Une étude suédoise indique que les antennes 5G provoquent bel et bien le syndrome des micro-ondes

[Publication initiale : ozlecarolo.com]

Par Özler Atalay Yükseloğlu

Une étude scientifique publiée le 19 juin 2024 par Lennart Hardell, oncologue suédois et Mona Nilsson, co-fondatrice de la fondation suédoise de protection contre les radiations donne des résultats très convaincants sur la toxicité des antennes 5 G.

Les symptômes du syndrome des micro-ondes décrits dans les pays de l’Europe de l’Est sont reconnus par les scientifiques de cette étude. Ils sont évalués lors de la proximité des personnes souffrantes de ces antennes-relais, puis de leur éloignement, et il s’avère que c’est à ce moment que leurs symptômes diminuent voire disparaissent.

C’est donc une étude cruciale qui peut prouver à elle seule la dangerosité des antennes 5G et des ondes de la téléphonie mobile en général. Néanmoins il est à prévoir que la « communauté scientifique » réclame d’autres études (potentiellement financée par des tiers) pour établir définitivement le principe de cause à effet. Cette étude reste néanmoins une preuve incontournable pour notre argumentation tout comme les précédentes études de cette équipe en la matière.

[Condensé de l’étude :]

Résumé :

La cinquième génération, la 5G, pour la communication sans fil est actuellement déployée en Suède depuis 2019/2020, ainsi que dans de nombreux autres pays. Nous avons déjà publié sept rapports de cas qui incluent un total de 16 personnes âgées de 4 à 83 ans qui ont développé le syndrome des micro-ondes peu de temps après avoir été exposées à des stations de base 5G à proximité de leur domicile. Dans tous les cas, le rayonnement radiofréquence (RF) élevé de la 4 G/5G a été mesuré avec un détecteur à large bande. Le rayonnement RF a atteint >2 500 000 à >3 180 000 μW/m 2 en valeur maximale dans trois des études. Au total, 41 problèmes de santé différents ont été évalués pour chaque personne, classés de 0 (aucune plainte) à 10 (pires symptômes).

Les symptômes les plus fréquents et les plus graves étaient les troubles du sommeil (insomnie, réveil nocturne, réveil précoce), les maux de tête, la fatigue, l’irritabilité, les problèmes de concentration, la perte de mémoire immédiate, la détresse émotionnelle, la tendance à la dépression, l’anxiété/la panique, la dysesthésie (sensations inhabituelles au toucher), les brûlures et les lancinations cutanées, les symptômes cardiovasculaires (pouls transitoirement élevé ou irrégulier), la dyspnée et les douleurs musculaires et articulaires. Les troubles de l’équilibre et les acouphènes étaient moins fréquents. Tous ces symptômes sont inclus dans le syndrome des micro-ondes. Dans la plupart des cas, les symptômes ont diminué et ont disparu dans un court laps de temps après que les personnes étudiées se soient installées dans un endroit sans 5 G. Ces cas cliniques sont des exemples classiques d’études de provocation. Ils renforcent l’urgence d’empêcher le déploiement de la 5G jusqu’à ce que d’autres études de sécurité aient été réalisées.

Introduction

La 5G pour la communication sans fil est mise en œuvre en Suède ainsi que dans de nombreux autres pays depuis 2019/2020. Les antennes 5G émettent des rayonnements radiofréquences (RF) et jusqu’à présent, la fréquence 3,5 GHz a été utilisée comme onde porteuse pour la 5 G dans les environnements urbains. Lorsque la 5G est installée, les générations précédentes telles que la 2G et la 3G sont démantelées (https://www.pts.se/sv/privat/telefoni/teknikskifte/informationsmote-om-avveckling-av-2g–och-3g-nat/ ; en suédois). La 5G utilise la technique MIMO, à entrées et sorties multiples, avec l’utilisation de plusieurs antennes au niveau de l’émetteur et du récepteur. La 5G est jusqu’à présent diffusée en combinaison avec la 4G+ et enverra des données jusqu’à 100 fois plus vite que la technologie précédente (https://projectgoliat.eu/emf-5g/). Selon les études pilotes préliminaires menées en France, l’exposition à la 5G varie considérablement en fonction du nombre d’utilisateurs à proximité de la station de base et de la taille des transferts de données (https://www.anfr.fr/fileadmin/mediatheque/documents/5G/20200410-ANFR-rapport-mesures-pilotes-5G-FR.pdf).

De nombreux scientifiques ont exprimé des inquiétudes avant le déploiement de la 5G quant à une augmentation massive de l’exposition du grand public aux rayonnements RF (www.5Gappeal.eu). Il a été noté que les rayonnements RF étaient déjà prouvés nocifs pour la santé humaine aux niveaux rencontrés dans l’environnement avant le déploiement de la 5G. Ces inquiétudes ont également mis en évidence qu’il n’y avait pas eu de recherche antérieure sur les effets sur les humains et l’environnement de la nouvelle exposition aux rayonnements RF 5G, notamment les nouvelles fréquences plus élevées, les modulations, les impulsions rapides intense et peut-être plus important encore, l’exposition aux rayonnements RF beaucoup plus élevée attendue. En outre, dans un rapport au Parlement européen en 2019, il a été noté que l’exposition à la 5G sera plus complexe que les systèmes précédents : « Bien que les champs soient fortement focalisés par les faisceaux, ils varient rapidement avec le temps et le mouvement et sont donc imprévisibles, car les niveaux et les modèles de signal interagissent comme un système en boucle fermée. » (https://5gfree.org/wp-content/uploads/2020/07/IPOL_IDA2019631060_EN.pdf).

Pour un moratoire sur le déploiement de la 5G dès 2017 (www.5gappeal.eu), voir également (www.emfcall.org, http://www.emfscientist.org). Ces appels sont jusqu’à présent largement ignorés par les agences gouvernementales responsables, les politiciens et l’industrie des télécoms. Les progrès de cette technique se poursuivent à leur propre rythme, apparemment motivés par des intérêts économiques considérables au sein de l’industrie des télécoms.

Il ressort clairement des mesures effectuées jusqu’à présent que la mise en œuvre de la 5G a effectivement provoqué une augmentation massive de l’exposition humaine et environnementale aux rayonnements RF modulés par impulsions.

Le syndrome des micro-ondes

Les micro-ondes sont des fréquences comprises entre 300 MHz et 300 GHz dans le spectre des radiofréquences et c’est dans cette gamme de fréquences que fonctionnent les ondes porteuses de la 5G et des générations précédentes de téléphonie mobile.

Des preuves des effets négatifs sur la santé des rayonnements RF/micro-ondes ont déjà été publiées dans les années 1960 et 1970 dans les pays d’Europe de l’Est dans le cadre d’études sur les travailleurs exposés. Les symptômes courants étaient les maux de tête, la fatigue, les difficultés de concentration, l’insomnie, la détresse émotionnelle, l’irritabilité, la dysesthésie, les lésions cutanées, y compris la sensation de brûlure, les symptômes cardiaques et pulmonaires. Ceux-ci sont inclus dans le syndrome ou la maladie des micro-ondes qui comprend une variété de symptômes cliniques et physiques. Il a été observé qu’en général, les femmes semblaient plus sensibles que les hommes et que la sensibilité individuelle variait.

Une revue de ces études, ainsi que des études sur les animaux, ont conclu qu’il faut s’attendre à une « variété étonnamment large de réactions neurologiques et physiologiques » en raison de l’exposition à des niveaux non thermiques de rayonnement RF/micro-ondes.

Un autre terme pour la maladie était le syndrome de la maladie des radiofréquences. Les effets non thermiques dépendent principalement de la modulation et/ou de la pulsation du signal ainsi que de l’intensité maximale et moyenne. Les signaux pulsés et l’exposition simultanée à plusieurs fréquences provoquaient davantage d’effets et étaient donc considérés comme plus dangereux. Les effets observés augmentaient avec la durée d’exposition. Aujourd’hui, la population est exposée simultanément à une multitude de fréquences provenant de diverses technologies sans fil. Les signaux sont pulsés et modulés et l’exposition est chronique.

Il a également été observé qu’en général, les symptômes diminuaient après l’arrêt de l’exposition. Selon Marha et coll. (voir page 31) « à un certain moment après la fin de l’exposition (parfois plusieurs semaines ou plus), l’organisme retourne généralement à son état physiologique d’origine et toutes les plaintes subjectives et objectives disparaissent ».

Les résultats de ces premières observations ont été confirmés au cours des deux dernières décennies dans des enquêtes sur les effets sur la santé des habitants à proximité d’antennes-relais ou de stations de base de téléphonie mobile. Certaines de ces études récentes ont étudié la prévalence des symptômes identifiés dans le syndrome des micro-ondes, d’autres ont étudié d’autres conséquences comme le cancer ou les effets sur les paramètres biochimiques, par exemple les hormones ou les indications de dommages génétiques.

Une étude française a étudié la fréquence de la SLA.

Selon une revue de la plupart de ces études réalisées en 2022, 17 des 23 études ont démontré l’existence d’un syndrome des radiofréquences ou d’un syndrome des micro-ondes, 10 des 13 études ont signalé une augmentation des risques de cancer et six des huit études ont constaté des changements dans les marqueurs biochimiques chez les personnes vivant à proximité des mâts ou des stations de base.

Études sur la 5 G à ce jour

La littérature est peu abondante sur les effets sur la santé causés par l’exposition au rayonnement 5 G. Jusqu’à présent, selon nos connaissances, aucun effet à long terme n’a été étudié et il n’existe que quelques études à court terme sur les animaux et une étude en laboratoire sur l’homme. Aucune des études en laboratoire n’a utilisé une exposition correspondant à une exposition réelle à la 5G.

Au début du déploiement de la 5G, aucune étude n’était disponible sur les effets biologiques sur l’homme de l’exposition aux fréquences 5G autour de 3,5 GHz.

Aucune étude n’avait donc examiné une exposition semblable à celle rencontrée par des millions de personnes actuellement exposées au rayonnement des antennes 5G en combinaison avec la technologie 4 G.

Quelques études animales ont examiné les effets sur les animaux après une exposition au rayonnement RF de 3,5 GHz à des niveaux inférieurs aux limites de l’ICNIRP. Des études exposant des animaux à la fréquence de 3,5 GHz (et non aux signaux 5G réels) ont révélé des effets négatifs tels qu’un stress oxydatif dans le foie, les reins, le plasma, une dégénérescence des neurones dans le cerveau ainsi qu’un stress oxydatif dans les muscles et des effets négatifs sur la solidité des os. De plus, des modifications du comportement après une exposition fœtale ont été signalées.

Études en laboratoire sur l’homme

Une étude publiée en septembre 2023, examinant les effets sur les ondes cérébrales humaines, a exposé 34 jeunes volontaires en bonne santé à une modulation d’impulsions GSM de 3,5 GHz à un niveau moyen compris entre 1,5 et 2 V/m ou jusqu’à 10 610 μW/m 2 pendant seulement 26 min. La densité de puissance de pointe (PD) estimée a été calculée à 680 000 μW/m 2.

Les auteurs ont signalé « une différence globale non significative dans les oscillations cérébrales bêta, alpha, thêta et delta par rapport à l’exposition 5 G. Cependant, quelques électrodes dans les périodes d’exposition corrigées à la ligne de base et post-exposition ont présenté une modulation significative correspondant à l’état oculaire uniquement dans les rythmes alpha, thêta et delta, qui n’ont pas survécu à la correction statistique postérieure. ».

Des changements dans les ondes cérébrales humaines ont ainsi été observés. Cependant, le signal était modulé par GSM et n’était donc pas représentatif d’une exposition réelle à la 5G. L’exposition n’a duré que 26 minutes et n’était donc pas représentative des effets d’une exposition chronique dans la vie réelle. De plus, l’exposition dans la vie réelle comprend l’exposition simultanée à plusieurs autres signaux, par exemple à la 4G.

Études de cas sur l’exposition humaine à la 5G dans la vie réelle

Nous avons déjà publié sept rapports de cas sur les effets sur la santé des humains exposés au rayonnement RF 5 G. Les études ont été réalisées entre 2021 et 2023 et ont examiné les effets sur la santé décrits précédemment comme étant associés à l’exposition au rayonnement RF sur un total de 16 personnes. Des mesures du rayonnement RF ont également été effectuées.

Objectif de cette étude

L’objectif de cette étude était de faire un résumé de nos sept rapports de cas. L’un des objectifs était d’étudier la gravité et tout schéma de différentes maladies/symptômes sur la base du matériel total.

Matériel et méthodes

Les sept études de cas ont été initiées après un contact avec des personnes qui ont développé des symptômes identifiés dans le syndrome des micro-ondes peu après l’installation d’antennes 5G à proximité de leur domicile. Les personnes participantes ont été invitées à répondre à des questions sur la prévalence de différents symptômes liés au syndrome des micro-ondes. Le questionnaire structuré a été adapté d’après Belpomme (Dominique) et coll.. Une échelle de gravité à 10 degrés a été utilisée, grade 0 = aucun symptôme, grade 10 = douleur et/ou inconfort insupportables.

Le questionnaire comprenait au total 41 symptômes/problèmes de santé. Aucun examen clinique n’a été effectué. Les études comprenaient également des mesures de l’exposition aux rayonnements RF.

Nous avons fait une agrégation de tous les résultats de ces sept études de cas individuelles. Cinq groupes de symptômes ont été utilisés en fonction du site anatomique, notamment les maladies du système nerveux et des organes sensoriels (n=18), les maladies du système cardiovasculaire et respiratoire (n=9), les maladies de la peau et des organes musculo-squelettiques (n=6), les maladies du système digestif et urinaire (n=4) et les maladies de l’oreille et du système vestibulaire (n=4). La somme du degré de gravité rapporté pour chaque maladie/symptôme a été calculée pour tous les sujets de l’étude. Le degré minimum et maximum pour chaque élément est également rapporté, ainsi que les degrés moyens et médians calculés pour l’ensemble du matériel.

Dans la plupart des études, le compteur RF à large bande Safe and Sound Pro II a été utilisé pour mesurer le rayonnement RF. La plage de détection de réponse réelle est comprise entre 400 MHz et 7,2 GHz. Il a été étalonné par le fabricant et a une précision de ±6 dB. Les niveaux de crête où le rayonnement RF ont été enregistrés (https://safelivingtechnologies.com/products/safe-and-sound-pro-ii-rf-meter.html). Une description détaillée des méthodes est disponible dans toutes les publications. Dans l’une des sept études, le GigaHerz Solution HF 59B a été utilisé pour mesurer la gamme de fréquences 0,7–3,3 GHz, et le GigaHerz Solution HFW 59D pour la gamme de fréquences 2,4–10 GHz.

Le mesureur de champ à large bande Narda NBM-550, avec la sonde EF-1891, mesurant des fréquences entre 3 MHz et 18 GHz, a également été utilisé dans une étude [5] en plus du mesureur RF à large bande Safe and Sound Pro II. Ce dernier compteur ainsi que le compteur GigaHerz Solution affichent les niveaux de pointe du rayonnement RF tandis que le compteur Narda affiche les résultats en moyenne quadratique (RMS) pour le minimum, le maximum et la moyenne.

Études de cas 5G

Nous présentons ci-après un résumé de nos sept études de cas.

Étude [1] : deux personnes auparavant en bonne santé, un homme de 63 ans et une femme de 62 ans, ont développé des symptômes du syndrome des micro-ondes après l’installation d’une base 5G station de communication sans fil sur le toit au-dessus de leur appartement. Une station de base pour la technologie de télécommunication de génération précédente (3G/4G) était présente au même endroit depuis plusieurs années. Un rayonnement RF très élevé avec des niveaux maximaux (valeur de crête mesurée la plus élevée) de 354 000, 1 690 000 et > 2 500 000 μW/m 2 a été mesuré à trois reprises dans la chambre située à seulement 5 m sous la nouvelle station de base 5 G.

Un niveau maximal (de crête) de 9 000 μW/m 2 a été mesuré avant le déploiement de la 5G. Les symptômes qui sont apparus rapidement après le lancement de la 5G étaient typiques du syndrome des micro-ondes : fatigue, troubles du sommeil, détresse émotionnelle, saignements de nez, acouphènes, étourdissements, troubles cutanés, problèmes de concentration, troubles de l’équilibre, troubles de la mémoire à court terme, confusion, symptômes cardiaques et pulmonaires (palpitations, sensation de lourdeur dans la poitrine) et sensation de chaleur dans le corps. Les symptômes étaient plus prononcés chez la femme. En raison de la gravité des symptômes, le couple a quitté son logement et a déménagé dans un petit bureau avec un rayonnement RF maximal (crête) de 3 500 μW/m 2. En quelques jours, la plupart de leurs symptômes se sont atténués ou ont complètement disparu.

Étude [2] : dans cette étude de cas, nous décrivons deux hommes, cas 1 et cas 2, travaillant dans trois bureaux à proximité de stations de base situées sur le toit au-dessus de leur bureau. Après le déploiement de la 5G, les deux hommes ont développé des symptômes typiques du syndrome des micro-ondes, par exemple, fatigue, maux de tête, acouphènes, étourdissements, troubles de la concentration et de l’attention, et troubles de l’équilibre. Le rayonnement RF après le déploiement de la 5G a été mesuré dans les trois bureaux. Dans le bureau 1, à seulement 3 m en dessous de la station de base 5G la plus proche, le rayonnement RF maximal (crête) pendant 1 min a varié de 463 à 1 800 000 μW/m 2, dans le bureau 2 de 6 230 à 501 000 μW/m 2 et dans le bureau 3 de 13 700 à 61 000 μW/m 2. FrançaisLes symptômes ont disparu chez les deux hommes en quelques semaines (cas 1) ou immédiatement (cas 2) après avoir quitté le bureau pour d’autres bureaux et espaces de vie avec des émissions de rayonnement RF maximales beaucoup plus faibles, maximum pour le cas 1=16 μW/m 2, et pour le cas 2=2 920 μW/m 2.

Les tableaux cliniques chez les deux hommes étaient clairement liés à l’exposition.

Étude [3] : dans ce rapport de cas, nous avons présenté une femme âgée de 52 ans qui a développé des problèmes de santé compatibles avec le syndrome des micro-ondes après l’installation d’une station de base 5G face à son appartement à 60 m de distance. Ces symptômes consistaient par exemple en des maux de tête, des étourdissements, des difficultés de concentration, de la fatigue, de l’arythmie, des brûlures cutanées et des saignements de nez.

Des niveaux élevés de rayonnement RF ont été mesurés dans son appartement en particulier dans la partie la plus proche de la station de base. À la fenêtre de son salon, des niveaux de pointe de rayonnement RF de 17 500 à 758 000 μW/m 2 ont été obtenus au cours de 10 mesures, chacune sur 1 min. Près du canapé du salon, des niveaux de pointe de 36 800 à 222 000 μW/m 2 ont été mesurés. Un rayonnement très élevé a été mesuré sur le balcon faisant face à la station de base, où les 10 mesures ont été effectuées dans un délai de 10 à 15 s — niveaux de pointe > 2 500 000 μW/m 2. Après avoir temporairement quitté l’appartement pour un autre logement avec un rayonnement RF beaucoup plus faible, 96–2 810 μW/m 2 niveaux de pointe, presque tous les symptômes ont disparu en peu de temps. Après être retournée dans son propre appartement, les symptômes sont réapparus.

Étude [4] : dans cette étude, nous avons examiné une famille de trois personnes vivant à des distances de deux stations de base 5G d’environ 50 et 70 m, respectivement. Les stations de base sont situées au sommet de deux immeubles de 6 étages et les antennes sont dirigées vers l’appartement de la famille au quatrième étage de l’autre côté de la rue. Les mesures dans l’appartement ont été effectuées 10 fois à chaque endroit, chaque mesure pendant 1 min. Les niveaux les plus élevés ont été mesurés près des deux fenêtres de la chambre principale, variant de 320 000 à 1 200 000 μW/m 2. Des niveaux élevés ont également été trouvés à la fenêtre de la chambre du fils, de 121 000 à 490 000 μW/m 2, et de la chambre de la fille, de 34 800 à 166 000 μW/m 2. Des niveaux légèrement inférieurs ont été trouvés à l’endroit de l’oreiller dans le lit pour tous les membres de la famille. Les membres de la famille ont signalé des symptômes inclus dans le syndrome des micro-ondes à des degrés divers auto-estimés. La fille avait les problèmes de santé les plus graves, par exemple des troubles du sommeil, des maux de tête, des problèmes de concentration et de mémoire, des troubles cutanés, un rythme cardiaque irrégulier, une sensibilité à la lumière, de l’anxiété et des crises de panique.

Étude [5] : dans ce rapport de cas, un homme de 49 ans auparavant en bonne santé a été décrit. Après l’installation d’une station de base 5G à 20 m de son appartement, il a immédiatement développé une variété de symptômes qui font partie du syndrome des micro-ondes. Les plus graves étaient des maux de tête, une dysesthésie (sensation anormale), une perte de mémoire immédiate, un pouls élevé et irrégulier, une compression thoracique, des brûlures et des lancinations cutanées. De très fortes radiations RF ont été mesurées dans son appartement. Les niveaux mesurés avec le compteur Safe and Sound Pro II ont atteint le niveau maximal mesurable du compteur Safe and Sound Pro utilisé, > 3 180 000 μW/m 2, en 10 à 15 s pour chacune des 10 mesures effectuées pendant 1 min dans le salon. Dans la chambre de l’homme, les niveaux mesurés au niveau de l’oreiller du lit allaient de 105 000 à 240 000 μW/m 2.

Des mesures de suivi ont également été effectuées avec un appareil de mesure à large bande Narda-550 affichant des résultats en moyenne quadratique (RMS) pour les valeurs maximales et moyennes. Le niveau RMS maximal le plus élevé dans l’appartement était de 1 368 021 μW/m 2.

Le niveau RMS maximal le plus élevé dans le salon était de 571 624 μW/m 2. Après avoir déménagé dans un autre appartement avec un faible rayonnement RF, les symptômes ont diminué ou ont disparu dans un court laps de temps, mais ils réapparaissent à chaque fois qu’il revient dans son appartement avec un rayonnement RF 5G élevé.

Étude [6] : cette étude a porté sur une femme âgée de 82 ans avec une hypersensibilité électromagnétique (EHS) depuis près de quatre décennies. Après le déploiement de deux stations de base 5G, à 528 et 489 m de sa maison respectivement, elle a développé des symptômes plus graves, par exemple, fatigue, dysesthésie, étourdissements, troubles de l’équilibre, sensibilité à la lumière et troubles cutanés qui sont tous inclus dans le syndrome des micro-ondes. Elle a aussi 83 ans. Le mari a été affecté, bien que dans une moindre mesure. Les solutions GigaHerz HF 59B et GigaHerz HFW 59D ont été utilisées pour les mesures. Des niveaux élevés de rayonnement RF de pointe maximal ont été mesurés dans la cuisine 166 700 μW/m 2 et dans le salon, 147 100 μW/m 2.

Étude [7] : dans ce rapport de cas, une famille auparavant en bonne santé comprenant un homme, une femme et leurs trois enfants a été étudiée. Les membres de la famille ont rapidement développé des symptômes du syndrome des micro-ondes après leur arrivée dans un chalet d’été situé à 125 m de distance d’une tour de téléphonie mobile haute de 24 m avec des antennes 5 G. Les symptômes les plus graves pour les adultes étaient des troubles du sommeil, des maux de tête, de la fatigue et un rythme cardiaque irrégulier. Les enfants ont eu des troubles du sommeil, de la diarrhée, des douleurs à l’estomac, des éruptions cutanées, des maux de tête et des symptômes émotionnels. Tous les symptômes ont disparu et la santé a été rétablie lorsque la famille est retournée dans sa propre maison à un autre endroit sans stations de base 5G à proximité. Aucune mesure n’était disponible à l’intérieur du chalet pendant le temps où la famille est restée près du mât. Des mesures ultérieures ont montré que le niveau de rayonnement variait de 9 000 à 43 400 μW/m 2 à l’extérieur du chalet du côté de la station de base 5G, par rapport à 2 500 μW/m 2 au maximum dans leur domicile habituel sans station de base 5G à proximité. On peut raisonnablement supposer que les niveaux RF étaient considérablement plus élevés au moment où la famille séjournait au chalet pendant la haute saison des vacances, lorsque le camping voisin était plein de monde. La zone était presque vide lorsque les mesures ont été effectuées. Le nombre d’utilisateurs et la taille des transferts de données influent sur le rayonnement RF émis par les stations de base 5 G.

Résultats

Maladies/symptômes du système nerveux et des organes des sens :

  • Les plus fréquents étaient les troubles du sommeil. Ainsi, sur les 16 sujets inclus, tous sauf trois ont signalé une insomnie. Les trois enfants âgés de 8, 6 et 4 ans souffraient d’insomnie de grade 10, qui est la pire catégorie. Toutes les personnes interrogées, sauf une, ont signalé des réveils nocturnes et 11 des 14 personnes incluses ont signalé un réveil précoce. Ces symptômes étaient les plus graves chez les enfants.
  • Les autres symptômes graves étaient les maux de tête, la détresse émotionnelle et l’irritabilité. La fatigue était fréquente, mais peut également être associée aux troubles du sommeil. Les idées suicidaires étaient le seul symptôme qui n’a été signalé par aucune personne participante. Maladies/symptômes du système cardiovasculaire et respiratoire : un pouls transitoirement élevé a été signalé par un homme (grade 10) et trois femmes (grades 5, 9 et 10, respectivement). Un homme (grade 10) et trois femmes (grades 9, 8 et 10, respectivement) ont signalé un pouls irrégulier. Aucune personne n’a signalé un pouls lent. Une variabilité de la pression artérielle a été signalée par deux hommes (degrés 5 et 3, respectivement) et une femme (degré 5).
  • Un saignement de nez a été signalé par deux hommes (tous deux de degré 5) et trois femmes (degrés 5, 10 et 3 respectivement). Cinq cas masculins sur 10 ont signalé une dyspnée (degrés 1 à 9) ainsi que trois femmes sur six (degrés 4 à 9). Une compression thoracique, une douleur thoracique et une toux ont également été signalées, bien que dans une moindre mesure. Maladies/symptômes de la peau et des organes musculo-squelettiques : parmi les symptômes les plus répandus, il y avait ceux affectant le visage, les bras et les jambes. Ainsi, cela a été signalé par cinq hommes (degrés 1 à 8) et trois femmes (degrés 6 à 10).
  • Des brûlures et/ou des lancinations cutanées sur les mains et les bras étaient communes chez quatre hommes (grades 3 à 10) et quatre femmes (grades 2 à 10). Une perte de cheveux a été signalée dans une mesure mineure ; trois hommes (grades 1 à 3), mais aucune femme.
  • Trois hommes et quatre femmes ont signalé une myalgie (grades 3 à 8 et grades 2 à 10, respectivement). Une arthralgie est survenue chez quatre hommes (grades 5 à 10) et trois femmes (grades 2 à 6).
  • Maladies/symptômes du système digestif et urinaire : sur six hommes, deux ont signalé des nausées (grades 3 et 1, respectivement). Les résultats correspondants pour les femmes étaient deux répondants sur trois (grades 10 et 3, respectivement).
  • Six personnes n’ont signalé aucune douleur abdominale. Aucun homme n’a eu d’urgence urinaire, contre deux femmes sur cinq (grades 10 et 1, respectivement).
  • Maladies/symptômes de l’oreille et/ou du système vestibulaire : un homme a noté une chaleur de l’oreille et/ou une otalgie (douleur auriculaire ; grade 5 par rapport à deux femmes [grades 1 et 2, respectivement],
  • Des acouphènes ont été signalés par trois hommes [grades 6, 5 et 1, respectivement] et trois femmes [grades 6, 2 et 2, respectivement]. Un seul homme a noté une sensibilité au bruit [hyperacousie] par rapport à trois femmes [grades 2, 1 et 4, respectivement].
  • Des troubles de l’équilibre ont été signalés par trois hommes [degrés 2, 1 et 3 respectivement] et quatre femmes [degrés 7, 10, 2 et 7 respectivement].

Conclusions

Nos sept études de cas, comprenant 16 personnes, sur les effets sur la santé d’une exposition réelle aux rayonnements RF 5G, ont montré que les personnes étudiées ont développé le syndrome des micro-ondes après l’installation de stations de base 5G à proximité de leur domicile. Les symptômes les plus fréquents concernaient le système nerveux : troubles du sommeil, maux de tête, fatigue, irritabilité, symptômes émotionnels et déficit de concentration/attention. Des niveaux de rayonnement RF très élevés, bien que bien inférieurs aux limites recommandées par l’ICNIRP et la FCC, ont été mesurés avec le détecteur à large bande. Certaines des personnes étudiées ont développé des symptômes graves. La plupart des personnes ont déménagé dans une autre habitation sans 5G, ce qui a atténué et fait disparaître le syndrome des micro-ondes en peu de temps.

Source: Summary of seven Swedish case reports on the microwave syndrome associated with 5G radiofrequency radiationPubMed




La 5G, si peu plébiscitée par les consommateurs mais pourtant imposée et déployée

[Source : epochtimes.fr]

Par Sarita Modmesaïb

En dépit d’une très faible demande de la part des consommateurs, les opérateurs téléphoniques imposent la 5G par une incitation forte.

Les consommateurs en auraient-ils assez de toujours plus de vitesse de connexion ? Depuis son déploiement, le réseau 5G n’a entraîné que peu d’engouement. « Les utilisateurs ne se sont pas emparés de cette nouvelle technologie ; la 5G ne suscite pas autant d’intérêt que la 4G à l’époque », confie à Enquêtes d’actu un analyste de l’Autorité de régulation des communications électroniques (Arcep).

En effet, fin 2023, soit trois ans ans après le lancement de la 5G, on ne comptait que 15 % des cartes SIM utilisant cette 5e génération de téléphonie mobile. En comparaison, dès la fin de la première année du déploiement de la 4e génération, en 2014, l’Arcep recensait déjà 15 % de cartes actives en 4G.

Pourtant, la promesse de la 5G semble alléchante pour tous ceux qui courent après le temps : réduire le temps de latence, augmenter la masse de données à envoyer et recevoir, possibilité de connecter de nombreux appareils en simultané…

Mais de nombreux spécialistes n’y voient pas vraiment d’avancées. « Si on développe une technologie, ce n’est pas juste parce qu’on aime la technologie, c’est aussi parce qu’elle peut servir à quelque chose. Or, personne n’est capable de nous dire à quoi sert la 5G », déplore Stephen Kerckhove, directeur général d’Agir pour l’environnement sur Actu.fr.

[NDLR Voici par exemple à quoi peut en réalité servir la 5G :
5G : la technologie militaire appliquée sur les civils, liée aux nanomatériaux injectés
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?]

Peu de demande mais une offre de 5G quasi exclusive

Les journalistes d’Actu.fr ont enquêté auprès des opérateurs, demandant par exemple un changement de forfait sans la 5G. La réponse donnée chez SFR est celle-ci : « Nous ne proposons quasiment plus d’abonnements 4G, sauf pour une offre avec 60 Go d’internet », et chez Orange, le conseiller propose directement une simulation pour un forfait en 5 G.

Chez Bouygues, même son de cloche, puisque nombre de clients se sont vus basculer sur la 5G sans même avoir été consultés, mais moyennant tout de même une augmentation tarifaire.

Le déploiement de cette technologie s’effectue donc, même parfois sans la volonté des consommateurs.

Des effets sanitaires et psychosociaux ?

Comment expliquer ce désaveu pour cette 5e génération de téléphonie mobile ? Avant même son lancement en 2020, nombre de scientifiques et politiques tiraient la sonnette d’alarme quant aux effets sanitaires de cette technologie.

La première des inquiétudes concerne les effets « psycho-sociaux » de cette connexion en ultra haut-débit. Marine Cholley, candidate aux élections européennes pour le parti Équinoxe, dénonce ainsi des addictions de plus en plus fréquentes chez les jeunes : « Les moins de 30 ans n’ont jamais été autant consommateurs de psychotropes, n’ont jamais autant séjourné en hôpital psychiatrique. On a un rapport à la technologie qui nous enferme et qui fait beaucoup de dégâts auprès des plus jeunes. »

Outre ce risque bien réel, la particularité énergétique de la 5G pose aussi problème. En effet, cette cinquième génération de communication mobile fait appel à des ondes électromagnétiques de fréquence radio plus élevées que les technologies précédentes. Avec la multiplication des antennes, ces ondes radio inondent notre environnement et inquiètent quant à leurs effets sur le corps humain.

En mai 2011, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), basé à Lyon (Rhône), a classé les champs électromagnétiques de radiofréquences comme « peut‐être cancérogènes pour l’homme ».

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaît également les craintes liées à une exposition intensive à ces appareils connectés sur la santé.

En France, si l’Anses reconnaît une souffrance liée à l’exposition à des champs électromagnétiques chez certaines personnes qui se décrivent comme « électrosensibles », l’agence nationale de sécurité sanitaire a récemment actualisé l’état de ses travaux de recherche et indique « qu’il n’existe à l’heure actuelle pas de preuve d’effet sanitaire lié à des expositions à des sources de champs électromagnétiques correspondant aux usages numériques courants. »

[NDLR Pas d’effets sanitaires ? Voir :
Paquet d’ondes radio
Les ondes électromagnétiques et la santé
L’impact des ondes sur la santé
Pourquoi les ondes artificielles sont les plus dommageables
Champs électromagnétiques artificiels et naturels : pourquoi la Wi-Fi, le Bluetooth et les téléphones portables endommagent-ils les cellules ?
Présentation de l’électrohypersensibilité (EHS) par le Docteur Magali KOELMAN]




Des populations aspirées dans le tourbillon des… étiquettes médicales

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par Jon Rappoport

Prenez ces catastrophes : les pesticides qui perturbent les niveaux d’hormones ; les plastiques partout ; les produits chimiques dans les aliments transformés morts ; les préparations pour nourrissons qui remplacent le lait maternel ; les vaccins qui perturbent et détruisent le système immunitaire.

[NDLR L’auteur aurait pu ajouter les chemtrails, les détergents, les cosmétiques, les polluants atmosphériques issus de combustions diverses et diverses toxines environnementales produites par l’industrie… mais aussi les effets connus et néfastes des ondes électromagnétiques artificielles (cf. 5G et ondes pulsées).]

PUIS les chercheurs arrivent.

Ils prennent les symptômes créés par ces désastres, les regroupent et leur attribuent des étiquettes médicales :
TDAH, dépression, trouble bipolaire, dysphorie de genre…

En ce qui concerne les perturbations du système immunitaire dues aux pesticides, aux plastiques, à l’absence de lait maternel, aux aliments transformés morts, etc., regardez cette liste ahurissante de « maladies du système immunitaire » inventées par le système médical :

  • Les maladies auto-immunes :

    • Polyarthrite rhumatoïde (PR)
    • Lupus érythémateux disséminé (LED)
    • Sclérose en plaques (SEP)
    • Diabète sucré de type 1
    • Thyroïdite d’Hashimoto
    • Maladie de Graves
    • Psoriasis
    • Maladie cœliaque
    • Syndrome de Sjögren
    • Myasthénie grave

  • Immunodéficiences :

    • Déficit immunitaire combiné sévère (DICS)
    • Déficit immunitaire commun variable (DICV)
    • Granulomatose chronique (CGD)
    • Agammaglobulinémie liée à l’X (XLA)
    • Syndrome de Wiskott-Aldrich (WAS)
    • Syndrome d’hyper IgM
    • Syndrome de DiGeorge
    • Virus de l’immunodéficience humaine (VIH) entraînant le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA)

  • Hypersensibilités :

    • Rhinite allergique (rhume des foins)
    • Asthme
    • Anaphylaxie
    • Dermatite atopique (eczéma)
    • Allergies alimentaires
    • Dermatite de contact

  • Autres affections :

    • Maladies inflammatoires de l’intestin (MII), y compris la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse
    • Syndrome de Guillain-Barré
    • Dermatomyosite
    • Sclérodermie

Ces personnes savent vraiment comment étiqueter.

Ce sont des experts.

Ils peuvent regrouper et découper les symptômes et trouver des noms médicaux d’ici à l’horizon.

Ils peuvent résister à toute tentative de voir comment les pesticides, les préparations pour nourrissons ou les aliments transformés sont les vraies réalités.

Vous comprenez pourquoi.

Pour chaque étiquette de maladie, il existe des traitements médicaux. Des médicaments.

Traitements et médicaments = $$$$.

[Voir aussi :
La pierre angulaire de Big Pharma]

Plus le contrôle sur la vie des patients.

Il existe une liste bien plus longue que celle que je viens de publier ci-dessus. C’est le total des maladies basées sur… des virus qui n’existent pas.

Une initiative des rois de l’étiquette.

Si j’étais un jeune psychopathe avide débutant dans le monde d’aujourd’hui, je me spécialiserais en communication dans une université prestigieuse et j’écrirais une thèse intitulée :

« 100 façons de recycler la mort et de l’étiqueter avec de nombreux noms de maladies ».

Avec cette thèse en main, je décrocherais un très bon poste de départ dans l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde.

Ils verraient immédiatement ma valeur.

Prenons maintenant le point de vue d’un médecin. Un patient vient se plaindre. Le médecin peut l’écouter, effectuer quelques tests, apposer une étiquette de maladie et prescrire un médicament, ou il peut dire :

« Il me semble que vous avez été empoisonné par des pesticides. Je ne sais pas quoi faire. Je n’ai pas de remède pour éliminer le poison de votre corps ».

Il ne dirait pas ÇA même si vous l’enchaîniez et le frappiez avec un gourdin.

S’il était aussi honnête, il ferait rapidement faillite. Et il finirait par se retrouver devant l’ordre des médecins de l’État pour tenter (et échouer) de conserver sa licence.

Les idiots du conseil et les charlatans vendus le passeraient au peigne fin.1

Pourquoi ne pas choisir la voie de la facilité ? Il ferme les yeux, lance une fléchette imaginaire sur un jeu de fléchettes imaginaire et trouve un nom de maladie dont le patient n’a jamais entendu parler.

« Voici ce que vous avez », dit-il au patient. « Nous avons un traitement à vous proposer. Commençons. »

Et c’est ce qu’ils font.

La longue marche vers nulle part.

Épilogue : Pour explorer la fausse science qui a conduit à la fausse pandémie qui a conduit aux « vaccins » COVID, lisez le livre du Dr Mark Bailey et du Dr Sam Bailey, The Final Pandemic. Ce duo dynamique a mis la main sur de la vraie science. Il s’agit d’un antidote puissant contre les absurdités du courant dominant.





Impact de la contamination aux terres rares et des champs électromagnétiques dans les exploitations de vaches laitières

[Source : toxseek.com]

Antenne relais de téléphonie mobile, éoliennes, lignes à haute tension : un cocktail explosif pour les éleveurs.

Des vaches meurent, des éleveurs de vaches laitières en détresse.

Baisse de production de lait, problème de reproduction, décès inexpliqués, comportements aberrants…

Les champs électromagnétiques associés à une intoxication chronique par les métaux pourraient en être la cause.

Résultats de l’étude de l’intoxication chronique par les métaux des vaches laitières soumises aux champs électromagnétiques

(Champs électromagnétiques émis par les lignes moyenne, haute et très haute tension, éoliennes, antenne relais de téléphonie mobile)

Nous avons observé que l’imprégnation toxique aux terres rares (métaux stratégiques utilisés dans les technologies, batteries…) des vaches laitières dans les exploitations témoins est très faible ou nulle pour une majeure partie des sujets, que l’imprégnation toxique moyenne aux terres rares est 7 fois plus élevée (augmentation de 600 %) dans les exploitations soumises à un risque électromagnétique élevé et connaissant des problèmes sanitaires importants.

Cette étude montre une corrélation entre l’état sanitaire des exploitations agricoles, dont les vaches font l’objet d’imprégnation toxique aux terres rares et l’environnement électromagnétique.

L’hypothèse est simple : la contamination aux métaux (terres rares) est potentialisée par les champs électromagnétiques (effet antenne).

Évolution clinique

→ Augmentation des effets de l’intoxication chronique par les métaux et de la sensibilité aux champs électromagnétiques.

→ Apparition de symptômes dermatologiques, neurasthéniques (fatigue chronique) → Syndrome d’électro-hypersensibilité (intolérance aux champs électromagnétiques) → Maladies chroniques et cancers.

ALERTE SANITAIRE

L’augmentation parallèle des champs électromagnétiques (éoliennes, 5G…) et de l’utilisation de métaux à fort pouvoir magnétique (terres rares, métaux paramagnétiques) pose la question d’un impact sanitaire majeur à venir.

[Suite dans le PDF ci-après :]




On peut se remettre de l’électrohypersensibilité

[Source : maisonsaine.ca]

Même si une seule personne dans votre maison se dit intolérante aux ondes (incluant la lumière et le bruit), aux produits chimiques et à des aliments, ce n’est pas psychosomatique, mais bien dans sa tête : deux de ses systèmes nerveux (limbique ou parasympathique/vagal) sont en hyperinflammation et doivent être traités, explique le médecin américain Neil Nathan dans [une] entrevue avec Nicolas Pineault, hôte de l’EMF Summit 2024 (…).

Médecin depuis plus de 50 ans, le Dr Nathan est spécialisé dans le diagnostic et le traitement de problèmes de santé qui mystifient la plupart des médecins, comme l’électrohypersensibilité (EHS). Il explique aux patients et aux médecins que les hypersensibilités chimiques et électromagnétiques sont dues à une prédisposition génétique et à des agresseurs environnementaux. Selon lui, les principaux déclencheurs sont l’empoisonnement aux moisissures, la maladie de Lyme et sa co-infection la bartonellose, ainsi que l’infection covidenne (la COVID longue est caractérisée par plusieurs symptômes d’EHS reconnus par la Marine américaine en 1969).

[Voir aussi :
Le mensonge sur la maladie de Lyme
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Dr Lee Vliet : 5G et mortalité Covid
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
et le dossier 5G et ondes pulsées.]

Le rôle du système limbique et du nerf vague est de nous alerter contre les stimuli intérieurs et extérieurs excessifs du cerveau, explique ce médecin américain qui a vu plusieurs de ses patients en pleine santé tomber dans un brouillard mental grave (dominé par les ondes delta du sommeil profond) après qu’un compteur intelligent ait été installé dans leur environnement immédiat. Lorsqu’ils sont en alerte, ces deux systèmes rendent les individus plus sensibles aux polluants et plus émotifs, car l’amygdale située dans le système limbique régule les émotions. Avec l’arrivée de la téléphonique de cinquième génération (5G), il constate que l’EHS, qui empêche près de 1 % des humains de travailler dans un environnement où les technologies sans fil dominent, est devenu une véritable épidémie. Ces hypersensibles sont les canaris dans la mine qui nous disent que nos enfants grandissent dans un environnement toxique et qu’il faut les protéger, dit-il.

La bonne nouvelle, dit-il, c’est que l’on peut désormais traiter cette condition, mais il faut avant éviter les polluants qui déclenchent nos symptômes et traiter simultanément ces deux systèmes nerveux (cela prend plus d’un an, références ci-dessous). Et heureusement, il existe aujourd’hui de bons tests pour diagnostiquer l’empoisonnement aux moisissures et la maladie de Lyme ainsi que la bartonellose.

Selon le docteur en sociologie français Maël Dieudonné et plusieurs autres experts, l’EHS ne résulte pas de l’effet nocebo (une quelconque peur des ondes), car la plupart des gens qui développent ce handicap ne connaissent rien de la toxicité de l’exposition chronique aux faibles champs électromagnétiques. « Dans l’ensemble, les symptômes apparaissent avant que les sujets ne commencent à s’interroger sur les effets des CEM sur leur santé », conclut Dieudonné.

Le Dr Nathan est l’auteur du livre Toxic : Heal Your Body from Mold Toxicity, Lyme Disease, Multiple Chemical Sensitivities, and Chronic Illness, publié chez Random House Penguin en 2018. À la fin avril, il signera un nouvel ouvrage, The Sensitive Patient’s Healing Guide : Top Experts Offer New Insights and Treatments for Environmental Toxins, Lyme Disease, EMFs.

Ses références

https://braintap.com

https://frequencyspecific.com/about

https://www.newswire.ca/news-releases/health-canada-now-authorizes-dolphin-vagal-nerve-stimulator-vns-for-emergency-use-in-the-acute-treatment-of-adult-patients-with-known-or-suspected-covid-19-815120482.html

https://guptaprogram.com

https://retrainingthebrain.com/annie-hopper

https://www.researchgate.net/profile/Martin-Pall

https://drcrista.com

The Prevalence of People With Restricted Access to Work in Man-Made Electromagnetic Environments

https://psychiatryinstitute.com/podcast/polyvagal-theory-trauma-neuroscience-porges

https://tri-life-health.myshopify.com

https://historycollection.jsc.nasa.gov/history/shuttle-mir/history/to-h-b-billica-flightdocs.htm




Ondes sous haute tension — Tous surexposés ?

[Source : maisonsaine.ca]

Conférence tenue à Martigny (Suisse), le 8 mars 2024.
Organisée par l’association INFO-EMF.ch 

Conférenciers

M. Olivier Bodenmann Ingénieur EPFL, spécialiste en électrosmog.

Problématique générale des ondes de hautes fréquences pulsées, différences entre la 3G, 4G, 5G, Wi-Fi, téléphones sans fil digitaux (DECT), pourquoi elles affectent davantage que la radio FM. Exemples d’effets biologiques des ondes. La 5G, réduction ou augmentation du rayonnement ? Comment réduire son exposition, des solutions pratiques.
www.electrosmogtech.ch

M. Pierre Dubochet Ingénieur radio, toxicologie des RNI (rayonnements non ionisants).

Toxicologie et dose de rayonnements, commentaires sur des mesures chez des particuliers, risques de l’exposition à des nouvelles technologies (onduleurs solaires, chargeurs de véhicules électriques, cuisson à induction, etc.) et à la haute tension.
www.pierredubochet.ch

Pr Dominique Belpomme Cancérologue — Université Paris V — Fondateur de l’ARTAC — Directeur de l’European Cancer and Environment Research Institute ECERI.

Qu’est-ce que l’électrohypersensibilité ? Définition, tableau clinique, prévalence et liens avec l’exposition à des champs électromagnétiques.
www.artac.info

Dr Philippe Irigaray Docteur ès sciences en biochimie — Coordonnateur des recherches de l’ARTAC.

Quels sont les moyens de faire le diagnostic clinique et biologique en pratique de l’électrohypersensibilité ? Éléments de traitement et surtout de prévention.
www.artac.info

  • 00:00:00 Présentation
  • 00:13:08 Intervention d’Olivier Bodenmann
  • 00:50:00 Intervention de Pierre Dubochet
  • 01:20:54 Intervention du Pr Dominique Belpomme
  • 02:02:30 Intervention du Dr Philippe Irigaray
  • 02:21:08 Questions du public

Conférence sur Vimeo :


Conférence version française du 8 mars 2024 à l'Hôtel Vatel from Imag'In Productions / P. Luisier on Vimeo.

Diapositives de la conférence d’Oliver Bodenmann (version longue) :


L’illusion du merveilleux monde « tout connecté »

[Source : https://www.info-emf.ch/introduction]

La 5G, indispensable ou gadget ?

Faisant fi de tout débat démocratique, sans consultation populaire, et nonobstant le double refus du Conseil des États d’augmenter les valeurs limites de rayonnement, les autorités et le lobby de la téléphonie mobile nous présentent aujourd’hui le développement de la 5G comme la seule solution possible pour garantir un réseau de téléphonie mobile de qualité. Pourtant, il est de notoriété publique que la 5G servira avant tout la consommation de loisirs (notamment gadgets connectés, vidéos hyper haute définition, applications de jeux en ligne).

Un rapport biaisé et lacunaire

En 2019, la Confédération a, par le biais de l’Office fédéral de l’environnement (OFEV), mandaté un groupe de travail ad hoc afin d’étudier la faisabilité et l’impact du déploiement de la 5G. La composition du groupe était biaisée : sur ses 21 membres, on comptait seulement deux médecins, contre quatre représentants des opérateurs. Dans son rapport, publié en novembre 2019, le groupe de travail a admis qu’il ne disposait pas de compétences scientifiques pour évaluer l’impact biologique du rayonnement. Par ailleurs, le rapport a fait l’impasse sur les impacts écologiques et énergétiques de la 5G.

Nombre de nouvelles antennes et valeurs limites

Les opérateurs ont d’abord soutenu la construction de milliers d’antennes, mais aujourd’hui, ils affirment avoir considérablement réduit ce nombre. Ce qui n’est pas dit, c’est que s’il y en aura moins, c’est parce qu’elles pourront émettre avec davantage de puissance grâce aux « facteurs de correction » accordés par la révision de l’ORNI faite en urgence le 1er janvier 2022. Peut-être même prévoient-ils une hausse des valeurs limites à 20 V/m grâce à l’adoption de la motion 20.3237…

En l’absence de toute planification à l’échelle nationale, les nouvelles antennes apparaissent depuis sans cohérence et souvent à proximité de lieux dits sensibles. 

Le « greenwashing » du lobby des télécoms

La population suisse subit depuis 2019 un marketing agressif de la part des opérateurs, qui vantent les mérites écologiques de la 5G. Il s’agit d’un véritable « greenwashing », choquant quand on connaît les réelles implications de la 5G. Particulièrement énergivores du fait de leur grand nombre, les objets connectés ainsi que les nouvelles antennes adaptatives nécessaires à leur fonctionnement produiront des milliers de tonnes de nouveaux déchets difficilement recyclables, alors même que le monde traverse sa plus grave crise environnementale et énergétique. De précieuses ressources rares arriveront à épuisement, et leur extraction pose également de graves problèmes environnementaux et humains.

Les données personnelles, nouvel or noir et nouvelles dérives

En termes de protection des données, le déploiement de la 5G s’avère également extrêmement préoccupant. Les consommateurs sont souvent peu conscients du fait que leurs données personnelles sont déjà largement monétisées, y compris pour des applications potentiellement dangereuses ; tout le monde garde en tête le scandale Cambrige Analytica, compagnie ayant influé sur des élections dans de nombreux pas, ou plus récemment, la captation de millions de photos privées par Clearview AI, firme de reconnaissance faciale. Avec le déploiement de la 5G, et la débauche d’objets connectés qui en résulterait, un nombre croissant de données personnelles seront collectées, monétisées et utilisées de manière discutable, voire problématique. Le risque est grand d’aboutir à moyenne échéance à une certaine forme de dystopie technologique gérée de facto par des entreprises d’intelligence artificielle et sur laquelle les citoyens n’auront plus de contrôle.

Un rapport de monitoring faisant l’impasse sur les écoles

Le rapport de monitoring des valeurs de rayonnement réelles en Suisse, annoncé de longue date et enfin publié par l’OFEV le 15 juin 2022, ne s’est pas penché sur l’exposition réelle des enfants en milieu scolaire, ce qui est particulièrement inquiétant, compte tenu de la vulnérabilité pourtant reconnue de cette catégorie de personnes aux conséquences du rayonnement. En outre, les auteurs de ce rapport reconnaissant eux-mêmes qu’il n’est pas encore possible d’en tirer des conclusions générales.

Le groupe fédéral d’experts lance l’alerte

Le groupe consultatif d’experts sur le rayonnement non ionisant (BERENIS) est chargé depuis plusieurs années d’étudier les conséquences du rayonnement pour la santé. En janvier 2021, il publiait un rapport indiquant que, même en dessous des valeurs limites actuelles, la santé des plus fragiles pouvait être impactée. Nonobstant l’avis de ces experts, le lobby des télécoms milite actuellement pour une hausse massive de ces valeurs limites, ce qui serait catastrophique en termes de santé publique.

Une mobilisation populaire hors normes

Le véritable chantage au « progrès technologique » auquel est confronté le peuple suisse, lié à d’évidents conflits d’intérêts, s’est cristallisé ces derniers mois au travers d’une association nouvellement créée, « Chance 5G », largement financée par l’association suisse des télécommunications (ASUT). Cet organisme de lobbying regroupe à ce jour plus d’une centaine de personnalités souvent issues du monde industriel, et dont le mandat est de montrer la 5G sous un jour désirable, bien que cette technologie soit massivement rejetée par la population, qui se mobilise de manière historique pour refuser cette technologie dangereuse et inutile.

[Voir aussi le dossier
5G et ondes pulsées]


Brochures (source)




Pourquoi les ondes artificielles sont les plus dommageables

[Source : maisonsaine.ca]

[Source illustration : LP]

Par : André Fauteux

C’est l’un des nombreux arguments fallacieux souvent utilisés par ceux qui ignorent les effets biologiques des champs électromagnétiques (CEM) artificiels — et ceux qui ne veulent pas que le public les découvre :

Ils prétendent que les CEM artificiels sont inoffensifs parce qu’ils ne sont pas assez puissants pour provoquer des cassures de l’ADN comme le font les rayonnements ionisants pouvant arracher ou donner des électrons aux atomes, tels que le radon, les rayons X ou les rayons gamma. Même l’Organisation mondiale de la santé déclare que les seuls effets avérés sur la santé des rayonnements non ionisants d’origine humaine sont l’échauffement dû à une exposition aiguë à des niveaux élevés de radiofréquences (RF) ou la stimulation nerveuse et musculaire et l’excitabilité des cellules du système nerveux central par les CEM domestiques (50/60 Hz, également appelés rayonnements d’extrêmement basses fréquences — EBF).

Images © Dimitris Panagopoulos, sauf mention du contraire.

Toutefois, des milliers d’études scientifiques évaluées par des pairs ont montré que l’exposition chronique et/ou aiguë aux CEM EBF des lignes électriques et RF des communications sans fil peut être préjudiciable parce que ce rayonnement artificiel a deux propriétés uniques et nuisibles absentes dans la nature, a expliqué le biophysicien grec Dimitris J. Panagopoulos PhD lors d’un atelier du Parlement européen sur l’électrohypersensibilité, tenu à Bruxelles le 13 avril dernier. Ils sont polarisés et cohérents, a-t-il expliqué, et peuvent donc « produire des interférences constructives et amplifier leur intensité à certains endroits, et aussi forcer toutes les particules chargées (par exemple les ions mobiles) dans les cellules/tissus vivants à osciller en parallèle et en phase avec eux. La polarisation et la cohérence expliquent pourquoi les CEM de ~ 0,1 mW/cm2 émis par un téléphone portable sont nocifs, alors que les CEM solaires de ~ 10 mW/cm2 (100 fois plus forts) sont vitaux. »

Des publications très influentes

Dimitris Panagopoulos a récemment édité et coécrit le livre Electromagnetic Fields of Wireless Communications : Biological and Health Effects (CRC Press/Routledge, 2023, 544 pages — lire les résumés des chapitres et l’extrait sur le rayonnement 5G ici). Rédigé par des experts de premier plan sur les bioeffets des CEM, ce livre s’adresse aux étudiants du premier au troisième cycle en physique, biologie, médecine, bioélectromagnétique, biologie électromagnétique, biophysique des rayonnements non ionisants, télécommunications, électromagnétisme, bio-ingénierie et dosimétrie.

Les expériences de ce chercheur au laboratoire de recherche Choremeion de l’école de médecine de l’Université d’Athènes ont été parmi les premières à montrer les effets néfastes des CEM d’origine humaine sur l’ADN et la reproduction. Il est l’auteur ou le coauteur de plus de 40 publications scientifiques évaluées par des pairs et très influentes, qui sont référencées plus de 2 000 fois dans d’autres publications scientifiques. En 2007 et 2008, il a figuré parmi les 10 auteurs les plus cités dans les revues scientifiques de Mutation Research, un véritable exploit pour un scientifique dans un domaine aussi marginal que celui des bioeffets des CEM. « Sa théorie sur le mécanisme biophysique d’action des CEM sur les cellules est considérée comme la plus valide parmi toutes les théories proposées et est citée dans près de 700 publications scientifiques », écrit CRC Press, un éditeur mondial de livres sur les sciences, l’ingénierie et la médecine.

Des centaines d’études lient l’exposition aux radiofréquences à des problèmes de santé. 
© https://www.orsaa.org/orsaa-database.html

Ses recherches comptent parmi celles à l’origine de la directive sur les téléphones portables publiée en 2017 par le département de la santé publique de Californie, qui recommande des moyens de réduire l’exposition aux rayonnements des cellulaires. Ce document stipule :

« Bien que la science soit encore en évolution, certaines expériences de laboratoire et études sur la santé humaine ont suggéré la possibilité que l’utilisation élevée et à long terme des téléphones cellulaires puisse être liée à certains types de cancer et à d’autres effets sur la santé, notamment :
– le cancer du cerveau et les tumeurs du nerf acoustique (nécessaire à l’audition et au maintien de l’équilibre) et des glandes salivaires
– une diminution du nombre de spermatozoïdes et des spermatozoïdes inactifs ou moins mobiles
– des maux de tête et des effets sur l’apprentissage et la mémoire, l’audition, le comportement et le sommeil. »

Les CEM artificiels ont été classés comme « peut-être cancérogènes » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’OMS. Les radiofréquences parce que des études épidémiologiques montrent une augmentation des cancers du cerveau chez les personnes qui utilisent des téléphones portables contre leur tête pendant 17 minutes par jour en moyenne pendant 10 ans, et les EBF parce qu’une douzaine d’études montrent que les enfants surexposés aux CEM des lignes électriques/domestiques ont une incidence plus élevée de leucémie.

Polarisation et cohérence

Le Dr Panagopoulos a aimablement partagé sa présentation du 13 avril, qui peut être téléchargée ici, et a expliqué par courriel :

« Un signal CEM polarisé est un signal qui oscille sur un seul plan. Tous les CEM artificiels sont totalement polarisés et cohérents (oscillent en phase). Les CEM naturels (par exemple la lumière, les résonances de Schumann, les micro-ondes cosmiques, etc.) ne sont ni polarisés ni cohérents, c’est-à-dire que les ondes individuelles oscillent sur tous les plans possibles et avec une phase aléatoire, et ce n’est qu’en certaines occasions qu’ils sont partiellement ou localement polarisés (comme les champs terrestres et les champs des membranes cellulaires). Comme nous l’avons montré pour la première fois dans notre article de 2015 [Polarization: A Key Difference between Manmade and Natural EMFs in regard to Biological Activity, Nature, Scientific Reports, 5, 1491, cosigné avec les docteurs Olle Johansson et George Carlo], seules les ondes polarisées et/ou cohérentes produisent des effets biologiques autres que l’échauffement. Ce simple fait concernant la polarisation/cohérence de TOUS les CEM artificiels et le rôle unique de cette propriété avait échappé à l’attention de tous les scientifiques auparavant, mais c’est quelque chose que j’avais compris depuis le début de mon doctorat. C’est pourquoi cet article a été attaqué par certaines personnes qui travaillent pour l’autre camp… Le rôle de la polarisation/cohérence est l’une des découvertes les plus importantes de toute la littérature sur les effets biologiques des CEM. L’importance de cet article a déjà été acceptée par la communauté scientifique (malgré la corruption profonde et les conflits d’intérêts), comme le montrent les 120 citations qui y font référence dans d’autres publications scientifiques. » (Pour plus de détails sur les conflits d’intérêts, lire le rapport FCC : Captured Agency, du Centre d’éthique Edmond & Lily Safra de l’Université de Harvard, et WHO, Radiofrequency and Health — a Hard Nut to Crack, par le célèbre épidémiologiste et oncologiste suédois Lennart Hardell, dont les 355 publications parues depuis 1977 ont été citées pas moins de 16 935 fois).

Comme des variations d’intensité de 20 à 30 % des CEM terrestres naturels et des champs électriques des membranes cellulaires induisent des effets sur les cellules et la santé, Panagopoulos postule qu’une même variation des CEM artificiels peuvent avoir des effets similaires. Cela pose un problème, dit-il, car « les CEM des communications sans fil sont très variables, avec des changements inattendus dépassant de plus de 100 % leurs intensités moyennes normales ».

Selon lui, les effets non thermiques des CEM des technologies sans fil (téléphonie mobile, Wi-Fi, téléphones numériques sans fil, etc.) sont dus au fait que leurs fréquences porteuses sont combinées à des fréquences extrêmement basses et ultra-basses (0-3 000 Hz) sous forme d’impulsions, de modulation et de variabilité aléatoire. Il a expliqué à nouveau par courriel :

« La pulsation et la modulation sont souvent confondues, même dans les articles scientifiques, mais elles ne sont pas identiques. On parle de pulsation lorsque le signal porteur (généralement RF) est inclus dans des impulsions qui se répètent généralement à des taux EBF, et qu’entre les impulsions successives, il n’y a pas de signal. Ainsi, un signal pulsé n’est pas une onde continue, car il est interrompu entre les impulsions successives. Les anciens signaux analogiques étaient des signaux à onde continue. Les signaux numériques modernes des communications sans fil sont pulsés. Pour transporter et transmettre des informations, le signal porteur RF doit être modulé, qu’il soit à onde continue ou pulsé. Le signal de modulation de basses fréquences transporte l’information. Lorsque le signal de modulation/information est chargé sur la porteuse, celle-ci est modulée et transporte l’information à transmettre. Les trois principaux types de modulation (d’amplitude, de fréquence et de phase) dépendent du paramètre de la porteuse qui est modifié (modulé) par le signal d’information (intensité-fréquence-phase). Le résultat de la modulation d’amplitude, par exemple, est une onde porteuse dont l’amplitude (l’intensité) n’est pas constante comme auparavant, mais varie en fonction des variations d’intensité du signal d’information. Bref, dans les signaux sans-fil modernes, l’onde porteuse (RF/micro-ondes) est émise sous forme d’impulsions, et chaque impulsion est modulée. Outre les impulsions qui contiennent le signal porteur modulé, des impulsions de synchronisation et de référence supplémentaires sont émises dans le signal final, également à des taux EBF. Nous avons donc une combinaison de CEM RF et EBF et c’est une erreur majeure de nommer ces CEM simplement “RF” ou “micro-ondes”. Différentes tâches et/ou différents utilisateurs communiquent simultanément avec la même antenne de base en utilisant des impulsions légèrement différentes, ce que l’on appelle le multiplexage. »

La théorie de Dimitris Panagopoulos sur le mécanisme biophysique d’action des CEM sur les cellules « a expliqué la détection des tremblements de terre à venir par les animaux et la détection des orages à venir par les individus sensibles grâce à l’action des CEM naturels associés à ces phénomènes, ajoute son éditeur. La même théorie a récemment expliqué l’induction du stress oxydatif dans les cellules par l’exposition aux CEM ».

Une autre observation importante est que l’exposition au téléphone portable simulée en laboratoire, comme le suggèrent les autorités sanitaires, ne produit des effets que dans 50 % des cas, notamment parce qu’elle est invariable, alors que l’exposition au téléphone portable dans la vie réelle varie de manière imprévisible à chaque instant en termes d’intensité, de fréquence, de phase, de forme d’onde, etc.

« Parmi les études portant sur des expositions réelles, note-t-il, plus de 95 % concluent à l’existence d’effets. » 

Génotoxicité

Les dommages génétiques causés par les CEM artificiels, dont Panagopoulos a montré qu’ils se produisaient de la même manière chez l’animal et chez l’homme, sont apparemment dus au stress oxydatif (SO), selon des études signées en 2016 et 2022 par Yakymenko et Tsybulin. Comme Panagopoulos l’a expliqué aux législateurs européens lors de l’atelier du 13 avril sur l’électrohypersensibilité (EHS), depuis 2000, plusieurs études ont montré que :

« Les CEM polarisés/cohérents et oscillants/variants provoquent l’ouverture et la fermeture irrégulières des canaux ioniques à potentiel (VGIC) dans les membranes cellulaires. Le dysfonctionnement induit des VGIC modifie les concentrations normales d’ions dans la cellule. L’équilibre électrochimique et l’homéostasie de la cellule sont ainsi perturbés, de même que l’état d’oxydoréduction de la cellule. Cela entraîne une (sur)production d’espèces réactives de l’oxygène (ROS) et crée des OS dans la cellule. Les premiers ROS sont le radical libre de l’anion superoxyde (O2–) et le radical libre de l’oxyde nitrique (NO) (Panagopoulos et coll. 2021). La HSEM est également liée à l’OS chronique et à l’inflammation des tissus (De Luca et al 2014 ; Irigaray et al 2018 ; Belpomme et Irigaray 2022). »

(Il précise que le sens de la rotation des électrons n’a rien à voir avec leur nocivité :

« Tous les radicaux libres ont des électrons libres (non appariés) avec des rotations (spins) simples (non appariés). Ils sont tous très bioactifs, que leurs rotations simples soient dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens inverse.) »

Sa théorie stipule que les bioeffets des CEM n’augmentent pas seulement avec des intensités plus élevées, mais que les fréquences plus basses sont plus bioactives, de sorte que les pulsations ELF multiplient la bioactivité des champs RF/Micro-ondes. Un autre point important négligé par la plupart des études sur les CEM et la santé est le suivant :

« La partie électrique et non magnétique d’un CEM est le facteur le plus bioactif, contrairement à ce que considèrent les agences de santé et la plupart des experts. »

Sa présentation s’est conclue par les recommandations suivantes :

« – Éviter toute exposition inutile aux CEM artificiels.
– Éviter de vivre à proximité d’antennes ou de lignes à haute tension.
– Téléphones portables :
1) Utiliser le haut-parleur ou les écouteurs à tube d’air et maintenir le combiné à une distance ≥ 40-50 cm [~16-20 pouces] du corps ;
2) Réduire le nombre et la durée des appels ;
3) Ne pas porter l’appareil dans vos mains ou sur votre corps lorsqu’il est allumé et le mettre en mode avion ;
4) Le garder à la plus grande distance possible (plusieurs mètres) à la maison/au travail ;
5) L’éteindre pendant que vous dormez ;
– Utiliser des connexions filaires pour les téléphones domestiques et l’internet ;
– Désactiver le Wi-Fi et le Bluetooth des voitures et des appareils (téléphones portables, imprimantes, etc.) ;
– Sensibiliser les parents et les femmes enceintes à ne pas exposer les embryons et les enfants (la corrélation possible avec l’autisme et les maladies auto-immunes doit faire l’objet d’une étude approfondie) ;
– Éviter le blindage permanent et complet, qui peut entraîner une désynchronisation interne (Wever 1979 ; Panagopoulos et Chroussos 2019) ; L’Académie américaine de pédiatrie et l’Académie européenne de médecine environnementale dénoncent le fait que les limites d’exposition actuelles aux champs électromagnétiques font fi des risques non thermiques à long terme.
– Il est urgent de reconsidérer radicalement les limites d’exposition actuelles, en particulier pour les ELF, les RF et les micro-ondes, et d’appliquer le principe de précaution et le principe ALARA (niveau le plus bas qu’il soit raisonnablement possible d’atteindre), comme le recommande la résolution 1815 du Conseil de l’Europe sur Les dangers potentiels des champs électromagnétiques et leur effet sur l’environnement. »

Dimitris Panagopoulos

À propos de Dimitris Panagopoulos

Le Dr Panagopoulos a obtenu son doctorat sur les effets biologiques des CEM en 2001, et réalisé deux études post-doctorales sur les effets biologiques des micro-ondes (2004) et sur l’induction de la mort cellulaire par les CEM du WC (2006). Il soutient que les photons sont strictement des paquets d’ondes, et non des particules de lumière, et que le rayonnement électromagnétique d’origine humaine n’est pas constitué de photons, mais d’ondes continues polarisées « classiques », contrairement à ce qu’ont postulé les physiciens quantiques au cours des 100 dernières années.

Son récent livre couvre divers sujets liés à la physique, à la biologie, à la pathologie, à l’épidémiologie et aux mécanismes biophysiques et biochimiques plausibles des CEM émis par les antennes et les appareils. Il aborde les conséquences possibles des CEM de la téléphonie mobile de cinquième génération (5G) sur la base des données disponibles et de la corrélation entre les expositions anthropiques aux CEM et diverses pathologies telles que l’infertilité, le cancer, l’électrohypersensibilité, les maladies organiques et virales, ainsi que les effets sur les animaux, les plantes, les arbres et l’environnement. Il illustre en outre la protection de la santé individuelle et publique et la fixation de limites d’exposition fondées sur la biologie et l’épidémiologie.




Ondes : les guerres invisibles

[Source : @Roms17]

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées.]






Le cauchemar de l’intolérance aux champs électromagnétiques

[Source : Nexus]

Le 16 juin 2023 en Bretagne, plusieurs associations se réunissaient pour organiser une rencontre sur le thème de la nocivité des ondes : les ondes 5G, les ondes Wifi, les ondes dégagées par les téléphones portables, par les compteurs Linky. Depuis de nombreuses années, des associations tentent d’alerter, souvent en vain, les autorités sanitaires et politiques sur les dangers des ondes pour le vivant. Si l’on trouve de nombreux ouvrages sur ce thème, c’est en raison des témoignages de personnes se multipliant partout dans l’Hexagone et à l’étranger.

◆ Intolérance aux champs électromagnétiques

5 % de la population française ! C’est un chiffre officiel. Il provient de l’Anses, l’Agence nationale de sécurité sanitaire. Selon elle, environ 3,3 millions de personnes souffriraient en France d’électrohypersensibilité. Cette donnée serait cependant bien en dessous de la réalité. L’Anses précise en effet que ce chiffre ne tient compte que des personnes qui ont réellement effectué des démarches publiques aux fins de faire reconnaître leur intolérance aux champs électromagnétiques.

◆ Danièle Bovin vit dans un mobil-home

En 2007, cette sexagénaire travaille pour une association lorsqu’elle est contrainte d’abandonner son emploi. La Wifi présente partout dans les locaux lui occasionne des indispositions : tachycardie, migraines, douleurs musculaires, insomnies… Pour survivre, elle n’a pas d’autre solution que de quitter la ville et de se réfugier en pleine forêt. Si elle est parvenue à convaincre un agriculteur de lui vendre un terrain pour y installer une caravane puis un mobil-home, elle est poursuivie devant le tribunal correctionnel de Lorient, par le maire de la commune de Lanvénégen, dans le Morbihan. Le nouveau PLU — plan local d’urbanisme — lui interdit en principe d’installer un logement, même s’il est mobile. Pourtant, le handicap de Danièle Bovin est reconnu par les médecins, par la Sécurité sociale, ainsi que par le service de pathologies environnementales professionnelles. Par ailleurs, la loi Dalloz précise qu’un logement devrait être fourni aux personnes électrohypersensibles.

◆ Marion, 31 ans : « C’était l’enfer sur terre »

Au cours de l’interview qu’elle accorde à Nexus, Marion, qui vit en Bretagne, affirme que lorsqu’elle avait 15 ans, elle dormait avec le téléphone portable sous l’oreiller à l’internat. « Il ne fallait pas faire de bruit avec le réveil… si j’avais su ! Aujourd’hui, je me dis, c’est complètement aberrant ! On l’a toutes fait dans notre chambre ! » La jeune femme de 31 ans a dû elle aussi quitter son travail et la maison dans laquelle elle habitait afin de fuir les ondes… Elle vit actuellement dans un logement… sans électricité.

👉 Voir notre reportage réalisé par Armel Joubert Des Ouches :

👉 Vidéo également disponible sur Odysee

👉 Lire notre dossier sur la dépendance aux téléphones dans notre n° 147 (juillet-août 2023)




Vers une tyrannie virtuelle gérée par l’intelligence artificielle ?

[Voir aussi sur ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

À l’heure où les débats sur les dangers de l’intelligence artificielle battent leur plein et que des désaveux de la part de leurs pionniers (ex. ceux de Geoffrey Hinton) se dévoilent, il est crucial de prendre conscience de leur utilisation en cours et en voie de perfectionnement à des fins de persécution électromagnétique et de contrôle mental.

Nous voyons se multiplier des articles vantant les capacités de ces IA à « lire dans les pensées », faire de la télépathie, taper sur un clavier virtuel et mouvoir des objets voire des drones. À ce stade, les articles scientifiques parlent d’interface cerveau-machine, mais la réalité est que cela peut déjà se faire à distance sans électrodes grâce à des procédés qui utilisent des champs magnétiques et qui sont synchronisés à notre empreinte et signal électrique cérébraux.

Interface cerveau-ordinateur

Lecture de la pensée

Dans cet article de Venture Beat (portail d’innovations technologiques) de 2021, il est révélé qu’il est possible de mesurer l’état émotionnel d’un individu en l’irradiant et en mesurant le signal retour, la réalité est que l’entièreté du contenu de l’esprit et donc les pensées peuvent être interprétées. J’avais fait état précédemment du brevet déclassifié US3951134A qui permet surveiller et d’affecter à distance (sans électrodes) l’activité cérébrale à l’aide de rayonnement électromagnétique, le brevet datant de 1974, qui sait où en sont actuellement les technologies de contrôle mental ?

Le scientifique américain ayant travaillé avec la NASA Richard LIGHTHOUSE affirme que les métaux lourds (mercure, aluminium…) qui nous ont été inoculés depuis l’enfance dopent le signal électrique émis par le cerveau et fait de nous des « antennes ». La DARPA (Agence Américaine de Projets de Recherche Avancée) envisage d’utiliser des nanoparticules pour lire cette activité cérébrale, sachant que les injections covid contiennent des nanoparticules de graphène et d’autres dispositifs ayant une adresse MAC, il est tout à fait plausible que la visée de cette campagne massive soit la fusion des individus avec les dernières technologies de surveillance et de contrôle mental.

D’autres articles scientifiques évoquent cette fusion des cerveaux humains dans un « cloud » à l’avenir où les pensées et connaissances de chacun seront connectées et centralisées à l’aide de nanotechnologies, ce qui mènerait à une méga-intelligence artificielle ou « borg ». Ceci et tout ce qui est cité précédemment sont en fait une programmation prédictive (démonstration anticipée pour préparer à la mise en place en gagnant le consentement inconsciemment) pour un monde dystopique où l’humanité sera assimilée et gérée par la technologie.

Et si ce cloud était déjà en place ?

Les réponses à ces questions viennent de la communauté des individus ciblés (en anglais « Targeted individuals » — T.I.) qui ont été choisis au hasard dans la population souvent pour leur profil intellectuel et leurs dénonciations sur internet. Ils témoignent être harcelés par une technologie invisible qui scrute leurs pensées et les persécute instantanément par agressions électromagnétiques. Leurs rêves sont également piratés par cette technologie, à ce sujet le physicien japonais Michio Kaku avait révélé en 2014 que l’on pouvait les enregistrer. Les individus ciblés se plaignent d’intrusion dans leur esprit, de manipulation de leur comportement (anxiété, voix implantées dans la tête, cauchemars, psychoses…) et de torture (douleurs, brûlures, problèmes cardiaques, privation de sommeil, fatigue, acouphènes, migraines…). Dans une certaine mesure il est également d’infliger un « cybermeurtre » par irradiation lente « Slow Kill » ou en provoquant un AVC, crise cardiaque ou cancer. Leur nombre étant estimé à 6 millions dans le monde, il est évident que les services de renseignement et les agents des complexes militaro-industriels ont accès à des systèmes autonomes et des IA pour la surveillance et la persécution h24 7 j/7 des cibles (guerre de 5e génération).

Dans cette vidéo, le journaliste américain Stew Peters interviewe la vétérane de l’armée US Amy Holem qui révèle l’utilisation à armes à énergie dirigée (à micro-ondes) placées dans les antennes relais, satellites et drones pour attaquer des lanceurs d’alerte.

Le Sentient World Simulation, un cloud militaire ?

Depuis 2007, les agences de la défense US ont mis en place un univers virtuel parallèle appelé simulation du monde conscient (anglais : Sentient World Simulation — SWS) où chaque être humain d’à l’époque 62 états ont été modélisés en un avatar et surveillés par une IA qui détecte l’activité cérébrale des cibles en temps réel pour des motifs de prédictibilité d’un futur proche en cas de catastrophes. La vidéo ci-bas explique son fonctionnement et son objectif.

L’ingénieur en informatique et individu ciblé français Frédéric LAROCHE affirme que les épandages de chemtrails servent à modéliser l’environnement en 3D à l’aide de nanoparticules. Le but de cette simulation est de détecter les comportements « déviants » par rapport à sa propre déviance et de les « corriger » avec l’arsenal de neuro-armes et du renseignement renégat (voir article sur le harcèlement criminel en réseau — gang stalking) pour assurer le contrôle mental total de la population qui pensera et agira comme un individu unique sous un esprit de ruche (anglais : Hive Mind). Nous arrivons ainsi à uncerveau global (anglais : Global Brain)où chaque individu aurait le même rôle qu’un neurone.

Conclusion

À la lueur de ces informations, il devient clair que George Orwell avait vu juste dans son roman 1984 sur l’instauration d’une « police de la pensée » envahissant à un niveau jamais atteint et que dorénavant les citoyens ayant des pensées, croyances et convictions « non-orthodoxes » seront susceptibles d’être inculpés de « crime de pensée ». La psychiatrie sera un fer de lance de la ré-éducation des individus non conformes qui les décrédibilisera et maquillera les pathologies infligées par les neuro-armes psychotroniques et à énergie dirigée en maladies mentales comme de la fibromyalgie, de l’électrohypersensibilité ou des cénesthésies.

Le but de cet article n’est pas susciter la peur, mais d’informer afin d’exiger la fin de la militarisation interminable et illégale des neurotechnologies. La triste expérience des individus ciblés aura été une phase de test pour les élites sans scrupules dans leur plan de domination sans limites, ils sont maintenant dénonciateurs et précurseurs de la lutte contre la tyrannie technotronique rêvée par Klaus Schwab et consorts. Les avancées classifiées et déclassifiées en la matière ont provoqué la crainte de nombreux observateurs avertis y voyant les potentielles violations de l’espace mental des citoyens du monde et appelant à l’implémentation d’une « neuro-éthique ». Le Chili est devenu un pionnier fin 2021 en matière de « neuro-droits » pour protéger l’intégrité mentale, le libre arbitre et la non-discrimination dans l’accès des citoyens aux neurotechnologies pour prévenir leur « piratage » comme s’en vante Yuval Noah Harari, conseiller du WEF.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU — Journaliste Citoyen et Individu Ciblé




Témoignage d’une électrohypersensible

[Source : cielvoile.fr]

Témoignage d'une EHS

Mes symptômes d’électrohypersensibilité (EHS) ont débuté il y a plus de 20 ans même si je n’ai commencé à faire le lien avec les ondes électromagnétiques qu’aux alentours de 2011 et n’ai été diagnostiquée EHS qu’en 2016.

En octobre 2002, je venais d’acquérir, comme tous mes collègues, mon tout premier téléphone portable. J’habitais alors près d’une falaise et il n’y avait pas beaucoup de réseau. Je ne savais alors pas que le téléphone rayonnait très fort dans ce cas. J’avais des picotements et la tête très chaude après les appels téléphoniques, mais cela passait et je ne m’inquiétais pas. Je faisais confiance…

Très rapidement, j’ai commencé à avoir de terribles démangeaisons dans le cuir chevelu accompagnées d’une chute importante de cheveux. Ces problèmes ont duré de très longues années. J’ai consulté près de 14 dermatologues dans toute la France. Je suis même allée à l’hôpital Saint Louis (centre Sabouraud) pour rencontrer le spécialiste de la chute des cheveux à l’époque, le Dr Reygagne. Je n’ai pas eu de réponse concrète. J’ai essayé un traitement au Minoxidil. Le médecin pensait à une alopécie androgéno-génétique, mais le traitement ne fonctionnait pas. J’ai tenté d’autres alternatives : l’acupuncture, les huiles essentielles, le magnétisme, les plantes… Rien n’améliorait mon état. Je suis tombée dans une profonde dépression. Parallèlement, les problèmes s’accumulaient : troubles cardiaques : extrasystoles et tachycardie, troubles de la thyroïde, plaques rouges sur le visage (il s’agissait en fait des brûlures), extrême fatigue. Je sentais qu’il y avait quelque chose de grave sans comprendre ce qui m’arrivait et je me sentais terriblement incomprise au point un jour de prendre des médicaments en trop grande quantité pour que cela s’arrête. Je n’en pouvais plus de passer mes jours et une partie de mes nuits à ruminer pour tenter de comprendre ce qui se passait. Je tournais en rond dans ma tête. Pour mon médecin traitant de l’époque, j’étais psychotique, névrosée. Pour d’autres c’était le surmenage, le stress…

Miraculeusement, en 2009, la chute des cheveux s’est arrêtée d’elle-même sans que je comprenne ce qui s’était passé. Ce n’est que bien plus tard que je ferai le rapprochement avec le fait que j’avais changé de téléphone et que j’utilisais la fonction haut-parleur. J’avais également déménagé dans une zone où il y avait davantage de réseau donc moins de rayonnement provenant de mon téléphone.

