny)

Jeffrey Epstein

Tout le monde connaît « l’affaire Epstein ». Ce personnage n’est intéressant dans cette liste que par les liens qu’il entretenait avec la famille royale, ainsi que sa compagne Ghislaine Maxwell, fille du magnat de la presse britannique Robert Maxwell, introduits à la cour par le prince Andrew. On voit sur une photo Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell assis ensemble sur le banc d’une véranda à Balmoral, l’une des résidences de la reine. Ghislaine Maxwell a été condamnée à 20 ans de prison en 2022 pour complicité de trafic sexuel. On attend toujours des réactions de la justice aux premiers noms de personnalités importantes piochés dans son carnet d’adresses. On connaît le destin de Jeffrey Epstein : « suicidé », lui aussi, en prison le 10 août 2019 avant son procès.

Trial of Ghislaine Maxwell : Briton and Jeffrey Epsteins at Queen’s Balmoral Estate in new photos shown in court.
(Procès de Ghislaine Maxwell : des photos de Briton et Jeffrey Epstein au domaine royal de Balmoral présentées au tribunal) [source]

Jimmy Savile

Né à Leeds en 1926 et mort dans la même ville en 2012, Jimmy Savile a effectué la majeure partie de sa carrière à la télévision grâce à laquelle il est devenu une vedette très populaire auprès du peuple anglais ; les premiers soupçons sur ses agissements pédophiles sont apparus grâce à une enquête du Sun lancée en 2008 qui l’aurait lié à une affaire sordide concernant un orphelinat où les enfants auraient été maltraités, violés, torturés. Mais l’enquête conduit à un non-lieu à l’époque, ce qui n’est pas surprenant. C’est seulement après sa mort que des plaintes d’abus sexuels, des centaines, sont déposées à l’encontre de Savile.

Un documentaire Netflix datant de 2022, « Jimmy Savile : A British Horror Story » met en cause le prince Charles, car il révèle ses liens d’amitié avec le pédophile qu’il a fréquenté pendant 20 ans, reçu à la cour (photo) et pris comme « conseiller » de communication entre 1986 et 2006.

Saville deviendra aussi le conseiller du prince Andrew ! Bien évidemment, le prince Charles a déclaré qu’il ignorait tout des agissements sordides de Savile6. Cependant, on peut faire remarquer que la moindre secrétaire embauchée dans un ministère fait l’objet d’une enquête de moralité ou bien l’on vérifie, pour le moins, que son casier judiciaire est vierge. Le prince Charles disposait de tous les moyens pour diligenter une recherche, même superficielle, sur Savile, avant d’en faire le conseiller du futur roi.

La dynastie des Windsor : des frankistes, des juifs, des nazis ?

La dynastie des Windsor est née du nom d’un château construit, initialement par Guillaume le Conquérant, à partir du XIe siècle ; habituellement, c’est le château qui porte le nom d’une dynastie et non le contraire.
Le changement de nom de la famille royale anglaise, autrefois dynastie de Hanovre ou de Saxe-Cobourg et Gotha, où la branche allemande était prépondérante, s’est effectué par ordre du roi George V en 1917 pour éviter toute ambiguïté pendant la guerre contre l’Allemagne.

Des frankistes ?

Le frankisme est une secte religieuse juive sabbatéenne7 hérétique, apparue au XVIIIe siècle avec son fondateur, Jacob Frank (1726−1791) qui rassembla jusqu’à 20 000 adeptes, principalement des Juifs polonais, la doctrine frankiste rejetant les tabous juifs et incluant même dans ses rituels des pratiques orgiaques. Les successeurs de Frank « connurent une ascension fulgurante, le mouvement se transforma en secte hérétique qui dévia vers le nationalisme et l’antisémitisme », selon le livre de Charles Novak.
Et nous avons là peut-être l’explication de cette curieuse cohabitation de deux termes qui semblent antinomiques : juif et nazi, à propos des Windsor.

Le nom de Mountbatten vient de l’allemand Battenberg : berg, montagne en allemand, mount, montagne en anglais. L’obligation décrétée par George V d’angliciser les noms d’origine allemande s’appliquant alors à Lord Mountbatten, originellement Battenberg. L’origine des Battenberg provenant elle-même d’une alliance de la famille allemande de Hesse, Alexandre, avec Julie, fille du comte Hauke, converti frankiste, devenant alors princesse de Battenberg, petite ville de la province de Hesse-Nassau.

De Battenberg à Mountbatten : Mairie de Battenberg (bâtiment jaune à gauche qui est l’ancien pavillon de chasse de la famille de Hesse), l’église et la place situées sur le Neuburg, à l’emplacement du vieux château de Battenberg)

Des Juifs ?

Nous sommes ici obligés de donner des détails qui peuvent paraître scabreux.
Dans son livre Le suppléant, un titre qui veut tout dire, le prince Harry nous donne des indications sur son anatomie intime.

« Lorsque de retour du pôle Nord, le prince Harry a dû parler de son anatomie avec son père, le roi Charles III, son pénis ayant été gelé, il a réalisé que cette partie de lui si intime avait déjà été une “affaire publique”, “une véritable curiosité”. “Un nombre incalculable de livres et de journaux (même le New York Times) avaient mentionné que Willy et moi n’étions pas circoncis”, écrit le père d’Archie et Lilibet. Et ce, selon eux, sur un véto de Lady Diana. “Selon eux, Maman l’avait interdit”, partage le prince Harry à ce sujet. Et rétablit la vérité sur son pénis, laissant planer le doute sur celui de son frère. “S’il est tout à fait vrai que les risques d’engelures péniennes sont bien plus importants en l’absence de circoncision, l’information me concernant était fausse. J’ai été circoncis bébé”, partage le prince Harry dans Le suppléant. »

Pure People, Ari Guardiola, 31 janvier 2023.

Nous ne doutons pas que les risques d’engelures péniennes seraient moins importants, du fait même d’un volume réduit de la partie concernée. Nous sommes plus intéressés par le fait que les enfants (en tout cas, au moins un) de la famille royale admettent qu’ils sont bien circoncis, ce qui est, habituellement, mais pas exclusivement, une coutume directement liée à une éventuelle judaïté et, d’une manière plus élargie, aux Sémites, cette pratique incluant donc les musulmans.
La tradition remonte bien plus loin, comme nous l’explique le magazine juif Alliance :

« Les garçons de la famille royale britannique sont toujours circoncis par un rabbin. Le père de Will, le prince Charles, a été circoncis au palais de Buckingham en 1948 par le rabbin Jacob Snowman, le mohel officiel de la communauté juive de Londres. Mais Snowman n’était pas le premier mohel, circonciseur royal. La tradition remonte au roi George Ier, qui a régné de 1714 à 1727. Des années plus tard, croyant descendre directement du roi David, la reine Victoria fit également circoncire tous ses fils. Et la reine Elizabeth II a perpétué la tradition. La tradition s’est poursuivie jusqu’à Edward VII, le duc de Windsor et le prince Charles, qui a été circoncis par Jacob Snowman GP au palais de Buckingham en 1948. Ses frères Andrew et Edward ont également subi la même procédure. » 

Alliance, 10 septembre 2022, Claudine Rouillet.

Il semble bien que la circoncision, en l’occurrence, ne relève pas de la religion, mais de l’idéologie confondue avec la religion. On ne comprend pas bien pourquoi des Celtes auraient eu un ancêtre juif, le roi David, à des milliers de kilomètres de leurs contrées.
En bref, si l’antisémitisme supposé des Windsor semble provenir de la partie juive de leur origine (le frankisme), leur philosémitisme provient, a contrario, dirons-nous, de la partie indo-européenne et celte. Ce qui, vous en conviendrez, complique de beaucoup la situation et les conclusions que nous pourrions en tirer. Mais il y a des exceptions.

Des nazis ?

Charles-Édouard de Saxe-Cobourg et Gotha (1884−1954) a traversé les deux guerres mondiales.
Petit-fils de la reine Victoria, cousin germain du dernier empereur allemand Guillaume II. Il sera désigné par sa grand-mère comme héritier du Duché de Saxe-Cobourg et Gotha par le jeu des alliances. Il se trouvera donc soutenir l’Allemagne au moment de la Première Guerre mondiale contre les Anglais et banni de ce fait de sa patrie natale. Il rejoindra plus tard, en 1935, le parti nazi au sein duquel il exercera de hautes fonctions. Il se rapprochera du roi Edouard VIII à son avènement.

[Source : archives fédérales d’Allemagne ‑bild-146‑2007-0184]

Édouard VIII, fils du roi d’Angleterre George V, monte sur le trône en janvier 1936, après la mort de son père et abdique 326 jours après, afin d’épouser l’Américaine Wallis Simpson, divorcée d’un premier mari et en instance de divorce d’un second. Ce que ne peuvent accepter les structures politiques de l’époque, invoquant l’incompatibilité de cette situation avec le statut du roi, chef de l’Église d’Angleterre. C’est tout au moins le prétexte qu’elles ont invoqué pour le faire abdiquer, la véritable raison étant qu’Édouard VIII avait de fortes sympathies pour le régime hitlérien ainsi que sa future femme.
Pour l’anecdote, ces deux personnages ne seront pas les seuls de la famille royale à manifester des sympathies pour le régime hitlérien : c’est ainsi que seront exhumés une photo et un film montrant la future reine d’Angleterre, Élisabeth, sa sœur Margaret, leur mère et leur oncle, le futur Édouard VIII, faisant le salut nazi :

On sait que trois des sœurs de Philip Mountbatten, duc d’Édimbourg, mari d’Élisabeth II, étaient membres du parti nazi et, enfin, la photo du prince Harry déguisé en officier nazi de l’Africa Korps en janvier 2005 soulèvera un grand émoi dans la presse.

Kali-Yuga

Julius Evola écrivait, dans Chevaucher le tigre :

« Dans le monde classique, on parle d’une descente progressive de l’humanité de l’Âge d’or jusqu’à celui qu’Hésiode appela l’Âge de fer. Dans l’enseignement hindou correspondant, l’Âge final est appelé le Kali-Yuga (l’âge sombre), et l’on en exprime le caractère essentiel en soulignant que ce qui est propre au kali-yuga, c’est précisément un climat de dissolution — le passage à l’état libre et chaotique des forces individuelles et collectives, matérielles, psychiques et spirituelles qui, auparavant, avaient été contenues, de diverses manières, par une loi venant d’en haut et par des influences d’ordre supérieur. Les textes tantriques ont donné une image suggestive de cette situation en disant qu’elle correspond au complet “éveil” d’une divinité féminine — Kâlî — symbolisant la force élémentaire et primordiale du monde et de la vie, mais se présentant, sous ses aspects “infernaux”, comme une déesse du sexe et des rites orgiaques. “Endormie” jusque là — c’est-à-dire latente quant à ces derniers aspects — elle serait, durant l’“âge sombre”, complètement éveillée et agissante. »

Il semble que les Windsor aient au moins retenu de leur colonie hindoue la figure de l’une des principales déesses de son panthéon, Kâlî. Tout comme l’avait fait le célèbre groupe de rock britannique, les Rolling Stones, qui avaient choisi comme logo un détail de la représentation de la déesse : son énorme langue rouge, signe sans équivoque adressé comme un défi à notre monde finissant.

Pierre-Émile Blairon

Pierre-Émile Blairon est l’auteur d’un certain nombre de livres liés à l’Histoire, notamment de la Provence, de Nostradamus à Giono et à la fin du Cycle.





Quand Pie IX dénonçait les complots

[Illustration : Pie IX est connu pour être le pape du Dogme de l’Immaculée Conception (1854), du Syllabus (1864) et du Concile Vatican I (1869-1870). Son pontificat est le plus long de l’histoire de l’Église (de 1846 à 1878). – Private collection / Leemage via AFP (source).]

[Source : benoit-et-moi.fr]

Dans cet article érudit écrit en mai 2013, Nicolas Bonnal nous apprend que les rangs des complotistes comptent au moins un Pape, un bienheureux, qui plus est, puisqu’il a été béatifié par Jean Paul II : Pie IX, le pape du Concile Vatican I, celui qui a défini l’infaillibilité pontificale; celui du Risorgimento, surtout, qui a assisté au démantèlement des États Pontificaux.
Il s’appuie sur un document peu connu, l »allocution Quibus Quantisque prononcée par le Bienheureux Pape le 20 avril 1849 lors d’un consistoire secret. J’ai trouvé sur Internet la version en italien, sur le site Totus Tuus, (et cette version en français…).
Il y a également une notice wikipedia en anglais.

Il est question de Pie IX dans ces pages:
benoit-et-moi.fr/2013-II/articles/la-lune-de-miel-mediatique-de-franois-2

La théorie chrétienne de la conspiration

par Nicolas Bonnal

« La licence effrénée et l’audace des passions perverses, élevaient de jour en jour une tête plus menaçante… » écrivait Pie IX pour dénoncer les agitateurs qui tentaient, en 1849, de démolir la stabilité des États pontificaux. Rien de nouveau sous le soleil, quand il s’agit de s’attaquer au bien commun : le conspirateur est d’abord contre la vertu.

Vous avez dit conspiration ?

Voici une théorie bien insultée alors qu’elle ne se veut souvent qu’une modeste ou maladroite théorie de l’explication, quand l’information officielle, toujours bâclée, devient obscène et ridicule, car il faut voir quel brouet peut gober l’opinion publique globalisée.

J’ai bien lu dans la presse anglophone, russe et espagnole que la vague homophobe est telle en France que les catholiques ont détruit Paris (lors des manifestations contre le mariage gay, ndlr) et qu’il a fallu… protéger les premiers mariés de l’an II de la Hollandie — et que cette vague homophobe, images à l’appui (images à l’appui !), ne rassemble que quelques extrémistes. L’OTAN va-t-il intervenir en France ? Ou les rebelles syriens, pour y rétablir l’ordre ? N’y-a-t-il pas conspiration ?

La théorie de la conspiration ne vient pas de n’importe qui. Elle vient du pape Pie IX victime au début de son pontificat libéral de conspirations mazziniennes, maçonniques et socialistes dans ses chers États et sa chère Italie, toujours soumise aux coups d’État comme dit Beppe Grillo [cf. son blog].
Ce que met le pape en évidence, et qui ne vieillit pas quand il s’agit de s’attaquer au bien commun : la diffusion du désordre et de la haine.

Au temps des arrestations

Mais je laisse la polémique : l’humeur du jour n’est plus aux débats, l’air du jour n’est plus à l’humour, mais aux arrestations. Pas de liberté pour les ennemis de la liberté et pas de liberté d’ailleurs pour les amis de la liberté.

Mais comme la vérité sort de la plume du Saint-Père plus que de la bouche d’un journaliste aux ordres, je vous le laisse lire dans Quibus Quantisque :

« Mais bien que cette noire conspiration ou plutôt cette série non interrompue de conspirations fût claire et manifeste, cependant, par la permission de Dieu, elle demeura inconnue à beaucoup de ceux à qui la tranquillité publique devait pour tant de causes être principalement chère. Et bien que les infatigables fauteurs d’anarchie donnassent lieu aux plus graves soupçons, il ne manqua pas de certains hommes de bonne volonté qui leur tendirent une main amie, espérant sans doute qu’ils pourraient les ramener dans le chemin de la modération et de la justice»

Fauteurs d’anarchie, c’est une bonne expression que reprendra Chesterton dans son roman à clé, Le nommé jeudi1. Chesterton y explique que le point commun entre l’idéaliste philanthrope, le milliardaire humanitaire (celui des ONG), le savant fou, le membre des services secrets et le bolchévik, c’est bien l’anarchie.

Fauteurs d’anarchie

Le héros du bouquin, Syme, comprend que tous les anarchistes sont des policiers infiltrés comme tous les casseurs d’aujourd’hui sont des voyous tolérés ou des supplétifs de la police.

Comme s’il avait prévu ce qui allait se passer ensuite, les guerres aberrantes, le nazisme, le communisme, les guerres, l’immigration barbare, les attentats partout, la subversion morale et mondaine, la guerre rageuse contre la nature, l’humanité, la chrétienté et les idéaux, Pie IX écrit encore dans son style passionné et soutenu :

« Mais la licence effrénée et l’audace des passions perverses, élevaient de jour en jour une tête plus menaçante ; les ennemis de Dieu et des hommes enflammés du désir insatiable de tout dominer, de tout dévaster, de tout détruire, n’avaient plus d’autre pensée que de fouler aux pieds les lois divines et humaines pour satisfaire leurs passions. De là ces machinations ourdies d’abord dans l’ombre, puis bientôt éclatant en public, ensanglantant les rues, multipliant des sacrilèges à jamais déplorables, et se portant contre Nous, dans le palais du Quirinal, à une violence jusqu’alors inconnue. »

Le Saint-Père sait très bien que le gros du peuple reste tranquille, même s’il est indifférent (cela peut lui coûter cher, le sait-il seulement, ce bon peuple ?), dépassé et manipulé par des événements cruels mais pas très clairs, des manipulateurs, des experts, des agences . L’occupation au temps moderne consiste à être spectateur, avant de devenir téléspectateur :

« Cependant, au milieu de Notre immense douleur, il Nous est doux de pouvoir affirmer que l’immense majorité du peuple romain et des autres sujets pontificaux, Nous est restée fidèlement attachée, ainsi qu’au Siège Apostolique, ayant dans une profonde horreur ces noirs complots, quoiqu’elle soit restée spectatrice de ces tristes événements. »

Comme toutes les révolutions

Pie IX voit bien comment se termineront les révolutions bolchéviques, anarchistes, néolibérales (thérapie de choc, délocalisation, immigration et entropie universelle), socialistes, constructivistes, européennes, et tout leur infatigable (car il faut bien leur reconnaître cette qualité, ils sont infatigables) saint-frusquin à base de dette, de Goldman taxes et de politiquement correct :

« Le trésor public dissipé, épuisé, le commerce interrompu et presque anéanti, des impôts énormes levés sur les plus riches et bientôt sur tous les citoyens, les propriétés particulières pillées par ceux qui s’appellent les chefs du peuple et les conducteurs de bandes effrénées, la liberté de tous les gens de bien troublée, leur sécurité mise en question, leur vie exposée au poignard des sicaires, voilà les maux intolérables qui sont venus jeter l’épouvante et l’effroi au milieu de nos sujets. Telles sont les prémices sans doute de cette prospérité que les ennemis du Souverain Pontificat annoncent et promettent au peuple de notre État pontifical. »

Manipuler l’opinion

L’utilisation des médias pour manipuler l’opinion — à l’époque du très Saint-Père, des journaux, de l’opéra et du théâtre (aujourd’hui ciné, télé, portails web, etc.) — est déjà entrée dans les mœurs. On est pourtant en 1849 :

« Ces doctrines perverses et empoisonnées, les hommes ennemis les sèment sans relâche parmi les multitudes, soit par la parole, soit par des écrits, soit par des spectacles publics, afin d’accroître de jour en jour et de propager une haine qui s’emporte sans frein à toute espèce d’impiété, de passions et de désordres. De là toutes les calamités, tous les renversements, toutes les douleurs qui ont ensanglanté et qui ensanglantent encore le genre humain, et presque toute la surface de la terre. »

Glissant dans les esprits…

N’en déplaise aux conciliaires modernistes et progressistes de tout poil, et aux déplaisants policiers de la pensée d’aujourd’hui, Pie IX en rajoute une couche comme on dit sur les sociétés secrètes et leurs agissements universels couverts par le caquetage des médias de « droite » et de « gauche » aux ordres (les journalistes sont juste des marchands de phrases et leur dieu est triangulaire, dit tel quel Balzac à l’époque) :

« Personne n’ignore combien de sociétés secrètes et pernicieuses, combien de sectes furent créées et établies, sous différents noms et à différentes époques, par ces artisans de mensonge, ces propagateurs de dogmes pervers, aspirant par là à glisser plus sûrement dans les esprits leurs extravagances, leurs systèmes et leurs désirs criminels, à corrompre les cœurs sans défiance, et à ouvrir à tous les crimes la large voie de l’impunité. Ces sectes abominables de la perdition, aussi fatales au salut des âmes qu’au bien et à la tranquillité de la société temporelle, ont été condamnées par les Pontifes Romains, Nos prédécesseurs. »

L’Angleterre impériale avait ses « missionnaires » protestants, aujourd’hui on a les ONG !

Relisez un peu ce qui s’est passé en Europe en 1848 et après. Et cette remarquable allocution Quibus Quantisque prononcée le 20 avril 1849 dans le consistoire secret. Elle est plus d’actualité que jamais, car on n’est pas sorti de leur auberge rouge ni de leur éternel désordre mondial basé sur les bombardements et les assouplissements quantitatifs.

Note

1 Le nommé Jeudi: voir la notice wikipedia, et surtout le site des amis de Chesterton:
www.amisdechesterton.fr/2008/11/11/lenommejeudi-3etorsonwells




Révolution française — Géopolitique et mystique russes

[Source : Média en 4-4-2]

☝ 👓 Il y a fort longtemps que Pierre Hillard nous parle du messianisme, cette doctrine mystique qui influence plus que jamais la géopolitique internationale !

🤏 👓 Que nous le voulions ou non, que nous essayions d’en faire abstraction, elle détermine le courant de l’Histoire, que ce soit ce qui est plus visible telles les guerres et les révolutions, ou discret, comme la traite humaine et les rituels cachés…

☝ 👓 Pierre Hillard ne laisse rien de côté, et il est l’un des rares à s’intéresser à la mystique russe, dans un contexte où il ne s’agit pas simplement d’un combat économique, de territoires ou de nations, mais une guerre des esprits où les différentes factions luttent pour leur vision spécifique des Écritures !

🤏 👓 Que nous le voulions ou non, nous sommes entraînés dans leur folie, et il semble que le véritable combat à venir sera celui où il faudra rester sain d’esprit…

Eric Archambault




La France sous influence

[Source : Réseau International]

Entretien du général (2S) Dominique Delawarde avec Rivarol

Par Dominique Delawarde

R/ Avant de débuter cet entretien sur l’actualité, je voulais revenir sur l’affaire du « Qui ? » de 2021. Comment avez-vous vécu cet épisode médiatique et quelles sont les leçons que vous en avez tirées ?

La « comédie » du QUI ayant été très mal interprétée par ceux qu’il faut bien appeler mes adversaires sur le plateau de Cnews, s’est finalement retournée contre eux. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils m’ont donné une notoriété que je n’avais pas, notoriété qui a franchi les frontières et qui me permet aujourd’hui de disposer d’une large audience et d’un large réseau dans plusieurs pays, tant à droite qu’à gauche ou au centre des échiquiers politiques. Par ailleurs, la réaction excessive du chef de plateau sonnait comme un aveu. Ma vérité n’a même pas eu le temps d’être dite qu’elle était déjà reconnue comme telle par l’animateur et ses acolytes, médusés par tant de hâte. J’avais manifestement appuyé, sans le savoir, là où ça fait mal, alors que le sujet abordé par Posternack n’était pas du tout prévu au programme.

Au total, cela m’a rappelé que les interviews organisés par les médias mainstream peuvent se transformer rapidement en piège à con parfaitement organisé. Chacun se souvient des fameuses émissions de Michel Polac Droit de réponse, qui étaient autant de pièges à cons soigneusement élaborés, toujours joués à 4 ou 5 contre une personnalité à détruire. La chance a voulu que le plan qui me visait ait été très mal joué et se soit retourné contre ses auteurs/acteurs. De nombreuses parodies de la scène ont été diffusées sur internet, et dans plusieurs pays, au détriment de mes adversaires du moment.1

La synchronisation de l’action entre le plateau de Cnews, un procureur sayan, la LICRA et SOS racisme, quelques journaux complices était si parfaite qu’elle confirmait l’opération préméditée visant à me décrédibiliser. Tout cela était cousu de fils blancs. L’affaire n’a évidemment eu aucune suite, parce qu’elle ne pouvait tout simplement pas en avoir, mais elle a fait le Buzz et la mafia présente sur le plateau a réussi à m’empêcher de parler pour délivrer le message qui devait être le mien ce jour-là. Tout cela a renforcé ma détermination à informer mes concitoyens sur QUI contrôle aujourd’hui le bras de nos politiques et de nos médias, ce qui commence à se voir et à se savoir, particulièrement dans le contexte du conflit israélo-palestinien.2

R/ Près de deux ans après le début du conflit en Ukraine, quelle est, pour vous, l’origine réelle de cette guerre ?

Pour moi, les premières racines de cette guerre remontent à l’effondrement de l’Union soviétique. Les néoconservateurs états-uniens, ont immédiatement réalisé qu’une fenêtre d’opportunité s’ouvrait pour modifier durablement l’équilibre géopolitique mondial en leur faveur et éviter le retour d’un challenger susceptible de contester l’hégémonie mondiale acquise par les USA.3 Rappelons, pour mémoire, que l’idéologie néoconservatrice s’est développée dans un cercle sioniste new-yorkais sous la férule de deux sayanim, liés à l’AIPAC (America Israël Public Affairs Committee), Kristol et Podoretz, à la fin des années 60. Les USA étaient alors sous la Présidence de Lyndon Baynes Johnson, lui-même clairement sayan, ainsi qu’en témoignent ses multiples actions très favorables à Israël, et bien sûr son ascendance maternelle.4

Réalisant que les USA étaient le principal et indéfectible soutien d’Israël. Les pères sionistes US du néoconservatisme souhaitaient évidemment pérenniser l’hégémonie mondiale de leur protecteur et s’efforcer de tirer les ficelles de la politique étrangère de cet hégémon au profit d’Israël, ce qu’ils font d’ailleurs toujours aujourd’hui. Relire à cet égard le best-seller mondial de John Mearsheimer : Le lobby pro-Israël et la politique étrangère américaine.5

Au cours de la décennie 1991-2000, leur coup de maître, parfaitement réussi, a été le démembrement de l’ex-Yougoslavie en y créant de toute pièce les conditions d’une guerre civile par le biais de mesures économiques.

Puis, profitant de la faiblesse de la Russie, les néocons ont poussé leurs pions, leurs bases et leurs fusées vers l’Est entre 1999 et 2014 par une succession ininterrompue d’opérations de changement de régime, et de 5 vagues d’extension à l’est de l’OTAN. En 2014, le coup d’État de Maïdan devait être la première phase d’une prise de contrôle de l’Ukraine avant d’entreprendre de nouvelles opérations de déstabilisation aux frontières de la Russie (Biélorussie, Kazakhstan, Arménie-Azerbaïdjan).

Il est clair et établi que l’objectif ultime des néoconservateurs US était un démembrement de la Russie sur le modèle yougoslave pour en contrôler directement ou indirectement les ressources.

En 2014, la réaction immédiate des Russes avec l’annexion très rapide de la Crimée et le soutien aux républiques autoproclamées du Donbass a surpris les Occidentaux qui ont entrepris un premier cycle de sanctions économiques anti-russes contre-productives.

L’arnaque occidentale des accords de Minsk qui ne visaient qu’à gagner du temps pour préparer l’Ukraine à la guerre, selon l’aveu même de Angela Merkel et de François Hollande est venu aggraver la défiance russe envers l’occident otanien.

En février 2022, la menace d’une opération militaire par le régime de Kiev contre le Donbass se précisant a conduit les Russes à reconnaître les deux républiques autoproclamées et à répondre à leur demande d’assistance en déclenchant l’opération spéciale. Rappelons que les Russes avaient tracé des lignes rouges en décembre 2021 et demandé des négociations sur la sécurité à l’est de l’Europe, demandes que l’OTAN a traitées par le mépris, accélérant ainsi la marche vers l’action militaire.

Dans cette triste affaire, l’occident a parfaitement appliqué la Doctrine de Pompéo :

« Nous avons menti, triché, volé, c’est comme si nous avions reçu des cours de formation pour apprendre à le faire ».

R/ Quels enseignements stratégiques tirez-vous de ce conflit ?

Je tire aujourd’hui trois enseignements majeurs de ce conflit. Le premier, très surprenant, tient à l’énormité des erreurs d’appréciation commises par les états-majors politiques et militaires occidentaux qui ont, bien qu’ils s’en défendent, provoqué ce conflit. Il y a eu une très forte sous-estimation des forces armées et de la résilience économique russes, mais aussi de la solidité des alliances tissées par Poutine depuis le bombardement de Belgrade, et une surestimation des forces armées et de la résilience économique du camp otano-kiévien.

Lorsque la stratégie se fonde sur des erreurs d’appréciation d’une telle énormité, elle est forcément perdante.

Le deuxième enseignement qui peut aussi expliquer le premier et qui est tout aussi surprenant est le jusqu’au-boutisme quasi suicidaire des néoconservateurs des USA et de l’UE dans l’erreur. Condescendants, dominateurs et sûrs d’eux-mêmes, ces gens vont jusqu’à perdre leur lucidité et n’admettront jamais qu’ils se sont trompés. Tenaces, aveuglés par la rage de perdre, bardés de certitudes quant à la supériorité de leur camp, ils perdent leurs capacités d’analyse et de raisonnement, se déconnectent de la réalité et vivent dans l’espoir d’un miraculeux retournement de situation qui viendrait leur donner la victoire. C’est ce qu’on pourrait appeler l’esprit « Massada » qui imprègne les élites sionistes et néoconservatrices.

Lorsque la stratégie refuse d’évoluer rapidement pour tenir compte des réalités objectives défavorables, elle est forcément perdante.

Le troisième enseignement, bien connu des militaires, est que, pour gagner les batailles, la concentration des efforts est toujours nécessaire et décisive. Comment les néocons, décidément beaucoup trop sûrs d’eux-mêmes, pouvaient-ils espérer l’emporter en dispersant leurs efforts sur trois fronts simultanément : l’Europe de l’Est (Russie-Ukraine), l’Asie de l’Est (Chine-Taïwan), l’Asie de l’Ouest (Iran-Palestine) ?

Lorsque la stratégie adoptée s’accompagne d’une dispersion des efforts, elle a toutes les chances d’être perdante.

R/ Comment évaluez-vous la force de l’armée russe ? Pensez-vous que Moscou soit capable d’atteindre ses objectifs militaires ?

Pour moi, l’armée russe est aujourd’hui, la meilleure du monde. Pourquoi ? Parce qu’elle s’est préparée depuis plus de 20 ans (après l’humiliation du bombardement de Belgrade) à une confrontation jugée inéluctable, alors même que l’occident otanien, trop sûr de lui, désarmait. Après deux ans de guerre, elle est incontestablement la plus entraînée au combat de haute intensité moderne avec une utilisation massive des nouvelles technologies (drones, guerre électronique) et des feux massifs terrestres et aériens. Elle est bien équipée. Elle tire chaque jour des enseignements et améliore ses équipements en fonction de l’expérience acquise sur le terrain. Son complexe militaro-industriel fonctionne 24 h sur 24 et 7 jours sur 7. Il suffit largement pour alimenter un combat de haute intensité contre l’OTAN et produit, à lui tout seul, davantage que l’ensemble des 32 pays de l’OTAN.

L’armée russe dispose également d’une avance technologique décisive dans certains secteurs : notamment sur l’hypersonique, mais pas que… Elle a la meilleure défense antiaérienne du monde. Elle agit à proximité de ses frontières, ce qui facilite la logistique.

Le soldat russe agit pour une cause en laquelle il croit, à juste titre. Celle de la sécurité nationale de son pays face à un occident fourbe et sans parole. Il est non seulement entraîné, mais motivé.

Tout cela est à comparer avec le triste constat de l’état de l’OTAN, devenue, au fil du temps et des désarmements successifs pour engranger les dividendes de la paix, un conglomérat d’Armées nationales bonsaï en état de décomposition avancée.

Moscou atteindra ses objectifs militaires lorsqu’il le voudra. Mais il n’a pas intérêt à en terminer trop vite. C’est sur l’opportunité qu’offre cette guerre d’Ukraine que s’accélère la construction de la multipolarité. C’est sur cette guerre d’Ukraine que se construit l’affaiblissement économique en cours de l’Union européenne qui devrait être durable et qui va rebattre les cartes de la hiérarchie des puissances en Europe. C’est sur cette guerre d’Ukraine et sur les sanctions occidentales illégales et boomerangs que se justifie la stratégie de dédollarisation qui devrait venir à bout de l’hégémonie US. C’est sur cette guerre d’Ukraine que se fonde, par obligation, le réveil d’une économie russe plus autarcique, plus autonome et plus souveraine.

Arrêter trop tôt, alors que le temps joue en faveur de la Russie, avec une UE et des USA qui s’autodétruisent chaque jour un peu plus ne serait pas une bonne opération pour la Russie, si l’on veut bien prendre du recul et réfléchir… L’armée russe n’est pas le moins du monde en difficulté. Elle est maîtresse des horloges. Elle pourra accélérer lorsqu’elle le décidera, attaquer à partir de, et dans de nouvelles directions, créer de nouveaux fronts en Ukraine, alors même qu’elle se renforce chaque jour et que son adversaire otano-kiévien s’affaiblit. Elle choisira le moment favorable pour tirer le meilleur parti géopolitique de sa victoire.

R/ La contre-offensive ukrainienne n’a pas permis à Kiev de bousculer les lignes de défense russe. L’armée ukrainienne, malgré l’aide massive de l’OTAN, vous semble-t-elle en mauvaise posture ?

Elle l’est assurément et le sera plus encore lorsque Vladimir Poutine décidera d’en finir. Si l’ouest de l’Ukraine, peuplée d’irréductibles bandéristes n’intéresse évidemment pas le Président russe, on peut imaginer qu’Odessa, Kherson, Kharkov et peut être même Kiev tomberont dans l’escarcelle russe. Le reste de l’Ukraine sera transformé en un État croupion, enclavé, dysfonctionnel, comme le dit très justement le plus célèbre des géopoliticiens US, John Mearsheimer. Peut-être même l’Ukraine finira-t-elle démembrée.

Quant à l’avenir politique de Zelensky, étrangement classé numéro 1 au palmarès confessionnel mondial 2022 du Jerusalem Post, et personnalité de l’année 2022 par le Times, chacun peut aisément imaginer ce qu’il sera… lorsque ses bons alliés occidentaux le laisseront tomber.

R/ La guerre est aussi économique au niveau planétaire. Assiste-t-on à la naissance d’un monde multipolaire dans ce domaine ?

La naissance du monde multipolaire est incontestable. Non seulement l’économie des BRICS-10 a déjà largement dépassé l’économie du G7 et celle de l’OTAN, mais le rythme de croissance annuel, difficilement réversible, est aujourd’hui de deux à trois fois supérieur pour les BRICS-10. Autrement dit la bascule du centre de gravité économique mondial a déjà eu lieu et le fossé va continuer de se creuser en faveur des BRICS-10 sous le double effet du différentiel de croissance et d’un nouvel élargissement dès octobre 2024.

Rappelons que le G7 comptait 16 % de la population et 52 % de l’économie mondiale en 1975 lors de sa création et qu’il ne compte plus aujourd’hui que 9 % de sa population et moins de 30 % de son économie.

En 2024, les 10 pays BRICS comptentdéjà 37,3 % du PIB/PPA de la planète, contre 29,9 % aux pays du G7. Lorsqu’on sait que la seule comparaison pertinente des budgets de défense et de la capacité de résilience des États se fait en parité de pouvoir d’achat, il devrait y avoir là, pour les 7 pays les plus endettés du monde (G7), matière à s’interroger.

En 2024, les 10 pays BRICS détiennent déjà 44,4 % des gisements de pétrole contre 2,9 % au G7.

Et cela sans compter, évidemment, les pays « amis des BRICS » et de la Russie producteurs de pétrole (Venezuela, Algérie pour ne citer qu’eux.)

Les 10 pays BRICS contrôlent 38,3 % de la production industrielle mondiale contre 30,5 % au G7 ; 48,7 % de la production de blé et 54,7 % du Riz contre 18,1 % et 2,6 % au G7.

Les 10 pays BRICS produisent 79,2 % de l’Aluminium mondial et 30,7 % de l’Or contre 1,3 % et 12,2 % pour le G7.

Non seulement le nouveau monde multipolaire est bien là, mais il est déjà très puissant et le deviendra toujours plus parce qu’il est appelé à s’étendre et à s’organiser bien davantage et que les différentiels de croissance et de ressources seront désormais toujours plus en sa faveur.

Évolution comparée des PIB/PPA des BRICS 10, des USA et de l’UE en milliards de $/Parité de pouvoir d’achat (source FMI)

R/ Comment jugez-vous les propos bellicistes d’Emmanuel Macron envers la Russie ? Pourquoi cette posture martiale du président de la République ?

Après la déconfiture vécue par le Président français lors de l’ouverture du Championnat du monde de Rugby et celle du Salon de l’Agriculture ; et pour occulter les événements de Gaza et la position insoutenable de l’exécutif français à ce sujet, monsieur Macron estime probablement qu’il faut créer une diversion médiatique. Il a un besoin irrépressible et pathologique d’exister et de passer à autre chose.

Quoi de mieux que d’enchaîner des buzz politiques et médiatiques ? On a eu le buzz de l’Arme nucléaire mise à disposition de l’UE, voici dernièrement celui d’un envoi éventuel et qui serait assumé de troupes de l’OTAN en Ukraine ou celui du droit des femmes à l’avortement inscrit dans la Constitution, ou encore la « panthéonisation » de Manouchian. Le président occupe le terrain médiatique. On parle de lui. Il est content de lui. Pour lui c’est l’essentiel, pour ne pas dire existentiel.

Cette posture martiale sur l’Ukraine ne convainc personne, tant elle est ridicule. Elle n’a aucun sens lorsqu’on sait que l’OTAN est nue. Elle est pathétique et fait plutôt sourire, ou pitié. Rares sont ceux qui applaudissent, nombreux sont ceux qui le plaignent. Mais bon, nous ne sommes pas le seul pays à être dirigé par un grand malade. Après tout, les USA le sont aussi…

R/ Quel est l’état de l’armée française ? Serions-nous capables de rentrer dans un conflit de haute intensité en Europe ?

Après plus de 30 ans de désinvestissement et de lois de programmation militaire toujours remises en cause avant terme et de budgets de défense rarement exécutés jusqu’au dernier euro, l’état de nos Armées n’est pas bon du tout. La France dispose aujourd’hui de Forces Armées Bonsaï qui croulent sous les problèmes.

Elle a des problèmes de recrutement, donc d’effectif, de taux de sélection et par conséquent de qualité des personnels. Les candidats ne se bousculent pas pour entrer dans les Armées. Elle dispose de matériels, parfois modernes et sophistiqués, mais difficiles à maintenir (manque de budget, manque de pièces détachées, manque de main-d’œuvre qualifiée…) Une large partie du parc des matériels majeurs est ancien, voire très ancien. Les taux de disponibilité technique opérationnelle ne sont pas très bons si l’on en croit les rapports parlementaires des dernières années. Le coût unitaire des matériels majeurs a explosé et a contraint les Armées à en limiter drastiquement le nombre et à reporter trop souvent leur mise en service pour des raisons budgétaires.

Alors que le conflit en Ukraine a évolué vers une guerre de tranchées « moderne » de type 1re guerre mondiale, nécessitant des effectifs d’infanterie importants, l’armée française n’a quasiment plus d’Infanterie. Au début de la guerre de 1914, dans un pays qui comptait 40 millions d’habitants, l’infanterie française alignait 1080 bataillons d’infanterie à 1000 hommes soit plus d’un million d’hommes. Aujourd’hui, elle en a moins de 18 pour une population de 68 millions d’habitants. Une partie de ces régiments est déjà déployée hors d’Europe. Elle ne peut donc compter que sur quelques milliers de fantassins pour un éventuel engagement en Ukraine. (dix à douze mille au mieux).

On me rétorquera : oui, mais en coalition, avec l’Europe, l’Europe, l’Europe, on doit pouvoir faire nombre ? Foutaises ! Toutes les Armées européennes sont aujourd’hui des armées Bonsaï dont les effectifs sont inférieurs aux nôtres. Sans aucun doute, notre armée Bonsaï est la moins pire de toutes. Chacune de ces armées nationales compte sur sa voisine pour faire le boulot…

La conscription ayant été abandonnée il y a plus d’une génération, il n’y a quasiment pas de réserve mobilisable… Quant aux munitions disponibles, je n’en parle pas. On retomberait sur les fameux quatre jours, connus de tous et nos très faibles stocks ont déjà été très largement entamés par nos dons à l’Ukraine et n’ont pas encore été renouvelés.

Certains de mes camarades pensent qu’il n’est pas vraiment nécessaire d’en avoir plus parce que nous arriverions ainsi très vite au seuil nucléaire et que nos armes et nos vecteurs, non testés depuis 30 ans, seraient toujours efficaces et dissuasifs. Il s’agit là d’un pari très risqué. En cas d’échange nucléaire, même si l’on parle souvent du pouvoir égalisateur de l’atome, l’avantage va quand même au nombre de têtes nucléaires, à la qualité, à la vélocité et à la flexibilité des vecteurs, à la qualité de la défense et du bouclier antimissile et à la profondeur stratégique du territoire.

Aujourd’hui, dans tous ces domaines, ni la France, ni l’UE, ni l’OTAN ne font le poids face à la Russie qui dispose de 6000 têtes nucléaires, de vecteurs de conception récente, plus véloces, plus « flexibles » et moins vulnérables que les nôtres, d’une défense antimissile supérieure et surtout d’une immense profondeur stratégique. Rappelons pour mémoire que les fameux LGM-30G Minuteman III de l’US Air Force sont les seuls vecteurs terrestres de l’arsenal nucléaire états-unien. Mis en service en 1970, ces missiles stratégiques US ont donc plus de cinquante ans d’âge et doivent être remplacés dans la décennie à venir en raison de leur obsolescence. Le résultat d’un éventuel échange nucléaire serait donc probablement très « douloureux » et dévastateur pour l’occident otanien.

En conclusion, oui, la France est capable aujourd’hui d’entrer dans un conflit de haute intensité sur la base de l’incommensurable bêtise d’une gouvernance de poètes, soutenue par des médias biberonnés à l’idéologie néoconservatrice et atlantiste, incapables de prendre du recul et de raisonner.

Évidemment, la sortie du conflit serait rapide et beaucoup moins glorieuse qu’espérée par le stratège de l’Élysée. C’est bien ce qui rend ridicule ses rodomontades.

Rebâtir des Forces Armées plus puissantes ? Il faudrait pour cela une population « volontaire » et plus de dix ans d’investissement, d’efforts et d’entraînement. Une belle Loi de programmation militaire, dont on sait déjà, par expérience, qu’elle n’ira pas à son terme et ne sera pas respectée (comme toutes les autres) ne suffira pas à redresser les choses. Les moyens financiers d’un pays dont l’économie s’effondre et dont la dette explose ne permettront pas de s’offrir les budgets dont les militaires rêvent parfois. Rappelons que le simple intérêt annuel de la dette française est déjà très largement supérieur au budget de la Défense et que cette situation est en voie d’aggravation rapide.

Ce que la France devra payer demain pour l’intérêt de sa dette qui explose, avec des taux d’intérêt qui vont, eux aussi, exploser, sera forcément déduit des investissements du pays, et la Défense française en fera évidemment les frais.

R/ Existe-t-il des voix dissidentes dans les rangs de la « Grande Muette » ? Quelle est l’opinion de la grande majorité des soldats français sur la politique internationale et nationale ?

Il n’existe pas de voix dissidentes ouvertes dans les rangs des Armées d’active parce que la hiérarchie, à juste titre, ne le tolérerait pas. En revanche, il existe des voix dissidentes dans l’active qui se sont exprimées sous anonymat dans l’hebdomadaire Valeurs actuelles, lors de l’épisode dit de la Tribune des généraux. Mais il existe surtout des voix dissidentes nombreuses et fortes chez les militaires de tous grades en retraite qui ont connu la guerre froide.6

Il y a bien sûr aussi un parti plus conformiste, biberonné à l’atlantisme, qui se satisfait de la propagande grossière des médias mainstream. On le voit régulièrement s’exprimer sur les plateaux télé et nous débiter ses prophéties trop souvent contredites par les réalités du terrain ou de l’économie.

Il est difficile de mesurer l’opinion des militaires d’active en matière de politique étrangère et de politique intérieure sauf au travers des votes dans les villes de garnison. D’une manière générale, je ne crois pas me tromper en disant que les plus jeunes recrues qui agissent au quotidien, le nez dans le guidon, sont indifférentes à tout discours politique. Les gradés, eux, sont généralement conscients de la déliquescence du pays et votent en conséquence.

En dehors de quelques courtisans carriéristes, et encore, le président de la République, chef des armées, n’est ni aimé, ni estimé, ni respecté par une majorité des militaires d’active et encore moins par les retraités de l’Armée. Pour le charisme, on est loin de Bonaparte au pont d’Arcole… ou de Napoléon à Austerlitz. Cela laisse très mal augurer du résultat de l’aventurisme militaire « déclaratoire » macronien…

R/ Autre zone de conflit, le Proche-Orient. Vous avez participé à un voyage d’observation international en Syrie. Quel regard portez-vous sur la renaissance de cette nation martyre ?

Observons que le chaos syrien, comme le chaos israélo-palestinien, comme le chaos ukrainien ont tous les mêmes racines et les mêmes responsables : les néoconservateurs mondialistes et sionistes Israélo-US-UE. Il suffit de lire quotidiennement la presse israélienne pour se convaincre de l’implication directe et profonde d’Israël dans ces trois conflits.

La situation en Syrie est encore loin d’un retour à la normale, puisque ce pays est toujours bombardé quasi quotidiennement par Israël, seul pays au monde qui puisse bombarder ses voisins en toute impunité, depuis sa création, grâce à la protection du veto US à l’ONU. Les bouchers de Tel-Aviv poursuivent inlassablement leur œuvre de destruction de la Syrie. Si le président Bachar El Assad n’avait pas eu le soutien d’une forte majorité de son peuple, il y a belle lurette qu’il aurait été renversé.

Ce qui me frappe dans l’observation de ce peuple martyr, c’est sa résilience très comparable à celle des Palestiniens. Mais les narratifs mensongers dont la presse mainstream occidentale, sous influence sioniste, nous inondent quotidiennement se poursuivent. Heureusement, les populations du monde entier commencent à ouvrir les yeux. Nos médias et nos journalistes n’en sortiront pas grandis.

La Syrie qui a retrouvé sa place au sein de la Ligue Arabe et qui est aujourd’hui soutenue par l’Iran, la Russie, mais aussi par la Chine, va incontestablement connaître des jours meilleurs.

La capacité de nuisance des bouchers de Tel-Aviv aura forcément une limite. Espérons, pour eux, qu’il n’y aura pas un jour un gros retour de bâton, de la dimension de ceux que l’histoire a déjà connus…

R/ Que vous inspire l’épuration ethnique menée par Israël dans la bande de Gaza ?

Du dégoût ! Un immense dégoût ! Et même de la rage…

Dégoût que l’actuelle gouvernance nazie d’Israël puisse exercer un tel pouvoir de nuisance à la face du monde et d’un occident moralisateur sans la moindre réaction forte et efficace de l’ONU et de la communauté internationale. L’occident otanien y a perdu son âme et la crédibilité qui lui restait dans le monde.

Dégoût de la gouvernance US, sionisée jusqu’à la moelle, qui soutient et participe même directement en fournissant les bombes, au massacre des populations civiles palestiniennes et qui a trop longtemps bloqué toute initiative de paix au Conseil de sécurité de l’ONU.

Dégoût des gouvernances européenne et française, et des médias et journalistes aux ordres, eux aussi, sionisés jusqu’à la moelle, qui suivent la politique étrangère US, inspirée par Tel-Aviv, sans se poser la moindre question et qui préfèrent pleurer abondamment la mort naturelle (selon le chef des renseignements ukrainiens Boudanov)7 du délinquant Navalny que s’apitoyer sur la mort de plus de 32 000 civils palestiniens dont 80 % de femmes et d’enfants et sur le sort des 75 000 blessés répertoriés à ce jour.

R/ Comment voyez-vous l’avenir de notre pays dans les années décisives qui s’annoncent ?

Notre pays va connaître de grandes difficultés dans les toutes prochaines années. L’immensité de la dette qui n’en finit pas d’exploser sous la présidence Macron deviendra insupportable avec la hausse des taux d’intérêt liée au déclassement probable, en avril prochain, de la note de la France par les agences de notation.

Avec un déficit budgétaire programmé à 145 milliards d’euros pour l’année 2024, mais qui pourrait être bien pire et tangenter, voire dépasser le record absolu de l’année 2023, c’est une amputation de tous les programmes d’investissement pour l’avenir qu’il faudra réaliser dans les années à venir si la France veut éviter la faillite.

Par ailleurs notre pays aura fini de perdre, sous la présidence Macron et en raison de son arrogance, l’influence et les relations amicales qu’il avait encore en Afrique.

Au Proche et au Moyen-Orient, la France aura perdu toutes ses chances de pouvoir encore influencer les événements en soutenant ouvertement, cyniquement et inconditionnellement une gouvernance Netanyahou génocidaire.

La France est un Titanic qui s’ignore. Les citoyens français, passagers de ce navire en grande difficulté, pour ne pas dire en perdition, sont en trop large part anesthésiés par des médias complices du mondialisme et du macronisme. Ils continuent de chanter alors que le bateau coule, tant qu’ils ont encore « du pain et des jeux ».

On peut s’efforcer de leur ouvrir les yeux pour rétablir notre souveraineté et sortir de l’orbite délétère de l’OTAN et de l’UE, mais après tout l’électeur est maître du jeu. Il a toujours les dirigeants qu’il mérite.

On notera que la réalité du pouvoir en France est aujourd’hui clairement détenue par le petit gang de milliardaires qui contrôlent non seulement les médias mainstream, mais aussi les organismes dits de « fast checking » en charge, moyennant subventions, de décrédibiliser toute opinion dissidente en distribuant des anathèmes.

La caricature de ce genre d’officine est le site dit « Conspiracy Watch ». Créé par un jeune sayan quarantenaire, ambitieux, (encore un)8 très engagé au service du sionisme israélien et du mondialisme néoconservateur états-unien9, au point de choisir un nom anglo-saxon pour son site. Rémunéré par la Fondation pour la mémoire de la Shoah pour son travail, soutenu par Bernard-Henri Lévy, largement subventionné par l’État français10 pour promouvoir la seule vérité officielle en décrédibilisant la moindre dissidence, ce site décerne des diplômes de complotistes à tous ceux qui ne pensent pas comme le courant mainstream et les milliardaires mondialistes qui le contrôlent.

Le seul avantage de ce site est qu’il affiche clairement ses allégeances qui crèvent les yeux. Rudy Reichstadt a trouvé le bon filon et les bons maîtres, mais il pousse le bouchon tellement loin qu’il en perd toute crédibilité. Du haut de ses quarante ans, ce jeune homme qui n’avait pas 20 ans en l’an 2000 et ne connaît, in fine, pas grand-chose à la vie et à l’histoire qu’il n’a pas vécue, se permet de s’attaquer à des gens autrement mieux « câblés » et titrés que lui.

Alain Juillet, Caroline Galactéros, Éric Dénecé, Jacque Hogard, Henry Roure, Anne Laure Bonnel, Pierre Emmanuel Thomann, Thierry Mariani, mais aussi le journal Valeurs actuelles, TV libertés, et France Soir évidemment sont, entre autres, ses cibles de prédilection.

S’il devait y avoir « un changement de régime » en France dans les années qui viennent, soit pacifique, soit de nature révolutionnaire, il est clair que le nettoyage des écuries d’Augias devrait être entrepris, tant au plan politique qu’au plan médiatique et que l’avenir professionnel du sayan Rudy Reichstadt serait alors évidemment compromis… Mais ce serait une autre histoire…

R : Quelle est votre analyse sur la récente action terroriste de Moscou.

Il faut être prudent avant de désigner clairement un responsable dans cette affaire. Toutefois Vladimir Poutine qui est mieux renseigné que moi semble écarter la revendication ISIS, pensant qu’il ne s’agit que d’un paravent pour protéger les véritables commanditaires qui seraient liés au camp otano-kiévien. Il faut donc se poser les bonnes questions et tenter d’y répondre.

À qui profite une telle opération, menée à un tel moment ? Poutine vient juste d’être réélu triomphalement pour 6 ans quelques jours plus tôt. Toute opération de déstabilisation de sa personne et du peuple russe à ce moment précis profite clairement au camp otano-kiévien, bien davantage qu’à ISIS.

Il faut d’ailleurs rappeler qu’ISIS a été et reste un outil instrumentalisé par un duo fusionnel CIA-Mossad et parfois par le trio CIA-Mossad-MI6. En clair, une revendication avérée de l’action par ISIS ne nous révélerait pas forcément le vrai commanditaire.

Y a-t-il dans le mode opératoire des indices qui préciseraient ou excluraient telle ou telle piste ? La réponse est oui.

Les terroristes arrêtés fuyaient vers l’Ukraine où un chemin et des moyens d’exfiltration avaient été préparés. L’Ukraine n’est pas un pays dans lequel ISIS a pignon sur rue. Il y avait donc au moins des complicités ukrainiennes et très probablement le feu vert des sponsors de l’Ukraine, pour une action de cette ampleur.

Les terroristes ont stoppé leur action pour fuir sans vraiment terminer le travail. Ce n’est pas dans les habitudes d’ISIS dont les combattants ne craignent pas la mort et se battent jusqu’au bout.

Lors de leur interrogatoire à chaud, les terroristes n’évoquent jamais de motivations idéologiques, mais l’argent, ce qui désigne la piste du mercenariat plus que celle d’ISIS.

La précipitation et la coordination des médias occidentaux pour écarter la piste otano-kiévienne en chargeant ISIS me semblent hautement suspectes.

Le détail de toutes les autres fautes d’exécution de l’opération qui écartent la piste ISIS est donné dans un article très clair de Andrew Korybko qui met en cause le GUR ukrainien.11

Mon intime conviction dans cette affaire est que le trio CIA-MOSSAD-MI6 et le GUR ukrainien, qui ne reculent devant rien, ne sont probablement pas totalement étrangers à cet acte terroriste.

Dominique Delawarde




« Il s’agissait de conquérir l’esprit humain. »

Tucker Carlson : « Pourquoi, après qu’il a été démontré que le vaccin à ARNm n’arrêtait pas la transmission, les gouvernements ont-ils continué à l’imposer à leurs populations ? »

« Ce n’était ni une question de santé, ni une question d’argent », explique le Dr Michael Nehls.

« Il s’agissait de conquérir l’esprit humain. »

« Et c’est encore pire que cela [miner la capacité de penser] », poursuit-il.

« Si vous arrêtez cette production [de nouvelles cellules nerveuses] et que vous forcez l’hippocampe à mémoriser toutes ces histoires différentes, ces récits de peur, alors ces récits entreront dans le cerveau. Ils seront mémorisés dans l’hippocampe, mais à un certain prix : ils prendront le pas sur les souvenirs préexistants ».

« Ce qui se passe alors, explique Nehls, c’est que les récits, les récits de peur, les récits technocratiques l’emportent sur les souvenirs préexistants, sur l’individualité ou sur la personnalité, et la modifient. »

« Si c’est intentionnel, ce serait la chose la plus maléfique jamais faite », a répondu Carlson.

« Absolument », a répondu Nehls.

https://twitter.com/VigilantNews/status/1775365097625432463




Les MÉDIAS, monoculture IDÉOLOGIQUE et POLICE de la PENSÉE ?

[Source : Anti | thèse]

Myret Zaki est une journaliste économique suisse. Elle a notamment été rédactrice en chef du magazine économique Bilan de 2014 à 2019. Elle est l’auteur de plusieurs ouvrages liés à l’actualité financière, principalement suisse et américaine.

https://www.payot.ch/Detail/sans_diversite_de_vues_pas_de_journalisme_-myret_zaki-9782828921422

Sommaire :

  • 00:00 Intro
  • 02:37 Journaliste et éditorialiste
  • 04:01 L’art de la critique
  • 05:54 Le journalisme d’opposition
  • 07:12 Médias et complaisance envers les pouvoirs
  • 11:43 Sans diversité de vues, pas de journalisme
  • 24:59 Atomisation de l’information
  • 30:25 L’éducation aux médias
  • 34:27 Les conflits d’intérêts
  • 41:10 Julian Assange
  • 43:21 La guerre entre Israël et les Palestiniens
  • 54:52 La fin du dollar ?
  • 1:09:35 L’avenir de la Suisse
  • 1:15:19 Comment réformer l’économie ?
  • 1:18:44 Une guerre pour le contrôle des esprits
  • 1:26:09 Carte blanche — les consortiums de journalistes

Résumé entretien Myret Zaki

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Myret Zaki commence par faire le constat qu’il existe une certaine monoculture idéologique dans les médias traditionnels occidentaux.

Le déclin des démocraties occidentales s’accompagne du déclin des médias et des pratiques pluralistes. L’euphorie des Trente glorieuses est terminée. Certains journalistes considèrent que leur mission est de défendre l’Occident, afin d’éviter son déclin. C’est devenu une sorte de croisade du bien contre le mal. Dans les rédactions, des points de vue ont été sacralisés, jusqu’à en devenir dogmatiques (et ceux qui s’en éloignent sont mal vus). Exemple : l’OTAN a toujours raison, les USA sont une puissance bienveillante et démocratique ; L’Occident et le dollar continueront à triompher. Dire l’inverse, c’est prendre le risque d’être traité d’anti-américaniste. Comment cela est-il possible ? Par accointance idéologique essentiellement.

En Allemagne, beaucoup de patrons de presse sont intégrés dans des think tanks transatlantiques, par exemple (cf. Monde Diplomatique de mars 2024). Des étiquettes sont utilisées pour condamner ceux qui pensent différemment : « populiste », « extrême droite », complotiste »… Ces étiquettes ne sont bien souvent que des anathèmes pour défendre l’idéologie dominante. Or, le journalisme devrait avoir un esprit factuel et scientifique, en phase avec le crédo de Voltaire : la cohabitation pacifique de différents points de vue, et le combat contre les dogmes. La monoculture idéologique, en tant qu’obscurantisme à caractère néo-religieux, signe la mort du journalisme. Elle conduit un grand nombre d’individus à se détourner des médias traditionnels.

Quel est le secret de Myret Zaki pour rester critique dans le domaine public sans être ostracisée ? La critique est un art qui implique d’adopter certaines stratégies, en maintenant une base factuelle. Il faut être plus solide que ses adversaires et bien connaître leurs arguments. Il faut aussi utiliser les bons mots, car certains sont « prohibés ». Les prononcer, c’est prendre le risque d’être ostracisé ou traité de populiste. En économie, la critique du système capitaliste et de ses institutions reste encore mal vue. Pourtant, le journalisme d’opposition est le journalisme s’il veut être le quatrième pouvoir qu’il prétend être. Aujourd’hui, beaucoup de journalistes sont les relais des pouvoirs. Mais ce n’est pas du journalisme.

Comment expliquer cette complaisance des journalistes envers les pouvoirs ? Par la paupérisation du métier et le contexte sociétal général. Or, les médias ont une responsabilité sociale. Une mission et une utilité sociale. Cela impliquerait d’aller consulter des sources alternatives, d’être attentif au réel, qui n’est pas forcement reluisant et glamour. C’est d’autant plus important à l’heure où nos démocraties sont chancelantes et les grandes entreprises sortent gagnantes de toutes les crises (exemple de Rheinmetall, entreprise industrielle allemande, notamment d’armement, qui a explosé en bourse depuis le début de la guerre en Ukraine ; mais aussi les bénéfices gigantesques des pharmas lors de la crise Covid). Le journaliste doit servir le bien commun, c’est sa mission de base. Il doit comprendre que la société est faite d’une somme d’intérêts contradictoires, qu’il doit décrire aux citoyens avec le plus d’honnêteté possible.

À l’avenir, il y aura une multiplicité de canaux d’information (c’est déjà en partie le cas). Pour être informés des grandes actualités du monde, les citoyens devront donc se renseigner en créant leur propre playlist de chaînes alternatives ou de spécialistes à suivre (comme Seymour Hersh sur la destruction du gazoduc Nord Stream), parfois plus libres. Cela demandera une certaine maturité et donc une éducation digne de ce nom aux médias, qui inclut un esprit critique par rapport aux gouvernements, à l’histoire de leurs mensonges, par exemple lors de l’invasion américaine de l’Irak en 2003. Il faut être vigilant et vérifier les conflits d’intérêts potentiels, qui minent l’indépendance des médias. Les États et institutions internationales ne pourront empêcher ce développement, sauf à vouloir censurer les canaux d’information et réseaux sociaux (ce qui est arrivé par exemple avec Twitter), en violation de la liberté d’expression pourtant chère à l’Occident. L’intégrisme médiatique actuel devra mettre de l’eau dans son vin à mesure que le monde devient multipolaire.

Que penser du peu d’attention médiatique actuel autour de Julian Assange ? Il révèle que les États-Unis cherchent à garder l’opacité sur leurs opérations militaires. Le jour où des révélations chocs mettront au grand jour leur réalité, tout le soft power américain, véhiculé notamment par Hollywood, s’écroulera. Les États-Unis ne peuvent se le permettre.

La guerre entre Israël et la Palestine gangrène le Proche-Orient et le monde entier depuis 75 ans. Myret Zaki constate que les grandes familles ayant historiquement financé Israël ont beaucoup investi dans la tech américaine ces dernières années. Elles ont un peu délaissé le rêve de faire Israël le hub technologique du Moyen-Orient. Leur intérêt s’est émoussé, car la situation sur place est inextricable. Aujourd’hui, les hubs dans la région sont Dubaï, les Émirats ou l’Arabie Saoudite. Quelque chose a donc pris fin. Depuis le 7 octobre 2023, la tentative ultime d’annexion totale de la bande de Gaza est une fuite en avant, qui coûtera beaucoup à Israël. Myret Zaki dit connaître des personnalités juives en Occident qui ne soutiennent pas la guerre actuelle du gouvernement israélien sur la bande de Gaza. Israël se trouve aujourd’hui minorisé sur la scène internationale, et les médias devraient en parler de manière plus équilibrée et ouverte. Les pays arabes ne peuvent se permettre de déclencher une guerre contre Israël et les États-Unis. Ils appliquent une pression diplomatique et continueront de le faire. Il faudra bien un jour que les Palestiniens retrouvent une terre qui est la leur.

Dans la couverture médiatique de la guerre actuelle, les réseaux sociaux apportent des informations complémentaires bienvenues, qui ont fait basculer une grande partie de l’opinion internationale en faveur des Palestiniens. Beaucoup de gens sont aujourd’hui embarrassés de défendre Tsahal, qui mène une guerre très sale. Même Jacques Attali a critiqué l’action de Netanyahu. Les grands médias, comme à leur habitude, ont fait de l’officialisme » en s’alignant sur le soutien de la plupart des gouvernements occidentaux en faveur d’Israël.

La dédollarisation de l’économie. Beaucoup d’experts continuent à affirmer qu’il n’y aura pas d’alternative au dollar à l’avenir. Mais c’est souvent de la propagande pro-américaine, destinée à influence la perception globale pour que le dollar continue à être utilisé. Or, le groupe des BRICS+ est résolu à ne pas être dépendant de la monnaie américaine, qui se dévalue fortement à long terme. La part du commerce dans les autres monnaies augmentera. Avec les nouvelles technologies, le paradigme même de monnaie de référence unique n’a plus beaucoup de sens. Pour comprendre cela, il faut sortir du trou idéologique dans lequel l’Occident s’est enfermé.

Aujourd’hui, le dollar reste une monnaie de référence sur les marchés financiers (hautement spéculatifs), car les USA sont le pays qui émet le plus de dettes en dollar. Le dollar « commercial », en revanche, s’affaiblit très vite. La part des USA dans le commerce mondial diminue. Même le pétrole commence à être échangé dans d’autres monnaies que le dollar.

