Yves Rasir un peu fâché sur Louis Fouché

07/06/2023 (2023-06-07)

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

On pourra raconter à nos petits-enfants qu’on y était. Avec ses 4 000 participants enthousiastes, ses 40 intervenants de renom (Jean-Dominique Michel, Philippe Guillemant, Alexandra Henrion-Caude, Michel de Lorgeril, Henri Joyeux, France Guillain, Eduard Van den Bogaert, Philippe Résimont…) et ses 150 exposants (dont les éditions Néosanté), le Congrès de Médecine Intégrative qui s’est tenu le week-end dernier dans le Jura aura vraiment tenu toutes ses promesses. Comme le cadre était magnifique, le soleil aussi radieux que les visages et l’organisation irréprochable, la réussite de cet événement peut franchement être qualifiée de totale. Dommage peut-être qu’il ait manqué de musique durant ce Woodstock de la résistance. Avec HK sur scène, sûr que la farandole finale du dimanche soir serait restée gravée dans la mémoire des festivaliers. Personnellement, je suis très satisfait d’avoir suscité un intérêt qui s’est traduit par des dizaines de nouveaux abonnements à notre revue, et aussi par le passage à notre stand de nombreux abonnés fidèles qui tenaient à nous féliciter et nous remercier pour le travail accompli. Toutes ces marques de soutien et de gratitude, ça fait forcément plaisir et ça encourage à garder le cap. Mon seul regret, c’est de ne pas avoir pu discuter plus de 5 minutes avec le parrain de ce congrès, le Dr Louis Fouché. Avant et après sa conférence conclue par une standing ovation, le très populaire médecin anesthésiste a été tellement sollicité par ses admirateurs qu’il m’a été impossible de tailler une bavette et de peler un œuf1 avec lui.

Une nouvelle doxa made in America

Car si je reste « fan » du fondateur de RéinfoCovid et que je suis bien content d’avoir contribué à sa notoriété en lui consacrant 3 interviews en 3 ans dans notre mensuel, je suis quelque peu déçu et fâché par sa dernière apparition sur les réseaux sociaux. Dans la vidéo que voici, Louis Fouché confie en effet qu’il a été médusé par l’allocution du Dr David E. Martin lors du sommet qui s’est tenu mi-mai au parlement européen. Il a été à ce point scotché par la présentation du businessman américain qu’il a tout pris pour dollar comptant et qu’il est désormais convaincu que le virus est bien une création de laboratoire, développé à des fins bioterroristes. Dans ma lettre du 17 mai, j’ai pour ma part exprimé une opinion très différente, que je me permets de reproduire ici :

« Lors de l’International Covid Summit » qui vient de se tenir au parlement européen, le Dr David Martin a expliqué que le projet de « militarisation de la nature » remonte aux années 60 et que sa concrétisation peut se suivre à travers la succession de brevets sur des séquences génomiques. Plus de cent patentes concernent les coronavirus et les vaccins destinés à les combattre. OK, mais en quoi ce bricolage informatique atteste-t-il de la létalité du virus chimérique dans la réalité ? Et les expériences dont parle le Dr Martin, qui peut affirmer qu’elles ont été couronnées de succès ? À mon sens, le ramdam scientifico-médiatique sur cette lubie de gain de fonction est plutôt une fiction gagnante qui permet de faire diversion. La théorie de la virologie dangereuse se substitue à celle du virus dangereux, mais c’est la même fumisterie du fléau infectieux qui sert d’écran de fumée et qui est servie à la crédulité des masses. Pendant que toute l’attention est attirée sur le « nouveau coronavirus » et son étrange « site de clivage de la furine », on oublie que des armes bien réelles et bien mortelles ont été déployées par les autorités dans le cadre de la pseudo-pandémie planifiée ».

