Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Par Liliane Held-Khawam

Comment transformer notre monde, la société, et donc l’humain ?

Révolutionner l’organisation sociétale est une obsession des dirigeants européens en vue de la réalisation des objectifs du Programme de développement durable 2030 des Nations Unies. Le nom complet de celui-ci est d’ailleurs: » « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». Les 3 premiers mots de ce titre sont indispensables à la compréhension de ce qui se passe. Ce site et les livres qui y sont présentés poursuivent tous le même objectif: comprendre et faire comprendre les stratégies et moyens utilisés pour réaliser cette révolution qui vise rien de moins que la restructuration de la vie la vie sur terre. Et cela passe par la révolution numérique et l’industrie qui la sous-tend.

Le graphène en fait partie, et occupe une bonne place dans le Digital Single Market de l’UE. Une thèse relevait en 2015 que le graphène est une nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présentant des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Ceci ajouté à une faible densité et une très grande surface spécifiquefait que l’ajout de graphène et de nanoparticules dérivées (oxyde de graphène, graphite exofilé) pour renforcer des matrices polymères est devenu un sujet d’études d’intérêt majeur dans le domaine des nanocomposites

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01138100/
Les terrains d’application dans le but d’aller toujours plus vite, toujours plus haut, pour toujours moins cher.
fet_flagships_factsheet_20190905_final_d79bb51d-92f1-0390-5359064ac3e6f5b1_61526-graphene

L’oxyde de graphène, un outil de disruption technologique indispensable à la révolution digitale

L’oxyde de graphène est semble-t-il un composant majeur qui doit participer à cette révolution globale. Ce mot est évité au profit de la disruption technologique, histoire de ne pas trop expliquer en quoi cette chose consiste. Au final, il s’agit de la même chose. En fait, il s’agit ni plus ni moins de faire advenir la 4ème révolution dont parle Klaus Schwab qui devrait mener au transhumanisme, lui-même n’étant qu’un phase transitoire vers le posthumanisme.

Et les révolutionnaires ne lésinent pas sur les moyens. Et c’est à cela que l’on reconnait le degré d’importance accordé à un projet: le fric mis à disposition. Ainsi, la Commission européenne, les Etats membres et Etats associés financent un programme de 1 milliard d’euros afin de réaliser les objectifs de disruption basés sur le graphène.

Selon des membres du Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche , « le programme phare sur le graphène est la plus grande initiative de recherche de l’UE à ce jour et, selon la Commission européenne, « la plus grande distinction de l’histoire pour l’excellence de la recherche ». Doté d’un budget d’un milliard d’euros, le programme Graphene Flagship a pour mission de faire passer le graphène du domaine des laboratoires universitaires à la société européenne dans dix ans – générant ainsi de la croissance économique, de nouveaux emplois et de nouvelles opportunités pour les Européens en tant qu’investisseurs et employés. Avec le programme Graphene Flagship, l’Europe a lancé une nouvelle forme d’initiative de recherche commune et coordonnée d’une ampleur sans précédent. Graphene Flagship réunit un consortium académico-industriel visant une percée en matière d’innovation technologique. L’effort de recherche couvrira l’ensemble de la chaîne de valeur, de la production des matériaux à l’intégration des composants et des systèmes, et visera un certain nombre d’objectifs spécifiques qui exploitent les propriétés uniques du graphène.« 

https://graphene-flagship.eu/

L’oxyde de graphène, le matériau qui permet la surveillance de la santé! Étude à lire. INDISPENSABLE

L’orientation des soins de santé humaine s’est progressivement déplacée des hôpitaux vers les communautés (familles, individus) nous dit une étude qui présente la médecine idéale où la santé humaine est sous surveillance permanente grâce à des capteurs composés de graphène. Les hôpitaux classiques et autres personnels soignants qui ne sont pas préparés à la télémédecine risquent de se retrouver hors du système dans peu de temps. Souvenez-vous d’ailleurs quand nous avions abordé les sujets qui semblaient lointains. Eh bien le lointain est devenu actuel. 

https://lilianeheldkhawam.com/2018/10/28/etes-vous-daccord-davoir-un-clone-numerique-vous-laurez-quand-meme-lhk/

Extraits de l’étude

Des efforts considérables ont donc été consacrés aux capteurs et aux dispositifs de surveillance de la santé. En raison de ses caractéristiques uniques, notamment ses propriétés chimiques et physiques, le graphène est extrêmement attrayant pour l’électronique flexible et les capteurs.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Dans cette revue, les réalisations récentes dans les capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine, y compris les capteurs portables flexibles non invasifs et les dispositifs invasifs ont été examinées. Les capteurs à base de graphène ont été explorés pour mesurer un large éventail de signes vitaux et de biomarqueurs du corps humain, qui sont très prometteurs dans un avenir prévisible pour des applications dans les soins de santé, la médecine personnalisée/préventive, le traitement des maladies, l’interaction homme-machine, comme ainsi que les interfaces cerveau-ordinateur.De nouvelles structures ont été utilisées pour améliorer les performances, tandis que leurs mécanismes de détection et les innovations technologiques ont également été discutés en profondeur.

Les capteurs portables non invasifs sont plus acceptables et souhaitables dans les applications de soins de santé, car ils sont moins invasifs et réduisent les risques tout en maintenant leur fonction et leurs performances. L’attitude du public envers les appareils portables est passée de la curiosité aux soins de santé de qualité clinique (Rogers et al., 2019). Cependant, il reste encore un long chemin à parcourir avant de répondre aux exigences des dispositifs médicaux. Avec les progrès des matériaux et des techniques de fabrication, les dispositifs médicaux implantables deviennent de plus en plus attractifs, en raison de leur capacité à surveiller de manière précise et à long terme l’état des tissus, des organes, du système, tout en fournissant également des conseils/des assistants/des pronostics pour diagnostic et thérapeutique, qui remplacent progressivement les appareils portables et portables traditionnels. Cependant, pour les dispositifs implantables, plusieurs défis tels que la biocompatibilité, l’encrassement biologique ainsi que l’alimentation électrique doivent être résolus. L’électronique transitoire/biodégradable présente un immense potentiel dans les applications implantables, qui peuvent être dégradées de manière contrôlée et/ou auto-déclenchante sans chirurgies secondaires ni risques d’infection. Par ailleurs,la chose intéressante est que les feuilles de GO hautement dispersées peuvent être biodégradées par la myéloperoxydase qui est dérivée des neutrophiles humains, qui peut être utilisée dans l’électronique biodégradable pour les implants (Kurapati et al.,2015).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg
Présentation de la plate-forme de capteurs à base de graphène (y compris oxyde de graphène)
pour la surveillance de la santé.
Une distinction majeure peut être faite entre les applications non invasives et invasives, y compris les capteurs portables pour surveiller les signaux biophysiques, biochimiques, environnementaux et les dispositifs implantables pour le système nerveux, cardiovasculaire, digestif et locomoteur. 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Bien que les capteurs à base de graphène aient reçu une attention considérable dans la surveillance de la santé et les applications biomédicales, il est crucial de considérer l’impact du graphène et de ses dérivés sur la santé humaine, tels que sa biocompatibilité, sa toxicité, ainsi que ses risques potentiels pour l’environnement avant que le graphène ne soit intégré à la peau humaine, en particulier lorsqu’il est implanté dans le corps humain. De nombreuses études ont été consacrées aux nanomatériaux à base de graphène (GBN). Cependant, il y a encore un manque de recherche systématique sur la santé humaine ou les effets environnementaux (Dasari Shareena et al., 2018).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Cependant, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions en raison de la rareté des données et du manque de compréhension des effets d’accumulation à long terme (Fadeel et al., 2018).

À lire : 
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/31/vos-donnees-biologiques-et-medicales-sont-lenjeu-et-ce-nest-pas-facultatif-vincent-held/

Méconnaissance de l’impact de l’oxyde de graphène sur la santé. Étude internationale

L’euphorie due à ce produit miracle peut se transformer un de ces jours en catastrophe aussi bien pour la santé humaine que pour celle de l’environnement. Une étude publiée à fin 2018 tirait la sonnette d’alarme:

« Le graphène et ses dérivés sont présentés comme des matériaux « miracles » avec de nombreuses applications dans différents secteurs de la société, de l’électronique au stockage d’énergie en passant par la médecine. L’exploitation croissante des matériaux à base de graphène (GBM) nécessite une évaluation complète de l’impact potentiel de ces matériaux sur la santé humaine et l’environnement. Ici, nous discutons de la synthèse et de la caractérisation des GBM ainsi que de l‘évaluation des risques humains et environnementaux des GBM à l’aide de systèmes modèles in vitro et in vivo dans le but de comprendre les propriétés qui sous-tendent les effets biologiques de ces matériaux ; tous les GBM ne se ressemblent pas et il est essentiel de démêler les relations structure-activité pour cette classe de matériaux. »

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche 
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-73908.html

En novembre 2018, ces scientifiques écrivaient que « La caractérisation des matériaux, à son tour, est un élément clé de l’évaluation des dangers. L’évaluation toxicologique des nanotubes de carbone en est un exemple. Il y a dix ans, il a été suggéré que les nanotubes de carbone présentent une pathogénicité « de type amiante » dans un modèle animal en ce sens que les nanotubes de carbone longs et rigides, mais pas courts ou enchevêtrés, ont provoqué la formation de granulomes et une inflammation après injection intrapéritonéale chez la souris. Nous comprenons maintenant que les nanotubes de carbone adhèrent dans une certaine mesure au paradigme dit de la fibre pathogène, et que certains types de nanotubes de carbone multiparois peuvent être considérés comme potentiellement cancérigènes pour l’homme. Cependant, d’autres membres de la même famille de matériaux se sont révélés non toxiques et peuvent même subir une dégradation, suggérant que tous les nanotubes de carbone ne ressemblent pas à l’amiante (examiné dans la réf). En fait, les nanotubes de carbone, s’ils sont purifiés de manière appropriée et modifiés en surface, offrent des perspectives prometteuses en nanomédecine, par exemple pour l’administration et/ou l’imagerie de médicaments ou de gènes. » 

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Quelques remarques finales de l’étude citée ci-dessus sont plus que fascinantes au vu des textes que nous aborderons plus bas dans cette publication. En voici quelques-unes:

  • Le présent aperçu de la littérature a montré que même si l’évaluation des dangers des GBM arrive à maturité, avec un nombre toujours croissant d’études portant sur l’impact potentiel des GBM sur les systèmes vivants, des lacunes dans les données subsistent, ce qui, par conséquent, empêche la prédiction de toxicité basée uniquement sur les propriétés matérielles des GBM.
  • Pour conclure, le battage médiatique qui suit inévitablement les progrès technologiques devrait être tempéré par une évaluation scientifique solide de l’impact potentiel sur la santé humaine et l’environnement afin d’assurer le développement sûr et durable de nouveaux produits et applications. La présente étude de la littérature peut peut-être servir de première étape vers une collecte systématique de données sur la sécurité ou la biocompatibilité des GBM.

L’oxyde de graphène dans le vaccin induit la mort cellulaire! Étude chinoise

Il y a un an, une étude chinoise portant le titre de « Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur potentiel de vaccin et adjuvant » a été publiée après avoir été transmise en février 2020. Un troublant just in time puisqu’elle arrive au moment du démarrage de la crise covidienne dont le vaccin pourra bénéficier de la technologie.

Encore plus intriguant, ils admettaient dans leur publication l’usage de l’oxyde de graphène en médecine. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Or dans la phrase suivante, on peut lire Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Plutôt effrayant non?

Des adjuvants et des transporteurs ont été ajoutés de manière appropriée à la formulation du vaccin pour améliorer l’immunogénicité de l’antigène et induire une immunité de longue durée. Cependant, il existe un besoin urgent de développer de nouveaux adjuvants tout usage car certains adjuvants approuvés pour un usage humain ont une fonctionnalité limitée. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Pour pallier ces limitations,divers protocoles de modification de surface ont été utilisés pour intégrer des substances compatibles aqueuses avec GO afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

Vous constaterez que hormis une personne pharmacienne, les auteurs chinois de ladite étude sont actifs à l’ École de médecine ou des matériaux de l’Université des sciences et technologies électroniques de Chine. Le profil de cette école de médecine est troublant et nous rappelle notre papier qui se demandait si la santé avait été transmise aux ingénieurs…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

L’étude espagnole qui montre que malgré toutes les mises en garde, les industriels envoient de l’oxyde de graphène dans le corps humain!

Voici une étude qui témoigne que l’oxyde de graphène est envoyé dans le corps humain par plusieurs voies: les masques, les écouvillons des PCR, et les vaccins. Ce produit toxique que nous pourrions qualifier de poison est non seulement présent dans les masques, mais aussi dans les écouvillons et dans les vaccins. Des chercheurs espagnols ont jeté un gros pavé dans la mare en apportant la preuve de cette présence inquiétante. La chose est édifiante, scandaleuse et très probablement criminelle. Il faut le dire et le faire savoir. Bref, la vidéo est sous-titrée en anglais.



[Ndlr : version doublée en français :]



Le biostatisticien Ricardo Delgado, le Dr José Luis Sevillano et l’équipe de chercheurs et de professeurs avec lesquels le site LA QUINTA COLUMNA ont mené leurs recherches ont confirmé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les flacons de vaccination. Traduit et sous-titré par Orwell City (www.orwell.city).

Merci au site « Ciel voilé » qui nous a remis le document en espagnol.

deteccion-de-oxido-de-grafeno-en-suspension-acuosa.-informe-preliminar-1-dr.-pablo-campra-madrid

Les médias mainstream admettent enfin la présence du graphène dans les masques… pas encore dans les vaccins.

Si votre enfant ne supporte pas le port du masque, c’est dû au fait que celui-ci héberge très probablement des intrus indésirables qui portent le nom de nanoparticules d’oxyde de graphène. (Voir la vidéo ci-dessus). Il y a quelques semaines, les médias mainstream ont dû rendre compte de la présence problématique de nanoparticules d’oxyde de graphène dans certains masques testés. Et ces particules qui sont inhalées ne sont pas neutres en matière de santé. De fait, elles sont hautement dangereuses.

« Tout a commencé cette année au Canada, au Québec précisément, où 30 millions de ces masques FFP2 ont été distribués notamment dans les écoles. Les autorités constatent alors une multiplication de remontées de symptômes qui vont de difficultés à respirer à des irritations de la peau.

BFMTV.com

Fin mars, le ministère de la Santé décide de rappeler tous les masques en circulation qui ont été distribués et émet un avis radical. « Santé Canada conseille aux Canadiens de ne pas utiliser de masques faciaux contenant du graphène, car ils pourraient inhaler des particules de graphène, ce qui pourrait poser des risques pour la santé ».

En avril, un particulier lance même une action collective contre un distributeur. « Les masques en graphène ont été faussement présentés comme sûrs pour les humains, malgré de nombreuses connaissances contraires », peut-on lire dans le libellé de la poursuite déposée par le Groupe de Droit des Consommateurs, cité par Le Journal de Montréal. » 

Dans le cas de l’équipe espagnole on n’a analysé que certains masques. Mais voilà, il y a tous ceux qui ne l’ont pas été et qui continuent d’inonder la place publique, dont les écoles! Et plutôt que de faire retirer ces masques et de laisser les enfants respirer librement, on préfère palabrer sur la question. « Y-a-t-il un vrai risque pour la santé? La question est loin d’être tranchée. Comme tout nanomatériau, le graphène peut présenter des risques, surtout s’il est ingéré ou respiré. Mais on ne sait pas s’il y a un vrai risque d’inhalation par les humains à travers un masque. Les études sont encore en cours. » 

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Les « normes qui entourent le graphène ont été établies pour un contexte d’utilisation classique du nanomatériau, c’est-à-dire installé à l’intérieur d’appareils électroniques, pas dans un masque qui est à proximité de la bouche et du nez d’êtres humains. »

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Que les études prennent du temps n’est pas un problème, mais que des autorités sanitaires totalement débordées depuis un an ne sonnent pas l’arrêt du port du masque au nom du principe de précaution est un immense scandale!

Et alors que certains produits empoisonnent littéralement les citoyens, on nous tient des discours abracadabrants sur des molécules qui ont soigné depuis des de nombreuses décennies… Nous pensons évidemment aux antibiotiques, à l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine.

HeiQ Materials AG dépose un brevet conjointement avec l’École polytechnique de Zurich (ETHZ). But fabriquer des membranes de graphène

HeiQ, une entreprise zurichoise spécialisée dans les technologies qui rendent les tissus « intelligents », avait développé un traitement antiviral appelé Viroblock, que l’on peut appliquer sur des masques chirurgicaux, des blouses médicales ou des gants. Voici donc le masque qui détruit les virus. Et ce miracle de la technologie est présenté par la société HeiQ en tant qu’outil antiviral pouvant combattre entre autres le Covid-19. Il est donc plus qu’un outil de protection.

Et cette entreprise est associée à l’EPFZ (ETH) dans le cadre d’un brevet qui concerne la fabrication de membranes de graphène:  » La présente invention concerne un procédé de production de membranes poreuses (« trouées ») de graphène qui sont imperméables tout en étant hautement respirantes en raison de la transmission améliorée de la vapeur à travers les pores perforés à l’intérieur des couches de graphène ». Vous pouvez lire le brevet (ou pas) et découvrir l’association qui est faite avec les matériaux (cuivre, argent, etc.)… Et tout ces trésors incluant l’oxyde de graphène sont travaillés à l’échelle nanométrique.

Annexes

Le marché des masques traités anti-virus en plein boom grâce au Covid-19. La société HeiQ Materials AG.

Le port du masque n’est pas près d’être suspendu. Il fait partie de la nouvelle société en cours de transhumanisation.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/23/vers-le-port-permanent-dun-masque-connecte-la-maltraitance-morale-de-nos-jeunes-en-question/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/28/le-masque-premier-pas-vers-le-transhumanisme/comment-page-1/

Les investisseurs se régalent de cette innovation prometteuse de gros sous. De plus, les autorités sanitaires regardent ailleurs, et même vont jusqu’à financer… Un régal financier! 

https://resources.swissquote.com/sites/default/files/2021-02/swi_1_epaper_fr.pdf

Masques et tissus « intelligents » pour désactiver le Covid-19…

Le brevet n’étant pas disponible, il nous est impossible de dire si la société HEIQ, co-détentrice du brevet concernant le graphène (ci-dessus), fabrique ses masques en tissus intelligents avec ou sans graphène…

… et beaucoup d’autres virus

Vous trouverez dans cette vidéo la manière dont fonctionne l’une des inventions qui permet à ces tissus « intelligents » de combattre les virus. Des particules d’argent (nanoparticules ?) vont détruire les virus en les attirant d’abord (effet magnétique ?).




L’opération Covid-19 met à nu le « Nombre de la Bête »

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

« (…)fait que, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, soient marqués sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ou vendre à moins qu’il a la marque. »

Nouveau Testament, Apocalypse, chapitre 13

Comme la vague de criminalité Covid est si ÉNORME, il y aura de graves conséquences !

Il y a maintenant des fissures énormes et irréparables qui s’ouvrent dans la façade du Plan Covid-Arnaque (Plandemie).

Le SYSTÈME de la BÊTE

La chose extraordinairement unique à propos de cette plus grande conspiration criminelle mondiale de l’histoire du monde, c’est qu’elle devait impliquer tout le monde – chaque entité institutionnelle majeure, c’est-à-dire qui était nécessaire pour mener à bien ce gigantesque canular.

Cela signifie que le  SYSTÈME DE LA BÊTE[1] a  révélé à quel point il est puissant et omniprésent à travers la planète.

Le graphique suivant ne capture que certaines de ces entités institutionnelles et mouvements mondialistes qui ont constitué le  SYSTÈME DE LA BÊTE depuis le tout début. Il comprend également des opposants féroces qui ont exposé le canular CORONA actuel  .

CARTE DE CONSPIRATION CRIMINELLE COVID

Même un examen superficiel du précédent diagramme du complot COVID-5G révèle que chaque grande institution mondiale et nationale, qui est vitale pour la continuité du  SYSTÈME DE LA BÊTE, s’est inscrite sur la « carte de la frénésie de crime Covid » en constante évolution.

La première de ces organisations criminelles est peut-être le complexe gouvernemental et médical (GMC) qui a participé à ce génocide mondial sans précédent en tant que principal criminel opérationnel de Covid.

Le GMC comprend l’OMS, le CDC, la FDA, le NIH [dirigé par Fauci], l’AMABig Pharma [Ndlr : ensemble des grosses entreprises pharmaceutiques] et plusieurs autres poids lourds de la santé qui ont tous conspiré pour mener un complot criminel extrêmement complexe afin de commettre un génocide mondial et de couvrir la vague mondiale de criminalité Covid. [Ndlr : cela reste malgré tout une hypothèse.]

Dès le départ, les chances d’empêcher un complot criminel aussi complexe de se dénouer complètement étaient minces, voire inexistantes, et plus proches de « NULLES ». En effet, comment compter sur les innombrables co-conspirateurs pour se serrer les coudes lorsque les choses deviennent difficiles — vraiment difficiles, comme c’est sur le point de l’être alors que les perspectives d’un nouveau verrouillage mondial augmentent en raison du « variant Delta » inexistant et totalement faux.
[Voir : ]LA VARIANTE DELTA REDOUTÉE :
une autre opération noire de Covid et un psyop mondial de proportions épiques

Le fait que la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial ait même imaginé qu’elle pouvait maintenir cette conspiration criminelle et cette dissimulation témoigne d’un degré d’orgueil et d’arrogance jamais atteint dans l’histoire.

Maintenant que l’ensemble du système de santé américain, ainsi que les différents gouvernements à tous les niveaux à travers les États-Unis, ont souffert d’une perte de confiance incomparable en raison du génocide gériatrique délibéré exécuté au cours de l’année et demie écoulée, qu’est-ce que les médecins autrefois dignes de confiance espèrent voir se produire ?

Maintenant que les mêmes responsables de la santé et les hommes de main politiques ont imposé à la population des vaccins hautement expérimentaux, qui se sont avérés extrêmement dangereux pour la santé humaine et souvent mortels, comment les médecins du monde entier vont-ils répondre aux accusations de « meurtre par médicament » et de « viol médical » ?

Avouons-le : la fête est finie pour Big Pharma et tous leurs nombreux co-conspirateurs criminels qui ont empoisonné les citoyens américains pendant plusieurs décennies.

L’effondrement en chute libre de la confiance qui se produit actuellement ne fera que s’accélérer à mesure que de plus en plus de personnes mourront des injections répétées de vaccins Covid, ou deviendront mortellement malades des expositions au défilé annuel des prochaines grippes en raison de leur vulnérabilité accrue après avoir reçu les vaccins.

Il est devenu tout à fait clair que l’une des principales raisons de la poussée démesurée pour vacciner chaque personne sur la planète — SANS CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ — était de la rendre considérablement plus sensible à tous les agents infectieux communs qui circulent lors de chaque saison de grippe. Les victimes vaccinées seront également beaucoup plus vulnérables face aux nombreux autres micro-organismes pathogènes et microbiens virulents en raison de leur système immunitaire fortement compromis et/ou supprimé.

Bien entendu, tous ces développements intentionnels ont été soigneusement mis en œuvre par le  SYSTÈME DE LA BÊTE (SB).

Parce que le SB satanique s’est maintenant pleinement exposé, il n’a d’autre choix que d’aller à fond dans sa tentative de verrouiller l’ensemble de la civilisation planétaire. Car une fois que la boîte de Pandore a été ouverte, il est impossible de remettre les choses comme elles étaient. Ce qui veut dire que LA GRANDE ARNAQUE COVID était en réalité un énorme coup de poker aux conséquences considérables… pour l’élite au pouvoir.

Ce qui est maintenant clair, c’est que les criminels covidiens se sont mis à nu comme jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité, et ils seront — finalement — traqués et sévèrement punis, à moins qu’ils ne dépeuplent la planète de tous les chercheurs de vérité.

Contrairement aux « attaques sous faux drapeau du 11 septembre », à la « guerre contre le terrorisme » et à d’autres crimes odieux contre l’humanité, le complot criminel hautement prémédité et organisé du Covid a été placé carrément dans l’arrière-cour de tout le monde. Chaque personne sur Terre a été profondément affectée par la pure malveillance démontrée par les pouvoirs en place tout au long de cette guerre de bioterrorisme en cours. Et cela seul change tout, car tout le monde, à des degrés divers, joue sa peau dans le jeu.

Qui sont au juste les individus et les organisations qui commettent ce plus grand « crime de l’ère » ?

Marque de la bête

Quelle plus grande preuve existe-t-il de l’existence d’un SYSTÈME DE LA BÊTE apparemment tout-puissant que la « Marque de la Bête ?

N’est-ce pas le but de l’Agenda de Super Vaccination Covid ? Pour s’assurer que chaque personne sur la planète soit dotée de la  « Marque de la Bête » laborieusement conçue par Bill Gates ?

Quoi de mieux que d’imposer un programme de vaccination obligatoire au COVID-19 à toute l’humanité ?

Bien que ce plan d’agression médicale par vaccination anti-Covid puisse sembler tiré par les cheveux, c’est exactement l’objet du plan.

Par conséquent, il est impératif que les États-Unis, informés et conscients, fassent tout ce qui est nécessaire pour empêcher l’approbation par la FDA des vaccins les plus dangereux et les plus mortels de l’histoire des États-Unis.

Conclusion

À la lumière de ces dures réalités, il est fort probable que les pouvoirs en place souffriront bientôt à la fois de la fatigue psychologique et de l’épuisement des gens suite à la dissimulation.

Pensez simplement à la main-d’œuvre, au temps et à l’énergie qu’il faut à la fois pour perpétuer cette fausse pandémie de COVID-19, puis pour la couvrir, puis pour administrer un programme de super vaccination anti-Covid extrêmement nocif et mortel  dans le monde entier.

Il va sans dire qu’une opération bioterroriste de cette taille et de cette ampleur est vouée à entraîner BEAUCOUP d’erreurs, beaucoup d’erreurs graves. Voir :  CE MÉMO SECRET EST-IL UN SUPER COUP MONTÉ PAR LES CRIMINELS BRITANNIQUES DE LA COVIDIE ?

La simple surveillance de tous les lanceurs d’alerte devient également une opération majeure. Le niveau d’espionnage et de surveillance 24h/24 et 7j/7 est à lui seul un travail colossal qui doit être entrepris sans failles. De plus, tout ce qu’il faut, c’est un dénonciateur courageux pour faire exploser — pour de bon — tout le stratagème criminel covidien.

Chaque entité institutionnelle au sein du SYSTÈME DE LA BÊTE a connu un effondrement complet de la confiance dans le monde entier depuis que COVID-19 a été nommé pour la première fois.

En fait, les systèmes politiques, médicaux, scientifiques, juridiques, universitaires et autres systèmes influents ont perdu à jamais la confiance du peuple. [Ndlr : tout au plus de la partie du peuple qui a gobé l’histoire officielle]. De même, les gouvernements à tous les niveaux ont subi de manière irréversible la perte de confiance des gouvernés, qui est nécessaire pour continuer cette ruse covidienne. Finalement, le public forcera ces fonctionnaires criminels et corrompus à quitter leurs fonctions. Et, de nombreux criminels covidiens seront probablement poursuivis dans toute la rigueur de la loi.

Ce n’est qu’alors que Nous, le Peuple, nous reposerons tranquillement.

Note spéciale :  ce que ces super-criminels covidiens ont fait jusqu’à présent est si outrageusement barbare qu’ils se sont créés un dilemme « ça passe ou ça casse ». En d’autres termes, s’ils ne verrouillent pas la planète comme jamais auparavant, ils subiront tous les conséquences les plus graves. Être pendu en direct sur Internet serait pour eux s’en tirer à bon compte. Par conséquent, à l’avenir, les criminels covidiens feront tout ce qui est nécessaire pour éviter leur chute respective et certaines punitions. Cela signifie que la situation ne fera que s’intensifier pendant le mandat du POTUS [Ndlr : « Président des États-Unis »] Imposteur Joe Biden, et que les contrôleurs covidiens deviendront beaucoup plus effrontés et imprudents dans leurs efforts pour dépouiller les Américains de leurs droits et libertés constitutionnels.

Source : OPERATION COVID-19 EXPOSES THE BEAST SYSTEM

Source : State of the Nation

Traduction automatique [Révisée par Nouveau Monde]


NOTE de H. Genséric

[1] Beaucoup de gens soulignent des similitudes entre les caractéristiques des vaccins et la marque de la bête du livre de l’Apocalypse.

La marque de la bête est décrite dans le Nouveau Testament, plus précisément dans l’Apocalypse, chapitre 13. Dans ce dernier livre de la Bible, l’auteur, connu sous le nom de Jean l’Ancien, décrit les visions qu’il voit à la fin du monde.

Deux bêtes surgissent de la mer, et la seconde bête « fait que, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, soient marqués sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ou vendre à moins qu’il a la marque. »

On en arrive aujourd’hui à la situation catastrophique suivante : personne ne peut acheter ou vendre, aller au travail ou à l’école, ou voyager, etc. sans posséder la marque de la bête, c’est-à-dire le « pass vaccinal » et autres documents de marquage et puces électroniques intégrées au corps humain au moyen des soi-disant vaccins.

Voici ce qu’a dit Bill Gates dans un article sur le sujet dans Yahoo Finance :

« La solution ultime, la seule chose qui permettrait un retour complet à la vie normale,  de pouvoir s’asseoir sans crainte dans un stade plein de gens, serait de créer un vaccin. Et cela pas seulement dans notre pays mais dans le monde entier afin de créer une vaste immunité et que « cette chose » quelle qu’elle soit ne se propage pas en grand nombre »

Vouloir un vaccin pour lutter contre le Covid 19 n’est pas suspicieux en soi. C’est ce que Bill Gates a dit ensuite qui a soulevé des soupçons.
En effet, dans un autre article : Bill Gates veut pucer les gens avec une micro chip pour « lutter contre des maladies » comme le Coronavirus (Kurios.com). Durant une session de Reddit, Gates a parlé de « certificats numériques » révélant qui a guéri ou qui a été vacciné contre le Covid 19. Ceci a soulevé des inquiétudes chez de nombreuses personnes qui craignent que le milliardaire américain, promoteur de vaccins tueurs en Afrique, veuille implanter des puces à tout le monde.

Et, en effet, Gates a suggéré une telle possibilité :

« Cependant, le sujet de controverse concerne les certificats numériques. On aura donc un registre des gens testés, vaccinés »

A quoi fait-il référence ?
Peut-être à son « quantum dot tatoo » ? Il s’agit d’un tatouage invisible accompagnant le vaccin : il est fait de points quantiques : de très petits cristaux semi-conducteurs qui reflètent la lumière et qui brillent en présence de lumière infrarouge.

Ces tatouages incluent l’application de micro aiguilles résorbables contenant le vaccin et des capsules microscopiques contenant des points fluorescents à base de cuivre. Ces capsules étant biocompatibles. (Jamesfitzer.org)

Ces tatouages ont pour but de contenir le carnet de santé de chaque personne. C’est la fondation Bill et Melinda Gates qui a poussé à trouver une solution pour identifier les gens vaccinés et qui a financé cette recherche publiée dans le « Journal of Translational  Medecine »

Ces tatouages sont en cours de développement par les chercheurs du MIT (Institut de technologie de Massachussetts) et Rice University. 

Ceux-ci ont créé une encre qui peut être incorporée dans la peau avec le vaccin et qui est lisible uniquement par un smartphone spécial (camera et filtre spécialisés)

Ce système de dépistage dans la peau destiné à tous les habitants du monde ressemble à la fameuse « marque de la bête » .

http://
http://

VOIR AUSSI :
Sur la route du servage. Neuralink Brain Chip mettra fin au langage dans 5 à 10 ans
Assassinats par vaccins : le plus grand scandale du 21e siècle
En 2009, Projet Dépopulation : Bill Gates rassemble les « meilleurs » milliardaires du monde
– De Platon à Packard : de la gestion du troupeau humain par les élites et le bio-contrôle. Par N. BONNAL
– Les vaccins covidiques intègrent une micropuce de la DARPA  


[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?]




Vaccins : le Figaro vous DÉSINFORME à la puissance 8 !

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Par Xavier Bazin

Pris la main dans le sac, cet article de désinformation sur les vaccins ! 

Il est paru dans le Figaro, mais j’aurais pu tout aussi bien m’attaquer à un article du Monde ou de Libération, car tous les grands médias nous enfument, en ce moment.

L’article s’appelle : Ces huit idées reçues qui circulent sur les vaccins anti-Covid[1].

Il s’attaque donc à 8 idées qui, selon le Figaro, seraient « fausses » ou « trompeuses ».

Prenons-les une par une : 

Idée reçue 1 : « le développement des vaccins a été bâclé donc on ne peut pas leur faire confiance »

Le Figaro commence très fort, car il est difficile de nier que ces vaccins ont été mis sur le marché dans un temps record, sans avoir été correctement testés !

Leur argument phare : « les vaccins n’ont pas échappé aux différentes étapes réglementaires ».

Formellement, ce n’est pas faux : il y a bien eu une phase 1, une phase 2 et une phase 3.

Mais elles ont été faites quasiment en même temps, dans l’urgence – normalement, il faut au moins 10 ans pour mettre un vaccin sur le marché, et non pas 1 an !

Et surtout, Le Figaro oublie de vous dire que la phase 3 n’est pas finie, loin de là !!

La phase 3 se finit en 2022 ou 2023 selon les vaccins – ce qui veut dire que nous sommes encore en phase d’expérimentation.

C’est d’ailleurs pour cela que les vaccins n’ont qu’une autorisation « conditionnelle » (et non définitive), liée à l’urgence de la pandémie.

Le Figaro se veut rassurant en disant que le vaccin Pfizer a été « testé sur 43 000 volontaires », mais c’est en réalité un chiffre très faible, non seulement : 

  • Pour juger de l’efficacité : dans cet essai clinique, seules 200 personnes ont été infectées par le coronavirus, ce qui est un chiffre ridiculement bas pour savoir si le vaccin fonctionne ou non sur les formes graves (souvenez-vous qu’on a moqué le Pr Raoult pour avoir fait une étude sur 80 malades – là il n’y en a que 200 et on a déjà vacciné plus d’un milliard de gens sur cette base !) ;
     
  • Mais aussi pour évaluer les effets indésirables : avec seulement 43 000 cobayes, il est impossible de détecter 1 effet indésirable grave sur 10 000 – donc vous ne pouvez pas savoir si le produit testé ne tue pas un vacciné sur 10 000 (ce qui ferait tout de même 4 000 morts sur 40 millions de vaccinés).

Et bien sûr, mettre sur le marché aussi rapidement des vaccins veut dire qu’on n’a aucune idée de leurs effets indésirables à moyen et long terme, après 6 mois ou 1 an.

Idée reçue 2 : « Les vaccins à ARN reposent sur une technologie totalement nouvelle qui n’avait encore jamais été testée chez l’humain »

Là encore, il faut un « exploit » au Figaro pour parvenir à réfuter cette simple vérité.

Certes, le tout premier prototype de vaccin à ARN messager a été testé sur des animaux il y a une trentaine d’années.

Mais ces vaccins ARN posaient tellement de problèmes qu’ils n’ont jamais obtenu d’autorisation malgré de nombreux essais sur différents virus, y compris celui de la grippe.

Il a fallu la crise de la Covid et « l’urgence » pour autoriser ces vaccins à la technologie totalement nouvelle.

Mais rassurez-vous, « la technologie était prête à être utilisée », dit le Pr Autran dans le Figaro. Ce qui n’est pas très convaincant : peut-être qu’elle était « prête », mais elle n’avait encore jamais été testée à grande échelle sur des êtres humains !

« Elle repose sur des recherches sérieuses », insiste le Pr Autran. 

Je n’en doute pas ! 

Mais le fait est qu’on n’a strictement aucun recul sur cette technologie totalement nouvelle, et de ses effets quand on l’injecte à des millions de personnes.

Idée reçue 3 : « Les vaccins donnent le Covid-19 »

Cette idée-là paraît farfelue à première vue – et c’est donc une cible facile pour le Figaro.

Comme le dit l’article à juste titre, « les vaccins anti-Covid ne peuvent pas transmettre le virus pour la simple raison qu’ils ne contiennent pas le virus entier activé ».

Mais le Figaro ajoute que « seul le virus entier peut provoquer la maladie ».

Et cela, on sait maintenant que c’est faux ! 

On commence à comprendre qu’il y a deux maladies dans la Covid-19 : 

  • La « Covid-1 », la maladie respiratoire « classique », avec envahissement des poumons, tempête inflammatoire et détresse respiratoire ;
     
  • Et la « Covid-2 », qui se manifeste par des troubles de la circulation et de la coagulation : caillots, hémorragies, thromboses, myocardites, péricardites, etc.

Or si le vaccin ne peut pas causer la Covid 1, il est maintenant très probable que le matériel génétique contenu dans le vaccin peut causer la Covid-2 !

Je rappelle que le vaccin crée dans votre organisme une petite partie du virus – la protéine spike – dont on sait maintenant qu’elle peut provoquer à elle seule des troubles de la circulation et de la coagulation[2] !

Plusieurs études ont montré que la protéine spike seule – donc sans le reste du virus – peut causer des dégâts aux vaisseaux sanguins !

Il est donc faux de dire que « seul le virus entier peut provoquer la maladie » – et il semble que le vaccin donne au contraire une partie de la maladie, que l’on peut appeler Covid-2 !

Et puis, il y a une autre manière de comprendre cette idée que « les vaccins donnent le Covid-19 ».

Il est maintenant bien établi que les vaccinés ont un risque beaucoup plus important d’être testés positifs à la Covid-19 dans les deux semaines qui suivent la première dose[3].

Cela a été observé dans presque tous les pays qui ont vacciné massivement : il y a un pic de contaminations après la première dose.

Une étude danoise l’a confirmé, en observant une augmentation de 40 % des infections dans la semaine qui suit l’injection du vaccin Pfizer[4]

Le Pr Raoult l’a également observé dans son IHU : « Nous avons maintenant un nombre de gens qui est significatif, on a 46 patients qui ont fait un Covid dans la semaine qui a suivi l’injection (…) C’est très frappant »[5].

On ne sait pas exactement à quoi c’est dû.

Personnellement, je pense que la première dose du vaccin détourne le système immunitaire de sa mission principale et rend les vaccinés plus vulnérables aux infections, pendant quelques jours.

Donc si le vaccin ne « donne pas la Covid » stricto sensu, il peut la favoriser !

Idée reçue 4 : « Les vaccins à ARN messager peuvent modifier notre code génétique »

Le Figaro dit que c’est faux… et nous désinforme encore !

Car il n’y a absolument aucun doute scientifique sur ce point : il est possible (même si peu probable) que les vaccins ARN messager modifient notre code génétique, notre ADN !

Le Figaro prétend que c’est impossible car l’ARN ne peut pas se transformer en ADN, puisque cela nécessite « des enzymes très particulières, les transcriptases inverses », qui ne « ne sont pas présentes dans nos cellules, ou pas en capacité d’agir avec l’ARNm ».

C’est inexact, et le Pr Raoult a été un des premiers spécialistes à le dire publiquement : « Les scientifiques le savent depuis plusieurs dizaines d’années, certaines séquences humaines ont une activité endogène de rétrotranscriptase »[6].

D’ailleurs, une publication récente publiée dans la prestigieuse revue PNAS (Journal de l’Académie des Sciences des Etats-Unis) l’a confirmé s’agissant du virus lui-même : « L’ARN du SRAS-CoV-2 transcrit à l’inverse peut s’intégrer dans le génome des cellules humaines cultivées »[7].

Donc le risque existe bien pour le vaccin, même si sa probabilité est faible (et pour tout vous dire, ce n’est pas ce risque-là qui me fait le plus peur avec les vaccins ARN, il y en a d’autres beaucoup plus sérieux et avérés).

Idée reçue 5 : « Les vaccins sont dangereux et ont entraîné des décès »

Le Figaro reconnaît que « des effets indésirables graves surviennentc’est le cas avec le vaccin AstraZeneca pour lequel le lien avec des thromboses atypiques est désormais établi ».

De fait, il est difficile de camoufler certains décès, comme celui de l’étudiant en médecine de 24 ans, en pleine santé jusqu’à son injection du vaccin, qui l’a tué en lui causant une thrombose abdominale.

Mais, nous rassure le Figaro, « ces cas sont très rares » et le risque d’avoir ce genre de mésaventure est « bien moins élevé que celui de faire une forme grave de la Covid-19 quand on a plus de 55 ans ».

C’est une manière de reconnaître que le risque de mourir du vaccin existe bel et bien – même si on vous dit qu’il est inférieur au risque de mourir de la Covid-19.

C’est ainsi qu’on passe sans le dire de l’assurance que « le vaccin est sûr » à l’idée que « le bénéfice-risque est positif », ce qui n’est pas la même chose. 

Et d’ailleurs, rappelons que nos autorités n’avaient eu aucun problème à autoriser AstraZeneca pour les moins de 55 ans, au départ.

N’est-ce pas la preuve que les essais cliniques avaient bien été « bâclés » (« idée reçue » numéro 1 !), puisqu’il a fallu attendre les premiers morts d’AstraZeneca pour revenir en arrière sur la vaccination des jeunes avec ce vaccin ?

Dès lors, qu’est-ce qui nous garantit qu’on ne va pas avoir d’autres mauvaises surprises ?

Déjà, les autorités israéliennes, américaines et françaises reconnaissent que le vaccin Pfizer cause des myocardites, c’est-à-dire des inflammations du cœur parfois mortelles.

Pire : le nombre de morts rapportées après vaccination anti-Covid est très inquiétant[8].

On en compte près de 1 000 en France, plus de 10 000 en Europe et plus de 5 000 aux États-Unis.

Le Figaro essaie de nous rassurer en disant que ces morts sont des « coïncidences », qu’elles seraient « survenues même sans vaccination ».

Mais il y a toutes les raisons de penser que c’est faux, et que ces milliers morts ont bien été causées par la vaccination.

Comment expliquer, sinon, qu’il y ait 100 fois plus de morts signalées après ces vaccins qu’après les vaccins contre la grippe ?

Comment expliquer qu’il y ait, aux États-Unis, plus de morts rapportées après vaccination en quelques mois qu’en trente ans, comme le montre ce graphique que je vous ai déjà montré ?

Nombre de morts signalées à la pharmacovigilance US après vaccination, de 1990 à 2021

Ces chiffres ahurissants ne sont-ils pas la preuve qu’il se passe quelque chose de très inquiétant ?

Idée reçue 6 : « Les vaccins rendent magnétiques »

 « Depuis plusieurs semaines, nous dit le Figarodes vidéos affirmant que des aimants peuvent se fixer sur des personnes vaccinées, en particulier au niveau du site d’injection, circulent ».

J’ai vu passer ces vidéos, et au départ, comme toute personne raisonnable, j’ai cru à un canular.

Le Figaro est en certain : « cette idée est évidemment fausse », car « les vaccins ne contiennent aucun composant métallique susceptible d’attirer des aimants ».

Sur ce coup-là, le Figaro a peut-être raison.

Mais au risque de vous surprendre, je ne n’en suis même plus aussi sûr qu’au départ !

Après avoir cru à un gag, j’ai vu deux informations qui m’ont fait douter :

  • Une petite étude (dont je ne peux toutefois pas attester de la validité), faite par une association, a trouvé que 29 personnes sur 30 vaccinés ont bien un effet d’aimant à l’endroit où l’on vaccine habituellement (contre 0 sur 30 chez les non-vaccinés)[9] ;
     
  • Et surtout, j’ai découvert que la magnétisation de nanoparticules était bien un procédé médical étudié très sérieusement, notamment pour sa capacité à améliorer la distribution dans l’organisme de messages génétiques ARN[10] ou d’un vaccin à ADN[11] ! 

Il n’est donc pas totalement impossible que les fabricants de vaccins ARN aient incorporé cette technologie dans les nanoparticules lipidiques qui entourent le message ARN – sans la rendre publique, peut-être pour des raisons de « secret de fabrication ».

Bref, restons sceptiques, c’est-à-dire ouverts à toutes les possibilités (et ne soyons pas bornés comme le Figaro qui écarte l’hypothèse sans même l’avoir considérée sérieusement).

Idée reçue 7 : « L’immunité obtenue après avoir eu le Covid est meilleure que celle conférée par la vaccination »

Il faut beaucoup de culot au Figaro pour contester cette idée.

Il est à peu près évident que l’immunité obtenue après infection est meilleure que celle du vaccin, comme je vous l’ai expliqué en détail dans ma lettre sur l’absurdité de vacciner les gens qui ont déjà eu la Covid[12] .

Et d’ailleurs, si vous lisez bien, Le Figaro ne le conteste même pas frontalement !

L’article cite le Pr Lelièvre, qui ne peut pas nier l’évidence : « il est vrai que pour la plupart des infections, l’immunité naturelle est meilleure ».

Mais, ajoute-t-il, « il ne faut pas oublier qu’elle peut s’acquérir au prix d’une infection grave conduisant en réanimation ou au décès ».

C’est vrai, et cela pourrait être un argument pour préférer se faire vacciner plutôt que se faire infecter… mais cela ne veut pas dire que le vaccin protège mieux que l’infection !

Le Figaro cite aussi une autre Professeure, Brigitte Autran, qui prétend que « l’immunité naturelle liée à la maladie est trop irrégulière d’un sujet à l’autre pour qu’on lui fasse confiance ».

C’est simplement faux, car il y a toutes les preuves que l’infection à Covid-19 produit une immunité robuste et durable[13]… une étude récente n’a d’ailleurs pas trouvé le moindre cas de réinfection sur plus de 1300 patients qui avaient eu la Covid-19[14].

Idée reçue 8 : « La vaccination ne fonctionne pas, la preuve, l’épidémie est repartie dans plusieurs pays ayant une des meilleures couvertures vaccinales »

Au moins, Le Figaro commence par reconnaître les faits : « Le Chili a connu sa plus forte vague épidémique de Covid-19 en avril dernier alors que la moitié de la population adulte chilienne avait déjà reçu une dose ».

Mais pour le journal, ce serait dû à « un relâchement trop précoce des restrictions sanitaires », et non pas à l’échec de la vaccination !

C’est absurde, car les très mauvais résultats du Chili se sont poursuivis en mai et en juin, malgré « une vaccination record »[15] !

Le Figaro aurait mieux fait de préciser que le vaccin utilisé au Chili est très majoritairement le vaccin chinois CoronaVac, qui est manifestement peu ou pas efficace.

Autre fait reconnu par le Figaro : « idem au Royaume-Uni, où les cas repartent à la hausse depuis quelques semaines sous l’influence de la présence grandissante du variant dit indien »

Mais selon le Figaro, ce n’est pas une preuve de l’échec des vaccins, car « le système hospitalier n’est pas saturé ». 

Pour le coup, je suis d’accord : ce n’est pas parce qu’il y a une hausse des cas que les vaccins sont en échec : il faudrait une hausse des hospitalisations et des morts pour prouver l’inefficacité de ces vaccins.

Or pour le moment, on n’a observé ces dégâts qu’au Chili, aux Seychelles et aux Maldives, des pays qui n’ont pas ou peu utilisé les vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca.

Donc, on n’a pour l’instant aucune preuve que les vaccins occidentaux sont un échec manifeste. Mais il faudra surveiller la situation à l’automne : avec l’apparition possible de nouveaux variants, il n’est pas certain que les vaccinés seront nettement mieux protégés que les non vaccinés. 

Le Figaro conclut, avec le Pr Lelièvre, qu’il faut « 80 à 90 % de la population vaccinée pour faire disparaître cette maladie ».

C’est faux, une fois de plus, car il est impossible de faire disparaître ce genre de maladie virale – les coronavirus mutent et se recombinent facilement, ce qui fait qu’ils ne peuvent pas disparaître : ils s’adaptent et deviennent endémiques mais peu graves, grâce à l’immunité collective, comme les autres coronavirus de l’hiver.

Et je rappelle que cette histoire de couverture vaccinale qui doit atteindre 80 à 90 % de la population est une fable de statisticien déconnecté du terrain. Cela n’a jamais été confirmé dans les faits – la Mongolie a par exemple connu une épidémie de rougeole malgré une couverture vaccinale à plus de 95 %…

Bref, voilà de la belle désinformation : quasiment rien de vrai sur 8 points !

Transférez cet article autour de vous, il est important de dénoncer la propagande et les contre-vérités de nos grands médias.

Bonne santé,

Xavier Bazin




Pire que la maladie, les conséquences involontaires des injections anti-COVID

[Source : AIMSIB via Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Emma Kahn

L’hémisphère Nord tend à oublier l’esprit de terreur qui a prévalu pendant des mois, mis à part l’Angleterre et Israël qui découvrent avec consternation que le fruit de leurs efforts était vain. Mais on le sait aujourd’hui, ces injections à la recherche bâclée menacent la santé humaine de manière bien plus grave, la faute originelle en revient, entre autres,  à l’idée de faire fabriquer de la protéine S par les « vaccinés ». Quels périls encourent ces sujets d’expérience? Emma Kahn se penche avec méthode pour nous en apprendre davantage, bonne lecture.   

Résumé
Les vaccins actuellement commercialisés consistent à injecter des acides nucléiques qui vont faire synthétiser la « spike », protéine membranaire (de surface) du virus, par le vacciné. Les vaccins à ARNm sont développés depuis plusieurs années par le NIAID (Institut US des maladies infectieuses) et Moderna;  en 2019 ce développement a été ciblé sur les coronavirus et les protéines de membranes virales. Les fabricants des vaccins mis sur le marché ont contourné les obstacles dus à cette nouvelle technologie en modifiant par divers procédés le matériel génétique de la spike du virus de la Covid-19. Ces modifications pourraient la rendre plus dangereuse que la spike du virus de la Covid-19. En effet, la spike (S)  du virus SARS-CoV-2 est en partie responsable de certaines pathologies engendrées par la Covid-19. Les nanoparticules vectrices ont également une toxicité propre. Les études succinctes de bio-distribution des vaccins qui ont été rendues publiques récemment inquiètent les spécialistes car les nanoparticules vectrices et la spike synthétisée à partir de celles-ci se répandent dans tout l’organisme contrairement à leurs attentes. Des questions souvent posées les jours derniers seront aussi abordées : Les vaccinés peuvent-ils excréter le vaccin ? Don du sang et vaccinés. Enfin sont abordés la neurotoxicité de la spike et son passage de la barrière hémato-encéphalique (du sang vers le cerveau) qui sont maintenant bien établis.

Introduction

Seneff, S., & Nigh, G. (2021). Worse Than the Disease? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against COVID-19. International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, 2(1), 38–79. Original work published May 10, 2021)
  • « Le développement de vaccins à ARNm contre une maladie infectieuse est sans précédent à bien des égards. »
  • « Sans précédent représente une catégorie de vaccin contre une maladie pour laquelle il n’y a jamais eu auparavant de vaccin approprié. »
  • « Un vaccin sans précédent avait une probabilité de succès de 2% au stade d’un essai clinique de phase III. »

Les essais de phase 3 se termineront en 2023. 

Technologie à ARNm et à ADN

Pour commencer, un document confidentiel sur l’historique des vaccins à ARNm (2) met en évidence le fait que Moderna et le NIAID (Institut US des maladies infectieuses) travaillaient depuis longtemps sur les vaccins à ARNm mais pas sur les coronavirus. En 2019 (avril), un amendement a été ajouté à cet accord qui introduit la recherche sur le MERS (coronavirus ayant donné des épidémies sporadiques à partir de 2011). Depuis quelques années, il était question aussi de protéines de membrane stabilisées en configuration de préfusion, mais le site furine de la Spike n’apparaît qu’en juin 2019. Le site furine du MERS est pourtant connu depuis 2012.

Il est maintenant admis que des expériences de gain de fonction consistant à insérer un site furine dans la Spike d’un coronavirus ont été financées par les USA et menées à Wuhan. Il est ainsi envisageable que l’émergence du SARS-CoV-2 ait été connue un peu avant juin 2019 induisant une adaptation du contrat Moderna-NIAID.

Le principe des vaccins actuellement sur le marché est d’injecter une partie du matériel génétique du virus. Il sera ici principalement question des vaccins à ARNm les plus répandus (Pfizer et Moderna) mais les vaccins à ADN (AstraZeneca et J&J) partagent une partie des inconvénients majeurs de la spike dont on injecte le matériel génétique.

Les deux obstacles principaux aux vaccins ARNm sont : l’ARNm génère une forte réponse immunitaire interférant avec la production désirée de protéines virales et l’ARNm est sensible à la dégradation par les enzymes RNAses du vacciné et il est rapidement détruit. En revanche, de par ses propriétés immunostimulantes, l’ARNm a un effet adjuvant et évite d’avoir à ajouter un adjuvant type aluminium dans le vaccin.

Des obstacles à l’efficacité

Les fabricants ont opté pour la substitution des uridines de l’ARNm viral par des pseudo-uridines qui augmentent sa stabilité. Il existe naturellement des substitutions par des pseudo-uridines mais jamais de façon systématique comme ici. Des pseudo-uridine synthétases sont capables de synthétiser in vivo de l’ARNm modifié dans certaines conditions de stress cellulaire (3). Cette transformation des uridines semble vraiment fondamentale (4). Il y a un équilibre à trouver entre l’immunogénicité et les effets indésirables.

Cet équilibre n’a pas été trouvé pour le vaccin CureVac. La dose de 20μg causait trop d’effets indésirables ; avec 12 μg, des anticorps neutralisants sont produits mais à taux trop faible par rapport aux vaccins Pfizer/Moderna. Le problème pourrait donc bien résider dans la séquence ARNm : Curevac utilise des uridines et non des pseudo-uridines ; les pseudo-uridines diminuent les réactions inflammatoires (5).

L’ARNm est enrobé dans des nanoparticules lipidiques qui le protègent de la dégradation et du système immunitaire et qui servent de vecteur dans l’organisme. Ces nanoparticules contiennent des phospholipides qui leur permettent d’être endocytées par les cellules musculaires du lieu d’injection qui vont produire la spike codée par l’ARNm. Nous verrons plus loin que les particules lipidiques présentent un danger à elles seules.

Rendre l’ARNm du vaccin plus stable

Une cape et une queue ont aussi été ajoutées à l’ARNm pour le rendre plus stable dans le cytosol.

Une mutation a été introduite dans le site de clivage de la spike : deux acide-aminés proline ont été introduits en remplacement de deux autres pour empêcher la spike de fusionner trop vite avec la membrane plasmique : elle est stabilisée en configuration préfusion. Ceci va augmenter la production d’anticorps anti-spike car celle-ci va rester plus longtemps présente dans l’organisme ; mais ces deux prolines augmentent la capacité de liaison de la spike à l’ACE2 :

On ne connaît pas les conséquences de cette liaison plus forte au récepteur de la spike. L’ACE2 fait partie du système rénine-angiotensine qui contrôle la pression sanguine et la balance hydro-électrique mais aussi des mécanismes inflammatoires et la coagulation.

Mutation dans le site de clivage de la Spike

La proportion de nucléotides CG (Cytosine et Guanine remplacent Adenine et Uracile) a été augmentée. Ce sont des mutations silencieuses qui ne modifient pas la séquence de la protéine en acides aminés : elles sont placées en 3è position des codons ce qui augmente l’expression de la protéine traduite de 100 fois. Cette modification augmente aussi la similitude entre l’ARNm vaccinal et les ARNm humains (les virus ont plutôt des ARNm pauvres en GC).

Toutes ces modifications de l’ARN sont destinées à le rendre résistant à la dégradation, à le faire ressembler davantage à une séquence codant pour une protéine d’ARN messager humain et à le traduire efficacement en protéine antigénique. Ce type de manipulation du code génétique n’a jamais été faite et entraînera sans doute des effets inconnus.

 Impacts potentiels de ces modifications

1-Réactions allergiques lors de la vaccination

Les LNP (nanoparticules lipidiques) sont des liposomes qui ressemblent à des exosomes excrétés par les cellules et capables d’être endocytés par une cellule voisine et de libérer leur ARNm. Elles induisent une forte réponse immunitaire. Elles sont endocytées dans les cellules musculaires après injection.  L’antigène est exprimé dans ces cellules qui reconnaissent une protéine étrangère (elle ressemble à une protéine humaine mal repliée). Les protéines du CMH (Complexe Majeur d’Histocompatibilité) de classe II sont plus fortement exprimées et transportent cet antigène sur la membrane. Ce complexe CMH-Ag induit l’inflammation et l’infiltration des APC (cellules présentatrices d’Ag) dans le tissu musculaire (donc douleur et inflammation au site d’injection). Les APC internalisent le complexe et le transportent dans le tissu lymphoïde et le présentent aux lymphocytes. L’ARNm est exprimé en premier dans les cellules musculaires puis est transporté dans les ganglions, les APC vont aussi exprimer la spike.

Rappel : le PEG qui compose les LNP est capable de provoquer un choc anaphylactique (une proportion notable de la population possède des anticorps anti-PEG). Le taux de report de réaction anaphylactique à tous les vaccins avant la Covid était de 2/million, il est passé à 11/million avec les vaccins anti-Covid. Une autre étude trouve 2,1% de réaction allergique (y compris anaphylaxie) et une autre trouve 247 anaphylaxies /million de doses. La seconde dose cause plus de réactions allergiques.

2-Diffusion multi-viscérale de l’ARNm

On savait par des études sur vaccin expérimental anti-grippe à ARNm que celui-ci se répand dans le muscle, les ganglions, la rate, le foie principalement.
D’après le rapport EMA sur Moderna, on détecte de l’ARNm dans le cerveau à un taux de 2% de celui retrouvé dans la circulation sanguine. Pour Pfizer, on le retrouve aussi dans la moelle osseuse, les glandes surrénales et les ovaires. Les études de pharmacocinétique ont été menées avec une formulation différente du vaccin commercialisé. Pour le co-inventeur des vaccins à ARNm, Robert W. Malone, un document obtenu par Byram Bridle auprès des autorités japonaises révèle des choses inattendues et inquiétantes sur la biodistribution des nanoparticules vectrices de l’ARNm et de la spike vaccinale.

3- Atteinte ovarienne

Et pourtant deux articles publiés avant la COVID, dont un avec de solides expériences d’immunofluorescence, ont démontré que l’on pouvait s’attendre à ce que les nanoparticules lipidiques (à base de PEG) soient absorbées à des concentrations élevées dans les ovaires. Chez les animaux (6), la concentration était si élevée que les ovaires étaient « illuminés » au moment de la dissection.

Cela suggère que Pfizer et Moderna et les organismes de réglementation savaient ou auraient dû savoir que les vaccins utilisant des nanoparticules lipidiques pouvaient menacer la fertilité et la santé gynécologique si les particules transportaient une charge utile d’ARNm codant pour la spike (7).

Localisation des lipidots fluorescents dans les ovaires (A) et les surrénales (B). La fluorescence DiD est représentée en rouge, les noyaux cellulaires colorés par le DAPI en bleu. L’accumulation de DiD est visible dans les follicules et le corps jaune de l’ovaire (A) et dans la zone X de la surrénale (B).

Les interventions publiques de Robert W Malone (8)(9), le co-inventeur des vaccins ARNmv qui s’inquiète des conséquences inattendues des injections géniques vient renforcer le travail de Seneff et Nigh. Il insiste sur la biodistribution globale dans tous les organes des nanoparticules et la circulation sanguine de la spike qui sont des phénomènes inattendus pour lui. Ceci est relayé aussi par des analyses sur la biodistribution du vaccin (10), (11), (12) :

  • « Après injection dans l’épaule, les nanoparticules passent dans le sang et on les y retrouve entre 15 minutes et 48h après.
    Et ensuite on voit les concentrations augmenter dans tous les organes, en particulier les ovaires, ce qui pose un problème pour les femmes en âge de procréer. »

4-Moelle osseuse : leucémies, anémies

Le deuxième organe où la concentration augmente et où cela est inquiétant c’est la moelle osseuse d’où des risques de leucémie et anémies en particulier. Il y a aussi passage dans les ganglions, donc risque de lymphomes. Tous les Effets Indésirables vont apparaître sur le long terme. Mais ces concentrations dans les ovaires et la moelle osseuse ont aussi des implications à court terme. Dès maintenant il apparaît, d’après la FDA, des thrombocytopénies (déficit en plaquettes qui sont synthétisées dans la moelle osseuse) et la réactivation de virus qui est difficile à comprendre (virus Herpes et possibilité de réactivation de rétrovirus).

Ce qui est inexpliqué : pourquoi les nanoparticules se concentrent dans les ovaires et pas dans les testicules ?

C’est peut-être un problème de charge. La circulation sanguine de la spike induit des risques de maladies auto-immunes. Les concepteurs du vaccin ne pensaient pas qu’il pourrait y avoir de la spike libre circulante.

C’est pourquoi il faut des essais de phase 3 qui durent 3 ans au moins pour détecter ces problèmes. Il y a des signaux alarmants concernant les EI et les décès suite au vaccin. (Problème car une partie des participants au groupe placebo des essais cliniques ont été ensuite vaccinés, on ne pourra donc pas connaître les EI à long terme).

5-Auto-immunité, la loterie

Certaines protéines du virus de la Covid possèdent des homologies avec des protéines humaines, en particulier la spike et la NSP3 (protéine non structurale qui interagit avec le système immunitaire). Parmi ces protéines humaines homologues, 1/3 sont associées au système immunitaire adaptatif et donc des auto-anticorps induits pourraient affaiblir ce système.

Il existe 26 hexapeptides communs entre la Spike et le protéome humain, les anticorps de haute affinité pour la Spike ont aussi une forte affinité pour des protéines associées à la maladie cœliaque, la thyroïdite de Hashimoto, la sclérose en plaques.

L’auto-immunité a été rapportée comme séquelle de la Covid : purpura thrombopénique, Guillain-Barré, anémie hémolytique, lupus, … On détecte chez les patients Covid des auto-anticorps conte la cardiolipine (problèmes neuro et cardio), les phospholipides (problème de coagulation), les membranes des cellules gastriques et du foie.

La Spike du vaccin est éliminée plus lentement que la Spike virale grâce à ses résidus proline (qui retardent la fusion membranaire). La plupart des personnes infectés par le virus résistent à la maladie grâce à leur système immunitaire inné (elles restent asymptomatiques): une barrière mucosale saine (macrophages et neutrophiles) élimine le virus sans besoin d’anticorps ; le vaccin outrepasse cette barrière par l’injection Intramusculaire. Les personnes saines qui échappent à la Covid peuvent de ce fait faire des réactions auto-immunes après vaccination par production excessive d’anticorps non nécessaires (qui n’auraient pas été produits au cours d’une rencontre naturelle avec le virus, en effet beaucoup d’asymptomatiques ne développent pas d’anticorps anti-spike).

6-Rate et plaquettes

La rate est le principal réservoir de plaquettes et le lieu de leur élimination et aussi un organe lymphoïde important. Le PTI (Purpura thrombopénique Idiopathique) est une complication de la Covid, on peut le retrouver après élimination du virus suggérant un phénomène auto-immun. La migration de l’ARNm dans la rate peut générer des cellules B produisant des immunoglobulines IgG anti-spike : même après élimination de ces IgG on peut trouver un PTI par défaut de production de plaquettes (destruction des mégacaryocytes par autophagie), ce qui suggère un processus auto-immun. Les plaquettes jouent aussi un rôle dans l’élimination du virus par phagocytose.

7-Coeur et poumons

La spike se lie à l’ACE2 (qui clive l’angiotensine II en angiotensine 1-7 ce qui fait baisser la tension artérielle). Les dégâts sur le cœur et les poumons seraient dus à la baisse de concentration en ACE2 et à l’augmentation de l’angiotensine II. La spike est capable d’endommager l’endothélium vasculaire ; dans la démence et l’hypertension, il y a hyper-expression d’ACE2 dans l’endothélium des capillaires du cerveau ; ces patients sont à risque de Covid grave.

Le Salk Institute (fondé par Jonas Salk, l’inventeur du vaccin polio (13)) a repris les conclusions d’un article qui montre que la spike seule (sans le reste du virus) est capable de reproduire les dégâts cellulaires et tissulaires trouvés dans la Covid-19 sur l’endothélium vasculaire (14).

La spike protéine seule pourrait induire une hypertension pulmonaire à long terme. (15)

8-Cerveau

La spike du vaccin peut endommager l’endothélium des vaisseaux du cerveau.

9-Testicules

L’ACE2 est hyper exprimé dans les testicules, la Spike pourrait endommager les testicules.

10-Maladies neuro-dégénératives à prions

Les maladies neurodégénératives dues au prion sont des maladies provoquées par un mauvais repliement des protéines humaines. La Spike contient 5 motifs GxxxG (2 glycines espacées par 3 autres résidus) favorables au repliement en feuillet β des hélices α comme la protéine prion qui en contient seulement 4.

La Spike vaccinale a deux résidus proline pour empêcher la fusion membranaire qui la rendent encore plus capable de se transformer en prion. Dans le vaccin il peut y avoir des fragments d’ARNm dégradé induisant la synthèse d’une Spike incomplète de structure imprévisible et d’impact physiologique inconnu.

L’EMA (Agence Européenne du Médicament) avait noté qu’il y avait plus d’ARNm fragmentaire dans le produit commercialisé que dans celui ayant servi aux essais cliniques ; le fabricant suppose que ces fragments ont une courte durée de vie, sans plus de preuves.

11- Excrétion du vaccin?

Il est théoriquement possible que des exosomes (particules excrétées de la cellule) contenant des protéines Spike mal repliées se forment dans la rate ; ils pourraient être exportés vers les poumons et diffusés par expectoration. Dans le protocole Pfizer, on a demandé aux femmes qui auraient pu subir une exposition environnementale au produit de l’étude de le signaler. Et ceci par contact de la peau ou inhalation : les vaccinatrices peuvent théoriquement être en contact avec le produit vaccinal lors de mauvaises manipulations en effet. On suppose que les expérimentateurs pouvaient craindre un passage dans les ovaires par contact avec la peau ou inhalation. Tout ceci est très théorique et non prouvé.

Des essais de vaccins à partir d’exosomes contenant la spike ont été menés à Montpellier (mais pas avec de l’ARNm) (16).

12-Insertion permanente de l’ARNm de la Spike dans l’ADN humain

Il semble possible que l’ARNm de la Spike puisse être inséré de manière permanente dans l’ADN humain. Pour supposer cette possibilité, il faut envisager la présence d’une activité reverse transcriptase (capable de transformer l’ARNm en ADN) dans la cellule réceptrice de l’ARNm puis une intégration dans le génome. On connaît des retrotransposons à activité reverse transcriptase, les LINE (long Intersersed Nuclear Elements). LINE1 est largement exprimé dans le sperme (possibilité de traduire l’ARNm en ADN et de le délivrer sous forme de plasmide dans l’œuf fertilisé). L’embryon exprime aussi fortement une reverse transcriptase ainsi que les cellules cancéreuses, les cellules immunitaires et cela se produit aussi dans les maladies auto-immunes (comme le lupus).

L’orage cytokinique de la Covid augmente l’expression de LINE1 et il a été montré in vitro que l’ARN du SARS-CoV-2 pouvait être transcrit en ADN et s’intégrer au génome.

Il a été récemment montré que la polymérase thêta agit comme une transcriptase inverse, dans les cellules saines, cette enzyme est capable de réparer l’ADN à partir de l’ARN. Dans les cellules cancéreuses, la polymérase thêta est fortement exprimée et favorise la croissance des cellules cancéreuses et la résistance aux médicaments (17).

13-Foetus

On sait que le virus à ARN de la diarrhée bovine (BVD) peut traverser le placenta, le veau l’intègre à l’état embryonnaire et ne peut plus le reconnaître comme étranger, il excrètera toute sa vie le virus et contaminera le troupeau.

Il est théoriquement possible que, chez une femme vaccinée peu avant la conception, le sperme intègre les nanoparticules d’ARNm, le convertisse en ADN et produise des plasmides intégrés dans l’œuf fécondé. L’enfant à naître ne pourra pas monter une immunité contre la spike et deviendra superpropagateur : tout ceci est spéculatif mais pas impossible.

14-Cancer

Interaction de la spike chez les cancéreux (18).

15- Transfusion sanguine

Si la protéine S reste longtemps dans le sang, quels dangers pour la transfusion sanguine ?
Il est prouvé (voir plus haut) que l’ARNm vaccinal et la spike produite chez le vacciné passent dans le sang, il est donc possible qu’ils soient transfusés après un don du sang.

D’après le Ministère britannique de la Santé, il faut attendre 7 jours après le vaccin pour donner son sang et 28 jours si on a des effets indésirables ; d’après lui il est très peu probable que les éléments du vaccin persistent dans le sang aussi longtemps (19). D’après une étude parue en mai 2021 chez des personnes jeunes et en bonne santé, on retrouve la sous-unité S1 de la spike vaccinale entre 1 jour et 14 jours après l’injection, la spike entière est détectée jusqu’à 15 jours après. La traduction de l’ARNm commence immédiatement après l’injection (20).

Conclusion

Je reproduis ici la conclusion du dernier article de S. Seneff du 1er juin 2021 (21) qui concerne les maladies neurodégénératives possiblement associées au vaccin anti-Covid-19 :

Les effets indésirables à court terme pourraient n’être que la partie émergée de l’iceberg ! La neurotoxicité de la Spike et son passage de la barrière hémato-encéphalique sont maintenant bien établis. Il y a de nombreuses raisons de se méfier des vaccins COVID-19, qui ont été mis sur le marché à la hâte, avec une évaluation grossièrement inadéquate et une promotion agressive auprès d’un public non informé, ce qui pourrait avoir des conséquences négatives énormes et irréversibles.

L’une des conséquences potentielles est l’épuisement de la réserve limitée de cellules B progénitrices dans la moelle osseuse au début de la vie, entraînant une incapacité à produire de nouveaux anticorps contre les agents infectieux (c’est à dire le vieillissement accéléré du système immunitaire) .

Une possibilité encore plus inquiétante est que ces vaccins, qu’il s’agisse des vaccins à ARNm ou des vaccins à vecteur d’ADN, puissent être une voie vers une maladie invalidante dans le futur.

À cause de l’action de type prion de la Spike, nous assisterons probablement à une augmentation alarmante de plusieurs maladies neurodégénératives majeures, notamment la maladie de Parkinson, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, la sclérose latérale amyotrophique et la maladie d’Alzheimer, et ces maladies apparaîtront avec une prévalence croissante chez des populations de plus en plus jeunes, dans les années à venir.

Malheureusement, nous ne saurons pas si les vaccins sont à l’origine de cette augmentation, car il s’écoule généralement beaucoup de temps entre la vaccination et le diagnostic de la maladie. C’est très pratique pour les fabricants de vaccins, qui tirent d’énormes profits de nos malheurs – à la fois de la vente des vaccins eux-mêmes et du coût médical élevé du traitement de toutes ces maladies débilitantes.

Emma Kahn
Juin 2021

Notes et sources

(1) Worse Than the Disease? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against COVID-19 Seneff, S., & Nigh, G. (2021). . International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, 2(1), 38–79. Original work published May 10, 2021) https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/23
(2) Accord de transfert de technologies et de répartition des bénéfices entre le NIAID et Moderna
https://s3.documentcloud.org/documents/6935295/NIH-Moderna-Confidential-Agreements.pdf
(3) Pseudouridine profiling reveals regulated mRNA pseudouridylation in yeast and human cells. Carlile TM, Rojas-Duran MF, Zinshteyn B, Shin H, Bartoli KM, Gilbert WV. Nature. 2014;515(7525):143-146. doi:10.1038/nature13802)
https://www.nature.com/articles/nature13802
(4) CureVac COVID vaccine let-down spotlights mRNA design challenges. Nature. June 18 2021
https://www.nature.com/articles/d41586-021-01661-0
(5) Incorporation of pseudouridine into mRNA yields superior nonimmunogenic vector with increased translational capacity and biological stability Katalin Karikó, Hiromi Muramatsu, Frank A Welsh, János Ludwig, Hiroki Kato, Shizuo Akira, Drew Weissman. PMID: 18797453 PMCID: PMC2775451 DOI: 10.1038/mt.2008.200
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18797453/
(6) Synthetic Lipid Nanoparticles Targeting Steroid Organs. Juliette Mérian, Raphaël Boisgard, Xavier Decleves, Benoît Thezé, Isabelle Texier and Bertrand Tavitian. Journal of Nuclear Medicine November 2013, 54 (11) 1996-2003; DOI: https://doi.org/10.2967/jnumed.113.121657
https://jnm.snmjournals.org/content/54/11/1996
(7) Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive system. Wang R, Song B, Wu J, Zhang Y, Chen A, Shao LQ. 11 December 2018 Volume 2018:13 Pages 8487—8506 DOI https://doi.org/10.2147/IJN.S170723
https://www.dovepress.com/potential-adverse-effects-of-nanoparticles-on-the-reproductive-system-peer-reviewed-fulltext-article-IJN
(8) Interview par Bret Weinstein dans le cadre de son Podcast « Dark Horse Podcast » censurée par Youtube depuis sa publication.
https://youtu.be/aMB1dRJNHe8
(9) Interview par Bret Weinstein dans le cadre de son Podcast « Dark Horse Podcast »… passionnant
https://odysee.com/@BretWeinstein:f/how-to-save-the-world,-in-three-easy:0
(10) Document en japonais sur la biodistribution du vaccin
https://www.pmda.go.jp/drugs/2021/P20210212001/672212000_30300AMX00231_I100_1.pdf
(11) Document traduit en anglais sur la biodistribution du vaccin
https://files.catbox.moe/0vwcmj.pdf
(12) Circulation sanguine de la spike vaccinale
https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab465/6279075
(13) THE NOVEL CORONAVIRUS’ SPIKE PROTEIN PLAYS ADDITIONAL KEY ROLE IN ILLNESS. Salk researchers and collaborators show how the protein damages cells, confirming COVID-19 as a primarily vascular disease
https://www.salk.edu/news-release/the-novel-coronavirus-spike-protein-plays-additional-key-role-in-illness/
(14) La protéine spike du SRAS-CoV-2 altère la fonction endothéliale via la régulation négative de l’ACE2. SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2. Yuyang Lei, Jiao Zhang, Cara R. Schiavon, Ming He, Lili Chen, Hui Shen, Yichi Zhang, Qian Yin, Yoshitake Cho, Leonardo Andrade, Gerald S. Shadel, Mark Hepokoski, Ting Lei, Hongliang Wang, Jin Zhang, Jason X.-J. Yuan, Atul Malhotra, Uri Manor, Shengpeng Wang, Zu-Yi Yuan, John Y-J. Shyy. Originally published31 Mar 2021
https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902
(15) SARS-CoV-2 Spike Protein Elicits Cell Signaling in Human Host Cells: Implications for Possible Consequences of COVID-19 Vaccines Suzuki YJ, Gychka SG. SARS-CoV-2 Spike Protein Elicits Cell Signaling in Human Host Cells: Implications for Possible Consequences of COVID-19 Vaccines. Vaccines (Basel). 2021;9(1):36. Published 2021 Jan 11. doi:10.3390/vaccines9010036 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7827936/
(16) Des vaccins à exosomes vecteurs d’ARNm ont été envisagés: Promising Extracellular Vesicle-Based Vaccines against Viruses, Including SARS-CoV-2: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33513850/ https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.10.28.357137v1.full
(17) Polθ reverse transcribes RNA and promotes RNA-templated DNA repair, Science Advances (2021). DOI: 10.1126/sciadv.abf1771 https://advances.sciencemag.org/content/7/24/eabf1771
(18) La sous unité S2 de spike interagit in vitro avec des protéines anti-tumorales comme p53 et BRCA
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1936523320303065
(19) Consignes concernant les dons de sang au Royaume Uni
https://www.blood.co.uk/news-and-campaigns/news-and-statements/coronavirus-covid-19-updates/
(20) Circulating SARS-CoV-2 Vaccine Antigen Detected in the Plasma of mRNA-1273 Vaccine Recipients.Alana F Ogata, Chi-An Cheng, Michaël Desjardins, Yasmeen Senussi, Amy C Sherman, Megan Powell, Lewis Novack, Salena Von, Xiaofang Li, Lindsey R Baden  https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab465/6279075
(21) SARS-COV-2 VACCINES AND NEURODEGENERATIVE DISEASE
https://stephanieseneff.net/sars-cov-2-vaccines-and-neurodegenerative-disease/




Ce que je sais et ne sais pas sur le virus SRAS-CoV-2

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Edward Curtin

Après quinze mois de lecture, d’étude, d’observation et de recherche assidues, j’en suis arrivé à quelques conclusions sur ce qu’on appelle le COVID-19.

Je tiens à souligner que j’ai fait ce travail obsessionnel car il semblait si important. J’ai consulté des informations et des arguments sur tous les médias, corporatifs et alternatifs, universitaires, médicaux, livres, etc.
J’ai consulté des chercheurs du monde entier. J’ai lu les sites Web des CDC, de l’Organisation mondiale de la santé et des organisations gouvernementales et non gouvernementales de la santé. En d’autres termes, je n’ai laissé aucun effort, malgré les penchants politiques manifestes ou cachés des sources. Je l’ai fait en tant que sociologue et écrivain, et non en tant que médecin, bien que beaucoup de mes sources aient été des médecins et des études médicales.

Mes conclusions succinctes suivent sans liens avec les sources, car je n’essaie de persuader personne de quoi que ce soit, mais simplement de déclarer pour le compte rendu public ce que j’ai conclu. La vie est courte. Je vais le dire maintenant.

Je sais qu’un grand nombre de personnes ont été hypnotisées par la peur, les menaces et les pots-de-vin pour accepter la version de COVID-19 des médias grand public. J’ai conclu que plusieurs millions de personnes sont en « état de transe » et ne le savent pas. Ils ont été induits en erreur dans cet état par une campagne de propagande bien organisée et très sophistiquée qui s’est inspirée de la peur humaine de la mort et de la maladie. Ceux qui sont derrière cela ont sans aucun doute étudié la forte incidence de l’hypocondriase dans la population générale et la peur d’un « virus » invisible dans les sociétés où la croyance en Dieu et en l’invisible spirituel a été remplacée par la foi en la science. Connaissant bien leur public, ils ont concocté une campagne de peur et de confusion pour induire l’obéissance.

Je ne sais pas, mais je soupçonne que ceux qui ont été si hypnotisés ont tendance à être principalement des membres de la classe moyenne à la classe supérieure, ceux qui ont tant investi dans le système. Cela inclut les personnes très scolarisées.

Je sais que pour enfermer des centaines de millions de personnes en bonne santé, insister sur le port de masques inutiles, pour leur dire d’éviter les contacts humains, pour détruire la vie économique des personnes ordinaires, ont créé de vastes souffrances qui visaient à enseigner aux gens une leçon sur qui contrôlaient et qu’ils révisaient mieux leur compréhension des relations humaines pour s’adapter à la nouvelle irréalité numérique que les producteurs de cette mascarade tentent de mettre en place de la chair et du sang, face à face à la réalité humaine.

Je sais que le test PCR inventé par Kary Mullis ne peut pas tester le virus présumé ou tout virus et que, par conséquent, tout le nombre de cas et de décès est basé sur absolument rien. Ils sont le fruit d’un tour de passe-passe, d’un immense tour de magie. Je sais que la conviction que le virus peut être testé a commencé avec le protocole non scientifique PCR Corona [le premier test de diagnostic simple de la COVID-19] créé par Christian Drosten en Allemagne en janvier 2020. Ce dernier est devenu la méthode standard de test du CoV-2 du SRAS dans le monde entier. Je suis sûr que cela a été planifié à l’avance et qu’il faisait partie d’une conspiration de haut niveau. Ce protocole a fixé le seuil de cycle (amplification) à 45, ce qui ne pouvait donner que de faux résultats positifs. On les appelait alors des cas : Un acte de fraude à grande échelle.

Je ne sais pas si le prétendu virus a déjà été isolé dans le sens où il était purifié ou isolé de tout le reste, à part être cultivé en laboratoire. Par conséquent, je ne sais pas si le virus existe.

Je sais que les « vaccins » expérimentaux à l’ARNm que l’on impose à tout le monde ne sont pas des vaccins traditionnels, mais des expériences dangereuses dont les conséquences à long terme sont inconnues. Et je sais que Moderna dit que son « vaccin » non vaccinal à ARN messager (ARNm) fonctionne « comme un système d’exploitation sur un ordinateur » et que le Dr. Robert Malone, inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, affirme que les nanoparticules lipidiques des injections voyagent dans tout le corps et s’installent en grande quantité dans de multiples organes où la protéine de pointe, étant biologiquement active, peut causer des dommages massifs et que la FDA le sait. En outre, je sais que des dizaines de milliers de personnes ont subi des effets indésirables de ces injections et que plusieurs milliers en sont mortes et que ces chiffres sont grandement sous-estimés en raison des systèmes de déclaration de ces cas. Je sais qu’avec ce nombre [déclaré] de victimes dans le passé, ces injections expérimentales auraient été arrêtées il y a longtemps ou n’auraient jamais commencé. Le fait que la vaccination se poursuit malgré tout, me persuade qu’un programme extrêmement diabolique est en cours dont le but est de nuire à la santé parce que les responsables savent ce que je sais et bien plus encore.

Je ne sais pas d’où vient ce prétendu virus, s’il existe.

Je sais que dès le début de cette crise, il y a eu un effort concerté dans le monde entier pour refuser l’accès à des traitements efficaces éprouvés tels que l’hydroxychloroquine, les stéroïdes, l’ivermectine dans un effort planifié pour vacciner le plus grand nombre de personnes possible. Cela révèle à lui seul un programme centré non pas sur la santé, mais sur la volonté d’amener le plus grand nombre de personnes possible à se faire vacciner et à être contrôlées.

Le contrôle social est le nom de ce scénario meurtrier.

Je sais que les promoteurs de la vaccination Covid-19 – le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, etc. – ont une longue histoire de volonté de réduire considérablement la population mondiale et que leur promotion de l’eugénisme sous divers noms est très bien connue. Je suis convaincu que la « thérapie génique » de type ARNm non encore testée est la clé de leur plan de réduction de la population.

Je ne sais pas s’ils réussiront.

Je sais qu’il faut nous y opposer.

Je ne sais pas pourquoi il y a autant de citoyens honnêtes qui n’arrivent pas à voir le problème. Je ne peux que l’attribuer au fait qu’elles ont été victimes d’une campagne de propagande gigantesque et hypnotique se servant de leurs peurs les plus profondes et qui aboutira à la manifestation de ces peurs sous prétexte qu’ils pensaient être libres. C’est une grande tragédie.

Je sais que toutes les statistiques sur les cas et les décès « dus » à » COVID-19 ont été manipulées pour créer une fausse pandémie. L’une des preuves les plus évidentes en est la disparition présumée de la grippe et les décès dus à la grippe. Seule une personne en transe pouvait ne pas comprendre la logique absurde de l’argument selon lequel c’était le résultat du port du masque alors que le COVID-19  d’origine aérienne s’est répandu comme une traînée de poudre jusqu’à ce qu’il s’arrête brusquement en janvier 2021 alors qu’un nombre infime de personnes avaient été vaccinées.