J’ai fait construire une maison écologique à un kilomètre de mon lieu de travail pour pouvoir y aller à pied ou à vélo. J’avais un bois à traverser. C’était vraiment très agréable. Je pensais avoir acquis un peu de stabilité et je me sentais très bien dans mon nouveau cocon. Peu de temps après la construction, j’ai vu apparaître une antenne de téléphonie mobile derrière la maison. Je n’étais pas réellement consciente des dangers à l’époque. Plus tard, je ferai le rapprochement entre l’installation de cette antenne et le déclenchement de mes acouphènes d’abord intermittents (le soir au coucher) puis de plus en plus durables (sur quelques jours) et l’arrivée d’insomnies.

Par ailleurs, dans mon environnement professionnel, le rayonnement électromagnétique n’a fait que s’intensifier. Ingénieur agronome de formation, j’enseignais l’agronomie et l’hydrologie en établissement agricole. Mon public était de plus en plus équipé en objets connectés et les bornes wifi ont proliféré dans les différents bâtiments du site. Mon proviseur avait comme devise : « Il faut vivre avec son temps ».

Son objectif était de développer le numérique au niveau de l’établissement : tableaux numériques interactifs, chemin numérique sur le site, ordinateurs portables distribués à tous les enseignants pour tout piloter à distance : les absences, retards, sorties réservations de salle, enregistrement des notes. Je me suis vu confier la coordination d’une formation BTS en « gestion et maîtrise de l’eau ». Je passais les trois quarts de mon temps en salle informatique. J’accompagnais les élèves et étudiants dans le suivi de projets, de stages, de préparation aux examens…

Je rentrais chez moi épuisée, à bout de souffle, littéralement et à bout de forces. Même après une heure de travail, j’étais dans un état d’épuisement extrême.

En 2012 (je pense), je passais les vacances chez ma maman à Leforest lorsqu’une personne est venue à la maison pour me faire signer une pétition au sujet d’une antenne de téléphonie mobile installée près de chez elle qui lui causait de graves troubles. Elle m’a décrit ses symptômes et cela a été pour moi une révélation. J’ai enfin compris pourquoi mon corps souffrait tant.

J’ai commencé à faire des recherches sur le net : tout coïncidait. C’était à la fois un réel soulagement d’avoir mis un mot sur tant d’années de souffrances, mais aussi une terrible angoisse : comment allais-je pouvoir gérer ce problème ?

J’ai discuté de ma situation avec un ami qui travaillait chez un fabricant de téléphones portables. Il était tout à fait conscient (tout comme les membres de sa société) des dangers occasionnés par les ondes électromagnétiques et m’a conseillé de voir le professeur Belpomme.

J’ai un peu tardé, mais je me suis enfin décidée et en 2015, je prends rendez-vous pour le 16 juin 2016.

Mon état de santé s’aggravait (vertiges, nausées, troubles de la mémoire et de la concentration, aggravation des troubles cardiaques). Dans le cadre de mon activité professionnelle, j’étais à bout de forces aussi bien physiques qu’intellectuelles. Je décide de prendre rendez-vous avec le médecin de travail en 2015. Pendant la séance, j’étais en larmes : je tentais d’expliquer les causes de mon état (explosion du rayonnement sur l’établissement dans lequel je travaillais), mais j’avais en face de moi un mur de silence et d’incompréhension. Elle m’a conseillé de prendre rendez-vous avec une psychologue de la médecine du travail et de revenir la voir lorsque j’aurai vu le Docteur Belpomme. J’ai pu bénéficier d’un suivi psychologique au sein de la médecine du travail pendant six mois jusqu’à mon arrêt de travail avec une personne cette fois-ci très ouverte et très à l’écoute.

J’ai donc vu le docteur Belpomme en juin 2016. Il m’a longuement questionné sur mes pratiques, mon travail, mes difficultés, mes symptômes… puis m’a envoyé faire des analyses sanguines et m’a donné des prescriptions pour un encephaloscan et des analyses d’urine. Il m’a donné un traitement à base de compléments alimentaires (antioxydants puissants, plantes et vitamines…). Je suis revenue quelques mois plus tard avec les résultats des différents examens et le diagnostic était sans appel. J’étais EHS et il fallait absolument me protéger. Il me demandait également de faire un dossier pour obtenir une reconnaissance RQTH (Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé) auprès de la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées)… Cette reconnaissance m’a été dans un premier temps refusée lorsque j’étais domiciliée dans la Somme. Elle me sera accordée un an et demi plus tard à la suite d’une nouvelle demande, mais cette fois-ci en étant domiciliée dans le Pas-de-Calais. Je n’ai droit par contre à aucune aide, qu’elle soit financière ou matérielle. La possibilité de bénéficier d’une carte de passage prioritaire aux caisses des supermarchés aurait pourtant été pour moi d’une grande utilité. J’ai revu le docteur Belpomme pendant 3 ans tous les 6 mois, mais mes résultats étaient de plus en plus catastrophiques, notamment l’encephaloscan. Il témoignait d’une mauvaise irrigation cérébrale. Le docteur Belpomme était alarmiste : « Vous allez tout droit vers Alzheimer », me dit-il. Ensuite, mon état ne me permettait plus d’aller à Paris.

Je sentais que j’étais en grand danger si je continuais à exercer mon activité professionnelle ; j’ai vu une psychiatre qui m’a aussitôt mis en arrêt de travail d’abord pour un mois puis pour trois mois puis je passe en congé longue maladie (trois ans) et ensuite en congé longue durée (cinq ans).

Je suis venue habitée dans le Pas-de-Calais à Leforest chez ma maman. J’ai mis ma maison en vente à grand regret. Elle sera vendue en 2020. Chez ma maman, à l’époque, il n’y avait pas de voisins trop proches et trop connectés : la maison voisine était en vente et inoccupée et les autres voisins étaient des personnes âgées peu connectées. J’ai pu vivre deux ans dans la maison, mais en 2018, de nouveaux voisins (une famille nombreuse et des parents dans l’informatique) se sont installés dans la maison voisine. Un lotissement s’est construit en face. Je ne pouvais plus vivre dans la maison, en tout cas à proximité de ces voisins. J’ai acheté une caravane en aluminium que j’ai installée tout au fond du jardin de ma maman. Très vite, il a fallu blinder les fenêtres dans un premier temps avec du grillage puis avec de l’aluminium pour renforcer la protection électromagnétique. J’ai dormi dans cette caravane pendant près de deux ans. Je vivais complètement isolée sans aucune vie sociale, sans pouvoir communiquer : ma maman n’était plus équipée en téléphone filaire.

Les voisins avaient un grand terrain et ont décidé d’installer des amplificateurs wifi pour capter et se connecter jusqu’au bout du terrain, à plus de 100 m. Les symptômes sont devenus terribles : sensations de coup de poignard dans la tête et surtout la mâchoire, la tête qui prend feu. Des plaques rouges sur le visage sont réapparues. J’ai pu voir une dermatologue qui m’a appris que c’était cancéreux : des carcinomes à retirer au plus vite ! C’est un cancer localisé : il faut réaliser des interventions chirurgicales. J’ai eu un rendez-vous avec un chirurgien qu’elle m’avait recommandé. Ce chirurgien m’a complètement dénigrée, voire humiliée quand je lui ai parlé des ondes électromagnétiques. Pour lui, mon cancer était bien réel, ce qui n’était pas le cas de la dangerosité des ondes. J’ai demandé à ne pas subir d’anesthésie générale dans le but de rester le moins longtemps hospitalisée, ce qui d’après ma dermatologue était tout à fait envisageable. Je n’avais pas pu obtenir la possibilité d’avoir une chambre éloignée des wifi et le personnel administratif de la clinique n’était pas du tout à l’écoute de mes difficultés. Ce chirurgien a refusé de me soigner et m’a demandé de consulter un confrère pour traiter mes carcinomes avec des rayons. Pour ma dermatologue, c’était incompréhensible : les risques de séquelles étaient trop importants. Elle a décidé de réaliser elle-même les interventions chirurgicales dans son cabinet et tout s’est très bien déroulé, mais je dois absolument être vigilante.

Je suis allée quelque temps chez un ami dans l’Aube qui m’a confectionné une cage de Faraday avec des couvertures de survie. Il y avait apparemment peu de rayonnement, mais je me sentais très mal : insomnies, oppression, nausées et surtout bruits incessants en tête et acouphènes. Je suis repartie dans ma caravane. Plus tard, j’apprendrai que je suis aussi victime du syndrome éolien. Je suis sensible aux infrasons générés par les centaines d’éoliennes qui entourent sa maison.

Puis, il y a eu le confinement. Ce fut une période très compliquée pour moi, comme pour tous les EHS, je pense. Le point positif était de pouvoir se promener longuement en étant quasiment seule en forêt. Grâce à la reconnaissance « handicapée », je n’étais pas limitée par la durée lors de mes sorties. J’y passais une bonne partie de la journée.

Par contre, les voisins, parents et enfants restaient perpétuellement chez eux (télétravail et cours à domicile). D’ailleurs, le père informaticien continue toujours son activité en télétravail et la mère ne travaille plus, ce qui augmente fortement le rayonnement que je peux recevoir quand je vais voir ma maman sur Leforest.

Pendant cette période de confinement, deux antennes de téléphonie mobile équipée en 5G se sont installées dans la rue à environ 500 m. Je peux dire exactement à quel moment elles ont été mises en service. C’était une nuit de février 2021 où je dormais dans ma caravane, j’ai été réveillée en pleine nuit par des douleurs atroces comme si tout mon corps et particulièrement ma tête était matraqué de toute part. À partir de cette nuit, tout ne sera jamais plus pareil. Les douleurs vont devenir insupportables. J’ai tenté de mieux blinder ma caravane, d’installer un abri anti-ondes avec des couvertures de survie à l’intérieur, rien ne marchait. J’étais matraquée toutes les nuits. Peu de temps après, mon frère m’a confectionné une cage de Faraday avec de l’isolant en aluminium. Nous installons un grillage pour que je puisse respirer. Cela ne fonctionne pas non plus. Je me rends compte que le grillage qui jusqu’à présent bloquait les ondes, n’est cette fois-ci plus efficace avec l’arrivée de la 5 G. Je passe un été terrible à souffrir le martyre et à hurler de douleur. À la fin du mois d’août, je prends une décision radicale. J’ai pu repérer un endroit à l’entrée de la forêt éloigné des habitations et j’ai décidé d’aller y dormir dans ma voiture. Je dois prendre antidépresseurs, anxiolytiques pour surmonter mes angoisses et attendre la nuit pour ne pas me faire repérer. J’emmène mon chien, un matelas de ma caravane et un duvet et je pars dormir dans ma voiture à quelques kilomètres de la maison. Je dormais peu, mais je n’avais aucune douleur. J’ai renouvelé l’opération pendant plusieurs mois. J’ai également passé un peu de temps chez mon ami dans l’Aube, mais je suis revenue régulièrement dormir près du bois de Leforest. Malheureusement, exactement à l’endroit où je dormais, des pylônes pour câbles à très hautes tensions (2 fois 400 000 V) ont été installés. En janvier 2022, ce fut la panique totale, j’ai appris par des techniciens travaillant sur les pylônes que les câbles seront mis en service dans quelques jours. Je devais absolument trouver un autre endroit pour dormir.

J’ai trouvé un endroit à peu près sain d’un point de vue électromagnétique, mais bien plus loin cette fois, à une vingtaine de kilomètres de Leforest. Par contre, j’étais en bord de chemin et visible. Il fallait que je parte très tôt avant le lever du jour. J’ai dormi quelques mois à cet endroit jusqu’à ce qu’un matin en mars 2022 vers 6 h du matin, j’ai été intimidée par des chasseurs qui sont arrivés pleins phares et ont entouré ma voiture avec leurs pick-up pour me chasser de cet endroit.

Je n’en pouvais plus. Je suis repartie à nouveau dans l’Aube chez mon ami. Il m’avait lui aussi confectionné une cage de Faraday avec de l’isolant mince et un grillage moustiquaire pour respirer,. Mais là aussi, la 5G est arrivée et la cage ne fonctionnait pas. Le grillage n’était pas suffisamment étanche par rapport aux ondes et les ondes qui pénétraient restaient bloquées à l’intérieur. C’était insoutenable. Je suis allée dormir dans de nombreux endroits, d’abord près d’une forêt puis au plein milieu des champs. Je teste des tas d’endroits différents, mais au bout d’un moment, cela ne convenait jamais. Puis, j’ai commencé à avoir de terribles symptômes : insomnies malgré les somnifères, agitation, et surtout vibration du corps entier et bruits accompagnés d’acouphènes stridents. J’ai commencé à vraiment m’inquiéter et à soupçonner les éoliennes qui m’entouraient. Après de nombreuses recherches sur le net, je réalise que mes symptômes correspondent à une sensibilité aux infrasons des éoliennes. Ce diagnostic a été confirmé par le docteur Delolme, médecin épidémiologiste à la retraite qui s’est consacré à l’étude des infrasons après l’installation d’éoliennes près de chez lui. Il a suivi de nombreux patients et a participé aux colloques : « la santé des hommes et des animaux face aux infrasons produits par les éoliennes ». J’ai pris contact avec plusieurs associations dont l’association « Friends Against Wind » auprès de laquelle j’ai pu apprendre énormément de choses et comprendre enfin que le problème n’était pas en moi, mais lié, tout comme l’électrohypersensibilité, à mon environnement. J’ai aussi appris que les éoliennes, à présent, communiquaient par radiofréquence, ce qui expliquait pourquoi, il m’était devenu impossible de me promener en pleine campagne dans cette région.

Je n’avais pas d’autres choix que d’aller dormir éloignée des éoliennes. Il me fallait faire plus de 40 km aller pour être à 15 km des éoliennes et pouvoir dormir un peu mieux. Malheureusement, rien n’arrête les infrasons et je continuais à les entendre même à cette distance ! Je dormais la nuit dans la forêt et j’en profitais le matin pour m’y promener quelques heures et je rentrais dans le midi chez mon ami. Je passais l’après-midi à faire des recherches de biens à vendre sur Internet.

J’ai écrit cinq courriers au président de la République, Emmanuel Macron, pour expliquer la situation désastreuse dans laquelle je me trouve. En 2020, j’ai reçu une réponse me disant que mon dossier était transféré au ministère de la Santé et de la Solidarité. J’ai été contactée par une assistante sociale du ministère de la Santé avec laquelle j’ai eu un bon contact, mais qui malheureusement est restée totalement impuissante et démunie face à ma situation. Pourtant, j’avais eu une réponse écrite du ministère de la Santé précisant qu’en 2021, les professionnels de la santé disposeront d’un « guide de bonne pratique » pour éviter l’errance médicale dont sont victimes les personnes électrohypersensibles. Nous sommes en 2023, rien n’a été fait dans ce sens…

Depuis plusieurs années, je suis essentiellement restée dans l’Aube même si le syndrome éolien est épuisant. Je ne peux sortir de la maison. Le rayonnement est trop important à l’extérieur. Je suis terriblement isolée même si j’ai quelques contacts avec des associations d’électrohypersensibles. Je vais très rarement en ville. Je me sens extrêmement dépendante pour des activités de la vie quotidienne.

Depuis peu, j’ai acheté un tissu anti-ondes assez performant. Mon ami a réalisé un baldaquin grâce à un encadrement en bois qui me permet de poser le tissu par-dessus.

Dans l’Aube, la voisine de mon ami accepte d’éteindre le wifi et de mettre son téléphone en mode avion la nuit. Je peux enfin dormir dans une maison en étant relativement protégée des ondes sous mon baldaquin. Par contre, la journée, mon bien-être dépend essentiellement de la présence des voisins. S’ils sont nombreux, je dois m’éloigner, généralement dans la forêt à plus de 40 km.

Par contre, je reste proche des éoliennes et des infrasons et les rayonnements électromagnétiques générés par les éoliennes restent un gros problème.

Quand je dois aller voir ma maman dans les Hauts-de-France, il m’est quasiment impossible de rester longtemps en dehors d’une cage de Faraday (3 m2 sur 1 m de hauteur). À l’intérieur, j’ai installé mon baldaquin anti-ondes, ce qui me permet là aussi de dormir dans la maison. Mais, j’ai très peu d’air pour respirer, l’été c’est vraiment suffocant !

Je suis convaincue que mes problèmes d’électrohypersensibilité sont en relation avec la présence de métaux lourds : intoxication et présence de métaux en bouche. À la suite d’un grave problème de santé dans mon enfance, j’ai dû subir énormément de soins dentaires nécessitant la pose d’amalgames dentaires. Ces amalgames ont été posés puis retirés régulièrement sans précaution. J’avais également beaucoup de métaux en bouche : couronnes et pivots. La plupart ont été retirés, mais les symptômes persistent et, actuellement, je souffre en plus de fibromyalgie. Les méthodes de désintoxication aux métaux lourds sont complexes et nécessitent un suivi régulier avec un spécialiste. En France, très peu de médecins sont formés à ces problématiques. J’ai essayé des méthodes naturelles à base de plantes qui ne donnent pas de résultats en ce qui me concerne.

J’ai besoin de nombreux soins : je n’ai pas pu voir ma dermatologue pour un suivi depuis plus de deux ans. J’ai besoin de poursuivre d’importants soins dentaires. Beaucoup de soins nécessitent de me rendre en milieu hospitalier, ce qui est inenvisageable pour moi actuellement.

Ma situation est intenable. J’ai perdu tout ce que j’avais construit à force de travail et de persévérance : mon emploi (fonctionnaire pour le ministère de l’Agriculture), la maison écologique que j’avais fait construire, toutes mes relations professionnelles et sociales. Il m’est actuellement impossible de faire des projets, quels qu’ils soient. Avec le déploiement de la 5G partout en France et des éoliennes, mon avenir est plutôt sombre.

Je cherche désespérément depuis plusieurs années un lieu de vie épargné des rayonnements électromagnétiques et des sources d’infrasons pour me ressourcer et tenter d’améliorer mon état de santé. Je pense que c’est la première étape pour aller vers un mieux-être. Toutes les personnes EHS que j’ai pu contacter et qui se disent en bonne voie d’amélioration ont commencé par s’isoler en se mettant à l’abri des ondes.

Je continue à prendre des antioxydants et des vitamines. Je teste des techniques de méditation et de relaxation, le Qi gong, le Do in, comme je peux, quand je peux… mais c’est encore trop aléatoire.

Je terminerai ce témoignage par quelques phrases issues du compte rendu du colloque sur les infrasons. Je trouve ces phrases très justes alors que les faits sont terriblement injustes.

« … il faut souligner que si les personnes électrohypersensibles et celles qui sont hypersensibles aux infrasons ont tant de mal à se faire reconnaître par la Justice et par la Médecine, c’est parce que la charge de la Preuve est inversée : on demande aux personnes agressées dans leur environnement de prouver qu’elles souffrent, alors que les lobbies peuvent développer leurs technologies sur des études prétendant prouver l’innocuité de leurs produits… mais financées par eux ! Le Principe constitutionnel de Précaution est lui-même occulté… C’est tout le problème du poids de l’argent à notre époque, disproportionné par rapport à la valeur d’une vie humaine ».




France — Le Linky est-il obligatoire ?

[Source : Nexus]

Des militants anti-Linky ont appelé au boycott de Nexus. La raison ? Dans le dernier magazine Nexus n° 146 de mai-juin 2023, un des articles du dossier sur le portefeuille d’identité numérique européen qualifie le compteur Linky d’« a priori obligatoire ». Qu’en est-il vraiment ? Qu’en dit la loi… et ses interprétations 

◆ A priori… a posteriori

« S’il est a priori obligatoire… » en parlant du compteur controversé, voici la phrase qui a fait bondir tous ceux qui se battent depuis des années contre l’installation à marche forcée des compteurs électriques Linky. Certains n’ont pas hésité à appeler au boycott du magazine, quand d’autres l’accusent de « répéter le narratif globaliste »…

En premier lieu, nous aimerions rappeler que Nexus est un des seuls médias à s’être autant engagé contre le déploiement de ce compteur accusé d’engendrer des troubles chez les personnes électrohypersensibles, et soupçonné de pouvoir récolter des données de consommation portant atteinte à la vie privée.

De nombreux articles ont ainsi été publiés à ce sujet. Exemples iciici et .

Il n’empêche, la formulation choisie par l’auteure, « a priori », a fait l’objet d’une vive polémique sur les réseaux sociaux, les opposants du Linky insistant : « Le compteur Linky n’est pas obligatoire ! »

C’est bien l’expression « a priori » qui a été mal comprise. Celle-ci signifie, parmi plusieurs sens, « avant tout examen approfondi ; de prime abord » (Larousse). Ainsi, quand l’auteure de l’article sur le portefeuille d’identité numérique européen écrit que « [le Linky] est a priori obligatoire », cela doit se comprendre de la manière suivante : étant donné l’énergie et les moyens déployés par Enedis et l’État pour installer ce compteur partout, étant donné le fait que ce déploiement est encadré par des directives et des décrets à valeur d’application, et étant donné le fait qu’aucune loi ne vient dire expressément le contraire, on eût pu penser que l’installation du Linky fût obligatoire a priori.

A posteriori cependant, l’expérience et l’examen approfondi de la question nous imposent la conclusion suivante : la loi prévoit bien une obligation d’installation pour Enedis à hauteur de 80 % du parc national de compteurs électriques, mais pas d’obligation d’acceptation d’installation pour l’usager.

Nous ajoutons également que le sujet est complexe et qu’il a donné du fil à retordre à nos journalistes : le service presse d’Enedis a notamment fait preuve d’une exceptionnelle pugnacité pour défendre la position de l’entreprise.

◆ De l’obligation pour Enedis

Enedis (ex-ERDF, entreprise chargée de la gestion et de l’aménagement du réseau électrique en France) s’était engagée à remplacer au moins 80 % des compteurs électriques par des compteurs communicants en 2020, mission régentée par la directive européenne de 2009, mise à jour par celle de 2019.

Cette directive européenne est transposée en droit français dans la loi sur la transition énergétique d’août 2015, et le décret de codification réglementaire de décembre 2015, qui en découle. Tous ces textes composent le Code de l’énergie.

À l’article R341-8 dudit code, l’objectif d’Enedis est fixé de la manière suivante :

« D’ici au 31 décembre 2020, 80 % au moins des dispositifs de comptage des installations d’utilisateurs raccordées en basse tension (BT) pour des puissances inférieures ou égales à 36 kilovoltampères sont rendus conformes aux prescriptions de l’arrêté prévu à l’article R341-6, dans la perspective d’atteindre un objectif de 100 % d’ici 2024. »

Cette obligation des 80 % de couverture est assortie de sanctions administratives prévues dans l’article L142-32 en cas de manquement à l’atteinte de son objectif.

Sur son site internet, Enedis persiste à agiter l’obligation d’installation et argue que de ce fait aucun « droit au refus » n’est permis.

◆ Une installation à marche forcée

Mais le déploiement des compteurs communicants Linky a fait face à une résistance inattendue et a mis à mal l’espoir d’Enedis d’équiper 100 % des foyers français en compteurs Linky en 2024.

En 2023, l’objectif légal est cependant atteint avec 92 % des foyers français équipés du compteur Linky ; ce grâce à l’insistance très incitative d’Enedis.

Car l’entreprise, en effet, n’a pas hésité à déployer les grands moyens, allant jusqu’à harceler les usagers à leur domicile, pour qu’ils acceptent l’installation du nouveau compteur, quand celui-ci n’était pas installé en leur absence sans aucune demande d’autorisation préalable.

Face à ceux qui, disposant d’un compteur situé à l’extérieur de leur hébergement, le barricadaient pour empêcher les techniciens d’Enedis d’y accéder, l’entreprise envoyait des lettres dans lesquelles elle annonçait « se réserver le droit d’engager une procédure judiciaire » contre ces usagers récalcitrants au nouveau compteur.

Mais alors que l’avertissement devait être transformé dans les quinze jours en une poursuite officielle, il n’en a rien été, et ce pour une raison simple : si dans le cadre de sa mission de service public, Enedis a l’obligation d’installer ces compteurs (à hauteur d’au moins 80 % du parc national, objectif d’ores et déjà atteint), il n’existe aucune obligation pour les usagers d’accepter l’installation.

Au sujet de ces lettres d’avertissement, Nexus a posé la question à Enedis :

« Quelles suites y ont été données ? Quelles mesures pénales prévues par la loi sanctionnent-elles le refus d’installation ? »

Enedis botte en touche :

« L’installation du compteur Linky se déroule dans de bonnes conditions dans la très grande majorité des cas » et « Enedis privilégie constamment le dialogue avec tous ses clients et est à l’écoute des clients qui refusent la pose du compteur Linky. »

◆ Pour l’usager : pas de sanction, pas d’obligation

Il n’y a pas d’obligation pour l’usager d’accepter l’installation du compteur Linky, c’est ce que conclut l’affaire traitée devant la cour d’appel de Bordeaux en novembre 2020.

« Ainsi, contrairement à ce qu’affirme la société Enedis, aucun texte légal ou réglementaire, européen ou national n’impose à Enedis, société commerciale privée, concessionnaire du service public, d’installer au domicile des particuliers des compteurs Linky, qui entrent certes dans la catégorie des compteurs intelligents ou communicants, c’est-à-dire pouvant être actionnés et interrogés à distance, mais n’en sont en réalité qu’un modèle, utilisant la technologie CPL sur le réseau à basse tension comme premier niveau de communication, un deuxième niveau étant assuré par le réseau de téléphonie mobile GPRS ou Edge. »

S’agit-il pour autant d’un vide juridique ? Contacté par Nexus, Me Arnaud Durand, avocat au barreau de Paris ayant défendu les plaignants opposés au compteur Linky dans cette affaire, précise :

« Il n’y a aucun vide juridique. […] En droit, l’existence d’une obligation ne se conçoit qu’à travers l’existence d’une sanction. C’est simple : pas de sanction, pas d’obligation. Quant à l’obligation invoquée par Enedis, à son propre encontre, elle ne lui permet aucunement de déroger aux droits des consommateurs qu’Enedis est tenue de respecter, y compris lorsque l’objectif est d’installer des compteurs communicants. […] Au final Enedis n’est parvenue qu’à échafauder une apparence d’obligation, afin d’intimider le plus grand nombre. Mais en droit, il n’en est rien. »

Ainsi, étant donné le fait qu’aucune sanction n’existe (si l’on exclut les tentatives forcenées d’Enedis pour extorquer le consentement à l’installation de ces compteurs), rien n’interdit au consommateur de refuser l’installation.

◆ Le casse-tête des jurisprudences

En 2016, Philippe Monloubou, alors président du directoire d’ERDF (ancêtre d’Enedis) avoue cependant devant l’Assemblée nationale (à 0 min 15 s) :

« Non, il n’y aura pas de client exclu du dispositif Linky, sauf ceux qui ne voudront pas ouvrir leur porte, parce que, nous, on n’a pas vocation, on n’est pas habilités à forcer la porte des clients pour ceux qui in fine ne voudraient pas nous ouvrir ou qui résisteraient. »

https://www.youtube.com/embed/VXtPsC4ZKH0

Ainsi, aucune poursuite n’a jamais été engagée par Enedis contre ceux qui barricadaient leur ancien compteur, faute de base juridique suffisamment solide.

À l’inverse, plusieurs procédures ont été lancées à l’encontre d’Enedis par des usagers espérant contraindre l’entreprise à retirer ses compteurs. Sur toutes les affaires jugées, la plupart sont favorables à Enedis, et une seule a effectivement abouti au retrait du compteur, pour cause d’électrosensibilité.

Le reste du temps, l’entreprise n’a le plus souvent été condamnée qu’à poser des filtres anti-ondes chez les personnes souffrant d’électrohypersensibilité, ou à modifier ses installations en cas de risques pour la sécurité incendie. Nexus a également déjà publié sur cette affaire récente où Enedis a été condamnée à modifier l’installation d’un compteur chez une cliente pour non-respect des normes de sécurité. Enedis a fait appel.

La plupart du temps cependant, Enedis a plutôt tendance à gagner ses procès. Cette affaire, jugée à Paris en cour d’appel en mai 2022, appuie le caractère réglementaire de la mission d’Enedis en tant que concessionnaire de service public :

« La société Enedis, en tant que gestionnaire du réseau public d’électricité, a l’obligation, dans le cadre de sa mission de service public, d’installer ces équipements de comptage, de les entretenir et de les renouveler. Ces compteurs électriques constituent des ouvrages des réseaux publics de distribution d’électricité relevant de la propriété des collectivités territoriales et n’appartiennent donc pas aux usagers de sorte que l’obligation de déployer ces compteurs communicants s’impose à la société Enedis […] »

De plus, Enedis rajoute dans son argumentaire que les compteurs électriques ne sont pas la propriétés des usagers, mais des collectivités territoriales (les communes en l’occurrence) et qu’il s’agit d’une infrastructure du réseau électrique au même titre que les câbles et les poteaux. Argument qui n’a « aucun intérêt juridique » selon Arnaud Durand :

« Si SFR installe une antenne relais sur le mur de votre maison, est-ce que le fait que vous ne soyez pas propriétaire de l’antenne relais a la moindre importance ? Non, la question de l’obligation (ou de l’interdiction) ne suit pas le régime de la propriété. »

Les appelants ont été condamnés à payer 1 500 euros à Enedis. Cependant, le procès a tout de même constaté qu’au regard du Code de l’énergie, il était possible de s’opposer au relevé des consommations personnelles d’électricité en temps réel par l’entreprise :

« L’usager peut donc s’opposer à l’enregistrement de la courbe de charge et au traitement des données détaillées, sans qu’il puisse en être déduit, comme le font les appelants, un droit à s’opposer à l’installation du compteur Linky. »

De même, en mai 2022, le tribunal judiciaire de Mâcon a débouté 104 opposants à l’installation du compteur Linky qui réclamaient un « droit au refus ». Ils ont été condamnés à verser 5 000 euros à Enedis pour le remboursement des frais de justice.

◆ Vers une obligation de fait ?

Changement de tactique pour Enedis : la facturation incitative, telle que préconisée par la Commission de régulation de l’énergie.

Fin 2022, l’entreprise applique une nouvelle règle pour les clients non équipés du compteur Linky (qui transmet automatiquement les données de consommation au fournisseur) : les récalcitrants devront faire eux-mêmes un relevé annuel sous peine de devoir s’acquitter d’une surfacturation, qu’Arnaud Durand appelle « une amende privée » et contre laquelle il déclare être actuellement en procès.

Voici ce à quoi s’attendre prochainement, et nos quelques conseils pour continuer à résister :

  • 2022-2024: pas de surfacturation si l’on fait soi-même son relevé une fois l’an. Sinon, un surcoût de 4,16€/mois (50€/an) est prévu. Aussi, pour éviter les mauvaises surprises de facturation, refusez toujours l’option du prélèvement automatique et acquittez-vous de vos factures d’électricité par chèque ou virement à effectuer vous-même.
  • À partir de 2025: une surfacturation de 61€/an (5,33 €/mois) pour le «service» proposé par Enedis correspondant à l’intervention d’un technicien qui viendra réaliser le relevé de consommation à la place de l’usager.
  • Jusqu’au 1eraoût 2023, si l’on veut changer son compteur Linky pour un ancien compteur, il est théoriquement possible d’acheter un compteur CBE (compteur électronique non communicant) sur Internet. Cependant, pour que ce compteur donne droit à un accès au réseau électrique, il faut qu’il soit installé et scellé par un technicien d’Enedis et assorti d’un boîtier communicant à l’extérieur du domicile. Autant dire que c’est un véritable parcours du combattant pour obtenir ce service particulier. Car si cette prestation (raccorder un compteur CBE au réseau Enedis et ouvrir un contrat d’électricité) apparaissait toujours au catalogue des prestations d’Enedis (option n°2 à la page 30), l’entreprise ne semble pas prompte à honorer ce service, son attaché de presse insistant: «Il n’est pas possible d’installer un compteur d’ancienne génération.» Cette option restait valable, selon Enedis, pendant la période de transition où les compteurs Linky n’étaient pas encore disponibles partout. «Dans les zones encore non équipées de compteurs Linky et de concentrateurs associés, les compteurs électroniques d’ancienne génération pouvaient rester nécessaires pour certains clients ayant notamment souscrit l’offre Tempo. »

Cette option disparaîtra de la version du prochain catalogue mis à jour le 1er août 2023.

  • Pour tout déménagement, changement de fournisseur, de contrat, ou de puissance électrique, ou simplement en cas de panne du compteur, un compteur Linky sera automatiquement proposé. Et les recours semblent particulièrement difficiles. Enedis pourrait vous faire du chantage : acceptez le Linky ou passez-vous d’électricité ! Chantage probablement illicite puisqu’en droit, l’électricité est un bien de première nécessité : aux termes de l’article 121-1 du Code de l’énergie, est reconnu « le droit de tous à l’électricité, un bien de première nécessité […] ».

Seuls ceux qui ont refusé l’installation du Linky à leur domicile de prime abord et ne comptent exercer un quelconque changement à leur offre d’électricité semblent exempts de toute « obligation d’installation ». Pour combien de temps?

◆ Quid du site poal.fr ?

Dans notre article sur le portefeuille d’identité numérique (magazine Nexus n°146 de mai-juin 2023), un deuxième point a fait grincer des dents : nous incitions nos lecteurs à refuser catégoriquement le compteur Linky et les dirigions vers le site de la Plateforme Opérationnelle Anti-Linky (POAL), pour la simple raison que le site semble plutôt ergonomique et qu’il propose de nombreuses informations fouillées.

Cependant, nous avons été alertés par un lecteur : un des fondateurs du site est également le président d’une entreprise vendant des filtres anti-ondes CPL (les ondes nocives émises par les compteurs Linky). Ainsi, sans présumer ni de la qualité du site ni de l’efficacité, ou non, de ces filtres, il s’agit d’un conflit d’intérêts manifeste, puisque les activités militantes du site poal.fr ont parfois servi à faire la promotion de ces filtres, comme c’est le cas ici.

Ainsi, si vous souhaitez vous informer auprès de sites internet bien fichus pour pouvoir être correctement orientés dans votre lutte contre le compteur vert fluo, nous vous conseillons plutôt les sites suivants :




Délire covidiste (ou climatique), fluidification de la société, déconstruction de l’homme

[Source : lesakerfrancophone.fr]

« Les gens de gauche pensent que je suis une conservatrice, les conservateurs pensent que je suis de gauche, que je suis un franc-tireur ou dieu sait quoi. Je dois dire que ça m’est complètement égal. »

Hannah Arendt

Par Pierre Le Vigan

Depuis Le Grand Empêchement est intervenue l’organisation d’une panique collective à partir d’un virus transgenre (le covid devenu la covid, le virus devenu la maladie alors que le [supposé] virus ne tue que très rarement sans comorbidité), un fort peu létal et à l’origine discutée (humaine ? animale ?)1 [voire purement inexistant, la cause de la Covid étant alors à chercher ailleurs. Voir les dossiers Vaccin et virus et 5G et ondes pulsées]. S’en est suivi une folie d’enfermement à l’intérieur des populations (dit confinement), de couvre-feu, des obligations vaccinales sans cesse répétées et renforcées, et dont l’inefficacité est flagrante (le « vaccin », qui n’en est pas un, mais est un produit à ARN ou à OGM, n’empêchant ni d’être contaminé ni de contaminer les autres), ainsi qu’un fichage et flicage numérique généralisé. Cela confirme l’existence d’une nouvelle étape du libéralisme, et accélère celle-ci. Délire covidiste par la production d’un récit hallucinatoire, tétanisation par les mesures dites anti-covid généralement d’une totale irrationalité (ne pas se promener en forêt…), faux vaccins, vraie sidération du peuple, vrais profits et authentique connivence oligarchique : tout cela forme un tout.

Le libéralisme voit ses limites : il ne fait pas demi-tour, il repousse les limites

Le libéralisme est fondé sur une erreur d’analyse anthropologique. Il suppose que l’homme n’est qu’un être d’intérêt. Or, ce n’est qu’en partie le cas. Mais le libéralisme va désormais beaucoup plus loin, et il se retourne contre les libertés, ce qui explique que les vieux libéraux, contrairement aux néolibéraux (de même que l’on parle des paléo-conservateurs par opposition aux néoconservateurs) ne reconnaissent pas leur enfant. C’est pourtant le leur. Plus il y a de dépolitisation et de technicisation soi-disant « neutre », plus il y a de mesures liberticides dans nos sociétés.

Le libéralisme ultime a compris son erreur d’analyse. Il ne veut pas revenir sur son erreur, mais corriger sa méthode. Il veut plus de passage en force. Plus de violence antisociale. Et il veut la liquidation des évolutions correctrices, que ce soit la retraite des vieux travailleurs de Pétain ou le programme du Conseil National de la Résistance. Contre ce qui a pu être le meilleur de la droite et le meilleur de la gauche, le libéralisme veut imposer le pire du règne de l’argent-roi.

Voilà le constat que fait le libéralisme : l’homme résiste à l’anthropologie libérale. Le musulman consommateur de séries américaines reste musulman. L’hindouiste reste hindouiste. Le libéralisme est donc devenu constructiviste. Et même ultra-constructiviste, comme le communisme soviétique, avec plus de moyens que n’en avait Staline. Explication. Puisque l’homme n’est pas interchangeable dans une société normale, il faut le rendre interchangeable. Il faut changer ce qui est normal (la norme). Il faut déconstruire l’homme normal, c’est-à-dire différencié selon les sexes, les cultures, les héritages de civilisation, pour le rendre homogène, fluide, et en faire une farine dont on puisse faire ce qu’on veut, créant de micro-niches de consommation, mais aussi une masse manipulable qui l’on peut affoler nerveusement par le contrôle des médias, par des injonctions contradictoires, par le terrorisme mental. Une masse que l’on peut faire courir dans un sens ou dans un autre. Une « grande ferme » orwellienne des animaux humains.

Quelques décapitations aussi terribles que médiatisées nous font oublier a) que, historiquement, la guillotine était considérée comme partie intégrante des conditions de défense de la République en 1793-94 b) que nous sommes tous voués par le pouvoir profond (l’oligarchie) à être transformés en « canards sans tête » qui continuent à courir mécaniquement, objet de l’organisation du « progrès fébrile de la bêtise humaine » dont parlait déjà Karl Kraus en 1909.

Le libéralisme veut des canards sans tête

Tout ce qui est pensé échappe au rien. « Penser et être : une même chose », dit Parménide (Hermann Diels et Walther Kranz, fragm. 8, 34-6). C’est pourquoi penser le rien (comme j’ai essayé de le faire dans Achever le nihilisme, Sigest, 2020), c’est déjà nier le nihilisme. Mais le libéralisme ne veut pas que nous pensions. Il ne veut pas que nous soyons conscients du rien dans lequel il nous précipite, avec la « netflicisation » de nos imaginaires. Le libéralisme ultime veut donc nous reprogrammer. Il s’agit pour lui de déconstruire ce qui reste de l’homme normal, qui était un être de transmission, pour reconstruire un homme nouveau, transgenre bien entendu, mais aussi transnational et transreligieux.

L’identité de cet homme nouveau consistera justement à ne plus avoir d’identité, à pouvoir opter indéfiniment pour des identités nouvelles et transitoires, toujours réversibles. C’est ainsi que l’on en arrive à définir, avec Sandrine Rousseau (un nom et un prénom très français de souche pourtant) les femmes comme « personnes en capacité de porter un enfant ». On se demande : quel nom faudra-t-il donner aux femmes de plus de 49 ans ?

La fin des identités collectives et des « grands récits »

Le refuge dans des micro-identités

Alors, vivons-nous la fin des identités ? Oui et non. Oui, les identités transmissibles, culturelles tendent à être éradiquées et à être ramenées à des versions simplifiées : un islamo-mondialisme s’instaure à la place de l’islam traditionnel ou plutôt, des islams traditionnels, un occidentalo-mondialisme monte à la place de ce que l’on appelait Occident dans les années 1920 et 1930 (avec des interprétations différentes du reste). C’est sous cet angle que le grand remplacement doit être vu, et qu’il existe comme corollaire du grand effacement des mémoires et des transmissions : il s’agit de ne garder que des religions sans culture, des langues sans culture, des « peuples » muséifiés sans culture, des décors de théâtre sans culture (voir ce que sont devenues les villes « d’art et d’histoire », et écoutons ce que dit Nicolas Bonnal de Tolède). Il s’agit d’être fluide. Soluble comme du café soluble.

Le libéralisme et la fin des identités collectives

Nous ne vivons pas la fin des identités au sens où tout doit être bagué, pucé, numérisé : nous-mêmes, les animaux, le vivant, et même l’inerte. Mais nous vivons le travestissement des identités, car leur fichage les réduit à de l’identité morte. C’est le grand référencement de tout. Dans la logique du libéralisme, c’est justement parce que tout est susceptible de changer, d’être changé, ce qui n’était pas le cas au temps de Carl von Linné, que tout doit être référencé, pour que ces changements soient tous contrôlés. On identifie par une référence ce qui n’a plus d’identité indiscutable.

L’identité humaine au sens d’Aristote et de Hannah Arendt, c’est-à-dire l’homme comme animal social et politique, est donc effacée et remplacée par des identités attribuées par le libéralisme ultime, qui devient un totalitarisme extrême.La raison en est que le libéralisme veut désormais produire (ou construire) l’homme conforme à sa théorie. Or, la théorie libérale suppose l’homme interchangeable. C’est pourquoi il ne faut lui laisser comme identité que son identité numérique, permettant de le contrôler, de l’asservir, de lui donner, via par exemple le revenu universel, des droits sous contrôle, une citoyenneté « à points », en fonction de son degré d’alignement sur le modèle désormais « normal » : la fluidité identitaire dans laquelle la notion de vrai, d’authentique, de juste et d’injuste a perdu toute signification. Ce que vise le libéralisme, c’est la réversibilité de tout par la fluidité identitaire. Ce qui veut dire qu’un homme pourrait devenir une femme, un blanc devenir un noir, et réciproquement, ou n’être ni l’un ni l’autre. Fluidité identitaire et, en même temps, « dictature des identités » comme dit Alain Finkielkraut, au sens où les identités sont ramenées à « être blanc », ou « être femme », ou « être une lesbienne ». Assomption de micro-identités hystériques qui se traduit par la revendication de réunions non mixtes (sans blancs, ou sans hommes, etc.), par le wokisme, véritable religion de substitution (comme quoi nous sommes toujours dans l’âge du théologico-politique), c’est-à-dire sur-attention délirante à tout ce qui serait discrimination, y compris dans le simple fait de nommer les choses comme elles sont ou les gens tels qu’ils sont. Hypersensibilité généralisée à toutes les différences qui pourraient exclure. « La surenchère perpétuelle transforme le souci des victimes en une injonction totalitaire, une inquisition permanente », disait René Girard. Il s’agit de savoir qui est le plus à plaindre : c’est la compétition victimaire de tous contre tous.

Surenchère victimaire et suppression des différences

Pour éviter toute « discrimination » (devenu un mot-valise), se fait jour l’idée qu’il faut une égalité parfaite entre tout et tous. Alain Finkielkraut note :

« L’individu démocratique, érigeant l’égalité comme finalité de l’action politique, non seulement ne supporte plus l’inégalité, mais considère la moindre différence comme une offense. Même si l’égalité semble réalisée, l’apparence d’une inégalité injurie en quelque sorte la conscience collective. Ainsi, il n’est plus question de veiller au respect de l’égalité, mais de scruter ce qui pourrait représenter une esquisse de divergence, jugée forcément discriminante »

(Conversations Tocqueville, 17-18 septembre 2021).

Ce wokisme est dans le droit fil de la cancel culture, qui est la liquidation de tout ce qui liait la culture à des transmissions.

Les identités deviennent à la fois choisies, transitoires, transparentes (pas question de ne pas faire son « outing ») et surdéterminantes. Choisies : ce ne sont pas les plus fragiles des identités. Mais à condition de ne pas changer tout le temps de choix. À condition que ce choix soit un vrai engagement. On se construit et on se choisit : c’est exact, mais ce n’est pas à partir de rien. Le nihilisme contemporain réside en cela : dire que l’on construit à partir de rien. Alors, il y a l’hypertrophie d’identités factices. Identités réduites à celles de « racisés » dans le jargon des wokistes, tristes identités numériques pour ceux qui n’existent qu’en fonction des réseaux sociaux.

Déconstruction des identités nationales, mais assignations aux identités de genre ou de race

Prenons conscience de ce paradoxe : au moment où la notion d’identité est déconstruite, devient réversible et sans héritage et à multiples options (raciales, sexuelles, etc.), cette notion d’identité renaît sous la forme d’une assignation identitaire d’une pauvreté existentielle difficilement imaginable. Un noir est ainsi censé s’identifier à un descendant d’esclaves, en oubliant que bien des esclavagistes ont aussi été noirs. Plus encore, des réunions non « mixtes » sont censées être nécessaires pour éviter tout regard infériorisant, toute discrimination, en oubliant que même entre noirs, même entre gays, même entre lesbiennes, la crainte des différences pourra toujours trouver à s’alimenter : pourront être hiérarchisantes les différences de physique (les plus ou moins beaux, les plus ou moins gros), de mental (les plus ou moins intelligents), de milieu social (les plus ou moins aisés), etc.

Le processus de non « mixité » pour éviter les sentiments d’infériorité est donc sans fin et ne peut aboutir qu’au solipsisme, seule solution pour éviter le regard des autres. La cancel culture (culture de l’annulation de tous les héritages culturels) et le wokisme (suspicion paranoïaque visant toutes les différences susceptibles d’être des supériorités) s’apparentent donc à une « destruction de la raison » (Georg Lukacs), ou, au moins, à une « éclipse de la raison » (Max Horkheimer), en allant encore plus loin que l’irrationalisme des années 1920 et 30. C’est une intolérance à l’intelligence qui est promue et devient obligatoire, afin de tout aligner par le bas. Intolérance à l’intelligence dont le revers est une tolérance infinie à la bêtise. « La tolérance atteindra un tel niveau que l’on interdira aux personnes intelligentes d’émettre des réflexions pour ne pas offenser les imbéciles », dit Mikhaïl Boulgakov. Nous en sommes là. C’est pourquoi il est temps de redonner ses droits à la raison, rien que sa place, mais toute sa place.

Lutter pour les libertés

Se libérer de la sidération totalitaire

C’est pourquoi la lutte pour les libertés supprimées par le pouvoir au nom de l’idéologie covidiste (qui est : il n’y a pas d’autre alternative face au virus, indéfiniment vigoureux et mutant, que le « vaccin » et les mesures coercitives comme le confinement, le couvre-feu, le passe, le masque, la revaccination perpétuelle) et demain au nom d’autres idéologie, comme le « réchauffisme » ou le « dérèglement » climatique (comme si la nature avait jamais obéi à un quelconque « règlement ») est la condition première de la survie mentale et morale de notre peuple.

Car il s’agit bien pour le pouvoir totalitaire du libéralisme ultime de nous précipiter dans le puits sans fond de la non-pensée, du non-esprit, de la fin de la littérature écrite, de la numérisation de tout. De nous précipiter dans le nihilisme. Car tuer l’humain n’empêche pas, bien au contraire, la marchandisation de toute la terre. C’est même ce qui la facilite. Dans le monde du libéralisme terminal, l’individu tout comme le collectif sont morts. C’est le libéralisme de la dernière marche.

La tyrannie vaccinale est au bout de tout un travail de sidération mentale, en filiation directe, mais en plus sophistiquée, d’Edward Bernays, fondateur de la propagande moderne dès 1916, sidération qui laisse chacun seul face à l’État (État à la fois tyran et nounou abusive : Big mother) et face aux GAFAM.

Faire face au désarmement de nos âmes

Bilan : après le « désenchantement du monde » (Max Weber), le désarmement de l’âme de l’homme. Allan Bloom parlait de « L’âme désarmée » dans un « essai sur le déclin de la culture générale », sous-titre qui vaut la peine d’être cité, car il indique bien comment la sidération progresse : par l’inculture, aujourd’hui par l’oubli de ce que le covid est l’un des moins graves des virus ayant existé, de ce que le climat a tout le temps changé (Emmanuel Leroy-Ladurie)2, etc.

Sous le flux de trop d’informations et de fausses informations, l’intelligence humaine est tétanisée, et les débats sereins deviennent impossibles par diabolisation des pensées dissidentes. Au bout du compte : le repli sur soi de chacun, l’enfermement dans sa bulle. « Ce ne sont pas des communautés rassemblant des individus, mais des clans composés de particules de foule. On n’y trouve pas des semblables, mais des hologrammes, pas de différences, mais des doublons, pas d’altérité, mais de la mêmeté », écrivent Ruben Rabinovitch et Renaud Large (Le Figaro, 18 septembre 2021). On ne peut mieux dire.

Refuser le règne des âmes froides, affirmer la chaleur des liens

Notre avenir vu par l’oligarchie, c’est un monde entièrement digitalisé. Des âmes froides et mortes. « La véritable fin du monde est l’anéantissement de l’esprit », disait Karl Kraus. C’est la question essentielle : si l’homme est robotisé comme nos maîtres le souhaitent, il n’y aura plus aucune lutte possible, ni contre le grand remplacement (démographique), ni contre le grand effacement (de notre histoire). Pas non plus de lutte contre la grande expropriation, celle des classes moyennes. Le libéralisme aura tout horizontalisé. Les pays bas pour tous.

Pierre Le Vigan



Derniers livres de l’auteur : Éparpillé façon puzzle (Libres, 2022), La planète des philosophes (Dualpha, 2022), Métamorphoses de la ville (La barque d’or, 2021).

Notes

1 Plus grand monde parmi les scientifiques ne défend la thèse de l’origine animale.

2 Ce qui n’exclut pas une influence humaine, mais devrait amener à être attentif à d’autres facteurs.




Danger 5G : 13 raisons pour lesquelles la technologie sans fil 5G sera une catastrophe pour l’humanité

[Source : etouffoir via santeglobale.world]

[Source anglaise : https://www.globalresearch.ca/5g-danger-13-reasons-5g-wireless-technology-will-be-a-catastrophe-for-humanity/5680503]

Par Makia Freeman

Le danger de la 5G ne peut être surestimé.

La 5G (5e génération) est actuellement activement déployée dans de nombreuses villes du monde. Simultanément, alors que la prise de conscience de ses horribles impacts sur la santé et la vie privée augmente, de nombreux endroits décrètent des moratoires ou l’interdisent, comme toute la nation belge, la ville de Vaud (Suisse) et San Francisco (États-Unis). Le rayonnement radiofréquence (RF ou RFR) et les champs électromagnétiques (EMF) sont de plus en plus reconnus comme de nouveaux types de pollution — la pollution de l’environnement. Voici 13 raisons exposant le danger de la 5G, qui pourrait se transformer en une catastrophe absolue pour la santé et la vie privée si suffisamment de personnes ne se lèvent pas pour l’arrêter.

[Initialement publié le 24 septembre 2019 :]

1. Danger 5G : détournement de vos antennes sudoripares

Le réseau 5G utilise et diffuse des fréquences qui affectent nos canaux sudoripares, qui agissent comme des antennes. En d’autres termes, notre plus grand organe, la peau, peut être influencé et manipulé par la 5G. Comme je l’ai signalé dans cet article 5G et IoT : la grille de contrôle technologique totale est déployée rapidement, le scientifique Dr Ben-Ishai a exposé le lien entre la 5 G et les canaux sudoripares de notre corps dans cette vidéo :

« [Les fréquences 5G] vont [nous] zapper avec des longueurs d’onde qui vont interagir avec la structure géométrique de notre peau…Nous avons découvert que les canaux sudoripares fonctionnent comme des antennes hélicoïdales… le canal sudoripare faisait partie intégrante du mécanisme d’absorption de l’énergie, électromagnétique, entre 75 et 100 GHz, et que si vous modifiiez le caractère du canal sudoripare, c’est-à-dire que vous le faisiez fonctionner, vous pourriez en fait modifier cette absorption à un moment donné, et si vous pouviez faire cela, vous pourriez retracer comment une personne est stressée. »

2. Danger 5G : la 5G amplifie les dommages EMF via les VGCC

Le Dr Martin Pall, scientifique spécialisé dans les rayonnements sans fil et les champs électromagnétiques, a mené des recherches révolutionnaires pour expliquer exactement comment les champs électromagnétiques provoquent un vieillissement prématuré et des lésions du corps humain, notamment des dommages à la fertilité, au cerveau, au cœur et même à l’ADN ! Il a été le pionnier de la recherche montrant comment les champs électromagnétiques activent les VGCC (canaux calciques voltage-dépendants) du corps, ce qui les amène à libérer des ions calcium en excès dans la cellule. Cela conduit alors à l’oxyde nitrique (NO) et au superoxyde qui réagissent presque instantanément pour former du peroxynitrite et des radicaux libres. De nombreuses études comme celle-ci montrent que le peroxynitrite endommage l’ADN. Le Dr Pall a déclaré sans équivoque que « le déploiement de la 5G est absolument insensé ».

3. Danger 5G : les ondes pulsées sont bien plus dommageables que les ondes continues

Une caractéristique importante et unique des compteurs intelligents est qu’ils émettent un rayonnement à ondes pulsées et non un rayonnement à ondes continues. En d’autres termes, ils fonctionnent dans des cycles de démarrage-arrêt d’émission d’une rafale d’EMF puis deviennent temporairement inactifs. Cela se produit un nombre incroyablement élevé de fois par jour ; des documents judiciaires avec des témoignages de sociétés de services publics (comme Pacific Gas and Electric Company of California) révèlent que les compteurs intelligents envoient des ondes pulsées entre 9 600 et 190 000 fois par jour !

Dans cette vidéo de 2018, le Dr Pall déclare qu’il existe 13 études qui montrent que les champs électromagnétiques à ondes pulsées sont plus actifs (et dangereux) que les champs électromagnétiques à ondes continues. Vous pouvez lire les preuves ici.

4. Danger 5G : la 5G favorise la pénétration profonde des CEM

La principale raison pour laquelle les téléphones cellulaires ou mobiles sont plus dangereux pour les enfants que pour les adultes (hormis le fait que l’absorption des rayonnements est cumulative au cours de la vie) est due à la pénétration des CEM.

Le Dr Pall écrit :

« L’industrie a également affirmé que les champs électromagnétiques à fréquence micro-ondes plus conventionnels sont limités en effet à 1 cm extérieur du corps. Nous savons que ce n’est pas vrai, cependant en raison des effets profonds sur le cerveau humain, sur le cœur et sur les systèmes hormonaux. Les deux études les plus importantes démontrant des effets au plus profond de l’organisme sont peut-être les études du professeur Hässig et de ses collègues en Suisse sur la formation de la cataracte chez les veaux nouveau-nés. Ces deux études montrent clairement que lorsque des vaches gestantes paissent à proximité de stations de base de téléphonie mobile (également appelées tours de téléphonie cellulaire), les veaux naissent avec une incidence très accrue de cataractes. »

Hässig a écrit dans son étude de 2009 :

« Sur 253 veaux, 79 (32 %) avaient divers degrés de cataracte nucléaire, mais seulement 9 (3,6 %) veaux avaient une cataracte nucléaire sévère. Les résultats démontrent une relation entre la localisation des veaux de boucherie atteints de cataractes nucléaires au premier trimestre de gestation et la force des antennes. Le nombre d’antennes dans un rayon de 100 à 199 mètres était associé au stress oxydatif et il y avait une association entre le stress oxydatif et la distance à la MPBS (Mobile Phone Base Station) la plus proche. »

5. Danger 5G : la 5G est un système d’armes déguisé en commodité pour le consommateur

Mark Steele a été très franc contre la 5 G et a maintenant été largement interviewé, notamment par Project Camelot et aussi par Sacha Stone dans son documentaire 5 G Apocalypse : The Extinction Event. Steele affirme que bien que de nombreux rapports indiquent que la 5G fonctionne dans la gamme 24-100 GHz, elle est en fait inférieure au gigahertz (c’est-à-dire sous le seuil GHz, donc toujours mesuré en MHz). Il dit que la 5G est un système d’armes comme le radar à longue portée, le radar à réseau phasé et l’énergie dirigée (le DEW a été utilisé le 11 septembre et divers incendies comme les incendies du paradis). Il affirme que lorsque vous examinez le matériel 5G, il a une lentille diélectrique qui est la preuve qu’il s’agit d’un système d’armes. Les véhicules autonomes peuvent utiliser la 5G pour briller dans les rétroviseurs des autres conducteurs (ce qui est si fort et dommageable qu’il équivaut à une agression). Mark explique à quel point la 5G est suffisamment puissante pour tuer les bébés dans l’utérus. Il déclare :

« La 5G est un système d’armes, rien de plus, rien de moins. Cela n’a rien à voir avec les télécommunications pour les humains. La 5 G est une connexion machine à machine pour les véhicules autonomes. »

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux (de Mark Steele)
et 5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone]

6. Danger 5G : les pompiers de Los Angeles développent des maux après avoir été trop près des tours

Dans cette vidéo, un pompier vétéran de 25 ans de Los Angeles compare les tours de téléphonie cellulaire aux cigarettes. Il appelle à l’arrêt des stations de base de téléphonie mobile en cours de construction sur ou à proximité des casernes de pompiers. Les pompiers ne sont pas les seuls à en subir les effets ; il a été rapporté que des centaines d’oiseaux sont tombés du ciel aux Pays-Bas lors d’un test 5 G.

[Voir aussi :
Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?
et
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]

7. Danger 5G : mêmes fréquences que celles utilisées pour la dispersion des foules

La 5G utilise prétendument des fréquences d’ondes millimétriques (MMW), ainsi appelées parce que les fréquences sont si élevées (dans la gamme 24-100 GHz). Puisque 1 GHz = 1 milliard de GHz, on parle de fréquences à très très courte longueur d’onde (la distance entre le pic d’une onde et la suivante). Les distances sont si petites qu’elles se mesurent en millimètres, d’où le terme d’onde millimétrique. Ce sont exactement les mêmes fréquences utilisées par l’armée pour leurs armes non létales telles que les systèmes de déni actif pour la dispersion des foules. Ces armes ont la capacité de causer d’énormes blessures. Le Dr Paul Ben-Ishai a déclaré :

« Si vous avez la malchance d’être là quand il vous frappe, vous aurez l’impression que votre corps est en feu. »

8. Danger 5G : mutagène (causant des dommages à l’ADN) et cancérigène (causant le cancer) ?

Les fréquences MMW de la 5G causent des dommages à l’ADN mitochondrial — qui sont ensuite transmis de génération en génération. La 5G est mutagène. Ces mutations sont héritées par la génération suivante ! Cela a de graves implications pour la pureté génétique. Combien de personnes y pensent alors qu’elles ne peuvent s’empêcher de regarder leurs écrans ? Ce site Web répertorie de nombreuses études montrant les dommages mitochondriaux qui se produisent après une exposition aux rayonnements électromagnétiques.

Avec la mutagenèse vient généralement la carcinogenèse. En d’autres termes, une fois que quelque chose est suffisamment puissant et dangereux pour causer des dommages à l’ADN, il y a de fortes chances que cela mène au cancer. Mark Steele dit que la 5G est un cancérogène de classe 1, bien que l’OMS (Organisation mondiale de la santé) classe très prudemment les tours de téléphonie cellulaire comme un cancérogène possible de classe 2 b. Il est important de noter, cependant, que l’OMS est une agence de l’ONU qui a été créée par les Rockefeller, une illustre famille NWO Illuminati qui prévoit d’utiliser l’ONU comme véhicule pour inaugurer un gouvernement mondial unique.

La 5 G est précipitée sans que les tests de sécurité appropriés ne soient effectués, nous n’avons donc pas beaucoup de données sur la façon dont la 5 G cause spécifiquement le cancer, mais il existe une abondance de preuves montrant comment les CEM 2G, 3G et 4G sont impliqués dans de nombreux types de cancer, y compris le cancer du cerveau. Ce site Web contient une bonne collection des nombreuses études réalisées.

9. Danger 5G : Densification multiéléments

La 5G nécessite beaucoup plus d’émetteurs ou de diffuseurs que les générations précédentes. C’est un plan de création massive d’infrastructures, avec des gares, des pylônes et des bases prévus pour être mis un peu partout, y compris au cœur des quartiers résidentiels. Les effets de ce type de densification pourraient être désastreux.

La 5G est suffisamment puissante pour cartographier en 3D l’intérieur de votre maison et d’autres bâtiments. Mark Steele met particulièrement en avant la fréquence 868 MHz, précédemment utilisée pour les interrogatoires sur le champ de bataille et qui peut se déplacer facilement à travers les briques et le béton. Il prétend que cette fréquence peut isoler des personnes spécifiques… intéressant étant donné tout le harcèlement électronique et le harcèlement criminel qui se produit contre les TI (individus ciblés).

L’infrastructure 5G consistera en de petites antennes à réseau phasé émettant des radiations sur leurs cibles comme une balle. Les rayons de micro-ondes qu’ils produisent seront suffisamment puissants pour traverser les murs et les corps humains. Nous serons couverts par ce 24/7/365, et pire encore, la zone de couverture devrait être plus large que la 4 G actuelle, englobant finalement chaque centimètre carré de la Terre.

10. Danger 5G : tuer tous les insectes ?

Les insectes, les oiseaux et les enfants sont les plus vulnérables à la 5G en raison de leur taille corporelle. Claire Edwards est une ancienne rédactrice en chef de l’ONU qui a porté la question EMF/5G à l’attention du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Elle a déclaré dans un discours de rassemblement anti-5G à Stockholm :

« Il est intéressant de noter qu’au cours des 20 dernières années, nous avons perdu 80 % de nos insectes. Et si nous obtenons la 5G, nous allons perdre 100 % de nos insectes. Quand les insectes s’en vont, nous disparaissons aussi. »

Les insectes et la 5G ont besoin d’antennes : les insectes les utilisent, entre autres, pour leur odorat, tandis que la 5G les utilise pour propager des ondes. Sans surprise, les insectes sont sensibles aux ondes EMF 5G ; cette étude récente a montré que les insectes exposés au rayonnement 5G ont connu une augmentation de leur température corporelle.

« Des études ont montré que les fréquences utilisées par la 5G augmentent la température corporelle des insectes. Ce phénomène n’a pas été observé avec la 4G ou le WiFi. »

Pendant ce temps, l’étude Exposition des insectes aux champs électromagnétiques radiofréquences de 2 à 120 GHz conclut :

« Les futures longueurs d’onde des champs électromagnétiques utilisés pour les systèmes de télécommunication sans fil diminueront et deviendront comparables à la taille corporelle des insectes et, par conséquent, l’absorption des RF-EMF chez les insectes devrait augmenter. »

11. Danger 5G : 5G basée dans l’espace

5G : vue d’ensemble La 5G est prévue pour être une grille incontournable — avec des plans en cours pour la téléporter depuis l’espace ! Cela est lié au programme Space Fence, comme je l’ai expliqué dans mon article Space Fence : Connecting the Surveillance and Transhumanist Agendas. L’organisation International Appeal Stop 5G on Earth and in Space écrit :

« Au moins cinq entreprises proposent de fournir la 5G depuis l’espace à partir de 20 000 satellites combinés en orbite terrestre basse et moyenne qui couvriront la Terre de faisceaux puissants, focalisés et orientables. Chaque satellite émettra des ondes millimétriques avec une puissance rayonnée effective pouvant atteindre 5 millions de watts à partir de milliers d’antennes disposées en réseau phasé. »

Il est essentiel de comprendre le tableau d’ensemble de la grande conspiration ici. Toutes ces technologies perturbatrices et dangereuses — 5G, wi-fi, rayonnement sans fil, HAARP, chauffage ionosphérique, géo-ingénierie, OGM, etc. — vont être tissées dans un système intégré géant de surveillance, de commande et de contrôle. Juste comme un petit exemple, la géo-ingénierie implique la pulvérisation de chemtrails chargés de particules métalliques — que la 5G peut utiliser.

12. Danger 5G : re-rayonnement à l’intérieur du corps

En 2002, le chercheur RF Arthur Firstenberg a publié une analyse de la 5G bien avant que la technologie ne soit approuvée. Il a expliqué comment, du fait que les impulsions EM 5G sont extrêmement courtes et délivrées en rafales, elles se répliquent en fait à l’intérieur du corps — et finissent par créer de minuscules nouvelles antennes 5G en interne. Firstenberg a écrit :

« …Lorsque des impulsions électromagnétiques extrêmement courtes pénètrent dans le corps, quelque chose d’autre se produit : les charges mobiles elles-mêmes deviennent de petites antennes quiréémettent le champ électromagnétique et l’envoient plus profondément dans le corps… »

« Ces ondes réémises sont appelées précurseurs de Brillouin… Elles deviennent significatives lorsque la puissance ou la phase de l’onde change assez rapidement… Cela signifie que l’assurance que l’on nous donne — que ces ondes millimétriques sont trop courtes pour pénétrer loin dans le corps — n’est pas vraie. »

[Voir aussi, par Arthur Firstenberg :
La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
Paquet d’ondes radio
L’espace circumterrestre, bientôt une poubelle ?
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

Cela fait écho à un point précédent — que la pénétration de la 5G est un grave danger.

13. Danger 5G : les compagnies d’assurance refusent de garantir Big Wireless. Que savent-ils ?

Les compagnies d’assurance (dont la plus célèbre est Lloyds of London) ont fait la une des journaux en refusant d’assurer Big Wireless (le conglomérat d’entreprises de télécommunications) contre les maladies et les réclamations liées au Wi-Fi et à la 5G :

« Eh bien, le rapport de l’équipe d’évaluation des risques du Lloyd’s de novembre 2010 nous donne un indice solide :le rapport compare ces technologies sans fil à l’amiante, dans la mesure où les premières recherches sur l’amiante n’étaient pas concluantes et ce n’est que plus tard qu’il est devenu évident pour quiconque prête attention que l’amiante provoque cancer. Gardez à l’esprit que l’étude d’évaluation des risques du Lloyd’s sur le Wi-Fi a été publiée il y a plus de 8 ans [maintenant 9 – Ed.] ans. Même à l’époque, cependant, leur équipe d’évaluation des risques était assez intelligente pour se rendre compte que de nouvelles preuves pourraient bien émerger montrant que les différentes fréquences Wi-Fi causent des maladies. »

Conclusion : le réseau 5G fait partie d’un programme plus large de commandement, de contrôle, de surveillance et d’intelligence artificielle (IA)

La 5G est qualitativement et quantitativement différente de la 4G. C’est bien plus que la prochaine étape de la 4G. Non seulement la 5G émettra des dizaines à des centaines de fois plus de rayonnement que la 4G, mais l’introduction de la technologie MMW signifie une toute nouvelle série de dangers. L’histoire se répète. Tout comme il a fallu du temps à la vraie science pour rattraper le tabac/les cigarettes, et tout comme il a fallu du temps à la vraie science pour rattraper la monstruosité que sont les OGM (maintenant rebaptisés BioEngineered Foods), la vraie science rattrapera aussi la 5G. En attendant, vous pouvez vous attendre à ce que toutes sortes de sciences inutiles soient présentées pour le justifier, y compris des erreurs d’orientation et des distractions comme se concentrer uniquement sur les effets thermiques du sans-fil (et ignorer les preuves d’effets non thermiques dangereux).

En fin de compte, la 5G fait partie de l’agenda du NWO pour mettre en place une grille de commande et de contrôle géante et incontournable qui élimine toute intimité et permet aux manipulateurs de surveiller chaque personne sur la planète à tout moment. S’il y a jamais eu un moment où les militants interviennent au nom de la liberté, de la vérité, de la santé, de la vie privée et de la souveraineté, c’est le moment.



À propos de l’auteure

Makia Freeman est la rédactrice en chef du média alternatif/site d’information indépendant The Freedom Articles et chercheuse principale chez ToolsForFreedom.com, écrivant sur de nombreux aspects de la vérité et de la liberté, allant de l’exposition d’aspects de la conspiration mondiale à la suggestion de solutions sur la manière dont l’humanité peut créer un nouveau système de paix et d’abondance. Makia est sur Steemit et FB.

Sources :

La source originale de cet article est Tools for Freedom
Copyright © Makia Freeman, Outils pour la liberté, 2021




Premières victimes reconnues des antennes 5G

[Source : maisonsaine.ca]

L’oncologue suédois Dr Lennart Hardell est un pionnier des études sur la cancérogénécité de la dioxine, des BPC, du glyphosate (Roundup) et du rayonnement de téléphonie cellulaire.  Son blogue : 
https://lennarthardellenglish.wordpress.com/

Deux récentes études suédoises sont parmi les premières à documenter les effets biologiques de l’exposition au rayonnement de radiofréquences/micro-ondes émis par des antennes de téléphonie cellulaire de cinquième génération (5G).

Troubles du sommeil, fatigue, étourdissements, palpitations cardiaques, troubles de l’humeur et problèmes respiratoires sont parmi les principaux symptômes ressentis par les gens à proximité des antennes 5G, selon les deux études signées par le Dr Lennart Hardell, épidémiologiste et oncologue à l’hôpital universitaire d’Örebro, et Mona Nilsson qui dirige la Fondation suédoise de radioprotection. Des symptômes typiques du syndrome des micro-ondes, une affection décrite chez des travailleurs par des chercheurs est-européens dès les années 1960.

[Voir aussi :
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
et les autres articles du dossier 5G et ondes pulsées]

Première étude

Hardell et Nilsson ont d’abord enquêté sur les symptômes développés par un couple dans la soixantaine. Vivant dans le même appartement depuis dix ans, ils jouissaient généralement d’une bonne santé malgré la présence d’une station de base d’antennes 3G et 4G sur leur toiture. En novembre 2021, cette station de base a été mise à niveau vers la 5G.

« Des rayonnements de radiofréquences (RF) très élevés, avec des valeurs crêtes maximales de 354 000, 1 690 000 et >2 500 000 microwatts par mètre carré (μW/m2), ont été mesurés à trois reprises dans la chambre à coucher située à seulement 5 mètres en dessous de la nouvelle station de base 5G, contre un maximum de 9 000 μW/m2 avant le déploiement de la 5G, écrivent les auteurs. Les symptômes apparus rapidement après le déploiement de la 5G étaient typiques du syndrome des micro-ondes, avec par exemple des symptômes neurologiques, des acouphènes, de la fatigue, de l’insomnie, des troubles émotionnels, des troubles cutanés et une variabilité de la pression artérielle », expliquent-ils dans leur article paru le 10 janvier dans la revue Annals of Case Reports.

La femme a souffert de symptômes plus prononcés, dont des problèmes de sommeil, des étourdissements, des sensations de picotement et de brûlure de la peau, des difficultés de concentration, de la fatigue, des probèmes cardiaques, pulmonaires et de mémoire à court terme. « En raison de la gravité des symptômes, le couple a quitté son logement et s’est installé dans une petite pièce avec un rayonnement RF maximal de 3 500 μW/m2. En l’espace de quelques jours, la plupart de leurs symptômes se sont atténués ou ont complètement disparu. Cet épisode médical peut être considéré comme un test de provocation classique. »

Les mêmes types de symptômes sont souvent décrits comme une hypersensibilité électromagnétique ou électrohypersensibilité (EHS). Ils ont également été signalés parmi le personnel d’ambassades atteints du soi-disant « syndrome de La Havane » dont l’exposition à des micro-ondes pulsées est la cause probable, ont conclu en 2020 des chercheurs de l’Académie nationale des sciences américaine

Les niveaux de rayonnement RF dans l’appartement étaient bien inférieurs à la limite de 10 000 000 µW/m2 proposée comme « sûre » et recommandée par la Commission internationale des rayonnements non ionisants (ICNIRP). En fait, cette limite doit seulement protéger contre les effets chauffants provoqués par une courte exposition aux RF/micro-ondes. « Ces symptômes du syndrome des micro-ondes ont été causés par des effets non thermiques des rayonnements RF et montrent que les lignes directrices de l’ICNIRP utilisées dans la plupart des pays, y compris la Suède, ne protègent pas la santé humaine, commentent Hardell et Nilsson. Il est urgent d’élaborer des lignes directrices fondées sur tous les effets biologiques négatifs des rayonnements RF et de surveiller la santé humaine, notamment en raison de l’augmentation rapide des niveaux d’exposition. »

Seconde étude

La seconde étude concerne deux informaticiens vivant et travaillant à proximité d’un émetteur 5G fonctionnant à 3,5 GHz.

Le premier homme, âgé de 57 ans, a travaillé de mai 2019 à novembre 2021 dans un bureau directement sous une station de base transmettant des signaux 3G et 4G, sans rencontrer aucun problème. En novembre 2021, un émetteur 5G a été installé sur le toit. Il n’a pas passé beaucoup de temps dans son bureau jusqu’en avril 2022, date à laquelle il a commencé à travailler et à dormir sous l’émetteur. En mai, il avait développé de légers maux de tête qui ne se produisaient que lorsqu’il était dans le bâtiment et disparaissaient lorsqu’il le quittait.

Il a ensuite développé une série d’autres symptômes inconfortables, dont certains qu’il a qualifiés de « graves ou insupportables » : maux de tête, douleurs articulaires (arthralgie), acouphènes, problèmes de concentration et d’attention, fatigue, réveil précoce et brûlures de la peau. L’homme a quitté le bureau pour un endroit éloigné des antennes 5G et ses symptômes ont disparu en un mois. Cependant, il souffre encore de maux de tête et d’arthralgie lorsqu’il se rend dans des endroits très irradiés.

Le deuxième homme, âgé de 42 ans, travaillait et dormait dans le même bâtiment à l’étage sous la station de base. Après l’installation de l’antenne 5G, il a souffert d’insomnie aggravée, d’une tendance à la dépression, d’anxiété/panique, d’émotivité, de maux de tête, d’un déficit de concentration/attention et, dans une moindre mesure, d’irritabilité, d’acouphènes, de vertiges, de troubles de l’équilibre, de confusion et de perte de cheveux. L’homme a quitté le bureau pour une zone rurale sans 5G et ses symptômes ont rapidement disparu.

Les niveaux de rayonnement mesurés dans les bureaux des deux hommes variaient entre 501 000 µW/m2 et 1 180 000 µW/m2. « Ainsi, les humains ne sont absolument pas protégés contre tous les effets non thermiques de l’exposition réelle aux micro-ondes/RF des technologies modernes 3G, 4G, 5G, concluent Hardell et Nilsson. Les effets nocifs comprennent le cancer, les dommages à l’ADN, le stress oxydatif, les effets neurologiques et autres effets biologiques susceptibles de nuire à la santé. Le syndrome des micro-ondes et l’EHS doivent être pris au sérieux par les professionnels de la santé. Ce n’est pas une maladie mentale. Plusieurs symptômes somatiques sont inclus dans le syndrome des micro-ondes et les maladies chroniques, dont le cancer, sont des facteurs de risque d’exposition chronique. »

Ces études s’ajoutent à d’autres qui montrent que le syndrome des micro-ondes apparaît à des niveaux bien inférieurs aux directives actuelles recommandées par l’ICNIRP.

Les auteurs conseillent aux praticiens de la santé de prendre soigneusement les antécédents de leurs patients et de tenir compte de l’impact de leur exposition aux rayonnements sans fil à la maison et au travail. 



Références

Hardell, L et Nilsson, M, Case Report : The Microwave Syndrome After Installation of 5G Emphasizes the Need for Proteciton from Radiofrequency Radiation. Annals of Case Reports 8:1112, 10 janvier 2023.

Hardell, L et Nilsson, M, Development of the Microwave Syndrome in Two Men Shortly After Installation of 5G on the Roof Above Their Office. Annals of Clinical Case Reports Rep. 2023; 8 : 2378, 4 février 2023.




40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »

[Source : off-guardian.org]

[NDLR Les numéros entre crochets renvoient aux faits correspondants, numérotés de 1 à 40, ou aux parties correspondantes, I à X]

Par Kit Knightly

Nous avons publié pour la première fois notre feuille d’information très populaire en septembre 2021, en réponse à des dizaines — voire des centaines — de demandes de sources et de données de la part de nos lecteurs. Il s’agissait d’une ressource et d’une mine de liens autant que d’un article, volontairement dépourvu d’interprétation, d’éditorialisation ou d’opinion.

La réponse a été incroyable : en quelques semaines, il est devenu notre article le plus consulté de tous les temps, et son trafic est resté constant depuis lors.

Mais le temps passe, et au fur et à mesure que de nouvelles données étaient publiées et que de nouveaux faits apparaissaient, il est devenu évident que nous devions mettre à jour l’article — non seulement en matière de faits, mais aussi en matière d’approche.

Voici donc tous les faits et sources clés actualisés concernant la prétendue « pandémie », pour vous aider à comprendre ce qui s’est passé dans le monde depuis janvier 2020 et à éclairer ceux de vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la « nouvelle normalité ».

PARTIE I : LES SYMPTÔMES

1. La « Covid-19 » et la grippe ont des symptômes IDENTIQUES. Il n’y a pas de symptômes ou d’ensembles de symptômes uniques ou spécifiques à la « Covid » et seulement à la « Covid ». Tous les symptômes de « Covid » sont communs à de nombreuses autres maladies et affections, y compris l’ensemble des infections respiratoires courantes connues sous le nom familier de « grippe ».

C’est ce qu’admettent volontiers les sources grand public et les « experts », qui décrivent régulièrement les symptômes de « Covid » comme « semblables à ceux de la grippe ».

Selon le site web du Centre américain de contrôle des maladies, qui compare la « Covid » et la grippe :

« Vous ne pouvez pas faire la différence entre la grippe et la Covid-19 rien qu’en regardant les symptômes, car ils ont certains des mêmes symptômes. »

Le NHS britannique déclare quant à lui :

« Les symptômes [de la Covid] ne sont pas différents de ceux de la grippe :
Les symptômes [de la Covid] sont très similaires à ceux d’autres maladies, telles que le rhume et la grippe. »

Alors que toutes les sources traditionnelles parlent de l’admission dans un langage doux — « certains des mêmes symptômes », « très similaires » — la vérité est que les symptômes sont identiques. Les seuls points de différence observés sont des équivoques sur la gravité et le délai d’apparition.

Cet article de Health Partners souligne que la « Covid » peut être à la fois plus grave et moins grave que la grippe, en précisant que la « Covid » peut parfois « ressembler davantage à un rhume »

Selon la Mayo Clinic, dans son article sur la « Covid » et la grippe, la seule différence entre les symptômes est qu’ils « apparaissent à des moments différents ».


2. Les « opacités en verre dépoli » ne sont PAS l’apanage de la « Covid ». Au début de la pandémie, il a été signalé que l’imagerie médicale révélait ce que l’on appelle des « opacités en verre dépoli » dans les poumons des personnes soupçonnées d’avoir contracté la grippe, et que ces opacités étaient utilisées pour diagnostiquer les patients, mais les anomalies en verre dépoli ne sont pas propres à la Covid.

Selon un article allemand publié dans la revue Radiologie en 2010 :

« L’opacité en verre dépoli (GGO) est définie comme une infiltration pulmonaire diffuse [qui peut être causée par] un œdème, un espace aérien et une pneumonie interstitielle, une pneumopathie non infectieuse ainsi que des manifestations tumorales. Des processus physiologiques, tels qu’une mauvaise ventilation des zones pulmonaires dépendantes et les effets de l’expiration, peuvent également se présenter sous la forme d’une opacité en verre dépoli. »

En 2012, le Journal of Respiratory Care a publié un article intitulé « The Imaging of Acute Respiratory Distress Syndrome » (L’imagerie du syndrome de détresse respiratoire aiguë) qui décrit les opacités en verre dépoli de la manière suivante [accentuation ajoutée] :

L’opacification en verre sur le scanner est un signe non spécifique qui reflète une réduction globale du contenu en air du poumon affecté.

En 2022, le Lancet a publié une étude de cas d’un médecin indien littéralement intitulée « Ground glass opacities are not always Covid-19 » (les opacités en verre dépoli ne sont pas toujours des Covid-19).

Un autre article, publié par Health.com en mai 2022, souligne que :

Les opacités en verre dépoli ne sont pas spécifiques à la Covid-19 […] elles peuvent apparaître en raison d’autres conditions et infections.

En bref, les opacités en verre dépoli sont une manifestation courante d’une maladie ou d’une lésion pulmonaire, et sont associées à la pneumonie, à la pneumonite, à la tuberculose et à de nombreuses autres affections.


3. La perte de l’odorat et du goût n’est PAS propre à la « Covid ». Comme pour les OGM, il a été largement rapporté que la perte du goût et de l’odorat était le signe révélateur de la « Covid », mais il s’agit d’un symptôme connu de nombreuses infections des voies respiratoires supérieures.

