L’inventeur du test PCR avait bien dit que celui-ci ne permet pas de savoir si vous êtes malade

[Source : Fils de Pangolin (odysee.com) via Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade (odysee.com)]

Voici l’événement Corporate Greed & Aids qui a eu lieu le 12 Juillet 1997 à Santa Monica, CA animé par Esai Morales. Les participants présents sont entre autres, Kary Mullis, Gagnant Prix Nobel et inventeur du test PCR, et d’autres conférenciers Sean Current, Paul Philpott, & Christine Maggiore.

Dans cette vidéo, une question est posée à Kary Mullis sur l’utilisation inappropriée du test PCR :

« Le {PCR} se distingue de cela. C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malades. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Source en anglais ➡️ https://youtu.be/Ljxah4NrYKU

Traduction : Alexandra Lépée

Transcription partielle

Si vous reuploadez cette vidéo sur votre chaine ou ailleurs, merci de mettre un lien vers cette vidéo, c’est toujours appréciable 💚

#FilsDePangolin

Le test PCR a été inventé dans les années 80 par un biochimiste américain du nom de Kary Mullis, ce qui lui a valu le prix Nobel de chimie dix ans plus tard.

Comment un test mis au point il y a près de 40 ans peut-il donc être utilisé pour diagnostiquer ce que l’on nous présente comme une toute nouvelle maladie, découverte l’année dernière par le monde entier ?

D’après ce que je comprends, c’est impossible, mais je ne suis ni médecin ni scientifique, et je ne suis certainement pas un expert ou un biochimiste comme Kary Mullis. Il y a eu beaucoup de faux positifs lors des tests de dépistage du coronavirus. On pense que beaucoup de ces faux positifs sont déclenchés par des cellules virales mortes.

Nous avons vu des cas de chèvres et de fruits testés positifs… ce qui soulève bien plus de questions que cela n’apporte de réponses…

Une femme a même été blessée par un test après qu’un prélèvement nasal ait perforé la paroi de son cerveau, provoquant une fuite de liquide cérébral par le nez.

Tout cela à cause d’un virus dont le taux de survie est de plus de 99 % pour la plupart des personnes qui l’attrapent.

Pourquoi est-il si important de comprendre ce test ? Parce que c’est le catalyseur de la campagne de peur qui est menée par les médias corrompus et qui est ensuite utilisé par le gouvernement comme justification pour imposer des restrictions sur nos vies.

Dans cette vidéo, je vais vous montrer plusieurs clips de médecins, en plus de ceux de l’inventeur du test PCR lui-même. Et je suis assez confiant que d’ici la fin de ce programme, vous arriverez à la même conclusion que moi, à savoir que l’on nous ment.

Commençons par Kary Mullis, l’inventeur du test PCR
[NdNM : l’inventeur du test évoquait ici plus particulièrement le virus HIV] :

« Je ne pense pas que vous puissiez détourner l’usage du test PCR en fait… Non, ce sont plutôt les résultats, l’interprétation qu’on en fait. Vous comprenez, s’ils peuvent trouver ce virus en vous — et avec le test PCR, si vous le faites bien, vous pouvez trouver presque n’importe quoi chez n’importe qui, ça vous amène à croire en cette vision bouddhiste selon laquelle tout se trouve à l’intérieur de tout ce qui existe, n’est-ce pas ? Je veux dire, si vous pouvez amplifier une seule molécule jusqu’à obtenir quelque chose de vraiment mesurable — ce que le test PCR peut faire — alors il n’y a que très peu de molécules que vous n’ayez pas au moins en un exemplaire dans votre corps.

On pourrait donc considérer ça comme un usage détourné… le fait de prétendre que c’est significatif…

Le véritable problème, c’est qu’on n’a pas besoin de faire le test de dépistage du HIV. On n’a pas besoin de faire le test pour les 10 000 autres rétrovirus qui ne sont pas nommés, et également présents chez le sujet.
Vous voyez, quelqu’un qui a le HIV va avoir en général presque tout ce qu’on peut dépister, parce que le HIV est un virus assez rare. Sur 250-300 millions de personnes en Amérique, nous ne sommes qu’un million à avoir ce virus. Il faut donc soit que votre mère l’ait attrapé et vous le transmette, soit que vous soyez vraiment très « concentré » sur les personnes qui l’ont attrapé — et seulement sur elles — et vous aurez alors de bonnes chances de l’attraper. C’est difficile de l’avoir, mais si vous l’avez, il y a de fortes chances que vous en ayez aussi beaucoup d’autres… parce que vous avez été sur le « marché ». Donc, faire un test pour le HIV et affirmer qu’il a une valeur particulière, c’est ça le vrai problème je pense, et non pas que le PCR a été mal utilisé. »




Covid-19 : les thérapies proposées s’affinent. Le vaccin, seule issue politique ? Faut-il aller en justice pour avoir la vérité ?

[Source : FranceSoir]

[Photo : Mort aux vax !? Pexels]

Auteur(s): Le Collectif citoyen, pour France Soir

Cet article a été complété et mis à jour le 13 janvier.

Covid-19 : les multiples thérapies précoces proposées s’affinent. Le vaccin, seule voie de sortie de l’impasse politique et sanitaire ? Faut-il aller en justice pour avoir la vérité ?


En septembre 2020, le docteur Lee Merritt (ancienne présidente de l’Association of American Physicians and Surgeons, AAPS) jette un pavé dans la mare : et si la vérité avait été étouffée pendant plus de 40 ans ? Suite à cette contribution on peut s’interroger : le vaccin est-il la seule solution pour les virus comme le SARS-CoV-2 ? Cette crise du Covid-19 met à nu d’autres dogmes médicaux tels que les indications thérapeutiques et les prescriptions hors AMM (Autorisation de mise sur le marché). On en vient à se questionner : face à l’urgence épidémique, dans quelle mesure est-il possible de débloquer temporairement l’utilisation d’un médicament déjà connu ? En 2020, on semble se heurter à un mur méthodologique : celui des essais cliniques randomisés. Ainsi, la médecine observationnelle et clinique, qui a permis de développer la très grande majorité des thérapies existantes, n’aurait plus voix au chapitre. Dès lors, à travers la cabale contre l’hydroxychloroquine, c’est toute la prise en charge thérapeutique précoce de l’épidémie de Covid-19 qui s’est trouvée étranglée. À dessein ? Les médias « mainstream » pourraient porter leur part de responsabilité. À travers le monde les propositions de prise en charge ambulatoire précoce de cette maladie se multiplient. Bon nombre de thérapies apparaissent s’appuyer sur des antibiotiques tels que l’azithromycine ou la doxycycline. Faut-il y voir les pièces maîtresses contre le Covid-19 ? Cette idée d’antibiotiques efficaces contre un virus est-elle donc sacrilège à ce point ? En France, la médecine de ville, contrainte, semble avoir tout de même proposé plusieurs options thérapeutiques impliquant des antibiotiques. Toutefois les médecins de ville se sont retrouvés dans une position difficile : interdiction de prescrire, rupture de stock de médicaments, convocation devant le conseil de l’ordre, recommandations allant à l’encontre de l’usage d’antibiotiques, informations manquantes…Des collectifs de médecins tels que « Laissons les médecins prescrire » et « Azithro d’hospitalisation » œuvrent pour la vérité. Au-delà du traitement, la chimioprévention semble également totalement occultée. Le vaccin est-il donc la seule solution ? Comment sortir de l’impasse lorsque l’on n’encourage pas la prise en charge curative précoce ou la chimioprophylaxie qui sont sur la table depuis des mois ?

La crise du Covid-19 a révélé qu’il était plus que délicat d’envisager la gestion de l’épidémie de SARS-CoV-2 en médecine de ville, par une prise en charge curative précoce[1][2][3][4][5][6][7][8].

Le 18 octobre 2020, sur France 3, le professeur Christian Perronne déclarait en substance que le couvre-feu instauré en France était « une mesure coercitive, une instrumentalisation de la peur, pour faire peur aux Français jusqu’à l’arrivée du vaccin qui ne va servir à rien… »[8b][8c]. Depuis le reconfinement est arrivé.

Le vaccin est-il la seule solution médicale et la seule porte de sortie politique ? Le refus d’adopter officiellement une politique de traitement curative précoce est-elle une impasse sanitaire et gouvernementale ?

Picorer la toile amène quelques questions[8d]

Dogme du traitement des infections virales ?

En septembre 2020, le docteur Lee Merritt (ancienne président de l’Association of American Physicians and Surgeons, semble-t-il) a publié un article dans le Journal of American Physicians and Surgeons[9][10][11]. Dans cet article l’auteur se demande si la vérité dans le traitement des maladies virales n’a pas été étouffée pendant plus de 40 ans.

(référence [11])

L’article présente le dogme, en vigueur depuis des décennies, qui consiste à rappeler que classiquement (avec des exceptions notables comme le Sida par exemple) les infections virales ne se traitent (généralement ?) pas et encore moins avec des antibactériens. Dès lors la seule réponse en terme de santé publique serait usuellement la vaccination.

L’utilisation possible de la chloroquine pour traiter les virus est rappelée par l’auteur[11]. Le potentiel antiviral de nombreux antibiotiques tels l’azithromycine, les tétracyclines, les macrolides, le metronidazole et la ciprofloxacine est également énoncé[11]. Dans la lutte contre le SARS-CoV-2, on entend beaucoup parler d’azithromycine (macrolide) et de doxycycline (tétracycline)[4].

La nature est complexe…et la médecine serait si simple, voire simplissime ? Serait-il décrété et enseigné qu’un antibiotique ne pourrait pas avoir également une action antivirale ? En revanche un antibiotique comme l’azithromycine a le droit d’avoir également un effet anti-inflammatoire et immunomodulateur[4], par exemple dans le cas des pneumopathies interstitielles diffuses[11b].

Que resterait-il du marché du vaccin antigrippe si la grippe était traitable par l’(hydroxy)chloroquine par exemple ? [11]

Indications, AMM et « off label ».

Le fait de prescrire un médicament hors AMM semble également délicat. Pourtant, dans le cas d’une épidémie liée à un virus nouvellement découvert, la prescription d’un médicament ne pourra être, dans un premier temps, que hors AMM. Comment pourrait-on disposer dès le départ d’un médicament ayant une indication contre un coronavirus inconnu il y a encore quelques mois ?

Le 1er octobre 2020, l’IHU Méditerranée-infection mettait en ligne une vidéo dans laquelle le professeur Stéphane Honoré parle des prescriptions hors AMM[12][13][14][15][16][17]. Il semblerait que 15 à 20 % des prescriptions de médicaments se fassent hors AMM[12][13]43 % des prescriptions en infectiologie adulte et 94 % en infectiologie enfant seraient hors AMM. Ce type de prescriptions serait fréquent en infectiologie. Le Covid-19 ne relèverait-il pas de l’infectiologie ? Alors…faut-il supprimer les 94 % de prescriptions en infectiologie pédiatrique qui ne correspondent pas à une indication ?

L’azithromycine par exemple est connue pour être prescrite au long cours, hors AMM, dans certaines pathologies : la dilatation des bronches (DDB) et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) [18][19]Cela ne semble pas poser problème, y compris à la Société Française de Pharmacologie et de Thérapeutique (SFPT)[19].

En Australie, le professeur Thomas Borody milite pour la trithérapie doxycycline/ivermectine/zinc contre l’épidémie de coronavirus[6][7][20]. Il précise que les médecins australiens pourraient très bien prescrire légalement cette trithérapie « off label » (en France on dirait hors AMM)[21].

En Allemagne, des sites web évoquent les médicaments « off label », voire établissent des listes de composés qui peuvent être proposés contre le Covid-19[22][23][23b][23c]. Dans ce pays ne dit-on pas « « qui soigne a raison » (wer heilt, hat recht) » [5][8][24] ? Le 17 novembre 2020, lors d’un webinaire, le docteur Roland Derwand rappelait que, en Allemagne, la gestion du patient se faisait dans le cabinet du médecin[24b][24c].

Pourtant les procédures d’autorisations temporaires d’utilisation (ATU) ou les recommandations temporaires d’utilisation (RTU) existent[12][25][26]. Ne serait-ce pas une solution politiquement concevable ? D’ailleurs, n’a-t-il pas été question d’une ATU pour le remdesivir[27][28][29] ?…

Le 3 août 2020, les professeurs Raoult et Brouqui ont demandé « à l’ANSM (Agence Nationale de la Sécurité du Médicament) de considérer l’élaboration d’une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) de l’hydroxychloroquine dans le cadre de la prise en charge de la maladie Covid-19. », l’ANSM refuse[29b]. On peut lire que « l’avis de l’ANSM au sujet de l’hydroxychloroquine serait illégal »[29c]. Suite à ce refus, on est arrivé au stade du « recours au Conseil d’Etat et [d’] une plainte au pénal »[29d]. L’avocat Fabrice Di Vizio semble chargé du dossier.

En ce qui concerne les RTU, on entend parler de RTU pour le baclofène, dans la lutte contre l’alcoolisme, sur la base de témoignages et d’études observationnelles[29e][29f]. Inconcevable pour le Covid-19 ?

Dogme des essais cliniques randomisés ?

Les effets d’annonce concernant l’usage des corticoïdes contre le SARS-CoV-2 a récemment illustré la problématique des essais randomisés par opposition aux études observationnelles[30]. Triste épisode.

Le 23 septembre 2020, l’IHU mettait en ligne une vidéo dans laquelle le professeur Matthieu Million présente des publications comparant la pertinence des essais randomisés et celle des études observationnelles[31]. Ces études datent de 2000[32] et de 2014[33]. De cette présentation, les conclusions qui paraissent se dégager sont : que les études randomisées ne semblent pas présenter de supériorité par rapport aux études observationnelles, que des études randomisées sur le même critère peuvent conclure à des effets opposés (ce qui n’est pas le cas des études observationnelles), que les résultats des études randomisées apparaissent plus hétérogènes que ceux des études observationnelles, que les patients inclus dans les études randomisées pourraient être plus sélectionnés que ceux des études observationnelles[31]

Le soin existait avant les essais randomisés. Ces conclusions pouvaient être dégagées il y a déjà 20 ans. Politiquement, on ne peut plus traiter sans essai randomisé préalable ?

Le 15 septembre 2020, le professeur Didier Raoult était auditionné par le Sénat[34][35]. Dans le compte-rendu, on peut lire : « Pr Didier Raoult. – Je me méfie de toutes les modes, notamment les modes méthodologiquesDepuis vingt-cinq ans, la Cochrane Library analyse toutes les publications et les recommandations médicales. En vertu de ce que l’on appelle la médecine basée sur les évidences […] À ce titre, la Cochrane Library a analysé 250 méta-analyses, soit, en tout, plus de 4 000 analyses, pour déterminer s’il y avait une différence de résultat et de qualité entre les études randomisées et les études observationnelles. La conclusion, c’est qu’il n’y a pas de différenceOn ne peut pas affirmer que les études randomisées sont l’alpha et l’oméga de la prise en charge thérapeutique : ce n’est pas vrai. Il en est de même pour les recommandations : quelqu’un a calculé combien de recommandations de la société américaine des maladies infectieuses étaient fondées sur au moins une étude randomisée. Je vous ai donné cette référence. Le résultat obtenu est 18 %. En d’autres termes, 82 % des recommandations thérapeutiques émises aux États-Unis face aux maladies infectieuses ne reposent sur aucune étude randomisée. » [34].

Sur le taux de recommandations de la société américaine des maladies infectieuses fondées sur au moins une étude randomisée, on peut par exemple retrouver la valeur de 14 % dans une publication de 2011[36]. Alors…les américains doivent-ils supprimer les 86 % de traitements de maladies infectieuses qui ne sont pas fondés sur des essais randomisés ? Ce serait une politique de santé publique originale… mais conforme à la méthodologie du moment.

Concernant l’audition de Didier Raoult au sénat, on pourra également noter son développement sur les essais de non infériorité[35]. On l’entend déclarer : « …tous les nouveaux médicaments, ils sont faits avec des essais de non-infériorité, parce qu’ils sont pas meilleurs que les autresc’est pas vrai, on n’arrive pas à le démontrer… » [35]. Le compte-rendu disponible en ligne semble se contenter de : « je pense notamment aux essais de non-infériorité » [34]… Politique de compte-rendu succinct ?

Alain Bonnafous et Laurent Mucchielli affirment : « Pourquoi le culte des essais randomisés constitue une régression épistémologique »[36b]

La cabale (et donc le buzz) contre l’hydroxychloroquine afin d’étouffer l’idée d’une prise en charge précoce ?

Depuis la mi mars 2020, le professeur Didier Raoult a proposé la bithérapie azithromycine/hydroxychloroquine comme prise en charge thérapeutique ambulatoire du Covid-19[5][7]. C’est ainsi qu’une proposition de soin en pleine période épidémique est devenue polémique dans les pays occidentalisés. On aurait pu s’attendre à ce qu’elle soit porteuse d’espoir…

Dans son article Lee Merritt parle de guerre[11]. Elle décrit même le dispositif qui serait en place depuis 40 ans pour maintenir étouffée la possibilité de traiter certaines maladies virales : la censure, le silence des médias qui seraient achetés, les mensonges par omission dans l’enseignement de la pharmacologie, les mensonges de la part des compagnies pharmaceutiques, la mainmise sur les administrations et le mode de financement de la recherche.

En 2020, on a beaucoup évoqué les risques cardiaques et l’hydroxychloroquine[37][38]. On peut rappeler que ce médicament n’est plus disponible sans ordonnance depuis le début de l’année 2020[39]. Les raisons qui semblent être invoquées dans cette décision sont une potentielle toxicité pour le fœtus et non une potentielle toxicité cardiaque[39].

Pourtant entre 2015[40] et…2020[41], le résumé des caractéristiques du plaquénil® semble avoir évolué concernant les risques cardiaques et le devenu célèbre intervalle QT[42]. En 2015 le QT ne semble pas apparaître dans le résumé… Dans une vidéo de 2017 présentée comme extrait « de la matinée de conférences de l’Association Lupus Erythémateux (lupus . be) », on peut entendre en substance : « les patients doivent avoir du plaquénil®, parce qu’il est prouvé que ce traitement réduit le nombre de poussées, on l’aime bien entre guillemets aussi parce que finalement il a très peu d’effets secondaires moyennant un contrôle ophtalmologique régulier, parce que dans des cas exceptionnels il peut y avoir une toxicité au niveau de la rétine… »[42b][42c].

Par ailleurs, dans la bibliographie d’une publication de 2009 coécrite par J. Salomon, la combinaison thérapeutique entre un antibiotique macrolide et l’hydroxychloroquine n’est-elle pas mentionnée comme traitement de la maladie de Lyme depuis 1997[42d][42e][42f][42g] ?

Que penser ?

Dans la prise en charge du SARS-CoV-2 par l’hydroxychloroquine, il y a tout d’abord eu l’épisode du Lancet[29]. Suite à la publication fin mai 2020 d’une étude très défavorable, quant à l’utilisation de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, de nombreux pays ont interdit ce médicament. Malgré la rétractation de l’article début juin, l’interdiction demeure dans certains pays. La période durant laquelle cet article est resté d’actualité apparaît pouvoir être corrélée à une augmentation de la létalité au niveau mondial[43][44].

L’Italie par exemple semble avoir pu endiguer la première vague épidémique, entre autre grâce à la prescription d’hydroxychloroquine en médecine de ville[45]. Fin mai, l’autorisation d’utilisation de ce médicament est suspendue. Aujourd’hui, des médecins italiens en viennent à lancer une pétition déclarant : « « Nous prescrirons de l’hydroxychloroquine malgré l’interdiction de l’AIFA [agence du médicament italienne]. Nous l’avons déjà administré en mars sans autorisationNous le ferons d’autant plus aujourd’hui, compte tenu des bons résultats obtenus par nous et de nombreux autres collègues et prouvés par diverses études scientifiques. » » [45]

Aujourd’hui encore les médias « classiques » savent relayer une méta-analyse qui conclurait sur l’inefficacité de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 et sa toxicité[46][47][48]. En revanche ont-ils relayé les critiques et échanges qui ont eu lieu depuis[49][50][51][51b][51c] ? Ont-ils relayé le commentaire de Didier Raoult[52] ? Ont-ils relayé la relecture méthodique de l’étude qui conclut que « l’hydroxychloroquine est efficace » ?[53][54] Aujourd’hui les médias « mainstream » alimentent la bataille[54b][54c][54d]…en se mélangeant les pinceaux entre une méta-analyse et une étude sur les macaques ?[54e][54f][54g]

Ont-ils relayé le travail de méta-analyse de l’IHU Méditerranée concernant les traitements impliquant l’hydroxychloroquine et dont les conclusions sont positives ?[55][55b][55c]

Ont-ils relayé le travail de méta-analyse c19study/hcqmeta qui répertoriait 134 études favorables le 13 novembre 2020[8d], et 162 à ce jour, concernant les traitements impliquant l’hydroxychloroquine ?[56][57] Ce travail de méta analyse affirme que 100% des études portant sur l’usage de l’hydroxychloroquine dans une thérapie de traitement précoce sont positives[57]. Les auteurs affirment que la probabilité que les traitements impliquant ce médicament soit inefficaces contre le Covid-19, avec 190 études qui concluent favorablement, est d’une chance sur 2 millions de milliards[57]…On entend parler du « plus grand black-out journalistique de l’histoire de l’humanité »[57a].

Une chose peut sembler certaine, une certaine médecine (la médecine ?) ne sortira pas grandie de cette épidémie de SARS-CoV-2.

Au niveau mondial, les traitements précoces en médecine ambulatoire s’affinent

Dès le mois de mars 2020, Didier Raoult proposait une bithérapie azithromycine/hydroxychloroquine. Depuis le zinc est venu compléter cette approche[7].

Dès mars également, le médecin américain Zelenko propose une trithérapie azithromycine/hydroxychloroquine/zinc. Il a depuis proposé la doxycycline en alternative à l’azithromycine[7][57b][57c][57d][57e]. Récemment, ce médecin a mis en ligne la dernière version de sa proposition de prise en charge, nommée « Zelenko Protocol Plus » avec intégration de la vitamine D dans la polythérapie[57f][57g].

(référence[57g])

En Australie, le Professeur Thomas Borody aurait déclaré que le Covid-19 est « soignable » et « plus facile à traiter que la grippe » [6][58]. Ce chercheur australien propose depuis août 2020 une trithérapie doxycycline/ivermectine/zinc[6][59][60].

Au Pérou, le Docteur Gustavo Aguirre Chang est sur la piste thérapeutique de l’ivermectine depuis des mois[6][61]. Désormais il propose d’associer ce composé à la doxycycline ou à l’azithromycine en prise en charge précoce[6][62][63][63b]. Il associe également la bromhexine[6][62][63]. Sa proposition thérapeutique donne des indications pour toutes les phases de la maladie : prophylaxie, phase bénigne, modérée, sévère et critique. On retrouve également, selon la gravité, des anticoagulants, des anti-inflammatoires, des antibiotiques de la famille des céphalosporines de troisième génération (C3G) … La dernière version de ce schéma de prise en charge a été mis en ligne le 7 janvier 2021[63c][63d]

(référence[63b])

Une récente revue, parue en août 2020 dans The American Journal of Medecine [7][64], propose un schéma complet de prise en charge ambulatoire stratifiée. Cette prise en charge précoce a été complétée en octobre et est disponible sur le site de l’Association of American Physicians and Surgeons[65][66][66b][67][68][69][69b][70]. Cet algorithme implique d’abord le zinc, puis l’association d’un antibiotique (azithromycine ou doxycycline) avec l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine ou le favipiravir. Si besoin, ce traitement peut être complété en ambulatoire par un anti-inflammatoire puis un anticoagulant. La dernière version de cet algorithme a été publiée le 30 décembre 2020 dans Reviews in Cardiovascular Medicine[70a][70aa]. Le zinc est désormais associé à de la vitamine D3, de la vitamine C et de la quercétine[7].

(référence[70aa])

En Floride, le protocole ICAM a été développé. Il associe de la vitamine C, du zinc, un corticostéroïde, un anticoagulant et un macrolide[70b][70c][70d].

L’ivermectine est un médicament dont on parle de plus en plus contre le Covid-19[71][72][73][73b]. En France le docteur Gérard Maudrux présente ce témoignage en juin 2020 : « Mon attention est attirée par des publications australienne et américaine sur l’effet de l’Ivermectine, que je connais bien pour avoir traité deux épidémies de gale en maison de retraite et dans un centre de formation en 2019, avec succès et sans effet secondaire. Je commence à prescrire en dose unique le 6 avril. Satisfait des résultats, alors je continue : 27 patientsLes résultats à 48 heures sont stupéfiants avec disparition des signes cliniques pour tous. Trop content de partager ces résultats pensant rendre service j’en parle, ce qui me vaut de sévère reproches de confrères et d’une pharmacienne. Avec la mise en garde de l’Ordre, je me résigne à rentrer dans le moule et prescris du Doliprane. »[74]. La biotech montpelliéraine MedinCell semble s’intéresser à l’ivermectine. Toutefois ses investigations ne semblent pas être conduites pour proposer rapidement un traitement curatif à court-terme du Covid-19, mais pour développer un nouveau médicament préventif…dans le futur[75]. Politique du profit et non du soin ? Aujourd’hui il est question d’une requête devant le tribunal par l’avocat Jean-Charles Teissèdre « au nom de l’association Victimes coronavirus France » concernant l’utilisation temporaire de l’ivermectine dans la lutte contre ce coronavirus[75b][75c]. Alors que les éléments montrant l’efficacité de l’Ivermectine s’amoncellent, que l’on titre aujourd’hui « Ivermectine, efficace à 100% ? » on lit le 10 décembre 2020 : « La juge semblait très favorable à l’audience, mais s’est renseigné « plus haut », avant de répondre défavorablement. » » [75d][75e][75f][75g][75h]L’Ivermectine est-elle également étouffée par les médias ? « Cessez cette hypocrisie mortelle » [75d]. Aux États-Unis, le docteur Brian Tyson déclarait mi-septembre avoir pris en charge près de 1700 patients covid[7]. Les cas les plus sévères auraient été traités selon une trithérapie azithromycine ou doxycycline/hydroxychloroquine/zinc : aucun décès n’aurait été observé[75i][75j][75k]. Aujourd’hui il revendique près de 2700 patients traités : aucun mort et quatre brèves hospitalisations au compteur[75l]. Le 12 décembre 2020, avec le docteur Fareed, il met en ligne son protocole thérapeutique mis à jour, l’ivermectine est désormais intégrée à la polythérapie dès le premier jour du traitement[75m]. Les pays occidentalisés sont-ils en train d’ignorer délibérément ce médicament en méprisant les essais cliniques (dont certains randomisés) concluant à l’unanimité en faveur de l’ivermectine dans la lutte contre le Covid-19 ? [73][75n][75o]. Certains internautes recensent désormais une vingtaine de pays utilisant l’ivermectine contre le SARS-CoV-2[75p].

Le Favipiravir est un antiviral autorisé au Japon[76]. Il semble avoir été testé contre le Covid-19 avec une efficacité plutôt honorable au Japon[77], en Inde, en Chine et en Russie[78][79][80][81].

La bromhexine semble avoir donné des premiers résultats intéressants au Moyen-Orient[82][83][84][85]. Son potentiel curatif est discuté, ainsi que celui de l’ambroxol[86], un principe actif similaire[87][88][89]. On évoque la possibilité pour le SARS-CoV-2 de pouvoir pénétrer dans les cellules selon plusieurs schémas d’entrée. L’hydroxychloroquine pourrait agir sur un schéma d’entrée qui ne serait pas la voie principale d’infection. Tandis que la bromhexine et l’ambroxol pourraient être actives sur une autre voie d’accès qui serait majoritairement suivie par le virus[82][85][87][90]. Désormais certains proposent contre le Covid-19 d’explorer la bithérapie azithromycine/ambroxol[91]. Très récemment, un essai clinique russe impliquant la bithérapie bromhexine/spironolactone a présenté des résultats très prometteurs[91b][91c][91d]. Un essai clinique interrompu afin de ne pas compromettre les chances de guérison des patients enrôlés dans le groupe contrôle ?[91e][91f]

Les traitements ambulatoires ne manquent plus : Ivermectine, vitamine Cquercétine, vitamine D3vitamines B, zinc, mélatonine et aspirine pour le docteur Marik de l’Eastern Virginia Medical School par exemple[92][93].Des travaux mis en ligne sur la nitazoxanide[94][94b] ou la famotidine[95] apparaissent également. À Volgograd on cite le favipiravir, l’arbidol® et la bromhexine[96]

Azithromycine et doxycycline : piliers du traitement précoce ? L’expérience française

Toutes les propositions de prise en charge précoce n’impliquent pas un antibiotique macrolide ou tétracycline. C’est le cas par exemple du protocole du docteur Marik (aujourd’hui basé sur l’ivermectine)[92][93], ou du protocole national de Bahreïn[24b][24c][96b]. Néanmoins l’azithromycine et la doxycycline sont très présentes dans les propositions thérapeutiques.

Entre fin mars[97] et juillet 2020[98], la prescription d’hydroxychloroquine en médecine de ville hors AMM est interdite en France. Dès lors ces deux antibiotiques sont mentionnés en médecine ambulatoire contre le Covid-19[1][2][3][4][5][6][7][8].

Courant mars 2020, le dermatologue Pierre Gandon soumet son avis à l’ARS (Agence régionale de santé) Nouvelle-Aquitaine concernant la doxycycline[99].

Fin mars le Docteur Sabine Paliard Franco semble proposer l’usage des antibiotiques macrolides, éventuellement complété par un second antibiotique de la famille des céphalosporines de troisième génération (C3G). En alternative aux macrolides, il apparaîtrait que ce médecin aurait utilisé des tétracyclines sur des tableaux cliniques covid, avec succès également[100]. Ses rapports semblaient disponibles sur le site sfgg.org. La Société Française de Gériatrie et Gérontologie (SFGG)[100b] avait-t-elle été alertée par le docteur Paliard-Franco[100c] ?

Le 31 mars le médecin généraliste Pierre-Jacques Raybaud propose une trithérapie, en cas d’aggravation, à base de doxycycline, de corticoïdes (après J7) et d’anticoagulants[101].

Le 11 avril 2020, on entend parler de trois généralistes Jean-Jacques Erbstein, Denis Gastaldi et Olivia Vansteenberghe et de leur approche thérapeutique à base d’azithromycine, de zinc, d’un anti-inflammatoire et d’un anticoagulant[102].

Le médecin ORL Gilles Besnainou plaide le 13 avril 2020 pour l’utilisation de l’azithromycine et du zinc[103][104]. Son plaidoyer sera repris par quelques médias sur la toile : realites[105]tuniscope[106]infos-israel.news[107] ou lesobservateurs.ch[107b] . Il sera longuement interviewé par le site covexit en juin 2020[108][109].

À la mi-avril, le docteur Sebastian Marciano apparaît avoir déclaré que l’azithromycine « semblerait efficace chez 85% des patients Covid » et que « de nombreux médecins de ville et hospitaliers le prescrivent »[110][111].

Le collectif « Laissons les médecins prescrire » a mis en ligne sa propre étude le 30 avril 2020[111b][111c][111d]. Il s’agit d’une « étude rétrospective chez 88 sujets avec 3 approches thérapeutiques différentes (traitement symptomatique / azithromycine / azithromycine + hydroxychloroquine) ». Cette étude sera publiée à la mi-juillet[111e]. Les médias « mainstream » semblent plus s’intéresser à la qualité de la revue dans laquelle l’article a été publié, qu’au contenu de la publication[112][113]

Une contribution est publiée le 7 mai 2020 sur internet[3][114][115]. Elle est attribuée au Dr Claude Escarguel, microbiologiste et ancien président du Syndicat des praticiens des hôpitaux généraux. De la lecture de cette contribution, on apprend que quatre médecins généralistes du grand Est auraient compilé leurs résultats portants sur le traitement de 700 patients de tableau clinique covid. Claude Escarguel écrit que l’azithromycine serait à prescrire seule dans la première phase de la maladie. Elle éviterait à ce stade « la majorité des hospitalisations et 90 % des décès ».

Le 7 juillet 2020, le docteur Nicolas Zeller confiait avoir traité en « plein coeur de l’épidémie de Covid-19,  […] 200 patients avec de l’azithromycine. Et il a obtenu de très bons résultats. » [115b]. On peut lire sa déclaration : « Ce n’est pas une étude, c’est de l’observationnel, c’est de la médecine empirique mais il ne faut pas la balayer du revers de la main parce que ça marche ! ».

Le 8 juillet 2020, sur la chaîne RT France, Jean Paul Hamon (ancien président de la Fédération des médecins de France, FMF) débattait avec Thierry Lardenois[8][116][117][118][119]. Jean Paul Hamon déclarait avoir prescrit lui-même « sans aucune recommandation […] systématiquement devant des gens qui présentaient des symptômes de covid » des macrolides (azithromycine, erythromycine…). Il rappelait également que dans l’Est, des médecins généralistes ont testé l’azithromycine, le zinc et l’hydroxychloroquine et qu’ils avaient constaté moins d’hospitalisations. Il regrettait qu’on n’écoute pas plus les « médecins de terrain ».

Le 21 septembre 2020 on pouvait lire : « Bertrand Legrand évoque rapidement les traitements utilisés (il a, par exemple, utilisé de l’azithromycine recommandé par le Dr Jean-Jacques Erbstein) »[120][120b].

Le 28 septembre 2020 le médecin généraliste Thierry Lagrange parle de l’azithromycine, un médicament « qui marche très bien dès les premiers signes » et qui a « également une action antivirale » [121][122].

Fin octobre 2020, le docteur Bellaïche (Chef d’un service en gastro-entérologie) semble avoir parlé de l’efficacité de l’azithromycine (macrolide), de la clarithromycine (macrolide) et de la lévofloxacine contre le Covid-19[123][124][125][126][127]. Il indique avoir colligé des milliers de cas de patients avec des collègues. Il rappelle même, que lorsqu’il était jeune interne, il avait appris à traiter les grippes malignes avec des antibiotiques (macrolides de première génération à l’époque de son internat).

Le 25 octobre 2020, l’Union pour la Prévention et la Gestion des Crises Sanitaires (UPGCS) organisait une conférence sur la prise en charge du Covid-19[128] [128b][128c][128d][128e][128f][128g][128h][128i]. Le docteur Christophe Brette présentait son expérience de soin de traitement en début de pneumopathie à l’aide de clarithromycine[129][130]. Dans son exposé il dégage une liste d’antibiotiques envisageables : macrolides (clarithromycine, azithromycine, spiramycine), cycline (doxycycline) et céphalosporine.

Le 7 janvier 2021, le site egora relate le parcours du docteur Alain Branchereau[130b]. Ce médecin vient d’être promu début janvier chevalier de la légion d’honneur. L’article raconte : « Depuis fin avril, [le docteur Branchereau] utilise d’ailleurs un traitement qu’il juge “très efficace”, à base notamment d’azithromycine, de zinc, d’anticoagulants, loué par son confrère, le Dr Jean-Jacques Erbstein, dans un article du journal local, l’Est républicain, et menacé de poursuites par l’Ordre. “J’ai eu des résultats remarquables”, assure le Dr Branchereau qui indique n’avoir eu à déplorer aucun décès et aucune hospitalisation sur les quelque 80 patients Covid qu’il a été amené à soigner jusqu’ici. »[130b].

Et si l’ensemble de ces expériences françaises à base d’antibiotiques étaient colligées ?

Malheureusement, on trouve peu de publications concernant la prise en charge du Covid-19 par une thérapie essentiellement fondée sur des antibiotiques.

Dès fin avril 2020, sur la base de son expérience, le docteur Stricker (Californie) publiait des recommandations d’utilisation de cyclines (doxycycline, minocycline) ou de macrolides (azithromycine, clarithromycine)[11][131].

Mi-juillet, l’étude du collectif « Laissons les médecins prescrire » apporte des éléments sur la prise en charge précoce à l’aide d’azithromycine[111e].

En août 2020, une étude présentant des résultats sur la prise en charge ambulatoire par doxycycline est publiée[132].

On peut trouver trace d’un essai clinique en cours aux États-Unis évaluant l’azithromycine seule[132b] : en dose unique ?

Sur l’intérêt de ces antibiotiques, on peut relever sur la toile quelques informations.

Le 2 juin 2020, la généticienne Alexandra Henrion-Caude semble déclarer : « Il y a une trithérapie qui marche bien, d’autant mieux qu’elle est donnée tôt dans la maladie. Elle est faite d’un antibiotique de la famille des macrolides, de zinc, pour booster le système immunitaire, et d’un antiviral antipaludéen, sur lequel j’ai plus de réserves depuis le début. […] cet antibiotique lutte bien contre les virus. Les médecins ou les chercheurs, qui comme moi ont travaillé sur les maladies respiratoires sévères, connaissaient son efficacité. »[133]

Le 24 juillet 2020 dans une tribune du professeur Harvey Risch (université de Yale), on peut lire que l’hydroxychloroquine « s’est révélé très efficace, surtout lorsqu’il est administré en association avec les antibiotiques azithromycine ou doxycycline et le complément nutritionnel zinc »[134].

Le 10 août 2020, on pouvait lire : « Quelle que soit l’explication scientifique, l’azithromycine est un élément clé de la bithérapie HCQ-AZM. » [134b]

Dans des études in vitro l’azithromycine apparaît comme plus efficace que l’hydroxychloroquine[135][136]. Les deux médicaments associés présenteraient une synergie[136][136b][137]. La doxycycline serait également active[138].

Le docteur Gérard Maudrux a suivi l’actualité dans son blog. Le 19 avril 2020, il écrit : « Merci aux médecins libéraux de ne pas abandonner leur mission, de tout faire pour donner une chance à leurs patients, forte ou faible, et d’avoir montré une chose : et si le bon protocole, ce n’était pas Hydroxychloroquine/Azithromycine, mais Azithromycine/Hydroxychloroquine. »[139]. Le 15 juillet 2020, on peut lire : « Par ailleurs, il aurait été préférable de donner des consignes claires, afin que cela ne conduise pas à occulter l’Azithromycine, primordiale dans le traitement actuel (compte tenu de l’absence de médicament possédant l’AMM pour la Covid-19) » [140]. Le 14 septembre, il déclare : « …les autorités ne donnant plus les chiffres de prescriptions. Même chose pour l’Azithromycine, totalement ignorée par la presse et les autorités depuis le premier jour, mais pas par les médecins. Nous ne devons pas savoir ni ce qui est fait, ni le résultat. »[141]. Le 10 octobre 2020, il questionne : « C’était pourtant peu de chose que de dire combien de boîtes d’Azithromycine étaient prescrites, est-ce que ce chiffre ne plaît pas à nos dirigeants pour qu’ils le cachent ? »[142].

