Tedros: le parcours du directeur de l’OMS depuis ses débuts au sein d’une organisation terroriste

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

En réaction aux dernières déclarations de Tedros qui se plaint du « torrent de fake news » qui s’abat sur lui et sur les futurs « traités pandémies », le Dr Meryl Nass, experte en politiques de santé publique, s’est lâchée : « Tedros a la langue fourchue » !

Il faut bien l’avouer, on n’en peut plus de son éternel blabla de compassion et d’équité, alors qu’il devrait être derrière des barreaux avec ses acolytes de l’OMS. Certains diront que j’exagère. Mais le désastre infligé par la déclaration d’une urgence sanitaire injustifiée est un crime à l’échelle planétaire. Et il a même récidivé, lorsqu’il a tenté de remettre la sauce avec la variole du singe en mai 2022, histoire de faire voter en urgence quelques amendements au Règlement sanitaire international. Et que dire des scandaleuses études sur l’hydroxychloroquine où des patients sont morts à cause des surdosages préconisés par l’OMS ?

En réalité, Tedros est un loup qui se déguise en agneau. Il n’est pas question de laisser ce bonhomme prendre la tête « d’une gouvernance mondiale par la santé » comme ce serait peut-être le cas si le « traité pandémies » ou la révision du règlement sanitaire international sont adoptés à la prochaine Assemblée de l’OMS fin mai 2024. (voir mes articles et vidéos à ce sujet)

Voilà pourquoi je reprends un portrait du personnage que j’avais publié dès le début de la « pandémie », le 16 avril 2020 sur Health Impact News (et dont j’avais aussi parlé dans l’émission d’André Bercoff sur Sud Radio).

L’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? Tedros Adhanom Ghebreyesus…

Gates et la Chine engagés dans la bataille mondiale pour le leadership

En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. [1] 

Alors, qui est cet homme qui a notre destin entre ses mains ?

Le directeur de l’OMS, Tedros, et le directeur du NIAID, le Dr Anthony Fauci, ont signé en 2018 un protocole d’accord entre le NIAID et l’OMS pour améliorer les futures collaborations sur les activités de recherche menées en réponse aux nouvelles flambées de maladies infectieuses et aux urgences de santé publique.

Au cours d’une des nombreuses conférences de presse de Covid-19 à la Maison Blanche, le Dr Fauci a montré toute son appréciation pour Tedros Ghebreyesus, son nouveau héros :

« Tedros est vraiment une personne exceptionnelle. Je le connais depuis qu’il était ministre de la Santé en Éthiopie. L’OMS a très bien réussi sous sa direction. »[2]

Mais après ce qui semblait avoir été de nombreuses « bévues » dans les annonces et recommandations de l’OMS depuis le début de la pandémie, beaucoup le voient maintenant suivre la marche de la honte, plutôt que celle de la gloire.

Né le 3 Mars 1965 à Asmara (Ethiopie), Tedros Adhanom Ghebreyesus a été élu Directeur général de l’OMS en 2017.

Il est le premier Africain à diriger l’agence de santé et le premier à ne pas être médecin. Il détient un B.Sc. en biologie de l’Université d’Asmara en Érythrée, un doctorat en santé communautaire de l’Université de Nottingham au Royaume-Uni en 2000 et il a été ministre de la Santé de l’Éthiopie de 2005 à 2012.

De 2009 à 2011, Tedros Ghebreyesus a également été directeur du Fonds mondial, un programme de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, lancé par la Fondation Bill & Melinda Gates, ainsi que chef du Conseil de coordination du programme de l’ONUSIDA.

Membre du conseil d’administration de l’Alliance pour la vaccination GAVI (B. Gates), Tedros Ghebreyesus était en outre étroitement associé à la Fondation Clinton et à la Clinton AIDS Initiative (CHAI). Souriant et posé, il est décrit comme une figure humble et compatissante, un bienfaiteur de l’humanité, dévoué à ses lourdes responsabilités.

Le Front de libération du peuple tigré (TPLF)

Il est assez étonnant de découvrir que la carrière politique de Tedros Ghebreyesus a commencé au bureau politique du Tigray People’s Liberation Front (TPFL), une organisation terroriste, inscrite à la US Homeland Security. Cette base de données sur le terrorisme mondial a classé le TPFL parmi les organisations terroristes de niveau III [4] pour une série d’enlèvements, d’attentats à la bombe et de vols à main armée. [3]

Dans son manifeste de 1975, la TPFL avait déclaré une « guerre éternelle » contre les populations voisines, principalement les ethnies amhara et oromo, représentant 30 % et 34 % de la population.

Après plusieurs années de guérilla, le TPFL a renversé le régime de Mengistu avec l’aide d’un autre mouvement de libération érythréen et a pris le pouvoir en 1991 en tant que branche d’un seul parti d’inspiration marxiste, le Front révolutionnaire démocratique du peuple éthiopien (EPDRF), dont seul le nom est démocratique.

Alarmes répétées des organisations de défense des droits de l’homme

Amnesty International a dénoncé sa violence politique depuis des décennies [5]. Un rapport publié dans une revue de droit international [6] affirmait qu’en dépit des efforts pour dissimuler sa dictature, le TPFL « abusait en fait des notions d’autodétermination et de démocratie pour piller l’Éthiopie ».

C’était aussi l’alarme déclenchée par un document de l’Oakland Institute qui estimait que les 3,5 milliards de dollars d’aide financière reçus par l’Éthiopie (60 % du budget national) étaient principalement utilisés pour la répression politique. [7]

Cela a aussi été confirmé par Human Rights Watch (HWR), qui a accusé le Parlement européen en 2016 d’avoir négligé les nombreuses violations commises par le régime éthiopien qu’il subventionne. [8]

HWR a affirmé que sous la direction de l’EPRDF, le gouvernement avait détourné des fonds des programmes d’aide internationale, les utilisant comme armes politiques pour contrôler la population, punir la dissidence et réprimer ses opposants. Les programmes d’aide alimentaire, d’agriculture, de microcrédit ou de soins de santé ont profité exclusivement à certains groupes ethniques (e. a. Tigray), tandis que d’autres en ont été systématiquement privés.

Accusations de génocide

On pourrait peut-être donner à Tedros Ghebreyesus le bénéfice du doute, en l’imaginant comme un noble réformateur qui, s’étant égaré au début, se serait transformé en un humanitaire dévoué apportant sa lumière dans l’obscurité d’un mauvais régime.

Cette illusion s’estompe rapidement lorsque l’on découvre le dossier accablant présenté par l’Amhara Professional Union (APU), l’accusant d’avoir mené une véritable politique génocidaire en tant que ministre éthiopien de la Santé. [9]

L’ethnie Amhara affirme avoir perdu plus de 2,5 millions de personnes entre les recensements de 1997 et 2007, alors que les autres grands groupes ethniques ont augmenté en moyenne annuelle de 2,6 %, les Amharas ont connu une croissance démographique plus lente, avec seulement 1,9 %.

Ils ne bénéficiaient pas des mêmes services de santé et ne bénéficiaient pas des mêmes ressources que la population dominante du Tigré. Les habitants du Tigray avaient une couverture sanitaire 5 fois supérieure en termes d’infrastructures et de nombre de prestataires de soins. Le seul programme en faveur des Amhara était la campagne de contraception.

Les femmes Amhara recevaient beaucoup plus de contraceptifs injectables, tels que Depo-Provera, tout en ayant moins d’informations sur la planification familiale et les autres méthodes contraceptives (Tigray a reçu 2 à 3 fois plus d’informations sur TV, Radio et Print).

Le Depo-Provera est un produit très controversé qui a reçu un avertissement de boîte noire [10, 11] aux États-Unis pour une incidence accrue d’ostéoporose et un risque plus élevé de cancer du sein. Il a également été associé à une augmentation des cas de sida et à des difficultés à retrouver la fertilité après une utilisation prolongée, deux conditions qui semblaient également prévaloir parmi la population d’Amhara. L’APU a accusé le gouvernement éthiopien de discrimination raciale en poussant l’utilisation de Depo sur leurs femmes, sans obtenir leur consentement éclairé. [12]

Selon un autre rapport « Depo-Provera Violence Reproductive Mortelle Contre les Femmes », [13] la planification familiale faisant la promotion de ce médicament en Afrique s’engage dans des politiques de discrimination de facto, par de fausses déclarations sur les effets du produit, en omettant d’informer les femmes sur ses méfaits et ses effets secondaires.

Ces produits ont été limités ou même interdits en Europe et aux États-Unis, mais ils sont toujours inclus dans la planification familiale de l’OMS, et des programmes tels que le FP2020, soutenu et dirigé par la Fondation Bill et Melinda Gates (et Tedros).

Cela a suscité de vives critiques [14] de la part des groupes de santé et des défenseurs des droits de l’homme.

Peut-être que l’administration Trump a également pris en compte certains de ces arguments lorsqu’elle a annoncé qu’elle cesserait de financer le Fonds des Nations Unies pour la population et les politiques qui exécutent ou fournissent des informations sur l’avortement.

Bill Gates a déclaré qu’il était « profondément troublé » par les coupes annoncées aux États-Unis, mais lors du sommet international sur la planification familiale qui s’est tenu à Londres plus tard en 2017, le Royaume-Uni, le FMI, la Banque mondiale et des ONG internationales se sont engagés à un nouveau financement pour un total de 2,5 milliards de dollars.

Tedros Ghebreyesus, qui a assisté à la réunion en tant que nouveau chef de l’OMS, a promis de « défendre personnellement la question des droits sexuels et reproductifs comme une priorité absolue » [15], réaffirmant son intérêt personnel à participer aux politiques de contrôle des naissances.

Tout sauf le choléra

Mais Tedros Ghebreyesus est également connu pour avoir dissimulé plusieurs épidémies de choléra en Éthiopie (2006, 2009, 2011), en les renommant « Diarrhée aqueuse aiguë » (AWD). [16]. Il y avait pourtant des rapports d’expert de l’OMS certifiant que le choléra avait bien été identifié comme l’agent causal. [17]

Tedros a préféré ne pas nuire à l’image de son parti et de son pays. En refusant de déclarer l’épidémie, il a privé ces populations de l’aide de base dont elles avaient besoin, comme des mesures de réhydratation et l’assainissement de l’eau.

Le même scénario s’est répété en 2009 et 2011, même sous sa direction à l’OMS, lorsqu’il a ignoré une épidémie massive au Soudan, voisin en conflit avec l’Éthiopie, selon une lettre ouverte signée par une équipe de médecins américains et Genocide Watch. [18]

Le Fonds mondial est un partenariat dirigé par la Fondation Bill et Melinda Gates pour lutter contre le sida, la tuberculose et le paludisme. 

En juillet 2009, Tedros a été élu président du conseil d’administration du Fonds pour un mandat de deux ans. Dans un profil publié en avril 2010, The Lancet a indiqué qu’il était « un nom familier au Secrétariat du Fonds mondial » et que ses réalisations ont conduit à nommer l’Éthiopie comme un pays hautement performant et exemplaire.

Une conclusion surprenante, quand on découvre que sous sa direction, l’utilisation des fonds d’aide internationale qu’il supervisait était très discutable.

En 2012, un audit [19] du Fonds mondial a examiné les dépenses du programme de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme dans plusieurs pays africains, dont l’Éthiopie, qui avait reçu 1,3 milliard de dollars de subventions dans ce cadre.

L’inspecteur général John Parson qui était en charge de l’audit, a révélé un manque flagrant de transparence et de nombreuses lacunes dans la comptabilité et la gestion des fonds, au point de suggérer un remboursement minimum de 7 millions de dollars à l’organisation.

Surtout, l’enquête a également montré un écart important entre les résultats présentés comme exemplaires et la réalité observée en Éthiopie lors des visites sur le terrain.

Exemplaire ? 77 % des centres médicaux construits n’avaient pas d’eau potable et 32 % n’avaient pas d’installations sanitaires. Seulement 14 % avaient un microscope ou une table d’accouchement et seulement 12 % avaient une pharmacie.

Le rapport aurait dû conduire à une série de mesures garantissant plus de transparence et d’efficacité dans la gestion du programme, mais l’inspecteur général et ses conclusions ont été écartés.

De toute évidence, de bonnes relations avec les dirigeants des gouvernements africains avaient une importance bien plus grande.

Sanglant ministre des Affaires étrangères

Puis, en 2012, à la fin de son mandat au ministère de la Santé, Tedros Ghebreyesus a été nommé chef des Affaires étrangères (de 2012 à 2016), ce qui confirme qu’il était toujours resté au cœur des décisions du Parti et de ses objectifs et méthodes criminelles.

Par exemple, en 2013, lorsque l’Arabie saoudite a choisi de renvoyer des immigrants de différentes nations, le seul pays qui n’a pris aucune mesure pour rapatrier ses ressortissants était l’Éthiopie. Cette inaction, dont il était responsable, a provoqué des violences contre les Éthiopiens par les Saoudiens. [20]

En 2014, Tedros, l’ancien terroriste du TPLF, a également organisé l’enlèvement, l’extradition et la condamnation de plusieurs dirigeants dissidents et de centaines de demandeurs d’asile au Yémen, avec la complicité du gouvernement yéménite. [21]

Elu à l’OMS par Bill Gates et la Chine

On se demande comment un tel homme a pu devenir directeur général de l’OMS. Nul doute que le travail réalisé par l’agence de communication américaine Mercury Public Affairs (spécialisée dans les campagnes politiques) pour préparer la présentation de sa candidature a été efficace, à la fois en ce qui concerne l’édulcoration de son image sulfureuse et en le poussant comme « la voix des pays en développement ». Certains États membres de l’OMS se sont pourtant immédiatement opposé à lui.

Lorsque les candidats ont été entendus avant l’élection, l’ambassadeur du Brésil a demandé à Tedros comment il entendait « représenter la voix des pays en développement en proposant un programme beaucoup plus aligné sur les priorités des pays du Nord ». Il faisait ainsi référence à son approche de la santé par la sécurité (préparation à une pandémie), et à sa volonté de traiter la notion « d’égalité » en termes de « couverture vaccinale » (vaccins), plutôt que dans le développement de systèmes de santé universels (par exemple, infrastructure médicale et formation ou accès à l’eau).

Il a également fait remarquer que Tedros n’avait rien proposé de concret en termes de développement durable pour les pays vulnérables. [22] 

En fait, ce « programme pour le Nord » était très aligné sur les priorités du Programme de sécurité sanitaire mondiale (Global Health Security Agenda), promu par les principaux bailleurs de fonds et influenceurs de l’OMS, en particulier celle de Bill Gates.

Dans un article publié quelques semaines avant le vote intitulé « Rencontrez le médecin le plus puissant du monde : Bill Gates » [23], le journal Politico écrivait :

« Certains milliardaires sont satisfaits de s’acheter une île. Bill Gates s’est payé une agence des Nations Unies à Genève. »

Des insiders ont déclaré qu’il était traité comme un chef d’État, non seulement à l’OMS, mais également au sommet du G20, et qu’il avait une influence démesurée sur l’agenda de l’organisation. Bien entendu, Tedros était le candidat préféré de Bill Gates, compte tenu de leurs liens étroits avec le Fonds mondial et les politiques de planification familiale.

Mais l’élection de Tedros à l’OMS en mai 2017 a également été soutenue par la Chine. En tant que membre du gouvernement éthiopien, il avait déjà établi une collaboration de longue date avec Pékin.

M. Tedros Ghebreyesus au Forum international des politiques publiques
de l’Université de Pékin, mars 2017

Pour commencer, le TPLF est un mouvement d’inspiration marxiste qui s’engage dans le même genre de politique autoritaire. Mais aussi, la Chine a fait d’énormes investissements en Ethiopie. Les Chinois ont développé près de 70 % des infrastructures éthiopiennes et financent la construction du siège du futur Centre africain de prévention et de contrôle des maladies.

Pour sa part, l’Éthiopie occupe une position stratégique, car elle est la porte d’entrée du continent africain, en venant de l’Est. Pas étonnant qu’en mars 2017, deux mois avant les élections à l’OMS, Ghebreyesus ait été invité à prononcer un discours d’ouverture à l’Université de Pékin.

Fait intéressant, Bill Gates a participé au même événement, avec une conférence intitulée « Regard vers l’avenir : innovation, philanthropie et leadership mondial » [24], dans laquelle il a résumé ses partenariats avec le gouvernement chinois dans quatre domaines essentiels : la santé, l’agriculture, les technologies informatiques, et même l’énergie nucléaire. Voici quelques citations révélatrices qui montrent que Bill Gates investit en Chine parce qu’elle est pour lui, « le nouveau leader mondial » :

« La Chine est prête à devenir un leader mondial. C’est formidable de voir la Chine monter en puissance pour combler le vide du leadership. Elle est particulièrement bien équipé pour le faire. Aucun autre pays n’a accompli ce que la Chine a accompli au cours des dernières décennies (…) à une échelle et à une vitesse sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Et en encourageant l’investissement grâce à des mécanismes de financement innovants comme le Fonds de développement Chine-Afrique, la Chine renforce non seulement la capacité économique de l’Afrique, mais aussi, au fil du temps, les marchés des produits chinois.

La Chine a une grande opportunité d’être un leader mondial de l’innovation en santé. Avec son riche bassin de scientifiques talentueux et sa capacité à développer de nouveaux médicaments et vaccins, la Chine a été notre choix évident pour créer un nouvel Institut mondial de découverte de médicaments pour la santé. Cet institut — une collaboration entre notre fondation, le gouvernement municipal de Pékin et l’Université Tsinghua — aidera à accélérer la découverte et le développement de nouveaux médicaments vitaux. »

Mais Gates n’est évidemment pas le seul allié de la Chine. Ses liens avec une grande partie de l’élite mondialiste occidentale méritent une enquête plus approfondie.

En regardant les membres du conseil d’administration [25] de l’École d’économie et de gestion de l’Université Tsinghua, hébergée par Wang Qishan, le vice-président de la République de Chine, nous trouvons des individus tels que Henry Paulson, PDG de Goldman Sachs, Jamie Dimon de JP Morgan Chase, Corbat de Citigroup, Mark Zuckerberg, Elon Musk, Tim Cook, Laurence Fink et les PDG de Dell, McKinsey, IBM, Walmart, General Motors, BlackRock, Tata et bien d’autres.

Que font-ils vraiment au conseil d’administration d’une université chinoise ? Cela ne ressemble-t-il pas plutôt à un conseil stratégique mondial ?

Le rôle de Tedros dans la pandémie de coronavirus

Ces liens expliquent notamment pourquoi la gestion par l’OMS de la crise de Covid-19 a été largement influencée par Pékin et pourquoi Tedros a ouvertement félicité le gouvernement chinois après sa rencontre avec Xi Jinping.

« Nous apprécions le sérieux de la réponse de la Chine à cette épidémie, en particulier la force de son leadership [26] et la transparence dont ils ont fait preuve. » [27]

et

« La Chine illustre de nouvelles normes en matière de préparation et de riposte aux épidémies. » [28]

Tedros a même qualifié les mesures de quarantaine draconiennes prises par le gouvernement de Pékin d’« héroïques » [29], tout en insistant paradoxalement sur le maintien du trafic aérien avec la Chine. Le 3 février, Tedros a réprimandé les États-Unis et d’autres pays qui avaient fermé leurs frontières quand il est devenu clair que la nation communiste ne contenait pas la propagation du virus.

[Voir aussi :
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)]

« Il n’y a aucune raison pour que des mesures interfèrent inutilement avec les voyages et le commerce internationaux. Nous appelons tous les pays à mettre en œuvre des décisions fondées sur des preuves et cohérentes », a-t-il déclaré.

Bien que la plupart des compagnies aériennes aient rapidement suspendu leurs vols, Ethiopian Airlines est l’une des rares à avoir maintenu des connexions avec la Chine tout au long de la crise. [30]

Le Forum sur la coopération sino-africaine a rapporté un appel téléphonique [31] entre le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed Ali et Xi Jinping qui confirme une fois de plus les liens étroits entre les deux pays.

« Cet appel téléphonique ainsi que les deux lettres de sympathie du Premier ministre témoignent de la profonde amitié et du soutien mutuel entre la Chine et l’Éthiopie en tant que partenaires de coopération stratégique globale. L’Éthiopie a suivi les recommandations de l’OMS et a maintenu ses liens et échanges normaux avec la Chine. La Chine apprécie cette expression de confiance. »

Le contrôle de la santé et de l’économie de l’Afrique est évidemment un enjeu important dans la gestion de l’épidémie de coronavirus. L’administration Trump a mis en garde contre l’espionnage chinois dans la future installation du Centre africain de contrôle des maladies, affirmant qu’elle cesserait de financer si Pékin poursuivait la construction de son siège social en Éthiopie.

Le Financial Times [32] a cité un responsable de l’administration américaine :

« C’est une menace pour l’Afrique. L’Afrique possède de grandes quantités de données génomiques et les Chinois veulent construire le CDC pour éventuellement voler les données de tous les autres centres », se référant à cinq centres régionaux des CDC africains, « ils traitent les virus à haut risque, les crises sanitaires, la recherche et la collecte de données. »

Washington a déclaré que les États-Unis avaient investi 900 millions de dollars pour soutenir la santé en Afrique au cours des 15 dernières années et avaient donné 14 millions de dollars au CDC africain lors de sa première année de fonctionnement, en 2017. Mais les Chinois sont allés de l’avant et ont investi 200 millions de dollars dans la construction du centre de conférence de l’Union africaine, « sur écoute », qui abrite actuellement le secrétariat du CDC africain. Il semble que la Chine et les États-Unis aient trouvé un accord de coopération sur la question sous l’administration Obama, mais cela ne pourrait pas durer très longtemps sous la présidence de Trump.

L’OMS et la Chine jouent-ils un rôle dans la situation italienne ?

Au début de l’épidémie, Ghebreyesus a appelé les Italiens (1er pays à avoir déclaré des cas après la Chine) « à ne pas stigmatiser les Chinois » en insistant sur le fait que « le temps n’était pas au jugement, mais à la solidarité. » Les précieuses recommandations du directeur de l’OMS ont ainsi empêché le gouvernement italien de confiner les personnes de retour de Chine. Pire encore, le maire de la ville de Florence, qui compte un nombre important d’immigrants chinois, a été encouragé à lancer une campagne nationale invitant ses concitoyens à « embrasser un chinois dans la rue ! »[33]. Mais une telle complaisance envers la Chine est également due au fait que l’année dernière, le gouvernement Salvini a été le premier pays du G7 à signer un partenariat économique avec la Chine dans le cadre du projet Belt and Road, qui leur donnerait un accès direct à la Méditerranée.

Maintenant que le parti de Salvini a quitté le gouvernement, le déclenchement de l’épidémie de coronavirus a peut-être incité la nouvelle majorité à réévaluer ses liens avec Pékin. L’Italie est en tous cas devenue le premier gouvernement occidental à interrompre ses vols en provenance de Chine. Mais le pays pourrait payer le prix de son infidélité, car il est fort isolé politiquement. Ses partenaires européens ont refusé de l’aider, alors que la Chine tente de maintenir son emprise en envoyant une aide médicale et des experts pour résoudre la crise. Entre-temps, l’OMS, qui a son siège européen à Venise, l’une des principales zones touchées, a délégué un de ses principaux experts pour diriger la réponse à la pandémie. Malgré (ou à cause de ?) cela, le nombre de cas de décès en Italie continue de monter en flèche et dépasse de loin les autres pays. Aucune explication scientifique convaincante n’a été fournie, même si des facteurs tels qu’une population plus âgée et un manque d’unités de soins intensifs ont aggravé la situation et si la notification des cas est biaisée.

Interpellée par la situation, la Russie a envoyé toute une équipe d’experts et de médecins militaires pour aider le nord de l’Italie à faire face à la crise. Il est certain que cette délégation mènera sa propre enquête sur la situation italienne. Quoi qu’il en soit, il est maintenant évident que l’OMS et ses dirigeants ont un programme de riposte à la Pandémie qui a plus à voir avec le gouvernement mondial et le leadership mondial qu’avec la santé.

Bill Gates semble mener l’initiative avec le fonds CEPI pour accélérer la production de vaccins.

Il fait avancer son programme de gouvernance mondiale avec son armée d’experts en santé dévoués, tels que les membres du Coronavirus Response Task Force, Fauci et Birx, qui sont des partenaires de longue date de la campagne du Fonds mondial contre le sida. Étant donné leurs liens proches avec Pékin, il n’est pas étonnant que Fauci ait refusé de répondre à la presse quand elle lui a demandé de commenter le fait que Tedros louait l’exemple de la Chine.

… (fin de l’article rédigé en avril 2020)

Références




La civilisation est-elle en train de s’effondrer ?

[Source : epochtimes.fr]

Par Jeffrey A. Tucker

Le week-end dernier, des activistes climatiques sont entrés dans le Musée du Louvre à Paris et ont lancé de la soupe de carottes sur la Joconde de Léonard de Vinci. Si une telle chose s’était produite au Whitney Museum de New York, personne n’aurait remarqué la différence. Mais la Joconde est le tableau le plus vénéré de toute la chrétienté (un mot qu’on n’entend plus !).

Le tableau n’a pas été endommagé, car il se trouve derrière une vitre pare-balles. Il n’en reste pas moins que cet événement a quelque chose d’effrayant.

Bien sûr, on peut mettre cela sur le compte d’activistes climatiques au cerveau endommagé probablement drogués à quelque chose, comme la plupart d’entre eux. L’idéologie prônée par le Forum économique mondial, Harvard et l’Université de Paris fait partie des drogues qu’ils prennent. Ces enfants stupides ne font que mettre en pratique ce qu’on leur enseigne.

Et que leur enseigne-t-on ? Si l’on met de côté le langage alambiqué et les théories complexes des grands traités, le message se résume à une seule chose. La civilisation est corrompue. La beauté est un mensonge. La liberté est une exploitation. Les droits sont des mythes. Toutes les institutions que les gens considèrent comme répondant à leurs besoins sont en fait en train de détruire mère Nature et d’empoisonner tout ce qui existe. Par conséquent, rien de tout cela n’a de valeur. Tout doit disparaître.

Ils sont tellement convaincus de cette vision du monde qu’ils pensent faire de l’activisme efficace et fondé sur des principes en tentant de détruire la peinture la plus appréciée au monde. On pourrait parler de folie, mais il faudrait alors en dire autant d’une grande partie du consensus qui règne parmi les élites mondiales des médias, des gouvernements, des fondations à but non lucratif et des universités. Cette pourriture est dominante parmi eux.

Comment en sommes-nous arrivés là ? Il y a des années, je me suis plongé dans la littérature conservatrice catastrophiste de l’époque, qui annonçait l’arrivée d’attaques fondamentales contre les valeurs de l’Occident. Je les ai tous pris au sérieux, mais seulement intellectuellement. Je n’ai jamais vraiment cru que la menace passerait du monde universitaire au monde réel et finirait par affecter nos vies publiques et privées.

Et pourtant, nous y sommes. J’avais largement sous-estimé le pouvoir des vraies mauvaises idées. Elles ne restent pas dans les salles de classe. Si les enfants qui occupent ces chaises, qui trichent à l’école et prennent des pilules pour faire des nuits blanches, finissent par être embauchés par des institutions prestigieuses du gouvernement et de la finance, ils en viennent à habiter les sommets des institutions les plus puissantes du monde.

Dans ma période de pensée la plus naïve, à l’époque de l’essor de la technologie numérique, je m’étais convaincu que toutes ces menaces n’étaient que du bruit. Nous les surmonterions toutes grâce à une innovation admirable et à la libération de l’énergie créatrice de l’esprit d’entreprise dans l’espace numérique. Dans ce cas, les institutions traditionnelles comme les universités n’ont guère d’importance. C’est l’Ancien Monde, alors que nous étions en train de construire le nouveau.

Cette perspective m’a empêché de voir la pourriture sous nos pieds. Les nouvelles entreprises numériques se sont développées et ont fini par être capturées par l’ennemi. Les médias ont suivi le mouvement. L’État administratif, que personne n’avait élu, s’est emparé de tout et de tous. C’est ainsi qu’une vision néfaste du monde a fini par être imposée au monde. Tout cela semblait se produire pendant que nous dormions.

Des signes avant-coureurs annonçaient que tout cela allait se produire après 2016. Le peuple a élu Donald Trump. Il n’a jamais été mon préféré, comme vous le savez probablement, mais c’est le président que le peuple a élu. Nous sommes censés vivre dans un système où c’est le peuple qui contrôle le gouvernement, et non l’inverse.

Presque immédiatement, il est devenu évident que l’ensemble de « l’Establishment » traiterait sa présidence comme si elle était fausse. Ils ont dit que les Russes l’avaient élu comme par magie. Ils ont dit que c’était un homme mauvais et qu’il ne pouvait donc pas être à la tête de l’État. La presse lui était constamment hostile, jour après jour. L’ensemble de la bureaucratie administrative s’est employée à défier ses moindres ordres.

Il ne s’agissait pas seulement d’une opposition à ses politiques. Il s’agissait d’une opposition à toute une éthique et une philosophie de vie, enracinée dans quelque chose d’authentiquement américain. C’est à ce moment-là que l’ensemble de « l’Establishment » a décidé de faire comme si Donald Trump n’existait pas, ou peut-être de travailler à sa non-existence.

Quelque chose de similaire s’est produit au Royaume-Uni à la même époque. Les électeurs se sont prononcés en faveur de l’abandon de la gouvernance par la Commission européenne et du retour au même groupe d’États autonomes appelé Angleterre, Écosse, Irlande et Pays de Galles. Ils s’en sortiraient très bien. Boris Johnson a été élu Premier ministre avec un mandat : mettre en œuvre le Brexit. L’État profond était déterminé à résister.

Quant à Trump, il est arrivé terriblement mal préparé et naïf. Il croyait que le système fonctionnait encore. Maintenant qu’il était président, c’est lui qui dirigerait. Il a progressivement appris qu’il en était autrement. Il lui a fallu beaucoup de temps pour se rendre compte de l’ampleur de la conspiration qui l’entourait. À la fin de son premier mandat, épuisé par les luttes incessantes, la bureaucratie profonde a trouvé le moyen de le faire tomber et de ruiner sa présidence. Ils l’ont piégé pour qu’il donne des ordres de confinement. La même chose s’est produite au Royaume-Uni.

Les confinements ont fait plus que cela. Ils ont introduit dans le monde entier l’idée que même les violations les plus scandaleuses des droits et libertés traditionnels n’étaient pas interdites. Le monde peut changer en un clin d’œil. Nous pouvons tenter des expériences complètement folles sur l’ensemble de la population humaine. Nous pouvons même faire en sorte que les médias, la technologie, le monde universitaire et la médecine soient d’accord, tout en punissant et en réduisant au silence toute dissidence.

Le but n’était pas de parvenir à quoi que ce soit. Il n’y a jamais eu de finalité. Le but était d’illustrer ce qui était possible. C’était l’imposition globale du choc et de l’effroi. Et cela s’est poursuivi jusqu’à ce que ceux qui étaient perçus comme les vandales, comme Donald Trump et Boris Johnson, soient chassés du pouvoir une fois pour toutes, afin que l’État administratif et son programme malfaisant pour le reste d’entre nous aient les mains libres.

Depuis lors, le monde s’est embrasé avec des guerres, des migrations de masse, d’énormes divisions politiques et un effort frénétique de la part des peuples du monde entier pour retrouver la paix et la sérénité que nous avons tous connues autrefois. Nous connaissons quelques succès, mais ils sont très limités. La raison en est que les responsables en sont venus à considérer les peuples qu’ils gouvernent comme des insurgés, une foule indisciplinée qu’il faut contenir, de peur que leur révolution échoue et que tous leurs efforts ne soient vains.

Ils l’ont souligné dans l’absurde « tribunal kangourou » sur la prétendue « insurrection » du 6 janvier 2021. Des efforts ont été déployés pour empêcher Donald Trump de figurer sur les bulletins de vote, en citant l’article 3 du 14e amendement, rédigé à l’époque pour empêcher les officiers confédérés d’exercer des fonctions, mais qui avait été annulé par le Congrès. Cette même section de l’amendement interdit toute participation politique à quiconque « aide et encourage » une insurrection. Il s’agit probablement d’un autre moyen pour les vrais vandales de salir tous ceux qui veulent les arrêter.

La révolution contre la civilisation prend de nombreuses formes, certaines calmes et apparemment scientifiques, d’autres absurdes et directement destructrices. Ils parlent de la nécessité d’arrêter le changement climatique, mais la véritable cible est votre niveau de vie, même votre capacité à rester au chaud dans votre maison ou à parcourir des distances. Ils parlent de la nécessité d’une agriculture « durable », mais ils s’attaquent en réalité à l’agriculture et à l’élevage traditionnels, et même à votre capacité à vous procurer du bœuf et du porc. Ils parlent de diversité, d’équité et d’inclusion, mais il s’agit en fait d’exclure et de cibler un groupe entier de personnes qui résistent à la grande remise à zéro.

Les élites renâclent devant ce genre de discours, comme s’il était trop extrême et alarmiste. Elles disent que nous devrions nous calmer et nous détendre parce que tout va bien se passer. Et si elles se trompaient ? Et s’il n’y avait pas de retour en arrière possible sur le chemin où les élites sont en train de nous emmener ? Je pose la question parce qu’il n’y a vraiment pas de retour en arrière possible. L’un des piliers de la vie civilisée — même les principes de base comme la liberté et les droits de l’homme — a disparu, et il n’y aura pas de retour possible, pas avant des générations, bien après que nous ayons quitté cette terre.

Ce sont là de grandes réflexions, mais nous vivons une période d’urgence. La tentative de dégradation de la Joconde peut sembler être une farce de bas étage commise par quelques jeunes fous, mais je crains qu’elle ne soit le symbole de bien davantage. Combien de choses de ce genre devrons-nous encore voir avant de réaliser que nous vivons une époque qui pourrait changer le cours de l’histoire ? Soit nous agissons, soit nous regardons tout s’écrouler.




PLAN DE MARQUAGE DE L’HUMANITÉ

[Source : michelledastier.com]

Voici un article de Serge Monast dévoilant le projet des dirigeants de ce monde d’offrir tous les hommes et femmes de la planète à Lucifer au travers d’un système de contrôle que la Bible appelle « La marque de la bête ». Ce texte écrit au début des années 90 quand la puce électronique était quasi-inconnue, est d’actualité aujourd’hui. En moins de 30 années seulement, ce qui semblait être de la science-fiction est devenue réalité.

Dévoilement du complot relatif au plan de marquage de l’humanité

Par Serge Monast

Serge Monast, Journaliste d’investigation avait révélé dès 1993, le projet secret des Illuminati-Reptiliens de pucer le monde. Comme tous les gens qui disent la vérité, il a été assassiné !

Révélations de M. Monast (Un des derniers documents présentés par l’auteur avant son assassinat)

« Le 15 décembre 1993, à Montréal, Serge Monast, de l’Agence Internationale de la Presse Libre, dont les activités étaient uniquement axées sur le journalisme d’enquête internationale aux niveaux économique, politique, militaire et médical, dévoilait des informations si stupéfiantes qu’elles lui coûtèrent la vie. Neuf ans après, ses informations se confirment les unes après les autres. Il est vrai qu’il était informé par des politiciens repentis, des agents des services secrets écœurés ; il recevait également des documents classifiés, ultra confidentiels, souvent anonymement ou transmis par des confrères situés aux quatre coins du monde »

(Jacques Delacroix,Naufrage d’un système,Tome 1, Collection L.I.E.S.I., Éditions Delacroix, B.P. 18, 35430 Châteauneuf, 2003, page 70.)

Introduction

Depuis plusieurs années il existe des projets sérieux visant le marquage des individus par laser, sur le front ou sur le poignet. Mais aujourd’hui les tireurs de ficelles du Nouvel Ordre Mondial sont allés plus loin : Ils sont à même de réaliser leur rêve de contrôle complet du cheptel humain. Comment ? Par l’injection d’une puce électronique à chaque être vivant. Tout est quasiment au point ! Ce sera l’objet de la première partie de ce document. Ensuite, nous verrons pourquoi nos écoles ont produit une jeunesse qui, dans sa grande majorité, est — malgré elle — : pourrie, viciée, sans Foi, sans valeurs morales, sans esprit de discernement, sans vie intérieure, ayant pour unique perspective celle de servir le Système selon une morale Antichrétienne et Humaniste.

Nous nous pencherons ainsi sur les formes policières et militaires constituées par les cadres du Gouvernement Mondial. Cadres choisis parmi les brillants promus des écoles sans Dieu. Des jeunes formés selon une idéologie particulière. Ce Gouvernement Mondial au service de l’Enfer doit asseoir le fils de perdition — l’Antéchrist. Il a besoin d’une force d’action multinationale omniprésente. Elle ne peut se constituer qu’à partir d’éléments nationaux !

Concept de monnaie électronique avant le marquage de l’humanité. Une condition préliminaire :

L’instauration de la monnaie unique.

Depuis une trentaine d’années, les dirigeants des banques américaines et mondiales commencent à envisager un autre échange monétaire que celui du chèque. Le premier vice-président de la FED déclarait en 1975 : « Il faut absolument développer un nouveau système électronique d’échange sous peine de voir le système bancaire des États-Unis s’étouffer sous une avalanche de chèques ».

On mit alors en route un transfert électronique de fonds au niveau international, la SWIFT — Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications, — établit à Bruxelles et comptant, enjanvier 1975 déjà 246 banques pourvues d’un système privé de communications pour la transmission de paiements et d’autres messages associés aux transactions bancaires internationales.

Une femme d’affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d’élaboration. Elle écrivait :

« Quand le système monétaire tombera… ce sera le 666 System…Bruxelles, le quartier général de l’économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l’ambition d’étendre ce transfert de fonds au niveau international, c’est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l’immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C’est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d’attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres. »

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu’un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette « marque internationale » pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l’attribution d’une marque chiffrée…

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l’ont appelé « The Beast » (la Bête)… Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d’argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d’une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d’argent effectué, tous les changements d’adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d’imposition.

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d’ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L’idée initiale était d’établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80, on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu’on le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l’œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d’une marque à l’ordinateur. L’apparition il y a quelques années du code-barres informatique s’est étendue rapidement sur la quasi-totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d’asservissement monétaire en cours. Tout ceci s’est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. À l’époque, la marque sur la main ou sur le front devait s’effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires. On trouve des explications aux États-Unis :

  • Dans les grands centres de loisirs où l’on pratique perfidement cette parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits-enfants »… À l’entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l’enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l’enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l’aire de jeux.

  • Dans les grands centres de distribution… Les clients n’ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s’y trouve incorporé. À l’intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l’épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, son prix est enregistré. Le paiement s’opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n’a plus qu’à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994…

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot, le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé — comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné ou s’il n’est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l’identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c’est fini. Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire…

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l’évidence : la carte de crédit par exemple n’était pas à la hauteur du plan monétaire d’asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose. Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d’un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.

Plusieurs individus travaillant en solitaire pour la divulgation de la vérité sur des sujets variés, inconnus du public, dangereux, ont décidé de se réunir et d’organiser à l’échelle nationale et internationale un réseau parallèle d’informations et d’échanges de tout ordre. Ce, afin de freiner l’anéantissement des valeurs occidentales et de témoigner du complot qui s’abat contre notre monde chrétien.

Dangereux, parce que les informations vérifiables à l’Agence Internationale de la Presse libre, démontrent la perspective pas très lointaine de notre condamnation et d’une volonté des ennemis de Jésus-Christ Fils de Dieu, de nous pourchasser pour notre foi, notre refus de la société antéchristique actuelle, et finalement du désir de marquer du signe de la Bête tous les individus de la planète comme vous le verrez par la suite.

Les activités de l’Agence Internationale de la Presse libre au Canada sont accès uniquement sur le journalisme d’enquête internationale au niveau économique, politique, militaire, médical, et vérifiables. Leurs dirigeants ne peuvent pour l’instant pas être contactés pour des raisons que chacun devine. D’où la décision prise de diffuser ce que vous allez connaître. Même les informations qui seront portées à votre connaissance ont été obtenues avec beaucoup de difficultés de la part de certains journalistes [néanmoins la cohérence de ces informations rend celles-ci fort vraisemblables, pour ne pas dire certaines, compte tenu de ce qui s’est déjà réalisé]. Plusieurs ont risqué leur emploi, leur sécurité et pour quelques-uns, leur vie.

Partie I
MARQUAGE DE L’HUMANITÉ
Le microchip biologique d’identification internationale

Depuis l’apparition des Codabars en 1977 — approuvé par l’ONU dès 1972 — il y a une accélération foudroyante du Plan de la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, II, 9] prophétisé par l’Apocalypse aux chapitres XIII, versets 8 et 15 à 18 :

« La Bête réussit à leur faire mettre à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une empreinte sur la main ou sur le front ; et elle fit en sorte que nul ne pût acheter ou vendre, qu’il n’eût l’empreinte, le nom de la Bête ou le nombre de son Nom. Ici réside la Sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la Bête. C’est un nombre d’homme. Ce nombre est Six cent Soixante-Six »
[www = 666].

Ces Codabars de type « Ean » intégraient le nombre « 666 » au moyen de trois groupes de deux barres plus longues que les autres (au début, au milieu et à la fin). Chacun des groupes est lu au laser comme un « 6 ». Ainsi obtient-on le chiffre « 666 » qui se surimpose sur chaque code-barres. Ces trois chiffres identiques s’ajoutent aux treize chiffres fonctionnels (le choix de ce nombre fut volontaire afin de dévoiler la réalisation de l’Apocalypse, précisément son chapitre XIII !).

Le code de treize chiffres s’explique ainsi : 3 pour le pays et la région d’origine, 5 pour les producteurs (usine, atelier, etc.), et 5 pour le produit (prix, date, etc.). Chaque chiffre est lui-même réalisé par une juxtaposition de 7 modules blancs ou noirs. Comme le nombre d’arrangements de 7 modules est très supérieur à 10, ce procédé permet d’utiliser simultanément 3 codes dits A, B et C.

B est identique à A, mais à l’envers. C s’obtient en inversant les couleurs de A. Le code A n’est utilisé que pour les 6 premiers chiffres de chaque étiquetage, ce qui permet de déchiffrer le code, quel que soit le sens dans lequel les caissières des supermarchés présentent les paquets devant l’appareil de lecture optique. Afin d’éviter les « doubles », tous ces codes sont attribués, dans chaque pays par un diffuseur unique qui a fait du secret sa règle d’or : « Gen Code », filiale du diffuseur américain.

En 1988, la ville de Singapour — en Malaisie — a testé ce système de marquage sur une population de dix mille personnes. Pendant trois mois on a testé dans cette mégapole le remplacement des cartes de paiement par un Code-Barres individuel lisible au laser. Le code était gravé pour moitié sur le poignet et pour moitié sur le front !

Ron Steele démontrera que la technologie pour marquer, enregistrer et surveiller des gens existe par exemple aux États-Unis avec des prisonniers et même certaines prostituées séropositives.

Le sujet que je développe à ce jour est basé sur des informations fournies essentiellement par Ladite Agence ; il est très important. Même les journalistes initiés ne pouvaient pas penser que l’information qui fait l’objet de cet article puisse exister. Il s’agit de quelque chose d’excessivement sérieux, qui, du jour au lendemain, non seulement permettrait l’instauration d’un Gouvernement mondial, d’un ORDRE MONDIAL, mais rend possible le contrôle individuel, direct, de chaque individu sur la planète.

Cette information concerne le microchip biologique d’identification internationale. Dans la nouvelle technologie de pointe qui va être utilisée et l’est déjà pour arriver à un contrôle absolu de toutes les populations de la planète, les architectes du Nouvel Ordre Mondial ont admis dans des réunions privées que sans l’avènement de l’ordinateur et de la haute technologie, la réalisation d’un Gouvernement Mondial n’aurait jamais pu être si proche. Parmi ces nouvelles technologies les plus effrayantes qui soient, il y a le microchip biologique d’identification internationale.

Qu’est-ce que c’est ? Des confrères américains [et non français] ont réussi à obtenir des informations vérifiables grâce à des documents audio, des photographies, un dossier de presse complet provenant de publications produites par des journaux officiels et religieux depuis 1990. Ces informations démontrent l’existence d’un contrôle électronique direct de tous les individus sur toute la planète.

On pourrait croire avoir affaire à de la science-fiction, mais la présence de documents écrits, de références à ces documents et des documents vidéo provenant des compagnies qui ont mission de fabriquer ce produit-là, ne laissent aucune alternative quant aux conclusions.

Selon Terry L. Cook — journaliste chrétien d’investigation sur la côte ouest américaine, — celui-ci se référant à Tem Wellord, la technologie cachée derrière le nouveau MICRO CHIP n’est pas très compliquée. Avec un peu de raffinement, il pourrait faire l’objet d’une grande variété d’applications humaines.

D’une manière plus que concevable, un numéro pourra être assigné à chacun dès la naissance et faire partie de la vie intégrante de celui-ci jusqu’à sa mort.

Vraisemblablement cette puce électronique pourra être implantée sur le revers de la main, et celle-ci pourrait servir de carte d’identification universelle, ce qui remplacerait les cartes de crédit, les passeports, les permis de conduire, etc.

À la fin de l’année 1993, une compagnie américaine : la Destron Idi Colorado, fabrique et annonce ces puces électroniques d’identification IDI CHIP globalement via « Infopet » et d’autres distributeurs américains et internationaux.

Pour l’instant, ces puces sont utilisées pour retracer, contrôler et identifier les animaux de ferme, les animaux domestiques, les oiseaux, les poissons et tous produits manufacturés. Actuellement ce nouveau système se répand à la vitesse de l’éclair sur toute la planète. Un exemple : celui de l’implantation du MICRO CHIP sur les grands oiseaux coureurs d’Australie.

