14/03/2022 (2022-03-14)
Par Nicole Delépine
BAS LES MASQUES ! 1
« Il est temps de retirer définitivement les masques à ces jeunes (pour les plus petits, l’urgence est absolue et la maltraitance avérée), et ce indépendamment de la petite musique qui retentit depuis quelques jours et laisse entrevoir une recrudescence des cas. La mécanique de peur est désormais bien rodée. »
Certains directeurs d’école se prendraient-ils pour des médecins ? Pourtant si les médecins se prennent parfois pour Dieu, ils ne se prennent jamais pour des directeurs d’école.
Les enseignants, les familles et tous ceux qui s’occupent d’enfants ont un grand rôle à jouer dans cette période de transition en rassurant les élèves, en leur expliquant que l’épidémie (le risque de maladies graves) est terminée, d’autant qu’il existe des traitements précoces et très efficaces pour leurs parents et grands-parents si un nouveau virus apparaissait. Eux ne risquent vraiment rien.
Comme chacun est différent, chaque enfant a vécu de façon diverse ces deux ans de peur effrénée entretenue en permanence par les médias et aura donc des réactions variées à cette décision d’enlever le masque.
D’autant qu’une nouvelle fois le ministre a rendu la chose complexe et discriminante. Invraisemblable mauvaise foi ou ignorance ? Selon que vous aurez porté le masque à l’école, la découverte d’un cas2 dans la classe, la mesure sera différente.
« Nouvelles mesures sanitaires à l’école, applicables dès le 14 mars
Le port du masque n’est plus obligatoire, mais :
Tous les élèves (non masqués), ainsi que le personnel encadrant, seront désormais cas contact si un camarade est contaminé dans la classe !!!!
— En primaire, les élèves désignés cas contact n’auront pas à s’isoler, mais ils devront réaliser un autotest à J+2, qu’ils soient vaccinés ou non.
— Au collège et au lycée, les cas contacts non vaccinés devront s’isoler 7 jours et réaliser un test de dépistage PCR ou antigénique avant de retourner en classe.
Pour ces cas contacts, le ministère recommande “fortement le port du masque en intérieur pendant 7 jours” !!
Les élèves vaccinés resteront en cours et devront s’autotester à J+2. »3
DISCRIMINATION INJUSTIFIÉE ET ABERRANTE
Dans un pays où depuis 40 ans on bannit officiellement toute discrimination, en multipliant les procès contre tous ceux qui auraient utilisé une expression malheureuse, on discrimine depuis plusieurs mois les citoyens en fonction de leur statut vaccinal et maintenant du port ou non du masque et pire encore de leurs origines russes. Où est passé l’enseignement des Lumières ?
TRAUMA POST-TRAUMATIQUE CHRONIQUE ET MODIFICATION DES MESURES
De fait il faut protéger les enfants des conséquences du stress post-traumatique chronique depuis deux ans et par le port du masque durant plusieurs mois. Des décisions brutales pourraient en braquer certains et il faudra donc comme pour tout traitement en médecine (normale !) adapter les soins au cas précis de chaque enfant, adolescent et adulte en fonction de son environnement et de son vécu direct.
La psychologue Yohanna partage une vidéo que je vous invite à écouter tant pour le diagnostic des troubles que peuvent présenter les enfants après ces deux ans, mais aussi des conseils judicieux qu’elle donne à chacun pour favoriser son retour à la vie « normale » sans aggraver le traumatisme.
« Anxiété chez les enfants. Après de fortes pressions et une culpabilisation permanente, plus de masque… Incompréhensible pour eux… »
N’aggravons pas la situation en voulant aller vite. On ne soigne pas un cancer en quelques jours et nos petits ont été victimes d’un cancer social dont il faudra supprimer les stigmates en douceur.