Le microbiologiste Claude Escarguel a également suivi l’évolution des traitements du Covid-19[3][5][142b][143][144][145][146]. Selon lui, dans la thérapie du professeur Raoult, la molécule efficace est l’azithromycine[5][142b]. Il plaide pour une thérapie à base d’azithromycine et de zinc. Il a rassemblé les résultats de nombreux médecins en France et est membre du collectif « AZITHRO D’HOSPITALISATIONS » [144][145][146]. Le 19 octobre 2020, il a mis en ligne un preprint présentant les résultats qu’il a colligés sur la France[146]. Ce travaille émet l’hypothèse d’une coopération bactérie/virus dans l’amplification virale. D’ailleurs, les macrolides (azithromycine, clarithromycine), les tétracyclines (doxycycline) et les fluoroquinolones (lévofloxacine, moxifloxacine) ne sont-ils pas classiquement employés contre les germes intracellulaires atypiques ?[146a] L’ivermectine ne pourrait-elle pas être vue comme un « macrolide-like » ?[146aa][146ab]

Et pourtant le rationnel d’utilisation de ces médicaments ne semble pas inexistant[4][146b][146c][146d]

Dans une interview vidéo[146e][146f][146g], datée du 17 novembre 2020, Claude Escaguel parle d’une enquête qu’il aurait cherché à mener auprès de médecins, en Guyane, durant l’épidémie. On croit comprendre que l’ARS de Guyane ne lui aurait pas donné l’autorisation de réaliser cette enquête. Il évoque l’hypothèse selon laquelle l’épidémie aurait pu être contenue en Guyane, en partie grâce aux médecins : par prescription d’azithromycine ?

Dans la même vidéo, on entend Claude Escarguel évoquer le fait que l’IHU de Marseille aurait commencé à évaluer la bithérapie azithromycine/zinc : scoop ? Parallèlement Gérard Maudrux nous annonce qu’une étudiante de Marseille fait sa thèse sur le traitement précoce par azithromycine[75d]. Tout médecin peut lui transmettre ses résultats[146ga].

France Soir a mis en ligne une interview de Claude Escarguel le 28 novembre 2020[146h][146i]. Dans cet entretien on entend Claude Escarguel comparer les résultats des prises en charge en terme de létalité : 2,7 % au niveau national, 0,6 % pour l’IHU de Marseille et 0,2 % pour les médecins du groupe « AZITHRO D’HOSPITALISATIONS » (« étude observationnelle rétroactive » sur plus de 3500 patients). On peut remarquer que ce taux de 0,2 % est calculé sur la base de tableaux cliniques symptomatiques : un taux plafond ? Il déclare avoir soumis ces résultats aux autorités sanitaires, au ministère de la recherche, à l’Académie de médecine, à l’Académie des sciences, à l’OMS et au conseil scientifique depuis avril… « Nous n’avons jamais eu une réponse ».

Le collectif « AZITHRO D’HOSPITALISATIONS » a mis en forme sa proposition de prise en charge précoce sous forme d’un algorithme. Cette proposition semble avoir été soumise au ministère de la santé, au président de la République, au premier ministre ainsi qu’aux parlementaires.

(référence [146h])

Le 17 novembre 2020, plusieurs collectifs (« Laissons les médecins prescrire », l’AIMSIB, Réinfo Covid, laissons les médecins soigner…) ont lancés le manifeste « la quatrième voie »[146j][146k][146l]. Dans ce manifeste on peut lire : « L’azithromycine, une molécule antibiotique qui, par sa configuration, a également une action antivirale en même temps qu’elle réduit le risque de surinfections bactériennes. Dans de nombreux cas, elle peut, à elle seule enrayer les symptômes en quelques jours. ». À ce jour ce manifeste recueuille plus de 200 primo-signatures de médecins et près de 74000 signatures validées. Un appel a été lancé le 9 janvier 2021[146m][146n].

Azithromycine pièce maîtresse ? Synergie des polythérapies ? Aurons-nous un jour scientifiquement la réponse ?
 

Le difficile exercice de la médecine de ville en France ?

Dès fin mars la prescription de certains médicaments en médecine de ville a été interdite[5].

Le 10 avril 2020, Gérard Maudrux confiait : « Mon successeur à la caisse de retraite, généraliste, me disait il y a 3 semaines que cela fait longtemps qu’il utilisait l’Azitrhomycine avec grande satisfaction de ses patients traités, pour certaines pathologies respiratoires, à tel point que la SS lui avait fait des reproches concernant ces prescriptions hors AMMla réglementation étant plus importante que le résultat clinique. »[147].

Dès le mois d’avril on entend parler de médecins convoqués par le Conseil de l’ordre[1]. La parole publique des médecins semble s’étioler alors rapidement. Depuis, le passage devant l’ordre des médecins aurait donné lieu pour certains praticiens à des félicitations et un soutien de la part du conseil de l’ordre[148]. Récemment on a pu lire : « les Dr Jean-Jacques Erbstein et Denis Castaldi ont été blanchis par leur conseil départemental fin juillet. Et même félicités. »[149]. Jean-Jacques Erbstein « raconte [et] dénonce » dans son livre : « Je ne pouvais pas les laisser mourir »[149b].

Début juin, on aurait constaté « une augmentation importante de la prescription des antibiotiques injectables et de l’azithromycine orale en France. Selon l’Agence nationale de sécurité du médicament, cette dernière a bondi de 217 % […]. »[150]. Le 9 juin 2020, France Soir titre : « Covid-19 : restriction de la liberté de prescrire de l’azithromycine, un déni de soin pour les patients ? »[151]. On peut lire : « Ce matin, médecins, sages-femmes et pharmaciens ont reçu une lettre par email du Directeur Général de la Santé, Jérôme Salomon, faisant référence à un avis du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) restreignant la prescription d’antibiothérapie pour les patients atteints de COVID-19 […]. C’est clairement l’utilisation d’azithromycine qui est visée. »

Le docteur Violaine Guérin évoque le manque de disponibilité d’azithromycine en médecine de ville durant le pic épidémique[152][153]. Ce médicament aurait-il été préempté ? Pendant plusieurs semaines ? Pour quelle raison ? Le docteur Guy Bellaïche semble aller plus loin dans les déclarations : « Les ARS ont empêché certains de mes collègues de prescrire des antibiotiques, le Conseil National de l’ordre des Médecins les a même convoqués en vue d’une radiation. Ceci fut choquant, notre liberté de prescrire a été bafouée. […] l’efficacité extrême sur la charge virale en moins de 3 jours laissait penser que seule l’Azithromicine pouvait être “responsable” de cet effet direct sur le virus. Ceci était confirmé par mes lectures sur cet antibiotique très largement utilisé en Asie en cas de pneumopathies atypiques, en particulier virales. […] L’Azithromicine se retrouva en rupture de stock en IDF mais aussi à Strasbourg, l’ARS ayant décidé de « voler les stocks » pour nous empêcher de prescrire. Après quelques lectures scientifiques d’auteurs coréens, j’apprenais que la Clarythromicine était aussi efficace que l’Azithromicine dans ce contexte ; elle s’avérera même plus efficace que l’Azithromicine dans mon expérience. »[154].

On aurait pu avoir quelque espoir début juillet, à l’occasion de l’audition des syndicats de médecins devant la commission d’enquête parlementaire Covid-19…occasion ratée[8] ?

Sur le sujet de la consommation des médicaments, les rapports Epiphare sont intéressants. Un point de situation à la fin avril 2020 a été publié le 4 mai 2020[155]. Le 24 juin 2020 le docteur Gérard Maudrux écrivait : « Les preuves matérielles : elles sont données par les autorités et sont indiscutables : le nombre de boîtes de médicaments prescrites et remboursées. […] [Les] courbes montrent bien qu’il y a eu d’abord prescription de Paracétamol contre le Covid, selon les recommandations, puis abandon pour être remplacé par l’Azythromycine devant son inefficacité, les médecins n’acceptant plus de ne rien faire. Ces traitements ont entraîné une cassure dans la courbe de croissance des hospitalisations en réanimation, et un plateau. […] Les médecins continuent-ils de traiter malgré les injonctions et les menaces ? Je ne peux l’affirmer, les statistiques publiées par l’Assurance Maladie s’arrêtant le 16 avril, mais pour ceux que je connais oui, plus que jamais, et c’est plus que probable expliquant le mail récent du directeur de la santé, demandant de ne plus traiter à l’Azythromycine. S’il le demande après 3 mois, c’est que cela se fait toujours, et non de manière anecdotique. […] Ainsi, tous les faits et chiffres convergent vers le même résultat : les témoignages des médecins, les courbes de passage en réanimation, les statistiques de délivrances de médicaments, comme toutes les pièces d’un puzzle qui s’emboîtent parfaitement. Pour quel résultat ? Les traitements interdits pour le Covid marchent ! Pour ceux qui ne le voient pas, il manque une « étude scientifique randomisée » en ambulatoire, que nos autorités bloquent depuis le début. » [156].

Sur ce sujet, dès le 25 mars 2020 le Docteur Thierry Lardenois, membre du collectif « Laissons les médecins prescrire » propose au Ministère de la Santé d’évaluer des traitements sur des médecins atteints du covid et volontaires[156b][156c][156d]. Le nombre de 1000 médecins était proposé[156b]. Cette proposition aurait été faite au ministère à 4 reprises[156c] et les premiers résultats de l’étude pouvaient être espérés sous 10 jours[156d]. Le docteur Gérard Delépine sur l’antenne de Beur FM rappelait également, le 28 septembre 2020, qu’il suffisait de 15 jours pour avoir des résultats d’essais sur la prise en charge précoce du coronavirus SARS-Cov-2[156e][156f]… Parallèlement, en février 2020, l’Inserm (largement subventionné par l’état[156g]) lançait et finançait « une étude sur les effets de l’hydroxychloroquine, associée ou non à l’azithromycine » contre le SARS-CoV-2, chez le…macaque[156h][156i].

Le rapport Epiphare publié le 9 octobre 2020 est également intéressant. Il s’agit d’un point de situation au 13 septembre 2020[157]. Le docteur Gérard Maudrux réagit à cette publication dès le 10 octobre 2020. Il met en ligne un article : « Traitement du Covid-19 : interdit de savoir. »[142]. Son constat et son analyse sont sans appel : « Nous attendions la suite avec impatience, vous ne l’aurez pas, car vous n’avez pas le droit de savoir ce qui est utilisé en France pour traiter le Covid, les médecins non plus n’ont pas à savoir ce que leurs confrères donnent, avec ou sans succès. […] 383 pages pour rien en ce qui concerne le traitement du Covid ! […] Le traitement du Covid a été volontairement occulté. […] Pire, au chapitre antibiotiques, l’Azithromycine a été soigneusement sortie des statistiques de prescriptions […] C’est le seul médicament expressément exclu dans ces 386 pages qui concernent tous les médicaments. Il n’y a aucune explication, pas un seul mot, concernant cette exclusion. On aurait pu penser que c’était pour faire l’objet d’un traitement à part car intéressant, et bien non, rien, absolument rien. Or ces chiffres sont connus, car le médicament a été étudié isolément, comme en avril, mais ces informations, ce n’est ni pour le peuple, ni pour les soignants. C’est une vraie manipulation de l’information, manifestement sur ordre politique. […] On a interdit aux médecins de communiquer sur les résultats de leurs prescriptions, on interdit aux organismes publics de communiquer sur ce qui se prescrit en bien ou en mal…» [142]. Le docteur Gérard Maudrux est remonté aux sources chiffrées des prescriptions sur ameli[75d][157b]. Le bilan semble sans appel. Il conclut : « Cette hécatombe n’est plus due au Covid, mais à l’omerta qui entoure le traitement précoce. »

Au 9 novembre la position de la haute autorité de santé (HAS) sur les antibiothérapies ne semble pas avoir évolué[158].

Le 13 octobre 2020 on pouvait lire : « « on a tellement terrorisé les médecins de ville qu’ils n’osent pas la prescrire », quand ils ne sont pas l’objet d’interventions des Associations régionales de santé s’ils l’inscrivent sur une ordonnance. »[159][160]

On peut lire : « Un médecin en Ehpad se plaint sur Twitter de risquer son poste s’il prescrit de l’azithromycine qu’on prescrivait depuis des années dans les infections pulmonaires… »[160b]

Une récente polémique portant sur la majoration du montant de la consultation médicale, portée à 55 euros dans certaines situations covid, ravive le débat sur la condition de la médecine de ville[161][162]. Pourtant dès le mois de mai 2020 on pouvait lire à ce sujet « le coup de gueule d’un médecin » : « Quand j’ai lu ça, je me suis tout de suite dit, quelque chose ne va pas. Se faire payer le double pour une maladie en particulier ? Ça voudrait dire quoi, que pour d’autres maladies, on s’en fout ? Si on fait ça, on est vraiment des p… »[163][164]

Le 9 décembre 2020 on pouvait lire : « Un décret publié au Journal Officiel du 29 novembre établit une « procédure de déconventionnement exceptionnel en urgence ». Elle pourra être mise en œuvre par une Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) à l’encontre de tout professionnel de santé libéral soupçonné de pratiques tarifaires abusives ou frauduleuses ou de prescriptions illicites. Le directeur de la caisse du département où exerce le médecin pourra ainsi décider de déconventionner le professionnel « pour une durée qui ne peut excéder trois mois » » [164b][164c][164d][164e]. En cette période plus que trouble, quelle interprétation donner à ce décret ?

Le 22 décembre 2020, on entend parler de plaintes du conseil national de l’ordre des médecins à l’encontre de médecins généralistes : les docteurs Nicolas Zeller et Hélène Rezeau-Frantz[164f][164g]. En raison des déclarations du docteur Zeller concernant l’azithromycine ?[115b] En raison des déclarations à la presse du docteur Rezeau-Frantz concernant les anti-histaminiques dans la prise en charge du Covid-19 ?[164h][164i][164j]. Le 24 décembre 2020, il est question de la publication d’ « un décret modifiant l’Article R. 4127-19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle (celle entérinée par le conseil de l’Ordre des médecins). »[164k]. Parallèlement, en ce début d’année, le forfait de saisie dans « Vaccin Covid » de 5,40 euros instauré dans le cadre de la vaccination interpelle[164l][164m]. Sommes-nous en train d’assister à la version moderne du bâton et de la carotte ?

La médecine de ville en position délicate ? Aujourd’hui des médecins témoignent sous couvert d’anonymat[164n] : « « les médecins ont peur, ils se taisent » »[164o].

Sur l’azithromycine, le 24 avril 2020 on lisait déjà : « L’Azithromycine, un traitement antibiotique utilisé pour soigner les personnes atteintes du coronavirus (même si cette indication n’est pas encore validée par les autorités sanitaires), commence à manquer dans les pharmacies. » [165]. Le bon sens et l’évidence avaient-ils leur place dans cette crise ?

Le 17 novembre 2020, le premier ministre Jean castex était auditionné par commission d’enquêtre Covid-19 de l’assemblée nationale[165b][165c][165d][165e][165f]. Questionné par Martine Wonner, on l’entend déclarer : « Vous avez parlé d’un traitement précoce, je ne sais pas de quoi vous parlez madame, en tout cas je n’en connais pas… » Que penser ?

Ces mots peuvent être mis en perspective, entre autres, avec cette diapositive concernant le collectif « AZITHRO D’HOSPITALISATIONS » [128e][144][145] :

(référence[145])

Ne lit-on pas : « Mr le Dr Brette (Yvelines) étant intervenu auprès d’Antoine Tesnières (Monsieur Covid du cabinet du ministre) » ?

Parallèlement, aux États-Unis, le « 19 novembre 2020 s’est tenue la commission d’enquête sur les traitements ambulatoires contre la Covid-19 sous la présidence du sénateur Johnson, président de la Sécurité Intérieure. »[165g]. France Soir titre : « Au Sénat américain, le retour fracassant d’une médecine qui soigne : verbatim ». Le site covexit met en ligne une vidéo[165h][165i]. Quel média mainstream français abordera cette commission d’enquête ? Que penser du contraste entre le débat parlementaire en France et aux États-unis à la même période ?

Le 8 décembre 2020, une seconde session d’audiences a eu lieu face à la commission sénatoriale. Le docteur Kory livre un poignant témoignage sur le traitement précoce du Covid-19 et en particulier sur les résultats de l’ivermectine[165j][165k][165l][165m]. L’alliance FLCC (Front Line Covid-19 Critical Care Alliance), qui réunit autour de lui des médecins internationaux (norvégiens, italiens, argentins, britanniques)[165l] évoque la censure dont serait l’objet la vidéo de ce témoignage[165n].

Et demain : chimioprophylaxie ? Vaccin ? Clofoctol ?

Depuis 2012l’académie nationale de médecine recommande « d’assurer une supplémentation vitaminique D dans la population française »[166][167]. Le 22 mai 2020 elle publie un communiqué titré : « Vitamine D et Covid-19 » [166]. Le docteur Violaine Guérin indique avoir écrit à la présidence de la république dès le 13 mars 2020 à ce sujet[168][169]. Le rôle de cette vitamine ne semble aujourd’hui plus faire de doute[7][170][171]. Le 10 novembre on pouvait lire : « Les personnes âgées et vulnérables vont recevoir gratuitement de la vitamine D pendant quatre mois à partir de décembre au Royaume-Uni, a annoncé le secrétaire d’État à la Santé et à la Protection sociale britannique Matt Hancock le 7 novembre. »[172]. Et en France ? Et pourquoi se limiter aux personnes à risques ? La même interrogation concernant la vitamine D et la grippe peut être posée…chaque année[173][174][175][176]. Pourquoi n’entend-on parler que du vaccin ?

Le zinc apparaît également comme un élément clef dans la lutte contre le coronavirus[7][177]. Est-il nécessaire de présenter la vitamine C[7] ? Elle est même une pièce essentielle du protocole du docteur Marik de l’Eastern Virginia Medical School[92][93].

Les propositions de prophylaxie sont aujourd’hui multiples :

Le docteur Zelenko propose des associations quercétine/zinc/vitamine C ou EGCG/zinc/vitamine C ou hydroxychloroquine/zinc selon le niveau de risque de la personne[7].

Le Docteur Gustavo Aguirre Chang propose le zinc, les vitamines D/A/B12/C ainsi que la mélatonine[62][63].

Le docteur Marik propose la quercétine, un complexe de vitamines B, les vitamines C et D3, le zinc et la mélatonine[92][93].

Pourquoi nos états occidentaux n’organisent-ils pas une chimioprévention médicale du type vitamine D/vitamine C/zinc ? Et pas seulement pour le SARS-CoV-2…pour la grippe aussi ?

Le 31 octobre 2020, la presse titrait : « « Le Covid nous a coûté 186 milliards d’euros » »[178]. À quelques dizaines d’euros le traitement précoce, de quoi traiter la France entière ? À quelques euros la chimioprophylaxie, de quoi protéger combien de planètes TAIRE [179] ?

Et que penser du vaccin ?

Le docteur Merrit rappelle que souvent la forme d’immunité recherchée avec un vaccin est une réponse immunitaire incomplète[11][180]. Elle rappelle le risque de facilitation de l’infection par les anticorps[181][182][183]. Cette thématique est également abordée par l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante)[184][185], entre autres[186][187][188].

Récemment, avec 50 références à l’appui, le docteur Juan Gérvas écrivait sur l’exemple du vaccin anti-grippe : « Le vaccin antigrippal est un vaccin raté, inutile au mieux, qui discrédite les vaccins en général. »[189][190]. De plus en plus d’articles traitent aujourd’hui des doutes quant au vaccin antigrippe[191][192][193]. Où est le vrai ? Quelles inquiétudes peut-on relever face aux nouvelles générations de vaccins ?[193b]

Entre la chimioprophylaxie et les traitements précoces, quelle est donc la place d’un vaccin contre le Covid-19 ? De permettre une porte de sortie politique (aux frais des états, donc des citoyens) ? Le vaccin contre le covid-19 : un château de cartes pour sortir de l’impasse ?

Sur le plan de la recherche, l’Institut Pasteur de Lille a fait parler de lui à la mi-octobre. On entend la rumeur d’un médicament potentiellement très efficace contre le SARS-CoV-2 : le clofoctol[194][195][196][197]. Ce composé s’apparente à un antibiotique (sacrilège ?)[198]. Les tests in vitro seraient très concluants. Grâce à des fonds privés, le laboratoire serait sur le point de lancer des essais sur les primates, puis « des strictes et très rigoureuses procédures d’évaluations in vivo (sur l’humain)… »[199]. « Saint Random, priez pour ceux que vous avez laissé tomber. »[200]. Avec une telle méthodologie, la France sera-t-elle prête pour… le SARS-CoV-3 ?

Depuis cet été la parole des médecins cherche à se libérer de par le monde : en Allemagne, Espagne, États-Unis, Italie, Belgique[45][201][202][203][204][205][206][207][208][209]

En France, le documentaire « Mal traités » arpente la toile et les réseaux sociaux depuis le 7 décembre 2020[75f][209b]. Le sociologue Laurent Mucchielli et l’anthropologue Jacques Pollini publient le 9 décembre « Comment comprendre le déni des traitements précoces de la Covid ? »[209c]. Les éléments se recoupent ?

En France, sur le site web du Collège National des Généralistes Enseignants, on titre : « Décider selon les données de la science, y compris en période pandémique. Avis du conseil scientifique du 03 Novembre 2020 »[210]. On peut encore lire : « Dans le cadre d’une médecine basée sur les faits probants, et dans le respect du principe éthique de non malfaisance, l’absence d’évaluation d’un traitement conduit à ne pas le prescrire car ce serait faire supporter aux patients un risque de dommages supérieur aux bénéfices. »

Médecins généralistes enseignants d’aujourd’hui ? Médecins généralistes de demain ?

Dans cette crise nous avons entendu parler de médecins complotistes, alarmistes, négationistes, rassuristes…

Si on avait juste pu entendre parler de médecins qui soignent…

Où est la vérité ?

Le 14 avril 2020, Olivia Vansteenberghe confiait humblement : « C’est juste de la médecine »[211].

Nous avions la réponse.


Références

Auteur(s): Le Collectif citoyen, pour France Soir




La Norvège met en garde contre les risques de vaccination pour les patients malades de plus de 80 ans

[Source : Bloomberg]

La Norvège a déclaré que les vaccins Covid-19 pourraient être trop risqués pour les très vieux et les malades en phase terminale — la déclaration la plus prudente à ce jour d’une autorité sanitaire européenne alors que les pays évaluent les effets secondaires réels des premiers vaccins pour obtenir l’approbation.

Les responsables norvégiens ont déclaré que 23 personnes étaient décédées dans le pays peu de temps après avoir reçu leur première dose de vaccin. Parmi ces décès, 13 ont été autopsiés, les résultats suggérant que les effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles, selon l’Agence norvégienne des médicaments.

« Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves », a déclaré l’Institut norvégien de santé publique. « Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents. »

La recommandation ne signifie pas que les personnes plus jeunes et en meilleure santé devraient éviter de se faire vacciner. Mais c’est une première indication de ce qu’il faut surveiller alors que les pays commencent à publier des rapports de surveillance de l’innocuité des vaccins. Emer Cooke, le nouveau chef de l’Agence européenne des médicaments, a déclaré que le suivi de la sécurité des vaccins Covid, en particulier ceux qui reposent sur de nouvelles technologies telles que l’ARN messager, serait l’un des plus grands défis une fois les vaccins largement déployés.




Ce n’est pas parce que le Système est contre vous que l’Univers l’est aussi

[Source : Réseau International]

Par Caitlin Johnstone.

La situation est intense en ce moment. Sacrément intense. Surtout aux États-Unis.

Les libéraux et les progressistes craignent que leur nation soit au bord d’un violent soulèvement fasciste et d’une guerre civile, et les médias alimentent joyeusement cette crainte. La droite est indignée par la censure d’Internet et par la croyance que sa démocratie a été détournée par les communistes chinois de l’État profond (ou quelle que soit leur cible du moment). Les personnes qui n’adhèrent pas à un point de vue partisan particulier sont critiquées par celles qui le font pour leur refus de se déplacer avec le troupeau.

Où que vous soyez sur l’échiquier politique, la situation est intense. Et c’est effrayant. Ce n’est que le dernier développement de ce qui ressemble à la sagesse conventionnelle d’une société en décomposition dans un monde mourant. Il est donc très facile pour un sentiment de désespoir de s’installer.

Alors que les choses deviennent de plus en plus bizarres et que la possibilité qu’une impulsion saine prenne le contrôle des rênes dans ce chaos et nous guide vers la bonne santé mentale semble de plus en plus éloignée, il est fréquent que les gens pensent qu’ils assistent à une désintégration qui reflète la nature fondamentale réelle de l’humanité, ou de la réalité elle-même. Que peut-être l’humanité est tout simplement horrible, ou que nous sommes nés dans un univers sombre de terribles souffrances. Que la vie est nulle et que tout est merdique.

C’est une de ces croyances qui peuvent s’insinuer, inaperçues, sans jamais être vraiment mises en mots consciemment dans votre esprit. Elle peut juste traîner dans votre subconscient, tirant les ficelles de votre pensée et de votre attention sans que vous en soyez nécessairement conscient.

Mais ce n’est pas vrai. Ce n’est pas vrai du tout.

Les choses ne sont pas mauvaises parce que le monde dans lequel nous sommes nés est mauvais par nature, les choses sont mauvaises parce que quelques sociopathes manipulateurs les ont rendues ainsi. Quelques sociopathes manipulateurs ont mis en place un système qui vise à préserver le statu quo qui les nourrit de richesses et de pouvoir au détriment de la santé et du bien-être de tous les autres, et au détriment de l’équilibre de notre écosystème. Ce système est conçu pour maintenir tout le monde dans la pauvreté et la propagande afin que personne ne puisse contester le pouvoir des sociopathes manipulateurs dont le règne dépend de l’exploitation et des incessantes effusions de sang.

L’Univers n’est pas contre vous. Ce n’est pas parce que le Système est contre vous que l’Univers l’est aussi. Nous sommes confrontés aux programmes éphémères de quelques mortels dont la vie n’est qu’un petit point dans un infini béant. Ce sont de minuscules brins de rien sur la vaste toile de fond de la réalité.

L’humanité est tellement, tellement plus que ce que la sagesse conventionnelle peut percevoir actuellement. Nous avons tellement de potentiel inexploité qui n’a tout simplement pas encore été révélé. Des forces mystérieuses sont à l’œuvre dans notre espèce, et il se trouve que les sociopathes manipulateurs sont les plus mal équipés pour faire face à ces forces.

Les sociopathes n’ont pas de vision intérieure. Leur narcissisme et leur manque d’empathie leur permettent d’utiliser les gens comme des outils pour obtenir ce qu’ils veulent là où le reste d’entre nous répugnerait à le faire, mais cela les rend aveugles à des choses comme l’inspiration, la guérison et la perspicacité.

Les choses se révèlent d’une manière que la sagesse conventionnelle ne peut pas vraiment comprendre et que le langage ne peut pas indiquer correctement, et les toutes dernières personnes qui reconnaîtront les fruits de cette découverte sont les sociopathes manipulateurs qui dirigent les choses.

Le désespoir est une position irrationnelle lorsqu’on regarde notre situation, car il suppose que nous possédons une sorte de toute-puissance qui peut percevoir tous les facteurs en jeu dans notre situation et exclure la possibilité d’un résultat souhaitable. Nous ne le pouvons tout simplement pas. Quiconque a eu une expérience suffisante avec l’exploration intérieure ou les substances psychédéliques sait qu’il existe des niveaux importants de notre conscience qui ne sont même pas encore entrés en jeu dans notre fonctionnement collectif en tant qu’espèce, mais ils sont là, tous prêts à intervenir le moment venu.

Ce que nous savons est éclipsé par ce que nous savons que nous ne savons pas, et ce que nous savons que nous ne savons pas est éclipsé par ce que nous ne savons pas que nous ne savons pas. Tout peut arriver. De mauvaises choses comme de bonnes choses. Un monde sans précédent dans lequel les humains trouvent un moyen de collaborer harmonieusement entre eux et avec leur écosystème.

Les sociopathes manipulateurs et leurs stratagèmes ne sont que des petits détails de cette vaste toile de fond. Et puis un jour ils meurent, comme Sheldon Adelson nous l’a si gentiment rappelé.

L’Univers n’est pas contre vous. Les salauds n’ont pas gagné. Gardez la tête haute et les yeux grands ouverts, magnifique rebelle.

source : https://caityjohnstone.medium.com

traduit par Réseau International




Moscou se débarrasse de ses dollars et mise sur l’or: «La Russie se prépare à l’avenir»

[Source : Sputnik News]

La Russie vient de franchir une étape importante dans son processus de «dédollarisation». Pour la première fois, Moscou voit la part de l’or dans ses réserves de change dépasser celle du dollar. Moscou se place-t-il en précurseur? Fabrice Drouin Ristori, fondateur et dirigeant de OR.FR/GoldBroker.com, répond à Sputnik.

La Russie tente depuis des années de réduire son exposition aux actifs américains. Et Moscou vient de franchir un cap sur ce chemin entamé de longue date. Comme le rapporte un article de Bloomberg dont OR.FR s’est fait l’écho, la Russie possède désormais beaucoup plus d’or dans ses réserves de change que de dollars. La part de l’or dans les 583 milliards du pactole de la Russie atteignait 23% fin juin. Quant aux avoirs «made in America», ils ne représentent plus que 2%. Pour se rendre compte de la route parcourue, il suffit de constater que le dollar comptait pour 40% des réserves de change russe en 2018.

«C’est une tendance de fond que l’on a pu observer ces dix dernières années. La Russie est l’un des plus gros acheteurs d’or du monde depuis un certain moment. Le but est d’accumuler un actif totalement neutre politiquement et libre de toute influence», explique au micro de Sputnik Fabrice Drouin Ristori, fondateur et dirigeant de OR.FR/GoldBroker.com et spécialiste du précieux métal.

Moscou s’est avéré un acteur prépondérant dans l’achat d’or ces dernières années. Pas moins de 40 milliards de dollars ont été dépensés en cinq ans afin d’acquérir le précieux métal jaune, selon Bloomberg.

Une stratégie réfléchie

Comme le note le journal américain, l’augmentation des réserves d’or de la Russie a bénéficié d’une flambée des prix du métal jaune de 26% entre juin 2019 et juin 2020. Dans un rapport récent, la Banque centrale russe dit avoir acheté pour 4,3 milliards de dollars d’or au cours de cette période. L’institution a déclaré qu’elle avait mis fin à ses achats d’or au cours du premier semestre de 2020 pour privilégier ses propres exploitations minières et pousser les banques du pays à plus exporter. Le but? Augmenter le pactole de devises étrangères de la Russie dans un contexte de chute des prix du pétrole.

«La stratégie russe prouve bien que l’or est la monnaie utilisée en derniers recours en cas de tensions géopolitiques. La Banque centrale russe sait que l’or est un actif neutre qui sera toujours accepté», souligne Fabrice Drouin Ristori.

Lors du forum de Saint-Pétersbourg, en juin 2019, Vladimir Poutine déclarait ceci: «Il est évident que ces changements profonds [du système financier mondial, ndlr] exigent d’adapter les organisations financières internationales, de repenser le rôle du dollar, qui, après être devenu une monnaie de réserve, s’est transformé en instrument de pression du pays émetteur sur le reste du monde.»

​Les choix monétaires de Moscou apparaissent cohérents avec une stratégie au long cours. D’après les données de la Banque centrale russe, la part de paiements en dollars américains dans les exportations de biens et services a chuté de 80 à 68% entre 2013 et 2017. Dans le même temps, la part de l’euro a augmenté et est passée de 9 à 16% et le rouble a grimpé de 10 à 14%. Le mouvement a été moins marqué concernant les importations, la part du dollar passant de 41 à 36%.

La volonté de s’affranchir du dollar se retrouve également dans les ventes d’armes de la Russie. Moscou occupe une grande place sur ce marché avec 21 % des exportations dans le monde, d’après le Stockholm International Peace Research Institute (Sipri).

Des dollars
© CC0 / QUINCEMEDIA / DOLLARSLe cours de l’or explose: la planche à billets panique-t-elle les investisseurs?

En octobre 2018, les autorités russes annonçaient que les systèmes de défense anti-aériens S-400 vendus à l’Inde seraient payés en roubles.

Même le National Wealth Fund, le fonds souverain russe, a diminué ses investissements en dollars en 2020. D’autres devises, comme le yuan ou reminibi chinois, ont été privilégiées. Une décision expliquée par Vladimir Kolytchev, vice-ministre russe des Finances, qui note que «les motifs géopolitiques sont l’un des principaux facteurs qui déterminent la structure des réserves du National Wealth Fund»«Nous nous synchronisons davantage avec la banque centrale», souligne-t-il.

Selon Fabrice Drouin Ristori, l’une des raisons fondamentales qui pousse la Russie a se «dédollariser» demeure les sanctions économiques que Washington multiplie à l’encontre de Moscou. Récemment, les États-Unis ont pris des mesures contre plusieurs entreprises russes notamment liées à la Défense et au renseignement. Une décision qui n’a pas manqué de faire réagir le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov: «En ce qui concerne la question des nouvelles sanctions américaines imposées aux individus et entreprises russes et chinois, cela ne nous étonne pas, les États-Unis adoptent depuis longtemps une politique hostile envers notre pays. Et bien sûr, la réponse suivra, et non seulement en ce qui concerne la symétrie, mais nous tirerons des conclusions supplémentaires qui porteront sur l’ensemble des relations russo-américaines.»

«Les États-Unis ont abusé de leur position»

Un contexte qui n’a pas échappé à Fabrice Drouin Ristori: «La Russie s’écarte du dollar, car elle est la cible de sanctions de la part des États-Unis depuis des années. Moscou cherche à prendre ses distances avec un billet vert politisé.»

((citation))

«La dédollarisation de la Russie apparaît peut-être en pleine lumière aujourd’hui, mais c’est une stratégie entamée de longue date. Moscou sait que l’or revient en force dans le système monétaire. C’est une tendance claire. La Russie se prépare à l’avenir et à un système monétaire fondé sur d’autres actifs que le dollar. Les États-Unis ont abusé de leur position et d’un dollar monnaie de réserve internationale», conclut l’expert.




Le Système Octogon et l’or des Nazis

[Source : Andre Schoene]

Victor Rocaries, directeur général Arte France :

« Il est inacceptable que le nom d’Arte soit associé à un acte de censure… Mais cette fois, c’est vrai, nous avons décidé de ne pas montrer le film. Pourquoi ? … Il ne nous est pas possible de dire cela en Allemagne. La fortune nazie se cache en fait derrière le financement des partis politiques en Allemagne, c’est pourquoi nous avons décidé de ne pas montrer le film. »[1]

« Les vieux nazis, marchands d’armes, hommes d’affaires, fonctionnaires et agents de la CIA ont alors construit un réseau occulte et corrompu pour le financement politique. »[6]

Jean-Michel Meurice, producteur :

« Des envoyés du siège strasbourgeois d’ARTE sont venus me voir régulièrement et m’ont dit : changez ceci, découpez quelque chose ou mettez une zone de texte à l’écran avec la note que tout est faux, c’est inacceptable, donc beaucoup de corrections. J’ai toujours refusé. »[1]

Il ne pourra être diffusé en France que quatre ans plus tard. Une version raccourcie de 10 minutes aux points clés sera enfin diffusée en Allemagne. Si vous voulez voir les 10 minutes manquantes, regardez les 15 dernières minutes de la longue version française.

Ici pour la version allemande (70 min — version courte) : http://youtu.be/0tO_-BofiQk?t=1m42s

En utilisant des documents d’archives américaines, suisses et allemandes[2][5] longtemps gardées secrètes et maintenant publiées, Frank Garbely et Fabrizio Calvi ont pu retracer une histoire qui s’étend sur plusieurs décennies.

Au cours de la défaite allemande imminente, un général des achats de Reut et des membres du ministère de la Marine et de la Guerre de Paris ainsi que des représentants des plus importants groupes industriels allemands tels que Krupp, Rheinmetall, Volkswagen, Hecho, Bussing et Röchling se sont réunis dans le salon privé de l’hôtel Maison Rouge de Strasbourg en 1944. Un total de 10 sont sur une liste. Ils prévoyaient de déplacer l’or nazi vers des pays neutres. Ils voulaient créer un lieu sûr pour les actifs nazis afin d’influencer la formation de l’Allemagne d’après-guerre.[2][3]
D’énormes sommes d’argent se sont alors retrouvées au Liechtenstein via des canaux cachés.

« Au début, ces deux partis (CDU / CSU, FDP) en particulier ont bénéficié de ce financement illégal des partis. Mais à partir des années 1960, le système était de plus en plus géré par de grandes associations professionnelles. Au cours de nos recherches, [il est apparu que] des fonctionnaires du SPD ont également pu profiter de cet argent. »[7]

Walther Leisler Kiep :

« En tant que trésorier de la CDU, rapporte-t-il, il avait pour tâche de collecter des fonds pour la politique chrétienne et en même temps de récapituler l’histoire du financement des partis en République fédérale. Avec l’aide d’un réseau de grandes entreprises allemandes et de boîtes aux lettres au Liechtenstein et en Suisse depuis les années 1950, beaucoup d’argent a été mis à la disposition des partis « discrètement, plus secrètement que secrètement ». Jusque dans les années 1970, environ 220 millions de marks. »[8]

« Helmut Kohl est désormais à la tête de la CDU… mais les modes de financement du système vieux de 35 ans n’ont pas changé…
Nous avons renouvelé l’ancien système avec de nouveaux acteurs, de nouveaux trésoriers, une nouvelle banque, mais les donateurs étaient toujours les mêmes ».[1]

Un film documentaire sur le sujet est retenu par ARTE depuis de nombreuses années :

Notes

[1] « Le Système Octogon » : Arte, la censure et le trésor des nazis – Rue89 – L’Obs (archive.org) :

« Le Système Octogon » : Arte, la censure et le trésor des nazis

Emma Aurange | journaliste

De Konrad Adenauer à Helmut Kohl, la CDU, parti chrétien-démocrate majoritaire dans l’Allemagne d’après-guerre, aurait bénéficié de financements occultes provenant du trésor caché des nazis. Le 1er juin, Arte diffusera « Le Système Octogon », documentaire signé Jean-Michel Meurice qui − censure oblige − dormait depuis trois ans sur les étagères poussiéreuses de la chaîne franco-allemande.

L’affaire remonte à 2007. Cette année-là, Jean-Michel Meurice soumet à Arte son projet. Aux côtés du réalisateur, les deux journalistes d’investigation Fabrizio Calvi et Franck Garbely y étayent la thèse selon laquelle l’Union chrétienne démocrate (CDU), parti de Konrad Adenauer, aurait bénéficié du système de financements occultes mis en place par les nazis.

Blanchi en Suisse, l’argent des nazis revient pour financer la CDU

Ce système reposant sur une société écran du nom d’Octogon, et dont le fonctionnement est raconté par le menu dans le documentaire, comme on peut le voir dans l’extrait repris par Telerama.fr :

« Le processus de lavage d’argent était tout simple. L’entreprise donne de l’argent, qui est transféré par des voies détournées en Suisse.

