LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires

[Source : Hal Turner Radio Show]

J’ai reçu cela d’un membre élu du gouvernement canadien qui est consterné par les projets du Cabinet du premier ministre (PMO) pour nos voisins du Nord. C’est un cauchemar qui se déroule!

« Je veux vous fournir des informations très importantes. Je suis membre du comité du Parti libéral du Canada. Je siège dans plusieurs groupes de comités, mais les informations que je fournis proviennent du comité de planification stratégique (qui est dirigé par le cabinet du premier ministre).

Je dois commencer par dire que je ne suis pas heureux de faire cela , mais je le dois, en tant que Canadien et surtout en tant que parent qui veut un avenir meilleur non seulement pour mes enfants, mais aussi pour les autres enfants.

L’autre raison pour laquelle je fais cela, c’est parce qu’environ 30% des membres du comité ne sont pas satisfaits de la direction que cela prendra au Canada, mais nos opinions ont été ignorées et ils prévoient d’aller de l’avant vers leurs objectifs.

Ils ont également indiqué très clairement que rien n’arrêtera les résultats prévus.

La feuille de route et l’objectif ont été définis par le PMO et sont les suivants:

  • Mettre progressivement en place les restrictions du second verrouillage sur une base continue, en commençant par les grandes régions métropolitaines d’abord, puis en s’étendant vers l’extérieur. 
    Prévu d’ici novembre 2020.
  • Accélérer l’acquisition (ou la construction) d’ installations d’isolement dans chaque province et territoire.
    Attendu d’ici décembre 2020.
  • De nouveaux cas quotidiens de COVID-19 augmenteront au-delà de la capacité de test, y compris une augmentation des décès liés au COVID en suivant les mêmes courbes de croissance. 
    Prévu pour fin novembre 2020.
  • Verrouillage secondaire complet et total (beaucoup plus strict que les restrictions de première et deuxième phase en cours).
    Prévu d’ici fin décembre 2020 – début janvier 2021
  • Réforme et extension du programme de chômage en vue du passage au programme de revenu de base universel.
    Prévu d’ici le premier trimestre 2021.
  • Mutation projetée du COVID-19 et/ou co-infection avec le virus secondaire (appelé COVID-21) conduisant à une troisième vague avec un taux de mortalité beaucoup plus élevé et un taux d’infection plus élevé. 
    Prévu d’ici février 2021.
  • Les nouveaux cas quotidiens d’hospitalisations au COVID-21 et de décès liés au COVID-19 et au COVID-21 dépasseront la capacité des établissements de soins médicaux. 
    Prévu T1 – T2 2021. [Premier et second trimestres 2021]
  • Des restrictions de verrouillage améliorées (appelées troisième verrouillage) seront mises en œuvre. Des restrictions complètes de voyage seront imposées (y compris entre les provinces et les villes).
    Prévu T2 2021.
  • Transition des individus vers le programme de revenu de base universel.
    Attendu mi Q2 2021.
  • Prévision de ruptures de chaînes d’approvisionnement, de ruptures de stock, d’une grande instabilité économique.
    Prévu fin T2 2021.  
  • Déploiement de personnel militaire dans les principales zones métropolitaines ainsi que sur toutes les routes principales pour établir des points de contrôle des déplacements.
    Limiter les voyages et les déplacements. Fournir un soutien logistique à la région. 

    Attendu pour le troisième trimestre 2021.

Parallèlement à cette feuille de route fournie, le comité de planification stratégique a été invité à concevoir un moyen efficace de préparer les Canadiens à faire face à une entreprise [mobilisation, effort] économique sans précédent. Une solution qui changerait le visage du Canada et changerait à jamais la vie des Canadiens.
Ce qu’on nous a dit, c’est que pour compenser ce qui était essentiellement un effondrement économique à l’échelle internationale, le gouvernement fédéral allait offrir aux Canadiens un allégement total de la dette.

Voici comment cela fonctionne : le gouvernement fédéral proposera d’éliminer toutes les dettes personnelles (hypothèques, prêts, cartes de crédit, etc.) dont tout le financement sera fourni au Canada par le FMI dans le cadre de ce qui deviendra le  programme mondial de réinitialisation de la dette .

En échange de l’acceptation de cette remise totale de la dette, l’individu perdrait à jamais la propriété de tous les biens et actifs.

L’individu devrait également accepter de participer au calendrier de vaccination COVID-19 et COVID-21, ce qui lui permettrait de voyager sans restriction et de vivre sans restriction, même sous un verrouillage complet (grâce à l’utilisation d’une pièce d’identité avec photo appelée passe-santé du Canada).

Les membres du comité ont demandé qui deviendrait le propriétaire des biens et des actifs confisqués dans ce scénario et ce qui arriverait aux prêteurs ou aux institutions financières, on nous a simplement dit que « le programme de réinitialisation de la dette mondiale se chargera de tous les détails ».

Plusieurs membres du comité se sont également demandé ce qui arriverait aux individus s’ils refusaient de participer au programme World Debt Reset [Réinitialisation de la Dette Mondiale], ou au HealthPass [Passeport Santé], ou au calendrier de vaccination, et la réponse que nous avons obtenue était très troublante. Essentiellement, on nous a dit qu’il était de notre devoir de nous assurer que nous élaborions un plan pour que cela ne se produise jamais. On nous a dit qu’il était dans l’intérêt des individus de participer.

Lorsque plusieurs membres du comité ont poussé sans relâche pour obtenir une réponse, on nous a dit que ceux qui refusaient vivraient pour commencer indéfiniment sous les restrictions de verrouillage.

Et que sur une courte période de temps, alors que de plus en plus de Canadiens passeraient au programme d’annulation de la dette, ceux qui refusaient de participer seraient considérés comme un risque pour la sécurité publique et seraient transférés dans des établissements d’isolement [NdNM : des camps de concentration]. Une fois dans ces établissements, ils auraient deux options : soit ils participeraient au programme d’annulation de la dette et seraient libérés, ou soit ils resteraient indéfiniment dans l’établissement d’isolement sous la classification d’un risque grave pour la santé publique et auraient tous leurs biens saisis.

Donc, comme vous pouvez l’imaginer après avoir entendu tout cela, cela s’est transformé en une discussion passionnée et s’est intensifiée au-delà de tout ce que j’ai jamais vu auparavant.

En fin de compte, le PMO a laissé entendre que l’ensemble de l’ordre du jour ira de l’avant, peu importe qui est d’accord ou non.

Que ce ne sera pas seulement le Canada, mais que toutes les nations auront en fait des feuilles de route et des programmes similaires. Que nous devons profiter des situations qui nous attendent pour promouvoir un changement à plus grande échelle pour le mieux-être de tous. Les membres qui s’y opposaient et ceux qui soulevaient des questions clés qui découleraient d’une telle chose ont été complètement ignorés. Nos opinions et préoccupations ont été ignorées. On nous a simplement dit de le faire.

Tout ce que je sais, c’est que je n’aime pas ça et je pense que ça va placer les Canadiens dans un avenir sombre. »

CAMPS D’INTERNEMENT?

La communication par courriel que m’a adressée un député VÉRIFIÉ du Parlement canadien correspond tout à fait à quelque chose qui a été diffusé le 8 octobre dans le cadre de débats télévisés au Parlement. Ici, un député demande si la population de l’Ontario devrait se préparer aux camps d’internement ? On lui a dit «oui» mais de manière vague et ambiguë :

En fait, le gouvernement canadien a lancé des demandes de soumissions à l’industrie, sur la construction de camps dans chaque province et territoire du pays! Voici l’appel d’offres officiel du gouvernement:

Remarque de Hal Turner : C’est une tyrannie pure et simple. Les Canadiens feraient bien de S’ARMER ET de se préparer à repousser tout tyran qui tente cela. Concentrez-vous d’abord sur les tyrans LOCAUX. Une fois que votre liberté est partie, elle est partie pour toujours.

[NdNM : s’armer n’est pas une solution. D’une part, la violence attire la violence. Et d’autre part, l’armée et la police bénéficient de bien plus d’armes et d’entraînement au combat. Une telle dictature semble prévue depuis 2000 ans dans l’Apocalypse de Jean.]


Complément

Commentaire sur le site La cause du peuple, à propos de la même information (ou désinformation)

Commentaire de Sara

Deux ou trois choses ici n’ont aucun sens. 

Premièrement, il n’existe pas actuellement de «comité de planification stratégique» au Parlement du Canada. En outre, il n’existe actuellement aucune commission parlementaire « dirigée par le PMO » 

Deuxièmement, l’écrivain prétend être «… membre du comité au sein du Parti libéral du Canada». Pourtant, un parti politique est très différent du gouvernement actuel (membres du cabinet et hauts fonctionnaires nommés) lui-même, en particulier le PMO. Le cabinet du premier ministre, le reste du Cabinet du Canada et le caucus parlementaire du PLC ne sont légalement liés à aucune décision prise par le PLC lui-même. Cela s’applique à tous les gouvernements et partis politiques dans une démocratie parlementaire. 

Troisièmement, l’auteur affirme que « en échange de l’acceptation de cette remise totale de la dette, l’individu perdrait à jamais la propriété de tous les biens et actifs ». – mais ils déclarent plus tard que « Et que sur une courte période de temps, alors que davantage de Canadiens passeraient au programme d’annulation de la dette, ceux qui refusaient de participer seraient considérés comme un risque pour la sécurité publique et seraient réinstallés dans des installations d’isolement. ils auraient deux options, participeraient au programme de remise de dette et seraient libérés, ou resteraient indéfiniment dans l’établissement d’isolement sous la classification d’un risque grave pour la santé publique et auraient tous leurs biens saisis.  » 

N’est-ce pas exactement le même résultat, mais simplement par deux voies différentes? Pourquoi une personne endettée refuserait-elle de céder TOUS ses biens si le défaut de le faire entraînerait la saisie de tous ses biens? 

Quatrièmement, qu’arrive-t-il à ceux qui n’ont AUCUNE dette mais qui ont des actifs? 

Cinquièmement, comment tout cela à distance serait-il légal ou constitutionnel, en particulier les vaccinations obligatoires, la détention illimitée et les saisies d’avoirs?

 Je me demande en particulier comment il serait à distance légal, constitutionnel ou pratique de refuser à une personne le droit de propriété de tous les biens et actifs «pour toujours»? 

J’imagine que les tribunaux, les barreaux et les groupes de défense des libertés civiles du Canada auraient quelque chose à dire au sujet de telles actions. 

————–

Merci à Sara pour son point de vue, mais les événements semblent suivre la trajectoire décrite ci-dessus, et nous savons que le gouvernement est en train de modifier les installations de quarantaine. Aussi, quel serait le but de cela s’il s’agissait d’un canular? Je suis d’accord qu’il y a une contradiction interne sérieuse concernant l’annulation de la dette et la confiscation de votre propriété, mais les Illuminati ont prouvé qu’ils étaient arrogants au point de stupidité.

[NdNM : il n’y a pas vraiment de contradiction dans les propos attribués à l’homme politique qui serait responsable de cette fuite. Ceux qui refusent la vaccination se retrouveront en camp de concentration, qu’ils aient ou pas une dette, et ils perdront tous leurs biens, même s’ils ne sont pas endettés, s’ils refusent toujours de se réhabiliter en acceptant le vaccin. Ceux qui acceptent la vaccination ne perdront leurs biens que s’ils sont endettés, du moins au départ, car avec les psychopathes qui seraient derrière ce projet, on peut s’attendre à ce qu’ils finissent par également confisquer les biens de ceux qui acceptent de se faire vacciner, que ce soit immédiatement ou après un stage en camp de concentration. Il n’y a ici aucune contradiction. Nous nous trouvons simplement dans une situation de psychopathes en position de pouvoir et pour laquelle ils peuvent adopter une attitude sadique, ceci d’autant plus facilement qu’ils ressentent leur pouvoir comme absolu. C’est le jeu de « pile, je gagne, et face, tu perds ».]




Bill Gates appelle les chefs religieux à manipuler leurs paroissiens pour qu’ils se fassent vacciner contre le coronavirus

[Source : MirastNews]

Parce que moins de la moitié de la population des Etats-Unis d’Amérique envisage de se faire vacciner contre la COVID-19, même avec une prime en espèces de 100 $, l’eugéniste milliardaire Bill Gates appelle désespérément les pro-vaxxeurs au pouvoir à trouver de nouvelles façons de manipuler les gens pour qu’ils soient piqués, y compris à l’église.

Image: Bill Gates calls on religious leaders to manipulate their parishioners into getting vaccinated for coronavirus

Ayant déjà eu du succès au Nigéria en utilisant des chefs religieux pour tromper leurs fidèles paroissiens en se faisant piéger, Gates veut amener les mêmes campagnes de propagande ici aux États-Unis d’Amérique. Les pasteurs, les prêtres et les révérends pourraient être utilisés pour proclamer depuis la chaire que les vaccins COVID-19 sont sûrs et efficaces, conduisant à une plus grande conformité des vaccins.

Lors d’une récente interview avec le Conseil des PDG du Wall Street Journal, Gates a menacé que les «pays riches» comme les États-Unis d’Amérique pourraient revenir à la normale d’ici la fin de 2021 si seulement les gens acceptaient de se faire vacciner. Pour y arriver, Gates espère que les pro-vaxxers pourront envahir avec succès les «réseaux de confiance» des gens et les convaincre que les vaccins COVID-19 sont le remède à sa plandémie – [, étant donné que leur entreprise étant mauvaise, ils se sont arrangés de capter tous les médias mainstream, y compris les réseaux sociaux pour empêcher que la vérité sur les vaccins et l’origine du coronavirus transparaisse – MIRASTNEWS].

«L’hésitation à l’égard des vaccins est présente dans tous les pays et est antérieure à la pandémie», a gémi Gates pendant le segment, tout en poussant les responsables de la santé à commencer activement à «réfléchir aux voix qui aideront à réduire l’hésitation afin que nous puissions obtenir un niveau de vaccination qui a vraiment une chance d’arrêter» la plandémie.

Bill Gates veut que les entreprises de médias sociaux censurent le scepticisme concernant COVID-19

Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), a exprimé des sentiments similaires en juin. Fauci a annoncé ouvertement que le gouvernement, en utilisant l’argent des contribuables, a déjà mis en place un plan pour que «les gens [Américains hésitants à la vaccination] puissent s’identifier dans la communauté – des personnalités du sport, des héros communautaires, des gens qu’ils admirent» répandent l’évangile pro-vaccin.

C’est un début, mais Gates souhaite que les campagnes de relations publiques passent à la vitesse supérieure, et bientôt, afin de sauver le plus possible de la plandémie. Alors que beaucoup de gens se rendent compte que tout est exagéré, c’est le moins qu’on puisse dire, Gates se rend compte que la fenêtre d’opportunité se referme sur lui.

Gates est particulièrement contrarié par le fait que les gens apprennent la vérité sur lui en ligne – bien que, pour Gates, la vérité ne soit que des «théories du complot» qui doivent être «démystifiées» par les mêmes personnes qui poussent à la vaccination de masse contre le COVID-19.

Il y a «des choses très excitantes» qui se répandent en ligne, selon Gates, qui jettent une clé majeure dans son agenda. Beaucoup sont convaincus que «quelqu’un a intentionnellement créé ce virus, ou qu’il y a une conspiration» entourant sa propagation, déplore Gates.

Pire encore, ces «théories du complot» se répandent «tellement plus vite que la vérité, c’est-à-dire qu’elles proviennent d’une chauve-souris», soutient Gates.

Gates espère que les plateformes de médias sociaux comme Facebook et Twitter «ralentiront ou annoteront les choses qui causent réellement d’énormes dégâts, comme ne pas porter de masques ou ne pas vouloir prendre le vaccin si cela prouve que c’est cet outil clé pour revenir à la normale.»

En d’autres termes, tout scepticisme concernant le coronavirus ou les «remèdes» prescrits pour le tenir à distance doit être étouffé dans l’environnement en ligne si le récit de Bill Gates a une chance de survivre à tous les examens.

Le président Trump fait également partie du problème, dit Gates, car il a retiré des fonds des Etats-Unis d’Amérique de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Cela signifie que le nouveau principal bailleur de fonds de l’OMS n’est autre que Gates lui-même.

«Nous ne savons toujours pas si ces vaccins réussiront», a admis à contrecœur Gates, ajoutant que s’ils le faisaient, «je doute que beaucoup de vaccins russes ou chinois sortent de ces pays.»

Les sources de cet article incluent:

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Natural News




Expansion rapide de la 5G pendant le confinement : coïncidence ou calcul ?

[Source : kla.tv]

Deux études établissent un lien entre la téléphonie mobile et les épidémies dues au coronavirus. Les systèmes de téléphonie mobile 5G fonctionnent avec des fréquences avoisinant les 60 GHz qui transforment les molécules d’oxygène dans l’air à tel point qu’elles ne peuvent plus être transportées par le sang humain. Cela conduit au sous-approvisionnement de nos organes en oxygène. Ce phénomène est-il attribué par erreur à une infection due au coronavirus, ou bien est-ce intentionnel ?


Le Dr. Dietrich Klinghardt, est un médecin allemand qui a fondé l’Institut de Neurobiologie, et dénonce depuis longtemps les effets désastreux des champs électromagnétiques, en particulier ceux du réseau de téléphonie mobile 5G, notamment sur le système immunitaire et la barrière hémato-encéphalique. Le Dr. Klinghardt a déclaré lors d’une interview que le problème est que la 5G n’a pas de bande d’ondes uniforme : « Le réseau 3G actuel, par exemple, rayonne à 2,4 gigahertz, celui de la 5G à 6 gigahertz avec toutefois des gammes possibles de très hautes fréquences entre 26 et 60 gigahertz. On ne sait pas quelles bandes d’ondes sont activées car il n’existe pas d’appareil de mesure pour les gammes de hautes fréquences. L’industrie affirme que sur certains endroits de la terre, cette bande de fréquences élevées n’est activée que pour des essais mais on n’en sait rien, il n’y a pas d’information claire pour le moment. »

Dans un rapport de l’IFUR – Institut allemand de recherche sur les champs naturels, « Partie 2 : Une vue complètement nouvelle du coronavirus et de la Covid 19 », les effets possibles sur l’homme sont décrits comme suit :
« Dans le monde entier, il existe des applications dans l’industrie et aussi par satellites qui fonctionnent avec des fréquences avoisinant les 60 GHz. L’énergie dans cette bande de fréquence est entièrement absorbée par l’oxygène de l’air. En conséquence, les molécules d’oxygène sont altérées et ne peuvent plus être transportées par l’hémoglobine du sang humain. Les organes des personnes touchées, principalement les poumons, le cerveau et le cœur, souffrent d’un apport insuffisant en oxygène. Cela peut conduire à la mort ; c’est ensuite attribué à tort à une infection due à la COVID-19. »
Un lien entre les réseaux de téléphonie mobile 5G et les épidémies supposées de « coronavirus » a également été confirmé dans une étude, il y est écrit :

« L’étude revêt une importance phénoménale dans la mesure où elle démontre clairement la probabilité que les symptômes de la COVID-19 et les admissions à l’hôpital dues à un manque d’oxygène sont directement liés à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques des réseaux 5G. »

Malgré les avertissements et les inquiétudes de nombreux experts et aussi d’une partie de la population, le déploiement de la 5G à l’échelle nationale a progressé rapidement dans tout le pays pendant le confinement. Selon l’opérateur de réseau Telekom, environ 40 millions de personnes, soit la moitié de l’Allemagne, sont déjà desservies par la 5G depuis la mi-juillet.

« Pendant cette situation de crise, nos techniciens ont installé plus de 12 000 antennes pour la 5G et d’ici la fin de l’année, il y en aura 40 000 », déclare Dirk Wössner, PDG de « Telekom Deutschland ». Cependant, la plupart des gens ne voient pas ces antennes car elles sont montées de manière presque invisible sur les lampadaires, les feux de circulation, les toits plats et les panneaux municipaux.

Le livre à paraître « La Dictature du coronavirus » de l’avocate autrichienne Monika Donner, Secrétaire d’Etat au ministère fédéral autrichien de la défense, dit la chose suivante :

« Le développement de la 5G pendant la COVID-19, a fait d’une pierre cinq coups :

  • Premièrement : la panique coronavirus propagée par les médias a détourné l’attention de l’expansion de la 5G.
  • Deuxièmement : pendant le confinement, aucune action anti-5G, telle que des sit-ins n’a pu avoir lieu.
  • Troisièmement : le déploiement rapide de la 5G prépare sournoisement à la future impression trompeuse de la « deuxième vague COVID 19 ». Un réseau 5G plus dense entraînera presque certainement de nombreux nouveaux décès qui seront immédiatement présentés officiellement à la population comme de nouveaux décès dus au coronavirus.
  • Quatrièmement : le gouvernement peut donner l’impression trompeuse d’avoir eu raison d’annoncer une « deuxième vague», et que les critiques ont eu tort. Et
  • Cinquièmement : on pourrait prendre des mesures plus intensives contre ces derniers en les accusant de négligence dans la gestion de la COVID-19.

Le fait que c’est exactement le contraire ne sera évident que pour l’observateur attentif », écrit l’avocate dans son livre.

Le Conseil de l’Union européenne considère déjà les opposants à la 5G comme une « menace pour la santé » qui doivent être combattus avec les outils des autorités de la justice pénale – notamment lorsqu’ils affirment que ce réseau 5G constitue une menace pour la santé ou qu’il a un lien avec la COVID-19.

Une telle approche totalitaire qui prévoit de museler les opposants par la loi, ne montre-t-elle pas plutôt que les déclarations de cette émission sont très proches de la vérité ?
Par conséquent, diffusez cette information tant que c’est encore possible !

de Annett H.

Sources / Liens :




Alexandre Keyland : Je vous parle depuis le futur — soutenir une vision

[Source : http://alexandrekeyland.weebly.com]

[Auteur : Alexandre Keyland]

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Soutenir une vision
Soutenir Alexandre Keyland

Très chers amis, au vu de la crise sans précédent que nous traversons j’ai décidé de vous offrir mon expérience et mon service de vision et de prospective futuriste gratuitement, en tant que rédacteur et auteur pour apporter une voie de sortie optimiste à la crise, et nous inspirer avec enthousiasme en nous projetant vers un avenir plein d’opportunités pour résoudre les grands fléaux. Car en l’absence de vision politique, je propose une vision pragmatique, basée sur le talent citoyen de toutes celles et ceux qui imaginent déjà ce futur radieux pour tous.

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Je vous parle depuis le Futur

​Nous sommes le 27 Août de l’an de grâce 2055,
J’ai plus de 85 printemps, et pourtant il semble qu’à peine 60 se sont écoulés…

Le soir offre un savant mélange de parfums puissants d’une nature entièrement restaurée, un embrun marin et forestier qui à lui seul régénère entièrement mes cellules…

Au loin, la cité resplendit encore de lumière, tous les fanions des nations de la fédération flottent au vent. Aujourd’hui la Cérémonie d’entrée dans la nouvelle ère galactique a été historique et vibrante, les délégations des 533 nations stellaires, des 324 nations terrestres des 5 continents ont remonté glorieusement les Champs Elyseum au son des trompettes, sous une pluie de pétales de fleurs lancés par les enfants. Un jeune enfant a couru avec le drapeau de la Nouvelle Terre à travers villes et villages jusqu’à la capitale, sous les cris et pleurs de joie de la population, pour venir le planter sur le socle en haut des 333 marches du palais galactique. Une vasque éternelle s’est enflammée, inaugurant une nouvelle ère de l’âge d’or pour l’éternité. Une à une les délégations, composées des dignitaires d’Orion, de Sirius, des Pléiades, de Sagitarius, d’Acturus, de Vega, sont descendues dans leurs flamboyants vaisseaux spatiaux sur l’esplanade d’atterrissage…
Nous étions bouleversés d’apprendre que certains de ces très anciens dignitaires extra-terrestres furent nos anciens dieux, qui durent quitter la Terre à l’aube de l’histoire… Et d’apercevoir en vrai ces figures mythiques, nos dieux et déesses parents, fut une émotion qui nous a tous submergés et transformés d’une manière impossible à décrire… Ils étaient accompagnés par les grands messagers, qui ont servi eux aussi en leur temps, sous d’autres noms, pour rappeler leurs liens célestes à l’humanité…

Après la célébration qui dura 3 jours et 3 nuits, il me fallait m’éloigner dans la nature, pour reprendre mes esprits. Je quittais la tribune des dignitaires… Une part de moi, qui avait connu les grands bouleversements, semblait étrangement nostalgique… Je me suis engouffré dans mon Aérodine MHD flambante neuve équipée d’un ordinateur de navigation à contact à télépathe. « Démarrez » ai-je commandé au générateur. Et j’ai gagné une altitude de 3000 pieds a une vitesse raisonnable, pour admirer les rayons du soleil qui descendaient sur la noble capitale, et ses montagnes au loin…
Puis j’ai atterri dans ce champ sauvage, auprès de l’arbre sacré. J’ai coupé le contact et refermé la porte qui s’est rabattue automatiquement avec un léger bruit électronique. J’ai marché lentement en caressant les hautes herbes, sous le chant des grillons et me suis assis contre l’arbre de 2000 ans. Ressentant toute sa sagesse et son énergie de lumière m’envahir. Dans le silence, quelques chants au loin… Des cris d’enfants. Ils m’avaient certainement vu arriver…

Une petite s’approcha toute timide, « vous venez de la ville? »
— Oui très chère, je viens de la capitale.
L’un des enfants, plus perspicace que les autres, m’interrogea directement,
— Vous êtes le général Keyland c’est ça? Vous avez vécu le grand événement? Le grand renversement?
— Ah bon? Et qu’est-ce qui te fait dire ça?
— C’est votre écusson sur votre Aérodine…
— Racontez-nous le Grand événement Général!
— Oh oui s’il vous plaît, scanda la petite! S’il vous plaît! Racontez-nous!
— C’était comment, l’époque d’avant?
— Et bien, que puis-je faire devant tant d’enthousiasme! C’était une époque de grandes turbulences, de troubles inimaginables et de grandes souffrances sociales… Croyez-moi!
— Il y a eu, comment dirais-je, un « basculement » à un certain moment. C’était en 2020. Je m’en souviendrais toujours. Les peuples du monde ont commencé à s’éveiller les uns après les autres suite à une Pandémie, dont on a appri plus tard qu’elle fut organisée de toute pièce par des gouvernants de l’ombre qui tentèrent, en dernier recours, de créer une guerre civile aux USA et en France mais ce fut pour eux un fiasco…

— Les forces de l’ombre dirigeaient la Terre à cette époque?
— Les gouvernements de l’ombre ont dirigé la Terre pendant de nombreuses générations, mon garçon, exploitant les ressources, les biens et les personnes sans vergogne, jusqu’à l’épuisement. Fomentant des guerres et polluant la nature et les animaux par l’industrie du pétrole et du nucléaire. Les élites de ces gouvernements ont inversé absolument toutes les valeurs et les lois fondamentales, ont pris en otage l’humanité en lavant le cerveau des gens grâce à l’abrutisseur mondio-visuel, autrement dit « la télévision » et ont fait en sorte de violer toutes les lois, ainsi que les lois naturelles pour briser les familles, socles et forces vives de la civilisation, la virilité et la féminité. Leur but était à terme de détruire toutes les valeurs de bien commun pour réorganiser l’humanité selon de nouvelles normes restrictives de contrôle.

— Comment l’empire du mal est tombé?
— Grâce « aux braves », de nombreux lanceurs d’alertes et soldats de lumières courageux, des gens formidables, des agents sur le terrain et des personnes de bien, éclairées et avisées de la situation sur les plans de l’ombre…

À un moment clef, alors que la Pandémie et les mesures restrictives sont devenues insupportables et violèrent totalement les droits divins de l’humanité, une vague de révélations spectaculaires a été déclenchée sur la réalité de la nature maléfique de cet État Profond qui était toujours parvenu à se faire passer pour le camp du bien, jusqu’à ce jour crucial d’octobre 2020. Même la presse et les médias n’ont pu nier les crimes internationaux que ce gouvernement de l’ombre avait commis en corruption avec l’industrie pharmaceutique criminelle. Des centaines et des centaines de têtes dans l’exécutif mondialiste tombèrent. L’obligation vaccinale et l’obligation du port du masque furent levées, les contraventions furent remboursées au peuple. Des milliers d’Agents de l’exécutif et d’élites qui travaillaient pour l’État Profond furent neutralisées aussitôt. Ils eurent droit à un procès équitable devant le peuple. Ils furent tous considérés « présumés innocents » pendant l’étude de leur dossier avant d’être mis en accusation pour faits graves.

— Plus tard, un procès international historique eu lieu pour juger tous les criminels de guerre, pour crime contre l’humanité.
— En même temps il y eu de nombreuses interventions extra-terrestres pendant le renversement. Des vaisseaux se livraient à de nombreuses allées et venues dans le ciel, prouvant leur existence à l’humanité toute entière et aidant à neutraliser les forces de l’ombre. En effet, celles-ci, sentant leur fin proche, avaient délibérément violées le « libre arbitre terrestre » en imposant un Nouvel Ordre Mondial totalitaire par le biais du vaccin et de ces obligations sur la vie et la santé, et d’arrestations de gens innocents et de lanceurs d’alertes. Et les forces de la flotte galactique n’ont ordre d’intervenir qu’en cas de viol du « libre arbitre terrestre », des droits et libertés… Ce qui fut fait.

— C’était proprement inouï de voir ça pour la première fois! Personne ne s’y attendait vraiment! Mais ils étaient bien là. Dans notre espace aérien. Quelques membres de l’État Profond qui étaient passés entre les mailles du filet en créant un groupe clandestin de « résistants » ont voulu faire passer cette intervention de sauvetage comme étant une ingérence et une invasion extra-terrestre délibérée, mais sans succès.

— Nous avons ensuite appris qu’il existait une force spatiale secrète qui travaillait en coopération avec l’alliance au sol et en lien avec la fédération galactique. Pendant les arrestations et le grand renversement, nous avons pu bénéficier d’une couverture aérienne stellaire de milliers de vaisseaux de la flotte galactique… Ce fut tout simplement spectaculaire…

— Toutes les guerres et toutes les tentatives de déclenchement de conflit nucléaire, en dernier recours par l’État Profond, se sont soldées par un échec. Les Missiles ISBN furent neutralisés et tout le système est tombé en panne simultanément à l’échelle internationale après le démantèlement de toutes les bombes toplet, des armes scalaires, Haarp, 5G, MkUltra, Bluebeam etc… Tous les conflits se sont arrêtés net. Les expériences de clonage, de PMA humaine et transgénique ont été stoppées net, les activités criminelles des laboratoires pharmaceutiques neutralisées, et leurs dirigeants entendus par la justice. Le système financier a été réinitialisé sur la valeur or, et une somme gigantesque de plusieurs trions de dollars d’argent volé par les élites corrompues fût rendu au peuple. Les salaires furent réévalués à leur juste valeur, et comme nombre de métiers disparurent dû à la révolution technologique qui facilita la vie et rendit du temps aux familles, un salaire universel global fut déployé.

— La criminalité s’est effondrée soudainement, car plus personne ne convoitait les biens d’autrui, vu que chacun avait enfin de quoi prospérer normalement et vivre avec abondance…
— Au niveau politique, les nations sont redevenues souveraines. Il n’y a pas eu de « gouvernance mondiale », chaque pays et chaque citoyen sont redevenus souverains de leurs destinées. Chacun a pu bénéficier de la liberté de déplacement et de la liberté de vivre où il voulait. Il y a eu aussi une re-migration importante, car les générations qui n’avaient pas connu leur pays d’origine ont pu revenir chez elles et redécouvrir leurs magnifiques terres d’origine, pour rebâtir… Car chaque pays avait enfin la technologie et les ressources pour prospérer normalement.

— Puis toutes les autres divulgations ont suivi comme un jeu de dominos; les programmes scolaires ont été bouleversés, on apprenait la véritable histoire de l’humanité à l’école, celle qui avait été cachée, un peu de philosophie et de spiritualité, des technologies propres escamotées par les anciens gouvernements ont été libérées. Il a fallu 10 mois à peine pour mettre en route la toute nouvelle gestion des ressources bio-écologiques. Toutes les connaissances médicales cachées et efficaces furent aussi libérées et délivrées à la population. Les gens ont été aussi choqués d’apprendre qu’on leur avait menti à peu près sur tout, y compris sur la surpopulation. En effet, 95% des terres sur notre planète sont inhabitées.

— Des centres de soins ont été créés pour guérir, à la fois psychologiquement et physiquement, ceux qui souffraient de post trauma dû au grand renversement et de pathologies physiques. Il a fallu entièrement rééduquer ceux qui ignoraient encore ce qui s’était passé et pourquoi le monde d’avant marchait à l’envers de toutes les lois naturelles. La Peur irrationnelle et les sentiments de divisions et de conflits ont été remplacés par plus de confiance et d’unité.

— Ensuite, pour l’alimentation, les circuits courts ont remplacé l’industrie agricole et les supermarchés, qui ont été démantelés en l’espace de 6 mois seulement.
— Les grands constructeurs de voiture et de transport aérien se sont convertis en énergie propre et universelle à 100% – Les premières aérodyne ont vu le jour. La construction et le bâtiment ont bénéficié eux aussi d’une avancée majeure dans les techniques recyclables et bio énergétiques.
— Et c’est ainsi que le monde a été littéralement métamorphosé en l’espace de 24 mois, en organisation démocratique par et pour le peuple, présidée par un conseil de sages, et un système bio naturel bénéficiant des plus hautes technologies propres et opérationnelles, dont certaines provenaient directement de technologies extra-terrestres.
— Ensuite, nous avons vécu les premiers atterrissages de vaisseaux des délégations de dignitaires issues de nations extra-terrestres appartenant à la Fédération Galactique, qui ont organisé une grande célébration en hommage à tous ceux et celles qui avait contribué à « réveiller » l’humanité en tant que volontaire sur Terre. Ce fut proprement émouvant et inoubliable…

— Wooow, dit l’un des enfants!
J’aurais vraiment voulu connaître cette époque!
— Tu vois cette fleur, quand une fleur ne pousse pas bien, ce n’est pas la fleur qu’il faut corriger, mais son terrain…
Je soupirais…
— Oui, ce fut l’âge des héros et des braves. Ce fût un tournant mythique comme jamais il y en a eu, et comme jamais il y en aura sur Terre…
Le vent sur les sommets et le chant des grillons marquèrent un espace de silence dans le temps…
— Allez, il est tard les enfants! Oust! Le soleil est déjà couché et les étoiles brillent!
La petite tourna la tête vers la voie lactée… « Mon Papa va m’emmener là-haut quand je serais plus grande! Pour rencontrer nos ancêtres… »
— Nous avons tous rendez-vous là-haut, ma grande…
L’Aventure ne fait que commencer…

Alexandre Keyland

https://www.youtube.com/watch?v=fC6fIQGoRVc

Bientôt les Universités pour la Prochaine Étape

Vous voulez devenir Pionnier pour la prochaine étape?
écrivez moi alexkeylan@yahoo.fr

APPEL aux PIONNIERS

Très chers amis,
rêveurs optimistes, maitres spirituels, sages, chamanes, guides, naturopathes, médecins, ingénieurs, chercheurs, ufologues, scientifiques, ingénieurs agronomes, paysans(nes), avocats(tes), enseignants(tes), économistes et banquiers équitables, juristes, légistes, architectes, bâtisseurs, députés, magistrats(tes), entrepreneurs, étudiants(tes), informaticiens(nnes), artistes, metteurs en scène, réalisateurs(trices), et à tous ceux qui se sentent l’âme d’un pionnier pour inventer un futur optimiste et viable!
Aujourd’hui c’est à vous que je m’adresse plus particulièrement.

Chacun sait que le système est en train de sombrer et que nos gouvernants n’ont aucune vision d’avenir, tout au plus du green washing soumis aux lobbies et mettre nos enfant à l’école obligatoire dès 3 ans!

Nous vivons une époque à la fois trouble et révélatrice des dysfonctionnements de notre système et de nos sociétés et de la haute corruption qui y règne, n’autorisant pas les professionnels de bonne volonté à apporter de véritables solutions d’avenir pour régler les grands fléaux que sont la guerre et les conflits, la pollution, la maladie et la misère.
Nous avons pourtant tous les outils à notre disposition qui devraient être utilisé pour sortir de la crise majeure. Il ne manque plus en fait qu’à déverrouiller certaines mécaniques économiques, juridiques et législatives afin d’être pleinement opérationnel pour enfin offrir un avenir sain à nos enfants.

Nous savons aussi par ailleurs qu’un nettoyage du système est en cours, mais en attendant d’en avoir la confirmation, je nous propose de monter dès aujourd’hui à bord du navire de sauvetage pour inventer le nouveau monde.
Tous ceux qui ont une expérience concrète sur le terrain, dans tous les domaines professionnels et qui sont convaincu au fond d’eux-même d’être des rêveurs optimistes, désireux de travailler pour un avenir meilleur, se sont fréquemment heurté aux verrous du système, qu’ils soient économiques où politiques. Nous nous sommes alors senti comme des héritiers en fuite, ou cachés. Certain d’entre nous ont baissé les bras, ou ont fuit le système.

Aujourd’hui nombre de signes et d’informations qui filtrent du monde entier nous montrent qu’une grande opération de renversement de l’Etat Profond, qui a verrouillé nombre de solutions d’avenir, est en cours.

En attendant d’avoir confirmation, entrons en action! Je nous invite à construire dès aujourd’hui le nouveau monde, la navire de sauvetage, la grande nouvelle étape qui est devenue absolument indispensable aujourd’hui. Et de réunir nos talents en créant une amicale, une réunion, autour d’une « Université de la Prochaine Etape », pour mettre en place une action commune, méthodique et concrète afin d’avancer les pièces de notre jeu, nos cartes, nos solutions déjà existantes, en lien avec les solutions des grands visionnaires de notre époque comme l’ingénieur Jacques Fresco ou Foster Gamble auprès de qui nous pourrons puiser des idées.

Les seules conditions que je pose pour réunir cette « Université de la Prochaine Etape » c’est d’avoir en tant que professionnel:
1) Une position de rêveur optimiste, et de visionnaire bienveillant.
2)Une vision étique et pragmatique, pour régler les grands fléaux, sans OGM, IA, fréquences nocives, ou autre transgressions des lois naturelles.
3) Ne pas être en conflit d’intérêt avec une société ou un groupe multinational destructeur de la souveraineté humaine ou de l’environnement.
4) Eviter les idéologies mondialistes dissolutives du tissu social, familial, rural, national, et de la souveraineté de l’humain.
En dehors de ces conditions, chaque professionnel et être humain sera libre de donner libre cours à son imagination pour inventer le futur dont il rêve…

J’appelle donc tous les Necs plus Ultra, les rêveurs optimistes, futurologues, Sages, guides, thérapeutes, chercheurs, ufologues, scientifiques, ingénieurs agronomes, paysans(nes), avocats(tes), économistes et banquiers équitables, juristes, légistes, architectes, bâtisseurs, enseignants(tes), députés, magistrats(tes), entrepreneurs, étudiants(tes), informaticiens(nnes), artistes, metteurs en scène, réalisateurs(trices), etc, à nous réunir en force citoyenne, et à nous organiser en collectif et en rassemblement d’associations déjà existantes, pour être une plus grande force de propositions concrètes. Afin de solutionner très vite les verrous du système par des moyens efficaces et concrets.

