Game over pour Trump ?

[Source : Cactus]

En gros :

« Je sais et je comprends votre douleur. Nous avons eu une élection qui nous a été volée. C’était une large victoire. Tout le monde le sait, même nos adversaires le savent, mais vous devez rentrer chez vous maintenant pour avoir la paix. Nous devons respecter la police et nous ne voulons pas de blessés. C’est assez difficile comme cela. Nous n’avons jamais vu une telle chose pour gagner une élection, car c’était une élection frauduleuse. Mais nous ne devons pas tomber dans leur piège. Nous devons être en paix. Rentrez chez vous. Nous vous aimons. Vous avez vu ce qu’il s’est passé et comment vous avez été traités. Ce sont des personnes diaboliques et je sais ce que vous ressentez, mais rentrez en paix chez vous. »

Trump [traduction révisée].

Les tweets de D. Trump sont maintenant bloqués. Nous avons eu le temps de sauvegarder la vidéo, impossible à partager.




Pandémie mondiale : un scénario de longue date ?

Traduction: Jeanne Traduction




Est-ce la fin de la Saga Biden-Trump? Avec Charles Gave, Président de l’institut des libertés

[Source : Sud Radio]




Élections US : dernière ligne droite ?

[Source : FranceSoir]

Auteur : Elisabeth Dancet

Alors qu’une majorité d’Occidentaux se sont rassemblés en petit comité pour célébrer les fêtes de fin d’année malgré la crise sanitaire, certains ont continué de travailler d’arrache-pied pendant ce qui fut appelé, à une autre époque, la trêve des confiseurs.

Nous avons évoqué dans notre dernier article trois possibilités d’actions pour révéler les fraudes massives intervenues durant les élections présidentielles du 3 novembre dernier.

Ces trois voies se déroulent activement, sans que personne ne puisse dire lesquelles se démarqueront à partir du 6 janvier et dans les jours qui vont suivre. A cette date, le Congrès se réunit pour faire le décompte final des votes des grands électeurs. Étant donné les multiples fraudes intervenues dans les États clés, cette session risque d’être houleuse et d’entrainer de nombreux débats, preuves à l’appui. Plus de soixante élus fédéraux, membres du congrès et sénateurs, se sont positionnés à ce jour pour objecter comme la Constitution leur en donne le droit, lors de la session parlementaire du 6 janvier. Le républicain Josh Hawley a été le premier à ouvrir le feu le 30 décembre. « Je ne peux pas voter pour certifier les résultats du collège électoral le 6 janvier sans évoquer le fait que certains États, en particulier la Pennsylvanie, n’ont pas suivi leur propre législation pour le déroulement de ces élections », a affirmé le sénateur du Missouri.

Le 2 janvier, le sénateur républicain Ted Cruz appuyé par 10 autres sénateurs a publié une déclaration conjointe. Dans cette déclaration, les sénateurs affirment leur volonté d’objecter au décompte des voix du collège électoral et exigent un audit officiel pour s’assurer de l’intégrité du processus électoral. « Le Congrès devrait immédiatement nommer une commission électorale, dotée d’une autorité d’enquête indépendante et complète, pour effectuer un audit d’urgence de 10 jours des résultats des élections dans les États contestés » ont insisté ces sénateurs.

La première voie concerne les juridictions des États clés. Selon la loi du décompte électoral de 1887, les législateurs des États ont tous pouvoirs pour compter et valider les votes de leurs citoyens. Rappelons que sept États ont déposé des listes de votes alternatifs pour Trump lors du vote du collège électoral le 14 décembre.

En Arizona, excédés par la passivité des élus face à la montagne d’évidences présentées lors des auditions publiques, les Américains eux-mêmes se sont portés volontaires et ont décidé de recompter les votes. Républicains, démocrates et indépendants, « We the People » ont voulu en avoir le cœur net. Sous l’impulsion de Liz Harris, candidate républicaine au congrès, ils ont réexaminé la base des données électorales de l’État. Ce qu’ils ont trouvé est édifiant et confirme les nombreux témoignages sous serment. Dans leurs échantillons d’électeurs de 67 comtés, ils ont découvert que 15 000 personnes au moins ont voté alors qu’elles n’habitent pas l’État, ont disparu ou sont décédées. Le mathématicien Bobby Pitton, qui a déjà présenté ses analyses statistiques lors des auditions publiques du 30 novembre, a calculé qu’au moins 160 000 votes sont illégaux dans l‘État. La différence affichée entre les deux candidats est de 10 377 voix ! La pression exercée sur les élus par le peuple est forte et il va être difficile de valider les votes pour Biden, alors que Trump a gagné.

En Géorgie où les élus se sont enfin décidés sous la pression populaire, à rouvrir des auditions publiques le 30 décembre, il s’est passé deux événements extraordinaires. Jovan Pulitzer inventeur et expert de l’internet, a effectué en direct avec son équipe un piratage à distance d’une des machines Dominion du comté de Fulton face aux sénateurs de l’État médusés ! Ces machines sont supposées ne pas être connectées à Internet. Or l’une d’entre elles était en train d’envoyer des données et d’en recevoir, démontrant la capacité de CHANGER les résultats en temps réel, d’envoyer de faux bulletins, d’affecter une fraction prédéterminée à chaque candidat… Ce témoignage en live, preuve des mensonges avérés des fabricants des machines DVS, a été corroboré par une autre analyse précise des historiques des votes par des spécialistes des data dont Dave Lobue, expert en fraude financière. Dans le comté de Dodge, ces experts ont identifié 17 218 votes soustraits en un instant du total des votes pour Trump et ajoutés à Biden. Ce switch a été effectué en 8 minutes dans la nuit du 3 au 4 novembre, entre deux envois informatiques des données à l’État pour publication. Ces procédés peuvent passer inaperçus sans l’analyse historique des transactions. Dans le comté de Dougherty, 17 650 voix pour Trump ont simplement disparu, quand le différentiel attribué à Joe Biden pour l’État de Géorgie est de 11 779 voix ! Statistiquement, l’équipe a aussi prouvé que les votes pour Trump ont été décrémentés dans plusieurs comtés, et que cette manœuvre a été répétée plusieurs fois. Leur conclusion est sans appel : il est impossible de certifier les résultats des élections en Géorgie car Trump a gagné.

En Pennsylvanie, les membres du Congrès se sont enfin décidés à déclarer que leurs élections étaient inconstitutionnelles. On se souvient des irrégularités et fraudes massives identifiées dans cet État. Sur le plan constitutionnel, les irrégularités ont été reconnues officiellement par 10 membres du congrès sous la houlette de Dan Meuser. Cette déclaration a été publiée sur le site de la législature de l’État : « tant que ces pratiques illégales n’auront pas été reconnues et corrigées, il nous est impossible de reconnaitre le vote des grands électeurs car il est basé sur un nombre total de votes erroné. »

En récupérant les résultats effectifs de ces trois États seulement – sur les 7 qui sont contestés – Trump obtient 47 votes de grands électeurs et dépasse aisément la barre des 270 votes nécessaires pour remporter les élections, alors que la situation est tout aussi biaisée au Michigan, dans le Wisconsin et au Nevada.

Ceci nous conduit à la deuxième voie : le rôle du Sénat et celui de son président Mike Pence. Les experts en droit constitutionnel s’affrontent sur les possibilités d’action du vice-président qui va présider la réunion du 6 janvier. Les votes de chaque État seront examinés par ordre alphabétique. Face à chaque objection, les chambres se réunissent chacune de leur côté pour en débattre. Le Congrès, à majorité démocrate, ne validera pas les objections. Le Sénat peut-être, même si certains républicains ont déjà entériné la victoire de Biden. Certains constitutionnalistes affirment que selon le 12ème amendement de la Constitution, le président du Sénat a les pleins pouvoirs pour choisir la liste des votes alternatifs, aux vues des preuves qui lui sont présentées. Le rôle de Pence, qui a salué le choix des élus résolus à challenger les votes, sera déterminant et créera peut-être un précédent.

Comme la loi de décompte des voix de 1887 donne les pleins pouvoirs aux législatures des États, ils doivent – selon l’article 2 – dé-certifier les votes pour valider les listes alternatives. Ce conflit légal potentiel pourrait remonter à la Cour suprême, restée très en retrait jusqu’à ce jour, alors qu’elle a enregistré des dizaines de plaintes à propos des élections, y compris la dernière en date émise par Donald Trump contre l’État du Wisconsin déposée le 30 décembre…

La troisième voie est encore plus d’actualité qu’avant Noël : le président Trump peut mettre en action son ordre exécutif du 12 septembre 2018 en cas d’interférence étrangère dans le déroulement des élections. L’avocate Sidney Powell a été reçue le 19 décembre à la Maison Blanche pour évoquer avec le Président sa nomination éventuelle en tant que conseiller spécial à propos des fraudes électorales. La réunion à laquelle assistait également le général Flynn, a fait l’objet de commentaires virulents des participants, outrés par l’attitude défaitiste des conseillers de Trump. Si on attend toujours le rapport du DNI (Director of National Intelligence) John Ratcliffe sur l’interférence étrangère de la Chine, de l’Iran et de la Russie dans ces élections, Sidney Powell a de son côté consigné les preuves et témoignages sous serment accumulés sur le sujet dans un rapport de 270 pages. Ce rapport contient aussi des documents du FBI et de la CIA démontrant le piratage des machines DVS par des hackers de Russie et d’Iran, et leur utilisation au Venezuela. Le rapport a été rendu public et mis en ligne sur le site de l’avocate le 22 décembre.

Malgré les nombreuses restrictions annoncées à Washington – sous prétexte de covid ou à cause des fraudes – fermeture des bars, des restaurants et des hôtels, les patriots du mouvement #StoptheSteal (#ArrêtezLeVol) s’organisent pour un grand rassemblement dans la capitale le 6 janvier. Plus d’un million de personnes sont attendues, et les grands médias se taisent : pourquoi ? Malgré cette censure digne du régime chinois, les Américains sont décidés à ne pas laisser passer les résultats frauduleux de ces élections.  

Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir




Claire Edouards, retraitée de l’ONU, balance tout sur le plan élitiste et génocidaire Covid-19 + 5G + vaccins

[Source : Pro Fide Catholica via Qactus]

Cette Dame s’appelle CLAIRE EDWARDS, elle a travaillé à l’O.N.U. et dénonce ce qu’elle a pu constater de la mise en œuvre du PLAN EUGÉNISTE contre LES PEUPLES par LE COVID-19.

Claire Edwards membre de l’ONU en tant que rédactrice et formatrice en écriture interculturelle de 1999 à 2017. Elle cite tous les noms des responsables de cette mascarade Covid-19.

Depuis mai 2018, Claire Edwards collabore avec Arthur Firstenberg pour la publication de l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’espace. (www.5gspaceappeal.org).

Elle explique très clairement que les personnes ne sont pas « malades du COVID-19 », MAIS elles sont impactées par les symptômes des EXPOSITIONS AUX RADIATIONS ÉLECTRO-MAGNÉTIQUES 5G (Exposure to Electromagnetic Radiation = EMR)

Elle cite « LA FINE ÉQUIPE » en charge de ce GÉNOCIDE.

La vidéo de cette Dame a été, bien évidemment, censurée sur You Yube.

Elle n’est active que sur ODYSEE.

La traduction en Français a été réalisée.

Bonne écoute à vous tous.

En téléchargement :

https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v3/streams/free/Claire-Edwards-d%C3%A9nonce-le-g%C3%A9nocide-du-Covid—vid%C3%A9o-censur%C3%A9e-sur-YouTube/46164c7499c90a9f54ec9eb7b00d6b81c24bc698/2a1faf

Ou

https://t.co/k08duHELtr?amp=1


[Voir aussi sur le blogue Nouveau Monde de nombreux articles et éléments de preuves sur ces questions :

Et notamment :




La RTS invite Patrick Artus pour expliquer le Great Reset qui nous attend

[Source : Les Observateurs]

Les Observateurs

Cenator : La RTS donne la parole à Patrick Artus, un grand pape du Great Reset. Un vrai pikettiste, un économiste de gauche mondialiste, dans la ligne du WEF. 

À notre avis, les pays qui vont se sortir de cette crise ne sont surtout pas ceux qui verseront dans l’assistanat ni dans le revenu universel (le fameux oreiller de paresse, l’expression qui a déclenché l’attaque de la meute contre Guy Parmelin). Ce sont au contraire ceux qui vont se retrousser les manches et adopter le slogan d’Orban : Nous allons créer autant d’entreprises qu’il en a été détruit et fournir l’aide indispensable au redémarrage.

Dans le « nouveau capitalisme » prôné par Artus, l’État « sauve » tout le monde, même les entreprises qui auraient dû faire faillite et qui vont vivoter grâce à l’aide. Ce sauvetage artificiel par la planche à billets instaure en réalité une économie communiste à la soviétique, où les entreprises non viables sont maintenues à flot par les subventions. 

Lors du premier confinement, quand nous ignorions tout du virus et manquions même de désinfectant, des restrictions limitées avaient encore un certain sens, pour un court temps de réorganisation. Par contre, le deuxième confinement est clairement irrationnel et suicidaire et il utilise la pandémie comme prétexte pour établir un nouveau modèle sociétal.
La mise en place du Great Reset apparaît toujours plus évidente, et la pandémie en devient même l’instrument, au lieu qu’il ne soit qu’une 
conséquence de celle-ci.

Un capitalisme sur des bases saines et durables signifie pour Artus plus de collaboration internationale, de façon qu’aucun pays ne sombre dans la crise. Et par aucun pays, Artus, en bon globaliste, entend toute la planète Terre au sens des élites du WEF. 

Le véritable bilan de la situation européenne actuelle, c’est que sa civilisation est à l’agonie. Le marxisme culturel a vaincu la liberté de parole, détruit la liberté académique, imposé la pensée unique à ses médias, à son enseignement ; il a imposé à la population occidentale un sentiment de culpabilité, il a sali son histoire, déformé, piétiné ses traditions, les fondements de sa civilisation, il lui a imposé le multiculturalisme, il a organisé l’invasion par des populations incompatibles.

A présent, après que nos cerveaux ont été « nourris » de la maternelle jusqu’au tombeau par l’idéologie progressiste, nous serions redevables à l’État pour tout le reste (nourriture, logement, transports…) ?

Car après que les gouvernements successifs ont laissé venir en Europe occidentale un mélange de populations étrangères tel que l’histoire de l’humanité n’en a jamais connu, et vu qu’une grandpartie de cette population est inemployable, il faut bien prévoir de quoi l’entretenir – d’autant plus maintenant que la quatrième révolution industrielle, la robotisation, est prévue par les grands horlogers de WEF.

Et selon Patrick Artus, aux mérites académiques ronflants, l’Europe aux abois aurait en plus le devoir de sauver le monde dans un élan de solidarité fraternelle. Fraternité universelle, qui n’existe que dans la tête de personnes qui vivent de leur idéologie. Ces visionnaires ont la prétention de pouvoir définir, de leur bureau, ce que doit être le nouveau modèle économique mondial et de savoir comment réformer l’économie et l’humanité de fond en comble.

Artus pense que l’économie va se redresser avec plus de social, en opposition avec le capitalisme qui « cherche le profit à tout prix » et vise à récompenser les actionnaires.
Dans le modèle qu’il préconise, ce n’est plus le privé qui prend les risques, en prêtant ses économies aux entreprises en mal de liquidités, c’est l’État s’y substitue.
Voici donc la fin du capitalisme, ce que la gauche réclame depuis 1917. 
C’est exactement cela, la vision pikettiste et marxiste de l’économie.
 La rentabilité des entreprises, pour Artus, n’est plus un objectif. 

Dans le capitalisme classique, une entreprise doit, avant tout, faire le nécessaire pour être rentable, compétitive, sinon c’est la faillite. La possibilité d’une aide sociale découle de la viabilité des entreprises, et non l’inverse.

  • « Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère. »  Winston Churchill

Artus et le Great Reset veulent remplacer les actionnaires par l’État, et détruire par là la propriété privée. C’est une société néo-communiste qui se dessine clairement dans ces propos.
En fait, ce nouveau capitalisme n’est rien d’autre que le rêve bolchévique réchauffé. Artus, en réclamant 
un monde (occidental) « plus soucieux de lutter contre les inégalités et plus respectueux de l’environnement », déroule un tapis rouge devant la Chine – le pays même qui nous a infectés puis inspiré ces confinements.

Pour Patrick Artus, il faut plus d’Europe, plus de solidarité, et il cite comme exemple la dette colossale (750 milliards) du plan d’urgence destiné à résoudre la crise post-covid, dette solidairement remboursable entre pays membres, que l’UE veut laisser aux générations à venir. 

Beaucoup disent que cette dette ne sera jamais remboursée, qu’il y aura un Great Reset, que la planche à billets va résoudre les problèmes. Les mêmes réclament la disparition de l’argent physique, ce qui rendra l’argent encore plus virtuel et théorique (et traçable à 100%) et  relativisera toute dette. C’est la mise en place de l’utopie communiste, version digitale.

Ajoutons à cela le revenu universel comme le voudrait Artus.

« La meilleure façon de tuer un homme, c’est de le payer à ne rien faire. »

Félix Leclerc

Lausanne l’a déjà expérimenté pour les jeunes. Après l’an 2000, la gauche s’est installée sur son trône et a instauré l’assistance comme un dû. La commune a distribué de l’assistance sans contrepartie, sans aucune exigence de remboursement. Beaucoup de jeunes en pleine capacité ont choisi de se faire entretenir par la collectivité. L’explosion des jeunes assistés a alors fait naître d’autres services sociaux pour les remettre au travail – avec ce bénéfice secondaire, pour les politicards, que ces jeunes, « en cours de réorientation » sortaient par là-même des statistiques des assistés.
L’explosion du budget du social n’a nullement effrayé les sociocrates car ils savent qu’il suffit d’augmenter les impôts et la dette pour financer les prestations et le salaire des fonctionnaires qui les servent.
Jusqu’au moment où la réalité nous explosera à la figure.


A quoi ressemblera l’économie après la pandémie?

L’interview de Patrick Artus, chef économiste à la banque Natixis et co-auteur de l’ouvrage « L’économie post-Covid » :



Mehmet Gultas : Deux scénarios possibles pour la crise sanitaire. Soit la crise s’aggrave, soit qu’on maîtrise, même d’une manière imparfaite, la pandémie et qu’on refonde l’économie mondiale sur des bases plus saines et durables. Vers quel scénario se dirige-t-on ?

Patrick Artus : On va maîtriser la pandémie, la situation sanitaire sera stabilisée.

Qu’est-ce qui sera durablement différent après cette crise ? En étant prudent, sachant que toutes les grandes crises ont amené de grands changement irréversibles et pas forcément ceux qu’on s’attendait.

Le capitalisme ne va pas du tout devenir plus inclusif ni plus sympathique. (Rire de Mehmet Gultas.)

Le propre du capitalisme contemporain, c’est de chercher à rétablir le plus rapidement possible ses profits. Donc, après la crise, pour produire avec des coûts plus faibles, il faut délocaliser davantage, il faut rechercher les rentes de monopoles – Mehmet Gultas rajoute : geler les embauches – et montrer une certaine réticence vis-à-vis de la transition énergétique.

Mehmet Gultas : Donc ce durcissement du capitalisme est inéluctable ? Ou est-ce qu’on peut quand même encore l’éviter ?

Patrick Artus : Alors, on peut l’éviter, car il y a des pressions en sens opposé. Simplement, le roulement  spontané  du capitalisme, ça va être de se rétablir le plus vite possible (oui, oui, Mehmet Gultas) au détriment des autres.

Mais après, vous avez les opinions, les populations, les gouvernements, et même la finance, assez curieusement. Puisque en particulier les grands investisseurs aujourd’hui jouent un rôle tout à fait déterminant pour pousser les entreprises à être plus inclusives, à s’occuper du social, à changer leur gouvernance, à s’occuper du climat.

Mais il ne faut pas être naïf. Spontanément, une entreprise du capitalisme contemporaine a quand même, quelles que soient les  forces en sens inverse, comme but essentiel de rétablir sa rentabilité pour ses actionnaires.

Le cas de Danone est très intéressant. Avec la chute de sa rentabilité, cette société pourtant très avancée a annoncé un plan de licenciement. Donc, même dans les entreprises les plus avancées vers cette nouvelle forme de capitalisme, on reste dans un capitalisme complètement actionnarial.

Mehmet Gultas : Vous dites : la politique à mettre en œuvre ne peut pas être réformistes, il faut des ruptures. Lesquelles ?

Patrick Artus : Alors, on part de l’idée que cette crise va fabriquer une énorme hétérogénéité dont nous n’avons pas d’expérience. Il y a des pays qui vont aller bien parce qu’ils ont des bonnes industries et il y a des pays qui vont aller mal. Un pays comme l’Espagne, par exemple, ou même la France, avec une grosse exposition à l’automobile, à l’aéronautique, au tourisme, ces pays vont aller mal. Il y a des secteurs qui vont aller bien, d’autres mal.

Les jeunes avec des contrats d’intérim vont aller mal, d‘autres personnes iront toujours bien avec des contrats de travail à long terme dans de grandes entreprises.

Donc on a besoin de rupture parce qu’on a besoin de politiques extrêmement puissantes pour lutter contre cette hétérogénéité. Si on ne fait pas ça, il y aura des pays, des secteurs qui vont être durablement en crise, des personnes durablement dans la pauvreté. Il faut donc changer notre approche dans la lutte contre la pauvreté.

Nous proposons dans le livre un revenu universel pour les jeunes, par exemple.

Il faut aussi laisser les entreprises négocier plus localement, parce que chaque situation sera différente, avec beaucoup discussion et de dialogue social dans chaque entreprise,

Il faut beaucoup plus de coordination et de coopération entre les pays,

En Europe, ça avance un peu. On a eu le plan de relance et le budget de moyen terme européens, qui sont plus solidaires que ce qu’on avait dans le passé.

Il y a des problèmes de très grande pauvreté dans le monde, il y a des pays dont les économies s’effondrent dans cette crise. Si on ne fait rien, ces pays vont être durablement en grande difficulté, comme l’Amérique latine, par exemple.

Il faut comprendre que nous avons cette explosion d’hétérogénéité dans toutes les dimensions, et c’est à cela qu’il faut répondre.


Le livre cité par Mehmet Gultas : L’économie post-Covid. par Olivier Pastré et Patrick Artus

Résumé de l’éditeur :

Penser l’après-Covid est vital. Deux scénarios sont envisageables. Le premier est celui d’une aggravation de la crise sanitaire, économique et sociale, faute de réponses adaptées. Le scénario alternatif est celui de la maîtrise, même imparfaite, de la pandémie et d’une refondation de l’économie mondiale sur des bases plus saines et durables.

Pour définir où se fixera le curseur entre ces deux scénarios, tout dépendra des politiques économiques et sanitaires mises en œuvre – de l’entreprise à l’économie mondiale en passant par un nouveau paradigme du travail et de l’emploi. Première solution : le repli sur soi, le protectionnisme et la guerre des monnaies, terreau de tous les populismes. Seconde solution : la prise de conscience que la coopération et la solidarité sont les seuls piliers d’une sortie de crise par le haut.

La politique à mettre en œuvre ne peut pas être réformiste. Il faut des ruptures. Ce livre court et incisif en propose huit (revenu universel de base, transition énergétique, décentralisation, syndicalisme…). Il dessine ainsi le « chemin de crête » étroit qu’il est possible de suivre pour sortir de cette crise historique de manière équitable et pérenne.

Chef économiste de Natixis, Patrick Artus est professeur associé à l’École d’Économie de Paris. Olivier Pastré est professeur d’économie à l’université Paris-VIII et président d’IMB Bank (Tunis). Ils sont tous deux membres du Cercle des économistes et ont publié ensemble Sorties de crise (Perrin, 2009).




Le PRÉSIDENT TRAHI par son propre camp

[Source : Première de Couverture]

👉Le Message du nouvel an du président Trump
👉La nouvelle bombe de Lin Wood
👉Le président Trump trahi par son propre camp : McConnell défendra Biden
👉Résistant à la pression de ses pairs, seul le Sénateur Hawley reste fidèle au président Trump




LES « VACCINS » ANTI-COVID PRÉVUS SONT ILLÉGAUX !

[Sources : Minurne Résistance et coe.int]

L’UTILISATION DE CES MODIFICATEURS DU GÉNOME EST INTERDITE PAR LA LOI

Il s’agit d’une loi européenne de 1997, dite Convention d’Oviedo, du nom de la ville espagnole où elle a été annoncée et présentée. Son article 13 stipule que toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite. Beaucoup de pays ont hésité à la signer, craignant que cette disposition entrave leur recherche médicale.

La France l’a ratifiée en 2011 par l’article 1er de la loi du 7 juillet 2011 sur la bioéthique. Elle est opposable en droit interne depuis le 1er avril 2012, conformément aux dispositions de son article 33 §4

Article 1er : Est autorisée la ratification de la convention du Conseil de l’Europe pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997.

Les juristes du gouvernement vont certainement expliquer qu’il y a des exceptions, ce qui est exact.
Mais celles-ci sont soumises à de strictes exigences :

La personne sur laquelle l’expérimentation est faite doit avoir préalablement signé un document donnant la composition détaillée du médicament concerné, ses effets immédiats, ses effets secondaires potentiels. Elle certifie l’avoir lu, se l’être fait expliquer, avoir tout compris et être d’accord pour recevoir le produit concerné.

Ils vont objecter qu’ils n’y a pas dans la loi française de chapitre spécifique consacré auxdits « vaccins », ce qui est évident, puisqu’à l’époque tout le monde pensait, à l’exception de quelques scientifiques précurseurs, que l’on ne saurait jamais bricoler et modifier le génome humain par des manipulations de ciseaux protéiniques inventés en 2015.

Cela ne change rien au principe global de la Convention d’Oviedo : toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite.

La vaccination est bien une intervention médicale ? Oui.
Celle qu’envisagent les laboratoires consistent bien à injecter un ARNm pour modifier le comportement de l’ADN ? Oui.
Donc c’est interdit.

L’Imprécateur
12 décembre 2020


Pour complément d’information :

La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (STE n° 164) a été ouverte à la signature le 4 avril 1997 à Oviedo (Espagne).

Cette Convention est le seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme dans le domaine biomédical.

Elle reprend les principes développés par la Convention européenne des Droits de l’Homme dans le domaine de la biologie et de la médecine.

Ce texte est une Convention cadre visant à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine.

Elle établit les principes fondamentaux applicables à la pratique médicale quotidienne et est considérée comme telle dans le Traité européen sur les droits des patients. Elle traite également de manière spécifique de la recherche biomédicale, de la génétique et de la transplantation d’organes et de tissus.

Les dispositions de la Convention ont été développées et complétées dans les Protocoles additionnels relatifs aux domaines spécifiques.

  Traités du Conseil de l’Europe


  Documents connexes





TERRE VERTE, un bocage au Sahel

[Source : Terre Verte]

Auteur : Henri GIRARD

Intégrer la sauvegarde de l’environnement dans l’agriculture sahélienne au Burkina Faso.

champ Zai Guie Terre Verte

L’ONG TERRE VERTE intervient au Burkina Faso depuis 1989 à travers des associations inter-villages locales, dans la réalisation de périmètres bocagers (wégoubri en langue mooré), un concept nouveau d’aménagement rural mis au point par la Ferme pilote de Guiè dans les années 90 et maintenant repris dans d’autres fermes pilotes burkinabè.

La dégradation du milieu rural sahélien s’est aggravée durant ces dernières décennies, mettant en péril les populations rurales. L’embocagement de l’espace rural permet de résoudre les problèmes liés à cette agriculture extensive, en instaurant un nouveau cadre et une agriculture bioécologique.

Par une approche globale du problème, la Ferme pilote de Guiè a réussi à intégrer la sauvegarde de l’environnement dans l’agriculture sahélienne. Le concept repose sur la création de périmètres bocagers en copropriété, comprenant des parcelles individuelles et des communs dont la gestion est organisée autour d’un groupement foncier des bénéficiaires. Il en résulte un milieu totalement restauré où agriculture n’est plus synonyme d’érosion, où élevage n’est plus synonyme de surpâturage et où les arbres et arbustes sont harmonieusement intégrés à l’environnement.

C’est ce concept que nous vous invitons à découvrir au travers de notre site.

Bien environnementalement vôtre.

Henri GIRARD
Président de TERRE VERTE


Sur le site :

La désertification

Le bocage sahélien

Nos 4 fermes pilotes

Plus d’info

Localisation

Ou est le Burkina?



Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait ». MàJ

[Source : Olivier Demeulenaere]

[Mise à jour : Pour des informations complémentaires, notamment sur Catherine Austin Fitts, voir sur le site de Guy Boulianne : Catherine Austin Fitts nous livre ses explications concernant les banques, les émeutes, le vaccin, les projets des globalistes et propose sa solution]

Catherine Austin Fitts, une ex-secrétaire d’État adjointe au Logement analyse ici brillamment le Plan machiavélique qui menace l’humanité ! Écoutez-la bien… 

« Je décrirais le Covid-19 comme l’institution des contrôles nécessaires pour convertir la planète du processus démocratique à la technocratie… Cela ressemble beaucoup plus à un coup d’État qu’à un virus ».

« C’est un système d’esclavage… un système de contrôle complet 24h/24 et 7 jours/7 – y compris le contrôle des esprits ».

« Dans une certaine mesure la technocratie va nous faire évoluer vers un système similaire au système chinois ».

« Monsieur Global considère la race humaine comme du bétail… Ils ne nous considèrent pas comme la même espèce qu’eux. En fait, avec beaucoup de biotechnologie ils pensent qu’ils vont vivre beaucoup plus longtemps que nous et qu’ils vont vivre des vies très différentes de nous… À mesure qu’un groupe devient de plus en plus avancé sur le plan technologique, il se sépare culturellement, légalement, financièrement de tous les autres groupes. En d’autres termes, ils ont créé une civilisation séparée ».

« Ils ont un miroir sans tain. Ils peuvent voir tout ce que vous faites ; vous, vous ne pouvez même pas voir qui ils sont ».

« Vous ne pouvez plus rester au milieu de la route. Vous devez suivre la secte ou suivre la vérité ».

« Nous construisons notre propre système d’esclavage, nous construisons la prison et nous la finançons… ce qui nous donne le pouvoir d’arrêter. »




« Lutter contre… l’anxiété climatique. » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Il
y a quelques jours, dans ma petite ville normande, deux jeunes filles,
angoissées climatiques et planétaires, ont décidé de faire une « clean
walk » ce qui doit se traduire par une marche du nettoyage…

Tout le monde a trouvé cela charmant.

Moi je trouve cela con-con, et plus les autres trouvent cela charmant plus je trouve cela con-con.

Tout
d’abord, nous payons des impôts et des taxes pour l’entretien, ce qui
veut dire que le nettoyage n’est pas fait convenablement, mais là n’est
pas le plus important. L’essentiel, c’est la culpabilisation
environnementale qui pousse certains à ce type d’actions charmantes
(sans aucun intérêt à terme, mais qui ne font pas mal non plus), et
d’autres carrément à la dépression environnementale puisqu’il n’y a plus
d’avenir, on va tous mourir… Merci Greta la dépressive chronique.

Culpabilité

La
culpabilité est une émotion causée par la transgression d’une norme
morale. Il s’agit d’une émotion proche du concept du remords.