Là, officiellement, il est dépensé dans un but d’intérêt général inventé de toutes pièces, 10% sont soustraits au passage et le reste est récupéré par les trésoriers du parti conservateur ». (Voir la bande annonce du docu, passé sur la télé belge RTBF)

https://youtube.com/watch?v=zL05LZtuNs8 [NdNM : vidéo plus disponible]

Le sujet est délicat mais porté par un collaborateur de longue date, et la chaîne valide le projet sans plus d’hésitation.

« Ils m’ont demandé une foule de corrections que j’ai refusées »

Le documentaire est donc tourné, programmé pour septembre 2008, puis… déprogrammé. Jean-Michel Meurice, qui n’a pas eu droit à la moindre explication, tombe des nues :

« Tout ça s’est fait dans le non-dit, comme si on pouvait poser le documentaire sur une étagère et l’étouffer. Mais on n’est pas dans un système soviétique. »

Le silence dure, Jean-Michel Meurice finit par comprendre que c’est la branche allemande de la chaîne qui bloque
la diffusion. « Le Système Octogon » dérange, les historiens allemands montent au créneau. C’est le début d’une (très) longue période de négociations. Jean-Michel Meurice se souvient :

« Un envoyé du siège strasbourgeois venait régulièrement me voir pour me dire que l’on pourrait couper ci ou couper ça, ou bien mettre un carton [un texte affiché à l’écran, ndlr] disant que tout ça est faux, enfin des choses qui étaient inacceptables, une foule de corrections que j’ai toujours refusées. »

« Une thèse contrebattue par les études réalisées depuis »

Pendant ce temps, Arte justifie cette déprogrammation comme elle peut. Invité, le 8 février, à une projection-débat organisée par la Scam, Victor Rocaries, directeur de la gestion d’Arte France, prend la parole :

« Il n’est pas acceptable que le nom d’Arte soit associé à un acte de censure. Nous ne l’avons jamais fait et nous avons toujours au contraire favorisé le documentaire d’investigation.

Pourtant, cette fois, c’est vrai, nous avons décidé de ne pas diffuser ce film.

Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il nous est apparu que la thèse véhiculée par le film − en gros, que l’argent nazi, caché en Suisse et au Liechtenstein, a permis de financer les campagnes de la CDU et des autres partis politiques allemands − nous paraît contrebattue par les études historiques réalisées depuis […].

Il n’est pas pour nous possible de dire en Allemagne que le financement des partis politiques allemands de l’après-guerre a été le fait des trésors cachés des nazis. Voilà pourquoi nous avons décidé de ne pas diffuser ce film. »

Il aura finalement fallu attendre mars 2011, et l’arrivée de Véronique Cayla à la tête de la branche française de la chaîne, pour que « Le Système Octogon » réapparaisse dans les grilles de diffusion. De quoi augmenter l’animosité de Jean-Michel Meurice à l’égard de l’ancien président d’Arte France :

« Jérôme Clément n’a pas voulu s’occuper sérieusement de cette affaire embêtante. Ce n’est pas un homme connu pour son grand courage, donc il a préféré laisser ça sous le tapis. J’en avais parlé, je lui ai réécrit à plusieurs reprises, mais il ne répondait plus. »

Les accusations contre Helmut Kohl finalement supprimées

Une issue favorable, ou presque. Car − la diffusion a un prix − c’est une version expurgée du « Système Octogon » que découvriront les téléspectateurs français et allemands le 1er juin. En effet, dans sa version originale, le documentaire faisait le rapprochement entre le financement, dans l’immédiat après-guerre, de la CDU d’Adenauer par l’argent nazi et l’affaire des caisses noires de Kohl.

Le commentaire expliquait :

« Helmut Kohl est maintenant au sommet de la CDU […] les méthodes de financement n’ont pas changé et continuent grâce au système construit trente-cinq ans plus tôt. »

« On a reconduit l’ancien système avec de nouveaux protagonistes, de nouveaux trésoriers, une nouvelle banque, mais les donateurs étaient toujours les mêmes […] il n’y avait que le trésoriers, les acteurs, les personnes qui récoltaient les fonds, il n’y avait que ça qui changeait. »

Rajoutée à la demande de la chaîne qui voulait « actualiser » le propos du film, cette partie sur l’implication du chancelier de l’Allemagne réunifiée dans cette affaire ne figurera pas dans la version finale du documentaire.

En tout, c’est près d’une dizaine de minutes de film qui auront été coupées, et ce sur les conseils du grand historien Marc Ferro :

« Arte m’a demandé ce que j’en pensais. J’ai donné un avis favorable quant au fond, mais critique quant aux imprudences de la réalisation : au lieu de s’arrêter à l’époque d’Adenauer, Jean-Michel Meurice a voulu montrer que les successeurs à la CDU avaient aussi utilisé cet argent.

J’ai donc dit que c’était un piège à procès. Ça me semblait de l’acharnement, donc j’ai recommandé que l’on coupe la fin et que l’on ne parle pas de Kohl. »

Conscient d’avoir fait « un amalgame qui pouvait laisser croire qu’il y avait eu une relation entre Kohl et l’argent nazi », Jean-Michel Meurice n’a pas contesté la coupe, déplorant « un manque de professionnalisme de la part d’Arte » bien plus que « l’acte de censure » en tant que tel.

« Le film lève le tabou sur l’intégrité du chancelier Adenauer »

Mais ce n’est pas simplement ces quelques minutes qu’avaient incriminé les historiens allemands. En effet, à en croire Marc Ferro, au-delà de Kohl, la façon dont le documentaire révèle les accointances de Konrad Adenauer avec les nazis a dérangé les spécialistes germaniques :

« Les historiens allemands ont sorti leurs épées en voyant qu’on s’en prenait à Adenauer […] Je pense que ils se soulevaient parce que le film lève un tabou, après Hitler et le nazisme, Adenauer c’était l’intégrité, la pureté. Entacher Adenauer, c’était entacher toute l’Allemagne. C’était un film sacrilège. »

Au travers de la figure emblématique d’Adenauer, premier chancelier de la République fédérale d’Allemagne, « Le Système Octogon » aborde frontalement le problème de la non-dénazification dans l’Allemagne d’après-guerre, comme le souligne Jean-Michel Meurice :

« Il n’y a jamais que dix-neuf personnes qui ont été condamnées à Nuremberg, alors qu’il y a des millions d’Allemands qui ont été derrière Hitler. Ce n’est pas seulement l’affaire de dix fanatiques. »

Ce qui dérange, c’est que sa thèse s’appuie sur « le fait qu’Adenauer ait reconstruit l’Allemagne de l’Ouest avec essentiellement des nazis, et en faisant feu de tout bois avec la corruption », dit le réalisateur :

« Toute la structure administrative de l’Allemagne nazie a continué de fonctionner après la guerre » : selon lui, c’est ce que les historiens allemands – eux aussi victimes d’un héritage trop lourd à porter – se refusent à entendre.

L’existence d’une réunion sur Octogon en 1944 contestée

Ces derniers nient ainsi en bloc certains éléments clés du documentaire comme, par exemple, l’existence de la fameuse réunion de Strasbourg durant laquelle aurait été mis en place, à l’été 1944, le système Octogon.

Ce à quoi Jean-Michel Meurice répond :

« Ils disent que la fameuse réunion de 44 n’a pas existé ? Mais nous, on a des documents très sérieux alors il faut voir quels documents ils ont. On a un rapport écrit par l’un des participants, qui était un agent secret travaillant pour les services français. C’est la note que l’on retrouve dans les archives américaines. »

Le 1er juin, la diffusion du documentaire sera suivi d’un débat au cours duquel les pros et antis « Système Octogon » pourront s’expliquer. Débat auquel Jean-Michel Meurice ne participera pas. Mais qu’importe, le réalisateur est sûr de lui :

« Tout est vrai, c’est de l’investigation rigoureuse, toutes les sources sont vérifiées, croisées, il y a toute la rigueur du journalisme d’investigation. L’histoire, c’est l’histoire et je n’invente rien. »

[2] US Military Intelligence report EW-Pa 128 (cuttingthroughthematrix.com) :

US Military Intelligence report EW-Pa 128

Enclosure No. 1 to despatch No. 19,489 of Nov. 27, 1944, from
the Embassy at London, England.

S E C R E T
SUPREME HEADQUARTERS
ALLIED EXPEDITIONARY FORCE
Office of Assistant Chief of Staff, G-2
7 November 1944
INTELLIGENCE REPORT NO. EW-Pa 128

SUBJECT: Plans of German industrialists to engage in underground activity after Germany’s defeat; flow of capital to neutral countries.

SOURCE: Agent of French Deuxieme Bureau, recommended
by Commandant Zindel. This agent is regarded as
reliable and has worked for the French on German
problems since 1916. He was in close contact with
the Germans, particularly industrialists, during
the occupation of France and he visited Germany
as late as August, 1944.

  1. A meeting of the principal German industrialists with
    interests in France was held on August 10, 1944, in the Hotel
    Rotes Haus in Strasbourg, France, and attended by the informant
    indicated above as the source. Among those present
    were the following:
    Dr. Scheid, who presided, holding the rank of S.S.
    Obergruppenfuhrer
    and Director of the Heche
    (Hermandorff & Schonburg) Company
    Dr. Kaspar, representing Krupp
    Dr. Tolle, representing Rochling
    Dr. Sinderen, representing Messerschmitt
    Drs. Kopp, Vier and Beerwanger, representing
    Rheinmetall
    Captain Haberkorn and Dr. Ruhe, representing Bussing
    Drs. Ellenmayer and Kardos, representing
    Volkswagenwerk
    Engineers Drose, Yanchew and Koppshem, representing
    various factories in Posen, Poland (Drose, Yanchew
    and Co., Brown-Boveri, Herkuleswerke, Buschwerke,
    and Stadtwerke)
    Captain Dornbuach, head of the Industrial Inspection
    Section at Posen
    Dr. Meyer, an official of the German Naval Ministry in
    Paris
    Dr. Strossner, of the Ministry of Armament, Paris.
  2. Dr. Scheid stated that all industrial material in France
    was to be evacuated to Germany immediately. The battle of
    France was lost for Germany and now the defense of the
    Siegried Line was the main problem. From now on also
    German industry must realize that the war cannot be won
    and that it must take steps in preparation for a post-war commercial
    campaign. Each industrialist must make contacts and
    alliances with foreign firms, but this must be done individually
    and without attracting any suspicion. Moreover, the ground
    would have to be laid on the financial level for borrowing considerable
    sums from foreign countries after the war. As examples
    of the kind of penetration which had been most useful in
    the past, Dr. Scheid cited the fact that patents for stainless
    steel belonged to the Chemical Foundation, Inc., New York,
    and the Krupp company of Germany jointly and that the U.S.
    Steel Corporation, Carnegie Illinois, American Steel and Wire,
    and national Tube, etc. were thereby under an obligation to
    work with the Krupp concern. He also cited the Zeiss
    Company, the Leisa Company and the Hamburg-American
    Line as firms which had been especially effective in protecting
    German interests abroad and gave their New York addresses
    to the industrialists at this meeting.
  3. Following this meeting a smaller one was held presided
    over by Dr. Bosse of the German Armaments Ministry and
    attended only by representatives of Hecho, Krupp and
    Rochling. At this second meeting it was stated that the Nazi
    Party had informed the industrialists that the war was practically
    lost but that it would continue until a guarantee of the
    unity of Germany could be obtained. German industrialists
    must, it was said, through their exports increase the strength
    of Germany. They must also prepare themselves to finance
    the Nazi Party which would be forced to go underground as
    Maquis (in Gebirgaverteidigungastellen
    gehen). From now on
    the government would allocate large sums to industrialists so
    that each could establish a secure post-war foundation in foreign
    countries. Existing financial reserves in foreign countries
    must be placed at the disposal of the Party so that a
    strong German Empire can be created after the defeat. It is
    also immediately required that the large factories in Germany
    create small technical offices or research bureaus which
    would be absolutely independent and have no known connection
    with the factory. These bureaus will receive plans and
    drawings of new weapons as well as documents which they
    need to continue their research and which must not be
    allowed to fall into the hands of the enemy. These offices are
    to be established in large cities where they can be most successfully
    hidden as well as in little villages near sources of
    hydro-electric power where they can pretend to be studying
    the development of water resources. The existence of these is
    to be known only by very few people in each industry and by
    chiefs of the Nazi Party. Each office will have a liaison agent
    with the Party. As soon as the Party becomes strong enough
    to re-establish its control over Germany the industrialists will
    be paid for their effort and cooperation by concessions and
    orders.
  4. These meetings seem to indicate that the prohibition
    against the export of capital which was rigorously enforced
    until now has been completely withdrawn and replaced by a
    new Nazi policy whereby industrialists with government
    assistance will export as much of their capital as possible.
    Previously exports of capital by German industrialists to
    neutral countries had to be accomplished rather surreptitiously
    and by means of special influence. Now the Nazi
    party stands behind the industrialists and urges them to save
    themselves by getting funds outside Germany and at the same
    time to advance the party’s plans for its post-war operation.
    This freedom given to the industrialists further cements their
    relations with the Party by giving them a measure of
    protection.
  5. The German industrialists are not only buying agricultural
    property in Germany but are placing their funds abroad,
    particularly in neutral countries. Two main banks through
    which this export of capital operates are the Basler Handelsbank
    and the Schweizerische Kreditanstalt of Zurich. Also
    there are a number of agencies in Switzerland which for a
    5 percent commission buy property in Switzerland, using a
    Swiss cloak.
  6. After the defeat of Germany the Nazi Party recognizes
    that certain of its best known leaders will be condemned as
    war criminals. However, in cooperation with the industrialists
    it is arranging to place its less conspicuous but most important
    members in positions with various German factories as
    technical experts or members of its research and designing
    offices.

For the A.C. of S., G-2.
WALTER K. SCHWINN
G-2, Economic Section
Prepared by
MELVIN M. FAGEN
Distribution:
Same as EW-Pa 1,
U.S. Political Adviser, SHAEF
British Political Adviser, SHAEF

[3] Revealed: The secret report that shows how the Nazis planned a Fourth Reich …in the EU | Daily Mail Online :

Revealed: The secret report that shows how the Nazis planned a Fourth Reich …in the EU

By ADAM LEBOR

The paper is aged and fragile, the typewritten letters slowly fading. But US Military Intelligence report EW-Pa 128 is as chilling now as the day it was written in November 1944.

The document, also known as the Red House Report, is a detailed account of a secret meeting at the Maison Rouge Hotel in Strasbourg on August 10, 1944. There, Nazi officials ordered an elite group of German industrialists to plan for Germany’s post-war recovery, prepare for the Nazis’ return to power and work for a ‘strong German empire’. In other words: the Fourth Reich.Heinrich Himmler with Max Faust, engineer with I. G. Farben

Plotters: SS chief Heinrich Himmler with Max Faust, engineer with Nazi-backed company I. G. Farben

The three-page, closely typed report, marked ‘Secret’, copied to British officials and sent by air pouch to Cordell Hull, the US Secretary of State, detailed how the industrialists were to work with the Nazi Party to rebuild Germany’s economy by sending money through Switzerland.

They would set up a network of secret front companies abroad. They would wait until conditions were right. And then they would take over Germany again.

The industrialists included representatives of Volkswagen, Krupp and Messerschmitt. Officials from the Navy and Ministry of Armaments were also at the meeting and, with incredible foresight, they decided together that the Fourth German Reich, unlike its predecessor, would be an economic rather than a military empire – but not just German.

The Red House Report, which was unearthed from US intelligence files, was the inspiration for my thriller The Budapest Protocol.

The book opens in 1944 as the Red Army advances on the besieged city, then jumps to the present day, during the election campaign for the first president of Europe. The European Union superstate is revealed as a front for a sinister conspiracy, one rooted in the last days of the Second World War.

But as I researched and wrote the novel, I realised that some of the Red House Report had become fact.

Nazi Germany did export massive amounts of capital through neutral countries. German businesses did set up a network of front companies abroad. The German economy did soon recover after 1945.

The Third Reich was defeated militarily, but powerful Nazi-era bankers, industrialists and civil servants, reborn as democrats, soon prospered in the new West Germany. There they worked for a new cause: European economic and political integration.

Is it possible that the Fourth Reich those Nazi industrialists foresaw has, in some part at least, come to pass?

The Red House Report was written by a French spy who was at the meeting in Strasbourg in 1944 – and it paints an extraordinary picture.

The industrialists gathered at the Maison Rouge Hotel waited expectantly as SS Obergruppenfuhrer Dr Scheid began the meeting. Scheid held one of the highest ranks in the SS, equivalent to Lieutenant General. He cut an imposing figure in his tailored grey-green uniform and high, peaked cap with silver braiding. Guards were posted outside and the room had been searched for microphones.Auschwitz

Death camp: Auschwitz, where tens of thousands of slave labourers died working in a factory run by German firm I. G. Farben

There was a sharp intake of breath as he began to speak. German industry must realise that the war cannot be won, he declared. ‘It must take steps in preparation for a post-war commercial campaign.’ Such defeatist talk was treasonous – enough to earn a visit to the Gestapo’s cellars, followed by a one-way trip to a concentration camp.

But Scheid had been given special licence to speak the truth – the future of the Reich was at stake. He ordered the industrialists to ‘make contacts and alliances with foreign firms, but this must be done individually and without attracting any suspicion’.

The industrialists were to borrow substantial sums from foreign countries after the war.

They were especially to exploit the finances of those German firms that had already been used as fronts for economic penetration abroad, said Scheid, citing the American partners of the steel giant Krupp as well as Zeiss, Leica and the Hamburg-America Line shipping company.

But as most of the industrialists left the meeting, a handful were beckoned into another smaller gathering, presided over by Dr Bosse of the Armaments Ministry. There were secrets to be shared with the elite of the elite.

Bosse explained how, even though the Nazi Party had informed the industrialists that the war was lost, resistance against the Allies would continue until a guarantee of German unity could be obtained. He then laid out the secret three-stage strategy for the Fourth Reich.

In stage one, the industrialists were to ‘prepare themselves to finance the Nazi Party, which would be forced to go underground as a Maquis’, using the term for the French resistance.

Stage two would see the government allocating large sums to German industrialists to establish a ‘secure post-war foundation in foreign countries’, while ‘existing financial reserves must be placed at the disposal of the party so that a strong German empire can be created after the defeat’.

In stage three, German businesses would set up a ‘sleeper’ network of agents abroad through front companies, which were to be covers for military research and intelligence, until the Nazis returned to power.

‘The existence of these is to be known only by very few people in each industry and by chiefs of the Nazi Party,’ Bosse announced.

‘Each office will have a liaison agent with the party. As soon as the party becomes strong enough to re-establish its control over Germany, the industrialists will be paid for their effort and co-operation by concessions and orders.’Enlarge   

Extraordinary revelations: The 1944 Red House Report, detailing ‘plans of German industrialists to engage in underground activity’

The exported funds were to be channelled through two banks in Zurich, or via agencies in Switzerland which bought property in Switzerland for German concerns, for a five per cent commission.

The Nazis had been covertly sending funds through neutral countries for years.

Swiss banks, in particular the Swiss National Bank, accepted gold looted from the treasuries of Nazi-occupied countries. They accepted assets and property titles taken from Jewish businessmen in Germany and occupied countries, and supplied the foreign currency that the Nazis needed to buy vital war materials.

Swiss economic collaboration with the Nazis had been closely monitored by Allied intelligence.

The Red House Report’s author notes: ‘Previously, exports of capital by German industrialists to neutral countries had to be accomplished rather surreptitiously and by means of special influence.

‘Now the Nazi Party stands behind the industrialists and urges them to save themselves by getting funds outside Germany and at the same time advance the party’s plans for its post-war operations.’

The order to export foreign capital was technically illegal in Nazi Germany, but by the summer of 1944 the law did not matter.

More than two months after D-Day, the Nazis were being squeezed by the Allies from the west and the Soviets from the east. Hitler had been badly wounded in an assassination attempt. The Nazi leadership was nervous, fractious and quarrelling.

During the war years the SS had built up a gigantic economic empire, based on plunder and murder, and they planned to keep it.

A meeting such as that at the Maison Rouge would need the protection of the SS, according to Dr Adam Tooze of Cambridge University, author of Wages of Destruction: The Making And Breaking Of The Nazi Economy.

He says: ‘By 1944 any discussion of post-war planning was banned. It was extremely dangerous to do that in public. But the SS was thinking in the long-term. If you are trying to establish a workable coalition after the war, the only safe place to do it is under the auspices of the apparatus of terror.’

Shrewd SS leaders such as Otto Ohlendorf were already thinking ahead.

As commander of Einsatzgruppe D, which operated on the Eastern Front between 1941 and 1942, Ohlendorf was responsible for the murder of 90,000 men, women and children.

A highly educated, intelligent lawyer and economist, Ohlendorf showed great concern for the psychological welfare of his extermination squad’s gunmen: he ordered that several of them should fire simultaneously at their victims, so as to avoid any feelings of personal responsibility.

By the winter of 1943 he was transferred to the Ministry of Economics. Ohlendorf’s ostensible job was focusing on export trade, but his real priority was preserving the SS’s massive pan-European economic empire after Germany’s defeat.

Ohlendorf, who was later hanged at Nuremberg, took particular interest in the work of a German economist called Ludwig Erhard. Erhard had written a lengthy manuscript on the transition to a post-war economy after Germany’s defeat. This was dangerous, especially as his name had been mentioned in connection with resistance groups.

But Ohlendorf, who was also chief of the SD, the Nazi domestic security service, protected Erhard as he agreed with his views on stabilising the post-war German economy. Ohlendorf himself was protected by Heinrich Himmler, the chief of the SS.

Ohlendorf and Erhard feared a bout of hyper-inflation, such as the one that had destroyed the German economy in the Twenties. Such a catastrophe would render the SS’s economic empire almost worthless.

The two men agreed that the post-war priority was rapid monetary stabilisation through a stable currency unit, but they realised this would have to be enforced by a friendly occupying power, as no post-war German state would have enough legitimacy to introduce a currency that would have any value.

That unit would become the Deutschmark, which was introduced in 1948. It was an astonishing success and it kick-started the German economy. With a stable currency, Germany was once again an attractive trading partner.

The German industrial conglomerates could rapidly rebuild their economic empires across Europe.

War had been extraordinarily profitable for the German economy. By 1948 – despite six years of conflict, Allied bombing and post-war reparations payments – the capital stock of assets such as equipment and buildings was larger than in 1936, thanks mainly to the armaments boom.

Erhard pondered how German industry could expand its reach across the shattered European continent. The answer was through supranationalism – the voluntary surrender of national sovereignty to an international body.

Germany and France were the drivers behind the European Coal and Steel Community (ECSC), the precursor to the European Union. The ECSC was the first supranational organisation, established in April 1951 by six European states. It created a common market for coal and steel which it regulated. This set a vital precedent for the steady erosion of national sovereignty, a process that continues today.

But before the common market could be set up, the Nazi industrialists had to be pardoned, and Nazi bankers and officials reintegrated. In 1957, John J. McCloy, the American High Commissioner for Germany, issued an amnesty for industrialists convicted of war crimes.

The two most powerful Nazi industrialists, Alfried Krupp of Krupp Industries and Friedrich Flick, whose Flick Group eventually owned a 40 per cent stake in Daimler-Benz, were released from prison after serving barely three years.

Krupp and Flick had been central figures in the Nazi economy. Their companies used slave labourers like cattle, to be worked to death.

The Krupp company soon became one of Europe’s leading industrial combines.

The Flick Group also quickly built up a new pan-European business empire. Friedrich Flick remained unrepentant about his wartime record and refused to pay a single Deutschmark in compensation until his death in July 1972 at the age of 90, when he left a fortune of more than $1billion, the equivalent of £400million at the time.

‘For many leading industrial figures close to the Nazi regime, Europe became a cover for pursuing German national interests after the defeat of Hitler,’ says historian Dr Michael Pinto-Duschinsky, an adviser to Jewish former slave labourers.

‘The continuity of the economy of Germany and the economies of post-war Europe is striking. Some of the leading figures in the Nazi economy became leading builders of the European Union.’

Numerous household names had exploited slave and forced labourers including BMW, Siemens and Volkswagen, which produced munitions and the V1 rocket.

Slave labour was an integral part of the Nazi war machine. Many concentration camps were attached to dedicated factories where company officials worked hand-in-hand with the SS officers overseeing the camps.

Like Krupp and Flick, Hermann Abs, post-war Germany’s most powerful banker, had prospered in the Third Reich. Dapper, elegant and diplomatic, Abs joined the board of Deutsche Bank, Germany’s biggest bank, in 1937. As the Nazi empire expanded, Deutsche Bank enthusiastically ‘Aryanised’ Austrian and Czechoslovak banks that were owned by Jews.

By 1942, Abs held 40 directorships, a quarter of which were in countries occupied by the Nazis. Many of these Aryanised companies used slave labour and by 1943 Deutsche Bank’s wealth had quadrupled.

Abs also sat on the supervisory board of I.G. Farben, as Deutsche Bank’s representative. I.G. Farben was one of Nazi Germany’s most powerful companies, formed out of a union of BASF, Bayer, Hoechst and subsidiaries in the Twenties.

It was so deeply entwined with the SS and the Nazis that it ran its own slave labour camp at Auschwitz, known as Auschwitz III, where tens of thousands of Jews and other prisoners died producing artificial rubber.

When they could work no longer, or were verbraucht (used up) in the Nazis’ chilling term, they were moved to Birkenau. There they were gassed using Zyklon B, the patent for which was owned by I.G. Farben.

But like all good businessmen, I.G. Farben’s bosses hedged their bets.

During the war the company had financed Ludwig Erhard’s research. After the war, 24 I.G. Farben executives were indicted for war crimes over Auschwitz III – but only twelve of the 24 were found guilty and sentenced to prison terms ranging from one-and-a-half to eight years. I.G. Farben got away with mass murder.

Abs was one of the most important figures in Germany’s post-war reconstruction. It was largely thanks to him that, just as the Red House Report exhorted, a ‘strong German empire’ was indeed rebuilt, one which formed the basis of today’s European Union.

Abs was put in charge of allocating Marshall Aid – reconstruction funds – to German industry. By 1948 he was effectively managing Germany’s economic recovery.

Crucially, Abs was also a member of the European League for Economic Co-operation, an elite intellectual pressure group set up in 1946. The league was dedicated to the establishment of a common market, the precursor of the European Union.

Its members included industrialists and financiers and it developed policies that are strikingly familiar today – on monetary integration and common transport, energy and welfare systems.

When Konrad Adenauer, the first Chancellor of West Germany, took power in 1949, Abs was his most important financial adviser.

Behind the scenes Abs was working hard for Deutsche Bank to be allowed to reconstitute itself after decentralisation. In 1957 he succeeded and he returned to his former employer.

That same year the six members of the ECSC signed the Treaty of Rome, which set up the European Economic Community. The treaty further liberalised trade and established increasingly powerful supranational institutions including the European Parliament and European Commission.

Like Abs, Ludwig Erhard flourished in post-war Germany. Adenauer made Erhard Germany’s first post-war economics minister. In 1963 Erhard succeeded Adenauer as Chancellor for three years.

But the German economic miracle – so vital to the idea of a new Europe – was built on mass murder. The number of slave and forced labourers who died while employed by German companies in the Nazi era was 2,700,000.

Some sporadic compensation payments were made but German industry agreed a conclusive, global settlement only in 2000, with a £3billion compensation fund. There was no admission of legal liability and the individual compensation was paltry.

A slave labourer would receive 15,000 Deutschmarks (about £5,000), a forced labourer 5,000 (about £1,600). Any claimant accepting the deal had to undertake not to launch any further legal action.

To put this sum of money into perspective, in 2001 Volkswagen alone made profits of £1.8billion.

Next month, 27 European Union member states vote in the biggest transnational election in history. Europe now enjoys peace and stability. Germany is a democracy, once again home to a substantial Jewish community. The Holocaust is seared into national memory.

But the Red House Report is a bridge from a sunny present to a dark past. Joseph Goebbels, Hitler’s propaganda chief, once said: ‘In 50 years’ time nobody will think of nation states.’

For now, the nation state endures. But these three typewritten pages are a reminder that today’s drive towards a European federal state is inexorably tangled up with the plans of the SS and German industrialists for a Fourth Reich – an economic rather than military imperium.

The Budapest Protocol, Adam LeBor’s thriller inspired by the Red House Report, is published by Reportage Press.

[4] Das »Octogon«-Komplott (infopartisan.net) [En allemand]

[5] Diplomatic Documents of Switzerland 1848–1978 • 1990– [En allemand]

[6] http://www.arte.tv/de/schwarze-kassen/3930842,CmC=3930882.html [En allemand]

[7] http://www.arte.tv/de/das-system-oktogon-interview-mit-frank-garbely/3930842,CmC=3940840.html [La page n’existe plus]

[8] http://www.nrhz.de/flyer/beitrag.php?id=1050 [En allemand]


  • Année prod. / diff. : 2007 / 2008.
  • Titre fr. / all. : Le Système Octogon / Octogon Schwarze Kassen.
  • Durée : 81:10 mns (version longue, française) : https://www.youtube.com/watch?v=JQv-S…
  • Producteur, Réalisateurs : Jean-Michel Meurice, Matthieu Belghiti, Denis Poncet.
  • Enquête, recherches : Frank Garbely, Fabrizio Calvi.
  • Co-producteurs / Soutiens : Arte France, Maha, Anthracite / région Ile-de-France.
  • Montage, design : Pascal Torbey.
  • Animations : Fabio Purino.
  • Musique : Patrice Mestral.
  • Voix commentaire : Bernard-Pierre Donnadieu.



Cobayes du monde entier, unissez-vous!

[Source : maurizioblondet.it]

[Auteur :] Gilad Atzmon

Peu de pays sont assez courageux ou imprudents pour mener une vaste expérience médicale sur l’ensemble de leur population et mettre en danger les personnes vulnérables. La Grande-Bretagne et Israël l’ont fait.

Le 8 décembre, la Grande-Bretagne a été le premier pays occidental à commencer à «vacciner sa population». Deux semaines plus tard, quelques jours avant Noël, la Grande-Bretagne s’est rendu compte qu’elle était en grave difficulté. Covid-19, le virus qui était censé disparaître de nos vies, est devenu autre chose. Le 19 décembre, le Premier ministre Boris Johnson a admis que des scientifiques britanniques avaient identifié un nouveau mutant Covid-19 qui est «70% plus transmissible» que ses ancêtres.

La Grande-Bretagne a introduit des restrictions locales plus strictes, mais malgré celles-ci, associées à la vaste campagne de vaccination, le nombre de cas de Covid-19, d’hospitalisations et de décès a continué d’augmenter. Ils augmentent de façon exponentielle sur une base quotidienne.

 Israël a lancé sa campagne de vaccination de masse quelques jours après la Grande-Bretagne. Au cours des deux semaines suivantes, Israël a réussi à vacciner près de 20% de sa population. Israël est de loin le vainqueur mondial en ce qui concerne le concours de vaccination de masse, mais le pays est également en grande difficulté. Comme la Grande-Bretagne, Israël fait face à une énorme vague de Covid-19 . Son système de santé national est au bord de l’effondrement, et la question inévitable est de savoir si ces crises sanitaires similaires (sinon identiques) sont liées aux deux vastes campagnes de vaccination contre le covid-19.

Aujourd’hui, dans la plus grande chaîne d’ information israélienne News12,  des informaticiens israéliens ont  révélé que la mutation rituelle B est en passe de devenir la souche Covid-19 dominante en Israël. On se demande comment la souche mutante britannique a réussi à faire  Aliya  et ainsi s’installer confortablement dans l’État juif. L’article de News 12 pourrait répondre à la question. «Les cas en Israël n’augmentent pas uniformément: il y a un ralentissement significatif dans le secteur arabe (israélien), qui était le principal sujet de préoccupation dans le passé. D’autre part, il y a une grave épidémie dans le secteur ultra-orthodoxe (juif). Cette semaine, 1,3% de tous les ultra-orthodoxes ont été vérifiés et le taux d’augmentation des cas d’enfants (63%) cette semaine était presque le double de celui des adultes. Dans le secteur ultra-orthodoxe, il y a eu une multiplication par  16 du nombre de personnes positives en quatre semaines: c’est un doublement chaque semaine – de 100 personnes vérifiées par jour (par million de personnes) à 1 600 personnes vérifiées, et le tout en un mois. Un tel taux de croissance n’est pas observé tout au long de la peste et est probablement dû au moins en partie au mutant britannique. Le mutant britannique est estimé à environ 20% de tous les ultra-orthodoxes vérifiés ».

Cela doit soulever les sourcils. Pourquoi la souche mutante britannique se répandrait-elle si largement parmi les juifs orthodoxes? Pourquoi ne se propage-t-il pas aussi rapidement dans la population arabe?

Nous pourrons peut-être tomber sur des informations très cruciales ici. Les Arabes israéliens sont peut-être mieux lotis sur le front du Covid-19 car beaucoup d’entre eux semblent réticents à vacciner.

 Le titre du marqueur israélien du 27 décembre déclarait: «Une source de préoccupation: les Arabes (Israéliens) ne viennent pas se faire vacciner». Le marqueur a souligné que les citoyens juifs de tout Israël se rendent dans les villages et les villes arabes pour recevoir des vaccins destinés aux Arabes. Selon un chef d’équipe d’un centre de vaccination à Nazareth, 70 à 80% de ceux qui viennent se faire vacciner étaient des juifs. Certains d’entre eux parcourent jusqu’à 50 km pour ce faire.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Le 3 janvier, le site d’ information israélien  Walla a  rapporté que « les ultra-orthodoxes mènent la campagne de vaccination de la population ». Walla a confirmé que «le pourcentage de personnes vaccinées contre la couronne dans la société ultra-orthodoxe est plus élevé que le reste de la population de tous âges».

Je ne comprends pas pourquoi les Israéliens ont décidé de devenir des cobayes dans cette périlleuse expérience non scientifique sur des vies humaines. Une option qui ne peut être ignorée est qu’Israël se dirige à nouveau vers des élections et il est plus que probable que les dirigeants israéliens aient cru qu’une campagne de vaccination de masse pourrait se traduire par un succès électoral.

Dans l’état actuel des choses, il est difficile de nier la possibilité d’une corrélation entre la vaccination de masse et une forte augmentation des cas de Covid-19 en Israël et en Grande-Bretagne. Il est difficile de nier le fait que les Arabes israéliens qui évitent généralement le vaccin s’en tirent bien mieux que les juifs orthodoxes – qui semblent également croire en Pfizer.

En plus des révélations sur la souche britannique, nous avons également appris l’existence d’une souche sud-africaine très dangereuse et probablement résistante aux vaccins actuels. Il faut très peu de recherches pour comprendre que l’Afrique du Sud, avec le Brésil et la Grande-Bretagne, est le terrain d’essai de nouveaux tests de vaccins depuis septembre. Ce n’est plus un secret pour personne que c’était à peu près au même moment que les nouveaux mutants ont été découverts au moins en Grande-Bretagne.

Je signale ici la possibilité dévastatrice d’un lien entre les vaccinations de masse et les pics de Covid-19. Je ne suis pas qualifié pour soutenir ou expliquer la science qui peut provoquer cette corrélation. Mes faits sont étayés par des données accessibles au grand public via les principaux médias. Je ne suis ni épidémiologiste ni virologue et j’espère vraiment que des personnes ayant une formation scientifique adéquate pourront réfuter les problèmes soulevés ci-dessus.

Parfois, j’aimerais vraiment me tromper.

En Italie, il est interdit de poser des questions :


Ministère de la diaspora: « Israël va vacciner tous les survivants de l’Holocauste dans le monde »

Mais ils seront quelques dizaines et très vieux, ils ont disparu d’eux-mêmes … quel besoin y a-t-il de les tuer d’abord avec le vaccin?




Réseau Sentinelle, SOS médecins, urgences ne voient plus de Covid19. Stop couvre-feu !

[Source : FranceSoir]

[Auteur : Gérard Delépine]

Tribune

L’épidémie est terminée en France, mais les médias disent le contraire et la propagande terrorisante est plus active que jamais.

L’imagination au pouvoir : pendant la vague de mars, c’était le décompte journalier morbide des morts, puis en octobre des « cas » (sur tests non fiables avec 97 % de faux positifs) et actuellement faute de malades et même de testés positifs, on agite le « variant » anglais dont rien ne prouve la dangerosité ! Nos dirigeants acceptent l’idée, enfin, que les virus mutent, comme le Pr Raoult l’a expliqué à la France entière depuis des mois. Si à chaque mutant c’est la panique, notre économie sera morte dans l’année, comme de fait le plan Davos le souhaite et l’organise depuis des années sous le prétexte de cette pseudo « peste » qui n’a pas tué plus que bien d’autres grippes des années passées.

Le scénario actuel et la réalité

Depuis plusieurs semaines, le gouvernement et les médias complices agitent à nouveau la peur pour faire accepter des couvre-feux, sans aucun intérêt sanitaire réel[1]. Ils prétendent que le Covid19 revient plus méchant que jamais, revigoré par une mutation anglaise ou sud-africaine[2]. Ils affichent pour nous convaincre un nombre croissant de « cas » PCR positif dont même l’OMS reconnaît la non-fiabilité[3] [4] [5] et les inconvénients[6]. Or les « cas » ne sont majoritairement ni des malades, ni des contagieux, ni des porteurs de virus et ne témoignent donc pas de la réalité de l’épidémie, mais principalement du nombre de tests réalisés et du nombre de séances d’amplifications pratiquées.

Une épidémie ne se mesure qu’au nombre de malades, individus qui souffrent de symptômes et qui consultent leur médecin pour un diagnostic ou un traitement.

Le réseau Sentinelle

Le réseau Sentinelle est un réseau de recherche et de veille sanitaire en soins de premiers recours en France métropolitaine. Créé en novembre 1984, il est développé sous la tutelle conjointe de l’Institut national de la santé, de la recherche médicale et de Sorbonne Université. Il fédère plus de de 1400 médecins de ville, généralistes et pédiatres. C’est lui qui permet de suivre chaque année les épidémies de bronchiolite, grippe, gastro entérite, rougeole et rhume et leurs virulences. Cette année, il a étendu la surveillance des maladies contagieuses habituelles au Covid19. Ses données sont plus pertinentes que celles de Santé Publique France qui publie principalement les données hospitalières et dépend du ministre qui veille à ce que ses publications ne gênent pas sa propagande terrorisante.

Car ce qui différencie le Covid19 des épidémies précédentes n’est ni sa virulence, ni sa mortalité, mais le traitement médiatique qui lui est réservé. Lors des épidémies sévères précédentes, le ministère rassurait la population.

Depuis le début de la crise actuelle, le ministère et les médias s’efforcent au contraire de paniquer la population afin de faire accepter des mesures pseudo-sanitaires qui n’ont jamais démontré qu’elles pouvaient être utiles, et dont chacun mesure chaque jour la nocivité tant sur la santé globale que sur l’économie, les chômeurs, les salariés précaires, les pauvres, les cafés-restaurants, le monde de la culture et du sport, les petits commerçants.