L’UNION FAIT LA FORCE
Je nous appelle à devenir des PIONNIERS du NOUVEAU MONDE!
Je nous appelle à franchir l’obstacle du millénaire!
Je nous appelle à nous servir de notre imagination collective!
Je nous appelle à foncer en avant et à construire dès aujourd’hui le premier grand mouvement vers la prochaine étape qui nous tend les bras!

Nous sommes l’avenir et toutes les âmes de bonnes volontés qui respectent les valeurs et les droits, de leur racines, de leur nations, de leur idéaux spirituels pour la plus haute évolution de l’humanité seront les bienvenues dans cette université spontanée.

Nous n’allons pas nous étendre dans de longs discours et débats interminables, des conférences sans fins, aux questions sans fins…

Nous allons prendre les solutions, une par une, et examiner quel verrou s’y oppose, puis déverrouiller la solution.
Notre action devra avoir un caractère volontaire et public, décomplexé, exigeant, ambitieux, éclairé et bienveillant. C’est pourquoi nous avons besoin des personnes les plus avisées, les plus compétentes, et d’expérience. Mais nous aurons aussi besoin des jeunes qui ne sont pour l’instant armé que de leur seul enthousiasme et diplômes.

Le président Kennedy avait annoncé en 1961;
« Nous choisissons de nous rendre sur la Lune, et de tout accomplir dans ce sens, non parce que c’est facile, mais bien parce que c’est difficile! »

Nous allons déverrouiller les portes qui ont obstrué jusqu’alors le tunnel du futur et qui nous empêchaient de voir la lumière au bout!

Nous devons réussir, nous n’avons pas le choix!
La réussite du plan est la seule option pour sauver la planète et l’humanité!

J’en appelle donc maintenant, chers amis, à TOUS CELLES et CEUX qui se sentent concerné et qui remplissent les conditions préalables à me le faire savoir, en messages privés, que je commence ainsi à dresser la liste des Pionniers qui viendront s’ajouter à nos « journalistes lanceurs d’alertes » et « visionnaires » déjà connus.
pour ensuite convenir d’un 1er meeting.

​Il y a suffisamment d’amour, suffisamment de talents, suffisamment d’idées, suffisamment d’envie, suffisamment de moyens à nous tous pour créer ce nouveau monde.
Nous en savons maintenant suffisamment pour lancer cette grande université de la prochaine étape!

l’Ame tendue et
Haut les cœurs!

Je mettrais moi même mon expérience de directeur de la communication en œuvre pour cette grande occasion.
Je vais mettre en place prochainement une plateforme conférence et forum en ligne avec tous les pionniers, un espace pour nous retrouver en permanence, afin d’échanger sur des moyens de mettre en œuvre le nouveau monde, et de mettre en contact les différents professionnels afin d’être réactif. Ce ne sera pas un foure-tout idéologique et philosophique, il y en a déjà bien assez. Là il s’agira d’être sur des questions et réponses sur des moyens concrets uniquement.

Allons de l’avant!
Alexandre Keyland

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Pourquoi la dette de la France de plus de 2 300 milliards ne se réglera que par l’esclavagisme et le sang du peuple

[Source : FranceSoir]

Auteur(s) : Valérie Bugault pour FranceSoir

Tribune : Le sang est-il la face sociale et politique de la dette ? Une analyse chiffrée de la dette se trouve sur le site de l’Agence France Trésor (AFT). Nous verrons, au cours de cet article, que la dette, qui suppose la disparition de tout ce qui cimente l’État et la possibilité de vie en commun est, historiquement, effectivement payée par le sang des populations endettées. Autrement dit, l’endettement qui a conduit, de façon inéluctable, à la disparition du bien commun, est, corrélativement, le moyen le plus sûr de nous mener à l’esclavagisme. Aussi, ce n’est pas sans raison que la Cour des comptes lance le 15 juillet 2020 une alerte sur le niveau de la dette publique française. A la fin du quatrième trimestre 2018, la dette publique recensée s’élevait à la somme astronomique de 2315 milliards d’euros, soit 98,4% du PIB en décembre 2018. Or, l’endettement s’est encore considérablement accru à l’occasion de la crise sanitaire liée à la Covid-19.

Ce que l’on a trop tendance à ignorer, d’une façon générale, est que la « dette » et le « contrôle monétaire » sont intimement liés. Pour rappel, l’Etat américain du Delaware, premier paradis fiscal au monde, fut également le dernier Etat esclavagiste des Etats-Unis : cet Etat n’a renoncé à son statut d’esclavagiste que pour devenir un dominant fiscal, un paradis fiscal. Qui dit domination fiscale dit contrôle de la circulation monétaire car il faut bien comprendre que le paradis fiscal a pour fonction essentielle de drainer l’argent public vers des trous noirs institutionnels, lesquels ne prospèrent que grâce à l’assèchement financier des Etats. Le paradis fiscal est l’ennemi irréductible des Etats et de leur capacité de financement. Or les trous noirs institutionnels que sont les paradis fiscaux sont désormais sous le contrôle exclusif de la finance anglo-saxonne. D’un autre côté, depuis l’avènement et la généralisation du système des banques centrales, les Etats sont tombés sous la domination exclusive des banques privées pour ce qui concerne l’émission monétaire.closevolume_off

Le constat est donc le suivant : que l’on parle d’émission ou de circulation monétaire, les Etats sont devenus impuissants, sous la dépendance exclusive des banquiers qui se sont octroyés le contrôle quasi exclusif de la monnaie.

Dans le cadre du Projet de Loi de Finances pour 2021, la dette publique française pourrait-elle mener irrémédiablement au sacrifice humain des générations actuelles et futures ?

Cet article  comporte trois parties dont la première permet un tour d’horizon de la dette française, en n’oubliant pas de recontextualiser la problématique budgétaire française dans la problématique monétaire européenne et mondiale.

La seconde partie, passera en revue certaines expériences historiques auxquelles l’endettement des Etats a mené.

Enfin, la troisième partie, examinera les différentes possibilités, pour les populations, d’échapper à une forme « d’esclavagisme promis ».

I – La Dette : tour d’horizon

L’examen de l’augmentation de la dépense publique liée, en 2020, à la crise covidique est parfaitement éclairante. Il faut immédiatement préciser que ladite augmentation de dépense publique n’est pas définitive puisqu’elle est appréciée en septembre 2020 moment de la publication du PLF pour 2021 et qu’à cette date les dégâts économiques de la crise sanitaire sont loin d’être consolidés. Ajoutons que les chiffres mentionnés ci-dessous sont exprimés en pourcentage du PIB, lequel est considéré à valeur constante, ce qui fausse légèrement le débat puisque les mesures de confinement font mécaniquement diminuer le PIB :

  • Dépense publique pour 2019 = 54%
  • Dépense publique pour 2020 = 62,8 %

D’après les chiffres officiels issus du PLF pour 2021, nous avons donc assisté, en 2020, à une augmentation de 6,3 % de dépenses publiques en 2020 par rapport à 2019. Or, rappelons qu’en ce début de mois d’octobre 2020, le problème covidique est loin d’être réglé puisque non seulement les bars, restaurants et salles de sport de Marseille et Aix en Provence ont fait l’objet d’une fermeture administrative, mais qu’il est question de généraliser cette mesure punitive à toutes les grandes agglomérations ; Paris et sa banlieue étant les premiers sur la liste ! On imagine aisément que tant le PIB que les recettes publiques ne vont pas sortir vainqueurs de ces mesures autoritaires !

Il faut donc s’attendre, en ce début octobre, à une première Loi de Finances rectificative pour 2021, qui devra dès février 2021 prendre en compte les dégâts économétriques dus à la dégradation économiques et financières de la France reconfinée au cours du troisième trimestre 2021.

Par ailleurs, si l’on s’intéresse au solde budgétaire, c’est-à-dire à la prévision de déficit structurel pour les deux années 2020 et 2021, nous constatons que nous sommes, pour ces deux années, bien au-delà d’un déficit structurel de 150 milliards d’euros :

  • Solde budgétaire pour 2020 (issus de la 3ème LFR) = – 195,2 Mds euros
  • Solde budgétaire pour 2021 (prévu par le PLF) = – 152,8 Mds

Ce déficit structurel existe, précisons-le, malgré la prise en compte dans le Projet de Loi de Finances (PLF) pour 2021, de recettes « non fiscales » à hauteur de de 10 Mds d’euros ; lesdites recettes étant issues du plan de relance européen (1ère partie du financement).

Rappelons au passage que la dette contractée par l’UE au titre du fumeux « plan de relance européen », va, encore et toujours peser sur les contribuables, certes européens et non strictement français. Notons toutefois que, business as usual,

le ratio coût/avantage de ce plan de relance européen sera très probablement, pour les français inférieur à ce même ratio pour les autres pays européens. Quoiqu’il en soit de la prétendue justice fiscale entre européens (que nous laissons volontairement de côté), un fait demeure : le capital de la dette européenne issue du plan de relance devra être remboursé et les intérêts afférents à cette dette devront être payés ! Cette charge financière (capital + intérêts) viendra donc mécaniquement alourdir la dette de l’Etat français – c’est-à-dire de chaque français -, dont on peut grosso modo évaluer l’augmentation à une fourchette allant de 4 à 6 milliards (pour le prêt issu du « plan de relance européen »). Car il faut, ici encore, apporter une précision importante : une partie de cet emprunt européen total sera réalisé via le Mécanisme Européen de Stabilité (MES), dans lequel la France est le deuxième plus gros contributeur, derrière l’Allemagne et devant l’Italie ; concrètement, la France – comprendre l’ensemble des français – contribue au capital du MES à hauteur de 20,3859 % du capital total.

Par ailleurs, à propos de ce plan de relance prétendument justifié par la pandémie covidique, écoutons ce qu’en dit un expert averti, Jean-Michel Naulot : « Seuls 30 % des montants alloués, ceux de l’année 2023, seront en effet en lien avec la pandémie. Il aurait été pourtant simple de retenir dès l’année 2021 deux critères simples reflétant la gravité de la situation pour chaque État : le nombre de morts par million d’habitants et la chute du PIB. Ces critères auraient naturellement été pondérés par la population. Dans le système proposé, très complexe si l’on en croit les équations utilisées par les experts, certains pays d’Europe centrale pourraient recevoir des montants significatifs alors qu’ils sont peu affectés par la pandémie. Quant à l’Allemagne, également peu affectée et plutôt prospère, elle recevrait selon l’Institut Bruegel un montant du même ordre que la France. Comprenne qui pourra… Il ne faudrait pas que cette opération soit dans certains cas un jeu à somme nulle ! La nature même des subventions aura plus à voir avec l’écologie et le numérique qu’avec le secteur hospitalier et la relocalisation de l’industrie pharmaceutique. Comme le dit très bien Olivier Berruyer, il s’agit en fait d’un « plan de rééquilibrage macroéconomique de l’UE ». La Commission met à profit l’aubaine du plan de relance pour faire accepter ce qui lui a été refusé dans le cadre du budget ordinaire. Mais elle s’éloigne de la lettre et de l’esprit de l’article 122 (du TFUE). »

La France se trouve donc dans le contexte économique dans lequel la dégradation structurelle est conjoncturellement considérablement aggravée par un confinement qui, comme une bombe à retardement multiple, n’en finit pas de produire des effets économiques négatifs.

Nous ne devons pas oublier que la dégradation économique conjoncturelle – qui s’ajoute à la dégradation économique structurelle et agit comme un accélérateur de la dette – est liée à une crise sanitaire prétendument dramatique.

Or, dans ce contexte, la priorité du gouvernement n’est pas de faire un moratoire sur la liquidation du service public hospitalier ou de mettre gratuitement à disposition des français un médicament existant et peu onéreux, le Plaquenil dont la molécule active est l’hydroxychloroquine ! Tout au contraire, ledit médicament peu onéreux en question s’est vu, en tout début d’épidémie (janvier 2020) interdit de prescription car brutalement classé comme substance vénéneuse ! Dans le même temps qu’était largement promu par les pouvoirs publics l’arrivée d’un nouveau médicament, n’ayant aucunement fait ses preuves et suspecté de vice caché, le Remdesivir du laboratoire pharmaceutique Gilead.

Mais ce n’est pas tout, car dans ce contexte sanitaire préoccupant (pour le moins que l’on puisse en dire), le PLF pour 2021 nous renseigne sur une des priorités du gouvernement : l’accroissement des moyens financiers du Ministère de l’Intérieur… du Ministère de l’intérieur, vous avez bien lu, pas du Ministère de la Santé ! Ainsi, le Ministère de l’intérieur voit son budget augmenter, par rapport à 2020, de la coquette somme d’un milliard d’euros.

Parmi ce milliard, 35 millions seront affectés à l’équipement… on imagine dès lors que la surveillance sanitaire des grandes villes par drônes, comme cela est déjà le cas à Marseille, va être assez rapidement généralisée partout sur le territoire. La France économiquement effondrée va donc se réveiller en pleine dystopie avec des voix dronesques intimant à la population de « garder des distances de sécurité » et de porter « le masque ». Nous voilà en plein carnaval de Venise ; ce qui est normal puisque justement le principe de domination de l’empire vénitien est en train de resurgir à grande vitesse. Avec, aux dernières nouvelles, Christine Lagarde (des banques) qui prévient « la zone euro » de se préparer à l’arrivée d’un « euro numérique »..

Tiens, ça tombe bien car l’année 2021 sera justement l’année de réévaluation du panier de monnaies du FMI appelé DTS (Droits de Tirage Spéciaux). Rappelons que ce panier de monnaie est prévu pour se transformer en monnaie mondiale (ce dont DSK avait fait les frais en son temps), en remplacement du dollar US. Cette réforme des DTS/Phénix sera l’occasion idoine de réévaluer au passage la valeur de chacun des ingrédients monétaires du gros gâteau DTS. Ainsi, l’euro numérique pourra être facilement réévalué en fonction de la richesse réelle, c’est-à-dire des actifs réels nets (déduction faite des dettes dues aux banques) de la zone euro. Plus généralement, chaque zone monétaire, y compris les Etats-Unis d’Amérique, verra sa part de DTS réévaluée en fonction de ses actifs réels.

Remettre le problème budgétaire français dans le contexte monétaire international permet de mieux percevoir et apprécier l’avenir de la France, qui se résume en quatre mots : « disparition pure et simple ». Car, en raison du niveau astronomique de la dette publique supportée par la France, le patrimoine public devra intégralement être vendu pour servir de garantie à ses créanciers. Or, de façon mécanique, une France sans patrimoine public n’aura pas d’existence monétaire – rappelons à toutes fins utiles qu’une monnaie est intimement liée à une économie -, pas plus que les français n’auront d’existence juridique dans les institutions européennes intégrées.

En parlant des institutions européennes, il importe d’ailleurs, pour les plus ignorants, de bien mettre en avant les « priorités » décrétées par ses dirigeants de paille : il s’agit de l’écologie et du numérique. Ainsi, ni la santé publique, ni la durée de vie ou le niveau de vie des ressortissants français ne sont une priorité… la priorité européenne est l’écologie, dans sa version Club de Rome, et le Numérique. La priorité numérique permettra en effet :

  • Que la future monnaie européenne et mondiale puisse aisément circuler,
  • Que l’identité des ressortissants européens devienne également numérique,
  • Que la santé soit intégrée à l’identité numérique. Cette intégration se faisant à la faveur de la pression covidienne des pouvoirs publics pour tracer les malades et leurs familles, pour aller vers un carnet de santé numérique et gérer la masse populaire en fonction de critères obscurs tels que, par exemple, l’obtention d’une vaccination forcée.

On comprend que l’alliance des priorités écologique et numérique de l’Union Européenne promet des jours heureux aux habitants de l’Europe, ainsi :

  • Le minage de monnaie, c’est-à-dire l’affectation monétaire individuelle, sera conditionnée à la réalisation d’une activité physique déterminée,
  • La possibilité de vie sociale sera conditionnée à la soumission individuelle au vaccin ou à toutes sortes d’expériences génétiques ou sanitaires des multinationales de la santé et de l’agro-alimentaire.

Nous examinerons, dans une seconde partie, les conséquences connues de la dette. Ainsi, loin d’être une abstraction, nous verrons que la date a des conséquences humaines et qu’elle se paye avec le sang. 

II – Les conséquences connues de la dette : misère matérielle et sociale (exemples historiques : Argentine, Grèce, Chypres)

III – le refus de la dette par le peuple : identification précise des créanciers, moratoire et audit public / l’abandon de la dette et le retour à la vie sociale

Auteur(s): Valérie Bugault pour FranceSoir




Le confinement a plongé de nombreux Français dans la précarité, alerte le Secours populaire

[Source : Daily Geek Show]

« Nous n’avons jamais vécu une situation pareille depuis la Deuxième Guerre mondiale »

C’est une nouvelle alerte que lance le Secours populaire : la précarité a largement augmenté durant le confinement. Ce sont près de 1,3 million de personnes qui ont sollicité l’aide de l’association durant ces 2 mois. Fait nouveau, près de 45 % des personnes demandant de l’aide le faisaient pour la première fois.

PRÈS DE 1,3 MILLION DE PERSONNES ONT SOLLICITÉ L’AIDE DU SECOURS POPULAIRE DURANT LE CONFINEMENT

Les chiffres présentés par le Secours populaire sont édifiants : près de 1,3 million de personnes ont demandé l’aide du Secours populaire durant les 2 mois de confinement. Le dernier baromètre de l’association, publié le 30 septembre, fait état de chiffres grandissants. Durant les 2 mois du confinement, 1 270 000 personnes ont demandé de l’aide au Secours populaire, alors que ces chiffres étaient de 3,3 millions durant toute l’année 2019.

Autre nouveauté, parmi ces demandeurs, 45 % étaient inconnus des services du Secours populaire. En d’autres termes, c’est la première fois qu’ils demandaient de l’aide, signe que la crise se généralise. De nombreux travailleurs demandent désormais de l’aide, notamment des auto-entrepreneurs, des commerçants, intérimaires, intermittents…

―addkm / Shutterstock.com

NOUS N’AVONS JAMAIS VÉCU UNE SITUATION PAREILLE DEPUIS LA SECONDE GUERRE MONDIALE

Henriette Steinberg, secrétaire générale de l’association, s’alarme de ce chiffre de 45 % : 

« Un chiffre absolument énorme. Mais j’ai bien peur que ce soit encore en train d’augmenter »ajoute-t-elle« Nous n’avons jamais vécu une situation pareille depuis la Deuxième Guerre mondiale, et il y a urgence », poursuit-elle. « Beaucoup n’avaient jamais demandé d’aide à personne. Et là, non seulement ils n’ont plus de quoi se nourrir, mais ils ne peuvent plus payer leur loyer, ni l’électricité. »

Les étudiants sont particulièrement touchés. Kab Niang, responsable de l’antenne du Secours populaire à l’université Paris-8, a fait livrer plus de 1 800 colis alimentaires à ses camarades durant le confinement« D’habitude on fait une cinquantaine de colis par mois. Mais en vingt-quatre heures, j’ai reçu 250 demandes. Et chaque semaine, les demandes étaient plus nombreuses », explique-t-il. « Beaucoup d’entre nous n’avaient plus aucune source de revenus, c’était la galère, même pour payer un loyer de 300 euros en coloc ou en chambre universitaire », ajoute cet étudiant de littérature française en master. Il ne s’est pas contenté de ces actions puisqu’il a, avec ses professeurs, lancé une cagnotte en ligne, et récolté jusqu’à 50 000 €. « De quoi acheter des fruits, des légumes ou des produits d’hygiène, mais aussi un ‘fonds d’urgence’ pour aider ceux qui avaient le plus de mal à payer leurs factures », précise-t-il. Selon lui, les demandes ont un peu diminué mais ne sont pas près de s’arrêter. « Certains étudiants ont arrêté leurs études, après avoir perdu leur appart et leur boulot, ils sont découragés », se lamente cet étudiant. En ce qui concerne les employeurs, « ils ne veulent pas renouveler leurs CDD, car c’est trop incertain, si demain on reconfine ».




Ni Elon Musk ni ses enfants ne se feront vacciner contre le covid-19

[Source : Strategika]

Par David Wagner – source

Investing.com – Comme cela a déjà été le cas de nombreuses fois depuis le début de la pandémie de coronavirus, le patron de Tesla Inc (NASDAQ : TSLA) et SpaceX, Elon Musk, a minimisé une fois de plus publiquement les risques du Covid-19.

Dans une large interview avec la journaliste Kara Swisher, du NY Times, Musk a en effet a déclaré qu’il ne prendrait pas de vaccin Covid-19 lorsqu’il sera disponible, et a refusé de dire s’il se sent obligé de payer les employés qui veulent rester chez eux pour éviter de contracter le virus.

Lorsqu’on lui a demandé, lors d’un épisode du podcast “Sway” du New York Times, s’il allait se faire vacciner, Musk a répondu : “Je ne suis pas à risque pour le COVID, ni mes enfants”.

Au cours du podcast, Musk a fait valoir qu’au lieu de balayer les ordres de rester chez soi pour atténuer la propagation du coronavirus, “toute personne à risque devrait être mise en quarantaine jusqu’à ce que la tempête passe”.

Lorsque Swisher a confronté Musk à la possibilité que des personnes meurent encore au cours du processus, il a répondu sans détour : “Tout le monde meurt.”

“La question est de savoir ce qui, tout compte fait, sert le plus grand bien”, a poursuivi Musk, ajoutant que les mesures de quarantaine n’ont pas permis d’atteindre cet objectif et que la pandémie est une “situation sans issue”.

Rappelons que Musk avait tweeté en avril que les ordres de confinement à l’échelle nationale équivalaient à une “assignation à résidence de facto”, et avait même évoqué le terme de “fascisme” pour décrire la situation.




Le mystère des microzymas et le polymorphisme microbien

[Source : Live Mag Santé Permaculture Autonomie]

https://youtu.be/zdb-WLNeiF8

[Source : De bonnes habitudes]

« Les microbes rencontrés dans les maladies ne sont pas leur cause, mais ils sont produits par le terrain déséquilibré du malade »

Pr A. Fougerousse 

Le polymorphisme microbien

Voici un exemple d’une des nombreuses observations qu’Antoine Béchamp a faites :

Un hiver, il a observé au microscope une plante grasse dont une partie avait été gelée. Qu’a t’il vu ?

Dans la partie gelée : des bactéries

Dans la partie saine : des granulations (visibles à x700)

Dans la partie intermédiaire : des étapes de formation des bactéries à partir des granulations. 

Bien entendu, il a reproduit, comme à son habitude très rigoureuse, en laboratoire en variant divers paramètres .

La plante était malade : seulement la cause de la maladie n’est pas la bactérie, mais le froid qui a changé les conditions du milieu (= terrain), les bactéries n’en sont qu’une conséquence. Voire même une défense.

(voir extrait du livre)

Ce sont les mêmes granulations qu’il a trouvées dans tous les organismes, dont il a étudié toutes les spécificités selon les organes, les glandes, les humeurs … , et cette granulation qu’il a appelé microzyma est vitale et a un rôle prépondérant dans l’organisation des êtres vivants.

Les microzymas : Antoine Béchamp (1883)

Le livre d’Antoine Béchamp (consultable sur internet) de plus de 1000 pages, est passionnant, d’un point de vue scientifique et historique. A. Béchamp prend la peine d’expliquer les avancées scientifiques et recoupe les expériences de son époque. C’est un véritable exemple de démarche scientifique. Ses travaux (et ceux de son équipe) étalés sur 30 ans sont très aboutis et ne pourront être plus longtemps ignorés. Ils remettent en cause notre vision du « microbe » et de la maladie.

Voici un condensé de l’avant-propos en format video ci-contre et  un condensé sous forme d’extraits du livre « les Microzymas … « , est téléchargeable gratuitement : Accès au téléchargement

Les principes de Pasteur ?


Approfondissement par Jules Tissot (1946)

« j’ai démontré, de la façon la plus formelle, après avoir établi le cycle du développement qui détermine la reproduction et la pullulation des bactéries, que les cultures bactériennes se transforment en hyphomycètes, c’est-à-dire en culture de moisissures quand on les met dans des conditions favorables à cette transformation.

J’ai donné des preuves multiples et formelles de ce phénomène en réalisant la transformation en hyphomycètes de toutes les cultures bactériennes pures qui sont les virus des maladies contagieuses connues.

Le phénomène inverse se réalise également…«  

(vol 2 page 5)

Jules Tissot confirme le polymorphisme microbien et la nature « bactérienne » de tous les organismes vivants :

« J’ai pu enfin parvenir à la connaissance de la constitution morphologique  et de l’organisation de la matière vivante, animale et végétale et des deux organisations élémentaires de nature bactérienne qui la constituent ».  

En 1946, le volume 3 de ses travaux est particulièrement dédié aux médecins. Téléchargez en particulier les 23 premières pages expliquant les graves erreurs entretenues par les organismes officiels, plus que jamais malheureusement.

TISSOT_V3.pdf
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Jules Tissot utilisait la microscopie électronique mais avec des « fixateurs » respectueux des échantillons. Voici les résultats obtenus montrant des structures très différentes de celles obtenues par les techniques agressives toujours utilisées.

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TISSOT_V2.pdf
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Ci-dessous, Bernard Guennebaud explique les découvertes de Tissot sur les « fausses » mitochondries (à 3mn de la video 2) et l’origine autogène du bacille de Koch :

Confirmation par les nouvelles technologies (2019) de la structure en réseau des mitochondries :

Dans cette cellule, on observe le noyau central qui semble maintenu dans cette position par le réseau mitochondrial. Celui-ci est très animé et semble en permanente reconstruction. Mais il faut tenir compte du fait que l’échantillon est sans doute agressé par ce mode d’observation aussi idéal soit-il, présentant alors des fissions et fusions. Ce comportement peut être différent dans la réalité.


Le polymorphisme selon Gaston Naessens

Gaston Naessens nomme cette petite unité de vie que Béchamp nommait microzyma : la somatide.

Le cycle polymorphique dans lequel apparaissent les formes normales 1 à 3, ou pathologiques 4 à 16.

Les 3 premiers stades correspondent au cycle normal de la somatide dans un organisme sain.
Les autres stades correspondent à diverses pathologies.

La somatide est essentielle à la vie
Sans somatide, il ne peut y avoir de division cellulaire.


[Voir aussi : La théorie des exosomes contre celle des virus]




Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

[Source : MirastNews]

[Référence à H.R. 6666 :

Bobby L. Rush :
Absolument. Mon projet de loi, le COVID-19 TRACE Act (H.R.6666) créerait un programme de subvention de 100 MILLIARDS de dollars pour les organisations locales pour embaucher, former et payer des individus pour exploiter des unités de test mobiles et effectuer la recherche des contacts dans les points chauds et les zones médicalement mal desservies.

Voir par exemple : https://truepundit.com/hr-6666-illinois-democrat-introduces-100-billion-contact-tracing-bill/]


De minuscules biocapteurs?

De lexico.com: nanotechnologie: «La branche de la technologie qui traite des dimensions et des tolérances inférieures à 100 nanomètres, en particulier la manipulation d’atomes et de molécules individuels.»

Nous commençons par des extraits d’un article important de Children’s Health Defence, «Microchips, Nanotechnology and Implanted Biocensors: The New Normal?» par Pam Long. [1]

Bouclez votre ceinture.

« Le personnel militaire des Etats-Unis d’Amérique sera le premier sujet des essais de nanotechnologie dans la poursuite de l’optimisation de la santé et de la détection précoce des épidémies. Profusa a conclu des contrats de recherche pour des capteurs bio-intégrés avec la DARPA (Department of Defense and Defense Advanced Research Projects Agency) des États-Unis d’Amérique, en attente d’approbation par la Food and Drug Administration des États-Unis d’Amérique au début de 2021. »

« La vidéo promotionnelle de Profusa montre comment le capteur bio-intégré permet à un soldat d’être suivi par des ordinateurs distants utilisant le GPS, en plus de surveiller des biomarqueurs en temps réel, tels que les niveaux d’oxygène et la fréquence cardiaque. Alors que cette biotechnologie est décrite comme potentiellement vitale pour un soldat sur le champ de bataille, les implications du suivi GPS des individus sont une étape terrifiante vers un état de surveillance dans la population en général. En outre, le suivi des personnes à des stades de maladie ne peut qu’entraîner une tyrannie médicale entre les mains d’un gouvernement. L’étude Profusa sur la grippe exige que les patients portent la version portable du lecteur 24 heures sur 24, avec une collecte continue d’informations sur les biomarqueurs dans une base de données, et vise à détecter quatre stades de l’infection: sain, infecté, asymptomatique et stade de récupération. Ces étapes de détection peu fiables pourraient devenir les critères de différents niveaux de participation individuelle à la société, comme cela a été vécu dans les verrouillages non durables COVID-19 au niveau de l’État pour les masses.

« Cette nanotechnologie Profusa comporte trois composants: un capteur [implanté] inséré appelé hydrogel, un lecteur de capteur fluorescent émettant de la lumière à la surface de la peau et un composant logiciel électronique qui transmet à une base de données en ligne… et il n’y a aucune information sur la façon dont le la technologie pourrait être supprimée, voire pas du tout. « De minuscules biocapteurs qui ne font qu’un avec le corps » pourraient impliquer un engagement à vie. »

Alors… des nano-bio-capteurs implantés. Cela pourrait-il aller plus loin? Au lieu de placer les capteurs juste sous la surface de la peau, pourrait-on leur injecter un vaccin?

Les chercheurs sont-ils intéressés à marier la nanotechnologie et les vaccins?

Voici une citation de Frontiers in Immunology, 24 janvier 2019, «Vaccins à base de nanoparticules contre les virus respiratoires» [2]:

« Une nouvelle génération de vaccins à base de nanoparticules a montré un grand potentiel pour répondre à la plupart des limites des vaccins conventionnels et sous-unitaires. Cela est dû aux progrès récents de l’ingénierie chimique et biologique, qui permettent la conception de nanoparticules avec un contrôle précis de la taille, de la forme, de la fonctionnalité et des propriétés de surface, conduisant à une meilleure présentation de l’antigène et à une forte immunogénicité. Cette brève revue donne un aperçu des avantages associés à l’utilisation de nanoparticules comme plates-formes d’administration de vaccins pour immuniser contre les virus respiratoires… » [comme le prétendu virus COVID-19?]

Voici une autre citation, également de Frontiers in Immunology, 4 octobre 2018, «Vaccins à nanoparticules contre les maladies infectieuses» [3]:

« Ces dernières années, l’utilisation de vaccins à base de nanoparticules a reçu une grande attention pour améliorer l’efficacité des vaccins, stratégies d’immunisation et administration ciblée pour obtenir les réponses immunitaires souhaitées au niveau cellulaire… Des nanotransporteurs composés de lipides, de protéines, de métaux ou de polymères ont déjà été utilisés… Cet article de synthèse se concentre sur les applications des formulations de vaccins à base de nanotransporteurs et les stratégies utilisées pour le la fonctionnalisation de nanoparticules pour accomplir une administration efficace de vaccins afin d’induire l’immunité souhaitée de l’hôte contre les maladies infectieuses. »

Il ne fait aucun doute que la nanotechnologie est, en effet, très impliquée dans la recherche de pointe sur les vaccins.

Voici des citations étonnantes de la revue Nano Today, tirées d’un article de 2019 intitulé: «Les sondes Nanowire pourraient piloter des interfaces cerveau-machine haute résolution.» [4] Ses auteurs sont de la Chine et des Etats-Unis d’Amérique:

«… Les progrès peuvent permettre des enquêtes sur la dynamique du cerveau [grâce à des nano-capteurs-implants] et stimuler le développement de nouvelles interfaces cerveau-machine avec une résolution et une précision sans précédent.»

«… Émettre des signaux électriques d’activité cérébrale ou des stimuli électriques d’entrée pour moduler l’activité cérébrale de concert avec des machines externes, y compris des processeurs informatiques et des prothèses, pour l’amélioration humaine…»

Outre les recherches sur les prothèses et peut-être le renversement de certaines paralysies, cette piste d’investigation suggère également une «modulation» du cerveau connecté à distance à des machines, à des fins de contrôle.

Modulation… comme le contrôle des impulsions de pensée, des sensations, des émotions de base?

UN: Les nano-capteurs, implantés dans le corps et le cerveau, émettraient des rapports de données en temps réel sur le fonctionnement du corps / cerveau aux centres opérationnels.

DEUX: Et à partir de ces centres d’opérations, les données – y compris les instructions – seraient renvoyées aux nano-capteurs, qui imposeraient ces instructions au cerveau et au corps.

Si cela semble impossible, envisagez la recherche nanotechnologique visant à améliorer l’utilisation des prothèses. Dans ce domaine, imposer des instructions au corps / cerveau semble être le point essentiel.

La question est: jusqu’où cette technologie est-elle sur la voie du développement? Je peux seulement dire que nous voyons le visage public des nanotechnologies. Ce qui se cache derrière, dans la recherche secrète, est une question d’estimation et de spéculation.

Je propose une spéculation: la «promotion» de l’agenda social de la pensée collectiviste, à travers les nanotechnologies. En utilisant l’Internet des objets, une tentative serait faite pour connecter et «harmoniser» de très nombreux cerveaux les uns avec les autres. Mêmes sentiments de base, mêmes impulsions – partagées.

Qui serait intéressé par un tel programme? Pensez au gouvernement chinois, à la DARPA (la branche technologique du Pentagone) et à de nombreux autres acteurs internationaux. Pensez aux chercheurs médicaux Rockefeller. Pensez à la technocratie et à Brave New World.

Mais attendez. Supposons qu’un nombre incalculable de nanoparticules soit DÉJÀ dans les vaccins traditionnels? Et supposons que nous ne sachions pas comment ils sont arrivés là? Ou s’il s’agit «uniquement» de contaminants dangereux susceptibles d’affecter la santé humaine de nombreuses façons néfastes… ou certains d’entre eux sont-ils ÉGALEMENT des nanocapteurs capables de recevoir et de transmettre des informations? Ces nanoparticules contaminantes représentent-elles une première étape de la recherche dans l’implantation de vaccins-nanos chez l’homme?

Une étude de 2017 portant sur 44 types de 15 vaccins traditionnels, fabriqués par de grandes entreprises mondiales, a révélé un fait très troublant et jusqu’alors non rapporté:

Les vaccins sont fortement contaminés par une variété de nanoparticules.

La plupart des particules sont des métaux.

Nous parlons de vaccins traditionnels, tels que le VPH, la grippe, la grippe porcine, l’hépatite B, le ROR, le DTC, le tétanos, etc.

Pour commencer à comprendre certains des effets destructeurs de la contamination des nanoparticules dans les vaccins, voici l’étude révolutionnaire de 2017: [5]

Journal international des vaccins et de la vaccination
Volume 4 Numéro 1
23 janvier 2017
Nouvelles enquêtes de contrôle de la qualité sur les vaccins:
Micro- et nanocontamination
Antonietta M Gatti et Stefano Montanari

«Les analyses effectuées montrent que dans tous les échantillons contrôlés, les vaccins contiennent des corps étrangers non biocompatibles et bio-persistants qui ne sont pas déclarés par les Producteurs, contre lesquels l’organisme réagit de toute façon. Cette nouvelle enquête représente un nouveau contrôle de qualité qui peut être adopté pour évaluer la sécurité d’un vaccin. Notre hypothèse est que cette contamination n’est pas intentionnelle, car elle est probablement due à des composants pollués ou à des procédés de procédés industriels (par exemple des filtrations) utilisés pour produire des vaccins…»

Les auteurs de l’étude laissent-ils la porte ouverte à la possibilité que la contamination soit intentionnelle?

« La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcertés. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, c’est-à-dire qu’elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets qui peuvent devenir évidents soit immédiatement au moment de l’injection, soit après un certain temps après l’administration. Il est important de se rappeler que les particules (cristaux et non molécules) sont des corps étrangers à l’organisme et se comportent comme tels. Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité… ils induisent une réaction inflammatoire. »

« Après avoir été injectés, ces microparticules, nanoparticules et agrégats peuvent rester autour du site d’injection formant des gonflements et des granulomes… Mais ils peuvent aussi être portés par la circulation sanguine, échappant à toute tentative de deviner quelle sera leur destination finale… Comme pour tous les étrangers corps, en particulier si petits, ils induisent une réaction inflammatoire chronique car la plupart de ces particules ne peuvent pas être dégradées. De plus, l’effet protéine-corona… dû à une nano-bio-interaction… peut produire des particules composites organiques/inorganiques capables de stimuler le système immunitaire de manière indésirable… Il est impossible de ne pas ajouter que des particules de la taille souvent observée dans les vaccins peuvent entrer dans les noyaux cellulaires et interagir avec l’ADN… »

« Dans certains cas, par exemple comme c’est le cas avec le fer et certains alliages de fer, ils peuvent se corroder et les produits de corrosion exercent une toxicité affectant les tissus… »

« Compte tenu des contaminations que nous avons observées dans tous les échantillons de vaccins à usage humain, les effets indésirables après l’injection de ces vaccins sont possibles et crédibles et ont le caractère du hasard, car ils dépendent de l’endroit où les contaminants sont transportés par la circulation sanguine. Il est seulement évident que des quantités similaires de ces corps étrangers peuvent avoir un impact plus grave sur de très petits organismes comme ceux des enfants. Leur présence dans les muscles… pourrait fortement altérer la fonctionnalité musculaire… »

« Nous rencontrons des particules avec des compositions chimiques, similaires à celles trouvées dans les vaccins que nous avons analysés, lorsque nous étudions des cas de contamination environnementale causée par différentes sources de pollution. Dans la plupart des cas, les combinaisons détectées sont très étranges car elles n’ont aucune utilité technique, ne peuvent être trouvées dans aucun manuel des matériaux et ressemblent au résultat de la formation aléatoire se produisant, par exemple, lorsque les déchets sont brûlés. Dans tous les cas, quelle que soit leur origine, ils ne doivent être présents dans aucun médicament injectable, encore moins dans les vaccins, plus particulièrement ceux destinés aux nourrissons. »

Cette étude de 2017 ouvre un tout nouveau champ: l’investigation des nanoparticules dans les vaccins là où aucune n’était attendue.

De telles particules ne sont pas des médicaments dans aucun sens du terme.