Dans
la classification des émotions morales de Jonathan Haidt, la
culpabilité fait partie des émotions auto-conscientes, celles permettant
aux individus de réguler leurs actions. L’embarras et la honte sont des
émotions proches de la culpabilité. La culpabilité s’en distingue car
elle entraîne des remords, la volonté de réparer sa faute,
s’accompagnant d’empathie envers les victimes. Selon l’anthropologue
Ruth Benedict, les cultures peuvent être classées en fonction de
l’importance de l’utilisation de la honte ou de la culpabilité pour
réguler socialement les activités de leurs membres.

Vous êtes victime d’une manipulation psychologique !

C’est cela que vous devez comprendre avant tout débat sérieux sur le climat ou l’écologie.

Il faut retirer l’irrationnel, le passionnel de l’équation.

Quand on est culpabilisé il est très difficile de raisonner objectivement…

Libérez-vous !

Le
sort du monde, de la planète et des abeilles n’est pas entre vos mains
et ceux qui vous font croire l’inverse le font pour vous culpabiliser,
pour vous manipuler, et pour vous soutirer de l’argent.

Ce qui tue
la planète c’est la mondialisation, avec nos produits fabriqués en
Chine sans norme antipollution ou environnementale ce qui fait que ces
usines ne pourraient plus fonctionner chez nous. Nous avons délocalisé
nos emplois mais aussi notre pollution.

S’émouvoir de l’urgence
climatique un i-phone à la main, trier ses poubelles jaunes pour que le
contenu termine dans l’incinérateur général qui a besoin de combustible
sec pour brûler l’humide, bref, tout ceci est une vaste foutaise, un
immense mensonge.

Il n’est pas grave ce mensonge tant que vous n’êtes pas malheureux.

Il
le devient lorsque vous devenez des angoissés climatiques, et chez nos
jeunes, l’angoisse climatique atteint des niveaux ahurissants.

On ne protégera pas la planète avec ce système économique de consommation de masse.

La consommation de masse est la négation de toute politique environnementale.

Alors
si vous voulez vraiment faire quelque chose pour la planète, cessez de
consommer à outrance, réparez au maximum, et choisissez la simplicité et
la sobriété volontaire. C’est peu, c’est imparfait, mais c’est le bon
début !

C’est dans nos actes de consommation que se joue
l’essentiel de la protection de l’environnement. Pas dans le recyclage,
car si l’on pousse le raisonnement, il n’y a pas à recycler ce qui n’a
pas été produit parce que cela n’a pas été acheté !

La cause
première de tous les problèmes environnementaux imputables à l’humain,
ce n’est pas le mauvais remplissage de votre poubelle jaune, mais le
système totalitaire marchand, mondialisé, et basé sur la consommation de
masse et la production de masse. Tout le reste n’est qu’écume des
choses.

Prendre soin de notre maison commune !

Cela
n’est pas une raison pour ne pas prendre soin de notre maison commune
évidemment. Evidemment qu’il faut trier. Mais au même moment, le camion
des poubelles jaunes qui passait deux fois par semaine ne passe plus
qu’une fois par semaine, et ma taxe d’ordures ménagères augmente… Je
refuse donc d’être culpabilisé. Je paye plus, et on me ramasse moins ma
poubelle jaune. Du coup, je vais aller acheter un second bac. Je le
ferai bien volontiers, mais sans culpabilité.

Je vais même acheter de plus en plus de produits en vrac pour éviter les emballages.

Tout faire pour se comporter mieux et réduire notre empreinte est une bonne chose, mais sans culpabilité.

Vous ne sauverez pas la planète.

Vous ne pouvez pas sauver la planète.

Car le système vous impose en réalité de la tuer, de la polluer, de la pourrir pour que ce système puisse tourner !

De
l’agriculture intensive à la pétrochimie, de la mondialisation à la
pollution des usines en Asie cachées en Inde ou en Chine, des
supertankers aux super porte-conteneurs, des millions de poids-lourds 
chargés de tous ces produits jetables, c’est le système qui pourrit
cette planète.

Alors, ne soyez pas culpabilisés, vous n’avez
aucune chance de sauver la planète. Même en vous suicidant ou en n’ayant
pas d’enfant… la planète crèvera du système totalitaire marchand. Avec
ou sans vous, ou sans votre descendance. Ne soyez pas naïf.

Mais
vous pouvez, nous pouvons prendre soin de notre maison commune, en
achetant un lopin de terre, une maison à la campagne, en y créant des
oasis de biodiversité et en y aimant la vie.

Le meilleur remède à
l’anxiété écologique, c’est de sortir de la propagande, démonter le
mensonge, expliquer que vous ne pouvez pas sauver la planète contre ce
que le système impose, et refuser la culpabilité.

Le meilleur
remède à l’anxiété écologique, c’est aussi l’action. En travaillant
votre résilience dans un monde complexe, en réduisant vos besoins, en
augmentant votre degré de liberté, vous vous rendez plus fort, plus
robuste face aux crises économiques, mais vous protégez aussi notre
maison commune. Cela part d’une idée simple.

La… simplicité volontaire.

La sobriété volontaire.

Les
jeunes filles qui font des « clean walk » un i-phone à la main, produit
en Chine par des enfants sans droits sociaux, me feront toujours
marrer…

C’est charmant, mais vraiment con-con.

Signé un vieux con bougon !!!

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Ceci est un article « presslib
» et sans droit voisin, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou
en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite.
Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime
quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de
l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous
abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur
www.insolentiae.com. »


[Voir aussi :




Dans la forêt lointaine

Par Joseph Stroberg

Dans une forêt perdue,
Loin des sirènes du monde,
Hors des cris et des guerres,
Un village vivait.
Dans une forêt ailleurs,
Loin des agités du monde,
Hors des routes et des cartes,
Un village respirait.
Dans une forêt humide,
Abrités du soleil,
Des villageois chantaient,
Simplement pour la vie,
Simplement pour l’été,
Des villageois riaient,
Pour les arbres et les fleurs,
Des villageois créaient,
Pour leurs frères animaux,
Des nids et des abris,
Des villageois dansaient,
Parmi les oiseaux.
Mais un jour arriva,
Un méchant promoteur,
Autre mot pour brigand,
Qui, des projets, avait.
Un jour apporta le malheur avec lui.
Les monstres mécaniques,
S’approchèrent en meutes,
Abattirent les arbres,
Et les animaux fuirent.
Les villageois pleurèrent,
Les villageois prirent peur,
Leurs dieux, ils supplièrent,
Mais aucun ne put vaincre,
Le dieu du promoteur,
Car celui-ci, puissant, était,
Et Argent se nommait.
Les villageois partirent,
Leur monde était mort,
Ils n’avaient plus d’espoir,
De le voir revivre,
Ils avaient peu d’espoir,
De retrouver un jour,
Ailleurs un paradis.




Déclaration à faire signer au médecin qui voudrait vous vacciner de force

[Source : Nicolas Bonnal]

Lecteurs, comme vous êtes plus de trente-trois mille par mois et que je ne veux pas vous perdre, voici la déclaration que vous devez faire signer au médecin sagouin qui voudrait vous vacciner pour faire plaisir à Castex aux ordres de Bill et de Davos. Comme dit Philippe qui m’envoie ce document, il y aura peu de volontaires chez les médecins ! Pour signer ou pour vacciner, Philippe ? Ce sera le sermon d’hypocrite contre le serment d’Hippocrate !

Nicolas Bonnal

Lecteurs, comme vous êtes plus de trente-trois mille par mois et que je ne veux pas vous perdre, voici la déclaration que vous devez faire signer au médecin sagouin qui voudrait vous vacciner pour faire plaisir à Castex aux ordres de Bill et de Davos. Comme dit Philippe qui m’envoie ce document, il y aura peu de volontaires chez les médecins ! Pour signer ou pour vacciner, Philippe ? Ce sera le sermon d’hypocrite contre le serment d’Hippocrate !

“Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. La dictature est en marche” selon le Docteur Badel

Castex présente un projet de loi lui permettant d’interdire déplacements et activités aux non-vaccinés.

https://professionnels.vaccination-info-service.fr/Aspects-juridiques/Responsabilite-en-cas-de-dommage/Responsabilite-du-vaccinateur

https://www.village-justice.com/articles/quelle-responsabilite-matiere-vaccination,36876.html





Message d’une personne travaillant et testant la sécurité des masques depuis plus de 20 ans.

[Source : Profession gendarme]

Cette personne n’a pas d’agenda. Elle se soucie juste de la santé et de la sécurité.

22 juin 2020


Lettre ouverte aux médecins et au public de l’Alberta

Cher Dr Hinshaw,

Objet: Alberta Health recommande aux Albertains de porter du N95, des masques chirurgicaux ou non médicaux en public afin de réduire la probabilité de transmettre ou de développer une maladie à partir du coronavirus appelé COVID-19

J’enseigne et réalise des tests d’ajustement des respirateurs depuis plus de 20 ans et maintenant pour mon entreprise SafeCom Training Services Inc. Mes clients comprennent de nombreux départements gouvernementaux, nos militaires, des prestataires de soins de santé avec Alberta Health Services, des établissements d’enseignement et l’industrie privée. Je suis un auteur publié et une autorité reconnue sur ce sujet.

Les masques avec filtres respiratoires, en particulier les masques N95, chirurgicaux et non médicaux, offrent une protection COVID-19 négligeable pour les raisons suivantes :

1. Les virus dans les enveloppes fluides qui les entourent peuvent être très petits, si petits en fait que vous auriez besoin d’un microscope électronique pour les voir. Les masques N95 filtrent 95% des particules d’un diamètre de 0,3 microns ou plus. Les particules de COVID-19 sont de 0,08 à 0,12 microns.

2. Les virus ne pénètrent pas seulement par la bouche et le nez, mais peuvent également pénétrer par nos yeux et même les pores de notre peau. La seule barrière efficace que l’on puisse porter pour se protéger contre l’exposition aux virus serait une combinaison de protection contre les matières dangereuses entièrement encapsulée avec des poignets attachés aux chevilles et des poignets attachés aux gants, tout en recevant l’air respirable d’un appareil respiratoire autonome (ARA). Cette barrière est un équipement standard pour se protéger contre un risque biologique (virus) et devrait être portée dans un environnement potentiellement dangereux 24/7 et vous ne seriez pas en mesure d’en retirer une partie même pour prendre une gorgée d’eau, manger ou utiliser les toilettes dans un environnement viral. Si vous le faisiez, vous seriez exposé et annuleriez toutes les précautions que vous aviez prises auparavant.

3. Non seulement les masques N95, chirurgicaux et non médicaux, sont inutiles en tant que protection contre le COVID-19, mais en outre, ils créent également des risques très réels et des menaces graves possibles pour la santé du porteur pour les raisons suivantes :

A. Le port de ces masques augmente la résistance respiratoire, ce qui rend plus difficile l’inspiration et l’expiration. Conformément à la réglementation du gouvernement de l’Alberta sur l’utilisation d’un masque respiratoire, toute personne tenue de porter un masque respiratoire doit faire l’objet d’un dépistage afin de déterminer sa capacité à en porter un en toute sécurité.

Toute couverture de la bouche et du nez augmente la résistance respiratoire, que le masque soit certifié ou non. Les personnes ayant des conditions médicales préexistantes d’essoufflement, de maladie pulmonaire, d’attaques de panique, de difficultés respiratoires, de douleurs thoraciques à l’effort, de maladies cardiovasculaires, d’évanouissements, de claustrophobie, de bronchite chronique, de problèmes cardiaques, d’asthme, d’allergies, de diabète, de convulsions, de l’hypertension artérielle et les stimulateurs cardiaques (pacemakers) doivent être présélectionnés par un professionnel de la santé pour être approuvés afin de pouvoir en porter un en toute sécurité. Le port de ces masques peut provoquer une urgence médicale pour toute personne présentant l’une de ces conditions.

L’hypertension artérielle liée à la grossesse est possible. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer l’impact du port d’un masque pendant de longues périodes sur la grossesse.

Il est dangereux de recommander, et encore plus d’obliger quiconque ayant des problèmes de santé à porter un masque sans les informer des risques liés à leur port sans avoir été préalablement présélectionné et approuvé par un professionnel de la santé.

B. Pour qu’un masque respiratoire offre une protection à un utilisateur spécifique, cet utilisateur doit être équipé individuellement du bon type, de la bonne taille, si le visage masculin doit être rasé de près (seule la moustache courte est autorisée). Ensuite, l’utilisateur doit être testé avec ce respirateur par un professionnel qualifié pour déterminer si le respirateur fournit à l’utilisateur un joint étanche à l’air – une exigence pour tout masque respiratoire.

C. Masques N95 – N pour non résistant aux particules d’huile, 95 pour le pourcentage de protection – le niveau le plus bas de tous les masques respiratoires

Ces masques, même lorsqu’ils sont correctement dimensionnés et ajustés, ne protègent pas contre l’exposition aux virus, mais ils sont capables d’une protection adéquate contre les particules plus grosses telles que les squames d’animaux, le pollen et la sciure de bois.

Masques chirurgicaux (ceux en papier qui s’enroulent autour des oreilles) – ne scellent pas le visage et ne filtrent rien.

Les masques non médicaux et / ou faits maison sont dangereux car :

  • Non conçu pour les exigences efficaces mais protectrices d’une inhalation facile et d’une purge efficace du dioxyde de carbone expiré
  • Peut entraîner une carence en oxygène pour l’utilisateur
  • Cela pourrait provoquer une accumulation de dioxyde de carbone pour l’utilisateur
  • Ne doit en aucun cas être recommandé

D. Ils augmentent la température corporelle et le stress physique – pourraient provoquer une alerte de température élevée sur un pistolet thermomètre

E. Ils entravent la communication verbale

F. N95, les masques chirurgicaux et non médicaux peuvent créer à eux seuls des infections et des maladies possibles en provoquant une accumulation d’air chaud et humide exhalé sur le matériau intérieur du masque, juste devant la bouche et le nez de l’utilisateur, ce qui est l’environnement parfait pour les bactéries se forment, se développent et se multiplient. C’est pourquoi le N95 et les autres masques jetables n’ont été conçus que pour une courte durée, une utilisation spécifique et ensuite immédiatement jetés.

Donc, si les masques ne sont pas efficaces pour prévenir la maladie, qu’est-ce que c’est? Que diriez-vous de la méthode essayé, testé et méthode prouvé de protéger notre santé avec une alimentation saine, de l’eau propre, en évitant les aliments transformés, de la malbouffe et des fast-foods, beaucoup d’air frais, le soleil, l’exercice modéré, un sommeil réparateur adéquat et l’évitement du stress ? 

Nous avons tous un système immunitaire qui peut combattre et surmonter toute menace COVID-19 s’il est sain et si nous le nourrissons.

Merci d’avoir lu cette lettre ouverte et de m’avoir permis de partager mon expertise. Je vous demande de partager cela avec le public via une déclaration aux médias, car nous sommes tous déterminés à promouvoir une bonne santé pour tous les Albertains. Si vous ou un membre du public souhaitez me contacter pour une question ou un commentaire, j’aimerais avoir de vos nouvelles.

Je peux être contacté au chris@safecom-inc.com.

Cordialement, Chris Schaefer Directeur SafeCom Training Services Inc.




L’incendie de Notre-Dame de Paris et la guerre contre la beauté

[Source : Le blog de Moïra Forest]

L’incendie de Notre-Dame de Paris et la guerre contre la beauté

Par Gearóid Ó Colmáin

Enguerrand Quarton. Pietà de Villeneuve-les-Avignon Huile sur bois, 163 cm x 219 cm. Musée du Louvre.

L’incendie de la cathédrale Notre Dame de Paris devrait être considéré comme un acte de guerre de la part de l’État contre l’Église. Nous n’avons pas besoin de preuve. 200 ans d’une guerre maçonnique contre l’Église est suffisant pour justifier notre suspicion.

Lorsque des faux drapeaux ont été agités il  y a quelques années, tout le monde postait des mèmes sur les réseaux sociaux avec « Pray for Paris ». Ou sont les prières aujourd’hui ? Le grand théologien catholique Urs Von Balthasar a dit jadis que les hommes qui oublieraient le sens de la beauté, oublieraient comment prier et finalement oublieraient comment aimer. Notre-Dame était un témoignage à la vérité de l’église. Sa majesté ridiculisait le scepticisme de l’homme. Il était difficile même, pour un non-croyant, d’y pénétrer sans ressentir un sens de l’effroi, sans ressentir une certaine… révulsion pour l’orgueil humaniste. 

Nous vivons dans une époque de laideur et de mensonges. C’est une époque de toits plats et de grandes fenêtres ; de flous appelés art et de tapage appelé musique – une époque lâche et sans foi. Il n y a plus d’art car l’homme ne cherche plus la vérité désormais. Il n y a plus de bonté car l’homme est heureux dans son iniquité.
Dans une époque d’anxiété, les hommes se cachent dans des carrés et des rectangles. Les arches et les voutes sont la demeure des hommes spirituels, confiants dans leur relation avec la nature mais humbles devant Dieu.

Après deux-cents ans de leur absurdité arrogante, les athées ne peuvent toujours pas expliquer pourquoi aucune civilisation libérale n’a jamais érigé un monument qui ferait que l’homme s’émerveillerait. Les Grecs pouvaient penser parce qu’ils pouvaient encore expérimenter l’émerveillement. Ils expérimentaient l’émerveillement parce qu’ils étaient émus par la beauté en tant que quelque chose de réel et d’objectif, quelque chose qui pourrait être étudié en tant que chemin vers la transcendance – vers la vérité. Athènes n’était pas grande parce qu’elle avait produit Socrate ; Athènes était grande parce qu’elle l’avait conduit à la mort pour avoir insulté les dieux ! Je suis bien sûr ironique et polémique. J’essaye d’articuler l’idée que la grandeur de la civilisation n’est pas mesurée par des individus, mais par une architecture de valeurs. Socrate était accusé de corrompre la jeunesse athénienne, menant la défaite d’Athènes contre les Spartiates. Être un grand philosophe ne faisait pas de Socrate quelqu’un de plus important que le Summum Bonnum (souverain bien). 

Le 19 mars dernier, j’ai rejoint des catholiques partout dans Paris pour un pèlerinage à la cathédrale Notre-Dame pour célébrer la Saint-Joseph. C’était mon premier pèlerinage. Des milliers de Français marchaient à travers les rues de Paris en chantant des hymnes en français et en latin. Lorsque nous sommes arrivés par milliers à la cathédrale, nous avons écouté un sermon dit par l’évêque qui parlait comme un homme ayant des prémonitions sur la douleur en réserve en France.

Il y a une guerre civile dans l’Église catholique qui va directement vers le Saint Siège. C’est l’infiltration la plus profonde et la plus maligne que l’Église n’ait jamais connu. La guerre civile fermente dans les rues de Paris également. Tout le monde en parle. La classe ouvrière s’est levée ; la crise migratoire est hors de contrôle et les intellectuels du pays vont en prison pour critiquer la religion d’état ; une religion dont bien des gens sont inconscients mais qui les dirige. Une religion dont les temples sont fermés au public; un culte d’arrogance, de superstition et de laideur : la secte diabolique de la franc-maçonnerie. Depuis son établissement au XVIIIe siècle, la franc-maçonnerie a été condamnée par plusieurs papes. Le pape Léon XIII a prévenu que non seulement elle avait infiltré les élites européennes mais qu’elle grimpait les échelons de l’Église elle-même. 

Une révolution dans les rues

Il y a un règne de terreur contre quiconque parle de la religion d’État. Jusqu’à maintenant, les hérétiques ont été raillés. Jusqu’à maintenant, il a été possible de garder les hérétiques sous contrôle en les rejetant en tant que malade mentaux, d’intellectuellement contestés, de simples d’esprit, de naïfs et d’idiots. Mais le Clergé d’État craint les masses. Semaine après semaine, elles s’emparent des rues. Des serveurs de bar, des propriétaires de cafés, des chauffeurs de taxi, des travailleurs de toute races, croyances ou classes écoutent des programmes subversifs, partagent des articles de blogs subversifs, discutent sur des livres etdes filmssubversifs. La semaine dernière, j’ai suis allé dans un café pour interviewer mon ami Iurie Rosca, l’ancien vice premier ministre de Moldavie. Il est en fuite aussi car il risque la prison pour des accusations fabriquées de toute pièce pour son opposition au Clergé d’État de l’Union Européenne.

Les serveurs nous connaissaient pour notre travail politique. Ils nous ont adressé des pouces levés en signe de solidarité. Sur la page de couverture du Monde alors que la cathédrale Notre-Dame de Paris était en flamme, il y avait un article sur la possible incarcération d’Alain Soral pour « négationnisme ». Soral est le plus célèbre intellectuel dissident de France. Il y a eu plusieurs tentatives de perpétration d’attentats contre sa personne et il vit dans des lieux sécurisés. C’est la figure dominante de l’un des plus dangereux mouvement d’Europe, dangereux aux yeux du Clergé d’État.

La guerre contre l’Église en France

On compte jusqu’à trois églises par jour qui sont attaquées quotidiennement en France, et cependant, le public n’est pas informé par les médias. Plus de 1000 églises ont été attaquées l’an dernier. Les satanistes ont attaqué des hosties, ont répandu des excréments sur les murs, ont cassé des statues. Personne n’en parle. Personne même le sait. Mais les attaques augmentent semaine après semaine. Les ennemis de l’Église catholique romaine craignent la France plus que n’importe quel autre pays. La Franceest le seul pays àavoir eu un roi qui a été fait saint : Louis IX ou Saint-Louis au XIIIe siècle.

Le 21 octobre 1239, le pape Grégoire IX a écrit au roi Louis IX. Il a déclaré que le peuple de France est l’héritier de l’alliance que Dieu a fait avec l’ancienne tribu de Juda. « La tribu de Juda était la figure anticipée du Royaume de France » a-t-il écrit.

Pendant des siècles, la France a été la protectrice de Rome. En fait, les États Pontificaux ont été un cadeau de la France au Saint-Siège. Les missionnaires et les ordres religieux français ont fait plus que n’importe quel autre pays dans le monde pour répandre le message de l’Évangile. De 1309 à 1376, Avignon, dans le sud de la France, a été le siège de la papauté.

Ces dernières années, la prise de conscience de la signification de la France devient de plus en plus apparente. De plus en plus d’intellectuels écrivent et donnent des conférences sur le rôle que la France joue dans la fin des temps. Il y a eu plus d’apparition mariales approuvées par l’Église que dans les autres pays. La nation est dotée des plus belles églises du monde ; nombre d’entre elles sont là depuis plus de mille ans.

En France, la dissidence contre le Nouvel Ordre Mondial, c’est le catholicisme. Tout le reste n’est que stupidité. Lorsque Rome est tombée aux mains du culte de mort franc-maçon lors du concile de Vatican II de 1963, ce sont des théologiens français qui ont résisté. Ils avaient déjà un siècle et demi d’expérience de résistance au culte de mort maçonnique depuis que les occultistes ont pris le pouvoir en 1789.

Monseigneur Marcel Lefèbvre a dit en 1989 que la franc-maçonnerie dirigeait l’Église à Rome. Il a dit qu’il avait écrit des preuves comme quoi ils voulaient un gouvernement mondial sous leur contrôle. Il a dit que s’il devait aller à Rome, il n’aurait pas à s’expliquer devant eux, c’est eux qui devraient s’expliquer devant lui, car il défendait simplement les doctrines de l’Église.

Lorsque la Mère Bénie sera déclarée Reine de France une fois encore, le mot « négationnisme » aura acquis une nouvelle signification !

La chute de Rome

La prise de contrôle de l’Église catholique par Satan a été annoncée au XVIe siècle par Notre Dame de Bon Succès. Elle a été encore prédite à Fatima en 1917. Rome perdra la foi a t-elle dit. Et bien, Rome n’a pas seulement perdu la foi, Rome est pourrie jusqu’à la moelle. Nous avons désormais un pape hérétique protégeant une cabale de satanistes violeurs d’enfants. Mais il a les médias de son côté, il a les Nations Unis de son côté, il a les imbéciles de petits bourgeois gauchistes de son côté, et quelle bande d’imbéciles ils sont !

Lorsque le cardinal Vigano a révélé que le pape protège des agresseurs d’enfants, le pape a dit aux journalistes qu’il ne dirait rien puisqu’il savait qu’ils le défendraient.

Les catholiques bourgeois qui suivent le pape François comme des moutons enivrés sont plus a blâmer que n’importe qui pour la chute de la civilisation chrétienne. L’Église a toujours défendu la raison contre le sentimentalisme. L’infaillibilité du pape était un concept théologique lié aux affaires de doctrine. Cela ne veut pas dire que l’on ne peut pas critiquer le pape ! Il est impératif cependant de maintenir l’unité et ne pas oublier que, puisque l’institution est divine et éternelle, les sacrements le sont aussi.

Avec ses manières, ses coutumes, sa viticulture, sa cuisine, ses paysages, ses monuments, sa culture, la langue, sa philosophie et son art, aucun pays au monde n’a autant de grâce que la France mais la nation est en train de mourir sous un Gros Mensonge.

Qui aujourd’hui est si soumis à un lavage de cerveau, qui est si dénué de capacité critique pour ne pas voir la vacuité des droits de l’homme, la déclaration de la fierté universelle et l’amour-propre de l’homme, le catéchisme d’une bourgeoisie cupide et sans pitié ? 

Un temps pour la retenue et la réflexion

Les provocations contre l’Église en France proviennent de tous côtés. Récemment, le magazine Charlie Hebdo a publié un dessin de couverture du Christ avec des parties génitales couvrant son visage torturé sur la croix. Les chrétiens de France savaient que c’était de la provocation et n’ont pas réagi ; les musulmans devraient apprendre d’eux.

Ce mois-ci, le gouvernement célèbre les trente ans de la pyramide maçonnique en verre du Louvre. Le Clergé d’État ne perd jamais une occasion de se moquer des gens mais les pyramides égyptiennes, le temple légendaire de Salomon et autres obsessions du clergé d’état n’a jamais produit du grand art. Il y a une seule religion dans le monde où Dieu est venu sur terre en tant qu’homme, a fondé une institution mondiale faite pour durer jusqu’à la fin des temps, et aucune quantité de géolâtrie mystique ne va changer ce fait. Les amoureux d’art viennent au Louvre pour méditer sur les représentations de la Passion, de la Nativité et les innombrables variations de la plus grande histoire jamais imaginée. Peut-être que l’une des oeuvres les plus considérables du Louvre est aussi la plus humble. C’est une oeuvre du XVe siècle d’un monastère chartreux de Villeneuve-les-Avignon. Elle s’appelle « la Pietà d’Avignon » – la pietà d’Avignon d’Enguerrand Quarton. Le travail a été achevé à une époque où la chrétienté était à genou, alors que l’islam s’avançait à l’intérieur de l’Europe. 

Bien que peint sur un panneau, l’oeuvre est presque une sculpture avec des personnages ressortant de la scène contre un ciel doré avec une architecture mauresque dans le fond,  qui représente probablement Istanbul ou Jérusalem. Le Christ est allongé devant sa Mère et Marie-Madeleine par Joseph d’Arimathie. Il ôte la couronne d’épines de la tête du Christ. La couronne d’épines, un symbole de mortification de l’orgueil, a été conservée à Notre-Dame. Elles, avec un clou et un fragment de la croix ont été sauvé du feu. Dans la méditation de Quarton, Saint Jean, vêtu comme un prêtre, prie et contemple pieusement le lointain, son visage sobre est un réceptacle de la lumière orientale. le critique d’art René Huyghe écrit :

« La retenue intense du geste appartient à la France, à son réalisme vivant, à sa conscience de la vie de l’esprit qui, étant soumise à de grandes expériences spirituelles et les communiquant avec une grande sincérité, se passe de manifestations extérieures. »

Article original ici : http://www.gearoidocolmain.org/notre-dame-de-paris-fire-and-the-war-on-beauty/




Les Canadiens poursuivent en justice l’OMS, leur premier ministre Trudeau et leurs procureurs

Auteurs : Docteurs Nicole et Gérard Delépine

[Voir aussi : https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2020/10/COVID19-25-10-2020.pdf]

L’État de droit n’a rien à craindre des manifestants, mais des actes anticonstitutionnels des gouvernements complices de l’OMS.

Justin Trudeau, premier ministre canadien, est poursuivi directement en même temps que l’OMS ? Cela rendra-t-il prudents les dirigeants des autres pays complices du plan de l’instrumentalisation de la supercherie Covid19 ?

La révolte gronde. D’où viendra-t-elle avant de se répandre comme un tsunami impossible à contrôler ? Depuis le million de manifestants à Berlin fin août en présence de Robert F Kennedy, on aurait pu croire que la révolution viendrait d’Allemagne. Mais les manifestations pacifiques se sont multipliées dans de nombreux pays européens pendant souvent plusieurs semaines d’affilée comme en Italie, mais aussi en Amérique du Nord, et en particulier au Québec particulièrement touché par des restrictions extrêmement strictes des libertés.

La procédure en cours déposée le 21 décembre contre les responsables de ces mesures inefficaces devant le tribunal d’Ottawa, l’OMS, les Gavi et B Gates ainsi que le pape et la reine d’Angleterre en tant qu’inspirateurs d’ordre montre l’exaspération des victimes du monde entier. Elles ont compris que le but des restrictions des libertés n’est pas de sauver les peuples d’un virus[1], mais bien de ruiner les classes moyennes et de les transformer en esclaves modernes avec revenu minimal de subsistance et jeux débiles télévisés pour les endormir.

Le but devient plus clair depuis que les dirigeants trop sûrs d’eux ne s’en cachent plus. Des résistances s’organisent avec le pôle juridique initié par Reiner Fuellmich et son groupe allemand qui diffuse sur le monde occidental comme une traînée de poudre. Mais aussi directement par les peuples qui faute de mieux descendent dans la rue et résistent à la dictature de toutes les façons possibles.

Pour fêter la nouvelle année qui sera celle de la libération : les Autrichiens

Linz, Graz, Innsbruck, St Pölten : Un grand afflux de manifestants contre les mesures arbitraires et insupportables, injustifiées. Ces derniers jours, des milliers de personnes sont descendues dans la rue à St Pölten et Graz. Et[2] le premier janvier, Innsbruck a également manifesté. Les gens appellent pacifiquement, mais sûrement à respecter leurs droits fondamentaux et à rétablir la situation conforme à la Constitution.

« L’œil local à Linz. À partir de 16.00, plus de 1.000 personnes ont déjà déménagé sous la forme d’une « promenade » sur le site de la foire à Urfahr, puis sur la Linzer Landstraße. Le flux n’a pas voulu s’arrêter, le célèbre militant Martin Rutter, qui a parlé en direct de la manifestation, a même estimé jusqu’à 3.000 participants ». Sa diffusion en direct a été suivie par des milliers de spectateurs ».

« Les manifestations contre les mesures de Corona ne relèvent plus d’un camp politique. Peu importe qui est à gauche ou à droite, tout le monde veut la même chose : la fin des mesures, la liberté, les droits fondamentaux et le retour à une vie normale. Il ne faut pas se laisser monter les uns contre les autres, ne plus jouer le partage et le jeu « Gauche contre droite » qui permet aux dirigeants de museler les oppositions. »

La censure tout azimut et la propagande forcenée rend la mise en réseau de résistance importante

Il est important de se connecter maintenant. C’est ce qu’ont souligné de nombreux activistes sur le terrain ainsi que dans leurs diffusions en direct. Car la censure est omniprésente, chacun craint la suppression de ses apparitions sur l’internet, le non-respect par l’État de ses droits à la liberté d’expression.