Malgré mon commentaire critique, des tas d’internautes m’ont envoyé la vidéo où David Martin « sidère » l’assistance. Et depuis sa sortie, j’ai reçu au moins 20 fois celle où Louis Fouché partage sa conversion à la thèse du gain de fonction et de l’arme biologique. Ne vous donnez pas cette peine, chers lecteurs : cela fait trois ans pour ma part que j’entends les propos du Dr Martin et cela fait trois ans que je n’y trouve pas le moindre soupçon d’argumentaire convaincant. Oui, des savants frappadingues s’amusent à bricoler des virus pour les rendre plus virulents ou plus contagieux. Oui, Big Pharma était à l’affût du jackpot vaccinal et a breveté certaines séquences génomiques retrouvées dans le sars-cov-1 et le sars-cov-2. Mais je ne vois toujours pas un commencement de preuve que les créations de labos peuvent infecter un être humain et le rendre malade. Manipulés ou non, le caractère pathogène des virus n’a d’ailleurs jamais été établi selon les postulats de Koch. Une bio-arme, le vilain coco ? Dans les fameuses diapositives qui ont frappé Fouché et que France-Soir a divulguées en bas de cet article confus, je n’aperçois pas non plus un début de preuve qu’une particule virale ait pu être transformée en instrument meurtrier. Beaucoup de chercheurs ont cherché, soit, mais rien ne démontre qu’ils ont trouvé quoi que ce soit. Ce qui me sidère, moi, c’est que le narratif du Dr Martin, par ailleurs proche du Congrès américain et actif dans le secteur des tests diagnostiques et de la technologie sans fil, soit adopté sans sourciller par la résistance. De Robert Kennedy à Jean-Dominique Michel en passant maintenant par Louis Fouché, les lanceurs d’alerte se plient à cette nouvelle doxa made in America sans se poser de question. Surprising! [Surprenant !]

[Voir aussi :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et pour les anglophones, les premières minutes de la vidéo suivante où la docteur Lee Merritt (qui a travaillé comme médecin militaire) dit ce qu’elle pense des « armes biologiques » :
https://www.bitchute.com/video/rc671mEl3sLd/]

Même Fouchier ne suit pas Fouché…

De mon côté, je pense qu’il faudrait continuer à écouter Didier Raoult qui, dernièrement encore, a réaffirmé ne pas croire à l’hypothèse de l’origine artificielle, alors qu’il est lui-même reconnu internationalement comme expert en armes biologiques (le gouvernement US lui avait demandé d’enquêter après l’affaire de l’anthrax en 2001). Je pense aussi que les autorités chinoises, qui contestent l’implication du labo P4 de Wuhan, ne sont pas nécessairement en train de mentir pour étouffer un méga-scandale potentiel. Je pense surtout qu’il faut examiner les sources disponibles avec un scepticisme de bon aloi, voire avec une défiance toute zététicienne. La semaine dernière, j’ai encore lu un livre (« Covid-19, les dossiers dangereux », du grand reporter Philippe Aimar) qui prête foi à la thèse bioterroriste. Cet ouvrage est très intéressant, son auteur apporte beaucoup d’éléments troublants, notamment la série de morts suspectes qui ont précédé et jalonné la pseudo-pandémie, mais il échoue à démontrer que celle-ci soit le produit d’un virus militarisé. Dans un chapitre, le journaliste rappelle utilement que la panique au gain de fonction remonte aux « découvertes » du néerlandais Ron Fouchier. Chercheur et professeur à l’Erasmus Medical Center de Rotterdam, ce virologue réputé a prétendu il y a une douzaine d’années être parvenu à faire muter l’agent infectieux de la grippe aviaire et à le rendre plus dangereux. Tout le monde a crié au fou — Néosanté aussi à l’époque — et le chercheur batave a lui-même annoncé qu’il suspendait ses travaux par précaution, avant de se raviser sous la généreuse pression (9,5 millions de dollars) de la Fondation Bill & Melinda Gates. Officiellement effrayés par la possibilité que le A/H5N1 modifié tombe en de mauvaises mains, les États-Unis ont alors demandé la censure des publications du Pr Fouchier, ce qui entraîna 8 mois de débats agités, mais n’empêcha pas le « découvreur » et son équipe de publier un article dans la revue Science. Qu’apprend-on dans cette étude ? Quelque chose d’épouvantablement terrifiant (lol) : à force d’inoculations répétées, les scientifiques sont arrivés à « transmettre » le virus aviaire à des mammifères, en l’occurrence des furets, et à faire mourir une partie d’entre eux. Et c’est tout ? Oui, c’est tout. Depuis 2012 et jusqu’à aujourd’hui, le scénario cauchemardesque et apocalyptique de la pandémie virale dévastatrice repose essentiellement sur la mort de quelques mustélidés torturés à Rotterdam. Ce matin, j’ai visionné en vitesse une conférence donnée en décembre dernier par Ron Fouchier. Non seulement le virologue hollandais ne dit rien de neuf, mais il n’émet à aucun moment l’hypothèse que la grippe covid puisse être issue d’un coronavirus « weaponisé ». Si même Fouchier n’accrédite pas Fouché, pourquoi faudrait-il s’apeurer ? Jusqu’à preuve du contraire, ce qu’on appelle virus n’est pas militairement manipulable.