De nombreux «experts» juridiques et scientifiques affirment que l’État a le droit d’imposer des vaccins et de les imposer à la population. Mais ces nanoparticules contaminantes ne sont ni des vaccins ni des médicaments. Seul un fou défendrait le droit de l’État de les injecter.

Voici une autre section de l’étude de 2017. Les noms commerciaux des vaccins et les compositions des contaminants nanoparticulaires sont indiqués.

«… Une présence supplémentaire de corps étrangers inorganiques de taille micro, sous-micro et nanométrique (allant de 100 nm à une dizaine de microns) a été identifiée dans tous les cas [les 44 vaccins], dont la présence n’a pas été déclarée dans les brochures livrées dans le emballage du produit…»

«… Particules uniques, amas de micro et nanoparticules (<100 nm) et agrégats… débris d’aluminium, de silicium, de magnésium et de titane; de particules de fer, de chrome, de silicium et de calcium… disposées en amas, et de débris d’aluminium-cuivre… en agrégat.»

«… Les particules sont entourées et noyées dans un substrat biologique. Dans tous les échantillons analysés, nous avons identifié des particules contenant: du plomb (Typhym, Cervarix, Agrippal S1, Meningitec, Gardasil) ou de l’acier inoxydable (Mencevax, Infarix Hexa, Cervarix. Anatetall, Focetria, Agrippal S1, Menveo, Prevenar 13, Meningitec, Vaxigrip , Stamaril Pasteur, Repevax et MMRvaxPro).»

«… Des particules de tungstène identifiées dans des gouttes de Prevenar et Infarix (aluminium, tungstène, chlorure de calcium).»

«… Des débris singuliers trouvés dans Repevax (Silicium, Or, Argent) et Gardasil (Zirconium).»

« Certaines particules métalliques en tungstène ou en acier inoxydable ont également été identifiées. Autres particules contenant du zirconium, du hafnium, du strontium et de l’aluminium (Vivotif, Meningetec); Tungstène, Nickel, Fer (Priorix, Meningetec); Antimoine (kit Menjugate); Chrome (Meningetec); De l’or ou de l’or, du zinc (Infarix Hexa, Repevax) ou du platine, de l’argent, du bismuth, du fer, du chrome (MMRvaxPro) ou du plomb, du bismuth (Gardasil) ou du cérium (Agrippal S1) ont également été trouvés. Le seul tungstène apparaît dans 8/44 vaccins, tandis que le chrome (seul ou en alliage avec le fer et le nickel) dans 25/44. Les investigations ont révélé que certaines particules sont noyées dans un substrat biologique, probablement des protéines, des endo-toxines et des résidus de bactéries. Dès qu’une particule entre en contact avec des fluides protéiques, une nano-bio-interaction… se produit et une «protéine corona» se forme… La nano-bio-interaction génère un composé de plus grande taille qui n’est pas biodégradable et peut induire des effets indésirables, puisqu’elle n’est pas reconnue comme soi par le corps. »

«… Des exemples de ces nano-bio-interactions. On peut voir des agrégats (entités composites stables) contenant des particules de plomb dans Meningitec… d’acier inoxydable (fer, chrome et nickel…) et de cuivre, zinc et plomb dans le col de l’utérus… Agrégats similaires, mais dans des situations différentes (patients atteints de leucémie ou cryoglobulinémie), ont déjà été décrites dans la littérature.»

Je suis sûr que vous avez lu les assurances officielles selon lesquelles les problèmes de fabrication de vaccins sont «rares». Vous pouvez déposer ces déclarations avec d’autres mensonges médicaux.

«Je voudrais le sandwich au métal lourd sur du seigle, s’il vous plaît. Et au lieu de le servir dans une assiette, pouvez-vous l’injecter?»

– Il est évident, d’après ce que j’ai écrit jusqu’à présent dans cet article, que la recherche et le développement de nanoparticules en tant que composants de vaccins sont bien avancés. Et bien qu’une grande partie de ce qui se trouve déjà dans les vaccins peut être une nanocontamination, il y a également eu une très forte poussée pour affiner la recherche — INSÉRER DES NANO CAPTEURS DANS LE CORPS ET LE CERVEAU QUI RECEVRAIENT ET TRANSMETTRE DES INFORMATIONS ET DES INSTRUCTIONS.

Juste pour vous donner une idée de l’importance des nanoparticules dans les vaccins pour l’établissement pharmaceutique, voici ce qui est arrivé aux deux chercheurs italiens qui ont découvert la présence de nanos dans les vaccins traditionnels, les auteurs de l’étude que j’ai citée ci-dessus:

James Grundvig, sur GreenMedInfo.com et le World Mercury Project, a rapporté (3/7/18): [6]

« La semaine dernière, la police italienne a fait une descente au domicile et au laboratoire scientifique des Drs. Antonietta Gatti et Stefano Montanari. La police a volé tous les actifs numériques appartenant à l’équipe de nanopathologistes mari et femme, saisissant des ordinateurs portables, des ordinateurs et des clés USB – et avec elle, des années de travail et de recherche. »

« Parce que Gatti et Montanari avaient porté leurs recherches sur les nanopoussières et les nanoparticules… à quelle contamination invisible pourrait résider dans les vaccins en 2016, ils sont passés sous le microscope des autorités des Etats-Unis d’Amérique, de l’Europe et de l’Italie. Ils avaient touché le troisième rail de médecine. Ils avaient traversé la zone interdite, le prétendu crime étant la recherche et la découverte scientifiques. En trouvant une nanocontamination dans des vaccins aléatoires, Gatti et Montanari ont révélé, pour la première fois, ce que personne ne savait: les vaccins contenaient plus que des adjuvants de sels d’aluminium, du polysorbate-80 et d’autres produits chimiques inorganiques, ils contenaient également de l’acier inoxydable, du tungstène, le cuivre et d’autres métaux et éléments rares qui n’appartiennent pas aux injections administrées aux fœtus, aux femmes enceintes, aux nouveau-nés, aux bébés et aux tout-petits développant leurs poumons, leur système immunitaire et leur système nerveux. »

« Lorsque les scientifiques ont publié leurs résultats en janvier 2017, « Nouvelles enquêtes de contrôle de la qualité sur les vaccins: micro‐ et nanocontamination », la prochaine étape logique pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centers for Disease Control (CDC) aurait dû être pour ouvrir une enquête sur leurs affirmations, embauchez des scientifiques indépendants pour effectuer leurs propres tests de laboratoire pour confirmer ou infirmer les résultats. En cas de confirmation, les agences de santé adopteraient de nouvelles politiques sur la sécurité de la chaîne d’approvisionnement des vaccins et appliqueraient des programmes stricts de contrôle qualité et d’assurance qualité. »

« Mais rien de tout cela ne s’est produit. Un an s’est écoulé. Il était moins cher pour les autorités d’attaquer les scientifiques italiens que de bouleverser le train de sauce vaccinale qui soutient les politiciens. »

Maintenant, il semble que nous soyons sur le point d’obtenir l’approbation d’un vaccin, le vaccin COVID, qui sera certifié pour injection à chaque personne dans le monde.

Quelle meilleure opportunité pour implanter des particules nanotechnologiques chez l’homme?

Voici un exemple:

New England Journal of Medicine, 2 septembre 2020; «Essai de phase 1–2 d’un vaccin à nanoparticules de protéine de pointe recombinante contre le SRAS-CoV-2.» [7]

«Le rSARS-CoV-2, développé par Novavax et fabriqué chez Emergent Biosolutions, est un vaccin nanoparticulaire recombinant construit à partir de la glycoprotéine de pointe du SARS-CoV-2 de type sauvage (c’est-à-dire, y compris le domaine transmembranaire)…»

«Nous avons lancé un essai randomisé, contrôlé par placebo, de phase 1-2 pour évaluer l’innocuité et l’immunogénicité du vaccin rSARS-CoV-2 (en doses de 5 μg et 25 μg, avec ou sans adjuvant Matrix-M1, et avec observateurs ignorant les affectations des groupes d’essai) chez 131 adultes en bonne santé. En phase 1, la vaccination comprenait deux injections intramusculaires, à 21 jours d’intervalle…»

Cela arrive. C’est en cours.

Qu’est-ce qui se profile à l’horizon? Grâce à l’utilisation de nanosénors implantés pouvant recevoir des instructions, la mise en œuvre d’un agenda de la pensée collectiviste. Une tentative serait faite pour connecter et «harmoniser» de très nombreux cerveaux les uns avec les autres. Mêmes sentiments de base, mêmes impulsions – partagées…

Qui serait intéressé par un tel programme? Pensez au gouvernement chinois, à la DARPA (la branche technologique du Pentagone) et à de nombreux autres acteurs internationaux. Pensez aux chercheurs médicaux Rockefeller. Pensez à la technocratie et à Brave New World.

SOURCES:

Le meilleur de Jon Rappoport

Jon Rappoport dirige No More Fake News. L’auteur d’une collection explosive, The Matrix Revealed, Jon était candidat à un siège du Congrès des Etats-Unis d’Amérique dans le 29e district de Californie. Nommé pour un prix Pulitzer, il a travaillé comme journaliste d’investigation pendant 30 ans, écrivant des articles sur la politique, la médecine et la santé pour CBS Healthwatch, LA Weekly, Spin Magazine, Stern et d’autres journaux et magazines aux États-Unis d’Amérique et en Europe.

Droits d’auteur © Jon Rappoport

Jon Rappoport




⚡️ La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés

[Source : Géopolitique profonde via Réseau International]

Nous sommes à peine entrés dans l’automne (financier), que de nombreuses déclarations émanant de plusieurs institutions nous informent que la disparition de l’argent liquide va encore s’accélérer.

On constate que l’économie mondiale sous perfusion résiste tant bien que mal aux assauts de l’éternel retour au concret.

Mais il y a fort à parier qu’aucun grand évènement ne va survenir avant l’élection présidentielle américaine du 3 novembre prochain.

Cela n’empêche pas l’establishment financier européen de commencer à habituer les populations aux profondes transformations qui vont avoir lieu grâce à cette crise post pandémique.

La BCE de Lagarde initie le mouvement

En effet, il y a quelques jours déjà, Christine Lagarde a évoqué la possibilité de créer un euro numérique pour surmonter la crise qui va se présenter devant nous. Rappelons tout de même que la grande Christine, il y a quelques semaines, nous expliquait que le pire de la crise était derrière nous

Ainsi, l’ancienne directrice du Fonds Monétaire International et ex-ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy a déclaré : « Nous devons nous tenir prêts à émettre un euro numérique si cela s’avère nécessaire »
À cela, elle s’est empressée d’ajouter que cette cryptomonnaie existerait « parallèlement aux espèces, sans les remplacer ».

La Banque centrale européenne va donc prochainement lancer une série d’expérimentations (menées pendant six mois) qui vont aller dans le sens de l’émission de cette devise numérique.

L’argument principal de cette révolution ? La nécessité, bien sûr, mais également « une plus grande sécurité » selon la directrice de l’institution de Francfort, qui indique que : « Nous devons nous tenir prêts à émettre un euro numérique si cela s’avère nécessaire ».

Sous-entendu, si la situation économique et financière de l’Eurozone s’aggrave, malgré les multiples politiques de surliquidités (Quantitaive Easing) de la Banque centrale, nous serons contraints d’utiliser cette technologie pour disposer d’une plus grande marge de manœuvre… »

Dans son communiqué, l’institution chargée de la bonne gestion de l’Union monétaire explique « qu’un euro numérique serait une forme électronique de monnaie de banque centrale qui, à l’instar des billets de banque, permettrait à tous – ménages comme entreprises – d’effectuer leurs paiements quotidiens rapidement, facilement et en toute sécurité ».

Ainsi, le « miracle » de l’argent des banques centrales (création monétaire à partir du néant) va enfin être élargi à la sphère des masses (ménages et entreprises). Quelle formidable nouvelle ! Les dirigeants des banques centrales sont donc en train de faire céder toutes les digues (morales et logiques) pour faire perdurer un système financier alchimique dans lequel nous sommes plongés depuis 1971 (1909 ?) et qui est en train de nous conduire à une catastrophe d’ampleur apocalyptique.

Cependant nos grands banquiers centraux, au service de l’oligarchie financière transnationale, oublient un peu vite l’adage qui énonce que « La nature a horreur des trop longs miracles ». Et il y a fort à parier que cette monnaie numérique ne soit pas réellement créée pour la liberté des peuples et la prospérité des nations…

En effet, même si  dans un premier temps cette devise numérique va exister « parallèlement aux espèces, sans les remplacer », précise la BCE, qui affirme qu’elle continuera « dans tous les cas » d’émettre des espèces. Il est évident que nos sympathiques bouts de papier colorés et nos pièces, ne vont plus faire long feu, face à cette monnaie magique (qui en plus d’être créée ex nihilo), ne coûtera rien à fabriquer. Un simple jeu d’écriture suffira. Par la grande crise qui vient, les banquiers centraux deviendront donc enfin les « dieux » tout puissants de l’économie…

Évidemment les « experts » expliquent que cette initiative se justifie aussi par la forte diminution constatée de l’usage des espèces dans la zone euro, accélérée par la pandémie de Covid-19 (notamment en Allemagne).

Et oui magie du Coronavirus, les espèces (moyen de paiement préféré des terroristes depuis quelques années) sont aussi un vecteur de mort par contagion depuis la pandémie !

Ajouter à cela, la tendance de numérisation des paiements qu’ont entraînée plusieurs gros projets de cryptomonnaie comme la Libra de Facebook ou évidemment le Bitcoin, et cela a suscitée selon la BCE, de soi-disant inquiétudes en termes de risque financier…

Le communiqué évoque d’ailleurs explicitement ce phénomène en expliquant que le « lancement, à l’échelle internationale, de moyens de paiement privés soulève des questions prudentielles et menaceraient la stabilité financière et la protection des consommateurs ».

Ainsi, en tant que pourvoyeur principal de fausse monnaie en Europe, la BCE souhaite réaffirmer son hégémonie face à ces innovations, et l’institution souhaite donc proposer un moyen de paiement numérique « sans risque à l’échelle européenne ».

Mais en réalité la BCE et Lagarde en particulier, ne font qu’appliquer des directives qui viennent « d’en haut ». L’institution européenne ne va pas être la seule à enclencher ce mouvement.

La Banque des Règlements Internationaux confirme

Benoît Coeuré responsable du pôle innovation de la Banque des règlements internationaux de Bâle, ancien membre du comité exécutif de la Banque centrale européenne, ancien du Trésor français et participant récurrent à la réunion du groupe Bilderberg (2014, 2015 et 2016), nous explique, lui aussi, que la fameuse Libra de Facebook aurait conduit les banques centrales à se réveiller sur les questions de crypto monnaies.

L’économiste de la BRI, en disant que « Les banques centrales ont pris les cryptomonnaies de haut »  explique que ce sont les conséquences de la crise actuelle et le succès des cryptomonnaies qui doivent conduire les grandes banques centrales à franchir le Rubicon des devises numériques.

En réalité, tout cela n’est que de l’habillage marketing, de la propagande politique pour être précis, l’euro numérique est bien le pendant d’autres projets avancés de cryptomonnaie menés au sein d’autres banques centrales dans le monde, à l’instar de la Banque centrale chinoise.

Évidemment les cryptomonnaies nous sont vendues par les experts comme des moyens de « stimuler l’innovation« . Ce qui est factuellement faux.  Car en quoi l’utilisation du Bitcoin a-t-elle permis de stimuler la création de richesse de ces utilisateurs ?

D’où sortent donc toutes ces affirmations péremptoires sur les cryptomonnaies ?

Qu’est-ce qui permet à un Fabio Panetta, membre du directoire de la BCE, de dire que l’euro numérique contribuerait à « renforcer le rôle international de l’euro » et « stimulerait l’économie » ?

En vérité, aucun élément tangible ne permet de démontrer toutes ces affirmations, si ce n’est une volonté transnationale des grands acteurs financiers.

En vérité, la banque centrale des banques centrales n’a d’ailleurs pas caché ses intentions quand elle affirmait à propos des cryptomonnaies, au début de l’année 2020 (en janvier) que la collaboration à l’échelle internationale, notamment via son centre d’innovation, était impérative.

Un groupe de travail regroupant six banques centrales, piloté par Benoît Coeuré, et Jon Cunliffe, actuel sous-gouverneur de la Banque d’Angleterre, avait été lancé dans ce sens. La pandémie du Coronavirus n’aura donc fait qu’accélérer le processus.

Le visage du socialisme corporatif dans les cryptomonnaies

Sur ce sujet, le Forum économique mondial de Davos (lui aussi), avant même de parler de Grand Reset, avait annoncé, le 24 janvier dernier, la création d’un consortium international visant à « définir un cadre réglementaire pour les cryptomonnaies ».

Mais chose qui peut paraître étrange pour le non-initié, ce consortium mêle des grands banquiers centraux, des grandes entreprises transnationales et des ONG.

On voit s’organiser une véritable collusion entre intérêts privés et organismes publics autour de ce thème des cryptomonnaies.

Évidemment, le communiqué de Davos a précisé de manière laconique que : « Les devises virtuelles sont souvent citées comme un outil d’inclusion financière, mais cette opportunité ne pourra se réaliser qu’avec une bonne gouvernance ».

Plusieurs acteurs de premier plan ont salué l’initiative du Forum de Davos notamment le gouverneur de la banque centrale sud-africaine Kganyago (ancien de chez First National Bank) ou du français David Marcus, ancien patron de PayPal et responsable chez Facebook du projet Libra.

Dans une période où certains observateurs dénoncent, à juste titre, une soviétisation de l’économie mondiale, on oublie de dire que cette « communisation » n’est pas contrairement à ce que disent les vieux idéologues libéraux, une étatisation. C’est en réalité une hybridation entre les secteurs publics et les grandes multinationales privées. C’est un système ou le parasitisme, le népotisme et la médiocrité s’attaquent à la petite propriété privée et à la liberté économique et politique des individus. Comme à l’époque soviétique, les nouveaux révolutionnaires de cette monnaie numérique ne s’attaqueront pas au Capital, ils s’attaqueront au Travail.

monnaie numérique et socialisme

Payer en espèce coûtera plus cher

Car nous, simples citoyens et consommateurs, allons voir très rapidement les conséquences de ce phénomène. Dans les semaines à venir, la mise à disposition de l’argent liquide va coûter de plus en plus cher. Au motif de la crise actuelle, les banques vont faire payer de plus en plus les retraits d’espèces.

Nos politiques vont progressivement retirer le cash des circuits économiques. Ils commenceront évidemment par les petites pièces de monnaie. Et les prix seront forcément arrondis à la hausse.

La Commission européenne, connue pour être sous l’influence des lobbys, et en particulier sous l’emprise du gestionnaire d’actifs BlackRock depuis quelques mois, a indiqué à la fin du mois de septembre « vouloir faire disparaître de la circulation les petites pièces cuivrées de 1 et 2 centimes d’euros ».

Une grande consultation sur ce sujet a même été ouverte avant l’annonce d’une décision définitive prise par la Commission, à la fin de l’année 2021.
Ne nous leurrons pas, la décision est déjà prise : il est certain que la pandémie de Covid-19 et la démocratisation du paiement sans contact, vont faciliter la disparition des pièces et des billets.

Ainsi, l’argent liquide, dernier bastion de liberté financière, va nous être retiré par l’establishment. Et c’est par l’illusion de la cryptomonnaie que nous allons voir disparaître le dernier vestige de l’arme monétaire.

Marc Gabriel Draghi


[Voir aussi :




La conspiration mondiale selon le Père Régimbal, Québécois décédé en 1988

[Source : Guy Boulianne]

[Extrait de La Fondation Père Jean-Paul Regimbal]

Le Père Jean-Paul Régimbal est un prêtre catholique né le 4 juillet 1931 à North Bay, en Ontario. Il était rattaché à la communauté des Pères Trinitaires (o.s.s.t.).

Prédicateur attirant les foules, il a fondé un centre de retraite à Granby et a contribué à la croissance du mouvement catholique charismatique. Il fut l’instigateur de quelques congrès qui ont attiré des milliers de personnes. Il est aussi un auteur du Québec connu pour ses opinions conspirationnistes, antimaçonniques et son opposition à la musique rock en général à cause des messages subliminaux qui se trouveraient d’après lui dissimulés dans la musique ou les paroles. Le Père Regimbal, parmi les grands leaders charismatiques québécois, fut un des premiers courageux à dénoncer le Plan et la Structure mondiale des Illuminati : les 33, les 13, les Bilderbergers, La franc-maçonnerie, les sectes satanistes, le projet du nouvel ordre mondial, etc. Benoît Domergue a repris une partie de sa thématique.

Au cours d’émissions télévisées le Père Regimbal dénonçait le pouvoir des illuminati, une secte gnostique manichéenne issue du 33e degré de la franc-maçonnerie qui veut faire émerger un nouvel ordre mondial sous le règne de Satan. Son influence s’exercerait sur le plan économique et bancaire, politico-militaire, socio-culturel et religieux aux États-Unis et en Europe. Le Père Regimbal dénonçait le capitalisme, le libre-échange illustré par les théories de Milton Friedman, les placements boursiers, et l’émission des « dollars fantômes » qui induit les crises économiques ; et annonce la mise en place de la puce sous-cutanée.

Le Père Jean-Paul Régimbal serait décédé dans des circonstances nébuleuses au Vatican où il aurait été rappelé pour désobéissance. Par conséquent, il ne se doutait peut-être pas encore à ce moment-là (n’oubliez pas qu’il était dans les années 80-90) que le Vatican était aussi un siège mondial des illuminés. Il est l’auteur de plusieurs livres dont « Rock’n roll. Viol de la conscience par les messages subliminaux », paru en 1983 (vous pouvez le télécharger ici).




L’entreprise Citrix s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035.

[Source : Anguille sous roche]

Juste quand on pensait que les choses ne pouvaient pas être plus dystopiques cette année, la multinationale américaine de logiciels Citrix a discrètement publié dans l’éthique d’Internet qu’elle s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035.

Citrix a rejoint des noms comme Zoom et Slack comme sujets de discussion populaires pendant la pandémie de coronavirus, car de plus en plus d’Américains travaillent depuis leur domicile. Cette tendance, bien qu’elle puisse inverser la tendance post-pandémique, est encore largement considérée comme laïque par nature, car les logiciels et la technologie ont rendu le travail à domicile plus facile que jamais.

Mais jusqu’à quel point devrions-nous faciliter les choses ? Citrix semble penser que les Américains devraient volontairement commencer à se transformer en cyborgs – une décision qui, en tant que champions de la liberté, nous convient si les gens le souhaitent – mais à la demande de leurs chefs d’entreprise.

L’entreprise a tweeté il y a environ une semaine que ceux qui disposeront de « puces implantées » d’ici 2035 auront probablement un « avantage sur le marché du travail ».

Oui, et si vous vous transformez en un robot complet qui n’a jamais à aller aux toilettes, à manger ou à fumer une cigarette pendant une pause, cela vous rendrait probablement plus attrayant aussi.

« D’ici 2035, certains travailleurs auront fait un pas de plus dans l’amélioration de la technologie, en choisissant de se faire implanter des puces », peut-on lire dans le rapport « Work 2035 » de Citrix. « Près de la moitié (48 %) des professionnels seraient prêts à se faire implanter une puce dans leur corps si cela pouvait améliorer de manière significative leurs performances et leur rémunération. »

Le rapport note un delta évident entre les « dirigeants » des entreprises et les employés sur leurs sentiments à l’égard des implants : « Près de huit chefs d’entreprise sur dix (77 %) pensent que les puces et les capteurs sous la peau augmenteront les performances et la productivité des travailleurs d’ici 2035, contre seulement 43 % des employés qui partagent ce point de vue. »

L’entreprise a donné suite à ce projet en publiant un article sur son site web : « Soixante-dix-sept pour cent de tous les professionnels interrogés pensent que d’ici 2035, l’IA accélérera considérablement leur processus de décision. Une majorité des personnes interrogées s’accordent à dire qu’à l’avenir, les interfaces technologiques augmenteront la productivité et les performances humaines. »

Et, qu’on le veuille ou non, Citrix prédit que l’IA aura une profonde présence dans les environnements de bureau à l’avenir : « En outre, bien que plus des trois quarts des dirigeants pensent que les organisations créeront des fonctions telles que des départements de gestion de l’IA et des unités de réponse à la cybercriminalité, moins de la moitié des employés anticipent ces unités d’ici 2035. »

Mais alors que les chefs d’entreprise sont manifestement prompts à accepter les économies de coûts qui découlent de l’IA, la base ne semble pas enthousiasmée par l’idée : « Alors que la plupart des chefs d’entreprise anticipent un monde de structures d’entreprise fortes, alimentées par un partenariat homme-technologie florissant, les employés prévoient un monde beaucoup plus fragmenté, avec de grandes entreprises qui ne dominent plus, et de nombreux rôles remplacés par la technologie. »

Vous pouvez lire le rapport complet de Citrix « Work 2035 » ici, bien que nous ne soyons pas sûrs de la raison pour laquelle vous le souhaitez.

Attendez peut-être jusqu’en 2021 pour le déchiffrer.

Lire aussi : La Chambre des représentants du Michigan adopte une loi sur la micropuce à destination humaine

Source : Zero Hedge – Traduit par Anguille sous roche




Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d’oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »

[Source : Sott.net]

C’est l’un des billets les plus importants que j’aie jamais rédigés, alors je vous invite à le lire. J’ai retranscrit les extraits les plus marquants du récent et très urgent message vidéo du Dr Margarite Griesz-Brisson, qui a été traduit de l’allemand en anglais par Claudia Stauber.



Vidéo originelle du Dr Griesz-Brisson

Le Dr Margarite Griesz-Brisson, docteur en médecine, est neurologue consultante et neurophysiologiste, titulaire d’un doctorat en pharmacologie, avec un intérêt particulier pour la neurotoxicologie, la médecine environnementale, la neurorégénération et la neuroplasticité. Voici ce qu’elle a à dire sur les masques et leurs effets sur notre cerveau :

« La réinhalation de l’air que nous respirons va incontestablement générer un déficit en oxygène et une saturation en dioxyde de carbone. Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la privation d’oxygène. Il y a des cellules nerveuses, par exemple dans l’hippocampe, qui ne peuvent pas rester plus de 3 minutes sans oxygène – elles ne peuvent pas survivre.

Les symptômes d’alerte aigus sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction – qui sont des réactions du système cognitif.

Cependant, lorsque vous souffrez d’une privation chronique d’oxygène, tous ces symptômes disparaissent, car vous vous y habituez. Mais votre fonctionnement demeure altéré, et la sous-alimentation en oxygène de votre cerveau continue de progresser.

Nous savons que les maladies neurodégénératives mettent des années, voire des décennies, à se développer. Si aujourd’hui, vous oubliez votre numéro de téléphone, cela indique que le processus de dégradation de votre cerveau a démarré il y a 20 ou 30 ans.

Vous pensez peut-être que vous vous êtes habitué à porter un masque et à inspirer l’air que vous venez d’expirer, mais il n’en reste pas moins que les processus dégénératifs dans votre cerveau s’amplifient à mesure que votre privation d’oxygène se poursuit.

Le deuxième problème est que les cellules nerveuses de votre cerveau sont incapables de se diviser normalement. Ainsi, au cas où nos gouvernements seraient assez généreux pour nous autoriser à enlever nos masques et à respirer à nouveau librement de l’oxygène dans quelques mois, les cellules nerveuses perdues ne seront plus régénérées. Ce qui est perdu est perdu.

Je ne porte pas de masque, j’ai besoin de mon cerveau pour réfléchir. Je veux avoir les idées claires quand je m’occupe de mes patients, et ne pas être anesthésiée au dioxyde de carbone.

Il n’existe pas d’exemption médicale infondée pour les masques faciaux, car la privation d’oxygène est dangereuse pour chaque cerveau. Chaque être humain doit pouvoir décider librement s’il veut porter un masque absolument inefficace pour se protéger contre un virus.

Pour les enfants et les adolescents, les masques sont un interdit absolu. Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et adaptatif, et ils ont besoin d’une interaction constante avec le microbiome de la Terre. Leur cerveau est également incroyablement actif, car il a beaucoup à apprendre. Le cerveau de l’enfant, ou de l’adolescent, a soif d’oxygène. Plus l’organe est métaboliquement actif, plus il a besoin d’oxygène. Chez les enfants et les adolescents, chaque organe est métaboliquement actif.

Priver le cerveau d’un enfant ou d’un adolescent d’oxygène, ou le restreindre de quelque manière que ce soit, est non seulement dangereux pour sa santé, mais aussi absolument criminel. Le manque d’oxygène inhibe le développement du cerveau, et les dommages qui en résultent ne PEUVENT PAS être réparés.

L’enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a besoin d’oxygène pour fonctionner. Nous n’avons pas besoin d’étude clinique pour le savoir. C’est un fait physiologique simple et incontestable. Un manque d’oxygène provoqué consciemment et délibérément est un danger absolu pour la santé, et une contre-indication médicale absolue.

En médecine, une contre-indication médicale absolue signifie que ce médicament, cette thérapie, cette méthode ou mesure ne doit pas être utilisé, et n’est pas autorisé à être utilisé. Pour contraindre par la force toute une population à utiliser une contre-indication médicale absolue, il faut qu’il y ait des raisons précises et sérieuses à cela, et ces raisons doivent être présentées à des organismes interdisciplinaires et indépendants compétents, pour être vérifiées et autorisées.

Lorsque, dans dix ans, la démence augmentera de manière exponentielle et que les jeunes générations ne pourront pas atteindre leur potentiel inné, cela ne servira à rien de dire que « nous n’avions pas besoin des masques ».

Comment un vétérinaire, un distributeur de logiciels, un homme d’affaires, un constructeur de voitures électriques et un physicien peuvent-ils décider des questions concernant la santé d’une population entière ? S’il vous plaît, chers collègues, nous devons tous nous réveiller.

Je sais à quel point le manque d’oxygène est dommageable pour le cerveau, les cardiologues savent à quel point il est dommageable pour le cœur, les pneumologues savent à quel point il est dommageable pour les poumons. La privation d’oxygène endommage tous les organes.

Où sont nos services de santé, notre assurance maladie, nos associations médicales ? Il aurait été de leur devoir de s’opposer avec véhémence au confinement et d’y mettre fin – dès le début.

Pourquoi les autorités médicales infligent-elles des sanctions aux médecins qui accordent des exemptions aux gens ? La personne ou le médecin doivent-ils sérieusement prouver que la privation d’oxygène est nocif pour tous ? Quel genre de médecine nos médecins et nos associations médicales représentent-ils ?

Qui est responsable de ce crime ? Ceux qui veulent le faire appliquer ? Ceux qui le laissent se produire et jouent le jeu, ou ceux qui ne l’empêchent pas ?

Il ne s’agit pas de masques, ni de virus, et certainement pas de votre santé. Il s’agit de bien plus que cela. Je ne rentre pas dans ce jeu. Je n’ai pas peur.

Comme vous pouvez le remarquer, ils nous prennent déjà notre air. L’impératif à l’heure actuelle est la responsabilité personnelle. Nous sommes responsables de ce que nous pensons – pas les médias. Nous sommes responsables de ce que nous faisons – pas nos supérieurs. Nous sommes responsables de notre santé – pas l’Organisation mondiale de la santé. Et nous sommes responsables de ce qui se passe dans notre pays – pas le gouvernement. »

Commentaire Il n’existe pas de preuves scientifiques de l’efficacité des masques contre la transmission des virus par voie aérienne, mais il existe des preuves scientifiques des dangers inhérents au port du masque.




La Chambre des Représentants condamne QAnon et ordonne aux Américains d’obtenir des nouvelles de « sources certifiées » – Mise à jour 08/10/2020

[Source : Aube digitale]

La Chambre des représentants américaine a approuvé vendredi une résolution condamnant le mouvement QAnon, le qualifiant de « théorie du complot sans fondement » et demandant aux Américains de chercher des informations auprès de « sources certifiées ».

La résolution exhorte « tous les Américains, quelles que soient nos croyances ou notre affiliation partisane, à rechercher des informations auprès de sources certifiées et à s’engager dans le débat politique à partir d’une base factuelle commune ».

La présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, a salué l’adoption de la résolution par la Chambre, affirmant que QAnon « représente un danger clair et immédiat pour notre pays : il érode la confiance dans les institutions démocratiques, rejette la notion même de réalité objective, alimente la division et conduit même directement à la violence ».

Dix-sept républicains se sont opposés à la résolution, ainsi que le représentant libertarien Justin Amash.

QAnon est une « illusion collective », a déclaré le président du règlement de la Chambre Jim McGovern, Démocrate-Massachussetts, « Nous devons tous l’appeler par son nom : une secte malade ».

La résolution anti QAnon a été parrainée par le député Tom Malinowski, un démocrate qui se présente aux élections dans le New Jersey, et qui a été accusé par la campagne officielle des républicains de la Chambre des représentants de faire du lobbying pour le compte des prédateurs sexuels.

Rapport de NPR : Malinowski a déclaré à BuzzFeed que ces attaques ont fait de lui la cible de menaces de mort de la part des adeptes de QAnon, car un des principes centraux de la conspiration implique des réseaux mondiaux de trafic sexuel. « Je pense qu’ils savaient exactement ce qu’ils faisaient. Ils savaient qu’ils jouaient avec le feu », a-t-il dit.

L’opération de campagne du Parti Républicain de la Chambre n’a pas cédé à l’attaque, disant que Malinowski « doit vivre avec les conséquences de ses actes », et l’opération de campagne continue d’attaquer d’autres démocrates en place pour leur relation avec Malinowski sur la base de cette affirmation non fondée.

Les adeptes des QAnon ont connu une croissance exponentielle au cours des trois dernières années, popularisée dans les cercles politiques conservateurs en ligne parce qu’une grande partie des théories du complot de QAnon se concentre sur les démocrates éminents comme source de corruption et d’activités criminelles profondément enracinées, et que le président Trump est le héros caché qui tente de tout dévoiler.

Trump a alimenté le mouvement en retweetant des comptes de QAnon et en parlant favorablement de ses adhérents, mais la résolution n’a pas nommé le président.

Le mouvement s’est également rapproché de la politique élective. Le groupe de pression libéral Media Matters for America a suivi 81 candidats au Congrès, dont 24 se sont qualifiés pour figurer sur le bulletin de vote en 2020, qui ont explicitement soutenu ou promu les opinions des adeptes de QAnon. Parmi ces candidats, 22 sont républicains, et la plupart sont des outsiders qui n’ont que peu ou pas de chance de l’emporter en novembre.

Cependant, au moins une sympathisante des QAnon devrait siéger au prochain Congrès. La républicaine géorgienne Marjorie Taylor Greene est favorite pour remporter la 14e circonscription du Congrès, très conservatrice. Elle a adopté les points de vue de QAnon sur les médias sociaux et en vidéo, et Trump l’a soutenue lors de sa campagne.


[Voir aussi, pour un complément d’information : Censure ou Sécurité nationale? La Chambre des représentants des États-Unis condamne QAnon et rejete les théories du complot qu’il promeut]




Lettre ouverte aux professeurs

[Source : Mediapart]

« Je suis professeur des écoles et directrice à la retraite et je ne reconnais plus mes anciens collègues. Avant, quand les gouvernements nous demandaient de mettre en œuvre des mesures, des programmes qui nous choquaient, nous n’hésitions pas à manifester, à faire grève pour défendre l’intérêt de nos élèves.

Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’on vous a fait un lavage de cerveau. Êtes-vous devenus des esclaves de la pensée unique ? Où est votre curiosité intellectuelle, votre sens de l’information, de la critique ? On vous dit à la TV qu’un virus très dangereux nous attaque et vous ne vérifiez pas ces affirmations ? Où sont les mourants, tombent-ils dans les rues ? Quels malades gravement atteints connaissez-vous parmi vos relations ? (Je ne parle pas de ceux dits « positifs » atteints d’un vague rhume ou d’une petite fièvre…) Et cela ne vous intrigue pas ? Vous ne cherchez pas à vous informer en acceptant de donner la parole à des contradicteurs ? C’est pourtant ce qu’on apprend dans toutes les facultés : se faire sa propre opinion après avoir examiné les diverses thèses.

Mais non ! Vous obéissez à des décrets, des ordres de vos ministres sans même vous demander s’ils sont légaux, s’ils n’enfreignent pas le droit et la constitution (ce qui est le cas). Cela ne vous rappelle-t-il pas les pires époques de notre histoire ? Et vous acceptez de vous transformer ainsi que vos élèves en tristes masques sans expressions ni vie… Vous risquez d’être les premiers à en pâtir (votre voix, votre respiration, vous obligeront sans doute rapidement à réexaminer la question).

Mais laissez-moi vous dire ce que j’ai constaté ce matin, en passant devant un collège, à l’heure de la sortie. J’ai eu envie de pleurer. Une masse de gamins silencieux, aux yeux tristes, n’osant se toucher s’est dirigée vers moi. À l’endroit où d’habitude, après quatre heures de cours, étaient rires, bousculades et chahut, régnait un malaise palpable. Ahurie, j’ai vu alors trois policiers armés de fusil de guerre à la porte ! À la porte d’un collège ! Armés de fusils prêts à tirer ! Sur qui ? Des gamins qui s’embrasseraient, qui se prendraient par la main ? Mais où vivons-nous ? J’ai vraiment pris peur pour l’avenir de notre société et de nos enfants.

J’ai trois petits-enfants en âge scolaire. Hier une de mes petites filles m’a montré des boutons tout autour de sa bouche et son nez et elle se plaint de maux de tête tous les soirs. Mon aîné, qui vient de rentrer en IUT, doit suivre une semaine sur deux ses cours seul dans sa chambre sur son ordinateur. Super l’ambiance fac ! Mais que faisons-nous de nos élèves, de notre jeunesse ? N’est-ce pas plus grave qu’un programme contre lequel nous nous sommes rebellés jadis ? A-t-on transformé l’élite intellectuelle de notre pays, les gens capables de réfléchir, en moutons de Panurge ?

Ou bien croyez-vous vraiment la publicité TV de la petite fille qui ne veut pas tuer sa grand-mère avec le méchant virus ? Mais écoutez une grand-mère : « Je préfère mourir demain si je ne dois plus embrasser mes petits-enfants, les voir rire et chahuter et flirter avec leur petite copine. »

Faut-il que ce soient les retraités qui descendent dans la rue pour manifester leur angoisse, leur inquiétude, non face à un virus moribond, mais face à une société liberticide où on transforme les gens en robots sans sentiments ni expression derrière leur masque ? Allez-vous vous réveiller avant qu’il ne soit trop tard ? »

Evelyne MELAN


[Voir aussi : Masques et enfants : le massacre -psychique- des innocents ?!]




Quand le gouvernement dérape : servir et protéger le peuple c’est ça !