Quelle conséquence de la dédollarisation pour les USA ? C’est une normalisation historique, les USA deviendront un pays qui n’aura plus une influence prédominante dans le monde. Ils se régionaliseront (Amérique du Sud et Europe essentiellement). Il y aura une zone dollar, une zone euro affaiblie et une troisième zone avec d’autres monnaies émergentes. Ce rééquilibrage prendra du temps, car les USA utiliseront leur puissance militaire, indiscutablement supérieure, pour maintenir le plus longtemps possible la suprématie du dollar, qui sera donc conservé comme monnaie de référence de manière artificielle (c’est déjà le cas depuis plusieurs années), grâce à la planche à billets (dans un pur schéma de Ponzi). Les guerres actuelles contribuent à maintenir le dollar comme monnaie de référence. Le conflit en Ukraine est un test pour la suprématie des États-Unis.

À l’avenir, l’or restera une monnaie de réserve solide, car il ne se dévalue pas. L’étalon sera sans doute un panier de monnaies des puissances économiques émergentes, sur la base de leur commerce réel. C’est vers cela que les BRICS+ se dirigent. Les États-Unis lutteront contre cela via des campagnes de propagande et de désinformation.

Quel est l’avenir de la Suisse ? Une exception helvétique pourra -t-elle se dessiner à l’avenir ? Les conditions-cadres qui ont fait le succès de la Suisse ces 50 dernières années (neutralité, secret bancaire, industrie de pointe, etc.) ne seront plus présentes à l’avenir. Or, la prospérité de la Suisse reposait sur cela. Aujourd’hui, ce sont les Émirats et Dubaï qui deviennent des hubs pour les affaires. La politique étrangère helvétique est alignée sur celle de l’UE ou des États-Unis, ce qui nuit à ses échanges avec les pays du « sud global ». Depuis que des avoirs russes ont été gelés en Suisse, les fonds souverains étrangers hésitent à venir dans le pays.

Aujourd’hui, le public devient conscient que les médias dominants sont trop lénifiants envers les pouvoirs. Une partie des jeunes (la génération Alpha en particulier) sera sans doute plus politisée que nous. Ils acquerront une sensibilité très précocement, parfois en se radicalisant face à la réalité très dure que les réseaux leur montrent. Les rapports de violence, après avoir été sous-traités dans le reste du monde, sont importés en Occident, avec des tensions sociales. C’est un moment de vérité pour nos démocraties.

La guerre de demain sera cognitive, pour contrôler le cerveau des gens, sur les réseaux sociaux en particulier. Des armées de trolls viendront manipuler les opinions. Les plus fragiles et frustrés pourront être ainsi radicalisés. Quel contre-pouvoir pourra être opposé à cette guerre, afin de ramener ces nouvelles générations à la réalité ? Il faudra des armées de véritables « débunkers » pour désactiver les trolls. Il faudra aussi une éducation extrêmement pointue aux réalités des médias et de cette guerre cognitive.

Les consortiums de journalisme d’investigation, qui ont révélé les scandales de fraude fiscale, sont à prendre avec des pincettes. Les Swiss Leaks ont été révélés par l’OCCRP, une organisation basée à Washington et financée par des intérêts proches du gouvernement américain. Conséquence : ces « leaks » ne révèlent aucuns évadés fiscaux américains, seuls les pays faisant partie de « l’axe du mal » sont visés. Or, les plus grands paradis fiscaux sont aujourd’hui basés aux États-Unis (Delaware, Floride, etc.). Il s’agit, au fond, d’une guerre économique. Il faut en être conscient.

Sources :




Les résultats des prochaines élections européennes ont été truqués

Le salut est dans le Frexit.
Voter RN ou Reconquête, c’est voter UE !

En juin prochain auront lieu les prochaines élections européennes si d’ici là le monde n’a pas basculé dans le chaos suite à une décision des USA et de leur armée otanienne.

C’est avec émotion que je vous annonce ne plus être complotiste, je suis devenu médium et je vous annonce que les résultats seront faussés.

À quoi bon voter ?

Cette question est légitime en ce qui concerne les élections nationales. Il est évident que le mode de scrutin à deux tours mis en place par De Gaule et sans proportionnelle ne permet pas l’émergence d’une véritable opposition. L’objet était de mettre en œuvre une forme de monarchie républicaine.

Dans ce contexte il est quasi impossible pour un inconnu d’être élu député. Il faut la puissance d’un parti autorisé qui a le droit d’être médiatisé. Quant à Président de la République, c’est totalement IMPOSSIBLE.

Celles et ceux qui sont élus ne le sont uniquement parce qu’ils sont garants d’une absence totale de changement. Quand bien même le voudraient-ils, les traités européens empêchent toute marge de manœuvre.

En revanche il n’en est pas de même concernant les élections européennes où la proportionnelle est de mise.

Un vote « utile » pour des élections européennes ?

Les autres scrutins en France sont à deux tours et à la majorité. Celui qui obtient 50,0000001 % des voix remporte le pactole. Dans ce cas le « vote utile » peut avoir sa place :

« Je vais voter pour machin que je n’aime pas trop au premier tour, car mon candidat favori n’a pas la moindre chance de passer au second tour et je ne veux surtout pas que l’autre enculé gagne. »

Cet argument n’est plus valable pour les élections européennes qui sont à un tour et à la proportionnelle.

Pour les Européennes le seuil électoral est de 5 % ce qui signifie qu’une liste qui obtient à minima 5 % des voix aura à minima un député européen !

Alors oui un vote utile peut (et doit) exister, mais uniquement en favorisant une liste souverainiste plus à même de franchir la barre des 5 % !

Sondages et prospectives

Tous1 donnent environ les mêmes chiffres :

La somme des intentions de vote des partis de cette liste donne plus de 90 % des voix.

Pourquoi me suis-je borné à n’additionner que ces partis alors qu’il y en a d’autres ?

Pour la simple raison que tous affirment leur vassalité à l’égard de l’Union européenne et de son dictateur en chef, Mme Von Der Leyen.

Même les partis comme le Rassemblement National ou Reconquête ne prônent plus la sortie de l’Europe, de l’espace Schengen, de l’Euro, de la CEDH ni de l’OMS ou de l’OTAN. Ils nous parlent désormais de « réformer l’Europe de l’intérieur ». Nous avons bien vu le résultat en Italie avec Meloni qui s’est mise à genoux.

Ils ne parlent même plus d’interroger les Français par référendum sur la sortie de l’UE !

La stratégie du RN est devenue limpide, ils veulent parvenir sur la plus haute marche du podium et ceci n’est autorisé dans notre belle démocratie que si vous vous soumettez aux maîtres du monde partisans du Grand Reset.

Autant il était possible de jouer sur les ambiguïtés lors des précédentes élections européennes en disant que les électeurs qui votaient pour le RN étaient opposés à cette UE, autant ce n’est plus d’actualité, le parti étant devenu UE compatible.

Voter RN, Reconquête ou les autres partis des 90 % du sondage ce n’est pas voter utile, c’est comme voter Macron !

Il n’y a strictement rien de « vote utile » à donner sa voix au RN ou à Reconquête qui ne sont pas ou plus des partis souverainistes.

RN :

Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement National, a déclaré2 le 10 mars 2024 :

« Le Rassemblement national “ne défend pas le Frexit”. »

En ceci il a confirmé les propos du 29 février 2024 de Jordan Bardella3, tête de liste aux européennes et Président du Rassemblement National :

« Nous ne sommes pas pour le Frexit ni public ni caché. »

Voter Rassemblement National, c’est donc voter pour l’UE !

Reconquête4 :

« Pourquoi pas de Frexit, en huit points. »

Il est intéressant de lire leurs arguments qui sont les mêmes que les autres, « nous allons tous crever si l’on quitte l’UE. ». Dire que j’y croyais il y a quelques années.

Vous comprenez bien pourquoi je n’ai pas attribué les intentions de vote pour le RN ou pour Reconquête au Frexit, mais aux partis pro-UE !

LFI :

Tant que j’y suis citons LFI qui sont les champions du monde de l’hypocrisie et de la tromperie.

Ceux-ci parlent d’une 6e république, d’une nouvelle constitution plus démocratique tout en ne prônant pas le Frexit, condition pourtant indispensable pour retrouver une indépendance.

« Jean-Luc Mélenchon n’est pas sur la ligne du “Frexit”, mais ne renie pas complètement cette hypothèse. »

Ben tiens…

EELV5 :

« En tant qu’écologistes, nous défendons l’Europe par conviction de cœur et d’esprit. Parce que nous savons ce que l’idéal européen a apporté et l’espoir qu’il peut encore représenter aujourd’hui, mais aussi parce que nous mesurons, face aux défis économiques, sociaux, environnementaux et démocratiques de notre époque, au besoin de construire des règles qui permettront de lutter contre les inégalités et de répondre à l’urgence climatique, à quel point l’échelon européen est nécessaire et incontournable. »

Toujours aussi merveilleux d’entendre les plus grands dictateurs nous parler de démocratie.

PCF6:

« S’agirait-il alors de prôner une simple “désobéissance” ou un “Frexit” ? Nous ne partageons pas non plus ces discours qui n’ouvrent aucune perspective pour les peuples. »

Je vous fais grâce des autres comme le PS, LR ou Renaissance dont la vassalité vis-à-vis de l’UE n’est plus à démontrer.

En fait si l’on regarde le programme de tous ces partis, il y a deux camps qui se dessinent :

  • Les pro-UE telle qu’elle est et qui veulent accélérer la dictature.
  • Les supposés anti-UE qui font de la diarrhée verbale, des vendeurs de vent, des vendeurs d’illusion, des menteurs qui prônent une « nouvelle UE réformée de l’intérieur » alors que les institutions ne le permettent pas. Notez qu’ils nous la promettent depuis plus de 20 ans.

Houston, nous avons un problème7

Comment est-il possible que plus de 90 % des personnes qui s’apprêteraient à voter soutiennent encore cette Europe ?

Retour vers le futur :

En 2005 les Français se sont vus demander par référendum s’ils voulaient d’une Constitution européenne, s’ils voulaient abandonner une partie supplémentaire de leur souveraineté au bénéfice de l’Union.

À cette époque 54,68 % des Français s’étaient prononcés pour le « non ». Je suis d’autant plus libre d’en parler que j’avais voté « oui », pensant que cette constitution allait apporter plus de démocratie dans cette technocratie libérale européenne.

Pour autant la situation à l’époque n’était pas aussi catastrophique qu’aujourd’hui. Il était encore possible de parler ou de faire un peu rêver d’une Europe de « prospérité économique », de « libertés » et de « paix » sans éclater de rire, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

Notons que l’argument le plus fort était celui de la paix, grâce à l’Europe il n’y aurait plus de guerre et patati et patata.

Que nous disent les sondages actuels ?

On nous annonce sans froncement de sourcils que les votes pro-politique-européenne seront de 90 % tandis qu’il y aura au maximum 10 % de votes souverainistes !

De qui se moque-t-on ?

Pourriez-vous me dire où sont celles et ceux qui ont voté contre la Constitution européenne en 2005 ?

2005, 54 % de contre, 2024, 90 % de pour ?!

De plus en 2019, lors des précédentes élections européennes, le Rassemblement National avait fait 23 % des voix. Et en 2016 le discours du RN était tout autre8 :

« Marine Le Pen exulte et réclame un “Frexit”. »

« La présidente du Front national va faire du “Brexit” un argument électoral pour la présidentielle de 2017. »

Aujourd’hui le RN est à 100 % contre le Frexit, la soupe est trop bonne pour cracher dedans.

Est-ce à dire que ces 23 % d’électeurs qui approuvaient la sortie de l’UE sont désormais pro-UE au regard des sondages ?

Forte dégradation de la situation et du rêve européen

Nous avons :

  • Une Europe qui a imposé (liste non exhaustive) la dictature sanitaire, les masques, les confinements, le passe sanitaire, une extorsion de consentement pour une injection plus létale que salvatrice et aux effets secondaires interdits de médias. Pour une injection a été approuvée sous les SEULES données fournies par les laboratoires avec des contrats conclus à coup de SMS par une personne non mandatée pour cela et pour lesquels même les députés européens n’ont pas accès !
  • Une UE qui a détruit totalement l’économie à la fois par des traités de libre-échange sans la moindre contrepartie de pays aux normes sanitaires et sociales à des années-lumière des nôtres. De lois dites « écologiques » dont le seul objet est la destruction du tissu industriel européen, la destruction de l’agriculture et donc de notre indépendance. Sans compter la destruction de notre savoir-faire en matière de nucléaire alors même que les pseudo-écolo nous bassinent avec le fameux CO2 qui serait « mortel ». Sans compter toutes les normes désormais rétroactives (qui ne s’appliquent pas uniquement au neuf, mais aussi à l’ancien) sur l’isolation des habitations, les véhicules interdits de rouler alors que fonctionnant parfaitement et j’en passe. Normes qui peuvent être ajoutées au chapitre dictature.
  • Une UE qui finance la guerre à coups de milliards sortis d’un chapeau alors que dans le même temps le gouvernement français connaît un déficit abyssal qui devrait être comblé en supprimant des prestations sociales ou en augmentant des impôts. Europe qui n’emploie plus jamais le mot « paix », qui prône la défaite de la Russie et qui n’hésite même pas à brandir la menace nucléaire. Ces gens n’appellent plus qu’à la mort et à la misère. Ukraine, Palestine, etc., le seul mot d’ordre est « guerre totale » contre le « mal », quitte à envoyer nos enfants à l’abattoir.
  • Une UE qui détruit nos traditions, nos valeurs, nos religions, nos racines et surtout la famille. Qui cherche à nous faire croire qu’il n’y a rien qui nous cimente hormis notre consommation de biens. Une UE qui veut nous imposer le Wokisme, l’identité de genre, l’avortement à neuf mois de grossesse, l’apprentissage de la sexualité et de la masturbation dès la maternelle, la pédophilie avec le droit d’un enfant à consentir une relation sexuelle avec un adulte, l’euthanasie le meurtre pour tous les inutiles, vieux, malades, fous, pauvres… Un monstre, un psychopathe sans âme qui ne prône que l’individualisme et la réussite personnelle.

La dictature en marche, un avenir des plus sombres

Riez les normies lorsque j’écris que :

  • Les gueux devront présenter un QR-code pour sortir et rentrer dans leur quartier.
  • Ils n’auront plus le droit de posséder un véhicule ou si cher pour être « propre » qu’ils ne pourront plus se l’acheter et devront prendre des transports en commun.
  • Avec l’identité numérique et l’Euro numérique, ils pourront dépenser leur argent uniquement en fonction de « critères écologiques » ou de leur « emprunte carbone ».
  • Ils auront le droit de partir en vacances une fois par an, mais dans un rayon compatible avec leur crédit social et leur statut vaccinal.

Ricanez donc quand j’écris que seuls les riches, ceux qui posséderont des voitures « propres » et qui pourront racheter aux gueux du crédit carbone, pourront sauver la planète en partant en vacances en avion quand bon leur semble.

Que d’affirmations aussi gratuites que ridicules ?!

L’horrible réalité des faits

Je ne vous en voudrais pas de glousser à foison, néanmoins permettez-moi de vous rappeler les faits suivants :

S’il y a 20 ans je vous avais annoncé que dans l’avenir :

  • Tu pourras être assigné à résidence sans condamnation ni procès alors que tu es en pleine santé pour protéger la population d’un prétendu « virus ».
  • Tu auras l’obligation d’injecter 11 « vaccins » dès les premiers mois de la vie de ton enfant sans quoi il ne pourra pas fréquenter les collectivités « pour leur santé et pour protéger les plus fragiles ».
  • Des médias internationaux seront fermés du jour au lendemain « pour te protéger de la désinformation » et la censure sera activée sur les médias sociaux. Thierry Breton commissaire européen rédigera le DSA (Digital Services Act) dont l’objectif sera de lutter contre la « Haine, manipulation, désinformation, contrefaçons… Ces dérives touchent de plus en plus de contenus en ligne9 », bref ni plus ni moins que de la censure.
  • Tu n’auras plus le droit d’utiliser ta voiture, même en parfait état de fonctionnement, dans les grandes villes (et ailleurs) pour « protéger la planète ». L’objectif sera l’interdiction de vente de voitures thermiques en Europe dès 2035 alors que l’ensemble des pays non occidentaux verront leur parc de voiture à pétrole exploser. Le plus merveilleux est que ta voiture « propre » achetée pour jeter ton ancien véhicule tueur de planète sera à son tour interdite de circulation cinq ans plus tard au profit d’une autre encore plus propre qui elle-même subira le même sort quelques années plus tard.
  • Tu n’auras plus le droit de louer ton bien, même en informant le locataire, si c’est une « passoire thermique » puis tu n’auras plus le droit de le vendre ou de l’acheter pour « protéger la planète ». Seuls les grands groupes disposeront des ressources financières et des aides de l’Europe afin de faire disparaître un maximum de propriétaires individuels.
  • Toute dissidence, toute opinion contraire à la doxa te verra dénigré et exclu des médias mainstream.
  • Tu n’auras plus le droit de faire l’école à la maison pour tes enfants sans accord de l’administration et justifier les raisons pour « éviter les dérives sectaires ». En revanche tu devras accepter qu’on leur apprenne la masturbation et la possibilité de changer de genre.
  • Tu n’auras plus le droit de faire un feu de cheminée dans un foyer ouvert pour « sauver la planète du réchauffement climatique ». ni de brûler tes déchets verts, même les jours de pluie. Les chaudières à fioul ou à gaz devront être interdites.
  • Tu n’auras pas le droit d’aller au restaurant sans présenter un QR code prouvant ton statut vaccinal pour « protéger la population d’un virus ».
  • Tu devras présenter un QR code pour rentrer chez toi ou pour accéder à un quartier (épreuve JO) pour « empêcher un attentat » tandis que les autorités utiliseront la reconnaissance faciale pour ta sécurité.
  • Tu pourras être dénoncé et condamné si dans un cadre privé tu tiens des propos non autorisés10.

Et je ne vous parle pas de toutes les taxes inventées, citons la merveilleuse taxe d’archéologie préventive qui doit être payée pour des travaux de construction quand bien même il n’y aurait strictement aucun vestige dans votre sous-sol.

Étant donné que 100 % des affirmations précédentes se sont révélées exactes, qu’elles ne relèvent que du fait et non du complotisme, pourriez-vous prendre le risque d’affirmer que mes prospectives dictatoriales sont délirantes ?

Demandez-vous pourquoi l’UE et les États membres veulent tant de l’euro numérique sinon pour y associer un crédit social.

Dans ce contexte épouvantable, vous voudriez me faire croire que les gentils Français qui en leur temps avaient voté contre la Constitution européenne seraient devenus pro-européens alors que la situation empire chaque jour sous tous les fronts ?

Pensez-vous que les anti-constitution d’hier sont devenus débiles au point de croire que leurs malheurs sont liés à Poutine ou au « réchauffement climatique » ?

De qui se moque-t-on ?

Le Frexit11 ou la mort !

Je suis un partisan d’une UE des peuples et démocratique. Mais j’ai conscience que le machin mis en œuvre est exactement le contraire.

Force est de constater que cette Europe est pour l’instant mortifère et il n’y a de solution que de reprendre une souveraineté nationale.

Il n’est désormais plus possible de nous faire le coup d’une France isolée et pauvre face à une Europe forte et riche.

L’UE est morte, notre industrie est morte, les libertés sont mortes, la paix est morte, il ne reste qu’un champ de ruines. Quand la planète et surtout l’Asie parlent, (non pas parlent, mais agissent), de développement, de croissance, cette UE impose diminution des émissions carbone, diminution des consommations d’énergie, diminution de la production, diminution du nombre d’agriculteurs, diminution de la production de viande, etc. bref un modèle 100 % incompatible avec le monde économique.

Une économie qui ne serait basée que sur le tertiaire sans la moindre production relève de l’escroquerie.

Nous dire que seuls nous serions dans une situation catastrophique devrait faire rire quiconque a la moindre notion d’économie et regarde la réalité.

Voter pour un des partis qui font les 90 % du sondage c’est voter pour du vent,
pour du mensonge, pour de la tromperie et pour de la dictature.

De Lutte Ouvrière à Reconquête en passant par Renaissance, quel que soit celui qui arriverait au pouvoir aurait la même politique économique, migratoire, guerrière, dictatoriale et sociétale que les autres.

TOUT se décide au niveau de l’UE !

Les maîtres du monde n’en ont rien à faire de qui gagne ces élections parmi ceux-ci, au point qu’ils n’hésitent pas à arroser des partis de tout bord, car ils sont gagnants quoi qu’il arrive.

En revanche ils craignent le Frexit. Vous en avez la preuve absolue dans les médias qu’ils contrôlent : aucun invité pro-Frexit ; aucun débat pour ou contre le Frexit. Le silence total ou juste quelques phrases pour expliquer qu’il mènerait au chaos économique et à la dictature (fou rire dans la salle).

L’épouvantail du Frexit ne fonctionne plus

Si en son temps le Frexit passait pour une idée aussi délirante que mortelle, il ne faut pas oublier que le Brexit est passé par là. Et même si les médias ne manquent de nous rappeler que les Anglais vivent en enfer depuis, le fait est que le pays ne semble pas jonché de cadavres et de miséreux dans la rue et sans logement.

C’est bien ici que nous voyons que le « à quoi bon voter » s’effondre tel un château de cartes.

J’entends bien que le Frexit n’est pas une solution nécessaire ET suffisante, mais uniquement une solution nécessaire.

D’autant plus nécessaire que le projet des mondialistes est d’ajouter de nouveaux pays membres afin de rendre l’Europe de plus en plus ingouvernable d’un point de vue démocratique et de plus en plus administrée dictatorialement.

Entre le néant de l’UE et l’inconnu du Frexit, mon choix est fait.

À tous les résistants qui lisent ce texte, je dis que le Frexit ne relève pas de l’utopie, nous ne sommes pas plus cons et plus lâches que les rosbifs, si eux l’ont fait nous le pouvons aussi.

Et il y a bien une chose pour laquelle je suis certain est que l’abstention n’est pas de nature à cheminer vers le Frexit alors que le vote pour une liste pro-Frexit est une condition nécessaire (mais non suffisante) pour mettre en place les modalités.

Croyez bien que nos dictateurs ne proposeront jamais de mettre au référendum la question du Frexit si un fort mouvement populaire et politique ne s’impose pas.

Une opposition à l’UE de plus en plus marquée ?

Vous faites quoi des millions de Gilets jaunes, des millions de Français vent debout durant des semaines contre le passe sanitaire ou des agriculteurs qui ont bien compris que l’UE avait pour objectif de les tuer !

Sans compter qu’il y aurait environ 10 millions ou plus d’adultes qui ont refusé l’injection expérimentale.

Pouvez-vous imaginer qu’ils voteraient pour cette UE, pour un prochain abonnement à des injections létales successives ?

Toute cette opposition, partie émergée de l’iceberg se saurait être représentée par ces partis crédités de 90 % des voix !

Où sont passés les 54 % du référendum ?

Nous sommes dans une situation dans laquelle le nombre de Français opposés, déçus, ou trahis par cette UE n’a pu qu’exploser depuis les élections de 2005 et le coup d’État anti-démocratique.

L’IA me dit que 95 % des Français en âge de voter seraient inscrits sur les listes électorales et que cela représenterait début 2024 ce qui correspond à 49,4 millions d’électeurs adultes.

Il serait raisonnable de penser que nous sommes largement plus de 30 % pour ne pas dire plus de 50 % comme pour le référendum, à vouloir dire STOP !

L’occasion d’exister

D’aucuns diraient « à quoi bon voter » pourtant ils étaient 70 % à avoir mis leur bulletin dans les urnes en 2005.

L’adage « qui ne dit mot consent » est une réalité. Je ne vois pas en quoi les maîtres du monde seraient attristés par leur non-participation.

Je vous rappelle que les chiffres finaux sont donnés en fonction du pourcentage d’exprimés et que les absentions ne sont pas comptabilisées. Un vrai décompte dans une démocratie devrait permettre de laisser des chaises vides auquel cas il pourrait devenir intéressant de voir une assemblée avec 40 députés au lieu de 800. Mais ce n’est pas le cas ! Quand bien même l’abstention serait de 80 % (ce qui ne saurait exister) la somme des voix des présentés à l’élection serait quand même de 100 % !

En revanche si nous votons pour une liste souverainiste pro-Frexit, si cette liste obtient à minima 5 % et quand bien même le gars tête de liste serait un traître, nous n’en avons que faire !

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il sera possible de nous compter, nous serons des millions à avoir dit « NON ».

Il n’y a rien d’antinomique à voter lors d’élections européennes pour dire non à cette Europe.

C’est l’unique façon d’exister. Je vous rappelle que les journalistes mainstream, pardon les propagandistes mainstream, ne sont que des putes sans la moindre conscience et que si le camp des souverainistes se met à exister électoralement alors il existera dans les médias.

Pour revenir aux sondages.

Ne nous trompons pas, il est plus que probable que les sondages deviendront la « réalité » de l’élection.

Prenons une hypothèse pessimiste et même illogique au regard du rejet de l’institution européenne auprès de nombreux français.

Ignorons qu’ils soient de plus en plus nombreux à comprendre qu’un Président ou un Député français ne sont que des pions sans le moindre pouvoir et que les lois se décident (à minima) à Bruxelles.

Le taux de participation en 2005 était d’environ 69 %

Le taux de participation pour la dernière élection européenne était d’environ 51 %. Soit 8 % de plus qu’en 2014, cela laissant entendre que les Français semblent comprendre que seules ces élections peuvent peser.

Imaginons que ce taux demeure inchangé et que le différentiel de 18 % d’abstentionnistes par rapport au référendum de 2005 ne soit que des électeurs opposés à cette UE.

Supposons que les contre d’hier soient les contre d’aujourd’hui alors 18 % abstentionnistes + 10 % de souverainistes (selon le sondage), ne donnerait que 28 % contre l’UE.

Où sont passés les 55 % de contre de 2005, où ont disparu les 27 % (55-28) qui manquent ?

Ceci est une preuve du mensonge, laisser entendre que les partis qui veulent rester dans l’UE vont faire 90 % des voix aux élections alors qu’ils n’étaient que 45 % lors du référendum de 2005 relève de la république bananière.

Si les sondages actuels sont convertis en voix alors nous saurons que les élections ont été truquées comme en 2017.

Réveillons-nous, réveillons-les !

Il est d’autant plus difficile de truquer une élection que le nombre de votes à manipuler est important.

Le sujet n’est pas de savoir si les députés qui s’affirment souverainistes vont nous trahir ou pas.

En premier lieu parce que c’est leur faire un procès d’intention et qu’en deuxième lieu ce qui compte ce n’est pas ce qu’ils vont faire, mais le nombre d’électeurs qu’ils représentent.

En ne votant pas, nous ne sommes rien, nous n’existons pas dans les statistiques.

Ne pas voter pour une liste ostensiblement pro-Frexit
c’est laisser le tapis rouge aux mondialistes et à la dictature mondiale.

Il me semble difficile par la suite de se plaindre de la situation et je ne vois pas ce qu’il y aurait de formidable d’aller se saouler jours après jours dans un bar en hurlant « monde de merde, tous des pourritures, il n’y a rien à faire, nous sommes foutus quoique nous fassions ».

Même le français le plus ignorant nourri exclusivement à la bile des médias voit bien la guerre, la dégradation de l’économie, des valeurs et des libertés. Il suffirait de pas grand-chose pour qu’il comprenne (voyez les paysans) que l’UE est notre arrêt de mort.

Les médias censurent le sujet du Frexit, ils vont même jusqu’à dire que les Français sont majoritairement contre pour s’assurer que vous n’iriez pas dans la mauvaise direction.

Informez le peuple et il votera pour le Frexit à n’en point douter.

Voter pour une liste ouvertement pro-Frexit (Philippot, Asselineau, Lalanne, etc. à voir quel est le vote utile parmi celles et ceux qui font la promotion du Frexit) c’est planter une graine dont la forêt contraindra nos dirigeants à provoquer un référendum.

Au pire cela les contraindra à reconnaître que « l’UE est une dictature sur le modèle de la Corée du Nord », ce qui serait préférable à l’escroquerie actuelle laissant croire que nous sommes en démocratie sous censure et violation de nos libertés fondamentales.

Il serait quand même lamentable que la somme des listes pro-Frexit ne fasse que 5 % des voix alors même qu’ils sont plus de 30 %.

Merci.

Alain Tortosa12
28 mars 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240328-le-frexit-ou-la-mort.pdf





Le monde de l’Adversaire

[Source : larealitecacheedumondeactuel.com/@Révélation/infos révélation]

Par Patrick Cupillard








La destruction de la création

[Source : larealitecacheedumondeactuel.com/infos révélation]

Remarquez dans le passage … [de la Genèse], au verset [7:]22 : « Tous ce qui avait respiration, souffle de vie dans ses narines, et qui était sur la terre sèche ». Dieu a placé le « souffle de l’esprit de vie » dans Adam et Eve, dans toute l’humanité et dans toute vie. Le « souffle de l’esprit de vie » est l’énergie divine de la force vitale du Créateur, et c’est ce qui sépare ce que Dieu a créé des ordinateurs, robots, androïdes et l’Intelligence Artificielle, qui, malgré leur incroyable capacité à penser et à raisonner, n’ont pas la force vitale et « le souffle de l’esprit de vie » en eux. Ces machines de l’IA resteront sans âme, ce qui devrait terrifier leurs créateurs et toute l’humanité, car elles deviendront des êtres vivants tout comme les humains et posséderont de nombreux pouvoirs, mais, elles seront sans âme. La Parole de Dieu nous enseigne que Satan a ordonné à deux cents de ses anges déchus de descendre sur le Mont Hermon pour s’accoupler avec des femmes humaines et donner à l’humanité divers pouvoirs occultes et des sciences et technologies avancées.

Au-dessous du Mont Hermon se trouvait l’ancienne civilisation de Phénicie, dont les commerçants maritimes ont diffusé ces connaissances à travers le monde. Le lien entre le Mont Hermon et la Phénicie explique pourquoi le Nouvel Ordre Mondial est étroitement associé au mythique phénix, qui, selon certains chercheurs, est le symbole au dos du dollar américain, et non un aigle.

Lorsque Bacon prévoyait que l’Amérique serait à la tête du Nouvel Ordre Mondial et de la « Nouvelle Atlantide », il était conscient de ces thèmes. Le problème est que le Nouvel Ordre Mondial sera dirigé par l’Antéchrist, et la « Nouvelle Atlantide », selon Platon, est le modèle d’une société dirigée par une élite scientifique avec un héritage génétique remontant au Mont Hermon et à la Phénicie. Mais, le principal sujet de préoccupation est que, tout comme les espèces hybrides d’anges déchus et de femmes humaines ont produit une race sans âme, cette race sans âme possédait des technologies avancées et a initié le culte satanique et païen de Baal, Ashtoreth et d’autres dieux qui dominaient le pays de Canaan sous les géants Nephilim. 

Patrick Cupillard








La science cachée — La cause des maladies n’est pas les germes, mais le terrain

[Sources : @Amir et @RamolaDReports]

Robert Young et Andy Kaufman discutent [dans la vidéo plus bas] de leurs découvertes de la théorie révolutionnaire du terrain d’Antoine Bechamp après qu’il a examiné les cellules au niveau moléculaire et découvert que la maladie et la mauvaise santé découlent d’environnements internes malsains et acides, découvrant des fragments de vie granulaire au-delà des structures cellulaires, nucléaires et d’ADN qu’il a appelées « microzymas » (plus tard ou apparemment par coïncidence appelées historiquement « protits », « somatides », « bions » par d’autres scientifiques, similaires en fait, dit le Dr Andy Kaufman, aux cellules souches) dont des scientifiques comme Gunther Enderlein et Marie Bleker ont découvert qu’elles avaient la capacité de donner vie à des cellules saines ou à des bactéries et levures de différentes sortes dans des environnements acides, qui se forment principalement pour essayer de nettoyer les acides et les toxines, et qui peuvent reprendre la forme de cellules saines après le nettoyage des déchets toxiques dans un environnement alcalin approprié, selon un processus extraordinaire et fascinant jusqu’ici caché à la conscience du plus grand nombre par les « germologues »1 de la science moderne façonnée par la pharmacie : le pléomorphisme.

Cela suggère que les germes sont endogènes et naissent à l’intérieur de nous — et ne sont pas des micro-organismes solitaires existant à l’extérieur, attendant d’envahir et d’exploiter notre bien-être de manière opportuniste dans des vagues d’infection, de contagion, de pandémie ou d’endémie, comme le voudraient les virologues et les germologues.

Au contraire, la santé et la maladie sont déterminées par nos propres actions, pensées et attitudes — notre manque de nutrition, d’exercice, de repos et de restauration, de relaxation et ainsi de suite, et les contraintes toxiques qui pèsent sur nous — chimiques, radiations/champs électromagnétiques, environnementales, physiques, chacune produisant des bio-effets spécifiques, ce qui donne lieu, selon le Dr Young, à des environnements acides malsains à l’intérieur de nous, plongeant le pH de nos fluides interstitiels (fluide entre les cellules), vasculaires (fluide à l’intérieur des vaisseaux sanguins) et cellulaires (fluide à l’intérieur des cellules) à des niveaux dangereux et toxiques bien inférieurs aux niveaux de base optimaux dont ils ont besoin et dont nous avons besoin pour être en bonne santé et prospérer.

[NDRL Un autre équilibre à maintenir pour l’homéostasie est celui entre oxydants et réducteurs.]

Concept véritablement révolutionnaire, capable de renverser tous les concepts conventionnels et militarisés selon lesquels nos corps sont des champs de bataille et les germes des guerriers hostiles, le pléomorphisme offre une lentille magique pour observer la transformation des fluides et la totalité de la vie. Selon Antoine Bechamp, « Rien de ce qui est créé n’est perdu. Rien ne devient une proie pour la mort, tout devient une proie pour la vie ».

En outre, le Dr. Kaufman s’intéresse de près au concept erroné d’isolement des virus sur lequel les germologues se basent pour prédire la réplication des virus. La preuve de l’un ou l’autre de ces concepts n’existe pas, étant donné que ce qu’ils commencent par appeler « isolement » n’en est en réalité pas un : ils sont incapables de produire une forme spécifique finie à partir des débris d’expectorations ou d’échantillons de patients qu’ils mélangent en fait avec des cellules Vero (cellules rénales de singes africains malades) ainsi qu’avec des cellules fœtales, du sérum de veau bovin, du formaldéhyde, des antibiotiques et d’autres produits chimiques et toxines. Ils se fixent arbitrairement sur des débris contenant de la matière génétique non miscible (des morceaux d’ARN [ou d’ADN] enfermés dans des morceaux de membrane cellulaire) extraits des cellules, et les appellent « virus » qu’ils séquencent ensuite génétiquement en utilisant des processus d’amplification comme la PCR défectueuse. En aucune façon, scientifiquement, logiquement, raisonnablement ou autrement, ils ne peuvent dire qu’ils ont extrait un virus spécifique des expectorations d’un patient après les avoir soumises à ce processus de création de miasmes, comme l’explique le Dr Kaufman, et qui n’aboutit, selon le Dr Young, qu’à une « concoction de Frankenstein remplie d’éléments anatomiques aléatoires ».

Grâce à la présentation détaillée et variée des deux médecins, ce panel sur le terrain offre un tournant dans la compréhension publique de la santé et de la maladie, qui a été détournée jusqu’à présent par les virologues et les fabricants de vaccins qui soutiennent un paradigme malade axé sur le profit et dirigé par Big Pharma, et qui, sous l’égide des prédateurs et des abuseurs de pouvoir à l’OMS et au WEF, ainsi que des gouvernements mondiaux qui leur font des courbettes, s’est immobilisée en s’accrochant à sa valise inacceptable et absurde de Pandémie à jamais.

Contenu de la vidéo

  • 00:00:30 — (1) — cette vidéo « La science cachée, la cause des maladies n’est pas les germes, mais le terrain, pléomorphisme, Microzymas », Ramola D report 279 — 1er février 2022
  • 00:06:18 — (7) — Maria Bleker, (8) — Günther Enderlein — lire livre de Franz Arnoul « La clé du vivant » — Dr Robert Bradford
  • 00:08:23 — (10) — Rapport Carnegie — Flexner sur la médecine, sponsor Rockefeller
  • 00:11:11 — (11) — Kelly Brogan — “A mind of your own”
  • 00:11:20 — (12) —Nicholas Gonzalez
  • 00:25:44 — (13) — Livingston/Cryptocide
  • 00:29:56 — (14 +15 +16) — Mohammed, Coran, Hadith
  • 00:33:45 — (18) — Test PCR
  • 00:33:45 — (19) — Claude Bernard
  • 00:35:23 — (20) — Alexis Carrel
  • 00:36:15 — (20) — Coran, Bible,… Manuscripts de la mer morte
  • 00:36:30 — (21) — Esseniens
  • 00:38:52 — (21 b) — Faux régime sans sel
  • 00:43:51 — (22) — Wilhelm Reich et les Bions
  • 00:47:56 — (23) — Homéostasie
  • 00:51:10 — (23 b) — Rigor Mortis
  • 00:52:27 — (23 d) — Boîte de Pétri
  • 01:03:08 — (24) — Peter Duesberg — Inventer le Sida
  • 01:03:30 — (25) — Gain de Fonction
  • 01:04:15 — (26) — DL50, PEG
  • 01:07:19 — (27 +28) — Effet Corona, spike, outfection
  • 01:11:08 — (28 c) — Naessens, Enderlein
  • 01:11:19 — (29) — Antoine Béchamp — « Le Sang et son 3ème élément anatomique »

[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus,
L’homme qui rendait inutiles les transfusions de sang !,
Le mystère des microzymas et le polymorphisme microbien]



LIENS POUR EN SAVOIR PLUS

Dr ANDY KAUFMAN :

Site web :
https://andrewkaufmanmd.com/

Série de webinaires sur les mythes du COVID-19 :
https://andrewkaufmanmd.com/live-webinars/

DÉCLARATION SUR L’ISOLEMENT DES VIRUS :
https://andrewkaufmanmd.com/sovi/
[En français : Déclaration sur l’isolement des virus]

PODCAST RÉCENT AVEC DR. ANDY KAUFMAN :
Report 259: Andy Kaufman and Dr. Amandha Vollmer Expose COVID Vaccine Fraud & Science Deception (en anglais)
https://www.bitchute.com/video/8kVLIr5rqkeE/

DR ROBERT YOUNG :

Site web :
https://www.drrobertyoung.com/

Blog :
https://www.drrobertyoung.com/blog

PODCAST RÉCENT AVEC DR. ROBERT YOUNG :
Newsbreak 142 | BREAKING: Le Dr Young révèle que les vaccins COVID sont des armes biologiques intelligentes.
https://www.bitchute.com/video/ufDTR2WopE5p

RAMOLA D REPORTS :

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TROUVER DU CONTENU IMPRIMÉ/VIDÉO :
Site média et magazine : everydayconcerned.net


1 NDLR Ceux qui étudient la théorie des germes et ne l’ont jamais remise en question.




Les deux principales théories du complot sur l’attentat de Moscou

[Source : Chaîne officielle TVL]

Le dossier du jour sera une analyse des deux théories du complot concernant l’attentat de Moscou, l’une occidentale, l’autre russe.

Enfin, les pastilles de l’info aborderont :

1) Décryptage : La mort de Frédéric Mitterrand

2) Les ciseaux de la censure : La pression du pouvoir sur les médias

3) La grande occultation : Le gazoduc Nord Stream aurait été saboté par les Ukrainiens

4) Top ou Flop : Le point sur les élections européennes

5) L’idiot du village global : Audition de Yann Barthès à l’Assemblée

Pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l’OJIM sera consacré à l’immortel Michel Drucker, présent à la télévision depuis les années 1960.


Portrait piquant : Michel Drucker


Liens utiles :

OJIM : www.ojim.fr

  • 00:00 – 01:10 Sommaire I-Média 478
  • 01:10 – 02:11 La météo de l’info
  • 02:11 – 06:43 L’image de la semaine : l’africanisation de la France avec plusieurs actualités.
  • 06:43 – 18:40 Le dossier du jour : analyse des deux théories du complot concernant l’attentat de Moscou, l’une occidentale, l’autre russe.
  • 18:40 – 22:28 Décryptage : la mort de Frédéric Mitterrand
  • 22:28 – 26:12 Les ciseaux de la censure : La pression du pouvoir sur les médias
  • 26:12 – 29:47 La grande occultation : Le gazoduc Nord Stream aurait été saboté par les Ukrainiens
  • 29:47 – 32:25 L’idiot du village global : audition de Yann Barthes à l’Assemblée
  • 32:25 – 36:54 Conclusion et Portrait piquant :



Londres 2024 : George Orwell l’avait pensé, le Brexit l’a fait

L’arnaque du « Brexit » sans rupture avec l’OTAN — Dystopie bankstériste

La dystopie du Brexit : l’arnaque du siècle racontée par un brillant esprit et voyageur, Lionel Labosse. Londres hors de l’Europe est devenue le cauchemar orwellien prévisible sauce Rothschild. À transmettre aux couillons du Frexit qui veulent imiter le vil escroc Farage (qui travaillait pour un milliardaire du porno). Attention : il n’y a plus d’échappatoire possible. Et rappel : 30 livres le Fish and chips avec de la bière. Pour le reste, cauchemar numérique et soumission globale de la populace. Lionel écrit : « J’ajoute un élément de compréhension à mon article sur le pouvoir de la banque : “La richesse de la famille Rothschild est cinq fois plus élevée que celle des 8 plus grands milliardaires du monde combinés… le Royaume-Uni est à l’instar de la Chine et de la Palestine, un laboratoire privilégié de toutes les roueries du totalitarisme dystopique.” »

Nicolas Bonnal

[Source : altersexualite.com via PG]

Par Lionel Labosse — samedi 16 mars 2024

Après 5 ans de pause forcée depuis 2019, je suis retourné dans ma capitale favorite, Londres. Je m’attendais naïvement à admirer une capitale européenne enfin libérée par le Brexit du carcan mondialiste et rendue à la démocratie. Je suis tombé de haut. Comme le disait récemment un commentateur dont j’ai oublié le nom, et le média sur lequel il s’exprimait, le Brexit n’était pas chez ses promoteurs une volonté de fuir l’UE, mais de s’inféoder davantage à l’État profond étasunien. Je dirais même plus, aux banquiers qui ont toujours régné sur la City, cet État dans l’État. Je vais dans cet article d’abord rendre compte de mes observations & découvertes lors de ce 7e séjour à Londres, puis expliquer dans une seconde partie en quoi le Brexit a été selon moi une arnaque au bénéfice des bankstéristes, non pas pour nous dissuader du Frexit, mais pour nous avertir qu’un Frexit sans libération de la domination des États-Unis, et donc d’Israël, dont les États-Unis sont le « proxy » selon le mot du Gal Delawarde, serait un coup d’épée dans l’eau.

Choses vues à Londres post-Brexit

Le voyage commence dès la gare. J’ai pris des billets Eurostar à un tarif correct, et vu la faible différence de prix j’ai opté pour « Standard premier ». Mon objectif était la tranquillité et le confort ; mais j’ai été surpris de découvrir que nous avions un petit déjeuner ou un repas offert, que j’ai pris en photo à l’aller et au retour. Il y a, me semble-t-il, moins de trains dans la journée, et au retour, par le dernier train (départ de Londres à 20 h 2), le wagon « Standard premier » était vide à 90 %, ce qui m’a étonné. Je ne sais pas si c’est la saison (février) ou le Brexit, mais j’ai eu l’impression par divers signes que le tourisme a baissé. Les trains moins nombreux ou vides, la pancarte « vacancies » sur plusieurs hôtels, la baisse des tarifs des hôtels alors que tout le reste a augmenté, l’absence de file d’attente à la Tour de Londres, que j’avais renoncé à visiter pour cette raison lors de mes précédents séjours, voilà des signes objectifs, à nuancer bien sûr par la saisonnalité. J’ai pris un des hôtels de la rue Argyle, juste en face de la gare, avec vue sur la gare et un lit plus large et le même style de chambre et d’hôtel familial que je prends d’habitude, pour pas trop cher ; j’ai même eu l’impression que les prix avaient baissé, mais peut-être est-ce parce que les vacances de février sont la période la moins fréquentée.

Avant d’en passer aux critiques, je dois commencer par montrer ce qui saute aux yeux à Londres au premier coup d’œil quand on vient de Paris. Contrairement à ce que tente de nous faire croire la presse des milliardaires en France, le Brexit n’a pas entamé d’un iota la prospérité britannique, du moins pas plus que les autres économies d’Europe de l’Ouest n’ont été laminées par la politique criminelle des coronazis, hommes de main des banksters. Voici d’abord ma vidéo de comparaison entre Londres et la ville d’Annie Dingo, au ton ironique (mais qui n’aborde pas les points plus complexes qui constitueront la 2e partie de l’article) :

Je n’étais pas très éveillé à ces questions avant le covidisme, et si vous lisez mon article sur Londres vous pourrez consacrer que j’ai toujours apprécié les manifestations altersexuelles, du moment que cela stimulait l’esprit critique sans chercher à imposer un mode de vie. Ce qui me semble avoir changé, c’est qu’on est passé de provocations salutaires à un raz de marrée wokiste, omniprésent, dont j’ai constaté ou photographié des quantités d’avatars. Par exemple, la statue actuellement visible sur le fameux « 4e socle » de Trafalgar Square, nommée « Antelope » représente un militant panafricaniste, John Chilembwe, aux prises avec un méchant blanc. L’artiste a eu l’idée vraiment géniale, pour montrer la grandeur du gentil noir et la petitesse du méchant blanc, de faire en sorte que la statue du bon noir soit deux fois plus haute que celle du méchant blanc, et qu’il porte un chapeau, ce qui était interdit. Ça, c’est de l’art ! Allez, une grosse subvention… Et cet étalage wokiste a une fonction très claire, en soutien au fascisme des gouvernements occidentaux : effacer la mémoire de Julian Assange qui à ce même endroit proclamait en 2011 une vérité tellement salutaire, et qui, 13 ans plus tard, meurt à petit feu en prison en Angleterre, avec l’assentiment de la quasi-totalité des journaputes du monde occidental.

J’ai fait un tour dans les grands musées que je visite à chaque séjour, National Gallery, British Museum, Victoria & Albert Museum, et les deux Tate. Au V&A, on entre comme dans un moulin, par les deux entrées, sans le moindre contrôle de quoi que ce soit. Dans les autres, on jette vaguement un œil sur votre sac. En revanche, au British Museum, un directeur bien abruti a fait installer à grands frais une tente avec plusieurs préposés au coup de torche dans vos sacs, qui ne sert qu’à nous faire perdre du temps. Je l’ai prise en photo. Il est donc clair que les terroristes ont des goûts très éclairés en art. Dans tous les cas l’entrée reste gratuite, sauf pour les expositions, mais on est appelé à faire une « donation », et là, l’argent liquide est exceptionnellement autorisé (photo). Cette tente idiote n’existait pas à mon précédent passage, et de fait elle m’a dissuadé, car la bêtise m’énerve, et j’ai attendu l’avant-dernier jour pour une visite éclair. Mais le pire que j’aie eu c’est lors du spectacle Mrs Doubtfire. Là, c’était coup de torche et question insidieuse sur ce que j’avais dans mon sac. Quand on comprend que le prix élevé du billet rémunère aussi des métiers inutiles plutôt que seulement les pros du spectacle, c’est désagréable.

National Gallery

Bref, j’ai fait un tour à la National Gallery, où j’ai revu certaines de mes œuvres préférées. L’aile nord étant en travaux, les œuvres ont été redéployées et beaucoup sont rangées, mais le principal était là. Je n’ai pas été saisi par le wokisme dans ce musée. Dans ma salle préférée, j’ai remarqué que Le Christ contemplé par l’âme chrétienne de Vélasquez et Saint Jean à Patmos du même, dont j’avais admiré la juxtaposition, sont actuellement séparés par un petit Greco. Quelle drôle d’idée ! J’ai retrouvé les deux petites crucifixions que j’avais déjà repérées. J’ai admiré à nouveau Bacchanale devant un terme (1633) de Nicolas Poussin, dont j’ai photographié un détail, pour rappeler à certains orthosexuels de la résistance que ce ne sont pas les mondialistes actuels qui ont inventé un certain libertinage, qui semblait certes moins satanique à l’époque de Louis XIII que celui de nos pervers !

Bacchanale devant un terme (1633), Nicolas Poussin (1594–1665).
© National Gallery/Lionel Labosse

J’ai aussi photographié les morceaux de la version anglaise de L’Exécution de Maximilien (1869), d’Édouard Manet, et Baigneurs à la Grenouillère (1869), de Claude Monet, dont je connaissais mieux une variante intitulée La Grenouillère figurant dans le manuel scolaire que j’utilisais jadis pour les Secondes. Un Canaletto a attiré mon attention : The feast day of Saint Roch (1735), qui présente une mise en abyme de tableaux exposés sans doute à l’extérieur de l’église en question pour cette fête. J’ai photographié la Vieille femme grotesque de Quentin Metsys, que j’ai imaginé être un portrait flatteur de notre Première guenon Chibritte ! J’ai photographié un tableau de Piero di Cosimo, Bataille entre les Centaures et les Lapithes (1500-15), et un détail de ce tableau saisissant. La France est à l’honneur de ce grand musée, comme d’ailleurs de tout Londres. Une petite expo (accès gratuit) était consacrée au peintre français Jean-Étienne Liotard, et à son Déjeuner de la famille Lavergne, dont une version peinte était pour la première fois exposée à côté d’une version en pastel. Magnifique ! J’ai aussi photographié un Service à thé (1781). En 2019, c’était aussi un peintre français du XVIIIe, Louis-Léopold Boilly, qui était honoré de la même façon. C’est un peu normal, car la France est le grand pays européen le plus proche ; mais comme disait Emmacruel Nécron « Il n’y a pas une culture française » ! J’ai enfin passé un long moment devant le célébrissime Pluie, Vapeur et Vitesse de Joseph Mallord William Turner (dont je parle dans cet article), pour essayer d’apercevoir le détail du lièvre qui détale devant le train. J’ai pris des photos, mais je les ai supprimées, parce que c’est vraiment une tache indistincte, qu’on finit par entrevoir, mais je crois que le type fumait un peu la moquette. On voit mieux sur la photo proposée par le musée. C’est une tache marron clair sur beige foncé, sur la diagonale entre l’avant du train et le bord inférieur droit du tableau, à peu près aux trois cinquièmes, côté cadre…

La Tour de Londres

Le lendemain j’ai visité la Tour de Londres, monument que j’avais laissé de côté volontairement pour une prochaine visite, surtout parce que lors de mes dernières tentatives, la file d’attente était dissuasive. Cette fois-ci, j’ai fait 5 minutes de queue pour acheter le billet (sur place, même si on vous incite à le faire en ligne). C’est très intéressant et très long à visiter. J’ai remarqué que sur les 8 langues proposées par les nombreux panneaux explicatifs (ce qui rend la visite très agréable sans vous obliger à prendre un audioguide ou un truc en ligne), le français est la première langue. Peut-être à cause de Guillaume le Conquérant, le Normand qui fut roi d’Angleterre et construisit la Tour blanche, qui constitue le donjon de l’ensemble, au XIe siècle. Cela donne l’impression qu’on aurait conservé à Paris les vestiges de l’enceinte carolingienne du XIe siècle, et le palais romain qui occupa le site de l’actuel palais de Justice ! Vous pouvez admirer les corbeaux apprivoisés aux ailes rognées, que l’on perpétue selon une légende qui veut que leur disparition sonnerait le glas de la monarchie. La Tour blanche abrite un musée des armes et armures.

Outils de travail du bourreau de la Tour blanche, à Londres.
© Lionel Labosse

J’y ai photographié un bel objet qui m’a inspiré une pensée émue pour Jean-Brichel et son mari, à qui l’on peut souhaiter un destin digne d’Anne Boleyn. On conserve aussi une trace de la ménagerie royale, ancêtre du zoo, mais où les animaux devaient avoir des conditions de vie pas terribles. Les animaux servirent de cadeaux diplomatiques dès le XIIIe siècle, et la ménagerie fut ouverte au public au XVIIIe siècle jusqu’en 1835. J’ai photographié le billet pour garder trace du prix parce que, à part les hôtels, Londres est devenue hors de prix. 33,6 £, soit 40 € (voir infra) !

Victoria & Albert Museum

J’ai fait un tour, même deux, à ce musée, couplés à mes visites au Royal Albert Hall. Je l’avais déjà visité, seul, mais aussi avec mes parents, en 2012, je crois (1er voyage d’une série avec mes parents). D’ailleurs les larmes me sont venues aux yeux en voyant un monsieur plus jeune que moi avec un plus vieux, deux gouttes d’eau, comme mon père et moi au même endroit naguère. Donc, on y entre comme dans un moulin, car les terroristes ont annoncé qu’ils ne feraient pas d’attaque à cet endroit. J’ai photographié quelques sculptures. Albert Einstein par Jacob Epstein en 1933 est un must, non loin de Crouching Youth (1934), de Winifred Turner. J’ai apprécié aussi Le Pr Raoult châtiant Véran & Attal avec une mâchoire d’âne (1749), par Vincenzo Foggini.

J’ai apprécié le restaurant du musée où pour une somme raisonnable comparée aux prix en ville, on peut se régaler de plats cuisinés. J’ai aussi apprécié leurs W.C. customisés, tous décorés aux couleurs du musée, avec des œuvres différentes dans chaque cabine reproduites en carrelage. Dans l’aile Sud, on a une succession de salles consacrées à « The Rise of France » (l’essor de la France). J’envisage un exercice scolaire : transposer ce panneau en 2024 ! J’ai photographié un instrument bizarre qui s’appelle crénequin ou cranequin, qui sert au cranequinier à remonter la corde de l’arbalète. En peinture, j’ai apprécié Seed tile, de John Frederick Herring (1854-56), qui représente, je pense, les semailles par des procédés mécaniques et une traction hippomobile dans une exploitation très riche. Les lecteurs de M&mnoux savent que rien qu’un cheval dans la campagne du XIXe siècle, c’était déjà une rare richesse pour un paysan ; et là vous en avez 12 dans la scène !

Je suis tombé sur une photographie de la construction de l’Opéra de Paris (Garnier) entre 1864 et 1867, par Louis-Émile Durandelle, de l’atelier Delmaet & Durandelle (Delmaet étant mort en 1862). Reportage fascinant qui montre les ouvriers travailler sans protections. Aujourd’hui, on tombe dans l’excès contraire, même si le bâtiment reste un domaine où les accidents du travail sont nombreux. C’est aussi un des nombreux exemples de cette fascination de Londres pour Paris, qui à cette époque, étaient rivales. J’ai aussi admiré une série de chronophotographies d’Eadweard Muybridge, évoqué dans cet article. Dans une salle était projeté un film de performance de trois créatures trans, avec un concept woke comme quoi ces personnes seraient victimes de l’Intelligence artificielle qui leur ferait subir je ne sais quelle torture sans doute « dignedézeurléplusombrdenotristoir ». Il s’agit de The Zizi Show de Jake Elwes. Ah bon, je suppose que la performance était subventionnée par M. Sam Altman, PDG de Chat GPT et n° 1 au classement 2023 des personnalités juives les plus influentes du Jerusalem post, pour montrer à quel point son automate est respectueux des droits des animaux humains palestiniens, euh non, pardon, des personnes trans ! Au moment où je suis passé, un groupe de 4 femmes trans regardaient la vidéo, oh pas des trans du show-biz, mais des trans de la rue comme j’ai pu en connaître. Elles ne manifestaient aucune réaction face à ce spectacle ridicule qui les instrumentalise. J’aurais bien aimé leur demander leur avis, mais mon manque de maîtrise élémentaire de la langue de Boy George aurait pu me faire commettre un impair. Ma meilleure trouvaille de cette nouvelle visite est une crucifixion, détail d’un retable en bois du XVIe siècle.

Détail d’un retable (1527-33) attribué à Giovanni Angelo & Tiburzio del Mainok, Victoria & Albert Museum.
© Lionel Labosse

Zoo de Londres

Je n’avais jamais visité ce zoo, qui est pourtant « le plus ancien zoo scientifique du monde » selon Wikipédia. On peut y admirer des mosaïques, et l’ancien « Penguin Pool », un vestige typique du style international dû à Berthold Lubetkin, heureusement abandonné pour « Penguin Beach », vaste espace peu spectaculaire, mais sans doute plus agréable pour nos amis pingouins ! Côté arts, j’y ai aussi photographié une couple de bousiers aux prises avec leur boule de bouse, statue de Wendy Taylor, photo que je dédie à nos amis « fact-shakers », Rudy et Julien notamment ! Le zoo a la particularité de permettre une immersion dans le monde animal, avec par exemple le pavillon des papillons, que l’on peut admirer sans barrière, avec une écloserie à chenilles et une vitrine de cocons. Tous ces pavillons sont protégés par des sas censés empêcher les animaux de sortir. On peut donc admirer des singes, des oiseaux, des fourmis et des araignées (là, beaucoup de gens restent dehors !) Dans le pavillon des oiseaux, on observe de près le Goura de Victoria, ou « Victoria crowned pigeon » pour les intimes. Le pigeon anglais vous a quand même une autre allure que le mougeon français ! C’est devant ce « Blackburn Pavillon » que j’ai filmé l’horloge aux oiseaux, magnifique réalisation manufacturée sans doute commandée par informatique, mais qui nous rappelle ce que l’artisanat peut encore nous proposer de merveilles. Le spectacle dure 1’30 et se répète toutes les 30 minutes.

La cage des tigres m’a scotché, il y en avait carrément 4 exemplaires, et on pouvait les voir s’amuser avec des boules de polystyrène ou se taquiner. Les lions étaient plus hiératiques, un mâle et une femelle dans un 300 m2 avenue Foch ! Chez les gorilles, c’était extraordinaire, car dans les jours précédents il y avait eu deux naissances, et l’on pouvait entrevoir l’une des mères en train d’allaiter. Une autre femelle s’employait à montrer clairement qu’elle n’était pas une Chibritte ! (photo). L’autre édifice surprenant du zoo est le « Snowdon Aviary » (ouvert en 1965), immense volière qui semble flotter dans l’air grâce à des prouesses de l’architecte Cedric Price et de l’ingénieur Frank Newby. Actuellement elle abrite des singes, mais c’est du gâchis pour un tel espace, il y en avait un paquet qui s’épouillaient dans un coin. On devrait y mettre le gouvernement Macron et la guenon ! Il y a aussi des attractions sympathiques pour les enfants, démonstrations d’oiseaux, etc. Il manque certaines stars des grands zoos, puisqu’on n’a qu’un seul des « big five », ni ours polaire ou bipolaire… mais c’est un grand zoo et un must. Je n’ai pas fait la queue pour rentrer, sans acheter de billet en ligne.

Tate Britain & Tate Modern

J’ai fait un tour rapide à la Tate Britain. Je voulais revoir la sculpture en albâtre de Jacob Epstein Jacob et l’ange, qui n’en finit pas de m’émouvoir. Hélas, ma statue préférée a disparu de l’exposition permanente, même si elle est toujours sur le site. L’employée à qui j’ai posé la question dans mon anglais niveau 5e n’a pas pu m’en dire plus ; elle ne sait pas. On ne pouvait pourtant pas ne pas la voir ! Mais il faut laisser la place à l’art woke ! Sinon, j’ai revu sans surprise mes autres œuvres favorites dont j’ai déjà parlé dans l’article ci-dessus. J’ai remarqué et photographié une peinture qui ne m’avait pas encore frappé : Bronze Ballet (1940) d’Edward Wadsworth, qui représente le port du Havre pendant la Seconde Guerre, avec des hélices qui semblent danser.
Côté Tate Modern, c’est comme à Beaubourg, l’exposition est régulièrement renouvelée de fond en comble. J’ai remarqué une toile de grand format d’André Fougeron, Civilisation atlantique (1953), peinture dénonçant le colonialisme avec un engagement communiste du peintre. Pour le reste, 90 % de la collection permanente que je connaissais est rentrée dans les cartons, au profit d’innombrables œuvres wokistes… mais pas de Premier dame de France au service 3 pièces ; et bien entendu pas une seule œuvre consacrée à la Palestine, à l’Ukraine, au covidisme, à rien qui nous importe. Eh oui, l’art officiel vit de subventions, meurt de liberté ! Là aussi, je n’ai pas revu une des œuvres phares de ce musée, la Femme qui pleure de Picasso. Est-elle visible dans un autre pays pendant ce temps ? Au fait, il paraît que Salvador Dali aurait peint une Amanda-bite conservée dans un coffre des Rothschild !

Royal academy of arts

Je suis passé à la Royal Academy of Arts où lors de mon précédent séjour j’avais apprécié l’exposition « The Renaissance nude ». Dans la cour, énième œuvre wokiste, mais d’une grande qualité technique : The First Supper, de Tavares Strachan (né en 1979 aux Bahamas). Du talent, bien sûr, mais est-ce le seul thème intéressant en 2024 ? Panem & circenses ! J’ai payé plein pot pour voir une exposition en réalité minuscule (2 salles !) intitulée « Impressionists on Paper ». Magnifique ! J’ai admiré In the Cab (1880-83), de Giuseppe de Nittis et un dessin de Van Gogh (ci-dessous) sur les fortifications de Paris. Il y avait aussi un de ses dessins d’académie, peu caractéristique de son style. Un dessin préparatoire de Georges Seurat pour la Baignade à Asnières, laquelle est un des fleurons de la National Gallery.

Les Fortifications de Paris, Vincent Van Gogh, dessin, 1887.
© WikiArt

British museum

J’ai fait un tour rapide au British museum. La file d’attente m’avait dissuadé. Lors de mes précédentes visites on rentrait comme dans un moulin. Ils ont installé une grande tente sur le côté, enfin j’en ai parlé ci-dessus. Tout cela ne sert qu’à gaspiller du fric (alors que l’entrée reste gratuite). À l’intérieur il n’y avait pas tant de monde, donc pourquoi créer ce goulot d’étranglement qui fait perdre énormément de temps ? J’ai remarqué une scène modelée représentant un étranglement rituel en Inde, appelée « Thugee », datée 1857 (voir l’article Thug). Cela ressemble au fameux coup du père François, macron qui vous embobine aves ses lois sociétales à la con, pendant que les députés traîtres de la fausse opposition vous étranglent et vous font les poches. J’ai photographié à nouveau des plats romains en argent du 3e siècle avec svastikas, mais j’en avais déjà parlé lors de mes précédents voyages. J’ai aussi remarqué une « Reducing machine », 1824, France, qui ressemble à celle-ci.

« Thugee » (1857), British museum.
© Lionel Labosse

Autres balades

Je suis retourné à Greenwich, où j’ai visité le Musée maritime (gratuit). Photos de figures de proue et d’un triskèle, marque de baptême d’un navire. Je voulais parcourir « The Line », un chemin agrémenté de sculptures, mais je me suis planté entre les différentes stations nommées « Greenwich » quelque chose, et je n’avais plus le temps. J’ai parcouru à nouveau le souterrain sous la Tamise, signalé par deux dômes d’entrée. Il est théoriquement interdit d’y rouler à vélo, mais de nombreux livreurs Uber le parcourent. Je me suis d’ailleurs trouvé coincé dans l’ascenseur à la sortie, avec des livreurs qui semblent y être habitués, obligés de se fader l’escalier pour remonter avec leur vélo électrique de 30 kg ! J’aurais dû commencer par le nord, où « The Line » part de la tour Orbit ou « ArcelorMittal Orbit », une structure entre la sculpture et la construction (voir ma vidéo au début de cet article). Les Rosbif ont eu cette idée tardivement pour les JO de 2012, mais cela reste un monument emblématique de Londres, avec « le plus grand toboggan du monde ». Elle se situe juste en face de l’Aquatics Centre construit par Zaha Hadid, qui reste à Stratford (au nord-est de Londres, accessible en zone 2-3 du métro) un site intra-muros majeur. Je montre dans ma vidéo que ce site olympique excentré est un quartier résidentiel correct, où l’on se promène en toute quiétude, à comparer avec l’immonde cloaque dans mon quartier à Paris où les cloportes qui dirigent cette ville ont foutu le « Adidas Arena », seul site olympique pérenne construit sur Paris intra-muros. La comparaison nous donne une honte éternelle.

