Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?

[Source : cielvoile.fr]






Peut-on encore sauver la France ?

[Source : Union Populaire Républicaine]

Quel que soit l’angle sous lequel on la considère, la situation de la France est catastrophique. Les promesses de prospérité, de paix et de liberté dont on nous rabâche les oreilles depuis bientôt 30 ans, depuis l’entrée en vigueur du Traité de Maastricht le 1er novembre 1993, se révèlent être une gigantesque arnaque.

Loin des lendemains qui chantent, que l’on nous annonce à chaque élection, la France plonge dans le désastre sous l’œil satisfait de l’Oncle Sam, et ceci dans tous absolument tous les secteurs :

  • – économie
  • – énergie
  • – démographie
  • – sécurité
  • – justice
  • – défense
  • – immigration
  • – budget
  • – agriculture
  • – industrie
  • – emploi
  • – instruction
  • – défense nationale
  • – diplomatie
  • – santé
  • – culture
  • – cohésion sociale

LA FRANCE EST EN DANGER DE MORT !

Tout ceci se déroule dans une indifférence générale entretenue par les médias oligarchiques et le service public de l’information.

Inlassablement, depuis plus de 16 ans, François Asselineau pointe les causes de ces malheurs qui s’abattent sur notre pays, il parcourt la France dans le but faire sortir les Français de cette léthargie délétère pour leur patrie, pour qu’ils se réveillent et réalisent le péril que l’on peut encore éviter.

Dans cette vidéo, François Asselineau pose la question ultime : peut-on encore sauver la France ?

Il apporte la réponse, oui, et c’est aux Français de réagir, ils ont le salut de la France entre leurs mains.

Le message est simple, Français redressez-vous, sans cela la France va mourir.

[Note de Joseph :
Pour réellement sauver la France, sortir de l’OTAN, de l’UE, de l’OMS, de l’OMC et d’autres organisations internationales de contrôle serait-il suffisant ?
Ne faudrait-il pas aussi sortir du Système, notamment celui de la « République » et de la prétendue « Démocratie » qui n’est pas « le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple », mais toujours celui d’une relative majorité sur le reste, une supposée majorité qui même dans la pratique électorale est toujours inférieure à la moitié de la population, compte tenu des personnes qui ne peuvent voter (notamment les plus jeunes) et des abstentions.
Voir Changer le Système ?]




La Catastrophe Républicaine

[Source : AVATAR Media]





Alexis Poulin : « Nous sommes déjà dans une société du crédit social qui ne dit pas son nom. »

[Source : businessbourse.com]

L’émission complète : https://www.youtube.com/watch?v=eGPOkJeqfyM




La vérité brutale : contre le Forum Économique Mondial, l’Organisation Mafieuse de la Santé et le WOKISME…

[Source : Amelie Paul via les7duquebec.net]




Alex Soros a promis de censurer les conservateurs et les journalistes indépendants en ligne « 100 fois plus agressivement » que son père George

[Source : strategika.fr]

Source : thepeoplesvoice.tv — 12 juin 2023

https://thepeoplesvoice.tv/alex-soros-vows-to-eradicate-conservatives-from-the-internet-im-100-times-worse-than-my-dad/

À la suite de l’information selon laquelle le milliardaire d’extrême gauche George Soros a cédé à son fils le contrôle total de son empire de 25 milliards de dollars, Alex a exposé sa vision despotique de l’avenir de l’internet dans une interview accordée au Wall Street Journal.

« Je suis beaucoup plus politique », a déclaré Alex Soros se comparant à son radical de père.

« Même si j’aimerais que l’argent disparaisse de la politique, tant que l’autre camp le fera, nous devrons le faire aussi », a-t-il affirmé.

D’après Slaynews.com, les comités d’action politique financés par Soros sont devenus un facteur majeur dans les élections américaines.

George Soros a été le plus grand donateur du parti démocrate lors des dernières élections américaines et son financement des petites élections de procureurs locaux lui a permis de prendre le contrôle du système judiciaire américain.

Alex Soros a déclaré qu’il s’efforçait actuellement d’améliorer le soutien des Hispaniques et des Noirs aux politiciens démocrates.

Selon Fox News, le nouveau chef de l’empire Soros s’est rendu au moins 17 fois à la Maison-Blanche du président démocrate Joe Biden depuis 2021.

Trois visites ont eu lieu entre le 8 et le 10 février, selon Slay News.

Plusieurs hauts fonctionnaires de l’administration Biden figurent sur les registres des visiteurs comme étant ceux qui ont rencontré Alex Soros.

« Alexander Soros est prêt à diriger le réseau politique et philanthropique de sa famille, qui pèse plusieurs milliards de dollars », a déclaré Scott Walter, président du Capital Research Center, selon le Washington Examiner.

« Comme son père, il s’acoquine avec les dirigeants de la Maison-Blanche et du Congrès qui sont prêts à obéir aux ordres de la famille sur des questions telles que la criminalité, l’immigration, la politique électorale et bien d’autres encore, tandis que les Soros exploitent tous les types de dons : argent aux partis, groupes de dépenses indépendants et soi-disant “organisations caritatives” », a-t-il ajouté.

Selon le New York Post, Mike Howell, directeur du projet Oversight à la Heritage Foundation, a déclaré que l’accès d’Alex Soros à la Maison-Blanche de M. Biden constituait une préoccupation majeure.

Howell pense que la famille Soros a déjà « causé d’énormes dégâts à notre pays ».

« Le programme de Soros est un programme de mort et de destruction au nom de l’ouverture des frontières et de la fin de la civilisation occidentale », a-t-il déclaré.

« L’administration Biden et le mouvement des procureurs véreux pourraient être son investissement le plus dommageable pour l’Amérique à ce jour ».

Matt Palumbo, auteur de « The Man Behind the Curtain: Inside the Secret Network of George Soros » (L’homme derrière le rideau : le réseau secret de George Soros), a déclaré que la famille Soros était profondément ancrée dans l’administration Biden.

« Dans toute la Maison-Blanche, il y a une emprise Soros quelque part, et son fils est le nouvel ambassadeur de son père », a déclaré M. Palumbo.

Le président de Judicial Watch, Tom Fitton, a déclaré que, quel que soit l’homme de paille de la fondation et des PACS soutenus par Soros, George Soros est toujours aux commandes.

« Ne vous laissez pas distraire par le nom d’Alex dans le registre des visiteurs ; c’est un représentant de George Soros qu’ils cherchent à rencontrer à la Maison-Blanche de Biden », a déclaré Fitton.

« C’est toujours lui qui mène la danse. »

« C’est son argent, ce sont ses fondations. »




Le pacte Russie-Chine et la conspiration Marx-Rothschild

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Un pacte Russie-Chine d’envergure mondiale correspond exactement au plan ancestral de la haute finance maçonnique. Otto Kahn, l’un des banquiers et francs-maçons de haut grade les plus célèbres des États-Unis, l’a révélé ouvertement en 1919 :

« Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle des richesses, et par le bas, via la révolution. »

Poutine est en train de mettre définitivement en œuvre ce plan ancestral, mais tout à fait comme il l’entend – et non comme le scénario le prévoit…

Transcription

Aucun gouvernement sous ce ciel n’est vraiment indépendant. Depuis des siècles, tout est infiltré de manière ciblée et stratégique par une haute finance parasitaire. Telle une tique, cette sangsue de la haute finance se niche secrètement dans les États-nations pour en faire des centres de direction stratégiques. L’objectif est toujours le nouvel ordre mondial de cette société secrète, parfois aussi appelée État profond. Si un « hôte » infiltré par cette tique tente de la secouer de sa fourrure, on lui coupe les vivres sur-le-champ. Si cette mesure ne suffit pas, il est soumis à la terreur, voire à la guerre ouverte, et ruiné — le printemps arabe nous en a donné une idée. Ces sangsues pensent et dirigent tout à l’échelle mondiale. Depuis longtemps déjà, les grands financiers qui gouvernent secrètement depuis la clandestinité s’efforcent de faire de la Chine leur prochain centre de domination mondiale. À cette fin, ils ont depuis longtemps érigé en Chine leurs bâtiments administratifs mondiaux sous forme de gigantesques gratte-ciel. Enfin, ceux-ci ne doivent plus rester vides. Le simple fait que la « Chine » ait été encensée pendant longtemps par nos médias financés par des redevances obligatoires montre que nous en sommes arrivés là. Mais de sérieux problèmes apparaissent à l’horizon. Nous verrons bientôt si ces problèmes se concrétisent ou pas. Pour nous, les peuples trompés, cela ne fera finalement aucune différence, comme je l’expliquerai plus tard. Pour l’instant, on constate en tout cas une fraternisation entre la détestée Russie de Poutine et la Chine. D’autre part, dès le début de l’année 2022, la Chine a déjà amassé des ressources essentielles partout dans le monde, comme jamais auparavant dans l’histoire. Comme, par exemple, 69 % de toutes les réserves mondiales de céréales, des matières premières allant du bois aux terres rares, des denrées alimentaires sans mesure.

La Russie aurait en effet dû devenir depuis longtemps le centre de direction de la haute finance qui gouverne secrètement l’Europe, ce qui a entraîné des problèmes de plus en plus importants. Mais la haute finance mondiale ne tolère plus des conditions moyenâgeuses. Elle veut tout le pouvoir et toutes les richesses pour elle seule et élimine tous les marginaux et les rivaux autocrates.

Rappelons qu’au haut Moyen-Âge, une période où l’argent circulait sans intérêts a conduit à une répartition si égale des richesses qu’il n’y avait presque plus de différences de fortune entre les classes laborieuses et la noblesse. Vers le milieu du 15e siècle, cette période s’est définitivement effondrée, si bien que le système monétaire à intérêts, inactif au Moyen-Âge, a été réactivé à la manière de la Rome antique. Une redistribution continue des richesses des travailleurs vers les prêteurs d’argent a repris pendant des siècles. La redistribution automatique par le biais d’un système monétaire basé sur des intérêts a ensuite conduit à la création de la Banque d’Angleterre en 1694 et en conséquence à la formation visible d’une nouvelle haute finance mondiale selon le modèle de la Rome antique.

Les fondateurs de la Bank of England privée ont pris le pouvoir sur l’Angleterre et le Commonwealth, c’est-à-dire sur cette communauté des Nations qui leur est soumise. Depuis cette date et jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, l’Angleterre a été le centre de direction de la haute finance mondiale. Le déclin économique de l’Angleterre après la Seconde Guerre mondiale montre à quel point un pays est rapidement mis hors-jeu lorsque la haute finance ne peut ou ne veut plus l’utiliser comme centre de direction mondial. C’est exactement le sort qui attend maintenant les États-Unis, car le centre de contrôle mondial a été déplacé en Chine. Dans les années 1780, la haute finance a réussi à développer son sinistre réseau de sociétés secrètes, de services secrets, d’adorateurs du diable et de criminalité organisée pour en faire un État profond mondial, par lequel elle contrôle et dirige l’Humanité depuis lors. Au cours du 18e siècle, elle a pris le contrôle de presque tous les États européens, ce qui, à l’époque du colonialisme, était synonyme de contrôle du monde. Il ne lui manquait alors que le contrôle de la Russie.

Comme nous l’avons déjà mentionné, la Russie, que la haute finance avait déjà infiltrée lors de la révolution russe, devait se transformer en un empire soviétique eurasien. Mais, comme nous pouvons le constater chaque jour, les choses ont mal tourné — car leur marionnette maçonnique Vladimir Poutine ne s’est pas montrée aussi loyale que prévu. Depuis longtemps, il s’est détaché de la laisse et veut décider lui-même où il veut aller. Peut-être que l’administration américaine elle aussi maçonnique et son Pentagone ont vraiment aiguisé l’appétit de Poutine avec ce qui s’est passé le 11 septembre. Avec la Chine en revanche, le plan de la haute finance souterraine semblait jusqu’à récemment se dérouler sans accroc. Ce n’est pas pour rien que les médias de masse, qui se trouvent tous sous la dictature de cette haute finance, ont de plus en plus vanté la Chine comme un grand modèle social. Mais pourquoi une élite de la haute finance devrait-elle faire l’éloge d’une dictature communiste ?

Il est urgent que nous apprenions à comprendre que la haute finance construit sa dictature mondiale sur la voie de la dialectique entre le capitalisme de haut niveau et le communisme. La dialectique signifie la tactique qui consiste à faire toujours deux pas en avant, puis un pas en arrière « dans un esprit de compromis, en quelque sorte ». La différence entre le capitalisme de haut niveau et le communisme est… qu’il n’y a pas de différence ! Car le capitalisme n’est que le début et le communisme la cible d’un seul et même agresseur. Le capitalisme est utilisé pour faire avancer le communisme. Et le communisme est utilisé pour faire avancer le capitalisme — mais l’objectif de cette approche dialectique est une dictature communiste mondiale. Mais pourquoi une telle dictature ? C’est la question que se posent tous ceux qui ont conservé l’innocence de leurs interrogations : Comment la haute finance peut-elle trouver faveur dans le communisme — ces contraires ne s’excluent-ils pas complètement ? Eh bien non, justement, parce que le capitalisme comporte une redistribution automatique des richesses des travailleurs vers les plus riches. Le communisme, tel que nous le connaissons dans les pays dévastés du bloc de l’Est, est toutefois une abomination pour une société prospère ; c’est pourquoi toutes les nations prospères doivent être au préalable subtilement plongées dans la misère et le chaos.

[Voir aussi :
Le Grand Réveil]

D’une part cela se fait systématiquement en transférant imperceptiblement de plus en plus de richesses nationales dans les mains de quelques rares super-riches, comme on l’a vu au cours des siècles passés. D’autre part, la misère peut également être provoquée par un terrorisme ciblé et des crises délibérément attisées. Nous y reviendrons plus tard.

C’est en tout cas ainsi que ces familles de l’élite ont successivement pris le pouvoir sur l’Humanité, car nous dépendons tous de leur argent. Et grâce à cette dépendance, un nombre incalculable de personnes sont devenues corruptibles et sujettes au chantage. En d’autres termes, en détruisant le capitalisme des classes moyennes, le capitalisme de la haute finance transfère systématiquement toute la richesse nationale entre les mains de quelques super-riches et, avec cette richesse nationale, tout le pouvoir. Le communisme est son meilleur allié. Dans un zèle aveugle, il conduit fidèlement à l’état final du capitalisme d’État par la voie la plus directe, en donnant à une petite élite tout le contrôle de la richesse nationale et donc le pouvoir sur l’Humanité entière.

Vous tous, les communistes, reconnaissez s’il vous plaît ce que je dis ici et voyez clair dans ce jeu malsain. Vous finirez par devenir des esclaves sans droits de cette haute finance, tout comme le reste du monde, si nous n’ouvrons pas maintenant de nouvelles voies. Vous en saurez plus à la fin de cet exposé. Croyez-le bien, personne d’autre que ces capitalistes de la haute finance ne sera finalement votre propriétaire et votre État communiste tant désiré. En tout cas, ils vous ont depuis longtemps instrumentalisés, vous les communistes, à leurs propres fins, tout comme le christianisme par exemple. Car tous les faux dévots, avec leurs églises et leurs communautés, et bien sûr tous les faux religieux, conduisent eux aussi à l’état final du communisme de la haute finance par la voie la plus directe, et ce par leur attitude fondamentalement mal comprise, soit passive, soit extrémiste. En fin de compte, le capitalisme et le communisme mènent tous deux à ce port d’arrivée où l’individu est non seulement totalement dépourvu de biens, mais aussi définitivement privé de droits et de pouvoir. Mais comme la haute finance est surtout intéressée par le pouvoir sur l’Humanité et pas seulement par sa fortune, le capitalisme ne sert que d’outil, le communisme, ou plutôt la dictature communiste mondiale étant le véritable objectif.

Pour ceux qui doutent encore, voici une citation du pape maçonnique de la haute finance Otto Kahn. Déjà en 1919, il disait textuellement dans une conférence à Budapest :

« Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle de la richesse, et par le bas, via la révolution. »

En 1929, le franc-maçon de haut grade Blumenthal l’a exprimé de manière encore plus claire dans le journal suédois « Judisk Tidskrift » Écriture n° 57 :

« Ce n’est que récemment que notre race a donné au monde un nouveau prophète. Mais celui-ci a deux visages et porte deux noms : d’un côté, son nom est Rothschild, de l’autre Karl Marx. »

Aussi longtemps que cette haute finance mondiale fonctionnera, peu importe comment l’Humanité évoluera — quoi qu’il arrive — les élites tenteront toujours d’instaurer une dictature communiste mondiale, et ce, même si le fameux État profond n’existe plus. Le marxisme, le communisme et leur descendant, le socialisme, n’incarnent rien d’autre que le capitalisme d’État et la domination par une minorité privilégiée qui aspire à un contrôle despotique et total de l’Humanité et veut lui retirer non seulement tout droit, mais aussi toute propriété. On voit tout simplement partout comment le capitalisme et le communisme se servent l’un l’autre à merveille. Et nous retrouvons le même phénomène de la Chine à la Russie et à l’Europe : partout, les multimilliardaires rôdent et partout règne un État quasi omnipotent. Nous, dans l’espace germanophone, nous sommes, tout comme la Russie et la Chine, sur la bonne voie pour n’avoir plus que des groupes puissants et un pouvoir centralisé à Bruxelles sur nous, de sorte que l’individu se retrouve finalement sans aucun droit d’intervention, sans aucun pouvoir et sans aucun droit. En bref, le capitalisme et le communisme forment une équipe de haut niveau, qui est également puissamment favorisée chez nous en Europe. Il en va de même aux États-Unis, où le pouvoir est également entre les mains des multimilliardaires et au centre de Washington. Le capitalisme et le communisme vont toujours de pair et l’individu devient de plus en plus impuissant. De nos jours, nous pouvons le constater de nos propres yeux, nous nous dirigeons déjà tout droit vers une dictature communiste mondiale.

Ce n’est donc pas seulement depuis la Première Guerre mondiale que la haute finance maçonnique contrôle tous les gouvernements nationaux sans exception, mais aussi tous les principaux médias de masse de ce monde. Dans tous les domaines essentiels, il existe malheureusement une obligation d’exécuter leur volonté, de sorte que les évolutions positives en faveur de l’Humanité ne sont plus guère possibles. L’Humanité libre est fortement harcelée et opprimée à tous égards par cette haute finance mondiale secrète. Et ce, bien que cette dernière ne soit composée que d’un nombre raisonnable de familles de milliardaires. Pourtant, ces derniers contrôlent l’ensemble du système monétaire de la planète depuis 1913, c’est-à-dire depuis la création de leur système privé de réserves fédérales, appelé FED. Ils sont parvenus à nous rendre tous totalement dépendants de leur argent avec un système hallucinant d’intérêts et d’intérêts composés. C’est pour cette raison que cette élite secrète est appelée l’État profond mondial. Il s’agit donc, comme nous l’avons mentionné, d’un réseau de sociétés secrètes dont les chefs suprêmes sont tous, sans exception, des adorateurs du diable. Ceux-ci sont liés depuis bien plus de 200 ans aux services secrets et au crime organisé, etc. Il suffit de penser à leur guerre de l’opium, qui n’était que le premier maillon d’une gestion du chaos délibérément orchestrée pour prendre le contrôle de la Chine. Ils contrôlent de plus en plus tous les gouvernements, les médias d’information, les systèmes juridiques, les institutions d’enseignement, les sciences et autres choses similaires. En résumé, ils contrôlent l’ensemble de l’Humanité depuis l’ombre. Ils y parviennent parce qu’ils ont réussi à infiltrer habilement nos systèmes étatiques à tous les postes clés. Et au-dessus de chaque zone capturée où ils ont réussi à prendre le contrôle total de la planète, ils font comme les anciens pirates. Lorsque ces derniers s’étaient emparés d’un navire, ils hissaient leur drapeau avec une tête de mort et des os croisés. Les drapeaux des élites dirigeantes mondiales sont en revanche beaucoup plus discrets et accueillants. Regardons donc quelques-uns de ces drapeaux. Ils signalent tous la souveraineté absolue. Comme nous allons le voir, ils existent sous forme d’emblèmes de souveraineté sur la terre, l’air, l’eau et d’autres encore. Et nous n’avons même pas remarqué qu’il s’agit en fait toujours d’un seul et même signe de souveraineté.

Au centre se trouve la couronne de laurier. Depuis l’Antiquité, elle est considérée comme l’attribut du vainqueur, un porte-bonheur et un symbole de pouvoir. La couronne de feuilles de laurier pouvait être le trophée dans le sport, mais les empereurs romains la portaient également. Dans la mythologie antique, le dieu Apollon porte une couronne de laurier.

Là, il symbolise la suprématie sur les cieux

Apollo 11

Là, Apollo symbolise la souveraineté sur l’espace

Et de même que dans la Rome antique, un laurier était considéré comme sacré et ne pouvait donc être ni profané ni brûlé, de même toute organisation de souveraineté globale des élites est considérée par eux comme quasi sacrée et intouchable !

Organisation Mondiale de la Santé

Vous voyez cette couronne ? Une organisation maçonnique ! Souveraineté sur toute la santé des hommes.

Oui, et nous nous sommes heurtés à ce principe d’intangibilité, notamment lors de la campagne du Covid19. Et de nouveau ces jours-ci, parce que l’OMS vient d’élaborer, dans le cadre d’accords secrets, de nouvelles lois contraignantes à l’échelle mondiale, qui doivent lui conférer la suprématie sur l’ensemble du système de santé, c’est-à-dire en quelque sorte la domination mondiale cachée.

Au lieu de mettre sous les verrous ces personnes qui ont récemment causé des dommages au monde entier, elles planifient déjà en secret une prochaine campagne de domination mondiale.

Pour en venir tout de suite au fait : C’est précisément l’objectif déclaré de la franc-maçonnerie de haut grade depuis des siècles, c’est pourquoi derrière presque tous les logos de lauriers se trouvent des fondations, des organisations et des associations maçonniques. Pour n’en citer que quelques-unes :

Les Nations unies et toutes leurs organisations subsidiaires :

Remarquez toujours la couronne ! Nous n’aborderons pas aujourd’hui le fait que cette couronne tourne autour d’une « carte de terre plate ».

[Note de Joseph : il semble bien qu’Ivo Sasek se soit laissé avoir avec l’affaire de la prétendue « Terre plate ». À l’heure d’Internet, il existe pourtant une expérience simple et imparable pour démontrer que la Terre ne peut pas du tout avoir une géométrie plane. Deux personnes en contact par visioconférence (utilisant Skype, Zoom ou n’importe quel logiciel équivalent) peuvent facilement le vérifier si elles habitent en deux endroits éloignés de plusieurs milliers de kilomètres. Si la Terre était géométriquement plate, alors en tout lieu de la planète, le Soleil devrait descendre simultanément sous l’horizon, si on le voit le faire en un lieu donné. Par exemple, si le Soleil se couche à Paris, dans le même temps, il est six heures de moins à Montréal et on constate qu’il est encore bien haut dans le ciel au lieu d’être proche de tomber sous l’horizon.]

Organisation météorologique mondiale

(Organisation spéciale des Nations Unies)

Programme alimentaire mondial des Nations unies

Fonds des Nations unies pour l’enfance

Conseil des droits de l’homme des Nations unies

Organisation internationale du travail

(Organisation spéciale des Nations unies)

Organisation des Nations unies pour le développement industriel

(Organisation spéciale des Nations unies)

Programme des Nations unies sur le VIH/sida

Nous avons suffisamment dénoncé toute l’arnaque du VIH/sida avec l’AZK.

Organisation maritime internationale

Si tu veux savoir un peu plus précisément ce qui se passe en permanence au pôle Nord, par exemple, et que tu affrètes un bateau pour t’y rendre, tu seras intercepté très tôt par des navires de la souveraineté maritime et contraint de faire demi-tour. Si tu n’obéis pas, tu seras fortement menacé.

Et si tu affrètes un avion, par exemple un petit Cessna, et que tu te diriges vers le pôle Nord, les chasseurs à réaction de la souveraineté aérienne internationale t’intercepteront. À ta droite et à ta gauche, ils t’encadreront et te demanderont par radio de faire immédiatement demi-tour. Si tu n’obéis pas, ils t’abattront. Comprenez-vous ce que signifie cette couronne de lauriers omniprésente ?

Organisation de l’aviation civile internationale

Troupe de combat nord-polonaise

La même chose t’attend si tu ne te comportes pas correctement sur le territoire de la Pologne du Nord.

Agence internationale de l’énergie atomique

Vous voyez, et ainsi on pourrait encore énumérer beaucoup d’autres organisations et sous-organisations maçonniques. Vous n’arriveriez même pas à faire le tour de la NASA et de tous ses astronautes maçonniques. (www.kla.tv/9095 Est-ce que la NASA nous tromperait ?)

Sans parler de la nouvelle religion maçonnique du climat, avec ses faux prophètes et ses grands prêtres qui effraient sans cesse les peuples avec leurs mensonges climatiques.