Autruches, émeus et nandous sont l’objet d’un élevage commercial aux États-Unis. Zoan Parker, un spécialiste des ratistes ou oiseaux coureurs du Penn State Cooperative Extension à Lancaster, déclare que l’élevage de ces oiseaux reflète aujourd’hui les mêmes tendances que l’élevage du bétail dans les années 1800, qui commença également comme un marché limité à quelques éleveurs. Ces premiers fermiers savaient que les voleurs de bétail étaient un véritable problème. Plutôt que de marquer le bétail au fer chaud, ce stock d’oiseaux vivants est muni d’un MICRO CHIP individuel d’identification qui émet un signal. Zoan Parker dit que « c’est comme un numéro de sécurité sociale ».

Cet article est la 2e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Ce MICRO CHIP est si petit qu’il peut être facilement introduit dans une aiguille hypodermique ! Il s’agit d’un minuscule tube de verre, microprocesseur passif, de 2 mm de diamètre, et dont la taille mesure entre 10 et 12 mm.

Peu après la naissance de l’oiseau, le MICRO CHIP est injecté dans les tissus adipeux ou musclés de l’animal, « ne causant aucun mal ou inconvénient à l’animal », selon Parker. L’oiseau peut alors être identifié par un lecteur de MICRO CHIP portable.

Parker ajoute : « Chaque oiseau doit être muni d’un MICRO CHIP pour être transporté à travers les frontières des États, ou être assurés. Il vous faudrait littéralement déchirer l’oiseau en morceaux pour arriver à ôter le MICRO CHIP ».

En 1995, comme la plupart des gens le savent, le numéro d’assurance sociale se compose d’une série de neuf chiffres. Selon d’autres informations reçues tout récemment à l’Agence, ce système sera tout prochainement remplacé avec l’aide de nouveaux ordinateurs, par une série internationale de dix-huit chiffres numériques, à cristaux liquides, connus sous le nom de MESH-BLOCK. Une configuration internationale qui permettra d’identifier n’importe qui sur la planète. Cette nouvelle série de dix-huit chiffres sera divisée en trois parties, c’est-à-dire trois séries de six chiffres chacun.

Tout début 1994, ces implants de puces électroniques aussi appelés TRANSPONDER ont été partout répandus sur la planète pour le contrôle de l’industrie animale. Afin d’identifier l’animal (numéro précis attribué à chacun, comportant le nom et l’adresse des propriétaires) un lecteur manuel envoie une impulsion radio de 125 kHz (signal). Le transponder implanté renvoie le numéro attribué par retour (réponse en écho), au lecteur (scanner). Le scanner affiche aussitôt le nombre digital sur son écran à cristaux liquides.

Un TRANSPONDER, c’est un récepteur-émetteur radio ou radar, activé pour la transmission, par la réception d’un signal prédéterminé qui peut provenir d’un lecteur au laser ou d’un équipement sophistiqué : émetteur ordinateur ou même par satellite. Selon le journaliste L. Cook (« Implantable Biochip Tenchnology 666 ») le nom complet de ce « grain de riz » est : Destron Idi Transponder TX 1400 LX. Dans son livre il nous apprend que le coût d’un de ces « grains de riz » est d’environ $4,5(US). Il cite dans cet ouvrage un article de « San Diego Union » du 9 novembre 1991 dans lequel un journaliste révèle que la ville de Los Angeles aurait voté un crédit de $ 123 000 par an, pour fabriquer des « implants » sur les animaux familiers et inciter les propriétaires à en faire autant. L’objectif consisterait à réduire par ce système le nombre des animaux perdus, qui coûtent cher aux villes…

Dans un autre article, tiré du « Arizona Republic » du 20 juillet 1989, on apprend qu’un certain Jack Dunlap proposerait d’implanter des puces électroniques aux… jeunes enfants afin que leurs parents puissent les retrouver en toute occasion, par l’intermédiaire des ordinateurs de la police ! … [Et le pas est franchi, car l’escalade coulait logiquement et inéluctablement de source.]

Ce journaliste américain précise : « La technologie cachée derrière ce nouveau “microchip” n’est pas très compliquée et, avec un peu de raffinement, pourrait être utilisée dans une grande variété d’applications pour les humains » [bien sûr, c’était cousu de fil blanc]. À cet effet, en 1995, une nouvelle version est en phase d’expérimentation sur l’être humain. Vraisemblablement cette puce d’identification a de grandes chances de devenir le marquage électronique attendu puisqu’elle pourrait être implantée sur le front ou le revers de la main et de venir la « carte d’identité universelle ». Par exemple, dans les magasins, il suffirait de passer le poignet au-dessus ou dans un « scanner » pour effectuer ainsi un débit direct sur un compte bancaire… [et le tour est joué !].

Selon la C.E. Ouranos « des expériences ont été faites aux États-Unis pour graver sous forme de tatouage invisible à l’œil, le code-barres sur la main de certaines personnes. Une nouvelle carte identité infalsifiable comportant une puce électronique permettra, une fois passée dans un lecteur, de connaître tous les renseignements sur la personne. Elle fera office de carte universelle d’ici l’an 2000. Déjà la nouvelle forme de pointage électronique remplaçant le ticket de métro et de bus dans certaines villes préfigure le nouveau système de contrôle magnétique infalsifiable qui sera utilisé d’une manière universelle ».

On sait que de tels projets sont testés en ce moment même dans les « bureaux d’études » constitués et financés par la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, 2:9] (Haute Finance internationale). Cela paraît peut-être invraisemblable, mais il est aujourd’hui possible « techniquement » de contrôler directement et individuellement chaque individu sur la planète. Chacun d’entre nous, avec ce système, serait enregistré. Et d’après les documents reçus, il est évident que ceux qui comptent l’implanter d’une manière obligatoire au niveau des populations sont en train de structurer les nouveaux paramètres internationaux, la nouvelle télémétrie économique, de manière à ce que tout individu qui n’aurait pas cet implant électronique ne puisse ni acheter ni vendre quoi que ce soit sur toute l’étendue de la planète.

Pour mieux comprendre ce que peut être le microchip biologique d’identification internationale on peut chercher une définition d’après les compagnies qui ont reçu mission de la créer [terme impropre : Dieu seul crée].

Après avoir évoqué la Destron Idi Colorado on pourrait aussi citer la multinationale Texas Instrument, la Tarovan, qui est la compagnie du système d’identification électronique aux États-Unis, mais aussi la compagnie Avidqui fabrique un « tag », c’est-à-dire une espèce de médaille d’identité qui est remplacée par la puce électronique et fait partie des sociétés construisant des appareils d’identification pour le monde vétérinaire aux États-Unis.

La définition transmise par ces sociétés est la suivante : l’implant microchip d’identification est un appareil d’indiscrétion, d’abus de la vie privée, inséré avec une unité — un module — dans une petite région de la peau au moyen d’air comprimé.

En d’autres termes, cette puce électronique — pas plus grosse qu’un grain de riz — doit être injectée à l’aide d’une seringue à air comprimé. L’inclinaison de cet appareil d’implantation est comme une aiguille hypodermique, n’ayant qu’une pénétration limitée, et elle ne pourrait aucunement opérer si l’angle ou la quantité de peau n’était pas approprié. Cette unité émet un signal qui est digital et qui consiste en des jaillissements de 85 datas Bits.

Cette puce produit donc un signal digital à des intervalles spécifiques. C’est un signal de localisation. La technologie de cet appareil est hautement sophistiquée, classifiée (donc c’est une information technologique non publiée), et elle n’est pas soumise aux transmissions digitales normales et analogues. Cet appareil fournit des informations vitales, de même qu’il sert de moyen de localisation ; c’est-à-dire que l’appareil peut être codé, programmé, pour fournir des informations complètes avec un numéro d’identification. De plus il permet aux individus qui le manipulent de vous repérer où que vous soyez par un service de détection. Il y a ainsi, par l’implantation du MICRO CHIP sous la peau, possibilité de localiser tout individu grâce à l’émission du signal émis par la puce, et capté par des satellites. Ces derniers retransmettraient l’information à un écran d’ordinateur aux quartiers généraux des corps de police au service de ce Gouvernement Mondial [peut-on imaginer la puissance d’un tel Gouvernement ?] (Nous verrons plus loin que ces corps de police existent déjà).

Une carte géographique intégrée dans le programme de l’ordinateur permettrait alors de localiser immédiatement l’individu recherché et de programmer une opération pour le trouver.

C’est essentiellement dans cette perspective que sont lancés à foison les satellites aujourd’hui.

Penchons-nous précisément sur la question des satellites au regard d’autres informations reçues par la Commission d’Études Ouranos. L’objectif s’intitule : « Une autoroute de données par satellites ».

Il y a chez les mondialistes de l’ONU et les financiers de l’Ordre Mondial [car, dans cet ordre-là, rien ne peut être réalisé sans argent], une volonté délibérée de faire de la planète un grand « village ». Il est pour eux un impératif que les endroits les plus reculés du monde soient reliés à une infrastructure mondiale, grâce à un gigantesque réseau de 840 satellites. Ce projet est proposé par Bill Gates [Monsieur Gates, attention au boomerang !], le fondateur de Microsoft, et par Craig Mc Caw, le roi du téléphone cellulaire (tous ces téléphones ont déjà une puce intégrée qui permet de suivre à la trace leur possesseur, d’où une publicité effrénée pour leur diffusion).

On sait que l’américain Loral Corp et neuf partenaires étrangers, dont le puissant groupe français Alcatel Alstom, viennent de donner le coup d’envoi d’un système mondial de téléphonie et de radiolocalisation par satellite Globalstar, qui s’associera avec Bill Gates. Pour découvrir 98 % de la population mondiale, la « constellation Globalstar » comprendra 48 satellites sur six plans orbitaux à l’altitude de 2390 km.

Bill Gates prévoit ainsi un réseau gigantesque de 840 satellites gravitant sur 21 orbites différentes, à une altitude de 700 km, de manière à couvrir 95 % de la planète.

On relèvera outre le projet « Globalstar », plusieurs « concourrents » dont le projet « Irridium », fondé sur 66 satellites, pour 1988. Projet qui présente la particularité d’être en avance sur les autres dans la réalisation technologique.

D’après les documents en possession de certains journalistes canadiens et américains [les journalistes français s’étant éclipsés] et fournis à l’Agence Internationale de la Presse libre, le MICRO CHIP a déjà été expérimenté et implanté dans des organismes de bébés, de militaires, de messagers du gouvernement et sur du personnel travaillant à la Maison-Blanche dans des sections de haute sécurité. On rapporte aussi qu’il fut autorisé pendant la guerre du Golfe et fut montré publiquement à l’émission très connue de « Twani and Twani » aux États-Unis, en août 1991 [en France, on se couche, comme le disait déjà l’extraordinaire Mélanie de la Salette, Sœur Marie de la Croix, la sainte Bergère].

Relevons parmi les projets diaboliques celui d’implanter dans le corps de nouveau-nés une « puce électronique » devant faire de cet individu un robot soumis au pouvoir de l’ordinateur avec lequel il sera branché. « Bonum Certanem » de l’abbé Mouraux dévoile que « le malheureux contrôlé jour et nuit deviendra un esclave électronique. Commandé électroniquement cet esclave pourra sur l’ordre de ses maîtres, commettre tous les crimes qu’on lui imposera ».

Il apparaît donc qu’à l’heure actuelle, avec une technologie de cette trempe, on arrive à une possibilité du contrôle complet des individus sur la planète, qui permet l’instauration d’un Gouvernement Mondial sous l’égide des Nations-Unis.

Mais il y a pire… On sait aujourd’hui que des personnes travaillent au remplacement, dans la prochaine décade, du MICRO CHIP par un BIO CHIP : une puce fabriquée à partir de protéines vivantes. À l’heure actuelle, le projet est déjà en stade d’expérimentation. Cette puce sera infiniment plus petite que le MICRO CHIP : elle aura la capacité de renfermer une foule d’informations. Elle aurait le potentiel de pouvoir agir sur la mémoire ou la pensée d’un individu. D’où le spectre du contrôle mental.

Est-il possible aujourd’hui d’agir sur l’être humain à son insu par la manipulation des états de conscience ? On peut facilement à cette question en se référant aux états de haute suggestibilité sur le conscient qui permet l’action de l’hypnose sur l’inconscient. À titre d’exemple, la télévision devient un outil efficace pour ce genre de manipulation au moyen du sublimal. D’ailleurs la CIA qui travaille actuellement à l’installation de son propre « canal de télé » aura la capacité de transmettre — à partir de transmetteurs aériens puissants — pour interrompre toute programmation dans n’importe quel pays. Nous avons là la réalisation matérielle de ce verset biblique : la Bête aura le pouvoir de « faire parler les images » (Apocalypse, 13:15).

Pour les initiés qui financent des chercheurs sur des projets aussi macabres, une telle puce présente d’autres avantages : tout pourrait y être inclus. Cette puce d’identification électronique humaine pourrait rendre réalisable une centralisation globale par un ordinateur central. D’où possibilité de ne jamais perdre la trace d’un individu et de remplacer le système monétaire actuel. L’argent ne serait alors plus nécessaire : plus besoin de chèque, de cartes de crédit, etc. Tout fonctionnerait à partir de cet implant électronique sur l’individu. Ce serait un moyen fantastique de réduire les dépenses de l’État, des banques et de neutraliser une fois pour toutes l’ensemble des marchés de la mafia, du marché noir, le marché de la drogue, et toutes formes de transferts illégaux d’argent.

Or à la conférence annuelle du Groupe Bilderberg de 1992, à Évian, en France (peu de temps après les émeutes de Los Angeles) Henry Kissinger a déclaré :

« Aujourd’hui les Américains seraient scandalisés de voir des troupes de l’ONU rentrer dans les rues de Los Angeles afin de restaurer l’ordre. Demain, ces mêmes populations vont nous remercier à genoux pour un tel acte. Il est spécialement vrai que si l’on dit aux populations : “écoutez, il y a un danger extérieur énorme qui existe”, et que l’on vote des lois en fonction de ce danger : que ce danger soit réel ou non, on sera capable de faire passer n’importe quoi, et les gens l’accepteront pour le bien-être de leur sécurité. »

De la même façon, d’autres politiciens américains ont imaginé qu’à partir du moment où il y aurait un scandale sans précédent d’argent, ou une terrible crise économique fabriquée de pures pièces qui jetterait toutes les valeurs monétaires à terre, le meilleur système de remplacement du système actuel et la meilleure parade pour empêcher un autre chaos, serait l’utilisation d’une puce électronique d’identification. Selon eux, par cette puce passeraient toutes les formes de transactions, d’échanges nationaux et internationaux, entre les individus.

Des informations récentes confidentielles, vérifiées par un ex-officier de la CIA, dévoilent différentes données que le TRANSPONDER pourrait fournir si cette puce électronique était implantée dans la peau : le nom et la photo de la personne, le numéro d’assurance sociale internationale composé de trois séries de 6 chiffres — chacun pour un numéro international de dix-huit chiffres, — des données au niveau des empreintes digitales, la description physique de la personne, l’adresse, l’histoire familiale (arbre généalogique) [cf. les Mormons], des informations relatives au travail et aux revenus de la personne, des informations concernant l’impôt et un éventuel casier judiciaire. Cette technologie déjà utilisée sur la planète dévoile une volonté d’exercer une dictature sur tous les individus.

Il y a là une perspective de totalitarisme dont entend faire montre le futur Gouvernement Mondial à travers l’Ordre Mondial actuellement en cours.

Il existe d’autres informations dans un rapport spécial sur la nouvelle technologie pour la surveillance par satellites. La sophistication, le raffinement des satellites est tel qu’il permet de repérer des imperfections souterraines, même de voir des verres sous le gazon. En utilisant des tours cellulaires et des satellites, l’animal domestique doté d’un MICRO CHIP ou l’individu qui en a reçu un peut être repéré par satellite au moins à dix pieds de l’endroit où il se trouve.

Par ordinateur et un système de scanner, la police de l’Ordre Mondial — qui est déjà la police actuelle — sera, grâce à un tel équipement, capable de retracer un individu sur toute la planète.

On devine qu’un individu catholique, par sa seule Foi au Christ, constitue un obstacle aux idées antéchristiques de l’Ordre Mondial : il sera « classé » comme un dangereux terroriste par l’ONU. Cet individu-là n’aura aucun moyen de se cacher sur toute l’étendue de la planète. Voilà pourquoi les Saintes Écritures nous préviennent de refuser le marquage. Par des renseignements complémentaires, on sait que les hommes au service de l’Ordre Mondial peuvent suivre par satellite un milliard d’animaux domestiques à qui on a injecté la puce. Qui, d’après vous, seront les suivants sinon nous, les hommes ?

Fin 1993, il y avait vingt-quatre « navstar » satellites pouvant repérer n’importe quoi de l’ordre d’un centimètre dans un rayon d’un kilomètre. Vous pourrez trouver ces informations dans le magazine Forbes du mois d’octobre 1991. Mais le document ne développe qu’une parcelle de tout ce qu’ilssont capables de faire à ce jour avec une technologie secrète, financée par des investissements de multinationales ou de banques centrales. (Vous comprenez ici l’objectif de Jean Conrad du « Complot contre l’homme ».)

Parmi les dossiers constitués à partir de fuites ou de révélations privées, on sait qu’un contrôle accru de l’humanité s’effectue au moyen de : la surveillance au laser, les nouveaux permis de conduire, la nouvelle carte d’assurance maladie aux États-Unis et au Québec, le nouvel espionnage électronique par le téléphone, le téléphone sans fil, les dossiers d’appel téléphonique, le micro clandestin, les répondeurs téléphoniques et les boîtes vocales, le système électronique pour porte de garage, les enquêtes sondages téléphoniques, les disquettes d’ordinateur, les services des postes, les caméras vidéo, les dossiers d’impôts, dossiers scolaires, dossiers médicaux et de service social.

Par une crise économique, ils sont en train d’engendrer une crise sociale qui oblige déjà les gens à se diriger malgré eux, vers une aide sociale. C’est un moyen légal qui ne paraît pas [un prétexte] pour aller chercher une information complète sur tous les individus.

Ce n’est pas tout. Citons le contrôle technologique du cerveau à distance, champ électromagnétique, terminaux de vidéo et jeux vidéo, micro-onde, désinformation militaire et civile, le contrôle par micro-onde basse intensité et complication biologique, les nouvelles armes électromagnétiques.

Des informations ont été obtenues sur la Banque Mondiale de la Conservation de l’Énergie. David Rockfeller et d’autres ont établi, au cours d’une réunion du 13 septembre 1987, le découpage géographique du Canada au profit du Nouvel Ordre Mondial avec carte géographique du plan mondial. Il y a aussi le plan technologique pour la chute de l’économie mondiale et l’anéantissement des fortunes individuelles ; le nouveau papier-monnaie avec barres magnétiques invisibles, la disparition des classes moyennes et la nouvelle télématique internationale au niveau du contrôle de l’économie mondiale. On vient d’ailleurs de finaliser en décembre 1993 les accords qui permettront d’arriver à un contrôle semblable.

Cet article est la 3e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

On pourrait aussi parler de la nouvelle surveillance électronique automobile qui s’installe sur les autoroutes et qui fait que les nouvelles voitures renferment des systèmes de repérage électronique de détection, sans que les acheteurs en soient conscients. Si bien qu’un système militaire se met lentement en place et rend possible tout repérage de véhicules et d’individus par rapprochement avec le fichier central détenu par la police au quartier général où repose l’ordinateur.

Les systèmes de détection sont si précis que l’on peut même savoir qui conduisait telle voiture à une heure précise, en tel lieu. Il y avait, fin 1993, des mises en pratique sur certaines autoroutes en Californie.

On met donc, à l’heure actuelle, sur l’ensemble de la planète, un des réseaux les plus sophistiqués de détection qui permettra un système de surveillance sans précédent de tous ceux qui auront reçu ce nouvel implant technologique, mais également de distinguer parmi les populations ceux qui l’ont refusé.

Avec ce nouveau micro chip biologique d’identification internationale il sera possible d’imposer un Nouvel Ordre Mondial à l’intérieur duquel tous ceux qui n’auront pas reçu, ou auront refusé cette marque d’identité, n’auront aucun droit ni d’acheter ni de vendre [cf. Apocalypse, 13:16-17], c’est-à-dire aucune possibilité de travailler, de recevoir un salaire, d’acheter un appartement ou de vivre comme locataire, de vendre des biens, etc.

Qui va accepter d’échanger des biens dans un régime de peur où tous les moyens d’échange seront bannis ? Voilà pourquoi il a été décidé de rendre public ce genre d’information. Parce que le plan est si avancé que se taire c’est être coupable comme les hommes politiques qui eux-mêmes sont au courant. N’oubliez pas que ces hommes politiques dépendent des prébendes des multinationales, lesquelles financent les programmes d’investissement de recherche qui ont abouti à la création de cette technologie de mort !

Pourquoi ne disent-ils rien ? Parce qu’ils n’ont plus de formation chrétienne et « croient » (je suis gentil !) que ce système est pour le bien des populations.

A été mis au point un MICRO CHIP de traduction. Il s’agit d’une puce électronique qui permettra la traduction instantanée et simultanée d’une langue dans toute autre langue. Soit, au moins dans soixante et une autres langues et dialectes qui, par satellite, pourront être diffusés partout sur la planète en même temps. Ainsi un dictateur mondial pourra s’adresser à toute l’humanité en même temps par le biais de ce nouveau produit de la technologie au service du Nouvel Ordre Mondial.

Pour ceux qui se souviennent de certains textes remontant il y a fort longtemps, vous trouverez des correspondances avec l’anti-Babel ! La Babel antéchristique du Nouvel Ordre Mondial entend suppléer aux conséquences de la première Babel [et parodier la Pentecôte ou le Saint-Esprit – cf. Genèse, 11:1-9; Actes des Apôtres, 2:1-12].

Il existe aussi un autre système de contrôle de la population : la surveillance au laser. Un nouveau laser d’écoute électronique a été vérifié et mis au point comme outil très spécial par les départements enclins à la surveillance : la CIA, le FBI et le Revenu de l’Impôt aux États-Unis. Ces nouveaux dispositifs peuvent, en utilisant une fenêtre comme diaphragme (comme un écran de télévision), suivre et enregistrer toute conversation à plus de vingt mille de distance.

Au niveau biologique, le D.N.A. est utilisé comme mémoire pour les ordinateurs et les implants de mémorisation. Ceci devient de la biotechnologie. Or la source de cette nouvelle biotechnologie — nous sommes rendus là dans les développements actuels, — provient du tissu de bébés avortés.

Ces tissus et les protéines de mémoire sont des systèmes majeurs pour l’intelligence artificielle dans le marché actuel des ordinateurs.

Voici ce qui est rapporté par le Winache World du 26 juillet 1991 :

« Le gouvernement finance à l’heure actuelle des expérimentations sur des bébés morts ou vivants. Les bébés avortés dans le troisième trimestre, âgés entre six et neuf mois, survivent habituellement au processus d’avortement. Ceci est d’autant plus important que les tissus utilisés pour les expérimentations doivent provenir de bébés vivants. » Voici quelques moyens utilisés lors de ces expériences. On peut trouver cela dans un article du Docteur Bernard Nathasen, publié dans l’édition du New York Garden de novembre 1991 : « En Suède, une procédure a été suivie par laquelle une femme enceinte est placée dans un état de sommeil. Le bébé localisé est amené jusqu’à l’utérus afin de permettre au docteur de percer le crâne du bébé vivant [c’est atroce !] et y aspirer du cerveau des tissus devant servir au système de maladie de Parkinson. Cette même procédure est pratiquée sur des bébés vivants pour leur pancréas, leur peau devant servir aux victimes qu’on appelle les grands brûlés. Ces bébés sont écorchés vivants. L’industrie de la recherche sur les tissus de bébés est une industrie mondiale générant des revenus de l’ordre de huit milliards de dollars. »
[Et nos hommes politiques osent parler d’humanisme !]

On sait aussi que depuis mi-1993, la clinique Sansun de Santa Barbara, en Californie, est sur le point d’importer de larges quantités de tissus fœtaux. La peau des bébés avortés [assassinés] provenant de Russie où les femmes avortent en grand nombre quand le fœtus est arrivé au stade de sept à neuf mois !

Ces fœtus sont ceux qui aujourd’hui fournissent le plus de tissus humains…

Les experts nous assurent que ces tissus sont utilisés pour traiter les diabétiques.

De quelle façon les architectes de l’Ordre Mondial comptent-ils s’y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l’implantation du microchip biologique d’identification internationale ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l’économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant lesnations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unies.

Des journalistes américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : « Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement ».

L’auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d’affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d’un manuel de planification financière. C’est également unancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d’investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte :

« Les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. Des termes de l’ONU tels qu’autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nouvel ordre mondial, sont des noms de code qu’emploie l’Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du Sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait : “Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire-trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant : ‘Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique. Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

Monsieur Frence continue : ‘L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale’. En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen…). On oblige (ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminati.

En effet, ce programme extrait d’une revue financière rejoint l’article 4 du code des Illuminati :

«… afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.

C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminati il y a quelques centaines d’années. L’article 6 du code des Illuminati disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales — actions, valeurs, fonds mutuels, rentes — sur lesquels des fortunes encore plus grandes — celles des masses — vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU — les plus grands banquiers de la planète, l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un microchip biologique d’identification internationale, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c’est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale [c’est la lutte finale de l’internationale !…] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.

Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts remboursés [cf. Charles Gave, ‘Des lions menés par des ânes’, chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront — avant l’implosion — qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système seront condamnés à se tourner vers l’ONU [et le tour est joué !], à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995… Ces élus multiplieront et augmenteront la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures au niveau social. S’ensuivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

Les élus nationaux devront admettre l’ouverture de leurs frontières à l’immigration, la mobilité de la main-d’œuvre. Ce sera l’aboutissement des conséquences du libre-échange à tous les niveaux : la disparition des frontières nationales !

L’objectif étant, bien sûr ! D’augmenter les tensions intérieures entre les différentes ethnies et religions, de sorte que les pays en viennent à perdre le contrôle de leur sécurité intérieure. L’exemple chirurgical récemment dévoilé par l’ONU en Yougoslavie accrédite la réalisation de ce scénario dans quelques pays qui soient.

Finalement les populations se retourneront vers l’ONU. Elles supplieront de faire quelque chose au niveau international. D’ailleurs, tout a été fait au cours des dernières années pour inciter les gens à reconnaître que l’intervention de l’ONU évitait aux nations d’entrer elles-mêmes dans des guerres terribles. La fabrication de toutes pièces de conflits en augmentant les tensions sociales, a rendu les gens serviles à ce genre de démarches et d’aveuglement sur les intentions réelles des tireurs de ficelles de la secte onusienne. Cela fait partie d’une stratégie dialectique développée par des philosophes au XVIIIsiècle.

Il y a là aussi une autre démarche visant à affranchir les États encore christianisés sur le plan de leur sécurité intérieure.

En effet, pendant que les États sont affaiblis économiquement, socialement et sur le plan ethnique, les conflits créés géostratégiquement [sic] en différents points du globe — mais toujours loin des pays occidentaux, — ont permis à l’ONU d’envoyer des forces multinationales composées des soldats appartenant aux pays visés selon le plan exposé plus haut.

L’avancée du plan est d’ailleurs effectuée en parallèle avec la multiplication des conflits exigeant l’envoi de troupes multinationales. Vous remarquerez ainsi que la situation sociale se désagrège en France alors que nos troupes d’élite sont envoyées en Somalie, au Rwanda, en Yougoslavie…

Évoquant la Somalie, on relèvera que la situation a été rendue explosive maintenant grâce à la complicité des organisations supranationales, telle l’OMS. Depuis la guerre du Golfe, les conflits éclatent les uns après les autres, requérant la présence de troupes sans cesse renouvelées, tandis que le plan suit son cours et que les pays occidentaux sont vidés de leurs forces militaires… C’est pourquoi j’avais employé l’expression d’” Étincelle » dans mon premier ouvrage.

Il est aussi à remarquer que les forces américaines sont dispersées un peu partout dans le monde, faisant partie de la nouvelle force de police planétaire sous le contrôle de l’ONU.

Les grandes lignes de ce transfert des forces militaires américaines et européennes se trouvent dans le programme « Freedom from War » qui démontre ce qui se passe.

Le programme des États-Unis pour un désarmement complet et général dans un monde pacifique établi par le président Kennedy — publication 72/77 du Département d’État qui devait s’effectuer en trois phases — propose en phase deux : « La force de paix de l’ONU sera établie et renforcée progressivement à partir du matériel militaire américain ».

Cette phase deux est précisément le stade où nous nous trouvions en 1994. C’est-à-dire sans que personne s’en rende compte, la majeure partie des forces militaires et des installations militaires américaines sont en train de passer lentement sous le contrôle des Nations Unies au niveau international — comme des bases militaires, — et non plus comme c’était le cas auparavant au profit d’une seule nation qui était les États-Unis. Soyez assurés que le désarmement militaire progressif contrôlé continuera jusqu’au point où aucun État — incluant les États-Unis — ne possédera la force militaire nécessaire pour s’opposer et défier l’autorité progressivement renforcée de l’ONU. Au train actuel, c’est un fait que les forces militaires placées sous le contrôle de l’ONU — même les États-Unis en tant que nation — n’auront plus de force militaire propre pour s’opposer à l’ONU. Le résultat est que chaque pays subira et exécutera les ukases de l’ONU par crainte des forces multinationales. La dispersion planifiée des forces américaines aux quatre coins du monde et les coupures dans le budget de la défense rendant ce plan quasiment achevé.

En même temps qu’est organisée internationalement la chute de l’économie, on constitue une nouvelle force de police nationale à travers l’Amérique et une nouvelle force de police militaire internationale.

Cet article est la 4e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Partie II
LA POLICE DU NEW AGE

Dans un tel scénario, il est programmé que les forces policières seront impuissantes à résoudre les violences provoquées par une immigration massive et une crise sociale. Elles feront appel à une force militaire… décimée pour les raisons qui viennent d’être évoquées. On devra bien faire appel à des formes multinationales sous l’égide de l’ONU, afin d’établir la paix et la sécurité dans les nations en guerre civile. Toutes les nations se dirigent à ce jour vers un éclatement intérieur.

C’est précisément dans une perspective de troubles sociaux mondiaux qu’a été mis au point par le président Clinton, sur ordre de supérieurs « inconnus », une force de police de cent mille hommes pour s’attaquer à la criminalité : la nouvelle force de police nationale de l’Amérique du Nord. Cette force est en train de se mettre sur pied à la vitesse de l’éclair. L’intervention de cette police dans le drame de la secte de Wacco a été une expérience menée pour constituer un exercice. Le choix de cette secte religieuse fut fait par hasard, dans l’objectif de contraindre des groupes religieux plus importants à accepter un nouvel ordre et… un nouveau chef spirituel !

Le vrai but de ce raid raté était de permettre à l’Establishment de présenter cette force de police comme quelque chose de bien. L’objectif était de faire accepter un tel élément aux yeux du public comme efficace pour la sécurité.

En réalité cette nouvelle force de police nationale aux États-Unis est une consolidation d’agents de la CIA, du FBI, du DEA et autres agences policières et gouvernementales.

D’après un officier des services secrets de l’armée américaine que nous appellerons Mark, ces forces sont maintenant appelées « la police MJTF ». C’est le détachement spécial multijuridictionnel de l’ONU. D’après Mark et un rapport complet fourni à l’Agence Internationale de la Presse Libre, leur mission est : d’effectuer des fouilles et des saisies maison par maison ; la séparation et le tri des hommes, femmes et enfants en grand nombre ; le tri et le transfert dans des centres de détention ; et le bon fonctionnement de tels établissements.

Il existe dans cette même veine d’informations un rapport qui touche au programme pour l’établissement des camps de concentration aux États-Unis. Ces camps n’ont rien à voir avec ceux de la Seconde Guerre mondiale. Un rapport de cinquante pages existe à l’Agence avec les emplacements géographiques des camps en question, destinés à recevoir les ennemis du futur ordre mondial.

Sous le président Reagan on avait déjà commencé à mettre en place onze centres de détentions fédéraux en Floride, en Virginie, en Georgie, dans l’État de New York, dans l’Arkansas, dans l’Arizona, en Californie. Mark expliqua aussi comment le MJTF travaille en conjonction avec le FENC (Federal Emergency National Center) qui est le nouveau stade de force de police de l’ONU. L’une des particularités des membres du FENC est que tous leurs uniformes sont noirs avec aucun signe extérieur d’identification. Les jeeps, les hélicoptères, les camions militaires sont noirs.

Le FENC est composé de polices militaires et secrètes dont le nombre se chiffre à trois cent mille aux États-Unis. Leur uniforme est l’habit de combat classique noir. Ils portent une armure anti-balles noire et un casque spécial en noir. Un suivi des événements du drame de Wacco aura permis de remarquer que les forces du MJTF ont été épaulées pour finalement être remplacées par les forces du FENC.

En novembre 1990, le président Bush a signé un ordre exécutif qui transférait un tiers des véhicules de la réserve aérienne stratégique des États-Unis au FENC, à un coût de 12,8 milliards de dollars pour le contribuable américain. Ils ont été peints en noir et ne portent aucune identification.

D’après cet officier appelé Mark, le niveau final des forces militaires qui a été structuré en 1993, sont les groupes de combat de l’ONU à l’intérieur des États-Unis.

Ces troupes sont situées à la frontière de la Californie et de la Virginie. Ils ont des groupes de combat équivalent à trente-quatre mille hommes. Dans la région de Sacramento se trouve une autre force de quarante mille hommes. Au sud de Los Angeles, un contingent de vingt-deux mille soldats de l’ONU. Mark ajoute que du Montana jusque dans le territoire canadien, existe un groupe de combat de trente-sept mille hommes qui est divisé en deux brigades d’infanterie mécanique EEC, deux brigades d’infanterie mécanisée standard, la première division d’armée canadienne et une brigade de sécurité légère japonaise.

La présence des troupes de l’ONU russes, yougoslaves, roumaines et coréennes sur le sol américain et canadien a été rapportée par plusieurs sources. Où garde-t-on ces troupes ? Dans les bases militaires qui sont supposément [sic] en train de fermer !

Par exemple, avant de quitter la présidence, alors qu’il était à l’ONU, le président Bush transféra la gare de Fort Dix aux autorités de l’ONU pour servir de camp d’entraînement.

Voyons maintenant quelle est l’idéologie qui forme ces nouveaux corps d’élite internationale, mais aussi les membres des services secrets.

Autrement dit : qu’y a-t-il derrière l’émergence d’un Nouvel Ordre Mondial, d’un nouveau corps de policiers ?

Un policier travaillant depuis vingt ans dans la police américaine a — sous un pseudonyme — fait parvenir le texte complet d’une conférence de très haut niveau, prononcée dans les années 90 pour la formation des cadres du Gouvernement Mondial de l’Amérique du Nord.

Le policier fait également part de son expérience personnelle afin de sensibiliser l’opinion — par l’intermédiaire des journalistes d’investigation — sur l’Ordre Mondial ; de ce qui est imperceptible à l’œil nu à moins de faire partie de ces différents corps-là.

La question que pose ce policier qui a volontairement changé son nom pour des raisons de sécurité personnelle est tout d’abord celle-ci : Y a-t-il des juges, des procureurs et des policiers qui aujourd’hui commettent des actes malhonnêtes pour incarcérer des individus ? À cette question, il dit : « Je réponds sans équivoque que oui ». Puis il explique pourquoi. Toutefois il écrit : « … mais il est permis d’espérer que ce n’est pas fait sans une juste cause. La véritable immoralité existe quand la cause n’est pas juste » [faux ! Cf. Romains, 3 : 8]. Afin de mieux comprendre les réponses qu’ilapportera, rappelons que jusqu’ici le droit, l’organisation des États en Occident étaient basés sur une idéologie chrétienne.

Au nom de cette idéologie [disons plutôt doctrine] chrétienne, on faisait passer le bien et la protection de l’État en priorité. Cette idéologie qui s’est transformée à l’heure actuelle sans que les populations s’en aperçoivent. La nouvelle idéologie qui justifie le Nouvel Ordre Mondial [bien retenir ce grand principe de SPARTACUS WEISHAUPT, le fondateur de l’Illuminisme : « Tout ce qui est utile est un acte de vertu. »] doit passer avant n’importe quoi. Au nom de cette idéologie, n’importe qui faisant partie du pouvoir judiciaire et militaire peut perpétuer quelque acte criminel que ce soit parce que le but visé est juste [et à plus forte raison s’il est injuste !].

« Après plus de vingt ans de service auprès de mes compatriotes américains, j’ai réalisé ce qui était la réalité. La vérité est qu’aujourd’hui plusieurs juges, avocats et officiers de police sont des dévots de la religion de l’humanisme séculier. »

Or la base idéologique de tout ce qui va composer le Nouvel Ordre Mondial est justement assise sur un humanisme centré sur le culte de l’homme [cf. S. Matthieu, 4:10]. C’est la déification de l’homme en tant que centre de l’univers, placé au-dessus de toute loi. C’est la philosophie de base de l’humanisme séculier.

Le texte de la conférence faite en privé en 1990 et adressée par le policier précise :

« … certains de nos membres, la plupart à cause de la peur, n’admettront pas que ce nouvel humanisme est une religion. Ils ont peur d’être traités comme ces soi-disant chrétiens le furent sous la doctrine de la séparation de l’Église et de l’État. Une telle peur eût été fondée si nous étions en 1970. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. La raison étant que les membres des corps policiers et militaires sont pour la plupart sous le contrôle des agences et organisations principales. »

Il y a quinze ou vingt ans, l’idéologie chrétienne aux États-Unis était dominante. Ceux qui contrôlaient les différents postes du gouvernement, du militaire, du judiciaire, de la police, des différents ministères gouvernementaux, avaient une formation chrétienne. Aujourd’hui les choses ont changé : l’humanisme triomphe et les postes cités précédemment sont occupés par des membres du New Âge et du Nouvel Ordre.

Le conférencier continue et dévoile la suffisance des ténors officieux de cette secte humaniste :

« Mon sentiment est qu’en ce moment, nous les bergers, nous devons ouvrir les yeux de nos troupeaux et choisir plus en profondeur ceux que nous pouvons amener au XXIsiècle. »

« Tous ceux qui nieraient que notre religion n’est pas une religion valide devraient retourner voir leurs devoirs. La Cour suprême des États-Unis a décidé que c’était une religion. Il y a quelques années, dans des causes célèbres, la Cour a statué que la croyance en l’humanisme, le rejet de l’idéologie chrétienne était aussi une religion acceptable. La croyance fait référence à une certaine vision universelle de la vie, du monde et de l’humanité. Dans son ensemble la Cour suprême des États-Unis a décidé qu’une religion peut être n’importe quelle vision du monde avec ou sans référence à Dieu… J’espère que ceci aidera les autres à comprendre notre foi. »

« Néanmoins, ceci n’est, bien sûr, pas le point principal de ma conférence. Je souhaite traiter des abus auxquels font face les policiers qui souscrivent consciemment ou non aux tenants moraux de notre religion ; de ce qui a trait à l’éthique ou à la morale. Partout dans notre société, nos dévots endurent d’horribles discriminations de la part de chrétiens constituant aujourd’hui une faction très petite de la société. Cette discrimination contre nous, humanistes, survient quand nous exerçons notre pratique religieuse et appliquons notre morale dans notre activité professionnelle. Pourtant des autres le font sans aucune discrimination, parce qu’ils sont chrétiens. »

« Heureusement, notre religion humaniste affiche le plus haut taux de croissance dans toute l’histoire, et la nouvelle génération à l’intérieur du système judiciaire, incluant les policiers qui souscrivent à de saints principes, sont maintenant à des postes administratifs, ce qui profite à tous. Ceci nous donne du pouvoir, même s’il existe beaucoup trop de discrimination contre un principe les plus importants de notre religion : l’éthique de situation. »

L’éthique est en principe un code de morale, de valeurs chrétiennes délimitant des frontières à ne pas dépasser. Avec la formation de cette nouvelle idéologie qui pénètre toutes les couches sociales des États-Unis, mais surtout aux postes décisionnels de chaque corps de métier, qu’entendent-ils par ce principe d’éthique de situation ? La suite de la conférence nous éclaire :

« … Le principe de l’éthique de situation ou de morale permet à l’individu de se concentrer correctement sur le but qu’il veut atteindre. Moralement parlant, peu ou pas d’importance ne doit être accordée à la méthode et aux moyens puisque rien ne surpasse le but en importance. »

C’est en d’autres mots l’application du principe connu : la fin justifie les moyens !

« Je pense que le principe de la morale de situation est le mieux décrit en examinant la définition légale de la morale et de l’éthique telle que donnée par nos compatriotes communistes. »

On entrevoit le lien ténu entre les idéologies communistes, maçonniques du XVIIIsiècle, et celle de l’Allemagne hitlérienne. Il s’agit d’une même idéologie présentée de trois manières différentes.

Le même personnage qui occupa un poste très important dans l’administration gouvernementale américaine poursuit :

« Nous pouvons apprendre beaucoup de la dévotion des communistes. Les marxistes ont par nécessité pragmatique épuré plus de 90 millions de gens dans la poursuite de la mission la plus noble de l’homme : la paix mondiale. »

Quand on entend cela enseigné à l’élite des corps de la police et de l’armée multinationale, on imagine jusqu’où ces gens sont capables d’aller pour imposer le Nouvel Ordre Mondial !

« Quelle personne intelligente pourrait appeler “immoral” quelque moyen utilisé pour parvenir au plus important des buts. Il n’y a rien d’immoral d’éliminer des gens si on le fait au nom d’une paix mondiale. »

« Dans nos grands manifestes humanistes signés en 1963 et 1973, nous appliquons nos principes moraux qui sont les mêmes que les principes marxistes, mais mis de l’avant de manière beaucoup plus concrète. Voici un bref sommaire de nos croyances sur l’éthique et la vérité. L’éthique, les valeurs morales, tirent leur source de l’expérience humaine. L’éthique est autonome et situationnelle [sic], ne nécessitant aucune sanction idéologique ou théologique. Nier ceci équivaut à nier la base même de la vie. »

Ce sont exactement les mêmes définitions que l’on trouve dans les textes de Weishaupt de 1740 — fondateur des Illuminés de Bavière — ainsi que dans les revues du Grand Orient de France.

« Nous vivons une bonne vie et maintenant.

Autorité et vérité : Nous rejetons les caractéristiques de la morale religieuse traditionnelle qui nie aux êtres humains la totale appréciation de leur potentiel et responsabilité.

Les religions traditionnelles offrent souvent du réconfort aux humains, mais souvent elles les empêchent de s’aider eux-mêmes ou de vivre leur plein potentiel.

Nous ne pouvons découvrir aucun but divin ni aucune Providence pour l’existence humaine. Les humains sont responsables de ce que nous sommes et de ce que nous allons devenir. Aucun Dieu ne va nous sauver, nous devons nous sauver nous-mêmes. »

On comprend pourquoi les Initiés ont choisi les États-Unis. C’était la nation la mieux structurée, la plus apte à imposer l’Ordre Mondial à l’humanité.

« Ceux d’entre vous qui pratiquent le christianisme sélectif sont plus près de notre foi que des superstitions des secoueurs de Bible d’Antan. Le christianisme sélectif sont ceux qui étant catholique choisissent les bonnes paroles avec lesquelles nous sommes d’accord et rejettent celles qui condamnent le plaisir terrestre et les enseignements [traditionnels] de l’Église catholique. Ne croyez-vous pas que sous cet aspect nous sommes identiques ? Votre foi est basée sur ce qui est bien selon le désir de l’homme.

La foi est valable, la religion chrétienne est valable, si vous croyez à votre système que nous vous imposons depuis vingt ans. Si vous ne nous combattez pas, c’est que vous croyez à nos valeurs parce qu’il n’existe aucun milieu !

Nous humanistes, admettons qu’il n’y apas de Dieu, que seuls lesdésirsde l’homme sont importants. Vous, dirigeants de ces chrétiens sélectifs, prêchez que votre foi est basée sur certaines parties de la Foi de Dieu, mais en réalité la majorité de votre foi est basée sur ce qui estagréableou faitvotre affaire. Finalement, en intégrant ce que nous, humanistes, voulions réaliser depuis dix-huit siècles, vous êtes arrivés à vous fabriquer une nouvelle religion centrée sur les désirs de l’homme. Vos chefs religieux prêchent les droits de l’homme et par là même cautionnent notre Ordre Mondial !

Il est évident que le gouvernement américain fonctionne selon les principes dirigeants de l’humanisme. Quels sont ces principes ? La ruse, le mensonge, la tricherie, le vol, le meurtre, l’hypocrisie, les tournures de pensée. Tous ces moyens sont moraux s’ils nous permettent d’atteindre nos buts essentiels. Voilà la vraie vertu. »

Quel est le but essentiel ? L’établissement du Gouvernement Mondial !

« Un récent exemple a été donné dans la guerre de l’Irak contre le Koweït. Plus de 250.000 individus ont déjà perdu leur vie et plus encore meurent chaque jour afin d’atteindre un but supérieur. Le but de tous les grands leaders humanistes est la paix mondiale à travers le Gouvernement Mondial.

On peut éliminer des nations, des peuples entiers si c’est le bien de tous selon nos vues. Cet enseignement du Nouvel Âge est la raison pour laquelle par exemple, il est possible qu’un officier de police d’allégeance humaniste risque sa vie pour sauver un membre de la société un jour, et que le jour suivant, le même policier mente lors d’un procès afin de remporter une affaire importante. Ceci ne doit pas être considéré comme immoral étant donné les standards éthiques sur lesquels le policier base sa moralité en ce que la fin justifie les moyens. Bien des gens ne comprennent pas que c’est la raison pour laquelle les présidents et leur état-major, les membres du Congrès et autres tenants des postes leadership mentent et trichent pour le plus grand bien de la société et donc du système. »

D’après cet initié ceux qui sont à la tête des gouvernements mentent d’une façon ouverte et concertée aux populations en vue de faire passer le bien suprême du système à venir du Gouvernement Mondial, mais aussi en vue d’excuser la disparition de dissidents ou de groupes radicaux ! Il existe en effet une différence entre les nouvelles données par les médias et ce qui se passe réellement dans les coulisses. Les versions rapportées officiellement ont été pensées, structurées, afin de nous donner une apparence de la réalité qui n’est jamais la réalité. Par une manipulation aussi ouverte de l’information nationale et internationale, on réussit à justifier la disparition d’un individu ou d’un groupe d’individus en les faisant passer pour des radicaux, des terroristes, alors que très souvent le seul danger que représentent ces personnes est uniquement en fonction de leur impact sur les populations par rapport à ce que ces gens veulent imposer comme Nouvel Ordre Mondial.

