01/05/2021 (2021-05-01)
[Source : Sott.net]
Par Christian Elliot — Deconstructing Conventional
Quelques amis m’ont demandé mon avis sur le(s) « vaccin(s) » anti-Covid, alors j’ai pensé qu’il était temps d’écrire un article sur le sujet. Ils n’avaient pas tous pris connaissance de la plupart des détails que j’ai déjà partagés, j’ai donc pensé que vous pourriez apprécier de lire une partie de ce que je leur ai dit. Sachant à quel point ce sujet est controversé, une partie de moi préférerait écrire sur autre chose, mais j’ai l’impression que la discussion/les nouvelles sont tellement unilatérales que je dois m’exprimer. Comme je m’efforce toujours de le faire, je promets de faire de mon mieux pour être raisonnable et en aucun cas hystérique.
Je ne suis pas ici pour me battre avec qui que ce soit, mais simplement pour vous faire part de ce que j’ai lu, de mes questions persistantes et vous expliquer pourquoi je n’arrive pas à donner un sens à ces « vaccins » anti-Covid.
Trois règles de base pour la discussion
Si vous souhaitez vous engager sur ce sujet avec moi, excellent. Voici les règles…
Je suis plus qu’heureux de correspondre avec vous si…
- vous êtes respectueux et me traitez de la manière dont vous souhaiteriez être traité ;
- vous posez des questions sincères et réfléchies sur ce qui a du sens pour vous ;
- vous faites valoir vos arguments en utilisant une logique solide et ne vous cachez pas derrière des liens ou le mot « science ».
Si vous répondez et que vous enfreignez l’une de ces règles, vos commentaires seront ignorés/supprimés.
Ceci étant dit, laissez-moi vous dire une chose… Je ne sais pas tout, mais jusqu’à présent, personne n’a été en mesure de répondre aux objections ci-dessous.
Voici donc les raisons pour lesquelles je choisis de ne pas recevoir un de ces « vaccins » anti-Covid.
N°1 — Les fabricants de ces « vaccins » sont à l’abri de toute responsabilité
Les fabricants de vaccins sont la seule industrie au monde qui n’assume aucune responsabilité pour les préjudices ou les décès résultant de leurs produits.
Établis en 1986 par la loi nationale sur les préjudices aux enfants causés par les vaccins, et renforcés par la loi PREP, les fabricants de vaccins ne peuvent être poursuivis, même s’il est démontré qu’ils ont été négligents.
Les fabricants de « vaccins » anti-Covid sont autorisés à créer un produit unique, sans aucun test sur des sous-populations — c’est-à-dire des personnes présentant des problèmes de santé spécifiques — et pourtant ils ne sont pas disposés à accepter la moindre responsabilité pour les effets indésirables ou les décès causés par leurs produits.
Si une entreprise n’est pas disposée à garantir l’innocuité de son produit, surtout s’il s’agit d’un produit qu’elle a mis sur le marché à la hâte et sur lequel elle n’a pas effectué d’essais sur les animaux, je ne suis pas prêt à prendre le risque de recourir à son produit.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.
Voici pourquoi…
N°2 — Le passé mouvementé des fabricants de ces « vaccins »
Soit les quatre grandes entreprises qui fabriquent ces vaccins anti-Covid,
- n’ont jamais mis de vaccin sur le marché avant le Covid (Moderna et Johnson & Johnson) ;
- sont des criminels en série (Pfizer/BioNTech et AstraZeneca) ;
- cochent les deux points précédents (Johnson & Johnson).
Moderna a essayé pendant des années de « Moderniser notre ARN » — d’où le nom de la société — mais n’a jamais réussi à mettre AUCUN produit sur le marché — ce qui ne les empêche pas d’être ravis d’avoir obtenu du gouvernement une importante injection de fonds pour continuer à essayer.
En fait, tous les grands fabricants de vaccins (à l’exception de Moderna) ont versé des dizaines de milliards de dollars en dommages et intérêts pour d’autres produits qu’ils ont mis sur le marché tout en sachant qu’ils pouvaient causer des préjudices et des décès — voir Vioxx, Bextra, Celebrex, Thalidomide et Opioïdes, pour ne citer que quelques exemples.
Si les entreprises pharmaceutiques choisissent délibérément de mettre sur le marché des produits nocifs, alors qu’elles peuvent être poursuivies, pourquoi ferions-nous confiance à un produit pour lequel elles n’ont AUCUNE responsabilité ?
