COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR

28/06/2021 (2021-06-28)

[Source : ici via profession-gendarme.com]

Par LIUTWIN

Préambule

A priori, tout le monde a aujourd’hui conscience que l’humanité est sur un point d’inflexion. Depuis quelques années, les crises de grande ampleur s’enchaînent : crise sociale, crise politique, crise écologique, crise internationale, crise sanitaire, crise économique, crise bancaire… De plus en plus de personnes se posent des questions sur la direction que prend le monde, sans réussir à mettre de mots sur leur malaise, embrouillés par des réponses contradictoires de notre gouvernement et du Conseil scientifique. À quoi jouent-ils ?

Qui aurait pu imaginer en 2019 qu’on serait tous confinés, qu’il y aurait des couvre-feux, qu’on serait tous obligés de porter un masque, qu’il faudrait une attestation dérogatoire pour aller chercher une baguette de pain, que des policiers armés de fusils d’assauts patrouilleraient dans les parcs et sur les plages pour veiller au respect de ces règles ?

Demandez-vous si on aurait accepté aussi facilement toute cette dictature il y a 5, 10 ou 20 ans et à quoi pourrait bien ressembler le futur au rythme où vont les choses.

Si l’on plonge subitement une grenouille dans de l’eau chaude, elle s’échappe d’un bond ; alors que si on la plonge dans l’eau froide et qu’on porte très progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdit ou s’habitue à la température pour finir ébouillantée.”

Fable de la grenouille.

Cet essai est une synthèse établie par un citoyen suivant l’actualité de près et qui se pose depuis le début de la crise sanitaire beaucoup de questions sur ce que l’avenir nous réserve. Du factuel donc, basé autant que possible sur des sites faisant autorité dans le monde médical et politique et non sur des sites “louches”. Des faits bien réels, vérifiés, analysés et argumentés. Tout est sourcé sur les médias mainstream, qui finissent souvent par dévoiler une partie de la vérité en la noyant sous une masse d’informations et de contradictions. Ce document pourra vous donner une assez bonne idée du niveau de corruption de la société, de la façon dont tourne le monde et de ce qui se met peu à peu en place.

Ouvrez grand votre esprit critique, prenez le temps de lire, d’aller voir les sources lorsque vous avez des doutes ou avez besoin d’éclaircissements. Renseignez-vous de votre côté et faites-vous votre propre opinion. Il se pourrait bien que ce soit de notre avenir et de celui de nos enfants à très court terme dont il est aujourd’hui question.

Et si vous étiez déjà conscient de tout cela, ce document, mis à jour en fonction de l’actualité, pourra toujours vous servir d’aide-mémoire…

Liutwin

Sommaire

  • Les dessous de la crise sanitaire
    • Des hôpitaux à bout de souffle
    • Des facteurs de risque
    • Vraie ou fausse pandémie ?
    • Une faible surmortalité
    • L’escroquerie des tests PCR
    • Au coeur de la manipulation
    • La situation dans les Ehpads
  • Des décisions politiques
    • Une pénurie de masques organisée
    • Le masque “ça ne sert à rien”
    • Les masques et la santé
    • Et chez les enfants ?
    • Le confinement en question
    • Une arme de destruction massive
    • Le faux déconfinement
    • Et ailleurs dans le monde ?
  • Vers un changement sociétal
    • Des commerces non essentiels
    • Un tsunami économique
    • Une société de caste
    • Une dictature sanitaire
    • Des appels à la dénonciation
    • Des gestes barrière antisocials
    • Des recommandations délirantes
  • Le poids de “Big Pharma”
    • Conflits d’intérêt et corruption
    • Obscurantisme moderne
    • La nouvelle inquisition
  • Le $aint Vaccin
    • Des recommandations politiques
    • Objectif thune en Europe de la Santé
    • Un jeu d’apprentis sorciers
    • Premiers retours des cobayes
    • D’inquiétantes corrélations
    • En marche vers un génocide
    • Vers un vaccin obligatoire
    • L’apartheid 2.0
  • Pandémie ou “plan”démie ?
    • De l’origine du virus
    • Une succession de faits troublants
    • Des prédictions étonnamment précises
    • Un incroyable faisceau de coïncidences
    • La “théorie du complot”
  • La manipulation de masse
    • Un peuple sous hypnose
    • La politique de la peur
    • La propagande
    • Les médias
    • La télévision
  • Un monde sous contrôle des oligarques
    • Les GAFAM
    • L’agonie de la démocratie
    • La surveillance numérique
    • La dictature du numérique
    • Vers une dictature mondiale
  • Projections de ce qui nous attend
    • Effondrement économique
    • Fin de nos droits et libertés individuelles
    • Vers un nouvel ordre mondial
    • Réduction de la population mondiale
    • Une lueur d’espoir
  • Annexes
    • Quelques documentaires
    • Contact et liens