Je sais qu’il n’y a guère eu de surmortalité.

Je ne sais pas où tout cela va s’arrêter, mais j’espère contre toute attente que l’opposition croissante à cette fraude se développera et la fera échouer malgré la censure organisée, qui est en cours, contre les opinions dissidentes.

Je sais que lorsque la censure organisée à cette échelle a lieu, ceux qui sont derrière elle ont peur de la révélation de la vérité. Une simple compréhension de l’histoire le confirme.

Je sais que le sursis temporaire accordé par les autorités à leurs sujets sera suivi de nouvelles restrictions aux libertés fondamentales, que les confinements du virus corona reviendront probablement, que les rappels de « vaccins » seront promus et que la pression du Forum économique mondial pour une grande réinitialisation avec une quatrième révolution industrielle conduira au mariage de l’intelligence artificielle, des cyborgs, de la technologie numérique et de la biologie avec les États-Unis et d’autres pays continuant à glisser dans une nouvelle forme de contrôle fasciste à moins que des gens du monde entier ne se lèvent et ne résistent en grand nombre. Je suis rassuré par les signes qui montrent que cette résistance se fait de plus en plus sentir.

Enfin, je sais que si les forces autoritaires gagnent la bataille immédiate, quelqu’un écrira un livre avec un titre comme celui du classique de Milton Mayer, They Thought They Were Free. Il sera censuré. Peut-être sera-t-il d’abord partagé via samizdat. Mais à la fin, après beaucoup de souffrances et de morts, la vérité sur ce mauvais programme prévaudra et il y aura beaucoup de pleurs et de grincements de dents.

Nous sommes dans une guerre spirituelle pour l’âme du monde [une guerre psychologique pour la conquête du monde].

Edward Curtin

Article original en anglais :

What I Know and Don’t Know about SARS-CoV-2 Virus

Traduit par Maya pour Mondialisation


Edward Curtin est un auteur, un chercheur et un sociologue éminent basé dans l’ouest du Massachusetts.

Il est associé de recherche du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).

Il est l’auteur de Seeking the Truth in a Country of Lies

Pour commander son livre, cliquez sur la page couverture

« Chercher la vérité dans un pays de mensonges est un voyage éblouissant au cœur de nombreuses questions – politiques, philosophiques et personnelles – qui devraient nous préoccuper tous. Ed Curtin a le toucher du poète et l’œil d’un aigle. » 

Robert F. Kennedy, Jr.

« Edward Curtin met nos têtes farcies par la propagande dans une guillotine, puis en un éclair nous emmène dans une promenade rédemptrice dans les bois – de l’enfer au paradiso. Marchez avec Ed et ses amis – Daniel Berrigan, Albert Camus, George Orwell et bien d’autres – à travers les bois les plus sombres et les plus remplis de lucioles de cette terre. » 

James W. Douglass, auteur, JFK et l’indicible

« Un exposé puissant de la CIA et de notre État secret… Curtin est un ardent défenseur de la réforme de longue date ; ses histoires vous réveilleront le cœur. » 

Oliver Stone, cinéaste, écrivain et réalisateur

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Edward Curtin, Mondialisation.ca, 2021




Comment votre cerveau est contrôlé !

[Source : La Minute de Ricardo]

[Illustration : ©shutterstock.com/13Smile]



[Voir aussi :
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

[source : https://lilianeheldkhawam.com]

par Liliane Held-Khawam.

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques

Une entreprise qui vend des Spike couplées à des nanoperles magnétiques:
MBS-K001
SARS-CoV-2 Spike S1-coupled Magnetic Beads
S1 protein antibody screening
 (cf détails tout en bas)
Order
MBS-K002
SARS-CoV-2 Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Spike protein RBD antibody screening
Order
MBS-K013
Human ACE2-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K014
Human Anti-SARS-CoV-2 Spike RBD Antibody-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K015
SARS-CoV-2 Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer antibody screening
Order
MBS-K016
SARS-CoV-2 Spike Trimer (D614G)-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer(D614G) antibody screening
Order
MBS-K017
SARS-CoV-2 Nucleocapsid Protein-coupled Magnetic Beads
Nucleocapsid protein antibody screening
Order
MBS-K018
SARS-CoV-2 Spike S2-coupled Magnetic Beads
Spike S2 antibody screening
Order
MBS-K019
SARS-CoV-2 Spike NTD-coupled Magnetic Beads
Spike NTD antibody screening
Order
MBS-K029
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K030
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K031
SARS-CoV-2 (P.1) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K032
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K033
SARS-CoV-2 (P.1) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K034
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder (cf ci-dessous)

Je vous invite à prendre très au sérieux l’histoire des vaccinés magnétisés. Ce n’est pas une blague, ni du conspirationnisme. C’est simplement tragique.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/25/sante-des-nanoparticules-magnetiques-dans-les-cellules-que-lon-peut-commander-a-distance/
[ou : Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]

Vous trouverez ci-dessous une étude qui a été menée sur des personnes qui venaient de se faire vacciner. Comme vous le verrez, cette micro-étude va confirmer la présence de champ magnétique. Les enquêteurs ont arrêté l’expérience compte tenu de la frayeur éprouvée par les « cobayes » lors de la découverte de la magnétisation de leur bras . Cette expérience a été menée par l’Association European Forum for Vaccine Vigilance (SITE ICI) qui a la gentillesse de nous mettre à disposition cette étude.

Avant de vous laisser lire le rapport de l’enquête, je vous présente quelques captures d’écran d’une entreprise qui a tout à fait les compétences pour fabriquer et délivrer du nanomatériel magnétisé.

Le site de Acro Biosystems est fabricant et fournisseur de ce qui semble fort bien être des nanoperles magnétiques qui se couplent à la protéine Spike du Sars Cov2. Vous voyez ci-dessus qu’il y a différents modèles de ce qu’ils appellent Magnetic Beads! (cf détails d’un des modèles tout en bas de la page).

S’ils les fabriquent, c’est qu’ils ont des clients qui en demandent. Cette entreprise vend des trésors à des fabricants de vaccins. Ainsi, vous trouvez entre autres:

https://www.acrobiosystems.com/A1111-SARS-CoV-2-Related-Products.html

Vous serez ravis de savoir que ces industriels des protéines emploient 100 000 scientifiques dans 60 pays! Et ils ont 5000 clients.

LHK


ÉTUDE SUR L’ELECTROMAGNÉTISME DES PERSONNES VACCINÉES AU LUXEMBOURG

Synthèse et conclusion du travail d’enquête effectué par l’association European Forum for Vaccine Vigilance

Mamer, le 06 juin 2021.

Image tirée du site http://www.siencedirect.com

Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination. C’est en tout cas ce que l’on peut observer.

Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.

Est-ce que cet effet est donc réel ou n’est-ce juste qu’une élucubration ?

Cette enquête, à caractère statistique et sociologique portant sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :

  1. Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ?
  2. Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ?
  3. Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui pourrait provoquer cet effet ?

Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à l’un des membres de l’association. Il s’agit de la personne chargée de traiter des questions démographiques et sociologiques.

Présentation des paramètres de l’enquête :

À des fins d’une réalisation accélérée, il a été décidé :

  • D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
  • Que ce panel serait divisé en 2 groupes : le premier serait composé de 100 individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à des fins de comparaison.
  • Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
  • Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les individus inactifs.
  • Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route d’Arlon à Strassen.
  • Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections, l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville du lieu de résidence de la personne interrogée.

NB : Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de praticité, seuls les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des vêtements sans manches seraient interrogées.

Présentation de la méthode d’approche et de réalisation de l’enquête :

  • L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association, puis présente l’enquête :

« Bonjour Madame ou monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de vous déranger mais je m’appelle Amar, je travaille pour l’association European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées vivant au Luxembourg » … « Il s’agit d’une enquête qui porte sur des informations stipulant que les gens vaccinés pourraient présenter des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir si c’est bien la réalité observée ».

  • L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en connaissance de cause, participer de leur gré à l’enquête.

« Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».

  • L’enquêteur explique ensuite aux individus interrogés les intérêts de l’enquête et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant qu’il accroche, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture, etc). Il explique ensuite aux personnes interrogées que les aimants n’adhèrent pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des informations nous sont parvenus prétendant que les gens vaccinés généraient une attraction à l’aimant en raison justement du fait qu’ils ont été vaccinés.
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se prêter au jeu et appliquer l’aimant sur son épaule, à l’endroit où, il ou elle, a été injectée.
  • Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule pour savoir si l’adhésion ne trouve pas son explication dans une concentration ferrique locale (implant, effet de l’injection, etc).
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
  • L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et aux résultats de l’enquête.

Présentation synthétique des résultats pour la semaine d’étude du 1er juin au 5 juin 2021 :

  • Seules 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier groupe et 100 pour le second.
  • La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe, il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.
  • Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience s’arrête donc là pour ce groupe.
  • Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29 présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur peau sans difficulté. Toutes, ce sont fait vacciner en vaccinodrome.

NB : La 30ème personne, qui ne présente pas d’accroche à l’aimant, ne s’est pas faite vacciner en vaccinodrome comme toutes les autres. Elle s’est faite vacciner par une infirmière avec qui elle travaille depuis de nombreuses années.

  • Sur ces 29 individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont reçu qu’une seule injection.

Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux épaules.

  • Dans ce groupe dit des vaccinés, domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il ressort que :
  • 17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
  • 7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
  • 3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
  • 3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
  • 6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Moderna
  • 2 des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux environs de son épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis fin à sa participation sous l’effet de la panique.
  • Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29 résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à Strassen.
  • Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhère plus vite et tient beaucoup mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.
  • Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce dernier constat.

Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour les gens interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux et smartphones adhèrent également. Ce n’est pas faisable en espace public.

Conclusion :

  • Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation, qui ne relève uniquement que de l’expérience tactile à l’application et au retrait de l’aimant à l’épaule, devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus précise, sur un plus grand nombre de personnes et avec des appareils beaucoup plus précis.
  • Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter au jeu de cette expérience assez déstabilisante.
  • Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis, quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux pour ne pas dire qu’ils semblent être complètement sous le choc.
  • Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment il est possible qu’un aimant puisse adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.
  • Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il doit bien y avoir une explication physique ou biologique. Ils sont renvoyés vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter à des fins de compréhension.
  • Une dame a même pleuré en disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais qu’elle a été contrainte par son employeur qui l’y a obligé au prétexte qu’elle travaille au contact de la clientèle.
  • Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des raisons médicales ou des raisons de santé, ni par conviction ou par peur de la maladie mais plus souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de pouvoir à nouveau voyager librement.
  • Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant après coup qu’ils sont pris en otages dans un engrenage politico-psychosocial. Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun moment on leur a donné des explications rationnelles (selon la convention d’Oviedo), c’est-à-dire un éclairage du point de vue de la balance bénéfices-risques et de l’information explicite quant à la composition même des fioles servant aux injections. Ils qualifient ensuite, après réflexion et discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou encore même de chantage ».

Ce sont exactement ces termes qui revenaient très souvent dans les témoignages et les notes.

Il conviendrait là encore de mener une enquête psychosociale beaucoup plus approfondie sur les motivations réelles qui ont menées ces individus vaccinés à accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer toutes les conversations, les interviews et les échanges spontanés avec les vaccinés pour ensuite les analyser.

  • L’enquête est arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens dont les visages se pétrifient lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés d’une substance dont ils ne savent finalement rien.
  • L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur ce qui leur arrive.

Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses. Elles se mettent une main vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas. Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les hanches ou sur les cuisses.

Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement palpable et mesurable.

Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont sans doute commis l’irréparable.

L’acte de vaccination étant, cela va de soi, un acte irréversible.

En résumé :

À la question, est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? La réponse est affirmative. Effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.

À la question, qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ?

Nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garantes de la santé publique et de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui, en amont, ont pris la décision lourde de « vacciner » des populations en bonne santé à l’aide de « vaccins » encore au stade expérimental et dont, lors des essais cliniques, tous les hamsters sont morts.

Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules superparamagnétiques (magnetic beads) sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, à titre expérimental ou pour quelque raison que ce soit, alors que jusque-là celles-ci n’étaient réservées qu’aux thérapies anticancéreuses, alors il est urgent de demander une mise au point, dans les plus brefs délais, aux laboratoires pharmaceutiques et aux autorités de santé qui elles, ont donné leur autorisation pour la mise sur le marché de ces injections.

C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction observés sur les sujets vaccinés et c’est aux hommes politiques, garants de la santé des citoyens de ce pays, de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête approfondie et publique sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.

PS : 2 sites et 1 document de travail intéressants à consulter qui traitent des solutions nanos et des ferrofluides :


Exemple de nanoprotéines Spike couplée à des perles magnétiques

lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2021/06/sars-cov-2-antibodies-sars-cov-2-recombinant-proteins-kits-beads-magnetisme


[Voir aussi :
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses

[Source : Neuf de cœur]



[Voir aussi :
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Ce que cache le test PCR ?
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?]




Premier cas d’étude post-mortem d’un patient vacciné contre le SRAS-CoV-2 : « ARN viral trouvé dans chaque organe du corps »

[Source anglophone : Hal Turner Radio Show]

La toute première autopsie d’une personne vaccinée contre le COVID-19, qui a été testée négative 18 jours plus tard lors de son admission à l’hôpital, mais 24 jours après le vaccin, a révélé que l’ARN viral était présent dans presque tous les organes du corps. Le vaccin, tout en déclenchant une réponse immunitaire, n’a PAS empêché le virus de pénétrer dans tous les organes du corps.

L’ARN viral a été trouvé dans presque tous les organes du corps, ce qui signifie que les protéines Spike aussi.

Il existe des anticorps (comme ceux que le « vaccin » est censé créer), mais ils ne sont pas pertinents car, d’après une étude japonaise, nous savons maintenant que c’est la protéine spike S1 qui cause les dommages.

Nous avons parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d’un hôpital du New Jersey ce matin. Nous lui avons envoyé les résultats de l’autopsie et lui avons demandé son avis.

Lorsqu’il nous a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué. Il nous a dit : « Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l’hôpital si vous le faites ». Nous avons accepté de dissimuler son identité.

Il nous a ensuite dit :

« Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du vaccin.

D’après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde – finalement – aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

Cet ARNm était censé rester sur le site d’injection, mais ce n’est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l’ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.

Pire encore, la présence de l’ARN viral dans tous les organes, malgré un vaccin, indique :
1) Soit que le vaccin ne fonctionne pas du tout ;
2) Soit que le virus bénéficie d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu’il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.

Il s’agit d’une bombe à retardement mondiale ».

Selon le rapport d’autopsie publié, l’homme vacciné était âgé de 86 ans et a été testé NÉGATIF pour le COVID-19 lorsqu’il a été admis à l’hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires. Voici ce que décrit le rapport :

Nous rapportons le cas d’un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate. Le 9 janvier 2021, l’homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des 2 semaines suivantes, il n’a présenté aucun symptôme clinique (tableau 1). Le jour 18, il a été admis à l’hôpital pour une diarrhée qui s’est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l’isolement dans un cadre spécifique n’a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d’antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs.

Le rapport de l’autopsie précise que les tests n’ont montré « aucun changement morphologique associé au COVID » dans ses organes.

« Morphologique » signifie structurel. On sait maintenant que l’infection par le COVID provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu’elle infecte. CES CHANGEMENTS N’ÉTAIENT PAS apparus chez l’homme vacciné avant sa mort.

L’homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF pour le COVID, et le rapport indique qu’ils pensent que l’homme vacciné décédé a attrapé le COVID après avoir été admis, par l’autre patient dans la même chambre.

Les dommages causés aux organes de l’homme vacciné aujourd’hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu’il ne soit infecté par le COVID par l’autre patient de la chambre d’hôpital.

Pire, une fois que l’homme vacciné a effectivement été infecté par le COVID, celui-ci s’est propagé si rapidement dans son corps qu’il n’a apparemment eu aucune chance. Voici des images de tissus :

Le rapport post-mortem complet est publié sur ScienceDirect.com (ICI)




« La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme » déclare le Pr Bridle. MàJ

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

« Nous avons fait une erreur ». Dans une interview récente avec la journaliste Alex Pierson, le professeur Byram Bridle, spécialiste en immunologie virale, déclare que ces nouvelles recherches et travaux l’ont mené à faire des découvertes importantes sur le virus et en particulier la protéine Spike. Cette protéine est celle qui a fait l’objet de nombreux travaux notamment sur les vaccins à ARN messagers. Dans le cadre de son interview, le professeur Bridle prend les devants pour expliquer les éléments de sa découverte ainsi que les conséquences notamment pour la vaccination en cours…

Byram Bridle, canadien, est un immunologiste viral passionné par l’amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche (1) la conception et à l’optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers et (2) sur l’étude des réponses de l’hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. closevolume_off

Il est donc tout à fait normal que dans le cadre de ses travaux, il se soit penché sur le coronavirus et il déclare :

« Jusqu’à récemment, nous n’avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n’ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d’ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu. »

Les chercheurs du groupe du Pr Bridle ont donc découvert que la protéine Spike du vaccin est une toxine et crée des dommages cardio-vasculaires (le coronavirus a une protéine Spike qui permet d’entrer dans le corps). On croyait que l’injection dans l’épaule restait localisée. Mais une étude a observé où va la protéine après : dans le sang, s’accumule dans le foie, les ovaires. C’est pourquoi on l’utilise en thérapie génique vaccinale, on la fabrique, notre système la détecte et se défend contre elle, en théorie.

En pratique, on a découvert que la protéine pose problème : 13 jeunes ont reçu la thérapie génique Moderna et on a observé que la protéine Spike est passée dans leur sang chez 11 des 13 jeunes. En passant dans le sang, elle peut se lier aux récepteurs de nos plaquettes pouvant provoquer coagulation, caillots, problème neurologique. Ce qui explique tous les effets secondaires graves que l’on a pu observer (thromboses et autres caillots).

Ses travaux le mènent à conclure :

« Nous avons fait une erreur. La protéine de pointe est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme. Il est même transmis par le lait maternel aux enfants allaités ». »

La vidéo de l’interview avec les sous-titres : [sous-titrage en français par ivermectine-covid.ch]

https://videas.fr/embed/b6543e41-ed5a-4233-ae9a-0ae37e6d96fb/

L’étude est publiée et en cours d’évaluation par les pairs. La voici : étude (PDF)

En réaction à cette recherche, le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine déclare : 

Au nom du principe de précaution: Il faut arrêter immédiatement toutes vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike.

Un article du site LifeSiteNews a documenté cela en détail, traduit ci-après : 

Une nouvelle recherche terrifiante révèle de manière inattendue un pic de protéine du vaccin dans la circulation sanguine. La protéine est liée aux caillots sanguins, aux lésions cardiaques et cérébrales et aux risques potentiels pour les bébés allaités et la fertilité. Cette recherche montre que la protéine de pointe de coronavirus de la vaccination COVID-19 pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui est une explication plausible pour des milliers d’effets secondaires signalés des caillots sanguins et des maladies cardiaques aux lésions cérébrales et aux problèmes de reproduction , a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien sur les vaccins contre le cancer.

Bridle, chercheur en vaccins ayant reçu une subvention gouvernementale de 230000 dollars en 2020 pour la recherche sur les vaccins COVID, a déclaré que son groupe de scientifiques internationaux avaient déposé une demande d’informations auprès de l’agence de réglementation japonaise pour avoir accès à ce qu’on appelle l ‘« étude sur la biodistribution . »

« C’est la toute première fois que des scientifiques découvrent où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination », a déclaré Bridle. « Est-ce une hypothèse sûre qu’il reste dans le muscle de l’épaule? La réponse courte est: absolument pas. C’est très déconcertant. »

Les chercheurs avaient fait l’hypothèse que les nouveaux vaccins à ARNm COVID se comporteraient comme des vaccins traditionnels et que la protéine de pointe du vaccin – responsable de l’infection et de ses symptômes les plus graves – resterait principalement dans le site de vaccination au niveau du muscle de l’épaule. Au lieu de cela, les données japonaises ont montré que la tristement célèbre protéine de pointe du coronavirus pénètre dans le sang où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s’accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et dans concentrations assez élevées dans les ovaires.

« Nous savons depuis longtemps que la protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Il peut causer des dommages à notre corps s’il entre en circulation », a déclaré Bridle.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est ce qui lui permet d’infecter les cellules humaines. Les fabricants de vaccins ont choisi de cibler la protéine unique, permettant aux cellules de la personne vaccinée de fabriquer la protéine qui, en théorie, provoquerait alors une réponse immunitaire à la protéine, l’empêchant d’infecter les cellules.

Un grand nombre d’études a montré que les effets les plus graves du SRAS-CoV-2 (le virus responsable du COVID-19), tels que la coagulation sanguine et les saignements, sont dus aux effets de la protéine de pointe du virus lui-même.

« Ce qui a été découvert par la communauté scientifique, c’est que la protéine de pointe à elle seule est presque entièrement responsable des dommages au système cardiovasculaire, si elle entre en circulation », a déclaré Bridle aux auditeurs.

Les animaux de laboratoire injectés avec une protéine de pointe purifiée dans leur circulation sanguine ont développé des problèmes cardiovasculaires, et il a également été démontré que la protéine de pointe traversait la barrière hémato-encéphalique et causait des dommages au cerveau.

Une grave erreur, selon Bridle, était la croyance que la protéine de pointe ne s’échapperait pas dans la circulation sanguine. « Maintenant, nous avons des preuves claires que les vaccins qui fabriquent les cellules de nos muscles deltoïdes fabriquent cette protéine – que le vaccin lui-même, plus la protéine – entre dans la circulation sanguine », a-t-il déclaré.

Bridle a cité l’étude récente qui a détecté la protéine SARS-CoV-2 dans le plasma sanguin de 11 des 13 jeunes travailleurs de la santé qui avaient reçu le vaccin COVID-19 de Moderna, dont trois avec des niveaux détectables de protéine de pointe. Une protéine « sous-unité » appelée S1, faisant partie de la protéine de pointe, a également été détectée. La protéine de pointe a été détectée en moyenne 15 jours après la première injection. Un patient avait une protéine de pointe détectable au jour 29, un jour après une injection, qui a disparu deux jours plus tard. 

Effets sur le cœur et le cerveau

Une fois en circulation, la protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs ACE2 spécifiques qui se trouvent sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins. « Lorsque cela se produit, il peut faire l’une des deux choses suivantes : cela peut soit provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui peut conduire à la coagulation. C’est exactement pourquoi nous avons constaté des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. Cela peut également entraîner des saignements. » Bridle a également déclaré que la protéine de pointe en circulation expliquerait les problèmes cardiaques récemment signalés chez les jeunes qui avaient reçu les injections.

« Les résultats de cette étude Pfizer qui a révélé la biodistribution de l’ARNm du vaccin ne sont pas surprenants, mais les implications sont terrifiantes », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology, à LifeSiteNews. Il est maintenant clair que le contenu du vaccin est administré à la rate et aux glandes, y compris les ovaires et les glandes surrénales. « La protéine de pointe libérée est rejetée dans le milieu, puis atteint finalement la circulation sanguine, causant des dommages systémiques. Les récepteurs ACE2 sont communs dans le cœur et le cerveau, et c’est ainsi que la protéine de pointe provoque des problèmes cardiovasculaires et cognitifs », a déclaré Seneff.

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont récemment annoncé qu’ils étudiaient les rapports de maladies cardiaques bénignes suite à la vaccination COVID-19 et la semaine dernière, 18 adolescents dans l’état du Connecticut seul ont été hospitalisés pour des problèmes cardiaques qui se sont développés peu de temps après avoir pris Vaccins contre le Covid-19.

Le vaccin d’AstraZeneca a été interrompu dans un certain nombre de pays et n’est plus recommandé pour les jeunes en raison de son lien avec des caillots sanguins potentiellement mortels et mortels, mais les vaccins à ARNm COVID ont également été liés à des centaines de rapports d’ événements de coagulation sanguine .

La FDA a mis en garde contre le danger de la protéine Spike

Le rhumatologue pédiatrique J.Patrick Whelan avait averti un comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration du potentiel problème de la protéine Spike dans les vaccins COVID de causer des dommages microvasculaires causant des dommages au foie, au cœur et au cerveau de manières qui n’ont pas été évaluées en les essais de sécurité.

Alors que Whelan n’a pas contesté la valeur d’un vaccin contre le coronavirus qui a fonctionné pour arrêter la transmission de la maladie (ce qu’aucun vaccin COVID en circulation n’a été démontré), a-t-il déclaré : souffrent de dommages durables ou même permanents à leur microvascularisation cérébrale ou cardiaque en raison de l’incapacité à apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéines de pointe complètes sur d’autres organes. »

Le pic de protéines associé au vaccin dans la circulation sanguine pourrait expliquer une myriade d’événements indésirables signalés par les vaccins COVID, y compris les 4000 décès à ce jour et près de 15000 hospitalisations, signalés au système de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS) du gouvernement américain au 21 mai 2021. Puisqu’il s’agit d’un système de notification passif, ces rapports ne sont probablement que la pointe de l’iceberg d’événements indésirables, car une étude de Harvard Pilgrim Healthcare a révélé que moins d’un pour cent des effets secondaires que les médecins devraient signaler chez les patients après la vaccination sont en fait rapportés. VAERS.

Bébés, enfants et adolescents qui allaitent, fragiles, les plus à risque

Bridle a déclaré que la découverte d’une protéine de pointe induite par le vaccin dans la circulation sanguine aurait des implications pour les programmes de don de sang. « Nous ne voulons pas de transfert de ces protéines de pointe pathogènes à des patients fragiles qui sont transfusés avec ce sang », a-t-il déclaré. Le scientifique a également déclaré que les résultats suggéraient que les bébés allaités dont les mères avaient été vaccinées risquaient d’obtenir des protéines de pointe COVID de son lait maternel. Bridle a ajouté que « toutes les protéines du sang se concentrent dans le lait maternel » et « nous avons trouvé des preuves de nourrissons allaités souffrant de troubles de la coagulation dans le tractus gastro-intestinal » dans VAERS.

Bien que Bridle ne l’ait pas cité, un rapport VAERS décrit un nourrisson de cinq mois allaité dont la mère a reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer en mars. Le lendemain, le bébé a développé une éruption cutanée et est devenu inconsolable, a refusé d’allaiter et a développé une fièvre. Le rapport indique que le bébé a été hospitalisé avec un diagnostic de purpura thrombocytopénique thrombotique , une maladie sanguine rare dans laquelle des caillots sanguins se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps. Le bébé est mort.

La nouvelle recherche a également trouvée de graves implications pour les personnes pour qui le SRAS Coronavirus 2 n’est pas un agent pathogène à haut risque, et cela comprend tous nos enfants.

Effet sur la fertilité et la grossesse?

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les testicules et les ovaires dans les données secrètes de Pfizer publiées par l’agence japonaise soulève également des questions. « Allons-nous rendre les jeunes stériles? » Bridle a demandé. Il y a eu des milliers de rapports de troubles menstruels par des femmes qui avaient pris un vaccin COVID-19, et des centaines de rapports de fausses couches chez des femmes enceintes vaccinées, ainsi que de troubles des organes reproducteurs chez les hommes.

Campagne de diffamation vicieuse

En réponse à une demande, Bridle a envoyé une déclaration à LifeSiteNews lundi matin, déclarant que depuis l’interview radio, il avait reçu des centaines de courriels positifs. Il a également ajouté qu ‘« une campagne de dénigrement vicieuse a été lancée contre moi. Cela comprenait la création d’un site Web diffamatoire en utilisant mon nom de domaine. »

« Tels sont les moments où un universitaire ne peut plus répondre aux questions légitimes des gens avec honnêteté et sur la base de la science sans craindre d’être harcelé et intimidé », a écrit Brindle. « Cependant, ce n’est pas dans ma nature de permettre que des faits scientifiques soient cachés au public.»

Il a joint un bref rapport décrivant les principales preuves scientifiques à l’appui de ce qu’il a dit lors de l’entrevue. Il a été rédigé avec ses collègues de la Canadian COVID Care Alliance (CCCA) – un groupe de médecins, scientifiques et professionnels canadiens indépendants dont le but déclaré est de fournir des informations factuelles de qualité supérieure sur le COVID-19, dans le but de réduire les hospitalisations. et sauver plus de vies.

Un point central de l’énoncé était le risque pour les enfants et les adolescents qui sont la cible des dernières stratégies de commercialisation des vaccins, y compris au Canada.

Au 28 mai 2021, il y avait eu 259 308 cas confirmés d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les Canadiens de 19 ans et moins. Parmi ceux-ci, 0,048% ont été hospitalisés, mais seulement 0,004% sont décédés, selon le communiqué de l’ACCJE. La grippe saisonnière est associée à une maladie plus grave que le Covid-19.

Compte tenu du petit nombre de jeunes sujets de recherche dans les essais de vaccins de Pfizer et de la durée limitée des essais cliniques, le CCCA a déclaré que les questions sur la protéine de pointe et une autre protéine du vaccin doivent trouver une réponse avant que les enfants et les adolescents ne soient vaccinés, y compris si la protéine de pointe du vaccin traverse le barrière hémato-encéphalique, si la protéine de pointe du vaccin interfère avec la production de sperme ou l’ovulation, et si la protéine de pointe du vaccin traverse le placenta et affecte un bébé en développement ou se trouve dans le lait maternel.

LifeSiteNews a envoyé à l’Agence de la santé publique du Canada la déclaration de l’ACCJE et a demandé une réponse aux préoccupations de Bridle. L’agence a répondu qu’elle travaillait sur les questions, mais n’a pas envoyé de réponses avant l’heure de publication. 

Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas répondu aux questions sur les préoccupations de Bridle. Pfizer n’a pas répondu aux questions permettant d’établir depuis combien de temps l’entreprise était au courant des données de recherche, publiées par l’agence japonaise, montrant des pics de protéines dans les organes et les tissus des individus vaccinés.

À propos du Dr Bridle

Sur son site internet, le Dr Bridle est présenté comme un immunologiste virologue passionné par l’amélioration de la vie grâce à deux voies de recherche. Un des volets de son programme de recherche est dédié à la conception et à l’optimisation de nouvelles biothérapies pour le traitement des cancers. Le but de son équipe de recherche est d’exploiter la puissance naturelle du système immunitaire d’un patient pour éliminer ses propres cellules cancéreuses. Cela représente la thérapie personnalisée ultime et détient le potentiel de traiter les cancers plus efficacement, en toute sécurité et à moindre coût que les options actuelles. Le deuxième volet de son programme de recherche se concentre sur l’étude des réponses de l’hôte aux virus et autres stimuli inflammatoires. Cela a des implications pour le traitement des maladies infectieuses et des troubles induits par l’inflammation. Ces deux programmes ont été unifiés de manière unique. Le laboratoire Bridle exploite son expertise dans la fabrication de vaccins anticancéreux puissants et combine cela avec son intérêt pour l’immunité antivirale pour développer des vaccins pour se protéger contre les maladies infectieuses telles que celles causées par des coronavirus hautement pathogènes. Le mentorat de la prochaine génération de scientifiques canadiens est une responsabilité que le Dr Bridle prend très au sérieux. Il considère également comme un privilège d’enseigner aux étudiants des programmes de doctorat en médecine vétérinaire, des cycles supérieurs et du premier cycle de l’Université de Guelph.

Centre d’intérêts de recherche du laboratoire

Le programme de recherche du laboratoire Bridle comporte deux volets :

Le premier consiste à développer de nouvelles biothérapies hautement ciblées pour le traitement des cancers. Dans un effort pour tuer les cellules malignes avec un minimum de dommages des spectateurs aux tissus normaux, deux approches sont combinées: (a) l’immunothérapie anticancéreuse qui dirige le pouvoir du système immunitaire d’un patient contre sa ou ses propres tumeurs et (b) la virothérapie oncolytique, qui utilise des virus qui se répliquent et ne tuent que les cellules cancéreuses. La spécificité, la capacité de ciblage systémique et les fenêtres de traitement courtes de ces thérapies promettent que les patients cancéreux pourraient être traités efficacement avec des effets secondaires réduits et à un coût minime. L’objectif est de traduire les itérations les plus prometteuses de ces thérapies en essais cliniques chez les animaux de compagnie comme tremplin vers des tests sur des patients humains. 

L’étude des réponses de l’hôte aux virus est un deuxième objectif du laboratoire. Un domaine d’intérêt est le développement d’une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents aux tempêtes de cytokines induites par les virus. L’équipe de recherche du Dr Bridle a identifié un rôle essentiel de la signalisation par le récepteur de l’interféron de type I dans la régulation négative d’un vaste réseau de cytokines. Les réponses des cytokines aux virus sont souvent très différentes entre les femmes et les hommes et le groupe de laboratoire Bridle cherche à comprendre pourquoi. À l’intersection de ces deux programmes, se trouve une initiative de recherche visant à modifier les plateformes optimisées de vaccination contre le cancer de l’équipe de recherche pour cibler le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoC) -2, qui est l’agent causal de la maladie à coronavirus identifié à la fin de 2019 (COVID-19). 

Financement de la recherche :

Le laboratoire Bridle est ou a été financé par Instituts de recherche en santé du Canada, Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), Institut de recherche Terry Fox, Société canadienne du cancer, Société de recherche sur le cancer, Fondation canadienne du cancer du sein, Fonds de recherche rapide COVID-19 de l’Ontario, Université de Guelph / Collège vétérinaire de l’Ontario / Département de pathobiologie Financement de démarrage COVID-19, Centre national d’excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (BioCanRx), OVC Pet Trust, Le Fonds de lutte contre le cancer du ciel bleu souriant, Fondation canadienne pour l’innovation – Fonds des leaders John R. Evans, Fondation canadienne pour l’innovation – Fonds d’exploitation des infrastructures, Fonds de recherche du ministère de la Recherche et de l’Innovation de l’Ontario – Programme d’infrastructure de recherche.

Le laboratoire Bridle fait partie du Consortium canadien du virus oncolytique, Réseau de centres d’excellence en biothérapies pour le traitement du cancer (membre fondateur), Société canadienne d’immunologie, Société canadienne de virologie, Institut de recherche Terry Fox, Institut d’investigation comparative sur le cancer, Groupe de l’ostéosarcome du chien: biomarqueurs / biothérapie de la néoplasie (DOGBONe), One Health Institute


[Voir aussi :
Un nouveau rapport fait la lumière sur le culte apocalyptique des vaccins
Le tableau de bord de CoVaxx-19 : Saignements, caillots sanguins et tout le reste
La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus]


[Mise à jour : condensé « complotiste » sur la problématique de la protéine Spike, dans cette vidéo de 14 min.
Source : Vivre sainement]






Nanoparticules dans l’alimentation : où se cachent-elles ?

[Source : agirpourlenvironnement.org]

OÙ SE CACHENT LES NANOPARTICULES ?

La liste des produits* contenant ou pouvant contenir des nanoparticules

Les nanoparticules se sont introduites secrètement dans nos assiettes via certains additifs alimentaires. Leur présence superflue nous fait courir des dangers sanitaires et environnementaux graves. Refusons d’être les cobayes de cette technologie incontrôlée.
Interpellons les industriels !

Liste imprimable : liste-nano-imprimable.pdf (apeorg.com)


*Pour la France




Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!

[Source et auteur : Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Nous volons de découverte en découverte, avec pour seul fil rouge la stupeur pour ne pas dire l’effroi.

Souvenez-vous du choc que certains ont pu ressentir lorsque nous avions découvert la fabrication des jumelles chinoises OGM.

Il y a quelques jours, la mise au grand jour des vaccins autodisséminés représenta une étape essentielle de nos recherches.

L’article de Science qui nous rapproche toujours plus de la confirmation de l’hypothèse d’un virus SARS-CoV-2 fabriqué en laboratoire aurait dû faire la une des médias officiels.

Aux quelques doléances qui précèdent doivent s’ajouter l’euthanasie bien entendue des personnes âgées, le refus de considérer un tant soit peu le traitement de l’infection par le coronavirus, l’acharnement à ne rien changer au protocole ou aux composants des « vaccins » malgré les chiffres accablants dont nous disposons, mais aussi des conséquences problématiques de ces produits sur des personnes jeunes et en bonne santé. 
https://childrenshealthdefense.org/defender/cdc-investigating-reports-heart-problems-teens-adolescents-covid-vaccine/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=bcaaec43-2eda-4bae-b08c-4612a77b3b03

Nous avons tenté de traiter ces thèmes de la manière la plus neutre et la plus sourcée possible… En revanche, nous avons du mal à répondre à la question du pourquoi!

Pourquoi s’acharner pareillement sur l’humanité? Pourquoi s’en prendre aux personnes vulnérables et sans défenses ?

Il est très compliqué de répondre à cette question sans affoler et/ou sans être traités de complotiste. Pourtant, si les autorités sanitaires avaient été loyales envers les populations, elles auraient dû faire une pause dans ce que l’on appelle « vaccination », étudier les effets indésirables nombreux et handicapants, et refuser net de continuer d’administrer ces choses aux populations âgées. C’est une question de bon sens n’est-ce pas? Pourtant, rien n’a été fait. Et pire face aux résultats catastrophiques de AstrZeneca, on a poursuivi dans la stratégie destructrice de vies et de familles. Dans certains pays, on a poussé le cynisme encore plus loin en réservant ce qui devrait être apparenté à un produit dangereux pour la santé aux plus de 55 ans. Quelles conclusions en tirer?

À ce stade, nous sommes sûrs d’une chose:

Manifestement, ce que nous observons ne correspond pas aux résultats communiqués par les industriels qui nous parlaient de 95 % d’efficacité n’est-ce pas?

En même temps, les résultats des essais ont été présentés par les industriels eux-mêmes et les « scientifiques » et les gouvernants ont accepté leurs chiffres, et les critiques européennes vues précédemment dans les mails hackés ont été mises en sourdine.

Des vidéos de bras aimantés

Tous les jours apportent donc son lot de surprises dans un monde qui semble avoir basculé dans un chaos éthique. Ainsi un jour, je découvre des vaccinés qui arrivent à s’accrocher un aimant là où ils ont reçu l’injection.

Les vaccinés qui testent des aimants sur leur bras ridiculisés dans une émission grand public.

C’est en choeur que les animateurs de l’espace public ont crié à la fake info. A priori les images ne pouvaient convaincre un esprit rationnel. Impossible donc que le corps humain soit aimanté. Mon professeur de biologie du Lycée aurait dit la même chose. Sauf que la science des années 70-80 n’a plus rien à voir avec les défouloir débridés que sont devenus les labos du 21ème siècle. Forte de cette conviction j’ai mené ma petite enquête. J’ai commencé par tomber sur les liens mis en avant par Google tous dénonçant la fausse info. Voici un message pris au hasard:

« Pour cet épisode, Elsa de La Roche Saint André a contacté Julien Bobroff, physicien français spécialiste du magnétisme, qui enseigne à l’Université Paris-Saclay. “Un vaccin contre le Covid-19 qui puisse contenir des puces, et qui accrocherait des aimants quand on l’injecte, c’est absolument impossible du point de vue de la physique”, assure-t-il. 

Alors comment faire croire en vidéo qu’un magnet est attiré par une puce implantée dans le bras par le biais de la vaccination ? L’auteur scientifique anglo-américain Mick West, qui s’est spécialisé dans la vérification des théories du complot, détaille dans une vidéo quelques possibilités, comme le fait que la peau soit grasse ou l’utilisation d’une crème huileuse. 

Une dernière hypothèse repérée sur le site de fact-checking “Fact and Furious”, créé en réaction aux fausses informations circulant depuis le début de la crise sanitaire, serait que certaines des personnes qui tournent ces vidéos soient porteuses d’une prothèse d’épaule. En effet, les prothèses peuvent contenir du cobalt, un métal qui attire les aimants. »

https://observers.france24.com/fr/%C3%A9missions/info-ou-intox/20210521-info-ou-intox-episode-47-vaccin-covid-19-magnet-challenge-aimant-puce

Comment fonctionne un aimant?

Des nanoparticules magnétiques

Eh bien nous avons mené notre propre check. Et figurez-vous que j’ai découvert des paquets d’ »inventions » plus qu’édifiantes! Il existe même un projet tout ce qu’il y a de plus officiel puisque figurant sur le site de l’UE.

Sous le titre de « Comment faire croître les neurones avec des aimants et des nanoparticules », nous découvrons des trésors. La chose est présentée sous le prétexte acceptable de venir en aide aux malades de Parkinson, les réformes des lois sur la bioéthique feront le reste. On nous dit notamment que:

« Le projet MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de notre technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. Les nanoparticules sont de très petits objets, de l’ordre du nanomètre, généralement connus pour être nocifs, mais ils peuvent également être utilisés de manière positive. En attachant à leur surface des biomolécules spécifiques, il est possible d’interagir avec les molécules cellulaires pour donner des signaux spécifiques aux cellules. En utilisant des nanoparticules magnétiquesil est possible d’utiliser des dispositifs magnétiques pour agir sur elles à distance afin de déclencher des réponses cellulaires.

Pour relever le défi de la télécommande des neurones à distance, nous proposons l’utilisation de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées conçues pour fonctionner comme des «points chauds» intracellulaires qui indiqueront à la machinerie cellulaire ce qu’il faut faire. Une fois délivrées dans le cytoplasme des neurones, ces nanoparticules magnétiques activeront des réactions biochimiques spécifiques à l’intérieur des cellules en réponse à des champs magnétiques externes de sorte que les nanoparticules favoriseront et orienteront la croissance des bras des neurones. » 

http://magneuron.eu/

Le principe de cette technologie qui révolutionne la biologie et la médecine est expliquée ci-dessous par un schéma. Dans ce cas, il est question de reprogrammation cellulaire dans un but fort louable puisque le patient est atteint d’une maladie grave. Qu’est-ce qui empêcherait de l’utiliser dans d’autres circonstances? A relever que lesdites cellules augmentées sont contrôlables à distance (par remote coontrol).

Vous constaterez aussi qu’il est question d’un outil magnétique communiquant avec les nanoparticules aimantées. Est-ce que dans notre environnement cet outil peut être représenté par les antennes 5G, ce qui nous introduirait brusquement et brutalement dans le monde de l’Internet des Humains?

Les scientifiques de l’Université de Washington espèrent que l’avenir permettra d’améliorer considérablement cette technologie du Brain to brain communication pour envoyer des informations plus complexes d’une personne à une autre.  Andrea Stoco souligne “Internet est un moyen pour connecter les ordinateurs, et maintenant il peut être un moyen des connecter des cerveaux. »

Qu’est-ce que le sigle iPSCs qui figure sur le dessin de Magneuron?

N’étant pas biologiste, mais simplement capable de suivre les flèches de ce processus, j’ai été intriguée par le iPSCs qui semble tenir un rôle central. Et voici ce que j’ai trouvé. Une plateforme dédiée à la communauté des sciences de la vie à Zurich. On nous dit:

Depuis la découverte par Yamanaka et Takahashi des cellules souches pluripotentes induites (iPSC), cette technologie a ouvert des possibilités sans précédent pour étudier pratiquement tous les types de cellules d’intérêt in vitro et pour modéliser les maladies humaines «dans une boîte». La communauté des sciences de la vie de Zurich profite activement de ces nouvelles possibilités.

L’objectif de cette plateforme est de favoriser les interactions, les collaborations et l’éducation sur cette technologie parmi les chercheurs travaillant sur les iPSC dans la région de Zurich . Les groupes affiliés à toutes les institutions académiques sont invités à présenter leurs recherches liées à l’iPSC, y compris l’Université de Zurich, l’ETH Zurich et les hôpitaux universitaires (USZ, Kinderspital, PUK, Balgrist, Zentrum für Zahnmedizin). Tous les sujets de recherche peuvent être inclus, allant des questions de recherche fondamentale sur la pluripotence des cellules souches à la modélisation des maladies ou à la médecine régénérativeLes troubles affectant tout système organique peuvent être inclus (système nerveux central, cœur, rein, muscles, système immunitaire, yeux ou maladies métaboliques).

https://www.ipsc-research.uzh.ch/en.html

Et qui est M Yamanaka qui semble occuper une place centrale dans cette médecine d’un nouveau genre? Shinya Yamanaka (山中 伸弥 : Yamanaka Shinya) est né à Higashiosaka au Japon. Médecin japonais, il est chercheur sur l’induction des cellules souches pluripotentes et la reprogrammation des cellules somatiques. (Wikipédia)

Dans un article paru dans Science en février 2008, Yamanaka affirme que la méthode de transformation génétique des cellules à l’aide d’un virus n’entraîne pas de problème de tumeurs, ce qui pourrait ouvrir la voie vers un usage thérapeutique pour la régénération de tissu.

Wikipédia

Cette assertion est à la fois énorme pour le monde de la médecine, mais en même temps effrayante dans le contexte actuelle. Et comme Wikipédia n’a pas donné de références sur l’article de Science, il a bien fallu aller dénicher ce qui pourrait être une perle dans l’énigme vaccinale covidienne. Voici le résumé d’une publication mRNA-Based Genetic Reprogramming écrite cette fois en 2018:

La découverte que les cellules cutanées ordinaires peuvent être transformées en cellules souches pluripotentes par l’expression forcée de facteurs définis a fait naître l’espoir que des traitements régénératifs personnalisés basés sur du matériel immunologiquement compatible dérivé des propres cellules d’un patient pourraient être réalisés dans un avenir pas trop lointain. Un obstacle majeur à l’utilisation clinique des cellules souches pluripotentes induites (iPSC) a été initialement présenté par la nécessité d’utiliser des vecteurs viraux d‘intégration pour exprimer les facteurs qui induisent un profil d’expression génique embryonnaire, ce qui entraîne une altération potentiellement oncogène du génome normal. Plusieurs systèmes de reprogrammation «non intégrateurs» ont été développés au cours de la dernière décennie pour résoudre ce problème. Parmi ces techniques, la reprogrammation de l’ARNm est la plus sans ambiguïté «sans empreinte», la plus productive,et peut-être le mieux adapté à la production clinique de cellules souches. Ici, nous discutons des origines du système de reprogrammation à base d’ARNm, de ses avantages et inconvénients, des améliorations techniques récentes qui simplifient son application et de l’état des efforts actuels pour industrialiser cette approche pour produire en masse des cellules souches humaines pour la clinique.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6453511/

Magneuron, projet porté par les gouvernants!

Retour au projet Magneuron. Dans un silence consternant, on découvre que ce genre de projet est porté par les gouvernants qui ne jugent pas utiles d’informer les sans-dents de ce qu’ils leur ont réservé pour un avenir immédiat! Voici ce que présente le Portail français du programme européen pour la recherche et l’innovation. Dans la liste des témoignages des lauréats, nous trouvons une référence à Magneuron:

Détournement des voies de signalisation cellulaire avec des nanoactionneurs magnétiques pour les thérapies télécommandées par cellules souches des troubles neurodégénératifs.

magneuron : Télécharger

https://www.horizon2020.gouv.fr/cid130111/boite-outils-pour-les-projets-technologies-futures-emergentes-fet.html

Tout aussi intéressant que ce projet Magneuron est celui de Luminous

Ce projet est décrit en termes de vision de la manière suivante. plutôt très inquiétant…

Vision à long terme « Notre vision est que les informations théoriques joueront un rôle central dans la compréhension de la conscience, que la conscience sera un jour de plus en plus mesurée, quantifiée et modifiée en toute sécurité grâce à l’interaction électromagnétique » Percée scientifique et objectif technologique – « La première percée proposée est » la création d’une nouvelle classe motrice de la conscience sensorielle, qui minimise « la création d’une nouvelle classe de conscience motrice ou de dépassement de la conscience ». La deuxième percée ciblée ici est l’altération électrique de la conscience. « Nouveauté » travail pionnier en science fondamentale, y compris les concepts de théorie de l’information, et la physiologie expérimentale, les applications cliniques et la technologie »

Voilà donc que l’insertion de nanoparticules magnétiques n’est pas une vue de l’esprit de complotistes. Ces individus qui squattent les laboratoires d’un nouveau genre et qui bénéficient de l’argent pléthorique de Planète finance sont en train de reléguer Frankenstein dans un coin de l’histoire, avec bonnet d’âne en prime.

Nous avons affaire à de très grands chercheurs de diverses disciplines qui se sont retrouvés autour de projets communs. La synergie qui s’en dégage semble libérer une puissance dont le potentiel maléfique n’est pas difficile à imaginer.

Alors ami lecteur, je vous ai apporté ces quelques infos dans le but de nous aider à décoder l’image finale très probablement monstrueuse que des esprits malades ont dessinés pour l’humanité.

Tout silence de tout individu habitant cette terre face à ces données publiques financées avec nos impôts aura un coût humain inimaginable à ce stade.

LHK

Complément d’info

Le projet MAGNEURON Future and Emerging Technologies (FET) a pour objectif de déterminer comment contrôler les neurones nouvellement implantés dans le cerveau, afin qu’ils puissent se développer, se recâbler et fonctionner correctement. Ceci est particulièrement important pour les maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson.

Image montrant le fonctionnement du projet MAGNEURON
Projet MAGNEURON – Schéma du fonctionnement du projet MAGNEURON

Le   projet FET-Open MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de leur technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. MAGNEURON est dirigé par le Dr Mathieu Coppey, de l’Institut Curie, France. Le projet comprend 6 partenaires de France, d’Allemagne et du Royaume-Uni, couvrant les domaines de la physique-chimie, de la biochimie, de la biophysique, des nanosciences, des neurosciences et de la médecine régénérative.




Le vaccin Moderna contient bel et bien un ingrédient douteux

[Source : reseauinternational.net]

par Philippe Huysmans.

Peut-être avez-vous déjà entendu parler de la polémique qui fait rage autour d’un des ingrédients listés par le fabricant Moderna pour l’élaboration de son vaccin à ARNm. Tout débute lorsque, sur les réseaux sociaux, un internaute curieux à cherché à savoir à quoi correspondait l’ingrédient listé sous sa dénomination commerciale, le SM-102.

Ceci faisait suite à la publication, sur le site officiel de l’État du Connecticut de la liste des substances intervenant dans la fabrication du vaccin de Pfizer et celui de Moderna.

Tout d’abord il faut savoir que le produit SM-102 est une dénomination commerciale, un peu comme les fraises Tagada sont un produit du catalogue de la société Haribo.

En l’occurence, le SM-102 est un produit de la société Cayman Chemical

Vous pouvez trouver sa fiche technique ici.  Il s’agit d’un amino lipide ionisable (corps gras, donc), dont la description stipule :

« Le SM-102 est un lipide aminé ionisable qui a été utilisé en combinaison avec d’autres lipides dans la formation de nanoparticules lipidiques. L’administration d’ARNm de luciférase dans des nanoparticules lipidiques contenant du SM-102 induit l’expression de la luciférase hépatique chez la souris. Des formulations contenant du SM-102 ont été utilisées dans le développement de nanoparticules lipidiques pour l’administration de vaccin à base d’ARNm ».

Le problème ? Sur la page de description du produit on trouve l’avertissement suivant :

AVERTISSEMENT : Ce produit n’est pas destiné à un usage humain ou vétérinaire.(([1] WARNING This product is not for human or veterinary use.))

Ce que les internautes pointaient du doigt c’est que le SM-102, le fameux lipide est stabilisé en le diluant dans du chloroforme qui s’avère pour l’homme un poison violent. Le produit final contient 90% de chloroforme pour 10% de lipide.

Sentant le désastre arriver, les représentants de la ligue du beau, du bon et de la vérité vraie (les débunkeurs à gages) se sont aussitôt attelés à la tâche qui consistait à désamorcer ce qui est dans le fond, une bombe.

C’est précisément quand j’ai lu ces débunkages d’une maladresse crasse que j’ai commencé à croire sérieusement qu’il y avait anguille sous roche, et nous le verrons, c’est une belle bête.

Petit florilège des arguments des débunkeurs
  1. Le vaccin Moderna ne contient pas de chloroforme mais utilise du SM-102, qui fait partie du lipide utilisé pour délivrer le code génétique, ou ARNm de la protéine de pointe qui recouvre le coronavirus, dans nos cellules. Source : AP
  2. Les messages ignorent les informations sur Cayman Chemical qui répertorie le chloroforme comme « composant dangereux » sur la fiche de données de sécurité du produit et répertorie le SM-102 séparément sous « autres ingrédients ». Source : AP
  3. Le chloroforme est utilisé comme milieu stabilisant pour transporter les lipides, a déclaré le Dr Nicholas Davidson, médecin et biologiste lipidique. « Ils ne sont certainement pas injectés avec du chloroforme », a déclaré Davidson à propos des vaccins. Source : AP
  4. Le vaccin Moderna contient des lipides comme le SM-102, et ils sont sans danger pour l’homme. Les lipides permettent à l’ARNm utilisé dans le vaccin de se glisser dans une cellule en recouvrant la molécule d’une enveloppe grasse. Les sociétés de biotechnologie vendent des versions du lipide en suspension dans une solution de chloroforme aux sociétés pharmaceutiques à des fins de recherche. Le chloroforme est toxique, mais pas le lipide lui-même. Cette version ne fait pas partie du vaccin COVID-19. Source : Politifact
  5. Le vaccin COVID-19 de Moderna est-il toxique ? S’adressant au Newsweek, Al Edwards, responsable de l’impact pour la division de recherche en pharmacie de l’Université de Reading, a déclaré que certains solvants sont souvent utilisés pour préparer des choses comme les lipides, mais sont éliminés après utilisation. « Je ne connais pas le processus exact utilisé pour fabriquer le vaccin Moderna, mais même s’il s’agissait de dissoudre le lipide dans un solvant tel que le chloroforme, toute quantité résiduelle de solvant laissée dans le vaccin – si elle n’est pas complètement éliminée – serait mesurée très précisément et répertorié comme un ingrédient. Il ne serait également autorisé que s’il était connu pour être sûr », a ajouté Edwards.
Quelques éléments de réflexions sur ces arguments
  1. Ne contient pas de chloroforme ? Ah, ils ont donc retiré totalement le chloroforme pour ne garder que le lipide SM-102 sans casser la fragile molécule. Ils ont utilisé quel solvant, du coup ? Se souvenir que ce produit a bel et bien été utilisé tel quel pour l’expérimentation de vaccins ARNm sur des primates.
  2. Eh bien c’est là qu’est l’os, en fait, nous y reviendrons.
  3. Idem que pour le point 1. Reste à nous expliquer par quel solvant ils ont remplacé le chloroforme sans détruire le lipide.
  4. Cette version ne fait pas partie du vaccin COVID-19 : est un complet mensonge c’est bien le produit qu’ils ont utilisé, indiqué par sa dénomination commerciale, et Cayman ne produit pas d’autre version (API) de ce lipide.
  5. Du grand n’importe quoi, il vaut mieux garder en tête que ces vaccins restent des produits expérimentaux et n’ont jamais fait l’objet d’une procédure d’agréation FDA autre qu’une Autorisation de Mises sur le Marché Conditionnelle (AMMC).

De fait, vous pouvez être bien sûr qu’il y a comme qui dirait un problème puisque presque immédiatement après le début de cette polémique, Cayman Chemical s’était fendu d’un communiqué précisant notamment :

SM-102 pour la recherche uniquement (RUO)

Les produits de qualité RUO, tels que le Cayman’s SM-102 (article n°33474), sont destinés uniquement à une utilisation in vitro ou animale (exploratoire ou préclinique).[…] Les API utilisées pour la fabrication pharmaceutique commerciale adhèrent à des directives strictes en vertu des protocoles de bonnes pratiques de fabrication (GMP) réglementés par la FDA afin de garantir leur sécurité pour un usage humain et vétérinaire.[..] Les FDS sont nécessaires pour présenter le contenu et les dangers de chaque ingrédient d’un produit chimique expédié. La FDS du Cayman’s SM-102 (article n°33474) indique avec précision que le mélange de produits chimiques dans le produit est composé de 90% de chloroforme (un solvant courant) et de 10% de SM-102. Bien qu’il s’agisse d’un solvant courant, le chloroforme présente plusieurs dangers graves connus, qui ont été inclus dans la FDS de Cayman.

Dans lequel on comprend que Cayman Chemical a décidé de sortir immédiatement le parapluie (format familial) pour ne pas risquer d’être éclaboussée par le scandale qu’ils ont bien vu venir.

Parce que le fondement du problème n’est pas de savoir si le vaccin contient ou pas du chloroforme,(([2] Ce qui reste quand même à établir, or pour l’instant, c’est le silence radio du côté de Moderna qui n’a pas souhaité répondre aux demande des débunkeurs à gage.)) mais que le produit n’est tout simplement pas destiné à l’usage pharmaceutique. Pour produire des substances destinées à l’usage médical, les fabricants doivent suivre des règles draconiennes, qu’on appelle les règles GMP (Good Manufacturing Practices). Ce sont les fameux API mentionnés par Cayman. Chaque ingrédient rentrant dans la composition du produit fait l’objet d’une évaluation permanente, il doit respecter des critères de pureté très stricts, chaque lot est libéré par le pharmacien, et s’accompagne du dossier complet de production, qui peut être audité ultérieurement par la FDA ou des mandataires du client. La moindre déviation fait l’objet d’un rapport et la traçabilité doit être totale.

Rien de tout ça ici, le SM-102 est fabriqué comme n’importe quel produit qui n’est pas destiné à l’usage humain ou même vétérinaire. Je vous laisse imaginer l’écart de prix entre une version RUO et une version API d’une même substance, on arrive aisément à un prix multiplié par mille.Ce SM-102 n’a pas sa place dans l’élaboration d’un vaccin, c’est un produit chimique lambda fabriqué sans aucun respect des procédures en vigueur dans l’industrie pharmaceutique. À cette aune, à quand les poils de chauve-souris dignes de figurer dans les potions concoctées dans le chaudron de Gargamel ? Une petite goutte de sang de pangolin tué à la pleine lune, peut-être ? Il est là le scandale, et les débunkages bidons ne changent rien à ce simple fait.





Hold-Up (Mise à jour : lien vers le film en deux parties, après la censure par YouTube + vidéo de Pierre Barnérias)

[Source : FranceSoir]

Hold-Up, film en sortie nationale 11 novembre. Pourquoi j’ai produit ce film par Christophe Cossé?

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir

TRIBUNE : Le film Hold-Up produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, sort ce mercredi 11 novembre.  Christophe Cossé est producteur de documentaires et de films avec une formation en anthropologie sociale et psychologie clinique.  

Pourquoi j’ai produit ce film ?

Ce qui me vient en premier à l’esprit, c’est cette phrase de Kierkegaard :

« Il s’agit de comprendre ma destination, de voir ce que Dieu veut proprement que je fasse. Il s’agit de trouver une vérité qui soit vérité pour moi, de trouver l’idée pour laquelle je veux vivre et mourir».

Avec cette singulière crise politique qui remet en cause bien des principes de notre humanité, et que maquille la préoccupation sanitaire, nous sommes parvenus à l’heure des choix. Dès lors, avec nos connaissances et notre conscience, à quoi sommes-nous prêts à renoncer ? Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre.

L’épidémie et son traitement ont tout d’une intrigue dramatique. Cet évènement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l’état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu’un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d’expression ou d’information.

L’issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l’humanisme ou l’épopée d’un renouveau. Gageons qu’elle débouche sur le renouveau. D’autres y voient une dimension biblique.

C’est donc une question de choix, d’élan instinctif, d’appel ce qui m’a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.»

C’est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l’ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler « Coup d’Etat ».

Nous sommes en fin de cycle, tout va très vite, et se radicalise. Il n’y a plus d’espace d’échange, de réflexion, de pensée. Pour Pierre et moi, comme pour Nicolas, il n’était pas envisageable de ne rien faire. Et nous prévoyons même de continuer à filmer et à suivre l’actualité, car nous pressentons un changement fondamental dans notre humanité. Notre actualité sociale et politique nous y ramène. Le président Macron a décidé de confiner derechef sa population pour six semaines.

Nouvelle étape du scénario.

La lecture des derniers relevés hebdomadaires de l’OMS et du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, permet clairement de constater que tous les pays ayant pratiqué le confinement ont eu les pires résultats dans le degré de résilience de leur population au COVID-19.

Le taux de mortalité est établi à 0,15%. Plus de 98% des individus ayant contracté le virus guérissent. Le nombre de morts associés abusivement au Covid reste encore deux fois inférieur à celui des erreurs médicales ou du tabac.

Outre que le fait de confiner toute une population saine et non malade a été et demeure une première dans l’histoire de l’humanité, toutes les études qui ont été produites depuis le premier confinement rejoignent les conclusions des précédentes, à savoir l’inefficacité de cette mesure. Serait-elle politique ?

L’OMS vient, il y a quelques semaines à peine, de convenir de son inefficacité et de son inutilité. On se souvient pourtant de cette étude de Neil Ferguson, de l’Imperial College, qui prévoyait plus de 500 000 morts en Grande-Bretagne, et 10 millions de victimes en Afrique, dont s’inspiraient l’OMS et les dirigeants occidentaux dans leur décision de confiner alors que l’épidémie était déclarée.

Ce même épidémiologiste, qui, dix ans auparavant, lors de l’épidémie de la grippe A (H1N1), avait également envisagé un désastre sanitaire de plus de 60 millions de victimes dans le monde. A l’époque, le rapport du Sénat (2010) avait clairement dénoncé l’irrationalité de ces analyses, la dérive de la politique sanitaire et avait surtout mis en lumière les conflits d’intérêts qui semblaient régir cette dernière.

Malgré cela, notre gouvernement, après s’être défendu à maintes reprises de l’envisager, l’a confirmé, ce nouvel emprisonnement. Il avance même de surcroît vouloir y associer quelques autres mesures coercitives, tout en dénonçant l’irresponsabilité, sinon l’incurie, de ceux qui s’y opposent.

Ce nouveau confinement  a été officiellement décrété en conséquence de l’importance du nombre de cas de contaminations et du nombre de malades admis en réanimation. Le seuil de 60% des lits occupés a ou aurait été franchi.

Or, il serait bon de remettre en perspective les données sanitaires des cinq années précédentes pour constater que nos services hospitaliers sont toujours saturés à cette période de l’année, tant pour d’autres coronavirus, que pour la grippe ou des problèmes respiratoires. Il est éloquent de rappeler que notre Ministre de la Santé a lui-même participé à la faillite de notre système de santé, en soutenant la politique de réduction des lits en milieu hospitalier, ce qui provoque depuis quelques années déjà, l’engorgement des services de réanimation.

Il serait également bienséant de préciser, dans un souci de transparence et d’honnêteté, que le nombre de patients en réanimation tient aussi compte du nombre de patients en soins intensifs dans le privé. Toutefois, dans le calcul de Monsieur Véran et de son Comité scientifique, on compte les malades du privé, mais pas le nombre de lits; simple tour de passe-passe pour permettre d’augmenter le taux d’occupation en réanimation et de justifier la peur, la panique ou la terreur. Etrange pour des médecins.

Que dire du bilan médical des malades admis en ce début du mois de novembre en réanimation ou en soins intensifs, si ce n’est un profil type d’individus de plus de 65 ans affectés par la comorbidité, victimes de saturation de leur système immunitaire ?

Que dire du nombre réel de victimes du Covid alors que l’on recense comme tels les décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, aux diabètes ?

Que dire du nombre réel des cas de contaminations, avec un moyen de dépistage peu fiable et trompeur et dont la sensibilité vient d’être augmentée aux dépens de sa déjà faible efficacité ?

Que dire du gouvernement, qui, après avoir constaté il y a six mois la saturation de nos services publics hospitaliers, n’a pas investi pour de nouveaux lits en réanimation ?

Serait-il utile d’expliquer enfin pourquoi aucune autopsie n’a été diligentée ?

Que dire de la médecine libérale, sans moyens d’agir sur la prophylaxie de la maladie, privée d’hydroxychloroquine, d’azithromycine, de macrolides ou de C3G ? En les coupant de leurs moyens, le gouvernement favorise l’orientation des soins vers l’hôpital.

De tout cela il n’est point question. Le gouvernement semble suivre sa propre feuille de route, sur cette deuxième vague et son confinement finalement induit, annoncés depuis le mois d’avril. Alors s’ils savaient, pourquoi ne pas avoir agi ? Une fois de plus ?

Ce choix d’un deuxième confinement n’est pas qu’un révélateur de l’échec de notre politique sanitaire. C’est la confirmation d’une grave et profonde crise institutionnelle et démocratique. L’état d’urgence sanitaire est anticonstitutionnel et illégal. Les élections municipales se sont déroulées hors du cadre constitutionnel. Le Conseil constitutionnel est en sommeil, prié par le gouvernement de se confiner également, les deux chambres sont au ralenti, les textes sont examinés par 10% des députés, l’exécutif détient les pleins pouvoirs, et nos libertés sont à nouveau restreintes comme jamais dans un cadre de paix.

L’état d’urgence sanitaire ne respecte nullement les applications de l’article 16 et de l’article 53 de la Constitution, le rendant anticonstitutionnel et illégal.

Au niveau des institutions, ce qui a aussi changé, dès le début de la crise, c’est que le gouvernement s’est doté d’un Conseil scientifique dont les membres sont majoritairement proches des laboratoires pharmaceutiques. Il existe pourtant des organismes réputés et sans doute plus indépendants comme l’INSERM, le CNRS, les académies de médecine, de pharmacie, ou de vétérinaires… ?

Avec ce nouveau confinement, le gouvernement restreint une nouvelle fois nos libertés. Une nouvelle fois, elles sont bafouées et notamment, la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion. Mais d’autres plus individuelles.

La liberté d’aller et venir existe en pratique depuis la fin du servage en France. Elle apparaît dans les textes en 1315, sous Louis X. Le décret royal précisait :

“ Toute créature humaine doit généralement être franche par droit naturel. Le Roi condamne avec énergie le joug et la servitude, qui est tant haineuse et fait qu’en leur vivant, les hommes sont réputés comme morts et, à la fin de leur douloureuse et chétive vie, ils ne peuvent disposer ni ordonner des biens que Dieu leurs a prêtés en ce siècle.”

La liberté d’entreprendre est plus récente. Elle date de la Révolution française. Le décret d’Allarde de 1791 autorise tout citoyen à exercer le métier ou le négoce qu’il veut, pourvu qu’il paie ses impôts. Cela permettait d’échapper à la logique des corporations et de rang social où vous étiez plus ou moins lié par ce que faisaient vos parents avant vous. Il ne semble pas que cette liberté d’entreprendre ait connu jusqu’ici de restriction ou d’interdiction.

Puis la liberté de réunion, comme la liberté d’expression, sont des libertés fondatrices de la IIIème République. Elles marquent le droit d’exprimer son désaccord avec le pouvoir en place. Elles ont permis la création des syndicats par exemple. 

Les médecins sont désormais censurés lorsque leur parole publique ne fait pas écho à la politique dominante, et même sur les réseaux sociaux, la police de la pensée s’installe.

Toutes ces libertés ont été acquises de haute lutte dans les larmes et le sang, souvent par des personnes très jeunes qui ont généreusement donné leur vie pour leurs idéaux afin que d’autres puissent en bénéficier. Et pourtant, nous demeurons contraints dans nos libertés, sans réagir, affichant par là-même notre degré de consentement.

« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes » écrivait Machiavel dans Le Prince.

Enfin, une liberté très singulière et fondamentale dans le droit naturel humain a été violée, celle de la tendresse, du toucher, de l’attention. Sous la menace de la force en plus d’un décret, il a été interdit aux proches de visiter leurs parents. On a laissé mourir nos anciens, ils ont été cloisonnés, enfermés dans leurs EHPAD, interdits de sortie, de visite, de tendresse, de soins. Un premier pas vers l’euthanasie.

Mais le pire à mes yeux est de ne pas avoir la liberté de mourir. Le deuxième pas vers l’euthanasie a été franchi ; sa légalisation a été effective par le décret du 28 mars, autorisant les médecins à utiliser le Rivotril pour « accompagner » les patients. Ce décret a été abrogé par un nouveau le 10 juillet. Le pays des droits de l’Homme ?

Le mépris du genre humain.

Sous le prétexte de cette épidémie dont seuls les messagers de l’idéologie sanitaire autoritaire martèlent son danger, il convient de nous surveiller, de nous diriger, de nous contraindre à une société de surveillance et de soumission. De là découlent ces délicieuses valeurs nouvelles que sont la délation, la dénonciation, le repli sur soi. Les valeurs humanistes sont menacées d’implosion, on ne parle plus d’éthique, de morale ou de respect, mais d’obéissance, de protocole, de menaces et de peurs. Un véritable cheval de Troie pour notre humanité que ce coronavirus.

Ainsi, se profile la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu. En France, en Europe, mais dans le monde entier, au prétexte d’un virus pas plus offensif qu’un autre COVID saisonnier. Quelle incroyable et phénoménale entreprise de manipulation globale, au service d’une sombre idéologie, qui avant d’accomplir son dessein, distille la peur, la menace et la confusion afin que chacun perde ses repères pour mieux embrasser le pouvoir et l’autorité dans une servitude volontaire et rassurante. Je cite à nouveau Alexis de Tocqueville,

« ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux. »

Cet état d’urgence sanitaire est aussi une catastrophe économique et sociale qui peut déboucher sur une crise économique puis politique majeure.

Au moins 400 000 PME ont dû fermer, soit environ 4 millions de personnes au chômage, sur les 10 ou 12 millions d’indépendants, combien vont pouvoir reprendre une activité ? Combien d’entre nous vont gonfler le nombre déjà exorbitant des personnes vivant en deçà du seuil de pauvreté, qui a été réévalué à 10 millions de personnes en France ? Combien de milliers de personnes vont rejoindre les 5 millions de Français qui ont déjà recours à l’aide alimentaire ? Combien de nos compatriotes vont être délogés, rejoignant la triste cohorte des 900 000 SDF ?

La loi du travail, les acquis sociaux ont déjà été revisités, corrigés, étirés. Avec la crise « sanitaire », tout employé ou salarié, au lieu de réclamer une augmentation ou une amélioration de ses conditions de travail ou de ses droits, va désormais réclamer du travail ou se plier à l’effort national, quelles qu’en soient les conditions. En majorité, il est assigné à résidence en télétravail, dans des conditions pour la plupart, d’inconfort.  Dix points de PIB à rattraper…

Ces événements actuels révèlent que l’on a glissé peu à peu vers une technocratie sanitaire, relayée par une presse qui paraît encore plus docile et inféodée au pouvoir. Ce pouvoir est lui-même de plus en plus gangréné par les conflits d’intérêts, et en particulier par le pouvoir des grands laboratoires, réputés pour leur corruption.

Les scientifiques se font journalistes, sinon politiques, tout comme les journalistes se posent comme experts dans une émulation complice de coercition et de domination. Plus alarmant, les politiques deviennent quant à eux les communicants, souvent malgré eux, des puissances financières qui les soutiennent.

Nos sociétés s’orientent-elles vers ce « biopouvoir » imaginé par Foucault ?

Le philosophe voyait le pouvoir sur les hommes évoluer vers un autoritarisme de la santé. Il observait qu’après le pouvoir sur les âmes, par les ministres de l’Eglise illustré par le troupeau de brebis égarées, c’est sur l’humain que le pouvoir monarchique s’est exercé, avec le pouvoir de donner la mort. Après l’effondrement de la monarchie, il y eut toutes ces dérives autoritaires du 20ème siècle. Légitimées par le dogme visant à transformer l’humanité ou l’humain vers un monde meilleur, elles se sont illustrées dans la prise en charge de la vie, non plus des âmes, mais des hommes.

Avec le biopouvoir, le dogme, c’est la santé ; il s’agit de prendre en charge d’un côté le corps pour le discipliner, et de l’autre la population pour la contrôler. L’élément commun au corps et à la population, c’est la norme. La norme statistique. C’est elle qui fait en sorte que ce biopouvoir s’exerce, de manière rationnelle, à la fois sur un ensemble statistique, c’est-à-dire une collectivité, et sur un individu.

Et ce biopouvoir contrôle tous les mécanismes de la vie de l’individu dans la société : politiques, judiciaires, policiers, économiques, philosophiques.

La question mérite d’être posée. En effet, non seulement des hommes d’affaires, des politiques et des médecins veulent imposer un type de traitement unique, la vaccination, sans passer par les règles démocratiques habituelles grâce à l’état d’urgence, mais de plus, chaque citoyen va devoir s’y soustraire au risque d’une mise au ban social. L’individu risque de perdre non seulement sa liberté, mais surtout sa souveraineté.

Au-delà de cette sombre hypothèse, reprenons toute la terminologie, la sémantique pour ne pas dire la novlangue actuelle, en commençant par celui que nous entendons le plus : le confinement. Étymologiquement, on retrouve dans le confinement, le terme « finis » qui en latin signifie frontière, barrière, limite. Le confinement, outre sa définition médicale brandie par la gouvernance, signifie réclusion, internement.

Enfin, employé au participe, le confiné est dit d’un espace qui manque d’oxygène, d’espace ou de nourriture.

Il est aussi fait mention d’une « distanciation sociale » pour éviter la propagation du virus. Or il ne s’agit que de distanciation physique, mais on nous impose la notion de « social », car en effet, la barrière, la limite, la frontière imposée par ce confinement devient un mur entre nous. Tout contrevenant est sévèrement critiqué, dénoncé et voué aux sanctions administratives. La tendresse est déconseillée, sinon réprimée.

Le port d’un masque est devenu obligatoire bien qu’il ait au préalable été déclaré inutile, et cet artifice est une autre barrière, un autre symbole d’enfermement.

On évoque le traçage des individus, la recherche ou la poursuite des cas contacts, le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine…

Dans le discours ambiant, non seulement les termes sont vidés de leur sens premier, mais il ne s’agit pas de se fier à la vérité, comme le disait si subtilement Sibeth Ndiaye, mais « d’orienter la réalité pour faire accepter notre projet politique aux Français; cela ne relève pas du mensonge, mais de la désinformation positive ». Evidemment !

Michel Onfray le rappelait dans son ouvrage « Théorie de la dictature », en rapprochant notre monde actuel de celui de 1984 :

« On peut citer aussi l’inversion systématique du sens des mots, par exemple, la guerre c’est la paixla haine c’est l’amour… qui reformate complètement les cerveaux ».

Car, conformément au concept de solipsisme, c’est dans le cerveau de chacun que le monde existe, “et que le réel est une construction mentale”.

Si la pensée est donc bien formatée, on ne voit plus que ce à quoi on croit.

Déjà dans « Surveiller et punir », en 1975, Michel Foucault expliquait comment la propagation de la peste avait permis aux Etats d’imposer au XVIIe siècle des mesures coercitives à travers leur pouvoir de normalisation :

« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition […] Le rapport de chacun à sa maladie et à sa mort passe par les instances du pouvoir, l’enregistrement qu’elles en font, les décisions qu’elles prennent […] Derrière les dispositifs disciplinaires, se lit la hantise des contagions, de la peste, des révoltes, des crimes, du vagabondage, des désertions, des gens qui apparaissent et disparaissent, vivent et meurent dans le désordre. »

Et ce qui se passe sous nos yeux, c’est également un exemple parfait des expériences de Milgram. Chacun a tendance, pour se rassurer, à se dépersonnaliser pour embrasser la cause de l’autorité. Qui forcément détient la vérité, qui forcément peut rassurer, qui forcément peut conforter et protéger.

Il est plus rassurant de croire à une illusion qui rassure qu’à une vérité qui dérange. C’est entre autres une question de champs d’information. Pour celui ou celle qui n’a pas l’accès à un champ d’information différent de celui sur lequel il s’est construit, ou celui sur lequel on l’a construit, il y a distorsion, coupure, rejet. C’est en cela qu’il est difficile de faire comprendre à nos concitoyens les véritables contours de ce script.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs à notre époque :

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

Par des techniques de manipulation bien connues de la PNL (programmation neuro-linguistique) comme la double contrainte, l’injonction paradoxale, l’ingénierie sociale, le saupoudrage, le discours ambiant associe manipulation, désinformation, et hypnose conversationnelle. Le piège fonctionne.

La double injonction selon laquelle tout va bien mais en fait cela ne va pas est le pire qui soit pour tomber dans le piège de la peur et l’endoctrinement. C’était le premier stade de l’épidémie, on va quand même au théâtre ou au bureau de vote. A présent c’est l’inverse. Il ne se passe rien, mais on crie alerte. Le parfait système coercitif.

On assiste aussi au système peur/ soulagement, bien connu sous le thème « good cop / bad cop ». Provoquer une crainte, une peur, par une mise en scène avec des dangers existants ou virtuels. Puis « en même temps », le locuteur ou son complice change de ton avec une ouverture possible. Ce n’est pas la peur qui provoque la soumission mais le soulagement. Et le soulagement, c’est la perspective du dépistage, du vaccin. Et en attendant on reste bien chez soi. Confiné. Emprisonné chez soi, en soi. Docile ?

Car nul n’est obligé de s’y soumettre ! C’est l’heure des choix. Pour exister, un manipulateur a besoin d’un manipulé, tout comme un maître d’un esclave. Est esclave celui qui y consent. Allons nous consentir, allez vous consentir à vous soumettre ?

« La vie vaut ce que nous sommes capables de risquer pour elle ». Il n’y a de liberté que par l’acte même de libération : celui qui ne veut pas risquer sa vie risque fort la servitude. Cependant, une fois maître, l’individu devient passif, inactif. C’est son esclave qui travaille, qui s’accomplit. Ainsi le maître devient dépendant du travail de son esclave, il devient l’esclave de son esclave, car c’est en travaillant qu’on atteint la liberté.

Tous les pouvoirs, et de plus en plus ceux de la pensée, sont désormais attribués à la médecine et aux mains de celles et ceux qui la gouvernent, l’orientent. Faut il rappeler que c’est Rockefeller qui a racheté toutes les écoles de médecine aux Etats Unis dans les années 1920, afin d’y dispenser une médecine exclusivement allopathique afin d’écouler les produits chimiques provenant du pétrole, ce qui va constituer la base de la pétrochimie et de l’industrie pharmacologique.

Il ne s’agit pas d’une médecine basée sur l’alimentation, pourtant premier principe d’Hippocrate, ou sur l’herboristerie, la phytothérapie, l’homéopathie, ou sur l’hypnose, la méditation ou la psychologie, la médecine chinoise ou ayurvédique, médecines traditionnelles à l’efficacité démontrée, mais il s’agit bien d’une médecine exclusivement allopathique. Une nouvelle religion qui n’en tolère pas d’autres.

Désormais la santé n’est plus un bien, c’est devenu une valeur. Force est de constater que c’est aussi devenu un diktat.

L’humanité doit accepter d’être soignée malgré elle, selon des codes ou des normes qui lui sont imposés. Une humanité confinée, contrainte, aux droits violés, mais protégée ! Pour appliquer un soi-disant principe de précaution, en réponse à une menace fantôme dont la virtualité ne s’inspire que de prévisions statistiques, que de calculs établis selon des modèles aux principes tronqués ou faussés, des projections qui ont été mises à mal par la réalité sanitaire. Cela n’a pas de sens. Un profond changement est en cours.

Et pour mieux comprendre cette fin de cycle globale, qui appelle à ce bouleversement profond, quelle qu’en soit l’impulsion, faisons un retour en arrière.

2019 était l’année de tous les dangers : risques bancaires  avec de nombreux établissements en déroute, risques sur l’euro, économies au ralenti, manifestations sociales multiples fragilisant les pouvoirs en place. Et surtout, la fin annoncée du dollar, et l’avènement des cryptomonnaies.

La situation bancaire était critique, en particulier en Europe et aux États-Unis. Les milieux financiers craignaient pour la survie de la Deutsche Bank et la Commerzbank en Allemagne, de l’Intesa San Paolo en Italie, ou de la Société Générale en France. Toute faillite aurait déclenché en effet un « Bank run » partout en Europe que seule une fermeture coordonnée de toutes les banques de la zone et l’instauration d’un contrôle des capitaux aux frontières pourraient éviter.

Quand une banque importante fermera, on peut imaginer que toutes les banques de la zone euro fermeront. Que l’on se rassure, pour ces organismes qui constituent le fondement de notre « état », tout a déjà été mis en place légalement par la Directive BRRD européenne et Loi Sapin 2 pour pouvoir « chyprioter » nos comptes sous prétexte de nous protéger…. d’une catastrophe bancaire et économique.

À la situation bancaire critique s’ajoutait le risque de l’éclatement de la zone euro. Depuis les élections italiennes en mars 2019, la probabilité d’une sortie de l’euro de l’Italie s’était considérablement accentuée. En parade, il était prévu de faire tourner la machine à billets, ce qui aurait fait perdre toute valeur à l’euro, et la dépréciation des actifs. Aujourd’hui, certes, on risque d’en arriver au même point… avant le grand saut ?

A ce risque s’ajoutait également celui du système monétaire instauré depuis les accords de Bretton Woods, en 1944, visant à définir les grandes lignes du système économique et financier mondial, menacé par la nouvelle monnaie chinoise.

Un éclatement du système monétaire sous la pression d’une nouvelle monnaie chinoise. La Chine a créé une nouvelle monnaie basée et convertible en or. Or l’avantage des US de posséder la monnaie mondiale est que cela lui a permis de financer ses déficits. Le modèle économique américain repose en effet sur un abus chronique de dette qui est achetée par les pays qui cherchent à recycler leurs dollars. La Chine a lancé une alternative monétaire au dollar,  et de ce fait n’a plus besoin d’acheter des obligations américaines. Bras de fer pour le leadership !

La guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis était aussi particulièrement lancée, à coup de taxes, de protectionnisme et d’intimidations diplomatiques.

Enfin, le risque de crise sociale inquiétante pour les pouvoirs, tant en France que dans le monde, représentée par des mouvements populaires spontanés (Gilets jaunes…) comme par des manifestations de corporations ou de métiers, tous debout contre des réformes jugées inadaptées, injustes ou forcées au nom du marché et de ses lois.

Ainsi, ce choc anthropologique dont parlent à l’unisson les hommes politiques du monde entier que représente le Covid est une véritable aubaine.

Ce virus de pangolin serait-il à ce point opportuniste ?

Afin d’entrevoir ce que nous réserve l’avenir proche, faut-il s’inspirer des travaux du Forum Economique de Davos qui prône, comme le FMI, « The Great Reset », faut-il se tourner vers les principes collectivistes et transhumanistes de Bacon ou de Moore martelés par Attali et Minc ? S’inspirer de la Chine capitaliste autoritaire ?

Nous sommes à l’heure des choix.

Avec ce film, c’est un engagement pour la vie, le respect du vivant, mes enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine.

Voir aussi le debriefing de Christophe Cossé

https://www.youtube.com/embed/-ZSJ27H1YoU

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir


Les Sources du film

HOLD UP + (sources)

00 : 02 : 28

L’Homme sera bientôt un être modifié par la technologie

Vidéo de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

00 : 08 : 30

Les prophéties de Neil Ferguson pour confiner

https://www.liberation.fr/checknews/2020/06/03/les-previsions-de-ferguson-qui-ont-conduit-de-nombreux-pays-a-se-confiner-etaient-elles-fantaisistes_1790061/

Les recommandations de l’OMS quant à l’utilisation des masques

Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : orientations provisoires, OMS.