Selon un article publié en 2001 sur le site web de l’école de médecine de l’université du Connecticut :

Chez les adultes, les deux causes les plus courantes de troubles de l’odorat que nous voyons dans notre clinique sont les suivantes :
(1) la perte d’odorat due à un processus en cours dans le nez et/ou les sinus, comme les allergies nasales
et (2) la perte d’odorat due à une lésion du tissu nerveux spécialisé au sommet du nez (ou éventuellement des voies olfactives supérieures dans le cerveau) à la suite d’une infection virale antérieure des voies respiratoires supérieures.

Selon le NHS britannique, de nombreuses affections courantes sont connues pour provoquer des lésions aiguës et chroniques de l’odorat et du goût :

Les modifications de l’odorat sont le plus souvent causées par un rhume ou une grippe, une sinusite (infection des sinus) [ou] des allergies (comme le rhume des foins).


PARTIE II : DIAGNOSTIC ET TESTS PCR

4. Il n’est pas possible de diagnostiquer cliniquement la « Covid-19 ». Le diagnostic clinique est la pratique consistant à diagnostiquer une maladie sur la base d’un symptôme unique ou d’un ensemble de symptômes. Le Wiktionnaire le définit comme suit :

L’identification estimée de la maladie sous-jacente aux plaintes d’un patient en se basant uniquement sur les signes, les symptômes et les antécédents médicaux du patient plutôt que sur des examens de laboratoire ou d’imagerie médicale.

Étant donné que la « Covid-19 » n’a pas de profil symptomatique unique [1], et que TOUS les principaux symptômes de la « Covid » peuvent potentiellement s’appliquer à littéralement toutes les infections respiratoires courantes, il est impossible de diagnostiquer « Covid-19 » sur la base des symptômes.


5. Les tests de flux latéral ne sont pas fiables. Tout au long de la « pandémie », les « autotests » de dépistage de la « Covid » les plus fréquemment utilisés étaient les tests de flux latéral (LFT). Ces tests sont très peu fiables et sont connus pour donner des résultats positifs à partir de liquides ménagers tels que les jus de fruits et les sodas.

Au Royaume-Uni, les enfants « cassent » fréquemment leurs LFT en utilisant du vinaigre ou du coca-cola afin de créer des tests faussement positifs et d’obtenir quelques jours d’absence à l’école.

En février 2022, un « expert » a déclaré au Guardian que les LFT pouvaient donner des résultats faussement positifs en fonction du régime alimentaire de la personne testée ou en raison d’une « réaction croisée » avec un virus différent.

En février 2022, une équipe d’ » experts » de l’Imperial College a également indiqué que les LFT pouvaient « manquer » des personnes infectieuses. En d’autres termes, la position officielle est que les LFT produisent des résultats faussement négatifs ET des résultats faussement positifs.

En outre, il est reconnu — et c’est le sujet d’articles explicatifs — que les résultats des LFT et de la PCR se contredisent souvent. En d’autres termes, il est possible d’obtenir un résultat positif à l’un des tests, mais pas à l’autre.

En bref, les tests de flux latéral n’ont pratiquement aucune valeur diagnostique.


6. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer des maladies. Le test de Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) est décrit dans les médias comme « l’étalon-or » du diagnostic « Covid ».

Mais Kary Mullis, l’inventeur de ce procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic et l’a dit publiquement :

La PCR n’est qu’un procédé qui vous permet de produire une grande quantité de quelque chose à partir de quelque chose. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose que vous avez obtenue va vous faire du mal, ou quoi que ce soit de ce genre ».


7. Les tests PCR ont la réputation d’être imprécis et peu fiables. Les tests PCR « de référence » pour la « Covid » sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

Une étude chinoise a montré qu’un même patient pouvait obtenir deux résultats différents à partir du même test le même jour. En Allemagne, on sait que les tests ont réagi à des virus du rhume. Aux États-Unis, certains tests ont même réagi à l’échantillon de contrôle négatif.

Le président tanzanien John Magufuli, aujourd’hui décédé, a soumis des échantillons de chèvre, de papaye et d’huile de moteur à des tests PCR, qui se sont tous révélés positifs au virus.

Dès février 2020, les experts admettaient que le test n’était pas fiable. Le Dr Wang Cheng, président de l’Académie chinoise des sciences médicales, a déclaré à la télévision publique chinoise : « La précision des tests n’est que de 30 à 50 % ». Sur son propre site web, le gouvernement australien a déclaré : « Les données disponibles pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests Covid-19 disponibles sont limitées ». Un tribunal portugais a jugé que les tests PCR n’étaient pas fiables et ne devaient pas être utilisés pour le diagnostic.

Le manque de fiabilité des tests PCR n’est d’ailleurs pas propre à la « Covid ». Une étude réalisée en 2006 a révélé que les tests PCR pour un virus réagissaient également à d’autres virus. En 2007, la confiance accordée aux tests PCR a entraîné une « épidémie » de coqueluche qui n’a jamais existé.

Vous pouvez lire des analyses détaillées des défaillances des tests PCR ici, ici et ici.


8. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. Les tests PCR sont exécutés par cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré :

« Si vous devez effectuer plus de 40 cycles […], il y a quelque chose qui ne va pas du tout avec votre PCR.»

Les lignes directrices du MIQE en matière de PCR vont dans le même sens : « Les valeurs [CT] supérieures à 40 sont suspectes en raison de la faible efficacité qu’elles impliquent et ne doivent généralement pas être rapportées. »

Le Dr Fauci lui-même a admis que toute valeur supérieure à 35 cycles n’est presque jamais cultivable [NDLR On ne peut pas en faire de culture virale].

Le Dr Juliet Morrison, virologue à l’université de Californie, à Riverside, a déclaré au New York Times : Tout test dont le seuil de cycle est supérieur à 35 est trop sensible… Je suis choquée que l’on puisse penser que 40 [cycles] peuvent représenter un résultat positif… Un seuil plus raisonnable serait de 30 à 35″.

Dans le même article, le Dr Michael Mina, de l’École de santé publique de Harvard, estime que la limite devrait être fixée à 30, et l’auteur poursuit en soulignant que la réduction du nombre de cycles de 40 à 30 aurait permis de réduire de 90 % le nombre de cas de « Covidés » dans certains États.

Les données du CDC suggèrent qu’aucun échantillon de plus de 33 cycles ne peut être cultivé, et l’Institut Robert Koch d’Allemagne affirme qu’aucun échantillon de plus de 30 cycles n’est susceptible d’être infectieux.

Malgré cela, on sait que la quasi-totalité des laboratoires américains effectuent leurs tests sur au moins 37 cycles et parfois jusqu’à 45. La « procédure opérationnelle standard » du NHS pour les tests PCR fixe la limite à 40 cycles.

Sur la base de ce que nous savons des valeurs CT, la majorité des résultats des tests PCR sont au mieux discutables.


9. L’Organisation mondiale de la santé a admis (à deux reprises) que les tests PCR produisaient de faux positifs. En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus PCR, demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs élevées de CT qui entraînent des résultats faussement positifs :

Lorsque les échantillons retournent une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

Puis, en janvier 2021, l’OMS a publié un autre mémo, cette fois-ci pour avertir que les tests PCR positifs « asymptomatiques » devaient être retestés, car il pouvait s’agir de faux positifs :

Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et testé à nouveau en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.

Ces annonces ont coïncidé avec le lancement initial des « vaccins Covid ».


10. La base scientifique de TOUS les tests « Covid » est discutable. Le génome du virus Sars-Cov-2 a été prétendument séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et coll.) auraient utilisé le génome pour créer des tests PCR.

Ils ont rédigé un article intitulé Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR, qui a été soumis pour publication le 21 janvier 2020, puis accepté le 22 janvier. Cela signifie que l’article a été prétendument « évalué par les pairs » en moins de 24 heures. Un processus qui prend généralement des semaines.

Depuis lors, un consortium de plus de quarante scientifiques du vivant a demandé le retrait de l’article, rédigeant un long rapport détaillant dix erreurs majeures dans la méthodologie de l’article.

Ils ont également demandé la publication du rapport d’évaluation par les pairs de la revue, afin de prouver que l’article a bien été soumis au processus d’évaluation par les pairs. La revue n’a pas encore donné suite à cette demande.

Les tests Corman-Drosten sont à la base de tous les tests PCR « Covid » dans le monde. Si l’article est douteux, tous les tests PCR le sont également.


PARTIE III : « CAS » & « DÉCÈS »

11. Un très grand nombre de « cas de Covid » sont « asymptomatiques ». Au début de la « pandémie », il a été signalé que la majorité des « cas Covid » ne présentaient aucun symptôme. En mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75 % des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique datant d’août 2020 a révélé que 86 % des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Un article chinois de mars 2020 a révélé que plus de 80 % des « cas asymptomatiques » étaient en fait de faux résultats positifs.

En bref, la grande majorité des « cas » survenus au cours de la première année de la « pandémie » étaient des personnes qui n’ont jamais été malades.

À la suite d’une directive de l’OMS visant à tester à nouveau les cas asymptomatiques [9] en janvier 2021 — juste au moment où les « vaccins » ont été déployés pour la première fois — le pourcentage de « cas asymptomatiques » aurait été plus faible, à savoir environ 40 %.


12. Les chiffres relatifs aux « cas cliniques » sont intrinsèquement dénués de sens. Depuis le début de la « pandémie », un « cas Covid » a été défini dans des termes garantissant un gonflement artificiel des statistiques.

Selon la définition de l’Organisation mondiale de la santé, un « cas confirmé » est toute personne dont le résultat de la PCR est positif, quels que soient les symptômes ou les antécédents personnels. En outre, on sait que de nombreuses agences sanitaires dans le monde — y compris le CDC américain — incluent les « cas probables » dans leurs statistiques.

L’OMS définit un « cas probable » comme toute personne répondant aux « critères cliniques » (c’est-à-dire présentant des symptômes grippaux) et ayant été en contact soit avec un « cas confirmé », soit avec un autre « cas probable » :

Cas probable : Un patient qui répond aux critères cliniques ET qui est en contact avec un cas probable ou confirmé, ou qui est lié à un groupe de Covid-19 ».

Comme nous l’avons vu plus haut, les tests PCR ne fonctionnent pas et produisent des faux positifs. Les tests de flux latéral produisent également des faux positifs. On sait que ces tests peuvent même donner des résultats contradictoires pour la même personne au même moment. Le « Covid-19 » ne présente pas non plus de profil symptomatique unique, ce qui exclut tout diagnostic clinique.

Si l’on ne peut pas tester la maladie de manière fiable en laboratoire, si l’on ne peut pas l’identifier par un profil de symptômes unique et si de nombreux « cas » sont reconnus comme « asymptomatiques », alors « Covid-19 » devient une étiquette dépourvue de sens.

En l’absence d’une quelconque méthode de diagnostic fiable, les statistiques sur les cas de toute maladie sont intrinsèquement dénuées de sens.


13. Les « décès Covid » ont été créés par manipulation statistique. Puisque les statistiques sur les cas de « Covid » sont gonflées [12], il s’ensuit naturellement que les statistiques sur les décès de la « Covid » ne sont pas fiables non plus. En fait, dès le début de la « pandémie », on a constaté que le nombre de « décès Covid » était artificiellement gonflé.

Selon l’Agence britannique des normes sanitaires, l’OMS a défini un « décès Covid » dans les termes suivants :

Un décès dû à la maladie Covid-19 est défini, à des fins de surveillance, comme un décès résultant d’une maladie cliniquement compatible chez un cas probable ou confirmé de maladie Covid-19, à moins qu’il existe une autre cause évidente de décès qui ne peut être liée à la maladie Covid-19 (par exemple, un traumatisme).

Tout au long de la « pandémie », de nombreux pays sont allés encore plus loin et ont défini un « décès par Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

Les responsables de la santé du Danemark, de l’Italie, de l’Allemagne, du Royaume-Uni, des États-Unis, de l’Irlande du Nord et d’autres pays ont tous admis cette pratique :

Le CDC américain enregistre même les décès « probables » dus à la Covid dans ses statistiques.

En supprimant toute distinction entre les décès dus à la « Covid » et les décès dus à autre chose après un test positif à la Covid, on obtient naturellement des chiffres totalement dénués de sens concernant les « décès dus à la Covid ».

Le Dr John Lee, pathologiste britannique, a mis en garde contre cette « surestimation substantielle » dès avril 2020. D’autres sources grand public l’ont également signalé.

Compte tenu de l’énorme pourcentage d’ » infections Covid asymptomatiques » [11], de la prévalence bien connue de comorbidités graves [30] et du fait que tous les « tests Covid » ne sont absolument pas fiables [II], les chiffres des décès « Covid » sont des statistiques totalement dénuées de sens.


PARTIE IV : CONFINEMENTS

14. Le confinement n’empêche pas la propagation des maladies. Il n’y a que peu ou pas de preuves que le confinement ait un impact sur la limitation des « décès par Covid ». Si l’on compare les régions qui ont pratiqué le confinement à celles qui ne l’ont pas fait, on ne constate aucune tendance.

Décès en Floride (pas de confinement) et en Californie (confinement)
Décès en Suède (pas de confinement) et au Royaume-Uni (confinement)

Une méta-analyse de l’université Johns Hopkins, publiée en avant-première, a montré que les confinements n’avaient pratiquement aucun impact sur la mortalité du « Covid-19 », tandis qu’un autre article sur les « déterminants des décès de la Covid-19 », publié en avril 2021, a trouvé :

Peu de preuves que les confinements réduisent les décès


15. Le confinement tue. Il existe des preuves solides que les confinements — par le biais de dommages sociaux, économiques et autres sur la santé publique — sont plus mortels que le prétendu « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la santé pour Covid-19, a décrit les confinements comme une « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

« L’Organisation mondiale de la santé ne préconise pas le confinement comme principal moyen de lutte contre le virus […] il semble que la pauvreté mondiale pourrait doubler d’ici l’année prochaine. Il se pourrait bien que la malnutrition infantile ait au moins doublé […] Il s’agit d’une catastrophe mondiale terrible, épouvantable ».

Un rapport des Nations unies datant d’avril 2020 prévoyait que des centaines de milliers d’enfants seraient tués par l’impact économique des fermetures d’usines, tandis que des dizaines de millions d’autres seraient confrontés à un risque de pauvreté et de famine.

Le chômage, la pauvreté, le suicide, l’alcoolisme, la toxicomanie et d’autres crises sociales et mentales se multiplient dans le monde entier. Les opérations chirurgicales et les dépistages manqués ou retardés ont déjà entraîné une augmentation de la mortalité due aux maladies cardiaques, au cancer et à d’autres affections dans de nombreux pays du monde.

Selon un rapport de la Banque mondiale datant de juin 2021, près de 100 millions de personnes ont été plongées dans l’extrême pauvreté à cause des « mesures anti-Covid ».

En janvier 2023, les services de santé du monde entier connaissent encore des retards chaotiques dans les traitements et les diagnostics. Les effets du confinement risquent de nuire à la santé publique pendant des années.

L’impact du confinement pourrait expliquer toute augmentation observée de la surmortalité [33].


16. Les bébés nés pendant le confinement ont un QI plus faible. Une étude réalisée à l’université de Brown a révélé que les enfants nés après mars 2020 avaient, en moyenne, un QI inférieur de 21 points à celui des générations précédentes, concluant :

« Des questions subsistent quant à l’impact du travail à domicile, de l’hébergement sur place et d’autres politiques de santé publique qui ont limité l’interaction sociale et les expériences typiques de l’enfance sur le développement neurologique des jeunes enfants. »

Cela reflète les rapports sur les enfants plus âgés (4-5 ans) qui font état d’un retard dans le développement des compétences sociales et d’une incapacité à lire les signes faciaux.


17. Les hôpitaux n’ont jamais été exceptionnellement surchargés. Le principal argument utilisé pour défendre les fermetures d’hôpitaux est que « l’aplanissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de soins de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été proches de l’effondrement.

En mars 2020, il a été signalé que les hôpitaux espagnols et italiens débordaient de patients, mais cela se produit chaque saison grippale. En 2017, les hôpitaux espagnols étaient à 200 % de leur capacité, et en 2015, des patients dormaient dans les couloirs. Selon un article du JAMA datant de mars 2020, les hôpitaux italiens « fonctionnent généralement à 85-90 % de leur capacité pendant les mois d’hiver ».

Au Royaume-Uni, le NHS est régulièrement sollicité à l’extrême pendant l’hiver.

Dans le cadre de sa politique Covid, le NHS a annoncé au printemps 2020 qu’il allait « réorganiser la capacité des hôpitaux de manière à traiter séparément les patients Covid et non Covid » et que « par conséquent, les hôpitaux connaîtront des pressions de capacité à des taux d’occupation globaux inférieurs à ce qu’ils auraient été auparavant ».

Cela signifie qu’ils ont supprimé des milliers de lits.

Oui, au cours d’une prétendue pandémie mortelle, ils ont en fait réduit le taux d’occupation maximal des hôpitaux.

Malgré cela, le NHS n’a jamais ressenti de pression au-delà de la saison grippale habituelle, et a même parfois eu quatre fois plus de lits vides que d’habitude.

Au Royaume-Uni et aux États-Unis, des millions ont été dépensés pour des hôpitaux d’urgence temporaires qui n’ont jamais été utilisés.

Un article paru dans Health Policy en novembre 2021 a révélé que, dans toute l’Europe occidentale, la « capacité de pointe » des lits de soins intensifs n’a été dépassée qu’un seul jour, en Lombardie, le 3 avril 2020.


18. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de DNR « illégaux ». Les organismes de surveillance et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordonnances de non-réanimation (DNR) au cours des années 2020-2021.

Dès mars 2020, alors que la « pandémie » n’en était encore qu’à ses débuts, des articles paraissaient déjà dans des revues grand public, prédisant l’utilisation « unilatérale » de l’ordre de ne pas réanimer, une pratique qui avait « rarement joué un rôle avant Covid » :

Les cliniciens de certains établissements de soins de santé peuvent décider unilatéralement de rédiger un ordre de non-réanimation. Cette dernière approche n’est pas uniformément acceptée et, avant la Covid-19, elle avait rarement un rôle à jouer. Toutefois, au cours de cette pandémie, dans des situations extrêmes telles qu’un patient souffrant d’une maladie chronique sous-jacente grave et d’une insuffisance cardio-pulmonaire aiguë dont l’état s’aggrave malgré un traitement maximal, une DNR unilatérale peut avoir un rôle à jouer pour réduire le risque d’une réanimation cardio-pulmonaire médicalement futile pour les patients, les familles et les travailleurs de la santé.

Aux États-Unis, les hôpitaux ont envisagé des « DNR universels » pour tout patient testé positif à la Covid, et des infirmières dénonciatrices ont admis que le système DNR avait fait l’objet d’abus à New York.

Au Royaume-Uni, on a assisté à une augmentation « sans précédent » des DNR « illégaux » pour les personnes handicapées, les cabinets de médecins généralistes ont envoyé des lettres aux patients en phase non terminale leur recommandant de signer des DNR, tandis que d’autres médecins ont signé des « DNR globaux » pour des maisons de retraite entières.

Une étude réalisée par l’université de Sheffield a révélé que plus d’un tiers de tous les patients « soupçonnés » d’être en Covid avaient un ordre de non-réanimation joint à leur dossier dans les 24 heures suivant leur admission à l’hôpital.

Un article publié dans la revue « Public Health Frontiers » en mai 2021 a présenté des arguments « éthiques » en faveur de l’utilisation « unilatérale » des DNR chez les patients Covid :

Certains pays ont été contraints d’adopter une politique de DNR unilatérale pour certains groupes de patients […] Dans la situation difficile actuelle […], des décisions difficiles doivent être prises. Les avantages sociétaux plutôt qu’individuels pourraient prévaloir.

L’utilisation généralisée d’ordonnances de non-réanimation forcées ou illégales pourrait être à l’origine de toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [33].


PARTIE V : VENTILATEURS

19. La ventilation n’est PAS un traitement des infections respiratoires. La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires, quelles qu’elles soient. Au début de la pandémie, de nombreux médecins ont remis en question l’utilisation de ventilateurs pour traiter la « Covid ».

Le Dr Matt Strauss a écrit dans The Spectator :

Les ventilateurs ne guérissent aucune maladie. Ils peuvent remplir vos poumons d’air lorsque vous êtes incapable de le faire vous-même. Dans l’esprit du public, ils sont associés aux maladies pulmonaires, mais ce n’est en fait pas leur application la plus courante ou la plus appropriée.

Le Dr Thomas Voshaar, pneumologue allemand et président de l’Association des cliniques pneumologiques, a déclaré :

Lorsque nous avons lu les premières études et les premiers rapports en provenance de Chine et d’Italie, nous nous sommes immédiatement demandé pourquoi l’intubation était si fréquente dans ces pays. Cela contredisait notre expérience clinique de la pneumonie virale.

Malgré cela, l’OMS, les CDC, l’ECDC et le NHS ont tous « recommandé » que les patients atteints de Covid soient ventilés au lieu d’utiliser des méthodes non invasives.

Il ne s’agissait pas d’une politique médicale visant à traiter au mieux les patients, mais plutôt à réduire la propagation hypothétique de la Covid en empêchant les patients d’exhaler des gouttelettes d’aérosol, comme l’indiquent clairement les lignes directrices publiées officiellement.


20. Les ventilateurs tuent des gens. Mettre sous respirateur une personne souffrant de grippe, de pneumonie, de broncho-pneumopathie chronique obstructive ou de toute autre affection limitant la respiration ou affectant les poumons ne soulagera aucun de ces symptômes. En fait, il est presque certain que cela les aggravera et tuera beaucoup d’entre eux.

Les sondes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée à la ventilation », qui, selon des études, touche jusqu’à 28 % de toutes les personnes placées sous ventilateur et tue 20 à 55 % des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le ventilateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie, voire entraîner la mort.

Les experts estiment que 40 à 50 % des patients ventilés meurent, quelle que soit leur maladie. Dans le monde entier, entre 66 et 86 % de tous les « patients Covid » mis sous respirateur sont décédés.

Selon l’infirmière infiltrée, les ventilateurs étaient si mal utilisés à New York qu’ils détruisaient les poumons des patients :

Cette politique relevait au mieux de la négligence et au pire du meurtre délibéré. Cette mauvaise utilisation des ventilateurs pourrait expliquer toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [33].


PARTIE VI : MASQUES

21. Les masques ne fonctionnent pas. Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques n’empêchent en rien la propagation des virus respiratoires.

Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a trouvé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques ».

Une revue canadienne de juillet 2020 a trouvé « des preuves limitées que l’utilisation de masques pourrait réduire le risque d’infections respiratoires virales ».

Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ».

Il y en a littéralement trop pour les citer tous, mais vous pouvez les lire : [1] [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] [9] [10] ou lire un résumé par SPR ici.

Bien que certaines études prétendent montrer que les masques sont efficaces pour Covid, elles présentent toutes de sérieuses lacunes. L’une d’entre elles s’est appuyée sur des enquêtes autodéclarées. Une autre était si mal conçue qu’un groupe d’experts a demandé son retrait. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se sont révélées totalement erronées.

L’OMS a commandé sa propre méta-analyse dans le Lancet, mais cette étude ne portait que sur les masques N95 et uniquement dans les hôpitaux. [Pour un aperçu complet des données erronées de cette étude, cliquez ici.]

Outre les preuves scientifiques, il existe de nombreuses preuves concrètes que les masques n’empêchent en rien la propagation des maladies.

Par exemple, le Dakota du Nord et le Dakota du Sud présentaient des chiffres presque identiques concernant les « cas », bien que l’un ait imposé le port du masque et l’autre non :

Au Kansas, les comtés sans obligation de porter des masques ont en fait enregistré moins de « cas » de Covid que les comtés avec obligation de porter des masques. Et bien que les masques soient très répandus au Japon, ce pays a connu en 2019 sa pire épidémie de grippe depuis des décennies.

Non seulement les masques ne fonctionnent pas, mais il était largement connu qu’ils ne fonctionnaient pas avant 2020.

Une revue de la littérature publiée en 2016 dans le Journal of Oral Health a révélé que :

Il n’y a pas de données scientifiques convaincantes qui soutiennent l’efficacité des masques pour la protection respiratoire.

(Cette étude a été discrètement retirée du site web du journal en juin 2020, car elle n’était « plus pertinente dans le climat actuel ».)

Une autre étude, publiée en 2020, mais réalisée en 2019, a trouvé :

Aucun effet significatif des masques sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire.

Dans sa revue de 2020 intitulée « Masks Don’t Work » [Les masques ne marchent pas], le Dr Denis Rancourt cite des études de 2009, 2010, 2012, 2016, 2017 et 2019… dont aucune n’a trouvé le moindre avantage significatif au port d’un masque.

Et, plus révélateur encore, dans son propre rapport sur la grippe de 2019, l’OMS elle-même a noté que :

il n’y a aucune preuve que [les masques soient] efficaces pour réduire la transmission


22. Les masques sont mauvais pour la santé. Porter un masque pendant de longues périodes, porter le même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour la santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port de masque a été récemment publiée par l’International Journal of Environmental Research and Public Health (Journal international de la recherche environnementale et de la santé publique).

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il constatait une augmentation des pneumonies bactériennes, des infections fongiques et des éruptions cutanées sur le visage.

Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Le port de masques par les enfants encourage la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations faciales.

Dans le monde entier, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leur masque, et certains enfants en Chine ont même souffert d’un arrêt cardiaque soudain.

En outre, les masques peuvent en fait augmenter la probabilité de maladies respiratoires, comme l’a montré un essai sur les masques en tissu réalisé en 2015 :

La rétention d’humidité, la réutilisation des masques en tissu et une mauvaise filtration peuvent entraîner un risque accru d’infection.

Une nouvelle étude publiée en juillet 2022 a montré que les masques, en particulier ceux qui sont portés plusieurs fois, sont des terrains propices à la prolifération de bactéries et de microbes fongiques.

Un autre article sur l’efficacité des masques, publié en avril 2022 et évalué par des pairs, a constaté que les masques ne sont pas toujours efficaces :

Bien qu’aucune conclusion de cause à effet n’ait pu être déduite de cette analyse observationnelle, l’absence de corrélation négative entre l’utilisation des masques et les cas de Covid-19 et les décès suggère que l’utilisation généralisée des masques […] n’a pas été en mesure de réduire la transmission de la Covid-19. En outre, la corrélation positive modérée entre l’utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l’utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences involontaires néfastes.


23. Les masques sont mauvais pour la planète. Des millions et des millions de masques jetables sont utilisés chaque mois depuis plus d’un an. Selon un rapport des Nations unies, la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité d’entre eux sont des masques.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) boucheront les égouts et les systèmes d’irrigation, ce qui aura des répercussions sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques ont été libérés lorsque des masques jetés ont été immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour l’homme et la faune.

Une autre étude, publiée en 2022, a révélé que :

Les masques jetables et les gants en plastique pourraient constituer un risque permanent pour la faune pendant des dizaines, voire des centaines d’années.


PARTIE VII : VACCINS

24. Les « vaccins » Covid sont totalement inédits. Avant 2020, aucun vaccin contre un coronavirus humain n’avait jamais été mis au point.

Après l’avènement de la « Covid », nous en aurions fabriqué plus de 20 en 18 mois.

Depuis des années, les scientifiques tentent de mettre au point un vaccin contre le SRAS et le MERS, sans grand succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement contracter la maladie plus gravement que les souris non vaccinées. Une autre tentative a provoqué des lésions hépatiques chez les furets.

Alors que la théorie des vaccins traditionnels veut que l’exposition de l’organisme à une souche affaiblie d’un micro-organisme déclenche une réponse immunitaire, nombre de ces nouveaux « vaccins » Covid sont des vaccins à ARNm.

Les vaccins ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent théoriquement en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur des cellules et encourage le corps à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines de pointe » du virus.

Les vaccins à ARNm font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’a jamais été approuvé pour une utilisation chez l’homme.

Pourtant, après l’avènement de Covid, deux sociétés différentes ont fabriqué, à quelques semaines d’intervalle, deux vaccins ARNm prétendument « sûrs et efficaces ».


25. Les « vaccins Covid » ne confèrent pas d’immunité et ne préviennent pas la transmission. On admet volontiers que les « vaccins » Covid ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et n’empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres personnes. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les essais vaccinaux n’ont même pas été conçus pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission.

Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lorsqu’ils ont publié les thérapies géniques à ARNm non testées, ont clairement indiqué que l’« efficacité » de leur produit était basée sur la « réduction de la sévérité des symptômes ».

En octobre 2022, Janine Small, cadre de Pfizer, témoignant devant le Parlement européen, a admis que Pfizer n’avait même pas testé si son vaccin empêchait la transmission de la « Covid » avant sa mise à disposition du public.


26. Les vaccins ont été mis au point à la hâte et leurs effets à long terme sont inconnus. La mise au point d’un vaccin est un processus lent et laborieux. En général, il faut de nombreuses années pour passer de la mise au point à l’essai, puis à l’approbation de l’utilisation publique. Les différents vaccins pour la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an.

Sur son propre site web, Moderna admet qu’il faut normalement 10 à 15 ans pour développer un vaccin, mais se vante d’avoir produit son SpikeVax « en deux mois ».

Il est évident qu’il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques datant de moins d’un an.

Pfizer l’admet même dans la fuite du contrat de fourniture entre le géant pharmaceutique et le gouvernement albanais :

« Les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle et le vaccin peut avoir des effets indésirables qui ne sont pas connus à l’heure actuelle ».

En outre, aucun des vaccins n’a fait l’objet d’essais appropriés. Nombre d’entre eux n’ont pas été soumis à des essais préliminaires et les essais sur l’homme à un stade avancé n’ont pas été examinés par des pairs, n’ont pas publié leurs données, ne se termineront pas avant 2023 ou ont été abandonnés à la suite d’« effets indésirables graves ».


27. Les fabricants de vaccins se sont vus accorder une indemnité légale en cas de préjudice. La loi américaine sur la préparation aux situations d’urgence (Public Readiness and Emergency Preparedness Act—PREP) accorde une immunité jusqu’en 2024 au moins.

La loi européenne sur l’homologation des produits va dans le même sens, et des rapports font état de clauses de responsabilité confidentielles dans les contrats signés par l’UE avec les fabricants de vaccins.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin en accordant une indemnité légale permanente au gouvernement et à ses employés pour tout préjudice causé lorsqu’un patient est traité pour la Covid-19 ou la « Covid-19 suspecté ».

Là encore, la fuite du contrat albanais suggère que Pfizer, au moins, a fait de cette indemnité une exigence standard pour la fourniture des vaccins Covid :

L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et de dégager de toute responsabilité Pfizer […] contre tout(e) poursuite, réclamation, action, demande, perte, dommage, responsabilité, règlement, pénalité, amende, coût et dépense


28. Les « vaccins » Covid comportent un risque important d’effets secondaires indésirables. Les vaccins expérimentaux Covid ont potentiellement causé des dizaines d’affections graves chez des millions de personnes. Il s’agit notamment de myocardites (en particulier chez les jeunes garçons), de caillots sanguins, de réactions allergiques, d’affections cutanées, de paralysie de Bell, d’irrégularités menstruelles, etc. [Pour une description détaillée de ces affections, cliquez ici.]

Le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) du CDC américain a reçu deux fois plus de notifications depuis l’introduction du vaccin contre la Covid que toutes les années précédentes réunies.

Source : OpenVAERS

PARTIE VIII : DONNÉES SUR LA MORTALITÉ

29. Le taux de survie de la « Covid » est supérieur à 99 %. Les experts médicaux du gouvernement ont tout fait pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population n’est pas menacée par la Covid.

Un nouvel examen global des données sur la Covid, publié en octobre 2022 par l’épidémiologiste de Stanford John Ioannidis (et coll.), a révélé un taux de mortalité médian d’à peine 0,07 % chez les personnes âgées de moins de 70 ans.

Presque toutes les études sur les anticorps portant sur le rapport infection-fatalité (RIF) de la Covid ont donné des résultats compris entre 0,04 % et 0,5 %. En d’autres termes, à supposer que la « Covid » ait jamais existé en tant que maladie distincte, son taux de survie était d’au moins 99,5 %.


30. La grande majorité des « morts de la Covid » présentent de graves comorbidités. En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2 % de ses « morts par Covid » présentaient au moins une comorbidité grave.

Il s’agit notamment du cancer, des maladies cardiaques, de la démence, de la maladie d’Alzheimer, de l’insuffisance rénale et du diabète. Plus de 50 % d’entre eux souffraient d’au moins trois maladies préexistantes graves.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une requête FOIA d’octobre 2020 auprès de l’ONS britannique a révélé que moins de 10 % du décompte officiel des « décès dus à la Covid » à cette époque avaient la Covid comme seule cause de décès.

En résumé, la grande majorité des « décès par Covid » concernait des personnes très fragiles.

Cela a été interprété par la presse comme le fait que la vieillesse ou l’infirmité étaient des « facteurs de risque » pour la « Covid ». Cependant, il serait plus juste de dire que le facteur de risque numéro un pour « mourir de Covid » était déjà de mourir d’autre chose.


31. L’âge moyen du « décès par Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne. L’âge moyen d’un « décès par Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, il est de 86 ans. En Allemagne, il est de 83 ans. En Suisse, 86 ans. Au Canada, 86 ans. Les États-Unis, 78 ans, l’Australie, 82 ans.

Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

Des recherches menées en mars 2021 ont montré que, dans les huit pays étudiés, plus de 64 % de tous les « décès par Covid » sont survenus chez des personnes dont l’espérance de vie était supérieure à l’espérance de vie nationale.

Ainsi, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » n’a eu que peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. À titre de comparaison, la grippe espagnole a fait chuter l’espérance de vie de 28 % aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]


32. La mortalité par Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle. Des études statistiques menées au Royaume-Uni et en Inde ont montré que la courbe de la « mortalité Covid » suit presque exactement la courbe de la mortalité attendue :

Le risque de décès « par Covid » suit presque exactement le risque de décès général.

La légère augmentation pour certains groupes d’âge plus élevés peut être expliquée par d’autres facteurs [15] [18] [20] [28].


33. Il n’y a pas eu de surmortalité inhabituelle. Le nombre de victimes de la « Covid », même avec des statistiques exagérées [13], n’a jamais été assez élevé pour justifier les réactions draconiennes de la plupart des gouvernements du monde.

En trois ans de « Covid », il y a eu environ 6,8 millions de « décès Covid », soit 2,3 millions par an. Cela représente 0,03 % de la population mondiale. À titre de comparaison, la grippe espagnole de 1918 a tué entre 25 et 100 millions de personnes en deux ans, soit entre 0,7 et 2,8 % de la population mondiale par an.

La presse a qualifié l’année 2020 de « l’année la plus meurtrière depuis la Seconde Guerre mondiale » au Royaume-Uni, mais cette affirmation est trompeuse, car elle ne tient pas compte de l’augmentation massive de la population depuis cette période. Une mesure statistique plus raisonnable de la mortalité est le taux de mortalité normalisé selon l’âge (ASMR) :

Selon cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année pour la mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seules 9 années ont été meilleures que 2020.

De même, aux États-Unis, l’ASMR pour 2020 n’atteint que les niveaux de 2004 :

La Suède, qui ne s’est pas enfermée, a vu sa mortalité toutes causes confondues atteindre des niveaux jamais vus en 2012 :

L’ensemble des données de la Banque mondiale sur la mortalité estime qu’en 2020, le taux brut de mortalité mondiale est passé d’environ 7,6 à 8, soit un retour au niveau observé entre 2006 et 2011.

À partir de mai 2021, l’Organisation mondiale de la santé a commencé à discuter du « coût réel de la pandémie », encourageant les efforts visant à gonfler davantage le nombre de décès dus à la pandémie en attribuant tous les décès excédentaires depuis 2020 à la Covid. Cependant, étant donné que toute augmentation de la mortalité pourrait être attribuée à des causes autres que la Covid [faits 15, 18, 20 et 28], il s’agit soit d’un raisonnement irrationnel, soit d’une tromperie intentionnelle.

En outre, il existe des preuves solides que les décès excédentaires n’ont rien à voir avec la « Covid », puisque les décès excédentaires ont continué d’augmenter alors même que les cas de Covid auraient diminué. Comme l’a rapporté le Spectator en novembre 2022 :

Pourquoi la surmortalité est-elle plus élevée aujourd’hui que pendant la Covid ?

Le Royaume-Uni n’est pas le seul concerné, comme l’ont écrit Toby Green et Thomas Fazi pour Unherd le 30 janvier :

… malgré des taux de mortalité relativement bas pendant la Covid, la surmortalité globale dans tous les groupes d’âge en Europe en 2022 était aussi élevée qu’en 2020 et plus élevée qu’en 2021 — même dans les cohortes les plus âgées. Au-delà de l’Europe, la situation est à peu près la même…

Le fait que la surmortalité ait continué d’augmenter malgré le prétendu ralentissement de la « pandémie » prouve que la surmortalité n’a peut-être jamais été causée par la « Covid », mais qu’elle est en fait due à d’autres facteurs (par exemple, les retombées économiques et sociales des politiques de confinement et, éventuellement, la distribution de « vaccins » non testés et inutiles).


PARTIE IX : PLANIFICATION ET TROMPERIE

34. L’UE préparait des « passeports vaccinaux » au moins un AN avant le début de la pandémie. Les contre-mesures proposées pour la Covid, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’apparition de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Designing and implementing an immunisation information system » (conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination) ont examiné la plausibilité d’un système de suivi des vaccinations à l’échelle de l’UE.

Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route pour la vaccination » de 2019, qui (entre autres) établit une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux devant débuter en 2019 et s’achever en 2021 :

Les conclusions de ce rapport ont été rendues publiques en septembre 2019, un mois seulement avant l’événement 201 (ci-dessous).

En fait, les programmes de vaccination et d’immunisation sont reconnus comme « un point d’entrée pour l’identité numérique » depuis au moins 2018.

Fondée en 2016, ID2020 est une « alliance » corporative-gouvernementale dédiée à « fournir une identité numérique à tous ». En mars 2018, ID2020 a publié un article intitulé « Immunisation : un point d’entrée pour l’identité numérique », dans lequel l’auteur affirme :

L’immunisation représente une énorme opportunité pour mettre à l’échelle l’identité numérique.

ID2020 a été fondé conjointement par Microsoft, la Fondation Rockefeller et GAVI the Vaccine Alliance. Parmi ses « partenaires » figurent Facebook et l’ONU.


35. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines avant son déclenchement. En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’université Johns Hopkins ont organisé l’Event 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice était parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et GAVI, l’alliance pour les vaccins.

Les conclusions et les recommandations de l’exercice ont été publiées en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine a enregistré son premier cas de « Covid ».


36. Les dirigeants mondiaux sceptiques à l’égard de la Covid « sont morts subitement ». Plusieurs dirigeants politiques qui s’opposaient aux politiques de l’Organisation mondiale de la santé en matière de Covid sont décédés de manière inattendue, pour voir leurs politiques anti-Covid de l’OMS annulées immédiatement par leurs successeurs.

Le 3 mai 2020, le président burundais Pierre Nkurunzia a qualifié la Covid de « canular ». Trois jours plus tard, le Council on Foreign Relations a mis en garde contre les « tendances dangereuses de la démocratie burundaise ».

Le 14 mai 2020, Nkurunzia a formellement expulsé les représentants de l’OMS du Burundi. Moins d’un mois plus tard, il meurt « d’une maladie soudaine ». Son successeur qualifie Covid de « notre plus grand ennemi » et invite l’OMS à revenir.

La situation a été presque identique en Tanzanie, où le président Covid-sceptique John Magufuli a mis en doute l’exactitude des tests PCR et a interdit l’utilisation des vaccins Covid dans son pays.

En mars 2021, Magufuli a disparu de la scène publique pendant des semaines. Une fois de plus, le Council on Foreign Relations a publié un article appelant à sa destitution et, une fois de plus, il a été rapporté qu’il était mort subitement.

Son successeur a immédiatement fait volte-face sur la Covid, imposant des quarantaines, une distanciation sociale et le port de masques, ainsi que l’adhésion de la Tanzanie au programme de vaccination de l’OMS et la vaccination de 10 millions de ses citoyens.


37. Pendant la « pandémie » de Covid, la grippe a presque complètement « disparu ». Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient chuté de plus de 98 %.

Les États-Unis ne sont pas les seuls concernés : en septembre 2020, le CDC américain a signalé que l’activité grippale avait nettement diminué aux États-Unis, en Australie, en Afrique du Sud et au Chili.

En avril 2021, le magazine Scientific American a publié un article intitulé « La grippe a disparu depuis plus d’un an » :

La grippe a disparu depuis plus d’un an.

L’explication donnée est que les mesures anti-Covidus — par exemple les masques et les confinements — ont empêché la propagation de la grippe. Mais nous avons établi que les masques et les confinements n’arrêtent pas la propagation des maladies respiratoires [14] [21].

En bref, à l’échelle mondiale, la grippe a presque totalement disparu en 2020 et 2021, ce qui ne peut s’expliquer par les mesures anti-Covid.

Pendant ce temps, une nouvelle maladie appelée « Covid », qui présente des symptômes identiques [1] et un taux de mortalité similaire [29] à celui de la grippe, affectait apparemment toutes les personnes normalement touchées par la grippe.


PARTIE X : PROFIT ET MOTIVATION

38. La pandémie de Covid a fait avancer un programme politique préexistant. Dès le début, la pandémie a servi de prétexte pour faire adopter des réformes des systèmes alimentaires, identitaires et monétaires, ainsi que pour faire avancer des programmes « verts » qui centralisent le pouvoir mondial et national.

Dès mars 2020, l’ancien Premier ministre britannique Gordon Brown appelait à un « gouvernement mondial » pour lutter contre la pandémie.

La pandémie a également entraîné un renforcement des pouvoirs de censure et de surveillance, tant en Chine qu’en Occident.

En septembre 2018, le rôle important de l’« identité numérique » dans le futur « contrat social » a été l’un des principaux sujets de discussion à Davos. En décembre 2020, The Economist a rapporté que « La Covid-19 stimule les plans nationaux visant à donner aux citoyens des identités numériques ».

En janvier 2019, il a été signalé que la Banque des règlements internationaux et 70 banques centrales du monde entier participaient à des recherches sur les monnaies numériques des banques centrales (CBDC). En juillet 2021, FinTech times a rapporté que la pandémie avait « accéléré le développement des monnaies numériques des banques centrales de cinq ans ».

Tout au long de l’année 2019, des articles et des documents ont appelé à une « transformation radicale » du système alimentaire mondial. En 2021, Deloitte indiquait que la « Covid » avait « accéléré la transformation de l’alimentation ».

Le Grantham Institute de l’Imperial College de Londres a publié un article affirmant que la Covid avait permis à des experts de « mettre un pied dans la porte » afin qu’ils puissent « plaider vigoureusement en faveur d’une reprise à “émissions nettes nulles” et d’un avenir résilient. »

Enfin, la pandémie a ouvert la voie à de profonds changements mondialistes dans les politiques de santé publique, sous la forme d’une proposition de « traité sur les pandémies ».


39. Les entreprises ont réalisé des profits colossaux grâce à la Covid. Les entreprises de nombreux secteurs ont réalisé d’énormes bénéfices grâce à la « pandémie », la plupart d’entre eux provenant de l’augmentation des dépenses publiques, qui ont permis de mettre l’argent public entre les mains du secteur privé.

Le marché mondial des masques de protection, par exemple, a augmenté de plus de 15 000 %, passant de 1,4 milliard de dollars en 2019 à 225 milliards de dollars en 2020. Et il ne s’agit que des masques de protection, pas des autres formes d’équipements de protection individuelle (EPI) qui ont tous connu une augmentation massive des dépenses personnelles et gouvernementales.

Rien qu’au Royaume-Uni, le coût du simple stockage de ces EPI a atteint plus d’un milliard de livres, tandis que 4 milliards de livres d’EPI inutilisés ont été gaspillés et que les autres radiations ont totalisé près de 10 milliards de livres.

Les gants en caoutchouc et les désinfectants pour les mains ont également connu une forte hausse de leur marché grâce aux dépenses publiques. Une grande partie de cet argent a été complètement gaspillée, les produits étant périmés.

Amazon a vu ses bénéfices doubler grâce à la Covid, et les plateformes de streaming ont gagné des millions de nouveaux utilisateurs grâce aux confinements.

C’est toutefois dans le secteur des vaccins que les bénéfices les plus importants ont été enregistrés. Depuis le déploiement des vaccins, les entreprises pharmaceutiques ont gagné environ 1 000 dollars par seconde.

Fin 2019, les revenus de Pfizer n’avaient jamais été aussi bas depuis 2010 ; deux ans plus tard, ils avaient augmenté de 150 % et n’avaient jamais été aussi élevés.

Dans les mois qui ont suivi le lancement du vaccin, 9 fabricants de vaccins sont devenus milliardaires. En mai 2022, ce nombre était passé à 40.


40. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. Les entreprises pharmaceutiques ne sont pas les seules à avoir profité de Covid. Depuis le début du confinement, les personnes les plus riches se sont considérablement enrichies.

En octobre 2020, Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-milliard de dollars » au cours des six premiers mois de la pandémie.

En avril 2021, Forbes rapportait que 40 nouveaux milliardaires avaient été créés pour « lutter contre le coronavirus ».

Ce processus n’a fait que s’accélérer.

En mai 2022, le nombre de nouveaux milliardaires créés par la pandémie s’élevait à 543. Soit environ un toutes les 30 heures au cours des deux dernières années. Parmi eux, 40 nouveaux milliardaires dans le seul secteur pharmaceutique.

Parallèlement, la part de la richesse mondiale détenue par les milliardaires est passée de 10 % en 2019 à 14 % en 2022, soit une augmentation plus importante que les 16 années précédentes réunies.

Au total, les personnes les plus riches du monde ont augmenté leur richesse collective de plus de cinq mille milliards de dollars au cours des trois dernières années, et ce, grâce à la Covid.


CONCLUSION

J’ai tenu à dire, dans l’introduction de ce document, qu’il s’agissait d’une mise à jour non seulement en matière de faits, mais aussi en matière d’approche. Je vais maintenant clarifier les choses.

Lorsque la première édition de cette liste a été publiée, la « Covid » était encore un exercice de tir réel. Une guerre de propagande tentaculaire, où les faits étaient des munitions et où les lignes d’approvisionnement étaient tendues. Cette liste se devait d’être ce qu’elle était : courte, directe et facilement accessible.

Aujourd’hui, le front de la pandémie est plus calme. Une ruine boueuse d’un champ de bataille, parsemée de cadavres et de bannières molles sur des lances brisées. Abandonnés aux charognards, les deux camps se préparent à la prochaine grande offensive.

La « Covid » est doucement réduite au profit des discussions sur l’Ukraine, le changement climatique et même « la prochaine pandémie ».

Notre monde n’est pas revenu à la « normale » — et ne le fera probablement jamais — mais tandis que la transformation reste en place, l’agent de ce changement initial est lentement repoussé par de nouveaux fronts dans la guerre de la Grande Réinitialisation pour le contrôle du monde.

Nous disposons désormais d’un espace — et d’un temps — pour passer en revue l’ensemble du récit de la « Covid » et raconter la véritable histoire de la « pandémie » qui a mis le monde sens dessus dessous, afin de mieux vider ses poches.

L’édition précédente de cette liste a été volontairement laissée libre de toute interprétation de la part de l’auteur. Les faits devaient parler d’eux-mêmes, et c’est ce qu’ils ont fait. C’est d’ailleurs toujours le cas.

Néanmoins, en guise de conclusion pour le jury mondial, je voudrais résumer l’histoire que ces faits nous racontent.

  • — En 2017, 18 et 19, divers organismes internationaux et mondiaux ont mis en place des plans — ou discuté de la possibilité de mettre en place des campagnes de vaccination à l’échelle mondiale, y compris de la manière dont elles pourraient être utilisées pour faciliter l’introduction de passeports numériques liés aux dossiers médicaux.
  • — Fin 2019, un exercice international a été organisé autour d’un hypothétique coronavirus zoonotique provoquant une pandémie mondiale et planifiant une réponse possible.
  • — Deux mois plus tard, un coronavirus zoonotique prétendument réel a commencé à infecter des personnes. Cette « nouvelle maladie » présentait des symptômes typiques de la grippe et un taux de mortalité très similaire à celui des maladies saisonnières de type grippal. Par coïncidence, au cours de cette période, le nombre de cas de grippe aurait chuté à presque zéro.
  • — Les tests de dépistage de ce « nouveau virus » ont été réalisés à la hâte, sans passer par le processus habituel d’évaluation par les pairs.
  • — Des tests de masse sur des personnes asymptomatiques ont été utilisés pour créer des « cas de Covid », tandis que des tests de masse sur des personnes déjà mourantes à l’hôpital ont été utilisés pour créer des « décès de Covid ».
  • — En guise de « réponse » à la « pandémie », des confinements ont été instaurés, paralysant l’économie et provoquant une augmentation massive de la pauvreté, de la malnutrition, de la toxicomanie et de l’alcoolisme, ainsi que des problèmes de santé mentale. Tout en veillant à ce que les personnes souffrant de réels problèmes de santé évitent les hôpitaux par peur.
  • — Pendant ce temps, dans les hôpitaux, les « directives Covid » ont entraîné un abus meurtrier des ordonnances de non-réanimation et de la ventilation mécanique.
  • — Ces mesures ont tué des gens, contribuant à l’augmentation de la surmortalité qui a pu être officiellement imputée à la « Covid », mais qui n’a pas diminué malgré la réduction du nombre de « cas de Covid ».
  • — Les masques et la distanciation sociale ont été imposés au public — en dépit de leurs propres recherches montrant qu’ils sont inefficaces — afin d’accroître la peur du public et ont agi comme la seule preuve visuelle qu’il se passait quelque chose.
  • — C’est sous le couvert de cette fausse « pandémie » qu’a eu lieu le plus grand échange d’argent public entre des mains privées de tous les temps.
  • — La « pandémie » a également permis une centralisation massive du pouvoir, tant au niveau national que mondial. Les dirigeants de presque toutes les nations de la planète se sont emparés de plus de pouvoir en jouant le jeu, et ceux qui ont refusé ont été tués.
  • — Enfin, et surtout, la « Covid » a permis une accélération rapide d’un programme politique qui aspire à transformer le monde en un spectacle d’horreur dystopique. La surveillance numérique, les procédures médicales obligatoires, les couvre-feux, les brutalités policières et la censure ont été normalisés sous le couvert de la « protection de la santé publique ». Des programmes tels que la monnaie numérique, la « réforme alimentaire » et les politiques de « green new deal » ont vu leur vitesse de développement augmenter de manière significative.

Tels sont les faits essentiels de la pandémie, et ils ne racontent qu’une seule histoire. La « Covid » était un projet. Une fausse maladie, créée pour vendre un programme bien réel. C’est la seule explication rationnelle de toutes les preuves dont nous disposons.

L’« histoire officielle » ne tient pas la route. Si la Covid était une vraie maladie et une vraie pandémie, il n’aurait pas été nécessaire de recourir à des pratiques de test corrompues et à des tours de passe-passe statistiques pour qu’il se propage. Si elle était réellement mortelle, il ne serait pas nécessaire de recourir à des manipulations statistiques pour créer des « décès dus à la Covid ». Si les pouvoirs en place étaient honnêtes, ils n’auraient jamais mis en place des mesures de « santé publique » qui, selon leurs propres recherches, ne fonctionnent pas.

L’idée qu’il s’agit d’une boule de neige d’erreurs — une tempête parfaite de panique publique, d’incompétence gouvernementale et de cupidité des entreprises — ne constitue pas non plus une explication complète, car elle ne tient pas compte des nombreux actes de malhonnêteté prolifique et délibérée, et nous demande à nouveau de croire que l’événement 201 n’était qu’une simple coïncidence.

La théorie de la « fuite de laboratoire » ou de l’« arme biologique » — selon laquelle la « Covid » est une véritable maladie diffusée accidentellement ou délibérément au public — ne correspond pas non plus à la réalité, que ce soit sur le plan factuel ou logique. D’un point de vue factuel, comme pour la version officielle, un vrai virus n’aurait pas besoin de fausses statistiques pour se propager. D’un point de vue logique, il y a le problème du contrôle.

Comme le dit Mike Yeadon dans son récent article [« Why I don’t believe there ever was a Covid virus » (Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait jamais eu un virus Covid]) :

« L’effet d’un nouvel agent pathogène mis en circulation ne peut être prédit avec précision. Il pourrait s’éteindre rapidement. Ou bien il pourrait s’avérer beaucoup plus mortel que prévu et détruire des civilisations avancées. »

Non, la seule histoire qui tienne la route, c’est que la « Covid » était une opération psychologique à l’échelle mondiale. La plus grande et la plus vaste campagne de propagande de tous les temps, dans le but unique de briser le monde et de le refaire à l’image des mondialistes.

C’est d’ailleurs ce qu’ils n’ont cessé de nous répéter. Une « grande remise à zéro » pour « mieux reconstruire » vers une « nouvelle normalité ». Ils n’ont pas caché leur intention :

La « Covid » était — et reste — un moyen trompeur pour atteindre une fin malveillante. Nous devons le voir, le comprendre et nous en souvenir. En effet, si nous n’analysons pas et ne comprenons pas correctement l’ampleur et la méthodologie de cette propagande, nous serons vulnérables aux mêmes méthodes la prochaine fois qu’elles seront déployées.

Si les moyens peuvent être retirés, la fin restera toujours la même.

Leur nouveau monde existe aujourd’hui, tout autour de nous. Mais il n’est qu’à moitié construit, et le but distinct et final de tout ce qu’ils feront et diront à l’avenir sera de travailler à son achèvement.

C’est le bon côté de la « Covid », si vous voulez en trouver un. Faute d’une meilleure analogie, le masque a glissé. Nous avons entrevu le mur de briques de Zappa. Nous savons maintenant ce qu’ils veulent vraiment.

Ils veulent contrôler tout et tout le monde. Ils veulent nous réduire – réduire notre intelligence, nos moyens, notre santé et nos droits. Ils veulent accélérer notre lente descente vers la tyrannie et construire un camp de travail mondial entouré de maux imaginaires qui hypnotisent les détenus en leur faisant croire que les barbelés sont là pour leur bien… parce qu’ils empêchent les monstres d’entrer.

En clair, ils veulent finir ce que la « Covid » a commencé. Mais tant que nous les verrons et les comprendrons, ils ne pourront jamais le faire.






Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant

[Sources : halteaucontrolenumerique.fr et Anthony Brun-Maestroni]

Anthony Brun est un jeune ingénieur qui a dû changer de profession, déménager et changer de vie suite à la découverte de son électro-hypersensibilité. Il a donc décidé d’alerter sur les effets biologiques des champs électromagnétiques artificiels (Wi-Fi, utilisation du portable, etc.) par le biais de conférences gesticulées.

Nous sommes de plus en plus soumis à des ondes. Quels effets cela entraîne-t-il pour nous ? Nous manquons d’informations sur leurs effets cumulés. On voit de plus en plus de personnes devenir électro-hypersensibles et être soumises à une vie devenue extrêmement difficile (voir situations de Virginie et Marie-Jeanne).


À l’heure du déploiement sans consultation de la 5 G en France et dans le monde, de la multiplication des antennes-relais et des satellites, de la croissance exponentielle du recours aux objets connectés, il est plus que nécessaire de se poser la question des effets de l’electrosmog sur la santé.

À travers son parcours d’ingénieur devenu électro-hypersensible (EHS), Anthony partage le fruit de ses recherches sur ces effets nocifs qui sont passés sous silence.

Les ondes électromagnétiques, du simple courant électrique alternatif aux antennes-relais de la 5 G, en passant par la radio, les radars, les satellites, la 2G/3G/4G, le Linky, le Wi-Fi, etc. présentent un risque sanitaire pour les EHS, mais aussi pour tous les êtres vivants.

Liens vers les principales sources citées pendant la conférence :

— Annie Lobé, La fée électricité : fée ou sorcière ? Santé Publique éditions (http://www.santepublique-editions.fr/livre-la-fee-electricite-par-Annie-Lobe-9782916653020.html)

— Rapport BioInitiative (https://bioinitiative.org/table-of-contents/)

— Résolution 1815 de Conseil de l’Europe (https://assembly.coe.int/nw/xml/xref/xref-xml2html-fr.asp?fileid=17994)

— Arthur Firstenberg, L’arc-en-ciel invisible, éditions Ambre (https://editions-ambre.fr/boutique/sante/larc-en-ciel-invisble/)

— Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/)

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]

Enregistrement du 22/10/2022 à Figeac.

Remerciements à Martin Colmant pour l’enregistrement et le montage. Remerciements également à Marie et Simon pour leur accueil le jour de l’enregistrement.

Musique du générique : AYEMA — Gardiens du vivant (https://www.youtube.com/watch?v=I2yqkD38-Z0)





Le défi des radiations…

Par John Hunter

La Fed a envoyé un long message sur la reprise du parc éolien de Nozay/Voltalia. Celui qui est encore le plus célèbre en France pour les dégâts sanitaires sur le cheptel et les hommes. Notamment la famille Potiron. Un procès initié par le mouvement de la ruralité proche de l’ex-député Lafarge et défendu par Me DiVizio n’a pas convaincu les juges qui n’y connaissent rien en matière de radiations sur le tissu biologique. Pourtant le labo ToxSeek avait donné son diagnostic. Intoxication aux terres rares pour les vaches et les gens.

Les gens de Nozay sont obligés de prendre du Chlorella pour tenir. Le coup de balai pour les toxines. La zéolite pour encore plus de nettoyage. Et puis peut-être de la benzodiazépine pour pouvoir dormir.

Alors on programme des machines pour tuer l’humanité des gens, la vie des bêtes ?

Un article dans Science et Vie de mai 1917 décrit les radiations subies par des astronautes hors du bouclier terrestre. Jean François Botollier Depoix explique :

« C’est un Bain de radiation de 330 millisieverts entre la Terre et Mars. Le mSv est une unité qui mesure les dégâts biologiques d’une irradiation en fonction de la quantité reçue et de la nature des radiations. En France la dose naturelle est entre 2,4 à 2,9 mSv, pour une année.

Pour ces astronautes le Soleil dégage des bouffées de proton qui doublent la dose.

En France et au Sol, la dose maximale de radiations est à 20 mSv.

Toujours pour les astronautes irradiés qui absorbent des doses sur un temps court, si l’irradiation dépasse 1 milligray mGy il y a effets sur les cellules et altération de l’ADN. À partir de 4,5 grays (Gy), c’est la mort. »

« Nous savons qu’il ne faut pas dépasser 100 mSv pour les leucémies et 200 mSv pour les cancers solides. »
(Citation de Nicolas Foray du centre de recherche en cancérologie de Lyon.)

« Après ces seuils la courbe est exponentielle. Chaque millisievert augmente de 1 % l’effet de risque. »

« L’os est concerné, les cellules sont plus sensibles que celles de la peau. La matrice de l’os se modifie. Le cerveau peut vieillir plus vite.

L’ATM qui répare l’ADN migre du cytoplasme vers le noyau sous radiation. Nous avons déterminé trois types de radiosensibilité :
– Le premier type répare vite et bien. La majorité.
– Le second type répare moins bien.
– Le troisième type : L’ATM ne fonctionne pas.

L’hypersensibilité aux faibles doses de radiation a été illustrée par les usagers du Linky qui perdent le sommeil. Ce sont les gens du groupe 2 susnommés. Les cellules de l’os sont touchées. Une irradiation à 0,2 Gy déclenche des détériorations de 2 Gy !!! »

Retour sur terre avec les cancers pédiatriques de Sainte Pazanne, cette école Notre-Dame où éoliennes et champs électromagnétiques pourris d’après le géobiologiste Nollet ont déjà liquidé des enfants. On sait bien que la leucémie a atteint plusieurs foyers sous ligne haute tension ou sous éoliennes. Voilà pourquoi les docteurs peuvent prescrire de la mélatonine, mais le déséquilibre est déjà consommé, car la mélatonine est fabriquée naturellement par le corps. Donc les radiations la font disparaître !

On sait que des champs électromagnétiques (CEM en abrégé) sont issus des turbines et ses câbles souterrains et ses postes de transmission. Ils ne savent pas comment les isoler correctement et les lobbies du renouvelable ont accéléré la pression sur le gouvernement pour que ces technologies terribles s’installent sans études épidémiologiques, surtout qu’elles auraient démontré leur nocivité irrépressible. L’agence internationale de l’énergie a dû être phagocytée par le lobby éolien. Ils sont partout.

Les fréquences éoliennes mesurées en hertz sont des radiations/impulsions qui atteignent le tissu biologique. (Recherche Weichenberger. Allemagne 2015.
Recherche Inagaki. Japon.
Recherche Kaprzak. Pologne.
Recherche Alves Pereira, Dr Rapley et coll. NZ.)

Pourquoi ne pas tester les résidents de la périphérie éolienne avant d’y construire des turbines et voir si les gens catégorie 3 n’y sont pas présents ? Même les gens deux sont touchés dans leur os !! L’humain ne compte pas avec les technocrates qui se repaissent du sang du peuple martyrisé.

S’il y avait une agence de santé responsable… une ARS revivifiée, ces misères et crimes environnementaux n’existeraient plus. Il est temps que les politiques prennent en main la recherche scientifique et exercent leur pouvoir régalien à bon escient au lieu de nier la réalité et de prétendre qu’il n’y a aucune preuve valide de dangerosité. On dirait la voix de son maître (les éoliens).

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]

On écoute les chercheurs de Lyon pour les astronautes, mais pas pour les résidents autour des parcs éoliens ? C’est l’omerta. Tel scientifique va parler et sa carrière sera abrégée. On se croit chez Al Capone dans les années trente !

Ceux qui parlent sont à la retraite.

Proposition deux pour la gestion raisonnable des projets éoliens : que les promoteurs déclarent le niveau des radiations en millisieverts, Hertz et SPL et que le centre scientifique de Lyon corrobore les données avec ses appareils… et décide.

Les préfets ne sont pas formés aux risques et méfaits électromagnétiques comme le démontre l’article ironique de la FED qui ridiculise le préfet de la Vienne confondant MW et MWheure et donnant des performances fulgurantes alors que la turbine fonctionne à 25 %. (Article signé Patrick Kawala).

Certains scientifiques et ingénieurs sont plus habiles.

Il ne s’agit plus de garder un devoir de réserve, mais de protéger une population innocente et sans armes contre les champs magnétiques. Ou alors devrait-on pressuriser leur maison comme on fait porter aux pilotes une combinaison spéciale ou qu’on les loge dans leur cabine pressurisée ?

Le cas actuel du GPSE qui mesure seulement à partir de 50 Hz, n’a pas de subventions et est infiltré par France Énergie Éolienne est un scandale absolu. Il est rétribué simplement par les fauteurs de trouble, RTE, Enedis ou éoliennes. On voit le paysage ! Circulez, il n’y a rien à voir, ou bien : « Votre installation électrique Monsieur l’éleveur n’est pas en équipotentialité ». Ou bien : « Vous ne nourrissez pas assez vos bovins ». Ou bien : « Nous ne pouvons pas expliquer pourquoi vos animaux meurent, vos veaux naissent avec des cornes supplémentaires, ou uniquement femelles, ou refusent le pis maternel. C’est l’affaire des géobiologues ou des vétérinaires. ». Lesquels ne savent pas plus.

Mais qui forme les vétérinaires aux méfaits des CEM alors que les docteurs les ignorent royalement ?

Si ces propositions sont refusées, c’est bien que les dommages existent et qu’on regarde à côté. Où est l’intérêt supérieur de la France à fabriquer des malades et des morts parmi les animaux d’élevage ou les humains ?

Dans ce cas d’investigation poussée, le projet éolien n’aboutira pas. Mais nous sommes loin des mesures qui protégeraient la santé publique. L’ARS commence à bouger quand il y a des villages entiers irradiés. Après du sang sur le carreau. Les lignes Enedis suintaient du Courant et ont envoyé à l’hôpital tout un village au centre est de la France.

Le chef de l’État a fait beaucoup de mal en phagocytant l’ARS avec l’américain McKinsey. L’ARS ne dit plus rien ni ne fait de recherches. Par contre il a envoyé des lettres de menaces aux professionnels de santé dans le cirque Covid. Une renaissance s’impose, mais elle peine à arriver et ce ne sera pas les ENR qui vont sauver ce Titanic, notre pauvre pays qui fait eau de partout.

Aux dernières nouvelles la mère fouettarde Pannier R a des actions dans un complexe d’extraction de pétrole au Congo RDC et une Plainte contre Perenco pour pollution des sols, des aquifères et de l’air.

Chez les bougnouls, il n’y a pas besoin de prendre des précautions environnementales. Eh ?

Et cette femme vient donner des leçons de renouvelable aux gens de France ?




Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

[Source : francemediasnumerique.net]

Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon vient de passer les 18 derniers mois en Chine [NDLR en date du 29 février 2020]. Il a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études (…). Voici l’article détaillé de Paul :


Par Paul Doyon

Mon cœur va à la Chine et à tous ses habitants qui ont tant souffert à cause de cette nouvelle « nouvelle » épidémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).

Cependant, comme quelqu’un qui était devenu très malade et dont le système immunitaire s’était détérioré et qui était malade pendant six mois à la recherche de réponses avant même de soupçonner que vivre à proximité de plusieurs tours de téléphonie cellulaire était en fait ce qui causait le problème et le rendait malade, Je sens que je ne peux pas en toute conscience rester silencieux, et je soupçonne fortement que la Chine et le reste du monde cherchent sous la mauvaise pierre ce qui est réellement le problème ici.

À l’heure actuelle, avec 10 000 antennes 5G récemment installées sur sa ville, Wuhan est probablement l’une des villes les plus électropolluées par la 5G de la planète.

Avertissements d’électrosmog des scientifiques depuis plus de 40 ans

Des scientifiques, des chercheurs, des médecins et des militants respectés nous mettent en garde, depuis plus de quarante ans, contre les dangers des rayonnements sans fil et des champs électromagnétiques. En 1977, le reporter Paul Brodeur publie un livre intitulé The Zapping of America. En 1985, le regretté Dr Robert O. Becker (nominé deux fois pour le prix Nobel de médecine pour ses travaux sur la dédifférenciation et la redifférenciation cellulaire dans le processus de guérison) a écrit The Body Electric [Le corps électrique] et a publié plus tard Cross Currents: The Perils of Electropollution , La promesse de l’électromédecine en 1990. En 1995 (et de nouveau plus tard en 2007), B. Blake Levitt, auteur et chercheur, a publié Champs électromagnétiques : Guide du consommateur sur les enjeux et comment se protéger. Depuis lors, de nombreux autres livres et films documentaires ont été publiés sur le sujet. Et la liste continue encore et encore.

Le Dr Leif Stafford, neuro-oncologue suédois, a appelé ce déploiement sans fil :

« la plus grande expérience biologique jamais réalisée. »  1

Et le Dr Robert O. Becker a écrit en 1985 que :

Les dangers de l’électropollution sont réels et bien documentés. Elle change, souvent pathologiquement, chaque système biologique [je souligne]. Ce que nous ne savons pas, c’est exactement la gravité de ces changements, pour combien de personnes. Plus nous, en tant que société, retardons la recherche de ces connaissances, plus les dommages risquent d’être importants et plus il sera difficile de les corriger. (p. 304) 2

Et enfin, le Dr Martin Pall, PhD, et professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales à la Washington State University a déclaré récemment que :

Installer des dizaines de millions d’antennes 5G sans un seul test biologique de sécurité doit être l’idée la plus stupide que l’on ait eue dans l’histoire du monde. 3

La BioInitiative

En 2007, un rapport intitulé BioInitiative a été publié, il a été republié à nouveau en 2012, et des mises à jour ont été effectuées entre 2014 et 2019. Son site Web indique que :

le rapport BioInitiative 2012 a été préparé par 29 auteurs de dix pays, dix titulaires de diplômes de médecine (MD), 21 doctorats et trois MsC, MA ou MPH. Parmi les auteurs figurent trois anciens présidents de la Bioelectromagnetics Society et cinq membres à part entière de BEMS. 4

Ce sont des scientifiques très respectés provenant de certaines des universités et instituts les plus respectés au monde. 5

La BioInitiative met en garde :

… que les preuves des risques pour la santé ont considérablement augmenté depuis 2007 en raison des champs électromagnétiques et des technologies sans fil (rayonnement radiofréquence). Le rapport passe en revue plus de 1800 nouvelles études scientifiques…. Les sujets de santé comprennent les dommages causés à l’ADN et aux gènes, les effets sur la mémoire, l’apprentissage, le comportement, l’attention, les troubles du sommeil, le cancer et les maladies neurologiques comme la maladie d’Alzheimer. De nouvelles normes de sécurité sont nécessaires de toute urgence pour la protection contre les CEM [Champs électromagnétiques] et les expositions sans fil qui apparaissent désormais partout dans la vie quotidienne. 

 Voir plus de recherches scientifiques ici.

Avertissements 5G

Avec l’avènement de la toute dernière technologie sans fil, la 5G, de nombreux chercheurs, médecins et organisations professionnelles et militantes ont lancé des avertissements sanitaires concernant sa mise en œuvre. 7 8 9 10 11 12 13
Voir ici les dangers du rayonnement 5G.

Et même récemment, il y a eu des marches dans les grandes villes du monde entier pour protester contre l’avènement de cette technologie. 14

Malheureusement, pour la majorité de la population, ces avertissements sont tombés dans l’oreille d’un sourd, l’opinion apparemment largement répandue estimant que la 5G est la meilleure chose depuis la crème glacée Ben & Jerry’s ™ Cherry Garcia ™.

Bien sûr, la minimisation des dangers est compréhensible étant donné les avantages et les commodités extrêmes que toute cette technologie a continuellement offerts à une population sans méfiance. Malheureusement, ces personnes sont aussi souvent promptes à ridiculiser et à marginaliser ceux qui essaient de mettre en garde contre ces dangers en les qualifiant de théoriciens du complot luddites portant des chapeaux d’étain, jusqu’à ce que, bien sûr, eux ou un de leurs proches tombent soudainement malades et qu’ils y voient un lien possible avec ces expositions aux CEM, et puis soudain, il y a un changement de ton, et ils se demandent rapidement ce qu’ils peuvent faire pour se protéger : par exemple, comment protéger leurs maisons et leurs bureaux, quels  compteurs CEM acheter.

À Ripon, en Californie, au sud de Sacramento, une antenne 5G a été retirée d’une école primaire, après que certains parents ont commencé à soupçonner qu’elle était liée à un certain nombre de cas de cancer dans l’école. 15

16

L’épidémie de coronavirus

La récente épidémie de COVID-19 a stimulé la peur et l’hystérie de masse à travers la planète, malgré le fait qu’il n’y a eu que 93 décès (au moment d’écrire ces lignes le 29 février 2020) en dehors de la Chine, 2835 des décès 17 et 99% des infections ayant eu lieu en Chine. 18

En fait, les taux de mortalité les plus élevés en dehors de la Chine ont été observés dans des endroits mettant déjà en œuvre la technologie 5G, en Corée du Sud et en Italie, par exemple. L’exception est l’Iran, qui compte actuellement 978 cas et 54 décès, ne l’applique pas officiellement, mais pourrait très bien le tester secrètement étant donné la raison pour laquelle

le 1er décembre 2018, à la demande du gouvernement américain, Meng Wanzhou — la directrice financière de Huawei et fille de son fondateur — a été arrêtée au Canada sur des allégations selon lesquelles elle aurait participé à un complot visant à frauder des banques en lien avec des violations des sanctions contre l’Iran, 19

était en effet parce que Huawei travaillait à vendre sa technologie 5G aux Iraniens. En fait, l’Iran – dans une opération conjointe entre Irancell et Ericsson – avait commencé à tester cette technologie dès septembre 2017. 20 Dans l’article intitulé « Irancell, Ericsson test 5G Systems » (2017) , il est précisé que :

la technologie sera disponible d’ici 2020 et deviendra mondialement accessible un an plus tard.
Lors de l’événement au siège d’Irancell, le PDG de la société, Alireza Dezfouli, a déclaré : « Nous visons à suivre le rythme des opérateurs internationaux. L’Iran ne sera plus en reste. 

En outre, un certain nombre d’articles dans les médias ont déclaré que l’Iran avait effectué des « préparatifs » et était prêt à lancer la 5G. 21 22 23 Eh bien, les préparatifs comprennent généralement des essais. Par conséquent, il est facile de croire que l’Iran a déjà mis en place l’infrastructure 5G et qu’ils l’ont secrètement testée.

La Belgique, en revanche, – qui avait décidé de ne même pas tester la 5G, et encore moins de la mettre en œuvre, en raison de problèmes de radiation 24 – n’a eu jusqu’à présent qu’un seul cas de coronavirus (récupéré) et aucun décès.

En fait, pour la majorité, les symptômes des patients en dehors de la Chine (en particulier ceux qui sont loin de la 5G), pour la plupart, ont apparemment été relativement légers, comme on le verrait très probablement avec un virus du rhume ou de la grippe ordinaire, et beaucoup de personnes [supposément] infectées [NDLR du fait des tests PCR non significatifs] ne présentant aucun symptôme.

Symptômes légers en dehors de la Chine

C’est ce qu’affirme le Dr Maria Van Kerkhove, (responsable du programme d’urgence sanitaire de l’OMS), dans l’article d’Al Jazeera continuellement mis à jour, « Que se passe-t-il si vous attrapez le nouveau virus corona ? » que « certains patients ne présentent aucun symptôme » et que :

« Vous avez des cas bénins, qui ressemblent au rhume, qui présentent des symptômes respiratoires, des maux de gorge, un écoulement nasal, de la fièvre, jusqu’à la pneumonie. Et il peut y avoir différents niveaux de gravité de la pneumonie jusqu’à la défaillance de plusieurs organes et la mort » , a- t-elle déclaré aux journalistes à Genève la semaine dernière.

Cependant, dans la plupart des cas, les symptômes sont restés légers.

« Nous avons vu des données sur environ 17 000 cas et dans l’ ensemble, 82 % d’entre eux sont bénins, 15 % d’entre eux sont graves et 3 % d’entre eux sont classés comme critiques », a déclaré Van Kerkhove. 18

De plus, dans de nombreuses vidéos YouTube 25 26 27 28 29, nous voyons des entretiens avec des patients qui ne présentent apparemment que des symptômes légers.

Un exemple est celui de Rebecca Frazier, interviewée à de nombreuses reprises dans de nombreux programmes d’information, après avoir été admise dans un hôpital de Tokyo après avoir été trouvée infectée par le COVID-19 sur le bateau de croisière Diamond Princess. Dans l’une des interviews, menée par le programme d’information néo-zélandais sur le réseau Radio New Zealand (RNZ) intitulé « Je ne me suis jamais vraiment sentie mal », par exemple, l’intervieweur déclare ce qui suit, puis poursuit l’interview de Mme Frazier :

« Incapacité, ayant besoin d’aide pour respirer et entouré de médecins en combinaison de protection contre les matières dangereuses, est peut-être l’image de référence des personnes infectées par le coronavirus. Ce n’est pas le cas pour Rebecca Frazier, qui a le Covid-19 comme on l’appelle maintenant. Curieusement, elle a l’air très bien. Elle est isolée dans un hôpital de Tokyo après avoir été testée positive pour le virus, alors qu’elle était à bord du navire de croisière Diamond Princess qui est maintenant amarré à Yokohama, en quarantaine pendant 14 jours…. Rebecca dit qu’elle est choquée d’avoir été testée positive pour le virus mortel étant donné à quel point elle se sent en forme et bien . 

« Je ne peux tout simplement pas y croire. Je ne peux pas croire que cela vous arrive. Euh. Je… Vous savez, je ne suis pas du genre à paniquer…. 

« Vous ne vous êtes pas senti bien ? Vous ne vous sentez pas bien ? 

« Non. Je ne me suis jamais vraiment senti mal. J’ai eu un peu de toux quand ils m’ont dit, et quand je suis arrivé ici, j’ai eu un peu de fièvre, mais tout cela s’est normalisé et je n’ai aucun symptôme…. ” 25

Dans une autre vidéo YouTube, 29 provenant cette fois d’une chaîne de télévision chinoise, on trouve le témoignage d’une infirmière de Wuhan qui a contracté le virus et a décidé de rester à la maison pour récupérer (ce qui aurait très bien pu être ce qui lui a sauvé la vie).

Dans la vidéo, nous la voyons vaquer à ses occupations quotidiennes comme si elle n’était qu’apparemment gênée par ce qui ne serait qu’un virus du rhume normal.

Dans un reportage de la BBC 30 sur Steve Walsh, qualifié de « super épandeur », un homme qui a apparemment été infecté par COVID-19 à Singapour et l’a apparemment propagé à de nombreux autres dans une station de ski en France, nous entendons l’un de ses voisins déclarer que

« Sa femme m’a dit au téléphone qu’en réalité il n’était pas si malade et elle pense que c’est un tas de conneries et que ce n’est pas pire que la grippe. Probablement pas aussi mauvais. » (2:20)

Alors… pourquoi se fait-il que, alors que ces personnes ne manifestent apparemment que des symptômes bénins, de nombreuses personnes en Chine, et en particulier dans la ville de Wuhan (et dans certaines autres provinces), traversent une période si difficile et beaucoup succombent malheureusement au virus, et (à défaut d’une meilleure expression) « tombent comme des mouches » ?

Au moins 10 000 antennes 5G installées à Wuhan seul

Ce qui n’est pas évident dans les reportages, c’est le fait que la Chine, dans sa précipitation pour prendre la tête de la course 5G, avait installé fin 2019 (et surtout au cours des derniers mois précédant l’épidémie de COVID-19) 130 000 antennes 5G dans tout le pays, 31 avec au moins 10 000 antennes installées rien qu’à Wuhan. 32 (À titre de comparaison, les États-Unis ne disposent actuellement que d’environ 10 000 antennes 5G installées dans tout le pays.)

Homme tenant un téléphone pour une connexion 5G

« La ville de Wuhan, la capitale du Hubei, devrait disposer de 10 000 stations de base 5G d’ici fin 2019… » 32

« Selon les rapports précédents, les trois opérateurs s’attendaient à exploiter près de 130 000 stations de base 5G d’ici la fin de 2019. »

Wuhan : l’une des premières villes à tester la 5G

En fait, Wuhan était l’une des 16 premières villes sélectionnées pour tester la 5G en 2018.

China Unicom commencera à tester le réseau 5G dans 16 villes, dont Pékin, Tianjin, Qingdao, Hangzhou, Nanjing, Wuhan , Guiyang, Chengdu, Shenzhen, Fuzhou, Zhengzhou et Shenyang.

China Mobile effectuera des tests externes sur le terrain et installera plus d’une centaine de stations de base 5G dans chacune des cinq villes suivantes : Hangzhou, Shanghai, Guangzhou, Suzhou et Wuhan . 34

D’après l’article « Wuhan 5G Industry Development : Five-Chain Coordination, Three-Wheel Drive » (武汉5G产业发展:五链统筹 三轮驱动), 35 (écrit en chinois) publié le 11 octobre 2019, il devient clair que Wuhan était dans une course avec d’autres villes chinoises pour se positionner à la pointe de la technologie 5G, et avec environ 10 000 antennes 5G, est probablement l’une – sinon la plus – irradiée par la 5G en Chine :

À l’heure actuelle, Wuhan saisit des opportunités de développement majeures dans la commercialisation de la 5G, avec la construction d’un réseau national 5G de première classe comme guide, avec le développement d’une industrie nationale 5G de première classe comme organe principal…

… La ville de Wuhan a pleinement mis en œuvre le « Plan de mise en œuvre de la planification et de la construction de la station de base 5G de Wuhan », avec un effort politique extraordinaire, pour guider et soutenir les entreprises de télécommunications de base et China Tower Corporation pour accélérer la construction de réseaux 5G. Cette année et l’année prochaine, Wuhan construira plus de 20 000 stations de base 5G, formera un réseau de base 5G avec une échelle de premier plan, une qualité de première classe et une démonstration solide pour assurer une couverture complète du réseau 5G dans la ville et être au premier plan parmi les villes similaires dans le pays. 35

Enfin, il a été indiqué dans un article intitulé « Réseau 5G à venir à Wuhan » (16 avril 2018), que « 3 000 macro stations de base et 27 000 micro stations de base » seraient bientôt construits, et que d’ici 2020 , le « réseau 5G couvrira tous les coins de la ville et sera disponible à un prix abordable. 36 Cela signifie qu’il peut en fait y avoir bien plus que 10 000 antennes à Wuhan, bien que 10 000 à elles seules feraient de Wuhan l’une des villes les plus concentrées en 5G au monde.

