La mort étrange du Président qui avait défié l’OMS

15/04/2021 (2021-04-15)

[Source : Jeanne traduction]

Transcription

Triste nouvelle à annoncer, vous avez peut-être déjà entendu que le président tanzanien John Magufuli est décédé.
C’est triste car Magufuli était un champion pour son peuple. Il les défendait. Il a réduit la corruption. Il a construit de nouvelles infrastructures. Il a réduit son propre salaire et celui de nombreuses personnes au sein du gouvernement pour que cet argent soit utilisé dans des programmes qui amélioraient son pays. Magufuli est bien connu pour le… le tour qu’il a joué au laboratoire de dépistage covid dans son pays. Il a secrètement envoyé des échantillons de papaye, d’huile de moteur, de chèvres et d’autres choses, d’autres choses non humaines. Il leur a donné des noms humains et les a envoyés au laboratoire. Et bien sûr, certains de ces résultats sont revenus positifs pour le covid.
Et clairement, comme vous pouvez le voir sur les visages dans cette vidéo, -c’est la foule qui s’est rassemblée dans les rues au passage de son cercueil l’autre jour- vous pouvez voir qu’ils ne portent pas de masques. Le taux de mortalité dans son pays est resté très bas depuis le début de cette affaire. Et il n’a mis en œuvre aucune des politiques de distanciation sociale, aucune des politiques de confinement et aucune des politiques de masquage. Il a évité la campagne de peur.
Et rien que pour cela, je respecte cet homme.

Dans la vidéo d’aujourd’hui, je vais parler de certaines choses autour de Magufuli, des gens qui ont pu vouloir le voir mort, comment est la situation actuellement.
Et je ne veux pas donner l’impression à quiconque que j’ai une image complète de ce qui s’est passé là-bas, parce que ce n’est pas le cas ; il s’agit simplement de certaines choses qui m’ont frappé lorsque j’ai examiné la situation. Il est important de noter que Magufuli n’est pas simplement mort. Il avait disparu, pendant des semaines avant que sa mort ne soit finalement annoncée, personne ne savait ce qui lui arrivait. Quant à son franc-parler au sujet des tests PCR et d’autres choses liées aux vaccins et au coronavirus, entre autres, il parlait en connaissance de cause.
Magufuli était titulaire d’un doctorat en chimie de l’université de Darussalam. Il a également travaillé dans l’industrie, donc il savait de quoi il parlait. Et il a utilisé ses connaissances pour faire passer l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé, pour une idiote.
Vous pouvez donc voir où cela nous mène. Il se dresse contre les puissances mondiales que nous connaissons, et puis tout d’un coup, il disparaît et meurt à l’âge de 61 ans. Je ne sais pas, c’est un peu suspect pour moi, et même ici, je veux juste vous montrer une chose de plus. En 2017, dans un article de Reuters, il est dit : « Le Tanzanien Magufuli rejette les appels à prolonger son règne au-delà de la limite de deux mandats ». Vous voyez ce qui se passe ? Il y avait des gens dans son pays qui voulaient qu’il reste leur leader pour toujours. Et il a dit non.
Il a dit, « j’ai juré de défendre la Constitution. Je vais jouer mon rôle et passer les rênes au prochain président le moment venu. »
Il était bien aimé, et il était loyal à la constitution. Il est resté fidèle à la Constitution, ce qui, en fait, si vous examinez la situation en profondeur, fait partie du problème. Les personnes qui parlent sans cesse dans la presse de Magufuli en mal, l’une de leurs critiques est qu’il n’a jamais changé la Constitution. Voilà leur critique. Ils voulaient qu’il affaiblisse la Constitution, et il ne l’a pas fait.