Janvier 2020 : Microsoft Word – Advice on the use of masks 2020-01-29_fr_14FEB2020_marissa.docx (who.int)

Avril 2020 : WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-2020.3-fre.pdf

Juin 2020 : WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

00 : 12 : 27

L’inexactitude des chiffres diffusés – Hypoxie heureuse :

Article Science et Avenir, Les “happy hypoxics”, ces patients du Covid-19 qui ne se rendent pas compte qu’ils manquent d’oxygène (07/05/20)

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-happy-hypoxics-ces-patients-du-covid-19-qui-ne-se-rendent-pas-compte-qu-ils-manquent-d-oxygene_144159

00 : 13 : 13

Évolution du nombre de morts entre Mars et Septembre en 2018, 2019 et 2020.

Courbe INSEE :

Évolution du nombre de décès depuis le 1ᵉʳ septembre 2020 − Nombre de décès quotidiens | Insee

00 : 13 : 33

Nombre total de morts de la Covid-19 dans le monde

Covid-19 Dashboard by the Center for Systems Science and Engineering (CSSE)

COVID-19 Map – Johns Hopkins Coronavirus Resource Center (jhu.edu)

00 : 13 : 46

Nombre total de tests effectués dans différents pays entre mars et octobre 2020

Graphique Total Covid-19 tests: Total COVID-19 tests (ourworldindata.org)

00 : 13 : 58

Explication des cycles de dépistage

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289

https://www.industrie-techno.com/article/baisser-le-seuil-de-detection-des-tests-rt-pcr-du-covid-19-pour-mieux-depister-les-individus-contagieux.61734

00 : 15 : 57

Les faux positifs

Article de Paris Match : Covid-19 : les tests PCR contestés (24/11/20)

Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)

00 : 16 : 35

Le gouvernement tente de justifier le confinement

Article du Parisien : Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie (10/03/20)

Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie – Le Parisien

00 : 16 : 54

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20) https://www.dailymotion.com/video/x7vy2q8

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Article The Epoch Times : Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? (06/11/20, Mis à jour le 07/11/20)

[Vidéo] Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? | Epoch Times (theepochtimes.com)

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Les camps au Canada => Site de Randy Hillier:

https://www.randyhilliermpp.com/20201007_question

Dépistage massif à Wuhan

L’article du test sur les asymptomatiques à Wuhan ; https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

00 : 20 : 29

Les mesures sanitaires contraignantes dans les écoles

Une du Canard Enchainé n°5207, “Un masque, une frousse et des crayons !” du 26 août 2020

Acheter un numéro du Canard enchainé à l’unité (lecanardenchaine.fr)

00 : 30 : 19

Allocution du Président de la République, 16 mars 2020

Site de l’Elysée : Adresse aux Français, 16 mars 2020 | Élysée (elysee.fr)

00 : 35 : 43

L’épidémie va durer

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin du 09 octobre 2020

Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 09/10 (bfmtv.com)

00 : 36 : 44

Comparatifs des morts par épidémie

Graphique “Comparatifs des morts dans le monde chaque année”

https://www.worldometers.info/fr/population-mondiale/

00 : 37 : 04

Les résultats de l’étude des sénateurs sur la gestion de la crise sanitaire H1N1

Rapport du Sénat du 26 juillet 2017

r16-6851.pdf (senat.fr)

00 : 37 : 44

Allocution d’Olivier Véran

Point de situation coronavirus – (28/02/20)

Point de situation coronavirus – 28 février 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 37 : 50

Interview de Sibeth Ndiaye

Le Grand Entretien, France Inter (04/03/2020)

Sibeth Ndiaye : “Au stade 3 de l’épidémie de coronavirus, on ne va pas arrêter la vie de la France” – YouTube

00 : 38 : 08

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (18/03/20)

Point de situation coronavirus | mercredi 18 mars 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 15

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (03/04/20)

Point de situation du vendredi 3 avril – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 22

Déclaration d’Olivier Véran à l’Assemblée Nationale

Questions au gouvernement (07/04/20)

Olivier Véran: “Il n’y a aucune décision de recommandation du port du masque à l’heure actuelle” pour la population (bfmtv.com)

00 : 38 : 31

Déclaration de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (22/04/20)

Jérôme Salomon, point de situation coronavirus du mercredi 22 avril – YouTube

00 : 38 : 36

Déclaration de Edouard Philippe à l’Assemblée Nationale

Compte rendu intégral de la séance du 28 avril sur la stratégie nationale du plan de déconfinement (28/04/20)

Assemblée nationale ~ Séance du mardi 28 avril 2020 (assemblee-nationale.fr)

00 : 38 : 38

Allocution du Président de la République, (14/07/20)

Site de l’Elysée : 14 juillet : l’interview du Président Emmanuel Macron | Élysée (elysee.fr)

00 : 41 : 17

Audition d’Olivier Véran au Sénat

Covid-19 : l’audition d’Olivier Véran, ministre de la Santé, devant la commission d’enquête du Sénat – YouTube

00 : 42 : 00

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le figaro, Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (04/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (lefigaro.fr)

00 : 42 : 05

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Figaro, Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (13/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (lefigaro.fr)

00 : 42 : 09

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis (01/04/20)

Direct – Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 13

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Les Echos, Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars

(03/04/20)

Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars | Les Echos

00 : 42 : 17

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi

(25/04/20)

Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 22

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis

(20/04/20)

Direct – Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis – Libération

(liberation.fr)

00 : 42 : 27

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Monde, Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe (18/04/20)

Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe

00 : 42 : 32

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Parisien, Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total (19/04/20)

Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total – Le Parisien

00 : 43 : 22

Les journalistes sont perdus sur les nombre de morts

Article de Libération, Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien (22/08/20)

Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien

00 : 43 : 26

Où sont les morts de la grippe ?

Article de Libération, La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers ? (12/03/20)

La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers? – Libération (liberation.fr)

00 : 44 : 11

La Covid fait flamber le prix des consultations

Site de l’Assurance maladie, 27 novembre 2020

Les médecins au cœur du circuit de « contact tracing » des patients Covid-19 | ameli.fr | Médecin

00 : 46 : 05

Le Pr Perronne alerte sur les chiffres apocalyptiques

Livre du Professeur Christian Perronne – Y’a t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? – Edition Albin Michel, 2020

00 : 47 : 56

Le masque de papier

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Le masque de papier”, (10/09/ 2009)

00 : 49 : 16

Site d’analyse de tous les articles sur tous les traitements

Site c19study.com

00 : 52 : 02

La chloroquine est réservée aux spécialistes

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire – Légifrance (legifrance.gouv.fr)

00 : 52 : 33

L’utilisation de la chloroquine est réservée pour les cas graves

Une du Canard enchaîné, N° 5187, Un nouveau slogan : “Pestez chez vous!” – (08/04/20)

00 : 54 : 59

Le fonctionnement de l’hydroxy chloroquine

Audition d’Agnès Buzyn à l’Assemblée Nationale

[INTEGRAL] Coronavirus : Agnès Buzyn devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale – YouTube

00 : 55 : 56

La sonnerie de clairon du gouvernement sur la dangerosité de l’hydroxy chloroquine

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

00 : 56 : 06

La balance bénéfices/risques de la chloroquine

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct du 28 mai 2020

Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 28/05 (bfmtv.com)

00 : 58 : 53

Karine Lacombe a été payée par des laboratoires

Base de données euros for docs

Vision par Professionnel bénéficiaire | Euros For Docs

01 : 14 : 32

Le remdesivir est réservé aux soins palliatifs

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

01 : 21 : 24

La CIA avait prévue une future pandémie mondiale

Livre d’Alexandre Adler – Le rapport de la CIA, comment sera le monde en 2020 ? – Edition Robert Laffont – 2005

01 : 22 : 27

La fondation Rockefeller, spécialiste des scénarios apocalyptique

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

01 : 25 : 37

Attali affirme qu’Emmanuel Macron pourra être président un jour

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali, BFM TV, (27/08/2014)

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali – YouTube

01 : 25 : 55

Attali tire les leçons de la crise de H1N1

L’express – Conversation avec Jacques Attali

Changer, par précaution | Conversation avec Jacques Attali – Lexpress

01 : 30 : 16

Gilead rafle la mise sur le remdesivir

Journal Les Echos, Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead (07/10/20)

Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead | Les Echos

01 : 30 : 45

Gilead se voit valorisé après une fusion

Article de Stratégie Bourse du 09/06/20

AstraZeneca envisage de fusionner avec Gilead (strategie-bourse.com)

01 : 30 : 54

Le business plan des laboratoires

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire”, 11 octobre 2005

Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire – Les Guignols – CANAL+ – YouTube

01 : 33 : 12

L’étude Discovery annulée

Article Le Monde, Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne, (07/05/20)

Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne (lemonde.fr)

01 : 33 : 14

L’étude Discovery annulée

Article L’Humanité : Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne (04/05/20)

Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne | L’Humanité (humanite.fr)

01 : 33 : 20

Barrage à l’hydroxychloroquine

Gautret et al. (2020) Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID‐19: results of an open‐label non‐randomized clinical trial. International Journal of Antimicrobial Agents – In Press 17 March 2020 – DOI : 10.1016/j.ijantimicag.2020.105949

Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID-19 – IHU (mediterranee-infection.com)

01 : 34 : 11

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20)

01 : 36 : 02

Gilead vend pour 220 millions d’euros de doses à l’Union Européenne

Article de Marianne : Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead, (05/12/20)

Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead (marianne.net)

01 : 36 : 06

Le remdésivir jugé inefficace et dangereux

Article de Industrie Pharma, Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (20/11/20)

Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (industriepharma.fr)

01 : 36 : 20

Gilead voit son chiffre d’affaire trimestriel augmenter de 17%

Article de The New England Journal of Medicine, Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host (03/12/20)

Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host | NEJM

01 : 37 : 21

Martin Blachier, homme d’affaire et épidémiologiste

Site Accueil | Monsite (ph-expertise.com)

01 : 39 : 52

Fauci, chercheur sur les transmission des virus inter-espèces

NIH Director’s Blog, President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola, (02/12/14)

President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola – NIH Director’s Blog

01 : 40 : 18

Les travaux de Fachi jugés dangereux

Newsweek : Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research, (28/04/20)

Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research (newsweek.com)

01 : 41 : 29

Un virus échappé d’un laboratoire américain

Article de Military.com, CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension (24/11/19)

CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension | Military.com

01 : 41 : 39

Un laboratoire fermé après qu’un virus se soit échappé

Article de Mediapart,Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! (05/05/20)

Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! | Le Club de Mediapart

01 : 45 : 21

Le nombre de morts par l’AFP

Article de Courrier Picard, Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation, (26/10/20)

Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation (courrier-picard.fr)

01 : 45 : 46

Fabrice Fries élu à la tête de l’AFP

Article de Libération, Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché, (12/04/18)

Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché – Libération (liberation.fr)

01 : 45 : 57

Montant total de la dotation de Le Monde en 2019 et 2020

Fondation Bill et Melinda Gates

Le Monde – Bill & Melinda Gates Foundation

01 : 46 : 14

L’Etat débloque une grosse enveloppe pour les médias

Article Les Echos, Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias, (05/07/20)

Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias | Les Echos

01 : 47 : 23

Qui dirige les médias ?

Schéma “Médias, Qui possède quoi ?”

Médias français, qui possède quoi ? (Le Monde diplomatique, décembre 2020) (monde-diplomatique.fr)

01 : 49 : 12

L’origine probable du virus

Document du CNRS : Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS (11/02/2020)

Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS | CNRS

01 : 49 : 16

L’origine probable du virus

Science Direct, The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade, (Avril 2020)

The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade – ScienceDirect

01 : 49 : 49

Le virus est d’origine naturelle selon Zheng Li Shi

Nature, A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin (17/09/20) A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin | Nature

01 : 50 : 38

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Article MaxiSciences.com, Une virologue chinoise dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué en laboratoire (18/09/20)

Coronavirus : la virologue chinoise Li-Meng Yan dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué dans un laboratoire à Wuhan (maxisciences.com)

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Science, Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2, (13/11/20)

Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2 | Science (sciencemag.org)

01 : 54 : 39

Disparition de tubes contenant le virus du SRAS

Article Le Monde, La mystérieuse disparition de 2349 tubes contenant du virus SRAS, (15/04/14)

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS (lemonde.fr)

01 : 54 : 44

Virus transporté clandestinement

Article Le Parisien, Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile, (23/03/17)

Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile – Le Parisien

01 : 54 : 49

Intrusion dans un laboratoire P4

Article 20 Minutes, Lyon : un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4, (22/03/16)

Lyon : Un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4 (20minutes.fr)

01 : 54 : 58

La piste du labo reste l’origine la plus probable

Article du Daily Mail : China lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official, amid bombshell claims Wuhan scientist has turned whistleblower (02/01/21)

Lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official | Daily Mail Online

01 : 55 : 02

Une de Libération du 13 novembre 2020

Article de libération : Hold-Up, le virus du complot (13/11/20)

“Hold-up” : Le virus du complot. 13 novembre 2020 – Liberation

01 : 55 : 12

Une étude indienne suggère que le virus pourrait venir d’un labo

bioRxiv, Discovery of unique insertions in Covid-19 : structural and functionnal implications, Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag | bioRxiv

01 : 55 : 43

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Monde, Non, le Covid-19 n’est pas une “combinaison du SRAS et du sida”. (09/03/20)

Non, le Covid-19 n’est pas une « combinaison du SRAS et du sida » (lemonde.fr)

01 : 55 : 53

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Parisien, Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable (17/04/20)

Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable – Le Parisien

01 : 57 : 03

Une nouvelle méthode pour modifier l’ARN

Science et Avenir, Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13, (25/10/17)

Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13 – Sciences et Avenir

01 : 57 : 14

Les nanotechnologies vont permettre de “bricoler le vivant”

Conférence de Laurent Alexandre, La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI,

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 05 : 16

Le Forum économique de Davos

World Economic forum

How US foreign policy will shape the ‘Great Reset’ | World Economic Forum (weforum.org)

02 : 06 : 26

Attali soutient que l’on se dirige vers un gouvernement mondial

Arrêt sur Images – 2010

“Il faudra un gouvernement mondial. Après, ou à la place de la guerre ?” [Avent2020] – Par La rédaction | Arrêt sur images (arretsurimages.net)

02 : 06 : 39

Le Brevet nanoparticules et cryptomonnaie

Brevet Microsoft (22/05/20)

Un message pour la Journée Internationale de la Diversité Biologique, le 22 mai 2020 – Navdanya international

02 : 08 : 22

La vérité sur la 5G

Publicité Free (2020)

Free Mobile – 5G : La Vérité – YouTube

02 : 11 : 18

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

02 : 11 : 29

Les maladies graves découlant du Covid 19 seraient causées par des cellules colonisatrices

ncbi, Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (01/10/2008)

Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (nih.gov)

02 : 17 : 37

Laurent Alexandre – Global Postiv Forum

Global Positive Forum – Laurent Alexandre – French – YouTube

02 : 19 : 05

Présentation du PDG de Twitter

Site de Berggruen

You searched for – Berggruen Institute

02 : 19 : 27

Envol du cours boursier de Square

Cours boursier de Square

Square, Inc. Class A Common Stock (SQ) Stock Quotes | Nasdaq

02 : 20 : 03

Les personnalités appartenant à l’Institut Berggruen

Site du Bergguren Institute

The Transformations of the Human – Our Work – Berggruen Institute

02 : 21 : 16

Les dieux et les inutiles

Conférence de Laurent Alexandre aux élèves de Polytechnique (12/02/19)

Table ronde de l’X sur le Transhumanisme – YouTube

02 : 27 :00

Recherche des déterminants génétiques de l’intelligence

Conférence de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 28 : 21

Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur”

André Comte-Sponville sur RTL (8/09/20)

Coronavirus : “Je n’ai pas peur de la Covid-19”, assure le philosophe André Comte-Sponville – YouTube

02 : 36 : 22

Le pire bilan en France en un jour ?

Article La dépêche – Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie (27/10/20)

Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie – ladepeche.fr

02 : 36 : 36

Rectificatif de l’information du 27/10/20

Article France Info – RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (27/10/20)

RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (francetvinfo.fr)

02 : 36 : 42

Spot de sensibilisation aux gestes barrières

Spot de sensibilisation du gouvernement

Le spot “choc” du gouvernement pour le respect des gestes barrières – Vidéo Dailymotion

02 : 38 : 24

L’exploit de Florian Gomet

Article L’Equipe – Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte (27/09/20)

Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte – L’Équipe (lequipe.fr)

02 : 45 : 42

Des vaccins prêts en 12 à 18 mois

Emission BFM TV – Good moring Business – Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – (21/12/20)

Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – 21/12 (bfmtv.com)

02 : 46 : 19

Les vaccins vont être testés sur toute la population européenne

Commission Européenne – Roadmap of vaccination (03/2019)

2019-2022_roadmap_en.pdf (europa.eu)

02 : 46 : 45

Investissement massif dans une entreprise de fabrication de bouteilles de vaccins

Les Echos – Schott, le passeur du vaccin anti-Covid (04/12/20)

Schott, le passeur du vaccin anti-Covid | Les Echos

02 : 47 : 11

Aucun traitement n’est utile contre le virus ?

Site de l’ANSM

L’ANSM mobilisée dans la mise à disposition des vaccins COVID-19 – ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (sante.fr)

02 : 47 : 33

Interdiction du Remdesivir

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19

(20/11/20)

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19 (who.int)




18 raisons pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre le Covid

[Source : Sott.net]

Par Christian Elliot — Deconstructing Conventional

Quelques amis m’ont demandé mon avis sur le(s) « vaccin(s) » anti-Covid, alors j’ai pensé qu’il était temps d’écrire un article sur le sujet. Ils n’avaient pas tous pris connaissance de la plupart des détails que j’ai déjà partagés, j’ai donc pensé que vous pourriez apprécier de lire une partie de ce que je leur ai dit. Sachant à quel point ce sujet est controversé, une partie de moi préférerait écrire sur autre chose, mais j’ai l’impression que la discussion/les nouvelles sont tellement unilatérales que je dois m’exprimer. Comme je m’efforce toujours de le faire, je promets de faire de mon mieux pour être raisonnable et en aucun cas hystérique.

Je ne suis pas ici pour me battre avec qui que ce soit, mais simplement pour vous faire part de ce que j’ai lu, de mes questions persistantes et vous expliquer pourquoi je n’arrive pas à donner un sens à ces « vaccins » anti-Covid.

Trois règles de base pour la discussion

Si vous souhaitez vous engager sur ce sujet avec moi, excellent. Voici les règles…
Je suis plus qu’heureux de correspondre avec vous si…

  1. vous êtes respectueux et me traitez de la manière dont vous souhaiteriez être traité ;
  2. vous posez des questions sincères et réfléchies sur ce qui a du sens pour vous ;
  3. vous faites valoir vos arguments en utilisant une logique solide et ne vous cachez pas derrière des liens ou le mot « science ».

Si vous répondez et que vous enfreignez l’une de ces règles, vos commentaires seront ignorés/supprimés.
Ceci étant dit, laissez-moi vous dire une chose… Je ne sais pas tout, mais jusqu’à présent, personne n’a été en mesure de répondre aux objections ci-dessous.

Voici donc les raisons pour lesquelles je choisis de ne pas recevoir un de ces « vaccins » anti-Covid.

N°1 — Les fabricants de ces « vaccins » sont à l’abri de toute responsabilité

Les fabricants de vaccins sont la seule industrie au monde qui n’assume aucune responsabilité pour les préjudices ou les décès résultant de leurs produits.

Établis en 1986 par la loi nationale sur les préjudices aux enfants causés par les vaccins, et renforcés par la loi PREP, les fabricants de vaccins ne peuvent être poursuivis, même s’il est démontré qu’ils ont été négligents.

Les fabricants de « vaccins » anti-Covid sont autorisés à créer un produit unique, sans aucun test sur des sous-populations — c’est-à-dire des personnes présentant des problèmes de santé spécifiques — et pourtant ils ne sont pas disposés à accepter la moindre responsabilité pour les effets indésirables ou les décès causés par leurs produits.

Si une entreprise n’est pas disposée à garantir l’innocuité de son produit, surtout s’il s’agit d’un produit qu’elle a mis sur le marché à la hâte et sur lequel elle n’a pas effectué d’essais sur les animaux, je ne suis pas prêt à prendre le risque de recourir à son produit.

Pas de responsabilité. Pas de confiance.
Voici pourquoi…

N°2 — Le passé mouvementé des fabricants de ces « vaccins »

Soit les quatre grandes entreprises qui fabriquent ces vaccins anti-Covid,

  1. n’ont jamais mis de vaccin sur le marché avant le Covid (Moderna et Johnson & Johnson) ;
  2. sont des criminels en série (Pfizer/BioNTech et AstraZeneca) ;
  3. cochent les deux points précédents (Johnson & Johnson).

Moderna a essayé pendant des années de « Moderniser notre ARN » — d’où le nom de la société — mais n’a jamais réussi à mettre AUCUN produit sur le marché — ce qui ne les empêche pas d’être ravis d’avoir obtenu du gouvernement une importante injection de fonds pour continuer à essayer.

En fait, tous les grands fabricants de vaccins (à l’exception de Moderna) ont versé des dizaines de milliards de dollars en dommages et intérêts pour d’autres produits qu’ils ont mis sur le marché tout en sachant qu’ils pouvaient causer des préjudices et des décès — voir Vioxx, Bextra, Celebrex, Thalidomide et Opioïdes, pour ne citer que quelques exemples.

Si les entreprises pharmaceutiques choisissent délibérément de mettre sur le marché des produits nocifs, alors qu’elles peuvent être poursuivies, pourquoi ferions-nous confiance à un produit pour lequel elles n’ont AUCUNE responsabilité ?

Au cas où cela n’aurait pas été compris, laissez-moi répéter… Trois des quatre fabricants de vaccins contre la coqueluche ont été poursuivis pour des produits qu’ils ont mis sur le marché alors qu’ils savaient qu’il en résulterait des préjudices et des décès.

Permettez-moi de réitérer ce point :

Compte tenu de l’exonération de responsabilité et du passé douteux de ces entreprises, pourquoi devrions-nous supposer que tous leurs « vaccins » sont sûrs et fabriqués de manière complètement irréprochable ?

Dans quel autre domaine ferions-nous confiance à quelqu’un possédant ce genre de réputation ?
Pour moi, cela a autant de sens que d’attendre d’un amant sans remords, abusif et infidèle qu’il devienne une personne différente parce qu’un juge a dit qu’au fond, c’est une bonne personne.
Non. Je ne leur fais pas confiance.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.
Voici une autre raison pour laquelle je ne leur fais pas confiance.

N°3 — L’histoire peu glorieuse des tentatives de fabrication de vaccins contre les coronavirus

Dans le passé, de nombreuses tentatives de fabrication de vaccins viraux se sont soldées par un échec total, ce qui explique pourquoi nous n’avons pas eu de vaccin contre le coronavirus en 2020.
Dans les années 1960, des scientifiques ont tenté de fabriquer un vaccin contre le VRS — virus respiratoire syncytial — destiné aux nourrissons.

Dans cette étude, ils ont évité les essais sur les animaux car ils n’étaient à l’époque pas nécessaires.

En fin de compte, lorsqu’ils ont été exposés au virus en milieu naturel, les nourrissons vaccinés ont été bien plus malades que les nourrissons qui ne l’avaient pas été, et 80 pour cent des nourrissons vaccinés ont dû être hospitalisés et deux d’entre eux sont morts.

Après 2000, les scientifiques ont fait de nombreuses tentatives pour créer des vaccins contre les coronavirus.
Au cours des vingt dernières années, toutes se sont soldées par un échec car, tout comme les enfants des années 1960, les animaux participant aux essais cliniques sont tombés très malades et beaucoup sont morts.
Vous pouvez lire un résumé de cette histoire/science ici.
Ou si vous voulez lire les études individuelles, vous pouvez consulter ces liens :

  • En 2004, une tentative de vaccin a provoqué une hépatite chez les furets ;
  • En 2005, des souris et des civettes sont devenues malades et plus sensibles aux coronavirus après avoir été vaccinées ;
  • En 2012, les furets sont tombés malades et sont morts. Et dans cette étude, les souris et les furets ont développé une maladie pulmonaire ;
  • En 2016, cette étude montre également que les souris ont développé une maladie pulmonaire.

Le schéma typique des études mentionnées ci-dessus est que les enfants et les animaux ont produit de belles réponses en anticorps après avoir été vaccinés.
Les fabricants pensaient avoir touché le jackpot.

Le problème est survenu lorsque les enfants et les animaux ont été exposés au virus en milieu naturel.

Lorsque cela s’est produit, il s’est produit un phénomène inexpliqué appelé « facilitation de l’infection par des anticorps » [acronyme ADE en anglais – NdT], également connu sous le nom de « maladie facilitée par le vaccin » [acronyme VED en anglais – NdT] : le système immunitaire a produit une « tempête de cytokines » — ce qui veut dire que le système immunitaire a attaqué l’organisme de façon massive — et les enfants/animaux sont morts.

Le problème persistant est le suivant…

Les fabricants de vaccins n’ont aucune donnée suggérant que leurs « vaccins » faits à la va-vite ont surmonté ce problème.

En d’autres termes, aucune tentative de fabrication d’un vaccin contre les coronavirus n’a jamais été couronnée de succès, et la technologie de thérapie génique que sont les « vaccins » à ARNm n’a jamais été mise sur le marché en toute sécurité, mais comme ils ont reçu des milliards de dollars de financement public, je suis sûr qu’ils ont trouvé une solution.

Sauf qu’ils ne savent pas s’ils ont trouvé une solution…

N°4 — Les « données manquantes » soumises à la FDA par les fabricants de ces « vaccins »

Lorsque les fabricants de ces « vaccins » ont soumis leurs documents à la FDA en vue d’obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence — une autorisation d’utilisation d’urgence n’est pas la même chose qu’une approbation complète de la FDA — ils ont signalé, parmi les nombreuses « lacunes dans les données », que rien dans leurs essais ne permettait de penser qu’ils avaient surmonté le problème épineux de la maladie facilitée par le vaccin.

Ils ne savent tout simplement pas — c’est-à-dire qu’ils n’ont aucune idée si les « vaccins » qu’ils ont fabriqués produiront également la même tempête de cytokines — et les mêmes décès — que les tentatives précédentes de l’usage de tels produits.

Comme le souligne le Dr Joseph Mercola…

« Les précédentes tentatives de développement d’un médicament à base d’ARNm utilisant des nanoparticules lipidiques ont échoué et ont dû être abandonnées parce que lorsque la dose était trop faible, le médicament n’avait aucun effet, et lorsque la dose était trop élevée, le médicament devenait trop toxique. Une question évidente se pose : qu’est-ce qui a changé pour que cette technologie soit désormais suffisamment sans danger pour une utilisation à grande échelle ? »

Si cela n’est pas assez alarmant, voici d’autres lacunes dans les données — c’est-à-dire qu’il n’existe aucune donnée suggérant l’innocuité ou l’efficacité en ce qui concerne :

  • les personnes âgées de moins de 18 ans ou de plus de 55 ans ;
  • les femmes enceintes ou allaitantes ;
  • les maladies auto-immunes ;
  • les personnes immunodéprimées ;
  • la transmission du Covid ;
  • la prévention de la mortalité due au Covid ;
  • la durée de la protection contre le Covid.

Difficile à croire, n’est-ce pas ?

Si vous pensez que j’invente tout cela, ou si vous voulez voir les documents réels envoyés à la FDA par Pfizer et Moderna pour leur autorisation d’utilisation d’urgence, vous pouvez consulter respectivement ceci et ceci. Les lacunes dans les données se trouvent à partir de la page 46 et 48, respectivement.

Pour l’instant, tournons nos regards vers les données brutes que les fabricants de ces « vaccins » ont utilisées pour soumettre leur demande d’autorisation d’utilisation d’urgence.

N°5 — Aucun accès aux données brutes des essais

Vous aimeriez voir les données brutes à l’origine des affirmations tant vantées dans les journaux selon lesquelles il y aurait « 90 pour cent et 95 pour cent d’efficacité » ?
Moi aussi…
Mais ils ne nous laisseront pas voir ces données.

Comme le souligne le British Medical Journal, quelque chose dans les allégations d’efficacité des « vaccins » de Pfizer et Moderna laisse franchement à désirer. Il y a eu

« 3 410 cas totaux de Covid-19 suspectés mais non confirmés dans la population globale de l’étude, 1 594 sont survenus dans le groupe vacciné contre 1 816 dans le groupe placebo. »

Attendez… quoi ?
Ont-ils échoué dans leur étude scientifique en ne vérifiant pas une variable majeure ?
Ne pouvaient-ils pas tester ces cas « suspects mais non confirmés » pour savoir s’ils étaient atteints du Covid ?
Apparemment pas.

Pourquoi ne pas tester les 3 410 participants par souci d’exactitude ?

Pouvons-nous seulement supposer qu’ils n’ont pas fait de tests parce que cela aurait faussé leurs affirmations quant à leur « efficacité à 90-95 pour cent » ?
Que fait la FDA ?
Ne serait-il pas prudent que la FDA attende, voire exige, des fabricants de vaccins qu’ils testent les personnes présentant des « symptômes de type Covid » et qu’ils publient leurs données brutes afin que des tiers puissent examiner comment les fabricants ont justifié ces chiffres ?

Après tout, on essaye quand même de convaincre chaque citoyen du monde de prendre ces produits expérimentaux…

Pourquoi la FDA ne l’a pas exigé ? N’est-ce quand même pas son objectif principal ?
Bonne question.
Serait-ce les renards qui gardent le poulailler ?
On dirait bien.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.

N°6 — Aucun test d’innocuité sur le long terme

Il est évident qu’avec les produits qui ne sont sur le marché que depuis quelques mois, nous ne disposons d’aucune donnée quant aux effets — innocuité & nocivité — sur le long terme.

En d’autres termes, nous n’avons aucune idée des conséquences de ce produit sur l’organisme dans quelques mois ou années — et ce, quel que soit le type de population [vaccinée ou pas vaccinée, jeune ou vieux, sain ou malade – NdT].

Compte tenu de tous les risques susmentionnés — risques que présentent TOUS les produits pharmaceutiques — ne serait-il pas prudent d’attendre de voir si les pires scénarios ont effectivement été évités ?

Ne serait-il pas logique de vouloir combler ces « lacunes » avant d’essayer d’injecter ce produit à chaque femme, homme et enfant de la planète ?

Eh bien… ce serait logique, mais pour obtenir ces données, ils doivent procéder à des tests sur des personnes, ce qui m’amène au point suivant…

N°7 — Pas de consentement éclairé

Ce que la plupart des personnes qui se font vacciner ne savent pas, c’est que, comme ces produits sont encore en phase d’essai clinique, toute personne qui se fait vacciner fait désormais partie de l’essai clinique.

Ils font partie intégrante de l’expérience.

Ceux — comme moi — qui ne se font pas vacciner font partie du groupe témoin.
Le temps nous dira ce qui ressortira de cette expérience.
Mais, me direz-vous, si ces « vaccins » sont nocifs, ne devrait-on pas en entendre parler partout dans les médias ?
La FDA n’interviendrait-elle pas pour interrompre la distribution ?
Eh bien, si le système de signalement des effets indésirables fonctionnait, les choses seraient peut-être différentes.

N°8 — Les effets indésirables et les décès sont sous-déclarés

Selon une étude réalisée par Harvard — à la demande de notre propre gouvernement — moins de 1 pour cent de tous les effets indésirables de ces « vaccins » sont effectivement soumis au National Vaccine Adverse Events Reports System (VAERS) [qui ne vaut que pour les États-Unis – NdT] — lire la page 6 du lien ci-dessus.

Bien que les problèmes du VAERS n’aient pas été résolus — comme vous pouvez le lire dans cette lettre au CDC — au moment où nous écrivons ces lignes [le 8 avril 2021 – NdT], le VAERS fait état de plus de 2 200 décès dus aux actuels « vaccins » anti-Covid, et de près de 60 000 réactions indésirables.

Note du traducteur : En date du 27 avril 2021, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, et pour la seule Union européenne ! Ces chiffres commencent à donner le tournis…

« Les données VAERS publiées aujourd’hui ont montré 50 861 signalements d’effets indésirables après les injections des « vaccins » anti-Covid, dont 2 249 décès et 7 726 préjudices graves entre le 14 décembre 2020 et le 26 mars 2021. »

Et ces chiffres n’incluent pas les actuels 578 cas de paralysie de Bell.

Si ces chiffres ne représentent encore que 1 pour cent du total des effets indésirables — ou 0,8 à 2 pour cent de ce que cette étude récemment publiée dans le JAMA a trouvé — vous pouvez faire le calcul, mais cela équivaut à ce jour à environ 110 000 à 220 000 décès dus aux « vaccins », et à un nombre ridicule d’effets indésirables.

Je parie que vous n’avez pas vu ça aux infos.

Ce nombre de décès serait actuellement encore inférieur aux 424 000 décès [aux seuls États-Unis – NdT] dus aux erreurs médicales qui se produisent chaque année — dont vous n’entendez probablement pas parler non plus — mais le déploiement de ces « vaccins » a débuté il y a moins de six mois.

Si vous souhaitez approfondir les problèmes liés au système de signalement VAERS, vous pouvez consulter ce document ou celui-ci.
Mais il y a aussi mon prochain point, qui pourrait laisser à penser que ces « vaccins » anti-Covid sont inutiles…

N°9 — Les vaccins ne préviennent ni l’infection ni la transmission

Attendez, quoi ?
Ces vaccins ne sont-ils pas censés constituer la solution tant attendue pour « revenir à la normale » ?
Non.
Pourquoi pensez-vous que nous recevons tous ces messages contradictoires sur la nécessité de pratiquer la distanciation sociale et de porter des masques même APRÈS avoir reçu un « vaccin » ?

La raison en est que ces « vaccins » n’ont jamais été conçus pour arrêter la transmission OU l’infection.

Si vous ne me croyez pas, je vous renvoie aux documents soumis à la FDA dont j’ai donné le lien ci-dessus.
L’objectif principal — ce que ces « vaccins » sont censés accomplir — est de réduire vos symptômes.
Ça ressemble à tous les autres médicaments sur le marché, non ?
C’est ça… la réduction des symptômes est le grand bénéfice que nous attendions.
Est-ce que ça semble complètement inutile à quelqu’un d’autre que moi ?

  1. Il ne peut pas nous empêcher de propager le virus.
  2. Il ne peut pas empêcher le virus de nous infecter une fois injecté.
  3. Se faire vacciner, c’est accepter tous les risques de ces produits expérimentaux et le mieux qu’il puisse faire, c’est de réduire les symptômes ?

Quoiqu’il en soit, il existe bien des moyens à ma portée pour réduire mes symptômes sans prendre ce qui semble être un produit très risqué.

Maintenant, en ce qui concerne la prochaine question logique :

Si nous sommes préoccupés par les disséminateurs asymptomatiques, le « vaccin » ne rendrait-il pas plus probable la création d’une dissémination asymptomatique ?

S’il réduit effectivement les symptômes, les personnes qui le reçoivent peuvent ne pas savoir qu’elles sont malades et sont donc plus susceptibles de propager le virus, non ?

Pour ce que ça vaut, j’ai entendu beaucoup de gens dire que les effets secondaires du « vaccin » — surtout la deuxième dose — sont pires que d’attraper le Covid.
Je n’arrive pas non plus à comprendre ce que cela signifie.
Prendre le risque.
Ne pas être protégé.
Subir les effets secondaires du « vaccin ».
Continuer à porter son masque et à se distancier socialement…
Et continuer à être à même de propager le virus.
Quoi ?
Et ça devient de pire en pire.

N°10 — Certaines personnes sont infectées par le Covid après avoir été complètement vaccinées

Tu parles d’une poisse.
Tu es vacciné et tu es quand même infecté par le Covid.

En réalité, ce phénomène se produit probablement partout, mais ce sont ces cas qui font l’actualité actuellement.
Compte tenu des raisons énumérées ci-dessus — et de celles qui suivent — cela ne vous surprend peut-être pas, mais si vous pensiez que le « vaccin » était un bouclier pour vous protéger, vous allez être déçu.
Ce n’est pas le cas.
Cela n’a jamais été le but.

Si 66 pour cent des professionnels de santéde Los Angeles vont retarder ou ignorer le « vaccin »… c’est qu’ils ne sont peut-être pas non plus emballés par une science bâclée.

Peut-être qu’ils observent la manière louche dont les décès et les cas sont communiqués…

N°11 — Le taux de mortalité globale dû au Covid

Selon les propres chiffres du CDC, le Covid a un taux de survie de 99,74 pour cent.
Pourquoi prendrais-je le risque de me faire injecter un produit qui n’empêche pas l’infection ou la transmission, tout ça pour m’aider à vaincre un rhume qui a 0,26 pour cent de chances de me tuer — en fait, dans ma tranche d’âge, c’est environ 0,1 pour cent, et 0,01 pour cent pour mes enfants — mais ne coupons pas les cheveux en quatre.

Avec une probabilité — taux de mortalité — aussi faible, nous serons enfermés chaque année… c’est-à-dire pour toujours.

Mais attendez, qu’en est-il des 500 000 morts et plus, c’est alarmant non ?
Je suis content que vous posiez la question.

N°12 — Les chiffres des morts dus au Covid sont surgonflés

Dans cette affaire, il y a vraiment quelque chose de bizarre.
Dans l’histoire des certificats de décès, c’est la première fois que notre propre gouvernement a changé la façon dont ces derniers sont déclarés.
Pourquoi déclarons-nous désormais que toutes les personnes qui meurent avec le Covid sont mortes du Covid, plutôt que des comorbidités qui sont réellement responsables de leurs trépas ?

Jusqu’à l’apparition du Covid, tous les coronavirus — rhumes courants — n’étaient jamais répertoriés comme la principale cause de décès lorsqu’une personne mourait d’une maladie cardiaque, d’un cancer, d’un diabète, d’une maladie auto-immune ou de toute autre comorbidité majeure.
La maladie était indiquée comme la cause du décès, et un facteur de confusion comme la grippe ou la pneumonie était indiqué sur une ligne distincte.

Pour gonfler encore plus le nombre des décès, l’OMS et le CDC ont modifié leurs directives de sorte que, et sans que cela ne nous soit jamais confirmé, les personnes probablement mortes ou suspectées de l’être à cause du Covid sont également incluses dans le nombre des décès.

Sérieusement ?
Si nous devons procéder ainsi, ne devrions-nous pas revenir en arrière et modifier les chiffres de toutes les saisons de rhume et de grippe passées afin de pouvoir comparer des pommes avec des pommes en ce qui concerne les taux de mortalité ?
Selon les chiffres mêmes des CDC — voir la section « Comorbidités et autres conditions » — seuls 6 pour cent des décès attribués au Covid sont des cas où ce dernier semble avoir été le seul problème en cause.

En d’autres termes, réduisez de 94 pour cent le nombre de décès annoncés aux informations et vous obtenez ce qui est probablement le nombre réel de décès dus au seul Covid.
Même si l’ancien directeur du CDC a raison et que le Covid-19 est un virus amélioré en laboratoire — voir la raison n° 14 ci-dessous — un taux de mortalité de 0,26 pour cent reste conforme au taux de mortalité virale qui fait le tour de la planète chaque année.

Ensuite, il y a ce type, Fauci.
J’aimerais vraiment lui faire confiance, mais outre le fait qu’il n’a pas traité un seul patient atteint du Covid… vous devriez probablement savoir ce qui suit…

N°13 — Fauci et six autres personnes du Niaid possèdent des brevets du « vaccin » Moderna

Grâce à la loi Bayh-Dole, les fonctionnaires sont autorisés à déposer des brevets sur toute recherche qu’ils effectuent avec l’argent des contribuables.

Tony Fauci possède plus de 1 000 brevets — voir cette vidéo pour plus de détails— y compris des brevets utilisés pour le « vaccin » Moderna… dont il a approuvé le financement gouvernemental.

En fait, le NIH — dont le NIAID fait partie — revendique la propriété conjointe du « vaccin » Moderna.
Suis-je le seul à considérer cela comme un conflit d’intérêt MAJEUR, voire criminel ?
Je dis criminel parce qu’il y a aussi ce problème pesant qui me rend encore plus méfiant à l’égard de Fauci, du NIAID et des NIH en général.

N°14 — Fauci est sur la sellette pour des recherches illégales sur les gains de fonction

Qu’est-ce que la recherche sur les « gains de fonction » ?
Les scientifiques tentent de faire en sorte que les virus acquièrent des fonctions — en gros, ils deviennent plus transmissibles et plus mortels.
Ça semble pour le moins un peu contraire à l’éthique, non ?
Quelle pourrait bien en être l’utilité ?
Notre gouvernement était d’accord et en a interdit la pratique.
Alors qu’a fait le NIAID dirigé par Fauci ?
Ils ont changé d’orientation et ont externalisé en Chine la recherche sur les gains de fonction — dans les coronavirus, rien de moins — pour un montant de 600 000 dollars.

Vous trouverez plus de détails, y compris l’importante chronologie de ces événements, dans ce film documentaire qui s’appuie sur une recherche extrêmement approfondie.
M. Fauci, vous avez des explications à fournir… et j’espère que les caméras enregistreront le moment où vous devrez défendre vos actions.
Pour l’instant, tournons notre attention vers le virus…

N°15 — Le virus continue à muter

Non seulement le virus — comme tous les virus — continue de muter, mais selon Geert Vanden Bossche, concepteur de vaccins de renommée mondiale — que vous rencontrerez ci-dessous si vous ne le connaissez pas — il mute environ toutes les 10 heures.

Comment diable allons-nous continuer à créer des « vaccins » pour suivre ce niveau de mutation ?
C’est impossible.
Cela pourrait-il également expliquer pourquoi des personnes entièrement vaccinées sont malgré tout infectées par le Covid ?
Pourquoi, alors que l’immunité naturelle n’a jamais failli à l’humanité, ne lui faisons-nous soudainement plus confiance ?
Pourquoi, si je pose des questions comme celles qui précèdent, ou si je publie des liens comme ceux que vous trouvez ci-dessus, mes réflexions seront supprimées de toutes les grandes plateformes de médias sociaux ?
Cela m’amène au prochain problème troublant que je rencontre avec ces « vaccins ».

N°16 — La censure… et l’absence totale de débat scientifique

Arrivé là, je ne peux m’empêcher d’être sarcastique, alors d’avance, pardonnez-moi.
Avez-vous apprécié tous ces débats animés, retransmis à l’échelle nationale et mondiale, organisés par des responsables de la santé publique et diffusés en simultané sur toutes les grandes chaînes d’information ?
N’était-ce pas formidable d’entendre les meilleurs esprits en médecine, virologie, épidémiologie, économie et les spécialistes des vaccins du monde entier débattre vigoureusement et respectueusement de sujets comme :

  • les confinements ;
  • le port du masque obligatoire ;
  • la distanciation sociale ;
  • les essais d’efficacité et d’innocuité des « vaccins » ;
  • comment dépister la sensibilité aux préjudices causés par les « vaccins » ?
  • les thérapies — à savoir les options non vaccinales.

N’était-ce pas formidable de voir la « science » des responsables de la santé publique — qui n’ont jamais traité personne atteint du Covid — remise en question ?
N’était-ce pas formidable de voir le comité de la FDA interroger publiquement les fabricants de vaccins à une heure de grande écoute, alors qu’ils étaient sous le feu de questions difficiles quant à leurs produits pour lesquels leur responsabilité ne peut pas être engagée ?

Oh, attendez… vous n’avez pas vu ces débats ?
Non, vous ne les avez jamais vus… parce qu’ils n’ont jamais eu lieu.
En revanche, ce qui a bien eu lieu, c’est une censure autoritaire de toute information hormis celles concordant à l’unique narration officielle.
Ironiquement, Mark Zuckerberg peut remettre en question l’innocuité des « vaccins », mais pas moi ?
Hypocrite ?
À quel moment le premier amendement est-il devenu une suggestion ?
Il s’agit du PREMIER amendement Mark — celui que nos fondateurs pensaient être le plus important.
Avec autant d’enjeux, pourquoi ne nous donne-t-on à entendre qu’une seule narration… ne devrait-on pas y avoir plusieurs points de vue qui seraient débattus de manière professionnelle ?

QU’EST-IL ARRIVÉ À LA SCIENCE ?
Qu’est-il arrivé à la méthode scientifique consistant à toujours remettre en question les hypothèses formulées ?
Qu’est-il arrivé au débat animé dans ce pays, ou du moins dans la société occidentale ?
Pourquoi quiconque est en désaccord avec l’OMS ou le CDC est-il si lourdement censuré ?

La science de la santé publique est-elle devenue une religion,
ou la science ne devrait-elle pas reposer sur le débat ?

Si quelqu’un dit « la science est établie », je sais que j’ai affaire à une personne qui a l’esprit fermé.
Par définition, la science — en particulier la science biologique — n’est jamais établie.
Si c’était le cas, ce serait un dogme, pas une science.
OK, avant de trop m’énerver, laissez-moi vous dire ceci…
JE VEUX ÊTRE UN BON CITOYEN.
Je le pense vraiment.
Si le confinement fonctionne, je veux faire ma part et rester chez moi.
Si les masques fonctionnent, je veux les porter.
Si la distanciation sociale est efficace, je veux m’y conformer.
Mais s’il est prouvé que ce n’est pas le cas — comme pour les masques par exemple — je veux aussi entendre cette preuve.
Si des scientifiques de renom ont des opinions différentes, je veux savoir ce qu’ils pensent.
Je veux avoir la possibilité d’entendre leurs arguments et me faire ma propre opinion.
Je ne pense pas être la personne la plus intelligente du monde, mais je pense pouvoir réfléchir.
Je suis peut-être bizarre, mais si quelqu’un est censuré, alors je veux VRAIMENT entendre ce qu’il pense.
Pas vous ?
À tous mes amis qui n’ont pas de problème avec la censure, aurez-vous la même opinion lorsque ce que vous pensez sera censuré ?

La censure n’est-elle pas la technique des dictateurs,
des tyrans et des personnes avides de pouvoir ?

N’est-elle pas le signe que ceux qui censurent savent que c’est le seul moyen de gagner ?

Et si un homme qui a passé toute sa vie à développer des vaccins était prêt à mettre toute sa réputation en jeu et à demander à tous les dirigeants mondiaux d’arrêter immédiatement les « vaccins » anti-Covid en raison de problèmes scientifiques ?

Et s’il plaidait pour un débat scientifique ouvert sur une scène mondiale ?
Voudriez-vous entendre ce qu’il a à dire ?
Voudriez-vous voir le débat qu’il demande ?

N°17 — Le plus grand spécialiste des vaccins au monde tire la sonnette d’alarme…

Voici ce qui pourrait être la plus grande raison pour laquelle ce « vaccin » anti-Covid n’a pas de sens pour moi.

Lorsqu’une personne très pro-vaccins, qui a passé toute sa carrière professionnelle à superviser le développement de vaccins, crie sur tous les toits que nous faisons face à un problème majeur, je pense que cet personne doit être entendu.

Au cas où vous l’auriez manqué, et au cas où vous auriez envie de savoir ce qu’il dit, voici les explications de Geert Vanden Bossche :

  1. Pourquoi le « vaccin » anti-Covid pourrait exercer une telle pression sur le virus que sa capacité à muter et à devenir plus mortel s’en trouverait accélérée.
  2. Pourquoi les « vaccins » anti-Covid pourraient créer des virus résistants aux vaccins — comme les bactéries résistantes aux antibiotiques.
  3. Pourquoi, en raison de problèmes antérieurs liés à la facilitation de l’infection par des anticorps, nous pourrions être confrontés à une explosion de victimes dans les prochains mois ou années.

Si vous voulez voir/lire un deuxième entretien, plus long, avec Vanden Bossche, dans lequel des questions difficiles lui ont été posées, vous pouvez consulter ceci.

Si la moitié de ce qu’il dit se réalise, ces « vaccins » pourraient être la pire invention de tous les temps.

Si vous n’aimez pas sa science, discutez-en avec lui.

Je ne suis que le messager.

Mais je peux aussi parler du Covid d’un point de vue personnel.

N°18 — J’ai déjà eu le Covid

Je n’ai pas apprécié.
J’ai eu un méchant rhume pendant deux jours :

  • des douleurs incessantes aux fesses et au bas du dos ;
  • une très faible énergie ;
  • une faible fièvre.

C’était bizarre de ne pas pouvoir sentir quoi que ce soit pendant deux jours.
Une semaine plus tard, le café avait toujours un goût « mauvais ».
Mais j’ai survécu.

Maintenant, il semble — comme cela a toujours été le cas — que j’ai une belle immunité naturelle, à vie
… et non pas quelque chose qui risque de s’estomper en quelques mois si je me fais vacciner.
Pour mon organisme, comme pour ma famille, le Covid c’est du passé.
En fait, maintenant que je l’ai eu, il existe des preuves que le « vaccin » anti-Covid pourrait être plus dangereux pour moi.
Ce n’est pas un risque que je suis prêt à prendre.

En résumé

Ce qui précède ne sont que mes raisons de ne pas vouloir le « vaccin ».
Peut-être que mes raisons ont du sens pour vous, peut-être pas.
Quelles que soient celles qui ont un sens pour vous, j’espère que nous pourrons rester amis.
Pour ma part, je pense que nous avons beaucoup plus en commun que ce qui nous sépare.

  • Nous voulons tous vivre dans un monde de liberté.
  • Nous voulons tous faire notre part pour aider les autres et vivre bien.
  • Nous voulons tous avoir le droit d’exprimer nos opinions sans craindre d’être censurés ou vicieusement attaqués.
  • Nous méritons tous d’avoir accès aux faits afin de pouvoir prendre des décisions éclairées.

Que vous soyez d’accord ou pas avec moi, je ne vous traiterai pas différemment.
Vous êtes un être humain tout aussi digne d’amour et de respect que n’importe qui d’autre.
Pour cela, je vous salue et je vous souhaite vraiment le meilleur.
J’espère que vous aurez trouvé cet article utile.
Si oui, n’hésitez pas à le partager.
Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à me faire part — gentiment — de ce qui n’a pas eu de sens pour vous et je serais heureux d’entendre également vos réflexions.
Restez curieux et restez humble.
Jusqu’à la prochaine fois,

Christian

P.S. : Si vous pensez que j’ai bien étudié ce sujet, imaginez toutes les idées que je pourrais mettre en œuvre pour vous aider à préserver votre santé. Aider les gens à être en bonne santé, c’est ce que je fais toute la journée, tous les jours.

P.P.S. : La santé ne peut pas être injectée, mais elle peut être acquise.


Source de l’article initialement publié en anglais le 8 avril 2021 : Deconstructing Conventional
Traduction : Sott.net




Le GOUVERNEMENT SOMMÉ de s’EXPLIQUER sur ses ERREURS

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

SYNDICATS ET PROFESSIONNELS ATTAQUENT LE GOUVERNEMENT

Récemment, les professionnels se sont manifestés à travers le Collectif de Syndicats et Associations de Professionnels Européens (CSAPE).
Le CSAPE a construit un dossier juridiquement et scientifiquement très argumenté. Il démontre que la population est mise en danger par des mesures manifestement disproportionnées imposées sans aucune base factuelle. Est également souligné le fait que les populations du monde ont servi de cobayes aux expérimentations des laboratoires. Les gouvernements ont voulu les presser à n’importe quel prix dans l’espoir d’arrêter la pandémie très vite, ce qui, dans le cas de plusieurs pays – la France en tête – est un fiasco monumental puisqu’au bout de plus d’un an, on en est toujours au même point. De plus, le choix s’est porté de préférence sur des modificateurs de génome nouveaux et sans recul expérimental, technique dont les effets secondaires mal anticipés et méconnus commencent seulement à apparaître.

LA GRAVE ACCUSATION  DES PROFESSIONNELS

« La population est à l’évidence confrontée à une expérimentation généralisée, sur son intégrité physique et mentale, sans son consentement avisé en violation du droit international avec participation complaisante et active du gouvernement qui de surcroît abuse de mesures liberticides sur fond de situations anxiogènes répétitives, de manipulations par la peur en travestissant les faits, et de maltraitance par l’empêchement de la médecine d’Hippocrate.

Les dernières déclarations gouvernementales relatives à de prétendus « variants », (principe mutagène de tout type de corona), relèvent de la même stratégie de tromperie envers la population pour maintenir à des fins inavouables une urgence sanitaire dont la nécessité n’est délibérément pas démontrée.

Cette expérimentation généralisée sur une population maintenue dans l’ignorance par tromperie constitue un crime contre la dignité humaine et un crime contre l’humanité.

Elle vous (les membres du gouvernement) expose personnellement à des poursuites gravissimes, dont il ne saurait être fait état d’une quelconque immunité aussi bien pour le chef de l’Etat que pour son administration« .

C’est en résumé l’accusation portée par le CSAPE.

Le 3 mars, il a donné quinze jours au gouvernement pour se justifier par des documents, et non par des déclarations lénifiantes et larmoyantes, faute de quoi des plaintes seront déposées auprès d’organismes internationaux (ONU et Cour Pénale Internationale), européens (Cour Européenne des Droits de l’Homme et Cour Européenne de Justice), ainsi qu’en France, auprès de la Cour de Justice de la République (qui pourra mettre le président en accusation s’il n’est pas réélu en 2022).

La mise en demeure faite au gouvernement lui permettra de se justifier s’il peut prouver sa bonne foi et sa compétence dans le traitement de la pandémie, mais cela peut aussi se retourner contre lui car CSAPE a des arguments  bien documentés par des preuves écrites et des faits incontestables comme le bilan de la France en morts par million d’habitants, l’un des plus élevés au monde.

LE GOUVERNEMENT DOIT RÉPONDRE À DES QUESTIONS PRÉCISES :

  • A-t-il recherché les responsables français et leur niveau de responsabilité dans l’invention du virus ?
    L’étude des brevets pris par l’Institut Pasteur dès les années 2000 montre que l’on y travaillait sur le coronavirus qui a donné SARS puis Covid. Avaient-il à cette période en stage des chercheurs chinois qui auraient pu voler des souches, comme ils l’ont fait à l’Institut de Recherche de Winnipeg au Canada, pour créer le coronavirus MERS, cause de 800 morts en Arabie saoudite puis, véhiculé par des chameaux en Syrie ?
  • Seront-ils poursuivis en justice pour négligence ou corruption ?
  • Va-t-il poursuivre le Conseil scientifique où siègent une majorité de gens ayant des liens financiers avec les laboratoires industriels et qui ont donné de fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les libertés fondamentales ?
  • Va-t-il poursuivre l’OMS et l’Institut Pasteur pour fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les droits inaliénables et fondamentaux de la population ?
  • Va-t-il poursuivre tous les responsables à l’origine de ce crime en tant qu’expérimentation générale sur la population ?
    Le gouvernement est soupçonné d’avoir voulu expérimenter le degré de résistance de la population à des ordres stupides comme le port du masque en plein air, le confinement –inefficace comme l’a dit Macron au JDD-, ou la vaccination des bébés, et son acceptation pour mettre en circulation de pseudos vaccins contenant des nanoparticules métalliques  comme en ont Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Pour le moment, le résultat montre que les Français anesthésiés sont prêts à accepter n’importe quelle mesure totalitaire.
  • Va-t-il procéder à l’abrogation immédiate des contraintes liées au test RT-PCR ?
    Contraintes sociales et médicales alors que tous les pays asiatiques ont informé qu’ils étaient mal dosés en France (40% au lieu de 15%) et donc très imprécis. Exception faite de la Chine, qui fournit à la France les produits nécessaires à leur fabrication.
  • Va-t-il cesser d’imposer l’obligation du port du masque ?
    De nombreuses études ont démontré qu’il est totalement inutile en bord de mer, en montagne, en zones rurales excepté conversation rapprochée ; inutile en famille où les rapprochements sont inévitables et de toute façon, s’il y a des virus, tout le monde les porte déjà ; peu utile en général car aucun masque à l’exception des masques professionnels FFP3 n’est vraiment étanche (étude du M.I.T), les masques chirurgicaux n’étant faits que pour protéger le patient opéré des postillons du personnel médical.
  • La dernière question n’en est pas une. Nous demandons l’abrogation immédiate du couvre-feu et tout autre type de mesure de confinement qui ne sont en réalité qu’une mise en résidence surveillée spécifiquement restrictive des libertés.

Pour importer le document complet du CSAPE => CLIQUEZ ICI

Le CSAPE a envoyé cette mise en demeure le 2 mars par L.R.A.R. à Jean Castex, premier ministre. Il lui donnait quinze jours pour répondre et, à ma connaissance, il n’y a pas eu de réponse. Le gouvernement a donc choisi de faire la sourde oreille. Il fallait s’y attendre, il ne veut surtout pas que sa politique sanitaire absurde soit remise en cause et s’il tient bon un an, la présidentielle de 2022 réglera le problème.

LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES ET EUROPÉENNES NE BOUGERONT PAS

Mais le CSAPE pourrait bien mettre sa menace à exécution : alerter l’ONU, la CPI, l’Europe etc.

Hélas, l’ONU est solidement verrouillée par Bill Gates. Il la finance, et la Chine la contrôle grâce aux pays qu’elle tient à la gorge par les prêts remboursables qu’elle leur a consenti et font qu’elle détient la majorité à l’ONU.

L’Europe ne réagira pas non plus, l’Europe et sa Commission de fonctionnaires est dominée par l’Allemagne d’Angela Merkel.  Sa consigne est « Suivons la Chine« .

Tous les pays qui ont suivi la Chine sont dans une situation aussi mauvaise que la France : la Belgique, l’Espagne, l’Italie, l’Angleterre, les USA…
Tous ces pays ont eu un taux de mortalité par million d’habitants supérieur à ceux qui ont en quelque sorte « laissé faire », comme les pays d’Afrique, l’Inde… Mais aussi la Suède et la Biélorussie où le confinement a été refusé et qui n’ont pas plus de morts que la moyenne de l’U.E. Il y a eu chez les Occidentaux un très net manque de réflexion intelligente et d’organisation à tous les niveaux, France, U.E, ONU.

D’autres pays s’y sont pris d’une façon beaucoup réfléchie que les Occidentaux : les pays d’Asie du Sud-Est comme le Vietnam, Singapour, Taïwan et plusieurs autres, qui ont un nombre de morts inférieur à mille quand nous dépassons les cent mille, et ce sans arrêter leur économie.

Finalement  la plainte du CSAPE, si elle n’aboutit pas, aura servi à alerter avec des arguments solides les Français sur la corruption de plus en plus voyante de leur administration et du gouvernement.

LA PRESSE EST DIVISÉE

Sur le reste, la presse est divisée. Yuval Noah Harari, historien israélien constate dans Le Courrier de l’UNESCO, que Covid est une épidémie des plus bénignes avec un taux de mortalité inférieur à 1 % (0,2 % en France) quand la grippe de 1918 a tué 10% de la population et la peste noire de 1347-1351 au minimum 25%.

CSAPE a raison de reprocher au gouvernement d’avoir surdramatisé Covid pour apeurer la population et en tirer profit en édictant des mesures liberticides qui renforcent son pouvoir d’oppression et de contrôle.

Mais aussi d’avoir donné à l’administration l’autorité sur des domaines où elle est totalement incompétente, voire nuisible quand elle n’est pas de surcroit vendue au secteur privé international (en Europe elle est classée au 15ème rang pour la corruption, pas rouge mais orangée). Elle a interdit des médicaments antiviraux efficaces pour privilégier les tests géniques expérimentaux baptisé à tort « vaccins », beaucoup plus chers et non validés par les essais de niveau 3 sur l’homme en principe obligatoires, les « vaccins » de Pfizer, Moderna et d’AstraZeneca. Leurs méfaits secondaires commencent seulement à se manifester et leur degré de nocivité réel ne pourra être connu que dans quelques années.

Un article de Valeurs Actuelles (le seul hebdomadaire libre parce que non subventionné) souligne qu’en interdisant aux médecins de prescrire des médicaments connus pour être efficaces contre les virus, et en obligeant à une vaccination aléatoire, l’administration et le gouvernement ont pris la responsabilité de dizaines de milliers de morts qui n’auraient pas dû être.

Et personne ne se soucie de ce que ces pseudos vaccins  contiennent des nanoparticules métalliques dont Bill Gates a dit qu’il suffira de les programmer pour prendre le contrôle des individus « vaccinés ». Comme voulait le faire la Chine pour compléter son arsenal de surveillance permanente de ses citoyens. Elle a, dans ce sens heureusement pour les Chinois, raté sa campagne de vaccination avec Sinovac. Non que Sinovac soit un mauvais vaccin, au contraire. Mais à vouloir donner ou vendre en priorité des vaccins à deux milliards Africains et à l’Inde (qui a les siens), plus 1,3 milliard de Chinois, le Parti communiste a vu trop grand et les usines n’arrivent pas à fournir.

(…)

L’Imprécateur
19 avril 2021




Les ARNm vaccinaux atteignent les organes reproducteurs

[Source : l’équipe de RéinfoCovid via Les moutons enragés]

Par l’équipe scientifique de Reinfocovid

L’INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d’intégration de l’ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l’ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs (testicules & ovaires). Pourtant, les AMM conditionnelles du vaccin Pfizer/BioNtech et Moderna montrent le contraire.

Dans un article intitulé : « Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ? » (https:/presse.inserm.fr/les-vaccins-a-arnm-susceptibles-de-modifier-notre-genome-vraiment/41781/), l’INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d’intégration de l’ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l’ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs ou gonades comme il l’affirme dans l’extrait retranscrit ci-dessous :

Malheureusement, les AMM [Autorisations de Mise sur le Marché] conditionnelles du vaccin Pfizer/BioNtech et Moderna sont en totale opposition avec cette position de l’INSERM.

Les ARNm vaccinaux se distribuent dans une grande variété d’organes, dont les organes reproducteurs ou gonades

Dans l’autorisation de mise sur le marché des vaccins Pfizer/BioNtech et Moderna, il existe un paragraphe dédié à l’étude de biodistribution du vaccin. Ces documents sont publics et accessibles sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) à ces adresses :

A la page 54 de l’AMM conditionnelle du Vaccin Pfizer/BioNtech, il est clairement noté que :

  • Les ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques atteignent de nombreux organes : rate, coeur, les reins, poumons, cerveau
  • Les ARNm ont été retrouvés dans les ovaires et les testicules en quantité faible lors des études de biodistribution de ce vaccin (extrait ci-dessous)

Le paragraphe sur la biodistribution de l’AMM conditionnelle (p47 et 52) du Vaccin Moderna, nous apprend que :

  • les ARNm vaccinaux sont détectables dans une grande variété d’organes : cerveau, coeur, poumon, yeux, testicules.
  • Il est impossibilité de connaitre la biodisponibilité dans les ovaires, car aucun rat femelle n’a été inclus dans l’étude de biodistribution du vaccin Moderna
  • les concentrations d’ARNm sont plus importantes dans la rate et les yeux par rapport au plasma
  • les ARNm vaccinaux passent la barrière hémato-encéphalique et atteignent le cerveau
    Extrait p52 de l’AMM conditionnelle du vaccin Moderna :

Extrait p47 de l’AMM conditionnelle du Vaccin Moderna :

Conclusion :

Les ARNm vaccinaux se distribuent donc dans une grande variété d’organes, dont les organes reproducteurs ou gonades.

L’INSERM a-t-il lu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle des vaccins Pfizer/BioNtech et Moderna pour être passée à côté de cette information essentielle ?

Soit l’INSERM n’a pas connaissance de ces éléments scientifiques et c’est grave !

Soit l’INSERM en a connaissance mais en fait une omission volontaire dans ses publications et c’est encore plus grave!

Cet organisme veut-il faussement rassurer médecins et patients ?

Quelle qu’en soit la raison,

peut-on encore avoir confiance en l’INSERM ?

qui s’est donnée comme mission d’ « améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies,  l’innovation dans les traitements et la recherche en santé publique» ? Ce qui lui impose rigueur et objectivité dans ses publications ou prises de position.


Pour aller plus loin :


Fiche de synthèse  sur les vaccins Pfizer/Biontech et Moderna

VACCIN ARNm PFIZER/BIONTECH

Fiche détaillée sur le vaccin Pfizer

Fiche vaccin : Réponse au CHU de Liège

Le point sur les rétrovirus endogène :

Le point sur les rétrovirus endogènes




« VACCINS » : et le principe de précaution ???

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par MARC LE STAHLER

AVERTISSEMENT

Je n’ai pas écrit cet article pour terroriser les vaccinés et les candidats à la vaccination, mais pour combler un grave déficit d’information que la loi exige pourtant « claire et complète » et que le gouvernement interdit aux médias de donner. Ainsi d’ailleurs qu’à ses propres organismes, comme l’Agence Nationale pour la Sécurité du Médicament, censurée « pour ne pas dissuader les gens de se faire vacciner ».

Globalement le ratio profit/risque des vaccins reste très positif… En théorie, car sur le futur à plus de six mois il reste encore très aléatoire comme le Ministre de la santé lui-même en est convenu. 

Mais les premiers constats officiels sur les effets secondaires montrent qu’il peut être négatif sur certaines catégories précises de la population et notamment les bébés, les femmes « enceintes ou allaitantes », les personnes à comorbidités et les plus de 65 ans. Elles, leurs parents ou leur famille ont le droit de savoir quel risque ils prennent.

Certes, le risque de mourir du vaccin reste faible dans l’absolu, les premières évaluations du VAERS américain l’ont chiffré en décembre dernier à moins de 2,6% des cas d’effets secondaires, la ANSM française en février à moins de 1%, mais porte à 90% sur les plus de 75 ans ! 

Les effets des vaccins sur l’épidémie restent totalement imprévisibles et les vaccins ARNm sont peut-être inutiles, confesse Véran devant le Conseil d’État, pendant que Macron reconnait dans le JDD que le confinement total est plus nocif qu’utile. Mais la presse ne répète pas ces confidences. Comme elle ne parle pas de l’échec de la vaccination en Afrique du Sud, ni du jugement de « projet grotesque » formulé par Tedros Adanom Gebreyesus le D.G. de l’OMS, sur le projet Covax que Macron a fait adopter par l’Union Européenne et qui a sombré corps et biens parce que personne à la Commission européenne et à l’Élysée n’a pensé que la fabrication de milliards de doses provoque des goulets d’étranglement en capacité de production et en matières premières. Une seule entreprise allemande fabrique les petits flacons à doses qui doivent résister à -100°C pour Pfizer, Moderna et Jenssenn. Pour AstraZeneca il faut de l’adénome de chimpanzé et on ne peut pas saigner à blanc tous les chimpanzés du monde après que l’adénome de porc envisagé un moment ait montré ses limites.

L’Imprécateur

ALERTE SANTÉ ! DISPARITION DU « PRINCIPE DE PRÉCAUTION » ! 

Curieux pays que celui où le Conseil d’État ayant pour mission de conseiller le gouvernement et les Assemblées ainsi que de rendre la justice administrative, soit présidé par le Premier ministre et composé à 99 % par des hauts fonctionnaires ! Il dépend donc totalement de l’autorité de l’État et n’est en rien indépendant comme l’avait souhaité son créateur Napoléon Bonaparte, et comme il devrait l’être.

Il n’est pas surprenant que le 10 avril 2019, il ait rejeté sans les étudier deux requêtes présentées par 3047 citoyens français représentés par la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations et par l’Institut pour la protection de la santé naturelle (IPSN).

L’une demandait à ce que la vaccination ne soit pas étendue aux nourrissons, l’autre que les adjuvants sous forme de nanoparticules métalliques, notamment de l’aluminium, ne soit pas autorisés dans les vaccins. « Ces dossiers ne nous semblent pas poser de difficultés juridiques en l’état actuel des connaissances scientifiques », a déclaré le rapporteur du C.E. Rémi Decout-Paolini. Pas de débat donc sur le très légitime doute scientifique ou le principe de précaution. « Les vaccins – dont aucune institution scientifique en France et à l’étranger ne considère la dangerosité –sont efficaces »avait précisé le rapporteur, ignorant visiblement les oppositions aux nouveaux vaccins atypiques déjà nombreuses.

Vaccin AstraZeneca-Oxford,  ChAdOx1 est un adenovirus de chimpanzé

TOUT BAPTISER « VACCIN » EST UNE FAÇON DE TROMPER LES GENS

« La substance active d’un vaccin est un agent antigénique à pathogénicité atténuée par une forme tuée ou affaiblie du micro-organisme pathogène, ou par une de ses toxines » (Wikipedia).

Ce qui est présenté comme des « vaccins » par les laboratoires Pfizer-NBiotech, Moderna et AstraZeneca ne correspond pas à cette définition. Il s’agit en réalité de modificateurs géniques expérimentaux ; ils contiennent des nanoparticules métalliques décrites dans le brevet Microsoft PCT/US2019/038084 pris par Bill Gates, et un désinfectant, qui peut être comme ici du formol ou comme dans les poches de sang désinfecté des hôpitaux de l’eau de Javel.
Les nanoparticules doivent seulement, en principe, permettre d’identifier si la personne examinée a été vaccinée ou non.

En réalité elles peuvent être programmées pour bien d’autres choses, comme l’identification ou la localisation de la personne, c’est un sujet d’étude où les chercheurs chinois sont très avancés.

C’est pourquoi ceux qui refusent d’être traités comme du bétail par les Bill Gates, Klaus Schwabb et autres partisans d’un gouvernement mondial voulant gérer les peuples du Monde par l’électronique et l’Intelligence Artificielle comme le fait Xi Jinping en Chine, demandent que les vaccins n’en contiennent pas.

LA CONNAISSANCE DES EFFETS SECONDAIRES PROGRESSE

Depuis la décision manquant d’intelligence, d’attitude scientifique et de prudence du Conseil d’État du 10 avril 2019, la connaissance des effets immédiats et secondaires des vaccins a progressé. Des études ouvertement négligées par la presse et autres médias trop souvent soumis aux gouvernements ont été menées, en Israël par le Service national de Santé, en Norvège et en Allemagne par leurs équivalents, au USA par le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) et en France par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament).

Si l’on scinde les effets en effets attendus et effets constatés, ces études montrent :

=> Effets attendus : la protection des individus vaccinés contre la contamination est incertaine ; celle des non-vaccinés n’est pas non plus certaine, il y a dans tous les pays de nombreux cas de contamination après vaccination. L’efficacité de la vaccination est maintenant supposée ne venir que plusieurs semaines après les injections.

Source US VAERS (au 18 décembre)

– 112 807 vaccinés 1ère dose
– 3 150 effets secondaires enregistrés soit 2,8% dont 514 femmes enceintes

La protection globale de la société espérée par les gouvernants viendra peut-être si 80% des personnes sont vaccinées, mais pour le moment ce n’est qu’une hypothèse fondée sur la connaissance historique de vaccins qui n’avaient rien à voir avec ceux à ARNm et adenovirus.

L’arrêt total de l’épidémie viendra certainement un jour parce que c’est la loi de toutes les épidémies : elles finissent toujours par s’arrêter, mais peuvent aussi revenir naturellement des mois, des années voire des siècles plus tard.

=> Effets nocifs constatés : Certains sont immédiats, c’est-à-dire apparaissent dans les jours qui suivent l’injection et, dans la quasi totalité des cas, sont de courte durée : poussée de fièvre, crampes, douleurs musculaires… Rares sont ceux qui provoquent une mort presque immédiate dans le temps, de 24 heures à une semaine, par une coagulation brutale du sang qui provoque une thrombose, un AVC, ou une hémorragie cérébrale.

Mais ils touchent souvent des personnes jeunes réputées en bonne santé, comme cela a été constaté sur quatre infirmières, une portugaise de 23 ans, une anglaise de 42 ans et deux jeunes américaines.

Et il y a les effets nocifs. Ils provoquent des effets sanitaires graves, souvent guérissables mais parfois durables. Soit ils entrainent la mort, soit ils provoquent un handicap grave et définitif : troubles cardiaques, AVC non guéris, paralysie faciale ne touchant que la moitié du visage, grande fatigue permanente empêchant toute activité, troubles psychiatriques… Dans les effets secondaires enregistrés par l’ANSM, 24 % sont graves, un taux environ dix fois supérieur à celui des vaccins « classiques » à base de micro organismes pathogènes morts ou atténués.

LES NOUVEAUX « VACCINS » FONT L’OBJET D’UN TEST À L’ÉCHELLE MONDIALE

Il y a des différences importantes entre les vaccins comme ceux contre la rage, la varicelle, la fièvre jaune, bien connus et réputés à juste titre efficaces, et les produits à base d’ARNm ou d’adenovirus présentés comme des vaccins alors qu’il s’agit dans le premier cas de modificateurs génétiques et dans le second plutôt de sérums comme les nomme la revue « Challenges ».

L’américain Pfizer associé à l’allemand BioNTech et l’autre américain Moderna misent sur l’ARNm, technique connue depuis 2011 (premiers brevets) dont ils ont accéléré le développement avec des moyens financiers considérables ; ainsi Moderna a réussi  à mettre au point son vaccin à ARNm en 42 jours !

Il est exact qu’une fois le processus d’utilisation de l’ARNm mis au point, la mise en fabrication du vaccin est beaucoup plus rapide que celle des vaccins classiques.

Par contre, sur cette première fabrication, une grande partie du temps gagné tient à ce que les tests auxquels sont astreints les vaccins (les tests de niveau 3) n’ont pas été effectués à la demande des gouvernements pressés d’avoir les « vaccins » imprudemment annoncés comme fiables à 90% et régulièrement annoncés sur le point d’arriver en grandes quantités, ce qui n’a pas été le cas.

Et quand ils ont été testés, comme Pfizer-BioNTech et AstraZeneca-Oxford l’ont fait en Afrique du Sud avec l’accord du gouvernement, sur des Africains ignorant de quoi il s’agissait, la publication des résultats, si elle a eu lieu, est restée très confidentielle. C’est maintenant, après quelques mois, que la presse sud-africaine signale des effets secondaires arrivés tardivement, des morts, des femmes devenues stériles ou ayant avorté, des paralysies partielles.
En Afrique du Sud AstraZeneca a été déclaré fiable à 22% seulement par l’Université Witwatersrand de Johannesburg. Le gouvernement sud-africain après avoir arrêté le 7 février le programme de vaccination de sa population a aimablement proposé le 22 mars à l’Union européenne de lui revendre le stock de vaccins dont il dispose encore, un million de doses. C’est sympa, de la part d’un gouvernement qui pense que ces vaccins sont plus dangereux qu’utiles !

À l’exception du Point, de Sciences avenir et de Capital dans de courts articles, la presse française n’a pas parlé de cet échec lamentable de la vaccination de masse dans un grand pays. Au contraire, la Haute autorité de santé et la Commission européenne ont validé la continuation de la vaccination avec AstraZeneca-Oxford et les autres vaccins en prétextant que l’Afrique du Sud a un variant particulier, comme si le variant anglais ou le variant breton (que, disent les médecins, les tests n’arrivent pas à reconnaître), n’étaient pas eux aussi des variants particuliers différents de la première souche de Covid.

Le gouvernement veut au contraire accélérer la vaccination de tous dans une obsession vaccinale absurde dans la mesure où, faute du recul de plus d’un an nécessaire, personne ne peut garantir que les effets secondaires graves le seront moins à l’avenir qu’ils le sont après la première série d’injections du 15 janvier au 15 février.
Elle a causé en France (source ANSM, recensement au 19 février) 217 morts rapides et 6960 cas secondaires ayant entrainé des séquelles, AVC, thromboses, hémorragies cérébrales, paralysies partielles, covid dans sa forme dure, etc.

PERSONNE NE SAIT ENCORE SI LES VACCINS PROTÈGERONT

Personne ne peut garantir non plus, sinon en s’appuyant sur des projections informatiques ne reflétant que la conviction des informaticiens qui les ont conçues, que les vaccins protègeront durablement la population.

Ils ne protègent pas totalement les vaccinés comme le montre le nombre de cas de covid après vaccination, ils ne protègent pas non plus « les autres » comme l’a reconnu Olivier Véran en expliquant que les vaccinés doivent continuer à respecter le confinement et les gestes barrières, qu’il est important qu’ils reçoivent deux doses parce que c’est peut-être deux ou trois semaines après la seconde injection que l’immunité arriverait et qu’à long terme rien n’est  certain.

Le faible nombre de vaccinés ayant reçu la seconde dose ne permet pas d’affirmer quoi que ce soit mais cela ne gêne aucunement Olivier Véran.

D’ailleurs, après la déclaration d’Emmanuel Macron au Journal Du Dimanche, « L’Allemagne a montré que le confinement ne sert à rien » ce qui explique ses décisions actuelles pour en limiter les conséquences, non seulement économiques mais aussi psychologiques, sur une population exaspérée mais qui reste encore soumise. Les doutes qu’aurait exprimé Véran sur l’utilité des vaccins paraissent de plus en plus crédibles.

J’ai d’abord cru à une fausse annonce (fake news).
Puis je l’ai retrouvée sur le blog d’Ema Krusi https://emakrusi.com/videos/30-04 et la vidéo que vous trouverez sous la référence #30-(04.04.2021)-Le dîner de cons des vaccinés.
Elle donne comme lien-source Le Figaro. Si l’on admet que Le Figaro est sérieux, l’info est crédible.
Ainsi, Olivier Véran aurait déclaré au Conseil constitutionnel :

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de ré-infection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la progression du virus n’est pas encore connu« .

Une aussi incroyable franchise, si elle est authentique, peut s’expliquer par ce fait peu connu : le Conseil d’État est totalement soumis au gouvernement, son président étant le premier ministre. De plus la majorité de ses membres est socialiste, comme le camarade syndiqué Véran. Il a pu penser que ses confidences sur l’inutilité de la vaccination resteraient un secret de famille.

Une déclaration du directoire d’AstraZeneca/Oxford pour défendre son vaccin n’est pas non plus très rassurante :
« Les premiers résultats semblent confirmer que la mutation du virus détectée en Afrique du Sud peut se transmettre à la population déjà vaccinée ».  https://www.sciencesetavenir.fr/sante/pourquoi-l-afrique-du-sud-met-elle-de-cote-le-vaccin-astrazeneca_151596

En effet, il est prouvé que, dans une population virale de la même famille, le virus mutant le plus résistant finit toujours par remplacer les précédents, comme le virus anglais vient de le montrer en éliminant Cov-2 qui avait éliminé Cov-1 etc.
On saura bientôt si le virus sud-africain remplace l’anglais et dans ce cas, les vaccinés donneraient raison à Ema Krusi ! Joyeuse perspective !

LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION EST DE L’HISTOIRE ANCIENNE

Source ANSM : 37 680 effets secondaires constatés au 19 février, dont 34 968 plus de 65 ans soit 93 %

Le plus surprenant est que la France, adepte du principe de précaution inscrit dans la Constitution, ne l’applique pas dans le domaine de la santé. Les Agences nationales de santé d’Israël et de la Norvège ont alerté sur le danger que la vaccination représente pour les femmes enceintes et allaitantes.
Ce risque a été confirmé par l’expérience du professeur Alain Fischer : sur dix bébés vaccinés il y a eu deux cas de leucémie dont l’un est décédé rapidement.

Et aussi pour les plus de 75 ans pour lesquels, dit la Norvège, le risque de mourir de Covid après la vaccination est quatre fois plus élevé que sans vaccination ce qu’Israël confirme sans préciser de pourcentage
.

L’Agence Nationale française pour la Sécurité du Médicament (ANSM) a publié le 5 mars un rapport dans lequel elle signale que les effets secondaires sont loin d’être négligeables et que ceux qui en sont atteints et parfois en meurent sont à plus de 90% des 65 à 100 ans.
Le gouvernement retire le rapport de l’ANSM de la circulation et en interdit la diffusion « pour ne pas dissuader les Français de se faire vacciner« .

Effectivement, si le gouvernement, les nombreux membres du corps médical achetés par les laboratoires et les médias subventionnés commencent à dire la vérité aux Français, où va-t-on ?




Arrêt de la vaccination Pfizer à Hong Kong

[Source : L’Échelle de Jacob]

Les responsables de la santé de Hong Kong ont ARRÊTÉ les expéditions du vaccin Pfizer après que de multiples problèmes aient été identifiés et signalés. Le South China Morning Post rapporte que des travailleurs de santé de première ligne ont découvert plus de cinquante exemples de flacons fissurés et qui fuyaient. Comment Pfizer peut-il garantir la cohérence et la sécurité de la science de l’ARNm, s’ils ne peuvent pas garder les flacons intacts et correctement préservés?

Il n’existe aucun moyen pratique d’assurer la sécurité d’un vaccin expérimental qui doit être conservé à -93 degrés Fahrenheit. Le vaccin à ARNm Pfizer est expédié dans des boîtes qui ne peuvent être ouvertes que deux fois par jour pendant un maximum de 180 secondes. Si les nanoparticules de la préparation ne sont pas correctement conservées à cette température, elles deviennent dangereuses et inefficaces pour le système immunitaire humain. De plus, une prouesse de fabrication à cette échelle est naturellement sujette à de multiples erreurs.

Vingt et un centres de vaccination de Hong Kong suspendent les rendez-vous

Une fois les flacons qui fuyaient identifiés, les responsables de la santé de Hong Kong ont annulé les rendez-vous pour les vaccins dans les 21 centres de vaccination communautaires. Au moins 1.080 doses avaient déjà été administrées dans dix-neuf centres de vaccination le jour même où les doses ont été suspendues. Les citoyens qui devaient recevoir le vaccin Pfizer ce jour-là ont été informés qu’ils ne pouvaient pas recevoir le vaccin «jusqu’à nouvel ordre». Certains ont attendu en colère dans les centres de vaccination, exigeant leur dose.

Tout comme l’héroïnomane se précipite pour ressentir un sentiment d’exaltation et un sentiment de liberté, il en va de même pour les toxicomanes d’aujourd’hui, qui se précipitent pour avoir un sentiment d’exaltation et un sentiment psychologique de liberté. Les accros aux vaccins tirent un sentiment d’exaltation et de liberté grâce à une série de clichés. Bien qu’ils ne soient pas techniquement dépendants au niveau physiologique, leur cerveau est tout de même entraîné à dépendre des aiguilles. Peu importe d’où viennent les injections, si les flacons sont cassés ou si les aiguilles sont sales et dangereuses. Les accros aux vaccins ont besoin de leur injection.

Ce phénomène psychologique embarrassant se produit parce que les gouvernements continuent de retenir les gens, les obligeant à renoncer à leurs libertés, tout en leur faisant subir un lavage de cerveau en leur faisant croire qu’ils ne se porteront plus jamais bien s’ils ne s’enfoncent pas les aiguilles dans leurs bras. Les gouvernements et les sociétés pharmaceutiques sont devenus comme des gangs et des trafiquants de drogue, contrôlant et ruinant la vie des gens. Ce n’est pas de la science, c’est de la coercition. Ce sont des gens avec de vrais PROBLÈMES et ils viendront bientôt pour vacciner chaque enfant, pour continuer le cycle et plonger plus d’aiguilles dans des bras.

