Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?

11/12/2020 (2020-12-11)

[Source : Sott.net]

[Image : © Chris Gash – New York Times]

[Auteur :] Mike Whitney — Unz Review

Les nouveaux vaccins contre le Covid vont rapporter des milliards de dollars aux grandes entreprises pharmaceutiques, mais voici ce qu’ils ne feront pas :

  • Les vaccins ne guériront pas le Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les décès dus au Covid.

« Le monde a misé sur les vaccins comme solution à la pandémie, mais les phases de test ne visent pas à répondre aux questions soulevées par beaucoup quant à ce qu’ils sont exactement. »

Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal et professeur adjoint de recherche sur les services de santé pharmaceutiques à l’école de pharmacie de l’université du Maryland

« La différence entre le génie et la stupidité, c’est que le génie a ses limites. »

Albert Einstein

Maintenant, je sais ce que vous pensez. Vous vous dites : « Si le vaccin ne m’empêche pas d’attraper le Covid, ou de mourir du Covid, alors pourquoi devrais-je me le faire injecter ? »

Et la réponse est : Vous ne devriez pas. Cela n’a aucun sens, surtout si l’on considère que les nouveaux vaccins présentent des risques considérables pour la santé et le bien-être de chacun.

Et vous vous dites : « Des risques ? Personne n’a parlé de risques. Je pensais que ce merveilleux nouveau remède anti-Covid était entièrement sans risque ; il suffit de se le faire injecter et — illico presto — la vie redevient normale. »

Faux. Les risques existent, des risques importants, que les médias et l’establishment médical ont dissimulés avec leurs ridicules discours enthousiastes sur les vaccins « miracles ». Mais tout cela n’est qu’un battage publicitaire destiné à tromper les populations pour qu’elles se fassent injecter une substance douteuse qui ne fait PAS ce qu’elle est censée faire et qui présente de graves risques à long terme pour la santé.

Alors, creusons un peu plus cette question des risques et voyons ce que disent les experts. Voici un extrait d’une « Lettre ouverte de : UK Medical Freedom Alliance à : Le Comité mixte sur la vaccination et l’immunisation… pour le Covid-19 au Royaume-Uni » :

« Il est inquiétant de constater que les récents débats parlementaires semblent ne pas accorder suffisamment d’importance à toutes les préoccupations concernant les risques des vaccins et le droit au consentement éclairé, tout en se concentrant uniquement sur les stratégies visant à accroître l’utilisation des vaccins dans la population générale.

Évaluation inadéquate du risque pour la santé publique d’un vaccin Covid

Dans une récente lettre au British Medical Journalle médecin Arvind Joshi a mis en garde contre le désastre qui pourrait résulter de cette politique malavisée et a souligné les risques graves encourus par le public et les autres conséquences désastreuses qui pourraient découler de l’utilisation précipitée d’un vaccin contre le Covid sans que des tests approfondis et adéquats aient été effectués quant à leur innocuité et leur efficacité :

« Des effets indésirables tels que la panencéphalite sclérosante subaiguë, la polynévrite ascendante, les myopathies, les maladies auto-immunes et la possibilité plus rare de déclencher le développement de malignités sont les possibilités les plus redoutées. […] La ruée vers les vaccins ne devrait pas conduire au désastre. »

Note : une liste plus complète des potentielles « conséquences désastreuses » est disponible dans le lien de l’article en anglais ci-dessus.

« Les vaccins à base de vecteurs viraux et les vaccins génétiquement modifiés pourraient subir une recombinaison ou une hybridation avec des résultats imprévisibles… Les tentatives précédentes de développer des vaccins contre les coronavirus et d’autres vaccins, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial – NdT] et la dengue, ont été entravées par le problème de « l’immunité renforcée liée aux anticorps », qui a conduit à des maladies graves et à des décès chez les animaux et les sujets humains participant aux essais[28]. Ce phénomène n’apparaît qu’après la vaccination, lorsque le sujet est exposé au virus naturel à un moment donné dans le futur. Il est inquiétant de constater que les essais du vaccin anti-Covid n’ont pas été menés de manière à exclure la possibilité que cette grave séquelle se produise des mois ou des années après la vaccination…