LE MASQUE INUTILE ET TOXIQUE
Au-delà des précautions indispensables au renoncement au masque, pour des raisons psychiatriques ou au minimum psychologiques, il est nécessaire de donner aux enseignants ou à tout citoyen des informations sur les avantages prétendus, les risques et inconvénients du masque, s’ils n’ont pas eu l’occasion ou le désir d’analyser les faits avérés.
Ce port généralisé du masque est bien démontré comme étant inutile contre un virus, mais pire encore toxique sur de nombreux points que nous devons répéter une nouvelle fois !
Enseigner, c’est répéter et cela doit s’appliquer aux enseignants. Nous allons donc répéter puisqu’il le faut.
Mais comment imaginer qu’en deux ans ils n’aient pas eu la curiosité de lire les nombreux articles démontrant l’inutilité et la toxicité du masque dénoncées tant par les médecins pédiatres et ORL, que les orthophonistes, les infirmières et nurses qui s’occupent quotidiennement des enfants et dans tous les pays.
Comment comprendre que des proviseurs, voire des professeurs, se transforment en médecins de plateau ou en infirmiers et/ou médecins scolaires ? L’exercice de la « médecine » qu’on pourrait quasiment ici qualifier d’illégal est devenu général pendant la crise du Covid avec des journalistes, des citoyens, des politiques devenus « grands spécialistes » du virus Sars cov2, avec toutes les conséquences catastrophiques que l’on sait (les mêmes sont aujourd’hui spécialistes chevronnés de géopolitique…).
REVENIR AUX FAITS AVÉRÉS
Après deux ans, il serait nécessaire que la raison surmonte l’émotion, et que les décisions, les conseils, les avis ne relèvent plus de la peur entretenue par une propagande mensongère ni de l’émotion qu’elle suscite, mais bien des faits avérés, et en matière de masque on n’en manque pas.
De tous les coins de France les mêmes témoignages, les enfants n’osent pas enlever cette muselière qu’ils croient protecteurs après le bourrage de crâne subi, y compris en milieu scolaire.
D’un lycée agricole du sud de la France à un collège de Franche-Comté ou un cours privé lillois, le récit est toujours le même. Les élèves encouragés par les enseignants « croient » au talisman, au grigri imposé par le pouvoir pour les conditionner à accepter la piqûre qui aurait dû les libérer. Alors qu’on devrait en discuter, expliquer.
Mais, miracle de l’intoxication médiatique, même injecté trois fois par ces médicaments expérimentaux prétendus efficaces à 97 %, il faudrait garder la muselière. Le bon sens a manifestement été réduit à zéro pendant cette pseudo pandémie, car les arguments inverses tombent, la pression continue et les gens se soumettent, y compris les jeunes.
Des réactions positives d’enseignants malheureusement trop rares à s’exprimer
Certains néanmoins ont ouvert les yeux, il y a plus ou moins longtemps, forts d’expériences antérieures comparables dans d’autres circonstances.
Une enseignante tente de partager sa joie avec ses élèves.
« La libération arrive, nous allons nous voir, lire vos émotions, vos ressentis sur votre visage, vous reconnaître enfin dans la rue. J’ai très hâte d’être lundi prochain, je vais enfin découvrir vos visages, et vous rencontrer pour de vrai ! »
Réponse de certains :
« Nous, nous allons garder notre masque de toute façon !
— Quoi ? Ne me dites pas que vous aimez porter un masque ?
— Non, mais on ne sait jamais, vaut mieux qu’on reste protégés ! »
Entendre dans la bouche d’adolescents de 14 -15 ans ce type de réponse est très inquiétant. Qui leur a incrusté dans la tête qu’ils couraient un risque et qu’avec un masque ils seraient protégés ?
L’adolescence a-t-elle cessé d’être l’âge de la révolte, de l’opposition aux parents, mais aussi aux règles en cours. De quoi cette soumission au masque, aux injections, aux privations inutiles est-elle le signe ? Les confinements suivis des couvre-feux alternés les ont — ils plongés pour une large proportion dans une dépression dont les psychiatres nous révèlent la fréquence, en particulier par l’engorgement des services ad hoc, mais des suicides devenus fréquents y compris chez les moins de neuf ans.