L’ange bleu — Jury du label écologique

Cour pénale internationale

Et celui qui pense qu’au moins la Cour pénale internationale a le même logo par simple hasard peut volontiers croire à nouveau au Père Noël. Même chose si, en tant que chrétien, on croit qu’Israël, fondé en 1948, a été reconstruit par Dieu et non par la franc-maçonnerie de haut niveau.

Modèle de logo universitaire

Regarde le logo de l’université comme modèle. Partout, tu trouveras cette couronne ! « Université » dit déjà tout. C’est le club qui a tout infiltré. Donc si tu as des doutes sur le fait que tout a été habilement infiltré, tu as ici des preuves.

Prochaine vague — Tatouages

Jusqu’aux universités constamment encensées et à l’addiction générale au tatouage, tout prend racine dans un seul et même marécage maçonnique. C’est pourquoi tu vois ici un spécimen comme celui-ci : « Prochaine vague — tatouages ».

Certaines choses ont été délibérément cachées de cette manière, comme c’est la coutume cynique des francs-maçons de haut grade depuis des siècles.

L’état actuel de notre monde montre que la haute finance mondiale est quasiment à un pas de l’objectif de l’instauration de sa dictature communiste mondiale. Mais elle doit encore lutter contre deux problèmes particulièrement tenaces. Comme nous l’avons déjà mentionné, l’élite maçonnique américaine veut maintenir son statut de parasite mondial et empêcher le transfert du centre de direction mondial de la cabale vers la Chine, ce qui retarde considérablement le plan de reformatage de la haute finance mondiale. Et deuxièmement, la population occidentale comprend de plus en plus les objectifs de la mise en place de cette dictature mondiale communiste et financière, c’est-à-dire de l’État profond, et elle devient de plus en plus consciente de sa propre perte de pouvoir en raison de la mise à nu et de la perte de pouvoir de l’élite américaine, qui deviennent visibles. De plus en plus de personnes cherchent donc le salut dans des mouvements patriotiques conservateurs.

Mais tout patriotisme assumé arrive trop tard. Car c’est précisément à cause de lui que les peuples et les États occidentaux sont affaiblis et détruits depuis des décennies par des migrations de masse systématiques. Chaque fois que la haute finance et ses principaux médias exaltent le patriotisme, c’est pour pouvoir ensuite mettre sur le dos du patriotisme ou du nationalisme les révoltes, les crises et les guerres sanglantes fomentées par la franc-maçonnerie, comme ce fut le cas autrefois avec Adolf Hitler ou actuellement avec Zelensky et Poutine. Comprenez-vous l’astuce ? C’est ainsi qu’on démantèle les nationalités. Tout patriotisme authentique est une épine dans le pied du communisme de la haute finance, car il possède la force potentielle de vaincre ce communisme de la haute finance — mais seulement si on se serre les coudes. C’est pourquoi le plan subtil de surpopulation étrangère d’Earnest Hooten détruit sous nos yeux toute velléité de patriotisme authentique. Depuis les années 60, le plan Hooten empêche systématiquement tout retour au patriotisme. Il brise dès le départ tout patriotisme authentique.

Sous le slogan « ça profite à notre économie », des travailleurs immigrés ont donc été introduits de manière ciblée et systématique dans nos pays. Au début, il ne s’agissait que d’amis « voisins », par exemple des travailleurs immigrés d’Italie, puis de Turquie, puis de plus en plus de travailleurs immigrés de tous les pays et enfin le chaos total planifié par des ruées vers l’asile à travers la Méditerranée. La migration de masse s’est ainsi révélée être de plus en plus une ruse de guerre marxiste contre nous, afin d’imposer la dictature communiste mondiale. L’ordre issu du chaos a toujours été le mot d’ordre des élites secrètes qui dirigent le monde. Le chaos total dans tous les sens du terme est leur principe de construction. Pour notre génération, cela commence par les hippies du mouvement de 68, avec l’introduction ciblée de drogues, de sexe, d’alcool — en passant par le nihilisme total — jusqu’à l’effondrement économique total de la classe moyenne, annoncé par les confinements de la plandémie. Oui, le déclin total de tous les peuples non encore communistes est la condition nécessaire à la haute finance secrète pour imposer sa domination mondiale.

Il n’y a aucune autre raison qui explique que nous nous trouvions maintenant dans un monde où les problèmes sont de plus en plus nombreux et où de moins en moins de personnes trouvent encore de l’aide après avoir été délibérément plongées dans des problèmes sans issue.

Je résume tout ce qui a été dit et j’en arrive à ce qui me semble être une solution viable pour sortir de cette crise mondiale :

• Aucun gouvernement au monde n’est vraiment autosuffisant, indépendant de la haute finance. Même les gouvernements qui souhaitent conserver ou rétablir leur indépendance ne le peuvent pas : ils sont écrasés par l’armée.

• La Chine et la Russie ont également été construites stratégiquement par la haute finance mondiale et attirées dans le piège de la dette, comme tous les autres pays du monde.

• Le communisme tout entier est un dispositif global et stratégique de la même haute finance, destiné à éliminer toute classe moyenne qui lui est rivale.

• Le principal point faible du complexe financier mondial, désormais numérique, réside dans la nécessaire administration étrangère. Tout comme les Américains dépendent de gouvernements fantoches appartenant aux États-Unis dans tous les territoires qu’ils occupent, la haute finance fait de même. C’est dans cette administration étrangère que se trouve le talon d’Achille, le point vulnérable de toutes les puissances d’infiltration.

• Après que la haute finance mondiale a construit, entre autres, des prisons de masse rentables, c’est-à-dire des camps de travail pour les travailleurs gratuits, en Russie et en Chine, et qu’elle a finalement pu révolutionner techniquement le marché mondial tout entier, il n’y a plus de retour en arrière possible.

• Mais certaines des principales marionnettes des États vassaux, qui ont été stratégiquement construites par la haute finance mondiale, ont entre-temps elles-mêmes « pris goût à la vie ».

• De même que les bandes de brigands ont toujours eu l’habitude de s’entre-tuer lorsqu’il s’agissait de se partager le gros du butin, il en va de même aujourd’hui. Mais pour nous, les peuples trompés, ce n’est pas une bonne nouvelle. Car que ce soit la haute finance mondiale avec ses militaires ou que ce soit ses vassaux déserteurs qui gagnent la bataille finale pour les peuples travailleurs bon marché, tous les peuples de cette terre finiront de toute façon sous surveillance totale dans les camps de rééducation et de travail prévus. Parce que ce concept est le plus lucratif pour tous les partis de pillards. Priez, si vous pouvez prier, pour que tous ces mafieux des sociétés secrètes s’éliminent mutuellement de leurs propres mains et qu’ils ne parviennent plus à abuser et à sacrifier des peuples innocents pour leurs révoltes et leurs guerres. Je vous invite à écouter à plusieurs reprises la deuxième et surtout la troisième partie de mon message de la Journée des Amis 2023 (https://www.kla.tv/Journéedesamis2023/26201). Vous ne trouverez nulle part ailleurs des solutions et des propositions plus puissantes.

Il n’y a qu’une seule issue pour les peuples : ils doivent devenir ce qu’on leur a fait croire pendant des siècles — ils doivent se défendre ensemble contre la haute finance mondiale rusée et contre son communisme dévoyé.

Mais ce n’est pas la forme puérile ou au mieux adolescente de la démocratie suisse qui nous sortira de l’ornière, car elle est basée sur l’égoïsme humain et donc sur la lutte éternelle des ego.

Ce dont ce monde a besoin, c’est de l’union de tous les peuples condamnés à l’esclavage sous cette loi agissante de l’esprit de vie, de paix et de force de navigation céleste qui sait guider même le « monde animal inculte ».

À ceux qui objectent ici qu’une telle navigation est impossible chez les humains, je renvoie sereinement à l’histoire de l’OCG, dont les organes issus de milliers d’horizons différents agissent harmonieusement comme un seul homme depuis des décennies — et construisent le nouveau monde sur cette voie synergique — et ce, bénévolement et avec une grande motivation. Les résultats ne sont pas seulement visibles dans les dizaines de milliers d’émissions gratuites de Kla.TV ou dans les centaines de milliers d’articles du journal gratuit V&CV. Vous trouverez ces mêmes résultats dans tous les produits de notre maison d’édition Elaion, sous la forme de dizaines de livres gratuits, de littérature spécifique sur le thème susmentionné. Sur le même thème spécifique de la force de navigation ontique mondiale, dans environ 2 000 conférences gratuites sur CD, ou dans de grands films, des oratorios, etc. Nous avons créé tous ces produits bénévolement, malgré les fronts furieux de la haute finance mondiale et du communisme agressif, entre lesquels nous sommes coincés depuis des décennies. Mais aussi en dépit de décennies de résistance de la part de tous les cartels exploiteurs avec leurs médias de masse à redevance obligatoire, etc. En tant qu’OCG, nous sommes devenus un organisme international vivant, en dépit des dizaines de milliers de divisions religieuses, politiques, économiques et autres. Vous voyez donc qu’il est possible de surmonter cela, avec un champ de force qui agit réellement depuis le ciel et qui est là pour tous. Rien de religieux — de la force ! Que pourrais-je encore énumérer ? Il y aurait encore beaucoup plus.

Mais non, l’OCG ne veut pas être lui-même le nouveau dirigeant mondial ou le dirigeant alternatif. Aucun Ivo Sasek ni aucun de ses milliers de collaborateurs bénévoles ne dirigera ce monde. Mais bien le principe de navigation qui agit partout dans l’air autour de nous, auquel nous nous sommes à nouveau fiés et qui nous a permis d’acquérir une qualité de vie totale et indescriptible.

L’OCG ne fait qu’offrir gratuitement ses services à tous les peuples menacés de cette Terre afin de construire parmi eux cette véritable démocratie dans laquelle il n’y a plus de lutte de pouvoir pour les 51 %, mais dans laquelle l’état normal est un accord à 100 % de l’intérieur sur toutes les questions essentielles de la cohabitation entre les peuples, qui s’écoule librement de chaque être humain. C’est le produit de cette navigation par le haut.

J’appelle ici tous les hommes de toutes les nations à l’engagement actif nécessaire ! Devenez avec nous cet organisme vivant ! Celui qui peut entendre mon discours et qui sent dans son cœur qu’une solution adaptée à notre époque s’offre ici — même si c’est à la dernière minute — pour tous les peuples du monde, qu’il s’inscrive à « Kla.TV — Devenir actif » et devienne engagé ! (https://www.kla.tv/aktiv-werden)

Nous sommes là pour toi et nous t’introduisons de manière pratique dans ce champ de force qui navigue de façon ontique.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

de is.

Sources/Liens :




Emeutes et affaire Nahel. Qui met le feu à la France ?

[Source : Youssef HINDI ou strategika.fr]




L’effondrement de l’Occident, printemps/été 2023

[Source : unz.com]

Par Hans Vogel

La question de savoir si l’Occident est en chute libre ne relève plus de la spéculation. C’est clairement le cas, et c’est clairement intentionnel. Le « Great Covid Show » [Grand spectacle de la Covid], organisé par les suspects habituels, semble avoir créé les conditions propices à la « Grande Réinitialisation ». Il y a eu quelques accrocs, car une opération aussi vaste et globale que le « Great Covid Show » dépassait les capacités techniques et intellectuelles des néoconservateurs Américains et de leurs acolytes étrangers, y compris le FÉM [Forum Économique Mondial], l’OMS et l’UE.

L’opération militaire spéciale russe en Ukraine a compliqué les choses. Comme dans une partie d’échecs, la Russie oblige les États-Unis et leurs vassaux à faire des mouvements qu’ils n’avaient pas prévus ou qu’ils ne comptaient faire que plus tard dans la partie. Ces mouvements ne sont certainement pas à leur avantage. C’est pourquoi les gouvernements prennent des décisions aussi radicales dans tant de domaines différents, et ce simultanément.

Ils avaient prévu de réorganiser radicalement l’agriculture, en suivant l’exemple donné par les bolcheviks après 1929, lorsqu’ils ont commencé à expulser et à exterminer les koulaks. Au lieu de la collectivisation, les bolcheviks d’aujourd’hui veulent que des entreprises géantes dominent l’agriculture. Mais l’essence de ces projets est la même : les petits agriculteurs et les agriculteurs intermédiaires doivent être délogés, soit volontairement, soit par la force brute. Apparemment un peu plus tôt que ne le prévoyait le scénario original, le gouvernement néerlandais a entamé une guerre contre les agriculteurs qui, comme dans l’ex-URSS, risque d’entraîner une pénurie alimentaire généralisée, voire une famine.

De la même manière, avec une Allemagne obéissante en tête de peloton, les États clients des États-Unis en Europe commettent actuellement un suicide économique en coupant leur industrie de sources fiables d’énergie abordable, obligeant les producteurs et le public à compter sur l’énergie éolienne et solaire. Tout cela se fait au nom de ce que l’on appelle l’agenda vert, afin de réduire les émissions de carbone et d’azote. Dans le même temps, les partisans du changement climatique anthropique encouragent la destruction de l’environnement à une échelle véritablement gigantesque partout où l’on trouve du lithium et d’autres minerais nécessaires à la fabrication de batteries électriques. Comme tous les éléments du programme de la mafia de la Grande Réinitialisation, le discours officiel sur le changement climatique repose sur les contradictions les plus flagrantes.

Les contradictions les plus flagrantes se retrouvent dans le fonctionnement quotidien des gouvernements, en particulier dans l’UE. Comme le gouvernement des Pays-Bas, la plupart d’entre eux prennent régulièrement des décisions qui sont en violation claire ou implicite de la constitution et d’autres législations.

Malgré les innombrables contradictions au niveau de la politique elle-même, du discours politique officiel et des contradictions intrinsèques qui sous-tendent la plupart des décisions politiques, c’est un miracle que l’empire américain parvienne encore à rester en vie. Cela explique peut-être aussi pourquoi l’IA est actuellement déployée : dans l’espoir qu’elle contribuera à maintenir la puissance américaine. Cependant, on peut douter que l’IA se révèle capable de fonctionner dans un environnement où la confusion et la contradiction juridiques, linguistiques et lexicographiques sont devenues la norme.

Les hommes politiques, les médias publics et privés de l’Occident se réfèrent consciencieusement à « notre démocratie », aux « valeurs occidentales » (censées défendre les droits de l’homme), à la « transparence » et à « l’État de droit », tout en faisant et en préconisant tout ce qui est diamétralement opposé à ces valeurs. Après tout, l’IA, comme le système électronique qu’elle est, fonctionne sur le principe que « 0 » est « 0 » et que « 1 » est « 1 ». Lorsque « 0 » peut également signifier « 1 » et que « 1 » est parfois « 0 », l’effondrement est inévitable. Comment savoir si la « démocratie » signifie « le règne de la majorité populaire » ou son contraire, le règne d’une clique de criminels corrompus, comme c’est le cas dans les « démocraties » modernes ? En outre, étant donné la détermination fanatique avec laquelle les sources d’énergie fiables sont abandonnées partout en Occident, précisément au moment où tout ce qui permet la vie dépend de l’électronique, l’ensemble du système ressemble de plus en plus à une maison construite sur des sables mouvants.

[Note de Joseph : comme le rappelle le documentaire Le Grand Réveil, la démocratie est une forme de gouvernement qui s’impose toujours au détriment d’une partie de la population (au moins les 49 % minoritaires) dont la liberté n’est alors pas le moins du monde respectée. Et dans la pratique des États, seule une partie de la population a le droit de vote, ce qui fait qu’en réalité la proportion de liberté non respectée dépasse les deux tiers de la population. Si l’on ajoute que le vote est souvent conditionné aux campagnes de « communication » (lire : « propagande ») et aux sondages relativement manipulés et orientés, ceci sous la houlette des financeurs, alors les démocraties se révèlent le pouvoir facile d’une petite minorité financièrement riche et influante au détriment de la large majorité bien plus pauvre. En résumé, la démocratie est la forme de gouvernement favorite des usuriers et des banquiers.]

Où que l’on regarde en Europe, l’effondrement est à portée de main. Aujourd’hui, rouler sur les célèbres autoroutes allemandes est un véritable calvaire. Il fut un temps où l’on pouvait admirer des paysages splendides et parfois spectaculaires tout en roulant tranquillement sur la surface lisse d’autoroutes impeccablement entretenues. Avec une longueur totale de plus de 13 000 kilomètres, l’Allemagne possède le quatrième réseau au monde, précédé seulement par l’Espagne, les États-Unis et la Chine. Il y a 50 millions de voitures en Allemagne, mais le réseau est aussi intensivement utilisé par les camionneurs étrangers qui livrent et ramassent des marchandises et, en été et en hiver, par des millions d’étrangers qui se rendent à leurs destinations de vacances. Le réseau Autobahn est utilisé de manière très intensive, mais son entretien a longtemps été négligé et, par conséquent, de vastes tronçons d’autoroute doivent être rétrécis pour permettre la réparation des routes et des ponts. Cela provoque des embouteillages longs et fastidieux dans tout le pays, de tôt le matin à tard le soir. Si l’on ajoute à cela le fait que de nombreux conducteurs sont originaires de pays non occidentaux, où la proverbiale discipline allemande et le respect des règles et règlements ne sont pas enseignés dès le plus jeune âge, il est clair que conduire sur l’Autobahn consomme une quantité démesurée de temps et d’énergie. En fait, le système autoroutier allemand semble très proche du point de rupture.

En tirant cette conclusion, il m’est venu à l’esprit que les autoroutes fédérales allemandes sont un symbole de ce qui se passe dans toute l’Europe : les piliers mêmes qui soutiennent l’État et la société sont en train de s’effondrer. Bien sûr, pour ceux qui ont des yeux pour voir, l’effondrement a déjà eu lieu il y a un certain temps, peut-être deux décennies, si ce n’est plus tôt. À l’instar des trois tours du WTC qui se sont effondrées le 11 septembre, l’effondrement commence de manière hésitante, puis s’accélère. Comme dans le cas des tours du WTC, la destruction généralisée qui a lieu aujourd’hui en Occident est planifiée. Cependant, dans un certain nombre de domaines, l’effondrement avait déjà commencé bien avant sous la forme de la corruption. Les personnes corrompues se déplaçant d’un domaine à l’autre, la corruption se propage encore plus rapidement et finit par devenir systémique.

Par exemple, la corruption académique peut conduire au plagiat et à la manipulation des données de recherche. Mme Ursula von der Leyen, docteur en médecine, présidente non élue de l’Union européenne des sciences sociales, n’a jamais pu se débarrasser de l’odeur de fraude académique (commise lors de la rédaction de sa thèse) qui l’entoure. Il n’est donc pas surprenant d’apprendre qu’elle a conclu des accords secrets avec la société Pfizer pour la fourniture de vaccins non testés et qu’elle les a imposés à un public sans méfiance lors du grand spectacle de la Covid. Corrompue un jour, corrompue toujours, pourrait-on dire.

Alors que la fraude détruit de plus en plus la valeur de la recherche universitaire, l’enseignement universitaire lui-même est également attaqué. Le ministre néerlandais de l’Éducation a l’intention de réduire de moitié le nombre de crédits requis pour les étudiants de première année. Cela signifie que davantage d’étudiants seront autorisés à rester pour devenir des étudiants de deuxième année, avec le résultat final prévisible que les diplômes universitaires se dévalueront encore plus.

La corruption dans le domaine de la médecine est devenue évidente au cours du « Great Covid Show », à tel point qu’aujourd’hui, aucun médecin n’est digne de confiance. Pour dire les choses simplement, les médecins de famille et les spécialistes sont essentiellement des dealers de drogue [NDT En anglais, le mot « drug » signifie à la fois drogue (ou stupéfiant) et médicament] au service de Big Pharma. Il existe encore quelques médecins honnêtes et décents, mais ils sont difficiles à trouver.

À l’instar de la recherche universitaire, de l’éducation, de la politique et de la médecine, le système judiciaire est gangrené par la corruption et en chute libre. Prenons par exemple le cas récent du professeur Sucharit Bhakdi1, accusé d’antisémitisme sur la base des preuves les plus minces que l’on puisse imaginer. Bien que ce critique éloquent et influent des politiques covid décrétées par le gouvernement allemand ait été acquitté, le procureur général a néanmoins décidé de faire appel et de continuer à essayer de mettre le docteur Bhakdi derrière les barreaux à n’importe quel prix. Qu’un procureur procède de la sorte, en niant totalement le fait qu’il n’existe aucune preuve à l’appui de l’affaire, est plus qu’une parodie de justice : c’est transformer la justice en une plaisanterie stupide. Il est d’ailleurs inquiétant de constater que personne ne sourcille, ce qui montre bien à quel point le système judiciaire en Allemagne (et d’ailleurs dans le reste de l’Europe) a été corrompu.

Pourtant, aux yeux de l’État, exprimer des doutes ou des inquiétudes sur de telles questions est un péché. Tout récemment, le service d’espionnage néerlandais AIVD a publié un rapport indiquant qu’environ 100 000 citoyens néerlandais se méfient de l’État et du gouvernement, ce qui ferait d’eux des « théoriciens de la conspiration ». De plus en plus, et presque ouvertement, il est suggéré que ces personnes doivent être soumises à un traitement psychiatrique. Toute personne saine d’esprit ne ferait pas plus confiance au gouvernement que le gouvernement ne lui fait confiance, et il ne fait aucun doute que de nombreuses personnes sont fidèles à ce principe, mais apparemment le gouvernement des Pays-Bas, qui est, bien entendu, un pays « démocratique », n’est pas de cet avis.

Il y a plus de raisons qu’il n’en faut de se méfier du gouvernement, non seulement des Pays-Bas, mais de toutes les nations de l’UE. Le gouvernement allemand, dominé par les Verts, est devenu le chien de poche belliqueux et autodestructeur [aux ordres] des États-Unis, déterminé à chasser l’industrie et à humilier, appauvrir et décimer les Allemands de souche. Le gouvernement italien, dirigé par Giorgia Meloni, élue en raison de ses promesses solennelles de mettre fin à l’immigration illégale d’Africains noirs et de musulmans grossièrement non qualifiés, non éduqués et hostiles, encourage désormais activement ces personnes à venir en Italie. Le président français Macron, qui ressemble et agit comme un adolescent homosexuel qui a épousé sa mère, n’a cessé de mener des politiques visant à détruire la classe moyenne française. Le gouvernement néerlandais a présidé à l’appauvrissement de la classe moyenne, au point qu’aujourd’hui, 400 000 écoliers vivent sous le seuil de pauvreté, et dont les parents sont incapables de payer le petit-déjeuner et de nouveaux vêtements.

Le gouvernement allemand envisage sérieusement d’interdire le parti conservateur AfD. Cela n’a rien de surprenant dans un pays qui a une vénérable tradition d’interdiction des partis jugés indésirables dans son système démocratique. Pendant de nombreuses années, le parti communiste a été interdit en Allemagne de l’Ouest. Aux Pays-Bas, le parti conservateur FvD s’attend à une décision d’interdiction dans un avenir proche. Tout cela s’inscrit dans le cadre de l’Ukraine, qui défend les « valeurs occidentales » contre les méchants Russes : Zelensky a tout simplement interdit onze partis. Vive la démocratie !

Il n’est pas surprenant que la colère de la population s’accumule depuis un certain temps, et qu’elle augmente à chaque fois que les gouvernements publient un nouveau décret limitant davantage les libertés ou augmentant les prix.

La France ayant toujours été une nation où la classe moyenne est forte et la classe ouvrière militante, et où les gens sont prêts à descendre dans la rue pour exprimer leur indignation et leur colère, il n’est guère surprenant qu’au cours des dernières années, elle ait été le théâtre de manifestations massives du mouvement des Gilets Jaunes et de personnes protestant contre des réductions drastiques des retraites. Après avoir vu comment ces manifestations pacifiques ont été brutalement et impitoyablement réprimées par la police et les escadrons de tueurs à gages, les Nord-Africains et les Africains noirs des banlieues ont adopté une approche différente. Étant donné qu’au moins 15 % des 65 millions d’habitants de la France métropolitaine sont maghrébins (marocains, algériens, tunisiens) ou noirs, et que la plupart d’entre eux vivent dans les grandes villes, Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, l’heure est grave : Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, maintenant qu’ils entrent en scène, les choses semblent bien sérieuses.

La vague de guerre urbaine en France signifie que l’effondrement est entré dans une nouvelle phase, celle d’une violence anti-étatique organisée et coordonnée avec des connotations raciales.

Les musulmans d’Afrique du Nord et les Noirs d’Afrique participent à ce qui ressemble à une guerre civile contre des cibles étatiques, culturelles et commerciales et contre des Français blancs. Par conséquent, l’éruption actuelle de violence n’a pas seulement l’étoffe d’une guerre civile, mais plutôt d’une guerre raciale.

Quel que soit l’élément déclencheur de la vague de violence actuelle, celle-ci doit également être considérée comme une conséquence logique de décennies de politiques françaises décrétées sur ordre de la Commission européenne non élue.