Les jeunes adultes sont les premières victimes au profit des grandes chaînes, des GAFA et des super riches, sans que ces mesures ne permettent de sauver nos vieillards poussés également au syndrome de glissement par abandon de la vie qui mérite d’être vécue (entourée des siens, des amis etc..) aidés de plus vers la mort par le Rivotril des décrets de mars et octobre, à injecter en cas de problème respiratoire et de « suspicion » de covid.

Les traitements précoces qui résoudraient facilement la grande majorité de ces épisodes infectieux sont toujours interdits contre toute logique sanitaire, qui manifestement n’est pas l’objectif. Les médias continuent à ancrer dans les cerveaux des téléspectateurs qu’il « n’existe pas de traitement », mensonge énorme répété par les ministres, et l’argument d’autorité est tragique. Pourtant la mortalité très basse des pays qui utilisent le traitement Raoult, l’ivermectine ou l’artémisine depuis le début de l’épidémie sont des preuves scientifiques bien établies que nos gouvernants ne veulent pas reconnaitre. Le but est évidement de prolonger la crise et la ruine de la classe moyenne et de nous faire   consommer du remdesivir, puis les vaccins géniques non testés sur plus de deux mois, et leurs risques majeurs.

Et pourtant l’épidémie est vraiment terminée.

Réseau Sentinelle : où sont les malades Covid19 en fin d’année 2020 ?

Depuis début septembre2020, 543 patients présentant une Infection Virale Aigue (IRA) ont été vus en consultation de médecine générale et de pédiatrie et ont été prélevés dans le cadre de la surveillance Sentinelle, prélèvements essentiellement nasopharyngés testés pour différents virus respiratoires, dont le SARS-CoV-2 (COVID-19) et les virus grippaux.

En semaine 52 : aucun n’était positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) (0/17 testés)
En semaine 53 : aucun prélèvement ne s’est révélé positif au SARS-CoV-2 (COVID- 19) parmi les échantillons prélevés, et 17 patients présentant une IRA vus en consultation 23,1%) étaient positifs au hRV (virus du rhume).

Cette absence confirmée de malade de Covid19 en consultation de ville dure depuis la semaine 47.

Ces données permettent d’estimer qu’en fin d’année 2020, le taux d’incidence des cas d’infections respiratoires aigües dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en médecine générale était inférieur à 14 cas pour 100 000 habitants[7], représentant moins de 9 097 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste.

Cette estimation est stable par rapport aux semaines précédentes.

La quasi-disparition des malades Covid19 est aussi observée par SOS médecins

Et aux urgences des hôpitaux :

Cette quasi-absence de malades Covid19 vus en médecine générale et en pédiatrie, par SOS médecins et aux urgences hospitalières, dément les propos alarmistes du ministère basés sur des tests majoritairement réalisés en dépistage sur des asymptomatiques, qui ne sont ni malades, ni porteurs de virus entiers, ni contagieux. Si l’épidémie était encore active, les médecins généralistes devraient voir de nombreux malades covid19 ; or ils n’en voient plus.
 

Alors pourquoi cette désinformation gouvernementale permanente ?

On ne trouve pas d’autre explication que la volonté de prolonger la panique dans la population et l’état d’urgence indéfiniment pour justifier des mesures prétendument sanitaires, alors que rien ne prouve qu’elles puissent avoir le moindre impact sur la propagation d’une éventuelle épidémie.

La finalité de cette propagande mensongère est vraisemblablement de réaliser le programme de Davos bien détaillé dans le livre de Schwab en supprimant, entre autres, 75% des restaurants indépendants par le maintien des confinements et interdictions de travailler jusqu’en décembre 2021, précisément prévu par le rapport 9 de Ferguson, dont toutes les prédictions se sont révélées fausses[8],[9] mais que le gouvernement suit à la lettre.

Les prophéties sont là pour conditionner la population naïve et non pour aider à la sécurité sanitaire. Le déroulement de la gestion de l’épidémie le démontre jour après jour.

Sortir de l’emprise du gouvernement sur la population

Que peuvent faire les innombrables victimes de ces mesures aberrantes ?

Cesser d’avoir peur d’un virus qui rend actuellement beaucoup moins de gens malades que les rhumes saisonniers.

Cesser d’être dupe de la propagande des médias et des promesses gouvernementales : indemnisations et réouvertures prochaines toujours prévues dans 15 jours et toujours reportées à cause de « cas » dont le nombre augmente toujours juste avant une décision pour la justifier (alors qu’elle a été prise en réalité bien longtemps auparavant). Le but de cette politique est de pousser à la faillite un maximum d’établissements pour que les chaînes puissent accaparer le marché.

Expliquer autour de soi que pratiquer des tests PCR quand on est en bonne santé ne sert à rien, ni pour celui qui les subit[10], ni pour ses proches[11] mais contribue uniquement à alimenter la propagande gouvernementale pour prolonger l’état d’urgence et les fermetures. Stop tests !

Rappeler à tous les résultats catastrophiques de la politique sanitaire française suivie jusque-là et qui nous a placés, avec les pays qui confinent durement, dans le top 5 européen des plus fortes mortalités Covid19. Stop politique mortifère !

Informer ses élus, maires, députés en leur montrant les données de ce réseau Sentinelle qui montre que l’épidémie est derrière nous, leur rappelant que la prolongation des restrictions tue l’économie, obère l’avenir des jeunes[12] et menace à terme la vie de plusieurs dizaines de milliers de français, sans protéger réellement qui que ce soit.

Porter plainte en justice contre les responsables de ces mesures pour faire indemniser à leur juste valeur les préjudices subis. Que les responsables paient !

Manifester pacifiquement pour le respect de nos libertés fondamentales : liberté de travailler, liberté de circuler, liberté d’exprimer ses opinions, liberté de prier, d’aller au restaurant, au théâtre ou au musée, à la faculté, dans les bars ou en discothèque etc. Sans masque, qui n’est que témoin de la soumission que nous impose les dirigeants soumis à l’OMS, sauf en quelques pays plus respectueux de leurs peuples comme la Finlande, l’Islande, la Suède[13], la Norvège[14], la Biélorussie.

LIBERTÉ !

[Notes]

[1] Aucun essai randomisé, ni aucune étude historique n’accrédite l’efficacité du couvre-feu contre une épidémie qui brime surtout les jeunes alors que les seuls qu’il faut protéger sont les séniors déjà malades.

[2] Coronavirus : pourquoi le variant sud-africain inquiète les scientifiques ? les chercheurs n’ont pas constaté une hausse de la mortalité directement liée à ce variant.

[3] OMS Avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs ivd 15 12 2020 https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users.

[4] Cour d’appel de Lisbonne du 26-08-2020 : Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2.

[5] Recommandation du l’agence sanitaire galloise du 20 juillet 2020 : The performance of the existing RT-PCR is isunsuited to the non-targeted screening of asymptomatic individuals, les tests PCR ne sont pas adaptés au dépistage global, non ciblé d’individus asymptomatiques https://gov.wales/technical-advisory-cell-principles-using-rt-pcr-test-detect-sars-cov-2.

[6]E Surkova, V Nikolayevskyy, F Drobniewsk False-positive COVID-19 results : hidden problems and costs www.thelancet.com/respiratory Vol 8 December 2020 https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(20)30453-7/fulltext.

[7] Pour la grippe saisonnière on parle d’épidémie lorsque l’incidence atteint 150 à 200/100000.

[8] N Delépine LES DESSOUS DU RAPPORT CLASSÉ SECRET DÉFENSE DE FERGUSON ET LE CONFINEMENT Economie matin28 4 2020 http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine.

[9] N Delépine Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie France Soir 11 1 2021 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ferguson-ment-grossierement-et-le-journal-nature-le-publie.

[10] Puisque les cas positifs ne sont pas traités.

[11] L’étude chinoise récente montre que sur 410 cas asymptomatiques recensés après dépistage de près de 10 millions de chinois, aucun n’a fait de maladie, aucun n’excrétait de virus et aucun n’a contaminé ses contacts.

[12] D’après l’OMS : les jeunes sont touchés de façon disproportionnée par les conséquences à long terme des mesures sanitaires : l’interruption de la scolarité, l’incertitude économique, la perte ou le manque de possibilités d’emploi, les effets sur la santé physique et mentale et les traumatismes causés par la violence domestique. Par exemple, des troubles anxieux provoqués par la COVID-19 ont été détectés chez près de 90 % des jeunes, plus d’un milliard d’élèves dans presque tous les pays ont été touchés par la fermeture des écoles et un jeune sur six dans le monde a perdu son emploi pendant la pandémie.

[13] Qui vient seulement de recommander le masque dans les transports publics.

[14] Qui n’impose le masque que dans les transports publics bondés.

Auteur(s): Gérard Delépine, pour FranceSoir




Perte d’indépendance des grands médias + Villes connectées comme outil de surveillance…

[Source : NTD français*]

Une enquête révèle comment les grands médias, surtout aux États-Unis, sont tombés entre les mains du régime chinois, et comment le président Xi Jinping a volé la liberté de la presse à la république, nous obligeant ainsi à repenser notre accès à l’information.

Des villes de France renforcent leur système de surveillance grâce aux nouvelles technologies. Promue pour garantir la sécurité des habitants, ces « safe cities » posent la question du respect de nos libertés.

De nouvelles mesures sanitaires ont été annoncées par le gouvernement prolongeant ainsi les restrictions d’ouverture de nombreux secteurs. Les professionnels s’inquiètent.

Une grève illimitée vient d’être lancée lundi 11 janvier dans l’Hôpital public pour dénoncer une réforme qui ne reconnaît pas l’ancienneté des jeunes médecins titulaires, recrutés au sein de ces établissements.

Vidéo 16 min : https://odysee.com/@NTDFrancais:5/perte-d-inde-pendance-des-grands-me-dias:d


[*] New Tang Dynasty (NTD) Television est une chaîne de télévision indépendante, à but non lucratif, établie par des Chinois vivant à l’étranger. Notre mission est de défendre la liberté d’expression et liberté de la pensée, contribuer au pluralisme et à la libre information dans les médias en langue chinoise et française.

Originellement en chinois, NTD diffuse depuis 2004 en anglais des nouvelles au quotidien et une grande variété de programmes. Récemment le français, l’espagnol et le russe viennent compléter cette évolution.




La mascarade du Capitole et la fiction démocratique

[Source : Bruno Guigue – LA MASCARADE DU CAPITOLE ET LA FICTION via entelekheia.fr]

Tel un bouillon de culture, l’état de décomposition avancée dans lequel se trouve le système politique des « États désunis » délivre au moins un enseignement : il témoigne de la vanité de ses prétentions démocratiques. Trump a beau s’ériger en victime, il est l’un des acteurs de cette démocratie-pour-rire, de ce cirque à ciel ouvert que les médias occidentaux feignent de prendre au sérieux, parce qu’il faut bien accréditer cette fiction pour justifier leur propre existence.

Mascarade d’une élection ubuesque et truquée où tout le monde a menti et triché, mascarade d’une marche sur le Capitole qui a fini en pantalonnade sanglante, mascarade d’un régime pourri jusqu’au trognon où les campagnes électorales sont de vulgaires opérations marketing, où les deux candidats du système rivalisent de servilité devant les lobbies et les multinationales qui les arrosent d’une pluie de dollars dans un pays délabré où le quart de la population vit dans la pauvreté : telle est la « démocratie américaine ».

Mais ce qu’illustre surtout cette clownerie politicienne, c’est l’inanité des concepts de débat public et de consensus démocratique. Car la compétition pour le pouvoir ne se déroule, nulle part, dans des conditions idéales où l’objectivité et l’impartialité des règles du jeu seraient garanties. Aucun arbitrage incontestable ne veille à la régularité des opérations, aucune juridiction au-dessus de la mêlée ne détermine les limites d’un affrontement où tous les coups sont permis.

Contrairement à ce que proclament les régimes qui se disent démocratiques, la politique n’a rien d’une scène transparente où les opinions seraient équivalentes et dotées des mêmes moyens. Donald Trump est scandaleusement privé de Twitter, mais le scandale, pour ses défenseurs, vient de ce qu’on censure le président des États-Unis, et non du principe d’une censure qui est le mode habituel d’exercice du pouvoir oligarchique. Il en fait les frais à son tour, mais le président sortant ne passe pas pour avoir été, au cours de sa carrière, un ardent promoteur de la liberté d’expression pour tous ceux qui ne pensent pas comme lui.

Présumée libre, l’expression du suffrage populaire, en réalité, est strictement canalisée par les conditions matérielles de son exercice. Louée par l’idéologie dominante, la diversité des opinions, dans les faits, est passée au laminoir des moyens d’information dont les hyper-riches contrôlent l’usage. Car les médias de masse sont les instruments de production et de diffusion de l’information, et la classe qui en détient la propriété ne se prive pas d’orienter cette information conformément à ses intérêts. On peut toujours jouer du violon en parlant de démocratie, ces proclamations ont de fortes chances de rester à l’état de flatus vocis.

La philosophie politique de Jürgen Habermas, par exemple, définit l’espace public comme le lieu d’une délibération collective propice à un consensus rationnel, mais la description qu’il en donne peine à s’extraire d’une vision idéale. Apparu au XVIIIe siècle en Europe occidentale avec les journaux, les clubs et les cafés, cet espace public aurait favorisé une confrontation des idées où les participants se plient aux règles d’un « agir communicationnel ».

Dans ce schéma idyllique, le débat politique est crédité du pouvoir d’engendrer un ethos commun où chacun admet l’altérité des points de vue. Livrée à « la force sans violence du discours argumentatif », la discussion collective a pour vertu de neutraliser les rapports de force et de donner naissance au consensus. Et c’est sous l’effet de cette éthique de la communication qu’advient la démocratie, laquelle n’est autre que l’universalisation de l’espace public.

Mais cette théorie, en faisant de la communication le fondement du consensus, suggère une interprétation irénique de l’avènement de la société bourgeoise. Car les institutions politiques forgées par la classe dominante se déploient dans un agir communicationnel qui est surtout l’expression de ses intérêts de classe. Omettant cette donnée de fait, la célébration de l’espace public, chez Habermas, en occulte les conditions historiques. Et surtout, elle jette un voile pudique sur les discriminations qui ont restreint les possibilités d’accès à la sphère politique.

Car dans les faits, la sélection des individus jugés aptes à participer à la délibération collective est une fonction des rapports de classes. Clé de voûte du système politique des États-Unis, le financement privé des campagnes électorales est le plus sûr moyen de cantonner la politique à une agitation de surface qui n’atteindra jamais les structures. Mécanisme aveugle, il assujettit la sphère politique à la sphère financière et tue dans l’œuf la possibilité même d’une délibération collective qui porterait sur l’essentiel.

Afin d’accréditer la fiction de la liberté d’opinion et du débat collectif comme figures de la démocratie, l’idéologie dominante fait ainsi l’impasse sur ce qui préempte précisément l’espace public : le pouvoir absolu exercé par la classe dominante dans la production et la diffusion de l’information. Pour éluder le problème, la philosophie idéaliste de l’espace public passe sous silence la question de son infrastructure matérielle. Et la célébration de l’éthique de la communication laisse dans l’ombre, délibérément, la question de la détention effective des moyens de communication.

La propriété capitaliste des moyens d’information est, par définition, ce dont il est impossible de débattre dans les conditions fixées par la pseudo-démocratie. Si on le faisait, on serait contraint d’admettre que cette démocratie est une farce, et que le barnum politicien est l’écran de fumée jeté sur une privatisation monstrueuse du bien commun. On s’apercevrait que la fabrique du consentement est le principal ressort de la perpétuation de l’oligarchie et que le signifiant démocratie est un mot-valise, bon à tout et propre à rien, qui doit son efficacité symbolique à l’énorme mensonge dont il est le prétexte.




Arrêtons les vacheries ?

Par Joseph Stroberg

Il existe une tendance assez récente à rejeter le lait de vache et les produits laitiers sous les prétextes suivants :

  • Il serait indigeste par manque de lactase (qui permet la digestion du lactose).
  • Il serait allergène.
  • Il serait facteur de croissance pathogène (favorisant les cancers).
  • Il produirait diabète et maladies auto-immunes.
  • Il produirait de nombreux autres problèmes de santé (Maladie de Crohn, arthrite, arthrose, rhumatismes, constipation, fatigue chronique)…
  • Le calcium laitier serait mal assimilé.
  • L’espèce humaine est (ou serait) la seule espèce à consommer du lait d’une autre espèce.

On peut y répondre ce qui suit:

  • Le lactose est presque totalement absent des produits laitiers transformés par fermentation bactérienne (fromages, yaourts, etc.) et la lactase est quand même présente chez de nombreux êtres humains jusqu’à un âge avancé [Wikipédia: Une grande partie de la population adulte mondiale (environ 70 %) est intolérante au lactose en raison du déficit d’une enzyme, la lactase. Toutefois, beaucoup de produits laitiers ne contiennent pas de lactose, ou très peu (fromages). Le lactose provoque des troubles digestifs chez presque toutes les populations de souche non-européenne];
  • Est-ce que c’est le lait lui-même le problème, notamment d’allergies, ou bien le fait seulement du lait « industriel » (provenant de vaches entassées dans de véritables usines – et non pas dehors dans la nature -, nourries non pas d’herbe, mais de farines bourrées de pesticides, piquées régulièrement aux antibiotiques et même aux hormones, etc.)?
  • Est-ce que le lait biologique produit les mêmes effets?
  • Le lait maternel humain n’est-il pas, comme celui de vache, facteur de croissance, favorisant aussi bien celle des cellules saines que des cellules cancéreuses?
Composition
moyenne du lait en gramme par litre
Eau Extrait sec Matière
grasse
Matières azotées Lactose Matières
minérales Totales
caséine albumine
Lait
humain
905 117 35 12-14 10-12 4-6 65-70 3
Lait de
vache
900 130 35-40 30-35 27-30 3-4 45-50 8-10

(source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lait_de_vache)

  • L’espèce humaine consomme du lait animal depuis plusieurs milliers d’années. Si les premiers hommes à en consommer avaient eu de gros problèmes de santé par le fait d’en consommer, pourquoi ont-ils continué de le faire? L’espèce humaine consomme aussi des céréales depuis approximativement aussi longtemps, et de nos jours certaines personnes mettent en avant leur nocivité intestinale à cause du gluten. Est-ce réellement le gluten le problème ou bien le Glyphosate en quantité industrielle dans les céréales OGM et autres céréales non biologiques?
  • Le calcium du lait est absorbé à 30% par l’organisme humain, ce qui n’est certes pas négligeable, et le calcium de l’eau n’est pas tellement plus assimilé. Est-ce que l’on doit cesser de boire eau et lait sous ce prétexte?
  • L’être humain est la seule espèce à faire un tas de choses que ne font pas les autres. Notamment il est le seul à rire et à pleurer. Il est le seul à faire de la cuisine pour agrémenter sa nourriture. Il est le seul à faire du feu, à fabriquer des vêtements, etc. Est-ce que sous prétexte qu’il est le seul à le faire c’est mauvais?

L’exemple du lait est représentatif de nombreuses situations similaires par rapport à la santé humaine aussi bien que dans d’autres domaines. Face à certains excès d’industrialisation, des groupes humains ont pris des positions extrêmes opposées. Pourtant, est-ce que ces positions sont pour autant automatiquement plus saines ou plus sages? La vie a maintes fois démontré que les excès peuvent tendre à tuer. En particulier, si un être humain boit plus de neuf litres d’eau en une journée, il peut en mourir, alors que par ailleurs celle-ci est indispensable à la survie du corps physique. En tout, vaut-il mieux aller vers les extrêmes ou bien vers la modération, vers la voie du milieu?




Macron devient-il alternatif ?

Par Joseph Stroberg

[À partir d’extraits du site Ruptures]

Lors de l’entretien accordé à l’hebdomadaire The Economist par Emmanuel Macron, celui-ci aurait ainsi répondu en substance aux questions suivantes :

L’économie de marché fonctionnant pour le bien de tout le monde ?

Ce n’est plus vrai.

L’ouverture infinie du commerce mondial ?

Sûrement pas un élément de pacification.

L’obligation de réduire à moins de 3% les déficits budgétaires ?

Une contrainte d’un autre siècle.

Le principe de souveraineté des peuples ?

Hélas oublié, ce qui a poussé à vouloir imposer nos valeurs et changer des régimes – une erreur funeste issue du mariage fatal entre droit d’ingérence et néo-conservatisme.

La Russie ?

Toujours considérée implicitement comme un ennemi, alors qu’il conviendrait de réfléchir avec elle à une architecture de confiance et de sécurité.

L’OTAN ?

Une organisation en état de mort cérébrale.

Au détour d’une analyse critique de l’Alliance atlantique, il a rappelé que celle-ci a été mise en place avec les États-Unis en vue d’installer « une forme d’ombrelle géopolitique, mais en contrepartie, il faut (…) acheter américain ». Or « la France n’a pas signé pour ça ».

Selon lui, l’Union européenne était un projet de communauté, elle se réduit de plus en plus à un marché ; les dirigeants américains s’intéressent de plus en plus à l’Asie, et de moins en moins au Vieux Continent, plus encore sous Donald Trump qui ne se sent nullement lié par un projet européen que Washington avait pourtant à l’origine sponsorisé ; et, troisième élément, la Chine émerge au point que s’ébauche un duopole Washington-Pékin.

Macron aurait tenté d’alerter ses pairs en les avertissant :

Si l’on continue ainsi – une UE qui ne s’intéresse qu’au commerce, à la libre concurrence, et à la baisse des dépenses publiques au moment où États-Unis et Chine investissent massivement dans l’innovation – nous allons disparaître de la scène mondiale. En outre, de nombreux pays de l’UE se débattent dans des crises politiques, dont l’avatar en France est le séisme social des Gilets jaunes.

Ces points de vue ne paraissent plus suivre la ligne d’un Nouvel Ordre Mondial vers lequel Macron dirigeait la France jusqu’à tout récemment en bon fils spirituel des Rothschild.

Quelle peut bien être la cause d’un tel revirement ? Macron se serait-il par exemple mis à s’informer auprès de médias ou de sites alternatifs ? Ou bien aurait-il eu une révélation ? Une expérience mystique ? Ou simplement une prise de conscience soudaine de la réalité quotidienne de ses concitoyens ? Nous préférons laisser de côté les hypothèses pessimistes, au risque de manquer de réalisme. Quoi qu’il en soit, il reste à savoir si le Président des Français traduira en actes cette apparente nouvelle orientation.




Petite interrogation sur des démocrates et la guerre

Par Joseph Stroberg

Je me demande comment on peut être à la fois un fauteur ou prôneur de guerre (contre l’Iran ou toute autre nation) et en même temps se croire ou se faire croire socialiste et/ou démocrate (comme un Bernie Sanders). Il me semble que, théoriquement, les socialistes et les démocrates devraient avoir à cœur, avant tout, le bien-être physique et moral des peuples. Or, la guerre n’a jamais apporté le bien-être, mais la mort, la destruction, et la souffrance, en masse.


[Voir : Sanders déclare au New York Times qu’il envisagerait une frappe préventive contre l’Iran ou la Corée du Nord. Copie de l’article, ci-dessous.]


Sanders déclare au New York Times qu’il envisagerait une frappe préventive contre l’Iran ou la Corée du Nord

Par Jacob Crosse et Barry Grey
15 février 2020

Bernie Sanders a remporté le vote populaire dans les primaires
présidentielles du New Hampshire et de l’Iowa en se présentant comme un
opposant à la guerre. Après l’assassinat criminel du général iranien
Qassem Soleimani le mois dernier, Sanders a été le candidat démocrate à
la présidence qui critiqua le plus vigoureusement l’action de Trump. Ses
sondages ont augmenté en même temps que sa rhétorique antiguerre
renforcée.

Il a souligné à plusieurs reprises son vote contre l’invasion de
l’Irak en 2003, rappelant aux électeurs lors du débat présidentiel de
l’Iowa le mois dernier: «J’ai non seulement voté contre cette guerre,
mais j’ai aussi contribué à mener l’effort contre cette guerre».

Le
sénateur Bernie Sanders, candidat démocrate aux présidentielles,
s’adresse à ses partisans à Des Moines, Iowa, le 3 février 2020 [Source:
AP Photo/Pablo Martinez Monsivais]

Toutefois, lorsqu’elle s’adresse au principal journal de la classe dirigeante américaine, le New York Times,
la campagne de Sanders adopte un ton très différent de celui employé
par le candidat lorsqu’il s’adresse au public dans des discours de
campagne ou des interviews télévisées.

Les réponses fournies par la campagne de Sanders à une enquête sur la
politique étrangère des candidats démocrates à la présidence publiée ce
mois-ci par le Times donnent une image très différente de l’attitude du
soi-disant «socialiste démocrate» face à l’impérialisme américain et à
la guerre. Au cours de l’enquête, la campagne de Sanders s’efforce de
rassurer l’establishment militaire/du renseignement et l’élite
financière sur la loyauté du sénateur envers l’impérialisme américain et
sur sa volonté de déployer sa machine militaire.

La réponse à la troisième question de l’enquête du Times est peut-être la plus significative et la plus effrayante.

Question: Envisageriez-vous de recourir à la force militaire pour
prévenir un essai nucléaire ou de missile iranien ou nord-coréen?

Réponse: Oui.

Selon la campagne, la Maison-Blanche avec Sanders comme président,
serait ouverte à l’idée de lancer une frappe militaire contre l’Iran ou
la Corée du Nord dotée de l’arme nucléaire pour empêcher non pas une
menace de frappe nucléaire ou de missile contre les États-Unis, mais un
simple essai d’armes. Il s’agit d’une position à couper le souffle, non
moins incendiaire que celles avancées par l’administration Trump.

Sanders risquerait une guerre qui pourrait facilement impliquer les
grandes puissances et conduire à un cataclysme nucléaire afin de bloquer
un essai d’armes par des pays qui ont été soumis à des sanctions
américaines dévastatrices et à des provocations diplomatiques,
économiques et militaires pendant des décennies.

En outre, comme le montre clairement la réponse de Sanders au Times,
le candidat dit progressiste et antiguerre souscrit pleinement à la
doctrine de la «guerre préventive» déclarée comme politique officielle
des États-Unis en 2002 par l’administration de George W. Bush.
Affirmation illégale de la guerre d’agression comme instrument de
politique étrangère, cette doctrine viole les principes établis lors des
procès de Nuremberg des responsables nazis après la Seconde Guerre
mondiale, la charte des Nations unies et d’autres lois et conventions
internationales sur la guerre. L’adhésion de Sanders à cette doctrine,
sur les traces de l’administration Obama, montre que son opposition à la
guerre en Irak était purement une question de tactique, et non une
opposition de principe à la guerre impérialiste.

La question ci-dessus est précédée d’une autre qui évoque une réponse
pleinement conforme à la politique de guerre de l’administration Obama,
la première administration de deux mandats dans l’histoire des
États-Unis à diriger une guerre ininterrompue.

Question: Considéreriez-vous la force militaire pour une intervention humanitaire?

Réponse: Oui.

Parmi les guerres criminelles menées par les États-Unis au nom de la
défense des «droits de l’homme» figurent la guerre en Bosnie et le
bombardement de la Serbie dans les années 1990, la guerre aérienne de
2011 contre la Libye qui s’est terminée par le lynchage du dirigeant
déchu Mouammar Kadhafi, et la guerre civile en Syrie qui a été fomentée
par Washington et menée par ses milices mandataires liées à Al-Qaïda.

Les prétextes humanitaires frauduleux de l’agression américaine
n’étaient pas plus légitimes que le mensonge des «armes de destruction
massive» utilisées lors de l’invasion néocoloniale de l’Irak. Le
résultat de ces crimes de guerre a été la destruction de sociétés
entières, la mort de millions de personnes et la dislocation de dizaines
de millions d’autres, ainsi que la transformation du Moyen-Orient en
une région contestée par les grandes puissances qui menace d’être le
berceau d’une nouvelle guerre mondiale.

Sanders souscrit pleinement à cette doctrine de «guerre humanitaire»
qui est particulièrement associée aux administrations démocrates.

En réponse à une question du Times sur l’assassinat de
Soleimani, la campagne de Sanders qualifie l’action de Trump d’illégale,
mais refuse de prendre une position de principe contre les assassinats
ciblés en général et s’associe aux attaques contre Soleimani qui le
qualifiaient de terroriste.

La réponse est la suivante:

Il est clair qu’il existe des preuves que Soleimani a été impliqué
dans des actes de terreur. Il a également soutenu les attaques contre
les troupes américaines en Irak. Mais la bonne question n’est pas
«était-ce un méchant», mais plutôt «son assassinat rend-il les
États-Unis plus sûrs?» La réponse est clairement non.

En d’autres termes, l’assassinat extrajudiciaire de personnes par le
gouvernement américain est justifié s’il rend les États-Unis plus
«sûrs». Il s’agit d’une approbation tacite de la politique d’assassinats
par drones qui a été largement étendue sous l’administration Obama: une
politique qui incluait le meurtre de citoyens américains.

À un autre moment, le Times pose la question:

Seriez-vous d’accord pour commencer à retirer les troupes américaines de la péninsule coréenne?

Sanders de répondre:

Non, pas immédiatement. Nous travaillerions en étroite collaboration
avec nos partenaires sud-coréens pour avancer vers la paix dans la
péninsule coréenne, ce qui est la seule façon de traiter en fin de
compte la question nucléaire nord-coréenne.

Sanders soutient donc la présence continue de dizaines de milliers de
soldats américains dans la péninsule coréenne, tout comme il soutient
le déploiement de forces américaines de manière plus générale pour faire
valoir les intérêts mondiaux de la classe dirigeante américaine.

En ce qui concerne Israël, Sanders appelle au maintien du niveau
actuel de l’aide militaire et civile américaine et s’oppose au retour
immédiat de l’ambassade américaine de Jérusalem à Tel-Aviv.

Sur la Russie, il soutient entièrement la campagne maccartiste
anti-russe du Parti démocrate et se range derrière la base de droite de
la campagne de destitution ratée des démocrates contre Trump:

Question: Si la Russie continue sur la même voie en Ukraine et dans
d’autres anciens États soviétiques, les États-Unis doivent-ils la
considérer comme un adversaire, voire un ennemi?

Réponse: Oui.

Question: La Russie devrait-elle être tenue de restituer la Crimée à l’Ukraine avant d’être autorisée à réintégrer le G-7?

Réponse: Oui.

Enfin, le Times demande à la campagne Sanders sa position
sur la stratégie de sécurité nationale annoncée par l’administration
Trump au début de 2018. La nouvelle doctrine déclare que l’axe de la
stratégie étrangère et militaire américaine est passé de la «guerre
contre le terrorisme» à la préparation de la guerre contre ses
principaux rivaux, en nommant notamment la Russie et la Chine.

Dans l’échange suivant, Sanders accepte tacitement le cadre de
conflit des grandes puissances de la stratégie de sécurité nationale,
attaquant Trump de la droite pour ne pas avoir poursuivi agressivement
le conflit avec la Russie et la Chine:

Question: La stratégie de sécurité nationale du président Trump
appelle à déplacer l’accent de la politique étrangère américaine du
Moyen-Orient et de l’Afghanistan vers ce qu’il appelle les
superpuissances «révisionnistes», la Russie et la Chine. Êtes-vous
d’accord? Et pourquoi?

Réponse: Malgré sa stratégie déclarée, l’administration Trump n’a
jamais suivi une stratégie de sécurité nationale cohérente. En fait,
Trump a aggravé les tensions au Moyen-Orient et nous a amenés au bord de
la guerre avec l’Iran, a refusé de tenir la Russie responsable de
son ingérence dans nos élections et de ses violations des droits de
l’homme, n’a rien fait pour remédier à notre accord commercial injuste
avec la Chine qui ne profite qu’aux riches entreprises, et a ignoré
l’internement massif des Ouïgours par la Chine et sa répression brutale
des manifestants à Hong Kong
. Il est clair que Trump n’est pas un modèle de président à suivre. [C’est nous qui soulignons]

Dans une récente interview, Ro Khanna, membre démocrate du Congrès et
coprésident national de la campagne Sanders, a assuré l’écrivain Uri
Friedman que Sanders poursuivrait les opérations provocatrices de
navigation de la «liberté des mers» dans le golfe Persique et la mer de
Chine méridionale, tout en engageant l’administration Sanders à
«maintenir une certaine présence [des troupes]» sur la multitude de
bases qui parsèment les pays «alliés», du Japon à l’Allemagne.

Des millions de travailleurs, d’étudiants et de jeunes sont
actuellement attirés par Sanders parce qu’ils en sont venus à s’opposer
aux vastes inégalités sociales, à la brutalité et au militarisme de la
société américaine et à associer à juste titre ces maux au capitalisme.
Cependant, ils apprendront bientôt par une expérience amère que
l’opposition de Sanders à la «classe des milliardaires» n’est pas plus
réelle que sa prétendue opposition à la guerre. Sa politique étrangère
est impérialiste de bout en bout, en accord avec la politique agressive
et militariste du Parti démocrate et de l’administration Obama.

Les désaccords entre les démocrates et Trump en matière de politique
étrangère, bien qu’acerbes, sont tactiques. Les deux partis partagent
l’orientation stratégique consistant à affirmer l’hégémonie mondiale des
États-Unis, avant tout par la force des armes.

Peu importe les belles paroles de Sanders sur l’inégalité, il est
impossible de s’opposer aux déprédations de la classe dirigeante au pays
tout en soutenant le pillage et l’oppression à l’étranger.

Sanders n’est pas plus un apôtre de la paix qu’il n’est un
représentant de la classe ouvrière. Tant en politique étrangère
qu’intérieure, il est un instrument de la classe dirigeante pour
canaliser le mouvement croissant de la classe ouvrière et de
l’opposition au capitalisme derrière le Parti démocrate et le système
bipartite de la domination capitaliste aux États-Unis.

(Article paru en anglais le 14 février 2020)




Criminalité noire & blanche aux USA

Par Joseph Stroberg

Les chiffres ou les statistiques mis en avant par différents articles sur le sujet peuvent différer grandement selon la tendance politique ou socioculturelle de leur auteur et selon son degré d’impartialité ou au contraire d’implication émotionnelle. Après l’article «Il est faux de dire que c’est du racisme que les Blancs tuent les Noirs»: Éric Zemmour sur les émeutes aux USA qui présentait l’opinion d’Éric Zemmour sur le problème de la criminalité raciale aux États-Unis, voici deux autres articles suivis de statistiques du FBI pour l’année 2014 (en supposant que celle-ci ne soit pas significativement différente des autres années).

[Photo d’en-tête : Lors d’une marche durant les émeutes de Baltimore, le 28 avril 2015. Photo Jim Bourg. Reuters]


Éric Zemmour pris en flagrant délire raciste sur CNews

[Source externe : Réseau International]

par Cyprien Caddeo

« 80 % des Blancs sont tués par des Noirs aux États-Unis. »

C’est l’infâme sottise prononcée par le polémiste d’extrême droite Éric Zemmour sur le plateau de CNews, lundi soir. Ce dernier voulait sous-entendre que la population afro-américaine serait coupable plus que victime, alors que les États-Unis se sont embrasés après que George Floyd, un Noir de 46 ans, a été tué par un policier blanc.

Or, sa prétendue statistique est complètement fausse, comme l’a souligné l’AFP en s’appuyant sur les données du FBI. Celles-ci démontrent que, en 2018, 80 % des Américains blancs ont été tués par des Blancs, dans un pays où les homicides se déroulent d’abord au sein d’une même communauté.

Zemmour affirmait aussi que « les Blancs aux États-Unis ont deux fois plus de chances d’être tués que les Noirs ». Tout faux là encore : selon le FBI, 7 407 Afro-Américains ont été tués en 2018, contre 6 088 Blancs.

source : https://www.humanite.fr/eric-zemmour-pris-en-flagrant-delire-raciste-sur-cnews-689849?


[Source externe : Le Journal de Montréal]

USA: le sujet tabou de la criminalité noire

CA_Daniel-Girard

[Auteur :] Daniel Girard 18 août 2014

MARTHA’S VINEYARD,
MASSACHUSETTS.
Si l’enquête du ministère de la justice des États-Unis révèle que Michael Brown, tué par un policier à Ferguson, a été la victime d’une bavure, on s’attend à ce que le policier subisse les conséquences de ses actes. Mais il n’appartient pas aux médias et aux groupes de défense des minorités à se substituer aux autorités. L’éditorialiste Jason Riley, du Wall Street Journal, un Noir, en a assez de toute cette attention médiatique concentrée sur les cas où le travail des policiers est en cause. Il ne minimise pas leur importance. Il se demande juste pourquoi pourquoi la mort quotidienne de Noirs assassinés par d’autres Noirs partout aux États-Unis ne génère par le même niveau d’indignation.

Les chiffres?

Les chiffres sont accablants. D’après Bureau of Justice Statistics, les Noirs, 13% de la population américaine, comptent pour la moitié des meurtres aux États-Unis. 85% des morts sont des hommes; la moitié d’entre eux ont entre 17 et 29 ans. Huit Noirs sur 10 sont tués par des armes à feu. Les conséquences sociales? Les prisons sont surpeuplées de Noirs, plus des deux tiers des enfants Noirs sont élevés dans des familles monoparentales. Laurence Thomas, un professeur Noir qui enseigne à l’école Maxwell de l’Université de Syracuse est curieux de savoir pourquoi aucun des leaders Noirs ne s’élève contre le massacre quotidien des Noirs par des Noirs. Il se demande comment se fait-il que Al Sharpton et Jesse Jackson n’aient rien à dire là-dessus? Il ajoute: On dirait que la vie d’un Noir a plus de valeur parce qu’il est tué par un Blanc plutôt que par un Noir. L’éditorialiste Jason Riley a des inquiétudes similaires. Il digère mal de voir le président Obama, de Martha’s Vineyard, mettre sur le même pied des groupes de vandales et les forces de l’ordre qui tentent de contenir les émeutes, en parlant de réponse militaire à la crise. Pour Jason Riley, il est impératif que les Noirs s’attaquent à leur principal problème: leur propre criminalité.


Statistiques 2014 du FBI

Source externe : Tableau complet (anglais)

Extrait traduit de la partie concernant la race :

Tableau 6 élargi des données sur les homicides

Meurtres

Race, origine ethnique et sexe de la victime selon la race, l’origine ethnique et le sexe du criminel, 2014

[Victime unique / criminel unique]

Race de
la victime
Total Race du
criminel
Blanche Noire ou Afro-américaine Autre [1] Inconnue
Blanche 3 021 2 488 446 35 52
Noire ou Afro-américaine 2 451 187 2 205 15 44
Autre race [1] 168 47 25 93 3
Race inconnue 63 34 17 3 9

Par Joseph :

Quelques constats sur la base du tableau

Le nombre total de victimes étant 5703 (3021 + 2451 + 168 + 63),
53 % (3021 / 5703) sont des blancs
et 43 % (2451 / 5703) sont des noirs.