[Source : DixQuatre]

Un policier du Service de police de Laval [au Québec] subit une enquête interne après avoir dit tout haut ce qu’il pense à propos des mesures imposées par le gouvernement, en lien avec le télé mandat donnant les droits aux policiers d’entrer chez les gens afin de donner des amendes.

Le policier en question, Maxime Ouimet, cumule 12 ans de service et il a également une entreprise.

Télé mandat

Ce dernier a tenu à dire dans un post public, sur Facebook, ce qu’il pensait par rapport à ce que le gouvernement veut imposer comme nouvelle mesure aux corps policiers du Québec, tel qu’entrer chez les gens, et ce avec un télé mandat, afin de leur donner une amende allant jusqu’à 10 000 $, si par exemple ils se rassemblent en famille.

Selon la loi en tant normal, même pour entrer fouiller le domicile d’un suspect il faut qu’un policier remplisse un peu plus de formulaires pour obtenir un mandat, le tout pour respecter la Charte des droits et libertés.

Monsieur Ouimet dit ne plus être  fier de porter l’uniforme. Il a voulu être policier afin de protéger et servir ses citoyens, mais il considère que maintenant il est rendu l’objet du gouvernement sur le terrain pour contrôler et faire peur au peuple.

Il affirme avoir été physiquement dans des hôpitaux et qu’ils sont vides, que les urgences ne débordent pas. Attention il ne dit pas que la Covid n’existe pas, mais qu’il n’y a pas de pandémie, que le port du masque les policiers le font afin de respecter la loi et donner l’exemple devant le public.

Actions contre son gré

Ce policier dit penser à démissionner parce qu’il ne peut faire des actions contre son gré pour faire taire la population. Mais ce dernier devra faire l’objet d’une enquête interne parce qu’il a posé une action qui va selon son Service de police, à l’encontre de leurs valeurs, soit en disant tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.

La police de Laval

En réponse, le Service de police de Laval fait une sortie sur leur page Facebook concernant les propos du policer concerné :

Face aux propos inadéquats et au manquement du serment d’allégeance de ce policier, une enquête interne est en cours. Nous tenons à rappeler l’importance de porter un couvre-visage, de respecter deux mètres de distance entre chaque personne et d’éviter les rassemblements. La situation n’est facile pour personne. Laval est actuellement une zone rouge. Nous avons tous un rôle à jouer pour nous protéger les uns et les autres.

Serment d’allégeance

Voici ce que le policier doit dire lorsqu’il devient policier :

Je déclare sous serment que je serai loyal et porterai vraie allégeance à l’autorité constituée et que je remplirai les devoirs de ma charge avec honnêteté et justice et en conformité avec le Code de déontologie des policiers du Québec et que je ne recevrai aucune somme d’argent ou considération quelconque pour ce que j’ai fait ou pourrai faire, dans l’exécution des devoirs de ma charge, dans le but de favoriser l’achat ou l’échange de quoi que ce soit par ou avec (le gouvernement, la municipalité ou l’employeur du constable spécial, selon le cas), à part de mon traitement ou de ce qui me sera alloué par la loi ou par (un décret du gouvernement ou un règlement ou une résolution du conseil, selon le cas).
Je déclare sous serment que je ne révélerai et ne ferai connaître, sans y être dûment autorisé, quoi que ce soit dont j’aurai eu connaissance dans l’exercice de ma charge.

Un policier nous confie ce qu’il va s’en suivre

Sa sortie sera disciplinable, ils vont le mettre en retrait administratif (un classique) pendant l’enquête qui va durer trop longtemps. Bref, il va passer devant un comité de discipline où il s’en prendra pour quelques journées sans solde.

Tu ne mords pas la main qui te nourrit, Covid oblige

Ce qui est inquiétant au Québec maintenant, c’est que les gouvernements financent les médias d’information québécois avec toutes sortes d’aides et financent les journalistes jusqu’à 78 %.

Le gouvernement Legault a demandé l’aide de tous ceux que son gouvernement finance : la police, toutes les personnes qui travaillent dans le système de santé, les médias, les journalistes, les animateurs télé, radio, chroniqueurs télé, radio, écrits, les humoristes, les chanteurs, etc.. Leurs missions sont de bâillonner tous ceux qui questionnent les décisions du gouvernement et de la santé publique.

Artistes de fond du ruelle

Des artistes de fond du ruelle (peu connu) sur la PCU [Prestation (financière) Canadienne d’Urgence] sont mis à contribution. De plus, s’ils ne veulent pas crever de faim, vaut mieux rire des gens qui questionnent le système que de perdre tous les programmes d’aide qu’ils ont. L’année passée, les artistes et la culture nous ont coûté un milliard 300 millions de vos taxes.

Des gens vulnérables mentalement

Ils prendront des gens vulnérables mentalement et peu éduqués sur les réseaux sociaux en exemple, pour qualifier tous ceux qui se questionnent d’être comme eux, en les traitant de malade mental, de coucous, etc.. Des artistes de fond de ruelle sur la PCU feront des pages Facebook pour rire des gens vulnérables mentalement comme la page Facebook « Les illuminés du Québec » de Nicolas Denommé et d’une émission de radio Internet suivie par des dizaines de personnes, animée par François Paquet, un gars de Rouyn-Noranda. Le pire, c’est que certains journalistes, chroniqueurs et animateurs de radio leur donneront du temps d’antenne ou des articles dans les journaux.

Mario Dumont

Un de ces animateurs, Mario Dumont [voir aussi : Un journaliste québécois favorable à l’envoi des anti-vaccins en camp de concentration], un ancien chef d’un parti politique qui s’est recyclé en animateur radio télévision a carrément demandé à ses téléspectateurs de couper les liens avec leurs familles si elles se questionnaient sur les mesures sanitaires et les décisions du gouvernement.

Les professionnels

Si tu es un professionnel et tu veux t’exprimer et que tes idées ne vont pas dans le sens du gouvernement, bien c’est les ordres professionnels, les syndicats qui vont te tomber dessus. Ensuite viennent : ta famille, tes amis(es), tes collègues de travail, etc. C’est incroyable, car en France, le débat est full ouvert [NdNM : pas tant que ça.] et les gens ont plus d’ouverture qu’ici. Je ne pensais pas que des Québécois seraient capables de dénoncer leur famille, leurs amis, des citoyens, pour faire plaisir à un gouvernement qui est à ses débuts de dictature.

C’est pathétique

C’est drôle qu’un gouvernement annonce en grande pompe, 2 mois à l’avance, qu’il y aura une 2e vague, mais quand arrive ladite vague, il n’est pas prêt. Mais pour s’en sortir, il accuse les citoyens d’être des récalcitrants. Faut le faire !

Il y a plus de suicides au Québec que de morts de la Covid présentement

Par chance, que c’est ce que beaucoup de professionnels français avaient prédit, qu’il aurait seulement une vague de cas asymptomatiques. En Abitibi-Témiscamingue, il y aurait eu 4 morts et présentement il y a 12 CAS, pas des malades, des cas (personnes qui auraient des traces d’un virus au cours des 6 derniers mois). L’économie est brisée pour des générations, beaucoup de gens ne s’en relèveront jamais.

Un grand merci à ce policier, qui par son grand courage sera un modèle pour ceux qui l’aiment. 


[Source : ActuQc]




L’étau des systèmes invisibles

[Source : Le 4ème singe]

Publié par Stéphane Hairy

La démocratie telle que nous la concevons aujourd’hui, telle qu’elle est expliquée dans les émissions politiques, par les journalistes, par les politiciens, par toute une ribambelle de personnalités médiatiques, est une sorte de mantra sur laquelle tout le monde semble d’accord au point où remettre en question ce dogme serait comme remettre en question la rotondité de la Terre.

Pourtant, comme nous explique l’historien Francis Dupuis Dery dans son livre « Démocratie, histoire politique d’un mot« , le mot démocratie n’a pas toujours eu durant l’histoire la même définition. En fait, sa définition aurait été volontairement changée à des fins électorales. Selon Dupuis Dery, Andrew Jackson, président des États-Unis de 1829 à 1837, aurait été le premier aux États-Unis à utiliser ce terme essentiellement pour des raisons électorales. A cette époque le mot démocratie définissait un régime politique où le peuple a véritablement le pouvoir, les démocrates n’étaient donc pas issus de la société bourgeoise, mais des classes pauvres. A contrario, les riches, les possédants ne souhaitaient pas entendre parler de démocratie, elle était pour eux une douce utopie de pauvres, d’idéalistes, qui ne pouvait fonctionner. Seul un régime politique dirigé par une élite était selon eux souhaitable. Jackson fût élu en se faisant passer pour un démocrate, le détournement du mot fut donc adopté par les autres politiciens, voyant le boulevard manipulatoire qui s’offrait à eux. Au fil des années, ce détournement de définition remplaça la définition initiale au point où aujourd’hui il est devenu extrêmement rare qu’une personnalité médiatique définisse correctement notre système politique.

De l’aristocratie élective à la « démocratie » représentative

Voici comment Emmanuel-Joseph Sieyès ( corédacteur de la première constitution française) parlait de la démocratie :

« La France ne doit pas être une démocratie, mais un régime représentatif. Le choix entre ces deux méthodes de faire la loi, n’est pas douteux parmi nous. D’abord, la très grande pluralité de nos concitoyens n’a ni assez d’instruction, ni assez de loisir, pour vouloir s’occuper directement des lois qui doivent gouverner la France ; ils doivent donc se borner à se nommer des représentants. […] Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; ils n’ont pas de volonté particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés, la France ne serait plus cet État représentatif ; ce serait un État démocratiqueLe peuple, je le répète, dans un pays qui n’est pas une démocratie (et la France ne saurait l’être), le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants. » (1)

Si l’on suit le raisonnement, qui était à l’époque du XVIIIe siècle l’opinion majoritaire de la classe sociale dominante, le gouvernement représentatif n’est pas la démocratie. Or, aujourd’hui le gouvernement représentatif est la démocratie. Tout comme l’explique le politologue Bernard Manin dans son livre « Principes du gouvernement représentatif » :

« les démocraties contemporaines sont issues d’une forme de gouvernement que ses fondateurs opposaient à la démocratie »

Ce que Manin nous montre aussi, c’est que la démocratie n’utilisait pas l’élection, mais le tirage au sort comme méthode pour sélectionner les dirigeants. Les Grecs de l’antiquité le savaient bien, ils considéraient qu’un système « isonome« , c’est à dire égalitaire, ne pouvait fonctionner que par le biais du tirage au sort. En effet, pour eux le choix, c’est à dire l’aristocratie, amènerait obligatoirement des dérives inégalitaires, car les élus émergeraient d’une élite ou d’une classe sociale élevée en plus du fait qu’ils auraient pu se représenter. (2)  L’élection étant l’outil parfait d’une aristocratie et non d’une démocratie. Car contrairement à ce que nous sommes obligés de subir tous les ans en « votant pour les moins pires », l’élection sert avant tout à élire les meilleurs.
D’ailleurs, penchons nous deux minutes sur l’étymologie des mots aristocratie et élection. Le terme aristocratie vient des racines grecques aristoi (άριστοι), les meilleurs, et kratos (κράτος), pouvoir, autorité, gouvernement. Le mot élire vient du latin eligo, qui signifie choisir, trier. Le mot élection vient du latin electio, qui signifie choix. Et enfin le mot élite, signifie « ceux qui se choisissent ou sont choisis ». (3)

Récapitulons : une aristocratie consiste à mettre au pouvoir les « meilleurs », une élection sert à choisir et trier, donc à faire émerger une élite (ceux qui sont choisis).

Lorsque nous élisons, nous utilisons une méthode qui est donc profondément aristocratique et non démocratique, car le pouvoir sera obligatoirement possédé par une élite. Ce qui n’est pas le cas dans une démocratie, car le tirage au sort permet une meilleure représentativité de la population d’un territoire.

Alors, certains me diront que : « nous sommes dans une démocratie représentative, donc c’est une démocratie ». Rappelons tout de même que les mots démocratie et représentative assemblés ne veulent rien dire. En effet, cela serait comme dire une liberté en incarcération, un avion terrestre, le matin du soir, un petit grand, etc. Lorsque l’on associe deux mots de sens contraire, on appelle ça un oxymore. C’est très bien pour faire des figures de style dans un texte littéraire, c’est plutôt manipulatoire lorsque c’est employé pour définir un type de régime politique. Souvenez-vous de la fameuse « guerre propre » lancée par les Américains contre l’Irak

Dans le cas de la démocratie représentative, l’utilisation de ces deux termes est d’autant plus inquiétante que tout le monde semble s’en accommoder relativement bien. Or, il s’agit d’une manipulation gigantesque. En faisant croire que la représentativité par l’élection est identique à la gouvernance par les citoyens, on fait insidieusement croire que le peuple et les représentants du peuple, sont pareils, qu’ils ont les mêmes intérêts, pire encore, cela signifie que les représentants sont soumis au peuple. Seuls des politiciens peuvent inventer pareil tour de magie linguistique. Car il s’agit de deux modes de gouvernances radicalement différents.

Maintenant, soyez attentif ! Je vais reprendre un exemple que j’aime beaucoup. Si je vous dis qu’à partir de demain vous êtes mis sous tutelle, que me dites-vous ? J’imagine, comme beaucoup de monde, vous souhaitez être « libre » et prendre vous-même les décisions qui vous concerne ? Alors maintenant, je vous dis que de toute manière, vous n’avez pas le choix, la tutelle est instaurée, c’est comme ça ! Mais par contre, vous pourrez quand même choisir votre tuteur entre plusieurs choix que l’on vous proposera (on est un peu sympa quand même). Le problème, c’est que vous ne voulez pas être sous tutelle, vous voulez être libre et prendre vous-même les décisions qui vous concernent. Donc on vous explique (toujours très gentiment et si possible en vous infantilisant) que la mise sous tutelle, c’est la liberté ! Vous pourrez enfin arrêter de vous prendre la tête sur les choix cornéliens du quotidien, tout sera prêt pour vous faciliter la vie, vous serez enfin libre ! D’ailleurs, on appellera ça « la liberté sous tutelle »… Vous comprenez là où je veux en venir ?

Choisir un maitre qui décide pour vous et choisir soi-même ce qui est bon pour nous, ça n’a strictement rien à voir. En démocratie représentative, si, si, c’est la même chose.

Donc, l’utilisation du terme démocratie représentative pour définir notre aristocratie élective est une fumisterie. Il s’agit là d’un bel exemple de novlangue qui permet, en modifiant la définition d’un mot, d’en changer sa perception. La base étant posée, essayons de nous enterrer un peu plus loin dans le terrier du lapin blanc.

Et si l’aristocratie élective n’était pas le seul mode de gouvernance auquel nous étions soumis ? S’il y en avait d’autres ? Peut-être plus imperceptible mais tout autant présent. Et si nous évoluons , non pas dans un, mais dans plusieurs systèmes de gouvernances imbriqués ?

L’autocratie invisible

Dans notre vie de citoyen, nous participerons (ou pas) aux rituels usuels prétendument démocratiques (les votes, les référendums), mais la plupart du temps nous évoluerons, pour la majorité d’entre nous, dans des structures bien différentes, celles des entreprises. Or, les entreprises ne fonctionnent pas comme un état, elles ont leurs propres fonctionnements avec leurs doctrines, leurs règles et leur mode de gouvernance. Cependant, le mode de gouvernance majoritaire des grandes entreprises pourrait être aisément comparé à un système autocratique. Il n’y a pas de place pour la remise en question du chef (qui est bien souvent seul sur son trône et catapulté là par on ne sait qui), ni comment va t-elle être dirigée, il n’y a pas de discussion possible sur les doctrines de l’entreprise, sur les buts et les objectifs. Le seul contrepouvoir que l’on pourrait définir comme tel est le syndicalisme. Pourtant, les syndicats contemporains n’ont aucune prise sur tout ce que je viens d’évoquer. (4) Dans un tel contexte, il me semble évident qu’il existe un système dans le système, un mode de gouvernance des individus qui n’est jamais nommé, qui n’existe pas, une gouvernance fantôme qui est légitimée par la soumission des individus à ce système.

J’utilise improprement le terme « autocratisme » car il serait difficile de définir clairement le mode de gouvernance des grandes entreprises. Nous pourrions, par exemple, parler d’oligarchie, car elle sont nécessairement dirigées par un petit nombre de personnes, mais aussi de ploutocratie car ce petit nombre est en général relativement riche, mais cela n’explique pas l’emprise psychologique que ce mode de gouvernance exerce sur les individus qui y sont soumis. Peut-être devrions-nous imaginer un nouveau mot, si celui-ci n’existe pas déjà. Car la grande force des entreprises actuelles est d’utiliser des méthodes plus ou moins sournoises pour permettre une soumission consentie des individus et donc leur collaboration dans les tâches qui leurs sont demandées.

Par exemple, les théories de l’engagement peuvent être misent à profit pour amener les salariés à mettre en place ce que les dirigeants veulent qu’ils mettent en place. Il n’y a même plus besoin d’exercer l’autoritarisme d’antan qui ne fonctionne plus aujourd’hui, le but étant d’effacer l’oppression, les différences hiérarchiques, les ordres, voir le pouvoir. On ne parle d’ailleurs plus de salariés dans ce type d’entreprise, mais de collaborateurs. Terme suggérant un pied d’égalité entre le subordonné et l’autorité. Ce qui est bien évidemment faux, mais qui a comme but de sensibiliser le salarié à sa capacité de collaboration, il n’est plus le sous-fifre de son supérieur, il est au même niveau et ils travaillent ensemble. Bien sûr !

Les salariés ne sont plus seulement des exécutants, ils doivent être des acteurs proactif en participant activement aux objectifs de l’entreprise et en adhérant aux « valeurs » de celles-ci. Valeurs bien entendues non négociables, ni discutables au risque de se voir virer ou placardisé. Pour ainsi dire, nous sommes là dans un mode de gouvernance opérant jusque dans le psychisme des gens, essayant de contrôler par l’adhésion forcée, les valeurs des salariés sans que ces derniers ne s’en rendent compte. La compétitivité, l’agilité, la performance, la polyvalence et bien d’autres encore sont les maitres mots d’un mode de gouvernance qui ne peut reconnaitre la valeur humaine étant focalisé sur les indicateurs économiques.

Issue du livre « Stagiaires. Le guide de survie ! » de Samantha Bailly

Dans son livre « La société ingouvernable » , Grégoire Chamayou nous cite un extrait d’un article datant de 1951, écrit par Beardsley Ruml. Il était économiste, ancien conseiller du président Américain Hoover et ex-PDG d’une grande chaine de magasin, voici ce qu’il disait à l’époque :

« Qualifier une compagnie de gouvernement privé n’est en aucune façon une métaphore. Un business est un gouvernement parce que, dans les limites de la loi, il est autorisé à […] faire des règles pour la conduite de ses affaires. »

« Pour la plupart des gens, les règles qui affectent le plus leurs vies sont celles dictées par leurs employeurs. […] Ces règles déterminent, pour chacun, où il doit travailler, ce qu’il doit faire, qui va lui donner des ordres, à qui il va pouvoir donner des ordres, ses promotions, sa discipline, le montant de ses revenus, la période et la durée de ses congés. »

Donc selon Ruml, les règles édictées par les entreprises ont plus d’impacts sur la vie quotidienne des gens que celles du gouvernement. Et contrairement aux aristocraties où la « liberté d’expression » à dimension variable est la règle plus ou moins bien respectée, dans les entreprises, une certaines pensée unique est la bienvenue. Dans ce type de système, toutes pensées hétérodoxe (qui pense en dehors des idées établies ou communément admises), qui mettraient à mal les fondements même du fonctionnement du système sont dévalorisées, discriminées et enfin bannies. L’individu est dans l’obligation de penser comme tout le monde ou de se taire au risque de devoir subir les conséquences de ses pensées… Oui, pas de ses actes, de ses pensées. En ça, le management d’entreprise s’immisce jusque dans les profondeurs de nos cellules grises, de nos idées, de nos valeurs morales et éthiques. Il s’installe là où seul les régimes totalitaires et dictatoriaux le font avec autant d’impunité.

Ce qui m’inquiète peut-être le plus, ça n’est pas tant le fonctionnement même des entreprises, mais leur efficacité. Cette ploutocratie managériale (oui, je ne sais plus comment l’appeler donc je me lâche un peu), dicte des règles que personne ne remet en question, que tout le monde applique tel un seul homme, avec tout ce que cela implique : surveillance, autoritarisme, harcèlement, dévouement extrême pour l’entreprise, dogmatisme, dévalorisation, intimidation, autocensure, formatage, auto-exploitation jusqu’à l’épuisement… Autant dire que si demain une dictature venait à émerger, nous y serions prêt, l’entreprise a amplement commencé le travail d’éducation.

La nouvelle gestion publique

Pour finir, j’insisterais sur le terme de ploutocratie managériale, puisque les grandes entreprises sont dirigées par les personnes les plus riches de la société et que leur méthode de contrôle est principalement le management. D’ailleurs, en parlant de ça, la frontière entre l’aristocratie élective et la ploutocratie managériale n’existe plus, car aujourd’hui la mode est au « new management public« . Il s’agit d’un concept né dans les années 70 qui vise à dissoudre toutes distinctions entre le public et le privé à des fins de performances, d’efficacité, de flexibilité dans un monde changeant, mondialisé, etc, vous connaissez l’argumentaire. Dans cette nouvelle perspective, les citoyens ne doivent plus être considérés comme des citoyens, mais comme des clients, les services de l’état sont petit à petit remplacés par des prestations d’entreprises privées. En fait, l’État ne fait plus que « piloter » les actions publiques qui sont elles-mêmes exécutées par les entreprises. On peut dire, à la vue de ces quelques lignes que la « nouvelle gestion publique » est en réalité du néolibéralisme appliqué. Pourquoi n’ont-ils pas appelé cela « la nouvelle gestion publique néolibérale », au moins ça serait clair pour tout le monde. Pourquoi cacher l’idéologie qui sous tend cette idée merveilleuse ? Parce que oui, le néolibéralisme est une idéologie, ça n’est pas la plus « réaliste », la plus « rationnelle », comme le prétendent certains économistes et politiciens néolibéraux… C’est seulement la meilleure idéologie pour créer un pognon monstre en très peu de temps.

La question est donc de savoir pourquoi maximiser les profits serait-il plus réaliste ou rationnel que de prendre soin du vivant, de permettre un équilibre des systèmes humains avec les systèmes non humains, d’attacher plus de soins aux humains qu’à l’argent ? En quoi est-ce plus rationnel et réaliste ? Le pognon est-il la seule réalité digne d’intérêt dans ce monde ? Visiblement oui.

Cette nouvelle doctrine confirme l’hypothèse de Jean-François Brient, dans son livre « De la servitude moderne » où il comparait nos systèmes d’organisations à un « totalitarisme marchand ». Il faudrait être enfermé dans une autre dimension pour ne pas s’en rendre compte. Les systèmes économiques et politiques humains sont à bout de souffle, les ressources que nous surexploitons vont rendre l’avenir très compliqué, le vivant subit la sixième extinction de masse causée par notre développement tout azimut, la destruction de notre planète n’a jamais été aussi importante. Tout ça pour maximiser les profits.

Que dirons les générations futures lorsque l’étau se refermera sur eux, que penseront-ils de tout ça ?

Schématisation très simplifiée des mécanismes de gouvernances

Dans l’étau des systèmes invisibles

Car l’étau se resserre petit à petit, laissant les citoyens gesticuler sur les conséquences de tout ce barnum ne pouvant critiquer des systèmes qui ne sont pas nommés, qui restent invisibles pour la majorité. Nommer le problème, c’est se donner l’occasion de trouver une solution.

« Qui connaît son ennemi comme il se connaît, en cent combats ne sera point défait. Qui se connaît mais ne connaît pas l’ennemi sera victorieux une fois sur deux. Que dire de ceux qui ne se connaissent pas plus que leurs ennemis ?  » Sun Tzu, « L’art de la guerre ».

Si l’on fait la synthèse de ce qui a été dit auparavant, nous sommes d’un côté soumis à un mode de gouvernance qui ment sur sa nature et donc ne peut être décrit pour ce qu’il est mais par ce qu’il semble être et de l’autre nous avons un deuxième système qui conditionne autant nos vies et qui n’est pas nommé. C’est ce que je nomme un étau intellectuel, c’est lorsqu’il est impossible de définir plusieurs choses auxquelles nous sommes soumis et contraints et que cette impossibilité de définition correct, nous empêche de penser la chose et donc d’y trouver une solution. Nous ne pouvons penser les choses que nous ne pouvons définir. Dans ce cadre, la seule possibilité est de se faire broyer inlassablement de part et d’autre par des forces contraignantes qui nous semblent insurmontables. En effet, comment lutter contre un ennemi inconnu, contre un fantôme, à part en s’agitant dans un vide de désespoir.

Pour terminer ce pamphlet de comptoir, je dirais que cet étau est mû par des forces qui semblent agir de concert, mais qu’un jour peut-être, la fête pourrait se terminer. Définir ces forces, les nommer, c’est un premier pas vers des réflexions visant à de véritables solutions, elles-mêmes menant à des actes concrets. S’attaquer aux causes des problèmes et non aux conséquences est primordial à notre époque. L’aristocratie élective, la ploutocratie managériale, la doctrine néolibérale, sont des piliers conceptuels que des êtres humains ont bâtis, ils ne sont pas immuables et n’émanent pas de la volonté divine. Peut-être ont-il besoin d’être secoués par de nouveaux concepts qui rendront ces anciennes conceptions idéologiques dépassées, obsolètes.

Stéphane Hairy

Sources :

  1. « Sur l’organisation du pouvoir législatif et la sanction royale », in Les Orateurs de la Révolution française. Les Constituants, Tome I, Paris, Gallimard, 1989, p. 1025 et 1027
  2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Tirage_au_sort_en_politique#Tirage_au_sort_et_d%C3%A9mocratie
  3. https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lite#%C3%89tymologie
  4. Les syndicats difficilement en phase avec les transformations du travail

Bibliographie :

Démocratie, histoire politique d’un mot aux États-Unis et en France. Francis Dupuis Dery. Lux, 2013.

Principe du gouvernement représentatif. Bernard Manin. Flammarion, 2012.

La société ingouvernable. Une généalogie du libéralisme autoritaire. La fabrique, 2018.

De la servitude moderne. Jean-François Brient. Les Temps bouleversés, 2009.

La soumission librement conssentie. Comment amener les gens à faire librement ce qu’ils doivent faire ? Robert-Vincent Joule, Jean-Léon Beauvois. Puf, 2017.




Vaccins : Enjeux et décryptages

[Source : Culture Populaire]

08 Mar2018

Vaccins : Enjeux et décryptages

Face à la levée de boucliers, et aux interrogations anti-vaccinales
que connaît la France aujourd’hui, un éclairage s’impose : c’est de
cette volonté que naît l’idée

de réunir professionnels de la santéet spécialistes du sujet, non
alignés sur la pensée unique des médias dominants. Nous avons
sélectionné pour vous des intervenants venus des quatre coins de la
France, pour la première fois réunis autour d’une même table, afin de
traiter de ce sujet sensible : des origines jusqu’aux causes, en passant
par les intérêts en jeu, tout en vous aidant à dénouer le vrai du faux,
le factuel du mythe.

I. Intervention du Dr Alain Scohy.

Des problèmes de fiabilité du vidéo projecteur ont perturbé cette partie, et uniquement celle-ci, veuillez nous en excuser.

Le docteur Scohy rappèle comment sont
apparus les vaccins, bien avant Pasteur. L’étymologie nous apprend que
le mot « vaccin » vient de « vacca » — la vache — puisque c’est Édouard
Jenner, un médecin de campagne anglais, qui utilisa du pus provenant
d’une maladie apparentée mais bénigne, la vaccine des vaches,
pour protéger un jeune garçon de la variole. Cent ans plus tard, Louis
Pasteur, immense travailleur et grand lecteur, reproduisit cette
expérience avec un vaccin contre le charbon des vaches en utilisant un
adjuvant à base de potassium à forte dose, ce qui constitue un poison.
Aujourd’hui encore, les scientifiques s’interrogent si l’immunité
partielle du bétail n’est pas plutôt à imputer à cet adjuvant. Mais le
seul fait de se poser cette question valut la radiation de l’Ordre des
Médecins du docteur Alain Scohy.
Celui-ci regrette que les travaux d’Antoine Béchamp (1816 – 1908) ont
été occultés pour des raisons idéologiques car ce dernier ne cachait
pas sa foi chrétienne à l’époque de la franc-maçonnerie conquérante.
C’est ce professeur de toxicologie et de chimie médicale à la Faculté de
Montpellier qui découvrit pourtant l’élément primordial de la cellule
vivante qu’il dénomma « microzyma ». Il démontra que celui-ci pouvait
devenir bactérie ou virus et en déduisit le « polymorphisme bactérien ».
Il a ainsi démontré très rigoureusement que ce sont ces « microzymas »
qui construisent les cellules. Ce qui remet en cause le monomorphisme de
Pasteur qui entraîna alors la médecine vers la phobie du microbe. Mais
il fut décrété que c’est Louis Pasteur qui devait avoir raison. Cette
situation perdure de nos jours.
Le docteur Scohy avance que la maladie est nécessaire car elle est la
réparation d’une pathologie. Lutter contre la maladie est donc une
erreur fondamentale. Et il ajoute : « Toute notre médecine moderne est
blasphématoire ». Les causes des pathologies sont souvent
psychosomatiques. Il rappelle l’importance de la vitamine C pour lutter contre les pathologies car
nos ancêtres furent, pendant des centaines de milliers d’années,
essentiellement fructivores. Écoutons ce que notre corps nous dit au
lieu de le contrarier par des « médicaments miracles » venus d’ailleurs.
L’immunité naturelle tient toute la vie, ce qui n’est pas le cas avec les vaccins qu’il faut « rappeler ».


II. Intervention du Dr Didier Tarte.

Ce médecin nous explique que sa prise de
conscience remonte à la période de ses études puisque le sujet de sa
thèse était : « Recueil des effets secondaires des médicaments par la
pharmacovigilance ». Déjà rebelle ! Le docteur Tarte soigne les enfants
mais note que les enfants reviennent parce-qu’ils sont toujours malades,
ce qui le conforte dans l’existence d’effets secondaires des
médicaments. Dans cette démarche il commence à relever les effets
secondaires des vaccins. Ils découvre alors que ces effets, présents
dans tous les domaines, sont méthodiquement occultés par la médecine.
Pourquoi donc ? Il entreprend une étude scientifique comparative entre
les personnes les plus vaccinées et les personnes les moins vaccinées :
il constate que ces dernières sont trois fois moins malades ! Mais son
mémoire est immédiatement censuré. Encore.
Le Dr Didier Tarte propose une compréhension globale de la santé qui prend en compte le corps, la conscience et l’esprit.


III. Intervention de Michel Georget, professeur de biologie.

Cet agrégé de biologie l’annonce d’entrée de jeu : il n’est pas
médecin, il est biologiste et enseignant. Sa contribution à cette
conférence n’en est pas moins majeure.
Cet enseignant s’efforcera de faire passer des informations techniques et nous présentera le HLA (Human
Leukocyte Antigen). C’est un peu compliqué et voici ce que nous en
avons retenu : au delà des Rhésus — Rhésus positif, Rhésus négatif —
associés au groupes sanguins A, B et O, il existe une classification
supplémentaire liée aux molécules portées par les cellules. Voilà par
exemple pourquoi les donneurs et bénéficiaires d’organes doivent être
compatibles au niveau du Rhésus, mais aussi au niveau du HLA.
Or le HLA joue un rôle fondamental dans le processus immunitaire. Par suite la réaction aux vaccins dépendra de son propre HLA. Problème : LE vaccin
est unique. Le même pour tous, et au suivant ! Cette unicité entraîne
de fait une réaction différente selon les individus vaccinés.
C’est ce qui explique les différences d’effets secondaires aux vaccins au sein d’une même famille car le HLA sera différent pour chacun, quand bien même les Rhésus seraient identiques.
Le Pr Michel Georget rappellera également que notre corps dispose
d’anticorps destinés à lutter contre tous les éléments pathogènes.
Il présentera enfin de nombreux tableaux statistiques montrant que
l’éradication des maladies n’était pas corrélée à l’arrivée du vaccin.


IV. Intervention de Pierre-Jean Arduin, Docteur en neurosciences.

Veuillez nous excuser pour la qualité audio du début de la vidéo qui s’améliore au bout de 3 minutes

Là nous entrons dans le monde de la
statistique. Monsieur Arduin n’est ni médecin, ni biologiste, c’est un
matheux ! Ce polytechnicien s’est orienté vers l’informatique tout en
présentant un doctorat sur les neurosciences. Tout le contraire d’un
charlatan.
En mathématicien, il s’est penché sur toutes les statistiques relatives
aux épidémies : les conclusions sont objectives et scientifiques : « Il n’y a pas corrélation entre vaccination et maladie ! », tout en ajoutant : « Tous les vaccins ont des effets secondaires ».
Il ajoute que lien entre vaccination (au Royaume-Uni par ex.) et
l’éradication de la moralité de cette maladie est pour la majorité des
maladies très peu manifeste. Pour beaucoup de vaccins, il ne semble pas y
avoir de corrélation entre l’arrivée du vaccin et la chute de la
mortalité.
Tout ceci est écrit dans son livre Pourquoi vacciner ? Pierre-Jean
Arduin précise qu’il s’appuie sur des chiffres incontestables et attend
qu’on vienne le contredire sur sa méthodologie et ses conclusions. Du
sérieux.


V. Intervention du Dr. Christian Tal Schaller.

Changement de discours et de ton avec ce médecin suisse, jovial et énergique.
Pour commencer il demande à la salle de se lever afin de procéder à une
séance collective d’expiation de la peur. « Il faut apprendre à ne plus
avoir peur ! », assène-t-il. Tout un vocabulaire est asséné pour générer
la peur. Il préconise d’exprimer ses émotions.
Sa prise de conscience quant aux médicaments a commencé lorsqu’il a
décidé de s’administrer ceux qu’il prescrivait à ses patients. « La
santé, ça s’apprend », prévient-il. C’est toujours le corps, cette
extraordinaire machine à survivre, qui se guérit lui-même. Les virus,
nous en avons besoin car ce sont des « agents de nettoyage ».
Pour lui « les vaccins font beaucoup de dégâts car ils démolissent
l’immunité ». Il dénonce que le vaccin du tétanos est par nature
inefficace puisqu’il agit sur des cellules qui ne sont pas touchées par
la maladie.
Bien que cela ne soit pas dû exclusivement aux vaccins, les chiffres
montrent que les autistes aux États-Unis ne représentaient que 1 sur 10
000 il y a un siècle, 1 sur 5 actuellement et bientôt 1 sur 2 ! Il dénonce que le profit financier passe avant la santé.
Pour lui aussi, la santé est liée à l’harmonie entre les différentes
dimensions de chaque personne : l’être physique, l’être émotionnel et
l’être spirituel.


VI. Intervention de Me. Jean Pierre Joseph, avocat.

L’un des intérêts de cette conférence
est d’y avoir fait participer des intervenants aux parcours différents.
Voici à présent l’avocat.
Ce petit gabarit, adepte de haut niveau des arts martiaux, dégage une
énergie à faire trembler les prétoires. Et pourtant, dit-il, il n’a
jamais été vacciné. Ou peut-être grâce à cela ?
Fort d’une expérience effective dans la défense de personnes qui
refusaient de se faire vacciner, Me Jean-Pierre Joseph dénonce que les
« pro-vaccins » soient devenus les adeptes d’une religion sur lesquels
la raison n’a plus prise. La vaccination est devenue un dogme.
Ce praticien avance des solutions pour éviter le génocide par la vaccination :
• Demander systématiquement une visite médicale afin de valider la
compatibilité des 11 vaccins inoculés avec son organisme. Or nous avons
vu que chaque organisme réagit de façon différente à cause de son HLA. Cette visite médicale préalable est prévue dans le décret d’application de la loi. Il faut l’exiger pour son bébé ! Ne pas faire vacciner son enfant tant que la Sécurité Sociale n’aura pas procédé à cette analyse préalable parfaitement légale.
• Refuser le vaccin en pharmacie en arguant que le vaccin n’est pas compatible avec son enfant.
• Demander au médecin, ou au pharmacien, de signer un document dans
lequel ils s’engagent sur le fait que la vaccination n’aura aucun effet
secondaire sur la santé de son enfant. Ce qu’ils ne feront pas, bien
entendu.


VII. Les questions du public.


VIII. Interview complète de deux médecins lors du rassemblement contre la loi vaccinale à Nice

Avec l’intervention du Dr. Didier Grandgeorge et du Dr Jean Michel Alexis, homéopathes.




Gouvernement de l’ombre

[Source : Réseau International]

The Invisible Government : ces politiciens ayant révélé au monde qui prend vraiment les décisions [Vidéos]

The Invisible Government : ces politiciens ayant révélé au monde qui prend vraiment les décisions [Vidéos]

C’est un article qui a vu le jour sur Collective Evolution en 2015. Nous le republions maintenant pour faire prendre conscience de «l’État profond» qui contrôle depuis longtemps la politique mondiale et les grandes institutions.

À la fin de la journée, NOUS (l’humanité) prenons les décisions finales quant à la direction que nous voulons prendre pour notre planète. Au moment que nous choisissons, nous pouvons changer l’expérience humaine à tout moment.

« La manipulation consciente et intelligente des habitudes et des opinions organisées des masses est un élément important de la société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est la véritable puissance dirigeante de notre pays. Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes dont nous n’avons jamais entendu parler. »

Edward Bernays (“le père des relations publiques”), Propaganda, 1928 (à noter que le livre de Bernays, Propaganda, commence par la citation ci-dessus).


Si vous aviez dit à quelqu’un il y a 10 ans qu’il existait une sorte de groupe secret ou de gouvernement secret tirant les ficelles derrière les coulisses de la politique gouvernementale, du droit international, de diverses règles/réglementations mondiales, et plus encore, ils vous auraient traité de “théoricien du complot”. Aujourd’hui, les choses ont changé, en grande partie à la suite de fuites d’information par Edward SnowdenJulian Assange et divers autres dénonciateurs et activistes au cours des dernières années. Leur bravoure a fait la lumière sur le monde du secret qui aveugle les masses depuis sa création.

Je l’ai déjà dit, et je le répète, saviez-vous que le gouvernement américain classe plus de 500 millions de pages de documents chaque année ? Saviez-vous que les États-Unis ont une histoire d’organismes gouvernementaux qui existent en secret ? Par exemple, la National Security Agency (NSA) a été fondée en 1952, mais son existence a été cachée jusqu’au milieu des années 1960. Le National Reconnaissance Office (NRO), fondé en 1960, est encore plus secret, mais il est resté complètement dans l’ombre pendant 30 ans. Ensuite, nous avons tout le monde du budget noir, un monde dominé par le secret qui a été officiellement révélé par Edward Snowden il y a quelques années. Il s’agit de ce que l’on appelle les “programmes d’accès spécial”.