Les effets indésirables tardifs du vaccin, tels que la panencéphalite sclérosante subaiguë, la polynévrite ascendante, les myopathies, les maladies auto-immunes, la stérilité et les cancers, ne peuvent être exclus des essais de courte durée. »

Tout cela est très technique, mais la vérité est évidente : se faire injecter le vaccin anti-Covid comporte de sérieux risques. La plupart des personnes vaccinées ne ressentiront que des douleurs mineures, mais certaines seront sans aucun doute très malades et leur santé en souffrira de façon permanente. Personne n’en est vraiment sûr, car il n’y a pas eu d’essais à long terme. Le vaccin anti-Covid a fait l’objet, dès le premier jour, d’une procédure accélérée. La question est donc la suivante : « Les avantages l’emportent-ils sur les risques ? » Il se trouve que, dans le cas présent, ce n’est clairement pas le cas. Les risques de tomber gravement malade ou de mourir à cause du Covid sont très faibles — le taux de survie est de 1 sur 400 — alors que les effets indésirables — potentiels — du vaccin sont eux décrits ci-dessus. Pourquoi devrait-on jouer à la roulette russe avec un vaccin qui n’empêche pas de contracter le Covid, ne protège pas contre l’hospitalisation et n’empêche pas de mourir ? Ce n’est tout simplement pas un bon compromis. Voici d’autres extraits d’un article paru dans le magazine Forbes :

« La prévention de l’infection devrait constituer le but primordial… Mais la prévention de l’infection n’est un critère de succès pour aucun de ces vaccins. En fait, leurs buts à tous requièrent des infections préalablement confirmées… puisque leurs vaccins ne sont pas censés prévenir l’infection, mais seulement modifier les symptômes des personnes infectées.

En cas d’infection, nous attendons tous d’un vaccin efficace qu’il protège d’une maladie grave. Trois des protocoles de vaccination [Moderna, Pfizer et AstraZeneca – NdT] n’exigent pas de leur vaccin qu’il protège d’une maladie grave, mais seulement qu’il empêche des symptômes modérés pouvant être aussi bénins que la toux ou les maux de tête… »

Note du traducteur : nous avons déjà partiellement traduit ce passage de Forbes — ainsi que celui qui suit — dans notre Focus qui y fait également référence : « Les critères de référence des tests des vaccins anti-Covid sont truqués et les effets secondaires sont désastreux ».

Comprenez-vous ce qui se passe ? La « prévention » n’est même pas un objectif premier. La norme de réussite dans ces essais est de savoir si le vaccin atténue les symptômes du Covid chez les personnes qui sont testées positives. Mais qui se soucie des symptômes ? Ce qui intéresse les gens, c’est la mort. C’est la raison pour laquelle [une partie] du public est si désireuse de se faire vacciner, dans l’espoir d’échapper à la mort.

C’est un point critique, et l’un de ceux qui mérite que l’on y réfléchisse sérieusement.

Pourquoi ?

Parce qu’il permet d’illustrer à quel point la campagne de vaccination est construite sur une base de mensonges et de tromperie. Par exemple, lorsque les sociétés pharmaceutiques se vantent que leur produit est « efficace à 95 % », cela ne signifie PAS que — si vous vous faites vacciner — vous serez immunisé contre le Covid. Cela ne signifie même pas que vous ne tomberez pas gravement malade et que vous ne mourrez pas. Cela signifie simplement que le vaccin a réduit les symptômes de certaines des personnes testées positives.

Le saviez-vous ?

Bien sûr, vous ne le saviez pas. Vous pensiez qu’en vous faisant vacciner vous seriez protégé contre le Covid, parce que c’est l’hypothèse logique que tout le monde ferait. La plupart des gens assimilent les vaccins à l’immunité. Les compagnies pharmaceutiques le savent, c’est pourquoi elles exploitent leur ignorance et obscurcissent délibérément la vérité. Elles veulent que les populations continuent à croire que la vaccination constitue un bouclier protecteur qui les sauvera de la maladie et de la mort. Mais ce n’est pas le cas. C’est un ramassis de balivernes.