Systèmes 5G déployés dans les hôpitaux

Ce qui est également préoccupant ici, c’est que la Chine a, depuis environ novembre 2019, installé des systèmes 5G dans ses hôpitaux. 37 38 39 40

” Les principaux hôpitaux chinois, les principaux opérateurs de télécommunications et Huawei ont lancé mercredi un projet visant à établir des normes pour les réseaux basés sur la 5G dans les hôpitaux . » 37

« La Chine a publié une norme pionnière pour ses réseaux hospitaliers 5G, à la suite d’un processus de rédaction et de vérification conjoint entre les secteurs médical et des télécommunications. » 38

Systèmes 5G installés dans les hôpitaux du coronavirus de Wuhan

Recherche scientifique 5G

Et pour ajouter apparemment l’insulte à la blessure ici, Huawei n’a pas tardé à installer des systèmes 5G dans les nouveaux hôpitaux de coronavirus – l’hôpital de Wuhan Volcan Mountain et l’hôpital de Thunder Mountain – les deux hôpitaux connus pour n’avoir été construits qu’en un peu plus d’une semaine. 41 42

Les deux articles cités ici sont ironiquement intitulés, (1) « Huawei installe la 5G dans un hôpital chinois pour lutter contre le coronavirus » et (2) « Huawei construit la 5G à l’hôpital de Wuhan, vise à lutter indirectement contre le coronavirus » car cela pourrait très bien être tout le contraire de ce qu’ils ont effectivement l’intention de faire ici. Il y a aussi une vidéo intéressante sur YouTube intitulée « Les hôpitaux chinois déploient des robots pour aider le personnel médical à lutter contre l’épidémie de coronavirus », 43  démontrant cela en action.

Les télécoms chinois ont commencé à proposer la 5G commercialement en novembre 2019

Les sociétés de télécommunications chinoises ont commencé à proposer des services commerciaux 5G à leurs clients le 1er novembre de l’année dernière.

Les trois principaux opérateurs de téléphonie mobile chinois, China Mobile, China Unicom et China Telecom, commenceront à vendre des services 5G aux consommateurs le vendredi 1er novembre dans 50 grandes villes, dont Pékin et Shanghai, a déclaré Chen Zhaoxiong, vice-ministre du ministère de l’Industrie et de la Chine. Technologies de l’information le jeudi 31 octobre lors d’une conférence à Pékin….

Le gouvernement chinois a fait de la construction de la 5G une priorité nationale, en éliminant les formalités administratives et en réduisant les coûts afin que les trois fournisseurs de services sans fil introduisent la nouvelle technologie le plus rapidement possible. « Ils en ont fait une priorité nationale. Cela fait partie de la capacité du Parti [communiste] à montrer qu’il livre la marchandise », a déclaré Paul Triolo, responsable de la géotechnologie au cabinet de conseil Eurasia Group. « Et au milieu du différend commercial et des actions contre Huawei, il est encore plus important pour la Chine de montrer qu’elle continue d’avancer malgré tous ces défis » , a- t-il ajouté….

Le gouvernement central chinois souhaite que la couverture 5G soit étendue à l’ensemble de Pékin, Shanghai, Hangzhou et Guangzhou d’ici la fin de l’année. Le plus grand opérateur du pays, China Mobile, qui compte 900 millions d’abonnés au téléphone portable, affirme qu’il sera en mesure d’offrir des services 5G dans plus de 50 villes cette année….

Environ 13 000 stations de base 5G ont été installées à Pékin, a annoncé cette semaine l’administration des communications. Environ 10 000 sont déjà opérationnelles. La Chine possède déjà un total de plus de 80 000 stations de base macro 5G, généralement des tours cellulaires avec des antennes et d’autres matériels qui diffusent des signaux sans fil sur de vastes zones, ont déclaré des responsables gouvernementaux. Voir cet article sur les tours 5G.

Ils ont déclaré que la Chine terminerait l’année avec environ 130 000 [stations], tandis que Bernstein Research estime que la Corée du Sud sera à la deuxième place avec 75 000, suivie des États-Unis avec 10 000. Piper Jaffray a estimé que sur les 600 000 stations de base 5G qui devraient être déployées dans le monde l’année prochaine, la moitié le seront en Chine. 31

Cela signifie essentiellement que la Chine avait soudainement activé le commutateur 5G, un peu moins de deux mois avant l’épidémie de COVID-19, recouvrant soudainement de nombreuses villes de ce rayonnement sans fil 5G. Et au moment d’écrire ces lignes, le nombre de cas de COVID-19 en Corée du Sud commence également à monter en flèche. Comme nous pouvons le voir dans l’article ci-dessus, la Corée du Sud possède le deuxième plus grand nombre d’antennes 5G avec 75 000. C’est beaucoup pour un pays de sa taille. Y a-t-il un lien ? Je pense qu’il y a à l’heure actuelle (29 février 2020) également le plus grand nombre de cas de coronavirus (3150) et l’un des taux de mortalité les plus élevés (17) en dehors de la Chine.

Quarante villes buvant le service 5G

Dans l’article en ligne « Ces 40 villes vont boire le service 5G », 44 publié le 7 juin 2019, il a été révélé qu’il avait été décidé que la 5G serait lancée dans 40 villes à travers la Chine en 2019 par China Mobile et China Unicom (avec aucune information spécifique de China Telecom pour le moment).

Les villes de cette liste incluses dans la province du Zhejiang étaient Hangzhou, Ningbo et Wenzhou, sans parler des endroits comme Pékin, Shanghai, Wuhan, Guangzhou, Suzhou et Shenzhen. Le plan initial, semble-t-il, appelé stratégie de déploiement de réseau 5G « 7+33+n », était d’avoir une couverture complète à Pékin, Shanghai, Hangzhou, Guangzhou, Shenzhen, Nanjing et Xiong’an, avec une couverture hotspot dans les 33 autres villes, puis des réseaux 5G personnalisés dans les villes dites « n », bien que cela ait très bien pu changer car d’autres villes voulaient apparemment également une couverture complète (notez l’installation par Wuhan de 10 000 antennes 5G).

Les provinces les plus touchées par le coronavirus après Wuhan :
Zhejiang et Guangdong

Fait intéressant, à un moment donné de cette saga, les deuxièmes provinces les plus touchées (par le COVID-19) étaient les provinces du Zhejiang et du Guangdong (bien qu’au moment d’écrire ces lignes, le Zhejiang ait maintenant été dépassé par le Henan). 45 Les provinces énumérées ci-dessous, en chinois, et dans l’ordre de la plupart des cas, sont (1) Hubei (湖北), (2) Guangdong (广东), (3) Henan (河南), (4) Zhejiang (浙江) et (5) Hunan .

La situation a été si mauvaise dans la province du Zhejiang que le Japon, le 12 février, a même étendu ses restrictions d’entrée au Zhejiang touché par le virus (à l’époque, il était troisième en nombre de cas de COVID-19).

Il comprend les villes de Hangzhou et Wenzhou, qui comptent parmi les plus fortes concentrations de cas de coronavirus du pays. Hangzhou abrite le siège social d’Alibaba Group Holding, tandis que Wenzhou est connue comme le berceau des petites entreprises. 46

Sur la carte (Wikipédia) ci-dessous 47 , la province du Zhejiang est la province rouge plus foncée à droite et la province du Guangdong est la province rouge plus foncée en bas. La province rouge la plus foncée au milieu est le Hubei avec Wuhan en son centre. La province du Henan est au-dessus de la province du Hubei et la province du Hunan est en dessous.

Attribution : Wikimédiens / CC BY-SA (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0)

Ces villes (Hangzhou, Wenzhou et Ningbo) ont également été sélectionnées pour tester la 5G dans la province du Zhejiang.

Ookla 5G Maps 48 suit le déploiement de la 5G dans le monde, le nombre de télécommunications offrant un service 5G dans diverses villes de Chine.

Dans la ville de Hangzhou, les trois télécoms chinois fournissent un service 5G dans la ville ; alors qu’à Ningbo, seuls deux le sont, et à Wenzhou, un seul (China Mobile) l’est.

Les trois villes de la province du Zhejiang avec le plus de cas ont été Hangzhou (168 cas), Ningbo (156 cas) et Wenzhou (503 cas), 50 qui sont aussi curieusement les villes sélectionnées pour tester la 5G. La ville proprement dite de Wenzhou elle-même (bien que lorsque l’on inclut les préfectures extérieures, le total s’élève à 9 millions), par exemple, avec seulement 200 000 habitants, compte un nombre excessivement élevé de personnes infectées par le COVID-19, et la ville a été en confinement.

Mais comme vous pouvez le voir dans certains des articles sélectionnés ci-dessous, il y a eu une poussée majeure dans cette ville pour mettre en œuvre et couvrir leurs villes avec la technologie 5G. 

Dans l’article en ligne « China Tower Built 8400 5G Stations in Zhejiang » 51 (21 octobre 2019), il est révélé que 8400 stations de base 5G ont récemment été installées dans la province du Zhejiang, avec 4775 (sur une commande de 6154) installés rien qu’à Hangzhou, et 3 200 d’entre elles installées en 100 jours (en un peu plus de trois mois).

China Tower a construit 8400 stations 5G dans le Zhejiang

Selon un responsable de China Tower (Zhejiang), depuis cette année, elle a entrepris plus de dix mille demandes de construction 5G. A ce jour, 8397 stations ont été achevées, dont plus de 96 % ont été construites sur les sites des stations de stockage. À Hangzhou, depuis cette année, 6 154 demandes 5G ont été acceptées et 4775 ont été achevées et livrées, dont 93 % sont directement satisfaites et transformées via les sites des stations de stockage.

Dans le centre-ville de Hangzhou, après avoir reçu la demande de construction 5G de trois entreprises de télécommunications, China Tower (Zhejiang), avec le soutien du gouvernement, a achevé 3200 stations de base 5G dans la région pittoresque de West Lake, le centre sportif olympique et d’autres scènes à moins de 100 jours, et ont coopéré avec les entreprises de télécommunications à une installation rapide complète et mise au point de l’équipement, en fonction des salles de télécommunications existantes, des armoires, des installations de soutien électriques et antenne 5G ajoutés sur les sites de la station d’actions, lampadaires de la rue, les bâtiments, etc.  51

Dans un autre article en ligne, publié en chinois, « China Tower installe 8 400 antennes 5G dans le Zhejiang, 96 % sur la base de sites existants », [中国铁塔在浙江建成8400个5G站址,96%基于既有站址], 52 on peut voir China Tower recouvrir Hangzhou d’antennes 5G en très peu de temps.

Dans cet article, il est indiqué que « le Zhejiang est l’une des premières provinces du pays à commencer à construire des réseaux 5G » et que « China Tower Zhejiang Company… a lancé l’accélération de la construction 5G au cours de la première année de commercialisation de la 5G… ». Et de plus , « plus de 10 000 exigences de construction 5G ont été entreprises depuis cette année », avec « 8397 sites… achevés ».

Il devient clair que la province du Zhejiang, qui abrite le géant de la technologie Alibaba, est l’une des provinces qui devrait devenir l’une des premières à introduire la 5G. Dans l’article suivant, « La région du Delta pour construire un hub de communication d’informations de classe mondiale », 53 (Mise à jour : 01-11-2019), il est indiqué qu’avec la commercialisation des services 5G le 31 octobre,

[cinquante] villes ont été sélectionnées pour devenir parmi les premières à accéder aux services commerciaux 5G, dont 10 villes de la région du delta du fleuve Yangtze (YRD), dont la moitié sont dans la province du Zhejiang – Hangzhou , Ningbo, Wenzhou , Jiaxing et Shaoxing.

Il est en outre indiqué que les trois sociétés de télécommunications plus China Tower investiraient dans la région un total de 200 milliards de yuans (28,4 milliards de dollars US) pour la construction de l’infrastructure 5G afin de « la transformer en un centre de communication d’informations de classe mondiale. 

Selon un plan de développement pour la région publié en 2016, China Telecom, China Unicom, China Mobile et China Tower prévoient d’investir plus de 200 milliards de yuans (28,4 milliards de dollars) dans la construction d’infrastructures 5G dans la région d’ici 2021 pour aider à « la construire en un centre de communication de l’information de classe mondiale » promouvant « l’utilisation pilote du réseau et des applications 5G par la région » et indiquant « clairement que la région YRD sera la première en Chine à effectuer un essai d’utilisation commerciale des services 5G », tout en visant à « réaliser la couverture du réseau 5G dans toute la province d’ici 2025 ». 53

La ville côtière de Wenzhou la plus touchée dans la province du Zhejiang

Dans la province du Zhejiang, les villes de Hangzhou, Ningbo et Wenzhou comptent le plus grand nombre de cas de COVID-19. Ce sont également les principaux endroits où la 5G a été installée jusqu’à présent dans la province.

covid-19

Wenzhou, une ville chinoise relativement faible, a le plus grand nombre démesurément – actuellement 503 – des cas dans la province du Zhejiang, et a été en confinement 54 depuis le 2 février lorsque le nombre de cas a atteint 304.

Wenzhou : Internet et hub 5G

Au cours de la dernière année, il y a eu de nombreuses conférences dans cette petite ville faisant la promotion directe ou indirecte de la 5G. 55 56 57

Par exemple, la Conférence sur l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie et l’énergie s’y est ouverte en septembre de l’année dernière et la sixième Conférence mondiale sur l’Internet s’y est ouverte en octobre de l’année dernière. La conférence sur l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie et l’énergie a présenté les dernières technologies IoT de pointe et les applications 5G pour les technologies Big Data et les plateformes IoT. La sixième conférence Internet mondiale (trois jours) a réuni plus de 1 500 participants de plus de 70 pays et régions, dont des lauréats du prix Nobel et des dirigeants de grandes entreprises technologiques comme Qualcomm, Alibaba et Huawei.

Dans un article intitulé « Experience the construction of 5G base stations under high temperature », publié en chinois (体验高温下5G基站建设) 58 le 26 août 2019, il est indiqué que « Wenzhou est l’un des premiers pilotes 5G villes des trois principaux opérateurs, et la couverture du réseau 5G bat son plein. 

Dans un autre article, « Wenzhou montre une grande ambition dans l’industrie de l’IoT », 59 (10 septembre 2019), il est en outre déclaré :

« Wenzhou est en train de devenir une ville pilote pour la construction de villes intelligentes et les applications 5G en Chine » , a déclaré Chen. « Il existe désormais 13 centres de cloud computing, plus de 500 stations de base 5G et plus de 10 000 bases IoT à bande étroite dans la ville. »

Enfin, en regardant encore un autre article publié environ six mois plus tard intitulé « Le premier cas dans le Zhejiang ! La ligne S1 est la première à atteindre une couverture complète des signaux mobiles 5G » (19 janvier 2020), (également publié en chinois, 浙江首例!S1线率先实现移动5G信号全覆盖) 60 qui se délecte du signal 5G pénétration le long de la «ligne S1 aéroport de Longwan-Wenzhou South High Speed ​​Rail», il devient évident que Wenzhou a également participé à la course 5G pour recouvrir sa ville d’ondes électromagnétiques 5G.

Champs électromagnétiques (CEM) et système immunitaire

Les rayonnements sans fil de 1G à 5G ont tous émis des “champs électromagnétiques de radiofréquence (RF) (CEM)” modulés et il existe littéralement des milliers d’études montrant les effets biologiques des expositions aux ondes électromagnétiques artificielles, et parmi celles-ci, des centaines montrent des effets biologiques sur le système immunitaire.

Pour ne donner qu’un exemple, les recherches de Kolomytseva et coll. (2002) décrit dans l’article « Suppression de la résistance non spécifique du corps sous l’effet d’un rayonnement électromagnétique de fréquence extrêmement élevée et de faible intensité », 61 a constaté qu’avec :

exposition du corps entier de souris en bonne santé à un rayonnement électromagnétique de faible intensité à très haute fréquence (EMR EHF, 42,0 GHz, 0,15 mW/cm2, 20 min par jour)… l’activité phagocytaire des neutrophiles du sang périphérique a été supprimée d’environ 50 % (p < 0,01 par rapport au témoin exposé de manière fictive) en 2-3 h après l’exposition unique à EHF EMR…

et que :

… l’effet a persisté pendant 1 jour après l’exposition, puis l’activité phagocytaire des neutrophiles est revenue à la norme dans les 3 jours.

Et en plus :

une modification significative du profil sanguin leucocytaire chez les souris exposées à l’EHF EMR pendant 5 jours a été observée après l’arrêt des expositions : le nombre de leucocytes a augmenté de 44 % (p < 0,05 par rapport aux animaux exposés de manière fictive), principalement en raison d’une augmentation de la teneur en lymphocytes.

Ils ont conclu que :

les résultats ont indiqué que l’exposition du corps entier de souris en bonne santé à un EMR EHF de faible intensité a un effet profond sur les indices d’immunité non spécifique.

Dans un article 62 (écrit par moi-même avec le professeur Olle Johansson de l’Institut Karolinska) – qui, je crois, offre l’hypothèse la plus solide à ce jour sur les principaux mécanismes par lesquels les CEM désactivent en fait le système immunitaire – un certain nombre de ces effets sur le système immunitaire sont énumérés dans les citations.

Johansson (2012) détaille plus en détail, dans la section 8 de la BioInitiative , « Evidence for EMF Effects on the Immune System », 63  de nombreuses études démontrant ces effets, en particulier en ce qui concerne la façon dont les CEM radiofréquences modifient le système immunitaire.

Dans l’article d’Aljazeera mentionné précédemment 18, il est indiqué qu’une étude publiée dans la revue médicale The Lancet, le 24 janvier, a trouvé :

ce qu’il a appelé une « tempête de cytokines » chez les patients infectés qui étaient gravement malades. La condition est une réaction immunitaire sévère dans laquelle le corps produit des cellules immunitaires et des protéines qui peuvent détruire d’autres organes.

Par conséquent, il convient de noter ici qu’il existe, en fait, de nombreuses études de recherche montrant un effet des CEM sur les cytokines : une recherche PubMed, par exemple, a produit 119 résultats de recherche. 64

En 1998, un biologiste du nom de Roger Coghill a mené une expérience dans laquelle il « a prélevé des globules blancs, appelés lymphocytes, d’un donneur » et les a maintenus en vie grâce à l’utilisation de nutriments tout en les exposant soit aux radiations d’un téléphone portable, soit au champ électromagnétique naturel du corps humain. Il a découvert que parmi les cellules immunitaires exposées aux radiations des téléphones portables, seulement 13 % restaient intactes et capables de fonctionner correctement ; alors que, parmi les cellules exposées uniquement au champ électromagnétique naturel du corps, 70 % sont restées intactes et capables de fonctionner correctement. Naturellement, bien que ses recherches aient fourni un aperçu, il a été attaqué et critiqué par l’industrie du sans fil pour être « non scientifique ».

Le Dr Robert O. Becker (1985) a écrit sur la façon dont le système immunitaire est affaibli par les champs électromagnétiques artificiels via l’induction d’un « stress subliminal » :

Initialement, le stress active le système hormonal et/ou immunitaire à un niveau supérieur à la normale, permettant à l’animal d’échapper au danger et de combattre la maladie. Si le stress persiste, les niveaux d’hormones et la réactivité immunitaire diminuent progressivement pour revenir à la normale. Si vous arrêtez votre expérience à ce stade, vous avez apparemment raison de dire : « L’animal s’est adapté ; le stress ne fait pas de mal. Néanmoins, si les conditions de stress persistent, les niveaux hormonaux et immunitaires diminuent encore, bien en dessous de la normale. En termes médicaux, la décompensation du stress s’est installée et l’animal est désormais plus sensible à d’autres facteurs de stress, notamment la croissance maligne et les maladies infectieuses.

… Un aspect du syndrome était très déroutant. En subissant ces changements hormonaux, un animal serait normalement conscient que son corps était attaqué, pourtant, pour autant que nous puissions en juger, les lapins ne l’étaient pas. Ils ne montraient aucun signe extérieur de peur, d’agitation ou de maladie. La plupart des humains ne seraient certainement pas capables de détecter un champ magnétique de 100 gauss, du moins pas consciemment. Ce n’est que plusieurs années après les travaux de Friedman que quelqu’un a découvert comment cela se produit.

En 1976, un groupe dirigé par JJ Noval au Naval Aerospace Medical Research Laboratory de Pensacola, en Floride, a trouvé la réponse lente chez les rats à des champs électriques très faibles, aussi bas que cinq millièmes de volt par centimètre. Ils ont découvert que lorsque de tels champs vibraient dans la gamme ELF, les niveaux du neurotransmetteur acétylcholine dans le tronc cérébral augmentaient, apparemment d’une manière qui activait un signal de détresse de manière subliminale, sans que l’animal ne s’en rende compte. Le plus effrayant était que les champs utilisés par Noval se situaient bien en deçà des niveaux de fond d’un bureau typique, avec son éclairage au plafond, ses machines à écrire, ses ordinateurs et d’autres équipements. Les travailleurs dans un tel environnement sont exposés à des champs électriques compris entre un centième et un dixième de volt par centimètre et des champs magnétiques entre un centième et un dixième de gauss. (p. 277-278)2

CEM Affaiblissement du système immunitaire

Il suffit de dire que, même si les mécanismes par lesquels les CEM affaiblissent le système immunitaire sont multiples, il ne fait aucun doute que les CEM peuvent effectivement avoir un effet négatif sur le système immunitaire.

La 5G est beaucoup plus puissante et dangereuse que ses prédécesseurs

Le déploiement de la 5G – qu’il s’agisse de la phase d’essai ou de la phase de mise en œuvre – a déjà commencé dans la plupart des grands pays développés du monde, la majorité des autres se préparant apparemment pour ses débuts.

La Commission européenne a demandé à chaque État membre de sélectionner une ville pour être prête pour la 5G d’ici 2020 dans le cadre du plan d’action 5G de l’UE pour un marché unique numérique. La Commission européenne a demandé aux pays membres de l’UE de commencer à tester la 5G dans au moins une ville pour la préparer à la 5G d’ici 2020 dans le cadre de son « Plan d’action 5G pour un marché unique numérique ».

La Belgique a refusé – même la phase d’essai, sans parler de la phase de mise en œuvre – en raison des niveaux de rayonnement plus élevés que la 5G apporterait, ce qui était bien au-dessus de ce que ses normes de rayonnement autorisaient. La Suisse a commencé à la fois avec les essais et la mise en œuvre, et il a été dit qu’elle mettait un terme à la poursuite du déploiement, en raison de toutes les plaintes concernant les effets sur la santé qu’elle produisait, mais semble malheureusement continuer le déploiement. D’autres pays ont apparemment simplement abaissé leurs normes probablement parce qu’ils ne pouvaient pas résister à la meilleure chose à côté de la crème glacée Chunky Monkey de Ben & Jerry. Et les États-Unis et la Chine ont apparemment été dans une course 5G pour couvrir leurs pays de ce rayonnement 5G (et très probablement par inadvertance du coronavirus), la Chine semblant maintenant gagner sur ces deux fronts.

La 5G a été divisée en bandes passantes faible, moyenne et élevée. Les fréquences de bande passante faible à moyenne « sont contiguës et vont de 600 MHz à 6 GHz » 66 et ont été utilisées pour la 1G-4G au cours des quarante dernières années. D’autre part, les bandes passantes d’ondes millimétriques à plus haute fréquence sont de nouvelles fréquences commençant à environ 24 GHz (aux États-Unis en tout cas), et n’ont pas été utilisées pour les services commerciaux de téléphonie cellulaire aux États-Unis jusqu’à récemment, avec l’arrivée de ces services commerciaux 5G.

Pour l’essentiel, à l’heure actuelle, la plupart des 5G se situent désormais dans la plage de bande passante faible à moyenne, avec une couverture limitée en ondes millimétriques élevées, bien que cela changera probablement au fur et à mesure que la technologie se développera et sera mise en œuvre. En outre, la technologie 5G est mise en œuvre parallèlement à la technologie 4G déjà en place. La technologie 5G apporte à la fois des macrostations de base plus grandes et des microstations de base plus petites installées entre les plus grandes stations de macro-base. Et parce que ces microstations de base sont souvent plus proches des maisons des gens dans les zones résidentielles, selon Oram Miller, spécialiste en rayonnement électromagnétique certifié en biologie du bâtiment (EMRS) :

nous mesurons maintenant des niveaux RF plus élevés dans les maisons des clients, en particulier dans les chambres du deuxième étage (lisez l’article de Lloyd sur les CEM dans les chambres), jusqu’à des dizaines à des centaines de milliers de microWatts/mètre carré (uW/m2) à partir de ces nouvelles antennes,

tandis que :

la profession de la biologie du bâtiment et les experts EMF du monde entier affirment que 10 microwatts par mètre carré ou moins sont sans danger pour les zones de couchage (en fait, 0,1 uW/m2 est notre niveau « aucune anomalie » pour les zones de couchage). Voici une liste d’experts EMF .

De plus, alors que nous avons augmenté le spectre de 1G à 5G, à chaque nouvelle génération, il y a eu une modulation accrue, et une modulation accrue signifie des effets biologiques accrus et des dommages biologiques pour toute la vie sur cette planète. La 5G ne fait pas exception. Oram Miller continue d’expliquer :

Toutes ces technologies avancées envoient plus de signaux cellulaires dans le même espace aérien à des vitesses plus rapides avec beaucoup plus de modulation que les technologies cellulaires 4G actuelles.

Et…

Cette modulation des signaux cellulaires transmis dans les bandes basses et moyennes par les nouvelles petites radios et antennes 5G et 4G LTE-Advanced apparaissant partout représente probablement la majorité des personnes vivant à proximité de ces antennes qui signalent l’apparition de symptômes de santé jamais ressentis auparavant.

Dr Martin Pall, Ph.D. (Professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales, Washington State University), – qui a attiré l’attention du monde sur le fait que les CEM causent des dommages biologiques via l’ouverture des canaux calciques voltage-dépendants (VGCC), permettant un flux excessif d’ions calcium à l’intérieur de la cellule et l’incitation à la production d’oxyde nitrique (NO) via la stimulation de l’enzyme oxyde nitrique synthase pour former une multitude d’espèces réactives de l’oxygène via des effets en aval 67 – a averti que le déploiement de la 5G aurait des effets délétères massifs sur la population mondiale , sans parler de toutes les formes de vie. Il pense que la 5G sera beaucoup plus dangereuse pour les raisons suivantes :

1. Le nombre extraordinairement élevé d’antennes prévues.
2. Les rendements énergétiques très élevés qui seront utilisés pour assurer la pénétration.
3. Les niveaux de pulsation extraordinairement élevés.
4. Les interactions apparentes de haut niveau de la fréquence 5G sur les groupes chargés, y compris vraisemblablement les groupes chargés du capteur de tension. 68

Dans un article récent intitulé « Massive Predicted Effects of 5G » (17 décembre 2019), 69 Pall déclare que « étant donné le niveau de pulsation élevé pour le rayonnement 5G, même de courtes expositions peuvent bien produire des effets biologiques graves », sans parler des densités de puissance jusqu’à 30 fois plus élevées que les systèmes précédents de 1G à 4G et avec une pénétration améliorée via le composant magnétique. Il prédit qu’avec l’activation à part entière de la 5G (par rapport à sa phase d’essai, où il y a encore peu de communication avec la 5G), nous verrons :

  • (1) une diminution de la reproduction humaine,
  • (2) une diminution du cerveau collectif fonctionnelle,
  • (3) une maladie d’Alzheimer à début très précoce,
  • (4) une augmentation de l’autisme et du TDAH,
  • (5) une détérioration du patrimoine génétique humain et
  • (6) une augmentation massive des arrêts cardiaques.

Tout en suivant le déploiement de la 5G, il a suivi de nombreux signes de ses effets biologiques. Par exemple, il a décrit l’augmentation des effets neuropsychiatriques, des effets cardiaques et de l’hypersensibilité électromagnétique, tirée d’articles en ligne suisses, 70 71 comme ce que nous commençons déjà à voir avec l’avènement de cette technologie :
• Augmentation de l’insomnie, des acouphènes, des maux de tête, incapacité à se concentrer et fatigue.
• Augmentation de l’hypersensibilité électromagnétique (EHS).
• Augmentation des arythmies cardiaques.

Il rapporte que bien que ces effets aient été signalés auparavant avec des études d’exposition professionnelle et des études sur les compteurs intelligents, « les effets semblent être beaucoup plus graves après [le déploiement de] la 5G  » avec « une apparence encore plus grave [à publier] 5G neuropsychiatrique. effets [apparaissant] dans le sud de la Californie », avec leur propre déploiement massif récent de la 5G.

En outre, il déclare que « nous avons toutes les raisons de croire que tout système 5G à part entière, communiquant avec ‘l’internet des objets’, produira des effets encore bien plus importants que n’importe laquelle de ces découvertes initiales. » Cela pourrait très bien être ce que nous voyons dans la ville de Wenzhou, dans la province du Zhejiang, en Chine – qui a déjà mis en œuvre cette technologie avec la 5G – avec des taux extraordinairement élevés de coronavirus, avec des taux extraordinairement élevés de coronavirus, et qui sait quelles autres augmentations des effets sur la santé (par exemple, augmentation des problèmes cardiaques, de la cécité, de l’hypersensibilité électromagnétique, etc.) il y a eu qui n’ont pas été rendus publics ?

Il explique plus en détail – en corrélation avec les tests 5G – les suicides des services d’ambulance 5G au Royaume-Uni, 72 les cas de panique chez les bovins aux Pays-Bas, 73 et les comportements bizarres et agressifs chez les bovins et les moutons en Allemagne, 74 les malformations congénitales en Allemagne et en France, 75 76 et des centaines d’oiseaux tombant du ciel en raison d’un arrêt cardiaque soudain pendant trois jours de tests 5G dans un parc près de Rotterdam, 77 et la liste s’allonge encore et inclut également la mort d’insectes et l’augmentation des incendies en Corée du Sud. 78 79

(Voir aussi l’article sur la 5G est-elle dangereuse ? )

[Voir aussi :
Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]

La 5G pourrait-elle rendre le coronavirus plus virulent ?

Lorsque nous regardons la vidéo suivante, il devient évident que les formes de vie plus petites comme les insectes sont en effet plus sensibles à ce rayonnement micro-ondes sans fil, cet exemple clair ne provenant que du radar :

Cette photo montre des pucerons sur la feuille d’un oranger. Peu de temps après l’installation du radar dans un aéroport voisin il y a quelques années, j’ai remarqué que toutes les quelques secondes, tous les pucerons se tendaient à l’unisson et faisaient une sorte de petite danse, comme vous le voyez sur la photo. Après une enquête plus approfondie, j’ai trouvé que l’intervalle de temps entre l’activité de chaque danse, coïncidait exactement avec la rotation du dispositif de rotor de radar à l’aéroport, qui était une distance d’environ quatorze milles.

Dans la vidéo suivante, le Dr Dietrich Klinghardt parle d’une expérience au cours de laquelle des moisissures exposées aux CEM ont proliféré :

Je vais maintenant faire le lien avec les champs électromagnétiques. Un médecin suisse que je connais et qui est l’un des principaux chercheurs européens dans le domaine des moisissures a réalisé une belle expérience. Il a fait pousser des cultures de moisissures sous une cage de Faraday ressemblant simplement à un manteau d’argent, qui ressemble à une moustiquaire, faite d’un tissu recouvert d’argent. Il l’a drapé sur la culture de moisissures. Et il a mesuré combien de mycotoxines, combien de toxines, sont produites par ces moisissures sur une base quotidienne. Très facile à faire. Puis il a soulevé la moustiquaire et a exposé la culture de moisissures aux radiations électromagnétiques ambiantes de son laboratoire, causées par les lumières allumées, par l’ordinateur dans le coin, et surtout, comme il l’a découvert plus tard, par les radiations ambiantes des téléphones portables, provenant de la tour de téléphonie mobile voisine qui diffusait des radiations de téléphones portables. Il a découvert que la production de biotoxines dans cette culture a été multipliée par plus de 600. Non seulement la moisissure a soudainement produit beaucoup plus de mycotoxines pour se protéger, mais aussi des mycotoxines beaucoup plus virulentes, beaucoup plus vicieuses, plus toxiques. Et j’ai pris cette expérience comme une grosse ampoule qui s’est allumée pour moi…..

Et si le même genre de chose se produisait avec le rayonnement 5G et le coronavirus ? Pall (2020) énumère dans une version plus récente de son article 80 (précédemment mentionné) un certain nombre d’études qui en fait soutiennent fortement cette théorie.

La question qui est soulevée ici n’est pas de savoir si la 5G est responsable du virus, mais plutôt si le rayonnement 5G, agissant via l’activation du VGCC, peut exacerber la réplication virale ou la propagation ou la létalité de la maladie.

Revenons en arrière et examinons l’histoire récente de la 5G à Wuhan afin d’avoir une certaine perspective sur ces questions. Un article d’Asia Times, daté du 12 février 2019, a déclaré qu’il y avait 31 stations de base 5G différentes (c’est-à-dire des antennes) à Wuhan à la fin de 2018.
Des plans ont été élaborés plus tard, de sorte qu’environ 10 000 antennes 5G seraient en place au fin 2019, la plupart d’entre eux étant équipés de lampadaires intelligents à LED 5G.
Le premier lampadaire intelligent de ce type a été mis en place le 14 mai 2019, mais un grand nombre n’a commencé à être mis en place qu’en octobre 2019, de sorte qu’il y a eu un rythme effréné d’un tel placement au cours des 2 derniers mois et demi de 2019.

Ces résultats montrent que le rythme rapide de l’épidémie de coronavirus s’est développé au moins à peu près à mesure que le nombre d’antennes 5G est devenu extraordinairement élevé. Nous avons donc cette découverte que la première ville intelligente et autoroute intelligente 5G de Chine est l’épicentre de cette épidémie et cette découverte que l’épidémie n’est devenue rapidement plus grave que lorsque le nombre d’antennes 5G a monté en flèche.

Ces résultats sont-ils une coïncidence ou la 5G a-t-elle un rôle causal dans l’exacerbation de l’épidémie de coronavirus ? Afin de répondre à cette question, nous devons déterminer si les effets en aval de l’activation de VGCC exacerbent la réplication virale, les effets de l’infection virale, en particulier ceux qui ont un rôle dans la propagation du virus et également le mécanisme par lequel ce coronavirus provoque la mort. . Ainsi, la réplication de l’ARN viral est stimulée par le stress oxydatif : J Mol Biol. 28 novembre 2008 ; 383 (5) : 1081-96. Modes d’oligomérisation variables dans la protéine non structurale du coronavirus 9. Ponnusamy R, Moll R, Weimar T, Mesters JR, Hilgenfeld R.

D’autres aspects de la réplication virale, y compris ceux impliqués dans la propagation du virus, sont stimulés par l’augmentation du calcium intracellulaire [Ca2+]i, le stress oxydatif, l’élévation de NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose, chacun étant augmenté après l’exposition aux CEM. La première citation ci-dessous montre un rôle important de l’activation de VGCC dans la stimulation de l’infection à coronavirus.

  • Virologie. 2 janvier 2020 ; 539 : 38-48. Le deltacoronavirus porcin (PDCoV) module l’afflux de calcium pour favoriser la réplication virale. Bai D, et al.
  • J Virol. 2011 mai ;85(9) :4234-45. Voies distinctes de lésions pulmonaires aiguës induites par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère chez deux espèces différentes de primates non humains. Smits SL, et al.
  • Calcium cellulaire. 2018 novembre ; 75:30-41. La signalisation Ca2+ dépendante du NAADP régule la translocation du pseudovirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient-coronavirus à travers le système endolysosomal. Gunaratne GS, et al.
  • J Virol. 2011 mai ;85(9) :4234-45. Voies distinctes de lésions pulmonaires aiguës induites par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère chez deux espèces différentes de primates non humains. Smits SL, et al.
  • Protéome Sci. 8 mars 2011; 9:11. Analyse protéomique de la trachée embryonnaire de poulet et des tissus rénaux après infection in ovo par le coronavirus de la bronchite infectieuse aviaire. Cao Z, et al.
  • Res Vet Sci. Juin 2015 ; 100 : 12-7. Biomarqueurs sériques du stress oxydatif chez les chats atteints de péritonite infectieuse féline. Tecles F, et al.
  • J Infecter Dis. 15 mars 2008;197(6):812-6. Le déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase augmente l’infection par le coronavirus humain. Wu YH et al.
  • J Virol. Juin 1998 ; 72(6) : 4918-24. Le coronavirus de gastro-entérite transmissible induit la mort cellulaire programmée dans les cellules infectées par une voie dépendante de la caspase. Eleouet JF, et al.

La principale cause de décès par ce coronavirus est la pneumonie. La pneumonie est fortement exacerbée par chacun de ces cinq effets en aval de l’activation du VGCC, le calcium intracellulaire excessif, le stress oxydatif, l’élévation de NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose. La première des citations énumérées ci-dessous montre que les inhibiteurs calciques, le même type de médicaments qui bloquent les effets des CEM, sont utiles dans le traitement de la pneumonie. Cela prédit que les CEM, agissant via l’activation du VGCC, produiront une pneumonie de plus en plus grave et que le rayonnement 5G ainsi que d’autres types de CEM pourraient bien augmenter les décès par pneumonie.

  • Zheng et al. 2016 Utilisation avant l’admission d’inhibiteurs calciques et résultats après une hospitalisation pour pneumonie : étude de cohorte rétrospective correspondant à la propension. Suis J Ther. 2017 janv/fév;24(1):e30-e38.
  • Fang et al. 2017 Activation de la calpaïne dépendante de la pneumolysine et sécrétion d’interleukine-1α dans les macrophages infectés par Streptococcus pneumoniae. Infecter Immun. 18 août 2017 ; 85(9). pii : e00201-17.
  • Fettel et al. 2019 La sphingosine-1-phosphate (S1P) induit de puissants effets anti-inflammatoires in vitro et in vivo par la suppression de l’activité 5-lipoxygénase médiée par le récepteur S1P 4. FASEB J. 2019 fév;33(2):1711-1726.
  • Liu et Shi. 2019 Régulateur du canal chlorure activé par le calcium 1 (CLCA1) : Plus qu’un régulateur du transport du chlorure et de la production de mucus. World Allergy Organ J. 2019 Nov 29;12 (11):100077.
  • Sci Rep. 2018 Oct 18;8 (1):15393. La protéine tensioactive D atténue les lésions pulmonaires et rénales aiguës dans la septicémie induite par la pneumonie en modulant l’apoptose, l’inflammation et la signalisation NF-κB. Du J, et al.
  • Curr Neurovasc Res. 28 janvier 2020. Le microARN (miR)-429 favorise les lésions inflammatoires en ciblant le facteur 4 de type kruppel (KLF4) dans la pneumonie néonatale. Zhang L, et al.
  • Science de la vie. 1er juillet 2019 ; 228 : 189-197. L’ARN long non codant SNHG16 cible miR-146a-5p/CCL5 pour réguler l’apoptose et l’inflammation des cellules WI-38 induites par le LPS dans la pneumonie aiguë. Zhou Z, et al.

Tous soutiennent que le rayonnement 5G est susceptible d’exacerber considérablement la propagation du coronavirus et d’augmenter considérablement la létalité des infections qu’il produit. La bonne nouvelle est qu’il est probable que ceux d’entre nous qui vivent dans des zones sans rayonnement 5G et qui évitent les autres CEM dans la mesure du possible échapperont probablement à une grande partie des impacts de cette future pandémie mondiale.

Il est fort probable que l’une des meilleures choses que Wuhan puisse faire pour contrôler l’épidémie dans la ville soit de désactiver le système 4G/5G.

[Note de Joseph : de nombreux articles du dossier Vaccins et virus concourent à démontrer que la virologie n’est pas une science, mais ressemble plutôt à une religion, et que la théorie virale est fallacieuse, voire frauduleuse. Il n’existe pas la moindre preuve réellement scientifique de virus pathogènes qui seraient responsables de maladies prétendument virales. Et les apparentes contagions proviennent le plus souvent de l’exposition à une cause toxique commune, comme ici la 5G. Les rares cas d’épidémies apparentes inexplicables par une cause commune peuvent provenir du mécanisme exposé dans l’article Communication entre organismes vivants par biophotons.
Voir aussi :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G,
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
et Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques (sachant que le corps est très majoritairement composé d’eau).]

Agences capturées et détournement de la science

Et vous pourriez vous demander : « Pourquoi n’ai-je pas entendu parler de ce problème ? » ou vous pourriez vous dire que « les autorités ont certainement à cœur nos meilleurs intérêts lorsqu’elles prennent ce genre de décisions ».
Eh bien, dans une récente critique de livre 81 du livre Triumph of Doubt (de David Michaels, 2020), Kathleen Rest, directrice exécutive, Union of Concerned Scientists (UCS), (14 février 2020) décrit comment la tromperie est utilisée pour fabriquer le doute et l’incertitude dans les manuels de relations publiques de nombreuses industries :

• Attaquer la science. Cette boîte à outils contient de nombreux outils : commander de nouvelles études [prétendument] « scientifiques » pour réanalyser les données existantes avec des méthodologies biaisées vers des résultats prédéterminés ; passer en revue la littérature et les évaluations des risques pour remettre en question le poids de la preuve; publier ces revues et réanalyses dans des revues scientifiques sélectionnées ; magasiner et embaucher des experts dits « indépendants » pour remettre en question la science ; fournir des extraits sonores savoureux et à contre-courant pour les médias et la consommation publique ; et plus.
• Créer et déployer des groupes de façade aux noms anodins pour saper la science, influencer l’opinion publique et accéder aux décideurs politiques tout en maintenant l’illusion d’indépendance.
• Harceler et intimider les scientifiques indépendants dont la recherche démontre ou suggère un préjudice. Ou bien, privilégiez les institutions universitaires et les scientifiques en leur fournissant une forme de soutien financier tout en vernissant leur image d’intérêt public.
• Submerger les organismes de réglementation de commentaires sur les réglementations proposées.
• Utiliser leur argent, leur pouvoir et leur accès démesurés pour influencer les actions/inactions des décideurs politiques élus et des responsables des agences. (Oh, et il y a aussi cette porte tournante bien huilée. Il suffit de regarder combien de dirigeants d’agences et de décideurs de l’administration Trump viennent directement des industries qu’ils sont maintenant censés réglementer.)

Une autre tactique que j’ai remarquée est que ces personnes semblent utiliser est d’inscrire leur matériel sur une liste de discussion pour faire des déclarations complètement farfelues afin que les médias couvrent l’affaire et essaient de faire passer toutes les personnes impliquées pour des fous furieux, ce qu’un public peu méfiant est prompt à consommer et à croire. C’est ce qui semble se passer actuellement avec cette question. En savoir plus sur la dissimulation des CEM.

Certes, la façon dont les gouvernements et les entreprises occidentaux manipulent l’opinion publique est différente de la façon dont cela pourrait être fait en Chine, car dans ce dernier cas, il existe un contrôle gouvernemental strict (par exemple un pare-feu Internet) sur ce qui est autorisé et non autorisé à être consulté sur Internet, etc. Par conséquent, ils n’auront peut-être pas vraiment besoin d’utiliser le manuel ci-dessus et c’est peut-être la raison pour laquelle ils ont pu agir si rapidement pour mettre en œuvre cette technologie. Mais à quel prix ?

« Tout doit être pris en compte.
Si le fait ne correspond pas à la théorie – laissez tomber la théorie… Les vraies preuves sont généralement vagues et insatisfaisantes. Elles doivent être examinées, passées au crible. »

Agatha Christie

Comme le dit Agatha Christie, « Tout doit être pris en compte ». Ignorer – en particulier ignorer volontairement – tous les facteurs de causalité très possibles – en particulier les champs électromagnétiques – à mon humble avis, n’est tout simplement pas une bonne science, si vous pouvez appeler cela de la science.

Selon le Dr Martin Pall, Ph.D. :

L’échec des « directives de sécurité » à prédire les effets biologiques et donc la sécurité signifie que ce ne sont pas des directives de sécurité. Par conséquent, toute affirmation de sécurité faite par l’industrie des télécommunications de plusieurs milliards d’euros sur la base de ces « directives de sécurité » est tout simplement frauduleuse.

Ces échecs des « consignes de sécurité » doivent être considérés au regard du principe qui est au cœur de la méthode scientifique. Ce principe est que lorsque nous avons une théorie scientifique et que nous testons les prédictions de cette théorie et que les prédictions de la théorie se révèlent fausses, alors nous devons rejeter la théorie. Il s’ensuit que lorsque nous avons huit résultats très répétés dont chacun montre que les « directives de sécurité » ne prédisent pas d’effets biologiques et ne prédisent donc pas la sécurité, c’est une exigence scientifique que les « directives de sécurité » soient rejetées. L’échec de l’ICNIRP, de la Commission européenne et de divers organismes de réglementation à rejeter les « directives de sécurité » montre clairement que leurs actions sont à la fois non scientifiques et anti-scientifiques. 65

« Vous n’avez pas droit à votre opinion. Vous avez droit à votre opinion éclairée. Personne n’a le droit d’être ignorant. »

Harlan Ellison

Femme pensant

Et quiconque souhaite avoir un aperçu de la façon dont – ce qui est perçu comme la vache sacrée des organisations internationales de santé – l’OMS a été indûment influencée par l’industrie, ils n’ont pas besoin de chercher plus loin que l’oncologue et professeur suédois, l’article du Dr Lennart Hardell, « World Organisation de la santé, rayonnement radiofréquence et santé – un problème difficile à résoudre (Revue). » 82

Que pouvez-vous faire pour vous protéger ?

Étant donné que, par conséquent, les effets des CEM agissent via l’activation des VGCC avec une augmentation résultante des ions calcium à l’intérieur de la cellule stimulant l’oxyde nitrique synthase pour produire plus d’oxyde nitrique conduisant en aval à la création de radicaux libres (aka espèces réactives de l’oxygène), il est important à, tout d’abord, limiter autant que possible les expositions aux CEM. Comme le recommande Oram Miller :

Réduisez l’utilisation, augmentez la distance et privilégiez les connexions filaires chaque fois que possible. Vous pouvez mettre votre téléphone portable en mode avion, en vous assurant que le Wi-Fi et le Bluetooth sont désactivés en mode avion, et effectuer la plupart des fonctions de votre téléphone portable sur un appareil câblé différent à l’intérieur de votre maison. Cela inclut les conversations, les SMS, les e-mails, le streaming audio et vidéo et l’utilisation de diverses applications. 66 Apprenez-en plus sur la  radioprotection Bluetooth, WiFi et  des téléphones portables ici.

Deuxièmement, embauchez un spécialiste en rayonnement électromagnétique certifié en biologie du bâtiment pour vous aider à mesurer puis à réduire les CEM dans la maison, par exemple, en protégeant votre maison et votre chambre pour bloquer les RF nuisibles à la santé, éliminant ainsi toute erreur de câblage dans la maison pour réduire les champs magnétiques et réduire les sources d’électricité sale. Lisez à propos des champs électromagnétiques sur le câblage ici.

[Voir les liens dans le dossier 5G et ondes pulsées]

Troisièmement, je dirais que la mise en œuvre de ce que j’ai surnommé « Le programme de régime et de suppléments radioprotecteurs ™ » est essentielle.

Il y a deux suppléments principaux que j’ai utilisés au fil des ans qui ont considérablement réduit ma propre sensibilité aux champs électromagnétiques et ce sont (1) le magnésium, car il agit comme un bloqueur naturel du VGCC, en ce qu’il empêche le calcium de pénétrer dans la cellule, et (2) L-lysine, un acide aminé essentiel, qui agit pour calmer la production d’oxyde nitrique (NO), (alors que l’acide aminé arginine est nécessaire à l’oxyde nitrique synthase pour stimuler la production de NO). En savoir plus sur le diagnostic et le traitement de la sensibilité électrique ici.

La L-lysine présente l’avantage supplémentaire d’agir de la même manière que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) en ce sens qu’elle se lie aux récepteurs de la sérotonine dans le cerveau pour augmenter les niveaux de sérotonine. Prendre ces deux suppléments avant de se coucher devrait également vous aider à mieux dormir.

« Le programme de régime et de supplément radioprotecteur ™ » est essentiellement :

  • (1) un stimulant du système immunitaire,
  • (2) un anti-inflammatoire,
  • (3) un détoxifiant et
  • (4) un anti-radicaux libres. 

Par conséquent, il se compose d’aliments et de suppléments qui soutiennent ces processus dans le corps. Voici un article sur la protection contre les CEM et la nourriture que vous mangez.

Cela impliquerait de prendre, par exemple :

  • de la poudre de lactosérum biologique dénaturée pour augmenter les niveaux de glutathion (le super antioxydant du corps), qui non seulement atténue les radicaux libres, mais aide également à renforcer le système immunitaire et la détoxification, ainsi que des facteurs de transfert ciblés qui renforcent le système immunitaire en augmentant les cellules tueuses naturelles ;
  • anti-inflammatoires comme le gingembre et le curcuma ;
  • aliments détoxifiants comme les oignons, l’ail et le brocoli ;
  • et les fruits et légumes riches en antioxydants ;
  • sans parler des aliments qui reconstituent les hormones et les neurotransmetteurs perdus du fait de l’exposition aux CEM comme la sérotonine, la mélatonine, la dopamine, l’acide gamma amino butyrique (GABA) et la phényléthylamine (PEA) qui comprennent les bananes (tryptophane), l’ananas (sérotonine), les noix de cajou (sérotonine ), jus de cerise acidulée (mélatonine), lait de riz germé (GABA) et chocolat (PEA).

Un autre supplément que je trouve essentiel pour renforcer le système immunitaire, stimuler la détoxification et guérir les intestins qui fuient (et probablement d’autres barrières qui fuient) sont les minéraux humiques.

Il y a eu un certain nombre de publications sur des sites Web de médias sociaux recommandant des herbes et des suppléments censés être efficaces contre le coronavirus. Par exemple, Ty Bolinger énumère un certain nombre de suppléments et d’herbes que l’on peut prendre dans un article qu’il a publié sur son site Web, la vérité sur le cancer, intitulé « Coronavirus : The Good, the Bad, and the Answers ». 83 Et Doris Loh explique pourquoi la prise de vitamine C protégera et renforcera votre système immunitaire dans deux de ses articles. 84 85 Je sais d’après des recherches antérieures que les CEM et les virus épuisent les réserves de vitamine C, donc en compléter semble être une très bonne idée.

Enfin, je dirais que vous exposer à des CEM bénéfiques via la mise à la terre, et également en utilisant une machine CEMP. Personnellement, j’en utilise un qui a pour moi, je pense, (1) stimule le processus de guérison, (2) réduit l’inflammation et (3) renforce mon système immunitaire. Si cette dernière solution vous intéresse, contactez-moi à EMF Refugee .

Conclusion

La Chine est un grand pays avec une population incroyable qui a fait des progrès étonnants en créant un pays moderne très sophistiqué au cours des dix dernières années, surpassant de nombreux autres pays modernes à bien des égards. Cependant, étant donné les faits que :

1. nous avons des données réelles qui montrent en effet que le rayonnement sans fil a un impact sur le système immunitaire ;
2. nous avons de nombreux patients en dehors de la zone 5G ne présentant aucun ou seulement des symptômes légers,
3. il y a eu récemment 10 000 antennes 5G installées et allumées à Wuhan, sans parler de 130 000 antennes 5G installées dans toute la grande Chine ;
4. des systèmes 5G ont récemment été installés dans de nombreux hôpitaux en Chine, sans parler des nouveaux hôpitaux COVID-19 ;
5. nous constatons un nombre plus élevé d’infections au COVID-19 dans des endroits comme Hangzhou et Wenzhou, sans parler de la Corée du Sud, etc. où ils ont également récemment installé de nombreuses antennes 5G ; et
6. aucun test n’a été effectué pour déterminer les implications biologiques de l’exposition de formes de vie à ce rayonnement ;

nous pouvons conclure que le vrai problème ici pourrait très bien être avec le rayonnement électromagnétique 5G qui affaiblit le système immunitaire des gens, sans parler de rendre éventuellement le virus lui-même plus virulent. Et si cela est vrai et si la Chine ne change pas de cap, la 5G pourrait très bien devenir son – et le reste du Titanic du monde – avec le COVID-19 (et d’autres comme lui) ses icebergs.

C’est peut-être ce dont les gens doivent vraiment commencer à s’inquiéter et il est peut-être temps pour le gouvernement chinois, ainsi que les gouvernements du monde entier d’enquêter sérieusement et de traiter les effets possibles de la 5G sur la santé et de mettre un terme au déploiement prématuré de la technologie 5G jusqu’à ce qu’on puisse prouver qu’elle est sûre (ce dont je doute qu’on puisse faire) et jusqu’à ce que des alternatives plus sûres puissent être développées.

Le gouvernement belge ne l’a jamais mis en œuvre [en date de fin février 2020] et il a été question que le gouvernement suisse suspende le déploiement de la 5G, 87 mais ils semblent maintenant aller de l’avant. 88 Et il semble que, à moins que les gens ne s’en rendent compte, la Chine suivra certainement une voie similaire.

Je suis désolé de devoir gâcher votre défilé électromagnétique ici, mais il se pourrait bien que ce soit votre 5G qui contribue à rendre tout le monde malade.

« Les seules personnes en colère contre vous pour avoir dit la vérité, sont celles qui vivent dans le mensonge.
Continuez à la dire. »

Inconnu

« Toute vérité passe par trois étapes : Premièrement, elle est ridiculisée. Deuxièmement, il est violemment opposé. Troisièmement, il est accepté comme allant de soi. »

Arthur Schopenhauer
[NDLR Cette citation est en fait apocryphe.]

Un grand merci à Paul Doyon pour ce billet d’invité.

[À propos de l’auteur]

Paul Raymond Doyon

Paul Doyon est un chercheur, écrivain, enseignant et éducateur de 33 ans, qui s’est impliqué par inadvertance dans des recherches sur la question des CEM après être tombé malade en 2005, alors qu’il vivait à proximité de plusieurs tours de téléphonie cellulaire. Il a passé 27 ans de sa vie adulte à vivre en dehors de son pays d’origine, les États-Unis, à enseigner l’anglais comme langue étrangère (EFL) et l’anglais comme langue seconde (ESL), principalement à l’université, au collège et dans les écoles internationales.
Paul est praticien en biologie du bâtiment (BBP) et spécialiste des rayonnements électromagnétiques (EMRS) à l’  Institut international de biologie et d’écologie du bâtiment (IBE). Il est également le fondateur du site  EMF Refugee .





Électrohypersensibilité : un handicap souvent mépris pour un désordre psychiatrique

[Source : maisonsaine.ca]

Par André Fauteux

En bref

  • L’EHS est reconnue comme un handicap et une maladie professionnelle.
  • Un diagnostic médical officiel de l’EHS conduirait-il à davantage ou à moins de traitements psychiatriques ?
  • Le diagnostic psychiatrique résulte d’un manque de reconnaissance médicale.
  • La Suède n’est pas un paradis pour les électrohypersensibles.
  • Absence d’accommodements malgré la reconnaissance du handicap.
  • Contexte historique (de Tesla à Schliephake et Bevington).
  • Lignes directrices EUROPAEM 2016 pour prévenir, diagnostiquer et traiter les bioeffets des CEM.
  • L’avis de l’OMS sur l’EHS n’a pas été mis à jour depuis 2005.
  • Anxiété et dépression : cause ou conséquence de l’exposition aux CEM ?
  • Biomarqueurs de Belpomme et conclusion des Académies nationales des sciences américaines sur les symptômes des diplomates.
Jean Gagnon mesurant les harmoniques entre le câble neutre (de retour) et la mise à la terre.

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

C’est l’automne 2010 et le Québécois Jean Gagnon vient d’être interné contre son gré pendant neuf jours à l’hôpital de Montmagny. « Parlez-moi de vos ondes », demande un juge qui doit décider si Gagnon sera maintenu en observation 21 jours de plus, comme l’a demandé un psychiatre qui a conclu qu’il avait « des délires psychotiques concernant des ondes maléfiques ».

Gagnon s’était présenté volontairement au service des urgences de l’hôpital pour savoir pourquoi il souffrait de douleurs aiguës à la tête et aux jambes. « J’avais l’impression que ma tête était dans un étau. Cela a commencé lorsque je faisais cuire des tomates sur les quatre ronds de ma cuisinière », a expliqué le mécanicien à la retraite dans une interview. 

Lorsque ses symptômes ont commencé, il ne savait rien des champs électromagnétiques (CEM) produits par les technologies électriques filaires et sans fil. C’est après avoir découvert et parlé de leurs effets possibles sur la santé qu’il a été traité comme un malade mental.

« Ils m’ont donné de l’Haldol, de l’Ativan et du Seroquel lorsque je suis entré dans le service psychiatrique, se souvient-il. Heureusement, c’est la seule fois où j’ai accepté de cette médication. Je n’aurais jamais pu prononcer un discours cohérent au tribunal pour assurer ma défense. Après 15 minutes d’audience, le juge a conclu que je n’avais pas de discours délirant et a ordonné ma libération sur-le-champ. J’avais vraiment peur de retourner à l’hôpital. À partir de ce moment-là, j’ai concentré toute mon énergie à comprendre la situation. Aujourd’hui, 12 ans plus tard, j’ai compris que la plus grande source de ce poison est le réseau électrique. »

Gagnon remercie notamment un scientifique de Santé Canada qui lui a recommandé de lire un rapport de la Commission canadienne des droits de la personne intitulé Le point du vue médical sur les sensibilités environnementales, rédigé par Margaret E. Sears, Ph.D., en mai 2007.

Deux médecins spécialistes de l’environnement ont confirmé plus tard que ses années d’exposition aux gaz d’échappement et aux solvants l’avaient rendu d’abord hypersensible aux produits chimiques, puis aux CEM. Son asthme professionnel déclenché par des sensibilités chimiques l’avait amené à cesser de travailler comme mécanicien et à devenir directeur du service après-vente d’une concession d’équipements électriques.

Gagnon a fini par découvrir que sa maison, sa propriété et son quartier sont fortement pollués par les CEM. « Grâce à tous ceux qui s’impliquent dans ce dossier depuis des décennies, mes connaissances ont beaucoup évolué, me permettant de mettre en évidence des sources de CEM insoupçonnées par la majorité des gens. Ces sources sont malheureusement contestées publiquement et juridiquement par les pollueurs qui les génèrent, qu’il s’agisse des fournisseurs d’électricité « sale », notamment les hautes fréquences transitoires et les harmoniques, les courants telluriques parasites et le scintillement des appareils fluorescents et autres appareils numériques, ou des fournisseurs de télécommunications sans fil. Tous refusent d’admettre et de corriger la situation. » (Voici des vidéos qui en témoignent.)

Reconnu comme un handicap et une maladie professionnelle

Et ce, malgré le fait que de plus en plus de personnes se rendent compte que leur bien-être dépend de leur exposition (ou absence d’exposition) aux CEM provenant des technologies avec et sans fil. La plupart se font dire que tout cela est dans leur tête par les professionnels de la santé et leurs connaissances. Et plusieurs ont été internés comme Gagnon par des médecins ignorant l’électrohypersensibilité (EHS) qui a été reconnue mondialement comme un handicap. En 2000, le Conseil nordique des ministres de pays comme la Norvège et la Suède a reconnu l’intolérance électromagnétique comme une maladie professionnelle. Tout en la classant dans la catégorie « Affections dont l’étiologie est attribuée à des facteurs environnementaux – mécanismes non encore compris », il a confirmé que ses « symptômes disparaissent dans des environnements non électriques ».

Jean Gagnon le confirme : « Il ne fait aucun doute qu’après avoir remplacé mon téléphone numérique (DECT) sans fil par un téléphone à fil ainsi que la lampe fluorescente compacte de ma lampe de bureau par des ampoules ordinaires, ma santé s’est améliorée. J’ai également réduit mon exposition aux téléphones portables et au Wi-Fi et j’évite les rayonnements des fours à micro-ondes. Avec quelques autres petites attentions à l’égard de l’électricité sale, ces changements bénéfiques ont réduit la fréquence et l’intensité de mes symptômes », qui comprennent également des acouphènes et des problèmes de concentration, a-t-il écrit dans un témoignage de 2013 devant le groupe d’experts de la Société royale du Canada chargé d’examiner le code de sécurité 6 de Santé Canada (recommandant des limites pour l’exposition humaine aux CEM de radiofréquence). 

En décembre 2005, un avis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur l’hypersensibilité électromagnétique (HSEM) a conclu qu’il ne s’agissait pas d’un diagnostic médical officiel. Certains affirment que la reconnaissance du handicap est suffisante pour fournir des aménagements appropriés et éviter que les victimes soient internées en psychiatrie, tandis que d’autres disent que la classer comme une maladie médicale est préférable pour éviter de telles erreurs médicales. Ce débat fait particulièrement rage en Suède.

Un diagnostic médical officiel conduirait-il à davantage de traitements psychiatriques ?

Le neuroscientifique suédois Olle Johannson, qui, à la fin des années 1970, a inventé le terme « dermatite des écrans » pour expliquer les lésions cutanées dont souffrent les travailleurs électrosensibles assis quotidiennement devant des écrans d’ordinateur, a expliqué sa position dans un article de 2006 intitulé Electrohypersensitivity : State-of-the-Art of a Functional Impairment : « En Suède, les déficiences sont considérées du point de vue de l’environnement. Aucun être humain n’est en soi handicapé, ce sont plutôt des lacunes dans l’environnement qui causent la déficience (comme l’absence de rampes pour une personne en fauteuil roulant ou des pièces électrosanitisées pour une personne électrohypersensible). Cette vision de la déficience liée à l’environnement signifie en outre que, même si l’on ne dispose pas d’une explication scientifique complète de la déficience électrohypersensible, et contrairement aux désaccords au sein de la société scientifique, la personne électrohypersensible doit toujours être rencontrée de manière respectueuse et avec tout le soutien nécessaire dans le but d’éliminer la déficience. Cela implique que la personne électrohypersensible doit avoir la possibilité de vivre et de travailler dans un environnement électrosanitaire. Ce point de vue peut être pleinement motivé par rapport aux lois et règlements nationaux et internationaux actuels sur le handicap, y compris les 22 règles standard de l’ONU et le plan d’action suédois pour les personnes handicapées… »

Récemment, Johansson m’a envoyé un commentaire d’un vicaire suédois, Johann Bonander, qui a travaillé avec des associations de personnes handicapées en tant que chef de projet aux services sociaux de la Ville de Stockholm, de 1999 à 2006. M. Bonander partage l’avis de M. Johansson selon lequel le sort des personnes atteintes de l’HSEM pourrait être bien pire si cette maladie était un diagnostic médical officiel. Il a écrit : « Selon l’OMS et la conférence de Prague de 2004 (Atelier international sur l’hypersensibilité aux champs électromagnétiques), le résultat sera probablement que le diagnostic médical et la perspective de la maladie que l’on visait se retrouveront dans le catalogue des diagnostics psychiatriques, c’est-à-dire que l’on dira que la personne électrohypersensible imagine ses symptômes. Olle Johansson, alors à l’Institut Karolinska de Stockholm, en Suède, a assisté à cette conférence. Il m’a raconté qu’au cours de cette conférence, certains médecins présents ont exigé que les personnes atteintes d’électrohypersensibilité soient désignées comme des patients et que plusieurs de ces médecins voulaient également désigner l’électrohypersensibilité comme un trouble psychologique/psychiatrique. Selon Olle Johansson, seules deux personnes ont protesté contre cette décision : le Dr Bruce Hocking d’Australie, et lui-même. »

Le diagnostic psychiatrique résulte d’un manque de reconnaissance médicale

Mais l’ancienne journaliste suédoise Mona Nilsson, qui préside la Fondation suédoise pour la radioprotection, accuse l’approche de Bonander et Johansson d’avoir laissé tomber la communauté EHS. « Olle Johansson dessinait une image erronée de l’EHS en Suède et de la déficience fonctionnelle lorsqu’il écrivait (dans le document Electrohypersensitivity: a functional impairment due to an inaccessible environment, publié en 2015) : « Le point de vue suédois offre aux personnes atteintes de cette déficience une protection juridique maximale. » Les seuls à bénéficier de cet argument sont les industriels qui s’opposent systématiquement à toute reconnaissance des effets sanitaires de l’exposition aux CEM, qu’il s’agisse de cancer, d’EHS ou d’autres maladies. Les personnes souffrant d’HSEM, qui devraient être appelées « maladies dues aux CEM », ne reçoivent actuellement que peu ou pas d’aide de la part des autorités suédoises pour se protéger de la cause de leur maladie, tant qu’elles n’ont pas reçu de diagnostic d’un médecin indiquant que leurs symptômes/maladies sont causés par les rayonnements micro-ondes, les champs magnétiques ou électriques. Une personne qui tombe malade à cause d’une exposition aux CEM et qui cherche de l’aide auprès d’un médecin obtient généralement un diagnostic de maladie mentale. Une personne qui tombe malade à cause d’une antenne relais située près de son domicile ne peut espérer aucune aide de la part des autorités. Elles affirment qu’on ne peut pas tomber malade à cause des radiations des antennes relais. Elles disent que la communauté médicale ne reconnaît pas cette maladie et qu’il n’existe aucune preuve scientifique permettant d’établir un lien entre une maladie quelconque et l’exposition aux CEM.

En Suède, les personnes souffrant de HSEM se voient refuser des droits fondamentaux parce qu’elles ne disposent pas d’un diagnostic médical attestant que leur mauvaise santé est causée par les CEM. Il n’y a pas de contradiction entre le diagnostic médical et la déficience fonctionnelle – au contraire, la plupart des déficiences fonctionnelles sont fondées sur un diagnostic médical, tout comme l’EHS. »

Olle Johansson a décliné notre invitation à faire des commentaires. 

La Suède n’est pas un paradis pour les électrohypersensibles

Dans une lettre que Nilsson a envoyée à ses lecteurs le 31 juillet 2021, elle a encore critiqué l’approche de Johansson :  « Olle Johansson n’a cessé pendant de nombreuses années de s’opposer à un diagnostic médical pour les symptômes et les problèmes de santé causés par les CEM. Au lieu de cela, il a affirmé que le diagnostic de « déficience fonctionnelle » est un diagnostic miracle qui résoudra tous les problèmes pour tout le monde, en particulier pour les personnes qui sont gravement malades à cause de l’exposition aux CEM toujours plus nombreux dans notre environnement. À de nombreuses reprises, il a décrit la Suède comme un paradis pour les personnes souffrant d’électrohypersensibilité (EHS), où la déficience fonctionnelle est censée être pleinement reconnue comme un diagnostic pour l’EHS. Johansson met même en garde contre le danger de la reconnaissance médicale en écrivant : « Dans le cas où les dangers des rayonnements électromagnétiques et les effets sur la santé sont remis à l’establishment médical et à Big Pharma, cela peut s’avérer être une arme de plus à utiliser contre les malades, plutôt que de soutenir leurs demandes légitimes. » C’est un pur non-sens au regard de la réalité », estime Nilsson.

Elle est plutôt d’accord avec les médecins suédois Lena Hedendahl et Lennart Hardell qui ont écrit avec leur collègue Michael Carlberg : « Il est important de travailler à l’obtention de critères de diagnostic objectifs pour la HSEM et de la faire reconnaître et accepter officiellement comme une hypersensibilité, une maladie causée par l’exposition aux CEM. Il est donc nécessaire de donner une classification internationale des maladies à la HSEM. Si et quand l’EHS sera acceptée comme un diagnostic par la société et le corps médical, des mesures pourront être prises spécialement en considération pour ce groupe de personnes atteintes d’EHS en ce qui concerne les soins de santé, le logement, l’école et le travail. »

Absence d’accommodements malgré la reconnaissance du handicap

La rédactrice médicale américaine Susan Foster, experte de longue date des bioeffets des CEM, est d’accord avec Mona Nilsson : « En Suède, la déficience fonctionnelle ne permet pas d’accorder des avantages financiers aux personnes handicapées. Ces personnes restent donc dans des conditions médicales et de logement déplorables, avec peu d’options. Aux États-Unis, nous n’avons pas encore officiellement pris en charge les personnes souffrant d’EHS/EMS, même si l’U.S. Access Board – l’agence fédérale indépendante qui donne des instructions aux autres agences fédérales sur la manière d’accueillir les personnes handicapées – classe cette constellation de symptômes neurologiques et immunologiques comme des sensibilités électromagnétiques, ou EMS, depuis 20 ans. Nous savons qu’entre 0,5 et 30 % de notre population se situe quelque part dans le spectre de l’EMS/EHS. L’incapacité d’un pays à répondre aux besoins des personnes souffrant d’un handicap qui se trouve être gênant pour l’industrie des télécommunications définit les priorités de ce pays. Cela inclut les États-Unis. Les personnes souffrant de ce handicap sont une vérité qui dérange. »

Contexte historique 

Affectant les gens à des degrés divers, l’EHS a notamment été expérimentée au début des années 1900 par l’inventeur du courant alternatif, Nikola Tesla, qui souffrait d’une « sensibilité aiguë de tous les organes des sens ». L’EHS a été décrite médicalement pour la première fois sous un autre nom en 1932 par le médecin allemand Erwin Schliephake, qui utilisait la thérapie par ondes courtes dans sa pratique médicale. « Il a publié dans un hebdomadaire médical allemand des données scientifiques sur ses patients qui présentaient des symptômes inhabituels autour des tours de radio. Il a appelé cette affection « maladie des micro-ondes » ou « maladie des ondes radio », explique l’ingénieur californien Jeromy Johnson, consultant en solutions CEM qui se remet d’une EHS. Les symptômes qu’il a observés étaient les suivants : maux de tête au point d’être intolérables; fatigue importante pendant la journée; sommeil agité la nuit; forte susceptibilité aux infections. »

Michael Bevington, enseignant britannique, n’avait jamais entendu parler de l’HSEM avant de développer « des vertiges, des nausées, des maux de tête, des palpitations cardiaques, des douleurs dans tout le corps, etc. » après l’installation d’un système Wi-Fi sur son lieu de travail. Depuis fin 2008, il est président du conseil d’administration de l’association caritative britannique Electrosensitivity UK, qui aide les personnes atteintes d’EHS et informe le public sur les risques sanitaires de l’exposition aux CEM. Dans un article publié en 2019 dans le Journal of Environment and Health Science, Bevington écrit que la prévalence de l’EHS « se situe entre environ 5,0 et 30 % de la population générale pour les cas légers, entre 1,5 et 5,0 % pour les cas modérés et < 1,5 % pour les cas graves ».

Lignes directrices EUROPAEM 2016 pour prévenir, diagnostiquer et traiter les bioeffets des CEM

En effet, dans le monde sans fil d’aujourd’hui, des millions de personnes se plaignent de l’HSEM, mais peu de médecins savent qu’en 2106, l’Académie européenne de médecine environnementale a publié les Lignes directrices pour la prévention, le diagnostic et le traitement des problèmes de santé et des maladies liés aux CEM. Ses 15 auteurs ont déclaré : « Nous recommandons de traiter cliniquement l’EHS comme faisant partie du groupe des maladies chroniques multisystèmes, tout en reconnaissant que la cause sous-jacente reste l’environnement… La principale méthode de traitement devrait principalement se concentrer sur la prévention ou la réduction de l’exposition aux CEM, c’est-à-dire la réduction ou l’élimination de toutes les sources d’exposition élevée aux CEM à la maison et sur le lieu de travail (ainsi que) dans les écoles, les hôpitaux, les transports publics et les bibliothèques afin de permettre aux personnes souffrant d’HSEM de les utiliser sans entrave (mesure d’accessibilité). Si une exposition nuisible aux CEM est suffisamment réduite, l’organisme a une chance de se rétablir et les symptômes de l’HSEM seront réduits, voire disparaîtront. De nombreux exemples ont montré que de telles mesures peuvent s’avérer efficaces. Pour accroître l’efficacité du traitement, il convient également de s’attaquer au large éventail d’autres facteurs environnementaux qui contribuent à la charge corporelle totale. Tout ce qui favorise l’homéostasie augmentera la résilience d’une personne contre la maladie et donc contre les effets néfastes de l’exposition aux CEM. »

Ils citent notamment la revue de la littérature de Martin Pall parue en 2015 dans le Journal of Chemical Neuroanatomy et intitulée Microwave frequency electromagnetic fields (EMFs) produce widespread neuropsychiatric effects including depression. Professeur émérite de biochimie à l’Université d’État de Washington, Pall écrit : « La littérature soviétique et occidentale montre qu’une grande partie de l’impact des expositions aux micro-ondes non thermiques chez les animaux de laboratoire se produit dans le cerveau et le système nerveux périphérique, de sorte que l’histologie et la fonction du système nerveux présentent des changements divers et substantiels. Ceux-ci peuvent être générés par des rôles d’activation du canal calcique voltage-gated (VGCC), produisant une libération excessive de neurotransmetteurs/neuroendocrines ainsi qu’un stress oxydatif/nitrosatif et d’autres réponses. Des études sur le polymorphisme génétique ont montré que l’activité excessive du VGCC joue un rôle dans la production de changements neuropsychiatriques chez l’homme. »

L’avis de l’OMS sur l’EHS n’a pas été mis à jour depuis 2005

Plusieurs experts indépendants des effets biologiques de l’exposition chronique aux CEM souhaitent que l’OMS mette à jour son document d’information de 2005 et reconnaisse ce qu’elle appelle l’hypersensibilité électromagnétique (HSEM) comme une maladie médicale sur la base des données scientifiques les plus récentes. L’OMS a écrit dans cet avis vieux de 17 ans : « La majorité des études indiquent que les personnes souffrant d’HSEM ne peuvent pas détecter l’exposition aux CEM de manière plus précise que les personnes ne souffrant pas d’HSEM, indique le document d’information. Des études en double aveugle bien contrôlées et menées ont montré que les symptômes n’étaient pas corrélés à l’exposition aux CEM. »

L’OMS poursuit : « Il a été suggéré que les symptômes ressentis par certaines personnes souffrant d’HSEM pouvaient provenir de facteurs environnementaux sans rapport avec les CEM. Il peut s’agir, par exemple, du scintillement des lampes fluorescentes, de l’éblouissement et d’autres problèmes visuels avec les écrans plats, et d’une mauvaise conception ergonomique des postes de travail informatiques. Parmi les autres facteurs qui peuvent jouer un rôle, citons la mauvaise qualité de l’air intérieur ou le stress sur le lieu de travail ou dans l’environnement de vie. Certains éléments indiquent également que ces symptômes pourraient être dus à des troubles psychiatriques préexistants ainsi qu’à des réactions de stress dues à l’inquiétude concernant les effets des CEM sur la santé, plutôt qu’à l’exposition aux CEM elle-même. »

Anxiété et dépression : cause ou conséquence de l’exposition aux CEM ?

Cependant, un avis du gouvernement français sur l’EHS publié en 2018 était plus nuancé : « les troubles psychiatriques ne sont pas plus fréquents chez ces personnes que dans la population générale. En conclusion, le niveau de preuve est suffisant pour dire que – dans l’EHS, comme dans de nombreux autres troubles – il existe une composante psychologique importante. Celle-ci se caractérise par l’anxiété et/ou la dépression, qui sont plus fréquentes et plus intenses que dans les populations témoins, sans qu’il soit possible de dire actuellement si ces états sont la cause ou la conséquence de l’EHS. » 

Résultats de Belpomme et des Académies nationales des sciences

Plus récemment, en 2021, l’oncologue français Dominique Belpomme a pris la tête d’un groupe de 32 experts internationaux demandant à l’OMS de reconnaître l’EHS comme un trouble neuropathologique distinct et de l’inclure dans sa classification internationale des maladies sur la base de biomarqueurs moléculaires et de l’imagerie médicale. En 2017, le Dr Gunnar Heuser a publié ses résultats d’examens d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) chez des personnes se déclarant EHS. Des anomalies cérébrales ont été constatées chez les 10 sujets qui ont subi le scanner. « Aussi utile que ce résultat puisse être pour prouver l’existence de l’électrosensibilité, a expliqué Susan Foster, l’IRM fonctionnelle est un test qui peut accélérer les symptômes et les sensibilités EHS/EMS chez les patients, il faut donc faire preuve d’une extrême prudence si l’on envisage d’utiliser l’IRMf à des fins de diagnostic. » Des scans similaires ont contribué à convaincre les auteurs d’un rapport publié en 2020 par les Académies nationales des sciences américaines que les symptômes ressentis par les diplomates américains à Cuba étaient « très probablement causés » par des armes à micro-ondes dirigées.

En 2004, les docteurs Gunnar Heuser et Susan Foster ont mené une étude pilote de scanner cérébral SPECT sur six pompiers qui avaient été exposés à une tour cellulaire 2G devant leur poste pendant cinq ans. Des lésions cérébrales ont été constatées chez les six hommes. Quelque 23 des 25 pompiers qui se relayaient dans la caserne ont présenté des symptômes neurologiques indésirables après l’activation de la tour.

Gagnon espère que la précaution prévaudra

Jean Gagnon espère que les autorités sanitaires étudieront de plus près les dernières avancées scientifiques, comme les résumés de recherche publiés par Henry Lai, professeur émérite de bio-ingénierie à l’Université de Washington

« Personnellement, conclut Jean Gagnon, je maintiens qu’il faut informer, éduquer, refuser et dénoncer ces poisons, et éviter autant que possible de s’exposer. Il ne faut pas hésiter à demander de l’aide et à partager ses expériences. Il ne s’agit pas d’une maladie mentale, mais plutôt d’une maladie environnementale si tant est que ce soit une maladie. Pour moi, c’est avant tout une intolérance à un produit toxique. La seule solution est de s’en éloigner ou de se battre pour arrêter l’exposition et faire reconnaître le handicap ET la maladie EHS. »

Pour en savoir plus, lisez l’article de Michael Bevington intitulé Proof of EHS beyond all reasonable doubt, commentaire publié dans Rev Environ Health 2021; https://doi.org/10.1515/rev




France — Linky non merci !

Site gratuit pour demander le remplacement du Linky par un compteur ordinaire

[Source : retrait-du-linky.org]

Enedis ou ses sous-traitants vous ont mis un compteur communicant Linky alors que vous n’en vouliez pas, ou bien vous avez changé d’avis et vous n’en voulez plus : ce site est fait pour vous. Site gratuit uniquement destiné à demander le retrait des compteurs Linky.

1098 signataires sur la liste

DEMANDER LE REMPLACEMENT DE VOTRE LINKY

POURQUOI LE DEMANDER ?


Modèle de lettre de refus du Linky

Nom, Prénom,

Adresse postale

Lettre Recommandée avec AR

Références Client : à relever sur votre facture EDF

Objet : Signification valant mise en demeure de refus d’installation du compteur connecté numérique Linky.

Votre lettre : réf xxxxxxxxxxxxxxx en date du xx xx xxxx

Bonjour,

Par la présente j’accuse réception de votre courrier en date du xx xx xxxx d’une demande relative au changement de mon système de comptage actuel d’énergie électrique par l’installation d’un nouveau compteur numérique connecté.

Je constate que ce type de comptage numérique connecté nécessite l’injection sur l’énergie électrique 50 Hz que vous me fournissez actuellement d’une nouvelle Fréquence additive appelée Fréquence Intermédiaire en KHz connue sous les termes de Dirty Electricity.

Que l’adjonction de cette fréquence n’est non seulement absolument pas conforme aux termes explicites de mon contrat opposable, mais de plus elle engendre un rayonnement électromagnétique artificiel, de surcroît en champs proches ou très proches ce qui n’est absolument pas compatible avec mon état d’Électro Hyper Sensible (EHS).

En conséquence je vous signifie par la présente que je refuse et m’oppose à l’installation de ce système de comptage connecté par CPL appelé Linky qui porte atteinte à ma santé et à celle de ma famille que je suis obligé de par la loi de protéger car toute mon installation n’est pas blindée contre ce nouveau type de pollution radiative artificielle Electromagnétique en champs proches, ce qui est fondamental et majeur en terme de santé publique.

