Où conduisent le confinement, le port du masque et la distanciation ?

14/01/2021 (2021-01-14)

Par Joseph Stroberg

« Il est vrai, sans mensonge, certain, et très véritable : Ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut ; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, pour faire les miracles d’une seule chose.

Extrait de la Table d’émeraude.

Considérer la vie humaine individuelle et collective sous l’angle de l’analogie entre les lois de la matière et celles de la conscience permet de faire des découvertes étonnantes. Ainsi et par exemple, les oscillations d’un pendule se retrouvent dans l’alternance politique entre droite et gauche ainsi que dans l’alternance sociétale entre patriarcat et matriarcat. Et comme le mouvement d’un pendule est amorti par le frottement de l’air et finit par atteindre un état d’équilibre, on peut suspecter qu’au bout d’une longue période, la politique trouve une forme d’équilibre au centre et la société finit par laisser s’exprimer et agir femmes et hommes avec leurs caractéristiques propres en un tout harmonieux. Les diverses organisations sociales, culturelles, politiques, économiques, etc. s’éloignent progressivement des extrêmes. Cependant, de même qu’un choc brutal peut relancer l’oscillation du pendule, la civilisation n’est probablement jamais à l’abri de se trouver dans un nouvel état critique. Si le choc est trop violent, elle peut même éclater.

Maintenant, est-il possible de découvrir une analogie dans le monde des lois physiques pour ce qui concerne le confinement, le port du masque ou encore la distanciation sociale ? Avec un peu d’imagination, pourquoi pas ? Commençons par le confinement. En physique nucléaire, celui-ci est une voie choisie par les chercheurs pour parvenir à produire des réactions de fusion entre des noyaux d’hydrogène, de tritium ou d’hélium, ceci pour générer une importante quantité d’énergie. De manière plus abordable, les carabines à air comprimé reposent sur le confinement du gaz dans un petit volume. Dans chaque cas, le but est l’explosion ou la libération d’énergie en un temps bref. Cela ne présage alors rien de bon pour une société de se voir confinée artificiellement dans des espaces restreints, surtout si l’on prend en compte les expériences de laboratoire qui ont démontré que des rats en surpopulation devenaient agressifs et en venaient se battre entre eux. La société humaine vaut-elle sur ce plan tellement mieux que des rats ? L’existence des deux guerres mondiales et des conflits continuels ici ou là depuis lors permet d’en douter.

Un matériau fortement contraint finit par imploser, par exploser, par se briser ou par se désagréger d’une manière ou d’une autre. Une civilisation trop endiguée, par confinement ou par d’autres moyens, risque donc de se voir détruite ou transformée radicalement en quelque chose qui n’est pas nécessairement souhaitable. Les diverses lois liberticides auxquelles les différentes nations du globe sont soumises de manière croissante depuis les attentats du 11 septembre 2001 et plus récemment depuis la « plandémie » de la covid-19 vont incontestablement aboutir à une métamorphose complète ou à une explosion de nos sociétés. De nombreux indices (dont l’existence des Georgia Guidestones) concourent pour indiquer que le but d’au moins certaines élites serait d’éliminer une grande partie de l’Humanité pour descendre sous le milliard d’individus. Une nouvelle guerre mondiale ferait pour elles parfaitement l’affaire. Des pandémies qui parviendraient effectivement à tuer en masse le feraient aussi. Mais comme le corps humain ne leur semble pas accommodant pour cela, résistant bien plus que prévu (ou parce que les virus ne seraient en fait pas la cause des maladies virales ?), ils doivent trouver des alternatives pour accélérer les choses.

Les vaccins et leurs toxines — assaisonnés maintenant au besoin de fragments d’ADN ou d’ARN et de composant micro ou nano technologiques — pourraient finalement créer des épidémies artificielles. En sciences physiques, si une réaction chimique est trop lente, on y ajoute un ou plusieurs catalyseurs chargés d’en abaisser le seuil énergétique et donc de la faciliter. Pour détruire ou transformer plus rapidement des corps humains, les vaccins peuvent ainsi se révéler de bons moyens. Ils affaiblissent les corps et produisent des maladies auto-immunes. Même s’ils sont résistants, à force d’être plus ou moins régulièrement empoisonnés, ces derniers peuvent finir par céder, par s’effondrer.
Si le confinement ne parvient pas à briser psychologiquement les individus ou les nations, les vaccins les briseront physiquement. Et si cela ne suffit pas, on y ajoute un bon cocktail d’ondes pulsées (wi-fi, 2G, 3G, 4G, 5G, Bluetooth…) pour produire d’autres effets néfastes ou augmenter le potentiel destructeur des autres moyens.

Le port du masque, avec la limitation de la respiration et de la communication qu’il entraîne, trouve notamment sa correspondance dans les phénomènes optiques ou électromagnétiques d’interférence et de filtrage. Leurs effets sont une transformation ou un affaiblissement des signaux initiaux. Ce qui se présente à la sortie n’a plus grand-chose de commun avec ce qui se trouvait à l’entrée. Le port du masque vise ainsi à rendre l’Humanité plus docile, à lui faire accepter et même réclamer son asservissement, puisque nombreux sont maintenant les êtres humains qui y voient un moyen d’être épargnés par le prétendu méchant virus. Cet outil contribue à dénaturer ou à diminuer la communication et la vitalité. Les réseaux sociaux et la téléphonie sans fil avaient amorcé un mouvement dans le sens du morcellement social. En multipliant et en éparpillant les relations, ils en diminuaient d’autant la qualité. Le masque vient alors apporter sa contribution à la diminution de l’intensité dans les échanges.

La distanciation sociale, elle, est comparable à l’utilisation d’une barrière ou d’un champ répulsif qui empêchent deux particules de se rencontrer. Puisque dans les lieux clos elle s’accompagne souvent de cases et de parcours fléchés, on peut même la voir comme l’établissement d’un réseau cristallin. Et un cristal est particulièrement rigide. Ainsi, on peut s’attendre à ce que la distanciation ait pour objectif, ou au moins comme conséquence imprévue, la métamorphose vers une société sclérosée et qu’il serait désormais difficile de changer. En acceptant de satisfaire à toutes ces nouvelles règles qui veulent devenir des normes pour l’avenir, les êtres humains trop dociles creusent leur tombeau pour ressusciter en cyborgs ou en zombies.

En se pliant aux injonctions de confinement, de port du masque et de distanciation, l’Humanité contribue à construire un monde rigide, déshumanisé, régulé, contrôlé dans le moindre de ses aspects et dont les véritables contacts et échanges humains seront exclus et choses du passé. Les survivants des processus explosifs et destructeurs mis en place vivront dans un « Meilleur des mondes » hyper mécanisés et seront probablement eux-mêmes devenus partiellement des machines. Est-ce vraiment cela que nous voulons ? Si ce n’est pas le cas, il n’y a pas trente-six solutions. La seule consiste à refuser confinement, masque et distanciation, quel qu’en soit le prix ! Si nous avons peur de la maladie ou des amendes salées, peur de perdre notre maison ou notre confort, alors nous vivrons ce « Meilleur des mondes » possibles pour les élites, mais le pire pour nous. C’est cela qui s’en vient à grands pas si nous nous laissons faire. La seule alternative consiste à ne pas attendre que le voisin fasse le premier pas de la désobéissance civile.

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