Les dessous de la crise sanitaire

Olivier Véran nous rappelait fin octobre 2020 dans un tweet punchlineque le Covid-19, c’est : « 1 malade toutes les 2 sec, 1 hospitalisation toutes les 30 sec, 1 mort toutes les 4 mins ». Ce genre de déclaration, qu’on entend tous les jours depuis le premier confinement, est une méthode de manipulation qui par l’emploi d’une technique hypnotique consiste, en rabachant les chiffres avec des phrases choc, à saturer notre capacité à comprendre le réel. On joue sur l’émotionnel en ne nous donnant pas le temps de comprendre et d’analyser toutes les données. On ne fait plus le lien entre le numérateur (nombre de morts), qui est une donnée concrète, et le dénominateur (nombre de personnes infectées), qui l’est beaucoup moins.

Quelle est la charge virale ? Le taux de mortalité ? Le taux d’incidence ? Les tests sont-ils fiables ? Pourquoi les hôpitaux sont-ils saturés ?

Des hôpitaux à bout de souffle

« Le nombre de malades en réanimation va encore augmenter mécaniquement, quoi qu’on fasse.»1

Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, le 28 octobre 2020.

Donc, le confinement, les couvre-feux et les mesures sanitaires ne servent à rien ? N’y avait-il vraiment rien à faire, comme augmenter le nombre de lits en réanimation ?

Si les cas augmentent, on dit que c’est dû au relâchement des Français qui ne respectent pas les règles sanitaires. Mais, quand les hôpitaux finiront par se vider, on dira que c’est grâce aux mesures sanitaires qui portent leurs fruits. Cherchez l’erreur. C’est comme en matière de sécurité routière où, plutôt que d’avoir une politique de prévention et d’entretien des routes, on préfère tout miser sur les radars. Y aurait-il des intérêts privés derrière ?

1https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-la-deuxieme-vague-pourrait-etre-superieure-a-la-premiere-selon-jerome-salomon_AD-202010280268.html

Les hôpitaux n’ont pas attendu le coronavirus pour être submergés. Ils le sont tous les ans de novembre à mai et cela fait depuis des années que les personnels soignants tirent la sonnette d’alarme, dans l’indifférence et le mépris de la classe dirigeante.

D’après EuroMomo, un réseau de statistiques qui fait référence en matière de surveillance de la mortalité en Europe, L’Espagne et l’Angleterre sont les seuls à avoir connu un pic épidémique comparable à la France. Pour nos voisins germaniques, c’est le calme plein. L’Allemagne et l’Autriche, avec 2 fois plus de lits par habitant qu’en France, n’ont quasiment pas eu de surmortalité cette année.2

Il y a une corrélation évidente entre le nombre de décès et le nombre de lits de soins intensifs par millier d’habitant dans chaque pays.3

2 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps#z-scores-by-country

3 https://www.oecd.org/coronavirus/fr/les-donnees-dechiffrees/capacite-en-lits-de-soins-intensifs

Près de 100.000 lits ont été supprimés entre 1993 et 2018.4

69.000 lits ont été supprimés ces 15 dernières années, dont 3.400 en 2019.5

Sous Sarkozy : -46.500. Sous Hollande : -17.500. Seulement – 4170 pour Macron, mais il ne faut pas lui en vouloir, ses prédécesseurs ne lui ayant laissé que peu de marge de suppression.

En 1980 : 731 lits pour 100.000 habitants. En 2020 : 378 lits pour 100.000 habitants.6

En 40 ans, les capacités d’accueil ont été divisées par deux. C’est ÇA la réalité dans nos hôpitaux, Monsieur Véran.