En fin de compte, l’« efficacité » d’un vaccin ne se mesure pas en termes de « prévention de l’infection ». Elle est liée à l’impact du vaccin sur les symptômes. Voici d’autres informations issues de l’article paru dans le magazine Forbes :

« L’une des questions les plus immédiates auxquelles un essai doit répondre est de savoir si un vaccin prévient l’infection. Si une personne prend ce vaccin, a-t-elle beaucoup moins de chances d’être infectée par le virus ? Ces essais sont tous clairement axés sur l’élimination des symptômes du Covid-19, et non sur les infections elles-mêmes…

Il s’avère que toutes les entreprises pharmaceutiques partent du principe que le vaccin n’empêchera jamais l’infection. Leur critère d’approbation est la différence de symptômes entre un groupe contrôle [ou témoin – NdT] infecté et un groupe infecté qui reçoit le vaccin.

Pour les millions de personnes âgées et celles souffrant de maladies préexistantes, la question est de savoir si ces essais testent la capacité du vaccin à prévenir les maladies graves et la mort. Une fois de plus, nous constatons que dans ces tests, la maladie grave et la mort ne sont que des objectifs secondaires. Aucun d’entre eux ne mentionne la prévention des décès et des hospitalisations comme un obstacle d’une importance capitale…

Ces protocoles ne mettent pas l’accent sur les ramifications les plus importantes du Covid-19 dont les personnes cherchent le plus à se prémunir : l’infection globale, l’hospitalisation et la mort. Cela dépasse l’entendement et défie le bon sens que le National Institute of Health, le Center for Disease Control, le National Institute of Allergy and Infectious Disease et les autres organismes envisagent l’approbation d’un vaccin qui serait distribué à des centaines de millions de personnes sur des bases aussi minces.

Il s’avère que ces essais sont intentionnellement conçus pour être couronnés de succès. »

L’auteur a raison, n’est-ce pas ? Si le vaccin n’empêche pas l’infection, il ne sert à rien. Point final. Et pourtant, toutes ces institutions grandiloquentes sont d’accord avec cette farce. C’est une honte. Nous ne parlons même pas de « faible seuil » en matière de réussite vaccinale. Il n’y a « pas de seuil du tout ». Si les gens sont préoccupés par les symptômes, ils feraient mieux de prendre une aspirine [de la Vitamine C – NdT] et d’en rester là. Il n’est pas nécessaire de se faire injecter un cocktail hybride dont personne n’a la moindre idée des effets à long terme. Ce serait tout simplement très imprudent.

Comme nous l’avons dit plus tôt, les vrais problèmes sont habilement dissimulés par ceux qui, pour inciter les populations à coopérer, font miroiter l’absurdité d’une « efficacité à 95 % ». C’est d’une malhonnêteté flagrante.

Et voici une autre chose à laquelle il faut réfléchir : Que savons-nous vraiment de ces vaccins miraculeux qui sont censés nous sortir de notre « crise de santé publique » ?

Pas grand chose. Nous savons qu’ils sont lancés sur le marché à toute vitesse. Nous savons qu’ils ont été retardés pour des raisons politiques. Nous savons que la science est façonnée par la politique. Nous savons que le développement de vaccins prend généralement dix ans, que le développement « précipité » de vaccins prend trois ans, et que le prochain lot de vaccins douteux aura pris environ huit mois.

Huit mois !

Trouvez-vous cela rassurant ? Cela vous donne-t-il envie de vous frayer un chemin jusqu’au premier rang de la file d’attente en retroussant votre manche quand la « Journée vaccinale » viendra ? Et êtes-vous surpris qu’un grand nombre de professionnels de la santé aient décidé de ne pas se faire vacciner avant au moins un an ?