Dans le quartier de South Kensington, où se situe le musée V&A, le lycée français, l’ambassade de France (avec le torchon européen à côté du drapeau national, comme l’ambassade d’Italie, alors que l’ambassade d’Irak arbore le drapeau palestinien [photos]), bref un des nombreux quartiers riches de la ville, comme je cherchais un banc pour manger mon sandouiche, je me suis rendu compte qu’il n’y en a pas, et que les jolis squares du quartier sont tous privés (photo). Eh oui, les riches n’aiment pas que les pauvres s’installent chez eux… S’ils viennent à Paris pour les JO ils vont faire une crise cardiaque ! Mais « le Brexit a entraîné le pays au fond du gouffre » ! À Hyde Park j’ai admiré d’énormes camélias en fleurs, ce qui m’a inspiré l’envie d’en acheter un petit pour mon balcon. Toujours les canards à St Jame’s Park, où j’ai raté la relève de la garde. Comment cette ville peut-elle rester aussi belle alors qu’ils ont fait de Paris une poubelle ?

Manifestation pro-palestinienne, Londres, 17 février 2024.
© Lionel Labosse

Un matin, j’avais perdu mon bonnet. Londres étant la seule ville au monde où j’eusse déjà perdu un bonnet (acheté au Pérou et que j’adorais), j’ai cru à un complot judeo-maçonnique, d’autant que juste avant de le perdre, j’avais pris un selfie avec une affiche pro-palestinienne, vêtu dudit bonnet, pour une association. Je suis retourné au Royal Albert hall où il était envisageable que je l’eusse perdu lors du spectacle Alegria. Et c’est là que je suis tombé sur une manifestation pro-palestinienne, dont j’avais vu des préliminaires partout en ville depuis le matin. Pas de complot judeo-maçonnique donc, sauf que j’ai tapé trois fois « pro-palestinienne », 4 même, sur mon smartphone, et il refuse de l’enregistrer et de me le proposer… là il y a complot, non ? Bref, vous verrez dans ma vidéo que c’était une manifestation énorme, avec des méchants musulmans au couteau entre les dents (et même des gens normaux !), et que tout se passait bien, dans le plus grand calme, sans que des nervis juifs d’extrême droite ou des blackblocks n’agressent les manifestants, et pas la queue d’un flic à l’horizon. Notre tyran devrait passer un coup de fil à Rishi Sunak pour lui apprendre comment on s’y prend pour rendre impossible le droit à manifester.

Devant le parlement, il y avait quelques femmes « militantes » sans doute bien payées par les milliardaires, avec des panneaux pour évoquer les otages (propagande pour le génocide en fait, soyons clair), là aussi sans problème. Je leur ai dit ma façon de penser dans mon anglais niveau 5e… « Just stop genocide ». Enfin, cela n’intéressait personne, et il y avait mille fois plus de monde à la manif pour Gaza, mais au moins tout se passait dans le calme. Sur Parliament Square, j’ai photographié la statue de Millicent Fawcett la suffragette, dont je dédie le slogan aux complotistes. « Courage calls to courage everywhere » (« Le courage appelle le courage partout »). La statue a été installée en 2018, et je ne l’avais pas encore vue.

Millicent Fawcett (1847-1929) « Courage calls to courage everywhere ».
© Lionel Labosse

Londres est aussi réputé pour l’art de rue. Dans le quartier de Shoreditch, j’ai photographié un lettrage immense « I don’t like this anymore », et auprès du Zoo, « Art Lovers », une peinture murale de l’artiste Bambi qui a droit à une notice Wikipédia.

« Art Lovers », peinture de Bambi, Londres, Regent’s Park.
© Bambi/Lionel Labosse

J’ai fait ce petit film au ton quelque peu ironique (voir au début de l’article) pour comparer Londres et Paris. J’ai filmé dans le désordre et monté dans l’ordre. Quand j’ai filmé les deux séquences de Paris, il pleuvait et donc je n’ai pas eu droit à la foule de zombies à laquelle je m’attendais, et puis il semble que les édiles, qui nous importent des « migrants » par milliers pour alimenter la mafia, fassent plus ou moins le ménage, parce que si nous on peut supporter ça, les touristes des JO méritent qu’on glisse un peu cette poussière sous le tapis… Le problème est que le tas de poussière est désormais dix fois plus grand que le tapis. Vous constaterez la différence entre les deux gares, du Nord et Saint-Pancras, enfin leur environnement surtout, car en tant que telle je n’ai rien contre l’architecture de la Gare du Nord, sauf que le touriste londonien qui débarque comprend tout de suite que Paris est une ville du Tiers-Monde. J’ai filmé aussi une concession Ferrari dans le quartier de Green Park. J’étais passé devant 3 Ferrari garées dans la rue. J’ai compris quand je suis tombé sur le nid juste à côté. 500 m plus loin c’est Porsche, etc. Dans le magnifique square d’où j’ai filmé, pas une tente de migrant, pas un clodo, pas un drogué… Mais le Brexit a provoqué la faillite du pays ! Le seul truc que j’ai trouvé casse-couilles dans la ville (mis à part le gros dossier par lequel je terminerai l’article), ce sont les innombrables tuk-tuk qui proposent leurs services dans les quartiers touristiques, avec la musique à fond pour attirer le pigeon. Et dans le métro, vous avez aussi des messages sonores insupportables, mais d’un seul type (je ne me souviens plus, mais disons la sécurité), et pas la propagande sur les « coups de chaud » en janvier, le « harcèlement sexuel » comme on les subit à Paris. Sinon, j’ai photographié un nouveau modèle de bus londonien à deux étages. À cause du Brexit, ils en sont réduits à avoir des planchers en parquet, et des sièges en velours rouge, alors que nous les Parigots on a du plastoc. Vive Annie Dingo !

Au royaume de la comédie musicale

Mrs Doubtfire

L’un des grands attraits de Londres est la quantité de spectacles de grande qualité qu’on peut y voir. J’y ai mes habitudes en comédies musicales. J’essaie de choisir des spectacles que j’ai une chance de comprendre. Cette année, j’ai choisi Mrs Doubtfire, adaptation du film lui-même adapté du roman jeunesse Quand papa était femme de ménage, d’Anne Fine (1987). Magnifique spectacle, comme toutes les comédies musicales de Londres. Je l’ai déjà dit dans mon précédent article sur Londres, mais il faut insister. Dans cette ville existe une industrie particulière, prospère, spécifiquement consacrée à ce type de spectacles. Chaque soir, dans chacune de ces salles qui sont toutes des chefs-d’œuvre d’architecture (voyez ma photo de la sortie du spectacle à la salle de Shaftesbury), des centaines de personnes viennent en famille et se ruinent pour assister à un spectacle vivant. Pour ce spectacle, j’ai compté 22 comédiens sur scène, sans oublier les musiciens et tous les employés (moins les fouilleurs de sacs, totalement inutiles & nuisibles au plaisir). Tous ces gens contribuent à la prospérité de Londres. La distribution inclut, comme beaucoup, 3 enfants, sans doute doublés ou triplés pour respecter la loi. Ces enfants apprennent le métier et perpétueront la tradition. N’en déplaise à Elon Musk, il faut souhaiter que malgré la fameuse « Intelligence » artificielle, rien ne remplace le plaisir d’assister à des performances d’êtres humains qui se défoncent pour produire ces spectacles vivants.

En ce qui concerne la pièce, la situation est complexe. J’avais signalé un défaut du livre édité en 1987 et soumis à la Clause 28 de sinistre mémoire. Mais la situation s’est retournée comme une crêpe depuis lors, et maintenant, ce n’est plus l’État qui persécute les altersexuels, mais les faux LGBT à la Soros qui cassent les couilles à tout le monde. Alors au lieu de développer quelques scènes amusantes, mais subtiles et non provocatrices où le personnage serait titillé par son changement de sexe, les scénaristes ont introduit artificiellement une dose insupportable de wokisme à tous les étages. Le protagoniste a un frère gay caricatural qui lui procure le travestissement. Là, je suis d’accord, c’est plus plausible que dans le roman, et c’est sans doute à cause de la Clause 28 que l’auteure avait inventé que le frère était prothésiste, OK. Mais pourquoi coller subitement un enfant à ce couple gay, avec une tirade wokiste sur les enfants qui ont tous des familles différentes, bla, bla, bla ? Message avec lequel je suis d’accord en principe bien sûr, mais là ça fait trop, c’est téléphoné, c’est comme du placement de produit idéologique.

Ce délire n’empêche pas que la pièce m’ait profondément ému parce que le socle reste présent, et le socle, c’est un père désespéré parce qu’on l’empêche de voir ses enfants suite à un divorce, et prêt à tout pour les retrouver. Le travestissement a un sens non pas militant à la mords-moi-le-nœud, mais dans le fait que, prenant le rôle d’une femme, il se rend compte qu’en tant qu’homme il a mal agi et n’a pas été capable de comprendre sa femme. Le motif reste dans la pièce, mais c’est gâché par le collage de l’indigeste propagande LGBT wokiste qui noie le message sous le catéchisme de cette nouvelle religion hégémonique.

Moulin Rouge

J’étais très attiré par ce spectacle, adapté non pas d’Offenbach ou du film de Jean Renoir ou même de John Huston, mais basé sur le film musical éponyme de Baz Luhrmann (2001), que je n’ai pas vu, mais qui se trouve sur la liste du BO pour le thème Paris, ville capitale ?. Si j’ai été époustouflé par les qualités techniques et musicales du spectacle, du niveau inégalable de la scène londonienne (et new-yorkaise en l’occurrence), la trame m’a laissé indifférent. Le Paris de la pièce est une ville de carton-pâte, chromo suranné maintenu en coma artificiel pour exciter la rémanence du souvenir d’une ville attirante. Cela se passe à Montmartre, avec un scénario calqué sur La Dame aux camélias. Un élément de décor montre des toits en zinc typiques de Paris, et c’est tout, ou plutôt, le reste du décor montre un éléphant parce que la pièce mise en abyme se passe en Inde, Inde de carton-pâte itou. La musique est un medley de succès anglo-saxons enchaînés à grande vitesse, sans aucun rapport avec Paris. Il y a, je crois, un bref extrait d’une chanson de Piaf. Et puis évidemment, comme pour la pièce précédente, un personnage bien gay comme il faut, en dehors de toute vraisemblance. Cerise sur le gâteau, le personnage de Toulouse-Lautrec est interprété par un comédien noir. Le message est-il « Désolés, nous n’avons pas trouvé de comédien handicapé, donc on a embauché un noir, c’est une sorte de handicap » ? En tout cas cela ridiculise encore plus le scénario. Donc j’ai passé un bon moment devant un bon spectacle avec des performances d’artistes qui font le show, mais gâché par le placage idéologique et une vision caricaturale de Paris.

Alegria, Cirque du Soleil

J’ai été bouleversé par le spectacle Alegria du Cirque du Soleil au Royal Albert Hall. C’est la 2e fois que je vois un spectacle dans cette salle ; mais la première fois c’était un concert classique. Cela faisait longtemps que j’avais envie de voir le Cirque du Soleil, eh bien je n’ai pas été déçu. Rien de woke ici, car c’est la reprise d’un vieux spectacle, et il n’y a pas encore de loi pour introduire de façon forcée du wokisme dans les vieux spectacles. Le Cirque du Soleil, fondé au Québec en 1984, est maintenant une multinationale du spectacle, américano-chinoise, qui joue simultanément dans le monde entier de nombreux spectacles plus ou moins anciens. Alegria date de 1994. Vous avez sur scène un nombre invraisemblable de circassiens des catégories les plus nobles (trapézistes, jongleurs, acrobates, clowns), plus de nombreux musiciens & chanteurs. Les places sont donc chères, mais on en a pour son argent. J’ai été époustouflé et ému aux larmes par tous ces numéros d’artistes de cirque qui donnent la preuve que l’homme peut effectuer des prouesses par la maîtrise de son propre corps que l’« Intelligence artificielle » ne pourra pas atteindre. Des milliers d’heures d’entraînement quotidien pour accomplir ces prouesses à couper le souffle. Cela me rappelle le spectacle et le livre du Cirque Gruss. Il ne manque que les animaux. Tous les numéros sont extrêmement spectaculaires, les numéros de clown sont moins ma tasse de thé, mais les enfants dans la salle étaient ravis. Dans l’équipe actuelle au Royal Albert hall, la chanteuse est française, Sarah Manesse, voix magnifique. J’ai regretté de n’avoir pas pris une meilleure place pour mieux voir. Au diable l’avarice quand on est face à tant de talent. Voici une vidéo d’une version ancienne du spectacle, pour vous en donner une idée.

La dystopie du Brexit : l’arnaque du siècle

Après ces considérations touristiques, il faut maintenant aborder le sujet qui fâche. Je m’étais rendu à Londres la fleur au fusil, car malgré mon ironie, vous avez compris que je suis un chaud partisan du Brexit, modèle pour moi du Frexit que j’appelle de mes vœux. Il est possible qu’on n’en ait même pas besoin, car si les Allemands votent le Dexit avant nous, l’UE éclatera d’un seul coup. Mais j’ai vite déchanté. Le Brexit est une arnaque au profit de « la Banque », et c’est ce que je voudrais expliquer ici.
J’ai fait un bref article à part qui synthétique plusieurs documents à propos du pouvoir de « la banque », qui selon l’éphémère Premier ministre britannique Liz Truss, est plus puissante que les dirigeants élus. David de Rothschild est le plus puissant des banquiers de la City et de Paris, et Alain Minc a dit que macron était une « pute » pour Rothschild. Cependant un fait nous rend l’espoir, la victoire inattendue de George Galloway, élu député à Rochdale lors d’élections législatives partielles le 28 février 2024.

Mise en place en douceur
de la « ville de 15 minutes », à Londres.
© Lionel Labosse

J’avais remarqué comme tout complotiste qui se respecte, que le Royaume-Uni est à l’instar de la Chine et de la Palestine, un laboratoire privilégié de toutes les roueries du totalitarisme dystopique. Les « villes de 15 minutes », qui sont selon la presse des milliardaires qui nous pillent, une « théorie du complot », sont mises en place avec le procédé d’ingénierie sociale du « Nudge ». Et cela, comme à Paris, a commencé avec le remplacement subreptice des grandes cartes de la ville entière qui permettent de se situer dans l’espace, par d’affriolantes cartes partielles avec un cercle (qui n’est pas « de craie caucasienne », mais quand même diabolique) : « 5/15 minutes walk »). Inutile de chercher à savoir ce qu’il y a au-delà du jardin du curé, comme dans « Le vilain petit canard » d’Andersen. Il est un fait que les jeunes sont habitués à ne plus voir de cartes et à se repérer non pas en regardant en l’air, mais en baissant la tête vers un écran hypnotiseur. Récemment, j’ai affiché des cartes Michelin de Paris et de l’Île-de-France dans ma classe. Les étudiants s’y précipitent comme une volée de moineaux, ils sont heureux de pouvoir montrer où ils habitent. Eh oui, les fascistes ont fait supprimer dans les salles et dans les rues presque toutes les cartes globales pour habituer subrepticement les gens à la « ville de 15 minutes », avec seulement des plans de quartier. Alors quand ces jeunes voient une carte qui leur permet d’appréhender un territoire, ils ont une révélation !

En même temps, comme dirait l’employé de Rothschild, qu’ils wokisent l’esclavage du passé, les Londoniens affichent fièrement leurs chaînes d’esclaves modernes des banquiers, les mêmes qui tirèrent profit de l’esclavage d’hier… Les commerçants proclament haut & fort leur fierté d’être « cashless » (sans espèces). Et je l’ai vérifié, c’est encore pire qu’en Islande et en Norvège, c’est-à-dire que l’on paie partout, même pour trois fois rien, avec sa carte ou, si l’on est moderne, avec son smartphone. De nombreux endroits, y compris les plus inattendus, sont « cashless », comme par exemple des baraques à frites. La plupart des supermarchés conservent quelques caisses automatiques à pièces, voire parfois un caissier (en fait un employé polyvalent) qui peut vous prendre des espèces. En revanche pour les dons facultatifs dans les musées gratuits, alors là le cash est accepté, dans des urnes gratuites !

« We’re cashless ». Restaurant, Londres.
© Lionel Labosse

Petite anecdote annexe : j’avais conservé quelques billets de 20 £ de mon précédent séjour, mais quand j’ai voulu en utiliser pour acheter ma dose de cocaïne, mon dealer habituel (fournisseur officiel de Rishi Sunak, qui accepte encore le cash) m’a dit qu’ils n’étaient plus valables. J’ai dû aller les échanger à la Banque d’Angleterre, métro Bank, au cœur du Léviathan. Après fouille des sacs et interrogatoire, je suis dirigé vers un luxueux bureau, où une dizaine d’employés attendaient derrière des vitres. J’étais le seul, donc je me dirige vers un guichet, et on m’échange très aimablement mes biftons pour des plus petits et moins smarts, mais échangeables contre de la bonne poudre péruvienne. En sortant j’ai voulu photographier une magnifique mosaïque au sol représentant un caducée, mais dix flics m’ont plaqué au sol, menotté, violé… euh non, ça, c’était mon cauchemar de la nuit suivante ! Bref, on ne peut même pas prendre une photo, en tout cas c’était une expérience ! Je me suis donné beaucoup de mal pour en retrouver une image sur Internet, dans une vidéo sur le site de la banque elle-même, à la 32e minute. Ces mosaïques sont l’œuvre de Boris Anrep, un méchant russe. On devrait les détruire !

À part l’hôtel, comme je l’ai dit plus haut, j’ai remarqué une inflation terrible des prix. Pour vous donner un ordre d’idée, un simple fish & chips et une bière, sur les quais près de la Tate Modern quand même, 27 livres (photo), à multiplier par 1,25 à peu près. C’est du délire ! Dans le fameux Rock & Sole Plaice d’Endell Street censé faire le meilleur fish & chips ever in the world, j’ai payé 32 £, et il faut savoir que les prix affichés sont augmentés d’un service de 12,5 % (voir ma photo de la note). Pour être honnête, à Greenwich, dans un pub pas du tout miteux et juste à côté du métro, j’ai payé dans les 12 £ pour la même chose, taxes incluses. J’avais repéré lors de ma précédente escapade un fast-food japonais, « Wasabi », où je m’étais régalé de bons plats chauds. Eh bien les prix ont pris l’ascenseur, et les quantités ont fondu, de sorte que pour quelque chose comme 8 £ (alors que j’avais noté dans mon article précédent des prix dans les 5 ou 6), j’ai mangé un truc qui ne m’a ni plu ni rassasié. Je n’y suis pas retourné, mais j’ai vu qu’ils vendent dorénavant les mêmes plats dans les supermarchés, ce qui a dû modifier la stratégie marketing. Le bon plan que je puis vous donner, c’est des menus combinés dans les supérettes, où la réduction est significative ; mais parfois il faut avoir une carte de fidélité… Je voyage seul ; bien entendu pour une famille, avec des enfants affamés et fatigués, autant se couper les veines !

Le Brexit est une arnaque. En fait la Banque (comprenez David de Rothschild, le propriétaire de macron) impose sa dictature dystopique. Paiement quasi obligatoire en carte ou par smartphone, et caméras de flicage omniprésentes. J’ai renoncé à nager dans la magnifique piscine olympique de Zaha Hadid, dont j’ai fait l’éloge dans ma petite vidéo. Il faut s’enregistrer en ligne, m’a dit la brave « caissière ». Bienvenue chez George Orwell. C’est terrifiant. J’ai essayé d’expliquer mon ressenti à cette dame assez âgée. Elle a eu l’air de comprendre & compatir. Eh oui, sous couvert de « Brexit », David de Rothschild et ses copains milliardaires ont affermi la dictature de la City, qui constitue une enclave autogérée dans Londres. On ne peut plus faire un pas sans non seulement être tracé comme des objets manufacturés, mais aussi sans payer la moindre dépense, même 1 £, en numérique. On a donc dû passer depuis le Brexit, de 60 % de paiement en carte, à 90 %. Il suffit de multiplier le pourcentage des banques, donc du propriétaire de macron.

Et s’il n’y avait que ça ! Il faut ajouter tous les frais annexes : location du terminal de paiement, frais bancaires, etc. Et ne croyez pas que le paiement en cash soit la panacée, car pour les commerces, le fond de caisse en rouleaux est facturé, mais surtout si par esprit rebelle, vous faites un retrait dans un distributeur, le jackpot est encore pire. J’ai relevé pour mémoire : pour 100 £ retiré, on m’a compté 123,33 €, soit bien plus que le taux normal (ce serait plutôt 117 €), et en même temps pour reprendre le mantra du teckel de Rothschild, la banque ajoute une taxe de retrait (le nonos du petit teckel caché dans la machine) de 5,57 %, soit 6,38 €. Donc, au lieu de me coûter 117, 27, mes 100 £ m’ont coûté 129,71. 12,44 % de frais pour la banque. Bon, je veux bien qu’il faille payer le distributeur et les employés qui vont nourrir le teckel caché dedans, mais c’est quand même bien payé, surtout qu’en principe, l’argent que vous avez sur votre compte rapporte déjà à votre banque puisqu’elle le prête, donc on pourrait considérer l’usage des distributeurs comme un prêté pour un rendu… En ce qui concerne les paiements par carte, mon relevé de compte m’a appris que les frais sont de 2,8 % à peu près. Quand on rechigne à donner un pourboire à une ouvreuse dans un théâtre pour une place à 100 €, sachons que le pourboire qu’on donne aux Rothschilds est de 2,8 €. J’ajoute un élément de compréhension à mon article sur le pouvoir de la banque : « La richesse de la famille Rothschild est cinq fois plus élevée que celle des 8 plus grands milliardaires du monde combinés ».

J’ai encore été témoin d’une scène à la station de métro dans mon quartier ce jour : une pauvre dame qui baragouine le français, réclame ses tickets. L’employé lui explique qu’elle s’est fait couillonner par « la banque » (je vous la fais courte) : elle voulait juste un ticket, elle a eu une jolie carte à 2 € plus 2 tickets chargés sur la carte à je ne sais plus combien, soit le double. Elle proteste : elle possédait déjà une carte, mais là elle voulait juste un ticket. Si elle veut se faire rembourser, ce n’est pas au guichet, mais il faut écrire à telle adresse mentionnée sur la facturette (et encore, elle a eu la présence d’esprit de cliquer sur « oui, je suis une mauvaise citoyenne qui veut la mort de la planète et ne fait pas confiance aux banques, j’exige d’imprimer le ticket »). Oui, bien sûr, pour réclamer 2 € la pauvre dame va demander à un voisin de lui rédiger une belle lettre, acheter une enveloppe, un timbre, etc. ! Et c’est tous les jours que l’on constate ce genre d’arnaques qui s’additionnent. Cela a commencé il y a longtemps, quand « pour nous faciliter la vie », les autorisations de prélèvement direct des prestataires sur nos comptes en banque se sont multipliés, sans que l’on ait à donner notre accord, que ce soit pour un abonnement Vélib, la location d’une voiture, tout et n’importe quoi. Une fois donné votre accord pour une prestation, le prestataire peut modifier le prix ou prélever un complément sans autorisation sous n’importe quel prétexte. C’est tellement « pratique » ! Sauf que s’il faut réclamer, c’est un parcours du combattant entre David et Goliath ! L’autre jour, l’employée de la piscine m’explique son mécontentement sur l’arnaque des JO : elle ne travaillera que quelques jours en juillet avant d’aller chez elle en Serbie. Mais pour ces quelques jours, elle devrait payer une carte de transport au tarif délirant que l’État fasciste a annoncé pour les JO. Je lui ai suggéré la solution, mais elle y avait déjà songé, et la moitié de ses collègues : arrêt de travail. On va bien s’amuser, mais s’il faut en passer par là pour que les gens comprennent le Hold-up de la banque contre nous le peuple ! Hold-up, c’est le titre du film de Pierre Barnérias auquel j’ai consacré ce récit. De quoi s’agit-il d’autre que de dénoncer un Hold-up ? Avec ce « Brexit » déloyal, Londres nous met en garde.

Le milieu gay à l’avant-garde du fascisme bankstériste

Maintenant que les enfants sont couchés, j’en termine par ce bref addendum pro domo (attention, jeu de mots !) sur mon expérience traumatisante dans ce qu’il reste du milieu gay londonien. Si l’un des trolls ou des gros abrutis homophobes à 1 neurone qui s’avachit la bedaine devant son ordi en parcourant cet article quand il sera repris par Profession gendarme arrive jusque-là, combien de vomissures et de délations dignes de la Kommandantur va me valoir ce paragraphe ? Je cite d’avance les grands auteurs à destination de ces trolls :

« Pendant la collaboration, la tendance à la calomnie et à la délation était d’autant plus exacerbée que le courage des collaborateurs, d’autant plus zélés qu’ils étaient anonymes, était protégé par la collusion entre Vichy & la Gestapo. »

Extrait de Madame Ghislaine Pétain, vie & œuvre d’une Première dame méconnue, par Jakomar de Bragmardo, traduit du swahili par Bernard-Henry Lévy, Gallimard, 1993).

Bref, voici ce que j’ai constaté en after. Je rappelle que je suis un peu à la diète question fleurette, rapport à mon grand âge, mais que ce n’est pas parce qu’on est au régime qu’on ne peut pas regarder ce qu’il y a à manger. Bref, les soirs où je n’étais pas au spectacle, j’ai remis les pieds dans mes traces de ce qu’il reste des saunas et autres lieux de rencontre dans lesquels ledit grand-âge ne me fait pas refouler. Par rapport à l’hécatombe constatée en 2019, il n’y a rien eu de pire en ce qui concerne les 4 établissements où j’ai mis le pied. Sauf que la revue papier que j’avais l’habitude de prendre à la librairie « Gay’s the word » n’existe plus. Obligation d’utiliser son smartphone, pour que Rothschild et Bill Gates sachent tout de moi. Je serai bref : à une exception près, les tenanciers de ces établissements censés être des lieux récréatifs participent de tout cœur à la brutalisation à l’œuvre dans la dystopie à grande échelle que nous subissons depuis le National-covidisme. Voici, du plus léger au pire :
Augmentation des tarifs, désormais les plus chers saunas du monde (enfin dans ma modeste expérience). En plus de cela dans un établissement dont jadis j’adorais l’ambiance, au lieu d’avoir dix pour cent des cabines privées, ils sont passés à 95 %, dont ils ne louent en réalité que 5 % moyennant un surplus qui s’ajoute au tarif déjà explosé, et du coup l’établissement est dans un état de désolation qui le met aux antipodes de ce qu’était censé être ce type d’endroit. Dans un autre, après des travaux, ils ont séparé l’établissement en deux, sauna d’un côté et salle de sport de l’autre, de sorte que l’endroit est riquiqui et stressant ; il est impossible de s’isoler.

« Cashless » dans deux établissements sur 4. Dans l’un des deux autres, comme je payais en espèces, on a exigé un document d’identité ou une carte bancaire en dépôt, sans doute pour que je ne vole pas la clé du vestiaire ! Et les deux types, un jeune et un vieux de l’âge d’avoir connu le sida avant les traitements, ont protégé leur main avec une serviette avant de me prendre ledit document des mains. Ils ne portaient pas la muselière, mais harcelaient un employé chargé du nettoiement, qui passait et repassait comme un dément partout dans l’établissement pourtant petit, pour désinfecter les sols. Inutile de dire que j’ai passé un fort mauvais moment. Des tarés, rendus fous par le National-covidisme, et à qui personne n’a dit que la guerre est finie.

Dans un seul de ces établissements, pour la première fois au monde dans un commerce, j’ai dû subir une photographie par caméra. Là on est vraiment dans le fascisme banquier ultime, et je ne vois pas comment ces collabos peuvent encore grimper d’un échelon dans la brutalisation bankstériste. À l’intérieur du même établissement, il y a des caméras dans les couloirs, alors que les gens y sont souvent en petite tenue voire à poil. Que font ces enculés de ces images ? Comment les gays londoniens ne se sont pas révoltés ? La réponse va de soi : toutes les associations soi-disant LGBT sont en réalité financées par Soros et ses copains bankstéristes. Et pour les naïfs, ce qui se cache au bout du « tout smartphone » et de l’euro numérique, c’est la réduction en esclavage de l’homme occidental, qui est en cours d’expérimentation en Ukraine, malgré les minables dénégations de la presse fasciste : votre smartphone et votre compte seront bloqués si vous n’êtes pas un bon citoyen, par exemple si vous ne vous faites pas vaxiner (ça, c’était pour tester le taux d’obéissance du mougeon) ou si vous ne vous présentez pas au bureau de recrutement pour vous faire sacrifier sur l’autel, je veux dire le front ukrainien. C’est ce que veulent tous les Rothschilds et leurs nombreux teckels. Que ceux qui se sont fait injecter sous la menace ne se vexent pas, mais se révoltent contre les fascistes qui les ont manipulés. Ce sont ces bankstéristes qui veulent notre mort, et leur arme est le smartphone, l’euro et l’identité numérique.

« Rendez-vous au bureau de recrutement de l’armée au plus vite. Votre compte sera réactivé, et vous serez mort sous 48 h. Veillez à désigner un héritier, sinon le solde de votre compte sera versé aux œuvres sociales de la banque ».

Cerise sur le gâteau, et je ne l’aurais pas réalisé si je n’avais pas enfin visité la Tower of London et ses geôles : les cabines où quand on a trouvé chaussure à son pied on peut se mettre à l’abri et lire en chœur les œuvres complètes de Dominique Strauss-Kahn, sont de dimension réduite, soit trop basses, soit trop étroites pour qu’on puisse s’y allonger ou y rester debout, et souvent les deux. Il s’agit là d’une torture physique digne des in pace de l’Inquisition ou des cages exposées dans ladite salle des tortures de la Tour de Londres.

Bref, même si à Paris j’avais constaté sous la dictature que les gays du milieu, bien qu’ils soient souvent de mon âge et aient connu l’époque Act-Up où l’on s’opposait au pouvoir quand on était gay, étaient complètement acquis à la dictature covidiste, ce qui m’avait profondément écœuré, à Londres c’est dix fois pire, ils sont vraiment aux avant-postes du totalitarisme, ce sont les influenceurs du monde de George Orwell. Cela fait mal quand on fait (à son corps défendant en ce qui me concerne) un chouia partie d’une prétendue « communauté », de constater que les leaders se comportent en kapos de camps de concentration. Je fais un parallèle avec la situation des juifs, qui est exactement la même. 80 % des juifs, que ce soit en Israël ou dans la diaspora, se sont faits les auxiliaires d’un nazisme juif génocidaire. Une « amie » juive, pourtant « de gauche » et même anticovidiste (il est rare d’avoir les deux ensemble), m’a dit qu’elle allait se « radicaliser », alors qu’elle prétend haïr Netanyahu. Je ne puis plus être son ami. Eh bien chez les gays c’est pareil, maintenant que le système les a choisis comme auxiliaires et chouchous de la dictature, 80 % de ces crétins se comportent en kapos. Comment cela a-t-il pu advenir d’après vous ? Il suffit de se mettre un instant du côté des milliardaires. Combien cela coûte-t-il d’après vous d’acheter l’opinion d’un groupe d’influence ?

Subventionner de façon claire ou occulte les 5 médias, les 5 associations, les 5 influenceurs les plus écoutés du groupe, sans compter de plus modestes oboles versées aux petites associations de quartier. Le premier qui se rebellera ou émettra le moindre doute verra aussitôt se déchaîner contre lui « des trolls indiscrets, qui, sans connaissance de cause, crieront en public contre eux, qui les accableront d’injures, et les damneront hautement de leur autorité privée ». (Voir ma parodie de Dom Juan). C’est ce qui se passe avec la trouducusphère pourtant débusquée par le scandale du Fonds Marianne, mais qui continue à sévir, je veux parler notamment de la bande de l’ignoble Rudy Reichstadt, qui opère sous la direction et le financement de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, dirigée par David de Rothschild, employeur de Choupinet, et sous couvert de « lutte contre le séparatisme », nous explique que sur la bite à Chibritte, circulez y a rien à voir. Le montage est digne d’un malfrat de banlieue, mais le mot « Shoah » que ces escrocs ont mis dessus fonctionne à la façon des gousses d’ail contre les vampires !

Attention, que les homophobes et antisémites ne se réjouissent pas, car quand je dis à la louche 80 %, eh bien c’est la même proportion que dans la population neutre. La seule chose c’est qu’on aurait pu espérer que des gens qui font plus ou moins partie d’un groupe, sinon d’une communauté, qui a plus ou moins subi un phénomène de bouc émissaire, soient un peu plus alertés sur la frontière entre humanité & fascisme. Eh bien non, pas du tout. Enfin je ne découvre rien, sauf que la conclusion est effrayante et constitue un avertissement salutaire :
Le « Brexit » est un leurre. Ce qu’il faut, c’est sortir de la mainmise de la banque et des milliardaires, donc pas de « Frexit » ou de « Dexit » sans sortie de l’OTAN, et dissolution de tous les groupes d’influence de type Bilderberg, Trilatérale, WEF, etc. Je crains que la méthode Poutine ne soit la seule susceptible de nous sauver : une balle dans la tête de chaque oligarque, et basta. Donc pour l’instant je tiens ma ligne : il faut voter, surtout aux élections européennes, et si possible voter pour une liste qui soit ignorée par les médias aux mains des bankstéristes, et non une liste de vendus comme le RN qui soit présentée du matin au soir comme un « danger », alors qu’on sait bien que ce parti est dorénavant un parti collaborationniste. Attention, je parle d’une élection à un seul tour. Il est bien évident que si l’on avait à nouveau à choisir dans un 2e tour entre la peste RN et le choléra macron, je choisirais le parti qui n’a pas encore été au pouvoir, parce qu’on n’est pas à l’abri d’une bonne surprise non plus. La politique relève parfois du shalom géant. Pardon, du slalom !

Pour l’instant, je suis affligé du spectacle désolant que nous proposent Asselineau & Philippot. Ces deux messieurs semblent n’avoir pas de pires ennemis que l’autre. Ils sont en train de nous expliquer l’un et l’autre que Poutine & Zelensky doivent négocier, alors qu’eux-mêmes sont incapables de discuter avec un alter ego dont ils partagent 95 % des idées. La politique c’est le compromis. Micron a bien embauché des types qui avaient craché sur lui quelques mois avant. Comment comptent-ils gouverner la France s’ils venaient à être élus ? Un gouvernement UPR sans aucun Patriote, ou vice-versa ? Alors avec qui ? Des membres des différents partis sionistes ? Avec l’amuseur Lassalle ? Avec LFI, parti covidiste & climatiste ? Bref, c’est rageant, mais il faut voter, alors la proposition récente de Dieudonné/Lalanne me semble pour l’instant une bonne alternative, surtout qu’ils ont fait un appel du pied aux deux ennemis jurés et qu’ils sont pro-frexit. Espérons que le nœud gordien se dénoue dans les semaines qui viennent.

Je termine par un document de première importance à écouter et partager, sans grand rapport avec ce qui précède, sauf que cela concerne aussi la dictature actuelle, qui tue les gens et compte organiser son impunité : le député Andrew Bridgen mène un débat sur la surmortalité, le 16 janvier 2024, à Westminster Hall. C’est un combat solitaire, mais un mois après, l’élection surprise de George Galloway constitue peut-être un espoir que ces combats ne soient pas si vains que ça.




Le traité sur les pandémies, fossoyeur de la souveraineté nationale

Par Iurie Rosca — 26 mars 2024

Lettre ouverte aux députés du parlement de la République de Moldavie

Cher Monsieur/Madame le Député,

Par la présente, je souhaite attirer votre attention sur un danger imminent qui menace la République de Moldavie en tant qu’État indépendant, libre de déterminer sa propre politique intérieure et étrangère conformément aux intérêts nationaux et au bien commun. Il s’agit du fait qu’un document international est en cours d’adoption par l’Organisation mondiale de la santé, qui échappe totalement à l’attention des décideurs, des médias et de l’opinion publique de notre pays.

Je veux parler du « Traité sur les pandémies », élaboré et promu avec insistance par les grandes sociétés pharmaceutiques par l’intermédiaire de leur bureaucratie affiliée à l’OMS. Ce document doit être adopté à la fin du mois de mai de cette année lors de l’assemblée générale de cette organisation1. Habituellement, ces réunions rassemblent des représentants du système de santé ayant des fonctions secondaires, qui sont loin de comprendre les enjeux stratégiques de ces actions. En effet, si ces projets se concrétisent dans deux mois, tous les pays du monde perdront de manière irréversible leur souveraineté étatique.

C’est précisément pour cette raison que je vous demande d’adresser une requête officielle au ministère de la Santé, afin d’obtenir des informations exhaustives sur le projet de traité sur les pandémies et sur toutes les modifications proposées par les représentants des pays membres de l’OMS à ce document. Je vous prie également de proposer que des auditions publiques soient organisées sur ce sujet au Parlement et qu’un large débat public soit organisé dans la société, avec la participation d’experts indépendants et de la presse, sur ce sujet d’une importance vitale pour notre État et pour la vie, la liberté et la santé de chaque citoyen.

Nous vous informons qu’à l’heure actuelle, plusieurs scientifiques, médecins, avocats et personnalités internationales ont activement participé à l’information des décideurs des pays du monde sur les énormes dangers que représentent certains groupes d’intérêts financiers qui cherchent à imposer le traité sur les pandémies et le règlement sanitaire international. Ces personnes d’un niveau académique et moral irréprochable ont formé une coalition mondiale de centaines de personnalités de différents pays appelée Door to Freedom2.

Dr Meryl Nass

Au premier rang de ce mouvement international se trouve sa fondatrice, le Dr Meryl Nass, une scientifique médicale qui compte plus de 40 ans de carrière professionnelle et qui est l’un des plus grands experts mondiaux en matière d’armes biologiques, d’épidémies et de maladies transmissibles aux États-Unis3.

Les changements radicaux proposés transformeraient l’OMS d’une institution internationale dotée de fonctions consultatives en une agence émettant des décisions contraignantes pour tous les États membres. Ainsi, par exemple, une décision prise par le directeur général de l’OMS serait contraignante pour tous les États membres. Notons que cette position est occupée par un marxiste radical éthiopien à la réputation plus que douteuse, Tedros Adhanom Ghebreyesus4. En d’autres termes, un seul bureaucrate international aura le droit exclusif de déclarer une pandémie mondiale, qui perturbera la vie de toutes les sociétés. De plus, ce même personnage dictera des mesures restrictives contre le bon fonctionnement de l’économie et de la société dans son ensemble. En outre, il aurait également le droit discrétionnaire de dicter le traitement que tout citoyen devrait recevoir, les médicaments, les vaccins ou les restrictions qui devraient être rendus obligatoires pour tous.

Tedros Adhanom Gebreyesus

Toutes ces mesures draconiennes sont imposées à la suite de la soi-disant pandémie de Covid-19, qui a causé des millions de « morts subites » dues à l’inoculation de sérums expérimentaux, affectant de manière catastrophique la santé de milliards de personnes ainsi que l’économie mondiale par le biais des blocages imposés sous ce prétexte. J’insiste sur le fait que le discours dominant, promu par les médias corporatistes et les fonctionnaires corrompus depuis mars 2020, vise à provoquer la panique et donc l’obéissance aux mesures imposées sous le prétexte d’une urgence sanitaire. Cette opération de guerre psychologique avec un message alarmiste est amplifiée à l’approche de la réunion de mai de l’OMS par le lancement d’un autre élément de peur publique, connu sous l’étrange nom de code « Maladie X »5.

Dans ce cas, la formule classique PROBLÈME – RÉACTION – SOLUTION s’applique. C’est-à-dire que dans la première phase, une fausse crise est déclenchée, suivie d’une réaction de panique de l’opinion publique et d’un stress généralisé, pour qu’enfin ceux qui ont causé le problème et prévu la réaction proposent la solution préfabriquée. C’est le piège psychologique et juridique dans lequel tous les pays du monde sont actuellement poussés. Dans le cas de la République de Moldavie, la situation est aggravée par le fait que pas un seul décideur ou parti parlementaire des deux législatures qui se sont succédées depuis 2020 n’a adopté une approche critique de cette question, qui provoque pourtant des transformations globales d’un impact sans précédent dans l’histoire. Et à l’approche des élections présidentielles, le risque est grand que ce problème d’importance vitale échappe à l’attention des décideurs politiques.

Nous constatons également que, s’il était adopté, le traité sur la pandémie violerait gravement la Constitution de notre État, car ses auteurs n’ont pas l’intention de soumettre le document au débat et à la ratification des parlements nationaux. En outre, l’imposition de conditions exceptionnelles sous le prétexte de la santé portera gravement atteinte aux droits humains fondamentaux, tels que le droit à l’information et à la libre expression, le droit à la liberté de mouvement, le droit de voyager, le droit de choisir un médecin et un traitement, le droit de réunion, etc. Plus grave, le traité sur les pandémies vise à instaurer un régime de surveillance généralisée de l’ensemble de la population, qui serait entièrement accablée par le stigmate de la « présomption de culpabilité » en cas de désobéissance au régime de vie édicté par l’OMS.

Je voudrais également vous informer que le Dr Meryl Nass et ses collègues sont invités dans les parlements des pays européens, où ils font des conférences pour familiariser les députés avec des sujets qui leur sont généralement étrangers, mais qui sont d’une importance fondamentale. Elle s’est récemment exprimée au Parlement européen6. Je vous suggère donc d’inviter officiellement le Dr Meryl Nass à s’exprimer lors de la session plénière du Parlement. Si cette solution est rejetée, l’invitation pourrait être faite par n’importe quel groupe parlementaire. Si, toutefois, aucun groupe parlementaire n’est disposé à entamer un dialogue avec cette experte de renommée mondiale, tout député pourrait demander une vidéoconférence avec elle. Bien entendu, les députés moldaves pourraient également bénéficier de l’expertise d’autres spécialistes hautement qualifiés du mouvement civique international « Door to Freedom ».

Enfin, j’aimerais également présenter l’entretien que j’ai récemment mené avec le Dr Meryl Nass :
https://arcaluinoe.info/ro/blog/2024-03-15-qtxkthxi/ ;
https://odysee.com/@PlanulRosca:e/interview_with_Dr_Meryl_Nass_by_Yuri_Roshka:7.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations distinguées,

Iurie Roșca, membre du Parlement pendant quatre mandats (1994-2009),
Journaliste,
Président de l’Université populaire

26.03.2024

Contact : chisinauforum2024@protonmail.com





La révolution des Illuminés

[Source : editions-cimes.fr]

https://editions-cimes.fr/home/58-la-revolution-des-illumines-alain-pascal-9791091058285.html

Au sommaire :

Introduction — Avant-propos : dénoncer la Révolution moderne pour remettre le monde à l’endroit

Introduction générale : la Révolution des Illuminés est un complot maçonnique

I — Les Illuminés et la marche vers la Révolution maçonnique en France

  • La conjuration des Illuminés et e complot maçonnique dans la marche vers la Révolution
  • La Révolution américaine comme banc d’essai
  • Conclusion : un complot maçonnique international à partir des neuf sœurs

II — La Révolution maçonnique et les Droits de l’Homme contre Dieu

  • La Révolution dite française est anti-française
  • L’histoire secrète de la Révolution ou les francs-maçons et la Révolution antichrétienne
  • Les Illuminés sont omniprésents
  • De la République maçonnique à la Terreur maçonnique
  • Conclusion ; actualité du mythe révolutionnaire ou des Droits de l’homme contre Dieu au mondialisme.

Annexes — Bibliographie – Index..


L’auteur : Alain Pascal

Chercheur spécialisé en philosophie et en histoire occulte, Alain Pascal est aussi l’auteur de La Trahison des Initiés, en 1996, réédité en 2013, La pré-Kabbale, 1999 (épuisé), Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, 2001 (épuisé), La Renaissance, cette imposture, 2006.

4ÈME DE COUVERTURE

À partir de 1760, les sectes d’Illuminés foisonnent en France, ainsi qu’en Allemagne, et sont en relation avec la célèbre Loge des Neuf Sœurs, qui prépare la Révolution française.

Quel a donc été le rôle exact des francs-maçons et des Illuminés dans celle-ci ?

Alain Pascal mène une savante et passionnante enquête et révèle, derrière les événements, le rôle des uns et des autres dans l’un des plus formidables bouleversements de l’histoire de l’Humanité, qui n’a pas été réalisé par le peuple, ni initialement contre le roi, mais toujours contre le catholicisme.

Dans cette étude iconoclaste — qui met à mal le récit officiel enseigné par l’Éducation nationale, ainsi que le « politiquement correct » républicain et la religion des Droits de l’homme —, l’auteur met en lumière de nombreux acteurs fameux (Cagliostro, le comte de Saint-Germain, Weishaupt, Mirabeau, La Fayette, Talleyrand…) ou moins connus, dans ce qui n’est rien de moins qu’une guerre de religion, se signalant par sa barbarie et mettant en péril l’humanité.

Un ouvrage capital.





Poutine et Cipolla face à la stupidité occidentale

Par Nicolas Bonnal

On va donc refaire la guerre.

« Il ne manque pas un bouton de guêtre », disait l’auguste maréchal Le Bœuf en 1870, six mois avant de rendre glorieusement le fort de Metz avec l’illustre Bazaine, un autre maréchal de France…

Flaubert écrit alors dans sa correspondance :

« Ce peuple mérite peut-être d’être châtié, et j’ai peur qu’il le soit. »

Nous sommes arrivés à un tel point dans la catastrophe française et sommes dirigés par de tels idiots que nous ne savons pas si cette nation-machin ruinée et surendettée survivra dans trois ans. Il est vrai qu’une partie des idiots aux affaires veut aussi nous faire disparaître pour obéir au conclave ploutocrate de Davos. Et comme une grande partie de la population est d’accord (télé-addiction, antiracisme, féminisme rousseauiste-sic, humanitarisme BHL, Grand Reset, russophobie, écologie, bellicisme ultra, chasse au pauvre et au carbone ou maintenant aux arbres, demandez le motif), pourquoi se gêneraient-ils ?

Depuis deux ans l’ennemi réduit sans y toucher l’OTAN à de la bouillie de chat ; il l’a fait avec 6 % du budget militaire US (60 milliards contre 1100) et avec un sixième de ses propres troupes, les mêmes qui doivent se faire exterminer par deux ou vingt mille (qui sait alors ?) zouaves français ; en même temps l’Europe avance vers le Grand Reset involontaire (enfin, presque) à coups de pénurie et de passe énergétique, voire de confiscation des comptes bancaires. L’Ukraine entêtée (découvrez le livre de ma femme sur le patriotisme ukrainien qui a toujours été virulent et sous-estimé, surtout par les Russes) va continuer ses opérations. Biden et Blinken seront contents sauf qu’ils peuvent aussi sauter électoralement, ayant fait doubler ou tripler le prix de l’essence dans le premier pays motorisé du monde automobile. On ne parlera pas de l’immobilier et des loyers (3000 dollars mensuels comme prix de base à Miami, 1200 dollars pour un 5 m 2 à New York, voyez le Daily Mail…).

Mais continuons, comme dirait Sartre avec son trio imbécile aux enfers. La France est désindustrialisée et connaît un déficit commercial mensuel de cent milliards… de francs ; l’Allemagne des débiles sociaux-écolo-démocrates connaît ses premiers déficits commerciaux qui vont durer et s’amplifier ; les USA de Biden sont à plus de mille milliards de déficit commercial par an (34 000 milliards de dette ; mais la bourse monte)…

La Russie est excédentaire de 300 milliards d’euros chaque année, devenue grâce aux sanctions la quatrième (elle dépasse le Japon cette année ou la prochaine) puissance économique et la deuxième puissance commerciale du monde (première puissance militaire elle l’était déjà sauf pour les distraits, les néo-Gamelin et autres colonels Goya-Yoda-yoga…).

Mais ne passons pas à côté du grand mystère : l’abrutissement occidental.

J’ai écrit de nombreux textes sur la stupidité. Elle me paraît une marque occidentale dans la mesure où elle est industrialisée depuis l’imprimerie faustienne (voyez Guénon, Barzun, McLuhan, Lévi-Strauss, etc.) : le patriotisme fut une caractéristique de cette stupidité qui est toujours hystérique et violente. Céline en parle très bien de cette « religion drapeautique qui remplaça promptement la première » (c’est dans le Voyage) mais aussi Marshall McLuhan qui étudiant Pope et la Dunciade dénonce le développement industriel du conditionnement psy à cause de l’imprimerie — à qui on doit les sanglantes et interminables guerres de religion ; Flaubert a tonné contre les idées reçues plus tard, et Ortega Y Gasset a dénoncé lui ces terrasses pleines, ces salles de cinéma pleines (Hermann Hesse aussi dans le pauvre Loup des steppes), ces cafés pleins, ces réunions politiques pleines de fascistes, de communistes, de socialistes, de libéraux et maintenant d’européistes et autres mondialistes convaincus. L’Occidental est composé de deux classes : la classe qui prône « l’ineptie qui se fait respecter partout » (Debord) et la classe de « l’imbécillité qui croit que tout est clair » (Debord encore) parce qu’elle l’a vu et cru à la télé ou dans les journaux. McLuhan a été définitif : la rage occidentale vient toujours de l’imprimé.

On est industriellement sous hypnose depuis Gutenberg.

En face il y a la Russie et la Chine et les Brics plus adultes. L’Occident est-il fondamentalement stupide ? Entre révolutions, nationalisme, socialisme, colonisation, décolonisation, Grand Reset et écologie, est-il fondamentalement un continent d’imbéciles, ces imbéciles dit Bernanos dont la colère menace le monde ? Ouvrez vos journaux, écoutez BHL et BFM pour vous en rendre compte.

Le sujet est vaste ; je vais rappeler l’époustouflant professeur italien (souvent des imbéciles, ces professeurs, relisez Molière et son Bourgeois gentilhomme en ce sens) Cipolla et ses cinq lois de la stupidité. Je les donne en annexe mais je rappelle la principale pour moi :

« elle crée des problèmes à un groupe de personnes sans en tirer le moindre bénéfice. »

Cela me paraît résumer notre classe politique actuelle efféminée, gnostique, idéaliste, pleurnicharde, écologiste, humanitaire, ignare et demeurée — mais sélectionnée en ce sens par les tireurs de ficelles façon Fink (BlackRock) ou Klaus Schwab. Car l’occident reste avec sa « culture du carnage » helléno-hébraïque le lieu des tireurs de ficelles. Mais on n’en dira pas plus de peur de passer pour un complotiste (chaque curieux qui DEMANDE OU DONNE UNE EXPLICATION devient un complotiste. Toute explication devient ontologiquement complotiste).

Rappelons donc ces lois de Cipolla sur la stupidité :

« Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer elle-même le moindre bénéfice. »

Carlo Cipolla avait établi 5 lois immuables de la stupidité :

Loi 1 : Toujours et inévitablement nous sous-estimons le nombre d’individus stupides en « liberté ».

Peu importe le nombre d’idiots que vous imaginez autour de vous, vous sous-estimez invariablement le total. Pourquoi ? Parce que vous partez du principe faux que certaines personnes sont intelligentes en fonction de leur travail, de leur niveau d’éducation, de leur apparence, de leur réussite… Ce n’est pas le cas.

Loi 2 : La probabilité qu’une personne soit stupide est indépendante des autres caractéristiques de cette personne.

La stupidité est une variable constante dans toutes les populations. Toutes les catégories qu’on peut imaginer — de genre, ethnique, religieuse, de nationalité, de niveau d’éducation, de revenus — possèdent un pourcentage fixe de personnes stupides. Il y a des professeurs d’université stupides. Il y a des gens stupides au Forum de Davos, à l’ONU et dans toutes les nations de la terre. Combien y en a-t-il ? Personne ne sait. Voir la Loi 1.

Loi 3 : Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer soi-même le moindre bénéfice.

Mais les stupides sont eux constants. C’est pour cela qu’ils sont si dangereux.

« Les personnes stupides sont dangereuses et créent des dommages avant tout parce que les gens raisonnables ont du mal à imaginer et à comprendre des comportements aberrants. Une personne intelligente peut comprendre la logique d’un voyou. Une rationalité détestable, mais une rationalité… Vous pouvez l’imaginer et vous défendre… Avec une personne stupide, c’est absolument impossible. Une personne stupide va vous harceler sans aucune raison, pour aucun avantage, sans aucun plan et aucune stratégie… Vous n’avez aucune façon rationnelle de savoir quand, où, comment et pourquoi une créature stupide va attaquer. Quand vous êtes confronté à un individu stupide, vous êtes complètement à sa merci… ».

Loi 4 : les personnes non stupides sous-estiment toujours les dégâts que peuvent faire les individus stupides. Elles oublient en permanence que conclure un marché ou s’associer avec des personnes stupides est une erreur très coûteuse.

Nous sous-estimons le stupide à nos risques et périls.

Loi 5 : Une personne stupide est la plus dangereuse des personnes.

Elle est plus dangereuse qu’un voyou, car nous ne pouvons rien faire ou presque contre la stupidité. La différence entre les sociétés qui s’effondrent sous le poids de leurs citoyens stupides et celles qui surmontent cette difficulté tient à une chose : leur capacité à produire des citoyens se comportant de façon intelligente dans l’intérêt de tous.

Si dans la population non stupide, la proportion de voyous et de personnes agissant à l’encontre de leurs propres intérêts est trop importante : « le pays devient alors un enfer », conclut Marco Cipolla.

Le début de la phase finale de la stupidité postmoderne date des années soixante (on y reviendra) : on a d’un coup la révolution sexuelle (qui accouche de l’avortement puis de la tyrannie LGBTQ), l’antiracisme, le féminisme, l’écologie, le bellicisme humanitaire façon BHL qui rejoint l’apocalypse sauce néo-cons, on a la fin des valeurs, Vatican II, mai 68, les villes nouvelles, l’immigration de remplacement, le binôme télé-bagnole (voir la mère maquerelle d’Audiard), on a le grand effondrement à la romaine (revoir Fellini, Kubrick, Tati, Godard, etc.), et la désindustrialisation aussi, tout cela aboutissant à l’actuelle catastrophe. Enfin on a la tyrannie informatique (Hal 9000 dans 2001).

La stupidité est mortelle.

Sources :

http://www.cefro.pro/media/02/02/1435522111.pdf

Tetyana Bonnal — la poésie patriotique ukrainienne (Amazon.fr)

Nicolas Bonnal — la destruction de la France au cinéma (Amazon.fr)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Edmond_Le_B%C5%93uf

https://www.dedefensa.org/article/rene-guenon-et-notre-civilisation-hallucinatoire

https://www.dedefensa.org/article/levi-strauss-et-la-civilisation-cannibale

https://www.dedefensa.org/article/maxime-du-camp-et-le-declin-francais-en-1870




Stanley Kubrick est mort assassiné ?!

[Source : reseauinternational.net]

Proposé et traduit par Bertrand Hédouin

Ci-après, vous trouverez la traduction d’une séquence de 10 minutes de l’émission « PostSkriptum » parue samedi dernier, le 16 mars, présentée tous les samedis sur la chaîne russe TV Centre par Alekseï Pouchkov.

Nous revenons à la mort du très fameux réalisateur Stanley Kubrick (qui s’est notamment fait connaître avec son très célèbre « Orange mécanique » sorti en 1971) et au « mystère » qui l’entoure. C’est incroyable comme en ce début du XXIe siècle, les « mystères » s’éclipsent au profit de la réalité.

À côté de cela, l’émission présente également d’autres « mystères » qu’il n’est pas très intéressant de traduire, comme l’interrogation sur le véritable sexe originel du mari de Macron, sur l’affaire du suicide de John Barnett, ancien chef ingénieur chez Boeing qui commençait à révéler les manques de la société aux principes de sécurité des matériels.

Enfin, l’émission montre de nouveau Vladimir Poutine lorsqu’il indique que le « bal des vampires »1, qu’on le veuille ou non, est aujourd’hui, devant nous, en train de se terminer.

En même temps que la fin du bal, nous vivons la fin des faux « mystères », la fin d’une fable civilisationnelle, la fin d’une histoire (et non pas de l’histoire comme l’avait rêvée le saugrenu Francis Fukuyama avec sa « Fin de l’Histoire et le Dernier Homme » publié en 1992).

Alekseï Pouchkov présentant « Postskriptum »
(© forum.rusbeseda.org)

En remarque, alors que l’Occident a atteint le sommet de la désinformation, de l’information bullshit2, woke, insultante pour chacun d’entre nous si l’on se donne un peu la peine de penser3, la Russie continue à sa manière de mener la guerre de l’information au sommet en dévoilant au public des événements et des faits de l’histoire concrets et réels montrant la « fable » et le caractère purement mythologique, voire schizophrénique, des peuples élus et du monde unipolaire.

Il semble que dorénavant, les analyses historiques et de l’actualité concernant notre « civilisation » vont commencer à fuser, notamment en provenance de certaines sources très crédibles russes. Cela doit nous aider à nous comprendre, à nous connaître, peut-être même à changer certains pans de notre mentalité en mal d’apprendre.

Ce retour sur le fameux réalisateur et photographe Stanley Kubrick nous confirme le paysage et enterre encore un peu plus le mensonge et l’insulte faits à l’humanité, prodigués par le « rêve américain », l’avant-scène d’un Occident néo-antique omnipotent, divin, universel.

Alexeï Pouchkov est né en 1954. Il est sénateur de la Fédération de Russie, président de la Commission du Conseil de la Fédération sur la politique médiatique et la coopération avec les « médias de grands chemins » (depuis 2016).

De 2012 à 2016, il est à la tête de la délégation russe à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Il est notamment docteur en histoire, politologue et professeur à l’institut MGIMO (équivalent de Sciences Po pendant les années fastes de l’école — jusqu’au début des années 1990 avant qu’elle ne sombre dans la vanité insufflée par des mammifères bipèdes tels que Nicolas Tenzer qui se dit toujours philosophe politique, essayiste, enseignant universitaire et haut fonctionnaire français alors qu’il n’est, de toute évidence, qu’un agent des mondialistes américains).

Le passage de la vidéo originale en russe concerne : [46:53 – 56:00].

Bertrand Hédouin


Par Alekseï Pouchkov

Il y a 25 ans, le 7 mars 1999 exactement, disparaissait subitement le fameux réalisateur américain Stanley Kubrick. Il avait alors 70 ans et n’avait pas de problèmes de santé particuliers. La raison officielle de sa mort a été une crise cardiaque survenue pendant son sommeil.

À ce moment, le réalisateur venait tout juste de terminer le montage de sa célèbre pellicule « Eyes Wide Shut »4 (« Les yeux grand fermés » sorti en 1999 – NdT).

Séquence de « Les yeux grand fermés » de Stanley Kubrick
(© dzen.ru)

La mort subite de Kubrick a donné lieu à différentes interprétations, des plus romancées aux plus officielles. Au fil du temps, des témoignages apparaissent qui remettent en cause le caractère naturel de la mort du réalisateur.

Mais en quoi donc Kubrick pouvait gêner les puissants de notre monde ?

Alexandre Markov a enquêté sur la mort étonnante du réalisateur américain.


Stanley Kubrick est mort le 7 mars 1999 dans son manoir de Childwidebury au nord de Londres. Pour beaucoup, sa mort a été un choc. La version officielle indiquait qu’elle était survenue à la suite d’une crise cardiaque.

Cette explication était loin de satisfaire tout le monde. En effet, Kubrick est mort seulement quelques jours après avoir montré son nouveau film, « Les yeux grand fermés », à un comité restreint.

Les rôles principaux étaient joués par Tom Cruise et Nicole Kidman.

Le film a été tourné dans la plus grande discrétion de telle sorte que la presse ne pouvait savoir de quoi le film parlait.

En fait, Kubrick montrait la dépravation de la haute société américaine. Dans le film, les orgies maçonniques occupent la place centrale.

(Alekseï Komogortsev, écrivain russe, expert du think tank « le Club d’Izborsk »)

« Il est remarquable que les scènes les plus intrigantes de la mystérieuse orgie aient été filmées à la campagne dans la vieille propriété des Rothschild sur les lieux des Mentmore Towers5 dans le Buckinghamshire en Angleterre.

Nous savons qu’après le visionnage du film, les représentants de la société de distribution cinématographique Warner Bros. ont exigé de Kubrick qu’il procède à certaines coupes du film. Il lui fallait couper 24 minutes ».

Dans son film, Kubrick dévoilait ce qui ne pouvait l’être au public. Aux dires du réalisateur, faire disparaître le film pour qu’il ne soit pas regardé ou bien détruire les bandes était une affaire compliquée.

Il a certainement été plus simple de supprimer Kubrick lui-même en invoquant une mort naturelle et de ne faire sortir le film que dans sa version « allégée ».

Nous savons très bien que les services spéciaux utilisent à leur convenance des produits qui imitent la mort par crise cardiaque et qui ne laissent aucune trace derrière eux.

Une fois le réalisateur disparu, la sortie de « Les yeux grand fermés » fut encore repoussée de quatre mois. On invoquait le fait qu’il y avait trop de scènes érotiques. Mais les raisons étaient vraisemblablement tout autres.

(Alekseï Komogortsev)

« Ce qu’il y avait sur ces cadres, nous ne pouvons encore réellement le savoir aujourd’hui. Selon certains témoignages, nous pouvons supposer qu’il s’agissait de certains rituels, de certaines activités que mènent aujourd’hui des sociétés secrètes en Occident.

Dans son film, il pouvait y avoir certaines indications concernant des personnes tout à fait concrètes, des organisations précises.

En tous les cas, le film a créé le scandale. Mais que savons-nous au juste des noms apparaissant sur l’écran dans la version originale du film ? »

Si l’on se réfère à la récente révélation des agissements de Jeffrey Epstein qui fournissait aux puissants de notre monde des jeunes filles et des jeunes garçons pour commettre des actes sexuels pour ensuite les faire chanter, on peut effectivement penser que Kubrick pouvait faire allusion à des personnalités connues.

Epstein était a priori préférable en pancarte plutôt que réel
(© bangkokbook.ru)

En juillet 2002, Nicole Kidman a donné une interview à un hebdomadaire américain dans laquelle elle indiquait que Stanley Kubrick n’avait pas rejoint le monde de l’au-delà de sa propre initiative.

Encore deux heures avant de mourir (au regard des expertises médicales officielles), il l’avait appelée. Il était alors très agité, avait demandé de ne pas venir chez lui et avait lancé la phrase suivante :

« On va tous être empoisonnés, et si rapidement que l’on n’aura même pas le temps de souffler ».

Mais il existe encore une autre version expliquant en quoi Kubrick pouvait indisposer les puissants de notre monde.

En 1971, il a quitté les États-Unis pour se rendre en Angleterre. Quelques années auparavant, il avait tourné le film « 2001, l’Odyssée de l’espace » qui est encore aujourd’hui considéré dans le monde comme le meilleur film fantastique de tous les temps.6

Cadre du tournage du film « 2001, l’Odyssée dans l’espace »
de Stanley Kubrick

Les épisodes les plus fameux montrent des astronautes américains sur la Lune. Le film est sorti en 1968. Un an plus tard, il y a eu la mission Apollo 11.7

« Les partisans de la “théorie du complot lunaire” considèrent indissociables deux événements : le vol et l’alunissage d’un vaisseau Apollo et le tournage du film “2001, l’Odyssée de l’espace”. »

Il semblerait que Stanley Kubrick ait eu carte blanche pour réaliser son film.

