06/09/2021 (2021-05-11)
Par Nicole Delépine
Si vous arrivez à écouter cette chanson sans quelques larmes, alors fermez tout, partez sur une île déserte ou une baraque en haut d’une montagne, quelques jours sans médias, sans journaux, sans voisins, sans collègues et sans commerçants.
Personne, personne autour de vous, isolez-vous dans une cabane sans confort, quelques jours pour vous retrouver et réaliser ce que nous avons fait ensemble aux enfants, aux bébés incapables de reconnaître les visages de leurs nurses, aux étudiants dont certains entraient pour la première fois dans une chambre de quelques m² loin du cocon familial, aux soignants auxquels on a laissé croire qu’interdire les médicaments était logique, les conduisant à l’impasse psychologique et au désespoir, aux adultes auxquels on a fait croire qu’il fallait refuser les visites à leurs vieux parents enfermés non coupables sans amour, aux enfants – le pire – qu’ils faisaient courir un risque à leurs familles s’ils jouaient avec un camarade dans la cour d’école.
Et pourquoi, pour qui, pour obéir à quelques angoissés délirants inconscients ou indifférents au mal qu’ils allaient engendrer sur plusieurs générations ?
Nous avons laissé faire, plus ou moins, mais laissé faire de fait, puisque nous en sommes encore là quatorze mois plus tard et que des patients contaminés (par les vaccinés ou pas) se retrouvent avec une prescription de Doliprane parce que le docteur a peur. Peur de quoi ? De devoir se suicider bientôt quand il réalisera qu’il a laissé mourir des malades pour rien, pour avoir eu peur d’un « ordre » qui aurait dû se taire rapidement si une majorité de collègues avait parlé haut et fort !
Certes, certains d’entre nous ont essayé de parler, d’informer mais nous n’avons pas trouvé les mots pour toucher les proches, les voisins, les amis, les lecteurs, les auditeurs des nombreuses petites chaînes web qui pourtant donnaient la parole à ceux qui sentaient le drame s’étendre.
Nous en sommes venus, pour certains, trop nombreux, à décider de ne plus parler de « ça » avec des frères, des parents, des beaux-parents pour ne pas se « fâcher ». Vous aurez, nous aurons la guerre et le déshonneur.
Nous avons plus ou moins essayé de combattre la bête immonde qui montait inexorablement, relu les auteurs qui l’avaient si bien décrite, de Hannah Arendt à Orwell et Huxley, mais raté notre alerte trop basse, trop peu audible, trop douce, trop bienveillante dans un monde de brutes.
Et maintenant les enfants de six ans sont handicapés par le masque pour apprendre à lire, à parler, alors que nous savions tous d’emblée que les enfants n’attrapaient pas le covid et ne le transmettaient pas. Ils étouffent et nous regardons ailleurs après avoir signé une pétition de bonne conscience.
Les articles sur Nexus, France soir et quelques autres médias résistants mais tellement minoritaires le répétaient, mais sans les mots adaptés probablement pour combattre l’hydre de la désinformation permanente qui continue à démolir tous les papiers qui expliquent, rassurent, combattent, encore aujourd’hui alors que la sidération est passée, que beaucoup savent.
Nos parents, à nous babyboomers, nous ont donné une enfance paisible, évitant les récits trop durs de la guerre mondiale qu’ils venaient de vivre. Nous aurions dû comprendre que 70 ans de paix ne pouvaient durer sans terreur, sans drame, que ce qui s’était vécu à quelques centaines de km de nous en Serbie, au Kosovo ou ailleurs nous concernait et que nous ne sommes protégés d’aucune horreur, d’aucun totalitarisme. Se mettre la tête dans le sable n’a jamais sauvé une autruche.
Vous savez tout cela finalement, même si votre cerveau vous refuse encore de l’accepter.
Alors aujourd’hui je ne répéterai qu’une chose, ne laissez pas vos enfants se faire tester inutilement deux fois par semaine. L’énorme angoisse que vont leur entraîner ces prélèvements récurrents impossibles à leur expliquer sans les affoler, et le drame d’un « positif » éventuel qui fermera la classe « par sa faute », alors que nous savons que ces tests sont faux,1 non fiables, même de l’avis de l’OMS en janvier 2021.
Et pire encore, ne les laissez pas vacciner par ces molécules expérimentales aux 230 composants et plus, jamais testées sérieusement, dont les risques immédiats filtrent dans les journaux et dont les risques à moyen et long terme sur leur fertilité, leur immunité, etc. sont INCONNUS.
Alors que vos enfants ne risquent rien du Covid-19 et qu’ils ne peuvent donc pas tirer le moindre bénéfice des prétendus vaccins
Écoutez cette chanson, pleurez un bon coup, autant que nécessaire et enfin réveillez-vous et réagissez.
Il n’y aura pas de tests à l’école si les parents en majorité refusent ces examens.
Il n’y aura pas de vaccination des enfants si VOUS refusez l’inconnu pour vos petits.
Il n’y aura pas de passeport sanitaire si les Français se rappellent enfin qu’ils sont des hommes responsables qui doivent décider de leur destin et ne sont pas les robots que les dirigeants et leurs amis milliardaires souhaiteraient qu’ils deviennent.
Les pays européens qui ont refusé les restrictions de liberté prétendument sanitaires inefficaces comme la Finlande, la Biélorussie, les Pays-Bas ou la Suède ont de bien meilleurs résultats Covid-19 que nous.
Des pays entiers sont libérés, le Texas et les quatre cinquièmes des USA et bien d’autres. Soyons ou plutôt redevenons les dignes enfants de nos illustres ancêtres, faisons respecter les libertés qu’ils ont chèrement léguées.
Nicole Delépine
[Note de Joseph : Il n’y a pour l’instant malheureusement pas beaucoup de monde à vraiment réaliser ce qu’il se passe, à regarder les choses en face et à vouloir trouver et utiliser La clef de la libération, car notamment cette dernière demande des efforts et plus les gens ont vécu dans le confort matériel et l’éloignement de toute religion et de toute spiritualité authentique, plus ils demandent avant tout de rester dans leur confort physique, émotionnel, mental et faussement moral. Il semble bien que nous soyons très proches de l’époque de la « moisson » (voir L’épée, le bon grain et l’ivraie).]
⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.
- [1] Chez les asymptomatiques, un test PCR positif avec le nombre de séances d’amplification trop élevé fait en France ne signifie dans 97 % des cas ni que vous êtes porteur de virus, ni que vous serez malade, ni que vous êtes ou serez contagieux.[↩]