Au cas où cela n’aurait pas été compris, laissez-moi répéter… Trois des quatre fabricants de vaccins contre la coqueluche ont été poursuivis pour des produits qu’ils ont mis sur le marché alors qu’ils savaient qu’il en résulterait des préjudices et des décès.
- Johnson & Johnson a perdu des procès importants en 1995, 1996, 2001, 2010, 2011, 2016, 2019 — et pour ce que cela vaut, le « vaccin » de Johnson & Johnson contient également des tissus provenant de cellules de fœtus avortés, peut-être un sujet pour une autre discussion.
- Pfizer a l’honneur d’avoir payé le plus gros montant de l’histoire en matière de criminalité. Ils ont perdu tellement de procès que les compter s’avère difficile. Vous pouvez consulter leur casier judiciaire ici. C’est peut-être la raison pour laquelle ils exigent que des garanties soient mis en place pour couvrir les poursuites judiciaires liées aux vaccins dans les pays au sein desquels ils ne bénéficient pas d’une protection en matière de responsabilité vaccinale.
- AstraZeneca a également perdu tellement de procès que les compter s’avère là aussi difficile. En voici un… En voici un autre… vous voyez le topo. Et au cas où vous l’auriez manqué, la société a vu son « vaccin » anti-Covid suspendu dans au moins 18 pays en raison de problèmes de thromboses, et elle a complètement bâclé sa réunion avec la FDA en présentant des chiffres de son étude qui ne correspondaient pas.
- Oh, et apparemment Johnson & Johnson — dont le « vaccin » est approuvé pour une « utilisation d’urgence » aux États-Unis — et AstraZeneca — dont le vaccin n’est pas approuvé pour une « utilisation d’urgence » aux États-Unis — ont fait une petite confusion dans leurs ingrédients… dans 15 millions de doses. Oups.
Permettez-moi de réitérer ce point :
Compte tenu de l’exonération de responsabilité et du passé douteux de ces entreprises, pourquoi devrions-nous supposer que tous leurs « vaccins » sont sûrs et fabriqués de manière complètement irréprochable ?
Dans quel autre domaine ferions-nous confiance à quelqu’un possédant ce genre de réputation ?
Pour moi, cela a autant de sens que d’attendre d’un amant sans remords, abusif et infidèle qu’il devienne une personne différente parce qu’un juge a dit qu’au fond, c’est une bonne personne.
Non. Je ne leur fais pas confiance.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.
Voici une autre raison pour laquelle je ne leur fais pas confiance.
N°3 — L’histoire peu glorieuse des tentatives de fabrication de vaccins contre les coronavirus
Dans le passé, de nombreuses tentatives de fabrication de vaccins viraux se sont soldées par un échec total, ce qui explique pourquoi nous n’avons pas eu de vaccin contre le coronavirus en 2020.
Dans les années 1960, des scientifiques ont tenté de fabriquer un vaccin contre le VRS — virus respiratoire syncytial — destiné aux nourrissons.
Dans cette étude, ils ont évité les essais sur les animaux car ils n’étaient à l’époque pas nécessaires.
En fin de compte, lorsqu’ils ont été exposés au virus en milieu naturel, les nourrissons vaccinés ont été bien plus malades que les nourrissons qui ne l’avaient pas été, et 80 pour cent des nourrissons vaccinés ont dû être hospitalisés et deux d’entre eux sont morts.
Après 2000, les scientifiques ont fait de nombreuses tentatives pour créer des vaccins contre les coronavirus.
Au cours des vingt dernières années, toutes se sont soldées par un échec car, tout comme les enfants des années 1960, les animaux participant aux essais cliniques sont tombés très malades et beaucoup sont morts.
Vous pouvez lire un résumé de cette histoire/science ici.
Ou si vous voulez lire les études individuelles, vous pouvez consulter ces liens :
- En 2004, une tentative de vaccin a provoqué une hépatite chez les furets ;
- En 2005, des souris et des civettes sont devenues malades et plus sensibles aux coronavirus après avoir été vaccinées ;
- En 2012, les furets sont tombés malades et sont morts. Et dans cette étude, les souris et les furets ont développé une maladie pulmonaire ;
- En 2016, cette étude montre également que les souris ont développé une maladie pulmonaire.
Le schéma typique des études mentionnées ci-dessus est que les enfants et les animaux ont produit de belles réponses en anticorps après avoir été vaccinés.
Les fabricants pensaient avoir touché le jackpot.
Le problème est survenu lorsque les enfants et les animaux ont été exposés au virus en milieu naturel.