L’une des personnes, d’ailleurs, qui parle en mal de Magufuli est ce type Tundu Lissu. Il était le leader de l’opposition en Tanzanie. Mais ce type n’a pas le droit de parler. Il a lui-même violé la Constitution. En fait, écoutez ça. Il était le leader de l’opposition, mais en septembre 2017, il s’est fait tirer dessus, et il a fui le pays. Et depuis janvier 2018, il est en Belgique. Enfin, en juin 2019, ils ont viré ce type du gouvernement. Il est en fait hors du pays, depuis des années, et ne divulgue pas ses dépenses, ses actifs et ses dettes, comme l’exige leur constitution.
Imaginez que vous vous enfuyez de votre pays, que vous restez en Belgique pendant deux ans, et que vous dites ensuite que Magufuli est un criminel et un corrompu. Imaginez faire cela.
Il est évident qu’il s’agit d’un de ces accords de type révolution de couleur qu’ils veulent mener. Eh bien, maintenant ils n’ont pas à le faire. Maintenant ils n’ont pas à le faire, parce que maintenant Magufuli est mort aussi. Par quoi ? Nous ne savons pas comment, mais la version officielle de la femme qui est maintenant présidente, dit qu’il est mort d’un problème cardiaque qu’il avait depuis 10 ans.
Le type de l’opposition ici présent est en train d’annoncer que Magufuli est mort du covid.

« Je m’y attendais depuis le premier jour, où j’ai tweeté, lundi de la semaine dernière, lorsque j’ai posé la question suivante : où est le président Magufuli et quel est son état de santé ? Magufuli est mort du corona, c’est la première chose. Deuxièmement, Magufuli n’est pas mort ce soir, j’ai des informations provenant essentiellement des mêmes sources qui m’ont dit qu’il était gravement malade. J’ai l’information qu’il est mort depuis mercredi de la semaine dernière. »

Il savait depuis des semaines que Magufuli était en train de mourir du covid quelque part. Selon ses sources anonymes, il n’est pas surpris de la nouvelle de la mort, selon ses sources anonymes, qui lui ont fait savoir tout ce qui se passait. Vous voyez un schéma ici ? Cela vous rappelle-t-il quelque chose ? Lissu a dit que Magufuli mourant du covid-19 était une justice poétique. Il l’a dit à voix haute en public.
Et ils adorent ça, n’est-ce pas ? Le truc du, « oh, c’était un covido-septique, et maintenant il est mort du covid. »
Pour moi, ça montre leur inhumanité. C’est honteux. D’ailleurs, il n’est pas le seul à être mort en février, un homme appelé Maalim Seif Sharif, de Zanzibar, qui fait partie de la Tanzanie, il est aussi mort soi-disant du covid, le 18 février 2021. Je ne sais pas de quel côté du débat sur le covid, il se situait, mais il est aussi mort subitement.
Ce qui est effrayant dans cette affaire, c’est que beaucoup de gens auraient pu annoncer la possibilité d’un attentat contre Magufuli et une organisation l’a fait. Le Off Guardian a publié cette information le 12 mars. Quelques jours avant que Magufuli ne soit déclaré mort, ils ont dit « Tanzanie, le second coup d’état covid ».
Le Off Guardian spécule, que nous pourrions être sur le point de voir la mort soudaine et ou le remplacement du président de la Tanzanie, tout comme ils ont fait à Pierre Nkurunziza, du Burundi. Il a refusé de jouer le jeu du covid, et a demandé à la délégation de la Chambre de quitter son pays avant de mourir subitement d’une crise cardiaque, ou d’une suspicion de covid-19. Puis son successeur a immédiatement inversé chacune de ses politiques de covid, y compris en invitant l’OMS à revenir dans le pays du Burundi, comme le souligne le Off Guardian.
Le Guardian avait publié cet article, dans la première semaine de février disant « Il est temps pour l’Afrique d’arrêter le président anti-vax de Tanzanie »
Et ils disent : « Qu’est-ce qui ne va pas avec le président John Magufuli ? De nombreuses personnes en Tanzanie et hors de Tanzanie se posent cette question. » À peu près au même moment, le Council on Foreign Relations a publié un article dans lequel ils disent : « Une figure audacieuse au sein du parti au pouvoir pourrait tirer profit de l’épisode actuel pour commencer à inverser le cours des choses. » Ils parlaient du fait que Magufuli pourrait avoir covid-19 parce qu’il avait disparu et que personne ne savait où il était.
Dans l’article du Guardian, ils disent que Magufuli doit être défié ouvertement et directement, la position inadmissible de Magufuli devrait nous obliger tous à agir, et ils vont plus loin que cela.