Cet article est la 5e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

« Vous êtes conscients que la grande majorité des Américains ne cherche que la paix et la sécurité. Ils ne se rendent même pas compte qu’ils ont virtuellement fait de leur gouvernement un nouveau Dieu vers qui ils se tournent pour subvenir à leurs besoins. Nos leaders du Nouvel Âge et nous leurs soldats, leurs bras et jambes — c’est-à-dire les policiers et les militaires, — se tiennent prêts à donner aux masses ce pour quoi ils prient.

Notre rôle à l’intérieur du système judiciaire d’aujourd’hui est de protéger le plan du système de la mise sur pied du Gouvernement Mondial, et de punir ceux que nos leaders identifient comme les ennemis du système. »

Ainsi a-t-on transformé le droit et la culpabilité. L’homme qui combattra pour la vérité sera considéré comme un ennemi à détruire. La conspiration de l’Âge du Verseau et du Gouvernement Mondial apparaît comme l’établissement d’une dictature à l’échelle mondiale dont l’idéologie est basée sur l’humanisme.

Dans une dictature semblable, l’individu qui, au nom de ses principes religieux, de sa conscience ou de sa foi, s’opposerait au complot contre l’homme et Dieu sera considéré et identifié comme étant un criminel. On retrouve là ce qui se passait il y a deux mille ans sous l’Empire romain. C’est le même schéma : est criminel celui qui s’élève contre l’idéologie gouvernementale établie pour la majorité des gens. Qui étaient ces criminels il y a deux mille ans ? C’étaient les chrétiens. Qui étaient les ennemis sous le régime communiste ? Les chrétiens. Cette fois-ci, le cadre change et devient international.

« Tout comme nos collègues soviétiques, sous l’éthique de situation de notre Nouvel Ordre humaniste, nous ne sommes pas limités dans les méthodes que nous pouvons appliquer pour gagner.

Nous pouvons procéder à pacifier et sécuriser les masses, donc se débarrasser de tous ceux qui vont représenter un danger pour l’instauration de ce Nouvel Ordre.

Si certains d’entre vous sont encore surpris par ceci, c’est que vous n’avez pas encore compris ce que j’essaie d’expliquer. Vous n’avez pas non plus compris ce que vos enfants ont si bien appris à travers vingt ans de système d’éducation de notre gouvernement. “Nous vivons l’ère où les hommes ont placé leur conscience dans le gouvernement au lieu de quelques superstitions appelées divin ou Dieu. Ce sont les anciennes morales religieuses qui ont causé tous nos problèmes [c’est ce que pense actuellement la quasi-totalité du monde moderne déjà prêt à accepter le Gouvernement Mondial]. Un Nouvel Âge appelle un nouveau système de croyances, un nouveau code moral, une nouvelle religion. Il est agréable de voir presque toutes les religions du monde se regrouper gentiment et unies en se préparant à servir le Nouvel Ordre Mondial.”

Je voudrai vous présenter le Docteur Sidney Saymon. Un homme très efficace, qui mérite une grande reconnaissance pour son travail de rééducation de l’humanité. Il parle simplement et ce qu’il dit est sans équivoque. Il explique aux éducateurs d’enfants à qui il s’adresse que la clarification des valeurs est une méthode pour les professeurs dechanger les valeurs de leurs élèves sans se faire prendre. Cela veut dire que sous des nouveaux déguisements, sous un nouveaudialogue, on enseigne de nouvelles valeurs sans que les enfants et les parents s’en rendent compte, et sans que les éducateurs puissent être accusés de quoi que ce soit [on parle des valeurs en général sans en préciser la nature]. Le résultat est garanti : un affrontement entre les enfants et les parents. Donc la clarification des valeurs est un autre terme pour éthique de situation. L’enseignement doit faire comprendre que l’important n’est pas les valeurs que l’on choisit, mais de les choisir librement par vous-même [leur nature est sans importance], sans pression des parents, prêtres, amis, ou société religieuse.

Les architectes du programme d’enseignement du nouvel humanisme dans les écoles du gouvernement doivent être remerciés pour avoir remodelé les valeurs de ces futures générations. Quand la loi nationale des garderies sera adoptée, ce sera un grand jour pour les humanistes et les proposants [sic] de la paix mondiale. Nous pourrons accomplir notre objectif une fois pour toutes lorsque nous aurons l’attention des enfants en âge préscolaire de six à neuf heures par jour. Regardez ce que nous avons entrepris avec les groupes plus âgés de la jeunesse américaine.

Ces garderies auront pour mission de préparer la jeunesse intérieurement à l’acceptation du Gouvernement Mondial.

C’est ainsi que les émissions dites populaires et niaiseries, de jeux basés sur l’argent, sont appréciées d’un public conditionné qui apprécie l’émission en fonction des nouvelles valeurs antichrétiennes et humanistes auxquelles il adhère inconsciemment [la télévision française, quant à elle, avec sa publicité impudique, primaire et stupide, offre des émissions qui constituent une incitation permanente aux mauvaises mœurs et à la violence sous toutes ses formes].

Les gens ainsi conditionnés fuiront la réalité et la vérité ; ils auront peur. Nous aboutirons à une armée de schizophrènes !

Il va de soi qu’une telle société exigera une nouvelle forme de police.

Un de nos éducateurs de l’humanité m’a dit il y a quelques semaines, que les religieux américains d’antan n’en croiraient pas de leurs yeux de voir les changements que nous nous sommes permis. Cette personne avait raison parce que nous avons mis le futur non pas sur le gouvernement, mais sur la capacité de tous et chacun de nous gouverner nous-mêmes, de nous soutenir nous-mêmes et ainsi de suite. C’est pourquoi le Gouvernement Mondial est bon pour tous.

Les Américains ne désirent plus assumer les responsabilités de ce gouvernement actuel. Heureusement pour eux, il y a une toute nouvelle génération de leaders et de gens au gouvernement, soucieux de s’occuper d’eux malgré leur consentement.

S’agissant de la main-d’œuvre policière : comme les citoyens abandonnent par peur de plus en plus de leurs droits, de plus en plus de policiers sont nécessaires afin de superviser les activités de cette population afin qu’elle demeure en sécurité [en cage !].

La construction de l’État Providence engendre des troubles dans la société, d’où un renforcement des membres de la police.

Qui aurait pensé il y a cent ans que l’intégration de la peur de tout serait la réponse à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Le mérite de ces innovations revient aux libres penseurs de la dernière génération d’avoir réussi le coup de maître de faire en sorte que la peur serve de mécanisme de base pour permettre n’importe quoi au plan des populations.

La vieille génération n’aurait pas accepté ce nouvel ordre des choses, ces nouvelles valeurs. Heureusement cela n’a pas posé trop de problèmes parce qu’ils sont rapidement remplacés par la mort ou la retraite. Il n’en restera plus aucun d’ici sept à huit ans, soit 1997/98. Nous avons l’assurance que tous ceux qui avaient des valeurs morales chrétiennes n’auront plus aucun poste clé dans le gouvernement dans les domaines exécutif, judiciaire et militaire.

Donc à ce moment-là, l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial ne trouvera plus aucun obstacle. Au même moment, les agences de police essaient par nécessité de filtrer les individus qui croient aux anciennes valeurs traditionnelles et de ne pas les engager.

C’est pourquoi on a changé les valeurs du système d’éducation. Afin que les jeunes qui entrent dans la vie active soient imbus de principes humanistes et aient rejeté toutes les valeurs et superstitions chrétiennes. Ceci doit être fait parce que nous savons que les religieux ne feront pas les choses qui leur seront demandées sous le nouveau système. Pour ceux qui restent attachés au fondamentalisme religieux de l’ancien monde, ils sont tranquillement mis de côté sous toute forme de prétexte de la part des nouveaux dirigeants.

Certains des officiers de l’ancien temps se plaignent et font valoir que ce type de discrimination est anticonstitutionnel et immoral. Mais nous savons qu’ils ont tort. Sous l’éthique de situation, toutes les choses sont morales du moment qu’elles avancent vers Le but. Ainsi ces officiers ne sont pas retirés pour une cause diabolique mais parce qu’ils sont jugés non fonctionnels pour accomplir les tâches qui seront exigées d’eux.

L’ancien monde avait compris que c’était le plus grand des péchés que de mentir à leur Dieu. Les générations de dévots qui vont rentrer dans le Nouvel Ordre Mondial doivent comprendre que le plus grave des péchés est de mentir à leur nouveau Dieu, le Gouvernement. L’individu n’existe pas ! Seul compte l’intérêt du Gouvernement Mondial.

Toute déloyauté de la sorte viendrait à l’encontre de la marche vers le progrès engagé par ceux qui mènent la gloire du Nouvel Ordre Mondial. Nous ne sommes pas préoccupés avec quelques résistances au Nouvel Ordre, car par nécessité pratique leur destin a déjà été simplement établi dans le Plan.

Nous avons parlé de ce Plan en développant le Micro Chip et le programme des camps de concentration mis sur pied en Amérique du Nord avec une technologie extrêmement avancée.

Ce qui nous préoccupe le plus en ce moment est que les masses obéissantes comprennent qu’il est néfaste pour le progrès de suggérer que leurs superviseurs — les membres des gouvernements, des Nations Unis — se complaisent sous la pression et la futilité de ces superstitions d’ordre et morale désuète.

Il y aura des changements difficiles pour ceux qui auront à faire face et entrent dans cette nouvelle société. Sur ce sujet nous pouvons assurer aux peuples qu’il n’y aura aucun compromis.

Merci de m’avoir écouté. Que la bénédiction du Nouvel Ordre vienne rapidement sur vous. »

Cette entité que l’on appelle l’Ordre Mondial, la Force, le Grand Architecte, etc. s’appelle l’Antéchrist !

Conclusion : Il est évident que les architectes de l’Ordre Mondial entendent nous imposer un Gouvernement Mondial par la force pour l’été 1999.

L’article 1 des Illuminati dit ceci : « Notre mot d’ordre est : forcez et faire semblant. Seule la force triomphe en matière politique, spécialement si elle est cachée dans les talents des hommes d’État. La violence doit être le principe ; la ruse et le faire semblant, la règle pour les gouvernements ».

En d’autres termes, on revient aux mêmes lignes de conduite utilisées en 1917 pour instaurer le communisme.

À propos de l’avenir de la Russie et de Jirinovski dont l’ascension politique est fulgurante, on a pu remarquer qu’au cours de ses déplacements en Europe fin 1993, il portait des roses et des fleurs rouges à la main gauche. C’est un symbole de reconnaissance internationale connu que de certains initiés. Fidel Castro en portait, le président Mitterrand également. Les grands hommes politiques identifiés aux groupes internationalistes se sont servis de ce symbole de reconnaissance une fois qu’ils ont été portés au pouvoir.

Ici on peut donc entrevoir l’avenir qui attend la Russie.

Cette force nationale soumis à l’ONU se constitue au même moment où apparaissent les conséquences d’une crise économique sans précédent. Les problèmes sociaux vont augmenter. Les coupes budgétaires vont étrangler les peuples. Les gouvernements vont se voir dans l’incapacité d’apporter la moindre solution parce que celles-ci sont rejetées par le FMI.

Les sociétés vont se retrouver dans un état de crise politique, sociale, et les avoirs des peuples vont disparaître dans une crise financière terrible qui commencera au Japon — peut-être par un tremblement de terre aux conséquences incalculables.

Dans un tel contexte, il est prévu que les peuples se tournent vers les Nations-Unis. Cet appel serait le prétexte pour établir le Gouvernement Mondial ! C’est précisément à ce moment propice où les peuples seront mis à genoux malgré eux que tout le mécanisme de la haute technologie et du microchip biologique d’identification internationale serait imposé.

Avant, tout doit être prêt de manière à ce que les gens l’acceptent pour la sécurité, la stabilité et pour la paix : d’où le chaos qui prend forme…

Mais l’homme exerce sa liberté dans la liberté de Dieu ! Aussi, cher lecteur, ayez l’assurance que ce système APPAREMMENT parfait ne se réalisera pas aux dates prévues. L’étude relative aux prophéties y répondra…

Nous vivons déjà visiblement les manipulations du Pouvoir Occulte. Elles aboutiront aux guerres civiles, à la Troisième Guerre mondiale selon le plan que je vous ai exposé. Mais Dieu interviendra souverainement et les hérauts de l’Ordre Mondial seront châtiés, même s’ils se sont réfugiés en Australie, persuadés d’être à l’abri du conflit qu’ils ont allumé depuis 1991 au Golfe Persique.

La Micro-Puce et la « Marque de la Bête »

Par le Dr Carl W. Sanders

Voici la traduction d’extraits d’un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue NEXUS (P.O. Box, Mapleton, Queensland, 4560, Australie). C’est le témoignage du Dr Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micropuce électronique. Le Dr Sanders est un ingénieur électronicien, inventeur et expert, conseiller auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnie telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn.

J’ai consacré trente-deux années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micropuces dans le domaine biomédical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l’épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir relier les nerfs moteurs, etc.

C’était un projet qui nous emballait tous. Il y avait cent personnes d’impliquées, et j’étais le principal ingénieur en charge du projet. Le projet aboutit à la micropuce dont nous parlons maintenant — une micropuce que je crois être la « Marque de la Bête ».

Cette micropuce est rechargée par les changements de température du corps humain. Évidemment, vous ne pouvez pas aller à l’intérieur de votre corps et changer vos piles de temps en temps ; alors la micropuce a un circuit de rechargement qui fonctionne selon les changements de température du corps. Plus d’un million et demi de dollars furent dépensés pour trouver les deux endroits sur le corps humain où la température change le plus rapidement : le front (premier choix), tout juste en bas de la naissance des cheveux, et le revers de la main (position de rechange) (1).

Travaillant sur cette micropuce, nous n’avions aucune idée qu’elle deviendrait un moyen d’identifier les gens. Nous considérions ce projet comme étant une chose très humanitaire. Notre équipe était composée de gens provenant de l’Université de San Jose, des compagnies Motorola, General Electric, du Centre Médical de Boston ; en fait, c’était tout un groupe de compétences…

Comme le projet de micropuce commençait à évoluer vint un temps où on nous dit que les pontages à la colonne vertébrale étaient une chose qui ne rapportait pas assez financièrement pour qu’on s’en occupe, et qu’on devait donc considérer d’autres utilisations pour cette puce. Nous avions remarqué que la fréquence de la micropuce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micropuce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu’il résulta à installer une micropuce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu’on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micropuce.

Un de ces projets sur le comportement fut appelé le « Projet Phoenix », concernant les vétérans de la guerre du Vietnam. Nous avions une micropuce que nous appelions la « micropuce Rambo ». Cette micropuce pouvait causer un flux supplémentaire d’adrénaline…

Il y a 250.000 pièces dans la micropuce, y compris une petite pile au lithium. Je me suis battu contre l’usage du lithium en tant que source d’énergie pour ces piles dans le corps humain, mais la NASA se servait beaucoup de lithium en ce temps-là ; c’était la chose en vogue. J’ai demandé à un docteur du Centre Médical quel effet cette concentration de lithium dans le corps humain pouvait avoir si la micropuce se brisait. Il me répondit que cela produirait une grave plaie, douloureuse et remplie de pus.

J’étais présent à une réunion où la question suivante fut posée : « Comment pouvez-vous contrôler un peuple si vous ne pouvez pas les identifier ? » Des gens comme Henry Kissinger et des personnes dela CIA assistaient à ces réunions.

Comme nous développions la micropuce, et que la question principale était de se servir de cette micropuce comme « carte d’identité », ou moyen d’établir l’identité des gens, plusieurs choses nous furent demandées. On voulait que soit compris sur la micropuce le nom et le visage de la personne, son numéro de sécurité sociale (incluant les codes internationaux), ses empreintes digitales, sa description physique, la généalogie de sa famille, son adresse, son occupation, des informations concernant ses rapports d’impôt, et son dossier criminel (2)

Cet article est la 6e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

J’ai assisté à dix-sept réunions à travers le monde, à Bruxelles, au Luxembourg, etc., où ces sujets furent discutés, dans l’esprit d’un gouvernement mondial, et d’une monnaie mondiale. Il existe présentement des projets de loi devant le Congrès américain qui permettront d’injecter la micropuce à votre enfant dès sa naissance, pour des fins d’identification.

Le Président des États-Unis, selon l’article 100 de la loi sur le contrôle de l’émigration de 1986, a le pouvoir de décider toute forme d’identification qu’il juge nécessaire — que ce soit une marque invisible tatouée, ou une micropuce insérée sous la peau. Alors je pense que vous devez regarder les faits en face, les amis : cette micropuce ou la « Marque de la Bête » n’est pas quelque chose qui vient d’apparaître tout d’un coup. Ça fait des années que c’est en préparation !

1) Apocalypse, XIII, 15-17 :

« La Bête qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne put acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la Bête ou le nombre de son nom [666]. »

2) Nous ne sommes donc pas très loin du carnet de santé à puce.

L’HEURE APPROCHE…
Des gesticulations qui annoncent l’imminence d’un conflit mondial !

par Jacques Delacroix (Éditions Delacroix)

« Si le veilleur voit venir l’épée contre le pays, il sonne de la trompette avertit le peuple. »

Ézéchiel 33:3, 6

L’exécution d’un plan

L’étude des menées souterraines des sociétés secrètes à travers l’Histoire montre que notre société est dirigée par une petite clique d’individus au service de Satan.

Ces derniers travaillent à la damnation des âmes (1) et arrivent au terme de leur complot puisqu’ils sont parvenus, suite à l’infiltration des structures ecclésiales, « jusqu’au plus haut sommet » de l’Église — La Salette — (cf. « L’Église Éclipsée ! »)

Leur mainmise sur le monde peut être prouvée. Citons le commentaire que fit l’officier W. Carr, après qu’il eut copié un document de la British Museum Library à Londres : la lettre écrite en 1871 par l’Illuminati (2) Albert Pike, fondateur du rite palladique luciférien, Mazzini (chef révolutionnaire de la Haute-Vente, branche armée de la Maçonnerie).

«… La Première Guerre mondiale devait être livrée afin de permettre aux Illuminés de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de faire de ce pays une forteresse du Communisme athée. Les divergences suscitées par “l’agentur” (médias des Illuminés) entre les Empires britannique et allemand devaient servir à fomenter cette guerre. À la fin, le Communisme devait être édifié et utilisé pour détruire les autres gouvernements et pour affaiblir les religions.

La Seconde Guerre mondiale devait être fomentée en profitant des divergences entre les Fascistes et les Sionistes politiques. Cette guerre devait être livrée de telle sorte que le Nazisme soit détruit et que le Sionisme politique soit assez fort pour instaurer l’État souverain d’Israël en Palestine. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Internationale Communiste devait devenir assez forte pour équilibrer la Chrétienté. Elle serait alors contenue et tenue en échec jusqu’au moment où l’on aurait recours à elle pour le cataclysme social final (3).

La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en profitant des divergences suscitées par “L’agentur” des “Illuminés” entre les Sionistes politiques et les dirigeants du Monde Islamique. Elle doit être menée de telle manière que l’islam (le Monde arabe musulman) et le Sionisme politique se détruisent mutuellement (4). Tandis que les autres nations, une fois de plus divisées sur cette affaire seront contraintes à se combattre jusqu’à complet épuisement physique, moral, spirituel et économique. »

Le 15 août 1871, Albert Pike dit à Mazzini qu’à la fin de la Troisième Guerre mondiale ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes (empruntés à sa lettre de la British Museum Library à Londres) :

« Nous allons lâcher les Nihilistes et les Athées et provoquer un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Alors, tous les citoyens, obligés de se défendre contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation et les masses déçues par le Christianisme, dont l’esprit déiste, laissé à partir de ce moment sans boussole à la recherche d’une idéologie, sans savoir vers qui tourner son adoration, recevra la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer (au Sinaï n. d. r.) (5), enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme, simultanément soumis et détruits. »

À la lecture de ces lignes, un constat s’impose : reste l’exécution de la phase finale du plan ; à savoir une guerre mondiale et une révolution universelle dont les prémices sont visibles ! En effet l’examen du comportement des « maîtres du monde », architectes des conflits majeurs de ce siècle, confirme l’imminence d’un conflit universel.

Partie III
Troisième conflagration mondiale en vue !
Les élites financières quittent le territoire américain

Voici sous forme de communiqué l’avertissement adressé par Marcel Renoulet, directeur de l’Homme Libre :

« La rédaction de L’Homme Libre a reçu dernièrement d’un ami correspondant possédant une grande connaissance des puissances d’argent et des oligarchies financières maîtresses de la planète, l’avertissement suivant : “J’ignore si la guerre va éclater. Un fait m’inquiète beaucoup. C’est que Rockefeller et une dizaine des plus grands milliardaires américains ont acheté un territoire aussi grand que la Belgique en plein centre du désert d’Australie et s’y font construire des palaces de survie en majeure partie enterrés. Le territoire est cerné de barbelés et surveillé par une armée privée. Très mauvais ; très mauvais signe… ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident” »

(10.11.1994).

« Ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident »

Qui sont ces gens ? Les mêmes qui ont mis en œuvre la guerre de 1914/18 après avoir créé la Réserve Fédérale (banque centrale américaine de droit PRIVE) ; les mêmes qui ont permis la guerre de 1939/45 en finançant Hitler et son parti, le NSDAP.

Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, cette petite clique d’individus (6) a dessiné les contours de la future géopolitique européenne dans la perspective du « plan Pike » programmant les trois guerres mondiales.

C’est ainsi que la guerre de Yougoslavie sera la conséquence directe du découpage chirurgical d’après-guerre. Pourquoi avoir en effet donné la totalité de l’armée fédérale aux communistes serbes ?

Qu’y a-t-il entre la Russie et la France ? La Roumanie et… précisément la Yougoslavie !

Ces manipulations touchent également la géopolitique russe. Gorbatchev n’a-t-il pas permis la création d’un gouvernement secret russe en Occident à la tête d’une fortune de plus de huit cents milliards de dollars! Demandez des explications à monsieur Elstine (7) ; sa chute est sans appel à cause du terrain volontairement miné par son prédécesseur dont les rentes sont payées par les mêmes milliardaires — via différentes fondations — évoqués plus haut.

Jusqu’ici les « maîtres du monde » avaient choisi le territoire américain pour s’y protéger et y accumuler des fortunes. En effet, en 1914, en 1939, ces milliardaires se sont repliés aux États-Unis. Ils se savaient y être en sécurité ! Architectes des deux Guerres mondiales ils connaissaient les espaces géographiques qui seraient concernés par celles-ci.

Aujourd’hui, ils quittent les États-Unis… et l’opération qui les voit « déménager » a été appelée « Operation Arche de Noe » (8). Ce départ ne signifie-t-il pas que le monde entier va être touché, y compris les États-Unis ?

Le fait de se protéger dans le désert australien confirme donc, non seulement l’existence d’un Plan, mais encore l’achèvement de ce plan pour nos temps !

L’Opération Arche de Noé (9)

Suite à l’information diffusée par « L’Homme Libre », M. Jacques Monnot a adressé les lignes suivantes :

« II n’est pas étonnant que des milliardaires américains se fassent bâtir des abris au centre de l’Australie. » En 1978, Stan Deyo écrivait : « The Cosmic Conspiracy », publié en français en 1988 sous le titre « La conspiration cosmique », par Louise Courteau, Montréal, Québec. L’auteur explique que les États-Unis financent des bases ultra-secrètes, dont l’une des trois plus importantes serait en Australie, « Pine Gap », près du mont Liebig, à 23° 48’S et 133°43’E. Les principaux entrepreneurs auraient été Collins radio et Ling Pemco-Vought (Texas), Mac Mahon Constructeur et IBM. Stan Deyo s’interroge :

« Se pourrait-il que Pine Gap soit aussi ce qu’il est convenu d’appeler un abri destiné à recevoir le personnel clé des États-Unis en cas de catastrophe météorologique naturelle ou d’attaque nucléaire à l’échelle mondiale, dont le nom de code serait “Noah’s Ark” (Arche de Noé) ? » (p. 44).

U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), 1400 Wilson Boulevard, Arlington, Virginie 22209, Architect Building, serait le responsable de Pine Gap, créée en 1966. La base est installée sur un puits d’eau foré jusqu’à au moins 8535 m. et, au fond du puits, reposeraient des super systèmes informatiques IBM, sur une plateforme. Ce puits pourrait servir d’antenne souterraine pour la diffusion d’électricité à très basse fréquence (TBF).

« Il est probable que l’antenne du puits serve à synthoniser un énorme champ d’ondes stationnaires autour de la planète ! Un système de ce genre pourrait être synthonisé sur des fréquences allant de 9.000 à 14.336 cycles par seconde, soit suffisamment pour produire un champ de résonance électrique à une altitude de 400 km ». (P. 43).

Ces ondes à Très Basse Fréquence (Extremely ou Extra Low Frequence, 1 à 100 Hertz, ou Very Low Frequency, 10 à 30 kilohertz) ont un autre émetteur-récepteur près de la baie d’Exmouth, au nord du Cap Nord-Ouest (West Cape, 22°23’S,114°07E).

Le ministère des Transports enregistre Pine Gap comme R 233 sur les cartes de navigation. R233 est un espace aérien limité, réservé à la recherche spatiale. Il constitue un cercle de 5 milles marins, dont le centre est Pine Gap. Les États-Unis y mènent des recherches sur la propulsion électromagnétique, qui est celle des « soucoupes volantes » (10). La base possède des accélérateurs à plasma à haute tension et à haute énergie, utilisés probablement pour de nouvelles méthodes de production d’énergie, et un canon à plasma.

Dans un livre intitulé « Les gens les plus heureux de la terre », Demos Shakarian raconte comment, au début du siècle, quelques familles arméniennes pentecôtistes du village de Kara Kala, au pied du mont Ararat, quittèrent leur pays pour la côte ouest des États-Unis, à la suite d’une révélation privée faite à un « enfant prophète » de onze ans, d’origine russe, en 1853. Ces Arméniens échappèrent ainsi au génocide perpétré par les Turcs de 1915 à 1922 ! Le nom de l’enfant était Efim Gerasimovitch Klubniken. Dans le même ouvrage, Demos Shakarian raconte comment, au cours d’une réunion des « Hommes d’affaires du plein Évangile », quelqu’un avait annoncé qu’une grande persécution contre les chrétiens allait avoir bientôt lieu dans de nombreuses parties du monde, y compris les États-Unis d’Amérique (p. 17, diffusion Librairie chrétienne, 48, rue de Lille, Paris 7).

Ceci correspond aux prophéties de La Fraudais, de Marie-Julie Jahenny (11).

Se pourrait-il que ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie (12) ? (L’Homme Libre 10.11.1994)

Monsieur Monnot écrit :

« Ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie ».

Mais quel était donc le plan dévoilé par le grand prêtreluciférien Albert Pike en 1871, sinon une guerre civile antichrétienne ?

Partie IV
La collusion entre la Haute Finance et les cercles satanistes

Australie… que s’y passait-il au dernier trimestre 1993 ?

Un projet d’offensive satanique, préparé depuis longtemps, fut dévoilé à des religieuses australiennes qui s’occupent d’anciens satanistes.

Ces personnes qui ont décidé de fuir l’église de Satan ont révélé que « l’élite de Satan se réunit en ce moment en Australie ».

Il y eut en effet un « Grand rassemblement des Esprits » du 21 octobre au 9 novembre 1993 à Wollongong sur la côte orientale d’Australie, près de Sidney. Les témoignages d’ex-satanistes ont révélé que l’élite des chefs de culte satanique du monde entier était déjà sur place. Leur nombre se comptait par centaines et ils ont tout fait pour mobiliser leurs adeptes à aider aux préparatifs et à prendre part eux-mêmes à cette rencontre.

Cette rencontre projetée depuis plusieurs années s’est tenue dans les montagnes au-dessus de la ville, dans la brousse épaisse. Là, de nombreux rituels ont été pratiqués. La préparation de leur rencontre comprenait aussi bien la « programmation » de leurs adeptes que des sévices sadiques, sexuels et corporels. Ils invoquent des esprits démoniaques et les esprits de morts pour recevoir d’eux la puissance ; ils n’hésitent même pas à faire des sacrifices humains pour amplifier par là leur pouvoir. Le but de ce rassemblement à Wollongong était de faire participer tous les adeptes à « l’anéantissement de l’ange de la mort ». Qui est ce personnage ? À leurs yeux il s’agit d’’une personnalité chrétienne que Dieu a appelé pour les combattre ».

Cette réunion d’une importance mondiale et décisive pour ses architectes a pu se réaliser grâce à un noyautage d’adeptes installés dans la ville de Wollongong depuis une centaine d’années.

Des groupes de religieux offrent une assistance constante à toute personne désirant sortir de ces cercles sataniques. Grâce aux transfuges on a pu connaître ces informations. Parmi les personnes protégées une femme révéla dans une interview que « dès la naissance elle avait été préparée à devenir reine des sorcières et qu’elle aurait dû maintenant être intronisée par un rituel de sang ». Elle a demandé la protection de la police pour son mari et ses enfants, car les satanistes voulaient récupérer toute la famille et ils ne lui laissaient qu’un choix : « Reviens ou meurs ! »

Pourquoi les architectes de la Secte sataniste ont-ils choisi la ville de Wollongong ? La réponse fut donnée par un « transfuge » à la Directrice de la Communauté Évangélique des Sœurs de Marie :

« parce qu’ici siègent de fortes armées des ténèbres ! »

Où se trouve la ville de Wollongong ? Pas bien loin d’une grande zone désertique… Dans la perspective de la guerre antichrétienne enclenchée, la collusion entre la Haute Finance maçonnique luciférienne et les cercles sataniques est établie. (Informations données par un lecteur australien)

Pourquoi ce choix de l’Australie par les maîtres du monde ?

Outre des considérations géopolitiques naturelles, motivées par un conflit nucléaire, l’une des raisons qui justifieraient ce « refuge » des « maîtres du monde » en Australie pourrait avoir un rapport avec l’approche d’une comète gigantesque (13).

Comme par hasard, la Nasa s’intéresse de plus en plus au moyen de détourner la trajectoire d’éventuelles comètes. Le sous-sol du désert australien constitue-t-il un lieu de refuge privilégié ?

Et pourtant ?

Voici un communiqué de presse diffusé au début du mois de juillet 1994 dans le journal Ouest France :

« La chute d’une météorite a provoqué un tremblement de terre près de Broken Hill, dans l’ouest des Nouvelles Galles du Sud, en Australie. Il était 20h45, heure locale, quand plusieurs centaines d’habitants ont aperçu une énorme traînée de lumière laiteuse glissant vers la terre et senti leur maison trembler. »

Le bouclage de la région

Pour résider sur son territoire, le gouvernement de Nouvelle-Zélande exige une caution de deux millions et demi de francs ainsi que l’obligation de trouver un emploi dans les six mois.

La Nouvelle-Zélande est formée de deux grandes îles montagneuses, à deux mille kilomètres au sud-est de l’Australie !




L’agriculteur Sébastien Béraud balance tout

[Source : UPRTV]

François Asselineau a reçu Sébastien Béraud, un des artisans de la révolte des agriculteurs. Cet éleveur cultivateur de Haute-Loire s’est fait remarquer sur CNEWS en affirmant que la seule et unique solution pour résoudre la crise agricole française est de sortir de l’Union européenne. Ce qui a semé un vent de panique sur le plateau et lui a valu d’être immédiatement coupé et ridiculisé.

L’entretien sur UPRTV entre Sébastien Béraud et François Asselineau, empreint de sincérité et de bon sens, permet de comprendre la façon dont les différents gouvernements français, liés par l’appartenance de la France à l’Union européenne, ont mis l’ensemble des agriculteurs sur des rails conduisant tout droit à la mort de leurs exploitations.

François Asselineau et Sébastien Béraud ont constaté leur convergence de vues sur la nécessité absolue de sortir de l’Union européenne et de l’OTAN.

Ils ont également souligné la duplicité des faux opposants qui détournent la colère des agriculteurs sans avoir le courage de proposer le Frexit.

Sébastien Béraud a ainsi évoqué Éric Zemmour, qu’il avait invité pour faire plaisir à sa mère âgée. L’ex-chroniqueur de CNEWS, après avoir promis monts et merveilles à notre invité, qu’il avait chargé de travailler sur le volet agricole de son programme présidentiel, l’a tout bonnement planté là une fois l’opération de communication terminée.

C’est également vrai du Rassemblement national, qui à l’image de Julien Odoul, reconnaît en coulisse que l’Union européenne est une folie, mais qui s’interdit de le dire devant micros et caméras.

Sébastien Béraud et François Asselineau se sont accordés sur le fait que Marion Maréchal et Jordan Bardella, qui refusent l’un et l’autre la sortie de l’UE et soutiennent l’action de l’OTAN contre la Russie, sont également à classer dans la catégorie des faux opposants

Enfin, les deux hommes ont conclu sur l’impérieuse nécessité d’un réveil des Français pour sortir la France de la spirale infernale qui la mène à la ruine.




Les événements au Texas : Une nouvelle guerre civile ?

[Source : euro-synergies]

Alexandre Douguine examine le passage du pragmatisme aux politiques mondialistes dans la politique américaine, prévoyant une guerre civile inévitable en raison de ces profondes contradictions philosophiques.

Source : https://www.arktosjournal.com/p/the-events-in-texas-a-new-civil-war

Par Alexander Douguine

En Amérique, berceau du pragmatisme, le pragmatisme a disparu. Les mondialistes, en particulier sous le régime de Biden, représentent une forme extrême de dictature mondialiste, rompant les liens avec la tradition typiquement américaine établie par Charles Peirce et William James. La tradition du pragmatisme était fondée sur une indifférence totale à l’égard de toute prescription d’un contenu normatif tant pour le sujet que pour l’objet.

Pour un véritable pragmatiste, les perceptions du sujet sur lui-même, sur l’objet ou sur tout autre sujet n’ont aucune importance — ce qui compte, c’est que tout fonctionne efficacement lors de l’interaction. Cependant, les mondialistes diffèrent considérablement, s’alignant plus étroitement sur les positivistes britanniques et les fervents matérialistes français. Ils persistent dans leur brutalité totalitaire, dictant qui et quoi doit se conformer à leurs prescriptions.

Pour un pragmatique, il est indifférent que l’on change de sexe ou que l’on reste le même, du moment que cela lui convient. En revanche, les mondialistes imposent le changement de sexe, l’imposent par la loi et le promeuvent comme une valeur universelle et progressiste. Quiconque s’oppose à ce point de vue est qualifié de « fasciste » ou assimilé à Trump ou à Poutine. Ils insisteront sur cette approche, indépendamment de son efficacité ou de sa nature autodestructrice. Il est surprenant de constater que les mondialistes partagent de nombreux traits avec les Ukrainiens — une ressemblance troublante.

Lorsque les mondialistes décident d’augmenter l’immigration illégale, ils poursuivent sans relâche cet agenda, qualifiant de « fascistes », de partisans de Trump ou d’agents de Poutine ceux qui prônent une immigration régulée ou un contrôle des frontières. Ils poursuivent leurs politiques prescriptives à l’extrême, même si elles s’avèrent totalement inefficaces. Pour un mondialiste, quiconque n’est pas d’accord avec son point de vue n’existe pas — et ne devrait pas exister.

On peut donc être certain que les progressistes du parti démocrate et les néoconservateurs des deux partis — tout aussi obstinés et déconnectés du pragmatisme, du réalisme ou du conservatisme traditionnel, aliénant ainsi la véritable essence de l’Amérique — conduisent le pays vers une guerre civile inévitable. Ils refusent de s’engager dans un dialogue constructif, sans se soucier de savoir si leurs politiques sont efficaces ou non. Ils se concentrent sur l’application de leurs idéaux : droits des transsexuels, immigration illégale, positions pro-choix, ouverture des frontières, énergie verte et intelligence artificielle. Il s’agit là d’une profonde contradiction philosophique au sein du système américain. Aujourd’hui, l’Amérique est gouvernée par des personnes profondément déconnectées de son identité, et une nouvelle guerre civile aux États-Unis semble donc inévitable. Les mondialistes sont prêts à en assurer le déclenchement.




Comment les experts occidentaux peuvent être une arme de destruction massive

[Source : english.pravda.ru]

Par Nicolas Bonnal

Pharaon dit à Joseph : J’ai eu un songe. Personne ne peut l’expliquer ; et j’ai appris que tu expliques un songe, après l’avoir entendu.

Genèse 41:15

Le monde moderne est plein de mathématiques, de chiffres, de machines étranges et d’illusions magiques ; il vacille sous les données. Malgré son arrogance, ce monde inquiet a besoin d’un nouveau type de mages et de « prévisionnistes scientifiques », que l’on appelle des experts. Environ 6000 chaînes de télévision dans le monde appellent à tout moment les experts pour étudier avec eux des événements complexes ou prévoir un avenir meilleur. Ils sont consultés à tout moment : lorsqu’il y a un attentat, une nouvelle petite menace, un problème global concernant le climat, la croissance, la dette et bien sûr maintenant le football et l’art. Les experts prolifèrent désormais comme les virus ou les moustiques en été. Certains appellent cela le syndrome du magicien d’Oz. Mais c’est surtout un syndrome biblique, le syndrome des prophètes, ou de Daniel.

Car cet homme, Daniel, que le roi a nommé Beltshatsar, possède un esprit extraordinaire, de la connaissance et de l’intelligence pour interpréter les rêves, trouver la solution des énigmes et résoudre les problèmes difficiles. Que l’on appelle donc Daniel et il donnera l’interprétation.

Daniel 5:12

Récemment, un excellent écrivain, M. John Freed, qui se trouve être l’expert d’un expert, a révélé dans son livre que ces experts se trompent souvent, qu’ils sont souvent dangereux et qu’ils sont surestimés et trop consultés. Pensez aux données suivantes fournies par le livre de M. Freed : Il commence par écrire qu’environ deux tiers des résultats publiés dans les meilleures revues médicales sont réfutés en l’espace de quelques années. Et c’est encore pire ! Pas moins de 90 % des connaissances médicales des médecins se sont révélées substantiellement ou complètement erronées. Il y a une chance sur douze que le diagnostic d’un médecin soit si erroné qu’il cause un préjudice important au patient. Et il n’y a pas que la médecine. Les économistes ont constaté que toutes les études publiées dans les revues économiques sont susceptibles d’être erronées.

La nouvelle obsession mondiale pour les experts provient également d’un excès d’études ou de données : or ces études sont financées par des personnes non innocentes et peuvent révéler n’importe quoi, par exemple que manger tous les jours dans un MacDonald peut être bon pour la santé (un doute à ce sujet ?). M. Freed affirme ici qu’il y a des études qui sortent et qui disent que l’obésité est bonne pour la santé et d’autres qui disent que l’exercice physique n’est pas bon pour la santé !

Bien sûr, il y a toujours eu des experts dans l’histoire et un élément fondamental de la force des anciens Hébreux dans la Bible réside dans le fait qu’ils sont d’excellents experts (et pas seulement des prévisionnistes) : ils peuvent lire les rêves comme le professeur Freud et déchiffrer l’avenir économique et agricole d’un pays. Les meilleurs livres sur les experts sont : la Genèse, avec la figure très respectée et prestigieuse de Joseph, qui devient le favori du pharaon ; et Daniel, jeté dans la fosse aux lions, qui devient plus tard un conseiller privilégié (qui envoie ses ennemis à la mort, et avec leur famille).

John Freed affirme ensuite que l’interprétation des experts peut empêcher des actions politiques :

« lorsqu’on nous donne l’avis d’un expert, nous perdons en fait notre capacité à prendre nos propres décisions […]. Le cerveau s’arrête un peu face à l’avis d’un expert. Lorsque nous entendons un expert, nous renonçons à notre propre jugement. »

Je pense qu’il a partiellement tort ; à cause des experts, nous prenons souvent de mauvaises décisions. Plus c’est faux, mieux c’est ! Par exemple, nous décidons d’aider Wall Street, les banques et les fonds spéculatifs afin de ruiner les nations américaines et européennes, puis nous décidons de réduire les aides sociales. Par exemple, nous décidons d’attaquer l’Irak, de bombarder la Libye, de déstabiliser l’Égypte et d’atomiser l’Iran. L’expert est là pour dissiper le doute. C’est ce que dit la Bible (Daniel, 5, 16) :

On m’a dit que toi, tu peux donner des interprétations et résoudre les problèmes difficiles. Si donc tu es capable de lire cette inscription et de m’en faire connaître l’interprétation, tu seras revêtu de pourpre, tu porteras une chaîne d’or au cou et tu partageras le gouvernement du royaume avec deux autres hauts fonctionnaires.

Si un expert comme M. Hans Blix ne convient pas, il est rapidement rejeté : L’ennemi de papa doit être tué et un expert doit bien sûr être politiquement et économiquement correct, adapté à l’ère du « capitalisme du désastre ». L’expert néocon doit être engagé contre tous les ennemis occidentaux — ou supposés tels — avec son mélange post-moderne de messianisme et de jargon scientifique.

Bien sûr, M. Freed confirme et prouve que « les experts éditent et donc manipulent les données ». Cette expression me rappelle la périphrase du Dr Reich, ancien secrétaire au travail de l’administration Clinton : les manipulateurs de symboles. Ces personnes sont les nouvelles professions nées avec la dictature de l’informatique et la nouvelle société de contrôle. Leur expertise altère et manipule continuellement la réalité. Comment faire la différence avec un film de terreur hollywoodien et une scène d’attentat à la bombe surcommentée comme à Boston ? Demandez à un expert !

L’immédiateté et l’irréfutabilité sont les caractéristiques de la vérité qui nous parvient par le biais des ordinateurs : oui, il y a un réchauffement global ; oui, Saddam Hussein possède des armes de destruction massive ; oui, la crise est terminée grâce à l’assouplissement quantitatif de la Fed ; oui, il y a assez de pétrole de schiste pour mille ans et plus dans le Colorado.

Un point très important souligné par Freed est le suivant : nous sommes noyés sous des flux d’informations et de nouvelles qui altèrent notre compréhension ou produisent une désensibilisation :

« Les journaux, les magazines, la télévision et l’internet nous obligent à rapporter constamment ce qui se passe. Nous sommes confrontés à cette mer de conseils en permanence. Où se trouve donc l’aiguille dans la botte de foin ? »

Qui veut trouver une aiguille ? L’important, c’est la botte de foin ; c’est eux qui mettront l’aiguille.

Les agents sont là pour agir, les experts pour réagir.

Mais les données les plus importantes concernent la recherche sur les animaux : Freed écrit en substance que ce n’est pas bon parce que nous ne sommes tout simplement pas des souris !

« La majorité des recherches sur les animaux ne se transposent pas bien aux êtres humains, et malgré le fait que les scientifiques aiment souligner que nous partageons entre 90 et 99 % de nos gènes avec différents types de mammifères, nous savons que nous sommes vraiment différents des souris et que nous sommes même vraiment différents des singes. »

Cette bonne nouvelle est à la fois bonne et inquiétante : elle est bonne parce que les experts occidentaux (où sont les experts ailleurs ?) se trompent en caricaturant le darwinisme ; elle est inquiétante parce que leur vision s’impose finalement, malgré ou grâce à son caractère erroné.




Rappel des Khmers rouges pour éviter le règne des Khmers verts

[Source : @Cobra_FX_ via insolentiae.com]

Par Antoine Copra

Saviez-vous qu’un jour, un pays a réellement mis fin au capitalisme ? Un lieu sans argent, sans propriété, sans inégalités, basé sur une saine agriculture vivrière… où le collectif subvenait aux besoins de la communauté. Plongée au cœur des seventies [les années 1970], au Cambodge.

Au matin du 17 avril 1975, des soldats vêtus de noir et d’un foulard rouge entrent dans Phnom Penh. La plupart des habitants sont confiants, voire enthousiastes : ces jeunes idéalistes se battent pour le peuple, une vie rurale, la fin des inégalités.

Ils connaissent souvent certains de leurs membres, et il y a beaucoup de femmes dans leurs rangs. Mais très vite, leur agressivité et leur mépris interrogent : ordre leur a été donné de ne toucher personne, sinon à la pointe du fusil.

D’appartement en appartement, ceux qu’on appelle Khmers rouges ordonnent aux habitants de fuir au plus vite : bientôt, les États-Unis bombarderaient la ville.

Si ce mensonge ne suffit pas, la force est employée. En 48 h, deux millions de personnes doivent quitter leurs logements, dans l’urgence et dans des conditions désastreuses.

Les malades sont tirés des hôpitaux, sans assistance médicale. Leurs familles en sont réduites à pousser lits ou brancards de fortune sous un soleil de plomb. Les plus faibles sont achevés sur place.

Les voitures sont réquisitionnées et tout bien de valeur confisqué. Un mot revient sans cesse dans la bouche des soldats : « dollars, dollars, qui a des dollars ? » La stupeur envahit ceux que l’on dépouille : immédiatement, les billets sont brûlés.

Derrière eux, des explosions retentissent : c’est la banque centrale que l’on dynamite. Le Kampuchéa démocratique sera un état sans monnaie.

Les soldats cherchent aussi des traîtres : enseignants, médecins, religieux, intellectuels… Ceux qui parlent français ou transportent des livres sont suspects, comme ceux qui portent des lunettes. Sous peine d’être sommairement abattus, ils devront s’en passer.

Ceux à la peau trop blanche également : c’est le signe qu’ils ne travaillent pas dans les champs.

Car ces soldats se voient comme l’« ancien peuple » : paysans au mode de vie séculaire, ils seraient l’âme du Cambodge. Ils haïssent ce « nouveau peuple » citadin, symbole du capitalisme, de la technologie & de l’impérialisme.