Et voici une autre chose : les géants pharmaceutiques ne savent même pas si leurs vaccins vont arrêter la transmission ou non. Je ne plaisante pas, ils ne le savent vraiment pas. Par conséquent, outre le fait que le vaccin ne confère pas d’immunité, il n’arrêtera pas la propagation de l’infection, ce qui signifie que la pandémie va se poursuivre.

Note du traducteur : Et il y aura plus de malades — certains induits par ces vaccins anti-Covid — et donc plus de confinements, plus de distanciation sociale, plus de fermetures de commerces et d'entreprises, plus de faillites, plus de morts, plus de suicides, plus de violence, plus de contrôle super-étatique, plus de Hold-Up sur nos vies et nos libertés, plus de passeport d'immunité pour voyager, travailler, vivre, voire des internements forcés dans des camps, etc. Bienvenue dans 1984Le meilleur des mondes et Le Travailleur, tout ça mélangé à la sauce Nouvel Ordre mondial.

Ne pensez-vous pas que le public a le droit de savoir cela ?

Et n’oublions pas que ces soi-disant « vaccins » ne correspondent pas du tout à la définition traditionnelle du vaccin. Le CDC définit un vaccin comme suit :

« Un produit qui stimule le système immunitaire d’une personne afin qu’il produise une immunité contre une maladie spécifique, protégeant ainsi la personne contre cette maladie. »

Et le CDC définit l’« immunisation » comme suit :

« Un processus par lequel une personne devient protégée contre une maladie par la vaccination. Ce terme est souvent utilisé de manière interchangeable avec la vaccination ou l’inoculation. »

Il se trouve que nous avons déjà montré que les nouveaux vaccins ne procurent pas nécessairement une immunité. La question est donc de savoir s’ils « stimulent réellement le système immunitaire » d’une personneou si le surnom de « vaccin » a simplement été conservé comme outil marketing pour tromper le public. Voici quelques éléments de contexte tirés d’un article paru sur RT :

« Le type de vaccin développé contre le Covid-19 n’a jamais été utilisé auparavant, en dehors d’Ebola. Certaines personnes estiment qu’il ne faut pas vraiment les appeler des vaccins, car ils sont complètement différents de tout ce qui a été fait auparavant.

Jusqu’à présent, la vaccination consistait à injecter un virus mort — ou une bactérie — , ou un virus affaibli qui ne peut se répliquer que difficilement, ou des parties d’un virus, ou d’autres éléments similaires. Une fois à l’intérieur du corps, le système immunitaire repère cette entité étrangère et y réagit en créant une réponse qui, avec un peu de chance, sera mémorisée pour des années. Lors de l’apparition suivante du virus dangereux, le corps utilisera la mémoire immunitaire d’une substance très similaire à même d’éliminer le virus — ou la bactérie — et de le faire suffisamment rapidement pour lui ôter toute possibilité de provoquer des dommages.

Nous disposons à présent d’une chose appelée vaccin à ARN messager (ARNm). L’ARN est, en fait, un simple brin d’ADN — la double hélice qui se trouve à l’intérieur de nos cellules et qui constitue notre code génétique. De nombreux virus sont constitués d’un seul brin d’ARN, entouré d’une sphère protéique. Ils entrent dans la cellule, prennent le contrôle des systèmes de réplication, font des milliers de copies d’eux-mêmes, puis sortent de la cellule. Parfois ils tuent la cellule au fur et à mesure, parfois ils en sortent plus doucement. Le Sras-Cov2 du Covid-19 est un virus à ARN.