Il ne s’agit pas seulement de déclarations que ces personnes “de haut niveau” font. Ce sont toutes les preuves qui vont avec.


Le ministre de la Défense du Canada Paul Hellyer

L’ancien ministre de la Défense nationale, Paul Hellyer, est l’un des politiciens les plus connus et les plus controversés du Canada. Il a été élu pour la première fois en 1949 et a été le plus jeune ministre nommé au gouvernement de Louis S. St-Laurent huit ans plus tard. Il a occupé des postes supérieurs dans les gouvernements de Lester B. Pearson et Pierre E. Trudeau. Il a obtenu le grade de maître principal (vice-premier ministre) et est devenu ministre de la Défense du Canada. Il est surtout connu pour l’unification des Forces armées canadiennes et en septembre 2005, il est devenu la première personne de rang ministériel dans le groupe de pays du G8 à affirmer sans équivoque que « Les ovnis sont aussi réels que les avions qui volent.»

Voici ce qu’il avait à dire sur le monde du secret :

« Il est ironique que les États-Unis commencent une guerre dévastatrice, prétendument à la recherche d’armes de destruction massive, alors que les développements les plus inquiétants dans ce domaine se produisent dans votre propre cour. Il est ironique que les États-Unis se livrent à des guerres monstrueuses en Irak et en Afghanistan, prétendument pour apporter la démocratie à ces pays, alors qu’ils ne peuvent plus prétendre être qualifiés de démocratie, alors que des milliers de milliards de dollars ont été dépensés pour des projets pour lesquels le Congrès et le commandant en chef ont été délibérément tenus dans l’ignorance. » [1]


 Le 28e président des États-Unis Woodrow Wilson

Woodrow Wilson, universitaire américain, homme politique et 28e président des États-Unis, avait ceci à dire (entre autres choses) dans son livre The New Freedom. Le livre contient également plusieurs autres déclarations tout aussi révélatrices :

« Depuis mon entrée en politique, les opinions des hommes m’ont été confiées en privé. Certains des plus grands hommes aux États-Unis, dans le domaine du commerce et de la fabrication, ont peur de quelqu’un, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il y a un pouvoir quelque part si organisé, si subtil, si discret, si vigilant, si imbriqué, si complet, si omniprésent, qu’il vaut mieux ne pas en parler publiquement. » (source)


 Le 35e président des États-Unis John F. Kennedy

Voici ce que JFK avait à dire dans l’un de ses discours les plus célèbres :

« Le mot même “secret” est répugnant dans une société libre et ouverte ; et nous sommes, en tant que peuple, intrinsèquement et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes.

Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers d’une dissimulation excessive et injustifiée de faits pertinents l’emportent de loin sur les dangers qui sont cités pour le justifier. Même aujourd’hui, il est peu utile de s’opposer à la menace d’une société fermée en imitant ses restrictions arbitraires. Même aujourd’hui, il est peu utile d’assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elle. Et il existe un très grave danger qu’un besoin annoncé d’une sécurité accrue soit saisi par ceux qui veulent étendre son sens jusqu’aux limites mêmes de la censure et de la dissimulation officielles.

Je n’ai pas l’intention de le permettre dans la mesure où il est sous mon contrôle. Car nous sommes opposés dans le monde entier par une conspiration monolithique et impitoyable qui s’appuie principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence ; sur l’infiltration au lieu de l’invasion, sur la subversion au lieu des élections, sur l’intimidation au lieu du libre choix, sur la guérilla la nuit au lieu des armées le jour.

C’est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine très soudée et très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques. Ses préparations sont cachées, non publiées. Ses erreurs sont enterrées, elles ne sont pas en tête d’affiche. Ses dissidents sont réduits au silence et discrédités. Aucune dépense n’est remise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé. » (source)


John C. Calhoun, 7e vice-président des États-Unis

John C. Calhoun a été le 7e vice-président des États-Unis, de 1825 à 1832. Il a également été un théoricien politique pendant la première moitié du 19e siècle.

Voilà ce qu’il avait à dire : « Un pouvoir s’est levé dans le gouvernement plus grand que le peuple lui-même, composé d’intérêts multiples, divers et puissants, réunis en une seule masse, et maintenus ensemble par le pouvoir cohésif du vaste surplus des banques. » (source)


 John F. Hylan, maire de la ville de New York

John F. Hylan a été maire de New York de 1918 à 1925. Il a été célèbre pour avoir dit :

« La vraie menace de notre République est le gouvernement invisible, qui s’étend comme une pieuvre géante sur nos villes, états et nations… La petite coterie de puissants banquiers internationaux dirige virtuellement le gouvernement des États-Unis à leurs propres fins égoïstes.

Ils contrôlent pratiquement les deux partis…. [et] contrôlent la majorité des journaux et des magazines de ce pays. Ils utilisent les colonnes de ces journaux pour se soumettre ou chasser des fonctionnaires qui refusent d’obéir aux ordres des puissantes cliques corrompues qui composent le gouvernement invisible. Il fonctionne sous le couvert d’un écran [et] s’empare de nos exécutifs, des organes législatifs, des écoles, des tribunaux, des journaux et de toutes les agences créées pour la protection du public. » (source)(source)


Le sénateur William Jenner

Un sénateur américain qui a dit cela au Congrès en 1954 :

« Aujourd’hui, la voie vers la dictature totale aux États-Unis peut être tracée par des moyens strictement légaux… Nous avons un groupe d’action politique bien organisé dans ce pays, déterminé à détruire notre Constitution et à établir un État à parti unique… Il opère secrètement, silencieusement, continuellement pour transformer notre gouvernement… Cette élite impitoyable à la recherche du pouvoir est une maladie de notre siècle… Ce groupe… n’est responsable ni devant le président, ni devant le Congrès, ni devant les tribunaux. Il est pratiquement inamovible. » (source)


Le sénateur Daniel K. Inouye

Inouye a été le politicien asiatico-américain le plus haut placé dans l’histoire des États-Unis, au service du parti démocratique de 1963 jusqu’à sa mort en 2012.

« Il existe un gouvernement fantôme avec sa propre Force aérienne, sa propre Marine, son propre mécanisme de collecte de fonds et la capacité de poursuivre ses propres idées sur l’intérêt national, libre de tout contrôle et contrepoids et libre de la loi elle-même. » (source)


Le 34e président des États-Unis et général 5 étoiles, Dwight Eisenhower

Dans son discours d’adieu à la nation, le président Eisenhower a fait preuve de prudence :

« Dans les conseils de gouvernement, nous devons nous garder de l’acquisition d’une influence injustifiée, qu’elle soit recherchée ou non, par le complexe militaro-industriel. La possibilité d’une montée désastreuse du pouvoir mal placé existe et persistera. Seul un citoyen alerte et bien informé peut contraindre les énormes machines industrielles et militaires de la défense à s’aligner sur notre message et nos objectifs pacifiques. » (source)

Ce discours est pertinent à partager ici, car la montée désastreuse du pouvoir mal placé au sein du complexe militaro-industriel s’est effectivement produite…


Benjamin Disraeli, premier ministre britannique

« Le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qu’imaginent ceux qui ne sont pas dans les coulisses. » (Coningsby, Book 4, Chap. 15.) – Page 131


Le 26e président des États-Unis Theodore Roosevelt

Le président Roosevelt a révélé cette information :

« Les partis politiques existent pour assurer un gouvernement responsable et pour exécuter la volonté du peuple. De ces grands états-majors, les deux anciens partis se sont mis à l’écart. Au lieu d’instruments pour promouvoir le bien-être général, ils sont devenus les outils d’intérêts corrompus pour servir leurs buts égoïstes.

Derrière le gouvernement ostensible se trouve un gouvernement invisible qui n’a aucune allégeance et ne reconnaît aucune responsabilité envers le peuple.

Détruire ce gouvernement invisible, salir l’alliance impie entre les affaires corrompues et la politique corrompue est la première tâche de l’homme d’État de l’époque. Libéré de la tradition, non corrompu par le pouvoir, non déstabilisé par l’ampleur de la tâche, le nouveau parti s’offre comme instrument du peuple, pour balayer les anciens abus, pour construire un gouvernement nouveau et plus noble. » (source)


La liste des citations est très longue et pourrait remplir un certain nombre de pages, alors je vais m’arrêter là.

C’est pourquoi l’État profond est loin d’être une théorie du complot

Source :

http://lesmoutonsrebelles.com/les-presidents-et-politiciens-ayant-revele-au-monde-qui-prend-vraiment-les-decisions/

https://www.collective-evolution.com/2018/05/05/presidents-politicians-that-told-the-world-who-the-political-decision-makers-really-are/

Traduction : Les Moutons Rebelles

Référence :

[1] https://www.youtube.com/watch?v=Vx1bCUXD_jE


Vidéos :

[1] Le lobby militaro-industriel – Président Dwight D. Eisenhower – Mr Aphadolie

[2] Sociétés secrètes : Discourt du Pt John Fitzgerald Kennedy – Mr Aphadolie

via:https://aphadolie.com/2019/02/28/the-invisible-government-ces-politiciens-ayant-revele-au-monde-qui-prend-vraiment-les-decisions-videos/




Quand des féministes harcèlent des scientifiques

[Source : Le Point]

Peggy Sastre – Quand des féministes harcèlent des scientifiques

CHRONIQUE. Au nom d’une discrimination positive devenue folle, des
physiciens se voient cloués au pilori, sans rapport aucun avec leur
compétence scientifique.

Par Peggy Sastre

Publié le
14/03/2019 à 11:11
| Le Point.fr

Le Cern a suspendu sa collaboration avec un scientifique italien apres des accusations de sexisme.
Le Cern a suspendu sa collaboration avec un scientifique italien après des accusations de sexisme.
© FABRICE COFFRINI / AFP

L’ère de l’investigation scientifique factuelle est-elle terminée ?
Dans les labos, la frontière entre discrimination positive et
harcèlement idéologique ne cesse de s’effacer. Mais privilégier les
opinions et l’identité des scientifiques à la qualité de leurs
recherches entrave des carrières et génère de véritables persécutions.

« Pour le moment, je préfère rester anonyme. Je n’en suis pas fier, mais il faut que je mange et je suis aussi responsable des opportunités de recherche de mes étudiants et de mes postdocs. » L’astrophysicien qui me dit cela n’a tué personne, il vient simplement de me raconter qu’il a choisi de quitter l’Australie, le pays où il a été diplômé et où s’est déroulé le gros de sa carrière, pour la Chine. Pourquoi ? Parce que, en tant que chercheur, il s’y sent plus libre. C’est sans doute un comble, mais c’est la réalité. Pour de plus en plus de scientifiques, les pressions et la mise au pas du « politiquement correct » (faute de meilleure formule) au sein des universités et autres établissements de recherche sont telles que s’exiler dans un pays non démocratique, où les opposants disparaissent et les minorités religieuses sont parquées dans des camps de rééducation, devient un pis-aller si vous souhaitez travailler normalement. « J’ai quitté l’Australie parce que j’en avais marre de voir les postes et les financements se réduire comme peau de chagrin pour les vrais astrophysiciens », résume, dépité, ce spécialiste de radioastronomie.

Nous sommes aujourd’hui (à peu près) tous d’accord : qu’il soit sexuel, scolaire, moral ou en Ligue du LOL, le harcèlement est un fléau à combattre. Mais le consensus est bien moins solide quand les individus persécutés, jusqu’à en perdre le goût de travailler ou de vivre, sont des scientifiques ostracisés pour « mauvaise pensée », indépendamment de l’intégrité, du sérieux et de la qualité de leurs travaux. Et ce, même lorsque les brimades reposent sur des cabales mensongères et diffamatoires.

« Déclaration de diversité »

« Le climat politique dans les universités australiennes a effectivement été l’une des raisons principales de mon départ. C’est aujourd’hui très difficile d’obtenir un poste permanent si vous ne faites pas partie d’un groupe protégé (hélas, je suis un homme blanc, hétérosexuel et chrétien, pas de bol !) et/ou si vous ne faites pas suffisamment d’activisme visible (ou, du moins, de virtue signalling) pour un certain nombre de sujets chéris par la gauche écologiste », précise mon interlocuteur. « En Chine, il est très probable que des astronomes chinois subissent l’interférence politique du Parti communiste, mais, en tant qu’étranger, on me laisse tranquille. Je peux faire de l’astronomie en paix, sans perdre de temps sur des projets “diversitaires”. Ici, les postes sont toujours donnés aux meilleurs candidats, qu’importe leur sexe, leur genre ou leur origine ethnique. Et contrairement à mon patron australien, mon patron chinois ne m’a jamais reproché de ne pas être assez socialiste. »

Comme ailleurs, les tracas qui ont poussé ce physicien à l’exil académique relèvent globalement d’une discrimination positive devenue folle. « Les degrés de discrimination sont nombreux », m’explique l’astrophysicien. « Déjà, il y a de plus en plus de postes, de bourses et de subventions qui sont officiellement réservés aux femmes et aux membres des “nations premières”. Ensuite, dans les postes ouverts aux hommes blancs, vous avez des clauses spéciales garantissant l’embauche de candidats d’un seul profil idéologique. Par exemple, on va vous demander de rédiger une “déclaration de diversité” [qui n’est rien d’autre qu’un serment d’allégeance] dans laquelle vous devrez détailler tout le “leadership” dont vous avez su témoigner dans vos recherches ou vos enseignements antérieurs (en organisant des séminaires ou des conférences réservées aux femmes, par exemple). »

Préjugés idéologiques

Il y a
quelques semaines, dans le cadre d’une enquête en cours sur le
darwinisme contemporain, deux chercheurs français en sciences cognitives
m’ont demandé le « off » pour une raison similaire : apparaître
nommément dans Le Point, publication jugée trop « à droite »,
équivaudrait à se tirer une balle dans le pied auprès de leurs collègues
et étudiants. Le souci, c’est qu’il est très difficile de ne pas
comprendre – voire de donner tort – aux scientifiques préférant se
cacher ou changer de pays pour ne pas avoir à subir les foudres de
l’orthodoxie morale contemporaine. Alessandro Strumia, professeur de
physique des particules à l’université de Pise et entre autres coauteur
de l’étude sur la découverte du boson de Higgs, en est l’une des toutes dernières victimes.

Le 28 septembre
2018, au Cern (Genève), le physicien intervient dans un séminaire
intitulé « Théorie des hautes énergies et genre ». Œuvrant depuis
plusieurs mois à la conception d’algorithmes visant à améliorer le système d’évaluation des publications scientifiques, Strumia profite de sa conférence pour présenter des données bibliométriques
– internationales et courant sur un demi-siècle – relatives à l’autorat
et à l’embauche en physique fondamentale. Selon ses calculs, elles
permettent d’attester d’un fait somme toute réjouissant : les femmes ne
sont pas victimes de discriminations sexistes dans sa discipline. Des
observations cohérentes, par exemple, avec un grand rapport
publié en octobre 2014 par l’Association américaine de psychologie
scientifique (APS) qui concluait que, « malgré de fréquentes
affirmations contraires », la « neutralité de genre » – les chercheurs
sont jugés en fonction de leurs compétences, pas de leur identité – est
la règle en physique, comme en géosciences, ingénierie, économie,
mathématiques et sciences informatiques. Soit autant de champs
scientifiques où les hommes sont en général beaucoup plus nombreux que
les femmes et que l’on soupçonne, pour cela, de carburer aux
« discriminations systémiques ». Selon Strumia, une telle appréciation
tiendrait davantage d’un préjugé idéologique empreint de « marxisme culturel » que
d’une réalité tangible et mesurable. Si discrimination il y a, Strumia
observe qu’elle serait plutôt favorable aux femmes, qui obtiennent en
moyenne des postes plus tôt dans leur carrière et avec moins de
publications et de citations que leurs collègues mâles.

Deux jours plus tard, la chasse est lancée sur Twitter. Jessica Wade, physicienne affiliée à l’Imperial College de Londres et militante engagée pour une plus grande participation féminine dans les STEM (acronyme de « science, technology, engineering and mathematics »), accuse Strumia (qu’elle identifie à tort comme le directeur du département de physique théorique du Cern) d’avoir déroulé un exposé « sexiste » dans lequel il aurait argué de l’infériorité des femmes physiciennes (une autre contre-vérité, et non des moindres). Après des centaines de likes et retweets, Wade en vient à susciter une réaction de Marika Taylor, l’une des organisatrices du séminaire, qui confirme que la présentation de Strumia était pleine d’« attaques personnelles », de « faits erronés », et traduisait un « manque de professionnalisme patent ». Taylor, par ailleurs directrice du département de mathématiques appliquées de l’université de Southampton, annonce l’imminence de plaintes officielles. Quelques heures plus tard, malgré la « procédure équitable » promise par Taylor – donnant donc à Strumia le droit de se défendre –, les captations audio et vidéo de sa conférence ainsi que ses slides sont retirés manu militari du site du Cern. Quand l’affaire en vient à être révélée par la BBC, la messe est dite : Strumia est un dangereux misogyne persuadé que les femmes ne sont « pas faites » pour la physique.

Lire aussi Sur Twitter, on récolte ce qu’on sème

Campagne d’indignation

Ce qu’il n’a jamais dit. Mais ni la machine médiatique, ni la campagne d’indignation, ni les procédures disciplinaires décidées par le Cern et l’université de Pise ne s’embarrasseront de telles nuances. Le 18 janvier 2019,
c’est sur la base de propos faussement attribués à Strumia dans la
presse – notamment, qu’il aurait insulté Fabiola Gianotti, directrice
générale du Cern – que l’université de Pise l’accuse de violations
déontologiques. Le 7 mars, le Cern annonce
retirer au physicien son statut de « chercheur invité » et réaffirme
son « attachement aux valeurs capitales de respect et de diversité sur
le lieu de travail ».

Dans l’article qui en fait état, la BBC tronque une nouvelle fois les propos du physicien. De son slide sur les discriminations qu’ont pu effectivement subir les femmes au cours de l’histoire de la physique, le journal ne retient que « la physique a été inventée et construite par des hommes, pas par invitation », en omettant le reste de son propos et sa référence à Marie Curie. « Historiquement », explique Strumia, « la physique moderne a été inventée il y a des siècles par des hommes comme Galilée ou Newton. Nous savons qu’à l’époque, la majorité des gens (et en particulier les femmes) n’avaient pas la possibilité d’étudier. Et des hommes se sont donc mis à concevoir les institutions nécessaires pour développer une culture fondée sur l’intégrité et le mérite scientifiques. Personne n’avait d’accès privilégié, tout le monde pouvait venir, essayer, et être jugé sur ses seules réussites, pas sur son genre, sa race, etc. Marie Curie est un exemple de la façon dont des femmes brillantes sont appréciées dans la communauté des physiciens depuis maintenant de nombreuses années. Même si, à l’époque, personne n’avait entendu parler d’une femme étudiant la physique, grâce à son travail extraordinaire, elle n’a pas reçu un, mais deux Nobel ». Un cercle prodigieusement exclusif, quelles que soient vos caractéristiques identitaires.

Lire aussi La « féminité toxique » existe-t-elle ?

En réalité, Strumia ne défend rien d’autre qu’une « égalité des opportunités » en sciences. En d’autres termes, comme il le précise : « C’est la personne la plus qualifiée qui doit avoir le boulot, indépendamment de son genre, sa race, son orientation politique, etc. » Sauf qu’à l’heure actuelle, cette position, pourtant en phase avec les fondamentaux de la méthode scientifique, ne cesse d’être remise en question, quand elle n’est pas assimilée à une « micro-agression ». Strumia, comme d’autres, déplore les glissements autoritaires et sectaires de la défense de la diversité, de l’inclusion et de l’égalité. Il estime que ces « slogans » cachent une « idéologie politique ne cherchant pas l’égalité des opportunités, mais l’égalité des résultats ». Ce qui exige d’en passer par « des discriminations pour que des groupes […] deviennent plus égaux que les autres. En pratique, l’égalité des opportunités fait en sorte que des groupes surreprésentés ne tirent pas avantage de leur position. Mais l’égalité des résultats signifie imposer des quotas en attaquant des groupes surreprésentés par des récits victimaires et une mauvaise compréhension des différences humaines ». Et Strumia d’ajouter qu’il a « osé parler » parce qu’il a fait « passer [s]on intégrité scientifique avant ce [qu’il] risquai[t] de perdre ». Ce qui n’aurait jamais dû être un motif de sanctions.

Une « chasse aux sorcières »

Janice Fiamengo, professeure de littérature anglaise à l’université d’Ottawa et par ailleurs spécialiste des attaques féministes contre la liberté d’expression, a suivi l’affaire Strumia depuis le début. Et elle n’est pas optimiste. Selon elle, la décision du Cern « envoie un signal évident à l’ensemble de la communauté scientifique : l’ère de l’investigation scientifique factuelle (qui a sans doute toujours été imparfaite et qui était en voie de disparition ces derniers temps) est réellement terminée.

Lire aussi Pourquoi la science n’est pas à l’abri de la censure

À
partir d’aujourd’hui, tout scientifique saura qu’il doit s’assurer que
tous ses déclarations, travaux et recherches sont approuvés par les
féministes. Toute recherche portant sur des questions sociales
contemporaines, et notamment celles liées au statut de la femme (mais
aussi à la race, la religion et d’autres questions brûlantes), devra
désormais confirmer les orthodoxies idéologiques de notre époque.
À savoir : il n’y a pas de différence d’intérêts et d’aptitudes entre
les populations ou les groupes, et toute inégalité de résultat est
forcément la conséquence d’injustices généralisées et des
discriminations que subissent les groupes sous-représentés. Même
lorsqu’il existe des données factuelles démontrant que ces injustices et
ces discriminations n’existent pas (voire que c’est en réalité le
“groupe opprimé” qui est avantagé, comme dans la présentation de
Strumia). À partir d’aujourd’hui, ces données devront être ignorées,
niées et, encore mieux, conspuées ».

« Le Cern vient d’annoncer
qu’il prêtait allégeance à un groupe fanatique d’idéologues plutôt
qu’aux impératifs d’une recherche fondée sur la vérité », résume
Fiamengo, excédée. « C’est une chasse aux sorcières, purement et
simplement, qui montre combien les nouveaux puritains ont réussi à
percer jusque dans les sciences physiques, forteresse jadis
imprenable. »

Une dernière ironie de l’histoire pour la route ? C’est aussi à l’université de Pise que fut professeur un certain Galilée.

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Pourquoi les censeurs détestent Assange, par Richard Black

[Source : Les Crises]

Pourquoi les censeurs détestent Assange, par Richard Black

Article initialement publié le 4 août 2018

Par le sénateur Richard Black
Paru sur Antiwar.com sous le titre Why the Censors Hate Assange


En tant qu’officier militaire,
j’ai été formé pour observer strictement les protocoles de sécurité.
Ainsi, lorsque j’ai entendu parler de WikiLeaks et Julian Assange pour
la première fois, j’étais instinctivement critique. Mais en lisant les
documents qu’il a publiés, j’ai vu comment Julian a donné aux gens un
aperçu précis des rouages internes de leur propre gouvernement.

Le gouvernement « du peuple » ne peut pas s’épanouir sous le voile étouffant du secret. Et le secret vise souvent non pas à nous protéger de nos ennemis à l’étranger, mais à nous tromper sur les sombres machinations de notre propre gouvernement. Les secrets les plus importants sont ceux qui servent à dissimuler les mesures prises pour établir des motifs pour des guerres futures — des conflits injustifiés qui semblent sortir d’une chaîne de montage sans fin. Les « no fly-zones » , les bombardements, les sanctions, les faux drapeaux, les blocus, les mercenaires, les terroristes assoiffés de sang sont tous devenus banals. Les sanctions déstabilisent les pays-cibles à travers la faim et la souffrance. Nous terrorisons et semons des parties de corps humains dans les rues en tant que cartes de visite. Les changements de régime son un jeu ; les coups d’État et les assassinats sont des pratiques quotidiennes.

Avant Assange, ceux qui ne jouaient pas le jeu et détectaient les
schémas d’inconduite de l’Etat profond étaient catalogués « théoriciens
du complot » ou pire. Mais avec l’avènement de WikiLeaks, des documents
originaux et incontestés ont prouvé la véracité de nos arguments et
révélé la vérité aux citoyens du monde entier.

L’élection de Trump a envoyé de violentes ondes de choc dans l’État
profond. Les gens avaient été avertis qu’ils ne devaient pas élire cette
personne – mais ils ont ignoré les instructions. Cela ne devait pas se
produire — et ne doit pas se reproduire. Le peuple a démontré que les
médias grand public ont perdu le contrôle du débat national. Des
renseignements secrets étaient révélés et partagés. Des générations de
censure se sont effondrées sous l’assaut de communications non censurées
entre familles, amis et groupes d’intérêts. Les médias sociaux — un
nouveau paradigme effrayant – ont remis en question l’emprise de l’élite
sur les leviers du pouvoir. Après l’élection imprévue de Trump, le rétablissement des obstacles à la liberté d’expression et de communication est devenu un impératif mondial.

Aujourd’hui, nous assistons à des efforts intenses et
coordonnés pour réimposer un contrôle efficace de l’information en
Amérique et dans le monde entier.
Facebook, Twitter, Google,
YouTube, PayPal et d’autres titans de la high-tech s’empressent
d’embaucher des censeurs et d’adopter des politiques restrictives qui
empêchent les voix controversées de toucher un public mondial. Big
Brother est de retour.

Julian Assange et WikiLeaks font partie des cibles privilégiées des
censeurs. Ils ont perturbé la censure des grands médias. L’assassinat
d’Assange n’est pas exclu. Eh oui, il est aussi important que ça.

Je sais que Julian Assange est controversé, mais je serais heureux
qu’une nation courageuse lui accorde un asile permanent. Qu’il continue
de donner aux citoyens un aperçu honnête du fonctionnement interne de
leur gouvernement. Cela semble être notre meilleur espoir de paix.

Le sénateur Richard H. Black (Parti républicain) représente le
13e district de Virginie. Il est colonel de l’armée américaine (à la
retraite) ; ancien chef de la Division du droit pénal, Bureau du
Juge-avocat général du Pentagone ; associé des VIPS, Veteran
Intelligence Professionals for Sanity. Son site Web.

Traduction Entelekheia




Facebook. Mark zuckerberg est un faussaire utilisé par la cia

[Source : Devenons tous journalistes]

Le dossier zuckerberg

Saviez-vous
que le vrai nom de Mark Zuckerberg est Jacob Greenberg et qu’il est
le petit-fils de feu David Rockefeller, ancien dirigeant de la
faction Rockefeller/Bush/Clinton de la Cabale ?

Zuckerberg
signifie en Allemand « montagne de sucre ». Ce qui est
leur nom de code pour « Facebook » à n’en pas douter.
Une montagne d’informations d’où ils peuvent extraire des
milliards de $.

Les
Rothschild possèdent près de 10% des actions de Facebook qui a
été financé à hauteur de 500 millions de $ par une banque qui
appartient à la CIA, ce qui n’a rien de secret.

Pensez-vous
toujours que Facebook a été créé par un étudiant inconnu qui
s’ennuyait dans son coin ?

Mark zuckerberg est un faussaire utilisé par la cia

Le
document anonyme suivant est supposé provenir d’un dénonciateur à
l’intérieur de Facebook qui était l’amant de Zuckerberg depuis
sa première année à Harvard. Les indiscrétions permanentes de
Mark concernant son contrat en cours avec le gouvernement continuent
de lui valoir des ennuis à ce jour. Mark était supposé incarner
simplement le « gamin de génie » du projet de réseau
social de Larry Summers (le président de Harvard) financé par la
DARPA*/In-Q-Tel** (CIA)/IBM et le groupe secret international
« public-privé » appelé The Highlands Group*** en
coopération avec le Bureau d’Évaluation stratégique du
Département de la Défense.

*La Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), (« Agence pour les projets de recherche avancée de défense ») est une agence du département de la Défense des États-Unis chargée de la recherche et développement des nouvelles technologies destinées à un usage militaire. Jusqu'à aujourd'hui, la DARPA a été à l'origine du développement de nombreuses technologies qui ont eu des conséquences considérables dans le monde entier dont les réseaux informatiques (notamment l'ARPANET qui a fini par devenir Internet) et le NLS (sigle représentant, en anglais, l'expression « oN-Line System », en français, littéralement, « système en ligne ») qui a été à la fois le premier système hypertexte et un précurseur important des interfaces graphiques devenues omniprésentes de nos jours. Wikipédia
**In-Q-Tel,
à l'origine appelé Peleus, est un fond américain de capital-investissement à but non lucratif créé et géré par la Central Intelligence Agency. Son siège social se trouve à Arlington en Virginie à proximité de Washington DC, la capitale des États-Unis. Wikipédia
 *** The Highland Group
 branche :    Management Consulting
 Fondée en :  1990 aux Etats-Unis 
 dirigeant :  Greg Peacock
 siège :      Saint Michaels, Maryland

C’est
Larry Summers* et un groupe de dirigeants gouvernementaux qui ont
fabriqué, produit et dirigé Mark durant toute la création
frauduleuse de l’histoire de propagande de Facebook à Harvard. Ces
affirmations sont explosives et laissent entendre que tout le réseau
social frauduleux appelé Facebook a toujours été sous le contrôle
du gouvernement par l’intermédiaire des gens de Harvard qui
dirigeaient Mark. L’auteur anonyme de la lettre ci-dessous, que
nous appellerons « John », souligne également pourquoi
Facebook a été créé, comment Mark a été contrôlé par Eric
Schmidt**, James Beyer***, Larry Summers, Sheryl Sandberg**** et le
malveillant voleur de propriété industrielle, le professeur James
Chandler*****.

* Lawrence Henry Summers, né le 30 novembre 1954 à New Haven (Connecticut), est un économiste et homme politique américain. Après avoir présidé université Harvard entre 2001 et 2006, il dirige actuellement le centre Mossavar-Rahmani pour business et gouvernement chez la John F. Kennedy School of Government1. Son apport dans plusieurs domaines en sciences économiques lui valut la médaille John-Bates-Clark, en 1993.
Membre du Parti démocrate, il est secrétaire au Trésor entre 1999 et 2001 dans l'administration du président Bill Clinton. Membre de l'équipe de transition du président élu Barack Obama, ce dernier l'a choisi pour diriger le Conseil économique national, un organe du Bureau exécutif du président des États-Unis, fonction qu'il occupe entre 2009 et 2010.  
** Eric Emerson Schmidt, né le 27 avril 1955, à Washington, D.C., est un homme d'affaires américainPDG de Google de 20012 à 2011, date à laquelle il devient président exécutif du conseil d'administration et est remplacé au poste de PDG par Larry Page, cofondateur de Google3. Il est également membre du conseil de surveillance de l’université de Princeton dans le New Jersey.
Eric Schmidt est alors devenu président exécutif (Executive Chairman) d'Alphabet Inc., la nouvelle holding qui chapeaute Google, poste qu'il quitte le 22 décembre 2017, en vue de se « consacrer à d'autres projets, notamment philanthropiques ». En 2016, il devient également directeur d'un comité pour le Pentagone américain afin d'étudier l'apport des innovations de la Silicon Valley à l'armée américaine.  
*** James W. Breyer (né en juillet 1961)[2] est un entrepreneur Américain de capital-risque, fondateur et PDG de Breyer Capital, une entreprise d’investissement et de capital-risque philanthropique. Breyer a investi dans plus de 40 entreprises qui sont devenues publiques ou ont réalisé une fusion à l’aide de ces investissements, y compris Facebook  
**** Sheryl Kara Sandberg est une femme d'affaires américaine, née le 28 août 1969 à Washington. Elle est l'actuelle directrice des opérations (COO) de Facebook, un réseau social sur Internet. Elle était auparavant vice-présidente des Ventes et opérations internationales en ligne (Global Online Sales and Operations) au sein de Google. Avant de rejoindre Google, Sheryl Sandberg était chef de service au sein du département du Trésor des États-Unis où elle a fait partie du programme d'allègement de la dette des pays en voie de développement.  
Depuis 2011, elle figure parmi les dix premières du classement des femmes les plus puissantes au monde selon le magazine Forbes. Elle est également considérée comme l'une des femmes les plus puissantes dans le secteur informatique depuis 2014.  
***** James P. Chandler, Président du National Intellectual Property Law Institute (équivalent de l’INPI), Président du Cabinet d’avocats Chandler pllc. Diplômé de Harvard. Toutes sources Wikipédia  

Incontestablement,
ce « Dossier » Zuckerberg contient assez de preuves pour
mettre Mark Zuckerberg derrière les barreaux, et il ne sera donc pas
abordé par les Grands Médias – selon la personne qui a remis en
mains propres cette lettre à un membre du Conclave des Patriotes
Anonymes il y a quelques jours.

American
Intelligence Media

a pu vérifier rapidement que de nombreuses affirmations contenues
dans ce « Dossier Zuckerberg » sont véridiques et cela
nous amène à conclure que le document est authentique et qu’il
est ce qu’il prétend être. Le véritable auteur de ce Dossier
Zuckerberg n’est un secret pour personne parmi les membres du
Conclave, mais cette supposition est une spéculation et le Conclave
ne se fonde pas sur de spéculations. Pourtant, si l’on écoute
attentivement l’aveu de culpabilité de Sean Parker (longtemps
cadre dirigeant de Facebook) qu’il a fait à plusieurs reprises
devant la presse, vous remarquerez que Sean savait tout sur la
création du géant des réseaux sociaux et des intentions
malveillantes et des empreintes des coupables.

C’est
pourquoi il n’est pas difficile du tout de déterminer qui peut
avoir écrit ce résumé des torts du Facebook de Mark Zuckerberg.
Vous pouvez même distinguer les véritables motivations d’écrire
ces « révélations complètes » sur Zuckerberg à ce
moment de l’histoire, alors que Facebook va devoir affronter toutes
sortes d’accusations, y compris de violation de lois anti-trust.

Toute personne bien informée des scandales à répétition entourant la création de Facebook aurait pu rassembler les divers plaignants réclamant la paternité du code source de programmation utilisé pour rendre le réseau social « évolutif » – ce qui était la problématique générale de toutes les grandes entreprises de haute-technologie de l’époque, y compris du projet « LifeLog » de la NSA. Il s’avère que le génie Mark Zuckerberg a « résolu » le problème que personne d’autre dans le monde ne pouvait arriver à solutionner. Oh oui, et Mark a réussi à le faire « en l’espace d’une ou deux semaines environ » tout en potassant pour l’examen final et en débitant des « fûts » de bière pour ses amis. [1]

Facebook a été créé le même jour ou le pentagone a « mis fin » a un projet similaire – coïncidence ?

L’auteur
de ce résumé propose une histoire assez différente et raconte pour
la première fois l’implication d’acteurs de haut-niveau du
gouvernement qui ont fait fortune avec la croissance exponentielle du
jour au lendemain de l’action de Facebook sur le NASDAQ. Les
acteurs mentionnés par « John » (l’auteur anonyme)
s’avèrent être les mêmes qui ont gagné des sommes considérables
avec leurs actions de Facebook. Ces initiés ont ensuite encaissé
leurs gains de Facebook pour démarrer d’autres entreprises de
réseaux sociaux qui, par coïncidence ont dépassé la plupart des
entreprises de l’histoire.

Humm
… possédez-vous des actions Facebook ? Il pourrait être
temps de les vendre !

American
Intelligence Media
  ne prétend pas que le Dossier
Zuckerberg soit à 100 % exact, mais nous pouvons établir avec une
certitude absolue que la source est réelle. Nous pensons également
qu’il peut y avoir d’autres compléments à ce que nous appelons
le Dossier Zuckerberg et ce n’est probablement pas la dernière
fois que nous entendrons parler de cette source étant donné que les
ennuis de Mark dans les informations ne cessent de
s’amplifier. L’aspect le plus convaincant de cet « amant
éconduit qui dit tout » réside dans ce que l’auteur
souligne comme étant la vraie nature de Mark et dans ce qu’il
croit qu’il va advenir de Facebook à présent en Amérique. Il
était choquant de lire ces commentaires et nous les avons trouvés,
après mûre réflexion, probablement exacts et certainement pas ce
que nous aurions imaginé être la réalité de la menace du
gouvernement des Etats-Unis d’agir à l’encontre de Facebook. 

Sir Nick Clegg 

*Sir
Nick Clegg, ancien
leader du parti libéral démocrate britannique Nick Clegg,
aujourd’hui à la tête des affaires publiques de Facebook.

En
outre, il est intéressant de noter l’intervention Britannique dans
Facebook du fait que l’ancien Premier Ministre Adjoint du Royaume
Uni, Sir Nick Clegg, ait incarné la « façade » de
Facebook, ce en quoi le Baron Richard Allen (un autre agent
Britannique) avait échoué.  

Réunion informelle entre Mark Zuckerberg, Nick Clegg et Sheryl Sandberg, probablement en vue de planifier la censure finale des patriotes et des conservateurs.

En
ce moment, Facebook semble dans l’impasse à moins que les Agents
de la Couronne Britannique, Clegg et Allen, ne puissent sauver Mark
de son horrible management.

Répétons
que nous ne prétendons pas que cette « confession » et
cette « accusation » anonyme soit véridique dans tous
ses détails. Mais il est certain que le lecteur bien informé
reconnaîtra que cette version de l’accession de Mark Zuckerberg à
la gloire et la fortune est bien plus vraisemblable que les histoires
insensées qui ont été racontées par Mark (et « confirmées »
par la presse et le cinéma, NdT) depuis le début des années 2000
lorsqu’il a émergé pour la première fois dans le Harvard de
Larry Summers.

Envois
et traduction de Patrick T.

Merci
de diffuser cet article aussi largement que possible. Nous devons
retourner l’arme que Zuckerberg pointe sur nous – le réseau
social … contre lui.

[1] Tr. 41 :7, Déposition de Mark Zuckerberg du 25 avril 2006, dans l’affaire ConnectU LLC contre Zuckerberg et al, 1:04-cv-11923-DPW (D. Mass. 2004).

https://operationdisclosure1.blogspot.com/2019/06/the-zuckerberg-dossier-facebook.html

Source : American Intelligence Media | Par ANONYMOUS PATRIOTS




Médias, information et mondialisation libérale

[Source : ACRIMED]

[Auteur :] Groupe « Médias » d’Attac

Version finale et intégrale
dimanche 11 mai 2003

Nous publions ici la version finale et intégrale du document du « Goupe Médias » d’Attac (dont la version provisoire est déjà parue sur d’autres sites), adopté par le CA de cette association. Il doit paraître, dans une version abrégée pour tenir compte du « format » de la publication, dans le prochain « Lignes d’Attac ». (Acrimed)

Les médias dominants prétendent se réserver le monopole de l’information sur les médias. Et la plupart des journalistes n’admettent pour seules critiques que celles qu’ils consentent à formuler sur eux-mêmes. Le discours dominant des journalistes dominants sur la question des médias exagère presque toujours l’indépendance des journalistes à l’égard des pouvoirs et occulte corrélativement les rapports de propriété soumettant les médias à leurs propriétaires et à l’exigence du rendement.