Regardez ce que dit le Guardian. Cela ressemble à une menace voilée pour moi, ils disent « Magufuli sait que l’ancien président du Ganna, Jerry John Rawlings, est mort du virus, ainsi que l’ancien président du Congo Brazzaville. Le mois dernier quatre ministres du Zimbabwe dont Sibusiso Moyo, sont morts du covid.
Au Malawi, quatre responsables gouvernementaux, dont deux ministres, ont succombé. En Eswatini, anciennement le Swaziland, le premier ministre Ambros Lomani, a succombé au virus. Le dernier premier ministre démocratiquement élu du Soudan, Sadiq al-Mahdi, vient de mourir, tout comme l’ancien premier ministre de la Libye et l’ancien premier ministre de la Somalie. Au Burundi, le voisin de la Tanzanie, deux anciens présidents Pierre Nkurunziza et Pierre Buyoya sont morts du covid-19. »
Donc ils listent 16 personnes qui sont mortes, du covid-19. Qu’essayent-ils de dire ? La question de savoir si c’est oui ou non une menace envers Magufuli, n’en devient que plus primordiale à résoudre, quand vous considérez que la section entière « développement global » du Guardian, est financée par la Fondation Bill et Melinda Gates, et l’est depuis des années. Je me demande donc quel contrôle éditorial il y a derrière cette section et, quel était leur but ici.
Le menaçaient-ils ? C’est difficile à dire. Il est tellement probable qu’il y ait du déni dans cet article

