Le prétexte odieux de la présence de non injectés hospitalisés alors que sont des personnes à risque abandonnées…

15/11/2021 (2021-11-15)

Par Lucien Oulahbib

… qu’il aurait fallu donc soigner bien en amont avec les traitements précoces qui marchent, comme les médecins indépendants l’ont démontré. Ils sont donc poursuivis pour avoir sauvé des gens. Tout le reste n’est que propagande.

D’autant que de plus en plus d’injectés remplissent les hôpitaux (démunis) en particulier pour les effets secondaires qui touchent bien plus les moins de 75-65 ans que la maladie elle-même qu’il faut bien différencier par ailleurs des personnes dites « positives » qui ne la transmettent pas si elles n’en ont pas les symptômes (en particulier les enfants), mais qu’il faut dans ce cas soigner et ce tout de suite pour éviter les formes longues comme l’avait indiqué dès le début Raoult.

L’injection proposée devient dans ce cas inutile, voire nocive, pour certaines personnes sans comorbidités, mais ayant des propensions qu’elles ne soupçonnaient pas à déclencher des maladies auto-immunes vasculaires et cardiaques multiformes. Et les autres personnes qui ont pu échappé en effet à ces effets secondaires y sont sans doute arrivées parce qu’elles ont éliminé d’entrée le message : tuant ainsi dans l’œuf l’injonction d’auto-production de la protéine Spike en la considérant d’entrée de jeu comme un « bug » illogique, et ce heureusement.

On verra bien dans les années qui viennent si cette hypothèse de destruction préventive de ce poison made in Big Pharma tient ou si, comme le pensent certains, nous allons assister d’ici quelque temps à l’accélération non seulement de maladies auto-immunes, mais de cancers multiformes, fatigues longues, migraines à répétition, perte globale de tonicité comme l’indiquent certains spécialistes en particulier ceux s’occupant des sportifs de haut niveau…

Mais foin de ce réalisme rigoureux qui analyse ainsi scrupuleusement toutes les hypothèses et met en avant toutes les thérapies, car la médecine est avant tout une pratique visant à soigner et non à expérimenter, l’Autriche renoue avec son passé nazi en montrant du doigt un élément toujours exogène source de tous les maux accentuant ainsi l’apartheid se mettant en marche vers ce néo-nazisme hygiéniste, scientiste, affairiste, globalisé, quadrillé et de plus en plus militarisé.

La Belgique emboîte le pas. En Australie, les camps de rééducation sanitaire sont construits, dévoilant l’aspect hygiéniste, scientiste, pseudo-empiriste de l’approche anglo-saxonne. Et de ce fait, ceci montre plus généralement au grand jour l’impasse de toute cette « médecine » mécaniste qui a des années de retard sur l’analyse holistique du corps humain pensé comme un « tout supérieur à la somme de ses parties » (comme l’indiquent avec de plus en plus de succès l’acupuncture, les traitements homéopathiques, la médecine dite « naturelle » — ce qui ne veut pas dire qu’il ne faille pas évidemment aider le corps lorsqu’il ne peut plus se défendre tout seul au bout de trois jours : avec des anti-inflammatoires, antiviraux, antibiotiques, mais ces derniers dans une certaine mesure, car ils peuvent à l’inverse détruire toute la flore intestinale nécessaire à notre « deuxième cerveau »…).

Nous sommes alors et en effet ‘à la croisée des chemins’, mais ce en son sens encore plus complet que prévu : il s’agit bel et bien d’une lutte (de plus en plus implacable) entre une civilisation mécaniste, hygiéniste, scientiste pour laquelle les individus ne sont que des stocks mobiles et immobiles à bloquer et débloquer selon les flux (politiques, économiques, financiers) et une civilisation qui continue la percée humaniste de la Renaissance tout en ne perdant pas de vue les acquis apportés par les Anciens, ce qui permet de redresser les errements modernes (la réduction de l’esprit scientifique vers un scientisme mécaniste qui réduit l’individu à une ‘somme’) alors que la dynamique (y compris quantique) montre que toute ‘somme’ atteinte est toujours dépassée en ce sens où le résultat atteint est toujours conditionné au fait de savoir s’il renforce le Soi (y compris celui de la Nation) ou l’amenuise, et ce à chaque instant (le passage de l’émancipation nécessaire vers l’affinement permanent).

L’anecdote d’un officiel post-maoïste illustre cette lutte implacable : la Chine a réussi son développement capitaliste en étouffant la liberté de penser et de choisir ses dirigeants ; maintenant elle exporte ce modèle politique dans le reste du monde avec l’assentiment de l’élite dite ‘occidentale’, le tout formant dorénavant cette Secte néo-nazie construisant comme race supérieure des nouveaux seigneurs qui régissent ce Moyen-âge cybernétique globalisé.

Ainsi ce passe hygiéniste se transforme peu à peu en passe ‘climatiste’ encore informel (QCA: quantité de carbone autorisée). Il est déjà politiste (QSD: quantité de suspension digital sur les ‘réseaux’) avec l’assentiment sans failles de toute la classe politique et médiatico-intellectuelle (ou presque) qui pour un quart d’heure de gloire perpétuel est prête à tout, bourgeois de Calais, bourgeois tout court ‘qui vendront la corde pour les pendre’ (Lénine), les adeptes de celui-ci devenant les premiers à la confectionner désormais (Médiapart, France Insoumise…).

Tout cela mérite le mépris le plus profond. Et le basculement non seulement vers la résilience, mais l’offensive généralisée à l’encontre de ce régime félon globalisé.

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