Le pourcentage d’assassinats effectués est :
48 % (2756 / 5703) par des Blancs
et 47 % (2693 / 5703) par des Noirs ou des Afro-américains.

Cependant, le Bureau du Recensement des États-Unis (United States Census Bureau) fournit pour 2014 les populations suivantes (estimations à environ 0.1 % de marge d’erreur) :

Population totale 314 107 084
Blancs 231 849 713 73.8 %
Noirs et Afro-américains 39 564 785 12.6 %

Alors que moins de 13 % des États-Uniens sont des Noirs ou des Afro-américains, 43 % des victimes sont noires ou afro-américaines et 47 % des assassinats dont commis par des Noirs ou des Afro-américains.

Il existe donc un large sur représentation de victimes et d’assassins parmi les populations noires ou afro-américaines aux États-Unis.

Par ailleurs, 90 % (2205 / 2451) des victimes noires ou afro-américaines sont tuées par des Noirs ou par des Afro-américains,
alors que dans le même temps, 82 % (2488 / 3021) des victimes blanches sont tuées par des Blancs.

Les crimes sont très majoritairement commis dans le milieu racial et concernent plus rarement des victimes d’une race différente de celle de l’assassin.

Conclusion

Les crimes violents aux États-Unis ont rarement un cause raciste.

On pourrait être tenté de considérer que les populations noires et afro-américaines sont plus violentes que les autres. Cependant, c’est oublier que celles-ci appartiennent le plus souvent à des milieux socio-culturels défavorisés, ceci remontant au temps de l’esclavage.

Ainsi, la cause de la violence criminelle est-elle bien davantage le fait de la surpopulation, de la pauvreté et de l’analphabétisme que de la couleur de la peau des individus.

On peut alors se demander pourquoi plusieurs pays, par la stimulation ou l’aide de leurs médias dominants, se sont récemment empressés de monter en épingle une affaire criminelle qui aurait en d’autres temps été reléguée dans les faits divers de quelques journaux locaux et ignorée ailleurs. Il y a visiblement une instrumentalisation dont le but n’est certainement pas celui de la paix et de l’harmonie des peuples et de leurs différentes cultures et ethnies constitutives. Dans les faits que l’on peut observer, spécialement aux États-Unis, les conséquences de cette amplification médiatique sont plutôt une accentuation du désordre, des divisions et du chaos.

De manière générale, lorsque l’on focalise son attention et ses pensées sur un secteur particulier de l’existence, celui-ci acquiert rapidement un caractère disproportionné par rapport au reste. Et au lieu de résoudre les problèmes éventuels qui lui sont liés, on tend à les aggraver. Si nous voulons faire disparaître le racisme, cessons d’accorder de l’attention, et donc de l’importance, à la couleur de la peau des individus ! Par contre, développons la compréhension, l’empathie, la compassion, l’esprit d’entraide et de fraternité avec tous les êtres humains, sans distinction.




Mourir libre ou vivre esclave

Par Joseph Stroberg

La crise mondiale de la Covid-19 est un révélateur du choix fondamental auquel fait face l’Humanité et chacun des êtres humains pris individuellement. Celui-ci a été évoqué par plusieurs prophéties représentant divers courants religieux ou spirituels (Bible, Coran, Sagesse amérindienne…). Il se traduit essentiellement par l’alternative du matérialisme ou de la spiritualité. Il a déjà été évoqué d’une manière ou d’une autre sur le blogue, en particulier dans les articles suivants :

Il est clairement indiqué dans le huitième feu à la fin de la prophétie amérindienne des sept feux, telle que présentée ci-après. Concrètement, l’individu ou le groupe qui choisit la voie spirituelle ne craint pas la mort et préfère généralement celle-ci à une vie d’esclave telle que celle proposée par le Nouvel Ordre Mondial.

[Source : Esprit Spiritualité Métaphysiques ou Spiritualité, Science et Développement]

La prophétie des sept feux

Un message de paix et d’unité selon la tradition des amérindiens algonquins et ojibwés

La prophétie algonquine des sept feux décrit l’évolution de l’humanité depuis des siècles jusqu’à nos jours. Nous sommes dans la période du septième feu, une période cruciale de choix de vie. La prophétie incite à choisir un monde de paix et d’union entre les races et les peuples. Ce message est délivré activement par plusieurs Grands Chefs Algonquins, dont le Grand-Père William Commanda et Dominique Rankin. Il est en accord avec une autre prophétie des Lakotas, celle de la femme Bison Blanc.

Sept prophètes sont venus chez les Anishinabés.

Ils sont venus quand le peuple vivait une vie paisible et bien remplie sur la côte nord-est de l’Amérique du Nord. Ces prophètes ont laissé au peuple sept prophéties sur ce que serait le futur. Chacune de ces prophéties fut appelée un feu, et chaque feu représente une période différente qui se produira dans le futur. Voilà pourquoi les enseignements des sept prophètes sont maintenant nommés les Sept Feux.

Le premier prophète dit au peuple:

« Dans la période du Premier Feu, la nation Anishinabé s’élèvera et suivra la voie du Coquillage Sacré de la Loge du Midewiwin. La loge du Midewiwin servira de point de rassemblement au peuple et ses traditions seront la source de beaucoup de force. Le Mégis Sacré les conduira à la terre choisie pour les Anishinabés. Vous devrez chercher une île en forme de tortue [l’Amérique du Nord] reliée à la purification de la terre. Vous trouverez une telle île au début et à la fin de votre voyage. Il y aura sept endroits où vous vous arrêterez sur votre parcours. Vous saurez que vous avez atteint l’endroit choisi quand vous aurez atteint une terre où la nourriture se développe sur l’eau. Si vous y restez, vous périrez. »

Le deuxième prophète dit au peuple:

« Vous reconnaîtrez le Deuxième Feu parce qu’en ce temps là, la nation sera cantonnée près d’une grande étendue d’eau. En ce temps là, la direction du Coquillage Sacré sera perdue. Le Midewiwin diminuera en force. Un garçon naitra pour indiquer la voie de retour aux traditions. Il montrera la direction des marches vers le futur du peuple Anishinabé. »

Le troisième prophète dit au peuple:

« Pendant le Troisième Feu, les Anishinabés trouveront la voie vers leur terre choisie, une terre à l’ouest de laquelle la nourriture pousse sur l’eau. »

Le quatrième feu:

Le Quatrième Feu fut originalement révélé au peuple par deux prophètes. Ils sont venus comme un seul. Ils ont parlé de la venue de la race à la peau blanche.

L’un des prophètes dit:

« Vous connaîtrez le futur de notre peuple par le visage que la race à la peau blanche affiche. S’ils viennent en affichant le visage de la fraternité, alors viendra une période de merveilleux changements pour plusieurs générations. Ils apporteront de nouvelles connaissances et objets qui pourront se joindre aux connaissances de ce pays. De cette façon, deux nations se joindront pour créer une puissante nation. À cette nouvelle nation se joindront deux autres, et les quatre nations formeront la plus puissante de toute les nations. Vous reconnaîtrez le visage de la fraternité si la race à la peau blanche vient sans porter d’armes, s’ils viennent en apportant seulement leurs connaissances et une poignée de main. »

L’autre prophète dit :

« Méfiez-vous si la race à la peau blanche vient en affichant le visage de la mort. Vous devrez faire attention parce que le visage de la fraternité et celui de la mort se ressemblent beaucoup. S’ils viennent en portant des armes, méfiez-vous. S’ils viennent souffrants, ils pourraient vous tromper. Leurs cœurs pourraient être remplis de convoitise pour les richesses de cette terre. S’ils sont véritablement vos frères, laissez-les vous le prouver. Ne les acceptez pas en toute confiance. Vous saurez que le visage qu’ils affichent est celui de la mort si les rivières sont empoisonnées et si les poissons deviennent impropres à la consommation. Vous les reconnaîtrez par ces multiples signes. »

Le cinquième prophète dit:

« Pendant la période du cinquième Feu, viendra un temps de grandes difficultés qui affectera la vie de tous les Autochtones. Quand les signes de ce Feu apparaitront, viendra parmi le peuple une personne qui promettra une grande joie et le salut. Si le peuple accepte ces promesses d’une nouvelle façon de vivre et abandonne les enseignements anciens, alors les difficultés du Cinquième Feu resteront avec le peuple pendant plusieurs générations. Les promesses qui vous seront faites se révéleront de fausses promesses. Tous ceux qui accepteront ces promesses causeront la presque totale destruction du peuple. »

Le prophète du Sixième Feu dit:

« Pendant la période du sixième Feu, il sera évident que les promesses du Cinquième Feu sont venues d’une fausse manière. Ceux qui auront été trompés par ces promesses éloigneront leurs enfants des enseignements des Sages. Petits-fils et petites-filles se retourneront contre leurs Ainés. Aussi, les Sages perdront leur raison de vivre, ils perdront leur rôle dans la vie. Pendant cette période, une nouvelle maladie fera son apparition parmi le peuple. L’équilibre de nombreuses personnes sera dérangé. La coupe de la vie sera presque renversée. La coupe de la vie deviendra presque la coupe de l’amertume. »

Quand ces prédictions furent faites, beaucoup se moquèrent des prophètes. Ils détenaient alors les remèdes nécessaires pour se préserver de la maladie. Ils étaient alors un peuple en bonne santé et heureux. Ils étaient ceux qui choisirent de rester en arrière lors de la grande migration des Anishinabés. Ces personnes furent les premières à entrer en contact avec la race à la peau blanche. Il en souffrirent le plus.

Quand le Cinquième Feu arriva, de grandes difficultés survinrent dans la vie de tous les Autochtones. La race à la peau blanche lança des offensives militaires contre les Autochtones dans tout le pays pour s’emparer de leurs terres et de leur indépendance comme peuple libre et souverain. Nous savons maintenant que les fausses promesses qui ont été faites à la fin du Cinquième Feu, se référaient au matériel et aux richesses inhérents au mode de vie de la race à la peau blanche. Ceux qui ont abandonné les anciennes méthodes et accepté ces nouvelles promesses furent un facteur important qui causa la presque totale destruction des Autochtones de ce pays.

Quand vint le Sixième Feu, les paroles du prophète s’avérèrent vraies, les enfants furent privés des enseignements des Sages. L’ère des pensionnats qui « civilisaient » les enfants indiens avait commencé. Le langage des Indiens et leur religion furent enlevés aux enfants. Les personnes commencèrent à mourir jeunes. Ils avaient perdu la volonté de vivre et leur raison de vivre.

Pendant l’ère confuse du Sixième Feu, il est dit qu’un groupe de visionnaires vint chez les Anishinabés. Ils rassemblèrent tous les prêtres de la Loge du Midewiwin. Ils dirent aux prêtres que la méthode Midewiwin était en danger d’être détruite. Ils ont rassemblé tout les Objets Sacrés. Ils ont rassemblé tous les écrits qui décrivent les cérémonies. Toutes ces choses furent placées à l’intérieur d’une bûche taillée dans l’arbre de fer. Des hommes furent suspendus à une falaise par de longues cordes. Là, ils creusèrent un trou dans la falaise et y enterrèrent la bûche là où personne ne pourrait la trouver. C’est ainsi que les enseignements des Sages furent cachés à la vue mais gardés en mémoire. Il est dit que le jour où les Indiens pourront pratiquer leur religion sans avoir peur, un petit garçon aurait un rêve qui indiquerait où la bûche de bois dur contenant les Objets Sacrés et les écrits a été enterrée. Il guiderait son peuple à cet endroit.

Le septième feu

Le Septième prophète qui rendit visite au peuple il y a bien longtemps, est décrit comme étant différent des autres prophètes. Il était jeune et avait une lumière étrange dans ses yeux. Il dit:

« Quand viendra la période du Septième Feu, de Nouvelles Personnes apparaitront. Elles retraceront leurs pas pour redécouvrir les traces laissées sur la route. Leurs pas les conduiront vers les Ainés à qui elles demanderont de les guider dans leur voyage. Mais beaucoup de Ainés se seront endormis. Ils s’éveilleront dans ce nouvel âge sans rien à offrir. Quelques-uns des Ainés seront muets parce que personne ne leur demandera quoi que ce soit. Les nouvelles personnes devront faire attention à la manière dont elles s’approcheront des Ainés. La tâche des nouvelles personnes ne sera pas facile.

Si les nouvelles personnes restent fortes dans leur quête, le Tambour à Eau de la Loge du Midewiwin fera de nouveau entendre sa voix. Il y aura une renaissance de la nation Anishinabé et les vieilles flammes seront attisées. Le Feu Sacré brulera de nouveau.

Le huitième feu

C’est en ce temps là qu’on donnera le choix à la race à la peau blanche entre deux chemins. Si elle choisit le bon chemin, alors le Septième Feu allumera le Huitième et dernier Feu, un Feu éternel de paix, d’amour, de fraternité et de sororité. Si la race à la peau blanche fait le mauvais choix de route, alors la destruction qu’elle a apportée avec elle en venant dans ce pays, se retournera contre elle et causera beaucoup de souffrance et de morts parmi tous les habitants de la terre. »

Les sages de la nation Ojibwé et des personnes d’autres nations ont interprété les deux chemins auxquelles la race à la peau blanche doit faire face, comme étant la route de la technologie et la route de la spiritualité. Ils pensent que la route vers la technologie représente une continuation de la ruée tête baissée vers le développement technologique. C’est cette route qui a conduit la société moderne vers une planète endommagée et brûlée. Serait-il possible que la route vers la technologie représente une ruée vers la destruction? La route vers la spiritualité représente un chemin plus lent, celui que les Autochtones traditionnels ont suivi et qu’ils cherchent à retrouver. La terre n’est pas brûlée sur ce sentier. L’herbe y pousse encore.

Le prophète du Quatrième Feu a parlé d’une ère où deux nations se joindraient pour créer une puissante nation. Il parlait de la venue de la race à la peau blanche et du visage de la fraternité que les Frères à peau blanche pourraient afficher. Il est évident d’après l’histoire de ce pays que ce n’était pas le visage que présentait généralement la race à la peau blanche. La puissante nation mentionnée dans le Quatrième Feu n’a jamais été formée.

Si le peuple naturel de la terre pouvait simplement porter le visage de la fraternité, nous pourrions délivrer notre société du chemin de la destruction. Pourrions-nous faire en sorte que les deux chemins qui représentent deux points de vue du monde diamétralement opposés s’unissent pour former cette puissante nation?

Serait-il possible de former une nouvelle nation qui serait guidée par le respect pour toutes les êtres vivants?

Sommes-nous les personnes du Septième Feu?

Danse des indiens algonquiens (gravure de John White, 1590)




Les deux témoins – antithèse

Par Joseph Stroberg

L’article Les deux témoins soulevait l’hypothèse que les deux témoins de l’Apocalypse puissent être les actuels présidents des deux pays du monde les plus puissants sur le plan militaire (bien sûr dans la perspective qui considère ce texte comme réellement prophétique et se rapportant à notre époque). Dans ce présent et court article, nous présentons une vidéo qui expose des faits et leur interprétation dans un sens qui tend à mettre à mal cette hypothèse, au moins en ce qui concerne Trump et dans une moindre mesure Poutine.

La vidéo considère QAnon comme une opération cabalistique menée par une secte et apporte des arguments en faveur de cette hypothèse.

QAnon n’a jamais mentionné lui-même le mot « CABAL »,
il a seulement cité des rumeurs !

Q n’a même pas rempli sa toute première promesse !
Hillary Clinton est toujours LIBRE et voyage !
Alors que Q a prédit son arrestation pour le 30 octobre 2017 !

Trump est AMI avec Bill Gates, les Clinton, Epstein…
Trump est Pro Vaccination, Pro 5G Technology & Science !
Trump n’a aucun pouvoir sur l’Amérique !!!

QAnon est un mouvement d’OPPOSITION CONTRÔLÉE !

Les adeptes fanatiques du culte de QAnon vont partout avec leurs mantras pour détruire les faits et diviser les gens !

https://youtu.be/og9slmpQRYY
[Source : BabylonDecodedFR]



États-Unis – La question de l’adéquation

[Source : Réseau International]

par Andrei Martyanov.

Une insurrection ? Pas vraiment. Une insurrection est un soulèvement contre l’autorité et ce qui s’est passé à Washington le 6 n’était pas un soulèvement. C’était une manifestation pacifique qui a tourné à la violence avec l’aide de quelques provocateurs. Elle a été facilement gérée et ce qui importe ici, c’est que l’écrasante majorité des gens qui sont venus au Capitole n’avaient aucune intention de « se soulever » ou d’être des insurgés. Ils sont venus pour manifester. J’ai déjà démontré ce qu’est une véritable insurrection, évoluant vers un soulèvement. On peut comprendre qu’une bimbo de CNN déblatère des conneries sur le sujet, mais y avoir droit de la part d’Andrew Bacevich, un ancien officier cadre… Et pourtant :

« L’insurrection du 6 janvier a été le moment Altamont de cette génération. Tout comme Altamont, elle a fait voler en éclats des illusions qui ne méritaient pas d’être prises au sérieux ».

Non, ce n’était pas une « insurrection », c’est pourquoi elle s’est terminée relativement paisiblement avec, soyons honnêtes, très peu de victimes, aussi regrettables soient-elles, et la reprise des travaux par le Congrès. Peu de moments effrayants et l’humiliation en matière de relations publiques que le Capitole américain (et les États-Unis en général) a endurée à la suite de cela, à l’exception de quelques séquences dramatiques, ont produit un effet nul dans ce que Bacevich lui-même définit comme étant :

« Notre pays est un pays brisé. Si nous ne le reconnaissons pas, la Grande Insurrection de 2021 pourrait n’être qu’un simple précurseur de choses pires à venir ».

Oui, nous le savons et beaucoup le reconnaissent, mais cela ne fait pas d’un pur hooliganisme une insurrection. Utilisons les termes adéquats.

Et si cela ne suffit pas, venons-en à la question de la « liberté d’expression ». Je le répète :

1. Ce qui est connu aux États-Unis comme le « big-tech » n’est pas et n’a jamais été de la « big-tech » – ce sont des sociétés de réseaux sociaux qui ne produisent rien d’autre que du code, qui est téléchargé sur leurs serveurs, qui sont fournis par de VRAIES sociétés de technologie, et le seul produit que Facebook ou Twitter produisent est un exhibitionnisme de masse, des troubles sexuels et psychologiques, et de vastes flux de conneries. C’est pourquoi, personnellement, je n’ai pas de compte FB, Twitter, etc.

2. Toutes ces entreprises dites « big-tech » sont nominalement des entreprises privées. Et ne venez pas me dire qu’elles suppriment toutes les autres ! Ce sont des sociétés privées et le fait que leur monopole (pas vraiment) n’ait pas été brisé est le problème de POTUS et du Congrès américain. Voici ce que j’ai écrit hier en répondant à une personne sur le site du colonel Lang : cette « liberté d’expression » :

@Fred

« Ce droit de « propriété privée » ne s’étend-il qu’au discours politique ou cela signifie-t-il que les boulangeries ne doivent plus faire de gâteaux pour les homosexuels qui se marient et que les entreprises peuvent refuser les personnes que le propriétaire pense être de la mauvaise couleur ?

Ce que vous avez formulé s’appelle « déplacer les poteaux de but ». Ne mélangez pas ici les droits de l’homme fondamentaux et le droit d’utiliser une plateforme privée (OK, théoriquement privée) pour exprimer vos opinions. J’ai pleinement le droit de jeter n’importe qui hors de chez moi s’il commence à violer les normes que j’ai établies dans ma maison. Oui, c’est ce que signifie la propriété privée. Vous voulez que votre opinion soit exprimée publiquement, ce qui n’est PAS votre droit, sinon nous n’aurions pas de pré-modération et d’administrateurs ici – c’est votre droit d’aller créer votre propre « voix », qui va du blog privé sur une ressource d’accès public à un fournisseur d’accès Internet complet avec des serveurs, une infrastructure, etc. Ensuite, vous êtes responsable et tant que votre activité ne viole pas la Constitution, bon vent.

Bien que je sois dégoûté par tout ce qu’on appelle les « géants de la technologie » (pour votre information, ce ne sont pas des entreprises de technologie – elles ne produisent que des pages de code et des troubles psychologiques et psychiatriques de masse), je n’ai pas de compte FB et n’en aurai jamais, je ne tweete pas, etc. Formellement, ils ont raison – notre maison, nos règles. Vous n’aimez pas ça, vivez pleinement le capitalisme et la « démocratie » et faites les vôtres. C’est aussi simple que cela ».

Google, FB, Twitter, etc. sont-ils des vecteurs de l’idéologie et des politiques du parti démocrate-chrétien ? Absolument, ils sont méprisables, mais c’est la société, les utilisateurs, les clients qui les ont rendus tels. Ils ont aussi veillé à être ce qu’ils sont en termes d’influence. Et le gouvernement américain n’a rien fait à ce sujet. Alors, à quoi vous attendez-vous ? Que des recueils d’ordures du Comité national démocrate comme WaPo ou NYT commencent à publier mes articles ? Non. Ils ont leurs propres normes, aussi pathétiques soient-elles, dictées par leurs propriétaires et c’est tout. Ma question est la suivante : où peut-on trouver une véritable plate-forme conservatrice, dans un sens plus large, allant de sa propre infrastructure de réseau social à une presse écrite sérieuse ? Ce qui passe pour des médias « conservateurs » aux États-Unis est aussi conservateur que je suis chinois. Si le président des États-Unis mène sa « politique », ou plutôt son absence de politique, par le biais de ressources privées minables telles que Twitter et Fox News, un cloaque néolibéral néoconservateur, prétendant être « juste et équilibré », à quoi vous attendez-vous ? Les médias américains sont contrôlés de haut en bas par une classe aisée et ils ne permettront pas à une pensée conservatrice sérieuse d’être représentée, surtout parmi une génération qui est franchement stupide, a la capacité d’attention d’un poisson et est incapable de quitter son téléphone des yeux.

Hé, les milliardaires « conservateurs » et les soi-disant « patriotes » avec de l’argent, où est votre initiative, où est votre amour pour la « liberté d’expression », alors que vous ne pouvez même pas faire développer une plateforme alternative ? Oubliez la plateforme, il n’y a pas de penseurs conservateurs de bon niveau parmi vous. En fait, je doute qu’il y ait beaucoup de personnes vraiment brillantes dans ce qui passe aux États-Unis pour un mouvement « conservateur ». Alors, ne vous plaignez pas – vous avez eu une chance, vous l’avez gâchée, tout comme Donald Trump qui n’a rien fait pour changer quoi que ce soit dans les affaires qui comptaient vraiment, même en considérant un sabotage très réel de la part de l’establishment. L’impuissance à une échelle sans précédent. Que des paroles, pas d’actions. Maintenant, « big tech » ferme la porte à ceux qu’il n’aime pas ? Bien sûr. Vous vous attendiez à autre chose ?

Maintenant, avec tous ces discours lancés à la légère, nous ferions mieux de nous réveiller et de voir que l’hystérie des médias ne change absolument rien au consensus de Washington et que, si j’avais eu ma propre plateforme, j’aurais fait taire de très nombreuses idées « de gauche », parce que beaucoup d’entre elles, allant de l’institutionnalisation d’une perversion sexuelle à un racisme radical anti-blanc, méritent d’être rejetées du débat politique, comme étant destructrices et extrémistes. C’est ce que signifie l’adéquation. Quant au Parti républicain, c’est un spectacle bien plus dérangeant que de voir POTUS impuissant. Mais je tiens à préciser que si le Parti démocrate et ses politiques sont claires et présentent un danger, du moins ils en parlent ouvertement, le Parti républicain est une bande de lâches et de traîtres et, en tant que tel, il préside à la destruction du pays. Les whigs, ça vous dit quelque chose ? C’est le terme adéquat.

source : https://smoothiex12.blogspot.com

traduit par Réseau International




Biden et le pouvoir par la force

[Source : Réseau Voltaire via Réseau International]

[Photo : © AP / Julio Cortez]

par Thierry Meyssan

La prise du Capitole par des partisans du président Trump est présentée comme une tentative de coup d’État, alors que celui-ci est toujours à la Maison-Blanche. À bien y regarder, ce pourrait être l’inverse. La liberté d’expression a été confisquée par un pouvoir illégitime, au profit de Joe Biden.

Des boniments habituels

Pour « The West Australian », pour ses derniers jours, Donald Trump comme Adolf Hitler souhaite « le crépuscule des dieux ».

Àchaque élection présidentielle aux États-Unis, on nous explique que le sortant était un monstre, que l’on est désolé des crimes qu’il a commis, mais qu’une aube nouvelle se lève pour l’humanité avec l’accession d’un nouveau chef. Seule exception : l’élection de Donald Trump en 2016. À ce moment là et avant même qu’il ne prête serment, on nous expliquait que ce milliardaire avait été élu à la suite d’une regrettable erreur, qu’il était misogyne, homophobe, raciste, qu’il n’incarnait pas le « pays de la liberté », mais le suprémacisme des « petits blancs » et les intérêts des riches. Durant quatre ans, on ne cessa de nous convaincre que ce diagnostic était juste. On le traita de menteur et l’on passa sous silence ses idées et toutes ses réalisations.

Pour « Milliyet » (Turquie), la vertueuse Amérique est devenue folle.

Oui, car le choc causé par la prise du Capitole est tel que l’on veut bien croire n’importe quoi. Si les États-Unis se dirigent inexorablement vers la guerre civile [1], qu’allons-nous devenir, nous Occidentaux ?

C’est pourquoi nous n’avons pas voulu voir venir la crise qui débute. Seuls quelques journaux grecs avaient récemment exposé les raisons de la colère, que nous traitons depuis cinq ans déjà (c’est-à-dire avant l’élection de Trump).

C’est aussi pourquoi nous ne voulons pas la regarder en face et nous satisfaisons des commentaires aveugles selon lesquels cet épisode honteux n’aura pas de lendemain. Mais qui peut le croire ? Certes les choses vont se calmer un moment et la machine répressive va écraser les manifestants du 6 janvier, mais ce ne sera que partie remise et la guerre civile ne tardera pas.

D’ores et déjà, les non-Occidentaux ont compris que les États-Unis ont de tels problèmes intérieurs qu’ils ne pourront plus se poser en modèle pour le monde et encore moins donner des leçons de démocratie à ceux qu’ils veulent soumettre.

Des élections non-démocratiques

Selon « La Razon » (Espagne), l’insurrection aux États-Unis, ce sont les trumpistes qui ont pris le Capitole.

Lors de l’élection présidentielle de 2000, le monde éberlué a assisté au choix par la Cour suprême d’ignorer le recomptage des bulletins de vote en Floride. Conformément à la Constitution, elle déclara qu’elle n’avait pas à s’ingérer dans le scrutin d’un État fédéré et n’était contrainte que par la décision du gouverneur Jeb Bush qui avait déclaré que son frère George W. Bush avait été élu par ses administrés. Vingt ans plus tard, le monde assiste au rejet des 60 recours déposés par Donald Trump selon lesquels il y a eu des fraudes massives dans de nombreux États.

Ainsi que j’ai précédemment écrit, d’un point de vue juridique US, Al Gore, puis Donald Trump ont perdu. Mais d’un point de vue démocratique, ils ont probablement gagné. À vrai dire, il est impossible de le savoir précisément, mais au vu des résultats des autres élections qui avaient lieu au même moment, cela ne fait guère de doute. La seule chose que l’on peut affirmer, c’est que cette élection n’a rien de démocratique : le dépouillement est assuré par les gouverneurs qui, dans de nombreux États fédérés, choisissent eux-mêmes les fonctionnaires ou les sociétés privées qui le réaliseront. Au contraire, si le système était démocratique, le dépouillement serait effectué par des citoyens en public. Chacun a pu voir des urnes transportées hors des bureaux de vote vers un centre de dépouillement où des fonctionnaires les ouvraient, puis fermaient les rideaux empêchant les citoyens d’en savoir plus. Nul ne peut mettre en cause la sincérité de ces fonctionnaires, mais nul ne peut la garantir non plus. Une élection démocratique ne peut exister que dans la transparence. Par conséquent, cette élection est légale en droit US, mais tout simplement pas démocratique.

Des retournements de situation

Selon le « Corriere della Sera » (Italie), la fureur de Trump c’est l’assaut contre le Capitole.

Pour comprendre les évènements, nous devons observer deux retournements de situation qui ont précédé l’attaque du Capitole.

À la mi-décembre 2020, le président Trump a organisé une réunion au Bureau ovale à laquelle participait le général Michael Flynn. Celui-ci y a exposé son idée de loi martiale pour procéder à des élections transparentes [2]. La plupart des conseillers présents s’y sont opposés, malgré les changements de responsables qui avaient été opérés au Pentagone. Deux semaines plus tard, le 4 janvier 2021, les dix anciens secrétaires à la Défense toujours vivants signaient une brève tribune libre dans le Washington Post [3]. Ils assuraient que tous ceux qui tenteraient d’instaurer une éventuelle loi martiale devraient en répondre devant la Justice. L’unanimité des anciens secrétaires à la Défense atteste que ce projet de loi martiale était faisable et bien réel. Selon le Post [4], qui a reconstitué cette réunion en s’appuyant sur les confidences des anciens secrétaires à la Défense (qui n’y participaient pas, mais en ont été informés), le président Trump n’a jamais envisagé de se maintenir au pouvoir en faisant usage de la violence. Au contraire, il a porté des plaintes et soutenu diverses actions judiciaires pour faire annuler l’élection. Il se préparait à mener campagne pour revenir à la Maison-Blanche en 2025 [5].

Pour le « Hindustan Times » (Inde), les États d’Amérique ne sont plus unis, mais en feu.

Le vice-président Mike Pence, qui était soumis à de fortes pression des jacksoniens, a fait connaître sa position, le 6 janvier, le jour de la réunion des deux assemblées du Congrès en séance jointe [6]. Il constate que son rôle en tant que président de séance est purement cérémoniel et qu’il ne lui appartient pas de trancher le litige, même si une certaine lecture de la Constitution lui en donne théoriquement le droit. Il s’en remet donc aux parlementaires. Agir autrement aurait ouvert la guerre civile qui couve. Dans des moments pareils, chacun sait ce qu’il peut perdre et rares sont ceux qui acceptent de prendre un tel risque, particulièrement parmi les notables. Dès que cette position a été connue, plusieurs membres importants de l’équipe Trump ont donné leur démission. Les jacksoniens ont vécu ces revirements comme des lâchetés et des trahisons à leur idéal et à leur patrie.

Quelques heures plus tard, Donald Trump a tenu un meeting, non loin du Congrès, pour dénoncer une nouvelle fois une « élection volée » et annoncer son retour pour la campagne de 2024. Il n’a jamais appelé ses partisans à prendre le Capitole, même si certains ont pu le comprendre ainsi.

La prise du Capitole

Selon « L’Aube » (Grèce), « Le trumpisme est là et il nous menace »

Quelques groupes qui étaient marginaux durant le meeting ont tenté d’entrer dans le Capitole. Selon les vidéos, la police du Capitole les a laissés entrer sans opposer de véritable résistance. Les manifestants se sont d’abord comportés avec déférence en ce lieu à leurs yeux sacré. Cependant, ils avaient été infiltrés par un groupe d’Antifas. Sans que l’on sache ni pourquoi, ni comment, les choses ont soudain dégénéré. L’hémicycle a été envahi et des bureaux de parlementaires ont été saccagés.

Tous ceux qui ont vécu une guerre civile savent que c’est la pire des choses qui puisse arriver. Comme le philosophe anglais Thomas Hobbes, qui vécut la première guerre civile anglaise, ils sont tous persuadés qu’il vaut mieux subir un État tyrannique que d’être privé d’État (Le Léviathan [7]). Prendre le Capitole et éventuellement renverser « l’ordre » US est un acte lourd de terribles conséquences. Les choses ne sont pas allées jusque là. La police qui avait laissé les manifestants entrer dans le bâtiment les a soudain repoussés avec succès.

Le président Donald Trump a lui-même appelé au calme, mais sans son épouse. Selon la religion nationale US, la bénédiction de Dieu — et donc la paix et la prospérité— doit descendre par le président et la Première dame [8] sur le « peuple élu ». En choisissant de s’exprimer seul, Donald Trump a remis en cause la religion nationale.

Les réactions aux USA

D’après le « Daily Mirror » (Royaume-Uni), désormais aux États-Unis, c’est le gouvernement de la populace.

Des parlementaires démocrates, menés par la présidente de la Chambre Nancy Pelosi, ont immédiatement accusé le président Trump d’avoir lancé ses troupes à l’assaut du Congrès. Ils proposèrent de destituer le président Trump, même s’il ne lui restait que 13 jours de mandat, grâce au 25ème amendement, alinéa 4 de la Constitution. Cette manœuvre, qu’ils avaient déjà évoquée auparavant, permettrait de lui retirer le droit de se représenter.

Cependant le texte invoqué ne devrait pas s’appliquer en ce cas : il porte sur une incapacité imputable à la santé du président. Les débats lors de son adoption portaient sur la crise cardiaque qui empêcha le président Woodrow Wilson de remplir sa charge à la fin de son mandat (2 octobre 1919 au 4 mars 1921) et l’accident cérébral —moins grave— du président Dwight Eisenhower (24 septembre 1955 au 20 janvier 1961) qui le priva temporairement de certaines de ses facultés et le conduisit à partager ses pouvoirs avec son vice-président Richard Nixon.

La classe dirigeante a senti souffler le vent du boulet. Que la prise du Capitole ait été une faillite de sa police, comme on tente de nous en persuader, ou qu’elle ait été organisée sous faux drapeau par les ennemis de Donald Trump, ceux qui l’ont conçue ont la capacité de renverser les institutions et de limoger tout leur personnel.

Les réactions à l’étranger

Pour le « Boston Hérald » (USA), c’est le chaos.

Après un siècle de domination par les États-Unis, le reste du monde ne sait toujours pas ce qu’ils sont. Il ignore que la Constitution avait été écrite pour établir un régime inspiré de la monarchie britannique et qu’elle fut rééquilibrée par 10 amendements qui garantissent les droits des gens. Le pays qu’Alexis de Tocqueville décrit dans De la Démocratie en Amérique [9] est celui de ce compromis, un pays de liberté, mais cet équilibre a été rompu au cours des années Obama. Aveuglé, le reste du monde n’a pas vu que les États-Unis sont redevenus ce qu’ils étaient les quatre premières années de leur fondation : un système oligarchique, cette fois au service d’une classe de milliardaires internationaux. Il a délibérément ignoré la détresse des ex-classes moyennes, les regroupements de population par affinités culturelles et la préparation de deux tiers de la population à la guerre civile.

Les médias chinois ne peuvent s’empêcher de constater le deux poids, deux mesures en comparant les photos de la prise de l’assemblée de Hong Kong par une foule survoltée et celles de Washington. Tandis que les médias russes, occupés par la fête de Noël orthodoxe sourient désabusés devant leur rival historique à terre.

De leur côté, les médias occidentaux ont adhéré sans réserve à la « cancel culture » néo-puritaine qui détruit tous les symboles républicains et les remplace par d’autres glorifiant les minorités, non pour ce qu’elles font, mais parce qu’elles sont minoritaires. Ce faisant, ils se sont un peu plus identifiés à l’idéologie qui oppresse « l’Amérique » [10]. Vassaux soumis, ils ont présenté l’élection US comme si leurs lecteurs allaient y participer et Joe Biden comme leur nouveau maître.

Le « Chicago Tribune » (USA) ne dénonce pas la sédition, mais voit l’insurrection.

Réagissant aux évènements du Capitole, les dirigeants européens prennent leurs rêves pour des réalités : le président allemand et ancien chef des services secrets, Frank-Walter Steinmeier, a déclaré que des manifestants pro-Trump armés avait pris le Capitole ; tandis que le président français et ancien secrétaire d’un philosophe connu, Emmanuel Macron, a dénoncé une atteinte au principe fondamental de la démocratie « Un homme, une voix ».

Non. À quelques exceptions près, les manifestants du Capitole n’étaient pas armés.
Non. La Constitution US ne pose pas du tout l’égalité entre des citoyens de chaque État fédéré.
Oui. C’est bien la classe dirigeante US qui méprise la démocratie et les jacksoniens qui la défendent.

« Dieu nous aide ! », proclame le « Philadephia Daily News » (USA). « La guerre non-civile en est arrivée à ce point : des émeutiers ont pris le Capitole »

Déjà les très grandes fortunes qui se tiennent derrière Joe Biden se sont emparées du pouvoir. Elles ont mis fin à la liberté d’expression. Elles ont « préventivement » fermé les comptes Twitter, Facebook, Instagram, Snapchat et Twitch de la Maison-Blanche, du président Trump et de ses supporters afin de « les empêcher d’appeler à de nouvelles violences » (sic). Ce faisant, elles se sont arrogé les pouvoirs de la Justice et ont échappé au décret Trump du 28 juin 2020 les enjoignant de choisir entre le statut de transporteur neutre d’information ou celui de producteur engagé d’information [11].

Thierry Meyssan

[Notes]

[1] « La guerre civile devient inévitable aux USA », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 15 décembre 2020.

[2] « Le général Flynn, QAnon et les élections US », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 1er décembre 2020.

[3] “The time for questioning the election results has passed”, Washington Post (United States) , Voltaire Network, 4 January 2021.

[4] “Trump’s final efforts to overturn election create discomfort for the military”, Paul Sonne & Missy Ryan & Ellen Narashima, The Washington Post, January 6, 2021.

[5] “‘I’ll See You in Four Years’ : Trump and the Ghost of Grover Cleveland”, Peter Baker, The New York Times, January 3, 2021

[6] “Mike Pence letter to Members of Congress”, by Mike Pence, Voltaire Network, 6 January 2021.

[7] Leviathan or the matter, forme, & power of a common-wealth ecclesiastical and civil, Thomas Hobbes, 1651

[8] Contrairement à une idée reçue, la fonction de « Première dame » n’est pas cérémonielle, mais religieuse. Elle incombe à l’épouse du président et, s’il est célibataire, divorcé ou veuf, à une femme de sa famille qu’il désigne.

[9] De la démocratie en Amérique, Alexis de Tocqueville, Gosselin (1re partie 1835 2ème partie 1840.).

[10] Les Occidentaux sont persuadés que les Noirs et les Hispaniques ont tous voté contre Trump. En réalité ses électeurs comptaient 18 % d’Afro-Américains et 37 % de Latinos selon les instituts de sciences politiques.

[11] “Executive Order on Preventing Online Censorship”, by Donald Trump, Voltaire Network, 28 May 2020.




La pandémie « SPARS » 2025-2028 : découvrez-en le scénario public de l’université Johns Hopkins (Baltimore – USA). MàJ

[Source : michelledastier.com]

Le plan du deep state de plus en plus révélé :

Saviez-vous que la banque mondiale a programmé la Covid-19 jusqu’au 31 mars 2025 ?

Et qu’en suivra la pandémie « SPARS » 2025-2028 ?