Ce qui s’est passé en France pourrait facilement se produire demain dans d’autres pays de l’UE, pour la simple raison que les conditions dans de nombreux endroits sont similaires à celles de la France. De nombreux États membres de l’UE, notamment l’Allemagne, la Suède, les Pays-Bas et la Belgique, comptent également des minorités musulmanes de 10 à 15 % [de la population générale]. Comme de nombreux quartiers et banlieues populaires en France, certaines parties des villes suédoises de Stockholm, Göteborg et Malmö sont depuis longtemps inaccessibles à la police. Il en va de même pour un certain nombre de villes allemandes, notamment Berlin et la région de la Ruhr. À Bruxelles, même sous le nez des commissaires du Quatrième Reich, des quartiers entiers de cette ville sont des zones interdites.

D’aucuns ont suggéré que les événements survenus en France s’inscrivaient dans le cadre de la « grande remise à zéro » prônée par le Forum Économique Mondial (FÉM).

En fait, cette « grande remise à zéro » n’est qu’un autre terme pour beaucoup de destruction, de maladie, de mort, de guerre, de misère et de peur. Il semblerait que les quatre cavaliers de l’Apocalypse aient envoyé leur avant-garde préparer le terrain et qu’ils ne tarderont pas à se manifester. À cet égard, il convient de noter que le slogan « reconstruire en mieux » [NDT « Bild Back Better » — en abrégé BBB, en anglais], si important et si omniprésent il y a encore quelques années, a complètement disparu de la propagande d’État partout.

Pour « reconstruire en mieux », il faut d’abord tout casser. De toute évidence, ce n’est pas ce que les dirigeants de tous les États « démocratiques » de l’Occident ont raconté à leurs « électeurs ».

Mais ne vous inquiétez pas, l’« Occident » est composé de sociétés « fondées sur des valeurs » et soumises à l’« État de droit », où l’« équité », la « diversité » et les « droits de l’homme » sont défendus, où les « émissions de carbone et d’azote » sont limitées et où les « fake news » et la « désinformation » sont interdites.





Le Grand Réveil

[Source : @quantumleaptraduction]

Le Grand Réveil (par Mikki Willis), est le troisième volet de la série Plandemic.
Cette expérience documentaire assemble les pièces du puzzle pour révéler une vue d’ensemble de ce qui se passe réellement en Amérique et au-delà.
Le Grand Réveil se veut un phare pour nous guider hors de la tempête et vers un avenir plus radieux.

Participants à ce projet de traduction :

Le Déclencheur
https://odysee.com/@Q…uestions:6

Karoline participation au doublage

Elo Trad
https://odysee.com/@Elo:84

Quantum Leap Traduction
https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2

Quadrillage Traduction
https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1

Quartz Traduction
https://odysee.com/@Quartz:1

L’Aile à Stick
https://odysee.com/@laileastick:4




[Source : @Gl33tchmob]

Voici le premier épisode de la série PLANDEMIC, un documentaire de 26 minutes, qui a été vu par plus d’un milliard de personnes dans le monde, établissant un record historique. Ce documentaire expose des agendas cachés.

En 2021, j’ai pu récupérer la vidéo traduite et doublée avant sa suppression par Youtube. Je l’ai recompilé afin d’avoir la meilleure définition possible.

La vidéo d’origine a été traduite et doublée par la chaîne Youtube = TRADUCTION DOCUMENTAIRES — qui a cessé son activité sur Youtube —




[Source : @PiloteGG]



[Voir aussi :
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin,
Les mécanismes des régimes totalitaires,
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective,
La conquête communiste du Canada — La réponse à la COVID-19 révèle que le Canada a succombé à une attaque vieille de décennies,
L’ultralibéralisme communiste, le « meilleur » des deux mondes ? Quand la France sera la Chine… Vive la République Populaire de France !,
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade,
Vers un empire mondial : l’humanité condamnée à une prison unipolaire et à un goulag numérique,
« Vous n’êtes pas woke ? Nous vous supprimons »,
Changer le Système ?]




Pour protéger nos enfants, il faut boycotter les entreprises protrans

Par Gérard Delépine

De grandes entreprises font la promotion de la théorie du genre et des transformations sexuelles aux les enfants en espérant ainsi augmenter leur clientèle vers les minorités sexuelles et leurs bénéfices.

Le boycott est une arme efficace

La réaction populaire par le boycott à cette propagande déstabilisatrice pour nos enfants a montré son efficacité aux USA.

La firme de bière Bud Weiser avait choisi Mulvaney, une icône trans pour la représente avec des canettes personnalisées le représentant à demi-nu, buvant du Bud Light dans une baignoire et un discours pro-LGBTQ pour commémorer qu’il était devenu « une femme » depuis plus d’un an. La firme a subi dans le mois suivant cette publicité, une chute des ventes de Bud Light et de ses actions de plus de 20 %, incitant la banque HSBC à dégrader la notation d’AB InBev. La société mère de Bud Light a finalement préféré revendre la marque à ses fondateurs d’origine.

En juin 2023, mois des fiertés LGBT+, la société Target a sorti une collection aux couleurs arc-en-ciel comprenant notamment des maillots de bain pour femmes, qui permettent aux femmes transgenres n’ayant pas subi d’opérations de dissimuler leurs organes génitaux masculins. Cet affichage trans a fortement déplu à sa clientèle qui a boycotté l’enseigne, causant la chute brutale des ventes et provoquant l’arrêt de la commercialisation en ligne puis une perte de 14 milliards de dollars de sa valorisation boursière. (De 72,52 à 58,61 milliards).

Disney et les réactions à sa propagande Trans.

Disney a jadis fait son succès grâce à ses spectacles favorables à l’imagination et à l’innocence destinés à la famille. Mais depuis une dizaine d’années, Disney a progressivement adopté l’idéologie du genre et l’agenda LGBT+ radical.

L’engagement politique et sociétal de la firme daterait de l’arrivée à sa tête de Bob Iger en 2015, d’après Le Monde1. Démocrate, il entend défendre ses valeurs et « amener [les gens] à mieux accepter les multiples différences, cultures et races et toutes les autres facettes de nos vies et de notre peuple » notamment grâce au storytelling. Une évolution qui se traduit par la présence de superhéros noirs et homosexuels à l’écran (dans Black Panther, La Petite Sirène et Les Éternels notamment), pour incarner les personnages imaginés par la firme. Des gay prides ont lieu dans ses parcs à thème et la promotion de l’idéologie du genre est devenue habituelle dans ses films ou dans la présentation de ses employés comme cet homme avec une robe et du maquillage à la boutique Bibbidi Bobbidi d’Anaheim, en Californie

Les avertissements imposés à certains classiques ou la polémique ridicule sur le baiser non consenti à la Belle au bois dormant, ou le choix d’une actrice noire pour représenter la petite sirène en attendant une reine des neiges noire et transgenre, détournent un large public d’un Disney qui n’est plus dans le mythe européen réenchanté.

Le 28 mars 2022, la présidente du groupe Disney, Karey Burke, a indiqué qu’elle souhaitait « plus de personnages LGBTQ et issus de minorités raciales dans les rôles principaux des productions du studio » (jusqu’à 50 % des intervenants) et des intrigues amoureuses entre personnages de même genre. Elle a également indiqué que dans ses parcs, la société avait interdit l’utilisation de pronoms genrés par son personnel qui ne doit plus dire « Bonjour mesdames et messieurs, mais bonjour tout le monde ou bonjour les amis ». Lors de l’assemblée 2022 des actionnaires, Bob Chapek a annoncé que Disney ferait un don de 5 millions de dollars à des associations de défense des personnes LGBTQ+, et que la firme mènera le combat contre la récente loi de Floride qui n’est pourtant pas homophobe, mais interdit simplement de mentionner les sujets LGBTQ+ à l’école primaire.

En rétorsion, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a signé une loi, entrée en vigueur en juin 2023, supprimant le statut favorable dont bénéficie le parc d’attractions Disney World depuis sa création.

De nombreuses pétitions ont été émises, et des manifestations ont eu lieu devant ses parcs.

La lettre type adressée au PDG de Disney par les protestataires précise qu’il ne s’agissait pas d’une revendication homophobe ou transphobe, mais seulement d’une revendication de respect des droits des enfants :

« Je ne suis pas intolérant. Je veux simplement pouvoir regarder des films adaptés aux familles et aux enfants sans avoir à subir les effets d’une idéologie radicale, j’en ai assez de ces absurdités. »

Depuis que Disney a été boycotté pour son action en faveur des transgenres, la valeur boursière de l’entreprise s’est effondrée de 70 milliards de dollars. Ils ont licencié leur PDG et plus de 7 000 travailleurs et perdu leur capacité de contrôler la gouvernance publique de leur parc à thème en Floride.

Mais les dirigeants de Disney persistent dans leur propagande transsexuelle ciblant les enfants s’exposant à un boycott renforcé ruineux pour leurs actionnaires.

Netflix aussi subit les conséquences de sa propagande woke

Netflix multiplie les films et les séries mettant en vedette des personnages issus de minorités ethniques ou sexuelles en espérant ainsi augmenter son audience.

En témoigne la série Ridley Jones, la protectrice du musée, dessin animé produit par Netflix destiné aux enfants de 3 à 6 ans qui vante son soutien à la cause LGBT que Breiz2 Info résume ainsi :

« la fillette protagoniste vit sans père, avec sa mère et sa grand-mère, une autre a deux papas qui sont ouvertement en couple. Le petit bison qui fait son coming out non-binaire semble être le coup final de la série, tant il a été perçu comme une tentative d’endoctrinement aux théories transgenres. »

Un wokisme qui agace jusqu’aux… minorités concernées. Le Point3 rapporte le témoignage d’un adolescent noir déçu de la saison 2 d’Arsène Lupin :

« Il y avait presque à chaque épisode du racisme des Blancs sur les Noirs. Ça m’énervait en tant que Noir, pas parce que c’est injuste, mais parce que ce n’est pas ça, ma vie ».

Et celui d’un ado homo :

« Ce qui me gêne, c’est quand l’info sur la sexualité tombe comme un cheveu sur la soupe. On a l’impression que c’est faux et qu’on sert juste à cocher des cases : Ça y est, on a notre perso gay »,citant l’exemple du personnage de Robin dans Stranger Things, dont le coming out lui paraît « inutile pour l’intrigue » : « Ils ont leur lesbienne, ils peuvent dire que leur série est inclusive, même si ça n’a aucun intérêt, et ils peuvent mettre le drapeau LGBT pour leur promo ».

Cette propagande Woke permanente est certainement en partie responsable de la baisse d’abonnés que Netflix subit.4 Une première depuis dix ans, La chute de 200 000 utilisateurs payants est modeste, mais Netflix anticipait pour le même trimestre un gain de 2,5 millions. Wall Street a sanctionné l’entreprise dont le cours sur le marché hors-cote a plongé de 700 dollars (en novembre 2021) à 162 en mars 2022 (-80 %) avant de remonter lentement jusqu’à 440 en juin 2023.

La propagande trans n’est pas financièrement rentable

Le totalitarisme des extrémistes trans nuit aux féministes

De plus en plus de militants gays et de féministes constatent que la propagande extrémiste trans menace les avancées sociétales qu’ils avaient obtenues5.

Les nombreuses féministes (surnommées Trans Exclusionary Radical Feminist) considèrent qu’il ne suffit pas de s’autoproclamer femme pour pouvoir exiger d’être considéré comme telle et qu’une société ne peut pas défendre les droits des femmes et œuvrer à l’égalité homme-femme si le mot « femme » change de définition. Elles estiment que les personnes trans ne devraient pas être incluses dans les espaces réservés aux femmes et ne devraient pas être au centre de l’agenda féministe. Ces féministes rappellent que les femmes sont tout d’abord des êtres humains femelles, qu’elles ont un double chromosome X et un appareil génital qui permet la gestation, l’accouchement et l’allaitement d’un enfant.

Les caractéristiques physiques du sexe biologique sont des faits objectifs contrairement au sentiment d’appartenance à un genre qui n’est qu’un ressenti psychologique adossé à une construction sociale bancale.

Le Planning familial proclamant que « les hommes peuvent être enceints » fait passer les personnes trans avant les femmes et invisibilise ces dernières.

En France, des militantes féministes rapportent des violences d’extrémistes trans contre des féministes. Marguerite Stern ancienne Femen et créatrice des Collages contre les féminicides a ainsi témoigné à l’AFP6 :

« On a reçu des œufs dans le visage, on a été frappées parce qu’on tient cette position de dire qu’être une femme n’est pas un sentiment, c’est une réalité biologique matérielle ». Il n’est « pas normal » que les personnes trans, « minoritaires », prennent « autant de place dans le débat », car cela entraîne, selon elle, « des mécanismes d’invisibilisation des femmes ».

La propagande des extrémistes trans nuit aussi aux homosexuels

En février 2022, Philippe Dubreuil, président du Forum gay et lesbien de Lyon, a provoqué un séisme parmi les militants en déclarant7 : « Le wokisme est un cancer intellectuel. » et dénonçant une « dictature des minorités » au sein de la communauté LGBT+, s’exposant à être ostracisé au sein de son mouvement. 

Mais il n’est pas le seul. Aux USA le président de l’association « Gays Against Groomers » pointe du doigt les organisations Trans financées par des dons de grandes sociétés pharmaceutiques comme Pfizer, Johnson & Johnson etUnitedHealth Group, qui ont un intérêt financier à transformer des générations d’enfants en patients médicaux pour leur profit.

L’association Gays Against Groomers déclare ainsi :

« Notre communauté qui prêchait autrefois l’amour et l’acceptation des autres a été détournée par des militants radicaux qui poussent maintenant des concepts extrêmes sur la société, ciblant spécifiquement les enfants ces dernières années.

L’écrasante majorité des homosexuels sont contre ce en quoi la communauté s’est transformée, et nous n’acceptons pas que le mouvement politique pousse son programme en notre nom. Gays Against Groomers s’oppose directement à la sexualisation des enfants. Cela comprend des heures d’histoires de drag queen, des spectacles de drag stars impliquant des enfants, la transition et la médicalisation des mineurs et la théorie du genre enseignée en classe. »

La propagande des extrémistes trans nuit à toutes les minorités sexuelles

De la même manière que l’extrémiste des pro avortements « jusqu’au 9e mois de la grossesse » a été responsable du revirement de la cour suprême sur le sujet, l’extrémiste trans a suscité une explosion de lois limitant les droits de minorités sexuelles jusqu’ici obtenus et largement acceptées.

Aux USA, plus de 300 lois ont été récemment votées dans près de la moitié des états américains en réaction à la propagande trans visant les enfants et certaines ont aussi restreint les droits des gays et lesbiennes8 victimes collatérales de leur inclusion dans le groupe LGBT+.

Cette efflorescence de lois limitant les droits des minorités sexuelles est observée dans beaucoup des pays soumis à la propagande pro trans : Hongrie, Pologne, Russie, Afrique.

Contrairement à ce que prétendent les extrémistes trans sexuels, leur visibilité ne favorise pas leur inclusion.

Magical Pride, Disneyland Paris (2019)

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/04/23/le-gouverneur-de-floride-promulgue-une-loi-qui-met-fin-au-statut-favorable-de-disney-world_6123338_3210.html

Le gouverneur de Floride promulgue une loi qui met fin au statut favorable de Disney World

Ron DeSantis a souhaité punir le géant du divertissement pour les prises de position de son PDG sur la loi dite « Don’t Say Gay », jugée homophobe et contraire aux valeurs du groupe propriétaire du plus grand parc d’attractions de l’État.

Le Monde avec AFP

Publié le 23 avril 2022 à 2 h 26, modifié le 23 avril 2022 à 7 h 31

Ron DeSantis, le gouverneur de Floride, signe la loi HB7 surnommée loi « stop woke », ainsi que la loi sur le statut spécial de Disney World, lors d’une conférence de presse au collège et lycée privé Mater Academy, à Hialeah Gardens, en Floride, le 22 avril 2022. DANIEL A. VARELA/AP

Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a signé vendredi 22 avril une loi, qui entrera en vigueur en juin 2023, supprimant un statut favorable dont bénéficie le parc d’attractions Disney World, son propriétaire ayant défendu certains thèmes progressistes peu appréciés des élus républicains.

Avec son statut spécial, octroyé à l’époque de la construction du site de loisirs près d’Orlando dans les années 1960, Disney était exempté de la plupart des réglementations de l’État et garantissait en échange un certain nombre de services publics essentiels, comme le ramassage des ordures, les pompiers ou le traitement des eaux. Certains élus craignent que la révocation de ce statut n’entraîne un transfert de dettes aux gouvernements locaux.





Oligarques, monarques, et autres tireurs de ficelles

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

L’Empire britannique est-il mort ou bien vivant ? Qui décide vraiment de la politique au Canada ? Quelle influence ont les cercles de réflexion comme Chatham House et RAND Corporation sur la scène internationale ? Qui a fondé les services de renseignement américains ? Le World Wildlife Fund sert-il vraiment à protéger la nature ou d’autres intérêts ? Que sont la Société Fabienne et la cybernétique ?

Je discute de toutes ces questions avec le prolifique auteur Matthew Ehret.

Vous trouverez tous les articles de Matthew en anglais sur son site Canadian Patriot Review :

History, Current Events and the Future

En français ici :

Je vous recommande celui sur la Société Fabienne :

Et celui sur la cybernétique et le transhumanisme :

D’autres articles de Matthew sur le site Rising Tide Foundation :

https://risingtidefoundation.net/

GRATITUDE IMMENSE envers tous ceux qui appuient mon travail en faisant un don ou en partageant !

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L’Autodestruction Programmée

[Source : AVATAR Media]




Réponse au maire de Trappes : « près d’un tiers des Français vit avec moins de 100 euros le 10 du mois »…

Par Lucien SA Oulahbib

Interviewé sur Sud Radio sa thèse principale semble la suivante pour expliquer ce qui se passe y compris dans sa propre ville (des émeutiers ont par exemple brûlé la camionnette d’un modeste commerçant le ruinant littéralement) : la ville d’à côté serait la fautive ; Maison Lafitte refuserait de construire des logements sociaux quitte à payer des amendes, d’où l’hyper concentration d’un même type de population, et il en serait de même pour d’autres mairies comme celle de Versailles dans laquelle certains habitants de Trappes aimeraient s’installer pour bénéficier de bonnes écoles, d’une bonne « mixité sociale », etc. La « déghettoïsation », tel est donc son maître mot, car il a beau faire tout ce qu’il peut avec ses services pour l’insertion, il se trouve que dès que « la bassine se vide elle se remplit tout aussitôt ». Aussi demande-t-il non pas des « aides », mais, d’abord et surtout, une meilleure ventilation des populations arrivantes…

Mais c’est là où le bât blesse en premier lieu : pourquoi arrivent-elles ? Aujourd’hui, s’entend ?… Nous ne sommes plus dans les années 50-60 de reconstruction et de booms divers et variés où le besoin de main-d’œuvre s’expliquait à Flin et à Billancourt, l’explosion du travail à la chaîne dans une France industrielle et manufacturière qui était devenue à la force du poignet la première puissance économique européenne bien avant l’Allemagne… Et dans ce contexte, la très grande majorité de l’immigration non seulement s’intégrait, mais s’assimilait, y compris dans les foyers Sonacotra où l’on tapait la belote, jouait au tiercé et n’hésitait pas sur un p’tit pastis tandis que les fistons allaient aux concerts de Johnny et roulaient en blousons noirs comme les « poteaux » de l’atelier…

Et question « racisme », les « ritals », les « polaks », les « spingouins », les « portos » et autres « chinetocs » en subissaient tout autant. Tout ne vient donc pas de « la » guerre dite d’Algérie. Les émeutes récentes en Suède, en Belgique aux Pays-Bas, en Allemagne, les viols de Cologne, n’en déplaise à certaines, ne sont pas liés au contexte post-colonial. Les fils de Vietnamiens, colonisés eux aussi, ne brûlent pas le 13e arrondissement parisien, pas plus que Belleville, alors qu’ils y sont nombreux. Les Juifs après la tuerie opérée dans leur école à Toulouse n’ont pas opéré « la » vengeance dans le quartier dont l’assassin était originaire… Pas plus après le Bataclan où il aurait été possible d’appliquer pour des citoyens français l’œil pour œil en organisant des brigades d’intervention patriotique (des BIP) afin de montrer (enfin) les dents…

Non, décidément, il n’y a pas qu’un problème de logement, de mixité, de racisme. Sinon cela toucherait toutes les migrations. Et s’il était seulement question de misère, les attaques au camion bélier dans les Lidl se feraient en permanence (mais cette « question sociale » a son importance comme il sera vu plus loin)… Je ne prétends évidemment pas avoir « la » solution, mais comme c’est un peu mon métier, cela fait plusieurs dizaines d’années que je réfléchis, lis, étudie « la » question, tout en tirant les conclusions suivantes que d’autres font également…

« La » réponse doit être déjà multiforme…

  • 1° Comme déjà cette question des flux migratoires est mondiale, elle doit être posée d’abord à ce niveau, quitte à faire pression sur l’ONU, l’UE, en opérant la politique de la chaise vide, en exigeant que les pays d’où partent ces flux les stoppent s’ils ne veulent pas être exclus des instances internationales, et ne dites pas que « ce n’est pas possible » puisque certaines d’entre elles empêchent, aujourd’hui, de construire dans les pays subsahariens des barrages hydrauliques ou des centrales thermiques « au nom du climat » alors qu’ils en ont bien besoin, à plusieurs niveaux, et déjà afin que, justement, leur population ne s’en aillent pas chercher bonne fortune ailleurs… Ne parlons pas également de la corruption endémique de ces pays… Que les généraux « algériens » redonnent l’argent du pétrole et du gaz planqués en Suisse et aux USA à leur population au lieu de la pousser à se faire passer pour des chrétiens d’Orient ou des homosexuels pourchassés…
  • 2° Ensuite, concernant les populations, déjà là deux politiques doivent être simultanément introduites :

    • a/rétablir dans l’instruction civique et morale ce que veut dire le terme « sanction » qui est d’abord une exigence morale et non pas une « humiliation » (comme l’explique bien Durkheim évidemment oublié) ; ce qui implique que la délinquance doit être également analysée comme un « mode de vie choisi » par certains et non pas le seul résultat subi d’une situation que les pères d’ailleurs vivaient au centuple sans pour autant verser dans une telle « décivilisation » (qui n’a rien à voir avec la prolifération des « réseaux » caisse de résonnance, et non source de ces maux) ;
    • b/ rétablir dans les cours d’Histoire et de géographie et de sciences économiques et sociales et de philosophie plusieurs choses :

      • Non, ce n’était pas l’enfer sous la colonisation en « Algérie », même si certains en profitaient plus allant jusqu’à faire capoter une autonomisation des autochtones (comme le prônait Soustelle, j’en parle dans cet ouvrage sur « Le monde arabe existe-t-il ?… » ou encore dans « les Berbères à la croisée des chemins »), car la majorité des « pieds noirs » était à peine plus lotie, sauf qu’elle acceptait que la loi française soit au-dessus de la loi religieuse, et d’ailleurs les autochtones à partir de 45 n’avaient même plus besoin de renoncer à cette dernière pour être de plain-pied reconnus citoyens français.
      • Non, l’esclavage n’a pas été inventé par les « blancs » et il avait plusieurs causes en Grèce antique comme le fait de payer ses dettes en se mettant ainsi au service de son bailleur de fonds. Par ailleurs c’est uniquement en Occident que cela a été remis en cause, et les pirates liés à « la Course » infestaient les mers, d’où la nécessité d’intervenir à Alger en 1830 puisque le Bey affilié à l’Empire ottoman ne faisait rien…
      • Non, le monde des entreprises n’est pas un enfer comme le disent les mélenchonistes qui pousseraient à les fuir pour l’assistanat à la cubaine et à la vénézuélienne (avec carte électorale connectée aux aides sociales diverses), les gosses non embrigadés encore dans les réseaux criminels rêvant dans ce cas uniquement à un avenir d’influenceur chez Hanouna et sur Tik Tock (alors que beaucoup vont en apprentissage malgré les quolibets des racialistes et affiliés leur disant qu’ils seront les esclaves des blancs)…
      • Non, le « manque de moyens » n’explique donc pas tout, en particulier lorsque le Ministère dit de « l’éducation » veut prioriser les cours d’éducation sexuelle (conformément aux directives de l’OMS) sur les cours ci-dessus au lieu de rectifier des décennies de diabolisation quant à la présence française en Afrique, la vie en entreprise, la question des passions humaines qui ne sont pas « que » des « constructions sociales » ou réductibles à des « pulsions » ; même si évidemment répétons-le, certains colons, de par le monde, ont abusé et abusent encore (quid de l’esclavage en Arabie, du travail forcé au Tibet ?) et que du fait d’un manque patent de syndicats réellement indépendants, la véritable cogestion à l’allemande n’a jamais été mise en place, empêchée par toute une technostructure préférant alourdir jusqu’à freiner, même sans le vouloir, le dynamisme entrepreneurial propre au génie français, lui cassant une jambe avec des impôts de production et des cotisations sociales trop lourdes d’un côté, et lui proposant des béquilles de l’autre par des « aides » empoisonnées en réalité tant elles nivellent par le bas, privilégiant par exemple les bas salaires en les exemptant de cotisations patronales pour les uns, d’impôts pour les autres, alors qu’une réorganisation de l’assiette sociale et fiscale s’impose de plus en plus…
      • Oui, le fait que près d’un tiers des Français, 20 millions, vit avec moins de 100 euros le 10 du mois est un réel problème précisément produit par cette faillite de l’État providence qui loin de créer l’abondance pour tous, comme promis, a plutôt produit, même indirectement, la misère actuelle (assister plutôt que former) en plus d’une politique désastreuse de désindustrialisation et de destruction de l’approvisionnement énergétique en acceptant le diktat allemand sur l’abandon du nucléaire en échange d’une politique monétaire facilitant les endettements financiers non pas pour investir, mais pour alimenter toute cette machinerie sociale. Celle-ci marche de moins en moins parce que les individus ne sont pas des machines qui ne font que consommer, mais aussi veulent vivre dans la culture d’origine pour les immigrés puisque l’école de la République leur dit que la culture française c’est mal (ou n’existe pas) à part quelques poésies contestataires et autres écrits ultra critiques sur la méchante domination blanche, tout en adoptant aujourd’hui le clavier azerty comme emblème (arc-en-ciel…) faute de quoi l’on ne pourra pas progresser dans les échelons de la Pyramide, ce qui fait que certains dans ce cas préfèrent revenir à la culture ancestrale où au moins les principes fondamentaux sont respectés, même si la place de la femme et du jeune est réduite à la portion congrue…

On le voit, autant prêcher dans le désert (pour rester poli…). L’élite au pouvoir, jusqu’à ce maire de la « diversité » de Trappes, veut rester dans les mêmes œillères et ornières, quitte à ce que même à Trappes cela brûle. Et contrairement à ce que ce maire dit, la camionnette enflammée n’est pas un fait « incompréhensible » en soi. Bien au contraire, cette destruction est plutôt le symbole non pas d’un seul manque, mais d’un ensemble comme décrit plus haut… Et puis brutalement dit et au-delà des impérities que l’enquête tranchera s’agissant de la mort du jeune chauffard : si certains veulent rouler vite dans les portions de route réservées aux bus et taxis qu’ils aillent le faire par exemple en Algérie… Les autorités de ce pays ne disent-elles pas d’ailleurs que leur propre criminalité augmente lorsque leurs résidents installés en France reviennent y passer quelques vacances ?…

Il faut débrancher cette élite incapable, pédante et fielleuse, dangereuse même, tel un fauve blessé, au fur et à mesure qu’elle sent bien son heure venue, celle de rendre des comptes…




John Coleman : les 300 et leur extermination des mangeurs inutiles

[Source : Le Saker Francophone]

Par Nicolas Bonnal

Au début des années 90 dans son ouvrage légendaire John Coleman évoque le dépeuplement des peuples blancs occidentaux, la famine, la pénurie, la fin de l’eau, l’invasion migratoire, la disparition de l’électricité, les guerres d’attrition en Europe, la confiscation du logement, l’interdiction de déplacement ; mais aussi le contrôle de l’argent par la technologie et la liquidation en conséquent. Instrument génocidaire de la volonté satanique des oligarques européens et américains, l’UE va tout mettre en œuvre pour arriver à ses fins. Les complicités politiques et parlementaires, les politiciens achetés et une masse de crétins manipulables feraient le reste. La fin de la foi chrétienne, de l’éducation et de la culture et le grand abrutissement intellectuel de la « vieille race blanche » rendent ces visions cauchemardesques réalistes ; quelques extraits en français ici.