Le combat contre la mondialisation capitaliste impose d’informer sur l’information.


I. Les médias et la mondialisation libérale

L’ordre néolibéral proclame la liberté de l’information depuis que l’Etat a renoncé à son monopole sur les moyens de communication audiovisuels. L’abondance des nouveaux réseaux et l’avènement de la société de l’information vaudraient promesse de pluralisme et garantie de la liberté d’expression. En réalité, les grands industriels et les grosses banques sont aux postes de commande, la concentration des médias s’accélère.

L’organisation de l’édition française est en voie de devenir un quasi-monopole d’Hachette. La commercialisation de chaînes de télévision par satellite pourrait être regroupée en une seule offre. Moins caricaturales, les situations de la presse et de la radio enregistrent les mêmes tendances : un nombre croissant de quotidiens régionaux obéit à un actionnaire identique (Socpresse ou Hachette) ; la presse professionnelle est aux mains d’un éditeur dominant, cédé récemment à un fonds de placement étranger ; la radio subit l’influence de trois ou quatre grands réseaux commerciaux ; la concentration du disque a abouti à un oligopole mondial.

Sous couvert de déréglementation, la disparition des monopoles publics fait place à l’édification de monopoles privés. Le pouvoir de l’information fait l’objet de ce transfert d’une puissance à l’autre. La télévision ne fait pas exception : le seul contrepoids à la puissance de TF1 continue d’être assuré par un secteur public dominé par la puissance de ses rivaux et contraint à redistribuer le produit de la redevance à des animateurs privés surpayés.

Les mêmes firmes sont présentes dans plusieurs catégories de médias. Des positions sont cumulées, par exemple par Vivendi Universal (audiovisuel, édition, multimédia, télécommunications) ; par Lagardère (édition, presse, radio et multimédia) ; par Bouygues (télévision et télécommunications) ; par Pinault (presse, télévision et distribution de produits culturels).

Hachette et Hersant-Dassault dominent la presse périodique et la presse et la télévision régionale. L’Express, créé pour soutenir Pierre Mendès France et combattre les guerres coloniales, vient d’être acquis par un marchand d’armes (Serge Dassault possède 30% de la Socpresse, propriétaire du groupe de presse que Vivendi vient de céder, et il a vocation a y devenir majoritaire). Les deux groupes français d’armement qui vivent des commandes de l’Etat, Dassault et Matra-Hachette, contrôlent près des deux tiers du tirage de la presse magazine hexagonale.

Deux quotidiens, Le Monde et Le Figaro, qui sont aussi deux groupes de presse ayant annoncé leur intention d’entrer en Bourse, n’ont cessé de nouer des alliances (y compris entre eux au plan publicitaire), de procéder à des acquisitions (Télérama, Courrier International dans un cas, L’Express, L’Expansion, l’Etudiant etc. dans l’autre). La concentration de l’un justifie la concentration de l’autre. Yves Chaisemartin, PDG de la Socpresse, a ainsi expliqué le rachat du groupe L’Express : « Je ne pouvais pas rester sans rien faire. Les projets du Monde m’obligeaient à réagir. »Après avoir dressé la liste des propriétés du « groupe Socpresse-Express », Jean-Marie Colombani, PDG du Monde SA, a répliqué : « Que serait la position du Monde et son avenir si nous n’avions pas jeté les bases d’un regroupement ? »

L’emprise de groupes capitalistes n’est pas propre à la France. Aux Etats-Unis, six groupes contrôlent plus de la moitié du secteur de l’édition, de l’information et du divertissement. Au Mexique, au Brésil, au Venezuela, les médias orientent la vie politique. Dans ce dernier pays, ils ont même joué un rôle de premier plan dans l’organisation d’un coup d’Etat. Rupert Murdoch contrôle certains des périodiques britanniques et américains les plus diffusés (The Times, The Sun, The New York Post), un système de télévision par satellite (BSkyB) et un réseau de télévision et de cinéma (Fox). En Allemagne, Bertelsmann (édition, audiovisuel et services multimédias, n’a plus de concurrent depuis l’écroulement de Kirch. En Italie, Silvio Berlusconi qui, en tant que premier ministre, régit l’avenir des chaînes publiques est également propriétaire de trois des sept chaînes de télévision privées, de journaux et de maisons d’édition.

Qui nous dira par quel tour de magie les intérêts de telles entreprises (et la pratique du journalisme qui leur est soumis) pourraient se confondre avec les besoins de la liberté et de la démocratie ?

La question des médias est donc plus que jamais centrale pour qui veut comprendre les fondements de l’ordre néolibéral, économique et idéologique. Le combat d’Attac contre la mondialisation capitaliste l’oblige à intervenir sur ce terrain. Et à prendre en compte l’évolution que connaissent les médias, étroitement liée à l’action qu’un capitalisme financier mondialisé imprime aux domaines sans cesse plus étendus de l’activité sociale, intellectuelle et artistique.

Pas spectateurs, acteurs économiques

Les grands médias sont d’abord des entreprises qui opèrent conformément aux formes de management capitalistes (y compris en recourant de plus en plus souvent à des journalistes précaires). On imagine mal que des acteurs de premier plan de la mondialisation néolibérale en aient, dans la durée, une appréciation trop critique.

Récemment, les médias ont joué un rôle majeur dans la promotion de la nouvelle économie et dans la bulle boursière qui l’a accompagnée. Avant, la spéculation portait sur les tulipes, sur les chemins de fer, sur les emprunts russes, et les journalistes dominants y contribuèrent à leur manière. Mais ils n’étaient directement ni producteurs de tulipes, ni constructeurs de chemins de fer, ni courtiers d’emprunts russes.

Avec la dernière bulle spéculative d’Internet, les responsables de médias avaient intérêt à entretenir la frénésie parce que, cette fois, elle leur rapportait directement. A leurs journaux, radios et télévisions, tous courtisés en raison de leurs « contenus » (articles, sons, images) dont on escomptait qu’ils valoriseraient les tuyaux vides de la netéconomie. Dans ce secteur comme ailleurs, le retournement de conjoncture provoque des « plans sociaux ».

Au moment de la bulle, les rapprochements entre journaux, radios et télévisions se multiplient pour alimenter des portails ; Le Monde et Libération envisagent de faire entrer leurs filiales Internet en Bourse, puis, dans le cas du Monde et du Figaro, l’ensemble du journal. La tentation était forte : fin 2000, réunies, TF1, Canal + et M6 pesaient plus en Bourse que l’ensemble du secteur automobile. Des médias dont la valeur boursière enfle à l’infini et dont les recettes publicitaires explosent restent-ils capable d’analyser de manière critique, ou simplement circonspecte, une évolution économique (et sociale) qui lui profite à ce point ? Chacun se souvient des reportages éblouis sur la netéconomie et sur ces milliardaires en culotte courte.

La question de l’indépendance est-elle encore posée quand le directeur de L’Express admet : « Détenus depuis cinq ans à 100% par Vivendi Universal, nous étions à la merci des caprices de notre actionnaire » avant de se féliciter que Jean-Marie Messier n’ait jamais fait usage de son droit de « caprice ».

Pas analystes, propagandistes

Les médias dominants confortent de leur propre propagande les entreprises diplomatiques, voire guerrières des gouvernements occidentaux. Ils épousent leurs politiques capitalistes et maltraitent en conséquence les mouvements sociaux qui les contestent. S’ils remplissent ainsi directement une fonction idéologique, il arrive que la distinction entre intentionnel et involontaire soit plus difficile à effectuer

Ainsi, le matraquage racoleur sur le thème de l’ »insécurité » (physique et pas sociale) visait d’abord à accroître l’audimat des journaux, radios et télévisions. Mais, avec le temps, il est devenu difficile pour les journalistes de prétendre qu’ils ignoraient les conséquences politiques et sociales de ce choix commercial. A titre d’exemple, le nombre de sujets des journaux télévisés américains consacrés aux homicides a augmenté de 474 % entre 1990 et 1999, à une période où le nombre des homicides a baissé. Ce matraquage a contribué au durcissement pénal du pays (allongement des peines de prison, peines automatiques, augmentation du nombre des exécutions). A ce stade, la responsabilité civique du journaliste est engagée. Il ne peut plus prétendre qu’il ne sait pas à quoi mène la priorité qu’il accorde aux faits divers sordides.

Dans la presse écrite et audiovisuelle française, le thème de « l’insécurité » a été deux fois plus médiatisé que celui de l’emploi et huit fois plus que celui du chômage au cours du mois de mars 2002, c’est-à-dire quelques semaines avant le premier tour des élections présidentielles. L’effet d’imposition produit par la déclinaison unique de tous les sujets sous l’angle de l’insécurité (école, jeunesse, transports, sports, quartiers populaires) est redoublé par un mode de traitement journalistique qui simultanément, escamote les questions relatives à l’insécurité sociale et économique (accidents du travail, infractions aux lois du travail, maladies professionnelles, chômage et précarité).

Les médias produisent et diffusent des marchandises. Cela entraîne plusieurs conséquences :

1. Les médias dominants diffusent des schémas de pensée marchands

a) Ils se présentent eux-mêmes comme des entreprises mercantiles  : Les journaux et les radios, même publiques, parlent d’eux comme de « marques » et déterminent leurs priorités éditoriales en fonction de la « demande » des « consommateurs ».

b) Ils délèguent la formation des journalistes à leurs futurs employeurs
Les employeurs choisissent l’établissement auquel ils versent leur taxe d’apprentissage, déterminent l’admission des élèves en siégeant dans les jurys d’entrée, au conseil d’administration des écoles privées (au CFJ : Vivendi, Le Monde, L’Usine nouvelle). Ces écoles ont souvent pour souci prioritaire, non pas de préparer à une information citoyenne, mais de s’adapter aux « besoins des recruteurs », de savoir « répondre aux évolutions du marché » et aux « nouvelles demandes des entreprises ». L’enseignement s’en ressent, nombre d’étudiants en souffrent : la culture générale a fondu, aucune critique de l’ordre médiatique ne subsiste.

c) Ils véhiculent « spontanément » une pensée de marché . La pensée unique, c’est le marché dans la tête. Car la censure est plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les contraintes sont intégrées par le journaliste, les espaces de liberté enclos, quand les intérêts du propriétaire miraculeusement coïncident avec ceux de l’information. Comme l’explique Alain Accardo, c’est sans pression apparente – ou en tout cas sans pression de tous les instants – que bon nombre de journalistes agissent tel le pélican qui « Pond un oeuf tout blanc. D’où sort, inévitablement. Un autre qui en fait autant. »

La pensée de marché a pour principale caractéristique de nier l’intérêt du débat démocratique en le confinant à une discussion sur les meilleurs moyens de mener la même politique.

d) Ils inscrivent la diffusion des valeurs et des normes marchandes, non seulement dans le domaine de l’information (auquel nous nous limitons ici), mais aussi dans ceux de la culture et du divertissement. Les journalistes n’en sont pas les seuls acteurs. Comment des médias, devenus support publicitaires, et qui structurent leurs rubriques et leur contenu en fonction de l’audimat, pourraient-ils agir différemment ?

La marchandisation de l’information a des effets plus directs encore :

2. Les médias dominants déforment la présentation de la réalité qu’ils prétendent observer

a) Les réalités internationales font l’objet d’un traitement de plus en plus épisodique et superficiel , parce qu’elles sont peu « vendeuses » en termes d’audience, alors même que le discours médiatique ne cesse d’invoquer la « mondialisation », la « complexité » et le « métissage ».

b) La production de l’information est transformée en entreprise de diversion. Si l’information inclut naturellement faits divers, actualité sportive, météo et spectacles, ces éléments ont vu leur importance enfler en raison de leur côté consensuel et fédérateur d’audiences. Cette évolution a eu pour effets : *

– de réduire la place du politique dans l’information ;

– de soumettre les politiques (et les autres) à la tentation de multiplier les métaphores de la compétition, plus propres à exacerber l’esprit de concurrence et d’individualisme que celui de solidarité et d’équipe.

– d’exhiber comme modèles de mobilité sociale des vedettes populaires dont l’existence s’apparente à celle de patrons soucieux de promouvoir leurs « marques », modèles qui contribuent à naturaliser les schémas marchands (achat et vente de joueurs, parrainages, publicité, contrats mirobolants).

c) L’invasion de la publicité affecte directement l’information elle-même. La publicité détermine les stratégies de groupe en accélérant leur concentration : les regroupements en cours autour du Monde et du Figaro doivent permettre à ces deux groupes d’atteindre la « taille critique » sur le marché publicitaire à un moment où ce marché semble se résorber (et donc être plus disputé). De plus en plus massive, la publicité constitue par elle-même une injection directe d’idéologie marchande et sexiste. En outre :

– elle détermine les nouvelles maquettes de la presse, souvent conçues pour répondre à une attente des annonceurs, ou pour la devancer.

– elle pèse lourdement sur le contenu rédactionnel. Ainsi, l’ « information positive », le « journal des bonnes nouvelles » sont des avatars publicitaires destinés à créer un environnement propice à la consommation.

elle accélère la ségrégation sociale. Les médias privilégient déjà les intérêts des catégories sociales les plus aisées ; le rôle de la publicité conforte ce biais en ciblant les lecteurs à fort pouvoir d’achat.

3. Les médias dominants confortent les valeurs conservatrices

Les grands médias sont un outil d’acclimatation idéologique d’autant plus puissant que la façon même de produire de l’information et de naturaliser certaines « contraintes » dites « professionnelles » (faire court, faire imagé, faire de l’audience, faire plus vite que la « concurrence ») conduit à conforter une vision du monde conservatrice, que Pierre Bourdieu appelait une « politique de la dépolitisation ». Traitement accru des faits divers, personnalisation de la politique : la distinction entre un pôle « sérieux », « de référence » et un pôle « racoleur », commercial, ne cesse de se réduire.

a) Les médias construisent, à grand renfort de sondages, une « opinion pour médias » A défaut d’enquêtes au long cours, ils préfèrent observer la société française par le biais de sondages qui, en posant aux personnes interrogées des questions qu’elles ne se posent pas toujours, servent à légitimer les sujets de prédilection des journalistes. Tout matraquage médiatique est suivi d’un sondage qui atteste que le sujet matraqué et sa présentation « révèlent » une préoccupation de l’ »opinion », préoccupation que les journalistes soumettent ensuite aux responsables politiques en les sommant de répondre. Un tel usage des sondages, destiné à « finaliser » les produits idéologiques qu’on veut vendre aux consommateurs, coïncide avec les méthodes du marketing.

b) Les grands médias entretiennent le culte de l’individu au détriment des mouvements collectifs  : Ils entretiennent le culte de l’individu, même pour rendre compte des mouvements qui luttent contre la logique individualiste. La tendance à la délégation de parole dans les organisations du mouvement social est alors amplifiée par le comportement des journalistes.

c) Les grands médias entretiennent des réseaux de connivence entre journalistes et essayistes néolibéraux . Ces réseaux contribuent à l’imposition dans le débat public de schèmes de pensée et de thèmes obligés : « populisme », « antiaméricanisme », refus de l’ « archaïsme », « anti-mondialisation », urgence de rattraper les « retards », etc. L’occupation de la scène intellectuelle par des penseurs qui se consacrent aux médias qui les consacrent exclut ceux qui pensent « mal » ou ne traitent pas les médias avec déférence en même temps qu’il impose ceux qui pensent « bien » et se montrent dociles à l’égard de la presse et de l’argent.

En résumé : L’action des médias au service de la domination capitaliste opère par la défiguration, consciente ou non, de la réalité dont les médias prétendent être les miroirs.

II. Attac et l’information

Propagandistes et non pas analystes, acteurs et non pas spectateurs de la mondialisation néolibérale, détenteurs du monopole de l’information sur l’information et investis du pouvoir de recycler les mouvements contestataires qui se prêtent au jeu journalistique, les médias ne peuvent échapper à la critique d’une association créée pour « reconquérir les espaces démocratiques perdus au profit de la sphère financière ».

Une association qui entend jouer un rôle d’éducation populaire, ne peut pas se satisfaire d’une approche exclusivement utilitaire des médias, qu’elle courtiserait dans l’espoir de s’en servir.

1. Acteur de la contestation sociale, Attac conteste le traitement de « la contestation » par les médias.

La plupart des journalistes privilégient ce qu’ils jugent « nouveau » (« nouveaux mouvements sociaux ») au détriment des mobilisations « traditionnelles » (perçues comme « archaïques »). Le désir de leur complaire peut donc conduire à l’adoption de mises en scènes spectaculaires, dont l’effet politique est incertain et qui exposent ensuite de se voir reprocher sa propre médiatisation.

De même qu’ils sélectionnent les mouvements contestataires, les médias choisissent les porte-parole les plus conformes à leurs attentes : c’est-à-dire des intervenants qui ont montré leur disposition à se soumettre aux exigences professionnelles des journalistes (être disponible, accepter de se plier aux thèmes, délais et durées des journalistes, se résigner dans le cas d’un entretien au choix par le journaliste de l’extrait, en général minuscule, jugé « significatif », retenir cet extrait pour le répéter lors des prochains entretiens (ce qui facilitera le travail des autres journalistes) etc.

L’intervention fréquente dans les médias pose aussi le problème de sa légitimité démocratique tant le rythme des médias diffère de celui, plus lent, de la délibération collective. Répondre séance tenante aux injonctions des journalistes interdit toute consultation préalable de la base sur les questions à propos desquelles on peut être amené à répondre. Au demeurant, les critères d’excellence médiatique étant souvent très différents des critères militants, la médiatisation risque de substituer une autorité construite sur la notoriété médiatique appuyée par des talents de communication .à une forme d’autorité militante basée sur l’expérience, le courage, le savoir-faire, l’aptitude à payer de sa personne.

2. Acteur de l’information et du débat public, Attac refuse de se soumettre à la prétention des tenanciers des médias dominants d’être les principaux arbitres du débat démocratique.

L’un des moyens par lesquels les médias dominants tentent de civiliser et de discipliner les opposants à l’ordre établi, consiste à les inviter à participer à des « débats » médiatiques, auxquels les journalistes-animateurs aimeraient réduire la vie démocratique dans l’espoir d’en devenir les seuls metteurs en scène.

- Attac n’entend pas intervenir dans les médias dominants à n’importe quelle condition. L’Association se réserve le droit de refuser de participer à des émissions qui loin de favoriser la diffusion de ses idées, contribuent à leur défiguration spectaculaire, quand ce n’est pas, plus simplement, à conforter la notoriété individuelle de ses porte-parole.

– Attac n’entend pas intervenir dans les médias sur n’importe quel sujet, mais seulement sur les questions qui correspondent à ses priorités définies démocratiquement. Faute de quoi, la construction journalistique d’Attac contredirait sa réalité militante et accorderait un pouvoir indu aux journalistes et aux animateurs de télévision.

– Attac, qui conteste le pouvoir des multinationales, n’entend pas devenir amnésique lorsque la filiale d’une de ces multinationales les convie dans un studio. Lorsqu’ils parlent dans les médias, les contestataires ne sauraient ni se taire sur les médias ni se plier à la mise en scène que ces médias réclament. Ils ne sauraient oublier de rappeler le rôle des médias dans la mise en place et dans l’imposition de la pensée de marché. Il ne sauraient se priver de rappeler, à l’occasion de participation à des émissions ou tribunes offertes par un grand média, leurs critiques des médias dominants et, par exemple, la censure qu’ils opèrent lorsqu’une information vient compromettre la réputation de leurs propriétaires, actionnaires ou amis influents (mise en examen, condamnation pour plagiat, etc.)

L’objectif ultime de notre association n’est pas de passer dans les médias, mais de « passer » dans la société, c’est-à-dire de faire avancer ses priorités pour les voir devenir des choix politiques et des pratiques sociales.

3. Conformément à sa vocation d’éducation populaire, Attac se donne pour objectif d’informer sur l’information et dans ce but :

a) de diffuser par tous les moyens à sa disposition (tracts, conférences, affichage sur son site Internet, décryptage des émissions auxquelles on accepte de participer) les chiffres, les faits et les analyses des effets de la mondialisation libérale dans le domaine de l’information ;

b) d’effectuer un travail de veille médiatique qui peut tirer parti des initiatives qui existent déjà sur ce terrain-là (Acrimed, PLPL, Global Watch, Extra !, etc.) et les relayer ;

c) de conduire une critique des médias indépendante, sans se laisser dissuader par la crainte de déplaire aux journalistes. Nombre d’entre eux expriment un jugement très sévère sur leur pratique et vivent de plus en plus mal la contradiction entre les valeurs qu’ils revendiquent et les contraintes qu’ils subissent. C’est pourquoi Attac :

– appuie la constitution et le renforcement des sociétés de rédacteurs, soutient les syndicats de journalistes et les sociétés de rédacteurs et relaie leurs critiques et leurs propositions quand ils se battent pour imposer une information libérée des contraintes du rendement et des soumissions aux préférences des propriétaires de médias et pour contrer la répression antisyndicale qui existe dans ce secteur comme ailleurs ;

– ne se laisse pas laisser berner par les arguments invoqués par les critiques complaisants et les journalistes soumis quand ils récusent toute critique intransigeante sous prétexte qu’elle serait entièrement extérieure à la profession, ignorante de sa « complexité », et donc inutile [voire néfaste parce qu’elle postulerait une recherche aléatoire de la pureté dans une société où tout étant déjà compromis, les compromissions seraient naturelles].

C’est parce que Attac est solidaire des journalistes quand ils se battent pour un droit à l’information dégagé des contraintes étatiques ou financières, que notre association critique sans ménagement les médias dominants. Ces journalistes-là ne s’en offusquent pas plus qu’on ne s’indignerait d’une critique des modes de reproduction sociale de l’école qui froisserait les enseignants ou d’une critique de la prison qui ferait de la peine aux gardiens

4. Mouvement d’éducation populaire et donc un acteur du droit à l’information, Attac entend contribuer à la défense de ce droit qui est d’abord le droit à une information différente de celle que diffuse les médias dominants. C’est pourquoi Attac se propose :

– de rappeler inlassablement que liberté de la presse se justifie d’abord par le droit à l’information qui est compromis quand la liberté de la presse est confisquée à des fins commerciales par les défenseurs de l’ordre néo-libéral.

– d’intensifier son propre rôle de média alternatif, de soutenir les médias alternatifs qui partagent ses principaux objectifs et de s’appuyer sur eux, le cas échéant en leur réservant ses meilleures analyses.

– de soutenir l’internet non marchand et solidaire, dans la mesure ou cet outil (qui demeure toutefois socialement et générationnellement inégalitaire) offre des possibilités d’information et de communication à bon marché.

5. Conformément à son combat pour la défense et l’amélioration des services publics, Attac entend participer aux combats pour l’extension et le renforcement du service public et pour soustraire l’information du statut de marchandise. La logique de la concurrence entre un secteur privé et un secteur public sous-financé et livré à la publicité conduit à la dégradation mécanique de l’information publique. C’est pourquoi Attac :

– appuie la bataille pour la défense de la propriété publique dans les médias, et du service public dans des médias publics de plus en plus dépendants d’une logique purement commerciale. ;

– soutient la revendication d’une suppression à terme de la publicité dans l’audiovisuel public, défendues notamment par les organisations professionnelles de ce secteur, et d’une taxe sur la publicité reçue par les chaînes privées, destinée à financer les chaînes publiques et alternatives.

En tout cas, si les médias de masse exercent un quasi monopole sur le journalisme, ils n’ont pas le monopole de l’information. L’information, la connaissance, le divertissement sont également le produit d’une pratique sociale : les gens s’informent sur la société, se mobilisent pour la transformer, se cultivent, voire se divertissent à travers leurs conditions d’existence ; les débats entre amis et camarades, les réunions publiques, les luttes collectives, la lecture d’ouvrages, l’école sont autant de formes de « médias » alternatifs, susceptibles à ce titre de contredire et de combattre l’information officielle. Se croire condamné au silence social pour peu que l’on ne se soumette pas aux médias dominants, ce serait leur concéder une grande victoire : l’idée qu’il serait impossible d’agir et de vivre sans eux et que, sans eux, aucun autre monde n’est possible.


REFERENCES :

Livres

- Accardo Alain, Abou Georges, Balbastre Gilles, Balbastre Patrick, Binhas Stéphane, Dabitch Christophe, Puerto Annick, Roudie Hélène, Stechel Joelle, Journalistes précaires, Le Mascaret, Bordeaux, 1998

- Accardo Alain, Abou Gorges, Balbastre Gilles, Marine Dominique, Journalistes au quotidien. Ouitls pour une socioanalyse des pratiques journalistiques, Bordeaux, Le Mascaret, 1995

- Bourdieu Pierre, Sur la télévision, Paris, Liber-Raisons d’Agir, 1996

- Bouveresse Jacques, Schmock ou le triomphe du journalisme. La grande bataille de Karl Kraus, Paris, Seuil, 2001

- Brémond, Janine et Greg, L’édition sous influence, Liris, 2002

- Champagne Patrick, Faire l’opinion. Le nouveau jeu politique. Paris, Minuit, 1991

- Chomsky Noam, Les médias et les illusions nécessaires, K films Editions, Paris, 1993

- Halimi Serge, Les nouveaux chiens de garde, Paris, Liber-raisons d’Agir, 1997

- Junqua Daniel, La presse, le citoyen et l’argent, Folio Actuel ,n° 71, 1999

- Mattelart (Armand) : « La mondialisation de la communication« , PUF, Que Sais-je, 1998.

- Neveu Erik, Sociologie du journalisme, La Découverte (coll. Repères), 2001

- Péan Pierre & Nick Christophe, TF1, un pouvoir, Paris, Fayard, 1997

- Ramonet Ignacio, La Tyrannie de la communication, Folio Actuel n° 92, 2001

- Ruffin François, Les Petits soldats du journalisme, Les Arènes, (à paraître en janvier 2003)

- Tailleur Jean-Pierre, Bévues de presse, Le Félin, 2002

- Vidal Dominique et Halimi Serge, « L’opinion, ça se travaille ». Les médias et les « guerres justes ». Du Kosovo à l’Afghanistan, Marseille, Agone, 2002

Revues et journaux

- Actes de la recherche en sciences sociales : L’emprise du journalisme, n°101-102, mars 1994 et Le journalisme et l’économie, n°131-132, mars 2000

- Pour Lire Pas Lu (PLPL), bimestriel de critique des médias (BP 2326 F-13213 Marseille cedex 02)

-  Manière de Voir, « L’empire des médias » (mai-juin 2002).

Sites et Associations

- Acrimed (Action-Critique-Médias) : [ici l’ancienne adresse, lien périmé, supprimé en août 2013]

- Transnationale (Portail d’information sur les entreprises et les marques) : http://www.transnationale.org/




Malgré la pandémie, la rectitude frappe toujours

[Source : Eurolibertés]

par Rémi Tremblay

Lucie Laurier fait partie des actrices les plus connues du Québec, avec une participation à une dizaine de films et d’innombrables téléséries. Membre bien en vue de la jet-set québécoise, elle fut même la compagne du magnat des médias et ancien chef du Parti québécois Pierre-Karl Péladeau. C’est dire à quel point elle faisait partie du gratin artistique québécois. Faisait, car depuis peu, elle a été exclue du monde bien sélect dont elle faisait partie.

La raison de son exclusion est fort simple : depuis quelques semaines, elle remet en question sur les réseaux sociaux le narratif officiel sur le covid-19 et questionne les mesures imposées par les gouvernements occidentaux.

Depuis, elle se fait taxer de conspirationniste. On appelle ouvertement à sa censure et elle est dénoncée à droite et à gauche par divers bien-pensants, adeptes d’une rectitude politique extrême et sans faille. Une seule pensée doit prévaloir, celle du gouvernement. Toute remise en cause du narratif officiel équivaut à la mise au ban de la société.

La question ici n’est pas de savoir si les propos de Lucie Laurier sont fondés ou non. Certaines questions sont plus que légitimes, certaines affirmations sont particulièrement lucides, d’autres un peu moins, libre au lecteur de juger par lui-même en se rendant sur la page de l’actrice. Le véritable enjeu dans le cas Laurier, est la liberté de penser. Celle de dire que 2+2 font 4.

Le fait qu’elle se soit fait lâcher par son agence, par peur de représailles, démontre la couardise de notre société et à quel point l’indépendance d’esprit est absente. L’ensemble des artistes, qui aiment se considérer comme des esprits libres et indépendants, auraient dû se ranger derrière elle pour défendre son droit à la différence, à l’opinion, à la liberté d’expression. Mais, lorsque ces artistes invoquent ces droits et libertés, c’est pour ânonner un discours préfabriqué, prévisible, conformiste. Quand l’un d’eux se sépare du lot et se rebelle face à ce conformisme, les masques tombent et on rejette ces fameuses libertés dont on aimait se draper quand il s’agissait de répéter les discours monolithiques du système.

L’écrivain Robert Poulet avait vu juste lorsqu’il affirmait prophétiquement que « nous allons vers un temps où tous ceux, de moins en moins nombreux, qui osent penser autrement que les détenteurs du pouvoir seront mis à l’écart de la vie sociale, traités comme des malades contagieux, qu’il convient d’intimider d’abord, d’éliminer ensuite ».

Aujourd’hui, en pleine pandémie, les pestiférés, ceux dont on craint la contagion, ce sont ceux qui osent aller à contre-courant.

Thomas Jefferson affirmait que la liberté d’expression était le socle de la démocratie. Si on ne peut être en désaccord avec une loi, une mesure gouvernementale ou les idées véhiculées par les élites, alors comment faire changer la société? Comment la faire évoluer? C’est évidemment chose impossible. Lorsque la seule liberté est de répéter ce que dit officiellement le gouvernement, il s’agit d’une tyrannie. Les dictatures dictent quoi penser, alors que les hommes libres, dont Lucie Laurier, apprennent à penser par eux-mêmes. La tyrannie peut se cacher sous une apparence de démocratie, avec différents partis, mais ce n’est qu’illusion si tout le monde est forcé d’adopter de gré ou de force le même discours. C’est ce que Tom Sunic, qui connut tant le communisme que la démocratie libérale, appelait le soft totalitarisme en opposition avec le hard totalitarisme des régimes staliniens, maoïstes et autres.

La liberté est limitée dans les deux cas, seule l’apparence est conservée dans notre régime.

Les artistes et l’ensemble de la société québécoise devraient faire front derrière Laurier. Non pas nécessairement pour défendre ce qu’elle dit, mais pour défendre son droit de le dire.

C’est le principe même de la démocratie, à moins qu’on admette ouvertement que nous n’en sommes pas une.




Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?

[Source : Nexus]

Alors que l’épidémie de coronavirus a paralysé presque toute la planète, certains médias relaient que le vaccin est la seule solution pour une sortie définitive du confinement. Plus que quiconque, celui qui agite aujourd’hui ce spectre n’est autre que Bill Gates. Il a adopté, avec sa Fondation Bill & Melinda Gates, une position claire et déterminée, allant jusqu’à annoncer vouloir vacciner 7 milliards de personnes contre le SarsCoV2. Il me semble nécessaire de m’interroger sur le rôle précis que joue ce magnat sur le destin du monde.

Bill Gates, Bill Gates, Bill Gates : ce nom que l’on voit et que l’on entend désormais partout. Mais qui est cet homme ? A-t-il joué un rôle stratégique dans la mise en place des mesures sanitaires, sécuritaires et technologiques en cours et à venir ? Est-ce l’occasion épidémique qui en fait un larron économique ? Est-il un homme profondément philanthrope ? Quelles sont ses véritables intentions quand il décide d’investir 40 milliards de dollars de sa Fondation pour lutter contre le SARSCoV2 ? Quand il dit vouloir trouver un traitement efficace à 95 % ou vacciner à titre préventif 7 milliards de personnes en bonne santé, tout en précisant que le vaccin est pour lui la solution à mettre en tête de liste, est-ce avant tout pour la protection de notre santé ? Et s’il y avait un ou plusieurs traitements efficaces déjà existants ou à venir, peu onéreux, les défendrait-il ?

Avec la manne d’informations disponibles à son sujet, difficile de savoir qui est Bill Gates.

◆ Gates, un homme au double visage

Certains l’encensent, et le présentent comme un généreux donateur qui veut sauver la planète. À une soirée, j’entends même dire : « Tu te rends compte, il finance même des toilettes sèches dans des zones arides et pauvres du monde, pour empêcher la propagation des bactéries et faire baisser le taux de mortalité infantile ! » Ingénieux. D’autres le voient comme un dictateur qui veut imposer sa vision du monde, dont la vaccination obligatoire et universelle. J’apprends qu’une pétition dont le nombre de signatures explose circule actuellement aux États-Unis et qu’elle réclame une enquête contre la fondation Bill & Melinda Gates pour faute médicale et crimes contre l’humanité. En ce moment même, elle a recueilli plus de 557 000 signatures, alors que 100 000 suffisent pour que le gouvernement américain la prenne en compte.



◆ Bill Gates et le nouveau philantro-capitalisme

Le journaliste Lionel Astruc offre des pistes de réponses dans son livre « L’Art de la fausse générosité » (Actes Sud, 2019 ), ainsi que dans cette interview accordée au Média, sur le profil psychologique de Bill Gates et sur ses agissements philantro-capitalistes :
« Je crois Bill Gates sincère dans sa démarche, ce qui est peut-être le plus grave constat, parce qu’il ira jusqu’au bout.[…] C’est quelqu’un qui a réussi à devenir le Maître du Monde si j’ose dire, grâce à la technologie. […] C’est pour ça qu’il aime les vaccins, les téléphones, l’informatique, et pour lui, la solution, elle est là. […] Entre 2011 et 2019, la fortune de Bill Gates est passée de 56 à 96 milliards d’euros. On ne peut pas dire qu’il est en train de se dépouiller au profit des pauvres. […] À la fondation est adossé un fond d’investissement, et ce fond d’investissement place de l’argent. Et ce ne sont que les dividendes de ces placements qui vont ensuite alimenter la fondation. Ça à la limite, ça ne pose pas de problème si les investissements sont vraiment irréprochables, ou si les investissements contribuent eux-mêmes à ce qu’on appelle l’économie sociale et solidaire. Mais là, il investit dans l’armement, dans les énergies fossiles, les laboratoires pharmaceutiques, les OGM, et la malbouffe avec Coca-Cola, McDo. […] Souvent, on constate que les entreprises qui reçoivent les investissements de la fondation font également partie des bénéficiaires. Donc il ya un vrai problème : on donne de l’argent à une entreprise qui va vous en rapporter, ce n’est pas ce que j’appelle vraiment de la générosité.[…] Lorsque la fondation choisit des programmes à financer, elle préfère financer des programmes qui vont susciter la création de marchés, plutôt que d’autres qui vont autonomiser les gens qui ont des problèmes. En l’occurrence, on le voit à chaque fois qu’il y a deux solutions à savoir : un remède naturel fabriqué localement par les populations locales et un vaccin qui va être revendu par un grand laboratoire venu de l’extérieur ».

La technoscience sous couvert de philanthropie serait-elle la stratégie de Bill Gates ? 

J’apprends en plus qu’il a été poursuivi en 1998 pour abus de position dominante par le gouvernement américain. Bill Gates va vraiment très loin dans l’aspect sauvage du capitalisme.

◆ Bill Gates et ses recherches technologiques

Souvent on me rapporte que Bill Gates est en avance sur son temps. On me vante ses dernières trouvailles : « Tu as vu que la Fondation Gates finance des recherches sur un carnet de vaccination sous-cutané avec des nanoparticules fluorescentes à injecter en même temps que les vaccins ? »
Oui, j’ai vu ça, mais aussi que ça va sûrement être « testé sur les êtres humains en Afrique dans les deux prochaines années. La Fondation a même lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour évaluer le niveau d’acceptabilité des populations. »
Effrayant, mais vrai. Même si dans certains cas, avoir accès rapidement à certaines informations pourrait sauver des vies. En cas d’hémorragie, par exemple, connaître le groupe sanguin pourrait s’avérer utile pour une transfusion rapide, mais est-ce que nous tatouer, nous pucer, nous « nanoparticuler » ne sera pas détourné à d’autres fins ? Et sera-t-on obligés d’être tous vaccinés ? Si on refusait cet acte intrusif, que risquerions-nous ? De ne pas pouvoir voyager ? De se voir refuser l’entrée dans les lieux publics ? De se voir réduire ou supprimer nos droits sociaux et fiscaux comme cela se fait déjà dans certains pays comme en Australie ? Ou interdire l’accès à la crèche, à l’école ou toute collectivité publique comme c’est déjà le cas en France pour les enfants nés après le 1er janvier 2018 qui n’ont pas eu les 11 vaccins obligatoires ?

Exemple de marquage : un motif de micro-aiguilles de 1,5 millimètre contenant le vaccin et des points quantiques fluorescent est appliqué sous forme de patch. Les aiguilles se dissolvent sous la peau laissant les points quantiques encapsulés.  (Crédit : Second Bay Studios)

J’avoue que je m’inquiète quand je vois Jacques Attali dire, déjà en 2008, au sujet de la puce RFID[1] dans Conversation d’avenir (sur Public Sénat) que l’on « peut imaginer que chaque individu accepte volontairement, ou sans le savoir, une puce en lui qui contiendrait toute une série d’informations sur lui […] Le vrai luxe de demain, ce sera d’être isolable, de pouvoir s’isoler, et la vraie liberté, ce ne sera pas d’être relié aux autres, mais d’avoir le droit de ne pas être branché.»

Alors, Jacques inspire-t-il Bill, ou Bill inspire-t-il Jacques ?

Et y a-t-il un lien entre les actions de Bill Gates contre l’épidémie et le projet mondial d’identité numérique généralisée ID2020, soutenu entre autres par Microsoft, la Banque Mondiale, la Fondation Rockfeller, ou Accenture ? Pas de test ?  Pas de vaccin ? Contrôle d’identité, et… pas de liberté ?

sponsors de l’ID2020

◆ Bill Gates et son pouvoir sur l’OMS

Depuis que Trump a décidé d’arrêter les subventions américaines, c’est la Fondation Gates qui est devenue le premier donateur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). On peut légitimement se demander quel pouvoir ça lui donne sur cette institution. Dans une vidéo de Fox News, une réponse à cette question s’impose : «  un dollar sur 10 versé à l’Organisation mondiale de la santé vient de la Fondation Bill Gates […] En 2017, Politico l’a appelé le « Docteur de l’OMS », car il avait tant d’influence que lorsqu’il voulait qu’une réglementation soit accélérée, les bureaucrates de l’OMS cédaient souvent à ses désirs. […] 395 subventions pour un total de 3,6 milliards de dollars à l’OMS  […]  Il semblerait que Gates a la mainmise sur presque tout ce qui touche aux pandémies. À de nombreuses reprises, il voulait que l’OMS déclare le coronavirus en tant que pandémie, et l’OMS ne voulait pas le faire. Alors, Bill Gates, par l’entremise de sa fondation, a annoncé injecter 50 millions $ dans une initiative appelée «L’accélérateur thérapeutique Covid-19 » [the Covid-19 Therapeutics Accelerator] destinée à combattre le coronavirus et à trouver un vaccin. Beaucoup de cet argent est allé à l’OMS. Un seul jour après cette annonce, le secrétaire général de l’OMS a déclaré que le coronavirus était une pandémie.»