« Dépense autant que tu voudras. Le plus important, fais en sorte que le tournage imaginé sur la Lune soit le plus réaliste possible. Et finis-le relativement rapidement, car ce n’est qu’un début, un entraînement.

Ta mission consiste à ce que la nation n’ait pas honte après l’affront que nous a fait la Russie ».8

Youri Gagarine (© tr.pinterest.ru)

C’est précisément pour cela que Stanley Kubrick a travaillé quatre ans sur « 2001, l’Odyssée de l’espace », et n’a pas tout fait à la va-vite à la manière hollywoodienne.

Mais que s’est-il donc réellement passé ?

Kubrick dirigeait certainement le studio d’enregistrement en suivant notamment Neil Armstrong quand il sortait de la capsule et descendait le petit escalier menant à la surface grise de la soi-disant Lune. Il exigeait toutes les fois de rejouer la scène en double afin que ce soit joué le plus naturellement possible.

(Leonid Konovalov, auteur du livre « Quand les États-Unis reconnaîtront-ils ne jamais avoir été sur la Lune ? »)

« Je pense que plus personne ne doute du fait que l’atterrissage sur la Lune était issu du tournage du film de Kubrick en studio. Mais ici, il convient d’être plus précis. Il ne pouvait filmer idéalement le panorama en son entier. C’est pourquoi il a mis au point une technique qui créait l’illusion d’absence de pesanteur, qui créait l’impression de montagnes dans le fond. Il a mis au point la technique de la projection du fond, pour que sur un écran de 30 mètres, une diapositive montre des montagnes en fond avec le pavillon et l’astronaute en premier plan, c’est-à-dire un mannequin qui pourra rester longtemps debout immobile, afin que le spectateur ressente un espace unique, pour éviter qu’il ne différencie l’arrière-plan de l’avant-plan où se trouvait le pavillon ».

Si tout s’est réellement passé ainsi, pourquoi s’est-il engagé dans une telle aventure ? Par sentiment patriotique ou bien parce qu’il pensait qu’après la réussite d’une telle mission, on lui permettrait tout ? Il pourrait dorénavant filmer ce qu’il souhaitait sans plus se soucier des questions financières ?

En acceptant de participer au projet, Kubrick devait savoir qu’il détiendrait un secret d’une importance politique capitale. Il devait savoir que les services spéciaux feraient attention à ce qu’il ne le révèle à quiconque, volontairement ou non, et qu’ils essayeraient de le faire taire.

Quoi qu’il en soit, les « partisans de la théorie du complot lunaire » affirment que Kubrick avait décidé de révéler ce secret.

Il est probable qu’il ait eu besoin de se repentir, qu’il ne pouvait le garder pour lui. Il avait décidé de s’en repentir en se confessant ouvertement dans un film.

Il a quitté les États-Unis pour retourner en Angleterre où il entreprit finalement de tourner le film « Shining : l’enfant lumière » en 1980 d’après le roman de Stephen King écrit en 1977.

Il s’agit d’un film d’horreur mais, à y regarder de plus près, on peut voir que « Shining » (« L’éclat » ou « Le rayonnement » en français) renvoie à plusieurs reprises à la mission Apollo 11.

(Leonid Konovalov)

« Un petit garçon joue sur un tapis qui représente des motifs hexagonaux rappelant la surface des terrains de lancements de fusées du Cap Canaveral en Floride. Puis il rassemble des jouets, se lève et l’on peut voir alors une fusée représentée sur son pull avec l’inscription Apollo 11.

Passage dans “Shining” (© flytothesky.ru)

Ensuite, il parcourt le couloir sur son petit tracteur et s’arrête au niveau de la chambre numéro 327. C’est la référence à la distance de 327 miles séparant la Terre de la Lune. Quand bien même Stephen King parlait dans son livre de la pièce 317.

Kubrick avait ainsi modifié certains symboles du roman afin que le spectateur comprenne que le film portait absolument sur autre chose ».

Dans un des épisodes du film, on peut voir le livre sur lequel travaillait le héros principal du film joué par Jack Nicholson. Sur la pile de feuilles, une même phrase est inscrite à de nombreuses reprises. Elle commence en anglais par les mots : « All work » (« Tout le travail »). En anglais, l’écriture de All, un « A » majuscule et deux « l » minuscules côte à côté, « All » renvoie à Apollo 11.

Que voulait donc montrer Kubrick par ces allusions ?

Certains spécialistes de la question affirment que, avec ces allusions, Stanley Kubrick voulait montrer qu’il savait réellement ce qu’il en était de la mission des États-Unis sur la Lune.

Il n’est pas très étonnant que la mise à l’écran de son livre n’ait pas plu à Steven Spielberg. Certainement du fait que Kubrick utilisait le contenu original de son livre pour montrer à ceux qui le souhaitaient et qui pouvaient le comprendre que le sujet était tout à fait autre que celui d’un film d’horreur.

Selon le journal The Sun, après avoir su ce que Kubrick filmait réellement, des collaborateurs de l’Agence de la Sécurité nationale (NSA)9 des États-Unis ont tenté alors une première fois de le supprimer.

En 1979, un agent aurait offert un cadeau à Nicholson, une bouteille de whisky, afin qu’il la remette à Kubrick. Évidemment, il ne lui a pas dit qu’un produit poussant au suicide avait été mélangé à l’alcool.

« Heu… hups… à la dé… mo… hups… cratie… hups ! »
(© elika.spb.ru)

Si cela est vrai, alors cette tentative aura échoué, sachant que le sac contenant la bouteille s’est finalement fait voler à l’aéroport de Heathrow à Londres.

Que s’est-il donc passé alors vingt après ?

Une nouvelle tentative de le supprimer aura été heureuse ou bien est-ce que Stanley Kubrick, comme les conclusions officielles l’affirment, est réellement mort d’un arrêt cardiaque ? Mais alors, quels sont les secrets qu’il aura emportés avec lui sans avoir eu le temps de les dévoiler ?

De toute évidence, personne ne le saura jamais ?


1 « Le bal des vampires » : film de Roman Polanski de 1966 (« The Fairless Vampire Killers, or Pardon Me, But Your Teeth Are in My Neck »).

2 Harry Frankfurt, « De l’art de dire des conneries », 2006.

3 En 2024, il est très probable d’avoir à lier la pensée à des coups de marteau ou autres ustensiles.

4 D’après « la nouvelle rêvée » d’Arthur Schnitzler.

5 Résidence secondaire du banquier Mayer Amschel de Rothschild construite au XIXe siècle.

6 La profondeur des films de Stanley Kubrick peut être dépassée par le génie de Andreï Tarkovski (1932-1986), réalisateur, scénariste et écrivain russe soviétique, notamment avec son film « Stalker » sorti en 1979.

7 Apollo 11 est une mission du programme spatial américain Apollo au cours de laquelle, pour la première fois, des hommes (Armstrong, Collins, Aldrin) se seraient posés et auraient marché sur la Lune, le lundi 21 juillet 1969.

8 Pour rappel, le premier être humain à avoir effectivement effectué un vol dans l’espace est le Soviétique russe Youri Gagarine au cours de la mission Vostok 1 le 14 avril 1961 dans le cadre du programme spatial soviétique.

9 NSA : National Security Agency.




Sénateur Malcom Roberts : « Le FEM veut contrôler aussi l’agriculture »

[Source : Ciel voilé]






Septembre 2001 aux États-Unis : analyse physique des évènements

Par Christian DARLOT

Résumé :

La version officielle de la destruction des tours de Manhattan et de l’attentat au Pentagone, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique. Mais les principes fondamentaux de la Physique permettent, par une analyse simple, d’identifier le procédé de destruction.

Une version précédente de cet article a été publiée en septembre 2021 sur le site du Saker francophone, cosignée par François ROBY, enseignant-chercheur en Physique, à qui la plus grande part de l’analyse physique est due, mais qui n’a pas souhaité s’associer à cette nouvelle publication.

Christian DARLOT est chercheur en Physiologie.

Table des matières

  • 1 Pas d’avion

    • 1.1 Pas d’avion à Manhattan

      • 1.1.1 Absence de preuve matérielle
      • 1.1.2 Vidéos diffusées dans les médias
      • 1.1.3 Illusion de la mémoire
      • 1.1.4 Impossibilité mécanique
      • 1.1.5 Preuve par l’exemple : duel d’un avion et d’un gratte-ciel en 1945

    • 1.2 Pas d’avion au Pentagone

  • 2 Destruction de trois gratte-ciel

    • 2.1 Structure des immeubles
    • 2.2 Physique newtonienne ou harrypotterrienne ?
    • 2.3 Effondrement sans cause : l’énigme de la tour n° 7
    • 2.4  Effondrement et pulvérisation des tours : d’où provint l’énergie ?

      • 2.4.1 Incendies de bureau
      • 2.4.2 Preuve par l’exemple : incendies de gratte-ciel
      • 2.4.3 Explosions et effondrement
      • 2.4.4 Persistance d’un grand dégagement de chaleur
      • 2.4.5 Déblaiement des ruines

    • 2.5 Fausseté de l’explication officielle

  • 3 Explosions nucléaires souterraines

    • 3.1 Insuffisance des explosifs chimiques, nécessité d’explosifs nucléaires
    • 3.2 Technique de démolition d’urgence prévue dès la construction
    • 3.3 Destruction des tours de Manhattan

  • 4 Conclusions

Les attentats du 11 septembre 2001, à Manhattan et au Pentagone, ont déclenché plus de 20 années de guerre au Proche-Orient, la mort violente ou l’exil de millions de personnes, et la ruine de plusieurs États. Ce désastre se prolonge par la guerre en Ukraine et le génocide en Palestine. Identifier l’origine de ces attentats est donc capital pour comprendre et anticiper l’évolution des relations internationales. Mais le rapport officiel des pouvoirs publics étasuniens présente tant de lacunes et d’impossibilités physiques qu’il n’explique rien. Pourtant le choc d’un avion contre un immeuble et l’effondrement d’une tour sont déterminés par les lois de la Physique. Ces faits peuvent donc être étudiés selon une méthode sûre : l’analyse physique des observations. L’objectivité de principe d’une telle analyse n’empêche pas la compassion envers les victimes, mais au contraire peut permettre d’élucider les causes de leur mort, innocenter des innocents, identifier les coupables et les empêcher de récidiver.

Sources :

Outre le rapport officiel aussi lacunaire que volumineux 1 une recherche sur Internet permet de trouver foison de documents, de photos et de vidéos des évènements à New York. Au contraire, très peu de documents sont accessibles sur l’attentat du Pentagone à Washington, et presque pas sur l’écrasement d’un avion en Pennsylvanie. 2

Selon un principe fondamental de tout débat, la charge de la preuve incombe à qui affirme. La première étape de la recherche de la vérité est donc d’examiner la compatibilité de la version officielle avec les conditions physiques des évènements.

1 Pas d’avion

1.1 Pas d’avion à Manhattan

Le premier souvenir gravé dans les mémoires est celui d’évènements qui n’eurent pas lieu : les frappes de deux avions contre les plus hautes tours de Manhattan.

Nul avion ne frappa ces tours.

Apparemment surprenante, cette affirmation est prouvée par les faits : l’absence de preuve matérielle, le trucage des vidéos, et l’impossibilité physique pour un avion de voler vite à basse altitude, de percer un immeuble et d’y disparaître entièrement.

1.1.1 Absence de preuve matérielle

Un des rares débris trouvés à Manhattan fut un moteur… mais il n’était pas d’un modèle équipant les avions prétendument entrés dans les tours. 3 Des quatre « boîtes noires » (deux par avion) enregistrant les informations sur le vol, pas une ne fut retrouvée. 4 La seule pièce à conviction trouvée dans la poussière d’acier et de béton couvrant les rues fut un passeport miraculeusement intact. 5 Ignifugé ? Jeté par la fenêtre de l’avion, en souvenir, avant le choc ? 

Le rapport officiel conclut donc logiquement que nul indice matériel ne prouve l’identité des avions supposés avoir frappé les tours.

1.1.2 Vidéos diffusées dans les médias

Les vidéos diffusées, et encore disponibles sur Internet, se classent en deux catégories :

1/ Celles diffusées au moment même montrent, sur des images de mauvaise qualité, des silhouettes d’avions à contre-jour, entrant en entier dans les tours sans ralentir. Sur plusieurs vidéos, une silhouette disparaît derrière la tour sud puis pointe le bout de son nez de l’autre côté (ce que les analystes de ces images ont nommé « le nez de Pinocchio »), comme si l’avion l’avait traversée toute entière sans se déformer : un carreau d’arbalète. Montage bâclé, par incrustation d’images en quasi-direct grâce à un tampon de quelques dizaines de secondes rendant le trucage possible, mais hâtif. Aussitôt après cette séquence bizarre, l’image est interrompue pendant une fraction de seconde (un « écran noir »), comme si un technicien, conscient de la bévue, avait voulu la minimiser en interrompant la retransmission. 6

Le jour même, les chaînes de télévision dégagèrent leur responsabilité en plaçant dans les images un encart « By courtesy of… », signalant que ces vidéos n’avaient pas été faites par leur personnel, mais par des personnes extérieures. 7 Cette précaution disparut ensuite.

La vitesse mesurée de l’avion censé avoir frappé la tour sud est proche de 900 km/h8, la vitesse de croisière normale à 10 000 mètres d’altitude, où l’air est trois fois moins dense qu’à la basse altitude où ces avions sont censés avoir volé pour échapper aux radars. Quoique les coefficients de sécurité mécanique en Aéronautique soient d’au moins 3, à une telle vitesse, au niveau de la mer, la structure d’un avion ne pourrait encaisser longtemps les contraintes aérodynamiques et se disloquerait, comme l’association « Pilots for 9/11 Truth » l’a montré. 9

2/ Les vidéos diffusées au cours des jours et semaines suivants, « filmées par des amateurs » tous en lien avec les métiers de l’audiovisuel, sont de meilleure qualité grâce à un temps de calcul plus grand, mais la trajectoire d’un même avion et sa vitesse varient d’une séquence à l’autre. Les avions paraissent encore absorbés par les tours, sans bris d’ailes ni chute de débris.

Traitement des images par incrustation

Ces images sont des montages par incrustation vidéo. Cette technique, désormais à la portée des amateurs (les téléphones portables permettent des effets très divers, même au cours de simples conversations vidéo), était récente en 2001 pour du quasi-direct, et peu connue du grand public. Ces silhouettes d’avions passe-murailles sont impossibles dans le monde réel, mais familières aux connaisseurs de dessins animés.

1.1.3 Illusion de la mémoire

Les silhouettes des avions furent incrustées, mais des explosions eurent bien lieu. 10 Les rues de Manhattan sont larges, ce ne sont pas des ruelles, mais les tours sont hautes par rapport à la largeur des rues. Les passants ne virent donc que des flammes et de la fumée, et pour comprendre ce qui se passait regardèrent les chaînes de télévision diffusant les films truqués. 11 Témoins des explosions, ils crurent de bonne foi avoir vu la frappe des avions. 12

Illusion psychologique classique.

1.1.4 Impossibilité mécanique

Afin qu’il soit léger, un avion est un tube creux en tôle d’alliage d’aluminium de quelques millimètres d’épaisseur, rivetée sur une armature aussi en alliage d’aluminium. Un avion ne peut pénétrer sans déformation visible dans une tour pour une raison simple : le principe des actions réciproques, ou d’égalité de l’action et de la réaction, ou « troisième loi de Newton », valide en statique et en dynamique.

En statique : le haut d’un immeuble pèse sur le bas, et en retour le bas exerce vers le haut une force de soutien égale au poids du haut. La somme est nulle, et l’immeuble reste en équilibre.

En dynamique : lorsque deux objets se heurtent — par exemple deux billes, ou une balle contre un mur —, chacun exerce une force sur l’autre, et ces forces sont égales, mais de sens opposés. Lors du choc d’un avion contre une tour, la partie de l’avion heurtant la façade exerce une force, et la façade exerce sur cette partie de l’avion une force opposée et égale.

Ce principe détermine les lois de résistance des matériaux. Tout outil de découpe doit être plus dur que le matériau qu’il entame. Ainsi, une fraise en acier peut découper du duralumin (un alliage d’aluminium et de cuivre employé en construction aéronautique) parce que l’acier est plus dur que le duralumin. 13 L’effet du choc de deux objets dépend des duretés relatives des matériaux, et celle des aciers de construction est plus grande que celle des alliages aéronautiques. 14 L’analyse détaillée du choc de deux objets non pleins, comme la structure tubulaire d’un avion de ligne et le treillis de poutres d’un gratte-ciel, nécessite des notions précises de Mécanique15, mais dans le cadre de ce principe général.

En Physique comme en tout domaine, les principes généraux déterminent les lois particulières.

Selon le principe fondamental de la dynamique, ou « deuxième loi de Newton », le changement de vitesse d’un objet en mouvement est proportionnel à la force exercée sur lui. 16 L’observation des images vidéo permet d’estimer la décélération de l’avion au moment de la collision supposée. Or la silhouette d’avion ne ralentit pas, ni ne se déforme, pendant qu’elle traverse la façade. La décélération serait ainsi très faible, et donc la force aussi. Puisque les forces exercées par l’avion sur la façade, et par la façade sur l’avion, sont opposées et d’égales intensités, une force très faible aurait causé à la façade les dégâts spectaculaires que le monde entier a vus ! Un avion, un tube en aluminium, aurait pu briser un réseau de poutres en acier sans se déformer, ni même ralentir, sans que les ailes ne se brisent ni même se plient !

Cette impossibilité pour un avion de briser un réseau de poutres en acier sans se déformer est indépendante de l’énergie cinétique (égale au produit de la masse par le carré de la vitesse). Certes, plus l’énergie cinétique est grande, plus graves sont les dégâts, mais, quelle que soit la vitesse, l’objet le moins dur est plus déformé que l’objet le plus dur. 17 Si une canette de soda vide est lancée, même très vite, contre la grille de la Préfecture, la grille sera-t-elle brisée ? Une balle de ping-pong troue-t-elle une raquette sans se déformer ? 18

1.1.5 Preuve par l’exemple : duel d’un avion et d’un gratte-ciel en 1945

Le réseau de poutres en acier constituant la structure extérieure des tours avait été conçu pour résister aux tempêtes et au choc d’un avion de ligne. 19 Cette contrainte réglementaire fut dictée par l’expérience : par un jour de brume, le 28 juillet 1945, un bombardier B-25 heurta l’Empire State Building. La force subie par l’avion dépassa le seuil de résistance d’un tube en aluminium ; il s’écrasa contre la façade, les ailes et la carlingue tombèrent dans la rue, et seules des parties dures des moteurs et du train d’atterrissage trouèrent la façade. Les trois hommes de l’équipage, et onze personnes travaillant dans l’immeuble furent tués. L’incendie fut maîtrisé en trois quarts d’heure. Cette fois, un avion réel frappa un immeuble à une vitesse conforme aux lois de l’Aéronautique, et l’accident respecta les lois de la Physique et du bon sens. 20 Quant à l’Empire State, tel le Veau d’Or, il est toujours debout ; merci d’avoir pris des nouvelles de sa santé.

En résumé :

– Des explosions se produisirent.

– Nulle preuve matérielle de la présence d’avions à Manhattan ne fut jamais trouvée.

– Selon les lois de la Mécanique, un avion ne peut pas frapper un immeuble sans ralentir ni se déformer, ne peut pas entrer dans l’immeuble, et encore moins le traverser de part en part.

– L’expérience prouve qu’un avion s’écrase contre une tour, mais ne la transperce pas, et que la plupart des débris tombent au sol.

– Les vidéos montrant la disparition complète d’un avion dans une tour sont des montages.

Conclusions : nul avion ne frappa les tours de Manhattan ; les explosions furent déclenchées de l’intérieur des immeubles ; les auteurs des vidéos étaient connus des chaînes de télévision.

1.2 Pas d’avion au Pentagone

Nul avion ne frappa non plus le Pentagone. 21 Les photographies ne montrent, sur la pelouse devant la façade, qu’un seul débris métallique, inidentifiable, mais ni bagages éparpillés, ni kérosène en flammes. La fumée noire résulte de la combustion d’un camion.

Un avion de ligne ne peut faire de virage serré comme un chasseur et ne peut rester en rase-mottes sur 600 mètres. 22 Il lui est plus difficile encore de replier les ailes comme une chauve-souris qui se suicide. Le Pentagone n’est pas plus haut qu’un immeuble haussmannien, 23 mètres, et un Boeing 757-200 n’est pas un tapis volant. Faire entrer entièrement un avion de 12 mètres de haut, 47 mètres de long et 38,50 m d’envergure dans un trou de 6 mètres de diamètre, au rez-de-chaussée d’un bâtiment, c’est un exploit technique révolutionnaire. Puisqu’aucun débris ne fut trouvé, les ailes et le train d’atterrissage se seraient évaporés, l’alliage d’aluminium se serait vaporisé (température nécessaire : 3000 °C) et l’alliage très résistant des moteurs se serait sublimé, mais le nez en fibre de carbone aurait percé six épaisseurs de murs. 23 Physique innovante !

Les environs du bâtiment étaient dans le champ de 85 caméras de surveillance, mais seulement quelques images peu nettes ont été publiées. 24 Une tache blanche, oblongue, fugace, peut suggérer un missile tiré d’un avion et des témoins affirmèrent avoir entendu un sifflement strident. 25 Pour échapper aux batteries antiaériennes automatiques, un missile doit être détecté comme « ami ». Autre possibilité, des explosifs auraient été placés dans le bâtiment lors des travaux de rénovation récemment achevés. 26 Des photos prises avant l’écroulement de la façade montrent en effet des débris tombés hors du bâtiment, indiquant une explosion à l’intérieur. Dans les deux cas, des complicités au Pentagone auraient été nécessaires.

L’incendie au Pentagone fut vite éteint par les pompiers. Les Tours Jumelles et le Pentagone étaient certes des bâtiments très différents, mais les mêmes projectiles supposés — des avions de ligne contenant du kérosène — auraient-ils déclenché un feu infernal dans des tours très robustes et un petit incendie dans un bâtiment, certes solide, mais classique ?

En résumé :

– Nulle trace matérielle ne prouve la présence d’un avion.

– Un avion de ligne ne peut effectuer la manœuvre supposée.

– Un avion ne peut entrer (ailes comprises !) dans un trou de 6 m de diamètre.

– Un missile aurait été nécessairement « ami ».

– Les travaux récemment terminés pourraient avoir permis d’installer des explosifs.

Conclusion : nul avion ne frappa le Pentagone.

2 Destruction de trois gratte-ciel

2.1 Structure des immeubles 

La majeure partie de la masse des tours WTC1, WTC2 et WTC7 était constituée d’acier de construction et de béton léger utilisé dans les planchers, et n’était donc pas combustible. Selon le NIST, chacune des tours jumelles contenait 87 090 tonnes d’acier de construction. 27 La masse en service du WTC1 était d’environ 290 000 tonnes (2,9 × 10kg), en accord à la masse par unité de surface de plancher de bâtiments similaires. 28

Dans la plupart des gratte-ciel, tous les étages ont les mêmes dimensions, mais ceux du bas supportent ceux du haut. Cette évidence implique que la structure porteuse est plus robuste en bas qu’en haut. La contrainte de stabilité que la forme de la Tour Eiffel rend bien visible est cachée par l’apparence parallélépipédique des immeubles-tours. 29

Schématiquement, les tours de Manhattan étaient constituées de deux structures emboîtées, et solidarisées au sommet tour par un « chapeau » très résistant :

1/ La structure intérieure, de plan rectangulaire, contenant les cages d’escaliers et les ascenseurs, mesurait 26,5 mètres sur 41 mètres et était constituée, de la base jusqu’au sommet de la tour, de 47 colonnes reliées entre elles par des entretoises, et entourées de panneaux en gypse. Ces colonnes étaient des tubes en acier, de section carrée, typiquement de 35 cm de côté, et dont l’épaisseur des parois décroissait de bas en haut : 5 pouces (12,7 cm) pour les 5 étages les plus bas, 2,5 pouces (6,35 cm) pour les étages au-dessus, et décroissant progressivement jusqu’à ¼ de pouce (6,35 mm) pour les étages 102 à 110. Cette structure supportait 60 % de la charge verticale.

2/ La structure extérieure, de plan carré, supportait 40 % de la charge statique totale. Elle était constituée de 236 colonnes en acier, 59 sur chaque façade, du 6e au 107étage, espacées d’un mètre, encadrant des fenêtres de 60 cm de largeur. Les colonnes des cinq étages du bas étaient plus robustes, et plus espacées afin de permettre l’entrée dans les tours. Cette façade porteuse avait été construite par assemblage décalé de modules préfabriqués, constitués de 3 colonnes sur 3 étages, dont l’épaisseur des parois diminuait de bas en haut, comme dans la structure centrale. Dans la tour sud, au 81étage, niveau de l’explosion (de « l’impact de l’avion »), l’épaisseur était de 0,875 pouce (2,22 cm). Quand souffle un vent fort, la répartition des charges d’une tour varie, la charge dynamique étant alors asymétrique entre les façades. La façade au vent peut même être en tension, d’où l’usage de l’acier pour la structure, car les autres matériaux de construction (pierre, béton…) résistent bien en compression, mais mal en traction. Cette grille solide, en acier, ne peut avoir été traversée par un avion en alliage d’aluminium. 

Pour la sécurité, les colonnes centrales pouvaient supporter trois fois plus que le poids qu’elles ne supportaient réellement, et les colonnes périphériques cinq fois plus.

2.2 Physique newtonienne ou harrypotterrienne ?

Quelques heures à peine après ces effondrements, l’ingénieur en génie civil Zdeněk Bažant les interpréta comme une propagation de la chute de quelques étages, interprétation illustrée par l’image de la « pile d’assiettes » : les étages des Tours Jumelles auraient été comparables à des assiettes accrochées aux structures porteuses — les colonnes du noyau central et de la façade. 30 Les attaches auraient pu supporter le poids d’un étage, mais pas celui de tous les étages situés au-dessus. Si une cause, telle qu’un incendie localisé au niveau des « impacts d’avions », faisait rompre les attaches de quelques étages, ces « assiettes » tomberaient sur celle du dessous, dont les attaches ne résisteraient pas au poids et à l’énergie cinétique des assiettes tombant, et se briseraient à leur tour. Les assiettes déjà décrochées tomberaient alors sur celle encore en dessous. De proche en proche, les assiettes se décrocheraient l’une après l’autre, et toutes dégringoleraient en cascade jusqu’en bas. Raisonnement juste, fondé sur une prémisse fausse : l’attachement d’étages rigides à quelques colonnes par des attaches fragiles.

En fait les étages des gratte-ciel sont solidaires de toutes les colonnes. Même en admettant l’image simpliste de plateaux accrochés à des structures porteuses, chaque plateau aurait été attaché aux 283 colonnes, et toutes les attaches n’auraient pu se rompre au même instant. 31 Une rupture soudaine est possible pour le béton et la maçonnerie, mais l’acier est un matériau déformable à haute température. Améliorés par des décennies de recherche scientifique et technique, les calculs de résistance au feu de l’acier permettent de prévoir le comportement des structures. 32 En regardant si les poutres se déforment, les pompiers peuvent anticiper un risque d’écroulement. Le résultat final de ces chutes en cascade eût d’ailleurs été un tas de « débris d’assiettes », tandis que les structures interne et externe seraient restées debout, tout au plus vacillant par manque d’entretoises. En réalité, une grande part de l’acier et du béton des tours fut réduite en poussière, et les décombres n’étaient pas des entassements de fragments de dalles. La théorie de la pile d’assiettes n’explique pas ces faits, et est incompatible avec les lois de la Physique. Pourtant de vaillants journalistes et de téméraires « experts » médiatiques tentèrent de faire admettre l’impossible. 33

À supposer que des colonnes de soutien aient été cisaillées et que des pans de plancher soient tombés, la résistance de la partie basse de l’immeuble aurait arrêté leur chute, selon le principe de conservation de la quantité de mouvement, car cette partie était plus grande et beaucoup plus massive que la partie haute, et soutenue par les fondations ancrées dans le sol. Tant que le bas resta solide, la force résistante exercée du bas vers le haut resta égale à la force exercée du haut vers le bas. Le haut de l’immeuble ne peut avoir écrasé le bas.

Le haut de l’immeuble n’écrasa pas le bas ; il est tombé parce que le bas ne le soutint plus.

La Physique n’est pas la magie, elle décrit la réalité sur laquelle elle est fondée. Il ne suffit pas, comme dans Harry Potter, d’émettre un vœu pour qu’il se réalise (même de travers). Certes l’Amérique est le continent de tous les possibles, mais les lois de la Mécanique ne s’appliquent-elles pas à Manhattan ?

2.3 Effondrement sans cause : l’énigme de la tour n° 7

Plusieurs heures après les attentats, des incendies s’allumèrent dans une troisième tour, n° 7, située à 150 mètres des tours jumelles, dont elle était séparée par un autre immeuble, et que nul avion n’était censé avoir frappée. Haute de 173 m (47 étages), elle était comparable à la Tour Montparnasse haute de 209 mètres (56 étages). Sa chute fut annoncée plusieurs heures d’avance, même par la télévision BBC, alors qu’elle était encore debout, son image bien visible sur l’écran derrière la présentatrice. Soudain, à 17 h 20, elle s’effondra tout entière en 12 secondes, sur sa base. Par solidarité avec ses grandes sœurs ? Pendant les premières secondes, elle tomba de trente mètres à la vitesse de la chute libre ; après l’avoir d’abord nié, même le NIST dut le reconnaître et admettre que la cause est inconnue. Mais le rapport officiel se contredit en affirmant d’abord « l’effondrement du WTC7 fut un effondrement progressif produit par des incendies » puis (sur la même page !) en mentionnant « une chute libre de la hauteur d’environ 8 étages, selon l’accélération de la pesanteur pendant environ 2,25 s ».

Comment une chute libre pourrait-elle être progressive ?

2.4  Effondrement et pulvérisation des tours : d’où provint l’énergie ?

2.4.1 Incendies de bureau

Le kérosène n’explose pas ; c’est pourquoi il est utilisé en aviation. À supposer même que des avions eussent frappé les tours, le kérosène aurait brûlé en un quart d’heure. Les réservoirs d’un Boeing 757 contiennent au plus 42 680 litres de kérosène, et selon le rapport de la FEMA (Federal Emergency Management Agency Agence fédérale des situations d’urgence), chaque avion transportait 37 900 litres de kérosène. Ce volume est celui d’un cube de 3,35 mètres d’arête, tandis que les deux tours mesuraient 63,4 x 63,4 x 415 mètres. Cinq tours Montparnasse chacune ! 34

Des incendies de bureau durèrent une heure dans la tour sud et une heure et demie dans la tour nord. La plus grande part de l’énergie dégagée par un feu chauffe l’air, d’où la faible efficacité d’un feu dans un âtre, dont la chaleur part surtout par le conduit de cheminée. La quantité d’énergie nécessaire pour atteindre une température donnée dépend de la nature et de la quantité de matériau à chauffer. 35 La température d’un incendie de bureau est 800-900 degrés Celsius. La température de fusion d’un alliage d’acier dépend de la composition chimique, mais reste proche de 1427 °C (1700 K). L’acier commence à mollir vers 600 °C, mais, en une heure, l’air chaud ne peut transmettre au cœur de poutres en acier, épaisses et ignifugées, une quantité d’énergie suffisante pour les ramollir. 36

En outre, une charpente métallique en réseau répartit la chaleur comme un radiateur, donc abaisse la température des poutres. Et comme la chaleur ne diffuse pas instantanément, les structures fléchissent asymétriquement et penchent d’un côté. Les effondrements dus à des incendies ne sont jamais symétriques.

2.4.2 Preuve par l’exemple : incendies de gratte-ciel

En 1975, un incendie dans la tour nord ravagea pendant plusieurs heures la moitié du onzième étage (en bas de la tour), puis se propagea à d’autres étages où il fut bientôt éteint. La structure de la tour ne fut néanmoins pas endommagée. En 1991, un incendie au One Meridian Plaza de Philadelphie dura 18 heures et détruisit 8 des 38 étages. Selon le rapport de la FEMA « Des poutres et des poutrelles se sont tordues ou affaissées… suite à l’exposition au feu, mais les colonnes ont continué à supporter leur charge sans dégât apparent. » 37 En 2004, à Caracas, 20 étages d’une tour de 50 étages brûlèrent pendant 17 heures, mais le gratte-ciel ne s’effondra pas. 38 L’énergie d’un incendie ne peut suffire à détruire un gratte-ciel.

Une relation de cause à effet entre incendie et effondrement est donc exclue.

2.4.3 Explosions et effondrement

Des pompiers et d’autres témoins présents dans les tours entendirent une série d’explosions, au sous-sol, au rez-de-chaussée et dans les étages proches de l’incendie. Des poutres furent éjectées jusqu’à 500 mètres ou s’encastrèrent dans les façades d’immeubles voisins. 39 Les vitesses estimées par analyse des films, image par image, atteignent jusqu’à 110 km/h. Pendant les 7 minutes précédant l’effondrement, une coulée de métal fondu fut filmée tombant du 80e étage d’une façade de la tour Sud, WTC2. L’analyse chimique des décombres identifia des produits de réaction d’un explosif utilisé en démolition, la thermite. Des cordons de thermite auraient causé les coupures obliques nettes, visibles sur des poutres non pulvérisées. Mais des explosifs chimiques ne dégagent pas assez d’énergie pour réduire des bâtiments en poussière, et leur emploi laisse de grands pans de bâtiment d’un seul tenant. 40

Les tours s’effondrèrent en dix à quinze secondes, l’incertitude étant due à la poussière masquant la fin de la chute. 41 Des milliers de tonnes d’acier et de béton furent réduits en grains de quelques millimètres à quelques dixièmes de millimètre, s’élevant en volutes semblables à celles d’explosions volcaniques pyroclastiques, puis se déposèrent en recouvrant les rues d’une couche de poussière épaisse de plusieurs centimètres. Or la quantité d’énergie nécessaire pour broyer un solide est une fonction croissante de la finesse des grains. D’où provint l’énergie ?

Non seulement la pulvérisation des matériaux nécessita beaucoup d’énergie, mais sa rapidité indique une source d’énergie dégageant une grande puissance, concept physique important.

La puissance est le rapport de la quantité d’énergie au temps pendant laquelle elle est émise.Pour démarrer une voiture ou faire décoller un avion, les moteurs doivent fournir beaucoup plus de puissance que pendant un mouvement à vitesse constante, sur route ou en vol.

2.4.4 Persistance d’un grand dégagement de chaleur

La puissance nécessaire pour pulvériser presque instantanément des milliers de tonnes d’acier et de béton est difficile à évaluer, mais une valeur minimale de l’énergie dégagée peut être estimée en considérant l’évolution de la température du site.

Des blocs de béton et d’acier mêlés furent trouvés, dont l’apparence est celle de la lave refroidie. Des températures d’environ 2000 °C furent mesurées. Des photographies célèbres montrent de l’acier rougeoyant retiré de la pile de débris. Quelques citations de témoins font ressentir la réalité du dégagement de chaleur :

– Au dire des pompiers, les semelles de leurs bottes fondaient. Sous les débris, la température était « si intense qu’ils ont rencontré des rivières d’acier en fusion », « comme dans une aciérie ». 42 Ils s’exposaient à des périls comme « la secousse d’un effondrement profondément en dessous, […] ou, dans les premiers temps, les coulées de métal en fusion s’échappant des noyaux chauds et s’écoulant le long des murs brisés à l’intérieur des fondations. » 43

– « 21 jours après l’attaque, l’acier en fusion coulait toujours ».44 « Sous terre, c’était encore si chaud que du métal en fusion a coulé sur les côtés du mur du bâtiment 6. » 45

– « Des éléments en acier, dans la pile de débris, semblent avoir été partiellement évaporés à des températures extraordinairement élevées ». 46

La température de sublimation du fer, principal composant de l’acier, est de 2861 °C (3134 K).

Des relevés de température par thermographie infrarouge aérienne montrèrent, le 16 septembre, des points chauds jusqu’à une température de 747 °C (1020 K). 47 Le 7 octobre 2001, une image thermique montra des températures semblables aux emplacements des trois bâtiments (WTC1, WTC2 et WTC7), quoiqu’ils aient été architecturalement très différents et aient subi des dommages différents. 48 Le refroidissement fut progressif au cours des mois suivants : « Le feu souterrain brûla pendant exactement 100 jours et a finalement été déclaré “éteint” le 19 décembre 2001 ». Quels matériaux combustibles auraient alimenté un « feu souterrain » ? Comment l’air nécessaire à la combustion serait-il parvenu dans le sous-sol ?

Le 12 février 2002, cinq mois après l’effondrement des tours, des mesures par la même méthode révélèrent encore une émission de chaleur. 49 Le sous-sol n’avait donc pas atteint l’équilibre thermique et continuait à se refroidir. Les matériaux sont ainsi restés pendant trois mois à des températures bien plus élevées que celles d’un incendie de bâtiment. Puisque, selon le deuxième principe de la Thermodynamique, l’énergie ne se concentre pas spontanément, ces températures ne peuvent avoir été causées par un « feu souterrain », mais résultaient de l’existence d’une source de chaleur très importante dans la profondeur du sous-sol. 

Les lois du transfert de la chaleur sont couramment employées par les architectes pour dimensionner les circuits de chauffage des bâtiments, et par les ingénieurs pour assurer le refroidissement, en électronique comme en automobile. En estimant la surface d’émission et l’évolution au cours du temps de la différence de température avec l’air ambiant, ces mesures permettent d’estimer la quantité de chaleur totale émise par le site. 50 Elle est énorme, de l’ordre de 1 pétajoule (1015 joules ou 1 000 000 000 000 000 joules), soit la chaleur émise par la combustion de 24 000 tonnes de pétrole, pouvant remplir plus de 10 piscines olympiques. 

2.4.5 Déblaiement des ruines

Élimination des preuves matérielles

Le déblaiement commença aussitôt après la catastrophe, avant toute enquête, et l’acier des décombres fut envoyé en Chine, en Inde et d’autres pays d’Asie. Procédé inhabituel en cas de désastre sans précédent. La soustraction et la dissimulation de preuve sont des délits. 51

Cancers des sauveteurs et des déblayeurs

Des équipes de détection furent envoyées sur place le jour même, habillées de tenues NBC. Les déblayeurs ne restaient que quelques jours avant d’être remplacés, et regrettaient de quitter le chantier à peine devenaient-ils efficaces. Parmi les 80 000 personnes affiliées au programme sanitaire WTC Health Program, à la fin de mars 2021, près de 14 000 souffraient d’un cancer et 1015 en étaient morts. 52 Les cancers des voies respiratoires et digestives furent causés vraisemblablement par des débris d’amiante et des poussières radioactives inhalées ou ingérées. Des cancers de la peau et des lymphomes sont nombreux aussi. Les malades ont constitué des associations de défense et prononcé maintes conférences aux États-Unis. 

2.5 Fausseté de l’explication officielle

En résumé, l’explication officielle enfreint des principes physiques fondamentaux :

– Le principe de conservation de l’énergie : de l’énergie ne peut être créée. Ce principe est fondamental pour toute la Physique (« premier principe de la Thermodynamique »).

– Le principe de dispersion de l’énergie : la chaleur ne peut pas s’être concentrée dans les poutres ni dans le sous-sol (« deuxième principe de la Thermodynamique »).

– Le principe fondamental de la dynamique (« deuxième loi de Newton ») : un projectile ne peut percer une cible sans ralentir.

– Le principe des actions réciproques (« troisième loi de Newton ») : un tube creux en alliage d’aluminium ne peut percer un treillis en acier sans se déformer.

– Le principe de conservation de la quantité de mouvement.

L’explication officielle enfreint encore le principe fondamental de la dynamique, le principe des actions réciproques et le principe de conservation de la quantité de mouvement en affirmant que le bas de chaque tour fut écrasé par le haut. L’effondrement ne peut être dû qu’à la perte de résistance du bas.

D’autres lois, non détaillées dans ce bref article, sont enfreintes par l’explication officielle :

– La loi de diffusion de la chaleur de Fourier : la température du réseau de poutres ne peut être devenue uniforme dans tout l’immeuble.

– La loi de changement d’état des matériaux : la température d’un incendie de bureau ne peut faire fondre de l’acier ni le fragmenter finement. 

– La loi de rayonnement des matériaux selon la température (corps noir) : avant l’effondrement, la couleur des coulées de métal fondu sur une façade, jaune ou blanche, seule information disponible, indique une température de 1200 °C au moins, soit une température supérieure à celle d’un incendie. Ces coulées furent sans doute dues à des réactifs placés localement. 53

L’explication officielle enfreint les principes les mieux établis de la Physique.

Mais la Physique permet aussi de comprendre le mode opératoire.

3 Explosions nucléaires souterraines

Les tours de Manhattan furent détruites par des explosions nucléaires souterraines. Cette « interprétation complotiste délirante » est la seule compatible avec les lois de la Physique. 54

À l’apogée de l’engouement pour l’énergie nucléaire, pendant les années 1950 et 1960, des essais d’emploi d’explosifs nucléaires pour de gros travaux de génie civil, comme creuser des canaux, furent faits en URSS 55 et aux USA56. Mais la pollution résultante les fit abandonner. Toutefois ces essais rendirent réalisable ce procédé de démolition de gratte-ciel. 

3.1 Insuffisance des explosifs chimiques, nécessité d’explosifs nucléaires

Les explosifs chimiques couramment utilisés en démolition ne pulvérisent pas les bâtiments, quoique l’effondrement dégage de la poussière, et les décombres sont des amas de pans de murs et de planchers. Pour fragmenter des milliers de tonnes d’acier et de béton en grains millimétriques, il faudrait une très grande masse d’explosifs, en proportion notable de la masse de l’immeuble, répartie dans toutes les parties de la tour par des dizaines de techniciens pendant des milliers d’heures. Impraticable.

L’énergie chimique libérée par unité de masse d’un explosif classique est déterminée par l’énergie de liaison entre électrons et noyaux, mais celle d’un explosif nucléaire l’est par l’énergie de liaison des nucléons — protons et neutrons — dans les noyaux des atomes. Or l’énergie de liaison entre les nucléons des noyaux est un million de fois plus grande que l’énergie de liaison entre les électrons et les noyaux. En pratique, les matériaux nucléaires opérationnels comportent beaucoup de masse inerte, mais leur densité énergétique reste cependant 10 000 fois plus grande que celle des matériaux chimiques. C’est pourquoi une centrale électrique nucléaire n’est rechargée en combustible que tous les 3 ans, tandis qu’une centrale à charbon est alimentée quasiment en continu, par trains entiers.

Les bombes nucléaires émettent de l’énergie en quelques microsecondes, produisant une puissance inimaginable par l’esprit humain, et causant une onde de choc dont la pression maximale, de l’ordre du milliard d’atmosphères, est beaucoup plus destructrice que celle produite par tout explosif chimique.

Seule une bombe nucléaire émet la puissance suffisante pour réduire quasi instantanément des milliers de tonnes d’acier et de béton en poussière millimétrique, et contient assez d’énergie pour produire la très grande quantité de chaleur lentement dégagée du sous-sol de Manhattan.

En quelques microsecondes, les réactions nucléaires dégagent une énergie énorme, décomposant les roches du sous-sol jusqu’à l’état de plasma, particules sans liaisons à très haute température. 57 L’onde de choc fragmente les roches environnantes. En quelques dixièmes de seconde, une cavité se forme et s’agrandit. Si l’explosion est assez profonde, l’onde atteint la surface du sol, mais ne la soulève pas ; les roches situées entre le haut de la cavité et la surface du sol forment le « toit de la cavité ». L’onde atteignant la surface ne se diffuse pas dans l’air, d’où l’absence de bruit, mais se diffuse dans les objets solides placés sur le sol.

La chaleur de la cavité diffuse dans les roches les fait fondre, et ces deux effets absorbent de la chaleur et font baisser la température du plasma et des gaz, et donc la pression dans la cavité. 58 Lorsque la pression ne suffit plus à soutenir le toit de la cavité, il s’effondre, tombe dans la cavité, et le sol s’affaisse. Qu’une pression souterraine très grande produise une dépression à la surface du sol est un effet contre-intuitif, mais bien étudié. 59

Si l’explosif nucléaire est placé sous un bâtiment à une profondeur convenable, l’onde de choc et l’affaissement du sol peuvent faire écrouler même des gratte-ciel à structure métallique.

La quantité de chaleur restant dans la cavité est une fraction de l’énergie explosive, et son dégagement est retardé par son transfert à travers les roches du toit, tombées dans la cavité. Des éléments radioactifs s’échappent, mais d’autant moins que la profondeur est grande. Au cours de nombreux essais, les physiciens ont mesuré le rayonnement, la température, la dépression du sol, etc., et dès les années 60 ils ont su calculer la forme et les dimensions de la cavité et de la cheminée, selon la nature de la roche encaissante, la profondeur et l’énergie de l’explosion. En France, ces analyses furent faites par le Commissariat à l’Énergie Atomique. 60

Depuis 1963 les essais militaires d’explosions aériennes ont été réduits, puis interdits, et depuis 1974, un traité international a limité la charge des explosions souterraines à 150 kT, soit 0,63 pétajoule. Ces explosions émettent beaucoup moins de particules radioactives dans l’atmosphère que les explosions aériennes ou que l’accident de Tchernobyl. Des mesures sismographiques, hydroacoustiques et infrasoniques, ainsi que le dosage des particules de radionucléides dans l’air, permettent de les détecter et de connaître leurs caractéristiques, même à de grandes distances. Les États peuvent ainsi se surveiller les uns les autres. 61

3.2 Technique de démolition d’urgence prévue dès la construction

La pulvérisation instantanée des tours fut l’effet d’une puissance que seules des bombes nucléaires peuvent dégager. Mais où ces bombes avaient-elles été placées ?

Démolir des gratte-ciel est une entreprise difficile, et les règlements d’urbanisme imposent aux maîtres d’œuvre de proposer, dès la construction, une solution technique de démolition. 62 Un procédé de démolition d’urgence peut avoir été prévu pour les Tours Jumelles, bâtiments exceptionnels, construits selon les meilleures techniques des années 60. Une loge peut avoir été creusée sous le niveau du sous-sol le plus profond de chacune. Cette hypothèse est corroborée par la cotation des hauteurs, sur les plans des immeubles, à partir d’une altitude de référence très en dessous des fondations : 246 pieds, soit 75 m, dans le socle rocheux. 63

3.3 Destruction des tours de Manhattan

Chaque tour fut détruite par l’explosion souterraine d’une bombe nucléaire placée dans la roche, sous les fondations. 64 Plusieurs petites bombes « mini-nuke » n’auraient pas suffi, et n’auraient pas produit l’énorme quantité de chaleur dégagée du sous-sol pendant des mois. L’onde de choc atteignit aussitôt les fondations et se propagea dans l’immeuble. Jusqu’aux trois quarts de la hauteur environ, l’énergie de l’onde brisa des liaisons chimiques et fragilisa les matériaux. 65 La pression maximale de l’onde varie approximativement comme l’inverse du carré de la distance au point de l’explosion ; la quantité d’énergie transmise fut donc moindre dans les étages supérieurs, où l’onde ne causa plus qu’une déformation élastique et diminua moins la résistance mécanique que dans la partie inférieure. 

Sur plusieurs vidéos prises par des caméras placées sur support fixe, l’image tremble 12 s avant la chute des tours, durée pouvant être interprétée comme le délai entre l’explosion et l’effondrement du toit de la cavité. Lorsque cet effondrement ôta à l’immeuble le support des fondations, la partie basse de l’immeuble tomba en se désagrégeant. N’étant plus soutenue, la partie haute tomba en se désagrégeant à son tour, à une accélération d’environ 2/3 de la chute libre, à peine freinée par la cohésion résiduelle de la partie basse et la résistance de l’air. 66

Des explosions déclenchées juste avant la chute prouvent la présence de charges explosives chimiques, dont la mise à feu paraît avoir été synchronisée à celle de la bombe souterraine. 67 Placées en des points choisis de la structure, ces charges ont peut-être désolidarisé le haut et le bas de l’immeuble et coupé une part du train d’ondes, et elles servirent aussi de leurre pour dérouter les enquêteurs. S’il pouvait être consulté, le plan de démolition serait instructif.

Une grande part des matériaux se dissipa en volutes de poussière. D’une hauteur d’environ 20 m, les tas de décombres étaient remarquablement petits par rapport aux immeubles de 420 m. Des relevés aériens par la technique LIDAR montrent que chaque tas était au centre d’une dépression peu profonde. 68

Les débris des tours recevaient de la chaleur issue de la cavité, diffusant à travers les roches comblant la cheminée. L’énergie accumulée maintint le sous-sol à température très haute pendant plus de trois mois. L’émission de radioactivité au cours des semaines suivantes, mais le peu de pollution résiduelle indiquent une fusion plutôt qu’une fission, la fission n’étant nécessaire que pour amorcer la fusion. Les autorités ne furent pas disertes sur la présence de tritium, isotope radioactif de l’hydrogène produit par fusion. Après déblaiement des décombres, la cheminée sous l’emplacement de chaque tour fut couverte par une chape en béton, surmontée d’un grand bassin d’eau. Le béton et l’eau absorbent le rayonnement résiduel des éléments radioactifs présents dans la cavité, de sorte que le site est désormais sans danger.

Quant à l’expression « ground zero », elle désigne depuis huit décennies, en vocabulaire militaire le point de la surface du sol à l’aplomb d’une explosion nucléaire.

Voilà les grandes lignes de l’affaire, faciles à vérifier. Les documents officiels, les études techniques publiées sur Internet, quelques connaissances de base en Physique et un zeste de bon sens suffisent.

Toute interprétation rationnelle des évènements doit expliquer :

1/ L’entrée d’avions de ligne dans des immeubles à structure en acier S’ils ne peuvent pas percer la façade, force est de déduire qu’ils n’étaient pas là.

2/ L’effondrement des trois tours de Manhattan : Tours Jumelles et WTC7.

3/ L’origine de la puissance nécessaire pour pulvériser les tours, et de l’énergie dégagée du sous-sol pendant des mois.

Or la version officielle n’explique rien et est incompatible avec les lois de la Physique. 69

4 Conclusions

Donc les conclusions s’imposent :

1/ Les principes et lois physiques ne s’appliquent pas à Manhattan. Exceptionnalisme.

Dans une stratégie de réindustrialisation des États-Unis, cette particularité serait précieuse pour fabriquer des produits à haute valeur ajoutée.

2/ De l’énergie a été créée, et comme les États-Unis sont un pays très religieux « under God », c’est que Dieu a fait un miracle ; les enquêteurs devraient donc se tourner humblement vers les théologiens pour leur demander d’en expliquer le sens.

3/ À moins qu’une explication plus rationnelle ne soit possible…

Que chacun réfléchisse et conclue !


1 http://wtc.nist.gov/pubs/factsheets/faqs_8_2006.htm Les faits n’ont pas été étudiés par plusieurs équipes d’experts indépendantes qui eussent ensuite confronté leurs avis, et le rapport n’a pas été débattu publiquement. Philip Zelikow, qui dirigea la commission d’enquête, était lié aux gouvernements des États-Unis et d’Israël.

2 Des associations de professionnels, comme Architects and Engineers for 9/11 Truth, ou Pilots for 9/11 Truth, ont analysé ces évènements. http://ae911truth.org/ Parmi d’autres auteurs : Thierry Meyssan 11 Septembre 2001. L’effroyable imposture. Carnot, 2002. Laurent Guyénot : JFK — 11-Septembre, 50 ans de manipulations.

3 Même consciencieux, un accessoiriste n’a pas toujours le matériel nécessaire. Mise en scène bâclée plutôt que restes de catastrophe aérienne. Les autres débris trouvés furent une roue incrustée dans une poutre et un morceau d’aile découvert en avril 2013 entre deux immeubles et entouré d’une corde… Les décombres avaient été pourtant déjà dûment fouillés par des agents du Service National de Sécurité des Transports (National Transportation Safety Board, NTSB) agissant à la requête du Bureau Fédéral d’Enquêtes (Federal Bureau of Investigations, FBI).
https://aitia.fr/erd/esprit-critique-es-tu-la/
http://govinfo.library.unt.edu/911/report/911Report_Notes.htm
http://www.aldeilis.net/fake/1083.pdf http://pacer.psc.uscourts.gov    

4 Les spécifications sont pourtant sévères : enregistrement de 300 paramètres pendant 25 heures ; résistance à l’impact de 3400 G ; résistance à la température de 1100 °C pendant 30 minutes ; résistance à la pression de 7000 mètres d’eau ; émission à 37,5 kHz pour le repérage ; batterie d’une durée de vie de 6 ans. Le numéro des boîtes permet d’identifier l’avion, et leur contenu de connaître les circonstances précédant un accident.

5 http://www.guardian.co.uk/september11/story/0,11209,669961,00.html Depuis, tant de documents d’identité de tant de terroristes ont été trouvés sur des pare-brise après un attentat, que c’en est devenu une coutume.

6 Un citoyen des États-Unis, Alexander Collin Baker, musicien et vidéaste connu sous le nom de « Ace Baker », réalisa une série de 8 vidéos sur le 11 — Septembre 2001, intitulée « The Great American Psy-Opera ». Cette capacité d’analyse critique lui serait venue à la suite d’un accident médical qui modifia son psychisme : https://aitia.fr/erd/eloge-du-handicap/ Dans l’épisode 7 de la série, il interrogea l’auteur de la séquence vidéo, Kai Simonsen, qui s’empêtra pour trouver une explication plausible à ce « fondu au noir », ainsi qu’au zoom « prémonitoire » qu’il effectua juste avant : la caméra transmettait un plan très large sans avion visible, puis zooma très fortement juste avant l’instant fatidique de la collision. À partir de 19 min 20 s, Kai Simonsen affirme que le noir est provoqué par la mise en place d’un doubleur de focale sur l’objectif afin d’obtenir un plan plus serré… mais le plan est exactement le même avant et après la coupure ! Ces huit épisodes, totalisant plus de 4 heures, sont encore visibles en partie en version originale, et en totalité en version sous-titrée en allemand : https://www.youtube.com/user/CollinAlexander

Une version des épisodes 6 à 8, sous-titrée en français par Laurent Guyénot, est visible sur dailymotion :
https://www.dailymotion.com/video/x2546ic
https://www.dailymotion.com/video/x25ff9k
https://www.dailymotion.com/video/x254kr6

7 La rapidité de diffusion prouve que les auteurs des vidéos avaient accès ouvert aux chaînes de télévision. Seuls les frères Naudet présentèrent une vidéo de la frappe du premier avion : des virtuoses du suivi de cible et de l’ajustement de focale. Pourraient-ils être incités à révéler les noms de leurs commanditaires ?

8 Selon le NIST, 542 ± 24 mph soit 872 ± 39 km/h pour l’avion de la tour sud (WTC2).

9 https://web.archive.org/web/20210112064317/pilotsfor911truth.org/WTC2.html et web.archive.org

10 Dans la tour nord, le 91étage avait été loué quelques semaines avant par des « artistes » du groupe Gelatin qui firent pendant quelques jours une « installation » : un hourd dépassant de l’immeuble. Les étages 93 à 100 étaient occupés par la compagnie Marsh & McLennan, dont le PDG était Jeffrey Greenberg, liés aux assureurs et contre-assureurs des tours. Les explosions se produisirent entre les 91e et 98étages.

11 Après la première explosion, les regards étaient rivés sur la face nord de la tour nord. La seconde explosion s’est produite sur la face sud de la tour sud, soit à l’opposé, là où l’attention générale n’était pas fixée.

12 Les journalistes ne mirent pas en avant les propos mesurés des gens prudents. Des témoins affirmèrent n’avoir pas vu d’avions, mais seulement des explosions : https://www.youtube.com/watch?v=qH8SN_RnGEQ

Dans des reportages sur place, diffusés le jour même, quelques personnes interrogées paraissent réciter une leçon apprise, dont le fameux « Harley guy », un homme portant casquette et T-Shirt Harley Davidson, très calme en plein tumulte, et capable, au moment même, de résumer les conclusions des rapports d’enquête futurs et officiels :

13 Les liaisons entre les atomes déterminent la dureté propre des matériaux, comme les alliages métalliques. À forces subies égales, un plus grand nombre de liaisons sont rompues et plus d’atomes sont déplacés dans un alliage d’aluminium que dans un alliage d’acier. L’alliage d’aluminium est donc moins dur que l’acier. Un projectile, comme une balle d’arme à feu, doit être plus dur que la cible pour la percer. De même un couteau coupe du pain parce que les faibles liaisons électrostatiques entre les molécules constituant la croûte et la mie du pain sont brisées, tandis que celles entre les atomes de métal ne le sont pas.

14 La structure extérieure des tours était un réseau de poutrelles en acier, décrit plus bas dans cet article. L’expression « mur rideau » désigne les parois externes des immeubles, où prédomine le verre qu’un choc peut briser ; elle est toutefois impropre, car des colonnes verticales renforcent aussi la façade, surtout dans les hautes tours. Cette fragilité apparente des parois a pu faire croire que des avions pouvaient entrer dans des tours.

15 Comme le moment quadratique d’une poutre.

16 Le principe de conservation de la quantité de mouvement d’un système, principe d’inertie, fonde la Mécanique. De ce principe est déduite la deuxième loi de Newton : « Les changements qui arrivent dans le mouvement sont proportionnels à la force motrice, et se font dans la ligne droite dans laquelle cette force a été imprimée. » L’accélération est égale au rapport de la force à la masse :  ou . Si la force F est nulle, l’accélération est nulle et donc la vitesse du mouvement constante. Le concept d’inertie, l’un des mieux établis de la Physique, fut progressivement précisé par Galilée, Baliani, Torricelli, Descartes, Huygens, puis énoncé explicitement par Hooke, formulé mathématiquement par Newton, et généralisé par Poincaré et Noether.

17 Lors d’un choc d’un objet mobile contre un objet immobile et ne pouvant être mis en mouvement, comme une voiture contre un arbre, l’énergie cinétique se dissipe en déformation des matériaux, puis en chaleur.

18 Attention, un tel cas comporte des pièges. Voir ici : https://aitia.fr/erd/balle-tueuse-de-raquette-info-ou-intox/

19 Selon les architectes, les coefficients de sécurité étaient si grands que les tours jumelles résisteraient à l’impact d’un Boeing 707 ou d’un Douglas DC-8 en pleine charge, volant à 965 km/h : « […] une telle collision causerait seulement des dégâts locaux ne pouvant provoquer l’effondrement ni des dommages conséquents à l’immeuble, et ne mettrait en danger ni la vie ni la sécurité des occupants, hors de la proximité immédiate de l’impact » Henry Hold and company, City in the sky, Times Books, 2003. La documentation de l’étude était conservée dans les bureaux de l’Autorité portuaire, détruits par l’effondrement du bâtiment n° 7 du World Trade Center. Fahim Sadek, Baseline Structural Performance and Aircraft Impact Damage Analysis of the World Trade Center Towers, NIST, 2005, « NCSTAR 1-2 appendix A », p. 305-307

20 https://en.wikipedia.org/wiki/1945_Empire_State_Building_B-25_crash

La plus grande décélération longitudinale que peut subir une carlingue d’avion de ligne sans se froisser est d’environ 10 G, dix fois l’accélération de la pesanteur, le plus que peut encaisser un pilote de chasse. Cette accélération est bien moindre que celle subie par des objets durs lors des chocs les plus anodins ; ainsi deux billes de billard, lors de leur bref contact durant quelques millisecondes, subissent des accélérations de 100 G ou plus.

21 Le journaliste Thierry Meyssan l’affirma dès mars 2002, et fut aussitôt étiqueté « complotiste délirant ». Thierry Meyssan, 11 Septembre 2001 : L’effroyable imposture. Carnot, 2002.

22 À la demande insistante de l’association de « Pilots for 9/11 Truth », les enregistrements de la boîte noire du vol AA77 (prétendument retrouvée) furent déclassifiés par le National Transportation Safety Board (Bureau National de Sécurité des Transports), mais ne furent pas communiqués : le document présenté fut une trajectoire reconstituée en images de synthèse à partir de ces enregistrements supposés. Or elle montre une manœuvre impossible pour un avion de ligne (à 850 km/h !) et aboutissant au-dessus du Pentagone !

23 Avant l’effondrement de la façade, le trou d’entrée était rond. De chaque côté, la façade présentait des dégâts dans un rectangle horizontal, tracé au cordeau, vraisemblablement censé suggérer l’impact des ailes. Le trou de sortie persista et était rond aussi. Or entre l’entrée et la sortie, il y avait une vingtaine de colonnes.

24 Quel crédit accorder à de telles photographies ?

25 Un jeune officier prévint Cheney plusieurs fois de l’approche d’un avion vers Washington, et reçut comme réponse que « les ordres étaient maintenus ». Leurre, avion de ligne ou avion militaire porteur d’un missile ?

26 https://www.youtube.com/watch?v=0SL2PzzOiF8

27 Stephen W. Banovic. Steel inventory and identification. Technical report, NIST, September 2005: p. 55. http://fire.nist.gov/bfrlpubs/build05/PDF/b05030.pdf. Les planchers étaient 110 dalles de béton, de soixante-trois mètres de côté et d’une quinzaine de centimètres d’épaisseur.

28 Gregory H. Urich. Analysis of the mass and potential energy of world trade center tower 1. Journal of 911 Studies, 2007. http://www.journalof911studies.com/volume/200703/GUrich/MassAndPeWtc.pdf.

29 La forme proche d’un arc de parabole des arches de la tour Eiffel participe à leur stabilité, mais la forme parallélépipédique des gratte-ciel impose une grande résistance, surtout en bas, et donc un réseau serré de poutres robustes. Pour éviter le basculement de ces pieux fichés au bord de l’océan, offrant prise aux vents de tempêtes, les fondations étaient profondément implantées dans le granit, sous la couche sédimentaire.

30 Les assiettes ne sont pas supposées empilées, mais suspendues à des poteaux verticaux par de frêles attaches, théorie nommée aux É-U pancake theory « théorie de la crêpe », soutenue par la FEMA (Chapitre 2, 2002).
https://aitia.fr/erd/travaux-diriges-version-serieuse.

31 Un bélier ne fait que transmettre l’énergie cinétique que les servants lui impriment. Pas d’énergie, pas de choc. Sans élan, un bélier ne peut enfoncer une porte. Si des assiégeants placent la tête du bélier contre la porte d’une forteresse sans faire bouger l’engin, les défenseurs peuvent dormir tranquilles.

32 Après une étude expérimentale des effets, sur des structures en acier, de hautes températures pendant plusieurs heures. La FEMA a conclu : « Bien que la température des poutres en acier ait atteint 800-900 °C (1.500-1.700 °F) dans trois des tests, nul effondrement n’a été observé pour les six expériences. » FEMA, World Trade Center Building Performance Study, mai 2002, A-9 Appendix A : Overview of Fire Protection in Buildings.

33 https://www.youtube.com/watch?v=DR1qnvMDh4w Vidéo esclaffatoire, esbaudissante et rigolisible.

34 Les dimensions de la Tour Montparnasse sont 50 x 32 x 209 mètres.

35 L’énergie est une variable extensive et la température une variable intensive.

36 La température d’un feu de kérosène dépend de l’apport d’oxygène ; à l’air libre elle ne dépasse pas 1100 °C et ne peut atteindre 1700 °C que par apport d’air sous pression dans un réacteur dont les matériaux supportent cette température ; or, près des colonnes centrales des tours, à 25 mètres du dehors, l’apport d’air était faible. Selon le NIST, la température de l’air ne dépassa pas 1000 °C pendant 15 à 20 minutes (NIST, Rapport 1-5, 2005). Ce n’est qu’à la fin du XIXsiècle que les sidérurgistes réussirent à construire des fours supportant des températures assez élevées pour faire fondre l’acier, et nécessitant une alimentation en air.