Le fabricant cherche un alibi, mais n’a pas à s’inquiéter car il bénéficie de l’immunité face aux poursuites

Le programme de vaccination contre le covid-19 de Hong Kong avait précédemment traité huit incidents de flacons BioNTech fissurés et vingt-deux problèmes de pression atmosphérique entraînant des fuites. Ces problèmes de contrôle de la qualité remontaient tous au fabricant et n’étaient pas le résultat d’un sabotage tout au long du processus de distribution. Après seize autres rapports faisant état de fuites de flacons, le directeur de la santé de Hong Kong a dû enquêter. Il y avait onze flacons supplémentaires qui étaient tachés, avec des marques suspectes à l’extérieur des récipients en verre. Ces flacons remontaient au lot 210102, dont plus de cent cinquante mille doses avaient déjà été injectées dans des bras. Le directeur de la santé de Hong Kong se prépare à ouvrir le lot 210104, qui comprend sept cent cinquante-huit mille doses de réserve.

BioNTech, le fabricant, a lancé une enquête distincte sur les flacons bâclés, tachés et qui fuient. BioNTech a écrit aux responsables de la santé de Hong Kong, confirmant qu’il n’y avait aucun problème de sécurité avec le lot; cependant, BioNTech a demandé à Hong Kong d’arrêter d’utiliser des flacons de ce lot par prudence. BioNTech a écrit que les cent cinquante mille doses qui ont déjà été reçues de ce lot ne poseraient aucun risque pour la sécurité des personnes qui les ont reçues.

En fin de compte, Pfizer et BioNTech n’ont pas à s’inquiéter. Même si quelqu’un subit une réaction grave au vaccin, Pfizer est dédouané de toute poursuite civile ou pénale. Ces sociétés de vaccins exercent un pouvoir absolu sur les nations, subvertissant l’état de droit, tout en contraignant les gens à obéir, sans recours possibles.

Les sources comprennent :
Zerohedge.com
SCMP.com
NaturalNews.com
Vu ici




Lettre ouverte de médecins et de scientifiques à l’Agence Européenne du Médicament sur la sécurité des vaccins COVID-19

[Source : Les DéQodeurs (lesdeqodeurs.fr)]

A l’attention de nos lecteurs : Nous avons vérifié minutieusement la traduction de tous les termes médicaux, mais faute de compétences scientifiques aussi pointues dans l’équipe, nous ne saurions garantir une parfaite traduction d’ensemble des processus biochimiques mis en cause. Nous nous excusons pour toute éventuelle imprécision.


A Emer Cooke, directeur exécutif, Agence Européenne du Médicament (EMA), Amsterdam, Pays-Bas :

28 février 2021

Mesdames, Messieurs

En tant que médecins et scientifiques, nous sommes en principe favorables à l’utilisation de nouvelles interventions médicales qui sont développées et déployées de manière appropriée, après avoir obtenu le consentement éclairé du patient. Cette position englobe les vaccins au même titre que les thérapeutiques.

À L’ATTENTION PERSONNELLE URGENTE DE : EMER COOKE, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’AGENCE EUROPÉENNE DU MÉDICAMENT

Nous constatons qu’un large éventail d’effets secondaires est signalé à la suite de la vaccination de jeunes individus auparavant en bonne santé avec les vaccins à base génétique COVID-19. En outre, de nombreux médias du monde entier ont rapporté que des résidences pour personnes dépendantes et de soins avaient été frappées par le COVID-19 quelques jours après la vaccination de leurs résidents. Tout en reconnaissant que ces événements peuvent tous être de malheureuses coïncidences, nous sommes préoccupés par le fait qu’il y a eu et qu’il continue d’y avoir un examen inadéquat des causes possibles de maladie ou de décès dans ces circonstances, en particulier en l’absence d’examens post-mortem.

En particulier, nous nous demandons si les questions essentielles concernant la sécurité des vaccins ont été traitées de manière adéquate avant leur approbation par l’Agence Européenne du Médicament (EMA).

De toute urgence, nous demandons par la présente que l’EMA nous fournisse des réponses aux questions suivantes :

1. Après une injection intramusculaire, on peut s’attendre à ce que les vaccins à base génétique puissent atteindre la circulation sanguine et se diffusent dans tout le corps [1]. Nous demandons des preuves que cette possibilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

2. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que les vaccins restent piégés dans la circulation et soient absorbés par les cellules endothéliales. Il y a des raisons de penser que cela se produira en particulier aux endroits où la circulation sanguine est lente, c’est-à-dire dans les petits vaisseaux et les capillaires [2]. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

3. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que, lors de l’expression des acides nucléiques des vaccins, les peptides dérivés de la protéine de spicule soient présentés par la voie du CMH I – voie de passage à la surface luminale des cellules. De nombreux individus sains possèdent des lymphocytes CD8 qui reconnaissent ces peptides, ce qui peut être dû à une contamination antérieure par le COVID, mais aussi à des réactions croisées avec d’autres types de Coronavirus [3 ; 4] [5]. Nous devons supposer que ces lymphocytes vont attaquer les cellules concernées. Nous demandons la preuve que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

4. En l’absence de telles preuves, on peut s’attendre à ce que des lésions endothéliales avec déclenchement ultérieur de la coagulation sanguine par activation plaquettaire se produisent en d’innombrables endroits du corps. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

5. En l’absence de telles preuves, il faut s’attendre à ce que cela entraîne une baisse du nombre de plaquettes, l’apparition de D-dimères dans le sang et une myriade de lésions ischémiques dans tout le corps, y compris dans le cerveau, la moelle épinière et le cœur. Des troubles hémorragiques pourraient survenir à la suite de ce nouveau type de syndrome de CIVD, y compris, entre autres, des saignements abondants et des accidents vasculaires cérébraux hémorragiques. Nous demandons des preuves que toutes ces possibilités ont été exclues dans des modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation par l’EMA pour une utilisation chez l’homme.

6. La protéine spiculaire du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 des plaquettes, ce qui entraîne leur activation [6]. Une thrombocytopénie a été signalée dans des cas graves d’infection par le SRAS-CoV-2 [7]. Une thrombocytopénie a également été signalée chez des personnes vaccinées [8]. Nous demandons des preuves que le danger potentiel d’activation plaquettaire qui conduirait également à une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) a été exclu avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.

7. La propagation du SRAS-CoV-2 à travers le monde a créé une pandémie de maladie associée à de nombreux décès. Cependant, au moment de l’examen de l’approbation des vaccins, les systèmes de santé de la plupart des pays n’étaient plus sous la menace imminente d’être submergés de cas car une proportion croissante du monde avait déjà été contaminée et que le pire de la pandémie avait déjà diminué. Par conséquent, nous exigeons des preuves concluantes de l’existence d’une urgence réelle au moment où l’EMA a accordé une autorisation de mise sur le marché conditionnelle aux fabricants des trois vaccins, afin de justifier leur autorisation d’utilisation chez l’homme par l’EMA, prétendument en raison d’une telle urgence.

En l’absence de l’ensemble de ces preuves, nous demandons que l’approbation de l’utilisation des vaccins à base génétique soit retirée jusqu’à ce que toutes les questions ci-dessus aient été correctement traitées par l’EMA avec le zèle nécessaire.

Il existe de sérieuses inquiétudes, y compris, mais sans s’y limiter, celles décrites ci-dessus, selon lesquelles l’approbation des vaccins contre le COVID-19 par l’EMA était prématurée et imprudente, et que l’administration des vaccins constituait et constitue toujours une « expérimentation humaine », ce qui était et est toujours en violation du Code de Nuremberg.

Compte tenu de l’urgence de la situation, nous vous demandons de répondre à ce courriel dans un délai de sept jours et de répondre à toutes nos préoccupations sur le fond. Si vous choisissez de ne pas vous conformer à cette demande raisonnable, nous rendrons cette lettre publique.

Une copie de cet e-mail est adressée à :

Charles Michel, Président du Conseil de l’Europe

Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission européenne.

Les médecins et les scientifiques peuvent signer la lettre ouverte en envoyant leur nom, leurs qualifications, leurs domaines d’expertise, leur pays et toute affiliation qu’ils souhaitent citer, à l’adresse
Doctors4CovidEthics@protonmail.com.

– Références

[1] Hassett, K. J. ; Benenato, K. E. ; Jacquinet, E. ; Lee, A. ; Woods, A. ; Yuzhakov, O. ; Himansu, S. ; Deterling, J. ; Geilich, B. M. ; Ketova, T. ; Mihai, C. ; Lynn, A. ; McFadyen, I. ; Moore, M. J.; Senn, J. J. ; Stanton, M. G. ; Almarsson, Ö. ; Ciaramella, G. et Brito, L. A.(2019). Optimisation des nanoparticules lipidiques pour l’administration intramusculaire de vaccins ARNm, Thérapie moléculaire. Nucleic acids 15 : 1-11.

[2] Chen, Y. Y. ; Syed, A. M. ; MacMillan, P. ; Rocheleau, J. V. et Chan, W. C. W.(2020). Flow Rate Affects Nanoparticle Uptake into Endothelial Cells, Advanced materials 32 : 1906274.

[3] Grifoni, A. ; Weiskopf, D. ; Ramirez, S. I. ; Mateus, J. ; Dan, J. M. ; Moderbacher, C. R. ; Rawlings, S. A. ; Sutherland, A. ; Premkumar, L. ; Jadi, R. S. et al.(2020). Targets of T Cell Responses to SARS-CoV-2 Coronavirus in Humans with COVID-19 Disease and Unexposed Individuals, Cell 181 : 1489-1501.e15.

[4] Nelde, A., Bilich, T., Heitmann, J. S., Maringer, Y., Salih, H. R., Roerden, M., Lübke, M., Bauer, J., Rieth, J., Wacker, M., Peter, A., Hörber, S., Traenkle, B., Kaiser, P. D., Rothbauer, U., Becker, M., etc.; Junker, D. ; Krause, G. ; Strengert, M. ; Schneiderhan-Marra, N. ; Templin, M. F. ; Joos, T. O. ; Kowalewski, D. J. ; Stos-Zweifel, V. ; Fehr, M. ; Rabsteyn, A. ; Mirakaj, V. ; Karbach, J. ; Jäger, E. ; Graf, M. ; Gruber, L.-.C. ; Rachfalski, D. ; Preuß, B. ; Hagelstein, I. ; Märklin, M. ; Bakchoul, T. ; Gouttefangeas, C. ; Kohlbacher, O. ; Klein, R. ; Stevanović, S. ; Rammensee, H.-G. et Walz, J. S.(2020). Les peptides dérivés du SRAS-CoV-2 définissent la reconnaissance des cellules T hétérologues et induites par le COVID-19, Nature immunology.

[5] Sekine, T., Perez-Potti, A., Rivera-Ballesteros, O., Strålin, K., Gorin, J.-B., Olsson, A., Llewellyn-Lacey, S., Kamal, H., Bogdanovic, G., Muschiol, S. et autres (2020). Robust T Cell Immunity in Convalescent Individuals with Asymptomatic or Mild COVID-19, Cell 183 : 158-168.e14.

[6] Zhang, S. ; Liu, Y. ; Wang, X. ; Yang, L. ; Li, H. ; Wang, Y. ; Liu, M. ; Zhao, X. ; Xie, Y. ; Yang, Y. ; Zhang, S. ; Fan, Z. ; Dong, J. ; Yuan, Z. ; Ding, Z. ; Zhang, Y. et Hu, L.(2020). Le SARS-CoV-2 se lie à l’ACE2 des plaquettes pour favoriser la thrombose dans le COVID-19, Journal of hematology & oncology 13 : 120.

[7] Lippi, G. ; Plebani, M. and Henry, B. M.(2020).Thrombocytopenia is associated with severe coronavirus disease 2019 (COVID-19) infections : A meta-analysis, Clin. Chim. Acta 506 : 145-148.

[8] Grady, D. (2021). A Few Covid Vaccine Recipients Developed a Rare Blood Disorder, The New York Times, 8 février 2021.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos sentiments distingués,

Professor Sucharit Bhakdi MD, professeur émérite de microbiologie médicale et d’immunologie, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène, Université Johannes Gutenberg de Mayence (médecin et scientifique) (Allemagne et Thaïlande)

Dr Marco Chiesa MD FRCPsych, psychiatre consultant et professeur invité, University College London (médecin) (Royaume-Uni et Italie)

Dr C Stephen Frost BSc MBChB Spécialiste en radiologie diagnostique, Stockholm, Suède (médecin) (Royaume-Uni et Suède)

Dr Margareta Griesz-Brisson MD PhD, consultante en neurologie et neurophysiologie (études de médecine à Fribourg, en Allemagne, formation spécialisée en neurologie à l’université de New York, spécialisation en neurophysiologie au centre médical du Mont Sinaï, à New York ; doctorat en pharmacologie avec un intérêt particulier pour la neurotoxicologie chronique de faible niveau et les effets des facteurs environnementaux sur la santé du cerveau), directrice médicale de la London Neurology and Pain Clinic (médecin et scientifique) (Allemagne et Royaume-Uni).

Professeur Martin Haditsch MD PhD, Spécialiste (Autriche) en hygiène et microbiologie, Spécialiste (Allemagne) en microbiologie, virologie, épidémiologie/maladies infectieuses, Spécialiste (Autriche) en maladies infectieuses et médecine tropicale, Directeur médical, TravelMedCenter, Leonding, Autriche, Directeur médical, Labor Hannover MVZ GmbH (médecin et scientifique) (Autriche et Allemagne)

Professeur Stefan Hockertz, professeur de toxicologie et de pharmacologie, toxicologue agréé européen, spécialiste en immunologie et immunotoxicologie, PDG de tpi consult GmbH. (Scientifique) (Allemagne)

Dr Lissa Johnson, BSc BA(Media) MPsych(Clin) PhD, psychologue clinique et psychologue du comportement, experte en psychologie sociale de la torture, de l’atrocité, de la violence collective et de la propagande de la peur, ancien membre du groupe consultatif d’intérêt public de l’Australian Psychological Society (psychologue clinique et scientifique du comportement) (Australie).

Professeur Ulrike Kämmerer PhD, professeur associé d’immunologie expérimentale de la reproduction et de biologie tumorale au département d’obstétrique et de gynécologie de l’hôpital universitaire de Würzburg, Allemagne, virologue moléculaire de formation (diplôme, thèse de doctorat) et immunologiste (habilitation), reste engagée dans des recherches actives en laboratoire (biologie moléculaire, biologie cellulaire (scientifique) (Allemagne).

Professeur associé Michael Palmer, MD, Département de chimie (a étudié la médecine et la microbiologie médicale en Allemagne, enseigne la biochimie depuis 2001 dans son université actuelle au Canada ; se concentre sur la pharmacologie, le métabolisme, les membranes biologiques, la programmation informatique ; la recherche expérimentale se concentre sur les toxines bactériennes et les antibiotiques (Daptomycine) ; a écrit un manuel sur la pharmacologie biochimique, Université de Waterloo, Ontario, Canada (médecin et scientifique) (Canada et Allemagne).

Professeur Karina Reiss PhD, Professeur de biochimie, Université Christian Albrecht de Kiel, Expertise en biologie cellulaire, biochimie (scientifique) (Allemagne)

Professeur Andreas Sönnichsen MD, Professeur de médecine générale et de médecine de famille, Département de médecine générale et de médecine de famille, Centre de santé publique, Université médicale de Vienne, Vienne (médecin) (Autriche)

Dr Michael Yeadon BSc (Joint Honours in Biochemistry and Toxicology) PhD (Pharmacology), anciennement Vice-président et Directeur scientifique Allergy & Respiratory, Pfizer Global R&D ; Co-fondateur et PDG, Ziarco Pharma Ltd ; Consultant indépendant (Scientifique) (Royaume-Uni)
DOCTORS4COVIDETHICS.MEDIUM.COMUrgent Open Letter from Doctors and Scientists to the European Medicines Agency regarding …
Emer Cooke, Executive Director, European Medicines Agency, Amsterdam, The Netherlands




Ce que cache le test PCR ?

[Source : PLANETES360]

[NdNM : les mouvements attribués dans la vidéo à des nanoparticules sur l’écouvillon du test PCR pourraient s’expliquer autrement par le souffle de l’expérimentateur ou encore par le jeu de forces électrostatiques. Cependant, il existe bien des technologies de nanoparticules implantables dans l’organisme. Voir :
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins;
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies;
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?;
Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration;
Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains;
Des micro-robots injectables dans le sang ont déjà été produits.

Sur le test PCR et l’écouvillon, voir aussi :
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin.

Est-ce que ce que transmet le Dr Buttar est crédible ? À chacun d’en juger.]




Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes

[Source : Sott.net]

Par Dr Joseph Mercola

En avril 2020, j’ai interviewé Judy Mikovits, médecin, sur le rôle potentiel que joue dans le Covid-19 les gamma-rétrovirus humains. Judy Mikovits est biologiste moléculaire[1] et chercheuse, et a été la directrice de recherche fondatrice du Whittemore Peterson Institute au Nevada.

Son livre, Plague of Corruption [« Le fléau de la corruption », non traduit en français, et (préfacé par Robert Jr. F. Kennedy – NdT], a fini par être en 2020 un best-seller dans les listes du New York Times, de USA Today et du Wall Street Journal. Son nouveau livre, Ending Plague: A Scholar’s Obligation in an Age of Corruption [« Mettre fin au fléau — Le devoir d’un universitaire à l’ère de la corruption », non traduit en français – NdT], sera, espérons-le, un grand succès aussi. Il est disponible en précommande sur Amazon.

Elle est peut-être à l’heure actuelle l’une des chercheuses les plus censurées de la planète, notamment en raison de sa large participation au documentaire Plandemic, qui a largement été diffusé (plandemicseries.com) [voir notre article avec la vidéo sous-titrée en anglais archivée par nos soins, et celui incluant Plandemic II — Indoctornation, avec la vidéo sous-titrée en français – NdT].

Cas concret : YouTube a suspendu notre compte pendant une semaine dès que nous avons mis en ligne l’interview d’aujourd’hui — même si la vidéo n’était ni encore RÉPERTORIÉE ni accessible au public. Pire encore, le troisième et dernier livre de Judy Mikovits, The Case Against Masks: Ten Reasons Why Mask Use Should Be Limited [« Le dossier contre les masques — Dix raisons pour lesquelles l’utilisation des masques devrait être limitée », non traduit en français – NdT], est si fortement censuré que personne ne peut l’acheter. Judy Mikovits a déclaré ce qui suit :

« Je n’ai même pas de copie. J’ai ici avec moi deux exemplaires des autres livres, mais je ne peux même pas l’acheter [le dernier – NdT]. Les vendeurs de livres, comme Amazon, les ont tous achetés à Skyhorse, l’éditeur, et ils en bloquent désormais l’expédition depuis l’entrepôt. »

Note du traducteur : Retrouvez l’interview complète sur Bitchute ICI et la transcription en anglais au format Pdf ICI.

Il est clair que Judy Mikovits est considérée comme une grave menace pour le statu quo technocratique, et une fois que vous aurez entendu ce qu’elle a à dire sur les « vaccins » Covid-19 — qui, comme vous le verrez, constitue une appellation complètement erronée — vous commencerez peut-être à comprendre pourquoi.

Les « vaccins » Covid-19 ne sont pas des vaccins

Le « vaccin » Covid-19 n’est pas vraiment un vaccin au sens médical du terme. Il n’améliore pas votre réponse immunitaire à l’infection, ni ne vous empêche de contracter l’infection. Il s’agit en fait d’une thérapie génique expérimentale qui pourrait tuer prématurément une grande partie de la population et entraîner une augmentation exponentielle du nombre d’invalidités. Judy Mikovits déclare ce qui suit :

« Je suis juste hors de moi, en colère contre cette « thérapie » génique synthétique, ce poison chimique, et ce qu’ils font dans le monde entier. Nous voyons déjà des décès dus à cette injection. C’est illégal. Cela ne devrait pas être fait. Il faut y mettre fin tout de suite. Elle n’aurait jamais dû être autorisée, et pourtant nous voyons qu’elle est imposée aux populations les plus à risque. »

En effet, les informations et les récits des médias sociaux suggèrent que les personnes qui ont reçu l’injection commencent à tomber comme des mouches. Beaucoup meurent de causes inconnues en quelques jours, parfois quelques heures après avoir reçu la première ou la deuxième injection.

La légende du baseball Hank Aaron est décédée deux semaines après avoir reçu le vaccin, mais cela n’a jamais été mentionné dans sa nécrologie du New York Times. S’il avait été testé positif pour le Sras-CoV-2, il aurait certainement été déclaré mort du Covid-19, que le virus ait eu un rapport avec sa mort ou pas.

Mais dès lors qu’il s’agit du « vaccin », la connexion qui devrait nous sauter aux yeux est considéré comme une coïncidence et sans importance. Maintenant, tout d’un coup, les personnes âgées qui meurent peu après la vaccination sont ignorées sous prétexte qu’elles sont vieilles et qu’elles auraient pu mourir n’importe quand. Il faut cependant tout faire et à n’importe quel prix pour empêcher les personnes âgées de mourir du Sras-CoV-2. Cette façon de voir les choses est plutôt singulière.

Le problème de l’ARN synthétique

L’ARN messager (ARNm) utilisé dans de nombreux « vaccins » Covid-19 n’est pas naturel. Ils sont synthétiques. Comme l’ARNm produit de manière naturelle se dégrade rapidement, des lipides ou des polymères doivent lui être ajoutés pour éviter que cette dégradation ne se produise. Les « vaccins » Covid-19 utilisent des nanoparticules lipidiques PEGylées, et le PEG est connu pour provoquer l’anaphylaxie[2]. Les nanoparticules lipidiques peuvent également causer d’autres problèmes.

En 2017, Stat News a évoqué les difficultés rencontrées par Moderna pour mettre au point un médicament à base d’ARNm pour le syndrome de Crigler-Najjar, une maladie qui peut entraîner la jaunisse, la dégénérescence musculaire et des lésions cérébrales[3] :

« Afin de protéger les molécules d’ARNm des défenses naturelles de l’organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une gaine protectrice. Pour Moderna, cela signifie intégrer sa thérapie Crigler-Najjar dans des nanoparticules faites de lipides.

Et pour ses chimistes, ces nanoparticules représentaient un défi de taille : dosez trop peu, et vous n’obtenez pas assez d’enzyme pour affecter la maladie ; dosez trop, et le médicament est trop toxique pour les patients.

Dès le début, les scientifiques de Moderna savaient que l’utilisation de l’ARNm pour stimuler la production de protéines serait une tâche difficile, ils ont donc parcouru la littérature médicale à la recherche de maladies qui pourraient être traitées avec seulement de petites quantités de protéines supplémentaires.

« Et cette liste de maladies est très, très courte », a déclaré l’ancien employé […] Crigler-Najjar constituait l’enjeu le moins complexe. Pourtant, Moderna n’a pas pu faire fonctionner sa thérapie […] Le dosage sans danger était trop faible, et des injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace ont eu des effets troublants sur le foie lors d’études sur des animaux. »

Note du traducteur : Un « vaccin » pour le syndrome de Crigler-Najjar, une maladie qui touche 1 personne sur 1 million de naissances :

« Cette maladie est due au déficit d’une enzyme du foie, qui doit normalement convertir la bilirubine en une forme pouvant être éliminée par le corps. Chez les personnes Crigler-Najjar cette enzyme ne fonctionne pas ou très peu.

La bilirubine s’accumule donc dans l’organisme, provoquant un ictère intense et chronique, marqué par la coloration jaune de la peau et du blanc des yeux. A un taux élevé, la bilirubine devient toxique et peut atteindre le cerveau et l’ endommager : c’est alors l’ictère nucléaire provoquant de graves troubles neurologiques, menant rapidement au décès. »

L’article susmentionné de Stat News publié en janvier 2017 se termine sur la déclaration suivante du P.D.G. de Moderna, le français Stéphane Bancel :

« Je suis sûr que dans cinq ans, nous considérerons 2017 comme le point d’inflexion où Moderna a pris son envol. Nous avons une chance de transformer la médecine, et nous n’abandonnerons pas tant que nous n’aurons pas fini et que nous n’aurons pas eu d’impact sur les patients. »

Les lecteurs apprécieront tout le sens qui peut être donné au mot « impact ». Stéphane Bancel a été nommé « Global Leader » par le Forum économique mondial en 2009, alors qu’il était directeur général délégué du laboratoire Mérieux. Il est par ailleurs dès le début du mois d’avril 2020 devenu milliardaire grâce aux montées en bourse de son entreprise dont il détient 9 pour cent, et ce dès l’annonce en mars des essais du « vaccin » à ARNm anti-Covid.

Cependant, en qualifiant leurs « médicaments » de « vaccins », ils peuvent contourner les études sur leur innocuité. S’attendent-ils à ce que nous croyions subitement que toutes les étapes permettant de prouver leur innocuité ont été réalisées avec succès ? La durée pendant laquelle l’ARNm reste stable dans votre système constitue un autre problème. Pour l’empêcher de se dégrader trop rapidement, il est encapsulé dans un nano-lipide ; mais que se passe-t-il si l’ARNm se dégrade trop lentement, ou pas du tout ?

Le concept derrière les vaccins à ARNm anti-Covid est le suivant : en incitant votre corps à créer la protéine Spike du Sras-CoV-2, votre système immunitaire produira alors des anticorps. Mais que se passe-t-il lorsque vous transformez votre corps en une usine à protéines virales, ce qui implique que la production d’anticorps sera en permanence activée sans aucun moyen de l’interrompre ?

En outre, votre corps considère ces particules synthétiques comme des corps étrangers et une grande partie de la réponse anticorps perpétuelle sera constituée d’auto-anticorps qui attaqueront vos propres tissus. Mikovits explique :

« Normalement, l’ARN messager ne circule pas librement dans votre corps, et s’il le fait, c’est un signal de danger. En tant que biologiste moléculaire, le dogme central de la biologie moléculaire stipule que notre code génétique, l’ADN, est transcrit, écrit, en ARN messager. Cet ARN messager est traduit en protéines ou utilisé à des fins de régulation […] pour réguler l’expression des gènes dans les cellules.

Ainsi, prendre un ARN messager synthétique et le rendre thermostable — ce qui l’empêche de se décomposer — [est problématique]. Nous possédons un grand nombre d’enzymes (ARNases [ribonucléases – NdT] et ADNases [désoxyribonucléases – NdT]) qui dégradent les ARN et ADN libres circulant [dans le plasma sanguin – NdT] car, là encore, ce sont des signaux de danger pour votre système immunitaire. Ils sont littéralement à l’origine de maladies inflammatoires.

Ensuite, il y a le PEG, le polyéthylène glycol et la PEGylation, et une nanoparticule lipidique qui lui permettra de pénétrer dans toutes les cellules du corps et de modifier la régulation de nos propres gènes par le biais de cet ARN synthétique, dont une partie correspond en fait au message du gène syncytine […]

La syncytine est l’enveloppe endogène du gamma-rétrovirus codée dans le génome humain […] Nous savons que si la syncytine […] est exprimée de manière aberrante dans le corps, par exemple dans le cerveau, dans lequel ces nanoparticules de lipides vont entrer, cela signifie que vous avez la sclérose en plaques.

L’expression de ce seul gène suractive la microglie, ce qui littéralement enflamme et dérègle la communication entre les cellules microgliales cérébrales, qui sont essentielles à l’élimination des toxines et des agents pathogènes présents dans le cerveau, et à la communication avec les astrocytes.

Elle dérègle non seulement le système immunitaire, mais aussi le système endocannabinoïde, qui est le variateur d’intensité de l’inflammation. Nous avons déjà vu d’après les essais cliniques que la sclérose en plaques constitue un effet indésirable, et on nous ment lorsqu’on nous dit : « Oh, ces gens avaient [déjà] cette maladie. » Non, ils ne l’avaient pas.

Il y a aussi l’encéphalomyélite myalgique. L’inflammation du cerveau et de la moelle épinière, qui est [associée aux] gamma-rétrovirus exogènes, les XMRVs. »

Notes du traducteur : Pour ce qui concerne le PEG (ou polyéthylène glycol) et la syncytine (présente dans le placenta mais aussi dans le sperme), nous renvoyons le lecteur à notre Focus « Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses ».

La microglie est une population de cellules gliales — population qualitativement hétérogène et quantitativement importante du système nerveux central — qui comprennent notamment les astrocytes et les oligodendrocytes. On les appelle aussi cellules de Hortega, du nom du chercheur qui les a découvertes en 1920. Ces cellules gliales jouent un rôle important dans l’homéostasie cérébrale, notamment en assurant une fonction réparatrice lors de lésions ou d’infections. Ce sont des macrophages qui orchestrent les réactions inflammatoires consécutives à des lésions du système nerveux central ou à certaines maladies neurodégénératives et influencent l’issue de ces pathologies. Source

Le système endocannabinoïde (ECS) est un système biologique composé d’endocannabinoïdes, qui sont des neurotransmetteurs rétrogrades à base de lipides endogènes qui se lient aux récepteurs cannabinoïdes (CBR), et de protéines de récepteurs cannabinoïdes qui sont exprimées dans tout le système nerveux central des vertébrés (y compris le cerveau) et le système nerveux périphérique. Le système endocannabinoïde fait encore l’objet de recherches préliminaires, mais pourrait être impliqué dans la régulation des processus physiologiques et cognitifs, y compris la fertilité, la grossesse, le développement pré et postnatal, diverses activités du système immunitaire, l’appétit, la sensation de douleur, l’humeur et la mémoire, et dans la médiation des effets pharmacologiques du cannabis. Source

L’encéphalomyélite myalgique est peut-être plus connue du lecteur sous le nom de Syndrome de fatigue chronique. Plus d’informations ICI.

L’XMRV est un virus apparenté au virus xénotropique de la leucémie murine qui dériverait de deux rétrovirus endogènes murins non décrits auparavant, les PreXMRV-1 and PreXMRV-2. Ces deux derniers ont également été séquencés [source], et c’est certainement la raison pour laquelle Judy Mikovits en parle au pluriel, les XMRVs.

Ces groupes à haut risque devraient éviter le « vaccin » Covid-19

Selon Judy Mikovits, des recherches montrent que depuis plus de trois décennies, 4 à 6 % des Étasuniens ont déjà été infectés par des gamma-rétrovirus XMRV par le biais de vaccins et de réserves de sang contaminés, ce qui favorise un certain nombre de maladies chroniques. Aujourd’hui, en déclenchant l’encéphalomyélite myalgique, ces thérapies géniques synthétiques (les « vaccins » dits anti-Covid-19) vont aggraver encore davantage le problème des maladies chroniques.

Pire encore, l’ARNm synthétique contient également une enveloppe du VIH, ce qui peut provoquer un dérèglement du système immunitaire. Judy Mikovits déclare que « C’est un cauchemar. Je suis en colère, car cela ne devrait jamais être permis. »

Comme nous l’avons mentionné lors de précédentes interviews, le Sras-CoV-2 a été mis au point en laboratoire avec une recherche de gain de fonction qui comprenait l’introduction de l’enveloppe du VIH dans la protéine Spike.

Note du traducteur : Un gain de fonction est un processus qui consiste à ajouter une fonction spécifique à une cellule via une mutation de la structure moléculaire. Il est bien entendu que ce gain de fonction — forcément créé par l’homme — peut être soit bénéfique, soit néfaste. Dans le cadre du Sras-CoV-2, ce gain de fonction fournirait à ce « virus Frankenstein », comme l’a appelé le professeur Luc Montagnier, une propagation efficace dans la population humaine. Rappelons que ce gain de fonction n’est pas le seul élément à avoir été ajouté :

« L’adjonction artificielle de séquences de VIH et de paludisme, la création d’un site de clivage de type furine, l’introduction de quatre acides aminés supplémentaires, la modification d’un centre de contrôle, une adaptation extraordinaire à l’être humain… Tous ces éléments prouvent qu’il s’agit d’un virus conçu par des êtres humains. Et n’oubliez pas qu’il ne s’agit là que des preuves présentées par les rares scientifiques qui ont osé s’exprimer. »

Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

L’hypothèse de Judy Mikovits veut que les personnes les plus sensibles aux effets secondaires neurologiques graves et au décès dus aux « vaccins » Covid-19 soient celles-là mêmes qui ont déjà reçu des injections de XMRV, borreliababesiamycoplasma, par le biais de vaccins contaminés, entraînant une maladie chronique (son livre, Plague of Corruption dont la lecture est fascinante, détaille la science et l’histoire des XMRV) :

« Oui, absolument. Il s’agit de l’une de nos hypothèses. Mais aussi, toute personne souffrant d’une maladie inflammatoire comme l’arthrite rhumatoïde, la maladie de Parkinson, la maladie chronique de Lyme, ou encore quiconque présente une déficience immunitaire acquise due à des agents pathogènes et à des toxines environnementales.

Ce sont ces mêmes personnes qui seront tuées, assassinées, par ce vaccin, et Anthony Fauci le sait […] Je ne peux même pas dormir [à cause] de la gravité de la situation. C’est tellement mortel, je ne le dirais jamais assez. »

Le tableau ci-dessous énumère 35 maladies associées à l’infection par le XMRV. Si vous êtes atteint de l’une de ces maladies, vous devriez réfléchir longuement avant de faire la queue pour recevoir un « vaccin » Covid-19 à ARNm, car vos risques d’effets secondaires graves ou de décès sont probablement beaucoup plus élevés que chez une personne qui n’est atteinte d’aucune de ces maladies.

Les 35 maladies associées à l’infection par le XMRV

Note du traducteur : De gauche à droite et de haut en bas :

Cancer de la prostate — Cancer du sein — Myélome multiple — Lymphome non hodgkinien — Leucémie lymphocytaire chronique — Lymphome à cellules du manteau — Leucémie à cellules chevelues — Cancer de la vessie — Cancer colorectal — Cancer du rein — Cancer de l’ovaire — Maladie de Crohn — Thyroïdite de Hashimoto — Polymyosite — Syndrome de Gougerot Sjögren — Maladie de Behçet — Cirrhose biliaire primitive — Maladies inflammatoires de l’intestin — Psoriasis et dermatites — Diabètes — Maladie cardiovasculaire — Encéphalomyélite myalgique/Syndrome de fatigue chronique — Lupus — Syndrome de la guerre du Golfe — Autisme — Sclérose en plaques — Maladie de Parkinson — Sclérose latérale amyotrophique — Fibromyalgie — Maladie de Lyme — Trouble obsessionnel compulsif — Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité — Syndrome de stress post traumatique — Psychoses — Arthrite rhumatoïde

Cette liste n’est pas exhaustive. Il peut exister de nombreuses autres conditions qui peuvent vous placer dans une catégorie à haut risque. Un exemple est la thrombocytopénie idiopathique, un trouble hémorragique mortel. Selon Judy Mikovits, ses travaux montrent que 30 pour cent de toutes les thrombocytopénies idiopathiques sont associées aux XMRV.

Notons qu’un exemple existe avec celui du médecin de Floride de 58 ans qui a récemment reçu le « vaccin » Covid-19 et qui est mort deux semaines plus tard des suites d’une apparition soudaine d’une thrombocytopénie idiopathique. Le Dr Jerry L. Spivak, expert en troubles sanguins à l’université Johns Hopkins, a déclaré au New York Times qu’« il est médicalement certain » que le « vaccin » Covid-19 de Pfizer a causé la mort de cet homme[4] [5]. Pfizer a, bien sûr, démenti toute connexion.

Les altérations génétiques peuvent durer toute la vie

Alors, combien de temps l’ARN synthétique des « vaccins » Covid-19 qui provoque la production par vos cellules de cette protéine aberrante restera-t-il dans votre corps ? Judy Mikovits pense qu’il échappera à la dégradation pendant des mois, des années, voire dans certains cas, à vie.

Tout ceci évoque de manière sinistre les précédentes tentatives de créer un vaccin contre les coronavirus, tentatives qui ont toutes échoué parce que les vaccins provoquaient des réactions immunitaires paradoxales, ou une facilitation de l’infection par des anticorps. Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. Judy Mikovits poursuit :

« J’ai une belle-fille de 41 ans qui a un cancer du côlon très agressif. Nous assistons à une explosion de maladies chroniques et ces patients ne sont pas découragés de se faire vacciner. En fait, les médecins leur font peur pour qu’ils se fassent vacciner.

Comment réveiller les gens ? Faudra-t-il que des millions d’Américains et de personnes dans le monde entier meurent ? La mort de Hank Aaron aidera-t-elle la communauté noire ? […] Nous connaissons les mécanismes. Nous savons que les Noirs et les Hispaniques ne peuvent pas dégrader les virus à ARN aussi rapidement que les Caucasiens. Nous le savons grâce à des études qui remontent jusqu’au ROR. Le vaccin ROR est associé à la thrombocytopénie idiopathique. C’est indiqué sur la notice d’utilisation.

Si vous présentez un polymorphisme nucléotidique unique dans une de ces ARNases appelée ARNase-L, vous êtes plus susceptible de contracter des cancers du sein agressifs, des cancers de la prostate et d’autres cancers dus à une infection par le XMRV (alors pourquoi injecter de l’ARNm de syncytine, une enveloppe de gamma-rétrovirus ?) »

Note du traducteur : Hank Aaron était un joueur de base-ball étasunien, un des trois plus grands de l’histoire des États-Unis. Il est décédé ce 22 janvier à l’âge de 86 ans, deux semaines après avoir reçu le vaccin Moderna. Comme souvent, les fact-checkers s’en donnent à cœur joie pour nier tout lien possible entre l’injection et son décès.

L’ARNase ou RNase est une ribonucléase dont le rôle est de dégrader l’ARN lorsqu’il n’est plus nécessaire. Il en existe différentes classes au sein de tous les organismes, ce qui montre que la dégradation de l’ARN est un processus très ancien et important.

À propos de la syncytine, rappelons aussi ce qui suit :

« L’infertilité sera probablement un autre effet secondaire « inattendu » à long terme puisque la protéine Spike ciblée est très similaire à la syncytine, une protéine impliquée dans le développement du placenta [la syncytine est également présente dans le sperme – NdT]. Lorsque Pfizer a testé ses « vaccins » sur des rats, il a constaté une baisse de 50 pour cent du comportement reproductif par rapport aux rats non vaccinés. C’est probablement pour cacher cet effet secondaire que Pfizer a exclu les femmes enceintes de son essai. »

L’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

Une avancée de la génomique pourrait sauver des millions de vies

Selon Judy Mikovits, une solution consiste à utiliser des technologies de génomique fonctionnelle comme le fait Breakthrough Genomics, une entreprise qui utilise l’apprentissage automatique [de l’anglais « machine learning », encore appelé apprentissage artificiel ou apprentissage statistique – NdT] pour examiner les séquences complètes du génome afin de déterminer quels polymorphismes de nucléotides uniques dans les récepteurs ACE2, les voies antivirales comme RNaseL et les interférons peuvent prédisposer une personne à subir les dommages de ces « vaccins » à thérapie génique :

« Nous possédons la technologie pour déterminer qui est susceptible de subir des effets graves. Il s’agira d’une grande partie de la population »

Bien qu’il soit évident qu’une stratégie de vaccination ne puisse pas être universelle, imposer une thérapie génique à toute une population alors que l’on peut prévoir que des millions de personnes mourront et développeront des maladies mortelles comme la thrombocytopénie idiopathique est tout simplement inadmissible. Pourtant, toute personne qui ose en parler, comme le sait Judy Mikovits, risque de voir sa carrière et sa vie détruites.

Symptômes des dommages causés par le « vaccin » Covid-19

De nombreux symptômes actuellement signalés suggèrent des dommages neurologiques. Ils présentent une dyskinésie grave (altération des mouvements volontaires), une ataxie (manque de contrôle musculaire) et des crises intermittentes ou chroniques. De nombreux cas détaillés dans des vidéos personnelles sur les médias sociaux sont assez choquants.

Tout aussi choquant est le fait que ces vidéos sont rapidement retirées par les plateformes de médias sociaux, soi-disant pour violation d’une des conditions d’utilisation [qui changent tout le temps – NdT]. Il est difficile de comprendre comment une expérience personnelle peut être considérée comme une « fausse information ». Judy Mikovits explique ces dommages neurologiques de la façon suivante :

« C’est la neuroinflammation qui en est la cause. C’est le cerveau en feu. On verra des tics, on verra la maladie de Parkinson, on verra des scléroses latérales amyotrophiques, des choses comme celles-ci vont se développer à un rythme extrêmement rapide, et elles sont toutes en lien avec l’inflammation du cerveau. »

Les effets secondaires suggèrent également un dérèglement de la réponse immunitaire innée et une perturbation du système endocannabinoïde, qui agit comme un variateur d’intensité sur votre système immunitaire.

Note du traducteur : Le système endocannabinoïde — souvent abrégé en SEC — est un acteur majeur de l’homéostasie cellulaire qui fut découvert il y a trente ans, et tous les processus physiologiques de notre corps peuvent a priori impliquer son intervention. Il constitue un système de communication du corps parmi les plus importants et les plus complexes, et sa fonction principale est de réagir à des stress pour permettre au milieu interne de conserver son homéostasie. L’altération de son fonctionnement et des niveaux de ses médiateurs lipidiques (endocannabinoïdes) dans certains tissus, peut contribuer à l’installation ainsi qu’à la progression de différentes pathologies.

Judy Mikovits ajoute ce qui suit :

« Nous voyons des syndromes d’activation mastocytaire. Les symptômes cliniques seront ceux des maladies inflammatoires. On entend tout le monde les qualifier de « persistance du Covid » — la fatigue extrême, profonde et invalidante, l’incapacité à produire de l’énergie à partir des mitochondries.

Il ne s’agit pas d’un Covid persistant. C’est exactement ce qu’il en a toujours été : l’encéphalomyélite myalgique, l’inflammation du cerveau et de la moelle épinière. Ce qu’ils sont intentionnellement en train de faire, c’est de tuer [certaines] populations, celles à qui ils ont déjà fait du tort. »

Selon ce que l’on peut observer, les réactions allergiques, y compris le choc anaphylactique, constituent un autre effet secondaire courant du « vaccin ». Le PEG, auquel environ 70 % des Étasuniens sont allergiques, est probablement responsable de ces réactions. Selon Judy Mikovits,

« Ces effets immédiats sont presque certainement causés par le PEG [polyéthylène glycol – NdT] et cette nanoparticule lipidique, la particule toxique même qui est injectée. »

À plus long terme, elle pense que nous assisterons à une augmentation significative des migraines, des tics, de la maladie de Parkinson, des troubles microvasculaires, de différents cancers, dont le cancer de la prostate, des syndromes de douleur sévère comme la fibromyalgie et l’arthrite rhumatoïde, des problèmes de vessie, des maladies rénales, des psychoses, des maladies neurodégénératives comme la maladie de Lou Gehrig (SLA) et des troubles du sommeil, dont la narcolepsie. Elle pense aussi que des symptômes semblables à ceux de l’autisme sont également susceptibles de se développer chez les jeunes enfants.

Nous finirons par tuer les plus à risque

Outre les maladies chroniques énumérées plus haut, d’autres personnes sont très exposées à ces « thérapies » géniques anti-Covid-19, notamment celles qui ont reçu le vaccin contre la grippe saisonnière, les Noirs et les Hispaniques. Ces derniers sont particulièrement prédisposés au risque de facilitation de l’infection par des anticorps, notamment en raison de la génétique. Tragiquement, sous couvert d’une justice raciale et sociale, ces vaccins sont administrés aux personnes qui sont les plus à risque. Judy Mikovits ajoute :

« Ce programme pour vacciner en premier lieu les minorités ethniques et les handicapés mentaux a été présenté par Johns Hopkins il y a quelques mois. Si votre cerveau est déjà en feu, si vous souffrez déjà d’une maladie inflammatoire neurale, pourquoi diable injecteriez-vous cette toxine inflammatoire neurale ? Cela revient à tuer les personnes qui sont les plus à risque. »

Les femmes en âge de procréer peuvent également être exposées à un risque de stérilité, car la syncytine (l’enveloppe du gamma-rétrovirus codée dans le génome humain dont l’expression peut être dérégulée par l’ARN synthétique de la syncytine présente dans le vaccin) est nécessaire à la bonne fusion du placenta dans l’utérus et à l’implantation de l’ovule. En effet, l’Organisation mondiale de la santé affirme aujourd’hui que les femmes enceintes ne devraient pas recevoir les « vaccins » Moderna ou Pfizer en raison de signalements faisant état de fausses couches tardives[6].

Que faire si vous avez reçu le vaccin et que vous avez des problèmes ?

La principale raison pour laquelle je voulais interviewer Judy Mikovits était de connaître ses recommandations pour ceux qui ont choisi de se faire vacciner et qui le regrettent aujourd’hui. Il est intéressant de noter que j’ai appris que les stratégies sont les mêmes que celles que vous utiliseriez pour traiter l’infection par le Sras-CoV-2.

J’ai écrit de nombreux articles au cours de l’année dernière, détaillant des stratégies simples pour améliorer votre système immunitaire. Avec un système immunitaire sain, vous vous en sortirez sans incident, même si vous tombez malade. Je vais résumer ci-dessous certaines des stratégies que vous pouvez utiliser pour prévenir le Covid-19 et traiter les effets secondaires que vous pourriez rencontrer avec le vaccin.

Tout d’abord, vous voudrez avoir une alimentation « saine », idéalement biologique. Évitez les aliments transformés de toutes sortes, car ils sont chargés d’acide linoléique oméga-6 nuisible qui détruit votre fonction mitochondriale. Pensez également à la cétose nutritionnelle et à une alimentation limitée dans le temps, qui vous aideront à optimiser votre machinerie métabolique et la fonction mitochondriale. Comme l’a noté Judy Mikovits :

« Nous devons penser à se détoxifier des métaux, nous devons penser au glyphosate […] Nous devons prévenir l’inflammation dans tous les sites tissulaires et nous devons maintenir notre système immunitaire en bonne santé […] Pour lutter contre la neuroinflammation, il faut brûler des cétones plutôt que du sucre [des glucides – NdT], donc il faut pratiquer un régime cétogène et enlever le stress de la voie mTOR [affaiblir sa probable stimulation – NdT]. »

Note du traducteur : L’alimentation limitée dans le temps consiste à réduire l’espace entre les repas, de façon à les ramener sur une plage d’environ 8 heures, de 10h00 et 18h00, par exemple. Le jeûne intermittent constitue aussi une pièce maîtresse de ces stratégies.

Voir aussi notre Focus Covid-19 et vaccination expérimentale massive — Protégez-vous du pire grâce à ce protocole sanitaire et la liste suivante d’articles sur le régime cétogène et une alimentation pauvre (voire nulle) en sucre/glucide :

En ce qui concerne le glyphosate, un moyen simple d’en bloquer son absorption est de prendre de la glycine. Environ 3 grammes, soit une demi-cuillère à café, quelques fois par jour, devraient suffire, en plus d’une alimentation biologique, afin de ne pas ajouter plus de glyphosate à chaque repas.

Pour améliorer la désintoxication, je vous recommande d’activer votre production naturelle de glutathion avec des comprimés d’hydrogène moléculaire. Toutes ces stratégies devraient vous aider à améliorer votre résistance contre le Sras-CoV-2, et pourraient même aider votre corps à se désintoxiquer si vous avez fait l’erreur de suivre cette « thérapie » génique expérimentale.

Une autre stratégie utile consiste à maintenir un pH neutre [communément appelé équilibre acido-basique – NdT]. Votre pH doit se situer autour de 7 et vous pouvez le mesurer avec une bandelette urinaire peu coûteuse. Plus votre pH est bas, plus vous êtes acide.

Un moyen simple d’augmenter votre pH s’il est trop acide (et c’est le cas pour la plupart des gens) est de prendre un quart de cuillère à café de bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude) ou de potassium dilué dans l’eau plusieurs fois par jour. L’amélioration de votre pH renforcera la résistance de votre système immunitaire et réduira la perte de minéraux de vos os, diminuant ainsi votre risque d’ostéoporose.

Compléments alimentaires bénéfiques

Une supplémentation nutritionnelle peut également se révéler précieuse. Parmi les plus importantes, on peut citer :

  • Vitamine D — Les suppléments de vitamine D sont facilement disponibles et sont parmi les moins chers du marché. Tout bien considéré, l’optimisation de la vitamine D est probablement la stratégie la plus facile et la plus bénéfique que chacun puisse adopter pour minimiser son risque Covid-19 tout comme celui d’autres infections, et peut en quelques semaines renforcer votre système immunitaire.
  • N-acétylcystéine (NAC) — La NAC est un précurseur de la réduction du glutathion, qui semble jouer un rôle crucial dans le Covid-19. Selon une analyse de la littérature[7], la carence en glutathion pourrait en fait être associée à la gravité du Covid-19, ce qui amène l’auteur à conclure que la NAC pourrait être utile à la fois pour sa prévention et son traitement.
  • Zinc — Le zinc joue un rôle très important dans la capacité de votre système immunitaire à repousser les infections virales. Comme la vitamine D, le zinc aide à réguler votre fonction immunitaire[8] — et il a été démontré en 2010 qu’une combinaison de zinc avec un ionophore de zinc, comme l’hydroxychloroquine ou la quercétine, inhibe in vitro le coronavirus du Sras. En culture cellulaire, elle a également bloqué la réplication virale en quelques minutes[9]. Il est important de noter qu’il a été démontré que la carence en zinc altère la fonction immunitaire[10].
  • Mélatonine — Elle stimule la fonction immunitaire de diverses manières et aide à réprimer l’inflammation. La mélatonine peut également prévenir l’infection par le Sras-CoV-2 en rechargeant le glutathion[11] et en améliorant la synthèse de la vitamine D, entre autres choses.
  • Vitamine C — Un certain nombre d’études ont montré que la vitamine C peut être très utile dans le traitement des maladies virales, de la septicémie et du syndrome de détresse respiratoire aiguë[12] , toutes ces maladies étant applicables au Covid-19. Ses propriétés de base comprennent des propriétés anti-inflammatoires, immunomodulatrices, antioxydantes, antithrombotiques et antivirales. À fortes doses, elle agit en fait comme un médicament antiviral, en inactivant activement les virus. La vitamine C agit également en synergie avec la quercétine[13].
  • Quercétine — Puissant stimulant immunitaire et antiviral à large spectre, la quercétine a d’abord été considérée comme offrant une protection à large spectre contre le coronavirus du Sras à la suite de l’épidémie de Sras de 2003[14] [15] [16], et des éléments indiquent qu’elle pourrait également être utile pour la prévention et le traitement du Sras-CoV-2.
  • Les vitamines B — Les vitamines B peuvent également influencer plusieurs processus pathologiques spécifiques au Covid-19, notamment[17] la réplication et l’invasion virales, l’induction de tempêtes de cytokines, l’immunité adaptative et l’hypercoagulabilité.

Judy Mikovits recommande également les interférons de type 1.

« L'[interféron] de type 1 — la source primaire d’interféron, alpha et bêta — est la cellule dendritique plasmacytoïde. Nous savons qu’elle est dérégulée chez les personnes atteintes du VIH, d’XMRVs, ou d’une expression rétrovirale aberrante. Ces personnes ne peuvent pas produire d’interféron.

Les interférons de type 1 peuvent être fournis dans un spray que vous pouvez vaporiser directement dans votre gorge, votre nez, et qui vous donnera la protection dont vous avez besoin pour que le virus ne se [réplique] pas. Il sera immédiatement dégradé […] Si vous avez de la toux, de la fièvre ou des maux de tête, augmentez immédiatement votre taux d’interféron de type 1. Deux pulvérisations par jour de cet interféron à titre prophylactique réduiront la charge virale.

Nous savons que le [Sras-CoV-2] n’est pas un virus naturel, nous savons qu’il a été créé en laboratoire, mais [l’interféron en] calmera l’expression, il dégradera l’ARN pour ceux qui ne peuvent pas le faire, et c’est son travail — faire en sorte que vos macrophages soient ces petits Pac-Man qui dégradent simplement l’ARNm viral. »

Note du traducteur : Voir aussi notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

Peroxyde nébulisé — Mon choix thérapeutique préféré



Mon choix personnel pour le traitement des symptômes du Covid-19 est le peroxyde nébulisé. C’est un remède maison que tout le monde devrait selon moi connaître, car dans de nombreux cas, il peut améliorer les symptômes en quelques heures seulement. Vous pouvez également l’utiliser comme stratégie préventive si vous savez que vous avez été exposé à une personne malade.

La nébulisation de peroxyde d’hydrogène dans les sinus, la gorge et les poumons est un moyen simple et direct d’augmenter l’expression naturelle du peroxyde d’hydrogène dans votre corps pour combattre les infections et elle peut être utilisée à la fois en prophylaxie après une exposition connue au Covid-19 et comme traitement pour les maladies légères, modérées et même graves.

Le Dr David Brownstein, qui a traité avec succès plus de 100 patients Covid-19 avec du peroxyde nébulisé, a publié un article de cas[18] sur ce traitement dans le numéro de juillet 2020 de Science, Public Health Policy and The Law. Il examine également ses avantages dans « Comment le peroxyde en nébulisation aide à lutter contre les infections respiratoires » [en anglais – NdT].

Le peroxyde d’hydrogène nébulisé est extrêmement fiable, et tout ce dont vous avez besoin est d’un nébuliseur individuel et du peroxyde d’hydrogène de qualité alimentaire, que vous devrez diluer avec une solution saline à 0,1 pour cent. Je vous recommande d’acheter ces articles à l’avance afin que vous ayez tout ce dont vous avez besoin et que vous puissiez commencer le traitement à la maison dès les premiers signes d’une infection respiratoire.

Recette de peroxyde d'hydrogène nébulisé

Dans la vidéo ci-dessus, je passe en revue les bases de ce traitement. Il est préférable d’acheter un nébuliseur qui se branche sur une prise électrique, car les nébuliseurs à piles sont trop faibles pour être vraiment efficaces. Assurez-vous également que votre nébuliseur est équipé d’un masque facial, et pas seulement d’un embout buccal. S’il n’est pas fourni avec un masque facial, vous pouvez en acheter un séparément. Il vous suffit de chercher sur Amazon « masque de nébulisation pour adultes » [cherchez les produits accessoires – NdT].

Note du traducteur : Voir aussi l’article en français sur le site French Mercola Le protocole au peroxyde d’hydrogène contre le coronavirus :

« Le peroxyde de qualité alimentaire est généralement disponible à des concentrations de 12 %. Vous devrez donc le diluer à 1 % pour l’utiliser comme je le décris dans la vidéo et le tableau [ci-dessus].

Les virus ne sont pas « vivants » en soi. Ils ont besoin d’un hôte vivant dans lequel ils peuvent infecter des cellules vivantes qui répliquent ensuite l’ADN et l’ARN viraux. Une fois qu’une cellule est infectée, les virus nouvellement répliqués quittent la cellule et passent à la cellule suivante pour dupliquer le processus.

Donc, quand on parle de « tuer » un virus, il est vraiment question de l’inactiver en brisant sa structure. C’est pourquoi le savon fonctionne si bien. Les coronavirus sont consolidés par un revêtement lipidique (gras). Le savon, étant amphipathique (ce qui signifie qu’il peut dissoudre la plupart des molécules), il dissout cette membrane graisseuse, ce qui fait que le virus se désagrège et devient inoffensif.

Plus spécifiquement, les substances grasses du savon sont structurellement similaires aux lipides trouvés dans la membrane virale, de sorte que les molécules de savon rivalisent avec et remplacent les graisses de la membrane. Ce faisant, la « colle grasse » qui consolide le virus se dissout.

Le peroxyde d’hydrogène fonctionne de manière similaire.
[…]
Vos cellules immunitaires produisent en fait du peroxyde d’hydrogène. C’est en partie ainsi que le système immunitaire tue les cellules infectées par un virus. En tuant la cellule infectée, la reproduction virale est arrêtée. Ainsi, la thérapie au peroxyde d’hydrogène aide essentiellement les cellules immunitaires à remplir plus efficacement leur fonction naturelle. »

Informations additionnelles

Nous espérons avoir fourni suffisamment d’informations pour vous faire reconsidérer le « vaccin » à « thérapie » génique Covid-19. Au minimum, faites des recherches supplémentaires avant de prendre votre décision. La simple vérité est que vous n’en avez pas besoin, et qu’il s’agit donc d’un risque inutile.

Pour en savoir plus, n’oubliez pas de commander à l’avance un exemplaire de Ending Plague: A Scholar’s Obligation in an Age of Corruption [« Mettre fin au fléau — Le devoir d’un universitaire à l’ère de la corruption », non traduit en français – NdT]. À bien des égards, nous traversons une crise et il est absolument essentiel de s’instruire, puis d’éduquer les autres. La vie de millions de personnes est en jeu. Alors, s’il vous plaît, prenez le temps d’assimiler ces informations, de les comprendre et de les partager avec ceux que vous aimez.

Note du traducteur : Pour les lecteurs qui seraient intéressés, ce livre en anglais de Judy Mikovits est, sur Amazon, en rupture de stock au format papier au moment où nous publions. Il est par contre disponible au format Kindle.

Une des vidéos les plus puissantes que j’ai jamais vues

La vidéo suivante de Barbara Loe Fisher est l’une des plus puissantes que j’ai jamais vues. J’espère que le fait de la regarder vous incitera à vous engager et à vous joindre à la lutte pour la liberté et l’indépendance en matière de vaccins.

Il existe une guerre culturelle et une collusion entre de nombreuses industries et les agences de régulation fédérales qui ont pour conséquence la suppression de la vérité sur des questions de santé vitales et importantes. Si cette suppression se poursuit, nous éroderons graduellement et progressivement nos droits individuels privés pour lesquels nos ancêtres se sont battus si durement. Veuillez prendre quelques minutes pour regarder cette vidéo.

https://youtu.be/xEcYQydhY9E

Protégez votre droit au consentement éclairé et défendez les exemptions de vaccin

Avec toutes les incertitudes qui entourent l’innocuité et l’efficacité des vaccins, il est essentiel de protéger votre droit à faire des choix de santé indépendants et d’exercer un consentement volontaire et éclairé à la vaccination. Il est urgent que tout le monde aux États-Unis se lève et se batte pour protéger et étendre les protections du consentement éclairé à la vaccination dans les lois des États en matière de santé publique et d’emploi. La meilleure façon d’y parvenir est de s’impliquer personnellement auprès des législateurs de votre État et d’éduquer les dirigeants de votre communauté.

Penser globalement, agir localement

Les recommandations en matière de politique nationale sur les vaccins sont faites au niveau fédéral, mais les lois sur les vaccins sont faites au niveau des États. C’est au niveau des États que votre action visant à protéger vos droits en matière de choix de vaccins peut avoir le plus grand impact.

Il est essentiel que TOUT LE MONDE s’implique dès maintenant pour défendre le droit légal de choisir volontairement un vaccin aux États-Unis, car ces choix sont menacés par les lobbyistes représentant les sociétés pharmaceutiques, les associations professionnelles médicales et les responsables de la santé publique, qui tentent de persuader les législateurs de supprimer toutes les exemptions relatives aux vaccins des lois sur la santé publique.

En vous inscrivant sur le portail gratuit du NVIC sur la défense des droits, à l’adresse www.NVICAdvocacy.org, vous aurez un accès immédiat et facile aux législateurs de votre État sur votre smartphone ou votre ordinateur, ce qui vous permettra de faire entendre votre voix. Vous serez tenu au courant des derniers projets de loi de l’État qui menacent votre droit de choisir un vaccin et vous obtiendrez des informations pratiques et utiles pour vous aider à devenir un défenseur efficace du choix des vaccins dans votre propre communauté.

En outre, lorsque des questions relatives aux vaccins nationaux se poseront, vous aurez à portée de main les informations actualisées et les éléments d’appel à l’action dont vous avez besoin. Dans un premier temps, veuillez donc vous inscrire sur le portail de sensibilisation du NVIC.

Note du traducteur : Bien que ce qui précède (tout comme le dernier point ci-dessous) concerne les États-Unis, l’information pourrait bénéficier à des francophones sur ce territoire. Les lois outre-Atlantique ne sont pas les mêmes que dans les pays francophones, mais il y est tout aussi essentiel de protéger votre droit à faire des choix de santé indépendants et d’exercer un consentement volontaire et éclairé à la vaccination, notamment en vertu du Code de Nuremberg : Covid-19 — La campagne vaccinale expérimentale à venir constitue un viol du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui

Partagez votre histoire avec les médias et les personnes que vous connaissez

Si vous ou un membre de votre famille avez subi une réaction grave à un vaccin, des dommages ou un décès, vous devriez en parler. Si nous ne partageons pas les informations et les expériences entre nous, tout le monde se sent seul et a peur de parler. Écrivez une lettre au rédacteur en chef si vous avez un point de vue différent sur une histoire de vaccin qui paraît dans votre journal local. Appelez une émission de radio qui ne présente qu’un seul aspect de l’histoire du vaccin.

Je dois être franc avec vous : il vous faudra être courageux car vous pourriez être fortement critiqué pour avoir osé parler de « l’autre facette » de l’histoire du vaccin. Préparez-vous à cela et ayez le courage de ne pas reculer. Ce n’est qu’en partageant notre point de vue et ce que nous savons être vrai au sujet de la vaccination que la conversation publique sur la vaccination s’ouvrira si bien que les gens n’auront pas peur d’en parler.

Nous ne pouvons pas permettre que les entreprises pharmaceutiques et les associations commerciales médicales financées par les entreprises pharmaceutiques ou les responsables de la santé publique qui encouragent l’utilisation forcée d’une liste croissante de vaccins dominent la conversation sur la vaccination.

Une personne affectée par un vaccin ne peut pas être balayée sous le tapis et traitée comme rien d’autre qu’un « dommage collatéral statistiquement acceptable » des politiques nationales de vaccination obligatoire universelles qui mettent beaucoup trop de gens en danger d’en être victimes et de mourir. Nous devrions traiter les gens comme des êtres humains et non pas comme des cobayes.

Ressources Internet où vous pouvez en apprendre davantage

Je vous encourage à visiter le site web de l’organisation caritative à but non lucratif, le National Vaccine Information Center (NVIC), à l’adresse www.NVIC.org :

  • Exigences et exemptions en matière de vaccins par État — Les lois sur les vaccins varient aux États-Unis d’un État à l’autre. En connaissant les politiques spécifiques de votre État, vous apprendrez comment obtenir des exemptions et mieux protéger votre droit à faire des choix éclairés en matière de vaccins.
  • NVIC Mémorial des victimes de vaccins — Consultez les descriptions et les photos d’enfants et d’adultes qui ont subi des réactions aux vaccins, des blessures et des décès. Si vous ou votre enfant êtes victime d’un effet indésirable d’un vaccin, pensez à poster et à partager votre histoire ici.
  • Si vous vous faites vacciner, posez 8 questions — Apprenez à reconnaître les symptômes des réactions aux vaccins et à prévenir les blessures dues aux vaccins.
  • Mur de la liberté vaccinale — Consultez ou affichez des descriptions de harcèlement et de sanctions par des médecins, des employeurs et des responsables scolaires et sanitaires pour avoir choisi un vaccin de manière indépendante.
  • Mur de l’échec vaccinal — Consultez ou affichez des descriptions de vaccins qui n’ont pas fonctionné et qui protègent les personnes vaccinées contre la maladie.

Sources et références

[1] MJforMDs.org Judy Mikovits Bio

[2] Bioregulatory Medicine Institute December 28, 2020

[3] Stat News January 10, 2017

[4] New York Times January 12, 2021

[5] The Defender January 13, 2021

[6] Wall Street Journal January 27, 2021

[7] A Hypothesis Based on Literature Data and Own Observations, preprint

[8] « COVID-19: Poor Outcomes in Patients with Zinc Deficiency, » International Journal of Infectious Disease 100 (November 2020): 343-49

[9] te Velthuis AJ, van den Worm SH, Sims AC, et. al . PLoS Pathog. 2010 Nov 4;6(11):e1001176. doi: 10.1371/journal.ppat.1001176

[10] « Zinc Fact Sheet for Health Professionals, » U.S. Department of Health & Human Services, National Institutes of Health, updated July 15, 2020

[11] Grazyna Swiderska-Kołacz, Jolanta Klusek, and Adam Kołataj, Neuro Endocrinology Letters 27, no. 3 (June 2006): 365-8

[12] JAMA 2019 Oct 1; 322(13): 1261-1270

[13] Frontiers in Immunology June 19, 2020 DOI: 10.3389/fimmu.2020.01451

[14] Journal of Virology Sep 2004, 78 (20) 11334-11339, Antiviral activity of an analog of luteolin

[15] Bioorg Med Chem. 2006 Dec 15;14(24):8295-306

[16] Maclean’s February 24, 2020

[17] Maturitas August 15, 2020 DOI: 10.1016/j.maturitas.2020.08.007 [Epub ahead of print]

[18] Science, Public Health Policy and The Law July 2020; 1: 4-22 (PDF)


Source de l’article initialement publié en anglais le 31 janvier 2021 : 
Mercola.com
Traduction : Sott.net




Demander au gouvernement ou aux tribunaux ne permettra jamais d’obtenir la liberté: seule la désobéissance massive peut prévaloir

[Source : Guy Boulianne]

« La désobéissance civile devient un devoir sacré lorsque l’État est devenu sans loi ou corrompu. Et un citoyen qui courtise avec un tel État partage sa corruption et son anarchie. »

Mahatma Gandhi. “The Essential Gandhi: An Anthology of His Writings on His Life, Work, and Ideas”, p.144, Vintage

[Un article écrit par Gary D. Barnett]  Nous sommes maintenant au seuil de l’enfer concernant nos droits naturels et notre liberté. Ce gouvernement pervers et ses contrôleurs ont détruit nos vies sacrées par le mensonge, la tromperie, le vol, des politiques de division, la torture, l’isolement, des mandats dystopiques, des ordres paralysants par décret de l’exécutif et des meurtres. Ce n’est pas caché. C’est ouvert et exposé, mais les gens ont ignoré la nature flagrante de cette conspiration pour prendre le contrôle de l’humanité, et ont plutôt, comme prévu par leurs maîtres, acquiescé à chaque ordre donné. Après toute cette tyrannie imposée à cette société, ils mendient maintenant des miettes de la racaille même qui les a réduits en esclavage. Cette réponse collective et pathétique ne peut aboutir à rien de moins qu’un asservissement de masse.

Face à cette injustice immorale évidente et extrême contre tous les Américains, le peuple réclame réparation en adressant une requête à ceux qui revendiquent faussement l’autorité au lieu de compter sur eux-mêmes et le droit inhérent de vivre librement. Cela revient à demander à votre maître d’être votre esclave et à s’attendre à ce qu’il se conforme volontairement. Cette attitude est non seulement dénuée de sens; cela enhardit votre oppresseur et renforce sa position sur vous. La faiblesse face à la tyrannie ne peut qu’apporter plus de tyrannie.

Pour comprendre comment s’est produite la domination totale du peuple par l’État, il suffit d’accepter la réalité. La population dans son ensemble a accepté à ce jour presque toutes les mesures de contrôle exigées par ceux qui revendiquent le pouvoir sur eux.

Cela a commencé par des quarantaines obligatoires, des verrouillages et l’isolement, alors que les abus continuaient de s’aggraver au cours de l’année écoulée. Ensuite, la plupart des petites entreprises du pays ont été invitées à fermer leurs portes, les employés dépendants de leur emploi ont été invités à rentrer chez eux et à ne pas travailler, le chômage et la pauvreté se sont généralisés et les lieux et événements où les gens pouvaient se rassembler ont été interdits.

Ensuite, le gouvernement a créé et financé des groupes terroristes criminels comme BLM et Antifa, ils ont été lâchés sur la société, ils ont été autorisés à émeuter, incendier et piller des entreprises, et ils ont été autorisés à attaquer et assassiner des citoyens, tout en étant protégés par la classe dirigeante.

Les gouverneurs d’État et leurs ministres corrompus de la « santé » ont alors exigé une « distanciation sociale » et un port de masque mortel pour simplement se déplacer, fonctionner et survivre. En outre, ces règles néfastes et insensées ont été élargies dans de nombreux cas pour restreindre la capacité de profiter de la lumière vitale, de faire de l’exercice et de la plupart des autres activités de plein air, et dans certains cas, les gens se sont fait dire qu’ils ne pouvaient pas du tout quitter leur prison d’origine. Cela a bien sûr entraîné la destruction délibérée de notre capacité innée à repousser la maladie en détruisant notre système immunitaire.

https://youtu.be/xQVBn6DWJwI?list=PLfLa1ucYOKtZmEbzXlEHVObPaMzCDC9P6
Agrippeur
Oui, ils peuvent nous vacciner avec des écouvillons nasaux et cibler le cerveau. Les images ci-haut proviennent du site internet de l’Université Johns-Hopkins : « Inspirés par un ver parasite qui creuse ses dents acérées dans les intestins de son hôte, les chercheurs de Johns Hopkins ont conçu de minuscules microdispositifs en forme d’étoile qui peuvent s’accrocher à la muqueuse intestinale et libérer des médicaments dans le corps. » À GAUCHE: Un agrippeur a à peu près la taille d’un grain de poussière. Cet écouvillon contient des dizaines de petits appareils. À DROITE: Lorsqu’un agrippeur ouvert, à gauche, est exposé à des températures corporelles internes, il se referme sur la paroi intestinale. Au centre de la pince se trouve un espace pour une petite dose de médicament. Consultez l’étude sur Science Advances.

Les voyages n’étaient pas seulement limités, mais dans certains cas, les voyages internationaux étaient complètement interdits. Cette parodie a non seulement empiré, mais a également forcé des tests pour un faux « virus » qui n’a jamais été prouvé une seule fois pour se déplacer ou retourner dans le pays, ont été méthodiques. Ces tests sont extrêmes et sont apparemment utilisés pour ne pas prélever d’échantillons, mais pour insérer des agents pathogènes dans les personnes saines et malsaines.

Les tactiques policières de l’État ont régulièrement augmenté, et les autorités chargées de l’application de la loi ont non seulement protégé les comportements criminels réels tout en abusant de leur pouvoir contre des innocents, mais ont également imposé des mandats complètement illégaux par les hommes de main de l’État.

Des injections expérimentales faussement appelées « vaccins », des concoctions qui contiennent des armes biologiques, des toxines et des agents pathogènes synthétiques altérant les gènes, et qui créent des systèmes d’exploitation par injection de nanoparticules et de technologie de changement ARN / ADN, sont maintenant dans de nombreux cas, nécessaires pour fonctionner normalement. Ils sont également propagés en tant que médicaments alors qu’en fait ils ne peuvent pas freiner, arrêter ou prévenir la maladie et la mort, mais en fait causer la maladie et la mort.

Les premiers ciblés étaient les personnes âgées, les infirmes, les travailleurs de la « santé », les handicapés mentaux, les sans-abri et les enfants. Cela devrait alerter quiconque est capable de penser, même marginalement, que le meurtre prémédité des personnes âgées et malades, et le contrôle des jeunes et des générations futures sont les principaux agendas des monstres de l’État.

Les gens ont d’horribles réactions indésirables à ces injections expérimentales, beaucoup meurent à travers ce pays et dans le monde à cause de ces coups de feu, et la dissimulation de cette parodie est en pleine vitesse par le gouvernement, ses partenaires commerciaux fascistes et les médias dominants contrôlés. C’est un crime au-delà de l’imagination et qui ne peut être perpétré que par des démons psychopathes, pervers et sans conscience en position de pouvoir.

En plus de tout cela, la branche exécutive de ce gouvernement meurtrier est maintenant devenue le fabricant de toutes les lois recherchées par les « élites » dominantes par le biais de décrets dictatoriaux. Biden a signé (quoi qu’il ait été chargé de signer) plus de 60 décrets exécutifs depuis le 20 janvier 2021. Ce n’est pas une surprise, mais le Congrès n’a absolument rien fait pour contester cette atrocité, et est en fait pleinement d’accord avec cette prise de contrôle dictatoriale.



Le 2 décembre 2020, Jana Bennun a réalisé une entrevue avec Dr Lorraine Day à l’émission “Israel News LIVE”. Le Dr Lorraine Day est l’une des lanceuses d’alerte les plus intrépides au monde. Les sujets incluent la fraude Covid-19, le brevetage du Covid et le brevetage à venir des êtres humains, le maintien en bonne santé, les vaccins et les injections Covid-19 à venir, le génocide de la population chrétienne blanche, l’influence satanique dans l’Agenda imposée au monde, l’interprétation historique de la vie de Jésus, la réécriture de la Bible au service d’un agenda, et bien plus…

Ces commandes incluent, mais sans s’y limiter, la création de 1,9 billion de dollars supplémentaires à partir de rien pour le soi-disant secours « Covid », le retour au faux accord sur le « changement climatique » artificiel et l’utilisation de ce mensonge pour faire progresser la politique de contrôle des terres agricoles, créant ainsi des racistes. « L’équité en tant qu’objectifs politiques », les mandats de masque fédéral, le retour et le financement de l’OMS, et l’inclusion de tous les étrangers illégaux dans le recensement afin de modifier les élections futures. Il a signé des ordres pour fermer le pipeline Keystone XL, couper l’approvisionnement énergétique du pays, imposer son programme transgenre à tous les sports féminins, imposer le port d’un masque sur tous les vols intérieurs et financer toute la Garde nationale de l’État pour toutes les activités liées à Covid, ce qui incluent certainement les efforts de loi martiale. Il a signé des ordres pour forcer les lieux de travail privés à se conformer aux règles « Covid », faire du faux « changement climatique » une question de sécurité nationale et de politique étrangère, forçant le recours aux partenariats fascistes avec la science et la technologie financées par le gouvernement afin d’étouffer tous les faits dissidents de la surface, et promouvoir tous les programmes homosexuels, transgenres et tous les « LGBTQI ». Il a également prolongé les ordonnances selon lesquelles les locataires et les propriétaires n’ont pas à payer leur loyer ou leur hypothèque jusqu’en juin de cette année, créant davantage de faillites et de confiscations de propriétés par les acteurs soutenus par l’État au sommet.

En plus de tout cela et bien plus encore, Biden vient de signer un décret pour permettre au gouvernement fédéral, aux frais des contribuables bien sûr, de contrôler plus de 30% de toutes les terres américaines et 30% de ce que l’on appelle les « océans américains ». Les effets de cette situation sont incompréhensibles, car cela sera utilisé pour détruire les terres agricoles, pour mettre les agriculteurs et les éleveurs à la faillite, pour jeter les bases de la destruction des aliments naturels pour les OGM et les sources alimentaires chimiques qui peuvent être utilisées pour nuire, rendre malade et contrôler toute la population.

Gardez à l’esprit qu’il s’agit d’une très courte liste d’atrocités commises par décret au niveau exécutif. Et ce n’est qu’après un mois en fonction. Le contrôle des armes à feu, la confiscation des armes à feu, les ordonnances de blocage des munitions, plus de restrictions de voyage, de mandats d’injection et 1000 mesures plus restrictives par un coup de stylo seront dans notre avenir si les gens ne se rebellent pas et ne s’opposent pas à cette attaque contre tous les Américains par le régime désormais totalitaire qui a pris le contrôle de ce pays. Ce n’est en aucun cas spécifique à un parti, car toute la classe politique n’est rien de plus que des agents criminels complices de l’État et travaillent tous contre le peuple dans cette guerre contre la liberté.

Faire une requête au gouvernement, voter, envoyer des lettres à la racaille du Congrès, les procédures judiciaires gérées et contrôlées par des agents de l’État corrompus, et demander des secours aux pourvoyeurs de la tyrannie, est une réponse sans valeur et pathétique à ce que l’on ne peut appeler qu’une agression violente contre les citoyens, et une guerre contre l’humanité.

Ne vous conformez jamais, ne soumettez jamais, ne fermez jamais aucune entreprise, ne portez jamais de masque, ne vous isolez jamais et ne croyez jamais un seul mot venant de ce gouvernement ou des médias traditionnels. Désobéissez à tous les mandats de l’État en masse à chaque moment ou affrontez la maladie, l’esclavage, la pauvreté, la famine, la perte d’accès au pouvoir, la censure totale et la destruction de la liberté d’expression, l’isolement et la destruction finale de ce pays. Si vous continuez à vous conformer et à ne rien faire, la mort certaine de millions de personnes se produira.


« La désobéissance civile n’est pas notre problème. Notre problème est l’obéissance civile. Notre problème est que des gens du monde entier ont obéi aux diktats des dirigeants… et des millions de personnes ont été tuées à cause de cette obéissance… Notre problème est que les gens sont obéissants partout dans le monde face à la pauvreté, à la famine, à la stupidité et à la guerre, et la cruauté. Notre problème est que les gens sont obéissants alors que les prisons sont pleines de petits voleurs… (et) les grands voleurs dirigent le pays. C’est notre problème. »

— Discours de Howard Zinn en 1970, “Le problème est l’obéissance civile”


À propos de Gary D. Barnett

Gary Barnett est un conseiller financier et planificateur successoral à la retraite, et il a géré l’argent des clients de son entreprise pendant plus de trente ans. Il a également possédé deux autres entreprises au cours de sa vie et a parfois eu une course folle.

Gary a écrit sur une gamme complète de sujets concernant la liberté pendant de nombreuses années, et a écrit pour lewrockwell.comThe Future of Freedom Foundation et plusieurs autres publications au cours de cette période. Il considère que c’est une grande passion dans la vie d’apprendre et de continuer à s’éduquer, de promouvoir et de diffuser les idées de liberté à tous ceux qui sont prêts à écouter. La liberté n’est pas due à la politique ou aux constitutions, elle ne peut exister que dans l’esprit des individus.

Gary est apparu en tant qu’invité dans plusieurs émissions de radio Internet et nationales, notamment Freedom Watch avec le juge Andrew Napolitano, le Brian Wilson Show, Antiwar Radio, le Karen Kwiatkowski Radio Show, Liberty News Radio et Radio Liberty.

Il vit actuellement à Lewistown, dans le Montana, avec sa merveilleuse épouse Yoshie et son fils Leo. Il aime le plein air, la cuisine et la gastronomie, les chiens, les plages, la musique, la pêche à la mouche et les voyages exotiques.

En ce qui concerne sa philosophie, c’est un anarchiste pacifique qui croit en la loi naturelle sans restriction de l’État. Bien que Gary comprenne le scepticisme de la plupart concernant la mise en œuvre de ce type de structure politique individuelle, c’est le seul système où la liberté peut être pleinement atteinte. L’anarchie pacifique est basée sur la responsabilité individuelle, l’autonomie, l’échange volontaire sur les marchés libres, la non-agression et la liberté individuelle; tout ce qui est nécessaire pour atteindre la paix et l’harmonie. Le collectivisme, le gouvernement central et la guerre ne sont pas et ne seront jamais la réponse.

L’écriture est la passion de Gary, et maintenant qu’il est à la retraite, il peut se concentrer à plein temps sur cette entreprise. Écrire depuis une plage chaude serait préférable, mais vivre dans le Montana ne permet pas ce luxe. Il peut cependant, enfiler son short et ses tongs assis devant son ordinateur pendant les blizzards et le froid brutal des hivers du Montana, et rêver.




La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19

[Source : Mondialisation.ca]

« Entre dépeuplement planifié et cynisme financier, l’humanité doit se réveiller »

Nous sommes-nous trompés ?

La vaccination contre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, a été lancée dans le monde alors que les essais cliniques ne sont ni complets ni terminés.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des produits qui sont toujours en phase d’évaluation des effets secondaires et de l’efficacité sont injectés à des êtres humains sans que ceux-ci ne soient correctement informés et sans obtenir leur consentement éclairé, sous couvert d’urgence et de déclarations des autorités sanitaires influencées par des firmes pharmaceutiques comme en témoigne ce document de l’Agence Européenne du Médicament (EMA-AEM) [1].

Même la revue Prescrire, après son article partial et critique en défaveur de l’ivermectine [2] -voir la réponse du docteur Gérard Maudrux [3], sur le vaccin ADN d’Astra Zeneca et Oxford le souligne :

  • Le niveau de preuves des données est globalement faible, entre autres parce que les essais ne se sont pas déroulés comme prévu, et que les données d’efficacité clinique rendues publiques ne portent que sur environ la moitié des participants aux essais.
  • Dans les essais, la diminution relative du risque d’être atteint d’une maladie covid-19 a été d’environ 70 % dans les groupes vaccin ChAdOx1 nCoV19, avec une incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité plus grande qu’avec les deux vaccins à ARNm déjà autorisés. Une réduction de la fréquence de covid-19 grave est vraisemblable mais non démontrée.
  • 36 % des participants avaient au moins un facteur de risque de covid-19 grave autre que l’âge, mais l’incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité chez eux est encore plus grande que pour l’ensemble des participants. Seulement 6 % environ des participants étaient âgés de 65 ans ou plus.
  • Les effets indésirables connus du vaccin ChAdOx1 nCoV19 sont surtout des réactions locales et systémiques très fréquentes. Il existe encore de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation, notamment de ce vecteur viral chez les êtres humains.

Des niveaux de preuve globalement faibles, de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation.

Toute mise sur le marché d’un produit, d’un médicament, à fortiori d’un vaccin destiné à des personnes non malades, nécessite plusieurs phases d’évaluation, étalées sur plusieurs années, principe de précaution court-circuité dans cette crise avec tous les dangers que cette précipitation peut engendrer.

Le principe de précaution violé

Quoi qu’en disent, sans preuves, les firmes productrices des vaccins nouvelle génération (ARNm ou ADN avec vecteur viral modifié génétiquement), l’introduction d’ARNm ou d’ADN avec vecteur viral dans nos cellules comporte le risque potentiel de modifier notre ADN. La sécurité génétique de cette technique n’a pas pu être évaluée puisque plusieurs décennies seraient nécessaires pour le faire.

Ces « vaccins géniques » au mécanisme d’action très particulier exposent l’humanité à des risques inconnus, non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution pourtant si cher à nos autorités sanitaires.

Le principe de précaution est à la base de la plupart des mesures liberticides imposées par nos gouvernements : port du masque obligatoire même en rue, distances sociales, fermeture des lieux publics tels que restaurants ou bars, interdiction de se rassembler ou de manifester, fermeture des cinémas, des piscines et des parcs de loisirs.

Pour les vaccins, le principe de précaution est violé, bafoué.

Délai normal de mise sur le marché d’un vaccin

Ce qui suit est encore plus vrai avec les coronavirus comme le SARS-CoV-2.

La journaliste Céline Deluzarche, dans un article sur Futura Sciences (Futura Santé) du 19 mars 2020 revu le 15 juin, le dit :

« Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte.

Face à l’urgence, les scientifiques appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux. Une stratégie louable mais qui pourrait s’avérer au mieux, contre-productive, au pire causer des morts.

Normalement, obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin  chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. » [4]

« Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le SIDA où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). » [5]

Pour avoir l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament ou d’un vaccin, les essais doivent franchir plusieurs étapes ou phases. 