Il y de quoi être bouche bée.

Et la directrice de YouTube commence déjà à censurer toutes les vidéos qui « vont à l’encontre des recommandations de l’OMS ». Elle a déclaré que YouTube « supprimerait les informations qui posent problème, y compris tout ce qui est médicalement non fondé ». Par exemple, des vidéos qui parlent de Vitamine C comme remède contre le Covid-19 ? La suppression, le déréférencement et la démonétisation de contenus ont déjà commencé avec les vidéos reliant 5G et coronavirus.

Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises.

◆ Bill Gates et la simulation de pandémie pendant l’Event 201

Sa fondation a organisé une simulation de pandémie de coronavirus en octobre 2019, juste avant les premiers cas apparus en Chine. Même si c’était autour d’un épisode fictif se déroulant au Brésil et provenant d’une porcherie, on peut trouver que c’est une étrange coïncidence.

Simulation Event201

◆ Bill Gates et les médias

Puis, on peut lire que le journal Le Monde a été financé à hauteur de plus de 4 millions $ de 2014 à 2019. Est-il possible pour les journalistes de ce média d’être encore libres de dire ce qu’ils veulent sur les vaccins et est-ce pour cette raison qu’ils semblent les défendre à ce point ?

◆ Bill Gates et l’éducation post-confinement

Après la santé, l’éducation. La fondation Gates est rémunérée par l’État de New York « dans le domaine de l’éducation, pour travailler avec les responsables de l’éducation de l’État afin de repenser le système K-12 lorsque les écoles rouvriront à l’automne. » Le Système K12 étant l’ensemble de la formation scolaire obligatoire, je réalise que Bill a envahi aussi la sphère éducative. Cette information est-elle la cerise sur le gâteau ? Non, malheureusement.

◆ Bill Gates, Windows et le traçage de nos données de santé

En guise de dessert, on me conseille de visionner cette vidéo faite avec le Dr Karim Khelfaoui qui nous alerte sur le fait qu’on demande actuellement aux médecins, contre quelques euros, de violer le secret médical en faisant « remonter tous les cas positifs au COVID 19 […] en recensant tous les proches qui vivent avec eux, avec leurs coordonnées et leurs adresses pour les faire remonter auprès de l’assurance maladie, afin qu’ils leur envoient une brigade sanitaire ». Ces informations seront transférées sans notre consentement à « la plateforme nationale qui centralise les données de santé des Français » qui s’appelle le Health Data Hub, hébergée sur les serveurs… du géant américain Microsoft ! Lequel a été choisi sans appel d’offres ! Rappelons que Microsoft a été fondé par Gates en 1975 et l’a présidé jusqu’en 2014, avant de faire partie de son conseil d’administration jusqu’en mars 2020. Le journal Libération a beau expliquer que « cela ne signifie pas forcément que la firme américaine aura la main sur ces données », le doute est néanmoins permis et légitime. La Commission nationale de l’informatique et des Libertés (CNIL), elle-même, censée assurer la sécurité de ces données, même si elle promet d’être vigilante, relève que le contrat « mentionne l’existence de transferts de données en dehors de l’Union européenne » et que « la législation américaine permet aux autorités de contraindre les entreprises à leur fournir leurs données […] à des fins de sécurité nationale ». Elle rappelle que cette question fait d’ailleurs l’objet actuellement d’une procédure « soumises à la Cour de justice de l’Union européenne » et qu’« un arrêt de la Cour dans cette affaire est attendu dans les mois qui viennent ».

En plus de l’appli Stopcovid, les médecins vont être sur le coup aussi !
Dur, dur de ne pas faire de liens entre tous ces faits. Et de ne pas se poser davantage de questions…

◆ Bill Gates et son réseau d’influence

Je m’interroge beaucoup sur les objectifs des gens qui s’organisent autour de lui à une échelle internationale.  Macron, le 24 avril disait pendant une conférence de lancement pour une initiative mondiale sur les diagnostics, les traitements et les vaccins : « Aujourd’hui, la communauté internationale, réunie sous l’égide des Nations-Unies et de son agence qui est l’Organisation mondiale de la santé avec l’ensemble des acteurs de la santé mondiale, les organisations régionales, la société civile, décident d’agir concrètement et d’unir ses forces dans un partenariat inédit pour plus d’efficacité. Avoir autour de la table à la fois l’OMS qui en assurera la coordination, mais GAVI, CEPI le Fonds Mondial, United, Wellcome trust, la Banque Mondiale, la Fondation Bill & Melinda Gates, les acteurs du secteur privé pharmaceutiques, les chefs d’état et de gouvernement ici rassemblés est inédit. » Et pour ce qui concerne les vaccins : « C‘est ce qui nous permettra de retrouver le plus vite possible une vie normale ». Mais combien, parmi les alliés de Bill Gates, ont été financés ou ont un lien avec sa fondation [2] ?

Mais attention, toute cette attention déployée autour de Bill Gates ne doit pas lui donner plus de pouvoir qu’il n’en a. Et ne braquons pas tous les projecteurs sur lui, pendant que beaucoup d’autres agissent dans l’ombre à notre détriment (dont Elon Musk avec ses implants cérébraux et ses 40 000 satellites en cours de déploiement : lire notre article), ou en notre faveur. Finalement, qui est-il pour pouvoir décider de notre sort collectif ? Quelle est sa légitimité pour que nous obéissions ? C’est à nous de dire non à ses projets. Bien qu’il soit immensément riche, il n’est ni roi, ni médecin, ni élu.

Par Estelle Brattesani


À propos de l’auteure

Estelle Brattesani écrit, réalise et interprète la websérie écolo-humoristique Journal d’une Femme-Tambour, qui comme son premier livre Mes 7 Alliés Capitaux incite les spectateurs à penser par eux-mêmes et à agir pour leur bien-être, celui des autres et de toute forme de vie. Elle réalise également des reportages et des vidéos de communication en lien avec l’éthique, l’écologie et le développement personnel. (Cf. Profil LinkedIn et sa chaîne YouTube)

[1] RFID (de l’anglais radio frequency identification), ou radio-identification, est un outil de mémorisation et de récupération de données à distance, qui utilise des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais). Ces radio-étiquettes, qui peuvent être adhésives ou  implantées dans des organismes vivants comprennent une antenne associée à une puce électronique qui leur permet de recevoir et de répondre aux requêtes radio émises depuis l’émetteur-récepteur.

[2] Voir à ce propos l’article de Senta Depuydt, Vaccins un plan mondial, NEXUS n°121 (mars-avril 2019)


Sur le même thème


[Voir aussi : Qui est l’Antéchrist ?]




La culture de Wikipedia, le fatras éditorial et le mensonge

[Source : La Gazette du Citoyen via Réseau International]

Par Richard Gale et Dr Gary Null pour Global Research le 19 juin 2020

Wikipedia, l’encyclopédie corrompue

La plus grande farce de l’histoire moderne de la technologie est peut-être la perception de Wikipedia comme une encyclopédie légitime. Ce site n’a aucune des qualifications en tant que telle, mais possède toutes les caractéristiques d’une machine de propagande déguisée en encyclopédie.

Une encyclopédie authentique est transparente. Les utilisateurs peuvent connaître les qualifications et l’expertise de ses contributeurs. Il n’y a ni état d’âme personnel ni parti-pris. En bref, ce sont des gens qui connaissent parfaitement les faits concernant un sujet donné. Il n’y a pas d’appréciation personnelle, pas de remise en cause ou de réorientation d’un contenu négatif en opinion positive ou vice versa. Si une erreur est détectée, elle peut être corrigée rapidement.

Comparez maintenant cela avec Wikipedia qui compte plus de 100,000 éditeurs pour la plupart anonymes. Aucune expertise dans le domaine que l’un de ces contributeurs anonymes est en train de modifier n’est requise. La conviction selon laquelle, grâce aux plates-formes d’accès à Wikipedia, la discussion, le débat et l’argumentation peuvent éventuellement aboutir à un consensus qui reflète les faits et la vérité sur un sujet est non seulement irréaliste mais idéalement naïf. Cela est particulièrement vrai pour un sujet qui éclipse tous les autres – la santé et la médecine – où le contenu est radicalement refondu et présenté comme acceptable, réfutable, ou pire agressé et calomnié. Le contenu qui présente l’orthodoxie médicale et se base sur le paradigme pharmaceutique est acceptable. Tout le reste est rejeté et discrédité de façon sarcastique, sous l’appellation de pseudoscience, de charlatanisme ou de charlatanerie.

Selon les règles éditoriales de Wikipedia, «la rédaction d’articles tendancieux» est interdite, c’est à dire des textes manifestement partisans, partiaux et malveillants, s’écartant de la neutralité. Des exemples de rédaction tendancieuse concernent la guerre éditoriale et le vandalisme, les jeux du système, le langage et le comportement abusifs, l’utilisation abusive et la distorsion du contenu et des références, la censure injustifiée et l’interdiction d’éditeurs qui s’efforcent de faire appel à des règles de neutralité. Étant donné que l’organisation-mère de l’encyclopédie, la Wikimedia Foundation, n’exerce pas de surveillance directe sur le contenu qui finit par paraître dans les pages du site, Wikipedia est devenu une ochlocratie, une forme de gouvernance majoritaire qui se plie au chaos du pouvoir populaire. Les postes de direction éditoriale ne sont pas basés sur des qualités intellectuelles ou une expertise dans un sujet; au lieu de cela, la direction éditoriale a dérivé vers une aristocratie fondée sur le mérite, lui-même déterminé par le nombre d’entrées et de modifications réussies.

De toute évidence, la Fondation n’a pas la capacité de maîtriser l’hostilité éditoriale, la malignité, le harcèlement, les comportements toxiques qui ont cours dans l’encyclopédie. En mai, il a été annoncé que de nouvelles règles et un code de conduite seraient élaborés pour limiter le harcèlement. Malheureusement, ces nouvelles règles s’appliqueront plus particulièrement au harcèlement et aux agressions psychologiques envers les femmes et les membres de la communauté LGBT. Or les comportements malsains à l’égard des opinions politiques, des événements actuels, de diverses croyances idéologiques et de la médecine exigent des moyens de dissuasion similaires et des mesures strictes pour interdire les rédacteurs qui n’ont pas la conduite décente attendue d’une encyclopédie légitime.

Nous vivons à une époque où la santé des Américains décline de façon exponentielle. L’espérance de vie s’est inversée. Jamais autant de gens n’avaient succombé à une erreur médicale, à un diagnostic erroné ou à une prescription excessive de médicaments. Chaque jour, 4,000 Américains sont victimes d’une réaction indésirable grave aux médicaments nécessitant une hospitalisation, et 770,000 personnes supplémentaires souffrent d’une réaction indésirable aux médicaments pendant leur séjour à l’hôpital. En 2016, le CDC a estimé de manière très prudente que plus de 70,000 décès étaient directement liés à des prescriptions inadaptées et à des surdoses, c’est à dire plus que le nombre de soldats américains tués pendant la guerre du Vietnam et bien plus que les décès dus à la grippe et à la pneumonie, aux maladies de foie frappant les alcooliques, aux armes à feu et aux accidents de voiture. Les décès sur ordonnance médicale sont également plus nombreux que les surdoses dues aux drogues illégales. Selon le Edmond Safra Center for Ethics de l’Université de Harvard, les nouveaux médicaments causent de plus en plus de morts: «Peu de gens savent que l’examen systématique des dossiers hospitaliers a révélé que même des médicaments correctement prescrits (sans même prendre en compte les erreurs de prescription, de surdosage ou d’auto-prescription) provoquent environ 1,9 million d’hospitalisations par an. 840,000 autres patients hospitalisés reçoivent des médicaments qui provoquent des effets indésirables graves pour un total de 2,74 millions d’effets indésirables graves. Environ 128 000 personnes meurent à cause de médicaments qui leur ont été prescrits.»

Notre information sur la quantité de décès dus aux médicaments aux États-Unis est beaucoup plus grande, plus proche des taux de mortalité dus aux maladies cardiaques et au cancer; elle est basée sur une étude qui a duré cinq ans et qui est parue dans notre livre précédent Death by Medicine (La mort due aux médicaments). En outre, les opioïdes sur ordonnance, les antidépresseurs, les amphétamines, les anticoagulants, les stéroïdes anabolisants, les stimulants du TDAH et les antibactériens comptent pour beaucoup parmi les décès iatrogènes. Sans parler des millions de maladies causées par une prescription inutile, des infections nosocomiales, des chirurgies et des hospitalisations prescrites dans le but de générer d’énormes profits. Ne vous attendez pas à trouver ces faits mentionnés correctement sur Wikipedia. La pratique conventionnelle de la médecine, fondée sur la prescription de médicaments, est le seul traitement préconisé par Wikipedia, tandis que des alternatives plus sûres sont dénigrées et cataloguées comme du charlatanisme.

Un exemple flagrant du mépris et de la haine de Wikipedia envers la médecine alternative est son traitement malhonnête de la médecine traditionnelle chinoise (MTC), pourtant pratiquée avec succès depuis des milliers d’années. Il en va de même pour la médecine ayurvédique indienne. Récemment, les autorités sanitaires chinoises ont rédigé un projet de loi qui punirait toute personne ou organisation qui critique ou ridiculise la MTC. Ceci à la suite de l’utilisation de la MTC, à côté de la médecine conventionnelle, pour traiter les cas de Covid19, avec bien plus de succès qu’aux États-Unis. À travers le pays, plus de 92% des patients chinois atteints de Covid19 ont été traités par la TCM, seule ou en combinaison avec des thérapies occidentales. Contrairement à la médecine pharmaceutique conventionnelle, la MTC et l’Ayurveda se concentrent sur la recherche de la cause sous-jacente d’une maladie et de ses symptômes, une méthode que la science occidentale n’a pas encore pleinement comprise ni mise en œuvre. Et pourtant, les preuves empiriques étayant ces méthodes médicales anciennes sont solides. Un récent article de la Review of Molecular Medicine de la China Academy of Chinese Medical Sciences et de la prestigieuse Université nationale de Singapour a conclu que la MTC «représente une ressource vaste et inexploitée pour la médecine moderne». Il s’agit d’un système médical qui répertorie plus de 13,000 ingrédients médicinaux différents et plus de 100,000 décoctions et recettes uniques.

Pourtant, vous ne sauriez rien sur les avantages de la MTC, de l’Ayurveda et d’une multitude d’autres thérapies non médicamenteuses et naturelles, y compris la chiropraxie, l’homéopathie, la naturopathie, la médecine énergétique et les pratiques confessionnelles si vous deviez vous fier à Wikipedia. Sa page TCM promulgue des mensonges sans aucun fondement, affirmant qu’«il n’existe aucune réelle preuve clinique que la MTC est sûre et efficace pour traiter une maladie». Les rédacteurs de la page sont déterminés à présenter TCM comme une pseudoscience. Cela malgré les centaines de milliers d’articles, revus par des pairs et catalogués dans la bibliothèque de médecine des National Institutes of Health, qui traitent de la MTC, de l’acupuncture et des plantes médicinales – une collection volumineuse où les rédacteurs de Wikipedia choisissent et sélectionnent des éléments uniquement à l’appui de leurs préjugés anti-MTC. Ils ne mentionnent même pas que le prix Nobel de médecine 2015 a été décerné pour la première fois à une femme scientifique chinoise, Tu-You, pour avoir découvert l’artemisia, un remède de la MTC, comme base pour le développement d’un médicament antipaludéen. Il est vain de chercher un traitement équilibré de la TCM et d’autres systèmes de santé alternatifs. Nous pensons qu’il y a une très bonne raison à cela; comme nous l’avons signalé précédemment, le co-fondateur de Wikipedia, Jimmy Wales, et la Fondation soutiennent les attaques calomnieuses et malveillantes envers la médecine complémentaire et alternative.

Il se peut qu’une campagne juridique concertée soit nécessaire pour prouver la responsabilité de  la Wikimedia Foundation,  alors qu’une multitude de poursuites judiciaires accusent l’organisation d’avoir fustigé et détruit la carrière de dizaines de milliers de praticiens de la santé, de censure systématique et de servir d’opération de propagande sur les médias sociaux, tout en se prétendant mensongèrement d’être une encyclopédie fiable. Pendant des années, la position officielle de l’American Medical Association a été que la chiropraxie était une pratique non scientifique et  a fait tout son possible pour détruire la profession. Cependant, les chiropraticiens ont réussi à remporter un procès contre l’AMA et dix autres groupes médicaux pour avoir participé à une entente, en violation de la Sherman Antitrust Act. Le tribunal a donc jugé que la chiropraxie était une science thérapeutique légitime.

Aujourd’hui, les médias traditionnels s’accordent avec Wikipedia pour nier ou ignorer complètement la médecine complémentaire et alternative. Peut-être sont-ils trop paresseux pour faire des recherches ou manquent-ils simplement de bon sens et de raison. Ou plus concrètement, cette attitude est-elle liée à des intérêts corporatifs: industrie pharmaceutique, assurance privée, OGM, vaccins et déploiement de la technologie 5G. De même que les médias sont extrêmement partiaux et compromis avec des intérêts privés, nous pensons qu’il en est de même pour Wikipedia. Inutile de chercher longtemps pour découvrir une armée d’experts médicaux et de professionnels de la santé exprimant leur désapprobation du contrôle de l’industrie pharmaceutique sur les politiques de santé fédérales, les arguments malhonnêtes des revues médicales, pourtant soumises au contrôle de leurs pairs, vantant des médicaments dangereux ou inefficaces. Le titre du livre de Peter Gotzsche, ancien chef de la Danish Cochrane Collaboration et professeur de médecine respecté dans le monde entier : Deadly Medicines and Organized Crime : How Big Pharma has Corrupted Healthcare (Médicaments mortels et crime organisé : comment ‘Big Pharma’ a corrompu le système de santé) illustre bien l’histoire. Il s’agit d’un récit sur les maladies et les décès d’origine médicale, la médecine ne se basant que sur les médicaments ou des procédures médicales inutiles, tandis que la prévention des maladies et les thérapies non pharmaceutiques sont totalement absentes dans les discussions des instances sanitaires du pays.

En dépit du manque de précision et de neutralité de Wikipedia sur des sujets qui ont un impact immédiat sur la vie et le bien-être de ses utilisateurs, le site a été un outil efficace pour l’État profond et les intérêts particuliers des entreprises. De la même manière, il assure les relations publiques pour l’industrie du médicament, tout comme la société Hill and Knowlton PR l’a fait pour l’industrie du tabac dans les années 1950, sauf qu’il agit sous couvert d’être une véritable encyclopédie. La Fondation a accepté que Wikipedia soit utilisé comme une arme pour réduire au silence et atténuer l’impact de personnes telles que Robert Kennedy Jr, Deepak Chopra, Craig Murray, John Pilger, Rupert Sheldrake et le prix Nobel Luc Montagnier en les décrivant de manière péjorative. N’importe quel agent provocateur ou vendeur de gazon artificiel, n’importe quelle marionnette qui a réussi à gravir les échelons éditoriaux peut saboter et contrôler des pages honnêtes et éthiques, rédigées par des auteurs importants, afin de promouvoir ses intérêts ultérieurs et préjudiciables. Il peut y avoir des dizaines de ces rédacteurs penchés sur une page, prêts à diffamer et à détruire la vie de ceux avec qui ils se trouvent en désaccord. Aujourd’hui, après environ quinze ans de négligence et d’incompétence, la Fondation fait un petit effort pour lutter contre le harcèlement général et la malveillance des rédacteurs en chef; ce faisant, elle reconnaît aussi que l’ensemble de son système et de son mode de fonctionnement est pourri jusqu’au cœur, un exemple de chaos et de mauvaise gestion éditoriale. Elle participe à des jeux massivement truqués.

Si vous en doutez, demandez à quelques unes des milliers de personnes que Wikipedia a calomniés et diffamés. L’argument de Wikipedia est que si votre personnage a été massacré par l’un de ses rédacteurs, il vous suffit simplement d’appliquer le protocole éditorial pour corriger les erreurs. Mais pour des milliers de personnes, cela s’est avéré à plusieurs reprises être un exercice futile. Étant donné que l’ensemble du modèle Wikipedia est frauduleux, de tels efforts sont voués à l’échec. Aucun membre d’une profession de santé alternative ne peut corriger sa biographie. A Wikipedia, les sceptiques sont à la fois juge, jury et  bourreau. Et la Fondation Wikimédia aime ça.


Richard Gale et le Dr Gary Null codirigent le Progressive Radio Network. Ils contribuent fréquemment à Global Research.

Lien de l’article en anglais:
https://www.globalresearch.ca/wikipedia-culture-editorial-chaos-malice/5716412




Information contrôlée : Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la «controversée hydroxychloroquine»

[Source : Le tribunal de l’infaux]

event 201
Logo de l’Événement 201 –
Exercice de pandémie mondiale

Première partie : L’information contrôlée

En bon soldat de la pensée unique, Jeff Yates ne perd jamais de temps avant de se porter à la défense de la vision de l’ordre établi que l’on se doit d’adopter de nos jours afin d’éviter, au pire, le dénigrement et/ou la censure, au mieux, le qualificatif « controversé ».

Le lendemain d’une conférence de presse tenue par des médecins préconisant l’hydroxychloroquine comme traitement contre la COVID-19, conférence censurée par YouTube, Facebook, Twitter et Google, le décrypteur s’est empressé de mettre le public en garde contre la vidéo de cette conférence qu’il qualifie de « controversée » car elle contredit l’ensemble des recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Jeff suit bien les directives données aux médias dans le tristement célèbre Event 201 (Événement 201), cette simulation de pandémie de coronavirus tenue le 18 octobre 2019 et financée par la Bloomberg School of Public Health de l’Université John Hopkins, le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates (FBMG).

Le scénario de cette simulation se lit comme suit :

« L’Événement 201 simule une épidémie d’un nouveau coronavirus zoonotique transmis de la chauve-souris au porc et ensuite à l’homme, lequel finit par se transmettre efficacement d’une personne à l’autre, entraînant une grave pandémieL’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement inspirés du SRAS, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins […]

Un vaccin ne pourra pas être disponible la première année. Il existe un médicament antiviral fictif qui peut aider les malades mais qui ne limite pas de manière significative la propagation de la maladie […]

Et à mesure que les cas et les décès s’accumulent, les conséquences économiques et sociétales deviennent de plus en plus graves.

Le scénario se termine au bout de 18 mois, avec 65 millions de décès […] La pandémie se poursuivra à un certain rythme jusqu’à ce qu’un vaccin efficace soit disponible ou que 80 à 90 % de la population mondiale ait été exposée. » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations)

Trois mois plus tard, ce scénario devenait réalité, à quelques exceptions près.

Nostradamus aurait difficilement pu faire mieux.

L’Université John Hopkins a précisé à la suite de l’éclosion de SRAS-CoV-2 que cette simulation n’était pas une prédiction.

Si l’on ne peut que spéculer sur le caractère prémonitoire de la simulation, nous pouvons clairement voir à l’œuvre les recommandations qui en sont issues.

La simulation, qui « visait à éduquer les plus hauts dirigeants des gouvernements étasunien et internationaux et les leaders des industries mondiales », a donné naissance à une série de recommandations du John Hopkins Center for Health Security, du Forum économique mondial et de la Fondation Bill & Melinda Gates.

Parmi celles-ci, la lutte contre la « désinformation » :

« Les gouvernements et le secteur privé devraient accorder une plus grande priorité à la mise au point de méthodes de lutte contre la désinformation avant la prochaine intervention en cas de pandémieLes gouvernements devront s’associer aux entreprises de médias traditionnels et aux réseaux sociaux pour rechercher et développer des approches souples de lutte contre la désinformation. Il faudra pour cela développer la capacité à inonder les médias d’informations rapides, précises et cohérentes.

Les autorités de santé publique devraient travailler avec les employeurs privés et les leaders communautaires de confiance, tels que les chefs religieux, pour promulguer des informations factuelles aux employés et aux citoyens. Les employeurs du secteur privé influents et dignes de confiance devraient créer la capacité d’augmenter facilement et de manière fiable les messages publics, de gérer les rumeurs et la désinformation, et d’amplifier des informations crédibles pour soutenir les communications publiques d’urgence. Les agences nationales de santé publique devraient travailler en étroite collaboration avec l’OMS afin de créer la capacité d’élaborer et de diffuser rapidement des messages cohérents concernant la santé publique. Pour leur part, les entreprises médiatiques devraient s’engager à faire en sorte que les messages faisant autorité soient prioritaires et que les faux messages soient supprimés, y compris par l’utilisation de la technologie. »

Les gouvernements devront s’associer aux médias traditionnels et aux réseaux sociaux pour diffuser des messages « faisant autorité »?

Quand l’État est associé aux médias, on n’est plus en démocratie. Le rôle des médias est de servir de contre-pouvoir à l’État, pour protéger les citoyens des abus de pouvoir. Quand l’information est dictée par l’État, on est dans un État totalitaire. Et quand l’État reçoit l’information d’un organisme supranational, on est dans un monde totalitaire.

Dans la vidéo de la simulation (à 7:38), l’amiral Stephen C. Redd, directeur de l’Office of Public Health Preparedness and Response du Centers for Disease Control and Prevention (CDC), suggère que « les gouvernements doivent être disposés à faire des choses qui sont en dehors de leurs perspectives historiques » et que « l’on doit être sur un pied de guerre ».

On voit ensuite un extrait d’un reportage simulé indiquant que « les gouvernements réagissent différemment pour combattre la quantité impressionnante de désinformation qui circule, certains gouvernements ayant même procédé à une coupure limitée de l’internet pour éviter la panique ».

Dans la version intégrale du faux reportage, le faux expert Kevin McAleese explique :

« Identifier tous les mauvais acteurs s’avère être une tâche énorme et les experts s’entendent pour dire que les nouvelles campagnes de désinformation sont générées chaque jour et sont un grave problème qui nous empêchera de mettre un terme à la pandémie et pourrait même mener à la chute de certains gouvernements […] Si la solution constitue le contrôle et la réduction de l’accès à l’informationje crois qu’il s’agit du bon choix. »

Évidemment, l’autre fausse experte est d’accord. Elle insiste, avec un regard intense, que « souvent ce sont les leaders politiques eux-mêmes » qui disséminent la désinformation.

Comme Donald Trump qui fait la promotion de la « controversée hydroxychloroquine »? Quelle visionnaire cette fausse experte!

Tom Inglesby du John Hopkins Center for Health Security demande ensuite au panel : « À quel point l’information doit-elle être contrôlée et par qui? Et comment la fausse information peut-elle être remise en question? »

Cela donne le ton à la discussion qui suit. On ne donne pas le choix aux participants d’être pour ou contre le contrôle de l’information. On demande qui doit la contrôler et dans quelle mesure.

On le voit clairement dans les recommandations citées plus haut : advenant une crise sanitaire le contrôle de l’information et la censure s’imposent.

En ce moment, l’idée que l’hydroxychloroquine puisse être efficace comme traitement contre la COVID-19 est considérée comme de la désinformation parce que l’OMS a décidé qu’il ne s’agit pas d’un traitement efficace, bien que non seulement une foule d’études démontrent l’inverse, mais aussi une foule de médecins, données à l’appui, affirment le contraire, comme nous le verrons dans la quatrième partie de cette série d’articles.

event 201 misinformation

Les « faux messages » de ces médecins sont « supprimés, y compris par l’utilisation de la technologie ». Les géants de la haute technologie que sont YouTube, Facebook, Twitter et Google ont joué un rôle essentiel dans la censure des informations contredisant LE message « faisant autorité » sur tout ce qui touche le coronavirus : l’hydroxychloroquine est inefficace.

Nous verrons comment l’article de Jeff Yates nous démontre que Radio-Canada a bien appris sa leçon et participe activement à la diffusion de « messages faisant autorité », mais que ses « réponses rapides » à la soi-disant désinformation ne sont ni « précises », ni « cohérentes ».

La pandémie de coronavirus nous a précipités dans un monde totalitaire où les médecins n’ont plus le droit de parole, ni le droit de soigner leurs patients.

Pendant ce temps, Bill Gates, l’ingénieur en informatique recyclé en pusher de vaccins, est devenu une sommité de la science médicale et on le retrouve sur toutes les tribunes à nous répéter que le monde ne sera plus jamais pareil avant que la planète ne soit vaccinée.

Bill, qui a investi massivement dans les sociétés pharmaceutiques, se trouve non seulement au sommet de la pyramide totalitaire qui se met en place depuis janvier, mais il est de surcroît au cœur d’un système de financement, de recherche, de développement et de production de vaccins, et sa position au sein de l’OMS lui permet d’influencer les politiques de santé publique à travers le monde entier.

Nous ferons un long détour nécessaire pour bien comprendre le rôle de Bill Gates et les enjeux actuels, détour qui nous permettra de déboulonner l’article de Jeff Yates, plein d’omissions, de propagande et de demi-vérités, bref plein de désinformation.

combattre la désinformation

Et comme « la désinformation mine les efforts visant à contrôler la pandémie », nous la combattrons avec une armée de faits, en espérant que l’on ne nous coupe pas l’internet entre-temps.

Cet article est divisé en cinq parties qui seront publiées cette semaine :

  1. L’information contrôlée
  2. L’OMS, Bill Gates et les vaccins
  3. Dons de la Fondation Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens; Bill Gates : expert en santé publique
  4. Investir dans les vaccins, c’est payant; Attaques orchestrées contre l’hydroxychloroquine
  5. Jeff Yates : Décrypteur au service du public ou désinformateur au service de l’establishement?; Les grands médias se taisent ou dénigrent, les géants de la haute technologie censurent



Pour un certain journaliste québécois, la dissidence relève de maladie mentale

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

La dissidence, une maladie mentale : Patrick Lagacé et le journalisme d’inspiration soviétique

« Si seulement nous avions été solidaires contre la menace commune, nous aurions pu facilement la vaincre. Alors, pourquoi ne l’avons-nous pas fait? Nous n’aimions pas assez la liberté. De plus, nous n’avions pas conscience de la situation réelle… Nous avons purement et simplement mérité tout ce qui s’est passé par la suite. »

Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne, L’Archipel du Goulag

Le journalisme étant une profession consistant à poser beaucoup de questions, on peut sérieusement se demander si Patrick Lagacé ne ferait pas mieux de songer à réorienter sa carrière, puisque, de son propre aveu, le journaliste/chroniqueur/animateur se pose toujours la même question lorsqu’il voit ce qu’il qualifie de « délire anti-masque ».

Dans son billet publié dans La Presse et titré « Les idiots du village global », Patrick écrit :

« Et chaque fois que je vois un délire anti-masque, je me pose toujours la même question : est-ce une maladie mentale ? »

Sur un ton méprisant digne d’une élite complètement déconnectée de la réalité, la star médiatique, pour qui les studios de radio et de télé font depuis longtemps partie du quotidien, remet en question la santé mentale de ceux qui ne possèdent pas ce privilège, simplement parce qu’ils doivent se filmer dans des espaces exempts de tout prestige, réservés aux gens ordinaires :

« Je les vois faire des vidéos dans leurs chars – ce mode de communication qui indique invariablement un bel équilibre psychique […] »

Invariablement.

comedians in cars
Jerry Seinfeld et ses invités dans Comedians in Cars Getting Coffee seraient donc tous invariablement déséquilibrés.

Patrick a posé sa seule et unique question à « un ami psychiatre qui préfère ne pas être identifié pour éviter de se faire accuser de poser des diagnostics à distance, ce qu’il ne veut bien sûr pas faire… », mais qu’il s’empresse de faire quand même.

Dans la logique manichéenne de l’omniprésent chroniqueur, les personnes qui contestent les mesures sanitaires sont réduites à leur plus simple expression. Ce sont des « anti-masques ». Pour le psychiatre anonyme, cela ne pose aucun problème puisqu’il se lance sans gêne dans une évaluation délirante de leur psyché sur la base de cette simple épithète.

En résumé, selon l’avis de ce professionnel de la santé mentale, les « anti-masques » sont :

  • des oppositionnels, soit des gens « qui s’opposent à tout et à tout le monde »
  • « des gens qui ont tendance à mettre en doute l’intégrité des autres, en cas de désaccord… »
  • des gens pour qui « la réalité est ce qui est devant eux, c’est ce qu’ils peuvent voir, toucher, point […], du premier degré pur, une absence totale de nuance, de gris »

Le fait de réduire tous les contestataires à la désignation « anti-masque » et leur attribuer un seul profil psychologique n’est-il pas « du premier degré pur, une absence totale de nuance, de gris »? On dirait que le psychiatre fait un peu de projection.

Il poursuit son diagnostic à distance :

« Mon expérience de ce type de personnes, c’est qu’ils ont vécu des humiliations dans la vie. Ce ne sont pas des gens qui ont un grand pouvoir sur leur vie. S’opposer, et ici s’opposer au masque, c’est une forme de reprise de pouvoir sur leur vie… »

Ah ces oppositionnels, victimes d’humiliations et d’impuissance! Le monde se porterait tellement mieux sans eux!

Thérèse Casgrain
Michel Chartrand durant la crise d'Octobre
René Lévesque
Rosa Parks
Gandhi
Martin Luther King Jr.
Jésus

Les George Sand, Rosa Parks, Thérèse Casgrain, Simone de Beauvoir, Sophie Scholl, Simonne Monet-Chartrand, Ghandi, Martin Luther King, Simon Bolivar, René Lévesque, Michel Chartrand, Chelsea Manning, Julian Assange, Jésus et tous les autres oppositionnels auraient donc dû vivre leurs humiliations dans le silence et l’inaction, se résigner à leur impuissance et laisser le monde vivre en paix!

Esti d’gang de malades mentals! [NdNM : à peu près équivalant à « Putain de bande de malades mentaux »]

Et ça se reproduit…

Vraisemblablement investi d’une mission contre ces hordes de décérébrés qui s’opposent à tout, y compris à la pensée unique, Patrick a redoublé d’ardeur en interviewant la psychiatre Marie-Ève Cotton au sujet des « conspirationnistes » à son émission Le Québec maintenant au 98,5.Marie-Ève Cotton

cotton

D’une remarquable bravoure, c’est à visage découvert que Dr. Cotton se permet de diagnostiquer à distance « les conspirationnistes », et à spéculer sur le vécu de ce groupe de personnes dont elle ignore les noms et n’a jamais vu les visages, mais dont elle sait, grâce à sa grande expertise, qu’ils croient en de soi-disant théories fantaisistes qu’elle prend soin de ne pas nommer afin que l’on ne puisse pas vérifier s’il s’agit de théories ou de faits avérés.

Ces personnes anonymes ont bien sûr des caractéristiques communes et seraient à risque de sombrer dans le conspirationnisme en raison d’un « moindre niveau d’intelligence et de capacités analytiques, d’un moindre niveau d’études et de littératie ».

krishnamurti-adapté société malade

C’est fort!

Elle est comme dieu. Elle connait le niveau d’études et les capacités analytiques et intellectuelles de personnes inconnues qui pensent des choses sur des sujets.

Ce sont des gens qui ont « peu de sources de valorisation », « des gens qui ont des caractéristiques d’avoir subi des pertes récemment, perte d’emploi, séparation, etc. », « ce sont des gens qui ont de la difficulté à gérer de l’incertitude », des gens « qui ont perdu le contrôle de leur vie », qui en adhérant aux théories du complot « se placent dans une position très gratifiante, très narcissisante » et ils ont besoin de ça, parce que dans leur vie ils manquent de ce genre de gratification-là, d’être admirés par les autres », tout ça et pire encore, mais inutile d’aller plus loin.

Il est évident que c’est absolument n’importe quoi et que cette femme n’a rien compris lorsqu’elle affirme qu’adhérer à de soi-disant théories complotistes équivaut à se placer « dans une position très gratifiante », comme par exemple se faire constamment traiter de malade mental dans les médias.

L’auteure de ces lignes, diplômée en journalisme, n’adhère à aucune théorie du complot et appuie tous ses propos sur des faits vérifiables et vérifiés. Cela n’a pas empêché Radio-Canada de la faire passer pour une complotiste dans un article désormais brandi par ses disciples afin de la discréditer et de la dénigrer.

Non, Docteure, le complotisme, qu’on en soit un adepte ou que l’on n’en porte seulement l’étiquette, est tout sauf un gage de gloire et de gratification.

Votre discours démontre en fait le contraire de ce que vous dites.

Vous êtes vous-même en train de dénigrer ces personnes publiquement en avançant tout à fait gratuitement qu’elles épousent des idées saugrenues en raison de leur ignorance, de leur manque d’éducation et de leur faiblesse intellectuelle, pour ne nommer que quelques-unes de vos remarques désobligeantes. Lorsque l’on se fait constamment traiter d’idiot n’ayant aucun pouvoir sur sa vie dans les grands médias, on est aux antipodes de l’admiration, madame.

Choisir de penser de manière critique, de se baser sur des faits occultés par les médias de masse et de renoncer à la pensée unique, ce que les médias amalgament trop souvent avec les croyances aux « théories du complot », c’est choisir de se tenir debout dans une marre de mépris et d’encaisser les coups, les uns après les autres, année après année.

don't think

Votre discours est d’un non-sens ahurissant. On se croirait dans un mauvais film de Woody Allen.

Quiconque questionne le discours dominant sait très bien que sa prise de position n’est pas un passeport pour la gloire, mais plutôt un aller-simple pour la case médiatique « maladie mentale ».

Ce qui nous amène à l’URSS.

Les abus de la psychiatrie en URSS

La « maladie » de la dissidence.

Voilà le titre d’une critique de livres parue en 1977 et portant sur les abus de la psychiatrie en Union soviétique.

Extrait :

« Tout au long des années 1970, l’abus de la psychiatrie pour réprimer les dissidents en URSS a attiré l’attention et l’indignation internationales plus que toutes les autres formes de persécution. »

L’un de ces livres, Russia’s Political Hospitals: The Abuse of Psychiatry in the USSR (Les hôpitaux politiques russes : L’abus de la psychiatrie en URSS), décrit comment les « individus critiques de diverses pratiques soviétiques officielles » et autres personnes dérangeantes ont été « enfermés dans des hôpitaux psychiatriques pour des raisons politiques plutôt que médicales ».