Qui va donc le remplacer ? De ce que nous savons, c’est Samia Suluhu Hassan, elle est maintenant la présidente de la Tanzanie, et quand vous lisez vous voyez « qu’après ses études en 1992, elle a été employée dans un projet subventionné par le programme alimentaire mondial, qui est bien-sûr les Nations Unies, elle est ensuite partie en Angleterre compléter ses études, et elle est allée à l’Open University de Tanzanie.
Plus loin dans l’article, on lit qu’elle est mariée à un homme appelé Hafidh Ameir, et sa fille Mwanu Hafidh Ameir est membre du parlement de Zanzibar, donc elle est aussi au gouvernement. Mere et fille au gouvernement. Et sa fille, est aussi allée à l’Open University de Tanzanie, a étudie au Center for Foreign Relations, et quelque part appelé « Info-Serve USA », que je n’ai pas encore creusé. Mais elles semblent à mon sens être dans les petits papiers du gouvernements… Je vais me pencher sur son mari dans une seconde, mais d’abord je veux aller dans les détails de l’Open University de Tanzanie.
Voici leur rapport annuel de 2014/2015, et ils ont mentionné, qu’ils ont eu une croissance exceptionnelle concernant leurs finances, et cela vient en grande partie de la World Bank, et d’une organisation appelée SIDA, qui est l’Agence Suédoise de développement international. Ils se hissent au sommet des fondateurs, d’après leurs dires.
Et les autres partenaires dans le top 5 sont, l’Open University de Grande-Bretagne, Association of Commonwealth Universities, la fondation Rockefeller, et l’UNESCO. Donc maintenant nous parlons du marais profond, les Rockefeller, et le programme de prise de contrôle des nations unies, c’est de ça qu’il s’agit, ils ne se nourrissent que de l’argent des impôts, pour la donner à des projets qu’ils utilisent pour reformer la monde.
Et vous pouvez voir ici que l’université de Tanzanie, a vu une réelle explosion de ses fonds depuis environ… 2008. Les chiffres vont de centaines de milliers, à des millions, et tout cela est largement dépassé au fur et à mesure que les années passent. Donc de 2014 à 2015, regardez l’explosion de la richesse.
Deux autres sources de subvention qu’ils mentionnent, qui ont donné beaucoup, à l’Open University de Tanzanie, sont COSTECH et AGRA Project.
COSTECH a l’air bien en apparence quand vous regardez, parce qu’il est dit qu’elle a été créée par une loi de l’assemblée nationale de tanzanie en 1986, et on dirait que c’est une organisation gouvernementale, mais si vous regardez leurs affiliations non-gouvernementales et internationales, vous trouvez KPMG, Palladium International, Foreign Affairs of Finland, et d’autres choses que je n’ai pas creusé.
Si vous regardez le AGRA Project, et voilà, vous les retrouvez encore une fois, c’est Bill Gates et la fondation Rockefeller. AGRA a été fondée en 2006 par la fondation Bill et Melinda Gates, et la fondation Rockefeller. Un des principaux clients, des agriculteurs de AGRA, est le programme alimentaire mondial des Nations Unies, et n’est-ce pas exactement où la nouvelle présidente de la Tanzanie a débuté dans le monde du travail ? Le programme alimentaire mondial.
Il s’avère que l’Open University de Tanzanie, est purement basé sur l’enseignement à distance et par correspondance. L’organe de surveillance, pour avoir une vue d’ensemble, est l’université sainte Marie d’Addis-Abeba en Ethiopie, et également l’université de Corée.
Vous souvenez-vous que Tedros Adhanom Ghebreyesus, le dirigeant actuel de l’OMS vient d’Addis-Abeba en Ethiopie, et quand il était ministre de la santé en Ethiopie, il a noué d’étroites relations avec Bill Clinton et la fondation Clinton, et la fondation Bill et Melinda Gates.
En 2010, le département d’État américain a nommé l’Ethiopie à l’initiative américaine en matière de santé mondiale. Je me demande ce que ça implique. Et je me demande si cela à quelque chose à voir, avec le fait que vers 2009, l’Open University de Tanzanie a reçu des tonnes et des tonnes d’argent, beaucoup plus, de manière exponentielle. Et ce sont des sommes d’argent qu’ils ont obtenu de fondation comme celle de Rockefeller, et l’UNESCO, et toutes celles qu’on connaît… Je ne sais pas, je ne prétends rien, mais ça pourrait être possible.

Maintenant, nous savons que la nouvelle président de la Tanzanie, est mariée à un gars appelé Hafidh Ameir, et je ne peux pas trouver une photo d’eux ensemble, donc je ne peux rien vérifier, mais il y a un gars appelé Hafidh Ameir qui travaille à TACAIDS, il y est depuis 10 ans et 11 mois, et il est le coordinateur régional du VIH et du SIDA. Cela correspond plutôt bien à toutes les autres choses que nous venons d’apprendre. Parce que le truc du VIH et du SIDA, c’est le même groupe encore une fois. Qui se superpose avec le mega, super prédateur sur la scène de la santé, qui est la fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les Nations Unies et bien sûr la fondation Rockefeller. Et j’ai déjà exposé comment Bill Gates est lié à tout ça, avec son Global Fund, et comment il détient pratiquement l’Organisation Mondiale de la Santé en tant que principal donateur, juste à côté des Etats-Unis. Et si vous n’êtes pas au courant de ça, vous n’allez pas en revenir, vous voyez ici vous avez PEPFAR d’Anthony Fauci, c’est parce qu’il a convaincu le gouvernement d’introduire cette branche du département d’état, nommée « plan d’urgence du président pour l’aide aux malades du sida », et ce type reçoit des milliards de dollars qu’il envoie dans des pays étrangers à travers les ambassades, d’après ce que j’ai compris, à d’innombrables ONG. Et je dis innombrables, parce que la seule entité, qui contrôle cet argent, est l’ONU, et ils ne laisseront personne voir l’entièreté de ces documents. L’argent de PEPFAR va directement, à travers le département d’état en majorité à l’ONU qui le donne ensuite à qui elle souhaite.
Et il s’avère que la personne qui dirige PEPFAR au département d’état américain est Debra Burkes. Anthony Fauci et Debra Burkes ont tout deux fini par atterrir au coronavirus task force, ce qui est merveilleux, après avoir été ensemble dans cette organisation PEPFAR. Donc ils ne font que fabriquer une autre arnaque, avec la même empreinte sur la carte. Remplacez juste les logo de PEPFAR par le symbole du coronavirus.
Les millards de Bill Gates vont dans des organisations, et il créé en majeure partie des vaccins, et depuis son organisation à but lucratif appelée la fondation Bill et Melinda Gates, son argent lui revient en personne. C’est une arnaque massive.