Les voix et la voie snobées par Louis

Si je défends bec et ongles mon point de vue « virorassuriste », c’est d’abord parce que je pense qu’on nous balade depuis le début pour occulter le véritable arsenal déployé en 2020. Pendant que les partisans de la zoonose naturelle et ceux de l’origine artificielle se disputent sur la place publique, on ne parle pas (assez) des hydrogels développés par la DARPA (l’agence de recherche du Pentagone), des nanomatériaux médicaux déjà inclus dans des médicaments ou des vaccins, et du très toxique oxyde de graphène identifié dans les fioles par des chercheurs indépendants et déjà omniprésent dans notre environnement. La piste virologique permet d’escamoter la piste d’un empoisonnement chimique inavouable et probablement « multicanal ». Quand donc le Dr Martin dressera-t-il la liste des multiples brevets déposés sur les applications des dérivés de graphène au cours de la dernière décennie ? N’oublions pas que depuis la nuit des temps, les stratèges s’ingénient à leurrer l’ennemi pour mieux lancer leurs attaques. Si je campe sur mes positions virosceptiques, c’est ensuite parce que de nombreux médecins et scientifiques ont profité de la mascarade covidienne pour démonter la théorie pasteurienne du germe. Pour les bilingues passifs que cela intéresse, je signale que ces voix dissidentes, pour la plupart anglo-saxonnes, participent le 20 juin prochain à un grand événement baptisé « The end of covid », la mise en ligne de 90 visioconférences dézinguant de fond en comble le narratif covidiste. À cette occasion, le mythe du méchant virus misanthrope et celui du gain de fonction angoissant seront sans doute expédiés par le fond. Enfin, je ne crois pas à la thèse bioterroriste, car je suis pour l’heure très emballé par la vision des virus selon Jeff Green, dont je vous parlais la semaine dernière et qui fait l’objet d’un long dossier dans le Néosanté de juin. D’après cette théorie audacieuse, mais solidement argumentée, les virus existent, mais ne sont ni exogènes ni contagieux puisqu’ils apparaissent spontanément dès qu’un organisme doit se dépolluer. Ce sont des sortes de mini « Kärchers » enzymatiques qui entrent en action quand le terrain est gravement perturbé. Pour préparer notre conversation espérée, j’avais envoyé à Louis Fouché un numéro numérique de notre mensuel en le priant poliment de le lire, car Jef Green représente, à mes yeux une passionnante voie de compréhension du monde viral. À ma grande déception, Louis ne l’avait pas encore fait lorsque nous nous sommes brièvement parlé dans le Jura. Et à mon vif désappointement, l’initiateur du Conseil Scientifique Indépendant m’a balancé que « Néosanté niait les virus » et que ce n’était pas sa tasse de thé. Aurions-nous commis un crime de lèse-consensus, cher Dr Fouché ? Primo, nous ne nions pas l’existence des virus, mais nous donnons la parole aux médecins et aux microbiologistes qui vont jusque-là, nuance ! Excusez-nous de faire un boulot journalistique. Secundo, on peut admettre l’existence des virus et les disculper complètement, ce que fait magistralement Jeff Green. Lui aussi, qui est canardé des deux côtés, mérite d’être écouté. Et tertio, rien de sérieusement étayé ne permet d’affirmer que l’hypothétique virus couronné a été transformé avec succès en arme de guerre. En adhérant si candidement à ce discours militaro-pasteurien, Louis Fouché me semble bien parti pour se fourvoyer et pour ajouter à la colossale escroquerie des maladies prétendument virales et tout-terrain. C’est fâcheux et ça me fâche un peu.

Yves RASIR

1 Ma correctrice bretonne me signale que « peler un œuf » est une expression belge. Elle signifie avoir une franche explication, régler un différend. Voir ici pour mieux comprendre ce belgicisme.