Pour la Fédération hospitalière de France, le passage au 35 heures aurait profondément désorganisé l’hôpital. Faute de moyens et de candidats, cette réforme n’a en effet pas été suivie d’embauches, aboutissant à une pénurie de personnel dans la plupart des établissements.7

La réforme Bachelot, calant la gestion des hôpitaux sur les entreprises et en transformant les directeurs d’hôpitaux en managers, a fait disparaître la médecine hospitalière au profit d’une médecine mercantile.8

4 https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/06/12/l-hopital-en-quete-du-juste-nombre-de-lits_6042577_3224.html

5 https://www.lesechos.fr/economie-france/social/3400-lits-dhopitaux-ont-ete-supprimes-en-2019-1249859

6 https://donnees.banquemondiale.org/indicator/SH.MED.BEDS.ZS

7 https://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/03/21/20002-20150321ARTFIG00019-comment-les-35h-ont-desorganise-l-hopital.php

8 https://sante.lefigaro.fr/actualite/2009/04/16/9500-reforme-bachelot-denoncee-par-medecins-renommes

La T2A (tarification à l’activité) imposée par l’Union Européenne constitue maintenant le mode de financement unique des établissements publics et privés.9

La commission européenne a fait au moins 63 rappels aux États membres pour qu’ils réduisent leurs dépenses de santé.10 Elle a fait de l’hôpital une “entreprise de production de soins” soumis à la rentabilité au moindre coût.11

La destruction de notre système de santé est VOULUE par l’Union Européenne.

Mise en place en 2004 par Jean Castex, alors Directeur de l’Hospitalisation et de l’Offre de Soins au ministère de la Santé, cette réforme pousse à la fermeture des services de soins et des maternités n’atteignant pas le “seuil de rentabilité”.12 Désormais, selon le ministère de la Santé, le taux idéal d’occupation des lits est de 95 % en médecine et en chirurgie.13

La conséquence de ce mécanisme pervers est que chaque fois que l’activité diminue, en général à la sortie de l’hiver, on supprime des lits vacants. Nos hôpitaux n’ont de ce fait plus aucune résilience pour faire face à des épidémies.

« Il n’est pas possible de réaliser d’importantes économies à court terme sans ralentir considérablement la croissance des dépenses de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié des dépenses publiques. La France s’est fixé des objectifs ambitieux pour 2016 et 2017 afin de limiter la croissance des dépenses de santé. Ces objectifs pourraient être complétés par des efforts supplémentaires visant à identifier des gains d’efficacité sur le moyen à long terme. »14

Recommandation du Conseil de l’UE du 12 juillet 2016.

En 2015, un plan opérationnel sur 3 ans intitulé “Kit de déploiement régional du planOndam à destination des ARS” a été distribué de manière confidentielle aux directeurs des agences régionales de santé. Comportant des tableaux indicateurs de performance, il instaure une logique comptable avec des objectifs d’économie par des restrictions budgétaires.15

La France, mondialement réputée pour son système de santé il n’y a encore pas si longtemps, a été en seulement quelques années reléguée à la 11e place.

9https://solidarites-sante.gouv.fr/professionnels/gerer-un-etablissement-de-sante-medico-social/financement/financement-des-etablissements-de-sante-10795/article/financement-des-etablissements-de-sante

10https://www.humanite.fr/la-commission-europeenne-demande-63-fois-aux-etats-de-reduire-les-depenses-de-sante-denonce-687250

11 https://www.lemonde.fr/societe/article/2006/02/22/la-rentabilite-imposee-a-l-hopital_743923_3224.html

12 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-mysterieuse-t2a-du-docteur-castex-ou-la-chaine-de-demontage-de-lhopital

13https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/hopitaux-la-suppression-des-lits-operee-depuis-les-annees-1990-inquiete-les-professionnels-de-sante_4170777.html

14 https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32016H0818(27)

15 https://www.liberation.fr/societe/2015/03/08/la-logique-comptable-fait-son-lit-a-l-hopital_1216903

Mais où va l’argent du contribuable ?