L’étude des émissions EM du CPL de l’Université Européenne Télécom de Bretagne étant très explicite à ce sujet. http://www.next-up.org/pdf/Linky_Alerte_Sanitaire.pdf

Par contre conformément aux termes de mon contrat actuel opposable, ceci tacitement, je ne m’oppose pas à l’installation de ce système de comptage numérique connecté si vous réalisez préventivement les travaux de mise en conformité de mon installation aux normes CENELEC ENV 50166-2 transcrites et adoptées au Journal Officiel n°C 293 du 13/10/1999 de l’Union Européenne concernant les installations électrodomestiques sans nuisance.
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:51998IR0399
http://www.next-up.org/pdf/PirenneOomsCahierDesChargesSuccinctInstallationElectroDomestiqueSansNuisance022008.pdf

J’attire aussi votre attention que votre responsabilité civile est engagée par rapport à la biocompatibilité de la Dirty Electricity du Linky qui nécessite une mise en conformité des installations par rapport à la Directive Européenne CEE 336/86 concernant la Compatibilité Electromagnétique et au Décret n°2006-1278 du 18 octobre 2006 relatif à la Compatibilité Electromagnétique des équipements électriques et électroniques. Comme le mot « compatibilité » l’indique, il s’agit tout d’abord de deux choses qui peuvent exister simultanément et qui peuvent s’accorder entre elles.

http://www.next-up.org/pdf/Decret_2006_1278_Compatibilite_Electromagnetique_18_octobre_2006.pdf

(Éventuellement rajouter ce paragraphe concernant les servitudes des câbles électriques extérieurs si vous êtes concernés)

Je rajoute que j’ai constaté que la SA Electricité De France (EDF) ou la SA ERDF a engagé depuis le déploiement du système de comptage Linky d’importants travaux dans ses postes de transformations, pour enlever notamment les bouchons destinés à l’injection de la nouvelle fréquence radiative en KHz du CPL du Linky sur la fréquence unique du courant électrique (50 Hz), de plus statutairement ERDF a interdiction de devenir un opérateur télécom via le CPL.

En conséquence je vous signifie que cette opposition est aussi transposable aux câbles électriques des postes sources et postes de transformations (HTB/HTA) assurant la liaison entre les réseaux HTB (225 et 63 kV) et les réseaux HTA (20 ou 15 kV) pour satisfaire aux exigences du système de comptage dit Linky d’ERDF qui alimentent mon quartier et qui sont en servitudes sur la façade de mon habitation pour lesquels j’exige un blindage afin que mes lieux de vie privés ne soient pas soumis à une nouvelle pollution électromagnétique artificielle en KHz non conforme au contrat de servitude, ceci fussent-elles en deçà des normes transposées de l’organisation privée ICNIRP.

Vous en souhaitant bonne réception et compréhension, veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

Fait à xxxxxxxxxx

Le (en lettres) Deux mille xxxxxx pour faire valoir et servir ce que de droit

Nom et prénom

Signature


Communiqué de presse conjoint du 27 janvier 2022 – Justice & “Linky”

Cabinet d’avocats
33 rue du Petit Musc
75004 Paris
contact@lexprecia.com
https://linky.palace.legal
01.75.432.432

Association loi 1901 de défense des victimes d’électrohypersensibilité
37A boulevard Léon Gambetta – 68100 Mulhouse
contact@robindestoits.org
https://www.robindestoits.org/
09.70.15.57.21

Victimes des ondes et LINKY :
ENEDIS déclare forfait en cassation

Paris, le 27 janvier 2022. Treize victimes des ondes avaient obtenu la condamnation d’ENEDIS à dépolluer leur électricité, en première instance(([1] https://linky.palace.legal/ressources/TGI-de-Bordeaux.pdf)) comme en appel(([2] https://linky.palace.legal/ressources/linky-ca-bordeaux.pdf)). ENEDIS en avait saisi la Cour de cassation. Mais après analyse de l’argumentaire des victimes – soutenues par l’association Robin des Toits – le promoteur du LINKY annule son recours(([3] https://www.robindestoits.org/attachment/2262542/)) pour éviter un rejet. Sa condamnation est ainsi confirmée.

Une victoire par trois fois

Le distributeur d’électricité avait été condamné à dépolluer l’électricité des victimes d’électrohypersensibilité (EHS) sous peine de leur devoir 500 Euros par jour de retard(([2] https://linky.palace.legal/ressources/linky-ca-bordeaux.pdf)). Après son échec en première instance, puis devant la Cour d’appel de Bordeaux, ENEDIS déclare forfait devant la Cour de cassation(([3] https://www.robindestoits.org/attachment/2262542/)).

L’épuisement des victimes était en jeu

ENEDIS allait bénéficier de l’épuisement des victimes, lesquelles hésitaient à investir dans une défense devant la Cour de cassation(([4] https://www.robindestoits.org/attachment/2262543/)). C’était sans compter sur l’intervention de l’association Robin des Toits qui décida de les soutenir moralement et financièrement, compte tenu des enjeux sanitaires pour l’ensemble des personnes victimes d’EHS(([5] https://www.robindestoits.org/EHS-ROBIN-DES-TOITS-SOUTIENT-DES-PLAIGNANTS-EHS-EN-CASSATION-23-10-2021_a3084.html)).

Un espoir pour la protection des victimes d’EHS

Pour l’association Robin des Toits :

« Nous ne pouvons que nous réjouir de cette avancée majeure, laquelle nous l’espérons, fera date. Toutefois il s’agit d’une victoire d’étape, et nous devons obtenir non seulement la dépollution des logements d’EHS, mais aussi le remplacement de leurs compteurs Linky abusivement installés, par des compteurs non communicants. Par extension, ces mesures devraient être applicables à tout usager, même non EHS, qui en ferait la demande. »

Patrice Goyaud, Secrétaire de l’association Robin des Toits

L’une des victimes, défendue dans le cadre de cette action en justice, ajoute :

« Alors que notre monde se retrouve aux prises de sociétés ne s’intéressant qu’à leur profit et jamais l’humain et sa pluralité, cette victoire sur Enedis, même si elle semble une goutte d’eau dans l’océan, est porteuse d’espoir pour tous ceux, EHS ou pas, qui souhaitent voir leurs choix en matière de qualité de vie et santé respectés. »

Odile Lurton, victime des ondes ayant gagné contre ENEDIS

Une chance dans la persévérance

Les victimes des ondes doivent ainsi persévérer et exiger la dépollution de leur courant contre les forts champs magnétiques causés par les courant porteurs en ligne(([6] https://linky.palace.legal/ressources/communique-de-presse-linky-fraudes-majeures-moratoire.pdf)). Ces « CPL » sont ajoutés par ENEDIS dans le réseau électrique, via le compteur du client si c’est un LINKY, mais aussi et surtout pour tous les usagers, équipés ou non d’un compteur Linky, via les concentrateurs de quartier, du fait de la circulation des nouveaux CPL sur environ 2400 mètres(([7] https://docplayer.fr/5081565-Specifications-fonctionnelles-du-profil-cpl-linky.html (p. 17) )).

Contacts presse

Association Robin des Toits : Patrice Goyaud contact@robindestoits.org– 09 70 15 57 21
Cabinet Lexprecia : Me Arnaud Durand – contact@lexprecia.com– 01 75 432 432





Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

[Traduction automatique révisée.]

Par Mark Steele pour GlobalResearch (Première publication le 20 juillet 2022)

Introduction

J’écris ce rapport d’expert en tant qu’ingénieur britannique, inventeur, rédacteur de brevets et chercheur en armement ; un ingénieur avec une formation en science des matériaux et inventeur des premiers guides d’ondes optiques binoculaires au monde, des systèmes de visée d’armes, des affichages tête haute à imagerie thermique infrarouge, des réacteurs moléculaires, du traitement du signal et de la conception de transducteurs, pour n’en nommer que quelques-uns.

En tant que directeur de la technologie (CTO) de l’entreprise qui a conçu et mis sur le marché le premier produit d’affichage tête haute (HUD) au monde approuvé à l’échelle internationale, accrédité par un certain nombre de prix d’innovation, mais surtout réglementé par un certain nombre de normes internationalement reconnues, y compris Department of Transport (DOT) ECE 22.05, ainsi que ANSI et d’autres, on m’a fait confiance dans l’établissement de normes internationales pour les systèmes HUD de réalité augmentée (AR) et de réalité virtuelle (VR).

Reportez-vous à la pièce 2a, du conseil en brevets, Ex. 2b de Recorder Nolan, ex. 2c Cyber ​​Command, Ex. Normes 2d pour les systèmes HUD, Ex. annexe 2di.

Cyber ​​Command USA avait été mis au courant de mon expertise et avait spécifiquement demandé mon avis concernant une conception d’antenne 5G inhabituelle déployée à travers les États-Unis. J’ai été extrêmement chanceux que la plupart (mais pas la totalité) de mes travaux de recherche et de développement de produits aient été effectués en dehors de la législation sur les secrets officiels (OSA).

J’ai agi en tant que témoin et fourni des déclarations dans plusieurs affaires judiciaires, exposant l’absence de toute preuve crédible que le réseau de diodes électroluminescentes (DEL) 5G et la connexion neuronale prévue au réseau 5G sont sûrs.

Cela inclut les technologies de nano-métamatériaux qui contaminent les vaccinations, qui ne sont pas légales ni licites, et qui enfreignent un certain nombre de lois internationales et nationales.

Le juge Nolan du Newcastle Crown Court a déclaré que « le risque 5G doit être débattu » et que  « c’est une démocratie et le public a le droit de savoir ».

Les preuves que j’ai présentées au tribunal ont mis en échec la tentative des autorités locales et des acteurs de l’establishment britannique de m’empêcher de fournir les preuves scientifiques publiées sur les risques posés au public et à l’environnement par le réseau de radars urbains 5G et son objectif final.

L’échec de l’action en justice intentée par l’autorité locale a créé une tempête publicitaire qui a contribué à mettre en évidence les risques réels du déploiement de la 5G à travers le monde, ainsi que le manque total de précautions prises par les régulateurs autorisant ce déploiement de la 5G.

Ma participation à plusieurs projets de recherche et développement s’étend sur toute ma carrière professionnelle et comprend certains projets de nature sensible en raison des restrictions imposées par l’Official Secrets Act 1911. Je ne suis donc pas libre de les divulguer dans un domaine public ; il suffit [cependant] de dire que ce travail a conduit à une compréhension des contrats du Département de la défense (DOD), de la compartimentation des projets de conception de produits d’armement et des armes à énergie dirigée (DEW), dont l’existence a jusqu’à récemment été occultée et parfois niée.(([1] https://info.publicintelligence.net/USAF-DEW.pdf))

L’utilisation d’armes à rayonnement micro-ondes directionnel par des acteurs inconnus dans les ambassades américaines à Cuba, en Chine et en Russie, connue sous le nom de syndrome de La Havane, n’est toujours pas pleinement reconnue par les autorités. Le syndrome de La Havane porte toutes les caractéristiques des émissions de rayonnement micro-ondes, qui ont causé aux victimes des dommages neurologiques importants et irréparables, entre autres blessures. Le gouvernement américain a été incapable de garder ces armes secrètes et a récemment adopté un projet de loi pour indemniser les victimes du personnel de l’ambassade.(([2] https://thehill.com/homenews/house/573302-house-passes-bill-to-compensate-havana-syndrome-victims))

Les agences de renseignement américaines, dans leurs communications avec le gouvernement russe, confirment qu’elles connaissaient déjà l’existence et la capacité des armes à rayonnement micro-ondes et leur appel à leurs supposés adversaires russes était pour la cessation de l’utilisation de ces armes contre leurs ambassades.(([3] https://usareally.com/11737-cia-director-tells-russia-not-to-use-microwave-radiation-against-american-spies))

Mon domaine de recherche couvre également d’autres systèmes d’interrogation et d’armes sur le champ de bataille, y compris les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS)(([4] https://css.ethz.ch/content/dam/ethz/special-interest/gess/cis/center-for-securities-studies/pdfs/CSSAnalyse164-EN.pdf)), les véhicules sous-marins autonomes (AUV), la détection et la télémétrie légères (LIDAR), les technologies de radar à balayage électronique, y compris la 5G pour le suivi des plates-formes d’armement, ainsi que les moyens biologiques sur et hors du champ de bataille qui sont de plus en plus utilisés dans un cadre civil pour inclure les technologies de reconnaissance faciale, les véhicules électriques autonomes, les drones, dont aucun n’a fait l’objet d’une évaluation environnementale complète quant aux dommages causés par leurs émissions de rayonnements au grand public ou à la faune.(([5] https://idstch.com/technology/photonics/critical-technologies-lidar-developed/))

Radar urbain 5G, rayonnements ionisants et risques des infrastructures critiques

La 5G, contrairement à toutes les autres générations [1G, 2G, 3G, 4G et 4G+] de télécommunications, est techniquement identifiée comme une émission d’énergie dirigée dans l’air par un radar urbain, ce qui nécessite que l’antenne soit conçue pour amener l’énergie focalisée dans l’air pour la compression à grande vitesse des données à et d’antennes conçues pour envoyer et recevoir de l’énergie dirigée à travers un signal théoriquement collimaté et cohérent.(([6] https://www.sbir.gov/node/2005877))

L’onde de formation du faisceau dans l’émission du lobe principal enfreint la directive de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) de 61 V pour une exposition maximale de 6 minutes.(([7] https://www.icnirp.org/cms/upload/publications/ICNIRPrfgdl2020.pdf))

Cette directive de l’ICNIRP est contraire à la résolution 1815 du Conseil de l’Europe (COE) et à la directive européenne de 2016, qui confirment la science publiée et évaluée par des pairs selon laquelle tout ce qui dépasse 600 mV/m doit être limité à une exposition à court terme. Et à long terme l’exposition ne doit pas dépasser 200 mV/m. Ce sont des ordres de grandeur inférieurs à la directive ICNIRP de 6 minutes et 61 000 mV, qui est une valeur de cuisson biologique. L’ICNIRP est largement reconnue comme une « agence capturée », comme l’ont confirmé les tribunaux italiens.(([8] https://www.radiationresearch.org/wp-content/uploads/2020/01/Turin-Verdict-ICNIRP_Judgment-SUMMARY-of-the-Turin-Court-of-Appeal-9042019_EN-min.pdf))

Le mouvement de balayage de l’onde rayonnée à plus de 13,6 V provoque la charge positive de l’air, qui est nocive pour toute vie biologique à des distances importantes entre l’émission de l’antenne et la zone d’acquisition de la cible. Telle est la capacité de la 5G (matériel et logiciel) et c’est la raison même pour laquelle cet équipement est, et a été, largement utilisé sur le champ de bataille comme radar environnemental à balayage et armes à énergie dirigée (DEW) dans le but de perturber et de désactiver le matériel ennemi, ainsi que les actifs biologiques, c’est-à-dire les humains.(([9] https://crsreports.congress.gov/product/pdf/IF/IF11882))

En général, la conception de l’antenne 5G utilise une entrée de puissance plus importante et une sortie dirigée pour délivrer des signaux de compression de données focalisés et de grande puissance, mesurés en watts ou en électrons-volts.

L’industrie aéronautique, notamment Boeing et Airbus, a récemment exprimé ses inquiétudes concernant la 5G en raison de sa capacité à mettre en danger les avions de transport de passagers qui, dans un cadre civil, ne disposent pas des technologies d’atténuation militaires pour protéger leurs pilotes ou les systèmes de contrôle de vol des avions contre les émissions d’énergie dirigée.(([10] https://www.theguardian.com/science/2021/dec/21/airbus-and-boeing-express-concerns-over-5g-interference-in-us))

L’industrie des télécommunications et d’autres organismes de réglementation ont continuellement nié le véritable objectif et l’existence des dangers de rayonnement posés par le déploiement des technologies 5G. Ils ont activement induit le public en erreur en publiant des communiqués de presse manifestement faux dans les médias locaux et nationaux, ainsi qu’en faisant de fausses déclarations devant les tribunaux dans des tentatives infructueuses de discréditer des experts, y compris moi-même, même s’ils avaient été informés par leurs propres agences de renseignement que le la technologie expérimentale et non assurable était et est extrêmement dangereuse pour la sécurité de l’État.(([11] https://o5g.cz/2021/11/30/mi6-chief-warns-that-a-tech-revolution-over-next-ten-years-could-pose-major-threat-to-world-order/?nowprocket=1))

« Backhaul » dans le contexte de la 5G est le terme utilisé pour désigner l’avancée technologique qui permet d’interroger et de remonter simultanément les données à partir de plusieurs appareils et environnements (en d’autres termes, espionner dans toute la zone, ne laissant aucune chance d’intimité).

La capacité d’interrogation et de numérisation des renseignements recueillis enfreint un certain nombre de lois sur les droits de l’homme. Ce brevet(([12] https://patents.google.com/patent/US20050220310A1/e)), l’un des nombreux qui confirment la capacité d’interroger les émissions sonores et vocales à travers les bâtiments pour recueillir des données sur une population sans méfiance à l’aide de systèmes matériels et logiciels électromagnétiques, fait partie de la vaste boîte à outils 5G.

La dominance spectrale du réseau 5G de moins de 3 GHz à 300 GHz [comprenant les ondes millimétriques en plus d’une grande partie des ondes de la gamme des micro-ondes] pose un risque réel de lésions corporelles à partir de fréquences de valeur d’énergie photonique plus élevée qui sont des émissions de rayonnement cohérentes, dont l’impact est actuellement inconnu (car elles ne sont pas testées et ne se sont pas avérées sûres), ainsi que non assurable, avec des niveaux d’émissions de rayonnement dépassant tout ce qu’imaginaient les technologues antérieurs. Les valeurs de rayonnement des lignes directrices de l’ICNIRP ne s’appliquent qu’aux émetteurs de dispositifs à antenne unique et ne tiennent pas compte de l’augmentation et de la multiplication massives des dispositifs d’émission de rayonnement proposés dans toutes les villes et villages pour le réseau 5G qui est destiné à tout interconnecter simultanément en utilisant des rayonnements micro-ondes hautement complexes, biologiquement toxiques, et en particulier modulés.(([13] https://www.ceragon.com/what-you-need-to-know-about-5g-wireless-backhaul))

Le déploiement de la 5G est en cours par les gouvernements du monde entier dans toutes les villes et villages sans aucune analyse préalable [pourtant] obligatoire de l’impact environnemental et sans assurance publique contre ces instruments de préjudice(([14] https://principia-scientific.com/lloyds-insurers-refuse-to-cover-5g-wi-fi-illnesses/)), faisant de l’ensemble du déploiement du réseau un acte illégal et illicite par les autorités agissant « ultra vires » [au-delà, en dehors des lois] en permettant aux émissions connues de rayonnements ionisants et non ionisants biologiquement toxiques un accès sans entrave à l’environnement. Les entreprises de télécommunications certifient généralement elles-mêmes avoir respecté les directives (obsolètes) de l’ICNIRP, ce qui leur permet d’enfreindre ces directives sans sanction, car aucun organisme de réglementation ne procède à des évaluations indépendantes du respect des directives de l’ICNIRP.(([15] https://www.caav.org.uk/news/beware-dangers-of-telecoms-masts))

Ce sont les mêmes directives de l’ICNIRP qui se sont avérées être à l’origine de problèmes de santé et de cancers dans la population générale à proximité des réseaux 4G existants.(([16] https://ecfsapi.fcc.gov/file/107222548308131/Cell%20Tower%20Transmitter%20Studies-28%20Summary%20Findings.pdf))

Un autre facteur troublant est que l’industrie des télécommunications responsable du déploiement a confirmé qu’elle, l’industrie, n’a effectué aucune recherche scientifique et n’a donc aucune donnée de recherche scientifique publiée sur l’impact réel des réseaux 5G sur l’environnement.

Des études de recherche indépendantes sur le sujet réfutent la propagande de l’industrie et du gouvernement sur la sécurité du réseau 5G.(([17] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0013935118300161?via%3Dihub))

Les organismes gouvernementaux chargés de protéger la population contre les propriétés cancérigènes confirmées des rayonnements non ionisants et ionisants n’ont pas réussi à fournir un cadre réglementaire de normes de sécurité ou de lignes directrices pour protéger l’environnement, exposant ainsi un public sans méfiance à des niveaux de rayonnement qui sont nocifs et mettent la vie en danger.(([18] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1469943/))

De graves risques pour les infrastructures critiques ont été ignorés dans la ruée non réglementée vers le déploiement du réseau 5G. Les régulateurs industriels et gouvernementaux du monde entier ont ignoré un certain nombre de risques sérieux scientifiquement établis découlant de la densification massive de la 5G, de l’Internet des objets (IOT) et des avions SMART, des communications Internet par réseaux électriques, des systèmes d’antennes urbaines, qui nécessitent des milliards d’émetteurs de rayonnement micro-ondes modulés en amplitude en quadrature (QAM) à large spectre.

Le réseau cellulaire du Canada en 2018 était soutenu par environ 33 000 grandes tours d’une hauteur maximale de 200 pieds. Le nouveau protocole 5G nécessitera beaucoup plus d’émissions d’ondes de faisceau de rayonnement plus élevées en utilisant des tours situées avec précision dans les villes du Canada – environ 273 000 – à une hauteur beaucoup plus courte avec des demandes d’énergie beaucoup plus importantes sur le réseau électrique et le réseau [sans fil].(([19] https://canada.constructconnect.com/dcn/news/associations/2018/07/constructing-5g-wireless-network-will-require-plenty-skilled-tradespeople))

La propagande de l’industrie et des agences qui prétendent que ces réseaux 5G utilisent moins d’énergie est manifestement fausse. L’augmentation massive des antennes MIMO (multiple-in multiple-out) pour la 5G, plus les mini et micro réseaux relais, ainsi que l’augmentation de l’utilisation des données par les appareils nécessitent tous une consommation d’énergie supplémentaire en watts. Le radar à balayage continu, non à la demande, conçu pour repérer la zone cible, fonctionne en permanence, avec en plus la superposition de multiples faisceaux d’ondes focalisés à haute énergie, créés par les antennes d’émission déphasées. Ces faisceaux d’ondes focalisés à haute énergie, fonctionnant sur une plus grande partie du spectre, utilisent des photons à plus haute énergie dans le spectre comprimé des ondes millimétriques pour fournir des faisceaux de compression de données à haute puissance dans les zones urbaines. C’est la raison pour laquelle l’industrie aéronautique est très préoccupée par les risques posés à ses systèmes de communication essentiels à la sécurité des avions en vol.

Les installations massives d’antennes 5G prévues et actuellement déployées s’ajoutent toutes à un besoin toujours croissant d’énergie pour produire le transfert accru de données par le biais d’émissions de rayonnement dans les villes et villages. Les émissions de rayonnement micro-ondes sont connues pour augmenter les températures thermiques, contribuant aux défis du changement climatique et aux effets potentiellement mortels de l’augmentation des températures dans les villes. Les impacts des îlots de chaleur sont définis comme de grandes zones urbaines qui sont affectées par des augmentations des températures urbaines qui ont été reconnues par l’Environmental Protection Agency (EPA) comme causant des effets néfastes sur la santé et des augmentations de la consommation d’énergie.(([20] https://www.epa.gov/heatislands/heat-island-impacts))

La consommation d’énergie dans les îlots de chaleur augmente la demande de climatisation pour refroidir les bâtiments. Dans une évaluation d’études de cas couvrant des emplacements dans plusieurs pays, la demande d’électricité pour la climatisation a augmenté d’environ 1 à 9 % pour chaque augmentation de température de 2 °F [moins de deux degrés Celsius]. Les pays où la plupart des bâtiments sont climatisés, comme les États-Unis, ont enregistré la plus forte augmentation de la demande d’électricité. Les îlots de chaleur contribuent à des températures diurnes plus élevées, à un refroidissement nocturne réduit et à des niveaux de pollution atmosphérique plus élevés. Ceux-ci, à leur tour, contribuent aux décès et aux maladies liés à la chaleur tels que l’inconfort général, les difficultés respiratoires, les crampes de chaleur, l’épuisement par la chaleur et les coups de chaleur non mortels.

Le rayonnement micro-ondes affectera également un grand nombre de structures moléculaires dans les matériaux, ce qui augmente le risque d’incendie des bâtiments. Cela est dû aux éléments hydrocarbures dans les bâtiments qui se décomposent en raison du rayonnement micro-ondes modulé, ce qui provoque un échauffement localisé et la dégradation des matériaux. Le rayonnement micro-ondes à certaines fréquences excitera les molécules d’eau et s’il n’y a pas d’humidité disponible, d’autres molécules moins volatiles absorberont le rayonnement et commenceront à chauffer. Par conséquent, tout matériau qui a séché peut surchauffer et s’enflammer plus facilement dans un champ de micro-ondes, [ce qui représente] un type d’amorçage [de feu]. Les risques particuliers aux émissions de rayonnement 5G sont dus à la densification de masse proposée et à la dominance spectrale des émissions de rayonnement. En outre, tout objet métallique à l’intérieur d’un champ de micro-ondes peut présenter des propriétés diélectriques susceptibles de provoquer des étincelles, qui pourrait provoquer un incendie ; ceci est causé par une accumulation de particules chargées, une énergie qui produit un champ électrique concentré au bord du métal.(([21] https://engineering.mit.edu/engage/ask-an-engineer/why-cant-we-put-metal-objects-in-a-microwave/))

Ce sont tous des phénomènes scientifiques qui ont été ignorés par les régulateurs et l’industrie, mais le problème le plus alarmant, non reconnu et non réglementé est la fatigue des matériaux causée par le bombardement continu de la compression des données 5G et des champs d’énergie micro-ondes modulés (QAM) focalisés. La 5G nécessite une compression d’énergie beaucoup plus complexe et focalisée des paquets de données.

On ne saurait trop insister sur le fait qu’une fréquence spécifique pourrait provoquer la dissociation des structures moléculaires de matériaux de construction solides, d’œuvres d’art inestimables et de collections de vins, entre autres, en raison des impacts d’ondes croisées, actuellement non étudiés, de ces niveaux élevés d’émissions de rayonnement modulé en énergie dans l’air. Cette cacophonie de pollution par les rayonnements micro-ondes pourrait entraîner de graves pannes d’équipements plus importants, y compris le réseau électrique.  Les infrastructures critiques actuelles n’ont jamais été évaluées ou conçues avec cette valeur énergétique de vibrations pulsées dans l’air ajoutée au calcul de la fatigue des matériaux et à l’espérance de vie finale de l’infrastructure établie, y compris le réseau électrique.(([22] https://user.eng.umd.edu/~vlg/MSIC%20lectures.pdf))

Voir aussi : Dangers 5G, technologie sans fil de 5e génération. Impacts sur la santé et l’environnement.

Ce qui a également été découvert, c’est une capacité d’énergie latente inutile intégrée dans le réseau matériel 5G SMART IOT. Cette grande capacité pourrait facilement être utilisée pour une éventuelle attaque par impulsion électromagnétique (IEM) sur les villes et les populations.(([23] https://www.dhs.gov/news/2020/09/03/dhs-combats-potential-electromagnetic-pulse-emp-attack))

Cela dépendrait de l’interconnectivité connue et de l’accès à distance d’un réseau facilement piratable à tous les dispositifs d’émission dans le réseau 5G sans fil construit.(([24] https://www.itpro.co.uk/mobile-security/34807/5g-networks-are-vulnerable-to-hacking))

Les systèmes d’exploitation 5G ont déjà été compromis et pourraient poser un risque de sécurité important, car les IEM peuvent provoquer une perturbation majeure des systèmes de communication électromagnétique, du réseau électrique et du matériel électronique. Elles proviennent généralement de sources telles que le Soleil et un certain nombre d’armes développées.(([25] https://energsustainsoc.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13705-019-0199-y))

Il a été démontré que l’onde d’impulsion électromagnétique des essais de bombes nucléaires provoquait d’importantes perturbations du réseau électrique à de grandes distances. Quelque chose de similaire s’est produit lorsque la 5G a été activée en Corée du Sud en avril 2019 : elle a provoqué un certain nombre d’incendies dans la ville en raison de la défaillance documentée des transformateurs du réseau électrique. Le gouvernement et les médias sud-coréens ont fait passer cela comme ayant été causé par des incendies de forêt dans cinq villes distinctes simultanément dans tout le pays lorsque la 5G a été activée, mais cette cause présumée n’explique pas la perturbation du réseau électrique et la destruction du matériel critique du réseau électrique. Les risques IEM identifiés aux États-Unis démontrent que ce type de technologie 5G mal réglementée présente un risque potentiel dans le monde entier.(([26] https://www.doh.wa.gov/Portals/1/Documents/Pubs/320-090_elecpuls_fs.pdf))

Le récit des télécommunications pour la 5G n’est qu’une couverture de sa capacité et de son objectif futurs réels, comme le confirme l’absence totale de recherche sur les risques environnementaux et l’absence de couverture de responsabilité par les assurances pour les dommages. Le futur domaine de champ de bataille et le déploiement en cours de l’avancée technologique 5G incluent les armes 5G pour la guerre dans les villes et les campagnes. Le domaine comprend les technologies de guerre psychologique, y compris le contrôle et la diffusion d’informations via les médias sociaux pour masquer le véritable objectif de la 5G en tant que système de guerre.

« L’espace de mission de cinquième génération représente un nouvel environnement dans lequel les opérations futures auront lieu. La complexité du domaine est exacerbée par des acteurs incontrôlés et indéfinis qui dirigent ou influencent le récit. Le plus grand défi du nouvel espace de mission est l’érosion totale des concepts d’ennemi et de guerre elle-même. L’adversaire sera beaucoup plus ambigu et la guerre deviendra un processus insidieux conçu pour dégrader de l’intérieur plutôt que d’attaquer de l’extérieur ». (soulignement ajouté)(([27] https://irp-cdn.multiscreensite.com/26db15ee/files/uploaded/5GW%20Section1.pdf))

Les forces d’opérations spéciales débattent déjà des opportunités et des risques des réseaux IOT 5G, avec des assassinats par le biais des LOIS qui peuvent être utilisés pour éliminer des individus ciblés.

« L’adoption des métamatériaux a été la plus importante dans les communications, les antennes et les systèmes radar, avec les applications d’identification par radiofréquence (RFID) associées pour le marquage, le suivi et la localisation. Le passage aux communications 5G et aux capacités radar extraordinaires accélérera encore les développements, avec des ventes commerciales qui devraient dépasser 10 milliards de dollars par an d’ici 2030. Les métamatériaux font partie intégrante des futures antennes hautes performances, haute impédance, profil bas, conformes et fractales pour systèmes de communication et de radar. Il existe un potentiel immense pour des changements révolutionnaires dans les communications militaires et les systèmes radar grâce aux métamatériaux. En effet, à mesure que les métamatériaux s’intègrent de plus en plus dans les technologies d’antenne, ils réduiront les coûts du système, permettront des appareils plus petits avec des besoins en énergie réduits, faciliteront de nouvelles formes et facteurs de forme, et offrir des capacités de formation et de mise en forme de faisceaux plus agiles. »(([28] https://cgsr.llnl.gov/content/assets/docs/StratLatUnONLINE.pdf))

Le complexe militaro-industriel à travers le monde ne connaît que trop bien les avantages de l’utilisation de systèmes d’armes électromagnétiques pour l’interrogation du champ de bataille, à savoir la 5G, et ce depuis l’émergence de la technologie pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui est également bien compris, c’est le vaste corpus de données scientifiques publiées montrant les effets néfastes sur la santé et l’environnement des réseaux de télécommunications actuels. La 5G ajoute toute une série de risques supplémentaires pour l’environnement et la santé de la population.(([29] https://apps.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/a282886.pdf))

Ce n’est pas un argument qui peut être contesté aujourd’hui. La dérive des missions et la planification d’une guerre asymétrique et non conventionnelle dans les villes devraient être très préoccupantes, en particulier pour la population civile au cas où elle deviendrait la cible d’un régime technocratique et fasciste orwellien. Qui contrôlerait les radars d’interrogation urbaine et les systèmes d’armes aériennes à énergie dirigée ?(([30] https://media.defense.gov/2019/Apr/03/2002109302/-1/-1/0/DIB_5G_STUDY_04.03.19.PDF))

De nombreuses opportunités sont actuellement en cours de discussion dans l’industrie de la défense, en se concentrant sur la capacité des réseaux urbains 5G à étiqueter la population avec des antennes métamatérielles, tandis que les préoccupations et les risques sérieux sont apparemment ignorés.(([31] https://www.airuniversity.af.edu/Portals/10/AUPress/Papers/LP_0004_ELECTROMAGNETIC_DEFENSE_TASK_FORCE_2_2019.PDF))

Ces programmes et plans futurs présentent un risque important pour les libertés civiles, les infrastructures essentielles et l’État de droit.

Métamatériaux de vaccination — Champs magnétiques provenant de contamination par nanoparticules

Il a été démontré dans un certain nombre d’études que les vaccins contiennent des contaminants métalliques toxiques, y compris des niveaux «inexplicables» de contamination par les nanométaux.(([32] https://medcraveonline.com/IJVV/IJVV-04-00072.pdf))

Ce phénomène est loin d’être inexplicable si les chercheurs qui ont mené cette étude avaient eu connaissance des objectifs de l’industrie de la défense et des ingrédients métamatériaux pouvant être utilisés pour améliorer les technologies d’interrogation urbaine 5G, ainsi que divers autres projets de développement de nanomatériaux.(([33] https://link.springer.com/article/10.1007/s42452-019-0592-3))

Les métaux sont presque universellement réfléchissants par radar et sont donc visibles pour être utilisés comme moyen de détection d’objets. « Wetware » est le nom donné aux structures biologiques opérant dans l’espace du champ de bataille qui sont beaucoup plus difficiles à suivre et à tracer ou à attaquer à l’aide de LIDAR, de RADAR ou de DEW. Les métaux sont de puissants réflecteurs d’ondes électromagnétiques et permettent une détection et une résolution accrues des technologies d’interrogation sur le champ de bataille. Des formes métalliques spécifiques dans les polymères peuvent être utilisées pour leurs propriétés diélectriques afin de dévier et d’absorber la capacité de réflexion et d’interrogation des systèmes radar actuels.(([34] https://www.sciencedirect.com/topics/materials-science/radar-absorbing-material))

Cependant, sans utiliser cette forme précise et cette encapsulation polymère, la contamination métallique sous forme de métamatériaux permet une résolution plus élevée de la cible. Une fois la technologie du vaccin Covid-19 injectée dans le corps, l’acquisition cible de wetware est beaucoup plus précise et le domaine technologique peut être utilisé pour collecter des données biométriques. Il est envisagé que les appareils électroniques portables et qui peuvent être portés sur soi [comme une montre intelligente] qui sont actuellement utilisés pour connecter la personne au Cloud deviendront redondants en raison de ces avancées technologiques et d’autres. Le réseau de contrôle Neuralink utilise des antennes de nanotechnologie implantées qui peuvent collecter ces données et les télécharger sur le Cloud. Ces innovations vont bien au-delà de la phase de planification et font toutes partie du futur espace du champ de bataille.(([35] https://www.sciencealert.com/scientists-say-a-human-brain-cloud-interface-is-coming-this-is-what-it-could-be-like))

Les recherches du Dr Robert O. Young confirment que les injections de Covid-19 ont été entièrement chargées de métamatériaux, à savoir du graphène, des nanoparticules d’oxyde ferreux.(([36] https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines))

Cette découverte choquante est confirmée par nos propres recherches menées sur les victimes, ainsi que par des milliers de vidéos anecdotiques montrant des émissions de rayonnement électromagnétique, ainsi que des aimants et des objets métalliques réagissant aux sites d’injection des personnes vaccinées avec le sérum Covid-19. Parmi les autres biomarqueurs utilisés, citons le SM-102, qui est un phospholipide toxique présent dans les vaccins Moderna Covid-19, une luciférine synthétique qui améliore la luciférase d’imagerie par bioluminescence.(([37] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4026177/))

Les luciférines peuvent être activées à l’aide d’un rayonnement électromagnétique pour créer une bioluminescence du sujet. Les technologies de reconnaissance faciale, qui font partie de la boîte à outils de la technologie 5G, peuvent ensuite être utilisées pour suivre et tracer le sujet contaminé dans l’espace environnemental.

Les décès et les dommages biologiques importants dans la population causés par l’intervention médicale du vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ont maintenant été documentés dans près d’un millier d’articles scientifiques publiés.(([38] https://www.saveusnow.org.uk/covid-vaccine-scientific-proof-lethal/))

Les injections de Covid-19 sont désormais liées à la coagulation sanguine, à la myocardite, à la péricardite, à la thrombose, à la thrombocytopénie, à l’anaphylaxie, à la paralysie de Bell, au syndrome de Guillain-Barré et au cancer, entre autres. Ceci est confirmé par des données scientifiques irréfutables et recueillies par le gouvernement auprès de la UK Health and Security Agency, qui montrent que les vaccins Covid-19 sont dangereux et inefficaces.

Symptômes du coronavirus COVID-19 radio-induit

La grande majorité des populations à travers l’Occident, en particulier celles de la communauté Five Eyes, l’alliance du renseignement Anglosphere regroupant l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont été injectées à leur insu avec des antennes en nano métamatériaux et vont malheureusement subir des taux de mortalité accrus en raison des émissions de rayonnement réfléchissantes localisées du radar urbain 5G. Tous les symptômes connus du coronavirus peuvent être attribués à la pollution par les rayonnements ionisants et non ionisants.(([39] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30998908/))(([40] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3426842/))

La 5G a été identifiée dans un certain nombre d’articles publiés comme la cause réelle de la pandémie, dont le début a coïncidé avec la mise en marche du réseau 5G dans la province de Wuhan, dont la population venait d’être vaccinée contre la grippe obligatoire. La 5G a le potentiel de fournir des niveaux d’énergie ionisants qui entraîneraient une suppression du système immunitaire, laissant le corps à risque de maladie.(([41] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/#))

L’agent pathogène Covid-19 n’a pas été isolé ou purifié et actuellement aucune agence gouvernementale ne peut fournir l’isolat ou la preuve de son existence réelle, à l’exception de la modélisation in silico [Par informatique] créée par l’Institut de Wuhan, qui est officiellement reconnu comme le complexe de laboratoires de recherche sur les virus le plus avancé de Chine. La Chine est signataire de la Convention sur les armes biologiques (BWC) depuis 1985 et, en 1993, a déclaré l’Institut des produits biologiques de Wuhan comme l’une des huit installations de recherche sur la guerre biologique couvertes par la BWC. Toute personne travaillant sur ou sur ce site serait légalement tenue de ne divulguer aucun secret survenant dans le cadre de son emploi dans cette installation et n’est donc pas libre de s’exprimer. Le laboratoire national de niveau 4 de sécurité biologique de Wuhan (BSL-4) est dédié à la recherche sur les maladies infectieuses graves. Il a le plus haut niveau de sécurité biologique et couvre de nombreuses biotoxines et des développements illégaux d’armes biologiques SARS-Cov-2 à gain de fonction, et a été la source des données initiales sur les agents pathogènes pour l’existence de Covid-19 et la réponse du programme de vaccination des entreprises pharmaceutiques internationales qui en a résulté. Par coïncidence, le test PCR n’a jamais été en mesure d’identifier un virus ou un agent pathogène vivant et constitue la base fondamentale des blocages à travers le monde, qui ont été utilisés avec un grand effet pour terroriser la population mondiale en lui faisant croire que Covid-19 existe en tant que virus vivant et que la seule stratégie de survie consiste à utiliser une technologie d’arme biologique déguisée en vaccin.(([42] https://telegra.ph/The-scam-has-been-confirmed-PCR-does-not-detect-SARS-CoV-2-02-08))

[Voir aussi :
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie
La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire
Démantèlement de l’hypothèse virale
Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés
Démontage de la théorie virale
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
et plus généralement les articles du dossier Vaccins et virus]

Les Centers for Disease Control (CDC) ont maintenant retiré le test PCR en tant qu’outil de diagnostic, après qu’il ait été mal utilisé, ce qui prouve son utilisation délibérée pour créer la peur et la détresse parmi une population mal informée.(([43] https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html))

Des chercheurs et des médecins du monde entier ont été bâillonnés, menacés et vilipendés dans les médias et discrédités en tant que théoriciens du complot par les gouvernements et leurs agents lorsqu’ils se sont prononcés pour s’opposer à ce programme transmondialiste. La déclaration de Great Barrington, avec plus de 800 000 signataires, a été ignorée et vilipendée par ceux qui poussent leur récit terrorisant. Il a été ignoré de manière déraisonnable afin que les populations occidentales puissent être terrorisées pour participer à la plus grande expérience médicale illégale et illicite de l’histoire du monde.(([44] https://gbdeclaration.org/))

Les humains augmentés augmentent la mortalité dans les champs de rayonnement 5G

Les humains augmentés et leur soi-disant amélioration biologique font déjà partie de l’agenda mondial connecté des gouvernements et des industries de la défense.(([45] https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/986301/Human_Augmentation_SIP_access2.pdf))

Il est étonnant de constater que, dans les démocraties représentatives du monde entier, cela se passe sans aucune consultation publique, sans aucun débat public de la part des participants à qui on a proposé cet agenda idéologique, technologique et politique.(([46] https://augmented-humans.org/))

On peut postuler que la seule raison que l’élite technocratique — y compris les forces motrices du Forum Économique Mondial (FEM) et des Nations unies (ONU) avec son Agenda 2030 — pourrait avoir pour cacher cet agenda numérique mondial connecté au public est qu’il la condamnerait et refuseraient d’y participer. Bien qu’il y ait des implications juridiques et légales évidentes et sérieuses autour de ce programme, l’accent devrait être mis sur les implications juridiques de l’utilisation de technologies biologiquement nocives qui auront un impact néfaste sur la santé, l’environnement et la mortalité. Il n’existe actuellement aucune donnée ou recherche crédible sur la sécurité montrant que le déploiement de cette technologie est sûr. Un autre exemple choquant de produit mis sur le marché sans normes de sécurité optique ni protocoles de test est celui des casques de réalité virtuelle (VR). Malgré le fait que le rayonnement optique artificiel est un danger environnemental et humain connu, ces casques nécessitent un grossissement du rayonnement optique comme affichage rétinien et confirment le mépris total de la sécurité et de la loi. Un autre exemple : la technologie montante de liaison neuronale nécessite l’insertion ou l’injection de nano-métamatériaux dotés d’une capacité d’antenne dans le cerveau et le corps des humains à travers la planète.(([47] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33431878/))

Il a déjà été démontré dans la littérature publiée que les nanomatériaux produisent des effets biologiques néfastes provoquant la mort cellulaire et des problèmes potentiels de fertilité.(([48] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30587973/))(([49] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19652459/))

Il est suggéré d’utiliser des nano-antennes pour recevoir et répondre à l’aide d’une compression cohérente de données QAM dans le corps, sans aucune donnée de sécurité correspondante, créant ainsi une population d’entités émettrices de rayonnements qui, selon certaines définitions légales, deviendraient des appareils électriques et ne seraient donc pas considérés comme humains. Les niveaux d’énergie de ces signaux cohérents proposés en provenance et à destination d’antennes placées dans le corps et le cerveau augmenteront les dommages cellulaires causés par les impacts des rayonnements provenant de l’extérieur du corps, dont la génotoxicité a déjà été démontrée.(([50] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/em.22343))

Il a été démontré que les niveaux de modulation des appareils de communication mobiles de faible puissance fonctionnant dans le spectre des énergies non ionisantes provoquent des espèces réactives de l’oxygène (ERO) et sont génotoxiques pour les animaux dans la plus grande étude indépendante réalisée, l’étude du National Toxicology Program (NTP), dont les résultats sont soutenus par le plus grand nombre de publications scientifiques indépendantes. Ces études confirment l’effet génotoxique sur les animaux des expositions subchroniques au niveau des lignes directrices de l’ICNIRP. Les émissions urbaines de la 5G sont conçues pour fournir une exposition chronique aux rayonnements qui augmentera sans aucun doute les effets génotoxiques sur toute la vie biologique avec laquelle les rayonnements entrent en contact. Ces émissions de rayonnements dépassent largement le seuil de contamination de 6 minutes recommandé par l’ICNIRP pour certains spectres. Des preuves provenant de zones couvertes par les émissions de rayonnement moins puissantes et moins densifiées des réseaux 4G ont déjà montré des effets néfastes importants sur la faune et la flore.(([51] https://ehtrust.org/wp-content/uploads/Mt-Nardi-Wildlife-Report-to-UNESCO-FINAL.pdf))

Les organismes biologiques plus petits qui composent l’ensemble de l’écosystème sont moins protégés contre les émissions de rayonnement d’origine humaine et peuvent donc montrer des effets d’une manière plus visible et incontestable. Il a été démontré que le manque aigu de petits insectes est principalement causé par de nouvelles émissions de rayonnement artificielles expérimentales, y compris des diodes électroluminescentes (DEL) qui ont été peu étudiées pour leurs effets néfastes sur l’environnement.(([52] https://esajournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1890/14-0468.1))

L’ajout de nano-métamatériaux par le biais d’implants, d’injections et de contamination environnementale créera un environnement cytotoxique préjudiciable à toute vie biologique. La réflexion localisée des antennes de métamatériaux ou des entités vaccinées contaminées par des nanomatériaux s’ajoutera à une augmentation substantielle des expositions aux rayonnements, notamment dans les villes. La technologie de raccordement 5G peut désormais capturer et interroger de multiples points de données, des conversations, ainsi que des données biométriques corporelles et des mouvements 24 heures sur 24, tous les jours, au détriment des personnes vaccinées par le Covid-19 pour le reste de ce qui sera probablement une espérance de vie limitée, ainsi que des personnes incapables de se retirer de ces réseaux de rayonnement 5G et des environnements pollués par les nanoparticules.

Des champs magnétiques artificiels accompagnent l’onde du faisceau numérisé (QAM), ce qui augmente les émissions et crée une perturbation par vibration énergétique des particules de nano-métamatériaux dans le corps vacciné contaminé. Cela augmentera considérablement la cytotoxicité des technologies sur une population massive de personnes vaccinées qui ne se doute de rien.

Le mandat de cette expérience technologique sous la forme d’un vaccin qui augmente la stérilité et provoque la mort prématurée est une entreprise criminelle d’organisations et d’individus qui n’ont pas reconnu le développement compartimenté des systèmes d’armes nécessaires au programme de contrôle et de dépopulation planifiée. Les renseignements sur le dépeuplement massif ont été confirmés dans les cercles de la défense dès 2017 par le groupe de renseignement sur le matériel d’armement Deagel, qui a prédit plusieurs millions de victimes dans les pays occidentaux d’ici 2025.

L’ignorance ne devrait pas servir de défense à ces criminels, qui participent à une guerre asymétrique contre une population ignorante et terrorisée.

Les criminels peuvent être identifiés par leur mépris total des évaluations obligatoires des risques environnementaux et des normes de sécurité standard en ce qui concerne les technologies expérimentales et les principes de précaution qui devraient leur être appliqués.

Les données du gouvernement britannique montrent clairement que les vaccins expérimentaux ne fonctionnent pas comme un vaccin et présentent un risque important pour la population par des millions de réactions indésirables graves, y compris la mort. Bien qu’il n’y ait aucun avantage pour les enfants à leur injecter ce poison, les acteurs derrière cet événement meurtrier planifié ignorent la science et les données irréfutables alors qu’ils poursuivent leur programme de guerre secrète contre les plus vulnérables de nos sociétés.(([53] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/04-COVID-Lee-508.pdf))

Le CDC admet les dangers mortels actuels posés aux jeunes par cette technologie expérimentale, sans données à long terme sur les dangers posés par ce déploiement d’armes biochimiques. À l’origine du mépris flagrant de toutes les obligations éthiques et juridiques se trouve l’ordre du jour primordial du champ de bataille militaire, qui dicte que la guerre doit maintenant être menée contre les populations civiles.

Conclusion

Pour citer Martin L Pall, PhD, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales à l’Université de l’État de Washington, « Mettre des dizaines de millions d’antennes 5G, sans un seul test biologique de sécurité, doit être l’idée la plus stupide que quiconque ait eue dans l’histoire. du monde ». Le professeur Pall a cependant tort : ce n’est pas une idée stupide mais un crime odieux si l’on comprend le mobile de ce déploiement. La 5G est un déploiement d’armes compartimenté se faisant passer pour une avancée technologique bénigne pour des communications améliorées et des téléchargements plus rapides. La fausse propagande mondialiste s’effondre avec un simple fait incontesté : leur brevet de test PCR pour Covid-19, qui a été déposé en 2015, n’a jamais été en mesure d’identifier un virus vivant, de sorte qu’il puisse être utilisé pour terroriser des populations ignorantes et sans méfiance à travers le monde pour qu’elles prennent un vaccin Covid-19 pollué par une technologie de nano-antenne pour connecter les victimes au réseau 5G.

Les technologies émergentes 5G, autonomes et de réalité augmentée, souvent qualifiées par les fabricants de « technologie tueuse », se révéleront être exactement cela. L’approche de laisser-faire adoptée par les organismes de réglementation et l’industrie des télécommunications a encouragé le mépris total des dommages biologiques connus causés par les niveaux croissants de rayonnements ionisants et non ionisants résultant du déploiement massif de ces technologies, qui ont été développées pour une utilisation sur le champ de bataille. Les organisations non gouvernementales, les individus et les groupes ont dû intenter une action en justice contre les organismes gouvernementaux de réglementation de la sécurité car ceux-ci ont ignoré le principe de précaution et ignoré l’exigence de normes qui sont indispensables en droit pour le développement de produits nouveaux et expérimentaux.

Toute la base de l’existence des organismes de réglementation a été corrompue par des criminels au sein de ces organisations qui ont détruit la confiance du public éduqué en eux.

Les exigences de sécurité de base ont été délibérément ignorées par l’industrie des télécommunications et les directives de l’ICNIRP ont été délibérément conçues pour semer la confusion chez ceux qui manquent de connaissances techniques.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 ressemblent à la destruction de l’Humanité alors que des millions de citoyens nord-américains meurent et sont blessés dans cette expérience médicale qui enfreint le Code de Nuremberg et le Statut de Rome de la Cour pénale internationale.

Les niveaux d’émissions de rayonnement du réseau 5G dépassent empiriquement la résolution COE 1815 et confirment l’agression, causant des lésions corporelles réelles aux populations du monde entier. Le fait que les données vectorielles des vaccins Covid-19 aient été développées dans des laboratoires d’armes chimiques biologiques prouve qu’elles ne font que se faire passer pour des vaccins, les données émergentes sur la stérilisation, la mauvaise santé et la mort à travers l’Occident révélant leur véritable objectif. Le dépeuplement de ceux qui n’ont aucune connaissance de l’agenda meurtrier se poursuivra jusqu’à ce que les criminels impliqués dans ce meurtre de masse soient traduits en justice. Le réseau 5G a la capacité de cibler, d’acquérir et d’attaquer les vaccinés grâce à leur vaccin Covid-19 à antenne nano métamatériau.

Les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS) exigent que les réseaux 5G maintiennent leur géopositionnement et naviguent dans leur environnement jusqu’à la cible ; ces armes ne peuvent pas compter sur les communications par satellite en raison du potentiel d’événements météorologiques défavorables et de la latence du signal pour perturber leurs signaux. Elles doivent donc disposer de réseaux 5G localisés pour l’environnement de champ de bataille urbain à venir, pour la capacité d’assassinat et pour la domination du champ de bataille dans les guerres futures prévues. Des acteurs voyous mettent en œuvre la Solution finale, un concept du Troisième Reich désormais actualisé par le FEM « Build Back Better », quatrième révolution industrielle contre les populations civiles, tel que proposé par l’industrie de la défense en violation des Conventions de Genève, ainsi que des lois et traités nationaux et internationaux .

Pour éviter tout doute, la définition d’une arme est un dispositif, un outil ou une action qui a été conçu pour causer des dommages physiques ou psychologiques en violation de la législation primaire.

La compartimentation du développement des systèmes d’armes a joué un rôle crucial en n’alertant pas les membres des autorités de réglementation et de l’industrie des télécommunications sur le véritable objectif et les intentions de ceux qui conduisent et financent en fin de compte le déploiement de la 5G et des armes chimiques biologiques se faisant passer pour des vaccins Covid-19 pour un grille de contrôle et de commande planifiée.

Le monde suit aveuglément les plans de l’élite technocratique et du complexe militaro-industriel-pharmaceutique pour éliminer un grand nombre de populations à travers le monde sans tenir compte de la législation primaire.

Les droits donnés par Dieu et les lois consacrées pour la protection des hommes et des femmes ont été ignorés par ces forces sectaires dans leur programme de dépeuplement, de stérilisation et de meurtres de masse.

La 5G est un système d’armes, un crime contre l’humanité si monstrueux que même une personne instruite trouverait cela incroyable au premier examen des faits.

La preuve prima facie [à première vue] de ce programme de dépopulation mondialiste est sans équivoque et devrait être testée devant les tribunaux afin que les conspirateurs impliqués dans ce plan meurtrier puissent être traduits en justice. C’est le plus grand crime jamais perpétré contre l’humanité et toute la création de Dieu.

Déclaration de vérité

Je crois que les faits énoncés dans cette déclaration de témoin sont vrais. Je comprends qu’une poursuite pour outrage au tribunal peut être intentée contre quiconque fait ou fait faire une fausse déclaration dans un document vérifié par une déclaration véridique sans une croyance sincère en sa véracité.

[Rapport original en anglais]


Mark Steele est directeur de la technologie chez www.saveusnow.org.uk, un parti de résistance à cette attaque criminelle contre l’humanité.

Il est l’inventeur et le rédacteur de brevets de l’affichage tête haute et des systèmes de visée d’armes. Il est ingénieur en développement de produits et expert en systèmes d’armes à énergie directe.

Cet article a été initialement publié sur For Life on Earth.

La source originale de cet article est Global Research
Copyright © Mark Steele , Recherche mondiale, 2022





Paquet d’ondes radio

[Source : maisonsaine.ca]

Par : Arthur Firstenberg

Traduit de https://www.cellphonetaskforce.org/wp-content/uploads/2022/08/Radio-Wave-Packet.pdf

[PDF en Français :
https://cellphonetaskforce.org/wp-content/uploads/2022/09/Paquet-dondes-radio.pdf
ou ici]

Première publication : septembre 2001 – Mis à jour en août 2022 pour tenir compte de la technologie actuelle

Sommaire

  1. Quelques effets biologiques des ondes radio
  2. Morbidité et mortalité dues aux technologies sans fil
  3. Maladie des ondes radio
  4. Références 

[Ndlr : l’auteur utilise ici « ondes radio » au sens large, car il inclut les micro-ondes.]

QUELQUES EFFETS BIOLOGIQUES DES ONDES RADIO

1 μW/cm2 = 10 000 μW/m2  https://www.slt.co/Downloads/Education/RFConversionTable.pdf

Densité de puissance (μW/cm2) Effets biologiques rapportés Références
0,0000000000001 Structure génétique altérée chez E. Coli Belyaev 1996
0,0000000001 Seuil de la sensibilité humaine Kositsky 2001
0,000000001 Modification de l’EEG chez les sujets humains  Bise 1978
0,0000000027 Stimulation de la croissance chez Vicius fabus (haricots) Brauer 1950
0,00000001  Effets sur le système immunitaire chez la souris  Bundyuk 1994
0,00000002 Stimulation de l’ovulation chez les poulets Kondra 1970
0,000005 Effet sur la croissance cellulaire chez la levure  Grundler 1992
0,00001  Réflexe d' »évitement » conditionné chez le rat  Kositsky 2001
0,000024 Vieillissement prématuré des aiguilles de pin Selga 1996
0.000024 Réduction des anneaux de croissance des arbres Balodis 1996
0,0004 100 mètres d’un routeur Wi-Fi domestique   
0,0017  Diminution de la germination des graines dans les pins Selga 1996
0,002  Troubles du sommeil, tension artérielle anormale, nervosité, faiblesse, fatigue, douleurs des membres, douleurs articulaires, troubles digestifs, moins d’écoliers promus étude contrôlée à proximité d’un émetteur d’ondes courtes. Altpeter 1995, 1997 
0,0027 Inhibition de la croissance chez Vicius fabus (haricots) Brauer 1950
0,004 100 mètres d’un téléphone cellulaire 2G, 3G ou 4G à puissance maximale  
0,01 100 mètres d’un routeur Wi-Fi commercial ou extérieur  
0,01 à 0,1 1 mile d’une tour cellulaire 2G, 3G ou 4G  
0,06 Modification de l’EEG, perturbation du métabolisme glucidique, hypertrophie des surrénales, modification des taux d’hormones surrénales, modifications structurelles du foie, de la rate, des testicules et du cerveau chez les rats blancs et les lapins. Dumanskij 1974 
0,06 Ralentissement du cœur, modification de l’EEG chez le lapin Serkyuk, reported in McRee 1980
0,1 Augmentation de la mélatonine chez les vaches  Stark 1997
0,1 à 1,8  Diminution de la durée de vie, troubles de la reproduction, anomalies structurelles et de développement chez les lenticules.  Magone 1996
0,13  Diminution de la croissance cellulaire (cellules épithéliales humaines de l’amnios)  Kwee 1997 
0,168 Stérilité irréversible chez la souris  Magras 1997
0,2 Leucémie infantile jusqu’à 12 km d’une tour de télévision  Hocking 1996
0,3  Altération de la fonction motrice, du temps de réaction, de la mémoire et de l’attention des écoliers, et modification du rapport de masculinité des enfants (moins de garçons) Kolodynski 1996 
0,4 Rupture de la barrière hémato-encéphalique par les téléphones portables  Eberhardt 2008
0,6   Modification de l’efflux d’ions calcium du tissu cérébral Dutta 1986
0,6 Arythmies cardiaques et parfois arrêt cardiaque (grenouilles)  Frey 1968
0-4 Modification de l’activité des globules blancs chez les écoliers Chiang 1989
1 Maux de tête, vertiges, irritabilité, fatigue, faiblesse, insomnie, douleurs thoraciques, difficultés respiratoires, indigestion (humains- exposition professionnelle) Simonenko 1998 
1 Stimulation des globules blancs chez les cobayes Shandala 1978
2 (seuil inférieur inconnu) Effets auditifs : cliquetis, bourdonnements, gazouillis, sifflements ou sons aigus. Frey 1963, 1969, 1971, 1973, 1988, Justeson 1979, Olsen 1980, Wieske 1963, Lin 1978
2 Perte de mémoire chez les rats exposés aux téléphones portables  Nittby 2009
5  Leucémie, mélanome de la peau et cancer de la vessie à proximité d’un émetteur TV et FM  Dolk 1997
5 Modifications biochimiques et histologiques dans les tissus du foie, du cœur, des reins et du cerveau  Belokrinitskiy 1982
8 Exposition de la tête et de la poitrine à un ordinateur portable sans fil posé sur une table   
10 Mitochondries et noyaux des cellules endommagés dans l’hippocampe du cerveau.  Belokrinitskiy 1982a
10 Altération de la mémoire et du temps de réaction visuelle chez les personnes vivant à proximité des émetteurs.  Chiang 1989
10 Diminution de la taille de la portée, augmentation du nombre de mort-nés chez les souris  Il’Chevich (rapporté par McRee 1980)
10 Redistribution des métaux dans les poumons, le cerveau, le cœur, le foie, les reins, les muscles, la rate, les os, la peau et le sang.  Shutenko 1981
150 Exposition de la tête et de la poitrine par tout téléphone cellulaire sur table   
1 000 Limite d’exposition du corps entier de la FCC FCC 2018, Racini 2015
17 000 Exposition des organes génitaux par un ordinateur portable sans fil posé sur un genou   
20 000 Exposition du cerveau par un téléphone portable posé sur la tête  

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]

MORBIDITÉ ET MORTALITÉ DUES AUX TÉLÉPHONES CELLULAIRES ET À LA TECHNOLOGIE SANS FIL

FLORE ET FAUNE

Les trembles

Dans un laboratoire d’arrière-cour situé au pied des Rocheuses, où les trembles déclinaient et refusaient d’arborer leurs couleurs à l’automne, Katie Haggerty a décidé de voir ce qui se passerait si elle protégeait certains d’entre eux des ondes radio. Après seulement deux mois, ses semis protégés étaient 74 % plus longs et leurs feuilles 60 % plus grandes que celles de ses semis non protégés ou de ses semis protégés par un écran factice. Et à l’automne, seuls les semis protégés affichaient les couleurs vives qui font la réputation des trembles. (Haggerty 2010)

Oiseaux chanteurs

À l’université allemande d’Oldenburg, des scientifiques, choqués de constater que les oiseaux chanteurs migrateurs qu’ils étudiaient n’étaient plus capables de s’orienter vers le nord au printemps et vers le sud-ouest en automne, ont décidé de voir ce qui se passerait s’ils protégeaient une volière des ondes radio. Soudain, les oiseaux ont pu s’orienter vers le nord au printemps pour la migration. (Engels et al. 2014)

Amphibiens

Sur la terrasse d’un appartement du cinquième étage à Barcelone, à un pâté de maisons d’une tour de téléphonie cellulaire, Alfonso Balmori a décidé de tester sa conjecture selon laquelle les ondes radio pourraient être responsables du déclin et de l’extinction de tant d’espèces d’amphibiens dans le monde. Pendant deux mois, il s’est occupé de deux bassins identiques de têtards, dont l’un était protégé des ondes radio par une fine couche de tissu. Le taux de mortalité dans le réservoir non protégé était de 90 %, et de seulement 4 % dans le réservoir protégé. (Balmori 2006)

Abeilles à miel

Un professeur de l’université Panjab, en Inde, a décidé de vérifier son hypothèse selon laquelle la technologie sans fil pourrait être responsable de l’effondrement des colonies d’abeilles. Elle a placé des téléphones portables dans deux des quatre ruches et les a allumés deux fois par jour pendant 15 minutes à chaque fois. Après trois mois, il n’y avait plus ni miel, ni pollen, ni couvain, ni abeilles dans les deux colonies équipées de téléphones portables. (Sharma et Kumar 2010)

Elle a ensuite décidé de découvrir ce qui se passait dans l’hémolymphe des abeilles, qui est le nom de leur sang. Elle a constaté que la respiration cellulaire était pratiquement paralysée. Après seulement dix minutes d’exposition à un téléphone portable, les abeilles ne pouvaient pratiquement plus métaboliser les sucres, les graisses ou les protéines. (Kumar et al. 2011)

Souris

Dans le village grec de Chortiatis, au troisième étage de l’école primaire publique, six paires de souris ont été accouplées et observées pendant cinq grossesses. Les trois premières grossesses ont produit une moyenne de cinq rejetons par femelle. Ensuite, toutes les souris sont devenues stériles et n’ont plus donné naissance à aucun rejeton. Depuis la fenêtre de la salle de classe, à environ un kilomètre de là, on pouvait voir une ferme d’antennes au sommet du mont Chortiatis, qui diffusait au total environ 300 kW de puissance.

Six autres couples de souris ont été élevés dans une réserve naturelle, le Refuge de la Vie Hypaithrios, situé sur la montagne. Ces souris n’ont eu en moyenne qu’un seul nouveau-né par grossesse dès le début, et ont été stériles dès la troisième grossesse. Il a été prouvé que la stérilité était permanente et irréversible. (Magras et Xenos 1997)

Fourmis

Marie-Claire Cammaerts, de l’Université libre de Belgique, a amené des milliers de fourmis dans son laboratoire, a placé un téléphone à clapet de modèle ancien sous leurs colonies et les a observées marcher. Lorsque le téléphone ne contenait pas de batterie, il ne les affectait pas du tout. La batterie seule ne les affectait pas non plus. Mais dès que la batterie a été placée dans le téléphone – même si le téléphone était toujours éteint – les fourmis se sont mises à courir d’avant en arrière avec vigueur, comme si elles essayaient d’échapper à un ennemi qu’elles ne pouvaient pas voir. Lorsqu’elle a mis le téléphone en mode veille, la frénésie des fourmis s’est encore accrue. Lorsqu’elle a finalement allumé le téléphone, elles ont toutes ralenti.

Mme Cammaerts a ensuite exposé une nouvelle colonie de fourmis à un smartphone, puis à un téléphone sans fil. Dans chaque cas, leur vitesse de changement de direction a doublé ou triplé en une ou deux secondes, tandis que leur vitesse de marche réelle a considérablement ralenti. Après avoir été exposées pendant trois minutes, elles ont eu besoin de deux à quatre heures avant de retrouver une apparence normale. D’autres fourmis, après avoir été exposées à un routeur WiFi pendant trente minutes, ont mis six à huit heures pour récupérer, et certaines ont été retrouvées mortes quelques jours plus tard. Lorsqu’elle a placé un téléphone à clapet en mode veille sous le nid des fourmis au lieu de leur zone de recherche de nourriture, les fourmis ont toutes immédiatement quitté leur nid, emportant avec elles leurs œufs, leurs larves et leurs nymphes. (Cammaerts et Johansson 2014)

Rats

L’équipe du neurochirurgien Leif Salford de l’Université de Lund en Suède a exposé des rats à un téléphone portable ordinaire, une seule fois pendant deux heures, et les a sacrifiés 50 jours plus tard. Les rats exposés ont subi des dommages cérébraux permanents à la suite de cette seule exposition, même lorsque le niveau de puissance du téléphone a été réduit au centuple. (Salford et al. 2003)

Vaches

Lorsque les tours de téléphonie cellulaire ont été installées dans toute l’Amérique en 1996, des agriculteurs ont signalé que des animaux de ferme étaient soudainement malades et mouraient, et que leur progéniture était née avec le cou et les pattes palmés à l’envers. (Hawk 1996). Wolfgang Löscher et Günter Käs, recevant des rapports similaires en Allemagne, ont visité ces fermes et examiné ces vaches. Les vaches mouraient de troubles cardiaques et

Les vaches mouraient d’un collapsus cardiaque et circulatoire aigu avec des saignements de plusieurs organes. Lorsque les vaches malades étaient déplacées dans un endroit éloigné, elles recouvraient la santé. (Löscher et Käs 1998)

Mouches à fruits

Dans le cadre d’une expérience scientifique, Alexander Chan, 15 ans, du lycée Benjamin Cardozo de Queens, New York, a exposé quotidiennement des larves de drosophiles à un haut-parleur, un écran d’ordinateur ou un téléphone portable pour observer leur développement. Les mouches qui ont été exposées au téléphone portable n’ont pas développé d’ailes. (Serant 2004)

Graines de cresson

Pour une autre expérience de foire scientifique, une équipe de cinq filles de troisième année à Hjallerup, au Danemark, a rempli douze plateaux de 400 graines de cresson chacun. Elles ont placé six plateaux dans une fenêtre à côté de trois ordinateurs portables et de deux routeurs WiFi, et six plateaux dans une fenêtre similaire mais sans ordinateur ni routeur. Au bout de 6 jours, aucune des graines irradiées n’avait germé, et beaucoup d’entre elles n’ont jamais germé. Après 12 jours, les germes du contrôle étaient deux fois plus gros que ceux situés à côté des ordinateurs portables et des routeurs. (Nielsen et al. 2013)

Plants de poivre

Des scientifiques de l’Université de Gaza ont cultivé 100 plants de poivron dans des conditions identiques, sauf que la moitié d’entre eux ont été arrosés quotidiennement avec de l’eau du robinet qui avait séjourné dans un flacon en verre pendant une heure à côté d’un routeur WiFi, et l’autre moitié avec de l’eau du robinet qui avait séjourné dans un flacon en verre identique mais pas à côté d’un routeur. Les plantes cultivées avec de l’eau irradiée étaient pâles et rabougries. Après 200 jours, les plantes témoins étaient 25 % plus longues, leurs tiges 5 % plus épaisses et leurs racines 40 % plus longues que les plantes cultivées avec de l’eau irradiée. Elles pesaient également 90 % de plus, avaient 74 % de feuilles en plus, étaient 12 % plus humides, fleurissaient et fructifiaient plus tôt, et produisaient des fruits 38 % plus gros. (Alattar et Radwan 2020)

Animaux munis de colliers émetteurs

Les mammifères munis de colliers émetteurs, notamment les lapins, les campagnols, les lemmings, les blaireaux, les renards, les cerfs, les élans, les tatous, les loutres de rivière et les loutres de mer, ont souffert d’une augmentation de la mortalité, d’une diminution de la capacité à creuser, d’une perte de poids, d’une réduction des niveaux d’activité, d’une augmentation de l’autogestion, d’une modification des interactions sociales et d’un échec de la reproduction. (Mech et Barber 2002)

Dans une étude sur les élans, les veaux sans aucune marque d’oreille et les veaux avec des marques d’oreille simples avaient une mortalité de 10 %, tandis que les veaux avec des marques d’oreille contenant des émetteurs avaient une mortalité de 68 %. La seule différence était les ondes radio. (Swenson et al. 1999)

Dans une autre étude, les colonies de campagnols aquatiques qui contenaient des femelles marquées par radio ont donné naissance à quatre fois plus de mâles que de femelles. Les chercheurs ont conclu qu’il était probable qu’aucune des femelles radio-identifiées n’ait donné naissance à une progéniture féminine. (Moorhouse et Macdonald 2005)

La maladie des ondes radio chez l’humain

Au cours des années 1950, des cliniques ont été créées à Moscou, Leningrad et dans d’autres villes d’Union soviétique et d’Europe de l’Est pour étudier et traiter des milliers de travailleurs souffrant d’une nouvelle maladie professionnelle – une maladie qui a également été signalée aux États-Unis mais qui n’y a été ni étudiée ni traitée. Cette nouvelle maladie a été baptisée maladie des ondes radio. Ces patients fabriquaient, inspectaient, réparaient ou utilisaient des équipements à micro-ondes. Certains travaillaient dans des installations radar, d’autres pour des stations de radio ou de télévision, ou des compagnies de téléphone. D’autres encore faisaient fonctionner des appareils de chauffage et d’étanchéité à radiofréquence utilisés dans un nombre croissant d’industries à l’aide d’une technologie mise au point pendant la Seconde Guerre mondiale.

Ces travailleurs n’étaient exposés aux rayonnements micro-ondes que pendant les heures de travail. Et ils étaient exposés à des niveaux de rayonnement inférieurs à ceux auxquels le grand public est exposé aujourd’hui pendant des heures par jour, voire tout le temps, à partir de leurs téléphones portables et autres appareils sans fil.

Les patients de ces cliniques souffraient de maux de tête, de fatigue, de faiblesse, de troubles du sommeil, d’irritabilité, de vertiges, de troubles de la mémoire, de dysfonctionnements sexuels, d’éruptions cutanées, de perte de cheveux, de diminution de l’appétit, d’indigestion et, parfois, de sensibilité à la lumière du soleil. Certains ont eu des palpitations cardiaques, des douleurs lancinantes dans la région du cœur et un essoufflement après un effort. Beaucoup ont développé une instabilité émotionnelle, de l’anxiété ou de la dépression, et quelques-uns ont souffert de manie ou de paranoïa.

À l’examen physique, ils présentaient une acrocyanose (doigts et orteils bleus), un odorat altéré, des sueurs, des tremblements, des réflexes altérés, des pupilles de taille inégale, des arythmies cardiaques, un pouls et une tension artérielle instables. Ils présentaient des EEG et des ECG anormaux et, à un stade avancé, des signes de privation d’oxygène au niveau du cœur et du cerveau. Certains ont développé des cataractes. Les analyses de sang ont révélé une hyperactivité de la thyroïde, un taux élevé d’histamine, un taux élevé de sucre dans le sang, un taux élevé de cholestérol et de triglycérides, une augmentation des protéines sanguines, une diminution du rapport albumine-globuline, une diminution des plaquettes et des globules rouges, et un nombre anormalement élevé ou faible de globules blancs.

Bien qu’environ 15 % seulement des travailleurs des micro-ondes se soient plaints de leur maladie, et que 2 % seulement aient cessé de travailler (Sadchikova 1960, Klimková-Deutschová 1974), les travaux de laboratoire ont révélé des anomalies chez la majorité des travailleurs. Le cholestérol sanguin était élevé chez 40 % des travailleurs des micro-ondes (Klimkova-Deutschova 1974), les triglycérides étaient élevés chez 63 % d’entre eux (Sadchikova et al. 1980), la glycémie à jeun était augmentée chez 74 % (Klimkova-Deutschova 1974) et 70 % présentaient une activité thyroïdienne anormale. (Smirnova et Sadchikova 1960 ; Drogichina 1960). Des changements cardiaques objectifs ont été trouvés chez 18% à 35% des travailleurs des micro-ondes, selon la durée du travail.

En raison du grand nombre de publications sur la maladie des ondes radio provenant de l’Union soviétique et de l’Europe de l’Est, un échange scientifique entre les États-Unis et l’URSS sur la recherche sur le rayonnement micro-ondes a été lancé au milieu des années 1970. Le gouvernement américain a chargé le Dr Zorach Glaser de répertorier la littérature scientifique mondiale (articles de journaux, livres, comptes rendus de conférences) sur les effets biologiques et sanitaires des radiofréquences et des micro-ondes. A la fin des années 1970, la bibliographie de Glaser comprenait 5 083 documents (Glaser 1984).

Au cours des années 1960 et 1970, l’ophtalmologue Milton Zaret, sous contrat avec l’armée et l’armée de l’air américaines, a examiné les yeux de milliers de militaires et de civils travaillant dans des installations radar aux États-Unis et au Groenland. Il a constaté qu’un grand nombre d’entre eux développaient des cataractes. La plupart de ces cataractes étaient causées par l’exposition chronique de l’œil à des rayonnements d’une densité de puissance d’environ un milliwatt par centimètre carré – un niveau qui est régulièrement dépassé par chacun des 15 milliards de téléphones cellulaires utilisés aujourd’hui (Birenbaum et al. 1969 ; Zaret 1973).

Au cours de ces années, le biologiste américain Allan Frey a découvert que le rayonnement micro-ondes endommageait la barrière hémato-encéphalique (Frey et al. 1975), et il a prouvé que les humains et les animaux pouvaient entendre les micro-ondes (Frey 1961). Frey, l’un des chercheurs américains les plus actifs des années 1960 et 1970, a rendu des rats dociles en les irradiant à une densité de puissance de 50 microwatts par centimètre carré (Frey et Spector 1976). Il a modifié des comportements spécifiques à 8 microwatts par centimètre carré (Frey et Wesler 1979). Il a modifié le rythme cardiaque de grenouilles vivantes à 3 microwatts par centimètre carré (Frey et Eichert 1986). À seulement 0,6 microwatts par centimètre carré, soit 15 fois moins que les niveaux couramment rencontrés aujourd’hui à une distance normale de fonctionnement d’un ordinateur portable sans fil, il a provoqué des arythmies dans le cœur des grenouilles, et parfois l’arrêt des battements, en synchronisant les impulsions de micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque (Frey et Seifert 1968). Les travaux de Frey ont été financés par la marine américaine.

En 1977, Paul Brodeur, dans son livre The Zapping of America, a averti que la prolifération des tours à micro-ondes et des installations radar mettait en danger la santé publique. Mais comparé à aujourd’hui, les installations de micro-ondes et de radio étaient encore très rares.

Lorsqu’en 1977, Apple a vendu ses premiers ordinateurs personnels (câblés), l’exposition à des niveaux élevés de rayonnement électromagnétique s’est étendue à la population générale, et les maladies électromagnétiques ont cessé d’être uniquement des maladies professionnelles. Cette année-là, les décès dus à l’asthme aux États-Unis, qui étaient en baisse constante depuis des décennies, ont commencé à augmenter pour la première fois.

En 1981, le représentant Al Gore a présidé la première d’une série d’audiences du Congrès américain sur les effets sanitaires des terminaux d’affichage vidéo (câblés). Ces auditions ont été organisées parce que deux rédacteurs en chef du New York Times, de jeunes hommes âgés de 20 à 30 ans, avaient développé des cataractes ; la moitié de tous les employés de l’UPI et de l’AP interrogés se plaignaient de problèmes visuels ou de maux de tête ; un nombre inhabituel de bébés présentant des malformations congénitales étaient nés d’employés du Toronto Star ; et des groupes de fausses couches se produisaient parmi les opératrices de terminaux vidéo partout aux États-Unis et au Canada.

L’industrie de la presse a été la première industrie à être transformée par la technologie informatique. Au cours des auditions menées en 1981 par la Commission des sciences et de la technologie de la Chambre des représentants, Charles A. Perlik, Jr, président de la Newspaper Guild, a déclaré que si ses membres avaient su que les terminaux numériques pouvaient produire des émissions dangereuses, « nous n’aurions pas tranquillement permis la transformation d’un lieu de travail essentiellement bénin en un lieu dangereux ». En 1985, l’auteur canadien Bob DeMatteo a publié un livre populaire intitulé Terminal Shock : The Health Hazards of Video Display Terminals.

Au milieu des années 80, Olle Johansson, un neuroscientifique de l’Institut Karolinska de Stockholm, a découvert une nouvelle maladie de peau. Depuis, seules les personnes qui travaillaient devant des écrans d’ordinateur en étaient atteintes, il l’a baptisée dermatite des écrans. Ces patients se plaignaient souvent aussi de symptômes neurologiques tels que perte de mémoire, fatigue, insomnie, vertiges, nausées, maux de tête et palpitations cardiaques – les mêmes symptômes neurologiques que ceux décrits trois décennies plus tôt par les médecins soviétiques – mais comme la spécialité de Johansson était les maladies de la peau, il a étudié la peau des opérateurs informatiques. Ses sujets allaient de ceux qui ne présentaient que des rougeurs et des démangeaisons à ceux qui avaient des lésions cutanées graves et défigurantes.

Au milieu des années 1990, l’industrie des télécommunications s’est lancée dans un projet qui devait exposer le monde entier à des micro-ondes à une échelle inimaginable. Ils prévoyaient de placer un téléphone cellulaire et un ordinateur sans fil dans les mains de chaque homme, femme et enfant sur Terre – et de parsemer notre monde d’un si grand nombre d’antennes de radiodiffusion que ces téléphones et ordinateurs fonctionneraient dans chaque maison et chaque bureau, dans chaque rue, dans chaque pays, sur la plus haute montagne et dans la vallée la plus profonde, sur chaque lac et dans chaque parc national, zone de nature sauvage et refuge pour la faune, sans exception. Ainsi, au cours des décennies suivantes, chaque être humain est devenu une source de rayonnement micro-ondes où qu’il aille. Et les niveaux ambiants de rayonnement ont été multipliés par mille ou plus, partout sur la Terre.

Les chercheurs ont commencé à établir une corrélation entre des symptômes tels que les troubles du sommeil, la fatigue, les pertes de mémoire, les maux de tête, la dépression, les vertiges et les tremblements – les mêmes symptômes que ceux signalés aux médecins soviétiques et américains un demi-siècle auparavant – et l’utilisation des téléphones portables et la proximité des tours de communication. En 2007, des équipes de scientifiques de 14 pays ont conclu que la santé de pas moins des trois quarts de la population de la Terre était considérablement affectée par la technologie sans fil (Haugsdal 1998, Hocking 1998, Cao 2000, Oftedahl 2000, Chia 2000, Sandström 2001, Santini 2002, Navarro 2003, Santini 2003, Zwamborn 2003, Wilén 2003, Oberfeld 2004, Bortkiewicz 2004, Al-Khlaiwi 2004, Salama 2004, Meo 2005, Preece 2005, Waldmann-Selsam 2005, Szykjowska 2005, Balikci 2005, Balik 2005, Hutter 2006, Abdel-Rassoul 2007).

D’autres scientifiques ont rapporté que les téléphones portables provoquaient de l’eczéma (Kimata 2002), la cécité (Ye et al. 2001), l’asthme infantile (Li et al. 2001), la maladie d’Alzheimer (Salford et al. 2003, Şahin et al. 2015), la surdité (Oktay et Dasdag 2006, Panda et al. 2011, Velayutham et al. 2014, Mishra 2010, Mishra 2011) et la sclérose en plaques (İkinci et al. 2015).

Le terme « hypersensibilité électromagnétique » (« EHS ») a été inventé parce qu’aucune autorité sanitaire d’aucun pays occidental n’admet que les rayonnements électromagnétiques ont un quelconque effet sur la santé d’une personne normale. L’EHS désigne donc les personnes qui ont découvert par hasard ce qui les rend malades, et qui ont cru à la fiction selon laquelle elles sont anormales et différentes de tout le monde.

Signes et symptômes d’EHS

Neurologiques : maux de tête, étourdissements, nausées, difficultés de concentration, pertes de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, tremblements, spasmes musculaires, engourdissements, picotements, altération des réflexes, douleurs musculaires et articulaires, douleurs aux jambes et aux pieds, symptômes de type « grippe », fièvre. Les effets plus graves comprennent des convulsions, une paralysie, une psychose et un accident vasculaire cérébral.

Cardiaque : palpitations, arythmies, douleur ou pression dans la poitrine, pression sanguine basse ou élevée, rythme cardiaque lent ou rapide, essoufflement et crises cardiaques.

Respiratoire : sinusite, bronchite, asthme et pneumonie.

Dermatologiques : éruption cutanée, sensibilité extrême au toucher, démangeaisons, brûlures, bouffées vasomotrices.