Ces étapes et ce délai sont la clé de la sécurité du produit.

La phase préclinique consiste à faire des tests sur animaux : cette étape préclinique animalière est très importante pour la sécurité.

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir.

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de l’aggravation de la maladie par la vaccination, ce risque est connu depuis 30 ans [6-7].

Ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV-1, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du MERS, les lapins ont développé des anticorps mais leur pathologie pulmonaire s’est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus. [8]

Cette complication est appelée VAED.

Avec les vaccins, « le plus gros problème est la crainte d’un ADE (Antibody-Dependant Enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines » [9-10]

Le 5 mars 2020, devant le congrès états-unien, Peter Hotez (expert vaccinal – Peter Hotez, Wikipédia) met en garde contre la facilitation de l’infection par les anticorps, et sa relation avec la vaccination :

« Il faut être très prudent et aller doucement avec les essais cliniques, les essais sur animaux ont montré la facilitation » !

Peter Hotez nous conseille la plus grande prudence :

« Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hotez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-Dependent Enhancement ou «ADE en anglais) » 

Vaccination COVID et VAED

Pour le VIDAL, organe de référence médical français, la question est posée :

Vaccins contre la COVID-19 : doit-on s’inquiéter du risque de maladie aggravée chez les personnes vaccinées ? [11]

Malgré 30 ans d’efforts, aucun vaccin efficace n’a jamais été mis au point pour aucune des nombreuses souches de coronavirus.

« À ce jour, il n’y jamais eu de vaccin efficace contre les coronavirus, en raison de la nature de ces virus. En plus, les tentatives passées de créer un vaccin anti-coronavirus ont eu comme seul résultat des personnes vaccinées avec un plus grand risque de maladie sévère et de décès une fois à nouveau exposées à une autre souche du virus. » [12-13]

La phase pré-clinique, animale, a été laissée de côté par les firmes et la vaccination, lancée sans s’assurer de l’absence de VAED.

Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats, le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

Les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.

Après la phase pré-clinique sur les animaux, le produit doit traverser la phase I (évaluation de la toxicité à court terme chez l’humain et du taux d’anticorps produits), la phase II (en moyenne 4 ans) qui doit confirmer l’absence de danger, l’efficacité et déterminer la dose optimale et le schéma d’administration, et enfin la phase III (durée 3 à 5 ans) sur un groupe représentatif de la population cible, comportant des milliers de personnes. Le succès de la phase III fournit le dossier indispensable à l’autorisation de mise sur le marché, analysé par des experts indépendants des firmes pour le compte de l’Agence du médicament.

Tout ceci explique pourquoi cette mise sur le marché prend normalement plusieurs années, dans l’intérêt de la population qui va recevoir ce médicament ou ce vaccin.

Il faut être sûr de l’efficacité ET d’un danger acceptable au regard des risques de la maladie ciblée.

Cela permet surtout de pouvoir informer correctement la population afin qu’elle fournisse un consentement éclairé au traitement ou à la vaccination.

La mise sur le marché en moins d’un an des vaccins COVID n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais, et non des moindre, les essais sur les animaux.

Ceci est d’autant plus vrai en matière de vaccins contre les coronavirus, comme l’ont montré les tentatives désastreuses de vaccination contre le SRAS-CoV-1 et le MERS.

En matière de vaccination contre le COVID, les firmes PFIZER-BioNTech, Astra Zeneca, Moderna ont court-circuité ou bâclé toutes les étapes qui permettent de s’assurer de la sécurité :

  • Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.
  • Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.
  • Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 de 2009 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).
  • Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées. [14]
  • La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement, comme le détaille Pfizer, dans sa publication sur clinicaltrials.gov : première analyse en aout 2021 et fin de l’essai en janvier 2023.

« Le miracle de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses.

L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles. » [15]

Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit d’une négativation de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement [16].

De toute façon, la capacité d’interrompre la transmission du virus par les vaccins (immunité stérilisante) n’est pas étudiée dans les essais cliniques, comme le dit l’éditorialiste du British Medical Journal Peter Doshi [17] :

Le monde a parié sur la production de vaccins comme solution à la pandémie, mais les essais ne visent pas à répondre aux questions que beaucoup pourraient se poser.

Peter Doshi a montré que les essais cliniques « randomisés » ne montreront pas si les vaccins sont capables d’éviter les formes graves chez les personnes fragiles ni s’ils auront un effet sur la mortalité globale.

Les essais cliniques sont conçus pour déterminer si les futurs vaccins seront capables d’éviter une maladie bénigne ou même asymptomatique, pas pour éviter une maladie grave ou le décès par COVID-19. Les essais ne montreront pas que les vaccins peuvent éviter la transmission interhumaine.

Précautions bafouées par les médecins vaccinateurs

Le font-ils exprès ? Savent-ils ce qu’ils font ?

La vaccination n’est pas un traitement, mais une prévention dont l’efficacité dépend de la bonne santé du système immunitaire de la personne vaccinée. Si ce système immunitaire (immunités spécifiques à mémoire via les lymphocytes B producteurs d’anticorps et les lymphocytes T) est compromis, non seulement la vaccination sera inutile, mais aussi potentiellement dangereuse, pouvant provoquer la maladie qu’elle est censée prévenir !

Avant de vacciner, il est conseillé d’évaluer le statut immunitaire de la personne : sérologies anticorps, mesure des taux de lymphocytes par un laboratoire spécialisé.

Les médecins ou autres personnes qui vaccinent sont-ils en mesure d’informer correctement leurs patients en droit d’être informés avant de donner leur consentement éclairé à tout traitement, toute prévention ?

Ces vaccinateurs connaissent-ils les études sur les effets toxiques des adjuvants, aluminium, nanoparticules, poly-éthylènes glycols (PEG) ou autres ?

« Des vaccins sont à l’étude pour les effets secondaires possibles qu’ils peuvent provoquer. Afin de fournir de nouvelles informations, une méthode d’investigation par microscopie électronique a été appliquée à l’étude des vaccins, visant à vérifier la présence de contaminants solides au moyen d’un microscope électronique à balayage environnemental équipé d’une microsonde à rayons X. Les résultats de cette nouvelle enquête montrent la présence de particules micro et nanométriques composées d’éléments inorganiques dans les échantillons de vaccins qui ne sont pas déclarées parmi les composants et dont la présence indûment est, pour le moment, inexplicable. Une partie considérable de ces contaminants particulaires a déjà été vérifiée dans d’autres matrices et signalée dans la littérature comme non biodégradable et non biocompatible. » [18]

Les nanoparticules traversent le placenta [19].

Les nanotubes pénètrent dans les poumons [20].

Les nanoparticules bouchent les vaisseaux sanguins et capillaires [21].

Les nanoparticules endommagent l’ADN [22].

Il y a des risques d’allergies graves et de maladies auto-immunes liées à la présence de PEG (polyéthylène glycol) utilisés dans les nanoparticules vectrices des vaccins à ARNm [23].

Il existe des anticorps contre les PEG chez 72% des Américains [24]. Cet adjuvant peut provoquer des maladies auto-immunes et c’est une molécule très toxique [25].

Le risque de maladies auto-immunes notamment neuronales est très sérieux du fait notamment du mimétisme entre épitopes de la protéine Spike et certaines protéines neuronales humaines [26].

Les médecins vaccinateurs connaissent-ils la recombinaison ?

Ce risque est indépendant du vecteur utilisé, plasmides, nanoparticules ou virus génétiquement modifié.

Les VIRUS oint une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès que les génomes des virus sont de même nature, ADN ou ARN, et qu’ils partagent des séquences de gènes qui se ressemblent.

Ces virus recombinants peuvent être beaucoup plus virulents que le virus d’origine et peuvent donc aggraver la situation.

Le phénomène de recombinaison a été démontré chez des plantes transgéniques dans le génome desquelles un gène viral avait été volontairement introduit.

Exemple de virus recombinant : H1N1, recombinant 3 souches de virus de la grippe, porcine, humaine et aviaire.

Les médecins vaccinateurs connaissent-ils le risque de cette vaccination COVID avec la grippe ou du COVID avec la vaccination antigrippale ?

La vaccination antigrippale est fortement suspectée de favoriser les infections à coronavirus chez l’adulte ! [27]

Cela a été montré également chez l’enfant [28]. 

Et le risque de maladie déclenchée par la vaccination (VAED) a également été documenté pour le vaccin antigrippal [29].

Effets secondaires graves voire décès déjà documentés

La FDA (USA) a signalé à la suite de la vaccination COVID la survenue d’effets secondaires, indésirables graves appelés effets systémiques de grade III, c’est-à-dire empêchant l’activité quotidienne et nécessitant une intervention médicale [30].

Le CDC (haute autorité de santé aux USA) a rassemblé les réactions indésirables au vaccin Pfizer entre le 14 et le 18 décembre 2020 au Royaume-Uni et a recensé presque 3% d’effets secondaires graves. 3%  :  c’est énorme ! Pour contrer une maladie qui a un taux de mortalité de seulement 0,23%, pour l’ensemble de la population ! [31]

L’Agence norvégienne du médicament établit un lien entre plusieurs décès et les effets secondaires du vaccin ARNm.

Selon le médecin en chef de l’autorité sanitaire, « les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, ont pu entraîner la mort de certains patients fragiles ». Le gouvernement norvégien est préoccupé par le décès de 29 personnes âgées qui ont été soumises au vaccin COVID-19 de Pfizer.

La Norvège a émis le 15 janvier 2021 une alerte après la constatation de 29 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

« Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves. »

« Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet [32-33].

En Espagne, après « vaccination génétique », 7 morts et 100% des résidents infectés dans une maison de retraite espagnole avec le « vaccin » expérimental à ARNm de Pfizer [34].

De très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d’Ehpad après vaccination.

24 morts dans une maison de retraite aux USA suite à la vaccination en pleine flambée épidémique : les décès ont commencé à se produire 7 jours après le début de la campagne de vaccination (80% des résidents et 50% du personnel a été vacciné). Il n’y avait pourtant eu aucun décès dû au Covid dans les maisons de retraite de la région ! [35]

Comme souligné et prouvé dans les points précédents, vacciner en pleine période épidémique comporte les risques de recombinaison virale avec virus recombinants plus virulents (variants) comme nous le verrons plus loin avec les cas d’Israël ou de la Grande-Bretagne, d’interférence virale et de VAED (aggravation de l’infection par la vaccination).

Malgré ces données, les pays continuent à vacciner à tour de bras !

Floride, décès d’un médecin, attribué au vaccin par un expert [36].

Les responsables de la santé publique et les porte-parole de l’industrie aiment à dire que les risques de blessures graves liés à la vaccination sont de « un sur un million ».

Le ministère de la santé a prétendu, en 2010, que le VAERS (Vaccination Adverse Effects Reporting System) avait recueilli « moins de 1% des effets graves » dus aux vaccins.  Les taux réels de blessures dues aux vaccins obligatoires étaient en réalité plus de 100 fois supérieurs à ce que le ministère de la santé avait dit au public ! [37]

Dans la vaccination anti-COVID, au cours de la première semaine de distribution des vaccins, les Américains ont pris 200 000 doses de vaccins COVID et ont signalé 5 000 effets « graves » (c’est-à-dire des journées de travail manquées ou une intervention médicale nécessaire).

Cela représente un taux de blessure de 1 sur 40 piqûres. 

Cela signifie que les 150 piqûres nécessaires pour éviter un cas bénin de COVID causeront des blessures graves à au moins trois personnes. 

L’analyse de l’étude de 2010 du HHS a révélé que le risque réel d’événements indésirables graves était de 26/1000, soit un sur 37 [38].

Déjà 132 décès déclarés dans Eudravigilance seulement 26 jours après l’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer [39].

Les autorités masquent la vérité.

Réactions allergiques graves documentées

Des allergies sévères sont causées par les vaccins ARNm [40-41].

Que se passe-t-il en Israël, en Grande Bretagne et à Gibraltar, champions de la vaccination génétique ?

Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.

La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien (francesoir.fr)

Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie (VAED).à

Vaccination en Grande-Bretagne

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. 

Depuis, la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Après presque un an d’épidémie, Gibraltar ne comptait que 15 décès attribués au COVID-19. En 3 semaines de vaccination, le nombre total de morts a été multiplié par 5 !

Immunité juridique pour les fabricants de vaccins

Les commandes de vaccins engendrent des bénéfices pour les actionnaires de l’entreprise et un coût pour le public. Mais le plus grave est la mise en danger des populations qui paient pour cela !

Les fabricants de vaccin ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits.

Aux USA, les fabricants de vaccins sont protégés de toute poursuite légale en cas de dommages causés par les vaccins, ce coût sera supporté par l’état, donc ses contribuables [42].

En Europe, les fabricants de vaccins font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique [43].

Astra Zeneca organise son exemption juridique [44].

L’Union Européenne (UE) indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus [45].

Vaccins obligatoires ?

D’après l’OMS et le Conseil de l’Europe, les vaccins ne devraient pas être obligatoires, et dans le même temps, des gouvernements parlent ouvertement d’imposer un passeport vaccinal avec discrimination certaine des non-vaccinés :

Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020 [46].

Pourtant, d’autres gouvernements plus avisés et qui protègent vraiment leurs populations ont décidé de faire un moratoire sur ces vaccinations aux effets inconnus, grevées d’effets secondaires et décès de par le monde, dont on nous dit qu’elles ne sont pas destinées à nous protéger des formes graves ni de la contagion et pour lesquelles toutes les étapes de sécurité ont été court-circuitées, foulant au sol le principe de précaution le plus élémentaire.

Le Premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais

Le premier ministre thaïlandais a déclaré dimanche qu’il ne permettrait pas aux Thaïlandais d’être utilisés comme cobayes pour tester l’efficacité des vaccins Covid-19. Tous les vaccins déployés en Thaïlande doivent être sans danger [47].

De même, Madagascar et les Suédois refusent ces vaccins [48-49].

Y avait-il vraiment urgence ?

L’urgence est pourtant toute relative, avec un taux de mortalité (IFR-Infection Fatality Rate) dans toute la population mondiale, selon l’OMS, de 0,23%, soit un taux de survie au COVID-19 de 99,77% ! [50]

L’argument pour justifier une mise sur le marché à la hâte d’un vaccin anti-COVID est l’ampleur de la pandémie COVID-19 ayant imposé l’arrêt de toute l’économie jusqu’à ce qu’un vaccin soit disponible.

Pourtant, toutes les prévisions catastrophiques ont été revues à la baisse [51].

Les projections de décès faites par l’Imperial College de Londres (Neil Fergusson) en l’absence de confinement étaient très exagérées [52].

Les chercheurs qui ont écrit dans le UK Telegraph le 16 mai dernier l’ont qualifié de « l’erreur logicielle la plus dévastatrice de tous les temps ». Ils ont écrit que « nous virerions n’importe qui pour avoir développé un code comme celui-ci » et que la question était « pourquoi notre gouvernement n’a pas obtenu un second avis avant d’avaler la prescription d’Imperial » [53].

N’y avait-t-il rien d’autre à faire ?

D’autres solutions plus naturelles, moins dangereuses, pour lesquelles nous disposons de dizaines d’années de recul sur les éventuels effets secondaires, existent, rendant encore plus relative cette notion d’urgence vaccinale avec des produits expérimentaux, dont les phases d’évaluation (efficacité et dangers) ne sont pas terminées, vaccinations grevée de dangers graves pour la santé humaine, en particulier en matière de coronavirus !

Beaucoup de médecins soutiennent ces solutions alternatives :

  • Ivermectine [54] associée à un antibiotique
  • Antibiotique (Azithromycine) [55]
  • Hydroxychloroquine [56] associée à un antibiotique [57]
  • Vitamine D3 [58]
  • Vitamine C [59]
  • ZINC [60] 
  • Sélénium [61]
  • Artemisia Annua [62]
  • Mélatonine [63]
  • Colchicine [64]

Pour certains de ces produits, le nombre de références et de preuves d’efficacité et surtout de sécurité est impressionnant, et les tentatives des autorités pro-vaccinales et des médias écrits et parlés qui répètent leurs mantras comme des perroquets sont de plus en plus ridicules. Cela ne serait que risible, si ces dénis et mensonges n’entraînaient pas autant de morts et de maladies évitables.

Épilogue

L’humanité est l’objet d’une expérimentation à grande échelle.

Tout cet article, références à l’appui, montre que :

  • L’urgence sanitaire utilisée comme prétexte à une telle prise de risque avec nos santés, nos libertés et nos patrimoines génétiques ne tient pas la route, avec un taux de survie spontanée au COVID-19 (en ne faisant rien) de 99,77 % pour toute la population. Le taux de survie et la qualité de survie seraient encore plus élevés en permettant aux médecins de prescrire les traitements efficaces dont l’ivermectine.
  • Les vaccins, surtout les formes génétiques, ADN et ARNm, préparées en moins d’un an en court-circuitant toutes les étapes de sécurité habituelles dont les essais sur animaux, et sans attendre un recul indispensable, sont de petites bombes à retardement dans nos cellules, et les effets secondaires graves, les décès déjà rapportés montrent que le remède est pire que le problème.
  • Des solutions alternatives, efficaces et surtout plus sûres, existent. Seulement elles ne rapportent rien aux firmes pharmaceutiques qui ont déjà empoché des milliards de dollars et d’euros, et ce n’est rien à côté des milliards de dollars que les maladies auto-immunes et autres fléaux engendrés par ces vaccins préparés à la hâte leur promettent, tout en ayant fait attention à échapper à toute poursuite pénale pour tous les dommages que leurs vaccins ne manqueront pas de causer. C’est déjà commencé.

Humanité ! Est-ce vraiment ce que tu veux ?

Sinon, il faut se réveiller.

Dr Pascal Sacré


Notes (sources) :

[1] Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments : 
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html

[2] https://www.prescrire.org/Fr/203/1845/60820/0/PositionDetails.aspx 

[3] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/livermectine-victime-dattaques-malhonnetes 

[4] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-coronavirus-dangers-vaccin-elabore-hate-80089/

[5] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363 

[6] Vennema, H. et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

[7] Hohdatsu, T & al, A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

[8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3335060/ , 2012, PloS One
Immunization with SARS Coronavirus Vaccines Leads to Pulmonary Immunopathology on Challenge with the SARS Virus

[9] Molecular Mechanism for Antibody-Dependent Enhancement of Coronavirus Entry, Journal of Virology

[10] SARS vaccines : where are we ?, Expert Rev Vaccines 2009 Jul ; 8(7) :887-98. Doi : 10.1586/erv.09.43.

[11] https://www.vidal.fr/actualites/26105/vaccins_contre_la_covid_19_doit_on_s_inquieter_du_risque_de_maladie_aggravee_chez_les_personnes_vaccinees/

[12] https://fort-russ.com/2020/05/were-conspiracy-theorists-right-bill-gates-supported-moderna-inc-prepares-mid-stage-trials-for-covid-19-vaccine/ , 8 mai 2020

[13] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31607599/ , Vaccine, 10 janvier 2020, Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season.

[14] https://blogs.bmj.com/bmj/2021/01/04/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-we-need-more-details-and-the-raw-data/ 

[15] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363

[16] PCR : Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com). Texte intégral du jugement en portugais publié : sur :
http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

[17] Will covid-19 vaccines save lives ? Current trials aren’t designed to tell us  
BMJ  2020
https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037

[18] https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro–and-nanocontamination.html  New Quality-Control Investigations on Vaccines : Micro- and Nanocontamination, par Antonietta M Gatti et Stefano Montanari, 23 janvier 2017

[19] https://www.santelog.com/actualites/grossesse-et-pollution-les-microparticules-traversent-le-placenta :  GROSSESSE et POLLUTION : Les microparticules traversent le placenta

[20] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/enfant-nanotubes-carbone-trouves-poumons-petits-parisiens-60199/ : Des chercheurs de l’université de Paris-Saclay ont trouvé des nanotubes de carbone dans les cellules des voies respiratoires d’enfants asthmatiques vivant en région parisienne. Ces nanotubes pourraient provenir d’émissions de gaz d’échappement et entrer dans les poumons de chacun d’entre nous.

[21] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-pollution-air-fait-mal-coeur-26390/#xtor=RSS-8 : La pollution de l’air modifie le diamètre des microvaisseaux et augmente ainsi les risques de maladies cardiovasculaires.

[22] https://changera.blogspot.com/2014/04/les-nano-particules-endommagent-ladn.html : Les nanoparticules dans les produits de consommation courante et leurs actions sur l’ADN pouvant mener au cancer !

[23] https://www.sciencemag.org/news/2020/11/fever-aches-pfizer-moderna-jabs-aren-t-dangerous-may-be-intense-some

[24] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27804292/

[25] Szabó, G., Jr., Kiss, A. and Trón, L. (1982), Permeabilization of lymphocytes with polyethylene glycol 1000. Discrimination of permeabilized cells by flow cytometry. Cytometry, 3 : 59-63. 
https://doi.org/10.1002/cyto.990030113,Shiraishi K, Yokoyama M. Toxicity and immunogenicity concerns related to PEGylated-micelle carrier systems : a review. Sci Technol Adv Mater. 2019 ;20(1):324-336. Published 2019 Apr 15. Doi :10.1080/14686996.2019.1590126

[26] Lucchese G, Flöel A. Molecular mimicry between SARS-CoV-2 and respiratory pacemaker neurons. Rev. 2020 ;19(7) :102556. Doi : 10.1016/j.autrev.2020.102556
Lucchese, G., Flöel, A. SARS-CoV-2 and Guillain-Barré syndrome : Molecular mimicry with human heat shock proteins as potential pathogenic mechanism. Cell Stress and Chaperones 25, 731–735 (2020). 
https://doi.org/10.1007/s12192-020-01145-6

[27] https://peerj.com/articles/10112/ : Positive association between COVID-19 deaths and influenza vaccination rates in elderly people worldwide
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31607599 : Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season

[28] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22423139 : Increased risk of non influenza respiratory virus infections associated with receipt of inactivated influenza vaccine Benjamin J. Cowling & al.

[29] https://www.aimsib.org/2020/09/27/vaccin-anti-grippal-et-facilitation-de-linfection-par-les-anticorps/

[30] Toxicity Grading Scale for Healthy Adult and Adolescent Volunteers Enrolled in Preventive Vaccine Clinical Trials : 
https://www.fda.gov/media/73679/download 

[31] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf

[32] https://lesakerfrancophone.fr/effets-secondaires-du-vaccin-pfizer

[33] https://www.mondialisation.ca/de-plus-en-plus-de-deces-decoulent-de-la-reussite-du-vaccin-pfizer/5653321

[34] https://twitter.com/pacharlotte3/status/1356609473054453760

[35] https://www.syracuse.com/coronavirus/2021/01/covid-19-outbreak-at-auburn-nursing-home-infects-137-residents-kills-24.html

[36] https://www.nytimes.com/2021/01/12/health/covid-vaccine-death.html

[37] https://childrenshealthdefense.org/defender/death-by-coincidence/
Comment les nombreux effets secondaires graves et les décès suite au vaccin sont masqués malgré les rapports dans les fichiers de recueil
Par Robert F Kennedy Jr

[38] https://childrenshealthdefense.org/defender/thousands-covid-vaccine-injuries-13-deaths-reported-december/

[39] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg48-deja-132-deces-declares-dans-eudravigilance-seulement-26-jours 

[40] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2775646
Allergic Reactions Including Anaphylaxis After Receipt of the First Dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine, 21 janvier 2021, Tom Shimabukuro & al.

[41] Allergic Reactions Including Anaphylaxis After Receipt of the First Dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine — United States, December 14–23, 2020 : 
https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7002e1.htm 
PDF à télécharger : 
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf 

[42] https://www.hrsa.gov/vaccine-compensation/index.html, The National Vaccine Injury Compensation Program (VICP) is a no-fault alternative to the traditional legal system for resolving vaccine injury petitions.
https://www.bclplaw.com/en-US/insights/immunity-from-liability-under-the-us-prep-act-for-medical-countermeasures-during-the-sars-cov-2covid-19-pandemic.html , 22 mai 2020
Key Points

  • HHS Declaration Provides Immunity : During a public health emergency, the Secretary of HHS can issue a Declaration providing broad tort immunity for “Covered Persons” engaging in “Recommended Activities” with “Covered Countermeasures.”
  • Covered Persons : The entities covered include, among others, manufacturers and distributors.

[43] 26 août 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d

[44] 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN

[45] 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072

[46] https://lecourrier-du-soir.com/covid-19-le-vaccin-sera-obligatoire-pour-obtenir-un-emploi-voyager-aller-au-resto-ou-assister-a-un-evenement-sportif-ou-culturel/ 

[47] Le Premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais

[48] https://www.rfi.fr/fr/afrique/20201127-covid-19-%C3%A0-madagascar-le-gouvernement-refuse-les-vaccins-et-pr%C3%A9f%C3%A8re-les-rem%C3%A8des-locaux

[49] https://www.lematin.ch/story/echaudes-les-suedois-refusent-le-vaccin-du-covid-371594447544?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR0IHlw8J-voxhA3TdwD4dYlYaDix21nnF43Uh2RTcFEL4sX3zAyUO9Gk-s#Echobox=1606467567

[50] https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf

[51] https://www.newswire.ca/news-releases/new-cdc-data-on-covid-19-828847530.html

[52] https://www.nytimes.com/2020/03/17/world/europe/coronavirus-imperial-college-johnson.html : It wasn’t so much the numbers themselves, frightening though they were, as who reported them : Imperial College London. The report, which warned that an uncontrolled spread of the disease could cause as many as 510,000 deaths in Britain, triggered a sudden shift in the government’s comparatively relaxed response to the virus. American officials said the report, which projected up to 2.2 million deaths in the United States from such a spread, also influenced the White House to strengthen its measures to isolate members of the public.

[53] Neil Ferguson’s Imperial model could be the most devastating software mistake of all time (telegraph.co.uk) 

[54] IVERMECTINE

1- FLCCC Front Line Covid-19 Critical Care Alliance
https://covid19criticalcare.com/flccc-ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-covid-19/

https://covid19criticalcare.com/i-mask-prophylaxis-treatment-protocol/faq-on-ivermectin/
https://www.youtube.com/watch?v=MEk-VOufVGQ

https://youtu.be/n2MlliaLC0Ahttps://www.youtube.com/watch?v=blpV5QDJrn4                                        
Dr Pierre Kory :  » Nous avons un traitement qui marche ! « 

2- Dr Tess Lawrie  

https://www.researchgate.net/profile/Theresa_Lawrie

https://www.e-bmc.co.uk/

Ivermectin reduces the risk of death from COVID-19 – a rapid review and meta-analysis in support of the recommendation of the Front Line COVID-19 Critical Care Alliance.

PDF : https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_1b1399cb64514dc4bdcbef0cd15f7878.pdf 

Ivermectin is an essential drug to reduce morbidity and mortality from COVID-19 infection.  Placebo-controlled trials of ivermectin treatment among people with COVID-19 infection are no longer ethical and active placebo-controlled trials should be closed.

Baisse de 83% de la mortalité
Une médecin et chercheuse britannique, la Doctoresse Tess Lawrie, qui dirige une entreprise spécialisée dans l’évaluation indépendante de données médicales et qui est régulièrement mandatée par l’OMS, a repris et vérifié consciencieusement toutes les études présentées dans le rapport de la FLCCC pour publier sa propre méta-analyse, disponible sur son site (rapport) (EtD Framework).  

Elle arrive exactement aux mêmes conclusions : “Nous avons maintenant des preuves solides de l’existence d’un traitement efficace de la covid-19”.

3- Swiss Policy Research

Covid-19 : WHO-sponsored preliminary review indicates Ivermectin effectiveness

4 – https://www.youtube.com/watch?v=eu61dtsSLrk 

Dr. Andrew Hill’s Ivermectin meta-analysis, from University of Liverpool, England
https://www.researchgate.net/publication/348610643_Meta-analysis_of_randomized_trials_of_ivermectin_to_treat_SARS-CoV-2_infection

5- https://c19ivermectin.com/

6-  https://ivermectine-covid.ch/quattend-on-pour-utiliser-livermectine-en-suisse-romande/

Un traitement efficace contre le Covid existe, selon un nombre croissant d’experts. Il réduit la mortalité de près de 80%, est bon marché et sans danger.

7-https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/un-traitement-efficace-existe-mais-il-est-ignore

8- https://nouvelle-page-sante.com/ne-renoncez-pas-trop-vite-a-livermectine/

9- https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/10428194.2020.1786559

Continuous high-dose ivermectin appears to be safe in patients with acute myelogenous leukemia and could inform clinical repurposing for COVID-19 infection

Le Dr Kory et son collectif (FLCCC) ne sont pas les seuls à penser que l’ivermectine peut jouer un rôle déterminant dans la lutte contre la covid-19. Le Dr Thomas Borody, inventeur de la trithérapie contre le H. Pylori, la bactérie responsable des ulcères, l’affirmait également cet été à tous les médias qui voulaient bien l’écouter (c’est-à-dire quelques-uns seulement): l’ivermectine est une “vraie tueuse de coronavirus”.

Médicament sûr :

Kircik, LH, Del Rosso, JQ, Layton AM, Schauber J. Over 25 Years of Clinical Experience With Ivermectin : An Overview of Safety for an Increasing Number of Indications. J Drugs Derm 2016 ; 15 :325-332. 

Médicament essentiel :

World Health Organization. 21st Model List of Essential Medicines. Geneva, Switzerland. 2019. 
https://www.who.int/publications/i/item/WHOMVPEMPIAU2019.06.  Accessed 29 December 2020.

[55] ANTIBIOTIQUE – AZITHROMYCINE

https://papers.ssrn.com/sol3/Delivery.cfm/SSRN_ID3712423_code4425108.pdf?abstractid=3712423&mirid=1, PDF : The Role of Macrolide Antibiotics in the Prevention of Severe COVID-19 Disease Progression Via the Disruption of Bacteria/virus Co-Operation. The use of Azithromycin (ATM) to prevent the adverse effects of the COVID-19 represents a potential avenue for further research. This article reviewed the clinical evidence and specialised molecular research to describe the dual antiviral and antibacterial role of ATM, and the potential co-operation between mycoplasmas and SARS-CoV-2.

[56] HYDROXYCHLOROQUINE HCQ :

IN VITRO – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32150618/   28 juillet 2020

In Vitro Antiviral Activity and Projection of Optimized Dosing Design of Hydroxychloroquine for the Treatment of Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2)

Clinique :

Prof. Harvey Risch, Yale University : 
Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk COVID-19 Patients That Should Be Ramped Up Immediately as Key to the Pandemic Crisis – PubMed (nih.gov)

The American Journal of Medicine : 
Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection – The American Journal of Medicine (amjmed.com)

Un professeur d’épidémiologie de Yale recommande la généralisation du traitement Raoult aux Etats-Unis (covexit.com)

HCQ for COVID-19 : real-time analysis of all 248 studies (c19study.com) 

Covid-19 : Quel est le traitement standard ? Inclut-il l’hydroxychloroquine ? MAJ le 4/08/2020 (francesoir.fr)

Le petit livre blanc au sujet de l’hydroxychloroquine (francesoir.fr)

L’hydroxychloroquine, du rationnel scientifique au traitement des patients – YouTube 

Use of hydroxychloroquine in hospitalised COVID-19 patients is associated with reduced mortality : Findings from the observational multicentre Italian CORIST study – European Journal of Internal Medicine (ejinme.com) : European journal of internal medicine 25 août 2020, use of hydroxychloroquine in hospitalised COVID-19 patients is associated with reduced mortality : Findings from the observational multicentre Italia. HCQ use was associated with a 30% lower risk of death in COVID-19 hospitalized patients. Within the limits of an observational study and awaiting results from randomized controlled trials, these data do not discourage the use of HCQ in inpatients with COVID-19.  33 hôpitaux italiens rapportent une réduction de mortalité de 30% avec l’hydroxychloroquine dans une grande étude rétrospective bien menée.

Risk of hydroxychloroquine alone and in combination with azithromycin in the treatment of rheumatoid arthritis : a multinational, retrospective study – The Lancet Rheumatology : 1 million de patients traités à l’HCQ, pas d’effets secondaires cardiaques en usage de moins de 30 jours. En parallèle, le Lancet rapporte que l’HCQ n’accroît pas le risque cardiaque quand elle est prescrite pour moins de 30 jours, donc, il ne devrait plus y avoir de problème pour l’administrer en médecine de ville…pour les médecins qui y voient un bénéfice pour leurs patients.

Un argument pour l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour la prophylaxie du SRAS-CoV-2 : 
Hydroxychloroquine : stop mensonges ! – Anthropo-logiques (tdg.ch)

Meta-analysis on chloroquine derivatives and COVID-19 mortality – October, 20, 2020 Update – IHU (mediterranee-infection.com) : META-ANALYSIS ON CHLOROQUINE DERIVATIVES AND COVID-19 MORTALITY – OCTOBER, 20, 2020 UPDATE.

En cas de conflit d’intérêts avec Gilead, 73 pour cent des articles affirment que l’hydroxychloroquinene fonctionne pas, et s’il n’y a pas de conflit d’intérêts, 83 pour cent des articles concluent que l’hydroxychloroquinefonctionne.

Influence of conflicts of interest on public positions in the COVID-19 era, the case of Gilead : 
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297520300627?via%3Dihub 

Étude frauduleuse du Lancet : 
Hydroxychloroquine : les auteurs de l’étude publiée par le Lancet ont tous un conflit d’intérêt… (entelekheia.fr)

Coronavirus : Pays où l’hydroxychloroquine est recommandée – IHU (mediterranee-infection.com), avec tous leurs protocoles de traitement

Résultats de terrain : 
Lorraine | Coronavirus. Chloroquine : le bilan très positif d’un praticien lorrain (estrepublicain.fr)

[57] HYDROXYCHLOROQUINE + ANTIBIOTIQUE

Azithromycin and Hydroxychloroquine Accelerate Recovery of Outpatients with Mild/Moderate COVID-19

PDF : https://www.journalajmah.com/index.php/AJMAH/article/view/30224/56706

https://fortunejournals.com/articles/revisiting-a-metaanalysis-shows-that-hydroxychloroquine-with-azithromycin-may-be-efficient-in-covid19-patients.html : Revisiting a Meta-analysis Shows that Hydroxychloroquine with Azithromycin may be Efficient in Covid-19 patients

[58] VITAMINE D3

In patients hospitalized with COVID-19, calcifediol treatment at the time of hospitalization significantly reduced ICU admission and mortality : 
https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3771318# 

“Effect of calcifediol treatment and best available therapy versus best available therapy on intensive care unit admission and mortality among patients hospitalized for COVID-19 : A pilot randomized clinical study” – ScienceDirect

Vitamin D for COVID-19 : real-time analysis of all 65 studies (c19vitamind.com)

The role of vitamin D in the prevention of coronavirus disease 2019 infection and mortality : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7202265/

Vitamin D and Inflammation : Potential Implications for Severity of Covid-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32603576/

COVID-19 severity and mortality appear related to vitamin D deficiency : 
COVID-19 ’ICU’ risk – 20-fold greater in the Vitamin D Deficient. BAME, African Americans, the Older, Institutionalised and Obese, are at greatest risk. Sun and ‘D’-supplementation – Game-changers ? Research urgently required. | The BMJ

Coronavirus : le taux de vitamine D influerait sur les risques d’infection et de décès : 
Coronavirus : le taux de vitamine D influerait sur les risques d’infection et de décès (trustmyscience.com)

Vitamin D deficiency and co-morbidities in COVID-19 patients – A fatal relationship ? : 
Vitamin D deficiency and co-morbidities in COVID-19 patients – A fatal relationship ? (Nih.gov)

The mortality of COVID-19 (cases/ million population) shows a clear dependence on latitude. Below latitude 35, mortality decreases markedly. 

These comorbidities, together with the often concomitant vitamin D deficiency, increase the risk of severe COVID-19 events. Much more attention should be paid to the importance of vitamin D status for the development and course of the disease. Particularly in the methods used to control the pandemic (lockdown), the skin’s natural vitamin D synthesis is reduced when people have few opportunities to be exposed to the sun. The short half-lives of the vitamin therefore make an increasing vitamin D deficiency more likely. Specific dietary advice, moderate supplementation or fortified foods can help prevent this deficiency. In the event of hospitalisation, the status should be urgently reviewed and, if possible, improved : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276229/pdf/main.pdf

Vitamin D deficiency and the COVID-19 pandemic : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7256612/

Analysis of vitamin D level among asymptomatic and critically ill COVID-19 patients and its correlation with inflammatory markers : 
https://www.nature.com/articles/s41598-020-77093-z 

Vitamin D insufficiency is prevalent in severe COVID-19 : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20075838v1

Evidence that Vitamin D Supplementation Could Reduce Risk of Influenza and COVID-19 Infections and Deaths : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7231123/#B93-nutrients-12-00988

Vitamin D Supplementation Associated to Better Survival in Hospitalized Frail Elderly COVID-19 Patients : The GERIA-COVID Quasi-Experimental Study : 
https://www.mdpi.com/2072-6643/12/11/3377

[59] VITAMINE C 

La carence en vitamine C est fréquente dans les populations à risque (hommes seuls, personnes âgées, sans domicile fixe, troubles psychiatriques…) et sous-évaluée dans la population générale. : 
Carences en vitamine C – EM consulte (em-consulte.com) 

Vitamin C for COVID-19 : real-time analysis of all 4 studies (c19vitaminc.com) 

https://www.evms.edu/media/evms_public/departments/internal_medicine/EVMS_Critical_Care_COVID-19_Protocol.pdf

Virologiste Anne-Mieke Vandamme KUL : fortes doses de vitamine C

La vitamine C aide-t-elle à résister au coronavirus COVID-19 ? : 
https://frankdelsaert.wordpress.com/2020/03/14/helpt-vitamine-c-weerstand-tegen-covid-19-coronavirus/ 

https://efsa.onlinelibrary.wiley.com/doi/pdfdirect/10.2903/j.efsa.2009.1226

De la Vitamine C hautement dosée pour prévenir et traiter le COVID-19 ? (Pressenza.com)

Quercetin and Vitamin C : An Experimental, Synergistic Therapy for the Prevention and Treatment of SARS-CoV-2 Related Disease (COVID-19) : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7318306/ 

[60] ZINC

Rôles du zinc dans l’immunité

The immune system and the impact of zinc during aging – PubMed (nih.gov)

Oral zinc supplementation demonstrates the potential to improve immunity and efficiently downregulates chronic inflammatory responses in the elderly. These data indicate that a wide prevalence of marginal zinc deficiency in elderly people may contribute to immunosenescence.

https://academic.oup.com/advances/article/10/4/696/5476413 , dans cet article paru le 22 avril 2019, dans la revue internationale « Advances in Nutrition », intitulé « The Role of Zinc in Antiviral Immunity », il y est dit que le Zinc joue un rôle essentiel dans la santé humaine : « The role of zinc as an antiviral can be separated into 2 categories : 1) zinc supplementation implemented to improve the antiviral response and systemic immunity in patients with zinc deficiency, and 2) zinc treatment performed to specifically inhibit viral replication or infection-related symptoms. »

Traduction : « Le rôle antiviral du Zinc peut être séparé en deux catégories : 1) Le Zinc comme prévention : une supplémentation en Zinc pour améliorer la réponse antivirale et l’immunité systémique chez les patients déficitaires en zinc, et 2) Le Zinc comme traitement spécifique pour inhiber la réplication virale ou les symptômes liés à l’infection. » 

Carences en ZINC :

OLIGO-ELEMENTS – IBC – ULB % (ulb-ibc.be) PDF à télécharger. Page 3/6 :

➢ Déficits en zinc et sélénium liés aux habitudes alimentaires (aliments à densité calorique élevée pauvres en micronutriments) et à l’augmentation des besoins liée au stress oxydant et à l’inflammation.

➢ Si le déficit en zinc est important et si la couverture des besoins est difficile, le recours à des formes orales de zinc est parfois justifié.

➢ Déficit en zinc plus fréquent chez les personnes institutionnalisées : apports alimentaires insuffisants, polymédication fréquente (IEC/ARA II). Associé à une incidence accrue d’infections, un défaut de cicatrisation des plaies (escarres) et une dysfonction du système immunitaire.

The immune system and the impact of zinc during aging – PubMed (nih.gov) Immun Ageing. 2009 Jun 12 ;6 :9. Doi : 10.1186/1742-4933-6-9 : The immune system and the impact of zinc during aging.

 “The trace element zinc is essential for the immune system, and zinc deficiency affects multiple aspects of innate and adaptive immunity.

Many studies confirm a decline of zinc levels with age.

Even marginal zinc deprivation can affect immune function.

Consequently, oral zinc supplementation demonstrates the potential to improve immunity and efficiently downregulates chronic inflammatory responses in the elderly. These data indicate that a wide prevalence of marginal zinc deficiency in elderly people may contribute to immunosenescence.”

Zinc et infections respiratoires :

OMS | Supplémentation en zinc visant à améliorer les effets du traitement chez les enfants atteints d’infections respiratoires (who.int), 2011

Zinc contre infections virales (in vitro) :

Zn2+ Inhibits Coronavirus and Arterivirus RNA Polymerase Activity In Vitro and Zinc Ionophores Block the Replication of These Viruses in Cell Culture (nih.gov) Une expérience conduite in vitro indique que lorsque les limitations à la pénétration intracellulaire du Zn2+ étaient levées, celui-ci inhibe efficacement, à des doses équivalentes à 2.0 μmol/L, l’activité de synthèse de l’ARN viral par le complexe de réplication et de transcription multiprotéique du SARS-CoV, poussant certains auteurs à considérer le zinc comme une option thérapeutique chez les patients atteint par le SARS-CoV-2

Zinc contre COVID-19 :

Zinc for COVID-19 : real-time analysis of all 9 studies (c19zinc.com)

Zinc for the prevention and treatment of SARS-CoV-2 and other acute viral respiratory infections : a rapid review (nih.gov)

[61] SELENIUM

An exploratory study of selenium status in healthy individuals and in patients with COVID-19 in a south Indian population : The case for adequate selenium status : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7657009/ 
Selenium Deficiency Is Associated with Mortality Risk from COVID-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32708526/ 
Early Nutritional Interventions with Zinc, Selenium and Vitamin D for Raising Anti-Viral Resistance Against Progressive COVID-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32784601/ 
Selenium and selenoproteins in viral infection with potential relevance to COVID-19 :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32992282/
Coronavirus : mise en évidence d’un lien entre les niveaux de sélénium et l’évolution de l’infection (trustmyscience.com) 
What about incorporating selenium in the therapeutic regimen of SARS-CoV-2 ? : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7744964/ 

[62] ARTEMISIA ANNUA :

L’ArtemisiaAnnua (armoise annuelle) est un antipaludéen de la pharmacopée traditionnelle africaine et chinoise ayant une action contre le COVID.
Covid-19 : Quel sort pour l’Artemisia ? – Entelekheia.fr
Pas assez chère ? L’Artemisia, mal aimée de la lutte contre la malaria (entelekheia.fr)

Artemisia annua L. extracts prevent in vitro replication of SARS-CoV-2 : 
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.01.08.425825v1 

Artemisia annua : Trials are needed for COVID‐19 : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276816/

Artemisia Spp. Derivatives for COVID-19 Treatment : Anecdotal Use, Political Hype, Treatment Potential, Challenges, and Road Map to Randomized Clinical Trials : 
https://www.ajtmh.org/view/journals/tpmd/103/3/article-p960.xml?tab_body=fulltext 

Artemisia Annua Could Be Promising Treatment for COVID-19 : 
https://med.uky.edu/news/artemisia-annua-could-be-promising-treatment-covid-19 

Recent lab studies by chemists at the Max Planck Institute of Colloids and Interfaces (Potsdam, Germany) in close collaboration with virologists at Freie Universität Berlin have shown that extract from the medicinal plant Artemisia annua, also known as Sweet Wormwood, is active against SARS-CoV-2

[63] MELATONINE :

Melatonin is significantly associated with survival of intubated COVID-19 patients : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1.full.pdf 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7574268/

Melatonin is significantly associated with survival of intubated COVID-19 patients, 18 octobre 2020 Preprint medRixv, Vijendra Ramlall & al
Complete version : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1 

PDF : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1.full.pdf 

Melatonin exposure after intubation is significantly associated with a positive outcome in COVID-19 and non-COVID-19 patients. Additionally, melatonin exposure after intubation is significantly associated with a positive outcome in COVID-19 patients requiring mechanical ventilation.
COVID-19 : La mélatonine est également incorporée dans les protocoles préventifs et thérapeutiques de la FLCCC Alliance et du professeur Paul Marik, aux USA.

I-MASK + : 
https://covid19criticalcare.com/i-mask-prophylaxis-treatment-protocol/i-mask-protocol-translations/ 

I-MATH + : 
https://covid19criticalcare.com/math-hospital-treatment/pdf-translations/ 
https://www.youtube.com/watch?v=bJZcDBTEGio  

A master-class comprehensive review by Dr. Paul E. Marik (FLCCC Alliance) of the most current scientific insights into the origin, replication, transmission, infectivity, pathophysiology, and treatment of COVID-19.

[64] COLCHICINE :

https://www.icm-mhi.org/fr/salle-presse/nouvelles/linstitut-cardiologie-montreal-icm-annonce-que-letude-clinique-colcorona-patients-atteints-covid-19

Étude COLCORONA
La colchicine, un médicament connu pour traiter la goutte, est évaluée comme traitement potentiel dans la lutte au coronavirus

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021




Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2

[Source : Recherches Covid-19]

[Photo : Alfred Abel, Rudolf Klein-Rogge et Gertrude Welcker dans Dr. Mabuse, le joueur (1922)]

Même l’Institut Robert Koch et d’autres autorités sanitaires ne peuvent pas présenter de preuve décisive qu’un nouveau virus appelé SARS-CoV-2 nous hante. Ce seul fait transforme le discours sur les mutations virales dangereuses en une campagne de peur irresponsable et les tests PCR du SARS-CoV-2 en une entreprise sans valeur.

Dans une demande d’étude qui montre l’isolement et la purification complète des particules prétendues être le SARS-Cov-2, Michael Laue, de l’un des plus importants représentants mondiaux de la “panique” COVID-19, l’institut allemand Robert Koch (RKI), a répondu à cela[1] :

Je n’ai pas connaissance d’un document qui ait purifié et isolé le SARS-CoV-2.

C’est une déclaration plus que remarquable, elle admet un échec complet. Cette concession est en accord avec les déclarations que nous avons présentées dans notre article «Les tests PCR COVID19 n’ont aucune signification scientifique» qu’OffGuardian a publié le 27 juin 2020 – un article qui a été le premier au monde à décrire en détail pourquoi les tests PCR du SARS-CoV-2 sont sans valeur pour le diagnostic d’une infection virale.

L’un des points cruciaux de cette analyse est que les études prétendant avoir montré que le SARS-Cov-2 est un nouveau virus potentiellement mortel n’ont aucun droit de le prétendre, notamment parce que les études prétendant à l’”isolement” du SARS-Cov-2 n’ont en fait pas réussi à isoler (purifier) les particules dites du nouveau virus.

Cela est confirmé par les réponses des scientifiques des études respectives à notre enquête, qui sont présentées dans un tableau dans notre article – parmi elles, le document le plus important au monde en ce qui concerne l’affirmation d’avoir détecté le SARS-Cov-2 (par Zhu et coll.), publié dans le New England Journal of Medicine le 20 février 2020, et maintenant même le RKI.

Soit dit en passant, nous sommes en possession d’une autre réponse de confirmation des auteurs [2] d’une étude australienne.

Recherché, en vain : le virus SARS-CoV-2

En outre, Christine Massey, une ancienne biostatisticienne canadienne dans le domaine de la recherche sur le cancer, et un de ses collègues en Nouvelle-Zélande, Michael Speth, ainsi que plusieurs personnes dans le monde entier (dont la plupart préfèrent rester anonymes) ont soumis des demandes de renseignements au titre de la liberté d’information à des dizaines d’institutions de santé et de sciences et à une poignée de bureaux politiques dans le monde.

Ils recherchent tout document décrivant l’isolation du virus du SARS-COV-2 à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade.

Mais les 46 institutions/bureaux qui ont répondu n’ont absolument pas fourni ou cité de dossier décrivant l’isolement du “SARS-COV-2” ; et le ministère allemand de la Santé a complètement ignoré leur demande de liberté d’information.

L’entrepreneur allemand Samuel Eckert a demandé aux autorités sanitaires de différentes villes telles que Munich, Düsseldorf et Zurich une étude prouvant l’isolation complète et la purification du “SARS-CoV-2”. Il ne l’a pas encore obtenue.

Récompenses pour la preuve de l’isolement et de la causalité

Samuel Eckert a même promis 230 000 euros à Christian Drosten s’il peut présenter des extraits de publications qui prouvent scientifiquement le processus d’isolation du SARS-CoV-2 et de sa substance génétique. La date limite (31 décembre 2020) est passée sans que Drosten réponde à Eckert.

Et une autre date limite est passée le 31 décembre sans que la documentation souhaitée soit présentée. Dans ce cas, le journaliste allemand Hans Tolzin a offert une récompense de 100 000 euros pour une publication scientifique décrivant une tentative d’infection réussie avec le SARS-Cov-2, qui a entraîné de manière fiable une maladie respiratoire chez les sujets testés.
La variation de la taille des particules réduit également l’hypothèse du virus à l’absurdité.

Récemment, nous avons été effrayés par de prétendues nouvelles souches de “SARS-CoV-2”, mais cette affirmation n’est pas fondée sur une science solide.

Tout d’abord, on ne peut pas déterminer le variant d’un virus si l’on n’a pas complètement isolé le virus original.

Deuxièmement, il existe déjà des dizaines de milliers de nouvelles souches supposées, “trouvées” depuis l’hiver dernier dans le monde entier. En fait, la banque de données du virus GISAID compte maintenant plus de 452 000 séquences génétiques différentes qui prétendent représenter un variant ou une mutation du SARS-Cov2.

Ainsi, prétendre qu’il y a soudainement de “nouvelles souches” est de la foutaise, même d’un point de vue orthodoxe, parce que, de ce point de vue, les virus mutent constamment. Ainsi, ils peuvent constamment proclamer avoir trouvé de nouvelles souches, perpétuant la peur.

Cette crainte est d’autant plus absurde que les micrographies électroniques publiées dans les études concernées montrent des particules qui sont censées représenter le SARS-CoV-2. Ces images révèlent que la taille de ces particules est extrêmement variable. En fait, la largeur de bande varie de 60 à 140 nanomètres (nm). Un virus qui présente une telle variation de taille extrême ne peut pas réellement exister.

Grâce à un appareil de mesure de la taille (FreeRuler), les particules que les auteurs attribuent au SARS-CoV-2 peuvent être mesurées. Les particules agrandies de la photo de gauche mesurent environ 100 nm chacune (sur une échelle de 100 nm). Mais sur l’image de droite, toutes les petites particules indiquées par des flèches comme étant le SARS-CoV-2, mesurées sur une échelle de 1 MicroM (1 000 nm), ont des tailles totalement différentes.

Les flèches noires indiquent en fait des vésicules. En mesurant certaines de ces particules avec la règle, le résultat est que dans la vésicule centrale, la particule la plus haute au centre mesure presque 52 nm, donc en dessous de la plage proposée par Zhu et al (60 à 140 nm) ; la particule immédiatement à sa droite mesure un peu plus, environ 57. 5nm, mais toujours en dessous de la limite ; alors que, presque au centre de la vésicule la plus basse, la plus grosse particule (flèche jaune) mesure environ 73,7nm, se situant dans les larges marges de Zhu et coll. enfin, dans la vésicule inférieure gauche, la plus grosse particule mesure un bon 155,6nm, c’est-à-dire bien au-dessus de la limite maximale définie par Zhu et coll. (140nm).

Il est probable que la correction effectuée récemment sur Wikipédia visait précisément à couvrir ce problème.

Il existe d’autres indications fortes que les particules appelées SARS-CoV-2 dans ces images pourraient en fait être ces particules inoffensives ou même utiles, appelées “vésicules extracellulaires” (EV), qui ont des dimensions extrêmement variables (de 20 à 10.000nm), mais qui pour la plupart vont de 20nm à 200nm, et qui comprennent, comme sous-catégorie, celle des “exosomes”.

Les exosomes sont des particules produites par nos cellules et contiennent des acides nucléiques, des lipides et des protéines, et sont impliqués dans diverses activités utiles à notre corps, comme le transport de molécules immunitaires et de cellules souches, ainsi que l’élimination des débris cataboliques de la cellule.

Les exosomes représentent peut-être la plus grande part des VE et font l’objet de nombreuses études depuis plus de 50 ans. Bien que peu de gens aient entendu parler de ces particules bénéfiques, la littérature scientifique à leur sujet est énorme, et seulement sur PubMed, si l’on tape “exosome”, plus de 14 000 études sont fournies ! Nous ne pouvons pas entrer dans les détails des VE et des exosomes ici, mais il est important de souligner comment ils sont indiscernables des virus sur microscopie électronique, et plusieurs scientifiques pensent qu’en réalité ce qui est défini comme un virus dangereux n’est rien d’autre qu’un exosome bénéfique dans certains cas.

Cela est immédiatement visible au microscope électronique [3] :

Comme on peut le voir, le plus grand des exosomes est de la même taille et structure que le prétendu SARS-CoV-2, et il est donc plausible de croire que, dans la grande mer de particules contenues dans le surnageant du liquide broncho-alvéolaire du patient COVID-19, ce qui est considéré comme le SARS-CoV-2 n’est qu’un exosome.

Pourquoi la purification est essentielle pour prouver l’existence du SARS-Cov-2

Donc, logiquement, si nous avons une culture avec d’innombrables particules extrêmement similaires, la purification des particules doit être la toute première étape pour pouvoir vraiment définir les particules que l’on croit être des virus comme des virus (en plus de la purification des particules, bien sûr, il faut ensuite déterminer sans faille, par exemple, que les particules peuvent causer certaines maladies dans des conditions réelles et pas seulement en laboratoire).

Par conséquent, si aucune “purification” des particules n’a été effectuée nulle part, comment peut-on prétendre que l’ARN obtenu est un génome viral ? Et comment cet ARN peut-il alors être largement utilisé pour diagnostiquer une infection par un nouveau virus, que ce soit par un test PCR ou autre ? Nous avons posé ces deux questions à de nombreux représentants du récit officiel du Covid dans le monde entier, mais personne n’a pu y répondre.

Par conséquent, comme nous l’avons indiqué dans notre article précédent, le fait que les séquences de gènes d’ARN – que les scientifiques ont extraites d’échantillons de tissus préparés dans le cadre de leurs études in vitro et auxquelles les tests RT-PCR du SARS-CoV-2 ont finalement été “calibrés” – appartiennent à un nouveau virus pathogène appelé SARS-CoV-2 est donc basé sur la foi seule, et non sur des faits.

Par conséquent, on ne peut conclure que les séquences de gènes d’ARN “tirées” des échantillons de tissus préparés dans le cadre de ces études, auxquelles les tests PCR sont “calibrés”, appartiennent à un virus spécifique, en l’occurrence le SARS-CoV-2.

Au lieu de cela, dans toutes les études prétendant avoir isolé et même testé le virus, on a fait quelque chose de très différent : les chercheurs ont prélevé des échantillons de la gorge ou des poumons de patients, les ont ultracentrifugés (projetés à grande vitesse) pour séparer les molécules les plus grosses/lourdes des plus petites/légères, puis ont pris le surnageant, la partie supérieure du matériel centrifugé.

C’est ce qu’ils appellent “isoler”, auquel ils appliquent ensuite la PCR. Mais ce surnageant contient toutes sortes de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes mentionnés plus haut, qui sont produites par notre propre corps et sont souvent simplement impossibles à distinguer des virus :

De nos jours, il est presque impossible de séparer les VE et les virus au moyen de méthodes d’isolement des vésicules canoniques, telles que l’ultracentrifugation différentielle, car elles sont souvent co-pulvérisées en raison de leur dimension similaire… comme il est dit dans l’étude The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses publiée en mai 2020 dans la revue Viruses.

Ainsi, les scientifiques “créent” le virus par PCR : vous prenez des amorces, c’est-à-dire des séquences génétiques préalablement existantes disponibles dans des banques génétiques, vous les modifiez sur la base d’un raisonnement purement hypothétique, et vous les mettez en contact avec le bouillon surnageant, jusqu’à ce qu’elles s’attachent (s’annulent) à un certain ARN dans le bouillon ; puis, par l’intermédiaire de l’enzyme transcriptase inverse, vous transformez l’ARN ainsi “pêché” en un ADN artificiel ou complémentaire (ADNc), qui peut alors, et seulement alors, être traité par PCR et multiplié par un certain nombre de cycles PCR.

(Chaque cycle double la quantité d’ADN, mais plus le nombre de cycles nécessaires pour produire du matériel “viral” détectable est élevé, plus la fiabilité de la PCR – c’est-à-dire sa capacité à “obtenir” réellement quelque chose de significatif du surnageant – est faible. Au-delà de 25 cycles, le résultat a tendance à être dénué de sens, et tous les tests ou protocoles PCR en circulation actuellement utilisent toujours bien plus de 25 cycles, en fait généralement 35 à 45).

Pour aggraver les choses, les amorces sont constituées de 18 à 24 bases (nucléotides) chacune ; le virus SARS-Cov2 est censé être composé de 30 000 bases ; l’amorce ne représente donc que le 0,08% du génome du virus. Il est donc encore moins possible de sélectionner le virus spécifique que vous recherchez sur un terrain aussi minuscule, et de plus dans une mer de milliards de particules très similaires.

Mais ce n’est pas tout. Comme le virus que vous recherchez est nouveau, il n’existe manifestement pas d’amorces génétiques prêtes à correspondre à la fraction spécifique du nouveau virus ; vous prenez donc des amorces qui, selon vous, peuvent être plus proches de la structure supposée du virus, mais il s’agit d’une supposition, et lorsque vous appliquez les amorces au bouillon surnageant, vos amorces peuvent s’attacher à n’importe laquelle des milliards de molécules présentes dans celui-ci, et vous n’avez aucune idée que ce que vous avez ainsi généré est le virus que vous recherchez. Il s’agit en fait d’une nouvelle création des chercheurs, qui l’appellent alors SARS-CoV-2, mais il n’y a aucun lien avec le “vrai” virus présumé responsable de la maladie.

Le «génome du virus» n’est rien d’autre qu’un modèle informatique

Le génome complet du virus SARS-CoV-2 n’a jamais été séquencé et a plutôt été “reconstitué” sur ordinateur. Le médecin californien Thomas Cowan a appelé cela une “fraude scientifique”. Et il n’est pas le seul, et de loin !

Cowan a écrit le 15 octobre 2020 [c’est nous qui soulignons] :

Cette semaine, ma collègue et amie Sally Fallon Morell a attiré mon attention sur un article étonnant publié par le CDC en juin 2020. L’objectif de l’article était qu’un groupe d’environ 20 virologistes décrivent l’état de la science de l’isolation, de la purification et des caractéristiques biologiques du nouveau virus SARS-CoV-2, et qu’ils partagent ces informations avec d’autres scientifiques pour leurs propres recherches.

Une lecture approfondie et attentive de cet important document révèle des conclusions choquantes.

La partie de l’article intitulée “Séquençage du génome entier” montre que plutôt que d’avoir isolé le virus et séquencé le génome de bout en bout”, le CDC “a conçu 37 paires de PCR emboîtées couvrant le génome sur la base de la séquence de référence du coronavirus (n° d’accès GenBank NC045512).

On peut donc se demander comment ils ont séquencé le virus, c’est-à-dire l’ont analysé génétiquement ?

Eh bien, ils n’ont pas analysé l’ensemble du génome, mais ont plutôt pris quelques séquences trouvées dans les cultures, ont affirmé sans preuve qu’elles appartenaient à un nouveau virus spécifique, puis ont fait une sorte de puzzle informatique génétique pour remplir le reste. “Ils utilisent la modélisation informatique pour créer un génome à partir de zéro“ comme le dit le biologiste moléculaire Andrew Kaufman.

https://youtu.be/sSBQUIEUbQ8

Il n’est donc peut-être pas surprenant que l’une des amorces du test mis au point par l’Institut Pasteur corresponde exactement à une séquence du chromosome 8 du génome humain.

Aucune preuve que le SARS-CoV-2 peut voler dans les airs

Pour soi-disant arrêter la propagation du prétendu nouveau virus, nous sommes obligés de pratiquer diverses formes de distanciation sociale et de porter des masques. Derrière cette approche se cache l’idée que les virus, et en particulier le SARS-CoV-2, que l’on croit responsable de la maladie respiratoire Covid-19, se transmettent par l’air ou, comme on l’a dit plus souvent, par les gouttelettes nébulisées dans l’air de ceux qui toussent ou éternuent ou, selon certains, parlent simplement.

Mais la vérité est que toutes ces théories sur la transmission du virus ne sont que des hypothèses qui n’ont jamais été prouvées.

Il manquait des preuves dès le début. Comme le rapporteNature dans un article d’avril 2020, les experts ne sont pas d’accord sur le fait que le SARS-CoV-2 se transmet par voie aérienne, et selon l’OMS elle-même, “les preuves ne sont pas convaincantes”.

Même d’un point de vue orthodoxe, les seules études dans lesquelles la transmission d’un coronavirus (pas le SARS-Cov2) par l’air a été “prouvée” de manière préliminaire ont été menées dans des hôpitaux et des maisons de soins, dans des endroits qui sont censés produire tous types d’infections en raison des conditions d’hygiène.

Mais aucune étude n’a jamais prouvé qu’il y avait transmission de virus dans des environnements ouverts, ou dans des environnements fermés, mais bien ventilés. Même en supposant qu’il y ait cette transmission par voie aérienne, il a été souligné que, pour que la “contagion” se produise, il est nécessaire que les personnes entre lesquelles la prétendue transmission se produit soient en contact étroit pendant au moins 45 minutes.

En bref, toutes les mesures d’éloignement radical n’ont aucun fondement scientifique.

Pas d’«infection» asymptomatique

Comme la purification des particules est la condition préalable indispensable pour les étapes suivantes, c’est-à-dire la preuve de la causalité et le “calibrage” des tests, nous avons un test diagnostiquement insignifiant et le mantra “test, test, test” de Tedros Adhanom Ghebreyesus de l’OMS, mentionné dans notre article du 27 juin, doit donc être qualifié de non scientifique et de trompeur.

Cela est particulièrement vrai pour les tests effectués sur des personnes ne présentant pas de symptômes. Dans ce contexte, même une étude chinoise de Wuhan publiée dans Nature le 20 novembre 2020, dans laquelle près de 10 millions de personnes ont été testées et tous les cas positifs asymptomatiques, les cas ré-positifs et leurs contacts proches ont été isolés pendant au moins 2 semaines jusqu’à ce que le test PCR soit négatif, a constaté cela :

Tous les contacts étroits des cas positifs asymptomatiques ont été testés négatifs, ce qui indique que les cas positifs asymptomatiques détectés dans cette étude n’étaient probablement pas infectieux.

Même l’orthodoxe British Medical Journal s’est récemment joint à la critique.

Peu avant Noël, le magazine scientifique a publié l’article “COVID-19: Mass testing is inaccurate and gives false sense of security, minister admits” (“COVID-19″ : Les tests de masse ne sont pas fiables et donnent un faux sentiment de sécurité, admet le ministre”), expliquant que les tests déployés dans certaines régions du Royaume-Uni ne sont tout simplement pas du tout précis pour les personnes asymptomatiques et affirmant qu’ils ne peuvent pas déterminer avec précision si une personne est positive ou négative, comme l’a écrit Collective Evolution. (L’OMS elle-même l’a admis depuis, deux fois – éd.)

Déjà quelques semaines auparavant, on pouvait lire cela dans The BMJ :

Les tests de masse pour COVID-19 sont un gâchis injustifié, mal conçu et coûteux,

Et :

Le dépistage de la COVID-19 dans la population en bonne santé est d’une valeur inconnue, mais il est introduit à l’échelle nationale.

Et cela [nous soulignons] :

« La réponse du Royaume-Uni à la pandémie repose trop sur les scientifiques et autres personnes nommées par le gouvernement qui ont des intérêts contradictoires inquiétants, notamment des participations dans des sociétés qui fabriquent des tests de diagnostic, des traitements et des vaccins contre le covid-19 »

À part cela, l’avocat Reiner Füllmich, membre de la commission d’enquête extra-parlementaire allemande “Stiftung Corona Ausschuss”, a déclaré que Stefan Hockertz, professeur de pharmacologie et de toxicologie, lui a dit que jusqu’à présent aucune preuve scientifique n’a été trouvée pour une infection asymptomatique. Livestream Session 27 – A sweeping blow

https://youtu.be/kANkpqtWLN4

L’Institut Robert Koch n’a pas été en mesure de nous envoyer une seule étude démontrant que (a) les personnes asymptomatiques “positives” rendaient quelqu’un d’autre malade (pas seulement “positif”), que (b) les personnes “positives” présentant des symptômes de maladie rendaient quelqu’un d’autre malade (pas seulement “positif”), et que (c) toute personne ayant été testée “positive” pour le SARS-CoV-2 rendait une autre personne “positive”. [4]

« Si vous ne testiez plus, le Covid disparaîtrait »

Déjà en mai, une publication importante comme le Journal of the American Medical Association affirmait qu’un résultat “positif” de PCR n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable“, alors qu’une étude récente du Lancet affirme que “la détection de l’ARN ne peut pas être utilisée pour déduire l’infectiosité”.

Dans ce contexte, on ne peut qu’être d’accord avec Franz Knieps, responsable de l’association des caisses d’assurance maladie d’entreprise en Allemagne et en contact étroit depuis de nombreuses années avec la chancelière allemande Angela Merkel, qui a déclaré à la mi-janvier que “si vous ne faisiez plus de tests, le Covid disparaîtrait”.

Il est intéressant de noter que même le principal conseiller du gouvernement en matière de confinement et autres mesures, Christian Drosten, s’est contredit sur la fiabilité des tests PCR. Dans une interview de 2014 concernant le test PCR pour le dénommé MERS-CoV en Arabie Saoudite, il a déclaré

« La méthode [PCR] est si sensible qu’elle peut détecter une seule molécule héréditaire du virus. Par exemple, si un tel agent pathogène traverse la membrane nasale d’une infirmière pendant une journée sans qu’elle ne tombe malade ou ne remarque rien, alors elle est soudainement un cas de MERS. Alors que les décès étaient auparavant signalés, les cas bénins et les personnes en parfaite santé sont soudainement inclus dans les statistiques. Cela pourrait également expliquer l’explosion du nombre de cas en Arabie Saoudite. De plus, les médias locaux ont fait monter l’affaire jusqu’à des niveaux incroyables ».

Cela vous semble vaguement familier ?

Et même Olfert Landt critique les résultats des tests PCR, affirmant que seule la moitié environ des personnes “infectées par le coronavirus” sont contagieuses. C’est plus que remarquable, car Landt est non seulement l’un des co-auteurs de Drosten dans l’article de Corman et coll. – le premier protocole de test PCR à être accepté par l’OMS, publié le 23 janvier 2020 dans Eurosurveillance – mais aussi le PDG de TIB Molbiol, la société qui produit les tests selon ce protocole.

Malheureusement, ce conflit d’intérêts n’est pas mentionné dans l’article de Corman/Drosten et coll., comme l’ont critiqué 22 scientifiques – dont l’un des auteurs de cet article, Stefano Scoglio – dans une récente analyse approfondie.

Au total, Scoglio et ses collègues ont constaté “de graves conflits d’intérêts pour au moins quatre auteurs”, dont Christian Drosten, ainsi que diverses failles scientifiques fondamentales. C’est pourquoi ils ont conclu que “le comité de rédaction d’Eurosurveillance n’a pas d’autre choix que de se rétracter”.

Le 11 janvier 2021, la rédaction d’Eurosurveillance a répondu au courriel de Torsten Engelbrecht lui demandant de commenter cette analyse :

Nous sommes au courant d’une telle demande [de rétractation du document de Corman/Drosten et coll.], mais nous espérons que vous comprendrez que nous ne faisons pas de commentaire à ce sujet pour le moment. Cependant, nous travaillons en vue d’une décision d’ici la fin janvier 2021.

Le 27 janvier, Engelbrecht s’est de nouveau adressé au journal pour lui demander : “Nous sommes maintenant à la fin du mois de janvier. Permettez-moi donc de vous le redemander : Quel est votre commentaire sur l’analyse mentionnée de votre article de Corman/Drosten et coll. Et allez-vous vous rétracter l’article de Corman et coll. – ou qu’allez-vous faire ? Deux jours plus tard, la rédaction d’Eurosurveillance a répondu comme suit :

Cela prend un certain temps, car plusieurs parties sont impliquées. Nous communiquerons notre décision dans l’un des prochains numéros réguliers du journal.

Des milliards et des milliards de dollars gaspillés pour des tests qui ne veulent pas dire grand-chose

Compte tenu de l’absence de faits pour la détection du nouveau virus présumé et pour que les tests PCR SARS-CoV-2 aient un sens, il est d’autant plus scandaleux que les coûts des tests ne soient pas discutés publiquement, car ils sont énormes. Souvent, nous entendons des politiciens et des chefs de file déclarer que, selon certains critères, les tests sont gratuits, mais c’est un mensonge. Ce qu’ils veulent dire en réalité, c’est que vous ne payez pas sur place, mais avec vos impôts.

Mais quelle que soit la manière dont vous payez, en Suisse, par exemple, le coût d’un test PCR se situe entre 140 et 200 francs suisses (130 à 185 euros). Alors, faisons le calcul. Au moment où nous écrivons ces lignes, la petite Suisse, avec une population de 8,5 millions d’habitants, a réalisé environ 3 730 000 tests PCR pour le SARS-CoV-2, en plus d’environ 500 000 tests d’antigènes, qui sont un peu moins chers.

Si l’on considère un prix moyen de 170 CHF par test PCR, cela représente un montant stupéfiant de 634 millions de CHF, soit 586 millions d’euros. Et malgré l’absurdité de tester les personnes asymptomatiques, pas plus tard que la semaine dernière, le 27 janvier, le Conseil fédéral suisse a de nouveau appelé la population à se faire tester. Annonçant qu’à partir du lendemain, les Suisses devront également payer avec leurs impôts pour les tests de masse des personnes asymptomatiques. Le Conseil fédéral suisse estime que cela coûtera environ 1 milliard de francs suisses.

Le Dr Tom Jefferson, épidémiologiste, a déclaré dans une interview au Daily Mail

La plupart des kits PCR coûtent encore plus de 100 livres sterling à obtenir dans le secteur privé, par exemple, et le gouvernement [britannique] dit qu’il en distribue maintenant 500 000 par jour. Mais même ces chiffres sont éclipsés par les 100 milliards de livres que le Premier ministre est prêt à dépenser pour réaliser son rêve de fournir à la population des tests [PCR et autres – NDLR] plus ou moins en fonction de la demande – soit 29 milliards de livres de moins que le budget annuel du NHS dans son ensemble.
 

En Allemagne, le prix varie considérablement, selon que le test est payé par le secteur privé ou non, mais il est en moyenne similaire à celui pratiqué en Grande-Bretagne, et à ce jour, environ 37,5 millions de tests PCR ont été réalisés.

En France, un test PCR coûte environ 70€ et environ 45 959 545 ont déjà été réalisés, soit un coup de 3,217,168,150 €.

Autrement dit, des milliards et des milliards sont dépensés – ou carrément “brûlés” – pour des tests insignifiants qui alimentent la “chasse” moléculaire et numérique mondiale pour un virus qui n’a jamais été détecté.

*Torsten Engelbrecht est un journaliste d’investigation de Hambourg, en Allemagne. La nouvelle édition de son livre “Virus Mania” (co-écrit avec le Dr Claus Köhnlein MD, le Dr Samantha Bailey MD et le Dr Stefano Scolgio BSc PhD), qui a été considérablement augmentée, sera disponible début février. En 2009, il a remporté le prix allemand des médias alternatifs. Il a été membre du personnel du Financial Times Deutschland et a également écrit pour OffGuardian, The Ecologist, Rubikon, Süddeutsche Zeitung, et bien d’autres. Son site web est http://www.torstenengelbrecht.com.

**Le Dr Stefano Scoglio, BSc PhD, est un expert en microbiologie et en naturopathie. Il coordonne la recherche scientifique et clinique sur les extraits d’algues Klamath et sur les probiotiques à base de microalgues, en coopération avec le Centre national de recherche italien et diverses universités. Depuis 2004, il a publié de nombreux articles dans des revues scientifiques internationales. En 2018, Scoglio a été nominé pour le prix Nobel de médecine.

***Konstantin Demeter est un photographe indépendant et un chercheur indépendant. Avec le journaliste Torsten Engelbrecht, il a publié des articles sur la crise “COVID-19” dans le magazine en ligne Rubikon, ainsi que des contributions sur le système monétaire, la géopolitique et les médias dans des journaux suisses italiens.


NOTES

  • [1] Email from September 4, 2020
  • [2] Email from October 5, 2020
  • [3] The pictures are taken from a presentation by Dr. Andrew Kaufman, Ohio, one of the main proponents of the theory that viruses are actually exosomes.
  • [4] Email from December 3, 2020

Source : https://off-guardian.org/2021/01/31/phantom-virus-in-search-of-sars-cov-2/
Traduction par http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/virus-fantome-a-la-recherche-du-sras-cov-2-off-guardian et https://cv19.fr




Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!

Par Pryska Ducoeurjoly [via Réseau International]

Des centaines de millions de tests RT-PCR ont été réalisés cette année pour tenter de contrôler l’épidémie de coronavirus. Rien qu’en France, pas moins de 18 millions[1] de personnes sont passées par l’épreuve désagréable de l’écouvillon entre mars et octobre 2020. Il est temps de s’intéresser en détail à cet instrument qui s’est imposé depuis une dizaine d’années dans le paysage des tests biologique. Est-il potentiellement dangereux ?

DOSSIER PARU DANS NEO SANTE n°106 DECEMBRE 2020

L’écouvillon, c’est un peu la baguette magique des épidémies de cas positifs que connaissent de nombreux pays. À commencer par la France, qui bat tous les records. Mais l’objet de cette enquête n’est pas de revenir sur la fiabilité du test RT–PCR dont nous avons déjà beaucoup parlé dans Néo Santé[2]. Nous savons que ce test, lorsqu’il est pratiqué en masse sur des cas asymptomatiques, a de très forte chance de donner un faux positif. Intéressons-nous cette fois à l’écouvillon, arme de détection massive longue de 18 centimètres, que l’on enfonce jusqu’au fond des fosses nasales pour y prélever de la matière virale.

Un recul d’une dizaine d’année

Le « prélèvement nasopharyngé » s’est imposé dans le cadre de l’épidémie de grippe H1N1 de 2009, une pseudo-pandémie qui a fait couler beaucoup d’encre à l’époque, le scandale santé publique précurseur de celui que nous connaissons actuellement… A l’époque, l’écouvillon et le prélèvement nasopharyngé ne sont pas encore le standard de référence. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les quelques rares études publiées au début des années 2010 au sujet de ce type de prélèvement. Bien que ne datant pas d’hier, le test nasopharyngé va profiter de la crise sanitaire pour s’introduire profondément dans les recommandations officielles.

Voici ce qu’écrivaient des chercheurs américains en 2012, dans l’article « Comparaison des écouvillons nasaux et nasopharyngés pour la détection de la grippe chez les adultes »[3]« La pandémie de 2009 et l’augmentation de la résistance aux antiviraux spécifiques à un type ont accru le besoin de tests de dépistage de la grippe précis, opportuns et bien tolérés par les patients. Une variété d’échantillons ont été utilisés pour le dépistage de la grippe, y compris l’écouvillon nasopharyngé (NP), l’écouvillon oropharyngé, le lavage nasal et l’aspiration nasale. Le lavage ou l’aspiration nasale est généralement considéré comme le « standard de référence » pour l’isolement du virus, mais il est difficile à réaliser et désagréable pour les patients. Les écouvillons sont plus faciles et plus rapides à prélever et peuvent être préférés par les prestataires et les patients. (…) À ce jour, aucune étude n’a comparé des écouvillons nasaux et nasopharyngés appariés prélevés sur des adultes”.

En d’autres termes, nous n’en savions pas beaucoup il y a encore 10 ans sur la pertinence des différents types de prélèvements, aussi bien en matière de fiabilité des résultats que du confort pour les patients. Mais ce que l’on découvre à travers ces études, c’est le caractère moins invasif d’un prélèvement par écouvillon que par aspiration nasopharyngée ! Cette dernière nécessite la présence de deux personnes et se fait à l’aide d’une canule beaucoup plus grosse et vraiment moins confortable, il faut le reconnaître, surtout pour les enfants[4]

Le prélèvement nasopharyngé devient la référence

En 2020, 10 ans plus tard, le prélèvement nasopharyngé s’est imposé comme la référence, du moins en France, un pays particulièrement engagé en faveur de l’écouvillonnage de sa population. En premier lieu, pour la surveillance de la grippe saisonnière. « Plus de 1 300 médecins généralistes du réseau Sentinelles assurent une surveillance clinique. Environ 300 d’entre eux, épaulés depuis 2015 par 116 pédiatres, réalisent une surveillance virologique en effectuant des prélèvements nasopharyngés qui sont analysés au Centre national de référence Virus des Infections Respiratoires”, explique l’Institut Pasteur[5].

Avec la pandémie de coronavirus, l’écouvillon a confirmé son hégémonie. Ainsi, dans un arrêté publié le 12 mai 2020 au Journal officiel, cosigné par le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, il est clairement indiqué que « le prélèvement à privilégier est un prélèvement nasopharyngé profond des voies respiratoires hautes par écouvillonnage ou un prélèvement des voies respiratoires basses (crachats ou liquide brochoalvéolaire) »[6]. Un arrêté qui s’inscrit dans la droite ligne des recommandations de la Société française de microbiologie (SFM) du 6 avril 2020. Dans une Mise au point publiée le 9 mai 2020 par le centre national de référence (CNR) de l’Institut Pasteur, on peut également lire que « les tests RT-PCR sur prélèvement naso-pharyngé sont aujourd’hui considérés comme la technique de référence pour les virus respiratoires ». Quant aux « prélèvements de gorge », ils ont « une sensibilité de détection inférieure à celle des prélèvements naso-pharyngés » avec « parfois un fort risque de faux négatif ».

Donc, si l’on en croit les autorités sanitaires françaises qui ont, par ailleurs, de moins en moins de crédibilité aux yeux du grand public, pour avoir un test fiable il FAUT passer par le prélèvement nasopharyngé et non par un simple prélèvement nasal (moins profond) ou dans la gorge (oro-pharyngé). Mais… Ce n’est pas la position de l’OMS ni d’autres organismes de santé publique. En effet, l’Organisation mondiale de la santé recommande de prélever des échantillons des voies respiratoires supérieures (écouvillons nasopharyngés et oropharyngés) et/ou inférieures (expectoration) en réservant l’aspiration endotrachéale pour les patients dont les symptômes respiratoires sont plus sévères.

Pas de réel avantage

En réalité, la supériorité du prélèvement par écouvillon ne fait pas l’objet d’un consensus scientifique. Un simple test salivaire réalisé chez soi ou quelques crachats envoyés au labo s’avèrent sans doute aussi efficaces, et beaucoup moins pénibles. La meilleure synthèse de l’état des connaissances a été réalisée par les Canadiens de l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS). Ce document[7] compare les différentes recommandations internationales et une vingtaines d’études récentes sur les écouvillons. Je vous passe les préférences des scientifiques pour les « écouvillons en polyester floconnés montés sur une tige de plastique », concentrons-nous sur le vrai débat qui a trait au site et au mode de prélèvement à privilégier pour détecter le SARS-CoV-2.

« Les données de la littérature sont mitigées, écrit l’institut canadien. Certaines études observent des taux de positivité plus élevés dans les expectorations, suggérant qu’elles devraient être utilisées de manière préférentielle aux prélèvements nasaux [Yang 2020], nasopharyngés [Wu 2020] ou de gorge [Lin 2020]. Dans d’autres études, on observe que la charge virale de l’expectoration est semblable à celle du prélèvement de gorge [Pan 2020] et que la charge virale du prélèvement de gorge est semblable à celle du prélèvement nasopharyngé [Wolfel 2020], ou encore que le prélèvement nasal [Zou et al., 2020] ou nasopharyngé [Becker 2020] possède une charge virale 8 supérieure au prélèvement de gorge ou de la salive. Selon une étude finlandaise, le prélèvement nasal aurait une sensibilité comparable à l’aspiration nasopharyngée [Waris et al., 2013]. ». Bref, c’est kif-kif bourricot…

L’auto-prélèvement maison, tout aussi valable !

« Deux études américaines [Kojima 2020, Tu 2020] ont testé une approche différente, soit l’autoprélèvement, poursuit l’INESSS. Ils sont arrivés à la conclusion que le taux de positivité obtenu à partir de prélèvements oraux (salive) et nasaux effectués par les patients eux-mêmes sont semblables aux taux de positivité obtenus à partir de prélèvements nasopharyngés réalisés par des professionnels de la santé. De plus, une revue systématique [Khurshid 2020] et quatre études primaires [Iwasaki, Jamal, Pasomsub, Williams, 2020], dont une canadienne, ont montré que la salive est une alternative efficace, voire plus sensible dans certaines circonstances que les écouvillons nasopharyngés, en plus de permettre l’autoprélèvement à domicile afin de détecter le SARS-CoV-2 à grande échelle. Un protocole américain est présentement en cours d’essais afin de démontrer la faisabilité de l’autoprélèvement de salive dans un contexte de COVID-19 [Sullivan, 2020] ».

Pour toutes ces raisons, rien ne vous oblige à préférer l’écouvillon naso-pharyngé pour une question de fiabilité ! D’ailleurs, la possibilité d’avoir un prélèvement moins invasif reste ouverte dans bon nombre de pays, même en France (en insistant lourdement…) puisque la Haute autorité de santé (HAS) a rendu un avis[8] favorable, le 20 septembre 2020 : « Les prélèvements salivaires représentent une alternative mais pour les seuls patients symptomatiques. Aujourd’hui, la HAS valide le recours au prélèvement oropharyngé pour les tests RT-PCR des personnes asymptomatiques chez qui le prélèvement nasopharyngé est contre-indiqué ».

Un test pénible voire douloureux

« Ma conjointe a eu un mal de tête accompagné de points de couleur devant ses yeux pendant 2 jours », explique un internaute sur Twitter (où l’écouvillon a bien circulé). « L’infirmière a tellement insisté/trituré que j’avais vraiment envie de lui coller un pain », commente une autre sur le même réseau. « Une heure après le test, j’avais encore une sensation bizarre au fond de mon nez. Pas vraiment douloureuse non plus, mais assez gênante. Surtout que j’ai subi le test à une période où je faisais de fortes allergies aux pollens, ça ne m’a sans doute pas aidé, je n’arrêtais pas d’éternuer », explique Nicolas[9].  « Je l’ai pour ma part trouvé plus désagréable que douloureux, mais je ne peux pas dire que ça ne fait pas mal du tout. Concernant mes collègues, je dirais que 60 à 70% l’ont trouvé douloureux », explique une infirmière.