À Linz, la police s’est remarquablement abstenue. Si, lors de la dernière marche silencieuse, on était martial avec au moins 20 voitures d’intervention, on se contentait aujourd’hui de quelques fonctionnaires. L’État de droit n’a rien à craindre des manifestants, mais est directement menacé par les actes anticonstitutionnels[3] du gouvernement.

Alors, manifestations plus plaintes de toutes sortes contre les masques, contre les vaccins par Maitre Brusa en France,[4] et puis cette étonnante procédure canadienne résumée dans notre papier publié dans France soir ce jour Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr) 2 janvier 2020 :

Résumé de la procédure publiée à Ottawa le 21 décembre 2020, contre l’OMS et Cie

Nous tenterons ici d’en rapporter les principaux éléments, laissant au lecteur assidu le loisir de consulter la procédure in extenso avec toutes les références bibliographiques.

LA PROCEDURE CLASS ACTION DE L’ONTARIO[5] le 21 décembre 2020

LA COUR SUPÉRIEURE DE JUSTICE DE L’ONTARIO énonce la réclamation suivante entre :

Plaignants : Stacy Amikwabi, Shawn Brennan, George Fayad, Joshua Alas-wilson, Alice Tojcic, Jane Doe, John Doe, les demandeurs

-et- accusés :

  • Le Pape FRANÇOIS, au nom du saint- Siège et de l’état du Vatican, nonciature apostolique d’Ottawa
  • La Société de Jésus à Toronto
  • SM La Reine ELIZABETH II, Au Nom De L’ORDRE De La JARREILLE, Maison De WINDSOR (Ancien SAXE-COBOURG-GOTHA, Aux Bons Soins de L’utilisateur Du Bâton Noir Ottawa.
  • ALLIANCE MONDIALE Des VACCINS (GAVI) Washington DC
  • ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ De L’ONU – OMS Washington
  • SANTÉ PUBLIQUE ORGANISATION DU CANADA Ottawa
  • FONDATION B ET M GATES Seattles
  • Premier Ministre J. TRUDEAU Ottawa
  • DR. THERESA TAM, aux soins de l’Agence de Santé Publique du CANADA
  • Administrateur en chef de la santé publique, phac.cpho-acsp.aspc@canada.ca
  • Premier MINISTRE DOUG FORD, Toronto
  • Christine ELLIOTT, ministère de la Santé, Toronto (Ontario) M7A 2J3
  • MAIRE Jim WATSON, 110, avenue Laurier Ouest, Ottawa (Ontario)
  • PROCUREUR GÉNÉRAL DU CANADA Ministère de la Justice Canada
  • Bureau régional de l’Ontario, Toronto (Ontario)
  • PROCUREUR GÉNÉRAL DE L’ONTARIO Bureau du droit de la Couronne, Direction du droit constitutionnel

Défendeurs (accusés selon la terminologie française par les plaignants)

Procédure en vertu de la Loi de 1992 sur les recours collectifs[6]. Les adresses des défendeurs sont détaillées dans la procédure.

QUELLES SONT LES DEMANDES DES PLAIGNANTS ?

1. Les plaignants désirent :
  • obtenir une ordonnance certifiant cette instance en tant que recours collectif.
  • Affirmer que les décisions prises par J Trudeau sont invalides sur le plan juridique.
  • Ils exigent une déclaration selon laquelle les mesures prises par le Parlement du Canada conformément aux instructions du Premier ministre, déclarant une pandémie sur la base des conseils de l’OMS est ultra vires = invalide[7], eu égard à leur pouvoir et leur autorité.
  • Ils exigent une déclaration selon laquelle les protocoles Covid-19 nécessitaient un examen immédiat avant enregistrement totalement transparent de la science et des données historiques.
  • Ils souhaitent que soit fixée une date immédiate et urgente par la Cour pour permettre une audience sur l’examen des protocoles et règlements et des plans de vaccination par le gouvernement fédéral, provincial et municipal ainsi que l’OMS.
  • Ils exigent des Déclarations contre les gouvernements fédéral, provincial et municipal, sur une base provisoire, pour suspendre les mesures COVID-19 jusqu’à la nécessité de telles mesures soit démontré par la science et l’opinion médicale.
2. Le demandeur, Stacy Amikwabi, réclame en son propre nom et au nom de tous les membres de sa classe
  • Dommages-intérêts généraux pour douleur, souffrance et perte de la jouissance de la vie.
  • Dommages spéciaux dont le montant reste à déterminer.
  • Dommages pour perte de revenu et / ou autre perte économique pour des montants déterminés.
  • Les dommages-intérêts punitifs.
  • Intérêts avant et après jugement conformément aux tribunaux Loi, LRO 1990, ch. C43 tel que modifié.
  • Les frais de cette action sur une base d’indemnité substantielle plus la TVA.
  • Tout autre redressement que cette honorable Cour peut juger juste.

Le demandeur, Shawn Brennan, réclame en son propre nom et au nom de tous les membres de son Groupe les mêmes reconnaissances et compensations.

Les plaignants :
Peuples autochtones ruinés et manipulés pour les vaccins dans la réserve FRENCH RIVER

Stacy Amikwabi réside sur une réserve (Première Nation de Henvy Inlet), en fait French River Réserve indienne no 13 (Rowan Proclamation 1852). Stacy et sa femme ont été économiquement dévastés par le verrouillage et autres protocoles introduits dans la réserve par le gouvernement fédéral. Ils seront de plus confrontés avec les vaccins obligatoires.

Ils ont tous été déjà informés que des restrictions seront imposées pour ceux qui n’acceptent pas le vaccin. Stacey et sa famille ne peuvent pas donner leur consentement éclairé à une « thérapie génique expérimentale », à savoir l’inoculation d’ARNm, qui aurait été développée et administrée en réponse aux cas de COVID-19 ailleurs. 

En raison d’une censure évidente et de la suppression de l’expression de l‘opinion qui n’accepte pas la propagande mondiale d’une pandémie, Stacy ne peut fournir un consentement éclairé pour une « thérapie génique expérimentale ». 

Stacy Amikwabi se présente comme représentatif de tous les peuples autochtones lésés par l’obligation de protocoles et mesures qui sont une réaction excessive à des ensembles de données produites, manipulées et distribuées dans une volonté de faire valoir l’existence d’une pandémie.

Le plaignant, Shawn Brennan représente les propriétaires de petites entreprises, lésés par la peur organisée et les mesures non justifiées

Entrepreneur à Peterborough, en Ontario. Shawn Brennan & Business ont été largement dévastés par l’impact des protocoles et des réglementations qui ne sont étayés par aucune recherche scientifique et médicale appropriée.

La cellule familiale de Shawn Brennan a été soumis à un stress incroyable en raison de la peur engendrée par l’inflation et manipulation des statistiques de décès, dans ce pays et dans le monde. 

Le plaignant George Fayad est un représentant de tous les propriétaires de petites entreprises d’Ottawa lésés par les protocoles et règlement.

George est un petit garagiste qui réside à Ottawa, en Ontario. Ses activités ont été négativement affectées par confinements, protocoles et réglementations.

Le plaignant Joshua Alas-Wilson, jeune adulte vivant à Balderson, en Ontario, représente les handicapés qui ont grand besoin de socialisation, gravement lésés par les mesures inadaptées

Joshua atteint du syndrome de Williams, maladie génétique caractérisée par un retard cognitif, retard de développement, anxiété et dépression intermittente. En tant que personne qui a des difficultés formant néanmoins des liens durables avec ses pairs, il vit en assistant à des rassemblements sociaux hebdomadaires, en faisant du bénévolat. En raison des restrictions mises en place à cause du covid-19, il ne peut plus assister à son rassemblement hebdomadaire, marcher librement, se socialiser ni faire de bénévolat.

Cela a créé des sentiments extrêmes d’isolement se manifestant par une anxiété majeure, des palpitations cardiaques périodiques et dépression. Joshua a été insulté car se sentait mal à l’aise et critiqué en raison de son incapacité à porter un masque. 

L’incapacité de porter un masque a gravement limité tout contact social, ce qui l’a poussé à rechercher des interactions sociales via Internet où il a ensuite été victime d’intimidations, de harcèlement et de blessures.

Joshua est le représentant de toutes les personnes ayant des « besoins spéciaux » lésés par les protocoles et règlements covid-19.

Alisa, représentante des parents isolés qui ont vécu des situations tragiques pendant les confinements

La plaignante, Alisa Tojcic, mère célibataire et ses trois jeunes enfants vivant au centre-ville de Toronto via l’aide sociale sont restés chez eux pendant 57 jours pendant le premier confinement.  Ils vivent dans un appartement sans balcon et tous les patios du bâtiment et aire de jeux étaient fermés autour d’eux. 

Les enfants étaient terrifiés et Mme avait des crises de panique.  Son aîné a eu une commotion cérébrale, confiné dans sa chambre car la famille ne pouvait aller nulle part.

De plus, la famille qui compte sur les transports en commun, a été complètement bloquée lors du premier confinement

Alisa Tojcic est la représentante de tous les parents isolés et les enfants qui ont été lésés par les protocoles et règlements covid-19.

Les accouchées

Depuis mars. Jane Doe, mère plaignante qui a accouché depuis la mise en œuvre des protocoles et règlements covid. Son expérience, seule dans la salle d’accouchement et sans sonenfant après la naissance l’a traumatisé gravement. 

Jane représente toutes les nouvelles mamans depuis le 12 mars 2020 et leurs enfants, qui ont été lésés par les protocoles et règlements Covid-19.

Le plaignant, John Doe, est un travailleur de la construction dans la région d’Ottawa.  Contraventions ruineuses pour non-respect des mesures imposées !

Le ministère du travail a commencé à émettre des amendes pour avoir enfreint les protocoles de sécurité Covid-19, ne pas avoir observé la distanciation ou le port du masque. 

Les employés sont confrontés à la peur de recevoir une contravention sur la « nécessité de la sécurité » au travail. Dans certains cas, les revenus perçus pour le jour de travail est inférieur ou égal au montant de la contravention

John se dresse en tant que représentant de toutes les personnes qui ont été lésées par les protocoles Covid-19 et règlements et leur application par l’émission de contraventions et d’amendes.

Pourquoi les plaignants accusent-ils les personnalités citées plus haut ?

Les accusés cités sont les suivants
Le pape de Rome

L’accusé, le pape François, pontife romain, jésuite, membre de la Compagnie de Jésus. Le 3 octobre 2020, le Pape a publié l’Encyclique « Fratelli Tutti » dans laquelle il recommandait à toutes les nations de donner leur souveraineté à un gouvernement mondial et un nouvel ordre mondial.[8]

Le Saint-Siège entretient des relations diplomatiques avec d’autres États souverains et avec lesambassades accréditées auprès du Saint-Siège, pour permettre au Pape d’exercer une autorité universelle à l’échelle mondiale.

L’accusé, Etat du Vatican, a vu le jour le 11 Février 1929 par le Traité du Latran entre le Saint-Siège et l’Italie. Le siège du Saint-Siège (Sancta Sedes) est l’État de la Cité du Vatican. C’est un état qui appartient au Saint-Siège, siège de la juridiction épiscopale et du gouvernement central de l’Église catholique.

La cité du Vatican vaut des milliards et abrite de nombreux documents qui devraient être partagés avec l’humanité. Cet état connaît les méfaits et la manipulation de la Compagnie de Jésus depuis sa création en 1534 jusqu’à nos jours, selon les rédacteurs de la procédure résumée ici.

La Compagnie de Jésus

dans sa bulle d’autorisation, : « Regimen Ecclesiac Militants » (The Regime des militaires ecclésiastiques). 

En Europe, partout où l’intérêt de Rome obligeait le peuple à s’élever contre leur roi, ou si ces princes temporels avaient pris des décisions embarrassantes pour l’église », la Curie savait qu’elle ne trouverait pas plus habile, rusé ou audacieux à l’extérieur que la Compagnie de Jésus lorsqu’il s’agissait d’intrigues, de propagande ou même de rébellion ouverte.

Et plus loin dans le même livre :

« Il en va de même aujourd’hui, les 33000 membres officiels de la Société opèrent partout dans le monde en tant que personnel, officiers d’une armée vraiment secrète contenant dans ses rangs chefs de partis politiques, hauts fonctionnaires, généraux, magistrat, médecin, professeur de faculté, etc. tous s’efforcent de réaliser, dans leur propre espace, « Opus Dei, l’œuvre de Dieu », en réalité les plans du Directeur général et la papauté ».

Reine Elizabeth II

Conformément à l’article 9 de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique,1867, « le gouvernement exécutif et l’autorité du Canada continue à être dévolue à la reine. ». SM la reine Elizabeth II est également à la tête du groupe de travail fédéral sur Covid-19.  Le premier ministre Trudeau a nommé un haut officier militaire à la tête du groupe de travail pour Covid-19, qui doit rendre compte au commandant en chef, qui est Sa Majesté la reine Elizabeth II en vertu de l’article 15.

Ordre de la jarretière

L’Ordre de la Jarretière a été fondé par Édouard II, roi d’Angleterre en 1348 pour se protéger avec un groupe d’élite de propriétaires fonciers contre les gens du commun.  Le symbole de l’Ordre comprend la devise « Honni soit qui mal y pense ». » Le même symbole et la même devise se retrouvent partout au Canada sur les édifices gouvernementaux et palais de justice. L’Ordre de la Jarretière exécute les plans élitistes mondiaux de la royauté et des entreprises oligarques par rapport à un programme mondial élitiste, pleinement connu seulement d’un petit groupe au détriment des êtres humains sur la terre mère.

L’agenda mondial connu du Vatican et de la reine, soutenue par des sociétés telles que GAVI, Gates Fondation, entre autres, appliquant les ordres des directions mondiales de la santé émises par l’OMS, a mis des personnes au Canada en danger, voire dans le monde entier, selon la rédaction de cette procédure contre ces personnes et organisations. Ils sont donc poursuivis par cette procédure.

Alliance mondiale pour les vaccins et les immunisations (GAVI) et le célèbre Bill Gates

L’accusé GAVI

En 2000, Bill Gates a démissionné de ses fonctions de PDG de Microsoft, créé la « Fondation Gates » et avec d’autres parties a lancé l ‘ « Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination « GAVI ».[9]  Au 29 juillet 2020, la Fondation Gates s’est engagée pour 4,1 milliards de dollars américains. Le Canada est un membre de longue date de GAVI et membre de son conseil depuis sa création. 

Les membres de l’alliance GAVI sont : l’UNICEF, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates. 

GAVI a développé le Covid-19 Global Vaccine Access Facility (Covax Facility alias Gavi Covax AMC) pour répondre à ces « défis sans précédent » créés par la décision de l’OMS de déclarer une « pandémie ». Gavi Covax AMC sponsorise les fabricants qui souhaitent « investir dans le vaccin candidats avant leur licence. ». 

À ce jour, le Canada a fourni 1 milliard de dollars de financement directement à GAVI. Le 14 décembre 2020, Karina Gould (ministre du Développement international du Canada) a annoncé que le Canada versera 255 millions de dollars canadiens supplémentaires (200 millions de dollars américains).

LOBBYING ORGANISE ET FINANCE

La « Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) »[10], est un autre partenariat mondial formé entre les organisations publiques, privées, philanthropiques et la société civile pour consolider l’emprise élites mondiales et multinationales sur la santé publique.

Elle Fonctionne en tant que partenariat public-privé pour la santé mondiale ; l’objectif ultime de ces « partenariats » est de promouvoir les agendas mondiaux des entreprises participantes, en faisant du lobbying auprès des gouvernements et des organisations internationales afin de mettre en œuvre des politiques en leur faveur. 

Cela se fait aux dépens des citoyens des pays participants, et donc aussi des Canadiens.

Dans ce système, des fonds sont détournés des budgets nationaux pour financer des projets de sociétés sous l’égide de GAVI et al., mais uniquement au profit de ces entreprises.

Ces projets GAVI sont ensuite propagés dans le monde entier grâce à un partenariat spécial avec l’OMS pour accroître son influence et ses sources de profit et avec l’Agence de santé publique du Canada.

L’OMS[11]

L’accusée OMS. La création de l’OMS est entrée en vigueur le 7 avril 1948 et son rôle principal était de diriger et coordonner la santé internationale au sein du système des Nations Unies. 

En janvier 2010, Bill Gates a promis 10 milliards de dollars de financement à l’OMS et annoncé : « la décennie des vaccins ».

Gates et GAVI sont les deuxième et troisième bailleurs de fonds de l’OMS après le Gouvernement des USA, qui a récemment retiré son financement par décision du président Trump. Conformément au Règlement sanitaire international (RSI 2005) chaque État membre de l’OMS doit désigner un point focal national (PFN). Le NFP est accessible à tout moment pour les communications avec l’OMS concernant les risques pour la santé publique dans le monde.  L’’Agence de la santé publique du Canada (AAP). Cette agence suit les directives de l’OMS et non du gouvernement du Canada.

Fondation Bill et Melinda Gates

L’accusée Fondation Gates : les restrictions légales américaines interdisent la Fondation Gates (« Fondation ») de s’engager explicitement dans un lobbying normatif visible. Par conséquent, la Fondation se sert des bénéficiaires comme catalyseur de la mobilisation des ressources, et comme « éclaireur » de l’innovation scientifique par la promotion de vaccins pas encore complètement développés et tests de nouveaux vaccins sur les populations, en particulier les enfants et les jeunes adultes en Afrique, délivrés sous mandats de l’ONU ou de ses organisations comme l’OMS ou l’UNICEF. 

La Fondation « n’’était que le deuxième bailleur de fonds de l’OMS avec 531 millions de dollars. C’était plus que la Contribution du Royaume-Uni de 392 millions de dollars, et deuxième seulement après les États-Unis avec 873 millions de dollars »[12] en avril 2020, lorsque Trump a cessé le financement de l’OMS.

Dans un article des Pastors Chronicles, le titre suivant apparaît : « les vaccins des Nations Unies stérilisent 500 000 femmes au Kenya » le 8 décembre 2018.

« Le milliardaire Bill Gates aime vraiment aider les gens des pays pauvres à se faire vacciner.

Mais beaucoup disent que ses motivations ne sont peut-être pas si pures. En fait, beaucoup croient que ce mondialiste, avec les Nations Unies, mène un « effort de dépeuplement massif ».

Comme l’a rapporté l’Agence de Presse Africaine du Kenya :[13] 

« Odinga a déclaré que les filles et les femmes âgées de 14 à 49 ans sont celles qui connaissent la croissance la plus rapide les populations du pays n’auront pas d’enfants, en raison d’un exercice de stérilisation qui a été vendu au pays comme vaccin contre le tétanos ».

Et dans le premier article ci-dessus :

« À l’époque, l’Église catholique du Kenya affirmait que le vaccin antitétanique utilisé par

le gouvernement du Kenya et les agences des Nations Unies ont été contaminés par une hormone (HCG) qui peut provoquer des fausses couches et rendre certaines femmes stériles ».

Comme la Convention des Nations Unies sur le génocide de 1949 a défini la stérilisation comme l’une des définitions de génocide, basé sur ce qui précède, il est clair que les agences de l’ONU et les Bill et Melinda Gates Fondation soutiennent les actes de génocide à travers ses programmes de vaccination.

Premier ministre Justin Trudeau

L’accusé par les plaignants, J. Trudeau, a lors de sa dernière apparition à l’ONU, parlé du programme de « grande réinitialisation » poussée sur l’humanité par l’élite oligarque, Big-pharma, les grandes technologies et le Forum économique mondial. Il n’agit pas sur la base de données médicales et scientifiques solides pour guider les Canadiens et Autochtones à travers cette crise, mais fait écho à un programme néfaste maintenant à la vue de tous.

Or J. Trudeau titulaire d’une charge publique agit en dehors de son autorité législative. En nommant un officier supérieur à la tête du groupe de travail COVID-19, le Premier ministre invoque la reine Elizabeth II, commandant en chef de l’armée.

Le premier ministre et son cabinet ont de plus invité au Canada l’OMS et les grandes entreprises, qui sont par définition coupables de génocide au Kenya. Pfizer a payé 2,3 milliards de dollars le 2 septembre 2009 au ministère américain de la Justice, pour la plus grande fraude en matière de soins de santé dans l’histoire du ministère de la Justice.14

Dr Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique du Canada

T. Tam titulaire d’une charge publique est l’un des sept membres de l’Independent Oversight et du Comité consultatif du programme de l’OMS pour les urgences sanitaires. Récemment, la journaliste Sheila Gunn Reid (14 décembre 2020), a noté[15]:

« je voulais tout savoir sur les relations de Tam et de son agence avec l’OMS.

Quelles autres décisions, y compris celles que nous ignorons peut-être, ont été infectées par l’OMS et sa mission excentrique chinoise ratée ? »

Premier ministre de l’Ontario Doug Ford

Doug Ford, actuel premier ministre de l’Ontario, titulaire du Bureau a mis en œuvre des mesures, des lois et des règlements qui nuisent au grand public sans avis médical scientifique valable pour soutenir les mesures draconiennes.

L’isolement est défini comme de la torture et qualifié de crime contre l’humanité. Ce crime internationalement reconnu est devenu une infraction pénale légalement définie auCanada, en particulier en vertu de la Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre.[16]

Christine Elliott

C. Elliott, actuelle ministre de la Santé et des Soins de longue durée. Pendant une conversation filmée entre le Dr Barbara Yaffe, chef adjoint du cabinet médical of Health et le Dr David Williams, médecin hygiéniste en chef de l’Ontario, un échange a eu lieu, dans lequel Barbara Yaffe s’est exclamée : 

« je ne sais pas pourquoi j’apporte tous ces papiers. Je ne les regarde jamais, « je dis juste n’importe quoi, ils écrivent pour moi »[17].

Ville d’Ottawa – maire J. Watson

Le maire de la ville d’Ottawa, Jim Watson, supervise les règlements municipaux sur les mesures COVID-19 et donc responsable des préjudices associés à la mise en œuvre et application des protocoles Covid-19 et mesures prises.

Procureur général du Canada

Il est constitutionnellement le juriste en chef du Canada, donc titulaire d’une charge publique et doit être nommé en tant que défendeur dans toute action en jugement déclaratoire, constitutionnellement responsable des actes et omissions des fonctionnaires.

Le procureur général de l’Ontario

Juriste en chef de la province de Ontario, titulaire d’une charge publique, doit être poursuivi en tant que défendeur dans toute action en jugement déclaratoire. Le procureur général de l’Ontario est responsable statutairement et constitutionnellement des actes et omissions des fonctionnaires.

APERÇU HISTORIQUE selon la procédure (traduction libre résumée)

Le 15 mai 1213, le roi Jean Ier dans une concession au pape Innocent III, a abandonné la souveraineté de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, en payant une allocation annuelle, liant ses héritiers et successeurs à perpétuité. Aujourd’hui, SM la reine Elizabeth II rend compte au Pape et verse l’allocation annuelle.

Le Vatican appartient à la famille Rothschild. En 1880, les Rothschild ont fait un important prêt au Pape, se mettant ensuite en mesure de reprendre la Banque du Vatican. Ensemble, les Rothschild et le Vatican possèdent la Bank of America et Merrill Lynch, parmi de nombreuses autres propriétés partagées avec des familles d’oligarques, telles que les Rothschild et les Rockefeller.

La Compagnie de Jésus constituée par Ignace de Loyola en 1534 à Paris est restée secrète jusqu’en 1770. L’expression : « la fin justifie les moyens », émane du jésuite qui permet aux membres de mentir, tricher, adultérer, assassiner afin de réaliser leurs fins, aussi longtemps que c’est au nom de Jésus. Le livre, « l’histoire secrète des Jésuites »[18] d’Edmond Paris raconte leurs méfaits en fomentant la Première Guerre mondiale, la Grippe espagnole, la Seconde Guerre mondiale et maintenant une « pandémie ».[19]

L’Ordre de la Jarretière été fondé en 1348 par le roi Édouard III pour établir un cercle de noblesse d’élite, pour soutenir les trésors royaux et contrôler le peuple. Aujourd’hui, c’est la plus grande Organisation franc-maçonne dans le monde. La reine Elizabeth II est à la tête de l’Ordre royal de la Jarretière, dont la devise est « Honni soit qui mal y pense ».

L’huissier du bâton noir[29], un fonctionnaire du Parlement du Canada est le secrétaire de la reine au Canada, porte le bâton noir pour ouvrir le Parlement et l’inscription sur le Black Rod est « Honni soit qui mal y pense » témoignant du contrôle exercé par l’Ordre de la jarretière au Canada.

Le Canada demeure une colonie pour la reine. Le Premier Ministre du Canada a nommé l’armée à la tête du groupe de travail Covid-19.[20] Cela place la reine à la tête du groupe de travail Covid-19, en vertu de l’article 15 de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique,1867.

En octobre 2020, le Pape a publié sa lettre encyclique intitulée « Fratelli Tutti », traitant d’une nouvelle vision du monde. Il déclare : « je ne propose certainement pas un universalisme autoritaire et abstrait imaginé ou planifié par un petit groupe et présenté comme un idéal dans un souci de nivellement, de domination et le pillage. ». Bien qu’il dise le contraire, le Pape continue en recommandant aux États individuels d’abandonner leur souveraineté et confier la gouvernance aux Nations Unies afin que nous en ayons un gouvernement mondial dans un ordre mondial.[21]

Jus Cogens[22] = principes de droits réputés universels et supérieurs

La procédure rappelle les principes de JUS COGENS.

« Toute enquête sur les principes de justice fondamentale repose non seulement sur l’expérience et la jurisprudence canadiennes, mais aussi sur le droit international, y compris « jus cogens ».

Cela tient compte des obligations et des valeurs internationales du Canada tel qu’exprimé dans les diverses sources du droit international des droits de l’homme – déclarations, pactes, conventions, décisions judiciaires et quasi judiciaires des tribunaux internationaux et normes coutumières ». 

Les plaignants déclarent que le « jus cogens » est défini comme une norme pour laquelle aucune dérogation n’est autorisée et qui ne peut être modifiée que par une norme de droit international général ayant le même caractère.[23]

« Les plaignants accorderont une importance particulière à ce qui suit concernant les outils internationaux et nationaux ». Ils déclarent que les principes juridiques et moraux énoncés dans le les documents ci-dessous sont le prisme à travers lequel la crise mondiale actuelle doit être considérée :

  • Pacte international relatif aux droits civils et politiques[24] : 23 mars 1976 « Reconnaissant que, conformément à la Déclaration des droits de l’homme, l’idéal des êtres humains libres jouissant et la liberté politique et l’absence de peur, « nul ne peut être soumis sans son libre consentement à l’expérimentation scientifique. ».
  • Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide.[25]
  • Loi sur les crimes contre l’humanité et loi sur les crimes de guerre, SC 2000 C.24[26] 
  • Convention internationale sur la répression de la répression du crime d’Apartheid, 30 novembre 1973 
  • Convention pour la prévention des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain concernant l’application de la biologie et de la médecine (Convention d’Oviedo) avril 4, 1997[27]
    • Un traitement médical ne peut être effectué qu’après qu’un patient informé du but, de la nature, des droits et des conséquences de l’intervention et y a librement consenti. Ce principe a ses origines dans le « Code de Nuremberg » de 1947, qui a été développé lors du procès des Nazis médecins qui ont mené des recherches sur les prisonniers des camps de concentration.
    • Article 13 : « Une intervention visant à modifier le génome humain ne peut être entrepris à des fins préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si son but est de n’introduire aucune modification dans le génome de son descendants ».
  • Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, 13 septembre, 2007. 
CONSEQUENCES FINANCIERES AU CANADA

Depuis mai 2020 : plus de six millions de Canadiens ont demandé des prestations de chômage et 7,8 millions de Canadiens ont eu besoin d’un soutien du revenu d’urgence du gouvernement fédéral, en raison des fermetures économiques et des fermetures dictées par les mesures de Covid.

Estimations du déficit fédéral résultant de leur réponse au SRAS-CoV-2 (COVID-19) va jusqu’à 400 milliards de dollars. (Cela dépasse le budget national du Canada pour un an).

Décisions autoritaires et infondées scientifiquement

Le 20 mai 2020 – La Dr Tam a imposé l’utilisation de masques non médicaux destinés au grand public afin de fournir une « couche de protection supplémentaire » qui pourrait aider à empêcher les patients atteints de Covid-19 asymptomatiques ou pré-symptomatiques d’infecter les autres. Avis non étayé par des preuves scientifiques.

Le 22 mai 2020 – J Trudeau a déclaré aux journalistes que la « recherche des contacts » devait être accéléré à travers le comté. 

Le 25 mai 2020, le gouvernement fédéral a annoncé des dispositions d’un éventuel Code pénal faisant de la publication de « fausses informations » sur le COVID-19 une infraction pénale. La « désinformation » évolue rapidement pour signifier que toute opinion ou déclaration, même d’experts, qui contredit ou critique les mesures prises et / ou mandatées par l’OMS, mis en œuvre au niveau mondial par les gouvernements nationaux et régionaux, sera condamnée.

Le 23 juin 2020, le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles demande, dans un rapport de 69 pages, la fin des mesures de verrouillage sur la base d’une analyse du manque de connaissances médicales et scientifiques preuve de leur imposition et de l’infliction de violations graves et injustifiées de la Charte. Le 18 juin 2020, le premier ministre Doug Ford a annoncé une hausse et une accélération à venir de la mise en place d’une surveillance « traçabilité des contrats » par téléphone portable.

DÉFIS CONSTITUTIONNELS
Les plaignants évoqueront la violation des sections suivantes de la Charte canadienne des droits et libertés[28]

« Liberté de conscience et de religion, de pensée, de croyances et d’opinion et d’expression, y compris liberté de la presse et des autres médias, communication, liberté de réunion pacifique, liberté d’association. »

Ils rappellent que tout citoyen canadien a le droit d’entrer, de rester et de sortir du Canada.

Section 7

  • Toute personne a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne et le droit de ne pas en être privé, sauf conformément aux principes de justice fondamentale.

L’article 8

  • Chacun a le droit d’être protégé contre fouilles ou fouilles abusives.

Article 12

  • Chacun a le droit de ne pas être soumis à des actes cruels et inhabituels, traitement ou punition.

Article 25

  • La garantie dans leur charte de certains droits et libertés ne doit pas être interprété de manière à abroger ou déroger à tout Autochtone, traité ou autre les droits des libertés qui concernent les peuples autochtones du Canada.

Article 26

  • La garantie dans leur charte de certains droits et libertés ne doit pas être interprété comme niant l’existence de tout autre droit ou liberté existant Canada.

Les plaignants reviennent sur des points majeurs des sous-sections de la Charte

Section 2

  • toutes les sous-sections engagées ensemble en vertu de la déclaration de pandémie sans preuve scientifique, manipulation des statistiques et nombre de « tests » PCR
  • introduction de vaccins par des entreprises autorisées à sauter les essais sur les animaux et à faire des êtres humains des cobayes pour «vaccin génique expérimental» qui mettrait alors les êtres humains en danger en risquant de perturber l’expression de nos gènes, de modifier la transcriptase inverse humaine (RT) dans le corps humain, pouvant entraîner la mort en raison de l’intrusion dans le pool génomique du corps humain, y compris la facilitation des réactions auto-immunes et le développement de protéines chimères et séquences génomiques en réponse.

Ces actions, isolées ou prises ensemble, violent toutes les sections.