Ophtalmologiques : douleur ou sensation de brûlure dans les yeux, pression dans ou derrière les yeux, détérioration de la vision, flotteurs, cataractes.

Auditif : Gazouillis, bourdonnements, sifflements dans les oreilles et perte d’audition.

Reproduction : Diminution du nombre et de la mobilité des spermatozoïdes, menstruations anormales, infertilité ;

Fausses couches ; anomalies congénitales.

Hématologique : Anémie, glycémie élevée, plaquettes faibles, globules blancs faibles ou élevés, cholestérol élevé.

Autres : troubles digestifs ; douleurs abdominales ; transpiration ; hypertrophie de la thyroïde ; épuisement des surrénales ; douleurs testiculaires/ovariennes ; dysfonctionnement sexuel ; sécheresse des lèvres, de la langue, de la bouche, des yeux ; lèvres gonflées ; gorge enflée ; grande soif ; déshydratation ; urines fréquentes ; saignements de nez ; hémorragies internes ; anomalies du système immunitaire ; redistribution des métaux dans l’organisme ; perte de cheveux ; ongles cassants ; douleurs dentaires ; détérioration des plombages ; odorat altéré ; sensibilité à la lumière.

Altération du métabolisme et conséquences de l’obésité, du diabète, des maladies cardiaques et du cancer

Les ondes radio interfèrent avec le transport des électrons dans les mitochondries de chaque cellule. Cela prive les cellules d’oxygène et nuit à leur capacité à métaboliser les sucres, les graisses et les protéines, tout comme Kumar et al. (2011) l’ont démontré chez les abeilles (voir ci-dessus). Il en résulte les pandémies modernes d’obésité, de diabète, de maladies cardiaques et de cancer. Ces maladies sont également des aspects de la maladie des ondes radio. Voir The Invisible Rainbow d’Arthur Firstenberg : A History of Electricity and Life, chapitres 11, 12 et 13.

Le niveau de puissance n’est pas pertinent

Comme le montre le tableau au début de ce document, les niveaux d’exposition ne sont pas pertinents lorsqu’il s’agit d’ondes radio. On constate des effets biologiques à 10 W/cm2, à 0,01 W/cm2, à 0,00001 W/cm2, à 0,00000001 W/cm2 et à 0,0000000000001 W/cm2.

Comme l’a écrit Allan Frey, les organismes vivants utilisent les champs électromagnétiques (CEM) pour tout, de la communication cellulaire au fonctionnement du système nerveux. « Les champs électromagnétiques ne sont pas une substance étrangère aux êtres vivants comme le plomb ou le cyanure. Avec les substances étrangères, plus la dose est grande, plus l’effet est grand – une relation dose-réponse. » Au lieu de cela, a-t-il dit, un être vivant est comme un récepteur radio. « Le signal CEM que la radio détecte et transpose dans le son de la musique est presque incommensurablement faible. » De même, même un signal radio incommensurablement faible peut interférer avec les fonctions biologiques. (Frey 1990, 1993)

Le Dr Ross Adey, de l’école de médecine de l’université de Loma Linda, a écrit que nos cellules « chuchotent » entre elles avec des signaux électromagnétiques. Il a déclaré que les CEM agissent au niveau atomique et qu' »un seuil pourrait ne pas exister » pour les effets des ondes radio. (Adey 1993)

Le biophysicien Neil Cherry, de l’université Lincoln en Nouvelle-Zélande, a écrit que les signaux radio « peuvent interférer avec les cœurs, les cerveaux et les cellules à des intensités extrêmement faibles, proches de l’exposition zéro » (Cherry 2000). Il a ensuite présenté des « preuves concluantes » que « le niveau d’exposition sans danger est de zéro ». (Cherry 2001)

Pour certains effets, il existe même une relation dose-réponse inverse, c’est-à-dire que plus le niveau d’exposition est faible, plus le dommage est important. En d’autres termes, plus le signal externe s’approche de la force infinitésimale des signaux internes de notre corps, plus il est reconnu par l’organisme, et plus il interfère avec la vie.

Ainsi, l’équipe de Leif Salford à l’université de Lund a constaté que les plus grands dommages à la barrière hémato-encéphalique se produisaient à la plus faible dose de rayonnement (réduite dix mille fois), et non à la plus forte dose. (Persson 1997).

De nombreux chercheurs, dont Carl Blackman de l’Agence américaine de protection de l’environnement, ont découvert que le rayonnement des micro-ondes provoque l’écoulement du calcium hors des cellules du cerveau. Pour cet effet, ces chercheurs ont trouvé des fenêtres de puissance d’effet maximal, c’est-à-dire que l’effet diminue à la fois à des niveaux inférieurs et supérieurs (Blackman 1980, 1986 ; Bawin 1977 ; Dutta 1986 ; Kunjilwar et Behari 1993). Et ce sont les fenêtres de puissance les plus faibles, et non les plus élevées, qui ont le plus d’effet : l’effet à un DAS de 0,0007 W/kg était quatre fois plus important que celui à un DAS de 2,0 W/kg (Dutta 1986).

Maria Sadchikova et ses collègues soviétiques ont régulièrement rapporté dans les années 1960 et 1970 que parmi les personnes exposées professionnellement au rayonnement micro-ondes, les plus malades étaient celles exposées aux niveaux les plus bas, et non les plus élevés. (Sadchikova 1960, 1974).

Igor Belyaev, de l’Université de Stockholm, a trouvé un effet génétique qui se produisait à des fréquences spécifiques. L’ampleur de l’effet ne changeait pas avec le niveau de puissance sur 14 ordres de grandeur, jusqu’à 0,00000000001 microwatts par centimètre carré. (Belyaev 1996)

Nikolai Kositksy et ses collègues de Kiev, en Ukraine, ont réaffirmé que les signaux radio externes interfèrent avec les signaux internes de notre corps et que c’est le contenu informationnel des ondes radio, et non leur niveau de puissance, qui est nocif. Ils ont passé en revue 40 ans de recherches menées en Union soviétique et ont conclu : « Les effets biologiques associés à ces interactions ne dépendent pas de la puissance de l’énergie transportée dans l’un ou l’autre système, mais de l’information qui y est transportée. » (Kositsky 2001)

Ainsi, la plupart des effets des ondes radio sur notre corps ne sont pas causés par leurs niveaux de puissance mais par leurs fréquences, leurs largeurs de bande, leurs pulsations, leurs formes d’onde et tous les autres attributs qui leur permettent de transporter des informations et les rendent utiles aux téléphones portables et aux ordinateurs. C’est la nature cohérente du rayonnement et de l’information qu’il transporte qui tue. Et donc la lumière (LiFi) et tout autre porteur de la même information est tout aussi nocif, tout comme les lasers. Un laser est une lumière cohérente.

Nous avons évolué sans micro-ondes et sans rayonnement cohérent. Le rayonnement micro-ondes du Soleil n’est pas cohérent, n’est pas centré sur une fréquence particulière, varie au total de .0000001 W/cm2 à 0,0001 W/cm2 lorsque le Soleil est le plus actif, et nous n’y sommes exposés que pendant la journée ; la nuit, seules les micro-ondes des étoiles, beaucoup plus faibles, atteignent la Terre.

Les êtres vivants ne devraient jamais entrer en contact, ou se trouver à proximité, d’une source de rayonnement cohérent, ou d’une source de rayonnement micro-ondes. Ni le WiFi, ni le Bluetooth, ni les moniteurs pour bébés, ni les fours à micro-ondes, ni les téléphones portables. Pas même pour quelques secondes. Les téléphones portables, en raison de leur omniprésence et de leur proximité avec le corps, sont de loin les plus nocifs pour la santé, la société et la planète.

Nombre de personnes souffrant de :

Des troubles de la tête : 4 milliards (Stovner 2022)

Douleurs chroniques : 2 milliards (Antunes 2021)

Maladies du cerveau : 1,3 milliard (American Brain Foundation 2022)

RÉFÉRENCES

  • Abdel-Rassoul, G. et al. 2007. Effets neurocomportementaux chez les habitants autour des stations de base de téléphonie mobile. NeuroToxicology 28(2) : 434-40.
  • Adey, W. R. 1993. Whispering between cells : Champs électromagnétiques et mécanismes de régulation dans les tissus. Frontier Perspectives 3(2) : 21-25.
  • Al-Khlaiwi, T. et S. A. Meo 2004. Association of mobile phone radiation with fatigue, headache, dizziness, tension and sleep disturbance in Saudi population. Journal médical saoudien 25(6) : 732-736.
  • Alattar, E. et E. Radwan 2020. Enquête sur les effets du traitement de l’eau par radiofréquence sur certaines caractéristiques de la croissance des plantes de poivre (Capsicum annuum). Advances in Bioscience and Technology 11:22-48.
  • Altpeter, E.-S. et al. 1995. Etude sur les effets sur la santé de la station d’émission d’ondes courtes de Schwarzenburg, Berne, Suisse. Étude n° 55, Office fédéral suisse de l’énergie.
  • Altpeter, E.-S. et al. 1997. Les champs électromagnétiques de radiofréquence provoquent-ils des troubles du sommeil ? Réunion régionale européenne de l’Association internationale d’épidémiologie, Münster, Allemagne, septembre. Résumé n° 351.
  • Fondation américaine du cerveau 2022. Les maladies du cerveau de A à Z. https://www.americanbrainfoundation.org/diseases/
  • Antunes, F. et al. 2021. Prévalence et caractéristiques de la douleur chronique chez les patients des unités de soins primaires portugaises. Pain and Therapy 10:1427-1437.
  • Balik, H. H. et al. 2005. Some ocular symptoms and sensations experienced by long term users of mobile phones. Pathologie Biologie 53(2) : 88-91.
  • Balikci K. et al. 2005. A survey study on some neurological symptoms and sensations experienced by long term users of mobile phones. Pathologie Biologie 53(1) : 30-34.
  • Balmori, A. 2006. L’incidence de la pollution électromagnétique sur le déclin des amphibiens : Est-ce une pièce importante du puzzle ? Toxicological and Environmental Chemistry 88(2):287-89.
  • Balodis, V. et al. 1996. Does the Skrunda Radio Location Station diminish the radial growth of pine trees ? The Science of the Total Environment 180:81-85.
  • Bawin, S. M., A. Sheppard et W. R. Adey 1977. Possible mechanisms of weak electromagnetic field coupling in brain tissue. In The Physical Basis of Electromagnetic Interactions with Biological Systems, Proceedings of a Workshop Held at the University of Maryland, College Park, Maryland, June 15-17, 1977, pp. 75-90.
  • Belokrinitskiy, V. S. 1982. Évaluation hygiénique des effets biologiques des micro-ondes non ionisantes. Gigiyena i Sanitariya 6:32-34, JPRS 81865, pp. 1-5.
  • Belokrinitskiy, V. S. 1982a. Processus destructifs et réparateurs dans l’hippocampe avec une exposition à long terme aux radiations micro-ondes non ionisantes. Bulletin of Experimental Biology and Medicine 93(3):89-92.
  • Belyaev, I. Y. et al. 1996. Resonance effect of millimeter waves in the power range from 10-19 to 3 x 10-3 W/cm2 on Escherichia coli cells at different concentrations. Bioelectromagnetics 17:312-321.
  • Birenbaum, L. et al. 1969. Effect of microwaves on the eye. IEEE Transactions on Biomedical Engineering 16(1):7-14.
  • Bise, W. 1978. Low power radio-frequency and microwave effects on human electroencephalogram and behavior. Physiological Chemistry and Physics 10(5):387-398.
  • Blackman, C. F. et al. 1980. Induction of calcium-ion efflux from brain tissue by radiofrequency radiation. Bioelectromagnetics 1:35-43.
  • Blackman, C. 1986. Radiobiological approaches to electropollution. Dans Biological Effects of Electropollution, S. Dutta et R. Millis, éd., Information Ventures, Phila, p. 39-46.
  • Bortkiewicz, A. et al. 2004. Subjective symptoms reported by people living in the vicinity of cellular phone base stations. Medycyna Pracy 55(4) : 345-351, en polonais.
  • Brauer, I. 1950. Experimenta1 studies on the effect of meter waves of various field intensities on the growth of plants by division. Chromosoma 3:483-509.
  • Brodeur, P. 1977. Le zapping de l’Amérique. NY : W.W. Norton.
  • Bundyuk, L. S. et al. 1994. Action corrective des ondes millimétriques sur les systèmes de différents niveaux de
  • hiérarchie. Physics of the Alive 2(1):12-25.
  • Cammaerts, M.-C. et O. Johansson 2014. Les fourmis peuvent être utilisées comme bio-indicateurs pour révéler les effets biologiques des ondes électromagnétiques de certains appareils sans fil. » Electromagnetic Biology and Medicine 33(4):282-88.
  • Cao Z. et al. 2000. Effets du rayonnement électromagnétique des combinés téléphoniques cellulaires sur les symptômes de la neurasthénie. Wei Sheng Yan Jiu 29(6) : 366-368, en chinois.
  • Cherry, N. 2000. Safe Exposure Levels. Université de Lincoln, 25 avril 2000.
  • Cherry, N. 2001. Preuve de cancer du cerveau dû à l’exposition professionnelle aux micro-ondes pulsées d’un radar de police.
  • d’un radar de police. Lincoln University, 15 août 2001.
  • Chia, S.-I. et al. 2000. Prevalence of headache among hand-held cellular telephone users in Singapore : a community study.
  • Singapore : a community study. Environmental Health Perspectives 108(11) : 1059-1062. Chiang, H. et al. 1989. Health effects of environmental electromagnetic fields. Journal of
  • Bioelectricity 8(1):127-131.
  • DeMatteo, B. 1985. Terminal Shock : The Health Hazards of Video Display Terminals. Toronto :
  • NC Press.
  • Dolk, H. et al. 1997. Incidence du cancer près des émetteurs de radio et de télévision en Grande-Bretagne, I.
  • Émetteur de Sutton Coldfield. American Journal of Epidemiology 145(1):1-9.
  • Drogichina, E. A. 1960. La clinique de l’influence chronique des UHF sur l’organisme humain. Dans The Biological Action of Ultrahigh Frequencies, A. A. Letavet et Z. V. Gordon, eds, Académie des Sciences Médicales, Moscou. JPRS 12471, p. 22-24.
  • Dumanskij, J. D., et M. G. Shandala 1974. The biologic action and hygienic significance of electromagnetic fields of super-high and ultrahigh frequencies in densely populated areas. In Biologic Effects and Health Hazards of Microwave Radiation, Proceedings of an International Symposium, Warsaw, 15-18 October 1973, P. Czerski et al., eds, pp. 289-293.
  • Dutta, S. K. et al. 1986. Microwave radiation-induced calcium ion flux from human neuroblastoma cells : dependence on depth of amplitude modulation and exposure time. Dans Biological Effects of Electropollution, S. K. Dutta et R. M. Millis, eds, pp. 63-69. Philadelphie, PA : Information Ventures.
  • Eberhardt, J. L. et al. 2008. Perméabilité de la barrière hémato-encéphalique et dommages aux cellules nerveuses dans le cerveau des rats 14 et 28 jours après l’exposition aux micro-ondes des téléphones mobiles GSM. Electromagnetic Biology and Medicine 27:215-229.
  • Engels, S. et al. 2014. Le bruit électromagnétique anthropique perturbe l’orientation de la boussole magnétique chez un oiseau migrateur. Nature 509:353-56.
  • 15 Commission fédérale des communications 2018. Rapport de test SAR de la FCC. Rapport n° SA180725W003-1. 14 août 2018.
  • Firstenberg, A. 1997. Microwaving Our Planet : L’impact environnemental de la révolution sans fil. NY : Cellular Phone Task Force.
  • Firstenberg, A. 2020. L’arc-en-ciel invisible : Une histoire de l’électricité et de la vie. White River Junction, VT : Chelsea Green.
  • Frey, A. H. 1961. Réponse du système auditif à l’énergie radiofréquence. Aerospace Medicine 32 : 1140-1142.
  • Frey, A. H. 1963. Human response to very-low-frequency electromagnetic energy. Nav. Res. Rev. 1968:1-4.
  • Frey, A. H., et E. Seifert 1968. Pulse modulated UHF energy illumination of the heart associated with change in heart rate. Life Sciences 7(Part II):505-512.
  • Frey, A. H. 1970. Effets de l’énergie des micro-ondes et des radiofréquences sur le système nerveux central. Dans Biological Effects and Health Implications of Microwave Radiation, Symposium Proceedings, Richmond, Virginia, September 17-19, 1969, S. F. Cleary, ed., pp. 134-139.
  • Frey, A. H. 1971. Biological function as influenced by low power modulated RF energy. IEEE Transactions on Microwave Theory and Techniques, MTT-19(2):153-164.
  • Frey, A. H., et R. Messenger 1973. Human perception of illumination with pulsed ultrahigh- frequency electromagnetic energy. Science 181:356-358.
  • Frey, A. H. et al. 1975. Neural function and behavior : defining the relationship. Annals of the New York Academy of Sciences 247:433-439.
  • Frey, A. H. et J. Spector 1976. Irritabilité et agression chez les mammifères, affectées par l’exposition à l’énergie électromagnétique. Proceedings of the 1976 Annual Meeting of the International Union of Radio Science, October 15-19, 1976, Amherst, Mass. p. 93.
  • Frey, A. H. et L. Wesler 1979. Modification of tail pinch consummatory behavior in microwave energy exposure. Dans Program and Abstracts, National Radio Science Meeting, 18-22 juin 1979, Seattle, Washington, p. 456.
  • Frey, A. H. et E. S. Eichert 1986. « Modification de la fonction cardiaque avec l’énergie électromagnétique de faible intensité ». Electromagnetic Biology and Medicine 5(2):201-210.
  • Frey, A. H. 1988. Evolution et résultats de la recherche biologique avec le rayonnement non ionisant de faible intensité. Dans Modern Bioelectricity, A. A. Marino, ed., pp. 785-837. New York, NY : Dekker.
  • Frey, A. H. 1990. Is a toxicology model appropriate as a guide for biological research with electromagnetic fields ? Journal of Bioelectricity 9(2):233-234.
  • Frey, A. H. 1993. On the nature of electromagnetic field interactions with biological systems. FASEB Journal 7(2):272-281.
  • Glaser, Z. 1984. Index cumulé de la bibliographie des phénomènes biologiques ( » effets « ) et des manifestations cliniques attribués aux micro-ondes et aux radiofréquences : rapport, suppléments (no 1-9), bulletin BEMS (B-1 à B-464), 1971-1981. Indexé par Julie Moore. Riverside, CA : Julie Moore & Associates.
  • Grundler, W. et F. Kaiser 1992. Experimental evidence for coherent excitations correlated with cell growth. Nanobiology 1:163-176.
  • Haggerty, K. 2010. Influence négative du fond de radiofréquences sur les semis de peuplier faux-tremble : Preliminary observations. International Journal of Forestry Research, article ID 836278.
  • Haugsdal, B. et al. 1998. Comparaison des symptômes ressentis par les utilisateurs de téléphones mobiles analogiques et numériques : une étude épidémiologique suédo-norvégienne. Arbetslivsrapport 23, Institut national pour la vie professionnelle, Umeå, Suède.
  • Hawk, K. 1996. Case Study in the Heartland. Butler, PA.
  • Hocking, B. et I. Gordon 1996. Incidence et mortalité du cancer et proximité des tours de télévision.
  • Medical Journal of Australia 165(11-12):601-605.
  • Hocking, B. 1998. Symptômes associés à l’utilisation du téléphone portable. Médecine du travaila1
  • 48(6):357-360, et lettre, vol. 48(7):472.
  • Hutter, H.-P. et al. 2006. Subjective symptoms, sleeping problems, and cognitive performance in subjects living near mobile phone base stations. Occupational and Environmental Medicine 63:307-13.
  • İkinci, A. et al. 2013. Les effets de l’exposition prénatale à un champ électromagnétique de 900 mégahertz sur la morphologie de l’hippocampe et le comportement d’apprentissage chez les ratons. Journal de la médecine expérimentale et clinique 30:278. Résumé.
  • Justeson, D. R. 1979. Effets comportementaux et psychologiques des radiations micro-ondes. Bulletin of the New York Academy of Medicine 55(11):1058-1078.
  • Kimata, H. 2002. Enhancement of allergic skin wheal responses by microwave radiation from mobile phones in patients with atopic eczema/dermatitis syndrome. International Archives of Allergy and Immunology 129(4):348-50.
  • Klimkova-Deutschova, E. 1974. Résultats neurologiques chez les personnes exposées aux micro-ondes. Dans
  • Biologic Effects and Health Hazards of Microwave Radiation, Proceedings of an International Symposium, Warsaw, 15-18 October 1973, P. Czerski et al, eds., pp. 268-272.
  • Kolodynski, A. A. et V. V. Kolodynska 1996. Motor and psychological functions of school children living in the area of the Skrunda Radio Location Station in Latvia. The Science of the Total Environment 180:87-93.
  • Kondra, P. A. et al. 1970. Growth and reproduction of chickens subjected to microwave radiation. Canadian Journal of Animal Science 50:639-644.
  • Kositsky, N. N. et al. 2001. Influence du rayonnement électromagnétique à haute fréquence à des intensités non thermiques sur le corps humain (revue des travaux des chercheurs russes et ukrainiens). No Place To Hide 3(1) Supplement.
  • Kumar, N. R. et al. 2011. L’exposition aux radiations des téléphones portables produit des changements biochimiques chez les abeilles ouvrières. Toxicology International 18(1):70-72.
  • Kunjilwar, K. K. et J. Behari 1993. Effect of amplitude-modulated RF radiation on cholinergic system of developing rats. Brain Research 601:321-324.
  • Kwee, S. et P. Raskmark 1997. Champs électromagnétiques de radiofréquence et prolifération cellulaire. Dans
  • Proceedings of the Second World Congress for Electricity and Magnetism in Biology and Medicine, June 8-12, 1997, Bologna, Italy, F. Bersani, ed.
  • Li, D.-K. et al. 2011. L’exposition maternelle aux champs magnétiques pendant la grossesse en relation avec le risque d’asthme chez la progéniture. Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine 16(10):945-50.
  • Lilienfeld, A. M. 1978. Evaluation de l’état de santé des employés du service extérieur et d’autres employés de certains postes d’Europe de l’Est. National Technical Information Service, PB288-163.
  • Lin, J. C., 1978. Microwave Auditory Effects and Applications. Springfield, IL : Charles C. Thomas.
  • Löscher, W. et G. Käs 1998. Auffällige Verhaltensstörungen bei Rindern im Bereich von Sendeanlagen. Der praktische Tierarzt 79(5):437-444.
  • Magone, I., 1996. The effect of electromagnetic radiation from the Skrunda Radio Location Station on Spirodela polyrhiza (L.) Schleiden cultures. The Science of the Total Environment 180:75-80.
  • Magras, I. N. et T. D. Xenos 1997. RF radiation-induced changes in the prenatal development of mice. Bioelectromagnetics 18:455-461.
  • McRee, D. I. 1980. Recherche soviétique et d’Europe de l’Est sur les effets biologiques du rayonnement micro-ondes. Proceedings of the IEEE 68(1):84-91.
  • Mech, L. D. et S. M. Barber 2002. A Critique of Wildlife Radio-Tracking and Its Use in National Parks. Jamestown, ND : U.S. Geological Survey, Northern Prairie Wildlife Research Center.
  • Meo, S. A. et A. M. Al-Drees 2005. Mobile phone related-hazards and subjective hearing and vision symptoms in the Saudi population. International Jouranl of Occupational Medicine and Environmental Health 18(1):53-57.
  • Mishra, L. 2011. Vous avez entendu cela ? Parler au téléphone vous rend sourd. Mumbai Mirror, 26 octobre. Mishra, S. K. 2010. Mesure du fonctionnement de la cochlée humaine et de l’efférence à partir de l’émission otoacoustique (OAE)
  • fonctionnement de la cochlée humaine et du système auditif efférent. Thèse de doctorat, Université de Southampton. Moorhouse, T. P. et D. W. Macdonald 2005. Indirect negative impacts of radio-collaring : Sex
  • ratio variation in water voles. Journal of Applied Ecology 42:91-98.
  • Navarro, A. E. et al. 2003. The microwave syndrome : A preliminary study in Spain.
  • Electromagnetic Biology and Medicine 22(2):161-169.
  • Nielsen, L. et al. 2013. Undersøgelse af non-termiske effecter af mobilstråling. 9.B Hjallerup
  • skole 28-02-2013.
  • Nittby, H. et al. 2008. Troubles cognitifs chez les rats après une exposition à long terme au rayonnement du téléphone mobile GSM-900.
  • phone radiation. Bioelectromagnetics 29:219-232.
  • Oberfeld, G. et al. 2004. The microwave syndrome : further aspects of a Spanish study. Dans
  • Proceedings of the 3rd International Workshop on Biological Effects of Electromagnetic Fields, 4-8 October, 2004, Kos, Greece.
  • Oftedal, G. et al. 2000. Symptoms experienced in connection with mobile phone use. Occupational Medicine (Londres) 50:237-245.
  • Oktay, M. F. et S. Dasdag 2006. Effets de l’utilisation intensive et modérée du téléphone cellulaire sur la fonction auditive. Electromagnetic Biology and Medicine 25:13-21.
  • Olsen, R. G. 1980. Evidence for microwave-induced acoustic resonances in biological material. Bioelectromagnetics 1:219.
  • Panda, N. K. et al. 2011. Auditory changes in mobile users : is evidence forthcoming ? Otolaryngology – Head and Neck Surgery 144(4):581-85.
  • Persson, B. R. R. et al. 1997. Perméabilité de la barrière hémato-encéphalique chez les rats exposés aux champs électromagnétiques utilisés dans les communications sans fil. Wireless Networks 3:455-461.
  • Perlik, C. 1981. Témoignage dans Potential Health Effects of Video Display Terminals and Radio Frequency Heaters and Sealers. Hearings before the Subcommittee on Investigations and Oversight of the Committee on Science and Technology, U.S. House of Representatives, Ninety- seventh Congress, first session, May 12, 13, 1981, p. 7.
  • Preece, A. W. et al. 2005. Enquête sanitaire sur les antennes militaires d’Akrotiri. Department of Medical Physics and Oncology, University of Bristol, Final Report, 2 juin 2005.
  • Racini, S. M. et al. 2015. Simulation du psSAR associé à l’utilisation d’ordinateurs portables en fonction de la position par rapport au corps de l’adulte. BioEM2015, 14-19 juin 2015, réunion annuelle de la société de bioélectromagnétisme. Poster.
  • Sadchikova, M. N. 1960. État du système nerveux sous l’influence des UHF. Dans The Biological Action of Ultrahigh Frequencies, A. A. Letavet et Z. V. Gordon, eds, Académie des sciences médicales, Moscou, pp. 25-29.
  • Sadchikova, M. N. 1974. Manifestations cliniques des réactions à l’irradiation par micro-ondes dans divers groupes professionnels. Dans Biologic Effects and Health Hazards of Microwave Radiation : Proceedings of an International Symposium, Warsaw, 15-18 October, 1973, P. Czerski et al., eds., pp. 261-267.
  • Sadchikova, M. N. et al. 1980. Signification des perturbations des lipides sanguins et des électrolytes dans le développement de certaines réactions aux micro-ondes. Gigiyena Truda i Professional’nyye Zabolevaniya, no 2, 1980, pp. 38-39, JPRS 77393, pp. 37-39.
  • Salama, O. E. et R. M. Abou El Naga 2004. Cellular phones : Are they detrimental ? Journal of the Egyptian Public Health Association 79(3-4):197-223.
  • Şahin, A. et al. 2015. Impacts délétères d’un champ électromagnétique de 900 MHz sur les neurones pyramidaux hippocampiques de rats mâles Sprague Dawley âgés de 8 semaines. Brain Research 1624:232-38.
  • Salford, L. G. et al. 2003. Nerve cell damage in mammalian brain after exposure to microwaves from GSM mobile phones. Environmental Health Perspectives 111(7):881-83.
  • Sandström, M. et al. 2001. Mobile phone use and subjective symptoms. Comparaison des symptômes signalés par les utilisateurs de téléphones mobiles analogiques et numériques. Occupational Medicine (Londres) 51:25-35.
  • Santini, R. et al. 2002. Symptômes ressentis par les utilisateurs de téléphones cellulaires numériques : A study of a French engineering school. Electromagnetic Biology and Medicine 21:81-88.
  • Santini, R. et al. 2003. Enquête sur les personnes vivant à proximité des stations de base de téléphonie cellulaire. Electromagnetic Biology and Medicine 22:41-49.
  • Selga, T. et M. Selga 1996. Réponse des aiguilles de Pinus sylvestris L. aux champs électromagnétiques. Cytological and ultrastructural aspects. The Science of the Total Environment 180:65-73.
  • Serant, C. 2004. Une expérience scientifique humaine. New York Newsday, 10 mai.
  • Shandala, M. G., et G. I. Vinogradov 1978. Effets immunologiques de l’action des micro-ondes.
  • Gigiyena I Sanitariya, no. 10, 1978, pp. 34-38, JPRS 72956, pp. 16-21.
  • Sharma, V. P. et N. R. Kumar 2010. Changements dans le comportement et la biologie des abeilles sous l’influence
  • sous l’influence des radiations des téléphones portables. Current Science 98(10):1376-78.
  • Shutenko, O. I. et al. 1981. Effets des champs électromagnétiques de très haute fréquence sur des animaux de
  • different ages. Gigiyena i Sanitariya, no. 10, 1981, pp. 35-38, JPRS 84221, pp. 85-90. Simonenko, V. B. et al. 1998. Influence du rayonnement électromagnétique dans la gamme des radiofréquences
  • sur l’état de santé d’un collectif organisé. Voenno-meditsinskiy zhurnal 319(5):64-68.
  • Smirnova, M. I. et M. N. Sadchikova 1960. Détermination de l’activité fonctionnelle de la glande thyroïde au moyen d’iode radioactif dans les travaux avec des générateurs UHF. In The Biological Action of Ultrahigh Frequencies, A. A. Letavet et Z. V. Gordon, eds, Académie des sciences médicales, Moscou. JPRS 12471, p. 47-49.
  • Stark, K. et al. 1997. Absence d’effet chronique de l’exposition à un signal de radiodiffusion à ondes courtes sur les concentrations salivaires de mélatonine chez les bovins laitiers. Journal of Pineal Research 22:171-76.
  • Stovner, L. J. et al. 2022. The global prevalence of headache : an update, with analysis of the influences of methodological factors on prevalence estimates. The Journal of Headache and Pain 23, article n° 34.
  • Swenson, J. E. et al. 1999. Effects of ear-tagging with radiotransmitters on survival of moose calves. Journal of Wildlife Management 63(1):354-58.
  • Szyjkowska, A. et al. 2005. Symptômes subjectifs liés à l’utilisation du téléphone portable – une étude pilote. Polski Merkuriusz Lekarski 19(112):529-532, en polonais.
  • Velayutham, P. et al. 2014. Perte auditive à haute fréquence chez les utilisateurs de téléphones mobiles. Indian Journal of Otolaryngology and Head & Neck Surgery 66:S169-S172.
  • Waldmann-Selsam, C. 2005. Le rapport Bamberg. Bamberg, Allemagne.
  • Wieske, C. W. 1963. La sensibilité humaine aux champs électriques. In Proceedings of the First National
  • Biomedical Sciences Instrumentation Symposium, Los Angeles, 14-17 juillet 1962.
  • Wilén J. et al. 2003. Symptômes subjectifs chez les utilisateurs de téléphones mobiles – Une conséquence de l’absorption des champs de radiofréquences ?
  • l’absorption de champs de radiofréquence ? Bioelectromagnetics 24(3):152-59.
  • Ye, J. et al. 2001. Low power density microwave radiation induced early changes in rabbit lens epithelial cells. Chinese Medical Journal 114(12):1290-94.
  • Zaret, M. M. 1973. Microwave cataracts. Medical Trial Technique Quarterly 19(3):246-52.
  • Zwamborn, A. P. M. et al. 2003. Effects of Global Communications System Radiofrequency Fields on Well Being and Cognitive Functions of Human Subjects with and without Subjective Complaints. Rapport TNO, FEL-03-C148. La Haye.

 Retour aux articles

Arthur Firstenberg

Arthur Firstenberg

Arthur Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner les prétentions gouvernementales et industrielles concernant la soi-disant innocuité des champs électromagnétiques. (CEM) De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison.
Il est l’auteur du livre The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life, par Arthur Firstenberg, AGP Press, 2017, 559 pages.
Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des CEM. Arthur est aussi webmestre de l’excellent site cellphonetaskforce.org




La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité

[Source : maisonsaine.ca]

Par Arthur Firstenberg

Au cours des années 1950, des cliniques ont été créées à Moscou, Leningrad et dans d’autres villes d’Union soviétique et d’Europe de l’Est pour étudier et traiter des milliers de travailleurs souffrant d’une nouvelle maladie professionnelle. Elle a été baptisée maladie des ondes radio. Ces patients fabriquaient, inspectaient, réparaient ou utilisaient des équipements à micro-ondes. Certains travaillaient dans des installations radar, d’autres pour des stations de radio ou de télévision, ou des compagnies de téléphone. D’autres encore faisaient fonctionner des appareils de chauffage et d’étanchéité à radiofréquence utilisés dans un nombre croissant d’industries à l’aide de la technologie mise au point pendant la Seconde Guerre mondiale.

Les patients de ces cliniques souffraient de maux de tête, de fatigue, de faiblesse, de troubles du sommeil, d’irritabilité, de vertiges, de troubles de la mémoire, de dysfonctionnements sexuels, d’éruptions cutanées, de perte de cheveux, de diminution de l’appétit, d’indigestion et parfois de sensibilité à la lumière du soleil. Certains ont eu des palpitations cardiaques, des douleurs lancinantes dans la région du cœur et un essoufflement après un effort. Beaucoup ont développé une instabilité émotionnelle, de l’anxiété ou de la dépression, et quelques-uns ont souffert de manie ou de paranoïa.

À l’examen physique, ils présentaient une acrocyanose (doigts et orteils bleus), une sensibilité réduite aux odeurs, des sueurs, des tremblements, des réflexes altérés, des pupilles de taille inégale, des arythmies cardiaques, un pouls et une tension artérielle instables. Ils présentaient des EEG et des ECG anormaux et, à un stade avancé, des signes de privation d’oxygène au niveau du cœur et du cerveau. Certains ont développé des cataractes. Les analyses de sang ont révélé une hyperactivité de la thyroïde, un taux élevé d’histamine, un taux élevé de sucre dans le sang, un taux élevé de cholestérol et de triglycérides, une augmentation des protéines sanguines, une diminution du rapport albumine-globuline, une diminution des plaquettes et des globules rouges et un nombre anormalement élevé ou faible de globules blancs.

Bien qu’environ 15 % seulement des travailleurs des micro-ondes se soient plaints de leur maladie, et que 2 % seulement aient cessé de travailler (Sadchikova 1960, Klimková-Deutschová 1973), les travaux de laboratoire ont révélé des anomalies chez la majorité des travailleurs. Le cholestérol sanguin était élevé chez 40 % des travailleurs des micro-ondes (Klimkova-Deutschova 1974), les triglycérides étaient élevés chez 63 % (Sadchikova et al. 1980), la glycémie à jeun était augmentée chez 74 % (Klimkova-Deutschova 1974) et 70 % présentaient une activité thyroïdienne anormale. Des modifications cardiaques objectives ont été constatées chez 18 à 35 % des travailleurs exposés aux micro-ondes, en fonction de la durée du travail.

Ces travailleurs n’étaient exposés au rayonnement micro-ondes que pendant les heures de travail. Et ils étaient exposés à des niveaux de rayonnement inférieurs à ceux auxquels le grand public est aujourd’hui exposé pendant des heures par jour, voire en permanence, par les téléphones portables et les technologies Internet sans fil.

En raison du grand nombre de publications sur la maladie des ondes radio en provenance d’Union soviétique et d’Europe de l’Est, un échange scientifique entre les États-Unis et l’URSS sur la recherche sur les micro-ondes a été lancé au milieu des années 1970. Le gouvernement américain a chargé le Dr Zorach Glaser de répertorier la littérature scientifique mondiale (articles de journaux, livres, actes de conférences) sur les effets biologiques et sanitaires des radiofréquences et des micro-ondes. À la fin des années 1970, la bibliographie de Glaser comprenait 5 083 documents (Glaser 1984). 

Toujours dans les années 1960 et 1970, l’ophtalmologue Milton Zaret, sous contrat avec l’armée et l’armée de l’air, a examiné les yeux de milliers de militaires et de civils travaillant dans des installations radar aux États-Unis et au Groenland. Il a constaté qu’un grand nombre d’entre eux développaient des cataractes. La plupart de ces cataractes étaient causées par l’exposition chronique de l’œil à des rayonnements d’une densité de puissance d’environ un milliwatt par centimètre carré – un niveau qui est régulièrement dépassé par chacun des huit milliards de téléphones cellulaires utilisés aujourd’hui (Birenbaum et al. 1969 ; Zaret 1973).

Au cours de ces années, le biologiste américain Allan Frey a découvert que le rayonnement micro-ondes endommageait la barrière hémato-encéphalique (Frey et al. 1975), et il a prouvé que les humains et les animaux pouvaient entendre les micro-ondes (Frey 1961). Frey, l’un des chercheurs américains les plus actifs des années 1960 et 1970, a rendu des rats dociles en les irradiant à une densité de puissance de 50 microwatts par centimètre carré (Frey et Spector 1976). Il a modifié des comportements spécifiques à 8 microwatts par centimètre carré (Frey et Wesler 1979). Il a modifié le rythme cardiaque de grenouilles vivantes à 3 microwatts par centimètre carré (Frey 1970). À seulement 0,6 microwatts par centimètre carré, soit 100 fois moins que les niveaux couramment rencontrés aujourd’hui à une distance normale de fonctionnement d’un ordinateur portable sans fil, il a provoqué des arythmies dans le cœur des grenouilles, et parfois l’arrêt des battements, en synchronisant les impulsions de micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque (Frey et Seifert 1968).

En 1977, Paul Brodeur, dans son livre The Zapping of America, a averti que la prolifération des tours à micro-ondes et des installations radar mettait en danger la santé publique. Mais comparé à aujourd’hui, les installations de micro-ondes et de radio étaient encore très rares.

Lorsqu’en 1977, Apple a vendu ses premiers ordinateurs personnels, l’exposition à des niveaux élevés de rayonnements électromagnétiques s’est étendue à la population générale, et les maladies électromagnétiques ont cessé d’être uniquement des maladies professionnelles. Cette année-là, les décès dus à l’asthme aux États-Unis, qui étaient en baisse constante depuis des décennies, ont commencé à augmenter pour la première fois. 

En 1981, le représentant Al Gore a présidé la première d’une série d’audiences du Congrès sur les effets sanitaires des terminaux à écran vidéo (TEV). Ces audiences ont été organisées parce que deux rédacteurs en chef du New York Times, de jeunes hommes âgés de 20 à 30 ans, avaient développé des cataractes ; la moitié de tous les employés de l’UPI et de l’AP interrogés se plaignaient de problèmes visuels ou de maux de tête ; un nombre inhabituel de bébés présentant des malformations congénitales étaient nés d’employés du Toronto Star ; et des groupes de fausses couches se produisaient parmi les opératrices de terminaux vidéo partout aux États-Unis et au Canada.

L’industrie de la presse a été la première industrie à être transformée par la technologie informatique. Au cours des auditions menées en 1981 par la Commission des sciences et de la technologie de la Chambre des représentants, Charles A. Perlik, Jr, président de la Newspaper Guild, a déclaré que si ses membres avaient su que les terminaux numériques étaient capables de produire des émissions dangereuses, « nous n’aurions pas tranquillement permis la transformation d’un lieu de travail essentiellement bénin en un lieu dangereux »(([1] Effets potentiels sur la santé des terminaux d’affichage vidéo et des appareils de chauffage et de scellement à radiofréquence.  Audiences devant le sous-comité des enquêtes et de la surveillance du comité de la science et de la technologie, Chambre des représentants des États-Unis, quatre-vingt-dix-septième Congrès, première session, 12 et 13 mai 1981.)) En 1985, l’auteur canadien Bob DeMatteo a publié un livre populaire intitulé Terminal Shock : The Health Hazards of Video Display Terminals.

Au milieu des années 80, Olle Johansson, un neuroscientifique de l’Institut Karolinska de Stockholm, a découvert une nouvelle maladie de peau. Comme elle ne touchait que les personnes travaillant devant des écrans d’ordinateur, il l’a baptisée « dermatite des écrans ». Ces patients se plaignaient souvent aussi de symptômes neurologiques tels que perte de mémoire, fatigue, insomnie, vertiges, nausées, maux de tête et palpitations cardiaques – les mêmes symptômes neurologiques que ceux décrits trois décennies plus tôt par les médecins soviétiques – mais comme la spécialité de Johansson était les maladies de la peau, il a étudié la peau des opérateurs informatiques. Ses sujets allaient de ceux qui ne présentaient que des rougeurs et des démangeaisons à ceux qui avaient des lésions cutanées graves et défigurantes. Une organisation appelée Foreningen for El- och Bildskärmsskadade (FEB) a été créée pour soutenir les Suédois souffrant de cette « nouvelle » maladie qu’ils ont appelée hypersensibilité électromagnétique (HSEM) – une maladie qui n’était pas nouvelle du tout, mais qui était une maladie professionnelle bien connue dans une autre partie du monde.

Au milieu des années 1990, l’industrie des télécommunications s’est lancée dans un projet qui devait aboutir à l’exposition du monde entier aux micro-ondes à une échelle inimaginable. Ils prévoyaient de placer un téléphone cellulaire et un ordinateur sans fil dans les mains de chaque homme, femme et enfant sur Terre – et de parsemer notre monde d’un si grand nombre d’antennes de diffusion que ces téléphones et ordinateurs fonctionneraient dans chaque maison et chaque bureau, dans chaque rue, dans chaque pays, sur la plus haute montagne et dans la vallée la plus profonde, sur chaque lac, dans chaque parc national, zone de nature sauvage et refuge pour la faune sauvage, sans exception. Ainsi, au cours de la décennie suivante, les niveaux de rayonnement micro-ondes ont été multipliés par mille en moyenne, partout sur Terre.

Ces dernières années, les chercheurs ont établi une corrélation entre des symptômes tels que les troubles du sommeil, la fatigue, les pertes de mémoire, les maux de tête, la dépression, les vertiges et les tremblements – les mêmes symptômes que ceux signalés par les médecins soviétiques il y a un demi-siècle – et l’intensité de l’utilisation des téléphones portables ou la proximité des habitations avec les tours de communication. 

Des équipes de scientifiques de 14 pays ont conclu que la santé de pas moins de trois quarts de la population de la Terre est considérablement altérée par la technologie sans fil (Haugsdal 1998, Hocking 1998, Cao 2000, Oftedahl 2000, Chia 2000, Sandström 2001, Santini 2002, Navarro 2003, Santini 2003, Zwamborn 2003, Wilén 2003, Oberfeld 2004, Bortkiewicz 2004, Al-Khlaiwi 2004, Salama 2004, Meo 2005, Preece 2005, Waldmann-Selsam 2005, Szykjowska 2005, Balikci 2005, Balik 2005, Hutter 2006, Abdel-Rassoul 2007). Mais le terme « hypersensibilité électromagnétique » persiste parce qu’aucune autorité sanitaire d’aucun pays occidental n’admet que les rayonnements électromagnétiques ont un quelconque effet sur la santé d’une personne normale. L’EHS désigne donc les personnes qui ont été le plus gravement blessées par les ondes radio, qui ont découvert par hasard la cause de leur maladie et qui ont cru à la fiction selon laquelle elles sont anormales et différentes de tout le monde.

Affronter / Survivre

Éviter les champs électriques, les champs magnétiques et les rayonnements électromagnétiques est le seul remède efficace contre les maladies qu’ils provoquent.  Dans le passé, on pouvait y parvenir en éliminant et/ou en protégeant les sources de cette exposition à la maison et au travail. Aujourd’hui, alors que l’exposition est omniprésente et hors de contrôle, il est devenu impossible de l’éviter, et la pollution électromagnétique (« électrosmog ») nuit à la santé de toute la population de la planète. 

Pour réduire les champs, ou « assainir » un bâtiment, il faut éliminer les lampes fluorescentes, les variateurs de lumière, les systèmes de sécurité électroniques, les chauffages électriques et toutes les technologies sans fil, y compris les téléphones cellulaires, les téléphones sans fil, les ordinateurs sans fil, les moniteurs pour bébé, les dispositifs Bluetooth, etc. Il peut être nécessaire d’éliminer ou de déplacer les systèmes de divertissement ou les équipements à affichage numérique ou les horloges numériques. Il peut être nécessaire d’éliminer ou de protéger les téléviseurs et les écrans d’ordinateur. Et il faut parfois recâbler entièrement un bâtiment et enterrer les lignes électriques. Il est recommandé de débrancher tous les appareils électriques de leurs prises lorsqu’ils ne sont pas utilisés, et il est parfois nécessaire de couper tous les disjoncteurs, ou l’alimentation secteur, la nuit. De nombreuses personnes qui essaient de recouvrer la santé conduisent de très vieilles voitures avec un minimum d’électronique, ou des voitures diesel, qui peuvent être conduites sans électricité.

Cependant, la propagation de la technologie sans fil a rendu impossible l’évitement des rayonnements électromagnétiques partout dans le monde. Il ne suffit plus de réduire à zéro les champs provenant d’un bâtiment. Les villes et les entreprises de services publics passent aux compteurs d’électricité, de gaz et d’eau sans fil, qui peuvent irradier tout un quartier. L’arrivée de la large bande sur les lignes électriques (BPL) peut signifier qu’il n’est plus possible d’empêcher les champs à haute fréquence d’entrer dans votre maison si vous voulez avoir de l’électricité.

Les rayonnements traversent également les murs en provenance des systèmes de téléphonie, d’informatique et de sécurité sans fil des voisins, des tours cellulaires du voisinage et, de plus en plus, des systèmes Internet sans fil (Wi-Fi) à grande échelle qui couvrent des villes entières, des comtés et même de petits pays comme Singapour et la Macédoine. C’est pourquoi de nombreuses personnes tentent de s’en sortir en vivant dans des structures métalliques ou en protégeant leurs murs et leurs fenêtres avec des tissus, des peintures et des plastiques conducteurs pour empêcher les micro-ondes d’entrer. Cette méthode n’est pas toujours efficace. Comme l’a souligné le Dr Felix Gad Sulman (Sulman 1980), la présence des champs électromagnétiques naturels de la Terre est nécessaire à la santé. Par conséquent, pour recouvrer la santé dans une pièce blindée, il faudrait que tous les champs naturels de la Terre soient reproduits à l’intérieur de la pièce, une tâche difficile, voire impossible.

Les personnes qui veulent être en bonne santé découvrent qu’il n’y a plus d’endroit où s’enfuir et que la seule solution, si nous voulons assurer un avenir à nous-mêmes, à nos enfants et petits-enfants, ainsi qu’aux oiseaux et à la faune, est de travailler ensemble pour faire connaître et reconnaître les effets des champs électromagnétiques sur la santé, jusqu’à ce que la société admette que la technologie sans fil était une terrible erreur et s’en débarrasse. Le temps presse.

Symptômes

  • Neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, pertes de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, tremblements, spasmes musculaires, engourdissements, picotements, altération des réflexes, douleurs musculaires et articulaires, douleurs aux jambes et aux pieds, symptômes de type « grippe », fièvre.  Les réactions plus graves peuvent inclure des convulsions, une paralysie, une psychose et un accident vasculaire cérébral.
  • Cardiaques : palpitations, arythmies, douleur ou pression dans la poitrine, pression sanguine basse ou élevée, rythme cardiaque lent ou rapide, essoufflement.
  • Respiratoires : sinusite, bronchite, pneumonie, asthme.
  • Dermatologiques : éruption cutanée, démangeaisons, brûlures, bouffées vasomotrices.
  • Ophtalmologiques : douleur ou sensation de brûlure dans les yeux, pression dans les yeux ou derrière les yeux, détérioration de la vision, flotteurs, cataractes.
  • Auditifs : Gazouillis, bourdonnements ou sifflements dans les oreilles ; perte d’audition.
  • Autres : problèmes digestifs ; douleurs abdominales ; hypertrophie de la thyroïde, douleurs testiculaires/ovariennes ; dysfonctionnement sexuel ; sécheresse des lèvres, de la langue, de la bouche, des yeux ; grande soif ; déshydratation ; saignements de nez ; hémorragie interne ; taux élevé de sucre dans le sang ; anomalies du système immunitaire ; redistribution des métaux dans l’organisme ; perte de cheveux ; douleurs dentaires ; détérioration des plombages ; altération de l’odorat ; sensibilité à la lumière.

Terminologie 

Comme la plupart des autorités sanitaires ne reconnaissent pas encore les maladies causées par les champs électromagnétiques, il n’existe pas de nom standard pour les désigner. Les termes suivants ont été utilisés :

  • Affecté par les champs électromagnétiques : Terme utilisé dans les pays hispanophones ; « afectados por campos electromagnéticos ».
  • Lésion électrique : Terme utilisé à l’origine par le groupe suédois FEB ; « El- (och Bildskärms)skadade ».
  • Sensibilité électrique ou hypersensibilité électromagnétique : Terme inexact inventé par les groupes de soutien aux patients et largement utilisé dans les pays anglophones.
  • Mal des micro-ondes : Synonyme de maladie des ondes radio. 
  • Maladie des ondes radio : Une maladie professionnelle, décrite pour la première fois après la Seconde Guerre mondiale en Union soviétique, causée par l’exposition aux ondes radio.
  • Dermatite d’écran : Affection cutanée causée par l’exposition à des champs électromagnétiques ; appelée ainsi parce qu’elle a été décrite pour la première fois chez les utilisateurs de téléviseurs.

Les termes suivants sont suggérés comme étant plus précis : 

  • Maladie électrique aiguë : Maladie aiguë, semblable à la grippe, causée par l’exposition à des champs électromagnétiques, caractérisée par une panne soudaine des systèmes électriques du corps.
  • Maladie électrique chronique : Une maladie chronique causée par l’exposition aux champs électromagnétiques. Identique à la maladie des ondes radio, sauf qu’elle peut être causée par n’importe quel type de champ électromagnétique, et pas seulement par les ondes radio.

[Voir aussi :
Articles d’Arthur Firstenberg
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »
Rayonnements sans fil et ostéoporose
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)
Autres articles sur les ondes électromagnétiques
Dossier 5G et ondes pulsées]


Arthur Firstenberg

Arthur Firstenberg

Arthur Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner les prétentions gouvernementales et industrielles concernant la soi-disant innocuité des champs électromagnétiques. (CEM) De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison.
Il est l’auteur du livre The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life [L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie], par Arthur Firstenberg, AGP Press, 2017, 559 pages.
Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des CEM. Arthur est aussi webmestre de l’excellent site cellphonetaskforce.org


Références

[Note : Cet article a été écrit en 2008 et toutes les références sont des études antérieures à 2008. Aujourd’hui, il est impossible de reproduire ces études car il est impossible d’obtenir une population témoin aujourd’hui. Tout le monde dans le monde est aujourd’hui exposé, volontairement ou involontairement, à des niveaux très élevés de rayonnement électromagnétique provenant de la technologie sans fil omniprésente. Il n’existe plus de population « non exposée »].

  • Abdel-Rassoul G, El-Fateh OA, Salem MA, Michael A, Farahat F, El-Batanouny M, Salem E. Neurobehavioral effects among inhabitants around mobile phone base stations. NeuroToxicology 28(2): 434-40, 2007.
    https://www.researchgate.net/publication/6827277_Neurobehavioral_effects_among_inhabitants_around_mobile_phone_base_stationshttps://ecfsapi.fcc.gov/file/7520939755.pdf
  • Al-Khlaiwi T, Meo SA. Association of mobile phone radiation with fatigue, headache, dizziness, tension and sleep disturbance in Saudi population. Saudi Medical Journal 25(6): 732-736, 2004.
    https://europepmc.org/article/med/15195201
  • Balik HH, Turgut-Balik D, Balikci K, Ozcan IC. Some ocular symptoms and sensations experienced by long term users of mobile phones. Pathologie Biologie 53(2): 88-91, 2005.
    https://www.elettrosensibili.it/wp-content/uploads/2015/09/ocular.pdf
  • Balikci K, Ozcan IC, Turgut-Balik D, Balik HH. A survey study on some neurological symptoms and sensations experienced by long term users of mobile phones. Pathologie Biologie 53(1): 30-34, 2005.
    https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0369811403002773
  • Birenbaum L, Grosof GM, Rosenthal SW, Zaret MM. Effect of microwaves on the eye. IEEE Transactions on Biomedical Engineering 16(1):7-14, 1969.
    https://ieeexplore.ieee.org/abstract/document/4502597
  • Bortkiewicz A, Zmyslony M, Szyjkowska A, Gadzicka E. Subjective symptoms reported by people living in the vicinity of cellular phone base stations. Medycyna Pracy 55(4): 345-351, 2004, in Polish.
    https://europepmc.org/article/med/15620045
  • Cao Z, Zhao X, Tao Y, Wan C. Effects of electromagnetic radiation from cellular telephone handsets on symptoms of neurasthenia. Wei Sheng Yan Jiu 29(6): 366-368, 2000, in Chinese.
    https://europepmc.org/article/med/12520956
  • Chia S-I, Chia H-P, Tan J-S. Prevalence of headache among hand-held cellular telephone users in Singapore: a community study. Environmental Health Perspectives 108(11): 1059-1062, 2000.
  • Cox RA, Luxton LM. Cerebral symptoms from mobile telephones. Occupational and Environmental Medicine 57(6): 431, 2000.
    https://oem.bmj.com/content/oemed/57/6/431.1.full.pdf
  • Frey AH. Auditory system response to radio frequency energy. Aerospace Medicine 32: 1140-1142, 1961.
  • Frey AH. Cardiac and neural effects of modulated RF energy. Proceedings of the 23rd Annual Conference on Engineering in Medicine and Biology 12:175, 1970.
  • Frey AH, Feld S, Frey B. Neural function and behavior: defining the relationship. Annals of the New York Academy of Sciences 247:433-439, 1975.
    https://ehtrust.org/wp-content/uploads/2011/07/FreyPioneeringPapers.pdf
  • Frey AH, Seifert E. Pulse modulated UHF energy illumination of the heart associated with change in heart rate. Life Sciences 7 (Part II): 505-512, 1968. 
    https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/0024320568900684
  • Frey AH, Spector J. Irritability and aggression in mammals as affected by exposure to electromagnetic energy. Proceedings of the 1976 Annual Meeting of the International Union of Radio Science, October 15-19, 1976, Amherst, Mass.
  • Frey AH, Wesler L. Modification of tail pinch consummatory behavior in microwave energy exposure. Proceedings of the URSI Annual Meeting, June 18-22, Seattle, WA, 1979.
  • Glaser Z. Cumulated index to the Bibliography of reported biological phenomena (“effects”) and clinical manifestations attributed to microwave and radio-frequency radiation: report, supplements (no. 1-9), BEMS newsletter (B-1 through B-464), 1971-1981. Indexed by Julie Moore. Riverside, CA: Julie Moore & Associates, 1984.
  • Haugsdal B, Hauger E, Mild KH, Oftedal G, Sandstrom M, Wilen J, Tynes T.
    Comparison of symptoms experienced by users of analogue and digital mobile phones: a Swedish-Norwegian epidemiological study. Arbetslivsrapport 23, National Institute for Working Life, Umeå, Sweden, 1998.
  • Hocking B. Preliminary report: symptoms associated with mobile phone use. Occupational Medicine (London) 48(6): 357-360, 1998. 
    https://academic.oup.com/occmed/article/48/6/357/1443446
  • Hutter H-P, Moshammer H, Wallner P, Kundi M. Subjective symptoms, sleeping problems, and cognitive performance in subjects living near mobile phone base stations. Occupational and Environmental Medicine 63:307–13, 2006. 
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2092490/
  • Klimková-Deutschová, E. Neurologic findings in persons exposed to microwaves. In Biologic Effects and Health Hazards of Microwave Radiation: Proceedings of an International Symposium, Warsaw, 15-18 Oct., 1973, P. Czerski et al., eds., pp. 268-272.
  • Levallois P, Neutra R, Lee G, Hristova L. Study of self-reported hypersensitivity to electro­magnetic fields in California. Environmental Health Perspectives110(suppl 4): 619-23, 2002.
    https://ehp.niehs.nih.gov/doi/pdf/10.1289/ehp.02110s4619
  • Marin County Department of Health and Human Services. Prevalence of chemical sensitivity and electromagnetic sensitivity in Marin County.  Reported in No Place To Hide 3(3): 27, 2002.
  • Meo SA, Al-Drees, AM. Mobile phone related-hazards and subjective hearing and vision symptoms in the Saudi population. International Jouranl of Occupational Medicine and Environmental Health 18(1):53-57, 2005.
    https://europepmc.org/article/med/16052891
  • National Board of Health and Welfare (Socialstyrelsen). Environmental Health Report. Stockholm, Sweden, 2001, in Swedish.
  • Navarro AE, Segura J, Portoles M Gómez-Perretta C. The microwave syndrome: A preliminary study in Spain. Electromagnetic Biology and Medicine 22(2): 161–169, 2003.
    https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1081/JBC-120024625
  • Oberfeld G, Navarro AE, Portoles M, Maestu C, Gomez-Perretta C. The microwave syndrome: further aspects of a Spanish study. Proceedings of the 3rd International Workshop on Biological Effects of Electromagnetic Fields, Kos, Greece, October 4-8, 2004.
    https://www.buergerwelle.de/assets/files/proceedings_kos_2004.pdf
  • Oftedal G, Wilen J, Sandström M, Mild KH . Symptoms experienced in connection with mobile phone use. Occupational Medicine (London) 50:237-245, 2000.
    https://academic.oup.com/occmed/article/50/4/237/1394352
  • Preece AW, Dunn EJ, Farrow SJ, Georgiou AG. The Akrotiri Military Antennae Health Survey. Dept. Of Medical Physics and Oncology, University of Bristol, Final Report, June 2, 2005.
  • Sadchikova, M.N. State of the nervous system under the influence of UHF. In The Biological Action of Ultrahigh Frequencies, A.A. Letavet and Z.V. Gordon, eds., Academy of Medical Sciences, Moscow, 1960, pp. 25-29.
  • Salama OE, Abou El Naga RM. Cellular phones : Are they detrimental? Journal of the Egyptian Public Health Association 79(3-4): 197-223, 2004.
    https://europepmc.org/article/med/16918147
  • Sandström M, Wilén J, Oftedal G, Hansson-Mild K. Mobile phone use and subjective symptoms. Comparison of symptoms reported by users of analogue and digital mobile phones. Occuational Medicine (London) 51:25–35, 2001.
    https://academic.oup.com/occmed/article/51/1/25/1422253
  • Santini R, Seigne M, Bonhomme-Faivre L, Bouffet S, Defrasne M, Sage M. Symptoms experienced by users of digital cellular phones: A study of a French engineering school. Electromagnetic Biology and Medicine 21:81-88, 2002.
    https://www.buergerwelle.de/assets/files/symptoms_experienced_by_users_of%20_digital_cellular_phones-2.pdf
  • Santini, R., Santini, P., LeRuz, P., Danze, J. M., and Seigne, M.: Survey study of people living in the vicinity of cellular phone base stations. Electromagnetic Biology and Medicine 22: 41-49, 2003. Available online at buergerwelle.de.
    https://ecfsapi.fcc.gov/file/7020348143.pdf
  • Schreier N, Huss A, Röösli M. The prevalence of symptoms attributed to electromagnetic field exposure: a cross-sectional representative survey in Switzerland. Sozial- und Präventivmedizin/Social and Preventive Medicine51:202-209, 2006.
    https://doc.rero.ch/record/310885/files/38_2006_Article_5061.pdf
  • Schroeder E. Stakeholder perspectives on amending the 26th Federal Emission Control Ordinance. Results of the nationwide telephone survey ordered by the Federal Office of Radiation Protection. Schr/bba 04.02.26536.020, Munich, Germany, 2002, in German.
    https://www.yumpu.com/de/document/read/6986800/stakeholder-perspektiven-zur-novellierung-der-26-bimschv
  • Sulman FG. The Effect of Air Ionization, Electric Fields, Atmospherics and other Electric Phenomena on Man and Animal. Charles C. Thomas, Springfield, III, 1980, 400pp.
  • Szyjkowska A, Bortkiewicz A, Szymczak W, Makowiec-Dabrowska T. Subjective symptoms related to mobile phone use – a pilot study. Polski Merkuriusz Lekarski 19(112): 529-532, 2005, in Polish.
    https://europepmc.org/article/med/16379318
  • Waldmann-Selsam C. The Bamberg Report, 2005. 
    https://www.mast-victims.org/index.php?content=news&action=view&type=newsitem&id=216
  • Wilén J, Sandström M, Hansson-Mild K. Subjective symptoms among mobile phone users – A consequence of absorption of radiofrequency fields? Bioelectromagnetics 24(3): 152-159, 2003.
    https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/bem.10101
  • Zaret MM.  Microwave cataracts. Medical Trial Technique Quarterly 19(3):246-52, 1973.
  • Zwamborn APM, Vossen SHJA, van Leersum BJAM, et al. Effects of global communications system radiofrequency fields on well being and cognitive functions of human subjects with and without subjective complaints. TNO report, FEL-03-C148. The Hague, 2003.
    https://milieugezondheid.be/dossiers/gsm/TNO_rapport_Nederland_sept_2003.pdf



Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972

[Source : maisonsaine.ca]

Par Magda Havas

Bibliographie des phénomènes biologiques (‘effets’) et des manifestations cliniques attribués aux micro-ondes et aux radiofréquences.  
Glaser, Z.R. Institut de recherche médicale de la marine, 1972. MF12.54.015-004B, rapport n° 2, révisé. 106 pages.
[NOTE : ce document a été raccourci à 25 pages pour que nous puissions l’afficher ici et ne contient pas toutes les 2 311 références].

Traduction de : https://magdahavas.com/from-zorys-archive/pick-of-the-week-1-more-than-2000-documents-prior-to-1972-on-bioeffects-of-radio-frequency-radiation/

[Voir aussi le dossier
5G et ondes pulsées]

RÉSUMÉ

Cette bibliographie comprend plus de 2 000 références sur les réponses biologiques aux rayonnements de radiofréquence et de micro-ondes, publiées jusqu’en juin 1971.* Une attention particulière a été accordée aux effets sur l’homme des rayonnements non ionisants à ces fréquences. Les citations sont classées par ordre alphabétique d’auteur et contiennent autant d’informations que possible afin de permettre une recherche efficace des documents originaux. Un aperçu des effets qui ont été attribués aux radiofréquences et aux micro-ondes fait également partie du rapport.

*Trois listes supplémentaires portent le nombre de citations à plus de 2 300.
Note : Ce document est « non classifié » et « a été approuvé pour une diffusion et une vente publiques ; sa distribution est illimitée ».

SIGNIFICATION

L’intérêt du document de Glaser de 1972 est de contrer les déclarations selon lesquelles il n’existe pas de recherches « crédibles » montrant les effets non thermiques. Il s’agit d’une fausse déclaration promue par ceux qui, soit ne connaissent pas la littérature, soit ne veulent pas admettre que ce rayonnement, aux niveaux auxquels nous sommes actuellement exposés, peut être nocif.

Des recherches crédibles existent, elles existent depuis des décennies et elles ont été largement ignorées par les responsables de la santé publique et professionnelle.

COMMENTAIRES

Il s’agit de l’une des premières revues à grande échelle de la littérature sur les effets biologiques des micro-ondes et des radiofréquences, publiée pour la première fois en 1971. L’auteur a classé les effets biologiques en 17 catégories (voir ci-dessous). Ces catégories comprennent l’échauffement (effets thermiques), les modifications des fonctions physiologiques, les altérations des systèmes nerveux central, autonome et périphérique, les troubles psychologiques, les modifications du comportement (études sur les animaux), les troubles sanguins et vasculaires, les modifications enzymatiques et autres modifications biochimiques, les troubles métaboliques, gastro-intestinaux et hormonaux, les modifications histologiques, les effets génétiques et chromosomiques, l’effet de changement de couleur des perles (lié à l’orientation chez les bactéries et les animaux) et un groupe divers de symptômes qui n’entrent pas dans les catégories ci-dessus.

S’il est clair que les rayonnements qui provoquent un échauffement peuvent également provoquer des effets secondaires, tous les effets énumérés ci-dessus ne sont pas liés à la chaleur. En effet, une grande partie de la littérature aux niveaux d’exposition inférieurs n’est pas liée à l’échauffement. C’est ce type de recherche qui a aidé les régulateurs à formuler leurs directives sur les micro-ondes. Les études non thermiques ont été ignorées par l’Organisation mondiale de la santé, sur laquelle de nombreux pays s’appuient pour obtenir des conseils, et c’est pourquoi les lignes directrices diffèrent par ordre de grandeur, de la plus faible à Salzbourg, en Autriche (0,1 microW/cm2) à la plus élevée (5 000 microW/cm2 pour l’exposition professionnelle) établie par l’ICNIRP (Commission internationale des rayonnements non ionisants). Il s’agit d’une différence de 50 000 fois !
Une façon d’interpréter cela est que nous avons deux directives, l’une pour prévenir l’échauffement et, une directive plus restrictive, pour prévenir les effets biologiques, dont certains peuvent avoir de graves conséquences sur la santé.

Ce qui est frappant, c’est que ce que nous appelions autrefois le mal des micro-ondes (groupe de symptômes associés aux travailleurs du radar) a été appelé neuroasthénie (sensation de malaise) et est maintenant appelé électrohypersensibilité. Dans tous les cas, les symptômes sont associés à l’exposition aux rayonnements de radiofréquence : d’abord les radars, puis les thermoscelleuses RF et les ordinateurs, et plus récemment diverses sources de technologie sans fil, notamment les antennes de téléphonie mobile, de radiodiffusion, de WiFi ou de WiMax, les routeurs sans fil, les compteurs intelligents, etc.

EFFETS SPÉCIFIQUES

Les effets biologiques et sanitaires spécifiques, fournis par Glaser en 1972, sont énumérés ci-dessous :

A. Échauffement des organes*

(Applications : Diathermie, électrochirurgie, électrocoagulation, électrodessiccation, électrotomie)
Cela comprend l’échauffement du corps entier ou d’une partie du corps comme la peau, les os et la moelle osseuse, le cristallin de l’œil avec des cataractes et des dommages à la cornée ; les organes génitaux causant une dégénérescence tubulaire des testicules ; le cerveau et les sinus ; les implants métalliques causant des brûlures près des broches de la hanche etc. Ces effets sont réversibles, à l’exception des dommages causés à l’œil.

B. Changements dans la fonction physiologique

Cela comprend la contraction des muscles striés, la modification du diamètre des vaisseaux sanguins (augmentation de l’élasticité vasculaire), la dilatation, les modifications des processus d’oxydation dans les tissus et les organes, l’augmentation du volume du foie, l’altération de la sensibilité aux médicaments, la diminution de la spermatogenèse entraînant une diminution de la fertilité et la stérilité ; modification du rapport des naissances en faveur des filles ; modification de l’activité menstruelle ; modification du développement du fœtus ; diminution de la lactation chez les mères qui allaitent ; réduction de la diurèse entraînant l’excrétion de sodium par le débit urinaire ; modification de la fonction rénale ; modification des réflexes conditionnés ; diminution de la résistance électrique de la peau ; modifications de la structure des récepteurs cutanés ; modification du débit sanguin ; modification des biocourants dans le cortex cérébral des animaux ; modification de la vitesse d’élimination des ions marqués des tissus ; modifications structurelles réversibles du cortex cérébral et du diencéphale ; modifications des électrocardiogrammes ; altération de la sensibilité à la lumière, au son et aux stimuli olfactifs ; modifications fonctionnelles et pathologiques des yeux ; nécrose du myocarde ; hémorragie dans les poumons, le foie, l’intestin et le cerveau et dégénérescence généralisée des tissus corporels à des niveaux de rayonnement mortels ; perte de parties anatomiques ; mort ; déshydratation ; altération du taux de calcification des tissus.

C. Effets sur le système nerveux central

Cela comprend les maux de tête, l’insomnie, l’agitation (pendant le jour et le sommeil), les changements dans l’activité des ondes cérébrales (EEG), les troubles des nerfs crâniens, les lésions du tractus pyramidal, les troubles des réflexes conditionnés, l’action vagomimétique et sympathomimétique du coeur, les crises et les convulsions.

D. Effets sur le système nerveux autonome

Modification du rythme cardiaque ; fatigue, altérations structurelles des synapses du nerf vague ; stimulation du système nerveux parasympathique entraînant une bradycardie et inhibition du système nerveux sympathique.

E. Effets sur le système nerveux périphérique

Effets sur les nerfs locomoteurs.

F. Troubles psychologiques

Les symptômes comprennent la neurasthénie (mauvais sentiment général), la dépression, l’impuissance, l’anxiété, le manque de concentration, l’hypocondrie, les étourdissements, les hallucinations, la somnolence ou l’insomnie, l’irritabilité, la diminution de l’appétit, la perte de mémoire, les sensations au niveau du cuir chevelu, la fatigue, les douleurs thoraciques, les tremblements.

G. Changements comportementaux dans les études sur les animaux

Les effets comprennent des changements dans les comportements réflexes, opérants, d’évitement et de discrimination.

H. Troubles sanguins

Les effets comprennent des changements dans le sang et la moelle osseuse ; une augmentation des fonctions phagocytaires et bactéricides ; une augmentation du taux d’hémolyse (durée de vie plus courte des cellules) ; une augmentation de la vitesse de sédimentation du sang ; une diminution des érythrocytes ; une augmentation des concentrations de glucose dans le sang ; une modification de la teneur en histamine du sang ; des changements dans les lipides et le cholestérol ; modifications de la concentration en gammaglobuline et en protéines totales ; modifications du nombre d’éosinophiles ; diminution du rapport albumine/globuline ; altération de l’hémopoïèse (taux de formation des globules sanguins) ; leucopénie (augmentation du nombre de globules blancs et leucocytose) ; réticulocytose (augmentation des globules rouges immatures).

I. Troubles vasculaires

Cela comprend la thrombose et l’hypertension.

J. Modifications enzymatiques et autres modifications biochimiques (in vitro)

Modifications de l’activité de la cholinestérase (également in vivo), de la phosphatase, de la transaminase, de l’amylase, de la carboxydismutase ; dénaturation des protéines ; inactivation des champignons, des virus et des bactéries ; mort des cultures de tissus ; modification du taux de division cellulaire ; augmentation de la concentration d’ARN dans les lymphocytes et diminution de la concentration d’ARN dans le cerveau, le foie et la rate ; modification des excrétions d’acide pyruvique, d’acide lactique et de créatinine ; modification de la concentration de glycogène dans le foie (hyperglycémie) ; modification des concentrations de 17-cétostéroïdes dans l’urine.

K. Troubles du métabolisme

Les effets comprennent la glycosurie (sucre dans l’urine) ; l’augmentation des phénols urinaires ; l’altération du traitement des enzymes métaboliques ; l’altération du métabolisme des glucides.

L. Troubles gastro-intestinaux

Les effets comprennent l’anorexie ; la panique épigastrique ; la constipation ; l’altération de la sécrétion des sucs digestifs de l’estomac.

M. Modifications des glandes endocrines

Les effets comprennent une altération du fonctionnement de l’hypophyse, de la glande thyroïde (hyperthyroïdie et hypertrophie de la thyroïde, augmentation de l’absorption d’iode radioactif) et du cortex surrénalien ; diminution des corticostéroïdes dans le sang ; diminution de l’activité glucocorticoïde ; hypogonadisme (avec diminution de la production de testostérone).

N. Modifications histologiques

Modifications de l’épithélium tubulaire des testicules et modifications macroscopiques.

O. Modifications génétiques et chromosomiques

Les effets comprennent les aberrations chromosomiques (raccourcissement, pseudochiasme, structures diploïdes, divisions amitotiques, pontage, « collage » ; irrégularités dans l’enveloppe chromosomique) ; mutations ; mongolisme ; altérations somatiques (n’impliquant pas le noyau ou les chromosomes) ; maladies néoplasiques (tumeurs).

P. Effet de chaîne de perles

Il s’agit de l’orientation intracellulaire des particules subcellulaires et de l’orientation des particules cellulaires et autres (particules non biologiques, c’est-à-dire mini-magnétiques) affectant l’orientation des animaux, des oiseaux et des poissons dans les champs électromagnétiques.

Q. Effets divers

Ces effets comprennent la formation d’étincelles entre les plombages dentaires, un goût métallique dans la bouche, des changements dans l’activité optique des solutions colloïdales, le traitement de la syphilis, de la poliomyélite, des maladies de la peau, la perte et la fragilité des cheveux, des sensations de bourdonnement, de vibrations, de pulsations et de chatouillement au niveau de la tête et des oreilles, une transpiration abondante, la salivation et la protrusion de la langue, des changements dans le fonctionnement des stimulateurs cardiaques implantés, des changements dans les rythmes circadiens.

Magda Havas

Magda Havas

Magda Havas est biologiste et titulaire d’un doctorat en toxicologie environnementale à l’Université Trent, en Ontario. À partir de 1975, elle a d’abord étudié l’impact des pluies acides et des métaux sur l’environnement des lacs, en particulier. Ses recherches ont démystifié plusieurs faussetés dans ce domaine et contribué à l’instauration d’une législation sur la qualité de l’air (Programme des pluies acides dans l’est du Canada) qui a réduit de 30 % les émissions industrielles de dioxyde de soufre.

Depuis les années 1990, ses recherches portent sur les effets biologiques de la pollution électromagnétique, notamment les rayonnements radioélectriques, les champs électromagnétiques 60 hertz, l’électricité « sale » et les courants telluriques. Elle travaille aussi bien avec les diabétiques que les personnes atteintes de sclérose en plaques, d’acouphènes, de fatigue chronique, de fibromyalgie et d’hypersensibilité électrique. Elle mène également des recherches sur le syndrome des bâtiments malsains en ce qui concerne la qualité de l’énergie dans les écoles.
Depuis le milieu des années 1990, à l’Université Trent, elle a enseigné l’un des rares cours universitaires nord-américains sur la pollution électromagnétique et supervisé plusieurs projets de thèse dans ce domaine.
Dre Havas a participé à la rédaction de la résolution 15 sur les antennes de téléphonie cellulaire adoptée par l’Association internationale des pompiers, en août 2004 à Boston. Elle a également participé à la rédaction du projet de loi 143 sur la pollution causée par les courants de sol, qui a été adopté à l’unanimité en deuxième lecture à l’Assemblée législative de l’Ontario. Cela a conduit à des modifications du code de réseau de distribution introduites par la Commission de l’énergie de l’Ontario afin d’atténuer les problèmes de courants telluriques dans les régions rurales de l’Ontario.

Elle a effectué plus de 360 ​​présentations dans plus de 30 pays et dans plus de 24 universités et collèges, notamment dans le cadre de conférences médicales et environnementales. Elle a souvent été témoin expert devant divers tribunaux dans des causes impliquant les effets sanitaires de la pollution électromagnétique.
La Dre Havas a été conseillère scientifique en la matière auprès de plusieurs groupes d’intérêt public dans divers pays. Elle a coédité trois livres et signé plus de 180 publications révisées par des pairs portant sur les effets de la pollution électromagnétique.




Côtoyer des personnes « vaxxo »… ou pas

[Source : lumiere-dans-la-matrice.org]

Par Pierre Lassalle

Nous souhaitons, au travers de cet article, réaliser une mise au point sur ce que nous connaissons et pensons, concernant les changements irréversibles qui se sont produits ces deux dernières années sur la planète entière.

(…) il est bon que vous sachiez que, de nos jours, et du point de vue de la Justice (cf. les décisions de la Cour Suprême des États-Unis)(([1] Vaccinés brevetés : Micheldogna.fr/de-la-confusion-a-la-logique)), que les « vaxxés » du monde entier (nous les appelons des « injectés », car les « faux-vaxxins » n’ont jamais eu pour but de protéger du Covid-19 !), sont considérés comme des « produits brevetés » appartenant aux Big Pharma qui les ont « injectés » (Moderna, Pfizer, etc.). En tant que tels, ces gens ne sont plus considérés comme des humains, et ils sont donc déchus de leurs droits d’êtres humains, disent-ils, et sont appelés dorénavant des « transhumains ». Ceci est, notamment, dû au fait que le produit expérimental qu’ils ont accepté de se faire inoculer a transformé, de manière irréversible, la totalité de l’ADN de leurs cellules, qui sont désormais « génétiquement modifiées », et ce jusqu’à la fin de leur vie (cela commence six heures après l’injection, comme des scientifiques suédois viennent de le prouver)(([2] ADN modifié et protéine spike : Resistance-mondiale.com/etude-les-injections-pourraient-modifier-ladn-humain-en-produisant-de-la-proteine-spike-sur-le-long-terme))(([3] ADN modifié : Anguillesousroche.com/sante/une-nouvelle-etude-retentissante-prouve-que-le-vaccin-arnm-de-pfizer-modifie-de-facon-permanente-ladn-humain)).

[NDLR : voir aussi L’Homme génétiquement modifié devient-il brevetable ?.
Dans le document de la Cour Suprême, la question posée est celle de la possibilité ou non de breveter une technique particulière de manipulation chimique de l’ADN. Ce n’est pas celle de breveter l’individu qui subirait l’application de cette technique. Le parallèle avec les semences OGM de Bayer-Monsanto ne pourrait pas non plus tenir, car le commerce des êtres humains n’a pas encore officiellement lieu, contrairement à celui de variétés végétales. Autrement dit, si une entreprise peut actuellement essayer de revendiquer la possession de plantes biologiques qui se voient polluées par du matériel génétique issu de plantes OGM, elle ne peut pas pour l’instant le faire pour ce qui serait d’êtres humains pollués par des vaccins. Nous n’en sommes pas là, même si une telle aberration n’est pas exclue pour un avenir relativement proche au train où vont les choses.]

Beaucoup de gens ayant refusé la vaxxination se comportent « bizarrement », comme s’ils regrettaient (presque !) de ne pas être vaxxinés, et laissant entendre à tous les nigauds qui le veulent bien, qu’il n’existe aucune différence entre eux et les « vaxxés » ! Maintenant, vous savez que c’est faux (voir plus haut : la Justice ne pense pas la même chose qu’eux !)

De plus, la Justice française a décidé de considérer les « vaxxés » qui en meurent comme des gens qui se sont suicidés, étant donné, disent-ils, que le produit injecté n’était même pas un vaccin, qu’il était expérimental(([4] Evaluation d’essais cliniques du vaccin contre le Covid : Par Christine-cotton.1ere-page.fr/audition-opecst-christine-cotton)) et de surcroît non obligatoire. (Demandez à votre assureur, il vous le confirmera : les assureurs ne veulent plus assurer les « vaxxés » !).

[Voir aussi :
Simplissime : les contrats d’assurance-vie et de prêts interdisent la vaccination anti-covid]

[Également], depuis que la vaxxination est devenue « populaire » (un peu d’humour noir ne fait pas de mal !), des scientifiques, médecins et chercheurs indépendants ont effectué des recherches sur les « vaxxés », afin de comprendre le fonctionnement des « faux vaxxins ».

Notamment, l’un d’entre eux a découvert le phénomène suivant : réalisant de nombreuses prises de sang, il a constaté que le sang des « vaxxés » était contaminé par une substance « étrange », un nano matériau, identifié comme étant du graphène, c’est-à-dire du carbone.

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Or, pour la petite histoire, il est bon de savoir que le carbone est la base du corps physique. Ainsi, injecter du carbone sous la forme du graphène (produit toxique pour l’être humain, notamment pour les voies respiratoires, et qui se trouve également dans les masques qui ne servent à rien !), amène l’être humain à se densifier davantage.

[NDLR : c’est sous forme d’oxyde que le graphène serait particulièrement toxique.]

La preuve ?

De nombreux chercheurs, ainsi que des infirmières et des tatoueurs, ont constaté que le sang des « vaxxés » s’épaississait de plus en plus, se coagulant et empêchant, notamment, les prises de sang ou les rendant très difficiles. Pour ces gens, ce fait démontre un « signe » de dégénérescence et de vieillesse prématurée !

[Voir aussi :
Témoignage d’un tatoueur sur le sang des vaccinés]

Pour en finir avec le carbone/graphène, sachez que sa composition atomique est : 6.6.6 !!! Eh oui, il comprend six électrons, six neutrons et six protons !