Ok mais on est supposé parler de la Tanzanie ici. Donc le mari de la nouvelle dirigeante de la Tanzanie, Hafidh Ameir, je pense, travaille pour cette organisation TACAIDS, et je pense qu’il est également le contact tanzanien pour des organisation appelées Genesis Analytics. Si vous regardez ici, il est écrit « rencontrez les équipes de nos pays », vous allez dans la Tanzanie, et vous trouvez Dr. Hafidh Ameir, la comission tanzanienne du SIDA, TACAIDS, le même homme. Les partenaires de Genesis Analytics sont Global HIV Prevention Coalition, Genesis Unlocking Value, l’université de Manitoba, qui est aussi la maison de notre seul laboratoire P4 de virologie au Canada. Et, la fondation Bill et Melinda Gates.
Mais ça ne s’arrête pas là.
Je voulais voir ce qu’est cette organisation, Genesis Unlocking Value, parce qu’ils sont tous partenaires. Et regardez ça.
Genesis est à propos de l’économie comportementale, l’économie comportementale est un domaine puissant qui combine l’économie et la psychologie, et utilise la compréhension de ces sciences pour influencer les comportements et améliorer les prises de décision pour le mieux, à travers des interventions à bas coût et faciles à mettre en oeuvre.
En 2014, Genesis Analytics a crée la première équipe de consultants en Afrique afin d’user de la compréhension scientifique du comportement humain pour résoudre des problèmes économiques concrets dans le monde.
Notre experience montre que changer les comporter et améliorer les prises de décision ajoute de la valeur dans une série d’industries et de filières. Nous intégrons les connaissances comportementales dans les campagnes de marketing et de communication dans de grandes banques, nous augmentons les cotisations mensuelles aux fonds de retraite des grands assureurs, nous adaptons les sites Web des multinationales de l’automobile de luxe, nous remanions les programmes de fidélisation des grandes plateformes de commerce électronique de détail, et nous formons les organisations à tirer parti des capacités de l’économie comportementale.
Cela ressemble-t-il à une organisation qui devrait être impliquée dans le SIDA ? Ou la santé ? Mais c’est là qu’ils sont impliqués. En partenariat avec Bill et Melinda Gates. Et c’est possiblement là, que la marie de la nouvelle présidente de la Tanzanie travaille. Je suppose que c’est pratique pour les globalistes. Vous ne trouvez pas ?

Comme le dit cet analyste politique kényan : « Magufuli est arrivé sur une plateforme de lutte contre la corruption et d’autonomisation des masses. Ce sont les gens qui ont bénéficié de la corruption et de toutes ces drôles de choses, qui ne sont pas satisfaits de lui. »

À mesure que la Tanzanie avance avec son nouveau gouvernement, il sera intéressant de voir ce qui change, cela sera-t-il comme au Burundi, l’administration entrante inversera-t-elle tout le travail de Magufuli ? Les habitants de la Tanzanie commenceront-ils à avoir peur, les verrons-nous porter des masques et appliquer la distanciation sociale, ou leurs entreprises couler à cause du confinement ?
Parce que nous pouvons voir qu’à la masse de gens qui est venue honorer Magufuli l’autre jour, que ce n’est pas le cas pour l’instant. À quel vitesse, transformeront-ils les tanzaniens en des petits moutons effrayés ? Peut être qu’ils ne le feront pas, nous pouvons garder nos doigts croisés pour ça.

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