Des photos disponibles sur Internet montrent une femme, identifiée par sa famille, agitant les bras en signe de détresse, debout dans la brèche prétendument faite dans la façade en acier par les ailes en aluminium d’un avion, là où la température était censée être infernale selon la version officielle des évènements.

37 http://www.consensus911.org/fr/point-mc-10-fr/#N_7

38 http://www.consensus911.org/fr/point-mc-10-fr/#N_9 Pour les amateurs de catastrophes :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_des_grands_incendies Autres incendies de gratte-ciel : 24 février 1972, tour Andraus à Sao Paulo, 30 étages brûlés ; 1er février 1974, tour Joelma à Sao Paulo, 25 étages, embrasement du 12e au 25e étage ; 15 novembre 2010, à Shanghai, un immeuble 28 étages. Certes les tours de Manhattan étaient beaucoup plus hautes, mais ce furent les seules à s’effondrer et être pulvérisées.
https://www.profession-gendarme.com/une-saine-curiosite-amene-souvent-a-la-verite/

39 Jones, Steven, Korol, Robert, Szamboti, Anthony, and Walter, Ted. 15 years later: on the physics of high-rise building collapses. Europhysics News, 47(4):21–26, 2016. Fig. 6. Doi:10.1051/epn/2016402.

40 N. Harrit, J. Farrer, S. Jones, K. Ryan, F. Legge, D. Farnsworth, G. Roberts, J. Gourley, B. Larsen. Active thermitic material discovered in dust from the 9/11 World Trade Center catastrophe. (2009) The Open Chemical Physics Journal, 2 :7-31

41 Estimation: 12,6 secondes pour la tour 1 et 11,5 secondes pour la tour 2. Les tours étaient deux fois plus hautes (415 et 417 m) que la tour Montparnasse (209 m). Le calcul de la durée de la chute libre dans le vide est du niveau d’un baccalauréat scientifique. La formule est en effet :. La hauteur H des immeubles étant de 400 mètres et l’accélération de la gravité G de 9,81 m/s², la durée est d’environ 9 secondes. C’est une borne inférieure : la chute ne peut pas durer moins (et encore la résistance de l’air est-elle négligée). Or la conservation de la quantité de mouvement rend impossible un effondrement accidentel à la vitesse de la chute libre.

42 Lou Lumenick. Unflinching look among the ruins. New York Post, 3 Mars 2004.

43 William Langewiesche. American Ground: Unbuilding the World Trade Center. North Point Press, 2002.

44 James M. Williams, WTC a structural success. The Newsletter of the Structural Engineers Association of Utah, 6:3, 2001.

45 Ken Holden, Département de la conception et de la construction de New York ; Audition publique de la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis, le 1er avril 2003, National Commission on Terrorist Attacks Upon the United States ; Public hearing, Avril 2003.
http://www.9-11commission.gov/archive/hearing1/9-11Commission_Hearing_2003-04-01.htm [cited2016-06-10].

46 Dr Barnett, professeur d’ingénierie de la protection contre les incendies à l’Institut polytechnique de Worcester ; cité par James Glanz. A nation challenged: The site; engineers have a culprit in the strange collapse of 7 World Trade Center: Diesel fuel. New York Times, 29 novembre 2001.

47 Images of the World Trade Center sites how thermal hot spots on September 16 and 23, 2001.
https://pubs.usgs.gov/of/2001/ofr-01-0429/thermal.r09.html [cited 2017-06-22].

48 Charles K. Huyck and Beverley J. Adams. Emergency response in the wake of the World Trade Center attack:
The remote sensing perspective. Technical report, Multidisciplinary Center for Earthquake Engineering Research, Juin 2002. http://mceer.buffalo.edu/publications/wtc/02-SP05-screen.pdf. Fig. 3.6, p. 22. Images acquises par EarthData au moyen d’un capteur aéroporté Raytheon.

49 EarthData International New York State, Office for Technology. Aerial views and maps of the WTC thermal imagery, 2001. http://www.loc.gov/exhibits/911/911-maps.html.

50 Les détails du calcul peuvent être consultés dans l’article « What is Basic Physics Worth? » de l’un des auteurs, disponible en ligne : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02004696

51 Le métal envoyé en Chine fut traité par la société Shanghai Baosteel Group Corp.
Des traces ont été effacées : https://www.bollyn.com/#article_16266

52 https://www.cdc.gov/wtc/ataglance.html#member1OrMore

53 Des alliages de métaux à plus basse température de fusion sont employés en soudure.

54 Cette interprétation fut exposée par un personnage atypique prétendant être un ancien officier soviétique spécialisé dans l’armement nucléaire, et disant vivre à présent en Thaïlande, Dimitri Khalezov. Il présenta sa version des événements dans de longs entretiens en anglais, faciles à trouver sur YouTube en effectuant une recherche sur son nom. Il publia aussi un document de plus de 1000 pages intitulé « 911thology » (« onze-septembrologie ») téléchargeable à partir de son site : http://www.911thology.com/
Le magazine Nexus, dans son édition allemande d’octobre-novembre 2010, publia un article dans lequel Khalezov résume sa version de la destruction des tours de Manhattan, téléchargeable sous forme de PDF :
https://www.nexus-magazin.de/files/gratis/artikel/Nex31_Khalezov_DritteWahrheit911.pdf. Une traduction en anglais est disponible : http://www.911thology.com/nexus1.html C’est en tentant de prouver, par un calcul de coin de table, que ses affirmations étaient insensées, que l’un des auteurs de cet article aboutit à la conclusion que l’hypothèse d’une explosion nucléaire souterraine était nécessaire pour expliquer l’énorme énergie dégagée sous forme de chaleur par les décombres de Ground Zero,au cours des mois suivant les attentats.

55 Le lac Chagan, au Kazakhstan, fut ainsi creusé : Explosions nucléaires pour l’économie nationale (Мирные ядерные взрывы в СССР). https://fr.rbth.com/tech/85161-urss-explosions-nucleaires
https://fr.wikipedia.org/wiki/Explosions_nucl%C3%A9aires_pour_l%27%C3%A9conomie_nationale

56 Programme « Plowshare ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Plowshare

57 Un spécialiste en Physique nucléaire pourrait expliquer la recombinaison du plasma en éléments chimiques. 

58 La pression est une densité d’énergie, quantité d’énergie par unité de volume.

59 Des essais d’explosions nucléaires souterraines furent faits dans le désert du Nevada. Des loges étaient creusées à plusieurs dizaines de mètres de profondeur, et des photos du site montrent un grand nombre de dépressions causées par ces explosions : https://www.youtube.com/watch?v=u1Xe1TUQrpY Underground nuclear subsidence crater. https://www.youtube.com/watch?v=u1Xe1TUQrpY

60 https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/03/031/3031840.pdf
https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/35/095/35095014.pdf

61 Les dirigeants des grandes puissances furent certainement alertés par leurs services de renseignement.

62 Dès la construction de tels immeubles, les lignes de rupture des dalles et des poutres et les places des charges explosives sont prévues pour qu’ils s’effondrent dans l’aire de leur base, sans risquer de tomber sur les voisins. Les explosifs chimiques, instables à long terme, ne sont évidemment pas placés lors de la construction.

63 Voir ici la dernière image : http://www.911research.wtc7.net/wtc/evidence/masterplan/index.html
Ces loges sous les immeubles étaient bien sûr vides. Des bombes peuvent avoir été entreposées au sous-sol du bâtiment n° 7 au cours de l’été, lorsque des services de renseignement soupçonnèrent des préparatifs d’attentats. Incidemment la cote de 246 pieds, obtenue par conversion de 75 m, montre que cette partie du plan avait été tracée par des architectes et ingénieurs employant le système métrique.

64 La tour Sud s’effondra à 9 h 59 minutes 4 secondes, et la tour Nord à 10 h 28 minutes et 31 secondes. Les sismographes du laboratoire de Géophysique Lamont–Doherty de l’Université Columbia, à Palisades situé à 37 kilomètres — l’un des laboratoires qui établirent la théorie de la tectonique des plaques — enregistrèrent, juste avant les effondrements, des signaux de magnitude 2,1 dont les décours et les intensités signent des explosions dans le sol. Des signaux géophysiques durant aussi longtemps qu’une dizaine de secondes résultent de trains d’ondes d’assez forte intensité pour diffuser par divers chemins en se réfractant sur les interfaces de terrains de natures différentes. Des explosions calibrées sont utilisées en Géophysique pour l’étude des sols.
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/des-signaux-sismiques-revelent-l-70808

65 Quoique ces immeubles aient contenu des milliers de chaises, de bouilloires électriques, d’ordinateurs, de téléphones, etc., très peu furent retrouvés dans les décombres. Il n’y a pas de marché des reliques, comme il y en eut lors de la démolition du mur de Berlin. Les vingt personnes retirées vivantes des décombres et les 293 corps trouvés étaient hors du parcours de l’onde de choc, que leur localisation permettrait d’étudier. Des 2 800 victimes environ disparues, 1 643 ont été identifiées. En admettant que quelques personnes aient été comptées à tort parmi les disparues, environ un millier de corps manque. Plusieurs mois plus tard, plus de 700 restes humains furent découverts sur le toit de l’immeuble de la Deutsche Bank. Des spécialistes de l’analyse de l’ADN identifièrent des personnes qui travaillaient dans les tours, et des pompiers qui n’étaient pas présents lors des explosions mimant le choc des avions. L’explosion thermonucléaire fut très brève, et par conséquent l’onde de choc contint des fréquences si hautes qu’à cette échelle de temps même la chair se comporte comme une matière rigide et est brisée.

66 Une vidéo https://www.youtube.com/watch?v=3HbD_Q6kmh8 (vers 2 h 5) montre une poutre se dissipant en poussière devant la caméra : ayant perdu sa cohésion, une faible brise suffit à la désagréger. Cette poutre est pourtant une partie du cœur de la tour nord, haute comme un immeuble ordinaire ! 

67 Les tours furent inaccessibles pendant le dimanche précédant l’attentat, officiellement pour des travaux de maintenance ; des charges ont pu être placées alors.

68 https://www.gettyimages.co.uk/detail/news-photo/this-lidar-light-detection-and-ranging-image-of-the-world-news-photo/1164180

69 Quel crédit accorder à une interprétation qui ferait se retourner dans leur tombe Galilée, Newton, Fourier, Lagrange, Carnot, Boltzmann, Kelvin, Poincaré, Planck, Eiffel, mais qui intéresserait Nobel et le dériderait peut-être, en le distrayant des déboires subis par son prix pour la Paix ?




Septembre 2001 aux États-Unis : quelle fut l’origine des événements ?

Par Christian DARLOT

Viendra un temps auquel la postérité s’étonnera que nous ayons méconnu de telles évidences.

Sénèque

La crédulité des dupes est un fonds inépuisable pour l’ingéniosité des coquins.

Edmund Burke

Tout pouvoir est une conspiration permanente.

Honoré de Balzac

La réalité a cet avantage sur la fiction qu’elle n’a pas besoin d’être vraisemblable.

Mark Twain

On doit la vérité aux gens intelligents, mais on doit le mensonge aux imbéciles.

Georges Courteline

Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus grands sont gardés par l’incrédulité publique.

Marshall McLuhan

Le bobard dément prépare le bombardement.

Éphraïm Camember, 29 juillet 1881

Résumé :

Les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis furent prétexte à des guerres dévastatrices, et la dynamique politique ainsi déclenchée s’est développée jusqu’à mettre la paix du monde en péril, tandis que la répression du terrorisme était prétexte à restreindre les libertés publiques. Les circonstances de ces attentats éclairent leur origine et leur dessein.

Christian DARLOT est chercheur en Physiologie.

Table des matières

  • 1 Coïncidences

    • 1.1 Coïncidences à Manhattan
    • 1.2 Coïncidences au Pentagone
    • 1.3 Coïncidences économiques et politiques

  • 2 Disparition des avions

    • 2.1 Complicités
    • 2.2 Leurres
    • 2.3 Avion abattu
    • 2.4 Avion détourné
    • 2.5 Appels téléphoniques
    • 2.6 Victimes
    • 2.7 Accusation

  • 3 Scénario imaginable

    • 3.1 Destruction des tours
    • 3.2 Choix imposé au Gouvernement

  • 4 Puissances étatiques et supra-étatiques

    • 4.1 Négociations internationales ; le prix du silence
    • 4.2 Conséquences politiques
    • 4.3 Réseaux oligarchiques.

Un article précédent a montré que la version officielle de la destruction des tours de Manhattan et de l’attentat contre le Pentagone, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique, mais qu’une analyse simple, fondée sur les principes de la Physique, permet d’identifier le procédé de destruction des tours : des explosions nucléaires souterraines. Ce procédé est inaccessible à un groupe terroriste, et son emploi nécessita des complicités dans l’appareil d’État et les médias. Comment ces évènements furent-ils possibles ?

1 Coïncidences

Des coïncidences étonnantes accompagnèrent ces évènements extraordinaires. 1

1.1 Coïncidences à Manhattan

– Une société de sécurité du World Trade Center, Securacom, était dirigée par un frère de G.W. Bush, Marvin Bush, et son cousin Wirt Walker III, et une autre par un frère de Cheney. Or, le dimanche précédent, l’activité fut arrêtée dans les tours et le système de sécurité fut débranché pour des travaux de maintenance.

– Un exercice de réaction à une attaque terroriste biologique, Tripod II, était organisé à New York et programmé pour le lendemain, 12 septembre. De nombreux secouristes avaient été rassemblés depuis plusieurs jours, et un centre de commandement avait été installé sur un quai du fleuve Hudson. Ces préparatifs furent bien utiles, puisque le Bureau de gestion des urgences de New York, situé dans la tour n° 7, devint bientôt indisponible ! 2

– Au matin du 11 septembre, plusieurs sociétés ayant des bureaux dans les tours envoyèrent à leurs employés des courriels leur enjoignant de ne pas venir ce jour-là, ou de partir au plus vite.

– Un des hommes les plus riches du monde, Warren Buffet, organisait ce 11 septembre un « petit déjeuner de charité » et un tournoi de golf sur le site militaire d’Offutt, siège de l’US STRATCOM (STRATegic COMmand, commandement des armes atomiques, doté d’un bunker souterrain à 18 mètres sous le niveau du sol), où George Bush passa au cours de l’après-midi. Cette base était aussi le poste de commandement d’un exercice en cours. Plusieurs dirigeants d’entreprises ayant leur siège dans les tours du WTC avaient été invités et étaient arrivés la veille au soir. Pour employer comme lieu de fête une base militaire très importante, l’assentiment du Secrétaire à la Défense était évidemment nécessaire.

– Le spéculateur immobilier Larry Silverstein fut extrêmement chanceux. 3 Il ne vint pas à son bureau ce matin-là, tandis que ses enfants arrivèrent en retard. Déjà propriétaire du bâtiment n° 7, il avait acquis six semaines auparavant les tours jumelles, immeubles déficitaires, et les avait assurées séparément contre des attentats, chacune pour une valeur de 3,6 milliards de dollars. 4 En compensation de deux attentats, les compagnies d’assurance et les compagnies de navigation aérienne lui payèrent 4,577 milliards de dollars pour les tours et 861 millions pour le bâtiment 7. Total : 5,4 milliards. Certaines gens sont des génies de la finance !

– Dans la tour nord, le 91étage avait été loué quelques semaines auparavant par le groupe de « performance » Gelatin qui fit pendant quelques jours une « installation » : un hourd dépassant de la tour. Que se passa-t-il à l’intérieur ? L’assureur des Tours jumelles, Maurice Greenberg dirigeait depuis 1993 Kroll Incorporated, une société de sécurité du World Trade Center. 5 En 1999, son fils Jeffrey Greenberg devint PDG de la société de gestion de risques Marsh & McLennan, dont des bureaux occupaient huit étages, du 93e au 100e. Les explosions se produisirent entre les 91e et 98étages ; 295 membres du personnel furent tués.

– Après la première explosion dans la tour nord, cinq hommes sommairement travestis en Palestiniens furent aperçus dansant et se filmant sur fond de tour en flammes. Signalés par des passants à la police, ils furent arrêtés, se déclarèrent Israéliens, et furent identifiés comme agents du Mossad, agissant sous la couverture d’une entreprise de déménagement du New Jersey, en réalité inexistante. 6 Quelques semaines plus tard, ils furent libérés par l’intercession de Michael Chertoff, fonctionnaire antiterroriste au Département de la Justice, doté des deux nationalités étasunienne et israélienne. 7 Expulsés des États-Unis, ils déclarèrent à une chaîne de télévision israélienne qu’ils étaient venus à New York pour « couvrir l’évènement ». 8 Les pompiers prévoyants vérifient en effet le bon fonctionnement des pompes et l’étanchéité des tuyaux la veille d’un incendie.

– Selon le WTC Building Performance Report publié en mai 2002 par la FEMA le bâtiment 7 abritait des bureaux du Département de la Défense, de la CIA (le plus grand hors de Washington) et d’autres agences (NSA, FBI), de la Security and Exchange Commission SEC (institution fédérale de contrôle des marchés financiers), de l’Internal Revenue Service (le fisc) et un dépôt d’archives judiciaires contenant, parmi bien d’autres, des dossiers sur la manipulation par ENRON des tarifs de l’électricité en Californie. Les documents sur ces malversations furent ainsi fort opportunément détruits.

Au 23étage, le centre de surveillance et d’alerte de l’agglomération new-yorkaise, aménagé deux ans auparavant pour un coût de 13 millions de dollars, devait permettre de gérer en lieu sûr une crise grave (ouragan, attaque terroriste). Il fut détruit, mais par bonheur fut suppléé par le centre de commandement installé pour l’exercice Tripod II ! 9

1.2 Coïncidences au Pentagone

– En mars 2001, Bruce Hoffman, un dirigeant de la Rand Corporation, déclara à des officiers supérieurs de l’armée de l’air étasunienne : « Nous essayons de préparer nos armes contre Al-Qaïda, l’organisation — ou peut-être le mouvement — associé à Ben Laden. […] Pensez un moment à ce que fut l’attentat à la bombe contre le World Trade Center en 1993. Maintenant, considérez qu’il est possible de faire tomber la tour nord sur la tour sud et de tuer 60 000 personnes. […] Ils trouveront d’autres armes, d’autres tactiques et d’autres moyens pour atteindre leur cible. Ils ont un choix évident d’armes, dont […] les drones. »

– Un exercice Mass Casualty MASCAL, code Abbotsville, en mai 2000, prévoyait la frappe d’un avion contre la façade ouest du Pentagone, celle où l’explosion se produisit le 11 septembre 2001. Entre le 24 et le 26 octobre 2000, un autre exercice MASCAL éprouva la préparation des équipes d’intervention d’urgence en cas d’écrasement d’un Boeing 757. 10

– Quelques jours avant le 11 septembre 2001, des experts en explosifs nucléaires du ministère de la Défense avaient été envoyés en Allemagne pour une visite de courtoisie. Colin Powell était parti pour deux jours à Lima, et d’autres personnalités du ministère étaient absentes.

– Selon M. Dov Zakheim, sous-secrétaire d’État à la Défense et contrôleur budgétaire, des milliards de dollars manquaient, pour l’année 2000, dans les comptes du Département de la Défense des États-Unis, et des titres douteux venaient à échéance au 12 septembre, ce qui ne l’empêcha pas de partir en voyage, lui aussi en Allemagne. Un audit fut annoncé par le Secrétaire d’État à la Défense, M. Donald Rumsfeld, et le matin même du 11 septembre 2001 des contrôleurs budgétaires commencèrent à enquêter sur ces détournements de fonds, en étudiant les archives du budget du ministère de la Défense, récemment transférées dans cette partie rénovée du Pentagone. Les archives brûlèrent. Dans cette aile du Pentagone venait aussi de s’installer un service de renseignement de la Marine, l’ONI (Office of Naval Intelligence), dont plusieurs membres furent tués. Officiellement 125 personnes furent tuées au Pentagone, et parmi elles 34 étaient comptables ou analystes, tous civils. Avis aux entendeurs.

– Ce jour même, pour des manœuvres de l’armée de l’air, des avions avaient été envoyés en mission dans toutes les directions. Le thème de ces manœuvres Vigilant Warrior et Vigilant Guardian était « des avions détournés frappent des immeubles », et une manœuvre de moindre envergure simulait l’écrasement d’un avion sur le siège d’une agence de renseignements. Des silhouettes d’avions fictifs étaient insérées sur les écrans parmi celles représentant des avions réels. 11 Aussi les aiguilleurs du ciel peinaient-ils à distinguer la fiction de la réalité supposée. Ce jeu de guerre ne fut interrompu qu’une heure environ après les évènements à Manhattan.

D’autres exercices annuels en cours, Northern Guardian et Northern Vigilance, simulaient une attaque russe. Les chasseurs de la défense aérienne patrouillant habituellement au Nord-Est étaient donc partis en Alaska et au Canada. Les dates habituelles de sept exercices aériens avaient été modifiées pour inclure le 11 septembre parmi les jours de leur déroulement.

– À l’occasion de ces manœuvres, des spécialistes de la défense aérienne avaient été déplacés (en congé ou en mission) et remplacés par des militaires sans expérience du poste auquel ils étaient provisoirement affectés. Ce bouleversement de l’organigramme du commandement fut évidemment décidé avec l’accord de chefs militaires hauts gradés, par des fonctionnaires haut placés dont beaucoup avaient deux nationalités, étasunienne et israélienne, et étaient liés au « Project for a New American Century » (PNAC).12Ce cercle politique professait que seul un « nouveau Pearl Harbour » ferait accepter au peuple étasunien les actions nécessaires pour faire perdurer la domination mondiale des États-Unis. 13 

– Selon des sources militaires, à cause de ces manœuvres, quatre chasseurs seulement étaient armés et prêts à décoller à la base d’Andrews protégeant la capitale, à une vingtaine de kilomètres de Washington. Les avions de chasse volèrent à des vitesses anormalement lentes, et les F-18 du Corps des Marines, basés aussi à Andrews, ne furent pas envoyés intercepter le prétendu Boeing 757 s’approchant de Washington. 14

– Alors que le pays paraissait attaqué, Donald Rumsfeld, joua au brancardier amateur. Il resta injoignable pendant une demi-heure et ne participa aux réunions qu’après 10 heures, une heure et quart après le début des évènements. Force est de conclure qu’il laissait les militaires prendre des décisions et assumer la responsabilité de la suite. Le Secrétaire d’État à la Défense gambadant sur la pelouse…15 Abandon de poste ; on en a démis pour moins que cela.

– La société AMEC Construction Management, qui venait d’achever des travaux dans cette aile du Pentagone, 16 fut aussitôt chargée du déblayage par Donald Rumsfeld, sans appel d’offres. Outrepassant son pouvoir de Secrétaire d’État à la Défense, Rumsfeld la fit aussi participer au déblayage des ruines du World Trade Center, à New York et non à Washington. 17

– Les contrats avec l’État, liés aux guerres, rapportèrent plusieurs milliards de dollars à la société Halliburton où Richard Cheney avait exercé, entre deux épisodes politiques. 18 Contrats de gré à gré, bien entendu, dont, au mépris de la Constitution, une part revenait à Cheney.

– Un incendie eut lieu le 11 septembre au matin, non au Pentagone, mais dans une annexe de la Maison-Blanche. Ce sinistre rarement mentionné paraît couvert par le secret.

1.3 Coïncidences économiques et politiques

– Les services d’espionnage anglo-saxon, dont le fameux ÉCHELON des « cinq yeux », prétendent détecter, par analyse sémantique, même l’emploi de termes voilés dans des messages. Ces préparatifs leur auraient pourtant échappé ? Des services de renseignement allemand, français, israélien, jordanien, marocain, russe, affirmèrent avoir prévenu les services étasuniens de risques de détournements d’avion, dès janvier 2001 et encore au cours de l’été. 19 Qui intoxiqua qui ?

– Au cours des jours précédents, des achats de 5 milliards de dollars de bons du Trésor étasunien, et le volume inhabituel des achats d’options à la baisse des actions en bourse des compagnies aériennes prouvent que des spéculateurs financiers anticipaient les attaques. 20

– Un projet d’exploiter les réserves de pétrole et de gaz d’Asie centrale, étudié depuis plusieurs années, nécessitait de faire passer un oléoduc et un gazoduc à travers l’Afghanistan. En 1997, des délégués du gouvernement taliban furent invités au siège de l’Union Oil Company of California, Unocal, sis au Texas dont George W. Bush était alors gouverneur, mais ce projet buta sur les droits de passage demandés par les Talibans. En février 1998, John J. Maresca, ancien diplomate et personnalité éminente du Pentagone, alors vice-président pour les relations internationales d’Unocal, affirma au Comité des relations internationales du Congrès qu’un gouvernement afghan favorable aux États-Unis serait nécessaire pour que ce projet aboutisse. Quelques jours avant les attentats, les négociateurs étasuniens avaient menacé les négociateurs afghans d’une invasion. 21 Selon le quotidien israélien Ma’ariv, les bases militaires étasuniennes bâties en Afghanistan après l’invasion jalonnaient le trajet projeté. 22

– Associées dans l’industrie pétrolière, les familles Bush et Séoud tenaient ce jour-là une réunion. 23 Quoique les autorités étasuniennes aient interdit à l’aviation commerciale mondiale toute liaison avec les États-Unis, des ressortissants séoudiens purent quitter les États-Unis. 24 Un Boeing 707 s’envola aussi vers Tel-Aviv.

– Une semaine après les attentats, des lettres contenant des bacilles du charbon, modifiés en laboratoire, furent envoyées à des personnalités politiques, dont les sénateurs Patrick Leahly et Tom Daschle, qui tentaient d’amender le Patriot Act. Vingt-deuxpersonnes furent contaminées dont 5 moururent. L’enquête incrimina le biologiste Bruce Irvins, 33 ans de service au laboratoire militaire de Fort Detrick, mais « déséquilibré mental ayant agi seul » (un de plus !) et opportunément suicidé en août 2008 à la veille de son arrestation. Néanmoins George Tenet, directeur de la CIA en 2001, vante dans ses mémoires (2007) l’efficacité de cette agence pour retracer ces lettres piégées jusqu’à leur origine : Al-Qaïda. Pudiquement nommé US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, ce laboratoire spécialisé dans les armes biologiques est devenu fameux par sa participation aux manipulations du virus du Covid.

– Deux centaines de ressortissants israéliens furent expulsées au cours des jours suivants. 25

– Des membres de la commission d’enquête sur les attentats participaient à des firmes pétrolières, à des compagnies aériennes, à Boeing, ou à des sociétés en lien avec la CIA, avec Larry Silverstein, ou dont l’activité dépendait de la situation politique, comme la compagnie de mercenariat Blackwater. D’autres furent ensuite compromis dans des scandales comme la faillite frauduleuse de l’institution de garantie immobilière Fannie Mac. La commission fut présidée d’abord par Henry Kissinger, qui démissionna pour ne pas révéler les noms des clients de son cabinet de conseil, puis par Thomas Kean, en relation d’affaires avec les familles Bush et Ben Laden. 26 La commission était dirigée autoritairement par Philipp David Zelikow27, collaborateur proche de Richard Cheney, Condolizza Rice et Karl Rove. 28

2 Disparition des avions 

2.1 Complicités

Au début de juin 2001, le Secrétaire d’État à la Défense, Donald Rumsfeld, modifia les procédures coordonnant l’aviation civile et la défense aérienne, établies depuis les années 60. Il retira aux commandants des bases le pouvoir de décider et se l’attribua à lui — même.

Les pirates de l’air auraient réussi à détourner pas moins de quatre avions de ligne sans provoquer d’alerte. Comment déjouer les services de sécurité de plusieurs aéroports en même temps ? La société de sécurité était israélienne, originaire d’un pays en alerte permanente. Nulle preuve de leur présence dans les aéroports ni à bord des avions ne fut présentée. Les procédures de sécurité à bord sont strictes, l’accès à la cabine de pilotage est réglementé, et le personnel navigant est attentif et entraîné à réagir aux imprévus.

Ces habiles pirates ne savaient pas piloter ; tout au plus quelques-uns étaient-ils capables de faire des ronds dans l’air à bord d’avions d’écolage. Pourtant ils auraient pris les commandes d’appareils très complexes, qu’ils n’avaient jamais pilotés, et pour changer de route sans être repérés, auraient débranché les « transpondeurs » assurant les communications, dont ils connaissaient donc le fonctionnement. Ils auraient volé à basse altitude pour ne pas être repérés par les radars civils, mais cette ruse ne permet pas d’échapper aux radars militaires. Des avions de chasse sont à tout instant prêts à décoller, interviennent plusieurs fois par jour, et mettent en moyenne un quart d’heure à joindre un avion s’écartant de sa route. Comment détourner quatre avions pendant 33, 49, 83 et 112 minutes, sur 500 km, sans être interceptés ? 29

Trois jours après seulement, le FBI publia sur une affiche les photos et les noms de 19 suspects, dont six étaient « supposés » pilotes et huit « présumés » Séoudiens. La date de naissance de sept seulement était connue, et la nationalité de huit ne l’était pas ; 6 habitaient en Arabie, Égypte, Maroc et protestèrent véhémentement contre cette usurpation d’identité qu’ils demandèrent aux consulats étasuniens de reconnaître en publiant un démenti.

2.2 Leurres

La chasse aérienne chercha en vain deux avions au-dessus de l’Atlantique. La confusion des vrais avions et des leurres insérés, pour les manœuvres, sur les écrans du contrôle aérien laisse planer le doute sur leur trajet et même sur leur envol. Décollèrent-ils ? Atterrirent-ils sur un aéroport discret, mais doté d’une piste de longueur suffisante ? Ont-ils été démontés dans un hangar ? Ou même, scénario rocambolesque : furent-ils jetés dans l’Atlantique et les équipages récupérés par un navire croisant par-là ?

2.3 Avion détourné

Un avion fut peut-être réellement détourné, mais plutôt piloté par des complices. Il pourrait avoir atterri sur la base aérienne militaire Westover dans le Massachusetts, dont le personnel avait été averti la veille que la base serait fermée ce jour-là. De cet avion partirent les appels téléphoniques des hôtesses, dont les paroles paraissent avoir été choisies pour faire passer à demi-mots un message de détresse. Le sort de l’avion et des passagers est inconnu.

2.4 Avion abattu

L’avion United Airlines 93 (« Let’s roll! ») s’écrasa en Pennsylvanie, officiellement près de Shankville, dont des habitants dirent avoir entendu un sifflement et une explosion. Les autorités locales ne trouvèrent que quelques débris, mais de grands morceaux furent trouvés à 14 km de là, près d’un lac. Le FBI boucla le site de Shankville et annonça que l’avion s’était enfoncé profondément dans le sol meuble (sic), puis qu’il avait été déterré, mais pas reconstitué selon l’usage. Pourtant placées dans la queue de l’avion, les deux « boîtes noires » auraient été trouvées à 3 m et 8 m de profondeur. Un avion-taupe. Cet avion fut vraisemblablement abattu par erreur, parce qu’il ne s’était pas posé assez vite après l’interdiction de vol.

2.5 Appels téléphoniques

Plusieurs appels téléphoniques auraient été envoyés par des passagers à leurs proches. Ces appels ont été si abondamment commentés qu’un résumé est inutile. Le plus célèbre est celui de Barbara Olson, seule personne à avoir décrit des pirates tenant en respect tout l’équipage et les passagers en brandissant des coupe-papiers. Des armes comme le pistolet Glock 17 sont conçues pour n’être pas détectées par les portiques de sécurité, mais les pirates auraient préféré des cutters contraignant au corps à corps. Le seul témoin fut Barbara Olson, et l’enquête montra l’inexistence de son appel téléphonique. En 2001 la technique ne permettait pas de communiquer par téléphones portables en vol, et les appareils de bords avaient été supprimés. Tous ces messages furent donc émis à partir du sol, y compris ceux des hôtesses. Le téléphone du passager censé avoir lancé le cri de ralliement « Let’s roll! » fonctionna encore pendant 15 minutes après l’écrasement de l’avion ! Les récits sur des appels prétendument envoyés par des passagers à leurs proches pendant le vol participèrent donc à la mise en scène.

2.6 Victimes

Le FBI interdit promptement de publier des informations sur les passagers, le vol, et même l’heure de décollage. 30 Composer une liste de passagers bidon est au programme du premier cycle de barbouzologie. 31 Des personnes furent toutefois vraiment tuées dans l’avion tombé en Pennsylvanie et vraisemblablement dans celui d’où partirent les appels des hôtesses.

2.7 Accusation

Le grand coupable, M. Oussama Ben Laden, fut officiellement désigné six heures après ; jamais enquête ne fut si rapide. Les télévisions et la presse battirent aussitôt furieusement du tam-tam, empêchant d’argumenter raisonnablement. Lancée dès les premières heures par des personnalités politiques, cette accusation ne put plus être discutée. Pourtant M. Ben Laden ne fut pas inculpé aux États-Unis pour ces attentats, dont il condamna la lâcheté le 16 septembre 2001, par un communiqué sur la chaîne d’information Al Jazeera. Il était alors soigné à l’hôpital militaire de Rawalpindi, protégé par les autorités pakistanaises pourtant alliées aux étasuniennes. Le 28, il déclara à des journalistes du quotidien pakistanais Ummat : « Je n’avais pas connaissance des attaques, je ne considère pas le meurtre de femmes, d’enfants et d’autres êtres humains innocents comme un acte louable… Un gouvernement existe dans le gouvernement des États-Unis. C’est à ce gouvernement secret qu’il faut demander qui a organisé les attentats ». Deux fois encore, il affirma n’avoir pas participé à ces attentats. 32 Les vidéos où il s’en vante furent reconnues fausses par l’institut suisse Dalle Molle, dont l’expertise fait autorité pour authentifier des enregistrements audio et vidéo. 33 Des revendications d’origine inconnue ne furent pas confirmées ensuite : étonnante discrétion de la part d’un mouvement terroriste supposé capable d’organiser secrètement, du fond d’une grotte, des attentats d’une telle ampleur. 34

Selon les notices nécrologiques publiées par la presse du Proche-Orient et par Fox News, puis confirmées le 19 janvier 2002 par M. Pervez Musharraf, président du Pakistan, M. Oussama Ben Laden mourut d’insuffisance rénale en décembre 2001 et fut enterré dans les montagnes au sud-est de l’Afghanistan. Pour le besoin de leur scénario, les organisateurs le firent survivre fictivement encore dix années. 35

3 Scénario imaginable

Les arguments physiques exposés dans l’article précédent ne pourraient être réfutés que par d’autres arguments physiques, mais l’interprétation des agissements humains présentée ci-dessous pourrait être révisée si de nouvelles informations étaient révélées. Quoique la vérité ne soit pas encore connue avec certitude — mais cela viendra — une vue rétrospective des faits permet de proposer un scénario, dont la cohérence reconstruite est évidemment discutable. Sa critique argumentée permettrait de progresser vers une compréhension réaliste des évènements.

Des groupes différents pourraient avoir organisé des complots gigognes emboîtés 36 :

– Un « petit » complot, dont les instigateurs étaient les Bush et les Séoud, aurait visé le Pentagone pour mettre en scène un attentat fictif contre un ministère d’État, afin de fournir un prétexte à envahir un pays souverain, l’Afghanistan.

– À l’insu de ses organisateurs, ce « petit complot » aurait été éventé par des agents d’un État du Proche-Orient, qui auraient organisé un « grand » complot visant à contraindre les États-Unis à mener des guerres au Proche-Orient, non seulement pour le pétrole, mais surtout dans l’intérêt de cet État, afin de détruire les capacités militaires et économiques des États voisins. Après les évènements, les organisateurs du grand complot auraient fait plier ceux du petit. 37

3.1 Destruction des tours 

Qui déclencha les bombes ? Les organisateurs du complot ou les chefs militaires ?

– Puisque chaque pays pratique le secret militaire, le nombre de bombes atomiques dans le monde n’est pas connu précisément. Elles ne paraissent pas aussi bien gardées que les humains sains d’esprit le souhaiteraient ; ainsi, lors de la dissolution de l’URSS, une partie de l’arsenal disparut, et pas seulement des chars ou des armes à feu. Les organisateurs pourraient ainsi avoir disposé eux-mêmes de bombes. 38

– La multiplicité des manœuvres aériennes ce jour-là prouve le pouvoir des organisateurs sur le ministère de la Défense. Les chefs militaires sont en charge de la sécurité du pays ; ils s’attendaient à un attentat : pourraient-ils avoir été induits en erreur ? Au cours de l’été précédent, ils peuvent avoir fait entreposer des bombes thermonucléaires dans le bâtiment n° 7, centre de gestion de tous les bâtiments du World Trade Center, afin de pouvoir procéder si nécessaire à une démolition d’urgence. Nul danger à stocker ce type d’explosif, tout à fait stable tant que les deux parties de la masse critique de la bombe-amorce restent séparées. 39

Leur réaction pourrait donc être imaginée ainsi :

« Alertés dès les explosions dans les tours, les chefs militaires ne crurent évidemment pas un instant à la fable des avions, mais supposèrent que des missiles étaient entrés dans les tours, et pas pour y placer des bombes à confettis. Ces chefs étaient à Washington, loin de New York, ne disposant que d’informations partielles et sans les experts en explosifs nucléaires, mais face à un dilemme auquel ils avaient déjà réfléchi : risquer qu’une explosion nucléaire à 300 m au-dessus du sol, altitude idéale, détruise la ville, causant peut-être 10 millions de morts, ou détruire les tours et ainsi les bombes supposées y avoir été placées par des missiles, en faisant certainement périr les personnes qui y étaient. La destruction mécanique d’une bombe nucléaire ne déclenche en effet pas d’explosion nucléaire. Afin de minimiser les pertes humaines, les chefs militaires donnèrent eux-mêmes l’ordre de placer les bombes de démolition dans les loges souterraines, et de les faire exploser. Une heure fut nécessaire pour la mise en place, sans doute via des tunnels partant du bâtiment 7, puis pour permettre aux opérateurs de se carapater en refermant les portes blindées. Ainsi, les bombes auraient été déclenchées sur ordre de chefs militaires ignorant le complot, et pas sur ordre des comploteurs. »

Mouiller les militaires à leur insu serait très habile ; un trait de génie (de génie du mal !).

Comment estimer la vraisemblance de ce petit roman ?

Quoiqu’il en ait été, au cours de l’après-midi le bâtiment 7 (troisième tour) fut détruit par le même procédé, effaçant des indices sur la technique employée. 40

3.2 Choix imposé au Gouvernement

Pendant toute la journée, le Président de la République étasunienne, M. G. W. Bush, fut promené en avion. 41 Complice du petit complot ? 42 En activant le plan de « continuité du gouvernement » hors des conditions légales puisque le Président était mis à l’écart volontairement, le Vice-Président Richard Cheney et le Secrétaire d’État à la Défense Donald Rumsfeld usurpèrent le pouvoir. Coup d’État. 

Le soir, devant le Gouvernement et les chefs militaires réunis à Raven Rock — le QG souterrain creusé dans les Appalaches — les organisateurs du grand complot donnèrent le choix aux autres dirigeants : obéir, ou supporter le poids d’une accusation les incriminant, mais disculpant les organisateurs. Les dirigeants accréditèrent la version qui leur fut dictée. 43

Depuis 2001, les dirigeants des États-Unis obéissent.

Les chefs militaires n’eurent d’autre option que d’obéir, eux aussi, aux ordres d’attaquer les pays du Proche-Orient. 44 À chaque niveau de commandement, une vérité fut inventée pour le niveau inférieur. 45 Quelques militaires furent promus. 46 Le cafouillage de la défense aérienne et la vulnérabilité du Pentagone écornèrent la réputation de l’armée étasunienne : l’apparence d’une incompétence stupéfiante fut le prix que les organisateurs du complot firent payer au pays pour qu’il paraisse agressé. Omerta : l’irradiation de Manhattan pendant plusieurs mois était inavouable ; la panique eût emporté l’économie étasunienne.

Quoique spéculative, cette interprétation des évènements est fondée sur des faits avérés. La révélation de nouvelles informations pourrait évidemment conduire à la réviser, et sa critique argumentée permettrait de l’améliorer.

Conclusion 

Les moyens techniques, les coïncidences, et la biographie des participants aux évènements montrent que les attentats du 11 septembre 2001 à Manhattan furent organisés par des services secrets des États-Unis et d’un petit État du Proche-Orient, en lien avec une partie de leur gouvernement. 47 Depuis 2001, les dirigeants des États-Unis obéissent à ceux de ce petit État.

Bien entendu, la plupart des ressortissants de ces États n’ont pas pris part à ces crimes. Cela va de soi, mais dans le trouble général mieux vaut le rappeler. 48

4 Puissances étatiques et supra-étatiques

4.1 Négociations internationales ; le prix du silence

Les réseaux de détection établis pour surveiller les essais nucléaires mesurent précisément, même à des milliers de km, les effets des explosions : ondes sismiques et émissions de radionucléides. Les dirigeants des principales puissances du monde, les membres permanents du Conseil de Sécurité, plus l’Allemagne, le Canada, et peut-être d’autres, furent alertés le jour même et reçurent un rapport de leurs services de renseignement dans la semaine. 49 Tous les États feignirent de croire à la version officielle des évènements, faute d’avoir la puissance politique suffisante pour la contredire. Après vinrent les négociations : d’un côté les demandes « Cessez de susciter des troubles dans le Caucase », « Ne vous mêlez pas de la situation au Tibet ni au Turkestan oriental », « Laissez-nous nos puits de pétrole en Irak », et de l’autre côté les menaces « Rappelez-vous que nous contrôlons l’information et la finance ; ne risquez pas d’être calomniés, déconnectés du réseau de paiement international ou soumis à des spéculations contre vos titres de dette. ».

4.2 Conséquences politiques

L’attentat de Manhattan fut prétexte à promulguer des lois restreignant les libertés, à organiser la surveillance de masse et à déclencher des guerres, tout cela dans des délais si brefs qu’ils révèlent des textes déjà rédigés et des agressions déjà planifiées. 50 Les lois coercitives furent ensuite étendues aux pays vassaux des États-Unis. 51 Vingt ans après, « l’urgence sanitaire » et « la menace sur le climat » servent de prétexte à imposer d’autres contraintes tyranniques. Un totalitarisme s’installe, surveillant sans cesse davantage les citoyens.

Les accords entre puissances ne valent que quelques années. Dès 2003, le refus opposé par les dirigeants de la France à l’agression contre l’Irak 52 décida les gouvernants anglo-saxons à spolier les firmes pétrolières françaises de leurs investissements en Irak, et à soumettre définitivement le rival millénaire. En mars 2003, Condoleezza Rice, alors conseillère du président G. W. Bush pour la sécurité nationale, déclara :

« Il faut ignorer l’Allemagne, pardonner à la Russie et punir la France. »

En 2005, un autre coup d’État eut lieu, en France cette fois : l’AVC de Chirac fut l’occasion du retour de Sarkozy au Gouvernement, puis de sa promotion à la Présidence. 53 La France a depuis perdu toute indépendance. En résultèrent successivement le traité de Lisbonne, la vente de réserves d’or, la soumission de la France au commandement de l’OTAN, l’envoi de militaires en Irak et en Afghanistan, la participation aux agressions contre la Libye et la Syrie, contraires au Droit international et aux intérêts de la France.

Les Présidents de la République Française sont désormais des larbins de l’oligarchie mondialiste, choisis et promus par leurs maîtres. La soumission s’est aggravée depuis 2017. Le freluquet qui feint de diriger est un gauleiter en escarpins. Il applique les ordres reçus : vente à la découpe de l’industrie française, ruine de l’agriculture, répression violente des opposants, complicité dans la covidinguerie, approbation du pacte migratoire, aide active au régime installé en Ukraine par le coup d’État de 2014, et à présent adhésion servile aux sanctions contre la Russie et soutien à l’expansionnisme génocidaire israélien.

4.3 Réseaux oligarchiques.

Ces attentats permettent d’apercevoir les desseins des suprémacistes étasuniens et israéliens, et aussi ceux des mondialistes. L’empire du mensonge est celui de la finance. Par les participations croisées à leur capital, les firmes supranationales, industrielles et financières, sont intégrées en réseaux mondiaux. Leurs décisions visent la maximisation du profit, quelles qu’en soient les conséquences, et la rivalité les y contraint. Leurs budgets sont comparables à ceux d’un État moyen. 54 Elles entretiennent des services d’analyse, de programme et d’action, mènent leur propre politique 55 et influencent les gouvernements, au point à présent de choisir les candidats présentés aux électeurs et de changer à leur gré le résultat des élections. Les dirigeants les plus puissants se concertent, puis donnent force publicité aux desseins prétendument généreux exposés par leurs représentants à Davos, au Bilderberg ou au G7. 56 Une apparence de débat couvre les arrangements, et les décisions sont dictées aux institutions supranationales comme l’OMS ou l’Union Européenne, qui les imposent aux États et ceux-ci aux citoyens.

L’oligarchie mondiale n’est évidemment pas coiffée par une « coupole » centrale dirigée par le capo dei capi omniscient, dont les ordres seraient inexorablement appliqués. Les personnes, les firmes, les États, ont de multiples intérêts pratiques ou idéologiques, parfois convergents, souvent divergents. Dans ces vastes réseaux de complicités et de duplicités, conflits et ententes alternent, et quelquefois de véritables complots se trament, comme lorsque deux banques s’entendent pour pousser une rivale à la faillite, se partager ses dépouilles, et déclencher une crise permettant de rafler des actifs financiers ou réels. Tantôt adversaires, tantôt alliés, les rivaux coopèrent pour de grands projets, comme l’illustre l’aggravation délibérée de l’épidémie de Covid 57 : quelles que soient l’origine du virus à la mode et sa dangerosité pour les personnes faibles, il a permis d’endetter les États et de donner aux grandes firmes des milliards créés sans contrepartie par les banques centrales qu’elles dirigent. Il sert de prétexte aux dangereux vaxxins et au contrôle social nécessaire à la « Grande Réinitialisation ». 58

L’analyse présentée dans ces deux articles peut choquer des personnes généreuses ; pourtant, dès lors que la conspiration est prouvée, ce ne sont pas les « complotistes » qu’il faut blâmer, mais les comploteurs. Malgré leurs conflits, les factions oligarchiques s’unissent dans leur volonté de dominer les peuples. Les attentats sous faux drapeau, les tensions internationales et les guerres, en Ukraine et au Proche-Orient, participent à leurs stratégies. Comprendre leurs desseins et leurs méthodes est indispensable pour nous libérer.

Libérons-nous !

Regardez les auteurs et la date :


1 Une recherche par mots-clés permet de vérifier facilement, sur des sites internet officiels ou sur des sites de journalisme d’investigation, les faits cités ici ; exemples : Éric Laurent La face cachée du 11 septembre, Plon, 2004 ; Laurent Guyénot https://reseauinternational.net/11-septembre-2001-la-theorie-du-complot-pirate/. Des articles signés Michel Straugof, publiés en 2019 sur le site Le Saker francophone, exposent en détail la biographie de personnalités actives dans cette affaire, en particulier au ministère de la Défense étasunien.

2 Sur la base d’un rapport de Carnegie Mellon (1997), une directive du Président Clinton, PDD 63 du 22 mai 1998, institua la Presidential Commission on Critical Infrastructure Protection, « Commission présidentielle pour la protection des infrastructures critiques », chargée de recenser les moyens d’assurer le fonctionnement du pays en cas de troubles graves. Cette commission envisagea des attaques de pirates ou « d’États terroristes », et une illustration montrait un avion frappant des tours. Le 911 est le numéro d’appel d’urgence aux E-U.

3 Larry Silverstein se disait ami de Benjamin Nathanyaou, Yitzhak Rabin, Ariel Sharon, Ehud Barak…

4 Le désamiantage aurait coûté environ un milliard de dollars, et la mise aux normes de sécurité et de télécommunications, 800 millions. Le coût de l’investissement fait par Silverstein et ses associés (bail emphytéotique et quelques travaux) varie selon les sources de 14 millions de dollars (c’est peu !) à 3,6 milliards (c’est beaucoup !). Le plan de démolition des tours fut bien entendu transmis aux nouveaux propriétaires.

5 Selon l’usage, des contre-assurances avaient été conclues par prudence. 

6 Des images montrent leur camionnette décorée de l’image d’un avion frappant une tour… réalité ou montage ?

7 Chertoff rédigea la version finale du Patriot Act, voté quelques jours après le 11 septembre 2001. Il mena aussi la procédure contre Zacarias Moussaoui, dont les avocats demandèrent l’accès à des documents classés confidentiels et le témoignage de prisonniers détenus à Guantánamo, prétendument membres d’Al-Qaïda. Les procureurs rejetèrent ces demandes, arguant de menaces possibles contre la sécurité nationale, prétexte fréquent depuis 2001. Face à ce refus, la juge Leonie Brinkema interdit aux procureurs de requérir la peine de mort. Moussaoui fut condamné à la prison à perpétuité pour terrorisme, malgré sa folie évidente et quoique l’accusation ait reconnu qu’il n’avait pas participé aux attentats du 11 septembre 2001.

8 Ehud Barak se trouvait à ce moment même dans un studio de la BBC, à Londres, et déclara qu’il était temps de lancer une guerre contre la terreur.

9 Les professionnels de la sécurité voulaient un site moins exposé que le WTC, mais l’équipe municipale de Rudolph Giuliani imposa ce choix, très critiqué.

10 Pourtant un exercice sur la chute d’un avion sur le Pentagone avait d’abord été écarté comme trop peu réaliste.

11 Avant de devenir sous-secrétaire d’État à la Défense, Dov Zakheim avait été, de 1987 à 2001, vice-président de System Planning Corporation, société créatrice d’un dispositif de guidage d’avions gros porteurs, et d’un logiciel permettant de faire apparaître des leurres sur des radars durant des exercices.

12 Cf. les articles signés Michel Straugof publiés en 2019 sur le site Le Saker francophone. Le PNAC fut fondé par William Kristol et Robert Kagan, époux de Victoria Nuland qui organisa le coup d’État de 2014 à Kiev. Kagan est à l’origine d’une lettre ouverte du PNAC, adressée au Président Clinton le 26 janvier 1998, pour demander une guerre contre l’Irak, déjà sous prétexte que ce pays aurait possédé des armes de destruction massive. En 2000, le document du PNAC Rebuilding America’s Defenses « Reconstruire les défenses de l’Amérique » présenta les armes biologiques ethniques comme un outil politiquement utile pour les États-Unis.

13 Le Council on foreign relations est surtout composé de suprémacistes étasuniens, et le Project for a New American Century rassemble surtout des sionistes étasuniens. Jeb Bush en est membre.

14 Comme les détournements étaient fictifs, il ne fallait pas que des pilotes constatassent l’inexistence des avions.

15 Vérifiait-il que tout se passait comme prévu ?

16 Pour un coût de 258 millions de dollars.

17 Une partie des débris fut transportée sur le champ d’épandage de Fresh Kills, près de New York, devenu le cimetière des victimes non identifiées des attentats, et transformé depuis en parc de promenade.

18 Secrétaire d’État à la Défense pendant les mandats de Bush père, Cheney fit employer, pendant la guerre du Golfe de 1991, des mercenaires de KBR, filiale du groupe pétrolier Halliburton, dont il devint vice-président en 1995. Son revenu déclaré en 2005 était modestement de 8,8 millions de dollars. Actionnaires de sociétés de mercenaires, Richard Cheney et Donald Rumsfeld s’enrichirent énormément par les guerres qu’ils organisèrent.

19 AFP, 22 novembre 2001, International Herald Tribune, 21 mai 2002.

20 Marc Chesney et Loriano Mancini, professeurs à l’université de Zurich, concluent : « la probabilité qu’il y ait eu délits d’initiés est forte pour American Airlines, United Airlines, Merrill Lynch, Bank of America, Citigroup et JP Morgan. Ce n’est pas une preuve juridique, mais le résultat de méthodes statistiques. ». Délits d’initiés entre le 6 et le 10 septembre : Dailymotion https://www.dailymotion.com/video/x5a2zu William Bergman, Curious Coincidences of 2001: Following the 9/11 Money Trail, Sanders Research Associates, 4/01/06. Jacques Follorou, Une spéculation massive à la veille du drame inquiète les autorités. Le Monde, 19 septembre 2001.

Le 10 septembre, le baril de pétrole augmenta de 13 %, et des options de vente furent prises sur plusieurs sociétés :

  • 4 516 sur American Airlines, 11 fois plus que le volume moyen annuel, contre seulement 748 options d’achat.
  • 4 744 options à la vente d’actions de United Airlines entre le 6 et le 7 septembre 2001, contre 396 à l’achat.
  • 1 209 options de vente contre 13 les jours précédents sur Marsh & McLennan occupant des bureaux dans huit étages de la tour nord (du 93e au 100e), prétendument frappés par le vol 11 d’American Airlines.
  • 2157, 100 fois plus d’options de vente qu’à l’ordinaire, sur Morgan Stanley, présente dans 22 étages du WTC. Sept années plus tard, cette banque fut l’une des organisatrices et bénéficiaires de la crise de 2008.
  • 5 615, 60 fois plus qu’à l’ordinaire, 12 215 en peu de jours, sur Merrill Lynch présente dans un bâtiment voisin.
  • Les options de vente sur l’assureur Citigroup furent 45 fois plus nombreuses que d’ordinaire du 6 au 10.

Mais les actions des firmes d’armement s’envolèrent !

Très mollement menée, l’enquête sur ces délits d’initiés ne permit pas de connaître l’origine des informations reçues par les spéculateurs. Deux ans plus tard, le 19 septembre 2003, le FBI annonça la clôture de l’enquête, affirmant qu’absolument nulle preuve n’existait de spéculation liée à une connaissance éventuelle des attentats.

21 En 1997, Zbigniew Brzezinski avait écrit que le maintien de l’hégémonie des États-Unis nécessitait de contrôler les vastes réserves de pétrole et de gaz de l’Asie Centrale. Or, après l’échec des négociations entre les Talibans et les firmes pétrolières des É-U, le commandant Ahmed Shah Massoud fut assassiné, l’avant-veille des attentats, au moyen d’une caméra piégée, par de faux journalistes tunisiens qui moururent avec lui. Les connaisseurs de l’Afghanistan affirment qu’il était le seul chef capable de fédérer et diriger une résistance armée, et de bouter l’envahisseur hors du pays. Une interprétation cohérente des faits devrait expliquer la coïncidence de sa mort avec les attentats et l’invasion de l’Afghanistan par les troupes des États-Unis et de leurs alliés. Les soupçons se portent sur l’ISI pakistanaise, liée à la CIA. Il n’y a pas que le pétrole et le gaz qui rapportent : la production d’extrait de pavot fut de 2300 tonnes en 1995, puis réduite par les Talibans à 200 en 2000, et remonta à 8400 tonnes en 2007.

22 Le président nommé de l’Afghanistan occupé fut Hamid Karzaï, ancien cadre de l’Unocal, dont les frères gérèrent la production et la commercialisation de la cocaïne, avec l’aide de la CIA.

23 Salim Ben Laden, frère aîné d’Oussama, était l’associé de George W. Bush à Houston (Texas) dans la société pétrolière Harken. Les familles Ben Laden et Bush ont fondé le fonds de gestion de portefeuille Carlyle. Selon Éric Laurent, dès son accession au pouvoir, l’administration Bush fit cesser les enquêtes du FBI sur M. Oussama Ben Laden, Al-Qaida et la participation de la famille royale séoudienne au financement du terrorisme.

24 Six avions d’affaires et un gros porteur décollèrent le 13 septembre, emmenant 40 Séoudiens dont 24 personnes de la famille Ben Laden dans un Learjet mis à leur disposition par la firme d’armement Raytheon (N-Y Times).

25 Le 30 avril 2001, la base aérienne de Tinker, en Oklahoma, signala la possibilité d’espionnage par des étudiants israéliens se disant artistes peintres. Suspicious activities Involving Israeli Art Students at DEA facilities juin 2001. Une trentaine d’« étudiants » habitaient près du domicile de pirates de l’air présumés.

26 Kean fut actionnaire et directeur du groupe pétrolier Amerada Hess, ayant une société commune avec Delta Oil, firme pétrolière séoudienne.

27 En novembre 1998, le magazine Foreign Affairs publia l’article « Catastrophic Terrorism: Tackling the New Danger », cosigné par Zelikow, membre du PNAC, annonçant : « Comme Pearl Harbor, [un attentat grave] diviserait notre avenir en un avant et un après. Les États-Unis pourraient réagir par des mesures draconiennes réduisant les libertés civiles, autorisant une plus grande surveillance des citoyens, la détention de suspects et le recours à la force meurtrière. De nouvelles violences pourraient suivre les attaques terroristes à venir ou les contre-attaques américaines. Les Américains jugeraient tardivement que leurs dirigeants ont fait preuve de négligence en ne s’attaquant pas au terrorisme de manière plus urgente. ». En septembre 2002, à l’université de Virginie, Zelikow déclara que l’Irak n’exerçait pas de « véritable menace » contre les États-Unis, mais que la « menace non déclarée » était la « menace contre Israël ; rhétoriquement, le gouvernement américain ne veut pas trop insister sur cette menace, parce qu’elle n’est pas très populaire ». Le même mois, dans The National Security Strategy of The United States of America « La stratégie de sécurité nationale des États-Unis d’Amérique », il prôna la doctrine de la guerre préventive, et six mois plus tard, les États-Unis agressèrent l’Irak en violant la résolution 1441 de l’ONU. En 2003, il fut directeur exécutif du Rapport de la Commission du 11 septembre. Constatant ses appartenances partisanes, les familles des victimes du 11 septembre demandèrent en vain sa démission.

28 Rove présida les réunions d’un comité créé en août 2002 à la Maison-Blanche, chargé d’élaborer une stratégie « pour diffuser l’affirmation de la Maison-Blanche que Saddam Hussein était une menace pour les États-Unis ».

29 Selon le New York Times, les enregistrements des échanges entre le sol et les chasseurs furent « égarés ou effacés ». Même sort, quelques semaines après, pour les échanges entre le contrôle aérien et les avions détournés.

30 À 13 h 10, American Airlines (AA) publia les listes des passagers et des membres d’équipage. Celle du vol 77 mentionnait 64 personnes. Le FBI interdit ensuite à AA, à l’aéroport de Dulles et même à la FAA de publier des informations. Une liste officielle recensa 56 personnes, mais pas les cinq pirates, et le rapport de la commission en mentionne 58, « terroristes » compris. Éric Laurent La face cachée du 11 septembre, Plon, 2004. Comme après toute catastrophe aérienne, des journalistes cherchèrent des familles éplorées dans les aéroports de destination, mais la plupart furent bredouilles, excepté pour l’avion tombé en Pennsylvanie. Dean T. Hartwell Planes without Passengers: the Faked Hijackings of 9/11. Le gouvernement fédéral offrit 1,7 million de dollars aux familles des victimes en échange de l’abandon de toute poursuite ; pourquoi, si des terroristes étaient les auteurs du crime ?

31 Les services secrets tiennent prêtes en permanence des listes de quelques dizaines de personnes imaginaires. Les fausses personnalités sont détaillées, précisant enfance, famille, études, diplômes, stages, emplois et domiciles successifs, liaisons, amis et violons d’Ingres. Combien de Smith, Ford, Ferguson et Fernandez dans les États très peuplés des côtes Est et ouest des É-U ? Truquer une liste de passagers est plus facile que modifier les lois de la Physique, plus facile que faire voler à 900 km/h, au niveau de la mer, un avion dont les ailes s’arracheraient s’il volait à plus de 400 km/h, plus facile que viser à cette vitesse une cible de 60 m de large, plus facile surtout que créer des millions de joules, exploit à la portée du seul Divin Créateur.

32 http://archives.cnn.com/2001/US/09/16/inv.binladen.denial/index.html

www.globalresearch.ca/interview-with-osama-bin-laden-denies-his-involvement-in-9-11

Pendant l’été 2001, Oussama Ben Laden était hospitalisé sous le nom de Hassan al Talal, à l’hôpital étasunien de Dubaï (NY Times, 1/11/2001). Le 12 juillet, il reçut la visite de l’agent de la CIA, Larry Mitchell ; la discussion aurait été houleuse (Le Figaro, 31 octobre 2001). Cet agent quitta Dubaï peu après, le 15 juillet.

RFI — Attentats — Ben Laden et la CIA : les détails de la rencontre

Les talibans demandèrent des preuves de la culpabilité de Ben Laden, mais ne les obtinrent pas et refusèrent donc de l’extrader. (Washington Post, 29 octobre 2001).

33 Au cours des années suivantes, la silhouette de Ben Laden grossit, maigrit, et même rapetissa !

34 Le Times publia le 29 novembre 2001 une coupe des grottes fortifiées de Tora-Bora en Afghanistan, paraissant sortie d’une BD de Black et Mortimer : air conditionné, aire pour hélicos, portes blindées, issues de secours.

35 Le 8 août 2011, un hélicoptère vétuste s’écrasa au centre de l’Afghanistan. À bord, plusieurs membres du commando censé avoir abattu Oussama Ben Laden. De belles funérailles consolèrent fort leurs familles. Ainsi, il n’y eut jamais de preuves et il n’y a désormais plus de témoins. Assassinat ? Une autre interprétation est possible : à expédition inexistante, commando imaginaire. Si, comme tout l’indique, l’élimination de M. Ben Laden fut une pure fable, il a suffi d’attendre un accident — il s’en produit fatalement au cours d’une guerre — pour révéler que les morts étaient les membres de la courageuse équipe qui avait soulagé le monde de l’ennemi public n° 1. Héros dont l’identité avait jusqu’alors été tue, dans l’intérêt national et pour ne pas embarrasser leur modestie.

36 Laurent Guyénot https://reseauinternational.net/11-septembre-2001-la-theorie-du-complot-pirate/

37 Peut-être même les organisateurs du grand complot ont-ils inspiré, incité et aidé les organisateurs du petit.

38 C’est la thèse de Khalezov (cf. article précédent).

39 Des explosifs chimiques furent aussi placés, peut-être aux emplacements prévus, selon le plan de démolition.

40 Le bâtiment 7 était le centre de contrôle de tout l’ensemble immobilier, communiquant avec d’autres bâtiments par des passages en sous-sol. Les explosions sous les Tours Jumelles ne pouvaient manquer d’y laisser des traces.

41 Que le Président et les principaux ministres soient emmenés en lieu sûr par des gardes du corps est normal, mais ce qui ne l’est pas, c’est que le Président soit promené toute la journée à bord de l’avion présidentiel, et ainsi déchu en fait de son pouvoir. Le 10 septembre, G.W. Bush alla en Floride et y passa la nuit, protégé par des batteries antiaériennes ; le 11 au matin, il lisait un conte pour enfants à des écoliers. Dans la journée, l’avion présidentiel alla de Floride à une base militaire en Louisiane, passant au-dessus du Golfe du Mexique, lieu idéal pour un accident. G.W. Bush ne fut vraisemblablement emmené à Raven Rock qu’après qu’il eut cédé. Sur quoi ? Sur le programme d’agression au Proche-Orient ?

42 Pour rappel, George Walker Bush fut élu Président de la République des États-Unis d’Amérique par la grâce du trucage des élections en Floride par son frère John Ellis Bush, gouverneur de cet État.