En résumé, le produit expérimental injecté transforme toutes les cellules, qui deviennent génétiquement modifiées de manière irréversible, et il densifie les gens, les faisant « descendre » lentement mais sûrement dans l’abîme ! Vive la Bête ! (Bon, encore de l’humour noir !).

Revenons à ce chercheur ayant effectué de nombreuses prises de sang, et qui a eu l’idée de comparer le sang des parents « vaxxés » à ceux de leurs enfants non vaxxés !

Résultat : Le sang des parents est contaminé, notamment par le graphène qui l’épaissit, mais celui des enfants également ! Il citait notamment le cas d’un enfant, dont le sang était « fichu », car contaminé au dernier degré, et qui devenait paralysé du bras droit et de la jambe droite, car il avait « absorbé » du graphène venant de ses parents ! Bravo les parents !

Eh oui, nous en arrivons au plus terrifiant de cette histoire : les gens « vaxxés », ces fameux « transhumains », projettent dans leur entourage une partie des « saletés » qui se trouvent dans le produit expérimental qu’on leur a injecté !(([5] Analyses sanguines : Changera3.blogspot.com/2022/03/trimission-du-graphene-entre-les-vaxxes par le Dr Philippe van Welbergen))

[NDLR : Pour établir scientifiquement hors de tout doute que cette apparente transmission de graphène (ou d’oxyde de graphène) aurait bien lieu, il faudrait s’assurer notamment que les enfants n’ont pas été injectés en douce par les parents ou des personnels de santé et qu’ils n’ont pas non plus été contaminés par des masques ou des écouvillons de tests PCR pouvant en contenir. Voir Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine.
Par ailleurs, le graphène est naturellement éliminé par le corps en quelques mois, ce qui fait que pour conserver ses effets nanotechnologiques potentiels, il est nécessaire d’en réinjecter régulièrement, au moins une fois tous les six mois, voire tous les trois mois pour mieux garantir le maintien de ses propriétés.
En absence de rappels d’injection, si les vaccins ne contenaient que du graphène ou de l’oxyde de graphène comme saletés, le retour à la santé serait toujours possible après moins d’un an.]

Et, d’après nos recherches, nous avons eu de multiples preuves de ces dangereuses projections des injectés. Nous connaissons environ cinquante personnes voire davantage, qui ont reçu des « saletés » provenant des injectés, simplement parce qu’ils n’ont pas été prudents et les ont côtoyés (parents, amis, compagnon/compagne, etc.).

Nous sommes certains pour l’avoir vérifié, que le fait de côtoyer des injectés durant quelques heures met votre vie en danger.

[NDLR : compte tenu de la remarque précédente sur la contamination possible par les masques et les écouvillons, on ne peut se montrer en toute rigueur aussi « certain » de l’existence d’une transmission de vaccinés à non-vaccinés.]

La projection la plus fréquente est un virus que ramassent les gens en contact avec un injecté. (Il suffit de quelques heures de proximité ou un bisou, voire se serrer la main). Or, ce virus « ramassé » n’est pas le Covid-19, mais un virus recombiné à l’intérieur des gens injectés par le produit qu’ils ont en eux. Et ce virus qu’ils projettent ensuite est beaucoup plus virulent que le Covid-19 ! Il vous laisse K.O. durant trois semaines environ avec des phases plus ou moins dangereuses selon votre état de santé. La cinquantaine de personnes que nous connaissons qui l’ont contracté étaient toutes des gens en pleine forme… Que se serait-il passé avec des gens faibles ou en mauvaise santé ?

[NDLR : il existe bien d’autres causes possibles à des états maladifs semblables à la grippe ou à la Covid-19, et notamment l’exposition à la 5G, alors que la théorie virale n’a jamais été validée scientifiquement et que la science véritable — pas le scientisme des virologues et autres microbiologistes — tend au contraire à démontrer la fausseté de cette théorie.
Voir :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies]

De plus en plus de chercheurs indépendants sont persuadés que les injectés projettent différents éléments du produit qu’ils ont reçu et qui peuvent être plus ou moins dangereux pour ceux qui les reçoivent. Bien sûr, cela dépend de l’état de santé des receveurs !

Selon certains témoignages de personnes que nous connaissons, et qui ont simplement été en contact de l’air ambiant où des injectés projettent leur propre air « mal habité », nous répertorions également des symptômes comme : maux de tête, problèmes respiratoires, extrême fatigue, étourdissements, orgelets, odeurs corporelles nauséabondes, envie de vomir ou vomissements, congestions nasales ou rhinites, toux anormale, déshydratation, dérèglements des menstruations, problèmes pour se connecter au monde spirituel, etc.

Une autre chose tout à fait étonnante : les injectés ont été transformés en antenne GPS !

En effet, ils émettent une adresse (informatique) MAC lisible sur n’importe quel smartphone. Pour le vérifier, télécharger sur votre smartphone l’application « Bluetooth scanner », puis ouvrez-la et activez le GPS du smartphone (acceptez la géolocalisation), enfin tapez sur recherche (ou « search ») : il apparaît alors des adresses MAC constituées de 12 chiffres/lettres ne correspondant à aucun appareil alentour… mais si vous cliquez sur chaque adresse, vous obtenez une estimation de la distance à laquelle se trouve la personne injectée « marquée » ! Cela signifie que les injectés sont marqués comme du bétail et qu’ils sont devenus des antennes GPS ambulantes !(([6] GPS : Micheldogna.fr/lindispensable-analyse-pour-tous-les-vaxxes/)) (trouvé sur www.micheldogna.fr). Serait-ce la « marque de la Bête », annoncée dans l’Apocalypse de Jean ?

[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés]

Rappelons-nous ce que Bill Gates avait dit l’an dernier (2021) : d’après lui, il suffisait qu’un tiers de la population mondiale soit « vaxxée » pour que tous les autres soient contaminés !

Or, ce ne sont pas des paroles en l’air, quand nous savons que le Professeur Didier Raoult, l’un des plus grands spécialistes européens des virus et vaccins, a révélé dans une entrevue que Bill Gates dirigeait la vaccination mondiale depuis une quinzaine d’années ! Et, d’autant plus, si nous savons que Bill Gates fait partie d’une secte dont le « commandement » N° 1 est : maintenir la population mondiale sous le seuil des 500 millions de personnes… par respect envers la Nature !

Ce soi-disant philanthrope, fervent partisan des transhumanistes, est convaincu que l’avenir de l’humanité passe par une dépopulation… qu’il dirige activement !

Et l’oligarchie dont il fait partie se positionne aussi pour la dépopulation, afin de soi-disant lutter contre le réchauffement climatique !(([7] L’ouvrage : Covidisme et Messianisme de Youssef Hindi))(([8] Dépopulation Bill Gates : Strategika.fr/2022/01/27/vaccination-sterilisation-urgence-climatique-oms-gates-rockefeller-great-reset-demographique))

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »]

Alors, nous laissons le lecteur franchir le petit pas restant, afin de saisir l’horrible complot mis en place par les scientifiques et médecins transhumanistes, avec l’aide des médias de masse et des politiciens, concernant la dangerosité des « faux vaxxins »…

La plupart des gens non vaxxinés ne se rendent pas du tout compte de ce qui vient de se passer dans le monde… et ils ont intérêt à se réveiller rapidement, car ce n’est pas fini !

Ainsi, et avant d’aller un peu plus loin, il nous faut retenir ceci :

  • Les gens « vaxxés » (avec deux doses et plus) ont toutes leurs cellules génétiquement modifiées.
  • Ce ne sont plus des êtres humains naturels ! C’est la raison pour laquelle la Justice américaine les considère comme des êtres « brevetés » et « transhumains », perdant ainsi tous leurs droits d’humains, puisqu’ils n’en sont plus !
  • Ces êtres, que nous appelons « injectés », disposent d’un sang contaminé, notamment par le graphène, un nano matériau(([9] Hydroxyde de graphène (nanolames) : Odysee.com/par Andreas Noack)). Leur sang s’épaissit, ce qui entraîne nombre de problèmes de santé, faisant d’eux des vieillards prématurés… si tant est que cela ne les tue pas rapidement.
  • Des scientifiques indépendants ont détecté et filmé des symbiotes dans les produits à ARNmessager. Oui, vous avez bien lu : des symbiotes, c’est-à-dire de tout petits « êtres » ayant l’aspect d’un poulpe avec de longs tentacules qui, bien évidemment, grandissent à l’intérieur du corps, et notamment le système nerveux.(([10] Symbiote « La Chose » : Rumble.com/oeufs-avec-tentacules-colores par le Dr Franc Zalewski))(([11] Symbiote « Hydra Vulgaris » : Micheldogna.fr/la-bestiole-de-cauchemar-trouvee-dans-les-vaxx-covid par le Dr Carrie Madej)) Le but de ces êtres monstrueux est de se connecter, une fois adulte, au cerveau de l’injecté pour le « téléguider » (en lien avec la 5G !)(([12] Contrôle de l’humain par l’ADNm et les ondes : Guyboulianne.com/2021/04/26/conference-du-dr-charles-morgan-a-lacademie-militaire-de-west-point-controler-a-distance-le-cerveau-humain-via-des-vaccins-arnm)). Les injectés, dans un premier temps, peuvent souffrir de toutes sortes de problèmes et dysfonctionnements au cerveau, voire dans un deuxième temps, en mourir !
  • Les injections de ces produits démoniaques se développent : un scientifique de chez Moderna a déclaré l’an dernier (2021) que leur soi-disant « vaxxin » était une « bombe à retardement ». D’autres chercheurs ont confirmé que ce produit expérimental se révélerait sur une longue durée (entre trois et cinq ans). Ainsi, nous ne verrons les dégâts totaux de ces horribles expériences que dans trois-quatre ans environ (2025).
  • Les injectés projettent un virus non identifié (nous l’appelons Covid-21 !), qui est plus virulent que le Covid-19, et donc dangereux, selon votre état de santé préalable.
  • De nombreux chercheurs indépendants soupçonnent que les injectés ne projettent pas que ce virus, et qu’à l’avenir d’autres « éléments » pourraient s’y ajouter.

Le mauvais virus qu’ils projettent se transmet par voie aérienne : le simple fait de respirer dans le même endroit qu’un injecté, durant plusieurs heures, vous met en danger !(([13] Vaccins auto-diffusants : Nexus.fr/actualite/vaccin/self-spreading-vaccines))

  • Des recherches sont en cours : les enfants non « vaxxés » attrapent facilement les « saletés » des « vaxxins » de leurs parents et se retrouvent avec un sang contaminé, ce qui met leur jeune vie en danger de mort !
  • Prendre quelqu’un dans ses bras, lui donner des bisous, ou pire de vrais baisers, ou vivre un acte sexuel… voire le simple fait de serrer la main d’un injecté… met votre vie en danger… et pourrait faire de vous, un jour, un injecté qui pourtant n’est pas « vaxxé » !

Des gens très naïfs et ignorants croient encore que les politiciens, les médecins, les scientifiques transhumanistes ou les médias de masse disent la vérité, ou certaines de temps en temps… En réalité, ce n’est JAMAIS le cas !

Ces gens rêvent que beaucoup de vaxxinés se sont fait piquer pour poursuivre leur métier exemplaire afin de continuer à servir les autres, ou pour le moins « protéger » leur famille… Belle chanson, et grosse illusion ! Certains médecins ont dénoncé leurs confrères qui se laissaient « vaxxer » pour continuer à gagner de grosses sommes d’argent : ils préfèrent l’argent à la vérité !

Certains rêveurs se disent aussi que c’est juste un mauvais moment à passer et que tout s’arrangera ensuite ! NON ! Rien ne va s’arranger tout seul ! Plus les gens se soumettent et plus les forces obscures se trouvant derrière ces méfaits se renforcent et enfoncent le clou !

Certains hurluberlus croient, ou essaient de se persuader, que les « vaxxins » ne vont pas couper les gens du monde spirituel : arrêtez de rêver ! Vous avez des yeux pour voir et une sensibilité pour vous en rendre compte ! Face à des injectés, il est évident qu’ils sont coupés du monde spirituel, puisqu’ils ne sont plus humains. Et il n’y aura pas de procédé « magique » qui va tout annuler d’un coup ! … N’en déplaise à de nombreux charlatans-naturopathes et autres hypnotiseurs de bas étage, qui s’inventent soudainement un nouveau métier de « faux sauveurs », avec des baguettes facticement magiques, qui ne visent qu’à s’attirer une nouvelle clientèle aux abois… troublée pas leur erreur, leurs symptômes et la peur de la mort !

Et, pour continuer cette idée de « perceptions », nous avons remarqué de manière notoire ces dernières années, à quel point les gens ont une sensibilité dangereusement défaillante ou très faible !

C’est dans la vingtaine que nous développons naturellement notre sensibilité. Il est certain, et cela a été prouvé notamment par le scientifique de l’INSERM, Michel Desmurget(([14] L’ouvrage : La Fabrique du Crétin Digital de Michel Desmurget)) que l’éducation et l’omniprésence des écrans tuent la sensibilité !

Ainsi est-il totalement anormal que les jeunes de la vingtaine ne ressentent pas (notamment) les effets nocifs de leur smartphone chéri ! Si ce n’est à cause d’une très, très mauvaise sensibilité…

Aussi bien le smartphone, que le compteur Linky, le wifi, ou la 5G qui débarque plein pot, émettent des ondes très nuisibles à l’être humain (et tout le vivant dans la Nature) ! Plus de dix mille études scientifiques dans le monde expliquent la dangerosité du smartphone ! Or, c’est notre sensibilité qui nous renseigne sur ces nuisances. Comment se fait-il que la majorité ne ressente rien ?

De nos jours, c’est le monde à l’envers : les gens qui disposent d’une sensibilité normale passent pour des malades ou des « demi-fous », parce qu’ils ont une hypersensibilité aux technologies destructrices d’aujourd’hui !

Notez que l’hypersensibilité aux ondes n’est pas récente, puisque les Russes appellent ce phénomène la « maladie des ondes » depuis un siècle ! (Sur ce sujet, et sur le diabète induit par la technologie moderne(([15] L’ouvrage L’Arc-en-Ciel Invisible d’Arthur Firstenberg))).

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Ce sont justement ces gens-là qu’il est bon d’écouter : ils nous avertissent des dangers que la masse des gens conditionnés est incapable de ressentir à cause d’une sensibilité malheureusement trop défectueuse !

Certains grands naïfs considèrent que les « vaxxés » sont des victimes ! En aucun cas, puisque les « vaxxins » n’étaient pas obligatoires et qu’ils sont arrivés après la fin de la pandémie : il suffisait de se renseigner et de faire preuve de discernement. Mais, ces gens qui vont vous justifier par x ou y fausse raison : « Je ne pouvais pas faire autrement ! », sont toujours ceux qui refusent de penser par eux-mêmes et se comportent comme des gens soumis.

Nous pouvons TOUJOURS « faire autrement », c’est la raison pour laquelle nous avons une pensée, ainsi que le discernement et le jugement sain qui l’accompagnent ! Si ce n’est pas le cas, alors nous avons affaire à des gens qui se sont couchés, se sont soumis au mal, et ont un peu trop facilement renié leur humanité !

Comme le disait un philosophe français (dont j’ai malheureusement oublié le nom) : « Ils se sont agenouillés sous la menace d’une… grippe ! » Eh oui, à l’origine les coronavirus sont des cousins des virus grippaux !

Finalement, la létalité du Covid-19 est de 0,23 %, ce qui signifie que 99,77 % des gens qui l’ont attrapé s’en sont sortis ! C’est mieux que pour certaines grippes !

De formidables ignorants croient encore que nous sommes déjà à l’ère du Verseau ! Heureusement que l’ère du Verseau, ce n’est pas « ça » ! Ils devraient se renseigner un peu et ils découvriraient que des catastrophes doivent arriver (pandémies, famines, guerres, tremblements de terre, etc.) bien avant l’aube de l’ère du Verseau.

Pour l’instant, nous vivons les prémisses des « moments difficiles » qui doivent advenir avant l’établissement d’un Nouveau Monde, qui nous mènera vers l’ère du Verseau !

Ces gens si naïfs préfèrent être « fraternels » (savent-ils ce que ce mot signifie ?) avec les injectés qui ont renié leur humanité, plutôt qu’avec leurs frères et sœurs en esprit, qui veulent bâtir le futur…

Alors, nous leur demandons : voulez-vous véritablement bâtir un Nouveau Monde ?

Combien d’entre eux répondront « Oui ! » ? Sans doute très peu, car la réalité est que ces gens veulent demeurer bien au chaud de « papa-maman », ou de leurs « frères-sœurs », ou encore de leurs « zamis », même s’ils sont injectés, uniquement par affectif, par habitude, voire par sécurité financière, parce qu’ils refusent le changement qui nous est proposé dans le monde. Bâtir un Nouveau Monde impliquera d’énormes changements !

Réveillez-vous !

En effet, il ne reste plus vraiment le temps de tourner en rond et de faire semblant que « tout va bien » ! Bientôt, il sera trop tard pour vous aussi…

Nous vous signalons que cette période de séparation ou de division, que nous avions prédite depuis plusieurs années, a été annoncée par le Christ, notre Dieu Créateur…

« Lorsque le Fils de l’homme viendra dans l’éclat de sa gloire, avec tous ses Anges, alors il siégera sur le trône de sa gloire. Et tous les peuples seront rassemblés devant sa face, et il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs. Et il placera les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche. »

 (Matthieu 25, 31,33).

Le Fils de l’Homme venant dans l’éclat de sa gloire fait référence à la période actuelle de Sa Parousie.

La division ou séparation était inéluctable, car beaucoup trop de gens refusaient de penser par eux-mêmes et vivaient dans un tel état de soumission au mal qu’ils empêchaient l’humanité de progresser et la laissaient s’étouffer dans les griffes des forces ténébreuses.

Ce comportement inhumain ne peut demeurer sans conséquences. Elles se préparaient dans l’invisible depuis longtemps : maintenant, nous les avons sous le nez !

Nous vivons des temps apocalyptiques…

Une autre fois, peut-être, nous révélerons les arrière-plans spirituels de ce qui se passe actuellement…

Pour une Humanité épousée de l’Esprit de Vérité !

Pierre Lassalle




Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS

[Source : numidia-liberum]

Par Hannibal GENSÉRIC

Je recommande aux lecteurs d’utiliser les détails historiques non controversés suivants comme un instrument (plutôt gentil et discret) qui pourrait réveiller ceux qui dorment encore.

Le mot « influenza » (« grippe ») est originaire d’Italie. Le premier enregistrement de cette maladie étrange et inexplicable s’est produit vers l’année 1580. Alors que le phénomène se reproduisait, des observateurs perspicaces ont reconnu qu’il avait tendance à « apparaître » simultanément à plusieurs endroits, parfois sur plusieurs continents. Afin d’expliquer ce fait cognitivement dissonant, les « scientifiques » italiens ont examiné les enregistrements des taches solaires et ont remarqué que les épidémies semblaient toujours coïncider avec des pics d’activité des taches solaires.

abatoir.jpg
Je vois que le vieux « M. Théorie du complot » est de retour.

Ils ont compris que lorsque la surface du soleil (ou CORONA) était la plus active, il y avait des éjections massives du soleil qui se manifestaient comme des manifestations spectaculaires des aurores boréales dans les climats nordiques et qu’il y avait également des effets magnétiques (ou « ondes magnétiques ») du soleil qui frappent la terre avec une intensité inhabituelle à ces moments là.

Ainsi le mot « INFLUENZA » est devenu le nom de cette maladie, « Influenza » étant l’abréviation de « Influenza delle stelle »… INFLUENCE DES ÉTOILES.

Ainsi, au début des années 1600, les scientifiques européens avaient découvert que la cause de la maladie désormais connue sous le nom de « influenza » était l’effet d’ondes magnétiques inhabituelles affectant le corps humain.

Ce récit sur la « flu » a été accepté tout au long des années 1700 et 1800. Il y a eu de multiples références aux maladies provoquées par la prolifération des communications télégraphiques et l’installation de réseaux électriques CA (Courant alternatif) dans les villes américaines. Certains des effets signalés étaient très graves pour les personnes atteintes : apathie, perte d’énergie, dépression, maux de tête et bien plus.

Le récit de causalité « électrique/magnétique » a continué comme modèle pour expliquer les symptômes de la « grippe » jusque vers 1920 et la catastrophe mondiale de 1918/19 qui était « la grippe espagnole ».

LA GRIPPE ESPAGNOLE

Encore une fois, cette maladie s’est propagée si rapidement que les scientifiques n’ont pas pu expliquer le taux de contagion par transfert de particules entre humains, mais c’est la DEUXIÈME VAGUE de la grippe espagnole qui a tué des dizaines de millions de personnes à travers le monde.

Le Chirurgien général américain a ordonné une série d’enquêtes sur la nature de cette contagion désastreuse. Une telle série d’expériences a été menée en utilisant 100 volontaires sains de l’US Navy en les mettant en contact étroit et contrôlé avec des patients souffrant de la maladie. Un certain nombre de tests ont été effectués à plusieurs reprises. Du sang a été extrait des malades et injecté aux volontaires. Les patients ont craché dans des plateaux et les personnes non infectées ont bu leurs expectorations. Les patients ont éternué et toussé tandis que les volontaires, nez à nez, ont inhalé les gouttelettes éjectées aussi profondément que possible.

Les médecins ont découvert, à la stupéfaction de beaucoup, qu’AUCUN DES BÉNÉVOLES N’A ÉTÉ MALADE.

Cette « grippe » NE POURRAIT PAS ÊTRE TRANSFÉRÉE D’UNE PERSONNE À UNE AUTRE.
CETTE GRIPPE N’ÉTAIT PAS CONTAGIEUSE.

De nombreux scientifiques et penseurs de l’époque, comme Rudolf Steiner, ont déclaré que la « contagion » apparente était le résultat d’une exposition simultanée aux nouvelles ONDES RADIO (fréquences électromagnétiques) qui étaient diffusées pour la première fois dans presque le monde entier.

Étant donné que 50 millions de personnes sont mortes, l’électricité COMME CAUSE POTENTIELLE DE DÉCÈS n’était pas une idée que nos dirigeants financiers/politiques pouvaient faire croire au grand public. Cette prise de conscience a été exclue du domaine public et le faux récit du « virus » a été inventé pour expliquer « la grippe ».

Si le public avait été autorisé à penser que les installations électriques et le rayonnement de celles-ci pouvaient les tuer, alors tout le XXe siècle n’aurait pas pu se produire. Tous les plans de développement, d’industrialisation et de bénéfices des entreprises dépendaient de l’électricité. L’establishment avait besoin d’une autre histoire.

Les dirigeants l’ont compris.

Le récit du « virus » reflète exactement le récit du « nouveau Champs ÉlectroMagnétiques (CEM) » comme cause de la grippe.

Un virus continue de muter. Nos corps s’adaptent à l’ancienne fréquence virus/CEM et nous sommes alors OK jusqu’à ce qu’une nouvelle mutation/nouvelle fréquence arrive.

Les gens doivent savoir que :

1) Comme l’affirme la Nouvelle Médecine Allemande (NMA) depuis les années 1980, aucun virus n’a jamais été isolé ou purifié à partir de tissus humains… bien qu’il soit facile de le faire avec des virus trouvés sur des algues, par exemple. NMA dit que le « modèle viral » de la maladie est un non-sens fictif. Après avoir lu deux des publications de la NMA sur ce sujet, il est impossible d’être en désaccord.

[Voir les articles liés à Stefan Lanka
dans le dossier Vaccins et virus.]

2) Les maladies « électriques » (comme la grippe) semblent affecter très gravement certaines personnes et d’autres à peine.

Pendant la grippe espagnole, il a été constaté que les pires symptômes se manifestaient chez les jeunes en bonne santé âgés de 20 à 35 ans environ. Ils ne mouraient souvent pas, mais ils souffraient le plus. J’ai remarqué ce même phénomène lors de la récente période de la grippe COVID. Les jeunes adultes ont eu le pire des symptômes. Ce sont eux qui ont perdu leur sens du goût et de l’odorat, par exemple, et ont été alités à cause d’une forte fièvre. À tel point que, au début des années 1920, un médecin écrit un article de journal se demandant publiquement si ses conseils aux patients de « se maintenir en bonne santé » pouvaient être de mauvais conseils étant donné que la santé vous rend plus vulnérable aux souffrances extrêmes de cette maladie.

3) Le fait que certains n’étaient pas vulnérables à la grippe (est-ce que quelqu’un a remarqué au cours de la soi-disant pandémie de cette année qu’une personne dans une famille pourrait être durement touchée par la maladie alors qu’un frère ou un parent dans la même maison ne l’a pas attrapée du tout ?)… Cela a permis aux puissants, utilisant Sigmund Freud comme porte-parole, de déclarer que, parce que seuls certains étaient touchés, alors toutes les allégations de « maladies électriques » ont des causes purement psychologiques. Ce sont des maladies de l’imagination, hypnotiquement auto-induites… elles n’ont aucun fondement dans la réalité physique.

…. Et nous sommes ici aujourd’hui, agissant collectivement comme si la proximité de notre voisin pouvait nous mettre en péril mortel.

Il n’y a pas de débat sur le bon sens de cette approche (même si une telle contagion était une réalité, cette stratégie pour faire face à la maladie est stupide). Il n’y a aucun débat autorisé concernant une éventuelle causalité des CEM à la récente pandémie.

… même si de nombreux experts, dont Barry Trower, ont clairement décrit les terribles dangers de la construction du nouveau système autour de nous au moment où nous parlons.

… même si nous savons que les fréquences et intensités diffusées par les nouveaux mâts sont contrôlées par ordinateur et que nous pouvons être zappés par les fréquences ou intensités choisies que nos dirigeants choisissent d’utiliser. Les compagnies de téléphone ont achevé leurs recherches sur les effets des signaux diffusés, mais elles refusent de partager les données qu’elles ont glanées des expériences.

La mention même des mâts de téléphonie mobile de nouvelle génération (4G – 5G) est interdite dans le domaine public. Jusqu’à ce que cette question vitale soit débattue librement et équitablement, nous devons nous réserver le droit de croire que l’on nous ment sur tout, que le véritable danger pour notre bonne santé, l’arme qui est utilisée pour nous conduire vers les directions désirées, vise des formations sélectionnées et des intensités de diffusion à partir des nouveaux émetteurs de téléphonie mobile qui ont récemment été érigés au-dessus d’un trottoir très près de votre maison.

Chaque nouvelle fréquence équivaut à un nouveau virus, qui sera étranger à notre corps et notre corps s’adaptera à une nouvelle fréquence de manière normale… et en tombant malade de la « grippe ».

Le connerie COVID-19 est une opération financière.

Nos dirigeants poursuivent un programme et ils ne s’arrêteront pas maintenant.

Quelque chose de terrible va arriver. La maladie récente a provoqué l’hypoxie légère de nombreuses victimes (l’hémoglobine de leur corps n’a pas pu absorber complètement l’oxygène qu’elles ont inhalé). La deuxième vague sera bien pire que la première. La première était une pratique (un « exercice en direct » comme l’appelait Pompeo). Maladie, guerre, effondrement financier, famine… tout est possible… mais quoi qu’il arrive, attendez-vous à ce que ce soit très mauvais.

… nous allons bientôt endurer les heures les plus sombres avant une nouvelle et merveilleuse aube. Nous avons avalé collectivement de nombreux tonneaux de mensonges sataniques toxiques.

Cependant, nous devons être de bon cœur, car bientôt nous connaîtrons la vérité et cette vérité libérera le monde entier.

* P.S. Le livre le plus important écrit ce siècle, jusqu’à présent, est sûrement « The Invisible Rainbow » d’Arthur Firstenberg dont la plupart des informations dans l’article ci-dessus ont été tirées [Voir ci-dessous].

Source THE STORY OF INFLUENZA. AN IMPORTANT TALE TO TELL YOUR FRIENDS


L’arc-en-ciel invisible — Une histoire de l’électricité et de la Vie par Arthur Firstenberg

Voici une lecture pour les récalcitrants qui croient encore que seuls les effets thermiques peuvent nuire à la santé. Il s’agit d’un livre écrit par Arthur Firstenberg qui nous plonge dans l’histoire de l’électricité et de la Vie depuis le 18e siècle. Ce livre nous dévoile que les scientifiques connaissent les effets biologiques depuis plus de deux siècles ! L’ingénieur Sosthène Berger a réalisé un résumé en français fort utile de ce livre de 508 pages, dont une bibliographie de 134 pages.

Titre d’origine en anglais : The Invisible Rainbow — A History of Electricity and Life)

Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet, mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des champs électromagnétiques (CEM).

Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner le tabou entourant ce sujet. De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison.

« L’histoire de l’invention et de l’utilisation de l’électricité a souvent été présentée, mais jamais du point de vue environnemental. La présomption de sécurité et la conviction que l’électricité n’a rien à voir avec la vie sont maintenant si profondément ancrées dans le psychisme humain que de nouvelles recherches et des témoignages de ceux qui sont blessés par les CEM ne suffisent pas à changer le cours que la société a mis en place, » explique la quatrième de couverture de son livre. Deux mondes de plus en plus isolés — l’un habité par la majorité, qui embrassent les nouvelles technologies sans fil sans remise en question, et l’autre habité par une minorité croissante qui lutte pour la survie dans un environnement pollué par électricité — ne parlent même plus la même langue. Dans The Invisible Rainbow, Arthur Firstenberg relie ces deux mondes. Dans une histoire rigoureusement scientifique, mais facile à lire, il fournit une réponse surprenante à la question suivante : comment l’électricité peut-elle être soudainement nuisible aujourd’hui quand elle était sûre pendant des siècles ? »

Son ouvrage est des plus instructifs.
On y apprend notamment :

  • que les biométéorologues savent que 30 % de la population est sensible aux changements dans l’électricité climatique et que cette sensibilité est documentée depuis 5 000 ans ;
  • que les aiguilles de l’acupuncteur conduiraient l’électricité atmosphérique pour stimuler les méridiens ;
  • que les effets secondaires de l’électrothérapie (confusion, étourdissements, maux de tête, nausée, faiblesse, fatigue, palpitations cardiaques, saignements de nez, etc.) sont attestés depuis le 18e siècle ;
  • qu’à force de s’exposer à répétition à l’électricité statique, Benjamin Franklin avait développé une douloureuse électrohypersensibilité ;
  • que le diagnostic de l’anxiété est apparu en 1866 alors que les fils de télégraphe faisaient le tour du globe, que les premières épidémies d’influenza sont survenues en 1889 après l’invention du courant alternatif qui transforma le statut du diabète, des cardiopathies et du cancer de maladie rare à courante ;
  • que chez certaines personnes les tremblements de terre causent les mêmes symptômes associés à l’électrification, rapportait le physicien britannique William Stukeley en 1749 ; 
  • que 12 % des gens peuvent entendre les faibles courants électriques, affirmait l’otologiste Auguste Morel en 1892 ;
  • que 80 % des patients électrosensibles du médecin Gad Sulman, directeur de l’unité de bioclimatologie du centre médical de l’Université Hadassah, à Jérusalem, prédisaient les changements de météo de 12 à 48 heures à l’avance, car les ions atmosphériques modifient la production cérébrale de sérotonine, neurotransmetteur responsable de l’humeur. « Nous causons une grave injustice aux patients électrosensibles en les traitant comme des patients psychiatriques », écrivait-il en 1980 dans son livre The Effects of Air Ionization, Electric Fields, Atmospherics and Other Electric Phenomena on Man and Animal (Charles C. Thomas, Springfield, III, 1980, 400 p.) ;
  • que la neurasthénie (faiblesse nerveuse), nommée en 1869 par le neurologue George Miller Beard qui collabora avec Edison dans sa découverte de l’électricité de haute fréquence, fut rebaptisée « névrose d’angoisse » par Sigmund Freud en 1895 ; or les Russes ont rejeté cette redéfinition : la neurasthénie, encore un des diagnostics les plus répandus en Asie, est due à une toxicité chimique et électromagnétique chronique. Elle a atteint des proportions épidémiques depuis l’électrification survenue dans les années 1880 et ce déséquilibre nerveux est un des premiers symptômes de la « maladie des micro-ondes » découverte par les Russes en 1930 ;
  • qu’un cellulaire, qui peut à la longue notamment provoquer des acouphènes, dépose 360 joules d’énergie dans un cerveau par heure d’exposition, comparativement à 150 joules pour la pile électrique avec laquelle Volta provoquait une sensation auditive en la rattachant à une oreille avec des électrodes ;
  • que les animaux et les plantes sont aussi sensibles que nous aux CEM et que de très faibles courants électriques altèrent leur croissance et leur fonctionnement.

Pour en savoir davantage, lire l’historique de l’électrohypersensibilité publiée par Firstenberg sur son site cellphonetaskforce.org. Il y raconte que dans les années 1950, plusieurs cliniques furent ouvertes dans les pays du pacte de Varsovie pour traiter les cas de maladie des micro-ondes qui happa des milliers de travailleurs exposés à des micro-ondes.

VOIR AUSSI :




Linky : les électrosensibles gagnent leur procès contre Enedis

[Source : Nexus]

[Illustration : AStoKo sur Pixabay]

Le distributeur d’électricité Enedis a annulé son pourvoi en cassation qui faisait suite à la condamnation par la cour d’appel de Bordeaux à « dépolluer » l’électricité de treize plaignants.

Après plusieurs revers devant les tribunaux, Enedis avait prévu de se pourvoir en cassation. Mais en janvier 2022, l’entreprise a préféré éviter ce dernier recours. Une victoire symbolique pour les électrosensibles. 

◆ Des troubles reconnus par l’Anses 

L’électrosensibilité (EHS) est le nouveau mal de notre société ultra-connectée. Elle se caractérise par une intolérance plus ou moins sévère aux champs électromagnétiques. Maux de tête, réveil en pleine nuit avec impossibilité de se rendormir, stress intense, dépression, maux de ventre, raideur dans la nuque, tous peuvent être causés par de l’électrosensibilité. L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) estime qu’aujourd’hui en France, environ 5 % de la population serait électrosensible, soit quelque 3 350 000 personnes.

◆ Une victoire décisive

En mars 2019, un collectif anti-Linky, composé de 206 plaignants, a porté plainte contre Enedis et son compteur connecté Linky. Ils accusaient l’appareil de représenter un danger pour la santé des utilisateurs et reprochaient à Enedis d’avoir installé les compteurs sans leur autorisation. Le tribunal de grande instance (TGI) de Bordeaux avait reconnu un préjudice pour treize des plaignants, qui avaient, certificats médicaux à l’appui, prouvé leur électrosensibilité. Le distributeur d’électricité Enedis avait été condamné à « dépolluer » l’électricité de treize victimes dans les plus brefs délais, sous peine de devoir leur verser 500 euros par jour de retard. L’entreprise avait fait appel puis avait saisi la Cour de cassation, avant de finalement retirer son pourvoi, ce qui signifie la victoire des plaignants.

◆ Robin des toits en soutien

L’association Robin des toits, qui milite contre les ondes émanant des appareils du quotidien, a soutenu les plaignants moralement et financièrement afin qu’ils puissent aller au bout de leur procédure. Pour Patrice Goyaud, secrétaire de l’association Robin des toits :

« Nous ne pouvons que nous réjouir de cette avancée majeure, laquelle, nous l’espérons, fera date. Toutefois il s’agit d’une victoire d’étape, et nous devons obtenir non seulement la dépollution des logements d’EHS, mais aussi le remplacement de leurs compteurs Linky abusivement installés, par des compteurs non communicants. Par extension, ces mesures devraient être applicables à tout usager, même non EHS, qui en ferait la demande ».

Étape symbolique dans le combat des personnes atteintes d’EHS, espérons que cette décision de justice fera jurisprudence et qu’elle permettra à d’autres plaignants d’obtenir gain de cause.




5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil

[Source : maisonsaine.ca]

Par : Carol Bedrosian

Publié le 24 août 2021 sur
https://www.spiritofchange.org/5g-the-inconvenient-truths-about-wireless-technology/

Bien que j’aie partagé des articles et des rapports pendant plusieurs années dans Spirit of Change sur les dangers de la technologie 5G, des compteurs intelligents et des téléphones cellulaires, je dois admettre que j’ai également entretenu ma part de scepticisme à ce sujet. Comment les téléphones portables et la mobilité sans fil peuvent-ils être une mauvaise chose ? Cependant, je ressens une profonde compassion pour ceux qui souffrent manifestement d’une agression invisible et inéluctable sous la forme d’une sensibilité aux rayonnements électromagnétiques – les canaris dans la mine de charbon – car la source de leur maladie reste un mystère pour le grand public.

J’ai été choquée de découvrir, en 2017, lorsque ma fille a été opérée pour retirer une tumeur cérébrale derrière son œil/oreille droit, qu’au moins une douzaine de ces méningiomes bénins (la majorité chez de jeunes adultes) étaient retirés chaque semaine dans ce seul hôpital ! Les tumeurs cérébrales n’étaient-elles pas autrefois un diagnostic rare ?

Les rapports selon lesquels les cellulaires provoquent le cancer du cerveau circulent depuis l’apparition des téléphones portables, et avec eux les démentis. La technologie sans fil a apporté une commodité, une communication et une mobilité inégalées dans nos vies. Personne ne veut y renoncer.

En même temps, sa présence dominante a émoussé notre conscience des personnes, des lieux et des choses qui dévoilent le côté sombre de ces appareils. Comme nous le découvrons aujourd’hui, le rayonnement électromagnétique émis par la technologie sans fil nuit à notre santé mentale et physique. Après tout, la connectivité 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 n’est peut-être pas si saine pour les humains, même si le déploiement de la 5G, dont on fait grand cas dans nos vies, est présenté comme la plus rapide, la plus claire et la meilleure super-autoroute de communication qui soit, ce qui est censé être une bonne chose, non ?

Dans les années 40, 50 ou 60, personne ne pouvait imaginer que la cigarette pouvait être mauvaise pour la santé. Les médecins fumaient, les dentistes fumaient, tout le monde fumait ! Ou dans les années 70 que le plomb dans les conduites d’eau, la peinture et l’essence pouvait être dangereux. Mais ils l’étaient. Les gens ont d’abord dû s’informer sur ces problèmes, puis choisir de nouveaux comportements.

C’est exactement ce type de moment décisif qui se présente à nous en ce qui concerne l’utilisation de la technologie sans fil dans nos vies. Devons-nous nous lancer à corps perdu dans la commodité qu’un avenir entièrement connecté peut nous offrir ou y a-t-il des vérités dérangeantes sur la 5G et la technologie sans fil que nous devons d’abord connaître ?

Cecelia (Cece) Doucette a passé huit ans à collecter des fonds pour introduire la technologie sans fil dans des écoles. Puis elle a appris qu’elle était nocive, a enquêté sur la science financée par l’industrie et a aidé les écoles de ses enfants du district scolaire d’Ashland, dans le Massachusetts, à devenir les premières du pays à prendre des mesures de précaution avec la technologie sans fil, en 2015.

Depuis lors, Cece a éduqué, contribué à légiférer et plaidé sans relâche pour mettre en lumière les dangers de la technologie sans fil en exposant les milliers d’études ignorées, les témoignages d’experts et les voix de ceux qui souffrent d’électrohypersensibilité (EHS). Elle a créé l’association Massachusetts for Safe Technology pour rassembler les communautés sur cette question vitale et travaille avec les écoles, les communautés, les municipalités et les corps législatifs pour aborder la question du rayonnement sans fil et de la santé publique.

Elle est également directrice des services éducatifs de l’organisation internationale à but non lucratif Wireless Education, qui propose des programmes de formation en ligne abordables de 30 minutes destinés spécifiquement aux écoles et aux familles, ainsi qu’une formation à la sécurité en entreprise. On a pu la voir sur Genius of WellnessBoston25 News, PBSO’Dwyer’s, EMF Warriors, ainsi que dans les films Generation Zapped et Wi-Fi Refugees.

Alliant ses compétences d’experte en rédaction technique à un dévouement passionné pour motiver les autres, Cece a réussi à mobiliser un mouvement de sensibilisation aux champs électromagnétiques (CEM) dans le discours public et dans les législatures de la Nouvelle-Angleterre. Comme pour le plomb, l’amiante, les cigarettes et les gras trans, nous avons encore le temps de protéger la santé publique, mais seulement si nous identifions dès maintenant la technologie sans fil comme un problème et prenons des mesures pour y remédier.

CAROL BEDROSIAN : Que sont les CEM de RF ? Qu’est-ce que la 5G ?

CECE DOUCETTE : En termes simples, ce sont les champs électromagnétiques de radiofréquence, c’est-à-dire le rayonnement qui émane de tous les appareils de communication sans fil. Certains trouvent qu’il est plus facile d’en parler en termes de rayonnement micro-ondes, ce qui est le cas. Bien que cela peut être surprenant pour ceux qui découvrent ce sujet, lorsque nous regardons ce que l’on appelle le spectre électromagnétique, qui nous montre les ondes et les longueurs d’onde qui transportent nos données dans les deux sens, toute cette technologie sans fil appartient au segment des micro-ondes du spectre électromagnétique. Sans être plus technique que nécessaire, cela montre simplement la vitesse et la longueur des ondes qui nous arrivent. À mesure que l’on monte dans la gamme de la 5G, qui signifie simplement technologie cellulaire de cinquième génération, ces longueurs d’ondes deviennent de plus en plus courtes, de sorte qu’elles nous arrivent sous forme d’impulsions de plus en plus rapides. Ce sont ces impulsions, ou modulations, qui, selon la science, sont vraiment biologiquement destructives.

CAROL BEDROSIAN : De quel genre de science parlez-vous ?

CECE DOUCETTE : Eh bien, peu de gens le savent, mais il y a littéralement des milliers d’études scientifiques publiées et évaluées par des pairs qui montrent un grand danger biologique. Je pense que si nous n’en entendons pas parler, c’est parce qu’il y avait autrefois une cinquantaine de grands médias aux États-Unis, mais que ces dernières années, de nombreuses sources pour les journalistes d’investigation ont été rachetées par les entreprises qui font la promotion de ces produits et infrastructures sans fil toxiques. Nous n’avons donc plus de véritable journalisme d’investigation sur cette question, car nos journalistes et les dirigeants de leurs réseaux ne peuvent pas se permettre de mordre la main qui les nourrit. Mais quand j’ai fouillé un peu, j’ai été complètement stupéfaite de trouver littéralement des milliers d’études évaluées par des pairs qui relient l’impulsion constante de ces rayonnements à des effets à long terme tels que les cancers et les dommages à l’ADN, cette feuille de route pour faire pousser n’importe quoi, des humains aux plantes, aux animaux. Cela ne concerne pas seulement nous, mais toutes les cellules vivantes de notre monde.

La neuropédiatre Dre Martha Herbert, qui a fondé le programme pour l’autisme à l’hôpital général du Massachusetts, a identifié d’énormes corrélations entre ce que nous savons scientifiquement se produire avec cette exposition aux micro-ondes et ce qu’elle voit chez les enfants autistes et les familles dont elle s’occupe. Le TDAH est lié à cela, et nous savons scientifiquement que les rayonnements électromagnétiques sont à la fois neurotoxiques et immunosuppresseurs. Alors que nous vivons maintenant à l’ère de la pandémie de COVID-19, il ne s’agit pas seulement de ce virus. Il s’agit de faire tout ce que nous pouvons en tant qu’individus pour renforcer notre propre système immunitaire et éliminer le rayonnement sans fil.

L’un des impacts à long terme qui a vraiment attiré mon attention, lorsque j’ai commencé à enquêter sur ce sujet vers 2012/2013, c’est lorsque j’ai commencé à lire les études sur la science de la reproduction. Ils ont pris du sperme humain mâle et l’ont exposé à un ordinateur portable avec les antennes allumées, et cela a changé l’ADN. Cela a ralenti la motilité, et cela a causé beaucoup moins de spermatozoïdes viables avec seulement quatre heures d’exposition sans fil. Et nous venions juste de donner à notre plus jeune fille un ordinateur portable pour aller à l’école secondaire. Bien sûr, où l’utilisait-elle, mais juste au-dessus de ses organes reproducteurs. (Voir ces études sur les risques durant la grossesse.)

C’est ce jour-là que j’ai trouvé ma voix et que j’ai commencé à parler à mes écoles. Les effets à long terme mis à part, la science montre également que de nombreuses personnes souffrent actuellement des symptômes du syndrome des micro-ondes, mais qu’elles ne pensent jamais à se demander si cela est lié à l’exposition à leur technologie sans fil. Cette maladie des micro-ondes est également appelée sensibilité électromagnétique ou l’EHS. Pour ceux qui pensent que tout cela est peut-être psychologique, notre propre gouvernement reconnaît déjà les sensibilités électriques par le biais de l’Americans With Disabilities Act, bien qu’il n’offre que peu de protection.

Parmi les symptômes que les gens ressentent en ce moment, parmi les plus importants concernent le sommeil. L’insomnie, les cauchemars, les terreurs nocturnes – rappelez-vous, il s’agit d’une neurotoxine. La science indique que cela affecte notre sommeil aux petites heures de l’obscurité. La glande pinéale dans le cerveau est censée libérer la mélatonine, qui régule notre sommeil. Elle aide également à évacuer les toxines de la journée hors de notre corps, par la circulation sanguine. Ce que la science nous montre, c’est que cette énergie lumineuse sous forme de rayonnement micro-ondes – elle est invisible – continue de pulser toute la nuit, et notre cerveau le perçoit. Le cerveau pense que les lumières sont allumées et qu’il n’y a pas d’obscurité jusqu’au petit matin, alors le cerveau ne libère pas la mélatonine de la glande pinéale. Il y a alors tout un effet en aval qui commence à se produire lorsque nous ne dormons pas bien.

L’une des autres choses que la science a indiquées comme mécanisme de nuisance est ce qu’on appelle l’effet Rouleaux. Je me souviens que lorsque j’étais enfant, j’adorais manger des bonbons appelés Rolos – ces petits chocolats au caramel qui sont empilés les uns sur les autres dans une pochette. Eh bien, c’est un peu ce qui se passe avec notre sang. Chez certaines personnes, lorsqu’elles sont exposées à ces rayonnements de radiofréquence et que l’on observe leur sang au microscope, les globules rouges qui sont censés flotter librement et oxygéner tous nos systèmes biologiques commencent à s’aimanter et à s’agglutiner comme une rangée de Rolos. Une fois que toute cette chaîne de collage s’est mise en place, les globules rouges ne peuvent plus atteindre les endroits qu’ils doivent oxygéner correctement. Il n’est pas étonnant que tant de gens aient des maux de tête, des saignements de nez, des nausées, des vertiges et de l’anxiété.

Un autre effet que nous voyons est dans un cadre médical contrôlé. Nous savons que nous pouvons utiliser cette technologie de rayonnement par radiofréquence d’une manière vraiment positive pour stimuler les cellules souches, pour stimuler la croissance des cellules osseuses. Mais dans le contexte actuel d’omniprésence de l’électrosmog dans notre société, nous n’avons aucun contrôle, nous n’avons aucun répit, à moins que nous ne sachions comment évaluer avec discernement les expositions dans notre environnement et supprimer ou réduire ces expositions. Cela permet à notre corps de faire une pause, en particulier pendant les heures de sommeil ; sinon, nous n’avons jamais la possibilité de récupérer et de réparer certains de ces symptômes – les maux de tête, l’insomnie, les saignements de nez, les nausées, les vertiges.

Le Dr Pal Pacher et certains de ses collègues ont réalisé des études qui montrent que nous avons des membranes dans notre corps, y compris dans notre cerveau, qui sont censées protéger les zones sensibles contre l’entrée des toxines lorsqu’elles sont évacuées du corps par le sang. La science montre que la barrière hémato-encéphalique est censée protéger le cerveau des toxines, mais que lorsque nous sommes exposés à ces micro-ondes à radiofréquence, elles peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique. Lorsque les toxines se déplacent dans notre sang pour sortir du corps, elles peuvent prendre un virage et aller dans les tissus sensibles de notre cerveau.

Avant même la pandémie, l’anxiété et la dépression atteignaient littéralement des proportions épidémiques dans notre pays, en particulier chez les enfants, rien de moins. Et qu’avons-nous fait pendant la pandémie ? Nous avons donné à chaque étudiant, chaque enfant, un appareil sans fil, sans aucune formation sur les technologies sûres. Si nous voyons ces chiffres augmenter, si nous voyons de plus en plus d’enfants souffrir d’anxiété, de dépression, d’attaques de panique et d’idées suicidaires, nous devons vraiment examiner de près ce que nous faisons à nos enfants.

En vieillissant, nos propres capacités cognitives commencent à décliner un peu. La science montre également que l’émission constante de micro-ondes entraîne des déficiences cognitives. Ainsi, à tout âge, nous devons être très prudents et opter pour une technologie sûre. Une technologie sûre, ce n’est pas sorcier. Nous l’avions il y a une dizaine d’années lorsque nous faisions passer tous nos signaux de données par des fils et des câbles.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est dect-1m-uw-m2-large.jpg.
Ce téléphone sans fil émet des pics de densité dépassant 1 million de microwatt par mètre carré alors que l’on ne devrait pas dépaser 10 μW/m2 dans les chambres, selon les valeurs indicatives de l’Institut de baubiologie. 
https://baubiologie.fr/Valeurs-indicatives-en-baubiologie-SBM-2015-pour-les-zones-de-repos.html

Comment réduire son exposition

Cece

Chez moi, par exemple, lorsque je suis tombé sur le pot au rose, je n’avais personne à qui parler. Et je ne voulais certainement pas croire qu’il y avait quelque chose de mal avec le sans fil, alors j’ai tourné en rond pendant quelques mois pendant que je faisais des recherches scientifiques. Mais une fois que j’ai vraiment regardé ce que ces radiations nous faisaient, j’ai trouvé assez de courage pour dire : « Pas chez moi. J’ai une famille et c’est mon travail de la protéger. » L’une des premières choses que j’ai faites a été de regarder tous ces téléphones sans fil – et j’en avais probablement cinq dans toute la maison – parce que j’avais appris que c’était comme votre propre petite tour de téléphonie cellulaire privée qui émettait des pulsations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, toute la journée, toute la nuit. Combien d’entre nous ont ces téléphones sur leur table de nuit avec la station de base qui émet des pulsations toute la nuit ? J’ai fini par les remplacer par des appareils qui se branchent directement sur le téléphone et une prise dans le mur, et vous avez alors une ligne terrestre sûre.

Ensuite, j’ai commencé à examiner notre technologie informatique à la maison. Je suis rédactrice technique et mon outil de travail est mon PC. Heureusement, il était déjà câblé, il passait par un câble Ethernet et était branché dans la prise Ethernet du mur. Et mon imprimante était déjà reliée à mon ordinateur par un autre câble. Il m’a donc suffi d’aller dans les paramètres de l’imprimante et de désactiver toutes les antennes sans fil. Ensuite, je suis descendu dans une boîte que j’avais au sous-sol, où se trouvaient mon ancien clavier et ma vieille souris, et j’ai simplement branché mon ancien clavier et ma vieille souris filaires, et j’avais alors une technologie parfaitement sûre.

À un moment donné, mon ordinateur a dû subir une mise à jour logicielle et un petit signal Wi-Fi s’est affiché sur l’écran de mon ordinateur. Je suis donc allé dans les paramètres de mon ordinateur, j’ai trouvé d’où venait ce symbole sans fil et je l’ai désactivé. C’est un processus en deux étapes. Vous devez tout rebrancher pour le câbler, puis vous devez aller dans votre appareil et désactiver ces antennes sans fil.

Pour les personnes qui repartent à zéro, la première chose à faire est de se rendre à l’endroit où se trouve leur routeur et de regarder à l’arrière de celui-ci. Vous verrez qu’il y a des prises pour les câbles Ethernet ; c’est comme ça que vous commencez. Vous achetez des câbles Ethernet. Vous aurez peut-être besoin d’en acheter un gros et long. Mon routeur se trouve au sous-sol. Avec l’aide d’un électricien, vous ferez donc passer les câbles le long des murs jusqu’aux pièces où vous utilisez la technologie, puis vous installerez une prise dans le mur. Recherchez un câble Ethernet blindé, d’une longueur égale à celle dont vous avez besoin pour atteindre vos appareils. Je dis blindé car une autre forme de champ électromagnétique est l’électricité sale [l’interférence électromagnétique de hautes fréquences transitoires]. Dans nos codes de construction, ici aux États-Unis, lorsque vous construisez un bâtiment commercial, vous devez utiliser un câble Ethernet blindé, mais dans les zones résidentielles, ils ne sont pas obligés d’utiliser des câbles blindés, ce qui est regrettable.

Le blindage signifie qu’il y a une feuille d’aluminium à l’intérieur du câble Ethernet ; la feuille d’aluminium empêche le champ électrique et le champ magnétique de votre électricité et de votre technologie de se répandre dans la pièce. Les personnes sensibles à l’électricité peuvent souvent sentir le champ électromagnétique qui se dégage des fils de leur maison. Si vous achetez un câble Internet, prenez un câble Ethernet blindé.

Hardwire
L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est adaptateur-large.jpg.

Lorsque ma fille est arrivée à l’âge de partir à l’université, en deuxième année, elle a pris un appartement et je lui ai envoyé un kit qui lui permettait de câbler son appartement. Je lui ai envoyé un câble Ethernet de 15 mètres et un boîtier de commutation Ethernet. Elle a branché le long câble Ethernet au boîtier de commutation, puis deux câbles courts, tous deux blindés – un pour son téléphone portable et un pour son ordinateur portable. Vous pouvez acheter ces petits adaptateurs qui vous permettent de câbler votre téléphone portable, votre ordinateur portable, votre tablette ou tout autre appareil que vous utilisez. Je sais que ce n’est pas le colis typique que vous enverriez à votre étudiant, mais j’y ai mis aussi du chocolat.

J’ai dit : « Prends une photo et fais-moi savoir que tu l’as fait. » Elle a fait mieux que moi et a filmé depuis son salon où se trouvait le routeur. Elle m’a montré comment elle avait posé le long câble Ethernet du salon à la chambre en passant par la cuisine et le couloir. Elle m’a ensuite montré comment elle avait branché l’autre extrémité du long câble Ethernet au boîtier de commutation, puis branché les deux câbles courts pour ses appareils. Elle les a ensuite branchés à l’aide de ces petits adaptateurs. Une fois ses appareils câblés, elle s’est branchée sur son téléphone portable et son MacBook et a éteint toutes les antennes.

Quand je lui ai appris ça, elle était au secondaire et, vous savez, elle n’était pas folle d’entendre ça. Quand on a 15 ans, on veut être comme tous les autres enfants, et on ne veut certainement pas être l’enfant de la mère qui découvre que le sans fil est dangereux. Elle était un peu réticente à me suivre pendant que je comprenais tout ça. Mais nous étions là, à câbler son nouvel appartement. Après qu’elle soit allée dans ses paramètres et ait tout éteint, j’ai dit, « Ok, fais quelque chose et regarde si ça marche. » Et elle a dit, « Oh mon dieu, maman, c’est tellement plus rapide que le sans-fil! »

CAROL BEDROSIAN : Comment peut-on câbler un téléphone portable ? Cela ne signifie-t-il pas que vous ne pouvez pas vous éloigner de la prise ?

CECE DOUCETTE : C’est une excellente question, Carol, parce que l’une des choses que nous devons ajuster dans nos esprits est le facteur commodité. En ce moment, je vous parle sur une ligne terrestre. Je ne peux pas me lever et marcher dans toute la maison avec ça, alors j’ai ajusté mon comportement. Avec un téléphone portable, c’est vous qui choisissez : est-ce que je veux m’exposer à des radiations radioélectriques pour le confort de me promener avec, ou est-ce que je veux établir de nouveaux modèles de comportement où, peut-être dans mon salon, j’ai un câble Ethernet relié à l’adaptateur qui va à mon téléphone portable ?

Aujourd’hui, la plupart des activités des enfants sur leur téléphone ne consistent pas à passer des appels téléphoniques. La plupart du temps, ils se connectent à leurs amis et à leurs médias sociaux sur Internet. Et tout ce que vous pouvez faire sur Internet, vous pouvez le faire via une connexion câblée. Ce que vous pouvez également faire avec votre téléphone portable, c’est transférer vos appels vers une ligne terrestre, ou vous pouvez brancher votre téléphone directement et utiliser Internet par le biais d’un câble.

C’est libérateur de ne pas être attaché à son téléphone portable tout le temps. C’est tellement malsain pour notre système nerveux central d’être constamment à l’écoute de ce petit ping qui arrive : quelqu’un vous cherche, il veut quelque chose de vous et il le veut maintenant. Ce n’est pas une façon saine de vivre nos vies. Nous avons été dans cette lune de miel tout-WiFi-tout-le-temps que l’industrie a perpétué. Et maintenant, avec un peu d’éducation, nous pouvons dire : « Hmm, il y a des choix à faire ici. Est-ce que c’est vraiment bon pour moi d’être tout le temps sur un appareil devant un écran, ou sachant ce que je sais maintenant, est-ce que je veux commencer à reprendre ma vie en main et à contrôler ce qui est important pour moi dans ma vie, au lieu d’être tout le temps à l’écoute de cet appareil ? »

Je me rends compte que les dommages causés par les radiations sans fil sortent du champ de vision de la plupart des gens, surtout lorsque vous parlez à des professionnels comme les ingénieurs et les physiciens, même les médecins, les infirmières et les technologues. La plupart d’entre eux ont appris qu’il faut qu’un appareil échauffe vos tissus corporels pour qu’il y ait un risque biologique. C’est parce que lorsque la Commission fédérale des communications (FCC) a fixé les limites d’exposition du public aux rayonnements, elle les a fondées sur ce facteur thermique. Or, la science montre qu’il n’est pas nécessaire d’élever la température du corps pour lui nuire. Ainsi, nous avons ces limites de sécurité d’exposition aux rayonnements qui sont très élevées, et l’industrie peut continuer à produire toutes ces solutions d’infrastructure et ces appareils personnels qui émettent une quantité incroyable de ces impulsions de micro-ondes. Pourtant, la science montre que les dommages biologiques se produisent à des centaines de milliers de fois en dessous de ce que la FCC [ou Santé Canada] autorise comme étant sûr.

Un dossier fédéral a été ouvert en 2012 ou 2013, dans lequel le Government Accountability Office [Bureau de la responsabilité gouvernementale des États-Unis] a indiqué à la FCC que nous devions réévaluer nos limites d’exposition. La FCC a donc ouvert un dossier et les scientifiques, les médecins et le public qui sont tombés malades à cause de cela, ou qui ont perdu des êtres chers à cause des tumeurs cérébrales glioblastomes ou des neurinomes acoustiques ou des cancers de la thyroïde, ou qui souffrent tout simplement au jour le jour de maladies dues aux micro-ondes, ont tous apporté leur témoignage dans ce dossier, littéralement des centaines et des centaines. Ils ont laissé ce dossier ouvert pendant six ans, alors que le public était de plus en plus saturé par ces radiations micro-ondes. Et puis, à la fin de la journée, ils ont fermé leur dossier en 2019, et ont résumé que nous n’avons pas vraiment besoin de changer aucune de ces limites d’exposition aux rayonnements. Une fois que cette décision a été mise dans quelque chose appelé le registre fédéral, elle a été officiellement déposée, et les poursuites ont commencé.

Il y a un groupe incroyable de médecins et de scientifiques à l’Environmental Health Trust. Leur fondatrice, la Dre Devra Davis, est co-lauréate du prix Nobel de la paix en tant que membre du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat. Elle s’occupe du problème du sans fil depuis des années et l’a bien compris. Elle et sa directrice exécutive, Theodora Scarato, ont poursuivi la FCC. Et au même moment, l’association Children’s Health Defense de Robert F. Kennedy Jr. a également poursuivi la FCC pour avoir négligé la science. Ces deux procès ont été combinés en cour fédérale et ils ont imprimé toutes ces preuves scientifiques qui ont été données à la FCC. Il y avait 11 000 pages de témoignages qui ont été remis à trois juges fédéraux dans 27 volumes de classeurs.

Les arguments oraux ont été présentés en janvier 2021 devant ces juges. Après que les personnes poursuivant l’industrie aient présenté leurs arguments oraux, la FCC a présenté les siens. L’un des juges a indiqué qu’il était enclin à se prononcer contre la FCC. Un juge ne dit presque jamais cela pendant les arguments oraux. Il a demandé aux avocats de la FCC quelle diligence raisonnable ils avaient exercée pour arriver à la conclusion que nous n’avions pas besoin de mettre à jour les limites d’exposition du public aux radiations. La FCC a dit que la Food and Drug Administration a dit que ces limites sont bonnes. Le juge a donc demandé quelle diligence raisonnable la FDA avait exercée pour arriver à cette conclusion.

Je pense qu’elle aura du mal à trouver quoi que ce soit, car il y a vingt ans, la FDA a demandé au programme national de toxicologie des États-Unis, qui fait partie des instituts nationaux de la santé, de réaliser une étude pour déterminer si les téléphones portables étaient dangereux. Il y a vingt ans, les téléphones cellulaires utilisaient la technologie 2G et 3G, c’est-à-dire la deuxième et la troisième génération. Pendant deux décennies, ils ont mené cette étude sur des rongeurs, puis ils ont procédé à un examen par les pairs sans précédent de trois jours aux National Institutes of Health avec des experts de renommée mondiale dont la vie est consacrée à l’étude des rayonnements micro-ondes.

À l’issue de cet examen par les pairs de trois jours, le National Toxicology Program (NTP) a rédigé son rapport final, dans lequel il conclut à l’existence de preuves évidentes de tumeurs cancéreuses et de dommages à l’ADN. La preuve évidente est la plus haute des cinq catégories qu’ils peuvent attribuer à une enquête. On pourrait donc se demander si le NTP nous dit qu’il existe des preuves évidentes de tumeurs cancéreuses et de dommages à l’ADN, pourquoi il n’a pas pris cela et ne l’a pas traduit en politique publique pour protéger le public ?

Eh bien, il y a quelqu’un de nouveau à la tête de cette partie de la FDA, et c’est le Dr Jeffrey Shuren. En creusant un peu, on découvre que le Dr Shuren est marié à une femme qui est associée dans un cabinet d’avocats qui représente l’industrie du sans fil. Il y a un énorme conflit d’intérêts avec le Dr Jeffrey Shuren. Ajit Pai, qui était le président de la FCC au moment où cette étude du NTP a été publiée, était un avocat principal de Verizon.

Et son prédécesseur était Tom Wheeler. Tom Wheeler était à la tête de la Cellular Telephone Industry Association, qui a changé de nom pour s’appeler CTIA – la Wireless Association. Et avant cela, il était à la tête de l’association du câble. Dans les années 90, une femme est morte de tumeurs au cerveau, et son mari ou son oncologue est passé à l’émission « Larry King Live » pour décrire son cas unique parce que ses tumeurs se trouvaient sur le côté de son cerveau où elles s’alignaient avec les antennes de son téléphone portable au lieu de se développer quelque part au milieu du cerveau. Lorsque l’affaire a été révélée à « Larry King Live », elle est devenue un cauchemar de relations publiques pour l’industrie du sans fil. [L’affaire, Reynard v. NEC, a ensuite été rejetée en 1995 par la Cour.]

Alors, les leaders de l’industrie se sont levés et ont dit :  « C’est horrible. Nous avons les fonds nécessaires. Laissez-nous faire une étude et voir de quoi il s’agit. » Ils se sont associés à notre gouvernement et ont engagé le Dr George Carlo, qui a mis en place une équipe d’environ 200 scientifiques. Ils ont enquêté pendant deux ans, et à la fin de leur enquête, ils ont rapporté à la direction de l’industrie du sans fil que le téléphone cellulaire avait probablement tué cette femme, et que les enfants sont particulièrement vulnérables parce que leurs systèmes sont encore en développement.

Et à ce moment-là, dans les années 90, plutôt que d’invoquer le principe de précaution, qui nous amènerait à atteindre le niveau le plus bas possible pour tout type de rayonnement, ils ont enterré les conclusions du Dr Carlo. L’homme qui a commandé cette étude n’était autre que Tom Wheeler, qui est devenu des années plus tard le président de la FCC. Donc, nous avons un énorme conflit d’intérêts avec nos agences fédérales dans l’industrie. Et maintenant que l’industrie et ses sociétés mères ont racheté tous nos médias grand public, nous n’entendons plus parler des risques liés aux rayonnements sans fil. Mais il ne faut pas longtemps pour identifier les données scientifiques; elles sont facilement accessibles dès que l’on sait comment les chercher [par exemple, voir Effects categories dans la banque de données https://www.orsaa.org/orsaa-database.html].

Au cours de ce voyage dans le Massachusetts, j’ai eu le privilège d’entrer en contact avec d’autres personnes à travers l’État qui étaient également en train de comprendre cela, et qui avaient peut-être un être cher qui est tombé malade ou quelqu’un dans leur famille qui est mort de tumeurs cérébrales ou d’autres cancers qui se développent avec le temps. Nous avons donc créé une organisation sous l’égide d’un organisme à but non lucratif appelé Massachusetts for Safe Technology. Tout le monde est invité à se rendre sur le site www.ma4safetech.org et à y jeter un coup d’œil. Si vous vous inscrivez sur le site, vous recevrez des notifications lorsque des actions seront entreprises pour aider nos communautés à passer à des technologies sûres.

Au niveau de l’État, nous organisons des réunions avec le corps législatif. Nous avons 11 projets de loi qui sont directement parrainés par les législateurs cette session, et il y en a une poignée d’autres qui ont été introduits par les électeurs. Nous avons des projets de loi visant à former une commission pour réunir les bons esprits au niveau de l’État et enquêter sur cette question. Nous avons un projet de loi qui exigerait que chaque compagnie d’énergie donne aux contribuables le droit de refuser les compteurs intelligents, parce que ces compteurs qu’ils installent sur nos maisons pour l’eau, le gaz, l’électricité et maintenant l’énergie solaire, émettent des radiations dans nos maisons 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Toute personne se trouvant de l’autre côté de ce mur – une femme enceinte, un bébé ou un enfant, une personne âgée ou toute personne dont la santé est compromise – est particulièrement vulnérable.

Tous les autres sont également vulnérables à cette fréquence radio. Mais sans consentement éclairé, ils remplacent ces compteurs sur nos maisons qui avaient des compteurs analogiques sûrs et en état de marche, que les releveurs de compteurs venaient relever tous les mois, pour ensuite faire notre facturation. Nous n’avons pas besoin de ces nouveaux appareils qui émettent des impulsions des milliers de fois par jour; laissons-les émettre des impulsions une fois par mois pour le relevé.

Au lieu de cela, l’industrie fait de la collecte de données. Ils récoltent nos habitudes, et maintenant ils poussent la 5G [ou cinquième génération de technologie cellulaire] et l’Internet des objets pour que chaque produit que nous ramenons à la maison soit équipé d’un émetteur de radiofréquence. Ils récoltent nos données pour capturer nos schémas d’utilisation sur nos appareils personnels privés, ce qui, pour ceux qui se soucient de la vie privée, soulève un énorme drapeau rouge. Mais pour ceux qui se soucient également de notre santé, chaque fois que vous achetez un nouveau téléviseur ou un nouvel appareil ménager, il peut contenir une antenne sans fil. Ou encore, le siège de pot pour l’apprentissage de la propreté de votre enfant, on vous encourage maintenant à y brancher un iPad, pour que votre enfant puisse s’asseoir là, s’entraîner à la propreté et jouer sur un ordinateur qui l’irradie. Si nous voulons de la technologie, nous pouvons avoir toute la technologie que nous voulons, mais elle doit être câblée et ne pas être sans fil.

Nous avons un projet de loi qui existe depuis plusieurs sessions pour que notre ministère de l’Éducation primaire et secondaire commence à protéger les enfants à l’école. Nous avons également témoigné devant le Conseil de l’éducation élémentaire et secondaire à plusieurs reprises. Un jour, je me suis assise avec le commissaire intérimaire et je lui ai demandé : « Est-ce que vous faites quelque chose pour protéger nos enfants ? » Et il a répondu, « Nous attendons les autorités supérieures. » Et j’ai dit : « En fait, j’ai rédigé des fiches d’information sur les CEM avec notre département de la santé publique au niveau de l’État en 2016, et on m’a dit qu’elles seraient diffusées au public dans trois mois. » Nous voici en 2021, cinq ans plus tard, et elles n’ont jamais vu le jour!

Le Dr Joel Moskowitz est le directeur [du Centre de santé familiale et communautaire] de l’École de santé publique de l’Université de Californie à Berkeley, et il a essayé de faire publier cette fiche d’information également. Le département de la santé publique (DSP) n’a pas voulu la lui communiquer, alors il s’est adressé au rédacteur en chef du Boston Globe, qui en a parlé. Ensuite, au lieu de publier les conseils sur les CEM basés sur les faits, le DSP a mis en place une page CEM sur le site Web de l’État sur le contrôle des radiations pointant vers de fausses informations publiées par nos agences fédérales capturées par l’industrie. Plus tôt, le Dr Moskowitz a obtenu que des avocats de Berkeley fassent du travail bénévole pour lui afin de poursuivre le Département de la santé publique de Californie pour qu’il publie une fiche d’information de santé publique similaire, écrite en 2009. Ce procès a eu lieu en décembre 2017 [et il a eu gain de cause, on peut lire cette fiche ici]. Cela aurait dû faire la une des journaux dans le monde entier – les téléphones portables présentent des risques – et si certains médias locaux en Californie ont couvert l’affaire, elle a généralement été étouffée par les grands médias d’entreprise.

CAROL BEDROSIAN : C’est plus qu’un simple risque pour la santé. Il s’agit d’un énorme changement de comportement. Pensez à l’époque où les gens ont dû arrêter de fumer. Le tabagisme faisait partie intégrante de notre culture sociale. Il a fallu beaucoup de temps lorsqu’il a été présenté comme un risque pour la santé avant qu’il ne soit finalement reconnu comme tel et interdit dans certains endroits.

CECE DOUCETTE : C’est un excellent exemple, car nous savions depuis des décennies que fumer était dangereux, et ce n’est qu’en 1964, je crois, que notre directeur des services de santé a finalement tenu une conférence de presse indiquant que nous devions prendre des précautions autour des produits du tabac. C’est une autre question de droit de choisir, mais parce que nous ne donnons pas les faits au public, le public n’a aucune idée.

CAROL BEDROSIAN : Exact. Si les gens avaient cette information, ils seraient peut-être plus motivés pour changer, parce que beaucoup de gens n’aiment pas être esclaves de leurs appareils sans fil, et voudraient reprendre le contrôle de leur vie. Il y aurait plus de motivation.

CECE DOUCETTE : Je pense que beaucoup de gens sentent que quelque chose ne va pas ici, mais comme nous n’entendons que les messages de l’industrie – plus, mieux et plus vite – nous suivons le mouvement. Mais une fois que nous avons la possibilité d’être éduqués, nous pouvons prendre en charge notre propre utilisation.

Mikko Ahonen est docteur en sciences informatiques et un expert finlandais de l’électrosmog.

J’ai eu le privilège d’entrer en contact avec de nombreux scientifiques et médecins de renommée mondiale au cours de ce voyage. En Europe, un couple m’a été présenté, Brett et Lynn West, qui ont commencé à travailler sur cette question et ont reconnu que nous ne pouvons pas régler le problème parce que les gens ne le connaissent pas. Nous avons donc créé un petit organisme à but non lucratif appelé Wireless Education avec l’un des plus grands scientifiques bioélectromagnétiques du monde, le Dr Mikko Ahonen, de Finlande. Nous avons distillé cet énorme volume de science, les risques, ce que font les autres pays et les meilleures pratiques médicales dans des cours qui peuvent être suivis en une demi-heure environ en ligne.

Nous avons un cours pour les écoles et les familles, puis un cours d’initiation à la sécurité pour les entreprises. Après avoir suivi ce petit cours et répondu à quelques questions en cours de route pour renforcer des concepts importants, vous pourrez imprimer un certificat d’achèvement. Il vous permet également d’imprimer une fiche de conseils pratique à la fin du cours, avec des rappels sur les mesures à prendre pour créer un sanctuaire de sommeil à la maison et d’autres rappels de bon sens pour passer à une technologie sûre.

La seule lumière vraiment brillante que nous ayons ici aux États-Unis est venue d’une électrice, Deb Hodgdon, du New Hampshire. Elle s’est jointe à nous pour la projection dans le Massachusetts d’un film primé intitulé Generation Zapped, dans lequel nous entendons des scientifiques et des médecins éminents, ainsi que des personnes qui sont tombées malades à cause des CEM. Deb était tellement reconnaissante de se retrouver avec d’autres personnes pour parler des CEM, car elle en était arrivée à un point où elle était presque sur son lit de mort. Elle avait consulté ses médecins, qui n’arrivaient pas à comprendre ce qui n’allait pas. Elle a payé – comme la plupart des gens finissent par le faire – des milliers de dollars de sa poche pour aller voir des spécialistes qui ne pouvaient pas comprendre d’où venaient tous ces symptômes fous, jusqu’à ce que quelqu’un reconnaisse finalement qu’elle avait des symptômes de la maladie des micro-ondes.

Elle a donc pris toutes les mesures correctives nécessaires et a éliminé les micro-ondes de son espace de vie et de travail. Puis elle a commencé à réinoculer son système et à reconstituer tous les éléments sains qui avaient été épuisés. Lorsque le représentant de son État est venu frapper à sa porte pour demander sa réélection, elle l’a invité chez elle et lui a raconté ce qu’elle avait vécu. Le représentant du New Hampshire, Patrick Abrami, est ingénieur, et les ingénieurs font partie de ces groupes à qui l’on a appris qu’il faut qu’un appareil dégage beaucoup de chaleur pour qu’il y ait des dommages. Elle a partagé avec lui les preuves scientifiques non thermiques qui montrent des dommages, et le représentant Patrick Abrami est retourné en arrière et a réellement fait une plongée en profondeur. Il a commencé à lire la littérature scientifique évaluée par des pairs, au lieu de se contenter des messages que l’industrie lui avait transmis.

Finalement, il a eu ce grand moment de surprise, comme, « Wow, qu’est-ce qu’on fait ici ? », puis il a écrit un projet de loi pour commencer à aborder cette question. Après avoir passé un après-midi à la table de ma cuisine, je l’ai aidé à faire le lien entre les points, et il est revenu en arrière et a renforcé le langage de son projet de loi avec des questions très pointues. Par exemple, pourquoi les petits caractères juridiques de nos appareils nous disent-ils de ne pas les laisser sur notre corps ? Pourquoi la Lloyd’s de Londres, Swiss RE et d’autres grands assureurs ont-ils déjà reconnu qu’il s’agissait d’un risque majeur et ont-ils inclus dans leurs polices des exclusions stipulant qu’ils ne couvriraient pas les dommages causés par les radiofréquences ou les CEM ? Et puis, pourquoi la FCC ignore-t-elle la science au niveau non-thermique ? Et pourquoi autorise-t-elle plus de radiations, cent fois plus de radiations pour notre public, que ne le font certains autres pays ? Et pourquoi personne ne regarde l’effet cumulatif de tout cela ? Qu’arrive-t-il à nos enfants lorsque nous les plaçons dans une salle de classe avec 30 appareils, qui transmettent ces radiations à tous les enfants de la salle, en plus de leurs appareils personnels, de leurs dispositifs portables, et des points d’accès sans fil au plafond ? Personne ne regarde l’effet cumulatif.

Le représentant Abrami a présenté ce projet de loi, et il m’a demandé de venir témoigner avec un certain nombre de résidents du New Hampshire, qui comprenaient cette question. Un biologiste a témoigné pour parler de l’impact environnemental que cela a sur nos oiseaux, nos abeilles et nos plantes. Le Dr Paul Heroux est venu du Canada ; il enseigne l’électromagnétisme à la faculté de médecine de l’Université McGill.

Et puis il y a Frank Clegg. C’est le président retraité de Microsoft Canada. Il a pris l’avion sur son temps et son argent, et il a témoigné. Lorsqu’il a pris sa retraite, il avait suffisamment entendu parler de l’industrie pour savoir qu’il ne fallait pas avoir de sans-fil chez lui, mais il ne comprenait pas vraiment ce que cela signifiait. Il a donc commencé à rencontrer des scientifiques et des médecins de renommée mondiale et, à son retour, il a déclaré :  » Nos limites de rayonnement au Canada et aux États-Unis, ici en Amérique du Nord, ne sont pas sûres.  » Frank Clegg a formé Canadians For Safe Technology, et il est allé au Parlement pour essayer de faire ce que nous faisons ici aux États-Unis, c’est-à-dire obtenir une politique publique qui place les profits des entreprises derrière la santé publique. Parce qu’à l’heure actuelle, ce sont les profits des entreprises qui dominent ; ce qui se passe dans le domaine de la santé publique n’est même pas pris en compte.

CAROL BEDROSIAN : Vous avez mentionné que la 5G a une longueur d’onde plus courte. Ce que nous voyons avec l’installation de la 5G, c’est que les tours sont situées dans des quartiers résidentiels et qu’elles sont plus nombreuses. Pourquoi ont-elles besoin d’être aussi proches ? Est-ce que cela a quelque chose à voir avec les longueurs d’onde courtes ?

CECE DOUCETTE : La façon dont l’industrie conçoit la 5G, qui, soit dit en passant, n’a pas encore été définie techniquement – chaque fournisseur de services sans fil propose sa propre façon de faire – n’a pas encore été normalisée. Ils se contentent de la mettre en avant et de la vendre à tout va pour que tout le monde soit convaincu que la 5G est une excellente chose.

5G signifie simplement cinquième génération, mais il ne s’agit pas seulement d’une suite à la 3G et à la 4G. En fait, nous avons toujours besoin de la 4G parce qu’elle possède les grandes longueurs d’onde qui peuvent traverser un bâtiment et se connecter à vos appareils à l’intérieur. Toute cette infrastructure cellulaire que nous avons déjà, avec ces grandes antennes sur les tours cellulaires appelées antennes macrocellulaires qui ont commencé dans les parcs industriels à 300 pieds dans les airs, au fil des ans, nous les avons vues empiéter de plus en plus près de nos lieux de vie, de travail, de loisirs et d’études (et si vous pouvez la peindre de la même couleur qu’un bâtiment, ils donneront au propriétaire du bâtiment une ristourne pour installer une antenne juste sur un bâtiment où les gens sont de l’autre côté du mur ou sous les antennes de toit qui tombent malades).

Donc, toute cette infrastructure reste. C’est l’épine dorsale du sans fil, de la 5G. Avec la cinquième génération, tout ce qui reste des ondes, ce sont ces minables petites ondes millimétriques, et elles sont minuscules. L’industrie s’imagine qu’avec toutes ces nouvelles ondes millimétriques, nous serons en mesure de vous offrir des téléchargements plus rapides, un streaming plus rapide et des autoroutes intelligentes et superbes. Mais pour que la 5G fonctionne, ces petites ondes ne peuvent pas aller très loin et elles sont perturbées par tout ce qui se trouve sur leur chemin. Leur solution consiste à installer de nouvelles antennes, des antennes supplémentaires, toutes les deux à douze maisons dans nos quartiers, en bordure de nos voies d’accès publiques. Vous voyez ces choses apparaître sur des poteaux, littéralement juste devant les chambres des gens. Et nous voyons des gens qui tombent malades à cause de ça. Nous voyons des enfants qui tombent malades à cause de cela, et ils restent là à pulser 24/7.

Ce que l’industrie a fait avec la FCC, comme elle l’a dit à nos villes par le biais de nouvelles décisions qu’elle a prises, c’est que vous ne pouvez rien dire, vous ne pouvez rien faire, ça vient et vous n’avez aucun recours juridique – ce qui n’est pas vrai, mais nos villes se laissent faire. Les avocats de la ville ne sont pas des experts en droit des télécommunications. Mais si vous faites appel à un avocat expert en télécommunications, il vous indiquera 20 façons différentes dont votre ville peut renforcer ses règlements municipaux et les codifier afin que vous n’ayez pas à céder lorsque l’industrie arrive avec ces demandes.

Je vais vous donner un exemple ici même, à Burlington, dans le Massachusetts. Il y a environ trois ans, Verizon a déposé une demande pour sept antennes de petites cellules. La ville avait plus de questions que Verizon ne pouvait répondre, alors elle a formé un comité sur les petites cellules, et pendant un an environ, elle a enquêté. En plus de leur avocat, ils ont engagé un conseiller spécial spécialisé dans les télécommunications, afin d’être conseillés sur ce qu’ils pouvaient faire pour protéger leur communauté dans les limites de la loi actuelle.