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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(9 commentaires)

  1. L’arme biologique, c’est le vax.
    L’arme du virus, c’est la télé.

    Le virus n’est qu’un rhume++ saisonnier manipulé par la télé en virus mortel dans la tête des peureux sans une once de jugeotte, au bonheur :

    de big_pharma, des actionnaires, des toubibs, des soignants, des hopitaux, des statiticiens, des transporteurs en fourgon, des pharmacies, des toubibs de télé, des aéroports, des marchands de frigo_vax, des Praud, des pas Praud, d’onfraie, des pompes funèbres, des infirmières pictout, des fabricants de matériel médical type respirateur, des ambulanciers, des marchands d’imprimantes, des assurances_vie, des marchands d’encre à ausweiss, des notaires, des marchands de sacs mortuaires, des masques (même dieudonné…), de l’industrie du papier, de la bourse, des PEA, des retraités (Pea), des influenceurs internet, des vendeurs de bouquins  » sensas « , de la Cgt pro vax en entreprise, des producteurs de télé, des producteurs de produits bio anti-rhume et, des Pv (probablement privatisé sous un n° Siren comme l’état français (revoir de gaulle par Philippe Ploncard d’Assac ) …) mais à 135 euros pièce etc.

    bref, une énorme, une colossale pompe à fric spéciale  » neuneu « .

    Notez quand même au passage que trumpette a commandé 100 millions de doses vax. Poutine son vax et son pass lui aussi (…) et même, l’Iran qui entra dans le délire à fric.

    Quand y a plus de malades ou d’hypocondriaques à guérir (…) et bien les affaires ont mal.

    Revisionnez ce film : Le docteur knock, véritablement un chef d’oeuvre, une leçon de choses ou comment transformer un village sans aucun malade, en usine à fric et sans télévision….

  2. Je rapelle qui si le « virus » n’a pas été prouvé scientifiquement d’une manière qui satisfait la « secte » (l’isolation selon le postulat de machin chose), ceux qui se répandent en ce moment sur les blofs alternatifs pour vendre leur soupe, n’ont rien prouvé DU TOUT de leurs théories alternatives.

    Ainsi on entend parler de bio-photon, d’ondes de trucs psychosomatiques… MAIS à aucun moment il y a le début d’une preuve dite « scientifique ». Ainsi les virus ont leur « séquence », le reste n’a rien. Rien du tout.

    Dès lors un truc imparfait est pour le moment moins pire que juste des théories fondées sur rien du tout.

    1. Vous semblez ignorer que l’on ne peut pas prouver que quelque chose n’existe pas et que donc la charge de la preuve ici est à ceux qui prétendent que les virus pathogènes existent. Il leur suffit d’ailleurs pour cela de parvenir à réellement et scientifiquement isoler, purifier et caractériser un exemplaire, puis de démontrer qu’il suit bien les postulats de Koch et transmet la maladie « virale » spécifique à d’autres personnes par des voies naturelles (et non pas par injection). Or, jusqu’à maintenant ils ne sont pas parvenus à démontrer leurs affirmations, ceci depuis plus d’un siècle qu’ils s’y acharnent. Aussi, ils sont sortis de la science en rendant leur hypothèse incontestable. Ils ont prétendu que désormais il n’y avait plus besoin des postulats de Koch pour démontrer l’existence de virus et que leur rituel de soi-disant isolement (culture virale, centrifugation… séquençage) permettait de le démontrer, ce qui est totalement faux comme plusieurs articles repris sur le site l’ont admirablement démontré.

      L’absence éventuelle et pour l’instant de théorie alternative parfaitement démontrée de bout en bout n’est pas du tout un argument recevable pour justifier qu’une théorie fallacieuse (la virale ici) serait pourtant vraie.

      1. on tourne en rond.

        Il y a des faits : les gens tombent malades, se contaminent et peuvent en mourir.
        Pour certain, si on vaxXxine, la maladie circulent moins (juste coïncidence ou pas). il y a donc quelque chose qui se transmet. C’est la réalité que montre l’observation et l’expérience. Le long article sur la rougeole que vous ne voulez pas lire (pourquoi lirais-je vos truc du coup ?) liste des tas de « coïncidence » qui collent parfaitement avec la théorie d’un pathogène biologique qui se transmet.