Lorsque cela s’est produit, il s’est produit un phénomène inexpliqué appelé « facilitation de l’infection par des anticorps » [acronyme ADE en anglais – NdT], également connu sous le nom de « maladie facilitée par le vaccin » [acronyme VED en anglais – NdT] : le système immunitaire a produit une « tempête de cytokines » — ce qui veut dire que le système immunitaire a attaqué l’organisme de façon massive — et les enfants/animaux sont morts.
Le problème persistant est le suivant…
Les fabricants de vaccins n’ont aucune donnée suggérant que leurs « vaccins » faits à la va-vite ont surmonté ce problème.
En d’autres termes, aucune tentative de fabrication d’un vaccin contre les coronavirus n’a jamais été couronnée de succès, et la technologie de thérapie génique que sont les « vaccins » à ARNm n’a jamais été mise sur le marché en toute sécurité, mais comme ils ont reçu des milliards de dollars de financement public, je suis sûr qu’ils ont trouvé une solution.
Sauf qu’ils ne savent pas s’ils ont trouvé une solution…
N°4 — Les « données manquantes » soumises à la FDA par les fabricants de ces « vaccins »
Lorsque les fabricants de ces « vaccins » ont soumis leurs documents à la FDA en vue d’obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence — une autorisation d’utilisation d’urgence n’est pas la même chose qu’une approbation complète de la FDA — ils ont signalé, parmi les nombreuses « lacunes dans les données », que rien dans leurs essais ne permettait de penser qu’ils avaient surmonté le problème épineux de la maladie facilitée par le vaccin.
Ils ne savent tout simplement pas — c’est-à-dire qu’ils n’ont aucune idée si les « vaccins » qu’ils ont fabriqués produiront également la même tempête de cytokines — et les mêmes décès — que les tentatives précédentes de l’usage de tels produits.
Comme le souligne le Dr Joseph Mercola…
« Les précédentes tentatives de développement d’un médicament à base d’ARNm utilisant des nanoparticules lipidiques ont échoué et ont dû être abandonnées parce que lorsque la dose était trop faible, le médicament n’avait aucun effet, et lorsque la dose était trop élevée, le médicament devenait trop toxique. Une question évidente se pose : qu’est-ce qui a changé pour que cette technologie soit désormais suffisamment sans danger pour une utilisation à grande échelle ? »
Si cela n’est pas assez alarmant, voici d’autres lacunes dans les données — c’est-à-dire qu’il n’existe aucune donnée suggérant l’innocuité ou l’efficacité en ce qui concerne :
- les personnes âgées de moins de 18 ans ou de plus de 55 ans ;
- les femmes enceintes ou allaitantes ;
- les maladies auto-immunes ;
- les personnes immunodéprimées ;
- la transmission du Covid ;
- la prévention de la mortalité due au Covid ;
- la durée de la protection contre le Covid.
Difficile à croire, n’est-ce pas ?
Si vous pensez que j’invente tout cela, ou si vous voulez voir les documents réels envoyés à la FDA par Pfizer et Moderna pour leur autorisation d’utilisation d’urgence, vous pouvez consulter respectivement ceci et ceci. Les lacunes dans les données se trouvent à partir de la page 46 et 48, respectivement.
Pour l’instant, tournons nos regards vers les données brutes que les fabricants de ces « vaccins » ont utilisées pour soumettre leur demande d’autorisation d’utilisation d’urgence.
N°5 — Aucun accès aux données brutes des essais
Vous aimeriez voir les données brutes à l’origine des affirmations tant vantées dans les journaux selon lesquelles il y aurait « 90 pour cent et 95 pour cent d’efficacité » ?
Moi aussi…
Mais ils ne nous laisseront pas voir ces données.
Comme le souligne le British Medical Journal, quelque chose dans les allégations d’efficacité des « vaccins » de Pfizer et Moderna laisse franchement à désirer. Il y a eu
« 3 410 cas totaux de Covid-19 suspectés mais non confirmés dans la population globale de l’étude, 1 594 sont survenus dans le groupe vacciné contre 1 816 dans le groupe placebo. »
Attendez… quoi ?
Ont-ils échoué dans leur étude scientifique en ne vérifiant pas une variable majeure ?
Ne pouvaient-ils pas tester ces cas « suspects mais non confirmés » pour savoir s’ils étaient atteints du Covid ?
Apparemment pas.
Pourquoi ne pas tester les 3 410 participants par souci d’exactitude ?
Pouvons-nous seulement supposer qu’ils n’ont pas fait de tests parce que cela aurait faussé leurs affirmations quant à leur « efficacité à 90-95 pour cent » ?
Que fait la FDA ?