Il est évident pour tous que l’article 2 (b) est particulièrement attaqué lorsque la censure prévaut sur toutes les plateformes médiatiques et la liberté de pensée, de croyance et d’opinion et l’expression sont gravement menacées.

Section 6

Ce droit a été bafoué par et l’exécutif agissant sans autorité, car il ne s’est pas informé sur la science du coronavirus, le test PCR, ni sur les vaccinations proposées. Cette abdication du devoir et la responsabilité envers le peuple est écrasante et évidente.

Section 7

Les protocoles imposés causant des effets mentaux, physiques, émotionnels et profonds, les dommages économiques ne sont pas fondés sur une science crédible quant à l’existence réelle d’une pandémie.

 L’OMS s’est livrée à tant de manipulations, même sur la définition de pandémie, que d’avoir un gouvernement fédéral s’attachant à une telle exagération est une violation flagrante de la vie, de la liberté et de la sécurité de la personne, en violation évidente des lois du Canada et des lois internationales et des engagements mentionnés ci-dessus, signés et ratifiés pour protéger les citoyens.

Violation de l’article 7 :

suppression des statistiques et des informations vitales, censure de la presse contre toute opinion opposée, manipulation des statistiques de décès et exagération du nombre de cas par des « tests » PRC inutiles et faux, introduction de sociétés pharmaceutiques privées invitées à conduire une thérapie génique expérimentale sur l’ARNm, pour une maladie dont 98,09% de la population récupère et bien qu’il existe des traitements connus pour la guérison … : équivaut à la violation flagrante de l’article 7.

Section 8

Les tests sont utilisés pour suivre des individus dans le monde entier. Ceux testés au Canada sont maintenant saisis dans une base de données policière. L’ordre du jour proposé par les sociétés pharmaceutiques semble chercher à modifier l’ADN de l’être humain et à insérer des micro-puces à des fins de surveillance satellite. Ce sont des violations majeures de l’article 8.

Section 12

Chacun a le droit… « de ne pas être soumis à des actes cruels et inhabituels traitement…« 

Article 25

Le gouvernement fédéral, par le biais de la loi relative à l’apartheid sur les Indiens, a établi une catégorie d ‘ « Indiens inscrits » et « autres » (article 25 de la Loi constitutionnelle de 1982).

Les « autres » sont les privés de leurs droits, les opprimés, les oubliés et blessés et à travers son agenda actuel, il fait que tout le monde « autres ». Les plus vulnérables de la population, les personnes âgées, les enfants et les autochtones entrent tous désormais dans la catégorie « autres ».

Article 35

Cet article de la Constitution confirme l’existence d’autres droits et libertés que les plaignants affirment comme incluant l’application des traités internationaux, et du jus cogens au droit interne. Le rejet de ce principe de relation internationale constitue une violation de l’article 26.

Les plaignants chercheront à tenir une audience, de toute urgence, sur la base d’un bref de quo warranto, certiorari, déclaration et injonction avancée à travers le prisme de la violation de la charte des droits et libertés et des outils internationaux de la protection contre la tyrannie.

DROITS DE L’HOMME AU CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ, À LA SANTÉ ET À L’INTÉGRITÉ CORPORELLE[29]

Les gens doivent bénéficier d’un consentement pleinement éclairé lorsqu’il s’agit d’injecter du matériel génétique étranger dans leur corps. Les législateurs n’ont pas les connaissances spécialisées nécessaires pour conduire l’analyse indispensable des risques bénéfices de l’individu. Seul l’individu, ou dans le cas d’un enfant, les parents peuvent posséder cette connaissance. Tous les vaccins comportent des risques.

La vaccination obligatoire constitue une violation flagrante du droit au consentement éclairé.

La Déclaration d’Helsinki déclare que chaque projet de recherche doit être précédée d’une évaluation minutieuse des risques et des charges prévisibles et comparaison avec les avantages prévisibles « (article 18). Il ajoute que la recherche devrait être stoppée lorsque les risques l’emportent sur les bénéfices potentiels (article 20) ». 

Le sujet THÉRAPIE GÉNIQUE

Ici, nous ne parlons pas seulement de thérapie génique expérimentale affectant quelques-uns mais de l’ARNm forcé qui n’est pas la vaccination telle que nous la connaissons, c’est une thérapie génique qui consiste à transjecter des êtres humains avec des protéines virales produites à partir de matériel d’origine non humaine.

La Déclaration d’Helsinki et le Conseil des organisations internationales des sciences médicales (CIOMS) exige que :

 « les personnes vulnérables ne devraient pas être incluses dans la recherche à moins que la recherche ne soit indispensable à l’amélioration de leur santé et cela ne peut se faire avec les personnes qui sont capables de donner leur consentement »

Selon les essais américains Pfizer et BioNTech, le risque d’infection est réduit de 0,39%. De plus, le test PCR 100% inutile ne peut pas établir que ces personnes pourraient avoir déjà subi une infection par le SRAS-CoV-2 de manière asymptomatique. 

La « vaccination » de masse prévue, non seulement ne demande pas le consentement éclairé, mais veut « vacciner » d’abord les personnes vulnérables et les enfants. » Les gouvernements doivent de toute urgence orienter les politiques de santé vers la protection, plutôt que vers la violation des droits de l’homme.

MODUS OPERANDI DES VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME via l’EUGÉNISME

Les vaccins COVID sont des vaccins à ARNm. L’ARNm n’a jamais été utilisé comme vaccin. 

En substance, nous n’avons absolument aucune idée à quoi s’attendre de ce matériel qui est vendu au public comme « vaccin ». 

Le vaccin traditionnel introduit simplement des morceaux de virus pour stimuler une réaction immunitaire. Le nouveau vaccin ARNm est complètement différent. Il injecte en fait (transfecte) des molécules de matériel génétique synthétique provenant de sources non humaines dans nos cellules. Une fois dans les cellules, le matériel génétique interagit avec notre ARN de transfert (ARNt) pour fabriquer une protéine étrangère qui apprend au corps à détruire le virus pour lequel il est codé.

Notamment, ces protéines nouvellement créées ne sont pas régulées par notre propre ADN, et sont donc complètement étrangères à nos cellules. Ce qu’ils sont pleinement capables de faire est inconnu.

Plus récemment, des études de Zhang L et al.,[30] publiées le 13 décembre 2020, ont fourni la preuve que le génome du SRAS-CoV-2 transfecté dans le corps humain avait déclenché une réponse du corps humain consistant à intégrer le génome du SRAS-CoV-2 dans l’ADN humain. Des études dès 2003 avaient montré que cela serait probablement facilité dans les testicules et les ovaires entre autres organes.

Par conséquent, des preuves claires de la manipulation et de la mutation du génome humain pourraient être déjà établies. 

Forcer les gens à accepter une transvection avec du matériel d’ARNm qui changera leur génome est en fin de compte un programme eugénique imposé par le gouvernement

Ces nouveaux « vaccins » sont en outre contaminés par de l’aluminium, du mercure et peut-être du formaldéhyde. Les fabricants n’ont pas encore révélé les autres toxines qu’ils contiennent.

Étant donné que les virus mutent fréquemment, la probabilité que tout vaccin fonctionne pendant plus d’un an est improbable. Dire aux gens que le vaccin développé sans utiliser de matériel viral isolé et cultivé est une pure illusion. Aucune étude d’innocuité à long terme n’aura été réalisée pour s’assurer que l’un de ces vaccins ne causera pas le cancer, des convulsions, des maladies cardiaques, des allergies et les maladies auto-immunes observées avec autres vaccins.

Si vous avez toujours voulu être cobaye pour Big Pharma, c’est maintenant une opportunité en or.

CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

Les plaignants déclarent que depuis le 3 mars 2020 les conditions imposées correspondent à la deuxième définition du génocide. La convention des Nations Unies sur le génocide déclare : « Imposer des conditions de vie conçues pour causer un préjudice mental ou physique. »  les dirigeants ont négligé les êtres humains sur le plan spirituel, émotionnel, mental et physique depuis le 2 mars 2020.

Les plaignants réclament des dommages-intérêts de la part des accusés pour fait de génocide et apartheid depuis cette date jusqu’à la fin de l’oppression.

Les plaignants déclarent que certains accusés ont été publiquement identifiés pour avoir commis un acte de génocide au Kenya – OMS, Fondation Gates. Ceux qui coopèrent maintenant avec eux dans la folie des vaccinations de masse dans le monde entier, pour une maladie de source inconnue et au taux de guérison de 98,01%, sont également complices des crimes de génocide et apartheid.

L’AGENDA

L’ordre du jour mondial semble tourner autour de la pandémie, des tests et de la vaccination. Les plaignants déclarent que le les informations scientifiques et médicales accessibles au public n’appuient pas la déclaration d’une pandémie. Ils prouveront que la définition de pandémie a été manipulée par l’OMS pour des raisons néfastes et non pour des raisons médicales ou scientifiques.

Le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros A Ghebreyesus a été accusé de génocide à la Cour pénale internationale. L’ONU et l’OMS avec le projet de loi et la Fondation Gates a commis un génocide au Kenya.

Le concept de pandémie a été déclaré, non pour lutter contre une maladie infectieuse connu sous le nom de COVID-19 (bien qu’il ait toujours existé), mais pour répondre à un ordre du jour néfaste. La maladie peut être correctement traitée sans vaccination, il s’agit d’un taux de récupération de 98,01% et les traitements appropriés pour la maladie ont été supprimés dans le monde entier.

Plus inquiétant est une censure mondiale contre quiconque défie la sagesse conventionnelle de la nécessité de déclarer une pandémie. Le groupe déclare que la censure viole leur Charte des droits des alinéas 2a) et 2b) et leur donne droit à une indemnisation conformément à l’article 24 de la Charte.

PANDÉMIE

Les plaignants déclarent que l’utilisation de la terreur des enfants et des personnes âgées fait partie l’agenda de ceux qui manipulent cette crise sanitaire. L’obligation de conditions de vie depuis le 2 mars 2020, a causé des dommages mentaux et physiques aux enfants et aux personnes âgées.

Le groupe réclame des dommages-intérêts pour les tests PCR du génocide et de l’apartheid le au nom des enfants et des personnes âgées.

TESTS

Les plaignants déclarent qu’il existe de nombreuses preuves scientifiques et médicales prouvant que le «test » PCR est inutile. La plupart des scientifiques conviendront que la définition des cycles de la PCR au-delà du seuil de cycle de 25 cycles, rend l’outil inutile. 

La plupart des kits de test PCR, sinon tous, sont fixés à 45, ce qui rend les résultats inutiles et fallacieux. Cependant, les résultats positifs sont utilisés pour augmenter le nombre affiché de malades pour alimenter le mensonge de la propagation de la maladie – juste cela – un mensonge. Le demandeur et la classe action affirment que des médecins du monde entier reçoivent un supplément d’honoraires pour déclarer un cœur mort d’attaque ou mort d’un accident de voiture, mort de COVID-19. Pourquoi ? Subterfuge ? 

VACCINATIONS

Les plaignants déclarent que la Fondation OMS / Gates / ONU a été identifiées comme ayant commis un acte de génocide en stérilisant 500000 filles et des femmes kényanes. Ils déclarent qu’ils sont confrontés à un autre acte de génocide à moins qu’il ne soit arrêté rapidement et que les responsables et les autorités s’expliquent. Ils déclarent que ce n’est pas la grippe qui a tué dans la grippe espagnole de 1917, mais les vaccinations qui ont fait 50 millions de morts dans le monde.

Ils déclarent que le programme de vaccination proposé dans le monde est une guerre biologique livrée à l’humanité.

DOMMAGES / INFRACTIONS

Mesures Covid : les plaignants déclarent que les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux ont suivi l’exemple « d’une déclaration de pandémie par l’OMS », organisation qui a manipulé la définition de pandémie pour l’adapter à son propre programme néfaste (et engagée dans un acte de génocide au Kenya). La déclaration de pandémie n’était pas fondée sur des avis médicaux, mais plutôt sur les conseils d’une organisation corrompue et génocidaire.

Tous provinciaux et gouvernements municipaux ont emboîté le pas en fondant leurs actions sur une déclaration de pandémie par l’OMS.

Mesures fédérales

J. Trudeau a tenu (tient) des conférences de presse quotidiennes pour « informer » les Canadiens sur décrets et arrêtés, tels que « rester à la maison », qui n’ont aucune valeur juridique, nonobstant le fait qu’ils ont été appliqués par des agents d’exécution municipaux et provinciaux, mais à aucun moment le Parlement fédéral n’a invoqué la loi fédérale sur les urgences.

Mesures provinciales

Le 17 mars 2020, le premier ministre de l’Ontario, et son gouvernement ont invoqué la loi provinciale sur la gestion des urgences et la protection civile, avec un état déclaré « urgence », prorogé en Juillet 2020, et ont adopté à ce jour, 48 règlements avec ordonnances d’exécution.

L’effet net et sommaire des ordonnances contenues dans le règlement est le suivant :

Ordonner la fermeture de toutes les entreprises, à l’exception des entreprises «  essentielles  » liées à la nourriture et à la médecine.

Une «distance sociale» de deux (2) mètres; pas de «  rassemblement public  » de plus de cinq personnes sans lien de parenté, avec distance « de deux mètres, augmentée par la suite à dix personnes; fermetures de restaurants et de bars, à l’exception du service à emporter; fermeture matérielle de toutes les écoles, garderies et universités publiques et privées ; usage obligatoire des masques faciaux, mandaté par le Ministère de la Santé, à tous les collèges de services médicaux de réglementation médicale, pour diriger tous leurs membres autorisés d’imposer le masquage obligatoire de tous les patients, employés et membres, dans leur lieu de travail; fermeture de toutes les commodités du parc, y compris toutes les aires de jeux et les installations les enfants ; élimination des programmes individuels et de tous les autres programmes destinés aux enfants ayant des besoins spéciaux, et ceux qui souffrent de handicaps neurologiques et physiques

Interdire tous les rassemblements publics de plus de cinq personnes, nonobstant une distance de deux mètres, y compris l’interdiction des services religieux, y compris restriction sur les mariages, les funérailles et autres actions religieuses, rituels et rites.

La disposition relative aux infractions, à la mise en accusation et à l’imposition de lourdes amendes violation des ordonnances, avec l’impossibilité de contester ces amendes en tant que la Cour des infractions était (et pourrait à nouveau) être physiquement fermée et la Cour provinciale les contraventions à la Loi sur les infractions indiquent clairement que l’accusation et la ligne ne peuvent pas être «  postées  » mais que la personne doit se présenter physiquement à la Cour des infractions provinciales pour déposer une défense des accusations, seulement pour trouver un palais de justice fermé.

La Ville d’Ottawa a adopté des règles provinciales et municipales qui imposent des exigences et restrictions sur : masques faciaux, rassemblements sociaux, restaurants, bars, espaces de réunion et d’événement, sports, exercices et gymnases, lieux de culte, casinos, salles de bingo et établissements de jeux, cinémas, installations pour les arts de la scène, vente au détail, services de soins personnels et la liste est longue[31].

Les demandeurs déclarent que les allégations de l’OMS, notre organisme fédéral, les gouvernements provinciaux et municipaux, ainsi que les médias grand public, affirmant que nous sommes face à la plus grande menace pour l’humanité de notre vivant, sont FAUSSES. La modélisation mathématique utilisée pour justifier les mesures de confinement extrême est invalide. 

De plus, la grande majorité de la population ne court aucun risque de complications, ni mortalité résultant de l’exposition au COVID-19.

L’endiguement massif et aveugle des citoyens, la restriction de l’accès à notre économie, aux tribunaux, au parlement et à nos moyens de subsistance, aux soins médicaux et thérapeutiques, et l’obligation de la distanciation physique et d’autres restrictions sont des mesures qui n’ont jamais été mis en œuvre ni testées, sans base scientifique ou médicale.

L’impact de ces mesures sur les plans physique, émotionnel, psychologique et le bien-être économique est profondément destructeur, injustifié et manifestement non durable.

Ces mesures d’isolement drastiques ne sont pas étayées par des preuves. Il existe un consensus considérable dans la communauté scientifique sur le fait que de telles mesures ne sont ni durables ni justifiées, et bien que ces mesures puissent retarder propagation virale, il est peu probable qu’ils aient un impact sur la morbidité globale.

Le fait est que ce discours sur la pandémie du COVID-19 suscite une panique inutile utilisée pour justifier les violations systématiques par le gouvernement des droits et libertés qui forment la base de notre société, y compris nos droits constitutionnels, notre souveraineté, notre vie privée, notre règle de la loi, la sécurité financière et même notre démocratie même. il est clair que des violations significatives des droits et libertés des demandeurs ont été perpétrées par les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux et les autorités sanitaires.

Le fait est qu’en raison de tout ce qui précède, les demandeurs ont souffert et continuent de souffrir, de graves violations de leurs droits constitutionnels qui ne sont justifiées par aucun mesure, y compris l’art. 1 de la Charte.

Les préjudices / actes répréhensibles des plaignants seront plus spécifiquement placés dans un futur document. L’urgence de déposer ce document est primordiale.

CONCLUSION

Les plaignants allèguent d’actions délictuelles générales et manquement à obligation fiduciaire, méfait dans la fonction publique, négligence grave, ainsi que délits de voies de fait, y compris délit de génocide et apartheid et complicité de génocide et d’apartheid.

Ils déclarent que leurs avocats participent à une alliance mondiale avec avocats, médecins, scientifiques qui expriment une alarme collective contre ces mesures draconiennes non étayées par une démonstration médicale ou scientifique. Ils proposent que l’affaire soit jugée à Ottawa.

Date : 21 décembre 2020

ELDERS WITHOUT BORDERS, MICHAEL SWINWOOD / LIZA SWALE spiritualelders@gmail.com

STACY AMIKWABE et coll. -et- PAPE FRANÇOIS, et al

Les demandeurs


[Notes]

[1] parfaitement traitable par des médicaments classiques comme l’hydroxychloroquine et plusieurs antibiotiques mais aussi, et pour encore moins cher, par l’artémisine ou l’ivermectine,

[2] Linz, Graz, Innsbruck, St. Pölten: Riesiger Zulauf bei Corona-Demos (wochenblick.at) [En allemand]

[3] Certaines décès mesures ont été ainsi qualifiées par la cour constitutionnelle d’Autriche

[4] Plainte contre vaccins géniques reaction19fr

[5] Procédure en vertu de la Loi de 1992 sur les recours collectifs

[6]

[7] Ultra vires (Latin : « beyond the powers ») is a Latin phrase used in law to describe an Act which requires legal authority but is done without it. Its opposite, an act done under proper authority, is intra vires (« within the powers »)

[8] http://www.vatican.va/content/francesco/en/encyclicals/documents/papa-francesco_20201003_enciclica-fratelli-tutti.html

[9] https://www.gavi.org/history-gavi
https://www.gavi.org/operating-model/gavis-partnership-model/bill-melinda-gates-foundation
GAVI-The Vaccine Alliance. L’opportunité d’investissement GAVI COVAX AMC-An. Perspectives de potentiel investisseurs : www.gavi.org

[10] Nouvelles du CEPI. Le Canada augmente le financement de la recherche sur le vaccin COVID-19 du CEPI. 14 décembre 2020 :

[11]  https://www.who.int/about/who-we-are/history

[12] « Trump et l’OMS : combien les États-Unis donnent-ils ? Quel est l’impact d’une interruption du financement ? », NPR.org. 15 avril 2020; Lee Harding, «Gates, WHO, and Abortion Vaccines», in Frontiers Center for Public Policy, juillet, 19, 2020.

[13] Raila Odinga « La vaccination contre le tétanos est une stérilisation de masse chez les femmes », 12 septembre 201 : https://www.standardmedia.co.ke/kenya/article/2001254261/raila-tetanus-vaccination-is-a-mass-sterilization-on-.

[14] Département américain de la justice. Bureau des affaires publiques. « Le ministère de la Justice annonce la plus grande fraude dans les soins de santé : « Pfizer paiera 2,3 milliards de dollars pour un marketing frauduleux ». 2 septembre 2009.

[15] 20 Sheila Gunn Reid. « Le gouvernement fédéral garde des records sur le rôle de Theresa Tam à l’Organisation mondiale de la santé ». 14 décembre 2020.

[16] Gouvernement du Canada. Actes codifiés. Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre. SC 2000, ch. 24.

[17] 22 Dr David Williams, médecin hygiéniste en chef de l’Ontario, et Dre Barbara Yaffe, médecin-chef adjoint agent de santé, fait le point sur le COVID-19, sur : Le Parlement de l’Ontario

[18] « Les Constitutions de la Compagnie de Jésus et leurs normes complémentaires : une traduction anglaise complète des textes latins officiels », Institut des sources jésuites, (Saint Louis, 1996).

[19] Histoire secrète, Paris, supra note 4.

[20] Le major-général Dany Fortin, ancien commandant de l’OTAN en Irak, supervisera le groupe de travail conformément à l’annonce du 27 novembre 2020. Sa Majesté la Reine Elizabeth II fait rapport à Rome, le Canada est une colonie, tous les chemins mènent à Rome.

[21] http://www.vatican.va/content/francesco/en/encyclicals/documents/papa-francesco_20150524_enciclica-laudato-si.html Lettre encyclique Fratelli Tutti., (3 octobre 2020), supra note 1.

[22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jus_cogens :
Le jus cogens (du latin droit contraignant, souvent traduit par norme impérative) concerne des principes de droits réputés universels et supérieurs et devant constituer les bases des normes impératives de droit international général. Cette notion est définie par la Convention de Vienne du 23 mai 1969, dans son article 53 : « Aux fins de la présente Convention, une norme impérative de droit international général est une norme acceptée et reconnue par la communauté internationale des États dans son ensemble en tant que norme à laquelle aucune dérogation n’est permise et qui ne peut être modifiée que par une nouvelle norme du droit international général ayant le même caractère.

[23] -Convention des Nations Unies pour la prévention et la répression du crime de génocide. Résolution 260 A de l’Assemblée générale (III) du 9 décembre 1948 12 janvier 1951, conformément à l’article XIII. (Convention sur le génocide, 1948).
– La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (DNUDPA) a été adoptée par l’Assemblée du jeudi 13 septembre 2007.
– Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre. SC 2000, ch. 2.
– Code criminel du Canada (LRC, 1985, c. C-46), art. 318 (2).

[24] ONU, Pacte international relatif aux droits civils et politiques, 1966
Gouvernement du Canada, Loi sur les crimes contre l’humanité et Loi sur les crimes de guerre, SC 2000 C.24

[25] Génocide signifie : « Tuer des membres du groupe, Imposer des conditions de vie conçues pour causer un préjudice physique ou mental ; Soumettre délibérément au groupe des conditions de vie censées apporter de sa destruction physique en tout ou en partie ; Imposition d’une mesure destinée à empêcher les naissances au sein du groupe ; Transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe ».

[26] En particulier : attaque dirigée contre toute population civile signifie un comportement impliquant les multiples commissions d’actes visées au paragraphe 1 contre toute population civile, en vertu de ou en faveur d’un état de politique organisationnelle pour commettre de telles attaques

[27] Un traitement médical ne peut être effectué qu’après qu’un patient informé du but, de la nature, des droits et des conséquences de l’intervention et y a librement consenti. Ce principe a ses origines dans le « Code de Nuremberg » de 1947, qui a été développé lors du procès des Nazis médecins qui ont mené des recherches sur les prisonniers des camps de concentration.
Article 13 : « Une intervention visant à modifier le génome humain ne peut être entrepris à des fins préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si son but est de n’introduire aucune modification dans le génome de ses descendants.

[28] Partie I de la Loi constitutionnelle de 1982. Charte canadienne des droits et libertés, art 7, partie 1 de la Loi constitutionnelle, 1982, étant l’annexe B de la Loi de 1982 sur le Canada (Royaume-Uni), 1982, c 11.

[29] Déclaration universelle sur le génome humain et les droits de l’homme (1997), Convention d’Oviedo. Les chercheurs doivent assurer un équilibre entre les risques potentiels et les bénéfices de la recherche et que les risques ont été minimisés (ligne directrice 8).

[30] 57 Zhang L 2020bioRxiv

[31] Note de l’auteur de l’article : nous ne pouvons qu’être fascinés par le copier-coller des mesures de restriction à travers le monde indépendamment d’une quelconque extension de l’épidémie alléguée. Cela confirme que tous les gouvernements soumis à l’OMS ont pris leurs ordres auprès de l’organisation comme le stipulait l’accord des 194 pays signés en 2017. Contrairement à l’incompétence alléguée pendant les premiers mois de la crise, tout était soigneusement préparé. www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont




Les dépistages massifs par PCR ne servent à rien. STOP DÉPISTAGE

Par Dr Gérard Delépine

Les bien portants ne sont pas contaminants, selon la dernière étude chinoise sur 10 MILLIONS de personnes testées.

Depuis plusieurs mois, le ministère et les médias prétendent que le dépistage massif par tests PCR permettrait d’identifier les asymptomatiques qui entretiendraient l’épidémie, caractéristique pourtant très inhabituelle pour une infection respiratoire.

Le président et le conseil de défense justifient les restrictions de nos libertés et le blocage de notre économie sur le nombre de cas dépistés même asymptomatiques.

Des études empiriques et des modélisations trop précoces basées sur des données incertaines ou dans des milieux particuliers ont suggéré que les individus non malades auraient pu être contagieux pendant la phase pré symptomatique. Mais les progrès dans la connaissance de la maladie ont peu à peu montré que ce n’était pas le cas, et Maria Van Kerkhove responsable technique de la cellule chargée de la gestion de la pandémie à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré[1]« il semble rare qu’une personne asymptomatique transmette la maladie », soulevant une tempête d’indignation dans les médias. L’étude chinoise récente confirme que les propos de Maria Van Kerkhove en juin étaient justes et qu’il est difficile d’avoir raison trop tôt. Les asymptomatiques ne sont pas contagieux et leur dépistage massif par PCR ne sert à rien.

Un dépistage sans précédent[2] appliquant des protocoles rigoureux

Wuhan avait été confiné très sévèrement du 23 janvier au 8 avril 2020. Au cours des mois suivants, pour déterminer l’évolution de l’épidémie, le gouvernement a ordonné un dépistage complet de l’infection dans toute la population du 14 mai 2020 au 1er juin 2020 mobilisant plus de 330000 agents (50 000 professionnels de la santé et plus de 280 000 travailleurs et bénévoles de la communauté) pour un coût total (équivalent français) de plus d’un milliard d’euros.

Le dépistage ciblait 10 652 513 personnes, soit 94,1 % de la population de Wuhan et ses alentours. Le dépistage par PCR effectué du 14 mai 2020 au 1er juin 2020 a testé, 92,9 % des 10 652 513 personnes prévues soit 9899 828 participants, 9 865 404 sans diagnostic antérieur de COVID-19, et 34 424 supposés guéris du covid-19.

Les techniques de prélèvement, acheminements et d’analyses des tests ont suivi strictement les recommandations nationales chinoises ; les tests PCR oropharyngés limités à 37 cycles d’amplifications[3] ciblaient 2 gènes. Tous les malades PCR positifs ont subi des tests antigéniques IgM et IgG et des cultures virales.

Des résultats PROBANTS

Le dépistage des 9 865 404 participants sans antécédents de COVID-19 a identifié 300 cas positifs asymptomatiques et identifié 1174 contacts étroits des cas positifs asymptomatiques, tous testés négatifs pour le COVID-19. Les tests d’anticorps contre le virus SRAS-CoV-2 étaient positifs IgG (+) dans 190 des 300 cas asymptomatiques, ce qui indique que 63,3 % de ces cas positifs asymptomatiques ont été effectivement infectés. 34 424 cas d’anciens COVID-19 guéris ont participé au dépistage dont 107 ont de nouveau donné un résultat positif, ce qui donne un taux de repositivité de 0,310.

La proportion de cas positifs asymptomatiques en IgM (−) et IgG (−) est proche de 40% confirmant la possibilité de faux résultats positifs des tests PCR. Les cultures virales étaient négatives pour tous les cas positifs asymptomatiques, indiquant l’absence de « virus viable » dans les cas PCR positifs détectés dans cette étude.

Tous les cas positifs asymptomatiques, et leurs contacts étroits ont été isolés pendant au moins 2 semainesjusqu’à ce que les résultats des tests PCR deviennent négatifs. Aucun des cas positifs détectés ou de leurs contacts étroits n’est devenu symptomatique ou testé positif pendant la période d’isolement.

Les résultats de culture du virus et du suivi des contacts n’ont donc trouvé aucune preuve que les cas positifs (personnes saines testées PCR+) puissent être infectieux.

La non-contagiosité des asymptomatiques est confirmée par d’autres études

Une étude menée en Corée portant sur le suivi médical et biologique de 790 contacts de 285 cas positifs asymptomatiques n’a révélé aucun cas confirmé de COVID-19[4]. La surveillance des patients guéris de COVID-19 en Chine n’a également révélé aucun indice évoquant la contagiosité des personnes saines avec tests PCR positifs.

Les conséquences de cette non-contagiosité des « cas » sont colossales

La fable de la transmission par des cas asymptomatiques a été instrumentalisée pour justifier et fabriquer un consentement pour des mesures de privation de liberté, portant sur des populations entières. Si seuls les malades symptomatiques sont contagieux, il n’existe aucune raison scientifique ni médicale de confiner la population saine. Il suffit d’isoler les malades, comme on l’a toujours fait lors des épidémies graves de l’histoire.

Cette propagande mensongère sur la contagiosité des cas asymptomatiques est également avancée pour justifier l’obligation généralisée du port de masques[5] et les campagnes massives de dépistage par des tests dont la positivité chez un asymptomatique ne signifie pourtant en rien qu’il soit réellement contaminé[6] ni contagieux[7].

Cela explique que les mesures prétendument sanitaires qu’on nous impose depuis des mois sans aucun fondement scientifique soient totalement inefficaces, en nous détournant des seules mesures efficaces (lavage des mains, quarantaine des malades symptomatiques).

Les pays européens qui imposent ces mesures sanitaires erronées et interdisent les traitements utiles (hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, zinc, vitamines D et C, etc., dès les premiers signes) se classent dans le top 5 européen des plus fortes mortalités attribuées au covid19. Ils mettent gravement en danger la vie de leurs populations, ce qui devrait conduire nécessairement à des procédures juridiques comme elles fleurissent partout dans le monde, en particulier aux USA, Canada, Allemagne, etc.

Que peut-on faire ?

Ce n’est pas le Covid19, mais les mesures restrictives de liberté qu’on nous impose depuis 9 mois qui ont créé le chaos. Elles ont abouti à une mortalité record attribuée au Covid19 (976/M), à des dizaines de milliers de victimes collatérales par arrêt ou retard des soins, un tsunami de problèmes psychiatriques et de suicides, un désastre éducatif qui marquera durablement notre jeunesse, une dette supérieure au PNB, un chômage sans précédent, la destruction des petits commerces, du sport et de la culture et une catastrophe économique chaque jour plus sévère.

Lorsqu’une équipe de foot perd trop de matchs de suite, on change d’entraîneur pour un autre qu’on espère plus performant. Suivons cette sagesse populaire. Stoppons cette politique suicidaire.

Il est urgent d’annuler toutes ses mesures sanitaires contre-productives, malfaisantes, et souvent grotesques qui visent à nous imposer des vaccins bâclés, non réellement testés totalement inutiles pour 85%-90% de la population et qui nous exposent à des complications inconnues.

Ne plus écouter ces modélisateurs qui nous fourvoient à l’aide de prophéties totalement fausses.