« Mais enfin ! vous êtes immunisés maintenant ! Et puis sincèrement, vous ne craignez rien, vous le savez ? — Oui, mais on préfère le garder, c’est tout. »
LE SILENCE, le repli sur soi une des conséquences prévisibles du stress post-traumatique qu’il faut reconnaître.
Cerise sur le gâteau :
« la prof principale nous a dit tout à l’heure que si on voulait le garder, on avait le droit, que ça restait recommandé. On a compté et on sera la moitié de la classe à continuer de le porter lundi. »
Qu’ils aient le droit, pourquoi pas, ils ont été tellement traumatisés par les fausses informations, les incitations, etc..
MAIS QUE LA PROF PRINCIPALE SE PERMETTE DE RECOMMANDER CE MASQUE MALGRÉ SON INEFFICACITÉ ET SES DANGERS EST INSUPPORTABLE. Elle devrait tenter au moins de comprendre et d’expliquer les évolutions de la situation.
Pédiatre cancérologue et ancienne chargée de cours à l’université, si demain je me permettais d’expliquer à ce professeur comment organiser son cours, aborder ses élèves, faire régner la discipline dans sa classe, etc., qu’en dirait-elle ? Occupez-vous de ce que vous connaissez et qui vous regarde, Madame.
Mais elle peut décider de ce qui est bien ou non en matière de masque et surtout de façon péremptoire, sans explication. Invraisemblable ingérence dans un domaine qu’elle ne domine pas.
La mathématicienne karen Brandin a tenté de réveiller les enseignants toujours murés dans un silence intersidéral :
« J’avais cru comprendre et osé me réjouir qu’il y aurait dès le lundi 14 mars 2022 une levée complète et sans condition des mesures dites sanitaires, lycées compris, mais France-Info a eu tôt fait jeudi matin de doucher cet espoir un peu naïf sans doute en rappelant qu’un nouveau protocole sanitaire sera présenté par Jean-Michel Blanquer en fin de semaine. Sous pression de qui ? Non pas du virus, maître pourtant incontesté des horloges comme on le sait désormais, mais des enseignants ou plutôt, de leurs syndicats dits majoritaires. Et la précision est importante. Nous avons entendu ces représentants dûment interrogés s’inquiéter comme un seul homme, de la rapidité (quelle rapidité ? On pense à une plaisanterie deux ans plus tard) de la levée des restrictions dans le cadre des établissements scolaires qu’ils estiment insuffisamment sécurisés. Les requêtes présentées sont que les enseignants qui le souhaitent puissent rester masqués indépendamment de l’enseignement dégradé que cela engendre, que des masques FFP2 pourtant terriblement occlusifs, soient fournis aux professeurs qui le désirent, avant de rappeler que ces derniers sont d’ores et déjà inquiets de la future gestion des cas contacts, ce qui n’est pourtant pas dans les attributions de l’enseignant ».4
Heureusement, certains collègues la remercient de dire « tout haut » ce que beaucoup pensent tout bas, notamment vis-à-vis de cette nouvelle dépendance au « capteur rouge ».
Car oui la grande revendication des enseignants serait de mettre des capteurs d’air dans les écoles. Savoir ouvrir les fenêtres n’est donc plus évident pour les humains du XXIe siècle.
Mais ailleurs dans une ville de Bretagne, en réunion de professeurs :
« Xa avait hier une réunion pédagogique et la proviseure leur a fortement conseillé de conserver le masque en cours. De quel droit ? En vertu de quelle autorité ? Je pense que Xa va respecter ce conseil. Le mimétisme est tellement fort et l’ambiance tellement décourageante dans ces salles de profs que… »
BAS LES MASQUES ! Et puisqu’il faut répéter les informations, répétons-les !
