Sur la toxicité de la Secte HA! : contribution à sa décantation

09/07/2021 (2021-07-09)

Par Lucien Samir Oulahbib

Ah ! La Secte HA! (Hygiéniste-Affairiste) — le point d’exclamation exprime le fait qu’elle accentue en permanence et avec frénésie paranoïaque sa hargne (séculaire, en fait) contre toute objection ou critique considérée par elle comme un complot ou une hérésie provenant, au 21e siècle, d’« antivax » et autres « anti-éoliennes ».

Elle VEUT (comme au temps de l’Inquisition et des procès totalitaires passés présents et à venir) que sa propagande pseudo-médicale et environnementale se déploie sans accroc par la méthode bien connue en manipulation psychologique de « punition-récompense » (carotte : liberté conditionnelle d’aller et venir, boire, manger, se chauffer. Bâton : menace d’obligations et de coupures en agitant quelques figurines grecques, comme dans La Caverne de Platon : Delta, Gamma…) alors que cette pratique d’ingénierie sociale (cataloguée d’« altruiste », mais oui : les c… osent tout…) reste non seulement toujours illégale pour des substances ayant une AMM conditionnelle (il faut 15 ANS pour l’obtenir « normalement »), mais surtout illégitime puisque nous avons les traitements qu’il faut (mais oui) pour cette syndémie peu létale hors maladies chroniques liées justement à un contexte donné de co-morbidités et de maltraitance sanitaire (d’où le préfixe « syn » comme dans synchronie).

La Secte HA! déploie donc sa Milice d’aboyeurs traitant les gens, simplement prudents et désireux de mesures proportionnées, de personnes « incurables » (dixit Enthoven, Lilliputien osant se réclamer de Montaigne) qu’il s’agit dans ce cas d’éliminer en prochaine étape s’il n’est pas possible de piquer de force ces « racailles » (dixit Onfray) et autres « passagers clandestins » (selon un éditorial du « journal » Le Monde) puisque « nous perdons patience » clame une autre fausse féministe désireuse de se faire un nom aussi dans ce secteur somme toute pas si éloigné de la toute puissante technologie Trans (PMA pour qui veut, GPA, Trans/es divers-es) ou comment bien manipuler la technologie scientifique à des fins de plus en plus délirantes. Les masques tombent (tout en étant exigés pour préserver les apparences de cette duperie).

Mais comment éliminer les « incurables »? Surtout s’ils sont taxés de « nocifs » (c’est « à cause d’eux » que…). Déjà, en les tuant médiatiquement : un contre dix, s’ils sont éventuellement « invités » dans quelques rares émissions alibis, tout en leur assénant sur des plateaux menés au fouet par des Miliciens HA! (Naulleau, par exemple) des contre-vérités avec de faux chiffres, puisque les taux d’incidence, par exemple, sont calculés sur des tests (surévalués en plus) et non sur des malades effectifs, tandis que les personnes en « réa » expriment seulement le fait qu’elles n’ont pas été soignées de manière précoce parce que l’on ne laisse pas les médecins prescrire des médicaments qui ont été mis précisément à l’index, car autrement toute l’expérimentation actuelle tomberait à l’eau (phase 3.3 d’une AMM) ; sans parler d’une mise en « réa » hâtive (il existe plusieurs paliers : observation, soins intensifs, réa…) et d’un manque drastique de lits (refus d’une synergie entre public et privé comme on l’a vu il y a dix-huit mois à Nancy, Strasbourg…).

Ensuite, il s’agit de « les » tuer professionnellement, d’écarter par exemple des médecins non pas à cause de ce qu’ils font, mais de ce qu’ils sont, comme soigner autrement que par du paracétamol (qui a un taux d’effets secondaires supérieur à celui de l’hydroxychloroquine) ou alors parce qu’ils ont eu cent pour cent de résultats (zéro morts, très peu d’hospitalisés lorsque c’est pris de façon précoce) : « je ne pouvais pas les laisser mourir » écrivit l’un d’entre eux alors que les miliciens activaient le bûcher médiatique pour le brûler à « bas bruit »….

Enfin, il faut sur le plan académique (afin de faire taire les savants byzantins regardant de haut tout ce raffut « humain trop humain ») peaufiner le faux dogme de l’exhaustivité statistique (battue en brèche par Russel et Whitehead dans les années 1910-1913) ou son contraire – l’exponentielle inductive (prolonger indéfiniment des courbes ascendantes ce qui est illogique comme le démontre actuellement sur un exemple donné Vincent Pavan ou encore Pierre de « décoder l’éco » également ici sur FranceSoir) – en considérant d’une part qu’il faudrait d’abord tout connaître sur cette maladie avant de la soigner (pourtant cette précaution n’est pas prise dans les actuelles injonctions d’injections expérimentales) et ensuite penser qu’il serait possible de « l’éradiquer » comme s’il s’agissait d’une maladie à haute mortalité…

De plus, ces deux (pseudo) arguments ne tiennent pas en pratique médicale : il faut en effet soigner, et tout de suite, comme dans une médecine de guerre (ne nous avait-on pas dit pourtant : « nous sommes en guerre » ?) et donc employer des moyens qui ont fait empiriquement leurs preuves comme l’ont proposé certains médecins intègres et s’appuyant aujourd’hui sur des centaines d’études et des milliers de gens guéris.

On le voit, la Secte HA! n’a que faire de la réalité, de la vérité, surtout empirique (pour eux le réel doit être simulé : effacé puis restauré autrement comme l’a démontré Jean Baudrillard). Il est pourtant dommage que face à une telle déferlante, parmi les amis de la liberté, de la tolérance, de la justice, de l’égalité et de la fraternité, bref de ce qui fait d’un « nous » une « nation », certains divisent, condamnent, montrent du doigt, comme le fait un Richard Boutry dans un rassemblement en attaquant le directeur de FranceSoir parce que celui-ci ne le suivrait pas dans sa prochaine aventure médiatique (à partir de 1 h 50). C’est bien regrettable, alors que devant l’ennemi les rangs doivent tenir et que les dissensions d’ordre tactique doivent être écartées, du moins si l’on ne veut pas servir de cheval de Troie…

Car l’offensive de la Secte HA! ne fait que commencer, se donnant comme objectif, on le sait maintenant de mieux en mieux, ce « Grand Reset » qui modélise le monde humain et sa chair en autant de cibles marketing, ce qui est là une déviation de l’esprit dit « libre » qui avait pour objet, par exemple chez Descartes, Pascal, mais aussi Locke comme Rousseau et Kant, de permettre que chacun puisse acquérir des connaissances et soit à même de vivre en pratique cette liberté qui se nourrit d’altérité et non pas d’uniformité (aujourd’hui la théorie du « sans » ou du « trans »), car c’est en se confrontant au contraire de la Liberté, à savoir la Limite, que l’on arrive à se forger un visage (et aussi décanter ami et ennemi…).

Par exemple le Visage de la France… Ne laissons pas des infâmes en effacer la trame au lieu de l’enrichir (alors que les milliers d’années passées nous « contemplent »).

Il est également dommage que Didier Raoult soit obligé de se sacrifier pour sauver la casse de l’IHU, selon certaines sources [par exemple : RT en français], en se ralliant à l’idée de piquer les soignants avec une substance expérimentale. S’il avait pu résister, une chaîne humaine se serait constituée pour protéger l’institut. Un véritable combattant est tombé. Saluons son sacrifice.

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