En fonction de la sensibilité de la personne testée et la dextérité du praticien les expériences sont très personnelles. Ce n’est en tout cas pas un acte médical anodin car il y a une manipulation qui doit être bien réalisée. Comme l’explique le CHU d’Angers dans sa démonstration vidéo sur Youtube (« Prélèvement naso-pharyngé – COVID-19 »[10]), la première erreur à éviter est d’introduire l’écouvillon parallèlement à l’arête du nez. On butte sur la « plaque cribriforme » qui est une porte d’entrée micro perforée vers le système nerveux central, via les ramifications du nerf olfactif.

Et la barrière hémato-encéphalique ?

Certains articles en ligne ont affirmé que les couillons pouvaient perforer la barrière hématoencéphalique et que les tests pouvaient servir de prétexte à introduire des nanoparticules dans le cerveau. Qu’en est-il vraiment ?

La barrière hémato-encéphalique, découverte en 1885, a pour fonction principale d’isoler le système nerveux central (SNC) de la circulation sanguine, en empêchant que des substances étrangères/molécules potentiellement toxiques/agents pathogènes ne pénètrent dans le cerveau et la moelle épinière. Après enquête, ces articles s’avèrent finalement diffuser des affirmations non sourcées, qui ne reposent sur aucune étude ou fait avéré. Lorsque le test est pratiqué correctement, il ne touche pas la plaque cribriforme, mais vient butter sur le carrefour oro-pharyngé, entre l’arrière du nez et la gorge.

L’écouvillon ne peut pas atteindre la barrière hémato-encéphalique ni percer cette partie anatomique, mais il peut en revanche faire saigner.

De nombreux témoignages ont abondé en ce sens, notamment avec un certain type d’écouvillon. Un article[11] de medi-sphere.be (donc en Belgique) rapporte le 14 septembre 2020 que « De nouveaux écouvillons livrés par le fédéral aux centres de dépistage feraient saigner un patient sur deux ». Le Dr Maxime Delvaulx, comme d’autres, dénoncent la souffrance des patients : « Nous sommes confrontés depuis 15 jours à un problème d’écouvillons. Ils sont très coupants. Même en le frottant sur le doigt, cela fait mal. Ces écouvillons se prennent dans les poils du nez et ils font saigner un patient sur deux. A l’utilisation, ils sont rigides et ils cassent très vite. » Cela amène les médecins à faire des choix : « Nous ne les utilisons plus pour les enfants ni pour les adultes sous anticoagulants. »

Des contre-indications nombreuses

C’est dire si ce test n’est pas anodin, surtout pour les personnes qui ont des antécédents médicaux divers : problèmes cardiaques (anticoagulant), problèmes O.R.L., patients ayant des troubles psychiatriques, personne ayant une déviation nasale, etc. De fait le test est contre-indiqué dans un assez grand nombre de cas. Si elle n’est pas bien repérée, une contre-indication à l’écouvillon peut tourner au cauchemar :

« Un test Covid a provoqué une fuite de liquide céphalo-rachidien, rare complication chez une patiente fragilisée », titre ainsi Sciences et Avenir le 2 octobre dernier : « Une patiente américaine a consulté peu après un test nasal du Covid-19 pour vomissements, maux de tête, nuque raide, et une fuite de liquide céphalo-rachidien par le nez. Le test, probablement mal administré (au niveau de la plaque cribriforme, ndlr), avait endommagé la base du crâne, fortement fragilisée par une ancienne intervention de ponction à la suite d’hypertension intracrânienne ».

« Ce cas montre que les professionnels de la santé doivent suivre les protocoles à la lettre », indique Jarrett Walsh, auteur de l’étude de ce cas, publiée dans la revue JAMA Otolaryngology–Head & Neck Surgery[12]

« Il convient d’envisager des méthodes alternatives au dépistage nasal chez les patients présentant des défauts antérieurs connus de la base du crâne, des antécédents de chirurgie des sinus ou de la base du crâne, ou des conditions prédisposant à l’érosion de la base du crâne ».

Gare aux écouvillons contaminés !

Si les rumeurs d’implantation de nano matériaux ou de prélèvements d’ADN ne reposent sur aucune source crédible, en revanche une contamination des écouvillons peut poser un réel problème. Des cas de contamination ont été largement rapportés cette année par la presse (voir plus loin). Ces écouvillons peuvent infecter le patient à l’endroit précis où se logent les virus respiratoires. Il est connu aujourd’hui que certains virus peuvent passer la barrière hémato-encéphalique toute proche. Leurs voies principales d’entrée se fait soit par le sang soit par transport le long des neurones. 

« Concernant les troubles neurologiques associés aux virus respiratoires, on sait par ailleurs que c’est la sphère oropharyngée qui est touchée principalement, ce qui est plutôt propice à une infection cérébrale »,

explique France Culture, dans une émission[13] de 58 minutes dédiées à la « Barrière hémato-encéphalique : la dernière frontière ».

« Concernant le SARS-CoV-2, 2 hypothèses sont soulevées pour expliquer les symptômes neurologiques associés à la maladie : le virus pourrait parvenir jusqu’au SNC par le sang (encéphalite virale), mais les troubles neurologiques pourraient également ne pas être liés au virus lui-même et pourraient être provoqués par la réaction inflammatoire excessive déclenchée en réponse au virus (la tempête de cytokines) qui irait occasionner des dommages au cerveau. Ce serait donc là une encéphalite auto-immune. Certains émettent une 3e hypothèse, selon laquelle le nez pourrait être la voie d’accès au cerveau, puisque la perte d’odorat est commune à certains malades de la Covid-19 ». D’où l’absolue nécessité de disposer d’écouvillons stériles !

Des importations ou fabrications suspectes

Or, de très nombreux articles ont relayé des problèmes de lots contaminés. Par exemple au Québec, des milliers d’écouvillons importés de Chine ont révélé[14] la présence d’un champignon ! D’autres provinces du Canada ont aussi été concernées : les autorités sanitaires de la Saskatchewan ont indiqué avoir reçu 7.000 écouvillons contaminés de la part de l’Agence de la santé publique du Canada. En Colombie-Britannique, il y en avait 30.000. Au Manitoba, 8.800 tests de dépistage en provenance du Laboratoire national de microbiologie étaient contaminés, selon le ministère de la Santé. Le Nouveau-Brunswick a également reçu 6.400 trousses de dépistage chinoises défectueuses : « Dès qu’on les a reçus, on s’est rendu compte qu’ils étaient tous contaminés avec des bactéries », explique le Dr Richard Garceau, microbiologiste-infectiologue au CHU Dumont qui estime que pas moins de 320.000 tests ont pu être contaminés. Contaminés dans le sens où ils ne sont tout simplement plus stériles.

En Ontario également, le premier ministre Doug Ford a lui aussi confirmé qu’une livraison de 100.000 écouvillons en provenance d’Asie était arrivée contaminée par de la moisissure plus tôt dans le mois. Quand on sait le nombre d’écouvillons chinois importés partout dans les pays en pénurie, il y a de quoi se poser des questions sur le matériel qui a servi à tester de nombreux Européens.

Les États-Unis ont connu des déboires similaires, mais émanant de leurs propres fabricants. Une fois à cause d’une contamination « probable » aux Centers for Disease Control and Prevention[15] qui a abouti à des résultats faussement positifs. Une autre fois à cause du laboratoire Randox[16] : 750 000 tests rappelés pour suspicion de contamination de l’écouvillon, en août 2020…

Tous ces faits divers montrent que le matériel de tests nécessite une manutention complexe pour bénéficier d’une complète stérilité. Donc, renseignez-vous bien sur la provenance des kits de tests et d’écouvillons si vous devez vraiment faire tester !

Votre nez les intéresse…

Je ne pouvais pas finir cette enquête sans vous parler d’une découverte que j’ai faite à l’occasion de mes recherches sur les rumeurs de nanoparticules présentes dans les écouvillons. En consultant le site de référence PubMed, j’ai flairé deux articles intéressants. Le premier, une étude[17] indienne datant de 2010 : « Potentiel des systèmes d’administration de médicaments nanoparticulaires par administration intranasale ». Les auteurs nous expliquent que : « Le cerveau bénéficie de l’administration intranasale car le transport olfactif direct contourne la barrière hémato-encéphalique et les nanoparticules sont absorbées et transportées le long des processus cellulaires des neurones olfactifs à travers la plaque criblée jusqu’aux jonctions synaptiques avec les neurones du bulbe olfactif. »

Cela confirme le fait que votre nez n’est pas étanche… et qu’il pourrait servir de voie royale à l’absorption de nouveaux médicaments, et notamment de nouveaux vaccin nanoparticulaires. D’autres études ont suivi en ce sens, comme en 2019, cet article[18] en provenance de Hongrie : « Systèmes nanoparticulaires intranasaux comme voie alternative d’administration des médicaments ». On y trouve à peu près la même chose que dans l’étude indienne mais avec la mise à jour suivante : « Selon les études rapportées sur l’administration intranasale basée sur la nanotechnologie, une attention potentielle a été concentrée sur le ciblage du cerveau et l’administration de vaccins avec des résultats prometteurs. Malgré les efforts de recherche importants dans ce domaine, les produits à base de nanoparticules pour l’administration intranasale ne sont pas disponibles. Ainsi, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour promouvoir l’introduction de produits nanoparticulaires intranasaux qui peuvent répondre aux exigences des affaires réglementaires avec une forte acceptation par les patients. »

En conclusion, attendez-vous ces prochaines années à voir arriver sur le marché des vaccins nasaux composés de nanoparticules. D’un grand confort d’administration, leurs conséquences pourraient s’avérer beaucoup plus intrusives et définitives que le pénible écouvillon !


[Notes]

[1] « Covid : le nombre de tests PCR en nette accélération en France ». Les Echos, 23 octobre 2020.

[2] Voir https://www.neosante.eu/4-raisons-de-detester-le-test/ et « Tests du covid-19, attention aux faux positifs ! » sur www.pryskaducoeurjoly.com

[3] « Comparison of Nasal and Nasopharyngeal Swabs for Influenza Detection in Adults ». Stephanie A. Irving et al. Clin Med Res. 2012 Nov

[4] « Comparing nose-throat swabs and nasopharyngeal aspirates collected from children with symptoms for respiratory virus identification using real-time polymerase chain reaction ». Stephen B Lambert et al. Pediatrics, sept. 2008.

[5] https://www.pasteur.fr/fr/comment-diagnostiquer-grippe

[6] « Dépistage du Covid-19 : un million d’écouvillons livrés par la Chine attendent le feu vert pour être utilisés », par Benoît Collombat, Cellule investigation de Radio France, publié sur fanceinter.fr, mis à jour le 16 mai 2020.  https://www.franceinter.fr/depistage-du-covid-19-un-million-d-ecouvillons-livre-par-la-chine-attendent-le-feu-vert-pour-etre-utilises

[7] « COVID-19 et pénurie d’écouvillons », 27 mai 2020. https://www.inesss.qc.ca

[8] « COVID-19 : avis favorable au prélèvement oropharyngé en cas de contre-indication au nasopharyngé »
Communiqué de presse du 25 sept. 2020 sur www.has-sante.fr

[9] « Covid-19 : le test PCR est-il douloureux ? » Maxime Poul, Yahoo Actualités, 20 juillet 2020.

[10] https://youtu.be/fhShfC0Eczo

[11] https://www.medi-sphere.be/fr/actualites/de-nouveaux-ecouvillons-livres-par-le-federal-aux-centres-de-depistages-feraient-saigner-un-patient-sur-deux.html

[12] « Cerebrospinal Fluid Leak After Nasal Swab Testing for Coronavirus Disease 2019 », Christopher Blake Sullivan.  October 1, 2020, JAMA Otolaryngol Head Neck Surg.

[13] Le 25/05/2020. Dans l’émission « La méthode scientifique », par Nicolas Martin. https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/la-methode-scientifique-emission-du-lundi-25-mai-2020

[14] Radio-Canada, publié le 22 avril 2020. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1696091/test-depistage-ecouvillons-covid-19-contamines-chine-quebec

[15] « CDC coronavirus test kits were likely contaminated, federal review confirms ». 20 juin 2020.  www.washingtonpost.com

[16] « Tory-linked firm behind ‘contaminated’ Covid-19 tests keeps government contract », le 14 aout 2020. www.mirror.co.uk

[17] Potential of nanoparticulate drug delivery systems by intranasal administration”, Javed Ali. Curr Pharm Des. 2010 May

[18] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31453778/

Articles complémentaires




La Commission européenne confirmerait-elle les dires du Pr Fourtillan ?

[Source : Réseau International]

par Jean Joseph.

Avez-vous vu la dernière intervention du Pr Fourtillan, le 25 janvier ? Si vous ne l’avez pas vue, vous pouvez la trouver là :

ou là :

Le Pr intervient après 45-50 minutes, – je vous fais un résumé (l’entretien est en effet assez touffu et brouillon, et le raisonnement est parfois, me semble-t-il, un peu hâtif) :

1°/ Il affirme à nouveau (il l’avait déjà fait en août dernier) (je passe sur la mise-en-scène clinquante à sensation de F. Chaumont) que le Covid 19 a été fabriqué à l’Institut Pasteur, par P. Charneau et F. Tangy.

Il avait déjà exhibé des brevets de SARS modifiés, trafiqués, pris par Pasteur.

Il a une nouvelle preuve, si j’ai bien compris : un de ses amis a découvert un nouveau brevet, de covid, déposé. Pièce manquante, en effet, à l’éventuelle preuve avérée.

Il le montre à l’écran mais, je dois dire, on ne peut rien lire. Il dit qu’il va le mettre sur le site « Vérité-covid19 ».

Mais pour le moment, sur le site, il n’y est pas — mais il y a bien sûr (à preuve…) les autres brevets découverts auparavant, etc…

Il affirme (lui aussi) que le virus n’est pas le but mais le prétexte. Au demeurant le virus s’est révélé n’être pas très dangereux, pas plus qu’une grippe ordinaire.

Le but est le « vaccin » qui, lui, est très dangereux (immunodéficience en particulier, je ne détaille pas ici). Et donc :

2°/ Il affirme de même que le (LE !) « vaccin » a été étudié, breveté, produit par Pasteur, avec la collaboration de Astra-Zeneca et l’Université d’Oxford (GB) entre autres pour la fourniture du ChAdOx1, virus vecteur du « vaccin » (virus de chimpanzé, à ADN).

Ce « vaccin » dénommé « ChAdOx1 nCoV-19 » a été fabriqué à partir de 2018 ; et bien qu’il soit censé être fabriqué en incorporant du SARS-CoV-2 (breveté par Pasteur), il se nomme nCoV-19, et se dit destiné au Covid-19 (documents à l’appui).

Il affirme que ce dit « vaccin » est LE seul qui ait été étudié et produit, et déjà acheté et stocké dans des endroits secrets, tous les autres sont des leurres.

Et il montre une vidéo de 2 minutes : reportage (très très anodin !) en Inde dans la plus grosse usine du monde (Serum Institute) qui fournit à elle seule les deux-tiers des vaccins du monde.

Je dois dire qu’en regardant cette vidéo (fournie par un internaute, dit-il) on ne voit pas grand chose, cela va très vite, et d’abord, je n’ai pas compris de quoi parlait Fourtillan ; mais en regardant de plus près, à deux moments, en arrêtant l’image, on peut LIRE une affiche sur la porte d’une salle réfrigérée qui s’ouvre, et les étiquettes sur les boîtes chargées par palettes entières. Et là (si l’on en croit ce que l’on voit), on s’aperçoit que l’usine est en train de produire en masse le « ChAdOx1 nCoV-19 ».

Alors que Pasteur vient d’annoncer abandonner la recherche sur l’un de ses vaccins anti-Covid19… (celui basé sur la rougeole, en fait)

Voici (en pièces jointes) deux de mes captures d’écran, où l’on peut même lire la date de fabrication : 2 janvier 2021 (agrandir l’image, au besoin).

Fourtillan précise :

1°/ Que ce « vaccin » contient, entre autres « saletés », des nanoparticules qui, injectées, permettent de détecter si l’on est vacciné ou pas.

2°/ Que ce dit vaccin est plus immédiatement dangereux que prévu (normalement cet effet ne devant se révéler que progressivement…).

Il cite le cas d’un EHPAD de Nice qui chaque année voit une vingtaine de ses pensionnaires mourir et qui, pour le seul mois de janvier de cette année, après « vaccination » (par quel vaccin ?), compte déjà 53 morts… Etc.

(Je note qu’en Australie certaines « vaccinations » à l’essai ont rendu les patients vaccinés positifs au test du SIDA (!) – Voir : http://www.geopolintel.fr/)

3°/ Que l’Institut Pasteur a menacé de porter plainte contre lui pour diffamation, mais ne l’a toujours pas fait, et pour cause.

(Se rappeler que Fourtillan a été arrêté à l’automne, interné en hôpital psychiatrique, puis relâché…)
[Voir : Le Professeur Fourtillan est maintenant libre.]

4°/ Que nos dirigeants sont aux abois, la machination étant dévoilée et avérée, ils ne savent comment arrêter la machine qu’ils ont lancée, – en sauvant leur peau (bien sûr).

(À part ça, Fourtillan dit deux trois choses notables sur le SIDA, les psychotiques, etc.)

Bref.

Je note par ailleurs : Certains biologistes se sont étonnés de la température de conservation du dit supposé (celui-là, ou un autre) vaccin : -80°, – c’est (à ce que j’en sais…) la température usuelle de conservation des virus, bacilles, etc. – mais pour conserver de l’ARNm (celui supposé de certains dits vaccins), une température de -20° suffirait, – et ils ont fait quelques hypothèses, par exemple qu’à l’ARNm serait adjoint CaS-9, et que le dit vaccin ferait en fait de l’édition génique guidée (!)… Mais le « vaccin » de Pasteur-AZ « ChAdOx1 nCoV-19 » utilise un virus comme vecteur… à quelle température se conserve ce « vaccin » ?

Récemment, le 29 janvier, la Commission européenne a publié 2 textes  :

1°/ Le premier « APA-AstraZeneca.pdf », daté du 26 août 2020 à effet au 27 août, sur une décision du 14 août, porte sur l’achat d’un « vaccin » à Astra-Zeneca. Le premier paragraphe précise que le dit vaccin est le « ChAdOx1 nCoV-19 » dont a parlé abondamment le Pr Fourtillan. Pour le reste, le document est copieusement caviardé par la Commission elle-même.

2°/ Le second « Vaccines contract between European Commission and AstraZeneca now published.pdf », en date du 29 janvier 2021, renvoie au premier, et précise l’achat de 300 millions + 100 millions de doses du dit vaccin par l’UE pour être distribuées au prorata des populations (les dites populations européennes comptant en gros 800 millions de sujets)…

(Voir aussi : https://francais.rt.com/international/83298-covid-regulateur

Cela ne confirme-t-il pas certains dires du Pr Fourtillan ?

En tout cas ce vaccin commence à être explicitement répandu ; et je note enfin que la revue Prescrire a publié ce 29 janvier un article très sceptique sur ce « ChAdOx1 nCoV-19 ».

source : https://www.prescrire.org/fr




L’ arrivée à l’Élysée par fraudes graves de Macron en 2017 !

[Source : Média Zone]

Brigitte Bouzonnie

Par Brigitte Bouzonnie

L’arrivée à l’Élysée par fraudes graves de Macron en 2017, résultat d’une action concertée de l’État profond français. L’arrivée à l’Élysée de Macron résulte aussi de l’utilisation des serveurs Scytl et Dominion, qui ont crédité fallacieusement le candidat LREM de 24% au premier tour. Exactement le même mode opératoire utilisé par Biden, nommé Président des États-Unis, suite à des fraudes abyssales.

2017 : arrivée à l’Élysée de Macron par fraudes graves !

Article rédigé le 25 juillet 2017, mais qui n’a pas pris une seule ride. Je le reposte, car il montre l’arrivée par fraudes graves de macron à l’Élysée : résultat d’une action concertée par l’État profond français

Les tristes votes à l’Assemblée nous rappellent le pire. Le vote du 5 juillet 2017 sur la confiance donnée au Premier Ministre (360 pour, 129 abstentions, 67 contre) ; puis le vote hélas massif des députés acceptant craintivement, — sauf naturellement les députés de la FI et les députés communistes —, la loi d’habilitation destinée à démolir le Code du travail.

1°)- les pleins Pouvoirs donnés à Pétain en 1940

Tous ces votes additionnés évoquent irrésistiblement les pleins pouvoirs donnés massivement à Pétain en 1940 : à l’exception de 80 députés « honnêtes ». Sans oublier les communistes qui n’étaient pas à Vichy, le PCF ayant été interdit de séjour.

Comme l’explique Alain Badiou, la désorientation des consciences pétainistes a rendu possible un tel plébiscite à ce gouvernement contre révolutionnaire (celui de 1940) : « ce régime d’oligarques corrompus jusqu’à l’os, qui se présentent comme ceux qui vont sortir le pays d’une grande crise morale. Un aventurier, un roi cacochyme, vieux militaire, politicien retors (Pétain), toujours homme de main des grandes fortunes, qui se présente comme le vrai détenteur de l’énergie nationale »(sic) (« De quoi Sarkozy est-il le nom ? », édition Lignes, 2009).

Car, tout comme Pétain, Macron n’est pas un « accident », une « erreur » de la grande Histoire et de quelques dirigeants « pris de court », ainsi que j’ai pu souvent le lire sur Facebook.

S’agissant de Pétain en 1940, Claude Bourdet, initiateur de la Résistance, nous révèle cette information peu connue, mais significative :

« En avril 1937, Laval, par l’intermédiaire d’un de ses parents, demanda à rencontrer une personne ayant la confiance du « Caudillo ». L’entrevue eut lieu, et Laval déclara à l’envoyé du « Caudillo » que, pour éviter un mouvement communiste en France, il était en contact avec Doriot, le Colonel de La Roque et le Maréchal Pétain. Il affirma que le salut de la France résidait dans un gouvernement Pétain, et que le Maréchal était déterminé à assumer cette responsabilité. : cf Dépêche de l’ambassadeur d’Allemagne en Espagne au Ministre des affaires étrangères allemand du 13 avril 1937, in archives secrètes de la Wilhemstrasse, tome 3, Plon, 1952. Le complot qui a présidé à la naissance de « l’État français » de Pétain était tramé de longue date. La « divine surprise » ne fut pas une surprise pour tous » (sic) (extrait de ses mémoires, « L’aventure incertaine », édition du Félin, 1998).

2)-Le coup d’État « démocratique » fomenté par macron

De la même façon aujourd’hui et s’agissant cette fois de Macron, nous possédons deux témoignages venant du petit banquier lui-même. Ce dernier n’a-t-il pas dit, au cours d’un conférence de presse officielle « qu’il était arrivé par infraction à l’Élysée »(sic) ? Plus disert encore, il a avoué, au cours d’une conférence effectuée en 2017, qu’il avait été choisi par Bildenberg. Et qu’il n’y avait pas de démocratie en France » (sic). Il existe un enregistrement vidéo de ces paroles, prouvant la véracité des mots prononcés par le petit banquier.

2.a)-L’arrivée au pouvoir d’une bande illégitime et minoritaire :

Car on le sait tous : Macron est arrivé au Pouvoir en 2017, suite à un « coup d’État démocratique », pour reprendre l’excellente formule d’Alain Badiou, tiré de son ouvrage : « Éloge de la Politique », édition Café Voltaire/Flammarion, 2016. Or, la promotion du livre d’Alain Badiou, qui commençait très fort, a été brutalement interrompue  au début du mois d’octobre 2017, du jour au lendemain par les sbires de Macron : ce qui montre combien ce livre lucide et intelligent gênait le petit banquier !

Régis de Castelnau résume aussi parfaitement la situation : « Le coup d’État financier, médiatique et judiciaire perpétré en 2017 a installé à la tête de l’État une bande minoritaire et illégitime. Incarnée par celui qui est leur chef, Emmanuel Macron »(sic), extrait de son billet de son blog « Vu du droit » du 6 octobre 2019, intitulé : « Pourquoi il ne faut pas demander le départ de Castaner ».

En 2017, la France a été traitée comme un pays africain. Que fait-on en Afrique ? Dans son ouvrage, « Le réveil de l’Histoire », Alain Badiou répond : « On (les États-Unis) monte de sanglantes expéditions militaires un peu partout, notamment en Afrique, pour faire « respecter les droits de l’homme », mettre partout au pouvoir -par la combinaison de l’occupation violente et « d’élections » fantomatiques -des valets corrompus, lesquels livreront pour rien aux susdits puissants la totalité des ressources du pays » (sic) (« Le réveil de l’Histoire », édition Lignes, 2012, page 12).

De la même façon, en 2017, grâce à des élections sans vérité, on a imposé le valet corrompu Macron à l’Élysée :
1°)-d’une part, pour siphonner les richesses françaises au profit des américains. 2°)-Surtout on a placé King Kostard, directement en réponse au mouvement anti Khomri de 2016, pour discipliner cette « populace », qui avait eu l’audace en 2016 de descendre dans la rue à 14 reprises, afin de s’opposer à un projet de loi (loi Khomri) voulu par la dictature supranationale de Bruxelles.

J’ai souvenir de la joie incroyable de Pierre Gattaz, membre de l’État profond français, suite à la réussite de cette sinistre entreprise. En effet, le Tour de France s’arrêtait un jour de juillet 2017 à Périgueux : on avait dressé des stands, en invitant notamment celui qui était encore « le patron des patrons ». Il n’en pouvait plus de bonheur de cette nouvelle situation, comme le montre une photo vu de lui dans la « Dordogne libre » achetée à l’occasion, hilarant, plié en deux de rigolade, comme on ne l’avait jamais connu.

2.b)-Le rôle des serveurs Scytl et Dominion :

Le serveur truqué SCYTL a joué un rôle cardinal. Le soir du premier tour, Macron faisait entre 6 et 9% des suffrages. Il y a eu une grande panne d’électricité. Tous les autres comptes des autres candidats ont été siphonnés, y compris les petites listes comme l’UPR et le NPA, réduites respectivement à 1 et à 0,5% des suffrages, malgré toute la mobilisation du NPA dans les luttes, et la forte et intelligente présence des militants de l’UPR sur les réseaux sociaux (voir excellent article rédigé par Éric Montana pour MEDIAZONE : « Scytl, le logiciel qui vote pour vous », du 26 novembre 2020).

Et, à travers eux, l’Ogre capitaliste mondialisé, à qui il en faut toujours plus, a réussi son « coup » : grâce à Macron au Pouvoir, avoir: toujours plus de profits, toujours plus de granduse, toujours plus de Volonté de Puissance. 

Conclusion :

Face à ce coup de force illégitime, il nous reste :

1)- Le COMBAT IDÉOLOGIQUE sur les réseaux sociaux, et, je l’espère aussi, par des passages média d’intellectuels de la gauche critique « reconnus ». En ce moment, il n’y a que Michel Onfray qui l’ouvre : même ce qu’il dit est du déjà vu, déjà entendu : critique du Peuple mis au rancart, malgré le succès du NON au TCE en 2005. Ce n’est pas mon préféré, mais ça fait du bien de l’écouter à défaut d’un autre.

 2°)- CONTRE LE NOUVEL ORDRE MONDIAL VOULANT FAIRE DE NOUS DES ESCLAVES DANS LE CADRE DU GRAND RESET, SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX, NOUS, LES SANS NOM, LES SANS GRADE, NOUS BATTRONS COMME DES CHIENS CONTRE LA DICTATURE SANITAIRE. LA PRIVATION DE LIBERTÉS PUBLIQUES (interdiction de manifester), VOULUE PAR MACRON, BIDEN, OBAMA, CLINTON, GATES, SOROS.

Nous, les sans nom, les sans grades, populariserons notre programme de rupture avec le mondialisme en 30 points élaboré par le Rassemblement « Pouvoir au Peuple », réunissant les « Insoumis critiques », les « franchement insoumis », le courant interne/externe : « Rupture, Pouvoir aux militants »,  le PRCF, la PARDEM, le CNSJS, proposant une vie décente et joyeuse pour chacune et pour chacun. Son porte-parole pourrait être, soit Jacques Généreux, soit Jacques Sapir, soit Jacques Cotta.

Comme on disait dans les années 790 : ON A RAISON DE SE RÉVOLTER ! 

(1)- J’ouvre une parenthèse : chaque fois que le petit poudré s’exprime en anglais, hélas dernièrement dans le Times, sans que personne n’y trouve à redire, je ressens une forte envie de dégobiller. Imagine-t-on le Général de Gaulle parler anglais à Roosevelt ou Eisenhower ? Naturellement, un tel scénario eut été invraisemblable. Mais ce choix de la langue anglaise est bien la preuve, malheureusement, que la France n’est plus qu’une petite colonie des États-Unis, où le vassal (Macron) réaffirme son humble subordination, son obéissance totale au suzerain, à l’époque encore Obama : pire encore, dans la langue de l’État puissant. Situation plus humiliante, tu meurs.

MACRON : « J’AI ÉTÉ SÉLÉCTIONNÉ PAR BILDERBERG, IL N’Y A PAS DE DÉMOCRATIE EN FRANCE ! »

Émilie Ballore, VK : cela remonte à 2017, mais c’est toujours d’actualité.

Emmanuel Macron :

« J’ai été sélectionné par le Groupe Bilderberg. Il n’y a pas de démocratie à proprement parler en France. »

Le président de la République a fait une annonce en off qui risque de donner de la fièvre aux conspirationnistes de tous bords. Il a allégué que son Premier Ministre a été sélectionné par le groupe hypermondialiste Bilderberg, tout comme il a été choisi pour devenir le Président de la République Française.

L’enregistrement audio qui a fuité et qui est en notre possession révèle au grand dam des médias une vérité sale et tragique qui risque de provoquer des remous dans la sphère politique et industrielle. Emmanuel Macron avoue qu’il n’y a pas de démocratie en France, que les chefs d’État ainsi que leurs premiers ministres et autres ministres importants sont sélectionnés par une classe hypermondialiste.

« Franchement, soyons honnêtes, Chirac a participé à une conférence Bilderberg, il est devenu président. Manuel Valls a participé à la réunion de 2009, il est devenu premier ministre. Moi on m’avait dit ‘tu obéis à notre vision européiste et on te fera grimper les échelons’ donc j’ai dit banco. »

Il a expliqué qu’à la conférence de 2014 il se trouvait à côté du ministre de la santé portugais et de la journaliste italienne Monica Maggioni.

« C’est très égalitariste, il n’y a pas de favoris et surtout pas de chrétiens ou pro-chrétiens, »

a expliqué M. Macron en off.

« L’objectif est de créer une Union Européenne qui n’a plus rien à voir avec l’Europe des Nations, politiquement, culturellement, ethniquement, dans tous les sens du terme. Il faut en finir avec l’ancien paradigme que les blancs dirigent l’Europe et il faut évidemment lutter contre tous les nationalismes. »

Ce qui est aussi l’avis de Sylvie Goulard qui a participé à une conférence Bilderberg et qui sera certainement dans le gouvernement Philippe à la tête du ministère des affaires étrangères. Elle est aussi favorite pour la présidentielle de 2022 selon Jacques Attali.

Macron a par la suite expliqué qu’Alain Juppé (qui a participé à une conférence Bilderberg lui aussi) aurait pris Edouard Philippe comme premier ministre dans tous les cas s’il avait gagné la primaire à droite :

« Quand des décisions sont prises, peu importe les résultats nous obéissons. »

Il a expliqué plus loin que c’est gagnant gagnant :

« Fillon, Juppé, moi, on vient tous du même club donc le résultat aurait été le même ! Gauche / Droite, c’est un système pour manipuler les masses. Le renouveau n’arrive pas croyez-moi. Que tous les immigrés et nouveaux français se réjouissent car je suis leur président, nous sommes leurs chefs et allons les aider à accomplir notre grand dessein. »

« Nous représentons les sauveurs de l’humanité, nous allons détruire les anciens pays blancs impérialistes et donner sa chance aux autres nations et peuples. Nous faisons cela pour le bien de l’humanité, pour en finir avec une Europe consanguine et dépassée par la mondialisation. Cette mondialisation profitera à tout le monde et pas seulement aux Européens qui profitent sur le dos du reste de l’humanité. Qui aime les Européens de nos jours ? Certainement pas le Groupe Bilderberg ! »,

a-t-il tancé sans une once de regret et sans se retenir.

Le document sera certainement publié début juin quand la conférence Bilderberg 2017 qui se tiendra peut-être à Chantilly, aux États-Unis, aura commencée.

Il semblerait que M. Macron n’a pas menti. En effet, la liste des membres est accessible sur le site internet officiel BilderbergMeetings.org créé en 2012 pour faire « taire les conspirationnistes en se montrant au ‘grand jour’ » selon le Président et dont M. Valls était aussi du même avis.

Les médias s’insurgent en critiquant les médias « conspirationnistes » qui s’intéressent de trop près à cette conférence.


Éric Montana : « Le logiciel qui permet de faire élire un inconnu, Président… »

Éric Montana, 26 novembre 2020

Scytl : le logiciel qui rend nos votes inutiles…

Le soir même du premier tour et avant même que les résultats définitifs ne soient connus, Macron à l’instar de Sarkozy, fêtait déjà avec les élites de la finance, son élection prévisible et annoncée pour le second tour, face à Marine Le Pen, la candidate choisie par le logiciel pour être l’épouvantail qui allait provoquer le ralliement massif de tous les « républicains » sur le candidat choisi par Bilderberg.

Il y a des événements qui servent parfois de déclic dans une vie. La fraude massive du candidat Biden dans les élections américaines en est un.

Nous découvrons avec effarement que l’on peut truquer des élections dans le pays qui se revendique « leader du monde libre » et lumière de la démocratie. Nous apprenons grâce à Internet et l’affaire Jeffrey Epstein, la corruption massive qui ronge la politique américaine, vendue à tous les lobbys.  La dépravation maladive de dirigeants mondialement connus comme Bill Clinton et même Bill Gates, deux habitués des voyages sur le Lolita Express, l’avion qui servait à transporter ces bienfaiteurs de l’humanité sur l’île aux orgies appartenant à l’agent du Mossad, découvert si opportunément suicidé dans sa cellule new-yorkaise. Un État américain noyauté par des personnages soupçonnés ou accusés de pédophilie, de trafic et de crimes sexuels…

Nous apprenons l’existence d’un Deep State qui gouverne ce pays dans l’ombre. Nous réalisons avec effroi que la CIA, cet État dans l’État qui ne rend compte à personne, agit à sa guise avec la complicité de son frère jumeau le Mossad, dans le trafic d’armes, le trafic de drogues, le trafic d’êtres humains, les coups d’État, les révolutions colorées, les assassinats ciblés.

Nous découvrons que Soros finance les Black Lives Matter en payant les manifestants 15 dollars de l’heure pour semer le chaos et la violence, qu’il organise les caravanes de milliers de sud américains se dirigeant vers les États-Unis pour tenter de faire passer Trump qui s’oppose à ces arrivées massives de faux migrants, pour un président sans cœur et sans compassion et salir son image aux yeux des américains et du reste du monde…

Et bien évidemment, on finit par s’interroger sur notre propre pays. Et en découvrant chaque jour que Dieu fait, la corruption de nos politiciens, leur soumission aux lobbys, leurs lois iniques votées contre le peuple, l’enrichissement rapide de certains d’entre eux, les privilèges indécents qu’ils s’accordent à eux-mêmes, l’impunité qu’ils se votent pour mieux se protéger de la justice, leurs vices cachés, on se dit que nous sommes exactement dans la même situation qu’aux États-Unis.

De plus, quand on découvre que la France possède aussi le logiciel Scytl qui a servi à truquer les élections américaines, les doutes légitimes que nous avions sur les élections présidentielles de 2017 qui a vu la victoire d’un candidat sorti de nulle part, mais sélectionné par le groupe Bilderberg pour être le nouveau président de la République française, ne peuvent que revenir à la surface.

Personne n’a oublié comment Macron a été outrageusement avantagé dans les médias, dans la presse. L’inégalité du temps de parole appliqué scandaleusement aux autres candidats qui ont été marginalisés, mal traités, et qui malgré leurs légitimes revendications à bénéficier d’un temps de parole égal et d’une égalité de traitement, n’ont pas été entendus. Cette première et grave anomalie laissait déjà entrevoir le reste… Macron semblait être le candidat que le Système avait choisi pour la fonction suprême. Les sondages lui étaient systématiquement favorables alors qu’il était inconnu des Français et que la seule chose que l’on savait de lui, c’est qu’il a permis à la finance apatride de mettre la main sur les fleurons de notre industrie nationale.

Ses meetings électoraux avec des figurants, des salles à moitié vides alors que les médias parlaient d’enthousiasme et d’engouement « populaire » pour ce jeune candidat, ont été une autre anomalie qui aurait du mettre la puce à l’oreille de ceux qui prétendent faire de l’information. La campagne électorale de Macron avait tout d’une mise en scène et réunissait tous les ingrédients de la manipulation de masse. Puis l’utilisation de machines à voter informatisées, aussi peu fiables que les résultats finaux, a été une autre source de questionnement.

Ne parlons pas des résultats du premier tour où dans les grandes villes tenues par ses amis politiques, les bulletins blancs étaient inexistants, où les premiers comptages lui attribuaient de 6 à 9% et parfois beaucoup moins… et qu’après une étrange panne informatique d’une demi-heure, on l’a donné en tête avec 22, 23 ou 24%… Les miracles de l’informatique et du logiciel Scytl ?

Le soir même du premier tour et avant même que les résultats définitifs ne soient connus, Macron à l’instar de Sarkozy, fêtait déjà avec les élites de la finance, son élection prévisible et annoncée pour le second tour face à Marine Le Pen, la candidate choisie par le logiciel pour être l’épouvantail qui allait provoquer le ralliement massif de tous les « républicains » sur le candidat choisi par Bilderberg.

Puis last but not last, le soir de son élection, le discours prononcé devant la symbolique pyramide du Louvre avec cette lumière rouge au-dessus de sa tête, comme l’œil d’Horus observant les événements, saluant la foule au signe du compas et de l’équerre devant des spectateurs et des figurants apparemment nombreux mais télévisés à coups d’images rapides pour éviter le détail qui tue..

Tout cela faisait penser à la théâtralisation d’une cérémonie maçonnique. Les derniers détails qui confirmaient des doutes légitimes et l’idée que nous étions bien dans une élection étrange ne correspondant à rien de ce que nous avions vécu auparavant. Et puis cette sale impression que le groupe Bilderberg et la Franc Maçonnerie l’avaient largement organisée et planifiée, et que grâce à l’ignorance et la naïveté des Français, la Cabale l’avait largement emportée.

Le vrai gagnant de ces élections ce n’était pas le peuple français mais Rothschild et ses complices de l’État profond.

Depuis, la France est vendue à la découpe à la haute finance et les riches se sont enrichis et multipliés comme jamais auparavant. Ce pouvoir gouverne par la force et la violence. Du jamais vu en France ! La corruption explose faisant de notre pays l’un des pays le plus corrompu du monde. Les lois liberticides se succèdent les unes après les autres. Les droits sociaux sont démolis à coups de votes nocturnes à l’Assemblée et au Sénat et même la réforme des retraites contre laquelle des millions de Français ont protesté, a été votée en pleine nuit, en catimini grâce à une nouvelle traîtrise du groupe Les Républicains qui en ont pris l’initiative. 

Et puis cerise sur le gâteau, l’état d’urgence sanitaire décrété grâce à un virus de laboratoire breveté et utilisé de manière criminelle, pour imposer aux Français un régime digne des pires dictatures.

La destruction de l’économie pour favoriser le Grand Reset à base de monnaie digitale, permettant de surveiller tous nos faits et gestes, les tests bidons pour continuer à gouverner par la peur, les chiffres truqués pour favoriser la psychose de la mort, la vaccination avec l’ajout de nanoparticules et d’ingrédients qui nous rendront encore plus malades, et bientôt la pénurie alimentaire, un nouveau Covid-21 et les camps d’internement pour faire plier les récalcitrants qui refusent en bloc le confinement, le masque obligatoire, l’interdiction de voyager, l’interdiction d’un retour à une vie normale et la folie criminelle de ce gouvernement d’imposteurs, d’assassins et de corrompus.

Et si les médias s’inquiètent de constater que 91% des Français et 80% d’entre nous, ne faisons plus confiance ni au gouvernement ni aux médias complices au sujet de cette gigantesque opération criminelle, c’est que nous sommes à la veille d’une révolte qui se transformera sans aucun doute, en insurrection violente.

Le peuple de France est victime d’une Cabale monstrueuse tout comme le peuple américain et d’autres peuples européens. Cette Cabale veut nous imposer le Nouvel Ordre Mondial totalitaire et génocidaire de gré ou de force, et pour l’instant c’est surtout la force et la violence qui sont employées. Nous sommes donc en situation de victimes.

Mais nous ne devons pas oublier que la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 énonce en son article 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »




Mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique COVID-19

[Source : Le Saker Francophone]


Les mesures de confinement n’empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n’apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux.


Par Denis G. Rancourt – Source Research Gate

Denis Rancourt.JPG

Les mesures sans précédent de confinement universel, de confinement institutionnel strict des maisons de soins, de masquage universel de la population, d’obsession hygiénique des surfaces et des mains et de déploiement accéléré des vaccins sont contraires à la science connue et aux récentes études de référence. Le gouvernement a fait preuve d’imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.

Introduction – Pandémie iatrogène de panique

Le contexte politico-sanitaire est un contexte dans lequel, jusqu’en 2019, le consensus scientifique et politique passé en revue était que les mesures globales généralement et universellement appliquées en 2020 étaient [1] [2] :

  • non recommandées sans être justifiées par des preuves quantitatives suffisantes des circonstances épidémiologiques locales (juridictionnelles) (transmissibilité, gravité de la maladie, impact), et sans être mises en balance avec les préjudices économiques, sanitaires et sociaux locaux qui en résultent
  • pour de nombreuses mesures (recherche des contacts, mise en quarantaine des personnes exposées, contrôle des entrées et des sorties, fermeture des frontières), « non recommandé en aucune circonstance », quelle que soit la gravité de la maladie respiratoire virale pandémique (modérée, élevée ou extraordinaire)

Le contexte politico-sanitaire est également un contexte dans lequel il existe une histoire récente documentée de « paniques répétées de pandémie de santé » dans laquelle « les experts en maladies souhaitent attirer l’attention du public et faire pencher les décisions d’allocation de ressources en faveur de la maladie qui les intéresse »[3]. Bonneux et Van Damme, en 2011, l’ont exprimé ainsi [4] :

Les paniques répétées de pandémie de santé causées par un virus aviaire H5N1 et un nouveau virus de grippe humaine A(H1N1) font partie de la culture de la peur [réf.] Le pire des scénarios a remplacé l’évaluation équilibrée des risques. Le pire des scénarios est motivé par la conviction que le danger auquel nous sommes confrontés est tellement catastrophique que nous devons agir immédiatement. Plutôt que d’attendre des informations, nous avons besoin d’une frappe préventive. Mais si les ressources achètent des vies, le gaspillage des ressources gaspille des vies. Le stockage préventif d’antiviraux largement inutiles et les politiques irrationnelles de vaccination contre un virus H1N1 exceptionnellement bénin ont gaspillé plusieurs milliards d’euros et érodé la confiance du public dans les responsables de la santé. [réf.] La politique de lutte contre la pandémie n’a jamais été guidée par des preuves, mais par la crainte des pires scénarios.

En outre, un important scandale de conflit d’intérêts concernant les recommandations de l’OMS en matière de pandémie de grippe a été exposé en détail en 2010, où les enquêteurs Cohen et Carter ont conclu : « Parmi les principaux scientifiques qui conseillent l’Organisation mondiale de la santé sur la planification d’une pandémie de grippe, certains ont fait un travail rémunéré pour les entreprises pharmaceutiques qui ont tout à gagner des conseils qu’ils ont rédigés. Ces conflits d’intérêts n’ont jamais été rendus publics par l’OMS »[5]

En 2020, rien de tout cela n’avait d’importance. Nous sommes entrés dans un monde de propagande, avec des institutions captives. Le principe de précaution (le gouvernement doit prouver l’absence probable de dommages avant d’imposer des politiques dangereuses) a été renversé, et la charge de la preuve a été imposée à la science pour justifier a posteriori des mesures sans précédent, rapidement imposées en l’absence de science ou même en s’opposant à elle. Malheureusement, une grande partie ou la plupart de l’establishment scientifique s’est conformé au nouveau programme.

Récemment, il y a eu à la fois des événements dramatiques (lancement du vaccin) et des communications scientifiques importantes, depuis que j’ai publié mes deux premiers articles scientifiques concernant la politique autour de la COVID-19, le 11 avril 2020 [6] et le 3 août 2020 [7], ainsi que des articles sur les préjudices mortels des réponses gouvernementales, déduits des données sur la mortalité toutes causes confondues, dépendantes du temps et de la juridiction [8] [9].

Mes deux premières analyses ont porté sur la science et la politique des masques [10] [11]. La présente mise à jour des développements récents porte à nouveau sur les masques, et comprend en outre des points clés sur les mesures de confinement et les vaccins.

La rigueur des mesures n’a aucun effet sur le nombre total de décès attribués à la COVID-19

Deux grandes études récentes ont été menées à l’échelle mondiale.

Dans leur article du 21 juillet 2020 intitulé « Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions gouvernementales, de l’état de préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité de la COVID-19 et les résultats sanitaires associés » (50 pays), Chaudhry et al. ont indiqué [12] :

La fermeture rapide des frontières, le confinement total et les tests à grande échelle n’ont pas été associés à la mortalité de la COVID-19 par million de personnes. (Résumé / Résultats)

Lorsque la mortalité de la COVID-19 a été évaluée, les variables significativement associées à une augmentation du taux de mortalité par million étaient la prévalence de l’obésité dans la population et le PIB par habitant. En revanche, les variables qui étaient négativement associées à une augmentation de la mortalité de la COVID-19 étaient la réduction de la dispersion des revenus au sein de la nation, la prévalence du tabagisme et le nombre d’infirmières par million d’habitants. En effet, un plus grand nombre d’infirmières dans un système de soins de santé donné était associé à une réduction de la mortalité. Les taux de mortalité étaient également plus élevés dans les comtés dont la population était plus âgée […]. Enfin, les mesures gouvernementales telles que la fermeture des frontières, le confinement total et un taux élevé de tests COVID-19 n’ont pas été associées à des réductions statistiquement significatives du nombre de cas critiques ou de la mortalité globale. (Section 3.4)

Dans leur article du 19 novembre 2020 « Mortalité du fait de la COVID-19 : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées » (160 pays), De Larochelambert et al. ont trouvé [13] :

Résultats : Des taux de mortalité plus élevés sont observés dans les zones de latitude [25/65°] et de longitude [-35/-125°]. Les critères nationaux les plus associés au taux de mortalité sont l’espérance de vie et son ralentissement, le contexte de santé publique (fardeau des maladies métaboliques et non transmissibles (MNT) par rapport à la prévalence des maladies infectieuses), l’économie (produit national de croissance, soutien financier) et l’environnement (température, indice ultra-violet). La rigueur des mesures mises en place pour lutter contre la pandémie, y compris le confinement, ne semble pas être liée au taux de mortalité.

Conclusion : Les pays qui ont déjà connu une stagnation ou une régression de l’espérance de vie, avec des revenus et des taux de mortalité élevés, ont eu le plus lourd tribut à payer. Ce fardeau n’a pas été allégé par des décisions publiques plus strictes. Des facteurs inhérents ont prédéterminé la mortalité de la Covid-19 : leur compréhension peut améliorer les stratégies de prévention en augmentant la résilience de la population grâce à une meilleure condition physique et une meilleure immunité. (Résumé)

L’American Institute for Economic Research (AIER Staff) a passé en revue ces études et 22 autres études qui aboutissent à des conclusions similaires, dans son rapport du 19 décembre 2020 intitulé « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves » [14].

Par conséquent, dans l’ensemble, le nombre total de cas critiques et le nombre total de décès étaient associés à l’état de santé préexistant et à l’état sociétal de la population, et cela n’a pas été amélioré par les mesures gouvernementales visant à ralentir la transmission.

Il est important de noter qu’en plus des études sur les associations avec la mortalité totale, la dépendance temporelle et la granularité (dépendance juridictionnelle) de la mortalité toutes causes confondues montrent que la déclaration de pandémie de l’OMS du 11 mars 2020 et la recommandation universelle de « préparer vos hôpitaux » ont été suivies d’un grand nombre de décès, probablement induits par les infections et le confinement strict des maisons de soins non ventilées pour les personnes malades et âgées [15] [16].

La pandémie iatrogène de propagande en terme de psychologie de masse et la sociologie autour de la COVID-19 de 2020 commencent à être étudiées par des méthodes quantitatives [17].

La corruption de la science est mise à nue – Masques et PCR

Un aspect positif de ce que l’on peut appeler la « pandémie de propagande » actuelle est que la corruption systémique généralisée de l’establishment scientifique est exposée, non seulement par des rétractations très médiatisées d’articles publiés dans des revues de premier plan, mais aussi par des éditoriaux critiques. Par exemple, le 13 novembre 2020, le rédacteur exécutif Kamran Abbasi l’a exprimé en termes très clairs dans les pages de l’éminent BMJ [18] :

La science est supprimée pour des raisons politiques et financières. La Covid-19 a déclenché une corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. [réf] Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.

J’en donne trois exemples.

Premièrement, le biais systémique est palpable dans une mini-saga récente sur les masques, publiée dans les pages du New England Journal of Medicine [19] [20] [21].

Gandhi et Rutherford ont écrit un article intitulé « Perspective », publié le 29 octobre 2020 [22]. Les auteurs avancent l’idée extraordinaire que se masquer réduit la gravité de la maladie chez les personnes infectées. Ils commencent par l’affirmation propagandiste selon laquelle le masquage facial universel est « l’un des piliers de la lutte contre la pandémie de Covid-19 ». Ils poursuivent en avançant l’argument fantastique suivant : les masques peuvent réduire l’inoculum viral et donc provoquer des infections asymptomatiques dans lesquelles le sujet développe une immunité. Cela a alarmé les répondants car le mécanisme proposé est ce que l’on pourrait appeler « l’immunité acquise naturellement grâce aux masques ». Admettre tout type d’immunité naturelle, qui est une dure réalité de la biologie de l’évolution, est devenu sacrilège.

Deux groupes de chercheurs ont publié des réfutations contre Gandhi et Rutherford, dans la même revue.

Rasmussen et al. ont écrit [23] :

Il n’y a pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle les masques réduisent la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 et la gravité de la Covid-19, et encore moins que leur utilisation peut induire une immunité protectrice. […] La suggestion que les masques offrent une alternative à la vaccination sans preuve que les bénéfices l’emportent sur les grands risques encourage implicitement les comportements irresponsables.

Brosseau et al. ont, pour leur part, réajusté diplomatiquement les vues exposées par Gandhi et Rutherford en ramenant les lecteurs à la science et à la réalité établies [24] :

La réplication virale est liée à la dose, mais la gravité de la maladie ne l’est pas. L’épidémiologie indique que l’apparition de formes graves de Covid-19 est associée à des conditions préexistantes et à d’autres facteurs de risque, tels que l’âge, le sexe et la grossesse [réf].

Bien qu’elle n’ait pas encore été démontrée dans des modèles expérimentaux, la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 est probablement similaire à celle du SRAS-CoV – environ 300 virions [réf]. Quelle que soit la gravité de la maladie, les gens présentent des charges virales élevées et un virus infectieux pendant au moins 8 jours après l’apparition des symptômes. La parole normale peut générer jusqu’à 3000 particules de 1 micron par minute dans l’air expiré, [ref] et chaque particule pourrait contenir plus de 250 virions, ce qui signifie qu’une seule minute de parole génère potentiellement plus de 750 000 virions. Les revêtements de visage en tissu ont une efficacité très variable en fonction de la capacité de filtrage et de l’ajustement. Le port d’un couvre-visage en tissu à proximité d’une personne infectée pendant plusieurs minutes peut ne pas empêcher la réception d’une dose infectieuse, qui, comme indiqué ci-dessus, n’est pas corrélée à une maladie moins grave.

Les auteurs de l’article original n’ont pas été dissuadés et ont répondu :

« Plus de preuves s’accumulent pour supporter cette idée » et « il y a de plus en plus de preuves à la fois physiques et d’enquêtes épidémiologiques que les masques en tissu (s’ils sont portés correctement) réduisent à la fois la transmission et l’acquisition » [25] L’examen de leurs sources montre que les auteurs ont une vision généreuse de ce qui peut constituer une « preuve » à l’appui. Voir également [26], concernant la tournure que prend l’« accumulation de preuves » dans le contexte politique des masques faciaux.

Deuxièmement, un exemple étonnant, toujours à propos des masques, est fourni dans les pages de Nature Medicine. Ici, l’équipe de prévision de la COVID-19 de l’IHME, le 23 octobre 2020 (« étude de l’IHME »), a déclaré que le port universel de masque serait d’une grande utilité aux États-Unis [27] :

L’utilisation du port universel de masque pourrait sauver 129 574 (entre 85 284 – 170 867) vies supplémentaires entre le 22 septembre 2020 et la fin février 2021, ou 95 814 (entre 60 731 – 133 077) vies supplémentaires en supposant une adoption moindre du port du masque (85%), par rapport au scénario de référence. (Résumé)

Si les masques offrent un avantage aussi important, il est impossible de comprendre comment aucun des nombreux grands essais contrôlés randomisés (ECR) dont les résultats sont vérifiés, n’a détecté cet avantage. Il est impossible d’obtenir les résultats négatifs souvent répétés dans les études ECR de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire, si les prémisses et les conclusions de l’étude IHME sont correctes. L’étude de l’IHME a été réfutée avant même sa publication.

L’étude de l’IHME est fatalement défectueuse sur au moins deux points :

  1. La méta-régression utilisée pour estimer (« suggérer », selon leurs termes) que le port universel du masque permet une réduction de 40% et plus de la transmission est sans valeur, et est le fruit d’un biais constructif ;
  2. Ils ont utilisé des données incorrectes pour évaluer la conformité du masquage de la population américaine pour la période concernée.

Cette dernière faille fatale a été exposée par Magness, dans son rapport publié dans le Wall Street Journal, intitulé « Les arguments en faveur de l’obligation du port de masques reposent sur des données erronées » [28] :

Malheureusement, les conclusions des modélisateurs de l’IHME contenaient une erreur que même un examen minimal aurait dû permettre de détecter. Le nombre prévu de vies sauvées et le cas implicite d’une obligation de port de masques sont basés sur une statistique erronée. En utilisant une enquête datant de plusieurs mois, les modélisateurs de l’IHME ont supposé à tort que le taux d’adoption de masques aux États-Unis ne s’élevait qu’à 49% à la fin du mois de septembre, et qu’il y avait donc une grande marge de manœuvre pour passer à une « adoption universelle », définie comme 95%, ou à un taux plus plausible de 85%. Cependant, selon les résultats d’une enquête plus récente, le taux d’adoption de masques aux États-Unis tourne autour de 80 % depuis l’été.

Magness ne fait aucune mention de la prémisse fictive de l’étude de l’IHME selon laquelle le port universel de masques réduit la transmission de 40 % et plus.

Troisièmement, dans l’un des plus grands scandales de l’épisode COVID-19, un test d’amplification en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR) a été mis au point à la hâte, dans des circonstances douteuses, qui n’est ni un diagnostic de la présence de virus infectieux, ni spécifique du SRAS-CoV-2, et déployé par les États pour la confirmation de l’infection chez les individus symptomatiques, et pour les tests de masse de la population générale asymptomatique.

Le dit test RT-PCR a été présenté ainsi par Corman et al. [29], et leur propre article indique :

Nous avions pour objectif de développer et de déployer une méthodologie de diagnostic robuste à utiliser dans les laboratoires de santé publique sans disposer de matériel viral. […]

Dans toutes ces situations [toutes les applications passées de la RT-PCR pour « détecter les virus responsables des sécrétions respiratoires »], les isolats de virus étaient disponibles comme substrat principal pour établir et contrôler les tests et les performances des tests.

Dans le cas présent du 2019-nCoV, les isolats de virus ou les échantillons provenant de patients infectés ne sont pas encore disponibles pour la communauté internationale de la santé publique. Nous faisons ici rapport sur l’établissement et la validation d’un flux de diagnostics pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV, conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le CoV-SARS de 2003, et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. […]

Le présent rapport décrit la mise en place d’un processus de diagnostic pour la détection d’un virus émergent en l’absence de sources physiques d’acide nucléique génomique viral. La rapidité et l’efficacité de l’effort actuel de déploiement et d’évaluation ont été rendues possibles par les réseaux de recherche nationaux et européens mis en place en réponse aux crises sanitaires internationales de ces dernières années, ce qui démontre l’énorme capacité de réaction qui peut être dégagée par l’action coordonnée des laboratoires universitaires et publics [réf]. Cette capacité des laboratoires ne soutient pas seulement les interventions immédiates de santé publique, mais permet aux sites d’enrôler des patients lors de réponses rapides de recherche clinique.

Un consortium international de scientifiques des sciences de la vie estime que l’article de Corman et al. présente des lacunes technologiques et méthodologiques fatales : Voir le rapport de Borger et al qui concluent, parmi plusieurs critiques, que [30] :

Il s’agit là de graves erreurs de conception, puisque le test ne peut pas faire la distinction entre le virus entier et les fragments de virus. Le test ne peut pas être utilisé comme un diagnostic pour les virus du SRAS.

En outre, l’absence du gène HE dans le CoV-1 et le CoV-2 du SRAS fait de ce gène le témoin négatif idéal pour exclure d’autres coronavirus. Le document de Corman-Drosten ne contient pas ce contrôle négatif, ni aucun autre contrôle négatif. Le test PCR du papier Corman-Drosten ne contient donc ni témoin positif unique ni témoin négatif permettant d’exclure la présence d’autres coronavirus. Il s’agit là d’un autre défaut de conception majeur qui classe le test comme inadapté au diagnostic.

Nous constatons de graves conflits d’intérêts pour au moins quatre auteurs, outre le fait que deux des auteurs de l’article de Corman-Drosten (Christian Drosten et Chantal Reusken) sont membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance. Un conflit d’intérêt a été ajouté le 29 juillet 2020 (Olfert Landt est PDG de TIB-Molbiol ; Marco Kaiser est chercheur senior au GenExpress et est conseiller scientifique de TIB-Molbiol), qui n’était pas déclaré dans la version originale (et qui manque toujours dans la version PubMed) ; TIB-Molbiol est la société qui a été « la première » à produire des kits PCR (Light Mix) basés sur le protocole publié dans le manuscrit de Corman-Drosten, et selon leurs propres termes, ils ont distribué ces kits de test PCR avant même que la publication ne soit soumise à relecture [réf] ; de plus, Victor Corman & Christian Drosten ont omis de mentionner leur deuxième affiliation : le laboratoire de test commercial « Labor Berlin ». Tous deux sont responsables du diagnostic des virus dans ce laboratoire [réf.] et la société opère dans le domaine des tests PCR en temps réel.

À la lumière de notre réexamen du protocole de test pour identifier le CoV-2 du SRAS décrit dans le document de Corman-Drosten, nous avons identifié des erreurs et des failles inhérentes qui rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile.

Bon nombre des critiques de Borger et al ont déjà été prouvées par des vérifications détaillées en laboratoire, comme le remarquable article de Singanayagam et al [31], qui utilise la RT-PCR avec le gène cible RdRp, qui montre (en particulier leur figure 3 A) :

  • L’importance du nombre de cycles de PCR (Ct), à la fois dans le compte rendu clinique et dans l’interprétation clinique
  • Qu’à l’exception des cas d’hospitalisation extrême (qui n’ont pas été étudiés), tous les cas positifs détectés avec la RT-PCR plus de 10 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition correspondaient à des virus non infectieux (fragments de virus morts) (aucun virus n’a pu être cultivé dans des cultures cellulaires optimales)
  • Qu’aucun délai n’a été observé pour la détection de ces virus non infectieux (fragments de virus morts), car ceux-ci ont été obtenus, avec une Ct=28-39, jusqu’à 60 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition.
  • Qu’à moins de 10 jours, avec un Ct=18-40, près de la moitié des « positifs » étaient des virus non infectieux (fragments de virus morts)
  • Un seuil opérationnel de Ct=30, au-delà duquel les « positifs » ont moins de 40% de probabilité (<8% à Ct>35) de correspondre à un virus viable, indépendamment du temps relatif à l’apparition des symptômes ou à l’exposition (leur figure 2)

De tels résultats concernant la fausse détection de virus présumés viables ont également été obtenus dans la grande étude plus récente de Jaafar et al. [32] qui ont utilisé l’amplification par RT-PCR du gène E que l’on pense être un peu moins spécifique du SRAS-CoV-2.

Il est clair que le test RT-PCR utilisé dans le monde entier est en soi sans valeur. Il produit de grandes quantités de « positifs » qui ne correspondent à aucun virus infectieux viable, qu’il s’agisse du SRAS-CoV-2 ou d’un autre. On n’y remédie que partiellement si les laboratoires se limitent à des Ct<30, sans parler du grand potentiel d’autres mauvaises pratiques de laboratoire sur le terrain.

Ajoutez à cela la malhonnêteté de la santé publique qui consiste à fabriquer une nouvelle définition de ce qui constitue un « cas ». Un « cas » est défini en médecine comme une infection active, symptomatique et diagnostiquée. Ce n’est plus le cas. Tout cas « positif » dans le « test » RT-PCR défectueux est désormais considéré comme un « cas ». La campagne massive de tests RT-PCR de la population générale asymptomatique, qui n’a aucune utilité clinique ou épidémiologique, alimente ainsi la propagande médiatique de la peur, avec des conséquences désastreuses : Tests RT-PCR non pertinent → signifie « cas » → propagande → mesures arbitraires / plus grand mal → popularité des dirigeants [33]

La transmission ne se fait pas par contact

Le 17 septembre 2020, une étude approfondie a été publiée par Meyerowitz et al [34] dans l’une des principales revues médicales du monde, Annals of Internal Medicine, qui a conclu ce qui aurait dû être évident dès le départ, même pour l’OMS : La transmission par contact des maladies respiratoires virales, y compris le SRAS-CoV-2, est hors sujet.

Selon les termes de Meyerowitz et al :

Des preuves solides provenant de rapports de cas et de groupes de cas indiquent que la transmission respiratoire est dominante, la proximité et la ventilation étant les principaux déterminants du risque de transmission. Dans les quelques cas où un contact direct ou une transmission fomitive est présumé, la transmission respiratoire n’a pas été complètement exclue. L’infectiosité atteint son maximum environ un jour avant l’apparition des symptômes et diminue dans la semaine qui suit, et aucune transmission liée tardivement (après qu’un patient a eu des symptômes pendant environ une semaine) n’a été documentée. Le virus présente une dynamique de transmission hétérogène : La plupart des personnes ne transmettent pas le virus, tandis que certaines provoquent de nombreux cas secondaires dans des groupes de transmission appelés « super-dispersion ». (Résumé)

[…] Il n’existe actuellement aucune preuve concluante de la transmission par fomite ou par contact direct du SRAS-CoV-2 chez l’homme.

Cette conclusion a des implications de grande portée :

  • Elle signifie que la « recherche des contacts » est une absurdité pour les maladies respiratoires virales. Il n’est donc pas étonnant que l’OMS ait recommandé en 2019 que la recherche des contacts soit « déconseillée en toutes circonstances » (voir ci-dessus). Pourquoi l’OMS a-t-elle rejeté la transmission par aérosol pour la COVID-19 ? C’est de l’anti-science arbitraire. [35]
  • Cela signifie que le lavage compulsif des mains et le nettoyage des surfaces sont des absurdités épidémiologiques, avec des conséquences négatives évidentes, comme les rappels massifs de désinfectants toxiques [36].
  • Cela signifie que les gouvernements et l’OMS ont été négligents pendant plus d’une décennie en n’étudiant pas, en ne recommandant pas et en ne mettant pas en œuvre des politiques de ventilation axées sur la transmission pour l’environnement bâti. En fait, l’OMS a enterré son propre rapport d’experts sur le sujet de 2009, sous la rubrique « eau / assainissement / santé » sur son site web [37], et un article de synthèse exhaustif du domaine public a été publié en 2007 [38].
  • Cela signifie que le verrouillage des portes et des fenêtres des maisons de soins pour personnes âgées constitue le pire scénario possible pour prévenir les épidémies dans les maisons de soins [39] [40].

Li et al [41] ont conclu (leur étude a été citée plus de 600 fois) :

Dix des 40 études examinées ont été considérées comme concluantes en ce qui concerne l’association entre la ventilation des bâtiments et la transmission d’infections aéroportées. Il existe des preuves solides et suffisantes pour démontrer l’association entre la ventilation, les mouvements d’air dans les bâtiments et la transmission / propagation de maladies infectieuses telles que la rougeole, la tuberculose, la varicelle, la grippe, la variole et le SRAS. (Résumé)

J’ai fait valoir que c’est précisément parce que la principale voie de transmission est constituée de fines particules d’aérosol que les masques ne peuvent pas réduire la transmission [42] [43].

Face à la preuve irréfutable que les masques ne réduisent pas le risque d’infection de leur porteur [44] [45], l’OMS et le complexe de santé publique ont inventé le « masque magique à sens unique », qui empêche la transmission par le porteur, tout en ne le protégeant pas. Les médias ont été ravis de propager ce fantasme, contraire aux lois de la physique, concernant la circulation de l’air porteur d’aérosols par les voies de moindre impédance à travers et autour des masques faciaux. Ce fantasme est ce qu’on appelle le « contrôle à la source », que de nombreux scientifiques qualifiés ont également répété.

En fait, même une stricte quarantaine de niveau militaire des jeunes adultes en bonne santé ne peut empêcher la transmission [46].

Les infirmières le savent. En Ontario, deux décisions importantes de tribunaux administratifs, en 2015 et en 2018, avec de longues audiences d’experts de tous bords, ont conclu que les infirmières de plusieurs grands hôpitaux ne pouvaient pas être obligées de porter des masques, qu’elles soient vaccinées ou non, car cela ne protégerait pas les patients [47] :

« Je pense qu’il y a maintenant un consensus qui se développe dans la communauté arbitrale selon lequel il ne fait aucun doute que ces politiques ne protègent pas vraiment les patients. L’arbitre a été assez ferme en décrivant les preuves apportées par l’hôpital comme insuffisantes, inadéquates et totalement non convaincantes », a dit Sharan Basran, avocate des infirmières.

Le port du masque dans la population générale n’apporte aucun bénéfice détectable

Depuis le 11 avril 2020, j’ai fait valoir en détail que les masques ne fonctionnent pas, et j’ai disséqué et exposé la fausse idée du contraire[48] [49]. À cette époque, il n’y avait pas encore eu d’étude de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire sur le port du masque dans la population générale.

Le 18 novembre 2020, Bundgaard et al ont publié leur vaste essai contrôlé randomisé (ECR) sur des participants sélectionnés dans la population générale danoise. Selon leurs propres termes [50] :

Un total de 3030 participants ont été assignés au hasard à la recommandation de porter des masques, et 2994 ont été assignés au contrôle ; 4862 ont terminé l’étude. L’infection par le SRAS-CoV-2 s’est produite chez 42 participants à qui l’on avait recommandé de porter un masque (1,8%) et chez 53 participants du groupe témoin (2,1%). La différence entre les groupes était de -0,3 point de pourcentage (IC à 95%, -1,2 à 0,4 point de pourcentage ; P = 0,38) (rapport de cotes, 0,82 [IC, 0,54 à 1,23] ; P = 0,33). L’imputation multiple tenant compte de la perte au suivi a donné des résultats similaires. Bien que la différence observée ne soit pas statistiquement significative, les IC de 95% sont compatibles d’une réduction de 46% jusqu’à une augmentation de 23% de l’infection. (Résumé / Résultats)

[…] la recommandation de porter un masque chirurgical en dehors de la maison, entre autres, n’a pas réduit, à des niveaux conventionnels de signification statistique, l’incidence de l’infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à l’absence de recommandation de port de masque. […] Les masques faciaux fournis aux participants étaient des masques chirurgicaux de haute qualité avec un taux de filtration de 98% [réf]. (Discussion)

Pour être clair, « 95% d’IC sont compatibles avec une réduction de 46% jusqu’à une augmentation de 23% de l’infection » signifie que, dans les limites de l’incertitude, le port d’un masque pourrait avoir augmenté la probabilité d’être infecté de 23%. Telle est la nature de l’évaluation du risque relatif, lorsque l’impact comparatif sur le risque absolu est trop minime pour être détecté.

Les auteurs semblent avoir été contraints par le processus d’« examen par les pairs » de souligner que leur étude n’a pas été conçue pour tester l’hypothèse que j’ai évoquée plus haut, à savoir le masque magique à sens unique : « … et aucune évaluation de la capacité des masques à diminuer la transmission de maladies de leurs porteurs à d’autres personnes. »

À ce stade, quelque quinze (15) ECR de niveau politique plus tard, avec des résultats vérifiés, il faut se demander ce qu’il faudrait pour que le complexe de santé publique abandonne son nouvel enthousiasme pour le port de masque forcé de la population générale, ou au moins pour financer la recherche sur les préjudices répartis et les coûts sociétaux de cette politique draconienne.

Des études sur les préjudices quantifiables et potentiels du port de masque universel commencent à être publiées, tant dans des revues médicales régulières que dans des revues alternatives. Si le « principe de précaution » était plus qu’un simple effet de mode, de telles études auraient été nécessaires avant l’adoption de lois et d’obligations en matière de port de masque universel.

Le 6 juillet 2020, par exemple, Fikenzer et al ont publié une étude rigoureuse sur l’effet physiologique des masques sur 12 hommes en bonne santé (âgés de 38 ± 6 ans). Ils ont conclu [51] :

Les masques médicaux ont un impact négatif marqué sur la capacité cardio-pulmonaire, ce qui entrave considérablement les activités physiques et professionnelles pénibles. De plus, les masques médicaux nuisent considérablement à la qualité de vie de leur porteur. Ces effets doivent être considérés par rapport aux effets protecteurs potentiels des masques faciaux sur les transmissions virales. Les données quantitatives de cette étude peuvent donc éclairer les recommandations médicales et les décideurs politiques.

En novembre 2020, Borovoy et al. [52] ont publié une étude approfondie des connaissances biologiques et médicales qui leur permet de déduire un potentiel important de dommages significatifs liés au port de masque. Ils soulignent à juste titre le rôle connu mais sous-estimé des bactéries dans les pandémies virales, et passent également en revue les maladies respiratoires dues aux bactéries buccales.

Les vaccins sont intrinsèquement dangereux

Le 13 juillet 2020, Arvin et al. ont publié dans les pages de la revue scientifique de premier plan Nature un important rappel à la réalité sous la forme d’une vaste « Perspective » (revue). L’article, à lire attentivement, est un exposé détaillé sur l’ignorance de l’homme concernant l’interférence artificielle avec le système immunitaire humain. Tout étudiant en sciences devrait conclure que « surtout, nous ne savons rien ». Les auteurs l’affirment sous une forme enjolivée [53] :

L’augmentation de la maladie dépendante des anticorps (ADE) est une préoccupation générale pour le développement de vaccins et de thérapies par anticorps car les mécanismes qui sous-tendent la protection par anticorps contre tout virus ont un potentiel théorique d’amplifier l’infection ou de déclencher une immunopathologie nocive. Cette possibilité doit être examinée attentivement à ce stade critique de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19), qui est causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2).

Nous passons ici en revue les observations relatives aux risques d’ADE de la maladie, et leurs implications potentielles pour l’infection par le SRAS-CoV-2. À l’heure actuelle, il n’existe pas de résultats cliniques, d’essais immunologiques ou de biomarqueurs connus qui permettent de différencier une infection virale grave d’une maladie à immunité renforcée, que ce soit par la mesure des anticorps, des cellules T ou des réponses intrinsèques de l’hôte. Les systèmes in vitro et les modèles animaux ne permettent pas de prédire le risque d’ADE de la maladie, en partie parce que les mécanismes de protection et les mécanismes potentiellement nuisibles médiés par les anticorps sont les mêmes et que la conception de modèles à base d’animaux dépend de la compréhension de la manière dont les réponses antivirales de l’hôte peuvent devenir nuisibles chez l’homme.

Les implications de notre manque de connaissances sont doubles. Premièrement, des études complètes sont nécessaires de toute urgence pour définir les corrélats cliniques de l’immunité protectrice contre le SRAS-CoV-2. Deuxièmement, étant donné qu’il est impossible de prévoir de manière fiable l’apparition de la maladie après une vaccination ou un traitement par anticorps – quel que soit le virus responsable – il sera essentiel de s’appuyer sur une analyse minutieuse de la sécurité chez l’homme à mesure que les interventions immunitaires contre la COVID-19 progressent. (Résumé)

Compte tenu du déploiement qui a suivi, cela signifie que nous nous sommes lancés aveuglément dans une expérience à grande échelle sur des sujets humains, sans essais sur des animaux, sans transparence scientifique, sans possibilité de consentement éclairé, sous l’impulsion de sociétés pharmaceutiques qui ne veulent que le bien de l’humanité.

Le 1er octobre 2020, Wehenkel [54] a publié un article dans lequel il a étudié 39 pays et a constaté une forte association entre le taux national de vaccination contre la grippe (IVR) des personnes âgées de 65 ans et plus et le nombre de décès dus à la COVID-19 par million d’habitants. Les résultats sont préliminaires mais peuvent constituer un exemple documenté de « renforcement de la maladie dépendant des anticorps (ADE) » impliquant la COVID-19. Tous les taux de décès par COVID-19 les plus élevés ont été enregistrés dans les pays où l’IVR est supérieure à 50 % (voir ses figures 1 et 3). Je sens une opportunité de financement de la recherche pour défaire cette découverte.

Denis G. Rancourt

Chercheur, Association des libertés civiles de l’Ontario

L’auteur présente ci dessous ses compétences pour examiner les données scientifiques sur la COVID-19

Je suis retraité et ancien professeur titulaire de physique à l’université d’Ottawa. Le poste de professeur titulaire est le plus haut grade universitaire. Au cours de mes 23 ans de carrière en tant que professeur d’université, j’ai développé de nouveaux cours et j’ai enseigné à plus de 2000 étudiants universitaires, à tous les niveaux, et dans trois facultés différentes (sciences, ingénierie, arts). J’ai supervisé plus de 80 stages de recherche ou diplômes à tous les niveaux, du post-doctorant aux étudiants de troisième cycle en passant par les chercheurs de premier cycle du CRSNG. J’ai dirigé un laboratoire de recherche interdisciplinaire de renommée internationale, et j’ai attiré d’importants fonds de recherche pendant deux décennies.

J’ai été invité une quarantaine de fois à participer à des conférences scientifiques majeures, que ce soit en séance plénière, en tant que conférencier principal ou en session spéciale. J’ai publié plus de 100 articles de recherche dans des revues scientifiques de premier plan évaluées par des pairs, dans les domaines de la physique, de la chimie, de la géologie, de la bio-géochimie, de la science des mesures, de la science du sol et de la science environnementale.

Mon facteur d’impact de l’indice H scientifique est de 40, et mes articles ont été cités plus de 5 000 fois dans des revues scientifiques à comité de lecture (profil sur Google Scholar).