L’application StopCovid, qui n’a servi strictement à rien, a coûté au contribuable entre

200.000 et 300.000 euros par mois en frais de fonctionnement.16 D’abord présentée comme ayant été réalisée à titre gratuit par des entreprises privées, le coût global a été estimé à 6,5 millions d’euros. Le développement de l’application n’ayant pas fait l’objet d’un appel d’offre, l’association Anticor a porté plainte contre Olivier “Véreux” pour délit de favoritisme.17

20 millions d’euros ont été dépensés en LBD40 et grenades lacrymogènes en 2019 pour se préparer à la révolte sociale.18

2 milliards d’euros de subvention pour aider les organes de propagande de l’État que sont la presse et les médias.19

2, 8 millions d’euros accordés à des spécialistes de la veille sur les réseaux, afin de surveiller le ressenti des Français sur les actions gouvernementales.20

26 millions d’euros ont été dépensés dans des sondages d’opinion rien qu’en octobre, ce qui représente 184% du budget initialement prévu pour le service d’information du gouvernement (SIG) pour l’année 2020.21 Des sondages destinés à la fois à aider le gouvernement à orienter sa politique publique, mais aussi à convaincre les Français d’accepter sa politique.

Dans la nuit du 17 avril 2020, 20 milliards d’euros ont été donnés par le gouvernement à de grandes entreprises polluantes, sans contrepartie écologique ou sociale.22 Rappelons au passage qu’il y a 48.000 morts par an en France à cause de la pollution de l’air.23

15 milliards d’euros d’aides aux entreprises sont débloqués par mois de confinement, qui vont allonger la dette pour des décennies.24

Après avoir été gavé d’argent public par les mesures de soutien dans le cadre de la crise sanitaire, le CAC40 va distribuer 51 milliards d’euros à ses actionnaires en 2021, soit une hausse de 22% de dividendes par rapport à l’an dernier.25

On met un pognon de dingue dans les entreprises, la propagande et la répression.

N’aurait-il pas mieux valu le placer dans une véritable prévention pour les personnes vulnérables et pour l’hôpital public ?

16 https://www.capital.fr/economie-politique/lamere-facture-de-stopcovid-pour-le-contribuable-1371669

17https://www.lefigaro.fr/flash-eco/application-stopcovid-anticor-porte-plainte-a-la-cjr-contre-veran-pour-favoritisme-20210322

18 https://www.agoravox.fr/actualites/article/les-millions-depenses-en-lbd40-et-222749

19https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/coronavirus-le-gouvernement-a-debloque-2-milliards-pour-les-medias-1221356

20https://www.bfmtv.com/tech/le-gouvernement-investit-pres-de-3-millions-d-euros-pour-surveiller-sa-reputation-en-ligne_AN-202104160380.html

21https://www.capital.fr/economie-politique/lappetit-de-sondages-du-gouvernement-epingle-par-une-deputee-1384655 22https://www.franceinter.fr/environnement/20-milliards-d-euros-pour-les-entreprises-strategiques-un-cheque-en-blanc-au-profit-des-pollueurs

23https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2016/impacts-sanitaires-de-la-pollution-de-l-air-en-france-nouvelles-donnees-et-perspectives

24https://www.ladepeche.fr/2020/10/29/aides-economiques-aux-entreprises-15-milliards-deuros-finances-par-letat-par-mois-de-confinement-9171505.php

25https://www.liberation.fr/economie/pour-les-actionnaires-du-cac-40-cest-le-jackpot-20210427_TZT64XHT3VAPXIQCR3W5RLFTYI

Les services de Santé publique ne manquent en fait pas de moyens, la France étant le pays d’Europe où les dépenses de santé sont les plus élevées, mais ils sont étouffés par une bureaucratie inefficace et très coûteuse.26 Ce ne sont ainsi pas moins de 405.600 personnes, soit 34% du personnel hospitalier, qui vaquent à des occupations autres que médicales.27

26 https://www.francetvinfo.fr/sante/sante-publique-labureaucratiepointee-du-doigt_4359685.html

27 https://theconversation.com/fact-check-y-a-t-il-trop-de-postes-administratifs-dans-les-hopitaux-137615

