25/06/2023 (2023-06-25)
[Source : ecosociete.org]
Le manuel essentiel pour réussir son jardin sans épuiser le sol et atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Agir au quotidien selon ses convictions ? C’est le choix qu’a fait Marie-Thérèse Thévard (Marie-Thé, pour les intimes) il y a une trentaine d’années en développant avec succès son autosuffisance alimentaire en non-travail du sol au Saguenay, sa région d’adoption au Québec. Le jardin vivrier est le récit de ses pratiques, convictions et recherches pour incarner un mode de vie écologique fondé sur l’indépendance vis-à-vis des énergies fossiles, la résilience, l’alimentation saine, la permaculture, l’agroécologie et la vie en communauté. Élaboré de façon à suivre mois par mois toutes les étapes pour obtenir un potager biologique foisonnant, ce manuel détaille les principes et techniques pour cultiver des légumes, des fruits, des légumineuses et même des céréales. Un principe conducteur guide sa démarche : le non-travail du sol. Devant l’épuisement des sols qui est le lot de l’agriculture industrielle, Marie-Thé défend « le génie du sol », en évitant de le labourer tout en l’enrichissant de paillis. Tout cela en climat boréal, dans un contexte jugé difficile pour la culture maraîchère.
Les nombreuses années d’expérience de Marie-Thé vous apprendront :
- Les principes de la permaculture, de l’agroécologie et du non-travail du sol ;
- Les associations de cultures pour créer un écosystème vivant et résilient ;
- Les techniques de protection des cultures contre le froid ;
- Les moyens biologiques de se débarrasser des principaux ravageurs ;
- Une boîte à outils pour organiser votre jardin (entreposage, outils, calendriers de semis, de plantations et de récoltes) ;
- Des méthodes de conservation des légumes et des recettes de saison ;
- L’essentiel à savoir concernant l’élevage de volailles.
Rédigé par la fille de Marie-Thé, Le jardin vivrier est le manuel essentiel pour réussir son jardin vivrier en non-travail du sol et parvenir progressivement à l’autosuffisance alimentaire. Richement illustré de schémas et de photos, cet ouvrage est un incontournable du jardinage écologique.
Parution Canada 2021
Parution Europe 2021
Prix 39,00 $/29,00 €
Pages 384
ISBN 9782897196653
Des résultats étonnants grâce à une méthode peu dispendieuse, et sans travail du sol : voici le manuel indispensable pour avoir un potager abondant à la maison, peu importe sa taille. Marie-Thé et sa fille livrent tous leurs secrets dans Le jardin-vivrier.
Le réalisateur Samuel Gosselin (Samuel Snow) nous amène dans le jardin vivrier de la famille Thévard au Saguenay !
Ce petit potager de 0.3 hectare, qui parvient chaque année à fournir la moitié de la nourriture nécessaire à cinq adultes, doit son succès au non-travail du sol. Cette méthode consistant à ajouter une grosse couche de paillis et à imiter le fonctionnement de la forêt a l’avantage d’être à la fois peu exigeante physiquement, économique et écologique. Comme le dit si bien Marie Thévard : « Quand on voit toutes les surfaces de pelouse qu’il y a sur les terrains et l’effort que les gens font pour les cultiver, il y aurait pas mal de place pour produire pas mal de bouffe ! »
Avec une méthode aussi accessible, pourquoi s’en priver ?
L’émission La semaine verte sur ICI TÉLÉ a consacré un magnifique reportage au sujet de la démarche vers l’autosuffisance alimentaire de la famille Thévard. Dans le guide pratique LE JARDIN VIVRIER, Marie Thévard a soigneusement consigné le savoir accumulé par sa mère Marie-Thérèse. Avec sa technique reposant sur le non travail du sol, cette dernière parvient avec un jardin de 0.3 hectare à fournir la moitié de la nourriture nécessaires à cinq adultes. Un livre essentiel pour quiconque souhaite tendre vers l’autonomie alimentaire.
Extrait du livre :
⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.
Merci de cette information. J’ai acheté le livre, bien que je n’ai pas de jardin. J’espère pouvoir fuir la ville et me réfugier dans un coin discret avant le désastre.
J’adôôôre ce genre d’article (qui commence par faire la promo d’un bouquin) !
Bon, plusieurs réflexions :
Alors, le reste du temps on bouffe quoi ?
Et encore des illusions
Et ces jolies photos d’illustration, mais c’est magnifique tout ça.
Py j’ai vu un chapitre sur le poullalier.
Allez, j’en termine.
Je cultive un jardin depuis plus de 45 ans. J’ai adapté ma façon de travailler mon sol et j’affirme haut et fort que la permaculture c’est juste de la branlette pour bobos-écolos !
Je rigole quand je lis cette connerie qui affirme qu’on puisse être auto-suffisant pour se nourrir. Si c’était vrai, expliques-moi pourquoi les petits paysans, petits cultivateurs crevaient de faim aux époques de famines. D’accord y z’étaient pas bobos-écolos, mais quand même, des siècles de savoir faire ça cause un peu non ?
En gros, cet article de promo raconte n’importe quoi pour vendre une »méthode alakon » qui décevra les idiots crédules qui vont l’acheter. C’est pas nouveau, mais ça me déçoit de la part de Nouveau Monde. Faut arrêter de gober ce genre de conneries.
Si tu veux bouffer tous les jours, tu te craches dans les pognes et tu transpires. Et même comme ça, un potager ne te nouriras jamais toute l’année, faut pas rêver !
En tout cas, on n’a rien sans rien, et la permaculture ne fait vivre que ceux qui en font la promo (payante oeuf corse).
Une mise à niveau des mathématiques vous est probablement nécessaire :
un hectare représente 10 000 m2, et donc 0,3 hectare représente non pas 300 m2, mais 3000 !
Dont acte…
Du coup je rigole. C’est évident qu’un »petit potager » de 3000 m2 c’est clairement la règle. Autour de moi j’en vois partout, y’a quasiment que ça. C’est dingue toute la place que ces gens consacrent à faire pousser des légumes !!!
Le Québec est trois fois plus grand que la France et il n’y a que huit millions d’habitants.
Quoi qu’il en soit, les procédés indiqués dans le livre sont applicables pour des jardins plus petits. Ceux-ci ne produiront pas autant, mais ils produiront plus facilement qu’avec une approche classique de jardinage.
Voir aussi :
https://nouveau-monde.ca/la-permaculture-dans-le-potager-pour-un-retour-a-lautonomie/
https://nouveau-monde.ca/les-miracles-verts-de-ce-jeune-jardinier-belge-sur-15m2/
https://nouveau-monde.ca/permaculture-vs-agriculture-industrielle-le-sens-des-priorites/
https://nouveau-monde.ca/redecouverte-de-lelectroculture/
https://nouveau-monde.ca/lagriculture-sans-arrosage/