Découvrez-en le scénario public de l’université Johns Hopkins (Baltimore – USA)

(voir page 6 du document PDF à télécharger sous la vidéo)
Ce script ne concerne pas uniquement les États Unis d’Amérique mais le monde entier.

NB : L’université Johns Hopkins de Baltimore aux USA est aussi célèbre que la tour Eiffel en France.

SOURCES :

https:/humansarefree.com/2020/12/spars-pandemic-2025-2028-simulation-2017-coronavirus-plandemic-covid-19.html

http:/documents1.worldbank.org/curated/en/993371585947965984/pdf/World-COVID-19-Strategic-Preparedness-and-Response-Project.pdf


[Mise à jour : comme complément d’information, voir Guy Boulianne — Il y a trois ans, l’Université Johns Hopkins avait préparé un scénario futuriste sur une pandémie SPARS qui se poursuivrait jusqu’en 2025-2028.]




Il n’existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes pour le Grand réveil

[Source : Sott.net]

Alexander Dugin — Geopolitica.ru

Sur le plan géopolitique [russe – NdT], nous avons souvent eu par le passé, comme c’est encore le cas aujourd’hui, bien des divergences et des conflits avec les États-Unis. Nous nous battons souvent dans des camps différents. Mais ce qui se produit aux États-Unis aujourd’hui relève davantage de la question des principes que de toute autre considération.

La moitié des États-Unis est soumise au régime totalitaire de l’autre moitié, et une véritable dictature de la gauche libérale y a été instaurée. Dans une telle situation, nous sommes de fait obligés d’exprimer notre pleine solidarité avec la moitié opprimée.

Cette fois, il n’y a pas eu d’élections mais un coup d’État organisé par la conspiration des élites illégitimes. La présidence étasunienne a été piratée. Aujourd’hui, les États-Unis sont sous le contrôle d’une junte extrémiste. Bienvenue à Maïdan ou dans le Tiers-Monde.

Mais c’est la première fois que les mondialistes utilisent au sein même de leur pays le même scénario qui a prévalu dans d’autres pays sous le nom de révolution colorée, qui inclut une élection volée, des fraudes et une campagne de désinformation intérieure. Ils se sont maintenant pleinement exposés et on peut clairement les voir pour ce qu’ils sont. Et c’était déjà le cas avant même qu’ils n’approuvent de telles tactiques sous couvert « des intérêts nationaux étasuniens ». Aujourd’hui, les Étasuniens en sont eux-mêmes les victimes. C’est une conclusion logique. Si vous commencez à utiliser le mensonge et la violence, il arrive un moment où vous ne pouvez plus les utiliser — à partir d’un moment donné, le mensonge vous utilisera.

La lutte principale se situe désormais clairement au niveau international. La confrontation entre les mondialistes et les anti-mondialistes est aujourd’hui bien plus importante que celle qui existe entre les Russes et les Étasuniens, ou entre l’Occident et l’Orient, ou encore entre les chrétiens et les musulmans.

Oui, Ashley Babbitt a participé aux guerres impérialistes des États-Unis. Mais sa mort survenue le 6 janvier 2021 constitue bien plus qu’un dernier service rendu à l’État étasunien et à son peuple. Elle a perdu la vie au nom d’une vraie liberté et d’une vraie justice. Et la liberté et la justice sont des valeurs universelles. Russes aussi bien qu’étasuniennes, musulmanes aussi bien que chrétiennes, occidentales aussi bien qu’orientales.

Notre combat ne vise plus les États-Unis. Les États-Unis que nous connaissions n’existent plus. La division de la société y est désormais irréversible. Nous sommes dans la même situation partout — là-bas et ailleurs. Il s’agit donc d’un même combat mené à l’échelle mondiale.

Nous devrions revoir notre attitude vis-à-vis des Big-Techs que constituent Microsoft, Google, Twitter, Apple, YouTube, Facebook, etc. Ce ne sont pas seulement des outils commerciaux — supposément « neutres » — ce sont avant tout des armes idéologiques et des outils de surveillance et de censureIl nous faut les détruire. Nous devons réussir notre Grande sortie de la techno-sphère contrôlée par les fous du mondialisme. La question est de savoir si nous devons démanteler la technique en général — un moyen infaillible que nous ne devons pas ignorer ou écarter d’un revers de main trop rapidement — ou développer des réseaux indépendants qui échappent au contrôle exercé par des idéologies biaisées et imprégnées de doctrines érigées en système [comme la paramoralité, la paralogie, les jeux de langage et autres pseudo-réalisme et utopie — un article sur ces sujets est en cours de traduction – NdT]. Entre-temps, nous pouvons simultanément avancer dans les deux directions. Il en va de même pour les médias [mainstream occidentaux – NdT]. Ils prouvent désormais qu’ils sont bel et bien le message [et non le messager – NdT]. Et le message s’avère être unilatéral.

Je ne suis pas d’accord avec de nombreux observateurs qui considèrent l’assaut sur la colline de la capitale comme une provocation et le travail d’une 5e colonne. Non. Il s’agissait d’une réponse symétrique de l’autre moitié des États-Unis totalement humiliée par des élections volées et une fraude éhontée de la part des Démocrates. Les trumpistes ont montré que la gauche-libérale n’a pas le privilège dans l’organisation de guerres mimétiques et dans l’usage de la violence à des fins politiques. Quand on commence à utiliser la violence, on doit s’attendre à la même réponse. Les antifas et les Black Lives Matter ont initié cette vague d’émeutes. Ce qui s’est produit sur la colline du Capitole n’était qu’une réponse logique : nous sommes assez courageux pour saisir par la force le Parlement affairé à reconnaître ou pas l’existence de fraudes et de magouilles électorales perpétrées à l’aide de faux votes de personnes décédées et par des votes par correspondance que personne n’a jamais envoyés.

Note du traducteur : En ce qui concerne l’existence d’une 5e colonne ou pas, il n’en reste pas moins qu’une vraie colère exprimée par les trumpistes a bien pu se produire en parallèle d’une opération sous faux drapeau, moyen habituel des Pouvoirs en place et bien connu de nos lecteurs. Le personnage à cornes dans l’image ci-dessous était aussi présent lors de manifestations BLM, bien qu’il affirme l’avoir été pour manifester contre les BLM, tout comme il affirme avoir été présent au Capitole pour soutenir Trump. Ne serait-ce pas plutôt l’inverse ? N’est-il pas acteur et voix-off, selon Wikipédia soi-même ? Le même Wikipédia aux ordres des Pouvoirs en place qui changent ses contenus en fonction du vent ? Cet Angeli qui se dit « chaman » serait autrement dit dans le jargon du renseignement un contre-espion… Et le fait même que la plupart des médias mainstream occidentaux le dépeignent comme un fervent supporter de Trump est en soi très suspect et ce « consensus » devrait pour le moins éveiller nos soupçons. Nous vivons dans un monde où les valeurs sont inversées, où les bons sont méchants et où les méchants sont bons, un monde où les traîtres à la Nation sont des patriotes (du mondialisme) et dans lequel le (vrai) patriotisme est — dans l’esprit malfaisant et tordu des psychopathes mondialistes — par définition terroriste. L’auteur parle du message unilatéral que représente les médias mainstream occidentaux mais il échoue apparemment à en reconnaître ici l’évidence.

© Inconnu

Notre combat prend désormais une dimension réellement mondiale : nous sommes en guerre avec les Démocrates — soit avec la moitié des États-Unis seulement — et non avec les États-Unis dans leur ensemble. Ce fait change tout. Le centre vital du pays prévaut. Celui des États-Unis, mais aussi celui de l’Eurasie. La géopolitique des élections de 2020 nous montre les frontières qui séparent en deux les États-Unis — un contour atlantiste ultra-libérale mondialiste bleu et un centre traditionaliste conservateur rouge. La perversion en bleu contre la normalité en rouge.

Le vrai combat ne fait que commencer. La peur ressentie par les Démocrates lors des manifestations pacifiques sur la colline du Capitole leur sera rappelée à tous. Voir le simple peuple étasunien — majorité dépossédée, silencieuse et « déplorable » — venir au Congrès — voilà ce qui constituait le moment de vérité. Et les députés se sont cachés sous les bancs… Les vrais « déplorables », ce sont ces lâches-là. En ce moment merveilleux, ils ont compris qu’ils ne sont plus en sécurité nulle part. Bienvenue dans notre peau. Dorénavant, les Démocrates seront attaqués dans le monde entier. Ils doivent savoir que nous les observons exactement de la même manière qu’ils nous observent, que nous les suivront à la trace exactement de la même manière qu’ils le font avec nous, que nous rassemblerons des informations et créerons des dossiers sur chacun d’entre eux tout comme sur les mondialistes et leurs marionnettes exactement de la même manière qu’ils le font avec nous. Dorénavant, tout lien avec les Démocrates et leurs mandataires sera considéré comme un fait de collaboration et de participation au crime contre l’humanité. Ils ont tué des milliers et des centaines de milliers de personnes en dehors de leur territoire. Mais le Mal n’a que faire des frontières. Il est toujours basé sur l’hubris. Ils ont donc entrepris de tuer des Étasuniens sur leur propre sol. Ashley Babbitt n’est que le début. Cette fois, ils prévoient de commettre un vrai génocide à l’intérieur même des États-Unis. Et ce dernier a déjà commencé.

Il n’existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes qui sont pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes qui sont pour le Grand réveil. Et rien au milieu. Entre les deux, c’est l’abîme. Celui-là même qui réclame un océan de sang. Le sang d’Ashley Babbitt n’est que la première goutte.

Le combat devient universel. Le Parti démocrate des États-Unis et ses mandataires mondialistes — y compris toutes les industries de haute technologie et la Big Finance [et Big Agro-Pharma – NdT] — incarnent désormais clairement le Mal absolu.

Le Mal ultime s’est confortablement niché sur le sol étasunien. La Dernière révolte, le Grand réveil, jaillit désormais du centre de l’enfer.

Dernière remarque : le trumpisme est bien plus important que Trump lui-même. Trump a le mérite de lancer le processus. Il nous faut à présent aller plus loin.

Source de l’article initialement publié en anglais le 9 janvier 2021 : Geopolitica.ru
Traduction : Sott.net




Nouvelles de la vérité brutale #2

[Source : Amélie Paul (odysee.com) ou Amélie Paul]

« Des gars comme Antony Fauci qui disent n’importe quoi. Il ne connaît rien du tout à propos de rien. Et je lui dirai en pleine face. Rien. Le gars pense qu’on peut prélever un échantillon de sang et le mettre sous un microscope électronique et que s’il contient un virus on va le savoir. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine et il ne devrait pas être dans la position dans laquelle il est. La plupart de ces gens au sommet sont seulement des administrateurs et n’ont aucune idée de ce qui se passe en bas. Vous savez, ces gens-là ont un agenda, et ce n’est pas ce que nous voulons, étant donné que nous les payons pour qu’ils prennent soin de notre santé. Ils ont un agenda personnel. Ils créent leurs propres règles au fur et à mesure. Ils les changent quand ils veulent. Et ils sont arrogants, comme Tony Fauci qui n’a aucun problème à aller à la télévision devant les gens qui paient leur salaire et leur mentir directement à la caméra. On ne peut pas s’attendre à ce que les moutons respectent vraiment les meilleurs et les plus brillants. Ils ne font pas la différence. Je veux dire, j’aime les humains, ne vous méprenez pas. Mais essentiellement, il y a une très grande majorité d’entre eux qui ne possèdent pas la capacité de juger qui est un très bon scientifique et qui ne l’est pas. Je veux dire, c’est un problème de la science depuis le siècle dernier, parce que ceux qui jugent la science et lui accordent du financement ne la comprennent pas. »

Kary Mullis, inventeur du test PCR (7 min 50 à 9 min 20)




Élections Américaines — la fraude de Biden déclarée…

[Source : cogiito.com]

Par P.A. Jandrok 

Le professeur Alfio D’Urso avocat de la Cour suprême italienne lit un affidavit avec le témoignage d’Arturo D’Elia, qui témoigne sous serment qu’il est responsable du vol des élections américaines. Voir la vidéo…

Transcription de la vidéo


Le professeur Alfio D’Urso Laywer de Via Vittorio Emanuele, Catane, 95131 Italie, fournit par la présente l’affidavit de faits suivant, tel qu’il a été communiqué lors de plusieurs réunions avec un haut responsable des services de sécurité de l’armée:

Arturo D’Elia, ancien chef du département informatique de Leonardo SpA, a été inculpé par le procureur de Naples pour manipulation de technologie / données et implantation de virus dans les principaux ordinateurs de Leonardo SpA en décembre 2020.

«Sous la distraction et la direction de personnes américaines travaillant depuis l’ambassade des États-Unis à Rome, opération visant à faire passer les données de l’élection américaine du 3 novembre 2020 d’une marge de victoire significative de Donald Trump à Joe Biden. . . dans un certain nombre d’états où Joe Biden perdait le total des votes.

LE DÉFENDEUR DÉCLARE QU’IL TRAVAILLAIT DANS LES INSTALLATIONS DE PESCARA DE LEONARDO SPA ET A UTILISÉ DES CAPACITÉS DE CRYPTAGE DE GUERRE CYBERNÉTIQUE DE QUALITÉ MILITAIRE POUR TRANSMETTRE ET ÉCHANGER DES VOTES VIA UN SATELLITE MILITAIRE DE LA TOUR FUCINO À FRANCFORT, EN ALLEMAGNE.

Le défendeur jure que, dans certains cas, les données peuvent avoir été échangées pour représenter plus que le total des électeurs inscrits.

Le défendeur déclare qu’il est prêt à témoigner devant toutes les personnes et entités impliquées dans le transfert de voix de Donald Trump à Joe Biden lorsqu’il sera en totale protection pour lui-même et sa famille.

Je déclare et jure que les faits mentionnés ci-dessus ont été énoncés en ma présence




Élections américaines et satellite militaire italien

[Source : Ciel voilé]

Actuellement, après un second avertissement, la chaîne YouTube de Ciel voilé est interdite de nouvelle publication pendant deux semaines.

Un troisième avertissement entraînerait la suppression totale d’un travail commencé en février 2014.

Nous avons donc ce jour sous-titré une partie de l’interview de Bradlev Johnson, ci-dessous en anglais, et nous l’avons publiée sur Brighteon. Mais là aussi l’accès est « censuré ».

Nous publions donc le texte des sous-titres.

https://youtu.be/Ra1gJWmLxTw
Elections américaines et satellite militaire italien

Il existe une société qui s’appelle Léonardo. Et c’est une entreprise énorme comme SAIC ou Lockheed Martin où des sociétés de cette importance qui ont des contrats avec les gouvernements. Celles du complexe militaro-industriel. Des contrats de milliards de dollars. Avec des choses énormes y compris des satellites nationaux. Et c’est important. C’est quelque chose à quoi j’ai déjà fait allusion. Mais la manière dont cela se passe actuellement, les résultats des élections américaines ont été modifiés. Il y a eu toutes sortes de modifications. Et dans ces cinq ou six états clés : toutes ces machines de vote étaient connectées à internet. Internet a été utilisé pour télécharger ces informations vers ces fameux serveurs en Allemagne. Mais le passage dans un serveur ne laisse pas de traces. Donc, on suppose que le gouvernement est allé voir, le ministère de la Défense est allé voir ces serveurs. On oublie toutes ces histoires à propos de Gina Haspel qui aurait été visée. Tout cela n’a pas de sens. Rien de tout cela n’est arrivé. Est-ce que ces serveurs étaient surveillés ? Oui. Je pense que les serveurs étaient surveillés mais ils n’ont pas été emmenés. Donc une information passant dans ce serveur, ne laisse pas de traces. Donc, Il n’y a pas grand chose à voir. Vous pouvez voir un sursaut d’activité. Mais c’est tout. Mais de là elles étaient téléchargées et envoyées à Rome. Et c’est là que tout s’est passé. Et ce qui a été dit à Rome, en Italie, c’est que cela s’est passé dans l’Ambassade des États-Unis à Rome. Il y avait là un gars du département d’État, qui est-il ? Je ne sais pas. Je pense qu’on le saura bientôt en Italie. Et il était non pas le cerveau, mais celui qui était en charge de l’opération de changer les votes. Et il faisait cela avec une aide de MI6, de la CIA et de ce groupe Léonardo. Léonardo, cette entreprise qui a d’énormes contrats. Donc, tout cela était centralisé à Rome. Et donc les machines de vote étaient téléchargées par ces serveurs en Allemagne et renvoyées sur Rome. Donc ces gens observaient les données brutes. Ce sont eux qui ont dit « fermez ces cinq ou six états au même moment exactement ». Et le problème était que les algorithmes étaient surchargés. Que ce qu’ils avaient prévu ne marchait pas. Parce que Trump obtenait tant de votes, un record de votes parmi les noirs, les hispaniques, tout le monde votait pour Trump. Et donc cela faussait tous les algorithmes et ce qu’ils avaient prévu ne marchait pas. C’est pourquoi tout devait être arrêté. Donc ils ont tout téléchargé, ce qui leur a donné le temps de tout analyser et de créer de nouvelles « analogies », qui ensuite permettraient de rendre les votes favorables à Biden. Et donc une fois qu’ils ont créé les nouvelles données, et manipulé toutes les informations qui étaient là, ils ont renvoyé ces nouveaux résultats vers ce satellite militaire italien géré par Léonardo. C’était un satellite crypté, qui les a renvoyés aux serveurs et aux machines de vote aux Etats-Unis dans ces cinq ou six états.




Mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique COVID-19

[Source : Le Saker Francophone]


Les mesures de confinement n’empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n’apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux.


Par Denis G. Rancourt – Source Research Gate

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Les mesures sans précédent de confinement universel, de confinement institutionnel strict des maisons de soins, de masquage universel de la population, d’obsession hygiénique des surfaces et des mains et de déploiement accéléré des vaccins sont contraires à la science connue et aux récentes études de référence. Le gouvernement a fait preuve d’imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.

Introduction – Pandémie iatrogène de panique

Le contexte politico-sanitaire est un contexte dans lequel, jusqu’en 2019, le consensus scientifique et politique passé en revue était que les mesures globales généralement et universellement appliquées en 2020 étaient [1] [2] :

  • non recommandées sans être justifiées par des preuves quantitatives suffisantes des circonstances épidémiologiques locales (juridictionnelles) (transmissibilité, gravité de la maladie, impact), et sans être mises en balance avec les préjudices économiques, sanitaires et sociaux locaux qui en résultent
  • pour de nombreuses mesures (recherche des contacts, mise en quarantaine des personnes exposées, contrôle des entrées et des sorties, fermeture des frontières), « non recommandé en aucune circonstance », quelle que soit la gravité de la maladie respiratoire virale pandémique (modérée, élevée ou extraordinaire)

Le contexte politico-sanitaire est également un contexte dans lequel il existe une histoire récente documentée de « paniques répétées de pandémie de santé » dans laquelle « les experts en maladies souhaitent attirer l’attention du public et faire pencher les décisions d’allocation de ressources en faveur de la maladie qui les intéresse »[3]. Bonneux et Van Damme, en 2011, l’ont exprimé ainsi [4] :

Les paniques répétées de pandémie de santé causées par un virus aviaire H5N1 et un nouveau virus de grippe humaine A(H1N1) font partie de la culture de la peur [réf.] Le pire des scénarios a remplacé l’évaluation équilibrée des risques. Le pire des scénarios est motivé par la conviction que le danger auquel nous sommes confrontés est tellement catastrophique que nous devons agir immédiatement. Plutôt que d’attendre des informations, nous avons besoin d’une frappe préventive. Mais si les ressources achètent des vies, le gaspillage des ressources gaspille des vies. Le stockage préventif d’antiviraux largement inutiles et les politiques irrationnelles de vaccination contre un virus H1N1 exceptionnellement bénin ont gaspillé plusieurs milliards d’euros et érodé la confiance du public dans les responsables de la santé. [réf.] La politique de lutte contre la pandémie n’a jamais été guidée par des preuves, mais par la crainte des pires scénarios.

En outre, un important scandale de conflit d’intérêts concernant les recommandations de l’OMS en matière de pandémie de grippe a été exposé en détail en 2010, où les enquêteurs Cohen et Carter ont conclu : « Parmi les principaux scientifiques qui conseillent l’Organisation mondiale de la santé sur la planification d’une pandémie de grippe, certains ont fait un travail rémunéré pour les entreprises pharmaceutiques qui ont tout à gagner des conseils qu’ils ont rédigés. Ces conflits d’intérêts n’ont jamais été rendus publics par l’OMS »[5]

En 2020, rien de tout cela n’avait d’importance. Nous sommes entrés dans un monde de propagande, avec des institutions captives. Le principe de précaution (le gouvernement doit prouver l’absence probable de dommages avant d’imposer des politiques dangereuses) a été renversé, et la charge de la preuve a été imposée à la science pour justifier a posteriori des mesures sans précédent, rapidement imposées en l’absence de science ou même en s’opposant à elle. Malheureusement, une grande partie ou la plupart de l’establishment scientifique s’est conformé au nouveau programme.

Récemment, il y a eu à la fois des événements dramatiques (lancement du vaccin) et des communications scientifiques importantes, depuis que j’ai publié mes deux premiers articles scientifiques concernant la politique autour de la COVID-19, le 11 avril 2020 [6] et le 3 août 2020 [7], ainsi que des articles sur les préjudices mortels des réponses gouvernementales, déduits des données sur la mortalité toutes causes confondues, dépendantes du temps et de la juridiction [8] [9].

Mes deux premières analyses ont porté sur la science et la politique des masques [10] [11]. La présente mise à jour des développements récents porte à nouveau sur les masques, et comprend en outre des points clés sur les mesures de confinement et les vaccins.

La rigueur des mesures n’a aucun effet sur le nombre total de décès attribués à la COVID-19

Deux grandes études récentes ont été menées à l’échelle mondiale.

Dans leur article du 21 juillet 2020 intitulé « Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions gouvernementales, de l’état de préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité de la COVID-19 et les résultats sanitaires associés » (50 pays), Chaudhry et al. ont indiqué [12] :

La fermeture rapide des frontières, le confinement total et les tests à grande échelle n’ont pas été associés à la mortalité de la COVID-19 par million de personnes. (Résumé / Résultats)

Lorsque la mortalité de la COVID-19 a été évaluée, les variables significativement associées à une augmentation du taux de mortalité par million étaient la prévalence de l’obésité dans la population et le PIB par habitant. En revanche, les variables qui étaient négativement associées à une augmentation de la mortalité de la COVID-19 étaient la réduction de la dispersion des revenus au sein de la nation, la prévalence du tabagisme et le nombre d’infirmières par million d’habitants. En effet, un plus grand nombre d’infirmières dans un système de soins de santé donné était associé à une réduction de la mortalité. Les taux de mortalité étaient également plus élevés dans les comtés dont la population était plus âgée […]. Enfin, les mesures gouvernementales telles que la fermeture des frontières, le confinement total et un taux élevé de tests COVID-19 n’ont pas été associées à des réductions statistiquement significatives du nombre de cas critiques ou de la mortalité globale. (Section 3.4)

Dans leur article du 19 novembre 2020 « Mortalité du fait de la COVID-19 : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées » (160 pays), De Larochelambert et al. ont trouvé [13] :

Résultats : Des taux de mortalité plus élevés sont observés dans les zones de latitude [25/65°] et de longitude [-35/-125°]. Les critères nationaux les plus associés au taux de mortalité sont l’espérance de vie et son ralentissement, le contexte de santé publique (fardeau des maladies métaboliques et non transmissibles (MNT) par rapport à la prévalence des maladies infectieuses), l’économie (produit national de croissance, soutien financier) et l’environnement (température, indice ultra-violet). La rigueur des mesures mises en place pour lutter contre la pandémie, y compris le confinement, ne semble pas être liée au taux de mortalité.

Conclusion : Les pays qui ont déjà connu une stagnation ou une régression de l’espérance de vie, avec des revenus et des taux de mortalité élevés, ont eu le plus lourd tribut à payer. Ce fardeau n’a pas été allégé par des décisions publiques plus strictes. Des facteurs inhérents ont prédéterminé la mortalité de la Covid-19 : leur compréhension peut améliorer les stratégies de prévention en augmentant la résilience de la population grâce à une meilleure condition physique et une meilleure immunité. (Résumé)

L’American Institute for Economic Research (AIER Staff) a passé en revue ces études et 22 autres études qui aboutissent à des conclusions similaires, dans son rapport du 19 décembre 2020 intitulé « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves » [14].

Par conséquent, dans l’ensemble, le nombre total de cas critiques et le nombre total de décès étaient associés à l’état de santé préexistant et à l’état sociétal de la population, et cela n’a pas été amélioré par les mesures gouvernementales visant à ralentir la transmission.

Il est important de noter qu’en plus des études sur les associations avec la mortalité totale, la dépendance temporelle et la granularité (dépendance juridictionnelle) de la mortalité toutes causes confondues montrent que la déclaration de pandémie de l’OMS du 11 mars 2020 et la recommandation universelle de « préparer vos hôpitaux » ont été suivies d’un grand nombre de décès, probablement induits par les infections et le confinement strict des maisons de soins non ventilées pour les personnes malades et âgées [15] [16].

La pandémie iatrogène de propagande en terme de psychologie de masse et la sociologie autour de la COVID-19 de 2020 commencent à être étudiées par des méthodes quantitatives [17].

La corruption de la science est mise à nue – Masques et PCR

Un aspect positif de ce que l’on peut appeler la « pandémie de propagande » actuelle est que la corruption systémique généralisée de l’establishment scientifique est exposée, non seulement par des rétractations très médiatisées d’articles publiés dans des revues de premier plan, mais aussi par des éditoriaux critiques. Par exemple, le 13 novembre 2020, le rédacteur exécutif Kamran Abbasi l’a exprimé en termes très clairs dans les pages de l’éminent BMJ [18] :

La science est supprimée pour des raisons politiques et financières. La Covid-19 a déclenché une corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. [réf] Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.

J’en donne trois exemples.

Premièrement, le biais systémique est palpable dans une mini-saga récente sur les masques, publiée dans les pages du New England Journal of Medicine [19] [20] [21].

Gandhi et Rutherford ont écrit un article intitulé « Perspective », publié le 29 octobre 2020 [22]. Les auteurs avancent l’idée extraordinaire que se masquer réduit la gravité de la maladie chez les personnes infectées. Ils commencent par l’affirmation propagandiste selon laquelle le masquage facial universel est « l’un des piliers de la lutte contre la pandémie de Covid-19 ». Ils poursuivent en avançant l’argument fantastique suivant : les masques peuvent réduire l’inoculum viral et donc provoquer des infections asymptomatiques dans lesquelles le sujet développe une immunité. Cela a alarmé les répondants car le mécanisme proposé est ce que l’on pourrait appeler « l’immunité acquise naturellement grâce aux masques ». Admettre tout type d’immunité naturelle, qui est une dure réalité de la biologie de l’évolution, est devenu sacrilège.

Deux groupes de chercheurs ont publié des réfutations contre Gandhi et Rutherford, dans la même revue.

Rasmussen et al. ont écrit [23] :

Il n’y a pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle les masques réduisent la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 et la gravité de la Covid-19, et encore moins que leur utilisation peut induire une immunité protectrice. […] La suggestion que les masques offrent une alternative à la vaccination sans preuve que les bénéfices l’emportent sur les grands risques encourage implicitement les comportements irresponsables.

Brosseau et al. ont, pour leur part, réajusté diplomatiquement les vues exposées par Gandhi et Rutherford en ramenant les lecteurs à la science et à la réalité établies [24] :

La réplication virale est liée à la dose, mais la gravité de la maladie ne l’est pas. L’épidémiologie indique que l’apparition de formes graves de Covid-19 est associée à des conditions préexistantes et à d’autres facteurs de risque, tels que l’âge, le sexe et la grossesse [réf].

Bien qu’elle n’ait pas encore été démontrée dans des modèles expérimentaux, la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 est probablement similaire à celle du SRAS-CoV – environ 300 virions [réf]. Quelle que soit la gravité de la maladie, les gens présentent des charges virales élevées et un virus infectieux pendant au moins 8 jours après l’apparition des symptômes. La parole normale peut générer jusqu’à 3000 particules de 1 micron par minute dans l’air expiré, [ref] et chaque particule pourrait contenir plus de 250 virions, ce qui signifie qu’une seule minute de parole génère potentiellement plus de 750 000 virions. Les revêtements de visage en tissu ont une efficacité très variable en fonction de la capacité de filtrage et de l’ajustement. Le port d’un couvre-visage en tissu à proximité d’une personne infectée pendant plusieurs minutes peut ne pas empêcher la réception d’une dose infectieuse, qui, comme indiqué ci-dessus, n’est pas corrélée à une maladie moins grave.

Les auteurs de l’article original n’ont pas été dissuadés et ont répondu :

« Plus de preuves s’accumulent pour supporter cette idée » et « il y a de plus en plus de preuves à la fois physiques et d’enquêtes épidémiologiques que les masques en tissu (s’ils sont portés correctement) réduisent à la fois la transmission et l’acquisition » [25] L’examen de leurs sources montre que les auteurs ont une vision généreuse de ce qui peut constituer une « preuve » à l’appui. Voir également [26], concernant la tournure que prend l’« accumulation de preuves » dans le contexte politique des masques faciaux.

Deuxièmement, un exemple étonnant, toujours à propos des masques, est fourni dans les pages de Nature Medicine. Ici, l’équipe de prévision de la COVID-19 de l’IHME, le 23 octobre 2020 (« étude de l’IHME »), a déclaré que le port universel de masque serait d’une grande utilité aux États-Unis [27] :

L’utilisation du port universel de masque pourrait sauver 129 574 (entre 85 284 – 170 867) vies supplémentaires entre le 22 septembre 2020 et la fin février 2021, ou 95 814 (entre 60 731 – 133 077) vies supplémentaires en supposant une adoption moindre du port du masque (85%), par rapport au scénario de référence. (Résumé)

Si les masques offrent un avantage aussi important, il est impossible de comprendre comment aucun des nombreux grands essais contrôlés randomisés (ECR) dont les résultats sont vérifiés, n’a détecté cet avantage. Il est impossible d’obtenir les résultats négatifs souvent répétés dans les études ECR de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire, si les prémisses et les conclusions de l’étude IHME sont correctes. L’étude de l’IHME a été réfutée avant même sa publication.

L’étude de l’IHME est fatalement défectueuse sur au moins deux points :

  1. La méta-régression utilisée pour estimer (« suggérer », selon leurs termes) que le port universel du masque permet une réduction de 40% et plus de la transmission est sans valeur, et est le fruit d’un biais constructif ;
  2. Ils ont utilisé des données incorrectes pour évaluer la conformité du masquage de la population américaine pour la période concernée.

Cette dernière faille fatale a été exposée par Magness, dans son rapport publié dans le Wall Street Journal, intitulé « Les arguments en faveur de l’obligation du port de masques reposent sur des données erronées » [28] :

Malheureusement, les conclusions des modélisateurs de l’IHME contenaient une erreur que même un examen minimal aurait dû permettre de détecter. Le nombre prévu de vies sauvées et le cas implicite d’une obligation de port de masques sont basés sur une statistique erronée. En utilisant une enquête datant de plusieurs mois, les modélisateurs de l’IHME ont supposé à tort que le taux d’adoption de masques aux États-Unis ne s’élevait qu’à 49% à la fin du mois de septembre, et qu’il y avait donc une grande marge de manœuvre pour passer à une « adoption universelle », définie comme 95%, ou à un taux plus plausible de 85%. Cependant, selon les résultats d’une enquête plus récente, le taux d’adoption de masques aux États-Unis tourne autour de 80 % depuis l’été.

Magness ne fait aucune mention de la prémisse fictive de l’étude de l’IHME selon laquelle le port universel de masques réduit la transmission de 40 % et plus.

Troisièmement, dans l’un des plus grands scandales de l’épisode COVID-19, un test d’amplification en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR) a été mis au point à la hâte, dans des circonstances douteuses, qui n’est ni un diagnostic de la présence de virus infectieux, ni spécifique du SRAS-CoV-2, et déployé par les États pour la confirmation de l’infection chez les individus symptomatiques, et pour les tests de masse de la population générale asymptomatique.

Le dit test RT-PCR a été présenté ainsi par Corman et al. [29], et leur propre article indique :

Nous avions pour objectif de développer et de déployer une méthodologie de diagnostic robuste à utiliser dans les laboratoires de santé publique sans disposer de matériel viral. […]

Dans toutes ces situations [toutes les applications passées de la RT-PCR pour « détecter les virus responsables des sécrétions respiratoires »], les isolats de virus étaient disponibles comme substrat principal pour établir et contrôler les tests et les performances des tests.

Dans le cas présent du 2019-nCoV, les isolats de virus ou les échantillons provenant de patients infectés ne sont pas encore disponibles pour la communauté internationale de la santé publique. Nous faisons ici rapport sur l’établissement et la validation d’un flux de diagnostics pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV, conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le CoV-SARS de 2003, et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. […]

Le présent rapport décrit la mise en place d’un processus de diagnostic pour la détection d’un virus émergent en l’absence de sources physiques d’acide nucléique génomique viral. La rapidité et l’efficacité de l’effort actuel de déploiement et d’évaluation ont été rendues possibles par les réseaux de recherche nationaux et européens mis en place en réponse aux crises sanitaires internationales de ces dernières années, ce qui démontre l’énorme capacité de réaction qui peut être dégagée par l’action coordonnée des laboratoires universitaires et publics [réf]. Cette capacité des laboratoires ne soutient pas seulement les interventions immédiates de santé publique, mais permet aux sites d’enrôler des patients lors de réponses rapides de recherche clinique.

Un consortium international de scientifiques des sciences de la vie estime que l’article de Corman et al. présente des lacunes technologiques et méthodologiques fatales : Voir le rapport de Borger et al qui concluent, parmi plusieurs critiques, que [30] :

Il s’agit là de graves erreurs de conception, puisque le test ne peut pas faire la distinction entre le virus entier et les fragments de virus. Le test ne peut pas être utilisé comme un diagnostic pour les virus du SRAS.

En outre, l’absence du gène HE dans le CoV-1 et le CoV-2 du SRAS fait de ce gène le témoin négatif idéal pour exclure d’autres coronavirus. Le document de Corman-Drosten ne contient pas ce contrôle négatif, ni aucun autre contrôle négatif. Le test PCR du papier Corman-Drosten ne contient donc ni témoin positif unique ni témoin négatif permettant d’exclure la présence d’autres coronavirus. Il s’agit là d’un autre défaut de conception majeur qui classe le test comme inadapté au diagnostic.

Nous constatons de graves conflits d’intérêts pour au moins quatre auteurs, outre le fait que deux des auteurs de l’article de Corman-Drosten (Christian Drosten et Chantal Reusken) sont membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance. Un conflit d’intérêt a été ajouté le 29 juillet 2020 (Olfert Landt est PDG de TIB-Molbiol ; Marco Kaiser est chercheur senior au GenExpress et est conseiller scientifique de TIB-Molbiol), qui n’était pas déclaré dans la version originale (et qui manque toujours dans la version PubMed) ; TIB-Molbiol est la société qui a été « la première » à produire des kits PCR (Light Mix) basés sur le protocole publié dans le manuscrit de Corman-Drosten, et selon leurs propres termes, ils ont distribué ces kits de test PCR avant même que la publication ne soit soumise à relecture [réf] ; de plus, Victor Corman & Christian Drosten ont omis de mentionner leur deuxième affiliation : le laboratoire de test commercial « Labor Berlin ». Tous deux sont responsables du diagnostic des virus dans ce laboratoire [réf.] et la société opère dans le domaine des tests PCR en temps réel.

À la lumière de notre réexamen du protocole de test pour identifier le CoV-2 du SRAS décrit dans le document de Corman-Drosten, nous avons identifié des erreurs et des failles inhérentes qui rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile.

Bon nombre des critiques de Borger et al ont déjà été prouvées par des vérifications détaillées en laboratoire, comme le remarquable article de Singanayagam et al [31], qui utilise la RT-PCR avec le gène cible RdRp, qui montre (en particulier leur figure 3 A) :

  • L’importance du nombre de cycles de PCR (Ct), à la fois dans le compte rendu clinique et dans l’interprétation clinique
  • Qu’à l’exception des cas d’hospitalisation extrême (qui n’ont pas été étudiés), tous les cas positifs détectés avec la RT-PCR plus de 10 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition correspondaient à des virus non infectieux (fragments de virus morts) (aucun virus n’a pu être cultivé dans des cultures cellulaires optimales)
  • Qu’aucun délai n’a été observé pour la détection de ces virus non infectieux (fragments de virus morts), car ceux-ci ont été obtenus, avec une Ct=28-39, jusqu’à 60 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition.
  • Qu’à moins de 10 jours, avec un Ct=18-40, près de la moitié des « positifs » étaient des virus non infectieux (fragments de virus morts)
  • Un seuil opérationnel de Ct=30, au-delà duquel les « positifs » ont moins de 40% de probabilité (<8% à Ct>35) de correspondre à un virus viable, indépendamment du temps relatif à l’apparition des symptômes ou à l’exposition (leur figure 2)

De tels résultats concernant la fausse détection de virus présumés viables ont également été obtenus dans la grande étude plus récente de Jaafar et al. [32] qui ont utilisé l’amplification par RT-PCR du gène E que l’on pense être un peu moins spécifique du SRAS-CoV-2.

Il est clair que le test RT-PCR utilisé dans le monde entier est en soi sans valeur. Il produit de grandes quantités de « positifs » qui ne correspondent à aucun virus infectieux viable, qu’il s’agisse du SRAS-CoV-2 ou d’un autre. On n’y remédie que partiellement si les laboratoires se limitent à des Ct<30, sans parler du grand potentiel d’autres mauvaises pratiques de laboratoire sur le terrain.

Ajoutez à cela la malhonnêteté de la santé publique qui consiste à fabriquer une nouvelle définition de ce qui constitue un « cas ». Un « cas » est défini en médecine comme une infection active, symptomatique et diagnostiquée. Ce n’est plus le cas. Tout cas « positif » dans le « test » RT-PCR défectueux est désormais considéré comme un « cas ». La campagne massive de tests RT-PCR de la population générale asymptomatique, qui n’a aucune utilité clinique ou épidémiologique, alimente ainsi la propagande médiatique de la peur, avec des conséquences désastreuses : Tests RT-PCR non pertinent → signifie « cas » → propagande → mesures arbitraires / plus grand mal → popularité des dirigeants [33]

La transmission ne se fait pas par contact

Le 17 septembre 2020, une étude approfondie a été publiée par Meyerowitz et al [34] dans l’une des principales revues médicales du monde, Annals of Internal Medicine, qui a conclu ce qui aurait dû être évident dès le départ, même pour l’OMS : La transmission par contact des maladies respiratoires virales, y compris le SRAS-CoV-2, est hors sujet.

