En septembre 2020, le docteur Lee Merritt (ancienne présidente de l’Association of American Physicians and Surgeons, AAPS) jette un pavé dans la mare : et si la vérité avait été étouffée pendant plus de 40 ans ? Suite à cette contribution on peut s’interroger : le vaccin est-il la seule solution pour les virus comme le SARS-CoV-2 ? Cette crise du Covid-19 met à nu d’autres dogmes médicaux tels que les indications thérapeutiques et les prescriptions hors AMM (Autorisation de mise sur le marché). On en vient à se questionner : face à l’urgence épidémique, dans quelle mesure est-il possible de débloquer temporairement l’utilisation d’un médicament déjà connu ? En 2020, on semble se heurter à un mur méthodologique : celui des essais cliniques randomisés. Ainsi, la médecine observationnelle et clinique, qui a permis de développer la très grande majorité des thérapies existantes, n’aurait plus voix au chapitre. Dès lors, à travers la cabale contre l’hydroxychloroquine, c’est toute la prise en charge thérapeutique précoce de l’épidémie de Covid-19 qui s’est trouvée étranglée. À dessein ? Les médias « mainstream » pourraient porter leur part de responsabilité. À travers le monde les propositions de prise en charge ambulatoire précoce de cette maladie se multiplient.
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