Pourtant, c’est dans une autre capitale que tout a commencé. En 1949, Saloth Sâr arrive à Paris avec d’autres boursiers. C’est par son nom de guerre qu’il se fera plus tard appeler : Pol Pot.

En parallèle de ses études d’électricité, il rejoint un cercle marxiste-léniniste créé par d’autres étudiants cambodgiens. Sa structure s’apparente à une société secrète : les militants sont regroupés dans des mini cellules et ne se connaissent pas les uns les autres.

Beaucoup sont logés à la Maison de l’Indochine de la Cité universitaire, à ce qu’on appelle alors « l’étage rouge ». Ils adhèrent au parti communiste français. Certains participent à des sessions de formation organisées dans des mairies tenues par le parti.

Pol Pot y côtoie Khieu Samphan, futur chef de l’État du Kampuchéa démocratique, Son Sen, ministre de la Défense, ou encore Ieng Sary, ministre des Affaires étrangères.

Il y rencontrera Jacques Duclos, Secrétaire général du PCF, qui deviendra son mentor, ainsi que Jacques Vergès, qui deviendra son ami. 60 ans plus tard, l’« avocat de la terreur » défendra ses anciens camarades poursuivis pour Génocide, crimes de guerre & crimes contre l’humanité.

Outre la Chine maoïste, la Commune, et particulièrement l’intransigeance de Robespierre, les fascine. L’idéal rousseauiste de retour à l’état de nature, inspirateur de l’écologie politique, également.

Rousseau est alors un auteur de référence pour les communistes : idéalisant l’égalité économique, rejetant les arts et l’industrie, il présente la propriété privée comme la source de toutes les misères humaines. « Les fruits sont à tous et la terre n’est à personne ».

Ainsi, le « nouveau peuple » qu’on a mis sur les routes va devoir travailler aux champs, de façon ancestrale, sans mécanique ni intrants. La société que les Khmers rouges veulent édifier sera collectiviste, égalitariste et fondée sur un retour la terre.

Toutes les commodités modernes « capitalistes » sont abandonnées, détruites. Radios, bicyclettes, machines à coudre sont interdites. Les voitures ne serviront plus au transport : elles sont dépecées pour faire des socs de charrues.

La propriété et le commerce, bien sûr, sont interdits. Non rémunérés, les Cambodgiens sont réduits à l’esclavage pour l’« Angkar », l’« organisation » khmère rouge. Le pays devient le plus grand camp de travaux forcés au monde.

Tous travaillent 10 h à 12 h par jour, femmes, vieillards, et même enfants à partir de 5, 6 ans. Les écoles sont supprimées. Les repas doivent être pris en commun dans les coopératives agricoles. Toute autre cuisine, privée ou familiale, est interdite.

Mais pour atteindre l’égalité absolue, il faut aller plus loin. L’individualité doit être niée, tout lien affectif aboli. Les papiers d’identité sont supprimés. Les citadins sont déplacés plusieurs fois, afin de couper les ponts avec leurs racines ou leurs amitiés.

La vie elle-même doit se conformer : toute démonstration d’affection est interdite. L’expression artistique, le divertissement, les plaisanteries sont bannis. Seuls les chants révolutionnaires sont tolérés.

Pol Pot s’inspire de la révolution culturelle chinoise. Qui, outre liquider le capitalisme, veut transformer l’homme dans ce qu’il a de plus profond. Staline le pensait avant eux : c’est la condition nécessaire à la réalisation de l’idéal socialiste.

Staline s’interroge. Indécrottablement individualiste, l’homme semble bien incompatible avec la réalisation de l’idéal socialiste. Qu’à cela ne tienne, pour que le socialisme advienne, l’homme doit changer.

Ils sont aidés en cela par la culture bouddhiste : le rejet de la matérialité et des aspirations individuelles, le détachement de l’homme vis-à-vis de son ego en font une religion compatible avec le marxisme.

On est dans l’exact opposé de la pensée libérale d’Adam Smith ou de Frédéric Bastiat, pour qui la recherche des intérêts particuliers — tant qu’elle reste dans la moralité — sert l’intérêt général.

Les mariages sont organisés par l’Angkar. Les époux ne se connaissent pas et ne se voient que quand l’Angkar le décide, pour — de force — consommer leur union. Si tout le monde se vaut, pourquoi avoir ses préférences ? Tous les autres rapports sexuels sont interdits.

Pour être parfaitement égaux, s’ils n’ont pas d’héritage matériel, les enfants ne doivent pas en recevoir de culturel non plus. Les nouveau-nés sont retirés à leurs parents. Placés, embrigadés, le régime en fera ses premiers délateurs. Et parfois ses soldats.

Chacun doit assister à de longues séances d’endoctrinement et faire son autocritique devant la communauté. Cacher un péché, c’est s’exposer au châtiment des Khmers. Le confesser, également.

La moindre infraction ou maladresse — casser un verre, mal maîtriser un buffle pendant les labours — peut être mortellement sanctionnée. Dans un pays sans tribunal ni jugement, les chefs de village ont droit de vie et de mort.




6 étapes pour mater un mouvement social

[Source : apprendre-preparer-survivre.com]

Par Antoine

Salut Camarade,

En France, les politiques sont devenus maîtres dans l’art de dompter, puis tuer les mouvements sociaux.

D’un côté, une colère juste et spontanée.
De l’autre, une réponse vicieuse et soigneusement étudiée.

Il y a malheureusement de grandes chances que le mouvement des agriculteurs finisse comme tous les autres…

Par des mesurettes vides de sens et une colère refoulée.

Dans cet email, on fait le point sur la situation avec une analyse froide et analytique.

Voici les 6 étapes que suivent presque systématiquement les mouvements sociaux en France.

Étape 1 : Des taxes au plus haut et toujours plus de normes

Sous la pression des lobbies industriels, pour remplir les caisses de l’État ou pour plaire à une partie de leur électorat…

… Des pans entiers de l’économie sont noyés sous les taxes et étranglés par des normes toujours plus restrictives.

Pour les taxes, nous sommes les champions en Europe…

Pour les normes, les agriculteurs ont par exemple 14 réglementations différentes uniquement sur la gestion des haies de leurs champs…

Au bout d’un moment, une corporation se retrouve au pied du mur et dit STOP !

Aujourd’hui, ce sont les agriculteurs, mais ça aurait pu être les enseignants, les marins, le personnel soignant, les taxis…

Le mouvement débute par des revendications sur les réseaux sociaux et quelques lignes dans les journaux locaux.

C’est la première étape.

Étape 2 : Manifestations/blocages et censure des politiques

Face au silence des politiques, les premières actions s’organisent.

Des manifestations, si le mouvement est organisé par les syndicats, ou des blocages de ronds-points, s’il est spontané.

À ce moment-là, les politiques misent tout sur l’essoufflement du mouvement.

Ils ignorent soigneusement les manifestants et organisent une censure médiatique dans les journaux et à la télé.

C’est ce qu’ont vécu les agriculteurs pendant les premières semaines.

La presse, qui vit des subventions publiques, est possédée par les grandes fortunes et rongée par les connivences avec les politiques.

La censure médiatique est rapide et efficace.

Sans possibilité de se faire entendre et de mobiliser la population, la majorité des mouvements abandonnent à cette étape.

Grâce aux réseaux sociaux, les agriculteurs ont habilement contourné cette censure médiatique.

Étape 3 : Le mouvement prend de l’ampleur, le gouvernement attend le dérapage

Si malgré tout, le mouvement prend de l’ampleur, le gouvernement change de stratégie et passe à la troisième étape.

Les journaux ont l’autorisation de couvrir le mouvement et des personnalités politiques vont à la rencontre des manifestants.

C’est l’occasion de faire de belles images avec des ministres en costume sur mesure et des vaches en arrière-plan.

Évidemment, c’est uniquement pour la communication, ce que veulent vraiment les politiques, c’est un dérapage.

Des dégradations de biens privés, des blessés, des incendies, un accident…

Il faut décrédibiliser le mouvement et lui faire perdre le soutien populaire.

C’est un piège dans lequel tombent très souvent les manifestants.

Pour le gouvernement c’est du pain bénit, il leur suffit ensuite de présenter les manifestants comme des casseurs avec lesquels il est impossible de discuter.

Avec le mouvement des agriculteurs, les dégradations, ce n’est pas ce qui manque…

Mais contrairement à ce qu’espérait le gouvernement, les actions ont été plutôt mesurées et très ciblées (bâtiments administratifs, vins étrangers, camions de transport contenant des produits étrangers…).

Résultat, l’opinion publique s’est rangée derrière les agriculteurs.

Ils ont dû passer à la 4e étape.

Étape 4 : Le gouvernement corrompt les syndicats et les leaders

À ce stade, le meilleur moyen de tuer le mouvement, c’est de corrompre ses leaders.

En payant les syndicats qui agissent avant tout pour leur intérêt personnel.

Ou en manipulant une personnalité médiatique apparue pendant les premières étapes du mouvement.

La FNSEA (principal syndicat agricole) a refusé de se faire acheter, c’est donc vers la deuxième solution que le gouvernement s’est tourné.

Ils ont propulsé Jérôme Bayle, leader de la cause, et l’ont soigneusement courtisé.

Fausses promesses, flatteries, menaces, pots-de-vin… Impossible de savoir ce qui s’est dit.

Mais quelques jours plus tard, Gabriel Attal annonce quelques mesurettes et comme convenu, Jérôme Bayle trahit les agriculteurs.

C’est à cette étape que se terminent la majorité des mouvements sociaux, vendus par leurs syndicats ou trahis par leurs leaders.

Mais cette fois-ci, c’est loupé pour le gouvernement…

Les agriculteurs ne se laissent pas avoir !

Ils durcissent le mouvement et marchent sur Paris.

Étape 5 : Répression et retournement de l’opinion publique

Si l’étape 4 n’a pas fonctionné, le gouvernement change sa stratégie.

Il réprime le mouvement, les CRS entrent en jeu et chargent.

L’objectif caché est de pousser les manifestants à la violence.

Après des années à souffrir et des semaines à manifester pacifiquement pour ne rien obtenir, les agriculteurs ne seront pas difficiles à énerver…

Dans les prochaines semaines, le gouvernement espère voir des rues ravagées, des biens privés dégradés (voitures, commerces, maison…), des manifestants et des policiers tabassés… Voire pire !

Le manifestant, jusque-là sympathique, devient alors un dangereux agresseur.

Effrayé par la violence,le Français moyen prend peur et préfère comme d’habitude sa sécurité à sa liberté.

Résultat, l’opinion publique se désolidarise et le mouvement des agriculteurs se retrouve dans une impasse.

Le gouvernement propose de nouvelles mesurettes pour faire bonne figure, les derniers syndicats et leaders n’ont plus le choix, ils cèdent et appellent à la fin du mouvement.

Les manifestants rentrent chez eux sans rien avoir gagné et certains avec un œil en moins…

C’est à cette étape que le mouvement des Gilets jaunes s’est terminé.

J’ai malheureusement peu d’espoir que les agriculteurs arrivent à esquiver ce piège vicieux et passent à l’étape suivante.

Étape 6 : Des décisions rapides et concrètes ou une révolution ?

Si malgré…
… le temps, les semaines ou les mois de mobilisation ;
… la corruption des principaux syndicats et leaders ;
… la répression policière et les tentations de radicalisation,
le mouvement reste solide et l’opinion publique soudée derrière lui, le gouvernement n’a plus que deux options :

  1. Céder et prendre des mesures rapides et concrètes pour régler le problème à la source, mais c’est perdre la face.
  2. Persévérer et pousser encore plus loin la répression, mais c’est risquer une révolution.

Connaissant l’ego démesuré et la déconnexion du locataire de l’Élysée, difficile de faire un pronostic…

L’avenir nous dira à quelle étape s’arrêtera le mouvement des agriculteurs.

La dangereuse boule de neige de la colère

Quand un mouvement social comme celui des Gilets jaunes se termine, tout le monde rentre chez soi et la vie reprend son cours.

Les rues sont nettoyées et les vitrines réparées.

Mais la colère est toujours là.

À chaque nouveau mouvement social, elle prend de l’ampleur.

Comme une boule de neige qui grossit en dévalant une pente.

Jusqu’au moment où la colère devient trop forte et que la boule de neige explose.

Je viens de créer une newsletter spéciale pour ceux d’entre vous qui veulent apprendre à se préparer et survivre à des troubles sociaux de grande ampleur.

Par contre je te préviens, ce n’est pas pour tout le monde.

Mais si ça t’intéresse, clique ici pour la rejoindre.

Prépare-toi !

Antoine,

Apprendre Préparer (Sur) vivre




Vous avez tué mon Europe et mes idéaux !

Par Alain Tortosa

Si vous aviez pour objectif de me contraindre à prendre un chemin qui n’est pas le mien alors vous pouvez vous réjouir de votre victoire.

Je suis un fervent pro-européen et je pourrais même dire que je suis un pro-mondialiste. Je ne sais plus si je dois écrire « je suis » ou « j’étais ». Le « mais » a désormais toute sa place, je suis devenu un ardent défenseur du Frexit1. Non pas du Frexit de cœur, mais du Frexit de raison.

Je reste attaché à cette union des peuples, à ce « faites l’amour, mais pas la guerre ». Dans une guerre les donneurs d’ordre dorment du sommeil du juste tandis que les peuples sont transformés en steak haché.

Je trouve extrêmement pratique de payer en euros si je vais dans un pays européen. Je me réjouis de pouvoir passer d’un pays à un autre sans avoir à montrer mes « Papiere, bitte ». Oui j’aime cela, j’aime cette sensation de faire partie d’un plus grand tout, mais force est de constater que MA démocratie européenne est devenue une dictature oligarchique dirigée par les mondialistes.

Le fait est qu’ils2 nous ont menti sur la marchandise. Après j’aurais dû m’en douter, les publicités vantent toujours ce qui est le défaut du produit. Si l’on vous dit « le produit est fiable », soyez certain que la solidité est à mettre en doute, de même que l’on vous dirait qu’il n’est pas cher soulignant l’inverse.

MON Europe, celle de la publicité mensongère, apportait la paix, la liberté, un nivellement par le haut, des avancées sociales, une équité, un destin commun et évidemment un contre poids, la naissance d’un géant face à l’hégémonie américaine (aujourd’hui à l’agonie).

LEUR Europe est à l’opposé de la publicité, elle veut la guerre avec l’OTAN, une suppression des libertés individuelles, une paupérisation de la société, un accroissement du chômage, une suppression des acquis sociaux, un accroissement des inégalités, un chacun pour soi, un libre-échange débridé, une suppression des valeurs et plus qu’une mise à genoux, une prostitution totale face à nos « alliés » américains.

Vous savez ceux qui ont provoqué la guerre en Ukraine avec le coup d’État et la révolution orange et ceux qui ont saboté les gazoducs Nordstream pour nous rendre dépendants politiquement des USA et d’un gaz hors de prix au bilan écologique désastreux du fait de la fracturation hydraulique.

Il n’y a plus rien de démocratique dans les institutions européennes et même les grandes décisions, jadis à l’unanimité, ne sont plus qu’un jeu de pouvoir, de chantage et de corruption.

  • Qui m’a demandé si je voulais l’élargissement ?
  • Qui m’a demandé si je voulais la guerre contre l’Ukraine ou un affrontement direct avec la Russie ?
  • Qui m’a demandé si je voulais ces pseudo-sanctions contre la Russie qui mettent à genoux notre économie et nos industries ?
  • Qui m’a demandé si je voulais sacrifier la filière nucléaire source de fierté, de profits, d’indépendance énergétique (notamment grâce aux surgénérateurs) et écologique si on adhère à leur fameux CO2 tueur.
  • Qui m’a demandé si je voulais un libre-échange avec des pays qui ne respectent pas les mêmes règles sans la moindre contrepartie, si je voulais être en concurrence avec un paysan3 colombien ou un ouvrier sri-lankais ?
  • Qui m’a demandé si je voulais des passes sanitaires, de l’apartheid, une quasi-obligation d’injection d’un produit expérimental tout aussi dangereux qu’inefficace ? La fameuse Europe sans frontières a introduit des postes de douane chez les restaurateurs.
  • Qui m’a demandé si je voulais de cette prétendue transition « écologique » dont l’unique objet est la destruction de notre économie et dont le bilan écologique est désastreux ? Sans compter que l’on exporte la production de CO2.
  • Qui m’a demandé si je voulais arrêter de manger de la viande bien de chez nous pour préférer des insectes ou un produit artificiel fabriqué avec une imprimante 3D ?
  • Qui m’a demandé si je voulais importer des millions de déracinés, privant leur pays d’origine des plus riches et des plus éduqués, qui ont des cultures diamétralement opposées à la mienne ?
  • Qui m’a demandé si je voulais la destruction du tissu industriel français et européen ?
  • Qui m’a demandé si je voulais qu’il y ait désormais 66 genres humains et l’apprentissage de la sodomie à l’école ?
  • Qui m’a demandé si l’on pouvait monétiser la grossesse pour autrui et si l’avortement thérapeutique jusqu’à neuf mois de grossesse ne relevait pas du meurtre ?
  • Qui m’a demandé si le suicide assisté pour des personnes qui ne sont pas en fin de vie était moralement acceptable ?
  • Qui m’a demandé si je voulais effacer les racines chrétiennes de mon pays ?
  • Etc.

Ah, je pourrais vous en citer des exemples !

Personne ne m’a consulté bien évidemment, il ne faut pas oublier que nous sommes les gueux les crétins, le vulgus populus !

Le coup d’État a pris la vitesse supérieure en 2005 avec le référendum européen où les Français ont voté non, mais strictement pour rien. Notez que c’est devenu désormais monnaie courante. Si lors de la crise du Covid le parlement ne votait pas « comme il faut » un nouveau vote était programmé le lendemain pour rétablir l’ordre.

Il faut dire que notre constitution est « parfaite » pour une démocrature où le gouvernement peut sortir l’article 49.3 dès qu’il le désire pour faire passer une loi qui n’a pas la majorité.

Nous avons eu aussi le fameux « conseil de défense », non élu, opaque, sans contre-pouvoir, qui a pu décider de notre captivité durant la plandémie sans demander l’avis de quiconque.

Alors nous n’avons pas cette constitution européenne, mais ils nous ont imposé à la place des traités contre nature. Mais comme c’est encore trop compliqué, le Président a annoncé il y a quelques jours :

« Nous allons arrêter de faire de lois4 ».

Cela ne veut pas dire que le gars va partir en vacances, non, juste qu’il va gouverner par décrets et par ordonnances.

Démocratie mon cul !

Je m’étonne de voir encore des Français participer aux élections présidentielles alors même que nous avons perdu 100 % de notre souveraineté. La marge de manœuvre est nulle, zéro, nada, que dalle. Tout se décide à l’échelon européen, voire plus haut par des traités internationaux.

Ces jours-ci, le petit Attal jaquete en racontant aux agriculteurs qu’il a essayé de corrompre, qu’il va réduire le nombre de normes imposées alors qu’il ne peut strictement rien ! Les lois et les normes européennes sont au-dessus de toutes les nôtres.

Les dernières élections présidentielles sont une caricature de démocratie.

Je ne reviendrai pas sur le fait que notre Président détesté de quasi tous les Français soit « ré-élu », mais bon.

Le plus intéressant est l’opération Bayrou, Président du modem complice de la majorité présidentielle qui a lancé une campagne « signatures » lors des dernières élections présidentielles.

Je rappelle pour celles et ceux qui l’ignorent, les lois françaises permettent à n’importe quel citoyen de se présenter à l’élection présidentielle dès lors qu’il obtient le parrainage, la signature de 500 « grands électeurs ». Ajoutons qu’une loi votée sous la présidence de François Hollande a supprimé l’anonymat des parrainages, il devient donc parfois délicat de donner sa voix à un « ennemi » sans risque de subir quelques foudres.

Je précise aussi que c’est une élection au suffrage universel à deux tours. Seuls les deux candidats en tête au premier tour participent au 2e. Cette escroquerie permet de faire croire que le Président a été élu avec la majorité des voix alors même qu’il faisait 20 % au premier tour soit moins de 15 % des Français en âge de voter.

Ces 15 % sont de nature suffisante pour lui donner les pleins pouvoirs et se légitimer comme « élu par la majorité des Français », les chambres hautes et basses étant présentes pour le décorum.

Alors que de nombreux candidats, même avec des intentions de vote importantes, avaient des difficultés pour obtenir leur parrainage, le gentil Bayrou, a eu l’idée géniale de mettre en place une opération « sauvez la démocratie » en proposant de distribuer des voix aux futurs candidats. Notons qu’au passage il reconnaissait un problème démocratique sans l’avouer,

Et c’est là que le hasard fit son œuvre, les candidats affichés ouvertement pro-Frexit, François Asselineau, président du parti Union populaire républicaine (UPR) et François Philippot du parti Les Patriotes n’ont pas réussi à obtenir leurs voix. Je précise que Philippot avait jeté l’éponge avant, voyant bien qu’il n’aurait jamais les signatures. C’est vraiment la faute à pas de chance.

Le seul qui a pu les avoir est Nicolas Dupont-Aignan qui est pro-Frexit, mais évite de trop l’afficher.

La présence médiatique de ces trois candidats est quasi inexistante sur les grandes chaînes nationales.

100 % des candidats un peu sérieux étaient contre une sortie immédiate de l’Europe. Les médias vous diront que c’est dû au fait que les Français ne veulent pas quitter l’Europe. Tu m’étonnes, il ne se passe pas un jour sans qu’on nous explique que ce serait la mort assurée. La vérité est que le sujet est tabou, totalement exclu de la place publique sauf pour nous parler de fin du monde.

Les paysans qui manifestent semblent l’avoir compris, ils sont factuellement assassinés par cette Europe censée les protéger.

Il n’y a donc plus de députés français qui s’affichent ouvertement pro-Frexit, la soupe est trop bonne, il ne faudrait pas trop prendre le risque de se faire virer.

  • Le RN a un discours ambigu, selon l’interlocuteur ils vont dire vouloir réformer l’Europe de l’intérieur ou affirmer comme Nicolas Bay en février 2023 : « Le Frexit est une nécessité pour protéger les intérêts de la France. Nous ne pouvons pas rester dans une Union européenne qui est incontrôlable et qui nous nuit ». Il n’est pas impossible, pour ne pas dire probable que le parti retournera sa veste (si ce n’est déjà fait) pour parvenir en haut des marches de notre belle « démocratie ».
  • Nicolas Dupont-Aignan5, Debout la France est plus dans la stratégie : « Nous ne pouvons pas parler de Frexit d’un coup… on viole les traités plus ou moins et on propose un traité alternatif… et si nos partenaires ne veulent pas alors référendum et on s’en va ». Il précise ne pas parler de Frexit comme Asselineau et Philippot parce que les Français n’auraient pas encore compris et qu’ils sont effrayés par l’idée. Dupont-Aignan aurait-il la carrure pour résister aux pressions et ne pas retourner sa veste le moment venu ?

Après je ne dis pas que la stratégie du camouflage est forcément mauvaise, car les institutions et les lobbies sont tels qu’aucun parti farouchement pro-Frexit comme l’UPR ou Les Patriotes ne peut gagner une élection présidentielle, ni même arriver au 2e tour.

Le principe de la démocratie française se résume ainsi :

« Ne peut être élu que celui-ci qui ne prône aucun changement réel en dehors de la police de caractère sur les documents officiels. »

En même temps, si ça se trouve, il existe une directive européenne à ce sujet.

La définition d’une démocratie ou d’une dictature est simple et revient uniquement à l’affirmer.

Depuis des dizaines, pardon, des centaines d’années on affirme que la France est une démocratie, si c’est dit c’est que c’est vrai !

Dans la bouche d’un quidam, la dictature se définit par les dissidents arrêtés et assassinés.

Mais je vous rappelle qu’il y a des élections même dans les républiques bananières. La différence entre eux et nous est que le dictateur est con au point de se présenter seul ou de mettre un gars inconnu en face qui pourra n’avoir que 2 % des voix après un subtil comptage. Chez nous, c’est vachement mieux fait, ils mettent 10 candidats qui au final auront le même programme.

Précisons que les machines à voter électroniques sont une merveilleuse avancée vers la république bananière.

Qui pourrait imaginer qu’une Marine Le Pen du RN, seul parti aujourd’hui présidentiable, aurait le droit de conduire une politique différente ?

Si d’aventure elle ouvrait sa gueule, on lui rappellerait ses casseroles ou la dette de la France. « tu la fermes ou tu es morte » (au moins politiquement). C’est ce qui est arrivé en Italie avec Mélonie qui a très vite prêté allégeance à la Commission européenne et à l’OTAN.

Pour les plus âgés qui se rappellent la publicité pour Canada Dry, une boisson sans alcool, « ça a la couleur de l’alcool, le goût de l’alcool, mais ça n’en est pas ». Cela résume parfaitement notre démocratie française et européenne qui n’a de démocratie que le packaging et le matraquage publicitaire.

J’ai demandé à ma fidèle amie, l’IA de Google, de me résumer la différence entre les deux :

« Dans une dictature, le pouvoir est détenu par un seul individu ou un petit groupe, qui exerce ce pouvoir sans limitation.
Dans une démocratie, le pouvoir est détenu par le peuple, qui l’exerce par le biais d’élections libres et régulières. »

Candidats sélectionnés par la nomenklatura, programmes 100 % compatibles, absence de contre-pouvoir des députés, élections à la majorité, députés binationaux (60), absence de vraie proportionnelle, médias mainstream possédés par les puissants et subventionnés… et un pouvoir détenu par une oligarchie.

Nous vivons bien en dictature ne vous en déplaise !

Il est de bon ton de rappeler l’instabilité de la IVe République réputée ingouvernable pour justifier cette monarchie républicaine de la Vème. Pour autant le parlement n’était pas totalement impuissant comme il l’est aujourd’hui.

Question posée à l’IA de Google sur l’existence de quelques lois importantes votées durant la 4e république.

  • « La loi du 21 octobre 1946, qui a créé la Sécurité sociale.
  • La loi du 28 octobre 1946, qui a réorganisé l’enseignement supérieur.
  • La loi du 18 juin 1948, qui a créé le Fonds de modernisation et d’équipement.
  • La loi du 2 août 1949, qui a institué le SMIG (salaire minimum interprofessionnel garanti).
  • La loi du 18 juillet 1951, qui a réformé le droit du travail.
  • La loi du 10 juillet 1954, qui a réformé le système éducatif.
  • La loi du 1er juin 1955, qui a créé le Conseil économique et social.
  • La loi du 16 mars 1956, qui a accordé l’indépendance à la Tunisie et au Maroc.
  • La loi du 18 mars 1956, qui a instauré la TVA (taxe sur la valeur ajoutée). »

Petite digression, comment faisait l’État pour faire face aux dépenses lorsque ni la TVA, ni l’impôt sur le revenu n’existaient ?

IA :

« Avant la création de la TVA en 1954 et de l’impôt sur le revenu en 1914, l’État français se finançant principalement par les impôts indirects, tels que :

  • Les droits de douane, qui étaient perçus sur les marchandises importées ou exportées.
  • Les droits d’enregistrement, qui étaient perçus sur les actes juridiques, tels que les contrats de vente ou de mariage.
  • Les contributions indirectes, qui étaient perçues sur des produits de consommation courante, tels que l’alcool, le tabac ou le sucre.

D’autres sources de revenus de l’État étaient également importantes, telles que :

  • Les revenus des biens de l’État, tels que les forêts, les mines ou les terrains.
  • Les revenus de l’exploitation des services publics, tels que les chemins de fer ou les télécommunications.
  • Les emprunts, qui étaient contractés par l’État pour financer ses dépenses. »

La preuve qu’un autre monde était possible. Je ne dis pas qu’il était meilleur, mais qu’il faut cesser de les croire quand ils nous répètent que le seul modèle possible est l’ultralibéralisme.

Alors que dire de notre démocrature ?

Rappelez-vous quand la Présidente de la Commission européenne, pour laquelle nous n’avons jamais voté, a négocié avec le multirécidiviste condamné pour escroquerie, un contrat de plusieurs milliards d’euros. Ce contrat avait pour objet l’achat de « vaccins » dont ni l’efficacité ni l’innocuité n’étaient connues du fabricant, et ce via un simple échange de SMS. Textos dont nul n’a pu voir les contenus y compris les députés européens. J’imagine que c’est votre définition d’une démocratie ?!

Tant qu’à vivre en dictature autant que ce soit dit et assumé. Je préfère 1000 fois une « dictature » dans laquelle le Président au pouvoir aime son pays et son peuple (et est aimé en retour), suivez mon regard vers l’est, qu’une « démocratie » dans laquelle son Président d’un pays ou Présidente d’une Union, serait coupable de haute trahison envers son pays et ses ressortissants.

Cela me fait penser à tous les grands « démocrates » qui nous entourent et qui prônent la censure la plus extrême sur les réseaux sociaux pour « notre bien ».

S’ils étaient si certains de détenir la « vérité » et si capables de la prouver, pourquoi refuser une vraie démocratie en donnant la parole aux dissidents ?

Ces « démocrates » prouvent qu’ils ne le sont pas en faisant tout pour qu’une opposition et une parole contraire à la doxa ne puissent émerger.

Pour qu’un candidat pro-Frexit puisse se présenter, ait les fonds nécessaires, le soutien (disons qu’ils ne le descendent pas) des organismes de sondage et des médias mainstream (c’est eux qui font l’élection), le soutien de grandes sociétés et des maîtres du monde, il lui faudrait se présenter déguisé, faire semblant pendant 10 ans, puis une fois élu, retirer son masque ! Bref une utopie.

Les députés européens se sont que des pions pour donner une illusion.

Le parlement européen est un simple organe d’entérinement de lois proposées par la Commission européenne dont les membres ne sont pas élus (démocratie ?). Sans parler des lobbies, du copinage, des cooptations, des vases communicants ou des services rendus.

« José Manuel Barroso, ancien président de la Commission européenne, a rejoint le conseil d’administration de la banque américaine Goldman Sachs après avoir quitté la Commission européenne en 2014. »

« Jean-Claude Trichet, ancien président de la Banque centrale européenne, a rejoint le conseil d’administration de la banque britannique Barclays après avoir quitté la BCE en 2011. »

La dictature européenne ne pourra pas tomber si les peuples ne se révoltent pas, mais pour cela il faudrait qu’ils aient accès à l’information et non à ces mensonges répétés jour après jour.

Pourtant il suffit de savoir lire, 4 millions de paysans6 en 1960, 400 000 en 2020. La France importe plus de produits agricoles qu’elle n’en exporte. Nous avons perdu notre autosuffisance alimentaire. Le pourcentage de terres agricoles en jachère a quadruplé depuis les années 60.

Merci l’Europe !

Je crois toujours en l’Europe des Nations, en l’Europe des peuples et un fonctionnement démocratique qui permettrait à chacun de vivre librement en gardant ses traditions tout en étant prospère, mais ce n’est pas le chemin qui est pris. Je me vois donc contraint de penser que seul le Frexit pourra nous sauver.

Ce qui est extraordinaire avec nos maîtres est la facilité avec laquelle ils salissent toutes les belles idées :

  • Le mondialisme ? Je suis pro-mondialiste et ici encore je ne peux que me battre contre eux, car leur objectif est celui d’une dictature mondiale « vous ne posséderez rien et vous serez heureux ».
  • L’écologie ? Qui pourrait être contre l’écologie, qui pourrait être contre la lutte, contre les pourritures qui tuent la planète avec leurs produits chimiques ? Et pourtant je ne peux que me battre contre ces pseudo-écolos qui, pour sauver la planète, ont choisi le CO2 comme ennemi alors qu’il est source de vie. Leur objectif n’est que destructions, interdictions, punitions, dictature. Le seul mot de « écolo » suffit à me hérisser le poil et me rendre verbalement violent. La petite Greta est une formidable caricature de niaiserie, d’incompétence, de bêtise et de méchanceté. Car cela semble vraiment le leitmotiv, le trait d’union entre les « écolos » médiatiques, ils n’aiment pas les humains !
  • Le revenu universel ? J’aborde un chapitre dans mon livre7. Le revenu universel ne serait que justice dans un monde où une poignée accapare tout et où les humains ne sont plus utiles pour faire tourner la machine. Ce n’est que justice si chacun naissait avec un capital qu’il pourrait faire fructifier et qui aiderait les initiatives personnelles. C’est plus facile de se lancer dans une petite affaire de fabrication de vases si vous avez une garantie minimale de revenus. Ils ont donc réussi à faire de cette noble et juste idée un outil au service de la dictature. Le revenu universel, s’il voit le jour, sera conditionné à des obligations et probablement au crédit social à la chinoise. Si tu es un bon esclave, si tu n’es pas dissident, si tu obéis à toutes les obligations, surtout les plus stupides, si tu mets ton masque debout, mais pas assis, si tu es bien vacciné, que tu as une voiture électrique, que tu chauffes ton logement à 17 degrés et j’en passe, tu pourras alors être crédité de ton revenu universel. Mais attention, tu n’auras pas le droit de dépenser ton argent comme tu veux. Pas question de faire des économies pour prendre l’avion, pas question de t’acheter de la viande naturelle qui tue la planète. L’État, celui qui sait ce qui est bon pour toi, te dira quand et quoi dépenser.
  • Les pesticides ? Ces pourritures en sont presque à me faire militer pour les pesticides. Pourtant je ne porte pas dans mon cœur les Monsanto et autres Bayer. Ils n’utilisent pas des lois pour protéger l’environnement, ils les utilisent pour nous tuer, pour tuer notre patrimoine et nos paysans. Quand vous interdisez l’usage en Europe et autorisez l’importation de produits étrangers qui les utilisent, vous appelez cela de l’écologie ou du crime organisé ?
  • La ville de 15 minutes ! Depuis tout temps j’ai trouvé aberrant que les logements soient en banlieue et que l’on soit obligé de faire deux heures de trajet par jour. Lamentable que les villages se vident de leurs commerces et que l’on soit obligé de prendre l’auto pour acheter sa baguette de pain. La ville de 15 minutes est bien sûr une évidence, c’est ce que l’on appelait un village ! Dans les mains de ces pourritures, la ville de 15 minutes devient une prison avec ses postes-frontière. L’objectif est que vous naissiez, viviez et mourriez sans en être sortis. Vos possibilités de la quitter seront soumises à votre crédit social ou votre passe sanitaire comme en Chine où vous devez présenter un QR code pour sortir de votre quartier. Les naïfs vous diront que c’est la Chine… les mêmes qui ne trouvaient rien à redire pour présenter leur QR code 10 fois par jour lors de la plandémie. Les JO de 2024 utiliseront la reconnaissance faciale et il est question d’utiliser le QR code pour pénétrer dans certains quartiers de Paris. De toutes les façons plus vous apporterez de restrictions de liberté pour notre « bien », pour notre « sécurité », pour « sauver la planète » et plus les moutons terrorisés applaudiront. Bien évidemment ces mesures ne concernent que les gueux, les « sans-dents ». Pour les autres, les gens bien, les De Caprio qui militent pour le climat, qui font la promo des voitures électriques, c’est yacht et jets privés à volonté.
  • Même la peine de mort ! Je suis viscéralement opposé à la peine de mort pour plusieurs raisons. En premier lieu une raison pragmatique, disons même égoïste. Le fait est que l’erreur judiciaire existe et qu’il est difficile de ressusciter un mort (celui qui l’a fait dans le passé a eu par la suite de nombreux ennuis). D’autre part, il y a une grande différence entre tirer une balle dans la tète de la pourriture qui a tué votre enfant, et ce dans le feu de l’action, que mettre à mort froidement un gars des mois ou des années plus tard dont on ignore, s’il est encore la même personne ou pas. Le système est à ce point délirant qu’il fera tout pour sauver un condamné à mort d’une tentative de suicide une semaine avant son exécution. Et bien là aussi ces pourritures ont réussi à m’éloigner de mes valeurs. Je ne sortirais probablement pas un mouchoir pour sangloter si certains politiques, laboratoires pharmaceutiques, marchands d’armes, médecins médiatiques, journalistes (je m’excuse auprès des professions que j’aurais oublié) et/ou pédophiles se retrouvaient écartelés sur la place publique.

Autant j’aime l’idée d’amour universel, autant j’aime l’idée de pardon, mais tous ces traîtres, ces vendus, ces pourris, ces satanistes, ces pédophiles, bref, ces monstres ont réussi à tuer MON Europe, MON monde, MES valeurs et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

J’aimerais que nous puissions cesser d’être contre l’Europe, contre le mondialisme et toutes les autres belles idées qu’ils ont réussi à salir.

Je veux être pro-européen, pro-peuple, pro-échange, pro-partage, pro-justice, mais je me dois de demeurer pro-Frexit en attendant des jours meilleurs.

C’est pourquoi je prendrai le risque de voter pour un candidat ostensiblement pro-Frexit lors des prochaines élections européennes. Et même si nous sommes trahis par la suite ce n’est pas bien grave, car cela permettra à l’autre camp de nous compter et peut-être même de commencer à trembler.

Il faut se battre sur tous les fronts, aussi bien dans les urnes que sur les médias sociaux et dans la rue pour espérer réveiller les peuples.

Merci

Alain Tortosa8
30 janvier 2024.
https://7milliards.fr/tortosa20240130-vous-avez-tue-l-europe.pdf





Note du Dr Mike Yeadon sur les mesures médicales d’urgence

Le Dr Mike Yeadon commente le « Mémo sur les contre-mesures de l’EUA à envoyer à votre médecin, votre pharmacien, votre employeur, votre école, votre shérif, votre commissaire de comté et aux législateurs de l’État » de Sasha Latypova

[Source : lionessofjudah.substack.com]

Par Dr Mike Yeadon

Je pense que ce mémo est aussi bref et précis qu’il est possible de l’être en ce qui concerne l’écheveau complexe de la criminalité-rendue-légale-sur-papier. Puis-je vous demander de le lire deux fois ?

Le consentement éclairé est tourné en dérision par le mélange de définitions dénuées de sens. On pourrait littéralement placer n’importe quoi dans les flacons et cela resterait conforme aux réglementations absurdes dans le cadre d’une « urgence de santé publique », récemment prolongée jusqu’en 2028. Bien entendu, cela ne s’arrêtera jamais.

Nous ne bénéficions pas ici en Europe (UE ou pas) d’un chercheur juridique ayant la perspective de Katherine Watt(([1] Voir OMS et Nouvel Ordre Mondial, NdT)), associé à un ancien chef d’entreprise, Sasha Latypova, aguerri aux réglementations pharmaceutiques et fédérales.

On m’a dit que, d’après ce que d’autres ont pu constater dans la législation applicable aux « urgences de santé publique », des modifications analogues semblent avoir été mises en vigueur ici aussi. Je pense qu’il serait sage de supposer que c’est le cas, car ce n’est qu’à travers une lentille aussi déformée de réglementations non applicables que le comportement de nos gouvernements, de l’industrie pharmaceutique et de leurs assistants criminels au sein des anciennes agences du médicament prend alors un sens diabolique.

Je vous recommande vivement, si vous ne faites rien d’autre, de trouver des moyens de partager cette information sur le monde parallèle et obscur des soi-disant vaccins, non réglementés, à ARNm et des « contre-mesures » connexes introduites sous le couvert d’une « urgence de santé publique » qui, en réalité, n’existe pas et n’a jamais existé.

Il est vital que des concitoyens innocents de partout aient au moins la chance de lire ce qui les laissera sans doute incrédules. Les faits sont néanmoins exacts.

Je soutiens cette vérité avec toute l’influence que ma réputation peut avoir. La conséquence évidente est qu’il ne faut JAMAIS PERMETTRE QUE CES MATÉRIAUX SOIENT INTRODUITS DANS VOTRE CORPS.

En outre, je ne vois aucune probabilité que la réglementation normale des médicaments reprenne un jour. Cela a des conséquences extrêmement graves pour la sécurité des produits, même ceux qui ont déjà fait l’objet d’une recherche et d’un développement adéquats et d’un examen réglementaire.

En bref, devriez-vous avoir la confiance que vous auriez pu avoir auparavant dans un médicament nécessaire que votre médecin vous avait prescrit ? Je dirais que non. Je ne suis certainement pas convaincu que les inspections se poursuivent comme il se devrait.

J’ai entendu dire que la MHRA britannique manquait en permanence de personnel et je ne vois pas comment des personnes diligentes et professionnellement responsables pourraient être recrutées à l’heure actuelle, car leur travail consisterait en une pantomime de non-respect des règles.

Pour conclure, j’aimerais toujours rappeler aux lecteurs que ces tyrans lunatiques tentent quelque chose de tellement contraire au discours humain normal que je pense qu’un tel système de contrôle devrait être considéré comme « métastable ».

Je veux dire par là qu’il peut sembler très puissant et englobant, mais qu’il ne peut fonctionner qu’avec l’apport constant d’énormes quantités d’argent, la force coercitive et le fait de plier les gens pour qu’ils agissent contre leur petite voix intérieure, c’est-à-dire leur conscience.

Dès qu’il y aura une discontinuité dans l’apport d’énergie nécessaire au fonctionnement de cet horrible système de contrôle, je pense qu’il y a de fortes chances qu’il échoue, et ce de manière potentiellement catastrophique.

Prenez le temps de réfléchir aux meilleurs moyens de résister à la prochaine vague de propagande fondée sur la peur et investissez pratiquement tout ce que vous jugez utile pour acquérir un peu d’indépendance par rapport au contrôle central, ce qui sera utile en cas de crise, réelle ou fictive, qui, à mon avis, sera utilisée pour nous imposer des choses auxquelles vous ne voulez vraiment pas vous conformer.

Plus rarement, j’invite les gens à passer du temps à contempler tranquillement ce qui est vraiment important pour eux et leur famille et, si vous le jugez approprié, à prier.

Avec mes meilleurs vœux,

Mike

Mémo sur les contre-mesures de l’EUA à envoyer à votre médecin, votre pharmacien, votre employeur, votre école, votre shérif, votre commissaire de comté et les législateurs de l’État.

Par Sasha Latypova

Objet : Clarifier le statut juridique des contre-mesures médicales (CMM) de l’EUA

  1. Conformément à l’article 564 de la loi FD&C, telle que modifiée par la loi PAHPRA de 2013, et à la clause de suprématie de la Constitution des États-Unis (article VI, clause 2), les CMM de l’EUA ont potentiellement été exemptées des tests utilisant les bonnes pratiques de laboratoire, les bonnes pratiques cliniques, y compris le consentement éclairé, et de l’évaluation visant à déterminer si des stratégies d’évaluation et d’atténuation des risques (REMS) sont nécessaires.
  2. Les règles de sécurité régissant la fabrication, l’expédition, la détention, la distribution, l’administration et l’étiquetage ne s’appliquent pas nécessairement aux CMM, mais sont soumises à l’avis des responsables de la FDA et du HHS, sans examen approprié par le Congrès ou la justice, pendant la durée de l’état d’urgence déclaré par le HHS. De même, la déclaration d’urgence n’est pas assortie de critères d’arrêt correctement définis, ni d’un contrôle du Congrès ou d’un contrôle judiciaire.
  3. En vertu de la loi fédérale, la FDA doit approuver tout nouveau médicament avant qu’un fabricant ne l’introduise dans le commerce inter-États(([2] See, e.g., 21 U.S.C. § 355 (drugs); 42 U.S.C. § 262 (biologics).)), ce qui suppose que le fabricant dépose une demande d’autorisation de mise sur le marché (Investigational New Drug) et obtienne une dérogation de la FDA pour son utilisation dans le cadre d’une recherche clinique expérimentale réglementée (essais). Ce processus réglementé normal est donc appelé voie réglementaire « expérimentale ». Il exige qu’un fabricant mène une recherche clinique réglementée (essais) dans le cadre de l’IND, en obtenant l’approbation du comité d’examen institutionnel (IRB) pour les protocoles d’essais cliniques, une surveillance indépendante de la sécurité et un consentement éclairé correctement exécuté de la part des volontaires des essais cliniques. En outre, la fabrication des médicaments et des produits biologiques soumis au statut d’expérimentation est réglementée par les bonnes pratiques de fabrication (BPF).(([3] CFR Title 21, including sections in parts 1-99, 200-299, 300-499, 600-799, and 800-1299.))
  4. Les contre-mesures médicales EUA sont radicalement différentes. Elles sont définies par la loi comme des médicaments, des produits biologiques et des dispositifs non expérimentaux déployés en vertu du pouvoir d’autorisation de la FDA, connu sous le nom de « procédure d’autorisation d’utilisation en cas d’urgence » (EUA).(([4] Section 564 FD&C Act. Note that the EUA pathway should not be confused with the “Expanded Access Use” regulatory pathway which is often colloquially referred to as an “emergency use”. The expanded access is an investigational pathway and is regulated in the same manner as all normal drug approvals. (21 CFR 312.310-320) ))
  5. La procédure EUA n’est utilisée que lorsque le secrétaire américain à la santé et aux services sociaux déclare une situation d’urgence.(([5] 21 U.S.C. § 360bbb-3(a)(1), (b).))
  6. Selon la loi, la procédure d’autorisation d’utilisation d’urgence n’est pas une procédure d’investigation(([6] 21 USC 360bbb-3(k): If a product is the subject of an authorization under this section, the use of such product within the scope of the authorization shall not be considered to constitute a clinical investigation for purposes of section 355(i), 360b(j), or 360j(g) of this title or any other provision of this chapter or section 351 of the Public Health Service Act [42 U.S.C. 262].)) : bien que les fabricants puissent choisir et que la FDA puisse demander d’entreprendre certaines des activités typiquement attendues d’un essai clinique expérimental et d’un processus de validation de la fabrication, aucune des normes réglementaires typiques n’est applicable de manière contraignante.
  7. La FDA a le pouvoir discrétionnaire de délivrer une autorisation de mise sur le marché européenne si le demandeur démontre que son produit « peut être efficace » dans le traitement de la maladie ou de l’affection concernée(([7] 21 U.S.C. § 360bbb-3(c)(2)(A) )). Il est important de souligner qu’aucun autre critère d’approbation n’est applicable de manière contraignante.
  8. La FDA approuvera les produits de l’EUA sur la base d’informations incomplètes tant que le demandeur démontre que le « bénéfice connu et potentiel du produit » l’emporte simplement sur les risques connus et potentiels(([8] 21 U.S.C. § 360bbb3(c)(2)(B) )) et considère qu’il est peu probable que des « données complètes sur l’efficacité » soient disponibles avant l’octroi de l’EUA. En revanche, pour un médicament expérimental (soumis à la procédure d’approbation réglementaire normale), la FDA « doit » refuser l’approbation si le demandeur « ne démontre pas que ce médicament est sûr ».(([9] 21 U.S.C. § 355(d)(2) ; See also 42 U.S.C. § 262(a)(2)(RB) (biologic approved only if it actually “is … safe”).))
  9. Par conséquent, le statut d’EUA d’une CMM empêche la collecte de données d’essais cliniques expérimentaux (soumis à l’IRB et au consentement éclairé) et donc l’acquisition de connaissances scientifiques fiables et valables sur les risques et les avantages associés à la contre-mesure de l’AUE.
  10. Le processus de l’EUA ne permet pas d’obtenir un véritable consentement éclairé de la part des destinataires du produit : alors que le Congrès a demandé à la FDA d’informer directement les professionnels de la santé et les destinataires du produit de tous les « avantages et risques significatifs connus et potentiels » (([10] 21 U.S.C. § 360bbb-3(e)(1)(A)(II) )), des essais cliniques formels réglementés ne sont ni nécessaires ni possibles pour un produit non expérimental de l’EUA. Il n’existe donc pas d’informations fiables et scientifiquement valables sur les risques et les bénéfices d’une AMUE, en particulier pour les technologies extrêmement nouvelles telles que les injections d’ARNm.
  11. En outre, il n’existe aucune norme de contrôle de la qualité de la fabrication, aucune inspection des procédures de fabrication, aucun test de libération des lots et aucune interdiction de grande variabilité entre les lots, aucune interdiction de falsification et aucune obligation de conformité aux bonnes pratiques de fabrication actuelles (BPF). Les produits de l’EUA, bien que non réglementés et non normalisés, « ne doivent pas être considérés comme falsifiés ou mal étiquetés ».(([11] 21 USC 360bbb-3a(c).))