Les masques réalisent de fait une torture prolongée des enfants pour rien, puisque les enfants ne risquent rien du COVID et ne contaminent personne ni les enfants ni les adultes.
MASQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS : valse de l’obligation
Les masques inutiles sont devenus obligatoires puis facultatifs.
Le gouvernement a affirmé pendant deux mois qu’ils étaient inutiles et a interdit aux pharmacies d’en vendre et aux policiers d’en porter. S Diaye, le 20 mars 2020 sur l’antenne de RMC, affirmait : « le port du masque n’est pas nécessaire ». Elle nous a même expliqué qu’elle ne saurait le mettre correctement (elle n’avait pas tout à fait tort).
Puis le pouvoir a prétendu qu’ils devenaient indispensables (sans plus d’études randomisées) et il nous a obligés à vivre masqués pendant que tous les médias reprenaient en chœur « Sans masque, pas de salut. Les cas augmentent. Vous serez confinés de nouveau si vous n’êtes pas obéissants ». Puis il a forcé les enfants à se masquer à l’école.
Aucune étude scientifique n’a démontré l’utilité du port du masque obligatoire contre le covid dans la vraie vie
L’article de Yu I.T souvent cité date de 2004, bien avant le covid19 qu’il n’a donc pas pu étudier. Celui de Dyani Lewis parle de « preuve », mais n’en apporte aucune et se contente de formuler des hypothèses sur des éléments biologiques et non médicaux. Celui de Lidia Morawska relate des expériences de laboratoire.
Celui de John A. Lednicky étudie l’air de la chambre d’un patient hospitalisé et détecte des traces de virus, ce qui ne prouve absolument pas qu’un masque pourrait servir de protection.
La notion de « plausible » a justifié d’abîmer des enfants, des nourrissons, mais aussi des ados et étudiants pendant de longs mois
Jayaweera conclue que : « la transmission nosocomiale par des aérosols chargés de virus SARS-CoV-2 en suspension dans les établissements de santé peut être plausible. ». Il émet une hypothèse au conditionnel et en précisant qu’il ne la formule que pour des espaces médicaux !
La seule étude prospective randomisée publiée sur l’efficacité du masque contre le covid 19 (Danmask19)5 n’a pas montré de diminution significative du risque d’infection par le port du masque contrairement à ce qu’espéraient ses promoteurs.
La Suède a laissé ses écoles ouvertes et les enfants les fréquenter sans masques et n’a pas constaté de transmission scolaire par les enfants.67
C’est donc uniquement sur des croyances sans preuve objective ou des simulations biaisées qu’ils nous ont bâillonnés partout et toujours, pour une maladie en voie de disparition en Europe, qu’ils ont sacrifié une génération, des nouveau-nés entourés de figures sans bouche ni nez (de quel animal s’agit-il ?) aux étudiants incapables de décoder les émotions, le langage non verbal de leurs camarades et de développer des relations amoureuses « normales » tellement importantes à ces âges.
« Instinctivement, il manque l’expression de la bouche, des joues, qui permettent de décoder l’émotion exprimée par notre interlocuteur. Avec les masques, la voix perçue est également modifiée. Le son est étouffé. Le timbre et le volume sont altérés par cette barrière non naturelle. En effet, la bouche est un des résonateurs qui permet au son émis de prendre son envol. Les couches de tissus filtrent une partie des paramètres.
La voix étant porteuse d’émotions, une autre partie du langage non verbal est déformée.
Pour s’adapter à ses modifications, il sera alors important d’être plus attentif aux mots exprimés, alors qu’ils ne représentent que 7 % de la transmission d’un message. »8
Le masque ne diminue pas les contaminations. Il n’existe aucune justification médicale à imposer la muselière, quel que soit l’âge.
Les masques laissent passer les virus. Ils sont dangereux, car ils vous renvoient votre CO2, vos germes, vos champignons qu’ils cultivent en atmosphère humide.