Ne serait-il pas prudent que la FDA attende, voire exige, des fabricants de vaccins qu’ils testent les personnes présentant des « symptômes de type Covid » et qu’ils publient leurs données brutes afin que des tiers puissent examiner comment les fabricants ont justifié ces chiffres ?
Après tout, on essaye quand même de convaincre chaque citoyen du monde de prendre ces produits expérimentaux…
Pourquoi la FDA ne l’a pas exigé ? N’est-ce quand même pas son objectif principal ?
Bonne question.
Serait-ce les renards qui gardent le poulailler ?
On dirait bien.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.
N°6 — Aucun test d’innocuité sur le long terme
Il est évident qu’avec les produits qui ne sont sur le marché que depuis quelques mois, nous ne disposons d’aucune donnée quant aux effets — innocuité & nocivité — sur le long terme.
En d’autres termes, nous n’avons aucune idée des conséquences de ce produit sur l’organisme dans quelques mois ou années — et ce, quel que soit le type de population [vaccinée ou pas vaccinée, jeune ou vieux, sain ou malade – NdT].
Compte tenu de tous les risques susmentionnés — risques que présentent TOUS les produits pharmaceutiques — ne serait-il pas prudent d’attendre de voir si les pires scénarios ont effectivement été évités ?
Ne serait-il pas logique de vouloir combler ces « lacunes » avant d’essayer d’injecter ce produit à chaque femme, homme et enfant de la planète ?
Eh bien… ce serait logique, mais pour obtenir ces données, ils doivent procéder à des tests sur des personnes, ce qui m’amène au point suivant…
N°7 — Pas de consentement éclairé
Ce que la plupart des personnes qui se font vacciner ne savent pas, c’est que, comme ces produits sont encore en phase d’essai clinique, toute personne qui se fait vacciner fait désormais partie de l’essai clinique.
Ils font partie intégrante de l’expérience.
Ceux — comme moi — qui ne se font pas vacciner font partie du groupe témoin.
Le temps nous dira ce qui ressortira de cette expérience.
Mais, me direz-vous, si ces « vaccins » sont nocifs, ne devrait-on pas en entendre parler partout dans les médias ?
La FDA n’interviendrait-elle pas pour interrompre la distribution ?
Eh bien, si le système de signalement des effets indésirables fonctionnait, les choses seraient peut-être différentes.
N°8 — Les effets indésirables et les décès sont sous-déclarés
Selon une étude réalisée par Harvard — à la demande de notre propre gouvernement — moins de 1 pour cent de tous les effets indésirables de ces « vaccins » sont effectivement soumis au National Vaccine Adverse Events Reports System (VAERS) [qui ne vaut que pour les États-Unis – NdT] — lire la page 6 du lien ci-dessus.
Bien que les problèmes du VAERS n’aient pas été résolus — comme vous pouvez le lire dans cette lettre au CDC — au moment où nous écrivons ces lignes [le 8 avril 2021 – NdT], le VAERS fait état de plus de 2 200 décès dus aux actuels « vaccins » anti-Covid, et de près de 60 000 réactions indésirables.
Note du traducteur : En date du 27 avril 2021, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, et pour la seule Union européenne ! Ces chiffres commencent à donner le tournis…
« Les données VAERS publiées aujourd’hui ont montré 50 861 signalements d’effets indésirables après les injections des « vaccins » anti-Covid, dont 2 249 décès et 7 726 préjudices graves entre le 14 décembre 2020 et le 26 mars 2021. »
Et ces chiffres n’incluent pas les actuels 578 cas de paralysie de Bell.
Si ces chiffres ne représentent encore que 1 pour cent du total des effets indésirables — ou 0,8 à 2 pour cent de ce que cette étude récemment publiée dans le JAMA a trouvé — vous pouvez faire le calcul, mais cela équivaut à ce jour à environ 110 000 à 220 000 décès dus aux « vaccins », et à un nombre ridicule d’effets indésirables.
Je parie que vous n’avez pas vu ça aux infos.
Ce nombre de décès serait actuellement encore inférieur aux 424 000 décès [aux seuls États-Unis – NdT] dus aux erreurs médicales qui se produisent chaque année — dont vous n’entendez probablement pas parler non plus — mais le déploiement de ces « vaccins » a débuté il y a moins de six mois.
Si vous souhaitez approfondir les problèmes liés au système de signalement VAERS, vous pouvez consulter ce document ou celui-ci.
Mais il y a aussi mon prochain point, qui pourrait laisser à penser que ces « vaccins » anti-Covid sont inutiles…
N°9 — Les vaccins ne préviennent ni l’infection ni la transmission
Attendez, quoi ?