En résumé, le processus par lequel les produits EUA entrent dans le commerce interétatique et les allégations concernant leur sécurité, leur efficacité ou leur contenu reposent uniquement sur l’avis du secrétaire du HHS [Health and Human Services], qui ne nécessite aucune preuve scientifique à l’appui. La loi fédérale autorise les fausses déclarations sur la sécurité, l’efficacité ou le contenu des produits de l’EUA. Par conséquent, les allégations fournies par les autorités sanitaires fédérales ou les fabricants ne peuvent être considérées comme des sources d’information fiables.

Références :

References Emergency Use Authorization of Medical Products and Related Authorities, Guidance for Industry and Other Stakeholders, January 2017 Procedural OMB Control No. 0910-0595 Expiration Date 09/30/202, Emergency Use Authorization of Medical Products and Related Authorities | FDA or direct link at www.fda.gov/media/97321/download, particularly pages 15, 22-25, 27,28, 33, and 39-41. Risk Evaluation and Mitigation Strategies, https://www.fda.gov/regulatory-information/search-fda-guidance-documents/fdas-application-statutory-factors-determining-when-rems-necessary; direct link at https://www.fda.gov/media/100307/download. Power point briefings on Section 564 of the FD&C Act, https://www.fda.gov/emergency-preparedness-and-response/mcm-legal-regulatory-andpolicy-framework/mcm-related-legal-and-policy-presentations-publications-and-qas: 1) August 25th-27, 2020 FDA – CDC Joint Learning Session, Regulatory Updates on Use of Medical Countermeasures Preparedness Summit; 2) February 10, 2021 PHEP Connects Webinar; 3) March 1, 2021, The American Bar Association Health Law Section; Overview of FDAs EUA Authority and COVID-19 Response; 4) March 18, 2021, The Council of State and Territorial Epidemiologists, Public Health Law Webinar; 5) April 21, 2021, Overview from FDA: 2021 Preparedness Summit; 6) May 15, 2021 PMDA (The Pennsylvania Society for Post- Acute and Long-Term Care Medicine), Spring Symposium; and 7) November 21, 2021, FDA’s EUA Authorities, BARDA (Biomedical Advanced Research and Development Authority) Industry Day. Direct links at 1) 2022-09-15 08:43 | Archive of FDA (pagefreezer.com) 2) 202111_CDC PHEP Connect Webinar.pdf 3) 202103_ABA Health Law Section.EUA_.Overview.FDA_.3.1.21.pdf 4) 202103_CSTE_FDA_3_18_21.final__0.pdf 5) Ross Overview_2021_Preparedness_Summit_508KH.pdf 6) J_Ross_20210515_FDAsEUAs_Other_Related_Authorities_508_KH.pdf 7) 202111_FDAs_Emergency_Use_Authorities.pdf

Principales lois d’habilitation :

Les six principales lois d’habilitation sont les suivantes :

  • Titre 21 — Federal Food and Drugs Act, § 360bbb et seq, “Expanded access to unapproved therapies and diagnostics”, tel qu’établi en 1997;
  • Titre 42 — Public Health Service Act (loi sur le service de santé publique), §247 d et seq, « Public health emergencies » (urgences en matière de santé publique), tel qu’établi en 1983 ;
  • Titre 42 — Public Health Service Act, §300 hh et seq, « National All-Hazards Preparedness for Public Health Emergencies », tel qu’établi en 2002 ;
  • Titre 42 — Public Health Service Act, §300aa-1 et seq, « Vaccines », tel qu’établi en 1986 ;
  • Title 10 – Armed Forces Act, at § 4021 et seq, « Research projects: transactions other than contracts and grants », tel qu’établi pour l’utilisation par le DoD pour les contrats de « prototypes » en 2015 ;
  • Titre 50, chapitre 32, § 1511 et seq, « Chemical and Biological Warfare », tel qu’établi en 1969.




Les peuples européens piétinent l’UE qui les ruine




Les liens sinistres entre Jeffrey Epstein, le Bitcoin et les MNBC

[Source : epochtimes.fr]

Par Aaron Day

Cet article a pour but de sensibiliser à la menace urgente que représente les monnaies numériques des banques centrales (MNBC1), d’aborder la question de l’implication potentielle de Jeffrey Epstein dans, d’une part, le financement de ces projets et, d’autre part, le rôle qu’il a pu jouer dans la modification de l’objectif initial du bitcoin, désormais inutilisable en tant qu’alternative à l’argent liquide pour les transactions quotidiennes. L’article reprend également un extrait de mon livre, « The Final Countdown », qui détaille les choses et fournit des conseils pratiques pour se prémunir de l’avènement des MNBC.

La menace des MNBC

Imaginez un avenir où chaque dépense que vous faites est suivie, non pas par une banque, mais par votre gouvernement. Ce n’est pas de la science-fiction, mais bel et bien la réalité des monnaies numériques des banques centrales, ou MNBC, si elles devaient voir le jour. Une MNBC n’est pas simplement une nouvelle forme d’argent, c’est aussi un outil de surveillance et de contrôle du comportement humain.

Le concept est simple, mais profond : une monnaie numérique est émise par le gouvernement et peut être programmée pour ne fonctionner que selon certaines règles spécifiques. Par exemple, votre bas de laine pourrait être gelé si vos activités en ligne ne sont pas conformes aux normes gouvernementales en vigueur, ou des prélèvements obligatoires pourraient être systématiquement imposés pour relancer l’économie d’un pays. Ce niveau de contrôle pourrait notamment s’étendre aux choix quotidiens, et dicter les produits d’épicerie que vous devez ou ne devez pas acheter ou les vacances auxquelles vous avez accès, le tout sur la base d’un système de notation numérique.

Mon livre traite de ce sujet et dépeint un avenir où les MNBC pourraient nous mener vers une société dystopique.

L’urgence de cette question m’a incité à me tourner vers les cryptomonnaies et les métaux précieux en 2019, lorsque je suis complètement sorti du dollar. Cela m’a poussé à écrire un livre, et même à me présenter à l’élection présidentielle américaine pour faire la lumière sur ces questions cruciales. En tant que membre du Brownstone Institute, mon objectif actuel est d’éduquer et de responsabiliser les gens sur les risques potentiels des MNBC, qui pourraient potentiellement être mises en œuvre avant les élections de 2024.

Au cours de mes voyages, j’ai constaté que le public ne connaissait pas bien les MNBC. Plus de 80 % des Américains n’en ont même jamais entendu parler, les médias grand public couvrant rarement le sujet. Ceux qui en ont entendu parler les voient comme une préoccupation future lointaine, ou pensent qu’elles pourraient être pratiques en plus d’être inclusives, une croyance particulièrement répandue parmi les jeunes générations.

Cet article vise à clarifier et à mettre en garde contre l’état actuel de la technologie des MNBC, à expliquer l’élan politique actuel en faveur de leur adoption et à mettre en évidence les liens curieux et inquiétants qui existent entre Jeffrey Epstein et l’évolution des cryptomonnaies. Les liens d’Epstein avec le laboratoire multimédia du MIT — qui a joué un rôle central dans d’importants essais de MNBC et a influencé les changements apportés à la fonctionnalité du Bitcoin — tendent à suggérer que le Bitcoin n’est plus la monnaie révolutionnaire qu’il était, mais est en réalité devenu un outil destiné aux élites.

Les documents publiés par le tribunal fédéral du district sud de New York n’ont fait que rendre encore plus mystérieuses les motivations et agissements d’Epstein. Son intérêt pour les cryptomonnaies a été documenté dès 2017, et bien que l’étendue de son implication reste floue, celle-ci est suffisante pour justifier un examen approfondi.

En tirant la sonnette d’alarme sur les liens entre Epstein et l’écosystème des cryptomonnaies et des MNBC, je vise à remettre en question tous les récits qui veulent réduire les MNBC à leur côté purement positif. Ses partisans, tels que le Forum Économique Mondial (FEM), la Banque mondiale, les Nations Unies (U.N.), les banques centrales et certaines personnalités politiques, affirment que les MNBC sont un gage d’inclusion financière et qu’elles permettront de lutter contre le terrorisme et le blanchiment d’argent. Mais le véritable objectif de ces monnaies ne réside pas là, toutes ces belles paroles ne relèvent que du marketing. Leur but est de contrôler. Cela devrait être particulièrement évident à quiconque a fait l’expérience de la tyrannie et de l’érosion des libertés individuelles pendant le Covid. Cet article, ainsi que les interviews vidéo à venir, vise à éplucher les couches de cette question complexe et à explorer les conséquences potentielles pour nos libertés financières.

Les MNBC arrivent (extrait partiel du chapitre 4 de « The Final Countdown »)

Les États-Unis se trouvent à un tournant décisif, car la poursuite des MNBC par le gouvernement prend une ampleur sans précédent. Au cours des 12 prochains mois, l’idéal de liberté qui est cher aux Américains pourrait être mis à mal par la mise en place d’une monnaie numérique contrôlée de manière centralisée. À l’insu de beaucoup, la Réserve fédérale a déjà mené avec succès trois projets pilotes de MNBC de grande envergure, et Joe Biden s’est fait le champion de cette cause par la promulgation d’un décret exécutif, le décret 14067. Par ce décret, plusieurs administrations du pays ont entrepris de jeter les bases de monnaies numériques, donnant ainsi naissance aux scénarios dystopiques décrits au début de cet article et plus en détail dans mon livre.

Dans cette section, nous examinerons ce fameux décret, nous nous pencherons sur les trois programmes pilotes des MNBC et nous explorerons les implications de l’infrastructure FedNow, lancée à l’échelle nationale en juillet 2023, qui pourrait permettre le déploiement rapide des MNBC aux États-Unis. Mais la situation est plus grave qu’il n’y paraît, car les autorités américaines veulent pouvoir contrôler et programmer non seulement l’argent, mais aussi les actifs numériques.

Imaginez que les actions, les obligations, les maisons, les voitures, les ordinateurs, etc. puissent être suivis de manière centralisée par le gouvernement et que la vente ou le transfert de ces actifs puisse être bloqué par de multiples tiers (notamment le gouvernement, la Réserve fédérale et d’autres tiers centralisés). Le choc, le malaise et la colère que ces révélations provoquent devraient unir tous ceux qui cherchent des alternatives à ce qui est en train de se passer dans ce monde et qui s’efforcent de partager toutes ces informations cruciales avant qu’il ne soit trop tard.

Décret 14067

Le décret a été signé le 9 mars 2022 par Joe Biden, sous le titre « Ensuring Responsible Development of Digital Assets » (Assurer le développement responsable des actifs numériques). Selon ce décret, le gouvernement américain doit adopter une approche globale du développement des actifs numériques, y compris des MNBC. Et sa portée est considérable, puisqu’il couvre un large éventail de questions liées aux actifs numériques, notamment leur impact potentiel sur le système financier, la sécurité nationale et la protection des consommateurs. Le décret demande également au gouvernement américain de collaborer avec des partenaires internationaux afin d’élaborer des « normes responsables » (on parle ici de l’ONU, du FEM, du FMI, de la Banque mondiale et de la Banque des règlements internationaux (BRI)).

Jim Rickards, expert réputé des marchés financiers et de la géopolitique, a averti des problèmes importants que soulève ce décret ainsi que de son caractère excessif. Il estime qu’en plus d’être trop ambitieux, le texte ne fournit pas suffisamment d’indications sur la manière dont le gouvernement compte développer et mettre en œuvre les MNBC. Il craint également que cela n’entraîne une érosion de la vie privée et de la souveraineté financière. Il explique que le Décret 14067 est une étape dangereuse vers une société sans argent liquide. Il donne au gouvernement trop de pouvoir pour suivre et contrôler nos transactions financières. Il ajoute :

« Ce décret constitue une menace pour la vie privée et la souveraineté financière. Il pourrait conduire à l’érosion de notre droit à contrôler notre propre argent ».

Pour le dire très clairement, le président des États-Unis a proposé la mise en place d’un cadre qui ressemble au cauchemar dystopique que nous essayons si désespérément d’éviter. M. Rickards prévient :

« Ce décret est une occasion manquée de développer l’innovation et la concurrence dans le système de paiement. Au lieu de cela, il s’agit d’une recette pour le contrôle et la surveillance par le gouvernement ».

Programmes pilotes des MNBC aux États-Unis

Avant même le décret, la Réserve fédérale était déjà bien engagée dans la recherche, le développement et le pilotage des MNBC.

Par exemple, via le projet Hamilton, le projet Cedar, le Regulated Liability Network (RLN). Avant de continuer, gardons bien à l’esprit que ces trois projets pilotes ont été financés par le laboratoire multimédia du MIT, qui entretenait des relations directes avec Jeffrey Epstein.

Projet Hamilton

Le projet Hamilton, une coentreprise entre la Federal Reserve Bank of Boston et le MIT, s’est penché sur l’utilisation d’une MNBC de détail dans le cadre d’un programme pilote qui s’est déroulé entre 2020 et 2022. Une MNBC de détail est une forme numérique de monnaie fiduciaire émise par une banque centrale (en l’occurrence la Réserve fédérale) et accessible directement par le public. Cette forme de monnaie électronique remplacerait le dollar et serait utilisée pour effectuer des paiements, épargner ou réaliser des investissements.

Un livre blanc publié récemment détaille les résultats du programme pilote, et montre notamment qu’un dollar numérique peut traiter un grand nombre de transactions en toute sécurité. Le programme pilote a réussi à traiter un maximum de 1,7 million de transactions par seconde. À titre de comparaison, le système bancaire américain actuel ne peut traiter que 150 000 transactions par seconde. Il est clair que cette nouvelle MNBC a la capacité technique de remplacer l’infrastructure financière existante.

Le groupe qui dirige le projet Hamilton, le MIT Digital Currency Initiative, a été financé en partie par le MIT Media Lab, qui a reçu des contributions de donateurs éminents tels que Bill Gates et Jeffrey Epstein. Ces liens suggèrent l’existence d’un programme mondialiste visant à consolider le pouvoir central et à compromettre les souverainetés individuelles. Joi Ito, l’ancien directeur du MIT Media Lab, et Bill Gates se seraient rendus à plusieurs reprises sur l’île tristement célèbre d’Epstein. Il a démissionné de son poste de directeur du MIT Media Lab le lendemain de la publication de l’article de Ronan Farrow dans le New Yorker, intitulé « Comment un centre de recherche universitaire d’élite a dissimulé ses relations avec Jeffrey Epstein ».

Difficile de se faire une idée précise de l’ampleur de l’implication financière d’Epstein dans le Media Lab du MIT. Néanmoins, l’article du New Yorker nous donne quelques indications :

« Il a été reconnu qu’Epstein avait facilité l’obtention d’au moins 7,5 millions de dollars de dons au profit du laboratoire, dont 2 millions de dollars de la part de Gates et 5,5 millions de dollars de la part de [Leon] Black. Ces contributions ont été décrites dans des courriels comme étant “pilotées” par Epstein ou faites sur son insistance. »

« Le personnel du laboratoire était tellement conscient de l’implication d’Epstein que certains membres du bureau de Joi Ito désignait Epstein sous le nom de Voldemort ou de “celui qu’on ne doit pas nommer”. »

Dans une déclaration, le président du MIT, L. Rafael Reif, a présenté ses excuses en déclarant :

« Rétrospectivement, nous reconnaissons avec honte et douleur que notre institution a contribué à rehausser son prestige [Epstein], en aidant par inadvertance à détourner l’attention de son comportement odieux. Aucune expression de regret ne peut inverser cela ».

Outre les investissements directs et indirects d’Epstein dans le MIT Multimedia Lab, comme le rapporte le Washington Post, il a également placé 1,2 million de dollars dans les propres fonds d’investissement d’Ito.

L’on apprend également, grâce à cet article de Slate, que Joi Ito a visité l’île d’Epstein dans le but de bénéficier des largesses du milliardaire.

Le projet Cedar

Contrairement à d’autres initiatives, le projet Cedar vise à étudier les applications potentielles et les cas d’utilisation d’une MNBC, en particulier dans le contexte du marché de gros. Ce projet est une entreprise commune impliquant la Federal Reserve Bank of New York, plusieurs institutions bancaires de premier plan, JPMorgan Chase, Bank of New York Mellon et State Street, ainsi que la BRI et le MIT Media Lab, le même qui a joué un rôle dans le projet Hamilton.

Le marché de gros désigne un environnement financier dans lequel les transactions sont généralement de grande ampleur et de valeur élevée, et sont effectuées principalement entre des institutions financières telles que des banques, des entreprises et d’autres entités financières. Il s’agit en fait d’une arène en coulisses où des échanges monétaires substantiels ont lieu, loin du domaine des transactions individuelles ou de détail.

Le projet Cedar s’adresse donc principalement aux institutions financières et aux parties prenantes qui opèrent sur le marché de gros. L’objectif du projet est de comprendre comment un dollar numérique pourrait être utilisé dans ce contexte, en facilitant ces transactions importantes de manière efficace, sûre et transparente.

Dans le cadre de ce programme pilote, le projet Cedar étudie notamment la capacité qu’a la technologie d’assurer la sécurité des transactions sur le marché de gros, les challenges réglementaires potentiels et la compatibilité du dollar numérique avec l’infrastructure financière existante.

D’un point de vue technique, le programme pilote a été un succès, et a ouvert la voie à la phase suivante du projet : vendre le concept au public et obtenir un consensus parmi les banques centrales.
Réseau de responsabilité réglementée (RLN)

Outre le projet Cedar (qui en est à sa deuxième phase pilote), la Federal Reserve Bank of New York est également impliquée dans un autre projet pilote appelé Regulated Liability Network (RLN) qui « vise à explorer la faisabilité d’un réseau interopérable de monnaie numérique de gros des banques centrales et de monnaie numérique des banques commerciales sur un registre partagé ».

Qu’est-ce que cela signifie exactement ? Imaginez une situation dans laquelle tous les actifs que vous achetez (actions, obligations, maisons, voitures, appareils électroniques, bijoux, etc.) sont émis sous forme de jetons numériques qui peuvent être suivis et traités par le gouvernement ou autre au moyen d’un cadre centralisé. Outre la possibilité de censurer et de geler votre argent si vous ne vous comportez pas comme l’exigent les autorités, celles-ci peuvent également bloquer la vente et même l’utilisation de vos actifs.

Imaginez donc que vous achetiez un ordinateur via une MNBC. Un jeton numérique est créé et associé à cet ordinateur. Si vous adoptez un comportement que les autorités n’apprécient pas, elles peuvent suivre votre ordinateur et désactiver à distance votre capacité à l’utiliser ou à le vendre. Dans le chapitre 1, nous avons vu comment le gouvernement peut contrôler votre UBI sur la base de votre score de crédit social. Avec un système tel que le RLN, ils pourraient également bloquer votre capacité à vendre votre voiture ou votre maison, ou même entraver votre capacité à utiliser vos biens à distance grâce à ce type de suivi des biens numériques et de surveillance à distance.

Comme les deux autres programmes pilotes, celui du RLN est lié à des organisations mondialistes, dont la BRI et le MIT Media Lab (qui participe aux trois programmes pilotes de MNBC).

« Le projet pilote RLN est le fruit d’une collaboration entre un certain nombre d’institutions financières, de régulateurs et de fournisseurs de technologie de premier plan. Il s’agit d’une étape importante dans le développement d’un écosystème d’actifs numériques réglementé. »

L’étranglement du bitcoin

La première ligne du livre blanc sur le bitcoin décrit ses fonctionnalités : « Une version purement peer-to-peer de l’argent électronique permettrait d’envoyer des paiements en ligne directement d’une partie à l’autre sans passer par une institution financière ». Dès sa création, le bitcoin a été conçu comme une forme améliorée de monnaie, offrant aux personnes du monde entier la possibilité de posséder une « monnaie saine » pouvant être dépensée à tout moment et en tout lieu. Avec des coûts de transaction négligeables — une simple fraction de centime — les fonds pouvaient être transférés presque instantanément.

Cependant, en 2017, le bitcoin a subi des changements majeurs qui l’ont rendu pratiquement inutile en tant que monnaie. Cette année-là, le bitcoin a connu d’importantes difficultés de croissance, qui se sont traduites par des frais de transaction élevés et des retards. La communauté Bitcoin s’est retrouvée au cœur d’un débat intense sur la manière de faire évoluer le réseau pour mieux gérer le volume croissant des transactions. Parmi les acteurs clés de ce débat figuraient des développeurs indirectement financés par Joi Ito du MIT Multimedia Lab, et coïncidait avec la première et unique interview de Jeffrey Epstein sur Bitcoin. Voici ce que nous comprenons de l’état de Bitcoin en 2017 :

1. Frais élevés et retards de transaction : Les frais de transaction du Bitcoin ont grimpé en flèche au milieu de la congestion de 2017. En décembre de cette année-là, les frais de transaction moyens ont atteint un pic d’environ 55 dollars, une augmentation brutale par rapport aux frais inférieurs à un dollar observés l’année précédente. Le réseau a également souffert de retards importants ; des transactions qui auraient dû être confirmées en une dizaine de minutes pouvaient prendre des heures, voire des jours, en particulier si les frais attachés étaient insuffisants pour inciter les « mineurs ».

[NDLR Le Bitcoin est gourmant en énergie, au moins proportionnellement à la quantité produite (« minée »). Il exige des ressources informatiques sans cesse croissantes. Il est logique qu’à un moment il se heurte à cette réalité et donc que les frais de transactions suivent cette tendance à l’envolée. Il n’y a pas besoin de l’intention de quelqu’un pour aboutir à ce résultat. Par contre une personne lucide et prévoyante peut l’anticiper et en tenir compte.]

2. Exemple spécifique de problèmes liés aux transactions : Les fêtes de fin d’année 2017 ont été un bon exemple de ces problèmes. L’explosion du volume de transactions a entraîné des retards importants et des frais exorbitants pour de nombreux utilisateurs. Voici quelques tweets d’utilisateurs déçus de la fin de l’année 2017.
– @ChrisPacia Frais de bitcoin pour un tx de taille médiane = 30,72 $ (20 déc. 2017)

– @beijingbitcoins Les frais de transaction moyens de Bitcoin Core ont augmenté de près de 600 % au cours des deux dernières semaines seulement. Ce n’est pas soutenable. (21 déc. 2017)

– @ErikVoorhees Avec des frais de 40 $, nous avons largement dépassé le prix du café. Même un achat à 250 $ aujourd’hui n’a pas de sens avec le bitcoin. (21 déc. 2017)

3. Impact sur les détaillants et les sites web : Les conditions de transaction peu pratiques ont amené de nombreux grands détaillants et sites web à reconsidérer l’utilisation des bitcoins comme méthode de paiement. Notamment
– Steam : une plateforme populaire de distribution de jeux numériques a cessé d’accepter le bitcoin en décembre 2017 en raison des frais élevés et de la volatilité.

– Stripe : une société de traitement des paiements a mis fin à la prise en charge de Bitcoin en avril 2018, citant des temps de transaction lents, des frais élevés et moins de cas d’utilisation.

Voici une citation directe de Stripe expliquant leur décision d’arrêter d’utiliser Bitcoin pour les paiements :

« Au cours de la dernière année ou des deux dernières années, à mesure que les limites de la taille des blocs ont été atteintes, Bitcoin a évolué pour devenir mieux adapté à être un actif qu’à être un moyen d’échange. Compte tenu de la réussite globale de la communauté Bitcoin, il est difficile de contester les décisions qui ont été prises en cours de route. (Et nous nous réjouissons assurément de voir un projet novateur et ambitieux réussir aussi bien.) Mais il n’est plus possible de soutenir Bitcoin en tant qu’option de paiement ».

– Microsoft : a temporairement interrompu les paiements en bitcoins en janvier 2018, citant les mêmes préoccupations que d’autres entreprises. L’entreprise a par la suite fait marche arrière.

– Fiverr : une place de marché en ligne pour les services de freelance a cessé d’accepter Bitcoin en février 2018 en raison des frais élevés et de la lenteur des transactions.

– Expedia : un site web de réservation de voyages a cessé d’accepter le bitcoin en juin 2018, citant les mêmes raisons.

– Reddit : le populaire forum en ligne a cessé d’accepter les paiements en bitcoins pour Reddit Gold en mars 2018, citant les frais élevés et les délais de transaction.

4. L’influence de Joi Ito et du MIT Media Lab : Joi Ito, en tant que directeur du MIT Media Lab, a eu un impact sur la communauté Bitcoin par l’intermédiaire de la Digital Currency Initiative (DCI) de son laboratoire, un programme engagé dans divers projets de recherche et de développement liés aux cryptomonnaies. L’association de Joi Ito avec Digital Garage, qui finançait la DCI, signifie que son influence sur le développement de Bitcoin était indirecte, mais réelle : la DCI soutenait en effet des acteurs de premier plan de Bitcoin, par exemple Wladimir van der Laan et Cory Fields, qui ont joué un rôle essentiel dans la mise à jour et l’amélioration de la base de code de Bitcoin, y compris la mise en œuvre de Segregated Witness (SegWit). Je n’entrerai pas dans les détails de SegWit dans cet article, mais je dirai brièvement qu’il s’agit d’un changement technique qui a joué un rôle essentiel dans la transformation de Bitcoin qui est passé de moyen d’échange (espèces numériques) à réserve de valeur (or numérique).

[NDLR Utiliser une monnaie purement virtuelle comme réserve de valeur relève de manque d’anticipation et de naïveté. Les données numériques peuvent être effacées bien plus facilement que l’on pourrait faire brûler un tas de billets de banque ou faire fondre des lingots d’or. Et que se passera-t-il si un jour l’Internet et le matériel électronique tombent en panne, par exemple à la suite d’un méga flash solaire ?]

5. Les commentaires publics de Jeffrey Epstein sur le bitcoin en 2017 : Dans le contexte des problèmes de mise à l’échelle de Bitcoin et de l’implication de Joi Ito et de la DCI du MIT Media Lab, l’article « Billionaire financier weighs in on the future of Bitcoin » (le financier milliardaire s’exprime sur l’avenir de Bitcoin) de Dylan Love, publié par The Next Web le 10 octobre 2017, prend toute son ampleur. La description que fait Jeffrey Epstein du Bitcoin comme étant davantage une réserve de valeur qu’une monnaie reflète l’évolution de l’identité de Bitcoin au cours de cette période — une évolution concomitante à la mise en œuvre de SegWit et aux débats sur la mise à l’échelle. Ce changement correspond à la période pendant laquelle le MIT Media Lab, indirectement financé par Epstein, a été impliqué dans le développement de Bitcoin, ce qui a conduit à des liens spéculatifs sur l’impact potentiel d’Epstein sur l’évolution du Bitcoin.

Les développements de 2017 ont souligné les problèmes d’évolutivité du Bitcoin et ont suscité de nombreuses tentatives de résolution. Bien que SegWit ait été introduit pour résoudre certains de ces problèmes, le débat sur l’évolutivité du Bitcoin perdure, la communauté étant toujours à la recherche de solutions durables pour gérer efficacement un volume de transactions croissant.

Que signifie tout cela ?

Voici le nœud du problème :

1. La Réserve fédérale a mené à bien trois projets pilotes de MNBC en partenariat avec le MIT Media Lab.

2. Joi Ito, président du MIT Multimedia Lab, a reçu des fonds directement de Jeffrey Epstein ainsi que d’autres sources, dont Bill Gates, par l’intermédiaire d’Epstein. Nombre de ces contributions ont été marquées comme relevant de dons anonymes.

3. Parallèlement, la DCI a financé des développeurs tels que Wladimir van der Laan et Cory Fields, dont les modifications ont transformé le Bitcoin, qui est passé d’un système d’argent numérique peer-to-peer à une réserve de valeur.

4. À la même époque, Jeffrey Epstein a fait ses seules remarques publiques sur le Bitcoin, le qualifiant explicitement de réserve de valeur plutôt que de monnaie.

5. Suite à la publication de l’article du New Yorker détaillant l’implication d’Ito avec Epstein, Ito a démissionné dans la journée. Le MIT a réagi en révisant sa politique et en s’engageant à faire don d’un montant équivalent aux fonds reçus de toute fondation Epstein à une organisation caritative soutenant les victimes d’abus sexuels.

Avons-nous des preuves concluantes liant directement le financement d’Epstein aux projets pilotes de MNBC ou à la transformation de Bitcoin d’un moyen d’échange en une réserve de valeur ? Non, pas directement. En fait, la plupart des projets pilotes ont débuté après la dernière arrestation d’Epstein, le 6 juillet 2019. Je doute qu’Epstein ait été impliqué dans le Projet Cedar ou le Réseau de responsabilité réglementée. Cependant, le projet Hamilton a été annoncé en 2020 et vraisemblablement, son financement était prévu longtemps avant l’annonce.

Néanmoins, il est évident que tout un chacun devrait se méfier des progrès réalisés dans le développement des MNBC, de l’intention des gouvernants de les mettre en œuvre, et faire preuve d’un scepticisme sain quant aux intentions et à l’implication de Joi Ito, du MIT Multimedia Lab et de Jeffrey Epstein dans le déploiement des MNBC et dans la restriction des capacités de Bitcoin.

J’ai l’intention d’étudier plus en détail le domaine spécifique du financement potentiel par Epstein du projet Hamilton (ce projet qui remplace l’argent liquide) ainsi que SegWit (qui a fait passé Bitcoin de l’argent liquide numérique à l’or numérique). Alors que le bitcoin était de plus en plus adopté comme alternative au dollar, il a été étranglé. Peu après, un projet était lancé pour créer les MNBC, soit une alternative au Bitcoin, sous contrôle de l’État. Ces sujets méritent certainement d’être approfondis.

Pour approfondir nombre de ces sujets, je vous invite à lire mon livre, « The Final Countdown » (Le compte à rebours final). Il décrit l’avenir dystopique qui nous attend peut-être, façonné par les MNBC et les systèmes de crédit social. Il traite de la progression mondiale des MNBC, de l’effondrement imminent du dollar et des monnaies fiduciaires en général, et présente des mesures tangibles pour se prémunir des MNBC en adoptant et en utilisant des cryptomonnaies, de l’or et de l’argent qui soient autodétenus, et ce dans le cadre d’une économie parallèle.


1 CBDC en anglais, pour Central Bank Digital Currency (NDLR)




Comment l’Europe est devenue une colonie américaine

[Source : MrThodinor via fr.sott.net]

Dans son ouvrage « Les origines du plan Marshall » Annie Lacroix-Riz démonte les rouages du plan qui fera de l’Europe une colonie américaine. La Charte de l’Atlantique, les accords Blum-Byrnes, le système de Bretton Woods forment le prologue du Plan Marshall.

Ils ont été extorqués par les États-Unis à une Europe en guerre. Ces accords léonins enchaîneront l’Europe à l’atlantisme jusqu’à aujourd’hui. Ils sont l’aboutissement d’un plan américain de conquête du monde élaboré à la fin du dix-neuvième siècle.

Bonus :




La révolte agricole contre la tyrannie de l’UE continue



https://twitter.com/actus_du_jour/status/1751702740193984959?s=43




L’opposition contrôlée ??

[Source : Ciel Voilé]






Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE !

Par le Dr Gérard Delépine

Chaque jour une nouvelle directive écologique de l’UE rogne nos libertés, nous rend la vie plus difficile, nous appauvrit. Quelques exemples.

La crise du logement fortement aggravée par l’UE et les mesures écologiques

La population française de souche n’augmente plus depuis déjà plusieurs années. La crise du logement que nous subissons est donc principalement due à l’afflux d’étrangers, souvent illégaux, que les écologistes et l’UE nous interdisent de refuser sous peine de 20000 euros par migrant1.

De plus les exigences des verts qui interdisent la location de ce qu’ils appellent passoires thermiques2 et qui exigent des travaux extrêmement coûteux, souvent peu efficaces, ont déjà retiré du parc locatif plusieurs centaines de milliers de logements bon marché en attendant d’en exclure plusieurs millions dans les prochaines années, si leur plan diabolique se réalise…Et comme les taux d’emprunts élevés et l’alourdissement important de la fiscalité sur les propriétés3 découragent déjà les investisseurs potentiels, la crise ne peut que s’amplifier…

La promesse écologique d’octroyer des logements faciles à chauffer se transforme progressivement en disparition de logement abordable. L’objectif des verts serait-il de transformer les pauvres en SDF pour leur bilan carbone bien meilleur ?

Les verts chassent les voitures des pauvres des centres-ville

Pour diminuer la pollution des villes, les élus verts font une guerre sans merci aux automobilistes. Après avoir fermé les voies sur berge, limité la vitesse de circulation à 30 Kms/H et rétréci la plupart des boulevards à une seule voie de circulation automobile, ils créent les zones à faible émission qui excluent des villes les voitures des classes moyennes. Mais, la circulation à basse vitesse dans des embouteillages permanents fait que malgré la baisse des émissions de polluants la concentration d’ozone n’a pas diminué dans l’air de Paris.

Pour travailler, les classes moyennes, contraintes de se loger en banlieue doivent supporter des transports en commun peu fréquents, souvent en panne, bondés, chers où l’insécurité règne en particulier pour les femmes. Aujourd’hui, 25 % des agressions et 40 % des vols non violents commis en Île-de-France se déroulent dans les transports en commun et on estime que 6 % des Franciliens ont déjà été victimes de l’un ou de l’autre pendant un trajet4.

Les écologistes préfèrent les punaises de lit et les rats aux pauvres !

La mairie de Paris finance des études et des entreprises de communication pour faire accepter la cohabitation avec les rats présentés comme nos semblables prêts à nous embrasser (les fameux surmulots) !

À Strasbourg, la majorité municipale défend une « régulation douce, non létale de ces animaux » qu’elle refuse d’appeler nuisibles. Caroline Zorn, coprésidente du groupe Strasbourg écologiste précise « je trouve même plutôt ça enthousiasmant qu’on utilise ce mot liminaire ».

Le mythe écologique de la mobilité électrique non polluante

Une propagande intense et des subventions colossales prélevées sur nos impôts incitent à convertir les véhicules thermiques en véhicules électriques sous prétexte d’une moindre empreinte carbone et d’une moindre pollution. Mais les calculs des écologiques ne tiennent pas compte des coûts sociaux et environnementaux de l’extraction des métaux rares nécessaires pour les batteries, ni des problèmes de leur recyclage fortement émetteur de CO2, ni des dégâts de la fabrication de la voiture en Chine, ni des graves nuisances générées par des centrales électriques au charbon qui ont été réactivées pour satisfaire à la demande après l’interdiction du gaz naturel russe.

Dans les pays qui ont généralisé avant nous les voitures électriques, beaucoup d’entre elles sont abandonnées dans d’immenses cimetières comme en Chine5

et certaines compagnies de location américaines les boudent 6.

La diminution des émissions de carbone grâce à la motorisation électrique dépend essentiellement de la manière dont l’électricité est produite. En Pologne la part du charbon dans la production d’électricité a avoisiné 80% en 2021 rendant actuellement l’utilisation d’une voiture électrique plus polluante que celle d’une voiture thermique à l’inverse de ce qu’on observe en Suède ou en Finlande où la production d’électricité repose sur des énergies renouvelables. Donc, avant de se féliciter de rouler grâce à l’électricité, il est prudent de vérifier comment il est produit et si la production possible sera suffisante.

Les taxes sur l’énergie menacent l’existence de nombreuses professions

Sous l’impulsion de l’UE et des écologistes, les taxes sur les énergies ne cessent d’augmenter sous des prétextes divers (combler le déficit créé par le « quoiqu’il en coûte », diminuer la pollution, soutenir l’Ukraine en refusant le gaz naturel russe…). Le prix de revient d’un litre de diésel avoisine les 80 centimes, mais il est vendu 2 euros (150% de taxes !). En France le coût moyen de l’électricité nucléaire qui représente 70% de notre consommation est de 0,04950€ le kWh. Le prix du kWh TTC pour les particuliers de 0.2276 € en janvier passera à 0,2516€ en février 2024 soit 400% de plus que son prix de revient.

Cette explosion des coûts met en péril de nombreuses professions qui consomment beaucoup d’énergie (boulangers, verriers, chauffeurs, taxi, pêcheurs7, agriculteurs…) dont les clients ne peuvent assumer pareilles augmentations. Il faut d’urgence limiter les taxes pour ces professions exposées.

Le tsunami des normes écologistes de l’UE et les contrôles tuent l’agriculture

Les écologistes de l’UE créent chaque jour de nouvelles normes qui noient les agriculteurs sous des monceaux de paperasse et des contrôles incessants qui les détournent de leurs champs près de la moitié de leur temps de travail8.

Le 28 février 2023, le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau a déclaré que la France, engagée dans une trajectoire européenne de neutralité carbone à l’horizon 2050, compte baisser de 46 % les émissions agricoles nationales, mais en réalité c’est la disparition de l’agriculture française qu’il prépare.

L’UE impose aux agriculteurs 14 normes pour les haies et leur dit quand les tailler. En cas d’infraction elle les menace jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, sans compter des suppressions des aides de la PAC, soit beaucoup plus que de nombreux délits pourtant plus graves tels que les vols, les violences aggravées, le port d’armes, l’agression sexuelle…

La politique pro Ukraine de l’UE aggrave l’impact des mesures précédentes

La volonté de l’UE et des dirigeants français d’aider l’Ukraine a ouvert en grand le marché agricole à des produits (comme le poulet industriel ou le blé) qui ne suivent pas les normes de l’UE imposées à nos agriculteurs.

Et les milliards qui permettraient de soulager la misère de nos agriculteurs sont envoyés en Ukraine où ils alimentent une corruption endémique.

Ils veulent faire disparaître nos animaux familiers et ceux qui nous nourrissent

Les vaches dont « les rots menaceraient la planète » sont menacées par les directives européennes qui veulent en diminuer le nombre de près de 50% pour nous forcer à consommer le lait de Nouvelle-Zélande 9 et la viande d’Amérique du Sud 10. Cette directive a déjà été appliquée en Irlande et aux Pays-Bas suscitant des manifestations et la création d’un parti pro agricole qui a fait basculer la majorité gouvernementale aux dernières élections néerlandaises.

Les chiens11 et les chats sont accusés de constituer des « catastrophes » pour la biodiversité et le climat12 13. Ils rejetteraient l’équivalent carbone de plus de 13 millions de voitures. Le gouvernement écolo d’Australie a investi 7,6 millions de dollars australiens dans Elixer3, un robot tueur de chat guidé par intelligence artificielle14 pour lutter contre la prolifération des félins sauvages. Et 5 députés européens veulent instituer une taxe de 100 euros par chien, taxe déjà en vigueur (pour un moindre montant) à Gérone en Espagne.

Il est stupéfiant de constater que les écologistes découvrent les lois de la nature et en particulier que tous les animaux supérieurs sont des carnivores qui ne peuvent vivent qu’aux dépens des espèces plus petites et que les herbivores sont les prédateurs des espèces végétales qu’ils dévorent.

Ils veulent interdire aux chasseurs de chasser

Les chasseurs représentent pour les écologistes le diable15 qu’il faut interdire pour protéger la vie animale. Depuis lors, les sangliers ont été multipliés par 20; ils causent chaque année 20 000 à 30 000 accidents de la route16 et rôdent dans les villes françaises, se nourrissent dans les poubelles17 obligeant à des battues administratives qui se déroulent parfois mal18.

Si on se soumet à leur dictature, les verts nous interdiront de boire du café !

Selon les chiffres de l’institut Carbone 4, l’empreinte carbone par personne en France est de 2,35 tonnes : 920 kg pour la viande, 450 kg pour les boissons, 390 kg pour le lait et les fromages, 240 kg pour les fruits et légumes, 230 kg dans la catégorie « autres » et 120 kg pour le poisson.

Et parmi les boissons, le café dont l’impact en matière de gaz à effet de serre serait de 5 kg de CO2/kg de café. Les écologistes menacent donc notre boisson matinale et voudraient nous imposer à la place des tisanes locales.

Des objectifs UE écologiques très peu plausibles et qui ne servent à rien

Dans le monde la France ne participe que pour moins de 1% du rejet de CO2 très loin derrière la Chine (33%) et les USA (12,6%) et l’Inde (7%) qui ne diminuent pas leurs émissions même lorsqu’ils signent les accords du GIEC.

La majorité des pays émergents fait des promesses pour recevoir nos subventions climat, mais ils ne pourront pas les respecter sans risque de troubles sociaux graves, car sortir de l’extrême pauvreté leurs populations constitue un objectif prioritaire totalement contradictoire avec les mesures de réductions énergétiques que nous prenons.

L’objectif écologique de l’UE est d’obtenir une diminution des émissions de CO2 d’ « au moins 55 % d’ici à 2030 »19. Ce qui représente plus du double de la réduction annuelle moyenne réalisée entre 1990 et 202020. Il n’est donc guère crédible malgré les méthodes totalitaires employées.

De même, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie de l’Europe n’a, depuis 2005, augmenté que de 0,8 % par an; il faudrait tripler ce taux pour atteindre l’objectif prévu de 45% d’énergies renouvelables ce qui paraît irréalisable compte tenu de la désaffection croissante pour les éoliennes https://x.com/Georges73922577/status/1751143592612024343?s=20

et les panneaux solaires achetés en Chine.

Et même si l’UE y parvenait cela ne représenterait qu’une diminution de 0,5% du total mondial alors que les gros émetteurs continuent d’augmenter leurs émissions rendant cette minime réduction européenne totalement inopérante.

L’UE et les écologistes nous imposent des contraintes majeures qui pourrissent nos modes de vie, créent du chômage et de la misère sans le moindre espoir plausible d’obtenir la moindre diminution des rejets mondiaux de CO2  .

Rappelons à cette occasion que le rôle nocif du CO² est loin d’être démontré. Citons par exemple le député européen roumain :

Au Parlement européen, l’eurodéputé roumain Cristian Terheș dément complètement le canular du « réchauffement climatique provoqué par l’homme » :

« Le CO2 est un gaz qui représente actuellement 0,041 % de l’atmosphère totale. Malgré ce faible pourcentage, depuis des décennies, des campagnes sont menées pour faire croire que le CO2 produit par l’homme est la cause du changement climatique. » « Les solutions proposées pour lutter contre le changement climatique sont des impôts plus élevés et davantage de contrôle de l’État, ainsi que moins de droits et d’options pour les citoyens… Évidemment, l’objectif déclaré est de changer nos comportements, alors que la lutte contre le changement climatique n’est qu’un prétexte pour le faire. »
Source : https://www.youtube.com/watch?v=PIvw0_kPCw4

@wide_awake_news
 : https://t.me/realwideawakemedia

Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE et sortir de la servitude intellectuelle qui pourrit nos sociétés21





« S’il n’y a pas de démocratie, il n’y aura pas de Jeux Olympiques !!! »




« Les raisins de la colère »

Paysans levez-vous, vous êtes nos racines et notre dignité !

Trop c’est trop, les agriculteurs de toute l’Europe disent « stop » !

Je sais bien qu’ils vont nous « emmerder1 » pour aller au travail. Je sais bien, disons que j’espère, qu’ils vont bientôt nous priver d’essence et vider les rayons des supermarchés. Mais ce n’est pas de notre colère dont ils ont besoin, mais de notre soutien.

Oui nos fins de mois, et pour certains nos débuts, sont difficiles, mais que dire de ces forçats qui travaillent plus de 90 heures par semaine pour aucun salaire !

Je ne sais pas s’ils sont notre dernier espoir ou notre seul espoir, mais nous devons être à leur côté et les aider en fonction de nos maigres possibilités.

La genèse du crime

Le capitalisme, les théories comme celles de Riccardo2 et les avantages comparatifs prônent la spécialisation et l’économie d’échelle.

Il est évident que le boulanger qui va planter du blé, fabriquer son four, avoir sa propre forêt pour le bois, le récolter, faire de la farine, faire son propre levain, pétrir son pain, le faire cuire et puis le vendre va être moins productif que celui qui se contente d’acheter un mix industriel, ajouter de l’eau, pétrir, faire cuire le pain dans un four électrique et le vendre.