Ne plus tester les personnes asymptomatiques, puisqu’elles ne sont pas contagieuses.

L’année 2020 a été celle de la débâcle contre un virus qui, au niveau mondial, n’a tué pas autant que la grippe asiatique, mais a permis d’imposer à la population des privations de liberté parfois pire que du temps de l’occupation nazie8.

L’année prochaine sera celle de la reconquête de nos libertés, si et seulement si nous nous battons. N’ayons plus peur ! Libérons la France pour qu’elle redevienne digne de son histoire et respecte à nouveau sa devise.


« Liberté j’écris ton nom »

[Auteur :] Paul Eluard

Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin)

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

SOYONS DIGNES DE NOS ANCÊTRES


Notes
  1. Lors d’une conférence de presse virtuelle de l’OMS du 8 juin 2020
  2. Shiyi Cao, Yong Gan, Chao Wang, Max Bachmann, Shanbo Wei, Jie Gong, Yuchai Huang, Tiantian Wang, Liqing Li, Kai Lu, Heng Jiang, Yanhong Gong, Hongbin Xu, Xin Shen, Qingfeng Tian, Chuanzhu Lv, Chanson de Fujian, Xiaoxv Yin & Zuxun Lu Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China.
    Nature Communications volume 11, Article number: 5917 (2020)
  3. Contrairement à l’usage en Occident au moins jusqu’à octobre 2020
  4. KCDC. Conclusions tirées de l’enquête et de l’analyse des cas ré positifs (avis). Division de l’évaluation des risques et de la coopération internationale 2020-05-19. https://www.cdc.go.kr/board/board.es?mid=a30402000000&bid=0030 (2020)
  5. Pourtant montré inutile par l’étude randomisée Danmask 19
  6. Aucun des 418 cas positifs asymptomatiques chinois de l’étude n’est tombé malade
  7. Aucun des 418 cas positifs asymptomatiques chinois de l’étude n’a contaminé ses contacts
  8. Les nazis n’ont jamais demandé aux Français de présenter des ausweis le jour



Le 29 décembre 2020 — Donald Trump célèbre saint Thomas Becket en ce 850e anniversaire de son martyre : « Nous voulons Dieu ! »

[Source : Guy Boulianne]

[Introduction de Jeanne Smits Le site de la Maison Blanche affiche depuis le 28 décembre une “Proclamation” de la main de Donald Trump à l’occasion du 850e anniversaire du martyre de saint Thomas Becket, tué par les hommes de main du roi Henri II pour n’avoir pas cédé devant les empiètements de ce dernier sur les droits et privilèges de l’Église catholique. C’était le 29 décembre 1170.

Que le président des Etats-Unis rende un tel hommage à un martyr qui sut défendre au prix de sa vie les droits de Dieu est remarquable en soi. Dans la période actuelle, où s’installe une nouvelle tyrannie et une ingérence indiscutable du pouvoir civil, du temporel, dans le domaine du spirituel, la démarche de Donald Trump est lourde de sens. Qu’il l’ait faite de manière aussi solennelle, en s’associant de fait au cri des peuples : « Nous voulons Dieu ! », est un signe.

Soyons clairs. La « liberté religieuse » affirmée par Donald Trump n’est assurément pas celle que défendait Thomas Becket : le saint archevêque a versé son sang pour les droits de la vraie religion et du vrai Dieu. Trump évoque, lui, un droit subjectif de tout homme de ne pas être inquiété pour ce qu’il croit, et de pratiquer la religion qui est la sienne. Il y a là des questions religieuses et philosophiques de fond ; je n’irai pas plus loin.

Mais sur le plan politique, Trump vient de poser un acte étonnant, et assurément important, puisqu’il a choisi d’honorer non quelque militant des droits de l’homme, mais un saint martyr, en demandant à tous les Américains de célébrer cet anniversaire. Il y rappelle qu’il faut « obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes », et rappelle le droit des nations de défendre la vie à naître.

Je vous propose ci-dessous une traduction intégrale de la « Proclamation » de Donald Trump, telle qu’elle figure sur le site whitehouse.gov. — Jeanne Smitshttps://www.youtube.com/embed/FHCiziDnrS8?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


Proclamation du 850e anniversaire du martyre de saint Thomas Becket

Nous célébrons aujourd’hui le 850e anniversaire du martyre de Saint Thomas Becket, le 29 décembre 1170. Thomas Becket fut homme d’État, érudit, chancelier, prêtre, archevêque ; et tel un lion, il défendit la liberté religieuse.

Avant même que la Grande Charte ne fût rédigée, avant que le droit au libre exercice de la religion ne fût inscrit comme la première liberté de l’Amérique dans notre glorieuse Constitution, Thomas donna sa vie pour que, comme il l’a lui-même dit, « l’Église parvienne à la liberté et à la paix ».

Fils d’un shérif londonien, qualifié un jour de « clerc de bas étage » par le roi qui le fit tuer, Thomas Becket allait devenir la plus haute autorité de l’Église en Angleterre. Lorsque la couronne a tenté d’empiéter sur les affaires de la maison de Dieu par le biais des Constitutions de Clarendon, Thomas refusa de signer le document offensant. Lorsque le roi Henri II, furieux, menaça de le faire condamner pour outrage à l’autorité royale, en lui demandant comment un prêtre aussi « pauvre et humble » osait le défier, Mgr Becket, alors archevêque, répondit : « Dieu est le souverain suprême, au-dessus des rois » et « nous devons obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes ».

Parce que Thomas ne voulait pas consentir à ce que l’Eglise se soulette à l’État, il a été contraint de renoncer à tous ses biens et de fuir son propre pays. Des années plus tard, après l’intervention du pape, Becket a été autorisé à revenir – et il a continué à résister aux ingérences autoritaires du roi dans la vie de l’Eglise. Le roi en eut finalement assez de la défense acharnée de la foi religieuse par Thomas Becket ; on dit qu’il s’est exclamé avec exaspération : « N’y aura-t-il personne pour me débarrasser de ce prêtre turbulent ? »

Les chevaliers du roi réagirent au message en se rendant à la cathédrale de Canterbury pour signifier un ultimatum à Thomas Becket : qu’il cède aux injonctions du roi ou qu’il meure. La réponse de Thomas résonne dans le monde entier et à travers les âges. Ses derniers mots sur cette terre furent les suivants : « Pour le nom de Jésus et la protection de l’Église, je suis prêt à embrasser la mort. » Revêtu des ornements liturgiques, Thomas fut abattu là où il se tenait, à l’intérieur des murs de sa propre église.

Le martyre de Thomas Becket a changé le cours de l’histoire. Il a fini par entraînér de nombreuses limitations constitutionnelles au pouvoir de l’État sur l’Église à travers l’Occident. En Angleterre, le meurtre de Becket a conduit à la déclaration de la Magna Carta 45 ans plus tard : « L’Église d’Angleterre est libre et (…) elle doit jouir de tous ses droits et libertés sans qu’on puisse y toucher. »

Lorsque Thomas Becket refusa d’autoriser le roi à s’immiscer dans les affaires de l’Église, l’archevêque se tenait à l’intersection de l’Église et de l’État. Cette prise de position devait aboutir, après des siècles d’oppression religieuse et de guerres de religion soutenues par les Etats partout en Europe, à l’instauration de la liberté religieuse dans le Nouveau Monde. C’est grâce à de grands hommes comme Thomas Becket que le premier président américain, George Washington, a pu proclamer plus de 600 ans plus tard qu’aux États-Unis, que « tous possèdent également la liberté de conscience et les protections de la citoyenneté » et que « ce n’est plus maintenant de tolérance que l’on parle, comme si c’était par l’indulgence d’une classe de personnes qu’une autre devrait jouir de l’exercice de ses droits naturels inhérents ».

La mort de Thomas Becket rappelle de manière puissante et impérissable à chaque Américain que le fait que nous soyons libres de la persécution religieuse n’est pas un simple luxe ou un accident de l’histoire, mais plutôt un élément essentiel de notre liberté. C’est notre trésor, notre héritage inestimable, acheté au prix du sang de martyrs.

En tant qu’Américains, nous avons d’abord été réunis par notre conviction que « la rébellion aux tyrans est obéissance à Dieu » et que la défense de la liberté est plus importante que la vie elle-même. Si nous voulons continuer à être le pays de la liberté, aucun fonctionnaire, aucun gouverneur, aucun bureaucrate, aucun juge et aucun législateur ne doit être autorisé à décréter ce qui est orthodoxe en matière de religion ou à exiger des croyants religieux qu’ils violent leur conscience. Aucun droit n’est plus fondamental pour une société pacifique, prospère et vertueuse que le droit de suivre ses convictions religieuses. Comme je l’ai déclaré sur la place Krasiński à Varsovie, en Pologne, le 6 juillet 2017, le peuple américain et les peuples du monde continuent de crier : « Nous voulons Dieu. »

En ce jour, nous célébrons et vénérons la courageuse prise de position de Thomas Becket en faveur de la liberté religieuse et nous réaffirmons notre appel à mettre fin aux persécutions religieuses dans le monde. Dans mon discours historique aux Nations unies l’année dernière, j’ai clairement indiqué que l’Amérique est aux côtés des croyants de tous les pays qui ne demandent que la liberté de vivre selon la foi qui est dans leur propre cœur. J’ai également déclaré que les bureaucrates mondiaux n’ont absolument pas à s’attaquer à la souveraineté des nations qui souhaitent protéger la vie des innocents, ce qui reflète la croyance des États-Unis et de nombreux autres pays selon laquelle chaque enfant – né et à naître – est un don sacré de Dieu. Au début de l’année, j’ai signé un décret visant à faire de la liberté religieuse une priorité de la politique étrangère des États-Unis. Nous avons demandé à chaque ambassadeur – et aux plus de 13 000 agents et spécialistes du service extérieur des États-Unis – dans plus de 195 pays de promouvoir, défendre et soutenir la liberté religieuse comme pilier central de la diplomatie américaine.

Nous prions pour les croyants partout dans le monde qui souffrent de persécution en raison de leur foi. Nous prions en particulier pour leurs pasteurs courageux et édifiants – comme le cardinal Joseph Zen de Hong Kong et le pasteur Wang Yi de Chengdu – qui sont des témoins infatigables de l’espérance.

Pour honorer la mémoire de Thomas Becket, les crimes contre les croyants doivent cesser, les prisonniers de conscience doivent être libérés, les lois limitant la liberté de religion et de croyance doivent être abrogées, et les personnes vulnérables, sans défense et opprimées doivent être protégées. La tyrannie et le meurtre qui ont choqué la conscience du Moyen-Âge ne doivent plus jamais se reproduire. Tant que l’Amérique sera debout, nous défendrons toujours la liberté religieuse.

Une société sans religion ne peut pas prospérer. Une nation sans foi ne peut pas durer – parce que la justice, la bonté et la paix ne peuvent pas prévaloir sans la grâce de Dieu.

PAR CONSÉQUENT, moi, DONALD J. TRUMP, Président des États-Unis d’Amérique, en vertu des pouvoirs qui me sont conférés par la Constitution et les lois des États-Unis, je proclame par la présente le 29 décembre 2020 comme le 850e anniversaire du martyre de Saint Thomas Becket. J’invite le peuple des États-Unis à célébrer cette journée dans les écoles, les églises et les lieux de rencontre habituels par des cérémonies appropriées en commémoration de la vie et de l’héritage de Thomas Becket.

EN FOI DE QUOI, j’ai apposé ma signature en ce vingt-huit décembre de l’an de Notre Seigneur deux mille vingt et de l’indépendance des États-Unis d’Amérique le deux cent quarante-cinquième.

DONALD J. TRUMP




Le Top 5 des actualités les plus réprimées en 2020

[Source : Aube Digitale]

[Auteur : Frank D. Miele]

À l’époque, lorsque j’étais rédacteur en chef du Daily Inter Lake à Kalispell, dans le Montana, j’appréciais le rituel de fin d’année qui consistait à voter dans le sondage de l’Associated Press sur les dix meilleurs articles d’actualité.

Lorsque j’ai commencé à participer en 2000, ma liste comprenait beaucoup d’articles identiques à ceux qui figuraient sur la liste finale de l’AP, bien que souvent avec des différences de classement. Mais lorsque j’ai pris ma retraite en 2018, ma vision de l’actualité avait fortement divergé de celle du consensus de l’AP. Je suis devenu une sorte de mouche du coche à ce moment-là, remettant en question ce qui semblait être un parti pris de gauche de plus en plus transparent dans les reportages grand public.

Cette divergence a probablement été amplifiée par la candidature de Donald Trump en 2016 et par la lumière qu’il avait jetée sur les Fake News, mais mon désenchantement à l’égard de ma profession n’a cessé de croître depuis des années, comme le montre mon livre “La Matrice Médiatique : Et si tout ce que vous savez était faux ?”

Pourtant, il n’est pas possible que, il y a encore quatre ans, j’aie pu prédire à quel point les médias deviendraient terriblement irresponsables d’ici 2020. Les grands journaux remportent des prix Pulitzer pour des reportages manifestement faux sur des sujets tels que la “collusion russe”. Pendant ce temps, les oligarques de la Silicon Valley se sont autoproclamés censeurs – avertissant le peuple américain de ne pas lire ou regarder quoi que ce soit qui n’a pas été “vérifié par les faits” par leur police de la pensée triée sur le volet.

La situation est devenue si mauvaise qu’il ne vaut plus la peine de classer les meilleures informations de l’année parce que si peu de choses sont couvertes par les nouvelles et si beaucoup de ces informations sont passées sous silence comme une “théorie du complot”. C’est pourquoi je vous présente la première présentation annuelle de Heartland Diary USA sur “La dernière chance de se réveiller et de sentir les nouvelles qu’ils ont essayé de tuer”.

Voici donc les cinq actualités les plus importantes reprimées de l’année 2020. Pardonnez-moi de ne pas entrer dans les détails, mais plus je m’approche de la vérité, plus il est probable que Google, Twitter et Facebook enterrent aussi mon article.

5) La mystérieuse mutation des confinements :

Quelqu’un a-t-il déjà compris pourquoi il est acceptable que les employés des épiceries restent au travail pendant une pandémie internationale tout en répondant aux besoins de l’ensemble de la population sans autre restriction que le port d’un masque, mais qu’il est considéré comme dangereux que les gymnases ouvrent ou, plus ridicule encore, que quiconque autre que les conjoints des gouverneurs prenne leur bateau pour faire un petit tour autour du lac ? Il semble que le verrouillage peut se transformer en ce qui convient aux politiciens. Les effets inégaux de l’embargo sur les différents États et les différents secteurs ont entraîné le déplacement de billions de dollars de capitaux d’une manière qui remodèlera l’économie pour les générations à venir, mais nous ne sommes pas censés en parler.

4) L’Hydroxychloroquine :

Si vous savez quelque chose sur ce médicament, c’est probablement qu’un type en Arizona est mort après l’avoir ingéré, et que le président Trump en est peut-être responsable d’une manière ou d’une autre. Eh bien, comme on dit, un peu de connaissance est une chose dangereuse. Le type en Arizona n’a pas pris d’hydroxychloroquine ; il a pris un nettoyant pour aquarium appelé phosphate de chloroquine. Et Trump n’a jamais dit à personne de prendre ni le médicament ni le nettoyant pour aquarium. Il a juste dit que l’hydroxychloroquine était un traitement prometteur contre le COVID-19. Bien sûr, dès qu’il l’a dit, les universitaires radicaux de gauche qui contrôlent les revues médicales et les associations ont averti que l’hydroxychloroquine n’avait aucun avantage en tant que traitement et qu’elle était potentiellement dangereuse, même si elle avait été utilisée sans danger contre la malaria et divers syndromes de déficience immunitaire pendant des décennies. Heureusement, de nombreux médecins qui connaissaient bien ce médicament ont continué à l’utiliser comme thérapie dans les premiers stades des infections du COVID, et de nombreux patients dans le monde entier ont ainsi été épargnés des effets les plus désastreux du virus. Ne vous attendez pas à lire le New York Times à ce sujet.

3) La victoire du vaccin de Trump :

Bien que le président ait été dépeint comme un opposant à la science, c’est le soutien de son administration qui a permis de passer le plus rapidement possible de la découverte du virus au vaccin viral – essentiellement en moins d’un an. Alors même que les démocrates de la Chambre sont sur le point de lancer des enquêtes sur les prétendus crimes contre l’humanité de Trump pour avoir été président pendant la crise du COVID, des vies sont sauvées grâce à ses politiques. Ne vous attendez pas à en entendre parler dans les grands médias, qui ont passé une grande partie de l’année 2020 à ridiculiser Trump pour ses prédictions pressenties selon lesquelles un vaccin serait développé d’ici la fin de l’année.

2) L’ordinateur portable de Hunter Biden :

La possibilité d’enterrer l’histoire de Hunter Biden tout au long de la campagne présidentielle de 2020 est l’une des plus grandes victoires de l’histoire de la propagande. Hunter est le fils de l’ancien vice-président Joe Biden, et son passé reconnu de toxicomane est désormais considéré comme son point fort. La commission sénatoriale de la sécurité intérieure a trouvé de nombreuses preuves que Hunter a fait gagner des centaines de millions de dollars à la famille Biden en vendant l’accès à son père. Ainsi, lorsque l’ordinateur portable de Hunter est apparu avec des preuves incriminantes à la première personne, il était assez évident que Joe Biden avait beaucoup de réponses à donner. Sauf que les médias ne lui ont jamais fait répondre de quoi que ce soit. Il a préféré se reposer sur l’affirmation bizarre de 50 anciens responsables des services de renseignement américains selon laquelle les preuves évidentes de collusion étrangère sur l’ordinateur portable de Hunter avaient toutes les caractéristiques d’une campagne de “désinformation russe”. C’était un non-sens errant. Reporters, lisez les e-mails !

1) La fraude électorale :

Il s’est avéré que tout ce qui s’est passé en 2020 avant le 3 novembre n’était que le prologue de la plus grande tromperie de l’histoire américaine – à savoir le détournement d’une élection présidentielle par des moyens à la fois légaux et illégaux. Plus important encore, chaque État qui a modifié ses procédures électorales sans le consentement de son corps législatif a enfreint la Constitution américaine. C’est pourquoi les républicains prévoient de contester le vote du Collège électoral le 6 janvier. Que vous aimiez Donald Trump ou non ne devrait pas avoir d’importance. Soit vous respectez la Constitution, soit vous ne la respectez pas. Le fait que Trump ait augmenté son soutien dans presque tous les groupes démographiques depuis 2016 et qu’il ait pourtant perdu l’élection restera apparemment un mystère car le parti démocrate, avec l’aide de républicains faibles, est déterminé à poursuivre la mascarade selon laquelle Joe Biden est un homme d’État âgé bien-aimé encore plus populaire que Barack Obama.

Je devrais ajouter une clause de non-responsabilité ici. Ma liste ne sera pas la vôtre. Nous sommes en 2020, et il y a beaucoup de suppressions à faire.

Vous êtes donc invités à soumettre vos propres contributions dans la section des commentaires ci-dessous. En attendant, pour compléter mon Top 10, voici d’autres articles importants supprimés en 2020 :

  • Les liens communistes avec Antifa et Black Lives Matter ;
  • Comment le canular russe a été exposé mais est resté impuni ;
  • Comment la politique d’un certain gouverneur de l’État de New York a conduit à des milliers de décès liés au COVID dans des maisons de retraite ;
  • La campagne réussie du milliardaire George Soros pour subvertir la jurisprudence américaine en élisant des procureurs de district pro-criminels ;
  • Et bien sûr la suppression de l’actualité elle-même.

Traduction de RealClearPolitics.com par Aube Digitale


À propos de l’auteur

Frank D. Miele est un chroniqueur conservateur à RealClearPolitics.com. Il est également le modérateur de www.HeartlandDiaryUSA.com. Il a travaillé en tant que journaliste communautaire primé pendant presque quatre décennies, dont 34 ans au Daily Inter Lake à Kalispell, Montana, où il a été rédacteur en chef de 2000 à 2018. La rubrique « Editor’s 2 Cents » de Miele a été régulièrement publiée dans le journal de 2004 à 2018 et lui a valu un large public parmi les conservateurs à travers le pays. Il vit avec sa femme et ses enfants à Kalispell. Pour mémoire, il n’est pas lié à Frank Miele qui est le rédacteur en chef du magazine Skeptic.




Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !

[Source : Médias-Presse-Info]

Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.

Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première.

Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit non moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.

Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2.

L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée.

Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.

Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.

La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.

Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or, on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.

Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05 % ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour.

Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules.

On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.

Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.

Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde pour des cobayes.

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.

C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Christian PERRONNE




Un employé des labos balance tout : le vaccin est un projet d’asservissement de l’humanité qui se fonde sur des textes religieux

[Source : Médias-Presse-Info]

Par MICHELE MARIE

Un fichier audio sans lien url ou intitulé m’est tombé entre les mains il y a deux jours. Il contient les révélations faites par un employé de labo parisien devant un petit groupe de personnes dont l’identité n’est pas annoncée, sinon par leurs prénoms à la fin de la narration. La date semble être contemporaine des élections américaines de 2020, ou légèrement antérieure.
Le message m’a paru suffisamment digne de foi et important pour que j’en entreprenne la transcription. La voici, dans sa forme presque brute, après un « toilettage » minime.

« Je travaille dans les laboratoires depuis 10 ans, je suis donc dans le système. Ça fait 10 ans qu’on travaille sur les nanoparticules. Au début, l’objectif était de suivre les cellules cancéreuses. Mais malheureusement, ce projet a été détourné de sa finalité.

On est financé comme vous le savez par plusieurs laboratoires. J’ai travaillé pour un laboratoire à Paris et j’aimerais m’expliquer sur un problème. Ce que je vais vous dire n’est pas du complotisme. J’entends beaucoup de gens parler de complotisme, mais non, ça n’en est pas.

Je vais vous expliquer rapidement comment ça se passe pour les nanoparticules. En premier lieu, lorsque vous les injectez dans votre corps, elles attaquent vos globules rouges, ensuite elles remontent jusqu’à votre peau. Et quand vous les exposez à un laser, il y a de l’information qui ressurgit [devient visible]. C’est comme une sorte de tatouage. Et vous devenez aussi comme une sorte d’antenne… Non non, ce n’est pas juste la 5 G. Avec mon équipe, quand on a vu ça, on a d’abord pensé que c’était une blague, puis on a compris que c’était en fait la réalité.

Vous avez vu qu’ils veulent faire le “Grand Reset”, supprimer le cash…? On peut en fait par ces nanoparticules intégrer des informations sous forme de “métadatas”. Les métadatas sont contenues dans ces nanoparticules, qui sont injectées par le vaccin. On les appelle des “adjuvants” mais en fait ce sont des nanoparticules. Même le vaccin de la grippe contient des nanoparticules et cela vous donne une idée de la raison pour laquelle le ministre de l’Intérieur vous a parlé du [a poussé au] vaccin pour la grippe: dans le vaccin de la grippe, vous avez aussi des adjuvants qui contiennent des nanoparticules… »

Une voix (celle de son interlocutrice) l’interrompt :

« Il y a même des médecins qui conseillent de faire faire le vaccin de la grippe aux enfants, pour éviter de transmettre la grippe aux parents et aux grands-parents! »

Le narrateur reprend:

« Ils se sont dit que s’ils n’arrivaient pas à vous vacciner contre le Covid, s’ils voyaient qu’il y avait de la résistance, ils pouvaient très vite vous faire passer le vaccin {du Covid] comme étant un vaccin pour la grippe.

Moi j’ai juste envie de vous dire que tout ça en fait c’est un plan. Car par mon travail je fréquente ces gens, donc j’ai quelques informations. Ça fait quand même 10 ans que je travaille dans les laboratoires et vous avez des hommes politiques qui sont actionnaires de ces laboratoires. Si vous voulez des noms je vous les donne tout de suite. Vous avez une personne qui s’appelle Alain Bauer, je ne sais pas si vous le connaissez. Donc ce monsieur est, disons, assez important en France, vous pouvez aller le chercher sur Google, vous verrez que tout ce que je dis est vrai. Il est actionnaire de plus d’un laboratoire.
Ce qu’il faut savoir c’est que …je suis Juif, de confession juive… et ces gens-là… je ne sais pas si je peux le dire, mais en fait il y a quelque chose de religieux derrière [ce projet]. Si vous n’avez pas compris qu’il y a quelque chose de religieux derrière, c’est que vous n’avez rien compris. Disons qu’il y a une volonté de vous mettre tous en esclavage.
Et avec le Grand Reset qui va venir, avec la suppression du cash, il se pourrait bien que ce vaccin serve à vous réduire en esclavage.
Je ne sais pas si vous avez vu… il y a un vaccin qui a été développé en Russie… Alors celui-là je vous le dis tout de suite, ce n’est pas un vaccin, c’est un placebo, il n’y a rien dedans. »

Voix de l’interlocutrice : « C’est pour contenter la population qui souhaite se faire vacciner ? »

« – Voilà! En fait c’est politique. Donc, moi ce que j’ai envie de vous dire c’est que vous n’aurez pas le choix, nous n’aurons pas le choix sauf à utiliser la violence, car ces gens sont très, très déterminés. Vous n’aurez pas d’autre solution que d’utiliser la violence et même l’extrême violence car ces gens, moi je les entends parler, parler du peuple, et ils n’ont aucune considération pour votre santé ou celle de vos enfants, qui sont visés en premier lieu.

Pour les tests PCR, ils les enfoncent [l’écouvillon] jusqu’à la glande pinéale. Ces tests-là contiennent des nanoparticules. Le frottis se fait au niveau de la glande pinéale et ça [les nanoparticules] monte directement au cerveau. Je ne sais pas si vous avez vu… certains généticiens vous ont informés de ce problème-là… Ne testez pas vos enfants et essayez de les retirer de l’école, si vous pouvez. »

Bruits de fond, des gens posent des questions tous à la fois. Le narrateur répond à une question (inaudible) :

« Le virus n’existe pas, Madame. Le Covid n’est pas un virus tant que vous ne l’avez pas isolé. Le virus n’a jamais été isolé, il n’existe pas. Une fois que vous isolez le virus, effectivement vous pouvez le nommer, mais là il n’a jamais été isolé, on ne l’a jamais vu au microscope. C’est comme le virus du VIH, le virus n’existe pas, le virus n’a jamais été isolé. »

Puis il reprend le fil de son exposé :

« Donc tout ça c’est une énorme, énorme machination, faite par des laboratoires où je travaille. Je prend des risques en vous le disant parce que j’ai été plusieurs fois coupé. On m’a déjà coupé parce que j’étais dans des groupes qui ont été infiltrés, je l’ai compris et donc je prends des risques en vous disant cela.
Retirez vos enfants de l’école et si vous voyez qu’en France ça commence à… parce que moi j’ai des informations, je peux vous dire qu’ils peuvent aller jusqu’au bout, jusqu’à ramener l’armée chez vous pour vous obliger… pour vous vacciner de force… Si vous voyez que ça commence à chauffer en France, je vous conseille de quitter le pays, d’aller en Suède ou de vous mettre à l’abri. Parce qu’en Australie c’est déjà le cas, je ne sais pas si vous l’avez vu, il y a des gens qui se font vacciner de force ».

Une voix lance :

« En Australie, sur ce continent, pour le vaccin c’est affolant, affolant. Et c’est là qu’on voit bien qu’il y a un plan réel, pour autant insister à vouloir vacciner tout le monde comme ça. C’est grave, c’est très grave. »

Le laborantin reprend son récit:

« J’ai envie de dire une dernière chose: je ne veux pas passer pour un raciste ou un antisémite… je suis juif de confession, je suis juif séfarade et en fait les gens qui sont derrière tout ça, ce sont des Juifs. [NdNM : D’après certaines sources probablement qualifiées de « complotistes », il ne s’agirait pas du tout de vrais Juifs, mais de Khazars se faisant passer pour tels.] C’est pour ça que je vous disais que c’est un projet religieux. C’est que pour eux …heu… je ne sais pas si vous avez lu le Talmud…Parce que moi je suis dans cette religion donc je connais beaucoup de personnes… Ces gens-là ils ont comme objectif de réduire l’humanité en esclavage, donc ils suivent leurs préceptes religieux, ce sont des fanatiques. Je les connais tous, je les connais et j’ai l’habitude de les fréquenter. Je les entends parler entre eux, ce sont des directeurs, des PDG, et ce plan-là était en place depuis 2001.

Nous recevons des subventions, je le confirme tout de suite, nous recevons des subventions de la Fondation Bill et Melinda Gates. Il était prévu de vacciner tout le monde vers avril mais on n’a pas pu le faire parce que ça bloquait au niveau des États-Unis, à cause de la présidence… du Président américain qui nous a bloqués. Et à cause du médecin de Marseille, le Professeur Raoult. Disons que ça a été le grain [de sable] qui a fait dérailler [enrayé] la machine, ils ne s’attendaient pas à ce qu’un médecin puisse parler de la chloroquine, qui marche effectivement. La chloroquine associée à l’azithromycine, ça marche, parce qu’en fait dans le Covid il y a de la malaria, alors c’est pour ça que ça marche, d’accord ?

Mais le virus [lui-même], il n’existe pas, il n’a jamais été isolé, c’est un virus qu’on n’a jamais vu, à part ce que vous avez vu à la télé, ce qui a été pris avec des photos radioactives. Mais ça n’existe pas.

Retirez vos enfants de l’école, préparez-vous… essayez de vous préparer mentalement, préparez-vous spirituellement et si vous voyez que vous n’y arrivez pas, essayez de fuir. Fuyez les grandes villes parce que c’est là où ils espèrent mener leur répression sanitaire. Ils ont un peu peur, je pense, je pense qu’ils ont un peu peur…ils ont peur que… bon que la situation leur échappe…

Mais je pense qu’il faudra attendre les élections aux États-Unis, car nous avons peut-être un espoir avec l’élection de Trump. Parce que qu’on le veuille ou pas, c’est politique aussi, c’est du religieux qui se mêle au politique. Comme je le disais tout à l’heure, c’est des gens qui sont fanatiques. Ils ont un projet, ce projet c’est de nous réduire tous en esclavage. Et je vous le dis parce que moi je suis dans le système. J’y travaille, ça fait 10 ans, et ceux qui me traitent de complotiste ou de je ne sais quoi, ben regardez ce qui se passe autour de vous : du jour au lendemain on a été confinés, je ne sais pas si vous avez vu avec quelle rapidité la situation a changé en France… Du jour au lendemain, on a été confinés. On n’a rien compris, les gens se sont retrouvés bloqués dans les aéroports…

Ils projettent aussi de ramener la famine parce que vous savez, avec le confinement, vous avez la chaîne logistique qui est cassée. Je vous rappelle également que les Chinois sont en train de constituer leurs réserves de nourriture. Donc, dans les temps à venir, ce que je vous conseille de faire, c’est de vous constituer des réserves de nourriture… on ne sait jamais.
Voilà, c’est ce que je voulais dire. »




Sasek avertit tous les lanceurs d’alertes : Attention aux stratèges du coronavirus !

[Source : kla.tv]

Avec des « astuces de jeu » diaboliquement perfides, les trompeurs mondiaux du coronavirus réussissent même malheureusement à instrumentaliser sans cesse à leurs fins des lanceurs d’alerte indépendants; mais cela peut se terminer brusquement si l’on voit à travers leurs stratégies, comme Ivo Sasek les dévoile ici.