Ces vaccins ne sont-ils pas censés constituer la solution tant attendue pour « revenir à la normale » ?
Non.
Pourquoi pensez-vous que nous recevons tous ces messages contradictoires sur la nécessité de pratiquer la distanciation sociale et de porter des masques même APRÈS avoir reçu un « vaccin » ?
La raison en est que ces « vaccins » n’ont jamais été conçus pour arrêter la transmission OU l’infection.
Si vous ne me croyez pas, je vous renvoie aux documents soumis à la FDA dont j’ai donné le lien ci-dessus.
L’objectif principal — ce que ces « vaccins » sont censés accomplir — est de réduire vos symptômes.
Ça ressemble à tous les autres médicaments sur le marché, non ?
C’est ça… la réduction des symptômes est le grand bénéfice que nous attendions.
Est-ce que ça semble complètement inutile à quelqu’un d’autre que moi ?
- Il ne peut pas nous empêcher de propager le virus.
- Il ne peut pas empêcher le virus de nous infecter une fois injecté.
- Se faire vacciner, c’est accepter tous les risques de ces produits expérimentaux et le mieux qu’il puisse faire, c’est de réduire les symptômes ?
Quoiqu’il en soit, il existe bien des moyens à ma portée pour réduire mes symptômes sans prendre ce qui semble être un produit très risqué.
Maintenant, en ce qui concerne la prochaine question logique :
Si nous sommes préoccupés par les disséminateurs asymptomatiques, le « vaccin » ne rendrait-il pas plus probable la création d’une dissémination asymptomatique ?
S’il réduit effectivement les symptômes, les personnes qui le reçoivent peuvent ne pas savoir qu’elles sont malades et sont donc plus susceptibles de propager le virus, non ?
Pour ce que ça vaut, j’ai entendu beaucoup de gens dire que les effets secondaires du « vaccin » — surtout la deuxième dose — sont pires que d’attraper le Covid.
Je n’arrive pas non plus à comprendre ce que cela signifie.
Prendre le risque.
Ne pas être protégé.
Subir les effets secondaires du « vaccin ».
Continuer à porter son masque et à se distancier socialement…
Et continuer à être à même de propager le virus.
Quoi ?
Et ça devient de pire en pire.
N°10 — Certaines personnes sont infectées par le Covid après avoir été complètement vaccinées
Tu parles d’une poisse.
Tu es vacciné et tu es quand même infecté par le Covid.
- Ça arrive dans l’État de Washington.
- C’est arrivé à New York.
- Ça arrive dans le Michigan.
- C’est arrivé à Hawaï.
- C’est aussi le cas dans plusieurs autres États.
- C’est arrivé à 80 pour cent des 35 nonnes qui ont été vaccinées dans le Kentucky. Deux d’entre elles sont d’ailleurs mortes.
En réalité, ce phénomène se produit probablement partout, mais ce sont ces cas qui font l’actualité actuellement.
Compte tenu des raisons énumérées ci-dessus — et de celles qui suivent — cela ne vous surprend peut-être pas, mais si vous pensiez que le « vaccin » était un bouclier pour vous protéger, vous allez être déçu.
Ce n’est pas le cas.
Cela n’a jamais été le but.
Si 66 pour cent des professionnels de santéde Los Angeles vont retarder ou ignorer le « vaccin »… c’est qu’ils ne sont peut-être pas non plus emballés par une science bâclée.
Peut-être qu’ils observent la manière louche dont les décès et les cas sont communiqués…
N°11 — Le taux de mortalité globale dû au Covid
Selon les propres chiffres du CDC, le Covid a un taux de survie de 99,74 pour cent.
Pourquoi prendrais-je le risque de me faire injecter un produit qui n’empêche pas l’infection ou la transmission, tout ça pour m’aider à vaincre un rhume qui a 0,26 pour cent de chances de me tuer — en fait, dans ma tranche d’âge, c’est environ 0,1 pour cent, et 0,01 pour cent pour mes enfants — mais ne coupons pas les cheveux en quatre.
Avec une probabilité — taux de mortalité — aussi faible, nous serons enfermés chaque année… c’est-à-dire pour toujours.
Mais attendez, qu’en est-il des 500 000 morts et plus, c’est alarmant non ?
Je suis content que vous posiez la question.
N°12 — Les chiffres des morts dus au Covid sont surgonflés
Dans cette affaire, il y a vraiment quelque chose de bizarre.
Dans l’histoire des certificats de décès, c’est la première fois que notre propre gouvernement a changé la façon dont ces derniers sont déclarés.