Dans un monde capitaliste, il est dit que l’on doit croître ou crever et dans notre monde ultralibéral c’est encore pire.

Alors quel est le mode opératoire le plus simple pour détruire un petit agriculteur ?

Développons d’abord le comment :

La méthode est assez simple.

  • Augmenter les coûts de production : Matières premières, carburant, eau, électricité, taxes, charges sociales, impôts, réglementations, etc.
  • Diminuer les prix de vente.
  • Diminuer les rendements par exemple en interdisant certains pesticides. Ce qui est une bonne chose sur le papier, mais une concurrence totalement déloyale dès lors que les produits importés n’ont pas ces contraintes.
  • Diminuer ou supprimer les droits de douane sur les produits importés.

Dans ces conditions l’agriculteur n’a d’autre choix que d’agrandir son exploitation pour parvenir à une économie d’échelle et accroître son chiffre d’affaires.

Le pourquoi :

Ici aussi c’est assez simple.

  • Diminuer le nombre d’exploitations et donc le nombre de travailleurs indépendants.
  • Augmenter les profits, attention pas pour les petits exploitants, mais uniquement les grandes fermes.
  • Détruire la biodiversité. « L’idéal » serait une seule espèce de pommes de terre transgéniques sur la Planète.
  • Détruire l’indépendance et l’autosuffisance du pays.
  • Détruire l’indépendance de l’agriculteur pour en faire un esclave.
  • Détruire la ruralité, les petits villages, bref ce qui fait un pays.

Esclaves d’un système

Si le salarié est un esclave qui ne peut ni démissionner ni revendiquer, la faute au chômage et aux crédits pour payer sa maison ou sa voiture, il doit en être de même de l’agriculteur.

Dans l’ancienne France, l’enfant qui venait au monde dans le monde rural avait un capital à sa naissance. C’était un propriétaire terrien « raciné » et l’employé avait souvent un petit jardin pour cultiver ses fruits et légumes. Les agriculteurs possédaient de la terre et donc un capital. C’est une des raisons pour lesquelles les maîtres du monde ont tout fait pour en diminuer le nombre.

L’ouvrier ne possède RIEN, ni terre, ni racines.

Ces terriens avec des parcelles à taille humaine vivaient de leur travail, jamais riches, mais jamais pauvres, et pouvaient transmettre. La production était locale et les clients l’étaient aussi, vente à la ferme, vente à la coopérative gérée uniquement par les producteurs, vente sur les marchés alentour.

C’est alors que s’est refermé le piège de l’économie d’échelle imposée par l’économie de marché.

Pour s’agrandir, augmenter sa production et baisser ses coûts, il faut :

  • Acheter des terrains.
  • Acheter du matériel (tracteurs, etc.).
  • Embaucher de la main-d’œuvre.
  • Écouler sa production.

Et oui, non seulement il va vous falloir vous endetter à coup de crédits, mais aussi trouver des acheteurs. Il n’est plus possible de vendre la totalité de sa récolte par les moyens traditionnels.

Vous allez donc devenir esclave, mais largement plus qu’un salarié.

Le salarié a durant la durée de son contrat la garantie que sa perte de liberté sera compensée par une somme d’argent.

Pour l’agriculteur il n’en est rien, son maître sera le géant industriel, le groupement d’achat d’un supermarché qui lui « achète » sa production.

Soit il accepte les conditions de son « propriétaire », soit il crève. De toutes les façons il n’a pas le choix, ne pouvant écouler lui-même sa production et devant couvrir ses dettes, il est totalement coincé.

S’il crève, s’il est ruiné, s’il se suicide « qu’est-ce qu’on en a à foutre », une exploitation achètera ses terres pour une poignée de pain pour s’agrandir encore et encore.

Le plus « drôle » est que l’ultra-capitalisme a fait des denrées alimentaires un marché boursier avec une offre et une demande. Vos tomates seront en concurrence directe avec le producteur de Bogota. C’est dire que vous ne pouvez même pas espérer écouler votre production en cherchant un nouvel acheteur qui vous prendra vos produits soit au cours du jour, soit à un prix moyen renégocié tous les ans afin de limiter la fluctuation de vos entrées d’argent. Vous êtes totalement COIN-CÉ.

Diversification ?

Cela me fait penser au buraliste qui ne pouvant plus vivre de la vente de cigarettes s’est mis à faire bureau de poste, jeux d’argents, journaux, point relais, vente de pain et sans doute bientôt mécanicien automobile ou couturier.

Voilà donc que ces fermiers se font avoir en mettant des éoliennes sur leur terrain ou en couvrant leurs hangars de panneaux photovoltaïques à coup de crédits. Sans compter ceux qui utilisent désormais leurs terres pour faire pousser du panneau solaire.

Nous avons aussi le gîte à la ferme. J’entends que certains agriculteurs peuvent avoir du plaisir à faire connaître leur mode de vie, mais ce n’est plus l’objet lorsque cela devient un moyen de survie.

Un fermier devrait pouvoir vivre décemment de sa production, point final !

Mourir ou mourir ?

Le choix est donc limité pour le propriétaire d’une petite parcelle, disons d’une parcelle à taille humaine :

  • il crève du fait de l’augmentation des coûts de production qu’il ne peut pas répercuter, car il est en concurrence avec les produits importés de pays avec peu de normes et à la main-d’œuvre bon marché ou de l’entente entre les différents acteurs de la filière ;

ou

  • il crève parce qu’il fait le pari de l’endettement et de la vente de sa production à un esclavagiste. Esclavagiste qui le pressera jusqu’à la dernière goutte.

Les données sont impitoyables :

IA :

« En 1960, la France comptait 7,1 millions d’agriculteurs, soit 20 % de la population active. En 2020, ce nombre est tombé à 400 000, soit moins de 2 % de la population active. En 1960, la surface moyenne d’une exploitation agricole était de 15 hectares. En 2022, elle est de 100 hectares. »

Je ne connais pas d’exemples dans lequel celui qui produit s’enrichit. C’est comme le chercheur d’or à qui l’on achète ses pépites 100 fois moins cher et à qui l’on vend l’eau, la nourriture et les pelles une fortune.

Si la situation est telle qu’elle est, cela ne relève pas du hasard, mais d’une volonté de destruction.

IA :

« En 1960, la France était un exportateur net de produits alimentaires. Les exportations de produits alimentaires représentaient 10 % du PIB, tandis que les importations représentaient 5 % du PIB. Le solde de la balance commerciale des produits alimentaires était donc positif, à hauteur de 5 milliards de francs.

En 2022, la France est devenue un importateur net de produits alimentaires. Les exportations de produits alimentaires représentent désormais 7 % du PIB, tandis que les importations représentent 12 % du PIB. »

C’est simple, 5 % de PIB d’exportation nette en 1960 et l’inverse en 2022, 5 % de PIB d’importation nette. Et ils voudraient intégrer l’Ukraine à l’UE avec son blé 2 fois moins cher issu d’une agriculture intensive bourrée de pesticides ? Sans compter que 30 % des terres agricoles en Ukraine seraient dans les mains d’investisseurs étrangers versus 1 % en France.

L’argument dit « écologique »

Ne croyez pas que les vendus à Bruxelles aux ordres des maîtres du monde amateurs de Grand Reset vont nous dire que leurs lois ont pour but de détruire l’économie, nous appauvrir, supprimer toute indépendance, détruire nos racines et nous réduire en esclavage.

C’est ici que l’invention du prétendu réchauffement climatique causé par l’homme prend toute sa dimension.

Mais là n’est pas l’objet de ce texte donc :

  • Supposons qu’il y ait un réchauffement climatique sur l’ensemble du globe.
  • Supposons qu’il soit amené à durer.
  • Supposons qu’il soit mauvais pour la planète et ses habitants.
  • Supposons qu’il soit dû à l’activité humaine.
  • Supposons qu’il soit dû à l’augmentation du CO2, 0,04 % de l’atmosphère3, sachant que moins de 5 % des émissions de CO2 sont d’origine humaine.
  • Supposons que l’Europe et la France puissent apporter leur pierre à l’édifice (les émissions de CO2 en Europe baissent de quelques pour cent tandis qu’elles augmentent dans le reste du monde et explosent en Asie).

Vous voyez je suis bon prince.

Enfin imaginez l’hypothèse que vous êtes décideur au niveau de l’UE et que vous n’êtes ni totalement stupide, ni totalement corrompu. Je m’excuse auprès de mes fidèles lecteurs qui ne peuvent que rire en lisant ceci, mais « même pas peur ! ».

Que pensez-vous qu’il advienne si vous imposez des règles « environnementales » visant à réduire les émissions de CO2 de la production agricole de l’UE ?

À moins que vous n’imaginiez que nous allons diminuer notre consommation de nourriture, à moins de vouloir nous éliminer, autre hypothèse complotiste, cela ne va en rien réduire la consommation de produits agricoles.

Il ne faut donc pas être un génie pour savoir que cela va augmenter les coûts de production et donc favoriser les produits importés non soumis à ces contraintes et de plus, sans droits de douane.

D’un point de vue « climatique », qui pourrait imaginer qu’un kilogramme de tomates provenant de Chine, cultivées en n’ayant rien à foutre de l’écologie et devant voyager des milliers de kilomètres en bateau, ou mieux en avion, pourraient avoir une emprunte carbone moindre qu’une production française ?

Seul un écolo bobo parisien nourri au lait de Sandrine Rousseau pourrait gober un truc aussi illogique.

De fait les mesures dites « écologiques » (et les autres) imposées aux agriculteurs pour « réduire les émissions de CO2 » n’ont qu’un seul objectif, les tuer, ce qui fonctionne parfaitement.

L’escroquerie des aides :

Les gouvernements mettent en place des « aides » pour compenser les pertes des agriculteurs.

Il est pour le moins « merveilleux » de constater que des fermiers sont payés pour ne pas produire, laisser en jachère, alors même que notre balance agricole est déficitaire.

L’excuse du soutien du prix a peu de sens lorsque l’on sait que les cours des produits agricoles sont mondiaux.

Dans la réalité les États n’offrent pas la moindre aide. C’est uniquement des vases communicants (via les impôts et les taxes) qui passent d’une main à une autre. Au final cette « aide » se traduit par une perte de pouvoir d’achat des ménages qui sont encore plus ponctionnés.

Nous avons vécu un exemple frappant de la pourriture de ce système avec « l’aide à la pompe » dont ont « bénéficié » les Français pendant quelques mois.

En premier lieu, je voudrais rappeler que le prix à la pompe devrait être autour de 50 centimes le litre sans les taxes et les marges délirantes des producteurs et importateurs.

Le principe de l’escroquerie de « l’aide » était simple :

  • Le cours du pétrole augmente artificiellement du fait d’annonces d’embargos contre la Russie.
  • Le coût de production ainsi que les réserves disponibles demeurent les mêmes. L’Europe achète du pétrole russe via l’Inde et l’Arabie Saoudite.
  • Total le producteur, pour ne citer que lui, augmente donc le prix de vente de son pétrole brut et augmente donc quoi ? Ses marges !
  • Total le raffineur achète le pétrole plus cher à Total le producteur, le carburant raffiné est donc plus « cher » à produire.
  • Total le distributeur répercute l’augmentation sur le prix hors taxes (à ce stade ce n’est que de la marge supplémentaire pour Total).
  • Le gouvernement encaisse plus de taxes étant donné qu’une partie des taxes est fixe et l’autre est un pourcentage du prix HT, qui lui même a augmenté.

Dans un monde juste nous dirions à Total et à tous les profiteurs :

« Allez vous faire foutre, vous ne profiterez pas de la guerre en Ukraine pour augmenter encore plus vos marges sur le dos des ménages français ».

Mais là « que nenni » (en fait ce n’est pas tout à fait vrai Total s’est engagé à ne pas vendre le carburant à plus de 2 euros, ce qui a fait dire « bravo Total » alors même qu’il se contentait de limiter l’augmentation honteuse de sa marge).

Dans sa grande « générosité », le gouvernement décide de mettre en place ce qu’il appelle une « remise », c’est-à-dire une diminution de quelques centimes sur les taxes dont une grande partie est compensée par l’augmentation du prix HT et donc par l’augmentation du montant des taxes perçues par le gouvernement.

Résultat des courses, l’industriel a pu s’en mettre plein les poches et la « ristourne » a été financée par les impôts, les taxes et la dette, bref par l’ensemble des Français.

Mais comme Total n’en est pas à une escroquerie légale prêt, il va vous dire qu’il ne fait que quelques centimes de bénéfices par litre. Prix de vente du pétrole brut + prix du raffinage + prix transport + quelques centimes = prix de vente HT pour le client. Oubliant d’inclure la marge délirante engrangée pour la production de pétrole brut, la marge du raffinage et la marge du transport.

Ce pas une aide, mais du blanchiment d’augmentation de la marge de l’industriel.

Il en est de même pour les agriculteurs, toutes les aides sont financées par la solidarité nationale et permettent de ne pas toucher à la marge des différents acteurs de la filière !

Accepter de payer sa nourriture plus cher ?!

C’est la phrase que nous entendons régulièrement et les débats sans fin sur les médias mainstream.

Cette tromperie a un triple objet :

  • Vous désolidariser des paysans parce que vous avez déjà du mal à payer votre nourriture du fait de l’inflation artificielle (en réalité l’augmentation des marges).
  • Vous culpabiliser, « c’est de votre faute s’ils crèvent », car vous refusez de payer la nourriture à son « juste prix » imaginaire.
  • Vous détourner des vrais coupables que sont les industriels et les intermédiaires avec la complicité des politiques.

Il faut savoir que de nos jours les prix de vente sont totalement déconnectés du coût de production.

Regardez le prix de l’électricité qui a augmenté en France de plus de 40 % en un an, il me semble, alors même que les coûts de production n’ont pas ou peu bougé.

On nous fait croire que les agriculteurs pourraient enfin vivre dignement si leurs produits étaient achetés en fonction de leur prix de revient. C’est totalement ridicule pour 2 raisons :

  • Si vous augmentez les prix d’achat alors cela va augmenter les prix de vente et les produits ne se vendront plus du tout ou moins bien avec un report sur les produits d’importation.
  • Si les produits se vendent encore alors cela aura un effet inflationniste4 sur les matières et les salaires qui fait que le prix des matières premières et les charges de l’agriculteur vont augmenter. Il devra donc encore augmenter ses prix de vente, bref un cercle infernal sans fin.

Est-ce que les agriculteurs ont bénéficié de l’inflation depuis le début de la guerre de l’OTAN contre la Russie, bien sûr que non !

Dans les faits l’augmentation des prix ne bénéficie pas ou peu aux producteurs, mais aux vendeurs et intermédiaires. Les industriels, les distributeurs, les supermarchés ont augmenté le montant de leurs bénéfices quand bien même le pourcentage de leur marge restait identique.

Exemple : J’achète des poires au producteur à 1 euro le kilo, je fais une marge de 40 %, soit 40 centimes par kilo, je les vends 1,40 euro le kilo.

J’augmente de 10 % mon producteur qui vendra ses poires à 1,10 euro le kilo, je garde une marge de 40 %, soit 44 centimes et je vends le kilo à 1,54 €. L’agriculteur a gagné 10 centimes de plus par kilo et j’ai dépensé 14 centimes de plus pour mon kilo de poires en faisant mes courses. Et encore je suis dans la version bisounours de l’histoire, car des intermédiaires, grossistes et vendeurs en ont profité pour augmenter leur marge et faire passer cela sur le dos de l’augmentation des prix et de la guerre. Vive l’ultralibéralisme !

La solution ne passe pas par une augmentation des prix pour le consommateur

La méthode n’est pas uniquement d’augmenter le prix de vente des agriculteurs, mais de diminuer les marges honteuses des intermédiaires.

Si vous augmentez le prix des poires payées au producteur de 12 % et que vous diminuez la marge de l’ensemble des intermédiaires de 15 % alors le prix de vente au consommateur sera exactement le même !

Vous pourriez me dire, mais c’est dégueulasse, les intermédiaires et le vendeur n’auraient plus que 25 % de marge au lieu de 40 %.

(Petite précision vous entendrez ici et là que la marge de la grande distribution est de 1 à 2 %. Entendez par là que c’est ce qu’il leur reste en ayant couvert toutes les dépenses, achats, salaires, loyers, amortissements, etc. IA : « Le groupe Carrefour a dégagé un bénéfice net de 1,35 milliard d’euros en 2022, en hausse. Le chiffre d’affaires du groupe a lui augmenté de 8,5 %, à 90 milliards d’euros. En pourcentage du chiffre d’affaires, le bénéfice net du groupe Carrefour s’est donc établi à 1,5 % en 2022, contre 1,2 % en 2021 ». Ceci pour dire qu’il ne faut pas confondre la marge brute faite sur un kilogramme de poires avec le bénéfice.)

Imaginons que le prix de un euro le kg du départ couvre les coûts du paysan (version optimiste) comme si c’était un prix d’achat, bref qu’il margeait à zéro et ne gagnait RIEN. Dans ce cas de figure, les 12 % d’augmentation seraient de la marge permettant de dégager un revenu pour l’agriculteur.

Et vous trouveriez « juste » que les intermédiaires qui n’ajoutent strictement aucune valeur au produit, aucune transformation, touchent plus de 25 % de marge tandis que le producteur n’en aurait que 12 % ?

Si nous basculions dans un monde plus juste, 18 % de marge pour le producteur, 18 % de marge pour les intermédiaires, nous nous retrouverions à un kilogramme de poires au détail de 1,39 € pour le consommateur, soit 1 centime de moins pour celui-ci et 18 centimes de plus pour le producteur !

Ce n’est donc pas en donnant des « aides » aux agriculteurs ou à qui que ce soit que l’on va augmenter leur pouvoir d’achat, mais en limitant la marge des escrocs intermédiaires !

Les mêmes règles pour tout le monde

Ce n’est évidemment pas l’avis du premier cercle, mais si nous voulons participer à un Monopoly mondial les règles doivent être les mêmes pour tout le monde.

  • Si le pesticide X est interdit en France alors il est interdit d’importer un produit d’un pays qui a le droit de l’utiliser.
  • Si la main-d’œuvre dans le pays d’importation est le fruit du travail d’enfants ou d’esclaves alors les droits de douane doivent compenser cette partie-là. Il suffirait de définir un salaire minima de seuil de dignité selon le coût de la vie dans le pays d’origine et de taxer la différence. Exemple, salaire pratiqué dans le pays 3 euros de l’heure, seuil de dignité 5 euros de l’heure, droits de douane 15 % (c’est pour l’exemple, il faudrait faire des calculs).

Au lieu de niveler par le bas qui est la règle d’or de l’ultralibéralisme qui convertit nos économies occidentales en économies du tiers monde, cela inciterait les pays en question à augmenter le niveau de vie de leurs ressortissants étant donné qu’ils ne gagneraient rien à les exploiter du fait des droits de douane.

(Je vous rappelle que le coût de la main-d’œuvre sur un iPhone est indécent.

IA :

«  le coût de la main-d’œuvre représente environ 13,60 dollars sur le prix de vente d’un iPhone 14 Pro Max, qui est de 1 099 dollars aux États-Unis. Il n’est pas dit que la fabrication aux États-Unis coûterait plus cher à Apple. En effet, si la fabrication aux États-Unis permet à Apple de booster ses ventes, cela pourrait compenser l’augmentation des coûts de production. En outre, la fabrication aux États-Unis créerait de l’emploi aux États-Unis. Cela pourrait être bénéfique pour l’économie américaine, car cela créerait des revenus et des taxes. Enfin, la fabrication aux États-Unis pourrait être bonne pour le commerce extérieur américain. En effet, cela permettrait à Apple de réduire sa dépendance à la Chine, qui est un pays important pour le commerce extérieur américain. »)

Ici encore je pourrais entendre que les consommateurs seraient les grands perdants et devraient payer plus cher ! Mais non, c’est un mythe répandu par les industriels et les politiques corrompus, c’est toujours une question de marge, d’offre et de demande. Si des producteurs brésiliens veulent vendre leurs tomates en Europe, ils n’auront qu’à diminuer leurs marges. Notons qu’ils ne pourront pas baisser encore plus le prix d’achat auprès du producteur local, car cela entraînerait automatiquement une augmentation des droits de douane.

Mythe : On a besoin des agriculteurs !

Oui on en a besoin pour sauvegarder notre civilisation, notre terroir, notre diversité, le bien vivre, le bien manger, bref pour sauvegarder la France, mais pour les mondialistes ils ne servent plus à rien.

L’industrialisation et la robotisation de la production font que les agriculteurs [mais aussi bientôt tous les autres humains] ne servent plus à rien.

Il est désormais possible de produire de la merde industrielle pour des milliards d’individus sans agriculteur et même sans terre [avec le hors sol]. Quand vous dites que l’on en a besoin, vous ne raisonnez pas en pourriture ultralibérale sans conscience.

Si demain il n’y avait plus un seul agriculteur en France, cela n’empêcherait pas d’avoir les rayons des supermarchés garnis.

La faute à qui ?

À mince, j’ai encore écrit « qui », mille excuses !

C’est toujours la même histoire, en premier lieu les coupables sont tous les politiques français qui ont vendu, pardon, bradé la France. Tous ces destructeurs coupables de haute trahison ont abandonné la France et ses valeurs, pensez au scandale de la vente d’Alstom et de sa perte de souveraineté énergétique.

Ensuite il y a bien entendu l’Europe. Mais l’Europe ce n’est pas une personne morale ou juste une Hyène qui la dirige. Si ce monstre sans conscience a ce pouvoir, c’est bien qu’on le lui a donné. S’il y a bien haute trahison par les politiques de chacun des États membres il y a bien sûr haute trahison des instances européennes et de ses représentants comme les députés européens. Ces personnes ne sont pas élues pour tuer le peuple et ses intérêts, mais pour le représenter.

Un dictateur ne prend pas le pouvoir, on le lui donne.

Ceci tout en n’oubliant pas que ces traîtres européens ne sont que les pions des traîtres mondialistes dont l’objet n’est pas l’établissement d’une démocratie, mais d’une dictature mondiale qui enlève toute souveraineté aux différents pays. L’Europe en est une illustration parfaite, les élus et gouvernements français n’étant plus que des pantins, des administrateurs chargés d’appliquer les politiques européennes.

Si vous continuez à voter pour tel ou tel en France dont le programme ne serait pas le Frexit, vous vous bercez d’illusions. Rien de ce qu’il promettra ne pourra être fait sans l’accord de Bruxelles aussi bien d’un point de vue économique que sociétal.

Dindons de la farce ?

La question est de savoir si les agriculteurs qui manifestent dans toute l’Europe vont être naïfs et stupides au point de croire les gouvernants et les responsables syndicaux [vendus au pouvoir].

Vont-ils une fois de plus être stupides pour penser que les miettes d’aides que l’on va leur promettre leur permettront de vivre dans la dignité et dans la durée alors même qu’ils n’auront qu’un statut de mendiant ?

Vont-ils être naïfs au point de croire que les dirigeants européens vont mettre en place un protectionnisme de bon sens alors qu’ils font l’inverse depuis des dizaines d’années ?

Vont-ils croire que soudainement l’objectif ne sera plus leur mort, mais leur renaissance ?

Les chiffres font mal, 20 % de la population active en 1960, 1,8 % en 2020.

L’agriculteur sera bientôt un souvenir, on ira en voir quelques-uns en vacances comme on va au zoo pour voir une espèce en voie de disparition.

Avenir ?

Que l’on arrête de me répéter que ces agriculteurs ne sont que des pions manipulés, que l’on arrête de me dire qu’ils vont se faire massacrer par des polices fascistes sur ordre du dictateur. Que les oiseaux de mauvais augure me fassent une proposition concrète autre que « c’est foutu ».

Je ne suis pas pour autant né de la dernière pluie.

Il est étrange de constater que le gouvernement les laisse faire ce qu’ils veulent, les forces de l’ordre semblent plus à leur côté que l’inverse. Ils peuvent bloquer des axes routiers, déverser du fumier, brûler des biens publics, détruire totalement le macadam d’un supermarché, piller et détruire de la nourriture importée, et ce sans le moindre problème. D’autant plus étrange si l’on pense à la violence subie par les gilets jaunes pour autant pacifiques. Je ne saurais trouver d’explications convaincantes à cet instant. La répression sera-t-elle proportionnelle au laxisme apparent des autorités ? Est-ce une mise en scène dans laquelle les agriculteurs sont manipulés ?

Quoiqu’il en soit, la souffrance de la base est une réalité et je prie pour qu’ils se trouvent à ce point au bout du rouleau, au bord de la faillite ou du suicide pour qu’ils ne tombent pas dans le piège que va leur tendre le gouvernement avec la complicité active de la FNSEA.

Qu’ils exigent le droit à leur dignité, non pas le droit d’être riche comme les pourritures qui nous gouvernent, mais juste vivre honnêtement et modestement de leur travail.

Je prie pour qu’ils ne se prostituent pas pour des miettes, je prie pour que tous les Européens trompés relèvent la tête pour dire « moi aussi j’ai droit à la dignité, moi aussi j’ai droit de vivre de mon travail » et je serais avec eux pour les soutenir.

Agriculteurs unissez-vous :

  • Relevez la tête !
  • Bloquez tout jusqu’à obtenir votre dû et votre dignité !
  • Donnez vos invendus ou les marchandises confisquées sans les détruire !
  • Arrêtez de payer les intérêts de vos crédits qui s’apparentent à de l’abus de confiance et de l’abus de faiblesse !
  • Unissez-vous et appelez les autres professions comme les pécheurs, les transporteurs, etc. à vous rejoindre !
  • N’oubliez jamais où se trouvent les responsables et que vous devez faire tomber les lois européennes qui vous, qui nous, détruisent.

Je veux croire en ce mouvement paysan, je veux croire à cet appel de la terre, à cette révolte de nos racines, à ce cri de notre mère nourricière5.

Ces pourritures ne sont rien. Nous sommes le peuple, nous sommes la force si nous nous levons pour dire « STOP nous avons droit à la dignité ».

Merci

Alain Tortosa6
26 janvier 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240126-agriculteurs-sauvez-nous.pdf


1 Vocabulaire emprunté au Président Macron.

2 « 7 milliards d’esclaves et demain ? » https://7milliards.fr

3 https://7milliards.fr/tortosa20230713-rechauffement-climatique-nuls.pdf

4 Tous ceux qui utilisent les produits agricoles devront augmenter leurs prix de vente. Certains salariés arriveront à avoir une augmentation de salaire pour compenser l’inflation. Le coût du travail va augmenter du fait de l’augmentation des salaires. Il peut même y avoir une incidence sur le chômage du fait de l’augmentation du coût du travail, mais aussi de la baisse de consommation liée à la perte de pouvoir d’achat et donc une augmentation des charges qui pèsent sur le travail. Sans compter une augmentation des produits importés du fait de l’augmentation des prix des produits locaux, etc., etc.

5 Comme j’étais en paix en regardant le convoi de la liberté au Canada

6 « Stop état urgence » https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o
« Docus qui dérangent » https://t.me/+Vb2slUv5Lk9hZmZk
« On a marché sur le Nevada » https://t.me/+DeE9Htev6K8yMzM0
7 milliards d’esclaves et demain ? Https://7milliards.fr




« Le manque de vision et de volonté politique de Poutine pourrait conduire à la Troisième Guerre mondiale. »

[Source : telegra.ph]

Paul Craig Roberts : « Le manque de vision et de volonté politique de Poutine pourrait conduire à la Troisième Guerre mondiale. »

Par Iurie Rosca

Enfin, l’article signé par le célèbre auteur américain Paul Craig Roberts « WILL WAR RESULT FROM THE EVER HESITANT PUTIN? », publié le 22 janvier de cette année, rompt le schéma de la fausse dichotomie, du conflit entre les deux récits dominants, qui accompagne les controverses entre la Russie et l’Occident.1

Alors que les centres de propagande occidentaux diabolisent Poutine, les médias alternatifs, qui s’opposent à l’hégémonie américaine, le déifient. Ces derniers le font soit par naïveté et par manque de compréhension de l’organisation et du fonctionnement du pouvoir politique en Russie, soit par intérêt pécuniaire, préférant être des presstitués du Kremlin avec un masque de respectabilité antimondialiste.

L’analyse de Paul Craig Roberts brise les clichés de la propagande décrits ci-dessus, en montrant ce qui est évident pour tout observateur lucide et honnête. Malgré l’image de dictateur et de personne déterminée qu’on lui prête, Poutine se présente comme un homme hésitant, timide et surtout obsédé par le besoin de retrouver la reconnaissance des « partenaires occidentaux ». Ce syndrome est facile à comprendre si l’on se concentre sur les origines idéologiques ou intellectuelles du « poutinisme ». Cette vision est éclectique et représente un mélange de soviétisme tardif et de libéralisme occidental.

Les deux visages du Janus moscovite : le soviétisme et l’esprit marchand

Son refus de procéder à une décommunisation claire et sans équivoque en condamnant le coup d’État de 1917, en glorifiant Staline, en conservant le mausolée de Lénine et les noms communistes des régions, des villes, des rues et des places publiques comme de précieuses reliques religieuses, en entretenant les monuments de Lénine et ceux des autres criminels bolcheviques, ainsi que des « fondateurs du marxisme », montre sans l’ombre d’un doute que le régime de Poutine est l’otage de la mentalité communiste en tant que maladie chronique de la société russe.

Le second visage de ce dieu russe à deux visages, nouveau Janus, est un visage libéral-capitaliste par excellence. Ou, plus précisément, il appartient à l’injection idéologique libérale qui a empoisonné la société russe à la chute de l’URSS. Les nouvelles élites issues des éléments de l’ancienne nomenklatura communiste et du KGB étaient et sont guidées par la soif d’enrichissement personnel par l’abus de pouvoir. La mentalité mercantile a profondément pénétré la classe dirigeante russe, chaque dignitaire de l’administration Poutine étant hyper-riche grâce à la complicité des oligarques qui s’emparent de toutes les ressources naturelles de la Russie à des fins de profit personnel.

Dans ce cas, nous devrions garder à l’esprit la vérité biblique qui dit :

« Nul ne peut servir deux maîtres. Ou bien vous haïrez l’un et vous aimerez l’autre, ou bien vous serez attachés à l’un et vous mépriserez l’autre. On ne peut servir à la fois Dieu et l’argent ».

(Matthieu 6:24).

Appliquée à l’administration Poutine, la définition de Werner Sombart de deux types de personnages et de civilisations — « Les marchands et les héros » — suggère sans équivoque son profil de marchand. Il semble que dans les nouvelles conditions géopolitiques, la conception du dualisme géopolitique de la tellurocratie et de la thalassocratie prouve que la puissance maritime, la civilisation commerciale anglo-saxonne, a définitivement colonisé la classe dirigeante en Russie. Et la conceptualisation de la puissance terrestre, attribuée à la Russie d’aujourd’hui, ne fait partie que des clichés de la propagande des serviteurs du Kremlin.

Cela explique le caractère hésitant, le manque de détermination et de cohérence de la politique officielle russe sous le mandat de Poutine. Par ailleurs, comme en Occident, la même transformation majeure qui a caractérisé l’essor du capitalisme s’est produite en Russie. En effet, le facteur économique a subordonné le facteur politique ou, en d’autres termes, les grandes entreprises ont subordonné l’administration de l’État. Toutefois, dans les conditions actuelles, le mythe de la toute-puissance de Poutine profite à la fois à la propagande occidentale et à celle de Moscou.

Le caractère oscillant et la sensibilité à diverses influences qui rendent les intérêts de la Russie vulnérables apparaissent également dans le cas du génocide et des crimes systématiques commis par l’entité sioniste officiellement appelée Israël.2 Ce manque de cohérence a provoqué des inquiétudes naturelles et des réactions de perplexité dans le monde islamique, la question clé étant de savoir dans quelle mesure la Russie peut être un partenaire stratégique dans la résistance à Israël et à son vassal, les États-Unis.

La multipolarité comme réalité souhaitable

L’auteur cité ci-dessus a raison lorsqu’il suggère que la multipolarité n’est absolument pas pertinente « tant qu’elle ne possède pas une solide composante militaire ». Paul Craig Roberts affirme que « le monde multipolaire dont Poutine parle sans cesse ne peut se matérialiser sans un traité de défense mutuelle entre la Russie, la Chine et l’Iran ». Et il a tout à fait raison. C’est juste que la Chine ne semble pas avoir d’intérêt à accepter un tel traité, préférant profiter simultanément des énormes avantages offerts par les marchés américain et européen pour ses marchandises et de la pression exercée sur les ressources naturelles de la Russie. Au contraire, l’Iran, comme toute une série d’autres pays musulmans, signerait sans hésiter des accords politico-militaires avec la Russie pour résister à l’agression de l’axe Londres-Washington-Jérusalem.

D’ailleurs, parmi ceux qui souhaiteraient signer d’urgence de tels pactes d’assistance militaire mutuelle avec la Russie, on pourrait trouver toute une série d’autres États africains, le Venezuela, la Corée du Nord, etc. Mais, de toute évidence, pour un tournant géopolitique aussi spectaculaire, il ne manque qu’un seul élément : la volonté politique de Moscou.

Il est opportun de mentionner ici que pour représenter une force redoutable face à l’hégémonie occidentale, les BRICS ne peuvent se limiter au commerce et à la noble intention de dédollarisation. Pour surmonter la posture d’une structure amorphe et représenter un pôle de pouvoir géopolitique réel, les BRICS ont un besoin vital d’une composante militaire solide. Sinon, il serait naïf de croire que le système impérialiste américain attendra impassiblement son propre effondrement sans procéder à une attaque préventive. La guerre économique que les BRICS ont proposée contre l’impérialisme israélo-américain ne peut être gagnée sans s’appuyer sur une alliance militaire forte.

Le conflit avec l’Ukraine : Jeu d’influence, puérilité ou lâcheté ?

Dans son article, Roberts décrit avec la plus grande précision la même approche hésitante et faible de Poutine à l’égard du conflit militaire en Ukraine. Nous pourrions ajouter à ce que dit l’auteur que, jusqu’à présent, personne ne peut donner une explication crédible, et en particulier une explication qui honorerait la position officielle de Moscou, sur la raison pour laquelle, après le coup d’État à Kiev en 2014, il a d’abord été déclaré un régime illégal installé par la violence et une usurpation du pouvoir d’État, après quoi ils ont eu recours à la reconnaissance du régime de Poposhenko. Une autre chose étrange en 2014 a été l’accord de la Crimée pour rejoindre la Russie, tout en abandonnant le Donbass — bien que des référendums sur l’adhésion à la Russie aient été organisés tant dans la péninsule que dans les républiques autoproclamées de Donetsk et de Louhansk.

Les huit années de bombardements méthodiques et d’assassinats de masse par le régime de Kiev de la population pacifique du Donbass n’ont été possibles que parce que Poutine n’a pas eu le courage ou peut-être la liberté d’action d’empêcher ce massacre de Russes. Et après deux ans de guerre en Ukraine, les habitants de la ville de Donetsk continuent d’être tués en masse par les bombardements réguliers de l’armée ukrainienne.3 Comment expliquer un tel état de fait ? C’est une question importante, car ce n’est qu’en anathématisant le régime criminel de Kiev que l’on pourra mettre fin à ce massacre. Ce qu’il faut, ce ne sont pas des paroles de compassion pour les victimes et les détracteurs de Zelensky, mais des actions concrètes. Mais celles-ci sont retardées pour des raisons de plus en plus suspectes.

Après une étrange pause de 8 ans, le moment de l’intervention russe, le 24 février 2022, reste tout aussi inexplicable. Cela ne signifie pas que l’« Occident collectif » ne mène pas une guerre par procuration contre la Russie, en faisant de l’Ukraine un objet de manipulation géopolitique. La question est différente.

Pourquoi l’offensive extrêmement rapide et réussie de l’armée russe, qui a atteint les portes de Kiev en trois jours, s’est-elle transformée en un échec catastrophique ? Pourquoi le retrait a-t-il été ordonné ? Pourquoi des régions entières comme Kiev, Sumy, Chernigov, Kharkov et Kherson ont-elles été abandonnées ? Et qui est responsable des dizaines de milliers de civils russes dans ces territoires, qui ont soutenu l’offensive russe et qui ont été torturés et assassinés par les criminels des unités militaires ukrainiennes ?

Deux mots magiques, une guerre éclair et une série d’échecs

Et maintenant, demandons-nous ce que signifient les deux mots magiques utilisés par Poutine pour expliquer les objectifs de l’intervention militaire en Ukraine. Il s’agit des fameux mots « démilitarisation » et « dénazification ». Au départ, tant les partisans de la Russie que ses opposants pensaient qu’il s’agissait de la libération/occupation totale de l’Ukraine par l’armée russe, du démantèlement complet des forces armées ukrainiennes, de la suppression du pouvoir politique et de l’imposition de conditions de reddition. Il était normal de s’attendre à une telle chose, car la « démilitarisation » aurait supposé l’abolition totale de l’armée ukrainienne, et la « dénazification » aurait signifié la responsabilisation de ceux que la propagande du Kremlin appelle les « nazis ». En fait, ils ne peuvent être qualifiés de nazis que dans la mesure où le sionisme est assimilé au nazisme. Mais l’administration Poutine est trop fortement influencée par des éléments sionistes pour pouvoir se permettre un tel degré de liberté d’expression.

Ainsi, au lieu d’une guerre éclair, nous assistons depuis deux ans au retrait des forces armées russes, à des offensives limitées accompagnées de pertes humaines astronomiques sans aucune justification stratégique, à des échanges de prisonniers dans des conditions inéquitables et, surtout, à des appels à la négociation et à la signature d’un armistice. La série de négociations entamée dès le troisième jour de l’intervention militaire russe montre l’absurdité de toute cette aventure militaire. Votre armée arrive donc près de Kiev, et vous n’imposez pas les conditions de la capitulation en position de force, mais vous ordonnez la retraite de vos forces et vous vous asseyez à la table des négociations dans une position infiniment plus vulnérable.

Une guerre limitée, appelée par euphémisme OMS4 et un ennemi intouchable

Un épisode extrêmement éloquent qui montre comment le caractère de Poutine est lié à la promesse qu’il a faite à l’ancien Premier ministre israélien Naftali Bennett de ne pas causer de tort à la marionnette d’Israël à Kiev, le sioniste Volodymyr Zelensky. Le 5 février 2023, NBS News a titré ce fragment de l’interview donnée par Naftali comme suit : « L’ancien Premier ministre israélien Naftali Bennett affirme que Poutine a promis de ne pas tuer Zelensky ».5 Aussi étrange que cela puisse paraître, après la publication de ces affirmations dans la presse internationale, les responsables de Moscou ne se sont pas empressés de les démentir. Quelle est donc la logique de cette guerre ? Une partie beaucoup plus forte militairement ne veut-elle pas vaincre son ennemi et remporter une victoire totale et incontestable ? Si ce n’est pas le cas, pourquoi ? Nous pouvons supposer un certain nombre de facteurs : la lâcheté de Poutine et l’influence de la « cinquième colonne ». Le reste n’est que propagande et manipulation.

Naftali Bennett et Poutine

Ne citons que les cycles les plus célèbres de négociations stériles entre les délégations russe et ukrainienne. Le premier round a eu lieu le 28 février 2022 en Biélorussie. Un deuxième et un troisième cycle de négociations ont eu lieu les 3 et 7 mars 2022, à la frontière entre la Biélorussie et l’Ukraine, dans un lieu non divulgué de la région de Gomel, en Biélorussie. Une quatrième et une cinquième série de pourparlers ont eu lieu respectivement les 10 et 29 mars 2022 en Turquie. Par ailleurs, le Kremlin répète comme un mantra sa volonté de s’asseoir à la table des négociations pour la paix avec Kiev. Mais dans les conditions actuelles, où aucune des deux parties n’est ni victorieuse ni vaincue, il est difficile d’imaginer une paix durable.

Sans parler des accords de Minsk signés le 5 septembre 2014 et le 12 février 2015, qui représentent des échecs flagrants et honteux de la diplomatie russe. Ce sont précisément ces manœuvres des ennemis de la Russie qui ont permis à l’Occident collectif de transformer pendant huit ans l’armée ukrainienne quasi inexistante en une force militaire redoutable. Poutine a ensuite admis qu’il avait été trompé par ses « partenaires occidentaux ». Mais quelqu’un au Kremlin a-t-il entendu parler de Sun Tzu ? Dans son célèbre ouvrage « L’art de la guerre », il affirme que « toute guerre repose sur la tromperie ». Celui qui ne fait pas ses leçons à temps reste un perdant.

4 régions partiellement libérées, le duo Poutine-Shaman et « Adieu, Kherson ! ».

Poutine et les quatre chefs de région. Regardez leurs visages

L’une des choses les plus inexplicables, du point de vue des intérêts russes au cours de cette guerre, est l’incorporation de quatre régions d’Ukraine — Donetsk, Kherson, Luhansk et Zaporizhzhia — à la Russie le 30 septembre 2022. Il convient de noter que cette décision adoptée par la Douma d’État de Russie et promulguée par le décret de Poutine a été précédée d’un simulacre de référendum dans des conditions d’hostilités militaires extrêmement violentes dans ces quatre régions. Rappelons que la simulation de référendums est l’œuvre du numéro 2 de l’administration Poutine, Sergey Kirienko (Izraitel), l’ex-Premier ministre qui en 1998 a détruit le système financier et l’économie russe, le personnage le plus douteux autour du chef de l’État russe étant responsable des « territoires libérés ». Aucune de ces régions n’était entièrement sous contrôle russe au moment de l’incorporation officielle, et elles ne l’ont jamais été depuis.

Après que le parlement russe a adopté « à l’unanimité » l’admission des quatre régions dans la composition de l’État russe, et que le chef de l’État a confirmé cette décision, le même jour, le 30 septembre 2022, un concert festif a eu lieu sur la place Rouge sous le nom de « Choix du peuple. Ensemble pour toujours ».6 Au cours de cette sinistre farce, qui rappelle le triomphalisme de l’ère communiste, la figure clé aux côtés de Poutine était un chanteur pop portant le nom de scène de Shaman, habillé en transsexuel et incarnant le parfait hermaphrodite, qui a entonné l’hymne national de la Russie. Le moment était particulièrement émouvant, surtout si l’on considère que pendant que Poutine versait des larmes de bonheur dans le centre de Moscou, les soldats russes continuaient à se battre et à mourir dans les quatre régions.

SHAMAN, pop star affiliée au Kremlin

Et qu’en est-il des autres millions de Russes abandonnés dans les territoires ukrainiens et terrorisés par le régime criminel de Kiev ? Mais de telles questions sont interdites en Russie. Et pour que cette abominable farce connaisse une fin honteuse et dégradante, peu après le spectacle du duo Poutine et Shaman, l’armée russe a entrepris une nouvelle action étrange d’abandon, cette fois d’une redoute stratégique conquise avec le sang du soldat russe. Le 9 novembre 2022, les forces armées russes se sont retirées de la ville de Kherson, abandonnant la population civile et les activistes pro-russes aux mains des forces de répression ukrainiennes.

Quelle est la suite des événements ? Incertitudes et espoirs

Au cours des deux années de guerre appelées par euphémisme « OMS », des experts militaires indépendants ont déclaré à plusieurs reprises que l’armée russe n’était pas en mesure de mener une guerre victorieuse parce qu’elle était entravée par le facteur politique. Et certains de ceux qui ont critiqué le déroulement de l’intervention militaire en Ukraine, appelant à une action plus décisive, se sont retrouvés en prison. Le cas le plus célèbre est celui du colonel Igor Strelkov, arrêté pour « appel à l’extrémisme ». Les détails de sa peine de prison seront annoncés le 25 janvier… Mais en Russie, personne ne peut critiquer la campagne militaire, ni à partir de positions pacifistes, ni à partir de positions patriotiques. Le Code pénal a été adapté pour réprimer tout commentaire critique sur le pouvoir de l’État.

Igor Strelkov dans la salle d’audience

En attendant, le manque de cohérence et de courage de l’administration Poutine a causé des centaines de milliers de victimes des deux côtés, plus de 10 millions de réfugiés, la destruction et la criminalisation de la société ukrainienne, mais aussi la destruction de l’économie de l’UE dans l’intérêt des ennemis de l’Europe continentale et de la Russie, la corporatocratie anglo-saxonne.

Compte tenu de ce qui est présenté dans l’article de M. Roberts, ainsi que de ma propre analyse, nous avons toutes les raisons de nous inquiéter non seulement du sort de la Russie, mais aussi de celui de l’Humanité tout entière. À proprement parler, la force de l’administration Poutine se réduit à l’anéantissement de tous les opposants politiques et de ses critiques, ainsi qu’à la perpétuation de son propre pouvoir par le biais de farces électorales comme celle prévue pour cette année, lorsque le « candidat fatal » Poutine obtiendra un nouveau mandat présidentiel pour toute sa vie.

Ainsi, face aux faucons néoconservateurs/sionistes qui sont très déterminés à soumettre le monde entier ou à le détruire dans une nouvelle guerre mondiale, le manque de volonté et le caractère vacillant de Poutine constituent une vulnérabilité non négligeable.

Certains pourraient être tentés d’expliquer la lenteur et le manque de détermination des dirigeants russes par le fait qu’ils sont assez âgés et représentent une sorte de gérontocratie. Mais ceux de Washington ne sont pas jeunes non plus. Pourtant, métaphoriquement, les Sages de Sion (Netanyahou, Blinken, Nuland) semblent bien plus efficaces que les Sages du Kremlin (Poutine, Lavrov, Shoigu).





Des vaccins obligatoires classés comme vénéneux ? Pour mieux promouvoir ensuite les faux vaccins dits à ARNm ?