Malgré la promesse d’un plan massif pour l’hôpital28, le dogme de la suppression de lits a continué en 2020, en pleine crise sanitaire !29

« Rien n’a changé. Les projets se poursuivent comme avant, alors que la crise a bien montré que ce n’était plus possible. »

Christophe Prudhomme, de la CGT Santé.30

Les dirigeants de l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) ont indiqué lors d’une conférence de presse avoir décidé un « arrêt temporaire » des urgences de l’Hôtel-Dieu pour ouvrir des lits de soins critiques dans un établissement voisin, une décision qui ne fait pas l’unanimité chez le personnel soignant.31 À la manifestation contre la fermeture des urgences de l’hôpital Hôtel-Dieu, les forces de l’ordre ont relevé les identités des manifestants et annoncé des verbalisations pour leur rassemblement.32 En marge de la manifestation du 17 juin 2020, une infirmière asthmatique a été violemment interpellée par les forces de l’ordre.33

Un projet gouvernemental d’un “coût exorbitant” vise, sous l’influence de lobbys, à réorganiser le secteur de la psychiatrie avec une nouvelle approche fondée sur les neurosciences. Le concept ? La déshumanisation par l’intelligence artificielle, qui établit un bilan neurophysiologique approfondi, en ayant recours aux IRM et à des algorithmes. Le patient est ainsi de manière automatisée mis dans une case selon un diagnostic promu par la classification américaine des maladies mentales, passible de traitements médicamenteux.34

28https://www.latribune.fr/economie/france/segur-de-la-sante-le-gouvernement-promet-6-milliards-d-euros-pour-les-salaires-a-l-hopital-et-en-ehpad-851146.html

29 https://framacarte.org/fr/map/suppressions-de-lits-dans-les-hopitaux-source-wwwb_85927

30https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/28/fermetures-de-lits-a-l-hopital-l-inquietude-remonte-chez-les-soignants_6064623_3224.html

31 https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/fermeture-urgences-hotel-dieu-non-sens-sanitaire-1891188.html

32 https://twitter.com/ClementLanot/status/1324708933076946945

33https://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/hopital-les-images-dune-infirmiere-arretee-lors-d-une-manifestation-font-polemique_4011241.html

34 https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/cri-dagonie-de-la-psychiatrie-20210414_KEER442HNVCALDQUVED34UAPS4

Les hôpitaux privés sont restés sous-sollicités, alors qu’ils s’étaient préparés à un afflux de patients atteints du Covid-19 et ont eux-mêmes appelé à être réquisitionnés. Ainsi, ce ne sont pas moins de 10.000 lits qui étaient disponibles au plus fort de l’épidémie.35 Mais plutôt que d’y transférer les patients, on a préféré les envoyer par hélicoptère à l’autre bout du pays voire en Allemagne. Une stratégie qui interroge.

« Dans plusieurs régions, y compris parmi les plus touchées, des lits libérés restent vides ou sous-occupées. Les médecins et anesthésistes libéraux des établissements privés sont peu sollicités »36

Personnel soignant de la Fédération des cliniques et hôpitaux privés.

❌ “MENSONGE ! Fake news ! Non, 115.000 lits ne sont pas vides dans les cliniquesprivées alors que la seconde vague déferle !”, a tenté de démentir LCI, parmi tant d’autres médias.37

✔ Le scandale ne portait pas non plus sur 115.000 lits vides, ce chiffre n’ayant été avancé

que pour informer du nombre total de lits. Il n’en demeure pas moins que la plupart d’entre eux sont effectivement restés très peu sollicités. Le contenu même de l’article de LCI contraste d’ailleurs avec le titre fallacieux, puisque le média reconnaît par la suite que des “points de blocage ont eu lieu au début de la première vague, de l’aveu des acteurs concernés.”

Les déserts médicaux progressent en France, impactant un Français sur 10. Les délais insupportables conduisent souvent ceux-ci à renoncer à se soigner, l’unique recours étant de se rendre aux urgences et donc de contribuer à la saturation de celles-ci.38 L’atteinte à la liberté de prescription des médecins par l’état d’urgence sanitaire39 a aussi sans nul doute contribué à l’engorgement des hôpitaux.