Pourquoi déclarons-nous désormais que toutes les personnes qui meurent avec le Covid sont mortes du Covid, plutôt que des comorbidités qui sont réellement responsables de leurs trépas ?
Jusqu’à l’apparition du Covid, tous les coronavirus — rhumes courants — n’étaient jamais répertoriés comme la principale cause de décès lorsqu’une personne mourait d’une maladie cardiaque, d’un cancer, d’un diabète, d’une maladie auto-immune ou de toute autre comorbidité majeure.
La maladie était indiquée comme la cause du décès, et un facteur de confusion comme la grippe ou la pneumonie était indiqué sur une ligne distincte.
Pour gonfler encore plus le nombre des décès, l’OMS et le CDC ont modifié leurs directives de sorte que, et sans que cela ne nous soit jamais confirmé, les personnes probablement mortes ou suspectées de l’être à cause du Covid sont également incluses dans le nombre des décès.
Sérieusement ?
Si nous devons procéder ainsi, ne devrions-nous pas revenir en arrière et modifier les chiffres de toutes les saisons de rhume et de grippe passées afin de pouvoir comparer des pommes avec des pommes en ce qui concerne les taux de mortalité ?
Selon les chiffres mêmes des CDC — voir la section « Comorbidités et autres conditions » — seuls 6 pour cent des décès attribués au Covid sont des cas où ce dernier semble avoir été le seul problème en cause.
En d’autres termes, réduisez de 94 pour cent le nombre de décès annoncés aux informations et vous obtenez ce qui est probablement le nombre réel de décès dus au seul Covid.
Même si l’ancien directeur du CDC a raison et que le Covid-19 est un virus amélioré en laboratoire — voir la raison n° 14 ci-dessous — un taux de mortalité de 0,26 pour cent reste conforme au taux de mortalité virale qui fait le tour de la planète chaque année.
Ensuite, il y a ce type, Fauci.
J’aimerais vraiment lui faire confiance, mais outre le fait qu’il n’a pas traité un seul patient atteint du Covid… vous devriez probablement savoir ce qui suit…
N°13 — Fauci et six autres personnes du Niaid possèdent des brevets du « vaccin » Moderna
Grâce à la loi Bayh-Dole, les fonctionnaires sont autorisés à déposer des brevets sur toute recherche qu’ils effectuent avec l’argent des contribuables.
Tony Fauci possède plus de 1 000 brevets — voir cette vidéo pour plus de détails— y compris des brevets utilisés pour le « vaccin » Moderna… dont il a approuvé le financement gouvernemental.
En fait, le NIH — dont le NIAID fait partie — revendique la propriété conjointe du « vaccin » Moderna.
Suis-je le seul à considérer cela comme un conflit d’intérêt MAJEUR, voire criminel ?
Je dis criminel parce qu’il y a aussi ce problème pesant qui me rend encore plus méfiant à l’égard de Fauci, du NIAID et des NIH en général.
N°14 — Fauci est sur la sellette pour des recherches illégales sur les gains de fonction
Qu’est-ce que la recherche sur les « gains de fonction » ?
Les scientifiques tentent de faire en sorte que les virus acquièrent des fonctions — en gros, ils deviennent plus transmissibles et plus mortels.
Ça semble pour le moins un peu contraire à l’éthique, non ?
Quelle pourrait bien en être l’utilité ?
Notre gouvernement était d’accord et en a interdit la pratique.
Alors qu’a fait le NIAID dirigé par Fauci ?
Ils ont changé d’orientation et ont externalisé en Chine la recherche sur les gains de fonction — dans les coronavirus, rien de moins — pour un montant de 600 000 dollars.
Vous trouverez plus de détails, y compris l’importante chronologie de ces événements, dans ce film documentaire qui s’appuie sur une recherche extrêmement approfondie.
M. Fauci, vous avez des explications à fournir… et j’espère que les caméras enregistreront le moment où vous devrez défendre vos actions.
Pour l’instant, tournons notre attention vers le virus…
N°15 — Le virus continue à muter
Non seulement le virus — comme tous les virus — continue de muter, mais selon Geert Vanden Bossche, concepteur de vaccins de renommée mondiale — que vous rencontrerez ci-dessous si vous ne le connaissez pas — il mute environ toutes les 10 heures.
Comment diable allons-nous continuer à créer des « vaccins » pour suivre ce niveau de mutation ?
C’est impossible.
Cela pourrait-il également expliquer pourquoi des personnes entièrement vaccinées sont malgré tout infectées par le Covid ?
Pourquoi, alors que l’immunité naturelle n’a jamais failli à l’humanité, ne lui faisons-nous soudainement plus confiance ?