Le port du masque a fortement perturbé notre respiration. Bien respirer par le nez pour alimenter notre corps et donc notre bouche en oxygène n’est plus une évidence. Nous sommes passés en respiration buccale, le flux d’air étant insuffisant par des narines couvertes.
Les conséquences néfastes sont nombreuses.9
« L’air n’est plus suffisamment réchauffé et dépoussiéré comme il doit l’être lors du passage normal dans les fosses nasales avant d’arriver aux poumons.
Le sang chaud qui arrive du cerveau n’est plus refroidi au contact de cet air froid. Notre cerveau surchauffe et fatigue.
Nous nous auto-intoxiquons par le gaz carbonique que nous rejetons dans le masque via l’hypercapnie qui entraîne une dépression du système nerveux central, une élévation de la fréquence cardiaque, des sautes d’humeur et de fatigue, des nausées, des vomissements, parfois jusqu’à la perte de conscience.
Comme les symptômes apparaissent plus rapidement avec l’effort physique, le port du masque est fortement déconseillé en courant, à vélo, ou toute autre activité sportive.
La respiration buccale pose de nombreux problèmes, la respiration nasale étant interdite par le masque.
Conséquences :
abolition du rôle du nez dans le filtrage des virus et bactéries, sécheresse buccale, halitose (mauvaises odeurs) et caries, dysharmonie du développement de la mâchoire et du visage.
Le nez a pour rôle de retenir grâce à ses “poils” une grande partie des particules nocives contenues dans l’air : poussières, virus, bactéries…. Le fait que la bouche soit ouverte court-circuite le rôle de filtrage préventif du nez. »
Mais de plus « la respiration buccale a un retentissement sur la croissance de la sphère faciale. »
L’impact du masque sur l’intelligibilité de la parole est important10
L’enfant ne connaît pas toujours les termes utilisés, puisqu’il se trouve en plein apprentissage
il impacte de manière non négligeable les apprentissages du langage, de la lecture, la construction des émotions, les comportements des enfants, mais aussi la vue ou encore le développement des fonctions oro-myo-faciales.
L’APPRENTISSAGE DE LA LECTURE FORT PERTURBÉ
« En CP/CE1, au moment du début de la lecture, l’enseignant n’a aucun retour visuel sur la bouche de l’enfant qui est en train de lire des syllabes ou des petits mots et il va lui être difficile de s’apercevoir qu’il a bien dit “ba” et non “da” par exemple et de le corriger. »
La mémorisation grapho-phonémique se fait grâce à cet apprentissage qui est à la fois visuel (forme de la bouche/forme de la lettre), auditif (bruit de la lettre) et kinesthésique (ressenti corporel lors de la prononciation du phonème, sensation corporelle tronquée à cause du masque qui recouvre la bouche).
LE PORT DU MASQUE DIMINUE LE NIVEAU SONORE DE LA VOIX
Autre inconvénient majeur constaté quotidiennement dans les tentatives d’échange avec les commerçants, mais aussi dans les amphithéâtres universitaires et dans les collèges et lycées, il nuit à l’apprentissage, particulièrement à l’âge de celui de la lecture.
Le masque induit une perte de 5 à 10 dB du niveau sonore de la voix
et donc son impact sur l’intelligibilité de la parole est notable, d’autant plus que l’enfant ne connaît pas toujours les termes utilisés puisqu’il se trouve en plein apprentissage. Il doit donc soutenir un effort d’écoute et d’attention plus important.
SITUATION ANXIOGÈNE PERMANENTE
Dans la compréhension du langage oral, interfèrent d’autres paramètres comme la dépression qui impacte l’attention, la mémoire et les fonctions exécutives (planification, flexibilité mentale).
La présence du masque permanent rappelle en continu qu’il existe un danger entretenant la situation anxiogène actuelle, d’où effets pervers par augmentation de l’agitation, baisse de la motivation et de la concentration.