[Mise à jour en complément de la vidéo :]

L’ANSM classe les vaccins pédiatriques parmi les substances vénéneuses

[Source : covidhub.ch]

Le 7 septembre 2023, la directrice générale de l’Agence Nationale de Sécurité des Médicaments et des produits de santé française (ANSM) classait l’ensemble des vaccins, à l’exception des vaccins grippaux, sur la liste I des substances vénéneuses. Présenté comme un moyen d’harmoniser les conditions de prescription, ce changement interroge. Quels peuvent être les motifs et les conséquences d’une telle décision ? S’agit-il d’une manœuvre permettant de faciliter la mise sur le marché de nouveaux « vaccins » de type ARNmessager qui remplaceraient les vaccins « classiques » ? Le Dr Martine Gardénal, homéopathe, médecin d’une équipe française aux Jeux Olympiques, membre active de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, a commenté cette information sur l’émission radio Tocsin matinale.

« On joue aux apprentis sorciers »

Le Dr Gardénal rappelle qu’en France, dans les deux premières années de vie d’un enfant, les 11 vaccins pédiatriques obligatoires représentent plus de 30 doses injectées. Que se passera-t-il si ces vaccins viennent à être remplacés par des nouvelles technologies à ARNmessager ? De même, est-il normal que le dosage injecté soit le même pour un bébé de quelques kilos que pour un adulte ? Elle s’insurge aussi sur le fait que des études de pharmacovigilance ne soient pas réalisées et que les rapports d’évaluation des vaccins obligatoires ne soient pas communiqués.

Pour le Dr Martine Gardénal :

On joue aux apprentis sorciers et il faut tirer la sonnette d’alarme tout de suite.

La médecin insiste sur la nécessité de sensibiliser les parents aux enjeux actuels et les invite à remettre en question l’obligation vaccinale. La Ligue Nationale pour la Liberté des vaccinations a donc relancé une nouvelle pétition pour demander la suppression des 11 vaccins pédiatriques obligatoires.




L’opposition contrôlée ou « le syndicat jaune »

[Source : arianebilheran.com]

L’opposition contrôlée ou « le syndicat jaune » — Antipresse 425

Par Ariane Bilheran

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La mise en place de la dystopie covidienne a entraîné de profondes ruptures au sein de nos sociétés.

Des groupes se sont formés pour résister au règne de l’absurde et à la dictature sanitaire, de nouveaux médias ont émergé, et aussi, bien entendu, des leaders d’opinion et des figures charismatiques. Croira-t-on que le pouvoir qui a mis en place un système aussi inique et abusif soit resté les bras croisés face à cette contestation ? Les récents remous qui agitent la sphère de l’opposition témoignent au contraire d’un travail de sape et de subversion efficace, qui doit être étudié en soi comme l’une des composantes de la dérive totalitaire en cours. Voici donc un aperçu des stratégies et des procédés.

Lorsqu’un pouvoir enclenche une guerre contre sa population, pour faire passer en force des mesures impopulaires et/ou divers projets tyranniques, il sait qu’une frange politisée (au sens de l’engagement politique au sens noble), certes minime mais solide, risque de réagir. Il anticipe et canalise donc cette colère en fabriquant « sa » résistance, produit de la même ingénierie et de la même ardeur avec lesquelles il s’emploie à manipuler la population. Notons que les mêmes méthodes sont appliquées dans les entreprises, lors de la création du « syndicat jaune » dont la fonction sera d’être au service, non pas des travailleurs, mais des patrons.

Ainsi, comment un pouvoir anticipe-t-il une résistance et la contrôle de l’intérieur jusqu’à la neutraliser puis la dissoudre ? Il est d’usage de parler d’opposition contrôlée (que j’appellerai ici « syndicat jaune ») mais encore faut-il revenir sur les techniques employées.

Cette opposition de façade est créée « dès le départ ». Ce point est essentiel. Elle a plusieurs fonctions. Tout d’abord, orienter et concentrer le plus possible les mécontentements à un seul endroit, tenu par ce même pouvoir derrière le ou les chefs du syndicat jaune. Cette agglomération permettra ensuite de diriger ces colères vers des revendications qui ne sont pas dangereuses pour le pouvoir et d’engager sur des actions non périlleuses, qui détournent l’attention de celles qui le sont. Par exemple, le syndicat jaune se battra pour l’heure de pause ou le menu du repas à la cantine, plutôt que contre le plan de licenciement. Les sujets qui fâchent sont occultés et l’attention est détournée. Enfin, il s’agit de cartographier les opposants, ceci afin d’obtenir l’intégralité des noms, et identifier les plus problématiques parmi eux, tant en force et dangerosité qu’en puissance de caractère et intégrité, dans l’intention de les neutraliser à terme.

Profilage

Qui sont les acteurs de cette « résistance autorisée » au service du pouvoir ? Il y a en première ligne les acteurs conscients, les espions et les chefs du syndicat jaune. Ces derniers sont des agents recrutés, choisis, préalablement formés, scrupuleusement entraînés, redoutablement conseillés, et évidemment, grassement rémunérés. Commençons par les chefs visibles, qui sont diablement intelligents, cultivés, et ont donc tous les talents pour remplir cette mission.

Leur profil doit paraître irréprochable : aptitude à se dévouer à la cause de la résistance, image destinée à attirer une forte sympathie, voire une idolâtrie qui permettra de créer une nouvelle secte, dans le but d’évincer, avec l’aide des fanatiques envoûtés, les autres leaders intègres une fois que le mot d’ordre en sera donné, ou encore de créer une illusion telle que, lorsque les faits et gestes des leaders du syndicat jaune commenceront à être révélés, personne ne puisse y croire.

Les deux stratégies

Une stratégie de communication sera mise en place pour que la population identifie aisément quels sont les chefs qu’il convient de suivre. Par exemple, ils peuvent être propulsés dans certains médias du pouvoir comme était des leaders de la résistance, avec deux techniques. La première sera le passage très médiatisé dans un organe de communication du pouvoir, néanmoins présenté à la masse comme un média d’opposition, ce qui ne résistera pas à l’analyse des soutiens financiers : qui paie l’orchestre paie la musique.

La deuxième consiste à médiatiser les chefs infiltrés comme des leaders infréquentables, par exemple, avec des articles à charge, une visibilité à la télévision, etc. et même, à faire croire à des représailles sur eux (censure, convocations, etc.). Le film avec ses acteurs, son scénario et ses péripéties doit être, surtout, parfaitement crédible. L’essentiel est que l’ensemble soit amplement médiatisé et que les agents puissent être facilement et rapidement identifiés comme les nouveaux chefs de la résistance. En couvrant ces deux aspects, on est assez certain d’attirer la majorité des mécontents : ceux qui croient ce que les médias officiels leur disent, et ceux qui ne les croient plus mais croient encore aux médias officiels ou aux médias désormais intronisés dans cette résistance manipulée. Ce constat du mode de propulsion des chefs du syndicat jaune est aussi valable pour les médias et groupes (associations, etc.) qui vont remplir le rôle de pseudo-opposants au pouvoir, et être investis de cette mission.

Pendant ce temps, et dans la réalité, les véritables opposants (chefs, porte-parole, groupes et médias) sont l’objet d’une savante stratégie d’invisibilisation et de censure, que ce soit dans les médias officiels du pouvoir ou dans les médias apparents de l’opposition au pouvoir. À une nuance près : si l’on a besoin de se servir de leur image pour une caution d’intégrité ou de crédibilité, ils peuvent être instrumentalisés un certain temps. On les effacera de l’échiquier plus tard, lorsque cet « argument d’autorité » n’aura plus d’intérêt.

Chantage

En dehors de ces agents dûment employés par le pouvoir pour créer une toile d’araignée autour de la résistance afin de dévorer sans peine les individus et les groupes qui dérangent (à la condition de les avoir au préalable isolés et piégés), il existe d’autres profils au service de la « résistance autorisée ». Ce sont des profils sur lesquels le pouvoir a des dossiers pour les mettre à son service et les faire chanter : s’ils ne se soumettent pas, leur sort sera bien pire. Telle était notamment l’utilité des carnets noirs d’Epstein. Telle est la fonction de toutes les compromissions auxquelles on accule les gens en politique politicienne. Par exemple, dans la lutte contre les réseaux pédophiles, beaucoup de pédophiles sont en réalité au service du pouvoir et feignent de lutter contre ce fléau. Ils récoltent ainsi de l’argent (qui ne sera donc pas distribué aux véritables groupes résistants/militants, tactique de la diversion des flux), mais pire, ils attirent à eux beaucoup de victimes, lesquelles atterrissent alors dans le piège, et finissent capturées dans ces réseaux. C’est ainsi que certaines associations ayant pignon sur rue (médiatisées) font payer jusqu’à 150 000 euros de frais d’avocat dans des cas où un parent signale des transgressions sexuelles sur son enfant. Le résultat est connu d’avance : le parent est plumé, l’enfant finit entre les mains de son agresseur, ou pire, dans certains secteurs de la « protection de l’enfance », elle-même aujourd’hui infiltrée par les réseaux pédophiles. Des dossiers similaires, j’en ai vu une centaine durant la dernière décennie.

Harcèlement

Il existe enfin des petites mains de l’ombre, destinées à harceler les véritables profils résistants, et à les affaiblir, notamment dans la guerre de l’information : les équipes de trolls qui s’agglutinent sur un sujet pour le polluer, avec une formation spécifique, un entraînement et des consignes ciblées.

Infiltration

Pour neutraliser les profils qui dérangent le pouvoir, il convient d’identifier leurs soutiens, et de mettre tout en œuvre pour les affaiblir. La première technique consiste à envoyer un espion proposer de l’aide, pour tenter d’approcher le plus possible le vrai chef, obtenir un maximum d’informations sur lui et la cartographie de ses alliés. Il en est de même pour les groupes qu’il s’agira d’infiltrer. Autre méthode : un premier agent attaque l’individu, tandis qu’un autre agent, officiellement « ennemi » du premier, se rapproche de la cible pour lui venir en soutien et gagner sa confiance…

Cette infiltration est le fait d’espions chargés d’observer, de prendre des postes stratégiques, d’écarter des ralliements à la résistance qui sont des soutiens intègres de taille. Ils sont aussi utilisés pour manipuler les failles, récupérer des informations privées sur les gens : réseau d’amis, capacités financières, lieu du domicile, conditions de vie, etc., de façon à les faire ensuite plier par des techniques que j’ai déjà amplement développées dans mes travaux sur le harcèlement, il y a des années.

Guet-apens

Affaiblir les chefs suppose aussi de mettre en place des campagnes de calomnie, car nous savons qu’il en reste toujours quelque chose ([voir mon article à ce propos]). Enfin, on peut faire tomber dans des traquenards. Par exemple, j’ai été enregistrée à mon insu par une soi-disant figure de la résistance anti-pédocriminalité, qui tentait de me piéger pour me faire absolument dire (devant des dizaines de personnes qui m’écoutaient sans que je ne le sache) qu’il fallait brûler les écoles. Ce que je n’ai évidemment pas dit, car je suis fermement opposée à ces appels à la violence. Ces espions repèrent, après grande observation, les profils les plus manipulables (n’oublions pas la manipulation à l’empathie…), influençables, suggestibles ou corruptibles. Ils commencent par les maillons faibles, car il est plus facile de les retourner.

Séduction

La première approche consiste à séduire. La séduction peut englober différents types d’avantages, dont la personne visée sera plus ou moins consciente : une certaine promotion médiatique, l’écriture de livres pour des gens qui étaient jusque-là de parfaits inconnus, ou encore, des postes avantageux donnés par le pouvoir (ex. : proposition d’un ministère dans le futur gouvernement postrévolutionnaire), jusqu’à des enveloppes financières plus ou moins volumineuses. Si certains sujets ne doivent pas être abordés parce qu’ils sont « secret défense » ou trop sensibles, les silences sont achetés, comme la participation active à la mise à mort calomnieuse des individus qui en parlent. Le témoignage le plus important en la matière que j’ai pu recueillir actuellement (sachant qu’il n’est pas le seul) est une enveloppe de… vingt millions d’euros (!) pour donner la cartographie d’un grand réseau de résistants qui développent l’autonomie, en particulier alimentaire. La personne qui a refusé cette aimable proposition, avait également subi des tentatives d’intrusion dans le groupe allant jusqu’au putsch, le harcèlement et la calomnie. J’ai une question pour le lecteur : pour un refus intègre, combien d’autres qui auraient accepté ?

Terreur

Les menaces et les intimidations sont aussi une tactique efficace : contrôles fiscaux, fermeture de comptes bancaires, effractions au domicile ou au bureau, voitures saccagées, coups et blessures, tentatives d’assassinat, fausses dénonciations, etc. Ces menaces peuvent provenir des infiltrés du syndicat jaune comme du pouvoir directement, car ne l’oublions pas : c’est la même équipe. Séduction et terreur suffisent en général à faire imploser la résistance. Les spectateurs extérieurs ne comprennent rien à ces histoires, et continuent de s’illusionner sur une « résistance unie ». Ils se satisfont souvent de slogans tout faits tels que « la guerre des egos ». Pour autant, le paysage est devenu opaque, englué dans des polémiques interminables, qui entravent la réception des messages, enterrent les véritables sujets, divisent les alliances, jusqu’à la neutralisation de toutes les actions.

Faux amis

La perversion ultime consiste, pour les chefs des syndicats jaunes (qui se donnent parfois à voir comme des ennemis publics, pour mieux brouiller les cartes), à s’afficher publiquement comme les soutiens des délégués syndicaux intègres, tout en les attaquant au même moment, et avec une extrême brutalité, par-derrière. Cela m’est arrivé plusieurs fois durant ces sept dernières années d’exposition publique : des soutiens extrêmement élogieux à mon encontre m’agressent dans les coulisses le même jour que l’éloge public (menaces de mort, tentatives de division sur des alliances, insultes, etc.) !

Substitution

Si, malgré tout l’art déployé, les sujets et les individus qui fâchent continuent d’avoir de l’audience, alors des actions radicales de censure et d’intimidation sont prises (fermeture d’une chaîne YouTube, agressions physiques, etc.). Et si, malgré tout, le message continue toujours de se diffuser, alors une autre tactique est mise en place : la création de figures « avatars » qui ont des styles, des profils et des discours semblables et qui viennent occuper les écrans à la place des profils intègres et radicaux. Ils récupèrent le contenu du discours et du message, mais en ôtent la charge subversive, et surtout, orientent les propos vers des conclusions totalement différentes… des slogans appelant au « non-agir », à ne pas condamner les criminels du pouvoir, entre autres. Dans l’opposition à « l’éducation sexuelle », par exemple, on peut aisément identifier des discours médiatisés qui feignent de dénoncer tandis qu’ils édulcorent savamment le sujet, passent sous silence l’OMS et ne désignent pas l’ennemi. Lorsque ce n’est plus possible, ils attaquent l’OMS tout en reprenant… ses hypothèses contre-scientifiques sur la supposée « sexualité » de l’enfant dès sa naissance.

En conclusion, toute cette résistance autorisée, si elle n’est pas identifiée et neutralisée rapidement, entraînera le sacrifice des profils innocents et des intègres, ce qui arrangera tous ceux qui ont chuté dans la corruption et l’opportunisme. Le pouvoir aura gagné la partie, notamment s’il y a « révolution » ou « renversement », car en réalité les nouveaux chefs auront toujours travaillé à son service…

https://www.bookelis.com/sciences-humaines/58555-Tout-sur-le-harcelement-Tome-I.html
https://www.bookelis.com/sciences-humaines/58556-Tout-sur-le-harcelement-Tome-II.html

Bilheran, A. 2023. Tout sur le harcèlement ! Soumettre ou démettre, tomes 1 & 2, Bookelis.

Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, est spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.




Le voile se déchire : les vérités cachées de Jabotinsky et Netanyahu

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

Le groupe qui a assassiné 25 000 Palestiniens à Gaza n’est pas représentatif des juifs en général. C’est un héritier d’une idéologie qui n’a pas cessé de commettre de tels crimes depuis un siècle. Thierry Meyssan retrace l’histoire des « sionistes révisionnistes » de Vladimyr Ze’ev Jabotinky à Benjamin Netanyahu.

Josep Borrell dénonce les liens entre Benjamin Netanyahu et le Hamas.

Josep Borrell, haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, recevant un doctorat honoris causa à Valladolid, a déclaré : « Nous pensons qu’une solution à deux États [israélien et palestinien] doit être imposée de l’extérieur pour ramener la paix. Même si, et j’insiste, Israël réaffirme son refus [de cette solution] et, pour l’empêcher, est allé jusqu’à créer lui-même le Hamas (…) Le Hamas a été financé par le gouvernement israélien pour tenter d’affaiblir l’Autorité palestinienne du Fatah. Mais si nous n’intervenons pas fermement, la spirale de la haine et de la violence se poursuivra de génération en génération, de funérailles en funérailles ».

Ce faisant, Josep Borrell rompait avec le discours officiel occidental selon lequel, le Hamas est l’ennemi d’Israël, qu’il aurait attaqué par surprise le 7 octobre ; justifiant la riposte israélienne actuelle et le massacre de, déjà, 25 000 civils palestiniens. Il affirmait que des ennemis des juifs peuvent être soutenus par d’autres juifs, Benjamin Netanyahu en particulier. Il refusait la lecture communautaire de l’Histoire et examinait les responsabilités personnelles.

Ce changement narratif a été rendu possible par la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, il y a quatre ans. Josep Borrell sait que l’Union européenne a financé le Hamas depuis son coup d’État de 2006, pourtant aujourd’hui il est libre de dire ce qu’il a sur le cœur. Il n’a pas évoqué les liens du Hamas avec la Confrérie des Frères musulmans, dont l’organisation revendique d’être la « branche palestinienne », ni de celle-ci avec le MI6, les services secrets britanniques. Il a simplement suggéré de se retirer de ce guêpier.

Progressivement, le voile se déchire. Un rappel historique est ici nécessaire. Les faits sont connus, mais jamais reliés entre eux, ni énumérés à la suite. Ils ont un effet cumulatif éclairant. Ils se situent principalement tout au long de la Guerre froide, lorsque l’Occident fermait les yeux sur les crimes dont il avait besoin, mais ils débutent en réalité vingt ans plus tôt.

En 1915, le ministre de l’Intérieur juif britannique, Herbert Samuel, rédigea un mémorandum sur le Futur de la Palestine. Il souhaitait créer un État juif, mais de petite taille afin qu’il « ne puisse pas être assez grand pour se défendre ». Ainsi la diaspora juive servirait sur le long terme les intérêts de l’Empire britannique.

Il tenta de convaincre le Premier ministre, le libéral de l’époque H. H. Asquith, en vain, de créer à l’issue de la Guerre mondiale un État juif en Palestine. Cependant après la rencontre d’Herbert Samuel avec Mark Sykes, juste après la conclusion des Accords Sykes-Picot-Sazonov sur la répartition coloniale du Moyen-Orient, les deux hommes poursuivirent le projet et bénéficièrent du soutien des « protestants non -conformistes » (on dirait aujourd’hui des « chrétiens sionistes »), dont le nouveau Premier ministre, David Lloyd George. Ce dernier et son cabinet donnèrent instruction pour la fameuse Déclaration Balfour afin de préciser un des points des Accords Sykes-Picot Sazonov en annonçant un « foyer national juif ».

Simultanément, les protestants non-conformistes, par l’entremise du juge à la Cour suprême des États-Unis, Louis Brandeis, convainquirent le président Woodrow Wilson de soutenir leur projet.

Toujours durant la Première Guerre mondiale, lors de la révolution russe, Herbert Samuel proposa d’intégrer des juifs de l’ex-empire russe qui fuyaient le nouveau régime dans une unité spéciale, la Légion juive. Cette proposition fut reprise par un juif ukrainien, Vladimir Ze’ev Jabotinsky, qui imagina qu’un État juif en Palestine pourrait être sa récompense dans l’après-guerre. Herbert Samuel lui confia de recruter des soldats parmi les émigrés russes. Parmi eux, il trouva notamment le Polonais David ben Gourion (alors marxiste) auquel se joignit le Britannique Edwin Samuel, le propre fils d’Herbert Samuel. Ils s’illustrèrent notamment lors de la bataille perdue contre les Ottomans à Gallipoli.

À la fin de la guerre, le fasciste Jabotinsky réclama un État comme son dû, mais les Britanniques n’avaient nullement envie de se séparer de leur colonie palestinienne. Ils s’en tinrent donc à leur engagement de « foyer national », sans plus. En 1920, une partie des Palestiniens, conduite par Izz al-Din al-Qassam (la figure tutélaire de la branche armée de l’actuel Hamas, les brigades al-Qassam) se souleva et massacra sauvagement des immigrés juifs, tandis qu’une milice juive leur répondit. C’est le début du conflit israélo-palestinien. Londres rétablit l’ordre en arrêtant des fanatiques, aussi bien des jihadistes que des juifs. Jabotinsky, chez qui un arsenal fut découvert, fut condamné à 15 ans de prison.

Cependant, le gouvernement « protestant non-conformiste » de David Lloyd George nomma Herbert Samuel gouverneur de Palestine. Dès son arrivée à Jérusalem, il gracia et fit libérer son ami Jabotinsky. Puis, il nomma l’antisémite et futur collaborateur du Reich, Mohammad Amin al-Husayni, grand mufti de Jérusalem.

Fresque en hommage à Vladimir Jabotinski à Odessa (Ukraine).

Jabotinsky fut alors élu administrateur de l’Organisation sioniste mondiale (WZO). Mais il repartit dans l’ex-empire russe où Symon Petlioura venait de créer une République populaire ukrainienne. Jabotinsky et Petlioura signèrent un accord secret pour se tailler une place dans les terres des bolcheviks à l’Est et des anarchistes de Nestor Makhno au Sud (la Novorossia actuelle). Petlioura était un antisémite forcené, ses hommes étaient habitués, dans leur propre pays, à massacrer des familles ou des villages juifs. Petlioura était le protecteur des « nationalistes intégraux » ukrainiens et de leur mentor, Dmytro Dontsov, qui deviendra par la suite administrateur de l’Institut Reinhard Heydrich chargé de l’exécution de la « solution finale de la question juive »1.

Lorsque le bruit se répandit que Jabotinsky avait fait alliance avec des « massacreurs de juifs », l’Organisation sioniste mondiale le convoqua pour explication. Mais il préféra démissionner de ses fonctions communautaires plutôt que de répondre à des questions. Il créa alors l’Alliance des « sionistes révisionnistes » (surtout présente dans la diaspora polonaise et lettonne) et sa milice, le Betar. Il se détourna de l’Empire britannique et s’enthousiasma pour l’Italie fasciste. Il créa une académie militaire pour le Betar à proximité de Rome avec le soutien du duce Benito Mussolini.

Garde d’honneur du Betar devant le portrait de Jabotinky
à la citadelle de Ze’ev.

En 1936, Jabotinsky imagina un « plan d’évacuation » des juifs d’Europe centrale et orientale vers la Palestine. Il obtint le soutien du chef de l’État polonais, le maréchal Józef Piłsudski, et de son ministre des Affaires étrangères, Józef Beck. Mais aussi celui du régent hongrois, l’amiral Miklós Horthy, sans oublier celui du Premier ministre roumain, Gheorghe Tătărescu. Ce plan ne fut jamais réalisé, car les juifs d’Europe centrale et orientale étaient effrayés par les alliés de Jabotinsky et parce que l’Empire britannique s’opposa à une émigration massive en Palestine. En définitive, Chaim Weizmann, alors président de l’Organisation sioniste mondiale, assura que Jabotinsky était impliqué dans le plan franco -polono-nazi de déportation des juifs à Madagascar.

C’est à cette période que Vladimir Jabotinsky prophétisa l’holocauste devant des publics juifs médusés. Selon lui, en refusant son plan d’évacuation, la diaspora allait provoquer un sursaut de violence contre elle. À la surprise générale, c’est ce que ses amis mirent effectivement en œuvre : l’extermination de millions de juifs.

Vladimir Jabotinky (à droite) et Menachem Begin (à gauche),
lors d’une réunion du Bétar à Varsovie.

En 1939, Jabotinsky rédigea un plan pour un soulèvement des juifs de Palestine contre l’Empire britannique qu’il envoya à la section locale des « sionistes révisionnistes », l’Irgun. La Seconde Guerre mondiale repoussa ce projet à plus tard. Jabotinsky ne se fixa pas en Italie fasciste, mais aux États-Unis, alors neutres, où l’un de ses disciples le rejoignit pour devenir son secrétaire particulier. C’était Benzion Netanyahu, le père de Benjamin Netanyahu.

Durant la guerre, Vladimir Jabotinsky et Benzion Netanyahu reçurent la visite d’un professeur de philosophie de Chicago, Léo Strauss. C’était aussi un juif fasciste. Il avait été contraint de quitter l’Allemagne en raison de l’antisémitisme nazi, mais restait toujours un fasciste convaincu. Léo Strauss est devenu par la suite la référence des « néo-conservateurs » aux USA. Il a créé sa propre école de pensée, assurant à ses quelques disciples, après la Seconde Guerre mondiale, que le seul moyen pour des juifs de se prévenir d’une nouvelle Shoah, c’est de créer leur propre dictature. Parmi ses élèves, on compte aussi bien Paul Wolfowitz qu’Elliott Abrams, l’homme qui se tient aujourd’hui derrière Benjamin Netanyahu et qui a financé sa « réforme des institutions » cet été.

Vladimir Jabotinsky mourut à New York, en 1940. David ben Gourion s’opposa au transfert de ses cendres en Israël, mais, en 1964, le Premier ministre d’Israël, l’Ukrainien Levi Eshkol, l’autorisa.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu rend hommage à son héros, Vladimir Ze’ev Jabotinky.

Après la Guerre mondiale, les « sionistes révisionnistes » de l’Irgun déclarent la guerre à l’Empire britannique pour avoir limité l’émigration juive en Palestine. Sous le commandement du futur Premier ministre, le Biélorusse Menachem Beguin, ils organisent une série d’attentats, dont celui contre l’hôtel King David qui fit 91 morts ou le massacre de Deir Yassin qui fit au moins une centaine de victimes.

En novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations unies adopte un plan de partage de la Palestine entre deux zones, juive et arabe, afin de former un État binational. Profitant de la lenteur de l’organisation intergouvernementale, David ben Gourion proclame unilatéralement l’État d’Israël, le 14 mai 1948. Les États arabes réagissent par les armes, tandis que des milices juives débutent l’expulsion de 750 000 Palestiniens, la Nakba. Inquiète de ces rapides développements, l’Assemblée générale envoie un émissaire suédois, le comte Folke Bernadotte, pour délimiter les deux États fédérés. Mais le 17 septembre 1948, d’autres « sionistes révisionnistes », appartenant au Lehi (dit « Groupe Stern »), sous le commandement d’un autre futur Premier ministre, le Biélorusse Yitzhak Shamir, l’assassinent. Ils sont tous condamnés par un tribunal israélien. Le ministre des Affaires étrangères, l’Ukrainien Moshé Shertok (ou Sharett), écrit à l’Assemblée générale pour demander l’adhésion d’Israël aux Nations unies. Il « déclare que l’État d’Israël accepte par la présente, sans réserve aucune, les obligations découlant de la charte des Nations unies et qu’il s’engage à les observer du jour où il deviendra Membre des Nations Unies ». À ces conditions expresses, Israël devient membre de l’ONU, le 11 mai 1949. Dans les jours qui suivent, Yehoshua Cohen, l’assassin du comte Bernadotte est discrètement libéré. Il devient le garde du corps du Premier ministre, David ben Gourion.

Benjamin Netanyahu jeune et Yitzhak Shamir.

De 1955 à 1965, Yitzhak Shamir dirige un département du Mossad, les services secrets extérieurs du nouvel État. Sans en informer ses supérieurs, il structure la police secrète du shah d’Iran, la Savak. Environ deux cents de ses hommes viennent y enseigner la torture aux côtés d’anciens nazis2.
Puis, alors qu’il négocie les Accords de Camp David avec l’Égypte, il déplace les hommes qu’il avait envoyés en Iran vers le Congo, en 1979. Probablement avec le soutien de la CIA états-unienne, ils encadrent désormais la police secrète de Mobotu Sese Seko. Il se rend sur place pour les contrôler.

Dans le cadre de la Guerre froide, Yitzhak Shamir aide aussi la dictature taïwanaise3.

Cette fois à l’insu des États-Unis, il crée un groupe terroriste à New York, la Jewish Defense League du rabbin Meir Kahane4. Il supervise une campagne pour l’émigration des juifs soviétiques en Israël, des attentats contre la délégation soviétique à l’ONU et enfin contre la légation de l’Organisation de libération de la Palestine.

Il noue des alliances avec l’Afrique du Sud5. Il participe à la création des « bantoustans », de faux États africains qui permettent à l’Afrique du Sud de ne plus considérer sa population noire comme des ressortissants, mais comme des émigrés ; un modèle que les « sionistes révisionnistes » appliqueront ultérieurement aux Palestiniens.
Sur cette lancée, il fait financer par Israël les recherches du médecin personnel du président Pieter Botha, le docteur Wouter Basson. Celui-ci, à la tête de 200 scientifiques, entend créer des maladies qui n’affecteront que les noirs et les Arabes (Projet Coast6).7

Un crime en entraînant un autre, il soutient aussi la Rhodésie8 et la lutte contre l’indépendance des colonies portugaises du Mozambique et d’Angola.

Au Guatemala, Yitzhak Shamir se rapproche de la dictature du général Rios Montt. Il ne se contente pas de lui de fournir des armes, mais aussi supervise sa police secrète. Il met en place un institut d’informatique qui surveille les consommations d’eau et d’électricité et peut ainsi détecter et localiser des activités clandestines. Il organise la population maya en kibboutzim de manière à la faire travailler et à la surveiller sans avoir à procéder à une réforme agraire. Ainsi protégé, Rios Montt assassine 250 000 personnes.9 ; un modèle que les sionistes révisionnistes souhaitent appliquer aux Palestiniens. Les rapports entre Israël et les États-Unis au sujet de l’expérimentation guatémaltèque passent par le straussien Elliott Abrams.

Durant toute la Guerre froide, les « sionistes révisionnistes » n’ont pas agi dans l’intérêt du camp occidental, ils ont utilisé les opportunités qui se présentaient pour faire ce que Vladimir Ze’ev Jabotinky avait toujours fait : exercer le pouvoir par la force sans aucun égard pour qui que ce soit.

Vers la fin de la Conférence de Madrid, la délégation israélienne a ressorti cette vieille affiche
de la police britannique en Palestine mandataire :
elle demande des informations sur le groupe terroriste Lehi.
En haut à gauche : Menachem Beguin.

À la fin de la Guerre froide, le président Bush père convoqua la conférence de Madrid pour résoudre enfin la question israélo-palestinienne. Durant celle-ci, la délégation israélienne, présidée par Yitzhak Shamir, devenu Premier ministre, exige l’abrogation de la résolution 3379 de l’Assemblée générale des Nations unies10 avant la poursuite des débats. Celle-ci affirme que « le sionisme est une forme de racisme et de discrimination raciale ». « Avec un cœur ouvert, nous appelons les dirigeants arabes à prendre le pas courageux et à répondre à notre main tendue en paix », déclame Shamir, grandiloquent. Soucieuse de permettre un accord, l’Assemblée générale obtempère. Mais, trompant ses interlocuteurs, Israël ne prendra aucun engagement et fera même tout pour faire échouer la candidature à un second mandat de George H. Bush.

Un petit mot avant de conclure sur les personnalités de ce dispositif aujourd’hui.

Le président juif ukrainien Volodymyr Zelenski
et le « führer blanc », Andriy Biletsky

L’alliance des « sionistes révisionnistes » et des « nationalistes intégraux » ukrainiens s’est reformée à la dissolution de l’Union soviétique. Un oligarque mafieux, le juif Ihor Kolomoïsky, a propulsé en politique un jeune humoriste juif, Volodymyr Zelensky, tout en finançant les milices nationalistes intégrales qui assiégeaient et bombardaient les populations ukrainiennes russophones du Donbass. Le refuznik Natan Sharansky, ancien ministre d’Ariel Sharon, organise des réunions entre des personnalités juives mondiales et le cabinet du président ukrainien. Tandis que Voldymyr Zelensky a confié le commandement des deux grandes batailles de Marioupol et de Bakhmout à Andriy Biletsky, le « führer blanc ».

Le 19 juillet 2018, à l’initiative des « sionistes révisionnistes », la Knesset adopte une loi proclamant Israël comme « État juif », avec l’hébreu comme seule langue officielle et Jérusalem unifiée comme capitale. Les colonies juives en territoire palestinien sont considérées comme relevant de l’« intérêt national ».

Quatre ans plus tard, Benjamin Netanyahu constitue un gouvernement avec une coalition formée avec les disciples du rabbin Kahane. En 2022, Itamar Ben-Gvir, président d’Otzma Yehudit (parti du Pouvoir juif) déclare qu’il va expulser les Arabes de Palestine. Des membres de son parti lancent une attaque contre le village cisjordanien d’Huwara, en février 2023, sept mois avant l’attaque palestinienne du 7 octobre. En quelques heures, ils incendient des centaines de voitures et 36 maisons. Ils s’acharnent sur les habitants, faisant 400 blessés et tuent un homme sous les yeux de l’armée israélienne qui encerclait le village sans intervenir face à leurs exactions.

Ce bref résumé historique nous montre qu’il n’y a pas plus de problème israélo-arabe que de problème ukraino-russe, mais un énorme problème de tous avec une idéologie qui, en des lieux et des époques différentes, n’a fait que semer la souffrance et la mort. Nous devons ouvrir les yeux et ne plus accepter de nous mobiliser avec des actions sous faux drapeau et autres mensonges.


1 « Qui sont les nationalistes intégraux ukrainiens ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 15 novembre 2022.

2 « SAVAK : A Feared and Pervasive Force », Richard T. Sale, Washington Post, May 9, 1977. Debacle: The American Failure in Iran. Michael Ledeen, Vintage (1982).

3 תמכור נשק. » ש’ פרנקל, העולם הזה, 31 באוגוסט 1983. ».Israel: Foreign Intelligence and Security Services. CIA, March 1979.

4 The False Prophet: Rabbi Meir Kahane, From FBI Informant to Knesset Member, Robert I. Friedman, Lawrence Hill Books (1990).

5 The Unspoken Alliance: Israel’s Secret Relationship with Apartheid South Africa, Sasha Polakow-Suransky, Vintage (2011). The Unnatural Alliance: Israel and South Africa, James Adams, Quartet Books (1984).

6 Project Coast: Apartheid’s Chemical and Biological Warfare Programme, Chandré Gould & Peter Folb, United Nations Institute for Disarmament Research, UNIDIR/2002/12. The Rollback of South Africa’s Chemical and Biological Warfare Program, Dr. Stephen F. Burgess & Dr. Helen E. Purkitt, USAF Counterproliferation Center (2001).

7 « L’Afrique du Sud, ex-laboratoire secret de bioterrorisme des démocraties », Réseau Voltaire, 28 octobre 2002. Dr la Mort, enquête sur un bioterrorisme d’État en Afrique du Sud, Tristan Mendès France, Favre (2002).

8 « The Rhodesian Army: Counter-insurgency 1972-1979 » in Armed forces and modern counter-insurgency, Ian F.W. Beckett and John Pimlott, Croom Helm (1985).

9 « Israeli Connection Not Just Guns for Guatemala », George Black, NACLA Report on the Americas, 17:3, pp. 43-45, DOI: 10.1080/10714839.1983.11723592

10 « Qualification du sionisme », ONU (Assemblée générale), Réseau Voltaire, 10 novembre 1975.




Calibrage à l’école dès 3 ans

[Source : nice-provence.info]

Par Michel Lebon

Juillet 2019, passé inaperçu pendant les vacances scolaires, c’est Jean-Michel Blanquer, le macroniste ministre de la Rééducation nationale, qui a rendu l’école obligatoire à partir de trois ans (au lieu de six ans auparavant).

Avec Macron, son chef de tout, ces deux républicains jusqu’au bout des ongles ont fait de la surenchère à Jules Ferry et à Ferdinand Buisson, lui qui déclarait il y a un siècle :

« Pour faire un républicain, il faut prendre l’être humain si petit et si humble qu’il soit… »

Formule reprise par Macron à la cérémonie d’hommage à Samuel Paty1. Dès les premiers pas, sorti du berceau, à trois ans… Allez hop ! Directement du petit pot Blédina à la cour de récré !

Là, on peut penser que ces deux compères propagandistes n’ont pas entendu ce Ferdinand Buisson jusqu’au bout :

« …et lui donner l’idée qu’il faut penser par lui-même, qu’il ne doit ni foi, ni obéissance à personne, que c’est à lui de chercher la vérité et non pas à la recevoir toute faite d’un maître, d’un directeur, d’un chef, quel qu’il soit. »

Quel farceur ce Buisson ! Voilà du « En Même Temps » qui rappelle le « Ni dieu ni maître » de l’anarchiste Louis-Auguste Blanqui.

On peut penser que nos ambianceurs des banlieues et autres terroristes n’auraient pas martyrisé la France s’ils avaient commencé à user leurs sarouels sur les bancs de l’école dès trois ans.

[source Le Télégrame]

Dans ses vœux pour 2024, ambiance Nuit des morts-vivants2, Macron, le Premier Président qui a tout réussi, a plusieurs fois rappelé son obsession compulsive qu’il voulait FAIRE DES RÉPUBLICAINS ! Il ne pense qu’à ça. De la République ! Encore de la ripoublik ! Toujours de la Raie publique, jusqu’à la nausée.

Avec l’école obligatoire de Jules Ferry de 6 à 14 ans, on avait 8 ans pour apprendre à lire, écrire et compter.
Avec l’école obligatoire de Macron de 3 à 18 ans, on a 15 ans pour apprendre à faire un républicain.

Ici, son ministre Castaner explique les zones de tirs
pour les LBD (Lanceurs de Balles de Défense)

Je doute que Macron et ses cabinets de conseils pédagogiques aient compris que les Français n’idéalisent pas sa République sodomite. Charlotte d’Ornellas l’exprime très bien :

[NDLR Voir le propos de Charlotte d’Ornellas dans l’extrait ci-dessous :

]

Apprenons le plus tôt possible à nos enfants :

Vos grands-parents sont morts pour la France, pour votre patrie,
pas pour la république.

Quand ils seront traînés de force à la maternelle, il sera trop tard. Il est bon de rappeler que c’est l’instruction qui est obligatoire, pas l’école. Si vous ne voulez pas que votre enfant se wokise, s’interroge sur son sexe, s’LGBêtise ou toute autre coquetterie républicaine, apprenez-lui la vie vous-même, le plus longtemps possible, c’est votre droit.





Nigel Farage s’élève contre l’Identité numérique de l’UE

[Source : Ciel Voilé]






PROTOCOLE 666 — L’agenda d’une élite dégénérée & satanique

[Source : le centurion romain]

Disciple de l’essayiste québécois René Bergeron et de l’ancien commandant de la marine canadienne William Guy Carr, Monast fut également proche des défenseurs du crédit social (Parti Crédit social du Canada).

Au début des années 1990, il se consacre à la rédaction d’ouvrages sur le thème du Nouvel Ordre Mondial et de conspirations ourdies par des sociétés secrètes, en particulier par les Illuminati. Il est particulièrement inspiré par les travaux de William Guy Carr.

Il fonde l’Agence Internationale de Presse libre (AIPL) où il publie la plupart de ses enquêtes.

En 1995, il fait paraître un document intitulé les « Protocoles de Toronto », un livre fait selon le modèle des Protocoles des sages de Sion où il dévoile l’activité secrète d’un groupe maçonnique, les « 666 », rassemblant tous les vingt ans les puissants de ce monde en vue de l’établissement du Nouvel Ordre Mondial et du contrôle mental des individus.

[Voir aussi, en version écrite :
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste]




Le discours du président argentin a été froidement accueilli à Davos

[Source de la transcription en français : legrandcontinent.eu
Transcription en anglais : eurasiareview.com]

Bonjour, merci beaucoup : je suis ici aujourd’hui pour vous dire que l’Occident est en danger. Il est en danger parce que ceux qui sont censés défendre les valeurs de l’Occident sont cooptés par une vision du monde qui, inexorablement, conduit au socialisme, et par conséquent à la pauvreté. Malheureusement, au cours des dernières décennies, motivés par certains désirs bienveillants d’aider les autres et d’autres par le désir d’appartenir à une caste privilégiée, les principaux dirigeants du monde occidental ont abandonné le modèle de la liberté pour différentes versions de ce que nous appelons le collectivisme.

Nous sommes ici pour vous dire que les expériences collectivistes ne sont jamais la solution aux problèmes qui affligent les citoyens du monde, mais qu’elles en sont au contraire la cause. Croyez-moi, il n’y a personne de mieux placé que nous, Argentins, pour témoigner de ces deux questions. Lorsque nous avons adopté le modèle de la liberté — en 1860 —, nous sommes devenus en 35 ans la première puissance mondiale, tandis que lorsque nous avons embrassé le collectivisme, au cours des cent dernières années, nous avons vu comment nos citoyens ont commencé à s’appauvrir systématiquement, jusqu’à tomber au 140e rang mondial. Mais avant d’entamer cette discussion, il serait important, tout d’abord, d’examiner les données qui montrent que non seulement le capitalisme de libre entreprise est un système possible pour mettre fin à la pauvreté dans le monde, mais qu’il est aussi le seul système moralement souhaitable pour y parvenir.

Si l’on regarde l’histoire du progrès économique, on constate que, de l’an 1 à l’an 1800 environ, le PIB mondial par habitant est resté pratiquement constant pendant toute la période de référence. Si l’on regarde un graphique de l’évolution de la croissance économique au cours de l’histoire de l’Humanité, on obtient un graphique en forme de crosse de hockey, une fonction exponentielle, qui est restée constante pendant 90 % du temps et qui augmente de manière exponentielle à partir du XIXe siècle. La seule exception à cette histoire de stagnation se situe à la fin du XVe siècle avec la découverte de l’Amérique. Mais à part cette exception, pendant toute la période comprise entre l’an 1 et l’an 1800, le PIB mondial par habitant a stagné.

Or non seulement le capitalisme a généré une explosion de richesses dès son adoption en tant que système économique, mais si l’on examine les données, on constate que la croissance s’est accélérée tout au long de la période.

Pendant toute la période comprise 1 et 1800, le taux de croissance du PIB par habitant est resté stable, autour de 0,02 % par an. À partir du XIXe siècle, avec la révolution industrielle, le taux de croissance passe à 0,66 %. À ce rythme, le doublement du PIB par habitant nécessiterait 107 années de croissance

Maintenant, si l’on considère la période entre 1900 et 1950, le taux de croissance s’accélère pour atteindre 1,66 % par an. Et si nous prenons la période entre 1950 et l’an 2000, nous constatons que le taux de croissance est de 2,1 % par an, ce qui signifie que nous pourrions doubler le PIB mondial par habitant en seulement 33 ans. Cette tendance, loin de s’arrêter, est toujours d’actualité. Si nous prenons la période entre 2000 et 2023, le taux de croissance s’est encore accéléré pour atteindre 3 % par an, ce qui signifie que nous pourrions doubler notre PIB par habitant dans le monde en seulement 23 ans.

Si l’on considère le PIB par habitant de 1800 à nos jours, on constate qu’après la révolution industrielle, le PIB mondial par habitant a été multiplié par plus de 15 — générant une explosion de richesse qui a permis à 90 % de la population mondiale de sortir de la pauvreté. N’oublions jamais qu’en 1800, près de 95 % de la population mondiale vivait dans une pauvreté abjecte, alors que ce chiffre est tombé à 5 % en 2020, avant la pandémie.

La conclusion est évidente : loin d’être la cause de nos problèmes, le capitalisme de libre entreprise en tant que système économique est le seul outil dont nous disposons pour mettre fin à la faim, à la pauvreté et à la misère dans le monde. Les preuves empiriques sont incontestables. C’est pourquoi, parce qu’il ne fait aucun doute que le capitalisme de libre marché est supérieur en termes de production, la doxa de gauche a attaqué le capitalisme pour ses problèmes de moralité, parce qu’il est, disent ses détracteurs, injuste.

Ils disent que le capitalisme est mauvais parce qu’il est individualiste et que le collectivisme est bon parce qu’il est altruiste, avec l’argent des autres, et qu’ils luttent donc pour la « justice sociale ». Mais ce concept, qui est devenu à la mode dans le premier monde au cours de la dernière décennie, est une constante du discours politique dans mon pays depuis plus de 80 ans. Le problème est que la justice sociale n’est pas seulement injuste, mais qu’elle ne contribue pas non plus au bien-être général. Au contraire, c’est une idée intrinsèquement injuste, parce qu’elle est violente. Elle est injuste parce que l’État est financé par les impôts et que les impôts sont prélevés de manière coercitive : est-ce que l’un d’entre nous peut dire qu’il paie des impôts volontairement ? Cela signifie que l’État est financé par la coercition et que plus la charge fiscale est élevée, plus la coercition est grande — et moins il y a de liberté.

Les partisans de la justice sociale partent de l’idée que l’ensemble de l’économie est un gâteau qui peut être partagé différemment, mais ce gâteau n’est pas donné, c’est une richesse qui est générée dans ce qu’Israël Kirzner appelle un « processus de découverte ». Si le bien ou le service offert par une entreprise n’est pas désiré, cette entreprise fait faillite, à moins qu’elle ne s’adapte à la demande du marché. Si elle fabrique un produit de bonne qualité à un prix attractif, elle se portera bien et produira davantage. Le marché est donc un processus de découverte dans lequel le capitaliste trouve la bonne direction au fur et à mesure. Mais si l’État punit le capitaliste pour avoir réussi et le bloque dans ce processus de découverte, il détruit ses incitations, ce qui a pour conséquence qu’il produira moins et que le gâteau sera plus petit, au détriment de la société dans son ensemble. Le collectivisme, en inhibant ces processus de découverte et en entravant l’appropriation de ce qui a été découvert, lie les mains de l’entrepreneur et l’empêche de produire de meilleurs biens et d’offrir de meilleurs services à un meilleur prix.

Comment se fait-il alors que le monde académique, les organisations internationales, la politique et la théorie économique diabolisent un système économique qui a non seulement sorti 90 % de la population mondiale de la pauvreté la plus extrême, et ce de plus en plus rapidement, mais qui est aussi juste et moralement supérieur ?

