02/12/2022 (2022-12-02)
Les démembristes se présentent comme « scientifiques » et même « démocrates » prétendant « déconstruire » les préjugés, les narratifs afin de « lutter contre les discriminations », tous les « négationnismes » (santé, race, genre, climat, islam, aujourd’hui) et autres « conspirationnismes », « complotismes », etc.. Et, pour ce faire, ils ont l’aval de grandes instances qui légitiment (agences de presse, académies, agences gouvernementales, internationales, intellectuels organiques). Alors qu’en réalité, tout ce que ces démembristes racontent s’avère non seulement faux, et l’erreur est humaine, mais mensongers, ce qui est bien plus grave en termes de préméditation qu’il n’est guère besoin de relier à telle ou telle officine tant cela ne tient déjà pas debout devant les faits qu’ils s’empressent d’effacer avec de pseudo « vérificateurs » dont l’inanité est aujourd’hui prise sur le fait.
Rappelez-vous par exemple cette histoire prétendant, du moins au temps où ils étaient encore comptés, que la plus grande présence d’injectés à l’hôpital était uniquement due au fait qu’il y en avait bien plus en soi que de non-injectés, alors qu’au tout départ cela signifiait surtout que cela ne marchait pas, d’où leur présence, souvent répétée, à l’hôpital. De plus, ils n’ont pas eu le droit d’être soignés autrement, même si, dans le monde entier maintenant, remontent les preuves de l’efficacité des traitements précoces qui ont été interdits parce que leur emploi aurait empêché la commercialisation d’une injection qui non seulement s’avère donc inefficace (il faut ainsi la reprendre plusieurs fois pour de nouveau avoir un « flash » d’anticorps puis cela retombe), mais cette injonction devient de plus en plus dangereuse en particulier pour les moins de cinquante ans. Une somme sur toutes ces questions (outre le dernier livre de Christian Perronne) vient d’être publiée en la matière : Ne leur pardonnez pas ! Ils savaient très bien ce qu’ils font.
Observez également comment le démembrement du réseau des centrales nucléaires est au cœur en réalité de ladite « affaire Alstom » puisqu’il s’agissait de se débarrasser de la moitié du parc nucléaire (le fameux 50/50), d’où d’un côté la non-nécessité d’une maintenance optimum sur celles qui devaient disparaître comme l’a expliqué l’ex-PDG d’EDF (récemment débarqué pour l’avoir rappelé), d’où encore l’état actuel du parc, et, de l’autre côté, et ce par déduction, le caractère alors non indispensable du pôle turbines d’Alstom, ce qui permettait ainsi de le démembrer tout à fait tranquillement (et plus-value « privée ») dans le cadre global de cette dite « transition » vers les dites « énergies renouvelables » (et la loi de 2015 entérinant dans son article L100-4 alinéa 5, la réduction du nucléaire n’a toujours pas été abrogée) alors que l’entreprise américaine réactivant sa filière nucléaire en avait, elle, besoin.
Certes, aujourd’hui, devant le fiasco de ces énergies renouvelables, surtout si elles ne sont pas couplées au gaz de plus en plus raréfié par décision unilatérale et sabordage des gazoducs (afin d’éviter l’essor d’une puissance énergétique germano-russo-française), il a été décidé de racheter en pleine campagne électorale et à prix exorbitant ces turbines, mais comme la loi n’a pas été abrogée, et comme la France vient d’être condamnée à payer une amende de 500 millions pour retard dans la construction de « renouvelables » et non pas de nucléaires, il est à parier que le démembrement n’a pas encore dit son dernier mot…
Observez ensuite comment les démembristes de la Nation et du Genre (sexuel et humain) continuent à travailler main dans la main avec ces djihadistes qui durcissent leur position sur le port des vêtements affiliés et aussi sur la diabolisation d’Israël présenté comme tueur d’enfants nécessitant les boycotts divers et les attaques incessantes dans les quartiers pour en faire de plus en plus des endroits « judenrein ». L’intérêt des premiers est de se servir des seconds pour justifier le démembrement des frontières et des coutumes libératrices issues des années 60 posant qu’une femme n’a pas à justifier son désir d’être seyante, et donc de le cacher. L’intérêt des seconds est de se servir des premiers comme on l’a vu en Iran et en Algérie dans les années 1980-1990 pour prendre pied dans les institutions au nom de la liberté d’expression, et de la refuser y compris pour leurs propres dissidents au nom de leur propre loi fondamentale jugée supérieure pour beaucoup à la Constitution nationale. Le fait par exemple qu’un supporter dit « marocain » ait osé monter à l’étage d’un supporter belge pour lui arracher son drapeau (alors que le Maroc avait gagné…) EST le symbole par excellence de ce mépris du vainqueur sur le vaincu, le « cri de triomphe » (chers à Conrad Lorenz et Pierre Janet) s’accompagnant de destructions cathartiques.
On pourrait ajouter enfin que nombre d’endroits deviennent même « autochtonerein » (les autochtones, mais aussi les immigrés ayant choisi de vivre dans la culture française faisant leurs valises pour éviter le cercueil des attaques permanentes au couteau), le tout donc dans le cadre de ce néonazisme ambiant qui applique à la lettre la manipulation génitale avec la pression « trans » empêchant aujourd’hui ne serait-ce que d’en discuter, la manipulation hygiéniste par l’injection de substances aux effets inconnus sinon par les effets secondaires désormais innombrables (puisque seulement 10 % sont saisissables), enfin la manipulation sectaire se déployant désormais partout, jusqu’au climat confondu avec la nécessaire lutte contre la pollution, les gaspillages énergétiques et la prolifération des déchets, alors que les observations, et non pas les estimations, montrent d’une part que le réchauffement s’avère bénéfique pour la végétation, et la vie humaine en général (« la » bio-diversité comme concept complexe en réalité) et que d’autre part par exemple la « banquise arctique se reconstitue » montrant par là comme l’avait déjà formulé le regretté Marcel Leroux que le climat change toujours et que parler de « changement climatique » est un pléonasme.
Au final, il semble bien que le terme de démembriste convient bien mieux pour qualifier tous ceux qui veulent démembrer le corps, la culture, l’économie, la politique, en un mot la Nation et l’universalité qui la génère en ce sens où il existe des conditions objectives permettant de la développer, un fond commun que la diversité humaine et ethnique peut s’approprier pour créer un mieux être à la fois individuel et collectif le tout de façon cependant singulière ou la néo-modernité.
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