Tous ces effets négatifs ont été décrits dans toutes les tranches d’âge en particulier chez l’adolescent et le jeune adulte en début d’études universitaires : l’augmentation de la tristesse et de l’anxiété, entravant l’apprentissage, l’augmentation des décrochages scolaires allant jusqu’à la phobie scolaire.
TROUBLES ORGANIQUES INDUITS PAR LE MASQUE
Les troubles du sommeil, des conduites alimentaires, du transit, l’énurésie, l’apparition de céphalées, l’augmentation des tentatives de suicide chez les enfants même jeunes ont été repérés rapidement dès le premier confinement et pérennisés et entretenus par les mesures coercitives alternées, les discours contradictoires entraînant de la dissonance cognitive généralisée de l’angoisse, voire de la dépression chez toutes les couches de la société, quel que soit l’âge, des vieillards aux bébés perméables, éponges des adultes qui les entourent.11
Le port du masque impacte également le développement physiologique des enfants
« À un âge où la plasticité cérébrale est propice aux apprentissages, le port du masque en cachant une partie du visage empêche l’enfant d’élaborer des liens entre les mimiques et les émotions. »
LE LANGAGE NON VERBAL
Diminution brutale de la capacité à reconnaître et à classifier les émotions de leurs camarades, diminution des capacités de décodage du langage non verbal, difficulté supplémentaire pour l’enseignant à percevoir et à interpréter les émotions des enfants et par conséquent à ajuster et adapter son discours.
Combien d’enseignants ont — ils avoué ne pas « reconnaitre » leurs élèves après trois mois de cours et de respect scrupuleux de la plus absurde des « prescriptions » des docteurs Macron et Castex ?
Tous ces inconvénients conduisent à des troubles du comportement et à des pathologies psychiques de gravité variable, tant chez les enfants que chez les enseignants.
La sidération et l’hypnose de l’ensemble de la société via un message unique répété mille fois dans la journée par toutes les sources peuvent seulement expliquer que les familles, les enseignants et leurs syndicats aient livré depuis tant de mois les enfants à la destruction mentale, affective, cognitive de toute une génération.
Que dire des enfants plus ou moins mal voyants ?
La buée sur les verres de lunettes ! Problème récurrent dans les supermarchés où les vigiles robotisés n’ont cure de l’impossibilité de garder les lunettes pour voir les prix ou la qualité des produits.
Société soumise et aveuglée, aveugle…
Le port du masque rend difficile le port des lunettes à cause de la buée, et conduit parfois à l’abandon des lunettes, et parfois à la dégradation des troubles visuels existants.
« Le masque implique également une diminution du champ visuel, réel problème pour les enfants qui font des allers-retours incessants entre le plan horizontal où se trouvent leur cahier et le plan vertical du tableau ».
Comment ont été pesés ces drames quotidiens avant l’annonce triomphale d’un retour au masque en primaire par le Premier ministre en début novembre 2021 ? Pourtant les études multiples existent…
LA QUANTITÉ « NÉGLIGEABLE » DES PETITS TROUBLES QUI POURRISSENT LA VIE
Quant aux « petits » troubles, ils sont classés supportables ou négligeables par les adultes soumis, dont beaucoup trop de parents). Irritation cutanée du visage et du menton, devenus rouges, parfois cramoisis. Le muguet buccal,
la gêne respiratoire discrète ou handicapante (les certificats médicaux sont refusés dans les faits), les maux de tête, l’irritation oculaire, voire l’inflammation et l’infection.
Considérés comme négligeables et en tous cas négligés au sens fort du terme, par les membres de la secte covid qui interdisent toute critique des décisions autoritaires des pouvoirs en place.
La critique devient interdite, qualifiée de complotiste et quasi « blasphématoire ».
L’argument du « silence » des enfants sur le port du masque qui ne se plaindraient pas zappe complètement la sidération des enfants et l’impossibilité d’émettre toute critique sans se sentir chassé du groupe, ce qui est particulièrement fondamental chez les jeunes.
