Arrêter le « Great Reset » en raison de ses conséquences dramatiques pour l’humanité

07/11/2022 (2022-11-07)

[Source : kla.tv]

Transcription

Le World Economic Forum (FME) et d’autres organisations créées par des oligarques financiers proclament depuis des années la nécessité d’un « Great Reset ». Celui-ci doit ramener la structure sociale de tous les peuples ainsi que l’économie mondiale et financière à une « nouvelle normalité ». Il s’agirait d’une mesure inévitable au vu des nombreuses crises que traverse le monde aujourd’hui. Mais quelles en seront les conséquences, quel en sera le prix ? — Des archéologues et des historiens démontrent que notre historiographie officielle est pleine de lacunes et d’invraisemblances. Ils mettent en évidence des « resets » historiques qui ont à chaque fois été accompagnés de pertes dramatiques pour l’humanité. D’autres chercheurs mettent en évidence des phénomènes inexpliqués et signalent des technologies géniales, mais tombées dans l’oubli. Et les spécialistes du cerveau considèrent comme avéré le fait que l’humanité actuelle ne peut plus utiliser que 10 % de ses capacités cérébrales réelles [NDLR Cette croyance à la vie dure est démentie par les recherches récentes en neurologie (avec notamment l’imagerie cérébrale) qui tendent au contraire à démontrer que nous utilisons la totalité du cerveau, même si toutes les zones ne sont pas actives en même temps, étant donné leur spécialisation]. Et si nous étions déjà victimes de « resets », si nous n’étions que des humains génétiquement réduits et le substitut des « humains originels » ? Cette émission un peu exigeante doit inciter à l’analyse, à la réflexion, à la discussion et à l’action. Car elle met en évidence les conséquences extrêmement graves des aménagements prévus pour le « Great Reset », actuellement envisagé par l’oligarchie financière motivée par l’eugénisme.

Indices d’une civilisation avancée antérieure

Sur tous les continents, on trouve des bâtiments (églises et dômes, mosquées, bibliothèques ouvragées, bâtiments gouvernementaux) dont le style architectural est remarquablement similaire. En raison de leur perfection technique et artistique et de leur énorme stabilité, ces bâtiments ne correspondent pas du tout à l’époque qui leur a été attribuée, qui ne possédait que des voitures à cheval et aucun moyen technique développé. S’agit-il d’indices d’une civilisation avancée antérieure, qui s’étendait apparemment sur une grande partie de l’Europe, de l’Amérique du Nord et même de l’Asie ? Un événement cataclysmique, dont les traces sont encore visibles aujourd’hui, a-t-il anéanti en grande partie cette civilisation avancée ? Nous ne trouvons rien à ce sujet dans les livres d’histoire officiels. L’humanité est-elle sciemment mise sur une fausse piste en ce qui concerne sa préhistoire ?

La coulée de boue — un passé enfoui

Dans le monde entier, on trouve dans presque toutes les grandes villes comme Berlin, Chicago, Moscou, de vieilles maisons qui semblent avoir été enfoncées dans le sol. Des sous-sols avec des fenêtres se révèlent lors de fouilles être d’anciens rez-de-chaussée. Des comparaisons de photos, de cartes et de témoignages indiquent qu’au début du 19e siècle, un événement mondial inexplicable, appelé « coulée de boue », a enseveli des civilisations entières. En outre, la topographie de différents pays, notamment d’Amérique et d’Asie, a considérablement changé à cette époque. Ensuite, selon les documents d’époque restants, de nombreuses villes ont été en grande partie inhabitées pendant environ 30 ans. Il est frappant de constater que l’ère industrielle a ensuite commencé. Des centaines de milliers d’orphelins ont été envoyés dans le monde entier pour travailler dans les usines. Bien que ce cataclysme* d’une ampleur incroyable ne remonte qu’à 200-250 ans, il a été rayé de notre histoire.

[NDLR De telles hypothèses ou affirmations demandent à être étayées par des éléments probants en quantité et qualité suffisantes.]