Selon les termes de Meyerowitz et al :

Des preuves solides provenant de rapports de cas et de groupes de cas indiquent que la transmission respiratoire est dominante, la proximité et la ventilation étant les principaux déterminants du risque de transmission. Dans les quelques cas où un contact direct ou une transmission fomitive est présumé, la transmission respiratoire n’a pas été complètement exclue. L’infectiosité atteint son maximum environ un jour avant l’apparition des symptômes et diminue dans la semaine qui suit, et aucune transmission liée tardivement (après qu’un patient a eu des symptômes pendant environ une semaine) n’a été documentée. Le virus présente une dynamique de transmission hétérogène : La plupart des personnes ne transmettent pas le virus, tandis que certaines provoquent de nombreux cas secondaires dans des groupes de transmission appelés « super-dispersion ». (Résumé)

[…] Il n’existe actuellement aucune preuve concluante de la transmission par fomite ou par contact direct du SRAS-CoV-2 chez l’homme.

Cette conclusion a des implications de grande portée :

  • Elle signifie que la « recherche des contacts » est une absurdité pour les maladies respiratoires virales. Il n’est donc pas étonnant que l’OMS ait recommandé en 2019 que la recherche des contacts soit « déconseillée en toutes circonstances » (voir ci-dessus). Pourquoi l’OMS a-t-elle rejeté la transmission par aérosol pour la COVID-19 ? C’est de l’anti-science arbitraire. [35]
  • Cela signifie que le lavage compulsif des mains et le nettoyage des surfaces sont des absurdités épidémiologiques, avec des conséquences négatives évidentes, comme les rappels massifs de désinfectants toxiques [36].
  • Cela signifie que les gouvernements et l’OMS ont été négligents pendant plus d’une décennie en n’étudiant pas, en ne recommandant pas et en ne mettant pas en œuvre des politiques de ventilation axées sur la transmission pour l’environnement bâti. En fait, l’OMS a enterré son propre rapport d’experts sur le sujet de 2009, sous la rubrique « eau / assainissement / santé » sur son site web [37], et un article de synthèse exhaustif du domaine public a été publié en 2007 [38].
  • Cela signifie que le verrouillage des portes et des fenêtres des maisons de soins pour personnes âgées constitue le pire scénario possible pour prévenir les épidémies dans les maisons de soins [39] [40].

Li et al [41] ont conclu (leur étude a été citée plus de 600 fois) :

Dix des 40 études examinées ont été considérées comme concluantes en ce qui concerne l’association entre la ventilation des bâtiments et la transmission d’infections aéroportées. Il existe des preuves solides et suffisantes pour démontrer l’association entre la ventilation, les mouvements d’air dans les bâtiments et la transmission / propagation de maladies infectieuses telles que la rougeole, la tuberculose, la varicelle, la grippe, la variole et le SRAS. (Résumé)

J’ai fait valoir que c’est précisément parce que la principale voie de transmission est constituée de fines particules d’aérosol que les masques ne peuvent pas réduire la transmission [42] [43].

Face à la preuve irréfutable que les masques ne réduisent pas le risque d’infection de leur porteur [44] [45], l’OMS et le complexe de santé publique ont inventé le « masque magique à sens unique », qui empêche la transmission par le porteur, tout en ne le protégeant pas. Les médias ont été ravis de propager ce fantasme, contraire aux lois de la physique, concernant la circulation de l’air porteur d’aérosols par les voies de moindre impédance à travers et autour des masques faciaux. Ce fantasme est ce qu’on appelle le « contrôle à la source », que de nombreux scientifiques qualifiés ont également répété.

En fait, même une stricte quarantaine de niveau militaire des jeunes adultes en bonne santé ne peut empêcher la transmission [46].

Les infirmières le savent. En Ontario, deux décisions importantes de tribunaux administratifs, en 2015 et en 2018, avec de longues audiences d’experts de tous bords, ont conclu que les infirmières de plusieurs grands hôpitaux ne pouvaient pas être obligées de porter des masques, qu’elles soient vaccinées ou non, car cela ne protégerait pas les patients [47] :

« Je pense qu’il y a maintenant un consensus qui se développe dans la communauté arbitrale selon lequel il ne fait aucun doute que ces politiques ne protègent pas vraiment les patients. L’arbitre a été assez ferme en décrivant les preuves apportées par l’hôpital comme insuffisantes, inadéquates et totalement non convaincantes », a dit Sharan Basran, avocate des infirmières.

Le port du masque dans la population générale n’apporte aucun bénéfice détectable

Depuis le 11 avril 2020, j’ai fait valoir en détail que les masques ne fonctionnent pas, et j’ai disséqué et exposé la fausse idée du contraire[48] [49]. À cette époque, il n’y avait pas encore eu d’étude de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire sur le port du masque dans la population générale.

Le 18 novembre 2020, Bundgaard et al ont publié leur vaste essai contrôlé randomisé (ECR) sur des participants sélectionnés dans la population générale danoise. Selon leurs propres termes [50] :

Un total de 3030 participants ont été assignés au hasard à la recommandation de porter des masques, et 2994 ont été assignés au contrôle ; 4862 ont terminé l’étude. L’infection par le SRAS-CoV-2 s’est produite chez 42 participants à qui l’on avait recommandé de porter un masque (1,8%) et chez 53 participants du groupe témoin (2,1%). La différence entre les groupes était de -0,3 point de pourcentage (IC à 95%, -1,2 à 0,4 point de pourcentage ; P = 0,38) (rapport de cotes, 0,82 [IC, 0,54 à 1,23] ; P = 0,33). L’imputation multiple tenant compte de la perte au suivi a donné des résultats similaires. Bien que la différence observée ne soit pas statistiquement significative, les IC de 95% sont compatibles d’une réduction de 46% jusqu’à une augmentation de 23% de l’infection. (Résumé / Résultats)

[…] la recommandation de porter un masque chirurgical en dehors de la maison, entre autres, n’a pas réduit, à des niveaux conventionnels de signification statistique, l’incidence de l’infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à l’absence de recommandation de port de masque. […] Les masques faciaux fournis aux participants étaient des masques chirurgicaux de haute qualité avec un taux de filtration de 98% [réf]. (Discussion)

Pour être clair, « 95% d’IC sont compatibles avec une réduction de 46% jusqu’à une augmentation de 23% de l’infection » signifie que, dans les limites de l’incertitude, le port d’un masque pourrait avoir augmenté la probabilité d’être infecté de 23%. Telle est la nature de l’évaluation du risque relatif, lorsque l’impact comparatif sur le risque absolu est trop minime pour être détecté.

Les auteurs semblent avoir été contraints par le processus d’« examen par les pairs » de souligner que leur étude n’a pas été conçue pour tester l’hypothèse que j’ai évoquée plus haut, à savoir le masque magique à sens unique : « … et aucune évaluation de la capacité des masques à diminuer la transmission de maladies de leurs porteurs à d’autres personnes. »

À ce stade, quelque quinze (15) ECR de niveau politique plus tard, avec des résultats vérifiés, il faut se demander ce qu’il faudrait pour que le complexe de santé publique abandonne son nouvel enthousiasme pour le port de masque forcé de la population générale, ou au moins pour financer la recherche sur les préjudices répartis et les coûts sociétaux de cette politique draconienne.

Des études sur les préjudices quantifiables et potentiels du port de masque universel commencent à être publiées, tant dans des revues médicales régulières que dans des revues alternatives. Si le « principe de précaution » était plus qu’un simple effet de mode, de telles études auraient été nécessaires avant l’adoption de lois et d’obligations en matière de port de masque universel.

Le 6 juillet 2020, par exemple, Fikenzer et al ont publié une étude rigoureuse sur l’effet physiologique des masques sur 12 hommes en bonne santé (âgés de 38 ± 6 ans). Ils ont conclu [51] :

Les masques médicaux ont un impact négatif marqué sur la capacité cardio-pulmonaire, ce qui entrave considérablement les activités physiques et professionnelles pénibles. De plus, les masques médicaux nuisent considérablement à la qualité de vie de leur porteur. Ces effets doivent être considérés par rapport aux effets protecteurs potentiels des masques faciaux sur les transmissions virales. Les données quantitatives de cette étude peuvent donc éclairer les recommandations médicales et les décideurs politiques.

En novembre 2020, Borovoy et al. [52] ont publié une étude approfondie des connaissances biologiques et médicales qui leur permet de déduire un potentiel important de dommages significatifs liés au port de masque. Ils soulignent à juste titre le rôle connu mais sous-estimé des bactéries dans les pandémies virales, et passent également en revue les maladies respiratoires dues aux bactéries buccales.

Les vaccins sont intrinsèquement dangereux

Le 13 juillet 2020, Arvin et al. ont publié dans les pages de la revue scientifique de premier plan Nature un important rappel à la réalité sous la forme d’une vaste « Perspective » (revue). L’article, à lire attentivement, est un exposé détaillé sur l’ignorance de l’homme concernant l’interférence artificielle avec le système immunitaire humain. Tout étudiant en sciences devrait conclure que « surtout, nous ne savons rien ». Les auteurs l’affirment sous une forme enjolivée [53] :

L’augmentation de la maladie dépendante des anticorps (ADE) est une préoccupation générale pour le développement de vaccins et de thérapies par anticorps car les mécanismes qui sous-tendent la protection par anticorps contre tout virus ont un potentiel théorique d’amplifier l’infection ou de déclencher une immunopathologie nocive. Cette possibilité doit être examinée attentivement à ce stade critique de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19), qui est causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2).

Nous passons ici en revue les observations relatives aux risques d’ADE de la maladie, et leurs implications potentielles pour l’infection par le SRAS-CoV-2. À l’heure actuelle, il n’existe pas de résultats cliniques, d’essais immunologiques ou de biomarqueurs connus qui permettent de différencier une infection virale grave d’une maladie à immunité renforcée, que ce soit par la mesure des anticorps, des cellules T ou des réponses intrinsèques de l’hôte. Les systèmes in vitro et les modèles animaux ne permettent pas de prédire le risque d’ADE de la maladie, en partie parce que les mécanismes de protection et les mécanismes potentiellement nuisibles médiés par les anticorps sont les mêmes et que la conception de modèles à base d’animaux dépend de la compréhension de la manière dont les réponses antivirales de l’hôte peuvent devenir nuisibles chez l’homme.

Les implications de notre manque de connaissances sont doubles. Premièrement, des études complètes sont nécessaires de toute urgence pour définir les corrélats cliniques de l’immunité protectrice contre le SRAS-CoV-2. Deuxièmement, étant donné qu’il est impossible de prévoir de manière fiable l’apparition de la maladie après une vaccination ou un traitement par anticorps – quel que soit le virus responsable – il sera essentiel de s’appuyer sur une analyse minutieuse de la sécurité chez l’homme à mesure que les interventions immunitaires contre la COVID-19 progressent. (Résumé)

Compte tenu du déploiement qui a suivi, cela signifie que nous nous sommes lancés aveuglément dans une expérience à grande échelle sur des sujets humains, sans essais sur des animaux, sans transparence scientifique, sans possibilité de consentement éclairé, sous l’impulsion de sociétés pharmaceutiques qui ne veulent que le bien de l’humanité.

Le 1er octobre 2020, Wehenkel [54] a publié un article dans lequel il a étudié 39 pays et a constaté une forte association entre le taux national de vaccination contre la grippe (IVR) des personnes âgées de 65 ans et plus et le nombre de décès dus à la COVID-19 par million d’habitants. Les résultats sont préliminaires mais peuvent constituer un exemple documenté de « renforcement de la maladie dépendant des anticorps (ADE) » impliquant la COVID-19. Tous les taux de décès par COVID-19 les plus élevés ont été enregistrés dans les pays où l’IVR est supérieure à 50 % (voir ses figures 1 et 3). Je sens une opportunité de financement de la recherche pour défaire cette découverte.

Denis G. Rancourt

Chercheur, Association des libertés civiles de l’Ontario

L’auteur présente ci dessous ses compétences pour examiner les données scientifiques sur la COVID-19

Je suis retraité et ancien professeur titulaire de physique à l’université d’Ottawa. Le poste de professeur titulaire est le plus haut grade universitaire. Au cours de mes 23 ans de carrière en tant que professeur d’université, j’ai développé de nouveaux cours et j’ai enseigné à plus de 2000 étudiants universitaires, à tous les niveaux, et dans trois facultés différentes (sciences, ingénierie, arts). J’ai supervisé plus de 80 stages de recherche ou diplômes à tous les niveaux, du post-doctorant aux étudiants de troisième cycle en passant par les chercheurs de premier cycle du CRSNG. J’ai dirigé un laboratoire de recherche interdisciplinaire de renommée internationale, et j’ai attiré d’importants fonds de recherche pendant deux décennies.

J’ai été invité une quarantaine de fois à participer à des conférences scientifiques majeures, que ce soit en séance plénière, en tant que conférencier principal ou en session spéciale. J’ai publié plus de 100 articles de recherche dans des revues scientifiques de premier plan évaluées par des pairs, dans les domaines de la physique, de la chimie, de la géologie, de la bio-géochimie, de la science des mesures, de la science du sol et de la science environnementale.

Mon facteur d’impact de l’indice H scientifique est de 40, et mes articles ont été cités plus de 5 000 fois dans des revues scientifiques à comité de lecture (profil sur Google Scholar).

Mes connaissances personnelles et ma capacité à évaluer les faits présentés dans cet article sont fondées sur mon éducation, ma recherche, ma formation et mon expérience, comme suit :

  1. En ce qui concerne les nanoparticules environnementales. Les maladies respiratoires virales sont transmises par la plus petite fraction de taille des particules d’aérosols chargées de virions, qui sont des nanoparticules environnementales réactives. Par conséquent, les stabilités chimiques et physiques et les propriétés de transport de ces particules d’aérosol sont à la base du mécanisme dominant de contagion par l’air. Mes travaux approfondis sur les nanoparticules environnementales réactives sont reconnus au niveau international et portent sur les aspects suivants : précipitation et croissance, réactivité de surface, agglomération, charge de surface, transformation de phase, décantation et sédimentation, et dissolution réactive. En outre, j’ai enseigné la dynamique des fluides (l’air est un fluide compressible) et la sédimentation gravitationnelle au niveau universitaire, et j’ai effectué des recherches sur les applications industrielles de la technologie de filtration (les masques faciaux sont des filtres).
  2. En ce qui concerne la science moléculaire, la dynamique moléculaire et la complexation de surface. Je suis un expert en structures, réactions et dynamiques moléculaires, y compris la complexation moléculaire des surfaces biotiques et abiotiques. Ces processus sont à la base de la fixation des virus, de la fixation des antigènes, de la réplication moléculaire, de la fixation aux fibres des masques, de la charge des particules, de la perte et de la croissance des particules d’aérosol, et de tous ces phénomènes impliqués dans la transmission et l’infection virale, et dans les mesures de protection. J’ai enseigné pendant de nombreuses années la mécanique quantique au niveau universitaire avancé, qui est la théorie fondamentale des atomes, des molécules et des substances ; et dans mes recherches publiées, j’ai développé la théorie et la méthodologie de la diffraction des rayons X pour la caractérisation des petites particules de matériaux.
  3. En ce qui concerne les méthodes d’analyse statistique. L’analyse statistique des études scientifiques, y compris l’analyse robuste de la propagation des erreurs et les estimations robustes des biais, fixe la limite de ce qui peut être déduit de manière fiable de toute étude d’observation, y compris les essais contrôlés randomisés en médecine, et y compris les mesures sur le terrain pendant les épidémies. Je suis un expert en analyse d’erreurs et en analyse statistique de données complexes, au niveau de la recherche dans de nombreux domaines scientifiques. Les méthodes d’analyse statistique sont à la base de la recherche médicale.
  4. En ce qui concerne la modélisation mathématique. Une grande partie de l’épidémiologie est basée sur des modèles mathématiques de transmission et d’évolution des maladies dans la population. J’ai des connaissances et une expérience au niveau de la recherche en matière de modèles mathématiques prédictifs et exploratoires et de méthodes de simulation. J’ai des connaissances d’expert liées aux incertitudes des paramètres et aux dépendances des paramètres dans ces modèles. J’ai réalisé des simulations approfondies de la dynamique épidémiologique, en utilisant des modèles compartimentaux standard (SIR, MSIR) et de nouveaux modèles.
  5. En ce qui concerne les méthodes de mesure. En science, il existe cinq grandes catégories de méthodes de mesure : (1) la spectroscopie (y compris la spectroscopie nucléaire, électronique et vibratoire), (2) l’imagerie (y compris la microscopie optique et électronique, et l’imagerie par résonance), (3) la diffraction (y compris la diffraction des rayons X et des neutrons, utilisée pour élaborer des structures moléculaires, des défauts et des structures magnétiques), (4) les mesures de transport (y compris les taux de réaction, les transferts d’énergie et les conductivités), et (5) les mesures des propriétés physiques (y compris la densité spécifique, les capacités thermiques, la réponse aux contraintes, la fatigue des matériaux…). J’ai enseigné ces méthodes de mesure dans un cours interdisciplinaire de troisième cycle que j’ai développé et donné à des étudiants de troisième cycle (M.Sc. et Ph.D.) en physique, biologie, chimie, géologie et ingénierie pendant de nombreuses années. J’ai fait des découvertes et des progrès fondamentaux dans les domaines de la spectroscopie, de la diffraction, de la magnétométrie et de la microscopie, qui ont été publiés dans des revues scientifiques de premier plan et présentés lors de conférences internationales. Je connais la science des mesures, la base de toutes les sciences, au plus haut niveau.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

Notes

  1. 2019–OMS : « Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique », avec annexe, Organisation mondiale de la santé, octobre 2019 : OMS . Rapport, ISBN : 978-92-4-151683-9, pp 91« Annexe : Rapport des revues systématiques de la littérature », WHO/WHE/IHM/GIP/2019.1, pp 125 
  2. 2017–OMS : « Évaluation de la gravité de la grippe pandémique (PISA) : Un guide de l’OMS pour évaluer la gravité de la grippe dans les épidémies et pandémies saisonnières », Organisation mondiale de la santé, mai 2017, WHO/WHE/IHM/GIP/2017.2 
  3. 2011–Bonneux : Luc Bonneux & Wim Van Damme. « La santé, c’est plus que la grippe ». Bulletin de l’Organisation mondiale de la santé 2011;89:539-540. doi : 10.2471/BLT.11.089086 
  4. Ibid note 3 
  5. 2010–Cohen : Cohen, D. et Carter, P. « L’OMS et les « conspirations » de la grippe pandémique ». BMJ 2010 ; 340:c2912. doi. (Publié le 04 juin 2010
  6. 2020–Rancourt : « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale de Covid-19 ». Rancourt, DG (11 avril 2020) ResearchGate, a obtenu 400 000 lectures, puis a été retiré de la plate-forme, selon ce rapport. Maintenant sur vixra.org , et sur rcreader.com. Et voir les Digi-Debates sur les critiques de l’article : « Digi-Debates. The Face Mask Debate », Digi Debates YouTube Channel, 25 juillet 2020, et à l’adresse suivante 
  7. 2020–Rancourt : « Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges, et fonctionnaires de la santé publique : « Un ensemble croissant de preuves ». ResearchGate (3 août 2020). DOI : 10.13140/RG.2.2.25042.58569 
  8. 2020–Rancourt : « Mortalité toutes causes confondues lors de la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement », par Rancourt, DG (2 juin 2020) ResearchGate. DOI: 10.13140/RG.2.2.24350.77125 
  9. 2020–Rancourt : D. G. Rancourt, Marine Baudin, Jérémie Mercier. « Évaluation de la virulence du SRAS-CoV-2 en France, à partir de la mortalité toutes causes confondues 1946-2020 ». ResearchGate (20 août 2020). DOI: 10.13140/RG.2.2.16836.65920/1  (Version en français
  10. Ibid note 6 
  11. Ibid note 7 
  12. 2020–Chaudhry : Chaudhry, Rabail et autres (2020) « Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions du gouvernement, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine, Volume 25, 100464 (21 juillet 2020 – The Lancet
  13. 2020–De Larochelambert : De Larochelambert Q, Marc A, Antero J, Le Bourg E et Toussaint J-F (2020). « Covid-19 Mortalité : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées ». Frontiers in Public Health 8:604339. doi : 10.3389/fpubh.2020.604339 (19 novembre 2020 – frontiersin.org
  14. 2020–AIER : « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves »AIER StaffInstitut américain de recherche économique. 19 décembre 2020 
  15. Ibid note 8 
  16. Ibid note 9 
  17. 2020–Yam : Kai Chi Yam, Joshua Conrad Jackson, Christopher M. Barnes, Jenson Lau, Xin Qin, Hin Yeung Lee. « L’augmentation des cas de COVID-19 est associée au soutien des dirigeants mondiaux ». Actes de l’Académie nationale des sciences. Oct 2020, 117 (41) 25429-25433 ; DOI : 10.1073/pnas.2009252117 
  18. 2020–Abbasi : Abbasi, Kamran (rédacteur en chef). « Covid-19 : politisation, « corruption » et suppression de la science ». Journal médical britannique. BMJ 2020 ; 371 :m4425. 
  19. 2020–Gandhi : Monica Gandhi et George W. Rutherford. « Masquage facial pour la Covid-19 – Potentiel de « variolation » dans l’attente d’un vaccin ». 29 octobre 2020. N Engl J Med 2020 ; 383:e101. DOI : 10.1056/NEJMp2026913 
  20. 2020–Rasmussen : Angela L. Rasmussen et al. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (critique de Gandhi et al. 
  21. 2020–Brosseau : Lisa M. Brosseau et al. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (critique de Gandhi et al.) 
  22. Ibid note 19 
  23. Ibid note 20 
  24. Ibid note 21 
  25. 2020–Gandhi : Monica Gandhi et George W. Rutherford. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (réponse de Gandhi et al.) 
  26. Ibid note 7 
  27. 2020–IHME : IHME COVID-19 Forecasting Team, Reiner, R.C., Barber, R.M. et al. « Modélisation des scénarios COVID-19 pour les États-Unis »Nature Medicine (2020). doi 
  28. 2020 — Magness : Phillip W. Magness. « Les arguments en faveur de l’obligation du port de masques reposent sur des données erronées »Wall Street Journal (11 novembre 2020) 
  29. 2020 : Corman Victor M, Landt Olfert, Kaiser Marco, Molenkamp Richard, Meijer Adam, Chu Daniel KW, Bleicker Tobias, Brünink Sebastian, Schneider Julia, Schmidt Marie Luisa, Mulders Daphne GJC, Haagmans Bart L, van der Veer Bas, van den Brink Sharon, Wijsman Lisa, Goderski Gabriel, Romette Jean-Louis, Ellis Joanna, Zambon Maria, Peiris Malik, Goossens Herman, Reusken Chantal, Koopmans Marion PG, Drosten Christian. « Détection de nouveaux coronavirus en 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ». Euro Surveill. 2020;25(3):pii=2000045. doi 
  30. 2020–Borger : Borger, Pieter et al « Rapport d’examen Corman-Drosten et al Eurosurveillance 2020 – L’examen externe par les pairs du test RT-PCR pour détecter le SRAS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique : conséquences pour les résultats faussement positifs »Consortium international des scientifiques en sciences de la vie (ICSLS). 27 novembre 2020 
  31. 2020–Singanayagam : Singanayagam Anika, Patel Monika, Charlett Andre, Lopez Bernal Jamie, Saliba Vanessa, Ellis Joanna, Ladhani Shamez, Zambon Maria, Gopal Robin. « Durée de l’infectiosité et corrélation avec les valeurs seuils du cycle RT-PCR dans les cas de COVID-19, Angleterre, janvier à mai 2020 ». Euro Surveill. 2020;25(32):pii=2001483. doi 
  32. 2020–Jaafar : Jaafar R, Aherfi S, Wurtz N, Grimaldier C, Hoang VT, Colson P, Raoult D, La Scola B. « Corrélation entre 3790 échantillons positifs au qPCR et des cultures cellulaires positives, y compris 1941 isolats de SRAS-CoV-2 ». Clin Infect Dis. 2020 Sep 28:ciaa1491. doi : 10.1093/cid/ciaa1491. Epub avant impression. PMID : 32986798 ; PMCID : PMC7543373 – academic.oup.com 
  33. Ibid note 17 
  34. 2020–Meyerowitz : Eric A. Meyerowitz, Aaron Richterman, Rajesh T. Gandhi, et al « Transmission du SRAS-CoV-2 : Un examen des facteurs viraux, des hôtes et de l’environnement ». Ann Intern Med. – Epub avant impression 17 septembre 2020. doi:10.7326/M20-5008 – acpjournal.org 
  35. Ibid note 7 
  36. 2020–CBC : La presse canadienne : « Santé Canada rappelle plus de 50 désinfectants pour les mains dans une liste évolutive ». (5 août 2020) – cbc.ca 
  37. 2009–OMS : « Ventilation naturelle pour la lutte contre les infections dans les établissements de santé – Lignes directrices de l’OMS 2009 ». Éditeurs : James Atkinson, Yves Chartier, Carmen Lúcia Pessoa-Silva, Paul Jensen, Yuguo Li et Wing-Hong Seto, pp 106, 2009, ISBN : 978 92 4 154785 7 – OMS 
  38. 2007–Li : Li Y, Leung GM, Tang JW, Yang X, Chao CY, Lin JZ, Lu JW, Nielsen PV, Niu J, Qian H, Sleigh AC, Su HJ, Sundell J, Wong TW, Yuen PL. « Rôle de la ventilation dans la transmission aérienne d’agents infectieux dans l’environnement bâti – une étude systématique multidisciplinaire ». Air intérieur. 2007 Feb;17(1):2-18. doi : 10.1111/j.1600-0668.2006.00445.x. PMID : 17257148 
  39. Ibid note 8 
  40. Ibid note 9 
  41. Ibid note 38 
  42. Ibid note 6 
  43. Ibid note 7 
  44. Ibid note 6 
  45. Ibid note  7 
  46. 2020–Letizia : Letizia AG, Ramos I, Obla A, Goforth C, Weir DL, Ge Y, Bamman MM, Dutta J, Ellis E, Estrella L, George MC, Gonzalez-Reiche AS, Graham WD, van de Guchte A, Gutierrez R, Jones F, Kalomoiri A, Lizewski R, Lizewski S, Marayag J, Marjanovic N, Millar EV, Nair VD, Nudelman G, Nunez E, Pike BL, Porter C, Regeimbal J, Rirak S, Santa Ana E, Sealfon RSG, Sebra R, Simons MP, Soares-Schanoski A, Sugiharto V, Termini M, Vangeti S, Williams C, Troyanskaya OG, van Bakel H, Sealfon SC. « Transmission du SRAS-CoV-2 parmi les recrues dans la Marine pendant la quarantaine ». N Engl J Med. 2020 Dec 17;383(25):2407-2416. doi : 10.1056/NEJMoa2029717. Epub 2020 11 nov. PMID : 33176093 ; PMCID : PMC7675690. (11 novembre 2020) – nejm.org 
  47. 2018–Brown : « L’ONA remporte un deuxième arbitrage contre les hôpitaux sur la politique des vaccins ou des masques » (13 septembre 2018), Canadian Lawyer Magazine – canadianlawyermag.com 
  48. Ibid note 6 
  49. Ibid note 7 
  50. 2020–Bundgaard : Bundgaard H, Bundgaard JS, Raaschou-Pedersen DET, von Buchwald C, Todsen T, Norsk JB, Pries-Heje MM, Vissing CR, Nielsen PB, Winsløw UC, Fogh K, Hasselbalch R, Kristensen JH, Ringgaard A, Porsborg Andersen M, Goecke NB, Trebbien R, Skovgaard K, Benfield T, Ullum H, Torp-Pedersen C, Iversen K. « Efficacité de l’ajout d’une recommandation sur les masques à d’autres mesures de santé publique pour prévenir l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs de masques danois : un essai contrôlé randomisé ». Ann Intern Med. 2020 Nov 18:M20-6817. doi : 10.7326/M20-6817. Epub avant impression. PMID : 33205991 ; PMCID : PMC7707213. – acpjournals.org 
  51. 2020–Fikenzer : Fikenzer S, Uhe T, Lavall D, Rudolph U, Falz R, Busse M, Hepp P, Laufs U. « Effets des masques chirurgicaux et des masques FFP2/N95 sur la capacité d’exercice cardio-pulmonaire ». Clin Res Cardiol. 2020 Dec;109(12):1522-1530. doi : 10.1007/s00392-020-01704-y. Epub 2020, 6 juillet. PMID : 32632523 ; PMCID : PMC7338098 – springer.com 
  52. 2020–Borovoy : Boris Borovoy, Colleen Huber, Maria Crisler. « Masques, fausse sécurité et dangers réels, Partie 2 : Défis microbiens des masques »Primary Doctor Medical Journal. Novembre 2020 – pdmj.org 
  53. 2020–Arvin : Arvin AM, Fink K, Schmid MA, Cathcart A, Spreafico R, Havenar-Daughton C, Lanzavecchia A, Corti D, Virgin HW. « Une perspective sur le renforcement potentiel du SRAS-CoV-2 dépendant des anticorps ». Nature. 2020 Aug;584(7821):353-363. doi : 10.1038/s41586-020-2538-8. Epub 2020 13 juillet. PMID : 32659783 – nature.com 
  54. 2020–Wehenkel : Wehenkel C. 2020. « Association positive entre les décès dus au COVID-19 et les taux de vaccination contre la grippe chez les personnes âgées dans le monde ». PeerJ 8:e10112  – doi



Un nouveau réseau social sans censure

https://freedom.social

Ceux qui utilisent des réseaux sociaux et souhaitent s’affranchir des géants censeurs tels que FB et Google gagneront probablement à s’inscrire dans ce nouveau réseau social.




Fin du mandat de Trump le 11 janvier 2021 ? MàJ2

Source : Donald J. Trump – United States Department of State

Le mandat de Donald J. Trump a pris fin le 2021-01-11 19:49:00.

Capture d’écran du site officiel du Département d’État des États-Unis réalisée à environ 15:14:00, heure de Montréal.


Mise à jour (d’après BNO News) :

Un message disant que le président Donald Trump avait quitté ses fonctions est apparu sur le site Web du département d’État américain, suscitant des spéculations selon lesquelles il a démissionné ou a été démis de ses fonctions. Il a été confirmé plus tard qu’il s’agissait d’une erreur.

Le message est apparu sur une page vide de la biographie du président, disant: « Le mandat de Donald J. Trump a pris fin le 2021-01-11 19:22:18. » Un message similaire est apparu sur la page de biographie du vice-président Mike Pence.

La cause de l’erreur n’était pas immédiatement claire, mais une version archivée de la même page a révélé un message similaire à la mi-décembre, affirmant que le mandat de Trump avait pris fin le 17 décembre. Il est peut-être passé inaperçu car la page ne semble pas être utilisée.

BuzzFeed News, qui a cité deux diplomates non identifiés, a rapporté qu’un «employé mécontent» serait derrière les changements. Il a déclaré que le secrétaire d’État américain Mike Pompeo avait ordonné une enquête interne.

Seconde mise à jour : lorsque l’on tente de retourner sur la page en question, on obtient le message suivant :

« We’re sorry, this site is currently experiencing technical difficulties.
Please try again in a few moments.
Reference ID: »

(Traduction :
« Nous sommes désolés, ce site rencontre actuellement des difficultés techniques.
Veuillez réessayer dans quelques instants.
Pièce d’identité:.)

Malversations d’un employé ou cyberattaque ?

Donald Trump s’était donné publiquement comme mission de drainer le « marais », alias « État Profond » corrompu. Par sa personnalité particulière et ses actions, il n’a laissé presque personne indifférent et s’est créé de nombreux ennemis au sein de ce « Deep State » et de ses complices hors États-Unis. Même si à l’heure actuelle, le marais paraît toujours aussi putride, Trump l’a mis en lumière à la face du monde et aura joué un indéniable rôle de révélateur.




Témoignage de la famille d’un « mort du COVID » (ou pas d’ailleurs…)

[Source : Guy Fawkes News]

Combien d’autres hôpitaux usent honteusement de tels procédés? Ce témoignage a été posté hier sur Facebook. Il est toujours en ligne (pour l’instant). Au delà du fait que cela impacte directement les familles qui ne peuvent pas organiser des obsèques correctement cela fait également gonfler artificiellement les chiffres nationaux de la mortalité COVID :

Et bien voilà j’ai enfin la preuve que l’on nous prend pour des CONS. au décès de mon père hier à l’hôpital de st Nazaire 44, on m’a annoncé qu’il était Covid donc il fallait faire vite. Donc nous n’avions que deux heures devant nous pour venir le voir. À notre arrivée, ont nous a équipé de la tête aux pieds. La morgue est venue le chercher très rapidement. Quand j’ai demandé à récupérer les résultats du test, ils m’on dit qu’il ne pouvait pas l’imprimé car l’ordinateur a planté. Ce matin j’ai dû organisé les obsèques car la mise en bière était programmée pour 15h30. Donc nous avions le droit d’être avec lui pendant 1 heure mais aujourd’hui sans aucune protection 🤔 à part le masque ( même pas de gel ) à notre départ je suis remonté dans le service où il est décédé pour récupérer ses papiers et les résultats du test qui ! Comme vous pouvez le voir est NÉGATIF 🤬. Il va être grand temps de remettre les pendules à l’heure avec se gouvernement de MERDE. j’ai une grosse pensée pour ma sœur et toutes les personnes qui ne pourront pas lui dire au revoir. VIVE CETTE FRANCE DE CONNARD 🖕




Supprimez votre compte WhatsApp sans aucun délai

[Source : https://strategika51.org/]

par Strategika 51.

Cela fait des années que nous avertissons le public sur le danger extrême que constitue la compagnie Facebook inc., laquelle n’est qu’un des bras armés des services spéciaux de l’État profond.

L’application de messagerie WhatsApp a été rachetée par Facebook en février 2014 pour la somme de 19 milliards de dollars US. C’était l’un des meilleurs services de messageries offrant un cryptage dédié end-to-end au point où il était utilisé par les sous-traitants de la CIA dans des pays tiers. La dernière mise à jour de WhatsApp révèle au grand jour la nature extrêmement maléfique de Facebook et par dessus tout son objectif visant à instaurer un totalitarisme fasciste numérique supprimant toute opinion contraire à la propagande de l’État profond.

Toutes les discussions et le partage de photographies et de vidéos sur cette plate-forme sont compromises et enregistrées sur des serveurs souterrains situés dans une demi-douzaine de pays contenant des fichiers-personnes (même si vous utilisez des pseudonymes et changez tous les mois de puce USIM ou carte SIM) pour une durée minimale de 99 ans même après suppression du compte.

Il n’y a pas d’alternatives à WhatsApp même si l’application Signal (que nous utilisons avec parcimonie depuis des années) semble offrir des prestations similaires, elle n’est pas non plus sécurisée et son usage n’offre aucune garantie quant à la protection de la vie privée.

Les géants du numérique tels que Amazon, Twitter, Facebook et Google, et d’autres sont en train de perdre des dizaines de millions d’utilisateurs depuis qu’ils se sont arrogés le droit de façonner, manipuler et orienter l’opinion, nommer des chefs d’État et participer de façons actives dans les révolutions colorées et les guerres hybrides contre toute partie tiers jugée non conforme à leur nouvelle doxa.

Une soixantaine de gouvernements ont ordonné en urgence à leurs officiels de désinstaller WhatsApp et Facebook de leur téléphones mobiles. La Turquie est allée jusqu’à demander à la population de ne plus utiliser WhatsApp pour lutter contre le « fascisme numérique ».




Le dernier combat de Trump

[Source : Entre la plume et l’enclume]

Par Israël Adam Shamir

Le président Trump a été battu de manière décisive, sinon à la loyale. Les espoirs de millions d’électeurs américains ont été écrasés et anéantis. La saga de l’homme orange est terminée. Les vainqueurs ont utilisé un stratagème : ils ont sacrifié le caractère sacré et la sécurité du Capitole, ils ont permis aux intrus d’entrer, ils leur ont permis de prendre des selfies dans le bureau du porte-parole du Congrès, puis ils ont simulé l’horreur et l’indignation. Les tentatives d’appel à la transparence électorale ont été pulvérisées en temps réel, alors que des foules énormes étaient dispersées. Les votes des grands électeurs ont été certifiés, l’ascension de Biden assurée, et les partisans de Trump sont gratifiés du titre de « terroristes nationaux ».

Donald Trump a désavoué les gens qu’il avait personnellement appelés à protester. Ses proches alliés politiques lui retirent leur soutien. En quelques heures, voire quelques minutes, ce dirigeant du monde admiré par des millions de gens est devenu une non-personne. Comme un garnement qui aurait posté une obscénité, il a été interdit de Twitter et de Facebook. Le temps nous dira s’il ira en prison, ce qui est le voue fervent de tant de démocrates, mais sa vie politique semble bien être terminée, même si sa cause est encore vivante. 

Les jeux étaient faits, contre le président Trump, dès le premier jour. Ses ordres étaient ignorés. Les tribunaux américains, les juges, la police, tout le système d’application de la loi était contre lui ; ses ordres se voyaient bloqués ou annulés, tandis que les médias se moquaient de lui et que l’opposition le délégitimait sans relâche. Il a même été bloqué par Fox News. Les États dirigés par le parti démocrate ont ajusté leurs lois pour garantir le résultat des élections. Trump a joué le dindon de la farce du tout début de sa présidence jusqu’à sa fin amère. Il était tenu en laisse par le tout-puissant Deep State, et lorsqu’il a essayé de se libérer, il a suffi qu’il tirent sur la laisse. 

Le 6 janvier, une manifestation massive en sa faveur a eu lieu à Washington, DC. Des centaines de milliers d’Américains sont venus dans la capitale pour demander justice après que la fraude électorale soit devenue évidente. Ils espéraient que les représentants républicains refuseraient de certifier la fraude et nommeraient une commission pour vérifier et recompter les votes. Certains des manifestants ont réussi à s’introduire dans le Capitole, ou la police les a laissés entrer. Cette action pacifique d’occupation du Capitole, l’exercice d’un droit naturel de protester, a été accueillie par des tirs meurtriers, et une jeune manifestante de San Diego, Ashli Babbitt, a été assassinée par la police en civil. Les représentants républicains ont été intimidés et se sont rendus ; Biden a été confirmé dans ses fonctions.

L’horreur et l’indignation des politiciens et des médias du parti démocrate ont été aussi simulées que les nouvelles qu’on nous a servies. L’année dernière, de nombreux bâtiments gouvernementaux avaient été occupés par des militants du BLM soutenus par le parti démocrate, et dans aucun cas la police n’a utilisé d’armes mortelles ou même fait sortir les manifestants des bâtiments.

