Le premier volet des « RKI Files » avait choqué l’Allemagne en mars. Cette fois, ce sont tous les procès-verbaux, intégraux et non censurés, qui viennent d’être publiés sur Internet.
Ces documents, publiés en mars de cette année, avaient prouvé que les décideurs allemands avaient été informés dès le début de la « pandémie » que la maladie était moins dangereuse qu’une grippe ordinaire ; ils avaient aussi révélé que les autorités savaient parfaitement que la plupart des « mesures sanitaires » contraignantes imposées en Allemagne, y compris les injections, seraient au mieux inutiles, voire nuisibles, et qu’elles avaient été imaginées et imposées par des politiciens et des militaires, sans aucun débat scientifique, et contre des avis d’experts.
Cette affaire avait défrayé la chronique en Allemagne, forcé les responsables politiques à prendre position, et choqué l’opinion.
Elle vient de s’élargir et de s’étendre. Contrairement aux rapports divulgués au mois de mars, qui avaient été obtenus à la suite d’une bataille judiciaire et qui étaient incomplets et caviardés, il s’agit cette fois-ci d’une véritable fuite de données, complètes et non censurées, en provenance de la « cellule de crise Covid » allemande.