Pourquoi, si je pose des questions comme celles qui précèdent, ou si je publie des liens comme ceux que vous trouvez ci-dessus, mes réflexions seront supprimées de toutes les grandes plateformes de médias sociaux ?
Cela m’amène au prochain problème troublant que je rencontre avec ces « vaccins ».
N°16 — La censure… et l’absence totale de débat scientifique
Arrivé là, je ne peux m’empêcher d’être sarcastique, alors d’avance, pardonnez-moi.
Avez-vous apprécié tous ces débats animés, retransmis à l’échelle nationale et mondiale, organisés par des responsables de la santé publique et diffusés en simultané sur toutes les grandes chaînes d’information ?
N’était-ce pas formidable d’entendre les meilleurs esprits en médecine, virologie, épidémiologie, économie et les spécialistes des vaccins du monde entier débattre vigoureusement et respectueusement de sujets comme :
- les confinements ;
- le port du masque obligatoire ;
- la distanciation sociale ;
- les essais d’efficacité et d’innocuité des « vaccins » ;
- comment dépister la sensibilité aux préjudices causés par les « vaccins » ?
- les thérapies — à savoir les options non vaccinales.
N’était-ce pas formidable de voir la « science » des responsables de la santé publique — qui n’ont jamais traité personne atteint du Covid — remise en question ?
N’était-ce pas formidable de voir le comité de la FDA interroger publiquement les fabricants de vaccins à une heure de grande écoute, alors qu’ils étaient sous le feu de questions difficiles quant à leurs produits pour lesquels leur responsabilité ne peut pas être engagée ?
Oh, attendez… vous n’avez pas vu ces débats ?
Non, vous ne les avez jamais vus… parce qu’ils n’ont jamais eu lieu.
En revanche, ce qui a bien eu lieu, c’est une censure autoritaire de toute information hormis celles concordant à l’unique narration officielle.
Ironiquement, Mark Zuckerberg peut remettre en question l’innocuité des « vaccins », mais pas moi ?
Hypocrite ?
À quel moment le premier amendement est-il devenu une suggestion ?
Il s’agit du PREMIER amendement Mark — celui que nos fondateurs pensaient être le plus important.
Avec autant d’enjeux, pourquoi ne nous donne-t-on à entendre qu’une seule narration… ne devrait-on pas y avoir plusieurs points de vue qui seraient débattus de manière professionnelle ?
QU’EST-IL ARRIVÉ À LA SCIENCE ?
Qu’est-il arrivé à la méthode scientifique consistant à toujours remettre en question les hypothèses formulées ?
Qu’est-il arrivé au débat animé dans ce pays, ou du moins dans la société occidentale ?
Pourquoi quiconque est en désaccord avec l’OMS ou le CDC est-il si lourdement censuré ?
La science de la santé publique est-elle devenue une religion,
ou la science ne devrait-elle pas reposer sur le débat ?
Si quelqu’un dit « la science est établie », je sais que j’ai affaire à une personne qui a l’esprit fermé.
Par définition, la science — en particulier la science biologique — n’est jamais établie.
Si c’était le cas, ce serait un dogme, pas une science.
OK, avant de trop m’énerver, laissez-moi vous dire ceci…
JE VEUX ÊTRE UN BON CITOYEN.
Je le pense vraiment.
Si le confinement fonctionne, je veux faire ma part et rester chez moi.
Si les masques fonctionnent, je veux les porter.
Si la distanciation sociale est efficace, je veux m’y conformer.
Mais s’il est prouvé que ce n’est pas le cas — comme pour les masques par exemple — je veux aussi entendre cette preuve.
Si des scientifiques de renom ont des opinions différentes, je veux savoir ce qu’ils pensent.
Je veux avoir la possibilité d’entendre leurs arguments et me faire ma propre opinion.
Je ne pense pas être la personne la plus intelligente du monde, mais je pense pouvoir réfléchir.
Je suis peut-être bizarre, mais si quelqu’un est censuré, alors je veux VRAIMENT entendre ce qu’il pense.
Pas vous ?
À tous mes amis qui n’ont pas de problème avec la censure, aurez-vous la même opinion lorsque ce que vous pensez sera censuré ?
La censure n’est-elle pas la technique des dictateurs,
des tyrans et des personnes avides de pouvoir ?
N’est-elle pas le signe que ceux qui censurent savent que c’est le seul moyen de gagner ?
Et si un homme qui a passé toute sa vie à développer des vaccins était prêt à mettre toute sa réputation en jeu et à demander à tous les dirigeants mondiaux d’arrêter immédiatement les « vaccins » anti-Covid en raison de problèmes scientifiques ?