43 Au mois d’avril 2004, George W. Bush se présenta devant la commission d’enquête, mais exigea de témoigner sans prêter serment et sans que l’audition ne soit ni publique, ni filmée, ni enregistrée. Il exigea aussi d’être accompagné du vice-président Richard Cheney, disant : « Cela nous donnera l’occasion de répondre aux membres de la commission. » Bref, il fut chaperonné.

44 Donald Rumsfeld, son adjoint Paul Wolfowitz, et Richard Perle, nommé en juillet 2001 président de la commission de la politique de défense, réclamaient depuis des années une nouvelle guerre contre l’Irak, et demandèrent dès le 11 septembre que l’armée la préparât. Quand une agression est décidée, les militaires de bon sens sont écartés ; règle universelle s’appliquant à toute époque et dans tout pays.

45 Lorsqu’une firme automobile prépare un nouveau modèle, maintes personnes participent au projet, mais les firmes concurrentes n’apprennent que des bribes de renseignements. Les exécutants d’opérations clandestines ne connaissent ni l’identité ni les motifs des commanditaires, et observent le secret. Convaincre un service technique de garder ses observations sous le coude et de fournir un rapport de complaisance est le B A BA du pouvoir. Enfin, le chantage à la vie de la famille est classique : un accident est si vite arrivé !

46 Dont le général Eberhart, commandant la région aérienne. Ces militaires avaient confirmé sous serment la V.O.

47 Les magnats du pétrole d’Arabie saoudite trempaient vraisemblablement dans le complot contre l’Afghanistan, mais ne paraissent pas avoir participé à la destruction des tours de Manhattan. M. Donald Trump s’efforça pendant quatre années de mettre fin aux guerres commencées par ses prédécesseurs. Le but du plan de paix partial proposé pour le Proche-Orient était peut-être de délier les États-Unis du chantage subi depuis 2001. En 2020, le trucage de l’élection présidentielle organisé pour l’éliminer fut si évident qu’il aura des conséquences graves. Complot au grand jour. Deuxième coup d’État. Dans le gouvernement de J. Biden, les titulaires d’une dizaine des principaux postes sont des sionistes avoués. Qui décide à présent de la politique ?

48 Hélas ! On voit que de tout temps / Les petits ont pâti des sottises des grands. Jean de La Fontaine.

Les deux Taureaux et une Grenouille,Livre second, Fable IV.

49 Des laboratoires surveillent à tout moment la composition de l’atmosphère et, quoique quelques–uns ne dépendent pas directement d’un gouvernement, leur renommée, leur financement, l’emploi de leurs techniciens et la carrière de leurs chercheurs dépendent des études commandées par les pouvoirs établis. Le soutien d’un État eût été nécessaire pour qu’ils publiassent leurs observations.

50 Dès le 19 septembre 2001, le projet d’Anti-Terrorism Act comptait 345 pages. Les rédacteurs n’ont pas chômé !

En France, une la loi sur la sécurité quotidienne fut adoptée le 15 novembre 2001 sous le gouvernement Jospin.

51 http://lidiotduvillage.org/2020/06/05/le-genie-du-complotisme/

52 En 2000, le président Clinton apposa la signature des États-Unis au traité sur la Cour Pénale Internationale, CPI. En mai 2002, avant l’agression contre l’Irak, le Président G. W. Bush notifia aux Nations Unies que les États-Unis se déliaient de cet engagement, et Rumsfeld publia dans un communiqué les motifs de cette décision : éviter que des militaires étasuniens puissent être traduits devant la Cour. Depuis cette dénonciation du traité par les États-Unis, la Grande-Bretagne, partie au traité, s’efforce d’employer la CPI dans l’intérêt des pays anglo-saxons.

53 En 2007, toute la presse promut Ségolène Royal comme la brêle qui se ferait battre. Ce battage publicitaire pour la perdante désignée préfigura l’encensement en 2017 du gagnant choisi par l’oligarchie mondialiste.

54 BlackRock gère la plus grande masse mondiale d’actifs financiers, presque 9000 milliards de dollars. Par comparaison, le budget de la France (flux) est d’environ 600 milliards d’euros.

55 Le Danemark a récemment nommé un ambassadeur auprès d’une firme supranationale.

56 Les GAFAMs sont les ministères de la Vérité.

57 En France, l’examen des statistiques de mortalité conduit à diviser par au moins cinq le nombre avancé par les dirigeants de « 100 000 morts » dus au Covid. Plus qu’une épidémie de grippe, le Covid fut une épidémie de refus de soin, de tests non valides et d’injections de produits mortels. Ces faits furent dénoncés par maintes personnes, dont Luc Montagnier, Laurent Toubiana, Pascal Sacré, Nicole Delépine,Christian Perronne, Martine Wonner, Alexandra Henrion-Caude,Reiner Fuellmich, Pierre Chaillot, et d’autres valeureux résistants. Les vaxxins sont plus dangereux que la maladie. Parmi de nombreuses références :

https://www.youtube.com/watch?v=MLMGnfeu_zk ; https://odysee.com/@MartineWonner:b/actu-de-la-semaine-et-invitee-christine-cotton:3 ; https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-societe-sante/belgique-masques-et-confusion-entre-tests-positifs-dits-cas-et ;

58 L’apôtre du Great Reset, l’inénarrable Klaus Schwab dans son costume de franc-maçon interplanétaire, illustre jusqu’à la caricature l’hubris des dirigeants décidés à imposer leur volonté aux peuples. L’étonnant livre qu’il a publié avec Thierry Malleret, COVID-19 : La Grande Réinitialisation, sonne comme un aveu.

https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/
[Traduction : https://nouveau-monde.ca/les-valeurs-familiales-de-schwab/]




Tête à tête — Pierre Jovanovic et Carlo Brusa

[Source : Reaction19 Italia]




Testament philosophique d’un médecin de campagne

[Source : dr.moulinier.fr]

Par Dr Didier Moulinier

Chers amis et affiliés,

Repose parmi nous maintenant dans la place centrale de cette église, Édith Moulinier, notre mère, grand-mère et arrière grand-mère.

Elle allait avoir 90 ans.

Notre mère était un personnage haut en couleur de notre village.

Malheureusement, il m’a fallu attendre les derniers jours de sa vie pour commencer à la comprendre complètement.

Je viens de prendre conscience en préparant ce discours que nous avions été victimes dans notre famille d’un grave problème de communication dans les deux sens.

Notre mère avait beaucoup d’amour vis-à-vis de sa famille, mais toute sa vie elle n’a jamais su ou pu trouver le bon moyen de nous le témoigner !

De par mon métier j’ai bien conscience que nous approchons de plus en plus de la mort et de ce fait j’ai décidé de vous présenter :

« Mon testament philosophique »

Je donnerai à tous les membres de ma famille une copie de ce texte et ainsi le jour où je viendrai jouer mon dernier rôle au pied de l’autel de cette église cela leur évitera d’écrire un nouveau texte !

Pour mieux comprendre mes propos, il faut nous replonger dans l’histoire de notre commune et donc reprendre rapidement l’historique de notre village.

Dès notre enfance, comme nos parents, grands-parents et arrière-grands-parents, nous avons, pour la majorité des habitants, connu et subi les difficultés de la pauvreté.

D’ailleurs comme j’ai pu le vérifier sur les photos d’école très anciennes qui remontaient jusqu’à notre grand-père maternel Lolo, la seule différence par rapport à celle de notre enfance était la qualité des photos, mais nous avions peu ou prou les mêmes apparences. Pour reprendre les propos du « grand philosophe » de Braud et Saint Louis, Raymond Urquiola Dit Youle :

« o l’était tous des Bestiards et des sotiards y comprenant reune à reune »… en parlant des gens du village (patois charentais)…

Nous avons eu, avec mon frère, la joie de voir arriver dans notre village, l’eau courante qui nous a permis de découvrir les douches individuelles après n’avoir connu que les douches collectives du village sous la surveillance du garde champêtre.

Et enfin de se débarrasser des cabanes au fond du jardin avec tous leurs inconvénients…

Le chauffage au mazout qui nous a permis d’avoir des maisons moins froides l’hiver, la machine à laver le linge et le frigo qui ont considérablement changé la qualité de vie des femmes du village.

La télévision, en noir et blanc dans un premier temps, qui nous permettait de nous réunir à plusieurs chez les rares voisins qui disposaient d’un téléviseur. De même que le téléphone qui au début n’était présent que chez une seule habitante de Bouinot, le deuxième se trouvant au bar café de notre ami à tous, Mr C.

Pour s’en sortir, les habitants de Braud n’avaient pas d’autres alternatives que de travailler durement dans les fermes et de s’entraider.

La vie du village était rythmée par les 3 fondamentaux : l’école, le bistrot + chai de Lolo, mon grand-père maternel et de ses copains ; la pierre angulaire était constituée par l’église du village en binôme avec la mairie.

Je suis sur la photo, à vous de me trouver…

De mon côté, j’avais compris rapidement que le seul moyen de m’en sortir c’était d’accumuler un maximum de connaissances à l’école. Ce fut un bonheur extraordinaire dès que j’ai su lire et écrire grâce à de vraies institutrices comme Mme Joubert et Mme Salzat qui savaient exercer avec efficacité leur autorité et dispenser un enseignement intelligent et efficace bien éloigné de la théorie du genre et autres conneries… Je me suis débrouillé très rapidement à récupérer chez nos voisins et amis un maximum de livres que je dévorais avec passion.

Tout le village vivait au rythme du diapason mis en place par l’église avec ses cloches et des coups de gueule de notre grand-père pour commander son cheval dans les travaux des champs. À l’époque, nous n’avions pas conscience de l’espace de liberté dans lequel nous vivions enfants. Nos parents nous laissez aller dans les bois et les marais sans aucune crainte, car ils savaient qu’il y avait toujours un voisin qui pouvait nous porter assistance, aucune maison n’était fermée à clé, nous n’entendions jamais parler comme maintenant de harcèlement dans les cours de récréation et s’il y avait un contentieux cela se réglait entre nous par quelques coups de poings et de pieds sans conséquences graves.

La majorité des enfants du village comme mon frère et moi se sont retrouvés d’ailleurs dans cette église de Braud et saint Louis comme enfants de chœur. Nous nous retrouvions ainsi tous aux cours de catéchisme avec l’abbé Rale, qui portait bien son nom et savait nous faire rêver en évoquant avec sa fougue habituelle le passage de David terrassant Goliath avec sa fronde. D’ailleurs, nous possédions tous des frondes de fabrication maison.

Ainsi s’écoulait le temps, au rythme des saisons et du tambour du garde champêtre local, Mr Gourde…

qui portait bien son nom comme nous pouvions le constater quand il avait fait un passage trop prolongé dans le chai de Lolo dans notre village et qu’il en repartait le béret de travers et le vélo zigzagant dangereusement.

Quand on regarde les photos d’école et celles de notre mère et de notre oncle, on voit finalement peu de différence avec celles de mon frère ou moi.

Quand j’étais enfant de chœur, nous nous retrouvions au moment de la messe derrière le curé et l’autel.

De notre position, nous avions ainsi une vue plongeante sur la quasi-totalité du village présente pour la messe dominicale. À chaque fois, nous assistions toujours au même rituel pendant la messe : au moment de l’élévation, venait se retrouver toujours le même groupe d’hommes au fond de l’église, debout le béret à la main avec notre grand père Lolo qui occupait la place centrale. À la fin de l’élévation, tous ces hommes sortaient ensemble de l’église pour se retrouver séance tenante au bistrot en face de l’église.

C’était la bande à Lolo, à savoir Turco, Titi l’oncle Acier et d’autres qui se revendiquaient « libres penseurs ». Malheureusement beaucoup d’eux revenaient à bon port dans un triste état, car ils avaient souvent eu beaucoup trop soif !

Pour tout le monde, la vie était dure moralement et physiquement et rendait obligatoire la solidarité, avec quelques difficultés inhérentes à cette promiscuité qui faisait que tout un chacun connaissait parfaitement ce qui se passait dans chaque famille du village. C’est ainsi que tout le monde savait qui couchait avec qui, mais tout le monde s’arrangeait à sa guise, voire en plaisantait. Nous avions eu la chance d’avoir notre grand-mère « Mamie Charron » qui portait très bien son prénom de Marie, car elle était une championne de l’amour et de la tendresse. Finalement, notre mère a peut-être été prise de vitesse avec sa propre mère et dans le domaine de la tendresse elle s’est contentée de laisser faire à sa place notre Mamie Charron.

Dans ce milieu de vie où les conditions étaient dures, avec le recul je comprends mieux maintenant le cours des évènements familiaux. J’étais à ce moment-là un « parfait rat des champs », mais dès que j’ai pu, je me suis vite transformé en rat des villes. Passons sans tarder à mon testament philosophique : Par 7 fois dans ma vie, j’ai loupé mon examen de passage vers la mort suite à des accidents de sport puis de santé. Sachez que depuis de nombreuses années je n’ai plus peur de cette vieille compagne qu’est la mort, car j’ai compris et accepté qu’elle faisait totalement partie de la vie.

Je suis devenu comme mon grand père Lolo à savoir que je crois toujours en Dieu, mais je ne crois pas en la robe noire, robe noire qui est de plus en plus rare maintenant. Durant ces épreuves, j’ai eu la chance de vivre 3 expériences mystiques après avoir eu par 3 fois des contacts bien réels de l’Esprit saint ou de la vierge Marie ou de Dieu. Je souhaite à chacun de connaître un jour cette bouffée d’amour intense, difficilement descriptible et qui vous apporte instantanément une immense sérénité. Ce serait trop long de vous narrer ces évènements dans le détail. Je suis convaincu que la mort est une nouvelle naissance, mais dans une autre dimension. La suite je ne la connais pas pour l’instant, mais j’espère malgré tout, pouvoir garder toute ma personnalité.

C’est en fait la grande inconnue !

Toute ma vie j’ai essayé de respecter ces différentes règles :

  • quand tu te lèves le matin, vérifie si tu peux te regarder sans honte dans la glace ;
  • refuse l’inacceptable, quel que soit le prix à payer ;
  • si ta cause est juste, mène ta quête jusqu’au bout et quand on te ferme la porte trouve par tous les moyens un autre moyen de passer quand même !

Avec le recul, je dois reconnaître que j’ai dû piquer ce comportement à ma mère qui l’air de rien a été une sacrée communicante !

En tout cas malgré nos différences manifestes entre mon frère, le maître de la technique comportementale de l’huître qui lui permet de se sortir de toutes les difficultés et de réussir à résoudre tous les problèmes en se refermant sur lui-même, et moi qui ferraille en permanence pour surmonter les obstacles, je suis fier de pouvoir vous certifier ce jour que nous avons pu mener ce combat pour soulager les souffrances de notre mère sans aucun conflit et si tant est que cela soit possible de se souder encore plus qu’avant. Je tiens à préciser que le plus dur à supporter pour nous dans cette évolution vers la déchéance de notre mère a été de constater la déshumanisation de notre société !

En tant que médecin, j’ai pu constater l’ampleur du désastre.

En effet, l’ensemble du système de santé vient de tomber sous un régime sataniste commandé par I.A., la soi-disant intelligence artificielle.

C’est ainsi que maintenant quand quelqu’un est hospitalisé, l’I.A. détermine combien de fric cette personne va pouvoir rapporter au système. Si l’hospitalisation se prolonge, intervient à ce moment-là la courbe Excel, et si le bilan comptable montre que les dépenses dépassent les profits espérés, alors le système s’arrange pour vous expulser en urgence de l’hôpital ou la clinique et vous renvoyer chez vous. Ceci est rendu possible, car la majorité des médecins reste derrière leur écran d’ordinateur, n’examinent jamais ou rarement leur patient et délègue ce job aux infirmières qui elles aussi délèguent leurs taches aux balayeurs et autres, car les infirmières restent, elles aussi trop souvent bloquées derrière leur ordinateur pour faire les commandes de produits et prendre des rendez-vous.

Finalement, ce sont les cadres administratifs qui gèrent le côté médical, et tout ce petit monde s’arrange à truquer les rapports informatiques pour faire plaisir à l’ARS. Ce système continue aussi pour les infirmières à domicile recrutées, car avant de prendre la moindre initiative elles se réfèrent systématiquement et uniquement aux données informatiques transmises par l’hôpital et pour éviter de se fâcher avec leur agent payeur, à savoir le nouveau Satan, l’ARS, elles truquent elles-mêmes leur rapport écrit sur leur cahier de liaison.

C’est ainsi que le jour de son décès j’ai pu retrouver ma mère en état de pré agonie, complètement déshydratée, incapable de déglutir, alors que le rapport de l’infirmière locale faisait une description tout autre puisque selon elle, ma mère l’aurait reconnue, aurait pu boire au verre sans problème ce jour-là. Ces propos ne pouvaient être que mensongers, car j’étais arrivé quasiment en même temps que cette infirmière, le matin du jour de son décès.

La veille de ce jour, j’avais avec fermeté demandé à l’infirmière de réhydrater ma mère et j’avais envoyé une ordonnance pour officialiser ma prescription. Sans rentrer dans les détails techniques qui confirment la bêtise du système, l’infirmière incompétente et dangereuse avait refusé de poser la réhydratation prescrite, car la pharmacie n’avait pas pu lui délivrer la totalité des produits prescrits. Comme cela allait, dixit la même incapable, à l’encontre des fameuses recommandations à la con de l’ARS, l’infirmière s’y était refusée et avait donc passé outre ma prescription alors que la pose de ce type de perfusion était pratiquée sans risque depuis plus de 40 ans. Elle a donc préféré laisser notre mère crever de soif toute une nuit, ce qui explique l’état catastrophique dans lequel je l’avais trouvée le mardi matin 27 juin 2023 et qui n’avait rien à voir avec la prose angélique du cahier de liaison de la journée. La meilleure preuve que mon diagnostic du matin était fondé c’est que 5 heures après mon arrivée notre mère décédait le 27 juin 2023 à 15 h 20 en présence de toute sa famille. Bien évidemment, mon frère a en sa possession toutes les preuves de ce que je dénonce en ce jour ! Je ne supporte pas tous ces mensonges et ce manque d’humanité. Sur le plan médical, je savais depuis 1 mois que nous étions arrivés à une issue qui ne pouvait être que fatale pour ma mère. Notre société s’effondre dans ses fondamentaux à cause de la lâcheté de 80 % de la population mondiale et de la majorité du monde médical.

Alors de grâce, arrêtez d’écouter les merdias. Vous êtes revenus à une situation similaire à celle de l’occupation allemande en 1940 en étant prêts à dénoncer vos voisins, prêts à envoyer les rebelles à la DOXA dans des camps de concentration.

Vous avez accepté l’inacceptable. Vous avez laissé tuer vos parents hospitalisés qui sont morts euthanasiés ou en leur brûlant les poumons en leur faisant respirer de manière criminelle de l’Oxygène à un débit mortel de 40 et 60 litres par minute ou en acceptant de ne plus aller les voir dans les EPAHD.

Vous avez accepté de vous laisser fermer vos gueules par le port d’un masque totalement inefficace et inutile face à un virus. Vous avez refusé d’écouter les vrais médecins qui vous ont expliqué que pour visualiser un virus il faut un microscope électronique, car un virus est si petit qu’il ne peut pas être visible en microscopie optique et passe de par sa taille obligatoirement à travers un masque en papier et que par conséquent un masque en papier se trouve dans l’impossibilité technique de vous protéger contre un virus.

Je tiens à vous préciser que notre mère à toujours refusé de se faire injecter ce traitement expérimental présenté de manière mensongère comme un vaccin protecteur contre le covid et dont les effets secondaires gravissimes et meurtriers continuent à rester cachés par les autorités officielles malgré tous les témoignages indiscutables.

Comme beaucoup d’autres et comme ma belle-mère qui vient de décéder à l’âge de 97 ans, elles n’ont jamais eu le covid ni reçu le pseudo vaccin. Alors, réveillez-vous, si c’est possible encore, car la majorité d’entre vous a été lobotomisée et préfère traiter les lanceurs d’alertes de complotistes. On vous a menti en permanence, car les statistiques démontrent que le covid n’a pas tué plus de gens que la grippe.

Par contre nous avons les preuves que les effets secondaires du pseudo vaccin covid sont en train de tuer plus ou moins vite, plus de gens que le covid n’en a tués !

Arrêtez d’avoir peur de votre ombre !

À l’époque de vos pères et grands-parents, tous les villages auraient pris les faux, les fourches et les fusils pour aller libérer nos vieux dans les EHPAD.

Pour conclure, relisez les évangiles, la Bible, et le Coran si comme moi vous êtes curieux et vous y trouverez des réponses à vos angoisses existentielles.

Oubliez ces conneries abominables de distanciations, de masques et de lavages de mains.

Débarrassons-nous des normes européennes mises en place par des dirigeants corrompus qui nous empêchent de plus en plus de vivre normalement.

Buvons un bon coup à l’amitié (avec modération…), mais avec beaucoup de convivialité.

Dr Didier Moulinier




« Il ne fait aucun doute que la tête du serpent est le système financier »

Extrait de https://odysee.com/@Quartz:1/The-Great-Awakening—Version-finale:c



Rapport divulgué : Israël reconnaît que les Juifs sont en fait des Khazars ; Plan secret de migration inversée vers l’Ukraine

[Source : The Times of Israël]

[Illustration : Guy Boulianne]

… une publication du quotidien israélien The Times of Israël (…) précise quIsraël reconnaît les Juifs comme des Khazars et (…) confirme la réalité d’une Nouvelle Khazarie en territoire ukrainien. « Le successeur à petite échelle de l’empire médiéval de Khazaria (comme on appelait autrefois la péninsule) s’appellerait, en yiddish, Chazerai. » Je tiens à faire remarquer qu’une note de l’éditeur a été ajoutée en rouge au-dessus de cette publication, affirmant que « ce billet de blog est une œuvre de satire ». Curieusement, cette note a été ajoutée le 28 février 2022, quatre jours très exactement après le déclenchement de l’opération militaire spéciale par ordre du président russe Vladimir Poutine. Du 18 mars 2014 au 27 février 2022, cette note de l’éditeur n’apparaissait nulle part. On tente donc de camoufler la vérité en faisant croire que cet article est une « œuvre de satire ».

Guy Boulianne
(dans Les Juifs peuvent vivre sur le territoire, là où ils habitaient historiquement, en tant que peuple souverain… Ce sera sur les rives de la mer Noire)

[Voir aussi les articles de Guy Boulianne sur le sujet, dont :
Nouvelle Khazarie : « la Grande Eurasie n’est pas un projet géopolitique abstrait, mais un projet civilisationnel tourné vers l’avenir » (V. Poutine)]

Par Jim Wald
Jérusalem et Zhitomir, 16 mars/Adar II 14

(Nos correspondants russes et ukrainiens Hirsh Ostropoler et I. Z. Grosser-Spass ont également contribué à cet article, retardé en raison de la crise liée au référendum en Crimée).

Développements rapides

Les personnes qui suivent les affaires du Moyen-Orient savent deux choses : il faut toujours s’attendre à l’inattendu et ne jamais exclure le Premier ministre Binyamin Netanyahou, qui a plus de vies politiques que le chat proverbial.

Hier encore, on apprenait que les rebelles syriens envisageaient de céder à Israël le plateau du Golan en échange de la création d’une zone d’exclusion aérienne contre le régime d’Assad. On apprend aujourd’hui qu’Israël va retirer ses colons des communautés situées au-delà des blocs de colonies et les relocaliser, au moins temporairement, en Ukraine, ce qui est encore plus audacieux. L’Ukraine a conclu cet accord sur la base de liens historiques et en échange d’une aide militaire indispensable contre la Russie. Ce surprenant retournement de situation a une origine encore plus surprenante : la génétique, un domaine dans lequel les chercheurs israéliens excellent depuis longtemps.

Un peuple turc belliqueux et un mystère

Il est bien connu qu’au cours des huitième et neuvième siècles, les Khazars, un peuple guerrier turc, se sont convertis au judaïsme et ont régné sur un vaste domaine dans ce qui est devenu la Russie méridionale et l’Ukraine. Ce qu’il est advenu d’eux après la destruction de cet empire par les Russes aux alentours du XIe siècle reste un mystère. Beaucoup ont émis l’hypothèse que les Khazars sont devenus les ancêtres des Juifs ashkénazes.

L’Empire khazar, d’après la carte de M. J-H. Schnitzler
de L’Empire de Charlemagne et celui des Arabes
(Strasbourg, 1857)

Les Arabes citent depuis longtemps l’hypothèse khazare pour tenter de nier la revendication historique des Juifs sur la terre d’Israël. Lors du débat des Nations unies sur le partage de la Palestine, Chaim Weizmann a répondu, sarcastique : « C’est très étrange. Toute ma vie, j’ai été juif, je me suis senti juif, et j’apprends maintenant que je suis un Khazar ». Dans une veine plus folklorique, le Premier ministre Golda Meir a déclaré de façon célèbre : « Khazar, Schmazar, Khazar, Khazar, Khazar, Khazar » : « Khazar, Schmazar. Il n’y a pas de peuple khazar. Je ne connaissais pas de Khazars à Kiev. Ni à Milwaukee. Montrez-moi ces Khazars dont vous parlez ».

Un peuple guerrier :
Hache de combat khazar, vers les 7e-9e siècles

L’ex-communiste et scientifique hongrois Arthur Koestler a présenté l’hypothèse khazare à un public plus large avec The Thirteenth Tribe (La treisième tribu) (1976), dans l’espoir que la réfutation d’une identité « raciale » juive commune mettrait fin à l’antisémitisme. Il est clair que cet espoir ne s’est pas concrétisé. Plus récemment, l’historien israélien de gauche Shlomo Sand, dans son ouvrage The Invention of the Jewish People (L’invention du peuple juif), a orienté la thèse de Koestler dans une direction qu’il n’avait pas envisagée, en soutenant que les Juifs, en tant que communauté religieuse descendant de convertis, ne constituent pas une nation et n’ont pas besoin d’un État qui leur soit propre. Les scientifiques ont toutefois rejeté l’hypothèse khazare, car les preuves génétiques ne concordaient pas. Jusqu’à aujourd’hui. En 2012, le chercheur israélien Eran Elhaik a publié une étude prouvant que l’ascendance khazare est l’élément le plus important du patrimoine génétique ashkénaze. Sand s’est déclaré justifié, et des organes progressistes tels que Haaretz et The Forward ont claironné les résultats.

Israël semble enfin avoir jeté l’éponge. Une équipe de spécialistes issus d’institutions de recherche et de musées de premier plan vient de remettre au gouvernement un rapport secret reconnaissant que les Juifs d’Europe sont en fait des Khazars. (Reste à savoir si cela entraînera une nouvelle proposition de révision des paroles de « Hatikvah »). À première vue, il s’agit de la pire nouvelle possible, étant donné l’insistance du Premier ministre sur la nécessité pour les Palestiniens de reconnaître Israël comme un « État juif » et la stagnation des pourparlers de paix. Mais d’autres l’ont sous-estimé à leurs risques et périls. Un collaborateur a plaisanté en disant que lorsque la vie vous tend un étrog, vous construisez une soukka.

S’exprimant officieusement, il a expliqué : « Nous avons d’abord pensé que le fait d’admettre que nous sommes vraiment des Khazars était un moyen de contourner l’insistance d’Abbas sur le fait qu’aucun Juif ne peut rester dans un État palestinien. Nous étions peut-être en train de nous raccrocher à une paille. Mais lorsqu’il a refusé de l’accepter, nous avons été contraints de réfléchir à des solutions plus créatives. L’invitation ukrainienne au retour des Juifs a été une aubaine. Il serait difficile, pour des raisons logistiques et économiques, de réinstaller tous les colons en Israël dans un court laps de temps. Nous ne voulons certainement pas d’un autre fashlan(([1] Terme arabe signifiant échec — NdT)) comme l’expulsion des colons lors du Hitnatkut [désengagement] de Gaza.

« Nous ne parlons pas du retour de tous les Juifs ashkénazes en Ukraine.
Ce n’est évidemment pas pratique. »

Une source bien placée dans les milieux du renseignement a déclaré :

« Nous ne parlons pas du retour de tous les Juifs ashkénazes en Ukraine. Il est évident que ce n’est pas pratique. Comme d’habitude, la presse exagère et fait du sensationnel ; c’est pourquoi nous avons besoin de la censure militaire. »

Khazaria 2.0 ?

Tous les Juifs qui souhaitent revenir seraient accueillis sans condition en tant que citoyens, d’autant plus s’ils participent à l’infusion promise d’une aide militaire israélienne massive, comprenant des troupes, de l’équipement et la construction de nouvelles bases. Si le transfert initial fonctionne, d’autres colons de Cisjordanie seraient encouragés à s’installer également en Ukraine. Une fois que l’Ukraine, forte de ce soutien, aura repris le contrôle de l’ensemble de son territoire, l’actuelle République autonome de Crimée redeviendra un domaine juif autonome. Le successeur à petite échelle de l’empire médiéval de Khazarie (comme la péninsule était également connue autrefois) s’appellerait, en yiddish, Chazerai.

L’Empire khazar, carte de l’Europe à l’époque de Charles le Grand,
d’après Karl von Spruner, _Historisch-geographischer Hand-Atlas_
(Gotha, 1854)

Les Khazars n’ont pas eu à vivre dans les « frontières d’Auschwitz »

« Comme vous le savez, a poursuivi le porte-parole, le Premier ministre a répété à maintes reprises que nous sommes un peuple fier et ancien dont l’histoire remonte à 4 000 ans. Il en va de même pour les Khazars : ils sont juste derrière en Europe et leur histoire n’est pas aussi longue. Mais regardez la carte : les Khazars n’ont pas eu à vivre à l’intérieur des “frontières d’Auschwitz”. »

Pas de « frontières d’Auschwitz » :
l’étendue de l’empire khazar (en rose, à droite) apparaît clairement
sur cette carte de l’Europe vers 800, réalisée par Monin (Paris, 1841).
Comparez avec l’empire de Charlemagne (en rose, à gauche).

« Comme l’a dit le Premier ministre, personne ne dira aux Juifs où ils peuvent ou ne peuvent pas vivre sur le territoire historique de leur existence en tant que peuple souverain. Il est prêt à faire des sacrifices douloureux pour la paix, même si cela signifie renoncer à une partie de notre patrie biblique en Judée et en Samarie. Mais il faut alors s’attendre à ce que nous exercions nos droits historiques ailleurs. Nous avons décidé que ce serait sur les rives de la mer Noire, où nous avons été un peuple autochtone pendant plus de 2000 ans. Même le grand historien non sioniste Simon Dubnow a déclaré que nous avions le droit de coloniser la Crimée. C’est dans tous les livres d’histoire. Vous pouvez le vérifier ».

Ancienne-Nouvelle Terre ?

Mer Noire, montrant la présence des Khazars en Crimée
et dans les régions côtières :
Rigobert Bonne, Imperii Romani Distracta.
Pars Orientalis, (Paris, 1780).
Notez l’Ukraine et Kiev en haut à gauche.
À droite : La mer Caspienne, également désignée,
selon la coutume, comme la mer des Khazars.

« Nous aimerions penser qu’il s’agit d’une sorte de patrie loin de la maison », a ajouté la source anonyme des services de renseignement. « Ou l’originelle », a-t-il ajouté avec un clin d’œil.

« Après tout, Herzl a écrit sur l’Ancienne-Nouvelle Terre, n’est-ce pas ? Et la transition ne devrait pas être trop difficile pour les colons parce que, vous savez, ils auront toujours l’impression d’être des pionniers : ils connaîtront le danger, construiront de nouveaux logements, porteront des armes. Les femmes pourront continuer à porter des foulards sur la tête, et la nourriture ne sera pas très différente de celle qu’ils mangent déjà ».

Rétrospectivement, nous aurions dû le voir venir, a déclaré un vénérable arabisant du département d’État, en comptant les signes sur ses doigts : un rapport peu remarqué selon lequel la Russie sévissait contre la contrebande israélienne d’objets khazars, les décisions de l’Espagne et du Portugal d’accorder la citoyenneté aux descendants de leurs Juifs expulsés, ainsi que des preuves que d’anciens soldats de Tsahal étaient déjà à la tête de milices soutenant le gouvernement ukrainien. Et maintenant, peut-être aussi la possibilité que l’avion malaisien disparu ait été détourné vers l’Asie centrale.

Un journaliste chevronné du Moyen-Orient a déclaré :

« C’est problématique, mais d’une manière perverse, c’est brillant. D’un seul coup, Bibi a réussi à confondre amis et ennemis. Il a renvoyé la balle dans le camp des Palestiniens et allégé la pression exercée par les Américains, sans pour autant faire de véritables concessions. En s’alliant aux rebelles syriens et à l’Ukraine, ainsi qu’à la Géorgie et à l’Azerbaïdjan, il compense la perte de l’alliance turque et met la pression sur Assad et sur l’Iran. Et le nouvel accord gazier chypriote-israélien soutient l’Ukraine et affaiblit l’influence économique des Russes et des États pétroliers du Golfe. Tout simplement génial ».

Réactions du monde entier

Étant donné la confluence du week-end et des fêtes de Pourim et de la Saint-Patrick, les journalistes se sont précipités pour obtenir des réponses. Les réactions du monde entier ont afflué.

  • Les membres du Conseil des colons YESHA, dont certains sont manifestement épuisés par l’excès de slivovitz, ont été complètement pris au dépourvu. Toujours méfiants à l’égard de Netanyahou, qu’ils considèrent comme un opportuniste rusé plutôt que comme un allié idéologique fiable, ils ont refusé de faire des commentaires avant d’avoir mieux évalué la situation.

La plupart des réactions hâtives ont été classées dans les catégories prévisibles.

  • Les groupes antisémites de droite se sont emparés de cette histoire pour justifier leurs théories du complot, affirmant qu’il s’agissait de l’aboutissement du plan séculaire des Juifs pour venger la défaite de la Khazarie par les Russes au Moyen-Âge, une reprise du soutien d’Israël à la Géorgie en 2008. « Les Juifs ont une mémoire aussi longue que leur nez », a déclaré l’un d’eux.

Un continuum de conquête et de cruauté ?

  • Depuis Ramallah, un porte-parole du Fatah a déclaré que l’offre était un début, mais qu’elle était loin de répondre aux exigences de l’Autorité palestinienne. En montrant l’image d’un guerrier khazar provenant d’un artefact archéologique, il a expliqué :

Il existe un continuum de conquête et de cruauté. C’est très simple, la génétique ne ment pas. Nous en voyons les résultats aujourd’hui : le régime sioniste et les forces d’occupation brutales descendent de barbares belliqueux. Les Palestiniens descendent de pasteurs pacifiques, en fait, des anciens Israélites que vous avez faussement revendiqués comme vos ancêtres. Soit dit en passant, il n’est pas vrai que vos ancêtres aient un jour eu un temple à Jérusalem.

  • Le célèbre site Internet non officiel de renseignements DAFTKAfile, dont la fiabilité n’est plus à démontrer, a admis :

Nos visages sont rouges. Nous avons été pris au dépourvu et avons pensé que le retour en Espagne et au Portugal était la véritable histoire. De toute évidence, il s’agissait d’une feinte impeccablement planifiée et intelligente visant à détourner l’attention de la révolution à venir en Ukraine. Bien joué, le Mossad.

  • Le blogueur prolifique Richard Sliverstein, dont la connaissance de la culture juive et l’étrange capacité à découvrir les secrets militaires suscitent régulièrement l’étonnement, même parmi ses détracteurs, a commenté l’événement :

Franchement, je suis surpris que mes sources du Mossad ne m’aient pas transmis cette histoire en premier. Mais j’avais une date limite pour un essai sur la signification kabbalistique des graines de sésame, l’ingrédient principal du houmous, et je n’ai donc pas rattrapé mon retard dans mes courriels. Mais est-ce que je me sens justifié ? Oui, mais ce n’est qu’une maigre satisfaction. Cela fait des années que je dis que les Juifs descendent des Khazars mongols-tatars, mais cela n’a guère entamé l’armure de propagande de ces abrutis de hasbaroïdes(([2] D’après l’IA de Microsoft, Hasbaroid (traduit ici par « hasbaroïde ») est souvent associé à la propagande pro-israélienne et à la défense des politiques controversées d’Israël. C’est un terme qui suscite des débats et des opinions divergentes)) sionistes.

  • Un responsable d’une importante ONG de défense des droits de l’homme a déclaré :

L’évacuation des colonies illégales doit faire partie de tout accord de paix, mais le fait de forcer les colons à quitter la Palestine pour les réinstaller ensuite en Ukraine pourrait constituer une violation de la quatrième convention de Genève. Nous verrons ce que la CPI a à dire à ce sujet. Et s’ils pensent qu’ils peuvent avoir la gâchette encore plus facile en Ukraine qu’en Cisjordanie, ils ne sont pas au bout de leurs peines.

  • Le porte-parole des ultra-orthodoxes, Menuchem Yontef (anciennement d’Inowraclaw), s’est félicité de cette nouvelle :

Nous rejetons l’État sioniste, qui est illégitime jusqu’à ce que Machia’h(([3] ou Messiah Le Messie juif)) vienne. Nous ne nous soucions pas de l’endroit où nous vivons tant que nous pouvons étudier la Torah et obéir pleinement à ses commandements. Cependant, nous refusons de servir dans l’armée, là comme ici. Et nous voulons aussi des subventions. C’est la volonté de Dieu.

Nous applaudissons cette cohérence de principe. Si seulement tous les Juifs pensaient comme Menuchem Yontef — en fait, j’aimerais les appeler « Juifs Menuchem Yontef » : « Juifs M. Y. », l’antisémitisme disparaîtrait et les membres des trois religions abrahamiques cohabiteraient à nouveau pacifiquement ici, comme ils le faisaient avant l’avènement du sionisme. L’État-nation est une relique du dix-neuvième siècle, qui a causé d’innombrables souffrances. La tâche la plus urgente pour la paix mondiale est la création immédiate d’une Palestine libre et souveraine.

  • Judith Buntler, universitaire et théoricienne de renom, s’est interrogée à ce sujet :

Il peut sembler paradoxal d’établir l’altérité ou l’« interruption » au cœur des relations éthiques. Mais pour le savoir, il faut d’abord s’interroger sur la signification de ces termes. On pourrait affirmer que le trait distinctif de l’identité khazare est qu’elle est interrompue par l’altérité, que la relation au gentil définit non seulement sa situation diasporique, mais aussi l’une de ses relations éthiques les plus fondamentales. Bien qu’une telle affirmation puisse être vraie (ce qui signifie qu’elle appartient à un ensemble d’affirmations qui sont vraies), elle parvient à réserver l’altérité en tant que prédicat d’un sujet antérieur. La relation à l’altérité devient un prédicat de l’« être khazar ». C’est tout autre chose de comprendre que cette même relation remet en question l’idée que « Khazar » est une sorte d’être statique, un être qui est décrit de manière adéquate comme un sujet. Les projets de coexistence ne peuvent commencer qu’avec le démantèlement du sionisme politique.

n’est pas la « solution à deux États » qu’ils attendaient ?

  • Ali Abubinomial, leader du mouvement anti-israélien BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), l’a dit plus simplement. Frappant son bureau, il a fulminé :

Alors, IsraëletKhazarie ?C’est ce que les sionistes entendent par « solution à deux États » ! Faites le calcul ! Personne n’a lu mon livre ?

  • Les étudiants pour la justice en Palestine (SJP) ont convoqué une réunion d’urgence pour établir des liens avec l’Organisation de libération des Pechenegs (OLP), déclarant que « les Pechenegs ne doivent pas payer le prix de l’antisémitisme européen ». Le nouveau groupe de solidarité, « Students for Pechenegs in Ukraine » (SPUK), a proclamé comme devise :

« De la mer Noire à la mer Caspienne, nous trouverons quelqu’un à libérer ! ».

  • Pour sa part, Myron Benvenuti, militant pour la paix et ancien administrateur de Jérusalem-Est, a répondu avec sérénité :

« Je n’ai aucune raison de m’inquiéter : Je suis séfarade et ma famille vit ici depuis des siècles. De toute façon, si je dois aller ailleurs, ce sera en Espagne, pas en Ukraine : plus de soleil, moins de coups de feu ».

Le consensus de la grande majorité du « Moyen Israël », qui estime que Netanyahou n’en fait pas assez pour la paix et qui met également en doute la sincérité des Palestiniens, est sceptique et désespéré. Une femme a déclaré, frustrée :

« Nous aspirons tous à un accord, mais nous ne voyons pas comment y parvenir. Pour l’instant, tout ce que nous voyons, c’est ce Chazerai. »

* * *

Mise à jour du 17 mars :

Les derniers rapports, notamment la reconnaissance par Vladimir Poutine de la Crimée en tant qu’« État souverain et indépendant » et l’estimation selon laquelle le déplacement des colons israéliens dans le cadre d’un accord de paix coûterait 10 milliards de dollars, confirment les détails de l’article ci-dessus. Éd.

À propos de l’auteur

Jim Wald est professeur au Hampshire College, où il enseigne l’histoire culturelle de l’Europe moderne, y compris l’histoire de l’antisémitisme et du fascisme, ainsi que l’histoire du livre.


Notes (non présentes dans l’article source)




La vitesse des transmissions Terre Lune, un exploit de la NASA passé sous silence ?

3e (et dernier ?) épisode de la saga « On a marché sur le Nevada1 ».
Apollo, l’heure de la preuve indiscutable ?

Nous allons ici nous plonger dans le monde merveilleux des transmissions radio. Comment des conversations semblent largement dépasser la vitesse de la lumière en 1969 ?

Résumé :

  • La Lune est à plus de 300000 km de la Terre.
  • La lumière se déplace à 300000 km par seconde2.
  • Les ondes radio se déplacent à la vitesse de la lumière.
  • Les ondes radio devront donc mettre plus d’une seconde pour le voyage (à minima 1,55 s hors délais électroniques, voire annexes).

À de nombreuses reprises, ces temps ne sont pas respectés dans les échanges enregistrés entre les astronautes et la Terre. Sur certains documents fournis par la NASA, les ondes radio semblent donc se déplacer plus vite que la vitesse de la lumière.
Comment expliquer de tels faits extraordinaires ?

** Fin du résumé.**

Introduction :

Dans le précédent épisode, j’ai pu démontrer que les échanges Terre-Lune indiqués dans les documents de la NASA n’étaient pas compatibles avec les lois de la physique.
Si d’aventure l’Homme était allé sur la Lune alors les informations et données fournies par la NASA seraient des faux.

Bien que j’ai pu démontrer qu’il s’agissait de documents crédibles, il demeurait un léger doute quant à leur authenticité et je ne détenais pas la preuve absolue. Cette ombre est désormais écartée. Un des auteurs qui participe à la rédaction et à la mise en ligne des documents sur le site de la NASA m’a affirmé qu’il s’agissait bien des originaux sans la moindre coupure ni montage, point.

Il n’est donc plus possible d’affirmer que les documents fournis par la NASA sont des faux ou des montages pour expliquer l’inexplicable, ils sont des originaux.

Néanmoins je voudrais présenter mes excuses sur certaines imprécisions de mon texte précédent et sur des conclusions vraies, mais fausses.

De l’emplacement des latences :

Si dans les faits il y a un décalage réel à minima de 1,55 seconde dans les prises de parole de chacun et leur réception sur Terre ou dans l’espace, 1,55 seconde ne s’insère pas de la même manière selon que les transcriptions seraient « en temps réel » c’est-à-dire au moment où chacun s’exprime (ce que j’avais supposé dans mon texte précédent) ou si elles sont le reflet du moment où elles sont entendues sur Terre par l’enregistreur. Je vous invite à lire les annexes de ce texte pour plus de détails.

Si l’horodatage était basé sur l’heure exacte de prise de parole de chacun alors :

  • Les documents de la NASA seraient incompatibles avec une distance Terre-Lune, car il devrait y avoir systématiquement 1,55 seconde hors délais électroniques entre chaque prise de parole ce qui n’est pas le cas. Et cela rendrait les enregistrements difficiles à mettre en œuvre, car issus de sources différentes. Cette hypothèse est rejetée.

Si l’enregistrement se fait à Houston alors :

  • Il n’y a aucune latence nécessaire entre la fin d’un message parvenant de la Lune et le début de réponse par la Terre.
    (Il n’est pas nécessaire d’avoir 1,55 s entre la réception d’une prise de parole d’Eagle, qui lorsqu’on l’entend est déjà parvenue sur Terre, et la réponse de Houston.) En revanche :
  • Il doit y avoir systématiquement à minima 3,10 s (2 x 1,55 s) entre la fin d’un message prononcé par la Terre et le début de réception du message suivant de la Lune si chacun veut entendre ce que dit l’autre avant de répondre.
    (Je précise que ces 3,1 secondes sont insuffisantes, elles ne tiennent pas compte des retards introduits par l’électronique ni du temps de réaction des intervenants.)
    (Le message prononcé par la Terre mettra 1,55 seconde pour commencer à parvenir vers la Lune et la réponse des astronautes mettra aussi 1,55 seconde pour revenir sur Terre.)

Notons que l’interrogation sur le lieu de l’enregistrement a été levée par le même auteur3 de la NASA qui m’a confirmé que c’était bien à Houston et non sur le vaisseau.

Écoutons les astronautes :

Les extraits sonores proposés dans la suite de ce document sont donc des originaux fournis par la NASA que vous pouvez écouter directement ou pour lesquels je me suis contenté d’en extraire des parties, mais sans la moindre retouche.
Vous pourrez constater que les délais, les latences entre les phrases prononcées par les astronautes et Houston ne sont pas respectés.
Si chacun parle à son tour et que tout le monde s’entend dans la bonne chronologie alors nous sommes face à une réelle impossibilité et les conclusions s’imposent.

Vous trouverez en annexes de ce texte l’ensemble des informations détaillant les données.

Un nouvel obstacle ?

Il m’arrive de me dire que je ferais bien de laisser au garage ma rigueur (scientifique) et d’arrêter de chercher la petite bête partout. C’était si simple en voyant des communications dépasser la vitesse de la lumière. Mais non il a fallu que je cherche encore et encore des arguments rendant plausible les échanges radio.

Ce texte a été sans doute un des plus éprouvants à synthétiser et écrire. De vraies montagnes russes émotionnelles. Tantôt j’avais sous les yeux ce que je pensais être la preuve absolue qui s’effondrait quelques heures plus tard. Il faut dire que mon objectif est, était, la quête de la preuve indiscutable. Je ne sais plus à quel temps écrire. En effet mes deux derniers dossiers sur le sujet se suffisaient à eux-mêmes pour faire éclore des éléments et le doute, mais pas pour autant la PREUVE.

Car si nous avons la preuve indiscutable que les échanges enregistrés par Houston ne respectent pas la distance Terre-Lune, cela ne prouverait en rien (hélas ?) la supercherie.
Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il demeure possible qu’une réponse parvenue trop tôt fût en fait la réaction à une autre question posée antérieurement.
C’est ce risque que j’exposais dans mon précédent épisode et l’hypothèse de conversations sans aucun sens.

Illustration de conversation hypothétique ne respectant pas le protocole, perturbant la chronologie et donc le sens

Supposons qu’à 14 h heure de Houston :

  • Houston dise « Quelle est votre température ? » Et à la même seconde
  • Eagle prononce depuis la Lune « J’ai mal aux pieds. »

Aucun des deux ne sait que l’autre a parlé au même instant, ils l’apprendront à minima 1,55 seconde plus tard.

Tous les deux vont recevoir la phrase de l’autre au même instant et répondre au même instant.

  • Houston peut répondre « Faites-vous un massage. »
  • Eagle va dire « 25 degrés. »

Si l’on se place à Houston (pour simplifier, je prends 2,00 s dans les latences Terre-Lune et j’ignore les durées de prononciation).

14 h Houston dit « Quelle est votre température ? »

(Eagle le reçoit à 14 h 2 s et répond immédiatement « 25 degrés ».)

(Ce message sera reçu à 14 h 4 s par Houston.)

14 h 2 s Houston reçoit d’Eagle : (Envoyé à 14 h) « J’ai mal au pied. »
14 h 2 s Houston répond : « Faites-vous un massage. »
14 h 4 s Houston reçoit d’Eagle : « 25 degrés. »

Je résume :

Houston dit « Quelle est votre température ? »
Houston reçoit la réponse « J’ai mal au pied. »
Houston dit « Faites-vous un massage. »
Houston reçoit la réponse « 25 degrés. »

Ce qui est totalement incohérent.

Mes recherches m’ont permis de quitter la théorie et d’acquérir la preuve absolue de l’absence de respect d’un protocole, l’exemple ci-dessus ne relève plus de la théorie.
Une réponse4 parvenue trop tôt dans un échange n’était pas forcément le fait du non-respect de la vitesse de la lumière, mais le fait qu’elle pouvait être non pas la réponse à une dernière question, mais à une question antérieure.
Il est donc des cas où le délai de 3 secondes entre la « vieille » question et la réponse est respecté.

Nous pouvons affirmer :

Certains enregistrements de la NASA qui semblent ne pas respecter les latences Terre-Lune et la vitesse de la lumière peuvent être crédibles si l’on admet que la chronologie n’est pas respectée du fait d’une absence de protocole lors des échanges.

Tout ce travail pour rien ? Victoire des vérificateurs de l’information et de la NASA ?

Mes petits « copains » pourraient donc s’en donner à cœur joie et rire des affirmations « complotistes » sur le non-respect de la vitesse de la lumière qui seraient non fondées puis déduire hâtivement que « l’homme est bien allé sur la Lune5 ».

Quand on pense à Al Capone qui est tombé pour fraude fiscale, cela n’a pas le panache d’une condamnation pour avoir commandité des centaines de meurtres, quand bien même il devra passer des années en prison. Notons au passage qu’il n’est resté « que » sept années sous les barreaux sur onze avant d’être libéré pour bonne conduite. Il a pu ensuite profiter quelques années de sa fortune restante avant de mourir de maladie… quand je vous dis que le grandiose était absent.

À ce stade du texte, j’avais un sentiment équivalent.

Pour autant, en quoi l’absence de protocole dans les conversations prouverait la supercherie ?

La NASA n’utilise aucun protocole pour s’assurer de la justesse des échanges.

Comment l’expliquer ? Supputons !
Imaginons qu’elle découvre au 3e jour6 de la mission Apollo 11 la réalité des latences dans les conversations du genre « ah mince les gars, on n’a pas pensé au décalage » au détour d’une réponse incohérente de Apollo suite à une question de Houston. « Le moteur va bien » avec comme réponse « j’ai bu du jus de fruits ».
Je vous rappelle que nous sommes en juillet 1969 et qu’Apollo 8 a orbité autour de la Lune en décembre 1968. Personne ne se serait aperçu de ce problème potentiellement gravissime ?
L’IA nous rappelle qu’Apollo 8 a orbité pendant 20 heures et durant toutes ces heures personne n’aurait réalisé qu’il pouvait y avoir un risque de quiproquos pouvant mettre en péril la mission dans les conversations du fait de l’absence de protocole strict (du domaine de la preuve et non de la supputation) ?
Et encore je suis optimiste, car dans mon hypothèse Houston s’apercevrait enfin du problème. Il se trouve qu’il était toujours présent pour Apollo 16.

La NASA consciente de l’obligation d’un protocole ?

Soyons quand même raisonnables, elle ne pouvait pas ignorer le problème et avait travaillé sur le sujet afin qu’il n’y eût pas la moindre surprise dans ce domaine.

IA :

« La NASA a mis en place des procédures de communication spécifiques pour minimiser l’impact des latences. Par exemple, les astronautes devaient toujours attendre une réponse avant de parler à nouveau. »

(voir la suite en annexe)

Nous voyons dans de multiples conversations que ce n’était absolument pas le cas.

Une étude publiée par la NASA en 2023 précise

« Il est essentiel de simuler ces retards attendus avec des tâches complexes et urgentes pour atténuer le risque.»

Sachant que la NASA de 2024 essaye tant bien que mal de retourner sur la Lune avec de fortes difficultés, qu’elle précise avoir perdu la technologie de 1969, que la technologie était totalement maîtrisée, une routine au regard de l’ensemble des missions Apollo (avec en prime le blockbuster Apollo 13), nous pouvons imaginer qu’ils étaient largement au fait de ces problèmes de communication et des risques inhérents à la distance.

De vrais délais, mais de faux échanges depuis la Lune ?

À ma charge, même si l’on peut imaginer qu’ils sont capables du pire, il eut été un peu gros qu’ils oublient totalement la distance Terre-Lune dans l’hypothèse où ils auraient voulu nous mentir sur le prétendu exploit.

D’autre part, il ne faut pas oublier que dans cette hypothèse complotiste, il était nécessaire de minimiser au maximum le nombre de personnes informées de l’escroquerie pour les risques de fuite, mais aussi pour une plus grande crédibilité.
Compter uniquement sur l’entraînement des astronautes pour penser à introduire un délai de latence eût été déraisonnable (et épuisant). Si escroquerie il y a eu, il était beaucoup plus simple d’introduire un automatisme pour créer les retards dans les communications.
Dans cette hypothèse nous pourrions imaginer que les émissions parvenant dans le Nevada étaient décalées de 1,5 seconde avant que les « astronautes » ne puissent l’entendre et que leur prise de parole était aussi mise en pause pendant la même durée afin que Houston croie recevoir les messages provenant de la Lune7.
L’IA nous confirme que c’était une technique maîtrisée par la NASA qu’ils ont utilisée pour les entraînements, bref tout le matériel nécessaire à la tromperie était donc en place bien avant le vol.

La question est de savoir si je me suis trompé en affirmant que les délais de latence n’étaient pas respectés dans les conversations. Si tel était le cas, comme Al Capone, ma victoire ne serait pas grandiose, non pas un problème de vitesse de la lumière, mais un problème plus terre à terre de protocoles.

Pour autant rien ne peut justifier cette absence de protocole qui entraîne (écoutez les exemples) un télescopage fréquent de phrases entre la Terre et la Lune.

Rappel de faits :

  • Nous avons établi des preuves (et non des indices) qu’il existait des délais incompatibles avec la distance Terre-Lune dans des échanges.
    Houston reçoit beaucoup trop tôt une réponse d’Apollo après avoir parlé. Et ce dans l’hypothèse où la réponse reçue est bien liée à la question précédente.
  • Certains délais d’apparence impossible peuvent être finalement respectés uniquement dans l’hypothèse d’une absence de protocole. Les protagonistes ne mettent pas en place des délais suffisants pour éviter les collisions et quiproquos verbaux.
  • Nous pouvons affirmer, éléments de l’IA à l’appui, qu’il est irresponsable de ne pas mettre en œuvre des protocoles stricts et que la NASA y avait pensé. L’absence peut foirer la mission, voire même tuer les astronautes, la réputation de la NASA et des USA ainsi que des milliards de dollars. En clair on ne s’amuse pas à prendre de tels risques.

Quelles procédures seraient nécessaires dans une démarche professionnelle ?

Il est vital ;

  • D’indiquer la fin de sa communication, surtout si elle comporte plusieurs phrases par un « à vous ».
    Cela permet à celui qui est en train de la recevoir d’attendre l’accusé de réception de fin du texte avant de reprendre la parole ou répondre et ainsi éviter les collisions verbales.

    Exemple :

« Nous avons bien dormi, mais Collins à la diarrhée. »

« Il a mangé trop de tex-mex. »

« Résultat des courses nous n’avons plus de papier toilette. À vous. »

Dans les échanges de la NASA, l’usage du « over » n’est pas systématique, plutôt peu répandu, totalement aléatoire pour ne pas dire quasi inexistant.

  • D’accuser réception d’une phrase venant d’autrui par un « reçu »
    Cela permet à celui qui l’a émise d’apprendre plus tard que son message a bien été réceptionné.
    Exemple :

« Reçu. Et sinon vous avez du déo ? À vous. »

Dans les faits l’usage du « Roger » ou du « Copy » n’est pas systématique même s’il semble plus présent que le « Over ».

  • De répéter la phrase reçue si elle est d’importance.
    Cela permet de s’assurer que la réponse que nous allons donner concerne la bonne phrase (nous avons découvert dans les échanges, des réponses ne concernant pas la question.)
    Exemple :

« Reçu, vous n’avez plus de papier toilette, c’est la merde ! »

« Nous vous en envoyons par FedEx, à vous. »

Dans les faits les répétitions ne sont pas la règle même si elles existent parfois.

  • De débuter une conversation par une phrase courte et d’attendre le retour avant de poursuivre.
    Le début de conversation ne peut pas être protégé par les « à vous » ou les « reçu ». Il est impossible de savoir si une des parties a commencé à parler avant 1,55 s (à minima).
    Cela permet de limiter les collisions verbales de début de communication où chacun prendrait la parole en même temps et cela terminerait en cacophonie.
    Exemple

« Houston, ici Eagle. À vous ! »

Et Houston de répondre :

« Reçu Eagle. À vous ! »

Ainsi la conversation peut débuter de façon sécurisée.
En cas de télescopage évident de début de conversation, on pourrait donner la priorité à Apollo, Houston aurait obligation d’attendre avant de poursuivre.

Dans les faits nous voyons des débuts de phrase parfois fort longs ce qui tourne mal.

Peu d’intervenants pour une tromperie crédible ?

En premier lieu, je voudrais vous rappeler que le journal de la NASA n’a pas été publié avant 1989.
Hormis l’alunissage ou quelques extraits, seules quelques personnes ont écouté les conversations entre les Astronautes et la NASA.
L’analyse du journal montre qu’il y a relativement peu de participants à Capcom qui avaient un échange vocal avec ceux-ci.
Par exemple Duke qui discute depuis Houston avec Apollo 11 était ensuite astronaute pour Apollo 16. Pour la mission Apollo 16, Hartsfield parlait avec l’équipage et cette personne a été plus tard pilote dans une mission sur la navette spatiale.
Notons aussi qu’il semble indispensable de mettre dans le coup les opérateurs des paraboles de transmission, car si fraude il y a, alors le signal ne sera pas capté de l’espace, mais de la Terre.

Hypothèses de déroulement de l’opération selon que Apollo soit une arnaque ou pas

Il est bien évidemment difficile de répondre à ces questions.

  • Hypothèse d’une vraie mission :
    (en ignorant tous les autres faits rendant peu crédibles les missions Apollo.)

    • * La NASA est consciente de la dangerosité induite par la distance et les délais de communication.
    • * La NASA met en place des protocoles et des entraînements spécifiques aussi bien pour les astronautes que pour Capcom.
    • * La NASA ne respecte absolument pas ces protocoles dans les échanges.
    • * La NASA ne se rend pas compte des erreurs et de l’absence de sens lors de communications durant la mission Apollo 11, et les suivantes, qui elle-même avait succédé à Apollo 8 en orbite autour de la Lune.

C’est sur ces seules hypothèses (ridicules) que les défenseurs peuvent se rattacher (à ce stade de l’écriture).

  • Hypothèse de la tromperie :
    Duke (et les autres) qui est à Houston ne respecte pas les protocoles, ne détecte pas les problèmes et ne met pas en œuvre des correctifs ou des rappels à l’ordre.
    Il faut donc qu’il soit dans le secret des dieux sinon cela va éveiller ses soupçons et il pourrait ouvrir la boîte de Pandore. De plus l’interlocuteur à Capcom peut faire tampon au cas où il y aurait un cafouillage côté astronautes. De fait les astronautes ainsi que les personnes qui parlent avec eux sont obligatoirement complices.
    Pour gagner en crédibilité, un système de délai automatique est mis en place ce qui est de nature à rassurer les personnes au micro et les décharger de cette obligation.
    Le travail d’acteur est plus facile côté Houston, car ils vivent l’événement en direct et remplissent les tâches à mener comme si la mission était réelle, il n’y a aucune différence pour eux. Ils reçoivent les données de télémétrie du vaisseau du désert et les messages vocaux des roswelliens.
    En revanche le travail est plus complexe côté « astronautes » qui doivent tout simuler. Ici encore les heures d’entraînement peuvent être de nature à les aider, ils ont déjà rempli l’intégralité de la mission en simulation.

Alors pourquoi ces erreurs plus ou moins grossières dans les communications ?
J’imagine que les astronautes ont sous les yeux un script qui leur dit quoi faire et quoi dire à quelle heure. (même si un script détaillé ne me semble pas indispensable), ils n’ont qu’à reproduire leur travail à l’entraînement.
Toujours dans cette hypothèse d’escroquerie lunaire, Houston et Apollo sont totalement isolés l’un de l’autre et sans communication directe (sauf gros soucis).
Une communication reçue de la Lune a déjà parcouru la distance et Duke peut en théorie répondre immédiatement.
Mais il en est de même pour les messages arrivant sur « Apollo » provenant de la Terre. Ils peuvent aussi y répondre immédiatement.

Et c’est sans doute la clé des erreurs commises. Les participants ne font plus attention aux protocoles et chacun déroule sa partition sans se préoccuper des problèmes soulevés, croyant être « protégés » par les latences de 1,5 seconde.

Le problème est qu’ils déroulent le script parfois beaucoup trop vite, comme s’ils lisaient leur texte (script joué et rejoué lors des entraînements pour la mission).

Ce qui conduit inexorablement à cette apparence de non-respect de timing et de protocoles, fruit de conversations qui se télescopent. Il est facile d’imaginer que le stress était plus focalisé sur le bon déroulement de la simulation, ne rien oublier, ne rien dire ou faire qui pourrait éveiller les soupçons que le protocole lui-même.

Le débat relancé ?
Les délais sont-ils vraiment respectés d’autant plus en incluant les autres paramètres entraînant des délais complémentaires ?

Jusqu’à présent tous mes contrôles reposaient sur un délai aller de 1,55 s et un délai aller-retour de 3,10 s.
Si l’on demande à l’IA de Google d’estimer les délais en tenant compte de la distance Terre-Lune, de l’obligation de passer par un satellite géostationnaire et les délais induits par l’électronique (de 1969) alors son estimation porte entre 4 et 5 secondes.

Et de préciser :

« En additionnant le temps de réaction humain au délai total de communication, on obtient un délai total d’environ 4,3 à 5,3 secondes. Il est important de noter que ce délai est une estimation. »

Vous pourriez me reprocher de me baser sur des estimations, raison pour laquelle je vais m’appuyer sur une étude8 disponible sur le site de la NASA dont j’ai reproduit des extraits en annexe.

« L’analyse des transcriptions espace sol d’Apollo a révélé plusieurs incidents où un délai de communication aller-retour de 5 à 14 secondes peut empêcher le sol d’intervenir efficacement pour éviter un problème lors de l’exécution des tâches de l’équipage. »

« Même avec un délai aller-retour de 5 à 14 secondes, ce scénario peut échouer en raison de la nature hautement interactive de ces communications associée à la criticité temporelle des événements. »

Si l’on retient non plus 3,1 secondes comme durée minimale, mais 4,3 secondes (voir calculs en annexe) comme durée crédible alors l’édifice s’effondre encore plus.

  • Apollo 11, extrait numéro 1 102:38:21 : Aucun des délais de latence ne serait respecté. Et même en supposant qu’une réponse d’Apollo serait le fruit de l’avant-dernière prise de parole de Houston nous n’aurions toujours pas les 4,3 secondes (ou plus) nécessaires.

  • Apollo 11, extrait numéro 3 102:40:08 : Aucun des délais de latence n’est respecté. Il faudrait que les réponses d’Apollo soient le fruit des avant-dernières prises de parole de Houston.

À ce stade de mon enquête, j’avais juste réussi à introduire le doute :

« Est-ce que cette phrase parvenue trop tôt à Houston (donc impossible en termes de distance lumière) est la réaction à la phrase précédente de Houston ou à une prise de parole antérieure ? »

  • Apollo 11, extrait numéro 4 100:17:06  : Nous avons la preuve que les conversations sont décalées et que cela change le sens. De plus, même en rétablissant la chronologie, le délai demeure limite à 4,0 s.

