Selon un fonctionnaire de l’OMS, le port du masque et la distanciation sociale doivent se poursuivre indéfiniment

24/06/2021 (2021-06-24)

[Source : Aube Digitale]

Les commentaires ont été faits sur Sky News par l’envoyé spécial sur le Covid pour l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). le Dr David Nabarro.

Nabarro a suggéré qu’il y aurait une longue liste de mutations de la variante indienne qui, dans certains cas, échapperait à la protection offerte par les vaccins.

« Nous allons passer de Delta à Lambda, puis aux autres lettres grecques, c’est inévitable, et certaines de ces variants seront gênants », a-t-il déclaré.

« Je dis essentiellement que les variants vont continuer à apparaître. Cela fait partie de la vie, nous devons les détecter rapidement, nous devons agir vite si nous les voyons dans un certain endroit, nous devons intégrer la gestion des variants dans ce que nous appelons notre stratégie ‘parés-pour-le-Covid’, qui sera le modèle dans un avenir proche », a-t-il ajouté.

Selon Nabarro, les obligations de port de masque et la distanciation sociale doivent rester en place dans un avenir prévisible « dans le cadre de notre défense » contre le COVID, en particulier dans les régions qui ont des taux d’infection élevés.

Comme nous l’avons souligné précédemment, l’Angleterre est prête à abandonner toutes les règles relatives aux masques faciaux le 19 juillet après avoir constaté qu’elles avaient un impact négatif considérable sur les entreprises et faisaient perdre des milliards à l’économie.

Plusieurs conseillers du gouvernement ont demandé que les restrictions relatives aux coronavirus soient maintenues à jamais, non seulement pour se défendre contre le COVID, mais aussi pour lutter contre la grippe.

Susan Michie, ancienne membre du Parti communiste et conseillère du groupe SAGE, a déclaré au début du mois que le port du masque et la distanciation sociale devraient se poursuivre « pour toujours » et que les gens devraient adopter ce comportement comme ils l’ont fait pour le port de la ceinture de sécurité.

C’est sans fin.

[Ndlr : cela fait de nombreux mois que des médias alternatifs, des lanceurs d’alertes et autres « complotistes » ont averti que le projet élitiste mondialiste consistait à vacciner le monde entier et à poursuivre indéfiniment les mesures esclavagistes prétendument sanitaires, malgré la thérapie génique appelée faussement « vaccin ». Le passeport vaccinal et ses différentes variantes ne procureront qu’une illusion de liberté analogue à ce que vivent déjà les Chinois, surveillés en permanence et soumis au système du « Crédit Social ».]

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Un commentaire

  1. SOMMATION AUX MAIRES À LA POLICE NATIONALE À LA GENDARMERIE AUX SERVICES PUBLICS ADMINISTRATIFS DE L’ÉTAT ATTESTATION DE DÉ-CONFINEMENT (COVID-19) Messieurs les Maires (Premiers Magistrats dans nos villes, représentant l’État), Messieurs ou Mesdames les Directeurs(trices) de la Gendarmerie nationale (chargée de la défense des citoyens sur le territoire national), Messieurs ou Mesdames les Directeurs(trices) de la Police nationale (chargée de la défense des citoyens sur le territoire national), Moi, Monsieur ou Madame……………… Nous, Monsieur et Madame Déclarons, par la présente ayant pour titre, sommation « Attestation de Déconfinement COVID-19 », informer les différents corps de l’État et service administratif, relevant de l’État ou assurant une ou des Missions de Services publics pour le compte de l’État dans l’Intérêt général, de mon (ou nôtre) déconfinement à propos du Coronavirus (COVID-19 SRAS-COV-2), pour les motifs explicités ci-après (VERSION COURTE ici, sera complétée) : Sur le plan strictement juridique, Il ne s’agit pas de savoir quand le décret a été publié par rapport à la loi, il s’agit des rapports entre la loi et le décret dans la chronologie des actes. En effet, pour légaliser le confinement il fallait que la loi l’envisage, pour éviter les débats sur l’illégalité du décret 2020-260 du 16 mars dernier.Or, c’est bien la loi du 23 mars qui a habilité le gouvernement à agir par voie de décret, notamment pour fixer les mesures de confinement et de réquisition. Ainsi, le décret du 23 mars entré en vigueur le 24 mars n’est pas un décret autonome, mais en décret d’application de cette loi. Le décret a effectivement visé la loi du 23 mars 2020 et notamment son article 4. Ceci étant dit , voilà le syllogisme La loi n° 2020-290 a été votée par le Parlement, elle a été promulguée le 23 mars et elle a été publiée le 24 mars au JORF. La loi a donc pris effet conformément aux normes légales le 24 mars 2020. Ainsi, le décret d’application édité le 23 mars ne pouvait en aucun cas viser une loi du 23 mars qui n’est entrée en vigueur que le 24 mars ! Le décret aurait dû être pris à partir du 24 mars pour que l’habilitation soit officialisée par la publication du texte. En effet la promulgation qui « est l’acte par lequel le chef de l’État atteste l’existence de la loi… ne prend effet, comme la loi elle-même qu’après avoir été publié dans les conditions fixées par les lois et les règlements. (CE 8 février 1974). La promulgation donne certes, la date à un acte législatif, mais c’est la publication qui produit les effets de droit erga omnes! En conclusion, le Gouvernement, a été investi seulement à partir du 24 mars 2020 pour prendre certaines mesures, a ainsi violé les principes précités, ayant édité le 23 mars un décret pris en application d’une loi qui n’était pas encore applicable le 23 mars 2020, mais seulement à partir du 24 mars date de sa publication !

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