Plutôt que d’essayer de créer un virus affaibli, ce qui peut prendre des années, ou de briser le virus en morceaux, les chercheurs ont en toute connaissance de ce qui précède décidé d’utiliser l’ARN du Sras-Cov2 contre lui-même. Pour ce faire, ils ont isolé la section de l’ARN qui code pour la protéine « Spike » — la « clé » utilisée par le virus pour entrer dans les cellules…

Ces protéines « Spike » quittent ensuite la cellule — d’une manière ou d’une autre, ce point n’est pas clair. Le système immunitaire les rencontre, les reconnaît comme entités étrangères et lance l’offensive. Ce faisant, des anticorps sont créés et la mémoire du système de immunitaire entre en action. Si, plus tard, un virus de type Sras-Cov2 pénètre dans l’organisme, le système immunitaire s’active et lance l’offensive contre la protéine « Spike » qu’il a mémorisée. Avec un peu de chance, il tuera le virus dans sa totalité. »

Tout cela est très compliqué et avant-gardiste, mais ce qui est clair, c’est que l’« ARN messager » et la « protéine Spike » sont très éloignés du traditionnel virus mort [ou « inactivé » – NdT] utilisé depuis des décennies.

Il est difficile de comprendre pourquoi les compagnies pharmaceutiques ont décidé de réinventer la roue en essayant de trouver un antidote au Covid. Comme l’ont souligné dans leur lettre les chercheurs de la Medical Freedom Alliance, cette nouvelle technologie de pointe présente néanmoins des inconvénients. Voici ce qu’ils en ont dit dans leur Lettre ouverte de : UK Medical Freedom Alliance à : Le Comité mixte sur la vaccination et l’immunisation… pour le Covid-19 au Royaume-Uni :

« Plusieurs vaccins anti-Covid impliquent l’utilisation d’une technologie totalement nouvelle — la vaccination par ARNm — dont l’utilisation à grande échelle chez des sujets humains sains est sans précédent et dont les effets à long terme sont inconnus. L’ARNm exogène est intrinsèquement immunostimulateur, et cette caractéristique de l’ARNm pourrait être bénéfique ou nuisible. En outre, une étude a mis en évidence des preuves de mimétisme moléculaire…

Note du traducteur : L'auteur inclut à nouveau un des paragraphes déjà présents plus haut :

« Les vaccins à base de vecteurs viraux et les vaccins génétiquement modifiés pourraient subir une recombinaison ou une hybridation avec des résultats imprévisibles… Les tentatives précédentes de développer des vaccins contre les coronavirus et d’autres vaccins, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial – NdT] et la dengue, ont été entravées par le problème de « l’immunité renforcée liée aux anticorps », qui a conduit à des maladies graves et à des décès chez les animaux et les sujets humains participant aux essais[28]. Ce phénomène n’apparaît qu’après la vaccination, lorsque le sujet est exposé au virus naturel à un moment donné dans le futur. Il est inquiétant de constater que les essais du vaccin anti-Covid n’ont pas été menés de manière à exclure la possibilité que cette grave séquelle se produise des mois ou des années après la vaccination… »

Le fait est que les effets de l’injection d’une concoction hybride dans le corps d’une personne peuvent être très graves. Nous ne savons tout simplement pas quels seront les effets à long terme, et nous ne le saurons probablement pas parce que le vaccin va être rapidement distribué avant que ces essais puissent être effectués. S’il s’agit de lutter contre le virus ce n’est pas une stratégie judicieuse. Elle est inutilement risquée, voire mortelle. Voici un extrait issu d’un article intitulé « Les vaccins anti-Covid-19 à ARNm pourraient-ils être à long terme dangereux ? » paru dans le Jerusalem Post, dans lequel Tal Brosh, chef de l’unité des maladies infectieuses à l’hôpital Samson Assuta Ashdo, déclare :

« Une course à la vaccination du public est en cours, nous sommes donc prêts à prendre plus de risques. Nous ne disposerons d’un profil connu d’innocuité que pour un certain nombre de mois, donc si un effet à long terme existe après deux ans, nous ne pouvons pas le savoir. Nous pourrions attendre deux ans pour les découvrir, mais alors nous aurions à faire face au coronavirus pour deux années supplémentaires. »

L’article précise que

Brosh a reconnu qu’il existe des risques uniques et inconnus pour les vaccins à ARN messager, notamment des réactions inflammatoires locales et systémiques qui pourraient conduire à des maladies auto-immunes… Un article publié par le National Center for Biotechnology Information, une division des National Institutes of Health, a déclaré que les autres risques comprennent la biodistribution et la persistance de l’expression immunogène induite ; le développement possible d’anticorps auto-réactifs ; et les effets toxiques de tout nucléotide non natif et des composants du dispositif d’administration…