Du fait de la priorisation sur les cas “positifs” de Covid, les hôpitaux sont amenés à déprogrammer la majeure partie des interventions pour d’autres maladies. L’Agence régionale de santé a fixé aux établissements un objectif de 80% de déprogrammation en Île-de-France.40

Une fois passé le premier pic de l’épidémie, les hôpitaux publics ont essayé de remplir les lits de réanimation et d’urgence pour pouvoir les garder du fait de la T2A.

« Les hôpitaux sont tellement à bout de souffle qu’ils mettent aujourd’hui en réanimation des patients qui ont simplement besoin de 3 litres d’oxygène. C’est du jamais vu. »41

Martine Wonner, médecin psychiatre et député du groupe Libertés et Territoires.

35 https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-pourquoi-les-hopitaux-prives-sont-sous-sollicites-le-plan-blanc-lexplique-en-partie_fr_5e7c87aac5b6cb9dc19af6aa

36 https://www.cnews.fr/france/2020-03-31/en-pleine-urgence-sanitaire-pourquoi-des-cliniques-privees-sont-elles-vides-942173

37 https://www.lci.fr/sante/non-115-000-lits-ne-sont-pas-vides-dans-les-cliniques-privees-alors-que-la-seconde-vague-deferle-2169279.html

38 https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-757QOSD.htm

39 https://www.eurojuris.fr/categories/coronavirus-13013/articles/covid-19-et-prescription-hydroxychloroquine-39597.htm

40 https://www.lci.fr/sante/covid-19-cliniques-et-hopitaux-franciliens-appeles-a-deprogrammer-80-des-operations-2181529.html

41 https://www.youtube.com/watch?v=oMuRdxCSPCg

Des facteurs de risque

L’âge médian des personnes officiellement décédées du coronavirus est de 84 ans, avec un âge moyen de 81 ans. L’espérance de vie en France est de 82 ans. Les personnes de moins de 45 ans sont dans leur immense majorité (plus de 98%) épargnées.42

42 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps

La grande majorité des patients en réanimation a plus de 60 ans. Un fait qui n’a été admis par les médias que lorsque le gouvernement a cherché des arguments pour convaincre les personnes âgées de se faire vacciner.43

Le taux de patients COVID-19 nouvellement hospitalisés par semaine et par classe d’âge selon la date d’admission, montre également un risque d’aggravation proportionnel à l’âge.

« Beaucoup de gens pensent à tort que les choses sont simples, par exemple qu’une maladie est la conséquence d’un unique facteur, ce qui est très rare. La mortalité du Covid-19, à part chez les gens qui ont une très faible espérance de vie, est très faible. La quasi-totalité des personnes sont décédées pour la plupart avec des comorbidités sévères. »

Pr Didier Raoult, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses.

43 https://www.lci.fr/sante/la-grande-majorite-des-patients-en-reanimation-ont-ils-vraiment-plus-de-60-ans-2174674.html

Une étude rapporte que les personnes obèses atteintes du Covid-19 risquent quatre fois plus d’en mourir, en particulier chez les hommes et les jeunes patients.44 Hélas, une autre étude rapporte que “le confinement, c’est aussi plus d’obésité”.45

Les statistiques de Santé Publique France arrêtées au 6 novembre 2020 et rapportés sur CNEWS.46 C’est factuel.

« 90% des patients en réanimation ont une comorbidité.
Moyenne d’âge des patients morts avec le Covid-19 en France : 81 ans. Cette moyenne d’âge correspond à celle de l’espérance de vie.
Un tiers des décès a eu lieu dans les Ehpads. 50 % des victimes avaient plus de 84 ans.
80 % des victimes avaient plus de 75 ans. 99,9 % des gens ont plus de 30 ans.
0,1 % ont moins de 20 ans, ce sont les fameux 28 morts sur 38.000 et surtout la majorité sont morts en réalité d’autres pathologies beaucoup plus graves.
Même chez les plus de 90 ans, le taux de survie est de 80 %, un nonagénaire a donc quatre chances sur cinq de s’en tirer.
83 % des gens en réanimation sont en surpoids.
Seuls 2 % des personnes décédées étaient âgées de moins de soixante ans et sans comorbidité connue »

Pascal Praud, un vrai journaliste.