Et s’il plaidait pour un débat scientifique ouvert sur une scène mondiale ?
Voudriez-vous entendre ce qu’il a à dire ?
Voudriez-vous voir le débat qu’il demande ?
N°17 — Le plus grand spécialiste des vaccins au monde tire la sonnette d’alarme…
Voici ce qui pourrait être la plus grande raison pour laquelle ce « vaccin » anti-Covid n’a pas de sens pour moi.
Lorsqu’une personne très pro-vaccins, qui a passé toute sa carrière professionnelle à superviser le développement de vaccins, crie sur tous les toits que nous faisons face à un problème majeur, je pense que cet personne doit être entendu.
Au cas où vous l’auriez manqué, et au cas où vous auriez envie de savoir ce qu’il dit, voici les explications de Geert Vanden Bossche :
- Pourquoi le « vaccin » anti-Covid pourrait exercer une telle pression sur le virus que sa capacité à muter et à devenir plus mortel s’en trouverait accélérée.
- Pourquoi les « vaccins » anti-Covid pourraient créer des virus résistants aux vaccins — comme les bactéries résistantes aux antibiotiques.
- Pourquoi, en raison de problèmes antérieurs liés à la facilitation de l’infection par des anticorps, nous pourrions être confrontés à une explosion de victimes dans les prochains mois ou années.
Si vous voulez voir/lire un deuxième entretien, plus long, avec Vanden Bossche, dans lequel des questions difficiles lui ont été posées, vous pouvez consulter ceci.
Si la moitié de ce qu’il dit se réalise, ces « vaccins » pourraient être la pire invention de tous les temps.
Si vous n’aimez pas sa science, discutez-en avec lui.
Je ne suis que le messager.
Mais je peux aussi parler du Covid d’un point de vue personnel.
N°18 — J’ai déjà eu le Covid
Je n’ai pas apprécié.
J’ai eu un méchant rhume pendant deux jours :
- des douleurs incessantes aux fesses et au bas du dos ;
- une très faible énergie ;
- une faible fièvre.
C’était bizarre de ne pas pouvoir sentir quoi que ce soit pendant deux jours.
Une semaine plus tard, le café avait toujours un goût « mauvais ».
Mais j’ai survécu.
Maintenant, il semble — comme cela a toujours été le cas — que j’ai une belle immunité naturelle, à vie…
… et non pas quelque chose qui risque de s’estomper en quelques mois si je me fais vacciner.
Pour mon organisme, comme pour ma famille, le Covid c’est du passé.
En fait, maintenant que je l’ai eu, il existe des preuves que le « vaccin » anti-Covid pourrait être plus dangereux pour moi.
Ce n’est pas un risque que je suis prêt à prendre.
En résumé
Ce qui précède ne sont que mes raisons de ne pas vouloir le « vaccin ».
Peut-être que mes raisons ont du sens pour vous, peut-être pas.
Quelles que soient celles qui ont un sens pour vous, j’espère que nous pourrons rester amis.
Pour ma part, je pense que nous avons beaucoup plus en commun que ce qui nous sépare.
- Nous voulons tous vivre dans un monde de liberté.
- Nous voulons tous faire notre part pour aider les autres et vivre bien.
- Nous voulons tous avoir le droit d’exprimer nos opinions sans craindre d’être censurés ou vicieusement attaqués.
- Nous méritons tous d’avoir accès aux faits afin de pouvoir prendre des décisions éclairées.
Que vous soyez d’accord ou pas avec moi, je ne vous traiterai pas différemment.
Vous êtes un être humain tout aussi digne d’amour et de respect que n’importe qui d’autre.
Pour cela, je vous salue et je vous souhaite vraiment le meilleur.
J’espère que vous aurez trouvé cet article utile.
Si oui, n’hésitez pas à le partager.
Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à me faire part — gentiment — de ce qui n’a pas eu de sens pour vous et je serais heureux d’entendre également vos réflexions.
Restez curieux et restez humble.
Jusqu’à la prochaine fois,
Christian
P.S. : Si vous pensez que j’ai bien étudié ce sujet, imaginez toutes les idées que je pourrais mettre en œuvre pour vous aider à préserver votre santé. Aider les gens à être en bonne santé, c’est ce que je fais toute la journée, tous les jours.
P.P.S. : La santé ne peut pas être injectée, mais elle peut être acquise.
Source de l’article initialement publié en anglais le 8 avril 2021 : Deconstructing Conventional
Traduction : Sott.net
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