Mes connaissances personnelles et ma capacité à évaluer les faits présentés dans cet article sont fondées sur mon éducation, ma recherche, ma formation et mon expérience, comme suit :

  1. En ce qui concerne les nanoparticules environnementales. Les maladies respiratoires virales sont transmises par la plus petite fraction de taille des particules d’aérosols chargées de virions, qui sont des nanoparticules environnementales réactives. Par conséquent, les stabilités chimiques et physiques et les propriétés de transport de ces particules d’aérosol sont à la base du mécanisme dominant de contagion par l’air. Mes travaux approfondis sur les nanoparticules environnementales réactives sont reconnus au niveau international et portent sur les aspects suivants : précipitation et croissance, réactivité de surface, agglomération, charge de surface, transformation de phase, décantation et sédimentation, et dissolution réactive. En outre, j’ai enseigné la dynamique des fluides (l’air est un fluide compressible) et la sédimentation gravitationnelle au niveau universitaire, et j’ai effectué des recherches sur les applications industrielles de la technologie de filtration (les masques faciaux sont des filtres).
  2. En ce qui concerne la science moléculaire, la dynamique moléculaire et la complexation de surface. Je suis un expert en structures, réactions et dynamiques moléculaires, y compris la complexation moléculaire des surfaces biotiques et abiotiques. Ces processus sont à la base de la fixation des virus, de la fixation des antigènes, de la réplication moléculaire, de la fixation aux fibres des masques, de la charge des particules, de la perte et de la croissance des particules d’aérosol, et de tous ces phénomènes impliqués dans la transmission et l’infection virale, et dans les mesures de protection. J’ai enseigné pendant de nombreuses années la mécanique quantique au niveau universitaire avancé, qui est la théorie fondamentale des atomes, des molécules et des substances ; et dans mes recherches publiées, j’ai développé la théorie et la méthodologie de la diffraction des rayons X pour la caractérisation des petites particules de matériaux.
  3. En ce qui concerne les méthodes d’analyse statistique. L’analyse statistique des études scientifiques, y compris l’analyse robuste de la propagation des erreurs et les estimations robustes des biais, fixe la limite de ce qui peut être déduit de manière fiable de toute étude d’observation, y compris les essais contrôlés randomisés en médecine, et y compris les mesures sur le terrain pendant les épidémies. Je suis un expert en analyse d’erreurs et en analyse statistique de données complexes, au niveau de la recherche dans de nombreux domaines scientifiques. Les méthodes d’analyse statistique sont à la base de la recherche médicale.
  4. En ce qui concerne la modélisation mathématique. Une grande partie de l’épidémiologie est basée sur des modèles mathématiques de transmission et d’évolution des maladies dans la population. J’ai des connaissances et une expérience au niveau de la recherche en matière de modèles mathématiques prédictifs et exploratoires et de méthodes de simulation. J’ai des connaissances d’expert liées aux incertitudes des paramètres et aux dépendances des paramètres dans ces modèles. J’ai réalisé des simulations approfondies de la dynamique épidémiologique, en utilisant des modèles compartimentaux standard (SIR, MSIR) et de nouveaux modèles.
  5. En ce qui concerne les méthodes de mesure. En science, il existe cinq grandes catégories de méthodes de mesure : (1) la spectroscopie (y compris la spectroscopie nucléaire, électronique et vibratoire), (2) l’imagerie (y compris la microscopie optique et électronique, et l’imagerie par résonance), (3) la diffraction (y compris la diffraction des rayons X et des neutrons, utilisée pour élaborer des structures moléculaires, des défauts et des structures magnétiques), (4) les mesures de transport (y compris les taux de réaction, les transferts d’énergie et les conductivités), et (5) les mesures des propriétés physiques (y compris la densité spécifique, les capacités thermiques, la réponse aux contraintes, la fatigue des matériaux…). J’ai enseigné ces méthodes de mesure dans un cours interdisciplinaire de troisième cycle que j’ai développé et donné à des étudiants de troisième cycle (M.Sc. et Ph.D.) en physique, biologie, chimie, géologie et ingénierie pendant de nombreuses années. J’ai fait des découvertes et des progrès fondamentaux dans les domaines de la spectroscopie, de la diffraction, de la magnétométrie et de la microscopie, qui ont été publiés dans des revues scientifiques de premier plan et présentés lors de conférences internationales. Je connais la science des mesures, la base de toutes les sciences, au plus haut niveau.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

Notes

  1. 2019–OMS : « Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique », avec annexe, Organisation mondiale de la santé, octobre 2019 : OMS . Rapport, ISBN : 978-92-4-151683-9, pp 91« Annexe : Rapport des revues systématiques de la littérature », WHO/WHE/IHM/GIP/2019.1, pp 125 
  2. 2017–OMS : « Évaluation de la gravité de la grippe pandémique (PISA) : Un guide de l’OMS pour évaluer la gravité de la grippe dans les épidémies et pandémies saisonnières », Organisation mondiale de la santé, mai 2017, WHO/WHE/IHM/GIP/2017.2 
  3. 2011–Bonneux : Luc Bonneux & Wim Van Damme. « La santé, c’est plus que la grippe ». Bulletin de l’Organisation mondiale de la santé 2011;89:539-540. doi : 10.2471/BLT.11.089086 
  4. Ibid note 3 
  5. 2010–Cohen : Cohen, D. et Carter, P. « L’OMS et les « conspirations » de la grippe pandémique ». BMJ 2010 ; 340:c2912. doi. (Publié le 04 juin 2010
  6. 2020–Rancourt : « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale de Covid-19 ». Rancourt, DG (11 avril 2020) ResearchGate, a obtenu 400 000 lectures, puis a été retiré de la plate-forme, selon ce rapport. Maintenant sur vixra.org , et sur rcreader.com. Et voir les Digi-Debates sur les critiques de l’article : « Digi-Debates. The Face Mask Debate », Digi Debates YouTube Channel, 25 juillet 2020, et à l’adresse suivante 
  7. 2020–Rancourt : « Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges, et fonctionnaires de la santé publique : « Un ensemble croissant de preuves ». ResearchGate (3 août 2020). DOI : 10.13140/RG.2.2.25042.58569 
  8. 2020–Rancourt : « Mortalité toutes causes confondues lors de la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement », par Rancourt, DG (2 juin 2020) ResearchGate. DOI: 10.13140/RG.2.2.24350.77125 
  9. 2020–Rancourt : D. G. Rancourt, Marine Baudin, Jérémie Mercier. « Évaluation de la virulence du SRAS-CoV-2 en France, à partir de la mortalité toutes causes confondues 1946-2020 ». ResearchGate (20 août 2020). DOI: 10.13140/RG.2.2.16836.65920/1  (Version en français
  10. Ibid note 6 
  11. Ibid note 7 
  12. 2020–Chaudhry : Chaudhry, Rabail et autres (2020) « Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions du gouvernement, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine, Volume 25, 100464 (21 juillet 2020 – The Lancet
  13. 2020–De Larochelambert : De Larochelambert Q, Marc A, Antero J, Le Bourg E et Toussaint J-F (2020). « Covid-19 Mortalité : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées ». Frontiers in Public Health 8:604339. doi : 10.3389/fpubh.2020.604339 (19 novembre 2020 – frontiersin.org
  14. 2020–AIER : « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves »AIER StaffInstitut américain de recherche économique. 19 décembre 2020 
  15. Ibid note 8 
  16. Ibid note 9 
  17. 2020–Yam : Kai Chi Yam, Joshua Conrad Jackson, Christopher M. Barnes, Jenson Lau, Xin Qin, Hin Yeung Lee. « L’augmentation des cas de COVID-19 est associée au soutien des dirigeants mondiaux ». Actes de l’Académie nationale des sciences. Oct 2020, 117 (41) 25429-25433 ; DOI : 10.1073/pnas.2009252117 
  18. 2020–Abbasi : Abbasi, Kamran (rédacteur en chef). « Covid-19 : politisation, « corruption » et suppression de la science ». Journal médical britannique. BMJ 2020 ; 371 :m4425. 
  19. 2020–Gandhi : Monica Gandhi et George W. Rutherford. « Masquage facial pour la Covid-19 – Potentiel de « variolation » dans l’attente d’un vaccin ». 29 octobre 2020. N Engl J Med 2020 ; 383:e101. DOI : 10.1056/NEJMp2026913 
  20. 2020–Rasmussen : Angela L. Rasmussen et al. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (critique de Gandhi et al. 
  21. 2020–Brosseau : Lisa M. Brosseau et al. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (critique de Gandhi et al.) 
  22. Ibid note 19 
  23. Ibid note 20 
  24. Ibid note 21 
  25. 2020–Gandhi : Monica Gandhi et George W. Rutherford. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (réponse de Gandhi et al.) 
  26. Ibid note 7 
  27. 2020–IHME : IHME COVID-19 Forecasting Team, Reiner, R.C., Barber, R.M. et al. « Modélisation des scénarios COVID-19 pour les États-Unis »Nature Medicine (2020). doi 
  28. 2020 — Magness : Phillip W. Magness. « Les arguments en faveur de l’obligation du port de masques reposent sur des données erronées »Wall Street Journal (11 novembre 2020) 
  29. 2020 : Corman Victor M, Landt Olfert, Kaiser Marco, Molenkamp Richard, Meijer Adam, Chu Daniel KW, Bleicker Tobias, Brünink Sebastian, Schneider Julia, Schmidt Marie Luisa, Mulders Daphne GJC, Haagmans Bart L, van der Veer Bas, van den Brink Sharon, Wijsman Lisa, Goderski Gabriel, Romette Jean-Louis, Ellis Joanna, Zambon Maria, Peiris Malik, Goossens Herman, Reusken Chantal, Koopmans Marion PG, Drosten Christian. « Détection de nouveaux coronavirus en 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ». Euro Surveill. 2020;25(3):pii=2000045. doi 
  30. 2020–Borger : Borger, Pieter et al « Rapport d’examen Corman-Drosten et al Eurosurveillance 2020 – L’examen externe par les pairs du test RT-PCR pour détecter le SRAS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique : conséquences pour les résultats faussement positifs »Consortium international des scientifiques en sciences de la vie (ICSLS). 27 novembre 2020 
  31. 2020–Singanayagam : Singanayagam Anika, Patel Monika, Charlett Andre, Lopez Bernal Jamie, Saliba Vanessa, Ellis Joanna, Ladhani Shamez, Zambon Maria, Gopal Robin. « Durée de l’infectiosité et corrélation avec les valeurs seuils du cycle RT-PCR dans les cas de COVID-19, Angleterre, janvier à mai 2020 ». Euro Surveill. 2020;25(32):pii=2001483. doi 
  32. 2020–Jaafar : Jaafar R, Aherfi S, Wurtz N, Grimaldier C, Hoang VT, Colson P, Raoult D, La Scola B. « Corrélation entre 3790 échantillons positifs au qPCR et des cultures cellulaires positives, y compris 1941 isolats de SRAS-CoV-2 ». Clin Infect Dis. 2020 Sep 28:ciaa1491. doi : 10.1093/cid/ciaa1491. Epub avant impression. PMID : 32986798 ; PMCID : PMC7543373 – academic.oup.com 
  33. Ibid note 17 
  34. 2020–Meyerowitz : Eric A. Meyerowitz, Aaron Richterman, Rajesh T. Gandhi, et al « Transmission du SRAS-CoV-2 : Un examen des facteurs viraux, des hôtes et de l’environnement ». Ann Intern Med. – Epub avant impression 17 septembre 2020. doi:10.7326/M20-5008 – acpjournal.org 
  35. Ibid note 7 
  36. 2020–CBC : La presse canadienne : « Santé Canada rappelle plus de 50 désinfectants pour les mains dans une liste évolutive ». (5 août 2020) – cbc.ca 
  37. 2009–OMS : « Ventilation naturelle pour la lutte contre les infections dans les établissements de santé – Lignes directrices de l’OMS 2009 ». Éditeurs : James Atkinson, Yves Chartier, Carmen Lúcia Pessoa-Silva, Paul Jensen, Yuguo Li et Wing-Hong Seto, pp 106, 2009, ISBN : 978 92 4 154785 7 – OMS 
  38. 2007–Li : Li Y, Leung GM, Tang JW, Yang X, Chao CY, Lin JZ, Lu JW, Nielsen PV, Niu J, Qian H, Sleigh AC, Su HJ, Sundell J, Wong TW, Yuen PL. « Rôle de la ventilation dans la transmission aérienne d’agents infectieux dans l’environnement bâti – une étude systématique multidisciplinaire ». Air intérieur. 2007 Feb;17(1):2-18. doi : 10.1111/j.1600-0668.2006.00445.x. PMID : 17257148 
  39. Ibid note 8 
  40. Ibid note 9 
  41. Ibid note 38 
  42. Ibid note 6 
  43. Ibid note 7 
  44. Ibid note 6 
  45. Ibid note  7 
  46. 2020–Letizia : Letizia AG, Ramos I, Obla A, Goforth C, Weir DL, Ge Y, Bamman MM, Dutta J, Ellis E, Estrella L, George MC, Gonzalez-Reiche AS, Graham WD, van de Guchte A, Gutierrez R, Jones F, Kalomoiri A, Lizewski R, Lizewski S, Marayag J, Marjanovic N, Millar EV, Nair VD, Nudelman G, Nunez E, Pike BL, Porter C, Regeimbal J, Rirak S, Santa Ana E, Sealfon RSG, Sebra R, Simons MP, Soares-Schanoski A, Sugiharto V, Termini M, Vangeti S, Williams C, Troyanskaya OG, van Bakel H, Sealfon SC. « Transmission du SRAS-CoV-2 parmi les recrues dans la Marine pendant la quarantaine ». N Engl J Med. 2020 Dec 17;383(25):2407-2416. doi : 10.1056/NEJMoa2029717. Epub 2020 11 nov. PMID : 33176093 ; PMCID : PMC7675690. (11 novembre 2020) – nejm.org 
  47. 2018–Brown : « L’ONA remporte un deuxième arbitrage contre les hôpitaux sur la politique des vaccins ou des masques » (13 septembre 2018), Canadian Lawyer Magazine – canadianlawyermag.com 
  48. Ibid note 6 
  49. Ibid note 7 
  50. 2020–Bundgaard : Bundgaard H, Bundgaard JS, Raaschou-Pedersen DET, von Buchwald C, Todsen T, Norsk JB, Pries-Heje MM, Vissing CR, Nielsen PB, Winsløw UC, Fogh K, Hasselbalch R, Kristensen JH, Ringgaard A, Porsborg Andersen M, Goecke NB, Trebbien R, Skovgaard K, Benfield T, Ullum H, Torp-Pedersen C, Iversen K. « Efficacité de l’ajout d’une recommandation sur les masques à d’autres mesures de santé publique pour prévenir l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs de masques danois : un essai contrôlé randomisé ». Ann Intern Med. 2020 Nov 18:M20-6817. doi : 10.7326/M20-6817. Epub avant impression. PMID : 33205991 ; PMCID : PMC7707213. – acpjournals.org 
  51. 2020–Fikenzer : Fikenzer S, Uhe T, Lavall D, Rudolph U, Falz R, Busse M, Hepp P, Laufs U. « Effets des masques chirurgicaux et des masques FFP2/N95 sur la capacité d’exercice cardio-pulmonaire ». Clin Res Cardiol. 2020 Dec;109(12):1522-1530. doi : 10.1007/s00392-020-01704-y. Epub 2020, 6 juillet. PMID : 32632523 ; PMCID : PMC7338098 – springer.com 
  52. 2020–Borovoy : Boris Borovoy, Colleen Huber, Maria Crisler. « Masques, fausse sécurité et dangers réels, Partie 2 : Défis microbiens des masques »Primary Doctor Medical Journal. Novembre 2020 – pdmj.org 
  53. 2020–Arvin : Arvin AM, Fink K, Schmid MA, Cathcart A, Spreafico R, Havenar-Daughton C, Lanzavecchia A, Corti D, Virgin HW. « Une perspective sur le renforcement potentiel du SRAS-CoV-2 dépendant des anticorps ». Nature. 2020 Aug;584(7821):353-363. doi : 10.1038/s41586-020-2538-8. Epub 2020 13 juillet. PMID : 32659783 – nature.com 
  54. 2020–Wehenkel : Wehenkel C. 2020. « Association positive entre les décès dus au COVID-19 et les taux de vaccination contre la grippe chez les personnes âgées dans le monde ». PeerJ 8:e10112  – doi



Un employé des labos balance tout : le vaccin est un projet d’asservissement de l’humanité qui se fonde sur des textes religieux

[Source : Médias-Presse-Info]

Par MICHELE MARIE

Un fichier audio sans lien url ou intitulé m’est tombé entre les mains il y a deux jours. Il contient les révélations faites par un employé de labo parisien devant un petit groupe de personnes dont l’identité n’est pas annoncée, sinon par leurs prénoms à la fin de la narration. La date semble être contemporaine des élections américaines de 2020, ou légèrement antérieure.
Le message m’a paru suffisamment digne de foi et important pour que j’en entreprenne la transcription. La voici, dans sa forme presque brute, après un « toilettage » minime.

« Je travaille dans les laboratoires depuis 10 ans, je suis donc dans le système. Ça fait 10 ans qu’on travaille sur les nanoparticules. Au début, l’objectif était de suivre les cellules cancéreuses. Mais malheureusement, ce projet a été détourné de sa finalité.

On est financé comme vous le savez par plusieurs laboratoires. J’ai travaillé pour un laboratoire à Paris et j’aimerais m’expliquer sur un problème. Ce que je vais vous dire n’est pas du complotisme. J’entends beaucoup de gens parler de complotisme, mais non, ça n’en est pas.

Je vais vous expliquer rapidement comment ça se passe pour les nanoparticules. En premier lieu, lorsque vous les injectez dans votre corps, elles attaquent vos globules rouges, ensuite elles remontent jusqu’à votre peau. Et quand vous les exposez à un laser, il y a de l’information qui ressurgit [devient visible]. C’est comme une sorte de tatouage. Et vous devenez aussi comme une sorte d’antenne… Non non, ce n’est pas juste la 5 G. Avec mon équipe, quand on a vu ça, on a d’abord pensé que c’était une blague, puis on a compris que c’était en fait la réalité.

Vous avez vu qu’ils veulent faire le “Grand Reset”, supprimer le cash…? On peut en fait par ces nanoparticules intégrer des informations sous forme de “métadatas”. Les métadatas sont contenues dans ces nanoparticules, qui sont injectées par le vaccin. On les appelle des “adjuvants” mais en fait ce sont des nanoparticules. Même le vaccin de la grippe contient des nanoparticules et cela vous donne une idée de la raison pour laquelle le ministre de l’Intérieur vous a parlé du [a poussé au] vaccin pour la grippe: dans le vaccin de la grippe, vous avez aussi des adjuvants qui contiennent des nanoparticules… »

Une voix (celle de son interlocutrice) l’interrompt :

« Il y a même des médecins qui conseillent de faire faire le vaccin de la grippe aux enfants, pour éviter de transmettre la grippe aux parents et aux grands-parents! »

Le narrateur reprend:

« Ils se sont dit que s’ils n’arrivaient pas à vous vacciner contre le Covid, s’ils voyaient qu’il y avait de la résistance, ils pouvaient très vite vous faire passer le vaccin {du Covid] comme étant un vaccin pour la grippe.

Moi j’ai juste envie de vous dire que tout ça en fait c’est un plan. Car par mon travail je fréquente ces gens, donc j’ai quelques informations. Ça fait quand même 10 ans que je travaille dans les laboratoires et vous avez des hommes politiques qui sont actionnaires de ces laboratoires. Si vous voulez des noms je vous les donne tout de suite. Vous avez une personne qui s’appelle Alain Bauer, je ne sais pas si vous le connaissez. Donc ce monsieur est, disons, assez important en France, vous pouvez aller le chercher sur Google, vous verrez que tout ce que je dis est vrai. Il est actionnaire de plus d’un laboratoire.
Ce qu’il faut savoir c’est que …je suis Juif, de confession juive… et ces gens-là… je ne sais pas si je peux le dire, mais en fait il y a quelque chose de religieux derrière [ce projet]. Si vous n’avez pas compris qu’il y a quelque chose de religieux derrière, c’est que vous n’avez rien compris. Disons qu’il y a une volonté de vous mettre tous en esclavage.
Et avec le Grand Reset qui va venir, avec la suppression du cash, il se pourrait bien que ce vaccin serve à vous réduire en esclavage.
Je ne sais pas si vous avez vu… il y a un vaccin qui a été développé en Russie… Alors celui-là je vous le dis tout de suite, ce n’est pas un vaccin, c’est un placebo, il n’y a rien dedans. »

Voix de l’interlocutrice : « C’est pour contenter la population qui souhaite se faire vacciner ? »

« – Voilà! En fait c’est politique. Donc, moi ce que j’ai envie de vous dire c’est que vous n’aurez pas le choix, nous n’aurons pas le choix sauf à utiliser la violence, car ces gens sont très, très déterminés. Vous n’aurez pas d’autre solution que d’utiliser la violence et même l’extrême violence car ces gens, moi je les entends parler, parler du peuple, et ils n’ont aucune considération pour votre santé ou celle de vos enfants, qui sont visés en premier lieu.

Pour les tests PCR, ils les enfoncent [l’écouvillon] jusqu’à la glande pinéale. Ces tests-là contiennent des nanoparticules. Le frottis se fait au niveau de la glande pinéale et ça [les nanoparticules] monte directement au cerveau. Je ne sais pas si vous avez vu… certains généticiens vous ont informés de ce problème-là… Ne testez pas vos enfants et essayez de les retirer de l’école, si vous pouvez. »

Bruits de fond, des gens posent des questions tous à la fois. Le narrateur répond à une question (inaudible) :

« Le virus n’existe pas, Madame. Le Covid n’est pas un virus tant que vous ne l’avez pas isolé. Le virus n’a jamais été isolé, il n’existe pas. Une fois que vous isolez le virus, effectivement vous pouvez le nommer, mais là il n’a jamais été isolé, on ne l’a jamais vu au microscope. C’est comme le virus du VIH, le virus n’existe pas, le virus n’a jamais été isolé. »

Puis il reprend le fil de son exposé :

« Donc tout ça c’est une énorme, énorme machination, faite par des laboratoires où je travaille. Je prend des risques en vous le disant parce que j’ai été plusieurs fois coupé. On m’a déjà coupé parce que j’étais dans des groupes qui ont été infiltrés, je l’ai compris et donc je prends des risques en vous disant cela.
Retirez vos enfants de l’école et si vous voyez qu’en France ça commence à… parce que moi j’ai des informations, je peux vous dire qu’ils peuvent aller jusqu’au bout, jusqu’à ramener l’armée chez vous pour vous obliger… pour vous vacciner de force… Si vous voyez que ça commence à chauffer en France, je vous conseille de quitter le pays, d’aller en Suède ou de vous mettre à l’abri. Parce qu’en Australie c’est déjà le cas, je ne sais pas si vous l’avez vu, il y a des gens qui se font vacciner de force ».

Une voix lance :

« En Australie, sur ce continent, pour le vaccin c’est affolant, affolant. Et c’est là qu’on voit bien qu’il y a un plan réel, pour autant insister à vouloir vacciner tout le monde comme ça. C’est grave, c’est très grave. »

Le laborantin reprend son récit:

« J’ai envie de dire une dernière chose: je ne veux pas passer pour un raciste ou un antisémite… je suis juif de confession, je suis juif séfarade et en fait les gens qui sont derrière tout ça, ce sont des Juifs. [NdNM : D’après certaines sources probablement qualifiées de « complotistes », il ne s’agirait pas du tout de vrais Juifs, mais de Khazars se faisant passer pour tels.] C’est pour ça que je vous disais que c’est un projet religieux. C’est que pour eux …heu… je ne sais pas si vous avez lu le Talmud…Parce que moi je suis dans cette religion donc je connais beaucoup de personnes… Ces gens-là ils ont comme objectif de réduire l’humanité en esclavage, donc ils suivent leurs préceptes religieux, ce sont des fanatiques. Je les connais tous, je les connais et j’ai l’habitude de les fréquenter. Je les entends parler entre eux, ce sont des directeurs, des PDG, et ce plan-là était en place depuis 2001.

Nous recevons des subventions, je le confirme tout de suite, nous recevons des subventions de la Fondation Bill et Melinda Gates. Il était prévu de vacciner tout le monde vers avril mais on n’a pas pu le faire parce que ça bloquait au niveau des États-Unis, à cause de la présidence… du Président américain qui nous a bloqués. Et à cause du médecin de Marseille, le Professeur Raoult. Disons que ça a été le grain [de sable] qui a fait dérailler [enrayé] la machine, ils ne s’attendaient pas à ce qu’un médecin puisse parler de la chloroquine, qui marche effectivement. La chloroquine associée à l’azithromycine, ça marche, parce qu’en fait dans le Covid il y a de la malaria, alors c’est pour ça que ça marche, d’accord ?

Mais le virus [lui-même], il n’existe pas, il n’a jamais été isolé, c’est un virus qu’on n’a jamais vu, à part ce que vous avez vu à la télé, ce qui a été pris avec des photos radioactives. Mais ça n’existe pas.

Retirez vos enfants de l’école, préparez-vous… essayez de vous préparer mentalement, préparez-vous spirituellement et si vous voyez que vous n’y arrivez pas, essayez de fuir. Fuyez les grandes villes parce que c’est là où ils espèrent mener leur répression sanitaire. Ils ont un peu peur, je pense, je pense qu’ils ont un peu peur…ils ont peur que… bon que la situation leur échappe…

Mais je pense qu’il faudra attendre les élections aux États-Unis, car nous avons peut-être un espoir avec l’élection de Trump. Parce que qu’on le veuille ou pas, c’est politique aussi, c’est du religieux qui se mêle au politique. Comme je le disais tout à l’heure, c’est des gens qui sont fanatiques. Ils ont un projet, ce projet c’est de nous réduire tous en esclavage. Et je vous le dis parce que moi je suis dans le système. J’y travaille, ça fait 10 ans, et ceux qui me traitent de complotiste ou de je ne sais quoi, ben regardez ce qui se passe autour de vous : du jour au lendemain on a été confinés, je ne sais pas si vous avez vu avec quelle rapidité la situation a changé en France… Du jour au lendemain, on a été confinés. On n’a rien compris, les gens se sont retrouvés bloqués dans les aéroports…

Ils projettent aussi de ramener la famine parce que vous savez, avec le confinement, vous avez la chaîne logistique qui est cassée. Je vous rappelle également que les Chinois sont en train de constituer leurs réserves de nourriture. Donc, dans les temps à venir, ce que je vous conseille de faire, c’est de vous constituer des réserves de nourriture… on ne sait jamais.
Voilà, c’est ce que je voulais dire. »




Analyse et résumé des éléments exposés par Jean-Bernard Fourtillan

[Source : Recherches Covid-19]

Le professeur Fourtillan avait publié le 20 août un document mettant en cause l’institut Pasteur pour la fabrication du virus responsable de la crise sanitaire actuelle, le 4 décembre il déposait une plainte contre ce même institut.

Revoyons et analysons plus en détail les documents fournis sur le site verite-covid19.fr

Les allégations du professeur Fourtillan reposent principalement sur trois brevets

– du brevet Européen de 2003 EP 1694 829 B1 (Pièce 2) à la page 3 :

[0001] La présente invention est relative à une nouvelle souche de coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), issue d’un prélèvement répertorié sous le n° 031589 et prélevé à Hanoi (Vietnam), à des molécules d’acide nucléique issues de son génome, aux protéines et peptides codés par lesdites molécules d’acide nucléique ainsi qu’à leurs applications, notamment en tant que réactifs de diagnostic et/ou comme vaccin.

– du brevet Américain de 2003 US 012.8224 A1(Pièce 3) à la première page :

(57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

– du brevet Américain de 2011 US 8,243,718 B2 (Pièce 4) à la première page : (57) (57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

Ces brevets proviennent bien de l’institut pasteur, qui a étudié des virus émergents dans le but de produire des méthodes de test et des vaccins pour ces virus potentiellement contagieux et mortels, et donc de breveter ces méthodes.

Mais que s’est-il passé entre 2011 et 2019 ? Le Pr. Fourtillan explique que des séquences du virus du SIDA, le VIH ont été insérées dans le virus du deuxième brevet américain entre 2011 et 2015.

http://d.p.h.free.fr/covid19/docs/Verite_sur_Covid-19_et_les_Vaccins_anti_Covid-19.pdf (Page 5)

À ce stade ces ajouts sont plus des suppositions reposant sur l’analyse du génome de différents chercheurs à travers le monde ayant fait état d’insertions de fragments du VIH dans les premiers séquençages du matériel génétique mis en cause dans l’épidémie de Covid-19.
La possibilité d’un ajout de fragments de VIH est une thèse relayée par de nombreux scientifiques à travers le monde.
Le nouveau coronavirus chinois est-il un avatar d’un coronavirus génétiquement modifié pour fabriquer un vaccin curatif du SIDA ?
L’étude indienne ayant initié cette thèse : Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag
Luc Montagnier : il y a du VIH dans le Covid-19

Si cette hypothèse fut contestée sous prétexte que la nature est capable de faire des choses qu’on ne comprend pas, l’origine du virus, avec ou sans VIH est discutée plus ouvertement aujourd’hui qu’au début de la crise sanitaire comme dans cet article du CNRS paru le 27 octobre 2020 « La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement ».

Le Pr. Fourtillan n’a pas la preuve irréfutable que l’institut Pasteur a créé le virus responsable de la situation actuelle, mais a de fortes suspicions de la possible implication de cet institut de recherche.

De plus, ce ne serait pas la première fois que cet institut trafique des coronavirus dans le cadre de recherches opaques : l’Institut Pasteur a ramené illégalement des fioles de Mers Coronavirus en 2015

Les allégations du professeur s’appuient sur un deuxième point

En Février 2017, une délégation du gouvernement français et de l’Institut Pasteur s’est rendue à Wuhan afin d’inaugurer le nouveau laboratoire P4 de Wuhan dans le cadre d’une collaboration entre la France et la Chine. Sur la photo suivante on reconnaît Elizabeth Guigou, Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, Yves Lévy, l’époux d’Agnès Buzyn, qui était directeur de l’INSERM, à cette époque, Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur, et un directeur de l’Institut Pasteur.
On ajoutera aussi qu’Agnès Buzyn, qui était ministre de la santé en France lorsque la crise du COVID-19 a éclaté est également à l’origine de la signature du décret qui a interdit la vente libre d’hydroxychloroquine en France le 13 janvier 2020, 8 jours avant l’annonce officielle du début de l’épidémie.

L’institut Pasteur avait donc les moyens et la possibilité d’étudier des virus à Wuhan, ville dans laquelle le virus a été observé pour la première fois.

Troisième point

Le professeur fait aussi mention d’un article d’une revue spécialisée publié en 2005 dans VIRAL IMMUNOLOGY (voir p.50) dans lequel le docteur Frédéric Tangy mentionne la possibilité de développer un vaccin à ARN atténué ayant des applications sur le VIH et le virus du Nil occidental.

Des internautes ont par la suite fait le liens entre les déclarations de Fourtillan et le fait que des Australiens aient été testés faux-positifs au VIH après s’être fait vacciner contre le Covid-19.


Suivant ce cheminement, il est possible que l’institut Pasteur ait une responsabilité dans la crise sanitaire actuelle bien qu’il n’existe pas de preuves formelles mais des suspicions.
C’est pourquoi Fourtillan avait déposé une plainte pour investiguer plus largement le rôle potentiel de l’institut, délibéré ou accidentel.

La stratégie agressive du professeur à sûrement participé à la diffusion de ses thèses, ce qui mènera nous l’espérons à un travail plus approfondi et a une enquête si la plainte émise est jugée recevable.

Il est aussi fait mention du brevet WO2020060606A1 CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA dans les recherches de Fourtillan.
Une hypothèse selon laquelle les nanoparticules des vaccins pourraient être utilisées comme systèmes d’identification et de traçage des individus est émise, mais il n’y a pas de mention de l’utilisation de nano-particules ou d’injections d’une quelconque technologie dans le corps humain dans ce brevet (?). Les systèmes d’identification élaborés seraient plus sur la forme d’une montre connectée voir d’un implant cérébral permettant de scanner les fonctions corporelles et ondes cérébrales (voir page 22 chapitre 25).

Il existe des recherches sur l’utilisation de nano-particules pour pouvoir imprimer des puces RFID à bas coût et les intégrer dans un plus large panel d’objets ou de les intégrer à des produits pour prévenir la contrefaçon (par exemple). Si l’utilisation de nano-particules injectées dans le corps humain pourrait théoriquement créer une sorte de puce RFID en fonction des méthodes d’excrétion de ces composants, rien ne montre que cela est possible à large échelle aujourd’hui.


Son internement récent avait suscité l’indignation aussi bien en France qu’à l’international. Libéré, il a répondu à l’invitation de FranceSoir pour une interview au micro de Richard Boutry, qui lui offre l’occasion de raconter ce qu’il lui est arrivé et de s’exprimer.

Le professeur de pharmacologie, après l’émoi causé par son internement forcé, répond aux questions de Richard Boutry.

https://youtu.be/J6DE0yREIFc

Retrouvez ici la Plainte du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN contre l’Institut Pasteur.
Ainsi que sa présentation sur ses recherches Toute la Vérité sur Covid-19 et les vaccins anti Covid-19.
http://d.p.h.free.fr/covid19/




Le « Great Reset » n’est pas du complotisme

Klaus Schwab et sa grande réinitialisation fasciste

[Source : Leviathan]

Traduction de l’article “Klaus Schwab and his great fascist reset”, par Winter Oak

Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui infecterait nos corps avec les nanotechnologies et dans lequel la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux.

Et, comme nous le verrons, lui et ses complices utilisent la crise Covid-19 pour contourner la responsabilité démocratique, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et pour l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle une « Grande Réinitialisation ».

Schwab n’est bien sûr pas un nazi au sens classique du terme, n’étant ni nationaliste ni antisémite, comme en témoigne le prix Dan David d’un million de dollars qui lui a été décerné par Israël en 2004.

Mais le fascisme du XXIe siècle a trouvé différentes formes politiques à travers lesquelles il peut poursuivre son projet de base : de remodeler l’humanité pour l’adapter au capitalisme par des moyens manifestement autoritaires.

Ce nouveau fascisme est aujourd’hui avancé sous les traits de la gouvernance mondiale, de la biosécurité, de la « nouvelle normalité », du « New Deal pour la nature » et de la « quatrième révolution industrielle ».

Schwab, le fondateur octogénaire et président exécutif du Forum économique mondial, se trouve au centre de cette matrice comme une araignée sur une toile géante.

La fusion de l’État et des entreprises était au centre du projet fasciste original, en Italie et en Allemagne.

Alors que le communisme envisage la prise de contrôle des affaires et de l’industrie par le gouvernement, qui – en théorie ! – agit dans l’intérêt du peuple, le fascisme consistait à utiliser l’État pour protéger et faire avancer les intérêts de l’élite riche.

Schwab poursuivait cette approche dans un contexte dénazifié d’après-guerre, lorsqu’en 1971 il fonda le European Management Forum, qui tenait des réunions annuelles à Davos en Suisse.

Ici, il faisait la promotion de son idéologie du capitalisme stakeholder (un capitalisme des intéressés ou des parties prenantes) dans lequel les entreprises étaient amenées à coopérer plus étroitement avec le gouvernement.

Le capitalisme stakeholder est décrit par le magazine d’affaires Forbes comme « l’idée qu’une entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de toutes ses stakeholders : clients, employés, partenaires, la communauté et la société dans son ensemble ».

Même dans le contexte d’une entreprise en particulier, il s’agit invariablement d’une étiquette vide. Comme le note l’article de Forbes, cela signifie, simplement, que les entreprises puissent « continuer à pelleter de l’argent en privé à leurs actionnaires et dirigeants, tout en maintenant un front public d’une sensibilité sociale exquise et d’un altruisme exemplaire ».

Mais dans un contexte social général, le concept de stakeholder est encore plus néfaste, rejetant toute idée de démocratie, de gouvernement par le peuple, en faveur du gouvernement par le business.

La société n’est plus considérée comme une communauté vivante mais comme une entreprise, dont la rentabilité est le seul objectif valable de l’activité humaine.

Schwab a défini cet agenda en 1971, dans son livre Moderne Unternehmensführung im Maschinenbau (Gestion moderne en génie mécanique), où son utilisation du terme stakeholders a effectivement redéfini les êtres humains non comme des citoyens, des individus libres ou des membres des communautés, mais en tant que participants secondaires dans une entreprise commerciale massive.

Le but de la vie de chacun était « d’assurer la croissance et la prospérité à long terme » de cette entreprise – en d’autres termes, de protéger et d’accroître la richesse de l’élite capitaliste.

Tout cela est devenu encore plus clair en 1987, lorsque Schwab a rebaptisé son European Management Forum comme Le Forum Économique Mondial ou World Economic Forum.

Le FEM/WEF se décrit sur son propre site Web comme « la plate-forme mondiale pour la coopération public-privé » et ses admirateurs décrivent comment il crée « des partenariats entre hommes d’affaires, politiciens, intellectuels et autres dirigeants de la société pour “définir, discuter et faire avancer les questions clés sur l’agenda mondial” ».

Les « partenariats » que crée le WEF visent à remplacer la démocratie par un leadership mondial d’individus non élus triés sur le volet, dont le devoir n’est pas de servir le public, mais de lui imposer la domination du 1% avec aussi peu d’interférence que possible de la part de nous autres.

Dans les livres qu’écrit Schwab pour le grand public, il s’exprime dans les clichés hypocrites du marketing et de l’écoblanchiment.

Les mêmes termes creux se répètent en boucle. Dans Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World, Schwab parle de « l’inclusion des stakeholders et de la répartition des avantages » et de « partenariats durables et inclusifs » qui nous mèneront tous à « un avenir inclusif, durable et prospère »! (1)

Derrière ces fanfaronnades, la véritable motivation qui anime son capitalisme stakeholder, qu’il promouvait toujours sans relâche à la conférence de Davos du WEF en 2020, est le profit et l’exploitation.

Par exemple, dans son livre de 2016, The Fourth Industrial Revolution, Schwab écrit sur l’ubérisation du travail et les avantages qui en découlent pour les entreprises, en particulier les start-ups à croissance rapide dans l’économie numérique : « Puisque les plates-formes “human cloud” classent les travailleurs comme indépendants, ils sont – pour le moment – libres de l’obligation de payer le salaire minimum, les impôts des employeurs et les prestations sociales ». (2)

La même insensibilité capitaliste transparaît dans son attitude envers les personnes qui approchent de la fin de leur vie professionnelle et qui ont besoin d’un repos bien mérité : « Le vieillissement est un défi économique car à moins que l’âge de la retraite ne soit considérablement augmenté pour que les membres plus âgés de la société puissent continuer à contribuer à la main-d’œuvre (un impératif économique qui présente de nombreux avantages économiques), la population en âge de travailler diminue en même temps que le pourcentage des personnes âgées dépendantes augmente ». (3)

Tout dans ce monde est réduit aux défis économiques, aux impératifs économiques et aux avantages économiques pour la classe capitaliste dirigeante.

Le mythe du progrès a longtemps été utilisé par les 1% pour persuader les gens d’accepter les technologies destinées à nous exploiter et à nous contrôler et Schwab joue là-dessus lorsqu’il déclare que

« la quatrième révolution industrielle [4eRI] représente une source importante d’espoir pour accompagner la montée en puissance du développement humain qui a entraîné une amélioration spectaculaire de la qualité de vie de milliards de personnes depuis 1800 ». (4)

Il s’enthousiasme :

« Bien que cela puisse ne pas sembler capital pour ceux d’entre nous qui vivent quotidiennement une série d’ajustements mineurs mais significatifs de la vie, ce n’est pas un changement mineur – la quatrième révolution industrielle est un nouveau chapitre du développement humain, à égalité avec les première, deuxième et troisième révolutions industrielles, et encore une fois motivée par la disponibilité et l’interaction croissantes d’un ensemble de technologies extraordinaires ». (5)

Mais il est bien conscient que la technologie n’est pas neutre sur le plan idéologique, comme certains aiment le prétendre. Les technologies et les sociétés se façonnent, dit-il.

« Après tout, les technologies sont liées à la façon dont nous savons les choses, comment nous prenons des décisions et comment nous pensons à nous-mêmes et les uns aux autres. Ils sont liés à nos identités, nos visions du monde et nos futurs potentiels. Des technologies nucléaires à la course spatiale, en passant par les smartphones, les médias sociaux, les voitures, la médecine et les infrastructures, la signification des technologies les rend politiques. Même le concept de nation “développée” repose implicitement sur l’adoption des technologies et sur ce qu’elles signifient pour nous, économiquement et socialement ». (6)

La technologie, pour les capitalistes qui la sous-tendent, n’a jamais été une question de bien social mais uniquement de profit, et Schwab indique clairement qu’il en va de même pour sa quatrième révolution industrielle.

Il explique :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle sont vraiment perturbatrices – elles bouleversent les façons existantes de détecter, calculer, organiser, agir et fournir. Ils représentent des moyens entièrement nouveaux de créer de la valeur pour les organisations et les citoyens ». (7)

Au cas où la signification de « créer de la valeur » n’était pas claire, il donne quelques exemples : « Les drones représentent un nouveau type d’employé qui travaille parmi nous, qui réduit les coûts et qui effectue des tâches qui impliquaient autrefois de vraies personnes » (8) et « l’utilisation d’algorithmes toujours plus performants étend rapidement la productivité des employés – par exemple, en utilisant des robots de discussion pour augmenter (et, de plus en plus, remplacer) le support “live chat” pour les interactions avec les clients ». (9)

Dans The Fourth Industrial Revolution, Schwab nous précise en détail comment son “Meilleur des mondes” va réduire les coûts et augmenter les profits.

Il explique :

« Plus tôt que prévu, le travail de professions aussi différentes que les avocats, les analystes financiers, les médecins, les journalistes, les comptables, les assureurs ou les bibliothécaires peut être partiellement ou totalement automatisé… »

« La technologie progresse si vite que Kristian Hammond, cofondateur de Narrative Science, une société spécialisée dans la génération de récits automatisés, prévoit qu’au milieu des années 2020, 90% des infos pourraient être générées par un algorithme, la plupart sans aucune intervention humaine (en dehors de la conception de l’algorithme, bien sûr) ». (10)

C’est cet impératif économique qui alimente l’enthousiasme de Schwab pour « une révolution qui change fondamentalement la façon dont nous vivons, travaillons et interagissons ». (11)

Schwab est lyrique à propos de la quatrième révolution industrielle, qui, selon lui, est « différent de tout ce que l’humanité a connu auparavant ». (12)

Il clame :

« Considérez les possibilités illimitées d’avoir des milliards de personnes connectées par des appareils mobiles, donnant lieu à une puissance de traitement, des capacités de stockage et un accès aux connaissances sans précédent. Ou pensez à la confluence stupéfiante de percées technologiques émergentes, couvrant des domaines très variés tels que l’intelligence artificielle (IA), la robotique, l’Internet des objets, les véhicules autonomes, l’impression 3D, la nanotechnologie, la biotechnologie, la science des matériaux, le stockage d’énergie et l’informatique quantique, pour n’en nommer que quelques-uns. Beaucoup de ces innovations en sont à leurs balbutiements, mais elles atteignent déjà un point d’inflexion dans leur développement alors qu’elles se renforcent et s’amplifient mutuellement dans une fusion de technologies à travers les mondes physique, numérique et biologique ». (13)

Il attend avec impatience plus d’éducation en ligne, qui impliquerait « l’utilisation de la réalité virtuelle et augmentée » pour « améliorer considérablement les résultats scolaires ». (14) Schwab espère également voir des capteurs « installés dans les maisons, les vêtements et accessoires, les villes, les transports et les réseaux d’énergie » (15 ) et des villes intelligentes, avec leurs « plates-formes de données » essentielles. (16)

« Tout sera intelligent et connecté à Internet», dit Schwab, et cela s’étendra aux animaux, car « des capteurs câblés dans le bétail peuvent communiquer entre eux par un réseau de téléphonie mobile ». (17)

Il adore l’idée d’ « usines de cellules intelligentes » qui pourraient permettre « la génération accélérée de vaccins » (18) et les « technologies du big data ». (19)

Celles-ci, nous assure-t-il, « offriront des moyens nouveaux et innovants de servir les citoyens et les clients » (20) et nous devrons cesser de nous opposer aux entreprises qui profitent de l’exploitation et de la vente d’informations sur tous les aspects de nos vies personnelles.

« L’établissement de la confiance dans les données et les algorithmes utilisés pour prendre des décisions sera vital », insiste Schwab. « Les préoccupations des citoyens concernant la vie privée et l’établissement de la responsabilité dans les structures commerciales et juridiques nécessiteront des ajustements de réflexion ». (21)

En fin de compte, il est clair que toute cette excitation technologique tourne uniquement autour du profit, ou de la « valeur », comme Schwab préfère l’appeler dans sa novlangue capitaliste du XXIe siècle.

Ainsi, la technologie blockchain sera formidable et provoquera « une explosion des actifs négociables, car toutes sortes d’échanges de valeur peuvent être hébergés sur la blockchain ». (22)

L’utilisation de la technologie des registres distribués, ajoute Schwab, « pourrait être le moteur de flux massifs de valeur dans les produits et services numériques, fournissant des identités numériques sécurisées qui peuvent rendre de nouveaux marchés accessibles à toute personne connectée à Internet ». (23)

En général, l’intérêt de la 4eRI ​​pour l’élite dirigeante du business est qu’il « créera des sources de valeur entièrement nouvelles » (24) et « donnera naissance à des écosystèmes de création de valeur impossibles à imaginer avec un état d’esprit coincé dans la troisième révolution industrielle ». (25)

Les technologies de la quatrième révolution industrielle, déployées par la 5G, représentent des menaces sans précédent pour notre liberté, comme le concède Schwab : « Les outils de la quatrième révolution industrielle permettent de nouvelles formes de surveillance et d’autres moyens de contrôle qui vont à l’encontre de sociétés saines et ouvertes ». (26)

Mais cela ne l’empêche pas de les présenter sous un jour positif, comme lorsqu’il déclare que « la criminalité publique est susceptible de diminuer en raison de la convergence des capteurs, des caméras, de l’IA et des logiciels de reconnaissance faciale ». (27)

Il décrit avec un certain plaisir comment ces technologies « peuvent pénétrer dans l’espace jusque-là privé de notre esprit, lire nos pensées et influencer notre comportement ». (28)

Schwab prédit :

« À mesure que les capacités dans ce domaine s’améliorent, la tentation augmentera pour les forces de l’ordre et les tribunaux d’utiliser des techniques pour déterminer la probabilité d’une activité criminelle, évaluer la culpabilité ou même éventuellement récupérer des souvenirs directement dans le cerveau des gens. Même le franchissement d’une frontière nationale pourrait un jour impliquer un scanner cérébral détaillé pour évaluer le risque de sécurité d’un individu ». (29)

Il y a des moments où le chef du WEF se laisse emporter par sa passion pour un avenir de science-fiction dans lequel « les voyages humains à longue distance et la fusion nucléaire sont monnaie courante » (30) et où « le prochain business model » pourrait donner à un consommateur la possibilité d’ « échanger l’accès à ses pensées contre l’option qui permet d’économiser du temps de taper une publication sur les réseaux sociaux par la seule pensée ». (31)

Parler de « tourisme spatial » sous le titre « la quatrième révolution industrielle et la dernière frontière » (32) est presque drôle, tout comme sa suggestion qu’un « monde plein de drones offre un monde plein de possibilités ». (33)

Mais plus le lecteur progresse dans le monde décrit dans les livres de Schwab, moins tout cela semble faire rire.

La vérité est que cette figure très influente, au centre du nouvel ordre mondial en cours de création, est un transhumaniste qui rêve de priver l’humanité d’une vie naturelle et de communautés saines.

Schwab répète ce message à maintes reprises, comme pour être sûr que nous avons été dûment avertis.

« Les innovations époustouflantes déclenchées par la quatrième révolution industrielle, de la biotechnologie à l’IA, redéfinissent ce que signifie être humain » (34), écrit-il.

« L’avenir mettra au défi notre compréhension de ce que signifie être humain, tant d’un point de vue biologique que social ». (35)

« Déjà, les progrès des neurotechnologies et des biotechnologies nous obligent à nous interroger sur ce que signifie être humain ». (36)

Il l’explique plus en détail dans Shaping The Future of the Fourth Industrial Revolution :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle [4eRI] ne s’arrêteront pas à faire partie du monde physique qui nous entoure – elles feront partie de nous. En effet, certains d’entre nous sentent déjà que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes actuels, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront probablement implantables dans notre corps et notre cerveau. Les exosquelettes et les prothèses augmenteront notre puissance physique, tandis que les progrès de la neurotechnologie amélioreront nos capacités cognitives. Nous deviendrons plus capables de manipuler nos propres gènes et ceux de nos enfants. Ces développements soulèvent des questions profondes : où tracer la ligne entre l’homme et la machine ? Que signifie être humain ? » (37)

Une section entière de ce livre est consacré au thème « Modifier l’être humain ». Ici, Schwab bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous » et évoque un futur cyborg impliquant « des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes ». (38)

Il écrit :

« Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle-même ». (39)

Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages ​​intelligents », de « calcul biologique » et « d’organismes sur mesure ». (40)

Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes », (41) que « le Smart Dust [une poussière dite intelligente], des tableaux d’ordinateurs complets avec des antennes, chacun beaucoup plus petit qu’un grain de sable, peut désormais organiser eux-mêmes à l’intérieur du corps » et que « les dispositifs implantés aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement via un smartphone “intégré”, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales et d’autres signaux ». (42)

La « biologie synthétique » est à l’horizon dans le monde de la 4eRI de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial « la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN ». (43)

L’idée des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau, suffit à rendre certains d’entre nous un peu malades, tout comme « la perspective de connecter notre cerveau à la RV via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots ». (44)

Il est peu réconfortant d’apprendre que c’est tout – bien sûr! – dans l’intérêt supérieur du profit capitaliste car cela « annonce de nouvelles industries et systèmes de création de valeur » et « représente une opportunité de créer dans la quatrième révolution industrielle des systèmes de valeur tout à fait inédits ». (45)

Et qu’en est-il de « la bio-impression des tissus organiques » (46) ou de la suggestion selon laquelle « les animaux pourraient potentiellement être modifiés pour produire des produits pharmaceutiques et d’autres formes de traitement » ? (47)

Objections éthiques ?

Tout cela est évidemment bon pour Schwab, qui est heureux d’annoncer : « Le jour où les vaches seront conçues pour produire dans leur lait un élément de coagulation du sang, dont les hémophiles manquent, n’est pas loin. Les chercheurs ont déjà commencé à modifier les génomes des porcs dans le but de cultiver des organes adaptés à la transplantation humaine ». (48)

Cela devient encore plus inquiétant. Depuis le sinistre programme eugénique de l’Allemagne nazie dans lequel Schwab est né, cette science a été jugée hors de propos par l’ humanité.

Mais maintenant, il pense manifestement que l’eugénisme est dû à un renouveau et il annonce à propos de l’édition génétique : « Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique ». (49)

Dans I, Cyborg, le tristement fameux traité transhumaniste de 2002, Kevin Warwick prédit :

« Les humains pourront évoluer en exploitant la super-intelligence et les capacités supplémentaires offertes par les machines du futur, en se joignant à eux. Tout cela indique le développement d’une nouvelle espèce humaine, connue dans le monde de la science-fiction sous le nom de “cyborgs”. Cela ne veut pas dire que tout le monde doit devenir un cyborg. Si vous êtes satisfait de votre état d’humain, qu’il en soit ainsi, vous pouvez rester tel que vous êtes. Mais soyez averti – tout comme nous, les humains, nous nous sommes séparés de nos cousins ​​chimpanzés il y a des années, les cyborgs se sépareront des humains. Ceux qui restent humains sont susceptibles de devenir une sous-espèce. Ils seront effectivement les chimpanzés du futur ». (50)

Schwab semble faire allusion au même avenir d’une élite transhumaine artificielle et « supérieure » se séparant de la populace naturelle, dans ce passage particulièrement accablant de The Fourth Industrial Revolution : « Nous sommes au seuil d’un changement systémique radical qui oblige les êtres humains à s’adapter sans arrêt. En conséquence, nous pouvons assister à un degré croissant de polarisation dans le monde, marqué par ceux qui embrassent le changement par rapport à ceux qui y résistent. »

« Cela donne lieu à une inégalité qui va au-delà de l’inégalité sociétale décrite plus haut. Cette inégalité ontologique séparera ceux qui s’adaptent de ceux qui résistent – les gagnants et les perdants matériels dans tous les sens des mots. Les gagnants peuvent même bénéficier d’une certaine forme d’amélioration humaine radicale générée par certains segments de la quatrième révolution industrielle (comme le génie génétique) dont les perdants seront privés. Cela risque de créer des conflits de classe et d’autres affrontements au-delà de tout ce que nous avons vu auparavant ». (51)

Schwab parlait déjà d’une « grande transformation » en 2016 (52) et il est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de l’artifice, de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel.

Mais, comme l’a révélé sa référence ci-dessus aux « conflits de classe », il est préoccupé par la possibilité d’une « résistance sociétale » (53) et par la manière d’avancer « si les technologies reçoivent beaucoup de résistance du public ». (54)

Les fiestas annuelles WEF de Schwab à Davos ont longtemps fait l’objet de manifestations anticapitalistes et, malgré la paralysie actuelle de la gauche radicale, il est bien conscient de la possibilité que l’opposition à son projet se renouvelle et peut-être s’élargisse, avec le risque de « ressentiment, peur et répercussions politiques ». (55)

Dans son livre le plus récent, il fournit un contexte historique, notant que « l’anti-mondialisation était forte à l’approche de 1914 et jusqu’en 1918, puis moins dans les années 1920, mais elle a repris dans les années 1930 à la suite de la Grande Dépression » . (56)

Il note qu’au début des années 2000, « le contrecoup politique et sociétal contre la mondialisation n’a cessé de se renforcer » (57), affirme que « l’agitation sociale » s’est répandue à travers le monde ces deux dernières années, citant les Gilets Jaunes en France parmi d’autres mouvements, et invoque le « sombre scénario » selon lequel « la même chose pourrait se reproduire ». (58)

Alors, comment un technocrate honnête est-il censé déployer son avenir choisi pour le monde sans l’accord du public mondial ? Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société préférée au reste d’entre nous ?

Une solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable produite par les grandes médias et les intellectuels pour l’élite du 1% – ce qu’ils aiment appeler « un récit ».

Pour Schwab, la réticence de la majorité de l’humanité à sauter à bord de sa 4eRI express reflète la tragédie selon laquelle « le monde manque d’un récit cohérent, positif et commun qui décrit les opportunités et les défis de la quatrième révolution industrielle, un récit qui est essentiel si nous allons responsabiliser un ensemble diversifié d’individus et de communautés et éviter une réaction populaire contre les changements fondamentaux en cours ». (59)

Il ajoute : « Il est donc essentiel que nous investissions attention et énergie dans la coopération multipartite au-delà des frontières académiques, sociales, politiques, nationales et industrielles. Ces interactions et collaborations sont nécessaires pour créer des récits positifs, communs et pleins d’espoir, permettant aux individus et aux groupes de toutes les régions du monde de participer et de profiter des transformations en cours ». (60)

L’un de ces « récits » blanchit les raisons pour lesquelles la technologie de la 4eRI doit être installée partout dans le monde dès que possible.

Schwab se sent frustré que « plus de la moitié de la population mondiale – environ 3,9 milliards de personnes – ne puisse toujours pas accéder à Internet », (61) 85% de la population des pays en développement restant hors ligne et donc hors de portée, contre 22% dans le monde développé.

Le but réel de la 4eRI ​​est d’exploiter ces populations à des fins lucratives via le techno-impérialisme mondial, mais bien sûr cela ne peut pas être déclaré dans le « récit » de propagande nécessaire pour vendre le plan.

Au lieu de cela, leur mission doit être présentée, comme le fait Schwab lui-même, comme une tentative de « développer des technologies et des systèmes qui servent à distribuer des valeurs économiques et sociales telles que le revenu, l’opportunité et la liberté à toutes les stakeholders ». (62)

Il se présente pieusement comme le gardien des valeurs libérales éveillées, déclarant :

« Penser inclusivement va au-delà de penser à la pauvreté ou aux communautés marginalisées simplement comme une aberration – quelque chose que nous pouvons résoudre. Cela nous oblige à nous rendre compte que “nos privilèges se situent sur la même carte que leurs souffrances”. Il va au-delà du revenu et des droits, bien que ceux-ci restent importants. Au lieu de cela, l’inclusion des stakeholders et la répartition des avantages élargissent les libertés pour tous ». (63)

La même technique, celle d’un faux « récit » conçu pour inciter les citoyens bien pensants à soutenir un schéma capitaliste impérialiste, a été largement utilisée en ce qui concerne le changement climatique.

Schwab est, bien sûr, un grand fan de Greta Thunberg, qui s’était à peine levée du trottoir après sa manifestation solitaire à Stockholm avant d’être emmenée pour s’adresser au WEF à Davos.

Il soutient également le projet mondial d’un Nouveau Deal pour la Nature, en particulier par Voice for the Planet, qui a été lancé au WEF de Davos en 2019 par les Global Shapers, une organisation de jeunesse créée par Schwab en 2011 et bien décrite par la journaliste d’investigation Cory Morningstar comme « une démonstration grotesque de malversations d’entreprise déguisées en bonnes actions ».

Dans son livre de 2020, Schwab décrit en fait la manière dont le faux « militantisme des jeunes » est utilisé pour faire avancer ses objectifs capitalistes.

Il écrit, dans un passage d’une franchise remarquable :

« Le militantisme des jeunes augmente dans le monde entier, étant révolutionné par les médias sociaux qui augmentent la mobilisation à un point qui aurait été impossible auparavant. Il prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits des LGBTQ. La jeune génération est fermement à l’avant-garde du changement social. Il ne fait aucun doute qu’il sera le catalyseur du changement et une source d’élan très importante pour la grande réinitialisation ». (64)

En fait, bien sûr, l’avenir ultra-industriel proposé par Schwab est autre chose que vert. Ce n’est pas la nature qui l’intéresse, mais le « capital naturel » et « l’incitation à investir dans les marchés verts et sociaux ». (65)

La pollution génère du profit et la crise environnementale n’est qu’une autre opportunité commerciale, comme il le détaille dans The Fourth Industrial Revolution : « Dans ce nouveau système industriel révolutionnaire, le dioxyde de carbone se transforme d’un polluant à effet de serre en un actif, et l’économie de la capture et du stockage du carbone – un puits de pollution coûteux – implique plutôt des installations rentables de captage du carbone et d’utilisation-production. Plus important encore, il aidera les entreprises, les gouvernements et les citoyens à devenir plus conscients et à s’engager dans des stratégies de régénération active du capital naturel, permettant des utilisations intelligentes et régénératrices du capital naturel pour guider la production et la consommation durables et permettre à la biodiversité de se rétablir dans les zones menacées ». (66)

Les « solutions » de Schwab aux dommages déchirants infligés à notre monde naturel par le capitalisme industriel empirent la situation.

La géo-ingénierie est l’un de ses favoris : « Les propositions incluent l’installation de miroirs géants dans la stratosphère pour dévier les rayons du soleil, l’ensemencement chimique de l’atmosphère pour augmenter les précipitations et le déploiement de grandes machines pour éliminer le dioxyde de carbone de l’air ». (67)

Et il ajoute : « De nouvelles approches sont actuellement imaginées à travers la combinaison des technologies de la quatrième révolution industrielle, telles que les nanoparticules et d’autres matériaux avancés ». (68)

Comme toutes les entreprises et ONG pro-capitalistes qui soutiennent le Nouveau Deal pour la nature, Schwab est totalement et profondément non vert.

Pour lui, la « possibilité ultime » d’énergie « propre » et « durable » comprend la fusion nucléaire (69) et il attend avec impatience le jour où les satellites « couvriront la planète de voies de communication qui pourraient aider à connecter plus de 4 milliards de personnes toujours en manque d’accès en ligne ». (70)

Schwab regrette également toutes les formalités administratives qui empêchent la marche en avant sans entrave des aliments génétiquement modifiés, nous avertissant que :

« la sécurité alimentaire mondiale ne sera atteinte, cependant, que si les réglementations sur les aliments génétiquement modifiés sont adaptées pour refléter la réalité que l’édition génique offre une méthode précise, efficace et sûre d’amélioration des cultures ». (71)

Le nouvel ordre envisagé par Schwab s’étendra au monde entier et une gouvernance mondiale est donc nécessaire pour l’imposer, comme il le répète à plusieurs reprises.

Son avenir préféré « ne se réalisera que grâce à une meilleure gouvernance mondiale » (72), insiste-t-il. « Une certaine forme de gouvernance mondiale efficace » (73) est nécessaire.

Le problème que nous rencontrons aujourd’hui est celui d’un éventuel « déficit d’ordre mondial » (74), affirme-t-il, ajoutant improbablement que l’Organisation mondiale de la santé « est accablée de ressources limitées et en baisse ». (75)

Ce qu’il raconte en réalité, c’est que sa société de 4eRI / Grande Réinitialisation ne fonctionnera que si elle s’impose simultanément partout sur la planète, sinon « nous deviendrons paralysés dans nos tentatives pour relever et répondre aux défis mondiaux ». (76)

Il admet : « En un mot, la gouvernance mondiale est au cœur de toutes ces autres questions ». (77)

Cet empire englobant fronce beaucoup les sourcils à l’idée que des populations particulières décident démocratiquement de prendre une autre voie. Celles-ci « risquent de s’isoler des normes mondiales, ce qui expose ces nations au risque de devenir les retardataires de la nouvelle économie numérique » (78), prévient Schwab.

Tout sentiment d’autonomie et d’appartenance populaire est considéré comme une menace du point de vue impérialiste de Schwab et doit être éradiqué dans le cadre de la 4eRI.

Il écrit :

« Les individus identifiaient le plus étroitement leur vie avec un lieu, un groupe ethnique, une culture particulière ou même une langue. L’avènement de l’engagement en ligne et une plus grande exposition aux idées d’autres cultures signifie que les identités sont désormais plus interchangeables qu’auparavant… Grâce à la combinaison de modèles de migration historiques et d’une connectivité à faible coût, les structures familiales sont redéfinies ». (79)

La vraie démocratie tombe essentiellement dans la même catégorie pour Schwab. Il sait que la plupart des gens n’accepteront pas volontiers des plans visant à détruire leur vie et à les asservir à un système mondial d’exploitation techno-fasciste, alors leur donner leur mot à dire n’est tout simplement pas une option.

C’est pourquoi le concept du stakeholder a été si important pour le projet de Schwab. Comme discuté ci-dessus, il s’agit de la négation de la démocratie, qui propose plutôt de « tendre la main à tous les groupes de parties prenantes pour trouver des solutions ». (80)

Si le public, le peuple, est inclus dans ce processus, ce n’est qu’à un niveau superficiel. L’ordre du jour a déjà été pré-supposé et les décisions pré-prises dans les coulisses.

Schwab l’admet effectivement lorsqu’il écrit : « Nous devons rétablir un dialogue entre toutes les stakeholders pour assurer une compréhension mutuelle qui renforce davantage une culture de confiance entre les régulateurs, les organisations non gouvernementales, les professionnels et les scientifiques. Le public doit aussi être pris en compte, car il doit participer au façonnement démocratique des développements biotechnologiques qui affectent la société, les individus et les cultures ». (81)

Le public doit donc « aussi » être considéré, après coup. Pas même directement consulté, juste « pris en compte » ! Et le rôle du peuple, le demos, sera simplement de « participer » au « façonnement » des développements biotechnologiques. La possibilité pour le public de rejeter l’idée même des développements biotechnologiques a été entièrement supprimée grâce à la formule des stakeholders et ses suppositions délibérément intégrées.

Le même message est implicite dans le titre de la conclusion de son livre Shaping The Future of the Fourth Industrial Revolution : « Ce que vous pouvez faire pour façonner la quatrième révolution industrielle ». (82) La techno-tyrannie ne peut être contestée ou arrêtée, simplement « façonnée ».

Schwab utilise le terme anglais « systems leadership » pour décrire la manière profondément antidémocratique dont le 1% nous impose à tous son programme, sans nous donner la chance de dire « non ».

Il écrit : « Le systems leadership consiste à cultiver une vision partagée du changement – en travaillant avec toutes les stakeholders de la société mondiale – puis à agir en conséquence pour changer la manière dont le système offre ses avantages, et à qui. Le systems leadership nécessite une action de toutes les stakeholders, y compris les individus, les dirigeants d’entreprise, les influenceurs sociaux et les décideurs ». (83)

Il qualifie ce contrôle descendant à spectre complet de « système de gestion de l’existence humaine » (84), bien que d’autres préfèrent le terme « totalitarisme ».

L’une des caractéristiques distinctives du fascisme historique en Italie et en Allemagne était son impatience face aux contraintes gênantes imposées à la classe dirigeante (« la Nation » en langage fasciste) par la démocratie et le libéralisme politique.

Tout cela a dû être balayé pour permettre un Blitzkrieg de « modernisation » accélérée.

Nous voyons le même esprit resurgir dans les appels de Schwab à une « gouvernance agile » dans lesquels il affirme que « le rythme du développement technologique et un certain nombre de caractéristiques des technologies rendent les cycles et processus d’élaboration des politiques précédents inadéquats ». (85)

Il écrit : « L’idée de réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies n’est pas nouvelle, mais l’urgence de le faire est bien plus grande à la lumière de la puissance des technologies émergentes d’aujourd’hui… le concept de gouvernance agile cherche à égaler l’agilité, la fluidité, la flexibilité et l’adaptabilité des technologies elles-mêmes et des acteurs du secteur privé qui les adoptent ». (86)

L’expression « réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies » met vraiment à nu ses idées. Comme sous le fascisme, les structures sociales doivent être réinventées de manière à s’adapter aux exigences du capitalisme et de ses technologies à but lucratif.

Schwab explique que sa « gouvernance agile » impliquerait la création de soi-disant laboratoires de politiques – « des espaces protégés au sein du gouvernement avec un mandat explicite d’expérimenter de nouvelles méthodes d’élaboration de politiques en utilisant des principes agiles » – et « d’encourager les collaborations entre les gouvernements et les entreprises pour créer des “bacs à sable de développement” et des “bancs d’essai expérimentaux” pour élaborer des réglementations utilisant des approches itératives, intersectorielles et flexibles ». (87)

Pour Schwab, le rôle de l’État est de faire progresser les objectifs capitalistes et non de les soumettre à une quelconque forme de contrôle. S’il est tout à fait favorable au rôle de l’État pour permettre une prise de contrôle de nos vies par les entreprises, il est moins attaché à sa fonction de régulation, qui pourrait ralentir l’afflux de profits dans des mains privées, et il envisage donc « le développement d’écosystèmes de régulateurs privés, en concurrence sur les marchés ». (88)

Dans son livre de 2018, Schwab discute du problème des réglementations embêtantes et de la meilleure façon de « surmonter ces limites » dans le contexte des données et de la confidentialité.

Il propose « des accords de partage de données public-privé qui “brisent la vitre en cas d’urgence”. Ceux-ci ne se réalisent que dans des circonstances d’urgence préalablement convenues (comme une pandémie) et peuvent aider à réduire les retards et à améliorer la coordination des premiers intervenants, permettant temporairement le partage de données qui serait illégal dans des circonstances normales ». (89)

Curieusement, deux ans plus tard, il y a eu effectivement une « pandémie » et ces « circonstances d’urgence préalablement convenues » sont devenues une réalité.

Cela n’aurait pas dû être trop surprenant pour Schwab, puisque son Forum avait co-organisé en octobre 2019 la tristement célèbre conférence Event 201, qui a modélisé une pandémie de coronavirus fictive.

Et il n’a pas perdu de temps à sortir un nouveau livre, Covid-19 : The Great Reset, co-écrit avec Thierry Malleret, qui dirige quelque chose qui s’appelle The Monthly Barometer, « une analyse prédictive succincte fournie aux investisseurs privés, aux PDG mondiaux et aux décideurs et faiseurs d’opinion ». (90)

Publié en juillet 2020, le livre se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique pourrait et devrait peut-être ressembler ». (91)

Schwab et Malleret admettent que Covid-19 est « l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années », ajoutant que « les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes » . (92)

Ils continuent : « Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies ». (93)

Pourtant, incroyablement, cette maladie « bénigne » est simultanément présentée comme l’excuse d’un changement social sans précédent, sous la bannière de « La Grande Réinitialisation » !

Et bien qu’ils déclarent explicitement que Covid-19 ne constitue pas un « choc » majeur, les auteurs utilisent à plusieurs reprises le même terme pour décrire l’impact plus large de la crise.

Schwab et Malleret placent Covid-19 dans une longue tradition d’événements qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés.

Ils invoquent spécifiquement la Seconde Guerre mondiale :

« La Seconde Guerre mondiale a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre mondial et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux en ce qui concerne les politiques et les dispositions du contrat social (comme les femmes qui rejoignent le marché du travail avant de devenir électrices). Il existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre (que nous examinerons plus en détail dans les pages suivantes), mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables ». (94)

Ils se joignent également à de nombreux « complotistes » contemporains pour faire une comparaison directe entre Covid-19 et le 11 septembre : « C’est ce qui s’est passé après les attentats terroristes du 11 septembre 2001. Partout dans le monde, de nouvelles mesures de sécurité comme l’utilisation généralisées de caméras, l’exigence de cartes d’identité électroniques et l’enregistrement des arrivées et des départs de salariés ou de visiteurs sont devenu la norme. A l’époque, ces mesures étaient jugées extrêmes, mais aujourd’hui elles sont utilisées partout et considérées comme “normales” ». (95)

Lorsqu’un tyran déclare le droit de régner sans tenir compte du point de vue de la population, il aime justifier sa dictature en affirmant qu’il est moralement en droit de le faire parce qu’il est « éclairé ».

Il en va de même pour la grande tyrannie de Schwab, alimentée par Covid, que le livre qualifie de « leadership éclairé », ajoutant : « certains dirigeants et décideurs qui étaient déjà à l’avant-garde de la lutte contre le changement climatique pourraient vouloir prendre avantage du choc infligé par la pandémie pour mettre en œuvre des changements environnementaux durables et plus larges. En effet, ils feront “bon usage” de la pandémie en ne laissant pas la crise se gâter ». (96)

L’élite dirigeante du capitalisme mondial a certainement fait de son mieux pour « profiter du choc infligé par la panique », nous assurant depuis les tout premiers jours de l’épidémie que, pour une raison insondable, rien dans nos vies ne pouvait rester pareil.

Schwab et Malleret sont, inévitablement, enthousiastes dans leur utilisation du cadrage New Normal, bien qu’ils admettent que le virus n’a jamais été que « bénigne ».

« C’est notre moment décisif », pavoisent-ils. « Beaucoup de choses changeront à jamais ». « Un nouveau monde émergera ». « Le bouleversement sociétal déclenché par COVID-19 durera des années, voire des générations ». « Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse courte est : jamais ». (97)

Ils vont même jusqu’à proposer une nouvelle séparation historique entre « l’ère pré-pandémique » et « le monde post-pandémique ». (98)

Ils écrivent :

« Des changements radicaux d’une telle ampleur sont à venir que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » (BC) et « après le coronavirus » (AC). Nous continuerons d’être surpris par la rapidité et la nature inattendue de ces changements – à mesure qu’ils s’amalgament, ils provoqueront des conséquences de deuxième, troisième, quatrième ordre et plus, des effets en cascade et des résultats imprévus. Ce faisant, ils façonneront une “nouvelle normalité” radicalement différente de celle que nous abandonnerons progressivement. Beaucoup de nos croyances et hypothèses sur ce à quoi le monde pourrait ou devrait ressembler seront brisées au cours du processus ». (99)

En 2016, Schwab envisageait de « nouvelles façons d’utiliser la technologie pour changer les comportements » (100) et prévoyait : « L’échelle de la révolution technologique en cours entraînera des changements économiques, sociaux et culturels d’une telle ampleur phénoménale qu’ils sont presque impossibles à envisager ». (101)

Une manière dont il avait espéré que son programme technocratique serait avancé était, comme nous l’avons noté, par les fausses « solutions » au changement climatique proposées par de faux verts capitalistes.

Sous le titre « réinitialisation de l’environnement », Schwab et Malleret déclarent : « À première vue, la pandémie et l’environnement peuvent sembler n’être que des cousins ​​éloignés ; mais ils sont beaucoup plus proches et entrelacés qu’on ne le pense ». (102)

L’un des liens est que les « crises » climatiques et virales ont été utilisées par le WEF et leurs semblables pour faire avancer leur programme de gouvernance mondiale. Comme l’ont dit Schwab et son co-auteur, « ils sont de nature mondiale et ne peuvent donc être correctement traités que de manière coordonnée au niveau mondial ». (103)

Un autre lien est la façon dont « l’économie post-pandémique » et « l’économie verte » (104) impliquent des profits massifs pour, en grande partie, les mêmes secteurs du big business.

Covid-19 a évidemment été une excellente nouvelle pour les capitalistes qui espéraient tirer profit de la destruction de l’environnement. Schwab et Malleret écrivent : « La conviction que les stratégies ESG [Environmental, Social and Corporate Governance] ont bénéficié de la pandémie et sont les plus susceptibles d’en bénéficier davantage est corroborée par diverses enquêtes et rapports. Les premières données montrent que le secteur de la durabilité a surperformé les fonds conventionnels au cours du premier trimestre de 2020 ». (105)

Les requins capitalistes du soi-disant « secteur de la durabilité » se frottent les mains avec joie à la perspective de tout l’argent qu’ils ont à gagner grâce à la grande réinitialisation fasciste prétextée par Covid, dans laquelle l’État est instrumentalisé pour financer leur rapacité hypocrite.

Remarque Schwab et Malleret : « La clé pour attirer les capitaux privés vers de nouvelles sources de valeur économique positive pour la nature sera de déplacer les principaux leviers politiques et les incitations financières publiques dans le cadre d’une réinitialisation économique plus large ». (106)

« Un document d’orientation préparé par Systemiq en collaboration avec le Forum économique mondial estime que la construction d’une économie favorable à la nature pourrait représenter plus de 10 000 milliards de dollars par an d’ici à 2030… La réinitialisation de l’environnement ne doit pas être considérée comme un coût, mais plutôt comme un investissement qui générera une activité économique et des opportunités d’emploi ». (107)

Compte tenu de l’imbrication des crises climatique et de Covid énoncées par Schwab, nous pourrions supposer que le plan initial était de faire passer la réinitialisation de la nouvelle normalité sur le dos de la crise climatique.

Mais, manifestement, toute cette publicité pour Greta Thunberg et Extinction Rebellion (mouvement soutenu par les grandes entreprises) n’a pas suscité suffisamment de panique publique pour justifier de telles mesures.

Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab, car l’urgence immédiate qu’il présente permet d’accélérer et de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux.

« Cette différence cruciale entre l’horizon temporel respectif d’une pandémie et celui du changement climatique et de la perte de la nature signifie qu’un risque de pandémie nécessite une action immédiate qui sera suivie d’un résultat rapide, tandis que le changement climatique et la perte de la nature nécessitent également une action immédiate, mais le résultat (ou “récompense future”, dans le jargon des économistes) ne suivra qu’avec un certain décalage ». (108)

Pour Schwab et ses amis, Covid-19 est le grand accélérateur de tout ce qu’ils veulent nous imposer depuis des années.

Comme lui et Malleret le disent : « Il est clair que la pandémie approfondit et accélère des tendances géopolitiques qui étaient déjà apparentes avant que la crise n’éclate ». (109)

« La pandémie marquera un tournant, en accélérant cette transition. Il a cristallisé la question et rendu impossible un retour au statu quo d’avant la pandémie ». (110)

Ils peuvent à peine cacher leur joie face à la direction que prend désormais la société :

« La pandémie accélérera encore plus l’innovation : elle catalyse les changements technologiques déjà en cours (comparable à l’effet d’exacerbation qu’elle a eu sur d’autres problèmes mondiaux et nationaux sous-jacents) et elle “suralimente” toute entreprise numérique ou la dimension numérique de toute entreprise ». (111)

« Avec la pandémie, la “transformation numérique” à laquelle tant d’analystes se réfèrent depuis des années, sans savoir exactement ce qu’elle voulait dire, a trouvé son catalyseur. Un effet majeur du confinement sera l’expansion et la progression du monde numérique de manière décisive et souvent permanente. »

« En avril 2020, plusieurs leaders technologiques ont observé à quelle vitesse et de quelle manière radicale les besoins créés par la crise sanitaire avaient précipité l’adoption d’un large éventail de technologies. En l’espace d’un mois à peine, il est apparu que de nombreuses entreprises, en termes d’adoption de la technologie, avaient progressé rapidement de plusieurs années ». (112)

Le destin sourit évidemment à Klaus Schwab, car cette crise de Covid-19 a heureusement réussi à faire avancer à peu près tous les aspects de l’agenda qu’il a promu au fil des décennies.

Ainsi, Malleret et lui rapportent avec satisfaction que « la pandémie accélérera l’adoption de l’automatisation sur le lieu de travail et l’introduction de plus de robots dans nos vies personnelles et professionnelles ». (113)

Les confinements à travers le monde ont, il va sans dire, fourni un grand coup de pouce financier aux entreprises proposant des achats en ligne.

Les auteurs racontent :

« Les consommateurs ont besoin de produits et s’ils ne peuvent pas acheter, ils auront inévitablement recours à les acheter en ligne. Au fur et à mesure que cette habitude s’installe, les personnes qui n’avaient jamais acheté en ligne auparavant seront à l’aise de le faire, tandis que les personnes qui étaient des acheteurs en ligne à temps partiel auparavant en deviendront plus dépendants. Cela a été mis en évidence lors des confinements. Aux États-Unis, Amazon et Walmart ont embauché au total 250 000 travailleurs pour répondre à l’augmentation de la demande et ont construit une infrastructure massive pour les commandes en ligne. Cette croissance accélérée du commerce électronique signifie que les géants du commerce en ligne sortiront probablement de la crise encore plus forts qu’ils ne l’étaient à l’époque pré-pandémique ». (114)

Ils ajoutent :

« Alors que de plus en plus de choses et de services nous sont apportés par nos mobiles et nos ordinateurs, les entreprises dans des secteurs aussi disparates que le commerce électronique, les opérations sans contact, le contenu numérique, les robots et les livraisons par drones (pour n’en citer que quelques-uns) prospéreront… Ce n’est pas par hasard que des entreprises comme Alibaba, Amazon, Netflix ou Zoom sont sorties “gagnants” des confinements ». (115)

En corollaire, on pourrait suggérer que « ce n’est pas par hasard » que les gouvernements qui ont été capturés et contrôlés par les grandes entreprises, grâce à des acteurs comme le WEF, ont imposé une « nouvelle réalité » dans laquelle les grandes entreprises sont les « gagnants »…

La bonne nouvelle inspirée de Covid ne s’arrête jamais pour tous les secteurs d’activité qui devraient bénéficier de la quatrième répression industrielle.

« La pandémie peut s’avérer être une aubaine pour l’éducation en ligne », constatent Schwab et Malleret. « En Asie, le passage à l’éducation en ligne a été particulièrement notable, avec une forte augmentation des inscriptions numériques des étudiants, une valorisation beaucoup plus élevée pour les entreprises d’enseignement en ligne et plus de capital disponible pour les start-ups “ed-tech”… À l’été 2020 , la direction de la tendance semble claire : le monde de l’éducation, comme pour tant d’autres industries, deviendra en partie virtuel ». (116)

Les sports en ligne ont également pris leur envol :

« Pendant un certain temps, la distanciation sociale peut contraindre la pratique de certains sports, ce qui profitera à son tour à l’expansion toujours plus puis puissante des e-sports. La technologie et le numérique ne sont jamais loin! ». (117)

Il y a des nouvelles similaires du secteur bancaire : « Les interactions bancaires en ligne sont passées à 90% pendant la crise, contre 10%, sans baisse de qualité et augmentation de la conformité ». (118)

Le passage à l’activité en ligne inspiré de Covid profite évidemment aux GAFAM, qui font d’énormes profits de la crise, comme les auteurs le disent :

« La valeur marchande combinée des principales entreprises technologiques a battu record après record pendant les confinements, remontant même au-dessus des niveaux avant le début de l’épidémie… il est peu probable que ce phénomène s’atténue de si tôt, bien au contraire ». (119)

Mais c’est aussi une bonne nouvelle pour toutes les entreprises impliquées, qui n’ont plus à payer des êtres humains pour travailler pour elles. L’automatisation consiste, comme toujours, à réduire les coûts et donc à augmenter les profits de l’élite capitaliste.

La culture fasciste de la Nouvelle Normalité offrira également des retombées lucratives à des secteurs d’activité particuliers, tels que l’industrie de l’emballage, expliquent Schwab et Malleret.

« La pandémie renforcera certainement notre attention sur l’hygiène. Une nouvelle obsession de la propreté entraînera notamment la création de nouvelles formes d’emballage. Nous serons encouragés à ne pas toucher aux produits que nous achetons. Les plaisirs simples comme sentir un melon ou presser un fruit seront désapprouvés et peuvent même devenir une chose du passé ». (120)

Les auteurs décrivent également ce qui ressemble beaucoup à un programme technocratique lié au profit derrière la « distanciation sociale » qui a été un élément clé de la « réinitialisation » Covid.

Ils écrivent :

« Sous une forme ou une autre, les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la disparition de la pandémie elle-même, justifiant la décision de nombreuses entreprises de différents secteurs d’accélérer l’automatisation. Après un certain temps, les préoccupations persistantes concernant le chômage technologique disparaîtront à mesure que les sociétés souligneront la nécessité de restructurer le lieu de travail de manière à minimiser les contacts humains étroits. En effet, les technologies d’automatisation sont particulièrement bien adaptées à un monde dans lequel les êtres humains ne peuvent pas être trop proches les uns des autres ou sont prêts à réduire leurs interactions. Notre peur persistante et peut-être durable d’être infectée par un virus (COVID-19 ou autre) accélérera ainsi la marche implacable de l’automatisation, en particulier dans les domaines les plus sensibles à l’automatisation ». (121)

Comme mentionné précédemment, Schwab a longtemps été frustré par toutes ces réglementations nuisibles qui empêchent les capitalistes de gagner autant d’argent qu’ils le souhaiteraient, en se concentrant sur des préoccupations économiquement non pertinentes telles que la sécurité et le bien-être des êtres humains.

Mais – hourra! – la crise Covid a fourni l’excuse parfaite pour éliminer de grands pans de ces vieux obstacles à la prospérité et à la croissance.

La santé est un domaine dans lequel les formalités administratives fastidieuses sont abandonnées. Pourquoi un stakeholder sensé imaginerait-il qu’une obligation particulière de soin et de diligence devrait être autorisée à empiéter sur la rentabilité de ce secteur d’activité particulier ?

Schwab et Malleret sont ravis de constater que la télémédecine « bénéficiera considérablement » de l’urgence Covid : « La nécessité de faire face à la pandémie par tous les moyens disponibles (plus, pendant l’épidémie, la nécessité de protéger les agents de santé en leur permettant de travailler à distance) a éliminé certains des obstacles réglementaires et législatifs liés à l’adoption de la télémédecine ». (122)

L’abandon des réglementations est un phénomène général sous le régime mondial de la New Normal, comme le signalent Schwab et Malleret :

« À ce jour, les gouvernements ont souvent ralenti le rythme de l’adoption des nouvelles technologies en réfléchissant longuement à ce à quoi le meilleur cadre réglementaire devrait ressembler, mais, comme le montre maintenant l’exemple de la télémédecine et de la livraison par drone, une accélération spectaculaire forcée par la nécessité est possible. Pendant les confinements, un assouplissement quasi-global des réglementations qui avait auparavant entravé les progrès dans les domaines où la technologie était disponible depuis des années s’est soudainement produit parce qu’il n’y avait pas de choix meilleur ou autre disponible. Ce qui était jusqu’à récemment impensable est soudainement devenu possible… De nouvelles réglementations resteront en place ». (123)

Ils ajoutent :

« L’impératif actuel de propulser, quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifient que l’on est sans tabou ». (124)

« Sans tabou ». Ne vous y trompez pas : c’est le langage adopté par le capitalisme lorsqu’il abandonne sa prétention à la démocratie libérale et passe en mode complètement fasciste.

Il ressort clairement des travaux de Schwab et Malleret qu’une fusion fasciste de l’État et des entreprises, à l’avantage de ces derniers, sous-tend leur grande réinitialisation.

Des sommes d’argent phénoménales ont été transférées des fonds publics vers les poches bombées du 1% depuis le tout début de la crise Covid, comme ils le reconnaissent :

« En avril 2020, alors que la pandémie commençait à engloutir le monde, les gouvernements du globe avaient annoncé des programmes de relance s’élevant à plusieurs billions de dollars, comme si huit ou neuf plans Marshall avaient été mis en place presque simultanément ». (125)

Ils poursuivent : « Le COVID-19 a réécrit de nombreuses règles du jeu entre les secteurs public et privé. […] La plus grande intrusion bienveillante (ou non) des gouvernements dans la vie des entreprises et la conduite de leurs affaires dépendra du pays et de l’industrie, prenant donc de nombreuses formes différentes ». (126)

« Des mesures qui auraient semblé inconcevables avant la pandémie pourraient bien devenir la norme dans le monde entier alors que les gouvernements tentent d’empêcher la récession économique de se transformer en une dépression catastrophique. »

« De plus en plus, des appels seront lancés au gouvernement pour qu’il agisse en tant que “payeur de dernier recours” pour prévenir ou endiguer la vague de licenciements massifs et de destructions d’entreprises déclenchées par la pandémie. Tous ces changements modifient les règles du “jeu” de la politique économique et monétaire. » (127)

Schwab et son collègue se félicitent de la perspective que des pouvoirs étatiques accrus soient utilisés pour soutenir le profit des grandes entreprises.

Ils écrivent :

« L’une des grandes leçons des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante : les crises aiguës contribuent à renforcer le pouvoir de l’État. Cela a toujours été le cas et il n’y a aucune raison pour que ce soit différent avec la pandémie COVID-19 ». (128)

Et ils ajoutent :

« En regardant vers l’avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais avec différents degrés d’intensité, qu’il est dans l’intérêt de la société de réécrire certaines des règles du jeu et d’accroître en permanence leur rôle ». (129)

L’idée de réécrire les règles du jeu rappelle encore une fois le langage fasciste, tout comme l’idée d’augmenter en permanence le rôle de l’État dans l’aide au secteur privé.

En effet, il vaut la peine de comparer la position de Schwab sur cette question avec celle du dictateur fasciste italien Benito Mussolini, qui a répondu à la crise économique en 1931 en lançant un organisme spécial d’urgence, L’Istituto mobiliare italiano, pour aider les entreprises.

Il a déclaré que c’était « un moyen pour conduire énergiquement l’économie italienne vers sa phase corporative, c’est-à-dire un système qui respecte fondamentalement la propriété et l’initiative privée, mais les lie étroitement à l’État, qui seul peut les protéger, les contrôler et les animer ». (130)

Les soupçons sur la nature fasciste de la grande réinitialisation de Schwab sont confirmés, bien sûr, par les mesures policières qui ont été déployées à travers le monde pour assurer le respect des mesures « d’urgence » de Covid.

La pure force brute qui ne se trouve jamais loin sous la surface du système capitaliste devient de plus en plus visible quand il entre dans la phase fasciste et cela est très en évidence dans le livre de Schwab et Malleret.

Le mot « force » est déployé à maintes reprises dans le contexte de Covid-19. Parfois, c’est dans un contexte commercial, comme avec les déclarations selon lesquelles « le COVID-19 a forcé toutes les banques à accélérer une transformation numérique qui est maintenant là pour durer » ou que « la micro-réinitialisation obligera chaque entreprise de chaque secteur à expérimenter de nouvelles manières de faire des affaires, de travailler et de fonctionner ». (131)

Mais parfois elle s’applique directement aux êtres humains, ou aux « consommateurs » comme Schwab et ses semblables préfèrent nous représenter.

« Pendant les confinements, de nombreux consommateurs auparavant réticents à s’appuyer trop lourdement sur les applications et services numériques ont été contraints de changer leurs habitudes presque du jour au lendemain : regarder des films en ligne au lieu d’aller au cinéma, se faire livrer des repas au lieu d’aller au restaurant, parler à des amis à distance au lieu de les rencontrer en chair et en os, parler à des collègues sur un écran au lieu de bavarder à la machine à café, faire de l’exercice en ligne au lieu d’aller au gymnase, etc. »

« Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persistent, l’appui plutôt sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées ». (132)

Dans un système fasciste, les individus ne se voient pas offrir le choix de se conformer ou non à ses demandes, comme Schwab et Malleret le disent clairement à propos de ce que l’on appelle la recherche des contacts :

« Aucune application volontaire de recherche des contacts ne fonctionnera si les gens ne sont pas disposés à fournir leurs propres données personnelles à l’agence gouvernementale qui surveille le système; si un individu refuse de télécharger l’application (et donc de ne pas divulguer des informations sur une éventuelle infection, des mouvements et des contacts), tout le monde sera affecté ». (133)

Ceci, pensent-ils, est un autre grand avantage de la crise Covid par rapport à la crise environnementale qui aurait pu être utilisée pour imposer leur nouvelle norme :

« Alors que pour une pandémie, une majorité de citoyens aura tendance à être d’accord avec la nécessité d’imposer des mesures coercitives, ils résisteront aux politiques contraignantes en cas de risques environnementaux où les preuves peuvent être contestées ». (134)

Ces « mesures coercitives », qu’on nous impose, impliqueront bien entendu des niveaux inimaginables de surveillance fasciste de nos vies, en particulier dans notre rôle d’esclaves salariés.

Schwab et Malleret écrivent :

« Le mouvement de l’entreprise sera vers une plus grande surveillance; pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale ». (135)

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les vaccins Covid en cours de préparation.

Schwab est profondément connecté à ce monde, allant jusqu’à tutoyer Bill Gates et ayant été décrit par Henry McKinnell, président et PDG de Pfizer Inc, comme « une personne vraiment dévouée à une cause vraiment noble » .