Richard Boutry : Les coulisses de l’information

[Source : Ema Krusi]

FAUT QU’ON PARLE : LA FABRIQUE DE L’INFORMATION, avec Richard Boutry, journaliste de renom qui entame une prometteuse collaboration avec France Soir.

Comment on crée un journal de 20h00 ? Quelles sont les coulisses d’une réunion de rédaction ? Dans cette entretien, Richard Boutry nous parle de son expérience de 20 ans à France Télévisions et 10 ans à TV5 Monde.

L’information se fabrique. Mais comment ? Quelles est la formation d’un journaliste ? Lui apprend-on à poser les questions ? Lesquelles ? Quel est le rôle des 3 plus grandes agences de presse en 2020 ?

Retrouvez le point de vue de Richard Boutry dans cette capsule et rejoignez-le ici :

👉 La minute de Ricardo : https://laminutedericardo.com
👉Chaîne Youtube France Soir : https://www.youtube.com/c/FranceSoirVideos




« Trump : Nous ne pouvons pas permettre la tenue d’une élection complètement frauduleuse ! » L’édito de Charles Sannat

[Source : BusinessBourse]

[Auteur : Charles Sannat]

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Je suis parti un peu comme un voleur, pour quelques jours de repos bien nécessaires à défaut d’être forcément bien mérités.

Pourtant, je ne suis pas bien loin et je vous reviens pour deux choses.

La première pour vous souhaiter du fond du cœur de belles fêtes de Noël pour ceux pour qui ce moment représente quelque chose d’important et de sacré et de bonnes fêtes de fin d’année pour tous les autres, car après tout, nous avons tous le droit de célébrer la fin d’une année et la venue d’une autre.

Surtout en ces temps de pandémie et d’année qui restera pour beaucoup très difficile.

Pourtant 2020 n’est pas encore terminée et les menaces restent nombreuses, les incertitudes multiples, les risques importants.

Des dettes monstrueuses, aux marchés surévalués, en passant par les mutations des virus et les vaccins incertains, l’année 2020 n’a pas encore dit son dernier mot que 2021, ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices.

Du côté des Etats-Unis, nous avons du nouveau.

Trump a parlé dans une vidéo.

En gros il a encore expliqué et réexpliqué les fraudes qui pour lui sont manifestes.

[Voir :] Donald Trump diffuse lui-même la fraude électorale !!

Il a expliqué que Biden n’avait pas du tout gagné, mais alors pas du tout.

Que le parti démocrate avait institutionnalisé, préparé et organisé la fraude depuis plus de 4 ans pour s’assurer que le mouvement initié par Trump serait fracassé.

Il a dit que la famille Biden avait reçu des millions d’euros de la part du parti communiste chinois ce qui est un évident motif de trahison et de collusion avec l’étranger.

Il a enfin conclu en disant que jamais il ne pouvait accepter la tenue d’une élection totalement frauduleuse. Il a introduit en expliquant qu’il avait le devoir de protéger le droit de vote des Américains !

https://twitter.com/realDonaldTrump/status/1341565405509394440?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1341565405509394440%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.businessbourse.com%2F2020%2F12%2F26%2Ftrump-nous-ne-pouvons-pas-permettre-la-tenue-dune-election-completement-frauduleuse-ledito-de-charles-sannat%2F

Refus de signer le plan d’aides !

Trump vient également de refuser de signer le plan d’aides sur lequel les démocrates et les républicains viennent de s’accorder, se payant au passage le luxe d’expliquer que la prochaine administration sera peut-être lui !!

Pourquoi a-t-il refusé ces aides ? Parce qu’elles ne sont pas suffisantes, et surtout, qu’ont été glissés dans ce paquet des milliards de dollars donnés à des « special interests » [Littéralement « Intérêts particuliers »] et autres lobbies ! Par contre rien ou presque pour les restaurateurs qui souffrent terriblement et qui n’y sont pour rien et dont le business doit être préservé dans des conditions identiques à celles de départ car ce n’est pas « leur faute », mais la faute « des Chinois ». Il rappelle que ce plan est censé aider les Américains, pas les intérêts étrangers comme l’achat d’armes par… l’Égypte, puisqu’il y a une somme assez rondelette par exemple pour l’Égypte !

https://twitter.com/realDonaldTrump/status/1341537886315950080?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1341537886315950080%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.businessbourse.com%2F2020%2F12%2F26%2Ftrump-nous-ne-pouvons-pas-permettre-la-tenue-dune-election-completement-frauduleuse-ledito-de-charles-sannat%2F

Du côté de Laurence Haim, c’est la panique qui monte !

C’est un titre qui est en lui-même tout un programme !

« Apocalyspe Now…

Trump pour l’heure n’en démord pas.

Il ne concède toujours rien.

[Voir aussi :] Fraude électorale en Californie: Ils ont même réussi à faire voter des sans abri !  
USA: Mais qu’est-ce que cette arnaque ? Vidéo absolument stupéfiante d’employés en Georgie, en pleine fraude électorale !

Kamala Harris, la vice-présidente élue de Joe Biden, n’a toujours pas démissionné de son poste de sénatrice.

Le monde est comme en apesanteur.

Les marchés également.

Biden, lui, est étonnamment discret et ne se montre pas franchement virulent contre Trump.

Et ils « sont » inquiets, car Trump devrait accepter sa défaite, il devrait avaler la fraude, il devrait se laisser faire, on lui a sans doute tout proposer.

L’argent.

Des permis de construire.

Sans doute aussi une immunité.

Il aurait du accepter cela comme Al Gore a accepté de laisser Bush occuper la Maison-Blanche, ce qui a considérablement enrichi Gore devenu le monsieur protection du climat de la planète.

Et pourtant, Trump, ne veut rien céder.

Nous étions en 2016.

Trump disait, qu’il « avait eu une vie formidable, qu’il avait connu la richesse, la joie d’avoir des enfants et des petits enfants », et que le moment était venu pour lui  » de redonner à ce pays qui lui avait tant donné ».

L’immense majorité des gens ne comprend pas Trump, parce que personne ne veut leur expliquer Trump. Derrière l’excentrique, et le personnage fantasque, se cache un patriote sincère, un homme qui a relevé tous les défis. Devenu milliardaire, ruiné, puis à nouveau richissime, star de télé, et enfin président des Etats-Unis, Trump, est un homme capable des engagements les plus grands impliquant aussi les sacrifices les plus élevés.

[Voir aussi :] Général T. McInerney “Ce n’est pas de la fraude électorale, c’est de la trahison !”

Vous pouvez penser différemment de lui. Tel n’est pas le sujet.

Le sujet, c’est que Trump est un homme qui a une mission.

Alors, oui, Laurence Haïm et d’autres ont peur, parce que comment arrêter un homme qui a une mission et l’envergure d’un Trump quand on ne peut pas l’acheter, le corrompre ou l’accuser ce qui a été fait depuis plus de 4 ans mais qui a échoué ?

Nous aurons cette réponse dans les prochains jours.

Je vous souhaite une belle fin d’année, et les prochains jours seront sans doute mouvementés.

Je pars quelques temps, mais je reviendrais si l’actualité le nécessite.

Restez à l’écoute.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT




Prochain Noël en taule ?

[Source : Antipresse via Réseau International]

Le briefing Antipresse avec Slobodan Despot

Où il est question de la vente de la franchise «homo sapiens» à un dieu nouveau, du bilan de l’an 2020, de l’hospitalisation complète de la société occidentale et du confort rassurant de l’hospice, de modélisations sociales (car nous pouvons nous aussi projeter le pire!), du discrédit de toutes les institutions — et autres déferlements de vérité dont ce Noël nous gratifie.

«Face aux ténèbres» de William Styron est paru aux éditions Gallimard:

L’Antipresse 265 paraît ce 25 décembre. Comme toujours, on y appelle les choses par leur nom et l’on y soigne son français.




Analyse et résumé des éléments exposés par Jean-Bernard Fourtillan

[Source : Recherches Covid-19]

Le professeur Fourtillan avait publié le 20 août un document mettant en cause l’institut Pasteur pour la fabrication du virus responsable de la crise sanitaire actuelle, le 4 décembre il déposait une plainte contre ce même institut.

Revoyons et analysons plus en détail les documents fournis sur le site verite-covid19.fr

Les allégations du professeur Fourtillan reposent principalement sur trois brevets

– du brevet Européen de 2003 EP 1694 829 B1 (Pièce 2) à la page 3 :

[0001] La présente invention est relative à une nouvelle souche de coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), issue d’un prélèvement répertorié sous le n° 031589 et prélevé à Hanoi (Vietnam), à des molécules d’acide nucléique issues de son génome, aux protéines et peptides codés par lesdites molécules d’acide nucléique ainsi qu’à leurs applications, notamment en tant que réactifs de diagnostic et/ou comme vaccin.

– du brevet Américain de 2003 US 012.8224 A1(Pièce 3) à la première page :

(57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

– du brevet Américain de 2011 US 8,243,718 B2 (Pièce 4) à la première page : (57) (57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

Ces brevets proviennent bien de l’institut pasteur, qui a étudié des virus émergents dans le but de produire des méthodes de test et des vaccins pour ces virus potentiellement contagieux et mortels, et donc de breveter ces méthodes.

Mais que s’est-il passé entre 2011 et 2019 ? Le Pr. Fourtillan explique que des séquences du virus du SIDA, le VIH ont été insérées dans le virus du deuxième brevet américain entre 2011 et 2015.

http://d.p.h.free.fr/covid19/docs/Verite_sur_Covid-19_et_les_Vaccins_anti_Covid-19.pdf (Page 5)

À ce stade ces ajouts sont plus des suppositions reposant sur l’analyse du génome de différents chercheurs à travers le monde ayant fait état d’insertions de fragments du VIH dans les premiers séquençages du matériel génétique mis en cause dans l’épidémie de Covid-19.
La possibilité d’un ajout de fragments de VIH est une thèse relayée par de nombreux scientifiques à travers le monde.
Le nouveau coronavirus chinois est-il un avatar d’un coronavirus génétiquement modifié pour fabriquer un vaccin curatif du SIDA ?
L’étude indienne ayant initié cette thèse : Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag
Luc Montagnier : il y a du VIH dans le Covid-19

Si cette hypothèse fut contestée sous prétexte que la nature est capable de faire des choses qu’on ne comprend pas, l’origine du virus, avec ou sans VIH est discutée plus ouvertement aujourd’hui qu’au début de la crise sanitaire comme dans cet article du CNRS paru le 27 octobre 2020 « La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement ».

Le Pr. Fourtillan n’a pas la preuve irréfutable que l’institut Pasteur a créé le virus responsable de la situation actuelle, mais a de fortes suspicions de la possible implication de cet institut de recherche.

De plus, ce ne serait pas la première fois que cet institut trafique des coronavirus dans le cadre de recherches opaques : l’Institut Pasteur a ramené illégalement des fioles de Mers Coronavirus en 2015

Les allégations du professeur s’appuient sur un deuxième point

En Février 2017, une délégation du gouvernement français et de l’Institut Pasteur s’est rendue à Wuhan afin d’inaugurer le nouveau laboratoire P4 de Wuhan dans le cadre d’une collaboration entre la France et la Chine. Sur la photo suivante on reconnaît Elizabeth Guigou, Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, Yves Lévy, l’époux d’Agnès Buzyn, qui était directeur de l’INSERM, à cette époque, Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur, et un directeur de l’Institut Pasteur.
On ajoutera aussi qu’Agnès Buzyn, qui était ministre de la santé en France lorsque la crise du COVID-19 a éclaté est également à l’origine de la signature du décret qui a interdit la vente libre d’hydroxychloroquine en France le 13 janvier 2020, 8 jours avant l’annonce officielle du début de l’épidémie.

L’institut Pasteur avait donc les moyens et la possibilité d’étudier des virus à Wuhan, ville dans laquelle le virus a été observé pour la première fois.

Troisième point

Le professeur fait aussi mention d’un article d’une revue spécialisée publié en 2005 dans VIRAL IMMUNOLOGY (voir p.50) dans lequel le docteur Frédéric Tangy mentionne la possibilité de développer un vaccin à ARN atténué ayant des applications sur le VIH et le virus du Nil occidental.

Des internautes ont par la suite fait le liens entre les déclarations de Fourtillan et le fait que des Australiens aient été testés faux-positifs au VIH après s’être fait vacciner contre le Covid-19.


Suivant ce cheminement, il est possible que l’institut Pasteur ait une responsabilité dans la crise sanitaire actuelle bien qu’il n’existe pas de preuves formelles mais des suspicions.
C’est pourquoi Fourtillan avait déposé une plainte pour investiguer plus largement le rôle potentiel de l’institut, délibéré ou accidentel.

La stratégie agressive du professeur à sûrement participé à la diffusion de ses thèses, ce qui mènera nous l’espérons à un travail plus approfondi et a une enquête si la plainte émise est jugée recevable.

Il est aussi fait mention du brevet WO2020060606A1 CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA dans les recherches de Fourtillan.
Une hypothèse selon laquelle les nanoparticules des vaccins pourraient être utilisées comme systèmes d’identification et de traçage des individus est émise, mais il n’y a pas de mention de l’utilisation de nano-particules ou d’injections d’une quelconque technologie dans le corps humain dans ce brevet (?). Les systèmes d’identification élaborés seraient plus sur la forme d’une montre connectée voir d’un implant cérébral permettant de scanner les fonctions corporelles et ondes cérébrales (voir page 22 chapitre 25).

Il existe des recherches sur l’utilisation de nano-particules pour pouvoir imprimer des puces RFID à bas coût et les intégrer dans un plus large panel d’objets ou de les intégrer à des produits pour prévenir la contrefaçon (par exemple). Si l’utilisation de nano-particules injectées dans le corps humain pourrait théoriquement créer une sorte de puce RFID en fonction des méthodes d’excrétion de ces composants, rien ne montre que cela est possible à large échelle aujourd’hui.


Son internement récent avait suscité l’indignation aussi bien en France qu’à l’international. Libéré, il a répondu à l’invitation de FranceSoir pour une interview au micro de Richard Boutry, qui lui offre l’occasion de raconter ce qu’il lui est arrivé et de s’exprimer.

Le professeur de pharmacologie, après l’émoi causé par son internement forcé, répond aux questions de Richard Boutry.

https://youtu.be/J6DE0yREIFc

Retrouvez ici la Plainte du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN contre l’Institut Pasteur.
Ainsi que sa présentation sur ses recherches Toute la Vérité sur Covid-19 et les vaccins anti Covid-19.
http://d.p.h.free.fr/covid19/




Lettre ouverte aux journalistes de France et d’ailleurs – MàJ

[Sources : Urantia-Gaïa et FranceSoir]

par Le Passeur (sur Urantia-Gaïa) ou Frédéric Vidal (ancien journaliste, pour FranceSoir)

[NdNM : Les deux sources distinctes de ce même texte ne se mentionnent pas mutuellement. Que peut-on en déduire ? Est-ce que Le Passeur est un pseudonyme de Frédéric Vidal ?]

Je m’adresse à vous tous journalistes des médias de masse de France et d’ailleurs, mais surtout à celles et ceux d’entre vous qui se sentent très mal à l’aise dans leur métier depuis quelques mois. Je sais que vous êtes nombreux à vous reconnaître ainsi.

Vous êtes aujourd’hui en dissonance, comme le sont de nombreux agents de ce que l’on appelle aujourd’hui les « forces de l’ordre » et qu’on appelait il n’y a pas si longtemps les « gardiens de la paix ». Tout comme eux vous avez doucement glissé ces dernières années vers des valeurs contraires à ce qui vous animait et vit encore en vous. Vous avez lentement dérivé du statut de journaliste à celui de propagandiste, de l’information à la désinformation, par dissimulation, mais aussi par le mensonge brut.

Cette année 2020, la pente s’est accrue et tout s’est précipité. Le plan annoncé par les lanceurs d’alerte depuis des années, ceux-là-même que vous appeliez complotistes, est lancé et vous entraîne à une vitesse vertigineuse, bousculant rudement vos ultimes inhibitions s’il en reste. Vous voilà aujourd’hui acteurs d’un sinistre canular, pris dans une spirale folle parce que ces dernières années vous avez progressivement accepté l’inacceptable au regard de votre déontologie professionnelle piétinée.

Vous ne dites rien sur la réalité de cette fausse pandémie, dont les chiffres officiels (voyez ceux de l’INSEE) montrent qu’il n’y a eu aucune surmortalité en 2020 par rapport aux décennies précédentes. Elle est pourtant le mensonge que vous nourrissez avec grand zèle chaque jour et sur lequel repose la mise en place accélérée de la dictature du nouvel ordre mondial.

Vous ne dites rien de ce qui se passe aux États-Unis depuis l’élection présidentielle, laissant croire que Biden a gagné en tout honneur et que Trump n’est qu’un mauvais perdant. C’est le contraire de la vérité, vous le savez, Biden ne sera sûrement pas président. Et ce qui se passe là-bas alors que j’écris ces mots va impitoyablement déferler sur le monde et faire imploser bien des « démocraties » occidentales. Comment pensez-vous vous en sortir ?

Vous ne dites rien de la pédocriminalité sataniste institutionnalisée dans nos pays occidentaux, suggérant au mieux que ce sont des phénomènes isolés alors que c’est la base religieuse de l’organisation et du fonctionnement des psychopathes qui manipulent le monde avec votre complicité.

La liste est interminable de ce que vous ne dites pas d’essentiel parce que vous n’avez jamais pris la peine de vous y pencher ou que vous avez fait le choix de l’occulter sciemment. Au mieux, vous obéissez à l’inique et ce n’est pas davantage excusable.

Derrière le paravent de cette mascarade politico-sanitaire, vous avez choisi de servir la soupe que tendent au bas peuple les 1 % des 1 % les plus riches de ce monde organisé par et pour la corruption. Une guerre mondiale contre tous les peuples est en cours pendant que vous les divertissez en agitant les ombres de la caverne de Platon, dans l’intérêt d’une poignée malveillante et despotique que par lâcheté vous continuez à servir à travers vos médias.

Je suis désolé si les mots sont durs, mais l’heure n’est plus aux litotes.

Pour celles et ceux d’entre vous qui ont abordé ce métier par vocation, votre position est intenable. Vous ne pouvez plus fermer les yeux sous prétexte de factures à payer en fin de mois. Vos enfants, s’ils ne sont pas eux aussi sous hypnose, s’en foutent de vos factures, mais pas de leur avenir.

La situation demande du courage à toutes et tous. Chaque jour, de plus en plus n’ont pas de quoi répondre à leurs besoins essentiels. Ils sont conduits là pour devenir pleinement dépendants de ceux-là même qui ont allumé l’incendie. Ils seront alors précipités à épouser une société dont personne en conscience ne voudrait, en-dehors des psychopathes qui en sont les instigateurs, mais qu’ils risquent en inconscience d’accepter pour retrouver l’illusion d’un bol d’air. Une société mondialiste, liberticide et génocidaire, que vous-mêmes ne voulez pas pour vos enfants et leurs descendants. Qu’allez-vous faire pour eux et pour vous ?

Cette dictature sans précédent par son ampleur, calquée sur le modèle du parti communiste chinois, est en marche forcée, vous l’avez vu, vous le voyez parce que s’il vous reste la curiosité, le flair et la quête de la vérité qui sont l’essence du journalisme, vous en avez l’information, comme tous ceux qui vous ont remplacé au pied-levé, l’ont. Je parle des lanceurs d’alerte et de tous ceux qui les relaient, ceux que l’on nomme les soldats numériques. Car oui ce sont des soldats puisque nous sommes en guerre. Beaucoup de ceux-là sont tombés au fil des années, mis à l’écart, internés, assassinés, « suicidés ». Certains même étaient journalistes, comme Julian Assange pour ne nommer que lui dont l’actualité est encore brûlante. Il est une honte pour vous tous qui l’avaient abandonné et parfois renié.

Lorsque la maison brûle et qu’on est à l’intérieur, on ne se demande plus s’il est risqué ou non d’essayer d’éteindre les flammes, pas plus qu’on fait la moue sur qui vient nous aider à les maîtriser.

Encore faut-il accepter de voir l’incendie. Je concède qu’à ce jour, bien des aveugles sont aussi devenus sourds, c’est ainsi que leur psyché se protège de regarder en face les illusions qui les ont jusque-là bercées. Je ne m’adresse pas à eux, je sais qu’ils s’effondreront lorsque trop de révélations auront brisé leurs dénis.

Aujourd’hui, avec cette fausse pandémie sans mortalité supérieure à une grippe, l’un des plus grands mensonges de l’humanité, car il y en a d’autres encore plus grands qui seront mis en lumière, orchestre le déroulement d’un plan préparé depuis très longtemps pour la mise en place d’un pouvoir sans partage, qui ne se cache plus et dont les aspects occultes sont plus terribles encore que la plupart ne l’imaginent.

L’arme absolue qui garantira la réussite de cette offensive est l’information.

VOUS êtes cette arme, que vous le vouliez ou non. Vous servez directement la cause des agresseurs, c’est ce pour quoi vous êtes aujourd’hui payés. Pensez-vous vous supporter longtemps dans ce rôle ? Il n’y a pourtant rien de mauvais en vous, au contraire, écoutez ce qui crie tout au fond de vous et libérez-vous de ce poids que votre conscience ne pourra jamais digérer.

Les peuples du monde entier ont besoin de vous, ils ont besoin que vous leur donniez la juste information, celle qui leur permettra de ne pas succomber, de se libérer de l’illusion qui les conduira sinon vers un esclavage absolu. Leur conditionnement fait qu’ils n’ont pas la capacité pour la plupart d’aller eux-mêmes chercher cette information à la source, ni même auprès des journalistes citoyens qui présentent la seule alternative, ils sont trop formatés, tétanisés par les techniques de manipulation des masses pratiquées au quotidien, ils sont sous hypnose.

Seule une minorité n’est pas captive de cette camisole mentale. Si cette minorité grandit chaque jour, elle ne suffit pas encore. Les lanceurs d’alerte n’ont pas cessé d’informer, d’apporter les preuves de ce qu’ils avançaient, mais ils ne peuvent atteindre ceux qui restent rivés devant leurs téléviseurs et croient encore en vos mensonges.

Alors que faire dans votre mal-être ? Avoir le courage, comme le fera bientôt j’espère le peuple de France, de renverser les pouvoirs iniques. C’est un devoir, qui même s’il n’a jamais été appliqué reste inscrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793.

Reprenez vos salles de rédaction et vos studios TV, ne vous préoccupez pas de ceux qui les possèdent et vous ont achetés, écartez les corrompus et commencez à diffuser la vérité. Si vous le faites, il y aura des risques bien sûr mais mesurés, et vous ne serez pas seuls, appelez le peuple à venir protéger vos bâtiments des tentatives du pouvoir de les reprendre. Appelez les policiers et les militaires courageux à faire de même. Il y en a autant chez eux à vivre le même malaise que vous.

N’attendez pas de n’avoir plus rien à perdre, ça sera trop tard. Les choses peuvent encore se faire sans violence, mais quand vous n’aurez plus rien, quand les peuples n’auront plus rien, la violence sera très difficile à endiguer. C’est ce qu’il nous faut tous conjurer, tant qu’on le peut encore, en agissant dans le bon timing.

Une partie de la jeunesse n’a plus d’espoir, sa colère grandit, parfois sa révolte. Une autre partie est amorphe. Elle se sent acculée contre un mur devant un gouffre sans avenir. Les artisans et les PME qui sont le tissu social et l’économie réelle de nos pays sont aux abois, les classes les plus pauvres s’appauvrissent encore, la classe moyenne est en voie de destruction. Tout cela va très vite désormais car c’est planifié en ce sens par ceux qui se désignent comme « l’élite » avec votre complicité et parfois vos collusions, vos conflits d’intérêts, votre corruption.

D’ici cinq ans, soit le monde sera en paix et se réorganisera sur les bases de nouveaux systèmes de gouvernance, soit il sera l’enfer mondialiste et ultra-matérialiste que promeuvent les classes dominantes pédosataniques.

Cela dépend de tous, mais de vous particulièrement, parce que vous détenez l’arme de l’information qu’ils utilisent pour maintenir les peuples dans la peur et la soumission, par le mensonge et la répression. Si la répression concerne les militaires et les policiers, qui se retrouvent aujourd’hui devant les mêmes choix, le mensonge est votre affaire, vous avez le pouvoir de le faire cesser.

L’Histoire se fera et pour qui sait voir entre les lignes, malgré les sombres apparences du moment, elle s’écrira le moment venu dans le sens d’une grande libération et pas d’un enfermement. Je vous le dis, ceux que vous servez perdront et devront faire face à leurs crimes et leurs responsabilités, du plus petit au plus grand. Vous avez le pouvoir de vous inscrire dans le bon sens de l’Histoire ou dans le mauvais.

L’important n’est pas ce que vous avez fait jusqu’à maintenant, mais ce que vous allez faire à présent. C’est cela qui sera retenu. Respectez-vous, respectez-nous.

Le Passeur.

Source : http://www.urantia-gaia.info 
(faites circuler et merci de respecter l’intégralité du texte.)




Le complot contre Trump

[Source : Esprit Qritique]

Au cas où il y aurait quelques septiques parmi l’assistance qui ne seraient pas encore passés par la case « RussiaGate », Esprit Qritique vous propose une version traduite par le Média en 4-4-2 du documentaire d’Amanda Milius : « The Plot Against The President », basé sur le livre à succès du journaliste d’investigation Lee Smith.

L’histoire vraie de la façon dont le membre du Congrès américain Devin Nunes a découvert l’opération visant à faire tomber le président des États-Unis Donald Trump via l’Etat Profond « The Deep State ».
Le fameux RussiaGate.

Une soit disant ingérence russe dans les élections américaines de 2016, qui est le plus grand scandale politique de l’histoire des États-Unis.

Après le livre à succès «The Plot Against the President» du journaliste d’investigation Lee Smith, ce long métrage documentaire explore de nouvelles informations et des interviews supplémentaires au fur et à mesure que l’affaire se déroule.

Le documentaire « Le complot contre le président » explore les tentatives de lier la campagne Trump à la Russie.

Mais que s’est-il passé exactement ?

Tous les Américains et une grande partie du monde pensent qu’ils connaissent le « Russiagate », mais la plupart des gens ne serait pas en mesure d’expliquer exactement ce qui s’est passé et pourquoi il s’agissait du plus grand scandale politique de l’histoire américaine.

Source :
https://odysee.com/@TraductionEn442:a/THE-PLOT-AGAINST-THE-PRESIDENT-VOSTFR:4?r=BDhRerVCk5WhSiKrvG72S2ofykRZyHhW

L’article de Fox News :
https://www.foxnews.com/entertainment/plot-against-the-president-trump-movie

Le Livre de Lee Smith :
https://www.centerstreet.com/titles/lee-smith/the-plot-against-the-president/9781546085010/




Tout le monde s’est trompé sur Trump

[Source : Réseau International]

par Caitlin Johnstone.

Après des semaines de spéculations et d’espoirs désespérés que Donald Trump puisse gracier le lanceur d’alerte de la NSA Edward Snowden et/ou le fondateur de WikiLeaks Julian Assange avant de quitter ses fonctions le 20 janvier, ce que les dernières grâces présidentielles ont livré est aussi éloigné de cela que vous pouvez l’imaginer.

« Lors d’une audacieuse salve de grâces avant Noël, le président Trump a accordé mardi la clémence à deux personnes condamnées dans le cadre de l’enquête du conseil spécial sur la Russie, à quatre gardes de Blackwater condamnés pour le meurtre de civils irakiens et à trois anciens membres républicains corrompus du Congrès », rapporte le New York Times.

Je n’ai probablement pas besoin de le dire à mes lecteurs habituels, mais un pardon de Trump pour Assange et Snowden n’est certainement pas dans les cartes. Trump n’a fait que protéger le statu quo impérial pendant toute la durée de son mandat et un pardon pour l’un ou l’autre de ces héroïques défenseurs de la transparence gouvernementale serait une déviation de ses modèles établis, différent de tout ce qu’il a déjà démontré pendant son mandat. Il est bon de faire pression sur les politiciens pour qu’ils fassent ce qu’il faut, même s’ils ne le feront probablement pas, et il y a fort à parier qu’il ne le fera pas.

Histoire à venir bienôt de @nytmike et moi – Trump pardonne ou commue
Papadapolous et une autre cible de l’enquête Mueller, quatre hommes
liés au meurtre de civils irakiens et trois membres corrompus du Congrès

Le mandat de Trump a révélé que pratiquement tout le monde, dans l’ensemble du spectre politique américain, s’est trompé à son sujet. Et c’est un témoignage de la puissance des chambres d’écho des médias que la plupart d’entre eux se trompent toujours autant sur lui qu’il y a quatre ans.

À ce jour, même après quatre ans de preuves du contraire, les partisans de Trump croient toujours que leur président a mis fin aux guerres, asséché le marais et combattu l’État profond. Ils croient qu’il lutte contre l’État profond même après qu’il ait emprisonné Assange. Ils croient qu’il met fin aux guerres alors même qu’il a intensifié les agressions de type Guerre Froide contre la Russie, tué des dizaines de milliers de Vénézuéliens par des sanctions entrainant des famines, opposé son veto aux tentatives de sauver le Yémen des États-Unis. Il s’efforce de fomenter une guerre civile en Iran en utilisant les sanctions et les opérations de la CIA dans le but déclaré de provoquer un changement de régime. Il a occupé des champs de pétrole syriens dans le but d’empêcher la reconstruction de la Syrie, a considérablement augmenté le nombre de troupes au Moyen-Orient et ailleurs, a considérablement augmenté le nombre de bombes larguées par jour par rapport à l’administration précédente, tuant un nombre record de civils, et a réduit la responsabilité militaire pour ces frappes aériennes. Ils pensent qu’il assèche le marais après avoir rempli son cabinet de monstres du marais de l’establishment.

À ce jour, même après quatre ans de preuves du contraire, les libéraux sont toujours convaincus que Trump est un serviteur de la Russie qui a passé son mandat à promouvoir les intérêts de Vladimir Poutine. Ils le croient alors même qu’il a déchiré les traités avec la Russie, bombardé le gouvernement syrien et armé l’Ukraine (ce qu’Obama a refusé de faire), imposé de nombreuses sanctions et déclenché de nombreuses autres escalades qui vont directement à l’encontre des intérêts et de la sécurité de la Russie.

Aujourd’hui encore, même après quatre ans de preuves du contraire, de nombreux membres de la gauche continuent de prétendre que Trump est un président fasciste ou semblable à Hitler, bien qu’il ait fait déporter beaucoup moins de personnes qu’Obama. Et malgré le fait qu’il quittera avec une certitude absolue son poste le 20 janvier après avoir perdu une élection.

Toutes les parties ont prétendu que Trump était une déviation radicale de la norme, lui aussi le prétend, alors que tout ce qu’il a fait pendant toute la durée de son mandat a été de protéger le statu quo comme l’ont fait ses prédécesseurs. Comme l’a récemment déclaré l’écrivain et militant Sam Husseini, « Trump est le pouce opposable de l’establishment. Il semble être du côté opposé, mais il l’aide à en saisir davantage ».

Caitlin Johnstone : Si vous supposez que Trump a déjà eu un réel intérêt à faire bouger le bateau de manière significative. Ce n’est pas le cas. Il n’a rien fait d’autre que de protéger le statu quo pendant toute la durée de son mandat.
Sam Husseini : Trump est le pouce opposable de l’établissement.
Il semble être du côté opposé, mais il l’aide juste à en saisir plus.