Burlington a élaboré une politique relative aux petites cellules qui énonce des principes de bon sens, comme le fait que, si cette demande est autorisée, tout ce que l’industrie du sans fil met en place doit être conforme à la loi sur les Américains handicapés. Parce qu’ils appellent ces choses « petites cellules », l’industrie va dire que « c’est juste la taille d’un sac à dos sur un poteau ». Mais ce qu’ils ne vous disent pas, c’est qu’ils sont livrés avec une ou deux boîtes de la taille d’un réfrigérateur qui contiennent des ventilateurs de refroidissement, des batteries de secours et bien d’autres choses encore. Burlington a donc déclaré que l’industrie ne pouvait pas placer cet équipement là où il empêcherait une personne en fauteuil roulant de passer sur un trottoir. Et puis, ils ont dit que sur le plan esthétique, tout ce que vous installez doit s’intégrer à l’environnement.

Mais Burlington a ensuite établi que l’industrie ne peut pas simplement venir dans la communauté avec cet équipement sans fil et s’en aller. S’il approuve une demande d’installation de petites cellules, le fournisseur de services sans fil doit accepter de revenir chaque année et de payer pour faire certifier par un tiers indépendant que l’équipement respecte toujours les limites de la FCC en matière d’exposition du public aux rayonnements. Verizon ne voulait pas créer de précédent en matière de recertification annuelle et a donc retiré ses sept demandes de petites cellules. Nous avons constaté que si les citoyens s’adressent à leurs villes, travaillent avec elles et les orientent dans la bonne direction, et qu’une ville commence à renforcer ses règlements ou à mettre en place une politique, l’industrie s’en va souvent parce qu’elle ne veut pas dépenser l’argent et le temps nécessaires pour lutter contre ce que la ville fait pour se protéger.

Chacun d’entre nous dans nos villes devrait s’exprimer dans nos villes. Nous savons que ce n’est pas une mince affaire, car la plupart d’entre nous ne sont pas des experts en la matière, mais si vous allez sur le site www.americansforresponsibletech.org, ils ont rassemblé toutes les meilleures pratiques de tout le pays. Ils proposent un modèle de règlement que vous pouvez présenter à votre avocat et lui dire : « Écoutez, nous avons un gros problème ici. Et voici comment nous pouvons l’apprendre. Et voici ce que nos règlements doivent être modifiés pour inclure. »

Nous devons avoir des marges de recul afin qu’ils ne puissent pas mettre ces choses juste en face de nos maisons. Les études épidémiologiques qui examinent ce qui se passe réellement dans la société révèlent une augmentation des cancers, des troubles du sommeil, des problèmes neurologiques, de l’anxiété et de la dépression, etc. à moins de 500 mètres ou 1 640 pieds d’une tour de téléphonie cellulaire. Certaines villes précisent dans leurs arrêtés municipaux une distance de 1500 pieds de tout lieu de vie, d’hôpitaux et d’endroits où les enfants jouent. Ici, à Shelburne, dans le Massachusetts, je crois qu’ils ont une marge de recul de 1500 pieds pour les habitations, puis une marge de 3000 pieds pour les écoles.

[NDLR : L’article de maison saine s’arrête ici. Ce qui suit, à part la notice sur Carol Bedrosian, provient directement du site source en anglais]

Mais nous ne devons pas nous sentir vaincus car le sans fil est partout. Nous n’en sommes qu’à un moment donné et nous devons nous éduquer, puis regarder ce que les autres ont fait. Il n’est pas nécessaire de réinventer la roue, mais nous devons tous agir sur ce point, car avec ce procès en cours avec la FCC, l’industrie se déplace encore plus rapidement pour mettre en place son infrastructure sans fil pour la 5G avant qu’on lui dise qu’elle doit la réparer.

De plus, l’industrie a fait une autre manœuvre très habile à la fin du mois de mars. Auparavant, si vous vouliez avoir une antenne parabolique, il s’agissait simplement d’un signal unidirectionnel entre vous et le satellite, et vous pouviez la placer sur votre balcon ou votre toit. Cela était régi par une règle appelée OTARD, la règle du dispositif de réception par voie hertzienne, qui contrôlait ce signal unidirectionnel pour vous donner le signal d’un satellite. Maintenant, l’industrie et la FCC ont changé cette règle, de sorte que vous pouvez maintenant installer un émetteur bidirectionnel ou une antenne cellulaire sur votre propre propriété. En Arizona et au Nevada, des entreprises viennent déjà frapper à votre porte et vous disent : « Hé, nous allons vous offrir la meilleure technologie de pointe si vous nous laissez installer une antenne cellulaire sur votre propriété ». Cette antenne va rayonner et vous saturer, vous, vos proches, vos animaux domestiques, vos pollinisateurs et tous vos voisins, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Et ça n’a même pas besoin de passer par la ville. Ils enlèvent le contrôle local. L’industrie avance à toute allure avant de se faire prendre, il est donc impératif que nous commencions tous à nous renseigner sur ce sujet, puis que nous sortions de notre zone de confort et que nous nous exprimions. Parce que même si vous choisissez de tout câbler chez vous, lorsque votre voisin installe son antenne cellulaire sur son toit, vous serez exposé à courte distance, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Des voix s’élèvent dans tout le pays. Il y a peut-être des groupes déjà formés là où vous êtes. Si vous vous rendez sur le site AmericansForResponsibleTech.org, vous pourrez peut-être simplement rejoindre un groupe qui est déjà en marche. S’il n’y en a pas près de chez vous, ils ont toute une boîte à outils pour vous aider à vous lancer, alors ne vous sentez pas obligé de le faire tout seul.

L’une des plus grandes leçons que j’ai apprises est qu’il ne faut pas se lancer seul. Commencez par informer tous ceux qui vous entourent. Utilisez le film « Generation Zapped » pour organiser une projection dans votre salon ou parlez-en à votre bibliothèque locale. Si votre bibliothèque est abonnée à Kanopy ou Hoopla, ce film fait partie de leur collection, et vous pouvez le regarder gratuitement par l’intermédiaire de votre bibliothèque locale. Demandez peut-être à votre bibliothèque d’organiser une projection et de sensibiliser les membres de votre communauté par la même occasion.

Une fois que vous aurez constitué un groupe de personnes désireuses de garantir la sécurité des technologies, adressez-vous aux conseils municipaux de zonage et d’urbanisme, aux conseils de sélection, aux conseils municipaux et à votre avocat local, mais ne faites pas cavalier seul, car une seule voix peut être très facilement écartée. Une fois que vous avez réuni un groupe de personnes qui ont fait leurs devoirs et qui comprennent vraiment que ce problème doit être abordé, parlez à vos écoles. Commencez à protéger les écoles en vous rendant sur TechSafeSchools.org, utilisez leur boîte à outils et entamez la conversation, car l’industrie a dit à nos écoles que nos enfants devaient posséder cette technologie pour réussir dans la vie.

C’est absolument faux. Le New York Times a publié un article sur les dirigeants de la Silicon Valley et a révélé qu’ils envoyaient leurs enfants dans des écoles sans technologie. En fait, ils font signer à leurs nounous des contrats stipulant qu’il n’y aura pas de technologie ni d’écrans autour de leurs enfants parce qu’ils savent le mal qu’ils font. Les enfants peuvent certainement utiliser la technologie, mais elle ne devrait pas être au cœur de la manière dont nous enseignons à nos enfants. Ils apprennent mieux de leurs enseignants, par le biais d’interactions interpersonnelles humaines, de leur environnement naturel et de leurs pairs, et non d’un écran.

CAROL BEDROSIAN : Quel est le statut de la législation dans le New Hampshire ?

En effet, à l’heure actuelle, l’industrie fait passer la fibre optique à haut débit le long de la route, ce qui est formidable, puis, au lieu de l’amener jusqu’au bâtiment et de la câbler, elle s’arrête sur le trottoir et installe toutes ces petites antennes sans fil bon marché et rapides à installer qui sont très, très nuisibles à toutes les cellules vivantes.

Les symptômes du mal des micro-ondes ou de la sensibilité aux CEM sont les suivants :
Maux de tête
Insomnie
Cauchemars
Saignements de nez
Vertiges
Anxiété
Nausées
Dépression
Douleurs fulgurantes
Bourdonnement dans les oreilles
Fatigue excessive
Altération du rythme cardiaque
Pertes de mémoire
Problèmes d’équilibre
Problèmes de concentration
Problèmes d’apprentissage
Irritation des yeux

CAROL BEDROSIAN : Quels sont les symptômes du mal des micro-ondes ?

CECE DOUCETTE : Les premiers symptômes se présentent souvent sous la forme d’une insomnie à sommeil irrégulier, pour certaines personnes ce sont des cauchemars ou des terreurs nocturnes. Un autre symptôme important est celui des maux de tête lancinants et brûlants, souvent des migraines que les gens n’arrivent pas à comprendre. Les saignements de nez sont fréquents, parfois les saignements d’oreille, et puis il y a des douleurs dans tout le corps de sources non identifiées. Les nausées sont fréquentes. Il y a aussi des vertiges, de l’anxiété et de la dépression. Un couple de New York m’a contacté. Ils avaient tous deux trouvé un emploi à New York, et un ami qui vivait au dernier étage d’un immeuble leur a proposé de leur donner une chambre pour dormir jusqu’à ce qu’ils s’installent. Une fois sur place, ils ont commencé à être très malades et à se sentir très anxieux et déprimés. Il s’est avéré qu’il y avait des antennes de téléphonie mobile juste sur le toit.

Le public doit se lever, s’exprimer et forcer un changement, car si rien ne change dans notre comportement, rien ne change au niveau politique. Donc oui, ce sont des symptômes très communs que les gens ressentent aujourd’hui. Et la bonne nouvelle, c’est que pour beaucoup de gens, juste en lisant cette interview, ils pourraient décider de tenter leur chance et de tout éteindre la nuit. Les gens me disent : « Je ne voulais pas y croire. Je ne voulais pas en entendre parler ou en savoir plus, mais j’ai reconnu certains de ces symptômes. » Et ils reviennent et disent : « Wow, ce mal de tête que j’avais a disparu », ou « Oh mon dieu, j’ai recommencé à dormir toute la nuit », ou « Les problèmes de comportement de mon enfant se sont calmés ».

Les médecins nous disent qu’avec une désintoxication numérique de deux semaines, ne serait-ce qu’en commençant par la nuit, certains enfants autistes qui connaissent des mutations de novo – ce qui signifie que cela ne vient pas de la génétique de maman ou papa, mais d’une manière ou d’une autre de l’environnement – que même les enfants qui n’avaient pas été verbaux, après quelques semaines de nettoyage du bombardement constant de radiofréquences, pouvaient se connecter.

Le Dr Toril Jelter donne l’exemple d’une famille dont elle s’occupe et qui a procédé à une désintoxication numérique. Après quelques semaines, ce petit garçon regarde sa mère et lui dit : « Maman, tu peux me passer ce… ? ». Elle n’avait jamais entendu sa voix auparavant, et lui non plus, et le voilà qui sort des phrases complètes. Ils ont tous été époustouflés par le fait qu’en supprimant simplement l’exposition aux radiations, on donne à notre corps une chance de se réparer, et à l’ADN des enfants de se réparer et de se régénérer, et de faire ce que notre corps est censé faire. Certaines personnes ont la chance de voir leurs symptômes s’atténuer parallèlement à l’élimination des radiations.

Il y a beaucoup d’espoir. Aussi lugubre que cela puisse paraître, je dis toujours aux gens qu’ils ont certainement le droit de paniquer pendant 10 minutes en commençant à remarquer où se trouvent toutes les expositions dans nos vies. Puis on revient en arrière et on apprend à remédier à celles sur lesquelles on a un contrôle. Pour les plus grandes expositions dans l’environnement, comme les compteurs intelligents, les petites et les grandes cellules, commençons à utiliser nos voix ensemble. Il y a déjà tellement de choses en mouvement que vous n’avez pas besoin de recommencer à zéro, mais vous devez trouver le courage de vous exprimer, car personne d’autre que vous ne va régler le problème dans votre ville. Rejoignez-nous au Massachusetts for Safe Technology et nous vous aiderons à démarrer.

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Cece Doucette peut être contactée par le biais de Massachusetts for Safe Technology, www.ma4safetech.org.

Carol Bedrosian est l’éditrice du magazine Spirit of Change. www.spiritofchange.org.

Carol Bedrosian

Carol Bedrosian

Carol est éditrice, rédactrice en chef et cofondatrice de Spirit of Change, le plus grand magazine gratuit sur la vie holistique de la Nouvelle-Angleterre, avec plus de 100 000 lecteurs. Elle la lancé ce semestriel en 1987 avec des amis et il est écrit par des professionnels de la santé holistique, de la spiritualité, de la croissance personnelle, de la vie verte et de la transformation planétaire.




RENCONTRES REMARQUABLES 2 : LES ENFANTS

[Source : ACMÉ]

https://youtu.be/DQuN0NFEcD8

Vendredi 25 Février 22

Projection du film : « ICARE OU LA PULSION OCEANIQUE » avec le psychanalyste Willy Barral

(La question du suicide des enfants)

Rencontre avec le Pr Daniel Favre

L’Education, deux pédagogies se confrontent

Rencontre avec le Dre Antonella Verdiani

La question de la mort chez les enfants

Rencontre avec Abdennour Bidar

« Pour une école tisserande » ?

Samedi 26 février 22

Projection du film : « ENFANTS HYPERSENSIBLES, UN PRESENT POUR L’AVENIR »  de Nathalie Brochard

Emmanuel Bily, Christian Budex, Ilda Coppa, Dre Barbara Demeinex, Philippe Guillemant, Marion Kaplan, Dr Claude Lagarde, Frédéric Lenoir, Dre Fanny Nusbaum, Jean-Jacques Pignou, Blandine Pivan, Dr Dominic Sappey-Marinier,Jeanne Siaud-Facchin, Dr Claude Touzet, Marc Vella, Dr François Vialatte, Dre Jacqueline Warnet.

Rencontre avec Nathalie Brochard

L’hypersensibilité, génétique & Epigénétique !

Rencontre avec Jeanne Siaud-Facchin

Demain commence aujourd’hui, les enfants d’abord !

Rencontre avec Thomas d’Ansembourg, psychothérapeute

Notre façon d’être adulte fait-elle sens et envie pour les jeunes ?

Dimanche 27 février 22

Projection du film : « MUSIQUE & THERAPIE avec Marc Vella

Rencontre avec Marc Vella, pianiste, compositeur

Parents, enfants, chacun fait du mieux possible !

Rencontre avec Cathy Masseus-Vella, psychologue clinicienne, musicothérapeute

A la Rencontre de son enfant intérieur

Rencontre avec Isabelle Filliozat, psychothérapeute

La parentalité positive, un chemin d’apprentissage

Lundi 28 février 22

Projection du film : « LES SACRIFIES DES ONDES ». Une enquête de Maxence Layet

Avec la participation de : Pr Dominique Belpomme, Dr Jean-Paul Biberian, Dr Gérard Dieuzaide, Me Richard Forget, Dr Philippe Lebar, Pr Luc Montagnier, Dre Annie Sasco, Dr Pierre Souvet

Rencontre avec Maxence Layet, journaliste scientifique

Enfants :  exposition précoce et croissante aux miroirs du numérique

Projection du film : « LA NOUVELLE BIOLOGIE CELLULAIRE » par le Dr Bruce H. Lipton

Mardi 1er mars 22

Projection du film: « LA ROUTE DE LA CONSCIENCE » avec Philippe Guillemant   

Rencontre avec Philippe Guillemant, ingénieur physicien, chercheur CNRS

L’intelligence émotionnelle et le développement de l’intuition au regard d’un physicien.

TABLE RONDE : Rencontre avec Philippe Guillemant et Claude Touzet, Maître de conférence en SCIENCES COGNITIVES et Olivier Barbarroux, professeur de philosophie

Echange : Conjuguer l’intuition au présent et au futur

Projection du film :  » DE LA PSYCHOLOGIE A LA SPIRITUALITÉ  »  avec Thierry Janssen

Rencontre avec Thierry Janssen, psychothérapeute

« Sagesse et justesse. Aider nos enfants à avoir une vie intérieure.» 

Mercredi 2 mars 22

Projection du film :  » CROQUE LA VIE » avec Marion Kaplan

Rencontre avec Marion Kaplan, bionutritionniste

 » La nutrition & les émotions »

Rencontre avec le Dre Jacqueline Warnet, hépato-gastroentérologue

« L’intestin, notre deuxième cerveau »

Projection du film :  » VOYAGE AU COEUR DES FLEURS DE BACH » Avec  Dominick Léaud-Zachoval – Co-réalisation Ulrich Rampp

Projection du film :  »  SE SOIGNER AU QUOTIDIEN AVEC LES HUILES ESSENTIELLES » –
Conférence avec le Dr Dominique Baudoux

Jeudi 3 mars 22

Projection du film : « FREQUENCES ELECTROMAGNETIQUES DE L’ADN avec le
Pr Luc Montagnier. En mémoire du Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine.

Projection du film : « ENTRETIENS avec Willy Barral « 

Rencontre avec le Pr Christopher Exleychimiste bioinorganique

Autisme, l’impact de l’aluminium

Rencontre avec Alexandra Oakley, Présidente de Optim’Autime

Autisme : Raun Kaufmann, autiste, témoigne d’une approche d’accompagnement.

Rencontre avec Sonia Delahaigue

La Maltraitance chez les enfants

Vendredi 4 mars 22

Rencontre avec Frédéric Lenoir, philosophe, sociologue

« Enfant, sujet ou objet ? »

Rencontre avec le Dr Boris Cyrulnik

Les 1000 premiers jours de l’enfant

Projection du film : Les étapes du développement de l’enfant et de l’adolescent
avec Nathalie Brochard

Samedi 5 mars 22

Projection du film : « Cancer, BUSINESS MORTEL » avec les docteurs
Nicole & Gérard Delépine

AVEC LA PARTICIPATION DE : Zana et Damien Adzic, Dre Salwa Alkhallaf, Mathilde et Romain Antoine, Dr Francois Bachelot, Laurent Baffie, Medhi Balamane, Kamel Bechir, Naïma Bentahar, Djémila Boucenna, Marc Borand, Orlane Bretonniere, Ali Chaib, Coralie Corbec, Carine Curtet, Dre Hélène Cornille, Dre Nicole Delépine, Dr Gérard Delépine, Dre Eléonore Djikeussi, Christine et Paul-Emmanuel Esquier, Violaine Ferrand, Dr Michaël Finaud, Bernard Frau, Alina Gabor, Dre Olivia Hicks-Garcia, Kimberley-Anne et Marie-France Joseph Julien, Alex Kamara, Jean-Christophe Lagarde, Magalie Lange, Dre Zahia Lankri, Cindy et Logan Leclerc, Virginie et Océane Lingois, Ottman Mansour, Peggy et Guillaume Martinez, Dr Jérôme Marty, Alain, Sophie et Hugo Masset, Christelle Mathillon-Delmarthy, Mohamed Moud-Ari, Pascal Olmeta, Nadia Plazenet, Ileane Radoi, Dr Pierre Sadoul, Sabrina et Llya Serandoure, Jérôme Serapiglia, Christelle Soudé, Astrid Veillon.

Rencontre avec le Dre Nicole Delépine – Pédiatre, oncologue

Effets secondaires du Covid pour les enfants. 

Rencontre avec le Dr Gérard Delépine – Chirurgien orthopédiste, oncologue

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérement ses enfants ? 




La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde

[Source : Sott.net]

Entretien avec Richard Strohman

Par Celia Farber — Substack

Je savais que cette interview était importante, j’en ai régulièrement parlé au fil des années. Aujourd’hui, je considère Richard Strohman comme le George Orwell de la tyrannie génomique naissante.

[Photo : © Robert Holgren
Richard Strohman]

Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité. Mon inquiétude à ce sujet correspond à celle exprimée par William Blake :

« Ce qui semble être, est, à ceux à qui cela semble être, productif des conséquences les plus épouvantables, jusqu’aux tourments, au désespoir, à la mort éternelle. »

Richard Strohman, Professeur émérite — Source

Pour ceux qui ont lu ce [précédent – NdT] article, dans lequel j’ai assimilé le Covid à la biologie luciférienne — vous vous souvenez peut-être que j’ai cité une interview du regretté professeur Richard Strohman, dont je n’avais à l’époque pas donné le lien. Eh bien, je l’ai retrouvée. En la lisant aujourd’hui, les mots et les mises en garde de Strohman sont bien plus saisissants que ce que j’ai été capable de comprendre à l’époque, il y a plus de vingt ans.

C’est toujours l’une des interviews que je chéris le plus.

En préambule à cette interview, je dois dire que j’avais compris, à l’époque, le quoi mais pas le pourquoi. Je savais que les choses étaient très bizarres, et malfaisantes, mais je ne comprenais pas de quelle dimension idéologique tout cela émergeait — à savoir quelle en était l’origine. J’ai fait une mise au point post-facto et ajouté quelques liens et mises à jour. J’espère que vous prendrez le temps de lire les avertissements prophétiques du Dr Strohman sur la génomique technocratique.

Il existe d’ailleurs des personnes qui revendiquent de grands domaines de pensée et qui ont le sens des relations publiques — trop pour citer les géants qui ont tracé les chemins permettant à leurs idées d’exister. C’est la raison pour laquelle je ressens un besoin impérieux de pénétrer dans ma forêt d’anciens géants — tous méconnus — et de leur donner la parole. J’ai été témoin du fait que Kary Mullis [inventeur du test PCR et dissident du VIH] et Peter Duesberg [formulateur de la théorie du cancer de l’aneuploïdie, père de la dissidence du VIH] sont devenus des noms familiers, en dépit de l’existence depuis trente ans d’un dispositif mondial consacré à immoler leur « crédibilité ». Je pense que Richard Strohman devrait être le prochain, tout comme le seront particulièrement des héros scientifiques plus connus tels que Barbara McClintock et Lynn Margulis — dont les travaux ont joué un rôle déterminant dans l’opposition au déterminisme génétique, au réductionnisme biologique et, in fine, au génocide qui ne dit pas son nom.

Une brève note, comme une luciole dans ma mémoire — authentique, mais me croirez-vous ?

En 1988, après avoir réalisé ma première interview avec Peter Duesberg, il m’a demandé de téléphoner à Barbara McClintock. J’avais peut-être 22 ans. Je ne savais pas qui elle était, mais je savais qu’elle était lauréate du prix Nobel. Tout ce dont je me souviens est ceci : une voix très faible au téléphone a dit : « Oui, Peter a raison ».

L’histoire exige des fouilles, du temps, de la patience et, dans certains cas, des miracles.

Je viens de découvrir que Richard Strohman était né le même jour que mon père Barry — le 5 mai — alors je me réjouis que ce soit la fête des pères aujourd’hui.

Bonne fête des pères, Pères, que vous soyez les pères de vos propres enfants, des enfants d’autres hommes ou, d’ailleurs, de formes de pensée, d’animaux, de champs, de tout ce qui exige un dévouement sacrificiel à la protection de la vie biologique [texte récupéré écrit par Celia Farber, 2009, The Truth Barrier, les parties du texte en gras sont de moi, pour l’emphase].

Richard Strohman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à l’université de Californie à Berkeley, est décédé le 4 juillet 2009, à l’âge de 82 ans.

Je me suis sentie profondément reconnaissante du privilège qui m’a été donné d’avoir, à deux reprises, pu m’entretenir avec lui au cours de la dernière décennie de sa vie. Il incarnait l’une des anciennes voix scientifiques les plus poignantes que j’aie jamais rencontrées, dans ce que j’ai fini par nommer la tradition « éplorée » de la science, laquelle contraste avec celle plus révolutionnaire, zélée et lucrative.

Strohman, 2003, sur l’échec et le danger du déterminisme génétique.

De 1973 à 1976, Strohman avait été président du département de zoologie de Berkeley à l’université de Californie, et de 1976 à 1979, directeur du programme de santé et des sciences médicales, toujours à Berkeley. Il étudiait « […] la régulation de la croissance des cellules et des tissus et la différenciation cellulaire en utilisant des approches moléculaires et cellulaires ». Il fut l’un des premiers signataires du Groupe pour la réévaluation scientifique de l’hypothèse du VIH/Sida, et avait qualifié le paradigme du VIH/Sida de « désastreux ».

Après avoir pris sa retraite de Berkeley, il a parcouru le monde pour donner des conférences sur les dangers du déterminisme génétique et du réductionnisme biologique.

En 2000, dans le cadre d’une mission pour le TALK Magazine, j’ai pour la première fois interviewé le professeur Strohman. Le professeur Strohman m’avait été recommandé par Harvey Bialy, alors rédacteur en chef de Nature Bio/Technology, après avoir confié à ce dernier que j’avais été chargé d’une mission étrange, qui semblait exiger un article positif, voire euphorique, sur la « thérapie génique ». J’avais en effet été contacté par un rédacteur en chef pour m’informer du souhait de Tina Brown que j’écrive un article sur le sujet pour le magazine. J’ai décliné l’invitation, parce qu’il existait très peu sinon aucune chance que je puisse le présenter comme étant « de bon augure », mais le rédacteur en chef a insisté.

Pour vous donner une idée de l’engouement de l’époque, lisez cette présentation informative, qui date de 1999 :

Imaginez un monde où une personne pourrait modifier sa structure génétique et réorienter le cours futur de l’évolution chez son enfant et chez elle-même. Grâce à la thérapie génique, c’est une possibilité très réelle. À l’avenir, il pourrait être aussi facile de modifier sa santé physique ou mentale que de se faire vacciner contre la grippe aujourd’hui. Mais les effets de la thérapie génique sont durables et pourraient affecter votre future progéniture ainsi que votre propre santé.

Découverte au milieu des années 1970, la thérapie génique a permis aux chercheurs d’isoler certains gènes de l’ADN. Dans les années 1980, le terme thérapie génique a fait son entrée sur la scène scientifique et a fait avancer la recherche.

La définition de la thérapie génique est la suivante :

« technique dans laquelle les gènes responsables d’un défaut sont eux-mêmes remplacés par des gènes corrects chez le patient afin de guérir une maladie (Macer, 1990). »

[!]

Note du traducteur : La « thérapie génique » est le terme qui a remplacé celui d’eugénisme, lequel devait faire peau neuve après la Seconde Guerre mondiale et le Nazisme, mais son idéologie sous-jacente est restée la même.

En raison de mon déni du VIH (définition de la maladie ici – Hyperlien en français – NdT]), je ne voulais rien avoir à faire avec la « thérapie génique », et ce, même avant d’avoir entendu parler de Jesse Gelsinger.

Qui était Jesse Gelsinger ?

Jesse GelsingerJesse Gelsinger avait 18 ans lorsqu’il s’est porté volontaire pour un essai clinique à Penn State [université en Pennsylvanie – NdT] afin de tester l’effet de la thérapie génique sur un trouble métabolique rare appelé déficience en OTC [le déficit en ornithine transcarbamylase est une maladie héréditaire qui entraîne une accumulation d’ammoniac dans le sang – NdT]. Quelques heures après avoir été perfusé avec des « gènes correcteurs » contenus dans un adénovirus affaibli, Jesse a souffert d’une défaillance de plusieurs organes, et quelques jours plus tard, son sang était presque totalement coagulé, il était boursouflé au point d’être méconnaissable et en état de mort cérébrale — avant d’être débranché.

Sa mort a provoqué un silencieux arrêt brutal des recherches alors en plein essor en thérapie génique. Quand je suis allé à Penn, première étape de ma tournée d’interviews pour l’article du TALK, le responsable des relations publiques m’a confié :

« Je ne sais pas trop quoi vous dire. Nous avons tué un jeune de 18 ans. »

Permettez-moi de souligner :

« Ces mots ont été prononcés par le responsable des relations publiques du centre médical où le meurtre a eu lieu. J’ai également interviewé de manière exhaustive le père endeuillé de Jesse, Paul. Il m’aura fallu attendre 20 ans pour apprendre que non, la thérapie génique ne s’est pas arrêté net, comme le veut le mythe. Au contraire, en 2000, le scientifique qui était chargé de l’essai clinique et qui a, dans son zèle inconsidéré, causé la mort de Jesse, a été discrètement et secrètement financé par une subvention de 29,4 millions de dollars versée par GlaxoSmithKline, pour continuer à travailler sur la thérapie génique — juste après le drame. Vous pouvez lire l’histoire de la « rédemption » du Dr James Wilson et l’histoire de GlaxoSmithKline, ainsi que d’autres histoires de gros sous ici. »

Note du traducteur : Jesse Gelsinger est décédé le 17 septembre 1999. Voir ce lien pour comprendre ce qu’est et ce qu’implique un déficit en ornithine transcarbamylase.

Au fait, quand des gens sont tués dans leurs « essais cliniques », ils ont une expression très précise pour ça : « Leçons apprises ».

La troublante actualité d’alors concernant la thérapie génique auraient pu devenir le nouveau sujet de mon article pour TALK — mais non, ils n’en voulaient pas. Après de nombreuses réécritures et tentatives linguistiques pour ne pas faire de ce drame une chose sans importance, l’article a été enterré.

Lors de la conférence « Repenser le sida » qui s’est tenue à Oakland en 2009, j’ai rencontré le petit-fils de Richard Strohman, Josh Nicholson, et je lui ai dit que j’avais cette interview quelque part, que je la retrouverai, la transcrirai et la publierai. Je lui ai dit que son grand-père était un grand homme.

Je suis également redevable à Harvey Bialy pour m’avoir remis dans le droit chemin, alors que mes éditeurs m’envoyaient dans un abîme abject. Merci encore à Harvey. [La nouvelle m’est parvenue que Harvey Bialy est mort en 2020, mais personne dans mon entourage ne me l’a dit, je ne suis donc pas sûr que cela soit vrai].
© InconnuL’interview avec Richard Strohman, professeur émérite

[Entretien réalisé en 2000 ; l’original a été précédemment publié sur Truth Barrier, 2009].

Q :Je crois savoir que la thérapie génique, en tant que domaine, a connu une crise après la mort de Jesse Gelsinger, mais qu’elle reprend de l’élan…

R : Oui. Le drame a vite été oublié. Notre mémoire de ces choses est si vite dépassée par le battage médiatique suivant sur le tout nouveau gène et le tout nouveau traitement potentiel. Le monde est plein de remèdes potentiels qui n’arrivent jamais.

Q :Vous donnez des conférences sur les interprétations erronées de la médecine génétique, c’est bien cela ?

R : Ma perspective sur ce sujet est un peu plus large. C’est ma nouvelle vocation, examiner les limites du déterminisme génétique, examiner les lacunes de la science que j’ai moi-même pratiquée pendant 30 ans.

J’ai beaucoup travaillé sur la sclérose en plaques, qui est une véritable maladie génétique. Mon point de vue est qu’il existe des maladies génétiques. La thérapie génique est en théorie quelque chose à examiner, mais en même temps nous devons dire qu‘il n’existe pas un seul cas de thérapie génétique qui ait jamais fonctionné avec succès. Pas un seul.

Q :Mais l’autre camp revendique des succès en France, etc.

R : Je ne sais pas où se trouvent les données. Dans les journaux ? Tous ces gens à Penn se sont totalement laissés emportés par leur propre battage médiatique. Il y a toujours, dans ces centres médicaux, un bio-éthicien attitré qui n’est rien d’autre qu’un manipulateur, et dont le rôle est de reconnaître les difficultés et de les expliquer.

Mais ces personnes supposent que la génétique moléculaire peut réellement faire ce qu’elle dit pouvoir faire. Ils nous préparent à ce qu’ils pensent être inévitable. Puis ils affutent leurs patins pour que tout cela avance plus vite.

J’ai été interviewé par la télévision suédoise au sujet de Gelsinger.

La critique qui en est habituellement faite est que si l’on prend un cas simple, l’introduction de gènes dans des plantes, des plantes génétiquement modifiées, où les tests peuvent être effectués sur un grand nombre de personnes sans avoir à se soucier de l’éthique, ce que l’on voit c’est la chose suivante : si on introduit le gène à l’aide d’un vecteur viral et que le vecteur est là parce qu’il — et nous revenons ici à notre vieil ami Peter Duesberg — constitue un puissant facteur, le gène sélectionné sera exprimé à des niveaux qu’il n’atteint jamais dans la Nature, donc… ce robinet d’expression génétique qui est ouvert en permanence pour exprimer la protéine en question est en lui-même un phénomène totalement anormal. Il y a un autre problème. En laboratoire, on constate que le gène est activé [pour rendre la] plante résistante au pesticide. Dans le cadre de cette étroite analyse du succès attendu, on constate que le transfert de gène a réussi, qu’il a été incorporé dans le génome de l’hôte, qu’il est stable, qu’il peut être hérité, et enfin que la protéine pour laquelle le gène code est bien présente, qu’elle est exprimée. Le caractère non naturel tend à disparaître. Les questions qui ne sont pas posées sont les suivantes : Quels sont les autres effets secondaires de ce transfert de gènes ? C’est comme si l’on entrait dans une pièce remplie de gens et que l’on y insérait une opinion qu’ils n’ont jamais entendue auparavant, et que l’on s’attendait à ce qu’elle disparaisse comme si elle n’avait jamais été prononcée. À New York, par exemple. Cela n’arrive jamais. Et ça n’arrive jamais dans ces cellules non plus.

Monsanto sait que tout cela est bien réel. Toutes ces entreprises de technologies agricoles sont conscientes du processus, mais elles choisissent délibérément — et c’est là le profond problème éthique que la science devrait examiner et [qu’elle ignore] — elle choisit en toute connaissance de cause les limites les plus étroites pour estimer qu’il s’agit d’un succès. Il s’agit d’un acte criminel. Et je pense que la FDA y adhère.

Lorsque l’on doit utiliser ces méthodes en laboratoire, et appliquer vos critères de réussite, puis prendre ces mêmes critères de réussite et les appliquer aux biens et services qui sortent du laboratoire et qui se retrouvent sur des milliers d’hectares de terres cultivées ou dans les organismes des jeunes hommes hospitalisés à Philadelphie, ces critères étroits sont dépassés par les réalités du monde réelCe qui se produit ici est un acte criminel entièrement imputable à l’impudence de ces scientifiques et à leur ignorance de la complexité biologique. Pour eux, rien de mieux ne peut en être dit, en raison du fait que la majorité d’entre eux sont conscients des mesures qui pourraient être effectuées pour vérifier tout cela, mais qui sont trop coûteuses à réaliser.

Ces personnes ne veulent pas que la FDA approuve un quelconque inventaire de ces produits. Nous avons beaucoup à apprendre des aliments génétiquement modifiés que nous pouvons transposer dans les cas très rares de modifications génétiques chez l’homme.

La biologie de l’ADN comporte toute une palette de nouvelles connaissances dont ces personnes ne sont pas conscientes. C’est en cela que dans le processus de transfert de gènes, la moindre perturbation environnementale des caractères liquide et fluide du génome lui-même change tout.

C’est la métaphore de la machine appliquée à la biologie. La biologie est dominée par un point de vue mécaniste. Et c’est l’une des plus grandes erreurs. Les êtres vivants [rires] ne sont pas des machines. Ils peuvent agir comme des machines, mais ils n’en sont pas.

La science, à laquelle nous devons attribuer une certaine qualité, a complètement capitulé devant les intérêts des entreprises, et comment s’en sortir ? Il s’agit d’un sujet très difficile.

Q :Comment pouvons-nous retracer le fil de cette histoire ? Où cela commence-t-il ?

R : Tout a commencé lorsque Barbara McClintock [dans les années 1940 et 1950] a montré que les gènes pouvaient être transférés de manière transversale entre les organismes, et même entre les espèces, mais lorsque la technologie s’est améliorée, il est devenu évident que l’on pouvait manipuler les gènes en laboratoire et transférer des gènes normaux. Nous participions à ces recherches dans le cadre de la sclérose en plaques ; nous avions des modèles animaux et nous pouvions réaliser des expériences très simples et transférer des gènes normaux dans des cellules qui contenaient la mutation. C’est ce qui a alimenté ce battage médiatique selon lequel on pouvait guérir des êtres humains ou des organismes entiers, et que l’on pouvait faire des choses très intéressantes avec des cellules individuelles, mais c’était en culture et donc dans des conditions limitées.

Donc, oui, il y avait beaucoup d’excitation autour de tout cela, mais ce n’était pas très élaboré. Nous ne savions pas grand-chose de ce que nous saurions cinq ans plus tard sur la complexité du génome et sa capacité à être déstabilisé lorsque ce genre de choses était réalisé. On pouvait obtenir un effet positif en introduisant un bon gène, mais on n’était pas capable de mesurer le revers de la médaille. Quelle était la réponse de la cellule, que se passerait-il si cela concernait le corps entier, et quelle serait les interactions avec cet énorme éventail de possibilités computationnels.

C’est la raison pour laquelle les entreprises ne veulent pas s’y intéresser, car c’est trop complexe. La quantité d’argent et d’efforts qu’il faudrait investir dans cette technologie revient à la rendre impossible. Vous ne pouvez pas vous le permettre ; vous devez prendre ces raccourcis.

[Ces choses sont] transcalculatives [au-delà de la capacité humaine à configurer un ordinateur pour le calculer – NdT].

Tout le concept relatif à la capacité de l’organisme vivant le plus simple qui soit à résister à notre interprétation scientifique de manière complète est, je pense, bien acceptée.

Ce sont des interactions qui atteignent ce que l’on appelle une catastrophe de calcul. Les informaticiens disent qu’il n’y a pas d’ordinateur qui pourrait faire le calcul et qu’il n’y en aura jamais.

Q :Mais la thérapie génique repose sur le fait que ce n’est pas le cas, n’est-ce pas ?

R : Oui, il y a deux choses. Premièrement, il ne faut pas s’attendre à ce que nous puissions déterminer ce qu’est l’organisme à partir du génome, parce que l’organisme lui-même ne le fait pas.

L’organisme se détermine lui-même à partir d’une vaste gamme de données, y compris les données génétiques. L’idée du succès de la thérapie génique est qu’en plaçant un seul gène, il sera exprimé et que l’insertion et l’adaptation à l’insertion seront normales à tous les autres égards. Il s’agit d’une hypothèse et c’est une énorme supposition.

Q :Mais c’est pourtant ce sur quoi tout repose.

R : C’est en effet là-dessus que tout repose ! Et ils évitent tous les autres [aspects].

La seule avancée que j’ai vue, c’était le comité AAA sur la thérapie de la lignée germinale qui a publié un rapport la semaine dernière dans lequel ils déclarent que c’est trop dangereux, que cela ne devrait pas être fait avec des œufs et des cellules. Il y a trop de choses que nous ignorons et que nous ne pouvons probablement pas savoir.

Le transfert de gènes d’une manière telle qu’ils ne peuvent être hérités.

Le transfert de gènes ne devrait pas se faire dans les cellules de la lignée germinale, dans les œufs et les spermatozoïdes. C’est la première fois que le comité a donné des signes de contrainte aux intérêts des entreprises en leur disant qu’elles doivent ralentir. Que les chercheurs doivent ralentir.

Q :Pourquoi leur alarmisme s’est-il limité à la thérapie génique de la lignée germinale ?

R : C’est une bonne question. Je n’en sais rien.

Si l’on comprend l’hypothèse qui est faite, il n’existe pas pour autant de réponse scientifique qui soit appropriée. Il n’existe aucun moyen pour eux de dire « Ne vous inquiétez pas, nous allons arranger ça ».

Et s’ils le disent, on peut alors leur poser cette question : « Voulez-vous dire que vous ne savez vraiment pas ce que vous faites ? ».

Ils ne savent pas ce qu’ils font.

Ils se sont mis à penser que ce que nous devons savoir, c’est qu’il existe des programmes génétiques responsables des traits les plus complexes des êtres humains et d’autres organismes, et que si nous pouvions vraiment comprendre le génome humain dans sa totalité, si nous pouvions savoir ce qu’est le génome humain juste en l’imprimant sur papier, alors tout à coup, d’une manière ou d’une autre nous aurions, grâce à cette version imprimée, une sorte d’illumination. C’était presque comme si on en attendait une sorte d’expérience religieuse.Une certaine épiphanie viendrait une fois que cette image d’ensemble serait publiée. Il y a dix ans, nous en étions tous béats, ou du moins la plupart d’entre nous l’étaient, mais pas dans les classes d’étude, pas dans la formation des étudiants, ces laboratoires moléculaires sont allés de l’avant avec toute cette notion que d’une manière ou d’une autre, tout serait compris et qu’il fallait attendre et voir, et ne pas sous-estimer la science et toute l’importance de la patience, et bla bla bla et c’était ça, et c’est toujours ça, et ces gars sont là avec leurs gros ordinateurs et ils ne comprennent pas les limites comme le font les physiciens. Et les physiciens semblent rester silencieux sur tout cela, vous l’avez remarqué. C’est ainsi que le Projet génome humain cherche maintenant désespérément un moyen d’expliquer ce qu’il va faire avec les données qu’il a collectées et l’humiliation qui s’annonce est presque du même ordre que le phénomène du VIH/SIDA. Ces gens-là ne savent pas comment passer du génome à l’organisme, point final. Ils ne peuvent rien faire et la raison pour laquelle ils ne peuvent rien faire est la raison que Tom Kuhn a expliquée : Si vous avez un paradigme qui s’essouffle, vous ne pouvez pas le remplacer par un nouveau tant que ce dernier n’est pas opérationnel. Nous n’avons pas de nouveau paradigme opérationnel, et nous sommes donc coincés et il est très difficile de s’en sortir.

Étant donné le pouvoir et l’argent des multinationales intéressées, cette affaire se réglera d’elle-même. Tout se joue autour des applications. Le Projet génome humain est financé — et il l’a été dès le début — afin de guérir les maladies humaines et de fournir les moyens d’augmenter l’espérance de vie.

Les Japonais vont bientôt vivre jusqu’à 90 ans, les gènes ne sont même pas mentionnés.

C’est un autre problème : l’espérance de vie n’a rien à voir avec la génétique.

Toute l’excitation est venue du fait qu’il y a quinze ans, certains parmi les biologistes s’accrochaient à l’idée qu’il existait quelque chose appelé « programmes génétiques ».

La seule chose qui leur restait à découvrir était cette thérapie génique, en utilisant les résultats du Projet génome humain et les outils moléculaires pour alimenter ce battage médiatique et tenter de devenir une industrie majeure. Il s’agit là de servir la recherche fondamentale.

Ils n’ont tout simplement pas anticipé cette réalité. En fait, ils l’ont fait mais… ils ont décidé d’ignorer les inquiétudes qu’ils pouvaient avoir. Il y avait d’autres patients qui montraient des signes de sensibilité. Il y avait des signaux d’alarme qui clignotaient. Ce qui a tué Jesse Gelsinger, c’est cette insistance du laboratoire à vouloir se concentrer sur la computation.

Ils ne savent pas ce qui s’est passé.

Ils ne savent pas ce qui s’est passé !

Il existe beaucoup de rapports sur toutes les différentes choses qui peuvent se produire lorsque l’on introduit de l’ADN étranger dans une cellule, mais ils sont tous ignorés. Il existe des articles qui montrent que quand on prend des cellules en culture et qu’on y introduit de l’ADN pour les mettre dans l’organisme d’un animal, des choses bizarres se produisent.

Q :Quelles genres de choses ?

A :Les cellules deviennent sensibles, elles présentent une réponse d’hypersensibilité, toute séquence d’ADN aussi petite que 25 paires de bases environ va générer des réactions vraiment imprévisibles de la part des cellules. Le simple fait de mettre des cellules en culture afin de procéder à cette manipulation crée des instabilités génétiques, qui sont héritées. On le voit très clairement dans les cellules végétales. Le fait que l’expérience ne génère rien et que c’est dû à l’énorme quantité de variabilité dont vous ne savez rien est… tout cela est négligé au grand péril de tout le monde.

Q :Une industrie naît grâce à un quelconque moment d’eurêka, n’est-ce pas ?

R : Oui.

Q :Comment expliquer les raisons pour lesquelles ils ont pensé que cela fonctionnerait ?

R : C’est tellement simple, c’est comme pour le VIH, on ne peut pas à y croire.

Ils ont fait toutes leurs expériences dans des conditions contrôlées en laboratoire, ce qui les a fait fonctionner, les résultats étaient visibles. Tout a changé d’une manière prévisible. Bien sûr, ce qu’ils n’ont pas montré, ce sont les choses qui se sont produites et qui n’était pas prévisibles. Mais toutes ces données sont justement celles qu’ils ont jetées à la poubelle. Et on continue à faire les expériences de différentes manières jusqu’à trouver la méthode qui donne la réponse souhaitée.

Q :Puis le filon a commencé à être exploité ?

R : Oui. Autrefois, la science aurait pu trouver une solution, mais elle a tellement été accaparée par les relations avec les entreprises et la hâte de transposer au marché les résultats obtenus en laboratoire qu’elle a créé tout cela. Donc la [vraie] méthode de la science est ancienne.

[Par le passé], nous n’avons jamais eu cette pression incessante pour produire quelque chose d’utile — utile dans le sens rentable. Et dans ces circonstances, tout le monde est pris dans l’engrenage. Tout le monde s’y laisse prendre, et les subventions et les millions de dollars affluent dans les laboratoires, et des carrières se créent.

Q :Le battage médiatique autour de la thérapie génique n’est-il pas venu du sida et du cancer ?

R : Oh oui, tout est dû aux gènes, que ce soit un gène humain, un gène normal ou un gène viral. Toute causalité commence par le gène.

Q :Et d’où vient cette croyance ?

R : Cela vient, ma chère, de Gregor Mendel. Une ligne droite et une ligne droite simple, c’est absurdement, grotesquement simple. Passer de Mendel aux centres médicaux est la chose la plus absurde du monde.

Note du traducteur : Gregor Johann Mendel était un météorologue, mathématicien, biologiste, frère augustin et abbé de l’abbaye Saint-Thomas de Brno, dans le Margraviat de Moravie. Né dans une famille germanophone de la partie silésienne de l’Empire autrichien (l’actuelle République tchèque), il a été reconnu à titre posthume comme le fondateur de la science moderne de la génétique.

Q :Pourquoi ?

R : Parce que Mendel a décrit des caractéristiques très simples chez les plantes.

C’est ce que j’ai publié il y a un an, les données sont qu’il y a ces maladies chez les humains auxquelles on peut attribuer une causalité à un seul gène, et on peut avoir un certain espoir de faire quelque chose contre ces maladies. Mais si l’on cherche dans l’almanach mondial dans quelle mesure l’une de ces maladies génétiques ou toutes ces maladies génétiques combinées entrent en jeu dans l’espérance de vie ou les taux de mortalité, on ne trouverez rien. Il existe des milliers de maladies génétiques, mais elles ne représentent que moins de 2 pour cent de notre charge de morbidité. Maintenant, on prend cette même logique infructueuse et on l’applique aux maladies complexes, on parle maintenant des maladies cardiaques et du cancer, et c’est totalement étrange — c’est une science bizarre et terrible. Quiconque dit que ça ne fonctionnera pas est un Luddite, un anti-intellectuel et un anti-scientifique.

Note du traducteur : Un Luddite était, à l’époque de la révolution industrielle, un membre d’une des bandes d’ouvriers du textile anglais, menés par Ned Ludd, qui, de 1811 à 1813 et en 1816, s’organisèrent dans un mouvement clandestin pour détruire les machines, accusées de provoquer le chômage.

Ils pensent qu’ils font de la science pour le plaisir de la science. Ils pensent que si leurs travaux nous mènent dans un tunnel obscur, ils trouveront la sortie et la lumière, etc. La question est de savoir ce que nous faisons dans le monde réel en attendant que tout le monde découvre où se trouve la lumière. Il s’agit d’une autre question éthique à laquelle la science n’a pas de réponse et nous devons envisager la question du point de vue de l’élaboration de lignes directrices pour la science, ce qui suscite également une forte résistance. C’est comme un déni du premier amendement ou quelque chose comme ça. J’appelle cette technologie une invitation au diable. Un des phénomènes les plus destructeurs de l’histoire du monde.

Q :Le paradigme dans lequel nous nous trouvons actuellement s’appelle comment ?

R :Le modèle machine de la biologie. La vie est une machine, les éléments de la machine sont les gènes et les protéines, et nous pouvons réduire la machine à ses parties. C’est l’idée que nous pouvons contrôler la vie.

Q :Et quel est le paradigme qui a été remplacé par ce modèle ?

R : C’est une question intéressante. Il n’y a jamais eu de paradigme monolithique autre que l’évolution, qui fait ces temps-ci l’objet de nombreuses critiques. Je pense que nous sommes en pleine révolution. Lilly Kay, du MIT, a écrit un livre à ce sujet il y a quelques années.

Il y a 50 ou 60 ans, il existait un pluralisme dans les sciences de la vie, nous pouvions avoir un paradigme évolutionniste ou un paradigme holistique… mais les pouvoirs en place, même avant la Seconde Guerre mondiale, ont décidé que la direction que nous allions prendre serait la biologie moléculaire et une voie déterministe. Que la vie était contrôlée par ces structures que nous pouvions maîtriser et donc que nous pouvions de cette façon contrôler la vie.

Je ne sais pas s’ils étaient assez machiavéliques pour se dire « voilà comment nous pourrions tous nous enrichir ». Mais [dans le passé], il existait un pluralisme au sein de la science, et de nombreuses directions différentes, [cela a disparu]. Aujourd’hui, rien n’est scientifique en biologie à moins qu’il ne s’agisse de génétique. C’est ce qui s’est produit. On le voit dans l’évolution structurelle de l’université. Il y a 50 ans, nous avions des départements dédiés aux organismes, zoologie et botanique. Dans la plupart des grandes universités, ces départements ont été supprimés. J’étais le président du département de zoologie ; maintenant, il a disparu. J’appelle cela le programme de rénovation urbaine intellectuelle, ils ont démoli les quartiers et construit tous ces gratte-ciel et personne ne se parle.

Toutes ces directions de recherche sont peut-être encore là, mais elles suivent néanmoins la même musique. Les anciennes idées métaphysiques, selon lesquelles la vie n’était que partiellement matérialiste et qu’il fallait quelque chose appelé force vitale pour expliquer complètement la vie… C’était obscur à bien des égards, et la biologie tentait depuis longtemps de s’en libérer lorsque Mendel est arrivé avec les particules héréditaires. Au début du XXe siècle, nous avons commencé à associer les particules conceptuelles de Mendel à des éléments appelés chromosomes, puis aux gènes, d’une manière qui a permis à l’ensemble de la structure de la biologie de se rapporter à la grande question cosmologique de l’évolution. C’était la fin de toute forme d’étroitesse d’esprit. Un passage en force vers le matérialisme et le déterminisme.

Dick Rowan a déclaré dans un de ses articles publiés dans la New York Review of Books :

« Vous devez comprendre que la biologie moderne est matérialiste. Nous sommes acquis au matérialisme. Et nous n’allons pas laisser Dieu revenir s’immiscer dans la partie. »

Au nom de ne pas laisser Dieu revenir s’immiscer dans la partie, nous ne faisons pas face à la réalité. Ce que l’on pourrait considérer comme mystique est simplement quelque chose que d’autres personnes appellent complexité et la complexité est scientifique, elle ne coïncide tout simplement pas avec cette pensée linéaire qui caractérise la majeure partie de la génétique.

L’épigenèse est tout ce qui concerne le génome et qui n’est pas le gène. C’est un vieux mot. La forme moderne de l’épigenèse est la découverte scientifique dont ne parlent pas ces sociétés… si vous perturbez une cellule en culture, le génome répondra à ce changement de façon très spécifique, une partie de la réponse d’une cellule aux stimuli, beaucoup de choses changeront dans la façon dont les gènes sont exprimés. Les gènes qui étaient silencieux avant que vous ne leur donniez un stimulus sont maintenant amenés à s’exprimer selon un schéma différent de celui que vous veniez d’utiliser. Et ce n’est pas tout, les gènes seront marqués par des voies chimiques que désormais nous connaissons mais dont nous ne comprenons pas le schéma.

On change les structures organisationnelles des gènes sans changer les gènes eux-mêmes, car l’idée que l’on puisse changer les gènes autrement que par mutation aléatoire serait hérétique [en référence au néo-darwinisme – NdT].

Tous ces changements compliqués [se produisent] lors de l’exposition du génome de la cellule à un certain nombre de stimuli, et particulièrement par l’intervention d’un ADN étranger.Les gènes fabriquent des protéines, les protéines interagissent les unes avec les autres. Ils forment des réseaux et ces réseaux acquièrent une vie qui leur est propre. Ils ont une logique qui fait défaut au génome. Ils n’existent que dans le monde réel de l’expression. [C’est le] phénomène épigénétique, et l'[immense] complexité n’apparaît nulle part dans cette impulsion des entreprises qui veulent tout soigner par le biais de l’interventionnisme.

Q :Quels sont vos motifs d’inquiétude ? Quel est le scénario le plus dangereux qui peut découler de tout cela ?

R :Je crains que nous ne contaminions la planète entière avec des plantes génétiquement modifiées. Et que cela soit irréversible. Et nous n’avons même pas la moindre idée de ce qui pourrait s’en suivre.

Le PDG de Sun Microsystems, Bill Joy, a publié un article important dans Wired, en mars de cette année. Bill Joy appelle à un ralentissement de la technologie. Le co-fondateur de Sun Microsystems. Vous savez de quoi il a peur ? Il a peur que ce que nous allons faire… ça fait déjà partie de toute cette affaire de manipulation génétique des humains, des embryons… Joy a peur que nous commencions à créer des hybrides, entre les êtres humains et les circuits nanotechnologiques fabriqués dans des endroits comme Sun Microsystems, et que ces hybrides prennent le dessus. C’est le dirigeant, il parle sérieusement. C’est un gars sérieux. Et nous, les biologistes… Je crains qu’avant de fabriquer les robots, nous ayons déjà créé les conditions qui exigeront les robots, car il n’y aura plus rien d’appelé agriculture.

[Mention d’un bulletin d’information sur l’eugénisme technocratique.]

Q : Est-ce la perte potentielle de la vie organique sur notre planète Terre ?

R :Oui.

Q : Qu’est-ce qui vous inquiète le plus quand vous pensez à la soi-disant thérapie génique ?

R : Ce qui m’inquiète, c’est l’inquiétude exprimée par William Blake :

« Ce qui semble être, est, à ceux à qui cela semble être, productif des conséquences les plus épouvantables, jusqu’aux tourments, au désespoir, à la mort éternelle. »

Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 20 juin 2021 : celiafarber.substack.com
Traduction et emphases : Sott.net




Jeune et sportive, sa vie s’effondre après sa première injection

Par Dimitri JACQUES

Après un vaccin Pfizer, une jeune femme de 21 ans se retrouve en Covid long avec une fatigue et des symptômes cardiaques invalidants. Malmenée par des médecins qui refusent de la croire, elle se retrouve plusieurs mois sans soins adaptés. Des témoignages similaires affluent sur les réseaux sociaux. Mais surtout, un examen attentif de la littérature scientifique peut expliquer les mécanismes de ce genre de phénomène.

Sportive et en bonne santé, Bessie travaille comme manager dans un magasin de sport situé dans une galerie commerciale, soumise au pass sanitaire pendant quelques semaines, avant que cette mesure soit rétractée. Hésitante et n’étant pas disposée à se faire tester tous les trois jours, elle choisit à contrecœur de se faire vacciner pour conserver son travail.

Elle reçoit un vaccin Pfizer, le 23 juillet dans un vaccinodrôme de Grenoble. Trois jours plus tard surviennent des diarrhées et un essoufflement. Les jours suivants verront apparaître une litanie de symptômes tout à fait inhabituels pour Bessie : palpitations, douleurs thoraciques, spasmes, fasciculations. Une fatigue s’installe, de plus en plus tenace. Le sommeil cesse d’être réparateur.

Au bout de trois jours de symptômes cardiaques devenus très inquiétants, direction les urgences. Prise de sang, électrocardiogramme. Rien. L’infirmière lui confie qu’elle voit de plus en plus de cas comme le sien. Bessie n’est donc pas un cas isolé. Ce n’est pas l’avis du médecin, qui notera sur la feuille de sortie : attaque de panique. Bessie ressort avec un anxiolytique et du Doliprane.

« Ce qui est très difficile à vivre, c’est de n’être pas prise au sérieux par des médecins, des gens qui sont censés me soigner. Ils remettent en question la réalité de mes douleurs et me considèrent comme une menteuse. Si j’ai de la température, c’est que mon thermomètre fonctionne mal. Si mon taux d’oxygène baisse, c’est que l’oxymètre fonctionne mal. »

Ce n’est pas mieux du côté du cardiologue, un praticien libéral réputé, dont Bessie et sa mère jugent néanmoins le comportement inacceptable. Au premier rendez-vous, il prescrit du magnésium et lui fait comprendre qu’elle avait seulement besoin d’être rassurée. Il refuse tout lien avec le vaccin. Le second rendez-vous se passe très mal. La maman s’est lourdement documentée entre temps, ce que beaucoup de médecins n’apprécient pas. Pourtant, des universitaires recommandent que l’expertise et les connaissances des patients soient intégrées aux bases de données sur la pandémie.(([1] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0277953620306456))

Lors de son test à l’effort, Bessie se trouve à la limite malaise. Le cardiologue la prend pour une simulatrice et lui demande d’arrêter de faire semblant de mal respirer ! Malgré les poussées de fièvre à ce moment-là, il diagnostique une tachycardie liée au stress et l’invite à reprendre son travail. Des sous-entendus qui font bondir sa maman : « Je connais bien ma fille, elle est dynamique, j’ai compris que c’était sérieux. »

C’est dans la tête !

Certains scientifiques ont osé récemment une étude qui prétend que les symptômes du Covid long sont essentiellement psychologiques.(([2] https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-covid-long-surtout-dans-la-tete-une-etude-fait-polemique-20211112)) Un refrain bien connu des personnes souffrant d’autres maladies, comme la borréliose de Lyme qui peut elle aussi provoquer un syndrome de fatigue chronique, des douleurs généralisées et des symptômes cardiorespiratoires. Les examens classiques, inadaptés, ne montrent rien la plupart du temps et le patient est orienté vers la psychiatrie. En France, le 17 février 2021, l’Assemblée nationale a pourtant adopté une résolution reconnaissant les symptômes prolongés de la Covid-19.

La totalité des symptômes exprimés par Bessie sont pourtant reconnus dans la littérature scientifique comme appartenant à ceux du Covid long, comme le rappelle cet article du BJM.(([3] https://www.bmj.com/content/374/bmj.n1648.abstract)) Sa famille a effectué un signalement de pharmacovigilance sur le site internet de l’ANSM. L’agence va alors les contacter par téléphone, en expliquant que la tachycardie et les douleurs thoraciques sont listées dans les effets secondaires du vaccin Pfeizer et ne méritent pas véritablement d’être recueillies à nouveau. Pour la maman, « nos interlocuteurs cherchaient à minimiser, malgré la longueur et la persistance des symptômes. »

Son Covid réactivé à cause du vaccin ?

En mars 2020, Bessie a contracté le Covid, avec des symptômes assez forts qui ont duré trois semaines, mais n’ont laissé aucune séquelle sur le plan clinique. Elle est sportive, habituellement en bonne santé, avec de rares infections saisonnières bénignes. Le vaccin a-t-il réactivé l’infection, plongeant la jeune femme dans un Covid long ? Ou bien s’agit-il d’autre chose ?

En médecine de terrain, une insuffisance mitochondriale est généralement suspectée en présence d’une fatigue persistante et de douleurs généralisées. Elle est fortement impliquée dans l’encéphalomyélite myalgique et le syndrome de fatigue chronique (EM/SFC). Elle peut tout aussi bien expliquer les formes traînantes du Covid.(([4] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2095882X20300839)) Il est établi que le virus Sars-Cov-2 interagit avec les mitochondries et peut en détourner les fonctions. Ce qui lui permet, entre autres, d’échapper au système immunitaire et de faciliter sa réplication.(([5] https://journals.physiology.org/doi/full/10.1152/ajpcell.00224.2020))

Plus surprenant, l’apparition chez Bessie de phénomènes allergiques, avec une sensibilité aux aliments histamino-libérateurs. Elle se retrouve à devoir improviser, sans aucune aide médicale, un régime d’exclusion assez pénible, mais qui la soulage. Par ailleurs, son taux d’oxygène baisse sensiblement après un effort, mais également après les repas. Bien qu’encore difficilement expliquée, cette hypersensibilité immunitaire suite à un Covid est déjà mentionnée dans la littérature scientifique. Un syndrome d’activation mastocytaire (MCAS) est observé dans certains syndromes post-covid. Les manifestations principales sont cardio-vasculaires, gastro-intestinales, neurologiques et respiratoires.

Parmi les hypothèses avancées, le fait que les mastocytes (cellules de l’immunité en première ligne des réactions allergiques) expriment des récepteurs ACE2 qui les rendent sensibles au virus Sars-Cov-2. Les auteurs de l’étude demandent ouvertement davantage de recherche sur les liens entre syndrome post-covid, EM/SFC et MCAS.(([6] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2666602221000239)) Par ailleurs, le système immunitaire peut produire des IgE (les anticorps des allergies immédiates) contre des dérivés de la protéine spike.(([7] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/cea.14023)) Rappelons que c’est ce qui est injecté dans le vaccin.

Une atteinte cardiaque réelle ?

Bessie et sa maman veulent des réponses. Ce n’est pas la presse médicale conventionnelle qui va leur apprendre grand-chose. Une simple recherche fait ressortir une avalanche de publications toutes plus rassurantes les unes que les autres, insistant sur la rareté des atteintes cardiaques post-vaccinales chez les adolescents et jeunes adultes. Elles se rendent alors sur internet à la recherche de compagnons d’infortune. Et elles en trouvent. Les témoignages, vidéo ou écrits, se multiplient sur les réseaux sociaux. Souvent, les mêmes symptômes reviennent. De quoi faire réfléchir. Pourtant, Facebook supprime régulièrement les groupes qui recueillent ces témoignages. Qu’y a-t-il à cacher ?

Un cardiologue du Cardioparc de Moirant s’est montré beaucoup plus à l’écoute de Bessie. Il dit avoir vu plusieurs cas similaires et n’exclue que pas que le vaccin soit en cause. Il est réticent à ce qu’elle reçoive une seconde injection. Son médecin traitant, après plusieurs consultations pour des arrêts maladie d’une semaine renouvelés chaque fois, finira par admettre lui aussi la probabilité d’un lien avec le vaccin. Le diagnostic de péricardite a été écarté après une échographie cardiaque et un scanner thoracique. Une recherche insuffisante selon certains praticiens. Car les symptômes de péricardite sont bien présents : fièvre, douleurs musculaires et articulations, sueurs, douleurs thoraciques, palpitations et accélération du rythme cardiaque, difficulté respiratoire, vertiges, fatigue. Des myocardites et des péricardites ont été observées dans les syndromes post-covid. Les péricardites sont connues depuis longtemps pour être les séquelles possibles d’une infection virale. Y compris avec les herpèsvirus (CMV, EBV), que la plupart d’entre nous hébergeons naturellement, mais qui peuvent se retourner contre nous après un dérèglement immunitaire. Cela figure dans les manuels de médecine.

L’affaire Maxime Beltra

Ce rapprochement entre allergies, troubles cardiaques et vaccination n’est pas sans rappeler le cas de Maxime Beltra, une des premières victimes médiatisées en France. Le rapport d’autopsie conclut à un décès « compatible avec un choc anaphylactique secondaire à une allergie alimentaire », mais signale aussi « au niveau cardiaque, la présence d’un infiltrat lymphocytaire interstitiel sans nécrose pouvant témoigner de lésions de myocardite. » La confrontation entre opposants à la vaccination(([8] https://www.youtube.com/watch?v=JBiG2x3TI9k&t=1252s)) et fact-checkers est tout à fait stérile puisque l’un n’empêche pas l’autre. Les personnes qui présentent une allergie de type 1 majeure sont réputées suivre à la lettre leur régime d’éviction, lisent scrupuleusement les listes d’ingrédients et s’abstiennent au moindre doute. Il paraît hautement improbable que l’un d’eux s’aventure à un écart avec un aliment qu’il sait potentiellement mortel. En revanche, les myocardites et péricardites étant rares chez les jeunes, le lien de causalité juste après une vaccination est hautement probable. Une infection au Sars-Cov-2, mais également une vaccination contre ce même virus, en agissant sur la barrière intestinale, semblent pouvoir soudainement abaisser le seuil de tolérance immunitaire à certains aliments. Aucune certitude dans cette affaire, mais de nombreux doutes qui, pour n’importe quel autre médicament, aurait conduit à la suspension de l’AMM par principe de précaution.

Il est admis qu’une inflammation des tissus cardiaques trop intense ou durable peut ensuite causer une insuffisance cardiaque définitive. Les mitochondries dysfonctionnelles ne sont pas capables de répondre à l’accroissement de la demande énergétique qu’entraîne une inflammation. Le cœur est l’organe qui compte le plus de mitochondries et qui est le plus dépendant de leur bon fonctionnement. À ce jour, 155 publications scientifiques font lien entre le Covid sous toutes ses formes et les mitochondries.

La protéine spike, aussi bien celle du vaccin que celle du virus, semble pouvoir provoquer des lésions vasculaires en régulant à la baisse les récepteurs ACE2, ce qui perturbe ensuite le fonctionnement des mitochondries. Chez la souris, des dommages mitochondriaux ont déjà été observés avec la protéine spike seule, sans la présence du virus.(([9] https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902)) Des médecins nous assurent observer fréquemment une élévation significative des taux sanguins de D-dimères après une vaccination anticovid. Il s’agit de marqueurs d’une activation de la coagulation, qui peut entraîner des thromboses. Un phénomène qui ne se limite pas à la sphère cardiovasculaire et peut toucher tous les tissus. C’est une des explications possibles de l’arrêt ou des perturbations des règles qui surviennent en post-vaccinal.

Dès le mois de juin, l’agence américaine du médicament (FDA) avait reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez les jeunes de 16 à 24 ans. Les atteintes cardiovasculaires chez les jeunes sportifs en bonne santé se multiplient. Selon une agence de presse allemande,(([10] https://www.lelibrepenseur.org/longue-liste-dathletes-soudainement-decedes-ou-gravement-malades/)) 75 athlètes dans le monde ont été victimes de mort subite dans les 5 derniers mois, un chiffre sans commune mesure avec ce qui était observé dans le milieu sportif avant la campagne de vaccination anticovid. La FDA a jusqu’ici refusé d’homologuer le vaccin de Moderna pour les jeunes, pointant le risque de maladie cardiaque. Mais elle vient de donner son feu vert pour le vaccin de Pfizer, qui présente pourtant les mêmes risques.(([11] https://www.westernjournal.com/fda-wont-approve-modernas-vaccine-teens-year-cites-risk-deadly-heart-condition/)) La différence serait-elle plutôt à chercher au niveau des conflits d’intérêts ? L’ancien patron de la FDA siège à présent au conseil d’administration de Pfizer.(([12] https://planetes360.fr/lodeur-de-corruption-qui-entoure-le-feu-vert-de-la-fda-pour-les-vaccins-destines-aux-enfants/)) Curieuse civilisation qui ferme les yeux sur ce genre de pratique.

« Le plus éprouvant, ce sont les douleurs au niveau du thorax, elles arrivent sans prévenir de façon extrêmement intense et je n’ai aucune solution pour les soulager. »

Bessie vient de passer une batterie d’examens au CHU de Grenoble pour être enfin reconnue « Covid Long ». Un parcours du combattant, épuisant pour des malades déjà très fatigués, qui commence par une batterie de tests psychologiques. Elle regrette qu’aucun praticien n’ai pu écouter attentivement la totalité de ses symptômes. En attente de résultats d’examens, le diagnostic final reste à poser. En attendant, elle s’est tournée vers des médecines alternatives. L’homéopathe et le naturopathe ont légèrement soulagé certains symptômes, un magnétiseur a un peu diminué le brouillard cérébral. L’ostéopathe, qui admet lui aussi avoir reçu plusieurs cas similaires, a immédiatement reconnu un Covid long. Il lui a trouvé des ganglions, signe qu’une réponse immunitaire est toujours en cours.

Une autre conséquence est la précarité sociale et financière. La jeune femme est en arrêt maladie depuis trois mois, mais n’a rien touché les deux premiers mois, son employeur n’ayant pas transmis les documents à la CPAM. Elle perdu son appartement et est revenue vivre chez ses parents. Elle s’était fait vacciner pour ne pas perdre son emploi. Elle a perdu son emploi et sa santé. C’est cher payé pour se protéger d’une maladie dont les formes graves ne concernent pas les jeunes en bonne santé.

Références :




Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers

[Extraits de : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : voir les détails et références sur
Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Voir aussi :
Spartacus : « Au diable l’enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre nouvel ordre mondial » — La lettre anonyme contre la COVID est devenue virale – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Guy Boulianne Par Guy Boulianne

« Voici des faits et des sources clés sur la prétendue « pandémie », qui vous aideront à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020 et à éclairer tous vos amis qui pourraient être encore piégés dans le brouillard de la nouvelle normalité. »

OffGuardian le 22 septembre dernier


PARTIE I : « DÉCÈS DUS AU COVID » & MORTALITÉ

1. Le taux de survie de « Covid » est supérieur à 99%. 

Les experts médicaux du gouvernement se sont donné beaucoup de mal pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population n’est en aucun cas en danger face au Covid.

2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle. 

La presse a qualifié 2020 d’« année la plus meurtrière du Royaume-Uni depuis la Seconde Guerre mondiale », mais cela est trompeur car elle ignore l’augmentation massive de la population depuis cette époque. (…)

Par cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année de mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seulement 9 ans ont été meilleurs que 2020.

3. Le nombre de « morts de Covid » est artificiellement gonflé. 

Des pays du monde entier ont défini un « décès de Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

4. La grande majorité des décès par covid ont des comorbidités graves. 

En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% de leurs « décès Covid» présentaient au moins une comorbidité grave. Ceux-ci comprenaient le cancer, les maladies cardiaques, la démence, la maladie d’Alzheimer, l’insuffisance rénale et le diabète (entre autres). Plus de 50 % d’entre eux avaient au moins trois affections préexistantes graves.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une demande FOIA d’octobre 2020 à l’ONS du Royaume-Uni a révélé que moins de 10 % du nombre officiel de « décès par Covid » à cette époque avait la Covid comme seule cause de décès.

5. L’âge moyen du « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne. 

L’âge moyen d’un « décès de Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, c’est 86. Allemagne, 83. Suisse, 86. Canada, 86. Les États-Unis, 78, Australie, 82. Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

En tant que telle, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » a eu peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. Comparez cela avec la grippe espagnole, qui a entraîné une baisse de 28 % de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]

6. La mortalité due à la Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle.

Des études statistiques du Royaume-Uni et de l’Inde ont montré que la courbe de « décès de Covid » suit presque exactement la courbe de mortalité attendue :

OffGuardian -03
OffGuardian -04

Le risque de décès « de la Covid » suit, presque exactement, votre risque de décès de fond en général.

La faible augmentation pour certains des groupes d’âge plus âgés peut s’expliquer par d’autres facteurs. [faits 7, 9 et 19]

7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de DNR « illégaux ». 

Les chiens de garde et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordres de non-réanimation (DNR) au cours des vingt derniers mois. Aux États-Unis, les hôpitaux considéraient comme des « DNR universels » pour tout patient testé positif pour la Covid, et les infirmières dénonciatrices ont admis que le système DNR avait été abusé à New York.


PARTIE II : VERROUILLAGES

8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies. 

Il y a peu ou pas de preuves que les verrouillages ont un impact sur la limitation des « décès de Covid ». Si vous comparez des régions verrouillées à des régions qui ne l’ont pas fait, vous ne pouvez voir aucune tendance.

9. Les confinements tuent des gens. 

Il existe des preuves solides que les blocages – par le biais de dommages sociaux, économiques et autres pour la santé publique – sont plus mortels que le « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la Covid-19, a qualifié les fermetures de « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

Nous, à l’Organisation Mondiale de la Santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle du virus […] il semble que la pauvreté mondiale pourrait doubler d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une terrible et horrible catastrophe mondiale.

10. Les hôpitaux n’ont jamais été anormalement surchargés. 

Le principal argument utilisé pour défendre les blocages est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été sur le point de s’effondrer.


PARTIE III : TESTS PCR

11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer une maladie. 

Le test Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) est décrit dans les médias comme le « Standard Or » pour le diagnostic de Covid. Mais l’inventeur du procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic, et l’a déclaré publiquement :

La PCR est juste un processus qui vous permet de faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé allait vous faire du mal ou quelque chose comme ça.

12. Les tests PCR ont toujours été inexacts et peu fiables. 

Les tests PCR « Standard Or » pour Covid sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

13. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. 

Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré : 

« Si vous devez faire plus de 40 cycles[…] il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec votre PCR. »

14. Les tests PCR admis par l’Organisation mondiale de la santé ont produit des faux positifs. 

En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées provoquant des résultats faussement positifs :

Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

15. La base scientifique des tests Covid est discutable. 

Le génome du virus Sars-Cov-2 aurait été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé le génome pour créer des tests pour les tests PCR.


PARTIE IV : « INFECTION ASYMPTOMATIQUE »

16. La majorité des infections à Covid sont « asymptomatiques ». 

Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75 % des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique d’août 2020 a révélé que 86 % des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Il est littéralement impossible de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

17. Il existe très peu de preuves étayant le prétendu danger de « transmission asymptomatique ». 

En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité maladies émergentes et zoonoses de l’OMS, a déclaré :

D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette réellement à un individu secondaire.

Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chance d’infecter les personnes au sein de leur foyer


PARTIE V : VENTILATEURS

18. La ventilation n’est PAS un traitement contre les virus respiratoires. 

La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires de quelque nature que ce soit. Au début de la pandémie, de nombreux médecins se sont manifestés pour remettre en cause l’utilisation de ventilateurs pour traiter le « Covid ».

19. Les ventilateurs ont tué des gens. 

Mettre sous respirateur quelqu’un qui souffre de la grippe, d’une pneumonie, d’une maladie pulmonaire obstructive chronique ou de toute autre affection qui restreint la respiration ou affecte les poumons, n’atténuera aucun de ces symptômes. En fait, cela aggravera presque certainement la situation et en tuera beaucoup.

Les tubes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée à un ventilateur », qui, selon des études, affecte jusqu’à 28 % de toutes les personnes sous ventilateur et tue 20 à 55 % des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le ventilateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie et même entraîner la mort.


PARTIE VI : MASQUES

20. Les masques ne fonctionnent pas. 

Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des virus respiratoires. Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux ». Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ». Il y en a littéralement trop pour les citer tous, mais vous pouvez les lire : [ 1 ][ 2 ][ 3 ][ 4 ][ 5 ][ 6 ][ 7 ][ 8 ][ 9 ][ 10 ] Ou lire un résumé par SPR ici.

Alors que certaines études ont été réalisées en prétendant montrer que les masques fonctionnent pour la Covid, elles sont toutes sérieusement imparfaites. L’une s’est appuyé sur des enquêtes autodéclarées comme données. Une autre a été si mal conçue qu’un panel d’experts demande qu’il soit retiré. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se soient avérées totalement inexactes.

21. Les masques sont mauvais pour la santé. 

Le port d’un masque pendant de longues périodes, le port du même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour votre santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port du masque a été récemment publiée par l’ International Journal of Environmental Research and Public Health.

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain .

22. Les masques sont mauvais pour la planète.

Des millions et des millions de masques jetables sont utilisés par mois depuis plus d’un an. Un rapport de l’ONU a révélé que la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité d’entre eux sont des masques faciaux.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) obstrueront les systèmes d’égouts et d’irrigation, ce qui aura des effets néfastes sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques étaient libérés lorsque des masques jetables étaient immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour les humains et la faune.


PARTIE VII : VACCINS

23. Les « vaccins » contre la Covid sont totalement inédits. 

Avant 2020, aucun vaccin efficace contre un coronavirus humain  n’avait jamais été développé. Depuis, nous en aurions fabriqué 20 en 18 mois.

Les scientifiques tentent de développer un vaccin contre le SRAS et le MERS depuis des années avec peu de succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement contracter la maladie « plus gravement » que les souris non vaccinées. Une autre tentative a causé des dommages au foie chez les furets.

Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant le corps à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Les vaccins à ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent théoriquement en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur de vos cellules et encourage votre corps à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines de pointe » du virus. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’avait jamais été approuvé.

24. Les vaccins ne confèrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission. 

Il est volontiers admis que les « vaccins » Covid ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et ne vous empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les études sur les vaccins n’étaient même pas conçues pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission.

Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lors de la sortie des thérapies géniques à base d’ARNm non testées, ont clairement indiqué que « l’efficacité » de leur produit était basée sur la  « réduction de la gravité des symptômes ».

25. Les vaccins ont été précipités et ont des effets à long terme inconnus. 

Le développement d’un vaccin est un processus lent et laborieux. Habituellement, du développement aux tests et finalement à l’approbation pour un usage public, il faut de nombreuses années. Les différents vaccins contre la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. De toute évidence, il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques qui ont moins d’un an.

26. Les fabricants de vaccins ont obtenu une indemnité légale en cas de préjudice. 

La Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) des États-Unis accorde l’immunité jusqu’en 2024 au moins. La loi de l’UE sur les licences de produits fait de même, et il existe des rapports de clauses de responsabilité confidentielle dans les contrats que l’UE a signés avec les fabricants de vaccins.


PARTIE VIII : TROMPERIE ET PRESCIENCE

27. L’UE préparait des « passeports pour les vaccins » au moins un AN avant le début de la pandémie. 

Les contre-mesures COVID proposées, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’émergence de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, le « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination » ont discuté de la plausibilité d’un système de surveillance de la vaccination à l’échelle de l’UE. Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route vaccinale » 2019 qui a établi (entre autres) une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux pour commencer en 2019 et se terminer en 2021 :

28. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines seulement avant son début. 

En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins ont organisé l’événement 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice a été parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et l’alliance vaccinale GAVI.

L’exercice a publié ses conclusions et recommandations en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine enregistre son premier cas de « Covid ».

29. Depuis le début de 2020, la grippe a « disparu ». 

Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient diminué de plus de 98 %.

30. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. 

Depuis le début du confinement, les personnes les plus riches sont devenues considérablement plus riches. Forbes a rapporté que 40 nouveaux milliardaires ont été créés « pour lutter contre le coronavirus », dont 9 sont des fabricants de vaccins.

Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-billion de dollars » en octobre 2020. Il est clair que ce nombre sera encore plus grand maintenant.


Ce sont les faits vitaux de la pandémie, présentés ici comme une ressource pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers. Merci à tous les chercheurs qui ont rassemblé et collecté ces informations au cours des vingt derniers mois, en particulier Swiss Policy Research.



La mémoire du stress dû au WIFI est aussi angoissante que la mémoire de la douleur

[Source : Kla.TV]

[Illustration : Thinkstock]

Le transfert de données sans fil WIFI fonctionne avec des fréquences de 2,4 et 5 gigahertz. De courtes impulsions cadencées à 10 hertz sont insérées dans cette transmission radio basée sur les micro-ondes.
Le professeur Lebrecht von Klitzing a découvert que ce sont précisément ces impulsions qui peuvent provoquer des perturbations intenses dans les processus du corps. Lorsqu’elles sont utilisées fréquemment, le corps peut même former une mémoire du stress, de la même manière que la douleur forme une mémoire de la douleur sur une plus longue période.
À cause de cette mémoire du stress, une électrohypersensibilité chronique, un stress oxydatif et d’autres symptômes peuvent se développer.

Alors que dans le domaine médical, on veille strictement à ce que les patients souffrant de douleurs ne développent pas une mémoire de la douleur exténuante, on ne fait rien pour empêcher développement d’une mémoire du stress due à l’utilisation du WIFI, qui ne fait pas moins souffrir, n’est pas empêché. Au contraire, même les écoles sont équipées de WIFI, bien qu’il existe une véritable alternative sous la forme d’un réseau local câblé (LAN). Pourtant c’est surtout avec les enfants que des dommages irréparables sont à craindre, car ils sont encore en pleine croissance.

D’une certaine manière, il semble que l’esprit du temps et la politique générale des médias fassent que l’on n’entende presque que l’opinion des experts achetés par les grandes entreprises, tandis que les experts indépendants qui ont la santé publique à l’esprit sont presque complètement ignorés.

Toutefois, pour se protéger des dommages tragiques, il est essentiel d’écouter sans parti-pris toutes les voix d’experts.