Durant les années 1960-1970, sous le règne de Brejnev, « on a fait des plus célèbres dissidents soviétiques une cible de choix pour l’hospitalisation psychiatrique […] Les hôpitaux psychiatriques ordinaires servaient couramment à incarcérer des dissidents pour de courtes périodes dans le but de les intimider ou de les écarter du chemin lors d’importants événements étatiques ».

russia's political hospitals

« Les auteurs découvrent bien des choses qui ne vont pas d’un point de vue médical et illustrent abondamment la façon dont l’‘’école de Snezhnevsky’’ a facilité le diagnostic des dissidents comme malades mentaux et fixé une norme pour les psychiatres dans tout le pays, lesquels sont tenus de traiter ces cas qui leur sont transmis par les organes de sécurité.

[L]a grande majorité des psychiatres […] sont relativement ignorants quant à la manière dont on abuse de leur profession au profit de la sécurité politique.

Certains, en raison de leur incompétence, de leur lâcheté ou de leurs convictions, coopèrent pleinement avec les organes de sécurité et diagnostiquent “la dissidence comme une maladie” […] »

Patrick Lagacé et ses psychiatres sont-ils des apparatchiks en mission au service de l’État?

Sur le plan médical, rien ne justifie les mesures sanitaires imposées à tous les Québécois pour lutter contre un virus somme toute bénin. Le taux de mortalité de la COVID-19 serait d’environ 0,4 % « pour les personnes symptomatiques » selon les « meilleures estimations » du Centers for Disease Control (CDC), et il y aurait jusqu’à 75 % d’asymptomatiques, donc le taux de mortalité peut être estimé au mieux à environ 0,1 % au pire à environ 0,3 %. De plus, les personnes asymptomatiques transmettraient rarement le virus selon l’OMS*.

Au lieu de s’acharner sur le peuple, pourquoi Patrick Lagacé ne s’attaque-t-il pas au Collège des médecins?

Selon des statistiques récentes, les pays qui emploient l’hydroxychloroquine au début de l’infection ont un taux de mortalité inférieur de 77,4 % comparativement aux pays qui l’emploient peu ou pas. Or, le 21 mars 2020, le Collège des médecins du Québec a jugé les ordonnances de chloroquine et d’hydroxychloroquine « inappropriées » pour traiter la COVID. A-t-on, par cette décision injustifiée, délibérément laissé mourir des personnes vulnérables?

graphique
Censuré par Facebook : https://hcqtrial.com/

Au lieu de perdre du temps à diagnostiquer et discréditer des citoyens qui voient clairement que les mesures sanitaires imposées en Occident ne reposent sur aucune base scientifique et servent de prétexte à une prise de contrôle sans précédent sur les peuples, Patrick Lagacé devrait s’acharner sur le Collège des médecins, nos gouvernements, l’OMS et Bill Gates, l’ingénieur en informatique, devenu à la fois le kingpin des vaccins et l’expert numéro un en santé publique, grâce à ses milliards et l’influence qu’il s’est achetée.

Malheureusement, cela ne risque pas d’arriver avant qu’il ne soit trop tard car nos journalistes semblent être plus que jamais les apparatchiks de l’ordre établi.

Bienvenue en QRSS.

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Note

* Extrait d’un article de Statnews sur la déclaration de Maria Van Kerkhove, responsable technique de l’OMS pour l’épidémie de COVID-19 : « Certaines personnes infectées sont “vraiment asymptomatiques”, a-t-elle déclaré, mais les pays qui procèdent à un traçage détaillé “ne trouvent pas de transmission secondaire” à partir de ces cas. “C’est très rare”, a-t-elle déclaré. »




L’autre liberté

[Source : Le journal de Montréal]

CA_NathalieElgrablyLevy

[Auteure :] NATHALIE ELGRABLY-LÉVY

Quand on se mesure à d’autres pays, nous sommes relativement libres. Mais si nous comparons la société actuelle à celle d’autrefois, le constat est moins réjouissant.

Soyons sincères, qui, aujourd’hui, se sent parfaitement à l’aise d’exprimer son opinion, surtout lorsqu’elle s’éloigne de la bien-pensance et de la doxa ? Qui n’a pas opté pour l’autocensure lors d’une conversation entre collègues ou amis ?

S’exprimer librement peut être un pari risqué. Un délit d’opinion est si vite arrivé ! Et les sanctions peuvent être draconiennes.

Enjeu

Le Dr Lacroix et la pédiatre ontarienne, la Dre Gill, l’ont bien compris. Le premier s’est prononcé contre le masque obligatoire, tandis que la seconde défend l’hydroxychloroquine. Il n’en fallait pas davantage pour que les deux se fassent rapidement censurer et sermonner.

Que leurs positions soient fondées ou non n’est pas la question. L’enjeu gravite plutôt autour de deux libertés.

L’attaque contre la liberté d’expression est évidente. « Du choc des idées jaillit la lumière », disait Boileau. Or, les débats sont maintenant honnis, et dévier du narratif médical décrété par une élite autoproclamée entraîne l’ostracisation.

L’autre liberté bafouée est celle de la population d’être informée et de se faire une opinion.

Car bâillonner les uns, c’est maintenir les autres dans l’ignorance.

Or, pourquoi n’aurions-nous pas le droit de savoir ce que certains médecins pensent ? Pourquoi recourir à la police de la pensée pour cacher leurs points de vue ?

Débats

Peut-être que certains médecins ou scientifiques entretiennent de délirantes élucubrations. Ou peut-être que non. Pour le savoir, il faut permettre, voire encourager, de vrais débats d’idées. On nous répète que nous ignorons tout de ce nouveau virus. N’est-il donc pas essentiel d’être réceptif aux diverses opinions avant de poser un verdict ?

Le droit d’être informé doit être entier. Autrement, le risque n’est pas d’être désinformé, mais d’être manipulé. Or, la fin ne peut jamais justifier les moyens !




Dictature sanitaire : liste non exhaustive des interdictions pendant la crise COVID

[Source : Guy Fawkes News]

Dictature sanitaire : liste non exhaustive des interdictions sans fin (certaines surréalistes) pendant la crise COVID

Depuis le mois de mars, nous avons eu le droit à un flot ininterrompu de mesures les plus liberticides les unes que les autres.

Voici un échantillon de ce que les gouvernements et entreprises de différents pays ont imposé à la population ces derniers mois. Préparez-vous, ça décoiffe :

  • Interdit de parler dans le métro (Mexico).
  • Interdit de chanter dans le métro (Mexico).
  • Interdit de crier dans le métro (Mexico).
  • Interdit de danser (Hérault).
  • Interdit de consommer de l’alcool (Paris).
  • Interdit d’aller en forêt ou à la plage (France).
  • Interdit de se rapprocher les uns des autres (France et de nombreux pays).
  • Interdit de sortir (pendant le confinement).
  • Interdit d’acheter et de vendre des masques (France).
  • Interdit d’aller dans un lieu public sans masque (depuis juillet dernier).
  • Interdit de marcher dans la rue sans masque (certaines villes depuis le déconfinement. De plus en plus de villes sont concernées).
  • Interdit d’aller travailler sans masque (sauf quelques professions).
  • Interdit de travailler pour de nombreuses professions (confinement).
  • Interdit d’aller à l’école (confinement).
  • Interdit de manifester (France et nombreux pays européens).
  • Interdit même de rassembler à plus de 10 personnes (France).
  • Interdit de fumer dans la rue (Espagne).
  • Interdit d’aller manger au restaurant (France et divers pays européens)
  • Interdit d’aller en voitures avec des amis (Espagne).
  • Interdit de se baigner (Bordeaux, Beauvaix, Gard et autres).
  • Interdit de s’asseoir plus de deux minutes sur un banc à Biarritz, totalement interdit dans les parcs de Chambéry (ni sur les bancs ni sur l’herbe. C’était en mars. Je ne sais pas comment c’est maintenant, mais ça a existé. Les bancs ont été retirés dans certaines gares).
  • Interdit de faire du sport entre 10 h et 19 h (à Paris au mois d’avril).
  • Interdit de voyager dans certains pays (avec des variantes : quarantaines et/ou test obligatoires).
  • Interdit de voyager vers la France sans présenter la preuve d’un dépistage négatif pour les personnes provenant de 16 pays classés rouge.
  • Interdit de prendre l’avion sans masque (ceux en tissus sont proscrits).
  • Interdit de sortir le même jour que les femmes et le dimanche (Panama).
  • Interdit de sortir son chien en dehors du créneau 20 h – 21 h (Serbie).
  • Interdit de se déplacer à plus d’un kilomètre de son domicile pendant plus d’une heure (France).
  • Interdit de se faire opérer pour les cas non urgents.
  • Interdit de se faire la bise (entreprise de Calais).
  • Interdit de se serrer la main (équipe de foot de Newcastle).
  • Interdit de se rendre à un enterrement, même celui d’un membre de sa famille (confinement).
  • Interdit de chasser et de pécher (confinement).
  • Interdit de faire un barbecue avec des amis (confinement).
  • Interdit de faire du vélo (Paris).
  • Interdit de faire ses courses en famille (confinement).
  • Interdit de faire une location saisonnière (littoral océanique et sud-est de la France).
  • Interdit d’éternuer sans mettre la main devant ou de cracher sur la voie publique sous peine d’amende (Marcq-en-Barœul).
  • Interdit d’aller dans les lieux de culte (confinement).
  • Interdit de visiter ses parents dans un EHPAD (confinement).
  • Interdit de sortir après 20 h à Nice et 21 h à Béziers.
  • Interdit de courir sans masque (Mandelieu-la-Napoule).
  • Interdit de se déplacer en voiture sans raison valable et côte à côte pendant le confinement (France).
  • Interdit de se distraire dans les théâtres, opéras, cinémas, bars, discothèques, concerts, salles de sport, rencontres sportives (certaines restrictions restent d’actualité. Plus de 300 discothèques ont déjà mis la clé sous la porte).
  • Interdit d’échapper à la vaccination (au Danemark et en Australie et certainement d’autres pays à venir. En France, lorsqu’on lui pose la question aujourd’hui, Veran répond : « je ne peux pas vous répondre », « c’est prématuré ». Autant dire qu’il y a de fortes chances qu’on y ait le droit).
  • Interdit de se marier (pendant le confinement en France), les cérémonies de mariage ont récemment été interdites dans 14 provinces turques.
  • Interdit de remettre en question la version officielle de l’OMS et du gouvernement au sujet du virus ou de l’épidémie sur YouTube ou Facebook sous peine d’être censuré en quelques heures. Beaucoup en ont fait les frais.
  • Interdit de sortir de chez soi, des gens ont été emmurés chez eux à Wuhan.
  • Interdit de vivre pour les personnes âgées à qui l’on a interdit l’accès aux soins, voir même que l’on a « un peu aidé » à mourir avec le Rivotril (France).

[Ajouts :

  • Interdiction de voir et de se recueillir sur une dépouille étiquetée covid-19 dans les hôpitaux (d’après des témoignages, en France).
  • De facto, interdiction de remettre en question les dogmes vaccinaux.]



En France, les libertés associatives de plus en plus entravées

[Source : Basta !]

[Auteur : Vanina Delmas]

« Nous constatons un tour de vis sécuritaire très agressif » : les libertés associatives de plus en plus entravées

Le milieu associatif engagé dans la défense des droits humains, l’écologie ou la solidarité fait face à de multiples attaques des pouvoirs publics français qui mettent clairement en péril sa liberté d’expression et d’action, voire l’existence même de nombreuses structures. L’Observatoire des libertés associatives vient de publier un rapport alarmant : état des lieux d’une répression en cours.

« Quelle reconnaissance et quel respect par les autorités publiques de la liberté d’action et de critique des associations ? » Une telle question ne devrait même pas se poser. Et pourtant, elle est au cœur du premier rapport de l’Observatoire des libertés associatives créé en mars 2019. Les neuf associations [1] et les juristes, sociologues, économistes ou politologues composant l’observatoire pointent 100 cas d’associations dont les activités ont été réprimées, restreintes voire entravées par les pouvoirs publics.

Les cas les plus médiatisés sont assez éloquents : les militants opposés au centre d’enfouissement des déchets nucléaires de Bure étroitement surveillés, harcelés et poursuivis en justice, la répression féroce envers la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, ou les soutiens aux migrants poursuivis pour délit de solidarité, dont l’emblématique Cédric Herrou. Des dizaines d’autres exemples plus discrets permettent de « mettre à jour un phénomène systémique qui manque encore de reconnaissance institutionnelle ». « Lutter contre les répressions associatives passe aussi par une analyse précise des mécanismes des atteintes institutionnelles à l’autonomie et à la liberté associative car c’est une réalité assez largement invisibilisée », affirme Julien Talpin, chercheur en sciences politiques au CNRS qui travaille sur l’engagement dans les quartiers populaires.

Depuis 2015, l’escalade répressive est indiscutable

Le rapport se focalise sur la période 2010-2020. Depuis 2015 se dessine une escalade de la violence et de la répression envers les associations et militants, notamment ceux revendiquant une mission de plaidoyer. Des mesures liées à l’état d’urgence sont entrées dans le droit commun, Nuit debout et les manifestations contre la loi Travail en 2016 ont été violemment réprimées, tout comme le mouvement des Gilets jaunes. Sans oublier le contexte global de défiance des citoyens envers les pouvoirs publics.

Yann Manzi, fondateur de l’association Utopia 56 qui vient en aide aux migrants à Calais, Paris et Grande-Synthe, a vu et vécu cette escalade sécuritaire depuis la création de l’association humanitaire en 2016 : « À l’époque le gouvernement Hollande essayait déjà de faire passer toutes les associations d’aide aux migrants pour des « No border » [un réseau de militants pour la liberté de circulation et l’abolition des frontières, ndlr], de nous enfermer dans une catégorie de militants extrémistes. Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron, nous assistons à un durcissement de la politique migratoire et les associatifs sont encore plus empêchés de travailler. Avec Gérald Darmanin au ministère de l’intérieur, nous constatons un tour de vis sécuritaire très agressif. »

Expulsions forcées des lieux de vie, destructions des tentes et duvets, une pluie d’amendes, des arrêtés municipaux empêchant la fixation de lieux de distributions alimentaires, intimidations… Le harcèlement ou les menaces envers certaines associations ont continué pendant le confinement, alors que tout le gouvernement appelait à la solidarité, notamment envers les personnes les plus vulnérables. Ainsi, le 1er mai dernier, plusieurs dizaines de policiers ont interrompu la distribution de nourriture organisée par Les Brigades de solidarité populaire à Montreuil. Plusieurs bénévoles ont été contrôlés et verbalisés.

Trois niveaux d’entraves visent les associations

La première catégorie d’entraves, selon le rapport, est surtout symbolique. Il s’agit de discréditer les prises de paroles ou les actions. Les méthodes de l’association L214 ont été comparées à du terrorisme par le maire (LR) d’Alès, suite à une campagne dénonçant les souffrances animales dans l’abattoir de la ville. Ce genre d’attaques est par exemple récurrent dans les conflits entre municipalité et collectifs d’habitants engagés contre des projets de rénovation urbaine que ce soit à Roubaix, Amiens, Gennevilliers, Grenoble…

Cette disqualification du travail associatif permet aux autorités qui en usent de ne pas aborder le fond des problèmes, et peut conduire à un second niveau d’entraves : des poursuites judiciaires pour étouffer, épuiser les acteurs associatifs, y compris les médias. À Lille, le « journal local de critique sociale » La Brique a été verbalisé lors d’une vente à la criée. Refusant de payer l’amende, il a été poursuivi au tribunal par la municipalité socialiste. À Marseille, un militant du « Collectif du 5 novembre – Noailles en colère », fondé après l’effondrement des immeubles de la rue d’Aubagne, a subi 28 h de garde à vue suite à une action au siège du bailleur social, Marseille habitat, qui avait expulsé vingt personnes. Ailleurs, ce sont des pertes d’agrément ou de convention qui visent à bâillonner les associations, à l’image du Génépi qui intervient depuis plus de quarante ans dans les prisons. En 2018, le ministère de la Justice lui a retiré sa convention et sa subvention annuelle en raison de ses prises de positions sur la politique carcérale.

La troisième forme d’attaques récurrentes renvoie à une brutalité physique, sur le terrain, par les forces de l’ordre, mais aussi les perquisitions, les gardes à vue… Sans surprise, les militants contre les violences policières sont des cibles privilégiées de cette répression comme les Observatoires des pratiques policières à Lille et Toulouse. Les luttes environnementales semblent de plus en plus ciblées, depuis la mise en place de la cellule de renseignement Demeter dédiée aux « atteintes au monde agricole » par le ministère de l’Intérieur en partenariat avec la FNSEA, syndicat agricole majoritaire. Un militant anti-pesticides de Gironde a ainsi reçu la visite surprise de gendarmes au moment même où il préparait les États généraux des riverains autour de la question des pesticides.

Les défenseurs de l’environnement particulièrement visés

« Les politiques publiques empruntent de plus en plus des voies intenables sur le plan écologique. Quand on dénonce cela, en pointant des pratiques agricoles non durables, ou des projets dévastateurs, ils ont tous la même réaction : faire taire le débat démocratique ! », décrypte Antoine Gatet, juriste à France nature environnement. Lui-même s’est retrouvé convoqué récemment à la gendarmerie après avoir été interviewé par France 3 en tant que porte-parole de l’association agréée Sources et rivières du Limousin à propos d’un projet de serres de culture de tomates hors-sol, installées sur une zone humide en Corrèze.

« L’environnement est un terreau de la démocratie depuis toujours, car il est reconnu que les conséquences de projets, de décisions, auront des impacts sur tout le monde. Aujourd’hui, cette démocratie est totalement bafouée. La disproportion des formes de répression n’est pas rassurante », s’indigne le juriste. Une inquiétude, une colère, une incompréhension grandissantes face à un système deux poids, deux mesures qui s’accentue, et avec lui le clivage de la société. En février dernier, des agriculteurs de la FDSEA de Haute-Garonne ont dégradé la façade de la maison de l’Environnement à Toulouse, devant les caméras du journal La Dépêche du midi, afin de montrer leur désaccord avec la mise en place des zones de non-traitement aux pesticides. Sans être aucunement inquiétés par les pouvoirs publics.

L’arme fatale : couper les subventions

L’accumulation de ces pressions, augmentées de coupes de subventions, peuvent mettre en danger l’existence même des associations ciblées. « En France, les associations ont toujours souffert d’une forte dépendance aux financements des pouvoirs publics, précise Julien Talpin. Mais les restrictions de subventions, les transformations structurelles du financement du monde associatif avec de plus en plus de passages par des appels à projets renforcent la concurrence et compliquent leur situation. » Ainsi, le centre de santé toulousain la Case de Santé a dû faire face à de multiples baisses de subventions (mairie, préfecture, agence régionale de santé), alors qu’il est le seul lieu de la ville rose soignant les sans-papiers et les Chibanis, et qui mise sur la complémentarité entre soin et accompagnement social. Les critiques des médecins sur les politiques de santé et la prise en charge des migrants seraient la cause de cette mise au ban.

Le contexte politique local joue un rôle primordial. Comment ne pas citer la ribambelle de reculs des libertés associatives dans les villes Front national. En 2014, David Rachline maire fraîchement élu de Fréjus a suspendu les subventions du centre social et culturel Les tournesols de Villeneuve après des critiques émises sur la gestion municipale du FN par sa directrice dans la presse. Quatre ans plus tard, c’est au tour du centre social de La Gabelle accusé de communautarisme car celui-ci distribuait des repas pendant le ramadan. Ou encore la tentative du maire d’Hayange d’expulser le Secours populaire de son local, demande rejetée par la cour d’appel de Metz en janvier dernier.

Alerter les politiques… ou faire sans eux ?

Ce rapport est aussi une occasion d’interpeller les partis politiques, et notamment la gauche, surtout après la conquête de grandes villes lors des dernières élections municipales. « S’ils n’ont pas une réflexion poussée sur la place de ces contre-pouvoirs, au-delà de la simple cooptation à l’intérieur des équipes municipales ou du clientélisme via le financement associatif, ce ne sera pas suffisant pour produire du changement social », certifie Julien Talpin.

Certaines associations n’attendent pas grand choses des politiques et préfèrent miser sur l’autodéfense. Du côté d’Utopia 56, les intimidations quasi quotidienne mettent les nerfs des militants à rude épreuve mais ne les découragent pas. Yann Manzi l’assume, il faudra aller plus loin dans la désobéissance civile face aux injonctions des préfectures, et continuer de filmer, documenter ce qui se passe sur le terrain : « Nous sommes dans un monde d’image, de communication et cela fait peur aux pouvoirs publics quand on montre la réalité. Nous voulons être encore plus les yeux des citoyens sur le terrain, s’interposer en filmant pour préserver le peu de droit qui restent aux exilés, et leur procurer un peu de tranquillité. » Dans une vidéo réalisée par un des bénévoles durant le confinement, un policier dit explicitement son intention « d’user » les associations sur le terrain.

Une reconnaissance et une protection de la fonction démocratique des associations deviennent vitales pour sauvegarder l’essence de la citoyenneté. Des engagements politiques sont donc nécessaires, parallèlement à des ripostes individuelles. Car pour Julien Talpin, le principal risque réside dans l’autocensure : « Épuisés par ce sentiment permanent d’épée de Damoclès au-dessus de leur tête, des bénévoles vont finir par éviter de critiquer les pouvoirs publics, de poser des questions sur des décisions politiques par peur de voir leurs subventions coupées, de perdre leurs locaux… Cela contribue à une forme de dépolitisation du monde associatif et appauvrit durablement la démocratie. »

Vanina Delmas (Politis)

Photo : Des policiers municipaux effectuent des contrôles d’attestations à Saint-Denis, pendant le confinement. Cette fois, la police a laissé les « brigades de solidarité populaire » continuer leur distribution de nourriture sans problème. Ce n’est pas toujours le cas.
Mai 2020. / © Anne Paq

Notes

[1] L’Alliance citoyenne, Alternatives pour des projets urbains ici et à l’international (Appuii), le Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid), le Collectif des associations citoyennes, France nature environnement, la Ligue des droits de l’Homme, le Mouvement associatif, la coordination nationale Pas sans nous, VoxPublic.




Alain de Benoist : « La répression des pensées non conformes n’est pas d’aujourd’hui, elle est de tous les temps » [Interview]

[Source : Breizh-Info]

Depuis plusieurs décennies, on peut dire qu’Alain de Benoist a vu nos sociétés se transformer, en profondeur. Né en 1943, il est de cette génération qui a vu toutes les conséquences de la Seconde guerre mondiale sur l’Europe et le monde, mais aussi les mouvements de décolonisation, Mai 68, les chocs pétroliers, l’arrivée de Mitterand au pouvoir en France, le regroupement familial, l’apparition du voile islamique sur notre continent, la chute du Mur de Berlin, le 11 septembre 2001…la liste est longue.

Il a vu également l’arsenal juridique français visant à restreindre considérablement la liberté d’expression (et instaurant le délit d’opinion) se renforcer en France, de Pleven à Taubira… Mais aussi la montée en puissance des tribunaux politiques, médiatiques, d’une forme de nouvelle Inquisition, qui rend impossible tout débat politique sérieux, débat remplacé peu à peu par l’anathème, le lynchage, le procès.

C’est avec un regard donc particulièrement éclairé, et conscient de l’évolution de notre société, qu’il publie La Chape de plomb aux éditions de la Nouvelle Librairie, qui réunit six textes majeurs qui permettent de saisir l’ampleur de la censure à l’œuvre aujourd’hui, et fournissent les éléments nécessaires à une critique en profondeur du conformisme médiatique.

« Interdit d’interdire ! Jamais un slogan n’aura autant dit le contraire de ce qu’il énonçait. Dans notre monde, le Goulag et ses commissaires politiques ont disparu. Mais qu’on ne s’y trompe pas, l’archipel des mouchards prospère : les obstacles à la liberté d’expression et les entraves aux discours dissidents sont aussi insidieux qu’omniprésents. Au prétexte de n’offenser personne, ils contraignent tout le monde » 

indique son éditeur.

Nous l’avons interrogé sur cet ouvrage, en profitant également de l’interview accordée pour évoquer des sujets brûlants autour justement de la censure, de la répression judiciaire, des cabales multiples que subissent aujourd’hui des dissidents politiques en raison de leurs idées.

Breizh-info.com : Tout d’abord, vous publiez un livre qui s’attaque aux nouvelles censures en cette rentrée. Pouvez-vous nous en parler ? Quelle est la thèse centrale de votre ouvrage ?

Alain de Benoist : Le livre s’appelle La chape de plomb, et vient de paraître aux éditions de la Nouvelle Librairie. C’est bien entendu une critique des censures de toutes sortes que l’on voit se multiplier aujourd’hui, mais c’est surtout une analyse en profondeur des méthodes auxquelles elles ont recours (amalgames, procès d’intention, citations hors contexte, reductio ad hitlerum, etc.), en même temps qu’une étude à la fois théorique et historique de la façon dont on en est arrivé là. En quoi par exemple les nouvelles censures se distinguent-elles de celles qu’on connaissait autrefois ? Voilà le genre de questions auxquelles je m’efforce de répondre, car s’en tenir à la déploration, ainsi qu’on le fait trop souvent, ne sert absolument à rien.

Breizh-info.com : La censure va souvent de pair avec la répression judiciaire… Comment interprétez-vous les poursuites judiciaires qui se multiplient à l’encontre d’Eric Zemmour ? Et la volonté manifeste d’enfermer certains dissidents qui ont écopé de prison ferme et qui sont pour certains (Hervé Ryssen) en prison à l’heure où nous parlons ? La guerre contre la dissidence est-elle déclarée ?

Alain de Benoist : Elle n’est pas déclarée, elle se poursuit, elle se renforce et elle s’accélère. La répression des pensées non conformes n’est pas d’aujourd’hui, elle est de tous les temps. Je vous rappelle que le grand théoricien socialiste français Louis-Auguste Blanqui, mort en 1881, a passé un total de 35 ans en prison, raison pour laquelle on l’avait surnommé « l’enfermé ». On pourrait donner bien d’autres exemples. Zemmour et Ryssen en sont quand même encore loin !

Mais la répression dont vous parlez, précisément parce qu’elle n’est pas nouvelle, n’est pas ce qui caractérise le plus la censure aujourd’hui. Cette répression-là est une répression étatique, une répression dont les pouvoirs publics prennent l’initiative. Or, ce qui caractérise le climat inquisitorial actuel, c’est qu’il part de la société globale, qu’il est le fait d’associations, de groupes de pression, d’individus isolés, qui exigent des sanctions et des « cordons sanitaires » sur la seule base de leur subjectivité et en s’inspirant des modèles du politiquement correct. Ce sont des journalistes qui demandent qu’on coupe le micro à d’autres journalistes, des écrivains qui réclament l’ostracisme de certains de leurs confrères, des femmes qui se plaignent d’un « sexisme » qui n’existe que dans leur imagination, des obsédés de la race qui s’interrogent gravement pour savoir si un Blanc a le droit de photographier un Noir sans tomber dans l’« appropriation culturelle », des fous furieux qui pensent que pour lutter contre le racisme il faut déboulonner les statues de Christophe Colomb, de Colbert ou de Napoléon. Devenue un empilement de susceptibilités, la société globale se transforme en Absurdistan. C’est cela qui est nouveau, et les pouvoirs publics n’y sont pas directement impliqués (ils se contentent de laisser faire, sous l’influence de l’idéologie dominante).

Le résultat, c’est la généralisation de l’autocensure, qui est à certains égards bien plus terrible que la censure. Les gens ont peur. Peur d’être mis en pilori, c’est-à-dire dénoncés sur les réseaux sociaux, pour une mauvaise blague, un propos un peu leste, ou même pour un mot de trop. Comme à l’époque soviétique, il y a désormais un langage public, où l’on navigue à vue en étant sur ses gardes, et certaines choses qu’on n’ose plus dire qu’en privé (et à condition d’être avec des gens sûrs). Une telle situation, qui s’aggrave tous les jours, est à mon sens beaucoup plus grave que les conditions de censure et de répression qu’on connaissait autrefois.

Breizh-info.com : Comment faire face, avec quelles armes, à cette censure, à ces menaces judiciaires ? La technique de la guérilla plus que celle de l’opposition frontale au Système est-elle celle que vous préconisez ?

Alain de Benoist : Il faut évidemment continuer à écrire et à témoigner. Il faut dénoncer les sycophantes et les grands délirants, les Précieuses ridicules et les Torquemadas de plateaux de télévision, et protester de toutes les façons possibles contre le climat délétère que nous subissons. Il faut aussi dérouter l’adversaire : ne jamais se laisser entraîner sur son terrain, resurgir là où l’on ne vous attend pas. Mais permettez-moi d’ajouter qu’on n’est pas non plus obligé d’exprimer ce qu’on veut dire sous une forme provocatrice ou convulsive, alors qu’on pourrait dire exactement la même chose d’une manière à peu près civilisée.

Il ne faut pas se lasser, enfin, de répéter que la liberté d’expression (il faudrait préciser : la liberté d’exprimer une opinion, car c’est bien de cela qu’il s’agit) doit être défendue inconditionnellement. La liberté d’expression ne se divise pas. Je ne suis pas sûr, malheureusement, que ceux qui critiquent aujourd’hui la censure dont ils sont l’objet auraient la même attitude si c’était leurs adversaires qui en faisaient les frais. Le mot souvent prêté à Voltaire (en substance : je déteste vos opinions, mais je suis prêt à mourir pour que vous soyez libre de les défendre) est très certainement apocryphe, mais n’en énonce pas moins une règle qu’on peut faire sienne. Rosa Luxemburg, dans son livre La Révolution russe, publié à Paris en 1939 (vingt ans après son assassinat), écrivait que « la liberté, c’est toujours la liberté de qui pense autrement (die Freiheit der Andersdenkenden) ». J’ai du mal à prendre au sérieux ceux qui n’approuvent pas cette maxime.

Breizh-info.com : Vous allez publier par ailleurs la « Bibliothèque du jeune Européen ». Parlez-nous de ce projet pédagogique. N’est-ce pas finalement assez vain que de prétendre à faire lire une jeunesse européenne qui fuit les bibliothèques et à laquelle l’Éducation nationale n’offre plus aucune ambition ?

Alain de Benoist : Une précision d’abord : je ne suis pas l’auteur de ce volume collectif, qui doit paraître début novembre aux éditions du Rocher. J’en ai apporté l’idée, mais son véritable maître d’œuvre a été Guillaume Travers. Et c’est justement parce que l’Éducation nationale s’est effondrée, et que les jeunes sont aujourd’hui plus attirés par les écrans que par les livres, que nous avons estimé urgent de proposer à ceux qui ne se résignent pas à cette situation un ouvrage facile à manier, qui soit de nature à leur donner l’envie et la possibilité d’aller plus loin. Le livre a retenu 200 auteurs, avec un livre pour chaque auteur faisant l’objet d’une fiche détaillée, qui ont apporté quelque chose d’important dans le domaine des idées, de l’Antiquité à nos jours. La sélection n’a pas été facile, mais je pense que le résultat obtenu en valait la peine. A l’approche des fêtes, c’est en plus le cadeau idéal !

Breizh-info.com : Vous évoquez 200 ouvrages. Et si vous deviez n’en garder que 5, pour commencer une formation politique essentielle ?

Alain de Benoist : Je suis tout à fait incapable de répondre à cette question, qui est un peu du style : si vous deviez partir sur une île déserte en n’emportant qu’un seul livre, lequel choisiriez-vous (je réponds toujours que j’emporterais un dictionnaire, parce que par définition c’est celui qui contient tous les autres !). D’abord, je n’ai jamais été l’homme d’un seul livre ou d’une seule source.

Ensuite, je crois que, même si l’on s’en tient au seul domaine politique (la Bibliothèque du jeune Européen aborde aussi les sciences de la vie, les sciences sociales, la philosophie, la psychologie, etc.), on aurait bien du mal à établir la liste que vous me demandez. Il n’y a pas de « Bible » à laquelle on puisse se référer, mais toute une pléiade d’auteurs qu’il est indispensable d’avoir fréquenté « pour commencer une formation politique ». D’une façon générale, quand on part à l’aventure, il ne faut se demander d’abord où sont les raccourcis !

Propos recueillis par YV

Illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




«Le Pacte de Marrakech est un appel à la censure des médias politiquement incorrects»

[Source : http://www.lefigaro.fr/vox/medias]

  • Par  Alexandre del Valle 
  • Publié le 11/12/2018 à 19:30
«Le Pacte de Marrakech est un appel à la censure des médias politiquement incorrects»

FIGAROVOX/TRIBUNE – Alexandre Del Valle s’inquiète de certaines dispositions du Pacte de Marrakech, qui visent à rendre plus positive l’information que les médias donnent à propos de l’immigration.


Géopolitologue, docteur en histoire contemporaine, consultant et essayiste, Alexandre del Valle est professeur de géopolitique et de relations internationales. Il vient de publier La Stratégie de l’intimidation, du terrorisme jihadiste à l’islamiquement correct (éd. L’Artilleur, mars 2018).


Beaucoup d’encre a déjà coulé à propos du fameux Pacte signé à Marrakech ce début de semaine par 148 pays-membres des Nations unies. Ses rédacteurs rappellent que ce texte visant à réguler des migrations plus «sûres» serait «non-contraignant». Mais rien n’empêchera ultérieurement les États signataires et les instances européennes de «judiciariser» des pans entiers dudit Pacte. Le Pacte sous-entend d’ailleurs que les Ètats d’accueil ont le devoir d’octroyer des droits et des aides financières aux migrants «sans discriminations» (réguliers ou illégaux), ce qui revient à supprimer toute différence entre le national et l’étranger, bref, à démanteler moralement les souverainetés pourtant nominalement reconnues par les rédacteurs.

Un appel à la censure

«Encourager un débat public fondé sur l’analyse des faits afin de faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues»

Objectif 17 du Pacte de Marrakech

Le Pacte de Marrakech incite les médias à combattre et limiter tout discours hostile à l’immigration, sous peine d’être privés de financement public par les gouvernements, eux-mêmes sommés de se soumettre à la doxa diversitaire qui transparaît du début à la fin du texte onusien. C’est ainsi que l’objectif n°17 du Pacte appelle à «éliminer toutes les formes de discrimination et encourager un débat public fondé sur l’analyse des faits afin de faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues». Il invite ainsi les médias à s’impliquer dans un projet politico-gestionnaire en tant qu’ «acteurs» de la «Migration». Avec eux, «les milieux universitaires», «le secteur privé» ou encore les «institutions nationales de défense des droits de l’homme» (ce qui inclut les ONG qui affrètent des bateaux pro-clandestins comme l’Aquarius), sont tous appelés à combattre les idées qui ne vont pas dans le sens de l’immigrationnisme béat. Cet Objectif n°17 pousse à diaboliser les intellectuels, les journalistes et les politiques qui, dans le cadre du futur débat sur l’immigration annoncé par Emmanuel Macron notamment, afficheraient leur souci de contrôler l’immigration et a fortiori de réduire ou supprimer les aides financières croissantes accordées aux migrants clandestins que le Pacte met sur le plan que les migrants légaux.

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Dans les mesures à mettre en œuvre pour «atteindre cet objectif», les rédacteurs du Pacte entendent «promouvoir une information indépendante, objective et de qualité, y compris sur Internet». Intention dont on ne manquera pas de relever l’ironie alors que ces dernières semaines, c’est justement sur le Net qu’a été dénoncé (au départ à partir des États-Unis) ce Pacte migratoire controversé. Cette prise de conscience déplorée par les rédacteurs du Pacte a d’ailleurs déclenché une polémique dans de nombreux pays occidentaux: rétractation de l’Italie et de l’Autriche, refus de la quasi-totalité des pays d’Europe centrale et orientale, «gel» de la signature en Suisse après le référendum sur la primauté du droit national ; crise gouvernementale en Belgique (face au refus de la NVA flamande de signer le Pacte), et prudence habile du Président Macron qui a préféré ne pas s’afficher à Marrakech en y envoyant Jean-Baptiste Lemoyne. Les rédacteurs et soutiens du Pacte migratoire se sont ainsi contentés de fustiger les opposants au texte onusien sans jamais en délivrer le contenu lui-même et en s’abritant sur l’ubuesque affirmation du caractère «non-contraignant». Les rédacteurs de l’accord de Marrakech et leurs soutiens politiques sont d’ailleurs déterminés à «sensibiliser les professionnels des médias aux questions de migration et à la terminologie afférente». On observera que la contradiction flagrante d’un débat prétendument «objectif» sur l’immigration et d’un corps de métier journalistique «sensibilisé» à une terminologie «positive sur la Migration» ne semble pas heurter outre mesure la «sensibilité» rédactionnelle des Nations unies et des lobbies diversitaires qui soutiennent le Pacte.

Des divergences de perception quant à l’immigration seront considérées comme des manquements éthiques.

Ses rédacteurs comptent ainsi faire respecter cette «terminologie» spécifique «en instituant des normes déontologiques pour le journalisme» (et la publicité). Le mot est lâché: en parlant de «déontologie» – au mépris de celle déjà instituée en France et ailleurs – les rédacteurs entendent par conséquent mettre toute divergence de «perception» à l’égard des migrants du côté du manquement éthique et professionnel, ce qui induit la logique de sanctions corrélatives. Si en principe ces sanctions sont le fait d’une commission paritaire, le Pacte appelle officiellement les États à sanctionner les non-immigrationnistes en supprimant les subsides étatiques des médias qui «dévieraient» du message nécessairement positif sur «le Migrant»… une menace qui a d’ailleurs déjà plané sur l’hebdomadaire Valeurs actuelles à la suite d’une couverture choc montrant une femme musulmane voilée. Le petit ajout dans le texte du Pacte: «dans le plein respect de la liberté de la presse» ne trompera d’ailleurs personne, car ce droit repose sur la liberté d’opinion et la liberté d’expression, droits soumis à des limites. La Cour européenne des droits de l’homme rend d’ailleurs régulièrement des verdicts dans des affaires où il est question de savoir si l’interférence du gouvernement – prévue par la loi – avec le droit à la liberté d’expression d’un individu est légitime ou non. Or ce que fait le Pacte, tout non-contraignant qu’il soit, c’est bien élargir les conditions de légitimité de cette interférence. La boucle est bouclée.




Facebook censure-t-il des vidéos sur les Gilets Jaunes ?

Bonjour à la rédaction,

juste un petit message pour vous partager cette petite analyse sur la
censure subie sur Facebook sur mes deux dernières vidéos (reportages
gilets jaunes à Paris). Partagez cette vidéo comme bon vous semble.

Meilleures salutations,

Alexandre Salama