Après quatre ans, tout le monde – à gauche, à droite et au centre – a prouvé qu’il avait tort à propos de Trump. Il n’était ni un monstre uniquement maléfique (il n’était incontestablement même pas aussi mauvais que Bush), ni un héros populiste drainant le marais et luttant pour l’homme commun contre l’État profond.

En réalité, le mandat de Trump a clairement établi ce qu’il était vraiment pendant tout ce temps : un président des États-Unis. Mieux que certains, pire que d’autres, mais aussi profondément horrible dans l’ensemble puisqu’il a volontairement servi de visage à la force la plus malfaisante et la plus destructrice de la planète, à savoir le gouvernement des États-Unis. Il était le même genre de monstre que ses prédécesseurs.

Trump est un président américain d’une dépravation assez moyenne, avec beaucoup d’histoires en tout genre accumulées par les médias. En réalité, il était à peu près ce que vous obtiendriez si vous preniez n’importe quel baby-boomer américain moyen qui regarde Fox News et qui crie sur Obama à la télévision, le rendiez riche, et que vous en faisiez un président.

C’est ce que Trump est et a été. Rien de plus extraordinaire que cela. Ce n’est que l’efficacité des chambres d’écho et la tendance humaine à privilégier le récit par rapport aux données factuelles qui empêche plus de gens de voir cela.

Et maintenant peut-être qu’il s’en va, avec ses crimes imaginaires toujours considérés comme réels et ses crimes réels complètement ignorés. L’humanité ne pourra pas créer un monde sain tant que nous ne trouverons pas un moyen de transcender notre relation malsaine et délirante avec le récit mental qui obscurcit si facilement notre perspective de ce qui se passe réellement.

source : https://caityjohnstone.medium.com

traduit par Réseau International




Un autre modèle de données erroné de l’Imperial College est à l’origine du dernier confinement au Royaume-Uni

[Source : Réseau International]

par Whitney Webb.

La source derrière l’affirmation qu’une nouvelle souche COVID-19 au Royaume-Uni est 70% plus contagieuse, le Dr Erik Volz de l’Imperial College, admet que le modèle qui a produit cette statistique est défectueux et qu’il est « trop tôt pour dire » si la souche se propage plus facilement.

Samedi, le premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé de nouvelles mesures extrêmes juste avant les vacances en raison de l’émergence d’un nouveau variant COVID-19. Pour Johnson, et pour le médecin en chef du Royaume-Uni Chris Whitty, qui a également pris la parole lors de la conférence de presse de samedi, la nouvelle souche – surnommée VUI-202012/01 – est environ 70% plus transmissible, mais aucune preuve ne montre qu’elle est plus dangereuse ou plus mortelle que les souches précédentes.

Selon la BBC, l’affirmation de Johnson selon laquelle le nouveau variant « pourrait être jusqu’à 70% plus transmissible », était basée sur les informations discutées la veille par le Groupe Consultatif sur les Menaces des Virus Respiratoires Nouveaux et Émergents du gouvernement britannique, ou NERVTAG. Pourtant, comme le note la BBC, ce chiffre provient apparemment d’une seule source, une présentation de 10 minutes donnée par le Dr. Erik Volz de l’Imperial College, vendredi dernier, le même jour que la réunion du NERVTAG.

Volz – un proche collègue de Neil Ferguson, discrédité – a fait cette présentation au COVID-19 Genomics UK (COG-UK), un consortium de recherche largement financé par le gouvernement britannique et le Wellcome Trust et, en particulier, le Wellcome Sanger Institute. Le Wellcome Sanger Institute a récemment fait l’objet de critiques pour avoir « mal utilisé » l’ADN des Africains afin de développer une « puce génétique sans accords juridiques appropriés ». Un prochain rapport du Unlimited Hangout détaillera les liens du Wellcome Trust avec le mouvement eugénique britannique, la Fondation Bill et Melinda Gates et le vaccin COVID-19 d’Oxford-AstraZeneca. Notamment, le scientifique financé par le Wellcome et à l’origine de ce candidat vaccin, Adrian Hill, a récemment été cité par le Washington Post comme ayant déclaré : « Nous sommes dans la position bizarre de vouloir que le COVID reste, au moins pour un certain temps… Mais les cas sont en déclin ». Le gouvernement britannique, Google et d’autres acteurs puissants sont positionnés pour profiter des ventes de ce vaccin candidat particulier.

Selon la dernière publication de Volz, le COG-UK « a permis de générer plus de 40 000 séquences de SARS-CoV-2 dans le pays en moins de 6 mois (environ la moitié de tous les génomes séquencés dans le monde au 7 juillet) » et « a facilité l’utilisation d’un échantillonnage robuste et systématique et d’approches bioinformatiques et de laboratoire partagées ainsi que la collecte de métadonnées de base cohérentes, ce qui a permis de constituer un vaste ensemble de données à haute résolution capable d’examiner les changements dans la biologie du virus au Royaume-Uni ».

Dr. Erik Volz

Toutefois, dans sa présentation de vendredi dernier, Volz dévalorise à plusieurs reprises la qualité de l’échantillonnage du COG-UK et, par extension, la validité du modèle utilisé pour justifier le chiffre de 70%, ce qui soulève des questions évidentes quant à la raison pour laquelle Boris Johnson aurait cité ce chiffre de manière si convaincue et l’utiliserait pour justifier des mesures de confinement draconiennes pendant la période des fêtes ainsi que la mise en place arbitraire d’un nouveau niveau de confinement plus extrême.

En comparant la nouvelle souche, que Volz désigne dans la présentation sous le nom de N501Y, à une autre souche nommée A222V, Volz déclare : « Nous en sommes encore aux tout premiers stades, nous avons en gros un mois de progression pour la comparaison, alors que nous avons maintenant observé A222V pendant 3 mois ». Après avoir noté la nature limitée de l’ensemble de données pour N501Y, Volz a déclaré que « la progression [dans le cas de la nouvelle souche] semble effectivement plus importante ». Il ajoute ensuite rapidement que « les tendances que vous voyez au début ne se confirment pas toujours, vous devez laisser plus de données s’accumuler ».

Volz poursuit en comparant les transmissibilités de A222V et de N501Y. Concernant le modèle utilisé pour déterminer la transmissibilité de l’A222V, Volz déclare que « l’ajustement du modèle n’est pas particulièrement bon » étant donné que « il y a beaucoup de valeurs aberrantes au début et beaucoup de valeurs aberrantes plus tard ». Il conclut que « nous ne nous attendons pas à ce qu’un modèle de progression logistique soit nécessairement approprié dans ce cas ». Cependant, il utilise ce modèle « pas nécessairement approprié » et mal ajusté pour le comparer à la nouvelle souche.

Pourtant, même avec le modèle de transmissibilité de la nouvelle souche, Volz affirme qu’il est « trop tôt pour dire » quelle est la transmissibilité de N501Y, précisant que le chiffre de 70% estimé par le modèle est basé sur « l’état actuel de nos connaissances », qui est à nouveau basé sur un mois de données et ses tendances, tendances que Volz a également noté « ne se réalisent pas toujours ». Volz ajoute ensuite que les rares données utilisées pour développer le modèle de transmissibilité de la nouvelle souche ont posé quelques problèmes, déclarant que « la fréquence de l’échantillon est très élevée et surdispersée ». Plus tard dans la présentation, Volz déclare que les données, fournies par le COG-UK, étaient à la fois « un échantillonnage non aléatoire et très perturbé », ce qui remet en question non seulement la quantité limitée de données en termes de temps, mais aussi la qualité de ces données. Après avoir noté les défauts flagrants des deux modèles qu’il compare, et qu’il est « trop tôt pour dire » beaucoup de choses sur N501Y, Volz déclare que N501Y « se propage plus vite que A222V ne s’est jamais propagé ».

La présentation de Volz fait suite à la publication, aux côtés de Wendy Barclay, professeur à l’Imperial College et membre du NERVTAG, de la caractérisation génomique préliminaire de la nouvelle souche. La présentation de Volz vendredi dernier et cette caractérisation préliminaire, publiée pour la première fois le 19 décembre, ont été les principales sources de données examinées lors de la réunion de la NERVTAG. Notamment, l’étude, rédigée pour le gouvernement britannique et le COG-UK financé par le Wellcome Trust, n’a pas encore été examinée par des pairs et ne fait aucune mention d’une augmentation de la transmissibilité ou du chiffre de 70%.

Le retour de Ferguson

Le collègue de Volz, Neil Ferguson, a également joué un rôle clé dans la promotion de la nécessité d’un enfermement plus restrictif en raison de cette nouvelle variante génétique. En mai, Ferguson a été pris en train d’enfreindre les règles des confinements précédents qu’il avait fortement défendues et sans doute orchestrées afin de rendre visite à son amant. Il s’est également attiré de nombreuses critiques pour avoir produit des modèles défectueux, en particulier ses prédictions extrêmement inexactes concernant le nombre de décès par Covid-19 prévus, qui ont été largement utilisées pour justifier les précédents confinements au Royaume-Uni. Malgré la récente controverse, Ferguson fait toujours partie du NERVTAG et a participé à la réunion de vendredi dernier pour discuter de la nouvelle souche. Cette réunion a été considérée comme ayant « joué un rôle essentiel dans le changement d’avis du premier ministre – et a conduit à l’annonce samedi de l’annulation effective de Noël pour des millions de personnes ».

Cependant, tout comme pour Volz dans sa présentation, la réunion du NERVTAG n’a pas permis de s’entendre sur le taux de transmissibilité de 70%. Au lieu de cela, une majorité des membres du groupe s’est opposée à toute sorte « d’action immédiate sur la nouvelle mutation » et a voulu « attendre plus de preuves ». Le compte-rendu de la réunion, tel que cité par le Daily Mail, a noté que le NERVTAG n’avait qu’une « confiance modérée » dans le fait que la nouvelle souche soit plus transmissible et avait conclu qu’il y avait « actuellement des données insuffisantes pour répondre aux questions cruciales sur la nouvelle souche », notamment sur sa prétendue transmissibilité accrue. Le fait que, comme l’indique le compte-rendu de la réunion du NERVTAG, la nouvelle souche « peut être difficile à séquencer », ce qui signifie qu’elle n’est pas facilement identifiée par rapport à d’autres souches, aggrave encore le problème.

Notamment, alors que la plupart des membres du NERVTAG se sont opposés au type « d’action immédiate » que Johnson a annoncé à la suite de leur réunion, Ferguson est apparu sur la BBC le jour de la réunion du NERVTAG et a affirmé que le Royaume-Uni devait procéder à un troisième confinement plus restrictif que tout confinement précédent. Ferguson semble être un membre clé de la « minorité bruyante qui croit que… nous devrions paniquer beaucoup plus fréquemment » et qu’une source de Whitehall a cité comme « intimidant » le gouvernement britannique pour qu’il prenne des mesures plus extrêmes ces derniers jours dans une récente conversation avec le Daily Mail.

Neil Ferguson

Dans les quelques jours qui ont suivi l’annonce de ces mesures, Ferguson est devenu la principale source d’allégations selon lesquelles le nouveau variant « a une plus grande propension à infecter les enfants », bien qu’il ait également déclaré que « nous n’avons pas établi de lien de causalité à ce sujet, mais nous pouvons le voir dans les données ». Cependant, il note également que « nous devrons recueillir davantage de données » pour déterminer réellement si les enfants sont plus facilement infectés par la nouvelle souche. Un autre membre du NERVTAG et également professeur de l’Imperial College, Wendy Barclay, a également répété l’affirmation non prouvée selon laquelle le nouveau variant infecte de plus en plus d’enfants, en déclarant que « les enfants sont, peut-être, aussi sensibles à ce virus que les adultes ». Le laboratoire de Wendy Barclay au Collège Impérial est financé par le gouvernement britannique et le Wellcome Trust.

Malgré l’admission de Ferguson qu’il n’y a pas de preuve réelle pour étayer cette affirmation, les grands titres des médias britanniques comme « La variante britannique du coronavirus pourrait être plus susceptible d’infecter les enfants », des scientifiques et d’autres ont laissé entendre que la déclaration était basée sur plus que de simples spéculations à partir d’ensembles de données incomplets et biaisés. La crainte exagérée que les enfants soient apparemment plus sensibles au nouveau variant pourrait être utilisée pour justifier une vaccination accrue de ce groupe démographique, dont il a été démontré qu’il n’était pas affecté par les souches COVID-19 précédentes par rapport aux autres groupes d’âge.

Les critiques du récit contestable déjà étiquetés comme « théoriciens du complot »

L’absence de consensus légitime du NERVTAG et d’institutions connexes comme l’Imperial College sur la transmissibilité de la nouvelle souche a fragilisé les affirmations de Johnson selon lesquelles des mesures de confinement paralysantes pour Noël étaient nécessaires ainsi que ses justifications pour les nouvelles mesures restrictives de confinement, à tel point qu’il a même suscité des critiques de la part de médias mainstream en dehors du Royaume-Uni, comme ABC News.

Malgré la justification douteuse des mesures de confinement, qui est suffisamment flagrante pour être notée par le grand public, le gouvernement britannique « surveillerait maintenant les médias sociaux à la recherche de théoriciens du complot », après que la surveillance des réactions des médias sociaux par le gouvernement à la suite de la conférence de presse de samedi ait révélé que « beaucoup ne sont pas préoccupés par le nouveau variant », certains étant « plus sceptiques » notant que « la simultanéité d’un nouveau variant avec l’approbation d’un vaccin était suspecte ».

Les rapports des médias sur la surveillance par le gouvernement britannique de la « désinformation » concernant la nouvelle souche ont déclaré que « les conspirations ont lieu malgré le fait que le Groupe Consultatif sur les Menaces des Virus Respiratoires Nouveaux et Émergents (NERVTAG) du gouvernement britannique souligne la gravité potentielle du nouveau variant ». Ces rapports ne mentionnent pas que le compte-rendu du NERVTAG a révélé un manque de consensus pour le nouveau confinement et une incertitude quant à la transmissibilité accrue de la nouvelle souche. Selon ce récit, des médias comme ABC News et même la majorité des membres du NERVTAG qui n’ont pas estimé qu’il y avait suffisamment de preuves pour justifier les allégations de transmissibilité de la nouvelle souche, pourraient être considérés comme des « théoriciens du complot ».

Le récit entourant la nouvelle souche et les mesures de confinement qui y sont associées illustre clairement la facilité avec laquelle les « avis d’experts » peuvent être manipulés pour soutenir une politique particulière en l’absence de toute justification légitime. Le consensus réel de la réunion du NERVTAG ainsi que les experts cités par les médias traditionnels qui sont en désaccord avec ceux de la « minorité bruyante », représentée par Neil Ferguson et Wendy Barclay, ont été largement ignorés dans les rapports des médias traditionnels britanniques et du gouvernement britannique lui-même, probablement parce que citer de tels faits gênants délégitimerait la politique qui en résulte. Au lieu de cela, ceux qui sont en désaccord avec le récit clairement questionnable sont rapidement étiquetés comme « théoriciens du complot » par le gouvernement britannique, une démarche qui aura probablement pour conséquence d’étendre la guerre déjà déclarée du Royaume-Uni contre le reportage indépendant et les posts de médias sociaux qui osent remettre en question et/ou contester le récit prôné par le gouvernement.

source : https://www.thelastamericanvagabond.com

traduit par Réseau International




Publicité mobile anti-crise Covid-19

[Source : Véro P.]




« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique

[Source : Anthropo-logiques]

J’ai la très grande joie de partager un nouveau texte (le troisième publié ici) de M. Frédéric Badel, médecin-psychiatre. Il nous livre un tour du propriétaire après dix mois de psychose collective qui fait évidemment quelque peu froid dans le dos.

Commentant le documentaire « Hold-Up » (diffamé comme on le sait avec une violence extrême par la presse mainstream), Edgar Morin a eu cette remarque tellement sagace : « Pas une fois dans Hold up on n’entend parler d’une techno-science sans conscience produite par un système, d’une logique capitaliste marchandisant mondialement jusqu’à notre imaginaire ou une critique de l’État total en formation, mais toujours de personnages néfastes. »

Le film, contrairement à la critique outrancière qu’en a faite la presse, n’impose aucune thèse. Il montre et donne la parole à des acteurs, politiques et économiques, qui réclament un Nouvel ordre mondial et on pensé, depuis au moins une décennie, qu’une pandémie (avec la peur qu’elle générerait) serait le meilleur moyen pour parvenir à l’imposer.

En relevant cela, le réalisateur n’impose rien. Libre à chacun d’en faire la lecture qu’il veut (ce qui est, précisément, ce qu’entendent empêcher les médias qui se tiennent désormais pour détenteurs de la vérité -et travaillent donc à l’imposer à la population.)

Mais Edgar Morin vise juste dans sa critique en indiquant que ce qui importe -et ce qu’il est urgent désormais de mettre en lumière- c’est l’idéologie et le programme de ce capitalisme totalitaire qui cherche à prendre le pouvoir sur le monde et réduire ses habitants à des sujets dociles. Un capitalisme soviétique, ou plutôt à la chinoise, hanté par un délire transhumaniste et eugéniste hélas très réel.

Dans ses textes, le Dr Badel décrit avec une précision d’entomologiste les procédés manipulatoires qui nous sont infligés depuis bientôt une année avec là aussi une violence extrême -et leurs effets terribles sur les psychismes individuels comme le psychisme collectif.

A voir aujourd’hui la presse s’agiter comme une seule division blindée avec le « nouveau variant tellement contagieux » que l’on dit avoir détecté en Angleterre, on se demande comment faire pour que la machine à produire de la panique puisse juste se mettre en pause pour laisser un peu souffler la population.

Il y a bien sûr quelque chose d’irresponsable et de brutalement maltraitant dans cette insistance quotidienne à peindre le diable sur la muraille et achever de détruire la santé mentale de la population. C’est exactement ceci que le médecin-psychiatre décrypte et analyse ici avec une lucidité sans concession.

Au fond, c’est bel et bien la psychiatrie (la vraie, la noble, il en est aussi ô combien hélas des formes abusives) qui aura le plus manqué à nos prises de décision collectives. Les conseils scientifiques et autres task forces n’ont absolument pas intégré la variable santé mentale à leurs travaux, et sont eux-mêmes tombés dans des modes de fonctionnement et de pensée hautement pathologiques. Le prix à payer collectif de cette psychopathologie sera lourdissime.

C’est donc avec joie que je vous invite à découvrir l’article du Dr Badel, que je remercie à nouveau chaleureusement de sa confiance et de sa fidélité à ce modeste blog.

Covid 19, un virus et des hommes

par le Dr Frédéric Badel, médecin-psychiatre

En dix mois, notre quotidien a été grandement modifié et nos repères profondément changés. Notre démocratie a subi de fortes turbulences, malmenée par l’état d’urgence et les mesures rongeant nos droits fondamentaux.

L’apparition du virus nommé Covid 19 peut-il en être l’explication ?

Dès mars 2020, soit peu de temps après la date supposée d’apparition du virus, certaines incohérences dans la communication et dans la gestion de la maladie pouvaient alerter.

La création d’un conseil scientifique fin mars, composé de personnes ne tenant pas compte des données de terrain et décidant seules de mesures sanitaires nouvelles, court-circuitant toutes les instances en place, constituait une anomalie. Le confinement pour un virus ne se justifiait pas, la France n’étant pas en guerre contrairement à ce qu’annonçait le Président, et l’interdiction faite aux médecins de soigner librement leurs patients était une atteinte à l’un des piliers fondateurs de la médecine. Traiter l’infection avec du paracétamol et ne pas consulter son médecin, ou encore aller à l’hôpital directement, a participé au retard de prise en charge et à l’augmentation de la mortalité, ainsi qu’à la surcharge de certains services. Nombre de structures privées ont vu leurs lits réquisitionnés rester vides. Et dans le même temps, leurs malades habituels n’ont pu être soignés comme ils auraient dû l’être, certains en sont morts. Le traitement donné à cette épidémie, tant médical que médiatique, ne ressemblait en rien à celui donné aux précédents épisodes virologiques. Le comptage quotidien du nombre de victimes rendait l’atmosphère menaçante et contribuait à terroriser la population.

De même l’annonce dès le début de l’épidémie d’un « monde d’après » devant être opposé au « monde d’avant » amorçait une rhétorique étonnante concernant une épidémie virale.

Les médias ont très largement propagé une parole gouvernementale basée sur la manipulation (essentiellement par la peur et les modifications des indicateurs d’épidémie), sur le mensonge (au sujet de la disponibilité puis de l’efficacité des masques par exemple), sur l’infantilisation (se faire à soi-même une attestation), et sur la culpabilisation (embrasser ses proches les fera mourir).

Le nombre de morts diminuant dès le mois de mai, les indicateurs de l’épidémie ont été modifiés pour créer volontairement la confusion et l’illusion d’un virus persistant. Les malades devenant rares, ils ont été remplacés dans les chiffres par les « cas ». Ces cas, qui n’ont aucune signification épidémiologique et sont donc ininterprétables, ont été détectés à l’aide de tests qui s’avèrent donner un très fort taux de faux positifs. Mais pourtant et en dépit du bon sens, cette application à débusquer les « cas » au moyen de ce même test s’est accentué.

Le nombre croissant de « cas » a justifié la prise de mesures privatives de liberté, toutes aussi incompréhensibles, illogiques et inopérantes les unes que les autres. Leur inefficacité prévisible a été maquillée en mauvaise observance des règles et a justifié de nouvelles mesures toujours plus contraignantes, contradictoires et arbitraires.

La culture du non-sens s’est installée comme moyen efficace de sidération des masses. En témoigne la fermeture des bars et autres salles de sports et de spectacles sans protestation aucune de la majorité d’entre nous alors que, dans le même temps, l’accès reste libre aux transports en commun.

Ces techniques de manipulation ont eu pour finalité de sidérer les esprits. Terroriser une population en diffusant en permanence des messages catastrophiques n’est pas nouveau. Après un temps variable s’installe l’indifférence, l’impuissance apprise, autant de phénomènes adaptatifs naturels qui consistent à ne pas s’agiter en vain lorsqu’il est évident que le résultat ne dépend pas de l’action entreprise.

S’est ainsi installée une tolérance de plus en plus grande à la fonte de nos droits fondamentaux : les confinements, puis les couvre-feux et les fermetures arbitraires d’établissements conviviaux. La tolérance aux injustices et la soumission à l’autorité ont été mesurées en permanence, en repoussant chaque fois un peu plus loin le curseur de la restriction des libertés. Une mesure charnière a semble-t-il consisté dans l’obligation de port du masque à l’école imposée aux enfants dès six ans. Le gouvernement a su que, dorénavant, les gens étaient capables d’appliquer à leurs propres enfants des mesures pouvant nuire à leur santé physique et psychologique, sans qu’aucune preuve scientifique étayant l’utilité de tels sévices n’ait jamais été apportée. Et pourtant, peu nombreux sont ceux qui ont retiré leurs enfants des établissements scolaires.

Les données du réel, celles constatables dans le quotidien par l’observation directe (par exemple il n’y a pas des malades partout et moi-même je n’en connais pas), ne sont pas parvenus, après le mois d’avril et la fin de l’épidémie, à rétablir une organisation psychique cohérente suffisante pour éviter à certains parents d’infliger la maltraitance à leurs enfants.

Aujourd’hui, la manipulation se poursuit au moyen des mêmes méthodes pour inciter à la vaccination.

En effet, vacciner contre un virus qui expose au décès moins de 0,5 % des personnes infectées, l’âge médian des victimes étant de 84 ans, vacciner contre un virus qui, de surcroît, est régi comme ce type de virus par la règle de la mutation (plusieurs sont déjà détectées), n’est pas rationnel. C’est une absurdité sur le plan médical. Le rapport bénéfice-risque n’est pas favorable et la question de l’élaboration d’un tel vaccin ne devrait même pas se poser. De plus, les traitements pour cette affection existent et sont efficaces. Mais la science n’a pas sa place. Ce sont les médecins des plateaux-télé qui forgent l’opinion, et ce en dépit de leurs collusions avec les laboratoires sur lesquelles des comptes ne leur sont que rarement demandés.

La population est désormais scindée en deux groupes.

Le premier, hétérogène, est composé des personnes favorables au vaccin. Il réunit celles qui, par conviction ou par lassitude, sont prêtes à s’y soumettre pour sortir de la crise. Il abrite ainsi les personnes qu’il a été possible de sensibiliser, qui croient sans hésitation au message relayé par les ondes. Celles-là resteront réceptives à tous les messages de danger et agréeront la méthode de sortie de crise, fût-elle assortie de privations pérennes de leurs droits. On trouve aussi dans ce groupe les personnes qui se sont coupées de toute information depuis longtemps, pour se protéger, et qui sont devenues indifférentes à tout discours. Pour elles, l’essentiel est de ne plus entendre parler du sujet. Elles ont disqualifié tous les avis pour les neutraliser. Ainsi le leurre des tests conduisant à une épidémie de cas, sans morts ni malades, ne parvient plus à leur entendement, comme si leur cerveau avait été débranché. Leur priorité est de mettre un terme à la maltraitance qui leur est infligée en se coupant de toute nuisance.

Le second groupe rassemble les détracteurs du vaccin, ceux qui ont échappé à l’influence du matraquage médiatique, qui ont souvent pris des avis ou cherché des informations hors des sources classiques, tout en restant sensibles à la réalité de leur environnement (services hospitaliers non saturés, nombre de morts comparable aux années précédentes, mesures prises non proportionnées, amenuisement des droits fondamentaux sans justification etc.). Ces personnes ont également intégré qu’une vaccination n’exempterait pas des mesures de distanciation sociale et, par conséquent, que la convivialité ne serait pas rétablie, que le gouvernement garderait de façon arbitraire le contrôle de la population et de ses activités. Elles observent avant tout l’immixtion toujours croissante de l’État dans leur quotidien et dans leur vie privée.

Ces deux groupes sont désormais séparés par une ligne qu’il sera difficile de faire bouger. La manipulation a montré des limites qui étaient prévisibles et elle sera sans effets sur ceux qu’elle a tenté, en vain, de convaincre. Ces groupes se sont figés, leurs effectifs se sont immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noieront dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer sauf à être traité de complotiste. Les mots se seront substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils auront perdu de leur sens et véhiculeront des idées en rupture avec les faits. Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple l’acclamera, incapable de le croire mal intentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n’est donc plus temps de publier des résultats d’études prouvant l’efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionné des réactions de peur. Surdité et aveuglement règnent en maître chez les personnes qui, conditionnées, sont privées de jugement et incapables d’admettre que des faits objectifs puissent démentir la réalité qu’elles ont construite.

Organiser l’affrontement de ces deux groupes de la population est une possibilité -opportunité ?– désormais envisageable. Nos dirigeants devraient rapidement s’en saisir pour encourager une organisation sociale qui opposerait bons et mauvais citoyens, gens sains, dociles, responsables et vaccinés et gens toxiques, rebelles, inconséquents et non vaccinés. Ce système de bons citoyens est présent en Chine. Il repose sur la délation et l’obéissance à la règle.

Le bon usage par le gouvernement de la graduation dans la contrainte et la soumission du peuple conduisent à ce jour à l’acceptation d’une vaccination inutile dont la toxicité n’est pas évaluée et pour laquelle les laboratoires, compte tenu de la rapidité d’élaboration des produits, ont déjà négocié de ne pas être tenus responsables de potentiels effets secondaires, obtenant des États qu’ils répondent de telles conséquences.

Et pourquoi pas en définitive puisque les politiques sont devenus médecins. Nos gouvernants et nos parlementaires, de par leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs.

Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestres -ici au virus mortel-, le sacrifice est présenté comme salvateur. La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent.

Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt, ni l’intérêt commun supérieur. « Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible par chacun car simpliste, et hélas adoptée.

Le cap est franchi. Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement n’a plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées. Il a fait tout son possible dans le domaine de la manipulation, il a mobilisé toutes les sphères d’influence tout en restant crédible auprès d’une partie importante de la population. Pour ceux qui, rebelles, refusent d’adhérer, d’autres méthodes plus coercitives encore s’imposent.

Les signes de cette dérive totalitaire se trouvent dans les techniques de lavage de cerveau employées, identiques à celles des sectes. Elles étaient là dès le départ, mais comment croire qu’un gouvernement démocratiquement élu puisse se retourner contre son peuple ?

Aujourd’hui, une partie de ce peuple est plongée dans la pauvreté, le désarroi, les « non-essentiels » commencent à se suicider, les troubles psychiatriques se multiplient et… le conseil scientifique continue d’assurer sa grand-messe à une armée de fidèles hallucinés.

Demain, n’importe quel virus, réel ou fictif, pourra de nouveau semer la terreur chez des populations prêtes à se faire vacciner pour conserver un peu de liberté. Elles y sont prêtes. Et si les tests actuels sont encore utilisés -contre toute logique-, même les populations vaccinées seront positives et resteront contagieuses. Les mesures de distanciation resteront la règle.

Signe supplémentaire de la supercherie, les hommes qui murmurent à l’oreille des virus prédisent déjà les vagues à venir et leurs dates d’apparition. Toute science a vraiment déserté nos sociétés.  Les réseaux sociaux, « complotistes », ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles.

Les conséquences humaines sont terribles. Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert d’assurer leur salut. Ce qui fait l’humain, sa capacité à tisser des liens, son besoin d’entrer en contact avec l’autre, est menacé. Le tissu social s’est dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considération du réel. Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. Elles sont anti-sanitaires. La dictature est en marche.

Notre mode de vie a effectivement bien changé ; le Covid n’en est que le prétexte, le catalyseur. Cette dégradation de nos conditions d’existence et la disproportion des mesures prises pour lutter contre un virus donne du crédit au discours de ceux qui voient là le moyen d’instaurer un nouvel ordre mondial qui doit annihiler notre vie privée et nos droits individuels.

Les premiers constats montrent les signes de la réalisation de cet ordre nouveau.




5G : attendez-vous à des problèmes de peau et de santé généraux

[Source : La maison du 21e siècle]

Docteur en biologie (1970), Hugo Schooneveld fut chercheur principal, neurobiologiste et endocrinologue comparatif des insectes à l’Université agricole de Wageningen (1965-1999). Il y a aussi conduit des enquêtes pour évaluer les problèmes de santé après une exposition aux champs électromagnétiques (CEM), évalué l’intensité des CEM dans les maisons et les lieux de travail, développé des outils analytiques pour étudier la structure des CEM et les mélanges de fréquences générés par les équipements électroniques et les lampes à économie d’énergie, et évalué l’importance de l’électricité « sale » (interférence de hautes fréquences transitoires). Aujourd’hui retraité, il est conseiller auprès de la Fondation néerlandaise de l’électrohypersensibilité. Voici notre version française de son texte The 5G communication system – Expect skin and general health problems. AF

Résumé

Aux Pays-Bas, les premiers émetteurs de la téléphonie mobile de 5e génération ont été mis en service par trois entreprises de télécommunications. Leurs émetteurs fonctionnent principalement sur la fréquence 700 MHz. Il s’agit en quelque sorte d’émetteurs « d’entrée de gamme 5G », sans les caractéristiques des émetteurs de 3,5 GHz attendus en 2022 et ceux de 26 GHz qui arriveront en 2027 ou plus tard. Certaines personnes pourraient donc éprouver des problèmes supplémentaires de stress électrique, bref de l’électrohypersensibilité (EHS). Ceci non seulement en raison des impulsions chroniques de synchronisation 50 Hz dans le signal, mais aussi en raison des très nombreuses microantennes de 3,5 GHz qui doivent être installées et qui augmenteront ainsi l’exposition. Les émetteurs 26 GHz proposés augmenteront le risque de lésions cutanées et de perturbation des fonctions physiologiques dues à des effets non thermiques. La peau est un organe large, délicat, fin et fragile. Les limites d’exposition de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) récemment mises à jour ne prennent pas en compte la position et les fonctions spéciales de la peau. Le rayonnement 5G provoquera des effets sur la matière biologique, mais personnes n’étudie actuellement les liens entre ces effets physiologiques et de possibles problèmes de santé. Il est temps de mettre en place un groupe de travail pour élucider spécifiquement les effets du rayonnement 5G sur la peau et sur le bien-être – et ajuster les limites d’exposition en conséquence.