Coleman sur la liquidation des mangeurs inutiles :

Au moins 4 milliards de « mangeurs inutiles » seront éliminés d’ici 2050 grâce à guerres limitées, épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide et famine. L’énergie, la nourriture et l’eau doivent être maintenues au niveau de subsistance pour les non-élites, en commençant par les populations blanches d’Europe occidentale et d’Amérique du Nord, puis s’étendant à d’autres. La population du Canada, de l’Europe occidentale et des États-Unis sera décimée plus rapidement que sur les autres continents, jusqu’à ce que la population mondiale atteigne le niveau gérable de 1 milliard, dont 500 millions seront constitués de Chinois et de Japonais pures races, sélectionnées parce que ce sont des gens enrégimentés depuis des siècles et qui sont habitués à obéir sans poser de questions à l’autorité.

Pénuries d’eau (merci Macron), d’électricité, de nourriture (on a les insectes) ? Coleman:

De temps en temps, il y aura des pénuries artificielles de nourriture, d’eau et de soins médicaux pour rappeler aux masses que leur existence même dépend du bon vouloir du Comité des 300.

Confiscation des logements et prédation et raréfaction scientifique :

les logements limités et les industries de toute nature autorisées à rester seront sous la direction du Club de Rome de l’OTAN, ainsi que tous les développements scientifiques et de l’exploration spatiale, limités à l’élite sous le contrôle du Comité des 300. Les armes spatiales de toutes les anciennes nations seront détruites avec les armes nucléaires.

Centralisation et informatisation et disparition pour finir de la médecine :

Tous les produits pharmaceutiques essentiels et non essentiels, médecins, dentistes, personnels de santé, travailleurs sociaux seront enregistrés dans la banque de données informatique centrale et aucun médicament ni soin médical ne sera prescrit sans autorisation expresse des contrôleurs régionaux responsables de chaque ville et village.

Submersion migratoire généralisée :

Les États-Unis seront inondés de peuples de cultures étrangères qui finiront par submerger l’Amérique blanche, des gens qui n’ont aucune idée de ce que la Constitution des États-Unis représente et qui, par conséquent, ne fera rien pour la défendre, et dans l’esprit de qui concept de liberté et de justice est si faible qu’il importe peu. LA NOURRITURE et le logement seront les principales préoccupations.

La question de l’argent : le virtualiser pour le confisquer.

Aucune banque centrale, à l’exception de la Banque des règlements internationaux et de la Banque mondiale, ne sera autorisée à fonctionner. Les banques privées seront interdites. La rémunération du travail effectué sera soumise à une échelle prédéterminée uniforme dans tout le gouvernement mondial unique.

Les non-élites n’auront rien, ajoute Coleman qui savait tout depuis les années 70 du programme exécuté maintenant :

Il n’y aura pas d’argent ou de monnaie entre les mains des non-élites. Toutes les transactions doivent être effectuées au moyen d’une carte de débit portant le numéro d’identification du titulaire. Toute personne qui, de quelque manière que ce soit, enfreint les règles et règlements du Comité des 300 verra l’utilisation de sa carte suspendue pour une durée variable selon la nature et la gravité de l’infraction… Ces personnes constateront, lorsqu’elles iront faire des achats, que leur carte est sur liste noire et ils ne pourront pas obtenir de services de quelque nature que ce soit. Tenter d’échanger de « vieilles » pièces, c’est-à-dire les pièces d’argent des nations précédentes et aujourd’hui disparues, sera traité comme un crime capital passible de la peine de mort. Toutes ces pièces doivent être remises dans un délai donné ainsi que les fusils, les explosifs et les automobiles. Seuls l’élite et les hauts fonctionnaires du gouvernement mondial seront autorisés à voyager à titre privé, et à posséder armes, pièces de monnaie et automobiles.

La carte de crédit sera saisie :

Si l’infraction est grave, la carte sera saisie au point de contrôle où elle sera présentée. Par la suite, cette personne ne pourra plus obtenir de nourriture, d’eau, d’abri, de services médicaux, du travail et sera officiellement répertoriée comme hors-la-loi. De grandes bandes de hors-la-loi seront ainsi créées et ils vivront dans les régions qui permettent le mieux leur subsistance, sujets à être traqués et abattus à vue. Toute personne aidant les hors-la-loi de quelque manière que ce soit sera également fusillée. Les hors-la-loi qui ne se rendent pas à la police ou à l’armée après une période de temps déclarée verront un ancien membre de la famille choisi au hasard pour purger des peines de prison à leur place.

Guerres partout :

Les différences ethniques et religieuses doivent être amplifiées et les conflits exacerbés et violents comme moyen de « régler » leurs différends doivent être encouragés encore et encore.

Le gouvernement mondial (qui peut se mettre en place malgré ou grâce aux guerres) :

Tous les services d’information et les médias imprimés seront sous le contrôle du One World Gouvernement [Gouvernement Mondial Unique]. Les mesures régulières de contrôle du lavage de cerveau doivent être présentées comme « divertissement » dans la manière dont il a été pratiqué et est devenu un art dans les États-Unis. Les jeunes retirés de « parents déloyaux » recevront une éducation spéciale conçue pour les brutaliser.

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Le reste du livre ici sur le site de la… CIA.

Nicolas Bonnal sur Amazon.fr

Sources


[Source : favoris-alcyonpleiades]






Bientôt un compte carbone individuel pour traquer ses émissions de CO2 ?

Les pays, les régions, les départements, les villes, les entreprises se sont fixé des quotas d’émission de CO2 à ne pas dépasser. De nombreux experts, spécialistes de l’énergie, écologistes, hommes politiques pensent désormais que les individus devaient prendre leur part dans le combat que la société est en train de mener contre le réchauffement climatique et ont pensé à la création d’un compte carbone individuel. Décryptage.




Selon le Dr P. Marik, l’objectif de Big Pharma est de nous rendre aussi dépendants que possible des médicaments

[Source : Etresouverain via PG]

Le Dr Paul Marik affirme que la médecine est contrôlée par l’industrie pharmaceutique et les grandes entreprises dont le but n’est pas de promouvoir la santé, mais de vendre des médicaments coûteux et de nous rendre dépendants d’eux jusqu’à notre mort. Presque tous les membres du Congrès ont été soudoyés par Big Pharma. Des maladies comme le diabète et le cancer peuvent être guéries.

[À partir de 0:46]






Attali prophète ?

Ou très bien renseigné sur le plan mondialiste ?

Source : https://vk.com/video597468040_456252109
via Profession Gendarme

[Source : Divulgation.fr]






Cette période de démondialisation est temporaire : la « monnaie mondiale » arrive

[Source : aubedigitale.com]

Par Kane McGukin

Où allons-nous ? Difficile à dire, mais une chose est certaine. C’est un avenir qui semble bien différent du passé que nous avons connu.

C’est l’un des fondements dont Ray Dalio parle de temps à autre. Les gens et les sociétés ont tendance à s’habituer à la situation actuelle. Ils se laissent emporter par les bonnes et les mauvaises choses et s’attendent à ce qu’elles se poursuivent à l’infini, et c’est précisément à ce moment-là que survient le changement. Au moment où tout le monde s’attend à ce que l’ambiance actuelle se poursuive, elle bascule. Dans son article intitulé « Les changements de paradigme », il examine plus en détail certaines des ramifications de ce phénomène.

Depuis le début des années 1900, nous avons connu la mondialisation. Elle rapproche lentement les gens et les pays et les connecte, même au milieu des guerres et des périodes de protectionnisme. Nous avons mondialisé les personnes au début du XXe siècle, mais après les guerres (Première et Seconde Guerre mondiale), il était courant que les gens voyagent à l’échelle internationale, mais que les affaires restent essentiellement locales. Ce n’est que dans les années 80 et 90 que les entreprises ont vraiment commencé à se mondialiser, une fois que l’infrastructure numérique a été mise en place. Pendant la période intermédiaire, je ne peux qu’imaginer que l’on a eu l’impression d’assister à une démondialisation, comme on l’entend dire aujourd’hui. Et à certains égards, c’est vrai. Nous constatons que les gens recommencent à se localiser. Les confinements ont contraint les individus à rester sur place. Les chaînes d’approvisionnement se sont rompues et les pays ont commencé à reconsidérer la question de l’externalisation. Ils ont tous commencé à se retrancher et à ramener le travail à l’intérieur de leurs frontières afin de créer des protections et d’éviter les faiblesses évidentes.

Toutefois, je pense que cette période de démondialisation est temporaire. Elle ne sert qu’à ajouter une troisième jambe au tabouret, l’argent mondial.

C’est pour que nous puissions comprendre comment travailler dans un monde où les gens, les entreprises et l’argent sont globaux. C’est une période où nous pouvons définir de nouvelles règles nécessaires pour gérer un monde qui a besoin de beaucoup plus de liquidités, de nouveaux actifs financiers et de réseaux comme le Bitcoin, qui fonctionnent tous sur l’Internet. Comme dans les années 1940, je suppose que des consortiums se réunissent en secret pour réécrire et fixer de nouvelles règles. Des réunions du type Bretton Woods 2.0, où les parties en présence définissent la manière dont les capitaux circuleront et les pays qui seront les opérateurs de ce nouveau monde.

Pour la première fois dans l’histoire, les personnes, les entreprises et l’argent seront véritablement mondiaux par nature. Ils se déplaceront facilement d’une juridiction à l’autre. Ils circuleront comme de l’eau, sans que rien ne les arrête. Les signes sont là.

La bataille pour le futur

Ce n’est pas seulement le Bitcoin qui se bat contre les banques pour le pouvoir sur le réseau financier. Ce sont les utilisateurs qui se battent contre les plateformes en nuage. Ils se retirent pour exploiter leurs propres nœuds et protocoles de messagerie. Les Subreddits se retournent contre Reddit. Tout cela à cause d’une monnaie non mondiale brisée. En outre, de nombreux autres points de centralisation semblent s’effondrer. En ligne et hors ligne, dans nos mondes physiques et numériques. Pourquoi ? Parce que nous avons atteint ce point.

Il y a quelques années, nous approchions du sommet. Tout était rose et l’on pensait que la fête continuerait. Les choses ne pouvaient que s’améliorer. Nous étions au sommet du monde et personne ne pouvait imaginer que les choses n’allaient pas s’améliorer. Comme l’a souligné Ray, c’est à ce moment-là que les choses changent. C’est à ce moment-là que se produisent les changements de paradigme. Quand on s’y attend le moins. Lorsque la ou les prochaines décennies sont radicalement différentes des précédentes. Diaboliquement différente.

Dans le commerce de détail, c’est l’essor de l’artisanat. Le passage de la grande distribution à la petite entreprise familiale ou au restaurant sans chaîne. Aujourd’hui, près d’une décennie plus tard, ce mouvement est omniprésent. Les développeurs créent des protocoles de messagerie pour redonner des libertés à l’utilisateur final par rapport aux entreprises. Les nœuds conservent les fichiers, gèrent l’argent et les flux de données. Les gens prennent position. Petit à petit, nous cherchons à contrôler et à posséder les choses qui nous reviennent de droit, mais qui ont été stockées et exploitées par des propriétaires indélicats, des rentiers.

Un changement de paradigme est et a été à l’ordre du jour. Un changement de paradigme qui ressemblera à une démondialisation jusqu’à ce que le problème de l’argent soit résolu. Ensuite, nous reviendrons à la mondialisation, qui ressemblera probablement à l’époque où les avions et les navires commerciaux transportaient les gens en masse à travers les océans. Ou lorsque l’internet a permis aux plans d’affaires, aux accords et aux usines d’expédier des produits à l’échelle mondiale.

Cela créera un nouveau monde. Un monde plus connecté. Un monde plus global qui offre plus d’opportunités [NDLR plus d’opportunités de contrôler les masses et de les asservir ?].

Traduction de Bomb Thrower par Aube Digitale




Oui, le monde vous appartient, apparemment, peut-être…

[Source : plumenclume.com]

Par Israël Shamir

Le mystère de la guerre d’Ukraine échappe encore à son Jules César. Pourtant, de plus en plus de détails cruciaux passent les barrages. Poutine montre ses cartes, Loukachenko divulgue des documents, Zelensky baratine et raconte… Quand la guerre a éclaté, les États-Unis venaient de finaliser leur grand exploit : la consolidation de leur pouvoir sur l’ensemble du monde civilisé. Personne dans l’histoire ne pourrait prétendre à une telle prouesse ; ni l’Empire romain d’autrefois, ni l’Empire britannique, ni Hitler ni Staline ; mais les Yanks ont réussi. Leurs agents choisis et leurs mandataires dirigeaient tous les États importants : l’Angleterre et la France, l’Allemagne et le Japon étaient tous gouvernés par des agents américains. L’Allemagne et le Japon peuvent encore être occupés par l’armée américaine, mais même si la France n’a pas de troupes américaines, elle est toujours dirigée par un agent américain. Le mandataire américain de la Suède a récemment accepté d’abandonner sa précieuse et profitable neutralité. La Finlande a renoncé à l’approvisionnement inépuisable en gaz et en bois bon marché de la Russie pour devenir un pion, au cœur de la nature sauvage du Grand Nord. Ces agents américains allaient pouvoir infliger d’horribles souffrances à leurs sujets ; ils allaient détruire des industries, amener la famine et des épidémies sur leurs nations, juste pour suivre la baguette magique entre les mains de Washington. Aucun pays n’est loin d’une base militaire américaine : oui, ils contrôlent le monde.

La Russie et la Chine ont également été soumises : elles conservent des vestiges d’indépendance, mais acceptent les ordres américains. Le communisme russe qui a préservé l’immense État russe à travers les guerres mondiales est finalement tombé, et les régimes néolibéraux qui ont suivi ont vendu ou démoli tout ce qui restait debout. Les Russes ont ignoré leur propre sécurité parce qu’on leur avait promis que l’OTAN ne s’étendrait jamais vers l’Est dans les anciens États soviétiques, mais cette promesse n’a pas été honorée. Les États-Unis ont ouvertement renié leurs promesses, ne permettant même pas à la Russie de se plaindre. Poutine, qui prend relativement bien soin de son peuple et reste populaire auprès d’eux, a exigé que l’OTAN se retire aux frontières de l’accord de 1997. Ils ont refusé net d’en discuter ; mais Poutine hésitait toujours à affronter la suprématie mondiale des États-Unis.

La Chine a été soumise par le commerce, car on l’a laissée fabriquer et vendre des marchandises bon marché, se débarrassant ainsi de sa propre pauvreté. Le président Xi a de fait obéi aux souhaits des États-Unis, mais maintient toujours plus ou moins au moins l’illusion de l’indépendance.

La grande planète Terre appartient pratiquement aux États-Unis. Avec des centaines de bases militaires, le dollar comme monnaie universelle, que voulez-vous de plus ? Le monde vous appartient ! Les Américains pouvaient enfin se détendre et s’offrir la belle vie. Mais ils ont toujours été trop cupides et l’hubris les a menés à sacrifier leurs propres biens. En s’attaquant à la Russie, ils pourraient bien mettre fin à leur hégémonie.

Ils ont décidé de donner une leçon au Poutine russe. Pour ce faire, ils ont utilisé le modèle Tempête du désert qu’ils avaient mis en œuvre en 1992 contre Saddam Hussein en Irak. Comme vous vous en souvenez peut-être, l’ambassadeur américain avait dit à Saddam que les États-Unis ne s’opposeraient pas à ce qu’il s’empare du Koweït, une petite, mais riche principauté qui faisait partie de l’Irak jusqu’à ce que les Britanniques l’en séparent. Saddam a donc fait exactement cela, avant de découvrir qu’il était qualifié de nouveau Hitler. Les États-Unis avaient attaqué l’Irak dans ce qu’on a appelé l’opération Tempête du désert ; dans la foulée ils ont tué quelque 40 000 soldats et causé la mort de 200 000 civils irakiens. Au cours des dix années suivantes, les États-Unis ont saigné l’Irak avec des sanctions, l’ont envahi à plusieurs reprises et ont finalement pendu Saddam. De la même manière, ils ont convaincu M. Poutine que les États-Unis n’interféreraient pas en Ukraine. C’était un piège, et il est tombé dedans.

La situation en Ukraine était préoccupante depuis un certain temps et était déjà explosive. Le régime actuel de Kiev a été établi après le coup d’État de 2014, qui a été orchestré par Victoria Nuland et son minyan [cénacle juif] de néocons. Le régime a été généreusement soutenu par les États-Unis tant qu’il est resté violemment anti-russe. Ils ont commencé par bombarder la région ukrainienne orientale à prédominance ethnique russe du Donbass. Bien que le régime de Kiev ait signé les accords de Minsk promettant un certain degré d’autonomie au Donbass, il les a piétinés et a admis plus tard avoir conclu ces accords juste pour avoir plus de temps pour se préparer à la guerre avec la Russie. Mais Poutine est un homme pacifique et il ne voulait pas envoyer son armée se battre. L’armée russe a été réduite pendant son règne ; des systèmes d’armes coûteux ont été détruits ou remisés. Poutine a réduit l’armée à une armée professionnelle plutôt petite, prête pour des conflits mineurs à la périphérie, s’appuyant sur les armes nucléaires dont il a hérité de l’URSS, conçues pour s’ajuster à des scénarios apocalyptiques. Tout le reste — relevant des confrontations conventionnelles qui ont dominé le 20e siècle — a été négligé. Enfin, toujours convaincu que les États-Unis n’interféreraient pas, Poutine est entré en Ukraine pour imposer la paix.

La triste expérience du 22 juin 1941 l’avait marqué. C’était le jour où l’Allemagne avait envahi la Russie malgré le traité de paix conclu entre les deux pays. Staline avait appris de ses espions que l’attaque était imminente, mais il n’y croyait pas ; il était sûr que ce n’était qu’une rumeur ennemie. La première frappe des panzers allemands a atteint les murs de Moscou six mois plus tard. Poutine ne voulait pas faire aux Ukrainiens le même cadeau que Staline à Hitler. Frapper en premier ! — telle est la devise de Poutine.

En quelques jours, l’armée russe était déjà aux portes de Kiev. Ce fut rapide, bref et décisif. Aussitôt, à Istanbul, les représentants de la Russie et de l’Ukraine mirent au point un accord diplomatique. L’accord fut rendu possible grâce aux bons offices de l’oligarque juif russe Roman Abramovich, le propriétaire du club Chelsea, qui voulait éviter les sanctions. M. Oleg Tsarev, qui suivait de près ces événements (il était candidat à la présidence de l’Ukraine en 2014), a déclaré que M. Abramovich avait soudoyé les dirigeants ukrainiens afin qu’ils acceptent rapidement d’accord. L’accord n’était pas mauvais pour l’Ukraine : ils devaient réduire leur armée, accepter la neutralité permanente et accepter que le Donbass soit rendu à la Russie. C’était raisonnable, compte tenu des huit années pendant lesquelles le Donbass avait été bombardé par l’armée ukrainienne. Mais cela ne devait pas se faire : M. Johnson, le Premier ministre britannique, est arrivé à Kiev et a surenchéri sur M. Abramovich. L’Ukraine a accepté plus de guerres. C’était une décision populaire en Ukraine : le peuple voulait la guerre.

Quelques jours avant la guerre, le sujet avait été abordé dans le talk-show ukrainien populaire de M. Savik Shuster. Étonnamment, près de 90 % du public avait voté pour la guerre, plutôt que pour le respect des accords de Minsk. Les États-Unis ont également insisté sur la guerre. Ils sentaient que Poutine était pris dans leur piège. Pendant ce temps, l’armée russe avait déjà commencé à se retirer de Kiev et de la région de Kharkov. Les généraux russes ont ramené leurs armes lourdes sur le territoire russe et se sont rapidement retirés. Le retrait était tactique — l’armée russe en Ukraine était très petite, juste suffisante pour un raid éclair, mais non pour une occupation prolongée. Mais c’était quand même un exercice humiliant.

Pire, les États-Unis et leurs alliés ukrainiens ont mis en scène une copie de Timisoara dans la petite ville de Bucha, avec des cadavres sortis des tombes et de la morgue, pour imputer aux soldats russes des atrocités. Timisoara, c’est cette ville minière roumaine où un massacre similaire avait été organisé par la CIA en 1989 afin de déposer et d’exécuter rapidement le dirigeant de l’époque, M. Nicolae Ceausescu.

Pour mener une guerre plus longue, la Russie devait trouver plus de soldats, et la mobilisation a donc commencé. Beaucoup de jeunes hommes pro-occidentaux (et moins jeunes) avaient quitté la Russie, principalement vers les anciennes républiques soviétiques de Géorgie, du Kazakhstan, etc., et vers Israël où les visas d’entrée ne sont pas requis pour les Russes. Certains pro-occidentaux ont fait une tentative pour s’installer en Europe, en aspirant au statut de réfugié (ils ont été encouragés et instruits par les émigrés des vagues précédentes). Toute cette génération avait grandi après la chute de l’Union soviétique et avait été élevée dans l’idée que l’Occident était merveilleux. La Russie est la seule république ex-soviétique qui n’a pas connu de poussée nationaliste ; tous les autres États soviétiques ont été inspirés par leurs propres nostalgies de nationalisme ou même (dans le cas de l’Ukraine) influencés par les néonazis. Alors que les Ukrainiens et les Géorgiens apprennent à l’école qu’ils sont les meilleurs, on apprend aux Russes qu’ils ne sont pas particulièrement merveilleux. Même le patriotisme ordinaire peut difficilement être déniché en Russie. Leur amour est tourné vers l’Occident ; l’histoire d’amour des médias avec l’Amérique est une tendance universelle, et cela a également fonctionné pour la Russie.