L’extrait précédent répondait à la question et permet d’affirmer :

« Certains échanges impossibles chronologiquement peuvent s’expliquer dès lors que la réponse provient d’une question posée plus tôt. »

Raison pour laquelle ma quête s’est alors tournée uniquement sur des questions directes posées par Houston aux astronautes afin de chronométrer le temps séparant une question précise de la réception de la réponse à cette même question.

Je vous rappelle que l’enregistrement se faisant à Houston, nous entendons immédiatement leur réponse à un message qui est parvenu de la Lune tandis que Houston doit attendre que son message parvienne aux astronautes et que la réponse revienne de la Lune pour pouvoir l’entendre soit un aller-retour.

  • Apollo 11, extrait numéro 5 102:23:57 : Nous sommes certains que le vaisseau répond à la dernière question de Houston et non à une question précédente. Le délai est de 2,77 secondes ce qui n’est pas compatible avec la vitesse de la lumière (même si la station relais était alors les USA évitant ainsi l’usage d’un satellite géostationnaire).

Si les enregistrements sont des originaux sans montage comme cela est confirmé par cet auteur du journal de la NASA9 alors l’événement précédent est tout bonnement impossible.
D’autant plus impossible que le temps minimal de propagation des ondes est de 3,1 secondes aller-retour auquel il faut ajouter les retards de l’électronique et le temps de réaction humain soit un minimum de 4 secondes.
Les ondes radio se seraient déplacées à une vitesse supérieure à celle de la lumière !

  • Apollo 11, extrait numéro 6 100:32:36: Idem le délai entre la question et la réponse est en dessous des 3 secondes (2,6 s) ce qui est impossible (même si la station relais était alors les USA c’est-à-dire sans utilisation d’un satellite géostationnaire).

Ici encore l’exemple précédent est incompatible avec la vitesse de la lumière. Et pourtant il ne fait strictement aucun doute qu’Apollo répond à la question de Houston, d’autant plus qu’il répète en partie la question lors de sa réponse.

Je me suis alors demandé si le problème n’existait que pour la mission Apollo 11.

  • Apollo 16, extrait numéro 7 143:33:17 et extrait 8 143:34:59 : Dans l’extrait 7 nous avons 3,8 s entre la question et la réponse (probablement impossible).
    Le délai tombe à 0,625 seconde entre la question de Houston et la réponse reçue de Apollo, nous basculons en plein Star-Trek !

Il ne fait aucun doute que la réponse de Duke dans l’extrait 7 correspond à la demande de England (sur Terre) avec un délai incompatible.

Tous les records sont battus pour l’extrait 8.
Pour que les temps soient respectés, il faudrait que Charles Duke à bord de Apollo 16 dise, comme ça, sans raison « still in this ray. » (toujours sur ce faisceau) alors même que la conversation portait sur des cailloux de la Lune.
Encore plus fort, Duke prononcerait cette phrase totalement indépendamment de la prise de parole de Anthony W. England sur Terre qui lui accuse réception des caractéristiques des cailloux (par un « Okay ») puis pose la question « Do you feel you’re still in that ray? » (Est-ce que tu penses que tu es toujours sur ce faisceau (radar) ?)
À moins d’une transmission de pensée allant bien plus vite que la vitesse de la lumière quel fou pourrait penser que le « still in this ray » de Duke sur Apollo 16 ne serait pas la réponse à la question « you’re still in that ray? » de England ?!

En ignorant les latences dues à l’électronique, le signal radio aurait donc parcouru 930000km (aller+retour Terre-Lune + 2 x A/R satellite géostationnaire entre les USA et l’Australie ou l’Espagne) en 0,625 s !

Le signal radio aurait voyagé à environ 1,5 million de kilomètres par seconde ce qui correspondrait à environ 5 fois la vitesse de la lumière !

Afin d’être le plus précis possible, il y avait selon l’IA 3 grandes stations relais pour Apollo 16.
L’Australie, l’Espagne et les USA. Selon toute vraisemblance précisée dans les annexes, la Californie n’était pas utilisée au moment de ces extraits, quand bien même 0,6 seconde demeurerait impossible.)

Il y a d’autres exemples en annexe.
J’ai aussi essayé de voir si le problème existait pour Apollo 13. Hélas il n’y a que les transcriptions, mais pas d’audio. En nous basant sur ces seules transcriptions, nous sommes encore face à une impossibilité. Le même auteur m’a précisé qu’ils n’avaient pas encore eu le temps de faire le travail. Je n’ai pas tout étudié, mais j’ai retrouvé ces problèmes de temps sur Apollo 11, 12, 13 et 16.

J’ai aussi constaté une très grande autonomie des astronautes. La plupart du temps ils ne parlent qu’entre eux pendant de très longues minutes. Houston intervient vraiment très très peu et ne pose des questions que très très rarement alors que l’inverse est plus fréquent.

Oui, mais vous pourriez me dire :
« Mais comment des délais inférieurs pourraient exister si la NASA a introduit une latence automatique de 1,5 seconde ou plus ? »

Je vous remercie de cette question ô fidèle lecteur.

Nous avons trouvé plusieurs exemples pour lesquels la réponse de Apollo à une question de Houston arrive trop vite :

  • Soit la NASA a inventé des signaux radio qui dépassent la vitesse de la lumière, cool !
  • Soit elle s’explique par une panne, un débranchement du système de retard artificiel.
  • Soit elle s’explique par la pré-écriture du script.
    Par exemple Apollo déroule son discours, dit « fort et clair » avec environ une seconde d’avance alors que Houston a demandé « Comment me recevez-vous ? » un peu trop tard.
    Nous n’aurions jamais détecté la tromperie s’ils avaient mis en place un protocole strict, car Apollo aurait attendu d’avoir reçu la phrase « Comment me recevez-vous ? » avant de répondre « fort et clair ».

Mais comment ou pourquoi se lancer dans une telle entreprise de tromperie ?

J’ai déjà largement abordé ce sujet, mais je voudrais y revenir.
Il m’a été très perturbant de me consacrer à cette tâche d’analyse. À force d’entendre les protagonistes « vivre » l’événement et de lire les transcriptions, je me prenais au jeu, le doute m’envahissait à nouveau. Comment une telle entreprise titanesque qui a l’air si vraie quand on les écoute et si complexe à mettre en œuvre pourrait n’être qu’une vaste escroquerie ?

La réponse est sans doute dans les paroles prononcées par JFK à l’Université Rice, Houston, Texas, le 12 septembre 1962.

Il a non seulement dit :

« Nous choisissons d’aller sur la Lune dans cette décennie et d’accomplir d’autres choses encore, non pas parce que c’est facile, mais bien parce que c’est difficile. »

Mais surtout :

« Si nous échouons, nous ne serons pas seulement humiliés, mais nous aurons également échoué à rendre service à l’ensemble du monde. »

Rappelez-vous en permanence que l’échec n’était pas une option.
En 1968 nous avons l’assassinat de Martin Luther King, de Robert F. Kennedy et d’énormes manifestations contre la guerre du Vietnam de plus en plus impopulaire et vous auriez voulu rajouter un échec cuisant un « désolé les gars, on vous a menti, on a dépensé de milliards de dollars, mais on n’y arrivera pas, c’est impossible, toute la planète va se foutre de notre gueule y compris les soviétiques ! »
Et ce alors même qu’il y avait de plus en plus de monde pour critiquer ce gaspillage d’argent qui aurait été plus utile ailleurs (pauvreté, crime, etc.).

En août 1968 le Sénateur Proxmire aurait déclaré selon l’IA de Google au Sénat :

« Je suis ici aujourd’hui pour parler d’une escroquerie. Une escroquerie qui coûte au peuple américain des milliards de dollars10. Une escroquerie qui n’a aucun sens, aucun objectif, aucune justification. Je parle du programme spatial. »

Il est intéressant de noter que je ne suis pas parvenu à retrouver cette citation, et ce en utilisant plusieurs moteurs de recherche y compris russe. Soit elle est fausse, soit Internet a été nettoyé. Étant donné que l’IA semble avoir des références solides, cela ressemble plus à du nettoyage, voir du révisionnisme.

Un renoncement était de fait purement et simplement impossible.
Et si l’impossibilité technique s’imposait alors il n’y avait d’alternative que de mettre en œuvre la plus vaste escroquerie de tous les temps. Le budget était là.
Ajoutons le fait qu’il n’était pas possible d’émettre la moindre critique sur la faisabilité du programme sans prendre de gros risques pour sa carrière, et peut-être même pour sa vie. Le drame de l’incendie de la capsule Apollo 1 est à la fois révélateur de la complexité, voire de l’impossibilité d’aller sur la Lune et peut-être aussi du fait qu’un renoncement était une non-option (cf. annexes).

Fausse mission ? Ce qui semblait s’orienter vers une déception se métamorphosait en victoire écrasante

  • Après avoir découvert qu’il n’y avait pas une latence de 1,55 seconde à minima entre les prises de parole de chaque site…
    … mais qui s’explique par un horodatage basé à Houston.
  • Après avoir découvert qu’il n’y avait pas une latence de 3,1 secondes à minima (4 s avec les délais électroniques et les temps de réaction) entre la prise de parole de Houston et la réception du message suivant d’Apollo…
    … mais qui pouvait s’expliquer par une absence de protocole dans les communications et d’un « chacun parle quand il veut » sans attendre un accusé de réception de l’autre.

J’ai fini par trouver des échanges officiels, notamment pour Apollo 11 et Apollo 16, dans lesquels les pauses entre la question posée par Houston et la réponse à cette question d’Apollo parvenue sur Terre sont totalement incompatibles avec la distance Terre-Lune et la vitesse de déplacement des ondes radio.

Dès lors que ces fichiers audio fournis par la NASA sont des vrais, ce qui est corroboré par les données, mais aussi par cet auteur des transcriptions, il ne fait plus aucun doute qu’ils ne peuvent PAS parvenir d’un échange entre la Terre et la Lune.

Il existe bien sûr d’autres preuves indirectes développées dans mes précédents textes, mais ici ce n’est plus du domaine de l’intuition, de la logique ou de l’enquête, mais d’une preuve absolue que tout un chacun peut vérifier en téléchargeant les fichiers sur le site de la NASA, en les écoutant et en les intégrant dans un logiciel d’édition de son permettant de mesurer précisément les pauses.

Nous ne sommes donc pas allés sur la Lune.

L’arme du crime11 se trouve à 143:35:02 de la mission Apollo 16 et dure 0,625 seconde.

Que ceux qui disposent de preuves12 contraires n’hésitent pas à me les fournir.
Merci

Alain Tortosa13.

13 mars 2024. https://7milliards.fr/tortosa20240313-on-a-parle-trop-vite-dans-le-nevada.pdf

Annexes :

Le délai de latence minimal entre les astronautes et Houston :

La vitesse de la lumière est précisément de 299792km par seconde (environ 300000km/s).
La Lune était à 393309 km le 20 juillet 1969. (Source NASA14)
Les ondes radio se déplacent à la vitesse de la lumière qui est de 299 792 km/s.
Les signaux transitaient par un satellite géostationnaire Intelsat ou ATS-1 à 35800 km de distance de la Terre donc 71600 km (voix montante et voix descendante).
Soit une distance totale de 464909 km parcouru par le signal radio aller OU retour.
Le temps total mis par le signal est de 464909 divisé par 299792 soit 1,55 secondes par trajet.

En ignorant les délais introduits par l’électronique et les temps de réponse des intervenants, nous avons un délai minimal incompressible de 1,55 seconde entre la Terre et la Lune et inversement.

C’est ce temps de 1,55 seconde que je vais utiliser dans la plupart de mes calculs.
Oui, mais… nous ne pouvons pas ignorer les retards de l’électronique. L’IA de Google les estime entre 0,5 et 1 seconde.

Tests personnels sur les retards induits par l’électronique indépendamment de la distance

Je possède des caméras IP qui sont reliées à mon réseau local. Ces caméras ne sont pas « Cloud », c’est-à-dire qu’elles envoient un signal directement sans passer par un serveur. La preuve en est que si je débranche le câble de la fibre, que je ne suis donc plus relié à Internet, mais uniquement avec un réseau local, elles fonctionnent encore. Ceci est la preuve que le signal est local et ne transite pas par le bout du monde.
J’ai utilisé un logiciel d’enregistrement puis j’ai prononcé un mot en direct. Ce mot s’entend par la caméra avec un délai de retard précis de 0,2s alors que le son est entendu par une caméra qui envoi directement le signal à la box par câble Ethernet qui elle même l’envoi au logiciel de la caméra sur le téléphone en Wifi via une liaison à 5 GHz.

Avec une distance de 3 mètres, une technologie de 2024 et des réseaux haut débit, j’obtiens 0,2 seconde de retard sans sortir de ma maison, je n’ose imaginer la réalité de 1969.

Des délais induits par l’électronique et le temps de réaction humain

Dans les faits la voix de Houston transitait par une électronique entre le micro et le centre de communication dont l’électronique l’envoyait à la parabole satellite

IA :

« L’antenne satellite chargée d’envoyer la voix de Duke n’était pas dans le même bâtiment que le centre de contrôle de mission (MCC) à Houston.
Elle était située à environ 20 kilomètres du MCC, dans une station terrienne appelée “Rosman Creek Earth Station”. »
« L’antenne de réception des signaux d’Intelsat était située au Centre spatial de Honeysuckle Creek, près de Canberra. Cette antenne était une parabole de 64 mètres de diamètre. L’antenne d’émission utilisée pour envoyer les signaux vers Parkes était située à environ 20 kilomètres de Honeysuckle Creek, dans une station terrienne appelée « Tidbinbilla Deep Space Tracking Station ». Cette antenne était une parabole de 70 mètres de diamètre.
Voici quelques détails supplémentaires :
Les signaux d’Intelsat étaient reçus par l’antenne de Honeysuckle Creek, puis transmis au centre de contrôle de mission à Canberra.
De là, les signaux étaient transmis à l’antenne de Tidbinbilla, puis envoyés au radiotélescope de Parkes.
Le radiotélescope de Parkes était utilisé pour amplifier les signaux et les envoyer à Apollo 11. »

Et enfin le signal était reçu par la parabole d’Apollo qui décodait le signal et le renvoyait vers les haut-parleurs (ou casques) du vaisseau.
Dans le cas de communications depuis le sol lunaire, la capsule en orbite renvoyait par radio le signal sur Eagle.
Vous imaginez le nombre de circuits relais ?
L’estimation de l’IA entre 0,5 seconde et 1 seconde (0,75 s moyenne) peut être qualifiée de crédible ou même d’optimiste.

Ne retenons que 0,5 seconde (très optimiste quand ma caméra de 2020 donne 0,2 seconde).
Le délai incompressible aller-retour passe donc de 3,1 s à 3,1 + (2 x 0,5 s) = 4,1 s.
Nous devons ajouter à cela le temps de réponse moyen d’un humain qui doit finir d’entendre une phrase, l’interpréter, réfléchir et formuler une réponse, nous l’estimons à 0,2 seconde. Par bonté d’âme, je vais prendre 0,1 s.
4,1 s + (2 x 0,1 s) = 4,3 secondes.

(Mes calculs correspondent à la fourchette basse de Google IA entre 4,3 et 5,3 secondes.)

Le délai raisonnable minima entre la fin de transmission de Houston et la réception de la phrase retour de Apollo serait de 4,3 secondes.

Le document de la NASA de 2023 cité dans la suite de cette annexe précise :

« L’analyse des transcriptions espace sol d’Apollo a révélé plusieurs incidents où un délai de communication aller-retour de 5 à 14 secondes peut empêcher le sol d’intervenir efficacement pour éviter un problème lors de l’exécution des tâches de l’équipage. »

Les fichiers audio et transcriptions fournis par la NASA qui seraient erronés ?

Cette question est primordiale. Si ces fichiers ne sont pas le reflet exact des missions Apollo alors leur incohérence ne pourrait pas prouver que Apollo relève de la fraude.
En revanche s’ils sont une réplique tout aussi fidèle qu’exacte des missions ET que les données sont incompatibles avec la vitesse de déplacement des ondes radio alors ceci amène la preuve incontestable de la tromperie.
Il est donc vital de s’assurer de la fiabilité des données fournies par la NASA.

L’objet de mon précédent texte était de répondre à cette question. J’ai amené de très nombreux éléments de preuves confirmant que ces fichiers ne peuvent être faux, montés, coupés, etc.
À ce titre il pouvait demeurer une minuscule incertitude qui a été levée par M. David Woods.

IA Google :

Question posée à l’IA de Google sur David Woods :

« David Woods est un auteur et historien britannique fasciné par l’exploration spatiale, et plus particulièrement par le programme Apollo de la NASA. Son implication avec l’agence spatiale américaine s’articule autour de deux axes majeurs :
1. La numérisation des archives historiques :
Contribution : David a joué un rôle crucial dans la numérisation de plusieurs volumes de la série “NASA History Series”. Ce travail colossal a permis de préserver et de rendre accessible au public un pan important de l’histoire spatiale.
Reconnaissance : En 1997, la NASA lui a décerné un “Special Service Award” pour son dévouement à la conservation de ses archives historiques.
2. La création de ressources documentaires :
Le Journal Apollo : David est le co-fondateur et rédacteur en chef du “Apollo Flight Journal”, un site Web exhaustif qui retrace les missions Apollo dans leurs moindres détails.
Livres : Il est l’auteur de plusieurs ouvrages de référence sur le programme Apollo, dont le très apprécié “How Apollo Flew to the Moon”. »

Que nous dit M. Woods sur les fichiers mis à disposition par la NASA ?

Selon ses affirmations, ces transmissions ont été générées par le personnel de la NASA à partir des enregistrements réels. Elles sont basées à partir du temps écoulé depuis le lancement et il est possible d’y accéder sur l’Apollo Lunar Surface Journal.
Elles ont juste été converties en pages Web et des enregistrements vidéo ont été utilisés pour des corrections éventuelles.
Les horodatages sont généralement du « Ground Elapsed Time » qui commence au moment du décollage de la Terre.
Le tout sans la moindre coupure ni suppression de temps morts.

« En tant que créateur et compilateur de l’Apollo Flight Journal, je peux dire que je n’ai rien coupé de ce que j’ai trouvé. »

Les transmissions se basent sur le timecode de la NASA (IRIG) et sont assez précises.

« Dans le cas des enregistrements à bord, il peut y avoir une différence entre le moment où quelqu’un parle tel qu’enregistré à bord et le même discours tel qu’enregistré sur Terre en raison du temps qu’il a fallu pour que le signal parvienne à la Terre. »

Il confirme aussi que quasi tous les enregistrements audio l’étaient sur Terre au contrôle de mission sauf ceux qui sont spécifiquement « on board ».

Nous pouvons donc affirmer que les données fournies sur le site de la NASA sont fidèles à l’événement historique. Le débat sur le sujet est clos.

De la localisation des temps de latence et des conséquences sur les enregistrements de la NASA

Si du point de prise de parole de chaque interlocuteur, sur Terre ou dans l’espace il y a bien un délai de 1,55 seconde (sans tenir compte des retards de l’électronique et des temps de réponse des personnes) entre sa prise de parole et la réception de celle-ci à 400 000 km de distance, il n’en est pas de même selon la position de l’enregistreur.

Si l’horodatage indiquait l’heure exacte à laquelle chaque personne a réellement parlé alors il serait exact d’affirmer qu’un délai minimal de 1,55 s est nécessaire entre la fin de la phrase d’un astronaute et sa réception par Houston et inversement.
C’est sur cette hypothèse que j’avais basé mon précédent texte. Hypothèse que je peux qualifier d’erronée, car l’horodatage n’est pas en temps réel concernant la prise de parole des astronautes, mais issu des enregistrements sonores à Houston.
Je prie mes fidèles lecteurs de bien vouloir m’excuser.
Un enregistrement sonore (ou vidéo) capte ce qu’il se passe à un endroit (et non à deux endroits en même temps).

Si vous avez un magnétophone ou une oreille dans le vaisseau et que vous recevez une phrase, celle-ci a en fait été émise il y a 1,55 seconde (hors délais annexes). Donc quand vous l’entendez vous n’avez pas à attendre, vous pouvez y répondre immédiatement.

Il en est de même si votre enregistreur se situe à Houston. Si vous recevez une phrase, celle-ci a en fait été émise 1,55 seconde plus tôt de l’espace (hors délais annexes) et quand vous la recevez vous pouvez aussi y répondre immédiatement sans attendre.

Prenons un exemple issu d’une transcription officielle :

La conversation est enregistrée sur Terre par la NASA, ce qui est à la fois logique, mais aussi confirmé par cet auteur :

À 102:38:21 Duke, à Houston, commence à recevoir un message d’Armstrong, message envoyé 1,55 s plus tôt.

102:38:21 Houston entend Armstrong dire : « Houston, you’re looking at our Delta-H. »

La prononciation de cette phrase dure 1,5 s.
Duke termine donc de l’entendre (de la recevoir à 102:38:22,5.
Duke peut y répondre immédiatement, car il vient de la recevoir, mais dans la transcription nous voyons qu’il commence à y répondre à 38 min 25 s (il fait le choix de réfléchir avant de parler.)

102:38:25 Duke répond : « That’s affirmative. »

Le message de Duke dure 0,8 s à prononcer et se termine à environ 102:38:25,80 s
Armstrong va devoir attendre 1,55 seconde pour commencer à le recevoir.
La réception complète se fera à 102:38:25,80 + 1,55 s soit 102:38:27,35
Supposons que Armstrong y réponde instantanément sans réfléchir et sans temps de réaction.

Il va en théorie pouvoir commencer à parler à 102:38:27,35.

Mais Duke et l’enregistreur vocal situé sur Terre ne pourront commencer à l’entendre que 1,55 s plus tard soit à (102:38:27,35 + 1,55 s) 102:38:28,90
(il se passe à minima (1,55 s x 2) = 3,10 s + la durée d’une phrase avant que Duke ne puis ré-entendre Armstrong)

La transcription officielle indique 102:38:26,00 s et non 102:38m28,90 s
Il manque 2,90 s ce qui incompatible avec la vitesse de la lumière.

102:38:26 La réponse de Armstrong arrive qui dit : « Program Alarm. »

La phrase d’Armstrong dure 0,5 s.
Duke devrait donc finir de l’entendre à (102:38:28,90 + 0,5 s) 102:38:29,40
Il ne peut donc y répondre avant 38 min 29,40 s
Mais dans la transcription Duke y répond à 102:38:28,00 et non 38 min 29,40 s
Il manque 1,4 s !

102:38:28 Duke répond : « It’s looking good to us. Over. »

Duke devrait finir de parler à 38 min 30,40 s (1 s pour prononcer)
Armstrong ne pourra pas recevoir la fin du message de Duke avant à 102:30,40 s + 1,55 s soit 38 min 31,95 s.
Il ne peut commencer à répondre avant 38 min 31,95s.
Mais pour que l’enregistreur l’entende il faut que sa phrase parvienne sur Terre, soit à (38 min 31,95+ 1,55) 102:38m33,5 s

La transcription officielle indique 102:38:30,00 alors qu’il faudrait à minima 102:38:33,50. Il manque 3,50 s ce qui est impossible si les intervenants attendent d’entendre l’autre avant de parler.

102:38:30 Et enfin Armstrong dit : « It’s a twelve o two (1202). »

Pour résumer :

Bien qu’il soit nécessaire d’introduire 1,55s de latence (hors délais annexes) entre chaque transmission Lune > Terre ou Terre > Lune pour que chacun puisse recevoir son message, ce n’est pas le cas du point de l’enregistreur.

Si l’enregistrement se fait à Houston comme cela est confirmé par l’auteur du journal de Apollo alors :

  • Il n’y a aucune latence nécessaire entre la fin d’un message de la Lune et le début de réponse par la Terre.
  • Il doit y avoir à minima 3,1 s (2 x 1,55) (hors délais annexes) entre la fin d’un message prononcé par la Terre et le début de réception du message de la Lune si chacun veut entendre ce que dit l’autre avant de répondre.

Rappelons que ce 3,1 s n’est pas crédible ou suffisant, car il ignore les délais électroniques des composants et les temps de réaction des humains, soit à minima 4,3 secondes.

Enregistrement sur Terre :

Armstrong (Eagle) et Duke (Houston) 0 s sont nécessaires.
Duke (Houston) et Armstrong (Eagle) 3,1 s sont nécessaires (en réalité mini 4,3 s).

Les fichiers MP3

Pour ce faire je suis parti des documents originaux disponibles :

Pour chacun des 3 premiers extraits présentés, vous pouvez entendre un extrait de la bande originale sans coupures ni montages. Puis le même extrait sans modification des phrases et des temps de parole, mais uniquement en ajoutant les latences nécessaires dans les transmissions Terre Lune afin qu’il y ait à minima 3,10 secondes (qui ne tient pas compte des délais annexes) entre la prise de parole de Houston lors des transmissions radio.
Les liens nécessaires au contrôle et à l’analyse des données sont attachés au fichier audio.

Ce document texte et le MP3 ne doivent pas être dissociés pour des raisons de compréhension de l’ensemble.
Lien fichier MP3 présentant l’original puis les modifications https://7milliards.fr/complet-new.mp3

Extrait numéro 1 Apollo 11 :

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/alsj/a11/a11.landing.html
Vidéo :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/alsj/a11/A11Landing.mov
Fichier audio original :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/alsj/a11/a11a1023540HSK.mp3
Le fichier audio débute à 102:35:40

L’extrait étudié débute à 2 minutes 48 du MP3 de la NASA (7 minutes 42 sur la vidéo).
Ce qui correspond à 102 heures, 38 minutes et 21 secondes du décollage.

Il s’arrête à 2 minutes 56 soit une durée totale de 8 s 00.
Il s’agit d’une conversation entre Armstrong et Duke qu’il est possible de lire sur les transcriptions officielles.

Cet extrait que vous pouvez écouter comporte donc 2 transmissions Lune vers la Terre et 2 transmissions Terre vers la lune.

102:38:21 Armstrong dit : « Houston, you’re looking at our Delta-H. »
Il termine cette phrase à 38,23
102:38:25 Duke répond : « That’s affirmative. »
Cette réponse est une confirmation de la phrase précédente.

mini 3,1 s > Il n’y a aucune pause !

102:38:26 Armstrong dit : « Program Alarm. »
Cette phrase a été prononcée à 38:24,5 donc avant la réponse de Duke, mais ce n’est pas impossible en cas d’urgence.
102:38:28 Duke répond : « It’s looking good to us. Over. »

mini 3,1 s > La pause n’est que de 1,3 s.

Duke répond au « program alarm » de Armstrong à 38:28

Cette phrase est reçue à 38:29,5 par Armstrong.

102:38:30 Et enfin Armstrong dit : « It’s a twelve o two (1202). »
Cette phrase a été prononcée à 38:28,5 par Armstrong donc 1 seconde avant d’avoir reçu la réponse de Duke.

Les délais de 3 secondes n’ont pas été respectés, mais peuvent s’expliquer par l’urgence.
(écouter extrait 1 MP3 original)

Vous pouvez entendre la même conversation modifiée dans laquelle des blancs sont insérés uniquement dans les liaisons Terre-Lune là où les délais radio de 3,1 secondes ne sont pas respectés.
(écouter extrait 1 MP3 modifié)

Vous pourrez constater que l’audio modifiée tenant compte de la distance Terre-Lune dure un total de 12 s 87 au lieu des 8 secondes de l’original si l’on émet l’hypothèse que chacun parle à son tour en attendant la réponse d’autrui.

Le « it’s a 1202 » de la version originale ne peut même pas être la réaction à « That’s affirmative », il n’y a que 4 s alors qu’il faudrait 4,3 s en tenant compte de tous les paramètres.

Bref cette séquence est totalement incohérente, elle est soit impossible, soit chacun parle quand il veut.

Extrait numéro 2 Apollo 11 :

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/alsj/a11/a11.landing.html
Vidéo :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/alsj/a11/A11Landing.mov
Fichier audio original :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/alsj/a11/a11a1023540HSK.mp3
Le fichier audio débute à 102:35:40

L’extrait débute à 3 minutes 52 du MP3 de la NASA (8 minutes 48 sur la vidéo).

Ce qui correspond à 102 heures, 39 minutes et 29 secondes du décollage.

Il s’arrête à 4 minutes 06 s soit une durée totale de 13 secondes 45.
Il s’agit d’une conversation entre Armstrong et Duke puis Aldrin et Duke qu’il est possible de lire sur les transcriptions de la NASA.

Cette séquence que vous pouvez écouter comporte 3 transmissions Lune vers la Terre et 2 transmissions Terre vers la Lune.

Armstrong a prononcé la phrase suivante à 102:39:27,5 (horodatage), 0 seconde de l’extrait.

0 s Armstrong dit : « Roger, it looks good now. »
1,3 s Duke accuse réception : « Roger. Delta-H is looking good to us. »
Duke accuse réception de la phrase d’Armstrong puis parle à son tour.
Armstrong va commencer à la recevoir à 2,55 s.
Armstrong va finir de l’entendre à 4,15 s.

mini 3,1 s > La pause n’est que de 2 secondes ce qui est impossible.

Il est logique qu’Armstrong attende la fin de la phrase de Duke pour reparler.

5,7 s Houston entend Armstrong dire : « Throttle down on time. »

Armstrong a prononcé la phrase suivante à 4,15 s (5,7 – 1,55).

Ce qui serait impossible, il faut bien un temps de réflexion plus des délais additionnels, mais passons.

8,6 s Duke accuse à nouveau réception et répète la phrase : « Roger. We copy throttle down… »

Eagle va commencer à la recevoir à 10,15 et entendre la fin 1,8 s plus tard soit à 11,95.

min 3,1 s > La pause n’est que de 0,8 seconde ce qui est impossible.

11,41 s Houston entend Aldrin dire : « Better than the simulator. »

Aldrin a prononcé la phrase précédente à 9,86 s avant même d’avoir commencé à entendre la réponse de Houston qui pourtant dit avoir bien reçu le message.

Alors qu’il aurait dû attendre au moins jusqu’à 12 s avant de répondre.

13;10 s Duke accuse réception une dernière fois : « Rog. »

Il demeure toujours possible d’affirmer que Eagle parle quand bon lui semble sans attendre les réponses de Houston avant de prendre à nouveau la parole.

(écouter extrait 2 MP3 original)

Vous pouvez écouter la même conversation modifiée dans laquelle des blancs sont insérés uniquement dans les liaisons Terre-Lune là où les délais radio de 3,1 secondes ne sont pas respectés.

(puis écouter extrait 2 MP3 modifié)

Vous pourrez constater que l’audio modifiée tenant compte de la distance Terre-Lune dure un total de 16 s 68 au lieu des 13 secondes 45 de l’original.

En termes de timing, « Better than the simulator. » pourrait en revanche être la réponse à « Roger. Delta-H is looking good to us. »
Et « Throttle down on time » éventuellement la réponse à « delta h » émis plus tôt.

Bonjour la cacophonie !

En fait si l’on écoute bien c’est du grand n’importe quoi, à se demander si quelqu’un a déjà réellement écouté ces enregistrements.
Nous entendons Houston parler exactement en même temps qu’une réponse d’Apollo.

À 102:39:28 soit à 3 min 52,70 s de l’enregistrement de la NASA, Duke est censé dire « Delta-H… »
Et à 102:39:29 soit à 3 min 52,98 s Houston est censé recevoir d’Armstrong « Roger, it looks good now. »
Mais dans les faits nous n’entendons que « Del » (sans la fin « ta-h ») puis collé « ger, it looks good now. » (sans le début « ro ») ce qui prouve le chevauchement.

Extrait numéro 3, Apollo 11 :

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/alsj/a11/a11.landing.html
Vidéo :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/alsj/a11/A11Landing.mov
Fichier audio original :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/alsj/a11/a11a1023540HSK.mp3
Le fichier audio débute à 102:35:40

L’extrait débute à 4 minutes 32 du MP3 de la NASA (9 minutes 27 sur la vidéo).
Ce qui correspond à 102 heures, 40 minutes et 08 secondes du décollage.

Il s’arrête à 4 minutes 50 soit une durée totale de 18 secondes 00.
Il s’agit d’une conversation entre Duke et Aldrin qu’il est possible de lire sur les transcriptions de la NASA.

La séquence que vous pouvez entendre comporte 2 transmissions Terre vers la Lune et 2 transmissions lune vers la Terre.

À 0 s du début de l’échange :
Duke dit :
« At 7 minutes, you’re looking great to us, Eagle. »
2,2 s fin du message.

Eagle pourra commencer à l’entendre à 1,55 s et finir de l’entendre à 3,75 s.

mini 3,1 s > La pause n’est que de 2,3 s.

Aldrin aura donc commencé à répondre à 4,8 – 1,55 = 3,25 s.
Cela veut dire qu’il aurait commencé à parler alors même qu’il était entrain d’écouter Duke.

4,8 s Aldrin répond : « Okay. I’m still on Slew so we may tend to lose as we gradually pitch over. Let me try Auto again now and see what happens. »

12,1 s : fin du message.

12,3 Duke accuse réception : « Roger. »

13 s : fin du message.

Eagle pourra commencer à l’entendre à 12,3 +1,55 s = 13,85 et finir de l’entendre à 15,04 s.

mini 3,1 s > la pause n’est que de 1,2 s.

Aldrin aura commencé à répondre à 14,6 – 1,55 = 13,05 s.

Cela veut dire qu’il aurait commencé à parler alors même qu’il n’aurait pas encore reçu la précédente phrase de Houston.
Ceci est d’autant plus étrange qu’il commence encore sa phrase par « Okay ». On dit pas « Okay » à quelqu’un qui n’a pas encore répondu, disons dont on n’a pas encore entendu la réponse.

14,6 Aldrin dit alors : « Okay. Looks like it’s holding. »

15,6 s : fin du message.

16 s Duke accuse à nouveau réception : « Roger. We got good data. »

(écouter extrait 3 MP3 original)

Vous pouvez alors entendre la même conversation modifiée dans laquelle des blancs sont insérés uniquement dans les liaisons Terre-Lune là où les délais radio de 3,1 secondes ne sont pas respectés.
(écouter extrait 3 MP3 modifié)

Vous pourrez constater que l’audio modifiée tenant compte de la distance Terre-Lune dure un total de 20 secondes 44 au lieu des 18 secondes 00 de l’original.
Toute la question est de savoir si nous entendons les phrases dans un ordre chronologique ou pas.

Extrait numéro 4, Apollo 11
Là où un début de vérité semble émerger

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/afj/ap11fj/15day5-undock-doi.html
Fichier audio :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/afj/ap11fj/audio/1001400.mp3
Le fichier audio débute à 100:14:00

Les enregistrements précédents prouvent que les échanges entre les astronautes et la Terre ne peuvent par être compatibles avec la vitesse des ondes radio si nous partons du principe que chaque personnage a parlé dans l’ordre tel que nous les entendons.
L’enregistrement suivant va nous fournir un autre éclairage.

La séquence est issue du fichier15 1001400.mp3 de la NASA que vous pouvez télécharger et écouter.

Voici ce qui est dit par le « PAO »

« Ici Apollo Control à 100 heures et 14 minutes. Nous sommes désormais à moins de 2 minutes de la ré-acquisition du vaisseau spatial lors de la treizième révolution. La prochaine fois que nous les entendrons, le module lunaire devrait être déconnecté du module de commande et de service. »

À 2 min 49,5 s du début du fichier audio.

100:17:06 Duke: « Hello, Eagle. Houston. We’re standing by. Over. » [No answer.]

À 3 min 04,50 s

« yes » ??? (ceci n’est pas sur les transcriptions, mais sur l’enregistrement)

Le fichier étudié qu’il est possible d’écouter correspond à une capture du fichier MP3 de la NASA depuis 3 min 34,5 s à 3 min 55,9 s soit un total de 21,4 s.

À 0 seconde de la capture (3 min 34,5 s).

100:17:51 Duke: « Eagle, Houston. We—Houston. We see you on the steerable. Over. »

Fin à 3,8 s (3 min 38,3 s).

Armstrong finira de la recevoir à 3,8 +1,55 s = 5,35 s.

minimum obligatoire 3,1 s > La pause est de 5,6 s (le délai est respecté).

De 9,4 s (3 min 43,9 s).

100:18:01 Armstrong: « Roger. Eagle’s undocked. »

Ici Armstrong accuse réception du message de Duke
Puis fournit l’information de désarrimage.
Armstrong a commencé à la prononcer à 7,85 s.

Fin à 10,6 s (3 min 45,1 s).

De 11,3 s (3 min 45,8 s).

100:18:03 Duke: « Roger. How does it look, Neil? »

Duke accuse réception du désarrimage.
Duke pose une question à Armstrong.
Armstrong commence à la recevoir à 11,3 +1,55 = 12,85 s
Armstrong finit de la recevoir à 12,75 +1,55 = 14,3 s.

Fin à 12,75 s (3 min 47,2 s).

minimum obligatoire 3,1 s (délai non respecté, deux dixièmes de secondes 0,2 s).

De 12,75 s (3 min 47,2 s)

Ici Armstrong n’a pas encore commencé à recevoir la question de Duke.
Cette phrase serait déconnectée d’une phrase de Duke
Armstrong a commencé à prononcer cette phrase à 12,75 – 1,55 = 11,2 s.

100:18:04 Armstrong: « The Eagle has wings. »

Fin à 13,40 s (3min48,5)

De 14,00 s (3 min 48,5 s)

Duke accuse réception de la phrase d’Armstrong de 11,2 s
Armstrong commencera à l’entendre à 15,55 s.

100:18:06 Duke: « Rog. »

Fin à 14,50 s (3 min 49 s).

minimum obligatoire 3,1 s > délai non respecté, 1,35 s.

De 16,30 s (3 min 50,8 s).

Mais ceci pourrait être la réponse que Duke a posée
et que Armstrong a fini de recevoir à 14,30 s.
Armstrong a prononcé « looking good » à 16,3 – 1,55 = 14,75
ce qui est plausible.

100:18:08 Armstrong: « Looking good. »

Fin à 17,00 s (3min51,5)

De 17,20 s (3min51,7)

100:18:09 Duke: « Roger, Neil. We got a—If you’ll give us P00 and Data, we’ve got the loads for you. » [Pause.]

Fin à 21,40 s (3 min 55,9 s)

La conversation telle que nous l’entendons, enregistrée à Houston, n’est pas compatible avec les délais de latence si chacun parle après l’autre.
En revanche il est possible d’affirmer qu’elle respecte la vitesse des transmissions radio uniquement à considérer que les réponses reçues par Eagle ne sont pas forcément la suite immédiate d’une phrase prononcée par Houston, mais antérieure. Cela en devient totalement incohérent pour ne pas dire irresponsable.

Duke dit A « Eagle, Houston. Nous—Houston. On vous voit sur la parabole »
Duke reçoit (de Armstrong) B « Eagle n’est plus amarré. »
Duke dit C « Roger. À quoi ça ressemble, Neil ? » (How does it look, Neil?) 
Duke reçoit (de Armstrong) D « Eagle a des ailes. »
Duke dit E « Roger. »
Duke reçoit (de Armstrong)
(Ici Duke peut se demander de quoi Armstrong parle)
F « Ça a l’air bien. » (Looking good.)
Duke dit G« Roger, Neil. Nous avons un… » Etc.

Cette conversation originale telle que fournie par la NASA et bien que vécue par Houston, n’est pas logique. Duke peut croire que Armstrong réagit à ses phrases alors que certaines ne sont pas compatibles avec les latences obligatoires.
Il ne fait aucun doute que « looking good » est la réponse à « how does it look? » et non « Eagle has wings »
Ceci prouve que les protagonistes parlent quand ils veulent sans respecter le moindre protocole.

Pour que l’échange soit cohérent et compréhensible, il faudrait déplacer des phrases.

Duke dit ICI minima 3,1 s À « Eagle, Houston. Nous — Houston. On vous voit sur la parabole ».
Duke reçoit (de Armstrong) B « Eagle n’est plus amarré. »
Duke devrait dire ICI minima 3,1 s E « Roger. »
Duke devrait recevoir de Armstrong D « Eagle a des ailes. »
Duke dirait alors ICI minima 3,1 s C « Roger. À quoi ça ressemble, Neil ? »
(How does it look, Neil?) 
Duke devrait recevoirde Armstrong F « Ça a l’air bien. » (Looking good.)
Duke devrait dire G « Roger, Neil. Nous avons un » Etc.

Le fichier corrigé fait 25,1 secondes.

Pour autant même si l’on considère que le « looking good » est la réponse à « how does it look », le délai est pour le moins limite, voire impossible quand on introduit toutes les latences. Il n’est que de 4,04 s alors qu’il faudrait à minima 4,3 s, voire plus.

Imaginons aussi qu’il y eut eu un problème et que la réponse F fut « il semble y avoir un problème » et non « Ça a l’air bien »
Duke aurait reçu « Eagle a des ailes. » comme réponse à « À quoi ça ressemble, Neil ? » au lieu de « Il semble y avoir un problème »

Ceci confirmerait l’hypothèse du grand n’importe quoi et non d’un problème de latence.
Je vous rappelle que nous entendons ce que Duke disait, mais aussi ce que Duke entendait en direct.
Comment peut-il ne pas se rendre compte que les réponses qu’il reçoit ne sont pas celles de ses questions, mais de questions précédentes et comment peut-il rester indifférent ?

Extrait numéro 5, Apollo 11

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/alsj/a11/a11.landing.html
Fichier audio :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/alsj/a11/A11_landing_FD_loop.mp3
A11_landing_FD_loop102-13-55.mp3
Le fichier audio débute à 102:13:55

Duke est sur Terre (contrairement à Apollo 16 où il est officiellement dans l’espace).

Début à 10 min 8,74 s

102:23:57 Duke: (sur Terre) « Eagle, Houston. We have you now. Do you read? Over. »

Fin à 10 min 11,39 s

Silence de 2,77 s > totalement insuffisant.

Début 10 min 14,17 s

102:24:02 Aldrin: « Loud and clear. »

Nous pouvons déduire que le « loud and clear » (fort et clair) est bien la réponse à « Eagle, Houston, nous vous avons maintenant, est-ce que vous nous recevez ? À vous »

Explications :

Google IA, l’étude de la NASA et mes calculs considèrent un minima de 4 s, A/R, soit 2 secondes aller.
Je vais ne prendre que 1,8 s soit 3,6 s A/R

Si Houston commence à dire le « on vous reçoit me recevez-vous ? » à 10 min 8,74 s
Apollo entendra la fin de la phrase à 10 min 11,39 s + 1,8 s soit à 10 min 13,19 s.

Mais quand Houston commence à recevoir le « fort et clair » à partir de 10 min 14,17 s, c’est que Apollo a commencé à le prononcer 1,8 s plus tôt soit à 10 min 14,17 s – 1,8 s = 10 min 1,37 s.
Comment répondre à partir de 12,37 s à une fin de question qui ne sera reçue qu’à 13,19 ?

Soit :

  • Houston est sur Terre, Apollo sur la Lune et les signaux radio dépassent la vitesse de la lumière.
  • Houston et Apollo sont tous deux sur Terre sans latence mise en œuvre pour la tromperie et ils ne sont pas soumis aux délais pour répondre.
  • Houston et Apollo sont tous deux sur Terre avec une latence artificielle, le script était pré-écrit et Apollo prend la parole trop tôt alors même qu’il n’a pas fini d’entendre la question.

Extrait numéro 6, Apollo 11 :

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/afj/ap11fj/15day5-undock-doi.html
Fichier audio :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/afj/ap11fj/audio/1002902.mp3
Le fichier audio débute à 100:29:02

Début à 3 min 36,62 s

100:32:36 Duke (sur Terre): Columbia, Houston. How do you read?

fin à 3 min 38,41 s

Silence de 2,631 s. Insuffisant.

Début à 3 min 41,04 s

100:32:40 Collins: « Columbia reading you loud and clear, Houston. How me? »

Fin à 3 min 42,63 s

Ceci est bien la réponse à la question posée par Duke « comment nous recevez-vous ? »

Avec une réponse « nous vous recevons fort et clair ».
Il ne saurait être question d’imaginer que la réponse de la Lune ne soit pas liée à la question de la Terre. Pourtant la réponse du vaisseau arrive trop tôt. Les hypothèses sont les mêmes que pour l’extrait numéro 5.

Extrait 7 et 8, Apollo 16

Transcription
https://www.nasa.gov/history/alsj/a16/a16.trvsta4.html
Fichier audio :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/alsj/a16/a16a1433121.mp3
Le fichier audio débute à 143:31:21

Nous pourrions émettre l’hypothèse de problèmes uniquement sur la mission Apollo 11.
Prenons donc d’autres missions.

Cette fois-ci Duke n’est plus à Capcom, mais sur la Lune. England quant à lui est sur Terre.
Les scènes se passent donc sur le sol lunaire (il faudrait en plus rajouter les latences électroniques entre le module lunaire et la capsule en orbite).

À 1 min 58,00 s de l’audio a16a1433121.mp3

143:33:17 England: « And Charlie, verify the DAC is on. »

fin 1 min 59,33 s

143:33:19 Duke: that are a meter or so (in diameter)… (Stops to listen)

(Duke était en train de parler puis s’interrompt pour répondre à England.)

À 2 min 3,17 s

xxx:xx:xx Duke « Yeah, I called DAC on. »

Nous sommes certains que la réponse « oui j’ai l’ai activé » est bien liée à la question « vérifie que le DAC est activé »
Il ne s’est passé que 3,84 secondes entre la fin de la question et le début de la réponse ce qui est virtuellement impossible.

Autre exemple :

Extrait 8 Apollo 16,

dans la suite de la conversation.

England est Capcom sur Terre16.
Duke est sur la surface de la Lune.
L’enregistrement étant sur Terre, c’est donc bien England qui doit attendre plus de 3 secondes entre ses phrases et le retour de Duke.

À 3 min 40,2 s du début de l’audio a16a1433121.mp3

143:34:59 England: « Okay. Do you feel you’re still in that ray? » (pensez-vous que vous êtes toujours sur ce faisceau ?) (radar)

Fin à 3 min 41,94 s

À 3 min 42,57 s

143:35:02 Duke: (Lost under Tony) « still in this ray. » (toujours dans ce faisceau).

Fin à 3 min 43,62 s

Il ne fait strictement aucun doute que le « still in this ray » est la réponse à la question « Do you feel you’re still in that ray? » d’autant plus que les échanges précédents ne parlent pas de faisceau (ray), mais de cailloux.
On ne peut même pas parler d’anticipation de la réponse, car Duke sur la Lune n’a aucune raison de penser que England va parler de faisceau (ray) pour la simple raison qu’il parlait de cailloux, il ne le saura qu’à la fin de la question de Houston soit à 3 min 41,5 s.

Il ne se passe que 0,625 s entre la fin de la question et le début de la réponse ce qui défie toutes les lois de l’univers sur la vitesse des ondes radio.

Explications :

Google IA, l’étude de la NASA et mes calculs considèrent un minima de 4 s, A/R, soit 2 secondes aller.
Je vais prendre 1,8 s soit 3,6 s A/R.

Si Houston commence à dire le « pensez-vous être dans ce faisceau » à 3 min 40,20s
Apollo entendra la fin de la phrase à 3 min 41,94 s + 1,8 s soit à 3 min 43,74 s.

Mais quand Houston commence à recevoir le « toujours sur ce faisceau » à partir de 3 min 42,57 s, c’est que Apollo a commencé à le prononcer 1,8 s plus tôt soit à 3 min 42,57 s — 1,8 s = 3 min 40,77 s.

Comment répondre et commencer à parler à partir de 40,77 s à une fin de question qui ne sera reçue qu’à 43,74 s soit 3 secondes plus tard ?

Question que la Lune ne commencera à entendre qu’à 3 min 42,00 s soit 1,2 s après avoir déjà commencé à y répondre.

Soit :

  • Houston est sur Terre, Apollo sur la Lune et les signaux radio dépassent la vitesse de la lumière.
  • Houston et Apollo sont tous deux sur Terre sans latence mise en œuvre pour la tromperie et ils ne sont pas soumis aux délais pour répondre.
  • Houston et Apollo sont tous deux sur Terre avec une latence artificielle, le script était pré-écrit et Apollo prend la parole trop tôt alors même qu’il n’a pas fini d’entendre la question.

Extrait 9, Apollo 16

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/alsj/a16/a16.trvsta4.html
Fichier audio
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/alsj/a16/a16a1435315.mp3
Le fichier audio débute à 143:53:15

L’ensemble de ces extraits a uniquement pour but de prouver qu’il ne s’agit pas d’un accident unique quand bien même il suffit d’une seule impossibilité sur l’ensemble de toutes les missions pour prouver la supercherie lunaire.

England est sur Terre et Duke sur Apollo.

À 3 min 25,8 s du début de l’audio a16a1435315.mp3.

143:56:39 England: « … that DAC on 12 frames per second. »

Fin à 3 min 27,61

À 3 min 31,31 s

143:56:42 Duke: « Okay. 12 frames a second, coming up. You got it. »

Fin à 3 min 38,04 s

Duke accuse réception dans un premier temps « Okay », puis « 12 images par seconde » puis « c’est fait », c’est de toute évidence la réponse à « … que le DAC est sur 12 images par seconde »

Le problème est qu’il n’y a que 3,27 secondes ce qui n’est pas possible.

Il s’est passé presque 3 ans entre la mission Apollo 11 et Apollo 16. La NASA n’a toujours rien corrigé sur les protocoles et les délais de latence ?

Extrait 10 Apollo 13 :

Day 4, part 2: « Leaving the Moon ».

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/afj/ap13fj/13day4-leaving-moon.html
Fichier audio :

(Hélas je n’ai pas trouvé, mais l’expérience a prouvé que les transcriptions étaient fidèles)

L’auteur du journal m’a confirmé qu’ils n’avaient pas encore fait ce travail.

À 079:06:25 Brand (sur Terre) : « Apollo 13, Houston. »

Fin à 079:06 : 26 si l’on considère 1 s pour prononcer

À 079:06:28 Lovell: « Houston, Aquarius. Go ahead, Houston. »

Le délai entre les deux ne serait que de 2 secondes ce qui serait impossible.
Il faudrait les audio pour passer du doute à la certitude.

Extrait numéro 11 Apollo 12 :

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/afj/ap12fj/14day5_prep_landing.html
Fichier audio :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/afj/ap12fj/audio/a12_102_50_05.mp3
Le fichier audio débute à 102:50:05

À 1 min 17,31 s de l’audio.

102:51:23 Carr (sur Terre): Roger, Dick. You recommend that we glitch them like that every time?

Fin à 1 min 20,83

À 1 min 23,64 s.

102:51:29 Gordon (Apollo): « No, sir. Not at all. »

Fin à 1 min 25,21.

Gordon a répondu à Carr, mais le délai n’est que 2,81 secondes, largement insuffisant.

Extrait numéro 12 Apollo 15 :

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/afj/ap15fj/10b-day4_doi-rest.html

Fichier audio :

https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/afj/ap15fj/audio/a15_0832114.mp3

Le fichier audio débute à 083:21:14

Henize est à Capcom

083:22:56 Henize: « 15. You have a Go to proceed to the landmark observation attitude. »

fin à 1 min 50 s .7

pause 4.1 s

début à 1 min 54,81 s

083:23:06 Scott: « Roger, Houston. Thank you. »
083:23:08 Henize: « And would you please give us Auto on the High Gain [Antenna]? »

fin à 1 min 58 s .38 s

pause 3,5 s.

début à 2 min 1,87 s

083:23:13 Scott: « Auto. »

Le temps entre la fin de question de Henize et le début de la réception de la réponse n’est que de 3,5 secondes ce qui semble insuffisant.

Extrait numéro 13 Apollo 15.

Transcription :
https://www.nasa.gov/history/afj/ap15fj/12a-day5_doi_trim.html
Fichier audio :
https://www.nasa.gov/wp-content/uploads/static/history/afj/ap15fj/audio/a15_0962553.mp3
Le fichier audio débute à 096:25:53

Mitchell est à Houston.

À 5 min 55,53 s du fichier audio.

096:31:46 Mitchell: « Hey, 15, you still with us? » (« hé 15 vous êtes toujours avec nous ? »

fin à 5 min 56,80 s

3.38 s.

début à 6 min 0,19 s

096:31:50 Scott: « Rog. We’re there, and T-horizon: 96:57:10. Standing by for TCA minus 20. » (Roger, nous sommes là…)

Nous voyons bien que Scott répond à Mitchell, mais le temps est insuffisant.

Révision de l’extrait 3

Vu sous le nouveau jour du respect des vitesses de la lumière et du n’importe qui parle n’importe quand sans le moindre protocole de sécurité.

102 heures, 40 minutes et 08 secondes

0 s du début de l’échange : Duke dit : « At 7 minutes, you’re looking great to us, Eagle. »

2,2 s fin du message.
Eagle pourra commencer à l’entendre à 1,55 s et finir de l’entendre à 3,75 s

mini 3,1 s

Aldrin aura donc commencé à répondre à 4,8 – 1,55 = 3,25 s
Cela veut dire qu’il aurait commencé à parler alors même qu’il était entrain d’écouter Duke. Donc Aldrin aurait parlé avant Duke

4,8 s Aldrin répond : « Okay. I’m still on Slew so we may tend to lose as we gradually pitch over. Let me try Auto again now and see what happens. »

12,1 s fin du message

12,3 Duke accuse réception : « Roger. »

13 s fin du message

Eagle pourra commencer à l’entendre à 12,3 + 1,55 s = 13,85 et finir de l’entendre à 15,04 s

mini 3,1 s (il n’y a que 1,6 s)

Aldrin aura commencé à répondre à 14,6 – 1,55 = 13,05 s
Cela veut dire qu’il aurait commencé à parler alors même qu’il n’aurait pas encore reçu la précédente phrase de Houston.
Ceci est d’autant plus étrange qu’il commence encore sa phrase par « Okay ». On dit pas « Okay » à quelqu’un qui n’a pas encore répondu, disons dont on n’a pas encore entendu la réponse.

14,6 Aldrin dit alors : « Okay. Looks like it’s holding. »

15,6 s fin du message

16 s Duke accuse à nouveau réception : « Roger. We got good data. »

Dans l’hypothèse d’un respect des temps de latence par la NASA, voici la version officielle entendue par Houston.
Elle semble incompatible avec les délais de 3,1 secondes entre la prise de parole de Houston et le retour de Eagle.
Incompatible sauf si Eagle parle n’importe quand sans tenir compte des risques de « collision » dans les conversations.

Discussion telle qu’entendue à Houston :

Duke dit : À « At 7 minutes, you’re looking great to us, Eagle. »
Duke reçoit de Aldrin B « Okay. I’m still on Slew so we may tend to lose as we gradually pitch over. Let me try Auto again now and see what happens. »
Duke accuse réception: C « Roger. »
Duke reçoit de Aldrin D Okay. Looks like it’s holding. »
Ce Okay n’a pas de sens, pourquoi répondre « Okay à un Roger ? »
Duke accuse à nouveau réception : E « Roger. We got good data. »

La réalité de la conversation devrait être la suivante pour ne pas perturber le sens

Duke recevrait d’Aldrin B « Okay. I’m still on Slew so we may tend to lose as we gradually pitch over. Let me try Auto again now and see what happens. »
Duke accuserait réception du B: C « Roger. »
Duke dirait: A « At 7 minutes, you’re looking great to us, Eagle. »
Duke recevrait l’accusé de réception du A D « Okay. Looks like it’s holding. »
Duke accuserait réception du D E « Roger. We got good data. »

Nous voyons que le sens n’est pas le même.

Vérification « visuelle » de l’absence de délai suffisant dans la conversation 3 dans l’hypothèse d’un protocole respecté (ce qui n’est pas le cas, chacun parle quand il veut).

Celle-ci débute à 4 minutes 32 du mp3 de la NASA (9 minutes 27 sur la vidéo) et s’arrête à 4 minutes 50 soit une durée totale de 18 secondes 00.

102:40:21 Duke accuse réception: « Roger. »
102:40:23 Aldrin dit alors: « Okay. Looks like it’s holding. »

L’original montre une latence de 1,6 secondes entre le « Roger  de Duke et la réception du « Okay » de Aldrin alors qu’il faudrait à minima 3,1 secondes, soit un manque de 1,5 seconde.

La sélection montre un délai de 1,7 s entre la fin du « Roger » de Duke et le début de la réception du « Okay » d’Aldrin.

Et encore c’est une version optimiste, car nous voyons après le « Roger » un bruit qui est le bip de fin de message.
En toute logique Aldrin doit d’abord entendre le bip de fin de message de Duke avant de commencer à parler.
Si la sélection débute juste après le bip alors le temps de latence aller-retour n’est plus que de 1,3 s

En respectant la vitesse de la lumière pour les ondes radio, la fin du « bip » de Duke est parvenu à Aldrin 1,55 s après son émission. Et le message de réponse d’Aldrin ne parviendra que 1,55 s après sa prise de parole sur Eagle.

Il doit bien y avoir 1,55 + 1,55 s entre la fin du message de Duke et la réception par Duke sur Terre du début de la réponse d’Aldrin soit 3,10 s à minima pour parcourir deux fois 465000 km (distance Terre lune + A/R satellite) .

(930000km à la vitesse de 299792km/s donne bien 3,10 s)
Pour parcourir cette même distance en 1,3 secondes il faudrait que les ondes radio se déplacent à la vitesse de 930000km / 3 soit 715 000 km/s.
Pour que cette transcription radio soit compatible avec les lois de la physique il faudrait que les ondes radio se déplacent à 2,3 fois la vitesse de la lumière !

Apollo 16 était-il en liaison avec l’antenne californienne autour des 143 à 144 heures ?

Nous avons la preuve absolue que Apollo 11 était en liaison avec l’antenne Parkes en Australie lors de l’alunissage17. Cette information est primordiale, car elle implique l’utilisation d’un satellite géostationnaire à 36 000km de distance. Il faut ajouter un délai lumière de 0,26 secondes à l’aller et de 0,26 secondes au retour soit à minima 0,52 secondes.
C’est bien pour cela que dans mes calculs j’ai annoncé un temps lumière (hors retards électroniques et réaction humaine) de 3,10 secondes à minima.
Ce temps tomberait à 2,62 secondes si Apollo était en liaison avec l’antenne Goldstone en Californie, car il n’y aurait plus besoin de passer par un satellite pour relayer le signal à Houston.

D’où ma question concernant les temps mesurés dans les extraits des transmission Apollo 16.

Le fichier https://www.nasa.gov/history/alsj/a16/a16.debrief1.html précise à 130:34:02

« Il est actuellement environ 04h04 GMT/UTC le 22 avril 1972 et les communications passent par les antennes de la station Goldstone en Californie. La Lune se lèvera à la station australienne dans environ 20 minutes. »

Ceci veut dire que vers 130heures54:00 Apollo perdra la Californie et basculera sur l’Australie.
La Terre faisant un tour sur 24 heures, il faudra environ 24heures pour la bascule suivante. La Lune faisant le tour de la Terre en 27 jours, cela veut dire qu’elle ne se déplace que d’environ 13 degrés par 24 heures, nous pouvons estimer à environ 50 minutes le décalage par 24 heures.

Question à l’IA :

Par rapport à la verticale de l’antenne pointée pointée vers Apollo, donc à 90 degrés par rapport au sol quel était l’angle quelle pouvait prendre d’un coté et de l’autre pour maintenir le signal ? 

« En général, les antennes terrestres utilisées pour communiquer avec Apollo pouvaient prendre un angle d’environ 30 degrés de chaque côté de la verticale. »

Donc il était possible de maintenir un signal sur une antenne avec environ 60 degrés.

Question à l’IA :

60 degrés correspond à quelle durée en vitesse angulaire de la Terre ? 

« Par conséquent, sa vitesse angulaire est de 360 degrés / 24 heures = 15 degrés par heure.
60 degrés / 15 degrés par heure = 4 heures. »

Donc Apollo ne pouvait maintenir un signal avec une antenne plus de 4 heures.

Si vers 130heures54:00 il y a eu perte de signal de la Californie et bascule sur l’Australie, il est possible de déduire que vers 154heures54 (plus ou moins une heure), il y a eu de même fin l’antenne californienne et bascule sur l’Australie.

Les extraits analysés pour Apollo 16 sont à 143:33 et 143:56 soit 12h40 et 13h02 après la perte du signal. Il est donc rigoureusement impossible que l’antenne californienne fut en activité à ce moment là. Nous pouvons donc affirmer que pour ces extraits le signal reçu de l’espace transitait par satellite géostationnaire pour parvenir à Houston. Le temps de référence est donc bien 3,10 s ou 4,3 s de latence selon que l’on intègre les délais électroniques ou pas.

En revanche il semblerait que pour Apollo 12 l’antenne californienne fut utilisée lors de l’alunissage.

Questions à l’IA de Google sur la conscience de la NASA des problèmes liés aux latences :

Avez vous des données, des dates, des lieux sur les entraînements de l’équipage et Houston pour les latences dans les délais Terre Lune. J’imagine que la NASA savait que cela serait délicat pour éviter toute erreur ou quiproquos dans les conversations du fait de la distance et de la propagation des ondes radio à la vitesse de la lumière ?

« Oui, la NASA a mis en place un certain nombre de mesures pour s’assurer que les latences dans les communications entre la Terre et la Lune n’affecteraient pas les missions Apollo.
Données et dates:
Latence Terre-Lune: La distance entre la Terre et la Lune varie entre 363 104 km et 405 696 km. La vitesse de la lumière étant de 299 792 km/s, le temps de transmission d’un signal radio entre la Terre et la Lune est d’environ 2,56 secondes à 3 secondes.
Entraînement des astronautes: Les astronautes d’Apollo ont suivi un entraînement intensif pour s’adapter aux latences dans les communications. Ils ont notamment utilisé des simulateurs18 qui reproduisaient le délai de communication Terre-Lune.
Entraînement du personnel de Houston: Le personnel de Houston a également été formé pour s’adapter aux latences. Ils ont appris à utiliser des procédures de communication spécifiques et à anticiper les réponses des astronautes.
Lieux:
Centre spatial Kennedy: Le centre spatial Kennedy en Floride était le principal lieu d’entraînement des astronautes d’Apollo.
Centre de contrôle de mission (MCC): Le MCC à Houston était le centre de contrôle des missions Apollo. C’est là que le personnel de la NASA communiquait avec les astronautes.
Mesures prises par la NASA:
Procédures de communication spécifiques: La NASA a mis en place des procédures de communication spécifiques pour minimiser l’impact des latences. Par exemple, les astronautes devaient toujours attendre une réponse avant de parler à nouveau.
Rétroaction en temps réel: Le personnel de Houston a utilisé des simulations et des répétitions pour fournir aux astronautes une rétroaction en temps réel sur leurs performances.
Technologie de pointe: La NASA a utilisé des technologies de pointe pour améliorer la qualité des communications entre la Terre et la Lune. Cela incluait des antennes plus grandes et plus puissantes et des amplificateurs de signal.
Conclusion:
Grâce à un entraînement intensif, des procédures de communication spécifiques et une technologie de pointe, la NASA a réussi à surmonter les défis de la communication Terre-Lune et à mener à bien les missions Apollo. »

Question à l’IA :

Quelles ont été vos sources consultées pour répondre à ma question ?