Michal Linial, professeur de chimie biologique à l’université hébraïque de Jérusalem, a exprimé des sentiments similaires :

« Les vaccins classiques ont été conçus pour être développés en 10 ans. Je ne pense pas que le monde puisse attendre un vaccin classique. »

[…] Mais lorsqu’on lui a demandé si elle accepterait de prendre le vaccin tout de suite, elle a répondu :

« Je ne le prendrai pas immédiatement — probablement pas avant au moins l’année prochaine. Nous devons attendre et voir si cela fonctionne vraiment. »

Super ! Donc le « professeur de chimie biologique » ne se fera pas injecter le vaccin, mais les gens ordinaires comme vous et moi devrions le faire ?

Un peu de sérieux. La réticence du professeur Linial est un aveu tacite que le vaccin n’est pas sans danger. Qu’est-ce que cela pourrait signifier d’autre ? Voici d’autres informations tirées du même article :

« Pour obtenir l’approbation de la FDA, les fabricants devront prouver que l’injection de ces vaccins n’a pas d’effets négatifs sur la santé, immédiats ou à court terme. Mais lorsque le monde commencera à recevoir ces vaccins totalement nouveaux et révolutionnaires, il ne saura pratiquement rien de leurs effets à long terme. »

Eh bien, c’est tout simplement génial. Nous savons que les vaccins n’empêcheront pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort. Nous savons également qu’ils sont « complètement différents de tout ce qui a été fait auparavant ». Nous savons aussi qu’ils n’arrêteront pas la transmission et que leur innocuité à long terme est très douteuse. Malgré cela, nos dirigeants — qui nous mentent sur pratiquement tout — nous veulent au garde-à-vous et soumis à une injection vaccinale qu’on la veuille ou pas.

À mon avis, les risques de la vaccination dépassent de loin les avantages. Je préfère faire confiance à mon propre système auto-immunitaire — et aux nouveaux traitements, médicaments et thérapies — plutôt que d’être le cobaye de la sinistre expérience de laboratoire [« grandeur nature » – NdT] de Big Pharma.

« Merci, mais non merci. »

Source de l'article initialement publié en anglais le 28 novembre 2020 : TheUnz Review
Traduction : Sott.net

Alors, à quoi ce vaccin sert-il ?

Quelques articles pour un début de réponse :

Par ailleurs, la FDA a émis dans sa Présentation de la réunion de la commission du 22 octobre 2020, un avis sur les vaccins et produits biologiques connexes, ***Sous réserve de modifications***. Pour ce qui concerne la surveillance de l’innocuité des vaccins Covid-19, le rapport de la FDA liste — dans une ébauche — la survenue possible d’effets indésirables, dont la mort ; cette liste se trouve à la page 16 dudit rapport :

  • Syndrome de Guillain-Barré ;
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée ;
  • Myélite transverse ;
  • Encéphalite / Myélite / Encéphalomyélite / Méningo-encéphalite / Méningite / Encéphalopathie ;
  • Convulsions / Crises ;
  • AVC ;
  • Narcolepsie et cataplexie ;
  • Anaphylaxie ;
  • Infarctus aigu du myocarde ;
  • Myocardite / Péricardite ;
  • Maladie auto-immune ;
  • Décès ;
  • Fausse couche ;
  • Autres maladies démyélinisantes aiguës ;
  • Réactions allergiques non anaphylactiques ;
  • Thrombocytopénie ;
  • Coagulation intra-vasculaire disséminée ;
  • Thrombo-embolie veineuse ;
  • Arthrite et arthralgie / Douleurs articulaires ;
  • Maladie de Kawasaki ;
  • Syndrome inflammatoire multi-systémique chez les enfants ;
  • Maladie renforcée par le vaccin.
© FDA

Voir aussi la mise en garde du Professeur Perronne :

« Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.


[Voir aussi :

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