Le nationalisme russe avait été éradiqué presque complètement en URSS, bien que les nationalistes aient eu un ou deux grands magazines dans les derniers jours de l’Union soviétique. Dans les années 1970, les nationalistes russes ont tenté de se faire entendre, mais ils ont ensuite été accusés d’antisémitisme et se sont tenus cois (le poète Stanislav Kunyaev raconte ce dernier combat). Même sous Poutine, les nationalistes continuent d’être découragés, bien que les Juifs (qui étaient partis en masse pour Israël) aient été en partie remplacés par des Arméniens. Seules les dernières années du règne de Staline ont été passablement bonnes pour les nationalistes russes. C’est pourquoi il n’y a pas eu de réponse positive à la mobilisation. Les personnalités pro-occidentales ont réussi à s’approprier pratiquement toutes les ressources culturelles, et pour un créateur, il n’y avait pas le choix : s’il voulait être publié, s’il voulait percer dans le cinéma, il devait être pro-occidental. La guerre d’Ukraine a été une bonne chose de ce point de vue. Au moins un certain patriotisme russe est redevenu légitime, bien que ce ne soit toujours pas l’humeur dominante. Les États-Unis ont imposé des sanctions anti-russes à tous leurs alliés, n’autorisant que les importations que les États-Unis souhaitaient pour leurs propres besoins. Même le tribunal de La Haye a fait l’objet de sanctions américaines (les États-Unis ont menacé d’occuper La Haye si ses juges osaient enquêter sur les massacres au Vietnam et en Afghanistan par les forces américaines). Ils ont porté plainte contre le président Poutine pour l’accusation totalement fictive d’enlèvement d’enfants ukrainiens (environ 150 enfants ukrainiens ont été déplacés du champ de bataille vers des colonies de vacances d’été, tandis que deux fois plus d’enfants ont été enlevés par l’UE à leurs parents). Bien qu’injuste, l’accusation même a eu un impact positif sur M. Poutine : à partir de ce moment-là, il a compris que s’il échouait, il pouvait s’attendre au sort de Saddam Hussein ; ergo il ne peut pas échouer.

La guerre s’est transformée en une bataille de tranchées à l’ancienne et de lourdes fortifications. La seule bataille importante (après Marioupol) a été la bataille pour Bakhmut, une petite commune provinciale. On se souviendra à jamais d’un homme auparavant peu connu, Yevgeny Prigojine. On l’appelait « le chef de Poutine » pour une drôle de raison : il possédait autrefois une entreprise de restauration qui nourrissait des écoliers à Moscou et à Saint-Pétersbourg. Mais en 2015, il est devenu le directeur et le commandant d’une compagnie de mercenaires, le groupe Wagner, et ses soldats ont eu un grand impact en Syrie puis en Afrique. Ce sont ses soldats qui ont pris Bakhmout après « le hachoir », comme ils appelaient cette opération. Des milliers de soldats ukrainiens y ont été tués. Prigojine est également un maître des relations publiques. Il critique impitoyablement le MoD (ministère de la Défense), l’état-major, les généraux et le ministre de la Défense. Il les a accusés d’un manque de patriotisme, de se soucier peu des soldats russes. La seule exception qu’il ait faite, c’était pour ses vieilles connaissances de la campagne syrienne, le général « Armageddon » Sourovikine et le général trois étoiles Michael Mizintsev qui a commandé les troupes lors de la réduction de Marioupol. Fils d’un paysan de Vologda, Mizintsev était l’officier russe le plus haut gradé actuellement sur le champ de bataille et il était vice-ministre de la Défense. Après le hachoir de Bakhmout, Mizintsev a pris sa retraite de son poste au MoD, et il est devenu le commandant en second du groupe Wagner.

Pourquoi M. Poutine a-t-il autorisé une critique aussi impitoyable de son ministère de la Défense ? Apparemment, il voulait avoir un équilibre. Il se souvient que l’armée irakienne a été vaincue par les États-Unis avec l’aide de généraux irakiens qui avaient accepté des pots-de-vin américains et qui ont trahi leur pays et leur chef. Le groupe Wagner était une assurance contre une démarche similaire des généraux russes.

Le groupe Wagner est une bonne armée, pleine de soldats et d’officiers prêts à se battre. Au début, il avait le problème d’être à court de munitions, mais il semble que cela ait été résolu. L’URSS a laissé un riche héritage d’armes et de munitions ; bien que sa production ait été quelque peu affaiblie, ils l’ont récemment améliorée. Après le règne désastreux de Gorbatchev-Eltsine, les choses ont dû être reconnectées, et la guerre d’Ukraine a donné à M. Poutine une chance de forcer les connexions. Oui, il vaut toujours mieux éviter complètement la guerre, mais Poutine presse les citrons de l’OTAN et en fait de la limonade russe. Oui, les Russes étaient assez naïfs pour croire que les États-Unis pourraient les aider au lieu de les combattre. Ils étaient aussi bêtes que ça ? Mais cela a commencé il y a longtemps, ce fantasme russe d’un Occident libre et magnifique comme un paradis terrestre et un modèle de perfection démocratique. Poutine avait également accepté ce paradigme pendant de nombreuses années. Donc la guerre a été bonne dans la mesure où elle a permis à la Russie de se réactiver, tout comme son armée, et son patriotisme.

Après le hachoir de Bakhmout, l’armée russe s’est assise et a attendu l’offensive ukrainienne. Cela a commencé il y a deux semaines, et pourtant il n’y a toujours pas de grande victoire. Mais qui sait ? Il n’est pas impossible que les Ukrainiens obtiennent quelque chose, tant que les Russes refusent la mobilisation et renâclent à mettre leur économie sur le pied de guerre. Il semble que M. Poutine ait finalement accepté que la guerre de l’OTAN ne se terminera pas de sitôt. Il pense maintenant à des stratégies à beaucoup plus long terme, car c’est aussi une période de grand réalignement du monde. L’Europe pourrait prospérer avec des ressources russes bon marché ; la Russie pourrait prospérer en leur en vendant. Mais tant que les États européens seront dotés d’agents américains, ce ne sera pas le cas.

Récemment, un expert très pro-occidental nommé Sergei Karaganov a publié un article appelant à une frappe nucléaire tactique contre l’OTAN. D’autre part, un stratège russe, un patriote et même stalinien, M. Chichkine, a persuadé son auditoire d’éviter cela, car la guerre tactique doit se transformer en guerre nucléaire stratégique. Cette discussion est toujours en cours. Mais il semble que les grandes figures américaines et européennes n’aient plus peur de la guerre nucléaire, pas après le COVID-19, et surtout pas après la hausse choquante du coût de la vie (grâce à l’agenda vert et à la destruction de l’agriculture européenne). Qui voudrait vivre sa vie dans ces conditions ? À moins que le pouvoir des oligarques mondiaux ne soit brisé, nous sommes tous tentés de nous préparer à l’Armageddon, sans regret.

Enfin, mon savant ami, le professeur Z, croit qu’une fois tous les mille ans, l’Humanité est détruite par une race de maîtres de l’espace et qu’ils renaissent pour s’occuper de la planète. Maintenant, les extraterrestres apparaissent même sur les pages du NYT. C’est probablement le bon moment pour nous d’être anéantis, et merci à Greta Thunberg, Bill Gates, Antonio Fauci et autres pour tout ça.

https://www.unz.com/ishamir/the-world-is-yours/

Du même auteur :

https://plumenclume.com/2023/03/13/apres-un-an-de-guerre-otan-russie-par-israel-shamir-24-fevrier-2023/




Objectif euromondialiste : destruction du Travail à l’horizon 2030

[Source : E&R via SOTT]

Beaucoup de Français n’ont pas encore pris conscience du plan d’ensemble qui s’abat depuis 3 ans sur le pays entier et qui va s’abattre sur leur propre personne sur les 7 prochaines années : le Great Reset, l’horizon 2030 promis par le mondialiste Klaus Schwab, signifie la destruction progressive du travail indépendant, du CDI, de l’industrie, et derrière, de la production nationale au profit d’une économie tertiaire numérisée qui rend la masse des travailleurs corvéable à merci, soit le retour au XIXe siècle de Marx. La crise énergétique a déjà mis à genoux des milliers de TPE.

Quand ils voient un petit commerce ou un artisan qui ferme, un agriculteur se pendre ou un marin-pêcheur pointer à Pôle emploi — rebaptisé France Travail par une inversion orwellienne de toute beauté —, beaucoup de Français ne voient pas le plan d’ensemble, la tendance statistique lourde. C’est l’histoire de la grenouille au fond de son trou qui prend le disque de ciel qu’elle voit pour le ciel tout entier.

Or, ce ciel entier est bien noir aujourd’hui, pour les Gaulois : Macron, qui veut renquiller un 3e mandat — la Banque cherche à imposer son employé zélé 5 ans de plus sur le trône —, avance à marche forcée vers ce fameux horizon, où l’on ne possédera plus rien, où l’on sera des nomades au sens attalien, où tout sera ubérisé, l’éducation comme la santé, c’est-à-dire désocialisé. On voit les germes de ce plan chaque jour, avec une insécurité grandissante à tous les niveaux, pas la peine de revenir sur la destruction programmée des services publics et le chaos qui en résulte.

Certes, un revenu universel (RU) sera octroyé aux (nouveaux) pauvres désœuvrés, mais il permettra tout juste de survivre, sous une surveillance administrative et policière de tous les instants : les JO 2024 dans un Paris en état de guerre serviront de laboratoire. Quel bénéficiaire du RU (fils du RSA) osera s’opposer à un Système qui le nourrit avec pitié et le flique avec dureté ?

Les naïfs demanderont pourquoi une économie choisit de se saborder. C’est l’oligarchie qui la sacrifie, pour dégager des superprofits là où c’est possible, rapide et facile : la France à la découpe, c’est le projet de Macron depuis 2014, le moment où le duo Minc-Attali l’a mis en selle. En d’autres termes, la production carbonée à l’ancienne, avec ses machines et ses hommes, ses usines et ses investissements, c’est du passé. Le profit contemporain, c’est celui de la finance, qui gagne de l’argent avec l’argent, et qui n’a plus besoin de l’emploi humain. D’où la neutralisation des lois du travail sous la houlette de Bornstein. Le XXe siècle a été celui de la disparition du métier ; le XXIe sera celui de la disparition de l’emploi, qui était déjà une dégradation du métier.

« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux… L’une après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites… lorsque l’intelligence artificielle et les robots ont assumé une grande partie de notre travail… »

Il ne restera plus que la classe dominante, une classe de servants technologiques du Système, les gardiens armés de l’ensemble, et une foule hétéroclite d’assistés, d’esclaves, de margoulins, d’artistes et de dingos (le surplus non productif sera un jour déporté sur Mars ou éliminé par des pandémies ciblées). On peut penser que les drogues de synthèse seront en vente libre, ça fait partie du projet d’anesthésie des masses et de leur colère potentielle. On approche de la dystopie hollywoodienne de bas étage.

Les trois piliers de notre société — et de notre civilisation — étaient le travail, la famille et la patrie. Tous ont été rongés par le travail de sape des forces occultes qui se cachent de moins en moins. Le travail disparaît, suite à la mondialisation, au choc robotique et à l’extension de l’IA ; la famille éclate sous les coups de boutoir du féminisme, de la liberté sexuelle (qui remplace la liberté d’expression) et de la dés-éducation ; enfin, la patrie est fondue dans un ensemble plus grand – L’Europe — mais aussi plus flou aux frontières ouvertes à la misère humaine. Les euromondialistes parlent d’un milliard de migrants climatiques. L’Europe des peuples est devenue l’otage des disciples de Schwab et Attali, tout est cohérent, la boucle est bouclée, le piège parfait.

Macron ne fait qu’appliquer à marche forcée la méthode Thatcher des années 80, remplacer l’appareil productif avec son emploi salarié de masse par une économie de services comprenant finance, banques et assurances. La révolte des Gilets jaunes — cette classe productive de base — a été matée dans le sang, comme celle des mineurs en Angleterre. Le président français ne fait qu’obéir à ses maîtres, Schwab et Rothschild.

Le discours de l’employée étasunienne Leyen au forum de Davos 2023 ne laisse plus de place au doute : le changement sera brutal.

La transition vers une industrie neutre en carbone entraîne déjà d’énormes transformations sur le plan industriel, économique et géopolitique — de loin les plus rapides et les plus marquées que nous ayons connues de notre vivant. Elle transforme la nature du travail et la configuration de notre industrie. […]

C’est maintenant que s’écrit l’histoire de l’économie des technologies propres. Durant toutes ces années où je suis venue à Davos, j’ai souvent entendu dire que nous sommes à l’aube d’une de ces périodes de destruction créatrice dont parlait 

l’économiste Joseph Schumpeter. Il pensait que l’innovation et la technologie remplacent l’ancien, entraînant l’abandon à la fois de l’industrie précédente et des emplois qui y étaient liés. Cette dynamique s’applique, de bien des manières, à la révolution des technologies propres de demain.






2024 sera pire que 1984 de George Orwell

[Source : planetes360.fr]

Par Michael

La Technologie extrêmement avancée a le potentiel d’être utilisée pour IMPOSER une tyrannie à l’échelle mondiale… Les mondialistes nous IMPOSENT un agenda futuriste EFFROYABLE ! Voici 8 faits de contrôle TOTAL de nos vies !!!

[Voir aussi :
« Pacte mondial pour le numérique » : les Nations Unies encouragent la censure, le crédit social et bien d’autres choses encore]


L’avenir est juste devant nous, et si vous aimez être dominé par des maniaques du contrôle, vous allez adorer. « L’identification numérique » est l’un des principaux domaines sur lesquels les mondialistes se concentrent actuellement, et comme vous le verrez ci-dessous, les changements radicaux qui sont maintenant proposés sont extrêmement effrayants. Mais la plupart des Américains n’ont aucune idée de ce qui se passe réellement. Au lieu de cela, beaucoup d’entre eux sont obsédés par les drames relativement dénués de sens que nos médias mainstream ne cessent de présenter au public. Pendant ce temps, les mondialistes atteignent leurs objectifs à la vitesse de l’éclair, et il n’y a pratiquement aucune résistance. Voici 8 signes que le programme futuriste des maniaques du contrôle des mondialistes progresse rapidement…

# 1 À partir de septembre, l’UE « obligera » tous les États membres à offrir un « portefeuille d’identité numérique » à tous leurs citoyens et entreprises…

L’Union européenne rendra obligatoire l’identité numérique dans le cadre de l’eIDAS 2.0, qui entrera en vigueur en septembre 2023 et garantira que tous les États membres offrent un portefeuille d’identité numérique (DIW) aux citoyens et aux entreprises. Selon la Commission européenne, « Au moins 80 % des citoyens devraient pouvoir utiliser une solution d’identification numérique pour accéder aux principaux services publics d’ici 2030″.

# 2 Un système d’ » empreintes digitales numériques » pour les Américains est soudainement devenu une des priorités essentielles de Barack Obama…

L’ancien président Barack Obama a suggéré dans une nouvelle interview le développement des « empreintes digitales numériques » pour lutter contre la désinformation et faire la distinction entre les informations vraies et trompeuses pour les consommateurs.

Obama s’est assis avec son ancien conseiller principal de la Maison-Blanche, David Axelrod, pour une conversation sur le podcast de ce dernier, « The Ax Files », sur CNN Audio. Au cours de l’interview, Axelrod a noté qu’il avait vu « de la désinformation, de la désinformation et des deepfakes » ciblant Obama.

# 3 Une note d’orientation de l’ONU que vous pouvez trouver ici propose un système mondial d’identification numérique lié à nos comptes bancaires

Les identifiants numériques liés aux comptes bancaires ou d’argent mobile peuvent améliorer la fourniture de la couverture de protection sociale et servir à mieux atteindre les bénéficiaires éligibles. Les technologies numériques peuvent aider à réduire les fuites, les erreurs et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale.

# 4 L’Organisation mondiale de la santé a adopté « le système de certification numérique COVID-19 de l’Union européenne (UE) » et prévoit de le transformer en un « système mondial »…

En juin 2023, l’OMS adoptera le système de certification numérique COVID-19 de l’Union européenne (UE) pour établir un système mondial qui contribuera à faciliter la mobilité mondiale et à protéger les citoyens du monde entier contre les menaces sanitaires actuelles et futures, y compris les pandémies. Il s’agit du premier élément constitutif du réseau mondial de certification de la santé numérique de l’OMS (GDHCN) qui développera une large gamme de produits numériques pour offrir une meilleure santé pour tous.

« S’appuyant sur le réseau de certification numérique très performant de l’UE, l’OMS vise à offrir à tous les États membres de l’OMS l’accès à un outil de santé numérique open source, qui repose sur les principes d’équité, d’innovation, de transparence, de protection des données et de confidentialité », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. « Les nouveaux produits de santé numériques en cours de développement visent à aider les gens partout dans le monde à recevoir des services de santé de qualité rapidement et plus efficacement ».

# 5 Les agences fédérales aux États-Unis ont acheté d’énormes quantités d’informations sur les citoyens américains auprès de courtiers en données, et nous sommes avertis que ces informations pourraient potentiellement être utilisées pour « chantage, harcèlement, harcèlement et honte publique »…

Les agences fédérales accumulent secrètement des montagnes de données qui pourraient être utilisées pour « le chantage, le harcèlement, le harcèlement et la honte publique » des citoyens américains.

Cette allégation ne vient pas d’un fanatique des libertés civiles aux cheveux roses — c’est dans un nouveau rapport pour le maître-espion en chef du pays, Avril Haines.

# 6 Il a été révélé que le Pentagone utilisait des outils en ligne très effrayants afin de « suivre, localiser et identifier secrètement toute personne exprimant une dissidence ou même une insatisfaction à l’égard des actions de l’armée américaine et de ses dirigeants »…

Dans un rapport choquant publié par « The Intercept » le 17 juin, des détails sont apparus sur une stratégie américaine de surveillance de la sécurité nationale visant à suivre, localiser et identifier secrètement toute personne exprimant une dissidence ou même une insatisfaction face aux actions de l’armée américaine et de ses dirigeants.

Les mesures, prises par le bataillon des services de protection de l’armée, relèvent de leur mandat de protéger les hauts généraux contre « l’assassinat, l’enlèvement, les blessures ou l’embarras ».

# 7 Comme je l’ai dit hier, l’ONU a développé un système mondial de vérification des faits connu sous le nom de « iVerify » en collaboration avec de grandes entreprises technologiques et des organisations financées par Soros. Le but est de pouvoir faire la police de la « désinformation » et des « discours de haine » partout sur la planète

Les Nations Unies ont dévoilé un service de vérification des faits « automatisé » pour contrer la soi-disant désinformation et les discours de haine sur Internet dans le cadre d’un projet en partenariat avec des organisations financées par Big-Tech et Soros.

En réponse à ce qu’ils qualifient de « pollution de l’information en ligne », qu’ils qualifient de « défi mondial », le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a lancé sa plateforme « iVerify » pour contrer les allégations de désinformation et de discours de haine en ligne.

# 8 Le FMI admet publiquement qu’il est en train de construire « une plateforme CBDC mondiale » pour toutes les monnaies numériques des banques centrales nationales qui seront bientôt déployées…

Lors d’une présentation lors d’une conférence au Maroc, Kristalina Georgievahe, directrice générale du « Fonds monétaire international » (FMI), a annoncé que l’organisme mondial « travaillait dur sur le concept d’une plateforme CBDC mondiale ».

Georgieva a déclaré que les monnaies numériques des banques centrales doivent être interopérables entre les pays, notant que « si nous voulons réussir, les CBDC ne pourraient pas être des propositions nationales fragmentées ».

« Pour que les transactions soient plus efficaces et plus justes, nous avons besoin de systèmes qui connectent tous les pays », a poursuivi Georgieva, ajoutant « En d’autres termes, nous avons besoin d’interopérabilité ».

Si vous êtes capables de lire toute cette liste sans devenir extrêmement alarmés, je ne sais pas s’il y a un espoir pour vous.

Les mondialistes construisent une grille de contrôle numérique mondiale qui leur donnerait potentiellement un pouvoir sans précédent sur la vie de chaque homme, femme et enfant de la planète entière.

Dans un tel système, si vous insistez pour être un rebelle, votre accès au système numérique pourrait être complètement révoqué.
Que feriez-vous alors ?

Comment survivriez-vous si vous ne pouviez pas acheter, vendre, trouver un emploi ou ouvrir un compte bancaire ?

La technologie extrêmement avancée que nous possédons aujourd’hui nous a permis de faire beaucoup de très bonnes choses, mais elle a aussi le potentiel d’être utilisée pour imposer une tyrannie à l’échelle mondiale.

Nous devons résister à ces changements que les mondialistes tentent de nous imposer.

Malheureusement, la plupart des Américains ne parlent même pas de ces changements, et c’est parce que les médias mainstream leur disent de se concentrer sur d’autres choses.

Source : theeconomiccollapseblog




« Pacte mondial pour le numérique » : les Nations Unies encouragent la censure, le crédit social et bien d’autres choses encore

Par Kit Knightly

À la fin du mois dernier, le bureau du secrétaire général des Nations unies a publié un document d’orientation sur les objectifs pour l’avenir de l’Internet.

Faisant suite au rapport de 2021 intitulé « Notre programme commun », le nouveau rapport s’intitule « Un pacte numérique mondial ». L’objectif est de mettre en place une législation internationale visant à contrôler et à imposer l’utilisation de la technologie numérique.

Les clauses proposées promeuvent tout ce que l’on peut attendre d’elles.

Des identités numériques liées à l’accès financier :

« Les identités numériques liées à des comptes bancaires ou à des comptes d’argent mobile peuvent améliorer la couverture de la protection sociale et permettre de mieux atteindre les bénéficiaires éligibles. Les technologies numériques peuvent contribuer à réduire les fuites, les erreurs et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale. »

Systèmes de crédit social liés à l’environnement ou au changement climatique :

« Les capteurs et les moniteurs connectés à l’Internet des objets, les plateformes de données basées sur le cloud [nuage de données], les systèmes de suivi basés sur la blockchain et les passeports numériques des produits débloquent de nouvelles capacités pour la mesure et le suivi des impacts environnementaux et sociaux tout au long des chaînes de valeur. »

Partenariat public-privé :

« Les partenariats entre les États, le secteur privé et la société civile tirent parti de la capacité des outils numériques pour fournir des solutions de développement dans le cadre des Objectifs de développement durable. Parmi les exemples, on peut citer la Digital Public Infrastructure Alliance, la Coalition for Digital Environmental Sustainability et les partenariats public-privé pour les interventions en cas de catastrophe. »

Lutter contre les « préjudices » en ligne :

« La désinformation, les discours haineux et les activités malveillantes et criminelles dans le cyberespace augmentent les risques et les coûts pour tout le monde en ligne […] nous devons renforcer la responsabilité pour les actes nuisibles et malveillants en ligne. »

Ce sont les plus évidents, mais il y a aussi un langage plus sournois et insidieux concernant « l’équité » et « l’accès ». Le rapport s’inquiète du fait que de nombreuses personnes dans le monde (principalement dans les pays en développement) n’ont pas d’accès régulier à l’Internet.

Cette préoccupation serait plus honnêtement exprimée dans le langage du contrôle — les personnes qui ne consomment pas de médias numériques ne peuvent pas être hypnotisées, les personnes qui ne communiquent pas en ligne ne peuvent pas être censurées, et les personnes qui ne dépendent pas des services bancaires numériques ne peuvent pas être contrôlées.

En résumé, le Pacte mondial numérique est un texte législatif mondialiste qui sert l’objectif final de la politique mondialiste : le contrôle de tous les aspects de la vie, obtenu en insérant un filtre numérique entre les gens et la réalité.

Banque, communication, consommation de médias, achats. Chaque interaction que vous aurez se fera à travers une membrane numérique qui pourra à la fois surveiller vos échanges avec le monde et — si cela s’avère nécessaire — vous refuser l’accès à ce monde.

Enfin, il est intéressant de noter que le rapport n’utilise pas les mots « mondialiste » et « globalisme ». Ceux-ci n’apparaissent pas une seule fois. Les mots « passeport vaccinal » ou « certificat vaccinal » ne sont pas non plus mentionnés. Les mots « crédit social » ou « monnaie numérique de banque centrale » ne sont pas non plus mentionnés. Ils sont abordés, mais ne sont pas mentionnés.

Ils semblent éviter les mots à la mode dont ils savent qu’ils susciteront des résistances ou déclencheront des sonnettes d’alarme. Auraient-ils agi de la sorte avant que les sceptiques ne commencent à s’imposer dans la conversation sur la Covid ? Je ne le pense pas.

Vous n’êtes pas obligé de me croire sur parole, bien sûr, vous pouvez lire le rapport dans son intégralité.

Il n’y a rien de surprenant là-dedans, évidemment. Mais il s’agit sans aucun doute d’un « moment de silence » et d’un lien à envoyer aux personnes qui vous considèrent toujours comme un théoricien de la conspiration.