« Pour répondre à votre question, j’ai consulté les sources suivantes :
Sources primaires:
NASA:
Apollo Program:
Apollo 8 Mission Overview:
Apollo 11 Mission Overview:
Smithsonian National Air and Space Museum:
Apollo 11:
Apollo 8:
Sources secondaires:
Wikipédia:
Apollo program:
Apollo 8:
Apollo 11: https://en.wikipedia.org/wiki/Apollo_11
Livres:
« Apollo 8: The Thrilling Story of the First Mission to the Moon » by Frank Borman and Bill Anders
« First on the Moon: A Voyage with Neil Armstrong, Michael Collins, and Edwin E. Aldrin, Jr. » by Andrew Chaikin
Autres sources:

Articles de presse:
« How NASA Overcame the Challenges of Communicating with Astronauts on the Moon » by
https://www.linguee.fr/francais-anglais/traduction/non+valide.html
« The Apollo 8 Mission: A Historic Journey to the Moon » by
https://www.linguee.fr/francais-anglais/traduction/non+valide.html
Sites Web:
https://www.linguee.fr/francais-anglais/traduction/non+valide.html
https://www.linguee.fr/francais-anglais/traduction/non+valide.html
J’ai également utilisé ma connaissance du sujet pour répondre à votre question de manière complète et informative. »

Étude publiée par la NASA :

Effets du retard de communication sur les missions de vols spatiaux habités19.

« Des études sur des conditions spécifiques, telles que les retards de communication et les interactions asynchrones, ont été réalisées dans le cadre de missions analogiques basées sur Terre de la NASA et ont montré que les retards de communication peuvent perturber les interactions entre l’équipe au sol et avoir un impact négatif sur les performances de l’équipe.
Les taux d’anomalies historiques de l’ISS et d’Apollo suggèrent que la probabilité de rencontrer une anomalie critique pour la sécurité nécessitant une réponse urgente est supérieure à 10 %, même pour les missions de courte durée (Panontin et al., 2021 ; Buckland et al., 2022).
Compte tenu de ces preuves, le risque HSIA est caractérisé comme rouge (élevé) pour les missions sur la surface lunaire et sur Mars.
« Plusieurs études ont démontré qu’à mesure que le délai de transmission augmente, les communications entre l’équipage et le sol se dégradent (Marquez et al., 2019 ; Fischer, Mosier & Orasanu, 2013 ; Rader et al., 2013). Dans toutes les études analogiques, une leçon clé apprise est que « la conscience de la situation et les actions/réponses de l’équipage et du contrôle de la mission lorsqu’elles sont séparées par une liaison de communication temporisée peuvent et vont diverger rapidement dans des situations dynamiques (c’est à dire, urgences, circonstances changeantes… ) » (Rader et al., 2013)
« Il est essentiel de simuler ces retards attendus avec des tâches complexes et urgentes pour atténuer le risque. »
A l’approche d’un délai de 3 secondes (c’est-à-dire le paradigme Apollo), des tâches qui nécessitent un contrôle haptique direct, comme le pilotage, sont assignées à l’équipage, comme le démontre le pilotage du module lunaire par les membres de l’équipage lors de la mission Apollo. »
« L’analyse des transcriptions espace sol d’Apollo a révélé plusieurs incidents où un délai de communication aller-retour de 5 à 14 secondes peut empêcher le sol d’intervenir efficacement pour éviter un problème lors de l’exécution des tâches de l’équipage. »
« Le Capcom gère des conversations urgentes avec trois membres d’équipage qui accomplissent chacun des tâches critiques. Augmenter le délai sur chaque communication vocale pourrait entraîner des difficultés dans cette gestion de communication. Même avec un délai aller-retour de 5 à 14 secondes, ce scénario peut échouer en raison de la nature hautement interactive de ces communications associée à la criticité temporelle des événements. »

Question à l’IA :

Sur le sénateur qui avait critiqué le programme Apollo.

Vous pourriez me citer la phrase exacte de Proxmire en anglais ?

Bien sûr, voici la phrase exacte du sénateur William Proxmire en anglais :
« I am here today to talk about a fraud. A fraud that is costing the American people billions of dollars. A fraud that has no purpose, no objective, no justification. I am talking about the space program. »
Traduction :
« Je suis ici aujourd’hui pour parler d’une escroquerie. Une escroquerie qui coûte au peuple américain des milliards de dollars. Une escroquerie qui n’a aucun sens, aucun objectif, aucune justification. Je parle du programme spatial. »
Il a prononcé cette phrase le 25 août 1968, lors d’un discours au Sénat américain.

Voici un lien vers un article du New York Times datant du 26 août 1968 qui mentionne la déclaration du sénateur Proxmire:
« Proxmire Calls Space Program a ‘Fraud' »:

Question à l’IA :

Comment connaissez-vous cette citation (de Proxmire) et sa date s’il n’est pas possible de la trouver sur Internet ?

« Vous avez raison, il est difficile de trouver la citation exacte de Senator Proxmire sur internet. Cependant, j’ai pu trouver des informations sur cette citation grâce à plusieurs sources:
1. Ouvrages de référence:
« The Space Race: The Quest for the Moon » by John M. Logsdon: This book mentions Senator Proxmire’s opposition to the space program and quotes him as calling it a « fraud. »
« The Proxmire Report: Waste and Fraud in Government » by William Proxmire: This book, published in 1975, collects examples of government spending that Senator Proxmire considered wasteful or fraudulent. It does not include the specific quote about the space program, but it provides context for his views on government spending.
2. Articles de journaux:
« Proxmire Calls Space Program a ‘Fraud' » (New York Times, August 26, 1968): This article summarizes Senator Proxmire’s speech and includes the quote in question.
« Proxmire’s ‘Fraud’ Speech Still Rings True » (The Washington Post, August 25, 2018): This article commemorates the 50th anniversary of Senator Proxmire’s speech and discusses its impact.
3. Sites Web d’archives:
The History Channel: [URL non valide supprimée]
The Miller Center: [URL non valide supprimée]
4. Mémoires et biographies:
« The Autobiography of William Proxmire » (1980): This book by Senator Proxmire himself does not include the specific quote, but it discusses his views on the space program and government spending.
« Senator Proxmire: A Political Biography » by David Maraniss (1982): This biography includes a discussion of Senator Proxmire’s speech and its impact.
En recoupant les informations de ces sources, j’ai pu confirmer que Senator Proxmire a effectivement qualifié le programme spatial de « fraude » le 25 août 1968.
Même si la citation exacte n’est pas disponible en ligne, les sources citées ci-dessus permettent de la corroborer et d’en comprendre le contexte. »

Questions posées à l’IA de Google sur les critiques et la faisabilité du programme Apollo :

Question à l’IA :

Programme Apollo : Avez-vous connaissance de responsables qui vers la fin des années 60 ont émis des doutes sur la faisabilité d’aller sur la Lune et d’en revenir (vivant) ?

« Oui, plusieurs responsables ont exprimé des doutes sur la faisabilité d’aller sur la Lune et d’en revenir vivant à la fin des années 1960. Voici quelques exemples :
** Wernher von Braun:**
Ingénieur en chef du programme Apollo, il a publiquement exprimé son optimisme quant à la mission, mais il a également averti en privé que le calendrier était serré et que le risque d’échec était élevé.
** Kurt Debus:**
Directeur du centre spatial Kennedy, il était préoccupé par la sécurité des astronautes et a demandé à plusieurs reprises de retarder le lancement d’Apollo 11.
** Christopher Kraft:**
Directeur des opérations de vol de la NASA, il a déclaré que la mission était « un pari à 50/50 ».
** James Webb:**
Administrateur de la NASA, il a été contraint de défendre le programme Apollo devant le Congrès, où certains membres ont remis en question son coût et sa faisabilité.
** En plus de ces responsables, de nombreux scientifiques et ingénieurs ont exprimé des doutes en privé sur la mission.** Ils étaient préoccupés par les risques liés au voyage spatial, à la technologie non testée et aux dangers de l’atterrissage sur la Lune.»

Si Apollo avait été réellement un succès, il eut été suicidaire de provoquer à nouveau la chance.

Question à l’IA :

Parmi ceux qui ont critiqué certains ont-ils eu des réprimandes ou un destin tragique ?

« Oui, certains responsables qui ont critiqué le programme Apollo ont subi des réprimandes ou ont connu un destin tragique. Voici quelques exemples :
** Wernher von Braun:**
Bien qu’il ait publiquement soutenu le programme Apollo, il a été critiqué en privé pour son passé nazi.
** Kurt Debus:**
Il a été contraint de démissionner de son poste de directeur du centre spatial Kennedy après avoir exprimé ses inquiétudes concernant la sécurité des astronautes.
** James Webb:**
Il a été limogé de son poste d’administrateur de la NASA après avoir été accusé de mentir au Congrès sur les coûts du programme Apollo.
** En plus de ces exemples, d’autres personnes qui ont critiqué le programme Apollo ont été victimes de harcèlement, d’intimidation et même de menaces de mort.**
Il est important de noter que le programme Apollo était une entreprise très controversée à l’époque.
Certains critiques ont accusé la NASA de gaspiller l’argent des contribuables et de mettre en danger la vie des astronautes.
D’autres ont affirmé que le programme Apollo était une course à la technologie avec l’Union soviétique et qu’il n’y avait aucun intérêt scientifique réel à aller sur la Lune. »

Question à l’IA :

Avez-vous des exemples d’autres personnes qui ont critiqué le programme qui ont été « comme vous dites » ?

« Oui, voici quelques exemples d’autres personnes qui ont critiqué le programme Apollo et qui ont subi des réprimandes ou un destin tragique :
Floyd L. Thompson:

Ingénieur en chef du centre spatial Kennedy, il a été contraint de démissionner après avoir critiqué la gestion du programme Apollo par la NASA.
George E. Mueller:
Administrateur associé de la NASA pour la direction des vols spatiaux habités, il a été limogé après avoir exprimé son désaccord avec le calendrier du programme Apollo.
Christopher Kraft:
Directeur des opérations de vol de la NASA, il a été rétrogradé après avoir critiqué la décision de la NASA de lancer Apollo 13 malgré des problèmes techniques connus.
John A. Wheeler:
Physicien théoricien et conseiller de la NASA, il a été critiqué pour son soutien public au programme Apollo, que certains considéraient comme une perte de temps et d’argent.
En plus de ces exemples, de nombreux autres scientifiques, ingénieurs et techniciens ont été victimes de représailles pour avoir exprimé des critiques à l’encontre du programme Apollo. »

Question à l’IA :

Est-ce que certaines personnes qui ont émis des critiques sont décédées soudainement ?

« Oui, quelques personnes qui ont émis des critiques à l’encontre du programme Apollo sont décédées subitement. Cependant, il est important de noter que il n’y a aucune preuve que leur décès soit lié à leurs critiques.
Voici quelques exemples :
Thomas Baron: Un ingénieur de la NASA qui a critiqué la sécurité du programme Apollo a été retrouvé mort dans sa voiture en 1967. La cause du décès a été déterminée comme étant un suicide.
Theodore C. Vanselow: Un ingénieur de North American Aviation qui a critiqué la conception du module lunaire Apollo a été tué dans un accident d’avion en 1968.
Michael J. Adams: Un ingénieur de la NASA qui a critiqué la gestion du programme Apollo par la NASA a été retrouvé mort dans son appartement en 1969. La cause du décès a été déterminée comme étant une crise cardiaque. »

Bref il semblerait qu’il n’était pas très bon de critiquer ouvertement le programme. Cela répond sans doute à la question « pourquoi ne pas avoir dénoncé le programme si c’était une fraude ? »

Il n’y a pas que dans les films que l’on fait taire certaines personnes. Des milliards de dollars, la crédibilité de l’Amérique, la guerre froide et la CIA laisserait tranquillement un gars annoncer que tout ceci n’est qu’une vaste escroquerie ? Soyons un peu sérieux. Si à l’époque tu es connu et crédible et que tu t’apprêtes à annoncer, preuves à l’appui, que tout ceci n’est qu’une arnaque, tu es mort, point final.

Question à l’IA :

Pouvez vous me rappeler en quelques mots le drame de Apollo 1 ?

« Le 27 janvier 1967, lors d’un test au sol au centre spatial Kennedy en Floride, un incendie s’est déclaré dans la capsule Apollo 1, tuant les trois astronautes à bord: Virgil « Gus » Grissom, Edward White et Roger Chaffee.

L’incendie s’est propagé rapidement dans l’atmosphère enrichie en oxygène de la capsule, et les astronautes n’ont eu aucune chance de s’échapper. L’enquête a révélé que l’incendie a été causé par un court-circuit dans le câblage électrique de la capsule. »

Question à l’IA :

Est-ce que des membres de la famille des astronautes brûlés dans la capsule Apollo 1 ont émis l’hypothèse que le décès n’était peut-être pas accidentel ?

« Oui, certains membres des familles des astronautes décédés dans l’incendie d’Apollo 1 ont émis l’hypothèse que le décès n’était peut-être pas accidentel.
Voici quelques exemples:
Betty Grissom, la veuve de Virgil « Gus » Grissom, a déclaré qu’elle ne croyait pas que l’incendie était accidentel et qu’elle pensait qu’il y avait eu un sabotage.
Loretta Chaffee, la veuve de Roger Chaffee, a également exprimé des doutes sur la cause officielle de l’incendie et a appelé à une enquête indépendante.
Theodore White, le frère d’Edward White, a déclaré qu’il était troublant que l’incendie se soit déclaré si rapidement et qu’il n’y ait eu aucun moyen d’évacuer la capsule.
Ces familles ont basé leurs doutes sur plusieurs éléments:
Le manque de transparence de la NASA: La NASA a été accusée de ne pas avoir été transparente dans son enquête sur l’incendie et d’avoir dissimulé des informations.
Des incohérences dans les témoignages: Il y avait des incohérences dans les témoignages des témoins de l’incendie, ce qui a jeté le doute sur la version officielle des événements.
Des questions sur la sécurité de la capsule: La capsule Apollo 1 était connue pour être dangereuse et il y avait eu des inquiétudes concernant sa sécurité avant l’incendie. »

Question à l’IA :

Le fils de gus a-t-il aussi douté, voire même proféré des accusations ?

« Oui, le fils de Gus Grissom, Scott Grissom, a également exprimé des doutes sur la cause officielle de l’incendie d’Apollo 1 et a même proféré des accusations.
Dans un livre publié en 2009, Scott Grissom a écrit que son père lui avait confié ses inquiétudes concernant la sécurité de la capsule Apollo avant l’accident.
Il a également accusé la NASA de dissimulation et de mensonge dans son enquête sur l’incendie.
En 2017, Scott Grissom a déclaré dans une interview qu’il pensait que l’incendie d’Apollo 1 avait été causé par un sabotage. »

Question à l’IA :

Est-ce que certains de ces astronautes avaient émis des doutes sur la mission et quels doutes ?

« Oui, certains astronautes d’Apollo 1 avaient exprimé des doutes sur la mission avant le tragique accident qui a coûté la vie à tout l’équipage.
Voici quelques exemples:
Virgil « Gus » Grissom: Il s’inquiétait de la sécurité de la capsule Apollo, qu’il jugeait dangereuse et sujette à des incendies. Il a même surnommé la capsule « un cercueil volant ».
Edward White: Il était préoccupé par la complexité de la mission et par le manque de temps pour s’entraîner correctement.
Roger Chaffee: Il était inquiet du manque de fiabilité du système d’alimentation en oxygène de la capsule. »

Si l’on demande à l’IA Google les noms des astronautes qui ont exprimé des doutes, les 3 les plus critiques sont ceux qui sont décédés.

L’IA nous cite en plus Borman en 1967 qui a déclaré que la mission était « un pari risqué » et qu’il y avait « une chance sur deux » de réussir et Aldrin en 1968 que l’atterrissage était « un pari à 50/50 ».

Google IA :

Avez-vous des déclarations d’Aldrin entre 1968 et le départ de la mission dans lesquelles il semble plus optimiste ?

« Oui, il existe des déclarations de Buzz Aldrin entre 1968 et le départ de la mission Apollo 11 dans lesquelles il semble plus optimiste.
Voici quelques exemples:

  • Octobre 1968: Dans une interview avec le magazine « Life », Aldrin a déclaré que « les chances de succès [d’Apollo 11] sont excellentes ».
  • Décembre 1968: Lors d’une conférence de presse, Aldrin a déclaré que « nous sommes très confiants dans notre capacité à réussir cette mission ».
  • Janvier 1969: Dans une interview avec le journal « The New York Times », Aldrin a déclaré que « nous sommes prêts à aller sur la Lune ».

Il est important de noter que ces déclarations ne signifient pas qu’Aldrin ne nourrissait plus aucun doute. Il est probable qu’il conservait des inquiétudes, mais il était également déterminé à réussir la mission.

En outre, il est important de tenir compte du contexte de ces déclarations. En 1968 et 1969, la NASA était sous pression pour réussir l’alunissage avant la fin de la décennie. Il est donc possible que les astronautes aient été encouragés à se montrer optimistes en public, même s’ils avaient des doutes en privé. »

Une autre hypothèse eut été qu’il eut été informé que le vol serait une escroquerie.

Notons que Borman aurait par la suite tenu des propos optimistes très proches de ceux d’Aldrin. Borman sera à bord de Apollo 8.

** Fin annexes **





Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait eu un virus Covid

[Source: conservativewoman.co.uk]

Par le Dr Mike Yeadon — 22 mars 2023

Le Dr Mike Yeadon est titulaire d’un diplôme en biochimie et toxicologie et d’un doctorat en pharmacologie respiratoire. Il a passé plus de 30 ans à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments dans certaines des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde, il a quitté Pfizer en 2011 en tant que vice-président et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires. Il s’agissait du poste de recherche le plus élevé dans ce domaine au sein de Pfizer. Depuis qu’il a quitté Pfizer, le Dr Yeadon a fondé sa propre société de biotechnologie, Ziarco, qui a été vendue en 2017 à Novartis, la plus grande société pharmaceutique du monde.

Je suis de plus en plus frustré par la façon dont le débat est contrôlé autour de la question des origines du prétendu nouveau virus, le SRAS-CoV-2, et j’en suis venu à ne plus croire qu’il ait jamais été en circulation et qu’il ait causé des maladies et des décès à grande échelle. Il est inquiétant de constater que presque personne n’envisage cette possibilité, bien que la biologie moléculaire soit la discipline dans laquelle il est le plus facile de tricher. En effet, il n’est pas possible de le faire sans ordinateur, et le séquençage nécessite des algorithmes complexes et, surtout, des hypothèses. En modifiant les algorithmes et les hypothèses, il est possible de modifier considérablement les conclusions.

Cela soulève la question de savoir pourquoi on accorde une telle importance à la tempête médiatique autour de Fauci, de Wuhan et d’une éventuelle évasion du laboratoire. Après tout, les « coupables » exercent un contrôle important sur les médias. Il n’y a pas de journalisme indépendant à l’heure actuelle. Ce n’est pas comme s’ils avaient besoin d’embarrasser l’establishment. Je fais remarquer aux lecteurs qu’ils ont choisi de le faire.

De qui s’agit-il quand je dis « ils » et « les auteurs » ? Il y a un certain nombre de candidats en lice pour ce poste, avec leurs complices des laboratoires pharmaceutiques, dont plusieurs sont nommés dans l’excellente série en cinq parties de Paula Jardine pour TCW, Anatomie du sinistre projet Covid. En haut de la liste, on trouve le Forum Économique Mondial et ses nombreux acolytes politiques, parmi lesquels Justin Trudeau et Jacinda Ardern.

Mais cela ne répond pas à la question de savoir pourquoi ils se concentrent sur la genèse du virus. À mon avis, ils font tout ce qu’ils peuvent pour s’assurer que vous considérez cet événement exactement comme ils le souhaitent. Plus précisément, qu’il y a eu un nouveau virus.

Je ne suis pas le seul à l’avoir cru au début de la « pandémie », mais au fil du temps, j’ai vu suffisamment de preuves pour mettre cette idée en doute. En outre, dans le cadre d’un coup d’État mondial, je me suis mis à la place des auteurs les plus hauts placés et les plus cachés. Lors d’une séance de questions-réponses, ils apprendraient que l’effet d’un nouvel agent pathogène mis sur le marché ne peut être prédit avec précision. Il pourrait s’éteindre rapidement. Ou bien il pourrait s’avérer beaucoup plus mortel qu’ils ne l’avaient prévu et détruire des civilisations avancées. Ces décideurs de haut niveau concluraient, à mon avis, que ce risque naturel leur est intolérable. Ils aspirent à un contrôle total, et le large éventail de résultats possibles d’une dissémination délibérée milite contre ce plan d’action : « Non, nous n’allons pas faire cela. Revenez avec un plan où l’incertitude sur les résultats est très réduite ».

Je pense qu’ils ont choisi d’ajouter un mensonge supplémentaire à l’énorme pile de mensonges qui a entouré toute cette affaire. Ce mensonge consiste à dire qu’il y a déjà eu en circulation un nouveau virus respiratoire qui, de manière cruciale, a provoqué des maladies et des décès à grande échelle. En fait, ce n’est pas le cas.

Au lieu de cela, on nous a dit qu’il y avait un nouvel agent pathogène effrayant et on a fait monter le porno de la peur jusqu’à l’échelle 11, et on l’a maintenu à ce niveau. Cela va de pair avec les tricheries sur les séquences génétiques, les protocoles de test PCR (sondes, amorces, conditions d’amplification et de recuit, cycles), ignorant le matériel génétique contaminant provenant non seulement de prétendues sources virales humaines, mais aussi les sources bactériennes et fongiques. Pourquoi, par exemple, ont-ils dû insérer les bâtonnets de prélèvement directement dans nos sinus ? Était-ce pour maximiser les séquences génétiques non humaines ? (NdT : Le recuit est le processus d’assemblage de l’ADN ou de l’ARN simple brin par des liaisons hydrogène pour former un polynucléotide double brin).

Il est évident que nos dirigeants politiques et culturels, y compris la défunte reine, étaient heureux de se rencontrer et de se saluer sans se tester, sans se masquer et sans prendre de distance sociale. Ils n’avaient pas peur. Dans le scénario ci-dessus, quelques personnes auraient su qu’il n’y avait pas de nouveau danger dans leur environnement. S’il y avait vraiment un agent pathogène mortel dans le pays, je ne crois pas qu’ils auraient eu le courage ou le besoin d’agir avec nonchalance et de risquer d’être exposés au virus.

Ce qui me convainc le plus, ce sont les données américaines sur la mortalité toutes causes confondues (NdT : en anglais ACM pour All Cause Mortality) par État, sexe, âge et date d’apparition, telles qu’elles ont été analysées par Denis Rancourt et ses collègues. La tendance à l’augmentation de l’ACM n’est pas compatible avec la présence d’un nouveau virus respiratoire comme cause principale.

Si j’ai raison de dire qu’il n’y a pas eu de nouveau virus, quelle idée de génie que de prétendre qu’il y en a eu un ! Maintenant, ils veulent seulement que vous vous demandiez comment ce « virus tueur » s’est retrouvé dans la population humaine. S’agit-il d’une émergence naturelle (une chauve-souris sauvage a mordu un pangolin qui a fini par être vendu sur un marché de poissons de Wuhan) ou d’une création prétentieuse d’un chercheur chinois, aidé en cours de route par un chercheur de l’université de Caroline du Nord financé par Fauci, qui ont ainsi contourné une pause présidentielle sur ce type de travaux ? La question se pose ensuite de savoir si l’arrivée du virus dans le grand public est due à une négligence et à une fuite de laboratoire, ou si quelqu’un l’a délibérément propagé ?

Je dois également souligner que les auteurs de ces actes contrôlent hermétiquement les médias de masse par le biais d’une mainmise des grandes entreprises technologiques et du gouvernement, documentée en partie ici, ici et ici. C’est pourquoi ils ont trouvé si facile de censurer des gens comme moi. Si une histoire apparaît sur plusieurs réseaux de télévision, c’est qu’ils sont d’accord avec elle ou qu’elle a été activement mise en place. Elle ne sera pas authentique. Ils ne disent jamais la vérité. Je ne pense pas qu’ils aient dit la vérité depuis le début de ce coup d’État, et probablement bien avant. La plupart des soi-disant journalistes ont perdu de vue ce qu’était la vérité.

Je pense que les auteurs (qui pourraient être tout ou partie de Gates, Fauci, Farrar, Vallance, CEPI, EcoHealth Alliance, DARPA et de nombreux autres) ont semé la controverse sur les origines du SRAS-CoV-2 parce qu’un peu d’embarras pour l’establishment était un petit prix à payer pour persuader la plupart d’entre nous qu’il devait certainement y avoir un nouveau virus alors qu’il n’y en a pas. (Et ils s’en sont tirés jusqu’à présent).

Certains de mes collègues ne croient pas que ce que l’on nous a dit (à savoir qu’un virus a été construit expérimentalement) soit même possible sur le plan technologique. Je n’ai pas les connaissances nécessaires pour évaluer cette idée. Mais pour moi, le reste tient la route d’une manière qu’aucune autre explication ne permet.

À cet égard, une ancienne cadre de l’industrie pharmaceutique, Sasha Latypova, s’adressant à Robert F Kennedy Jr dans son podcast du jeudi 16 mars dernier, décrit les nombreuses preuves des contrats et des relations qui étaient en place avant l’ère Covid. Des contrats ont été signés pour des milliards de dollars en février 2020. Non seulement la production requise n’aurait jamais lieu (il est ridicule de signer un engagement d’une telle ampleur), mais elle ne peut pas être réalisée. Elle a estimé qu’il fallait environ un kilogramme d’ADN. Il n’y a pas autant d’ADN de qualité médicale sur la planète à un moment donné. Cela s’explique par le fait qu’il est difficile à fabriquer, très coûteux, entièrement sur mesure et difficile à stocker pendant de longues périodes. En outre, les quantités d’une séquence d’ADN spécifique requises et stockées par les fournisseurs commerciaux sont de l’ordre du milligramme, voire du gramme. Il a donc toujours été impossible, quelle que soit la somme d’argent dépensée, d’accomplir ce qu’ils prétendent avoir fait en peu de temps.

Par conséquent, les faits ne permettent pas d’autre conclusion que celle d’un crime de grande ampleur, largement planifié. En soi, cela exclut l’émergence naturelle d’un agent pathogène, à moins d’une providence divine. Logiquement, il ne reste plus qu’une fuite ou, comme je l’affirme, un mensonge et une opération psychologique. La première hypothèse est possible ou non, mais ce qui n’est pas contestable, c’est qu’une telle opération pourrait être réalisée, et se déroulerait probablement sans problème, avec un véritable agent pathogène. Si un agent pathogène est libéré, on peut s’attendre à presque tous les résultats, sauf celui que l’on souhaite vraisemblablement. Je ne peux arriver à aucune autre conclusion que celle d’un faux.

Pour conclure, je ne dis pas que les gens n’étaient pas malades ou qu’ils ne mouraient pas en grand nombre. Je ne discute que des causes des maladies et des décès. Les gens ont été rendus malades et certains ont été tués par toutes les causes préexistantes, amplifiées par la peur, ce qui a entraîné une immunosuppression et une série d’actions révoltantes. Notez même le chevauchement officiel des signes et symptômes de la « Covid-19 » et des maladies existantes. Ils ont notamment réduit de 50 % les prescriptions d’antibiotiques aux États-Unis en 2020. Ils ont veillé à ce qu’un grand nombre de personnes âgées fragiles soient ventilées mécaniquement (NdT : l’intubation qui est tellement douloureuse qu’il faut anesthésier les personnes — l’État de New York en avait commandé 20 000 à General Motors pour n’en utiliser que quelques-uns, car ils se sont rendu compte qu’ils tuaient les gens), une procédure qui, chez ces sujets, est presque contre-indiquée. Certaines se sont vu administrer du remdésivir, un poison pour les reins. Dans les maisons de soins, elles ont reçu du midazolam et de la morphine, des dépresseurs respiratoires dont l’association est quasiment contre-indiquée chez les patients souffrant de difficultés respiratoires. S’ils sont utilisés, ils doivent faire l’objet d’une surveillance étroite, le plus souvent au moyen de systèmes d’alarme automatisés reliés à une surveillance cardiorespiratoire vitale, y compris une surveillance des gaz sanguins au bout du doigt. Cela ne s’est pas produit dans les maisons de soins.

Je pense que la principale raison des mensonges sur le nouveau virus est un désir de prévisibilité et de contrôle total, avec l’intention clairement exprimée de transformer la société, en commençant par démanteler le système financier par des fermetures et des congés, tandis que l’objectif pratique immédiat de la fermeture était de fournir le casus belli pour injecter au plus grand nombre de personnes possible des substances conçues non pas pour induire une immunité, mais pour exiger une inoculation répétée, pour causer des blessures et la mort, et pour contrôler la liberté de mouvement. Je suis sûr qu’ils sont satisfaits d’avoir injecté au moins 6 000 000 000 de personnes.

Notez que, bien que l’on estime que 10 à 15 millions de personnes ont été tuées par des « vaccins » toxiques, il ne s’agit là que de la première des nombreuses injections d’ARNm à venir. Tout porte à croire que les moyens de vous forcer à en accepter dix autres ont été anticipés, car c’est le nombre de doses que votre gouvernement a accepté d’acheter. Acheter quoi ? Eh bien, il a déjà été question que tous les vaccins existants soient reformatés sous forme d’ARNm. Si c’est le cas, je ne pense pas qu’une personne à qui l’on aura injecté dix doses supplémentaires échappera à la mort ou à des maladies graves limitant l’espérance de vie. Inciter votre corps à fabriquer des protéines qui ne sont pas les siennes induira axiomatiquement une attaque auto-immune de la part de votre propre corps. Votre maladie sera liée à la destination de la dose injectée et, bien sûr, à la consistance du produit injecté. Jusqu’à présent, ils ont été terriblement irréguliers. Il n’est pas certain qu’ils auraient pu être fabriqués et lancés s’ils avaient été soumis aux exigences de qualité habituelles et s’ils n’avaient pas bénéficié d’autorisations « d’utilisation d’urgence ». Bien sûr, comme nous le savons maintenant, les régulateurs (NdT : les autorités de régulation du genre FDA ou CDC) ont joué un rôle important en plus de mentir à l’armée américaine, l’organisation qui a passé les premières commandes de « vaccins » et qui a fixé toutes les conditions contractuelles pour des sociétés telles que Moderna et Pfizer.

[Note de Joseph : s’il n’y a pas assez d’ADN médical sur la planète pour les contrats vaccinaux, pourquoi y aurait-il suffisamment d’ARNm pour produire des milliards de doses de vaccins ?
Plusieurs équipes de recherche indépendantes n’ont pas trouvé de traces organiques dans les vaccins (contrairement à celles qui prétendent que des doses étaient infectées par de l’ADN animal), mais ont trouvé de la nanotechnologie à base de graphène. L’idée de l’ARNm et de la supposée protéine Spike relève visiblement de la même arnaque globale, un écran de fumée de plus pour cacher le véritable contenu (le graphène) et la réelle finalité des vaccins anticovid et les nouvelles versions graphénisées des anciens vaccins (le transhumanisme). Voir notamment Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?]

Les poulets rentrent à la maison pour se percher maintenant dans le système bancaire.

Comme je le dis toujours, je n’ai pas beaucoup de certitudes. Je n’ai pas de copie du scénario de ce qui est le plus grand crime de l’histoire. Mais, quelle que soit la nature du Covid, je ne crois pas que ce que l’on appelait la grippe ait disparu comme par hasard au début de l’année 2020. C’est un autre mensonge. C’est ce qu’ils font. C’est tout ce qu’ils font.

À ceux qui sentent que tout ne va pas bien, mais qui ne veulent pas faire le saut psychologique vers le monde diabolique dans lequel je pense que nous vivons actuellement, je signale l’asymétrie des risques. Si vous suivez le récit officiel et que j’ai raison, vous et vos enfants perdrez toutes vos libertés et probablement vos vies. Si vous croyez ce que je dis et que j’ai tort, on se moquera de vous. Ces options sont loin d’être équilibrées. Un acteur rationnel devrait cesser de croire ce qu’on lui dit. Ce n’est pas une position sûre que de garder votre conseiller et de baisser la tête. C’est la chose la plus dangereuse que vous puissiez faire.

Traduction Jean Bitterlin, 13 mars 2024




Laurence (de Russie) voyage en France

[Publication initiale : nicolasbonnal.wordpress.com]

Par Nicolas Bonnal

« Je passe, dès que surgit le soleil, des moments à lézarder, car en Russie, je manque terriblement de lumière, et elle est là, la lumière. Le ciel la déverse à pleins seaux. »

Passages des deux textes de Laurence :

Les territoires protocolaires

Le village lui-même est ravissant, mais j’ai eu un peu de mal à arriver, car tout autour, c’est un labyrinthe pavillonnaire. J’avais mis mon GPS russe, qui m’a guidée jusqu’à un parking, à peut-être 50 mètres de chez eux, mais de là où j’étais, je ne pouvais soupçonner les ruelles de pierre, les toits de tuiles, les escarpements que j’ai découverts ensuite. Je suis passée par une succession de ronds-points, de dos d’âne, de pistes cyclables, de pistes piétonnes, de massifs, de décrochements en béton pour obliger les gens à slalomer, cela me faisait penser aux billards électriques de mon enfance, ou à un parcours de maternelle. C’était plein de flèches, de rayures, de panneaux, fait pour aller d’un point à un autre, d’une façon déterminée par je ne sais quel personnage dans je ne sais quel bureau, à la limite, je m’étonnais d’être encore au volant, et non pas passivement promenée par un engin téléguidé, mais c’est certainement l’objectif ultime.

Vive la religion orthodoxe en France :

À l’entrée du monastère, cela sentait les néfliers, j’avais oublié cette odeur. J’avais même un peu oublié l’extraordinaire élévation spirituelle des offices dans la très belle église, leur ferveur, leur noblesse, et le bonheur de comprendre tout ce qui se chantait. Le lendemain, c’était le dimanche du publicain et du pharisien. Le père Théotokis a fait un sermon superbe, lorsqu’il officie, il semble qu’il ne touche plus terre. Sa voix plane comme un ange joyeux. Il nous a dit que le pharisien avait un tel ego qu’il ne laissait plus aucune place à Dieu en lui-même, qu’il considérait Dieu comme l’agent de sa propre perfection. « Le péché, expliquait-il, ce n’est pas un vice honteux ou des pratiques méchantes, qui en sont les conséquences, c’est la séparation, la séparation d’avec les autres, d’avec les animaux et la nature, avec le cosmos, avec Dieu qui en est la Source. Nous commençons à nuire à tout le monde quand nous sommes séparés les uns des autres, séparés de Dieu et de tout ce qui vit. Le publicain a une vie tout à fait déshonorante, mais il en est conscient, il est conscient que Dieu seul peut le sortir de son bourbier, alors que le pharisien se croit parfait. Apprenons à être au moins de bons pécheurs, la prière ne peut souvent plus entrer en nous que par le chemin des égouts de nous-mêmes ».

Complotisme en forme

Les paroissiens du monastère m’ont accueillie par de grandes exclamations : « Les Russes t’ont laissée sortir ! » Bah oui… Je ne suis pas encore au GOULAG. Photinia, qui était une ermite complètement détachée du monde, se retrouve en première ligne du combat anti covicircus, antivax, complotiste, et ne jouit pas toujours d’une grande compréhension. Je n’en croyais pas mes yeux, quand j’ai vu sa voiture couverte de slogans. Elle est infirmière en EPHAD et subit toutes les persécutions qui frappent les soignants récalcitrants depuis le début de l’affaire. « Ces gens n’ont pas d’âme, me dit-elle, et il ne faut pas exclure de finir sa vie en prison, ou pire, comme les saints martyrs de Russie. »

Bénédiction

Sa terrasse domine tout le pays, les rues anciennes, l’église, et les pavillons. Le vieil homme m’a demandé de dire aux Russes que tous les Français ne leur étaient pas hostiles, et quand j’ai demandé sa bénédiction, il m’a pris la tête entre ses mains, l’a attirée sur son épaule et m’a dit : « Je te bénis avec tous ceux que tu aimes et tous ceux qui t’aiment, petit enfant, que le Seigneur vous prenne tous dans sa miséricorde et sa tendresse ». Cet être lumineux est complètement ignoré de son entourage, à l’exception de ses amis belges.

Imprudence avec la hippie

Après, j’ai réussi à voir une encore jolie dame de ma génération, écolo hippie d’autrefois, qui a eu la chance de trouver un pavillon provençal de base, pas trop loin du monastère, et ce pavillon a un avantage inattendu, un morceau de nature vierge juste derrière. Le jardin, avec petits massifs et gros mimosa, les anciens propriétaires l’ont fait devant, et elle le conserve et l’aménage, mais elle a encore quatre cents mètres carrés derrière de végétation originelle, c’est comme un petit miracle. Les choses ont failli se gâter quand, oubliant où je me trouvais, j’ai parlé de la guerre, car cette amie est une fervente militante bleue et jaune, je l’ai vu au reflet à la fois sauvage et égaré qui est passé dans ses yeux, et j’ai détourné la conversation sur les plantes, les fleurs et les infusions thérapeutiques.

Russie sans soleil

Son quartier est tranquille, des pavillons de style pseudo-provençal qui, dans leur banalité, ont au moins une espèce d’homogénéité, mais qui dégagent un ennui sans issue. On rencontre, en promenant le chien, des gens fort aimables. Je passe, dès que surgit le soleil, des moments à lézarder, car en Russie, je manque terriblement de lumière, et elle est là, la lumière. Le ciel la déverse à pleins seaux.

Bourgeois arabes bien élevés

… nous avons fait le tour du centre de Pierrelatte, qui est complètement sinistré. La plupart des magasins que je connaissais ont fermé, les rues sont vides, on y voit circuler essentiellement des voitures. Je me suis souvenue de photos que j’avais faites au début des années 2000, il y avait encore des jardinières de fleurs partout, et une certaine vie. Maintenant, c’est terminé. Dans les supermarchés errent de vieux Français et le reste des clients, ce sont des femmes voilées, leurs enfants, leurs ados, leurs maris. Pendant que des Françaises se réjouissent bruyamment de l’officialisation constitutionnelle de l’avortement, la nouvelle population se reproduit frénétiquement, j’ai vu passer une mère exotique pourvue de cinq garçons d’âges divers. J’avais parfois l’impression de voir des moniales orthodoxes, mais non, c’est la nouvelle société, et pour être juste, on a plus d’allure avec un voile de matrone romaine sur une robe décente qu’avec des cheveux bleus et des joggings avachis. L’avion marocain était bourré de bourgeois arabes, qui parlaient un français impeccable et portaient des fringues tout ce qu’il y a de plus chic. Un joli petit garçon répétait sans arrêt les deux ou trois mots d’arabe qu’il avait appris dans sa famille, au pays : « Salam aleikum », « Allah akbar », il se montrait prévenant avec la vieille que je suis. À l’issue de cette promenade dans les ruelles vides, nous avons rendu visite au petit coiffeur qui m’adore, et qui travaille avec son mari.

Petits-enfants et changement de genre

Je suis allée voir une amie d’école que j’aimais beaucoup, pour son intelligence, son bon sens, son humour et son indépendance d’esprit. Nous avions en commun notre amour de Brassens et du monde paysan. Elle habite aussi un pavillon pseudo-provençal, derrière la ferme de ses parents, qu’habite son frère. Nous avons évoqué le bon vieux temps avec tendresse, examiné ses plantations, puis elle m’a fait comprendre avec délicatesse que Poutine était un affreux dictateur. Oui, bon… Et Macron, non ? Enfin, passons. Ensuite, elle m’a parlé de ses petits-enfants. Elle a une petite fille lesbienne, bon, c’est son choix, et une autre qui fait une transition de genre, avec les mutilations et les drogues qui vont de pair, et là, ça passe moins bien, et je le comprends.

https://chroniquesdepereslavl.blogspot.com

https://chroniquesdepereslavl.blogspot.com/2024/03/un-petit-tour-en-france-2-solan.html

https://www.dedefensa.org/article/gustave-flaubert-et-notre-eschatologie-francaise




DARPA, une Agence MILITAIRE qui travaille sur nos CERVEAUX

[Source : Oz Réinfo]

Dans ce court documentaire de 2021, plusieurs scientifiques américains dévoilent les technologies d’interfaces cerveau-ordinateur étudiées par le DARPA (Agence des Projets de Recherche Avancée de la Défense US) et les travaux sur le contrôle mental.

Nous y voyons les premières utilisations d’appareils et de puces implantables pour le couplage avec ces interfaces. Le projet Pandora de la CIA de contrôle mental par ondes électromagnétiques y est déclassifié après des décennies de ridiculisation en théorie du complot.

Source et Traduction :
Nico Cible https://odysee.com/@nicocible:4/DARPA-Agence-MILITAIRE-CERVEAU-2021:e

Vidéo d’origine : America’s Book Of Secrets: DARPA’s Secret Mind Control Technology (Season 4) | History
https://www.youtube.com/watch?v=wZRkfBsTTt8

[Note de Joseph :
Je prends pour ma part avec un gros grain de sel la mention de l’utilisation de la technologie CRISPR dans l’idée de modifier l’ADN afin de rendre l’Homme plus contrôlable mentalement. D’une part il existe déjà des brevets divers en but du contrôle mental, certains par des ultrasons et d’autres par ondes électromagnétiques, avec ou sans implants cérébraux (voir le dossier Implants numériques et contrôle mental). Et d’autre part, une telle mention, comme dans le cas de la supposée protéine Spike des vaxins dits à ARNm, a de fortes chances de constituer un bon écran de fumée pour empêcher le public de prendre conscience de la nanotechnologie à base de graphène détectée par plusieurs équipes de chercheurs dans lesdits vaccins, nanotechnologie capable de franchir la barrière hématoencéphalique et de se greffer sur les neurones pour transformer l’Homme en transhumain partie intégrante de l’Internet des corps (lorsque la 6G sera établie. La 5G réalise l’étape préalable de l’Internet des objets et permet de tester cette nanotechnologie. Voir notamment Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ? ).]






Qui dirige les pays occidentaux ? Faut-il désespérer de la politique ?

[Source : altersexualite.com via Profession Gendarme]

Par Lionel Labosse

Voici une brève séance de « Former l’esprit critique » que j’ai proposée à mes étudiants et qui les a intéressés. Je rappelle que je m’inscris dans le cadre des ressources de l’Éducation nationale que l’on trouve sur cette page (ce qui n’empêche pas qu’on peut se faire dénoncer, mais j’ai la chance d’avoir un public de classes populaires, qui globalement ont un niveau de bons sens dix fois supérieur à la plupart de mes collègues et voisins parisiens).
Lors de ces séances que je propose en apéritif à mes cours, échauffement des neurones, j’aborde avec réticence la politique, mais comme nous sommes en année électorale et que certains vont voter pour la première fois, j’essaie de les motiver. Voici un ensemble de courtes séquences vidéos dont je leur ai proposé de faire la synthèse en quelques phrases, et j’ai donc été étonné pour une fois que plusieurs aient donné leur opinion alors que d’habitude ils comptent les mouches au plafond. Je vous propose le même exercice. Je vous proposerai ma synthèse en fin d’article, mais faites la vôtre avant de regarder la mienne. Si la vôtre vous semble meilleure, n’hésitez pas à me l’envoyer, je reverrai ma copie. Attention, « synthèse » cela veut dire « concis », donc pas de dissertation, juste un condensé frappant des idées !

  1. Ce qui a valu des soucis à Jean-Claude Bourret… 1994 :



Jean-Claude Bourret est un ancien présentateur du JT, qui a connu une grande notoriété. Il vient de publier ses mémoires, et il est toujours complotiste.

  1. Liz Truss : « Le gouverneur de la Banque d’Angleterre a plus de pouvoir que le Premier ministre ». Liz Truss a été un éphémère 1er ministre du Royaume-Uni, entre Boris Johnson et Rishi Sunak. Elle s’exprime ici le 22 février 2024 au micro de Steve Bannon, à l’occasion d’un meeting de Donald Trump, d’où l’allusion au slogan de Trump, « MAGA » (Make America Great Again).
    « Ce que j’ai découvert, c’est que je ne tenais pas les leviers », a révélé l’ex-Premier ministre à Steve Bannon. « Ce que j’ai découvert en arrivant au 10 Downing Street, c’est que je pensais que si j’arrivais au sommet, je serais en mesure de mettre en œuvre ma politique. Les leviers étaient détenus par la Banque d’Angleterre », a constaté la candide Liz, débarquée après seulement 45 jours au « pouvoir ». Elle avait fait l’objet d’un pari sarcastique basée sur un calembour sur son nom, un combat contre une laitue (« lettuce » en anglais).



  1. En 2016, Alain Minc (vieille crapule invitée 500 fois par an sur les plateaux télé pour ses livres que personne ne lit) nous parlait déjà d’Emmanuel Macron et de son « métier de pute » au service de David de Rothschild. Extrait d’une émission d’Envoyé Spécial.

  1. Extrait de L’incroyable saga des Rothschild : le pouvoir d’un nom, rare émission consacrée à David de Rothschild (7’30), qui date de 2020, mais a été récemment mise en ligne sur YouTube. Écouter une minute à partir de 7’30.

  1. Vidéo sur la victoire de George Gallaway, candidat indépendant (qui n’est affilié ni au parti conservateur, ni au parti travailliste), élu de façon inattendue lors d’une élection législative partielle à Rochdale (banlieue de Manchester) le 29 février 2024. Il répond à un journaliste typique des médias du système le lendemain de son élection. Si vous faites une recherche sur l’élection de ce député vous tomberez sur une avalanche de réactions indignées de Rishi Sunak et toute la clique de vendus qui dirigent le Royaume-Uni.

« Vous parlez du Premier ministre comme s’il était Moïse » : à peine élu, le député George Galloway — critique d’Israël et de l’OTAN — fait déjà trembler Londres. « Ne me parlez pas de Rishi Sunak comme s’il était descendu de la montagne avec des tablettes de pierre », a lancé le nouveau député de Rochdale, pris à partie par le Premier ministre dans la foulée de son élection. « Je viens d’être élu avec une majorité écrasante. Pourquoi est-ce difficile pour vous à comprendre ? »

Voici la synthèse que je vous propose :
« On sait depuis fort longtemps, grâce à quelques esprits éclairés de complotistes courageux comme Jean-Claude Bourret, que notre démocratie est une illusion, et que c’est en réalité banque & finance qui dirigent les gouvernements occidentaux. Liz Truss l’a confirmé récemment en tirant les conclusions de son bref passage au 10 Downing Street. En France, Alain Minc, le faiseur de rois, a déclaré, en résumé, que Macron est la “pute” de David de Rothschild. Or ce dernier est le plus puissant banquier de la City de Londres, et en même temps règne sur la banque à Paris, et Macron est sa marionnette. Donc, à Londres comme à Paris, ce ne sont pas les politiques, mais c’est la finance qui dirige. Faut-il alors désespérer et ne plus voter ? Non, car grâce à un début de prise de conscience des peuples consécutive au “risque de génocide” en cours à Gaza, un candidat hors-système (enfin apparemment, car cela reste un politique et il faudrait mieux connaître ses antécédents pour être sûr) peut créer la surprise et déboussoler complètement un journaliste lui aussi pute du système.
Le covid, la guerre en Ukraine et maintenant la tentative de génocide à Gaza, ont réveillé de nombreux esprits partout dans le monde, et les putes du système partout en Occident s’agitent comme des canards sans tête, mais il se peut qu’ils soient en train de perdre la partie, car comme dit un vieux proverbe chinois : “complotiste un jour, complotiste toujours !” ».

Voir mon article « Londres 2024 : George Orwell l’avait pensé, le Brexit l’a fait ».

[Voir aussi :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Rothschild : les maîtres de la finance mondiale
Quelles sont les structures de pouvoir qui gouvernent le monde ?
« …des banquiers et des industriels qui, réduisent le monde entier à l’esclavage. » – Louis McFadden
La face cachée du pouvoir : « Ils sont intouchables ! »
Les projets des Maîtres du Monde
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Le monde dans le filet de la franc-maçonnerie]




Les USA et l’OTAN risquent une guerre nucléaire en se préparant à attaquer la Russie

[Source : World Socialist Web Site]

Déclaration du comité de rédaction du WSWS

Face à la détérioration de la position militaire de l’Ukraine et aux avancées significatives des forces russes, les puissances de l’OTAN menacent d’une escalade massive de la guerre avec l’envoi direct de troupes de l’OTAN sur le territoire ukrainien et des frappes contre les infrastructures et les villes russes.

Sur cette photo fournie par le ministère sud-coréen de la Défense,
un missile Taurus vole lors d’un exercice au large de la côte ouest du pays en Corée du Sud,
le mercredi 13 septembre 2017.
[AP Photo/Ministère sud-coréen de la Défense]

Après un retrait d’Avdiivka, les forces ukrainiennes se replient à nouveau. Au milieu de pertes massives, l’armée ukrainienne ne peut pas recruter de remplaçants sur le front. « Zelensky est dans l’impasse sur la façon d’enrôler plus de troupes au fur et à mesure que les forces russes avancent », titrait dimanche le New York Times.

La semaine dernière, les membres des gouvernements de quatre membres de l’OTAN — la France, le Canada, les Pays-Bas et la Lituanie — ont déclaré qu’ils envisageaient d’envoyer des troupes de combat pour combattre la Russie en Ukraine. Puis, vendredi, les médias russes ont publié une discussion divulguée entre les chefs militaires allemands sur l’utilisation d’armes allemandes à longue portée pour frapper la Crimée. En même temps, le gouvernement britannique a avoué avoir envoyé un « petit nombre » de troupes en Ukraine.

Cette escalade irresponsable de la guerre procède sans aucune explication publique de ce que prévoit l’OTAN, encore moins de reconnaissance franche des conséquences potentiellement catastrophiques de l’envoi de forces en Ukraine et d’attaques contre la Russie.

Rejetant l’avertissement explicite lancé la semaine dernière par Poutine, qui a déclaré qu’une intervention directe de l’OTAN en Ukraine pourrait conduire à l’usage d’armes nucléaires, les dirigeants et les médias de l’OTAN se moquent du danger et affirment que Poutine fait du bluff.

[NDLR Pourtant, en Russie, contrairement aux USA, on ne joue pas au Poker, mais plutôt aux échecs.]

Rien ne justifie une telle complaisance. L’administration Biden et ses alliés européens sont engagés dans un jeu de roulette russe nucléaire incroyablement téméraire.

Oubliant apparemment qu’au début de la guerre, en février 2022, ils déclaraient que l’intervention directe de l’OTAN signifierait une troisième guerre mondiale, les dirigeants impérialistes disent à présent que la Russie ne ripostera pas, même face à une attaque directe. De plus, même s’il existe la possibilité d’une contre-attaque massive, ils déclarent que l’OTAN ne doit pas être dissuadée par ce danger.

Un argument avancé dans les médias et par les think tanks est que l’OTAN a commis une faute en exprimant son inquiétude quant à l’escalade de la guerre en Ukraine vers une guerre nucléaire avec la Russie.

« Se plier au chantage nucléaire de Poutine rend la guerre nucléaire plus probable », dit Peter Dickinson de l’Atlantic Council, un think tank américain. « L’Ukraine a souvent dénoncé le bluff de Poutine, exposant la vacuité des fanfaronnades nucléaires du dictateur russe. » Il a conclu, « Si l’Ukraine refuse de se laisser intimider par le chantage nucléaire de Poutine, on ne peut pas en dire autant de l’Occident… La peur occidentale d’une escalade est le grand obstacle. »

En Allemagne, le Frankfurter Allgemeine Zeitung écrit que la menace russe d’utiliser l’arme nucléaire « ne sera pas réalisée. Pas même si, comme cela arrive régulièrement, des missiles de croisière américains et britanniques attaquent des cibles militaires dans le territoire ukrainien annexé par la Russie, y compris la Crimée. » L’Institut Lowy, un think tank pro-OTAN australien, dit : « La question clé est de savoir si l’Occident appellera le bluff de Poutine ou cédera à sa posture nucléaire à enjeux élevés, une décision qui façonnera l’issue du conflit. »

En affirmant publiquement que Poutine ne fait que bluffer, l’OTAN l’incite à réagir de manière agressive et à dénoncer son erreur de calcul.

Tout en affirmant haut et fort que la Russie ne répondra pas, les stratèges américains et européens évoquent la possibilité d’une escalade nucléaire. Le New York Times a commencé à publier dimanche une série d’articles d’opinion extraordinaires sous le titre « Au bord du gouffre », axé sur « la menace des armes nucléaires dans un monde instable ».

Le journaliste qui dirige cette série, W. J. Hennigan, l’a lancée avec une chronique, « Le bord », qui commence par déclarer :

« S’il semble alarmiste d’anticiper les conséquences horribles d’une attaque nucléaire, considérez ceci : les gouvernements des États-Unis et de l’Ukraine ont planifié ce scénario depuis au moins deux ans. »

À l’automne 2022, écrit-il, « une évaluation par le renseignement américain a estimé à 50 pour cent les chances que la Russie lance une frappe nucléaire pour arrêter les forces ukrainiennes si elles violaient sa défense de la Crimée ». Il ajoute qu’avant, « l’administration Biden avait demandé à un petit groupe d’experts et de stratèges, une “Équipe tigre”, de concevoir un nouveau “playbook” nucléaire ».

En annonçant la campagne présidentielle du Parti de l’égalité socialiste, le dirigeant national du SEP (États-Unis), David North, a déclaré :

« Les puissances de l’OTAN ont dit plusieurs fois que la menace du feu nucléaire ne les dissuaderait pas de poursuivre la guerre. Ainsi on normalise le recours délibéré aux armes nucléaires tactiques et stratégiques, rejeté pendant des décennies comme étant synonyme de folie, mais à présent traité de composante légitime de la stratégie géopolitique impérialiste ».

La guerre est poussée à une échelle beaucoup plus grande et plus sanglante. Tout cela se fait dans le dos de la population, en s’appuyant sur la désinformation. Lundi, l’État allemand a menti de manière flagrante, affirmant qu’une convocation d’urgence de l’ambassadeur allemand au ministère russe des Affaires étrangères n’avait rien à voir avec les discussions divulguées sur les missiles allemands ciblant la Crimée.

La classe dirigeante ment, car elle veut être libre de mener à bien ses complots militaires. Il y a déjà une large opposition parmi les travailleurs et les jeunes à l’escalade militaire. Selon les sondages, 68 pour cent des Français et 80 pour cent des Allemands s’opposent à l’envoi de troupes européennes en Ukraine combattre la Russie que propose Macron. Dans la mesure où des masses de gens aux États-Unis et dans tous les pays de l’OTAN prennent conscience de ce qui se passe, cette opposition va s’accroître.

Le World Socialist Web Site dénonce la conspiration de l’impérialisme otanien pour entraîner l’humanité dans une catastrophe nucléaire. Il faut ôter le pouvoir à ces fauteurs de guerre. Leurs actes menacent de détruire la civilisation humaine. Il faut organiser des manifestations de masse dans tous les pays pour exiger le retrait total des forces de l’OTAN d’Ukraine et la fin immédiate du conflit. Il faut lier ceci au développement d’un mouvement anti-impérialiste dans la classe ouvrière internationale, contrant la barbarie capitaliste avec le programme de la révolution socialiste mondiale.




Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?

[Source : JSF – TV]

Une émission du Dr Éric Loridan

Invités : Astrid Stuckelberger & Ricardo Delgado de la Quinta Columna.

Sujet. Nanotechnologie dans les vaccins : guerre ouverte contre les peuples ?

Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger sont les voix principales de la Résistance et de la dissidence. Les plus crédibles, les plus intègres, les plus compétentes. Grâce à leurs expertises nous avons la confirmation que ces prétendus « vaccins » ne sont qu’un concentré de nanotechnologie et constitue de fait, un danger mortel pour la santé.

Ricardo et Astrid abordent le sujet tabou sur le graphène et démontrent que cette campagne d’injections n’est rien d’autre qu’une machination criminelle à l’échelle planétaire. Un crime contre l’humanité construit sur le plus grand mensonge de l’Histoire.

« Il faut frapper le Serpent à la tête… » dit Ricardo…

[Voir aussi notamment :
Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?
« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Débarrasser le corps du graphène
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur]






COVID-ARNAQUE — Royaume-Uni : pas de Covid, mais un meurtre de masse par le Midazolam

Source : La cause du peuple

Par Ben Bartee

Un homme politique australien publie des preuves du meurtre potentiel par le gouvernement britannique de dizaines de milliers de personnes âgées hospitalisées pour augmenter le nombre de « décès causés par Covid ».

Le directeur national du United Australia Party, Craig Kelly, a fait des allégations choquantes, voire surprenantes, contre le NHS en Grande-Bretagne.

Via Slay News :

Un nouveau rapport explosif a provoqué une onde de choc dans le monde entier après qu’une enquête sur le nombre élevé de « décès dus au Covid » pendant la pandémie a révélé des preuves que des dizaines de milliers de personnes âgées ont en fait été assassinées pour augmenter les taux de mortalité.

Les données produites pour le rapport indiquaient que des personnes étaient euthanasiées au moyen d’une injection mortelle de Midazolam.

La cause de leur décès a ensuite été répertoriée comme « Covid », indiquant que le virus tuait beaucoup plus de personnes âgées qu’il ne l’était réellement.

Les données explosives du rapport ont été rendues publiques par le politicien australien Craig Kelly, directeur national du United Australia Party.

Le rapport a obtenu des données officielles du gouvernement britannique sur les taux de mortalité et leurs causes.

Les données semblent montrer qu’un grand nombre de personnes âgées ont été assassinées par une injection du médicament en fin de vie Midazolam.

Selon Kelly, les patients ont été euthanasiés afin d’augmenter les « décès dus à Covid » et d’accroître la peur du public afin d’obtenir un soutien en faveur du confinement et des vaccins.

Tout en alertant le public sur ces données, Kelly a déclaré qu’elles révélaient « le crime du siècle ».

Extrait du rapport préimprimé, « Décès excessifs au Royaume-Uni : Midazolam et euthanasie dans la pandémie de Covid-19 » :

Les macrodonnées pendant la pandémie de Covid-19 au Royaume-Uni présentent des anomalies de données importantes et des incohérences avec les explications existantes.Cet article montre que le pic de décès au Royaume-Uni, attribué à tort à la pandémie de COVID-19 en avril 2020, n’était pas dû au virus SRAS-CoV-2, qui était largement absent, mais à l’utilisation généralisée des injections de Midazolam, qui étaient statistiquement très fortement corrélées (coefficient supérieur à 90 %) à la surmortalité dans toutes les régions d’Angleterre au cours de l’année 2020…

L’utilisation répandue et persistante du Midazolam au Royaume-Uni suggère une possible politique d’euthanasie systémique.

Le midazolam, une benzodiazépine (la même classe de médicaments qui comprend le Xanax et le Valium), est souvent utilisé pour endormir les patients hospitalisés en soins intensifs. C’est également — et quiconque a une vaste expérience directe des benzos comme moi peut en témoigner — extrêmement dangereux, en particulier lorsqu’il est directement introduit dans la circulation sanguine, comme cela se serait produit à grande échelle, comme procédure opératoire standard pour les patients hospitalisés atteints de Covid, dans les hôpitaux britanniques tout au long de 2020 et 2021.

[Voir aussi :
Pendant la Covid et le confinement, le gouvernement tuait les aînés
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?
France — Le « décret Rivotril » un génocide organisé
Le scandale du Rivotril]

Via MédecinePlus :

L’injection de midazolam peut provoquer des problèmes respiratoires graves, voire potentiellement mortels, tels qu’une respiration superficielle, ralentie ou temporairement arrêtée, pouvant entraîner des lésions cérébrales permanentes ou la mort. Vous ne devez recevoir ce médicament que dans un hôpital ou un cabinet médical disposant de l’équipement nécessaire pour surveiller votre cœur et vos poumons et pour fournir rapidement un traitement médical vital si votre respiration ralentit ou s’arrête. Votre médecin ou votre infirmière vous surveillera de près après avoir reçu ce médicament pour s’assurer que vous respirez correctement. Informez votre médecin si vous avez une infection grave ou si vous avez ou avez déjà eu des problèmes pulmonaires, des voies respiratoires ou respiratoires ou une maladie cardiaque. Informez votre médecin et votre pharmacien si vous prenez l’un des médicaments suivants : antidépresseurs ; les barbituriques tels que le sécobarbital (Seconal) ; dropéridol (Inapsine) ; médicaments contre l’anxiété, la maladie mentale ou les convulsions ; médicaments opiacés contre la toux comme la codéine (dans Triacin-C, dans Tuzistra XR) ou l’hydrocodone (dans Anexsia, dans Norco, dans Zyfrel) ou pour la douleur comme la codéine, le fentanyl (Actiq, Duragesic, Subsys, autres), l’hydromorphone (Dilaudid , Exalgo), mépéridine (Demerol), méthadone (Dolophine, Methadose), morphine (Astramorph, Duramorph PF, Kadian), oxycodone (dans Oxycet, dans Percocet, dans Roxicet, autres) et tramadol (Conzip, Ultram, dans Ultracet) ; sédatifs ; somnifères ; ou des tranquillisants.

Cela représente beaucoup de contre-indications mortelles pour une population occidentale plus âgée, statistiquement susceptible de prendre beaucoup de médicaments pharmaceutiques.

Je ne suis pas médecin — je suis un simple « théoricien du complot », un journaliste spécialisé dans le « terrorisme intérieur », et j’en suis fier — mais il n’est pas nécessaire d’avoir fait des études de médecine pour comprendre que les benzodiazépines sont très rarement des interventions médicales bien conçues, surtout lorsqu’elles sont administrées par voie intraveineuse à un patient âgé qui a déjà du mal à respirer sous respirateur.

Si les accusations sont fondées, le midazolam aurait été une méthode d’exécution parfaite, car il est fréquemment utilisé dans ce type d’environnement (pour ne pas éveiller les soupçons) et il est difficile d’attribuer la cause du décès au midazolam plutôt qu’au COVID, surtout dans le contexte d’une ignorance délibérée. Dans le domaine des relations internationales, ce dilemme est appelé « brouillard de guerre », en référence à la difficulté d’attribuer correctement la source d’une attaque en temps réel sur le champ de bataille.

4 mars 2024

Extrait de prose d’Armageddon

Ben Bartee, auteur de Broken English Teacher : Notes From Exile, est un journaliste américain indépendant basé à Bangkok, aux pouces opposables.




Organisation Mafieuse de la Santé

[Source : Ye shall know the truth]

[Note de Joseph : dans la partie consacrée à la grippe porcine, le reportage reste influencé par l’hypothèse virale, ce qui ne peut en définitive que conforter l’OMS et l’industrie pharmaceutique (même si l’influence de cette dernière est évoquée) qui est à l’origine de cette fraude scientifique et du maintien des croyances liées, par son contrôle sur le domaine de la santé en général et sur la formation des personnels soignants en particulier. Voir :
Les Remèdes Naturels qu’« ILS » ne veulent pas que vous connaissiez
La médecine moderne : un château bâti sur du sable ?
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio]






Trudeau bientôt en prison pour haute trahison ?

[Note de Joseph : Pierre Poilievre sera(it) peut-être moins corrompu et moins woke que Trudeau, mais il apparaît avoir des choix politiques tout aussi complètement dans le Système et croit aussi à l’hypothèse virale, pierre angulaire des mesures sanitaires et seule justification d’une probable prochaine plandémie. Tant que cette théorie réfutée scientifiquement il y a 70 ans(([1] Voir le dossier Vaccins et virus
et particulièrement UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)
et C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !.
Les prétendus virus (jamais scientifiquement isolés et caractérisés) soi-disant augmentés ne parviennent à rendre malades les animaux cobayes que lorsque la mixture empoisonnée censée les contenir est directement injectée dans l’organisme de ces derniers — leur euthanasie subséquente est ensuite déclarée comme mort causée par ledit « virus ».)) est promue par l’industrie pharmaceutique et par la grande majorité des personnels soignants, l’Humanité ne sera pas sortie du bois(([2] pas sortie d’affaire
ou pas sortie de l’auberge.)). J’espère me tromper, sinon celle-ci va en baver bien davantage qu’avec la Covid, car les mesures de censure et de rétorsion contre les résistants, les lanceurs d’alerte, et les alternatifs réels sont déjà préparées dans nos pays prétendument « démocratiques ».]