        Partant de là; la théorie est qu’il y a un pathogène. certains sont conus, bactéries, bacilles… et sont photographiéset identifiés. D’autres sont attribués à des « virus » que l’on a séquencé génétiquement (comme on fait pour l’adn humain). Il n’y a AUCUNE preuve de l’adn humain, on ne l’a pas photographié, on ne l’a pas isolé… c’est peut être juste un tryc de bouffons. La méthode de « preuve » ne vous satisfait pas, ok, mais cela ne vous autorise pas à sortir les théories les plus farfelus sans avoir à montrer le moindre début de preuve.

        Il y a autant de chance que ce soit un bio-photon qu’une punition divine. le pathogène biologique (peut être que le « virus » est juste une autre sorte de bactérie) est la théorie la moins fantasque. Mais isolé un bio-photon et on en reparle.

        Le postulat de koch remonte à bien loin et la science à pas mal avancée depuis. peut être sommes nous ne présence de quelque chose qui ne peut être montré par ce postulat, pour de multiples raisons.

        1. Il faut éliminer toutes les causes alternatives possibles pour pouvoir scientifiquement établir un lien de cause à effet.
          Coïncidence n’est pas causalité. Les mouches et les vers abondent sur les poubelles et les cadavres, mais n’en sont pas la cause.
          https://www.quebecscience.qc.ca/14-17-ans/encyclo/correlation-coincidence-ou-causalite/
          La méthode scientifique doit procéder à des expériences de contrôle à chaque étape, ce qui n’est pas fait en virologie et dans les prétendues sciences annexes comme l’épidémiologie (qui traite de plus ou moins vagues corrélations, alors que les statistiques seules ne permettent pas d’établir l’existence de liens de cause à effet. Sans compter les nombreux cas d’erreurs fondamentales dans l’utilisation de l’outil statistique, comme il a été montré dans des commentaires précédents par un mathématicien spécialiste en la matière).
          Le vaccin peut notamment apparemment fonctionner juste par l’effet placebo, la croyance en son fonctionnement, une question de foi, donc.

          1. Pour ce qui est de gens qui tombent malades en même temps, cela est arrivé maintes fois dans des restaurants ayant servi des fruits de mer. Tous ceux qui en avaient mangé avaient été intoxiqués par la même toxine qui s’y trouvait. Ils ne se sont pas transmis la maladie. Simultanéité n’implique pas contamination de proche en proche.
            Que se passait-il dans les écoles où surgissaient les épidémies apparentes de rougeole ? A-t-on examiné la composition chimique des repas servis à la cantine scolaire ? L’eau du robinet dans les couloirs ou les toilettes ? La qualité de l’air ? Le calendrier vaccinal ? Etc. Toutes les causes possibles sont loin d’avoir été étudiées sous l’angle d’une véritable démarche de recherche scientifique.
            Par contre, les biais de confirmation abondent et rendent plus ou moins aveugle aux alternatives.

        2. Vous voulez des faits, en voilà : en Afrique noire, environ 1 milliard d’habitants, une paille, il ne s’est rien passé depuis le début de la maladie de la Couille Vide.
          Les africains, moins cons et moins scotchés à BFM WC Drahi que les occidentaux, ont tout refusé (à au moins 95%), y compris et surtout les injections du poison Bourla.
          Moralité : il ne s’est rien passé.
          Alors, il est parti où le virus Omicron en provenance d’Afrique du Sud ?
          Il a évité le continent africain en faisant un détour par l’océan avant d’arriver en Europe?

          Vous feriez bien d’étudier les travaux d’Antoine Béchamp (les microzymas) qui a expliqué cette escroquerie Pasteurienne qui dure depuis trop longtemps.

  3. Monsieur Rasir, je partage totalement votre point de vue.
    Lors d’une rencontre avec Perronne, il a montré un agacement extrême lorsque j’ai évoqué la thèse « no virus ».
    Je pense que tous ces carabins, que je qualifierais même de Diafoirus, ont tellement été formatés par l’équipe Pasteur-Rockefeller-Big Pharma qu’ils ont de grandes difficultés pour sortir de La Caverne.

    Les voix françaises dissidentes sont bien présentes aussi avec Antoine Béchamp, à tout seigneur tout honneur, pour le passé et Alain Scohy, Jérémie Mercier, Pierre Chaillot, Tal Schaller ou Astrid Stuckelberger pour le présent (je pense en oublier).

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