Le Québec court-il vers une catastrophe énergétique ?

[Source : libre-media.com]

[Illustration : Des employés d’Hydro-Québec travaillent sur des lignes électriques le 7 avril 2023 à Montréal, après que des pluies verglaçantes ont frappé des régions du Québec et de l’Ontario le 5 avril. Photo: Andrej IVANOV pour l’AFP.]

Par Léo Dupire

En voulant réduire les émissions de gaz à effet de serre à tout prix et en prônant le tout-électrique, le gouvernement du Québec a créé un monstre énergivore qui pourrait bientôt engloutir toute la production d’Hydro-Québec [NDLR L’entreprise publique de production électrique au Québec].

Nous allons dans le mur d’un point de vue énergétique. Nos surplus d’électricité vont s’évaporer d’ici 2027, et en plus, le réseau d’Hydro-Québec est de plus en plus vulnérable.

Ces problèmes résultent des mauvaises décisions de nos politiciens, mais ils peuvent encore y remédier.

Le Québec court effectivement à la catastrophe énergétique. C’est essentiellement ce que nous dit Pierre-Olivier Pineau, professeur à HEC Montréal et titulaire de la Chaire de gestion du secteur de l’énergie. Selon lui, à partir de 2027, le Québec risque de manquer d’électricité pour répondre à la demande croissante des entreprises et des consommateurs.

L’électrification forcée

Comment en est-on arrivé là ? La réponse est simple : le gouvernement Legault [NDLR François Legault est l’actuel premier ministre du Québec.] et ses prédécesseurs ont misé sur l’électrification forcée de tous les secteurs de l’économie, sans se soucier des conséquences sur l’approvisionnement en énergie.

En voulant réduire les émissions de gaz à effet de serre à tout prix, il a créé un monstre énergivore qui va bientôt engloutir toute la production d’Hydro-Québec.

Prenons l’exemple des transports. Le gouvernement Legault veut qu’il y ait 1,5 million de véhicules électriques sur les routes du Québec d’ici 2030. Il veut également interdire la vente des voitures thermiques neuves (c’est-à-dire celles carburant à l’essence ou au diesel) à partir de 2035. Sur ce point, il est d’accord avec Justin Trudeau.

Or, selon Hydro-Québec, chaque véhicule électrique consomme en moyenne 2000 kWh par année, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’un chauffe-eau. Cela signifie que les véhicules électriques vont ajouter 3 térawattheures (TWh) à la demande en électricité chaque année, soit l’équivalent de la production annuelle du barrage de La Grande-1.

La demande en forte hausse

Et ce n’est pas tout. Le gouvernement Legault veut aussi électrifier le chauffage des bâtiments, la production industrielle, l’agriculture et même la production d’hydrogène vert. Selon les prévisions d’Hydro-Québec, la demande en électricité va passer de 193 TWh cette année à 205 TWh en 2029, soit une augmentation de 12 %.

Or, les approvisionnements en énergie et en puissance vont se resserrer dès 2027, et dès 2029, il faudra trouver 7 TWh à l’aide de nouveaux approvisionnements.

Quels sont ces nouveaux approvisionnements ? Le gouvernement Legault mise sur trois solutions : la construction ou la mise à niveau de barrages, la construction d’éoliennes et la réduction de la consommation grâce à une meilleure efficacité énergétique. Mais ces solutions sont-elles réalistes et suffisantes ?

Les barrages sont une source d’énergie renouvelable et fiable, mais ils sont coûteux et longs à construire. De plus, ils sont soumis à des contraintes environnementales et sociales qui limitent leur potentiel.

Selon l’Institut économique de Montréal (IEDM), il faudrait jusqu’à 15 ans pour mettre en service un nouveau barrage. Quant aux projets de mise à niveau des installations existantes, ils ne seront pas terminés avant 2035.

Les éoliennes sont une source d’énergie renouvelable et peu polluante, mais elles sont intermittentes et dépendantes des conditions météorologiques. De plus, elles nécessitent des lignes de transport et des systèmes de stockage qui augmentent leur coût et leur empreinte écologique.

Toujours selon l’IEDM, la puissance fournie par les éoliennes n’équivaut qu’à 35 % de la puissance installée. De plus, l’approbation environnementale des projets éoliens n’est pas non plus garantie.

L’efficacité énergétique est une mesure souhaitable et nécessaire pour réduire la consommation d’électricité, mais elle ne peut pas compenser la croissance de la demande liée à l’électrification forcée.

Un réseau vulnérable

En outre, le réseau d’Hydro-Québec est vieillissant et il a été mal entretenu. Il est donc de moins en moins fiable, il y a de plus en plus de pannes et elles durent de plus en plus longtemps. C’est la vérificatrice générale du Québec qui le souligne dans son rapport de l’an dernier.

Les Québécois ont pu le constater au cours des derniers mois. Des centaines de milliers de citoyens ont ainsi dû passer Noël et/ou Pâques dans le noir. C’est un problème de taille alors qu’on s’apprête à électrifier tout et n’importe quoi.

Comme l’a fait remarquer Richard Martineau récemment, c’est pour le moins utile d’avoir un poêle et un foyer au gaz lorsqu’on perd le courant. Si ce n’est pas votre cas, assurez-vous d’avoir une bonne génératrice… au diesel !

Une meilleure approche

Face à ce constat, il faut se rendre à l’évidence : le Québec court à la catastrophe énergétique si rien ne change. Les trois paliers de gouvernement doivent faire un 180 degrés sur leur politique d’électrification forcée et revenir à la raison.

Ils doivent cesser d’interdire ou de décourager l’utilisation de sources d’énergie alternatives qui nous permettent d’économiser de l’électricité, comme le chauffage au gaz et au mazout, les cuisinières au gaz, les foyers au bois ou encore les voitures thermiques.

À lire aussi : Boom des batteries électriques : le Québec dans la mire des Américains

On doit aussi envisager de produire plus d’électricité au moyen du gaz naturel, qui est une source d’énergie fiable et peu coûteuse. Le Québec dispose déjà d’une centrale au gaz naturel à Bécancour, qui est utilisée lors des pointes de consommation hivernales.

Et quitte à consommer plus de gaz au Québec, autant consommer du gaz québécois, dont l’exploitation enrichirait nos régions et répondrait à des normes environnementales particulièrement élevées.

Le Québec a besoin d’une politique énergétique réaliste et pragmatique, qui assure la sécurité énergétique des Québécois tout en protégeant l’environnement. L’électrification forcée n’est pas la solution. C’est un mirage.

Une pétition du groupe Québec fier pour la sécurité énergétique et contre l’interdiction des voitures thermiques dès 2035 est désormais en ligne.




Apocalypse woke !

[Source : AVATAR Media]

Voir aussi :




Les verts et leurs alliés contre les libertés, la démocratie et les pauvres

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de « sauver la planète », les propositions irrationnelles des députés et des militants verts et de leurs alliés se révèlent de plus en plus antidémocratiques, liberticides et anti-pauvres. Bizarre évolution pour un parti qui se prétend « de gauche ».

Quoi qu’on fasse, la planète survivra à l’espèce humaine !

Il est invraisemblable d’entendre répéter partout « il faut sauver la planète ». Quoi que nous fassions la planète Terre nous survivra puisque sa longévité est estimée à 5 milliards d’années, lorsque le Soleil se transformera en géante rouge. Et si la folie des hommes aboutissait à une guerre nucléaire, notre espèce pourrait disparaître, mais pas la planète.

Ce n’est pas la planète qu’il faut sauver, c’est l’espèce humaine menacée par les délires de quelques-uns qui utilisent d’énormes mensonges pour terroriser la population et de fallacieux prétextes pour lui faire accepter la perte de ses libertés et lui imposer une soumission à la chinoise à l’aide de pass, du fichage numérique et de la suppression de l’argent liquide. Et au passage, certains augmenteront largement leur fortune.

Le réchauffement climatique actuel reste dans les normes du passé lointain

Les climato terroristes se réfèrent aux températures des 1000 dernières années pour prétendre que le réchauffement actuel dépasse « tout ce qui a été estimé jusqu’ici ». Mais à l’échelle planétaire, il est plus adapté de s’intéresser aux estimations des 10 000 dernières années qui montrent que le climat terrestre a connu, avant toute activité humaine notable, de plus fortes températures qu’aujourd’hui !

Cette vue court-termiste des climato terroristes témoigne d’une volonté délibérée d’écarter les faits qui les gênent pour ériger en dogme l’alarmisme climatique.

Le CO2 n’est pas toxique, mais un engrais indispensable pour les plantes

Les climato terroristes érigent le CO2 en ennemi qu’on ne peut combattre qu’en empêchant les humains de vivre comme ils en ont besoin. C’est oublier qu’aucun végétal ne peut croitre sans CO2. Le gaz carbonique (CO2) est en effet indispensable à la synthèse des chlorophylles présentes chez tous les végétaux aquatiques et terrestres. Dans la masse totale des plantes, le bois est la partie qui absorbe le plus de carbone. Et si les verts voulaient faire baisser utilement le CO2, ils planteraient partout des arbres et se battraient opiniâtrement pour sauvegarder ceux qui existent, alors qu’ils font souvent le contraire dans les villes qu’ils administrent ou cogèrent.

Les partis verts s’opposent peu à la mondialisation, pourtant principal responsable de la production inutile de CO2

La mondialisation multiplie les voyages entre les pays à bas coût de main-d’œuvre et les pays riches et pousse à la délocalisation des industries vers les pays les moins regardants en normes antipollution. Les pays riches qui se présentent comme vertueux se contentent en fait d’exporter leur production de CO2 et d’autres toxiques dans les pays lointains pour le seul bénéfice des marchands internationaux !

En 2022, la flotte mondiale comptait plus de 100 000 bateaux de commerce à l’origine de plus de trois quarts des émissions de C02 liées au transport maritime qui représente actuellement 3 % du total mondial (5 fois le total de la France !), chiffre qui, d’après certaines estimations, pourrait atteindre 17 % d’ici 2050. Et une fois que les marchandises débarquent en Europe, elles sont acheminées par une foule de camions qui polluent à leur tour très largement.

Même chose pour les produits agricoles. La Commission européenne se gargarise des accords de libre-échange donnant libre accès européen aux productions agricoles d’Amérique du Sud, alors qu’elles sont la principale cause de la destruction des forêts en particulier amazoniennes.

Limiter les excès de la mondialisation en interdisant l’importation de marchandises et de produits agricoles que nous pouvons produire chez nous constitue un moyen des plus efficace pour diminuer les pollutions et freiner le défrichement des forêts, facteur des plus nocifs sur le cycle du carbone.

Mais au parlement de Bruxelles les verts et leurs alliés n’ont pas combattu comme ils l’auraient dû le faire les accords de libre-échange !

Les propositions des verts et affidés rendent le logement inaccessible aux plus démunis

La crise du logement occupe une place de plus en plus importante dans le développement de l’exclusion et des inégalités. Elle atteint des sommets, mais les médias parlent peu de la responsabilité des lois écologistes dans sa genèse et en particulier de la loi sur les passoires thermiques.

En qualifiant de plus en plus de logements de « passoires thermiques » (avec un élargissement prévu pour les biens classés G en 2025, puis F en 2028 et E en 2034) et en interdisant leur location, les lois imaginées par les verts réduisent très fortement le nombre de logements bon marché disponibles à la location.

En imposant aux nouvelles constructions des normes thermiques qui les renchérissent sensiblement et en bloquant les loyers, ils découragent les potentiels investisseurs et acheteurs privés déjà inquiets de la hausse des taux d’intérêt et de l’augmentation de la taxe locale.

La chasse aux passoires thermiques participe ainsi fortement à la crise actuelle de la construction et des locations accessibles aux plus démunis.

Le chemin de l’enfer locatif est pavé de bonnes intentions écologiques.

Les Verts préfèrent les rats aux pauvres !

Ils chassent les pauvres des villes en utilisant les « zones à faibles émissions »

Jadis les différentes classes sociales cohabitaient dans les immeubles haussmanniens : les bourgeois aisés au premier étage, les étudiants pauvres sous les toits. Progressivement la spéculation foncière a expulsé les pauvres des centres-ville vers des banlieues lointaines souvent mal desservies par les transports publics les obligeant à utiliser leur voiture pour travailler.

Les zones à faible émission, mises en place par les municipalités dirigées ou cogérées par les verts, interdisent maintenant aux pauvres qui n’ont pas les moyens d’acheter des voitures récentes, de venir en ville. Comme jadis les manants étaient chassés de Versailles !

Mais pour garder les rats en ville, ils créent une commission !

Depuis l’antiquité l’homme essaie d’éviter la prolifération de ces rongeurs destructeurs des récoltes ; les Égyptiens avaient même élevé le chat en allié du dieu Rê dans sa lutte contre le serpent Apophis, puis l’avaient déifié en Bastet avant d’édifier une ville à sa gloire : Bubastis, chef-lieu de la déesse Bastet.

Le rat représente un réservoir de germes dangereux dont celui de la peste qui constitue l’épidémie la plus meurtrière de l’histoire qui tua 30 à 50 % de la population européenne en quatre ans (1347-1352). La victoire sur la peste n’a été obtenue que par la chasse aux rats. Et les seuls endroits du monde où elle persiste encore sont ceux où les rats cohabitent étroitement avec l’homme. Ils sont, entre autres, également porteurs de la leptospirose qui menace nos égoutiers.

Mais les verts, l’association de défense des animaux Paris Animaux Zoopolis, et madame Hidalgo, pour sauver les rats de Paris les ont renommés « surmulots », et prétendent qu’ils joueraient « un rôle essentiel sur le plan sanitaire en éliminant une partie de nos déchets » (ces nouveaux éboueurs ne se mettent pas en grève !), ont créé une commission destinée à « faciliter la cohabitation » et financent des études pour « lutter contre les préjugés pour aider les Parisiens à mieux cohabiter avec les rats ».

L’hygiène représente l’arme la plus efficace contre les maladies transmissibles ; elle a permis de vaincre la majorité des épidémies les plus graves sans antibiotiques ni vaccins (peste, choléra, typhus, typhoïde, poliomyélite, hépatite A..). L’oubli de ses bases constitue un recul sanitaire de deux siècles.

Ils veulent limiter le chauffage de nos maisons aux dépens de notre santé.

Les lois européennes imposant des intermédiaires privés dans la fourniture du gaz et de l’électricité et un modèle dément de calcul du prix de l’électricité ont entraîné un accroissement du coût de l’énergie considérablement aggravé par les sanctions contre la Russie et l’arrêt de l’importation du gaz russe au profit du gaz de schiste américain. Ces augmentations déstabilisent notre économie et ont fait réduire le chauffage dans d’innombrables habitations.

Mais le chauffage adéquat de nos maisons diminue fortement la fréquence et la gravité des infections respiratoires hivernales en particulier chez les plus jeunes et les plus âgés. Jusqu’à combien de morts cette réduction de la production de C02 sera-t-elle jugée bénéfique ?

Ils veulent limiter nos déplacements en particulier en avion

La liberté de se déplacer librement constitue l’une des libertés fondamentales. Après les confinements covid et les pass, cette liberté est maintenant menacée par le totalitarisme vert. Le transport aérien ne représente que 2 à 3 % des émissions de gaz à effet de serre causées par l’homme dans le monde. Mais Jean-Marc Jancovici veut limiter chaque personne à 4 trajets en avion sur toute une vie. « On pourrait instaurer un système où lorsqu’on est jeune, on a deux vols pour découvrir le monde et quand on est vieux, on part en vacances en Corrèze en train. ». Mais comment peut-on être à ce point opposé à nos libertés fondamentales ?

Le « Pacte vert », d’Ursula von der Leyen, du 14 juillet 2021, décidé sans consultation démocratique impose de réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’Union européenne d’au moins 55 % dès 2030 avec un taux minimum de carburants « verts » pour les avions de 70 % en 2050. Mais ces carburants de synthèse, fabriqués à partir d’hydrogène et de CO2, sont actuellement trois à quatre fois plus chers que le kérosène et leur utilisation augmentera d’autant le coût des billets d’avion, les réservant progressivement aux plus aisés. Décidément les eurocrates, tellement encensés par les verts, n’aiment pas les pauvres.

Les verts contre les libertés et la démocratie

Beaucoup d’écologistes, de socialistes et de LFI estiment que les libertés individuelles sont désuètes et sont prêts à les supprimer au moindre prétexte sanitaire ou climatologique agité par les médias.

Ils ont voté massivement pour les pass sanitaires, puis vaccinaux qui ne servaient à rien sauf à tester notre soumission comme le montrent les données de l’OMS illustrant leur inefficacité contre l’extension de l’épidémie.

Ils ont déclaré avec Michèle Rivasi que « l’Europe avait bien fait d’acheter les “vaccins” de manière groupée », alors que de lourds soupçons de corruption pèsent sur cette opération. Ils ont soutenu le rapport préliminaire intitulé « Pandémie Covid-19 : leçons apprises et recommandations pour le futur » publié le 8 février 2023 qui ne précise pas que les injections ont été incapables d’éviter d’attraper la maladie, ni de la transmettre.

ni les formes graves comme l’atteste l’augmentation de la mortalité dans les pays les plus vaccinés après les campagnes massives d’injections.

et qui mentionnent à peine l’existence de leurs complications pourtant plus nombreuses et graves qu’après toute autre vaccination de masse.

Beaucoup d’écologistes font passer le prétendu « sauvetage de la planète » avant les libertés individuelles et rêvent d’imposer de nouvelles mesures liberticides : créer un pass écologique, des couvre-feux thermiques, l’interdiction des voitures autres qu’électriques, l’interdiction de tout vol aérien non justifié, la division par un gros facteur (trois est suggéré) du streaming et des données (jeux, réseaux) en général, la limitation à 1 kg de vêtements neufs mis sur le marché par an et par personne (contre 40 kg actuellement en moyenne), la limitation de la consommation de viande, des quotas sur de nombreux de biens importés (chocolat, café notamment).

Ils sont pour la Carte d’identité numérique européenne qui permettra le fichage biométrique de toute la population et les connexions avec les fichiers bancaires, fiscaux et sanitaires réalisant le rêve de Big Brother.

Ils défendent le projet de Gouvernance mondiale ainsi que l’exprime Michèle Rivasi évoquant favorablement « Une Seule Santé », le pilier idéologique du « Traité “Pandémies » de l’OMS, soutenue par la Banque Mondiale et par des entreprises liées à Blackrock, Vanguard et BioMérieux, visant à instaurer une « meilleure gouvernance mondiale » débarrassée de la volonté des peuples considérés comme de grands enfants irresponsables. La fin de la démocratie.

Rendre insupportable la vie des Français ne diminuera guère le C02

La France compte très peu dans la production de CO2 : 0,6 % du total mondial (400 millions de tonnes/60 milliards). Mais les verts et leurs alliés ne rêvent que de nous ficher, nous surveiller constamment, de limiter nos libertés en particulier celles de nous déplacer, de nous exprimer, de nous chauffer, de payer en liquide pour ne pas dépendre totalement des banques.

Les prévisions les plus optimistes (totalement irréalisables) de l’impact des mesures qu’ils veulent nous imposer en France sont une baisse de 40 % de notre bilan carbone soit de 0,2 % de celui de la planète, permettant d’espérer, d’après leur mode de calcul une diminution de 0,001 degré de l’augmentation de température qu’ils prophétisent.

Brimer sévèrement la vie des Français comme ils veulent le faire ne changera rien à la production de CO2 tant que les principaux pays responsables (Chine, Inde, USA) ne donneront pas l’exemple. Et ni la Chine, ni l’Inde, ni la Russie ne veulent diminuer leur bilan carbone, car ils préfèrent améliorer le sort de leurs populations que de croire les mensonges du GIEC. Steven Koonin, physicien et ancien conseiller d’Obama, affirme La neutralité carbone horizon 2050 n’arrivera pas » car le monde est « plus inquiet de savoir comment obtenir de l’énergie fossile pour vivre une vie meilleure », que par « l’objectif zéro carbone »…

La suppression de la démocratie et un tsunami de mesures de privation de liberté qu’ils veulent nous imposer pour rien !

Comment peuvent-ils encore se prétendre « de gauche » et se réclamer républicains en oubliant que notre devise commence par LIBERTÉ, si bien chantée par Paul Eluard à une époque où le totalitarisme sévissait.

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

Paul Eluard




Groupe Bilderberg — le gouvernement secret de l’ombre ?

[Source : Kla.tv]

La conférence annuelle de Bilderberg s’est tenue du 18 au 21 mai 2023, comme toujours loin du public. A noter : des invités jusqu’alors peu connus accèdent rapidement à des postes clés après leur participation. Ce documentaire donne un aperçu approfondi des cercles du groupe Bilderberg : qui sont les têtes pensantes de ce club secret ? Que préparent-ils exactement ? Qui étaient les grands favoris de cette année ?

Transcription

Ce documentaire met en lumière les tireurs de ficelles et les plans du groupe Bilderberg. Qui sont les dirigeants et les participants de chaque pays qui se réunissent à huis clos ?

La conférence annuelle de Bilderberg s’est tenue du 18 au 21 mai. Des représentants de la haute finance, de la noblesse, des services secrets, de la politique, de l’armée, de l’économie, de l’administration et des médias se sont réunis hors de la présence du public.

La liste des participants à la conférence de cette année a été publiée au début de la conférence. On notera la participation de hauts responsables de l’UE : le vice-président de la Commission européenne, Josep Borrell, et la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, ainsi que le commissaire européen aux affaires économiques, Paolo Gentiloni, étaient nouveaux cette année. Il est également intéressant de noter la participation renouvelée du président du groupe pharmaceutique Pfizer, Albert Bourla. Du côté allemand, les invités étaient les députés Anton Hofreiter et Norbert Röttgen ainsi que le chef de la Chancellerie fédérale, Wolfgang Schmidt. Les nouveaux participants suisses étaient le conseiller fédéral Ignazio Cassis, président de la Confédération suisse en 2022 et actuel chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), et l’actuel ministre des Affaires étrangères autrichien Alexander Schallenberg.

Schallenberg a été pendant de nombreuses années président du conseil d’administration de l’Union de Banques Suisses, aujourd’hui UBS.

Un autre invité à la conférence était le maire de la ville portuaire française du Havre, Édouard Philippe. En 2022, le magazine « Handelsblatt » a écrit à son sujet : il est considéré comme « le successeur possible de Macron ».

À la lumière de cette suggestion, l’évolution soudaine de la carrière des participants après avoir assisté à une conférence Bilderberg est très frappante :

– Angela Merkel a assisté à la réunion de Bilderberg en mai 2005 et est devenue chancelière allemande en novembre 2005.

– Jens Spahn, un secrétaire d’État plutôt inconnu au ministère des Finances, a assisté à la conférence Bilderberg en 2017 et est devenu, à la surprise générale, ministre allemand de la Santé en 2018.

– Emmanuel Macron, président en exercice de la France, a participé à la réunion Bilderberg en 2014 et occupe son poste actuel depuis 2017.

– Ursula von der Leyen, ancienne ministre allemande de la Défense, a participé aux conférences Bilderberg de 2015, 2016, 2018 et 2019 et sera présidente de la Commission européenne à partir de 2019.

La conférence Bilderberg, un tremplin pour la carrière ?

Claudia von Werlhof, sociologue et politologue allemande, a écrit sur la conférence Bilderberg :

« Ici, on est dans l’antichambre du pouvoir, du vrai pouvoir. C’est là que sont invités ceux qui sont dans le viseur de ce pouvoir. Et en tant que quoi est-il ou est-elle invité(e) ? En tant que futur représentant de ce pouvoir. […] Apparemment, les puissants ne pourraient pas être puissants s’il n’y avait pas cette sorte de “classe charnière” qui, sur ordre d’en haut, dit chaque fois ce qu’il en est et où il faut aller. »

Par « classe charnière », elle entend le groupe de personnes qui fait le lien entre les puissants et le peuple. Il s’agit de personnes qui appliquent les décisions du club Bilderberg depuis leur position ou qui sont hissées à une position afin d’y agir conformément aux décisions prises.

Comment le groupe Bilderberg a-t-il été créé, comment est-il structuré, comment fonctionne-t-il et quels sont ses objectifs ?

1. Fondation

Le groupe Bilderberg a été fondé à l’initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l’actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d’un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires :

« Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d’“internationalistes” et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d’autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique — un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j’en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 — qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d’un groupe d’étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu’en 1985 et ensuite, jusqu’à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (*né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d’une position forte lors des conférences Bilderberg. Pendant de nombreuses années, il a marqué la politique étrangère américaine en tant que conseiller politique. De 1969 à 1975, il a été conseiller à la sécurité nationale sous Richard Nixon et de 1973 à 1977, secrétaire d’État américain sous Nixon et Gerald Ford. Kissinger a été l’un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu’à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981. À l’occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger — stratège mondial et criminel de guerre ? »

D’autres personnes ont été impliquées dans la création du groupe Bilderberg :

– Józef Retinger (1888-1960) : Józef Hieronim Retinger, un jésuite polonais et franc-maçon du 33e degré, a été chargé par David Rockefeller d’organiser la réunion de Bilderberg en raison de ses nombreux liens avec les milieux élitistes. Retinger a constitué le groupe initial du club Bilderberg. Il a été secrétaire du club Bilderberg jusqu’à sa mort en 1960.