On ne s’étonne donc pas qu’il insiste, avec Malleret, sur le fait qu’ « un retour complet à la “normale” ne peut être envisagé avant qu’un vaccin ne soit disponible ». (136)

Il ajoute :

« Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde (nous sommes collectivement aussi forts que le maillon le plus faible) avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaccins ». (137)

Les « anti-vaccins » rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous ceux qui sont engagés dans des « conflits de classe », « résistance sociale » et « réaction politique ».

La majorité de la population mondiale a déjà été exclue des processus décisionnels par le manque de démocratie que Schwab veut accentuer à travers sa domination corporative actionnaire, sa « gouvernance agile », son management totalitaire de l’existence humaine.

Mais comment envisage-t-il de faire face au « sombre scénario » des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation newnormaliste et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ?

Quel degré de « force » et de « mesures coercitives » serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né.

La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, mais s’est effondrée 988 ans avant l’objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en était ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et Thierry Malleret et leurs amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des smartphones ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à marcher, muselés et soumis, directement dans leur enfer transhumaniste.

Nous pouvons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda ! Refuser leur récit ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme !

Klaus Schwab n’est pas un dieu, mais un être humain. Juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, sont peu nombreux. Leurs objectifs ne sont pas les objectifs de la grande majorité de l’humanité. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas le consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous le forcer sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification « d’urgence », nous n’allions jamais accepter leur plan déformé.

Ils ont peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons. Nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré.

Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons retirer notre liberté des mâchoires mortelles de la machine fasciste !

1. Klaus Schwab with Nicholas Davis, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World (Genève : WEF, 2018), e-book.
2. Klaus Schwab, The Fourth Industrial Revolution (Genève : WEF, 2016), e-book.
3. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
4. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
5. Ibid.
6. Ibid.
7. Ibid.
8. Ibid.
9. Ibid.
10. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
11. Ibid.
12. Ibid.
13. Ibid.
14. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
15. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
16. Ibid.
17. Ibid.
18. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
19. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
20. Ibid.
21. Ibid.
22. Ibid.
23. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
24. Ibid.
25. Ibid.
26. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
27. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
28. Ibid.
29. Ibid.
30. Ibid.
31. Ibid.
32. Ibid.
33. Ibid.
34. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
35. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
36. Ibid.
37. Ibid.
38. Ibid.
39. Ibid.
40. Ibid.
41. Ibid.
42. Ibid.
43. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
44. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
45. Ibid.
46. Ibid.
47. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
48. Ibid.
49. Ibid.
50. Kevin Warwick, I, Cyborg (London : Century, 2002), p. 4. Lire aussi Paul Cudenec, Nature, Essence and Anarchy (Sussex : Winter Oak, 2016).
51. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
52. Ibid.
53. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
54. Ibid.
55. Ibid.
56. Klaus Schwab, Thierry Malleret, Covid-19 : The Great Reset (Genève : WEF, 2020), e-book. Edition 1.0.
57. Ibid.
58. Ibid.
59. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
60. Ibid.
61. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
62. Ibid.
63. Ibid.
64. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
65. Ibid.
66. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
67. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
68. Ibid.
69. Ibid.
70. Ibid.
71. Ibid.
72. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
73. Ibid.
74. Ibid.
75. Ibid.
76. Ibid.
77. Ibid.
78. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
79. Ibid.
80. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
81. Ibid.
82. Ibid.
83. Ibid.
84. Ibid.
85. Ibid.
86. Ibid.
87. Ibid.
88. Ibid.
89. Ibid.
90. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
91. Ibid.
92. Ibid.
93. Ibid.
94. Ibid.
95. Ibid.
96. Ibid.
97. Ibid.
98. Ibid.
99. Ibid.
100. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
101. Ibid.
102. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
103. Ibid.
104. Ibid.
105. Ibid.
108. Ibid.
107. Ibid.
108. Ibid.
109. Ibid.
110. Ibid.
111. Ibid.
112. Ibid.
113. Ibid.
114. Ibid.
115. Ibid.
116. Ibid.
117. Ibid.
118. Ibid.
119. Ibid.
120. Ibid.
121. Ibid.
122. Ibid.
123. Ibid.
124. Ibid.
125. Ibid.
126. Ibid.
127. Ibid.
128. Ibid.
129. Ibid.
130. Benito Mussolini, cit. Pierre Milza and Serge Berstein, Le fascisme italien 1919-1945 (Paris : Editions de Seuil, 1980), p. 246.
131. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
132. Ibid.
133. Ibid.
134. Ibid.
135. Ibid.
136. Ibid.
137. Ibid.


[Voir aussi :

https://twitter.com/robinmonotti/status/1325552744623640576
  • Le cerveau du “Grand Reset” suggère de “scanner les esprits” pour évaluer les risques avant d’autoriser à voyager
  • Tucker Carlson : Les élites insistent sur les confinements du Covid pour inaugurer le “Grand Reset”
  • Le NYTimes déclare que le “Grand Reset” est une “théorie du complot” le même jour où le Forum économique mondial le célèbre
  • John Kerry déclare qu’un “Grand Reset” est nécessaire pour stopper la montée du populisme
  • Donc, c’est quoi le “Grand Reset” ?
  • Great reset : c’est pour bientôt !




Les croyances du Dr Vadeboncoeur sur les vaccins et l’autisme

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

La seule étude sur l’innocuité [du thimérosal] archivée dans un dossier à la [Food and Drug Administration (FDA)] précède en fait la FDA. Il s’agit d’une étude de 1929 menée par Eli Lilly & Company peu de temps après l’invention du thimérosal. Ils ont décidé de le tester sur un groupe de 22 patients qui mouraient de méningite aiguë. Ils ont donc fait des injections aux patients, les ont suivis pendant environ 3 jours, et la plupart d’entre eux sont décédés de la méningite par la suite. Au cours de cette période de suivi, ils n’ont noté aucun effet néfaste du thimérosal. Voilà l’étude d’innocuité qui, à ce jour, constitue la seule preuve d’innocuité de cette substance dans les mains de la FDA.

David Kirby, Evidence of Harm. Mercury in Vaccines and the Autism Epidemic: Medical Controversy, BMJ, 12 mai 2005

Dans son article « Vaccins et autisme : croire ou savoir » publié dans L’actualité,
le Dr Alain Vadeboncoeur cite une « vaste et solide étude » publiée en
2014 sur l’absence de liens entre les vaccins et l’autisme.

À propos de l’étude en question, Vaccines are not associated with autism: an evidence-based meta-analysis of case-control and cohort studies, de L.E.Taylor et al., Le Dr Vadeboncoeur nous dit :

alain-vadeboncoeur-dis-moi-tout.jpg

« L’étude porte sur 1 266 327 enfants. La réponse est nette: comme dans les autres ayant exploré cette hypothèse, il n’y a aucun lien démontré entre les vaccins et l’autisme. La vaccination n’augmente pas le risque d’autisme.
Le vaccin RRO (rougeole-rubéole-oreillons), en particulier, non plus.
On ne démontre aucun lien avec le thimérosal, parfois inclus dans les
vaccins. Ni avec le mercure de certains vaccins. » (C’est l’auteure qui
souligne dans toutes les citations.)

Le Dr. Vadeboncoeur a-t-il lu l’étude? Si
oui, il vient de démontrer ou son incapacité à comprendre des études
scientifiques ou son intention de manipuler l’opinion publique. S’il n’a
pas lu l’étude, eh bien il aurait dû la lire avant de faire ces
conclusions erronées parce que l’étude n’a aucunement démontré l’absence
de lien entre « les vaccins et l’autisme ».

Regardons ce que dit réellement cette étude.

Les chercheurs se sont basés sur cinq
études de cohorte et cinq études cas-témoins, deux types d’études
observationnelles dont vous trouverez les définitions sur le site de l’Institut de recherche en santé du Canada.

Sur les cinq études de cohorte, les auteurs expliquent :

– « deux études comportaient des données spécifiques sur le vaccin RRO » :

1- Madsen et al. (2002) : A Population-Based Study of Measles, Mumps, and Rubella Vaccination and Autism

2- Uchiyama et al. (2007) : MMR-Vaccine and Regression in Autism Spectrum Disorders: Negative Results Presented from Japan

– « deux études
comprenaient des données spécifiques sur le dosage cumulatif de mercure
(Hg) » (le thimérosal est un agent de conservation contenant 49,6 % de
mercure) :

3- Andrews et al. (2004) : Thimerosal
Exposure in Infants and Developmental Disorders: A Retrospective Cohort
Study in the United Kingdom Does Not Support a Causal Association

4- Verstraeten et al. (2003) : Safety of Thimerosal-Containing Vaccines: A Two-Phased Study of Computerized Health Maintenance Organization Databases

– la dernière comprenait « deux ensembles de données portant spécifiquement sur l’exposition au thimérosal »,

5 – Hviid et al. (2003) : Association Between Thimerosal-Containing Vaccine and Autism

En ce qui concerne les études cas-témoins, les auteurs précisent :

– « quatre études
portaient spécifiquement sur le vaccin RRO et les risques subséquents
d’autisme ou de trouble du spectre de l’autisme (TSA) » :

 1- DeStefano et al. (2004) :  Age
at First Measles-Mumps-Rubella Vaccination in Children With Autism and
School-Matched Control Subjects: A Population-Based Study in
Metropolitan Atlanta

2- Mrodzek-Budzyn et al. (2010) : Lack of association between measles-mumps-rubella vaccination and autism in children: a case-control study.

3- Smeeth et al. (2004) : MMR vaccination and pervasive developmental disorders: a case-control study

4- Uno et al. (2012) : The combined measles, mumps, and rubella vaccines and the total number of vaccines are not associated with development of autism spectrum disorder: The first case–control study in Asia

– « deux études comprenaient des données sur le vaccin monovalent contre la rougeole » :

2- Mrozek-Budzyn et al. (2010) : Lack of association between measles-mumps-rubella vaccination and autism in children: a case-control study

Smeeth et al. (2001) : A
case-control study of autism and mumps-measles-rubella vaccination
using the general practice research database: design and methodology
(ne fait pas partie de l’analyse)

– « une étude portait
sur l’exposition cumulative au Hg/thimérosal et les risques subséquents
de développer l’autisme, le TSA ou l’autisme régressif » :

5- Price et al. (2010) : Prenatal and Infant Exposure to Thimerosal From Vaccines and Immunoglobulins and Risk of Autism

Toutes les études incluses dans cette méta-analyse portaient donc spécifiquement sur les liens entre l’autisme et le thimérosal, et entre l’autisme et le vaccin RRO ou le vaccin monovalent contre la rougeole.

Or, le Dr Vadeboncoeur nous dit que cette étude prouve qu’« il n’y a aucun lien démontré entre les vaccins et l’autisme » que « [l]a vaccination n’augmente pas le risque d’autisme ».

Un instant.

Le calendrier de vaccination
au Québec comprend 8 autres vaccins administrés entre 0 et 4-6 ans et
la très grande majorité des vaccins commercialisés au Canada depuis 2007
ne contiennent pas de thimérosal, comme on peut le voir sur ce tableau de Santé Canada.

vaccins avec-sans thimérosal.jpg

Comment une analyse portant sur un seul
vaccin et une seule de leurs composantes, le thimérosal, utilisé dans
très peu de vaccins aujourd’hui, peut-elle mener à la conclusion que la
« vaccination n’augmente pas le risque d’autisme »?

Voilà un bel exemple de paralogisme,
gracieuseté de votre sympathique Dr Vadeboncoeur : UN vaccin ne cause
pas l’autisme donc LES vaccins ne causent pas l’autisme. Peut-on lui en
vouloir, le titre de cette méta-analyse étant « Les vaccins ne sont pas
associés à l’autisme »?

Il est clair que les auteurs de l’étude
savaient sur quoi portaient leurs recherches et l’on peut se permettre
de dire sans gêne que le titre de l’étude est intellectuellement
malhonnête.

Le gentil Dr Vadeboncoeur, lui, a
peut-être seulement fait preuve de paresse intellectuelle, a lu le
titre, le résumé et la conclusion sans regarder les détails. S’il a bien
lu l’étude avant de nous dire qu’elle est « vaste et solide », qu’« il
n’y a aucun lien démontré entre les vaccins et l’autisme » alors,
désolée, mais lui aussi est malhonnête ou simplement incompétent.

Cette étude ne démontre aucunement que les vaccins ne causent pas l’autisme. Et il en va de même pour la plus récente étude danoise
que tout le monde cite : elle aussi portait sur le RRO et comparait des
enfants qui avaient reçu le RRO à d’autres qui avaient reçu des
vaccins, mais pas le RRO.

La méta-analyse citée par le Dr
Vadeboncoeur ne comporte pas d’étude sur les programmes de vaccination
et l’impact cumulatif que peuvent avoir tous ces vaccins sur les
enfants. On ne peut toutefois pas en vouloir aux chercheurs, puisque
pratiquement aucune étude de ce genre n’existe (voir La pseudoscience des vaccins sécuritaires avec «le parrain des vaccins», Dr Stanley Plotkin).

Pour mener une telle étude, il faudrait
comparer un groupe d’enfants vaccinés à un groupe non vacciné, et il est
considéré contraire à l’éthique de priver des enfants de vaccins… même
si l’on ignore totalement si ceux-ci sont réellement sécuritaires, ne
causent pas de problèmes de santé et sont réellement bénéfiques, comme a
été forcé de l’admettre l’un des plus grands experts de la vaccination
et auteur de la bible des vaccins, Stanley Plotkin.

Même s’il est possible de faire ce genre
d’étude de manière rétrospective, on ne le fait pas. Il y a de quoi se
poser de sérieuses questions.

Cela dit, il y a deux reproches que l’on peut faire à cette méta-analyse :

1- elle ne comporte
AUCUNE étude sur les adjuvants aluminiques utilisés dans de nombreux
vaccins et dont la toxicité a été démontrée;

2- deux des cinq études
de cohorte et une des études cas-témoin ont été critiquées pour leur
méthodologie bancale et leurs mauvaises pratiques de recherche en ce qui
concerne le thimérosal, sur lequel il existe plus de 165 études ayant
démontré sa nocivité.

Par ailleurs, l’un des auteurs d’une des
études cas-témoin (DeStefano, 2004) est le lanceur d’alerte William
Thompson, chercheur au Centres for Disease Control and Prevention (CDC),
un institut national de santé publique étasunien.

Le Dr Thompson a déclaré
que des données « statistiquement significatives » démontrant des liens
entre l’autisme et le vaccin RRO ont été omises de cette étude :

« Ces données omises suggéraient que les
enfants afro-américains de sexe masculin qui recevaient le vaccin RRO
avant 36 mois couraient un risque accru de devenir autiste. »

Puisque la déclaration de William
Thompson a été faite en 2014, année de publication de l’étude citée par
le Dr Vadeboncoeur, on ne peut pas reprocher aux chercheurs d’avoir
inclus son étude frauduleuse.

Cette déclaration mine cependant de la crédibilité de cette « vaste et solide étude » à laquelle nous réfère le Dr Vadeboncoeur.

Les adjuvants aluminiques dans les vaccins

En 2017, un groupe de chercheurs français a publié une étude sur « l’hydroxyde d’aluminium (Alhydrogel®), le principal adjuvant homologué pour les vaccins administrés aux humains et aux animaux ».

vaccin aluminium

Dans Non-linear dose-response of aluminium hydroxide adjuvant particles: Selective low dose neurotoxicity, Crépeaux et al. ont conclu qu’Alhydrogel « peut, de manière sélective, provoquer des effets neurotoxiques et l’accumulation d’Al [aluminium] dans le cerveau lorsque de faibles doses sont injectées dans les muscles des souris. » Les chercheurs ont découvert que les animaux exposés aux plus faibles doses d’adjuvant présentaient des niveaux supérieurs d’aluminium dans le cerveau, ce qui rend selon eux « la règle classique de la toxicité chimique ‘’la dose fait le poison’’ excessivement simpliste ».

Les faibles doses d’adjuvant ont provoqué
des « changements neurocomportementaux incluant une diminution du
niveau d’activité et un comportement altéré semblable à l’anxiété »,
alors que les doses plus élevées n’ont pas eu cet effet.

Voici une entrevue avec l’un des auteurs de cette étude, Romain Gherardi :

Dans un excellent article de fond
sur la façon dont l’aluminium vaccinal se rend au cerveau et citant de
nombreuses études publiées dans des revues à comité de lecture, le site Vaccine Papers
explique ainsi le processus inhabituel découvert par les chercheurs
français voulant que les doses plus faibles d’aluminium soient plus
toxiques que les doses plus élevées :

« On a longtemps cru que les
nanoparticules des adjuvants aluminiques étaient éliminées de la même
manière que l’aluminium que l’on ingère.

Al-transport-1.jpg

Ces nanoparticules ne peuvent pas être
filtrées par les reins (elles sont trop grosses). On croyait toutefois
qu’elles se dissolvaient rapidement dans les fluides corporels et que
l’Al3+ qui en résulte était éliminé par l’urine comme l’aluminium
ingéré.

Al-transport-2.jpg

Le modèle ci-dessus est erroné.

Ce qui se passe en réalité est qu’un type
de cellule immunitaire appelée macrophage (MF) ingère (un processus
appelé “phagocytose”) les nanoparticules des adjuvants aluminiques
(NAAs). Phagocyter des éléments étrangers est une fonction principale
des MFs. Quand les MFs détectent des bactéries ou des débris, ils les
consomment et les détruisent avec des enzymes.

Le problème est que les NAAs ne sont pas
digérés par les enzymes des MFs. Par conséquent, les NAAs demeurent à
l’intérieur des MFs pendant une longue période et peuvent persister
durant des années. Les MFs qui consomment les NAAs deviennent fortement
contaminés par l’aluminium et le répandent partout où ils vont. Et ils
vont partout dans le corps.

Les MFs passent à travers la barrière
hémato-encéphalique (BHE) lors d’une inflammation dans le cerveau. Une
fois remplis de NAAs, les MFs agissent comme un cheval de Troie en
transportant ces NAAs dans le cerveau. C’est nocif, parce que le cerveau
est très sensible à l’aluminium.

Voici un diagramme illustrant comment les NAAs voyagent à travers le corps et se rendent jusqu’au cerveau.

Al-transport-3.jpg

Image ci-dessus : avant que les nanoparticules des adjuvants aluminiques se dissolvent, elles sont consommées (“phagocytées”) par les MFs. Les MFs transportent ensuite les nanoparticules d’Al à travers le corps, incluant le cerveau. Les MFs peuvent traverser la BHE lorsque l’inflammation est présente. L’aluminium à des niveaux très bas provoque une inflammation dans le cerveau et stimule la production élevée d’interleukine-6 (IL-6). Un niveau élevé d’IL-6 provoque [fort probablement] l’autisme. [Voir l’article de fond basé sur de nombreuses études Part-2-Interleukin-6 and Autism]

Une fois à l’intérieur du cerveau, l’aluminium provoque une inflammation, ce qui attire plus de MFs, dont certains contiennent encore plus d’aluminium. Le résultat est un cercle vicieux d’inflammation et d’accumulation d’aluminium dans le cerveau […]

Les doses plus élevées [d’adjuvant aluminique] n’augmentent pas le niveau d’aluminium dans le cerveau parce que l’inflammation locale (un granulome) piège l’adjuvant au site d’injection […]

La preuve scientifique

La preuve scientifique de ce mécanisme de “cheval de Troie” est écrasante et sans équivoque. Toutes les étapes ont été prouvées par de multiples études provenant d’universités reconnues et de laboratoires financés par des gouvernements : l’ingestion de NAAs par les MFs, le mouvement des MFs dans le cerveau et l’acheminement des nanoparticules dans le cerveau par les MFs. En outre, l’ensemble du processus a été démontré : les NAAs injectés dans des animaux de laboratoire ont été détectés et démontrés par imagerie cérébrale, et la capacité des MFs à transporter des particules vers le cerveau a même été utilisée pour y acheminer des médicaments (sous forme de particules). Ce mécanisme de cheval de Troie est bien établi et reconnu. Il ne s’agit pas d’une théorie. »

Donc lorsque les autorités sanitaires
nous assurent que les vaccins avec adjuvants aluminiques sont
sécuritaires parce qu’ils contiennent moins d’aluminium que le lait
maternel, elles font totalement abstraction de ce phénomène de cheval de
Troie des macrophages permettant de transporter l’aluminium des
adjuvants jusqu’au cerveau.

Fait intéressant, le vaccin RRO, qui ne
contient pas d’adjuvant aluminique, jouerait possiblement un rôle dans
ce phénomène. Toujours selon Vaccine Papers :

« Les MFs voyagent à travers le corps en
réponse à un signal inflammatoire spécifique (MCP-1) [monocyte
chemotactic protein 1] […]

Nous pouvons spéculer que les NAAs des
vaccins peuvent demeurer “dormantes” pendant des années, jusqu’à ce que
la production de MCP-1 soit induite. Le MCP-1 mobilise des macrophages
contenant des NAAs qu’ils transportent vers le cerveau et d’autres
tissus sensibles. Cela pourrait expliquer certains des dommages causés
par le vaccin RRO. Ce dernier est administré à l’âge de 15-18 mois, soit
après l’administration de vaccins contenant de l’Al (à 0, 2, 4 et 6
mois), et il peut induire la production de MCP-1 (référence : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24835247).
Par conséquent, le vaccin RRO pourrait stimuler le mouvement des NAAs
(reçus lors de vaccinations antérieures) vers le cerveau. Cela explique
peut-être comment le RRO pourrait causer une intoxication par
l’aluminium, même s’il ne contient pas d’adjuvant aluminique. »

À cela s’ajoute une autre découverte récente.

Dans une étude sur des cerveaux de personnes autistes décédées publiée en 2018, Aluminium in brain tissue in autism de Mold et al., les chercheurs ont conclu que ces cerveaux contenaient tous des niveaux élevés d’aluminium.

Chris Exley,
biologiste spécialisé en écotoxicologie de l’aluminium et professeur de
chimie bio-inorganique à Keele University, est l’un des auteurs de
cette étude.

Il explique dans un article publié par The Hippocratic Post :

chris-exley.jpg
Chris Exley

« Ce nouvel élément de preuve suggère fortement que dans un cerveau
autiste, l’aluminium entre par le biais de cellules pro-inflammatoires
qui se sont remplies d’aluminium dans le sang et/ou la lymphe, comme
cela a été démontré pour les monocytes aux sites d’injection des vaccins
contenant des adjuvants aluminiques. » 

Dans un autre article, il a dénoncé le silence des médias traditionnels concernant son étude :

« Immédiatement après la présentation de
cette recherche, j’ai déclaré dans une entrevue que ces nouvelles
données m’avaient obligé à changer d’avis sur le rôle putatif de
l’aluminium dans l’autisme.

J’étais conscient de la nature émotive de
nos recherches, d’autant plus que je savais qu’elle allait mettre
l’accent sur un lien possible entre l’autisme et les adjuvants
aluminiques dans les vaccins, bien que ce lien n’ait pas été discuté
dans la recherche. Cependant, je ne m’attendais pas au genre de réaction
suscitée par nos recherches. La réponse la plus assourdissante a
peut-être été le tsunami de silence perpétué par tous les médias
traditionnels, presque mondialement! Ma propre université s’y est
conformé en jugeant que la recherche n’était même pas “digne” d’une
mention dans son propre journal hebdomadaire. Lorsque l’on considère la
nature d’une grande partie des nouvelles scientifiques qui font les
manchettes, on se demande pourquoi un lien entre l’aluminium et
l’autisme n’est pas jugé digne d’intérêt […]

Même si je considère toujours qu’il est
nécessaire de diffuser la recherche scientifique autant que possible, je
n’étais pas prêt pour le vitriol, principalement anonyme, qui a suivi
notre publication. Depuis 34 ans j’élucide les dangers potentiels de l’ère de l’aluminium,
mais je n’avais jamais été ouvertement menacé de mort auparavant. Je ne
peux que supposer que nos recherches ont marché très lourdement sur les
pieds de ceux qui ne souhaite pas contrer la possibilité que tous les
vaccins ne sont pas sûrs à 100 %. »

Avant de faire cette étude, le professeur
Exley ne croyait pas que l’aluminium jouait un rôle dans l’autisme ni
que l’aluminium vaccinal jouait un rôle dans l’autisme. « Je dois
changer d’avis dans les deux cas » a-t-il déclaré dans l’entrevue
ci-dessous (sous-titrée en français).

« Maintenant, après avoir vu les mêmes
cellules que nous observons aux sites d’injection transporter un “cargo”
d’aluminium vers le tissu cérébral de personnes autistes décédées, je
dirais que nous devons être très vigilants vis-à-vis des personnes qui
reçoivent des vaccins contenant des adjuvants aluminiques […] Les effets
ne sont pas immédiats, ils peuvent se produire des mois, des années,
voire des décennies plus tard […] »

La recherche du professeur Exley a été
financée par des philanthropes, mais selon lui ce sont les gouvernements
qui devraient financer de telles recherches.

Plus de 165 études ont démontré la nocivité du thimérosal

Deux des cinq études de cohorte et une
étude cas-témoin de la méta-analyse sur laquelle s’appuie le Dr
Vadeboncoeur pour exonérer le thimérosal ont fait l’objet d’une critique
dans la revue à comité de lecture BioMed Research International.

L’article, Methodological Issues and Evidence of Malfeasance in Research Purporting to Show Thimerosal in Vaccines Is Safe de Hooker et al.,
fait état des problèmes de méthodologie et des mauvaises pratiques de
recherche dans six études censées établir l’innocuité du thimérosal dans
les vaccins et démontrer l’absence de lien avec l’autisme. La position
du CDC à ce sujet repose sur ces six études.

Voici le résumé :

thimerosal.jpg

« Plus
de 165 études se sont concentrées sur le thimérosal, un composé à base
de mercure organique (Hg) utilisé comme agent de conservation dans de
nombreux vaccins pédiatriques, et ont conclu qu’il était nocif. Seize de
ces études ont été menées pour examiner spécifiquement les effets du
thimérosal sur les nourrissons ou les enfants et ont rapporté des décès,
des acrodynies, des empoisonnements, des réactions allergiques, des
malformations, des réactions auto-immunes, le syndrome de Well, des
retards de développement et des troubles neurodéveloppementaux, incluant
des tics, des retards de la parole, des retards linguistiques, des
troubles du déficit de l’attention, et l’autisme. Le Centers for Disease
Control and Prevention des États-Unis affirme au contraire que le
thimérosal est sûr et il n’y a “aucun lien entre les vaccins contenant
du thimérosal et le taux d’autisme chez les enfants”. Cela est déroutant
parce qu’une étude menée directement par des épidémiologistes de CDC a
conclu que les risques d’autisme étaient 7,6 fois plus élevés suivant
une exposition au thimérosal durant la petite enfance. La position
actuelle du CDC voulant que le thimérosal soit sécuritaire et qu’il n’y
ait pas de lien entre le thimérosal et l’autisme est basée sur six
études épidémiologiques spécifiques financées et co-écrites par le CDC.
Le but de la présente étude est d’examiner ces six publications et
d’analyser les possibles raisons pour lesquelles leurs résultats sont si
différents des résultats des recherches menées par plusieurs groupes
indépendants au cours des 75 dernières années. »

La liste des 165 études sur les effets nocifs du thimérosal est ici.

En ce qui concerne l’étude de cohorte d’Andrews et al.
on a comparé des enfants qui avaient reçu le DCaT (diphtérie,
coqueluche acellulaire et tétanos) contenant du thimérosal à d’autres
qui avaient reçu le DT (diphtérie, tétanos).

On reproche entre autres aux chercheurs
d’avoir utilisé le General Practice Research Database (GPRD), une base
de données « connue pour son niveau significatif d’erreurs ». Les
chercheurs n’auraient pas fait un suivi adéquat des sujets et ont
affirmé que le thimérosal n’avait aucun effet sur l’incidence de
l’autisme, sans toutefois inclure d’analyse statistique pour le prouver.
La variable temporelle et la variable d’exposition au vaccin ont été
corrélées, les mettant ainsi « en compétition pour expliquer les
résultats ». Les données brutes de l’étude n’ont jamais été publiées,
empêchant ainsi une analyse à variable unique qui aurait permis
d’établir la possibilité d’une association entre le thimérosal et
l’autisme.

L’étude de Verstraeten et al.,
elle, arrive à la conclusion qu’il n’existe aucun lien entre
l’exposition au thimérosal et l’incidence d’autisme. On leur reproche de
n’avoir inclus « aucune donnée dans l’étude pour appuyer cette
conclusion ».

La première phase de cette étude a donné les résultats mentionnés plus haut : 7,6 fois plus de risques d’autisme.

Cette étude préliminaire de 1999 n’a
jamais été publiée, mais le résumé a été obtenu grâce à une demande
d’accès à l’information. On peut le lire ici : Increased
risk of developmental neurologic impairment after high exposure to
thimerosal-containing vaccine in first month of life
.

Les chercheurs ont utilisé différentes
approches dans les phases subséquentes, obtenant des chiffres
inférieurs, mais toujours statistiquement significatifs. Un courriel du 14 juillet 2000
obtenu par la loi d’accès à l’information « suggère que Thomas
Verstraeten pourrait avoir reçu des pressions au sein du CDC pour que
des méthodes statistiques bancales soient appliquées afin de nier un
lien causal entre le thimérosal et l’autisme ». Il écrit :

« Je ne souhaite pas me faire l’avocat du
lobby antivaccin et avoir l’air d’être convaincu que le thimérosal est
ou a été nocif, mais je crois que nous devrions à tout le moins employer
des arguments scientifiques solides et ne pas laisser nos standards être dictés par notre désir de réfuter une théorie désagréable. »

verstraeten.png

Il est clair que les chercheurs souhaitaient que leur recherche pointe dans une direction précise.

Booker et al. reprochent également aux chercheurs d’avoir :

  • inclus des enfants âgés entre 0 et 3 ans alors qu’à l’époque le diagnostic d’autisme se faisait à 4,4 ans
  • conçu l’étude de manière à trouver « tout sauf le lien le plus fort entre l’exposition au thimérosal et les effets secondaires »
  • employé une période de suivi inadéquate ignorant le de temps de
    latence entre la naissance et l’âge auquel est posé un diagnostic
    initial de trouble neurodéveloppemental

En outre, Verstraeten et al. disent eux-mêmes dans l’étude :

« La plausibilité biologique que les
petites doses d’éthylmercure présentes dans les vaccins augmentent les
risques de troubles neurodéveloppementaux est incertaine. »

Enfin, cette étude, basée sur les données
de différents organismes de soins de santé, a conclu que le thimérosal
« augmentait significativement les risques de tics et de retard de
langage », notent Booker et al. Les chercheurs n’ont cependant
pas considéré que ces risquent étaient dus au thimérosal en raison de
l’inconsistance des résultats obtenus d’un organisme de soins de santé à
l’autre.

En ce qui concerne l’étude de Price et al.,
la première critique porte sur le surappariement, un biais
méthodologique où les cas ressemblent trop aux témoins, ce qui a pour
effet de fausser les statistiques. Un article entier porte d’ailleurs
spécifiquement sur le surappariement dans cette étude : Vaccine Safety Study as an Interesting Case of « Over-Matching ».

Les auteurs, M. Catherine DeSoto and
Robert T. Hitlan, expliquent que les facteurs de risque du groupe témoin
et du groupe d’intervention sont pratiquement les mêmes, ce qui empêche
de mesurer correctement les effets du thimérosal. Leur conclusion est
sans équivoque : « cette étude est erronée ».

Booker et al. concluent que les études mises de l’avant par le CDC ont des problèmes méthodologiques communs. Dans plusieurs études :

  • « des résultats importants ont été exclus de la publication finale »
  • « les conclusions ne peuvent pas être
    généralisées au calendrier de vaccination des États-Unis puisqu’il
    diffère des calendriers de vaccination des autres pays et que leurs
    doses de thimérosal sont elles aussi différentes

La liste complète des problèmes méthodologiques est ici.

Ils ajoutent que le CDC a directement commandé ces études (sauf l’étude de Hviid et al.) et que cela soulève la question des conflits d’intérêts puisque le CDC a pour mission de promouvoir la vaccination.

Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark

En 2004, l’organisme à but non lucratif Safe Minds,
fondé par des parents et voué à « résoudre la crise de l’autisme », a
analysé en profondeur « le réseau social des auteurs de quatre articles
récents sur l’autisme, le mercure et l’exposition à une sélection de
vaccins pédiatriques » et « évalué le rôle, l’influence et les intérêts
du Statens Serum Institute dans les études sur l’innocuité des
vaccins ».

denmark.png

L’analyse s’appelle, vous l’aurez deviné, Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark. L’une des études en cause est l’étude de cohorte incluse dans la méta-analyse citée par le Dr Vadeboncoeur, Madsen et al. A Population-Based Study of Measles, Mumps, and Rubella Vaccination and Autism.

Anders Hviid, l’un des auteurs, est
affilié au Statens Serum Institute (SSI), une société d’État danoise à
but lucratif. Selon Safe Minds, les recherches du SSI appuient ses
intérêts commerciaux :

« Les intérêts commerciaux du SSI sont
étroitement liés au succès de leurs produits vaccinaux et, plus
spécifiquement, à leur exportation :

  • les vaccins représentent la moitié des revenus du SSI et plus de 80 % de ses profits
  • les exportations de vaccins semblent très rentables et représentent le secteur d’activité du SSI en plus forte croissance
  • les marchés d’exportation importants
    comprennent les États-Unis et le Royaume-Uni, où il y a beaucoup de
    controverse sur l’innocuité des vaccins

Le SSI a un intérêt financier direct dans
la controverse sur l’autisme et le mercure, risquant d’être tenue
responsable comme ancien fabriquant et de perdre des revenus advenant
une baisse de la demande de leurs produits intermédiaires :

  • le SSI fabriquait autrefois le vaccin anticoquelucheux monovalent examiné dans les trois études
  • le SSI exporte des produits d’anatoxine
    diphtérique et tétanique utilisés dans les vaccins contenant du
    thimérosal et encore vendus aux États-Unis et au Royaume-Uni »

Kreesten Meldgaard Madsen, co-auteur de
cette étude et de deux des études de cohorte dans la méta-analyse, est
au cœur du réseau d’influence examiné par Safe Minds, qui conclut :

« La récente série d’articles sur le
mercure, l’autisme et le Danemark ont été menées et parrainées par un
seul réseau d’auteurs. Ces auteurs étaient liés, soit indirectement,
soit en tant qu’employés, à un fabricant de vaccins à but lucratif (SSI)
ayant un intérêt financier direct dans le résultat de l’analyse. Leurs
motivations en tant que chercheurs étaient étroitement liées aux
produits étudiés. Ils sont clairement en conflit d’intérêts. Statens
Serum Institut dépend fortement de ses produits vaccinaux pour ses
revenus, sa croissance et sa rentabilité. Sa croissance et sa
rentabilité, surtout celle de son commerce d’exportation de vaccins,
incitent fortement le SSI à établir des liens avec les responsables de
la santé publique et des partenaires manufacturiers aux États-Unis et au
Royaume-Uni. Il est évident que le SSI a un intérêt marqué dans les
débats politiques entourant la controverse sur l’autisme et le mercure
et qu’il ne peut pas être considéré comme un parti objectif. Le SSI a un
intérêt financier direct dans l’évaluation des problèmes d’innocuité
des vaccins qui contenaient du mercure par le passé et la viabilité
future des produits contenant du mercure aujourd’hui. Sa participation à
toute analyse la compromet directement et l’institut devrait être exclu
des futures évaluations de l’innocuité des vaccins. »

Devinez maintenant d’où vient la plus récente étude danoise parue en avril dernier?

Du Statens Serum Institut.

Trois des quatre auteurs, dont Anders Hviid, donnent le SSI comme adresse actuelle.

L’étude a été publiée dans Annals of Internal Medicine. Voici la liste des conflits d’intérêts déclarés par les rédacteurs de la revue :

  • des actions et des options sur actions dans Targeted Diagnostics and Therapeutics, une société de biotechnologie faisant entre autres de la recherche sur des vaccins contre le cancer
  • des actions et des options sur actions chez Eli Lilly, concepteur du thimérosal et fabricant du produit jusqu’en 1991, et Pfizer, tous deux fabricants de vaccins
  • Johnson & Johnson, qui développe des vaccins, et Colgate-Palmolive, une compagnie associée à presque toutes les associations dentaires aux États-Unis et dont tous les produits sont distribués de la multinationale Henry Schein, le plus important fournisseur mondial de matériel de dentisterie, incluant des amalgames contenant du mercure. Henry Schein est aussi un fournisseur de produits pharmaceutiques, incluant le RRO de Merck
  • Beth Israel Deaconess Medical Center, dont le Center for Virology and Vaccine Research mène des recherches en virologie et sur les vaccins

À vous de juger la fiabilité de ce genre d’études sur la vaccination, étroitement liées à l’industrie pharmaceutique.

En plus des 165 études sur la nocivité du thimérosal, il existe plus de 240 études sur la nocivité du mercure.

Conclusion

Dans son article, le Dr Vadeboncoeur nous
parle des croyances de Céline, une grand-mère qui affirme que son
petit-fils est devenu autiste après avoir été vacciné. Selon le Dr
Vadeboncoeur, la pauvre Céline est victime de croyances.

Les professionnels de la santé sont-ils immunisés contre les croyances? À lire le Dr Malcom Kendrick, auteur de Doctoring Data, un livre sur la pratique répandue de manipulation des données dans la recherche médicale, le monde des professionnels de la santé est celui où les croyances sont les plus tenaces :

malcolm-mckendrick
Dr Malcom Kendrick

« Pourquoi certaines idées sont-elles
acceptées et répandues si rapidement, et font l’objet de peu de
questionnements, lorsqu’elles ne s’appuient sur aucune preuve? Et
pourquoi d’autres idées sont-elles rejetées du revers de la main, même
si elles sont confirmées?

[…]

Au fil du temps, j’ai vu de plus en plus
d’exemples d’« acceptation sans questionnement » et de rejet semblable à
la réaction provoquée par un antigène. Au départ, je croyais qu’il
était ironique que les chercheurs dans le domaine médical semblent être
les pires dans ce type d’acceptation et de refus. Les scientifiques ne
devraient-ils pas être des chercheurs objectifs de la vérité? Ne
devraient-ils pas vouloir aller peu importe où les faits les mènent,
aussi dérangeant soient-ils? Les scientifiques ne sont-ils pas
assurément ouverts d’esprit?

J’en suis venu toutefois à réaliser que
cela n’est pas du tout ironique. En fait, on devrait s’y attendre. Les
scientifiques sont comme le commun des mortels, mais en plus intense.
Les scientifiques deviennent étroitement liés aux idées auxquelles ils
croient, bien plus que la plupart des gens.

Avec le temps, leur réputation et leur
statut deviennent inextricablement liés aux hypothèses sur lesquelles
ils font de la recherche et donnent des conférences […] Les liens
extrêmement serrés entre les croyances des scientifiques, leur estime de
soi et leur statut explique la véhémence avec laquelle les nouvelles
idées sont rejetées. »

Contrairement à la croyance répandue du
Dr Vadeboncoeur, les liens potentiels entre les vaccins et le TSA
reposent sur de nombreuses études scientifiques et sur une foule de
témoignages de parents et de grands-parents qui, comme Céline, ont vu un
enfant développer des troubles neurologiques, incluant le TSA, à la
suite d’une vaccination.

Maintenant, affirmer qu’il y existe des
liens potentiels entre les vaccins et l’autisme et/ou le TSA, ce n’est
pas dire que « les vaccins causent l’autisme ». À ce jour, les causes du
TSA demeurent méconnues et elles seraient diverses.

La Dre Helen V. Ratajczak, auteure de plus de 80 manuscrits et thérapeute pour personnes autistes, associée à la Society of Toxicology,
fait des recherches dans les domaines de l’immunologie et de la
toxicologie depuis 1967. Elle a passé en revue toute la littérature
scientifique sur l’autisme publiée sur PubMed et Ovid Medline entre 1943
et 2010.

Son étude, Theoretical aspects of autism: Causes—A review, publiée en 2011 dans le Journal of Immunotoxicology conclut :

« L’autisme pourrait avoir plus d’une
cause qui se manifesteraient différemment chez des personnes partageant
des symptômes communs. Les causes documentées de l’autisme comprennent les mutations génétiques et/ou la délétion des gènes, les infections virales et l’encéphalite à la suite d’une vaccination. Par conséquent, l’autisme est le résultat de défauts génétiques et/ou de l’inflammation du cerveau. »

Céline fait malheureusement partie d’un
groupe de personnes ridiculisées pour leurs croyances par des gens qui
eux-mêmes croient solidement en l’innocuité des vaccins, alors qu’elle
ne repose sur aucune base scientifique solide.

bernard-rimland.jpg

Le Dr Bernard Rimland, l’un des pionniers
de la recherche sur l’autisme, décédé en 2006, avait probablement plus
d’expertise sur l’autisme que le Dr Vadeboncoeur. Il a amassé des
milliers d’études de cas sur les origines de la maladie et il ne
rejetait pas du revers de la main les parents qui faisaient des liens
entre la vaccination et l’autisme, comme le fait le Dr Vadeboncoeur. Au
contraire.

Lors d’une conférence sur l’autisme filmée par CBS, il a demandé à la foule :

« Si vous êtes le parent d’un enfant
autiste, levez-vous. Si votre enfant est l’un de ceux qui est devenu
autiste après avoir reçu un vaccin et que vous croyez, que vous êtes
certain que le vaccin a causé l’autisme de votre enfant levez la main.
Si vous pouvez documenter avec des vidéos ou des photos ou peu importe,
que votre enfant était normal et est devenu autiste après le vaccin,
agitez le bras. »

Presque tout le monde se lève, lève le bras et agite la main. CBS n’aurait pas diffusé la vidéo selon la source originale.

Tous ces parents seraient donc victimes
de leurs croyances, même s’ils ont des preuves que leur enfant était
normal avant la vaccination? Tous les chercheurs mentionnés dans cet
article seraient victimes de leurs croyances, alors que leurs recherches
ont démontré que les vaccins peuvent être nocifs pour certaines
personnes et qu’ils pourraient être liés à l’autisme?

Le Dr Vadeboncoeur fait-il de la projection sur Céline?

Il semble qu’il base lui-même son opinion sur des croyances, car outre deux études pilotes (ici et ici)
comparant un groupe d’enfants vaccinés et un groupe non vacciné ayant
conclu que les premiers sont plus à risque de souffrir de TSA et de
toutes sortes d’autres maladies, il n’existe tout simplement pas d’étude
scientifique « vaste et solide » démontrant que « les vaccins ne
causent pas l’autisme ».

Les croyances des scientifiques
s’expliquent en outre par le fait que les conclusions des recherches
publiées dans de nombreux domaines scientifiques sont « une mesure
exacte du biais dominant », selon John P. A. Ionnadis, l’un des
pionniers de la méta-recherche, soit la recherche sur la recherche.

Le Dr Vadeboncoeur aurait visiblement intérêt à lire son article Pourquoi les conclusions de la plupart des recherches publiées sont fausses.

Et il est loin d’être le seul.




Sommation adressée au Gouvernement du Québec

[Source : https://www.youtube.com/watch?v=u33VXrcrd4Y

https://www.youtube.com/watch?v=u33VXrcrd4Y

et Document Word sur Facebook]

[NdNM : à chacun d’estimer la validité et/ou l’intérêt de la démarche ainsi que son caractère réaliste ou non. Le texte pourra facilement être qualifié de complotiste étant donné les sujets abordés et la manière dont ils le sont.]


SOMMATION
DE RÉPONDRE PUBLIQUEMENT, DANS LES 24 HEURES
LORS DE VOTRE PROCHAINE CONFÉRENCE DE PRESSE
ADRESSÉE À :

Monsieur François Legault, Premier ministre du Québec
Madame Danielle McCann, ministre de la Santé du Québec
Monsieur Horacio Arruda, Responsable de la Santé Publique du Québec

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Article 35, Déclaration des droits de l’homme 1793

La Nation Kébékoise remercie le Covid-19.

Merci à cette pandémie imaginaire qui nous a permis un répit pour se recentrer et réfléchir ; nous a redonné nos enfants et une vie de famille depuis longtemps oubliée. Ce temps d’arrêt, craint par tous, nous a permis de faire nos recherches, de nous instruire et de réaliser que la société dans laquelle nous vivons n’est plus ce que nous voulons pour nous et nos enfants. Nous avons pris conscience de notre condition d’esclave au profit des multinationales, des corporations et des élites qui gouvernent dans l’ombre, qui nous accordent que ce qu’il faut pour survivre et nous écrasent par des dettes bidons, mais en conférence, vous avouez que 25 000 $ annuel est le minimum pour qu’une personne puisse vivre décemment. Nous espérons une correction concrète dans les jours à venir. Nous avons également pris conscience de toutes les manipulations tordues et vicieuses qui nous entourent, que ce soit au niveau des médias, des ministères, du corps médical, du barreau, de la justice et de la sécurité policière. Nous en avons froid dans le dos. Notre situation se résume à être une batterie qui produit de l’énergie pour enrichir les élites d’en haut. Avec ce canular de Covid-19, chaque Canadien est endetté de 172 %. Nous vivons dans un monde où le mensonge est honoré et la vérité condamnée. On s’est laissé entraîner sournoisement dans un monde satanique qui a anéanti les valeurs fondamentales d’un peuple fier de ses racines pour une société rendue à encenser l’immoralité, l’éducation sexuelle chez les enfants, la pédocriminalité, le mensonge, la médiocrité, la corruption, l’illégalité, le tout servi d’une sauce de menaces et de culpabilité à la moindre réflexion critique et contraire au plan des mondialistes.

Aujourd’hui, si l’on compare la vie des jeunes adultes avec celle des babyboomers, seuls ceux-ci peuvent constater l’effondrement de nos sociétés à comparer à la vie d’il y a à peine soixante ans et tous constatent que des changements majeurs se sont instaurés silencieusement pour ne pas dire sournoisement.

Depuis 60 ans, on constate de la part de tous les gouvernements une volonté d’affaiblir nos services publics comme l’éducation et le réseau des affaires sociales. Nous avons vu défiler des Commissions d’enquêtes bidon et des récompenses à peine voilées pour les bons amis contribuant à vos caisses électorales ; une collusion qui perdure toujours.

Ce qui fait la grande différence aujourd’hui, ce sont les réseaux sociaux et les médias alternatifs, ceux que vous voulez faire disparaître en faisant des lois votées en catimini. Les chercheurs et les éveillés ont une qualité fondamentale : dire la vérité. Cependant, aux yeux des mondialistes et des élus-marionnettes franc-maçons à la solde des Soros, Rothschild, Rockefeller, Trudeau, Desmarais ; Power Corporation, ces éveillés représentent une menace nationale et sont passibles d’emprisonnement. Nous avons la liste complète des francs-maçons du Kébek et du Canada qui sera publiée sous peu. Le peuple refuse d’être gouverné par ces pervers sataniques, ces pédocriminels qui kidnappent nos enfants pour les immoler sur l’autel de leur bassesse.

Voilà pourquoi ce temps d’arrêt nous a permis de faire des découvertes jusqu’ici bien enfouies, découvrir comment les francs-maçons, les mondialistes et les Illuminati ont tout planifié depuis 60 ans pour arriver à nous détruire et à prendre le contrôle de nos vies.

Cet avenir nous le refusons, même au prix de nos vies et cela débute aujourd’hui.

Nous avons découvert Le Protocole de Toronto
(Fin juin de 1967 marque les derniers préparatifs de la mise au point du plan de la « chute des nations » par les hautes instances de la franc-maçonnerie anglo-saxonne à Toronto, Canada).

Cette réunion secrète, hautement confidentielle, est organisée par les « 6.6.6. » (tels ils se nomment eux-mêmes), ceux qui dirigent les 6 plus grandes banques mondiales, les 6 plus grands consortiums énergétiques de la planète (dont le pétrole), et les 6 plus grands consortiums de l’agroalimentaire (dont le contrôle des principales routes alimentaires du monde).

Ces 6.6.6. étant les plus hauts responsables de la finance internationale, vont définir, à l’intérieur de leur réunion, une « stratégie commune » en vue de la mainmise absolue sur le « commerce mondial » ; sur la possession de l’arme énergétique (porte ouverte sur le XXIᵉ siècle) ; et sur le contrôle international de l’agroalimentaire [lequel comprend aussi, pour eux, les consortiums pharmaceutiques comprenant, à leur tour, le marché mondial des « vitamines » et des « vaccins »].

Dans son ouvrage Le Protocole de Toronto, Serge Monast nous dévoile deux documents explosifs et confidentiels s’intitulant « Panem et circenses » [rapport officiel de juin 1967 des 6.6.6. sur le projet du « génocide du vital au profit du rentable occulte »] & « l’Aurore rouge » [rapport officiel de juin 1985 des 6.6.6. visant en 27 protocoles, au contrôle total de la planète par la mainmise sur le F.M.I., le G.A.T.T., la commission de Bruxelles, l’OTAN, l’O.N.U. ainsi que d’autres organismes internationales.

À la révision des événements survenus ces vingt-cinq dernières années, il appert que le scénario décrit dans ces deux documents confidentiels nous permet de mieux comprendre ce qui, jusqu’à aujourd’hui, paraît des plus incompréhensibles à plus d’un. « Même si ma vie est en danger à cause de la diffusion d’informations comme celles-ci, la vôtre l’est encore plus par l’ignorance de ces mêmes informations ». Serge Monast]

Étrangement, Serge Monast est décédé de façon inexpliquée.
Autre lanceuse d’alertes et écrivaine, Claire Séverac, qui démontrait l’empoisonnement des peuples par l’air, la nourriture, l’eau et les médicaments est aussi décédée de façon inexpliquée.
Combien d’autres lanceurs, tels que Marie-Claude Montpetit, ont disparus ? Impossible de tous les nommer.

Voici comment le gouvernement mondial a prévu s’installer pour détruire les NATIONS :

1- Destruction du noyau familial (faire travailler les 2 parents, séparation de l’enfant de ses parents, création CPE)

2- Destruction de l’éducation des enfants [CPE — niveler par le bas et changements des programmes/Éducation sexuelle dès l’enfance et sexualité dès la naissance, les transgenres dans les écoles et bibliothèques, promotion des gays et lesbiennes, etc.] 

https://www.ippf.org/sites/default/files/ippf_sexual_rights_declaration_french.pdf

3- Mise sur pied de la DPJ (Organisme créé par le Barreau, qui siège à huis clos, tout à fait indépendant de la Justice générale. Ces avocats se sont créé un fonds à la banque de New York en tant que registraires et créanciers. En vous retirant vos enfants, ils se sont créé un emploi et un chèque de paye stable qui leur permettent de prendre le contrôle du titre sur la tête de nos enfants pour devenir la propriété de l’État. Ainsi, ils gèrent pour eux-mêmes un compte à New Yord dans une banque via le Kébek. Et chaque parent, s’il a été un enfant de la DPJ, sera harcelé, menacé et surveillé quand viendra le temps de fonder une famille. Un cercle vicieux très payant pour le barreau.

4- Destruction du noyau social et du patrimoine culturel (immigration de masse et illégale/lois restrictives pour le peuple fondateur/restreindre les libertés d’expression/menaces et même emprisonnement pour ceux qui osent s’exprimer. 

5- Suppression de la mémoire collective [en supprimant l’histoire des programmes éducatifs, en coupant les liens entre aînés et enfants. Pacte de l’Éducation mondiale (14 mai 2020)
6- Pacte mondial de la vaccination par l’OMS et l’Alliance, ID2020 [implantation de la puce] pour un contrôle total de géolocalisation et du carnet numérique de santé. Pendant ce confinement planifié [installation des tours 5G] et finalisation de la mise en place du gouvernement mondial.

https://www.who.int/immunization/ia2030_Draft_Zero_FR.pdf

Comment un gouvernement mondial va-t-il procéder pour s’installer sur toute la planète ? EN CRÉANT UNE PEUR MONDIALE, car la peur rend l’humain docile et manipulable. Bien que dans toute l’histoire de l’humanité aucune épidémie n’ait jamais exigé un confinement, l’ONU et l’OMS, ces manipulateurs sataniques vont créer un virus supposément mortel et maintiendront la peur. L’OMS évoquant l’urgence sanitaire, suspendant du même coup la liberté fondamentale de tous en nous confinant à demeure. Les médias [payés par ces mêmes élites sataniques] auront l’ordre de diffuser en boucle des images horribles et le peuple va remercier leurs bourreaux pour ce confinement, car ils se sentiront protégés [concept de PROBLÈME-RÉACTION-SOLUTION].

Le gouvernement mondial a fait une grosse erreur. Laquelle croyez-vous ? Il nous a donné du temps libre. Le peuple était superficiellement alerté depuis de nombre d’années sur tous les changements néfastes au sein de nos sociétés, mais, avec ce confinement, ils disposent de temps pour faire des recherches et pour corréler des articles et des vidéos de lanceurs d’alerte. Eh oui, ils comprennent.

Enfin, le peuple prend conscience que tous les pays et leurs gouvernements n’ont plus aucune latitude pour gouverner quoi que ce soit. Ils ont tous subi une infiltration et de la subversion par des pervers narcissiques sociopathes dont le but est de prendre le pouvoir, de s’enrichir à outrance et de placer des gens de compétence douteuse à des postes de haute direction. Ils ont créé des sociétés.

De collusion et de mensonges. Le Canada et le Kébek ne sont plus des états de droits puisqu’ils sont dirigés par l’ONU et que tout l’argent dont ils disposent de même que tous leurs salaires viennent de l’ONU. Ce sont des repères de voyous crasses aux ordres d’une ploutocratie mondialiste hégémonique criminelle. Ce n’est pas l’homme du peuple qui détruit, mais les élites richissimes, les corporations et les multinationales qui gèrent les gouvernements en place.

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ [L’OMS]

Dr Arruda : Connaissez-vous l’OMS et ses dirigeants ?

Voici le résultat de nos recherches.

L’OMS est dirigée par Tedros Adhanom Ghebreyesus, un homme d’apparence bon et généreux, mais tombé dans le filet des pires mondialistes et profiteurs des démocraties actuelles. Son passé obscur en tant que membre des groupes terroristes ultra-violents qui étaient au pouvoir en Éthiopie, où il est soupçonné de détournement de fonds, de sa contribution à éliminer une ethnie éthiopienne avec les produits de santé [Bill Gates] peuple qui a servi de cobayes pour la vaccination], a été effacé par ses maîtres actuels mondialistes, affamés de finance et de pouvoir. Cette mafia silencieuse et constamment malveillante envers l’humanité, mais en prétendant le contraire. Il est devenu le valet servile et obéissant des plus grands criminels vaccinateurs de la planète qui se cachent derrière lui pour écouler leurs vaccins sous prétexte de pandémie.

L’OMS, dont le principal actionnaire est Bill Gates, à hauteur de 10 Milliards par décennie (article publié dans le Business Insider du 6 avril 2020), a mis en place un plan machiavélique pour en réaliser un autre encore plus sordide ; celui de diminuer la population à travers la vaccination obligatoire. Elle va venir et elle sera imposée par les organisations sataniques comme l’OMS, l’Alliance GAVI, INOVIO, MODERNA et la Fondation Bill et Mélinda Gates (qui a mains mises sur toutes les pharmaceutiques). Il faut admettre que les plus grands satanismes se dissimulent sous les titres des plus respectables.

Voici la vidéo où Bill Gates déclare que s’il travaille bien, avec un bon programme de vaccination, il pourra réduire la population mondiale de 10 à 15 %.

https://www.dailymotion.com/video/xgy4l1?fbclid=IwAR2jApODSFsccsYxuWk3ibqkJKGzEVWmM_ds99H02AFtwt7Fb2TtqaZf0Z4

https://www.dailymotion.com/video/xgy4l1?fbclid=IwAR2jApODSFsccsYxuWk3ibqkJKGzEVWmM_ds99H02AFtwt7Fb2TtqaZf0Z4

L’OMS a publié une déclaration en septembre 2019 (quel hasard !) selon laquelle elle avait travaillé avec Facebook pour lutter contre la désinformation à propos des vaccins, c’est-à-dire qu’elle empêchait tout article de dire la vérité sur le contenu réel des vaccins et des dangers qu’ils représentent pour l’humain. Par cette action, elle usurpait la liberté d’expression (article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen) et la démocratie responsable à la fois aux États-Unis et dans le reste du monde ; le Kébek n’en faisant pas exception.

QUI SE CACHE DERRIÈRE l’OMS ? BILL GATES

Un homme n’ayant aucune formation scientifique, étant ni médecin ni chercheur, mais simplement multimilliardaire. Grâce à ses dons à travers ses fondations, cet excité de la piquouse rapportant plus que n’importe quel autre produit de santé, il peut influencer les politiques du monde entier. Il achète.

Presque tous les chefs d’État, les organismes, les laboratoires, les médias et les médecins. Il est facile de suivre son raisonnement et sa façon de procéder : il nous empoisonne puis il nous soigne.

  1. Il est l’actionnaire majoritaire de l’OMS.
  2. Il est actionnaire de Mosanto-Bayer ; a acheté tous les brevets d’agriculture dans lequel cas les agriculteurs, sous peine de prison, sont tous contraints d’acheter exclusivement des semences OGM (créant de super cancers et affaiblissant le système immunitaire)
  3. Il est actionnaire de Big Pharma qui, telle une pieuvre, étend ses tentacules dans tous les domaines et nomme des eunuques à tous les postes importants de la planète. Il achète tout le monde.
  4. Il est investisseur de milliards ($) en Afrique afin d’avoir des enfants comme cobayes pour ses vaccins.
  5. Il est actionnaire des laboratoires de recherches.
  6. Il est le président du Forum Économique tenu à Davos en janvier 2020 où il a présenté son Plan de vaccination mondial (comme par hasard) sur le Covid-19. Le Kébek n’avait pas de représentant à ce forum ?
  7. Il est actionnaire de nombreux médias de masse, donc contrôle la nouvelle et paie Facebook et Google pour supprimer quiconque dira la vérité sur le véritable contenu des vaccins.
  8. Il finance des programmes secrets d’épandages chimiques sur les populations (chemtrails) qui nous pulvérisent, comme des cafards, de produits chimiques et de nanoparticules empoisonnant l’air, l’eau et le sol.

Résumé très court : Bill Gates nous empoisonne avec Mosanto-Bayer et les Chemtrails, ensuite fait répandre le virus qui dormait depuis fort longtemps, fait semblant de mobiliser tous les laboratoires pour inventer un vaccin qui va sauver la planète. Il existe une pétition adressée à la Maison Blanche pour que cet individu, qui a les mains souillées du sang de nos enfants, soit accusé de crime contre l’humanité. Nous espérons fortement que le Kébek se joindra à l’Inde pour déclarer cet individu persona non grata au Kébek. Ce serait un signe de respect envers la Nation.

Monsieur le Premier Ministre, avez-vous remarqué que depuis le confinement, le ciel est bleu, absence totale de smog, disparition des embouteillages et aucun chemtrails dans le ciel ? Pourquoi ? Ce confinement nous a tracé la route à suivre pour avoir une meilleure vie et ce ne sont pas les experts à la solde des corporations et des multinationales qui vont vous montrer le chemin, mais les gens du peuple, ceux qui sont libres de toute redevance.

Dr ARRUDA : En votre nom et celui de tous vos confrères et consœurs, pouvez-vous nous lire le serment d’Hippocrate des médecins du Québec
J’affirme solennellement que :

  1. Je remplirai mes devoirs de médecin envers tous les patients avec conscience, loyauté et intégrité ;
  2. Je donnerai au patient les informations pertinentes et je respecterai ses droits et son autonomie ;
  3. Je respecterai le secret professionnel et ne révélerai à personne ce qui est venu à ma connaissance dans l’exercice de la profession à moins que le patient ou la loi ne m’y autorise ;
  4. J’exercerai la médecine selon les règles de la science et de l’art et je maintiendrai ma compétence ;
  5. Je conformerai ma conduite professionnelle aux principes du Code de déontologie ;
  6. Je serai loyal à ma profession et je porterai respect à mes collègues ;
  7. Je me comporterai toujours selon l’honneur et la dignité de la profession.

Questions au Dr Arruda :

Q : Dr Arruda
Le 30 janvier 2020, vu le nombre de décès à Wuhan, l’OMS déclare l’état d’urgence sanitaire publique de portée internationale, donc une pandémie (1re fois dans toute l’histoire de l’humanité), mais (absurdité oblige), on ne ferme pas les frontières ni le commerce, le tourisme continu, pourquoi ? Avec le recul, le peuple comprend que le virus doit se propager partout dans le monde, surtout éliminer les plus fragiles, ceux qui coûtent cher à la société, comme nos aînés. Et l’OMS, avant même la pandémie, dicte déjà qu’il faut accélérer le développement de vaccins.

Toutes les années, chaque pays fait face à des épidémies de grippe ou d’influenza, de SRASS, de grippe aviaire ou de grippe porcine faisant des milliers de morts (résumé pris sur Santé Canada) :

  • 1918-19 Grippe espagnole 50 000 décès
  • 1957 Grippe asiatique H2N2 1 à 2 millions décès 7000 décès
  • 1968 Grippe Hong Kong H3N2 1 à 4 mille décès 4000 décès
  • 2002-2003 SRAS 8,098 décès
  • 2009-2010 Grippe porcine H1N1 12 500 décès
  • 2017-18 Influenza 61 000 décès
  • 2020 Covid-19 Québec 1,599/8 millions d’habitants
  • Canada 2,707/36 millions d’habitants
  • E-Unis 56,803/328 millions d’habitants
  • Monde 211 000/7,8 milliards

NB : au Kébek, chaque année, 139,054 décès dus à la grippe saisonnière [en moyenne].

NOUS VIVONS UNE ARNAQUE MONDIALE

MALGRÉ CES CHIFFRES ALARMISTES, L’OMS N’A JAMAIS DÉCLARÉ DE PANDÉMIE NI D’URGENCE SANITAIRE DE PORTÉE INTERNATIONALE

Q : Dr Arruda, lors de vos conférences de presse, vous faites allusion aux experts en santé que vous consultez. Pouvez-vous nous les nommer ? Pouvez-vous nous certifier, selon votre serment d’Hippocrate, qu’aucun de ces experts n’ont de liens avec des compagnies pharmaceutiques ou des laboratoires de recherches financés par Bill Gates ? Bref, les experts que vous consultez sont-ils en conflits d’intérêts ?

Dr Arruda, Êtes-vous en conflit d’intérêts ?

Wuhan ; point d’origine du coronavirus. Les médecins sur place constataient que, bien que présentant des symptômes de pneumonie (mais pneumonie sèche) que ce n’était pas les poumons qui étaient malades, mais qu’il s’agissait bien d’un manque d’oxygène dans le sang, tout comme le mal de l’altitude. Avec le temps il a été prouvé que le Covid-19 est un jumeau du SRASS (combinaison du virus de la rougeole et des oreillons) provoquant une détresse respiratoire, mais y a été ajouté le gène du VIH, confirmé par de nombreuses sommités médicales.

Q : Dr Arruda : Expliquez-nous clairement comment un virus, même très intelligent, peut s’ajouter lui-même un gène de VIH? À ce jour, avec toutes les informations disponibles et le questionnement de réels biologistes-infectiologues, n’est-ce pas plutôt une arme biologique ?

Q : Dr Arruda : Vous avez déclaré que vous attendiez un vaccin et qu’il sera possiblement obligatoire. Vous parlez que la géolocalisation (donc la puce) qui faciliterait le confinement des cas récalcitrants ? Donc, vous approuvez le projet de l’OMS (Bill Gates) qui est d’injecter une puce à tous les humains, est-ce exact ? Donc, pour vous, l’être humain est une boîte de conserve qui doit avoir un code-barre ?

Que faites-vous de notre liberté fondamentale, de notre libre arbitre ?

Q Dr Arruda, votre serment d’Hippocrate vous oblige à porter secours à toute personne en danger lorsque sa vie est menacée. En vous abstenant d’autoriser les soins aux malades de la Covid-19 avec tous les traitements que les autres pays se servaient, vous avez manqué à votre serment et posé un geste criminel, car partout sur les sites de santé, il est publié qu’il existe [des] traitements reconnus pour soigner le Covid-19, soit :

  • Chloroquine (en usage depuis 60 ans) + azithromycine
  • Ivermectine
  • La Vitamine C Liposomale IV (en intraveineuse) guérit en 7 jours
  • Macrolide + C3G (appliqué par la Société de Gériatrie de France)
  • Ozone (apport d’oxygène dans le sang)

Q : — Veuillez expliquer à la Nation Kébékoise pourquoi aucun de ces traitements n’a été appliqué aux malades.

Q : Dr Arruda : La médecine allopathique existe depuis que l’homme existe tandis que la médecine conventionnelle est toute récente. — Veuillez expliquer également comment se fait-il que le Kébek ne possède plus de plantes médicinales, que la Vitamine C Liposomale (en capsule ou IV), que l’Artémésia de Madagascar qui soigne bien des maux, est introuvable au Kébek ? Les huiles essentielles, les onguents de nos grands-parents et le camphre sont aussi disparus. Le corps médical et Big Pharma ont pris le contrôle de nos maladies et non de notre santé. Reconnaissez-vous que la santé n’est pas rentable pour Big Pharma et Bill Gates ?

Q : Dr Arruda : notre dernière question. Ici se trouve le lien qui prouve l’arnaque du sida et les milliards de profits qu’a fait le Cartel pharmaceutique, le tout avec la complicité du corps médical. Faire mourir des êtres humains pour inventer une pandémie (comme le covid-19), détruire de supposés malades du sida pour faire de l’argent. Voilà ce à quoi le corps médical participe.

https://www.youtube.com/watch?v=-1iM6BIy8Yw&feature=emb_title&fbclid=IwAR1pVYnsWrvGm5QDiMRx_KktMSpbctIacRFqNezgSA-qfkPp3A8RHO9B6tY

https://www.youtube.com/watch?v=-1iM6BIy8Yw&feature=emb_title&fbclid=IwAR1pVYnsWrvGm5QDiMRx_KktMSpbctIacRFqNezgSA-qfkPp3A8RHO9B6tY

https://www.youtube.com/watch?v=1i2xtW1uzCk

https://www.youtube.com/watch?v=1i2xtW1uzCk

En tant qu’être humain, on ne peut plus tolérer ces arnaques et ces mensonges. Cependant, FB et Google suppriment tout ce qui se rapporte à la vérité. Quelle piste de solution avez-vous à proposer ?

Q : Monsieur Legault : La Nation Kébékoise est plus que convaincue que vous étiez au courant de toutes ces malversations criminelles de l’OMS. Les révélations du Dr Arruda vous font-elles douter de la compétence humanitaire de l’OMS ? Tous les reportages de vrais spécialistes comme le Dr Didier Raoult et du Dr Luc Montaigner (deux Prix Nobel) sur les traitements qui guérissent, la fraude criminelle des cartels pharmaceutiques et la fraude mondiale organisée par l’OMS vous font-ils comprendre que votre gouvernement, au même titre de Bill Gates, est criminellement complice de l’élimination de notre nation, de la ruine de notre économie et de la peur qui s’est installée ?

Q : Monsieur Legault : Pouvez-vous démontrer à la Nation qu’aucune subvention n’a été donnée à aucun laboratoire subventionné par Bill Gates ou ses acolytes ; qui participerait à la course pour trouver un vaccin ?

Q : Monsieur Legault : Depuis quand un Premier ministre se soumet-il aux directives d’une organisation criminelle comme l’OMS ? Quand allez-vous travailler de concert avec tous les Premiers ministres des autres provinces afin que le Canada se retire du financement de l’OMS et déposer une accusation officielle contre cette organisation pour crime contre l’humanité et génocide planifié des humains ?

Êtes-vous conscient que nous finançons notre propre mort ?

LA NATION KÉBÉKOISE EXIGE que la science naturelle par les plantes, science millénaire, REVIENNE sur nos tablettes et soit en libre circulation.

Lors des premières conférences de presse, le Dr Danielle. McCann affirmait que les établissements de santé avaient tout le matériel nécessaire pour leur protection. Le lendemain, les journalistes s’empressaient d’aller voir les employés qui, même sous menace par leur employeur, disaient tout le contraire. Même chose concernant les liens entre le ministère et les CIUSS, etc. Mais pour vous Mme McCann, tout allait bien et qu’il y avait une bonne communication et une bonne gestion.

Q : Dre McCann, vous avez enjolivé la situation à plusieurs occasions et vous n’étiez jamais en mode active, mais défensive. Les journalistes ont prouvé au peuple que vos affirmations étaient mensongères et que votre crédibilité a fondu comme neige au soleil. Lorsque le Premier ministre a demandé l’aide des spécialistes (pratiquement tous en congé, vu le report des chirurgies électives) au lieu de faire appel à leur humaniste (s’il en reste) vous avez immédiatement parlé salaire. Tout le corps médical devrait réaliser que leur salaire est payé par les taxes et les impôts de chaque citoyen, ce qui implique qu’ils sont les employés de chaque citoyen et s’il n’y avait pas de préposés, de laveur de planchers, d’infirmières, et de préposés à la buanderie, aucun n’aurait de travail. Malheureusement, il en reste très peu qui ont vraiment la vocation. La grande majorité est devenue de simple caisse enregistreuse. Un médecin ne devrait jamais être ministre de la Santé, cela pose un problème d’éthique et de conflits d’intérêts, et vous êtes dans cette position.

Q : Dre McCann, selon vous, avez-vous encore la légitimité pour occuper le poste de ministre de la Santé ? Nous ne croyons pas que vous l’ayez.

PARLONS DE LA 5G, 60 GHz

Si nous lisons l’historique de l’arrivée de la technologie (le téléphone, l’électricité, la télévision, le cellulaire), chacune a produit des malaises dans la population.

LE CORPS HUMAIN

Depuis la nuit des temps, l’être humain vit naturellement avec les énergies qui viennent du sol, une électricité naturelle dont on peut se servir gratuitement. Nous sommes des êtres conducteurs d’électricité, de fréquences, de lumière et de magnétisme. Le corps humain est merveilleux, mais fort complexe. Toutes les créatures de cette planète se sont adaptées à l’environnement dans lequel elles vivent, mais cet environnement doit demeurer équilibré avec ses propres champs et résonnances. La fréquence des ondes alpha émises par le cerveau et la résonance de Schuman sont la même ; soit 7,8 Hz.

Le corps humain est composé à 80 % d’eau et tout comme un sonar, les fréquences de la 4G perturbent déjà sa fluidité. Donc, que fait la 5G ? Elle perturbe l’action normale des microzimas (toute cellule animale ou végétale est constituée de petites particules capables, sous certaines conditions, d’évoluer et de former certaines bactéries qui continuerait à vivre après la mort de la cellule dont elle proviendrait).. Les fréquences sont comme le vent, on ne le voit pas, nos yeux ne voit que le résultat de son passage, tout comme on ne voit pas les fréquences, mais si nos yeux pouvaient voir le résultat, ils verraient un smog permanent qui ondule et nous enveloppe quotidiennement. La 5G a les mêmes effets, ses rayonnements et ses fréquences sont invisibles, mais les effets sont visibles. Les fréquences naturelles des mammifères et des oiseaux sont brouillées. Les oiseaux sont terrassés en plein vol et les mammifères marins et les poissons s’échouent sur les plages. Savez-vous qu’il n’y a plus d’oiseaux au Mexique et en Chine.

Monsieur Legault : Votre immobilisme nous laisse croire que vous voulez un Kébek dépourvu de toute la beauté animale et d’une population moribonde.

CE SONT NOS CORPS QUI REFUSENT et non nous. Les ondes émises par la 5G brouillent (pour ne pas dire « grille ») nos cerveaux et retirent de notre sang et de nos cellules l’oxygène dont notre corps à besoin pour vivre (concept d’entropie). Voilà pourquoi Wuhan (ville pilote connectée entièrement à la 5G) soignait par apport d’oxygène (supplément d’oxygène aux victimes du virus). La 5G crée des symptômes de type grippaux auxquels s’ajoute la perte de l’odorat et du goût, avant d’entraîner éventuellement la mort des sujets. Aucune épidémie de SRAS, de grippe porcine, de H1N1, de grippe aviaire et même la grippe espagnole n’a jamais présenté ces deux nouveaux symptômes. Selon quelques experts qui connaissent bien le fonctionnement du corps humain, la 5G est un danger réel et nos gouvernements se sont laissés bernés par le lobbying de vipères qui ne sont là que pour le fric au détriment de nos vies.

Selon l’OMS, il est reconnu que les champs de radio fréquence émis par les portables, de potentiellement cancérigène pour l’homme tout comme le glyphosate de Mosanto a été reconnu potentiellement cancérigène, MAIS suite à la condamnation de Mosanto, le glyphosate est maintenant reconnu cancérigène.

Q : M. Legault, si la 5G n’est pas dangereuse, alors pourquoi toutes les tours ont poussé comme des champignons, dans toutes les villes du Kébek, depuis le confinement ? Pourquoi les dissimuler dans des arbres ou construire une cheminée autour ?

Lorsqu’on y réfléchi bien, on doit songer à l’éventualité suivante : Si les vaccins de Bill Gates étaient volontairement conçus pour diffuser, dans nos cellules, les substances toxiques qu’ils contiennent sous commande du signal 5G et provoquant ainsi la mort par toxicité cellulaire (manque d’oxygène dans le sang) ? N’est-ce pas ce qui se passe avec la Covid-19 ?

Q : M. Legault, avez-vous signé un contrat pour l’installation de tours 5G au Kébek et ce malgré l’absence d’enquêtes indépendantes et malgré les avertissements de la population sur les dangers potentiels que cette technologie représente ?

Q : M. Legault, quels étaient les dividendes prévus pour le gouvernement (au détriment de la santé de la Nation ?

LA NATION KÉBÉKOISE EXIGE que la technologie 5G soit bannie et que toutes les installations soient démantelées immédiatement. Le peuple est prêt à aider à démolir les tours, mais les compagnies n’aimeront pas la technique qui sera employée.

Q : M. Legault est-ce que le glyphosate est encore permis au Kébek ? Si oui, la NATION Kébékoise EXIGE qu’il soit banni immédiatement.

NOUS ATTENDONS VOTRE ENGAGEMENT PUBLIC A CES DEUX EXIGENCES.

LES FAKE NEWS

Q : M. Legault, Pouvez-vous nous communiquer les raisons de votre adhésion à la LOI sur les fake news ? Quels sont les objectifs poursuivis ? Serait-ce plutôt un moyen de censurer les informations provenant d’une autre source que la source officielle validée par l’État ? Nous sommes supposés vivre en démocratie, mais avec toutes les nouvelles lois votées en catimini, les amendes, la censure imposée au peuple dans les médias traditionnels, ajouté à ça la complicité des journalistes qui sont subventionnés par les gouvernements pour ne parler que de vos discours mensongers, nous voyons le régime communiste qui s’installe sournoisement au Kébek.

Monsieur Legault, C’EST NOTRE DROIT FONDAMENTAL DE VOUS POSER LA QUESTION ET D’OBTENIR UNE RÉPONSE CLAIRE afin de planifier notre avenir. LA NATION KÉBÉKOISE A TOUJOURS VÉCU DANS UNE SOI-DISANT DÉMOCRATIE, CE QUI N’EST PLUS LE CAS.

LES CENTRES INTÉGRÉS DE SANTÉ ET SERVICES SOCIAUX

Tout comme les Commissions scolaires, nous n’avons pas besoin de nous étendre longuement sur les CIUSS ou autres appellations, ces institutions qui nous démontrent depuis fort longtemps, mais surtout depuis le Covid-19, toute leur inutilité, leur insignifiance et leur non-imputabilité d’aucune sorte. Souvenez-vous M. Legault lorsque ces paliers inutiles furent créés ; tous les syndicats dénonçaient haut et fort leur inutilité et les coûts faramineux associés. Ensuite furent retirés les directeurs d’établissements pour tout centraliser et finalement la démolition finale par Couillard et Barrette. On avait promis aux payeurs de taxes et d’impôts de fortes réductions des dépenses administratives dans le secteur de la santé pour les investir dans les services aux patients.
MENSONGES

Aujourd’hui, toute la Nation Kébékoise est en mesure d’évaluer le gâchis monumental de son réseau de santé. Il y a tellement de paliers créés pour les ti-amis des partis en place et tellement de bureaucratie que même une chatte ne retrouverait pas ses chats. Tout comme les commissions scolaires, ce sont des fonctionnaires qui appliquent simplement des directives, pas plus et, performant ou pas, personne n’est imputable. Un système de médiocratie.

Le réseau de la santé, tout comme une NATION, a besoin d’éprouver un sentiment d’appartenance et non pas être un numéro ballotté sur tous les côtés.

LA NATION KÉBÉKOISE EXIGE le démantèlement complet de ces super structures inutiles et coûteuses. Nous exigeons le retour de directions responsables dans chaque établissement de santé, qui sera responsable de son budget, des soins établis en fonction de sa population et qui sera imputable directement de la qualité des soins et de ses dépassements de coûts. Le réseau de la santé a été saboté de la même façon que les mondialistes sont en train de saboter les Nations du monde entier.

LES CHSLD

Il y a des années que les conditions de travail, le temps accordé aux résidents [quota] et la nourriture sont dénoncés. Personne n’a bougé. Barrette, qui a finalisé la démolition de l’appareil de santé, a même poussé l’effronterie à aller déguster, devant caméra, un repas de grand restaurant, mais nos aînés continuent de manger de la potasse. . Tout le gouvernement et ses ministres promettaient des investissements et de meilleures conditions salariales pour les préposés, ce n’était encore que des promesses. Quant à Mme Blais, qui n’a jamais réalisé quoi que ce soit pendant son passage précédant et actuel en politique, elle ne voit qu’un beau décor, de belles couleurs, ce qui, pour elle, faciliterait le mourir dans la dignité. Et nonobstant tous les articles de convention collective, un employé qui maltraite un aîné est congédié immédiatement. Et toute famille qui désire installer une caméra de surveillance dans la chambre où est hébergé un membre de sa famille a le droit fondamental de le faire.

Au lieu de toujours construire, modernisez les établissements qui existent déjà. Faites abattre des murs, moderniser ce qui est déjà payé. Donnez un juste salaire, non à un titre professionnel, mais à ceux qui dispensent le plus de soins directs aux aînés. Un CHSLD public ou privé est un endroit.

Destiné aux personnes qui n’ont pas d’autres choix. Ces aînés ont travaillé et contribué toute leur vie au Kébek, ils nous ont tracé le chemin où nous marchons aujourd’hui. Chacun est en droit de recevoir les soins essentiels pour vivre et non être confiné dans une garde-robe qui sert de mouroir. Ils ont droit, tout comme s’ils étaient dans leur maison, à un espace de vie confortable et viable.

Tout comme les garderies ou les CPE où beaucoup de ti-amis ont eu des permis ou des passe-droits pour se les procurer, nous constatons le même stratagème au niveau des CHSLD privés où le propriétaire s’est enrichi à outrance et bien souvent au détriment des soins accordés ou des salaires donnés aux employés.

Suite aux révélations d’horreur qui sont vécues par nos aînés dans les CHSLD, privés ou publics, LA NATION KÉBÉKOISE EXIGE une enquête publique télévisée avec les vrais experts qui y séjournent et qui y travaillent, soit les bénéficiaires eux-mêmes, les aidants naturels de ces aînés, les préposés(es) aux bénéficiaires, les infirmières/infirmiers. Le peuple veut entendre ceux qui travaillent auprès des aînés et non des soi-disant experts ou des fonctionnaires qui n’ont jamais sorti de leur bureau.

M. Legault, vous n’êtes pas sans savoir qu’actuellement, le PEUPLE DU KÉBEK est souffrant. . L’OMS a volontairement planifié une crise sociale, économique et humaine, et le peuple sait que vous le savez.

Q : M. Legault, à la lumière de tous ces faits, croyez-vous avoir encore la légitimité d’occuper le poste de premier ministre d’une Nation que vous deviez défendre et non la livrer aux mains de criminels ? En nous cachant la vérité, vous vous êtes fait complice des franc-maçons, des pédocriminels et des mondialistes qui veulent prendre le contrôle des peuples du monde ?

Les signataires de cette sommation vous réclament une rencontre à votre bureau de Montréal, au moment que cela vous conviendra, afin de discuter de l’avenir du Kébek. [nous ne croyons aucunement dans l’existence du virus ni du confinement, donc le plus tôt possible). Au Kébek, il y a des groupes d’extrémistes, des groupes de modérés, et des groupes d’éveillés comme nous qui veulent le bien de notre Nation. Nous voulons vous exprimer notre vision du futur et voir comment on peut travailler ensemble.

En tout état de cause, sans réponse précise et factuelle publique [à l’intégralité des questions posées] au sens de « qui tacet consentire videtur » la jurisprudence sur la liberté de circulation et de l’absence de justification en fait et en droit, sur le fondement des amendes prévues, celles-ci seront sans objet ; ainsi que sans réponse à l’ensemble des questions posées dans cet acte, le peuple en déduira que RIEN, sur le plan légal et scientifique, ne justifie que nous donnions nos droits fondamentaux pour des activités et démarches qui nous sont personnelles et qui relèvent de la sphère privée (santé, loisirs divers, sport, exercice physique, courses alimentaires et autres, rendre visite à des proches ou amis(es), banque et poste, etc.. et ce sans aucune restriction de distance sociale. Les différents ministres (en cas de non-réponse/absence de réponse) ne pourront nier avoir été officiellement informés et, de ce fait, aucune sanction ne pourra nous être infligée.

En tout état de cause, nous nous réservons le droit d’apporter par voie d’acte extrajudiciaire (et/ou par courrier recommandé) incluant une clé USB, tous les éléments complémentaires nécessaires à la MANIFESTATION DE LA VÉRITÉ. Le peuple se réserve également la possibilité de demander aux ministères visés par l’acte, tout complément d’information utile à la bonne compréhension de cette affaire.

MOI, Aline Lafond, domiciliée au kÉBEK email : alynel@outlook.com
Jacques Coulombe Moi, Jacques Coulombe, autorise Mme Lafond à considérer ce mot comme ma signature originale pour la sommation du 27 avril 2020.
Chantal Gagnon Moi, Chantal Gagnon autorise Mme Lafond à considérer ce mot comme ma signature  originale pour la sommation du 27 avril 2020 
Jacinthe Horth Moi, Jacinthe Horth,  autorise Mme Lafond à considérer ce mot comme ma signature originale pour la sommation du 27 avril 2020
Serge Trottier Moi, Serge Trottier, autorise Mme Lafond à considérer ce mot comme ma signature originale pour la sommation du 27 avril 2020.

ET NOUS (la Nation Kébékoise), DÉCLARONS PAR LA PRÉSENTE ÊTRE DOMICILIÉS AU KÉBEK.

M/ Mme. …………………………….., HUISSIER DE JUSTICE, EST LE MANDATAIRE À CET EFFET, aux fins de signification du présent acte.


27 avril 2020