Grâce au capitalisme de libre entreprise, le monde est aujourd’hui au mieux de sa forme. Dans toute l’histoire de l’Humanité, il n’y a jamais eu de période de plus grande prospérité que celle que nous vivons aujourd’hui. Le monde d’aujourd’hui est plus libre, plus riche, plus pacifique et plus prospère qu’à n’importe quel autre moment de notre histoire.

C’est vrai pour tout le monde, mais c’est particulièrement vrai pour les pays libres — ceux qui respectent la liberté économique et les droits de propriété des individus. Les pays libres sont en effet douze fois plus riches que les pays répressifs, le décile inférieur de la distribution des pays libres vit mieux que 90 % de la population des pays répressifs, ils comptent 25 fois moins de pauvres dans le format standard et 50 fois moins dans le format extrême, et, comme si cela ne suffisait pas, les citoyens des pays libres vivent 25 % plus longtemps que les citoyens des pays répressifs.

Cependant, pour comprendre ce que nous défendons ici, il est important de définir ce dont nous parlons lorsque nous parlons de libertarianisme. Pour le définir, je reprends les mots du plus grand héros de la liberté de notre pays, Alberto Benegas Lynch, qui dit : « Le libertarianisme est le respect sans restriction du projet de vie d’autrui, fondé sur le principe de non-agression, en défense de la vie, de la liberté et de la propriété des individus. Ses institutions fondamentales sont la propriété privée, les marchés libres de toute intervention de l’État, la libre concurrence, la division du travail et la coopération sociale. Où l’on ne peut réussir qu’en servant son prochain avec des biens de meilleure qualité ou à meilleur prix. »

En d’autres termes, le capitaliste, l’entrepreneur qui réussit, est un bienfaiteur social qui, loin de s’approprier la richesse des autres, contribue au bien-être général. En bref, un entrepreneur qui réussit est un héros.

C’est le modèle que nous proposons pour l’Argentine du futur. Un modèle basé sur les principes fondamentaux du libertarianisme : la défense de la vie, de la liberté et de la propriété. Si le capitalisme de libre entreprise et la liberté économique ont été des outils extraordinaires pour mettre fin à la pauvreté dans le monde, et si nous sommes aujourd’hui au meilleur moment de l’histoire de l’Humanité, il convient de se demander pourquoi je dis que l’Occident est en danger.

Je dis que l’Occident est en danger précisément parce que dans les pays où nous devrions défendre les valeurs du marché libre, de la propriété privée et des autres institutions du libertarianisme, des sections de l’establishment politique et économique, certaines à cause d’erreurs dans leur cadre théorique et d’autres par ambition pour le pouvoir, sont en train de saper les fondements du libertarianisme, d’ouvrir la porte au socialisme et de les condamner potentiellement à la pauvreté, à la misère et à la stagnation. Car il ne faut jamais oublier que le socialisme est toujours et partout un phénomène appauvrissant, qui a échoué dans tous les pays où il a été tenté. Ce fut un échec économique, un échec social, un échec culturel. Il a tué plus de 100 millions d’êtres humains.

Le problème essentiel pour l’Occident aujourd’hui est que nous devons non seulement affronter ceux qui, même après la chute du mur [de Berlin] et les preuves empiriques accablantes, continuent à lutter pour un socialisme appauvrissant, mais aussi nos propres dirigeants, penseurs et universitaires qui, dans un cadre théorique erroné, sapent les fondements du système qui nous a donné la plus grande expansion de la richesse et de la prospérité de notre histoire.

Le cadre théorique auquel je fais référence est celui de la théorie économique néoclassique, qui conçoit un instrument qui, sans le vouloir, finit par servir à l’ingérence de l’État, au socialisme et à la dégradation de la société. Le problème des néoclassiques est que, puisque le modèle dont ils sont tombés amoureux ne correspond pas à la réalité, ils attribuent l’erreur à de prétendues défaillances du marché au lieu de revoir les prémisses de leur modèle. Sous prétexte d’une prétendue défaillance du marché, on met en place des réglementations qui ne font que générer des distorsions dans le système des prix, qui entravent le calcul économique, et donc l’épargne, l’investissement et la croissance.

Ce problème réside essentiellement dans le fait que même les économistes prétendument libertariens ne comprennent pas ce qu’est le marché, car s’ils le comprenaient, il deviendrait rapidement évident qu’il n’y a pas de défaillance du marché. Le marché n’est pas une courbe d’offre et de demande sur un graphique. Le marché est un mécanisme de coopération sociale où les droits de propriété sont échangés volontairement. Par conséquent, compte tenu de cette définition, la défaillance du marché est un oxymore. La défaillance du marché n’existe pas.

Si les transactions sont volontaires, le seul contexte dans lequel il peut y avoir une défaillance du marché est celui de la coercition. Et le seul à pouvoir exercer une coercition généralisée est l’État, qui a le monopole de la violence. Par conséquent, si quelqu’un considère qu’il y a une défaillance du marché, je lui recommande de vérifier s’il y a une intervention de l’État au milieu. Et s’il constate qu’il n’y a pas d’intervention de l’État au milieu, je lui suggère de refaire l’analyse parce qu’elle est définitivement erronée. La défaillance du marché n’existe pas.

Les structures concentrées de l’économie sont un exemple des prétendues défaillances du marché décrites par les néoclassiques. Cependant, sans les fonctions de rendements d’échelle croissants, dont les structures concentrées de l’économie sont la contrepartie, nous ne pourrions pas expliquer la croissance économique de 1800 à aujourd’hui. C’est intéressant. À partir de 1800, alors que la population a été multipliée par plus de 8 ou 9, le produit par habitant a été multiplié par plus de 15. En d’autres termes, il existe des rendements croissants qui ont permis de ramener l’extrême pauvreté de 95 % à 5 %. Cependant, cette présence de rendements croissants implique des structures concentrées, ce que l’on pourrait appeler un monopole.

Comment se fait-il que quelque chose qui a généré tant de bien-être pour la théorie néoclassique soit une défaillance du marché ? Économistes néoclassiques, sortez de votre boîte : lorsque le modèle échoue, ne vous fâchez pas contre la réalité, mais contre le modèle — et changez-le.

Le dilemme auquel est confronté le modèle néoclassique est qu’il prétend vouloir perfectionner le fonctionnement du marché en s’attaquant à ce qu’il considère comme des défaillances, mais ce faisant, non seulement il ouvre la porte au socialisme, mais il compromet également la croissance économique. Par exemple, réglementer les monopoles, détruire leurs profits et détruire les rendements croissants détruirait automatiquement la croissance économique.

En d’autres termes, chaque fois que l’on veut corriger une supposée défaillance du marché, inexorablement, parce que l’on ne sait pas ce qu’est le marché ou parce que l’on est tombé amoureux d’un modèle qui a échoué, on ouvre la porte au socialisme et on condamne les gens à la pauvreté.

Cependant, face à la démonstration théorique que l’intervention de l’État est néfaste et à la preuve empirique qu’elle a échoué — parce qu’il ne pouvait en être autrement — la solution que les collectivistes proposeront n’est pas plus de liberté, mais plus de réglementation, générant une spirale descendante de réglementation jusqu’à ce que nous finissions tous plus pauvres et que la vie de chacun d’entre nous dépende tout à fait d’un bureaucrate assis dans un bureau luxueux.

Face à l’échec retentissant des modèles collectivistes et aux avancées indéniables du monde libre, les socialistes ont été contraints de changer de programme. Ils ont abandonné la lutte des classes fondée sur le système économique et l’ont remplacée par d’autres prétendus conflits sociaux tout aussi nuisibles à la vie collective et à la croissance économique. La première de ces nouvelles batailles fut la lutte ridicule et contre nature entre les hommes et les femmes.

Le libertarianisme a déjà établi l’égalité entre les sexes. La pierre angulaire de notre credo dit que tous les hommes sont créés égaux, que nous avons tous les mêmes droits inaliénables accordés par le Créateur, parmi lesquels la vie, la liberté et la propriété. La seule chose que cet agenda du féminisme radical a engendrée, c’est une plus grande intervention de l’État pour entraver le processus économique, en donnant des emplois à des bureaucrates qui n’ont rien apporté à la société, que ce soit sous la forme de ministères de la Femme ou d’organismes internationaux dédiés à la promotion de cet agenda.

Un autre conflit soulevé par les socialistes est celui de l’homme contre la nature. Ils affirment que les êtres humains endommagent la planète et qu’elle doit être protégée à tout prix, allant même jusqu’à préconiser des mécanismes de contrôle de la population ou l’agenda sanglant de l’avortement.

Malheureusement, ces idées néfastes ont imprégné notre société. Les néomarxistes ont réussi à coopter le bon sens occidental. Ils y sont parvenus en s’appropriant les médias, la culture, les universités et, bien sûr, les organisations internationales. Ce dernier cas est le plus grave, car il s’agit d’institutions qui ont une énorme influence politique et économique sur les pays qui composent ces organisations multilatérales.

Heureusement, nous sommes de plus en plus nombreux à oser élever la voix. Parce que nous voyons que, si nous ne combattons pas ces idées de front, le seul destin possible est que nous aurons de plus en plus d’État, de réglementation, de socialisme, de pauvreté, de [manque] liberté et, par conséquent, un niveau de vie plus bas.

L’Occident s’est malheureusement déjà engagé dans cette voie. Je sais qu’il peut sembler ridicule à beaucoup de dire que l’Occident s’est tourné vers le socialisme. Mais ce n’est ridicule que dans la mesure où l’on se limite à la définition économique traditionnelle du socialisme, qui stipule qu’il s’agit d’un système économique dans lequel l’État possède les moyens de production. Cette définition devrait, à mon avis, être adaptée aux circonstances actuelles. Aujourd’hui, les États n’ont pas besoin de contrôler directement les moyens de production pour contrôler tous les aspects de la vie des individus. Avec des outils tels que l’émission monétaire, l’endettement, les subventions, le contrôle des taux d’intérêt, le contrôle des prix et les réglementations visant à corriger les prétendues « défaillances du marché », ils peuvent contrôler le destin de millions d’êtres humains.

C’est ainsi que nous en arrivons au point où, sous des noms ou des formes différents, la plupart des offres politiques généralement acceptées dans la plupart des pays occidentaux deviennent des variantes collectivistes. Qu’ils se déclarent ouvertement communistes, fascistes, nazis, socialistes, sociaux-démocrates, nationaux-socialistes, démocrates-chrétiens, néokeynésiens, progressistes, populistes, nationalistes ou mondialistes.

Au fond, il n’y a pas de différences substantielles : tous défendent l’idée que l’État devrait diriger tous les aspects de la vie des individus. Tous défendent un modèle contraire à celui qui a conduit l’Humanité aux progrès les plus spectaculaires de son histoire.

Nous sommes venus ici aujourd’hui pour inviter les autres pays occidentaux à retrouver le chemin de la prospérité. La liberté économique, un gouvernement limité et le respect sans restriction de la propriété privée sont des éléments essentiels à la croissance économique. Ce phénomène d’appauvrissement provoqué par le collectivisme n’est pas un fantasme. Il ne s’agit pas non plus d’un fatalisme. C’est une réalité que nous, Argentins, connaissons très bien depuis au moins cent ans.

Parce que nous l’avons déjà vécue. Nous l’avons vécue. Parce que, comme je l’ai déjà dit, depuis que nous avons décidé d’abandonner le modèle de liberté qui nous avait rendus riches, nous sommes pris au piège d’une spirale descendante qui nous appauvrit chaque jour davantage.

Nous le vivons déjà. Et nous sommes ici pour vous avertir de ce qui pourrait arriver si les pays occidentaux qui se sont enrichis grâce au modèle de liberté continuent sur cette route de la servitude.

Le cas argentin est la démonstration empirique que, quelle que soit votre richesse, quelles que soient les ressources naturelles dont vous disposez, quel que soit le niveau de qualification de la population, quel que soit son niveau d’éducation, quels que soient les lingots d’or qui se trouvent dans les coffres de la banque centrale, si vous prenez des mesures qui entravent le développement de l’économie, vous risquez de vous retrouver dans une impasse. Si vous prenez des mesures qui entravent le libre fonctionnement des marchés, la libre concurrence, les systèmes de prix libres, si vous entravez le commerce, si vous portez atteinte à la propriété privée, la seule destination possible est la pauvreté.

C’est pourquoi, pour conclure, je voudrais laisser un message à tous les hommes d’affaires présents ici et à ceux qui nous suivent depuis le monde entier.

Ne vous laissez pas intimider ni par la caste politique ni par les parasites qui vivent de l’État. Ne vous soumettez pas à une classe politique qui ne cherche qu’à se perpétuer au pouvoir et à maintenir ses privilèges.

Vous êtes des bienfaiteurs sociaux. Vous êtes des héros. Vous êtes les créateurs de la période de prospérité la plus extraordinaire que nous ayons jamais connue. Que personne ne vous dise que votre ambition est immorale. Si vous gagnez de l’argent, c’est parce que vous offrez un meilleur produit à un meilleur prix, contribuant ainsi au bien-être général.

Ne cédez pas à l’avancée de l’État. L’État n’est pas la solution. L’État est le problème lui-même.

Vous êtes les véritables protagonistes de cette histoire, et sachez qu’à partir d’aujourd’hui, vous avez l’Argentine comme alliée inconditionnelle.

Merci beaucoup et vive la liberté, putain.

Le discours original (en espagnol) :




Le FEM plaide pour le remplacement des électeurs par l’IA

[Source : aubedigitale.com]

Le fondateur et président du Forum économique mondial (FEM), Klaus Schwab, a demandé que les membres du grand public soient exclus des processus électoraux, arguant que les électeurs pourraient être remplacés par l’intelligence artificielle (IA).

Schwab a lancé ces appels effrayants lors d’un entretien au FEM avec le cofondateur de Google, Sergey Brin.

Au cours de cette discussion, Schwab et Brin ont évoqué les « technologies numériques », telles que l’intelligence artificielle, et la manière dont elles pourraient être utilisées pour faire avancer le programme du FEM.

« La technologie actuelle, et la technologie numérique, ont principalement un pouvoir analytique », a déclaré Schwab, tandis que Brin acquiesçait docilement.

« Maintenant, nous passons au pouvoir prédictif et nous avons vu les premiers exemples. Votre entreprise est très impliquée dans ce domaine », a déclaré Schwab à propos de Google.

Schwab a ensuite exposé sa vision mondialiste de la « prochaine étape » de la technologie numérique.

« Mais la prochaine étape pourrait être de passer en mode prescriptif, ce qui signifie qu’il n’est même plus nécessaire d’organiser des élections parce que l’on peut déjà prédire.

Et après, vous pourrez dire : “Pourquoi avons-nous besoin d’élections ?”

“Parce que nous savons quel sera le résultat.” »

REGARDEZ :

Comme Slay News l’a précédemment rapporté, l’un des maîtres d’œuvre de l’agenda du FEM a commencé à tirer la sonnette d’alarme sur la possibilité « très probable » que le président Donald Trump soit réélu cette année.

Yuval Noah Harari est conseiller principal du FEM et de Schwab et figure sur la liste des « contributeurs à l’agenda » de l’organisation mondialiste non élue.

Lors d’une nouvelle interview, on a demandé à Yuval Noah Harari s’il était « préoccupé par le fait que Trump puisse être réélu ».

« Je pense que c’est très probable », a répondu Harari.

« Et si cela se produit, il est probable que ce soit le genre de — comme — le coup de grâce à ce qui reste de l’ordre mondial.

Et il le dit ouvertement.

Maintenant, il devrait être clair que beaucoup de ces politiciens, ils présentent une fausse vision binaire du monde.

Comme s’il fallait choisir entre le patriotisme et le mondialisme, entre la loyauté envers sa nation et la loyauté envers une sorte de — je ne sais pas — gouvernement mondial ou quoi que ce soit d’autre. »

REGARDEZ :


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Traduction de Slay News par Aube Digitale




Le principal danger pour Von Der Leyen

[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

[…]

Ursula Von Der Leyen, surnommée par quelques mauvaises langues dont je fais partie « Cruella » Von der la hyène, la chef de meute d’une troupe terrible mangeant et dévorant tous les gentils moutons qui croyaient pouvoir gambader librement dans les prés, en chantant, en dansant, en parlant et en lisant comme bon leur semblaient.

Non.

Pour la présidente de la grosse commission (de Bruxelles), le principal danger auquel nous sommes confrontés ce n’est pas le vilain Poutine (surnommé Palpoutine) ou la guerre en Ukraine.

Non.

Pour la Cruella de Bruxelles, le principal danger n’est pas le changement climatique (je ne vous dis pas qu’il faut avoir peur je vous dis néanmoins que l’on vous présente chaque jour le réchauffement climatique comme la cause de nos terribles souffrances à venir).

Non.

Le principal danger pour Cruella, c’est… la liberté d’expression.

Elle ne le dit pas tout à fait ainsi, mais c’est exactement ce qu’elle explique quand même.

« Notre principal sujet de préoccupation pour les prochaines années n’est pas le conflit ou le climat, c’est la désinformation et la mauvaise information suivie de près par polarisation au sein de notre société. Ces risques sont sérieux parce qu’ils limitent notre capacité à nous attaquer aux grands défis mondiaux auxquels nous sommes confrontés comme celui des changements climatiques, géopolitiques, démographiques ou technologiques. »

Ce que dit la Cruella de la commission est très logique à comprendre.

Elle ne fait aucune erreur.

Si vous voulez imposer des changements majeurs dans notre manière de vivre et liés à un changement majeur dans les politiques climatiques, géopolitiques, démographiques ou technologiques que nous mènerons contre les peuples, il faut, pour que le peuple les accepte, contrôler très précisément ce qui peut-être dit, et donc pensé.

Le problème du concept fourre-tout de « disinformation et misinformation », c’est que l’on peut y mettre tout ce qui ne va pas dans le sens de la caste de Davos, ces 5 000 personnes qui dirigent le monde parce qu’elles en dirigent les 5 000 plus grandes entreprises, les 5 000 plus grandes multinationales.

La caste des hommes de Davos (et des femmes, la parité est totale dans la méchanceté) a besoin de contrôler ce que nous pensons et donc ce que nous pouvons dire.

C’est tout le sens du combat de la grosse commission de Bruxelles contre le réseau Twitter d’Elon Musk.

N’oubliez jamais.

On n’est pas un peu libre de même que l’on n’est pas un peu enceinte.

On est libre ou on ne l’est pas.

La liberté est le régime général. L’interdiction toujours l’exception.

Pour la liberté d’expression cette citation attribuée à Voltaire (sans doute à tort (([1] NDLR voir https://www.projet-voltaire.fr/culture-generale/voltaire-citation-apocryphe-je-ne-suis-pas-d-accord-avec-vous/) reste cruellement d’actualité.

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »

[…]

« Ceci est un article “presslib”, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Le Great Reset et les 4 cavaliers de l’apocalypse

[Source : ODC TV – Ondes De Choc TV]

Epidémie, guerre, famine et conquête, voilà les quatre fléaux que nous promettent les élites mondialistes à travers le Great Reset.
Avec notre invité de la semaine Marc Gabriel Draghi, nous vous invitons à lire entre les lignes et à décoder les projets formulés dans le livre de Klaus Schwab : « Covid-19 : le Great Reset »

Chapitres 🔎 :
00:00 Introduction
01:51 Le Great Reset, transhumanisme et dictature numérique
08:31 Les quatre cavaliers de l’apocalypse
20:40 Klaus Schwab, simple porte-parole de l’oligarchie?
29:38 La Chine, une alliée de l’élite mondialiste?
38:02 Le Bitcoin est un laboratoire de la NSA et de la CIA
45:50 Israël, ami ou ennemi des mondialistes?
55:45 Ukraine et Gaza, que vise l’oligarchie mondialiste?
1:07:40 Des conseils pour survivre au Great Reset?

[Voir aussi :
Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?
Cryptomonnaies : Prospection, enjeux, questionnements et perspectives
Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée
Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?
⚡️ La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés
La Russie doit combler le fossé en matière de marquage de bétail !]




L’ascension du psychopathe politique

[Source : off-guardian.org]

Par John et Nisha Whitehead

« Lorsque le président le fait, cela signifie que ce n’est pas illégal ».

Richard Nixon

Il y a de nombreuses années, un titre de journal posait la question suivante : « Quelle est la différence entre un politicien et un psychopathe ? »

La réponse, hier comme aujourd’hui, reste la même : aucune.

Il n’y a aucune différence entre les psychopathes et les hommes politiques.

Il n’y a pas non plus de différence entre les ravages causés sur des vies innocentes par des criminels et ceux causés par des élus insensibles, égoïstes, irresponsables et parasites qui mentent à leurs électeurs, échangent des faveurs politiques contre des contributions de campagne, ferment les yeux sur les souhaits de l’électorat, escroquent les contribuables de l’argent qu’ils ont durement gagné, favorisent l’élite des entreprises, renforcent le complexe militaro-industriel et ne se soucient guère de l’impact que leurs actions irréfléchies et les lois adoptées à la hâte peuvent avoir sur des citoyens sans défense.

Les psychopathes et les hommes politiques ont tous deux tendance à être égoïstes, insensibles, sans remords, irresponsables, menteurs pathologiques, désinvoltes, escrocs, dépourvus de remords et superficiels.

Les politiciens charismatiques, comme les psychopathes criminels, n’acceptent pas la responsabilité de leurs actes, ont une haute opinion d’eux-mêmes, sont chroniquement instables, ont des modes de vie socialement déviants, ont besoin d’être constamment stimulés, ont des modes de vie parasitaires et ont des objectifs irréalistes.

Peu importe qu’il s’agisse de démocrates ou de républicains.

Les psychopathes politiques sont tous taillés dans la même étoffe pathologique, débordant d’un charme apparemment facile et se targuant d’un esprit calculateur. Ces dirigeants finissent par créer des pathocraties : des sociétés totalitaires axées sur le pouvoir, le contrôle et la destruction de la liberté en général et de ceux qui exercent leurs libertés.

Lorsque les psychopathes accèdent au pouvoir, il en résulte généralement une forme de gouvernement totalitaire ou une pathocratie. « À ce stade, le gouvernement agit contre les intérêts de son propre peuple, sauf pour favoriser certains groupes », note l’auteur James G. Long. « Nous assistons actuellement à une polarisation délibérée des citoyens américains, à des actions illégales et à un endettement massif et inutile. C’est typique des systèmes psychopathes, et des choses très similaires se sont produites en Union soviétique lorsqu’elle s’est surendettée et s’est effondrée ».

En d’autres termes, l’élection d’un psychopathe à une fonction publique équivaut à un hara-kiri national, l’acte rituel d’autoanéantissement, d’autodestruction et de suicide. C’est le signe de la fin du gouvernement démocratique et la préparation d’un régime totalitaire, légaliste, militariste, inflexible, intolérant et inhumain.

Il est incroyable que, malgré les preuves évidentes des dommages déjà infligés à notre nation et à ses citoyens par un gouvernement psychopathe, les électeurs continuent d’élire des psychopathes à des postes de pouvoir et d’influence.

En effet, une étude de la Southern Methodist University a révélé que Washington, DC — la capitale de notre pays et le siège du pouvoir de nos soi-disant représentants — se classe en tête de liste des régions peuplées de psychopathes.

Selon le journaliste d’investigation Zack Beauchamp, « en 2012, un groupe de psychologues a évalué tous les présidents, de Washington à Bush II, en utilisant des “estimations de traits de psychopathie dérivées de données de personnalité complétées par des experts historiques sur chaque président”. Ils ont constaté que les présidents avaient tendance à présenter les caractéristiques de l’intrépidité et du faible niveau d’anxiété des psychopathes — des traits qui semblent aider les présidents, mais qui peuvent aussi les amener à prendre des décisions imprudentes qui nuisent à la vie des autres. »

La volonté de faire passer le pouvoir avant tout, y compris le bien-être de ses semblables, l’impitoyabilité, l’insensibilité et l’absence totale de conscience figurent parmi les traits caractéristiques du sociopathe.

Lorsque notre propre gouvernement ne nous considère plus comme des êtres humains dotés de dignité et de valeur, mais comme des choses à manipuler, à manœuvrer, à exploiter pour obtenir des données, à malmener par la police, à faire croire qu’il a nos intérêts à cœur, à maltraiter, à emprisonner si nous osons sortir du rang, puis à punir injustement sans remords — tout en refusant d’admettre ses échecs —, nous ne sommes plus dans une république constitutionnelle.

Au lieu de cela, nous vivons une pathocratie : la tyrannie aux mains d’un gouvernement psychopathe, qui « agit contre les intérêts de son propre peuple, sauf pour favoriser certains groupes ».

Pire encore, la psychopathologie n’est pas l’apanage des hauts fonctionnaires. Elle peut se propager comme un virus au sein de la population. Comme l’a conclu une étude universitaire sur la pathocratie, « la tyrannie ne prospère pas parce que ses auteurs sont impuissants et ignorants de leurs actes. Elle prospère parce qu’ils s’identifient activement à ceux qui promeuvent des actes vicieux comme étant vertueux ».

Les gens ne se contentent pas de s’aligner et de saluer. C’est en s’identifiant personnellement à un dirigeant, à un parti ou à un ordre social donné que l’on devient un agent du bien ou du mal.

Tout dépend de la manière dont les dirigeants « cultivent un sentiment d’identification avec leurs subordonnés », explique le professeur Alex Haslam.

« Je veux dire par là qu’une chose assez évidente est que les dirigeants parlent de “nous” plutôt que de “je”, et en fait, le leadership consiste à cultiver ce sentiment d’identité partagée sur le “nous”, puis à amener les gens à vouloir agir en fonction de ce “nous”, pour promouvoir nos intérêts collectifs… [Le mot “nous” est le seul qui ait augmenté dans les discours d’investiture au cours du siècle dernier… et l’autre est “l’Amérique”. »

L’objectif de l’État moderne est évident : promouvoir, cultiver et ancrer un sentiment d’identification partagée parmi ses citoyens. À cette fin, « nous, le peuple », sommes devenus « nous, l’État policier ».

Nous sommes en train de devenir des esclaves sous l’emprise d’une machine gouvernementale bureaucratique totalitaire, sans visage et sans nom, qui érode sans relâche nos libertés par le biais d’innombrables lois, statuts et interdictions.

Toute résistance à de tels régimes dépend de la force des opinions dans l’esprit de ceux qui choisissent de se battre. Cela signifie que nous, les citoyens, devons faire très attention à ne pas être manipulés pour marcher d’un pas ferme avec un régime oppressif.

Dans un article publié dans ThinkProgress, M. Beauchamp suggère que « l’un des meilleurs remèdes contre les mauvais dirigeants pourrait bien être la démocratie politique ».

Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement ?

Cela signifie qu’il faut tenir les hommes politiques responsables de leurs actes et de ceux de leurs collaborateurs en utilisant tous les moyens à notre disposition : le journalisme d’investigation (ce que l’on appelait autrefois le quatrième pouvoir) qui éclaire et informe, les plaintes des dénonciateurs qui exposent la corruption, les procès qui contestent les fautes commises, les manifestations et les actions politiques de masse qui rappellent au pouvoir en place que c’est « nous, le peuple », qui prenons les décisions.

N’oubliez pas que l’éducation précède l’action. Les citoyens doivent faire le dur travail de s’informer sur ce que fait le gouvernement et sur la manière de lui demander des comptes. Ne vous laissez pas enfermer dans une chambre d’écho limitée aux opinions avec lesquelles vous êtes d’accord. Exposez-vous à de multiples sources médiatiques, indépendantes et grand public, et pensez par vous-même.

Par ailleurs, quels que soient vos penchants politiques, ne laissez pas votre parti pris l’emporter sur les principes qui servent de base à notre république constitutionnelle. Comme le souligne M. Beauchamp, « un système qui oblige les gens à rendre des comptes à la conscience générale de la société est peut-être l’un des meilleurs moyens de contrôler les personnes sans conscience ».

Cela dit, si nous laissons les urnes devenir notre seul moyen de lutter contre l’État policier, la bataille est déjà perdue.

La résistance exigera des citoyens qu’ils soient actifs au niveau local.

Mais si vous attendez pour agir que l’équipe du SWAT frappe à votre porte, que votre nom soit placé sur une liste de surveillance terroriste, que vous soyez dénoncé pour des activités illégales telles que recueillir de l’eau de pluie ou laisser vos enfants jouer dehors sans surveillance, alors il sera trop tard.

Ce que je sais, c’est que nous ne sommes pas des numéros sans visage.

Nous ne sommes pas des rouages de la machine.

Comme je l’explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People (L’Amérique, champ de bataille : La guerre contre le peuple américain) et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries (Le journal d’Erik Blair), nous ne sommes pas des esclaves.

Nous sommes des êtres humains et, pour le moment, nous avons la possibilité de rester libres, à condition de défendre inlassablement nos droits et de résister à tout moment aux tentatives du gouvernement de nous enchaîner.

Les fondateurs ont compris que nos libertés ne découlent pas du gouvernement. Elles ne nous ont pas été données pour être ensuite retirées par la volonté de l’État. Elles sont intrinsèquement nôtres. De même, l’objectif du gouvernement n’est pas de menacer ou de saper nos libertés, mais de les sauvegarder.

Tant que nous ne reviendrons pas à cette façon de penser, tant que nous ne rappellerons pas à nos concitoyens américains ce que signifie réellement être libre, et tant que nous ne resterons pas fermes face aux menaces qui pèsent sur nos libertés, nous continuerons à être traités comme des esclaves sous l’emprise d’un État policier bureaucratique dirigé par des psychopathes politiques.




Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?

[Source : kla.tv]

« Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! »(([1] En ce qui concerne Poutine, l’article suivant conteste l’information :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/))

« Le FEM a pour mission […] de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. […] Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM — y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ? Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière plan ? Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ? Ce documentaire de Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l’ensemble de ses dirigeants. Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) se tiendra du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il sera consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu’à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » — « qui concerne le monde entier » — et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l’éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c’est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l’éducation politique », insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu’il n’en existe pas. D’autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l’économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d’une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

Cette émission répond à ces questions et vise à jeter un coup d’œil derrière le FEM et le Great Reset : Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

1. Origines et création du FEM

En 1971, l’économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d’utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Dans son livre « World Economic Forum — La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet : (www.kla.tv/19027) :

« Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d’arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d’ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de “leader mondial du secteur privé” si je peux dire, témoigne si clairement d’un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m’empêcher de percevoir l’ensemble du FEM comme une secte privée de l’économie mondiale, et plus précisément une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale. »

2. Arrière-plans de Klaus Schwab

Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.

Les hommes derrière Klaus Schwab

Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d’Ernst Wolff :

« C’est là qu’il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. »

Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR.

(Plus d’informations sur Henry Kissinger https://www.kla.tv/26153)

Unlimited Hangout, une plate-forme américaine de journalisme d’investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante :

« Le Forum économique mondial n’était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger — et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d’élite américaine qui travaillait dans l’ombre et l’aidait à créer l’organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). […] »

Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos — l’ancêtre du FEM – Kissinger a prononcé le discours d’ouverture et a déclaré :

« Pour la première fois dans l’histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s’est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l’élite européenne de soutenir le projet. — C’est ce qu’a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l’idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d’argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l’un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

Les premières réunions à Davos

La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L’orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l’hôtel de Bilderberg près d’Arnhem, dont il était alors propriétaire. — À l’époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu’en 1976.

En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation :

« Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l’économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s’était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

Jusqu’en 1983, le European Management Symposium était, comme l’a dit Klaus Schwab dans son discours d’ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l’économie mondiale ».

3. Financement du FEM

Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d’utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d’environ un million de francs. La réserve d’argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d’impôts fédéraux.

Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s’agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s’élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.

Partenaires stratégiques

Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d’Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l’un des quatre cabinets d’audit les plus importants au monde avec un chiffre d’affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie.

La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM :

https://www.weforum.org/partners/#search

Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d’affaires de 383 millions de francs pour l’année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

4. Structure de direction du FEM

Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Selon ses propres termes, il s’agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

Le président du Forum est depuis 2017 l’homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l’Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l’Économie et du Commerce (jusqu’en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

Membres du curatorium du FEM

Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

Ajay Banga — manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

Marc Benioff — entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

Thomas Buberl — manager allemand et président du conseil d’administration du groupe d’assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

Laurence D. Fink — entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d’actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s’élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d’administration du CFR.

Orit Gadiesh — manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l’un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

Kristalina Georgieva — femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

André Hoffmann — Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d’administration de Roche Holding AG (Suisse), l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

Joe Kaeser — manager allemand. Président du conseil d’administration de Siemens de 2013 à 2021. À gagné 9,27 millions d’euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. À participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

Christine Lagarde — juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

David M. Rubenstein — entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l’une des plus grandes sociétés d’investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d’administration du CFR.

Al Gore — homme politique et écologiste américain. N’a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l’agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l’Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l’affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n’a rien à faire dans les écoles.

À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale

La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d’œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale.

L’émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg — le gouvernement secret de l’ombre ? » (www.kla.tv/26318)

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 — qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d’un groupe d’étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu’en 1985 et ensuite, jusqu’à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (*né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d’une position forte lors des conférences Bilderberg.

Kissinger a été l’un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu’à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981. À l’occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger — stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

Le groupe Bilderberg a été fondé à l’initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l’actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d’un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires :

« Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d’“internationalistes” et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d’autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique — un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j’en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

Conclusion intermédiaire

Jusqu’ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d’œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.

5. Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d’exercer une influence sur la politique internationale.

L’expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation :

« Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l’inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

Mission du FEM

Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

[https://www.kla.tv/WEF/19027]

« Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

« … et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l’ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable. »

6. Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019 — c’est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

Année 1968 — Club de Rome – Dictature climatique

Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s’étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l’initiation et l’utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d’administration d’Olivetti et d’Italcon.

Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l’orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s’agit à l’origine d’un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l’humanité, publié en 1972.

Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l’humanité et en a déduit l’exigence d’une réduction de la population mondiale.

Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform! »[enregistré en français] :

« Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c’est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

Année 2000 — GAVI, la dictature de la vaccination

[Explication : GAVI = abréviation de l’anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation »)].

[https://www.gavi.org/]

L’Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l’événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

« Les initiateurs de la création de l’Alliance étaient l’OMS, l’UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l’Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l’Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d’euros pour les années 2021 à 2025.

Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui devient encore plus intéressant, c’est qu’en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l’ID2020, c’est l’Alliance pour l’identité numérique, c’est l’alliance pour la promotion de l’identité numérique. Et c’est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l’on regarde — donc GAVI est une organisation médicale — on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n’est autre que José Manuel Barroso, l’ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d’Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L’actionnaire principal de Goldman Sachs n’est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée. »

Année 2005 — Young Global Leaders (« Jeunes leaders mondiaux »)

Selon le site Internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation :

« Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d’autres ».

L’objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L’initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d’action visant à réaliser la vision d’un monde idéal en 2030.

Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Économique Mondial — Le pouvoir mondial en arrière-plan » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, P. 64-65] ce qui suit :

« Pour la première fois, l’élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l’instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who’s Who de l’élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l’ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d’un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 265]

« Le président russe Vladimir Poutine n’apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l’a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

(Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019) :

« Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! Avec eux, le chancelier Kurz et la Première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui est intéressant, c’est qu’ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c’était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c’était l’ex-chancelier Kurz, en France, c’était Monsieur Macron, au Canada, c’était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c’était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM. »

Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l’émission.

Année 2007 — Réunion annuelle des nouveaux champions

En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d’été ». Il s’agit de représentants d’« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l’Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.

Année 2011 — Global Shapers (« Façonneurs mondiaux »)

En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

[Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV : https://www.kla.tv/WEF/22827

« Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans. »

Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l’agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l’ombre du FEM.

Année 2016 — Transhumanisme

Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l’« édition génétique » à l’intelligence artificielle et à l’impression 3D. « Édition de gènes » — en anglais « genome-editing » — est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l’ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

« Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

« Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

« Comment l’homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

À ce sujet, l’expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 117]

« Le livre de Schwab “La Quatrième Révolution Industrielle” a été publié à l’occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. […] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l’évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu’il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI]

La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

« La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons […], mais aussi notre propre identité. »

« Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique — bien sûr qu’elle est numérique, physique, c’est la nanotechnologie, mais elle est aussi biologique. »

Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l’humanisme comme suit : https://www.kla.tv/18254

Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

« Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

À ce stade, il est important de s’arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l’humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s’opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

Année 2019 — Agenda 2030

Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l’ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d’accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s’agit d’objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ».

En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l’avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L’accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l’émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l’agenda de l’ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l’ONU révèle les sombres secrets de l’ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

« Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d’autres, sont en train de mettre en place l’Agenda 2030 à l’échelle mondiale. Il s’agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L’objectif ultime de l’Agenda 2030 est d’établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d’eux se trouvent des groupes d’intérêts financiers qui agissent totalement dans l’ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l’humanité. »

Année 2019 — Événement 201 — Dictature de Covid

Selon le site web de l’« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l’« Event 201 ».

Il s’agissait d’un cas fictif de pandémie grave à l’échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L’exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l’OMS les premiers cas de Covid-19.

Année 2020 — Great Reset — Dictature numérique

The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l’initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l’économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s’agit [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 133] :

« Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage “COVID-19 La Grande Réinitialisation”, co-rédigé avec l’auteur Thierry Malleret. […] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s’attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c’est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n’est considérée que comme un phénomène passager. […] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, pages 144-145]

« L’introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. […] Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d’un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l’État de fixer de manière centralisée la quantité d’argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d’intérêt en fonction des besoins. […] Les citoyens comprendront très vite que l’État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d’intérêt individuels, des taux d’imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l’argent à […] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu’à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ».

« Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d’un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM.

Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire “dans notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d’appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L’un après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n’avait aucun sens pour nous de “posséder” beaucoup. »

La non-possession est promue comme une aubaine.

Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

« De l’extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l’ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l’appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne. »

Ivo Sasek a également une solution pragmatique toute prête, comme il l’a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

« En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d’abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM. »

7. Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

Il est important de garder à l’esprit que ces acteurs et d’autres n’agissent pas de manière autonome, mais qu’ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

Chine

De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu’en décembre 1978, celui-ci a amorcé l’abandon de l’économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979.

Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96]

« 2009 a été la 30e année de participation d’une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d’État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139]

« Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan “Great Reset” […] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139]

« Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n’est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145]

« Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM […], c’est parce que, malgré le passage d’une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l’époque du maoïsme. C’est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d’une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

Dans l’émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! — le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

https://www.kla.tv/27164

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.

Comme l’a démontré l’émission de Kla.TV « Chine — ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l’origine une association d’étudiants de l’université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d’écoles et d’hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l’ExpressZeitung suisse (numéro 50 d’octobre 2022), c’est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu’au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l’historien britannique Antony C. Sutton écrivait :

« Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une “superpuissance” construite avec la technologie et l’expertise américaines. »

De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d’octobre 1917 — qui mit fin au tsarisme et marqua l’avènement du communisme — fut soigneusement orchestrée par l’élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l’industrie lourde de l’URSS.

Russie

En 1986, l’Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l’année précédente. À l’époque, cette rencontre s’appelait encore « European Management Forum » jusqu’en 1987.

Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu’avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l’élaboration du programme.

En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C’est sous la direction de cette dernière que s’est déroulé l’exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s’entraîner aux cyberattaques et à la défense contre celles-ci.

Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l’ère Gorbatchev, il n’y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans l’introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu’État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU. C’est ce qui ressort d’une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l’occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver.

La déclaration commune mentionne nommément :

« la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l’industrialisation, l’économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s’avèrent être des instruments dans la mise en place d’une dictature mondiale centralisée, il convient d’observer si cela concerne également la Russie.

8. Le FEM en un point

Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

● Le FEM n’est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l’influence de son professeur Henry Kissinger.

● Le « European Management Symposium » — l’ancêtre du FEM — est né d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l’agenda d’un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l’échelle mondiale avec l’aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l’élite des grandes entreprises mondiales s’y est regroupée.

● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l’un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d’outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019, c’est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d’instruments à l’agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l’ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l’intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l’humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu’ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d’une véritable conspiration mondiale.

Il ne s’agit pas d’une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d’un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d’être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l’une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l’ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

Tout cela a été révélé dans l’émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ».

[https://www.kla.tv/23995]

Voyez pour finir la conclusion de cette émission : Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple — un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !

de dd./mw.

Sources/Liens :




Selon Mathieu BOCK-CÔTÉ le totalitarisme qui vient est de gauche

[Source : Boulevard Voltaire]

On le connait comme l’un des « mousquetaires » de l’émission phare de CNews orchestrée par Christine Kelly, mais on le reconnaît surtout à son accent québécois qui met en musique les mots qu’il met sur les maux de l’Occident.

Mathieu Bock-Côté, notre grand invité de ce dimanche vient de publier « le totalitarisme sans le goulag » aux éditions de la Cité. Il renverse sans détours la chapelle de bien-pensance que la gauche historique a voulu mettre sur la tête des « mal-pensants » en qualifiant d’extrême droite tout ce qui n’est pas, en fait, d’extrême gauche.

200 pages pour comprendre comment reprendre intellectuellement le contrôle sur ce diktat moral et ne plus avoir honte d’être à droite de l’échiquier politique ou éditorial.

Une belle heure de philosophie politique avec le Canadien le plus français du paysage audiovisuel français.




Des nouvelles de la France occupée

[Source : Brochu TV]




Totalitarisme onusien en vue si l’OMS obtient le contrôle total de la médecine

[Source : businessbourse.com]

Selon la Dr Meryl Nass, l’OMS, agence de l’ONU, est en train de concocter un « Règlement Sanitaire International » ABSOLUMENT DYSTOPIQUE !

La Dr Meryl Nass est une experte en vaccins. Elle a témoigné à plusieurs reprises devant le Congrès. La Dr Nass a mis en garde contre les dangers du vaccin contre le CV19. Des quantités massives de décès et d’invalidités ont été documentées dans le monde entier, causées par ce que de nombreux médecins considèrent comme de simples injections d’armes biologiques. Dès le début, la Dr Nass était partisane du traitement du Covid avec l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, avec des résultats exceptionnels pour ses patients. Pour cela, sa licence médicale a été suspendue dans l’État du Maine il y a deux ans. Cela n’a pas empêché la Dr Nass de se battre pour faire connaître le mal causé par les vaccins contre le CV19. Juste au moment où vous pensez que c’est fini et que nous pouvons tous revenir à la normale, la Dr Nass met en garde contre un projet mondial encore plus diabolique qui vise à prendre le contrôle de votre santé (et de votre vie) lors de la prochaine pandémie. L’ONU et l’OMS souhaitent le faire d’ici mai 2024. Voici ce que la Dr Nass explique : « L’OMS est une agence relevant de l’ONU. Un document, qui n’a jamais existé auparavant, s’appelle un “Traité sur la Pandémie”, et ils sont en train de le rédiger en ce moment. L’autre est un document ordinaire appelé “Règlement Sanitaire International”. Ce qui s’est passé, c’est qu’ils veulent utiliser ce document et le modifier massivement. Ils veulent changer complètement le contenu du document et le transformer en ordres auxquels toutes les nations du monde devront obéir. La personne qui donne les ordres est le Directeur général de l’OMS. Ce directeur peut déclarer une pandémie dans toutes les circonstances qu’il veut… Cela donne au directeur général de l’OMS un pouvoir énorme pour dicter les modalités de santé à suivre et surtout concernant n’importe qui dans le monde… Ils veulent avoir la possibilité de vous imposer des vaccins à l’avenir contre les pandémies qu’ils déclarent à volonté, sans aucune norme sur ce que cela implique. Ils veulent avoir la Droit de refuser des médicaments et de faire taire votre médecin. Ainsi, le directeur général de l’OMS, Tedros, qui n’a pas de diplôme en médecine, deviendrait le médecin du monde. »

La Dr Nass poursuit en avertissant que si l’OMS obtient ce pouvoir, elle pourra vous forcer à prendre n’importe quel vaccin qu’elle souhaite vous administrer. Les personnes blessées ou tuées n’auraient aucun recours, car toutes les personnes impliquées bénéficieraient d’une protection contre toute responsabilité. En outre, Nass soutient que l’OMS aurait la Droit de censurer toute personne, dans n’importe quel pays, qui donne un avis différent sur les vaccins ou les options de traitement utilisés pour la prochaine pandémie. En bref, aucune liberté d’expression ne sera autorisée si elle n’est pas un discours approuvé par l’ONU.

Lors de la prochaine pandémie, davantage de vaccins seront développés plus rapidement, sans essais sur les animaux. Au lieu de mettre au point un vaccin qui, ce qui prend plus de 10 ans, ils veulent un nouveau vaccin matérialisé en quatre mois seulement. C’est vrai, quatre mois !!! La Dr Nass (encore une fois, un expert en vaccins) prévient : « La FDA a effectivement accordé une licence à certains de ces vaccins contre le CV19, mais n’a utilisé aucune de ses normes normales. Ce fut un désastre total. Ce qu’ils veulent faire la prochaine fois, c’est créer un vaccin en 100 jours et le déployer auprès de l’ensemble de la population en 130 jours. Quatre mois et une semaine, et ils veulent déployer le prochain vaccin dans le monde entier. C’est complètement fou ! Il n’y aurait aucun moyen d’évaluer si cela fonctionne ou si c’est sûr en 130 jours. C’est ça le véritable projet. C’est le projet de l’OMS et du gouvernement américain, du G7, du G20, de l’UE et ils ont tous dit qu’ils voulaient un vaccin en 100 jours. Ils ont également mis en place tous ces documents pour mettre en place un système permettant de dégager la responsabilité des fabricants… Vous n’avez aucun moyen non plus de poursuivre l’OMS. Ils n’ont absolument aucun compte à rendre au public.

La Dr Nass ajoute que le gouvernement fédéral et l’administration Biden n’ont pas la Droit de superviser les soins de santé. Les soins de santé relèvent de la responsabilité des États, et la Dr Nass affirme que c’est là que l’OMS peut être arrêtée pour ses projets “désastreux”.

Source : usawatchdog.com