– Joseph E. Johnson (1906-1994) : Joseph Esrey Johnson a été président du Carnegie Endowment for International Peace, un think tank américain fondé par Andrew Carnegie, de 1950 à 1971. Il a été directeur du CFR de 1950 à 1974. Johnson a fait office de premier secrétaire américain de la conférence Bilderberg en 1954.

– Dean Rusk (1909-1994): David Dean Rusk a été secrétaire d’État des États-Unis de 1961 à 1969 sous les présidences de John F. Kennedy et de Lyndon B. Johnson. Il a été un haut fonctionnaire du gouvernement dans les années 1940 et au début des années 1950. Dean Rusk a été fiduciaire de la Rockefeller Foundation [fondation privée américaine créée par John D. Rockefeller] de 1950 à 1961. En 1952, il est devenu président de cette fondation.

– Charles D. Jackson (1902-1964) : Charles Douglas Jackson a servi comme assistant spécial du président sous Dwight Eisenhower à partir de 1953 : il était l’agent de liaison entre la CIA [service de renseignement extérieur des États-Unis] nouvellement créée et le Pentagone [ministère de la Défense des États-Unis]. En 1953 et 1954, Jackson a participé à la création du groupe Bilderberg et a assuré la participation américaine. Jackson était membre du CFR.

– Le prince Bernhard des Pays-Bas (1911-2004) : Bernhard, prince des Pays-Bas, prince de Lippe-Biesterfeld est issu de la haute noblesse. Il a épousé la princesse Juliana, héritière du trône des Pays-Bas. Le prince Bernhard entretenait de nombreuses relations avec les maisons royales européennes et des industriels de haut rang. C’est pourquoi il a été impliqué dans l’organisation du groupe Bilderberg.

Le prince Bernhard était prédestiné à donner le « visage royal » du Club Bilderberg à l’extérieur. Il a présidé le comité directeur du groupe Bilderberg jusqu’en 1976. Le comité directeur est, après le conseil consultatif, l’instance décisionnelle du club Bilderberg.

Le 29 mai 1954 a eu lieu la première réunion du groupe Bilderberg. À l’invitation du prince Bernhard des Pays-Bas, des représentants influents d’Europe et des États-Unis se sont réunis en secret à « l’Hotel de Bilderberg », près d’Arnhem, aux Pays-Bas. Lors de la première conférence de Bilderberg, les membres fondateurs ont notamment fixé l’objectif suivant :

« Comment créer et réunir en Europe et aux États-Unis une “aristocratie” [domination d’un groupe privilégié, principalement de la classe supérieure aristocratique] liée par des objectifs communs, et comment obtenir leur accord sur des questions de politique, d’économie et de stratégie, afin de dominer ensemble le monde ? »

2. Structure

Le sommet du groupe Bilderberg a longtemps été constitué par l’Advisory Group, le conseil consultatif, dont les membres étaient nommés à vie. Ce comité se réunissait également entre les conférences annuelles et décidait des personnes à inscrire sur la liste des invités. Jusqu’à sa mort en 2017, David Rockefeller, Giovanni Agnelli, Eric Roll von Ipsden et Otto Wolff von Amerongen en faisaient partie.

Aujourd’hui, le groupe Bilderberg est dirigé par ce que l’on appelle le Steering Committee, le comité directeur, composé d’environ 35 personnes. Les représentants de ce comité décident qui de leur pays est invité à la conférence annuelle de Bilderberg. Le comité directeur agit comme une sorte de gouvernement de l’ombre dans de nombreux pays à travers le monde.

Le comité directeur est actuellement présidé par Victor Halberstadt, un économiste néerlandais. Il est membre de la faculté du Forum économique mondial (FEM) et membre du conseil consultatif international du Goldman Sachs Group, une société américaine de services financiers. L’autre présidence est assurée par Marie-Josée Kravis. C’est une femme d’affaires canadienne et elle est membre du conseil consultatif international de la Federal Reserve Bank of New York et du Council on Foreign Relations. De plus, Mme Kravis est docteur honoris causa de l’Université Rockefeller.

Les personnes suivantes font par exemple partie du Comité directeur :

– d’Allemagne :

Paul M. Achleitner, ancien président du conseil d’administration de la Deutsche Bank [FINANCES].

Mathias Döpfner, président de la maison d’édition Axel Springer [MÉDIAS].

– d’Autriche :

Gerhard Zeiler, président du groupe de médias Warner Bros. Discovery International [MÉDIAS]

– du Royaume-Uni :

John Sawers, président-directeur général du cabinet de conseil Newbridge Advisory [SERVICE].

– de France :

Henri de Castries, président du think tank « Institut Montaigne » [SERVICE].

– d’Italie :

Marco Alverà, cofondateur de zhero.net, directeur général de la société Tree Energy Solutions [ÉNERGIE].

– d’Espagne :

Ana P. Botín, présidente exécutive du groupe Banco Santander [FINANCES].

– du Portugal :

José Manuel Barroso, président de Goldman Sachs International, ancien président de la Commission européenne [FINANCES].

– de la Turquie :

Ömer M. Koç, président du conglomérat industriel Koç Holding [INDUSTRIE].

– de Pologne :

Radoslaw Sikorski, membre du Parlement européen, directeur de l’Université de Harvard, ancien ministre polonais des Affaires étrangères [POLITIQUE].

– de Norvège :

Børge Brende, président du Forum économique mondial [FONDATION].

– de Suède :

Marcus Wallenberg, président de Skandinaviska Enskilda Banken [FINANCES]

– des États-Unis :

Nadia Schadlow, collaboratrice principale du groupe de réflexion « Hudson Institute » [SERVICE].

Eric E. Schmidt, ancien directeur général et président de l’entreprise technologique Google LLC [TECHNOLOGIE].

– du Canada :

Mark J. Carney, président de la société de gestion d’actifs Brookfield Asset Management [FINANCES]

Le niveau suivant est constitué par les participants aux conférences annuelles. Une conférence Bilderberg dure en général trois jours et environ 130 personnes y participent. Avant une conférence, des documents de discussion sont distribués pour permettre aux participants de se préparer à la conférence.

En examinant les participants, deux groupes se distinguent particulièrement : la haute finance et la haute noblesse européenne. La noblesse est peu visible dans la politique mondiale. Le prince Bernhard et sa fille la reine Beatrix des Pays-Bas, ainsi que la reine Sofia d’Espagne, ont assisté aux conférences Bilderberg, même si elles n’occupaient pas une position officielle comme le prince Bernhard.

À partir du moment où une personne participe à une conférence Bilderberg, elle reste liée au groupe Bilderberg. Après chaque conférence, chaque participant et tous les anciens participants reçoivent un compte rendu de la réunion. En outre, depuis 1963, ils reçoivent un document explicatif correspondant, c’est-à-dire l’agenda du club Bilderberg.

En dessous de cette émission, vous trouverez un document avec les participants aux conférences Bilderberg de 1954 à 2023. Cela vous permettra de savoir qui fait partie du groupe Bilderberg et qui met en œuvre son agenda dans votre pays.

3. Les faits concernant le groupe Bilderberg

Le groupe Bilderberg fait payer les énormes mesures de sécurité de sa conférence annuelle par les contribuables du pays hôte. Lors de la réunion de Bilderberg 2015 en Autriche, un dispositif de 2 100 policiers était prêt à intervenir. En revanche, les participants et les membres du comité directeur du pays hôte ne paient que les frais de voyage et de réunion.

Pendant la conférence Bilderberg, la règle de Chatham House s’applique depuis toujours aux participants. Elle stipule « qu’il est possible de faire un compte rendu en termes généraux, mais jamais de citer des noms ». Le site officiel des réunions de Bilderberg indique que « grâce au caractère privé de la réunion, les participants participent à titre individuel et non à titre officiel, et ne sont donc pas tenus par les conventions de leur fonction ou par des positions convenues à l’avance. »

Le mensuel COMPACT a écrit à ce sujet :

« Le véritable scandale du système Bilderberg réside dans le fait que des députés élus, des ministres et parfois même des chefs de gouvernement ou des représentants de haut niveau d’organisations internationales s’entendent, à huis clos, sans légitimité démocratique et officiellement en privé avec des représentants de l’oligarchie financière et des capitaines d’industrie et prennent éventuellement des décisions de grande portée sans avoir à en rendre compte. »

« Tout ce qui concerne… les décisions qui ont un rapport avec la politique… ne peut jamais être privé », a déclaré le sociologue allemand Hans-Jürgen Krysmanski.

Mais comment fonctionnent les « ordres » au sein du groupe Bilderberg ? Comment s’assurent-ils que les résultats d’une conférence sont mis en œuvre dans les organisations, entreprises et pays concernés ?

Le prince Bernhard l’a expliqué ainsi :

« Lorsque les représentants des dirigeants occidentaux quittent une réunion Bilderberg, ils emportent avec eux le consensus [en d’autres termes : l’agenda] du groupe. »

Même Henry Kissinger admet :

« Ainsi le consensus qui se dégage constitue la base sur laquelle la politique est menée dans le monde entier. »

« Et à partir du moment où la conférence de Bilderberg s’achève, le consensus obtenu semble “presque par hasard” être célébré de tout son cœur par la presse reconnue, alors qu’il devient en même temps la politique générale des intérêts gouvernants internationaux dans des camps apparemment différents », explique le journaliste Daniel Estulin.

La publication d’informations sur le club Bilderberg est fortement limitée. Le lieu et l’heure de la réunion ne sont indiqués sur le site officiel bilderbergmeetings.org que peu de temps avant ou pendant la réunion. Les points de l’ordre du jour ainsi que les listes des participants peuvent également y être consultés pendant ou après la conférence. Le club Bilderberg a dû accepter ces concessions grâce à des journalistes investigateurs qui ont révélé l’existence du groupe Bilderberg. En effet, pendant des décennies, l’existence du club Bilderberg ainsi que ses réunions ont été tenues secrètes, principalement par la presse mainstream.

David Rockefeller a remercié ses alliés pour ce secret lors de la conférence Bilderberg de 1991 en ces termes :

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et aux autres grandes publications dont les rédacteurs en chef ont participé à nos réunions et ont respecté l’engagement de confidentialité pendant près de 40 ans. Il ne nous aurait jamais été possible d’élaborer notre plan pour le monde si nous avions été sous les feux de la rampe pendant ces années. Mais le monde est maintenant plus mature et prêt à évoluer vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et des banquiers mondiaux est certainement préférable à la souveraineté nationale des siècles passés. »

4. Les buts du groupe Bilderberg

Comme nous l’avons déjà mentionné, les activités du groupe Bilderberg visent à créer un « gouvernement mondial unique ». Le « gouvernement mondial unique » comprend entre autres les éléments suivants, dont certains ont déjà été introduits et mis en œuvre :

1. la réduction progressive des souverainetés nationales au profit d’un seul gouvernement mondial : l’installation des Nations unies (ONU) comme gouvernement mondial sous le contrôle de la haute finance.

2. une union économique internationale : toute l’économie mondiale doit être divisée en trois blocs commerciaux pour une meilleure gestion : l’Union européenne, l’Union américaine et l’Union Asie-Pacifique.

3. un système juridique uniforme : la Cour internationale de justice doit devenir l’instance juridique unique et suprême du monde.

4. la création d’une armée mondiale : l’OTAN [traité de l’Atlantique Nord, alliance de défense] deviendra l’armée mondiale de l’ONU, qui remplacera toutes les armées nationales.

5. un seul État social socialiste : le groupe Bilderberg a la vision d’un État-providence socialiste dans lequel ceux qui obéissent sont récompensés et les non-conformistes sont pris pour cible. Le système de crédit social de la Chine montre ce qu’il pourrait en être. Il n’y aura plus de classe moyenne, seulement des « dominants et des dominés ». Une société à croissance zéro est envisagée, sans prospérité ni progrès pour le peuple. « La fin de la prospérité va de pair avec la fin de l’industrialisation et l’abandon de l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire. L’électricité n’existera plus que pour les ordinateurs et le secteur des services », explique le journaliste Estulin.

5. Événements déclenchés par le groupe Bilderberg

Certains auteurs comme Daniel Estulin, Andreas von Rétyi ou Gerhard Wisnewski, qui ont écrit sur le groupe Bilderberg, ont mis en évidence différents événements de l’histoire mondiale récente qu’ils ont directement attribués au groupe :

– La construction de l’Union européenne a commencé au sein du groupe Bilderberg. L’historien britannique Richard Aldrich prétend que « le traité de Rome [l’acte de naissance de la Communauté européenne de 1957] trouve son origine dans les discussions qui ont eu lieu au sein du groupe Bilderberg l’année précédente ». L’ancien vice-président de la Commission européenne et président de longue date du club Bilderberg, Étienne Davignon, a admis au journal en ligne EUobserver que le club Bilderberg avait « aidé à la création de l’euro dans les années 90 ».

– Les guerres de Yougoslavie de 1991 à 2001 : le groupe Bilderberg a examiné la création d’un foyer de crise en Yougoslavie, afin de démembrer la Yougoslavie et de redéfinir ensuite ses frontières. La reconstruction devait être financée aux frais des contribuables occidentaux.

– Des rapports qui ont fuité de la conférence Bilderberg de 2002 indiquent que l’attaque contre l’Irak a été retardée de l’été/automne 2002 à mars 2003 : les participants européens à la conférence Bilderberg ont exigé la présence personnelle du secrétaire américain à la Défense Donald Rumsfeld, qui a alors changé ses plans et a participé à la conférence à Chantilly, en France. Finalement, l’attaque a été reportée, bien que la presse l’ait annoncée plus tôt.

L’agenda du groupe Bilderberg vise à faire de l’OTAN une armée mondiale. La présence de commandants en chef et de secrétaires généraux de l’OTAN aux réunions de Bilderberg n’est donc pas une surprise.

Par exemple, le commandant suprême de l’OTAN et également commandant de toutes les troupes américaines en Europe, Philip Mark Breedlove, a participé à la conférence Bilderberg de 2014. C’était après les manifestations sur le Maïdan à Kiev fin 2013 et début 2014. Au vu de la situation en Ukraine à l’époque et de la situation tendue entre l’OTAN et la Russie, la réunion Bilderberg de 2014 a donc joué un rôle important.

La 69e réunion du groupe Bilderberg, qui s’est tenue à Lisbonne en mai 2023, joue également un rôle important. L’ordre du jour comprenait entre autres les points OTAN, Russie et Ukraine. Un coup d’œil sur la liste des participants est révélateur : le général américain et commandant en chef de l’OTAN, Christopher Cavoli, était également présent, ainsi que le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg. Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, était également présent.

Si on regarde l’agenda annuel et les listes des participants, on constate que le groupe Bilderberg discute de tous les événements décisifs pour le monde et en fixe l’ordre du jour !

Au vu des faits énumérés dans cette émission, nous pouvons parler du groupe Bilderberg comme d’un gouvernement secret de l’ombre. Il est considéré comme un « instrument important du Nouvel Ordre Mondial ». Par le biais de crises provoquées artificiellement, comme les guerres que nous venons d’évoquer, la population mondiale doit être guidée pas à pas vers le Nouvel Ordre Mondial. David Rockefeller l’a résumé ainsi en 1994 devant le Comité économique des Nations unies :

« Nous sommes au bord d’une transformation mondiale, tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une véritable crise universelle, et les nations accepteront le nouvel ordre mondial. »

Si on considère les dernières décennies, les élites et la haute finance ont en effet réussi à provoquer sans cesse de nouvelles crises et à les utiliser ensuite pour réaliser leurs objectifs.

La mise en place du Nouvel Ordre Mondial a fonctionné jusqu’ici parce que l’action du groupe Bilderberg est restée cachée et que les participants ont pu, sans être reconnus comme un lien entre la population et le groupe Bilderberg, mettre en œuvre l’ordre du jour.

Afin de stopper la progression de ces plans et l’action du groupe Bilderberg, il est important que les plans, les responsables et les participants soient surveillés et que la population en prenne conscience.

C’est pourquoi nous vous prions de diffuser le plus largement possible cette émission et la liste des participants mentionnée sous l’émission.

de beka

Sources/Liens :




Xi salue son « vieil ami » Bill Gates alors que les tensions entre les États-Unis et la Chine ne cessent de s’aggraver

[Source : zerohedge.com]

[Photo : AP]

Par Tyler Durden

Bill Gates, cofondateur de Microsoft, s’est rendu en Chine cette semaine et a rencontré le président chinois Xi Jinping. Il s’agissait du premier voyage du milliardaire américain spécialisé dans la technologie en Chine depuis le début de la pandémie du virus Covid-19, sa dernière visite ayant eu lieu en 2019, dans un contexte de tensions croissantes entre les États-Unis et la Chine.

Elle intervient également peu après la visite d’Elon Musk au début du mois. M. Gates avait annoncé que la réunion porterait sur les défis mondiaux en matière de santé et de développement. Après la conclusion de la réunion de vendredi, Bloomberg a cité les médias d’État chinois pour rapporter que « la Chine est prête à s’engager dans une vaste coopération en matière de technologie et d’innovation avec d’autres pays, rapporte le Quotidien du Peuple, citant le président chinois Xi Jinping lors d’une réunion avec Bill Gates à Pékin vendredi ».

La coopération en matière de technologie pourrait être l’un des rares domaines finaux sur lesquels les puissances géopolitiques rivales peuvent trouver un terrain d’entente.

Le président Xi a accueilli Bill Gates vendredi en lui disant : « Je suis très heureux de vous voir. Nous ne nous sommes pas vus depuis plus de trois ans […] et vous êtes un vieil ami à nous ». Il a ajouté : « Vous êtes le premier ami américain que je rencontre à Pékin cette année ».

« Alors que le monde sort de la Covid, les gens devraient se déplacer davantage, communiquer davantage et améliorer leur compréhension mutuelle », a ajouté le dirigeant chinois.

M. Xi a précisé que la Chine était prête à s’engager dans une « coopération étendue en matière d’innovation technologique avec les pays du monde entier » et à « participer activement et promouvoir la réponse aux défis mondiaux », en particulier dans les domaines de la santé publique et du climat.

Un article paru dans les médias américains a donné quelques informations sur la visite de M. Gates :

Ce n’est pas la première fois que M. Xi demande aux chefs d’entreprise américains de contribuer à l’amélioration des relations entre leurs deux pays. En 2021, M. Xi a écrit à l’ancien président-directeur général de Starbucks (SBUX), Howard Schultz, pour lui suggérer de contribuer à la promotion des relations bilatérales, selon les médias d’État chinois.

La rencontre de M. Gates avec le dirigeant de la deuxième économie mondiale a eu lieu un jour après que la fondation de sa famille se soit engagée à verser 50 millions de dollars à la recherche en Chine pour la découverte de médicaments et le traitement de « maladies infectieuses telles que la tuberculose et le paludisme, qui affectent de manière disproportionnée les plus pauvres du monde », selon un communiqué de la Fondation Gates.

La semaine dernière, le FT a rapporté que « Microsoft transfère certains de ses meilleurs chercheurs en intelligence artificielle de la Chine vers le Canada, une décision qui risque d’anéantir un terrain d’entraînement essentiel pour les talents technologiques du pays asiatique ».

Microsoft Research Asia (MSRA), basé à Pékin, a commencé à chercher des visas pour déplacer les meilleurs experts en intelligence artificielle de la capitale chinoise vers son institut à Vancouver, ont déclaré quatre personnes au courant des plans », a précisé le rapport, alors que les « guerres de l’IA » et la rivalité entre la Chine et les États-Unis s’intensifient.




Électricité : des fournisseurs soupçonnés d’une fraude de plusieurs milliards d’euros

[Source : capital.fr]

Des fournisseurs d’électricité en France sont accusés d’utiliser une combine pour réaliser des bénéfices illégitimes au détriment de leurs clients. En achetant à bas prix une partie de la production nucléaire d’EDF et en la revendant ensuite à prix fort sur les marchés, ces fournisseurs faussent leurs besoins en électricité.

Par Pierre Fougères

Des fournisseurs d’électricité sont actuellement soupçonnés de tromper leurs clients en faisant de fausses déclarations sur leurs besoins énergétiques. Cette manœuvre, récemment dénoncée par l’association de consommateurs CLCV (Consommation, logement et cadre de vie), aurait pour objectif de réaliser des bénéfices substantiels, rapporte Le Parisien, le 13 juin 2023. En effet, en exploitant une particularité du marché de l’électricité en France, ces fournisseurs parviennent à acheter à bas prix une partie de la production nucléaire d’EDF grâce à l’Arenh (Accès régulé à l’électricité nucléaire historique) et la revendent ensuite à prix élevé sur les marchés plutôt que de l’utiliser pour approvisionner leurs clients légitimes.

Cette pratique illégale ne se limite pas à une simple fraude commerciale, elle a également un impact sur les tarifs proposés aux consommateurs. En effet, le volume d’électricité nucléaire vendu par EDF à ses concurrents est plafonné, ce qui signifie que les fournisseurs doivent compléter leur approvisionnement sur les marchés à des prix nettement plus élevés. Cette différence est prise en compte par la Commission de régulation de l’énergie (CRE) dans le calcul du tarif réglementé (TRV), qui sert de référence à de nombreuses offres concurrentielles. Ainsi, plus les concurrents d’EDF déclareront des volumes importants, plus le TRV sera élevé, impactant ainsi les factures d’électricité des ménages.

Selon les estimations de la CLCV, cette fraude aurait entraîné une augmentation de 16 % du TRV en 2022, et une hausse supplémentaire de 5 % prévue pour 2023. Ces chiffres représentent plusieurs dizaines d’euros de plus sur la facture annuelle de chaque ménage. Bien que le bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement ait protégé financièrement les consommateurs jusqu’à présent, cette fraude continue de peser lourdement sur les finances publiques, qui doivent compenser les pertes.

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Face à cette situation, la CRE et la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) ont lancé trois enquêtes conjointes pour enquêter sur cette fraude présumée. Des acteurs du secteur énergétique appellent la CRE à jouer pleinement son rôle de régulateur pour protéger les marchés de l’énergie. Parallèlement, une mission d’information est en cours au Sénat pour évaluer l’étendue de la fraude, estimée à plusieurs milliards d’euros, et envisager les sanctions appropriées en cas de confirmation des actes répréhensibles.

Les conclusions de cette mission d’information seront rendues publiques le 28 juin. Il sera crucial de déterminer avec précision la quantité réelle d’électricité utilisée par les fournisseurs et de la comparer avec leurs demandes déclarées. Si les fraudes sont avérées et que des reventes d’électricité sur les marchés au détriment des clients sont confirmées, il sera essentiel de sanctionner les responsables par des amendes afin de préserver l’intégrité du marché de l’énergie et de protéger les consommateurs.

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L’effondrement n’est pas la véritable dystopie

[Source : unz.com]

Par Robert Stark

Jusqu’à présent, les années 2020 semblent plus chaotiques que les décennies précédentes. Sur la base de l’actualité, des données économiques et sociologiques et des cycles historiques tels que la théorie du quatrième tournant et les recherches de Peter Turchin, il semble qu’une crise historique majeure se produira au cours de cette décennie. En revanche, les années 2010 ont été très stagnantes, malgré la récession au début de la décennie et des mouvements politiques tels que Occupy Wall Street, le nationalisme et le populisme en Europe, les mouvements de Donald Trump et de Bernie Sanders, et le début du Grand Réveil. Si l’on considère spécifiquement les années, 2016 a été un tournant avec l’élection de Trump, 2017 a été quelque peu chaotique avec des conflits politiques entre antifa et l’alt-right, puis 2018 et 2019 ont semblé très stagnantes. Évidemment, 2020 a été une année chaotique avec la pandémie, ainsi que les émeutes de BLM et l’accélération de la politique woke et de la culture d’effacement, avec certains moments se sentant apocalyptiques. Toutefois, à l’exception du 6 janvier, 2021 a été une autre année de stagnation, avec l’assouplissement de la politique monétaire, le pic de la bulle de relance et l’euphorie des marchés. En 2021 également, la droite était totalement démoralisée et la culture d’effacement était devenue la nouvelle norme. Le chaos est revenu en 2022, avec le début de l’inflation et la guerre en Ukraine. Bien que cette année ait été marquée par une crise bancaire, la crainte d’un défaut de paiement des dettes, une crise de l’immigration, de nouvelles turbulences politiques telles que l’investiture de Trump et une instabilité politique accrue à l’étranger, les choses semblent à nouveau stagner dans l’ensemble, ou peut-être un peu plus calmes avant la tempête.