Ces « petits inconvénients » entraînent évidemment une plus grande distraction et fatigabilité qui diminuent la concentration.
Le gamin qui ne voit rien, celui qui se gratte en permanence le menton, celui qui n’arrive pas à respirer, mais se fait tancer par son enseignant s’il baisse son masque sous le nez, avec « mots » dans le carnet de correspondance pour les parents, celui dont l’œil le démange, celui qui baisse et remonte son masque vingt fois dans l’heure, etc..
Laissez-les vivre, laissez-les tranquilles, ils sont innocents du covid !
Les enfants ne doivent pas être sacrifiés aux angoisses des adultes qui devraient les protéger au lieu de s’en servir pour se rassurer !
Il faut les laisser évoluer librement tant à l’intérieur qu’à l’extérieur et multiplier les contacts directs, physiques avec leurs amis et camarades afin de se forger une carapace sociale.
L’ordinateur et le portable ne remplacent en aucun cas les parties de foot dehors avec les copains et les « anniversaires », le partage de gâteaux et d’émotions, les bagarres de cour d’école. LAISSEZ-LES VIVRE !
SORTONS DU TOTALITARISME MONDIALISTE QUE NOS DIRIGEANTS TENTENT DE NOUS IMPOSER !
« L’élevage » des enfants à l’instar des régimes totalitaires nazis ou soviétiques commence par l’apprentissage de l’obéissance à n’importe quel ordre fou. Qu’ils soient dressés à obéir sans réfléchir et le pouvoir sera content.
Défendons nos enfants et petits enfants, refusons ces ukases ubuesques et tentons de revenir à la Patrie de Descartes, Voltaire et Rousseau.
⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.
- [1] Les références des articles cités figurent dans le livre « les enfants sacrifiés du covid » paru chez fauves en janvier 2022 par N et G Delépine
Et diaporama Stop aux masques chez les enfants ! inutiles et toxiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) [↩] - [2] N’oublions pas que les « cas » sont repérés par des tests non fiables[↩]
- [3] https://www.francebleu.fr/infos/education/covid-19-les-eleves-non-masques-seront-designes-cas-contacts-selon-le-nouveau-protocole-a-l-ecole-1646911723[↩]
- [4] https://nouveau-monde.ca/lettre-ouverte-aux-enseignants/[↩]
- [5] Henning Bundgaard et al Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersA Randomized Controlled Trial Ann Intern Med. Mar 2021;174(3):335-343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub Nov 18, 2020
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/[↩] - [6] Jonas Vlachosa et al The effects of school closures on SARS-CoV-2 among parents and teachers
https://www.medrxiv.org/content/medrxiv/early/2020/10/14/2020.10.13.20211359.full.pdf[↩] - [7] Open Schools, Covid-19, and Child and Teacher Morbidity in Sweden February 18, 2021
N Engl J Med 2021; 384:669-671DOI: 10.1056/NEJMc2026670
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMc2026670[↩] - [8] Langage non verbal masqué : ce qui change dans nos relations (coachrelax.fr) [↩]
- [9] Un dentiste Baulois interpelle l’Éducation nationale : le port du masque est néfaste pour les enfants ! – Ker news[↩]
- [10] Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! (francesoir.fr)
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/retour-du-masque-a-l-ecole-ca-n-a-pas-de-sens-juge-la-societe-francaise-de-pediatrie-80aaf1c6-3cb0-11ec-b2dd-875829662230
L’appel des orthophonistes contre le retour du masque à l’école primaire » Par Tribune collective 15/11/2021 Figaro vox tribune
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4967384/[↩] - [11] https://www.mediscoop.net/neurologie/index.php?pageID=b645dfcec10643b62270147dd0aad9e1&id_newsletter=15651&liste=0&site_origine=revue_mediser[↩]