Et si, au lieu d’enfermer tout le monde, on confinait les seules personnes à risque ?

Après avoir dans un premier temps demandé aux personnes les plus vulnérables et aux personnes âgées de rester confinées, le chef de l’État a rétropédalé, ne souhaitant finalement pas « de discrimination des personnes âgées ou fragiles » et appelant à la responsabilité individuelle.47 Par contre, les jeunes en bonne santé doivent accepter un vaccin qui les expose à plus de risque d’effets secondaires que la maladie elle-même. Ils diminuent leurs propres défenses immunitaires avec des gestes barrières antisociaux. Ils doivent se confiner pour ne pas saturer les hôpitaux et cotiser pour des retraites auxquelles ils n’auront probablement jamais accès.

La solidarité entre générations ne fonctionne apparemment que dans un seul sens !

44https://www.ouest-france.fr/sante/les-personnes-obeses-atteintes-du-covid-19-risquent-quatre-fois-plus-d-en-mourir-rapporte-une-etude-6937642

45 https://www.santelog.com/actualites/le-confinement-cest-aussi-plus-dobesite

46 https://twitter.com/boutaour/status/1325730485021134848

47https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/faut-il-confiner-les-personnes-agees-les-nombreux-revirements-de-l-executif_4221507.html

Vraie ou fausse pandémie ?

Selon un rapport de commission d’enquête du sénat, les critères de définition d’une pandémie ont été modifiés par l’OMS un mois avant le passage en phase 6 de l’épidémie de grippe porcine A/H1N1 en 2009. Auparavant, une pandémie était définie par l’apparition de “plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies”. Cette dernière condition, le critère de gravité, a été supprimée et l’OMS en a modifié en catimini la définition sur son site Internet, sans changer la date affichée.48

La définition d’une pandémie est devenue : “propagation mondiale d’une nouvelle maladie”.49 Et, tout à coup, toute grippe commune et bénigne peut être transformée en pandémie par l’OMS.

Lors de son audition à la commission d’enquête de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodarg a estimé que la déclaration de l’état de pandémie, pour une grippe dont les chiffres étaient très faibles pour un niveau d’alarme disproportionné, a été rendue possible par le changement de définition. C’est parce qu’il était à la fois membre du parlement allemand et membre du conseil de l’Europe qu’il a eu le pouvoir d’exposer le canular. Les membres de la commission ont alors reconnu à l’unanimité le rôle qu’ont joué des firmes pharmaceutiques dans la gestion de l’épidémie par l’OMS et les États.50

« Le soin de définir une pandémie alarmante ne doit pas être soumis à l’influence des marchands de médicaments. »

Dr Wolfgang Wodarg, médecin et épidémiologiste allemand, ancien président du Comité santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Cela soulève la question de la gestion par l’OMS des conflits d’intérêts entre ses experts et l’industrie pharmaceutique. Contre toute attente, l’épidémie de grippe H1N1 a été qualifiée de “fausse pandémie” dans le rapport du sénat.

« La déclaration, le 11 juin 2009, par la directrice générale de l’OMS d’une pandémie de grippe A (H1N1)v – d’emblée considérée comme « de gravité modérée », « du moins dans ses premiers jours » – a rapidement suscité des critiques à l’égard de l’OMS, soupçonnée au mieux d’avoir surestimé le risque et recommandé aux États membres des mesures disproportionnées et d’un coût démesuré, au pire d’avoir « inventé » une pandémie sous l’influence des industries pharmaceutiques, désireuses de rentabiliser leurs investissements grâce à l’application des plans nationaux. »

Extrait du rapport du sénat sur la grippe A/H1N1.

L’escroquerie H1N1, déjouée par le Dr Wolfgang, montre que ce ne serait pas la première fois qu’une fausse pandémie serait fabriquée de toutes pièces par l’OMS, reprise avec une grande complaisance par les politiques de santé publique.

48 http://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-111.html

49 https://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/pandemic/fr/

50 https://www.humanite.fr/node/430467

Pour télécharger ou voir la suite :

https://drive.google.com/file/d/1oSHiNBEi91plxW15HciIV48V4HDXsLU5

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