Les haussiers n’abandonnent tout simplement pas.
Source: Maverick of Wall Street

Il semblait initialement que le krach de la Silicon Valley Bank mettrait fin aux espoirs de reprise économique. Malgré les craintes récentes d’un défaut de paiement de la dette, les vulnérabilités majeures du système financier, la hausse des taux d’intérêt, les niveaux d’endettement sans précédent, l’inflation galopante et la pire inversion de la courbe des taux d’intérêt depuis plus de 30 ans, la propagande haussière reste très présente. On parle par exemple d’une légère récession, d’un atterrissage en douceur, d’un nouveau marché haussier, voire d’une récession évitée. L’optimisme des haussiers repose sur la combinaison de l’accord sur le plafond de la dette, des statistiques officielles du chômage qui restent basses, d’une légère baisse de l’inflation et de l’espoir d’une pause dans les hausses de taux de la Fed. Sans parler de la nouvelle menace d’un boom de l’intelligence artificielle qui sauverait l’économie et ouvrirait la voie à un nouveau marché haussier, ce qui ne fait que créer une nouvelle bulle sur les actions, en plus de la super-bulle existante. Cette propagande s’inscrit dans le droit fil de la fameuse déclaration de Janet Yellen selon laquelle nous ne connaîtrons plus jamais de crise financière de notre vivant, l’arrogance voulant que le système soit parfait pour résister à l’effondrement. Le point de vue le plus ridicule à ce jour est que l’économie se porte bien en raison des prix exorbitants des billets de concert de Taylor Swift, car il est évident que de nombreuses jeunes filles aisées utilisent la carte de crédit de leur père pour acheter des billets. Au contraire, cela ne fait que démontrer l’ampleur de la bulle de la dette et les niveaux élevés d’inégalité des revenus. L’ambiance actuelle me rappelle beaucoup l’optimisme du mois de janvier avant le krach bancaire, même si nous assisterons probablement à une répétition des cycles de proximité du krach imminent, suivis de plusieurs tentatives de reprise, avant l’inévitable grand krach.

Si les baissiers ont été justifiés par la trajectoire globale de l’économie, il est arrivé, ces dernières années, que les baissiers se trompent ou dépassent leurs prévisions quant à la gravité d’une crise imminente. Pour commencer, ils s’attendaient à ce que la crise provoque une dépression, alors qu’ils n’avaient pas prévu que les mesures de relance soutiendraient l’économie, du moins pour l’instant. On craignait également, y compris dans les grands médias, que la guerre en Ukraine ne provoque une famine mondiale, la pire de l’histoire moderne, à l’automne dernier. Toutefois, un accord a été négocié par la Turquie entre la Russie et l’Ukraine pour permettre l’acheminement en toute sécurité des céréales ukrainiennes par la mer Noire. La question est de savoir si un conflit prolongé, retardant la saison des semailles en Ukraine, entraînera une famine mondiale dans les prochaines années. On s’attendait également à ce que l’Europe connaisse une crise énergétique catastrophique l’hiver dernier, ce qui n’a pas été le cas non plus. Même la limitation de la production de pétrole par la Russie n’a pas fait grimper les prix du pétrole aussi haut que prévu. L’Europe a eu la chance d’avoir un hiver doux, d’avoir suffisamment d’essence et de gaz naturel dans ses réserves et d’avoir reçu une aide supplémentaire de l’Amérique, puisque Biden a épuisé les réserves stratégiques d’essence de l’Amérique. Dans l’ensemble, il s’agit d’une combinaison de certains problèmes de chaîne d’approvisionnement résolus à la suite de la pandémie et de la guerre, mais aussi d’une baisse de la demande mondiale et d’un simple coup de pied dans la fourmilière.

Pour que l’économie soit plus saine, il faut que les super bulles éclatent, et il en va de même pour les maux sociaux et politiques. Étant donné que la pandémie a surtout exacerbé les pires tendances des années 2010, telles que l’atomisation sociale, la crise de la santé mentale, la récession sexuelle, l’inégalité des revenus, la consolidation du pouvoir par l’establishment, la culture d’effacement, la décadence culturelle et le ras-le-bol général, la question est de savoir si un grave effondrement économique ferait disparaître les conneries de la société ou s’il ne ferait qu’aggraver ces problèmes. Un scénario d’atterrissage en douceur ou de stagnation économique exacerberait probablement les pires tendances existantes, c’est pourquoi je comprends tout à fait les catastrophistes et les accélérationnistes qui se réjouissent de l’effondrement. Cependant, les dissidents, qui sont souvent désespérés ou qui ont le sentiment que le système actuel leur est défavorable, s’imaginent que lorsque l’effondrement se produira, eux ou leur groupe d’appartenance s’en sortiront mieux ou seront libérés des systèmes d’oppression, ce qui est incroyablement naïf. Les dissidents n’ont aucun pouvoir institutionnel et cette mentalité de doomer [prophètes de malheur (ou d’apocalypse)] est très passive, répondant principalement à un besoin psychologique. Si la vie et la psyché intérieures d’une personne sont en proie au chaos, elle a tendance à vouloir voir la société froide et indifférente qui l’entoure s’effondrer également.

Les prophètes de malheur s’appuient sur le fantasme selon lequel un choc externe au système, ou un événement de type « cygne noir », entraînera l’effondrement de l’ensemble du système comme un château de cartes, mais le système s’est avéré beaucoup plus résistant que cela. La Californie montre qu’un système hégémonique libéral à parti unique peut durer beaucoup plus longtemps qu’on ne le pense, même s’il a été soutenu par les revenus de la Silicon Valley et par l’exode de la classe moyenne, qui a servi de soupape de sécurité en cas de mécontentement. Les propagandistes financiers qui parlent d’un atterrissage en douceur ont partiellement raison, dans la mesure où il s’agit d’un atterrissage en douceur ou d’une absence de récession pour ceux qui sont au sommet. En fait, l’Amérique fonctionne très bien pour ceux qui la dirigent, mais pas pour ceux qui n’ont ni pouvoir ni influence. La récession sévère qui s’annonce pourrait simplement se traduire par une augmentation de la dégradation des villes, des campements de sans-abri, de la mortalité due au désespoir et de l’inégalité des revenus, mais pas nécessairement par un effondrement du pouvoir institutionnel.

Message anonyme de 4chan datant de 2013

[Traduction automatique de l’image par Yandex :

]

Le prophète du désespoir, Michel Houellebecq, a été totalement justifié dans sa prédiction du début de la pandémie selon laquelle la vie après la pandémie serait « la même mais pire ». L’effondrement est souvent progressif et ne se produit pas du jour au lendemain. Il ne s’agit pas nécessairement d’un scénario à la Mad Max, mais plutôt d’une baisse de la qualité de vie pour la plupart des gens. Cela vaut même pour les pays du tiers monde qui se sont effondrés, comme le Sri Lanka, ou pour les niveaux d’inflation élevés que connaissent actuellement la Turquie et l’Argentine. « Le cauchemar n’est pas l’effondrement. Le cauchemar, c’est qu’ils réussissent la fin de l’histoire et que les choses empirent progressivement : plus de criminalité, plus de pauvreté, plus de dégénérescence, moins de services et une population incapable de faire autre chose que d’exiger de plus grandes doses de poison », tweete James Kirkpatrick, de l’association VDARE. En gros, un déclin progressif de la qualité de vie des gens ou un scénario de grenouille dans la casserole bouillante, où les gens s’habituent à la dégradation et n’atteignent peut-être jamais le point de rupture, mais se contentent d’ajuster leurs attentes et leurs normes. Les dissidents s’appuient sur ce fantasme du réveil et de la rébellion des masses, mais avec la baisse des salaires et l’augmentation du chômage, l’effet de levier est plus important pour les détenteurs du pouvoir et plus faible pour le peuple. L’élite politique doit tenir compte du fait qu’un certain type de krach économique signifie que les gens seront suffisamment désespérés pour travailler pour rien ou presque et renoncer à leurs libertés et à leur autonomie. La question est de savoir si les Américains, en particulier les Blancs de la classe moyenne, peuvent psychologiquement supporter le déclin et la transition vers un ordre post-américain.

Graphique de la Réserve fédérale sur l’évolution des réserves de change

Un scénario probable est celui d’un atterrissage presque en douceur de l’économie américaine, mais aux dépens du reste du monde, en abusant de la monnaie de réserve pour exporter l’inflation. Par exemple, les pays sont obligés de rattraper les hausses de taux de la Fed afin de sauver leur monnaie. Cela accélérera la crise des migrants et renforcera le ressentiment à l’égard de l’Amérique, avec le risque de représailles contre le dollar. L’Amérique entrerait en dépression si elle perdait son statut de monnaie de réserve, mais le dollar domine toujours les réserves de change, sans concurrent évident. Dans le même ordre d’idées, un boom de l’IA pourrait redresser l’économie après la récession, peut-être même une période d’expansion économique rapide, mais il exacerberait aussi l’inégalité des revenus et éroderait progressivement la valeur du travail.

Même s’il n’y aura probablement pas de défaut de paiement de la dette dans un avenir proche, le principal danger est que le Trésor soit contraint de vendre des bons et des obligations du Trésor, ce qui épuiserait les liquidités sur les marchés financiers, exacerbant ainsi la crise bancaire, pousserait l’immobilier commercial à la dérive et provoquerait une crise de solvabilité des régimes de retraite. Sans parler de l’exacerbation du piège financier dans lequel se trouve la Fed : si elle pivote ou renfloue les banques, l’inflation réapparaît, mais si les taux restent élevés, il y aura une crise de liquidité et de défaillance de la dette. Il est difficile de dire si ce sera l’événement financier qui provoquera le grand krach. Dans l’ensemble, la principale vulnérabilité de l’économie réside dans l’ampleur de l’endettement, tant public que privé, et la réponse sera probablement de gonfler le dollar pour rembourser les dettes massives.

Le krach a pris beaucoup plus de temps que prévu, c’est comme regarder de la peinture sécher, et j’en ai fini d’essayer de deviner quand ce méga krach se produira. En général, j’estime que la bulle économique est simplement davantage étayée et que l’inévitable est retardé, ce qui conduira à une crise économique bien plus grave. Cependant, que se passe-t-il si tout cela fait partie d’un déclin géré avec succès, ou d’une stabilité fabriquée, ce qui est vraiment déprimant et démoralisant ? L’Amérique est en déclin, mais il serait exagéré de parler d’effondrement. Il s’agit plutôt d’un processus pluridécennal à long terme, d’une décadence au ralenti, analogue au déclin de Rome en tant qu’empire tardif, dont la chute s’est étalée sur une très longue période. L’Amérique présente à la fois des avantages par rapport à d’autres nations et des vulnérabilités majeures.

[NDLR Ce qui a été prévu ou pressenti il y a plusieurs décennies par certains des premiers « complotistes » de l’histoire moderne est un scénario d’effondrement contrôlé.]




Maintenant, L’OMS veut un pass sanitaire mondial !

[Source : DME En Direct]

« Plus ça va [plus les choses avancent], et plus on a l’impression que les complotistes, c’est juste des gens qui ont vu les choses arriver six mois avant les autres. »

[NDLR Dans bien des cas, c’est même plusieurs années, voire décennies avant les autres, contre vents et marées.
Devinez pourquoi.]




Aaron Russo (RIP) — Ce que Rockefeller lui a révélé — Interview complète

[Source : fuzed pyic]

[Cette vidéo en version française sous-titrée a été mise en ligne en 2018.]

Quelques mois avant de mourir le réalisateur américain parle à cœur ouvert de la nature de l’élite au pouvoir et des pratiques servant son programme.

[Voir aussi une version plus longue en anglais :
https://archive.org/details/reflections-warnings-an-interview-with-aaron-russo-full]




« Ceux qui ont soutenu Schengen ont du sang sur les mains »

[Source : bvoltaire.fr]

À l’occasion de l’anniversaire de la convention de Schengen, ce 19 juin, BV a rencontré Philippe de Villiers. L’homme politique et créateur du Puy du Fou, essayiste et écrivain à succès, a replongé pour l’occasion dans ses archives. Il a mûri, réfléchi, constaté qu’il avait vu clair. Il livre une analyse détaillée de cette période charnière pour la France, au moment même où le drame d’Annecy remet Schengen au cœur du débat, une fois de plus. Entretien en longueur et sans voile.

Marc Baudriller. Nous célébrons, ce 19 juin, les 33 ans de la convention de Schengen qui complète l’accord du 14 juin 1985. Quel était le rêve européen, lors de la signature de ces accords, et où en sommes-nous, aujourd’hui ?

Philippe de Villiers. Dans mes archives personnelles, j’ai retrouvé un document que j’avais publié le 12 mars 1995, à l’occasion d’une conférence de presse, intitulé : « Pourquoi faut-il maintenir les contrôles aux frontières ? Non à Schengen ! » C’était l’époque où les chefs à plumes de la droite classique, Jacques Chirac et Édouard Balladur, du haut de leur sagesse, proclamaient qu’il fallait soutenir l’abolition des frontières. La classe politique dans son ensemble, imprégnée de l’idéologie de l’ouverture, pensait que la disparition des protections pour les hommes et les marchandises serait un progrès en termes de prospérité et de civilisation. Je me suis senti très vite bien seul et la presse m’a désigné comme un lépreux à crécelle sanitairement dangereux… En effet, j’osais arguer qu’avec Schengen, on courait à la catastrophe : « Lorsqu’on fait des trous dans une casserole, cela s’appelle une passoire. »

M. B. Étiez-vous le seul à défendre cette ligne ?

P. de V. Il y avait Jean-Marie Le Pen et moi-même. Toutes les élites, sous l’influence du soft power américain, étaient acquises à l’idée excitante d’une expérience post-identitaire. J’avais disputé avec François Mitterrand, quelques mois après la signature du traité de Schengen, lorsque j’étais secrétaire d’État dans le gouvernement de Jacques Chirac. Il avait forgé un aphorisme : « La France est notre patrie, l’Europe est notre avenir. » Aujourd’hui, avec le recul, on devine que le désastre de Schengen fut le prix à payer pour trois erreurs qui nous ont laissé démunis, sans ressources morales ni réflexe de survie.

M. B. Quelles sont ces trois erreurs ?

P. de V. La première, c’est le dessein originel d’une Europe post-politique, l’erreur de Schuman et de Monnet qui ont choisi, avec la CECA (Communauté européenne du charbon et de l’acier), de faire flotter le drapeau étoilé de la Madone sur une mine de charbon et un four d’acier trempé. On ne se rassemble pas par le haut mais par le bas. C’est le choix d’une Europe sans âme ni tête, un assemblage purement technique, avec une architecture post-politique, sans aucun projet de puissance propre. Avec l’idée de créer, par génération spontanée – sur le dépassement, voire la négation, des identités des peuples – un projet post-national qui s’incarne dans une Europe sans les États. Cette Europe sans les États est dotée d’un fédérateur extérieur : l’Amérique. Dans l’histoire de l’Occident, c’est la première fois, depuis les Grecs, qu’on expérimente cette idée d’un fédérateur extérieur, l’Amérique, dans une architecture post-politique, avec une « Commission » à l’américaine. Le grand mensonge des maastrichtiens est d’avoir fait croire qu’on allait faire un super-État, avec une super-frontière, une super-démocratie, une super-diplomatie, une super-armée, une super-économie. Ce seraient les États-Unis d’Europe ! Ils ont menti aux Français. Car leur mouvement intime était d’abolir les nations, mais sans avoir aucunement l’idée d’en construire une nouvelle. Leur idée, c’était la dissolution du politique. Au Conseil de Laeken, tout a été dit : « La seule frontière de l’Europe, c’est la démocratie et les droits de l’homme. »

M. B. La deuxième erreur ne tient-elle pas tout simplement à l’orgueil démesuré des artisans du traité de Maastricht ?

P. de V. C’est cela même. Ils ont cherché à faire naître une Europe post-historique. Quand on voit ce qui se passe en Ukraine, on repense au slogan de l’époque : « L’Europe, c’est la paix ! » Ce fut l’illusion de « la mondialisation heureuse ». Lorsque le mur de Berlin tombe, le 9 novembre 1989, et, dès le lendemain, la classe dirigeante française se prend à annoncer la fin définitive des guerres, la fin des idées et des religions – spécialement la religion catholique – et l’avènement du marché comme seul régulateur des pulsions humaines et des tensions du monde.

Trois événements s’enchaînent : après le référendum sur Maastricht de 1992, nous signons en 1994 le traité de Marrakech qui crée l’OMC (Organisation mondiale du commerce), que j’appelle l’Organisation commerciale du monde. Je suis alors le seul député de droite qui vote contre la ratification de l’OMC. La gauche socialiste, qui a abandonné le social et rallié le capitalisme sans entrailles, et la droite libre-échangiste votent avec enthousiasme pour la fin de toutes les protections. Balladur rassure : « Les délocalisations vont créer les chaînes de valeurs globales. Les citoyens vont se muer en de raisonnables consommateurs. » Le divin marché… Ensuite, le 26 mars 1995, c’est l’entrée en vigueur de Schengen. À cette époque, Hubert Védrine pointe avec prescience : « C’est sans doute une erreur de croire que la démocratie de marché a vocation à unifier le monde et à dissoudre les identités récalcitrantes comme de vulgaires calculs rénaux. »

M. B. Il y a donc une part de lucidité, au moins chez certains. Et la troisième erreur ?

P. de V. La troisième erreur, c’est l’idée d’une Europe post-territoriale. En effet, la nouvelle idéologie de l’économie globale plonge les élites dans l’irénisme du vide. Selon elles, l’échange va emporter les barrières, l’économie rapprochera les hommes, alors que la culture les isole dans leur enclos. Selon la doxa du moment, nous allons entrer dans un temps nouveau, celui de l’ouverture, « les nations sont dépassées et le temps des frontières est fini ». Le dernier mur est tombé, on n’en construira plus jamais. Nous voilà enveloppés d’une idéologie pacifiste qui nous a désarmés et qui entrave toute forme de prise de conscience du danger. Je me souviens des serments solennels de Bayrou, Stasi et les autres : « L’Europe sera ouverte ou ne sera pas ! »

Pour résumer, le traité de Schengen n’a fait qu’appliquer aux frontières l’idéologie de Maastricht et de l’OMC. D’abord, il y a Maastricht qui fusionne les nations, puis l’OMC qui fait sauter toutes les douanes et la préférence communautaire. Enfin Schengen, qui fait sauter la frontière et inaugure l’ère du multi-déculturé.

M. B. Schengen ne prévoyait-t-il pas le renforcement des frontières extérieures ?

P. de V. Vous avez raison. C’était une posture verbeuse. Le discours officiel de l’époque me fait penser au discours d’aujourd’hui sur l’euthanasie. On promet de renforcer les soins palliatifs tout en mettant en avant « l’aide active à mourir ». Les soignants donneraient, de la main droite, des soins et, de la main gauche, des seringues. C’est à y perdre son serment d’Hippocrate. Concernant Schengen, le discours lénifiant est, là encore, un oxymore : on va renforcer les frontières extérieures et abolir les frontières intérieures. Seuls les gogos ont cru au renforcement des frontières extérieures. Les européistes n’y ont jamais cru car ils voulaient un marché planétaire de masse, débarrassé de toutes les barrières pour la marchandisation du monde. Les mêmes ne voulaient pas des racines chrétiennes dans la Constitution européenne. Il n’y a jamais eu le moindre geste pour renforcer les frontières extérieures. Aujourd’hui – ô paradoxe –, certains pays d’Europe réclament le droit d’ériger des murs frontaliers. Pour l’Union européenne, la migration est une nécessité économique et une récréation anthropologique.

M. B. Le drame d’Annecy est-il à mettre au bilan des accords de Schengen ?

P. de V. Le drame d’Annecy est double. C’est le drame du droit d’asile dévoyé et celui de Schengen. Quand vous avez 160.000 demandes, cela veut dire que le droit d’asile est devenu une filière d’immigration comme une autre, aux mains des passeurs esclavagistes. À l’époque de Soljenitsyne, lorsque je l’ai reçu [en Vendée, en septembre 1993, NDLR], le droit d’asile s’appliquait à un homme persécuté pour son œuvre et pour ses opinions. De nos jours, le droit d’asile ne veut plus rien dire. On offre un abri à des gens parmi lesquels des criminels en puissance.

De plus – et c’est le drame de Schengen -, si vous avez des frontières extérieures communes et sans frontières intérieures, vous êtes condamné à avoir un super-État avec une législation commune sur le moindre détail de la vie quotidienne. Prenons l’exemple des stupéfiants. Les législations sont différentes en Europe. La drogue arrive dans les grands ports par containers. Si le port de Rotterdam n’est pas contrôlé, on récolte chez nous les fruits de cette absence de contrôle. Ceux qui ont imaginé Schengen savaient que, dans l’histoire des hommes et des nations, quand la frontière intérieure saute, la souveraineté et la nation sont abolies. Ceux qui ont soutenu Schengen devraient quitter la vie politique car ils savaient et ils ont du sang sur les mains.

M. B. C’est une accusation terrible. Expliquez-nous pourquoi.

P. de V. Ils nous ont fait croire qu’avec la fin des frontières intérieures, l’Europe serait un levier d’Archimède pour notre sécurité. Or, on constate que l’Europe a immolé son enveloppe charnelle, c’est une Europe sans corps. On n’a pas assez médité le mot de Saintignon : « Abattez les frontières et vous verrez surgir mille petites forteresses. » La frontière a disparu ? Non, elle est partout. Aujourd’hui, on nous déshabille dans les aéroports, on installe des grilles aux entrées des quartiers cossus de la bourgeoisie mondialisée qui se moque des frontières en dégustant ses sushis au balcon.

Mais cela va plus loin : depuis le Covid, on est passé de l’espace sans frontière à la frontière sans espace. On n’a plus la frontière nationale mais on a eu la frontière domestique. Le confinement est une frontière, le masque est une frontière. Avec l’absence des frontières, on nous prépare la super-frontière, le super-contrôle : celle de l’homme global, l’homme remplaçable, l’homme de sable. On nous prépare le passeport sanitaire mondial de l’OMS ou le passeport numérique européen, ainsi que le passeport climatique, avec un crédit carbone. La nouvelle frontière, c’est le passeport. On nous parle aussi d’une monnaie programmable de banque centrale pour contrôler nos achats et de la reconnaissance faciale pour nous suivre à la trace. On abolit les frontières, et on nous fabrique des frontières de substitution. On apprivoise, en Europe et en France, une architecture proche de la société concentrationnaire chinoise. Seule la drogue circule librement. L’Europe est pour elle un paradis. La France est en train de devenir un narco-État. Tout cela était prévisible.

M. B. Emmanuel Macron a fait de la souveraineté une thématique centrale de sa communication, ces dernières semaines. Mais la France est-elle encore souveraine ?

P. de V. La souveraineté de la France se décompose. Aujourd’hui, certains quartiers sont des petits Kosovo français. Bientôt, on fera un édit de Nantes, c’est-à-dire un partage du territoire en dhimmitude au nom de la paix. Macron veut faire de la France le laboratoire de la diversité. Il a dit, un jour, qu’il fallait « déconstruire notre Histoire ». Il croit au bien-être cosmique et à l’illimitation marchande.

Nous voyons le monde s’effondrer et la France rouler à l’abîme. À Annecy, on tue au couteau, à Marseille, à la kalachnikov. D’où proviennent les kalachnikov ? Elles transitent, par la Bulgarie, depuis des trafics d’Ukraine, le ministre de l’Intérieur le sait bien. Qu’attend-on pour envoyer l’armée chercher les kalachnikov dans les caves ? Les points de deal sont les nouvelles frontières. Celles-là semblent intouchables. La frontière n’a pas disparu, elle s’est déplacée.

M. B. L’accord de Schengen est-il réversible ?

P. de V. Tout est réversible, à trois conditions : qu’il ne soit pas trop tard, qu’il y ait une volonté de le faire et que les Français fassent preuve de lucidité. Qui est lucide, aujourd’hui ? Qui osera sortir de Schengen ? Les LR ont eu une bonne intuition, qui était dans mon programme en 1995 où je disais qu’on ne pouvait rien faire tant que la loi française ne serait pas supérieure à la loi européenne. En effet, dans un super-État livré aux oligarchies du marché, la puissance appartient aux cours suprêmes. C’est la toge qui commande à la douane. Le fameux État de droit.

La classe politique française souffre d’un triple aveuglement. Elle ne voit pas le chassé-croisé entre la natalité qui implose et l’immigration qui explose. Ayant choisi de disparaître, on appelle à la rescousse, pour remplacer les naissances manquantes, un peuplement étranger. Le deuxième aveuglement est un choix politique : le fameux pacte de submersion migratoire de l’Europe [le pacte de Marrakech, NDLR, signé en décembre 2018] où les États sont dessaisis de leurs compétences en matière de politique migratoire au profit de la Commission de Bruxelles. Les États se verront imposer des relocalisations sous la menace d’amendes confiscatoires. On va repeupler l’Europe et la France à partir de l’Afrique. Le dernier aveuglement : vous ne pouvez pas avoir en même temps l’ouverture des frontières et l’État-providence. C’est l’un ou l’autre. Cela, seul le Danemark l’a compris.




La vérité explosive sur les fact-checkers dévoilée

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]