« Peu après 20 heures mercredi, des centaines de manifestants se sont rassemblés devant l’entrée verrouillée de King Street au Capitole, en scandant « Enfoncez la porte ! » et « Grève générale ! » Quelques instants plus tard, la police a cessé de contrôler des portes de State Street et a permis à la foule de déferler à l’intérieur, rejoignant les milliers de personnes qui s’étaient déjà rassemblées au Capitole pour protester contre les votes. La zone située à l’extérieur de l’Assemblée, où il est prévu de présenter le projet de loi à 11 heures aujourd’hui, était bondée de manifestants qui scandaient « Nous ne partirons pas ». Pas cette fois-ci »…

Le porte-parole du département de l’administration, Tim Donovan, a déclaré que même si les manifestants étaient encouragés à partir, personne ne serait renvoyé de force. … Le maire Dave Cieslewicz a déclaré qu’il avait donné l’instruction … au chef de la police Noble Wray de ne pas permettre à ses officiers de participer à l’évacuation des manifestants du bâtiment ».

C’est ce qui s’était passé à Madison, Wisconsin, en mars 2011, comme nous l’a rappelé Steve Sailer. En effet, c’est ce à quoi s’attendaient les manifestants ; certains étaient habillés en tenues de carnaval flamboyantes ; ils se tenaient correctement, ils étaient pacifiques, ils restaient dans des limites acceptables. Il ne s’agissait pas d’une insurrection ; ils n’ont pas essayé de prendre le contrôle du Congrès de manière significative. Pour eux, c’était une façon honnête et drôle d’exprimer leur indignation. Mais les véritables comploteurs de stratagèmes avaient l’intention de les piéger. Ils ont même assassiné quatre manifestants en espérant que les leurs réagiraient avec violence, mais en vain.

Les manifestants blancs américains sont exceptionnellement non-violents ; comme pour Occupy Wall Street il y a quelques années, les manifestants du Capitole du 6 janvier étaient timides et obéissants comme des agneaux. C’est pour cette raison que le BLM a été inventé, car les Noirs sont capables de se révolter violemment, contrairement aux Blancs bien dressés. Ce n’est pas une question de race : les gilets jaunes français, blancs comme neige, et les nationalistes ukrainiens ont bien combattu la police. Mais les blancs américains ne sont pas enclins aux émeutes, pas depuis la guerre civile. En tant qu’étranger, je ne comprends pas pourquoi les Américains veulent garder leurs armes s’ils ne les utilisent jamais, mais c’est comme ça.

De toute façon, leur non-violence ne leur a servi à rien. Le président élu Biden leur a même dénié le titre de manifestants : « N’allez pas les traiter de protestataires. C’était une foule en émeute, des insurgés, des terroristes nationaux ». En effet, ce nom devrait être réservé aux pillards autorisés par l’État et à leurs frères dans le monde entier, que ce soit à Hong Kong ou à Minsk, à Seattle ou à Portland.  

Les réseaux sociaux russes on comparé les événements de Washington DC à ceux qui se sont déroulés plus près de chez eux et se sont plaints d’un « deux poids, deux mesures ». Les médias américains n’avaient pas exprimé d’indignation lorsque leur homme de paille Boris Eltsine avait bombardé le Parlement russe en 1993. Le New York Times et le Département d’État avaient encouragé la foule nationaliste à prendre d’assaut les bureaux du gouvernement ukrainien en 2014. Ils ont encouragé l’opposition à Minsk à prendre le contrôle de leur parlement après avoir échoué aux élections. Les manifestants biélorusses juraient que les résultats des élections de leur pays étaient truqués, tout comme les partisans de Trump l’ont fait pour les élections américaines, mais Biden ne les a pas traités de « terroristes nationaux ». (En fait, le président Loukachenko non plus : il les a qualifiés de « manifestants », et leurs manifestations violentes ont été dispersées sans qu’un seul coup de feu ne soit tiré). Dans ces cas-là, les Juifs ont l’habitude de répondre : « Comment pouvez-vous comparer ?!

Les Russes ont comparé la « tentative de coup d’État » au Capitole avec leur propre « coup d’État » de 1991, une provocation en partie planifiée à l’avance. En 1991, les organisateurs du faible coup de force n’avaient pas pu arrêter Eltsine et se sont rendus sans résistance ; la vague d’indignation a écarté Gorbatchev et le parti communiste du pouvoir. Au Capitole aussi, la police a fait entrer les « envahisseurs », comme vous pouvez le voir sur cette vidéo transmise par la BBC. D’autres vidéos suggérant l’implication de la police du Capitole dans cette provocation ostensible sont présentées ici. L’indignation orchestrée a permis aux vainqueurs de dénigrer et de chasser un Trump vaincu et ses partisans. Tout comme l’URSS s’est effondrée en août 1991, l’Amérique de Trump s’est effondrée en janvier 2021, et les élites libérales représentant les grandes corporations sont arrivées au pouvoir. Ce résultat a été obtenu grâce à une provocation, mais les partisans ordinaires de Trump étaient vraiment en colère contre le vol des élections. De même, 1991 était une provocation, mais les citoyens russes ordinaires étaient en colère contre la perestroïka de Gorbatchev, tandis que les élites libérales ont détourné cette expression de colère pour démanteler l’État soviétique et transférer tous les actifs à leurs oligarques.

Les gens qui ont une bonne connaissance de l’histoire se réfèrent à l’incendie du Reichstag de février 1933, l’incendie criminel inventé par le gouvernement nazi, nouvellement constitué, lui-même, afin de retourner l’opinion publique contre ses opposants et assumer les pouvoirs d’un état d’urgence. D’autres chercheurs ont cependant affirmé qu’il n’y avait aucune preuve de la complicité des nazis dans ce crime, mais que Hitler avait simplement profité de l’acte indépendant du communiste néerlandais van der Lubbe. Selon l’ Encycopaedia Britannica, l’incendie fait l’objet d’un débat et de recherches permanents. On dira probablement la même chose de l' »invasion » du Capitole, et les chercheurs se demanderont si ce sont les sous-fifres de Biden qui l’ont organisée ou s’ils ont simplement profité de la protestation sincère des trumpistes.

Cela ne fait aucun doute que pour un observateur objectif, les élections de 2020 ont été profondément piratées. Je ne vous ennuierai pas avec trop de détails publiés sur les résultats statistiquement impossibles[1], mais voici un exemple de fraude. La ville de Detroit a donné 95 % de ses voix à Biden/Kamala, un chiffre que M. Kim Jong-un considérerait avec une légère envie, tandis que M. Loukachenko murmurerait : « Comment est-ce possible ? Il est fort probable que ce résultat a été obtenu de la manière suivante:

 Les démocrates de Detroit ont externalisé la récolte des bulletins de vote, les sous-traitant à des barons locaux de la drogue, en leur offrant en échange des licences de commerce de marijuana à des fins récréatives. Ces licences sont ce qu’il y a de mieux depuis le permis d’imprimer de l’argent. Avoir de telles licences, c’est comme avoir son propre distributeur automatique de billets. Vous pouvez lire ici des informations sur leur rentabilité et toutes les démarches que les criminels sont prêts à faire  pour en obtenir. Les démocrates de Detroit ont modifié les lois locales autorisant la vente de marijuana dans leur belle ville (elle était interdite jusqu’en novembre 2020). Ils ont modifié les lois locales prescrivant la délivrance de licences de marijuana aux trafiquants de drogue ayant déjà été condamnés pour trafic de drogue. Ils ont fait sortir les barons de la drogue de prison. Ils ont modifié les lois locales pour permettre la récolte des bulletins de vote, c’est-à-dire la collecte des votes par correspondance et l’aide au remplissage des bulletins. Après cela, les trafiquants de drogue se sont mis à collecter les bulletins de vote par correspondance et à les remplir immédiatement, s’ils étaient consciencieux, ou à les remplir à leur guise, s’ils se sentaient paresseux. Ils avaient à leur disposition une juge, Cynthia Stephens, qui, à elle seule, a fait modifier les lois électorales du Michigan, puis a rejeté les accusations de fraude de Trump.

Oh oui, ma chère, il y en a eu, des fraudes électorales, et dans de nombreux États américains. « Les jeux de hasard, ils connaissent ; ils ne sont pas surpris par une belle main de quatre as », comme disait Mark Twain. Habituellement, les deux parties s’échangent leur place à tour de rôle et trichent chacun à leur tour. Mais cette fois-ci, Trump a convaincu beaucoup de gens que ce serait différent, et que c’était leur dernière chance.

Le problème, c’est que Trump était un mauvais organisateur. Il pouvait gagner les élections, s’il pouvait empêcher le genre de législation de Cynthia Stephens, interdire les bulletins de vote par correspondance, faire respecter l’obligation de présenter des papiers d’identité pour le vote, mobiliser son peuple pour le contrôle des élections. Une tâche redoutable, mais pas impossible, tout en ayant affaire à un adversaire prêt aux trucages. Il aurait même pu faire une révolution le 6 janvier, en mandatant les bonnes personnes pour agir, en formant un QG révolutionnaire, en planifiant une stratégie de prise de contrôle, mais il n’a rien fait de tel. Il pensait probablement que le Congrès verrait les vastes foules et autoriserait la vérification des résultats des élections.

Par ailleurs, il était si naïf qu’il croyait que les révolutions se produisaient toutes seules, comme dans les films. Ce n’est pas le cas. Derrière chaque révolution réussie, il y a beaucoup de planification, de forces armées, d’armes prêtes à l’emploi, de lignes d’approvisionnement, de logistique, de soutien dans les médias et de communications. Trump n’avait rien de tout cela. Il a suffi de lui couper son compte Twitter pour le rendre sourd et muet.

Il n’y a pas eu de tentative de coup d’État, comme l’a correctement déclaré Tyler Durden : « Trump n’a jamais eu la concentration, le sens de l’organisation ou la cohérence idéologique nécessaires pour monter un véritable putsch, et une intrusion de la foule qui a été rapidement dispersée par des agents armés de l’État n’y change rien. Peu après l’intrusion, il a diffusé une vidéo donnant pour instruction à ses partisans de ne pas prendre les sénateurs en otage ou d’emprisonner Mike Pence, mais de « rentrer chez eux ». Aucune faction du gouvernement fédéral ne s’est jointe à la foule sur ordre de Trump, car il ne s’est pas donné la peine d’en diffuser. Tout cet épisode n’a jamais eu la moindre chance d’empêcher la certification de Joe Biden, et encore moins de renverser le gouvernement. Ce n’était qu’une autre mascarade maladroite, et, en ce sens, une fin appropriée à la présidence de Trump ».

Les théories du complot ont joué leur rôle de leurre dans la débâcle. De nombreux trumpistes ont cru aux conspirations des QAnon et des Kayfabe ; ils ont publié des rapports sur l’arrestation de méchants, sur des serveurs confisqués par le FBI, sur Clinton et Biden attendant une justice brutale derrière les barreaux. Cette croyance a désarmé des gens qui, autrement, se seraient battus pour obtenir ce résultat. C’est le problème avec les conspirations : les conspirations imaginaires empêchent les actions réelles.

Néanmoins, je ne veux pas terminer cette pièce sur une note aussi triste et démoralisante. Le président Trump aura été un grand dirigeant. Il a réussi, contre toute attente, à améliorer le sort des travailleurs américains : pour la première fois depuis les années 1970, leurs revenus ont augmenté par rapport aux autres classes. Il a mis fin à l’immigration massive vers les États-Unis : l’immigration légale s’est réduite à un mince filet. Il a évité de nouvelles guerres ; il a essayé de faire la paix avec la Russie. Il a refusé de bombarder l’Iran, même dans les derniers jours de sa présidence, alors même que certains partisans d’Israël lui avaient promis un second mandat s’il y consentait.

Son combat contre la folie du Coronavirus a été sa grande réussite. Il était contre les confinements qui sont sur le point de détruire notre monde si complètement que peu de choses survivront. On se souviendra du dernier grand dirigeant américain qui n’a pas porté le masque de la lâcheté. Il n’a pas pu vaincre le puissant complexe médical, ou FAGMA, ou les maîtres du discours, mais il a essayé.

Le jour de sa défaite, le 6 janvier, c’était le jour de l’Epiphanie, ou l’Adoration des Mages, des Trois Rois Mages qui étaient venus adorer Jésus dans la grotte. C’était aussi la veille de Noël pour l’Eglise d’Orient. C’est la période la plus sombre de l’année ; dorénavant, le jour va s’allonger et nos espoirs vont remonter.

Joindre l’auteur: adam@israelshamir.net

Source: https://www.unz.com/ishamir/trumps-last-stand/

Traduction: Maria Poumier




Pr Dolores Cahill : Des gens mourront après avoir été vaccinés contre le COVID-19

[Source : Olivier Demeulenaere via Les 7 du Québec]

« Dolores Cahill, professeur au University College de Dublin et experte mondialement reconnue dans son domaine, prédit que des décès surviendront dans le monde entier comme conséquence directe de la prise des vaccins COVID-19.

Dans sa dernière interview vidéo, le célèbre professeur Dolores Cahill fait cette sombre prédiction en se basant sur ce que l’on sait déjà des vaccins, de leur développement précipité et de l’approche entièrement nouvelle utilisant l’ARN messager au lieu des anticorps conventionnels.

Comme presque tous les grands experts qui s’élèvent contre le discours officiel sur la pandémie, le professeur Cahill a subi des représailles professionnelles et personnelles. Dans son cas, Dolores Cahill a été contrainte de démissionner de son poste de vice-présidente du comité scientifique de l’Initiative en matière de Médicaments Innovants (IMI), un partenariat entre la Commission européenne et l’industrie du médicament visant à promouvoir les nouveaux médicaments.

« Pourquoi des gens vont commencer à mourir quelques mois après les “vaccinations” à ARNm »

Embarrassée par les dénonciations de Mme Cahill, la Commission européenne a condamné ses affirmations, déclarant qu’elle pourrait causer un « préjudice important » si elle était prise au sérieux ».

John O’SullivanPrincipia Scientific, le 5 janvier 2021

Traduction Olivier Demeulenaere

Voir aussi :

Catherine Austin Fitts et Dolores Cahill interviewées à Bâle par Maneka Helleberg, présidente de la World Freedom Alliance

https://youtu.be/QATXTbRKR04
(Mads Palsvig, 31 décembre 2020)

Rappels :

Catherine Austin Fitts : « Un virus magique… pour un coup d’Etat parfait » [ou ici]

PLANDEMIE – Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes

“Vaccin” contre le Covid : la mise en garde du Pr Perronne




Poursuites judiciaires contre les mesures Covid-19

[Source : Docs4 Open Debate]

International

ACU 2020 lance un recours collectif – 17 oct. 2020
La commission extra-parlementaire allemande ACU 2020 – corona a recueilli les témoignages de nombreux experts scientifiques internationaux importants, démasquant ainsi la crise de corona comme un scandale/fraude de corona d’une ampleur sans précédent.
En la personne de l’avocat Fuellmich, les initiateurs d’Acu2020 lancent une des plus grande actions en justice jamais entreprise sous la forme d’un recours collectif, une forme de procès dans lequel de nombreuses victimes peuvent ouvrir un dossier contre un tiers responsable de dommages subis à grande échelle. Les organisations criminelles responsables de cette immense catastrophe sanitaire et économique mondiale de la population seront jugées pour crimes contre l’humanité.
Dans cette impressionnante vidéo de 49 minutes (sous-titrée en néerlandais) de l’avocat Reiner Fuellmich, tous les faits sont présentés de façon très claire.

https://www.youtube.com/watch?v=ly7flUk6swQ

[NdNM : voir aussi : articles et vidéos relatifs à Reiner FUELLMICH]

[Source : www.ellaster.nl. Traduction automatique non révisée]

Poursuite internationale pour fraude au test PCR

par ELLA STER le 17 OCTOBRE 2020

La soi-disant deuxième vague est largement basée sur les résultats positifs du test PCR, ce qui entraîne des verrouillages persistants ou nouveaux et des mesures corona sévères. Selon Reiner Fuellmich, il y a un scandale de fraude coronaire. Les parties responsables seront inculpées dans une affaire devant un tribunal international.

Le Dr Reiner Fuellmich est l’un des quatre membres du Comité allemand de recherche Corona mis en place le 10 juillet 2020 pour examiner de manière critique la justification des mesures corona, mais aussi leurs effets néfastes. Le comité consulte un grand nombre de scientifiques et d’experts de renommée internationale.

Reiner Fuellmich n’est pas le premier à être le meilleur. En tant qu’avocat, il est membre de l’Ordre des avocats en Allemagne et en Californie depuis 26 ans, une ordonnance d’avocats qui suivent la jurisprudence anglo-américaine. En tant qu’avocat de première instance, il a par le passé intenté des poursuites fructueuses dans des affaires de fraude contre des géants tels que : Deutsche Bank, Volkswagen et Kühne + Nagel, un fournisseur mondial de services logistiques.

Le scandale de la fraude corona

Maintenant, il travaille avec un réseau international d’avocats sur le scandale de fraude Corona, « le plus grand délit jamais » et « probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis. » Reiner Fuellmich soutient que les responsables du scandale de fraude corona au niveau politique devraient être poursuivis pénalement et inculpés de dommages et intérêts civils.

Les mesures corona prises par d’innombrables gouvernements du monde entier ont « coûté d’innombrables vies » et « détruit l’existence économique d’innombrables entreprises ». Les mesures sont basées uniquement sur les résultats des tests PCR, une méthode de recherche basée sur le test allemand de Dresde.

« Avec tout ce que nous savons aujourd’hui, il doit être rebaptisé scandale corona et les responsables doivent être poursuivis pénalement et inculpés de dommages et intérêts civils au niveau politique. »

Les résultats positifs des tests pcr ont été injustement rejetés en tant qu’«infections ». C’est la justification des blocages mondiaux, des fermetures d’entreprises et d’écoles, des mesures d’un mètre et demi et des bouches-à-oreille obligatoires. La question clé est de savoir si les mesures ont été prises principalement pour protéger la santé publique, ou pour obtenir plus de contrôle et générer plus de profits pour l’industrie pharmaceutique.

Lobby massif des compagnies pharmaceutiques en Allemagne

Selon Reiner Fuellmich, l’Allemagne était « le centre d’un lobby massif des industries pharmaceutiques et techniques, parce que le monde, en ce qui concerne les Allemands dits disciplinés, devrait faire ce que les Allemands font pour survivre à la pandémie ». Les chiffres suivants jouent un rôle important à cet égard :

Un groupe de scientifiques fait valoir qu’il n’y a aucune raison de prendre des mesures de grande envergure

Selon Reiner Fuellmich, il y a de plus en plus de dénonciateurs, de scientifiques de renom, de médecins et de juristes qui soutiennent que le coronavirus n’était pas une raison pour les mesures de grande envergure. Il s’agit notamment de:

Bien qu’il soit reconnu que covid-19 est une maladie dangereuse, qui, comme la grippe saisonnière, peut parfois prendre un cours clinique sérieux et dans certains cas peut même conduire à la mort, ils affirment que les chiffres montrent que la maladie n’était pas plus grave que la grippe saisonnière.

Dans la vidéo ci-dessous, Reiner Fuellmich rend compte des conclusions de la commission d’enquête :

  • Une grande partie de la population a déjà accumulé l’immunité intercell ou t-cellule, contre ce soi-disant nouveau virus. Par conséquent, il n’y a aucune raison pour des mesures spéciales et certainement pas pour les vaccinations.
  • Il n’était pas question que les hôpitaux risquent d’être submergés par covid-19. C’est le contraire qui s’est produit, car de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour. Certains hôpitaux font maintenant face à la faillite en raison d’une pénurie de patients.
  • Il n’y a pas de mortalité élevée. Des études menées par le professeur Loannidis et d’autres montrent que la mortalité coronarienne est équivalente à celle de la grippe saisonnière.
  • Le taux de mortalité élevé chez les personnes âgées est plus susceptible d’être dû à l’échec des politiques, car les patients infectés par covid-19 ont été transférés des hôpitaux aux maisons de soins infirmiers. Là, ils ont infecté les personnes âgées avec un système immunitaire gravement affaibli, généralement en raison de conditions médicales préexistantes.

Alarmisme délibéré

Reiner Fuellmich affirme dans sa déclaration vidéo qu’un soi-disant « document de panique » a été divulgué écrit par le ministère allemand de l’Intérieur. Selon lui, le contenu secret montre hors de tout doute raisonnable que la population a en fait été délibérément poussée à la panique par les politiciens et les médias traditionnels. Il affirme également que M. Wheeler, le chef de la RIVM allemande, « a suivi ce script mot pour mot ». Reiner Fuellmich poursuit : « Dans ses déclarations publiques, il a continué à proclamer que la situation était très grave et menaçante, bien que les chiffres compilés par son propre institut aient prouvé exactement le contraire. »

« L’Allemagne était apparemment le centre d’un énorme lobby des industries pharmaceutiques et technologiques, parce que le monde, en ce qui concerne les Allemands soi-disant disciplinés, devrait faire ce que les Allemands font pour survivre à la pandémie. »

La vraie cause de la mort n’est pas cachée

En réalité, les autopsies réalisées en Allemagne par le professeur klaus Püschel, médecin légiste à Hambourg, ont montré que les décès qu’il avait examinés étaient presque tous causés par des conditions graves et préexistantes. En outre, presque toutes les personnes étaient mortes à un très âge, comme ce fut le cas en Italie.

Reinier Fullmich dit: « Le RKI allemand (l’équivalent du CDC) initialement, curieusement, a recommandé de ne pas effectuer d’autopsies. » Il parle également de « nombreux rapports crédibles selon laquelle les médecins et les hôpitaux du monde entier ont reçu de l’argent pour déclarer une personne décédée victime de COVID-19, plutôt que d’écrire la véritable cause du décès sur le certificat de décès.

Pas une pandémie coronale, mais une pandémie de PCR

La soi-disant « deuxième vague » qui a abouti au maintien des mesures, ou comme aux Pays-Bas un nouveau verrouillage, est basée uniquement sur les résultats positifs du test PCR. Cette méthode de test n’a jamais été approuvée à des fins diagnostiques. « Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente, cela ne signifie pas qu’on est infecté, et encore moins par le virus infectieux du SRAS-CoV2. Même les CDC américains sont d’accord », dit Reiner Fuellmich.

« Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente, cela ne signifie pas qu’on est infecté, et encore moins par le virus infectieux du SRAS-CoV2. Même la CDC des États-Unis (équivalent RIVM – n.) est d’accord.

DR REINER FUELLMICH

Le test PCR ne peut pas faire de distinction entre la matière inactive et la matière reproductrice (comme les particules infectieuses de réplication du virus – n.). Cela signifie qu’un résultat positif peut se produire, car le test détecte, par exemple, un fragment d’une molécule (froide). Cela ne peut être rien d’autre que de signaler que le système immunitaire de la personne testée a surmonté un rhume. « Les tests PCR sont si sensibles que même les personnes très en bonne santé et non infectieuses sont positives. »

Néanmoins, les médias grand public sèment la panique et la peur en supposant à tort que tous ces résultats positifs de PCR concerneraient les infections malades et infectieuses. Pendant ce temps, un certain nombre de scientifiques très respectés à travers le monde supposent qu’il n’y a jamais eu de pandémie corona, mais seulement une pandémie de test PCR. Ils soulignent explicitement qu’un test positif ne signifie pas qu’un virus intact a été trouvé.

« Il y a eu une véritable vague de maladies en mars et en avril, mais depuis, tout est revenu à la normale. Seuls les résultats positifs augmentent et tombent sauvagement maintes et maintes fois, selon le nombre de tests qui sont effectués. Mais les vrais cas de maladie sont terminés.

N’utilisez plus jamais les tests PCR comme outil de diagnostic

Carl Hennigan, professeur à la prestigieuse Université d’Oxford et directeur du Center for Evidence-Based Medicine, écrit que le virus COVID-19 ne disparaîtrait jamais si cette pratique de test se poursuivait, mais a toujours été détecté de manière incorrecte. Le Dr Mike Yeadon écrit que ce test n’est pas adapté, devrait être retiré immédiatement et ne devrait plus jamais être utilisé à ces fins. Le test PCR est maintenant injustement utilisé pour diagnostiquer une maladie, mais il semble créer la peur avant tout.

« Si les tests pcr n’avaient pas été utilisés comme outil de diagnostic pour les infections coronaires, il n’y aurait pas de pandémie et il n’y aurait pas de verrouillage, mais tout aurait été considéré comme une simple vague de grippe moyenne ou légère. »

Le « document de panique » détaillé et divulgué, rédigé par un fonctionnaire allemand au ministère de l’Intérieur, contient une évaluation des risques des mesures corona. On conclut qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves de graves risques pour la santé publique. Toutefois, on conclut qu’il existe de grandes preuves que les mesures corona mènent à d’énormes dommages pour la santé et l’économie. Reiner Fuellmich affirme que cela entraînera des demandes de dommages et intérêts très élevées, dont le gouvernement sera tenu responsable. Le fonctionnaire compétent et auteur du rapport a depuis été suspendu.

Responsable et complice

Reiner Fuellmich affirme que si des éléments de preuve irréfutables peuvent être démontrés que la fraude a été commise intentionnellement, comme la divulgation de faux faits relatifs aux critères pcr, il s’agit légalement d’un délit délictueux. Selon Reiner Fuellmich, ceux-ci peuvent même être légalement classés comme des crimes contre l’humanité réels, tels que définis à l’article 7 du Code pénal international. Les mesures corona qui en ont résulté ont causé des dommages dévastateurs à la santé publique et à l’économie.« Même en Allemagne et dans d’autres pays auparavant civilisés, les enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les règles de quarantaine. »

Parce que les grands médias n’ont pas signalé les faits réels de cette soi-disant pandémie, ils peuvent eux aussi être tenus responsables. Ils auraient pu savoir qu’il n’y avait pas de consensus sur le test PCR et auraient pu fournir aux opposants à la politique corona avec une plate-forme égale pour exprimer leurs points de vue. En raison des reportages non critiqués et unifatés, ils sont complices de créer une peur énorme parmi la population. Leur rôle a rendu impossible un débat ouvert sur les politiques et permet aux mesures de se poursuivre jusqu’à ce jour.

Avantages d’un recours collectif

Selon Reiner Fuellmich, un recours collectif est la meilleure façon de réclamer des dommages-intérêts aux parties responsables.

« L’avantage du recours collectif est qu’un seul procès est nécessaire. »

Un soi-disant recours collectif est fondé sur le droit anglais et est appliqué aux États-Unis et au Canada. Il permet à un tribunal d’accorder des dommages-intérêts sur la base d’un acte d’accusation, en vertu duquel d’autres parties dans d’autres pays ont la possibilité de se joindre au demandeur dans un délai qui doit être déterminé par le tribunal.

L’avantage du recours collectif est qu’un seul processus est nécessaire, à savoir traiter la plainte d’un demandeur représentatif. Les avantages sont les les plus importants :

  1. C’est moins cher.
  2. C’est plus rapide que des centaines de milliers de procès individuels.
  3. C’est moins onéreux pour les tribunaux.
  4. En règle générale, il permet un examen beaucoup plus précis des allégations.

En Allemagne, un groupe d’avocats s’est uni pour aider leurs clients à se remettre des dommages et intérêts. Ils ont depuis fourni aux demandeurs allemands tous les renseignements et formulaires pertinents pour évaluer les dommages qu’ils ont subis. Il existe également un réseau international d’avocats (qui s’agrandit de jour en jour) et s’occupe également de ce dossier.

Avec la conduite d’un procès (international), on peut non seulement obtenir des dommages-intérêts et de la justice, mais il conduira également à la divulgation et la divulgation de l’énorme fraude et les violations des droits de l’homme que de nombreux gouvernements et organisations ont commis.

https://youtu.be/ly7flUk6swQ

En cliquant sur le CC au bas de la vidéo, vous obtenez les sous-titres néerlandais. Si la vidéo est retirée de Youtube, vous pouvez la regarder sur Bitchute: https://www.bitchute.com/video/zarFW3hwuyBc/

Ella Ster* – France | source: ellaster.nl

Les articles écrits par moi ne peuvent être publiés que 1:1 ailleurs à condition que l’auteur Ella Ster* soit clairement répertorié en haut ou en bas de l’article. En outre, il doit être au bas de l’entrée: « Source: www.ellaster.nl »

À partager : une révélation absolue et un vrai must !

Belgique

-Arrêt de la Cour d’appel – 28 oct. 2020 
Arrêt de la Cour d’appel de Bruxelles sur le Covid 19 : Il n’y a pas de cadre juridique et les mesures ne reposent pas sur une base scientifique suffisante. Le texte a été distribué à tous les médias belges.
Le juge a décidé que les mesures prises doivent maintenant être scientifiquement justifiées, c’est-à-dire que leur utilité a été prouvée.
Les mesures proposées par les plaignants sont plausibles.
L’accent devrait être mis sur :

  • la protection des patients à haut risque
  • le renforcement des soins – médecins généralistes, hôpitaux, centres de soins lunaires
  • ouvrir l’économie et rendre la liberté au peuple

Ceci est en accord avec la Déclaration de Great Barrington : Protection ciblée
https://www.viruswaanzin.be/post/belgische-burgers-vs-belgische-staat-inzake-corona 

Texte de l’arrêt
Communiqué de presse Arrêt

-Un juge belge rejette une amende pour « non-respect de la quarantaine » comme étant anticonstitutionnelle – 13 oct 2020
https://www.rtl.be/info/belgique/faits-divers/coronavirus-prononcer-un-peine-pour-non-respect-du-confinement-est-illegal-a-decide-un-juge-du-hainaut-1251218.aspx?fbclid=IwAR26ANNvp6eijqJ-KKxEdv-XQVIV-5URf6FoyIFx4A0WnlkyNW-yxEvNP4E

-Les citoyens luttent contre le couvre-feu anticonstitutionnel – 26 oct. 2020
https://geenvodjepapier.be/open-brief/?fbclid=IwAR3dMcwvecBoehMWUjUKM_W5gDW_nejLh5oiIBPLh4kD-CCWSPmdyKVk78Y 

Allemagne

Le tribunal de Berlin rejette le couvre-feu pour les bars/restaurants comme étant disproportionné – 16 oct. 2020
https://www.dw.com/en/germany-berlin-court-suspends-bar-and-restaurant-curfew/a-55306096

Autriche

La Cour suprême autrichienne juge illégale l’obligation de porter un masque buccal pour les enfants 23 déc. 2020
https://www.20minutes.fr/monde/2938679-20201223-autriche-cour-supreme-juge-masque-obligatoire-ecole-cours-alternance-illegaux

Bosnie-Herzégovine

Cour suprême : L’obligation de porter un masque buccal ainsi que la restriction de la liberté de circulation sont inconstitutionnelles. 22 déc. 2020
https://www.fena.news/bih/constitutional-court-masks-and-movement-restriction-are-human-rights-violation/

Espagne

La Cour rejette le verrouillage partiel de Madrid – 8 oct. 2020
https://www.vrt.be/vrtnws/nl/2020/10/08/spaanse-rechtbank-verwerpt-gedeeltelijke-lockdown-in-hoofdstad-m/

France

Tribunal de Toulouse : Obligation de porter un masque illégal – Arriège 24 déc 2020
https://actu.fr/occitanie/foix_09122/ariege-l-arrete-prefectoral-imposant-le-port-du-masque-dans-tout-le-departement-juge-illegal_38340364.html?fbclid=IwAR3jtMuWq1oLWcKr1CeaxuD5QhDN0BdKs3bvt7sQ4UxMtOMhpLZ8ykCkOCw

Synthèse de toutes les procédures judiciaires en cours en France :
Ce site web contient des formes de responsabilité personnelle que chaque citoyen peut soumettre à son propre médecin, à ses ministres, …
https://reaction19.fr/

Portugal

La Cour d’appel portugaise estime que les tests PCR ne sont pas fiables et lève la quarantaine. Seuls les médecins sont légalement autorisés à déclarer une personne malade, personne ne peut déclarer une personne malade par décret ou loi ou comme conséquence administrative d’un test de laboratoire. Seul un médecin est autorisé à le faire.
https://tkp.at/2020/11/17/portugiesisches-berufungsgericht-haelt-pcr-tests-fuer-unzuverlaessig-und-hebt-quarantaene-auf/

Royaume-Uni

Une équipe juridique de haut niveau prépare les poursuites pénales individuelles du parlement qui a signé la loi Coronvirus 2020 pour fraude, trahison et génocide – inédites depuis W.O. II. – 16 oct 2020
https://niburu.co/37-artikelen/wereld/15613-advocaten-staan-op-om-overheden-strafrechtelijk-te-vervolgen

https://www.thebernician.net/private-criminal-prosecution-of-parliament-top-legal-team-engaged/?__cf_chl_jschl_tk__=bd5998bfbae59116f1893ec54ae4f083a6d58795-1604501709-0-ASPoFuOfgjF3L9lm0nSuChFtU8Y7ASFlRsWI780gwn8AqiHtoH_8sgwsZ0C3t60tQHP4mWNqMO8nhtJgzv5Ljau4WO4tflo8nyvRTtJhyCwIunjliRQzOmpDmgLJczWpIcMug4VRVi379KqnC-YzmSt6X5QvdZ3AFORWIXMj9MrlgKAduAOl7FJNKtW7Y4FoAVkGHmHY3fjTlB7jj-Ki7C_h6iAZ_s1XDza6NDw-fHCkZXzLe71ze9pM1o7yuI-jQR0I69JAyzzB27TKc2RjZYJ93yNXqBw7EkJHMZbTeIG0zvwp5LccM3V08HtFzzY1zgA6ztNluw3ONxeKfVKGCnUcg1GBM9PlTzB3VqMz50Cn

Australie

Une association d’avocats (www.concernedlawyersnetwork.net) lance une procédure de fraude Covid contre le gouvernement australien corrompu
https://principia-scientific.com/covid-fraud-lawyers-file-action-against-corrupt-australian-government/

Canada

Poursuite judiciaire : Déclarer les mesures actuelles prises non légales – poursuite contre l’État Canadien.  
Dépôt à la Cour du Québec (français) 18 décembre 2020

Les experts internationaux apportent des réponses fondées à de nombreuses questions pratiques.

Rapport d’experts
Rapport d’experts : Le Covid est-il un risque pour l’ensemble de la population ? Les verrouillages sont-ils utiles ? Les enfants peuvent-ils signaler des infections ? ….  18 déc. 2020

[Source : Guy Boulianne :




5G mon amour : enquête sur la face cachée des réseaux mobiles

[Source : La Maison du 21e siècle André Fauteux]

L’auteur de ce récent livre, le journaliste d’enquête français Nicolas Bérard, a été interviewé par Stéphan Bureau, animateur de l’émission de radio Bien entendu, à Radio-Canada, ce 7 janvier 2021.

5G mon amour – Le site du journal L’age de faire (lagedefaire-lejournal.fr)




Les démocrates paniquent? Où est passé l’ordinateur de Pelosi?

[Source : Carrefours du monde]

Une offensive sans précédent de la censure dans les médias sociaux dominants, envers les conservateurs en général, et le président Trump et ses proches soutiens en particulier.

Le président Trump n’a pas terminé son mandat, pourtant Facebook, Instagram et Twitter ont supprimé son compte.

Selon les dernières nouvelles du 8 janvier, les comptes du président Trump, des avocats Lin Wood et Syndey Powell ont tous été supprimés.

Alors beaucoup cherchent une solution de repli et se tournent vers l’application Parler.

Pourtant, Parler aussi est visé par cette offensive de la big tech : Google, Apple et Amazon ont ciblé la plateforme dans une action qui semble coordonnée.

Regardons maintenant quelques informations venant de Californie et qui concernent la lutte contre l’épidémie de COVID19.

Selon les directives de l’État publiées par le ministère californien de la santé le 6 janvier, les résidents californiens ont désormais interdiction de voyager à plus de 200 kilomètres de leur habitation.

Le 6 janvier, le régime chinois, en collaboration avec le gouvernement local, a lancé une vague d’arrestation massive à Hong Kong.

Plus de 50 militants pro-démocratie ont été arrêtés et accusés d’avoir violé la loi de sécurité nationale de Hong Kong.

Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a annoncé qu’il répondrait par une nouvelle série de sanctions contre le gouvernement chinois.

Il enverra également l’ambassadeur des Etats-Unis aux Nations Unies, Kelly Craft, à Taïwan pour protester contre la répression à Hong Kong.

La date exacte a déjà été confirmée. Craft se rendra à Taïwan du 13 au 15 janvier.

C’est la première fois que les États-Unis envoient un ambassadeur des Nations unies à Taïwan.

Beaucoup de gens attendaient le rapport du directeur des services de renseignement américains sur l’enquête relative à l’ingérence étrangère dans l’élection.

Le rapport tant attendu a finalement été rendu public le 7 janvier dernier. 14 pages ont été remises à la commission du Sénat sur le renseignement et diffusées sur certains médias américains.

Au même moment, le directeur national du renseignement américain, John Ratcliffe, a signé une lettre non classifiée de trois pages qui a été remise au Congrès et à certains médias.

Dans cette lettre non classifiée, nous apprenons que Ratcliffe lui-même ne pouvait pas prendre toutes les décisions concernant le rapport d’enquête.

L’Associated Press a rapporté que le Pentagone et le Département de la Justice ont tous deux offert leur aide à la police du Capitole le 6 janvier, mais que ces deux offres ont été rejetées par cette dernière.

Par ailleurs, il y a de plus en plus de preuves montrant l’implication de l’extrême gauche dans l’incident.

John Sullivan, un membre de « Black Lives Matter » de l’Utah, a participé à la prise d’assaut du Capitole. La police l’a arrêté le 7.

Mo Brooks, membre républicain de la Chambre des représentants des États-Unis, a également tweeté que « de plus en plus de preuves montrent que l’ANTIFA a orchestré l’attaque du Capitole avec des tactiques intelligentes de contrôle de la foule ».

Le 8 janvier, Nanci Pelosi a écrit une lettre à ses collègues démocrates du Congrès pour donner une impulsion à la destitution du président Trump avant le 20 janvier.

La gauche radicale tentent d’utiliser l’incident du Capitole pour attaquer davantage le président Trump.

Mais d’un autre côté, le lieutenant-général Thomas McInerney s’est exprimé à la Maison Blanche et une vidéo circule sur internet.

Il dit que des membres des forces spéciales ont profité de l’évènement du Capitol pour obtenir l’ordinateur portable de Nancy Pelosi. Il parle de « haute trahison ».

Ceci expliquerait pourquoi elle est devenue frénétique depuis, et pourquoi elle fait pression pour destituer Trump au plus vite alors qu’il ne reste que quelques jours avant le 20 janvier.

https://youtu.be/0dDtgYGzF5s



Prétendus « vaccins » Covid-19 à ARNm — Dr David Martin : Ne croyez pas ce qu’on vous dit !

[Source : Shining Traduction]

Robert Francis Kennedy Jr, l’avocat canadien Rocco Galati, le Dr David Martin et la scientifique Judy A. Mikovits se sont réunis pour nous alerter contre la manipulation autour de la stratégie de soin.

Il ne s’agit pas d’un vaccin, mais d’un dispositif médical qui délivre un pathogène synthétique !

Lien de la vidéo originale : This is Not a Vaccine – AWAKENING CHANNEL

https://youtu.be/z4uD4SPufFI