*Catastrophe qui détruit tout

Effacé de la conscience : Le grand empire de Tartarie

Au 18e siècle encore, la Tartarie était le plus grand empire du monde avec 3 050 000 miles carrés. Il s’étendait sur une grande partie de l’actuelle Russie, de l’Asie, de l’Europe et de l’Amérique du Nord et possédait une culture ancestrale de haut niveau. Dans l’Encyclopædia Britannica de 1771, ce grand empire était encore décrit en détail et montré sur une carte. Dans l’édition suivante, la Tartarie avait déjà été totalement supprimée de l’encyclopédie. De même, la catastrophe mondiale de la coulée de boue qui a énormément ravagé le grand empire il y a environ 300 ans n’a plus été mentionnée nulle part. Comment cela a-t-il pu se produire ? Les empires européens ont effectué un Great Reset. Elles ont conquis dans le sang tous les pays du monde et ont détruit en profondeur les anciennes cultures. Elles ont ainsi créé leur nouvel ordre mondial. Ils ont également falsifié l’historiographie afin de dissimuler ces crimes.

Îles disparues, terres et villes transformées

Sur les anciennes cartes des 16e et 17e siècles, on peut encore voir dans la région du pôle Nord quatre continents et des îles, comme la « Frise », qui ne figurent plus sur aucune carte aujourd’hui. L’Islande, le Groenland et la région polaire sont représentés sans glace et traversés par des fleuves. Des fouilles récentes en Europe centrale suggèrent que l’ancien Berlin, par exemple, était recouvert d’une « couche de tourbe » de 2,5 m de haut. Ici, les bâtiments historiques de plus de 200 ans présentent les signes typiques d’une élévation du niveau du sol. Les ruines d’anciennes villes importantes existent dans le monde entier et témoignent de civilisations autrefois puissantes. Dix des villes englouties ou abandonnées les plus connues sont Runghold, Yonaguni, Machu Piccu, Kuélap, Cappadoce, Teotihuacán, Troie, Angkor, Moenjo daro et la légendaire Atlantide. Tous ces lieux portent les marques évidentes d’une grave transformation et soulèvent la question : Le dépeuplement a-t-il été causé par un grand malheur — et pourquoi en savons-nous si peu ?

Pôles Sud et Nord — libres de glace et peuplés

La célèbre carte du monde de l’amiral turc Piri Reis de 1513 montre — avec une précision cartographique étonnante — la côte de l’Antarctique libre de glace, bien qu’il reconnaisse s’être appuyé pour cela sur des cartes des Phéniciens malheureusement disparues. Mais que s’est-il passé pour que — premièrement — la vie y soit anéantie par l’actuelle carapace de glace et que, deuxièmement, la technique de mesure manifestement très précise des Phéniciens soit perdue, voire pour ainsi dire « mise au rebut » ou « confisquée » ? Le pôle Nord, quant à lui, est représenté sur de nombreuses cartes anciennes, remontant jusqu’aux temps modernes (par exemple la carte du monde du célèbre cartographe Mercator de 1569), comme un mini-continent libre de glace et divisé par quatre fleuves. Et en effet : des analyses par sondeur ont pu y déceler des traces claires d’une infrastructure déjà développée. Et là encore, la question se pose : qu’est-ce qui a provoqué leur disparition ou qui l’a provoquée ?

L’Afrique du Nord — autrefois florissante, aujourd’hui dévastée

Des cartes de l’Afrique du Nord vieilles de plus de 300 ans ne montrent pas le désert, mais plutôt des dizaines de grandes villes et une végétation luxuriante. Il semblerait que le Sahara n’ait pris sa forme actuelle qu’il y a quelques siècles. Où sont passées ces villes et ces agglomérations ? Il est possible qu’elles aient été détruites par un événement majeur que nous ne retrouvons pas dans nos livres d’histoire. En revanche, on trouve toujours sur le territoire du Sahara des formations rocheuses qui ressemblent à des ruines après de grands incendies ou des bombardements. Dans la partie occidentale du Sahara se trouve également ce qu’on appelle « l’œil de l’Afrique », une formation de plusieurs anneaux rocheux concentriques d’environ 42 kilomètres de diamètre. Officiellement, on attribue cette formation rocheuse à l’impact d’une météorite ou à l’activité volcanique. Cependant, des structures similaires à plus petite échelle sont connues grâce à des expériences de physique des plasmas, suite à des décharges de plasma. Se pourrait-il que ces formations désertiques n’aient pas été créées par le vent et les intempéries, mais par d’énormes décharges électriques ? S’agissait-il d’un phénomène naturel ou d’une utilisation massive d’armes à énergie à l’époque préhistorique ?

Des villes fondues ?