Émetteurs et effets biologiques par ordre d’apparition

En Hollande, trois fournisseurs Internet, KPN, VodafoneZiggo et T-Mobile, ont mis en service leurs canaux 5G après l’acquisition de licences de diffusion lors de la vente aux enchères du 21 juillet 2020. Ces licences concernent les fréquences dans la bande 700 MHz (plus 1400 et 2100 MHz). Les champs électromagnétiques (CEM) de cette fréquence atteignent une grande distance et pénètrent encore mieux les murs des maisons que ceux des émetteurs existants. Les émetteurs seront provisoirement installés sur les tours de transmission actuelles, qu’ils soient ou non intégrés aux systèmes 4G.

Dans quelques années, nous aurons les systèmes 3,5 GHz avec MIMO (Multiple-Input Multiple-Output) limité, qui seront principalement installés dans les rues et les espaces publics. Ceux-ci pourront gérer beaucoup plus de conversations et de données.

Ce n’est qu’après des années que la bande 26 GHz deviendra opérationnelle. Ces émetteurs avancés sont équipés de toutes les options 5G1, telles que les connexions ultrarapides pour de nombreux usagers simultanément avec MIMO massif et formation de faisceaux de micro-ondes pulsées. Cela donnera à tous ceux qui s’enregistrent avec un téléphone intelligent 5G leur propre connexion groupée avec l’émetteur, où qu’ils se trouvent. Compte tenu de la fréquence élevée et donc de la faible longueur d’onde, les champs de ces émetteurs seront constitués d’ondes millimétriques (ondes mm). Les systèmes 5G rayonnent tous les champs pulsés, jour et nuit, à une fréquence d’impulsion de 50 (ou 60) Hz.

Les fournisseurs d’accès Internet n’ont jamais étudié les effets potentiels sur la santé et n’ont pas l’intention de le faire2. Des centaines de scientifiques ont exprimé leurs préoccupations dans l’appel 5G, adressé à l’ONU, à l’OMS et au Programme des Nations Unies sur l’environnement3. Les raisons de ces préoccupations sont énumérées ci-dessous.

Effets sur la santé

Les champs pulsés sont généralement nocifs

Les personnes peuvent développer une hypersensibilité (allergie) au rayonnement basse fréquence des appareils électroménagers ou au rayonnement de radiofréquence (RF) des émetteurs à la maison ou à l’extérieur, ou aux deux. L’électronique numérique est dans de nombreux cas le coupable, en particulier l’alimentation à découpage de l’électronique qui produit une onde pulsée « sale » sur les câbles électriques. Environ 3 % des citoyens ont développé une hypersensibilité à cela, appelée « hypersensibilité électrique » ou électrohypersensibilité (EHS)4,5.

En outre, plusieurs appareils domestiques polluent l’éther avec des signaux de transmission de RF/micro-ondes pulsés, tels que les téléphones sans fil digitaux (DECT), le Wi-Fi, les téléphones mobiles, les protocoles Bluetooth et Zigbee et autres modes de communication. Toutes ces sources de CEM de hautes fréquences sont pathogènes. Le remède est d’éteindre ou de retirer ces équipements, sinon de s’en éloigner le plus possible6.

Les émetteurs des systèmes de téléphonie mobile de deuxième (2G), troisième (3G) et quatrième génération (4G) génèrent également des problèmes d’EHS comparables chez les riverains de ces antennes : fatigue chronique, problèmes de sommeil, bourdonnements dans les oreilles, maux de tête et nombreux problèmes dérivés7.

Ces signaux de transmission sont également pulsés. Une caractéristique physique des impulsions en électronique est que les fronts montants et descendants du signal, tels que ceux qui peuvent être visualisés sur un oscilloscope, sont très prononcés et que la durée de l’impulsion est très courte : de quelques à plusieurs centaines de microsecondes.

Certains processus physiologiques du corps sont perturbés par ces impulsions et les mécanismes impliqués ne font pas encore consensus chez les experts. Vraisemblablement, une ou plusieurs fonctions du système nerveux sont affectées, bien que ces effets précis n’aient pas été davantage analysés.

Les champs des émetteurs 5G sont également pulsés à la fréquence 50 (ou 60 Hz) par seconde8. L’arrivée de plus d’émetteurs 5G provoquera une augmentation de la pression électromagnétique sur les humains. Avec l’installation prévue d’un nombre sans précédent d’émetteurs 3,5 GHz sous forme de petites cellules dans les rues et de picocellules dans les bureaux et en tant qu’applications de l’Internet des objets (IdO) dans les maisons, il s’agira d’une hausse faramineuse du nombre total d’émetteurs8. Nous craignons pour la santé de bien des gens.

ICNIRP : « La peau doit protéger le corps contre les ondes millimétriques. »

Foutaise! La peau fait partie intégrante du corps. La peau recueille toutes les ondes mm et est susceptible de subir des dommages et – en conséquence – également l’intérieur du corps. Les ondes mm sont absorbées par les molécules d’eau, ce qui hausse la température dans les tissus, tout comme dans un four à micro-ondes. Les ondes mm pénètrent dans le corps à seulement 1 mm de profondeur ou moins et se coincent ainsi dans les structures contenant de l’eau dans la peau qui devient ainsi le principal récepteur.

La Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP)10 voit simplement la peau comme une sorte de coquille qui absorbe les ondes mm et ainsi protège le corps contre leurs effets. Elle ne considère pas la peau séparément en termes de limites d’exposition, mais comme un membre11. L’avantage de ce raisonnement, pour les télécoms, est que l’on peut augmenter l’intensité du rayonnement par un facteur de 2,5. Alors que l’ICNIRP tolère que la température corporelle puisse augmenter en moyenne de 2 °C, pour un membre c’est jusqu’à 5°C. Ceci mine la peau en y concentrant toute l’énergie radiante réellement destinée à l’ensemble du corps. La peau a une épaisseur d’environ 1 mm12, une surface de jusqu’à 2 m2 et une masse de 7 kg représentant environ 10 % de la masse corporelle13. En capturant toute énergie incidente, la peau accumule en théorie dix fois plus d’énergie électromagnétique que prévu. En fait, ce serait le cas si elle avait une structure homogène. Mais la peau contient des couches aux propriétés hydrophiles ou lipophiles. Seules les structures contenant de l’eau peuvent absorber l’énergie des ondes mm et ce sont précisément ces couches qui sont maintenant fortement surchargées. Les impacts restent à définir.

La peau, un organe large et délicat

La peau est un organe métaboliquement actif avec une structure très complexe et assure de nombreuse fonctions organiques14,  endocriniennes et immunologiques. Elle contient une série de récepteurs, dont de nombreuses terminaisons nerveuses nues (non protégées par la myéline isolante)  avec des substances neuroactives, des cytokines et d’autres composés régulateurs. Les fonctions exactes de tout cela n’ont été que partiellement clarifiées. Compte tenu de la vulnérabilité de tous ces composants aux CEM et aux ondes mm en particulier, on craint des effets sur la santé de la peau et du corps16.

Morphologie de la peau

La figure 1 ci-dessous montre la structure en couches de la peau, avec à l’extérieur la couche cornée avec des cellules mortes. Les ondes mm peuvent être partiellement réfléchies par cette couche, en fonction de sa teneur en humidité. En dessous se trouve la couche de cellules épithéliales formant la corne de l’épiderme, les kératinocytes. Le derme en dessous est la partie la plus volumineuse de la peau avec de nombreuses structures, telles que des vaisseaux sanguins, des glandes sudoripares avec drainage, des fibres musculaires, des branches du système nerveux, souvent remplies de nombreux types de capteurs de substances émettrices neuroactives, cellules sensorielles et cheveux, et divers types de cellules en mouvement libre, telles que les leucocytes, les macrophages et les cellules du système immunitaire. À la base, l’hypoderme, associé à une membrane basale et à des couches musculaires.

Figure 1. Représentation schématique d’une coupe transversale de la peau. Couches : A- stratum corneum; B- épiderme; C- derme; D- hypoderme; E- membrane basale; F- couche musculaire. Composants complets avec innervation et apport sanguin : 1- cheveux; 2- follicule pileux; 3- muscle; 4- tissu adipeux; 5- terminaisons nerveuses nues ramifiées; 6- macrophage; 7- glande sudoripare avec tube de drainage vers l’extérieur, en spirale; 8- couche musculaire; 9- veine; 10- artère. Source : Alamy Stock Photo

Fonctions de la peau

La peau n’est pas seulement l’organe cible du système nerveux et du système neurohormonal, elle est surtout une source riche de plusieurs types d’hormones et de substances immuno-actives17. La peau peut être vue comme un organe périphérique semi-autonome qui sert à protéger le reste du corps contre les dommages causés par des forces mécaniques, la déshydratation, le chaud et le froid. De plus, elle est équipée de plusieurs types de sens et senseurs pour monitorer des facteurs environnementaux pertinents.

La peau a un réseau nerveux périphérique dense pour la communication avec le système nerveux central en amont et en aval. Il existe également une communication via la circulation sanguine et des substances de signalisation du système immunitaire. Toute « expérience » est « remarquée » et conduira à des réponses compensatoires pour assurer l’homéostasie.

Effets thermiques des ondes 5G de 26 GHz

Les structures étirées dans la peau agissent comme des antennes de réception pour le rayonnement millimétrique18. Celles-ci peuvent être les vaisseaux sanguins, les espaces intercellulaires remplis de liquide et en particulier les canaux de drainage des glandes sudoripares. L’extrémité de forme hélicoïdale de ces canaux remplis d’humidité conductrice de la sueur, convient parfaitement comme19 une antenne captant les micro-ondes. On peut donc s’attendre à ce que ces canaux soient surchauffés, ce qui endommagerait la cellule elle-même et le tissus environnants.

Ce serait encore pire par endroits car les structures biologiques ne sont pas des masse conductrices homogènes. Dans une approche modèle avec des cerveaux bovins morts, le premier millimètre de masse cérébrale a été réchauffé à 35 °C après une irradiation de 30 minutes avec un champ de 39 GHz20. C’est un réchauffement environ 175 fois plus élevé qu’avec un champ de 1,9 GHz et il est expliqué par la microarchitecture du tissu cérébral. Évidemment, les méninges ne sont pas de la peau, et il y a plus d’incertitudes dans les hypothèses utilisées. Néanmoins, cela montre la simplification excessive des principes de l’ICNIRP. Le réchauffement est considéré comme un simple processus de diffusion de chaleur; en fait, la diffusion de la chaleur diffère dans les couches de tissu composite complexes.

Effets tissulaires non thermiques des ondes millimétriques

Les effets non thermiques des ondes sont d’importance biologique. Ils concernent, entre autres, les effets physiques sur la structure des biomolécules et sur le changement de fonction des processus biologiques dans lesquels la température ne joue pas de rôle21. Ces effets non thermiques se produisent à des densités de champ bien inférieures aux limites d’exposition de l’ICNIRP22.  

Effets neurologiques

Il existe plusieurs exemples de l’influence stimulante (non thermique) des ondes mm sur l’activité des tissus nerveux et cérébraux. Ce ne sont pas les corps cellulaires des neurones de la moelle épinière qui sont sensibles aux perturbations des ondes. Ce sont les morceaux « nus » d’éperons nerveux – dendrites et neurites / axones – qui ne sont pas partiellement entourés par les gaines gliales isolantes. Les nerfs « nus » dans la patte de la souris répondent à la stimulation par ondes mm avec une diminution de l’activité de pointe spontanée. Cela est dû à une diminution supplémentaire du potentiel négatif de la paroi cellulaire, ce qui la rend moins sensible à la transmission de stimulus23.

Dans une culture in vitro de neurones prélevés dans une fine tranche de cortex cérébral de rat, l’activité neuronale a pu également être supprimée par l’irradiation d’ondes milimétriques. Ce résultat a nécessité une dose ajustée avec précision (une force de stimulation faible ou trop élevée avait un effet sous-optimal). Cela est dû à la complexité du réseau de neurones dans ce morceau de tissu. L’intensité du champ de stimulation la plus efficace était des ordres de magnitude inférieure à la limite thermique pour cette gamme de fréquences24.

La fréquence de stimulation est également importante car elle peut induire des résonances selon la fréquence dans la membrane axonale nue. Là, des déplacements de membrane élastique se produisent et conséquemment les portes ioniques de la membrane ne peuvent plus se propager de manière optimale sur la membrane lipoïde et fonctionnent comme un canal ionique25.

Effets moléculaires

De nombreux effets moléculaires et cellulaires ont été trouvés avec une exposition aux ondes mm dans la gamme supérieure des GHz. Dans l’ex-Union soviétique, de nombreuses recherches ont déjà été menées à ce sujet au siècle dernier. Plusieurs problèmes de santé ont ainsi été traités avec succès30, 31. Les ondes mm ont également été démontrées efficaces pour le traitement du cancer32, mais dans le monde occidental, les publications (la plupart russes) n’ont jamais attiré beaucoup d’attention.

À la recherche des effets des ondes mm sur l’homme, Dariusz Leszczynski33 n’a trouvé que 99 articles dans les bases de données biologiques, dont seulement 11 concernaient l’homme. Il n’y a toujours pas d’image claire des principaux effets physicochimiques ou moléculaires des ondes mm sur quelque matériel biologique que ce soit. Des effets sur les cellules muqueuses, les fibroblastes, les kératinocytes, les lymphocytes et les mélanocytes ont été trouvés dans des cellules humaines in vitro. Il y avait une variabilité considérable des effets sur différents types de peau et entre les personnes. L’état de santé influe également sur la force des effets.

Des effets des ondes mm ont été trouvés sur l’expression génique, les cassures chromosomiques, le stress oxydatif, les processus immunologiques, la génotoxicité et l’inflammation, entre autres. On dit souvent que l’énergie des ondes mm serait trop faible pour influencer les interactions biochimiques. Cependant, les résonances avec les structures cellulaires ou les groupes de biomolécules chargées peuvent expliquer les effets des ondes mm, y compris la rupture des liaisons hydrogène ou les influences des forces de van der Waals34.

Changement structurel des biomolécules

L’opinion générale est que les CEM peuvent générer des résonances dans des groupes chimiques chargés à la surface des macromolécules, telles que les protéines. En raison des changements de configuration, les connexions entre la protéine et le substrat peuvent également se produire ou non. Cela s’applique à tous types de récepteurs et aux canaux ioniques de calcium voltage-dépendants35. Les groupes chargés sur les protéines des portes ioniques peuvent subir un changement de forme en raison des champs électriques alternatifs, si bien que la perméabilité des canaux calciques change. Cela s’applique également aux portes ioniques pour d’autres types d’ions36. Un apport incontrôlé d’ions peut perturber la fonction de la cellule ou de l’organe – et donc de tout l’organisme.

Effets sur le génome

La plupart des expérimentations avec les ondes mm ont été faites au cours des dernières années et sont résumées par la référence numéro26. Les recherches concernaient les effets sur les biomolécules, les potentiels de membrane cellulaire, les portes d’ions et la division cellulaire27 chez les animaux. Il y a aussi des effets sur l’expression génique, la transcription, la forme des protéines, le stress oxydatif, les réactions immunitaires et autres fonctions29. L’exposition à long terme aux champs de 35 GHz donne à la fois un stress thermique et une inflammation de la peau32. L’irradiation des rats par des champs de radiofréquences d’un téléphone sans fil numérique (DECT) ou d’un téléphone intelligent produit des changements majeurs dans la configuration des protéines dans le cerveau des souris39. En outre, l’irradiation de la peau humaine pendant une heure avec des champs de 900 MHz à partir d’un téléphone utilisant la norme GSM à un débit d’absorption spécifique de 1,3 W/kg a montré un changement dans la synthèse de huit protéines40. Ces observations indiquent que les champs de radiofréquences modifient l’expression de l’ADN et de l’ARN28.

Il faut plus de recherche, mais quel type?

Des expériences antérieures ont été menées avec des ondes mm de fréquences et d’intensités très différentes, mais aucune d’entre elles ne contenaient la fréquence précise et la modulation des données des ondes 5G actuellement utilisées. De plus, les tests ont souvent été réalisés avec des intensités de champ très supérieures aux limites ICNIRP que nous jugeons trop élevées. Nous devons répéter les expériences avec les paramètres de terrain actuels rencontrés dans la vie quotidienne. Et ceci, alors que la mise en œuvre des systèmes 5G s’effectue rapidement37.

Quel type de recherche faut-il alors faire?

Nous cherchons des « cibles » d’impact des CEM sur le corps1, 28. Il est évident qu’il y a des dommages aux cellules et à l’ADN, mais leur importance pour le développement de problèmes de santé est encore inconnue. Certains prétendent que l’augmentation de l’incidence du mélanome en Suède est le résultat d’une augmentation des lésions tissulaires par radiofréquence41. Aux Pays-Bas, il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre de cancers de la peau, de type carcinome basal, au cours des dernières années, en particulier dans la région de la tête et du cou42. C’est entièrement spéculatif, mais peut-il y avoir une connexion avec une exposition excessive des patients aux champs des téléphones cellulaires 4G? À quoi faut-il alors s’attendre des fortes densités des ondes 5G?

Des études biologiques fondamentales sur la perturbation des processus physiologiques sont indispensables, mais des études épidémiologiques bien conçues sont également nécessaires. Un rapport du Parlement européen soutient15 ce besoin. Malgré le fait que l’Union européenne ait accepté le principe de précaution38, rien n’indique que des initiatives pour de nouvelles recherches sont annoncées.

Références

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  4. Kennisplatform 2016. Consumentenonderzoek elektromagnetische velden (Kantar). https://tinyurl.com/y3xa2yq6
  5. Hedendahl L. et al. 2015. Electromagnetic hypersensitivity – an increasing challenge to the medical profession. Environ Health 30/4: 7 pp. https://tinyurl.com/y7nxhd5v
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  8. Virnich, Martin H. 2020a. Audio-Analyse von Funksignalen (interaktive DVD) https://tinyurl.com/y4bqkqj6
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  10. ICNIRP Guidelines 2020 for limiting exposures to electromagnetic fields (100 kHz – 300 GHz). https://tinyurl.com/y29uhtru
  11. Croft, R. 2020. PP-presentatie: ICNIRP, 5G, Guidelines & Health. https://tinyurl.com/y43am7u4
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Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19

[Source : Anthropo-logiques]

À n’en pas douter, c’est envers et contre tout Noël !

Après le texte remarquable du Dr Frédéric Badel, qu’il m’a donné à publier hier sur ce blog, c’est aujourd’hui la contribution de mon confrère anthropologue Jacques Pollini, chercheur associé à l’Université Mc Gill de Montréal, que je reçois.

Un texte franc, honnête, parlant, la parole d’un homme et d’un scientifique qui ne cède pas sur la nécessité de voir les choses comme elles sont.

Comme cette question risque de se poser pour chacun d’entre nous, les avis autorisés (les vrais, pas ceux qui sont achetés ou le reflet d’un simple conformisme idéologique, fût-il « scientifique ») comptent.

Je partage donc avec vous sans modération cet énoncé de raison, de valeurs et de bon sens.

(source image en-tête : Center for Disease Control, 19 décembre 2020).

Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19

[Auteur : Jacques Pollini]

Sur la planète entière, les gens sont en train de débattre pour savoir s’ils vont se faire vacciner contre la COVID-19. Est-ce un débat ou une guerre de tranchées ? Il semble que l’on soit plutôt dans la deuxième situation. Comment en sortir ? Comment établir enfin un dialogue permettant à chacun de quitter son retranchement et faire un choix informé ? Il me semble que pour sortir de l’impasse, il faut réaliser que deux questions distinctes, mais liées, se posent : celle de l’efficacité et l’innocuité des vaccins, qui est une question scientifique, et celle de la confiance envers les décideurs, qui est une question politique.

Pour la première question, seules quelques poignées d’individus peuvent répondre. Un citoyen ordinaire ne dispose pas des compétences techniques lui permettant de juger si les vaccins COVID-19 seront efficaces et inoffensifs ou pas. Notre choix ne pourra donc se baser que sur la réponse que nous donnons à la deuxième question, c’est-à-dire sur notre confiance envers nos décideurs.

Cette question se pose de manière particulièrement aiguë car la technologie utilisée dans ces vaccins est nouvelle. Il s’agit de vaccins à ARN, c’est-à-dire que des fragments de code génétique seront injectés dans notre organisme, l’objectif étant que les protéines virales codées par cet ARN soient produites par les cellules de notre organisme, déclenchant ainsi une réponse immunitaire (Ulmer et al. 2012).

Cette technologie soulève de nombreuses interrogations, notamment concernant le risque que des fragments d’ARN contenus dans les vaccins soient transcrits en ADN et s’intègrent à notre génome (Velot 2020). L’intégration de code génétique étranger à l’ADN de cellules hôtes est un phénomène qui se produit couramment, comme le montre le fait que l’ADN humain contient des séquences héritées de virus. Des chercheurs ont d’ailleurs déjà découvert des ARN chimériques humains/SARS-CoV-2, laissant penser que des fragments d’ARN de SARS-CoV-2 (le virus qui transmet la COVID-19) auraient été transcrits et intégrés à l’ADN de cellules humaines (Zhang et al. 2020). Ce risque associé aux vaccins à ARN n’est donc pas quelque chose de nouveau.

Une chose est nouvelle, toutefois. Dans la nature, l’intégration de fragments de codes génétiques étrangers au génome humain n’est pas liée à une intention humaine. Elle est le fruit du hasard ou de nécessités naturelles, tandis qu’avec la vaccination, il devient possible de choisir quel code injecter et sur quelle population l’injecter. Le vaccin à ARN, et les thérapies géniques de manière plus générale, rendent donc possible de modifier intentionnellement le code génétique humain. L’ingénierie entre dans une ère nouvelle dans laquelle elle ne porte plus seulement sur la transformation de l’environnement humain, mais peut porter sur la nature humaine, sur notre identité génétique. C’est là que se trouve le virage fondamental et il soulève des questions éthiques qui sont négligées dans les débats en cours sur les vaccins.

Bien sûr, cela ne signifie pas que les vaccins COVID-19 modifieront notre génome ou que ceux qui les ont conçus ont cette intention. Mais presque personne n’a la compétence technique ou le pouvoir juridique permettant de vérifier ces deux points. Nous n’avons donc que la confiance, accordée ou pas aux décideurs, et a ceux qui ont développés ces vaccins, pour guider notre décision.

D’autre part, l’impact sur notre génome n’est qu’un des problèmes possibles. La facilitation de l’infection par les anticorps après la vaccination (Lee et al. 2020), phénomène déjà observé dans le cas d’un vaccin contre la dengue (Normile 2017) et qui peut conduire à des formes plus graves de la maladie, est souvent discutée. A noter que si une telle facilitation d’infection avait lieu, l’opprobre serait sans doute jeté sur les non vaccinés puisqu’ils faciliteraient la circulation du virus et donc les réinfections. Un autre risque serait le développement de pathologies immunitaires en cas de réinfection par le virus après vaccination, phénomène observé sur les souris (Tseng et al. 2012). Le risque de réaction auto-immunes vis-à-vis de protéines placentaires, qui pourrait causer des stérilités, a également été évoqué, du fait de la similitude entre certaines protéines virales et placentaires. La liste des risques possibles est sans doute plus longue et certains médecins considèrent que les garanties apportées par les études réalisées par les fabriquant de vaccins ne sont pas suffisantes.

Enfin, nous n’en sommes pas à la première controverse sur les vaccins. La question des liens entre autisme et vaccins n’a toujours pas été clarifiée et aussi longtemps que le lanceur d’alerte Thompson, qui a dévoilé le masquage de ce problème par des autorités en charge de la santé aux USA, ne sera pas convoqué au Congrès américain pour témoigner sous serment, la confiance envers les vaccins et les firmes qui les fabriquent ne pourra pas être établie. Une autre affaire non élucidée concerne des vaccins contre la polio, administrés en Inde avec l’appui de la fondation Bill Gates, qui pourraient avoir causé des paralysies chez près de 500,000 enfants (Dhiman et al. 2018). Un vaccin contre la dengue développé par SANOFI et l’Institut Pasteur a également provoqué des décès aux Philippines, du fait d’une facilitation de l’infection pas les anticorps, phénomène évoqué ci-dessus.

Tout argument en faveur des vaccins COVID-19, entendu dans les médias, les instances de décisions, ou les réseaux sociaux, qui consisterait à invoquer des arguments techniques ou scientifiques pour nous convaincre que ces vaccins sont sûrs, est donc hors sujet car la question centrale est celle de la confiance, qui est perdue et pour de bonnes raisons. Sans cette confiance, ces arguments techniques ne peuvent conduire qu’à des polémiques stériles d’autant plus que pratiquement personne, voire personne, ne peut réellement trancher. Personnellement, comme beaucoup de citoyens, je n’ai pas cette confiance. Donc je ne me ferai pas vacciner. Pourquoi je n’ai pas cette confiance ? Pour les raisons mentionnées si dessus, mais aussi parce que depuis 10 mois, notre gouvernement a fait preuve d’une incompétence totale dans cette épidémie, son conseil scientifique se montrant anti-scientifique en niant ou ignorant les acquis de la science. Et parce que les algorithmes des réseaux sociaux et les « fact-checkers » sont devenus des instruments de censure et de propagande qui maintiennent nos administrations et nos médias dans le déni des faits rapportés par la science.

Pour illustrer ce déni des faits scientifiques, j’aborderai la question des traitements précoces, que j’ai suivie de près. A ce jour, plusieurs traitements précoces contre la COVID ont montré leur efficacité. Il y a eu d’abord l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine et au zinc ; puis l’azithromycine seule ou d’autre antibiothérapies ; puis l’ivermectine associée à la doxycycline ; puis la prévention par la vitamine D voire le zinc ; et enfin d’autres molécules révélées récemment comme la fluvoxamine (Lenze et al 2020) ou la bromhexine (Ansarin et al 2020). Le point commun de ces approches est qu’elles consistent à repositionner des molécules peu couteuses et déjà connues, non protégées par des brevets, et que les traitements doivent être apportés très tôt, dès la déclaration des premiers symptômes, pour avoir leur maximum d’efficacité. Des centaines de publications, dont la liste est disponible sur ce site, ont montré l’efficacité de ces traitements, les plus prometteurs étant la combinaison azithromycine/hydroxychloroquine (Risch 2020), et l’ivermectine (Kory et al. 2020), éventuellement associée à la doxycycline, traitement dont on n’entend parler ni au niveau des autorités de santé ni au niveau des médias. D’après ces publications, l’efficacité de ces traitements est telle que s’ils étaient utilisés, il n’y aurait besoin ni de confinement généralisé, ni de vaccination généralisée. La gravité de la pandémie COVID-19 deviendrait celle d’une épidémie de grippe. Malheureusement, la censure par les algorithmes des réseaux sociaux et le discrédit par les médias et les « fact-checkers  » ont rendu ces résultats quasiment inaudibles, malgré des tentatives de « fact-checking » des « fact-checkers » !

Comment a-t-on pu en arriver là ? Ne soyons pas naïfs. Le repositionnement de molécules ne génère pas de profits élevés pour l’industrie pharmaceutique, contrairement aux molécules nouvelles telles le remdesivir qu’elle a réussi à nous vendre malgré l’absence de preuves de son efficacité, et contrairement aux vaccins. Cette logique mercantile, qui a été à l’œuvre dans la pandémie et qui nous a privé de traitements, débouchant sur des centaines de millier de morts inutiles, est un crime contre l’humanité et les responsables devront être jugés. Je ne vois pas pourquoi la même logique n’agirait pas dans le cas des vaccins. Je ne vois pas pourquoi l’industrie pharmaceutique ne ferait pas passer ses profits avant l’intérêt des patients. Je ne vois pas comment je pourrais lui faire confiance quant à l’innocuité de ses produits, d’autant plus que les vaccins ont été développés très rapidement, et que leurs effets secondaires dans le long terme n’ont pas été évalués puisque les tests ont démarré il n’y a que quelques mois. L’industrie pharmaceutique est en outre exemptée d’indemnisation des patients en cas d’effets secondaires aux USA, ou cela était déjà la norme, et devra être indemnisée par les états membres en Europe si certains types de problèmes, non spécifiés, apparaissent, dans le cadre d’accords spéciaux et en dérogation aux règles habituelles.

Ainsi, à toute personne qui tenterait de me convaincre de me faire vacciner contre la COVID-19, je répondrai, clairement et simplement :

« Si c’est ma santé qui vous préoccupe, donnez-moi de l’azithromycine et de l’hydroxychloroquine, ou de l’ivermectine et de la doxycycline, ainsi que de la vitamine D et du zinc, car je sais, publications scientifiques et témoignages de médecins de renommée internationale à l’appui, que ces traitements fonctionnerons si j’attrape la COVID-19, et je n’ai donc pas besoin d’être vacciné. Si vous n’êtes pas convaincu par ce que je dis, voici la liste des publications sur le sujet : https://c19study.com/. Si vous n’êtes toujours pas convaincu, lancez des essais randomisés testant ces traitements en médecine ambulatoire. Et si vous voulez que les gens fassent à nouveau confiance aux vaccins, mobilisez des commissions d’enquêtes indépendantes pour mesurer leurs liens possibles avec l’autisme et permettre aux lanceurs d’alerte de témoigner sous serment. Et dans la foulée, demandez la mise en œuvre d’une vaste enquête internationale sur les liens et conflits d’intérêt entre industrie pharmaceutique et pouvoirs publics ».

Il y aurait beaucoup à dire sur les vaccins contre la COVID-19 mais je m’arrêterais la, car ces arguments, aussi simples soient-ils, me paraissent irréfutables et suffisants pour justifier un refus de se faire vacciner. Sans doute nos gouvernants ne voudront pas les entendre, car choisir l’ivermectine et la doxycycline plutôt que les vaccins, c’est supprimer, dans la fraction de seconde où se fait ce choix, les centaines de milliards de dollars de profits que l’industrie pharmaceutique et ses actionnaires se préparent à recevoir. Ces gens feront bien évidement tout ce qu’ils peuvent pour empêcher toute décision en défaveur des vaccins. J’espère donc que nous serons nombreux à partager cette résistance non pas aux vaccins (je ne suis absolument pas un anti-vaccin) mais a ce vaccin dans ce contexte. Nous devons faire entendre raison à nos gouvernants afin de rendre enfin disponible, massivement, les traitements contre la COVID-19, ce qui rendrait la vaccination inutile ou quasiment-inutile, pour une prise en charge précoce des patients COVID-19, notamment dans les maisons de retraite ou ils continuent de mourir non pas de la COVID-19, mais des erreurs de décideurs et Comités qui n’ont pas pris le temps de lire la littérature scientifique.