La créance de l’Ukraine est représentée par le « Groupe des créanciers de l’Ukraine » composée du Canada, de la France, de l’Allemagne, du Japon, du Royaume-Uni et les États-Unis d’Amérique. Parmi les observateurs du Groupe figurent l’Australie, l’Autriche, la Belgique, le Brésil, le Danemark, la Finlande, l’Irlande, Israël, l’Italie, la Corée, les Pays-Bas, la Norvège, l’Espagne, la Suède et la Suisse.
L’aide cumulée promise par les États-Unis, l’UE et les autres partenaires s’élève à 242 milliards d’euros, dont 128 milliards d’euros d’aide financière, 16 milliards d’euros d’aide humanitaire et 98 milliards d’euros d’aide militaire.
Le FMI a estimé que l’économie de l’Ukraine s’est contractée de plus de 30 % de son PIB. Sans l’aide financière du FMI et des pays occidentaux, il n’y aurait plus de ressource non pas pour la guerre, mais pour assurer le fonctionnement des infrastructures. Zelensky clamait qu’il avait besoin de 7 milliards de dollars par mois sans que nous sachions où passait tout cet argent qui probablement est blanchi en partie dans des institutions off shore.
Quand un pays possède une dette qui pèse trois fois son PIB, ce n’est plus une question de survie, c’est un braquage en bonne et due forme au profit de la maffia internationale.
Lire la suite