En divers endroits du monde, il existe des villes rocheuses dont les pièces, les fenêtres et les passages ont prétendument été taillés dans la pierre par l’homme. Mais à la vue de ces formations rocheuses, on ne peut s’empêcher de penser à des constructions en pierre qui, pour une raison ou une autre, ont été ramollies, déformées puis figées à nouveau. Les soi-disant cheminées de fées en Cappadoce (Turquie) en sont des exemples, où l’on reconnaît même les toits pointus des anciennes maisons, en plus des pièces, des portes et des fenêtres. À Uplistsikhe, en Géorgie, on reconnaît encore un portail d’entrée de style gréco-romain avec une voûte et un plafond à caissons, mais apparemment fondu et donc déformé. Il en va de même pour la ville rocheuse de Petra en Jordanie, ainsi que pour les grottes de Guyaju et de Yungang en Chine. Aucun tailleur de pierre de l’Antiquité n’aurait réalisé une voûte avec autant de négligence. Quelle force était capable de faire fondre des constructions en pierre ? Était-ce un phénomène naturel ou l’utilisation de techniques d’armement avancées ?

Gratte-ciel historiques

Partout dans le monde, on trouve des tours énigmatiques pouvant atteindre 90 mètres de haut, dont la date de construction et l’utilité sont encore aujourd’hui totalement inconnues. À Bologne, il y avait jusqu’à 180 (!) tours de ce genre, mais on en trouve aussi dans l’Himalaya, en Chine, dans le Caucase… Leur destination et leur utilisation ne sont pas claires. Elles sont en effet trop étroites pour servir d’habitation ou d’entrepôt, et inutilisables pour la défense. Les 20 tours restantes à Bologne reposent aux angles sur des fondations en cristal de sélénite, la façade d’origine a manifestement été démontée. Cela met immédiatement la puce à l’oreille de tout chercheur alternatif : Les tours servaient-elles à produire de l’énergie à partir de l’atmosphère ? Une raison suffisante pour aller voir de plus près ces étranges constructions.

Les villes en étoile — des beautés architecturales dépourvues de sens ?

Des photos aériennes du monde entier montrent des villes historiques parfaitement formées et construites en étoile. Selon les cartes historiques, presque toutes les villes allemandes étaient à l’origine des villes en étoile. Le centre des vieilles villes l’est encore en partie aujourd’hui. On trouve la même chose dans le monde entier, comme par exemple à Milan (Italie), Strasbourg (France), etc. Il est intéressant de noter que ces villes sont reliées entre elles, c’est-à-dire qu’elles sont orientées les unes vers les autres. Le degré de précision est impressionnant, car il est impossible que les villes aient été construites avec les outils qui nous sont parvenus. Même de nos jours, il serait très difficile de réaliser ce que les magnifiques vues aériennes nous montrent. Mais alors, comment et par qui ? Pourquoi une forme d’étoile ? Une ville ronde aurait nécessité beaucoup moins de matériaux ! Quelle était la fonction des villes en étoile ? Au plus tard depuis l’invention de la poudre à canon, les forteresses en forme d’étoile n’ont plus de sens. De toute évidence, nous sommes privés d’une partie importante de notre histoire et de notre enseignement.

Conclusion

L’idée que, d’un point de vue historique, l’humanité ne se trouve pas, comme on nous l’a dépeint de manière trompeuse, dans une évolution constante vers le haut et vers le développement, mais dans une spirale descendante répétitive, peut être très décourageante au premier abord. Mais face au « Great Reset » annoncé, il peut ensuite fortement motiver, non seulement pour y faire face avec détermination, mais aussi pour renverser ensemble la vapeur. Souvenons-nous de nos prédispositions : Nous sommes faits pour tout transformer en mieux. Par exemple, que l’humanité retrouve globalement sa spirale ascendante prévue à l’origine et que les dévastateurs tombent dans leur propre fosse. Si ce n’est pas maintenant, alors quand ?

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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(2 commentaires)

  1. Ah nan , pitié ! Les recherches archéologiques et à propos de la préhistoire continuent. Mais pitié ! Arrêtez votre bouillie qui mélange tout ! Stop à vos divagations. Arrêtez de fumer n’importe quoi, ça abîme vos neurones, entre autres choses désagréables.

    1. Il existe tout un courant qui semble suivre ce genre de spéculations très hasardeuses et qui ne reposent que sur de très faibles indices peu probants et rarement mis en balance d’autres explications plus simples et plus probables. Ici notamment, ils occultent complètement les preuves archéologiques de techniques de construction relativement sophistiquées (et historiquement documentées) qui existaient par exemple chez les Romains.

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